C'est affligeant ! ('désopilant' ?) de voir DES connasses et connards porter leur écharpe ou (et !) pull à col roulé relevé pour... masquer leur visage (tel Zorro ? ou The Mask ?) pour se ... 'protéger' HAHAHAHA ! des virus de la grippe !
A savoir que les pulls ou écharpes ne PROTÈGENT EN RIEN contre les Microbes ! (faut pas confondre mouches ou moucherons avec des microbes !).
(Même si un autre l'a, vous l'avez !) et, si vous l'avez vous ne faites que de VOUS INFECTER tous les jours ! par ce principe à-la-con !
Car, si des virus errent dans l'air et entrent dans ces mailles, au lieu que votre organisme immunitaire vous en défende, il se doit de remettre 'le couvert' x fois ! CAR, vous n'avez lavé votre écharpe ou pull-over à la javel ou bouilli à 100°C (et non 'lavé' à 40 ou 60°C !) ! HAHAHA !
(Z'avez déjà vu un infirmier (ou chirurgien en bloc opératoire) porter une écharpe ?!) HAHAHA !
Je crains fort que ce 'Coronavirus' est été devancé par la maladie de la tête !
500 000 personnes par an dans le monde (SANS qu'aucune mesure de 'confinement' ne soit prise.) décèdent de la grippe saisonnière. 40 000 sont décédées du 'Coronavirus' (soit un 12,5 ème de la grippe saisonnière).
Attention (chez vous) à l'invasion de rats ! (pas ou peu de 'mort-aux-rats' disponible en grandes surfaces).
Les dangers du confinement - outre ceux dus à la promiscuité - sont qu'une personne infectée va rapporter chez elle le virus et, l'absence de ventilation (ouverture des fenêtres pour créer un courant d'air), le dit-virus sera donc confiné ! (et atteindra donc les autres personnes).
Les autorités ont menti sur l’inutilité des masques pour «une bonne cause», estime une journaliste
RépondreSupprimer11:28 02.04.2020
Marina Carrère d'Encausse, animatrice de télévision et médecin, a reconnu que les autorités avaient menti en disant que les masques n’étaient pas efficaces contre le coronavirus. Ce mensonge a été formulé délibérément pour «une bonne cause», notamment, pour les réserver au personnel soignant, a-t-elle déclaré à Europe 1.
En dénonçant une inutilité des masques, idée largement diffusée au début de l’épidémie de coronavirus en France, la présentatrice de télévision et médecin Marina Carrère d'Encausse a justifié le mensonge «pour une bonne cause» élaboré sciemment par les autorités sanitaires.
Lorsque la France a été confrontée à la pénurie des masques, de fausses informations ont été relayées concernant leur inutilité:
«On a tout fait pour les réserver à ceux qui en avaient le plus besoin, c’est-à-dire au personnel soignant», a déclaré le docteur le 1er avril, lors de l’émission Culture Médias d’Europe 1.
Cette fausse information a été diffusée pour éviter que la population «se rue dans les pharmacies pour acheter des masques» afin que le personnel médical puisse profiter du stock existant, ce qui est «une bonne cause», affirme-t-elle.
Pas d’autres solutions que de mentir
Reconnaissant ce mensonge, Marina Carrère d’Encausse a expliqué «qu’il n’y avait pas d’autres solutions».
«Je trouve que ce genre de mensonges peut tout à fait être compris et s’excuse», a conclu la présentatrice des émissions Allô Docteurs et du Magazine de la santé sur France 5.
Elle a également rappelé la nécessité pour les médias de révéler la vérité aussi lourde qu’elle puisse être:
«Après, aujourd'hui, je pense qu'on doit être, nous journalistes, dans une vérité totale, quitte parfois à être anxiogènes parce que la réalité aujourd'hui elle n'est pas forcément rassurante. Mais en disant tout ce qu'on sait aujourd'hui, sans cacher les choses».
Situation en France
Toujours en pénurie de masques, l’Hexagone a commandé plus d’un milliard et demi d’unités à la Chine pour les semaines et les mois à venir. Olivier Véran a déclaré le 1er avril que 8,5 millions de masques étaient déjà arrivés sur le sol français. Au total, le stock de ce matériel de protection a été renforcé de 28 millions grâce à des importations, à des dons et à une production nationale de huit millions d’unités, a précisé le ministre de la Santé.
L’épidémie de coronavirus ne cesse de se propager en France. Selon le bilan du 1er avril, plus de 56.900 personnes ont été testées positives au Covid-19, et au moins 4.032 sont décédées.
https://fr.sputniknews.com/france/202004021043456624-les-autorites-ont-menti-sur-linutilite-des-masques-pour-une-bonne-cause-estime-carrere-dencausse/
(...) Selon le bilan du 1er avril, plus de 56.900 personnes ont été testées positives au Covid-19, et au moins 4.032 sont décédées. (...)
SupprimerSelon le bilan du 1er avril, plus de 56.900 personnes ont été testées positives au Covid-19, et au moins 4.032 sont décédées EN FRANCE.
En pleine crise du coronavirus, la voiture d’une infirmière incendiée dans le Pas-de-Calais
RépondreSupprimer08:44 02.04.2020
Une infirmière de Montigny-en-Gohelle, dans le Pas-de-Calais, a été victime d’un acte de vandalisme. Son véhicule a été détruit par les flammes dans la nuit du 31 mars au 1er avril.
Une lettre
La voiture d’une infirmière a été incendiée dans la nuit du 31 mars au 1er avril à Montigny-en-Gohelle, dans le Pas-de-Calais, rapporte La Voix du Nord. Les faits se sont produits à l’angle des rues Saint-Denis et Louis-Jouvet, quartier de la Plaine-du-7.
Selon le quotidien, la jeune femme de 30 ans et son compagnon ont été réveillés vers 4h30 par des bruits d’explosion.
«On pensait d’abord que quelqu’un essayait de pénétrer dans la maison», a indiqué l’infirmière auprès du média. Le vacarme provenait en réalité des pneus de son véhicule qui éclataient sous les flammes en train de détruire sa voiture.
D’après la source, les sapeurs-pompiers du centre de secours d’Hénin-Beaumont sont intervenus pour maîtriser le sinistre. Pourtant, ils ne sont pas parvenus à empêcher la destruction complète de la voiture.
La Voix du Nord a précisé que la jeune femme a constaté les dégâts et a porté plainte au commissariat.
Le Covid-19 sévit en France
Cet acte de vandalisme a eu lieu en pleine crise du coronavirus alors que les médecins tentent de sauver les vies des personnes touchées par le Covid-19.
Détecté en décembre dernier en Chine, le virus a déjà contaminé plus de 56.980 personnes et en a tuées 4.032 en France.
https://fr.sputniknews.com/france/202004021043454818-en-pleine-crise-du-coronavirus-la-voiture-dune-infirmiere-incendiee-dans-le-pas-de-calais/
Les 'réfugiés climatique' sont en cause au virus ethnique.
SupprimerUn infectologue allemand décime le culte du jour du COVID-19 dans une lettre ouverte à Merkel
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 04/02/2020 - 05:00
Le Dr Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale à l'Université Johannes Gutenberg de Mayence, a publié une vidéo désormais virale dans laquelle il explique calmement pourquoi les blocages à l'échelle nationale sont un «suicide collectif».
Maintenant, il a écrit une lettre ouverte à la chancelière Angela Merkel et c'est fantastique ...
Via Anti-Empire.com
https://www.anti-empire.com/german-infectologist-decimates-covid-doomsday-cult-in-open-letter-to-merkel/
Un expert médical intègre pose à la chancelière allemande cinq questions dévastatrices sur son verrouillage anti-coronavirus stupide ...
Lettre ouverte
Chère chancelière,
En tant qu'émérite de l'Université Johannes-Gutenberg de Mayence et directeur de longue date de l'Institut de microbiologie médicale, je me sens obligé de remettre en question de manière critique les restrictions profondes de la vie publique que nous nous imposons actuellement afin de réduire la propagation de la Virus du COVID-19.
Je n’ai expressément pas l’intention de minimiser les dangers du virus ou de diffuser un message politique. Cependant, j'estime qu'il est de mon devoir d'apporter une contribution scientifique à la mise en perspective des données et des faits actuels - et, en outre, de poser des questions qui risquent de se perdre dans le débat houleux.
La raison de ma préoccupation réside surtout dans les conséquences socio-économiques vraiment imprévisibles des mesures de confinement drastiques qui sont actuellement appliquées dans de grandes parties de l'Europe et qui sont également déjà pratiquées à grande échelle en Allemagne.
Mon souhait est de discuter de manière critique - et avec la perspicacité nécessaire - les avantages et les inconvénients de restreindre la vie publique et les effets à long terme qui en résultent.
À cette fin, je suis confronté à cinq questions auxquelles on n'a pas encore répondu suffisamment, mais qui sont indispensables pour une analyse équilibrée.
Je voudrais vous demander de commenter rapidement et en même temps, d'appeler le gouvernement fédéral à développer des stratégies qui protègent efficacement les groupes à risque sans restreindre la vie publique à tous les niveaux et à semer les graines d'une polarisation de la société encore plus intense que ce qui est déjà en cours.
Avec le plus grand respect,
Prof. em. Dr. med. Sucharit Bhakdi
* * *
1. Statistiques
En infectiologie - fondée par Robert Koch lui-même - une distinction traditionnelle est faite entre l'infection et la maladie. Une maladie nécessite une manifestation clinique. Par conséquent, seuls les patients présentant des symptômes tels que fièvre ou toux doivent être inclus dans les statistiques en tant que nouveaux cas.
En d'autres termes, une nouvelle infection - telle que mesurée par le test COVID-19 - ne signifie pas nécessairement que nous avons affaire à un patient nouvellement malade qui a besoin d'un lit d'hôpital. Cependant, il est actuellement supposé que cinq pour cent de toutes les personnes infectées tombent gravement malades et nécessitent une ventilation. Les projections basées sur cette estimation suggèrent que le système de santé pourrait être surchargé.
RépondreSupprimerMa question:
Les projections ont-elles fait une distinction entre les personnes infectées sans symptômes et les patients réels malades - c'est-à-dire les personnes qui développent des symptômes ?
2. Dangerosité
Un certain nombre de coronavirus circulent depuis longtemps - largement ignorés par les médias. S'il s'avérait que le virus COVID-19 ne devait pas se voir attribuer un potentiel de risque significativement plus élevé que les virus corona déjà en circulation, toutes les contre-mesures deviendraient évidemment inutiles.
Le International Journal of Antimicrobial Agents, internationalement reconnu, publiera bientôt un article qui répond exactement à cette question. Les résultats préliminaires de l'étude sont déjà visibles aujourd'hui et conduisent à la conclusion que le nouveau virus n'est PAS différent des virus corona traditionnels en termes de dangerosité. Les auteurs l'expriment dans le titre de leur article «SARS-CoV-2: Fear versus Data».
Ma question:
Comment la charge de travail actuelle des unités de soins intensifs avec des patients atteints de COVID-19 diagnostiquée se compare-t-elle aux autres infections à coronavirus, et dans quelle mesure ces données seront-elles prises en compte dans les futures décisions du gouvernement fédéral? En outre: l'étude ci-dessus a-t-elle été prise en compte jusqu'à présent dans la planification? Ici aussi, bien entendu, «diagnostiqué» signifie que le virus joue un rôle décisif dans l’état de maladie du patient, et non que les maladies antérieures jouent un rôle plus important.
3. Diffusion
Selon un rapport du Süddeutsche Zeitung, même le très cité Institut Robert Koch ne sait pas exactement combien est testé pour le COVID-19. C'est un fait, cependant, qu'une augmentation rapide du nombre de cas a récemment été observée en Allemagne avec l'augmentation du volume des tests.
Il est donc raisonnable de soupçonner que le virus s'est déjà propagé inaperçu dans la population en bonne santé. Cela aurait deux conséquences: premièrement, cela signifierait que le taux de mortalité officiel - au 26 mars 2020, par exemple, il y a eu 206 décès dus à environ 37 300 infections, soit 0,55% - est trop élevé; et deuxièmement, cela signifierait qu'il serait à peine possible d'empêcher le virus de se propager dans la population saine.
Ma question:
RépondreSupprimerY a-t-il déjà eu un échantillon aléatoire de la population générale en bonne santé pour valider la propagation réelle du virus, ou est-ce prévu dans un avenir proche ?
4. Mortalité
La crainte d'une augmentation du taux de mortalité en Allemagne (actuellement 0,55%) fait actuellement l'objet d'une attention médiatique particulièrement intense. Beaucoup de gens craignent que cela ne se propage comme en Italie (10%) et en Espagne (7%) si des mesures ne sont pas prises à temps.
Dans le même temps, l'erreur est commise dans le monde entier pour signaler les décès liés au virus dès qu'il est établi que le virus était présent au moment du décès - indépendamment d'autres facteurs.
Cela viole un principe de base de l'infectiologie: ce n'est que lorsqu'il est certain qu'un agent a joué un rôle important dans la maladie ou la mort qu'un diagnostic peut être posé. L'Association des sociétés médicales scientifiques d'Allemagne écrit expressément dans ses directives: „Outre la cause du décès, une chaîne causale doit être indiquée, avec la maladie sous-jacente correspondante en troisième place sur le certificat de décès. Parfois, des chaînes causales à quatre chaînons doivent également être mentionnées. »
À l'heure actuelle, il n'existe aucune information officielle sur la question de savoir si, du moins rétrospectivement, des analyses plus critiques des dossiers médicaux ont été entreprises pour déterminer le nombre de décès réellement causés par le virus.
Ma question:
L'Allemagne a-t-elle simplement suivi cette tendance de suspicion générale concernant le COVID-19? Et: est-il destiné à poursuivre cette catégorisation sans esprit critique comme dans d'autres pays ?
Comment, alors, faire une distinction entre les véritables décès liés à la couronne et la présence accidentelle de virus au moment du décès ?
5. Comparabilité
La situation épouvantable en Italie est utilisée à plusieurs reprises comme scénario de référence. Cependant, le véritable rôle du virus dans ce pays n'est pas clair pour de nombreuses raisons - non seulement parce que les points 3 et 4 ci-dessus s'appliquent également ici, mais aussi parce qu'il existe des facteurs externes exceptionnels qui rendent ces régions particulièrement vulnérables.
L'un de ces facteurs est l'augmentation de la pollution atmosphérique dans le nord de l'Italie. Selon les estimations de l'OMS, cette situation, même sans le virus, a entraîné plus de 8 000 décès supplémentaires par an en 2006 dans les 13 plus grandes villes d'Italie. [7] La situation n'a pas changé de manière significative depuis lors. [8] Enfin, il a également été démontré que la pollution de l'air augmente considérablement le risque de maladies pulmonaires virales chez les très jeunes et les personnes âgées. [9]
De plus, 27,4% de la population particulièrement vulnérable de ce pays vivent avec des jeunes, et en Espagne jusqu'à 33,5%. En Allemagne, ce chiffre n'est que de 7% [10]. En outre, selon le professeur Reinhard Busse, chef du département de gestion des soins de santé à la TU Berlin, l'Allemagne est nettement mieux équipée que l'Italie en termes d'unités de soins intensifs - par un facteur d'environ 2,5 [11].
Ma question:
RépondreSupprimerQuels efforts sont déployés pour sensibiliser la population à ces différences élémentaires et faire comprendre aux gens que des scénarios comme ceux d'Italie ou d'Espagne ne sont pas réalistes ici ?
https://www.zerohedge.com/health/german-infectologist-decimates-covid-19-doomsday-cult-open-letter-merkel
L'Espagne rapporte plus de cinq fois plus de décès COVID-19 par habitant qu'aux États-Unis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 04/02/2020 - 03:30
Écrit par Ryan McMaken via The Mises Institute,
Cela fait quelques jours depuis mon article sur les décès pour 100 000 aux États-Unis et dans plusieurs autres pays.
Je suis un type de personne prudent "mesurer deux fois, couper une fois", alors je suis retourné et j'ai mis à jour certains de mes calculs en utilisant des chiffres plus récents.
Plus précisément, j'ai mis à jour le troisième graphique dans le message d'origine, qui est le nombre de décès pour 100 000 au même moment dans la chronologie, car au moins 1 cas par million d'habitants a été signalé.
Aux États-Unis, le premier jour pour montrer plus d'un cas par million d'habitants était le 7 mars. Ainsi, en comptant jusqu'à vingt jours, nous arrivons au 26 mars. Ce jour-là, il y avait 1 295 décès au total aux États-Unis. Cela équivaut à 0,391 décès COVID-19 pour 100 000. Pendant ce temps, en Italie, le premier jour avec au moins un cas par million était le 22 février. Vingt jours plus tard, il y avait 1106 décès. Cela équivaut à 1,572 décès COVID-19 pour 100 000.
- voir graphique sur site -
Etc:
Et voici à quoi ressemblaient les choses cinq jours plus tôt, au jour 15:
- voir graphique sur site -
L'écart entre les États-Unis et l'Espagne et les États-Unis et l'Italie s'est creusé au cours de ces cinq jours. Au jour 15, le total des décès pour 100 000 en Italie était 3,9 fois plus élevé que le taux américain. Au jour 20, le taux de l'Italie était légèrement en hausse à 4 fois plus élevé. Au 15e jour, le taux de mortalité en Espagne était 4,6 fois plus élevé qu'aux États-Unis. Au jour 20, le taux de l'Espagne était passé à 5,6 fois plus que le taux américain.
Comme je l'ai indiqué précédemment, il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les décès pour 100 000 habitants pourraient être plus élevés en Espagne et en Italie qu'aux États-Unis, en Allemagne et en Suisse.
L'une peut être la qualité des soins de santé.
Alors que les États-Unis, l'Allemagne et la Suisse ont tous des systèmes de santé avec des secteurs gouvernementaux importants, ils ont des systèmes multi-payeurs qui sont plus compétitifs et modernes que les systèmes trouvés en Espagne et en Italie (et au Royaume-Uni, d'ailleurs).
La Suisse a un système similaire à Obamacare.
Un autre facteur majeur est la démographie. L'Espagne et l'Italie ont toutes les deux les taux de natalité les plus bas au monde, et ces populations relativement âgées sont affectées de manière déséquilibrée par COVID-19. Ces tendances démographiques se reflètent un peu dans la croissance de leur population:
- voir graphique sur site -
Notez le peu de personnes que l'Espagne et l'Italie ajoutent chaque jour en moyenne. L'Espagne n'ajoute quasiment personne à tous les jours. Et l'Italie décline en population. (Ce sont des moyennes historiques, donc cela n'inclut pas les décès dus à COVID-19.)
RépondreSupprimerL'Italie est tout simplement un pays avec une population très âgée et un taux de natalité très faible. En fait, la population italienne devrait chuter de plus de 10% au cours des trente prochaines années. La croissance démographique des États-Unis, bien qu'elle ne soit pas élevée par rapport aux normes mondiales, est certainement plus robuste que celle observée en Espagne et en Italie. Cela est vrai à la fois en nombre total et proportionnel à la population globale. À l'exception de l'Iran et de la Suisse, les États-Unis croissent plus rapidement en pourcentage que tous ces pays.
Ces tendances ne sont pas gravées dans la pierre. Il est tout à fait possible que quelque chose se produise dans lequel le taux de mortalité américain accélère si rapidement qu'il dépasse l'Espagne et l'Italie à cet égard. À l'heure actuelle, cependant, ce n'est pas la tendance.
(Les données sur les changements nets de population, les décès dus au COVID-19 et les données sur la population totale proviennent de Worldometer.)
https://www.zerohedge.com/health/spain-reports-more-five-times-many-covid-19-deaths-capita-us
Italie, Espagne, Allemagne et France a une forte immigration.
SupprimerLe taux de mortalité COVID-19 en Italie est-il encore pire que les autorités ne le disent ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 04/01/2020 - 20:25
Alors que les agences de renseignement américaines contestent les statistiques de mortalité étonnamment faibles de la Chine et que les chercheurs réfléchissent à la cause du taux de mortalité scandaleux de 10% + en Italie, une chose est incontestable: les taux de mortalité augmentent même si le nombre de cas signalés dans des endroits comme l'Italie diminue. Et cela fait peur aux scientifiques, qui se démènent pour trouver un remède.
Comme l'ont souligné les analystes de Commodore Research, le problème n'est pas unique à l'Italie: pratiquement tous les pays qui ont un grand nombre de cas signalés ont continué de voir les taux de mortalité augmenter.
En Espagne, le taux de mortalité s'élève désormais à 8,7%. Il y a dix jours, il était de 5,4%.
Aux Pays-Bas, le taux de mortalité est de 8,3%. Il y a dix jours, il était de 3,8%.
Au Royaume-Uni, le taux de mortalité est de 7,1%. Il y a dix jours, il était de 4,6%.
En France, le taux de mortalité est de 6,7%. Il y a dix jours, il était de 3,9%.
En Belgique, le taux de mortalité est de 5,5%. Il y a dix jours, il était de 2,4%.
Même les pays où le taux de mortalité a été relativement faible ont vu le taux grimper:
au Portugal, le taux de mortalité est désormais de 2,2%. Il y a dix jours, il était de 0,9%.
Aux États-Unis, le taux de mortalité est de 2%, il y a 10 jours, il était de 1,2%. En Corée du Sud, le taux de mortalité est de 1,7%. Il y a dix jours, il était de 1,2%.
En Autriche, la mortalité est de 1,3%. Il y a dix jours, il était de 0,4%.
En Allemagne, le taux de mortalité est de 1%. Il y a dix jours, il était de 0,4%.
La ventilation plus détaillée des données relatives aux virus et d'autres statistiques de mortalité en Italie a montré que les décès liés aux virus à Milan et dans les environs, qui comptent 10 millions d'habitants, ont fait doubler le taux de mortalité par rapport aux heures normales.
Selon l'AFP, la région a enregistré 12 399 décès liés au COVID-19 le mois dernier, des milliers de plus que ce qui a été officiellement déclaré par tout autre pays. Vendredi dernier, le service de la protection civile a révélé un nombre record de 969 morts.
Certains ont émis l'hypothèse que le nombre de morts en Italie ne correspond tout simplement pas, suggérant que les 10% de décès déclarés en Italie pourraient être trop bas.
Cela peut sembler difficile à croire, mais l'AFP rapporte qu'en comparant les données de 2018, ses journalistes ont déterminé que la moyenne mensuelle des décès de 2018 dans la même région était de 8 300 et que mars 2018 était probablement un mois "statistiquement moyen". Cependant, la ville a signalé 7 176 décès par coronavirus en mars, soit 15% de moins que la moyenne en temps normal. Certains disent que cela suggère que les autorités locales ont délibérément déformé les chiffres.
Même certains fonctionnaires se méfient. Le maire de Bergame, Giorgio Gori, a déclaré mercredi qu'il ne faisait pas confiance aux chiffres officiels et pensait que le véritable bilan pour la région pourrait être deux fois plus élevé. Le maire a tweeté une analyse d'un journal suggérant que le péage COVID-19 dans la province de Bergame était "entre 4 500 et 5 000, et non pas 2 060" officiellement annoncé.
RépondreSupprimerUn expert en Italie a déclaré que les données suggèrent que la crise italienne a atteint un pic, mais que le pic des décès à l'hôpital arrivera sous peu, selon la Colline.
"Les données suggèrent que l'augmentation du nombre de patients en soins intensifs dans la région de Lombardie et en Italie dans son ensemble est susceptible d'avoir atteint un sommet", selon le rapport.
Mais "le nombre de décès à l'hôpital continuera d'augmenter au rythme maximum pendant plusieurs jours."
Certes, un nouveau rapport publié dans le Lancet a suggéré que les taux de mortalité pourraient être inférieurs à ceux initialement suspectés.
L'étude, publiée lundi dans la revue médicale The Lancet Infectious Diseases, a estimé qu'environ 0,66 % des patients infectés par le virus mourraient. Auparavant, lorsque les infections non détectées n'étaient pas prises en compte, les chercheurs ont constaté que le taux de mortalité par coronavirus était de 1,38 %. C'est toujours beaucoup plus mortel que la grippe saisonnière.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/italys-covid-19-mortality-rate-even-worse-officials-are-letting
Un avion de l'armée russe chargé d’équipements médicaux se pose à New York - vidéo
RépondreSupprimer00:12 02.04.2020
Un avion des Forces aérospatiales russes envoyé par Moscou avec une cargaison de masques de protection et d'équipements médicaux a atterri à New York, a annoncé la représentation permanente de la Russie auprès de l’Onu.
Un Antonov An-124-100 Rouslan des Forces aérospatiales russes transportant des équipements médicaux, des masques de protection et des désinfectants s’est posé à l’aéroport JFK de New York ce mercredi 1er avril, a déclaré la représentation permanente de la Russie auprès de l’Onu.
Des escales en Irlande et au Canada
Selon les sites Internet occidentaux qui surveillent les vols des avions militaires et le site Flightradar24, l’avion de transport militaire An-124 avait fait des escales à l'aéroport international de Shannon, en Irlande, puis à Goose Bay au Labrador (Canada), avant d’arriver aux États-Unis.
L'appareil militaire russe a décollé de l'aérodrome de Tchkalovski, près de Moscou, ce mercredi 1er avril. Un accord sur l’envoi de cette aide humanitaire a été conclu lors d'une conversation téléphonique entre les Présidents Poutine et Trump.
L’agence de presse Reuters avait précédemment annoncé que le département américain de la Sécurité intérieure avait pratiquement épuisé ses réserves d’urgence de moyens de protection individuelle utilisables pour endiguer la propagation du nouveau coronavirus.
La Russie aide aussi l’Italie
Avant d’envoyer de l’aide aux États-Unis, la Russie a dépêché 15 avions en Italie, le pays européen le plus touché par la pandémie, entre les 22 et 25 mars. Ils y ont transporté une centaine de médecins russes ainsi que des équipes d’infirmiers et des équipements de diagnostic et de désinfection.
https://fr.sputniknews.com/international/202004011043450245-un-avion-de-larmee-russe-charge-dequipements-medicaux-se-pose-a-new-york/
Johnstone: Le scepticisme des gens à propos de COVID-19 est la faute des médias de masse couchés
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 04/01/2020 - 14:30
Écrit par Caitlin Johnstone via Medium.com,
La désinformation sur les coronavirus est le sujet brûlant de la journée, avec une pression croissante sur les plates-formes de médias sociaux pour censurer les informations incorrectes sur le virus et les principaux médias diffusant chaque jour des avertissements désastreux sur la menace posée par la diffusion de fausses déclarations sur la pandémie.
"Aussi vite que le coronavirus a fait le tour du monde, il a été dépassé par une avalanche aveuglante de sorcellerie et de propagande sur les réseaux sociaux liées au pathogène, dont une grande partie est apparemment originaire de Russie", écrit le comité de rédaction du Washington Post.
"Comme toujours en ce qui concerne ses relations avec l'Occident, la principale devise de Moscou est la désinformation, et elle dépense généreusement."
Ce serait le même Washington Post qui nous aurait faussement assuré que l'administration Bush avait fourni la preuve «irréfutable» que le gouvernement irakien avait des armes de destruction massive. Le même Washington Post qui nous a faussement assuré que des pirates russes avaient pénétré le réseau électrique américain pour couper la chaleur pendant l'hiver et qui a fait circuler une liste noire McCarthyite de médias alternatifs dénommés «propagande russe» compilée par un groupe de trolls Internet anonymes. Le même Washington Post, dont l'unique propriétaire est un entrepreneur littéral de la CIA, ne révèle jamais ce conflit d'intérêts effronté lorsqu'il fait des reportages sur la communauté du renseignement américain conformément au protocole journalistique standard.
Si des médias comme le Washington Post avaient mieux réussi à consolider leur réputation de source d'information fiable au lieu de tromper constamment leurs lecteurs sur des questions très importantes, les gens les croiraient au lieu de croire à une «avalanche aveuglante de sorcellerie sur les réseaux sociaux» (et sur le Web incantations magiques et Internet et enchantements électroniques et nécromancie nette).
Nous voyons ces avertissements urgents sur la désinformation et la désinformation sur les coronavirus de la part des principaux médias qui ont vendu au public des mensonges sur la guerre après guerre, élection après élection, récit soutenant le statu quo après récit soutenant le statu quo.
«Voici comment lutter contre la désinformation des coronavirus», titre un titre de The Atlantic, dont le rédacteur en chef Jeffrey Goldberg nous a assuré que «la prochaine invasion de l'Irak restera dans les mémoires comme un acte de profonde moralité», et dont le célèbre écrivain est David. «Axe du mal» Frum.
"La Chine et la Russie se sont emparées de l'épidémie de coronavirus pour mener des campagnes de désinformation qui cherchent à saper les États-Unis et leur gestion de la crise, plutôt que de répondre aux critiques publiques de leurs propres luttes contre la pandémie", prévient le New York Times, qui a joué un un rôle de premier plan dans la campagne de désinformation pour renforcer le soutien à l'invasion de l'Irak et qui a agressivement poussé l'hystérie folle de la Russie (y compris la rétractation célèbre de sa fausse déclaration des «17 agences de renseignement»).
