Regards croisés avec Astrid Stuckelberger, docteure en santé publique qui se montre critique envers ces tests, et Manuel Schibler, médecin et virologue qui s'assure du bon usage des tests aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).
Audio:
3:42 Le virus n'a jamais été isolé.
5:32 (Islande) 290 mutation de ce génome (RNA)
7:50 Test PCR (12:40 Jusqu'à 25 et non 30 ou 40)
9:59 On parle de millions, de milliards de virus détectés
https://www.youtube.com/watch?v=iveKqLNYUbI
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Dr Astrid Stuckelberger - Tests PCR et cycles d'amplification (Conférence)
Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19
RépondreSupprimerAnthropo-logiques
ven., 25 déc. 2020 20:27 UTC
A n'en pas douter, c'est envers et contre tout Noël ! Après le texte remarquable du Dr Frédéric Badel, qu'il m'a donné à publier hier sur ce blog, c'est aujourd'hui la contribution de mon confrère anthropologue Jacques Pollini, chercheur associé à l'Université Mc Gill de Montréal, que je reçois.
Un texte franc, honnête, parlant, la parole d'un homme et d'un scientifique qui ne cède pas sur la nécessité de voir les choses comme elles sont. Comme cette question risque de se poser pour chacun d'entre nous, les avis autorisés (les vrais, pas ceux qui sont achetés ou le reflet d'un simple conformisme idéologique, fût-il "scientifique") comptent.
Je partage donc avec vous sans modération cet énoncé de raison, de valeurs et de bon sens.
Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19
Sur la planète entière, les gens sont en train de débattre pour savoir s'ils vont se faire vacciner contre la COVID-19. Est-ce un débat ou une guerre de tranchées ? Il semble que l'on soit plutôt dans la deuxième situation. Comment en sortir ? Comment établir enfin un dialogue permettant à chacun de quitter son retranchement et faire un choix informé ? Il me semble que pour sortir de l'impasse, il faut réaliser que deux questions distinctes, mais liées, se posent : celle de l'efficacité et l'innocuité des vaccins, qui est une question scientifique, et celle de la confiance envers les décideurs, qui est une question politique.
Pour la première question, seules quelques poignées d'individus peuvent répondre. Un citoyen ordinaire ne dispose pas des compétences techniques lui permettant de juger si les vaccins COVID-19 seront efficaces et inoffensifs ou pas. Notre choix ne pourra donc se baser que sur la réponse que nous donnons à la deuxième question, c'est-à-dire sur notre confiance envers nos décideurs.
Cette question se pose de manière particulièrement aiguë car la technologie utilisée dans ces vaccins est nouvelle. Il s'agit de vaccins à ARN, c'est-à-dire que des fragments de code génétique seront injectés dans notre organisme, l'objectif étant que les protéines virales codées par cet ARN soient produites par les cellules de notre organisme, déclenchant ainsi une réponse immunitaire (Ulmer et al. 2012).
RépondreSupprimerCette technologie soulève de nombreuses interrogations, notamment concernant le risque que des fragments d'ARN contenus dans les vaccins soient transcrits en ADN et s'intègrent à notre génome (Velot 2020). L'intégration de code génétique étranger à l'ADN de cellules hôtes est un phénomène qui se produit couramment, comme le montre le fait que l'ADN humain contient des séquences héritées de virus. Des chercheurs ont d'ailleurs déjà découvert des ARN chimériques humains/SARS-CoV-2, laissant penser que des fragments d'ARN de SARS-CoV-2 (le virus qui transmet la COVID-19) auraient été transcrits et intégrés à l'ADN de cellules humaines (Zhang et al. 2020). Ce risque associé aux vaccins à ARN n'est donc pas quelque chose de nouveau.
Une chose est nouvelle, toutefois.
Dans la nature, l'intégration de fragments de codes génétiques étrangers au génome humain n'est pas liée à une intention humaine. Elle est le fruit du hasard ou de nécessités naturelles, tandis qu'avec la vaccination, il devient possible de choisir quel code injecter et sur quelle population l'injecter. Le vaccin à ARN, et les thérapies géniques de manière plus générale, rendent donc possible de modifier intentionnellement le code génétique humain. L'ingénierie entre dans une ère nouvelle dans laquelle elle ne porte plus seulement sur la transformation de l'environnement humain, mais peut porter sur la nature humaine, sur notre identité génétique.
C'est là que se trouve le virage fondamental et il soulève des questions éthiques qui sont négligées dans les débats en cours sur les vaccins.
Bien sûr, cela ne signifie pas que les vaccins COVID-19 modifieront notre génome ou que ceux qui les ont conçus ont cette intention. Mais presque personne n'a la compétence technique ou le pouvoir juridique permettant de vérifier ces deux points. Nous n'avons donc que la confiance, accordée ou pas aux décideurs, et a ceux qui ont développés ces vaccins, pour guider notre décision.
D'autre part, l'impact sur notre génome n'est qu'un des problèmes possibles. La facilitation de l'infection par les anticorps après la vaccination (Lee et al. 2020), phénomène déjà observé dans le cas d'un vaccin contre la dengue (Normile 2017) et qui peut conduire à des formes plus graves de la maladie, est souvent discutée. A noter que si une telle facilitation d'infection avait lieu, l'opprobre serait sans doute jeté sur les non vaccinés puisqu'ils faciliteraient la circulation du virus et donc les réinfections.
RépondreSupprimerUn autre risque serait le développement de pathologies immunitaires en cas de réinfection par le virus après vaccination, phénomène observé sur les souris (Tseng et al. 2012). Le risque de réaction auto-immunes vis-à-vis de protéines placentaires, qui pourrait causer des stérilités, a également été évoqué, du fait de la similitude entre certaines protéines virales et placentaires. La liste des risques possibles est sans doute plus longue et certains médecins considèrent que les garanties apportées par les études réalisées par les fabriquant de vaccins ne sont pas suffisantes.
Enfin, nous n'en sommes pas à la première controverse sur les vaccins. La question des liens entre autisme et vaccins n'a toujours pas été clarifiée et aussi longtemps que le lanceur d'alerte Thompson, qui a dévoilé le masquage de ce problème par des autorités en charge de la santé aux USA, ne sera pas convoqué au Congrès américain pour témoigner sous serment, la confiance envers les vaccins et les firmes qui les fabriquent ne pourra pas être établie. Une autre affaire non élucidée concerne des vaccins contre la polio, administrés en Inde avec l'appui de la fondation Bill Gates, qui pourraient avoir causé des paralysies chez près de 500,000 enfants (Dhiman et al. 2018). Un vaccin contre la dengue développé par SANOFI et l'Institut Pasteur a également provoqué des décès aux Philippines, du fait d'une facilitation de l'infection pas les anticorps, phénomène évoqué ci-dessus.
Tout argument en faveur des vaccins COVID-19, entendu dans les médias, les instances de décisions, ou les réseaux sociaux, qui consisterait à invoquer des arguments techniques ou scientifiques pour nous convaincre que ces vaccins sont sûrs, est donc hors sujet car la question centrale est celle de la confiance, qui est perdue et pour de bonnes raisons. Sans cette confiance, ces arguments techniques ne peuvent conduire qu'à des polémiques stériles d'autant plus que pratiquement personne, voire personne, ne peut réellement trancher.
Personnellement, comme beaucoup de citoyens, je n'ai pas cette confiance. Donc je ne me ferai pas vacciner. Pourquoi je n'ai pas cette confiance ? Pour les raisons mentionnées si dessus, mais aussi parce que depuis 10 mois, notre gouvernement a fait preuve d'une incompétence totale dans cette épidémie, son conseil scientifique se montrant anti-scientifique en niant ou ignorant les acquis de la science. Et parce que les algorithmes des réseaux sociaux et les « fact-checkers » sont devenus des instruments de censure et de propagande qui maintiennent nos administrations et nos médias dans le déni des faits rapportés par la science.
RépondreSupprimerPour illustrer ce déni des faits scientifiques, j'aborderai la question des traitements précoces, que j'ai suivie de près. A ce jour, plusieurs traitements précoces contre la COVID ont montré leur efficacité. Il y a eu d'abord l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine et au zinc ; puis l'azithromycine seule ou d'autre antibiothérapies ; puis l'ivermectine associée à la doxycycline ; puis la prévention par la vitamine D voire le zinc ; et enfin d'autres molécules révélées récemment comme la fluvoxamine (Lenze et al 2020) ou la bromhexine (Ansarin et al 2020). Le point commun de ces approches est qu'elles consistent à repositionner des molécules peu couteuses et déjà connues, non protégées par des brevets, et que les traitements doivent être apportés très tôt, dès la déclaration des premiers symptômes, pour avoir leur maximum d'efficacité.
Des centaines de publications, dont la liste est disponible sur ce site, ont montré l'efficacité de ces traitements, les plus prometteurs étant la combinaison azithromycine/hydroxychloroquine (Risch 2020), et l'ivermectine (Kory et al. 2020), éventuellement associée à la doxycycline, traitement dont on n'entend parler ni au niveau des autorités de santé ni au niveau des médias. D'après ces publications, l'efficacité de ces traitements est telle que s'ils étaient utilisés, il n'y aurait besoin ni de confinement généralisé, ni de vaccination généralisée. La gravité de la pandémie COVID-19 deviendrait celle d'une épidémie de grippe. Malheureusement, la censure par les algorithmes des réseaux sociaux et le discrédit par les médias et les « fact-checkers » ont rendu ces résultats quasiment inaudibles, malgré des tentatives de « fact-checking » des « fact-checkers » !
Comment a-t-on pu en arriver là ? Ne soyons pas naïfs. Le repositionnement de molécules ne génère pas de profits élevés pour l'industrie pharmaceutique, contrairement aux molécules nouvelles telles le remdesivir qu'elle a réussi à nous vendre malgré l'absence de preuves de son efficacité, et contrairement aux vaccins. Cette logique mercantile, qui a été à l'œuvre dans la pandémie et qui nous a privé de traitements, débouchant sur des centaines de millier de morts inutiles, est un crime contre l'humanité et les responsables devront être jugés. Je ne vois pas pourquoi la même logique n'agirait pas dans le cas des vaccins. Je ne vois pas pourquoi l'industrie pharmaceutique ne ferait pas passer ses profits avant l'intérêt des patients. Je ne vois pas comment je pourrais lui faire confiance quant à l'innocuité de ses produits, d'autant plus que les vaccins ont été développés très rapidement, et que leurs effets secondaires dans le long terme n'ont pas été évalués puisque les tests ont démarré il n'y a que quelques mois. L'industrie pharmaceutique est en outre exemptée d'indemnisation des patients en cas d'effets secondaires aux USA, ou cela était déjà la norme, et devra être indemnisée par les états membres en Europe si certains types de problèmes, non spécifiés, apparaissent, dans le cadre d'accords spéciaux et en dérogation aux règles habituelles.
