Jusqu'à 40 % des travailleurs de la santé au Royaume-Uni peuvent ne pas vouloir se faire vacciner contre le COVID-19
PAR TYLER DURDEN LUNDI 14 DÉC 2020-15: 30 Rédigé par Lily Zhou via The Epoch Times,
Potentiellement, jusqu'à 40 % des travailleurs des foyers de soins ne seront pas vaccinés avec le vaccin contre le virus du PCC (Parti communiste chinois) alors que le gouvernement britannique déploie son programme de vaccination Pfizer-BioNTech, a déclaré samedi un leader du secteur en Angleterre.
Les travailleurs de la santé et des services sociaux font partie des groupes figurant sur la liste des priorités suggérée par le Comité mixte de la vaccination et de l'immunisation.
"Nous savons qu'entre 50 et 60 %, selon les services individuels, ou en fait le personnel, disent qu'ils vont certainement se faire vacciner et sont très désireux", a déclaré Nadra Ahmed, présidente de la National Care Association, à Misha Husain de la BBC. L'émission Today de Radio 4.
"Nous comprenons qu'entre 17 et 20 % du personnel des services disent qu'ils ne l'auront certainement pas", a-t-elle déclaré, "et puis vous avez le reste qui attend de voir."
Par conséquent, a-t-elle dit, potentiellement 40 % des travaux décideraient de ne pas prendre le vaccin.
Elle a dit qu'il était "stupéfiant" qu'un pourcentage aussi élevé de travailleurs à domicile de soins ne veuille pas se faire vacciner parce qu '"ils ont travaillé et ont vu les résultats directs de l'impact de ce virus".
Elle a également déclaré que l’adoption du vaccin contre la grippe parmi les travailleurs de la santé «n’est pas non plus très bonne».
"Je pense que dans le NHS, ils sont incités à l'avoir, ce qui semble assez pervers à certains égards", a-t-elle déclaré, "nous ne pouvons pas faire des gens, ce n'est pas dans leur contrat actuellement qu'ils doivent avoir ces vaccins."
Ahmed n'a pas mentionné la source de ses chiffres.
Un article publié jeudi par Community Care a déclaré que 41 % des 300 membres du personnel ont participé à une enquête instantanée et ont déclaré qu'ils ne prendraient pas de vaccin à ce moment-là, citant des raisons telles que le manque d'informations sur les effets secondaires et la durée de l'immunité.
Ahmed n'a pas répondu à une demande de commentaire.
La Suède voit des démissions "sans précédent" dans le secteur de la santé dans un contexte de deuxième vague
PAR TYLER DURDEN LUNDI 14 DÉC 2020-14: 45
Les travailleurs de la santé suédois démissionnent à un rythme alarmant.
L'exode de l'industrie a été si brutal que la présidente de l'Association suédoise des professionnels de la santé, Sineva Ribeiro, a qualifié la situation de «terrible», selon Bloomberg.
Avant la pandémie, le pays faisait déjà face à une pénurie de spécialistes et d'infirmières, note le rapport. Aujourd'hui, près d'un an après le début de la crise de Covid et avec la capacité de soins intensifs de Stockholm atteignant 99 %, il y a moins de personnes qualifiées disponibles pour travailler dans le secteur de la santé qu'au printemps.
Les membres de l'Association suédoise des professionnels de la santé l'ont qualifiée de "situation intenable". Le maire du comté de Stockholm a qualifié la situation "d'extrêmement tendue" et a reconnu qu'il y avait un besoin de personnel. Elle a déclaré vendredi: «Il y a de la fatigue. Vous ne pouvez pas l’ignorer, il est donc extrêmement important d’attirer plus de gens. »
Mais le personnel est tellement «désespéré» de prendre des congés qu'il considère la démission comme sa seule option, a déclaré le syndicat. "Nous n'avons pas le personnel pour le faire", a déclaré Ribeiro. «J'ai parlé aux membres en août qui ont dit qu'ils démissionneraient parce que c'était la seule façon de prendre du temps et de récupérer. Nous constatons des taux élevés de maladie, des symptômes d’épuisement et des membres infectés. »
- voir graphique sur site -
Et pour le moment, on ne sait guère d'où proviendront les nouvelles capacités et le nouveau personnel. Le comté de Stockholm a déjà demandé l'aide des forces armées du pays, mais l'armée n'a peut-être pas non plus les ressources nécessaires pour l'aider. La Suède demande également de l'aide aux pays voisins, comme la Finlande. La Finlande a déclaré qu'elle était prête à libérer de l'espace pour les unités de soins intensifs suédois.
Une autre raison pour laquelle les démissions se multiplient est que les infirmières ne gagnent qu'environ 33 600 $ en salaire de base, ce qui a permis de décider facilement que travailler pendant la pandémie ne vaut tout simplement pas la peine. Rappelez-vous, en août, nous avons écrit sur les ambulanciers ambulants quittant leur emploi dans des «nombres alarmants» aux États-Unis en raison de la pandémie et de la faible rémunération.
Oren Barzilay, président de la section locale 2507 du FDNY-EMS, représentant les médecins de la ville de New York, a noté qu'environ 60 ambulanciers avaient quitté le département entre mai et août.
"Ils voient les risques associés à l'emploi et aux bas salaires, et cela n'en vaut tout simplement pas la peine", a déclaré Barzilay. Les EMT commencent à seulement 30 000 $ par an à New York et paient le dessus à environ 50 000 $. À l'échelle nationale, l'emploi ne paie que 38 830 $ par année en moyenne.
De manière alarmante, Michael MacNeil, président de l'association EMS de Boston, a déclaré que ce ne sont pas seulement les anciens EMT qui abandonnent. Au contraire, ceux qui n'ont que quelques années d'expérience sur le terrain partent également - et les nouveaux postes deviennent difficiles à pourvoir. Il a déclaré: "Nous n'intéressons pas les gens et n'avons pas suffisamment de candidats qualifiés pour pourvoir les sièges disponibles. Nous ne pouvons pas pourvoir les postes."
Selena Xie, présidente de l'Association Austin EMS, représentant les médecins à Austin, au Texas, a déclaré que 25 ambulanciers étaient partis jusqu'en août, sur le point de doubler la moyenne annuelle de 30. Xie a déclaré: "Nous savons avec certitude que le virus aide les gens à faire le décision que ce n’est pas un travail idéal en ce moment et que leur propre santé et celle de leur famille sont en danger. "
Regarder: Bill Gates dit que les verrouillages devraient se poursuivre jusqu'en 2022
PAR TYLER DURDEN LUNDI 14 DÉC.2020-8: 43 Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Bill Gates, milliardaire de vaccins, souhaite que les entreprises et les services locaux restent fermés, les verrouillages, les masques et la distanciation sociale se poursuivant tout au long de l'année prochaine et jusqu'en 2022.
Gates a fait la déclaration dans une interview avec CNN dimanche.
Bill Gates a déclaré que les verrouillages devraient se poursuivre jusqu'en 2022, avec des bars et des restaurants fermés pendant les six prochains mois. Rejetez ce tyran. pic.twitter.com/2AWaeEuRAd
- Ian Miles Cheong (@stillgray) 13 décembre 2020 Gates a proclamé que «à moins que nous aidions d'autres pays à se débarrasser de cette maladie» et jusqu'à ce qu'il y ait «des taux de vaccination élevés» parmi les Américains, le «risque de réintroduction» restera.
. @ BillGates sur Covid: "Même jusqu'en 2022", nous devons être prêts à ce que la vie ne revienne pas à la "normale"
Dit "malheureusement" qu'il est "approprié" que les bars et les restaurants ferment au cours des "quatre à six prochains mois" pic.twitter.com/cmDD8pv3XR
- Tom Elliott (@tomselliott) 13 décembre 2020 Gates a déclaré que les «grands rassemblements publics» devraient rester interdits, la majorité de la plupart des bars, clubs et restaurants étant «malheureusement» fermés.
Gates a déclaré qu'il ne pouvait y avoir de retour à la «normale» qu'après 12 à 18 mois supplémentaires, et seulement «si nous le gérons bien».
Bill Gates veut détruire l'Amérique. https://t.co/FYOG7mOiqA
- SUPER-SPREADER Nick Searcy, INT’L FILM & TV STAR (@yesnicksearcy) 13 décembre 2020 À moins que Bill Gates ne veuille donner toute sa fortune à des personnes qui travaillent dans l'industrie des bars et de la restauration, son opinion ne vaut rien https://t.co/y7M6pS6VS5
- Ryan James Girdusky (@RyanGirdusky) 13 décembre 2020 Gates a également profité de l'occasion pour jeter un coup d'œil au président Trump, affirmant que son refus de concéder l'élection «complique» en quelque sorte la distribution des vaccins.
«La transition complique [les choses], mais la nouvelle administration est prête à s'appuyer sur des experts réels et à ne pas attaquer ces experts», a déclaré Gates, sans expliquer ce que les «experts» attaquent Trump ou comment le vaccin que le président a aidé à accélérer. , et est maintenant prêt à être déployé, est retenu.
Bill Gates n'est pas un médecin, pas même un médecin de Jill Biden.
- Cerno (@Cernovich) 13 décembre 2020 Gates avait précédemment déclaré que le monde ne reviendrait pas à la normale tant que "beaucoup de gens" ne prendraient pas un deuxième vaccin contre le coronavirus "super efficace" qui pourrait prendre des années.
En octobre, Gates prévoyait qu'un «meilleur scénario» pour un retour à la normale serait la fin de 2021, une date qui a été qualifiée avec la condition: «Nous ne savons toujours pas si ces vaccins réussiront.»
Le danger des masques est qu'ils s'humectent et contiennent des centaines de millions de microbes et virus (Nous respirons toutes & tous - avec ou sans masque - 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE et 2 millions en activité physique), c'est LA qu'est le danger ! car, en soufflant: ils partent 'tous ' (au lieu de s’éparpiller) en un nuage de milliards de microbes ou virus et, l'organisme ne peut répondre à des milliards !
(...) Regarder: Bill Gates dit que les verrouillages devraient se poursuivre jusqu'en 2022 (...)
Ce que l'on ne dit pas sur le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer. « Cobayes humains »?
F. William Engdahl Mondialisation.ca dim., 13 déc. 2020 13:25 UTC
Bill Gates finance et fait la promotion sans relâche de nouveaux vaccins non testés censés nous protéger contre une mort « horrible » due au nouveau coronavirus et nous permettre également de reprendre une vie « normale ». Le géant pharmaceutique Pfizer vient d'annoncer ce qu'il prétend être des résultats spectaculaires obtenus lors des premiers tests sur l'homme. Ils utilisent une technologie expérimentale connue sous le nom d'édition de gènes, plus précisément l'édition de gènes de l'ARNm, une technique jamais utilisée auparavant dans les vaccins.
Avant de nous précipiter pour nous faire vacciner dans l'espoir d'une certaine immunité, nous devrions en savoir plus sur cette nouvelle technologie expérimentale et son manque de précision.
Le monde de la finance est devenu très nerveux le 9 novembre lorsque le géant pharmaceutique Pfizer et son partenaire allemand BioNTech ont annoncé dans un communiqué de presse qu'ils avaient mis au point un vaccin pour Covid19 qui était efficace à « 90 %« .
Le controversé chef américain du NIAID, Tony Fauci s'est immédiatement réjoui de la nouvelle. En effet, l'UE a annoncé qu'elle avait acheté 300 millions de doses de ce nouveau vaccin particulièrement coûteux. Si l'on en croit les marchés financiers, la pandémie serait de l'histoire ancienne.
Événements suspects
Cependant, il semble qu'Albert Bourla, le PDG de Pfizer, ne soit pas convaincu de ses propres affirmations. Le jour où sa société a publié son communiqué de presse sur les tests de vaccins proposés, il a vendu 62 % de ses actions Pfizer, réalisant ainsi des millions de profits. Il a passé l'ordre de vendre dans le cadre d'une option spéciale en août afin que cela n'apparaisse pas comme une « vente d'initié ». De plus, il l'a également programmé juste après les élections aux États-Unis et au moment où les grands médias déclaraient, illégitimement, Joe Biden comme le président élu. Il semble que Bourla ait eu un conflit d'intérêt assez évident dans le choix du meilleur moment pour publier son communiqué de presse ce même jour.
Bourla a menti tout en niant à la presse que sa société avait reçu des fonds de l'administration Trump pour développer le vaccin au moment de la publication du contrat de livraison de 100 millions de doses au gouvernement étasunien en été. Aux actions suspectes de Pfizer est venu s'ajouter le fait que la société ait d'abord informé l'équipe de Joe Biden plutôt que les agences gouvernementales étasuniennes concernées.
Mais c'est loin d'être la seule chose inquiétante dans l'annonce très médiatisée de Pfize
Pfizer, célèbre pour son Viagra et d'autres médicaments, s'est associé à une petite entreprise de Mayence, en Allemagne, BioNTech, qui a mis au point la technique de l'ARNm radical utilisée pour produire le nouveau vaccin contre le coronavirus. BioNTech n'a été fondée qu'en 2008. BioNTech a signé un accord avec la Fondation Bill & Melinda Gates en septembre 2019, juste avant l'annonce à Wuhan, en Chine, du nouveau coronavirus et juste avant que BioNTech ne fasse son entrée en bourse. L'accord prévoyait une coopération pour le développement de nouvelles techniques d'ARNm pour le traitement du cancer et du VIH. Curieusement, ce communiqué de presse, « La Fondation Gates voit le potentiel de BioNTech pour « réduire considérablement le VIH et la tuberculose dans le monde » » le 5 septembre 2019, a été supprimé.
BioNTech a également conclu un accord avec l'un des plus grands producteurs de médicaments en Chine, Shanghai Fosun Pharmaceutical Co, Ltd (« Fosun Pharma »), pour développer une version de son vaccin à ARNm pour les nouveaux coronavirus pour le marché chinois. Ai-Min Hui, président de la R&D mondiale de Fosun Pharma, a déclaré dans un communiqué du mois d'août :
« Le dosage du premier sujet chinois avec le BNT162b1 marque une étape importante du programme de co-développement mondial en Chine. Nous travaillons en étroite collaboration avec BioNTech et les autorités réglementaires pour évaluer la sécurité et l'efficacité du BNT162b1 et d'autres candidats pour le vaccinARNm... ». Cela signifie que la même entreprise allemande de biotechnologie est à l'origine des vaccins contre la fièvre catarrhale du mouton qui sont distribués à toute vitesse en Chine, aux États-Unis et dans l'Union européenne. Le vaccin est soumis à une procédure d'approbation rapide dans un délai alarmant.
Les autorités étasuniennes et européennes, et sans doute aussi chinoises, ont renoncé aux tests standard sur les animaux en utilisant des furets ou des souris et sont passées directement aux « cobayes » humains . Les tests sur l'homme ont commencé à la fin juillet et au début août. Trois mois, c'est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années sont la norme pour créer un nouveau vaccin. En raison du degré de panique mondial engendré par l'OMS au sujet du coronavirus, la prudence est de mise. Les fabricants de vaccins ont tous droit à une indemnité légale, ce qui signifie qu'ils ne peuvent pas être poursuivis si des personnes meurent ou sont handicapées à cause du nouveau vaccin. Mais le fait le plus alarmant concernant le nouveau vaccin Pfizer-BioNTech est que l'ARNm modifié par le gène pour l'application de vaccins humains n'avait jamais été approuvé dans le passé. Notamment, des tests de deux ans, revus par des pairs, effectués sur des souris nourries avec du maïs génétiquement modifié pulvérisé avec du Roundup riche en glyphosate de Monsanto, ont d'abord montré des tumeurs cancéreuses après neuf mois ainsi que des lésions du foie et d'autres organes. Les premiers tests de la société Monsanto ont pris fin au bout de trois mois et n'ont révélé aucun dommage. Une situation similaire existe avec les vaccins à ARNm modifiés par des gènes, qui sont distribués à la hâte après moins de 90 jours de tests sur l'homme.
Le Dr Michael Yeadon a répondu dans un récent commentaire public sur les médias sociaux à un collègue du Royaume-Uni : « Tous les vaccins contre le virus du SRAS-COV-2 sont par définition nouveaux. Aucun candidat vaccin n'a été... en développement depuis plus de quelques mois ». M. Yeadon a ensuite poursuivi en déclarant « Si l'utilisation d'un tel vaccin est approuvée dans des circonstances qui ne sont pas EXPLICITEMENT expérimentales, je pense que les bénéficiaires sont induits en erreur dans une mesure criminelle. En effet, il n'y a précisément aucun volontaire humain pour lequel il pourrait y avoir plus de quelques mois d'informations sur la sécurité de la dose administrée ».
Yeadon est bien qualifié pour en faire la critique. Comme il le note dans le commentaire, « J'ai un diplôme en biochimie et toxicologie et un doctorat en pharmacologie basé sur la recherche. J'ai passé 32 ans à travailler dans la R&D pharmaceutique, principalement dans le domaine des nouveaux médicaments pour les maladies des poumons et de la peau. J'ai été vice-président chez Pfizer & CEO.... d'une entreprise de biotechnologie que j'ai fondée (Ziarco - rachetée par Novartis). J'ai des connaissances en matière de R&D de nouveaux médicaments ». Il était auparavant chez Pfizer à un niveau très élevé.
Des cobayes humains ? Le vaccin Pfizer-BioNTech est expérimental et loin d'être garanti comme étant sans danger, bien que Pfizer, l'UE et le célèbre Dr Tony Fauci semblent prêts à le lancer avant même la fin de l'année auprès de centaines de millions d'humains.
La technologie expérimentale est basée sur une manipulation génétique plutôt nouvelle, connue sous le nom d'édition génétique. Dans un article important du magazine Foreign Affairs du New York Council on Foreign Relations de 2018, Bill Gates a fait la promotion de la nouvelle technologie d'édition de gènes CRISPR comme étant capable de « transformer le développement mondial [global development] ». Il a indiqué que la Fondation Gates finançait depuis une décennie les développements de l'édition génétique pour les vaccins et d'autres applications.
Mais la technologie permettant de briser et de réparer les gènes humains est-elle vraiment sécuritaire ? Faut-il vraiment prendre des risques en donnant un nouveau vaccin expérimental jamais utilisé auparavant sur des humains ? Contrairement à ce que prétend Bill Gates, la réponse scientifique est non, il n'est pas prouvé qu'elle soit aussi sécuritaire.
Dans un article révisé par des experts dans la revue Trends in Genetics d'octobre 2020, les auteurs concluent que « la gamme des événements moléculaires possibles résultant de l'édition du génome a été sous-estimée et la technologie reste imprévisible sur le locus cible et loin de celui-ci ».
Le Dr Romeo Quijano, professeur retraité de pharmacologie et de toxicologie à la faculté de médecine de l'université des Philippines à Manille, a noté certains des dangers de l'édition expérimentale des gènes lorsqu'elle est appliquée aux vaccins humains. Quijano nous met en garde contre, « le danger que le vaccin puisse en fait « renforcer » la pathogénicité du virus, ou le rendre plus agressif, peut-être en raison d'un renforcement dépendant des anticorps (ADE), comme cela s'est produit lors d'études antérieures sur les vaccins testés sur les animaux. Si cela devait se produire dans un essai majeur sur l'homme, le résultat pourrait être désastreux. Cet effet indésirable grave pourrait même ne pas être détecté par un essai clinique, en particulier dans le cas d'essais cliniques très biaisés et chargés de conflits d'intérêts impliquant des sociétés de vaccins. Même lorsqu'un effet indésirable grave est détecté, il est généralement balayé sous le tapis ». Il cite le cas d'un autre candidat vaccin ARNm de Gates, Moderna, où « trois des 15 sujets humains expérimentaux du groupe à forte dose ont souffert de symptômes graves et médicalement significatifs. Moderna a cependant conclu que le vaccin était « généralement sûr et bien toléré », ce dont les médias dominés par les entreprises ont consciencieusement rendu compte, dissimulant ainsi le réel danger... ».
Il note, « L'ARNm exogène est intrinsèquement immunostimulateur, et cette caractéristique de l'ARNm pourrait être bénéfique ou nuisible. Il peut fournir une activité adjuvante et peut inhiber l'expression d'antigènes et affecter négativement la réponse immunitaire. Les effets paradoxaux de la détection immunitaire innée sur les différents formats de vaccins à ARNm sont incomplètement compris ». Quijano ajoute : « Un vaccin à base d'ARNm pourrait également induire de puissantes réponses à l'interféron de type I, qui ont été associées non seulement à l'inflammation mais aussi potentiellement à l'auto-immunité... et pourrait favoriser la coagulation sanguine et la formation de thromboses pathologiques ».
Quijano écrit dans l'article très documenté,
« Parmi les autres dangers, les vaccins à virus pourraient subir une recombinaison avec des virus naturels et produire des virus hybrides qui pourraient avoir des propriétés indésirables affectant la transmission ou la virulence. Les résultats possibles de la recombinaison sont pratiquement impossibles à quantifier avec précision compte tenu des outils et des connaissances existants. Les risques sont cependant réels, comme le montrent l'émergence de types de virus mutants, la pathogénicité accrue et les effets indésirables graves et inattendus (y compris des décès) à la suite de campagnes de vaccination de masse aléatoires et de tentatives antérieures infructueuses de mise au point de vaccins chimériques à l'aide de la technologie du génie génétique« .
Bill Gates, les fabricants de vaccins à ARNm, dont Pfizer/BioNTech et Moderna, et leurs proches alliés tels que le Dr Tony Fauci du NIAID, jouent clairement avec les vies humaines dans leur course à l'introduction de ces vaccins expérimentaux dans notre corps. Notamment, le même Dr Fauci et son NIAID détient le brevet d'un vaccin contre la dengue appelé Dengvaxia, commercialisé par Sanofi-Pasteur et promu comme un vaccin « essentiel » par l'OMS de Tedros depuis 2016. Robert F. Kennedy Jr a noté que Fauci et le NIAID « savaient, grâce aux essais cliniques, qu'il y avait un problème de réponse immunitaire paradoxale », mais qu'ils l'ont quand même administré à plusieurs centaines de milliers d'enfants philippins. On estime que jusqu'à 600 enfants vaccinés sont morts avant que le gouvernement n'arrête les vaccinations.
Il est clair que le principe de précaution bien établi - en cas de doute sérieux, ne pas le faire - est ignoré par Fauci, Pfizer/BioNTech et d'autres en se précipitant pour approuver le nouveau vaccin à ARNm contre le coronavirus. La technologie de l'ARN messager n'a pas encore produit de médicament approuvé, et encore moins de vaccin.
Après les propos de Macron, près de 180 policiers prêts à démissionner dans l'Isère
08:12 14.12.2020 Par Nikita Martynov
Plus d’une semaine après les propos d'Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès et les violences policières, les forces de l’ordre ne décolèrent pas. 180 agents dans l’Isère veulent quitter leurs fonctions, indique franceinfo. Selon un délégué départemental SGP Unité Police, les policiers veulent «des lois, des règlements qui protègent le flic».
Après les mots d’Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès et les violences policières, 180 policiers ont déposé une demande de rupture conventionnelle, dont 130 à Grenoble, s’estimant «lâchés» par le Président, rapporte le 13 décembre franceinfo.
«180 policiers en Isère, 130 à Grenoble. Comment va-t-on faire pour assurer la sécurité de tout un chacun?» s’interroge auprès du média Yannick Biancheri, secrétaire départemental du syndicat Alliance Police Isère, qui indique que le département manque déjà de 138 policiers. Interrogé par franceinfo, Brice Gajean, délégué départemental SGP Unité Police, demande la concrétisation des promesses pour garantir la protection des policiers.
«On en a marre des dialogues, on en a marre qu’on nous parle. On veut des gestes, on veut des actions, on veut des lois, des règlements qui protègent le flic. Le flic lorsqu’il se lève le matin il ne sait pas ce qui va lui arriver», explique-t-il. Yannick Biancheri se prononce pour «une peine minimale pour toute agression de policier».
«Une fois que le Président aura protégé la police, on pourra faire des Beauvau, faire des réunions pour voir plus grand, mais la principale préoccupation de mes collègues c’est ça: travailler dans une protection totale», précise-t-il.
Des propos qui indignent
Lors d’une interview accordée le 4 décembre au média en ligne Brut, Emmanuel Macron a évoqué les contrôles au faciès et les violences policières. Il a notamment jugé «insoutenable» que les contrôles policiers ciblent davantage les jeunes dont la peau «n’est pas blanche».
Il avait ainsi promis de créer une plateforme de signalement des discriminations lors des contrôles de police - qui sera gérée par l'État, le défenseur des droits et des associations. Selon lui, cette plateforme aura pour objectif de «dénoncer ces faits de manière très simple, unique et nationale».
Ces paroles ont provoqué des actions de protestations de policiers un peu partout dans l'Hexagone. À Nîmes, des agents ont notamment distribué des bonbons et n'ont pas verbalisé ceux qui ne présentaient pas de dérogation valide. Des policiers ont par ailleurs contrôlé chaque véhicule sur la nationale vers Villeparisis, en Seine-et-Marne.
En réaction, Emmanuel Macron a annoncé le 8 décembre la tenue d’un «Beauvau de la sécurité» sur une réforme de la police à partir de janvier. Des représentants des forces de l’ordre, élus et citoyens doivent y participer. Le but: «améliorer les conditions d’exercice» et «consolider» les liens avec les Français.
