20:18 17.04.2020
Par Maxime Perrotin
Federgy et l’UDGPO, deux syndicats de pharmaciens, ont lancé le 15 avril un appel à leurs affiliés pour commencer à commercialiser les masques de protection auprès du grand public afin d’endiguer la pandémie. Vingt-quatre heures plus tard, le groupement modère sa position.
La vente de masques de protection respiratoire aux particuliers est interdite en France. Telle est la doctrine adoptée, et concrétisée par un décret publié le 3 mars dernier, par l’exécutif afin de favoriser l’approvisionnement des professionnels de santé durant la pandémie.
Mercredi 15 avril, Federgy - La chambre syndicale des groupements et enseignes de pharmacie et l'Union des groupements de pharmaciens d'officine (UDGPO) ont, dans un communiqué commun, annoncé qu’en l’«absence de réponse de l’État» quant à leurs demandes répétées d’obtenir des «règles claires» concernant la distribution de ces masques, ils appelaient leurs 11.000 officines affiliées (soit la moitié des pharmacies que compte la France) de débuter le jour même la «commercialisation» des masques auprès du public.
Des masques qui «ne pourront être confondus avec la dotation des stocks de l’État ou des ARS», assurent-ils, précisant les destiner par ordre de priorité aux préparateurs en pharmacie «oubliés des dotations d’État», aux professionnel de santé en «complément» de la dotation d’État, aux particuliers disposant d’une ordonnance et, enfin, au public avec une priorisation suivant la nécessité pour eux de «poursuivre une activité professionnelle et/ou présentant des facteurs de risque».
Dès le lendemain, un autre communiqué paraissait. Ce dernier faisait part d’un échange avec le CNOP (l’Ordre national des pharmaciens) et n’appelait plus qu’à «s’approvisionner en masques chirurgicaux ou alternatifs (si une évolution réglementaire nous le permet)» en vue de commencer à les «distribuer la semaine prochaine dans le respect de la législation actuelle».
Rappel à l’ordre ou victoire tactique ? Contacté par la rédaction, Alain Grollaud, président de Federgy, n’a pas souhaité faire de commentaire supplémentaire, renvoyant vers des communiqués «clairs» et assurant que la profession était «sur la même longueur d’onde» et attendait le retour du gouvernement.
Le Conseil d’État limite le pouvoir des maires dans la lutte contre l'épidémie
RépondreSupprimer20:20 17.04.2020
Le pouvoir des maires en matière de lutte contre le coronavirus sera limité, conformément à la décision du Conseil d’État qui a souhaité qu'ils ne prennent d'autres mesures que celles décidées par l’État dans le cadre de l'état d'urgence, sauf «raisons impérieuses».
Le Conseil d’État a limité vendredi le pouvoir des maires dans la lutte contre le coronavirus, jugeant qu'ils ne pouvaient pas prendre d'autres mesures que celles décidées par l’État dans le cadre de l'état d'urgence, sauf «raisons impérieuses», indique l'AFP.
Dans une décision posant ce principe et rendue en référé, la plus haute juridiction administrative a confirmé l'annulation d'un arrêté du maire de Sceaux (Hauts-de-Seine) qui imposait le port d'un masque de protection dans sa commune.
L'arrêté pris par Philippe Laurent le 6 avril avait été déjà annulé en première instance par le juge des référés du tribunal administratif de Cergy-Pontoise.
Détails à suivre
https://fr.sputniknews.com/france/202004171043589067-le-conseil-detat-limite-le-pouvoir-des-maires-dans-la-lutte-contre-lepidemie/
À l'ère de la lutte contre les récits et le consensus brisé
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven., 17/04/2020 - 14:02
Écrit par James Howard Kunstler via Kunstler.com,
Trajectoire de vol
Cette ère de lutte contre les récits tend à masquer le consensus brisé qui se cache derrière. Ce qui a disparu, c'est un large accord social selon lequel il existe certaines réalités fondamentales, puis des codes de conduite qui en découlent.
Quand quelque chose se passe, ne vous attendez pas à ce que les gens fassent la bonne chose, ni même ce que c'est.
La débâcle Covid-19 présente un tel ensemble de dilemmes et d'énigmes. Pour de nombreuses personnes en ragoût en quarantaine, le virus est juste un autre fantôme maléfique qui se cache dans la zone crépusculaire permanente de la télévision, et même là, parmi les figues bavardes familières, il y a peu d'accord à ce sujet. Les projections statistiques changent chaque semaine. Ce n'est pas pire que n'importe quelle grippe annuelle… C'est une maladie sauvage qui attaque tous les organes du corps, laisse les survivants mutilés, et vous pouvez même l'attraper à nouveau… Les fermetures sont impératives… les fermetures équivalent à un suicide économique… Il n'y a pas de tout régler et l'incertitude elle-même est intolérable.
La seule certitude est que la plupart des personnes en lock-out vont faire faillite. Par toutes les règles ordinaires, ils sont anéantis. Ils ne peuvent même plus prétendre continuer à jongler avec tous ces paiements mensuels pour le loyer ou les hypothèques, la nourriture, les voitures, l'assurance médicale, l'électricité, le câble, et ainsi de suite. Les chèques en argent fou de 1 200 $ promis par l'oncle Sam sont peu de consolation pour cela, et les «prêts» des petites entreprises - si vous pouvez même sauter à travers les cerceaux exaspérants pour les obtenir - empilent simplement une couche supplémentaire d'obligations dans une vie de servage de dettes. Vous n'avez pas à sauter trop de pas mentalement pour imaginer une ruine personnelle totale sur ce chemin de descente. Et que se passe-t-il si des millions d'autres se sentent écrasés par les mêmes forces fantômes de la maladie et de la finance ?
Une réalité bien établie est la suivante: le système d'endettement mondial qui soutenait l'économie mondiale turbo se désintégrait gravement au début de l'automne 2019, menaçant tous les actifs financiers et les marchés qui les affectaient pour les gérer - et toutes les opérations de la vie quotidienne moderne qu'ils représentaient. Nulle part sur terre le fardeau de la dette n’était plus incontrôlable qu’en Chine, où la fraude comptable des banques n’était soumise à aucune contrainte, car ils ne répondaient qu’au parti au pouvoir, qui n’avait qu’une politique générale: continuer à gouverner.
Et la plus grande fiction économique de tous était que la Chine pouvait maintenir ses taux de croissance surnaturels dans un monde qui avait effectivement atteint les limites de la croissance. Les guerres commerciales de M. Trump ont fait trembler le système. Beaucoup de créances douteuses étaient sur le point d'être évacuées. Partout ailleurs, les banques ont également ressenti les vibrations, vous pouvez en être sûr. Le virus de Wuhan était, au moins, une distraction très pratique de tout cela. Et puis, le sacré truc s'est déchaîné sur d'innombrables vols en avion à travers le monde.
Le virus corona Covid-19 n'a pas déclenché les troubles financiers du moment aux États-Unis et en Europe, mais il a assuré qu'il n'y aurait pas une autre apparence de "reprise" à la suite des interventions de la banque centrale de 2009-19. Ce qu'elle annonce, c'est un voyage accéléré vers une toute nouvelle disposition des choses: d'abord, pendant un certain temps, une société plus dure, plus affamée, plus en colère de promesses non tenues et d'attentes déçues; puis l'adaptation lorsqu'un consensus se dégage que l'ensemble des faits à portée de main équivaut à une nouvelle réalité. En attendant, nous vivons entre-temps, ce qui n'est pas un endroit confortable.
RépondreSupprimerL'argent n'est pas une économie. L'argent est un moyen d'échange au sein d'une économie où les gens font pousser des choses, font des choses, font bouger les choses et se servent les uns les autres de nombreuses façons. Nous n'allons pas remplacer toutes ces cultures, produits, mouvements et services en donnant simplement de l'argent aux gens. L'argent peut produire plus d'argent par la magie des intérêts composés, mais l'argent n'est pas nécessairement de la richesse, il représente simplement nos idées sur la richesse, et l'intérêt cesse de s'accumuler de toute façon lorsque la tendance est clairement à la réduction des croissances, des productions, des mouvements et des services. C’est exactement comment et pourquoi le capital disparaît. L'hocus-pocus de la théorie monétaire moderne ne peut que prétendre contourner cette réalité.
Le monde n'a jamais atteint un tel niveau d'activité jusqu'aux explosions de 2008, et il est passé par les motions pendant une décennie après cela. Maintenant qu'elle est arrêtée, il ne reste plus que la loi de la gravité et elle ne devient pas plus basique. La «richesse» acquise au cours de la décennie depuis par le soi-disant «un pour cent» a été chargée sur un avion défectueux, comme un Boeing 737-MAX, et une grande partie de celle-ci va tomber sur terre maintenant sur des ailes cassées. Leurs agents et prétoriens à Wall Street travaillent fiévreusement pour conjurer ce crash, comme une bande de magiciens qui lancent des sorts
https://www.zerohedge.com/personal-finance/age-battling-narratives-broken-consensus
Après Pâques mortelle, plus de tornades attendues pour le sud ce week-end
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 17/04/2020 - 12:40
De violents orages et tornades sont attendus dimanche dans une grande partie du Sud, y compris dans des zones qui se remettent encore de la tempête meurtrière du week-end dernier.
"La probabilité la plus élevée aura lieu dimanche dans plusieurs des mêmes régions qui ont connu des conditions météorologiques extrêmes à Pâques", a déclaré le météorologue de CNN, Dave Hennen. "Cette tempête sera similaire, mais pas aussi forte."
Environ 105 tornades ont été repérées dans le Sud pendant le week-end de Pâques.
- voir carte sur site -
Les tempêtes dévastatrices ont fait au moins 32 morts et des dizaines de maisons et de bâtiments ont été détruits dans le Sud. À un moment donné, près de 25 millions de personnes sur la côte est étaient sous surveillance d'une tornade.
Au moment des tempêtes, le National Weather Service (NWS) Eastern Region a tweeté une carte des zones les plus touchées.
- voir carte sur site -
Hennen dit que la tempête de ce week-end se développera dans l'est du Texas samedi soir et tôt dimanche, avec un potentiel de grosse grêle, de vents dommageables et de tornades.
- voir carte sur site -
La tempête ira vers l'est tout au long de la journée. "Les tornades seront possibles, mais cette fois, les ingrédients favoriseront les vents forts comme menace la plus répandue", a déclaré le météorologue de CNN, Taylor Ward.
Dimanche, les régions les plus à risque de temps violent seront le nord de la Louisiane, le sud du Mississippi, l'Alabama et l'ouest de la Géorgie.
Étant donné que le sol est principalement saturé de la tempête du week-end dernier, le risque d'inondation dans le sud dimanche est élevé.
Le Weather Prediction Center de la NOAA montre que les totaux de pluie pour les États du sud pourraient être exceptionnellement élevés en Alabama et en Géorgie jusqu'à lundi.
- voir carte sur site -
Lundi après-midi, le système devrait quitter la côte de la Caroline.
https://www.zerohedge.com/commodities/not-again-more-tornados-expected-south-weekend
Amazon ne sait pas quand ses entrepôts en France rouvriront mais il est toujours possible de commander
RépondreSupprimerBusiness Insider , AFP
16/04/2020, 12:33 Tech
Amazon ferme ses entrepôts français à partir de ce jeudi 16 avril à la suite d'une décision de justice, mais la durée de fermeture pourrait être plus longue que les cinq jours décidés pour l'instant. "Nous essaierons de rouvrir au plus vite mais je ne peux pas confirmer aujourd'hui la date à laquelle nous allons rouvrir", a déclaré ce jeudi Frédéric Duval, DG d'Amazon France, au micro de RTL. "La durée de fermeture de nos centres aujourd'hui m'est inconnue et nous faisons tout notre possible pour qu'elle soit la plus courte possible."
À la suite de la décision du tribunal de justice de Nanterre mardi 14 avril, enjoignant Amazon France de limiter son activité dans l'attente d'une évaluation des risques face au coronavirus, un comité social et économique (CSE), convoqué mercredi, s'est prononcé par 14 voix sur 18 votants en faveur de cette fermeture pour nettoyer les sites et évaluer les risques. Les salariés et intérimaires (près de 10.000 personnes) seront payés à 100 % pendant cette période de cinq jours selon la direction, qui a précisé que le recours au chômage partiel avait été "évoqué", mais que ses "modalités d'application n'ont pas été définies".
"La fermeture des entrepôts, c'est ce que nous avions demandé au tribunal à titre principal", a rappelé le syndicat SUD, à l'origine de la plainte. "L'action syndicale qui a conduit à ce résultat va avoir des conséquences qui sont très importantes pour de nombreuses personnes en France, pour nos millions de clients qui utilisent nos services pour recevoir chez eux des produits en cette période de confinement, pour nos employés qui vont rester chez eux, et pour les milliers de TPE et PME françaises qui utilisent nos services pour faire leur activité en expédiant par l'intermédiaire d'Amazon", a affirmé Frédéric Duval à RTL.
Les commandes sont toujours possibles
"La justice nous demande de nous focaliser sur trois catégories : l'hygiène, les produits médicaux et la nourriture mais c'est d'une ambiguïté énorme", a-t-il estimé. "Je ne sais pas définir exactement qu'est-ce qu'un produit d'hygiène : est-ce qu'un coupe-ongle en est un ? Est-ce qu'un préservatif est un produit médical? Je ne sais pas le dire." Avant de souligner que "dans ces conditions, compte tenu de l'amende qui nous est infligée (un million d'euros par infraction constatée, NDLR), nous sommes dans l'obligation de fermer nos sites", a-t-il souligné.
Amazon.fr n'a cependant pas cessé de fonctionner. Il encore possible de commander sur le site ce jeudi 16 avril et de se faire livrer. "Nous continuerons à servir nos clients en France au travers des entreprises indépendantes qui vendent sur Amazon, et grâce à la solidité de notre réseau de distribution mondial", indique le géant du e-commerce dans un communiqué.