RépondreSupprimerAinsi, à toute personne qui tenterait de me convaincre de me faire vacciner contre la COVID-19, je répondrai, clairement et simplement :
« Si c'est ma santé qui vous préoccupe, donnez-moi de l'azithromycine et de l'hydroxychloroquine, ou de l'ivermectine et de la doxycycline, ainsi que de la vitamine D et du zinc, car je sais, publications scientifiques et témoignages de médecins de renommée internationale à l'appui, que ces traitements fonctionnerons si j'attrape la COVID-19, et je n'ai donc pas besoin d'être vacciné. Si vous n'êtes pas convaincu par ce que je dis, voici la liste des publications sur le sujet : https://c19study.com/. Si vous n'êtes toujours pas convaincu, lancez des essais randomisés testant ces traitements en médecine ambulatoire. Et si vous voulez que les gens fassent à nouveau confiance aux vaccins, mobilisez des commissions d'enquêtes indépendantes pour mesurer leurs liens possibles avec l'autisme et permettre aux lanceurs d'alerte de témoigner sous serment. Et dans la foulée, demandez la mise en œuvre d'une vaste enquête internationale sur les liens et conflits d'intérêt entre industrie pharmaceutique et pouvoirs publics ».
Il y aurait beaucoup à dire sur les vaccins contre la COVID-19 mais je m'arrêterais la, car ces arguments, aussi simples soient-ils, me paraissent irréfutables et suffisants pour justifier un refus de se faire vacciner. Sans doute nos gouvernants ne voudront pas les entendre, car choisir l'ivermectine et la doxycycline plutôt que les vaccins, c'est supprimer, dans la fraction de seconde où se fait ce choix, les centaines de milliards de dollars de profits que l'industrie pharmaceutique et ses actionnaires se préparent à recevoir. Ces gens feront bien évidement tout ce qu'ils peuvent pour empêcher toute décision en défaveur des vaccins. J'espère donc que nous serons nombreux à partager cette résistance non pas aux vaccins (je ne suis absolument pas un anti-vaccin) mais a ce vaccin dans ce contexte. Nous devons faire entendre raison à nos gouvernants afin de rendre enfin disponible, massivement, les traitements contre la COVID-19, ce qui rendrait la vaccination inutile ou quasiment-inutile, pour une prise en charge précoce des patients COVID-19, notamment dans les maisons de retraite ou ils continuent de mourir non pas de la COVID-19, mais des erreurs de décideurs et Comités qui n'ont pas pris le temps de lire la littérature scientifique.
RépondreSupprimerhttps://fr.sott.net/article/36429-Les-raisons-simples-et-claires-pour-lesquelles-je-ne-me-ferai-pas-vacciner-contre-la-COVID-19
(...) il faut réaliser que deux questions distinctes, mais liées, se posent : celle de l'efficacité et l'innocuité des vaccins, (...)
SupprimerL''innocuité' est un terme qui parle de 'possibles désagréments', 'maux bénins', petits soucis' voire mort tout raide après l'inoculation de la substance létale ce qui est un euphémisme.
Quant à l''efficacité', là, relire la phrase ci-dessus !
Que ce passe t-il après les vaccinations ? Soit la personne est morte sur le coup, quelques heures après ou une semaine soit elle est encore vivante ! Donc, la zombie téléguidée par satellite, puce RFID et suppo-menthol peut donc être armée, recevoir des ordres et être appelée mercenaire. On peut donc là employer le superlatif de 'efficacité'.
Brève. Le monnayage des « morts par Covid » : un autre scandale d’Etat.
RépondreSupprimerle 27 décembre 2020
Ça se passe en France et c’est tout simplement surréaliste. Une de mes amies m’a donné quelques nouvelles de sa famille en France, elle habite ici à Tenerife et nous subissons l’interdiction de quitter notre commune de résidence, et ces nouvelles de France m’ont été communiquées par téléphone. Deux membres de sa famille sont récemment « morts par Covid », une de ses tantes éloignées se trouvait en phase terminale d’un cancer généralisé et elle a été transférée dans un hôpital du sud-ouest de la France à la demande d’une de ses filles, en l’occurence une nièce de cette amie française, qui, semble-t-il était angoissée à l’idée de voir partir vers des cieux meilleurs sa mère, étant toute seule avec elle. Elle effectua ce transfert sur les conseils du médecin traitant de sa mère. Elle l’a donc accompagnée pour rendre son dernier souffle à l’hôpital en sa présence moins de deux jours plus tard. Le certificat de décès qu’on lui a communiqué pour procéder aux démarches d’inhumation mentionnait « mort par Covid ».
Elle a contacté le médecin traitant de sa mère, un médecin de ville, en manifestant sa surprise relative à la mention figurant sur l’acte de décès. Il lui a répondu que c’était normal car pour tout mort classé « mort par Covid » l’hôpital percevait un bonus de 500 euros. Ce médecin de campagne lui a avoué que si elle avait fait appel à ses services pour transférer sa mère à l’hôpital il aurait perçu un bonus de 75 euros …
À l’évidence le gouvernement français a corrompu le corps médical hospitalier ainsi que les praticiens généralistes de ville pour gonfler artificiellement le nombre de « morts par Covid ». Entretenir la peur dans la population semble avoir un coût, entretenir cette peur pour exiger que tous les citoyens soient vaccinés relève de cette curieuse pratique de corruption. Pourquoi le gouvernement français a osé prendre de telles dispositions, la raison paraît évidente : le gouvernement français est le doigt sur la couture devant les exigences des laboratoires pharmaceutiques. Ils n’ont pas réalisé de profits avec leurs anti-viraux bidons, Remedesivir ou Tamiflu peu importe, et ils doivent se rattraper avec le vaccin, CQFD. Ces fait me donnent l’occasion de rappeler que l’étude très détaillée et documentée réalisée par un groupe d’étudiants de la Johns Hopkins University relative aux causes de « morts par Covid » montrait clairement une manipulation systématique de ces causes. Cette étude a été censurée à la demande dont on ne sait pas trop qui car elle dérange ! Pour conclure j’ose écrire que cette pandémie qualifiée de catastrophe mondiale n’est pas plus mortelle que n’importe quelle autre grippe saisonnière et que tous les chiffres ont été manipulés à des fins obscures. Je laisse à mes lecteurs le loisir de structurer leur propre analyse. Si je formule clairement mon opinion je serai immédiatement taxé de comploteur, voire de fasciste, mais j’ai toujours assumé sur ce blog mes opinions …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/27/breve-le-monnayage-des-morts-par-covid-un-autre-scandale-detat/
LA DEPOPULATION BRITANNIQUE PAR LES TESTS RT-PCR INUTILES
RépondreSupprimerLa nouvelle souche COVID-19 est un désastre politique de notre propre fait
Photo de Tyler Durden
DIMANCHE 27 DÉC.2020-9: 20
Rédigé par Rob Sutton via TheCritic.co.uk,
En cherchant des réponses à des questions scientifiques que personne n'avait posées, nous nous retrouvons à accorder de l'importance à des découvertes qui n'en ont peut-être pas ...
En justifiant le passage à un nouveau verrouillage national, les dirigeants du Royaume-Uni ont brièvement profité de la fortune politique d'une découverte qui fait la une des journaux: une nouvelle souche de Covid-19, peut-être plus virulente que l'ancienne.
Cette souche, malgré la rareté des données scientifiques, a été décrite comme «jusqu'à 70 % plus transmissible que l'ancienne variante», et c'est ce chiffre qui a saisi les médias et les décideurs. La tendance au catastrophisme est palpable.
Pourtant, cette nouvelle souche, VUI-202012/01, a rapidement transcendé son rôle au sein de la politique nationale pour justifier l'introduction de verrouillages de niveau 4. La peur d'une nouvelle souche mutante super-transmissible s'est étendue à d'autres nations, qui sont également désireuses d'afficher le genre d'interventions réactionnaires instinctives généreusement décrites comme «un leadership décisif». Plus de 30 pays ont interdit l'entrée de citoyens britanniques par crainte de la nouvelle souche, les scènes chaotiques à Douvres exacerbant les négociations déjà tendues sur le Brexit.
Peu importe que le comité du ministère de la Santé dont les recommandations concernant la nouvelle souche aient exprimé une incertitude considérable sur la transmissibilité et les dangers posés. À l'heure actuelle, le principe de précaution domine complètement la prise de décision à Westminster et dans les assemblées décentralisées. «Mieux vaut prévenir que guérir», entend-on, alors que de nouveaux verrouillages sont annoncés sans la moindre trace de contrôle législatif.
Comment est-ce arrivé si vite ? Il semble qu'à peine la nouvelle d'une souche mutante de Covid-19 ait été brisée que nous avons été rapidement conduits au niveau 4 et sommes devenus un paria mondial. Pour comprendre comment cette panique s'est développée, nous devons comprendre la nature de la médecine diagnostique, sa relation avec la méthode scientifique et comment les deux pourraient être utilisées à des fins politiques.
En Grande-Bretagne, nous disposons de l'une des infrastructures scientifiques, médicales et technologiques les plus avancées au monde. Cette infrastructure a été considérablement élargie au cours des premiers mois de la pandémie, la capacité de dépistage du Covid-19 ayant rapidement augmenté. Les raisons de cette augmentation étaient en grande partie politiques. En poussant à réaliser 100 000 tests par jour, le gouvernement espérait pouvoir rassurer un public inquiet.
RépondreSupprimerDans des circonstances normales, les tests médicaux ne sont généralement pas utilisés avec de tels objectifs politiques à l'esprit. Ils font partie d'un processus de test d'hypothèses et de raisonnement bayésien pour guider la prise en charge médicale rationnelle des patients présentant une incertitude diagnostique. Nous commençons par former une question, en choisissant un test pour répondre à cette question et en appliquant ce test, en gardant à l'esprit les limites de la certitude diagnostique pour une enquête donnée.
La clé ici est qu'un test de diagnostic est utilisé pour répondre à une question spécifique. Nous n’appliquons pas, pour des raisons de faisabilité économique et de restriction éthique, des tests de dispersion à de vastes pans de la population sans une bonne raison. Dans les populations à risque de maladie mais autrement asymptomatiques, nous pourrions utiliser le dépistage pour identifier la maladie à un stade précoce et améliorer les résultats du traitement. Mais jamais auparavant nous n’avons tenté d’appliquer un «dépistage» aussi intensif pour une maladie aussi mal comprise pour guider des politiques aussi profondes que les violations des libertés civiles que nous constatons actuellement.