Il est donc compréhensible que les gens se méfient et cherchent des sources alternatives de réponses. Les médias qui les mettent en garde contre les dangers de ce virus et défendent des changements massifs et sans précédent qui ont un impact immense sur la vie des gens ordinaires ont une longue histoire bien documentée de mentir sur des choses très importantes. Les gens sont conscients de cela, à leur manière et à des degrés divers, et cela n'aide pas que tous les suspects habituels se comportent d'une manière qui leur semble inconfortablement familière.
RépondreSupprimer«Cette pandémie sera plus conséquente que le 11 septembre. C'est probablement déjà le cas. Les gens ne le réalisent tout simplement pas, car ils pensent encore - ressentent toujours - qu'une fois que tout sera fini, nous retournerons à la façon dont les choses étaient. Nous ne le ferons pas », déclare The Bulwark, fondateur Bill Kristol était également le fondateur du projet de think tank très influent pour un nouveau siècle américain (PNAC). Le PNAC a fait valoir un an avant les attentats du 11 septembre que l'augmentation massive dans le monde de l'interventionnisme militaire américain qu'ils promouvaient à l'époque ne serait pas possible sans "un événement catastrophique et catalyseur - comme un nouveau Pearl Harbor". Tout cela s'est produit miraculeusement.
Personnellement, je crois qu'il y a suffisamment de preuves que ce virus est suffisamment dangereux pour justifier bon nombre des précautions importantes que les nations ont prises (bien que, bien sûr, nous devons nous opposer et être vigilants contre le dépassement du gouvernement dans l'autoritarisme). Les statistiques sont encore très floues et peu fiables, mais les montagnes de témoignages de personnel médical de base provenant de régions où la flambée est grave constituent suffisamment de preuves anecdotiques pour que je puisse croire que ce virus peut très facilement submerger nos systèmes de santé si nous ne prenons pas collectivement de mesures drastiques pour le contenir.
Cela dit, je ne peux certainement pas blâmer les gens qui croient que la menace que représente le virus est grandement exagérée. Non pas parce que je pense qu'ils ont raison, mais parce que vous ne blâmez pas une population à laquelle on a constamment menti pour son incrédulité dans ce qui lui est dit par la classe politique / médiatique qui lui ment. Ce n'est pas la faute du public de base qu'il croit les récits de complot, les mèmes Facebook erronés, les experts de droite et le président américain sur la presse grand public; c'est la faute de la presse traditionnelle elle-même.
J'ai pris beaucoup de retard dans les cercles de complot récemment pour ma position relativement normative sur Covid-19, mais je ne peux pas vraiment le prendre personnellement parce que ce n'est pas vraiment de leur faute. Tout le monde n'a pas le temps et les ressources pour parcourir indépendamment de nombreuses informations disparates sur un seul sujet et synthétiser une compréhension lucide de ce qui se passe; c'est censé être le travail de la presse, mais comme ils ont négligé de faire leur travail à maintes reprises, ils manquent de crédibilité pour exiger que les gens croient ce qu'ils rapportent.
Donc, je ne participe jamais à la diabolisation agressive et agressive de ceux qui expriment un doute sur ce qui se passe vraiment avec cette chose. Je laisserai cela à ceux qui sont plus traditionnels, car ils semblent tellement l'apprécier. Quant à moi, je continuerai de souligner que la raison pour laquelle la désinformation est si facilement crue est la même que la raison pour laquelle les critiques de Trump à l'égard de la presse grand public sont si facilement crues: elles ont absolument mérité leur réputation de poubelle.
La raison pour laquelle le monde est tel qu'il est en ce moment est que les gens ont été manipulés par la classe qui contrôle les médias pour qu'ils acceptent un statu quo absolument fou comme normal. C'est la seule raison pour laquelle quiconque pense qu'il est logique que si peu de gens en aient autant alors que tant de gens en ont si peu, pour que des milliards de dollars soient investis dans l'expansionnisme militaire et les guerres qui ne profitent à personne qu'aux riches et aux puissants, pour que l'environnement soit détruit pour faire de quelques millionnaires supplémentaires des milliardaires, pour qu'un belliciste raciste de droite dément se heurte à un autre belliciste raciste de droite dément pour le bureau élu le plus puissant de la planète.
RépondreSupprimerLes gros mensonges se produisent de temps en temps, mais ces petits mensonges de normalisation de notre statu quo insensé se produisent chaque jour. À un certain niveau, tout le monde est conscient, même obscurément, que notre société est folle et doit changer radicalement, et ils sont donc également conscients que c'est le contraire du message qu'ils reçoivent chaque jour des narrateurs «faisant autorité». Plus les choses deviennent folles, plus cette prise de conscience augmentera nécessairement et moins les gens feront confiance aux médias milliardaires dont le seul but est de maintenir le statu quo sur lequel leurs propriétaires ont bâti leurs royaumes respectifs.
Vous ne pouvez pas reprocher aux gens d'être méfiants lorsque vous les faites de cette façon. Les personnes qui crient le plus fort à propos de la désinformation en ce moment sont les plus responsables.
https://www.zerohedge.com/political/johnstone-peoples-skepticism-about-covid-19-fault-lying-mass-media
Dès le départ, des virologues avaient annoncé qu'il s'agissait d'un virus 'ethnique'. Confirmation aujourd'hui à Marseille (France) où 70 % des personnes sous respirateurs artificiels sont comoriens ! (Comores: 846 000 habitants. Comores est membre de la Ligue arabe, de l'Organisation de la coopération islamique).
SupprimerNom de code 'Nuit de la st Barthélémy II'.
Où est passé la relativité ?
RépondreSupprimerle 2 avril 2020
Lorsque le 30 Juin 1905 parut dans « Annalen der Physik » un article intitulé « Zur Elektrodynamik bewegter Körper », (Sur l’électrodynamique des corps en mouvement) dont l’auteur était un illustre inconnu qui deviendrait ensuite le plus illustre savant de tous les temps, Albert Einstein, le monde changea : il était devenu « relatif ». Dans le dernier papier que publia la même année Einstein, l’année miraculeuse pour la physique, il était fait mention de l’équivalence entre masse et énergie. Dix ans plus tard Einstein étendit sa théorie de la relativité restreinte décrite en 1905 à la gravitation dans la célèbre formulation de la relativité générale. Dans l’univers, cette fois, tout était devenu relatif. Sur le plan de la stricte physique jamais les équations d’Einstein ne purent être infirmées. Il existe encore une controverse sur l’introduction dans l’équation décrivant la relativité générale au sujet de la constante cosmologique qu’Einstein symbolisa dans ses équations par la lettre grecque ?. Toutes sortes de tentatives et de théories ont été avancées pour attribuer à cette constante un signification physique dont en particulier la matière noire et l’énergie noire. Mais la physique théorique doit être vérifiée par l’observation et pour l’instant les astrophysiciens se perdent en conjectures.
Ce n’est pas la raison pour laquelle nous avons oublié aujourd’hui de relativiser les faits et les évènements dans un monde ou tout est relatif …
Il s’agit naturellement d’une boutade et mes lecteurs assidus l’auront compris. On ne relativise plus le moindre événement et la démonstration de cette espèce de retour à l’analyse sur le court terme sans jamais prendre le recul nécessaire pour qu’elle soit empreinte d’un soupçon de crédibilité conduit le plus souvent à des catastrophes économiques, sociales et par conséquent politiques parce que des décisions sont prises sans jamais relativiser les évènements. On vit ces évènements au jour le jour sans prendre de recul. Nous vivons dans un monde envahi par les informations instantanées, à la microseconde près, sans jamais perdre quelques minutes à examiner le passé. Il n’y a plus aucune remise en cause de ce que nous vivons dans l’instant en regard de ce qui eut lieu dans le passé. L’ère de l’information de l’instant présent a fait perdre aux politiciens cette faculté d’analyse des évènements présents en regard d’évènement similaires qui eurent lieu dans un passé proche ou lointain.
C’est exactement ce qui se passe sous nos yeux à propos de la grippe à coronavirus qui secoue l’économie mondiale et va conduire à une catastrophe de la même ampleur que celle de 1929 voire pire que celle-ci en prenant en compte la population qui est passée en 1929 de 2 milliards à 7,9 milliards en 2019. Donc il faut s’attendre à une crise économique et financière 4 fois plus violente que celle de 1929 qui fut provoquée par une spéculation boursière compulsive devenue en quelques jours impossible à maîtriser. Les mêmes causes produisant toujours les mêmes effets les banques centrales ont inondé les marchés de cash dont l’abondance n’a pas vraiment bénéficié à l’économie réelle – il y a toujours autant de pauvres sinon plus dans le monde – et il y a de plus en plus de super-riches. Et comme ces derniers veulent à tout prix protéger leurs privilèges ils ont alimenté une propagande incessante au sujet de la dangerosité du coronavirus millésime 2019 pour se doter d’outils leur permettant de continuer à vivre aux dépens des banques centrales et de tous les « pauvres » du monde entier. Par conséquent comme les banques centrales ne disposent d’aucun autre outil pour tenter de juguler la crise provoquée par cette propagande au sujet du virus que d’inonder de cash toutes les économies alors cette caste de super-riches se frotte les mains d’avance.
Mais revenons à un billet précédent laissé sur ce blog ce 30 mars dernier. Dans la même veine il est intéressant de mentionner une pandémie précédente de grippe, un peu oubliée aussi probablement à dessein : la grippe de Hong-Kong. Cette grippe fut identifiée à Hong-Kong, alors territoire de sa Majesté la Reine d’Angleterre, au printemps 1968. Elle va toucher l’hémisphère nord, Europe et Amérique du nord durant l’hiver 1968-1969 où elle provoque le décès de 50000 personnes en seulement trois mois aux USA sans être vraiment mortelle en Europe. Elle revient en Europe au cours de l’hiver 1969-1970 provoquant la mort de 17000 personnes en France directement provoquée par le virus (Influenza H3N2) et un excédent de mortalité de 40000 personnes seulement en France. Le même virus réapparut au cours de l’hiver suivant.
RépondreSupprimerCette grippe dite de Hong-Kong, comme la grippe asiatique de 1957, malgré les chiffres mentionnés ci-dessus (source Wikipedia), ne fut pas trop « méchante » car de nombreuses personnes avaient été auparavant en contact avec l’un ou l’autre des antigènes H ou N du virus. Pour l’instant on est très loin de ces hécatombes des grippes précédentes sans parler ici de la grippe espagnole qui fit des ravages 4 ans seulement après la publication de la théorie de la relativité générale par Albert Einstein. L’instrumentalisation outrancière de cette pandémie actuelle quant à son caractère dangereux est de mon point de vue organisée par les 0,1 ou 0,01 % ultra-riches de la planète pour tenter d’asservir des populations entières avec la complicité du monde politique puisqu’ils détiennent le pouvoir et ont mis en place ces politiciens pour servir leurs intérêts.
- voir graphique sur site -
Comme le président du Brésil Bolsonaro l’a dit il s’agit d’une grippette en relativisant son ampleur. Pour Bolsonaro confiner les Brésiliens chez eux provoquera des centaines de milliers de décès parmi les pauvres des favellas qui n’ont pas d’emploi formel et survivent avec des petits boulots au jour le jour. Certes des gens mourront encore, surtout des personnes âgées et/ou déjà vulnérables comme l’indique de schéma ci-dessus, au Brésil, aux Etats-Unis, en Europe et ailleurs. Mais il faut choisir entre une gigantesque crise économique qui tuera au final des dizaines de millions de personnes en raison de ses effets secondaires, chômage et misère comme en 1930, et 100 ou 200000 morts, peut-être un peu plus, provoqués par cette grippe à coronavirus. Il faut relativiser, il faut se rendre à cette évidence et faire des choix comme les médecins font des choix en abandonnant à leur sort certains malades pour privilégier la vie de personnes plus jeunes et en meilleur état de santé général.
La crise économique et monétaire à venir tuera beaucoup plus de monde que le coronavirus ou les grippes « classiques » à Influenza. Le monde a perdu toute notion de relativité … Illustration : Chronique Agora, Bill Bonner
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/02/ou-est-passe-la-relativite/
Coronavirus - Le langage comme arme de destruction massive
RépondreSupprimerJuliana Barembuem
Sott.net
mar., 24 mar. 2020 13:59 UTC
Contrairement à ce que la plupart des gens ont été amenés à croire, le coronavirus pourrait être moins virulent et moins mortel que le virus de la grippe. Des scientifiques australiens auraient découvert que les malades se remettent du coronavirus à peu près de la même manière qu'ils le font pour la grippe. Malgré cela, le coronavirus Covid-19 a transformé le monde entier en quelques jours seulement.
« Ils appellent cela une quarantaine, pour ne pas avoir à dire qu'il s'agit d'une loi martiale. »
Dans les sociétés occidentales prétendument démocratiques, des populations entières acceptent des mesures draconiennes « pour leur propre bien », ce qui créé un précédent pour des quarantaines, des confinements et des interdictions de voyager injustifiés, et bien plus encore. En ce moment même, une grande partie de la population mondiale s'isole d'elle-même sur la base d'une science floue et approximative et de spéculations douteuses fondées sur des données peu fiables.
Ainsi, bien que le coronavirus Covid-19 lui-même soit probablement beaucoup moins dangereux que ce qu'on nous raconte, le langage en apparence ordinaire mais néanmoins néfaste utilisé pour décrire — et donc exacerber — cette « crise » constitue une réelle menace pour nos sociétés. Lorsque les populations cessent de s'interroger sur le pourquoi et le comment d'une situation, et se limitent à accepter aveuglément les ordres de l'État, elles auront à faire face aux conséquences de cette inertie. Les mots prennent de nouvelles significations et influencent la façon dont nous percevons tous la réalité. Lorsqu'un certain point de vue devient une réalité consensuelle, il peut entraîner des changements dramatiques au sein de la réalité elle-même.
Le langage est tellement naturel pour nous que nous ne nous arrêtons pas souvent pour interroger la façon dont il peut être utilisé comme « arme de destruction massive », ou du moins comme une arme d'hystérie collective. Je vous en explique les rouages dans la vidéo ci-dessous.
- voir clip sur site -
L'article original et la vidéo ont été publiés le 21 mars 2020
TRANSCRIPTION DE LA VIDÉO
Bonjour et bienvenue dans « le langage avec Chu »,
Comme vous l'avez peut-être remarqué, je n'aborde généralement pas les questions politiques ou autres, car je suis débutante sur YouTube et je ne veux pas me retrouver sous le coup d'une censure, mais je pense que la situation actuelle justifie une discussion sur l'interaction entre le langage et la pensée, et il y a en fait de nombreux linguistes qui prétendent que la pensée est indépendante du langage. OK.
C'est un peu comme quand vous rêvez, vous ne pouvez pas attribuer de mots à vos pensées. Certes, mais c'est très limité, je pense, et dans une large mesure, le langage est très très important quand il s'agit de ce que vous pensez. Sans le langage, vous ne pourriez lire aucune information, vous n'écouteriez pas ceci, vous ne comprendriez pas ce qui se dit à la télévision juste en l'allumant. Le langage est partout. Et comme tout le reste, il peut être instrumentalisé et littéralement utilisé comme une arme de destruction massive.
Vous pourriez penser que c'est exagéré, mais je pense que cela se produit en ce moment même et que ça dure en fait depuis longtemps. C'est juste que pratiquement depuis une dizaine de jours, du moins en Occident, nous vivons dans un cauchemar de propagande, de mensonges, de panique, de campagnes de peur qui n'ont rien à voir avec la réalité, et si vous ne réussissez pas à maintenir la tête hors de l'eau, si vous ne faites pas attention, vous pouvez vous noyer dans cette rhétorique bien huilée, et c'est en fait ce qui se produit pour beaucoup.
RépondreSupprimerLa linguistique peut donc influencer la pensée de différentes manières. Nous connaissons tous bien sûr la propagande et les techniques de manipulation de base, mais elles sont nombreuses et variées. On peut utiliser des mots qui minimisent une situation pour donner l'illusion qu'elle n'existe pas vraiment, ou on peut utiliser des mots qui en exagèrent l'importance afin de la présenter comme une véritable crise, comme c'est le cas actuellement.
On peut aussi utiliser des actes de langage, ce qui signifie que toute parole exprimée devient en soi une action, et cette technique est mise en œuvre en ce moment même. Une suggestion du gouvernement devient un ordre, n'est-ce pas ? Une recommandation de l'OMS devient un ordre qui transforme la parole en actes, ce qui affecte toute la population, et à ce stade, à peu près le monde entier. [Un acte de langage est un moyen mis en œuvre par un locuteur pour agir sur son environnement par ses mots : il cherche à informer, inciter, demander, convaincre, promettre, etc. son ou ses interlocuteurs par ce moyen - NdT]
Alors, allons-y mot par mot, d'accord ? Et pour rester dans le domaine de la linguistique, choisissons le mot qui, en ce moment, me semble le plus important pour influencer les masses : pandémie. Si vous regardez dans n'importe quel dictionnaire, « pandémie » vient de pan « tout », en grec, et demos « peuple », en grec également.
Pandémie signifie donc « tout le monde ». Mais à l'origine, la définition a deux critères. Le premier repose sur la généralisation géographique, et pas juste une seule région, et le second implique de toucher une grande partie de la population. L'OMS a aujourd'hui modifié et redéfini le sens de ce mot, et ça se produit sous nos yeux ; il n'est pas question ici d'une évolution du langage ni de variations naturelles. Lorsqu'une institution investie d'une autorité commence à changer le sens des mots, notamment ceux qui sont cruciaux et qui détermineront les décisions d'un gouvernement et la vie de sa population, alors l'usage incorrect de ce mot est un véritable problème.
Revenons aux pandémies : elles étaient autrefois assez proches de la définition du dictionnaire, jusqu'à la grippe porcine de 2009, si vous vous en souvenez, bien que beaucoup l'aient oubliée. Tout d'abord, ce fut la panique : « Ça va être une pandémie bla-bla-bla », et ils se sont ensuite quelque peu excusés en disant : « En fait, il y a eu un malentendu, la situation n'était pas aussi grave que nous le pensions », etc.
À ce moment-là, ils avaient déjà vendu les vaccins qu'ils voulaient vendre. Ils avaient gagné sept milliards de dollars, alors ils s'en fichaient. Mais entre-temps, la définition a changé ; dans un premier temps, ils ont déclaré : « Bon, c'est quelque chose qui se répand simultanément dans plusieurs pays, donc si cela se produit dans l'hémisphère nord et pas dans l'hémisphère sud, on ne peut pas vraiment le qualifier de pandémie ». Ce ne serait pas une véritable pandémie si cela ne se produisait que dans un seul hémisphère. Prenons l'exemple de la grippe, où le Nord est touché en hiver et le Sud en été ; si elle se produisait de façon simultanée dans les deux hémisphères, ce serait alors une pandémie. Et ils conservaient le critère selon lequel beaucoup de gens devaient être contaminés.
Mais maintenant, il suffit d'un virus qui se propage au-delà des frontières — ce qui est très facile de nos jours — et ils n'ont eu qu'à ajouter l'argument selon lequel tout le monde y est exposé. Voilà donc la définition actuelle : il se propage partout, et personne n'est immunisé. Donc, en gros, ils peuvent dès lors inventer ce qu'ils veulent et vous convaincre qu'il s'agit d'une pandémie.
RépondreSupprimerRappelez-vous que la condition requise : « cela doit toucher une grande partie de la population », n'existe plus. La grippe espagnole était une pandémie, la peste noire était une pandémie. Ce que nous voyons aujourd'hui ne l'est pas. Maintenant, si on regarde les chiffres, c'est absurde — on va toutefois s'en tenir à la linguistique, je n'entrerai donc pas dans les détails pour lesquels des liens sont disponibles dans la description de cette vidéo.
Chaque année, la grippe entraîne un plus grand nombre de morts [que le Covid-19 - NdT]. A-t-elle déjà suscité une telle campagne de peur et les mesures prises actuellement ? Avez-vous déjà vu le gouvernement se préoccuper à ce point-là de la mort des gens, alors qu'il ne s'en soucie pas du tout ? Chaque année, 800 000 personnes se suicident, et ce chiffre devrait augmenter compte tenu du confinement. Des milliers de personnes meurent chaque minute sur cette planète et puis soudain, c'est comme si tous ces morts ne comptaient pas ?
Ne trouvez-vous pas étrange qu'à cause de cela, vous soyez obligés de vous confiner ? Regardez à nouveau les chiffres et les liens que j'ai laissés en références. En Italie, 99,9 pour cent des personnes décédées présentaient d'autres pathologies. Il est très difficile de tester les nouveaux virus, comme c'est le cas pour les virus en général, et on ne sait jamais si les décès sont dus au virus lui-même ou à d'autres facteurs sous-jacents. Les personnes avec un faible système immunitaire peuvent en mourir, mais ce n'est pas le cas pour la plupart d'entre elles. Et quand ça arrive, le nombre reste assez marginal et tous les chiffres, je veux dire, creusez un peu... Tous les chiffres que l'on vous montre sont exagérés et, en fait, on recense moins de cents morts dans beaucoup de pays... 3 000 morts en Chine, ce n'est vraiment rien comparé à ce que serait ce nombre au cours d'une véritable pandémie.
En cas de véritable pandémie, les hôpitaux seraient saturés. J'ai visité deux hôpitaux cette semaine en accompagnant des amis pour des visites de routine et laissez-moi vous dire : ils ne sont pas du tout saturés. En fait, demandez à n'importe quel ami qui travaille dans le système médical s'ils sont saturés, ils vous diront qu'ils s'ennuient à mourir parce qu'il n'y a que des gens qui paniquent. Pourquoi paniquent ils ? À cause de la propagande.
Ce n'est pas en raison d'une véritable urgence. La Chine ? Plus de cas pour l'instant. Qu'est-ce que ça veut dire ? Dans un mois, c'est fini. Qu'est-ce que ça veut dire ? C'est comme la grippe : le système immunitaire la combat de la même façon. La saison de la grippe s'achève en Europe et les choses vont donc revenir à la normale ; et quand le Covid-19 s'estompera, qu'est-ce qu'on vous dira ? Que c'est fini parce qu'en bons citoyens, vous êtes restés confinés.
Mais revenons un peu sur la grippe porcine : en fait, plusieurs médecins se sont plaints du faux message annonçant une pandémie et, en réalité, il n'est pas nécessaire de chercher bien loin pour constater que le chef actuel de l'OMS est le prochain employé de la Fondation Bill Gates, qui est, elle, très enthousiaste à l'idée de vous administrer des vaccins.
Alors, bien sûr, si vous pensez que les vaccins sont bénéfiques et qu'ils ont tous leur utilité, et bla-bla-bla, et que vous estimez que les adjuvants ne sont pas néfastes, alors ne vous donnez même pas la peine de regarder le reste de cette vidéo parce que je ne tenterai pas de vous convaincre... Bref.
RépondreSupprimerPour 2009 et 2010 [avec la grippe porcine - NdT], des preuves ont plus tard été apportées montrant que quelques scientifiques, des experts privilégiés, ont convaincu l'OMS — ou parfois ils n'ont même pas besoin de le convaincre, son chef actuel n'a pas besoin d'être convaincu en ce moment j'imagine — de faire part aux gouvernements et au public d'une situation critique en cours et qu'il s'agissait d'une pandémie. Ce qui entraîne alors une augmentation des dépenses publiques pour la prévention et la guérison, et permet au passage d'intensifier le financement des vaccins.
Quand on regarde qui est derrière tout cela, je ne pense pas que vous vous direz que c'est le fruit du hasard et de l'ignorance, et que le gouvernement ne fait que veiller sur vous. « Protéger les personnes âgées » : ont-ils jamais pensé à protéger les personnes âgées de la grippe ? Ne les protégez-vous pas vous-mêmes instinctivement parce que vous êtes un citoyen ordinaire qui veut éviter de transmettre la grippe à son grand-père malade ? Bon, désolée, je m'emporte.
Le fait est qu'en utilisant ce mot [pandémie - NdT], ils évoquent toutes sortes de situations restées gravées dans les mémoires, toutes sortes d'associations d'idées qui prennent place dans votre esprit parce que l'ancienne définition est toujours là ; la pandémie fait peur et vous voulez rester à la maison et protéger les autres, etc.
Le problème, toutefois, c'est que lorsque les faits contredisent le discours, le désordre s'installe dans votre esprit, ce qui entraîne une dissonance cognitive ; c'est exactement ce qui se produit en ce moment, sauf que les gens vont tenter de la réprimer, parce que tout le monde dit qu'il faut rester chez soi et qu'on se doit d'être un bon citoyen, etc.
Attention, je ne suis pas en train de dire que tout le monde devrait enfreindre la loi ni rien qui s'en approche, ce n'est pas ce que je veux dire. Ce que je veux dire, c'est que nous sommes amenés à croire que la situation est bien pire qu'elle ne l'est en réalité, et qu'il est possible de se forger sa propre opinion quant aux enjeux. Personnellement, je n'en sais rien, il pourrait tout aussi bien exister cinq agendas différents, et ce qui me préoccupe ici, c'est la façon dont ce mot [pandémie - NdT] perturbe l'esprit à cause de la tendance naturelle à l'associer avec une situation très critique.
Une autre manière d'influencer le langage réside dans ce que l'on appelle les paramoralismes (ou pseudo-moralismes). Dans son excellent ouvrage intitulé La ponérologie politique, Andrew Lobaczewski aborde largement ce concept dans lequel une affirmation paramoralise revient en gros à ajouter une touche morale à quelque chose pour lui donner un aspect de simplicité. Donc, une chose pour laquelle votre conscience pourrait vous dire « non, non, ça, ce n'est pas bien » vous est présentée d'une manière telle que vous agirez autrement que vous ne le feriez naturellement.
Nous faisons face par exemple aujourd'hui à des expressions telles que » sauver les personnes âgées », ou encore, « les gens ne sont pas assez responsables » en ne respectant pas les règles qui leur sont assignées. Mais le tout revient en gros à dire que vous devez être une bonne personne et que vous ne pouvez l'être que si vous obéissez.
Le directeur de l'OMS, Tedros Adhanom, je crois, celui dont je parlais précédemment, a tenu le 11 mars un discours rempli de paramoralismes : « Le mot pandémie ne peut être utilisé ni à la légère ni sans précaution, et s'il est mal utilisé, il peut mener à des peurs irraisonnées et à accepter de façon arbitraire que le combat est terminé, ce qui entraînerait des souffrances et des morts inutiles. »
RépondreSupprimerCe qui précède vous fera penser à la grippe saisonnière, parce que ce coronavirus-là a toujours existé. Il est testé chaque année, et oui, certains décès lui sont supposément imputables, mais comme je l'ai dit, les chiffres... On peut établir toutes les statistiques que l'on veut juste pour gonfler les chiffres. Mais cela fait appel à vos émotions, comme pour ces souffrances inutiles, etc. Qu'en est-il de toutes les souffrances inutiles chaque jour dans le monde pour tant et tant d'autres raisons ? Pardon, je m'emporte encore.
Il a aussi dit : « L'enjeu pour tous ces pays qui aujourd'hui font face aux larges foyers infectieux ou aux transmissions intra-communautaires » — ce qui n'est pas vrai... — « la question n'est pas de savoir s'ils peuvent agir pour le bien » — dans ce cas, obéir aux ordres — « mais de savoir s'ils en auront la volonté. »
Un autre [paramoralisme - NdT] dans son discours : « Nous ne le dirons jamais assez fort, ou assez clairement, ou assez souvent : tous les pays peuvent encore changer le cours de cette pandémie. » Et vers la fin de son discours, il dit ceci : « Je rappelle à tous les pays que nous vous demandons d'activer et d'élever vos dispositifs d'urgence », ce qui revient à dire, nous voulons que les gouvernements réagissent et nous leur donnons le feu vert pour qu'ils puissent par un mensonge et une exagération instaurer les mesures et les politiques qui feront souffrir les populations, ce qu'ils pourront plus tard nier — selon le concept d'une autre tactique en rhétorique où dans un discours antidémocratique il en est dit assez, mais pas trop non plus, pour éviter les ennuis ultérieurs s'il faut nier [l'avoir dit - NdT].
Alors, oui, tout ça est très confus, et ça ne concerne que le mot pandémie ; mais il y a aussi des expressions comme « aplanir la courbe », ce qui franchement, est une expression stupide. Tout d'abord, quel en est le sens ? D'accord, si c'était une vraie pandémie, on pourrait dire que moins les gens sont en contact les uns avec les autres, et plus on évite que le virus ne fasse de dégâts.