Business Insider France a ainsi constaté, ce jeudi, que des produits "expédiés par Amazon" sont toujours disponibles sur le site, avec des délais de livraison rallongés, même pour des produits d'hygiène. Par exemple, le savon de marque Amazon ne peut être livré qu'en cinq jours, même si vous êtes abonné à Amazon Prime.
https://www.businessinsider.fr/amazon-ne-sait-pas-quand-ses-entrepots-en-france-rouvriront-mais-il-est-toujours-possible-de-commander-184336
Ce qui m'inquiète le plus est nullement le 'virus' (dont j'en ai rien à foutre et suis du soleil levant au couchant dehors), mais l'attitude des télespectatorisés et celle de l'après confinement.
SupprimerComment des cons peuvent-ils croire encore qu'au bout de 24 h ou 48 h d'emprisonnement qu'en ouvrant la fenêtre et dans le canapé à 3 ou 4 m ne sont-ils pas dehors ??! Ils ouvrent la fenêtre (air chaud/air froid) ou se mettent au balcon et... ne sont pas dehors !? Ils sortent dehors et ne sont pas dehors !?
LA tare exponentielle a gagné les foyers !
Sans le masque FF P2 VOUS êtes susceptible d'attraper le coronavirus (15 000 morts au monde du coranavirus/500 000 morts par an de la grippe saisonnière sans confinement).
Avec un masque (FF P2) interdit à la vente ! vous êtes sauvé(e) !
VOUS POUVEZ ALLER DEHORS ! VAQUER A VOS OCCUPATIONS (et reprendre le boulot), MAIS... vous n'avez LA protection (actuellement disponible en Chine par milliards), mais... 'sans' avions (ou pilotes) pour vous l'apporter !
En Octobre 2020 grippe saisonnière ? Confiné(e)s jusqu'en Juillet 2021 ?!
Un virus informatique s’en prend aux données bancaires des Français
RépondreSupprimer14:43 17.04.2020
En pleine crise pandémique, des hackers ont saisi l’opportunité de s’attaquer aux données bancaires et ont relancé le cheval de Troie Dridex.
Le Covid-19 n’est pas le seul virus qui se propage: sur Internet, le cheval de Troie Dridex refait son apparition depuis le mois de mars tandis que les populations se sont tournées massivement vers le télétravail conformément aux conditions du confinement.
Apparu en 2011, ce malware vise les données bancaires de ses victimes. Il a été placé en troisième position des principaux maliciels, déclare l’entreprise spécialisée dans la cybersécurité Check Point dans un communiqué.
Comment ce virus fonctionne
Dridex cible principalement la plateforme Windows en «offrant des campagnes de spam pour infecter les ordinateurs et voler des informations bancaires et d'autres informations personnelles pour faciliter le transfert d'argent frauduleux», explique la société.
Le malware a été systématiquement mis à jour et développé au cours de la dernière décennie.
Il faut donc redoubler de vigilance en cette période, prévient Check Point.
«Les individus doivent se méfier des e-mails contenant des pièces jointes, même s'ils semblent provenir d'une source fiable - en particulier avec l'explosion du télétravail au cours des dernières semaines. Les organisations doivent informer leurs employés sur la façon d'identifier les spams malveillants et déployer des mesures de sécurité qui aident à protéger leurs équipes et leurs réseaux contre de telles menaces», conclut l’entreprise.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202004171043585766-un-virus-informatique-sen-prend-aux-donnees-bancaires-des-francais-/
(...) Le Covid-19 n’est pas le seul virus qui se propage: sur Internet, (...)
SupprimerLe coranavirus n'est PAS un virus Internet !
L'enseigne La Halle envisage la fermeture ou la vente de 200 magasins
RépondreSupprimerBusiness Insider , AFP
16/04/2020, 9:50 Économie
La crise du coronavirus aggrave la situation de La Halle, en difficulté depuis plusieurs années. L'enseigne va demander son placement sous procédure de sauvegarde pour tenter de s'en sortir. La Halle envisage de fermer ou vendre plus d'une centaine de magasins. "Une restructuration à moindre frais", dénoncent les syndicats. Lors d'un CSE mercredi 15 avril, la direction de l'enseigne française de chaussures et de vêtements a informé les partenaires sociaux de son intention de déposer une demande de placement en sauvegarde au tribunal de commerce de Paris. Elle sera probablement examinée à partir du 21 avril 2020, selon Patrick Puy, le PDG du groupe Vivarte auquel appartient La Halle.
Cette demande ne concernera ni Caroll ni Minelli, les deux autres enseignes de Vivarte. Elle a pour objectif "d'assurer la pérennité de l'enseigne en lui donnant la possibilité de poursuivre ses activités, de protéger l'ensemble des collaborateurs et de ses différents partenaires et prestataires", selon un communiqué du groupe. La procédure de sauvegarde permet en effet à une entreprise d'étaler le règlement de certaines créances, et notamment de suspendre le paiement des loyers, le temps de se réorganiser.
Dans son communiqué, Vivarte précise qu'une fois la procédure de sauvegarde validée, "l'exploitation se poursuivra normalement : les magasins reprendront leur activité dès la levée des mesures de confinement et les emplois seront maintenus". En revanche, "le paiement des dettes antérieures à l'ouverture de la procédure est suspendu ainsi que le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) portant sur le siège de La Halle et l'entrepôt logistique d'Issoudun, lancé en février dernier". L'enseigne prévoyait en effet la suppression de 101 postes au siège et dans son entrepôt logistique d'Issoudun (Indre).
1 500 emplois menacés sur les 5 500 actuels
"Si fin mai ou début juin, on n'a pas trouvé de bonne solution, il faudra passer à une étape supérieure", a affirmé au cours d'une conférence téléphonique Patrick Puy, en détaillant les hypothèses possibles. "Sur les 850 magasins (860 en fait, ndlr) que nous avons aujourd'hui, si on supprime par exemple 50 % des magasins La Halle aux chaussures, 20 % des magasins de la Halle aux vêtements et qu'on garde le reste, c'est un ensemble profitable", a-t-il estimé. "Nous avons en gros 150 à 200 magasins qui sont non 'contributifs' et qui vont peut-être devenir 250 parce que la situation économique ne va pas s'améliorer", a souligné ce spécialiste des restructurations. Et "il y a plusieurs façons de faire : on peut les fermer et on peut aussi les vendre". Ces fermetures potentielles menaceraient 1 500 emplois sur les 5 500 actuels selon Fashion Network.
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RépondreSupprimer"Dans un secteur de l'habillement et de la chaussure structurellement en baisse depuis des années et davantage fragilisé par les derniers mouvements sociaux, la fermeture de l'ensemble de ses magasins et de ses deux entrepôts en raison de l'épidémie de Covid-19 a brutalement arrêté l'activité de l'enseigne, conduisant à une prévision de perte de 106 millions d'euros de chiffre d'affaires entre le 15 mars et le 11 mai", explique le communiqué de Vivarte. La Halle affichait un chiffre d'affaires annuel de 847 millions d'euros sur son dernier exercice, clos fin août 2019.
'la stratégie de fonds vautours qui profitent de la crise'
Le groupe Vivarte, déjà passé sous le contrôle de ses créanciers en décembre et disposant d'un faible niveau de trésorerie, aurait pu se retrouver "en cessation de paiements fin mai", a souligné Patrick Puy. Donc "plutôt que d'attendre ça bêtement, nous préférons nous mettre en procédure de sauvegarde". Depuis l'arrivée de ce spécialiste des restructurations à la tête du groupe en juillet 2017, plusieurs enseignes (Chevignon, Cosmoparis, André, Kookaï, Naf Naf, Besson) ont été cédées, faisant craindre aux syndicats son prochain "démantèlement".
Interrogé par l'AFP, Jean-Louis Alfred, représentant de la CFDT, premier syndicat du groupe Vivarte, a d'ailleurs à nouveau dénoncé mercredi "la stratégie de fonds vautours qui profitent de la crise pour enclencher une procédure de sauvegarde, se défausser sur l'État et procéder à une restructuration de La Halle à moindre frais". Quant à Karim Cheboub, coordinateur CGT du groupe, il a jugé que les informations données en CSE n'étaient "pas très rassurantes". "Nous avons demandé à rencontrer les mandataires judiciaires, nous serons vigilants sur le maintien de l'emploi", a-t-il affirmé à l'AFP.
https://www.businessinsider.fr/lenseigne-la-halle-envisage-la-fermeture-ou-la-vente-de-200-magasins-184332
Les supermarchés (multi-cartes) continuent et profitent de vendre ce qui est interdit ailleurs grâce à la politique 'Zéro petit commerçant ne doit survivre' !
SupprimerCBC enseigne aux enfants comment arrêter les «théories du complot» de leurs parents
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 17/04/2020 - 06h00
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Un reportage de CBC News donne aux enfants des conseils sur la façon de mettre fin aux «théories du complot» exprimées par leurs parents au sujet du coronavirus créé par la Chine dans un laboratoire.
Parce qu'apparemment, c'est le travail des médias maintenant.
Le présentateur déplore la façon dont le père de quelqu'un peut déposer un message dans le chat accusant la Chine de "fabriquer le coronavirus" avec un "lien vers un site dont vous n'avez jamais entendu parler" (traduction - un lien qui n'est pas, Dieu nous en préserve, les médias traditionnels).
La pièce présente ensuite une femme d'un groupe qui lutte contre la «désinformation en ligne» qui exhorte le fils ou la fille à ne pas se confronter avec leur père mais à l'accuser d'être précis et d'attiser la peur.
À un moment donné, le journaliste suggère même que les théories du complot peuvent être "tout aussi dangereuses qu'un virus".
"Peut-être envoyer un article d'une source légitime citant des scientifiques crédibles sur les raisons pour lesquelles le virus n'a pas été fabriqué", déclare l'hôte.
L'article, sans surprise, vient de la CBC et s'intitule «Non, le nouveau coronavirus n'a pas été créé dans un laboratoire, disent les scientifiques.»
En réalité, comme l'ont confirmé des sources de Fox News la nuit dernière, le coronavirus a en effet été divulgué dans un laboratoire de Wuhan, donc dire qu'il a été «fabriqué» n'est même pas un tronçon. Le virus a été littéralement créé dans un laboratoire.
L'ironie de tout cela est bien sûr que pratiquement personne ne fait confiance aux médias grand public, donc quand ils attaquent les théories du complot, cela fait simplement croire plus de gens.
Lorsque les géants des médias sociaux s'impliquent pour censurer les informations sur les mêmes théories du complot, cela renforce également la notion qu'elles sont exactes parce que des intérêts puissants essaient de les étouffer.
Prenez l'exemple de l'actualité ci-dessous.
Un journaliste qui adopte un faux accent stéréotypé de faux journaliste que les gens normaux n'utilisent pas lorsqu'ils se parlent, dit au spectateur que la théorie du complot liant la 5G au coronavirus est fausse.
Un médecin portant une blouse blanche à l'intérieur de ce qui semble être sa propre maison (pour souligner la fausse autorité) est ensuite présenté pour qualifier le complot de «complètement faux».
Le médecin n'explique même pas pourquoi c'est faux (il aurait pu signaler par exemple que l'Iran a été touché par le coronavirus mais n'a pas de réseau 5G du tout), mais la chaîne de nouvelles s'attend juste à ce que le téléspectateur le croit parce qu'il est une figure d'autorité dans uniforme.
RépondreSupprimerEn réalité, comme le prouvent les commentaires ci-dessous, la grande majorité des gens voient le reportage comme désespéré et hokey, ce qui leur fait croire encore plus à la théorie du complot.
https://www.zerohedge.com/political/cbc-instructs-kids-how-shut-down-their-parents-conspiracy-theories
La vérité est que le virus est apparu en Chine en Novembre mais, était déjà présent en Italie (Lombardie) en Octobre !
SupprimerNouvelles du climat
RépondreSupprimerle 17 avril 2020
La présence d’une tache fugace près du pole nord du Soleil est le premier signe du prochain cycle d’activité solaire mais dans l’ensemble l’astre du jour poursuit sa période de langueur magnétique la plus longue depuis plus de 200 ans car celle-ci devrait durer au moins jusqu’en 2023 ou 2024 selon divers modèles prédictifs déduits de diverses mesures et analyses passées. Quelles sont les conséquences visibles ou ressenties sur la Terre de ce grand sommeil solaire ? Finalement peu de choses car la latence au changement du climat provient des océans qui représentent un gigantesque « volant d’inertie thermique ».
Cependant il se passe beaucoup de choses dans les hautes couches de l’atmosphère pour deux raisons. D’une part la faiblesse du champ magnétique solaire permet aux rayons cosmiques d’atteindre plus facilement la Terre et la faiblesse du rayonnement solaire a pour conséquence une diminution du rayonnement ultra-violet énergétique. Or, lors d’une activité solaire normale les rayons ultra-violets détruisent les rares molécules d’eau présentes à des altitudes comprises entre 50 et 80 kilomètres provoquant une inhibition de la formation de nuages dits noctilucents (NLC, noctilucent clouds). Ces nuages sont formés de cristaux de glace qui se forment autour de foyers de nucléation chargés électriquement qui attirent les molécules d’eau et progressivement il se forme alors un cristal de glace. Ces foyers de nucléation sont générés par les rayons cosmiques. Plus il y a de rayonnement cosmique, plus il se forme de noyaux de nucléation, plus il en résulte des cristaux de glace et comme le rayonnement UV solaire a diminué alors l’apparition de nuages noctilucents devient plus fréquente et plus remarquable. En 2019 de tels nuages ont pu être observés à Rome en Italie, Las Vegas au Nevada à Paris en France et à Los Angeles en Californie alors que ce type d’observation est rarissime à de telles latitudes.