À l'heure actuelle, les programmes de dépistage nationaux sont utilisés comme des véhicules politiques pour justifier des prescriptions politiques prédéterminées, plutôt que comme des instruments scientifiques pour répondre à des questions de diagnostic bien formulées. Les décideurs politiques qui considéraient les tests d'infrastructure comme un moyen de comptabiliser rapidement certains points politiques ont plutôt marqué un but propre, nous soumettant à un torrent de données qui, au lieu de nous rassurer, ne servent qu'à nous poser plus de questions. La perversion de la méthode scientifique n’est pas pire que cela.
Comme un patient anxieux soumis à une batterie de tests ne deviendra que plus anxieux à mesure que des découvertes fortuites mèneront à d'autres questions de suivi, nos décideurs politiques se retrouvent également avec plus de problèmes que de réponses grâce à l'application aveugle de l'arsenal complet de tests. méthodes à la disposition de l’État britannique. Et ces problèmes ont l'habitude de produire encore plus de problèmes grâce à un cycle de rétroaction positive.
RépondreSupprimerDepuis les premiers jours de la pandémie, la capacité de test du Royaume-Uni a été considérablement élargie. L'objectif initial de 100 000 tests par jour n'a pas été plus tôt atteint qu'il a été remplacé par un nouvel objectif de 200 000 tests par jour. La pensée politique est ici évidente: un grand nombre devrait rassurer le public. Mais c'est extraordinairement myope.
Des tests plus intensifs conduisent à de nouvelles justifications pour des tests encore plus intensifs. Le cycle est le suivant: nous commençons avec une capacité de test modérée qui est principalement utilisée pour détecter les cas parmi les patients les plus malades et les plus vulnérables, afin d'orienter la poursuite du traitement. Des préoccupations sont soulevées par ceux qui ne sont pas en mesure d'accéder aux tests par eux-mêmes. Le gouvernement s'engage à étendre les tests au-delà de sa portée initiale et élargit les critères d'éligibilité pour inclure les médecins, les infirmières, les travailleurs à domicile et autres.
Nous commençons à inclure de plus en plus de porteurs asymptomatiques pour lesquels un cas positif présente un risque essentiellement négligeable de préjudice grave. Pourtant, le nombre qui retient l’attention du public est le nombre absolu de cas positifs. Avec un nombre considérablement accru de tests, nous obtenons un nombre considérablement accru de cas positifs. Et le gouvernement, voyant une situation s'enfuir et désespérant de reprendre le contrôle par les moyens limités dont il dispose, promet d'augmenter encore sa capacité de test. Le cycle continue.
Plus de tests conduiront naturellement à plus de cas, en particulier si ces tests sont utilisés sans discernement et sans réelle stratégie en tête. Le problème s'aggrave lorsque l'on considère l'augmentation du nombre absolu de faux positifs. La croissance des faux positifs est linéaire avec l'augmentation du nombre de tests, mais les conséquences négatives pour la société se sont réparties comme un réseau hautement non linéaire, l'isolement des contacts de cas (faussement) positifs ayant des conséquences négatives étendues et synergiques pour la société en général. Mais même sans cela, et en supposant que tous nos résultats positifs sont de vrais positifs, en utilisant les tests comme une forme de surveillance de masse, nous nous sommes mis en place pour un cycle sans fin de verrouillages.
RépondreSupprimerLa même logique s'applique aux tests génétiques qui ont mis au jour cette «nouvelle» souche, même si l'on peut encore constater qu'elle est en circulation dans le monde depuis longtemps. En testant davantage, sans savoir ce que nous testons, nous trouverons des choses qui, d'un point de vue politique, nécessitent une intervention supplémentaire.
Le corpus de données qui peut être déversé pour trouver de nouvelles justifications aux restrictions en cours continue de croître. Avec la dimension supplémentaire des études génomiques, le potentiel pour le bruit d'étouffer le signal augmente, en particulier à un moment où il y a une forte demande publique et politique pour un récit cohérent. Il existera toujours une métrique suffisamment intimidante pour qu'elle puisse être utilisée pour justifier un nouveau verrouillage. Pourtant, nous continuons à chercher sans vraiment savoir ce que nous recherchons ou pourquoi nous le faisons.
Il n'y a essentiellement aucune limite logique supérieure à l'intensité avec laquelle nous pouvons tester et au nombre de techniques différentes que nous pouvons appliquer pour élucider Covid-19 et ses différentes souches. Certaines souches seront inévitablement plus virulentes et auront, par définition, une plus grande tendance à se propager. Ce n’est pas en soi un motif d’alarme; c'est simplement du darwinisme à l'échelle microscopique. Et la question de savoir si ces résultats sont importants du point de vue de l'élaboration des politiques est une question tout à fait différente.
La méthode scientifique commence par une question et cherche à trouver une réponse. Si nous décidons de chercher des réponses sans questions, nous nous retrouvons avec des données qui doivent être interprétées et valorisées post hoc, indépendamment du fait que cette signification existe réellement. Il est difficile d'échapper aux cycles de rétroaction positive. Les différents gouvernements du Royaume-Uni et ses législatures décentralisées doivent de toute urgence rationaliser l'utilisation des tests et justifier clairement l'introduction de toute nouvelle méthode d'enquête. Sinon, nous serons piégés par une crise politique de notre propre initiative.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/covid-19/new-covid-19-strain-political-disaster-our-own-making
DICTATURE CRIMINELLE
RépondreSupprimerUn projet de loi liberticide vient d’être déposé par le Premier ministre
Un projet de loi a été déposé, ayant pour but d’échapper au contrôle du Parlement en cas de crise sanitaire, donnant tous pouvoirs au ministre de la Santé et au Premier ministre.
26 DÉCEMBRE 2020
Par Gérard Maudrux.
Un projet de loi liberticide vient d’être déposé par le Premier ministre, dans le cadre d’une procédure accélérée et en pleines fêtes de Noël. Depuis des décennies, les pires textes pour les citoyens sortent toujours en période de vacances, été et Noël.
Celui-ci ne fait pas exception, ayant pour but d’échapper au contrôle du Parlement en cas de crise sanitaire, donnant tous pouvoirs au ministre de la Santé et au Premier ministre ; pouvoirs très étendus, administratifs, de police et de choix des traitements.
UN PROJET DE LOI QUI DIFFÉRENCIE ÉTAT DE CRISE SANITAIRE ET ÉTAT D’URGENCE
Ce texte fait d’abord une distinction entre « état de crise sanitaire », et « état d’urgence sanitaire », pouvant « être déclarés sur tout ou partie du territoire ». Qui définit cette notion ? Le ministre de la Santé, qui va être juge et partie.
En cas de « crise sanitaire », le ministre aura tous pouvoirs pendant deux mois, renouvable deux mois. Au-delà cela doit être prolongé par décret en conseil des ministres, après avis du Haut conseil de la Santé publique. Au-delà de 6 mois, le gouvernement doit aller devant le Parlement pour expliquer les raisons du maintien. Il n’a pas à lui demander son accord ni avant, ni après, l’article L.3131-2 ne prévoit qu’une « présentation ».
Le Premier ministre, « sur avis du ministre de la Santé », peut :
pratiquer un contrôle des prix de certains produits (il n’est pas précisé médicaux ou non) ;
réquisitionner toute personne, tout bien, tout service.
Le ministre de la Santé peut :
ordonner placement, isolement ou mise en quarantaine ;
prendre toute mesure permettant la mise à disposition de produits de santé.
C’est le ministre qui prescrit ! Il va définir ce qui est autorisé ou non, commercialisé ou pas.
En cas d’« urgence sanitaire », déclarée par le Conseil des ministres, sur rapport du ministre de la Santé, il est créé un « comité scientifique » (modalités Art. L.3131-6) qui rend périodiquement des avis et propositions. Les dispositions de l’état d’urgence sont valables un mois, prolongeable par une loi.
RépondreSupprimerLe Premier ministre peut (Art.L.3131-9) :
règlementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules ;
interdire la sortie du domicile ;
fermer toutes sortes d’établissements ;
limiter ou interdire les rassemblements ;
prendre toute autre mesure limitant la liberté d’entreprendre ;
subordonner les déplacements, les accès et l’exercice de certaines activités « à la présentation d’un test de dépistage, au suivi d’un traitement préventif, y compris un vaccin ».
Quand on voit toutes ces prérogatives accordées au ministre de la Santé, et quand on voit de quoi il est capable, avec sa gestion des masques (gestion des commandes, discours de girouette sur l’utilité), les commandes de respirateurs (10 000, passés où ?), la multiplications des lits de réanimation (12 000, où ?), le mépris du secteur libéral en première ligne, le fait qu’avec ses Hauts Conseils il ne semble pas lire et interpréter les publications médicales (cf Mehra, Remdesivir, Plaquénil dangereux…), des vaccins commandés sur communiqués de presse sans articles scientifiques… il y a de quoi être très, très inquiets pour notre santé et nos libertés lors des prochaines crises.
Les dispositions qui suivent dans « Section dispositions communes » ne sont pas plus réjouissantes. La rédaction évoque davantage une mise en détention qu’une quarantaine, « prononcée par le représentant de l’État dans le département (préfet) », avec « voies et délais de recours ainsi que modalités de saisine du juge des libertés et de la détention », ce « juge des libertés et de détention pouvant être saisi par le procureur de la république » (Art.L.3131-12).
La « section 3, système d’information », écorne un peu la protection des données : « Les caisses d’assurance maladie peuvent, par dérogation et pour la durée strictement nécessaire à leur réalisation, mettre en œuvre des traitements de données à caractère personnel concernant la santé des personnes, le cas échéant sans leur consentement » et autorise le directeur de la caisse nationale à rémunérer les professionnels de santé pour obtenir ces données (Art. L. 33124).
Certains crieront au scandale, mais je ne suis personnellement pas choqué compte tenu du contexte, si cela relève de l’intérêt général et que le traitement des données personnelles respecte l’anonymat et le secret médical.
RépondreSupprimerVÉRAN REPORTE LE DÉBAT
Coup de théâtre il y a 48 heures : monsieur Véran annonce à des journalistes que le débat sur ce texte est clos sans avoir commencé, et qu’il n’aurait pas lieu avant des mois. Il faudrait que ces messieurs accordent leurs violons, ce texte étant déposé en urgence, dans le cadre d’une procédure accélérée, comme écrit en première ligne du texte ! Eux qui prétendent gérer l’urgence avec carte blanche ? Grave. Belle démonstration de leur capacité à gérer l’urgence !
J’ai quand même ma petite idée concernant ce revirement, connaissant les rouages de nos institutions. Il y a un peu plus d’un an, un haut fonctionnaire à qui on disait à propos de la réforme des retraites : « Êtes-vous sûr que les députés voteront cela ? », réponse : « Les députés voteront ce qu’on leur dira de voter » (sous-entendu, s’ils veulent conserver leur poste). Il semble que cette fois quelques députés LaREM ont fait savoir qu’ils ne le voteraient pas. À suivre…
https://www.contrepoints.org/2020/12/26/387252-un-projet-de-loi-liberticide-vient-dêtre-depose-par-le-premier-ministre
L’État français de plus en plus brutal et autoritaire
RépondreSupprimerEmmanuel Macron déplore la contestation de l’autorité parmi ses concitoyens. Une vision de la gouvernance exclusivement verticale.