Le problème, c'est que le virus mute très vite ; le problème, le vrai problème, c'est qu'il n'y a pas de « courbe » en tant que telle, parce que les chiffres sont gonflés ; on vous dit de faire tout un tas de choses, d'arrêter de travailler, de risquer de perdre votre salaire mensuel, même de ne pas laisser vos enfants jouer avec leurs grands-parents, pour finalement restreindre tout un ensemble de libertés à cause de quelque chose qui n'existe pas vraiment [la pandémie - NdT].
C'est vrai qu'ils font de beaux graphiques, et vous pouvez être convaincus qu'aplatir la courbe serait la solution, mais réfléchissez-y : certaines personnes ont le virus de façon asymptomatique, ce qui veut dire que vous pourriez ne jamais savoir que vous l'avez, que vous ne serez probablement jamais testés, et que vous ne saurez jamais si vous l'avez eu, mais il est partout n'est-ce-pas ? L'ennemi est partout.
Et lorsqu'ils parlent d'aplanir la courbe, la logique serait, si vous y réfléchissez, de le faire de manière à ce qu'au lieu d'avoir un pic — et qu'autant de personnes tellement fragiles soit en meurent malheureusement, soit suivent des traitements, ce qui, je pense, serait tout à fait faisable compte tenu des chiffres — le virus finisse par se rendormir en quelque sorte, et voilà ! Comme la grippe saisonnière tous les ans.
Au lieu de faire cela, ce qu'ils vous disent, c'est que pour protéger ces hôpitaux et services de santé soi-disant saturés, vous devez lisser la courbe vers le bas et faire en sorte que le virus reste présent pendant une longue période et demeure relativement bénin ; donc ce qu'ils disent, c'est qu'ils veulent maintenir cette situation pendant beaucoup plus longtemps ?
RépondreSupprimerEn quoi cela a-t-il un sens ? À moins qu'il n'y ait un autre programme derrière tout ça.
Un autre terme utilisé est celui d'« auto-confinement ». Soit vous le faites parce que vous êtes asocial, soit vous le faites sous la contrainte, mais ils le réglementent d'une manière qui le fait paraître « sympathique » et responsable. « Écoutez, je m'isole, je veux protéger les personnes âgées, je veux être un bon citoyen, etc. »
Souvenez-vous de la rhétorique du 11-Septembre. C'était : « Nous devons tous nous unir, nous devons tous sauver les valeurs occidentales », etc. Il s'agissait dans ce cas d'un ennemi extérieur, d'êtres humains ; dans le cas présent, c'est encore plus insidieux, parce que l'ennemi est partout, il peut résider à l'intérieur même de vos proches ; en gros, ils vous disent « ayez peur de tout le monde ». Et le virus est dans l'air, et nous y voilà ! Il n'y a aucun endroit sûr. Si cela ne provoque pas un pic de stress, qui rend d'ailleurs plus vulnérable à la maladie, je ne sais pas ce qui le fera.
Mais ils utilisent aussi des termes qui évoquent la peur car ils se sont référés à la Seconde Guerre mondiale : 65 millions de personnes pourraient mourir, nous n'avons jamais été dans une situation aussi grave depuis la Seconde Guerre mondiale, nous sommes en guerre contre ce virus, c'est nous contre le coronavirus.
Ils essaient, pour une raison quelconque, de ramener la mémoire collective à la Seconde Guerre mondiale ; il y a beaucoup de choses qui ne vont pas dans le tableau qu'ils dépeignent, surtout si l'on considère à nouveau les faits réels sur le terrain.
Un autre [paramoralisme - NdT] que j'« affectionne » est l'« immunité de groupe ». Apparemment, il est utilisé dans les cercles scientifiques, mais [maintenant - NdT] le public l'entend [aussi - NdT], et le public est en gros comparé à un animal, et vous faites partie des moutons qui doivent bien se comporter, alors bien sûr, oui, optez pour l'immunité de groupe si vous voulez, mais ne sous-estimez pas l'effet que ces mots ont sur vous.
Si vous voulez croire à tout cela, alors il vous faudra croire que le gouvernement est bienveillant ; mais bien sûr... que puis-je dire ? La vérité, c'est que s'il y avait un réel danger, je le croirais, mais dans ce cas il n'y a rien, les amis !
Une dernière chose sur les paramoralismes, c'est qu'ils sont contagieux. Non seulement ils ne vous font pas penser en termes habituels — comme vous le feriez normalement — mais ils se transmettent. Et nous le constatons de plus en plus souvent, par exemple lorsque les gens se mettent à vous injurier dans la rue parce que vous allez faire une promenade ou que vous allez courir ; ils sont juste en colère, ils ont l'air paniqué, etc., et ils reprochent aux autres d'être nuisibles parce qu'ils ne respectent pas les règles à 100 pour cent.
Et le fait est que, lorsque vous changez vos valeurs, lorsque vous réprimez vos valeurs à cause du discours qui vous est imposé, vous vous exposez à un risque plus élevé, et je pense que c'est à long terme bien plus mortel que n'importe quel virus observé jusqu'à présent. Pourquoi ? Parce que c'est une mort lente, c'est la mort de votre conscience, c'est la mort de votre capacité de réflexion critique, c'est la mort de vos valeurs.
Ce n'est pas seulement une grippe dont vous vous remettrez, ce sont des années et des années de manipulation des mots et du discours pour vous amener à raisonner d'une certaine manière.
RépondreSupprimerAurions-nous dans le passé accepté, au niveau planétaire, le type de décisions et de mesures politiques qui sont prises aujourd'hui, si elles n'étaient pas imposées ? C'est un peu comme une loi martiale et un couvre-feu qu'on a « rendus acceptables » ; et en fait les gens le souhaitent, les gens demandent au gouvernement de bannir l'argent liquide par exemple, ce qui revient en gros à dire que vous n'avez pas votre mot à dire sur vos finances si quelqu'un décide de tout bloquer.
Les gens demandent de plus en plus de mesures. Je me trompe peut-être — et cela n'a rien à voir avec la linguistique — mais je pense qu'en fin de compte, c'est la réalité : c'est lié à la situation de l'humanité et à ce que les gens demandent vraiment. Mais je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il faut dire quelque chose sur la manipulation du langage, au cas où quelqu'un douterait et voudrait en fait devenir imperméable à, littéralement immunisé contre cette vaste entreprise de propagande.
Et cela peut commencer par des mots, cela peut commencer par votre remise en question du principe de base de tout le problème, cela peut commencer par votre réflexion sur ce qui est vraiment important pour vous dans la vie, et si cette situation correspond vraiment à ce qu'on nous raconte, et si vous avez vraiment besoin de faire les sacrifices que vous faites en ce moment pour simplement avoir le sentiment que vous avez le contrôle et que vous êtes un bon citoyen...
Il y a bien d'autres façons de le faire, et vous le faites déjà, alors pourquoi auriez-vous besoin d'une telle imposition de mesures disciplinaires et de règles pour en être convaincu ?
Quoi qu'il en soit, ce ne sont là que quelques réflexions sur la pensée et le langage, je ne veux pas non plus être trop longue, et j'espère que cela vous aidera à conserver un peu votre immunité. Je sais que ce n'est pas grand-chose, mais bon, vous êtes bombardés, alors gardez votre immunité mentale, et si vous regardez cette vidéo parce que quelqu'un vous a envoyé le lien — je doute qu'elle soit mise en avant où que ce soit — alors merci de la partager et d'y mettre un « Like », et à la prochaine fois pour des sujets plus classiques, plus linguistiques... peut-être.
Bye bye
https://fr.sott.net/article/35126-Coronavirus-Le-langage-comme-arme-de-destruction-massive
La Chine interdit l’exportation de produits médicaux non homologués
RépondreSupprimerMichael Peuker
Mer, 04/01/2020
Pékin serre la vis des exportateurs de produits médicaux. Le gouvernement central a annoncé mercredi l’interdiction d’exporter du matériel n’ayant pas été préalablement homologué par les agences de certifications nationales chinoises.
Cette mesure fait suite à de nombreux incidents survenus ces derniers jours. Plusieurs pays se sont plaints de la piètre qualité de produits médicaux commandés en Chine. Les Pays-Bas ont été contraints de rappeler 600'000 masques distribués dans différents hôpitaux à cause de filtres défaillants et de tailles jugées non-conformes.
>> Lire également: Certains produits médicaux importés de Chine sont de très mauvaise qualité
Parallèlement, l’Espagne, la République Tchèque, la Turquie ou les Philippines ont fait état de tests de dépistage du Covid-19 non-satisfaisants. Madrid a renvoyé un lot de tests dont le taux de fiabilité était de 30% seulement. Ce matériel provenait d’une entreprise privée, basée à Shenzhen, qui, si elle n’avait pas fait homologuer son produit en Chine, était au bénéfice d’un certificat de conformité européenne.
Capacité de production augmentée
Face à la forte demande due à la crise sanitaire globale, les entreprises chinoises spécialisées dans le domaine médical ont drastiquement accru leur capacité de production. D’autres, parfois novices dans ce secteur, se sont converties à la fabrication de ce type de matériel, de quoi submerger les régulateurs.
Nombre d’entreprises avaient en outre renoncé à faire licencier leurs produits en Chine en raison des procédures longues et fastidieuses, préférant se focaliser sur l’Europe – le nouveau foyer de l’épidémie de coronavirus. Selon le quotidien hongkongais de référence South China Morning Post, plus d’une centaine d’entre elles avaient obtenu un certificat européen de conformité sans forcément que les produits exportés n’aient été reconnus par le législateur chinois.
Limiter le dégât d'image
Les nombreuses plaintes relatives à la qualité de certaines livraisons menaçaient de plomber une vaste opération de communication mise en place par Pékin. Les autorités chinoises sont actuellement engagées dans une stratégie diplomatique dite du "masque" consistant à approvisionner nombre de pays en produits médicaux en rupture de stock. Des dons, des ventes salutaires destinés aussi à faire oublier la gestion initiale de la crise par les autorités du pays. Ces dernières sont en effet accusées d’avoir tardé à agir, faisant taire les lanceurs d’alerte, favorisant la propagation du virus.
En obligeant toutes les entreprises exportatrices à faire valider préalablement leurs produits en Chine, les autorités espèrent donc limiter le dégât d’image tout en renforçant leurs efforts dans le domaine de la coopération internationale.
https://www.rts.ch/info/monde/11214459-la-chine-interdit-l-exportation-de-produits-medicaux-non-homologues.html
Prendre les droits au sérieux
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano.
le 2 avr.2020
"Si les dispositions de la Constitution ne sont pas respectées quand elles pèchent aussi bien que quand elles réconfortent, elles peuvent aussi bien être abandonnées." - Le juge George Sutherland (1862-1942)
Dans son livre de 2008 "Prendre les droits au sérieux", le regretté professeur Ronald Dworkin a exploré les origines et le traitement gouvernemental de la liberté humaine. Il a soutenu que Thomas Jefferson - qui a écrit la Déclaration d'indépendance - et James Madison - le scrivener à la Convention constitutionnelle et l'auteur de la Déclaration des droits - étaient clairs dans leurs articulations que la prémisse de l'Amérique à sa naissance est que nos droits sont personnels et naturels parce qu'ils viennent de notre humanité, pas du gouvernement.
Dworkin a également reconnu que le gouvernement, qui est essentiellement la négation de la liberté, n'est moral et valable que s'il jouit du consentement des gouvernés, respecte les droits individuels comme inaliénables et ne les interfère qu'après avoir prouvé la faute d'un jury lors d'un procès équitable.
La thèse de Dworkin n'est évidemment pas nouvelle, mais il l'a écrite vers la fin de son illustre carrière de rempart contre ceux du gouvernement et du monde universitaire qui ont soutenu le contraire. Ces gens ont affirmé - et le font aujourd'hui - que la loi est ce que disent les dirigeants, et que les mains mortes des rédacteurs ne peuvent pas contrôler les mains vivantes de ceux que le peuple a élus. Pour ces gens, la majorité règne, même lorsqu'elle est tyrannique envers une minorité.
Cet argument - selon lequel un gouvernement élu par le peuple peut l'emporter sur les libertés individuelles - est tout à fait contraire au concept des droits naturels et accepte comme en quelque sorte licites les actes horribles des gouvernements élus par le peuple pour lesquels les XIXe et XXe siècles sont bien connus. Cette opinion rejette également le langage clair et - depuis 1803 - la reconnaissance judiciaire cohérente de la Constitution en tant que loi suprême du pays.
La Constitution a été rédigée pour tenir le gouvernement à l'écart du peuple et pour garantir que ses droits naturels ne soient soumis à aucune restriction gouvernementale.
Le concept contre lequel la loi naturelle est étalée et contre lequel Dworkin a fait valoir est malheureusement exposé en Amérique aujourd'hui. Les gens tombent malades et meurent. Le même gouvernement qui ne peut pas arrêter les appels automatisés gère la prestation des soins de santé aux États-Unis et monopolise les procédures médicales - comme le dépistage d'un virus - que le marché libre peut faire mieux et plus rapidement. Parce que le gouvernement ne tolère aucune concurrence, il était mal informé et mal préparé.
Ainsi, l'essence de sa réponse a été de traiter nos libertés comme s'il s'agissait de licences à annuler selon les caprices du gouvernement, et non comme des garanties telles que déclarées par la Déclaration et la Constitution.
Peu importe à quel point le gouverneur de New York Andrew Cuomo est bien intentionné, il est le directeur général du gouvernement de l'État de New York. Il n'est pas l'assemblée législative. Il ne peut pas écrire de lois et ne peut appliquer ce qu'il a écrit. C'est la moindre de ses transgressions. Le plus grand d'entre eux est son ingérence dans les droits expressément garantis par la Constitution que lui et tous les autres membres du gouvernement ont prêté serment de respecter.
RépondreSupprimerJ'admire profondément l'utilisation brillante de Cuomo de sa chaire d'intimidation pour éduquer et intimider la population dans un comportement de bon sens destiné à limiter la propagation du coronavirus. Mais il ne peut pas légalement - ni le législateur - nuire au droit de voyager et de se réunir pacifiquement car ces libertés sont garanties par la Constitution. Il ne peut être porté atteinte à un décret ou même à une loi, quel que soit le but bénéfique de l'ingérence.
Ça s'empire.
Le gouverneur de Rhode Island, Gina Raimondo, arrête les automobiles avec des plaques d'immatriculation hors de l'État alors qu'elles tentent d'entrer dans le Rhode Island et leur refuse l'entrée. Elle a également menacé d'envoyer des policiers de porte à porte à la recherche de personnes de la région de New York qui auraient échappé d'une manière ou d'une autre à sa situation de frontière. Et elle le fait sans mandat, sans cause probable de crime et sans soupçon individualisé.
À New York, où le maire Bill de Blasio a déclaré que les magasins de musique étaient essentiels à la société mais que les églises, les synagogues et les mosquées n'étaient pas essentielles, nous avons vu la menace la plus audacieuse à ce jour. Il a proposé de fermer définitivement - définitivement! - tout lieu de culte qui détient actuellement des services religieux. Cette barbarie viole directement la clause de libre exercice du premier amendement qui maintient le gouvernement à l'écart de la religion.
Et dans le New Jersey, le gouverneur Phil Murphy arrête des gens pour avoir organisé des soirées sur les coronavirus. Les parties sont folles, les participants sont imprudents et leur comportement est égoïste. Mais ce n'est pas criminel. En fait, il est protégé par le droit de réunion, qui est également expressément garanti par la Constitution. Et si ces assemblées n'étaient pas pour la frivolité, mais pour protester contre le comportement inconstitutionnel du gouvernement ? Ensuite, ils obtiendraient même une protection supplémentaire - la liberté d'expression.
Que se passe-t-il en Amérique ?
Le juge George Sutherland était prémonitoire en 1934. Lorsque la Constitution pince le gouvernement, prévient-il, le gouvernement l'abandonne.
Si l'abandon constitutionnel n'est pas remis en cause par ceux qui en sont le plus affectés, une future génération de fonctionnaires soutiendra que la génération actuelle a acquiescé. Cela pourrait arriver dès que la crise actuelle sera passée. Le gouvernement aime le pouvoir et le pouvoir une fois possédé est rarement abandonné volontairement.
Lorsque le président George W. Bush a fait valoir après le 11 septembre qu'il avait besoin de pouvoirs de surveillance de masse temporaires et sans soupçons pour trouver les terroristes qui se cachent parmi nous, et le Congrès l'a donné, ce pouvoir est resté au gouvernement. Ce qui était au départ l'écoute des appels téléphoniques et la surveillance des comptes bancaires est désormais devenu le suivi des mouvements, en temps réel, de toutes les personnes avec des appareils mobiles et la capture de chaque frappe sur chaque ordinateur.
Si nous ne suivons pas la Constitution, la crise produit la peur, et la peur produit la folie, et la folie produit ceux qui deviennent une loi pour eux-mêmes.
http://www.judgenap.com/post/taking-rights-seriously
Il est certain que même si cette nano-gripette inquiète (voir le nombre de gens qui ont ou auraient peur) elle a servi à la direction souhaitée/programmée de: la confination. Or, des études ont révélé que même si un couple est marié il aura forcément du mal à vivre ensemble 24/24 h ! D'où les obligés tiraillement, insultes voire coups !
SupprimerCà y est, l'objectif est atteint ! Ils s'individualisent !
Désormais, les gens dans la rue marcheront à 2 mètres de tout autre et feront même volontairement des queues d'un kilomètre à l'entrée des supermarchés ! Hahahaha !
C'est à gerber !
Dupe
RépondreSupprimerComment des politiciens crédules ont favorisé la destruction de l'économie mondiale et nous ont jetés dans les abysses du servage
Par Antony Mueller
Medium.com
2 avril 2020
Quiconque possédant des connaissances de base en modélisation mathématique et ayant examiné la structure du modèle du «Collège impérial» aurait noté les défauts de cette approche et ses exagérations. Le pronostic du modèle selon lequel le Royaume-Uni devrait compter plus d'un demi-million de décès et une surcharge complète de son système de santé a renversé la décision antérieure du gouvernement britannique d'utiliser la surveillance prudentielle et une intervention spécifiquement ciblée et de passer à la stratégie de contrôle total, ce qui a nécessité une intervention massive dans la vie publique et privée de la nation. Les dirigeants d'autres pays qui étaient encore un peu dans le doute ont sauté dans le train et la marche vers un État tyrannique était programmée.
Il était trop tard lorsque les auteurs du modèle ont finalement révisé leur estimation initiale de 500 000 à 20 000 et, plus tard, ont encore réduit ce nombre. Les gouvernements avaient déjà mis en œuvre leurs plans d'urgence.
Après avoir déclaré le coronavirus pandémie par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les ordres du jour qui avaient été préparés il y a des années ont été mis en œuvre et les agences d'État ont suivi les procédures prescrites par le Règlement sanitaire international (RSI) comme instrument juridique international qui est contraignante pour 196 pays à travers le monde, y compris tous les États membres de l'OMS.
Même maintenant, des mois après l’apparition du virus, l’ampleur réelle de la menace reste incertaine. La base quantitative est encore trop petite pour faire une projection fiable.
Si les modélisateurs et les organismes gouvernementaux responsables avaient examiné les chiffres de base au lieu d'élaborer un modèle apparemment sophistiqué, ils auraient remarqué qu'il n'y a pas eu d'augmentation notable du taux de mortalité. Un regard sur les statistiques globales de mortalité montre des lignes plates avec des fluctuations dans sa gamme naturelle. Même en Italie, le nombre de décès n'a pas encore été plus élevé que d'habitude au cours des deux derniers mois. En chiffres absolus, le nombre de décès est en fait légèrement en baisse en raison du facteur saisonnier de la fin de l'hiver.
Figure 1: Nombre groupé de décès dans les pays déclarants pour les groupes d'âge
- voir graphique sur site -
Source: Bulletin européen de mortalité, semaine 12, 2020
Il convient de noter qu'il y a eu une augmentation du taux de mortalité dans certaines régions d'Italie, mais en termes relatifs, la fréquence accrue des décès n'est pas assez forte pour apparaître dans les statistiques nationales. L'épicentre de l'épidémie de virus en Italie est concentré dans sa partie nord et là-bas dans des villes spécifiques. Le bilan global des décès déclarés de COVID-19 n'apparaît pas dans une mesure significative au-delà des pics antérieurs. (Figure 2).
Figure 2: Total z-score hebdomadaire par pays
- voir graphique sur site -
Source: Bulletin européen de mortalité, semaine 12, 2020
Ce qui rend la crise des coronavirus spéciale, ce n'est pas le nombre de décès mais la réaction à l'épidémie. De peur que l'épidémie ne devienne incontrôlable et que les systèmes de soins de santé soient surchargés de cas, les gouvernements d'Europe, des États-Unis et de nombreux autres pays ont mis en place des mesures pour empêcher la propagation du coronavirus.
RépondreSupprimerLa chose étonnante avec la réaction est à quel point cela a été fait à l'unisson et à quel point les mesures sont drastiques. Lorsque l'OMS a déclenché la sonnette d'alarme, les gouvernements qui avaient des traités en place pour agir conformément aux plans préétablis dans le cas d'une «pandémie» déclarée ont pratiquement enfermé une grande partie de la population de pays entiers et ont paralysé leurs économies. En conséquence, de nombreuses personnes souffrent de paranoïa en raison des craintes existentielles qui surviennent lorsque les personnes économiquement actives voient la source de leurs revenus disparaître et que les personnes âgées doivent regarder comment les économies de leurs comptes de retraite fondent ou lorsqu'elles tombent malades sont mises de côté. finissent par mourir seuls dans un hôpital parce que même les visites de leurs proches parents sont interdites.
- voir graphique sur site -
S'il n'y avait pas eu de battage médiatique à propos du coronavirus et si les gouvernements n'avaient pas eu recours à des mesures drastiques d'obéissance stupide et de soumission aux commandements de l'Organisation mondiale de la santé, presque personne au-delà de certains spécialistes n'aurait probablement remarqué le coronavirus. Des mutations de virus se produisent tout le temps et la plupart d'entre elles ne font pas plus de mal que le virus de la grippe. La famille des coronavirus est très large et son existence est connue depuis les années 1960.
Liés par leurs obligations juridiques internationales et confrontés à un battage médiatique, les gouvernements ont commencé à mettre en œuvre des mesures de plus en plus sévères pour contenir le virus et «aplanir la courbe» de sa diffusion. Les médias ont contribué à créer une réalité propre comme Niklas Luhmann l'a montré dans ses études sociologiques avec la différence entre la «réalité imaginée» des médias (Medienwirklichkeit) et la réalité de la vie (Lebenswirklichkeit).
Les gouvernements ont succombé à l'Organisation mondiale de la santé, ont été mis sous le charme de l'hystérie publique et ont été pris en otage par le complexe médico-industriel, dont la branche politique est l'OMS et qui a rapidement assumé un rôle pour agir comme une sorte de gouvernement mondial.
Afin de justifier leurs mesures draconiennes, les gouvernements affirment que leur politique vise à «sauver des vies». Pourtant, il n'y a aucun moyen de «sauver des vies» pour de bon. Le mieux que nous puissions faire est de gagner un peu plus de temps pour vivre et d'éviter une mort prématurée. Par conséquent, la question n'est pas de savoir s'il faut sauver des vies ou non, mais par quelles mesures nous gagnerons plus d'années ou perdrons du temps à vivre. Lorsque nous fermons l'économie, ceux qui évitent ainsi la contagion gagneront encore quelques années. En revanche, en raison de la fermeture, des millions de personnes perdront de nombreuses années de leur vie. Fais ton choix.
Ce n'est pas le coronavirus qui vous ruinera mais la récession à venir et si la récession ne nous ruine pas, l'hyperinflation combinée à une dépression fera l'affaire. Tout se passe comme si la Tour avait donné l'ordre au pilote de couper les moteurs de l'avion en vol en raison de la présomption qu'il pourrait y avoir un danger inconnu à l'aéroport de destination.
RépondreSupprimerNous ne savons pas si le nombre de personnes infectées diminuera en raison des mesures actuellement en place, mais nous pouvons être certains que le nombre de suicides, divorces, alcooliques, endettés, pauvres et en faillite augmentera.
Dans une perspective historique, nous ne vivons actuellement rien de nouveau ou d'inhabituel, et l'hystérie humaine générale n'est rien d'autre que ce qui a été vécu de nombreuses fois dans l'histoire. Mais cela ne devrait pas nous rendre complaisants. Le battage médiatique de l'opinion publique crée une psychose de masse qui abat également les imbéciles et les sages.
La politique gagne toujours. Lorsque cette panique sera terminée alors que le taux de contagions ralentira et que le nombre de morts n'augmentera plus, les gouvernements affirmeront que c'est le cas à cause de leurs mesures même si, en fait, elles n'étaient pas nécessaires depuis le début et que le taux d'infection aurait tombé de toute façon.
Que se passe-t-il ? Ce n'est pas une maladie mortelle qui est la menace, mais l'hystérie mondiale. Si la panique devait se poursuivre, des millions de personnes mourraient, non de COVID-19 mais de la crise économique.
La panique n'a aucun fondement dans les faits. Il y a des urgences, mais elles sont concentrées localement comme dans des villes spécifiques dans une région spécifique de l'Italie. Plus d'un quart du monde a choisi de verrouiller leurs populations et de fermer leurs économies, parmi lesquelles de nombreux pays européens, les États-Unis, le Canada et l'Australie. Bien que cela puisse ralentir la propagation de la contagion, cela réduira notre capacité à répondre à nos autres besoins, y compris la fourniture de médicaments.
Personne ne sait avec certitude à quel point le coronavirus est mortel. Le chemin perçu de la contagion est une projection. Ce sera également le cas avec l'apparition future de nouveaux virus et leur modification. Tôt ou tard, lorsque COVID-19 sera terminé, COVID-20 apparaîtra et ensuite COVID-21 viendra.
Nos besoins sont toujours multiples et nécessitent donc un compromis. L'idée de «sauver des vies» en tant que bien absolu est absurde et ne peut que gagner en importance dans une société qui a perdu le contact avec les vérités élémentaires de l'existence humaine.
https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/fooled/
Missives coronavirus des Philippines, des États-Unis, de la France, du Liban et de l'Allemagne
RépondreSupprimerPar Linh Dinh
The Unz Review
2 avril 2020
À Singapour, vous pouvez être emprisonné pendant six mois pour avoir omis de garder une «distance sociale». La même infraction à New York ne vous amènera qu'à une amende pouvant aller jusqu'à 500 $, bien qu'une femme de 86 ans vient d'être tuée lorsqu'elle s'est trop rapprochée de quelqu'un dans un hôpital de Brooklyn. Hors des masques, les médecins du Tennessee attachent des couches sur leurs visages.
Le 29 mars 2020, 756 Italiens sont morts du coronavirus, et c'est une nouvelle encourageante, croyez-le ou non, puisque 919 ont perdu la vie le 27. La moitié du monde est en lock-out, et si cela se prolonge, des émeutes éclateront certainement, car des milliards ne peuvent pas rester à l'intérieur alors que leur nourriture s'épuise, si ce n'est déjà fait.
Ici à Busan, les gens se mêlent, parlent et rient encore, mais les écoles restent fermées, et la saison de baseball ne commencera pas avant avril, si cela. Il n'y a plus de vols internationaux d'ici. Il y a deux semaines, je pouvais encore m'envoler pour Saipan ou Vladivostok, qui est si proche, mais la Russie vient de sceller ses frontières, tout comme la Chine.
Il y a des ferries pour le Japon, alors peut-être que je vais en sortir, mais pourquoi aller n'importe où? Je suis à seulement quelques minutes en métro de God Pizza, Sincere Beer for You, Happiness in Pharmacy et d'un café qui me rappelle que «le café apporte à chaque personne le sentiment du luxe et de la noblesse. C'est l'or du commun des mortels. " Que veux-je de plus ?
Dans ma maison d'hôtes, j'ai rencontré un Brésilien et un Polonais qui sont également coincés, mais content, car ils pensent que c'est beaucoup plus sain et sûr ici que partout ailleurs. Le soir, certains invités tirent sur la piscine au sous-sol, tandis que d'autres sirotent des tasses de nouilles instantanées. S'ils peuvent se permettre quelques wons, il y a beaucoup de plats bon marché à proximité, ainsi que le Samarkand, un peu plus cher, un excellent restaurant ouzbek.
Voulant savoir à quoi ça ressemble ailleurs, j'ai envoyé à quelques amis quelques questions de base. Comment cette crise a-t-elle changé votre vie, le cas échéant? Quelle est la situation dans votre ville et / ou pays? Qu'est-ce qui vous inquiète le plus en ce qui concerne cette crise, la maladie elle-même, ses effets sur l'économie ou la manière dont votre gouvernement s'en occupe? Combien de temps pensez-vous que cette crise va durer? Y aura-t-il des effets permanents ? À votre avis, à quoi ressemblera votre ville et votre pays dans un an ?