Marlène Schiappa assure que la France ne renoncera pas «aux plans à trois» - vidéo
13:36 14.12.2020 Par Maria Balareva
En renforçant les mesures contre la polygamie, interdite depuis une trentaine d’années dans l’Hexagone, le gouvernement ne projette pas de renoncer aux pratiques liées à «la liberté sexuelle et amoureuse» et donc aux «plans à trois», a assuré, au micro de Radio J, Marlène Schiappa.
Avec le durcissement des mesures contre la polygamie en France, impliquant le retrait des titres de séjour aux personnes polygames, le pays ne renoncera pas au «libertinage», a fait savoir sur Radio J la ministre déléguée à la Citoyenneté Marlène Schiappa.
La femme politique affirme avoir été souvent questionnée pour savoir si le gouvernement allait interdire l’infidélité ou les «plans à trois» dans le cadre du renforcement de l’arsenal législatif contrôlant la polygamie:
«Je vais rassurer tout le monde, on ne va pas interdire les plans à trois, on ne va pas interdire l’infidélité, on ne va pas interdire le polyamour», a tenu à souligner la ministre.
La France, «pays du libertinage»
«Il y a une liberté amoureuse, une liberté sentimentale, une liberté sexuelle, la France pays du libertinage, etc. Mais la polygamie c’est autre chose», a poursuivi la ministre.
Et d’expliquer:
«Parce qu’on contracte un mariage, on a le droit à un certain nombre de droits de la famille, héritage, filiation […]. La situation de polygamie appauvrit les droits de nombreuses femmes qui parfois ne sont même pas au courant qu’elles sont en situation illégale».
Une loi interdisant la polygamie
À noter que la polygamie est déjà interdite en France, selon l’article 147 du Code civil, alors que la loi Pasqua d’août 1993 interdit la délivrance de cartes de résidence de dix ans pour les étrangers en situation de polygamie. Ils ne peuvent pas non plus bénéficier du regroupement familial.
Malgré ces restrictions, certaines personnes réussissent à contourner la loi en se mariant à l’étranger.
Le 9 décembre, Marlène Schiappa a expliqué que, souhaitant «protéger les droits des femmes en matière de polygamie», le gouvernement français ne donnera pas de titres de séjour aux individus qui sont polygames.
Ceci s’inscrit dans le cadre d’un futur projet de loi conçu par Mme Schiappa avec M.Darmanin contre le «séparatisme religieux».
Les grenouilles jugées «trop bruyantes» par les voisins, un couple condamné à vider leur mare
09:45 14.12.2020 Par Anna Borissova
Depuis neuf ans, deux couples de voisins de la commune de Grignols, en Dordogne, sont en conflit. Une mare abritant des grenouilles jugées trop bruyantes, qui empêchent les plaignants de dormir, est en cause. Les propriétaires du plan d’eau sont ainsi contraints de le combler sur décision du juge de l’exécution.
Un couple doit vider sa mare dans la commune de Grignols en Dordogne après une injonction de la justice, car les grenouilles du plan d’eau sont jugées trop bruyantes par les voisins, rapporte Franceinfo.
Selon le média, ces époux sont en conflit depuis neuf ans avec un couple de voisins concernant cette mare de 300 mètres carrés dans laquelle des grenouilles coassent une partie de la nuit.
Les voisins estiment que le bruit causé par les amphibiens les empêche de dormir. Après des années de procédure, la cour d’appel de Bordeaux a tranché en 2019 contre les batraciens, malgré le statut protégé des grenouilles.
En outre, le 3 décembre, le juge de l’exécution a imposé aux propriétaires de la mare de la combler d’ici 90 jours.
Un «dernier espoir»
«Je vide tout et dès que la mare est sèche, on appellera Cistude [une association de protection de la nature, ndlr], pour essayer de récupérer les amphibiens que la loi protège», a dit le propriétaire du plan d’eau en cause, cité par Franceinfo.
D’après le média, l’astreinte financière et les frais de justice ont dépassé les 10.000 euros pour le couple. Pourtant, cette famille attend la décision de la Cour de cassation qui a été saisie et doit rendre sa décision sur cette affaire fin janvier
Après l'interdiction d'emprunter une route (pour x mois !) afin que des grenouilles puissent la traverser sans dommage et copuler de l'autre côté, voici qu'arrive une loi interdisant aux animaux d'être bruyants (ils ne respectent pas le confinement !! et ne portent pas de masque !!). Histoires de poulaillers remises au devant de la scène par certaine personnes achetant une maison à la campagne et qui se plaignent ensuite des odeurs et des bruits de bétails !!! (alors qu'en ville près de voisins bronzés çà s'appelle du racisme ! Hahahaha !) A quand la suppression des cigales ?
Les votes des collèges électoraux aujourd'hui, voici à quoi s'attendre
PAR TYLER DURDEN LUNDI 14 DÉC.2020 - 7:37
Lundi, les membres du Collège électoral se réuniront tout au long de la journée dans leurs États respectifs pour voter officiellement à la présidence. La plupart des États proposeront des retransmissions en direct pour regarder les débats, qui auront lieu dans des lieux choisis par les législatures des États - généralement la capitale de l'État. Les exceptions incluent le Delaware - dont les électeurs se réuniront dans un gymnase, et le Nevada - qui sera le seul État à tenir sa réunion pratiquement cette année, selon le New York Times.
Les électeurs utiliseront des bulletins de vote papier pour voter pour le président et le vice-président.
Et tandis que 33 États exigent que leurs électeurs choisissent celui qui a remporté le vote populaire de l'État, 17 autres États ne «lient» pas leurs électeurs - qui peuvent voter pour qui ils choisissent. S'ils votent pour un autre candidat que celui qui a remporté l'État, ils sont considérés comme des «électeurs infidèles». En 2016, deux électeurs infidèles n'ont pas voté pour Trump, tandis que cinq électeurs infidèles n'ont pas voté pour Hillary Clinton. Les sept électeurs venaient d'Hawaï, du Texas et de l'État de Washington.
Les électeurs ont généralement une relation étroite avec les candidats ou les politiciens de leur État. Par exemple, en 2016, l'activiste démocrate Ed Buck - un donateur politique aux poches profondes depuis inculpé de trois chefs d'accusation après que plusieurs hommes noirs drogués ont été retrouvés morts dans son appartement - a été sélectionné pour le collège électoral, probablement par le représentant Adam Schiff (D -CA), membre du Congrès de son district qui a accepté les dons politiques du groupeur accusé.
Que se passe-t-il après la rencontre des électeurs ?
Les votes sont officiellement comptés au Congrès lors d'une session conjointe tenue dans la chambre de la Chambre le 6 janvier, avec le vice-président Mike Pence présidant l'affaire. Pence ouvrira les certificats, classés par ordre alphabétique par état, et les présentera à quatre «scrutateurs» - deux du Sénat et deux de la Chambre, qui comptent les votes. Une fois que Joe Biden aura reçu au moins 270 votes, comme cela devrait être le cas, Pence annoncera le résultat. La session ne peut pas se terminer tant que le décompte n'est pas terminé et déclaré publiquement, moment auquel l'élection est officiellement décidée.
Les membres du Congrès peuvent-ils bloquer le processus ?
Une fois le résultat lu le 6 janvier, les membres du Congrès auront une occasion de déposer des plaintes, qui devront être faites par écrit et signées par au moins un sénateur et un membre de la Chambre. L'objection serait ensuite débattue par chaque chambre séparément, chaque membre du Congrès étant autorisé à s'exprimer pendant cinq minutes. Le débat s'arrête dur après deux heures, après quoi chaque organe votera sur l'opportunité de rejeter les résultats de l'État, selon le Times.
Le Times note également que certains alliés de Trump «prévoient déjà des objections», ce qui devrait «constituer un bon théâtre politique», mais il est peu probable que cela change le résultat des élections.
Cela met-il fin au combat de Trump et de ses alliés pour contester les élections ?
Selon les avocats de la campagne Trump Rudy Giuliani et Jenna Ellis, «Le seul jour fixe dans la Constitution américaine est l'investiture du président le 20 janvier à midi», suggérant qu'ils épuiseront toutes les options légales pour annuler les résultats sur la base d'accusations de fraude dans plusieurs États clés.
Cela dit, Ellis avait précédemment appelé le 6 janvier, jour du dépouillement, une date «d'importance ultime».
Cela dit, le mois dernier, Trump a déclaré aux journalistes que si Biden était élu par le collège électoral, Trump quitterait ses fonctions.
"Certainement je le ferai, et vous le savez", a-t-il dit, ajoutant "Je le ferai et, vous le savez," bien qu'il ait également dit "Ce sera une chose très difficile à concéder parce que nous savons qu'il y a eu une fraude massive."
L'ingérence étrangère à la pelle: y a-t-il un endroit où la Chine n'a pas de membres du Parti PCC?
December 14th, 2020
Est-ce que deux millions de communistes suffisent ?
Aujourd'hui, l'Australien a annoncé qu'un énorme dossier avait été divulgué de l'intérieur de la Chine, contenant 2 millions de noms et de détails de membres du Parti communiste. Ce ne sont pas nécessairement des espions, juste des espions potentiels qui ont des questions à répondre. Les gens s’inscrivent au PCC juste pour améliorer leurs perspectives en Chine, mais tous les membres du PCC doivent aussi prêter serment qui place les intérêts du parti au-dessus de tout et «être prêts à tout moment à tout sacrifier pour le parti». C’est un engagement avec un conflit d’intérêts qui fait de leur propre entreprise ou pays leur deuxième priorité. Pourquoi le permettons-nous? Voir aussi Sky News.
Les entreprises ayant une influence CCP comprennent des banquiers comme ANZ, Citibank et HSBC, ainsi que Boeing, Pfizer et AstraZeneca. Les vaccins Covid seront fabriqués par des entreprises comptant des membres du PCC, quelque part. Les entreprises partagent peut-être plus d'informations avec Pékin que ce à quoi elles s'attendaient.
En parlant d'ingérence étrangère, il semblerait que le décret 13848 soit en cours Les indices se renforcent.
Maria Bartiromo a interviewé le général Michael Flynn, qui mentionne que John Ratcliffe - le DNI - directeur du renseignement national - fera son rapport vendredi. Si le décret de 2018 - qui a été conçu pour faire face à l'ingérence étrangère dans les élections américaines - a été activé, alors le DNI est un acteur clé qui doit faire rapport dans les 45 jours, c'est-à-dire d'ici vendredi. Flynn ajoute que si les preuves sont là, l'une des choses qu'il recommanderait est que «Donald Trump doit déclencher le décret 13848 et nommer un avocat spécial». C'est potentiellement beaucoup plus puissant que cela.
Flynn mentionne également que Donald Trump a plusieurs chemins vers la victoire, expliquant que Sidney Powell a quatre poursuites en cours devant la Cour suprême. La preuve de l'ingérence étrangère se trouve sur DefendingTheRepublic.org.
Des votes électroniques ont été inversés au Michigan, selon un enquêteur médico-légal À l’époque, Flynn n’était pas sûr que l’enquête sur la machine à voter du comté d’Antrim, dans le Michigan, ait trouvé des preuves de basculement des votes par ordinateur. Mais en effet, c'est le cas - Michigan Vote Flip s'est produit en raison d'un programme informatique et non d'une erreur humaine. Les machines à voter du Dominion nous ont dit que c'était une «erreur de l'utilisateur» lorsque des milliers de votes sont allés à Joe Biden au lieu de Donald Trump. Mais l'audit médico-légal suggère qu'il s'agissait d'un retournement d'ordinateur délibéré. Dans combien de comtés cela s'est-il produit et n'importe quel tribunal peut-il prétendre que cela n'a pas d'importance ?
Le marais judiciaire: En parlant de tribunaux, une personne appelant à une émission de radio dit qu'elle est greffière à la Justice sur SCOTUS. Il a décrit la colère et l'intimidation: «aujourd'hui ne ressemblait à rien de ce que nous ayons jamais vu». Il y avait apparemment beaucoup de cris à huis clos alors que SCOTUS considérait le costume du Texas. Le juge en chef Roberts criait: «Allez-vous être responsable des émeutes si nous entendons cette affaire?»
S'il s'agit d'un rapport précis, SCOTUS avait peur de faire l'affaire car les amis de l'accusé pourraient piller, piller et brûler. Roberts a apparemment crié: "Je vais vous dire comment vous voterez."
Le juge Clarence Thomas dit: «C'est la fin de la démocratie, John.»
Les intimidateurs ont peut-être gagné ce tour.
Le marais d'Intel Flynn parle également de l'échec de la culture du renseignement américain sous l'administration Obama. Alors que le contre-espionnage était concentré sur Donald Trump et Flynn, ils ont raté les menaces réelles, de Swalwell et des Bidens. «C'est dangereux, nous jouons avec le feu en ce moment.»
Eric Swalwell a poussé le canular de RussiaGate, mais tout au long de son association avec un espion chinois:
Un agent chinois connu sous le nom de Fang Fang, ou Christine Fang,… »a développé une relation avec le canular russe Swalwell, qui a commencé à siéger au Comité permanent de sélection permanent de la Chambre des États-Unis sur le renseignement et en tant que membre de rang de son sous-comité de la Central Intelligence Agency en 2015. Rapports d'un agent politique et d'un responsable du renseignement indiquent que Fang a levé des millions pour la réélection de Swalwell en 2014 et a aidé à placer au moins un stagiaire dans son bureau de Washington, DC. - Le fédéraliste.
Pourquoi je suis devenu climato-sceptique … parce que j’ai résonné comme un enfant de huit ans !
le 14 décembre 2020
Par déformation professionnelle puisque j’ai consacré ma carrière à la recherche scientifique en biologie j’ai toujours douté des résultats de mes propres travaux parfois tellement sophistiqués qu’il était pratiquement impossible de les reproduire. Et pour que mes lecteurs comprennent vraiment ce que cela signifie, quand on a réussi à publier ses propres travaux dans une grande revue scientifique à comité de lecture (et je peux vous affirmer que ces « re-lecteurs » anonymes ne sont pas tendres) alors on n’a qu’une seule mais immense appréhension : être contredit par une autre équipe de scientifiques à l’autre bout du monde. Pour parer à cette éventualité destructrice on se met spontanément en position de douter de ses propres travaux et on tente d’atteindre la perfection qui ne peut malheureusement jamais être atteinte à moins d’attendre une nouvelle vie avec de nouvelles techniques d’investigation.
Comment donc un chimiste de formation ayant bifurqué au hasard des cours délivrés à l’université vers la biologie, plus précisément l’enzymologie, peut-il oser s’intéresser au climat, la science, par excellence, du chaos. En effet, si on voulait mettre en équations l’évolution du climat jour après jour, année après année, siècle après siècle, aucune mathématicien n’y arriverait et le plus puissant ordinateur au monde n’y arriverait pas non plus. Le nombre de variables physiques interagissant les unes avec les autres et ayant une influence sur le climat et son évolution est tel qu’il est impossible de tenter la moindre prédiction. Tous les modèles prédictifs de l’IPCC et de l’OMS sont faux.
Je reviens à ma spécialité de recherche passée pour illustrer mon propos. J’avais entrepris avec quelques collègues d’écrire des équations très simplifiées décrivant ce que l’on appelle la glycolyse, le processus d’oxydation du glucose pour arriver finalement à l’acétate qui va ensuite être pris en charge par la cellule vivante pour d’autres voies métaboliques. Tous les enzymes impliqués dans ce processus sont soumis à des signaux régulateurs et il y a tellement de paramètres à prendre en considération qu’il est impossible de simuler cette toute petite chaîne métabolique pourtant la plus fondamentale pour la cellule vivante. Pour le climat il en est de même, tenter une simulation est voué à l’échec.
En tant qu’ancien scientifique devenu écrivain sur mon blog, quand j’ai donc commencé à m’intéresser au climat et à tout ce que l’on racontait à ce sujet, j’ai très rapidement compris que tous les discours ne faisaient jamais mention d’observations simples que n’importe quel enfant de huit ans, l’âge de mon plus jeune petit-fils, peut constater par lui-même. Quand je pose mon verre de lait sorti du réfrigérateur le matin pour le boire avec mon café bien chaud, je pose la tasse de café sur ma table en bois ainsi que le verre de lait. Je constate, et n’importe quel enfant de 8 ans peut le constater aussi, que le verre de lait froid « refroidit » la table et que la tasse de café chaud « réchauffe » la table. Faisons une « expérience de pensée » comme le fit Galilée pour concevoir uniquement par la pensée que tous les corps tombent à la même vitesse dans le vide bien que je n’oserais pas me prendre pour Galilée qui fut l’un des plus grands savants de tous les temps. Un enfant de 8 ans comme mon petit-fils pourrait me dire par exemple que la table a cédé de la chaleur au verre de lait, la chaleur que cette table possédait en elle avant que je pose sur elle le verre de lait froid, et que par conséquent elle s’est refroidie. C’est la bonne réponse, elle est parfaitement exacte.
Pour la tasse de café mon petit-fils me dira qu’elle a cédé de la chaleur à la table puisque la table se trouve à la température ambiante et donc plus froide que la tasse de café. Cette fois-ci le processus est donc inverse de celui du verre de lait froid, et mon petit-fils a encore raison. Si on n’est pas assez curieux ou si on refuse de pousser le raisonnement plus loin alors on conclura que le corps chaud réchauffe le corps froid et que le corps froid refroidit le corps chaud. Point final, c’est logique, une logique que comprendra mon petit-fils si je lui demande de réfléchir un peu. Mes chers lecteurs septuagénaires comme votre serviteur, faites l’expérience avec vos petits-enfants vous serez étonné par leur logique.
Maintenant pour un esprit un peu plus curieux poursuivant l’expérience de pensée, celle qui m’a justement conduit à devenir climato-sceptique, si la table a cédé de la chaleur, par contact (transfert de chaleur massique) ou par rayonnement infra-rouge peu importe, au verre de lait, pourquoi cette même table, bien qu’ayant été réchauffée par la tasse de café, n’a-t-elle pas pu céder aussi de la chaleur à la tasse de café chaud puisqu’elle l’a fait pour le verre de lait froid ? Je répondrai modestement à mon petit-fils que « c’est interdit par la loi ». Combien d’adultes se sont lassés lorsqu’ils étaient assaillis de « pourquoi » par leurs enfants ! Avec le verre de lait froid et la tasse de café chaud mon petit-fils a compris intuitivement que la chaleur passe toujours du corps chaud vers le corps froid et non l’inverse, ce qui est décrit par le deuxième principe de la thermodynamique.
Alors comme je suis observateur et que j’habite dans une ville qui s’étale entre le bord de mer et des montagnes à plus de 600 mètres d’altitude j’ai toujours remarqué qu’il fait toujours plus froid à 600 mètres qu’au niveau de la mer. Même mon petit-fils le constaterait mais il ne trouverait aucune explication. C’est précisément sur ce point que toute la théorie de l’effet de serre de n’importe quel gaz que contient l’atmosphère s’effondre. Comment les lois de la physique peuvent-elles expliquer que l’air à 600 mètres d’altitude, à une température, été comme hiver, soit d’environ 6 degrés plus froide qu’au niveau de la mer et puisse d’une manière ou d’une autre être capable de réchauffer l’air se trouvant au niveau de la mer qui est précisément plus chaude ?
Revenons à la table, à la tasse de café chaud et au verre de lait froid ! Les systèmes table + tasse de café chaud ou verre de lait + table ne sont pas des systèmes réversibles. C’est ce qu’a pour la première fois formulé le physicien français Sadi Carnot en 1824. La tasse de café a cédé de la chaleur acquise par la résistance électrique dans ma machine à café et cette chaleur a été cédée irréversiblement à la table. Dans le cas du verre de lait froid et de la table « refroidie » par ce dernier il a fallu l’intervention du compresseur du réfrigérateur pour « enlever » de la chaleur au lait et le rendre plus froid que la table sur laquelle il était posé. C’est exactement la définition du deuxième principe de la thermodynamique mentionné ci-dessus et découvert intuitivement par mon petit-fils que les joyeux fonctionnaires de l’IPCC, à Genève, entre deux verres de Chasselas du Valais, ont foulé aux pieds : les hautes couches de l’atmosphère ne peuvent pas réchauffer les basses couches de cette même atmosphère. Qu’ils continuent à boire du vin du Valais, grassement rétribués par les contribuables de la planète entière, ils ne pourront jamais modifier les lois fondamentales de la thermodynamique comme ils ont tenté de le faire en imaginant une sorte de mouvement perpétuel qu’ils ont appelé pompeusement « forcing rétro-radiatif » pour bien embrouiller les esprits déjà passablement dérangés des politiciens. C’est ainsi que je suis devenu climato-sceptique et que je n’ai jamais cessé d’émettre de sérieux doutes sur l’échafaudage fallacieux de la théorie de l’effet de serre et par voie de conséquence du réchauffement du climat d’origine humaine.
Cette théorie anti-scientifique de l’effet de serre repose enfin sur une lacune grossièrement mise sous le tapis par ces mêmes experts de l’IPCC : le gradient adiabatique auquel est soumis l’atmosphère en raison de la gravitation (lapse rate en anglais). Pour que mon petit-fils comprenne ce que signifie physiquement ce « lapse rate » il faudrait qu’il puisse gonfler les pneus de son vélo avec une pompe ancien modèle, un tube d’aluminium dans lequel on fait plonger un piston qui propulse l’air dans la chambre à air du pneu. En gonflant le pneu de son vélo mon petit-fils me demandera tout de suite pourquoi le tube de la pompe chauffe. Sans le savoir il aura redécouvert la loi de Mariotte ! L’équation décrivant la loi de Mariotte est la suivante : PV = RT, où P est la pression du gaz, dans le cas présent l’air, V le volume considéré, T la température de l’air et R une constante dite constante des gaz. Elle peut s’écrire aussi : PV/P’V’ = T/T’ .
En appuyant sur le piston de sa pompe à vélo mon petit-fils réduit le volume d’air V initialement à la température T et à la pression atmosphérique P en augmentant la pression à la valeur P’ et à un volume réduit V’. Inévitablement la température augmente et devient égale à T’. Magique dirait mon petit-fils. Pas tant que ça car l’effort musculaire appliqué au piston de la pompe s’est transformé en chaleur. Dans le cas de l’atmosphère c’est la gravitation terrestre s’appliquant sur la colonne d’air qui créé le gradient de pression et de densité et ce gradient est ressenti en constatant que l’air à 600 mètres d’altitude se trouve à une température de près de 6 degrés plus basse qu’au niveau de la mer. Les fameux experts de l’IPCC ont soigneusement dissimulé cette évidence sinon ils n’auraient jamais pu échafauder leur hypothèse de l’effet de serre … Un enfant de huit ans peut le comprendre !
Toutes chaleurs montent et disparaissent de la surface de la Terre depuis 'la nuit d'étangs'. C'est aussi pourquoi le café chaud refroidit tandis que le verre de lait atteindra un peu plus tard la température de la pièce. Mais là je voudrais expliquer un principe de production de chaleur grâce à une lumière froide ! J'ai une serre. Cette serre n'est pas de verre mais montée de plastique (200 µ). Ce plastique reçoit en hiver la lumière du soleil (parfois il gèle dehors et pas dans la serre !), cette lumière froide se transforme en chaleur dans la serre grâce au plastique ! Notons que 'j'ai inventé' (houlala !) la serre doublée (serre gigogne ou poupée russe). 2 plastiques (200 µ) sont séparés de 10 cm env. Cet espace d'air (comme pour les briques creuses en terre cuite ou parpaings alvéolés en ciment) empêche le froid de rentrer et d'y geler les bananiers '(avec régimes). Je précise qu'il s'agit d'une serre froide et non chauffée). Le sol réchauffé joue aussi son pouvoir de maintien. Il faut donc que la serre ait un minimum de 6 m d'un plastique à l'autre. Intérieurement, la serre est arrosée, ce qui produit de la buée aux plastiques intérieurs mais pas au plastique extérieur car, la condensation sur le support produirait de la glace et transférerait une partie du froid extérieur ! Il s'agit donc là d'un 'effet de serre'. C'est la présence de gaz (autour de la Terre) qui réchauffe car, à 10 000 m ou à 10 000 km (en direction du soleil)... l'air est froid et même glacial ! D'où 'l'effet plastique' entourant notre planète.
(Notons que le gaz carbonique - le plus lourd de tous les gaz - ne se trouve pas en altitude mais au ras du sol. D'où l'idiotie que le gaz carbonique puisse jouer 'Les fées de serre' !).
"Une tempête hivernale majeure" en bonne voie pour toucher le centre de l'Atlantique et le nord-est cette semaine
PAR TYLER DURDEN LUNDI 14 DÉC 2020-11: 25
Pour des villes comme Washington, DC, Baltimore, Philadelphie et New York, une "tempête hivernale majeure" de mercredi à jeudi risque de provoquer des pannes de courant généralisées et de perturber les déplacements le long du corridor de l'Interstate 95, selon le National Weather Service (NWS ).
La première tempête de neige importante de la saison pourrait se transformer en un «nor'easter» le long de la côte est, alors que les pertes économiques augmentent à la suite de la fermeture de restaurants et d'autres entreprises de services, alors que le pays est aux prises avec une augmentation des cas de coronavirus, des hospitalisations et des décès.
"De fortes chutes de neige sont attendues à l'ouest et au nord du couloir 1-95, et près des régions métropolitaines de Washington DC, Philadelphie, New York et Boston. Parallèlement, la pluie verglaçante et les accumulations de glace sont de plus en plus préoccupantes dans certaines parties du nord-ouest du nord. Caroline et le sud-ouest de la Virginie », a déclaré NWS.