27 DÉCEMBRE 2020
Par Claude Robert.
Il est assez consternant qu’Emmanuel Macron déplore « la contestation de toute forme d’autorité, y compris de l’autorité académique et scientifique » (L’Opinion, 22/12/20). La récente flambée protestataire est parfaitement concomitante des démonstrations d’autoritarisme de son gouvernement.
Fidèle à ses tours de passe-passe rhétoriques, le président tente un parallèle avec la contestation de l’autorité académique et scientifique. Mais cette contestation semble dépendre de causes qui n’ont pas grand-chose à voir. Il s’agit bien sûr, pour le Président, de faire diversion de ses propres fautes.
LA PRÉSIDENCE D’UN QUASI DESPOTE MÊME PAS ÉCLAIRÉ
La présidence de Macron est une longue et douloureuse succession d’atteintes aux libertés individuelles. Tout a commencé dès sa prise de pouvoir par la tentative de choisir les journalistes autorisés à suivre ses déplacements et son actualité présidentielle. Faut-il une solide inculture humaniste pour oser pareil coup, sans même s’en cacher ?
La réaction des médias ne s’est pas fait attendre, avec une pétition intitulée « Monsieur le Président, il n’appartient pas à l’Elysée de choisir les journalistes ». Pétition à laquelle, fidèle à ses acrobaties dialectiques, le président a répondu qu’il s’agissait au contraire d’une « démarche d’ouverture » de sa part (Femmes Actuelles 19/05/17).
L’anachronique limitation à 80 km/h fournit le second exemple patent du dirigisme compulsif de son gouvernement. Cette mesure a été le principal déclencheur d’un mouvement de révolte de très grande ampleur, les Gilets jaunes, contre lequel Macron déploiera sans la moindre honte un dispositif d’une violence inconsidérée.
Ce qui amènera, excusez du peu, Amnesty International et le Conseil de l’Europe à émettre un avertissement, respectivement pour « usage de la violence » et « utilisation abusive des LBD » !
Rien d’étonnant à ce que le mouvement se soit durci et ne poursuive qu’un seul objectif : obtenir la tête du président. N’est-ce pas une réaction naturelle après les cent-quarante blessés graves parmi lesquels quatorze qui ont perdu un œil ? L’arrêt du mouvement n’est bien évidemment que temporaire, simplement dû aux contraintes imposées par la pandémie de coronavirus.
RépondreSupprimerLa première vague de cette pandémie fournit également une autre preuve de la violence du gouvernement, celui-ci décrétant le plus brutal des confinements du monde libre, tout simplement pour enrayer les conséquences de son inaction. L’obligation d’un formulaire de sortie, à remplir comme pendant les heures sombres de l’occupation, est révélatrice de cet autoritarisme centralisateur d’un autre âge.
Tout aussi malodorante est l’incroyable directive émanant du ministère de l’Intérieur qui en mars 2020 interdisait aux gendarmes le port du masque, tout simplement parce qu’aucune commande n’avait été passée suffisamment tôt. Cette mesure liberticide et dangereuse a tout naturellement déclenché l’ire de plusieurs syndicats de policiers, ceux-ci menaçant le gouvernement de leur « droit de retrait ».
À côté de ces violences gratuites et injustifiées vis-à-vis des Gilets jaunes et des policiers, la clémence dont ont bénéficié les manifestants de Notre-Dame-des- Landes, les Blackblocs ou encore les grévistes de la SNCF (qui ont pourtant pris en otage la population dans son ensemble) s’additionne au malaise général.
Tout comme les multiples tentatives pour réglementer les échanges sur Internet et les réseaux sociaux. Elles procèdent de cette même pulsion dirigiste et centralisatrice de nature à soulever l’esprit de rébellion parmi les citoyens. Car le gouvernement n’apparait plus comme le garant de l’État de droit, capable de protéger les libertés individuelles, mais au contraire comme une espèce de Léviathan aussi partial que despotique !
LA SCIENCE ET LA CULTURE FACE À L’INCULTURE ET AUX AFFECTS
RépondreSupprimerDans l’essai Conditions de l’éducation, M. Gaucher, M.C. Blais et D. Ottavi abordent entre autres sujets le recul de l’autorité académique et scientifique. Celui-ci est analysé comme multi-causal. À la baisse lente et progressive du prestige de l’enseignant, induite par l’affaissement des deux piliers : impératif du savoir et légitimité de l’institution, s’ajoutent aux excès d’autoritarisme scolaire d’antan des difficultés plus récentes liées à l’émergence des moyens numériques de connaissance, à la chute du niveau d’instruction ainsi qu’à un retour du religieux.
Toutes ces raisons se cumulent. Il en résulte une société qui semble se détourner de l’esprit scientifique, des raisonnements logiques, en un mot, de l’esprit des Lumières. Une évolution que l’on pourrait qualifier de régressive, la secondarité d’une société nourrie d’objectivité scientifique et de culture humaniste cédant progressivement le pas à la primarité, c’est-à-dire aux instincts, aux impressions purement subjectives et émotionnelles, tout ce qui hélas la rapproche des sociétés dites primitives.
Or, de ces tendances constatées dans de nombreuses régions du monde, seule la chute du prestige des institutions scolaires et universitaires semble commune à la contestation du pouvoir politique que dénonce Macron. Le reste apparaît bien spécifique à la France, et particulièrement lié à la tournure de démocrature violente qu’a subitement imprimé sur notre pays l’actuel président socialiste !
Le plus triste dans cette histoire est qu’il déplore lui-même les conséquences de ses propres dérapages. Tel un pompier pyromane, il s’étonne ou feint de s’étonner de l’incendie. Et comme s’il s’adressait à un peuple de demeurés, il fait miroiter un « monde d’après » tout en imposant au pays une régression autoritariste digne d’une autre époque.
Tout cela en dit long sur ses penchants totalitaires, et sur les révoltes qu’il est en train d’alimenter malgré lui contre l’État et ses institutions les plus représentatives. Institutions parmi lesquelles l’ENA, la matrice infernale capable d’enfanter des diplômés dénués du respect démocratique, la matrice à l’origine de la démocrature qu’est devenu notre pays.
https://www.contrepoints.org/2020/12/27/387411-avec-macron-letat-francais-de-plus-en-plus-brutal-et-autoritaire
La Chine et l’Occident : des relations en danger
RépondreSupprimerC’est en devenant capitaliste que la Chine a pu s’en sortir ! Mais elle effectue un retour en arrière : adieu l’innovation, l’esprit de compétition et l’énergie frénétique qui ont sauvé le pays.
Par Yves Montenay.
26 DÉCEMBRE 2020
En quelques années les perceptions réciproques de la Chine et de l’Occident se sont transformées.
Il y a encore peu, les deux se voyaient complémentaires. La Chine absorbait à toute vitesse l’argent, les hommes, les méthodes et les techniques occidentales pour se développer, et ce développement donnait aux entreprises occidentales l’accès à un eldorado. C’était à la fois l’usine du monde, ce qui a largement profité à Apple, et un marché fantastique, actuellement le plus important de la planète.
La perception actuelle est presque opposée : son développement a fait de la Chine la deuxième puissance mondiale et bientôt la première. Cette puissance est de plus en plus orgueilleuse et hostile, les entreprises étrangères y sont bridées et pillées de mille façons, tandis que les coûts salariaux sont de moins en moins compétitifs.
Et par-dessus tout la Chine prend plaisir à attaquer les démocraties dans leur essence même, en promouvant un système politique bien agréable pour les dirigeants notamment africains, mais pas forcément pour les populations, et encore moins pour celles de l’Occident habituées à la démocratie.
C’est le divorce.
Un divorce politique, qui n’est certes pas nouveau, mais qui s’accentue alors qu’on imaginait qu’il disparaîtrait avec le développement. Mais aussi un divorce économique avec une remise en cause du capitalisme qui avait pourtant tant apporté à ce pays.
Ce divorce est difficile parce que tant la Chine que l’Occident continuent à avoir de mille façons besoin de cette complémentarité qui a maintenant plus de 30 ans.
Bref, on avait oublié le divorce politique, le divorce économique pointe, mais pour l’instant chacun garde deux fers au feu.
FIN DE L’ESPOIR DE LA DÉMOCRATISATION PAR LE DÉVELOPPEMENT
Souvenez-vous des discours du genre :
« Quand on est pauvre, on ne pense qu’à la nourriture. En cultivant si on est paysan, sinon en gagnant quatre sous pour en acheter. Et il faut sans cesse veiller à ne pas se faire violenter ou tuer par ceux qui veulent vous prendre le peu que vous avez. L’autorité, même rude, est bienvenue.
Quand on commence à être à l’aise et assuré de pouvoir se payer ses repas, on commence à penser à autre chose. On constate que l’autorité peut être prédatrice et de toute façon gêne notre liberté. On devient démocrate. »
Ainsi George W. Bush déclarait, en 1999, que « la liberté économique crée des habitudes de liberté. Et les habitudes de liberté créent des désirs de démocratie… ».
Et en 2000, on faisait entrer la Chine à l’OMC au nom des libertés économiques, pensant promouvoir à cette occasion les libertés politiques.
Le raisonnement était même parfois géopolitique : « les guerres, c’est bon pour les pauvres, les pays civilisés commercent et constatent que c’est bénéfique aux deux parties. »
Bien entendu, ceux qui tenaient ces discours oubliaient les guerres entre pays riches pourtant très nombreuses en Europe occidentale. Ils oubliaient aussi les dictatures acceptées par « les classes moyennes inférieures » qui réprimaient les élites politiquement libérales et les classes « dangereuses » pauvres.
RépondreSupprimerC’est le cas du fascisme, du nazisme et des innombrables populismes, mais ils sont souvent présentés soit comme des exceptions à la règle générale de démocratisation par le développement, soit comme une réaction à un événement exceptionnel, comme l’hyperinflation allemande des années 1921-1923 qui expliquerait la montée du nazisme. Rappelons que pour une base de 1 en 1914, l’indice des prix était à 10 après la guerre et à 1000 milliards en novembre 1923.
Cette théorie sympathique de la démocratisation spontanée oubliait que la prise de pouvoir autoritaire ou dictatoriale venait souvent de l’action d’un petit groupe, tels les bolcheviques dans la Russie de 1917. Certes, ils exploitaient une situation nationale difficile, la Première Guerre mondiale en l’occurrence, mais qui avait bien d’autres solutions possibles comme en ont témoigné les autres pays européens et aujourd’hui les pays asiatiques…
Bref, une fois de plus, les optimistes furent désavoués.