- voir sur site -
Ces nuages (illustration : photo prise de l’île Macquarie au sud de la Nouvelle-Zélande en janvier 2020) sont donc une preuve indirecte de la grande faiblesse de l’activité solaire. L’une des conséquences de la formation de ces nuages est naturellement l’augmentation de l’albedo de la Terre et donc une diminution de l’irradiance solaire au niveau du sol puisque ces nuages forment en quelque sorte des miroirs réfléchissant le rayonnement solaire. Encore quelques années et les effets sur les températures commenceront à devenir de plus en plus sensibles … et seuls quelques obsédés oseront encore parler de réchauffement climatique.
Source et illustrations : spaceweatherarchive.com
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/17/nouvelles-du-climat/
Nouvelle étude: le vaccin contre la grippe est «significativement associé» à un risque accru de coronavirus
RépondreSupprimerPar Arjun Walia
Évolution collective
18 avril 2020
Le 12 mars 2020, Anderson Cooper et le Dr Sanjay Gupta ont organisé une assemblée générale mondiale sur «Corona Facts and Fears». Au cours de la discussion, Anderson a encouragé le public à se faire vacciner contre la grippe, suggérant que cela pourrait aider avec le coronavirus. Est-ce vrai ?
Greg. G Wolff, épidémiologiste à la branche de la surveillance de la santé des forces armées, a récemment publié une étude dans le Journal Vaccine intitulée Vaccination contre la grippe et interférence avec les virus respiratoires parmi le personnel du Département de la défense pendant la saison grippale 2017-2018. L'étude a examiné l'interférence virale dans une population du ministère de la Défense, ce qui fait référence au risque accru d'autres virus respiratoires en raison, dans ce cas, du vaccin contre la grippe. L'étude a révélé que l'interférence virale variait entre les individus vaccinés pour les virus respiratoires individuels, et a constaté que pour le coronavirus en particulier, dans cette étude, ceux qui avaient été vaccinés avec le vaccin contre la grippe avaient un risque 36% plus élevé de le contracter
L'étude a comparé le statut vaccinal de plus de deux mille personnes atteintes de virus respiratoires non grippaux à plus de trois mille personnes avec des résultats pan négatifs. Le statut vaccinal de plus de trois mille cas de grippe a été comparé à trois groupes témoins différents et des ajustements appropriés ont été apportés.
L'étude souligne que des études récemment publiées ont «décrit le phénomène d'interférence virale associée au vaccin; c'est-à-dire que les personnes vaccinées peuvent être exposées à un risque accru de contracter d'autres virus respiratoires parce qu'elles ne reçoivent pas l'immunité non spécifique associée à une infection naturelle. » Il poursuit en soulignant que «Il y a peu de preuves que le vaccin antigrippal puisse réellement être associé au processus d'interférence virale. D'autres études n'ont trouvé aucune association entre la vaccination antigrippale et un risque accru de virus respiratoire. »
Il est donc important de mentionner que d'autres études n'ont trouvé aucune association entre le vaccin contre la grippe et un risque accru pour d'autres virus respiratoires, mais en examinant spécifiquement le coronavirus, l'étude de Wolff a révélé que «L'interférence du virus dérivé du vaccin était significativement associée au coronavirus et au métapneumovirus humain; cependant, une protection importante avec la vaccination a été associée non seulement à la plupart des virus grippaux, mais aussi aux co-infections parainfluenza, RSV et non grippales. »
Le métapneumovirus provoque des maladies respiratoires supérieures et inférieures à tous les âges.
Il est également important de mentionner que sur les 6 120 personnes de l'étude atteintes de virus respiratoires autres que la grippe, celles qui ont reçu un vaccin antigrippal avaient en fait un risque moindre d'avoir d'autres agents pathogènes respiratoires par rapport au groupe non vacciné. Encore une fois, il est important de préciser avec quels agents pathogènes respiratoires on peut avoir un risque accru de contracter en raison de la vaccination contre la grippe. C'est pourquoi pour certains agents pathogènes, aucun risque accru n'a été observé et, dans certains cas, un risque diminué a été observé. Mais encore une fois, spécifiquement pour le coronavirus, un risque accru significatif a été observé.
En ce qui concerne le coronavirus et le métapneumovirus humain, les données de cette étude ont montré que le risque accru de contraction chez les individus vaccinés était 36% plus élevé.
RépondreSupprimerLes données de laboratoire de notre étude ont montré une augmentation des probabilités de coronavirus et de métapneumovirus humain chez les personnes recevant la vaccination antigrippale… Dans notre enquête spécifique à la maladie, des tendances d'interférence virale ont été observées pour le coronavirus et le métapneumovirus humain… Examinant spécifiquement les virus non grippaux, les le métapneumovirus humain chez les individus vaccinés était significativement plus élevé par rapport aux individus non vaccinés (OR = 1,36 et 1,51, respectivement)
L'étude a conclu que:
La réception de la vaccination antigrippale n'était pas associée à une interférence virale parmi notre population. L'examen de l'interférence virale par des virus respiratoires spécifiques a donné des résultats mitigés. L'interférence virale dérivée d'un vaccin était significativement associée au coronavirus et au métapneumovirus humain; cependant, une protection significative avec la vaccination a été associée non seulement à la plupart des virus grippaux, mais aussi aux co-infections parainfluenza, RSV et non grippales.
Mais dans l'ensemble, les résultats ont montré «peu ou pas de preuves étayant l'association de l'interférence virale et de la vaccination antigrippale».
En ce qui concerne les enfants, une étude publiée dans la même revue, Vaccine, a révélé que «parmi les enfants, il y avait une augmentation du risque d'IRA (maladie respiratoire aiguë) causée par des agents pathogènes respiratoires non grippaux après la vaccination contre la grippe par rapport aux enfants non vaccinés au cours de la même période… Les perceptions des patients à l'égard de la maladie après la vaccination antigrippale peuvent être soutenues.
Le ministère de la Défense a un programme mondial de surveillance des agents pathogènes respiratoires (DoDGRS), c'est un programme à l'échelle du DoD établi par le Global Emerging Infections Surveillance and Response System (GEIS). C'est ainsi que Wolff a pu rassembler toutes ses données concernant qui avait été vacciné avec le virus de la grippe et quelles autres maladies il a connues. La Defense Health Agency / Armed Forces Health Surveillance Branch - Air Force Satellite Cell (DHA / AFHSB - AF) et la United States Air Force School of Aerospace Medicine (USAFSAM) ont également donné accès aux données.
Réflexions supplémentaires sur la vaccination contre la grippe
Selon l'étude ci-dessus, «une protection significative avec la vaccination était associée non seulement à la plupart des virus grippaux, mais aussi aux co-infections parainfluenza, RSV et non-grippales». Donc, il souligne les avantages de la grippe et suggère qu'elle est efficace. Il propose également plusieurs études qui montrent qu'il est également efficace.
Mais il existe des recherches contradictoires en ce qui concerne le vaccin contre la grippe et son efficacité contre la grippe. Par exemple, le Dr Peter Doshi est rédacteur en chef adjoint au BMJ (British Medical Journal) et également professeur adjoint de recherche sur les services de santé pharmaceutique à la University of Maryland School of Pharmacy. Il a publié un article dans le BMJ intitulé «Influenza: Marketing Vaccines». Par maladie de marketing. "Dans ce document, il souligne que le CDC s'engage à " fonder toutes les décisions de santé publique sur la plus haute qualité de données scientifiques, dérivées ouvertement et objectivement", et comment ce n'est pas le cas en ce qui concerne le vaccin contre la grippe et sa commercialisation. Il souligne que «le vaccin peut être moins bénéfique et moins sûr que ce qui a été prétendu, et que« la menace de la grippe semble être surestimée ».
RépondreSupprimerIl ajoute:
Mais peut-être l'aspect le plus intelligent de la stratégie de commercialisation de la grippe entoure l'affirmation selon laquelle «grippe» et «grippe» sont les mêmes. La distinction semble subtile et purement sémantique. Mais le manque général de sensibilisation à la différence pourrait être la principale raison pour laquelle peu de gens se rendent compte que même le vaccin contre la grippe idéal, parfaitement adapté aux souches de grippe sauvage en circulation et capable d'arrêter tous les virus de la grippe, ne peut traiter qu'une petite partie de la «grippe». »Problème parce que la plupart des cas de« grippe »semblent n'avoir rien à voir avec la grippe. Chaque année, des centaines de milliers d'échantillons respiratoires sont testés aux États-Unis. Parmi les personnes testées, 16% en moyenne se sont révélées positives pour la grippe. (fig 2). Toute grippe est une «grippe», mais seule une «grippe» sur six pourrait être la grippe. Il n’est pas étonnant que tant de gens pensent que les «vaccins antigrippaux» ne fonctionnent pas: pour la plupart des grippes, ils ne peuvent pas.
Le Dr Alvin Moss, MD et professeur à la West Virginia University School of Medicine souligne dans cette vidéo:
Le vaccin contre la grippe est le vaccin qui cause le plus de blessures dans ce pays. Le programme d'indemnisation des blessures dues au vaccin, 40% de toutes les vaccinations dans ce pays sont des vaccins contre la grippe, mais 60% de toutes les compensations sont pour le vaccin contre la grippe. Donc, un nombre disproportionné de blessures liées au vaccin sont le vaccin contre la grippe. Je pense que beaucoup d'entre vous vous ont recommandé de vous faire vacciner contre la grippe, je ne sais pas si vous êtes au courant, les statistiques des CDC sont, que chaque année ils examinent l'efficacité du vaccin, pour cette année en particulier le l'efficacité du vaccin est de 48 pour cent, ce qui signifie qu'il n'est pas très efficace. Ce n'est même pas si efficace que ça, si vous regardez la littérature scientifique… les preuves pour soutenir l'administration du vaccin contre la grippe sont modérées à faibles. Ce ne sont pas des preuves solides. Ils disent que les preuves pour soutenir l'administration du vaccin contre la grippe aux personnes de plus de 65 ans ne sont pas là, ce n'est pas concluant. Donc, beaucoup de choses qui nous ont été dites en tant qu’américains sur les vaccinations ne sont pas vraiment basées sur la science. (la source)
Le National Childhood Vaccine Injury (NCVIA) a déjà versé environ 4 milliards de dollars pour indemniser les familles d'enfants blessés par le vaccin. Aussi astronomiques que soient les récompenses pécuniaires, elles sont encore plus alarmantes si l'on considère le HHS qui affirme que seulement 1% des blessures dues au vaccin sont même signalées au système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS).
RépondreSupprimerQuelque chose à quoi penser. Les informations contenues dans cet article montrent qu'il est normal de remettre en question et que la science sur la sécurité des vaccins n'est pas «réglée». Nous devons nous demander, pourquoi y a-t-il des termes comme «anti-vax» et pourquoi les grands médias essaient constamment de ridiculiser tout des informations qui peignent les vaccins sous un jour inquiétant ? Assurément, la remise en question de l'innocuité des vaccins est dans le meilleur intérêt de toutes les parties concernées ?
À la fin de la journée, il ne s'agit pas de savoir qui a raison et qui a tort, ni d'un côté ou de l'autre. Il s’agit de se rassembler de manière pacifique et de comprendre les préoccupations qui sont soulevées, de les traiter, de les traiter et d'y répondre de manière appropriée. Nous ne pouvons pas garder la haine dans notre propre être si nous voulons en débarrasser le monde, et nous ne pouvons pas utiliser le ridicule et le jugement contre, sinon nous perpétuons simplement ce dont nous essayons de nous débarrasser. Opérer à partir d'un lieu de paix est essentiel, cela aide à voir les choses d'une manière plus claire, et c'est quelque chose qui doit devenir une nécessité pour toutes les parties concernées, que vous souteniez la vaccination ou non.
Reprinted with permission from Collective Evolution.
https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/new-study-the-flu-vaccine-is-significantly-associated-with-an-increased-risk-of-coronavirus/
Ron Paul: les gens devraient se méfier d'un vaccin contre le coronavirus
RépondreSupprimerPar Adam Dick
Institut Ron Paul
18 avril 2020
Le Dr Ron Paul, dans une interview lundi avec l'animateur Dan Dicks à Press for Truth, avertit que les gens «devraient se méfier» des vaccins anti-coronavirus qui pourraient sortir. De plus, dit Paul, médecin et ancien membre de la Chambre des représentants des États-Unis, "pour le moment, je ne pense pas que quiconque puisse les prendre", notant que des "tactiques effrayantes" sont utilisées pour pousser les gens à penser qu'ils devrait prendre ces vaccins potentiels pour se protéger contre les coronavirus.
Paul soutient cette conclusion en soulignant dans l'interview le danger potentiel d'un vaccin ainsi que la menace exagérée du coronavirus.
En ce qui concerne le danger potentiel d'un vaccin contre le coronavirus, Paul explique au début de l'entretien comment, en 1976, lors de sa première semaine en tant que membre de la Chambre, Paul était l'un des deux seuls membres, les deux médecins, à avoir voté contre une loi qui a aidé à accélérer vaccin en réponse à la grippe porcine. Paul décrit les résultats de la pression pour que les gens prennent le vaccin contre la grippe porcine comme suit:
Ils ont précipité le vaccin. Le vaccin n'a pas été correctement fabriqué. Cela n'avait rien à voir avec le virus qui existait, donc cela n'a sauvé la vie de personne. Cela a fait beaucoup de mal. Plus de personnes ont fini par mourir de l'inoculation que par la grippe cette année-là. Et ce genre de cours était une leçon, comme si c'était un peu trop extrême. Mais c’est ce qui se passe lorsque les gouvernements s’impliquent et que vous agissez pour des raisons politiques.
Il y avait aussi, parce que beaucoup de gens ont fini par se faire vacciner, je pense qu'il y avait au moins 50 personnes atteintes du syndrome de Guillain-Barré, qui est une paralysie totale temporaire et vous pouvez en mourir, mais la plupart d'entre elles se sont améliorées. Mais, c'était une complication très, très grave d'une injection virale, vous savez, d'un vaccin.
Paul discute également dans l'interview du danger exagéré du coronavirus qui est utilisé pour effrayer les gens à prendre des mesures, y compris pour potentiellement prendre un vaccin contre le coronavirus.