Voici le premier lot de réponses:
Graham Reinders, un Canadien de 78 ans vivant à Dumaguete City, Philippines
Je déteste quand ma femme a raison. Il y a deux semaines, elle est sortie acheter un approvisionnement d'un an en riz et a fait une descente au supermarché. Heureusement, nous avions suffisamment de papier hygiénique pour commencer, mais j'ai un an pour tout le reste. Je lui ai donné l'enfer en disant deux semaines maximum et ce serait fini.
Au cours des deux dernières semaines, les pouvoirs en place ont demandé à de nombreux endroits de fermer ou de restreindre les services. Le centre commercial local n'a que des magasins «essentiels» ouverts. Le grand magasin n'a que la division épicerie ouverte. McDonald's est fermé. De nombreux restaurants sont fermés.
RépondreSupprimerIl y a trois jours, certains d'entre nous ont loué une grande camionnette, préparé un grand pique-nique et se sont rendus dans un Beach Resort qui nous avait assuré qu'ils seraient ouverts. A mi-chemin, un point de contrôle nous a arrêtés. Températures prises. Nous sommes repartis. Zut! la station venait de recevoir des ordres de fermeture. Un retour à la maison le plus cher.
Il y a deux jours, le gouverneur et quelques maires ont décidé qu'un seul permis par famille serait délivré, de sorte que seule cette personne est autorisée à quitter la maison. Pour moi, cela ressemble à trop de travail acharné, donc ce sera toujours «à venir». Ma femme ira cet après-midi pour voir si cela se produit réellement.
Notre bureau de poste est fermé depuis deux semaines. Les fonctionnaires ne perdent jamais une bonne crise. Je suis sûr que les enseignants ont les jambes levées, espérant que la crise se prolongera pour toujours. Mes deux petites filles chéries sont une putain de nuisance à rester à la maison avec moi toute la journée. Je ne suis pas un «home schooler».
C'est un pays relativement pauvre et il y a beaucoup de gens qui essaient juste de gagner assez pour passer la journée et nourrir leur famille. Ils seront gravement blessés, pas beaucoup de compensations dans ce système. J'aime ce président, mais je pense qu'il est faux de suivre le modèle américain. Le modèle néerlandais est pour moi le plus intelligent. Ce modèle actuel blessera gravement les habitants. Je ne doute pas que la Chine interviendra et rétablira les choses. Nous ne pouvons plus compter sur les États-Unis.
J'ai très près de 80 ans donc si cette «pandémie» est bien réelle je suis devant la ligne pour aller rendre visite à mes ancêtres. Quoi qu'il en soit, je ne peux pas prendre Covid19 au sérieux. Si l'on enlevait le battage médiatique et que les médias sociaux n'attendaient pas pour se jeter sur une action tardive des politiciens, personne ne saurait même qu'il y avait une crise. Les médias sociaux ont changé le monde pour toujours. Il a été démontré que leur pouvoir contrôle la politique.
J'étais dans les années 40. Ce n'est qu'en 1955 que Salk a créé le vaccin contre la polio. Chaque année, certaines personnes étaient paralysées, d'autres mouraient. C'est ce que font les virus. Heureusement, dans notre pays, nous avons pris des responsabilités personnelles et n'avons pas fait de bouc émissaire tout le monde tout le temps.
Je ne pense pas que les parallèles que les médias tentent de faire avec le H1N1 de 1918 soient valables. Avec H3N2 + H1N1 en 2018, environ un million d'Américains ont été hospitalisés et environ 80000 sont morts. Le CDC a déclaré qu'il faisait rage au-dessus du niveau «d'épidémie régulière» pendant 16 à 19 semaines. Le H2N2 en 1957 a tué environ 120 000 Américains.
Nous avons pris ces derniers dans la foulée. Je crois que Covid19 sans le battage médiatique n'est pas pire que ceux-là. Au pire, ajoutez un autre pourcentage ou deux pour le Covid19 de cette année et poursuivez votre vie au lieu de détruire tout un mode de vie. Les Néerlandais semblent comprendre cela. Cette crise durera aussi longtemps que les médias pourront faire les gros titres.
Le capitalisme est la nature humaine, un mélange d'avidité et d'intérêt personnel. Beaucoup des liens les plus faibles seront effacés. Les forts et les talentueux vont bientôt construire un système modifié ou un nouveau système. Dans un an, toutes les entreprises essentielles auront colmaté les trous et il ne nous restera plus qu'à attendre et voir si les dommages entraîneront un changement systémique.
RépondreSupprimerJe pense que ce «modèle de prévention» a fait basculer un système instable dans l'inconnu.
Rudy List, un professeur de mathématiques retraité de 77 ans, vivant à Dexter, Michigan
Je vis à peu près seul, et je le fais depuis plusieurs années, donc à part sortir pour faire des courses ou aller au bureau de poste, les changements dans ma façon de vivre sont assez mineurs.
Tous les endroits à proximité où les gens pourraient normalement interagir, les restaurants et les bars, par exemple, ont été sérieusement empêchés de suivre les procédures d'exploitation traditionnelles. Les bars sont fermés. Entrer dans les restaurants est interdit, mais traverser (par exemple pensez McDonald's) et effectuer sont autorisés. Dans ce contexte, effectuer signifie que l'on attire en quelque sorte l'attention des employés qui porteront votre commande à l'entrée. Je n'aurais aucun moyen de passer une commande, sauf dans une tenue de service, car je n'ai pas de téléphone.
Je n'ai rencontré aucun point de contrôle du trafic.
La maladie elle-même ne semble pas constituer une menace sérieuse (voir, par exemple, https://www.wodarg.com/ où nous lisons «Die Zahl der Atemwegsinfektionen normalisiert sich jetzt - wie in den Vorjahren ohne Lockdown. Der Test Misst auch en italien oder im Altenheim keine Todesursachen. Der Test zeigt lediglich, dass die Kranken Kontakt mit einer der vielen Varianten von SARS-Viren hatten. ”).
Cependant, son impact global sera énorme et probablement dévastateur pour l'économie et le système social. Il s'agit très probablement d'un autre événement dans une séquence d'événements artificiels (9/11, marathon de Boston, Sandy Hook…) tous générés pour accroître le contrôle mondial par la peur. Les aspects importants du contrôle comprennent, par exemple:
Numérisation totale de la monnaie (économie sans espèces)
Militarisation de la police
Restriction de voyage
Surveillance totale
Ils sont tous en cours ou en développement.
La crise est censée durer éternellement, mais sans altérer ses effets (encore une fois, voir https://www.wodarg.com/), son impact social finira par disparaître. La peur, cependant, a été générée, donc pendant un moment, une simple référence à COVID-19, ou quel que soit son nom actuel, suffira.
Je ne pense pas que les États-Unis vont s'en remettre très rapidement. Les contrôleurs (gouvernement occupé sioniste) ont les griffes bien enfoncées. Je m'attends donc à ce que les conditions aux États-Unis dans un an soient similaires à celles d'aujourd'hui, sinon pire.
De nouveaux développements pourraient bien conduire à des flambées de maladies plus graves, y compris la mort; afin de détourner l'attention de l'agenda sous-jacent, il est nécessaire de temps à autre de documenter les réclamations avec des résultats réels.
RépondreSupprimerSteve Church, un professeur d'anglais à la retraite de 72 ans, vivant à Paris
Le verrouillage m'a fait ramper sur les murs. Ça m'a rendu irritable, léthargique. Pendant que nous vivons à Paris, à cette époque de l'année, je suis habituellement chez ma femme en Bourgogne dans un hameau d'une cinquantaine de personnes à seulement une heure de TGV. Je dis «d'habitude» parce que l'été dernier, nous avons vendu la place et maintenant notre seule soupape d'échappement est la place d'été de sa mère dans le Lot, un trajet en train interurbain relativement coûteux de six heures jusqu'à Cahors, puis un taxi pour Catus. Mais sa mère, qui a quatre-vingt-onze ans et vit toujours de façon indépendante et qui a besoin, en particulier pendant ces jours de fermeture, de ma femme de se rendre deux à trois fois par semaine pour de la nourriture, de la compagnie et des explications constantes sur la façon d'utiliser son ordinateur, son téléphone portable, et la télévision, a peur qu'il fasse trop froid là-bas, et refuse de bouger. C'est vraiment exaspérant car il y a une immense terrasse, un jardin de l'autre côté de la rue, et l'endroit est chauffé centralement !
Paris est à peu près verrouillé, mais pour certains des quartiers les plus «défavorisés» qui sont plus ou moins ignorés par les flics. Pour sortir (pendant une heure), nous devons imprimer le feuillet d'autorisation du gouvernement (ou l'écrire à la main), vérifier l'un des sept choix que nous avons, noter l'heure et la date, notre adresse et le signer. L'autre jour, je suis sortie faire l'épicerie et j'ai décidé de marcher jusqu'au pont Louis-Philippe pour un peu de soleil. Alors que j'étais assis sur un banc, des flics sont venus et ont demandé à voir ma fiche de permission. Ils ont dit qu'ils m'ont infligé une amende de 135 euros pour ne pas avoir marché. J'ai dit que je n'en avais pas, et que ma marche était mon exercice et que je prenais juste un peu de soleil et que j'allais faire les courses sur le chemin du retour. Longue pause. Il m'a rendu mon feuillet de permission et m'a dit de faire mes courses et d'aller chercher mon soleil par ma fenêtre. Sachant qu'une discussion plus approfondie serait vaine et impliquerait peut-être qu'ils me conduisent en prison, je leur ai souhaité une bonne journée, j'ai attrapé mon sac à provisions et j'ai skaddaddled, soulagé mais néanmoins furieux. C'était un peu humiliant. Et dégoûtant de regarder le visage d'un État policier. J'ai lu des commentaires ici et là disant que la France est prête à exploser, mais je ne suis pas convaincu. Ils sont devenus trop américanisés, trop passifs. Je ne sais pas si le mouvement des Gilets Jaunes a généré suffisamment d’insatisfaction dans la population générale pour constituer une sorte de paratonnerre pour une insurrection à l’échelle du pays, ce dont nous avons vraiment besoin. Je dis «nous» parce que j'habite ici maintenant, j'ai ma carte de résident de dix ans. Mais je suis un vieil homme maintenant, j'approche de 73 ans avec quelques vertèbres à peu près détruites en raison d'une mystérieuse infection bactériologique il y a quelques années, et j'ai même du mal à marcher. Par contre, il existe ici et là une certaine solidarité. Des musiciens de toutes sortes jouent de la musique depuis leur balcon ou leur jardin, certains restaurants fournissent des repas aux travailleurs de la santé. L'idée du «local» dans l'approvisionnement de la chaîne alimentaire est devenue plus courante. Il reste à voir si des choses comme cela se traduisent réellement par de réels changements.
Cette «maladie» n'est que la grippe. Peut-être plus virulent, peut-être plus contagieux, et affecte principalement les personnes âgées avec d'autres problèmes de santé (voir ceci), mais compte tenu de la désinformation de masse diffusée par le gouvernement et leurs manques médiatiques, presque tout le monde a été terrorisé par l'obéissance, ce qui est effrayant. Personnellement, je ne crains pas trop de tomber malade. Ou du moins devenir suffisamment malade pour être hospitalisé, même si j'ai maintenant un rhume mineur saisonnier. Comme aux États-Unis, les grandes entreprises obtiendront la majorité du soutien financier. Les personnes? Fuck 'em. Le gouvernement français, si l'on peut appeler cet assemblage de politiciens de carrière et de nouveaux aspirants (Macron «Jupiterian» en est un excellent exemple), un gouvernement, a été totalement débordé et confus par les événements récents (incompétence de base) ou est entièrement complice dans l'instauration d'un État policier cynique et insensible (corruption). C’est probablement une combinaison des deux.
RépondreSupprimerLa durée de cette «crise» dépend probablement de beaucoup de choses différentes. Combien de temps tout le monde supportera cette atmosphère de prison? Je sais que ça va être très difficile de durer jusqu'à fin avril. Chaque jour est un cauchemar psychologique. Je pense que nous évoluons dans cette direction fasciste depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale (probablement longtemps avant, c'est-à-dire Smedley Butler, ou plus tôt), les vis de l'entreprise étant continuellement resserrées. Les médias ici mégaphonnent une augmentation de la popularité de Macron, mais je ne le crois pas un instant. L'autre jour, je faisais la queue à la boulangerie et j'ai entamé une conversation avec un couple plus âgé, à la distance appropriée, juste derrière moi. Nous avons convenu que tout était BS. BS dangereux, mais BS tout de même. D'un autre côté, la jeune femme du fumoir s'est énervée quand je lui ai dit que je ne croyais pas à toute cette panique virale. Allez comprendre. La France est un État semi-policier depuis l'attaque de Charlie Hebdo et ce n'est qu'un autre tour de vis.
Je n'ai aucune idée de ce que ce sera dans un an. Ils pourraient nous laisser sortir de nos cages au printemps, ce qui serait bien de leur part. Mais, après avoir échappé à ce verrouillage, je pense qu'ils n'hésiteront pas à le refaire, pour une raison de cockamamie. Je suis très pessimiste. Et vraiment énervé.
Chuck Orloski, chauffeur d'autobus scolaire sans emploi de 68 ans, vivant à Scranton, PA
La «crise» a changé ma vie généralement propre. Néanmoins, ma vie de routine, y compris le travail de conduite d'autobus scolaire, est toujours folle, supportable. Je suis au chômage maintenant et je m'inscrirai plus tard à U.C. avantages. Au moment où j'écris, de nombreux voisins, quelques amis, sont encore plus fous de peur de mourir du COV-19. Ironie du sort, des centaines d'enfants basés sur Project Housing sont dehors tous les jours et font ce qu'ils font normalement, «jouent».
Les résidents de Scranton sont habitués à leur imposer une «crise» multiple. Les propriétaires craignent des taxes sans fin et le politicien roberry. Beaucoup prennent des mesures extraordinaires pour rester en bonne santé et se distancier de leurs «autorités». Les couples boivent Yuengling sur les porches, ils anticipent le facteur & amp; remise de l'argent de Mnuchin, avec amour.
Le gouvernement américain a pratiqué les menaces d'armement. Comme toujours, quelques privilégiés découvriront comment en bénéficier en effrayant la merde des goyim stupides et accueilleront Trump comme leur «Sauveur» personnel.
RépondreSupprimer(Soupir) Tout est une question de timing et de mise en œuvre du plan sioniste, et de réalisation sombre. La «crise» de Corono durera jusqu'à ce que la nouvelle peur diminue et qu'une réinitialisation économique politique impitoyable des États-Unis soit en cours. Et puis, quiconque est président, doit recommencer à faire les affaires vitales du changement de régime en Iran et en Syrie.
Nous sommes définitivement baisés et "The End of America" est devant ma porte.
À Scranton, beaucoup de gens sont formidables, décents, fidèles, terre à terre, amusants, & amp; sont étouffés «Points de lumière». Beaucoup sont maudits d'avoir une conscience, et un tel sous-ensemble souffre le plus pour les «péchés» qui sont commis depuis le haut, et naturellement, la merde virale abondamment «ruisselle»… sur vous et moi.
Terminé, j’ai parlé avec mon copain, Bill Hopkins Jr., sur les cellies, et ce qui suit est une chose folle qui est arrivée à Hoppy, il y a quelques heures.
La camionnette de Hoppy a un problème électrique, ne démarre pas. Comme Hop ne cuisine presque rien dans son appartement Lutherwood Senior High Rise 4th Floor, il a appelé Domino’s pour une grande livraison de pizza X-tra, avec des garnitures.
Il est allé à la terrasse du rez-de-chaussée jusqu'à la livraison, par un gars du nom de Joe. Hop a donné une palme à Joe, a dit: "Merci et que Dieu vous bénisse pour votre service!"
Hop a placé le plateau à pizza et, vu ses problèmes d'enlèvement, il est entré dans la chambre des hommes et, à sa sortie, la pizza avait disparu. Devenu furieux et maudit le «voleur» qui, compte tenu de la politique «Aucun visiteur» de l'établissement, était un camarade affamé.
Plus tard, dans la chambre et calmé, Hoppy a appelé Domino’s, a expliqué le vol et a souligné: «J'ai faim!»
Domino’s a fait la bonne chose américaine ! Un autre plateau de pizza en route pour Hoppy, et tout ce qu'il avait à payer était des frais de service de 5,00 $.
«Taxi» du blog Platon’s Guns: un expatrié américain auto-exilé vivant dans le sud du Liban
Étant un expatrié américain vivant dans le sud du Liban, la propagation de COVID-19 n'a pas vraiment affecté moi et mon style de vie.
Depuis près d'une décennie maintenant, auto-exilé du sud de la Californie, j'habite ici au Levant avec une poignée de chiens de sauvetage et une femme de ménage, dans une ferme qui se trouve au sommet d'une colline isolée entre deux petits villages. A vécu une vie semi-solitaire où mon seul contact avec les indigènes est par nécessité et non par impulsion sociable. Bien sûr, je suis sympathique avec tous ceux que je rencontre, mais pour la plupart, je n'ai pas l'habitude d'échanger des numéros de téléphone avec qui que ce soit, et je n'accepte pas les invitations pour un café, un dîner ou des célébrations de mariage. En d'autres termes, je ne socialise pas par choix, donc ni l'auto-quarantaine ni l'éloignement social ne m'ont affecté du tout. De plus, en raison de mon suivi d'un régime macrobiotique au cours des quinze dernières années, mon système immunitaire est super élevé et intact, au point que je n'ai pas souffert d'un seul jour de maladie, pas même d'un seul rhume au cours des quinze dernières années. Cela signifie que je n'ai aucune peur psychologique de contracter le virus COVID-19.
RépondreSupprimerComme je cultive mes propres légumes et arbres fruitiers biologiques de saison, mon habitude habituelle est de ne magasiner pour des articles ménagers non périssables qu'une fois par mois. Cela comprend l'achat de produits de nettoyage, de céréales, de légumineuses et de thé, ainsi qu'un sac géant d'oignons, d'ail et de gingembre pour le mois: des articles comestibles essentiels que je ne cultive pas dans mon patch végétarien. Cela signifie que même avant COVID-19, j'avais de toute façon eu un contact direct minimal avec les magasins et magasins commerciaux - ayant également abandonné l'hyperconsommation en moi sur les rives de Los Angeles. Il y a deux jours, je faisais mes achats mensuels dans le garde-manger et la seule différence dans mon comportement ce mois-ci était que je portais une petite bouteille d'alcool à friction dans ma poche, que j'utilisais pour vaporiser mes mains et mon argent dans le magasin devant le la caissière. Je l'ai fait principalement au profit de la psychologie du commerçant, comme je l'ai fait en fait quand je suis allé à la station-service pour remplir ma jeep. Je vis déjà dans une super propreté en tout cas, et j'utilise depuis des années de l'alcool à friction tout au long de la journée: mes mains allant du caressage des chiens au tapotement du clavier ont toujours eu besoin d'un bruine pour tuer les germes entre les deux.
De plus, ici, dans ma ferme du sud du Liban, j'ai formé ma femme de ménage philippine à cuisiner des plats macrobiotiques, des aliments qu'elle mange aussi quotidiennement, ce qui rend son système immunitaire désormais assez élevé. Je ne me souviens même pas de la dernière fois où elle est tombée malade - et elle tombait tout le temps malade quand elle a commencé à travailler pour moi il y a environ cinq ans. Mais c'est un animal sociable qui se rend dans la ville de Beyrouth chaque semaine pendant son jour de congé pour rencontrer des amis, etc., et depuis trois semaines, elle n'a pas pu le faire en raison de COVID-19. Elle ressent la distance sociale beaucoup plus que moi, bien que cela soit moins douloureux pour elle car elle est une grande utilisatrice des médias sociaux. Je continue ma routine régulière inchangée pendant COVID-19: des randonnées quotidiennes en solo avec mes chiens sur l'une des nombreuses collines éloignées ici, en plus d'écrire sur mon blog personnel sur la Pax Americana et sa géopolitique au Moyen et à l'Extrême-Orient.
Simplement, je vis hors du réseau dans un pays étranger; Je vis une vie saine et simple: épargnée directement par les hauts et les bas du monde et de l'humanité, bien que, bien sûr, je reste émotionnellement et profondément affecté par les injustices politiques et la guerre en cours.
RépondreSupprimerLe Liban lui-même connaît depuis trois semaines un verrouillage imposé par le gouvernement sur ses ports maritimes, ses aéroports et ses frontières, afin de contenir l'entrée de COVID-19 de l'extérieur. Il y a quelques jours, le gouvernement a prolongé cette condition jusqu'au 12 avril, car de nouveaux cas d'infection dans le monde ont été signalés cette semaine. Même si le gouvernement a imposé un couvre-feu de nuit militarisé à l'ensemble du pays, on estime qu'environ 98% des autochtones et résidents libanais adhèrent à l'auto-quarantaine diurne de leur propre gré.
L'automne dernier, le Liban traversait une grave crise économique et politique. Heureusement, cela a été résolu juste avant l'éclosion de COVID-19 avec la nomination de Hassan Diab au poste de Premier ministre. Le gouvernement de M. Diab a fait preuve d’une vigilance constante et ciblée dans la lutte contre COVID-19, malgré les graves problèmes financiers du Liban. Il a pris des mesures appropriées qui placent la sécurité des citoyens et des résidents avant tout: une position de principe, en effet. Comparez les statistiques COVID-19 entre la faillite du Liban au Liban et celle de son voisin direct et ennemi déclaré, Israël: une nation avec une économie robuste qui reçoit également des milliards d'aide annuelle des États-Unis et de l'Allemagne. Les dernières statistiques du Liban recensent 391 cas confirmés d'infection et 7 décès, tandis qu'Israël estime à 3 035 le nombre de personnes infectées et une douzaine de morts. L'armée israélienne a également été touchée par le COVID-19, avec quelque 45 soldats israéliens infectés et 4 156 autres en quarantaine stricte. Il semble que Diab ait été plus rapide que Netanyahu à mettre en œuvre des mesures préventives contre COVID-19 et cela a en effet fait toute la différence. De toute évidence, COVID-19 teste les boussoles et les compétences des gouvernements du monde entier, et nous voyons déjà de nos propres yeux comment les pays «en développement» offrent plus de protection à leur peuple que la plupart des «premières» nations.
Le monde n'est plus le même. Jusqu'à ce qu'un vaccin efficace soit trouvé, ce qui, selon l'OMS, prendra environ 18 mois, les citoyens du monde continueront à éprouver de la peur et même de l'hystérie face à ce mystère biologique et mortel. Il convient de noter ici comment la plupart des gouvernements du monde exploitent les craintes de leur peuple pour favoriser leurs propres prises de pouvoir et gains financiers personnels, comme cela se produit clairement aux États-Unis.
Sans avoir à entrer dans une litanie de plaintes sur la mauvaise gestion de la pandémie par l'administration Trump, une liste dont les lecteurs sont bien conscients, je voudrais dire que je remercie mes chanceuses étoiles que je vis en dehors des États-Unis pendant la propagation de COVID-19. Malheureusement, les États-Unis sont en train de devenir le point zéro mondial pour COVID-19, les infections dépassant même celles de l'Iran flétri. Le programme de sauvetage de 2 billions de dollars COVID-19 que le congrès a adopté cette semaine, aide en grande partie et principalement les sociétés sans scrupules, ne laissant que des miettes aux citoyens sans emploi COVID, aux petites entreprises et à notre système de santé. Cela n'augure rien de bon pour la future stabilité socio-politique et la santé physique de notre nation.
Je m'attends à un changement de paradigme dans la pensée politique des citoyens américains, où les électeurs commenceront maintenant à exiger que leurs propres impôts durement gagnés soient dépensés, d'abord et avant tout, pour leur propre santé individuelle, et non pour renflouer des sociétés milliardaires et payer pour une infinité la guerre au Moyen-Orient. Et nous saurons bientôt si nos candidats à la présidentielle se soucient véritablement davantage du bien-être physique des citoyens de la nation, ou davantage des lobbyistes de DC dont ils bénéficient personnellement. Les élections présidentielles de novembre seront avant tout centrées sur les COVID. Cela signifie que le système de santé américain actuel sera soumis au contrôle idéologique le plus sévère, et j'estime que les électeurs seront du côté du candidat qui leur fournira la meilleure offre de soins de santé, quel que soit le côté de l'allée où ils se tiennent.
RépondreSupprimerAprès tout, les électeurs à la recherche d'un avenir plus sûr et plus sain auront besoin de beaucoup d'assurance gouvernementale qu'ils seront en effet protégés, de la propagation d'un autre mystérieux virus biologique à l'hiver 2021, et par la suite.
En attendant, ce sont les introvertis qui survivront au COVID et hériteront de la terre.
Erik, un ancien directeur de la formation de 49 ans à l'aéroport de Francfort, vivant à Offenbach, en Allemagne
Cette crise ne m'a pas beaucoup affecté. J'ai passé la plupart de mon temps à l'intérieur avant et je le fais maintenant. Il est plus difficile d'obtenir un emploi (ce que j'essaie actuellement de faire) et aussi du papier toilette.
Quant à ma ville, c'est plutôt détendu ici. À Francfort, la grande ville voisine, la plupart des gens se promènent avec des masques et des gants. Ici, c'est l'inverse. Les autorités ont mis en place les mêmes règles que dans la plupart des endroits (rester à l'intérieur, garder une distance sociale, porter des masques et des gants, etc.).
Thomas Schäfer, ministre des Finances de Hesse, s'est récemment suicidé, soi-disant en regardant dans l'abîme des finances de l'État fédéral de Hesse. Alors que nos finances étaient loin d'être «correctes» avant Corona, Schäfer a peut-être fait ce que Friedrich Nietzsche avait prévenu: si vous regardez assez longtemps dans l'abîme, l'abîme vous regarde. Quoi qu'il ait vu, ce n'était sûrement pas une jolie vue…
Je ne m'inquiète pas du virus (s'il existe), mais du traitement de la situation par les autorités. Notre économie est fermée, environ des dizaines de milliers de petites entreprises pourraient faire faillite, le gouvernement devra dépenser des centaines de milliards d'euros pour aider l'économie à renaître. De plus, nos droits civils sont supprimés en réponse au virus: vous serez déjà condamné à une amende de quelques centaines d'euros si vous ne vous comportez pas comme on vous le dit et le gouvernement a déjà déclaré qu'il lutterait plus activement contre les fausses nouvelles, regardez dans nos médias sociaux, utilisez des smartphones pour détecter ou scanner des personnes infectées et ainsi de suite, le tout pour lutter contre la maladie.
Je pense que la pandémie pourrait éclater en mai ou juin, peut-être revenir en automne pour un ou deux mois, et ça devrait être ça. Les effets permanents pour moi sont beaucoup plus graves dans le domaine politique: nous serons habitués à renoncer à notre liberté pour gagner en sécurité - pour moi une voie très dangereuse. J'imagine également que nous aurons une concentration de richesse supplémentaire entre les mains de quelques-uns: si c'est vrai ce que Martin Armstrong a écrit, le soi-disant BIG Money quittait les marchés juste avant le crash et se tient maintenant sur la touche, attendant d'acheter les entreprises et les entreprises, qui pourraient aller le ventre dans les prochains mois.
RépondreSupprimerUn peu comme en RDA, lorsqu'elle s'est effondrée en 1990. À l'époque, les sociétés ouest-allemandes avaient acheté et fermé presque toutes les sociétés est-allemandes. La rumeur veut que tous n'étaient pas vraiment en faillite mais qu'ils ont été mis en faillite. Je suppose que nous verrons quelque chose de similaire à plus grande échelle. En plus d'une inflation accrue, conduisant finalement à une hyperinflation, accompagnée de troubles civils, d'un état policier violent et de l'appauvrissement de larges pans de la société.
Dans un an, ma ville et mon pays vont empirer. Plus dans la peur et l'anxiété et plus dépendant de cet état de nounou sans cesse croissant, qui finalement nous transforme tous en une sorte d'esclaves. Jusqu'à ce qu'il se décompose complètement, ce que nous devrions voir dans nos vies.
Reprinted with permission from The Unz Review.
https://www.lewrockwell.com/2020/04/linh-dinh/coronavirus-missives-from-the-philippines-usa-france-lebanon-and-germany/
VOUS N'AVEZ PAS LE DROIT DE PARTIR EN VACANCES À PÂQUES
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
02/04/2020
Les personnes qui ne respectent pas le confinement s'exposent à 135 euros d'amende
Vous en avez marre du confinement, vous habitez en zone C (d’un point de vue de calendrier scolaire) et vous vous dîtes « chouette, c’est enfin les vacances, on va pouvoir partir » ? Détrompez-vous : vous devez rester chez vous. En même temps, c’est un peu le principe du confinement… mais Christophe Castaner a tenu à le rappeler.