LA « DÉSILLUSION XI » ET L’ÉVOLUTION VERS LA DICTATURE EN CHINE
Nous avons vu dans mes articles précédents la dérive dictatoriale de Xi, avec le durcissement du contrôle social : généralisation de la reconnaissance faciale pour les actes courants, contrôle des réseaux sociaux, contrôle politique, dont celui de Hong Kong, et celui de la pensée et du travail des Ouighours…
La plus récente des innombrables victimes a été Ren Zhiqiang. Ce dernier, membre du PCC et magnat de l’immobilier chinois, fut accusé en 2016 de « salir l’image du Parti et de la Chine », officiellement pour des faits de corruption, mais en fait pour avoir critiqué la censure croissante que le Président Xi Jinping faisait subir aux médias chinois. Il a ajouté à ses premiers torts celui de critiquer la gestion du Covid-19. Il fut condamné en septembre à 18 ans de prison.
Nous avons vu également que si le développement économique de la Chine n’avait rien de miraculeux, car tous les pays sérieux font de même (hélas, ils ne sont pas nombreux). Il est néanmoins impressionnant de voir un pays de 1,4 milliard d’habitants prendre sa place normale, c’est-à-dire 20 % de la planète à tous les points de vue, militaire compris… et même davantage car la moyenne planétaire est tirée par le bas, justement par les pays qui ne sont pas sérieux.
C’est ce développement impressionnant qui a nourri l’orgueil de Xi, et probablement celui d’une majorité de Chinois. Cet orgueil semble l’avoir convaincu que son système était le meilleur, ou du moins qu’il pouvait s’appuyer sur ses résultats pour consolider son pouvoir ; et ce d’’autant plus qu’il aurait ressenti un mécontentement et des menaces.
RépondreSupprimerCette répression rappelle la méthode maoïste de jauger chacun à partir de son adhésion à « la pensée de Xi », maintenant enseignée partout. Il s’y ajoute le retour des cellules du Parti communiste au sein des entreprises privées, et le président a insisté pour que l’avis de ces cellules soit pris en compte par la direction de l’entreprise.
CE QUI SIGNIFIE QUE L’ON CHANGE DE SYSTÈME ÉCONOMIQUE
On a remarqué également des actions plus directes comme l’arme du crédit et l’exigence d’adapter l’activité de l’entreprise aux objectifs du pouvoir. Bref, « les entreprises privées sont placées sous la direction du parti ».
Et le parti va les juger en permanence par le Corporate credit system : l’entreprise sera dégradée si le système repère un manquement à l’un des 300 critères parmi lesquels l’impôt, la qualité et le respect des réglementations, non seulement par elle-même mais aussi par ses partenaires commerciaux
Xi Jinping a fini par intervenir lui-même pour empêcher l’introduction en Bourse d’Ant Group, une opération à 34 milliards de dollars. Son patron, X, aurait alors eu une puissance financière lui permettant de remplacer des banques d’État, ce qui était son objectif affiché que l’on peut résumer par : « il est temps de remplacer ce système bancaire bureaucratique et inefficace ». Bref le politique semble préférer le pouvoir par le système bancaire en place à l’efficacité économique.
Le président Xi semble donc se rapprocher de son aile gauche maoïste, alors que cette période a été une catastrophe pour la Chine et que c’est en devenant capitaliste qu’elle a pu s’en sortir !
Dans cette hypothèse, adieu l’innovation, l’esprit de compétition et l’énergie frénétique qui ont sauvé le pays. Alors que la Chine était fière de ses entreprises privées devenues parmi les premières mondiales comme Alibaba, Tencent ou Huawei.
COMMENT SE FERMER TOUT EN CONTINUANT À BÉNÉFICIER DE L’OCCIDENT ?
RépondreSupprimerMais le divorce total est difficile. La Chine a bien remarqué l’apport des entreprises occidentales et cherche à s’isoler de possibles représailles tout en continuant à en bénéficier.
L’accord commercial que vient de signer la Chine avec ses voisins de l’Est et du Sud a fait grand bruit et peut être sommairement résumé par le remplacement des États-Unis par la Chine. Il semble toutefois que ce soit d’abord un succès diplomatique ayant peu de conséquences économiques. Remarquons que cet accord englobe l’Australie, alors qu’elle est en froid avec la Chine.
C’est peut-être l’occasion de sortir du blocage actuel : l’Australie ayant critiqué la politique de Pékin s’est fait interdire l’accès à son principal marché, tant pour le vin que pour le charbon. Résultat : les centrales thermiques chinoises manquent de combustible et il y a des coupures de courant. Divorcer n’est pas si simple !
D’où des efforts diplomatiques pour éviter des fâcheries. Nous avons vu les efforts de séduction de la Chine en Afrique. Ils viennent d’être complétés par « la diplomatie du vaccin » : la Chine se dépêche de proposer ses vaccins à prix modique dans les pays émergents sans attendre d’avoir opéré les essais cliniques, afin d’y prendre pied et favoriser ses autres actions.
Mais le principal allié de la Chine pour continuer à bénéficier de l’apport occidental, ce sont les industriels occidentaux eux-mêmes.
ET POUR L’OCCIDENT, COMMENT CONTENIR LA CHINE TOUT EN PROFITANT DE SON MARCHÉ ?
En effet, les industriels occidentaux ne sont pas prêts à faire une croix sur le marché intérieur chinois.
Une illustration en est le projet de traité sur la protection réciproque des investissements. Les Européens, qui estiment être plus ouverts aux investissements chinois que l’inverse, veulent sécuriser leur propriété intellectuelle et éviter un dumping interne de la part des sociétés d’État.
L’Allemagne, qui préside l’Union européenne jusqu’au 31 décembre, a donc poussé à un accord avec la Chine. Celle-ci voulait également traiter rapidement, avant le départ d’Angéla Merkel, mais seulement après avoir eu la certitude du départ de Trump. On n’en est qu’au stade du projet et il faudra intégrer l’avis des États et du Parlement. Finalement la Chine aurait cédé sur l’accès des étrangers à certains marchés mais pas sur la sécurité de leurs investissements.
Donc les affaires d’abord, pour vraiment contenir, on verra plus tard !
Une autre illustration, la proclamation de la Chine d’être neutre en carbone en 2060 sert d’abord à soigner son image, mais les mesures qui seront prises dans cet esprit ouvriront des marchés à EDF, Suez, Veolia… Il est urgent de ne pas se fâcher !
Le secteur français de la culture espère lui aussi profiter du marché chinois pour ses films, mais la censure des contenus est de plus en plus forte et la distribution donne priorité aux films chinois. En 2019 il y a eu 541 films chinois, 43 américains, 21 d’autres pays d’Asie et 11 français. En recettes, cela a fait 0,1 % du marché.
RépondreSupprimerMais l’Union européenne fronce quand même les sourcils : le 15 juin 2020 elle a obtenu que l’OMC ne reconnaisse plus la Chine comme une économie de marché, ce qui permettra de lui retirer certains privilèges commerciaux et de surtaxer ses importations.
En résumé, le divorce est difficile. Mais un acteur longtemps sous-évalué est en train de s’imposer : la démographie.
LE REFLUX DÉMOGRAPHIQUE VA IMPOSER DES GAINS DE PRODUCTIVITÉ
On oublie souvent que le succès chinois vient en partie du dividende démographique. Quand la population d’un pays pauvre voit sa fécondité baisser alors qu’il y a peu de personnes âgées (du fait de la pauvreté, voire de la misère et de la désorganisation sanitaire jusque dans les années 1980, dans le cas de la Chine), la proportion de personnes actives est forte pendant quelques décennies, la hausse des salaires est répartie entre moins de personnes et les charges de retraite sont faibles… d’autant qu’une partie de la population ne perçoit pas de pension.
Mais c’est une période transitoire qui se termine en Chine. Les enfants uniques sont maintenant adultes. Comme dans bien d’autres pays, dont l’Allemagne, la pyramide des âges est de plus en plus gonflée dans les grands âges et se creuse à la base. L’effectif des générations tombe brusquement à partir de 27 ans en 2020, tombera à partir de 28 ans en 2021 etc. Et le phénomène va s’accentuer avec la diminution du nombre de parents.
Mathématiquement il ne peut pas y avoir de salut par l’immigration, aucun pays au monde n’ayant de quoi boucher les trous de la pyramide des âges d’un pays de 1,4 milliard d’habitants. Sauf, théoriquement, l’Inde, mais c’est impensable des deux côtés pour l’instant. Très accessoirement je signale une importation clandestine de femmes, genre qui manque en Chine, puisqu’à l’époque de l’enfant unique, il fallait un fils et donc on s’arrangeait pour ne pas avoir de fille.
Pour compenser cette baisse de la population active, il faudra compter sur la productivité pour maintenir le niveau de vie, alors qu’on était habitué à des hausses rapides. Et on s’accorde à dire que c’est cette hausse du niveau de vie qui permet au régime de durer. Or dans quelle mesure un secteur public encore majoritaire et un secteur privé de plus en plus bridé pourront-ils faire face ?
Le capitalisme pourrait se révéler incontournable.
https://www.contrepoints.org/2020/12/26/387246-la-chine-et-loccident-des-relations-en-danger
L'arrivée des machines a (après celui des être humains et des animaux) été un nouvel esclavage mais qui, lui, pouvait rapporter beaucoup plus gros que tout autre mode ! Une sorte de 'planche-à-billets' qui valorise ses produits mieux que quiconque. D'où le passage du communautarisme dictatorial à l'ère du capitalisme libertaire !
SupprimerC'est pourquoi très vite on été portés des prélèvements (vignettes, taxe essence, TVA, etc) sur tous les modèles et sur les énergies utilisées afin que personne ne tire vraiment profit de son esclave ! Mais très vite de nouvelles machines ont échappé aux lourdeurs imposées en se présentant en rayons à tout petits prix !
Donc: le consommateur s'enrichissait ! D'où la fabrication de nouvelles escroqueries afin de paupériser le Peuple qui avait bientôt des salaires de ministres !
Sont donc arrivées les Hausses du pétrole appelées 'choc pétrolier' (compte tenu que le pétrole abiotique pourrait se raréfier ! Hahahaha !), puis le 'Global Warming' (à l'heure où notre planète entre en cycle de refroidissement !) et de la prochaine... hausse du niveau des mers & océans ! HAHAHAHAHAHA ! (pour les cons qui penseraient que toutes les eaux de pluies, des fleuves et des rivières qui vont à l'océan... s'évaporent ! HAHAHAHAHAHA ! Puis, arrivée de la taxe sur l'air consommé !! Parce qu'en plus d'oser tasser la terre de vos petites pattes sales de merde vous utilisez de l'air et pourquoi pas de l'eau gratuite !! Non mais !