Paul note que bon nombre des personnes dont la mort a été imputée au coronavirus sont des personnes âgées, y compris des personnes vivant dans des maisons de soins infirmiers, qui souffrent de plusieurs autres maladies. De plus, explique Paul, les médecins «ont reçu des instructions [des Centers for Disease Control and Prevention] et d'autres politiciens que, lorsque les médecins signent le certificat de décès, si [les patients] ont quatre choses différentes mais qu'ils se trouvent avoir un test positif pour le virus qui doit être considéré comme la principale cause de décès. » «Les chiffres ne signifient rien», conclut Paul concernant la tabulation quotidienne des décès par coronavirus.
De plus, Paul explique que beaucoup plus de personnes que celles officiellement enregistrées ont contracté un coronavirus. Certaines de ces personnes ne sont jamais tombées malades. D'autres se sont améliorés sans aucun traitement, dit Paul, en montrant l'exemple de son fils, le sénateur Rand Paul (R-KY). Alors que Rand Paul a subi un test qui a confirmé qu'il avait un coronavirus, la plupart des personnes qui ont eu un coronavirus et qui n'ont souffert d'aucun problème médical mineur n'ont pas été testées. Avec "probablement des millions de personnes" ayant contracté un coronavirus, Paul conclut que le pourcentage de personnes qui ont contracté un coronavirus et qui sont décédées en conséquence "est probablement très, très petit".
RépondreSupprimerAlors que Paul dit qu'il choisirait de ne pas prendre de vaccin contre le coronavirus si celui-ci devait apparaître la semaine prochaine, même si les gens prétendent qu'il est efficace à 99%, il dit que la décision de prendre ou de ne pas prendre un vaccin doit être prise par chaque individu. , qui peut discuter de l’alternative vaccinale avec un médecin. Absolument, conclut Paul, cette décision ne devrait pas être prise par le gouvernement.
Regardez ici l'interview complète de Paul, dans laquelle il explique également comment les mesures prises par le gouvernement au nom de la lutte contre les coronavirus nuisent à l'économie et son soutien aux personnes qui dénoncent la fin des atteintes à la liberté justifiées par les coronavirus:
https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/ron-paul-people-should-be-leery-about-a-coronavirus-vaccine/
Robert Bryce: Répondre au défi de Terawatt
RépondreSupprimerPar Duggan Flanakin
17 avril 2020
«L'électricité est devenue un droit humain.» - Robert Bryce
Dans le chapitre 16 de son livre fondateur, A Question of Power: Electricity and the Wealth of Nations, le futuriste basé à Austin, Robert Bryce, parle du «Terawatt Challenge» - un terme inventé par le regretté lauréat du prix Nobel Richard Smalley.
Smalley a postulé que si nous pouvons fournir suffisamment d'électricité à tous les peuples du monde, nous pouvons éliminer les problèmes massifs de sécurité alimentaire, de qualité de l'eau, de pauvreté et d'un environnement propre. Et Bryce souligne solennellement qu'en tant que monde, nous sommes loin de cet objectif.
Mais nous pouvons y arriver.
Bryce, dont le premier livre, Pipe Dreams: Greed, Ego, and the Death of Enron, a été nommé l'un des meilleurs livres de non-fiction de 2002, retrace l'histoire de l'électricité exploitée de Benjamin Franklin à Tesla, Edison et Westinghouse - et le moins connu mais tout aussi important Frank Julian Sprague, qui a développé des moteurs d'ascenseurs électriques (permettant des gratte-ciel) et le premier système de rail électrique du pays.
Il illustre ensuite comment Franklin Roosevelt a apporté de l'électricité à un prix abordable en Amérique rurale et a supervisé la construction de barrages massifs qui fournissaient de l'électricité bon marché du Tennessee au Nevada à l'État de Washington. C'est FDR, note Bryce, qui en 1932 a proclamé que «l'électricité n'est plus un luxe; c'est une nécessité certaine. »
Bryce nous frappe ensuite avec les utilisations le fait est que quelque 3,3 milliards de personnes (45% de l'humanité) vivent dans des endroits où la consommation annuelle d'électricité par habitant est inférieure à 1 000 kilowattheures par an (kWh / an) - à propos de ce que sa maison utilisations du réfrigérateur. Ce sont les Unplugged.
Les pays à «faible consommation» comprennent 2,7 milliards (37%) de personnes supplémentaires, tandis que seulement 19% vivent dans des pays à «forte consommation» (plus de 4 000 kWh / an) - le seuil considéré par le Dr Alan Pasternak comme la principale ligne de démarcation ci-dessous quels pays ne peuvent pas améliorer leur indice de développement humain.
Un obstacle majeur, par conséquent, à la suffisance électrique pour les pays non branchés - et même les pays à faible consommation d'énergie - est le manque d'intégrité sociétale, d'investissement en capital et de carburant abordable. Pourtant, pour garantir que toute l'humanité puisse atteindre son plein potentiel (y compris libérer les femmes de la corvée et les libérer pour développer leurs compétences et talents innés), il faut que le droit humain à l'électricité soit universellement disponible.
Tel est l'objectif - mais comment y arriver ?
Un élément essentiel de l'intégrité de la société est que les gouvernements appliquent la primauté du droit. Les pays les plus libres et les plus riches sont ceux où les factions partagent le pouvoir politique et économique, tandis que dans les pays les plus pauvres, les élites organisent la société à leur profit au détriment de l'immense masse de la population. Le capital - et le carburant - sont beaucoup plus faciles à obtenir dans une société libre.
Mais il peut y avoir des complications. Bryce note que, au moins depuis le conflit coréen, la stratégie militaire américaine a commencé par des attaques soutenues contre l'infrastructure électrique du pays ennemi. L'idée était d'abaisser le moral du public en supprimant le confort apporté par l'électricité, mais nulle part cette politique n'a été efficace. Incendier un village pour le sauver ne se connecte jamais vraiment à ceux dont les villages sont incendiés.
RépondreSupprimerPour illustrer l'ampleur de l'écart entre les pays non branchés et les pays à haute puissance, Bryce relate la montée fulgurante des Giant Five - Alphabet (Google), Amazon, Apple, Facebook et Microsoft - qui consomment tous plus d'électricité que de nombreux pays entiers. Les services financiers, de Visa au bitcoin, ont un appétit d'électricité géant, tout comme l'industrie de la marijuana.
Ces entreprises connaissent toutes, par expérience, le coût que les pannes d'électricité leur imposent - ainsi qu'à leurs clients. Les intempéries et le sabotage menacent l'intégrité du réseau électrique, mais la plus grande menace est la folie de ceux qui croient que le vent et le solaire seuls peuvent fournir suffisamment d'énergie électrique pour une société de haute technologie, sans parler des milliards de personnes dans le monde.
Bryce décrit comment quatre facteurs - le coût, le stockage, l'échelle et l'utilisation des terres - empêchent les énergies renouvelables de prendre le contrôle de nos systèmes énergétiques et électriques. Les prix de l'électricité montent en flèche dans des pays comme l'Allemagne, qui a paniqué après Fukushima et a commencé à fermer ses centrales nucléaires. Un tiers des entreprises allemandes, note Bryce, voient les coûts élevés de l'électricité comme des menaces à leur viabilité.
La hausse des coûts de l’électricité après la promulgation de la Loi sur l’énergie verte de l’Ontario a entraîné une défaite politique pour le Parti libéral et la résiliation de 758 contrats d’énergies renouvelables. Même en Californie, les leaders des droits civiques ont déposé une plainte, qui fait maintenant son chemin dans le système juridique, affirmant que les politiques climatiques de l'État discriminent les minorités et les consommateurs à faible revenu.
Le rapport de Bryce suggère que les élitistes qui poussent les énergies renouvelables - comme les despotes dans les pays cassés (à faible puissance ou non branchés) - ignorent les pauvres et la classe moyenne et traitent les zones rurales comme si elles étaient inhabitées ou tout simplement hors de propos alors qu'elles poursuivent des objectifs inatteignables qui sont fortement alourdir les contribuables tout en menaçant la fiabilité de l'électricité.
Par exemple, pour remplir le mandat renouvelable de 80% de la Californie, il faudra une augmentation massive du stockage électrique coûteux en raison des variations saisonnières de la production d'électricité éolienne et solaire. Aujourd'hui, la croissance de l'énergie verte ne peut même pas suivre l'augmentation de la demande mondiale d'électricité, et encore moins remplacer toute l'énergie conventionnelle. Mais le dernier clou du cercueil renouvelable est l'utilisation des terres.
Bryce cite plusieurs études montrant qu’un réseau tout éolien signifierait que les parcs éoliens couvriraient un dixième de la superficie totale du pays. Les comtés ruraux, frustrés par l'indifférence des élites urbaines aux impacts du monde réel sur la santé humaine et la faune, luttent contre les parcs éoliens avec une vengeance renouvelée. Les panneaux solaires géants présentent également, comme l'a dit un journaliste, «un choix entre un écosystème en voie de disparition et une poussée vers une énergie plus propre».
Malgré l'opposition des écologistes, les pays en développement se tournent rapidement vers le nucléaire comme combustible pour l'avenir. Mais, note Bryce, il faut un New Deal comme un engagement national pour fournir à la fois la stabilité politique et le soutien financier nécessaires à la construction et à l'exploitation économique de grandes centrales nucléaires. Les pays à puissance élevée ont imposé des frais d'autorisation et de réglementation exorbitants qui, associés au zèle antinucléaire, limitent leurs perspectives d'énergie nucléaire.
RépondreSupprimerLe gaz naturel, qui grâce à la fracturation hydraulique est devenu abondant et bon marché, doit, selon Bryce, être un élément majeur de l'avenir de la production d'électricité dans le monde. Pourtant, les gouvernements des pays à forte consommation d'énergie interdisent déjà la fracturation hydraulique, bloquent les nouveaux pipelines et exigent même que les citoyens mettent leurs appareils au gaz sous tension.
Malgré toutes les attaques contre des carburants abordables et fiables, Bryce est optimiste quant à la capacité et à la volonté du monde de relever le défi Terawatt et de fournir de l'électricité à un monde affamé sans détruire la biosphère. Considérez qu'en un peu plus d'un siècle, un cinquième du monde est passé de l'absence d'électricité à une consommation élevée et trois autres huitièmes sont quelque peu électrifiés.
La réponse humaniste au défi Terawatt, affirme Bryce, est de permettre aux milliards de personnes qui vivent dans l'obscurité d'entrer dans la lumière vive de la modernité et du progrès. Cela nécessitera l'intégrité de la société, des injections massives de capitaux et les bons choix de carburants. Bryce admet que l'électrification du monde prendra du temps.
Mais cela peut - et doit - être fait.
https://www.cfact.org/2020/04/17/robert-bryce-responding-to-the-terawatt-challenge/
Voici pourquoi Bill Gates veut une indemnité des gouvernements concernant l'approbation et la commercialisation des vaccins qu'il finance
RépondreSupprimerlundi 13 avril 2020
Pourquoi les plus grands promoteurs de vaccins au monde, comme Paul Offit et Peter Hotez, nous mettent-ils en garde frénétiquement contre les dangers uniques et effrayants inhérents au développement d'un vaccin contre les coronavirus ?
Les scientifiques ont d'abord tenté de développer des vaccins contre les coronavirus après l'épidémie de SRAS-CoV en 2002 en Chine. Des équipes de scientifiques américains et étrangers ont vacciné les animaux avec les quatre vaccins les plus prometteurs. Au début, l'expérience semblait réussie car tous les animaux ont développé une réponse solide d'anticorps contre le coronavirus. Cependant, lorsque les scientifiques ont exposé les animaux vaccinés au virus sauvage, les résultats ont été horribles. Les animaux vaccinés ont subi des réponses hyper-immunes, y compris une inflammation dans tout leur corps se terminant par des infections pulmonaires fatales.
Les chercheurs avaient vu cette même "réponse immunitaire renforcée" lors de tests humains sur les tests de vaccination contre le VRS ratés dans les années 1960. Deux enfants sont morts. Offit, Hotez et même Anthony Fauci (dans un moment non gardé), ont averti que tout nouveau vaccin contre le coronavirus pourrait déclencher des réactions immunitaires mortelles lorsque les personnes vaccinées entrent en contact avec le virus sauvage.
Au lieu de procéder avec prudence, Fauci a fait le choix imprudent d'accélérer les vaccins, partiellement financés par Gates, sans études animales (qui pourraient fournir un avertissement précoce de réponse immunitaire incontrôlée).
Gates est tellement inquiet du danger qu'il dit qu'il ne distribuera pas ses vaccins tant que les gouvernements n'auront pas accepté de l'indemniser contre les poursuites. Le 4 février 2020, alors qu'il n'y avait que 11 cas de COVID19 actifs aux États-Unis, les États-Unis ont discrètement poussé les réglementations fédérales à accorder aux fabricants de vaccins contre les coronavirus une immunité totale contre toute responsabilité.
https://www.youtube.com/watch?v=RzFP4yzZzII&feature=share
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/04/
L'Espagne "autorise" des avions militaires à pulvériser des désinfectants sur les villes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 09:45
Le gouvernement espagnol vient "d'autoriser" l'armée à préparer des avions pour la pulvérisation aérienne de désinfectants dans les principales zones métropolitaines alors que les cas confirmés de COVID-19 et les décès continuent d'augmenter, a rapporté La Razón News.
L'ordre a été publié pour la première fois dans le Boletín Oficial del Estado, le journal officiel du pays, vendredi, qui "autorise les unités NBQ (nucléaire, biologique et chimique) des forces armées et l'UME à utiliser des biocides autorisés par le ministère de la Santé en efforts de désinfection pour faire face à la crise sanitaire causée par le coronavirus. "
Selon l'ordonnance, "les techniques de désinfection les plus efficaces sont l'utilisation de moyens aériens car grâce à elles, avec les techniques de nébulisation, thermonébulisation et micronebulisation, toutes les surfaces sont atteintes rapidement, évitant de recourir à une application manuelle, qui est plus lente, et parfois elle le fait ne pas atteindre toutes les surfaces car il y a des obstacles qui empêchent de les atteindre. "
L'ordonnance continue de dire que des missions de "désinfection aérienne" seront menées "régulièrement" tant que la pandémie continuera de ravager le pays.