«Nous serons en mesure de partager des informations plus spécifiques sur le total de neige demain en surveillant le système de tempête prévu en milieu de semaine. Pour l'instant, voici la probabilité de 6 pouces ou plus de neige pour le système, selon le mélange national de modèles du NWS. Les meilleures chances de fortes chutes de neige restent à l'est ", a tweeté NWS.
- voir carte sur site -
Nous avons d'abord décrit le potentiel de la tempête hivernale vendredi dernier, car elle «pourrait avoir un impact considérable sur les restaurants qui luttent pour survivre avec des repas en plein air».
Le stock de SolarWinds coule après un piratage gouvernemental massif
PAR TYLER DURDEN LUNDI 14 DÉC.2020-9: 36
Les actions du fournisseur d'infrastructure informatique basé au Texas, SolarWinds, ont chuté de plus de 15% lundi matin, après que des pirates informatiques sponsorisés par l'État travaillant pour la Russie aient ciblé le Trésor américain, la National Telecommunications and Information Administration (NTIA) du département du Commerce et d'autres agences gouvernementales dans une campagne de cyberespionnage à grande échelle. .
- voir graphique sur site -
Selon des sources anonymes dans le Washington Post, le piratage a été mené par "Cozy Bear'', ou APT29, un groupe russe qui aurait violé la société de cybersécurité FireEye plusieurs jours auparavant - s'enfuyant avec les outils de test de pénétration de la société "Red Team".
«Le compromis des produits de gestion de réseau Orion de SolarWinds présente des risques inacceptables pour la sécurité des réseaux fédéraux», a déclaré Brandon Wales, directeur par intérim de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) des États-Unis. L'agence a publié une directive d'urgence aux agences fédérales et civiles pour qu'elles examinent leurs réseaux pour détecter toute activité suspecte et pour déconnecter ou éteindre immédiatement les produits SolarWinds Orion, selon TheHackerNews.
Les produits de mise en réseau et de sécurité de SolarWinds sont utilisés par plus de 300 000 clients dans le monde, y compris des sociétés Fortune 500, des agences gouvernementales et des établissements d'enseignement.
Il dessert également plusieurs grandes entreprises de télécommunications américaines, les cinq branches de l'armée américaine et d'autres organisations gouvernementales de premier plan telles que le Pentagone, le département d'État, la NASA, la National Security Agency (NSA), le service postal, la NOAA, le ministère de la Justice et le Bureau du président des États-Unis.
FireEye, qui suit la campagne d'intrusion en cours sous le nom de "UNC2452", a déclaré que l'attaque de la chaîne d'approvisionnement tire parti des mises à jour du logiciel d'entreprise SolarWinds Orion trojanized afin de distribuer une porte dérobée appelée SUNBURST.
"Cette campagne a peut-être commencé dès le printemps 2020 et est actuellement en cours", a déclaré FireEye dans une analyse dimanche. «L'activité post-compromis suite à ce compromis sur la chaîne d'approvisionnement a inclus des mouvements latéraux et des vols de données. La campagne est l'œuvre d'un acteur hautement qualifié et l'opération a été menée avec une sécurité opérationnelle significative. -TheHackerActualités
- voir graphique sur site - Capture d'écran via TheHackerNews.com
«Une classe de logiciels malveillants a été incluse parmi de nombreuses autres classes légitimes, puis signée avec un certificat légitime», a déclaré Microsoft, qui a corroboré les résultats de SolarWinds dans une analyse distincte, ajoutant que «le binaire résultant comprenait une porte dérobée et était ensuite discrètement distribué dans les cibles organisations. "
L'ère des cyborgs — Feu vert de l'armée française pour développer des « soldats augmentés »
M.K. Scarlett Sott.net dim., 13 déc. 2020 14:02 UTC
Le soldat du futur ressemblera-t-il plutôt à Spiderman avec ses améliorations génétiques ou plutôt à Batman et tous ses gadgets technologiques ? Le comité d'éthique du ministère de la Défense a donné son feu vert à l'étude des techniques invasives et non invasives visant à rendre un soldat « augmenté », indique Le Monde. Parmi celles-ci, les opérations chirurgicales, l'intégration de puces et d'implants ainsi que l'injection et l'absorption de substances.
Image fournie par le ministère des armées. Vision de ce que pourrait être le combattant du futur en 2040/2050, avec des vêtements connectés, plus de protections et une interface homme/machine permettant d’aider le combattant, et issue de travaux d’étudiants de l’école de design Strate pour l’armée de terre. L'armée française pourrait être complétée par des « soldats augmentés » si les recherches sur le renforcement des capacités des militaires via la technologie avancent, toujours selon Le Monde. L'ouverture de tels travaux été a été approuvée à titre consultatif par le comité d'éthique du ministère de la Défense.
En imaginant le soldat de 2030, le comité d'éthique des armées a tranché pour un mix entre Spiderman et Batman, dans son premier avis publié cette semaine. Le groupe composé de 18 membres de civils et militaires est chargé d'apporter un éclairage sur les questions d'éthique soulevées par les innovations scientifiques, techniques et leurs éventuelles applications militaires. Il devait travailler sur deux thématiques : le soldat augmenté et l'autonomie des systèmes d'armes létaux déjà testés en Chine via un drone d'attaque et commandé en masse par le Royaume-Uni. Concernant le premier sujet, le groupe de réflexion créé fin 2019 estime qu'il est nécessaire de commencer les recherches sur des méthodes invasives ou non pour augmenter les capacités des soldats.
Les « augmentations » au menu militaire
Il s'agit notamment d'opérations chirurgicales, par exemple celles des oreilles pour distinguer des fréquences très basses ou très élevées, de l'intégration de puces sous-cutanées censées transmettre des informations à distance et d'implants qui permettent « de prendre le contrôle d'un système d'armes ».
Enfin, cela pourrait également se faire par l'injection ou l'absorption de différentes substances. Celles-ci viseraient à l'augmentation de « la résistance face au phénomène d'isolement ou à la suite de la capture par l'ennemi ».
Sans oublier l'utilisation d'exosquelettes, d'objets connectés ou de robots tueurs, explique le quotidien en citant un document du comité qu'il a pu consulter.
Bien que ledit comité ait donné son feu vert, il a émis un certain nombre de recommandations. Composé de 18 membres civils et militaires, il conseille ainsi d'étudier les avantages, les risques et les effets secondaires sur le corps pour chaque innovation. La « réversibilité » de ces modifications devra également être analysée.
Quelles sont les méthodes invasives d'amélioration ?
Les méthodes non-invasives utilisées jusqu'à présent ressemblent plutôt à la méthode de Batman, c'est-à-dire l'utilisation de la technologie comme une auxiliaire aux forces armées. Ce sont par exemple les exosquelettes ou encore les objets connectés comme des pansements pour suivre l'évolution des plaies. Quant à la méthode invasive, elle correspond davantage au secret des pouvoirs de Spiderman, c'est-à-dire la modification biologique des compétences de l'être humain, comme une puce implantée dans le cerveau pour contrôler des armes à distance.
Aujourd'hui, la méthode invasive est très peu utilisée par l'armée française. Les seules applications consistent entre autres en l'ingérence de produits pour récupérer plus rapidement après l'effort ou pour diminuer le stress. Avec des recherches, on pourrait imaginer d'autres applications qui relèvent davantage de la science-fiction comme l'opération des oreilles vue plus haut afin d'entendre des fréquences très hautes ou très basses, et/ou comme la modification du système oculaire pour se passer de longue vue, et/ou encore des substances pour améliorer la résistance à l'isolement ou à la capture par l'ennemi.
La Chine aurait déjà commencé les tests sur des humains
Vous commencez déjà à imaginer les guerres du futur version Avengers ? Ne partez pas trop loin : Florence Parly, ministre des Armées, vous invite à redescendre rapidement sur Terre et à « mettre fin à tout fantasme ». Dans un communiqué faisant suite à l'avis délivré à titre consultatif, elle précise que « ces évolutions dites invasives ne sont pas à l'agenda des armées françaises ». Il s'agirait seulement de commencer les recherches en la matière pour se tenir prêt « afin d'éviter tout risque de décrochage capacitaire de nos armées », argumente le comité d'éthique.
En France, le sujet d'un homme biologiquement modifié pose de nombreuses questions d'éthique, ce qui explique les réticences à avancer sur cette voie. Tous les pays n'auraient pas les mêmes scrupules. En Chine, les avancées dans le domaine restent très opaques. Dans une chronique dans Wall Street Journal, John Ratcliffe, directeur américain du renseignement national, a indiqué que « les renseignements américains montrent que la Chine a même mené des tests sur des humains sur des membres de l'Armée populaire de libération dans l'espoir de développer des soldats avec des capacités biologiquement améliorées. Il n'y a pas de limites éthiques à la poursuite du pouvoir à Pékin. » Le porte-parole de la Chine a néanmoins accusé l'Américain de proférer des mensonges.
Aux États-Unis, CNN rapportait déjà en 2016 que l'armée américaine avait dépensé des millions de dollars pour un implant avancé qui permettrait à un cerveau humain de communiquer directement avec des ordinateurs. En 2017, le président russe Vladimir Poutine annonçait de son côté l'avènement prochain d'un soldat « génétiquement modifié ».
« La question des limites est essentielle »
Avant de se lancer dans cette course aux super-héros, le comité d'éthique et la ministre des Armées sont d'accord sur un point : « la question des limites est essentielle ». Selon Florence Parly, chaque transformation invasive devra être accompagnée d'une autre alternative. En d'autres termes, « plutôt que d'implanter une puce sous la peau, nous chercherons à l'intégrer à l'uniforme. » Pour répondre à toutes les problématiques liées à l'éthique, le comité a accompagné sa note d'une vingtaine de recommandations comme l'obligation d'avoir le consentement éclairé des soldats avant toute augmentation, l'établissement d'une liste « bénéfices/risques » pour chaque amélioration, l'interdiction d'opérer des augmentations cognitives qui pourraient atteindre au libre-arbitre ou encore le fait que chaque amélioration sur le corps soit réversible.
Pour le moment, nous n'en sommes qu'aux prémices de ce que l'on appelle le transhumanisme. Cependant, si l'armée s'intéresse à cette problématique, on peut envisager que la société pourrait s'y mettre quelques temps après. Après tout, de nombreuses inventions pour un usage militaire ont investi notre quotidien. C'est notamment le cas d'Internet ou plus récemment des exosquelettes. D'abord créés pour aider les militaires à porter des charges lourdes, on les utilise aujourd'hui pour aider les personnes à mobilité réduite à se déplacer.
Parmi les lignes rouges avancées par le Comité d'éthique figurent toute augmentation risquant de « provoquer une perte d'humanité ou serait contraire au principe de respect de la dignité de la personne humaine ». L'interdiction concerne aussi les augmentations cognitives affectant le libre arbitre et les transformations génétiques ou eugéniques.
Cité par Le Monde, le cabinet de Florence Parly souligne que rien n'est décidé pour le moment. « On privilégiera toujours le non invasif sur l'invasif » et « il y a des choses sur lesquelles on ne transigera pas », indique l'entourage de la ministre des Armées. Cependant, « c'est un futur auquel on doit se préparer ».
Est-ce que le ministère des armées peut s'autoriser à « doper » ses soldats par des procédés chimiques ou modifier leur corps pour les rendre plus performants lors des opérations militaires ? Ce sujet du « soldat augmenté » est le premier sur lequel le comité d'éthique de la défense a eu à réfléchir, depuis son installation en janvier 2020.
Sources de la première partie de l'article : Sputnik — Siècle digital — La Croix
Si Google, Apple, Microsoft, Samsung, Sony et d'autres méga-sociétés conduisant au mondialisme arrivent à leurs fins, cette technologie ne sera plus sur votre bureau mais sera à l'intérieur de votre corps. Bientôt, c'est à dire à l' horizon 2020-2030. De toute évidence, la mondialisation (ndlr concubine du Nouvel Ordre Mondial) offre de nouvelles opportunités inégalées, assortie d' un potentiel tyrannique inégalable. Et c'est le grand danger. Combiné avec le transhumanisme, les résultats pourraient être catastrophiques pour l'humanité. En fait, il s'agit bien de la fin de la race humaine telle que nous la connaissons.
Le mirage de l'homme augmenté, amélioré, qui permet encore une fois à l'être humain de ne pas prendre sa part de responsabilité dans le malheur qui est le sien. Pourquoi se soucier de la destruction de son propre corps, pourquoi vouloir comprendre les maladies de son propre esprit, pourquoi se préoccuper de la dégradation de son environnement : n'avons-nous pas les meilleurs pansements, les meilleures béquilles ? Cette négation à peine voilée de la mort elle-même et ce refus de l'inéluctable ne sont pas le résultat de la quête d'une connaissance juste qui permettrait à l'homme de se libérer. On pourra y voir à la place la manifestation d'une volonté de pouvoir et de contrôle sur un corps qui lui a été donné dans un environnement qui lui a été offert, l'expression de son incapacité à faire face à ses propres peurs en cherchant des raccourcis, des « buffets gratuits », des assurances à la vie.
Si la science moderne améliore réellement, par certains côtés, notre vie quotidienne, notre santé et notre compréhension de l'univers, les mises en garde restent toujours les mêmes. L'état actuel de notre monde nous montre que les découvertes scientifiques, des plus anodines aux plus importantes, créent plus de difficultés qu'elles n'en résolvent. Si la science n'est pas mauvaise en elle-même, les motivations qui nous animent, elles, semblent mener notre espèce dans la même voie sans issue : celle de la souffrance et de la destruction. On aura tôt fait, peut-être, de réaliser que le degré de conscience, aussi moteur de nos actions, est ce qui pose vraiment problème.
Aujourd'hui, tous les moyens sont « bons » pour transformer l'être humain vers un état pour lequel il n'est pas initialement « programmé », et les nouveaux « vaccins » à ARNm en font partie. Les militaires sont à cet effet et depuis la fin du XVIIIe siècle des cobayes et, pour ne prendre qu'un seul exemple, l'industrie du vaccin a en 1918-1919 fait des expériences sur des soldats, probablement avec des résultats désastreux. C'est avec la vaccine — une maladie bénigne des vaches qui ressemble à la variole — que tout commence en Grande-Bretagne (et non avec Pasteur qui créera lui le vaccin atténué), et cette vaccine donnera son nom au « vaccin ».
Les commodités valent-elles le sacrifice d'une liberté sempiternellement réclamé par ces mêmes spécialistes, ces mêmes leaders, ces mêmes élites et ces mêmes hommes d'influence qui n'ont toujours su que conduire l'être humain à sa perte ?
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Complètement con ! A l'heure où 'tous' les pays possèdent l'EMP (en petite ou grande échelle) qui peut déconnecter tous les équipements électrique du monde, tabler sur la robotique est un gouffre d'escroquerie. La SEULE réponse à la guerre (propagée par les 'dirigeants') est la Démocratie.
Qui veut la guerre ? PERSONNE ! Alors, on fait quoi ?
On craint de plus en plus que la production d'électricité à partir de combustibles fossiles contribue au changement climatique et à la pollution atmosphérique. En réponse à ces préoccupations, les gouvernements du monde entier encouragent l'installation de projets de production d'électricité intermittente, y compris des éoliennes industrielles (IWT).
Mais Whoa, Nelly! Les NIMBY (Not-In-My-Backyard) du monde entier, de l'Allemagne à l'Australie, en passant par la Californie, New York et le Massachusetts, parlent fort et agissent pour mettre un terme à l'invasion de parcs éoliens bruyants dans leurs arrière-cours. Suite à de nombreux rapports du Maryland au Canada en France sur le bruit des éoliennes, les NIMBY sont de plus en plus sous tension (sans jeu de mots).
Le National Center for Biotechnology Information situé à Bethesda, Maryland (NCBI) a rapporté que la modulation d'amplitude du bruit des éoliennes industrielles, le bruit audible à basse fréquence, le bruit tonal, les infrasons et le manque de réduction nocturne ont été identifiés comme des caractéristiques de bruit plausibles qui pourraient causer des ennuis et autres effets sur la santé. Les symptômes documentés rapportés par les personnes exposées à des éoliennes comprennent: troubles du sommeil, maux de tête, pression auditive, étourdissements, vertiges, nausées, flou visuel, irritabilité, problèmes de concentration et de mémoire, et épisodes de panique associés à des sensations de pulsation interne ou de tremblements au réveil ou endormi. La Loi sur l'énergie verte (GEA) de l'Ontario, Canada était peut-être bien intentionnée, mais une analyse récente publiée par le Fraser Institute, Environmental and Economic Consequences of Ontario's Green Energy Act, démontre que la GEA a eu des effets désastreux sur les tarifs énergétiques de l'Ontario. et va sérieusement menacer la compétitivité économique des secteurs manufacturier et minier.
L'Académie française de médecine déclare les nuisances sanitaires des éoliennes. L'extension prévue du secteur éolien terrestre suscite de plus en plus de plaintes de la part d'associations de riverains signalant des perturbations fonctionnelles réalisant ce que l'on appelle le «syndrome de l'éolienne». Le rapport note que le bruit est la plainte la plus fréquente. Le bruit est décrit comme perçant, préoccupant et continuellement surprenant, car il est d'une intensité irrégulière. Le bruit comprend des sons grinçants et incongrus qui distraient l'attention ou dérangent le repos. La récurrence spontanée de ces bruits perturbe le sommeil, réveillant brutalement le sujet lorsque le vent se lève et empêchant le sujet de se rendormir.
Malgré l’obsession politique pour l’électricité intermittente produite par les éoliennes, les NIMBY sont bien vivants! Voici un échantillon de NIMBY dans le monde entier, de l'Allemagne à l'Australie, en passant par la Californie, New York et le Massachusetts, qui s'activent pour arrêter l'installation de ces monstruosités dans leur arrière-cour:
En Allemagne, des milliers de personnes sont rendues folles par des bruits à basse fréquence et des infra-sons pratiquement incessants générés par les turbines, et ripostent avec une fureur et une énergie qui ont secoué l'industrie éolienne. Il existe désormais des centaines de groupes industriels anti-éoliens à travers l'Allemagne. Et bon nombre de ces groupes et individus ont lancé des poursuites contre les promoteurs et le gouvernement pour empêcher la construction de parcs éoliens ou pour demander une compensation financière substantielle pour la perte de l'utilisation et de la jouissance de leurs maisons. En Allemagne, les habitants ont exprimé leur opposition en des termes non équivoques - votant 25 contre 1 contre un projet éolien géant proposé pour leur coin de paradis.
En Australie et en Nouvelle-Zélande, des rapports d'effets néfastes sur la santé et de qualité de vie réduite sont également documentés dans les projets d'éoliennes industrielles (IWT) dans leurs pays. En Californie, San Bernardino est le plus grand comté de l’État et «a interdit la construction de grands parcs solaires et éoliens de plus d’un million d’acres de terres privées». Les résidents ne veulent pas que leur communauté rurale du désert soit jonchée d'énergies renouvelables
À New York, les communautés rurales américaines, comme Arkwright, New York, sont allées à l’offensive contre l’assaut des grandes éoliennes. Andrew Cuomo, le gouverneur obsédé par l’énergie éolienne de New York est déterminé à couvrir son État de milliers d’éoliennes. Confrontés à la menace d'assaut et déjà fatigués de ce qu'ils ont dû subir, les New-Yorkais du nord de l'État ont pris les choses en main et ont produit un documentaire sur le bruit des éoliennes locales.
Dans le Massachusetts, la ville de Falmouth avait des documents avant l'installation de ses éoliennes indiquant que les éoliennes mégawatts étaient trop bruyantes pour les emplacements résidentiels. La documentation comprend des courriels, des cartes, une lettre d'avertissement écrite et un aveu par le Massachusetts Clean Energy Center en 2013 que des «erreurs» ont été commises dans les prévisions originales de bruit acoustique. La première éolienne de Falmouth a commencé à fonctionner en 2010. En fin de compte, les installations d'éoliennes à Falmouth sont bien pires que toute expérience jamais menée aux États-Unis, car les autorités nationales et locales ont toujours eu une connaissance de première main des dommages à la santé et de l'obligation de prendre propriété sans compensation. Les autorités nationales et locales suivaient un programme visant à atteindre 2000 mégawatts d'énergie éolienne commerciale d'ici 2020. La liste de la résistance NIMBY s'allonge encore et encore dans des endroits comme New York, le Wisconsin et l'Écosse, etc.
Avant de poursuivre trop précipitamment ces éoliennes pour la production d'électricité intermittente, les politiciens devraient lire les nombreux rapports publiés du Maryland au Canada en France sur les effets du bruit des éoliennes et écouter leurs électeurs NIMBY qui rejettent ces monstruosités dans leurs arrière-cours.
Traitement des chocs des véhicules électriques: leçons de Grande-Bretagne
Par Duggan Flanakin 12 décembre 2020
Joe Biden et ses collègues démocrates, apparemment de grands constructeurs automobiles américains, se sont joints à la ruée vers la transformation des transports américains en véhicules 100% électriques (VE), que nous le peuple le veuillions ou non. Lors d'une mairie d'octobre, Biden a affirmé que son plan permettait d'économiser «des milliards de gallons de pétrole» et d'aider à créer 1 million d'emplois dans l'industrie automobile, en partie en interdisant la vente ou la fabrication de nouveaux véhicules à moteur à combustion interne (CI) d'ici 2030. Exactement comment cela se produira dans le monde réel, n'a-t-il pas dit.
La vision californienne de Biden exclut les véhicules hybrides, comprend l'installation de 500 000 bornes de recharge pour véhicules électriques et offre des remises de type «argent contre clunkers» aux nouveaux acheteurs de véhicules électriques. En 2018, près de la moitié de toutes les immatriculations de véhicules électriques (256.800 sur 543.600) se trouvaient en Californie, avec Hawaï, Washington et l'Oregon non loin derrière. Pourtant, en 2018, les véhicules électriques représentaient moins de 2% du total des 15 millions de véhicules de la Californie - malgré d'énormes crédits d'impôt, des bornes de recharge gratuites, un accès gratuit aux voies réservées aux VMO et d'autres subventions et incitations.
Seuls 727000 véhicules à propulsion électrique ont été vendus aux États-Unis en 2019, et près de la moitié étaient des hybrides rechargeables. Les ventes hybrides ont atteint un sommet en 2013, mais en 2019, elles étaient tombées à 2,3% (environ 400000 véhicules) de toutes les ventes de véhicules légers, en grande partie en raison de l'évitement des puristes des véhicules électriques. Comparez ces chiffres aux 6,3 millions de véhicules vendus au total en 2016, ou aux 273600000 voitures particulières, motos, camions, bus et autres véhicules sur la route aux États-Unis en 2018.
Suivant l'exemple de la Chine, les constructeurs automobiles américains - pas seulement Tesla - sont tous à bord pour ce grand basculement. À mesure que les véhicules IC sont remplacés et que les stations-service sont transformées en stations de recharge pour véhicules électriques, la pression augmentera pour abandonner les véhicules IC restants et acheter plus de véhicules électriques. General Motors, favorable à la Chine, prévoit de dépenser 20 milliards de dollars pour la technologie des véhicules électriques et autonomes jusqu'en 2025, y compris la production de 23 véhicules électriques différents d'ici 2023. Ford Motor Company s'est engagée à investir 11 milliards de dollars d'ici 2022 dans le développement des véhicules électriques.
Biden suit les traces du Premier ministre britannique Boris Johnson, dont le nouveau plan climatique comprend l'interdiction des ventes de véhicules à essence d'ici 2030 et d'hybrides d'ici 2035. Mais, comme l'a fait valoir l'économiste et directeur du groupe de réflexion Global Britain, Ewen Stewart, c'est «franchement. une des politiques les plus illibérales et économiquement destructrices jamais venues de Whitehall. Il met en danger des centaines de milliers de moyens de subsistance et des exportations indispensables pour le bénéfice le plus marginal. »
«Les implications de cette interdiction [dans un pays avec seulement 1% de véhicules électriques] sont immenses en termes de fabrication, de chaînes d'approvisionnement, d'investissement, de capital irrécupérable, d'emploi, d'infrastructure, de choix des consommateurs, de valeur du stock existant, et bien plus encore,» Stewart expliqué. «Jamais auparavant un gouvernement n’avait osé fermer du jour au lendemain une industrie entière et critique par diktat.»
Il est illusoire, a-t-il poursuivi, de croire que détruire une industrie britannique prospère en interdisant les moteurs à circuits intégrés - plutôt que de laisser le choix du consommateur faire le marché - sera bon pour l'économie. Le secteur automobile britannique actuel représente un cinquième de la base de fabrication du pays, avec plus de 80% des 1,3 million de voitures qu’il a fabriquées étant exportées. Cela représente 13% de tout le marché d'exportation du Royaume-Uni.
L'industrie automobile britannique emploie directement plus de 180 000 Britanniques et plusieurs centaines de milliers d'autres indirectement. Mais le Royaume-Uni ne peut pas rivaliser avec la Chine sur le marché mondial des VE, car les coûts de main-d'œuvre au Royaume-Uni sont bien plus élevés et son énergie est beaucoup plus chère et de moins en moins fiable.
Pire encore, a souligné Stewart, cette signalisation de vertu aura au mieux de minuscules avantages pour le Royaume-Uni et l'environnement mondial, mais elle sera dévastatrice pour les propriétaires d'automobiles. Le gouvernement britannique a déjà considérablement diminué la valeur des 12 millions de véhicules diesel du pays avec des suppléments qui coûtent aux propriétaires de véhicules diesel antérieurs à 2015 jusqu'à 67 dollars par semaine simplement pour conduire dans des «zones à très faibles émissions». Les autres coûts comprenaient le doublement des tarifs des permis de stationnement et des taxes plus élevées pour les véhicules diesel.