Certains Français auraient l’intention de partir en vacances…
Théoriquement, lorsqu’on est confiné, on ne sort pas. On ne va pas se balader dans la rue sans motif, on ne va pas dans un parc, on ne prend pas la voiture pour faire un tour sur l’autoroute et… on ne part pas en vacances. Ça semble logique, cohérent, sensé… mais il se pourrait que le concept n’ait pas totalement été compris par les Français.
C’est en tout cas ce que pense le gouvernement qui a prévenu : « tout abus sera sanctionné ». Et c’est le premier flic de France qui le dit : « On ne part pas en vacances pendant la période de confinement. On doit rester confiné ». Christophe Castaner a également rappelé, sur LCI mercredi 1er avril 2020, que ce n’est pas par plaisir qu’on reste confiné : « je demande à celles et ceux qui ont envisagé de se déplacer pendant les vacances de se rendre compte qu’à la fois ils s’exposent, ils exposent leurs proches et le territoire où ils se rendront ». C’est donc une question de bon sens et de responsabilité.
Mais apparemment, le gouvernement ne fait pas confiance aux Français pour respecter le confinement. Il faut dire que près de 6% de la population ne le respecte pas.
Des contrôles partout : les sanctions vont tomber
« J’ai demandé aux préfets des zones touristiques de vérifier le niveau de location et d’occupations notamment des Airbnb ou autres offres locatives. Nous ferons en sorte vendredi qu’il y ait des contrôles très stricts sur les départs des grandes villes pour éviter qu’il y ait, comme si de rien n’était, des flux de vacanciers qui se rendent en vacances ».
Des contrôles sont prévus sur les axes routiers et dans les gares au départ de Paris notamment, mais également à l’arrivée. En Gironde, par exemple, des contrôles renforcés sont mis en place… et ce sera le cas sur tout le territoire.
La question qui se pose, néanmoins, est la suivante : autant si une personne est contrôlée sur le départ, il sera possible aux forces de l’ordre de lui empêcher de partir, autant si une personne est contrôlée à l’arrivée, lui demandera-t-on de rebrousser chemin ? Autrement, c’est une nouvelle inégalité qui va se jouer en France : certaines familles aisées pourront tout simplement se permettre de risquer de payer environ 500 euros d’amende (135 euros par personne pour un couple avec deux enfants, ça fait 540 euros) juste pour s’offrir deux semaines de congés. Mais les pauvres ne pourront pas.
http://www.economiematin.fr/news-paques-vacances-confinement-regle-controles-amendes-castaner
SupprimerVous tentez de vous échapper des camps de concentration ? De votre tombe désignée ? A quand la pose de barbelés électrifiés en plus de drones comme mirador armé ?
Une explosion du nombre des morts du coronavirus en France à venir dès ce jeudi ?
RépondreSupprimer11:13 02.04.2020
Si auparavant le directeur général de la Santé ne communiquait que les décès dus au coronavirus constatés en milieu hospitalier, à partir du 2 avril le bilan des victimes en France pourrait faire un bond à cause des morts en Ehpad comptabilisées désormais dans les chiffres officiels.
Les victimes du coronavirus dans les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) devraient elles aussi être comptabilisées au sein des statistiques officielles. Selon le directeur général de la Santé, le premier bilan les intégrant devrait être annoncé à partir de ce jeudi 2 avril.
«Le dispositif de signalement (pour les "établissements médico-sociaux") se met progressivement en place et les données commencent à remonter, mais elles ne sont pas totalement consolidées et j'espère pouvoir dès demain (jeudi) donner ces chiffres», a prévenu le 1er avril Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, lors de son point quotidien.
Auparavant, Santé Publique France avait déjà précisé sur son site Internet: «du fait de la difficulté de l’identification et de la confirmation biologique de l’ensemble des cas de Covid-19, les données présentées sous-estiment le nombre réel de cas».
Taux de mortalité élevé parmi les malades âgés
La France a passé le 1er avril la barre des 4.000 personnes décédées du coronavirus dans les hôpitaux, avec 4.032 décès enregistrés depuis un mois, dont 509 au cours des dernières 24 heures.
Parmi les patients décédés, 83% avaient plus de 70 ans. Près de 11.000 personnes sont sorties guéries de l'hôpital depuis le 1er mars.
Ces chiffres ne concernent pas les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes.
https://fr.sputniknews.com/france/202004021043456590-une-explosion-du-nombre-des-morts-du-coronavirus-en-france-a-venir-des-ce-jeudi/
ZÉRO masque en maisons de retraite !
Supprimer«C’est le moment de travailler ensemble»: Washington salue l’aide médical envoyée par la Russie
RépondreSupprimer15:31 02.04.2020
Le département d’État américain a commenté la livraison d’équipements médicaux en provenance de Russie pour lutter contre le Covid-19. Il se dit persuadé que les deux pays continueront à s’entraider dans le futur, comme par le passé.
La diplomatie américaine a réagi dans un communiqué à l’aide humanitaire fournie le 1er avril par la Russie aux États-Unis.
«Suite à l’entretien téléphonique du 30 mars entre le Président Trump et le Président Poutine, les États-Unis ont accepté de recevoir des matériels médicaux, y compris des respirateurs et des équipements de protection, en provenance de la Russie qui ont été transmis à la FEMA [l’Agence fédérale des situation d’urgence, ndlr] à New York», informe dans un communiqué la porte-parole du département d'État américain Morgan Ortagus.
?Dans sa déclaration, la diplomate souligne que les deux pays s’étaient par le passé déjà apporté une assistance humanitaire mutuelle et que «sans aucun doute ils le referont à l’avenir».
«C’est le moment de travailler ensemble pour vaincre l’ennemi commun qui menace nos vies à tous», conclut-elle.
Le commentaire de Maria Zakharova
Maria Zakharova a réagi à cette déclaration. Elle a dit espérer que les États-Unis apporteront une aide similaire à la Russie si un jour elle en a besoin.
«Les jours à venir, les États-Unis réorienteront leur industrie vers la production des matériels nécessaires pour endiguer la pandémie de coronavirus. Nous sommes convaincus qu’ils pourront par la suite apporter un soutien à la Russie, si nécessaire », a-t-elle souligné dans un commentaire accordé à la presse.
Enfin, elle a précisé qu’une moitié du fret livré aux États-Unis a été payée par le Fonds russe des investissements directs (RDIF).
L’aide russe
Un Antonov An-124-100 Rouslan des Forces aérospatiales russes chargé d’équipements médicaux s’est posé le 1er avril à l’aéroport John F. Kennedy à New York.
Entre les 22 et 25 mars, la Russie a également envoyé 15 avions en Italie, pays européen le plus touché par la pandémie. Ils y ont transporté une centaine de médecins russes ainsi que des équipes d’infirmiers et des équipements de diagnostic et de désinfection.
https://fr.sputniknews.com/international/202004021043458642-cest-le-moment-de-travailler-ensemble-washington-salue-laide-medical-envoyee-par-la-russie/
FORFAITS MOBILES : NOUVELLE GUERRE DES PRIX
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
02/04/2020
Coriolis Telecom propose un forfait 60 Go pour 9,99 euros/mois les 12 premiers mois.
Les opérateurs de téléphonie mobile sont nombreux à proposer des forfaits remisés en ce début d’avril 2020. Mais faut-il craquer pour ?
30 à 60 Go de données pour 12 euros/mois maximum
Alors que le confinement se prolonge, une nouvelle guerre des forfaits est en train de se jouer sur le marché des télécoms. Les opérateurs sont très nombreux à brader leurs forfaits. Pour un budget mensuel aux alentours de 10 euros, les Français ont l’embarras du choix.
L’offre la plus intéressante en ce moment est celle de RED by SFR. Pour 12 euros/mois, l’opérateur permet de disposer de 60 Go de données. Les souscriptions sont ouvertes jusqu’au 6 avril 2020. Un peu moins généreux, pour 11,99 euros/mois NRJ Mobile propose un forfait 50 Go (souscriptions ouvertes jusqu’au 13 avril 2020). Enfin, La Poste Mobile propose un mois offert avec le code promo « TOUSCONNECTE » pour toute nouvelle souscription de son forfait 30 Go à 9,99 euros/mois.
60 Go pour 9,99 euros/mois… mais seulement la première année
Mais faut-il se précipiter sur ces offres ? Si vous vous voyez souscrire un forfait aujourd’hui pour le résilier avant le 13e mois, l’offre de Coriolis Telecom est plus intéressante : l’opérateur propose 60 Go de données pour 9,99 euros/mois (puis 18,99 euros/mois à partir du 13e mois).
Si en revanche vous cherchez un forfait que vous garderez plus longtemps, tous ces forfaits promotionnels ont un sérieux concurrent en la personne de SYMA Mobile. L’opérateur virtuel permet de disposer de 40 Go moyennant 9,90 euros/mois à vie, et aucune date limite de souscription n’est annoncée.
http://www.economiematin.fr/news-forfaits-mobiles-promos-avril-2020
Selon Edward Snowden, le Covid-19 pourrait conduire à une surveillance étatique étendue et durable
RépondreSupprimer1 avr. 2020, 13:00
De nombreux pays ont déjà mis en place des systèmes de surveillance utilisant l'intelligence artificielle afin de lutter contre la pandémie de Covid-19.
Edward Snowden alerte sur leur caractère potentiellement durable une fois la crise terminée. Edward Snowden, ancien informaticien de la Central Intelligence Agency (CIA) et de la National Security Agency (NSA) exilé en Russie depuis 2013, a une nouvelle fois lancé l'alerte sur la surveillance de masse omniprésente facilitée par les nouvelles technologies liées à l'intelligence artificielle, lors d'une interview par vidéoconférence pour le Festival du film documentaire de Copenhague, le 23 mars. Cette fois-ci, le lanceur d'alerte américain a averti qu'une augmentation de la surveillance de masse par les structures étatiques, dans le cadre de la pandémie de Covid-19, pourrait demeurer après la fin de la crise sanitaire, et ainsi avoir des effets durables sur les libertés civiles.
«L'urgence a tendance à se pérenniser» «Lorsque nous voyons des mesures d'urgence adoptées, en particulier aujourd'hui, elles ont tendance à rester», a estimé Edward Snowden au cours de cette même interview. Et de poursuivre : «L'urgence a tendance à se pérenniser. Ensuite, les autorités [étatiques] se familiarisent avec ce nouveau pouvoir [et] commencent à l'apprécier.»
Ils savent ce que vous regardez sur Internet, où votre téléphone se déplace, et maintenant ils sont au fait de votre rythme cardiaque.
Le lanceur d'alerte a ensuite déclaré que les gouvernements pourraient étendre l'accès dont ils disposent déjà pour surveiller les informations personnelles des personnes en cas de crise. Pour éclaircir sa pensée, Edward Snowden a pris comme exemple des trackers de fitness qui peuvent mesurer le pouls et le rythme cardiaque, comme l'Apple Watch. Selon lui, la peur de la propagation du Covid-19 pourrait persuader des gouvernements à se connecter aux trackers de fitness et smartphones pour obtenir en retour des données sur votre santé.
«Cinq ans plus tard, le coronavirus a disparu, ces données sont toujours disponibles pour [les services de sécurité et agences de renseignements qui] commencent à chercher de nouvelles choses», a ensuite conjecturé Edward Snowden. Et de prolonger son raisonnement : «Ils savent ce que vous regardez sur Internet, où votre téléphone se déplace, et maintenant ils sont au fait de votre rythme cardiaque. Que se passera-t-il lorsqu'ils commenceront à mélanger [ces données] et à leur appliquer une intelligence artificielle ?» Plus de sécurité pour plus de liberté... Vraiment ? Dans le cadre de la pandémie de Covid-19, de plus en plus d'Etats ont émis «des propositions visant à surveiller l'épidémie en suivant les données de géolocalisation des téléphones portables.
Cela pourrait s'avérer une méthode puissante pour suivre la propagation du virus et les déplacements des personnes qui en sont porteuses, mais ce sera aussi un outil tentant pour traquer les terroristes, ou tout autre ennemi potentiel des Etats», anticipe le lanceur d'alerte. Israël a accordé à ses services d'espionnage le pouvoir de pirater les téléphones des citoyens sans mandat Et pour cause, de nombreux pays sont d'ores et déjà capables de reconstituer les déplacements de personnes contaminées «via des images de vidéosurveillance, de leurs transactions bancaires et du bornage de leur smartphone», d'après Le Parisien. Lire aussi Masques, tests, pas de confinement ni... de vie privée : le modèle sud-coréen, un exemple ?
En Europe, l'Italie, le Royaume-Uni et l'Allemagne «ont conclu des accords avec des opérateurs télécoms pour utiliser des données anonymes agrégées afin de créer des cartes thermiques virtuelles des mouvements des personnes», relaie Business Insider, qui poursuit : «Israël a accordé à ses services d'espionnage le pouvoir de pirater les téléphones des citoyens sans mandat. La Corée du Sud a envoyé des alertes par SMS pour avertir les gens lorsqu'ils ont pu être en contact avec un patient atteint d'un coronavirus, en indiquant des détails personnels comme l'âge et le sexe.» Les autorités singapouriennes utilisent également une application pour smartphone permettant de suivre la diffusion du Covid-19 en traquant chaque individu qui pourrait avoir été exposé.
RépondreSupprimerEn Pologne, poursuit Business Insider, «les citoyens mis en quarantaine doivent télécharger une application gouvernementale qui les oblige à répondre à des demandes périodiques d'auto-identification. Taïwan a introduit un système de «clôture électronique» qui alerte la police si les patients mis en quarantaine sortent de chez eux.» En Russie, le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, a déclaré vouloir mettre en place un «système de contrôle intelligent», qui sera introduit «dans les prochains jours», après quoi les résidents ne seront plus autorisés à quitter leur domicile sans permis.
L'édile de la capitale russe a assuré que ce système permettra «d'assurer un contrôle quasi-absolu sur les déplacements des gens». Lire aussi Face au Covid-19, le maire de Moscou instaure un confinement avec «système de contrôle intelligent» Les autorités tchèques testent quant à elles un système informatique retraçant rapidement, grâce aux données notamment de téléphonie, les contacts qu'ont eus des personnes infectées par le Covid-19, afin d'enrayer sa propagation, a indiqué ce 31 mars une porte-parole du groupe à l'origine de cette initiative selon l'AFP.
La solution proposée par un ensemble d'experts en informatique, Covid19cz, utilise les données des téléphones portables et des cartes bancaires des personnes testées positives, pour montrer leurs déplacements, toujours avec leur consentement. Enfin, le gouvernement américain travaillerait avec Facebook et Google pour utiliser les données de localisation pour garder une trace de la concentration des cas de coronavirus, selon le New York Post. «Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre et finit par perdre les deux», déclarait Benjamin Franklin, l'un des pères fondateurs des Etats-Unis. «La sécurité est la première des libertés. C'est pourquoi d'autres libertés pourront être limitées», martelait quant à lui Manuel Valls, alors Premier ministre, le 19 novembre à l'Assemblée nationale.
https://francais.rt.com/international/73418-selon-edward-snowden-covid-19-pourrait-conduire-une-surveillance-etatique-etendue-durable
«J'accuse» : une soignante du Gard s'en prend à Emmanuel Macron dans une vidéo
RépondreSupprimer2 avr. 2020, 08:44
Alors que la France subit la pandémie du coronavirus et que son système de santé est en détresse, le gouvernement est la cible des critiques. Une infirmière en colère a décidé de se livrer. Au moment où, sur les réseaux sociaux, le président de la République multiplie ses publications appelant à une «France unie» face au coronavirus, la pilule passe mal pour certains, particulièrement au sein du corps médical. Sophie Rainville, infirmière libérale dans le département du Gard, a ainsi publié le 31 mars une vidéo sur Facebook dans laquelle elle adresse à Emmanuel Macron de sévères remontrances concernant sa gestion de la crise sanitaire du Covid-19.
J'accuse le président de la République d'envoyer son armée blanche au combat, à mains nues, sans armes Elle lui reproche plus particulièrement le «mépris» qu'il porte, selon elle, aux personnels soignants. «J'accuse le président de la République de non-assistance aux soignants en danger de mort dans l'exercice de leurs fonctions. J'accuse le président de la République d'envoyer son armée blanche au combat, à mains nues, sans armes, c'est-à-dire sans masques FFP2 et autres protections indispensables pour se défendre et pour soigner», incrimine la soignante d'Uzès, ville d'Occitanie de près de 10 000 habitants.
«Vous ne méritez pas votre peuple», «vous nous avez trahis» Et Sophie Rainville d'égratigner le gouvernement dans son ensemble, qu'elle tient pour responsable du «génocide des blouses blanches sur l'autel de la mondialisation». «A chaque décès, c'est le corps soignant entier qui pleure et qui saigne», déplore l'infirmière. «Vous ne méritez pas votre peuple [...] ce peuple si fraternel lui, ces soignants qui alertent, qui crient, hurlent, pleurent ; vous restez sourd à nos appels, vous en êtes méprisant monsieur, vous nous avez trahis.
A jamais le sang de ces hommes et ces femmes en blouses blanches restera indélébile sur vos mains criminelles», déclare-t-elle encore, tout en remerciant «la nation» : «Celle-là même qui nous applaudit tous les soirs et qui de ses mains d'or, réalise des masques, prépare des repas [...] et respecte le confinement.»
Pénurie de masques pour les soignants, manque de dispositifs matériels pour la prise en charge des patients, impossibilité pour les Français d'accéder massivement aux tests de dépistage Covid-19... Alors que la France est frappée de plein fouet par la pandémie, l'exécutif voit les critiques s'accumuler concernant la détresse qui traverse le système de santé du pays. Un profond malaise sur lequel le milieu hospitalier tente pourtant d'interpeller le gouvernement depuis maintenant près d'un an, dans le cadre d'un mouvement social inédit, celui des urgentistes.
https://francais.rt.com/france/73489-jaccuse-soignante-gard-prend-emmanuel-macron-dans-une-video
La France réquisitionne des millions de masques d'une société suédoise destinés à l'Italie et l'Espagne
RépondreSupprimer15:43 02.04.2020
En application de la réquisition de matériel médical décidé le 3 mars dernier par la France dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, quelque 4 millions de masques appartenant à une société suédoise ont été saisis. Ils étaient destinés à l’Italie et à l’Espagne, rapporte L’Express.
«Nous sommes en guerre», a bien insisté le 16 mars dernier le Président Macron, parlant de la pandémie de Covid-19. Pour contrer l’ennemi qu’est le coronavirus, qui a coûté à ce jour la vie à plus de 4.000 personnes en France, une série de mesures drastiques ont été adoptées, dont la décision de réquisitionner les masques de type FFP2 et antiprojections jusqu’au 31 mai 2020.
Or, à en juger par une récente publication de L’Express, deux jours après la décision du gouvernement, près de 4 millions de masques ont été saisis, sauf qu’ils appartenaient à la société suédoise Mölnycke qui les faisait transiter par l’Hexagone pour les rediriger vers l’Italie et l’Espagne, pays frappés de plein fouet par le dangereux virus.
Ces équipements achetés à la Chine ont en effet été transportés à bord d’un cargo jusqu’à Marseille, d’où ils ont été transférés à la plateforme de l’entreprise suédoise établie à Lyon, où la réquisition a eu lieu.
La société suédoise lance un appel à l’aide
L’entreprise suédoise s’est donc adressée à son gouvernement, demandant son assistance. Mais, d’après L’Express l’appel est resté sans suite.
Les USA ont bien racheté des masques destinés à la France «trois fois le prix»
Toutefois, nous apprend le média, le Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN) a fini par accepter de laisser repartir la moitié des masques saisis «à titre dérogatoire» vers l’Italie et l’Espagne.
Il convient pourtant de rappeler que bien avant celui-ci en France, des incidents similaires se sont déjà produits. Ainsi, quelque 680.000 masques destinés à la Botte avaient déjà été saisis en République tchèque.
https://fr.sputniknews.com/international/202004021043458848-la-france-requisitionne-des-millions-de-masques-dune-societe-suedoise-destines-a-litalie-et/
Les USA ont bien racheté des masques destinés à la France «trois fois le prix»
RépondreSupprimer15:29 02.04.2020
Au micro de BFM TV, Renaud Muselier, le président Les Républicains de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, a indiqué sans les nommer que les États-Unis avaient «payé trois fois le prix de la cargaison» et «en cash» pour récupérer des masques prévus pour la France en Chine, sur le tarmac et au dernier moment.
Renaud Muselier a confirmé ce jeudi 2 avril sur BFM TV que les masques commandés par la France avaient été rachetés par les États-Unis «sur le tarmac» en Chine.
«La tension est énorme là-bas. Les escrocs sont multiples et variés. Et cerise sur le gâteau, il y a un pays étranger qui a payé trois fois le prix de la cargaison sur le tarmac. Donc les masques sont partis et la région qui les a commandés a été démunie», a-t-il raconté sur BFM TV, sans pourtant préciser ni le nom de la région escroquée ni le nombre de masques commandés.
?Selon le président LR de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, «la commande qui était payée et livrable a été détournée parce qu’elle avait été achetée».
«Notre mode de comptabilité fait en sorte qu'on est obligés de payer en trois tiers alors qu'eux peuvent payer en cash là-bas», a aussi déploré M.Muselier.
«En cash, sur le tarmac»
Le 1er avril, dans un entretien accordé à la chaîne RT, M.Muselier avait raconté avoir passé commande à un fournisseur chinois de plusieurs millions de masques hygiéniques. Or, à cause de difficultés d’acheminement, celle-ci «a été achetée par les Américains, cash», sur le tarmac de l’aéroport.
Ces informations ont été ensuite confirmées par d’autres présidents de région contactés par Libération, ainsi que par Jean Rottner, président de la région Grand Est, au micro de RTL.
https://fr.sputniknews.com/international/202004021043458540-trois-fois-le-prix-et-en-cash-le-president-de-paca-revient-sur-un-rachat-de-masques-par-les-usa/
La Chine rejette le rapport du renseignement américain affirmant que Pékin a menti sur les nombres de coronavirus
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 04/02/2020 - 10:30
Beaucoup ont été perplexes plus tôt cette semaine par un titre proclamant que Pékin divulguerait un certain nombre de patients COVID-19 "asymptomatiques" qui n'avaient pas été précédemment inclus dans les chiffres du pays. Comme il leur est apparu que le PCC admettait enfin, à sa manière, qu'il avait falsifié les chiffres au plus fort de l'épidémie, des rumeurs ont commencé à tourbillonner et des journalistes ont commencé à prendre des téléphones et à appeler leurs sources dans la communauté du renseignement.
Cela a apparemment abouti à la fuite d'un rapport de renseignement classifié qui détaille les conclusions des services de renseignement américains sur les efforts de Pékin pour dissimuler l'étendue de l'épidémie. Le fait que la Chine ait menti sur les chiffres n'a probablement surpris absolument personne. Mais tout le monde sait à quel point Pékin la déteste quand la communauté internationale dit la partie calme à haute voix. Surtout à un moment où Pékin semble rétablir lentement les conditions de verrouillage au milieu d'une résurgence des cas que les responsables ont imputés aux étrangers.
Le président Trump a été sans surprise interrogé sur le rapport lors de la conférence de presse de la nuit dernière. Interrogé, Trump a nié avoir reçu un rapport de renseignement comme celui décrit par Bloomberg, mais il a ajouté que les données de la Chine 'semblent faibles'.
"Leur nombre semble être un peu léger, et je suis gentil quand je dis cela", a déclaré Trump.
Et comme nous l'avions rapporté à l'époque, le vice-président Mike Pence a déclaré mercredi à CNN que "la réalité est que nous aurions pu être mieux si la Chine avait été plus ouverte".
C'était probablement la goutte d'eau finale pour Pékin. Parce que jeudi matin, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères Hua Chunying - un nom qui est probablement familier aux lecteurs de l'époque où la Chine a accusé les États-Unis d' 'incitation à la panique' pendant les premiers jours de l'épidémie (rappelez-vous, celui que les démocrates voulaient inverser) - a défendu la Chine. traitement de l'épidémie comme «ouvert et transparent».
"Certains responsables américains veulent simplement rejeter la faute", a déclaré Hua lors d'un briefing régulier à Pékin. "En fait, nous ne voulons pas tomber dans une dispute avec eux, mais face à des calomnies morales répétées de leur part, je me sens obligé de prendre un peu de temps et de clarifier à nouveau la vérité."
Hua a riposté en demandant ce que les États-Unis faisaient depuis deux mois tandis que le virus se propageait tranquillement à travers le pays.
Hua a remis en question la rapidité de la réponse des États-Unis au virus après l'interdiction des arrivées de Chine le 2 février. "Quelqu'un peut-il nous dire ce que les États-Unis ont fait au cours des deux mois suivants ?" elle a dit.
Selon le rapport américain, la Chine a intentionnellement abaissé le nombre total de cas et le nombre de morts et a caché des informations à ses partenaires mondiaux pendant les premiers jours de l'épidémie. Bien que Pékin ait finalement eu recours à des verrouillages stricts qui ne voleraient jamais en Occident, écrasant l'épidémie par sa seule intensité, ses "ajustements" répétés à sa "méthodologie" de comptage ont semé un doute généralisé sur les chiffres de la Chine. Officiellement, le pays a signalé environ 82 000 cas et 3 300 décès.
RépondreSupprimerMais les experts soupçonnent que les totaux réels pour les deux pourraient être beaucoup plus élevés, des dizaines de milliers, peut-être des centaines de milliers, de cas bénins ont probablement été omis, tandis que la flambée du nombre de corps incinérés tranquillement s'est manifestée dans des endroits surprenants.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/china-rejects-us-intelligence-report-claiming-beijing-lied-about-coronavirus-numbers
(...) Mais les experts soupçonnent que les totaux réels pour les deux pourraient être beaucoup plus élevés, des dizaines de milliers, peut-être des centaines de milliers, de cas bénins ont probablement été omis, tandis que la flambée du nombre de corps incinérés tranquillement s'est manifestée dans des endroits surprenants. (...)
SupprimerMais les experts ! Ceux de la télé ? HAHAHA ! 'Experts' Américains ou Chinois ? Sur place ou à 10 000 km ?
'La moitié du monde est verrouillé' - Les cas mondiaux de coronavirus se rapprochent de 1 million alors que les décès augmentent aux États-Unis et en Europe
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 04/02/2020 - 11:00
Résumé:
Les morts en Espagne passent 10k
Cas mondiaux près de 1 million de marks
L'infection dans un bidonville de New Delhi fait craindre une évasion massive
Le Premier ministre Abe s'est moqué de la distribution de «deux masques» à chaque foyer japonais
Un responsable de la santé britannique dit que "tout le monde est frustré" à propos de la pénurie de tests
La moitié du monde en lock-out, rapporte l'AFP
Annulation du sommet des Nations Unies sur le climat
Singapour signale 49 nouveaux cas
L'institut Francis Crick de Londres développe un test rapide
Pence dit que les États-Unis font face à une trajectoire similaire à l'Italie
Tokyo signale un record de 97 cas en une journée
L'ONU prévoit que l'économie mondiale se contractera de 1% en 2020
Poutine prolonge la fermeture de la Russie
L'ambassadeur des Philippines au Liban décède de COVID-19
* * *
Mise à jour (1030ET): Alors que les données commencent à montrer que les fermetures en Italie et en Espagne ont finalement réussi à `` aplatir la courbe '' (bien que cela n'ait malheureusement pas empêché les hôpitaux de Madrid et de Milan et des environs d'être dépassés), plus les dirigeants les imposent. Le président russe Vladimir Poutine a prolongé jeudi les "vacances chômées" du pays jusqu'à la fin du mois d'avril, ajoutant deux semaines supplémentaires à la fermeture, tout en insistant sur le fait que les efforts d'isolement contribuaient à stopper la propagation du virus.
L'AFP, qui suit assidûment les ordonnances de séjour dans les foyers et les blocages du gouvernement, vient de proclamer que la moitié de la population mondiale a jusqu'à présent été soumise à un certain degré de confinement pendant la crise.
Alors que les États-Unis mettent en quarantaine les troupes en Afghanistan, le gouvernement français a annoncé jeudi que quatre soldats français stationnés au Mali ont été testés positifs pour COVID-19. Parmi eux, trois ont été renvoyés chez eux.
Ailleurs, Singapour a signalé jeudi 49 nouveaux cas de coronavirus, portant le nombre total d'infections à 1.049. C'est la dernière indication que les pays asiatiques qui ont initialement réussi à lutter contre le virus connaissent une résurgence.
Au Royaume-Uni, le bilan officiel des décès dus au coronavirus a augmenté de 24% pour atteindre 2 921 jeudi matin, a annoncé le ministère de la Santé. Le nombre total de cas était de 33 718.
Même si le PDG de Boeing insiste effrontément sur son entreprise, il n'acceptera pas de renflouement fédéral si cela laissait le gouvernement fédéral avec un intérêt dans Boeing, la société aérospatiale et l'entrepreneur de la défense en difficulté a lancé jeudi un `` programme de licenciement volontaire des travailleurs '', déclarant aux employés que il espérait éviter «d'autres actions de la main-d'œuvre», car l'ensemble de l'industrie aéronautique est secouée par la crise.