Vendredi, l'Espagne a signalé 5 252 nouvelles infections, la hausse la plus importante de cas en plus d'une semaine, portant le nombre total de cas à 184 948, avec 19 478 décès. L'augmentation du nombre de cas pourrait suggérer que l'aplatissement de la courbe par le biais de mesures strictes de distanciation sociale ne fonctionne pas, d'où la raison pour laquelle le gouvernement a appelé l'armée pour effectuer des missions de pulvérisation aérienne de désinfectants.
La Razón News a déclaré que le 43rd Air Force Group exploiterait des avions de lutte contre les incendies aériens Canadair CL-415 qui seront très probablement équipés de pulvérisateurs spéciaux pour créer un flux uniforme de désinfectants tout en couvrant une zone métropolitaine.
Chaque CL-415 a une portée de 1518 milles avec un réservoir de 1620 gallons qui peut être mélangé avec des produits chimiques. L'avion est amphibie et peut se recharger sur un plan d'eau.
L'Espagne a déployé des systèmes aériens sans pilote et des robots au sol pour pulvériser des désinfectants au niveau de la rue. Pourtant, la décision du gouvernement de couvrir des villes entières avec des désinfectants par avion suggère que les efforts actuels ne parviennent pas à supprimer le virus.
Dès la fin janvier, nous avons commencé à noter que la Chine déployait des drones avec des réservoirs de 5 gallons de désinfectants pour pulvériser les rues.
Fin février, la Chine a commencé à convertir des robots agricoles au sol avec des pulvérisateurs pour désinfecter les espaces publics.
Pulvérisez des canons sur des camions en Chine.
Plus de pulvérisation en Chine.
En mars, l'Espagne a déployé son personnel militaire pour désinfecter les gares.
Les Russes ont converti un turboréacteur pour pulvériser des désinfectants ...
N'oubliez pas que la pulvérisation de désinfectants, que ce soit par des systèmes terrestres ou humains, ou des systèmes aériens tels que des drones ou des avions, se produira dans les principales métros des États-Unis.
https://www.zerohedge.com/health/spain-authorizes-military-planes-spray-disinfectants-over-cities
Un virologue explique comment ne pas «apporter» le coronavirus chez soi avec des objets
RépondreSupprimer17:21 18.04.2020
Un docteur en sciences biologiques a détaillé au quotidien russe Moskovskii Komsomolets comment traiter les vêtements d'extérieur et ses achats après avoir été faire les courses, pour prévenir la contamination par le coronavirus.
Alors que la pandémie de coronavirus continue de sévir, ayant tué déjà plus de 155.000 personnes, le virologue docteur en sciences biologiques et professeur à l’Université russe de l'Amitié des peuples, Vladimir Makarov, a raconté dans une interview à Moskovskii Komsomolets comment se protéger du coronavirus après une sortie à l’extérieur.
Selon le virologue, dès son retour à la maison, il suffit de passer ses achats sous de l'eau chaude, et il n'est même pas nécessaire de laver ses vêtements d'extérieur pour prévenir la contamination par le Covid-19.
M.Makarov a également souligné que la probabilité d'«apporter» le virus à son domicile était très faible.
«Il ne faut pas laver ses vêtements d'extérieur si vous avez été dehors, le virus y vit peu de temps», a-t-il assuré, en ajoutant qu'il suffit de les accrocher à l'écart.
Le virologue a également précisé qu'il ne fallait pas laver les aliments avec du chlore ou de l'alcool, ni faire bouillir ses vêtements, car la contagion se diffuse par le système respiratoire.
La propagation du virus
Selon le dernier bilan, plus de 2.266.000 personnes ont été contaminées par le Covid-19, détecté en décembre dernier en Chine. Le nombre de décès a dépassé les 155.000.
https://fr.sputniknews.com/societe/202004181043595715-un-virologue-russe-explique-comment-ne-pas-apporter-le-coronavirus-chez-soi-avec-des-objets/
(...) Le virologue a également précisé qu'il ne fallait pas laver les aliments avec du chlore ou de l'alcool, ni faire bouillir ses vêtements, car la contagion se diffuse par le système respiratoire. (...)
SupprimerUn peu con ce 'virologue, non ?!
'ni faire bouillir ses vêtements' !!
Heu, là... bouillir c'est 100° et, à 100 °C tous les microbes sont morts.
Remettrait-il en cause l'usage des sur-blouses en hôpital ?!
S'ils n'étaient que dans le système respiratoire, pourquoi donc laver ses achats qui ne respirent pas ! Hahaha !
Une nouvelle étude française met en lumière l’inefficacité de la chloroquine contre le coronavirus
RépondreSupprimer17:23 18.04.2020
Renforçant la polémique autour de l’efficacité de l’hydroxychloroquine dans le traitement contre le Covid-19, une nouvelle étude menée in vivo sur 181 patients par des médecins français et publiée sur le portail Medrxiv.org a fait état de l’inutilité du médicament, ainsi que du développement d’effets néfastes cardiaques et respiratoires.
Après que des effets cardiaques néfastes produits par l’utilisation de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 ont été signalés par l’Agence du médicament (ANSM), une nouvelle étude menée par une trentaine de médecins français a montré l’inefficacité de cette molécule. Les résultats de l’étude ont été publiés sur le site Medrxiv.org.
Les données ont été collectées auprès de quatre hôpitaux français accueillant 181 patients testés positifs au Covid-19, souffrant d’une pneumonie et nécessitant d’être oxygénés. Âgés de 52 à 68 ans, les malades de tous sexes confondus ont été divisés en deux groupes.
Pas d’influence sur la survie
Le premier comptant 84 personnes a pris de l’hydroxychloroquine dans les 48 heures suivant leur admission à l’hôpital (groupe HCQ). Les malades du second groupe (non HCQ) n’ont pas été soignés par ce médicament.
D’après les médecins, 20,2% des patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine sont décédés ou ont été transférés en réanimation dans les sept jours suivants, contre 22,1% des malades du second groupe. Comme l’écart entre les deux groupes s’avère minuscule, les chercheurs ont constaté l’absence d’efficacité de ce médicament.
Une hausse des effets indésirables
Au-delà de cette conclusion sur l’inutilité de la molécule pour la survie, le traitement par l’hydroxychloroquine aurait provoqué d'importants problèmes respiratoires et cardiaques: 27,4% des patients ont développé des syndromes de détresse respiratoire aiguë dans les sept jours après la prise de celui-ci, alors que moins de malades du groupe non-HCQ (24,1%) ont été touchés par ces complications. Huit personnes ont également arrêté de prendre de l’hydroxychloroquine en raison de troubles détectés sur leurs électrocardiogrammes.
En outre, les médecins ont noté l’importance majeure de ces résultats obtenus qui «n’encouragent pas l’utilisation de l'hydroxychloroquine chez les patients atteints d’une pneumonie due au Sars-Cov-2», vue l’inefficacité du médicament. En soulignant qu’il n’y a pas de conflit d’intérêts, ils ont cependant pointé la nécessité de traiter les résultats avec précaution.
https://fr.sputniknews.com/france/202004181043595684-une-nouvelle-etude-francaise-met-en-lumiere-linefficacite-de-la-chloroquine-contre-le-coronavirus/
Covid-19: «Administration sclérosée», décrets «imprécis», «crise du pouvoir», le réquisitoire d’un avocat de médecins
RépondreSupprimer15:02 18.04.2020
Par Maxime Perrotin
Retards, pénuries, décrets en série: depuis le début de l’épidémie Covid-19, l’exécutif a démultiplié le nombre d’acteurs intervenant dans la gestion de la crise sanitaire et semble laisser faire les Administrations, sans toutefois leur indiquer de cap. Une stratégie que dénonce auprès de Sputnik l’avocat Fabrice Di Vizio.
«Il n’y a pas de pilote dans l’avion!»
Quelques jours après l’annonce par le Président de la République d’un déconfinement progressif à partir du 11 mai, Fabrice Di Vizio, avocat spécialiste dans la défense des professionnels de santé, ne décolère pas au micro de Sputnik. Il souligne notamment l’absence apparente de plan de déconfinement concerté entre le chef de l’État et les différents acteurs de la crise dans le pays.
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«Nous avons deux semaines devant nous pour travailler à l’élaboration de ce retour», déclarait ainsi sur le plateau de France2– au lendemain de l’allocution présidentielle– le ministre de l’Éducation nationale concernant la réouverture partielle des classes. En somme, si le 13 avril, Emmanuel Macron a fixé une date de déconfinement, rien n’est finalisé concernant sa mise en œuvre.
Autre illustration de ce que l’avocat perçoit comme une incapacité de l’exécutif français à indiquer un cap, alors même qu’il s’agit de sa mission première: la réplique d’Olivier Véran à Philippe Douste-Blazy lorsque ce dernier l’appelle à mettre sans plus attendre l’hydroxychloroquine en circulation.
Dans une pétition accompagnée d’une vidéo mise en ligne le 3 avril, l’ancien ministre de la Santé, lui-même médecin, appelle le gouvernement à «ne plus perdre de temps» pour autoriser la prescription du médicament phare du protocole du professeur Didier Raoult par tous les médecins, à l’hôpital comme en ville.
Dès le lendemain, Olivier Véran intervient devant les médias, «furieux» de la sortie de son prédécesseur, pour ce que Voici qualifie de «recadrage». Le ministre déclare alors que «ce n’est pas une décision que l’on prend seul». Un terrible aveu de faiblesse aux yeux de Fabrice Di Vizio, qui prouverait qu’Olivier Véran «ne gère rien» et «n’a aucun pouvoir»:
«Cela traduit une crise du pouvoir en France, une faiblesse institutionnelle majeure», estime Me Di Vizio. «Le Premier ministre est le grand absent de cette affaire, il ne dirige pas l’action du gouvernement», estime-t-il.
Durant ce «recadrage» devant les caméras, le ministre de la Santé reviendra également sur la polémique suscitée par la pénurie de masques, qui fait déjà rage depuis plusieurs semaines. Un point qui tient particulièrement à cœur à Fabrice Di Vizio qui, représentant le collectif de soignants «C19». Après avoir engagé des poursuites à l’encontre d’Agnès Buzyn et d’Édouard Philippe devant la Cour de Justice de la République (CJR) pour leurs manquements dans la gestion de la crise sanitaire, C19 a demandé des comptes à Olivier Véran précisément sur cette épineuse question des achats de masques par l’État.
Il faut dire que la première commande de 250 millions de masques à la Chine n’a été annoncée que le 21 mars, un mois jour pour jour après le premier décès du Covid-19 constaté dans un hôpital français. Face aux caméras, Olivier Véran avance que les usines de masques en Chine étaient fermées en janvier à cause de l’épidémie qui y sévissait et que malgré tout, la France étant «en lien» avec ces dernières avant même qu’elles ne rouvrent leurs portes. Pour l’avocat, les raisons du retard pourraient être toutes autres… notamment budgétaires.
RépondreSupprimer«L’État veut les acheter à 80 centimes, sauf que ce n’est pas le prix du marché. Vous les trouvez à ce prix-là, mais il faut les chercher longtemps.»
L’avocat avance en effet une fourchette de prix entre 1,8 et 2 euros le masque FFP2, celui qui répond à la norme de protection nécessaire pour les soignants et autres personnes confrontées à de possibles porteurs du virus. Il voit ainsi un lien entre ces masques achetés moins cher que les prix du marché et les défauts constatés sur certains arrivages en provenance de Chine. Une autre raison qu’avance Di Vizio est qu’en temps de crise, il est nécessaire d’envoyer directement en Chine un «émissaire» afin de s’assurer de la bonne prise et conduite des commandes. «Les Américains et les Allemands l’ont fait, nous on n’a personne», fustige-t-il. Notons que début avril, on apprenait par L’Express que les Américains rachetaient «trois fois le prix» aux Chinois les masques commandés par la France…
«On va à une catastrophe», conclut l’avocat, qui rappelle qu’en France, en semaine 15, aucun masque FFP2 n’a pu être envoyé aux pharmacies à destination des professionnels de santé, faute de stock. Autre point qui l’agace particulièrement concernant les masques, la rhétorique déployée sur les plateaux télévisés depuis le discours d’Emmanuel Macron concernant les mérites des masques dits «grand public», ces protections en tissu qui devraient être distribuées à la population d’ici le début de ce déconfinement annoncé. «Ça n’existe pas, les masques grand public», assène-t-il, rappelant les nombreuses études qui statuent sur leur manque d’efficacité face à d’autres virus, tels que celui de la grippe, pourtant bien moins contagieux que le SARS-CoV-2.
Indiquant recevoir «chaque semaine» des demandes d’industriels étrangers ne parvenant pas à vendre des masques sur le sol français, Di Vizio souligne que l’importation de masques «est permise», la réquisition ne restant «possible» qu’au-delà de 5 millions de masques. «Il faudrait permettre aux grossistes-répartiteurs de vendre les masques à la population», estime-t-il. Cependant, ce qui pose problème est l’interprétation que le gouvernement et le Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens (CNOP) font de ces décrets particulièrement «imprécis». S’ajoute à cela un paramètre de dimension purement politique qui vient aggraver la crise.
«Le problème, c’est qu’ici, ce n’est pas concevable de vendre des choses en temps de crise. Le jour où vous vendez des masques, vous avez la France insoumise, vous avez le Parti communiste, vous avez le Parti socialiste qui vous tombent dessus pour vous dire que c’est l’exploitation du malheur du monde. Et donc, l’État cherche absolument à vouloir centraliser ça et à garder la main pour pouvoir distribuer les masques à la population.»