Mais, dans tout ce bordel planétaire, malgré les décisions autoritaires prises par les dictateurs, l'intelligence fait son chemin ! Eh oui ! L'homme du 21 ème siècle n'est pas celui du 20 ème ! Internet est passé par là !
On sait comment sont fabriqués les billets de mille, les gosses et les meufs de 100 kilos ! (pour le reste, demandez à l'ordi qui vous expliquera).
On sait aussi ce qu'est le '11 septembre' et l'hologramme du corona dessiné en milliards de minuscules petits avions terroristes 'Ben Marron' où 'Nous sommes tous des WTC !' et qu'il y a plus de tour n°7 sur 1m² que partout dans le monde !
New York ne peut pas acheter son moyen de sortir des pannes de courant
RépondreSupprimerPar David Wojick
24 décembre 2020
La ville de New York abritera bientôt le plus grand système de batteries à grande échelle au monde, conçu pour soutenir sa dépendance croissante aux énergies renouvelables intermittentes. Avec 400 MWh, ce lot de batteries sera plus du triple du leader mondial des 129 MWh en Australie.
Le directeur de la durabilité de la ville de New York (je n'invente pas ce titre), Mark Chambers, est extatique et se vante: «L'expansion du stockage des batteries est un élément essentiel de la façon dont nous faisons progresser l'élan pour faire face à l'urgence climatique tout en répondant aux besoins énergétiques de tous les New-Yorkais. L’annonce d’aujourd’hui montre comment nous pouvons répondre à ce besoin à grande échelle. »
En réalité, l'échelle ici est incroyablement insignifiante.
De la même manière absurde, Tim Cawley, le président de Con Edison, le service public d'électricité de New York, jaillit ainsi: «Le stockage de batteries à grande échelle jouera un rôle vital dans l'avenir énergétique propre de New York, en particulier à New York où il contribuera à maximiser les avantages de l'énergie éolienne développée en mer. »
Cela met le Con dans Con Edison.
Voici la réalité en ce qui concerne l'échelle nécessaire pour sauvegarder de manière fiable les énergies renouvelables intermittentes. Pour simplifier, supposons que la ville de New York soit 100% éolienne. L'inclusion de l'énergie solaire dans le mix de production rend les choses plus compliquées mais ne change pas beaucoup le résultat malheureux.
NYC culmine actuellement à environ 32 000 MW nécessaires pour maintenir les lumières allumées. Si M. Biden rend toutes les voitures et tous les camions électriques, cela pourrait être plus proche de 50 000 MW, mais restons fidèles à la réalité.
Ce pic se produit pendant les vagues de chaleur estivales causées par des systèmes de haute pression stagnants appelés pics des Bermudes. Ces pics durent souvent une semaine et parce qu'ils stagnent, il n'y a pas de production d'énergie éolienne. Les éoliennes nécessitent quelque chose comme des vents soutenus de 10 mph pour déplacer les pales et plus comme un sifflement de 30 mph pour générer la pleine puissance. Au cours d'une haute aux Bermudes, les gens sont heureux d'avoir la brise occasionnelle de 5 mph. Ces énormes sommets couvrent de nombreux États, ce n'est donc pas comme si nous pouvions obtenir le jus de chez nous.
Donc, pour la fiabilité, nous avons besoin, disons, de sept jours de sauvegarde, soit 168 heures. Voici le calcul:
32 000 MW x 168 heures = 5 376 000 MWh de jus stocké nécessaires pour le fabriquer. Attention, pour la fiabilité normale, nous ajoutons généralement environ 20 %. Ai-je mentionné les voitures électriques ?
Il est facile de voir qu’une somme insignifiante de 400 MWh n’est pas une «échelle significative». C'est une échelle infinitésimale. Rien. Nada. Cela pourrait aussi bien ne pas exister.
RépondreSupprimerPlus précisément, 5 376 000 divisé par 400 = 13 440, donc seulement 13 439 de plus.
D'un autre côté, ce maigre réseau de batteries de 400 MWh pourrait bien coûter un demi-milliard de dollars, ce qui est considérable, en particulier pour les New-Yorkais qui vont payer pour cela. Aucun chiffre de coût n'est donné parce que le système est une propriété privée, mais l'EIA rapporte que le système de batterie de l'échelle utilitaire moyen fonctionne autour de 1,5 million de dollars par MWh de capacité de stockage. Cela équivaut à 600 millions de dollars pour ce jouet insignifiant.
Alors, quel serait le coût d’une sauvegarde fiable de l’énergie éolienne, à ce coût en MWh et à l’échelle de New York ? Un peu plus de 8 000 000 000 000 $ (8 mille milliards de $) ou HUIT TRILLIONS DE DOLLARS. Je n'ai pas vu cette somme incroyable mentionnée dans les médias. Peut-être que Con Ed ne l'a pas mentionné.
De plus, l'État de New York a le même problème. Seulement beaucoup plus grand si New York est inclus, ce qui est souvent le cas.
Mais bon, peut-être que le coût baissera de quelques billions de dollars. Pas si nous créons un marché vendeur en nous précipitant vers les énergies renouvelables intermittentes, ce vers quoi nous nous dirigeons certainement. Après tout, ce n'est que New York. Imaginez ce que pourrait coûter la sauvegarde de l'Amérique avec des batteries. Ne vous inquiétez pas, car c’est impossible.
Je dois également ajouter que nous ne savons pas comment faire fonctionner ensemble 5 millions de MWh de batteries. Le minuscule 400 sera un défi. Cela peut ne pas être possible.
Peut-être que la géothermie fractionnée, l'énergie renouvelable fiable, est la réponse. Ou qu'en est-il du charbon, du pétrole, du gaz et de l'énergie nucléaire? Dommage qu'ils soient tous démodés.
Tout ce battage médiatique de batterie de secours est une arnaque, et pas seulement à New York non plus. Les journaux sont pleins de ce con, d'un océan à l'autre. Les services publics savent parfaitement que ces achats de batteries très vantés sont un canular, mais ils deviennent riches en construisant les systèmes éoliens et solaires que les politiciens réclament.
Les électeurs sont inconscients de ces chiffres impossibles, car on leur dit que l'éolien et le solaire intermittents sont moins chers que le charbon, le gaz et le nucléaire fiables. Ce n'est que lorsque le soleil brille et que le vent souffle fort, ce qui n'est pas si fréquent.
La réalité est juste assise là, attendant. Cela ne peut pas fonctionner, donc cela ne fonctionnera pas. À ce stade, il ne s'agit que de savoir comment et quand nous découvrons la manière difficile
https://www.cfact.org/2020/12/24/new-york-cant-buy-its-way-out-of-blackouts/
Pour rigoler un peu prenons le cas des pannes d'ascenseurs ! HAHAHAHAHA !
SupprimerNe paniquez pas ! Du vent est prévu en fin de semaine prochaine !!
La Suisse orientale a frôlé les -30 degrés
RépondreSupprimer27 décembre 2020
Le thermomètre a enregistré une température avoisinant les -30 degrés dans la nuit de samedi à dimanche dans le Toggenbourg (SG). Il s’agit jusqu’alors de la nuit la plus froide de cet hiver.
En plaine, les températures ont frôlé localement les -10 degrés.
La Suisse a vécu la nuit la plus froide de cet hiver de samedi à dimanche. Le thermomètre est descendu à presque -30 degrés dans le Toggenbourg, en Suisse orientale.
La température a dégringolé à -29,6 degrés sur l’alpe Hintergräppelen dans le canton de St-Gall, a tweeté SRF Meteo dimanche. Un tel froid n’avait plus été enregistré depuis février dernier.
L’arc jurassien et les vallées alpines ont grelotté par endroits à -20 degrés. Ainsi, Samedan (GR) a enregistré – 23,6 degrés et la «Sibérie de la Suisse», la commune neuchâteloise de La Brévine, -21,3 degrés, a indiqué MétéoNews sur Twitter. En plaine, les températures ont frôlé localement les -10 degrés.
MétéoSuisse et l’Office fédéral de météorologie et de climatologie ont en outre averti dimanche matin que l’on se trouvait en situation de calme avant la tempête. Durant la journée et surtout durant la nuit à venir, les régions alpines devraient connaître une forte tempête de foehn.
https://www.lematin.ch/story/la-suisse-orientale-a-frole-les-30-degres-424431977182
"Une voiture électrique pollue autant qu'un diesel"
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=bY9zESWWbjI
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Ils ont survécu 15 ans sur cet ilot désert !
https://www.youtube.com/watch?v=jfr6yf-YDL0
LES ORDURES QUI DIRIGENT
RépondreSupprimerHausse de la facture d’électricité: le poids des énergies renouvelables
13:41 27.12.2020
Les Français devront payer plus cher leur électricité. Outre le confinement ou la régulation du marché exigée par l’Europe, le poids de la transition énergétique est prépondérant dans la hausse des taxes sur l’électricité. Fabien Bouglé, connu pour ses prises de positions anti-éolien, dénonce un jeu de dupes dont sont victimes les contribuables.
La facture énergétique des Français va s’alourdir en 2021. En cause: les augmentations des tarifs régulés de l’électricité (afin de préserver la concurrence exigée par Bruxelles), ainsi que celle des taxes prélevées. Notamment via la Contribution au service public de l'électricité (CSPE), qui n’a eu de cesse d’augmenter et qui est destinée au financement de la transition énergétique.
À cela s’ajoute un investissement de 100 milliards d’euros sur 15 ans de RTE et Enedis, afin de renforcer le réseau face à l’essor des énergies renouvelables, comme le soulignait le 22 décembre le quotidien Les Échos. En effet, la démultiplication de centrales éoliennes et photovoltaïques qui se déclenchent et se déconnectent de manière intempestive tend à fragiliser la structure du réseau électrique, bâti autour de centrales nucléaires et hydroélectriques qui fournissent la majorité de l’énergie du pays (environs 75%, avant la fermeture de Fessenheim) et ce de manière continue. Cet investissement sera répercuté sur le Tarif d'utilisation des réseaux publics d'électricité (TURPE) que les Français règlent sur leur facture, à hauteur d’environ 500 euros par an et par foyer chauffé à l’électricité actuellement.
Éoliennes: machines à cash pour les industriels
Une situation totalement ubuesque aux yeux de l’essayiste Fabien Bouglé, auteur du livre Éoliennes: la face noire de la transition écologique (Éd. du Rocher, 2019), qui dénonce une «schizophrénie électrique». Dans son collimateur, le «en même temps» du chef de l’État. Récemment encore, celui-ci réaffirmait devant les caméras de Brut son attachement au nucléaire.
Le nucléaire, cet outil industriel qui permet à la France de produire «une des électricités les plus décarbonnée au monde», affirmait Emmanuel Macron, tout en insistant sur la nécessité «de faire plus de renouvelable».