Et malheureusement pour Greta Thunberg, qui a probablement fini de se remettre de son cas imaginaire de coronavirus, l'épidémie a entraîné le report du sommet mondial des Nations Unies sur le climat de cette année. Il semble que Greta devra trouver un autre rassemblement de dirigeants mondiaux pour crier.
RépondreSupprimer* * *
Avant de commencer aujourd'hui, prenons une minute pour passer en revue ...
3/10 1 000
3/11 1 267
3/12 1 645
3/13 2 204
3/14 2,826
3/15 3,505
3/16 4,466
3/17 6,135
3/18 8 760
3/19 13,229
3/20 18,763
3/21 25,740
3/22 34,276
3/23 42 663
3/24 52 976
3/25 65,273
3/26 82,135
3/27 101,295
3/28 121,176
3/29 139 773
3/30 160,377
3/31 185,469
4/01 199 729
... et jeudi? 4/02 216 722
Cela ressemble à une croissance exponentielle pour nous.
Maintenant que l'administration est "all in" sur la distanciation sociale alors que l'Amérique lutte contre ce qui est maintenant la plus grande épidémie de coronavirus dans le monde, le président Donald Trump a averti que les Américains se dirigent vers une "horrible" deux ou trois semaines alors qu'ils se réfugient chez eux , réitérant son avertissement sur les temps "douloureux" à venir, tout en évoquant la possibilité que le gouvernement bloque tous les vols intérieurs restants entre les "points chauds" du coronavirus aux États-Unis comme NYC et Miami.
Pour l'avenir, les économistes se préparent à ce que les premières demandes de chômage de jeudi grimpent jusqu'à 5 millions - peut-être même 6,5 millions - après le rapport d'ADP d'hier sur l'emploi privé et après le record de 3,3 millions de la semaine dernière.
"Je regarde où les vols vont dans les points chauds." Trump a répondu quand on lui a demandé s'il envisageait une interdiction temporaire de tous les vols intérieurs. "Certains de ces vols que je n'aimais pas depuis le début, mais fermer chaque vol sur chaque compagnie aérienne, c'est une décision très, très, très difficile . Mais nous pensons aux points chauds, où vous allez d'un endroit à l'autre, tous deux chauds. Et nous vous en informerons assez rapidement. "
"Nous examinons certainement la question, mais une fois que vous avez fait cela, vous limitez vraiment une industrie qui est désespérément nécessaire", a déclaré Trump.
Jeudi matin, le nombre de cas confirmés aux États-Unis a dépassé les 5 000 (il était de 5 137 lors de notre dernière vérification), tandis que le nombre de cas confirmés a dépassé les 200 000 (à 216 722). Ceci, après que le vice-président Pence a déclaré lors de la conférence de presse de la nuit dernière que les modèles suggèrent que les États-Unis sont confrontés à une trajectoire similaire à celle de l'Italie, le pays avec le plus grand nombre de décès par coronavirus avec plus de 13 000 morts.
NYC reste l'épicentre aux États-Unis, avec plus de 1 374 décès, soit plus du double du nombre de morts dans le reste de l'État (585). Le nombre mondial de cas se dirige rapidement vers le grand million (dernier chiffre: 939 436) alors que le nombre de cas aux États-Unis et en Europe augmente (alors même que l'Italie et l'Espagne montrent les premiers signes d'un `` plateau '' de nouveaux cas) tandis que la Chine, le Sud La Corée et d'autres pays et territoires d'Asie du Sud-Est (Thaïlande, Malaisie, Hong Kong) signalent une deuxième vague. Dans le monde, 76 836 cas ont été signalés hier.
Plus de 10 000 personnes sont mortes en Espagne après avoir contracté un coronavirus, avec un nombre record de 950 d'entre elles décédées mercredi, le dernier d'une série de registres de décès quotidiens. Le bilan des décès publié jeudi matin en Espagne a montré que le nombre officiel de morts atteignait 10 003, contre 9 053 la veille.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
L'Espagne compte désormais 110 238 cas confirmés de coronavirus, soit une augmentation de 8 %. Bien que cela soit ralenti par rapport aux sauts quotidiens de ~ 25 % observés plus tôt ce mois-ci, cela ne change pas le fait que l'Espagne est à 2,5 semaines dans un refuge en mode confiné. Grâce au blocage, l'Espagne a enregistré sa plus forte hausse du chômage de son histoire, avec plus de 800 000 personnes ayant déposé des demandes la semaine dernière. Le bond des décès récemment a poussé le taux de mortalité de l'Espagne bien au-dessus de celui des États-Unis.
Il s'avère que les États-Unis ne sont pas le seul pays occidental développé qui est mal préparé à intensifier les tests pour le nouveau coronavirus: alors que les gros titres des tabloïds en colère dénigrent le gouvernement britannique, dirigé par un PM actuellement malade, Boris Johnson, l'un des meilleurs britanniques Le responsable de la santé a exprimé sa frustration face aux difficultés du gouvernement à fournir suffisamment de tests, affirmant que "toutes les personnes impliquées sont frustrées" alors que le Royaume-Uni se démène pour accélérer les tests, rapporte le FT.
Heureusement, le Francis Crick Institute de Londres a mis au point un test de diagnostic rapide des coronavirus et espère pouvoir tester 500 travailleurs de première ligne par jour à partir de la semaine prochaine.
Bien que le gouvernement américain se prépare à renflouer les compagnies aériennes américaines, les compagnies aériennes internationales restent bloquées dans une chute libre: jeudi, British Airways devrait annoncer son intention de suspendre environ 32000 employés, car elle cherche à réduire les coûts maintenant que personne ne vole à moins qu'ils ne besoin de.
Alors que les entreprises continuent de lutter pour planifier l'avenir, un nouveau rapport du Département des affaires économiques et sociales de l'ONU a déclaré que l'économie mondiale pourrait se contracter de près de 1% avant la fin de l'année. Avant l'épidémie, ils prévoyaient une croissance de 2,5%, rapporte le Washington Post.
Maintenant que les Jeux de Tokyo 2020 ont été officiellement reportés à l'année prochaine (ce sont quand même les Jeux de 2020), le Japon peut se concentrer sur la lutte contre le virus sans cet albatros autour du cou: mais alors que le pays est "au bord" de une crise de coronavirus, le Premier ministre Shinzo Abe a résisté aux appels pour essayer d'appliquer un état d'urgence et d'autres mesures. Au lieu de cela, il prévoit d'envoyer à chaque foyer deux petits masques en tissu lavable, une décision qui ne lui a pas manqué de ridicule.
Le plan des "deux masques" d'Abe a été brutalement moqué sur les réseaux sociaux, beaucoup se demandant comment les masques seraient répartis entre toute une famille.
Tokyo a signalé à lui seul 97 nouveaux cas jeudi, un nouveau record et la dernière d'une résurgence de deux semaines qui a fait reculer la lutte du Japon contre le virus.
Alors que davantage de responsables gouvernementaux attrapent le virus, l'ambassadeur des Philippines au Liban est décédé des complications liées au virus cette semaine, a annoncé jeudi le ministère des Affaires étrangères du pays. L'ambassadeur Bernardita M. Catalla, un vétéran de près de 30 ans du corps diplomatique, est décédé jeudi matin à Beyrouth.
Enfin, alors que les Indiens continuent de se plaindre de la mise en œuvre inefficace du verrouillage de trois semaines de ce pays, imposé malgré une relative pénurie de cas alors que les responsables craignaient une propagation rapide dans les bidonvilles du pays, la mort d'un homme d'âge moyen dans le bidonville de Dharavi à Mumbai a alimenté des inquiétudes sur le virus hautement contagieux qui déchire ce qui est largement considéré comme le plus grand bidonville d'Asie.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/geopolitical/global-coronavirus-case-total-edges-toward-1-million-deaths-surge-us-europe-live
Ubu couronné : le coronavirus, triste parodie de la peste
RépondreSupprimerjeudi 2 avril 2020
Il faudrait choisir : soit le coronavirus est la nouvelle peste et dans ce cas aucune exception n'est possible, les cadavres doivent emplir les rues et ce n'est pas le moment pour acheter son pain ou sauver les migrants, soit ce n'est qu'un virus de plus et l'on pourrait peut-être nous lâcher le pompon et s'occuper réellement de renforcer l'Etat afin que nous soyons en sécurité, notamment sanitaire ... En attendant, le spectacle vaut son pensant d'or. Le confinement de la population est une mesure globale (sauf la Suède), les médias du monde entier vous expliquent que la mort vous attend au coin de la rue (ce qui ne fut jamais le cas avant, lorsque l'homme était un Atlante). De leur côté, les policiers sont transformés en agent de financement du monde global, beaucoup moins sympathiques que les pervenches, mais tout aussi efficaces. Et pendant ce temps-là, "l'élite des experts" est immunisée contre ce virus très sélectif. Les migrants doivent à nouveau pouvoir circuler, manifestement ils appartiennent à la nouvelle race humaine, invulnérable. La justice devient électronique ... et expéditive. L'école est une parodie, même s'il n'en restait déjà pas grand-chose. Heureusement, la propagande est parfaitemenr rôdée et on ne peut plus vitale pour ce système. Même si elle produit les effets de toute propagande - le rejet.
Chers concitoyens du Monde global, prenez peur, la peste rôde. Mais elle ne concerne pas tout le monde ... Finalement, en confinement, les Français peuvent aller acheter du pain, car la peste couronnée s'écarte des boulangeries et de leurs acheteurs.
Les enfants doivent, en Russie comme ailleurs, rester à la maison, l'école est en vacances et les prof tentent de nous donner des cours de piano ... par whatsapp - pour les volontaires, afin de s'adapter à une situation, dont l'on ne voit pas très bien la sortie objective. En revanche, selon les organes gouvernementaux, les enfants des parents qui ont des maisons de maître ou des hôtels particuliers à Moscou peuvent se promener ... dans leur parc ? Les autres ... il fallait mieux choisir ses parents, essuies ton nez et arrête de pleurnicher.
Le césar de l'hypocrisie est toutefois décerné à la télévision, qui, en Russie, continue de nous abreuver de ces talk-shows pseudo-politiques, répandant, justifiant, martelant le "bon" point de vue, la bonne parole. Ainsi, sur les plateaux des chaînes fédérales se succèdent les experts, reconvertis au coronavirus. Et le bon peuple, le simple peuple, qui n'est pas la chance d'appartenir à la caste privilégiée des experts (presque des surhommes inaccessibles au virus), qui n'a pas d'hôtel particulier à côté de Moscou, doit rester terré chez lui à les regarder et écouter lui expliquer à quel point il est criminel de mettre le nez dehors, à quel point toutes ces mesures restreignant les libertés fondamentales, faute d'avoir une légalité solide, sont en tout cas absolument nécessaires. Si les enfants peuvent apprendre le piano par whatsapp, ils ne pourraient pas parler par skype ? Certes, cela perdrait beaucoup de son intérêt ... Un peu comme le piano d'ailleurs ...
Sans public maintenant pour faire la claque, mais il semblerait que même les distances dites "sociales" (et non sanitaires) par Sobianine, de 2 m, ne concerne pas ce peuple élu, protégé par la bonne parole :
Pendant que ces experts, les garants du monde du spectacle, défilent sur les plateaux, la justice, elle, est suspendue : plus d'accès à l'avocat, plus de convocation pour interrogatoire, plus d'accès à la justice finalement, rien. Seulement, la réalisation du fantasme de la justice électronique qui se résume, sans surprise, à des séances formelles de skype pour prolonger automatiquement les détentions. Chaque époque a ses priorités, les nôtres sont assez pitoyables.
RépondreSupprimerPour continuer sur la question des priorités, alors que chacun doit rester chez soi, la circulation des migrants, elle, va reprendre. Le peuple élu traversant la mer. Elle aussi fait partie du spectacle:
Le bateau humanitaire Alan Kurdi va reprendre ses opérations de sauvetage de migrants au large de la Libye, a annoncé l'ONG allemande Sea Eye mardi 31 mars. Il sera le seul à opérer dans la zone en raison de la pandémie de coronavirus. Le navire dirigé par la capitaine allemande Bärbel Beuse a quitté lundi soir le port espagnol où il se trouvait depuis deux mois pour des réparations. Il devrait atteindre la zone de secours et de recherche au large des côtes libyennes "vraisemblablement ce week-end", a précisé l'organisation dans un communiqué.
L'absurdité de la situation qui se renforce avec le temps, autant qu'elle s'éloigne de la légalité républicaine, provoque des réactions. Par exemple, dans le Sud-ouest de la France, région magnifique et accueillante, un vent de contestation se lève. Des gens refusent, par principe, de sortir avec leur laissez-passer:
Anne de Brouwer, Alain Bonneau, Merilu Solito, Michèle Setti et Renaud de Bellefon lancent un appel afin de ne plus présenter l’attestation de circulation.
« Il répond à une inquiétude que nombre d’entre nous, peut-être de plus en plus, partageons sur la privation de liberté aujourd’hui, l’instrumentalisation (réflexe et réfléchie, les deux peuvent exister conjointement) de la crise sanitaire actuelle par les pouvoirs en place, sur comment demain se dessinera (rattrapage du temps perdu à produire, consommer, etc ou prise de conscience d’un changement radical nécessaire ?). Ces inquiétudes sont partagées comme en témoignent ces deux documents, l’un du Syndicat de la magistrature, l’autre de l’observatoire des droits de l’Homme. Ce type de réaction n’est peut-être pas dans l’air du temps, ce temps où la peur tant du virus que du « flic », guide nos actes et positions. Néanmoins il faut partager ce questionnement de l’un d’entre nous « la santé ou la liberté, qu’est ce qui est le plus important ? Nous vous prions donc de le publier dans vos médias, car c’est un appel public nécessaire en ces temps de démocratie au ralentie. », explique Renaud de Bellefon.
La Russie s'engage sur la même voie, une deuxième semaine non travaillée s'annonce, et les amendes ont été votées par le Parlement. La police pourra donc également aider, comme en France, à compenser les pertes budgétaires. En revanche, la légalité des mesures annoncées de surveillance généralisée des Moscovites étant toujours en discussion, un certain sursis, court, est en place en attendant que le Parlement donne au Gouvernement (contournant étrangement ainsi le Président) le pouvoir de déclarer les circonstances exceptionnelles, seul cadre légal justifiant une restriction massive des libertés. Beaucoup de voies s'élèvent contre ces codes électroniques conduisant à un traçage de la population en général, ce qui dépasse largement la question de la sécurité sanitaire des personnes malades. Et il semblerait que le fantasme tourne court, ces QR codes ne seront utilisés, qu'avec l'autorisation expresse de la personne concernée, et uniquement pour les personnes contaminées ayant choisi d'être traité à domicile. Faute de grives, l'on mange des merles, mais tout n'est pas fini.
L'absurdité de la situation saute aux yeux. Gardons-les ouverts.
RépondreSupprimerEt si vous avez peur d'attraper le coronavirus et ne savez pas quoi faire, demandez-vous pourquoi tous ces "experts", migrants et autres figures emblématiques n'ont pas d'entraves à la circulation. Demandez-vous, finalement, ce que vous faisiez lors de la grippe ? Si en principe vous avez peur d'être malade, il n'y a qu'une seule solution : la première source de maladie est la vie. La solution viendra de toute manière d'elle-même et lorsque nous serons calmement couchés dans nos tombeaux, bien à l'abris de tout, alors je vous le promet, nous ne risquerons plus rien.
Personnellement, je fais le choix de la vie. Et des risques qui vont avec elle. Sans pour autant en accepter les absurdités. Surtout lorsque le spectacle est d'une aussi piètre qualité.
https://russiepolitics.blogspot.com/2020/04/ubu-couronne-le-coronavirus-triste.html#more
Le nombre de cas de coronavirus en Californie atteint 10 000 alors que plus de 200 meurent de maladie
RépondreSupprimerPar HANNAH FRY, LUKE MONEY, RONG-GONG LIN II
2 AVRIL 20209: 19 AM MISE À JOUR 10:56 AM
Alors que la pandémie de coronavirus poursuit sa marche à travers la Californie, le nombre de cas dans l'État est passé à 10 000 jeudi - avec un bilan de 200 morts.
Au milieu de la flambée, les autorités continuent d'exhorter le public à poursuivre des mesures de distanciation sociale sans précédent tout en se précipitant pour acheminer davantage de fournitures vers les hôpitaux face à une augmentation du nombre de patients malades.
La propagation rapide du virus a suscité de nouvelles inquiétudes quant à la capacité du système de santé de l'État à gérer l'afflux de patients. De nombreux hôpitaux californiens et centres médicaux locaux sont aux prises avec des pénuries de fournitures au milieu d'une ruée pour se préparer à ce qui devrait être un déluge de patients dans les semaines à venir.
Les totaux à l'échelle de l'État proviennent d'une enquête continue du Los Angeles Times auprès de dizaines d'agences de santé locales à travers la Californie.
Mercredi, les responsables de la santé publique du comté de Los Angeles ont réitéré leurs appels à Angelenos de rester chez lui autant que possible dans un effort pour endiguer la propagation du virus et donner aux hôpitaux une chance de soigner les malades sans être submergés.
Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, est allé jusqu'à conseiller au ministère de l'Eau et de l'Énergie de fermer les services publics aux entreprises non essentielles violant l'ordre de fermeture de la ville au milieu de la pandémie.
"Ralentir la propagation de ce virus et aplatir la courbe des nouvelles infections exige que nous fassions tous notre part, et c'est le résultat", a déclaré Garcetti. «Pourtant, certaines entreprises non essentielles continuent de fonctionner, mettant tout le monde en danger.»
Ces appels interviennent au milieu d'une augmentation spectaculaire des cas dans la région.
2 avril 2020
Les responsables du comté de Los Angeles ont signalé plus de 500 nouveaux cas mercredi, portant le nombre de personnes infectées dans le comté à 3 518. Soixante-cinq personnes dans le comté sont mortes du virus.
«Je veux rassurer le public que le système hospitalier du comté de LA, à la fois public et privé, fait tout ce qu'il peut pour être à l'échelle et répondre à la demande projetée, mais je réitère l'importance cruciale de respecter ces distanciations sociales et physiques. des directives afin que nous puissions aplanir la courbe et nous assurer qu'il n'y aura pas de pression excessive sur le système hospitalier dans les jours et les semaines à venir », a déclaré mercredi le Dr Christina Ghaly, directrice du Los Angeles Department of Health Services.
Le comté d'Orange a connu mercredi sa plus forte augmentation d'un jour des infections à coronavirus, alors que les autorités ont annoncé 107 nouveaux cas et trois décès supplémentaires. Au total, 606 cas de COVID-19 et 10 décès ont été confirmés dans tout le comté.
Au milieu de la nouvelle, les responsables de l'État ont annoncé qu'ils utiliseraient le Fairview Developmental Center - une propriété d'État à Costa Mesa - comme site de soins alternatifs pour soulager le stress des autres hôpitaux régionaux. La réorientation du centre, qui hébergeait depuis longtemps des adultes ayant des déficiences développementales et comportementales, fait partie d'un effort global visant à augmenter le nombre de lits d'hôpitaux disponibles dans tout l'État.
RépondreSupprimerL'installation fournira jusqu'à 1 100 nouveaux lits d'hôpitaux qui devraient être disponibles ce mois-ci, selon la femme de l'Assemblée Cottie Petrie-Norris (D-Laguna Beach).
"Dans le monde et dans d'autres États, nous avons vu des images horribles et entendu des histoires déchirantes de patients COVID-19 mourant dans les couloirs des hôpitaux parce qu'il n'y a pas assez de lits", a-t-elle déclaré dans un communiqué. "Nous nous préparons activement à la montée subite de la Californie pour essayer d'éviter ce cauchemar."
1 avril 2020
Le comté de Santa Barbara a enregistré mercredi son premier décès dû au virus. La personne était dans la soixantaine et avait des problèmes de santé sous-jacents, selon les responsables de la santé publique.
Douze autres cas de COVID-19 ont été confirmés dans tout le comté, portant le nombre d'infections confirmées à 111.
Pendant ce temps, le comté de Tehama, dans le nord de la Californie, a annoncé son premier cas de virus.
Le député du shérif du comté de Riverside, Terrell Young, est également décédé des complications du coronavirus, a annoncé jeudi le département. Il avait servi dans le département pendant 15 ans et était son premier membre à succomber au virus.
Aussi mauvais que soient les chiffres, les responsables de la santé ont averti que cela pourrait empirer si les Californiens ne respectaient pas les ordonnances de séjour à domicile, qui pourraient maintenant durer jusqu'en mai.
https://www.latimes.com/california/story/2020-04-02/california-coronavirus-cases-deaths
Un homme accusé de déraillement intentionnel d'un train près d'un navire-hôpital Mercy pour des problèmes de coronavirus
RépondreSupprimerPar RICHARD WINTON, MATT HAMILTON
1 AVRIL 20204: 03 PM
Les procureurs fédéraux ont inculpé un conducteur de locomotive du port de Los Angeles pour avoir intentionnellement fait dérailler un train près du navire-hôpital de la marine américaine Mercy parce qu'il soupçonnait qu'il n'était pas là pour aider à résoudre la crise des coronavirus.
Eduardo Moreno, 44 ans, de San Pedro, a été accusé d'avoir délibérément détruit un train lors de l'incident de mardi, ce qui a entraîné un déraillement et une fuite de carburant, selon les accusations.
Les procureurs allèguent que Moreno a déraillé le train et s'est délibérément écrasé à travers des barrières conçues pour arrêter les moteurs avant de s'arrêter à 250 mètres de la Mercy.
Les pompiers et une équipe de matières dangereuses se sont occupés de l'incident sans explosion ni blessure.
Selon un affidavit, un officier de la California Highway Patrol a vu l'accident et a arrêté Moreno sur les lieux.
Moreno aurait déclaré: «Vous n'avez cette chance qu'une seule fois. Le monde entier est en train de regarder. J'ai dû. Les gens ne savent pas ce qui se passe ici. Maintenant, ils le feront. "
Moreno a utilisé une locomotive utilisée pour déplacer la cargaison vers le baril à travers une barrière en acier et une clôture grillagée avant de se retrouver finalement dans une deuxième clôture grillagée, selon le dossier du tribunal.
Les procureurs allèguent qu'au cours d'un entretien, il a admis avoir conduit le train au-delà de la voie parce qu'il pensait que le Mercy faisait partie d'activités suspectes impliquant le coronavirus.
«Parfois, vous obtenez juste un petit coup et l'homme, c'était excitant. . . Je viens de l'avoir et j'étais engagé. J'y suis juste allé, j'ai eu une chance », a déclaré Moreno lors d'un entretien avec les autorités.
Selon l'affidavit, il a dit qu'il pensait que son acte attirerait l'attention des médias et que «les gens pouvaient voir par eux-mêmes», faisant référence à la Miséricorde.
Il n'a pas pu être joint pour commenter.
Une telle accusation après condamnation peut entraîner jusqu'à 20 ans de prison.
La Mercy est arrivée au port de Los Angeles la semaine dernière.
Le Mercy compte environ 800 membres du personnel médical, 1 000 lits d'hôpital et 12 salles d'opération.
Le navire accueillera des patients qui n'ont pas de COVID-19 dans le but de libérer des lits d'hôpital régionaux pour ceux qui en ont. Certains patients qui sont déjà hospitalisés dans le comté de Los Angeles seront transférés sur le navire pour un traitement continu, ont annoncé jeudi des responsables du port.
https://www.latimes.com/california/story/2020-04-01/man-charged-derailing-train-hospital-ship-mercy
Dans la lutte contre le coronavirus, les travailleurs des masques de ski tiennent ensemble le filet de sécurité sociale de L.A.
RépondreSupprimerPar DOUG SMITHSENIOR WRITER
1 AVRIL 20205 AM
Ils cherchaient un homme du nom de Wayne qui était vieux et fragile et qui n'avait probablement pas mangé depuis longtemps, le plaçant dans la catégorie la plus vulnérable pour avoir contracté le nouveau coronavirus.
Les travailleurs sociaux sans-abri Christian Riehl et John Cudal avaient vu Wayne pour la dernière fois dans son camping-car délabré, qui était stationné à 135th Street et Broadway à Willowbrook.
Riehl avait un bon de motel pour Wayne et espérait qu'il pourrait le persuader de rendre son VR et d'aller à l'intérieur. Mais quand ils sont arrivés au coin, son VR n'était pas là.
De l'autre côté de la rue, il y avait un autre VR et un homme échevelé nommé Louie a répondu à la porte.
"Nous avons été envoyés par le comté de L.A. pour nous assurer que tous les plus de 65 ans ont un endroit où séjourner", lui a dit Cudal.
Avec le nombre de cas de coronavirus qui devrait augmenter dans les semaines à venir, Riehl et Cudal faisaient les choses différemment. Ils portaient des masques - un masque de ski pour Riehl et un cache-cou pour Cudal. Ils ont aspergé leurs vêtements et leurs chaussures avec de l'alcool après chaque conversation avec un sans-abri et ont recherché intentionnellement des personnes âgées et d'autres personnes médicalement fragiles.
Mais leur mission n'avait pas vraiment changé. En tant que travailleurs de proximité pour St.Joseph Centre, Cudal et Riehl travaillent exclusivement avec des sans-abri qui vivent dans des véhicules, et ils ont donc continué à se présenter aux centaines d'habitants de VR dans le sud de Los Angeles et à les aider à obtenir des services et un logement.
Alors que les camping-cars occupés sont devenus un spectacle courant dans le comté, ce tronçon de Broadway, où la rue est large et où l'interdiction de stationnement de nuit n'est pas appliquée, est devenu un village de camping-cars linéaire.
Riehl et Cudal surveillent les plus de 200 véhicules qui y sont stationnés. Certains sont mobiles; beaucoup sont en panne. Certains ont l'air décents; d'autres sont rapiécés avec du carton ou des bâches. Certains appartiennent à des gens qui choisissent de vivre à bas prix. La plupart appartiennent à des personnes qui ont été battues par la vie, y compris des squatters et des locataires dans un marché noir de location de camping-cars.
Le programme de sensibilisation des sans-abri en véhicule, financé par le compte discrétionnaire du superviseur Mark Ridley-Thomas, a été fondé en 2014 pour faire face au problème. Le nombre actuel de véhicules récréatifs et de voitures est en baisse par rapport aux plus de 300 lorsque le programme a commencé, a déclaré Riehl. Ceux qui obtiennent un logement peuvent garder leurs véhicules s'il y a un parking disponible et si les véhicules sont toujours opérationnels. Le programme paie pour remorquer et démonter les voitures et les véhicules récréatifs qui ne fonctionnent plus, afin qu'ils ne restent pas dans les rues.
Le chemin vers le succès est rarement direct, et pour chaque pas en avant il y a souvent un pas en arrière. Sur les 129 personnes qui se sont qualifiées pour le logement, jusqu'à présent, 79 ont emménagé, quatre d'entre elles cette année, selon des rapports déposés auprès du L.A. County County of Supervisors.
RépondreSupprimerLouie était nouveau dans le quartier, a-t-il déclaré à Riehl et Cudal. Il a dit qu'il vivait dans son camping-car à Lomita depuis cinq ans jusqu'à ce qu'on lui demande de déménager.
«Au moins, j'avais un endroit où aller», a-t-il déclaré. "Maintenant, ils ne veulent pas de moi."
"Je veux juste m'assurer que tu vas bien et prendre soin de toi", lui a dit Cudal. "Si vous l'avez, vous l'avez."
Riehl et Cudal se sont déplacés vers les côtés opposés de la rue. Cudal, se frayant un chemin à travers un fourré d'électronique datée, de pièces de véhicule et d'appareils brisés, a demandé à chaque porte si quelqu'un à l'intérieur avait 65 ans ou plus ou était malade.
Ce sont les agents de proximité qui servent d’œil et d’oreille dans la rue, un rôle qui est devenu encore plus important alors que les responsables locaux et étatiques ont ordonné l’éloignement social pour ralentir la pandémie. Ces travailleurs jouent le rôle crucial de relier les sans-abri à une liste de services et de ressources qui s'allonge rapidement, notamment des abris d'urgence, des chambres d'hôtel et de motel et des installations de quarantaine.