Et ceux qui seraient les plus à même d’assurer cette tâche sont les pharmaciens. Récemment encore, l’un d’entre eux, Bruno Fellous, se plaignait auprès de Jean-Marc Morandini qu’un décret lui interdise de vendre et même d’acheter des masques.
Face à «l’absence de réponse de l’État» à leur demande de «règles claires» sur la distribution des masques, Federgy (chambre syndicale des groupements et enseignes de pharmacie) et l’UDGPO (Union des groupements de Pharmaciens d’officine) avaient ainsi appelé le 15 avril, dans un communiqué commun, leurs 11.000 officines affiliées (soit la moitié des pharmacies en France) à débuter le jour même la «commercialisation» des masques auprès du public. Après le passage en force, la machine arrière? Dès le lendemain, un autre communiqué paraissait. Ce dernier faisait part d’un échange avec le CNOP et n’appelle plus qu’à s'approvisionner en masques en vue de commencer à les «distribuer la semaine prochaine, dans le respect de la législation actuelle».
RépondreSupprimerDi Vizio évoque également le cas des visières de protection, offertes par des industriels aux personnels de certains établissements:
«L’hôpital a dit à son personnel qu’il ne pouvait pas s’approvisionner par des filières personnelles, qu’il fallait passer par une filière de l’ARS, affirme l’avocat. Sauf que le problème, c’est qu’il n’y a pas de filière de l’ARS! Donc le personnel n’a plus le droit d’utiliser les visières données par l’entreprise.»
Chercherait-on trop en France à trop centraliser la gestion de la crise ? Le parallèle est souvent dressé avec l’Allemagne pour expliquer en partie sa bonne gestion de la crise. «On vous parle de centralisation, mais c’est à moitié vrai», tranche Fabrice Di Vizio, qui, au passage, vante la compétence de certains gouverneurs aux États-Unis, de länder en Allemagne, lesquels «règlent le problème», et de certaines régions en Italie «gérées par des gens extrêmement compétents».
«On vous parle de centralisation, mais c’est à moitié vrai»
En France, si l’on «n’a jamais eu autant d’acteurs que dans cette crise», on en revient au manque criant de coordination: «on a créé des échelons intermédiaires où chacun ne discute pas avec l’autre», regrette le représentant de professionnels de la santé.
En guise d’exemple, l’avocat revient sur l’apparition dans le paysage médiatique de Jean Castex, haut fonctionnaire et dont le nom a été évoqué pour la première fois dans cette crise par Édouard Philippe le 2 avril. Dépeint comme «redoutable d’efficacité» par le chef du gouvernement, celui-ci serait en charge de la gestion du confinement.
«Je croyais qu’il y avait un ministre, un directeur général de la Santé, un conseil scientifique, un Haut comité de santé publique, une cellule de crise, Santé publique France, un deuxième conseil que Macron a rajouté. Donc tout ça ne suffit pas, il faut qu’on ait en plus un haut fonctionnaire qui vienne faire la stratégie de déconfinement», fulmine Me Di Vizio.
L’avocat dresse un parallèle entre le manque de réactivité d’une administration «sclérosée» et le monde de l’entreprise, dont la capacité d’adaptation dans l’urgence est l’essence même, pour dresser un bilan sévère. À ses yeux, si l’Administration française s’avère être plus un poids mort qu’une aide pour tous ceux qui luttent au quotidien contre la pandémie, c’est avant tout parce que personne ne la canalise, ne lui indique de cap. «On n’est pas capable d’avoir une urgence de réaction», regrette l’avocat, qui rappelle que c’est au gouvernement de jouer ce rôle de pilote.
«Le gouvernement est comme un moustique aveuglé par la lumière. Dans cette crise, je crois que l’on a besoin de deux choses: d’une projection et d’une réaction –de penser les choses et de les mettre en œuvre urgemment– les deux choses pour lesquelles l’Administration n’est pas conçue.»
https://fr.sputniknews.com/france/202004181043593736-covid-administration--decrets-crise-pouvoir-requisitoire-avocat/
Le nombre réel de cas de coronavirus serait plus de 50 fois supérieur aux chiffres annoncés, selon des chercheurs US
RépondreSupprimer12:26 18.04.2020
Après avoir testé plus de 3.000 bénévoles du nord de la Californie sur la présence d'anticorps contre le coronavirus dans leur sang, des chercheurs américains estiment que le nombre de contaminations est largement supérieur à celui rapporté par le bilan officiel.
Le nombre de personnes infectées par le coronavirus pourrait être des dizaines de fois supérieur à celui rapporté par le bilan officiel, indiquent les résultats d’une étude pas encore certifiée publiés le 17 avril sur le site medRxiv.
Menée par des chercheurs de l’Université de Stanford, de l’Université de la Caroline du Sud, de l’association Health Education is Power, de l’entreprise Compliance Resource Group, de l’entreprise Bogan Associates, du laboratoire ARL Bio Pharma et du laboratoire Sports Medicine Research and Testing Laboratory, cette étude s’est basée sur l'analyse des données du comté de Santa Clara dans le nord de la Californie, l'un des centres de propagation du coronavirus. Les chercheurs ont testé 3.330 bénévoles locaux sur la présence d'anticorps contre le Covid-19 afin d'évaluer combien de personnes auraient pu contracter le virus sans même le savoir.
Selon leurs conclusions, 2,5% à 4,2% de la population locale pourraient avoir des anticorps contre le coronavirus, ce qui indique qu'ils auraient pu être porteurs de la maladie.
«Ces estimations de prévalence représentent une fourchette comprise entre 48.000 et 81.000 personnes infectées dans le comté de Santa Clara au début du mois d'avril, soit 50 à 85 fois plus que le nombre de cas confirmés», indiquent les chercheurs dans leur étude.
Le taux de mortalité serait plus faible
Crise économique du coronavirus: vers la «mère de toutes les récessions» ?
L'un des auteurs, Jay Bhattacharya de l'Université de Stanford, a déclaré le 18 avril dans une interview à CNN que cette étude pourrait également donner une idée plus réaliste de la gravité du Covid-19.
Selon lui, s'il y a vraiment beaucoup plus de contaminations par le coronavirus que ce qui est enregistré par le bilan officiel, le taux de mortalité par le Covid-19 pourrait alors être proportionnellement plus faible que ce qui est maintenant annoncé.
Point sur la pandémie
À ce jour, la pandémie de coronavirus a déjà tué plus de 154.000 personnes dans le monde, dont près des deux tiers en Europe, indique le bilan de l’Université de Johns-Hopkins. Au total, plus de 2.200.000 de personnes ont été infectées par la maladie.
https://fr.sputniknews.com/international/202004181043593514-le-nombre-reel-de-cas-de-coronavirus-serait-plus-de-50-fois-superieur-aux-chiffres-annonces-selon/
Nouvelles « contrariennes » du coronavirus
RépondreSupprimerle 18 avril 2020
Ici à Santa Cruz de Tenerife les rues sont désertes, même les pigeons sont tristes : il n’ont plus rien à se mettre dans le bec puisque tous les restaurants avec terrasses sont fermés depuis 5 semaines ce lundi prochain. J’ai remarqué qu’un grand nombre de ces volatiles que j’exècre a disparu, morts (du coronavirus ou de faim ?) ou ayant choisi d’aller se nourrir dans les montagnes qui entourent la ville. Beaucoup de madrilènes et de parisiens ont fait de même …
Une nouveauté : à l’entrée des supermarchés dans lesquels on ne peut pénétrer sans masques et sans gants, une jolie jeune fille vérifie la température des clients avec un thermomètre infra-rouge. J’ignore ce qui m’arriverait si j’avais une crise de malaria. Des rumeurs font état d’un lever du blocus imposé aux libertés individuelles très prochainement car il n’y a plus de nouveaux cas ni de morts depuis une semaine selon ce que ma vendeuse de fromage français m’a dit. Je croise les doigts !
Le confinement de la totalité de la population est une pratique moyenâgeuse qui était mise en place lors des épidémies de peste. Nous n’en sommes plus là mais il semble que les politiciens ont réagi avec leur cerveau reptilien devant la peur sans se préoccuper un seul instant des conséquences désastreuses de leurs décisions. De plus, clamant qu’il faut atteindre une immunité de groupe pour vaincre l’agression virale, ce n’est certainement pas en confinant toute la population qu’on pourra espérer arriver à un tel résultat. Des informations fusant de toutes parts indiquent que la mortalité provoquée par le coronavirus millésime 2019 (car il y en aura d’autres versions) est considérablement surestimée. Par exemple en Belgique seulement 25 % des personnes pensionnaires de maisons de retraite décédées ces dernières semaines avaient été testées positives au coronavirus. Il est vraisemblable que cette donnée soit exactement la même dans d’autres pays.
Cette information qui n’a naturellement pas fait la une des canaux d’information « main-stream » – c’est dérangeant – devrait intéresser au plus haut point les journalistes d’investigation dignes de ce nom : pourquoi les statistiques sont ainsi manipulées et dans quel but ? Il semble de plus en plus évident que l’amplification de la « terreur coronavirale » répond à un dessein caché au grand public. Comme l’expose clairement Valérie Bugault (lien et illustration) si le réchauffement climatique a été un coup d’épée dans l’eau pour la grande finance apatride qui veut établir un gouvernement mondial forcément totalitaire – cette grande finance anonyme ne doit probablement pas croire au réchauffement du climat – alors le nouveau virus vient à point nommé pour tenter à nouveau de prendre le contrôle de la planète. Je ne suis pas un adepte des complots mais le discours de Valérie Bugault apporte quelques éléments de réponse à la question : à qui profite le crime du confinement ? Suite dans un prochain billet. Lien :
https://strategika.fr/2020/04/01/geopolitique-du-coronavirus-entretien-avec-valerie-bugault/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/18/nouvelles-contrariennes-du-coronavirus/
Géopolitique du coronavirus I – entretien avec Valérie Bugault
RépondreSupprimer1 avril 2020
Strategika
Au cœur d’une crise mondiale inédite par son ampleur, Strategika vous propose l’éclairage d’analystes et de penseurs reconnus dans leur domaine d’expertise. Nous avons posé à chacun une série de questions qui portent sur les différents aspects de cette véritable crise de civilisation ainsi que sur ses répercussions politiques, géopolitiques et sociales.
La première à nous répondre est Valérie Bugault.
Valérie Bugault est docteur en droit privé de l’université Panthéon-Sorbonne et avocate. Depuis 2009, elle a cessé ses activités d’avocate pour se consacrer à la diffusion auprès du public du résultat de ses nombreux travaux de recherches. Elle est aujourd’hui analyste de géopolitique (économique, juridique et monétaire) et conférencière. Ses sujets de recherche sont les institutions – nationales et internationales – la monnaie, l’entreprise, le droit et le fonctionnement de l’économie globale.
Elle est auteur de quatre livres, récemment publiés aux éditions Sigest :
– « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », co-écrit avec feu Jean Rémy, publié en juin 2017
– « La nouvelle entreprise », publié en juillet 2018
– « Les raisons cachées du désordre mondial », recueil d’articles, publié le 30 mars 2019
– « Demain dès l’aube… le renouveau », publié en septembre 2019
Strategika – On lit beaucoup d’éléments contradictoires selon les différentes sources d’information disponibles ou selon les avis des professionnels de la santé. Quelle est la réalité effective de cette pandémie selon vous ?
VB : Comme le dit très bien notre ami Lucien Cerise, il faut distinguer entre la réalité sensible dans le monde réel et la narration des faits qui est diffusée.
Voici, textuellement, ce qu’il dit :
« En France, et plus largement en Occident, la crise sanitaire du coronavirus présente un cas pratique d’ingénierie sociale et de gouvernance par le chaos. Nous retrouvons la même structure qu’avec la « menace terroriste » : un mélange de réel et de fiction, combiné à deux stratagèmes bien connus qui sont 1) le pompier pyromane et 2) le triangle de Karpman. Sur le mélange réel/fiction, souligné dans son dernier livre par le professeur Raoult – qui se fait le disciple occasionnel de Jean Baudrillard : les partisans du « tout réel » ont tort, les partisans du « tout fiction » ont tort. Exemple : ce n’est pas parce que la « version officielle » de la crise coronavirus est fausse qu’il n’y a pas d’épidémie ; de même, ce n’est pas parce que la « version officielle » des attentats terroristes est fausse que les attentats n’ont pas lieu. Des événements ont lieu, et c’est la narration explicative qui est fausse, pas les événements en eux-mêmes. L’analyse de la crise actuelle révèle aussi l’application des techniques du pompier pyromane et du triangle de Karpman, c’est-à-dire le jeu de rôles bourreau/victime/sauveur. Le pouvoir laisse la situation de crise s’installer, voire l’aide à s’installer, volontairement ou involontairement. Dans le réel, le pouvoir occupe donc la place du pyromane, donc du bourreau. Puis, une fois que la crise est installée et en cours, le pouvoir se présente comme le sauveur, qui va donc nous sauver de la crise qu’il a lui-même installée furtivement, tel un pompier qui éteindrait l’incendie après l’avoir lui-même allumé discrètement. »
Nous sommes face à une sorte de dissonance cognitive globale parce que les phénomènes auxquels nous sommes confrontés reçoivent une ou plusieurs explications officielles partielles (dans le meilleur des cas), contradictoires et/ou erronées qui ne permettent pas un accès intellectuel à l’ensemble du phénomène. En réalité, la méthodologie suivie dans la couverture de cette crise du coronavirus est similaire à celle qui nous est imposée d’une façon générale pour orienter les processus intellectuels : un séquençage (puisque le mot est désormais à la mode) ou un émiettement des connaissances, une sorte de fordisme appliqué à toute l’échelle des connaissances. A cela s’ajoute un autre phénomène d’émiettement et d’isolement des populations : les milieux médicaux fréquentent peu ou pas d’autres milieux, chacun restant dans son pré carré par l’organisation même de la société. Ainsi, les constats et la vie que mènent les uns sont quasi hermétiques aux constats et à la vie que mènent les autres, leurs seuls points de contact étant leur façon (directe ou indirecte) de consommer.