Les nouvelles initiatives feront de même pour les véhicules IC - y compris l’élimination progressive des pompes à essence et la perte de valeur de revente, sans parler de la dévastation du marché d’exportation du pays.
Andrew Montford, directeur adjoint du Global Warming Policy Forum, affirme que le plan britannique malavisé pourrait coûter aux automobilistes 700 milliards de livres sterling (938 milliards de dollars américains). Selon Montford, plusieurs aspects des véhicules électriques les rendent plus coûteux que les voitures à essence: remplacement de batteries coûteuses, installation de bornes de recharge à domicile (nécessitant souvent une mise à niveau du câblage domestique), temps et inconvénients lors des recharges de batteries, etc.
Montford a estimé que d'ici 2050, le ménage moyen pourrait avoir dépensé 19 000 £ supplémentaires (25 460 $ US) - s'il peut encore se permettre de posséder un véhicule. De plus, avec d'autres mandats gouvernementaux faisant grimper le coût de l'électricité, le coût de la conduite automobile pourrait doubler, chassant complètement les classes ouvrières des routes.
L'absurdité de cette attaque britannique contre sa propre industrie automobile existante est rendue encore plus ridicule par le fait que l'électrification à grande échelle qui ne change pas les modes de mobilité actuels ne parvient à réduire les émissions de gaz à effet de serre des transports que de 15% d'ici 2050, selon les systèmes espagnols. l'expert en ingénierie Margarita Mediaville a expliqué. Appeler les véhicules électriques «verts» ou «durables» est tout aussi absurde.
La conclusion de Mme Mediaville est basée sur le modèle d'évaluation MEDEAS-World énergie-économie-environnement de son entreprise, qui montre que la fabrication de toutes ces nouvelles batteries EV épuisera les réserves mondiales prouvées de cuivre, de lithium, de nickel et de manganèse, à moins que les taux d'extraction et / ou de recyclage. se développer énormément d'ici 2050. Mais l'ouverture de nouvelles mines, principalement dans d'autres pays, comme le propose l'Union européenne, aurait «des répercussions dévastatrices sur l'eau, la biodiversité et les droits de l'homme des communautés locales».
L'extraction et le traitement des minerais et la fabrication de batteries nécessiteraient également d'énormes quantités de combustibles fossiles, impliqueraient des centaines ou des milliers de tonnes de minerai et des morts-terrains pour chaque tonne de métaux finis, et entraîneraient des émissions prodigieuses de polluants et de dioxyde de carbone. En effet, un nouveau rapport de l'analyste du Competitive Enterprise Institute, Ben Lieberman, conclut que le remplacement de l'essence par l'électricité comme source d'énergie pour les véhicules n'élimine pas ces émissions, mais change uniquement là où elles sont émises.
Un autre inconvénient de l'augmentation considérable du nombre de véhicules électriques est que les métaux et les minéraux proviennent de plus en plus de pays comme la Chine, le Chili et le Congo - où le salaire équitable, le travail des enfants, la sécurité au travail et les normes environnementales sont bien en deçà de tout ce que les États-Unis ou l'UE toléreraient. Les batteries EV nécessitent également plus d'énergie à fabriquer que les batteries et les moteurs des véhicules à circuit intégré, et leur recyclage est également compliqué, coûteux et comporte de nombreux risques de pollution et de santé publique.
La société financière UBS a constaté que le remplacement des ventes mondiales de véhicules à circuit intégré conventionnels par des versions électriques nécessiterait une augmentation de 2 898 % de la production de lithium; une augmentation de 1 928 % du cobalt; une augmentation de 524 % du graphite; une augmentation de 105% du nickel; une augmentation de 655 % des minéraux des terres rares; et au moins un triplement de la production de cuivre. La combustion du charbon, du diesel et de l'essence monterait également en flèche, pour alimenter le travail.
Un rapport distinct de Securing America’s Future Energy indique que la Chine contrôle près de 70 % de la capacité de fabrication de batteries de véhicules électriques, contre seulement 10 % aux États-Unis. Le rapport prévoit que 107 des 142 projets de fabrication de batteries de VE prévus d'ici 2021 seront en Chine, dont seulement neuf aux États-Unis.En bref, toute évolution vers des VE obligatoires enrichira l'économie chinoise aux dépens de l'Amérique.
Avant de prendre des mesures pour convertir l'Amérique aux véhicules électriques et à la production d'électricité non fossile, les décideurs politiques américains doivent examiner attentivement les coûts humains et environnementaux - en chiffres précis, y compris l'augmentation des maladies pulmonaires, le cancer, les blessures et les décès dans les mines étrangères, les usines de traitement et des usines.
Ils doivent également tenir compte de l'impact sur les travailleurs et les communautés américains de l'externalisation de la fabrication de batteries aux entreprises chinoises. Les Chinois, avec l'aide du président Biden, ramèneront avec plaisir la plupart de ces emplois manufacturiers dans l'Empire du Milieu, tout en accablant les familles américaines avec des coûts croissants d'électricité non fiable, de conduite à courte portée et d'effondrement des industries. Incroyablement, notre dépendance vis-à-vis de la Chine pour les minéraux et les pièces détachées pour les équipements militaires de haute technologie va également monter en flèche !
Toutes ces questions exigent l'attention de nos législateurs et régulateurs, environnementalistes et journalistes. À moins bien sûr qu'ils ne s'engagent simplement dans une signalisation de vertu bon marché, et qu'ils ne se foutent pas des travailleurs et des consommateurs d'énergie américains, de l'environnement américain et mondial, ou de la main-d'œuvre mondiale adulte et enfant qui mettra leur santé et leur vie en danger. risque de fournir ces VE et d’autres technologies.
Les législateurs californiens envoient des pêcheurs à la ruine
Par Bonner Cohen, Ph. D. 11 décembre 2020
Les petites entreprises à travers l'Amérique ont été durement touchées lors des verrouillages COVID-19. Alors que les magasins Big Box ont été autorisés à rester ouverts et ont prospéré, les détaillants maman et pop ont été contraints de fermer en masse, et beaucoup ne rouvriront jamais.
L’élite dirigeante californienne a été aussi brutale qu’hypocrite en veillant à ce que les aisés aient la tâche facile. Les raides de travail, par contre, doivent s'abriter en place. Leur gagne-pain soit damné.
Dans le Golden State, c'était ainsi que les choses se faisaient même avant l'épidémie du coronavirus. Prenez les pêcheurs commerciaux de Californie. En 2018, les législateurs de Sacramento ont approuvé une loi interdisant les filets maillants dérivants d'ici 2024. La loi a été défendue par des écologistes qui affirment que les filets maillants dérivants présentent un risque sérieux pour les créatures telles que les baleines et les tortues de mer. Mais les réglementations fédérales et étatiques existantes telles que les fermetures saisonnières et l'utilisation obligatoire de signaux sonores sur les filets maillants dérivants ont déjà réduit la capture accidentelle de ces espèces à près de zéro. Mais cela n’intéresse pas les législateurs de Sacramento et les verts de San Francisco, Hollywood et la Silicon Valley.
Cibler les entreprises familiales
Les grands perdants dans tout cela seront les petits pêcheurs commerciaux. Ce sont généralement des entreprises familiales, dont beaucoup remontent à plusieurs générations. Les pêcheurs d'espadon seront particulièrement touchés. Les filets maillants dérivants sont le seul moyen judicieux d'attraper l'espadon, un favori des consommateurs de fruits de mer du monde entier. Les pêcheurs spécialisés dans la capture d'espadon feront faillite si la loi sur les filets maillants dérivants est autorisée à rester en vigueur. Il n’existe pas d’autre moyen sensé d’attraper le poisson.
La Pacific Legal Foundation (PLF) a contesté l'interdiction, arguant que la Californie ne peut pas annuler le programme fédéral existant de permis de filet maillant dérivant en interdisant l'utilisation des filets maillants dérivants au niveau des États. Si le procès aboutit, la Californie devra permettre aux pêcheurs qui obtiennent des permis fédéraux de continuer à utiliser des filets maillants dérivants pour cibler l'espadon et d'autres espèces. Cependant, les mêmes groupes environnementaux qui ont soutenu la loi californienne de 2018 portent leur affaire de filet maillant anti-dérive devant le Congrès, dans l'espoir d'utiliser le pouvoir fédéral pour étouffer les pêcheurs d'espadon.
Le procès du PLF est particulièrement important à la lumière des changements politiques à venir à Washington en janvier. On peut compter sur les nominations politiques de l'administration Biden aux côtés des écologistes sur une foule de questions, y compris la pêche. Pour cette raison, PLF conteste également d'autres réglementations fédérales onéreuses qui pourraient facilement être retournées contre les pêcheurs commerciaux par une administration hostile.
Les pêcheurs de Californie ne sont pas seuls. Les personnes qui produisent de la nourriture, de l'énergie (à l'exception des éoliennes et des panneaux solaires) et d'autres nécessités de la vie vont être en disgrâce à la Maison Blanche Biden. Comme le disait le personnage de Bette Davis dans "All About Eve": "Attachez vos ceintures de sécurité, ça va être une nuit cahoteuse."
Tous les jours ce sont des milliards de milliards de poissons qui sont mangés ! (les poissons mangent du poisson !) et, la SEULE espèce menacée est l'homme ! (-grenouille ?).
Il ne fait aucun doute que la température mondiale de la Terre serait en moyenne de 25 à 30 ° C plus froide sans effet de serre qu'elle ne l'est aujourd'hui. C'est une énorme affaire! Sans l'effet de serre, nous envisagerions une température globale d'environ -15 ° C au lieu des + 15 ° C dont nous jouissons aujourd'hui. Dans ce cas, notre planète bleu-vert pourrait ressembler davantage à une boule de neige sale et sans vie. L'effet de serre est un mécanisme naturel essentiel. Il aide à réguler la température de la Terre, la rendant plus stable et capable de soutenir toute vie telle que nous la connaissons.
ENTRÉE DE CHALEUR
Les effets des gaz à effet de serre commencent avec l'arrivée des rayons dorés du soleil sur la Terre, comme le montre la figure 1. Réchauffement de la planète pendant la journée avec une moyenne d'irradiance solaire totale (TSI) d'environ 341 watts par mètre carré W / m² .
Une partie de cette énergie qui s'approche de la Terre est réfléchie vers l'espace extra-atmosphérique par les nuages, l'air, les océans, la couverture de glace terrestre et un peu par la terre. La partie qui atteint le système terrestre est d’environ 161 W / m², soit environ 47 %, où trois choses commencent à arriver à ces rayons solaires. La première partie est utilisée pour répondre aux besoins de la planète, comme les plantes qui utilisent le soleil pour la photosynthèse et les animaux pour respirer et se réchauffer. Les humains obtiennent de l'énergie propre grâce à l'électricité solaire, les agriculteurs pour faire pousser leurs cultures et les amoureux de la plage pour obtenir un bronzage parfait. La deuxième partie est stockée dans l'air chaud dont nous jouissons et réchauffe les océans et les mers lorsque nous nageons l'été à Cape Cod et toute l'année en Floride.
- voir carte sur site -
L'effet de serre plus en profondeur 1
Cette chaleur est également stockée dans les parkings, les rues et les bâtiments qui restent chauds pendant de nombreuses heures après la tombée de la nuit. La nuit, la plupart ou la totalité de cette chaleur emmagasinée irradie et convecte de nouveau dans l'air. Une partie de cette chaleur est temporairement stockée dans l'air et les nuages, et le reste irradie vers l'espace extra-atmosphérique.
Cette chaleur qui est arrivée à la surface de la Terre (terre et océans) doit retrouver son chemin vers l’espace pour que la Terre reste dans l’équilibre thermique que nous appelons «la zone Boucle d’or». Si trop de chaleur retournait directement dans l'espace, cela poserait un gros problème, que nous voyons en fait dans les déserts de haute altitude. Là, pendant la journée, la Terre devient très chaude très rapidement. L'air est super mince, il y a peu de nuages et davantage de rayons du soleil pénètrent pour chauffer le sol. Mais la nuit, toute cette énergie stockée dans la terre et les roches est rapidement rayonnée et convectée vers le ciel. Une partie de cette chaleur monte par «thermiques», c'est-à-dire comme une montgolfière remontant l'atmosphère. Certains montent par «transpiration», comme cette sensation de fraîcheur que vous ressentez lorsque vous sortez de la piscine et que le vent sèche votre peau. Mais l'essentiel de celui-ci monte par rayonnement, dont nous parlerons ici en détail car c'est le cœur de l'effet de serre.
Cette chaleur rayonnée se présente sous deux formes, l'infrarouge à ondes longues et à ondes courtes. La majeure partie de la chaleur est rayonnée directement dans l’espace sous forme de rayonnement à ondes longues. Mais, la chaleur dans l'onde courte est captée par les gaz à effet de serre et la vapeur d'eau et maintenue pendant un certain temps et réchauffe l'air. Après avoir réchauffé l'atmosphère et les nuages, les ondes courtes deviennent des ondes longues et s'échappent finalement dans l'espace. Les questions fondamentales pour comprendre l'effet de serre sont:
Comment ces gaz à effet de serre captent-ils cette énergie à ondes courtes ? Comment convertit-il cette énergie à ondes courtes en énergie thermique pour réchauffer l'air ? Et enfin, combien de temps l'atmosphère / les gaz à effet de serre retiendront-ils cette chaleur et nous garderont-ils au chaud et à l'aise. Les climatologues, dédiés à la méthode scientifique, commencent seulement à gratter la surface de ces questions et d'autres questions restent ouvertes qui peuvent être expliquées scientifiquement. Ces gaz à effet de serre et la vapeur d'eau forment essentiellement une couverture autour de la Terre. Dans un scénario parfait, la Terre rayonnera vers l’espace pendant la nuit, la quantité d’énergie égale à l’énergie d’entrée du soleil reçue pendant la journée.
SYSTÈME ÉQUILIBRÉ
Cependant, si plus de chaleur était emprisonnée et stockée dans l'air, les nuages, la terre et les océans et pas assez rayonnée dans l'espace extra-atmosphérique, ce ne serait pas une bonne chose. Si cela continue trop longtemps, cela signifiera que chaque nouveau matin commencera à être un peu plus chaud que la veille, et ainsi de suite. Après un certain temps, il deviendrait de plus en plus chaud et provoquerait des changements significatifs non seulement sur toute la vie (plantes et animaux) mais aussi sur la géographie de la planète entière. Nous en voyons un exemple dramatique sur Vénus, où le gaz carbonique représente près de 100 % de l'atmosphère contre 0,04 % sur Terre. Même ici sur Terre, dans un passé lointain, les océans ont atteint des niveaux alarmants et les températures planétaires ont tellement augmenté qu'il y avait peu de glace à la surface. Les plantes et les animaux tropicaux ont prospéré même dans les régions polaires. Pour cette raison, de nombreux scientifiques tirent la sonnette d'alarme sur le réchauffement climatique.
La cause de ce déséquilibre, c'est-à-dire plus d'énergie venant du soleil sur la Terre que celle renvoyée dans l'espace, est principalement due à la vapeur d'eau et à une petite quantité par les gaz à effet de serre. Les principaux gaz à effet de serre comprennent le gaz carbonique, le méthane et l'oxyde nitreux. Mais surtout, nous devons comprendre deux réalités simples:
· Quelle est la contribution exacte de chaque gaz à effet de serre, et
· Quelle portion exacte de chaque gaz à effet de serre est d'origine humaine par rapport à la nature.
Heureusement, de brillants climatologues ont déjà effectué cette analyse, et leurs résultats sont présentés dans la figure 2 [i] ci-dessous. Voici un résumé des révélations importantes: L'effet de serre plus en profondeur 2
- voir carte sur site -
1. La vapeur d'eau représente 95 % de l'ensemble de l'effet de serre, qui est presque 100% d'origine naturelle.
2. La contribution totale du gaz carbonique à l'effet de serre n'est que de 3,168 %, dont la part d'origine humaine n'est que de 0,117 %
3. Sur l'ensemble de l'effet de serre, la nature représente 99,72 % et la contribution de l'homme, y compris tous les gaz d'origine humaine (gaz carbonique, méthane, etc.), n'est que de 0,28 %.
RÉSUMONS CET ARTICLE
Nous appelons le temps rien de plus et rien de moins que l’air, la terre et les océans de la Terre qui tentent d’éliminer les déséquilibres de température et de pression causés par le soleil qui chauffe une partie de la planète et pas l’autre. Ces déséquilibres sont imposés à la Terre par l'échauffement asymétrique provoqué par le soleil. Par conséquent, le temps est la façon dont la Terre réagit à ces forces imposées à la planète par la dynamique en constante évolution de ce qui se passe dans le soleil et la position relative du soleil par rapport à la Terre.
Les conditions météorologiques sur 15 à 30 ans sont ce que nous appelons le «climat». Nous avons ensuite appris que le temps était difficile à prévoir. Même une prévision sur 7 jours n'est généralement précise qu'environ 56% du temps. Imaginez à quel point il doit être difficile de prédire les prévisions climatiques à 5, 10, 30 ou 50 ans. Enfin, nous avons appris que la contribution humaine à l'effet de serre est faible, insignifiante.
La science n'est jamais réglée. La science est un voyage aux destinations inconnues.
Des parties de cet article sont extraites du livre 2020 A HITCHHIKER’S VOYNEY THROUGH CLIMATE CHANGE par Terigi Ciccone et Dr. Jay Lehr. Le livre est la meilleure source pour les parents et les grands-parents pour expliquer la réalité du changement climatique à leurs enfants. Il est également recommandé pour les jeunes adolescents et la génération Z car ils subiront les conséquences de la folie du changement climatique.
Disponible sur amazon à l'adresse - https://www.amazon.com/Hitchhikers-Journey-Through-Climate-Change-ebook/dp/B086R49RS6 en format Kindle, livre de poche noir et blanc et chiffres couleur grand format. Ou envoyez un e-mail à terigiciccone@gmail.com.
[i] https://climatecite.com/water-vapor-rules-the-greenhouse-system/ by Dr. S. Fred Singer, atmospheric physicist, Professor Emeritus of Environmental Sciences at the University of Virginia, and former director of the US Weather.
La vapeur d'eau représente 99.13 % de notre atmosphère. Ce sont donc les nuages qui sont bienfaiteurs car, le soleil (entre nuages) chauffe le sol qui réverbèrent la chaleur vers l'espace. Mais cette chaleur ne peut se perdre dans l'infini qui entoure notre planète puisqu'elle est arrêtée par ces masses d'eau. Les nuages (chauffés par dessous et par dessus) se traduisent alors en pluies.
(...) 3. Sur l'ensemble de l'effet de serre, la nature représente 99,72 % et la contribution de l'homme, y compris tous les gaz d'origine humaine (gaz carbonique, méthane, etc.), n'est que de 0,28 %. (...)
Faux ! car les mers & océans (qui représentent 78 % de la superficie de notre planète) émettent des milliards de fois plus de gaz (jusqu'aux plus toxiques) que tous les humains, animaux et industries y compris !
Journaux cruciaux manquants dans certaines machines à voter du Michigan Dominion: rapport médico-légal
PAR TYLER DURDEN LUNDI 14 DÉC 2020-12: 44
Mise à jour (1225ET): Ivan Pentchokov d'Epoch Times rapporte que des journaux de sécurité et de décision cruciaux sont absents des machines de Dominion Voting Systems du comté d'Antrim dans le Michigan, selon un rapport médico-légal (pdf) publié le 14 décembre conformément à une ordonnance du tribunal.
«De manière significative, le système informatique affiche les journaux de sélection des votes des années précédentes; mais toutes les entrées du journal des arbitrages pour le cycle électoral 2020 sont manquantes. Le processus d'arbitrage est le moyen le plus simple de manipuler manuellement les votes. Le manque de registres empêche toute forme de responsabilité d'audit, et leur absence flagrante est extrêmement suspecte puisque les fichiers existent pour les années précédentes en utilisant le même logiciel », indique le rapport, rédigé par Russell Ramsland.
«Nous devons conclure que les registres du cycle électoral de 2020 ont été supprimés manuellement.»
L'absence de registres d'arbitrage est particulièrement alarmante car l'examen médico-légal a révélé que les machines à voter rejetaient un nombre extraordinaire de bulletins de vote pour l'arbitrage, un processus manuel dans lequel les agents électoraux déterminent le résultat final de chaque scrutin.
Le bureau du secrétaire d’État démocrate du Michigan, Jocelyn Benson, du Dominion, et un porte-parole du comté d’Antrim n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.
* * *
Comme Sara Carter de SaraACarter.com l'a détaillé plus tôt, un juge du Michigan a ordonné la publication publique lundi d'un rapport soumis par des avocats soutenant le président Donald Trump et les allégations de fraude électorale qui, selon eux, révéleront de sérieuses inquiétudes quant au fait que les machines informatiques utilisées lors du vote dans le comté d'Antrim ont été compromis. Le rapport médico-légal contiendrait des données qui révéleront que les systèmes informatiques utilisés pour voter dans le comté n'étaient pas sécurisés et comportaient des composants étrangers qui les rendaient vulnérables à la manipulation et / ou à la fraude, selon ceux qui connaissent directement l'affaire.
Le procureur général adjoint du Michigan, Erik Grill, représentant la secrétaire d'État du Michigan, Jocelyn Benson, a immédiatement riposté contre la publication du rapport, qui, selon les partisans du président Donald Trump, soulève des questions importantes sur la fraude électorale et ses implications pour la sécurité nationale des États-Unis.
Il a suggéré que le rapport publié est «inexact, incomplet et trompeur», selon le Detroit News.
"Il n'y a aucune raison de se cacher", a déclaré Grill, lors d'une audience virtuelle lundi matin.
Cependant, les avocats et les experts en informatique qui s'efforcent d'exposer ce qu'ils considèrent comme une menace sérieuse pour la sécurité et l'infrastructure américaines affirment que le rapport révélera les irrégularités dans les données et l'ingérence étrangère externe dans le système.
L'équipe juridique «a soumis le rapport médico-légal au juge (dimanche) à 8h30 du matin à la demande du juge», a déclaré une source proche du rapport.
Selon des sources, qui m'ont parlé ce week-end, le rapport médico-légal du système informatique révèle que les preuves découvertes ont de graves implications pour la sécurité nationale parce que «le système électoral est classé comme une infrastructure critique, c'est une menace pour, c'est un problème de sécurité. »
Le procès a été intenté par William Bailey, un résident du comté d'Antrim. Le juge de circuit Kevin Elsenheimer, ancien législateur républicain, a autorisé Allied Securities Operation Group et Bailey à prendre des images médico-légales des 22 tabulateurs du comté et à examiner d'autres documents liés aux élections pour garantir l'intégrité des élections.
L'analyse médico-légale a été sous ordonnance de protection. Il ne pouvait pas être publié avant la décision du juge lundi, lorsque Elsenheimer a ordonné la libération avec quelques expurgations.
Le comté d'Antrim compte environ 23000 habitants et la découverte d'environ 6000 votes exprimés à l'aide des systèmes de vote du Dominion qui auraient dû aller au président Donald Trump est allé à Joe Biden sans explication a déclenché l'enquête en cours par les partisans de Trump.
L'explication bizarre selon laquelle l'échec de la mise à jour du logiciel de vote a conduit Joe Biden à recevoir initialement ces milliers de voix avant Trump dans le comté à tendance républicaine n'a pas été acceptée par la majorité des partisans de Trump, ni par de nombreux membres du GOP du Michigan>
Si le rapport médico-légal est exact sur les irrégularités, ainsi que sur d'autres problèmes de fraude présumée concernant les systèmes de vote nationaux utilisés dans XX États à travers le pays, il peut faire boule de neige à d'autres législatures d'État qui demandent également des audits de leurs systèmes.
Jusqu'à 40 % des travailleurs de la santé au Royaume-Uni peuvent ne pas vouloir se faire vacciner contre le COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 14 DÉC 2020-15: 30
Rédigé par Lily Zhou via The Epoch Times,
Potentiellement, jusqu'à 40 % des travailleurs des foyers de soins ne seront pas vaccinés avec le vaccin contre le virus du PCC (Parti communiste chinois) alors que le gouvernement britannique déploie son programme de vaccination Pfizer-BioNTech, a déclaré samedi un leader du secteur en Angleterre.
Les travailleurs de la santé et des services sociaux font partie des groupes figurant sur la liste des priorités suggérée par le Comité mixte de la vaccination et de l'immunisation.
"Nous savons qu'entre 50 et 60 %, selon les services individuels, ou en fait le personnel, disent qu'ils vont certainement se faire vacciner et sont très désireux", a déclaré Nadra Ahmed, présidente de la National Care Association, à Misha Husain de la BBC. L'émission Today de Radio 4.
"Nous comprenons qu'entre 17 et 20 % du personnel des services disent qu'ils ne l'auront certainement pas", a-t-elle déclaré, "et puis vous avez le reste qui attend de voir."
Par conséquent, a-t-elle dit, potentiellement 40 % des travaux décideraient de ne pas prendre le vaccin.
Elle a dit qu'il était "stupéfiant" qu'un pourcentage aussi élevé de travailleurs à domicile de soins ne veuille pas se faire vacciner parce qu '"ils ont travaillé et ont vu les résultats directs de l'impact de ce virus".
Elle a également déclaré que l’adoption du vaccin contre la grippe parmi les travailleurs de la santé «n’est pas non plus très bonne».
"Je pense que dans le NHS, ils sont incités à l'avoir, ce qui semble assez pervers à certains égards", a-t-elle déclaré, "nous ne pouvons pas faire des gens, ce n'est pas dans leur contrat actuellement qu'ils doivent avoir ces vaccins."