Si Cudal, par exemple, rencontrait quelqu'un vivant dans un camping-car avec des symptômes pseudo-grippaux, un signe possible de COVID-19, il devrait prendre des dispositions pour qu'une équipe médicale transporte cette personne vers l'un des centres de quarantaine mis en place à la hâte à travers le comté de LA.
https://www.latimes.com/homeless-housing/story/2020-04-01/coronavirus-homeless-outreach-vehicles-shelters
Le nombre de décès dus à un coronavirus dépasse les 50K alors que la France et l'Italie signalent un recul dans de nouveaux cas: mises à jour en direct
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 04/02/2020 - 14:16
Résumé:
Les morts en Espagne passent 10k
Cas mondiaux près de 1 million de marks
L'infection dans un bidonville de New Delhi fait craindre une évasion massive
Le Premier ministre Abe s'est moqué de la distribution de «deux masques» à chaque foyer japonais
Un responsable de la santé britannique dit que "tout le monde est frustré" à propos de la pénurie de tests
La moitié du monde en lock-out, rapporte l'AFP
Le monde fait 50 000 morts avec COVID-19
Cas en Italie, les décès continuent de se stabiliser
La France signale une baisse du nombre de nouveaux cas
Annulation du sommet des Nations Unies sur le climat
Singapour signale 49 nouveaux cas
L'institut Francis Crick de Londres développe un test rapide
La France dit aux femmes battues d'aller utiliser un mot de code secret dans les pharmacies pour dénoncer les abus
NY s'approche de 100 000 cas, rapporte environ 400 décès supplémentaires
Pence dit que les États-Unis font face à une trajectoire similaire à l'Italie
Tokyo signale un record de 97 cas en une journée
L'ONU prévoit que l'économie mondiale se contractera de 1% en 2020
Poutine prolonge la fermeture de la Russie
L'ambassadeur des Philippines au Liban décède de COVID-19
* * *
Mise à jour (1400 ET): quelques heures après que l'Italie et l'Espagne ont signalé de nouvelles données sur les coronavirus qui donnaient aux épidémiologistes l'espoir que leurs politiques de verrouillage avaient au moins fonctionné pour arrêter l'accélération de la propagation du virus, la France a signalé jeudi une baisse étonnamment importante du nombre de nouveaux cas. Les autorités sanitaires ont dénombré 2 116 nouveaux cas au cours de la dernière journée, contre 4 861 la veille.
Mais la France a également signalé 884 nouveaux décès dans les maisons de retraite du pays, portant son bilan national à 5387 morts.
En fin de compte, il semble que la France suit toujours l'Italie.
Pendant ce temps, alors que les résidents de la Floride s'habituent à leur nouveau «verrouillage» ... les drones aident à distribuer du papier toilette.
Alors que les résidents continuent de s'adapter aux conditions de confinement, la France, inspirée par un système similaire en Espagne, a commencé à dire aux victimes de violences domestiques, en particulier aux femmes, de se rendre dans les pharmacies et de chuchoter le mot de code "masque 19" au pharmacien derrière le comptoir. Le pharmacien alertera alors subrepticement la police.
* * *
Mise à jour (1254ET): l'Italie a reçu des nouvelles plus encourageantes jeudi lorsque l'Agence de protection civile du pays a révélé que les nouveaux cas et les décès continuaient de se stabiliser. Mercredi, l'Italie a signalé 4 668 nouveaux cas de COVID-19 et 760 nouveaux décès. Cela a porté l'Italie à 115 242 cas et à 13 915 décès.
RépondreSupprimerLes décès ont porté le total mondial au-dessus de 50 000. Et bien que les décès et les cas aient continué à "aplatir", le taux de mortalité en Italie est resté inquiétant, à 12,1%.
L'épidémie a contraint la communauté médicale italienne à innover pour essayer de protéger les travailleurs de la santé.
Et un autre indicateur: les canaux de Venise restent clairs.
Avant de partir, un bref récapitulatif:
* * *
Mise à jour (1240ET): Au cours de la conférence de presse de jeudi, le Gouverneur Cuomo a cité de nouvelles projections affirmant que le virus diminuerait d'ici août, déplaçant légèrement les poteaux de but dans le futur, alors qu'il passe progressivement du début de l'été au milieu de l'été à la fin de l'été pour la chronologie du moment où nous serons enfin libérés du nouveau coronavirus.
Le briefing de jeudi comprenait également un invité spécial: le frère du gouverneur, le journaliste de CNN Chris Cuomo, qui a précédé pour partager une histoire sur un rêve de fièvre qu'il avait eu où son frère portait un costume de danse.
Le gouverneur a également souligné que les 62 comtés de l'État ont maintenant au moins un cas, y compris les comtés qui ont "plus de vaches que de personnes".
Cuomo a également jeté un peu plus d'ombre à la Maison Blanche, affirmant qu'il ne pense pas que l'administration soit "en mesure de fournir des ventilateurs dans la mesure où la nation pourrait en avoir besoin ... ils peuvent en avoir certains qu'ils ne distribuent pas maintenant ... mais je ne sais pas s'ils en ont plus dans le stock ... Je sais que la disponibilité du ventilateur est juste un problème pour tout le monde. "
"Notre attitude ici est" nous sommes seuls "..."
* * *
Mise à jour (1140ET): le nombre total de cas confirmés de COVID-19 dans l'État de New York est passé à 92 381. Regardez la conférence de presse de Cuomo jeudi ci-dessous.
En outre, New York a signalé environ 400 décès supplémentaires, ce qui porte le nombre de morts à 2,373 dans tout l'État.
Voici où cela laisse les États-Unis, qui ont fait 5 000 morts plus tôt, comme nous l'avons souligné.
* * *
Mise à jour (1030ET): Alors que les données commencent à montrer que les fermetures en Italie et en Espagne ont finalement réussi à 'aplatir la courbe' (bien que cela n'ait malheureusement pas empêché les hôpitaux de Madrid et de Milan et des environs d'être dépassés), plus les dirigeants les imposent. Le président russe Vladimir Poutine a prolongé jeudi les "vacances chômées" du pays jusqu'à la fin du mois d'avril, ajoutant deux semaines supplémentaires à la fermeture, tout en insistant sur le fait que les efforts d'isolement contribuaient à stopper la propagation du virus.
L'AFP, qui suit assidûment les ordonnances de séjour dans les foyers et les blocages du gouvernement, vient de proclamer que la moitié de la population mondiale a jusqu'à présent été soumise à un certain degré de confinement pendant la crise.
Alors que les États-Unis mettent en quarantaine les troupes en Afghanistan, le gouvernement français a annoncé jeudi que quatre soldats français stationnés au Mali ont été testés positifs pour COVID-19. Parmi eux, trois ont été renvoyés chez eux.
RépondreSupprimerAilleurs, Singapour a signalé jeudi 49 nouveaux cas de coronavirus, portant le nombre total d'infections à 1.049. C'est la dernière indication que les pays asiatiques qui ont initialement réussi à lutter contre le virus connaissent une résurgence.
Au Royaume-Uni, le bilan officiel des décès dus au coronavirus a augmenté de 24% pour atteindre 2 921 jeudi matin, a annoncé le ministère de la Santé. Le nombre total de cas était de 33 718.
Même si le PDG de Boeing insiste effrontément sur son entreprise, il n'acceptera pas de renflouement fédéral si cela laissait le gouvernement fédéral avec un intérêt dans Boeing, la société aérospatiale et l'entrepreneur de la défense en difficulté a lancé jeudi un 'programme de licenciement volontaire des travailleurs', déclarant aux employés que il espérait éviter «d'autres actions de la main-d'œuvre», car l'ensemble de l'industrie aéronautique est secouée par la crise.
Et malheureusement pour Greta Thunberg, qui a probablement fini de se remettre de son cas imaginaire de coronavirus, l'épidémie a entraîné le report du sommet mondial des Nations Unies sur le climat de cette année. Il semble que Greta devra trouver un autre rassemblement de dirigeants mondiaux pour crier.
* * *
Avant de commencer aujourd'hui, prenons une minute pour passer en revue ...
3/10 1 000
3/11 1 267
3/12 1 645
3/13 2 204
3/14 2,826
3/15 3,505
3/16 4,466
3/17 6,135
3/18 8 760
3/19 13,229
3/20 18,763
3/21 25,740
3/22 34,276
3/23 42 663
3/24 52 976
3/25 65,273
3/26 82,135
3/27 101,295
3/28 121,176
3/29 139 773
3/30 160,377
3/31 185,469
4/01 199 729
... et jeudi 4/02 216 722
Cela ressemble à une croissance exponentielle pour nous.
Maintenant que l'administration est "all in" sur la distanciation sociale alors que l'Amérique lutte contre ce qui est maintenant la plus grande épidémie de coronavirus dans le monde, le président Donald Trump a averti que les Américains se dirigent vers une "horrible" deux ou trois semaines alors qu'ils se réfugient chez eux , réitérant son avertissement sur les temps "douloureux" à venir, tout en évoquant la possibilité que le gouvernement bloque tous les vols intérieurs restants entre les "points chauds" du coronavirus aux États-Unis comme NYC et Miami.
Pour l'avenir, les économistes se préparent à ce que les premières demandes de chômage de jeudi grimpent jusqu'à 5 millions - peut-être même 6,5 millions - après le rapport d'ADP d'hier sur l'emploi privé et après le record de 3,3 millions de la semaine dernière.
"Je regarde où les vols vont dans les points chauds." Trump a répondu quand on lui a demandé s'il envisageait une interdiction temporaire de tous les vols intérieurs. "Certains de ces vols que je n'aimais pas depuis le début, mais fermer chaque vol sur chaque compagnie aérienne, c'est une décision très, très, très difficile . Mais nous pensons aux points chauds, où vous allez d'un endroit à l'autre, tous deux chauds. Et nous vous en informerons assez rapidement. "
RépondreSupprimer"Nous examinons certainement la question, mais une fois que vous avez fait cela, vous limitez vraiment une industrie qui est désespérément nécessaire", a déclaré Trump.
Jeudi matin, le nombre de cas confirmés aux États-Unis a dépassé les 5 000 (il était de 5 137 lors de notre dernière vérification), tandis que le nombre de cas confirmés a dépassé les 200 000 (à 216 722). Ceci, après que le vice-président Pence a déclaré lors de la conférence de presse de la nuit dernière que les modèles suggèrent que les États-Unis sont confrontés à une trajectoire similaire à celle de l'Italie, le pays avec le plus grand nombre de décès par coronavirus avec plus de 13 000 morts.
NYC reste l'épicentre aux États-Unis, avec plus de 1 374 décès, soit plus du double du nombre de morts dans le reste de l'État (585). Le nombre mondial de cas se dirige rapidement vers le grand million (dernier chiffre: 939 436) alors que le nombre de cas aux États-Unis et en Europe augmente (alors même que l'Italie et l'Espagne montrent les premiers signes d'un `` plateau '' de nouveaux cas) tandis que la Chine, le Sud La Corée et d'autres pays et territoires d'Asie du Sud-Est (Thaïlande, Malaisie, Hong Kong) signalent une deuxième vague. Dans le monde, 76 836 cas ont été signalés hier.
Plus de 10 000 personnes sont mortes en Espagne après avoir contracté un coronavirus, avec un nombre record de 950 d'entre elles décédées mercredi, le dernier d'une série de registres de décès quotidiens. Le bilan des décès publié jeudi matin en Espagne a montré que le nombre officiel de morts atteignait 10 003, contre 9 053 la veille.
L'Espagne compte désormais 110 238 cas confirmés de coronavirus, soit une augmentation de 8%. Bien que cela soit ralenti par rapport aux sauts quotidiens de ~ 25% observés plus tôt ce mois-ci, cela ne change pas le fait que l'Espagne est à 2,5 semaines dans un refuge en mode confiné. Grâce au blocage, l'Espagne a enregistré sa plus forte hausse du chômage de son histoire, avec plus de 800 000 personnes ayant déposé des demandes la semaine dernière. Le bond des décès récemment a poussé le taux de mortalité de l'Espagne bien au-dessus de celui des États-Unis.
Il s'avère que les États-Unis ne sont pas le seul pays occidental développé qui est mal préparé à intensifier les tests pour le nouveau coronavirus: alors que les gros titres des tabloïds en colère dénigrent le gouvernement britannique, dirigé par un PM actuellement malade, Boris Johnson, l'un des meilleurs britanniques Le responsable de la santé a exprimé sa frustration face aux difficultés du gouvernement à fournir suffisamment de tests, affirmant que "toutes les personnes impliquées sont frustrées" alors que le Royaume-Uni se démène pour accélérer les tests, rapporte le FT.
Heureusement, le Francis Crick Institute de Londres a mis au point un test de diagnostic rapide des coronavirus et espère pouvoir tester 500 travailleurs de première ligne par jour à partir de la semaine prochaine.
Bien que le gouvernement américain se prépare à renflouer les compagnies aériennes américaines, les compagnies aériennes internationales restent bloquées dans une chute libre: jeudi, British Airways devrait annoncer son intention de suspendre environ 32000 employés, car elle cherche à réduire les coûts maintenant que personne ne vole à moins qu'ils ne besoin de.
Alors que les entreprises continuent de lutter pour planifier l'avenir, un nouveau rapport du Département des affaires économiques et sociales de l'ONU a déclaré que l'économie mondiale pourrait se contracter de près de 1% avant la fin de l'année. Avant l'épidémie, ils prévoyaient une croissance de 2,5%, rapporte le Washington Post.
RépondreSupprimerMaintenant que les Jeux de Tokyo 2020 ont été officiellement reportés à l'année prochaine (ce sont quand même les Jeux de 2020), le Japon peut se concentrer sur la lutte contre le virus sans cet albatros autour du cou: mais alors que le pays est "au bord" de une crise de coronavirus, le Premier ministre Shinzo Abe a résisté aux appels pour essayer d'appliquer un état d'urgence et d'autres mesures. Au lieu de cela, il prévoit d'envoyer à chaque foyer deux petits masques en tissu lavable, une décision qui ne lui a pas manqué de ridicule.
Le plan des "deux masques" d'Abe a été brutalement moqué sur les réseaux sociaux, beaucoup se demandant comment les masques seraient répartis entre toute une famille.
Tokyo a signalé à lui seul 97 nouveaux cas jeudi, un nouveau record et la dernière d'une résurgence de deux semaines qui a fait reculer la lutte du Japon contre le virus.
Alors que davantage de responsables gouvernementaux attrapent le virus, l'ambassadeur des Philippines au Liban est décédé des complications liées au virus cette semaine, a annoncé jeudi le ministère des Affaires étrangères du pays. L'ambassadeur Bernardita M. Catalla, un vétéran de près de 30 ans du corps diplomatique, est décédé jeudi matin à Beyrouth.
Enfin, alors que les Indiens continuent de se plaindre de la mise en œuvre inefficace du verrouillage de trois semaines de ce pays, imposé malgré une relative pénurie de cas alors que les responsables craignaient une propagation rapide dans les bidonvilles du pays, la mort d'un homme d'âge moyen dans le bidonville de Dharavi à Mumbai a alimenté des inquiétudes sur le virus hautement contagieux qui déchire ce qui est largement considéré comme le plus grand bidonville d'Asie.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/global-coronavirus-case-total-edges-toward-1-million-deaths-surge-us-europe-live
Le côté inquiétant n'est pas encore le virus (1/10ème de décès de la grippe mondiale chaque année), mais, malgré le (1er) confinement, il se déplace ANORMALEMENT à la diffusion d'autres maladies !
SupprimerEst-ce alors un Guerre Mondiale Programmée et répandue par drones à haute altitude ? Je voudrais bien me tromper quant à l'origine ainsi qu'aux perspectives de réduire sciemment la population mais, son déplacement (jamais vu auparavant alors que les déplacements de personnes et de véhicules terrestres ou aériens existent depuis plus de cent ans) porte à croire différents scénarios qui n'ont rien de 'naturels' !
Escobar: Du contrôle au sol au verrouillage de la planète - "Le système mondial existant doit disparaître"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 04/02/2020 - 23:00
Écrit par Pepe Escobar via The Strategic Culture Foundation,
Bien que Covid-19 soit un disjoncteur, une bombe à retardement et une véritable arme de destruction massive (ADM), un débat acharné fait rage dans le monde entier sur la sagesse de la quarantaine de masse appliquée à des villes, des États et des nations entières.
Ceux qui s'y opposent soutiennent que non seulement Planet Lockdown n'arrête pas la propagation de Covid-19, mais a également plongé l'économie mondiale dans un état cryogénique - avec des conséquences imprévues et désastreuses. La quarantaine devrait donc s'appliquer essentiellement à la population présentant le plus grand risque de décès: les personnes âgées.
Avec Planet Lockdown transpercé par des rapports déchirants de la ligne de front de Covid-19, il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une affirmation incendiaire.
Parallèlement, une prise de contrôle totale des médias par les entreprises implique que si les chiffres ne diminuent pas de manière substantielle, Planet Lockdown - un euphémisme pour l'assignation à résidence - demeure indéfiniment.
Michael Levitt, prix Nobel de chimie 2013 et biophysicien de Stanford, était au courant lorsqu'il a calculé que la Chine traverserait le pire de Covid-19 avant que des foules d'experts de la santé ne le croient, et que "ce dont nous avons besoin est de contrôler la panique".
Croisons cela avec quelques faits et opinions dissidentes, afin de favoriser un débat éclairé.
Le rapport Covid-19 - Navigating the Uncharted a été co-écrit par le Dr Anthony Fauci - le visage de la Maison Blanche du combat -, H. Clifford Lane, et le directeur du CDC, Robert R. Redfield. Cela vient donc du cœur de l'établissement de santé américain.
Le rapport indique explicitement que «les conséquences cliniques globales de Covid-19 peuvent finalement être plus proches de celles d'une grippe saisonnière grave (qui a un taux de létalité d'environ 0,1%) ou d'une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968). ) plutôt qu'une maladie semblable au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de létalité respectivement de 9 à 10% et 36%. »
Le 19 mars, quatre jours avant que Downing Street n'ordonne le verrouillage britannique, Covid-19 a été rétrogradé du statut de «Maladie infectieuse à conséquences élevées».
John Lee, professeur de pathologie récemment retraité et ancien pathologiste consultant du NHS, a récemment affirmé que «les 18 944 décès de coronavirus dans le monde représentent 0,14% du total. Ces chiffres pourraient augmenter, mais ils sont, en ce moment, inférieurs à ceux des autres maladies infectieuses avec lesquelles nous vivons (comme la grippe). »
Il recommande, «un certain degré de distanciation sociale devrait être maintenu pendant un certain temps, en particulier pour les personnes âgées et les personnes immunodéprimées. Mais lorsque des mesures drastiques sont introduites, elles doivent être basées sur des preuves claires. Dans le cas de Covid-19, les preuves ne sont pas claires. »
C'est essentiellement le même point développé par un analyste militaire russe.
RépondreSupprimerPas moins de 22 scientifiques - voir ici et ici - ont élargi leurs doutes sur la stratégie occidentale.
Le Dr Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale à l'Université Johannes Gutenberg de Mayence, a provoqué une immense controverse avec sa lettre ouverte à la chancelière Merkel, soulignant les «conséquences vraiment imprévisibles des mesures de confinement drastiques qui sont actuellement appliquées dans de grandes parties du L'Europe ?."
Même le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a reconnu publiquement l'erreur de mettre en quarantaine les personnes âgées malades aux côtés de la jeune population en forme.
La question absolument clé est de savoir comment l'Occident a été pris au dépourvu pour la propagation de Covid-19 - même après avoir obtenu une avance de deux mois par la Chine et avoir eu le temps d'étudier différentes stratégies efficaces appliquées à travers l'Asie.
Il n'y a pas de secret pour le succès du modèle sud-coréen.
La Corée du Sud produisait déjà des kits de test début janvier et, en mars, testait 100 000 personnes par jour, après avoir établi un contrôle strict de toute la population - aux cris occidentaux de "pas de protection de la vie privée". C'était avant que l'Occident ne se lance dans le mode Planet Lockdown.
La Corée du Sud était tout au sujet des tests précoces, souvent et en toute sécurité - en tandem avec la recherche rapide et approfondie des contacts, l'isolement et la surveillance.
Les transporteurs Covid-19 sont surveillés à l'aide de caméras de vidéosurveillance, d'achats de cartes de crédit et de dossiers de smartphones. Ajoutez-y des SMS envoyés à tout le monde lorsqu'un nouveau cas est détecté près d'eux ou de leur lieu de travail. Ceux qui s'isolent ont besoin d'une application à surveiller en permanence; la non-conformité signifie une amende équivalente à 2 800 $.
Démolition contrôlée en vigueur
Début mars, le Chinese Journal of Infectious Diseases, hébergé par la Shanghai Medical Association, a pré-publié un consensus d'experts sur le traitement complet du coronavirus à Shanghai. Les recommandations de traitement comprenaient «de fortes doses de vitamine C… injectées par voie intraveineuse à une dose de 100 à 200 mg / kg par jour. La durée d'utilisation continue est d'améliorer considérablement l'indice d'oxygénation. »
C’est la raison pour laquelle 50 tonnes de vitamine C ont été expédiées dans la province du Hubei début février. C’est un exemple frappant d’une solution simple d’atténuation capable de minimiser la catastrophe économique.
En revanche, c'est comme si le contre-coup brutalement rapide de la «guerre du peuple» chinois contre Covid-19 avait pris Washington sans aucune préparation. Des informations constantes grondent sur le net chinois à Pékin ayant déjà étudié toutes les pistes plausibles vers l'origine du virus Sars-Cov-2 - des informations vitales qui seront certainement militarisées, style Sun Tzu, au bon moment.
Dans l'état actuel des choses, la durabilité du projet complexe d'intégration eurasienne n'a pas été substantiellement compromise. Alors que l'UE a fourni à la planète entière une démonstration graphique de son impuissance et de son impuissance, le partenariat stratégique Russie-Chine se renforce chaque jour - investissant de plus en plus dans le soft power et faisant avancer un dialogue paneurasien qui comprend, d'une manière cruciale, une aide médicale.
RépondreSupprimerFace à ce processus, le plus haut diplomate de l’UE, Joseph Borrell, semble en effet si impuissant:
«Il y a une bataille mondiale de récits en cours dans laquelle le timing est un facteur crucial. […] La Chine a réduit le nombre de nouvelles infections locales à des chiffres uniques - et elle envoie maintenant du matériel et des médecins en Europe, comme d'autres le font également. La Chine fait passer agressivement le message que, contrairement aux États-Unis, c'est un partenaire responsable et fiable. Dans la bataille des récits, nous avons également vu des tentatives de discréditer l’UE (…) Nous devons être conscients qu’il existe une composante géopolitique, notamment une lutte pour l’influence par le biais de la filature et la «politique de générosité». Armés de faits, nous devons défendre l'Europe contre ses détracteurs. »
Cela nous emmène sur un territoire vraiment explosif. Une critique de la stratégie Planet Lockdown soulève inévitablement de sérieuses questions pointant vers une démolition contrôlée de l'économie mondiale. Ce qui est déjà en plein effet, ce sont les innombrables déclinaisons de la loi martiale, les sévères contrôles des médias sociaux en mode Ministère de la Vérité et le retour de contrôles frontaliers stricts.
Ce sont des marquages sans équivoque d'un vaste projet de réingénierie sociale, avec une surveillance complète intégrée, un contrôle de la population et une distanciation sociale promus comme la nouvelle norme.
Cela porterait à la limite le secrétaire d'État Mike «nous mentons, nous trichons, nous volons» l'affirmation de Pompeo, au procès-verbal, que Covid-19 est un exercice militaire en direct: «Cette affaire va de l'avant - nous sommes en direct exercice ici pour obtenir ce droit. "
Tous grêle BlackRock
Alors que nous sommes confrontés à une nouvelle grande dépression, les étapes menant à un nouveau monde courageux sont déjà perceptibles. Cela va bien au-delà d'un simple Bretton Woods 2.0, de la manière que Pam et Russ Martens déconstruisent superbement les récents stimulants de 2 000 milliards de dollars approuvés par Capitol Hill pour l'économie américaine.
Essentiellement, la Fed "tirera parti de la caisse noire de sauvetage de 454 millions de dollars du projet de loi en 4,5 billions de dollars". Et aucune question n'est autorisée sur qui reçoit l'argent, car le projet de loi annule simplement la Loi sur la liberté d'information (FOIA) pour la Fed.
L'entrepreneur privé privilégié de la caisse noire n'est autre que BlackRock. Voici la version extrêmement courte de l'ensemble, un schéma étonnant, magistralement détaillé ici.
Wall Street a transformé la Fed en un hedge fund. La Fed détiendra au moins les deux tiers de tous les bons du Trésor américain se vautrant sur le marché avant la fin de l'année.
Le Trésor américain achètera tous les titres et prêts en vue tandis que la Fed sera le banquier - finançant l'ensemble du programme.
Il s'agit donc essentiellement d'une fusion Fed / Trésor. Un géant distribuant de l'argent d'hélicoptère - avec BlackRock comme le gagnant incontestable.
RépondreSupprimerBlackRock est largement connu comme le plus grand gestionnaire d'argent de la planète. Leurs tentacules sont partout. Ils détiennent 5% d'Apple, 5% d'Exxon Mobil, 6% de Google, deuxième actionnaire d'AT & T (Turner, HBO, CNN, Warner Brothers) - ce ne sont que quelques exemples.
Ils achèteront tous ces titres et géreront ces véhicules spéciaux louches (SPV) pour le compte du Trésor.
BlackRock n'est pas seulement le premier investisseur de Goldman Sachs. Mieux encore: Blackrock est plus gros que Goldman Sachs, JP Morgan et Deutsche Bank réunis. BlackRock est un donateur sérieux de Trump. Maintenant, à toutes fins pratiques, ce sera le système d'exploitation - Chrome, Firefox, Safari - de Fed / Treasury.
Cela représente la Wall Street définitive de la Fed - sans aucune preuve que cela conduira à une amélioration de la vie de l'Américain moyen.
Les médias d'entreprise occidentaux, en masse, ont pratiquement ignoré la myriade de conséquences économiques dévastatrices de Planet Lockdown. La couverture de mur à mur ne mentionne guère l'étonnante épave économique économique déjà en vigueur - en particulier pour les masses qui survivent à peine, jusqu'à présent, dans l'économie informelle.
À toutes fins pratiques, la guerre mondiale contre le terrorisme (GWOT) a été remplacée par la guerre mondiale contre le virus (GWOV). Mais ce qui n'est pas sérieusement analysé, c'est la Perfect Toxic Storm: une économie totalement brisée; La mère de tous les accidents financiers - à peine masquée par les milliers de milliards de dollars d'hélicoptères de la Fed et de la BCE; les dizaines de millions de chômeurs engendrés par la nouvelle grande dépression; les millions de petites entreprises qui disparaîtront tout simplement; une crise mondiale généralisée de la santé mentale. Sans parler des masses de personnes âgées, en particulier aux États-Unis, qui recevront un avis de «mort morte» tacite.
Au-delà de toute rhétorique sur le «découplage», l'économie mondiale est déjà, de facto, divisée en deux. D'un côté, nous avons l'Eurasie, l'Afrique et des pans d'Amérique latine - ce que la Chine va minutieusement connecter et reconnecter via les nouvelles routes de la soie. De l'autre côté, nous avons l'Amérique du Nord et certains vassaux occidentaux. Une Europe perplexe se trouve au milieu.
Une économie mondiale induite par cryogénisation facilite certainement un redémarrage. Le Trumpisme est le Nouvel Exceptionalisme - cela signifie donc un MAGA isolationniste sur les stéroïdes. En revanche, la Chine va minutieusement redémarrer sa base de marché le long des Nouvelles routes de la soie - Afrique et Amérique latine incluses - pour remplacer les 20% des échanges / exportations à perdre avec les États-Unis.
Les maigres chèques de 1 200 $ promis aux Américains sont de facto un précurseur du revenu de base universel (UBI). Ils peuvent devenir permanents car des dizaines de millions de personnes seront sans emploi de façon permanente. Cela facilitera la transition vers une économie totalement automatisée, 24h / 24 et 7j / 7, gérée par l'IA - d'où l'importance de la 5G.
Et c'est là qu'ID2020 entre en jeu.
RépondreSupprimerAI et ID2020
La Commission européenne est impliquée dans un projet crucial mais pratiquement inconnu, CREMA (Cloud Based Rapid Elastic Manufacturing) qui vise à faciliter la mise en œuvre la plus large possible de l'IA en conjonction avec l'avènement d'un système One-World sans numéraire.
La fin de l'argent implique nécessairement un gouvernement One-World capable de dispenser - et de contrôler - UBI; une réalisation de facto complète des études de Foucault sur la biopolitique. N'importe qui est susceptible d'être effacé du système si un algorithme équivaut à cet individu avec dissidence.
Il devient encore plus sexy lorsque le contrôle social absolu est promu comme un vaccin innocent.
ID2020 est décrit comme une alliance bénigne de «partenaires public-privé». Il s'agit essentiellement d'une plateforme d'identification électronique basée sur la vaccination généralisée. Et ça commence à la naissance; les nouveau-nés recevront une «identité numérique portable et persistante liée biométriquement».
GAVI, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, s’engage à «protéger la santé des personnes» et à fournir «la vaccination pour tous». Les principaux partenaires et sponsors, en dehors de l'OMS, incluent, comme on pouvait s'y attendre, Big Pharma.