Parallèlement, sa ministre de l’Écologie conserve le cap d’une réduction à 50% de la part du nucléaire dans le mix énergétique tricolore d’ici 2035, comme promis en 2012 par François Hollande. Du «pur opportunisme» électoraliste aux yeux de notre intervenant, qui juge les deux modèles fondamentalement «incompatibles».
«Malheureusement, la politique énergétique de la France, qui devrait être une question de souveraineté, d’unanimité nationale, fait l’objet de tractations politiques qui sont extrêmement nuisibles à notre pays. En particulier sur les éoliennes et le photovoltaïques, des énergies intermittentes loin d’être aussi vertueuses qu’on le pense, qui ne servent qu’à faire du "greenwashing".»
La fameuse CSPE, qui depuis a explosé ces dernières années, permet notamment de faire face aux dépenses des pouvoirs publics engendrées par le «rachat à un prix bonifié de l'électricité d'origine renouvelable» auprès des industriels. Or, cette «bonification» est, dans certains cas, particulièrement généreuse. Dans son ouvrage, notre interlocuteur épingle le cas des six centrales éoliennes off-shore qui doivent voir le jour sur le littoral français d’ici 2023 à Yeu-Noirmoutier, Courseulles-sur-Mer, Fécamp, Saint-Nazaire, Tréport ou encore Saint-Brieuc.
RépondreSupprimerEn 2014, Ségolène Royal, alors ministre socialiste de l’Écologie, avait garanti aux industriels gestionnaires de ces sites un prix de rachat à hauteur de 221,7 euros par mégawattheure. Soit «quatre fois plus cher que le prix de marché projeté à 53,7 euros en 2022», comme le soulignait dès 2017 Le Figaro. Le quotidien estimait alors à 2,7 milliards d’euros par an la somme d’argent public appelée à partir dans les caisses de groupes privés (majoritairement étrangers) pour une production énergétique qui ne couvre que 3 % des besoins électriques du pays. Une «gabegie» que s’entreprend à régulièrement dénoncer Fabien Bouglé.
Parallèlement, ce rachat forcé par l’État de l’énergie éolienne par EDF contribue à plomber les comptes structurellement déficitaires de l’énergéticien (cinq milliards de pertes rien qu’en 2013 à cause de ces opérations). Des comptes régulièrement épinglés par Bruxelles qui exige son démantèlement en contrepartie du soutien financier de l’État français. Un comble lorsqu’on sait qu’EDF doit déjà brader 25% de sa production nucléaire à ses concurrents.
«On marche sur la tête, c’est un scandale absolu ! Comment peut-on à ce point se laisser berner par les autorités allemandes et les lobbys installés à Bruxelles», s’indigne l’essayiste.
Pour ce dernier, la politique de la Commission européenne, actuellement présidée par l’ex-ministre de la Défense d’Angela Merkel, Ursula von der Leyen, n’est pas étrangère à la défense des intérêts industriels allemands. Afin d’appuyer son propos, Fabien Bouglé rappelle que le pilotage de la mise au vert de la production énergétique nationale s’effectue notamment depuis le ministère allemand de l’Économie, via l’Office franco-allemand de transition énergétique (OFATE).
Ce «lobby éolien», cofinancé par les ministères et les industriels qui en sont membres, dispose depuis quelques années également d’un bureau au ministère de la Transition écologique à Paris, et ferait selon Fabien Bouglé la part belle aux industriels allemands de l’éolien, du photovoltaïque et de la biomasse… mais pas seulement.
RépondreSupprimerEn effet, ces énergies étant par essence intermittentes, l’implantation de centrales thermiques est parfois requise en guise de «back-up». Certains groupes énergétiques, spécialisés dans les hydrocarbures, n’hésiteraient ainsi pas à recourir à la promotion de l’éolien afin de justifier l’ouverture de centrales au gaz, au fuel ou au charbon, avance notre intervenant.
Des industriels allemands sont actuellement mis à mal dans leur propre marché domestique. En effet, dans un rapport publié à l’automne 2018, la Cour fédérale des comptes (Bundesrechnungshof) a sévèrement épinglé les dépenses effectuées dans la transition écologique, les estimant «complètements disproportionnées» au regard des résultats. Selon les comptables de Bonn, ce serait pas moins de 160 milliards d’euros d’argent public qui aurait été investi en seulement six ans outre-Rhin.
Ce mouvement avait été amorcé en 2011 par la chancelière Angela Merkel, qui décida de sortir du nucléaire. Il en résultat un bond de la consommation de charbon afin de répondre à la demande électrique du pays (40% de l’électricité produite par l’Allemagne provient des centrales à charbon) et une facture qui a plus que doublé pour les ménages allemands.
En 2020, l’emprunte carbone du mix électrique allemand s’établit à 362 g gaz carbonique eq/kWh, contre 42 g gaz carbonique /kWh dans une France vice-championne d’Europe (derrière la Suède) de l’électricité verte… grâce à son parc nucléaire.
«L’Allemagne, qui émet près de 10 fois plus de gaz carbonique que la France dans la création de son électricité, fait un lobbying d’enfer auprès des instances européennes mais aussi auprès du ministère de l’Écologie français via l’OFATE pour dicter la politique énergétique du ministère de la Transition écologique qui a récupéré le ministère de l’énergie», insiste Fabien Bouglé.
En tête de ceux qui font les affaires de l’industrie allemande en France selon notre intervenant: les écologistes. Et pas uniquement parce qu’ils ont historiquement les centrales nucléaires dans leur collimateur. Certains d’entre eux entretiendraient des liens privilégiés avec des acteurs industriels de l’éolien, selon Fabien Bouglé, qui s’interroge sur la sincérité de leur engagement politique. En guise d’illustration, il évoque le cas d’un candidat EELV aux dernières élections européennes, s’avérant être le fondateur de l’entreprise Valorem. Cette entreprise spécialisée dans les installations de production d'énergie renouvelable est qui fut notamment membre du comité de pilotage de l’OFATE.
RépondreSupprimerLe directeur général de Valorem, ex-président de France énergie éolienne, une association décrite comme le «porte-parole de la filière éolienne en France» par le fameux candidat EELV qui s’avère également en être le co-fondateur, aurait d’ailleurs écrit à des députés afin de réformer la prise illégale d’intérêts, «délit qui selon-lui empêchait l’essor de l’éolien», écrit Fabien Bouglé dans son livre. Un lien entre entreprises privées et politiques publiques, sous couvert de sauver le climat, que voit d’un mauvais œil notre intervenant, habitué à traquer les prises illégales d’intérêts de maires dans l’installation de parcs éoliens.
«On comprend mieux comment EELV sert la soupe financière et industrielle des Allemands aux détriments des Français. Cette nucléorophobie distillée dans les médias n’a qu’une fonction: favoriser l’industrie allemande», accuse Fabien Bouglé.
Ce dernier évoque également dans son ouvrage le cas de l’ex-tête de liste d’EELV aux européennes. Yannick Jadot fut directeur des campagnes de Greenpeace France, qu’il quitta pour débuter son périple en politique. Toutefois, Fabien Bouglé tient à souligner que l’ONG, qui a milité contre la création de nouvelle centrale nucléaire en Europe ainsi que pour la libéralisation du marché de l’énergie, serait elle-même propriétaire de centrales éoliennes via sa filiale Greenpeace Energy et partenaire de la société danoise Vestas, leader mondial du marché de l’éolien (16,7% des parts de marché en 2017). Comme quoi tous, en France, ne sont pas financièrement perdants dans le recul du nucléaire au profit des énergies renouvelables.
LES 'REFUGIES CLIMATIQUE' !
RépondreSupprimer«Les exilés vont affluer»: tentes et duvets réapparaissent boulevard de la Chapelle
16:03 27.12.2020
Depuis trois jours, des exilés reviennent de nouveau boulevard de la Chapelle, sous le métro aérien, qui est devenu un lieu emblématique de la crise migratoire dans la capitale. «Revoir les tentes s'installer sur le boulevard, c'est un crève-cœur», s'alarme un riverain cité par Le Parisien.
Tentes et duvets. Depuis le 24 décembre, des migrants commencent à se réinstaller boulevard de la Chapelle à Paris, rapporte Le Parisien. C’est exactement à cet endroit «emblématique» où les premiers campements de migrants étaient apparus à l’été 2014.
«Revoir les tentes s'installer sur le boulevard, c'est un crève-cœur», lance un riverain cité par Le Parisien.
«Comme si l'histoire se répétait perpétuellement. On en parlait hier [vendredi, ndlr] avec mes voisins: tout le monde est persuadé que les exilés vont affluer et que, dans quelques jours, ils seront des dizaines. Puis, beaucoup plus encore.»
Selon lui, le scénario est «connu»: «On attend que des centaines de personnes se rassemblent avant d'intervenir. C'est désespérant».
À l’été 2014, les premiers campements de migrants sont apparus boulevard de la Chapelle. Après les multiples appels à l'aide lancés à l’époque par les riverains, ils ont été évacués en juin 2015. Environ 400 personnes, majoritairement originaires d'Afrique de l'Est, et pour beaucoup simplement en transit à Paris, avaient été accueillies dans différents centres, rappelle Le Parisien.
Néanmoins, ce n’était que le début. Depuis, plusieurs évacuations ont eu lieu. La dernière s’est produite en novembre. Près de 1.600 hommes, femmes et enfants, qui se réfugiaient sous un pont du boulevard périphérique à la porte de la Chapelle, ont été évacués, en route vers des «gymnases transitoires» en Île-de-France.
L'explosion de Nashville était en fait une frappe de missile, et la cible était le «centre d'espionnage» de l'installation de commutation renforcée AT&T / NSA
RépondreSupprimerSamedi 26 décembre 2020
par: Mike Adams
(Natural News) Nous avons maintenant la preuve vidéo qu'un missile entrant a déclenché l'explosion à Nashville. La vidéo skyline suivante, intégrée ci-dessous, montre assez clairement une traînée de missiles entrants immédiatement avant l'explosion.
Nous savons également maintenant que l'emplacement, qui a été brouillé par les cartes routières de Google, abritait le complexe de routeurs VoIP AT&T / NSA, qui permet à la NSA d'espionner toutes les conversations téléphoniques et les SMS de toute personne utilisant le réseau AT&T. L'article d'Intercept, «The Wiretap Rooms», explique l'existence de «hubs d'espionnage cachés de la NSA» partout en Amérique.
L'ancien propriétaire de l'immeuble serait Cerebus Capital, qui est lié à Yagoobzadeh, qui a acquis une partie de la propriété de Dominion Voting Systems.
Divers analystes Internet disent que l'explosion semble avoir eu pour but d'arrêter un audit des machines à voter du Dominion qui était sur le point de se dérouler également dans le bâtiment, bien que cela n'ait pas encore été confirmé.
Quel que soit le motif, vous pouvez être assuré que les médias trouveront un propriétaire d'armes conservateur blanc responsable de tout, car c'est toujours leur récit de propagande.