Ahmed n'a pas mentionné la source de ses chiffres.
Un article publié jeudi par Community Care a déclaré que 41 % des 300 membres du personnel ont participé à une enquête instantanée et ont déclaré qu'ils ne prendraient pas de vaccin à ce moment-là, citant des raisons telles que le manque d'informations sur les effets secondaires et la durée de l'immunité.
Ahmed n'a pas répondu à une demande de commentaire.
https://www.zerohedge.com/markets/40-uk-care-workers-may-not-want-get-covid-19-vaccine
La Suède voit des démissions "sans précédent" dans le secteur de la santé dans un contexte de deuxième vague
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 14 DÉC 2020-14: 45
Les travailleurs de la santé suédois démissionnent à un rythme alarmant.
L'exode de l'industrie a été si brutal que la présidente de l'Association suédoise des professionnels de la santé, Sineva Ribeiro, a qualifié la situation de «terrible», selon Bloomberg.
Avant la pandémie, le pays faisait déjà face à une pénurie de spécialistes et d'infirmières, note le rapport. Aujourd'hui, près d'un an après le début de la crise de Covid et avec la capacité de soins intensifs de Stockholm atteignant 99 %, il y a moins de personnes qualifiées disponibles pour travailler dans le secteur de la santé qu'au printemps.
Les membres de l'Association suédoise des professionnels de la santé l'ont qualifiée de "situation intenable". Le maire du comté de Stockholm a qualifié la situation "d'extrêmement tendue" et a reconnu qu'il y avait un besoin de personnel. Elle a déclaré vendredi: «Il y a de la fatigue. Vous ne pouvez pas l’ignorer, il est donc extrêmement important d’attirer plus de gens. »
Mais le personnel est tellement «désespéré» de prendre des congés qu'il considère la démission comme sa seule option, a déclaré le syndicat. "Nous n'avons pas le personnel pour le faire", a déclaré Ribeiro. «J'ai parlé aux membres en août qui ont dit qu'ils démissionneraient parce que c'était la seule façon de prendre du temps et de récupérer. Nous constatons des taux élevés de maladie, des symptômes d’épuisement et des membres infectés. »
- voir graphique sur site -
Et pour le moment, on ne sait guère d'où proviendront les nouvelles capacités et le nouveau personnel. Le comté de Stockholm a déjà demandé l'aide des forces armées du pays, mais l'armée n'a peut-être pas non plus les ressources nécessaires pour l'aider. La Suède demande également de l'aide aux pays voisins, comme la Finlande. La Finlande a déclaré qu'elle était prête à libérer de l'espace pour les unités de soins intensifs suédois.
Une autre raison pour laquelle les démissions se multiplient est que les infirmières ne gagnent qu'environ 33 600 $ en salaire de base, ce qui a permis de décider facilement que travailler pendant la pandémie ne vaut tout simplement pas la peine. Rappelez-vous, en août, nous avons écrit sur les ambulanciers ambulants quittant leur emploi dans des «nombres alarmants» aux États-Unis en raison de la pandémie et de la faible rémunération.
Oren Barzilay, président de la section locale 2507 du FDNY-EMS, représentant les médecins de la ville de New York, a noté qu'environ 60 ambulanciers avaient quitté le département entre mai et août.
"Ils voient les risques associés à l'emploi et aux bas salaires, et cela n'en vaut tout simplement pas la peine", a déclaré Barzilay. Les EMT commencent à seulement 30 000 $ par an à New York et paient le dessus à environ 50 000 $. À l'échelle nationale, l'emploi ne paie que 38 830 $ par année en moyenne.
De manière alarmante, Michael MacNeil, président de l'association EMS de Boston, a déclaré que ce ne sont pas seulement les anciens EMT qui abandonnent. Au contraire, ceux qui n'ont que quelques années d'expérience sur le terrain partent également - et les nouveaux postes deviennent difficiles à pourvoir. Il a déclaré: "Nous n'intéressons pas les gens et n'avons pas suffisamment de candidats qualifiés pour pourvoir les sièges disponibles. Nous ne pouvons pas pourvoir les postes."
RépondreSupprimerSelena Xie, présidente de l'Association Austin EMS, représentant les médecins à Austin, au Texas, a déclaré que 25 ambulanciers étaient partis jusqu'en août, sur le point de doubler la moyenne annuelle de 30. Xie a déclaré: "Nous savons avec certitude que le virus aide les gens à faire le décision que ce n’est pas un travail idéal en ce moment et que leur propre santé et celle de leur famille sont en danger. "
https://www.zerohedge.com/medical/sweden-seeing-unprecedented-resignations-healthcare-amid-covid-hospitalization-surge
Regarder: Bill Gates dit que les verrouillages devraient se poursuivre jusqu'en 2022
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 14 DÉC.2020-8: 43
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Bill Gates, milliardaire de vaccins, souhaite que les entreprises et les services locaux restent fermés, les verrouillages, les masques et la distanciation sociale se poursuivant tout au long de l'année prochaine et jusqu'en 2022.
Gates a fait la déclaration dans une interview avec CNN dimanche.
Bill Gates a déclaré que les verrouillages devraient se poursuivre jusqu'en 2022, avec des bars et des restaurants fermés pendant les six prochains mois. Rejetez ce tyran. pic.twitter.com/2AWaeEuRAd
- Ian Miles Cheong (@stillgray) 13 décembre 2020
Gates a proclamé que «à moins que nous aidions d'autres pays à se débarrasser de cette maladie» et jusqu'à ce qu'il y ait «des taux de vaccination élevés» parmi les Américains, le «risque de réintroduction» restera.
. @ BillGates sur Covid: "Même jusqu'en 2022", nous devons être prêts à ce que la vie ne revienne pas à la "normale"
Dit "malheureusement" qu'il est "approprié" que les bars et les restaurants ferment au cours des "quatre à six prochains mois" pic.twitter.com/cmDD8pv3XR
- Tom Elliott (@tomselliott) 13 décembre 2020
Gates a déclaré que les «grands rassemblements publics» devraient rester interdits, la majorité de la plupart des bars, clubs et restaurants étant «malheureusement» fermés.
Gates a déclaré qu'il ne pouvait y avoir de retour à la «normale» qu'après 12 à 18 mois supplémentaires, et seulement «si nous le gérons bien».
Bill Gates veut détruire l'Amérique. https://t.co/FYOG7mOiqA
- SUPER-SPREADER Nick Searcy, INT’L FILM & TV STAR (@yesnicksearcy) 13 décembre 2020
À moins que Bill Gates ne veuille donner toute sa fortune à des personnes qui travaillent dans l'industrie des bars et de la restauration, son opinion ne vaut rien https://t.co/y7M6pS6VS5
- Ryan James Girdusky (@RyanGirdusky) 13 décembre 2020
Gates a également profité de l'occasion pour jeter un coup d'œil au président Trump, affirmant que son refus de concéder l'élection «complique» en quelque sorte la distribution des vaccins.
«La transition complique [les choses], mais la nouvelle administration est prête à s'appuyer sur des experts réels et à ne pas attaquer ces experts», a déclaré Gates, sans expliquer ce que les «experts» attaquent Trump ou comment le vaccin que le président a aidé à accélérer. , et est maintenant prêt à être déployé, est retenu.
Bill Gates n'est pas un médecin, pas même un médecin de Jill Biden.
- Cerno (@Cernovich) 13 décembre 2020
Gates avait précédemment déclaré que le monde ne reviendrait pas à la normale tant que "beaucoup de gens" ne prendraient pas un deuxième vaccin contre le coronavirus "super efficace" qui pourrait prendre des années.
En octobre, Gates prévoyait qu'un «meilleur scénario» pour un retour à la normale serait la fin de 2021, une date qui a été qualifiée avec la condition: «Nous ne savons toujours pas si ces vaccins réussiront.»
https://www.zerohedge.com/medical/watch-bill-gates-says-lockdowns-should-carry-2022
Le danger des masques est qu'ils s'humectent et contiennent des centaines de millions de microbes et virus (Nous respirons toutes & tous - avec ou sans masque - 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE et 2 millions en activité physique), c'est LA qu'est le danger ! car, en soufflant: ils partent 'tous ' (au lieu de s’éparpiller) en un nuage de milliards de microbes ou virus et, l'organisme ne peut répondre à des milliards !
Supprimer(...) Regarder: Bill Gates dit que les verrouillages devraient se poursuivre jusqu'en 2022 (...)
3022 !
Ce que l'on ne dit pas sur le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer. « Cobayes humains »?
RépondreSupprimerF. William Engdahl
Mondialisation.ca
dim., 13 déc. 2020 13:25 UTC
Bill Gates finance et fait la promotion sans relâche de nouveaux vaccins non testés censés nous protéger contre une mort « horrible » due au nouveau coronavirus et nous permettre également de reprendre une vie « normale ». Le géant pharmaceutique Pfizer vient d'annoncer ce qu'il prétend être des résultats spectaculaires obtenus lors des premiers tests sur l'homme. Ils utilisent une technologie expérimentale connue sous le nom d'édition de gènes, plus précisément l'édition de gènes de l'ARNm, une technique jamais utilisée auparavant dans les vaccins.
Avant de nous précipiter pour nous faire vacciner dans l'espoir d'une certaine immunité, nous devrions en savoir plus sur cette nouvelle technologie expérimentale et son manque de précision.
Le monde de la finance est devenu très nerveux le 9 novembre lorsque le géant pharmaceutique Pfizer et son partenaire allemand BioNTech ont annoncé dans un communiqué de presse qu'ils avaient mis au point un vaccin pour Covid19 qui était efficace à « 90 %« .
Le controversé chef américain du NIAID, Tony Fauci s'est immédiatement réjoui de la nouvelle. En effet, l'UE a annoncé qu'elle avait acheté 300 millions de doses de ce nouveau vaccin particulièrement coûteux. Si l'on en croit les marchés financiers, la pandémie serait de l'histoire ancienne.
Événements suspects
Cependant, il semble qu'Albert Bourla, le PDG de Pfizer, ne soit pas convaincu de ses propres affirmations. Le jour où sa société a publié son communiqué de presse sur les tests de vaccins proposés, il a vendu 62 % de ses actions Pfizer, réalisant ainsi des millions de profits. Il a passé l'ordre de vendre dans le cadre d'une option spéciale en août afin que cela n'apparaisse pas comme une « vente d'initié ». De plus, il l'a également programmé juste après les élections aux États-Unis et au moment où les grands médias déclaraient, illégitimement, Joe Biden comme le président élu. Il semble que Bourla ait eu un conflit d'intérêt assez évident dans le choix du meilleur moment pour publier son communiqué de presse ce même jour.
Bourla a menti tout en niant à la presse que sa société avait reçu des fonds de l'administration Trump pour développer le vaccin au moment de la publication du contrat de livraison de 100 millions de doses au gouvernement étasunien en été. Aux actions suspectes de Pfizer est venu s'ajouter le fait que la société ait d'abord informé l'équipe de Joe Biden plutôt que les agences gouvernementales étasuniennes concernées.
Mais c'est loin d'être la seule chose inquiétante dans l'annonce très médiatisée de Pfize
Le partenaire allemand
RépondreSupprimerPfizer, célèbre pour son Viagra et d'autres médicaments, s'est associé à une petite entreprise de Mayence, en Allemagne, BioNTech, qui a mis au point la technique de l'ARNm radical utilisée pour produire le nouveau vaccin contre le coronavirus. BioNTech n'a été fondée qu'en 2008. BioNTech a signé un accord avec la Fondation Bill & Melinda Gates en septembre 2019, juste avant l'annonce à Wuhan, en Chine, du nouveau coronavirus et juste avant que BioNTech ne fasse son entrée en bourse. L'accord prévoyait une coopération pour le développement de nouvelles techniques d'ARNm pour le traitement du cancer et du VIH. Curieusement, ce communiqué de presse, « La Fondation Gates voit le potentiel de BioNTech pour « réduire considérablement le VIH et la tuberculose dans le monde » » le 5 septembre 2019, a été supprimé.
BioNTech a également conclu un accord avec l'un des plus grands producteurs de médicaments en Chine, Shanghai Fosun Pharmaceutical Co, Ltd (« Fosun Pharma »), pour développer une version de son vaccin à ARNm pour les nouveaux coronavirus pour le marché chinois. Ai-Min Hui, président de la R&D mondiale de Fosun Pharma, a déclaré dans un communiqué du mois d'août :
« Le dosage du premier sujet chinois avec le BNT162b1 marque une étape importante du programme de co-développement mondial en Chine. Nous travaillons en étroite collaboration avec BioNTech et les autorités réglementaires pour évaluer la sécurité et l'efficacité du BNT162b1 et d'autres candidats pour le vaccinARNm... ».
Cela signifie que la même entreprise allemande de biotechnologie est à l'origine des vaccins contre la fièvre catarrhale du mouton qui sont distribués à toute vitesse en Chine, aux États-Unis et dans l'Union européenne. Le vaccin est soumis à une procédure d'approbation rapide dans un délai alarmant.
Les autorités étasuniennes et européennes, et sans doute aussi chinoises, ont renoncé aux tests standard sur les animaux en utilisant des furets ou des souris et sont passées directement aux « cobayes » humains
. Les tests sur l'homme ont commencé à la fin juillet et au début août. Trois mois, c'est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années sont la norme pour créer un nouveau vaccin. En raison du degré de panique mondial engendré par l'OMS au sujet du coronavirus, la prudence est de mise. Les fabricants de vaccins ont tous droit à une indemnité légale, ce qui signifie qu'ils ne peuvent pas être poursuivis si des personnes meurent ou sont handicapées à cause du nouveau vaccin. Mais le fait le plus alarmant concernant le nouveau vaccin Pfizer-BioNTech est que l'ARNm modifié par le gène pour l'application de vaccins humains n'avait jamais été approuvé dans le passé. Notamment, des tests de deux ans, revus par des pairs, effectués sur des souris nourries avec du maïs génétiquement modifié pulvérisé avec du Roundup riche en glyphosate de Monsanto, ont d'abord montré des tumeurs cancéreuses après neuf mois ainsi que des lésions du foie et d'autres organes. Les premiers tests de la société Monsanto ont pris fin au bout de trois mois et n'ont révélé aucun dommage. Une situation similaire existe avec les vaccins à ARNm modifiés par des gènes, qui sont distribués à la hâte après moins de 90 jours de tests sur l'homme.
« Expérimentale » explicite
RépondreSupprimerLe Dr Michael Yeadon a répondu dans un récent commentaire public sur les médias sociaux à un collègue du Royaume-Uni : « Tous les vaccins contre le virus du SRAS-COV-2 sont par définition nouveaux. Aucun candidat vaccin n'a été... en développement depuis plus de quelques mois ». M. Yeadon a ensuite poursuivi en déclarant
« Si l'utilisation d'un tel vaccin est approuvée dans des circonstances qui ne sont pas EXPLICITEMENT expérimentales, je pense que les bénéficiaires sont induits en erreur dans une mesure criminelle. En effet, il n'y a précisément aucun volontaire humain pour lequel il pourrait y avoir plus de quelques mois d'informations sur la sécurité de la dose administrée ».
Yeadon est bien qualifié pour en faire la critique. Comme il le note dans le commentaire, « J'ai un diplôme en biochimie et toxicologie et un doctorat en pharmacologie basé sur la recherche. J'ai passé 32 ans à travailler dans la R&D pharmaceutique, principalement dans le domaine des nouveaux médicaments pour les maladies des poumons et de la peau. J'ai été vice-président chez Pfizer & CEO.... d'une entreprise de biotechnologie que j'ai fondée (Ziarco - rachetée par Novartis). J'ai des connaissances en matière de R&D de nouveaux médicaments ». Il était auparavant chez Pfizer à un niveau très élevé.
Des cobayes humains ?
Le vaccin Pfizer-BioNTech est expérimental et loin d'être garanti comme étant sans danger, bien que Pfizer, l'UE et le célèbre Dr Tony Fauci semblent prêts à le lancer avant même la fin de l'année auprès de centaines de millions d'humains.
La technologie expérimentale est basée sur une manipulation génétique plutôt nouvelle, connue sous le nom d'édition génétique. Dans un article important du magazine Foreign Affairs du New York Council on Foreign Relations de 2018, Bill Gates a fait la promotion de la nouvelle technologie d'édition de gènes CRISPR comme étant capable de « transformer le développement mondial [global development] ». Il a indiqué que la Fondation Gates finançait depuis une décennie les développements de l'édition génétique pour les vaccins et d'autres applications.
Mais la technologie permettant de briser et de réparer les gènes humains est-elle vraiment sécuritaire ? Faut-il vraiment prendre des risques en donnant un nouveau vaccin expérimental jamais utilisé auparavant sur des humains ? Contrairement à ce que prétend Bill Gates, la réponse scientifique est non, il n'est pas prouvé qu'elle soit aussi sécuritaire.
Dans un article révisé par des experts dans la revue Trends in Genetics d'octobre 2020, les auteurs concluent que « la gamme des événements moléculaires possibles résultant de l'édition du génome a été sous-estimée et la technologie reste imprévisible sur le locus cible et loin de celui-ci ».
Le Dr Romeo Quijano, professeur retraité de pharmacologie et de toxicologie à la faculté de médecine de l'université des Philippines à Manille, a noté certains des dangers de l'édition expérimentale des gènes lorsqu'elle est appliquée aux vaccins humains. Quijano nous met en garde contre,
RépondreSupprimer« le danger que le vaccin puisse en fait « renforcer » la pathogénicité du virus, ou le rendre plus agressif, peut-être en raison d'un renforcement dépendant des anticorps (ADE), comme cela s'est produit lors d'études antérieures sur les vaccins testés sur les animaux. Si cela devait se produire dans un essai majeur sur l'homme, le résultat pourrait être désastreux. Cet effet indésirable grave pourrait même ne pas être détecté par un essai clinique, en particulier dans le cas d'essais cliniques très biaisés et chargés de conflits d'intérêts impliquant des sociétés de vaccins. Même lorsqu'un effet indésirable grave est détecté, il est généralement balayé sous le tapis ».
Il cite le cas d'un autre candidat vaccin ARNm de Gates, Moderna, où « trois des 15 sujets humains expérimentaux du groupe à forte dose ont souffert de symptômes graves et médicalement significatifs. Moderna a cependant conclu que le vaccin était « généralement sûr et bien toléré », ce dont les médias dominés par les entreprises ont consciencieusement rendu compte, dissimulant ainsi le réel danger... ».
Il note,
« L'ARNm exogène est intrinsèquement immunostimulateur, et cette caractéristique de l'ARNm pourrait être bénéfique ou nuisible. Il peut fournir une activité adjuvante et peut inhiber l'expression d'antigènes et affecter négativement la réponse immunitaire. Les effets paradoxaux de la détection immunitaire innée sur les différents formats de vaccins à ARNm sont incomplètement compris ». Quijano ajoute : « Un vaccin à base d'ARNm pourrait également induire de puissantes réponses à l'interféron de type I, qui ont été associées non seulement à l'inflammation mais aussi potentiellement à l'auto-immunité... et pourrait favoriser la coagulation sanguine et la formation de thromboses pathologiques ».
Quijano écrit dans l'article très documenté,
« Parmi les autres dangers, les vaccins à virus pourraient subir une recombinaison avec des virus naturels et produire des virus hybrides qui pourraient avoir des propriétés indésirables affectant la transmission ou la virulence. Les résultats possibles de la recombinaison sont pratiquement impossibles à quantifier avec précision compte tenu des outils et des connaissances existants. Les risques sont cependant réels, comme le montrent l'émergence de types de virus mutants, la pathogénicité accrue et les effets indésirables graves et inattendus (y compris des décès) à la suite de campagnes de vaccination de masse aléatoires et de tentatives antérieures infructueuses de mise au point de vaccins chimériques à l'aide de la technologie du génie génétique« .
Bill Gates, les fabricants de vaccins à ARNm, dont Pfizer/BioNTech et Moderna, et leurs proches alliés tels que le Dr Tony Fauci du NIAID, jouent clairement avec les vies humaines dans leur course à l'introduction de ces vaccins expérimentaux dans notre corps. Notamment, le même Dr Fauci et son NIAID détient le brevet d'un vaccin contre la dengue appelé Dengvaxia, commercialisé par Sanofi-Pasteur et promu comme un vaccin « essentiel » par l'OMS de Tedros depuis 2016. Robert F. Kennedy Jr a noté que Fauci et le NIAID « savaient, grâce aux essais cliniques, qu'il y avait un problème de réponse immunitaire paradoxale », mais qu'ils l'ont quand même administré à plusieurs centaines de milliers d'enfants philippins. On estime que jusqu'à 600 enfants vaccinés sont morts avant que le gouvernement n'arrête les vaccinations.
RépondreSupprimerIl est clair que le principe de précaution bien établi - en cas de doute sérieux, ne pas le faire - est ignoré par Fauci, Pfizer/BioNTech et d'autres en se précipitant pour approuver le nouveau vaccin à ARNm contre le coronavirus. La technologie de l'ARN messager n'a pas encore produit de médicament approuvé, et encore moins de vaccin.
https://fr.sott.net/article/36389-Ce-que-l-on-ne-dit-pas-sur-le-vaccin-contre-la-COVID-19-de-Pfizer-Cobayes-humains
Après les propos de Macron, près de 180 policiers prêts à démissionner dans l'Isère
RépondreSupprimer08:12 14.12.2020
Par Nikita Martynov
Plus d’une semaine après les propos d'Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès et les violences policières, les forces de l’ordre ne décolèrent pas. 180 agents dans l’Isère veulent quitter leurs fonctions, indique franceinfo. Selon un délégué départemental SGP Unité Police, les policiers veulent «des lois, des règlements qui protègent le flic».
Après les mots d’Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès et les violences policières, 180 policiers ont déposé une demande de rupture conventionnelle, dont 130 à Grenoble, s’estimant «lâchés» par le Président, rapporte le 13 décembre franceinfo.
«180 policiers en Isère, 130 à Grenoble. Comment va-t-on faire pour assurer la sécurité de tout un chacun?» s’interroge auprès du média Yannick Biancheri, secrétaire départemental du syndicat Alliance Police Isère, qui indique que le département manque déjà de 138 policiers.
Interrogé par franceinfo, Brice Gajean, délégué départemental SGP Unité Police, demande la concrétisation des promesses pour garantir la protection des policiers.
«On en a marre des dialogues, on en a marre qu’on nous parle. On veut des gestes, on veut des actions, on veut des lois, des règlements qui protègent le flic. Le flic lorsqu’il se lève le matin il ne sait pas ce qui va lui arriver», explique-t-il.
Yannick Biancheri se prononce pour «une peine minimale pour toute agression de policier».
«Une fois que le Président aura protégé la police, on pourra faire des Beauvau, faire des réunions pour voir plus grand, mais la principale préoccupation de mes collègues c’est ça: travailler dans une protection totale», précise-t-il.
Des propos qui indignent
Lors d’une interview accordée le 4 décembre au média en ligne Brut, Emmanuel Macron a évoqué les contrôles au faciès et les violences policières. Il a notamment jugé «insoutenable» que les contrôles policiers ciblent davantage les jeunes dont la peau «n’est pas blanche».
Il avait ainsi promis de créer une plateforme de signalement des discriminations lors des contrôles de police - qui sera gérée par l'État, le défenseur des droits et des associations. Selon lui, cette plateforme aura pour objectif de «dénoncer ces faits de manière très simple, unique et nationale».
Des policiers en colère
RépondreSupprimerCes paroles ont provoqué des actions de protestations de policiers un peu partout dans l'Hexagone. À Nîmes, des agents ont notamment distribué des bonbons et n'ont pas verbalisé ceux qui ne présentaient pas de dérogation valide. Des policiers ont par ailleurs contrôlé chaque véhicule sur la nationale vers Villeparisis, en Seine-et-Marne.
En réaction, Emmanuel Macron a annoncé le 8 décembre la tenue d’un «Beauvau de la sécurité» sur une réforme de la police à partir de janvier. Des représentants des forces de l’ordre, élus et citoyens doivent y participer. Le but: «améliorer les conditions d’exercice» et «consolider» les liens avec les Français.
Marlène Schiappa assure que la France ne renoncera pas «aux plans à trois» - vidéo
RépondreSupprimer13:36 14.12.2020
Par Maria Balareva
En renforçant les mesures contre la polygamie, interdite depuis une trentaine d’années dans l’Hexagone, le gouvernement ne projette pas de renoncer aux pratiques liées à «la liberté sexuelle et amoureuse» et donc aux «plans à trois», a assuré, au micro de Radio J, Marlène Schiappa.
Avec le durcissement des mesures contre la polygamie en France, impliquant le retrait des titres de séjour aux personnes polygames, le pays ne renoncera pas au «libertinage», a fait savoir sur Radio J la ministre déléguée à la Citoyenneté Marlène Schiappa.
La femme politique affirme avoir été souvent questionnée pour savoir si le gouvernement allait interdire l’infidélité ou les «plans à trois» dans le cadre du renforcement de l’arsenal législatif contrôlant la polygamie:
«Je vais rassurer tout le monde, on ne va pas interdire les plans à trois, on ne va pas interdire l’infidélité, on ne va pas interdire le polyamour», a tenu à souligner la ministre.
La France, «pays du libertinage»
«Il y a une liberté amoureuse, une liberté sentimentale, une liberté sexuelle, la France pays du libertinage, etc. Mais la polygamie c’est autre chose», a poursuivi la ministre.