Lors du sommet de l'Alliance ID2020 en septembre dernier à New York, il a été décidé que le programme «Rising to the Good ID Challenge» serait lancé en 2020. Cela a été confirmé par le Forum économique mondial (WEF) en janvier dernier à Davos. L'identité numérique sera testée avec le gouvernement du Bangladesh.
Cela pose une question sérieuse: l'ID2020 a-t-il été programmé pour coïncider avec ce qu'un sponsor crucial, l'OMS, a qualifié de pandémie ? Ou une pandémie était-elle absolument cruciale pour justifier le lancement d'ID2020 ?
Au fur et à mesure que les essais d'essai changent la donne, rien ne vaut évidemment l'événement 201, qui a eu lieu moins d'un mois après ID2020.
Le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec, une fois de plus, le WEF, ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates, a décrit l'événement 201 comme «un exercice de pandémie de haut niveau». L'exercice «illustre les domaines dans lesquels des partenariats public / privé seront nécessaires lors de la réponse à une grave pandémie afin de réduire les conséquences économiques et sociales à grande échelle».
Avec Covid-19 en vigueur en tant que pandémie, la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health a été forcée de publier une déclaration disant simplement qu'elle «avait modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré que ce n'était pas une prédiction».
Il ne fait aucun doute qu’« une pandémie grave, qui deviendra «l’événement 201», nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, gouvernements nationaux et principales institutions internationales », selon les auteurs. Covid-19 suscite exactement ce type de «coopération». Que ce soit «fiable» est ouvert à un débat sans fin.
Le fait est que, dans toute la planète Lockdown, une vague de l'opinion publique penche vers la définition de la situation actuelle comme un psyop mondial: une fusion mondiale délibérée - la Nouvelle Grande Dépression - imposée aux citoyens sans méfiance par leur conception.
RépondreSupprimerLes pouvoirs en place, s'inspirant du manuel de jeu de la CIA éprouvé et vieux de plusieurs décennies, l'appellent bien sûr «théorie du complot». Pourtant, ce que de vastes pans de l'opinion publique mondiale observent est un virus - dangereux - utilisé comme couverture pour l'avènement d'un nouveau système financier numérique, avec un vaccin forcé et des nanopuces créant une identité numérique complète et individuelle.
Le scénario le plus plausible pour notre avenir immédiat se lit comme des grappes de villes intelligentes liées par l'IA, avec des personnes surveillées à plein temps et dûment micropuces faisant ce dont elles ont besoin avec une monnaie numérique unifiée, dans une atmosphère de Panopticum de Bentham et de Foucault sur l'overdrive.
Donc, si c'est vraiment notre avenir, le système mondial existant doit disparaître. Ceci est un test, ce n'est qu'un test.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/escobar-ground-control-planet-lockdown-existing-world-system-has-go
Citoyens ou rats concernés ? Les Américains s'attaquent aux entreprises locales et aux voisins en période de fermeture
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 04/02/2020 - 21:45
Scott Horton au Libertarian Institute s'inquiète de la vitesse à laquelle la montée de la honte corona-morale se traduit par des Américains sniping à la police et aux autorités municipales sur les petites entreprises locales et les voisins ...
«Umm, umm, ummm ! Je te raconte ! Je vais vous causer des ennuis ! " - Nickie et Melissa, classe de maternelle de Mme Tuttle, 1981.
Maintenant, regardez ici, je pense que tout le monde qui peut éventuellement rester à la maison pour essayer d'aplanir la courbe et de court-circuiter ce nouveau coronavirus, mieux c'est. Mais est-ce que vous devez vraiment transformer l'Amérique en Corée du Nord dans le processus ?
Une simple hyperbole peut-être ? Eh bien, jetez un coup d'œil à ces contes de l'Amérique centrale au milieu du verrouillage national des coronavirus. Apparemment, l'Associated Press remarque suffisamment une tendance à la hausse pour dresser le portrait des chiffres émergents de ce qu'elle qualifie carrément de "mouchards":
Les mouchards émergent comme des alliés enthousiastes alors que les villes, les États et les pays s'efforcent d'appliquer des directives destinées à limiter les contacts interpersonnels au milieu de la pandémie de virus qui a coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes dans le monde. Ils téléphonent à la police et aux hotlines municipales, se plaignent aux élus et font honte aux fraudeurs perçus sur les réseaux sociaux.
"Dans certains endroits, les enquêteurs patrouillent dans les rues à la recherche de contrevenants", note AP. "Dans certains cas, les résidents se tournent vers les voisins."
* * *
Oklahoma
"Un propriétaire de bar de Tulsa, en Oklahoma, a déclaré que plus d'une douzaine de motocyclistes se sont présentés à l'improviste, mais il leur a quand même servi une série de photos pour fêter un anniversaire. bar verrouillé, ignorant la police quand ils ont frappé à la porte. "
"Les deux ont été démantelés - et ont reçu des citations de délit et des dates d'audience - après que la police a répondu aux informations selon lesquelles les bars violaient l'ordre du maire de fermer toutes les entreprises non essentielles pour aider à ralentir la propagation du coronavirus."
"... Le lieutenant Meulenberg a déclaré que le volume d'appels du département avait considérablement augmenté, les résidents faisant du bruit aux entreprises et aux voisins, bien qu'ils ne puissent pas répondre à tous."
Illinois
"À Chicago, un studio de yoga qui le considérait comme un service essentiel de santé et de bien-être a été fermé après que la ville - informée par plusieurs résidents - n'était pas d'accord. Le professeur Naveed Abidi du studio Bikram Yoga West Loop a déclaré qu'il pensait que le studio pourrait rester ouvert si l'espace a été aseptisé, la taille des classes limitée et les étudiants sont restés assez loin les uns des autres. "
"Si nous avons été méchants avec l'ordre du gouvernement, alors nous sommes très, très désolés", a déclaré Abidi, qui encourt une amende pouvant aller jusqu'à 10 000 $. "Nous ne sommes pas ici pour causer des problèmes, nous sommes ici pour pratiquer nos poses."
Via PhillyMag
RépondreSupprimerColorado
Une équipe chargée de l'exécution de l'ordonnance d'abri sur place de Denver a publié cinq citations - y compris Hobby Lobby et une franchise Game Stop qui affirmaient que c'était essentiel - et plus de 600 avertissements aux entreprises et aux particuliers en date de mardi, a déclaré le porte-parole de la ville, Alton Dillard. L'équipe patrouille également des quartiers, des parcs et des zones de loisirs.
Connecticut
"Naugatuck, Connecticut, résidente Gwen Becker a dit qu'elle était" mortifiée "quand elle a conduit par un terrain de golf et a vu une foule rassemblée autour d'un camion de nourriture et manger ensemble à des tables. Elle a donc pris une vidéo que son amie a postée sur Facebook - incitant la maire de fermer le cours. "
"J'étais en colère et bouleversé, et j'ai lancé des bombes f", a déclaré Becker, 54 ans. "Vous n'allez pas considérer que ce que vous faites pourrait tuer quelqu'un ?"
New Jersey
"À Newark, dans le New Jersey, la police a fermé 15 entreprises en une nuit et cité 161 personnes pour avoir violé les restrictions du gouverneur, disant que d'autres seraient les prochaines si elles ne respectaient pas les directives. Et la police de l'État du Maryland a déclaré qu'elle avait mené près de 6 600 affaires et des contrôles de conformité de foule. "
Même des funérailles!
"La police de Chicago a même dissous un enterrement dimanche après avoir vu un groupe de 60 personnes, de nombreuses personnes âgées, se rassemblant à l'intérieur d'une église", a déclaré le porte-parole de la police, Anthony Guglielmi. "
"Police du balcon"
Dans une vidéo virale, la personne qui l'enregistre est entendue critiquer une femme qui décide de faire un jogging et résiste aux ordres de la police de produire sa carte d'identité. Un autre montre une famille de quatre personnes se dirigeant vers un supermarché portant un scooter pour l'un de leurs enfants tandis qu'une demi-douzaine de voisins leur hurlent dessus depuis la fenêtre.
* * *
Enfin, nous devons nous demander: à quoi ressemblera l'Amérique lorsque son économie se rouvrira enfin et que les bars, restaurants, studios et rues s'affaireront à nouveau?
Peut-être une certaine paranoïa et une certaine crainte demeureront, et de profonds soupçons subsisteront, après une période de crise, le voisin se retourna si facilement contre le voisin.
https://www.zerohedge.com/health/concerned-citizens-or-rats-americans-snitch-local-businesses-neighbors-amid-shutdowns
Robert Kraft Ferries: près de 2 millions de masques N95 de retour aux États-Unis à bord du jet privé des Patriots
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 04/02/2020 - 15:00
Maintenant que Tom Brady a quitté la ville, il semble que les Patriots commencent à essayer de convaincre le reste du pays de cesser de détester la franchise la plus réussie du football.
Bloomberg a annoncé jeudi que le propriétaire de l'équipe, Robert Kraft, utilisait le jet privé des Patriots pour ramener près de 2 millions de masques N95 aux États-Unis.
Mercredi matin, à 3 h 38, l'avion de l'équipe des New England Patriots a décollé d'un lieu inhabituel: Shenzhen, en Chine. À bord du Boeing 767, dans la soute qui abritait autrefois les sacs polochons de Tom Brady, se trouvaient 1,2 million de masques N95 à destination des États-Unis.
Des vidéos et des photos de l'événement montrent des travailleurs portant des masques et des combinaisons intégrales à l'aéroport international de Shenzhen Bao'an, chargeant boîte après boîte du rare et précieux équipement de protection individuelle sur un avion rouge, blanc et bleu arborant le logo des Patriots et «6X CHAMPIONS. "
L'avion a été autorisé à rester au sol en Chine pendant un maximum de trois heures, ont déclaré des personnes proches du dossier, et l'équipage a dû rester dans l'avion pendant qu'une équipe au sol chargeait la cargaison. Cela a pris 2 heures et 57 minutes. Jeudi, cet avion atterrira dans un endroit plus familier: l'aéroport international de Boston Logan.
Comme ils l'ont souligné, la soute à bagages qui transportait autrefois les sacs de Tom Brady est actuellement remplie de masques qui sont largement considérés comme empêchant la propagation du virus, même si la Maison Blanche et le CDC continuent de débattre pour savoir s'ils devraient officiellement "recommander" que tous Les Américains portent des masques lorsqu'ils sortent en public.
La décision de ramasser les masques était une importante nouvelle de divertissement en Chine. Des vidéos et des photos montrent des travailleurs en combinaisons et masques chargeant des caisses de l'équipement médical précieux dans la soute des avions à réaction de l'aéroport international de Shenzhen Bao'an. L'avion rouge, blanc et bleu arborant le logo des Patriots et "6X CHAMPIONS" était clairement visible. La famille Kraft a versé 2 millions de dollars, soit environ la moitié du coût du chargement et de la logistique.
Les masques seront remis à l'État du Massachusetts, dont la quête désespérée pour acquérir les masques, qui sont appréciés parce qu'ils sont suffisamment sûrs pour être portés dans les hôpitaux et autres milieux cliniques, l'a finalement conduit aux Patriots.
Le fils de Kraft, Jonathan Kraft, président du conseil d'administration du Massachusetts General, a joué un rôle essentiel dans la connexion de la masse. Le gouverneur Charlie Baker avec son père, puis dans la résolution des nombreux obstacles logistiques.
"Je n'ai jamais vu autant de paperasse de tant de façons et d'obstacles que nous avons dû surmonter", a déclaré Robert Kraft, le propriétaire des Patriots. «Dans le monde d’aujourd’hui, ceux d’entre nous qui ont la chance de faire la différence ont une lourde responsabilité à le faire avec tous les actifs dont nous disposons.»
L’effort a commencé avec le gouverneur du Massachusetts Charlie Baker, qui était préoccupé par la fourniture de masques par l’État et, il y a deux semaines, pensait avoir conclu un accord pour en acquérir plus d’un million auprès d’une collection de fabricants chinois. Mais les autorités ont dû trouver un moyen de les faire sortir de Chine à un moment où les expéditions de fret inhabituelles hors du pays peuvent être particulièrement délicates.
RépondreSupprimer«Je dois juste les amener ici», a-t-il dit à un ami de longue date.
Cet ami de longue date était Jonathan Kraft, le fils de Robert Kraft, qui occupe deux emplois qui sont devenus très pertinents pour la procédure. Jonathan Kraft est le président du conseil d'administration du Massachusetts General Hospital, l'une des installations les plus renommées du pays. Il est également le président des Patriots, et l'équipe avait quelque chose qui pourrait être utile: un avion géant.
Il y avait des questions difficiles à résoudre. Robert et Jonathan Kraft ont d'abord dû vérifier si l'avion était prêt et capable de faire un si long voyage dans un délai aussi court. Il y avait aussi le fait que le Boeing 767 de l’équipe est un avion de passagers construit pour transporter Bill Belichick et Tom Brady, pas d’énormes réserves de fret.
Les riches ont été de tels objets de mépris et de dérision pendant l'épidémie jusqu'à présent, c'est une belle pause pour lire une histoire sur une personne riche faisant quelque chose de bien pour un changement. L'histoire du WSJ sur la façon dont tout cela s'est réuni est assez intéressante.
Mais nous avons encore une question: Kraft aurait-il été si désireux d'aider un autre État, disons, la Floride ?
https://www.zerohedge.com/geopolitical/robert-kraft-ferries-nearly-2-million-n95-masks-back-us-patriots-private-jet
L'autoroute à Wuhan.
RépondreSupprimerle 1er mars 2020
Nous avons peut-être pris l'autoroute vers Wuhan. C'est une destination incontournable lorsque le pilote automatique est un animal parlant non préparé et indécis face à un événement épidémique largement annoncé. Parce que personne ne peut être considéré comme pris par surprise pour quelque chose d'inattendu et de non édité.
L'intrigue du coronavirus est également connue en bourse et le changement d'acteurs et de décors ne change pas du tout l'histoire virale. Tout est déjà signé. Même virus, même impact pathologique, même vitesse de propagation élevée partout où vous voyagez dans le monde. Nous ne pouvons pas rationnellement attendre un autre scénario. C'est un déjà-vu universaliste dépourvu d'originalité qui se reproduira tragiquement à lui-même. Wuhan une fois, Wuhan partout où l'urgence de se réfugier en masse de manière préventive est niée, distraite par des priorités privées plus importantes que de protéger sa vie et sa communauté.
C'est la réplique d'un script trafiqué qui déclare l'élimination durable d'une frange indéfinie de la meute humaine mais, c'est clair, sans éteindre l'espèce. Il n'y a pas lieu de trop s'inquiéter sur ce front. 25% de la population mondiale a disparu, 75% resteraient, plus de 5,8 milliards. À l'exception de l'explosion de certaines centrales nucléaires qui ne sont pas prises en charge par des travailleurs trop malades - c'est un risque réel même s'il est peu probable qu'on l'espère - la vie continuera.
Mais cela continuera beaucoup plus choqué qu'illustré. La tragédie virale fraîche et sans fin de Wuhan, hélas, est beaucoup plus grave que ce qui a été révélé. L'énorme appareil déployé par les autorités chinoises pour le combattre, les centaines de millions de personnes mises en quarantaine, la paralysie volontaire de la production en mesurent la gravité. La Chine n'a pas construit d'hôpitaux de campagne pressés d'entrer dans la construction de Guinness mais parce qu'elle en avait un besoin urgent pour sauver le plus de personnes possible.
La Chine n'a pas surestimé sa réponse mais l'a proportionnée à la réalité tragique mais tacite. Les voix des citoyens chinois courageux ne manquaient pas pour le crier, sans toutefois que la science daigne écouter leurs témoignages sur les faits. Le virus récolte bien au-delà des 2% ostentatoires réservés aux bénéficiaires de traitements "lourds" avec des places limitées. Il ne peut jamais y avoir de place pour tout le monde dans les unités de soins intensifs.
Aucun système de santé n'est capable de faire face à une surcharge de patients contagieux. Aucun système de santé ne pourra jamais soigner ensemble des centaines de milliers de patients infectés. Et sans guérison, selon toute vraisemblance, 10 à 25% des malades mourront dans le premier et le troisième monde.
Nous avons un virus très prolifique en tant qu'ennemi capable de coloniser 10 millions d'invités en un mois et demi et d'atteindre 20 millions deux jours plus tard. Et ainsi de suite jusqu'à ce que les invités et candidats invités s'organisent de concert ou de force pour limiter leur prolifération dans une zone géographique limitée. C'est son taux de propagation sur notre propre territoire: les infections doublent tous les 2 jours.
Nous vivons cette expansion éblouissante maintenant sur notre peau. Nous l'observons jour après jour comme ils l'observent en Corée du Sud, en Iran et ailleurs. Nous sommes devenus des laboratoires de collecte de données avec une certification de qualité des informations transmises. Personne ne peut nier ici que l'épidémie se propage très rapidement, pas du tout confinée aux zones "rouges", et que le délai de réponse est réduit.
RépondreSupprimerEt ce fait que nous avons vécu, partagé avec d'autres pays, fausse gravement les chiffres chinois exposés au monde, après tout si rassurants. Le scénario général de l'épidémie est modifié. Les modèles analytiques et les défenses basés sur des chiffres chinois sont disqualifiés. Comment est-il possible que ce rythme épidémique effréné ne soit pas celui de Wuhan, qui s'est d'ailleurs développé en une mégalopole assez peuplée de 11 millions d'habitants ?
Comment peut-il y avoir une telle contradiction entre la tendance éblouissante initiale observée en Italie, en Corée du Sud, en Iran, en Arabie saoudite et celle "modérée cantabile" en provenance de Wuhan alors que les contre-mesures et le soutien logistique étaient dimensionnés pour un cataclysme ?
Comment se fait-il qu'un pays décrète le 23 janvier 2020 une quarantaine monstrueuse sur la base officielle de seulement 830 cas avec un taux de mortalité déclaré très modéré de 2%, alors sans conséquences démographiques significatives, alors qu'un autre millier de personnes débattent encore de la marche à suivre ? Et peut-être parce qu'il y avait en fait déjà un nombre incalculable de personnes infectées puisque plus de 40 jours s'étaient écoulés depuis le début de l'épidémie alors qu'ici, nous, n'avons pas encore passé un mois d'infections (La croissance exponentielle "italienne" appliquée à Wuhan conduit à un nombre considérable à la mi-janvier. -2 (40/2) fait tellement en théorie. - Et nous ne comprenons pas pourquoi cela n'aurait pas dû être ainsi.) Nous aimerions que ces questions soient abordées dans Dépêchez-vous de la science et de l'OMS car il est urgent de décider quelles sont les bonnes contre-mesures à prendre sans perte de temps supplémentaire.
La contagion augmente sans contestation possible de façon exponentielle de 33 à 34% par jour, en pratique proche de ln (2) / 2. Cette onde est loin des ombres platoniciennes chinoises projetées au format numérique sur les écrans du monde. - Des informations idéographiques à l'échelle mondiale, si un peu d'esprit est permis - Modéliser le progrès avec ces valeurs locales, et en fait universelles comme à l'abri de l'heure de la censure, permet d'anticiper le triste bilan de santé du lendemain en un 4% de différence. Cela vous permet également de revoir Wuhan d'une manière plus objective mais beaucoup plus inquiète pour eux, pour nous, pour tout le monde. (L'expression 1 * EXP (34% * t) - avec t = 12 le 20 février - surestime les 2 premiers jours du 21 au 22 février et, jusqu'à présent, estime ponctuellement les 6 prochains jours.)
Nous n'avons pas de réponse définitive sur le cours auquel nous avons droit. Nous vivons, comme beaucoup, de l'incertitude pour l'avenir immédiat et espérons un soulagement proche. Nous savons seulement que dans 15 jours, à peine avant, nous comprendrons si nous nous éloignons ou si nous nous précipitons à Wuhan. Les effondrements soudains en public, le va-et-vient croissant des sirènes clandestines et des voitures funéraires, nous ne voulons pour personne dans le monde. Nous voulons les éviter de la manière la plus absolue. Mais nous devons les craindre avec raison et ne pas les nier par peur de la peur si nous voulons vraiment les empêcher par des mesures appropriées. Nous comprendrons bientôt s'il s'agit d'une fausse alarme ridicule parrainée par l'OMS et qui a conduit à une illusion collective mondiale ou s'il s'agit d'une omission dramatique qui est à l'origine d'une grave sous-estimation du danger. Le dilemme n'est pas une mince affaire car les enjeux sont très importants.
RépondreSupprimerAssurez-vous que les médecins, les infirmières et tous les employés de tous les secteurs qui se sont engagés à faire face à cette grave urgence pleine de facteurs inconnus réussissent avec le soutien sincère de nous tous, unis et indivisibles. Plus tard, mais seulement plus tard, aurons-nous encore toute la liberté de recommencer les combats. Pour l'instant, il est bon d'être un peu alarmé. Pour l'instant c'est le moment de l'amour au temps du coronavirus.
https://aipri.blogspot.com/2020/03/lautostrada-per-wuhan.html
Supprimer(...) Comment se fait-il qu'un pays décrète le 23 janvier 2020 une quarantaine monstrueuse sur la base officielle de seulement 830 cas avec un taux de mortalité déclaré très modéré de 2%, (...)
C'était programmé depuis des années.
Même si le 'coranavirus' ne représente qu'1/10 ème des morts d'une grippe annuelle par an,
sur 7 800 000 000 hab. sur Terre s'il y a 50 000 morts,
reste quand même: 7 799 950 000 vivants
Soit 1 chance sur 156 000 de l'avoir !
Le virus est aéroporté
RépondreSupprimermardi 24 mars 2020
Une publication de Stéphane Guay, microbiologiste.
COVID19: APPEL À TOUS (URGENT)
VOUS DEVEZ PARTAGER CE MESSAGE ET VOUS ENGAGER ACTIVEMENT À VÉHICULER CE MESSAGE. CELA SAUVERA CERTAINEMENT DES VIES.
Alors qu'il est maintenant connu de la communauté scientifique que ce virus est aérobiose (en suspension dans l'air), que ce fait établi est rapporté par les médias et même par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), voilà donc un volteface de la part de nos dirigeants qui aura des répercussions importantes pour la vie du personnel soignant, ceux que notre ministre de la santé Danielle McCann appelle "la prunelle de nos yeux".
Écoutez ce vidéo de quelques minutes:
https://youtu.be/_0fSRny9SZI
Il s'agit de l'entrevue du Dr. Yves Longtin de l’Hôpital Juif de Montréal, l’un des deux hôpitaux responsables d’accueillir les cas de COVID19 dans la région de Montréal.
« …il y a un changement dans les recommandations niveau provincial, national et même international. (…) On a découvert que la transmission par voie aérienne n’est pas vraiment existante …. On a pas vraiment besoin de se protéger contre cette voie de transmission. »
Autrement dit, on nous demande de ne pas porter de masque.
Ce virus est aéroporté
En plus d’être transmis par les contacts et l’inhalation de gouttelettes contaminées, il se propage sur de grande distance et reste dans les airs longtemps.
Éviter un contact rapproché n’est plus suffisant pour se protéger. Une personne contaminée assis dans un autobus a le potentiel de contaminer l’ensemble des passagers d’un autobus, même constat sur un bateau de croisière.
En conséquence, il faut porter un masque étanche de type N95 ou P100 ainsi que des lunettes étanches puisque ce virus peut également s’attraper par les yeux.
NE VOUS LAISSEZ PLUS DIRE QU’IL SUFFIT DE VOUS LAVER LES MAINS POUR VOUS PROTÉGER.
Références :
TVA NOUVELLES
"Le nouveau coronavirus provoquant la COVID-19 peut survivre en suspension dans l'air pendant environ trois heures et jusqu'à trois jours sur certaines surfaces, ont découvert des chercheurs américains."
https://www.tvanouvelles.ca/2020/03/17/le-virus-peut-survivre-plusieurs-heures-a-lair-libre?fbclid=IwAR06RI4grUyQtrdvq73qKsZCdP4TfriLVorAqoQOiiun8tFh9t5GVbpQCrM
=================
CNN
"Il est devenu clair que la transmission par des personnes asymptomatiques ou légèrement symptomatiques est responsable de plus de transmission qu'on ne le pensait."
"Nous savons maintenant que la transmission asymptomatique [joue] probablement un rôle important dans la propagation de ce virus", a déclaré Michael Osterholm, directeur du Center for Infectious Disease Research and Policy de l'Université du Minnesota.
Osterholm a ajouté qu'il est "absolument clair" qu'une infection asymptomatique "peut certainement alimenter une pandémie comme celle-ci d'une manière qui la rendra très difficile à contrôler".
https://www.cnn.com/2020/03/14/health/coronavirus-asymptomatic-spread/index.html?fbclid=IwAR2J78ztn7PsNtFIcMwfSVwGBcAlsNleisQK9i-F8m-lDtW8-mS4BETGokQ
================
L’OMS
"Ebola c'est moche, c'est AIRBORNE corona, c'est plus contagieux" (38 minutes 40 secondes.)
Https://youtu.be/HeskASnreEE?t=2299
================
LA THAÏLANDE MÉDICALE NOUVEAU
RépondreSupprimerDERNIÈRES NOUVELLES !
"Le chef de l'Organisation mondiale de la santé dit que le coronavirus est en suspension dans l'air mais que beaucoup le cachent, y compris les médias américains, chinois et européens".
"Lorsqu'un chercheur chinois de premier plan, le Dr Zeng Qun, qui est le chef adjoint du Bureau des affaires civiles de Shanghai, a déclaré samedi lors d'un point de presse à Shanghai que le nouveau coronavirus peut se propager par transmission aérienne, avec le Dr Shen Yinzhong, le médecin directeur du Centre de santé publique de Shanghai, qui a également fait la même déclaration lors d'un autre événement de presse le même jour, ils ont immédiatement été réprimandés par les autorités chinoises et la Chine s'est lancée dans un autre exercice de relations publiques pour réfuter ces allégations. "
https://www.thailandmedical.news/news/breaking-news-world-health-organization%E2%80%99s-chief-says-coronavirus-is-airborne-but-many-concealing-this-including-media- de-nous, -chine-et-europe
===================
LA THAÏLANDE MÉDICALE NOUVEAU
«En plus d'expliquer les nouveaux changements dans les critères de diagnostic, le Dr Wang a déclaré que les nouvelles directives cliniques acceptent que non seulement le coronavirus peut être aéroporté, mais également que le virus peut être transmis si quelqu'un a été exposé à de fortes concentrations d'aérosol dans un environnement relativement fermé pendant longtemps. (…) De nombreuses plateformes de médias sociaux ainsi que les gouvernements ont jugé que quiconque affirmait que le coronavirus est aéroporté équivaut à diffuser de fausses nouvelles et de la désinformation. »
https://www.thailandmedical.news/news/china-officially-announces-that-the-coronavirus-can-be-airborne-and-can-be-conditionally-spread-via-aerosol-transmission-
=====================
JOURNAL OF AMERICAN MEDICAL ASSOCIATION
"Dans cette série de cas monocentrique impliquant 138 patients atteints de NCIP, 26% des patients ont dû être admis
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/03/le-virus-est-aeroporte.html
Le coronavirus est aéroporté
RépondreSupprimerjeudi 19 mars 2020
Le nouveau coronavirus provoquant la COVID-19 peut SURVIVRE EN SUSPENSION DANS L'AIR pendant environ TROIS HEURES et jusqu'à trois jours sur certaines surfaces, ont découvert des chercheurs américains.
On vient juste de nous annoncer ce fait EXTRÊMEMENT GRAVE qui fait augmenter les risques de contagion de façon alarmante et pourtant, le directeur de l'OMS a averti le monde entier le 11 février dernier (à 38m30s):
https://www.youtube.com/watch?v=HeskASnreEE&feature=youtu.be&t=2299
Le personnel médical, intervenants de première ligne, employés des services essentiels, et nous tous, sommes exposés à un virus en suspension dans l'air, ce qui implique que la distanciation d'un à trois mètres et le lavage de mains sont des mesures nettement insuffisantes pour nous protéger de la charge virale d'une personne infectée.
Ce que ça veut dire, théoriquement, c'est que de simplement suivre une personne infectée dans une épicerie, qui excrète le virus en toussant dans l'allée, ou qui contamine des fruits avec une charge virale sur ses mains, nous met à risque de contracter le virus.
Le risque de contagion est donc infiniment plus grand et nous sommes, potentiellement, exposés au virus aussitôt que l'on sort de la maison !
RESTEZ CHEZ VOUS !
https://www.tvanouvelles.ca/2020/03/17/le-virus-peut-survivre-plusieurs-heures-a-lair-libre?fbclid=IwAR06RI4grUyQtrdvq73qKsZCdP4TfriLVorAqoQOiiun8tFh9t5GVbpQCrM