RépondreSupprimerAinsi, nous recevons des retours en provenance du corps médical, d’autres en provenance d’organisations internationales, d’autres en provenance des différents pays du monde. D’autres sources d’informations sont inhérentes à la structuration de notre propre gouvernement (décret, lois…), d’autres sources d’informations encore proviennent de médias dits indépendants qui contredisent partiellement ou totalement les sources précédentes…
Finalement, pour y voir clair, il faut et il suffit de remettre de l’ordre, c’est-à-dire qu’il faut hiérarchiser et contextualiser les phénomènes ; encore faut-il que cette hiérarchisation soit pertinente.
Dans l’ordre nous avons : l’apparition peu préparée d’un virus en Chine, pays qui connaît historiquement cette typologie de virus. Ensuite, une série de nouvelles alarmistes en forme d’hécatombe. Ensuite, bien sûr, le virus se répand sur la surface du globe pendant que l’on apprend que la Banque mondiale (que je ne présente plus) avait prévu, dès 2017, des « bonds spécifiques aux pandémies ». Ensuite une litanie de pays touchés et d’innombrables populations confinées pour, prétendument, lutter contre la propagation dudit virus. Pendant que les « morts » se multiplient et que les services hospitaliers étouffent littéralement sous cette affluence de gens à détecter ou à traiter.
Le tout se produisant dans un contexte géopolitique très particulier où la puissance économique chinoise, aujourd’hui arrivée à maturité, s’est alliée à la puissance militaire russe pour contrer l’hégémonie américaine et Cie.
Ce qui n’est pas dit dans ce tableau est pourtant l’essentiel : les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce que j’appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City of London. En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
Si l’on veut bien prendre en compte l’ensemble de ces éléments, un tableau assez clair se dessine.
Dans ce tableau, d’un côté apparaît un virus très contagieux et qui devient dangereux lorsqu’il se fixe dans les poumons et les voies respiratoires. Les patients, à ce stade, n’ont quasi plus de virus dans le corps et il devient inutile de leur appliquer le traitement préconisé par le Professeur Didier Raoult, comme ce dernier l’indique très clairement lui-même. Hormis ces cas de complications qui, apparemment ne sont pas si rares que ça, ledit virus est relativement anodin, il procure des symptômes plus ou moins gênants mais ne met pas en jeu de prognostique vital des patients infectés. Didier Raoult, professeur français spécialiste mondialement réputé en virologie et infectiologie, a émis des hypothèses de travail qui ont été confirmées par des spécialistes chinois ayant eu à traiter le virus et par un professeur Sénégalais (Pr. Seydi) qui a eu à affronter le virus Ebola et qui est, à ce titre, reconnu comme une sommité dans son domaine. Le traitement préconisé ne coûte pas cher (car les brevets très anciens sont tombés dans le domaine public) ; il n’est pas efficace à 100 % en fonction, notamment, du moment tardif ou non où il a été administré. Voilà, pour l’essentiel, ce qu’il importe de retenir.
RépondreSupprimerDe l’autre côté du tableau, on a des médecins stipendiés (la plus en vogue actuellement est la sulfureuse Karine Lacombe qui sévit sur les grandes ondes et est multi stipendiée des lobbies pharmaceutiques) ainsi que tout l’appareil d’Etat et les corps constitués (Inserm…), tous reliés, de près ou de loin, aux lobbies pharmaceutiques qui sont montés aux créneaux pour disqualifier les travaux des éminents spécialistes décrits ci-dessus. Sans oublier le fait que la campagne présidentielle de Macron a été partiellement financée par Big Pharma.
En outre, je ne fais qu’effleurer rapidement, car l’énumération en serait vraiment trop longue, toutes les décisions politiques actuelles prises en opposition ouverte à l’objectif officiel d’enrayement de l’épidémie, qui passent par la classification début 2020 d’un médicament en vente libre depuis des décennies en substance vénéneuse, par le refus d’octroyer des autorisations administratives à des chercheurs proposant des tests pour détecter l’infection au coronavirus, par le refus de l’aide proposée par des industriels pour la fabrication de respirateurs… Ajoutons à cela, pour compléter le tableau, la déconstruction méthodique du service de santé publique, allant de la liquidation des stocks de matériels aux restrictions de lits et de personnels hospitaliers, aggravée depuis la présidence Sarkozy.
Cette crise sanitaire laisse ainsi apparaître les véritables acteurs politiques cachés derrière les oripeaux étatiques ! On perçoit, aujourd’hui mieux qu’hier, que l’Etat est tenu par des intérêts privés qui préconisent des remèdes très coûteux, voire peu efficients, en attendant le futur vaccin obligatoire. Sur la ligne d’arrivée pour gagner le cocotier des contrats publics et privés de commandes massives de vaccins : Johnson & Johnson qui annonce ce 31 mars qu’il sera prêt à tester son premier vaccin dès septembre 2020 ! D’autres laboratoires restent bien évidemment en lice pour la cagnotte du futur vaccin…
Il faut toutefois savoir deux choses. Premièrement, tous les vaccins rapidement fabriqués se sont historiquement révélés peu efficaces et même dangereux pour la santé humaine. Deuxièmement, un vaccin contre un virus par hypothèse mutant, comme l’est le coronavirus, a très peu de chance d’être efficace. Ce problème est aggravé par le fait que la maladie Covid-19 met en cause plusieurs souches différentes, dont l’une d’elle se subdivise encore en plusieurs variantes.
En conclusion, si les pouvoirs publics voulaient effectivement enrayer l’épidémie, ils décideraient de traiter, à moindre coût qui plus est, un maximum de gens en amont, comme le préconise le Dr. Raoult et d’autres grands spécialistes du monde entier. Cette aune du traitement médical préventif massif est la mesure exacte de l’honnêteté du gouvernement français.
En d’autres termes, si le gouvernement était honnête, il ne prendrait pas l’option dilatoire actuelle consistant à mettre tous les obstacles en place pour que les gens ne soient pas massivement traités selon les préconisations du Pr. Raoult ; pendant que les mesures de confinement ciblées sur les populations locales les plus normées deviennent de plus en plus rigoureuses alors même que ces mesures excluent les populations rebelles situées dans les zones de non droit, et les camps de migrants.
RépondreSupprimerPar ailleurs, notons que le gouvernement français, qui a également récemment, sur préconisation de l’ONU, vidé massivement et prématurément les prisons de prisonniers de droit commun (ce qui a fait l’objet d’un communiqué officiel de professionnels de la magistrature), punira d’emprisonnement les contrevenants multirécidivistes qui auront dépassé leur heure de promenade quotidienne autorisée, qui auront dépassé leur périmètre de promenade autorisée, ou qui auront oublié leur laisser-circuler…
On se rend bien compte ici de deux choses :
Que la volonté affichée de protéger les populations cache une volonté sournoise de les mettre en état de choc et de les surveiller massivement ;
Que l’anarchie sociale en cours de développement, est consciencieusement organisée par les pouvoirs publics eux-mêmes, sous le faux prétexte d’enrayer une épidémie.
Strategika – Cette pandémie précède-t-elle un effondrement économique et systémique ?
Plus de 3 milliards de personnes sont appelées à se confiner dans le monde. Pour la première fois de son histoire, l’humanité semble réussir à se coordonner de manière unitaire face à un ennemi global commun. Que vous inspire cette situation ?
Cette pandémie va-t-elle forcer l’humanité à se doter d’un gouvernement mondial comme le préconisait Jacques Attali lors de la pandémie de grippe A en 2009 ? En 2009 toujours, Jacques Attali expliquait que « l’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur ». Que vous inspire cette idée ?
VB : Effectivement, de multiples informations montrent que l’existence d’une pandémie était prévue, pour ne pas dire attendue, par un certain nombre d’institutions et de personnages, au premier rang desquels on peut citer, pèle mêle, la fondation Bill et Melinda Gates, le centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire, le Forum économique mondial, l’OMS, la Banque mondiale, Jacques Attali, le magazine « The Economist » (année 2019 et 2020) … Avec le britannique Gordon Brown qui appelle ouvertement à la constitution d’un gouvernement mondial pour faire face à cette pandémie de coronavirus.
Nous faisons donc globalement, ou mondialement, si vous préférez, face à une situation inédite dans l’histoire, dans laquelle un petit groupe de gens, cachés derrière l’anonymat des capitaux et des institutions internationales et menés par quelques banquiers privés, organisent des chocs ou tirent parti de chocs afin de faire avancer leur agenda global de prise de contrôle politique du monde en instituant un « gouvernement mondial ».
Pour réaliser ce gouvernement mondial, il faut avoir préalablement développé, chez les individus en général et chez les dirigeants politiques en particulier, le sentiment de la nécessité d’une régulation des évènements à l’échelle globale. Une pandémie est en effet le phénomène qui répond le mieux à ce type de besoin. Dès le départ, on peut et on doit suspecter une manipulation.
Par ailleurs, il devient en effet de plus en plus évident que ce coronavirus résulte de la combinaison, aidée, de deux virus naturels, combinaison qui aurait malencontreusement fuité d’un ou de plusieurs laboratoires. Nous ne saurons probablement jamais le véritable déroulement des évènements ayant abouti à la dissémination de ce type de virus.
RépondreSupprimerEnsuite, et en raison de l’homogénéisation de la réponse politique apportée à cette crise sanitaire par différents pays, il est tout à fait nécessaire que les citoyens victimes aiguisent leur vigilance et se tiennent sur leur garde car la manipulation devient évidente dans le contexte de privatisation généralisée des Etats.
Toutefois, on ne saurait trop insister sur l’impérieuse nécessité de discriminer les informations reçues. Ainsi, à titre personnel, je ne pense pas qu’il faille mettre sur un même plan la réponse politique chinoise et la réponse politique des pays européens.
D’une part, il ne faut pas oublier que la Chine, actuel opposant victorieux à l’hégémonie économique du bloc de l’ouest sous l’égide de l’OTAN, a été le premier pays attaqué par ce virus.
D’autre part, les dirigeants chinois ont publiquement incriminé les GI’s américains dans la propagation du virus sur leur territoire.
Enfin, il faut se souvenir qu’aux USA, se sont produits, courant 2019, deux évènements extrêmement importants qui peuvent aisément être corrélés :
Une sorte d’épidémie pulmonaire grave avait été mise sur le dos des fabriquants de cigarettes électroniques et
Un laboratoire (Fort Detrick) a dû être fermé (Trump vient d’ailleurs récemment d’ordonner sa réouverture pour lutter contre le coronavirus !), durant l’été 2019, pour cause de fuites.
Il devient assez loisible d’imaginer que les conséquences de cette fuite de matériel bactériologique, volontaire ou non (nous ne le saurons jamais), a été artificiellement endossée par le puissant lobby du tabac – ce qui lui a permis d’éliminer un concurrent inoffensif naissant mais menaçant (l’industrie de la cigarette électronique) – avec la bénédiction des instances gouvernementales qui ont ainsi évité d’avoir à rendre des comptes publics.
Par ailleurs, il faut absolument toujours conserver à l’esprit que les gouvernements officiels sont privatisés mais que même dans ce cas de figure, il y a quantité de gens qui œuvrent quotidiennement dans ces structures et qui ne sont pas eux-mêmes corrompus. Ainsi, même en cas de fuite bactériologique issue d’un laboratoire secret on ne peut pas être sûr que cette fuite soit volontaire ; des individus infiltrés et aux ordres directs des puissances financières peuvent très bien avoir organisé ces fuites à l’insu de leurs collègues.
Par ailleurs, je voudrais revenir sur l’existence des laboratoires secrets de recherche bactériologiques. Il faut comprendre que le problème se pose dans les mêmes termes qu’il s’est déjà posé en matière d’armes nucléaires : beaucoup de pays disposent légitimement de ce type de laboratoires sans qu’il soit question de les utiliser à des fins offensives. De la même façon, beaucoup de pays disposaient et disposent de l’arme nucléaire, tandis que très peu les ont utilisées à des fins offensives. Nous connaissons par ailleurs depuis longtemps la propension des puissances anglo-saxonnes et de leurs affiliés à cibler les populations civiles, qui n’ont, à vrai dire, à leurs yeux, aucune espèce d’importance et seraient plutôt considérées comme étant surnuméraires (voir les Georgia Guidestones, les travaux du « Club de Rome », et ceux de tous leurs descendants).
A ma connaissance, la puissance chinoise n’a jamais utilisé de façon offensive ni la bombe nucléaire, ni toute autre arme de destruction massive. En revanche, les USA, et leurs affiliés, n’ont plus de preuves à apporter quant à leur capacité à utiliser ce type d’armes pour viser, en particulier (c’est devenu une sorte de spécialité) les populations civiles.
RépondreSupprimerUne fois ces préalables explicités et le contexte rétabli, il devient possible de répondre à votre première question.
En effet, la mise en confinement des gens bien-portants porte un coup d’arrêt brutal à l’économie des pays. En fonction de la durée du confinement, ces pays, surtout lorsqu’ils sont endettés, ne pourront que très difficilement s’en remettre. Cette remise sur pied devra, à l’évidence, s’accompagner d’une remise en cause de leur fonctionnement interne. Par ailleurs, les bienfaits abondamment claironnés de la globalisation économique, qui a rendu chaque pays dépendant des autres, reçoivent, eux aussi, un énorme démenti par cette crise sanitaire qui rend visible l’extrême dénuement industriel des pays dits développés, lesquels ne sont plus autosuffisants en quoi que ce soit. On peut en effet en déduire, sans risque d’erreur, qu’il y aura un « avant la crise du coronavirus » et un « après la crise du coronavirus ».
Nous sommes collectivement sur une ligne de crête et les choses peuvent basculer, en fonction de la capacité de réaction des citoyens, soit dans le sens du globalisme intégral avec gouvernement mondial, soit dans celui d’une reprise en main politique des pays par leurs ressortissants.