Et d’expliquer:
«Parce qu’on contracte un mariage, on a le droit à un certain nombre de droits de la famille, héritage, filiation […]. La situation de polygamie appauvrit les droits de nombreuses femmes qui parfois ne sont même pas au courant qu’elles sont en situation illégale».
Une loi interdisant la polygamie
À noter que la polygamie est déjà interdite en France, selon l’article 147 du Code civil, alors que la loi Pasqua d’août 1993 interdit la délivrance de cartes de résidence de dix ans pour les étrangers en situation de polygamie. Ils ne peuvent pas non plus bénéficier du regroupement familial.
Malgré ces restrictions, certaines personnes réussissent à contourner la loi en se mariant à l’étranger.
Le 9 décembre, Marlène Schiappa a expliqué que, souhaitant «protéger les droits des femmes en matière de polygamie», le gouvernement français ne donnera pas de titres de séjour aux individus qui sont polygames.
Ceci s’inscrit dans le cadre d’un futur projet de loi conçu par Mme Schiappa avec M.Darmanin contre le «séparatisme religieux».
Le mariage ,,,! Bêh, çà fait 'un bout de temps' que çà n'existe plus ! Hahaha !
SupprimerLe bordel commence à 50 !
Les grenouilles jugées «trop bruyantes» par les voisins, un couple condamné à vider leur mare
RépondreSupprimer09:45 14.12.2020
Par Anna Borissova
Depuis neuf ans, deux couples de voisins de la commune de Grignols, en Dordogne, sont en conflit. Une mare abritant des grenouilles jugées trop bruyantes, qui empêchent les plaignants de dormir, est en cause. Les propriétaires du plan d’eau sont ainsi contraints de le combler sur décision du juge de l’exécution.
Un couple doit vider sa mare dans la commune de Grignols en Dordogne après une injonction de la justice, car les grenouilles du plan d’eau sont jugées trop bruyantes par les voisins, rapporte Franceinfo.
Selon le média, ces époux sont en conflit depuis neuf ans avec un couple de voisins concernant cette mare de 300 mètres carrés dans laquelle des grenouilles coassent une partie de la nuit.
Les voisins estiment que le bruit causé par les amphibiens les empêche de dormir. Après des années de procédure, la cour d’appel de Bordeaux a tranché en 2019 contre les batraciens, malgré le statut protégé des grenouilles.
En outre, le 3 décembre, le juge de l’exécution a imposé aux propriétaires de la mare de la combler d’ici 90 jours.
Un «dernier espoir»
«Je vide tout et dès que la mare est sèche, on appellera Cistude [une association de protection de la nature, ndlr], pour essayer de récupérer les amphibiens que la loi protège», a dit le propriétaire du plan d’eau en cause, cité par Franceinfo.
D’après le média, l’astreinte financière et les frais de justice ont dépassé les 10.000 euros pour le couple. Pourtant, cette famille attend la décision de la Cour de cassation qui a été saisie et doit rendre sa décision sur cette affaire fin janvier
Après l'interdiction d'emprunter une route (pour x mois !) afin que des grenouilles puissent la traverser sans dommage et copuler de l'autre côté, voici qu'arrive une loi interdisant aux animaux d'être bruyants (ils ne respectent pas le confinement !! et ne portent pas de masque !!).
SupprimerHistoires de poulaillers remises au devant de la scène par certaine personnes achetant une maison à la campagne et qui se plaignent ensuite des odeurs et des bruits de bétails !!! (alors qu'en ville près de voisins bronzés çà s'appelle du racisme ! Hahahaha !)
A quand la suppression des cigales ?
Les votes des collèges électoraux aujourd'hui, voici à quoi s'attendre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 14 DÉC.2020 - 7:37
Lundi, les membres du Collège électoral se réuniront tout au long de la journée dans leurs États respectifs pour voter officiellement à la présidence. La plupart des États proposeront des retransmissions en direct pour regarder les débats, qui auront lieu dans des lieux choisis par les législatures des États - généralement la capitale de l'État. Les exceptions incluent le Delaware - dont les électeurs se réuniront dans un gymnase, et le Nevada - qui sera le seul État à tenir sa réunion pratiquement cette année, selon le New York Times.
Les électeurs utiliseront des bulletins de vote papier pour voter pour le président et le vice-président.
Et tandis que 33 États exigent que leurs électeurs choisissent celui qui a remporté le vote populaire de l'État, 17 autres États ne «lient» pas leurs électeurs - qui peuvent voter pour qui ils choisissent. S'ils votent pour un autre candidat que celui qui a remporté l'État, ils sont considérés comme des «électeurs infidèles». En 2016, deux électeurs infidèles n'ont pas voté pour Trump, tandis que cinq électeurs infidèles n'ont pas voté pour Hillary Clinton. Les sept électeurs venaient d'Hawaï, du Texas et de l'État de Washington.
Les électeurs ont généralement une relation étroite avec les candidats ou les politiciens de leur État. Par exemple, en 2016, l'activiste démocrate Ed Buck - un donateur politique aux poches profondes depuis inculpé de trois chefs d'accusation après que plusieurs hommes noirs drogués ont été retrouvés morts dans son appartement - a été sélectionné pour le collège électoral, probablement par le représentant Adam Schiff (D -CA), membre du Congrès de son district qui a accepté les dons politiques du groupeur accusé.
Que se passe-t-il après la rencontre des électeurs ?
Les votes sont officiellement comptés au Congrès lors d'une session conjointe tenue dans la chambre de la Chambre le 6 janvier, avec le vice-président Mike Pence présidant l'affaire. Pence ouvrira les certificats, classés par ordre alphabétique par état, et les présentera à quatre «scrutateurs» - deux du Sénat et deux de la Chambre, qui comptent les votes. Une fois que Joe Biden aura reçu au moins 270 votes, comme cela devrait être le cas, Pence annoncera le résultat. La session ne peut pas se terminer tant que le décompte n'est pas terminé et déclaré publiquement, moment auquel l'élection est officiellement décidée.
Les membres du Congrès peuvent-ils bloquer le processus ?
Une fois le résultat lu le 6 janvier, les membres du Congrès auront une occasion de déposer des plaintes, qui devront être faites par écrit et signées par au moins un sénateur et un membre de la Chambre. L'objection serait ensuite débattue par chaque chambre séparément, chaque membre du Congrès étant autorisé à s'exprimer pendant cinq minutes. Le débat s'arrête dur après deux heures, après quoi chaque organe votera sur l'opportunité de rejeter les résultats de l'État, selon le Times.
Le Times note également que certains alliés de Trump «prévoient déjà des objections», ce qui devrait «constituer un bon théâtre politique», mais il est peu probable que cela change le résultat des élections.
Cela met-il fin au combat de Trump et de ses alliés pour contester les élections ?
Selon les avocats de la campagne Trump Rudy Giuliani et Jenna Ellis, «Le seul jour fixe dans la Constitution américaine est l'investiture du président le 20 janvier à midi», suggérant qu'ils épuiseront toutes les options légales pour annuler les résultats sur la base d'accusations de fraude dans plusieurs États clés.
Cela dit, Ellis avait précédemment appelé le 6 janvier, jour du dépouillement, une date «d'importance ultime».
RépondreSupprimerCela dit, le mois dernier, Trump a déclaré aux journalistes que si Biden était élu par le collège électoral, Trump quitterait ses fonctions.
"Certainement je le ferai, et vous le savez", a-t-il dit, ajoutant "Je le ferai et, vous le savez," bien qu'il ait également dit "Ce sera une chose très difficile à concéder parce que nous savons qu'il y a eu une fraude massive."
https://www.zerohedge.com/political/electoral-college-votes-monday-heres-what-expect
L'ingérence étrangère à la pelle: y a-t-il un endroit où la Chine n'a pas de membres du Parti PCC?
RépondreSupprimerDecember 14th, 2020
Est-ce que deux millions de communistes suffisent ?
Aujourd'hui, l'Australien a annoncé qu'un énorme dossier avait été divulgué de l'intérieur de la Chine, contenant 2 millions de noms et de détails de membres du Parti communiste. Ce ne sont pas nécessairement des espions, juste des espions potentiels qui ont des questions à répondre. Les gens s’inscrivent au PCC juste pour améliorer leurs perspectives en Chine, mais tous les membres du PCC doivent aussi prêter serment qui place les intérêts du parti au-dessus de tout et «être prêts à tout moment à tout sacrifier pour le parti». C’est un engagement avec un conflit d’intérêts qui fait de leur propre entreprise ou pays leur deuxième priorité. Pourquoi le permettons-nous? Voir aussi Sky News.
Les entreprises ayant une influence CCP comprennent des banquiers comme ANZ, Citibank et HSBC, ainsi que Boeing, Pfizer et AstraZeneca. Les vaccins Covid seront fabriqués par des entreprises comptant des membres du PCC, quelque part. Les entreprises partagent peut-être plus d'informations avec Pékin que ce à quoi elles s'attendaient.
En parlant d'ingérence étrangère, il semblerait que le décret 13848 soit en cours
Les indices se renforcent.
Maria Bartiromo a interviewé le général Michael Flynn, qui mentionne que John Ratcliffe - le DNI - directeur du renseignement national - fera son rapport vendredi. Si le décret de 2018 - qui a été conçu pour faire face à l'ingérence étrangère dans les élections américaines - a été activé, alors le DNI est un acteur clé qui doit faire rapport dans les 45 jours, c'est-à-dire d'ici vendredi. Flynn ajoute que si les preuves sont là, l'une des choses qu'il recommanderait est que «Donald Trump doit déclencher le décret 13848 et nommer un avocat spécial». C'est potentiellement beaucoup plus puissant que cela.
Flynn mentionne également que Donald Trump a plusieurs chemins vers la victoire, expliquant que Sidney Powell a quatre poursuites en cours devant la Cour suprême. La preuve de l'ingérence étrangère se trouve sur DefendingTheRepublic.org.
Des votes électroniques ont été inversés au Michigan, selon un enquêteur médico-légal
À l’époque, Flynn n’était pas sûr que l’enquête sur la machine à voter du comté d’Antrim, dans le Michigan, ait trouvé des preuves de basculement des votes par ordinateur. Mais en effet, c'est le cas - Michigan Vote Flip s'est produit en raison d'un programme informatique et non d'une erreur humaine. Les machines à voter du Dominion nous ont dit que c'était une «erreur de l'utilisateur» lorsque des milliers de votes sont allés à Joe Biden au lieu de Donald Trump. Mais l'audit médico-légal suggère qu'il s'agissait d'un retournement d'ordinateur délibéré. Dans combien de comtés cela s'est-il produit et n'importe quel tribunal peut-il prétendre que cela n'a pas d'importance ?
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerLe marais judiciaire:
En parlant de tribunaux, une personne appelant à une émission de radio dit qu'elle est greffière à la Justice sur SCOTUS. Il a décrit la colère et l'intimidation: «aujourd'hui ne ressemblait à rien de ce que nous ayons jamais vu». Il y avait apparemment beaucoup de cris à huis clos alors que SCOTUS considérait le costume du Texas. Le juge en chef Roberts criait: «Allez-vous être responsable des émeutes si nous entendons cette affaire?»
S'il s'agit d'un rapport précis, SCOTUS avait peur de faire l'affaire car les amis de l'accusé pourraient piller, piller et brûler. Roberts a apparemment crié: "Je vais vous dire comment vous voterez."
Le juge Clarence Thomas dit: «C'est la fin de la démocratie, John.»
Les intimidateurs ont peut-être gagné ce tour.
Le marais d'Intel
Flynn parle également de l'échec de la culture du renseignement américain sous l'administration Obama. Alors que le contre-espionnage était concentré sur Donald Trump et Flynn, ils ont raté les menaces réelles, de Swalwell et des Bidens. «C'est dangereux, nous jouons avec le feu en ce moment.»
Eric Swalwell a poussé le canular de RussiaGate, mais tout au long de son association avec un espion chinois:
Un agent chinois connu sous le nom de Fang Fang, ou Christine Fang,… »a développé une relation avec le canular russe Swalwell, qui a commencé à siéger au Comité permanent de sélection permanent de la Chambre des États-Unis sur le renseignement et en tant que membre de rang de son sous-comité de la Central Intelligence Agency en 2015. Rapports d'un agent politique et d'un responsable du renseignement indiquent que Fang a levé des millions pour la réélection de Swalwell en 2014 et a aidé à placer au moins un stagiaire dans son bureau de Washington, DC. - Le fédéraliste.
h / t Scott du Pacifique, Bill C. PeterS.
https://joannenova.com.au/2020/12/foreign-interference-in-spades-is-there-anywhere-china-doesnt-have-ccp-party-members/#more-74748
Pourquoi je suis devenu climato-sceptique … parce que j’ai résonné comme un enfant de huit ans !
RépondreSupprimerle 14 décembre 2020
Par déformation professionnelle puisque j’ai consacré ma carrière à la recherche scientifique en biologie j’ai toujours douté des résultats de mes propres travaux parfois tellement sophistiqués qu’il était pratiquement impossible de les reproduire. Et pour que mes lecteurs comprennent vraiment ce que cela signifie, quand on a réussi à publier ses propres travaux dans une grande revue scientifique à comité de lecture (et je peux vous affirmer que ces « re-lecteurs » anonymes ne sont pas tendres) alors on n’a qu’une seule mais immense appréhension : être contredit par une autre équipe de scientifiques à l’autre bout du monde. Pour parer à cette éventualité destructrice on se met spontanément en position de douter de ses propres travaux et on tente d’atteindre la perfection qui ne peut malheureusement jamais être atteinte à moins d’attendre une nouvelle vie avec de nouvelles techniques d’investigation.
Comment donc un chimiste de formation ayant bifurqué au hasard des cours délivrés à l’université vers la biologie, plus précisément l’enzymologie, peut-il oser s’intéresser au climat, la science, par excellence, du chaos. En effet, si on voulait mettre en équations l’évolution du climat jour après jour, année après année, siècle après siècle, aucune mathématicien n’y arriverait et le plus puissant ordinateur au monde n’y arriverait pas non plus. Le nombre de variables physiques interagissant les unes avec les autres et ayant une influence sur le climat et son évolution est tel qu’il est impossible de tenter la moindre prédiction. Tous les modèles prédictifs de l’IPCC et de l’OMS sont faux.
Je reviens à ma spécialité de recherche passée pour illustrer mon propos. J’avais entrepris avec quelques collègues d’écrire des équations très simplifiées décrivant ce que l’on appelle la glycolyse, le processus d’oxydation du glucose pour arriver finalement à l’acétate qui va ensuite être pris en charge par la cellule vivante pour d’autres voies métaboliques. Tous les enzymes impliqués dans ce processus sont soumis à des signaux régulateurs et il y a tellement de paramètres à prendre en considération qu’il est impossible de simuler cette toute petite chaîne métabolique pourtant la plus fondamentale pour la cellule vivante. Pour le climat il en est de même, tenter une simulation est voué à l’échec.
En tant qu’ancien scientifique devenu écrivain sur mon blog, quand j’ai donc commencé à m’intéresser au climat et à tout ce que l’on racontait à ce sujet, j’ai très rapidement compris que tous les discours ne faisaient jamais mention d’observations simples que n’importe quel enfant de huit ans, l’âge de mon plus jeune petit-fils, peut constater par lui-même. Quand je pose mon verre de lait sorti du réfrigérateur le matin pour le boire avec mon café bien chaud, je pose la tasse de café sur ma table en bois ainsi que le verre de lait. Je constate, et n’importe quel enfant de 8 ans peut le constater aussi, que le verre de lait froid « refroidit » la table et que la tasse de café chaud « réchauffe » la table. Faisons une « expérience de pensée » comme le fit Galilée pour concevoir uniquement par la pensée que tous les corps tombent à la même vitesse dans le vide bien que je n’oserais pas me prendre pour Galilée qui fut l’un des plus grands savants de tous les temps. Un enfant de 8 ans comme mon petit-fils pourrait me dire par exemple que la table a cédé de la chaleur au verre de lait, la chaleur que cette table possédait en elle avant que je pose sur elle le verre de lait froid, et que par conséquent elle s’est refroidie. C’est la bonne réponse, elle est parfaitement exacte.
RépondreSupprimerPour la tasse de café mon petit-fils me dira qu’elle a cédé de la chaleur à la table puisque la table se trouve à la température ambiante et donc plus froide que la tasse de café. Cette fois-ci le processus est donc inverse de celui du verre de lait froid, et mon petit-fils a encore raison. Si on n’est pas assez curieux ou si on refuse de pousser le raisonnement plus loin alors on conclura que le corps chaud réchauffe le corps froid et que le corps froid refroidit le corps chaud. Point final, c’est logique, une logique que comprendra mon petit-fils si je lui demande de réfléchir un peu. Mes chers lecteurs septuagénaires comme votre serviteur, faites l’expérience avec vos petits-enfants vous serez étonné par leur logique.
Maintenant pour un esprit un peu plus curieux poursuivant l’expérience de pensée, celle qui m’a justement conduit à devenir climato-sceptique, si la table a cédé de la chaleur, par contact (transfert de chaleur massique) ou par rayonnement infra-rouge peu importe, au verre de lait, pourquoi cette même table, bien qu’ayant été réchauffée par la tasse de café, n’a-t-elle pas pu céder aussi de la chaleur à la tasse de café chaud puisqu’elle l’a fait pour le verre de lait froid ? Je répondrai modestement à mon petit-fils que « c’est interdit par la loi ». Combien d’adultes se sont lassés lorsqu’ils étaient assaillis de « pourquoi » par leurs enfants ! Avec le verre de lait froid et la tasse de café chaud mon petit-fils a compris intuitivement que la chaleur passe toujours du corps chaud vers le corps froid et non l’inverse, ce qui est décrit par le deuxième principe de la thermodynamique.
Alors comme je suis observateur et que j’habite dans une ville qui s’étale entre le bord de mer et des montagnes à plus de 600 mètres d’altitude j’ai toujours remarqué qu’il fait toujours plus froid à 600 mètres qu’au niveau de la mer. Même mon petit-fils le constaterait mais il ne trouverait aucune explication. C’est précisément sur ce point que toute la théorie de l’effet de serre de n’importe quel gaz que contient l’atmosphère s’effondre. Comment les lois de la physique peuvent-elles expliquer que l’air à 600 mètres d’altitude, à une température, été comme hiver, soit d’environ 6 degrés plus froide qu’au niveau de la mer et puisse d’une manière ou d’une autre être capable de réchauffer l’air se trouvant au niveau de la mer qui est précisément plus chaude ?
Revenons à la table, à la tasse de café chaud et au verre de lait froid ! Les systèmes table + tasse de café chaud ou verre de lait + table ne sont pas des systèmes réversibles. C’est ce qu’a pour la première fois formulé le physicien français Sadi Carnot en 1824. La tasse de café a cédé de la chaleur acquise par la résistance électrique dans ma machine à café et cette chaleur a été cédée irréversiblement à la table. Dans le cas du verre de lait froid et de la table « refroidie » par ce dernier il a fallu l’intervention du compresseur du réfrigérateur pour « enlever » de la chaleur au lait et le rendre plus froid que la table sur laquelle il était posé. C’est exactement la définition du deuxième principe de la thermodynamique mentionné ci-dessus et découvert intuitivement par mon petit-fils que les joyeux fonctionnaires de l’IPCC, à Genève, entre deux verres de Chasselas du Valais, ont foulé aux pieds : les hautes couches de l’atmosphère ne peuvent pas réchauffer les basses couches de cette même atmosphère. Qu’ils continuent à boire du vin du Valais, grassement rétribués par les contribuables de la planète entière, ils ne pourront jamais modifier les lois fondamentales de la thermodynamique comme ils ont tenté de le faire en imaginant une sorte de mouvement perpétuel qu’ils ont appelé pompeusement « forcing rétro-radiatif » pour bien embrouiller les esprits déjà passablement dérangés des politiciens. C’est ainsi que je suis devenu climato-sceptique et que je n’ai jamais cessé d’émettre de sérieux doutes sur l’échafaudage fallacieux de la théorie de l’effet de serre et par voie de conséquence du réchauffement du climat d’origine humaine.
RépondreSupprimerCette théorie anti-scientifique de l’effet de serre repose enfin sur une lacune grossièrement mise sous le tapis par ces mêmes experts de l’IPCC : le gradient adiabatique auquel est soumis l’atmosphère en raison de la gravitation (lapse rate en anglais). Pour que mon petit-fils comprenne ce que signifie physiquement ce « lapse rate » il faudrait qu’il puisse gonfler les pneus de son vélo avec une pompe ancien modèle, un tube d’aluminium dans lequel on fait plonger un piston qui propulse l’air dans la chambre à air du pneu. En gonflant le pneu de son vélo mon petit-fils me demandera tout de suite pourquoi le tube de la pompe chauffe. Sans le savoir il aura redécouvert la loi de Mariotte ! L’équation décrivant la loi de Mariotte est la suivante : PV = RT, où P est la pression du gaz, dans le cas présent l’air, V le volume considéré, T la température de l’air et R une constante dite constante des gaz. Elle peut s’écrire aussi : PV/P’V’ = T/T’ .
En appuyant sur le piston de sa pompe à vélo mon petit-fils réduit le volume d’air V initialement à la température T et à la pression atmosphérique P en augmentant la pression à la valeur P’ et à un volume réduit V’. Inévitablement la température augmente et devient égale à T’. Magique dirait mon petit-fils. Pas tant que ça car l’effort musculaire appliqué au piston de la pompe s’est transformé en chaleur. Dans le cas de l’atmosphère c’est la gravitation terrestre s’appliquant sur la colonne d’air qui créé le gradient de pression et de densité et ce gradient est ressenti en constatant que l’air à 600 mètres d’altitude se trouve à une température de près de 6 degrés plus basse qu’au niveau de la mer. Les fameux experts de l’IPCC ont soigneusement dissimulé cette évidence sinon ils n’auraient jamais pu échafauder leur hypothèse de l’effet de serre … Un enfant de huit ans peut le comprendre !
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/14/pourquoi-je-suis-devenu-climato-sceptique-parce-que-jai-resonne-comme-un-enfant-de-huit-ans/
Toutes chaleurs montent et disparaissent de la surface de la Terre depuis 'la nuit d'étangs'. C'est aussi pourquoi le café chaud refroidit tandis que le verre de lait atteindra un peu plus tard la température de la pièce.
SupprimerMais là je voudrais expliquer un principe de production de chaleur grâce à une lumière froide !
J'ai une serre. Cette serre n'est pas de verre mais montée de plastique (200 µ). Ce plastique reçoit en hiver la lumière du soleil (parfois il gèle dehors et pas dans la serre !), cette lumière froide se transforme en chaleur dans la serre grâce au plastique ! Notons que 'j'ai inventé' (houlala !) la serre doublée (serre gigogne ou poupée russe). 2 plastiques (200 µ) sont séparés de 10 cm env. Cet espace d'air (comme pour les briques creuses en terre cuite ou parpaings alvéolés en ciment) empêche le froid de rentrer et d'y geler les bananiers '(avec régimes). Je précise qu'il s'agit d'une serre froide et non chauffée).
Le sol réchauffé joue aussi son pouvoir de maintien. Il faut donc que la serre ait un minimum de 6 m d'un plastique à l'autre.
Intérieurement, la serre est arrosée, ce qui produit de la buée aux plastiques intérieurs mais pas au plastique extérieur car, la condensation sur le support produirait de la glace et transférerait une partie du froid extérieur !
Il s'agit donc là d'un 'effet de serre'.
C'est la présence de gaz (autour de la Terre) qui réchauffe car, à 10 000 m ou à 10 000 km (en direction du soleil)... l'air est froid et même glacial !
D'où 'l'effet plastique' entourant notre planète.
(Notons que le gaz carbonique - le plus lourd de tous les gaz - ne se trouve pas en altitude mais au ras du sol. D'où l'idiotie que le gaz carbonique puisse jouer 'Les fées de serre' !).
"Une tempête hivernale majeure" en bonne voie pour toucher le centre de l'Atlantique et le nord-est cette semaine
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 14 DÉC 2020-11: 25
Pour des villes comme Washington, DC, Baltimore, Philadelphie et New York, une "tempête hivernale majeure" de mercredi à jeudi risque de provoquer des pannes de courant généralisées et de perturber les déplacements le long du corridor de l'Interstate 95, selon le National Weather Service (NWS ).
La première tempête de neige importante de la saison pourrait se transformer en un «nor'easter» le long de la côte est, alors que les pertes économiques augmentent à la suite de la fermeture de restaurants et d'autres entreprises de services, alors que le pays est aux prises avec une augmentation des cas de coronavirus, des hospitalisations et des décès.
"De fortes chutes de neige sont attendues à l'ouest et au nord du couloir 1-95, et près des régions métropolitaines de Washington DC, Philadelphie, New York et Boston. Parallèlement, la pluie verglaçante et les accumulations de glace sont de plus en plus préoccupantes dans certaines parties du nord-ouest du nord. Caroline et le sud-ouest de la Virginie », a déclaré NWS.
«Nous serons en mesure de partager des informations plus spécifiques sur le total de neige demain en surveillant le système de tempête prévu en milieu de semaine. Pour l'instant, voici la probabilité de 6 pouces ou plus de neige pour le système, selon le mélange national de modèles du NWS. Les meilleures chances de fortes chutes de neige restent à l'est ", a tweeté NWS.