Un missile entrant prouve qu'il s'agissait d'une opération militaire, lancée depuis un avion
Les captures d'écran suivantes de la vidéo (ci-dessous) montrent la piste du missile entrant, ce qui signifie qu'il s'agissait d'une opération militaire, et le missile a été tiré depuis un avion:
- voir photo sur site -
Et voici environ une seconde plus tard alors que la traînée du missile disparaît, de haut en bas (indiquant que le missile se déplace du ciel vers le sol):
- voir photo sur site -
Enfin, juste un instant plus tard, l'explosion a lieu:
- voir photo sur site -
Vous pouvez voir la vidéo vous-même ici, via Brighteon.com:
- voir photo sur site -
Voici la vue de la rue Google à l'adresse, montrant la vitrine AT&T du «centre d'espionnage» floutée par Google. Se demander pourquoi ?
- voir clip sur site -
Enfin, comme je l'explique dans cette mise à jour de la situation, il semble que l'explosion ait pu être conçue pour maximiser l'effet EMP local afin de supprimer l'électronique sensible hébergée dans le centre AT&T / NSA:
https://www.naturalnews.com/2020-12-26-nashville-explosion-was-actually-a-missile-strike-att-nsa-spy-hub.html
La fraude électorale s'est également produite en Californie
RépondreSupprimerSamedi 26 décembre 2020
par: Ethan Huff
(Natural News) Nous croiriez-vous si nous vous disions que la Californie, de tous les pays, a connu l'une des pires fraudes électorales de l'élection de 2020 ? C'est vrai, mais probablement pas pour les raisons que vous avez l'habitude d'entendre, du moins pas dans ce cas.
Selon la loi de l'État de Californie, les bulletins de vote doivent être imprimés d'une certaine manière pour être considérés comme valides. Ceux qui ne seront pas imprimés de cette manière «ne seront ni choisis ni comptés à aucune élection», indique clairement la loi.
Eh bien, il est venu à notre attention que des instructions spécifiques sur la façon de voter correctement ne figuraient pas sur les bulletins de vote de la Californie, même si elles sont censées l'être, par la loi.
La section 13205 (b) du code électoral de l’État précise que lors d’une élection où les électeurs du président et du vice-président des États-Unis doivent être choisis, les instructions suivantes doivent être imprimées sur chaque bulletin de vote:
«Pour voter pour tous les électeurs d'un parti, marquez la cible de vote à côté des noms des candidats à la présidence et à la vice-présidence de ce parti. Une marque de la cible de vote à côté du nom d'un parti et de son candidat à la présidence et à la vice-présidence est un vote pour tous les électeurs de ce parti, mais pour aucun autre candidat. »
Ces instructions n’ont pas été incluses dans les bulletins de vote californiens dans 53 des 58 comtés de Californie, a découvert l’American Independent Party of California.
Dans les cinq comtés où ces instructions ont été imprimées, il manquait tous un libellé supplémentaire de la section 13205 (c), ce qui signifie que tous les comtés de Californie ont utilisé des bulletins de vote illégaux lors de l'élection de 2020.
«Si les États-Unis doivent être un pays régi par des lois, aucun des bulletins de vote de Californie n'aurait dû être déposé ni compté», rapporte Uncover DC.
«C'est juste là dans le code de l'État de Californie. Ainsi, tous les bulletins de vote de la Californie sont invalides, ils ne peuvent pas être officiellement comptés dans le total des votes de l’État et les votes des collèges électoraux de Californie doivent être invalidés. »
Sommes-nous une nation de lois ou sommes-nous une nation d'anarchie ?
Bien sûr, tout cela n'est qu'une simple «technicité», pourrait-on dire. Mais la loi est la loi, et elle doit être respectée, sinon l'anarchie régnera.
Gardez à l'esprit que des détails techniques ont bouleversé de nombreuses affaires judiciaires à travers l'histoire, y compris une affaire de 2016 impliquant un homme du nom de Donald Clark qui a commis une invasion de domicile qui a entraîné la mort d'un homme de 77 ans.
Clark a avoué le crime, mais cette confession a été annulée par la suite après qu'il ait été déterminé que Clark «ne comprenait pas pleinement ses droits Miranda lorsqu'il y a renoncé et a avoué». Par conséquent, Clark a été libéré.
RépondreSupprimerLors des récentes élections dans le Wisconsin, une technicité a réussi à invalider environ 200 000 votes exprimés dans l'État. Le 14 décembre, il a été décidé que ces votes avaient été exprimés en violation de la loi de l'État et tous ont donc été rejetés.
En Pennsylvanie, le gouverneur et la Cour suprême de l'État ont tous deux violé la loi en modifiant la période d'acceptation des bulletins de vote par correspondance à la dernière minute. Tout bulletin reçu et compté après le jour du scrutin, en d'autres termes, est, techniquement parlant, illégal.
Tout cela pour dire que la loi compte. Sans cela, il n'y a aucun moyen de bien gouverner équitablement et avec intégrité. Et à chaque fois que la loi est mise de côté, surtout lors d'une élection, plus la population devient sceptique et blasée.
«Si les États de notre syndicat doivent être régis par des lois et non par des tyrans anarchiques, le processus électoral de Pennsylvanie n’était pas légal», affirme Uncover DC. «Par conséquent, les électeurs de Pennsylvanie ont été sélectionnés illégalement et leurs votes dans les collèges électoraux doivent être invalidés.»
Vous trouverez plus d'informations sur la fraude électorale sur Trump.news.
Les sources de cet article incluent:
UncoverDC.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2020-12-26-voter-fraud-occurred-in-california-too.html
Aucun projet de céder: le Texas affirme que Biden gagne «statistiquement impossible»
RépondreSupprimerVendredi 25 décembre 2020
par: Ramon Tomey
(Natural News) Le procureur général du Texas, Ken Paxton, a défendu une analyse statistique affirmant que la victoire du candidat démocrate Joe Biden était «statistiquement impossible». Paxton a soutenu l'analyse de l'économiste Charles Cicchetti selon laquelle Biden avait «moins d'une chance sur un quadrillion» de gagner lors d'une élection propre. La défense du procureur général de la réclamation le 11 décembre fait suite à son procès maintenant rejeté contre quatre États du champ de bataille.
Selon l’économiste, il était statistiquement impossible pour Biden de surmonter les avancées du président Donald Trump dans quatre États du champ de bataille le soir des élections sur la base d’un échantillon de population aléatoire.
Paxton a cité l’analyse de Cicchetti dans son procès électoral contre les États de Pennsylvanie, du Wisconsin, du Michigan et de la Géorgie. La poursuite alléguait que les quatre États défendeurs avaient utilisé la pandémie pour faire adopter des changements aux règles de vote par correspondance - en violation de la clause électorale de la Constitution exigeant que seules les législatures des États décident des règles électorales.
Paxton a commenté les critiques contre Cicchetti, affirmant que celles-ci consistent «uniquement en des attaques ad hominem». Le procureur général a en outre fait remarquer que l'analyse de l'économiste montrant que Biden avait sous-performé l'ancienne secrétaire d'État Hillary Clinton dans les 50 plus grandes zones urbaines des États-Unis «renforce l'improbabilité statistique inhabituelle du total des votes de Biden» dans cinq zones urbaines des États défendeurs.
Dix-sept États républicains ont soutenu le procès du procureur général du Texas par le biais d'un mémoire amicus curiae le 9 décembre. Le procureur général de l'Arizona, Mark Brnovich, a ensuite déposé son propre mémoire pour soutenir la plainte de Paxton, tandis que le président Donald Trump lui-même a demandé l'autorisation de se joindre au procès contre les quatre États défendeurs en tant que plaignant.
Cependant, la Haute Cour a rejeté la plainte déposée par le Lone Star State pour «défaut de qualité pour agir en vertu de l'article III de la Constitution». La décision d'une page de la Cour suprême des États-Unis a statué que le Texas «n'a pas démontré un intérêt juridiquement reconnaissable à la manière dont un autre État mène ses élections.»
Les États défendeurs ont critiqué le procès électoral maintenant rejeté déposé par Paxton
Les quatre États du champ de bataille mentionnés en tant que défendeurs ont également critiqué la poursuite comme étant ridicule à travers les dépôts de leurs procureurs généraux. L'État de Keystone a répondu à la poursuite le 10 décembre, ridiculisant les conclusions de Cicchetti comme «absurdes» et «sans valeur».
Le procureur général de Pennsylvanie, Josh Shapiro, a souscrit à la réponse de l’État, affirmant dans un mémoire qu’il a déposé le même jour que «les allégations du Texas et l’analyse du Dr Cicchetti sont absurdes». Il a ajouté que le procès de Paxton s’est ajouté à une «cacophonie de fausses déclarations fausses» au sujet de l’élection. (En relation: Professeur dans le procès du Texas: chances de Biden de gagner les quatre États contestés «moins d'un sur un quadrillion à la quatrième puissance».)
RépondreSupprimerLe procureur général démocrate a mentionné dans le mémoire que les critiques fréquentes de Trump sur le vote par correspondance signifiaient que les votes par correspondance en faveur de Biden seraient «largement attendus». Il a ajouté que les médias avaient signalé la probabilité qu'un certain nombre d'États du GOP transforment les démocrates dans un «virage bleu» des mois avant les élections du 3 novembre.
Pendant ce temps, la procureure générale du Michigan, Dana Nessel, a écrit dans le dossier de son État: «Le défi ici est sans précédent, sans fondement factuel ni fondement juridique valide.» Elle a fait remarquer lors d'un appel à la presse le 11 décembre que le Texas gagnerait le procès serait «la fin de la démocratie» aux États-Unis.
Le procureur général du Wisconsin, Josh Kaul, a déclaré que Trump avait déjà obtenu des recomptages dans les deux comtés les plus démocratiques de l'État - sans aucun problème dans les résultats. Il a écrit dans le dossier de son état: «Il n’ya eu aucune indication de fraude, ni quoi que ce soit d'autre qui remettrait en question la fiabilité des résultats des élections. (Connexes: les quartiers de Milwaukee signalent un taux de participation aux élections «inhabituellement élevé» malgré la baisse de la population.)
Le procureur général de Géorgie, Chris Carr, le seul républicain du groupe, a déclaré que le Lone Star State ne pouvait pas montrer qu'il avait été lésé par les résultats des élections dans d'autres États. «Les affirmations nouvelles et de grande portée que le Texas affirme, et les remèdes à couper le souffle qu’il recherche, sont impossibles à fonder sur des principes juridiques et ingérables», a-t-il écrit dans le dossier de son État.
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Sources include:
Bloomberg.com
TheEpochTimes.com
FOX13Memphis.com
SupremeCourt.gov [PDF]
TheGuardian.com
https://www.naturalnews.com/2020-12-25-texas-stands-claim-biden-win-statistically-impossible.html