Strategika – Comment voyez-vous l’évolution de la pandémie et ses conséquences politiques et sociales dans les semaines et les mois à venir ?
VB : Soit les citoyens cèderont à la peur, soit ils réfléchiront et comprendront que la peur est elle-même entretenue de façon contrôlée par leurs dirigeants qui prennent toutes les décisions permettant au coronavirus de se propager en toute tranquillité, ou plutôt, en toute facilité. C’est ainsi, qu’ils refusent à leur population l’accès aux soins et médicaments utiles à l’endiguement du processus de contamination pendant qu’ils mettent les gens en confinement suffisamment longtemps pour pouvoir leur imposer – il s’agit ici de la mise en œuvre de la « servitude volontaire » – un futur vaccin miracle. Ce vaccin, outre son prix financier, sera sans doute agrémenté de sels d’aluminium (qui est devenu l’adjuvant obligatoire), d’arn messagers (qui permettront de faire, in vivo et à grande échelle, des expériences génétiques sur le génome humain), et surtout de puce RFID, qui permettront à tout un et chacun de recevoir ses rémunérations et d’avoir accès à son compte en banque.
Cette étape de la vaccination obligatoire sera tout à fait décisive pour assurer aux globalistes (banquiers, big pharma et consorts) le contrôle direct sur les populations. Chaque personne devra ainsi obéir sous peine de se voir retirer l’accès à tous ses moyens de subsistances. Etant ici précisé qu’en raison de l’effondrement économique, il est fortement à craindre que les moyens de subsistances ne soient in fine aucunement reliés à un travail individuel productif mais plutôt à un subside universel reçu de l’Etat fantoche entièrement aux ordres des puissances financières.
Strategika – Existe-t-il une issue politique à la situation que vous venez de décrire et quelle forme pourrait-elle prendre selon vous ?
VB : Il faut partir du principe naturel que chaque problème a une solution à la condition exclusive d’être bien posé. Dans le cas présent, bien sûr qu’il existe des issues politiques à ce problème, je dirai même que les seules issues favorables sont de nature politique au sens propre du terme. Autrement dit, seule une reprise en main politique de l’organisation des Etats par leurs ressortissants pourra aboutir à une issue favorable aux populations. Sinon, nous assisterons au basculement général souhaité par l’oligarchie supranationale vers un gouvernement mondial aux mains des puissances financières, les populations étant vouées à être fortement réduites puis mises en esclavage, pour la partie qui aura survécu.
RépondreSupprimerJ’ai, dans mes travaux, expliqué comment la Société pourrait être réorganisée pour devenir réellement politique, c’est-à-dire pour que les ressortissants des Etats puissent devenir acteurs à part entière des choix politiques de leur pays. Il suffit de consulter la partie « Le renouveau institutionnel » situé page 278 et suivantes de mon ouvrage « Les raisons cachées du désordre mondial », publié en mars 2019 aux éditions Sigest. Je ne reviendrai pas ici sur ce sujet qui requiert des développements trop long. Ces développements seront peut-être l’occasion d’un nouvel entretien pour Strategika ?
Strategika – Comment liez-vous la crise actuelle à votre domaine d’expertise et à votre champ de recherche ?
VB : En vérité, cette crise est liée à mes travaux à plusieurs égards. J’ai mentionné, ci-dessus, la question institutionnelle d’organisation des Etats. Mais ce n’est en effet pas le seul lien. L’autre lien très important est relatif aux évolutions en cours de la monnaie mondiale.
J’ai déjà expliqué à maintes et maintes reprises que le Brexit, dont on peut se féliciter en apparence, avait été initié par les banquiers de la City afin d’avoir toute liberté d’action, en étant libérés des lourdeurs institutionnelles de l’UE, pour piloter le changement de monnaie mondiale.
Comme prévu par Keynes au siècle dernier, le dollar, sous la double casquette de monnaie nationale et de monnaie mondiale, n’était, dès le départ, économiquement pas viable. Ainsi, sa fin prévisible pouvait être programmée. Elle a eu pour première étape sa décorrélation du standard or tandis que la seconde étape, à laquelle nous assistons en direct, est sa décorrélation du standard pétrole qui avait succédé au standard or.
Actuellement, la plupart des pays du monde sont convaincus de l’inanité de conserver le dollar comme monnaie de réserve internationale. Trump lui-même passe à l’action puisqu’il vient de prendre des mesures pour fusionner la Fed et le département du Trésor dans l’objectif de créer, sur le modèle du Yuan et du Renmibi, deux types de dollar : un dollar interne et un dollar devise qui circulera sur les marchés internationaux. Le reset monétaire approche donc à grands pas. Ainsi, une monnaie mondiale viable, contrôlée par les banquiers il va sans dire, pourra bientôt voir le jour, sous forme de panier de devises, qui circulera de façon entièrement dématérialisée.
Je ne détaillerai pas ici – car les développements y seraient trop longs – l’escroquerie bancaire originelle ayant consisté à identifier la monnaie avec un bien matériel (au départ un métal précieux) dans le commerce. Toute une histoire, que je raconte dans mon livre, co-écrit avec le banquier Jean Rémy, intitulé « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », publié en juin 2017 aux éditions Sigest.
J’ajoute que la fin du dollar en tant que monnaie internationale est la condition sine qua non pour qu’advienne une monnaie mondiale viable, du moins selon les critères de fonctionnement économiques et monétaires imposés par les banquiers internationaux. Or, la fin du dollar monnaie mondiale suppose la fin de l’hégémonie de l’empire américain. Dès lors, il devient facile de comprendre que certains membres décisionnaires de cet empire se sont violemment opposés, et s’opposent encore violemment, à ce projet qui aboutira à une disparition de leurs situation dominante. Cette partie des dirigeants américains qui se rebellent peut être qualifiée de patriote, il s’agit des gens qui étaient ouvertement impliqués dans la domination du monde par les américains eux-mêmes. A l’opposé, ces derniers ont pour pires ennemis internes les globalistes apatrides, dont la tête se situe à la City of London, et qui œuvrent en sous-mains pour l’avènement d’un gouvernement mondial, lequel suppose la disparition de l’empire US.
RépondreSupprimerCette distinction, essentielle à la bonne compréhension des choses, entre dirigeants patriotes et dirigeants apatrides existe également en Chine et en Russie où, par exemple, le gouvernement civil semble dirigé par les partisans des globalistes apatrides tandis que l’armée semble aux mains des dirigeants patriotes, Putin faisant la jonction entre les deux factions opposées. Concernant la Chine, il faut garder à l’esprit le considérable nettoyage ayant eu lieu depuis des années, y compris dans les plus hautes instances dirigeantes, pour purger l’appareil d’Etat des élites compradores, lesquelles peuvent être reliées aux dirigeants apatrides siégeant à la City of London. Cette opposition entre dirigeants patriotes et dirigeants compradores existe également dans des pays comme l’Iran.
Ainsi, dans cette lutte de nature géopolitique, structurée autour des questions juridiques d’organisation du circuit de commandement, rien ne me semble encore acquis ni pour un camp, ni pour l’autre. Il est néanmoins possible de faire la prévision selon laquelle la victoire serait écrasante pour les patriotes, à la condition que ces derniers s’allient avec leur population et ne cherchent pas à la dominer, comme cela leur a été inculqué par leurs anciens alliés compradores.
Rien ne résisterait à l’alliance entre dirigeants patriotes et populations locales. C’est précisément cette alliance que redoutent les puissances globalistes. Notons à cet égard que les mesures restrictives de liberté ordonnées par les différents gouvernements pour lutter contre la propagation du coronavirus vont à l’encontre de cette alliance naturelle qui permettrait le succès des patriotes sur les globalistes. Vous voyez que les choses ne sont pas simples… et que, décidemment, cette « pandémie de coronavirus » arrive à point nommé pour soutenir la stratégie des globalistes alors que ces derniers étaient en situation de faiblesse…
D’un autre côté, cette pandémie permet des ouvertures inespérées dans la remise en cause générale de la stratégie globaliste. Encore faut-il avoir le courage de saisir cette occasion. Je terminerai mon exposé en disant que les cartes sont actuellement dans les mains des populations civiles : ces dernières ont enfin, phénomène unique dans l’histoire, la possibilité de reprendre leur destin en main ; ce qui signifie, très précisément, qu’elles ont la possibilité de réinstaurer des gouvernements politiques en lieu et place des ersatz actuels entièrement aux mains des puissances financières. Les peuples auront ce qu’ils méritent : ils recevront, s’ils acceptent de se prendre en charge – en contrepartie d’un peu de courage – des fruits extrêmement bénéfiques… mais l’accepteront-ils ? Là est la question… Je profite de ce texte pour rendre hommage au travail de structuration politique fait, en France, par les Gilets Jaunes constituants, qui ont pleinement compris et anticipé cette problématique de fond.
RépondreSupprimerFinalement, les lois naturelles, tellement honnies des globalistes, reprennent le dessus et les choses vont entrer dans l’ordre : soit on lutte collectivement pour survivre collectivement, soit on ne lutte pas collectivement et ce sera la fin de la civilisation et de la liberté, y compris celle de vivre et de mourir.
https://strategika.fr/2020/04/01/geopolitique-du-coronavirus-entretien-avec-valerie-bugault/
(...) Par ailleurs, notons que le gouvernement français, qui a également récemment, sur préconisation de l’ONU, vidé massivement et prématurément les prisons de prisonniers de droit commun (ce qui a fait l’objet d’un communiqué officiel de professionnels de la magistrature), punira d’emprisonnement les contrevenants multirécidivistes qui auront dépassé leur heure de promenade quotidienne autorisée, qui auront dépassé leur périmètre de promenade autorisée, ou qui auront oublié leur laisser-circuler…
SupprimerOn se rend bien compte ici de deux choses :
Que la volonté affichée de protéger les populations cache une volonté sournoise de les mettre en état de choc et de les surveiller massivement ;
Que l’anarchie sociale en cours de développement, est consciencieusement organisée par les pouvoirs publics eux-mêmes, sous le faux prétexte d’enrayer une épidémie.(...)
(...) Nous faisons donc globalement, ou mondialement, si vous préférez, face à une situation inédite dans l’histoire, dans laquelle un petit groupe de gens, cachés derrière l’anonymat des capitaux et des institutions internationales et menés par quelques banquiers privés, organisent des chocs ou tirent parti de chocs afin de faire avancer leur agenda global de prise de contrôle politique du monde en instituant un « gouvernement mondial ».
Pour réaliser ce gouvernement mondial, il faut avoir préalablement développé, chez les individus en général et chez les dirigeants politiques en particulier, le sentiment de la nécessité d’une régulation des évènements à l’échelle globale. Une pandémie est en effet le phénomène qui répond le mieux à ce type de besoin. Dès le départ, on peut et on doit suspecter une manipulation. (...)
(...) En effet, la mise en confinement des gens bien-portants porte un coup d’arrêt brutal à l’économie des pays. En fonction de la durée du confinement, ces pays, surtout lorsqu’ils sont endettés, ne pourront que très difficilement s’en remettre. Cette remise sur pied devra, à l’évidence, s’accompagner d’une remise en cause de leur fonctionnement interne. Par ailleurs, les bienfaits abondamment claironnés de la globalisation économique, qui a rendu chaque pays dépendant des autres, reçoivent, eux aussi, un énorme démenti par cette crise sanitaire qui rend visible l’extrême dénuement industriel des pays dits développés, lesquels ne sont plus autosuffisants en quoi que ce soit. On peut en effet en déduire, sans risque d’erreur, qu’il y aura un « avant la crise du coronavirus » et un « après la crise du coronavirus ». (...)
SupprimerLes pays avancés sont trop riches ! Grâce au progrès (échappé des pouvoirs politique) les machines et robots ont permis de sortir le monde de la dictature millénaire. D'où cet arrêt (motif virus) mais qui après remettra les machines en marche ! D'où l'absurdité de cet arrêt (et fausses dettes à venir) qui permet (Hahaha !) la continuité inexorable des technologies chinoises et surtout de leur développement pendant que le 'monde' s'arrête !
Acte II la guerre avec la Chine ? (accusée de la naissance du coranavirus en Décembre alors qu'il était présent en Italie (Lombardie en Novembre !).
(...) VB : Soit les citoyens cèderont à la peur, soit ils réfléchiront et comprendront que la peur est elle-même entretenue de façon contrôlée par leurs dirigeants qui prennent toutes les décisions permettant au coronavirus de se propager en toute tranquillité, ou plutôt, en toute facilité. C’est ainsi, qu’ils refusent à leur population l’accès aux soins et médicaments utiles à l’endiguement du processus de contamination pendant qu’ils mettent les gens en confinement suffisamment longtemps pour pouvoir leur imposer – il s’agit ici de la mise en œuvre de la « servitude volontaire » – un futur vaccin miracle. Ce vaccin, outre son prix financier, sera sans doute agrémenté de sels d’aluminium (qui est devenu l’adjuvant obligatoire), d’arn messagers (qui permettront de faire, in vivo et à grande échelle, des expériences génétiques sur le génome humain), et surtout de puce RFID, qui permettront à tout un et chacun de recevoir ses rémunérations et d’avoir accès à son compte en banque.
Cette étape de la vaccination obligatoire sera tout à fait décisive pour assurer aux globalistes (banquiers, big pharma et consorts) le contrôle direct sur les populations. Chaque personne devra ainsi obéir sous peine de se voir retirer l’accès à tous ses moyens de subsistances. Étant ici précisé qu’en raison de l’effondrement économique, il est fortement à craindre que les moyens de subsistances ne soient in fine aucunement reliés à un travail individuel productif mais plutôt à un subside universel reçu de l’Etat fantoche entièrement aux ordres des puissances financières.(...)
C'est vrai que cette histoire de masques (si difficile à fabriquer et A TRANSPORTER !? ) donne à réfléchir !