- voir carte sur site -
Nous avons d'abord décrit le potentiel de la tempête hivernale vendredi dernier, car elle «pourrait avoir un impact considérable sur les restaurants qui luttent pour survivre avec des repas en plein air».
https://www.zerohedge.com/commodities/major-winter-track-impact-mid-atlantic-and-northeast-week
Supprimerhttps://www.ventusky.com
Le stock de SolarWinds coule après un piratage gouvernemental massif
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 14 DÉC.2020-9: 36
Les actions du fournisseur d'infrastructure informatique basé au Texas, SolarWinds, ont chuté de plus de 15% lundi matin, après que des pirates informatiques sponsorisés par l'État travaillant pour la Russie aient ciblé le Trésor américain, la National Telecommunications and Information Administration (NTIA) du département du Commerce et d'autres agences gouvernementales dans une campagne de cyberespionnage à grande échelle. .
- voir graphique sur site -
Selon des sources anonymes dans le Washington Post, le piratage a été mené par "Cozy Bear'', ou APT29, un groupe russe qui aurait violé la société de cybersécurité FireEye plusieurs jours auparavant - s'enfuyant avec les outils de test de pénétration de la société "Red Team".
«Le compromis des produits de gestion de réseau Orion de SolarWinds présente des risques inacceptables pour la sécurité des réseaux fédéraux», a déclaré Brandon Wales, directeur par intérim de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) des États-Unis. L'agence a publié une directive d'urgence aux agences fédérales et civiles pour qu'elles examinent leurs réseaux pour détecter toute activité suspecte et pour déconnecter ou éteindre immédiatement les produits SolarWinds Orion, selon TheHackerNews.
Les produits de mise en réseau et de sécurité de SolarWinds sont utilisés par plus de 300 000 clients dans le monde, y compris des sociétés Fortune 500, des agences gouvernementales et des établissements d'enseignement.
Il dessert également plusieurs grandes entreprises de télécommunications américaines, les cinq branches de l'armée américaine et d'autres organisations gouvernementales de premier plan telles que le Pentagone, le département d'État, la NASA, la National Security Agency (NSA), le service postal, la NOAA, le ministère de la Justice et le Bureau du président des États-Unis.
FireEye, qui suit la campagne d'intrusion en cours sous le nom de "UNC2452", a déclaré que l'attaque de la chaîne d'approvisionnement tire parti des mises à jour du logiciel d'entreprise SolarWinds Orion trojanized afin de distribuer une porte dérobée appelée SUNBURST.
"Cette campagne a peut-être commencé dès le printemps 2020 et est actuellement en cours", a déclaré FireEye dans une analyse dimanche. «L'activité post-compromis suite à ce compromis sur la chaîne d'approvisionnement a inclus des mouvements latéraux et des vols de données. La campagne est l'œuvre d'un acteur hautement qualifié et l'opération a été menée avec une sécurité opérationnelle significative. -TheHackerActualités
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerCapture d'écran via TheHackerNews.com
«Une classe de logiciels malveillants a été incluse parmi de nombreuses autres classes légitimes, puis signée avec un certificat légitime», a déclaré Microsoft, qui a corroboré les résultats de SolarWinds dans une analyse distincte, ajoutant que «le binaire résultant comprenait une porte dérobée et était ensuite discrètement distribué dans les cibles organisations. "
En savoir plus sur le hack ici:
https://www.zerohedge.com/political/solarwinds-stock-sinks-after-massive-government-hack
L'ère des cyborgs — Feu vert de l'armée française pour développer des « soldats augmentés »
RépondreSupprimerM.K. Scarlett
Sott.net
dim., 13 déc. 2020 14:02 UTC
Le soldat du futur ressemblera-t-il plutôt à Spiderman avec ses améliorations génétiques ou plutôt à Batman et tous ses gadgets technologiques ? Le comité d'éthique du ministère de la Défense a donné son feu vert à l'étude des techniques invasives et non invasives visant à rendre un soldat « augmenté », indique Le Monde. Parmi celles-ci, les opérations chirurgicales, l'intégration de puces et d'implants ainsi que l'injection et l'absorption de substances.
Image fournie par le ministère des armées. Vision de ce que pourrait être le combattant du futur en 2040/2050, avec des vêtements connectés, plus de protections et une interface homme/machine permettant d’aider le combattant, et issue de travaux d’étudiants de l’école de design Strate pour l’armée de terre.
L'armée française pourrait être complétée par des « soldats augmentés » si les recherches sur le renforcement des capacités des militaires via la technologie avancent, toujours selon Le Monde. L'ouverture de tels travaux été a été approuvée à titre consultatif par le comité d'éthique du ministère de la Défense.
En imaginant le soldat de 2030, le comité d'éthique des armées a tranché pour un mix entre Spiderman et Batman, dans son premier avis publié cette semaine. Le groupe composé de 18 membres de civils et militaires est chargé d'apporter un éclairage sur les questions d'éthique soulevées par les innovations scientifiques, techniques et leurs éventuelles applications militaires. Il devait travailler sur deux thématiques : le soldat augmenté et l'autonomie des systèmes d'armes létaux déjà testés en Chine via un drone d'attaque et commandé en masse par le Royaume-Uni. Concernant le premier sujet, le groupe de réflexion créé fin 2019 estime qu'il est nécessaire de commencer les recherches sur des méthodes invasives ou non pour augmenter les capacités des soldats.
Les « augmentations » au menu militaire
Il s'agit notamment d'opérations chirurgicales, par exemple celles des oreilles pour distinguer des fréquences très basses ou très élevées, de l'intégration de puces sous-cutanées censées transmettre des informations à distance et d'implants qui permettent « de prendre le contrôle d'un système d'armes ».
Enfin, cela pourrait également se faire par l'injection ou l'absorption de différentes substances. Celles-ci viseraient à l'augmentation de « la résistance face au phénomène d'isolement ou à la suite de la capture par l'ennemi ».
Sans oublier l'utilisation d'exosquelettes, d'objets connectés ou de robots tueurs, explique le quotidien en citant un document du comité qu'il a pu consulter.
Bien que ledit comité ait donné son feu vert, il a émis un certain nombre de recommandations. Composé de 18 membres civils et militaires, il conseille ainsi d'étudier les avantages, les risques et les effets secondaires sur le corps pour chaque innovation. La « réversibilité » de ces modifications devra également être analysée.
RépondreSupprimerQuelles sont les méthodes invasives d'amélioration ?
Les méthodes non-invasives utilisées jusqu'à présent ressemblent plutôt à la méthode de Batman, c'est-à-dire l'utilisation de la technologie comme une auxiliaire aux forces armées. Ce sont par exemple les exosquelettes ou encore les objets connectés comme des pansements pour suivre l'évolution des plaies. Quant à la méthode invasive, elle correspond davantage au secret des pouvoirs de Spiderman, c'est-à-dire la modification biologique des compétences de l'être humain, comme une puce implantée dans le cerveau pour contrôler des armes à distance.
Aujourd'hui, la méthode invasive est très peu utilisée par l'armée française. Les seules applications consistent entre autres en l'ingérence de produits pour récupérer plus rapidement après l'effort ou pour diminuer le stress. Avec des recherches, on pourrait imaginer d'autres applications qui relèvent davantage de la science-fiction comme l'opération des oreilles vue plus haut afin d'entendre des fréquences très hautes ou très basses, et/ou comme la modification du système oculaire pour se passer de longue vue, et/ou encore des substances pour améliorer la résistance à l'isolement ou à la capture par l'ennemi.
La Chine aurait déjà commencé les tests sur des humains
Vous commencez déjà à imaginer les guerres du futur version Avengers ? Ne partez pas trop loin : Florence Parly, ministre des Armées, vous invite à redescendre rapidement sur Terre et à « mettre fin à tout fantasme ». Dans un communiqué faisant suite à l'avis délivré à titre consultatif, elle précise que « ces évolutions dites invasives ne sont pas à l'agenda des armées françaises ». Il s'agirait seulement de commencer les recherches en la matière pour se tenir prêt « afin d'éviter tout risque de décrochage capacitaire de nos armées », argumente le comité d'éthique.
En France, le sujet d'un homme biologiquement modifié pose de nombreuses questions d'éthique, ce qui explique les réticences à avancer sur cette voie. Tous les pays n'auraient pas les mêmes scrupules. En Chine, les avancées dans le domaine restent très opaques. Dans une chronique dans Wall Street Journal, John Ratcliffe, directeur américain du renseignement national, a indiqué que « les renseignements américains montrent que la Chine a même mené des tests sur des humains sur des membres de l'Armée populaire de libération dans l'espoir de développer des soldats avec des capacités biologiquement améliorées. Il n'y a pas de limites éthiques à la poursuite du pouvoir à Pékin. » Le porte-parole de la Chine a néanmoins accusé l'Américain de proférer des mensonges.
Aux États-Unis, CNN rapportait déjà en 2016 que l'armée américaine avait dépensé des millions de dollars pour un implant avancé qui permettrait à un cerveau humain de communiquer directement avec des ordinateurs. En 2017, le président russe Vladimir Poutine annonçait de son côté l'avènement prochain d'un soldat « génétiquement modifié ».
RépondreSupprimer« La question des limites est essentielle »
Avant de se lancer dans cette course aux super-héros, le comité d'éthique et la ministre des Armées sont d'accord sur un point : « la question des limites est essentielle ». Selon Florence Parly, chaque transformation invasive devra être accompagnée d'une autre alternative. En d'autres termes, « plutôt que d'implanter une puce sous la peau, nous chercherons à l'intégrer à l'uniforme. » Pour répondre à toutes les problématiques liées à l'éthique, le comité a accompagné sa note d'une vingtaine de recommandations comme l'obligation d'avoir le consentement éclairé des soldats avant toute augmentation, l'établissement d'une liste « bénéfices/risques » pour chaque amélioration, l'interdiction d'opérer des augmentations cognitives qui pourraient atteindre au libre-arbitre ou encore le fait que chaque amélioration sur le corps soit réversible.
Pour le moment, nous n'en sommes qu'aux prémices de ce que l'on appelle le transhumanisme. Cependant, si l'armée s'intéresse à cette problématique, on peut envisager que la société pourrait s'y mettre quelques temps après. Après tout, de nombreuses inventions pour un usage militaire ont investi notre quotidien. C'est notamment le cas d'Internet ou plus récemment des exosquelettes. D'abord créés pour aider les militaires à porter des charges lourdes, on les utilise aujourd'hui pour aider les personnes à mobilité réduite à se déplacer.
Parmi les lignes rouges avancées par le Comité d'éthique figurent toute augmentation risquant de « provoquer une perte d'humanité ou serait contraire au principe de respect de la dignité de la personne humaine ». L'interdiction concerne aussi les augmentations cognitives affectant le libre arbitre et les transformations génétiques ou eugéniques.
Cité par Le Monde, le cabinet de Florence Parly souligne que rien n'est décidé pour le moment. « On privilégiera toujours le non invasif sur l'invasif » et « il y a des choses sur lesquelles on ne transigera pas », indique l'entourage de la ministre des Armées. Cependant, « c'est un futur auquel on doit se préparer ».
Est-ce que le ministère des armées peut s'autoriser à « doper » ses soldats par des procédés chimiques ou modifier leur corps pour les rendre plus performants lors des opérations militaires ? Ce sujet du « soldat augmenté » est le premier sur lequel le comité d'éthique de la défense a eu à réfléchir, depuis son installation en janvier 2020.
Sources de la première partie de l'article : Sputnik — Siècle digital — La Croix
Posons-nous quelques questions
RépondreSupprimerSi Google, Apple, Microsoft, Samsung, Sony et d'autres méga-sociétés conduisant au mondialisme arrivent à leurs fins, cette technologie ne sera plus sur votre bureau mais sera à l'intérieur de votre corps. Bientôt, c'est à dire à l' horizon 2020-2030. De toute évidence, la mondialisation (ndlr concubine du Nouvel Ordre Mondial) offre de nouvelles opportunités inégalées, assortie d' un potentiel tyrannique inégalable. Et c'est le grand danger. Combiné avec le transhumanisme, les résultats pourraient être catastrophiques pour l'humanité. En fait, il s'agit bien de la fin de la race humaine telle que nous la connaissons.
Le mirage de l'homme augmenté, amélioré, qui permet encore une fois à l'être humain de ne pas prendre sa part de responsabilité dans le malheur qui est le sien. Pourquoi se soucier de la destruction de son propre corps, pourquoi vouloir comprendre les maladies de son propre esprit, pourquoi se préoccuper de la dégradation de son environnement : n'avons-nous pas les meilleurs pansements, les meilleures béquilles ? Cette négation à peine voilée de la mort elle-même et ce refus de l'inéluctable ne sont pas le résultat de la quête d'une connaissance juste qui permettrait à l'homme de se libérer. On pourra y voir à la place la manifestation d'une volonté de pouvoir et de contrôle sur un corps qui lui a été donné dans un environnement qui lui a été offert, l'expression de son incapacité à faire face à ses propres peurs en cherchant des raccourcis, des « buffets gratuits », des assurances à la vie.
Si la science moderne améliore réellement, par certains côtés, notre vie quotidienne, notre santé et notre compréhension de l'univers, les mises en garde restent toujours les mêmes. L'état actuel de notre monde nous montre que les découvertes scientifiques, des plus anodines aux plus importantes, créent plus de difficultés qu'elles n'en résolvent. Si la science n'est pas mauvaise en elle-même, les motivations qui nous animent, elles, semblent mener notre espèce dans la même voie sans issue : celle de la souffrance et de la destruction. On aura tôt fait, peut-être, de réaliser que le degré de conscience, aussi moteur de nos actions, est ce qui pose vraiment problème.
Aujourd'hui, tous les moyens sont « bons » pour transformer l'être humain vers un état pour lequel il n'est pas initialement « programmé », et les nouveaux « vaccins » à ARNm en font partie. Les militaires sont à cet effet et depuis la fin du XVIIIe siècle des cobayes et, pour ne prendre qu'un seul exemple, l'industrie du vaccin a en 1918-1919 fait des expériences sur des soldats, probablement avec des résultats désastreux. C'est avec la vaccine — une maladie bénigne des vaches qui ressemble à la variole — que tout commence en Grande-Bretagne (et non avec Pasteur qui créera lui le vaccin atténué), et cette vaccine donnera son nom au « vaccin ».
Les commodités valent-elles le sacrifice d'une liberté sempiternellement réclamé par ces mêmes spécialistes, ces mêmes leaders, ces mêmes élites et ces mêmes hommes d'influence qui n'ont toujours su que conduire l'être humain à sa perte ?
RépondreSupprimerVoir aussi nos Focus :
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Klaus Schwab : Le Grand Reset « mènera à une fusion de notre identité physique, numérique et biologique »
Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l'on appelle encore « vaccins
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l'humanité ?
Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d'une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS
Le psychopathe Rockefeller est-il à l'origine de la pandémie de « grippe espagnole » de 1918 ?
Et quelques articles relayés :
Transhumanisme : l'homme « réparé et augmenté » a-t-il encore besoin du divin ?
Qu'est-ce que le transhumanisme ?
Trexit ou transhumanisme totalitaire ?
https://fr.sott.net/article/36388-L-ere-des-cyborgs-Feu-vert-de-l-armee-francaise-pour-developper-des-soldats-augmentes
Complètement con ! A l'heure où 'tous' les pays possèdent l'EMP (en petite ou grande échelle) qui peut déconnecter tous les équipements électrique du monde, tabler sur la robotique est un gouffre d'escroquerie.
SupprimerLa SEULE réponse à la guerre (propagée par les 'dirigeants') est la Démocratie.
Qui veut la guerre ?
PERSONNE !
Alors, on fait quoi ?
Les NIMBY font plus de bruit que les éoliennes
RépondreSupprimerPar Ronald Stein
14 décembre 2020
On craint de plus en plus que la production d'électricité à partir de combustibles fossiles contribue au changement climatique et à la pollution atmosphérique. En réponse à ces préoccupations, les gouvernements du monde entier encouragent l'installation de projets de production d'électricité intermittente, y compris des éoliennes industrielles (IWT).
Mais Whoa, Nelly! Les NIMBY (Not-In-My-Backyard) du monde entier, de l'Allemagne à l'Australie, en passant par la Californie, New York et le Massachusetts, parlent fort et agissent pour mettre un terme à l'invasion de parcs éoliens bruyants dans leurs arrière-cours. Suite à de nombreux rapports du Maryland au Canada en France sur le bruit des éoliennes, les NIMBY sont de plus en plus sous tension (sans jeu de mots).
Le National Center for Biotechnology Information situé à Bethesda, Maryland (NCBI) a rapporté que la modulation d'amplitude du bruit des éoliennes industrielles, le bruit audible à basse fréquence, le bruit tonal, les infrasons et le manque de réduction nocturne ont été identifiés comme des caractéristiques de bruit plausibles qui pourraient causer des ennuis et autres effets sur la santé. Les symptômes documentés rapportés par les personnes exposées à des éoliennes comprennent: troubles du sommeil, maux de tête, pression auditive, étourdissements, vertiges, nausées, flou visuel, irritabilité, problèmes de concentration et de mémoire, et épisodes de panique associés à des sensations de pulsation interne ou de tremblements au réveil ou endormi.
La Loi sur l'énergie verte (GEA) de l'Ontario, Canada était peut-être bien intentionnée, mais une analyse récente publiée par le Fraser Institute, Environmental and Economic Consequences of Ontario's Green Energy Act, démontre que la GEA a eu des effets désastreux sur les tarifs énergétiques de l'Ontario. et va sérieusement menacer la compétitivité économique des secteurs manufacturier et minier.
L'Académie française de médecine déclare les nuisances sanitaires des éoliennes. L'extension prévue du secteur éolien terrestre suscite de plus en plus de plaintes de la part d'associations de riverains signalant des perturbations fonctionnelles réalisant ce que l'on appelle le «syndrome de l'éolienne». Le rapport note que le bruit est la plainte la plus fréquente. Le bruit est décrit comme perçant, préoccupant et continuellement surprenant, car il est d'une intensité irrégulière. Le bruit comprend des sons grinçants et incongrus qui distraient l'attention ou dérangent le repos. La récurrence spontanée de ces bruits perturbe le sommeil, réveillant brutalement le sujet lorsque le vent se lève et empêchant le sujet de se rendormir.
Malgré l’obsession politique pour l’électricité intermittente produite par les éoliennes, les NIMBY sont bien vivants! Voici un échantillon de NIMBY dans le monde entier, de l'Allemagne à l'Australie, en passant par la Californie, New York et le Massachusetts, qui s'activent pour arrêter l'installation de ces monstruosités dans leur arrière-cour:
RépondreSupprimerEn Allemagne, des milliers de personnes sont rendues folles par des bruits à basse fréquence et des infra-sons pratiquement incessants générés par les turbines, et ripostent avec une fureur et une énergie qui ont secoué l'industrie éolienne. Il existe désormais des centaines de groupes industriels anti-éoliens à travers l'Allemagne. Et bon nombre de ces groupes et individus ont lancé des poursuites contre les promoteurs et le gouvernement pour empêcher la construction de parcs éoliens ou pour demander une compensation financière substantielle pour la perte de l'utilisation et de la jouissance de leurs maisons. En Allemagne, les habitants ont exprimé leur opposition en des termes non équivoques - votant 25 contre 1 contre un projet éolien géant proposé pour leur coin de paradis.
En Australie et en Nouvelle-Zélande, des rapports d'effets néfastes sur la santé et de qualité de vie réduite sont également documentés dans les projets d'éoliennes industrielles (IWT) dans leurs pays.
En Californie, San Bernardino est le plus grand comté de l’État et «a interdit la construction de grands parcs solaires et éoliens de plus d’un million d’acres de terres privées». Les résidents ne veulent pas que leur communauté rurale du désert soit jonchée d'énergies renouvelables
À New York, les communautés rurales américaines, comme Arkwright, New York, sont allées à l’offensive contre l’assaut des grandes éoliennes. Andrew Cuomo, le gouverneur obsédé par l’énergie éolienne de New York est déterminé à couvrir son État de milliers d’éoliennes. Confrontés à la menace d'assaut et déjà fatigués de ce qu'ils ont dû subir, les New-Yorkais du nord de l'État ont pris les choses en main et ont produit un documentaire sur le bruit des éoliennes locales.
Dans le Massachusetts, la ville de Falmouth avait des documents avant l'installation de ses éoliennes indiquant que les éoliennes mégawatts étaient trop bruyantes pour les emplacements résidentiels. La documentation comprend des courriels, des cartes, une lettre d'avertissement écrite et un aveu par le Massachusetts Clean Energy Center en 2013 que des «erreurs» ont été commises dans les prévisions originales de bruit acoustique. La première éolienne de Falmouth a commencé à fonctionner en 2010. En fin de compte, les installations d'éoliennes à Falmouth sont bien pires que toute expérience jamais menée aux États-Unis, car les autorités nationales et locales ont toujours eu une connaissance de première main des dommages à la santé et de l'obligation de prendre propriété sans compensation. Les autorités nationales et locales suivaient un programme visant à atteindre 2000 mégawatts d'énergie éolienne commerciale d'ici 2020.
La liste de la résistance NIMBY s'allonge encore et encore dans des endroits comme New York, le Wisconsin et l'Écosse, etc.
Avant de poursuivre trop précipitamment ces éoliennes pour la production d'électricité intermittente, les politiciens devraient lire les nombreux rapports publiés du Maryland au Canada en France sur les effets du bruit des éoliennes et écouter leurs électeurs NIMBY qui rejettent ces monstruosités dans leurs arrière-cours.
RépondreSupprimerhttps://www.cfact.org/2020/12/14/nimbys-are-making-more-noise-than-wind-turbines/
Traitement des chocs des véhicules électriques: leçons de Grande-Bretagne
RépondreSupprimerPar Duggan Flanakin
12 décembre 2020
Joe Biden et ses collègues démocrates, apparemment de grands constructeurs automobiles américains, se sont joints à la ruée vers la transformation des transports américains en véhicules 100% électriques (VE), que nous le peuple le veuillions ou non. Lors d'une mairie d'octobre, Biden a affirmé que son plan permettait d'économiser «des milliards de gallons de pétrole» et d'aider à créer 1 million d'emplois dans l'industrie automobile, en partie en interdisant la vente ou la fabrication de nouveaux véhicules à moteur à combustion interne (CI) d'ici 2030. Exactement comment cela se produira dans le monde réel, n'a-t-il pas dit.
La vision californienne de Biden exclut les véhicules hybrides, comprend l'installation de 500 000 bornes de recharge pour véhicules électriques et offre des remises de type «argent contre clunkers» aux nouveaux acheteurs de véhicules électriques. En 2018, près de la moitié de toutes les immatriculations de véhicules électriques (256.800 sur 543.600) se trouvaient en Californie, avec Hawaï, Washington et l'Oregon non loin derrière. Pourtant, en 2018, les véhicules électriques représentaient moins de 2% du total des 15 millions de véhicules de la Californie - malgré d'énormes crédits d'impôt, des bornes de recharge gratuites, un accès gratuit aux voies réservées aux VMO et d'autres subventions et incitations.
Seuls 727000 véhicules à propulsion électrique ont été vendus aux États-Unis en 2019, et près de la moitié étaient des hybrides rechargeables. Les ventes hybrides ont atteint un sommet en 2013, mais en 2019, elles étaient tombées à 2,3% (environ 400000 véhicules) de toutes les ventes de véhicules légers, en grande partie en raison de l'évitement des puristes des véhicules électriques. Comparez ces chiffres aux 6,3 millions de véhicules vendus au total en 2016, ou aux 273600000 voitures particulières, motos, camions, bus et autres véhicules sur la route aux États-Unis en 2018.
Suivant l'exemple de la Chine, les constructeurs automobiles américains - pas seulement Tesla - sont tous à bord pour ce grand basculement. À mesure que les véhicules IC sont remplacés et que les stations-service sont transformées en stations de recharge pour véhicules électriques, la pression augmentera pour abandonner les véhicules IC restants et acheter plus de véhicules électriques. General Motors, favorable à la Chine, prévoit de dépenser 20 milliards de dollars pour la technologie des véhicules électriques et autonomes jusqu'en 2025, y compris la production de 23 véhicules électriques différents d'ici 2023. Ford Motor Company s'est engagée à investir 11 milliards de dollars d'ici 2022 dans le développement des véhicules électriques.
Biden suit les traces du Premier ministre britannique Boris Johnson, dont le nouveau plan climatique comprend l'interdiction des ventes de véhicules à essence d'ici 2030 et d'hybrides d'ici 2035. Mais, comme l'a fait valoir l'économiste et directeur du groupe de réflexion Global Britain, Ewen Stewart, c'est «franchement. une des politiques les plus illibérales et économiquement destructrices jamais venues de Whitehall. Il met en danger des centaines de milliers de moyens de subsistance et des exportations indispensables pour le bénéfice le plus marginal. »
RépondreSupprimer«Les implications de cette interdiction [dans un pays avec seulement 1% de véhicules électriques] sont immenses en termes de fabrication, de chaînes d'approvisionnement, d'investissement, de capital irrécupérable, d'emploi, d'infrastructure, de choix des consommateurs, de valeur du stock existant, et bien plus encore,» Stewart expliqué. «Jamais auparavant un gouvernement n’avait osé fermer du jour au lendemain une industrie entière et critique par diktat.»
Il est illusoire, a-t-il poursuivi, de croire que détruire une industrie britannique prospère en interdisant les moteurs à circuits intégrés - plutôt que de laisser le choix du consommateur faire le marché - sera bon pour l'économie. Le secteur automobile britannique actuel représente un cinquième de la base de fabrication du pays, avec plus de 80% des 1,3 million de voitures qu’il a fabriquées étant exportées. Cela représente 13% de tout le marché d'exportation du Royaume-Uni.
L'industrie automobile britannique emploie directement plus de 180 000 Britanniques et plusieurs centaines de milliers d'autres indirectement. Mais le Royaume-Uni ne peut pas rivaliser avec la Chine sur le marché mondial des VE, car les coûts de main-d'œuvre au Royaume-Uni sont bien plus élevés et son énergie est beaucoup plus chère et de moins en moins fiable.
Pire encore, a souligné Stewart, cette signalisation de vertu aura au mieux de minuscules avantages pour le Royaume-Uni et l'environnement mondial, mais elle sera dévastatrice pour les propriétaires d'automobiles. Le gouvernement britannique a déjà considérablement diminué la valeur des 12 millions de véhicules diesel du pays avec des suppléments qui coûtent aux propriétaires de véhicules diesel antérieurs à 2015 jusqu'à 67 dollars par semaine simplement pour conduire dans des «zones à très faibles émissions». Les autres coûts comprenaient le doublement des tarifs des permis de stationnement et des taxes plus élevées pour les véhicules diesel.
Les nouvelles initiatives feront de même pour les véhicules IC - y compris l’élimination progressive des pompes à essence et la perte de valeur de revente, sans parler de la dévastation du marché d’exportation du pays.
RépondreSupprimerAndrew Montford, directeur adjoint du Global Warming Policy Forum, affirme que le plan britannique malavisé pourrait coûter aux automobilistes 700 milliards de livres sterling (938 milliards de dollars américains). Selon Montford, plusieurs aspects des véhicules électriques les rendent plus coûteux que les voitures à essence: remplacement de batteries coûteuses, installation de bornes de recharge à domicile (nécessitant souvent une mise à niveau du câblage domestique), temps et inconvénients lors des recharges de batteries, etc.
Montford a estimé que d'ici 2050, le ménage moyen pourrait avoir dépensé 19 000 £ supplémentaires (25 460 $ US) - s'il peut encore se permettre de posséder un véhicule. De plus, avec d'autres mandats gouvernementaux faisant grimper le coût de l'électricité, le coût de la conduite automobile pourrait doubler, chassant complètement les classes ouvrières des routes.
L'absurdité de cette attaque britannique contre sa propre industrie automobile existante est rendue encore plus ridicule par le fait que l'électrification à grande échelle qui ne change pas les modes de mobilité actuels ne parvient à réduire les émissions de gaz à effet de serre des transports que de 15% d'ici 2050, selon les systèmes espagnols. l'expert en ingénierie Margarita Mediaville a expliqué. Appeler les véhicules électriques «verts» ou «durables» est tout aussi absurde.
La conclusion de Mme Mediaville est basée sur le modèle d'évaluation MEDEAS-World énergie-économie-environnement de son entreprise, qui montre que la fabrication de toutes ces nouvelles batteries EV épuisera les réserves mondiales prouvées de cuivre, de lithium, de nickel et de manganèse, à moins que les taux d'extraction et / ou de recyclage. se développer énormément d'ici 2050. Mais l'ouverture de nouvelles mines, principalement dans d'autres pays, comme le propose l'Union européenne, aurait «des répercussions dévastatrices sur l'eau, la biodiversité et les droits de l'homme des communautés locales».
L'extraction et le traitement des minerais et la fabrication de batteries nécessiteraient également d'énormes quantités de combustibles fossiles, impliqueraient des centaines ou des milliers de tonnes de minerai et des morts-terrains pour chaque tonne de métaux finis, et entraîneraient des émissions prodigieuses de polluants et de dioxyde de carbone. En effet, un nouveau rapport de l'analyste du Competitive Enterprise Institute, Ben Lieberman, conclut que le remplacement de l'essence par l'électricité comme source d'énergie pour les véhicules n'élimine pas ces émissions, mais change uniquement là où elles sont émises.
Un autre inconvénient de l'augmentation considérable du nombre de véhicules électriques est que les métaux et les minéraux proviennent de plus en plus de pays comme la Chine, le Chili et le Congo - où le salaire équitable, le travail des enfants, la sécurité au travail et les normes environnementales sont bien en deçà de tout ce que les États-Unis ou l'UE toléreraient. Les batteries EV nécessitent également plus d'énergie à fabriquer que les batteries et les moteurs des véhicules à circuit intégré, et leur recyclage est également compliqué, coûteux et comporte de nombreux risques de pollution et de santé publique.
La société financière UBS a constaté que le remplacement des ventes mondiales de véhicules à circuit intégré conventionnels par des versions électriques nécessiterait une augmentation de 2 898 % de la production de lithium; une augmentation de 1 928 % du cobalt; une augmentation de 524 % du graphite; une augmentation de 105% du nickel; une augmentation de 655 % des minéraux des terres rares; et au moins un triplement de la production de cuivre. La combustion du charbon, du diesel et de l'essence monterait également en flèche, pour alimenter le travail.
RépondreSupprimerUn rapport distinct de Securing America’s Future Energy indique que la Chine contrôle près de 70 % de la capacité de fabrication de batteries de véhicules électriques, contre seulement 10 % aux États-Unis. Le rapport prévoit que 107 des 142 projets de fabrication de batteries de VE prévus d'ici 2021 seront en Chine, dont seulement neuf aux États-Unis.En bref, toute évolution vers des VE obligatoires enrichira l'économie chinoise aux dépens de l'Amérique.
Avant de prendre des mesures pour convertir l'Amérique aux véhicules électriques et à la production d'électricité non fossile, les décideurs politiques américains doivent examiner attentivement les coûts humains et environnementaux - en chiffres précis, y compris l'augmentation des maladies pulmonaires, le cancer, les blessures et les décès dans les mines étrangères, les usines de traitement et des usines.
Ils doivent également tenir compte de l'impact sur les travailleurs et les communautés américains de l'externalisation de la fabrication de batteries aux entreprises chinoises. Les Chinois, avec l'aide du président Biden, ramèneront avec plaisir la plupart de ces emplois manufacturiers dans l'Empire du Milieu, tout en accablant les familles américaines avec des coûts croissants d'électricité non fiable, de conduite à courte portée et d'effondrement des industries. Incroyablement, notre dépendance vis-à-vis de la Chine pour les minéraux et les pièces détachées pour les équipements militaires de haute technologie va également monter en flèche !
Toutes ces questions exigent l'attention de nos législateurs et régulateurs, environnementalistes et journalistes. À moins bien sûr qu'ils ne s'engagent simplement dans une signalisation de vertu bon marché, et qu'ils ne se foutent pas des travailleurs et des consommateurs d'énergie américains, de l'environnement américain et mondial, ou de la main-d'œuvre mondiale adulte et enfant qui mettra leur santé et leur vie en danger. risque de fournir ces VE et d’autres technologies.
https://www.cfact.org/2020/12/12/electric-vehicle-shock-treatment-lessons-from-britain/
Les législateurs californiens envoient des pêcheurs à la ruine
RépondreSupprimerPar Bonner Cohen, Ph. D.
11 décembre 2020
Les petites entreprises à travers l'Amérique ont été durement touchées lors des verrouillages COVID-19. Alors que les magasins Big Box ont été autorisés à rester ouverts et ont prospéré, les détaillants maman et pop ont été contraints de fermer en masse, et beaucoup ne rouvriront jamais.
L’élite dirigeante californienne a été aussi brutale qu’hypocrite en veillant à ce que les aisés aient la tâche facile. Les raides de travail, par contre, doivent s'abriter en place. Leur gagne-pain soit damné.
Dans le Golden State, c'était ainsi que les choses se faisaient même avant l'épidémie du coronavirus. Prenez les pêcheurs commerciaux de Californie. En 2018, les législateurs de Sacramento ont approuvé une loi interdisant les filets maillants dérivants d'ici 2024. La loi a été défendue par des écologistes qui affirment que les filets maillants dérivants présentent un risque sérieux pour les créatures telles que les baleines et les tortues de mer. Mais les réglementations fédérales et étatiques existantes telles que les fermetures saisonnières et l'utilisation obligatoire de signaux sonores sur les filets maillants dérivants ont déjà réduit la capture accidentelle de ces espèces à près de zéro. Mais cela n’intéresse pas les législateurs de Sacramento et les verts de San Francisco, Hollywood et la Silicon Valley.
Cibler les entreprises familiales
Les grands perdants dans tout cela seront les petits pêcheurs commerciaux. Ce sont généralement des entreprises familiales, dont beaucoup remontent à plusieurs générations. Les pêcheurs d'espadon seront particulièrement touchés. Les filets maillants dérivants sont le seul moyen judicieux d'attraper l'espadon, un favori des consommateurs de fruits de mer du monde entier. Les pêcheurs spécialisés dans la capture d'espadon feront faillite si la loi sur les filets maillants dérivants est autorisée à rester en vigueur. Il n’existe pas d’autre moyen sensé d’attraper le poisson.
La Pacific Legal Foundation (PLF) a contesté l'interdiction, arguant que la Californie ne peut pas annuler le programme fédéral existant de permis de filet maillant dérivant en interdisant l'utilisation des filets maillants dérivants au niveau des États. Si le procès aboutit, la Californie devra permettre aux pêcheurs qui obtiennent des permis fédéraux de continuer à utiliser des filets maillants dérivants pour cibler l'espadon et d'autres espèces. Cependant, les mêmes groupes environnementaux qui ont soutenu la loi californienne de 2018 portent leur affaire de filet maillant anti-dérive devant le Congrès, dans l'espoir d'utiliser le pouvoir fédéral pour étouffer les pêcheurs d'espadon.
Des vents violents souffleront de Washington
RépondreSupprimerLe procès du PLF est particulièrement important à la lumière des changements politiques à venir à Washington en janvier. On peut compter sur les nominations politiques de l'administration Biden aux côtés des écologistes sur une foule de questions, y compris la pêche. Pour cette raison, PLF conteste également d'autres réglementations fédérales onéreuses qui pourraient facilement être retournées contre les pêcheurs commerciaux par une administration hostile.
Les pêcheurs de Californie ne sont pas seuls. Les personnes qui produisent de la nourriture, de l'énergie (à l'exception des éoliennes et des panneaux solaires) et d'autres nécessités de la vie vont être en disgrâce à la Maison Blanche Biden. Comme le disait le personnage de Bette Davis dans "All About Eve": "Attachez vos ceintures de sécurité, ça va être une nuit cahoteuse."
https://www.cfact.org/2020/12/11/california-lawmakers-sending-fishermen-to-ruin/
Tous les jours ce sont des milliards de milliards de poissons qui sont mangés ! (les poissons mangent du poisson !) et, la SEULE espèce menacée est l'homme ! (-grenouille ?).
SupprimerL'effet de serre plus en profondeur
RépondreSupprimerPar Dr.Jay Lehr, Terigi Ciccone
10 décembre 2020
- voir carte sur site -
Il ne fait aucun doute que la température mondiale de la Terre serait en moyenne de 25 à 30 ° C plus froide sans effet de serre qu'elle ne l'est aujourd'hui. C'est une énorme affaire! Sans l'effet de serre, nous envisagerions une température globale d'environ -15 ° C au lieu des + 15 ° C dont nous jouissons aujourd'hui. Dans ce cas, notre planète bleu-vert pourrait ressembler davantage à une boule de neige sale et sans vie. L'effet de serre est un mécanisme naturel essentiel. Il aide à réguler la température de la Terre, la rendant plus stable et capable de soutenir toute vie telle que nous la connaissons.
ENTRÉE DE CHALEUR
Les effets des gaz à effet de serre commencent avec l'arrivée des rayons dorés du soleil sur la Terre, comme le montre la figure 1. Réchauffement de la planète pendant la journée avec une moyenne d'irradiance solaire totale (TSI) d'environ 341 watts par mètre carré W / m² .
Une partie de cette énergie qui s'approche de la Terre est réfléchie vers l'espace extra-atmosphérique par les nuages, l'air, les océans, la couverture de glace terrestre et un peu par la terre. La partie qui atteint le système terrestre est d’environ 161 W / m², soit environ 47 %, où trois choses commencent à arriver à ces rayons solaires. La première partie est utilisée pour répondre aux besoins de la planète, comme les plantes qui utilisent le soleil pour la photosynthèse et les animaux pour respirer et se réchauffer. Les humains obtiennent de l'énergie propre grâce à l'électricité solaire, les agriculteurs pour faire pousser leurs cultures et les amoureux de la plage pour obtenir un bronzage parfait. La deuxième partie est stockée dans l'air chaud dont nous jouissons et réchauffe les océans et les mers lorsque nous nageons l'été à Cape Cod et toute l'année en Floride.
- voir carte sur site -
L'effet de serre plus en profondeur 1
Cette chaleur est également stockée dans les parkings, les rues et les bâtiments qui restent chauds pendant de nombreuses heures après la tombée de la nuit. La nuit, la plupart ou la totalité de cette chaleur emmagasinée irradie et convecte de nouveau dans l'air. Une partie de cette chaleur est temporairement stockée dans l'air et les nuages, et le reste irradie vers l'espace extra-atmosphérique.
PRODUCTION DE CHALEUR
RépondreSupprimerCette chaleur qui est arrivée à la surface de la Terre (terre et océans) doit retrouver son chemin vers l’espace pour que la Terre reste dans l’équilibre thermique que nous appelons «la zone Boucle d’or». Si trop de chaleur retournait directement dans l'espace, cela poserait un gros problème, que nous voyons en fait dans les déserts de haute altitude. Là, pendant la journée, la Terre devient très chaude très rapidement. L'air est super mince, il y a peu de nuages et davantage de rayons du soleil pénètrent pour chauffer le sol. Mais la nuit, toute cette énergie stockée dans la terre et les roches est rapidement rayonnée et convectée vers le ciel. Une partie de cette chaleur monte par «thermiques», c'est-à-dire comme une montgolfière remontant l'atmosphère. Certains montent par «transpiration», comme cette sensation de fraîcheur que vous ressentez lorsque vous sortez de la piscine et que le vent sèche votre peau. Mais l'essentiel de celui-ci monte par rayonnement, dont nous parlerons ici en détail car c'est le cœur de l'effet de serre.
Cette chaleur rayonnée se présente sous deux formes, l'infrarouge à ondes longues et à ondes courtes. La majeure partie de la chaleur est rayonnée directement dans l’espace sous forme de rayonnement à ondes longues. Mais, la chaleur dans l'onde courte est captée par les gaz à effet de serre et la vapeur d'eau et maintenue pendant un certain temps et réchauffe l'air. Après avoir réchauffé l'atmosphère et les nuages, les ondes courtes deviennent des ondes longues et s'échappent finalement dans l'espace. Les questions fondamentales pour comprendre l'effet de serre sont:
Comment ces gaz à effet de serre captent-ils cette énergie à ondes courtes ?
Comment convertit-il cette énergie à ondes courtes en énergie thermique pour réchauffer l'air ?
Et enfin, combien de temps l'atmosphère / les gaz à effet de serre retiendront-ils cette chaleur et nous garderont-ils au chaud et à l'aise.
Les climatologues, dédiés à la méthode scientifique, commencent seulement à gratter la surface de ces questions et d'autres questions restent ouvertes qui peuvent être expliquées scientifiquement. Ces gaz à effet de serre et la vapeur d'eau forment essentiellement une couverture autour de la Terre. Dans un scénario parfait, la Terre rayonnera vers l’espace pendant la nuit, la quantité d’énergie égale à l’énergie d’entrée du soleil reçue pendant la journée.
SYSTÈME ÉQUILIBRÉ
Cependant, si plus de chaleur était emprisonnée et stockée dans l'air, les nuages, la terre et les océans et pas assez rayonnée dans l'espace extra-atmosphérique, ce ne serait pas une bonne chose. Si cela continue trop longtemps, cela signifiera que chaque nouveau matin commencera à être un peu plus chaud que la veille, et ainsi de suite. Après un certain temps, il deviendrait de plus en plus chaud et provoquerait des changements significatifs non seulement sur toute la vie (plantes et animaux) mais aussi sur la géographie de la planète entière. Nous en voyons un exemple dramatique sur Vénus, où le gaz carbonique représente près de 100 % de l'atmosphère contre 0,04 % sur Terre. Même ici sur Terre, dans un passé lointain, les océans ont atteint des niveaux alarmants et les températures planétaires ont tellement augmenté qu'il y avait peu de glace à la surface. Les plantes et les animaux tropicaux ont prospéré même dans les régions polaires. Pour cette raison, de nombreux scientifiques tirent la sonnette d'alarme sur le réchauffement climatique.
La cause de ce déséquilibre, c'est-à-dire plus d'énergie venant du soleil sur la Terre que celle renvoyée dans l'espace, est principalement due à la vapeur d'eau et à une petite quantité par les gaz à effet de serre. Les principaux gaz à effet de serre comprennent le gaz carbonique, le méthane et l'oxyde nitreux. Mais surtout, nous devons comprendre deux réalités simples:
RépondreSupprimer· Quelle est la contribution exacte de chaque gaz à effet de serre, et
· Quelle portion exacte de chaque gaz à effet de serre est d'origine humaine par rapport à la nature.
Heureusement, de brillants climatologues ont déjà effectué cette analyse, et leurs résultats sont présentés dans la figure 2 [i] ci-dessous. Voici un résumé des révélations importantes: L'effet de serre plus en profondeur 2
- voir carte sur site -
1. La vapeur d'eau représente 95 % de l'ensemble de l'effet de serre, qui est presque 100% d'origine naturelle.
2. La contribution totale du gaz carbonique à l'effet de serre n'est que de 3,168 %, dont la part d'origine humaine n'est que de 0,117 %
3. Sur l'ensemble de l'effet de serre, la nature représente 99,72 % et la contribution de l'homme, y compris tous les gaz d'origine humaine (gaz carbonique, méthane, etc.), n'est que de 0,28 %.
RÉSUMONS CET ARTICLE
Nous appelons le temps rien de plus et rien de moins que l’air, la terre et les océans de la Terre qui tentent d’éliminer les déséquilibres de température et de pression causés par le soleil qui chauffe une partie de la planète et pas l’autre. Ces déséquilibres sont imposés à la Terre par l'échauffement asymétrique provoqué par le soleil. Par conséquent, le temps est la façon dont la Terre réagit à ces forces imposées à la planète par la dynamique en constante évolution de ce qui se passe dans le soleil et la position relative du soleil par rapport à la Terre.
Les conditions météorologiques sur 15 à 30 ans sont ce que nous appelons le «climat». Nous avons ensuite appris que le temps était difficile à prévoir. Même une prévision sur 7 jours n'est généralement précise qu'environ 56% du temps. Imaginez à quel point il doit être difficile de prédire les prévisions climatiques à 5, 10, 30 ou 50 ans. Enfin, nous avons appris que la contribution humaine à l'effet de serre est faible, insignifiante.
La science n'est jamais réglée. La science est un voyage aux destinations inconnues.
Des parties de cet article sont extraites du livre 2020 A HITCHHIKER’S VOYNEY THROUGH CLIMATE CHANGE par Terigi Ciccone et Dr. Jay Lehr. Le livre est la meilleure source pour les parents et les grands-parents pour expliquer la réalité du changement climatique à leurs enfants. Il est également recommandé pour les jeunes adolescents et la génération Z car ils subiront les conséquences de la folie du changement climatique.
Disponible sur amazon à l'adresse - https://www.amazon.com/Hitchhikers-Journey-Through-Climate-Change-ebook/dp/B086R49RS6 en format Kindle, livre de poche noir et blanc et chiffres couleur grand format. Ou envoyez un e-mail à terigiciccone@gmail.com.
[i] https://climatecite.com/water-vapor-rules-the-greenhouse-system/ by Dr. S. Fred Singer, atmospheric physicist, Professor Emeritus of Environmental Sciences at the University of Virginia, and former director of the US Weather.
https://www.cfact.org/2020/12/10/the-greenhouse-eeffect-in-more-depth/
La vapeur d'eau représente 99.13 % de notre atmosphère. Ce sont donc les nuages qui sont bienfaiteurs car, le soleil (entre nuages) chauffe le sol qui réverbèrent la chaleur vers l'espace. Mais cette chaleur ne peut se perdre dans l'infini qui entoure notre planète puisqu'elle est arrêtée par ces masses d'eau. Les nuages (chauffés par dessous et par dessus) se traduisent alors en pluies.
Supprimer(...) 3. Sur l'ensemble de l'effet de serre, la nature représente 99,72 % et la contribution de l'homme, y compris tous les gaz d'origine humaine (gaz carbonique, méthane, etc.), n'est que de 0,28 %. (...)
Faux ! car les mers & océans (qui représentent 78 % de la superficie de notre planète) émettent des milliards de fois plus de gaz (jusqu'aux plus toxiques) que tous les humains, animaux et industries y compris !
Journaux cruciaux manquants dans certaines machines à voter du Michigan Dominion: rapport médico-légal
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 14 DÉC 2020-12: 44
Mise à jour (1225ET): Ivan Pentchokov d'Epoch Times rapporte que des journaux de sécurité et de décision cruciaux sont absents des machines de Dominion Voting Systems du comté d'Antrim dans le Michigan, selon un rapport médico-légal (pdf) publié le 14 décembre conformément à une ordonnance du tribunal.
«De manière significative, le système informatique affiche les journaux de sélection des votes des années précédentes; mais toutes les entrées du journal des arbitrages pour le cycle électoral 2020 sont manquantes. Le processus d'arbitrage est le moyen le plus simple de manipuler manuellement les votes. Le manque de registres empêche toute forme de responsabilité d'audit, et leur absence flagrante est extrêmement suspecte puisque les fichiers existent pour les années précédentes en utilisant le même logiciel », indique le rapport, rédigé par Russell Ramsland.
«Nous devons conclure que les registres du cycle électoral de 2020 ont été supprimés manuellement.»
L'absence de registres d'arbitrage est particulièrement alarmante car l'examen médico-légal a révélé que les machines à voter rejetaient un nombre extraordinaire de bulletins de vote pour l'arbitrage, un processus manuel dans lequel les agents électoraux déterminent le résultat final de chaque scrutin.
Le bureau du secrétaire d’État démocrate du Michigan, Jocelyn Benson, du Dominion, et un porte-parole du comté d’Antrim n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.
* * *
Comme Sara Carter de SaraACarter.com l'a détaillé plus tôt, un juge du Michigan a ordonné la publication publique lundi d'un rapport soumis par des avocats soutenant le président Donald Trump et les allégations de fraude électorale qui, selon eux, révéleront de sérieuses inquiétudes quant au fait que les machines informatiques utilisées lors du vote dans le comté d'Antrim ont été compromis. Le rapport médico-légal contiendrait des données qui révéleront que les systèmes informatiques utilisés pour voter dans le comté n'étaient pas sécurisés et comportaient des composants étrangers qui les rendaient vulnérables à la manipulation et / ou à la fraude, selon ceux qui connaissent directement l'affaire.
Le procureur général adjoint du Michigan, Erik Grill, représentant la secrétaire d'État du Michigan, Jocelyn Benson, a immédiatement riposté contre la publication du rapport, qui, selon les partisans du président Donald Trump, soulève des questions importantes sur la fraude électorale et ses implications pour la sécurité nationale des États-Unis.
Il a suggéré que le rapport publié est «inexact, incomplet et trompeur», selon le Detroit News.
"Il n'y a aucune raison de se cacher", a déclaré Grill, lors d'une audience virtuelle lundi matin.
"Il n'y a rien à cacher."
Cependant, les avocats et les experts en informatique qui s'efforcent d'exposer ce qu'ils considèrent comme une menace sérieuse pour la sécurité et l'infrastructure américaines affirment que le rapport révélera les irrégularités dans les données et l'ingérence étrangère externe dans le système.
RépondreSupprimerL'équipe juridique «a soumis le rapport médico-légal au juge (dimanche) à 8h30 du matin à la demande du juge», a déclaré une source proche du rapport.
Selon des sources, qui m'ont parlé ce week-end, le rapport médico-légal du système informatique révèle que les preuves découvertes ont de graves implications pour la sécurité nationale parce que «le système électoral est classé comme une infrastructure critique, c'est une menace pour, c'est un problème de sécurité. »
Le procès a été intenté par William Bailey, un résident du comté d'Antrim. Le juge de circuit Kevin Elsenheimer, ancien législateur républicain, a autorisé Allied Securities Operation Group et Bailey à prendre des images médico-légales des 22 tabulateurs du comté et à examiner d'autres documents liés aux élections pour garantir l'intégrité des élections.
L'analyse médico-légale a été sous ordonnance de protection. Il ne pouvait pas être publié avant la décision du juge lundi, lorsque Elsenheimer a ordonné la libération avec quelques expurgations.
Le comté d'Antrim compte environ 23000 habitants et la découverte d'environ 6000 votes exprimés à l'aide des systèmes de vote du Dominion qui auraient dû aller au président Donald Trump est allé à Joe Biden sans explication a déclenché l'enquête en cours par les partisans de Trump.
L'explication bizarre selon laquelle l'échec de la mise à jour du logiciel de vote a conduit Joe Biden à recevoir initialement ces milliers de voix avant Trump dans le comté à tendance républicaine n'a pas été acceptée par la majorité des partisans de Trump, ni par de nombreux membres du GOP du Michigan>
Si le rapport médico-légal est exact sur les irrégularités, ainsi que sur d'autres problèmes de fraude présumée concernant les systèmes de vote nationaux utilisés dans XX États à travers le pays, il peut faire boule de neige à d'autres législatures d'État qui demandent également des audits de leurs systèmes.
https://www.zerohedge.com/political/michigan-judge-allows-release-forensic-report-fraud-allegations-dominion-voting-machines