DÉCÈS DE MALADIE PAR JOUR
le 20 avril 2020
Depuis plusieurs semaines je glane des données chiffrées sur les mortalités en tous genre de par le monde et il est étonnant de constater que ce terrible et destructeur virus couronné millésime 2019 est loin d’être aussi dévastateur qu’un bon nombre d’autres virus ou de bactéries et parasites tout aussi terribles les uns que les autres. J’ai trouvé ce tableau tout à fait révélateur de la psychose généralisée des politiciens et des commentateurs des chaines de télévision (je n’ai pas de télévision chez moi et je m’en passe très bien), psychose totalement injustifiée qui va mener à la ruine de nombreuses économies des pays occidentaux.
N’importe quel enfant de dix comprendra que deux mois de confinement imposés à la population d’un pays c’est déjà 16 % de PIB perdu et pour un pays comme la France, en dépit des calculs optimistes et ineptes du ministricule des finances, il faut ajouter 10 % du PIB au minimum perdus en raison de la disparition totale des touristes ce qui fait 26 % de perte de PIB … tout ça pour tenter de juguler une épidémie 16 fois moins meurtrière que la vulgaire et négligeable grippe saisonnière (gripe estacional) ou encore sept fois moins que la tout aussi vulgaire coqueluche (tos ferina) alors qu’il existe pourtant un vaccin pour cette maladie d’origine bactérienne (Bordetella pertussis) de même que la grande majorité des pneumonies qui ont toujours été la première cause de mortalité chez les vieillards sont également d’origine bactérienne.
Alors pourquoi ravager durablement les économies de pays comme l’Italie, la France, l’Espagne, la Belgique, … par des décisions à l’emporte-pièce irréfléchies et à peine dignes de la sorcellerie du haut Moyen-âge. Le tableau résume une statistique de l’OMS relative à toutes les maladies infectieuses sévissant dans le monde en nombre de morts par jour. Quelques précisions pour la bonne compréhension de ce tableau : shigellose => dissenterie, rotavirus => gastro-entérite, norovirus => dissenterie, sarampion = rougeole (il existe un vaccin très efficace), rabia = rage, fiebra amarilla = fièvre jaune (il existe un vaccin) et mosca del sueno = maladie du sommeil. Les autres noms sont compréhensibles pour un francophone.
À cette liste peu rassurante il faut ajouter pêle-mêle toutes sortes d’autres causes de mortalité qui réduisent d’autant la mortalité du nouveau virus couronné qui a été amplifiée comme si toutes les autres causes de mortalité avaient comme par magie disparu. Voici donc une énumération résultant de mes petites notes rassemblées au fil des jours.
Overdoses mortelles d’opioïdes et autres drogues de synthèse aux USA : 200 morts par jour soit 73 000 morts par an auxquelles on peut ajouter, toujours aux USA 48 000 suicides chaque année (2018). Seulement en France 24 000 décès par an provoqués par des infections nosocomiales hospitalières. France encore : 500 morts par jour provoquées par des cancers, à peu près autant que 200 000 avortements par an mais c’est un autre sujet qu’il ne faut pas aborder car il rend les féministes nerveuses. Enfin le nec plus ultra de la mortalité dans le monde toutes catégories confondues la combinaison diabète de type 2 + surpoids : 1 mort toutes les 5 secondes soit 6 millions de morts par an. Si on examine à nouveau le tableau ci-dessus la mortalité due à la combinaison diabète de type 2 + surpoids est égale à la somme des mortalités des 9 premières causes de ce tableau !
Alors quand on répète en boucle que le nouveau virus appelé maintenant « chinois » par Donald Trump est hyper-dangereux et qu’il faut confiner des pays entiers pour juguler l’épidémie permettez-moi de relativiser encore une fois la prétendue dangerosité de ce virus : les politiciens se moquent du monde et par exemple le secrétaire d’Etat Mike Pompeo, visiblement obèse, devrait balayer devant sa porte et cesser de gesticuler sur les écrans de télévision en accusant la Chine de tous les maux sanitaires que ce pays aurait paraît-il répandu dans le monde. C’est exactement l’inverse qui a lieu : les grandes multinationales de la malbouffe américaines ont répandu la mort dans le monde. Par exemple le Mexique souffre de surpoids endémique et a surpassé la triste statistique américaine. Dans ce pays où le coca-cola est moins cher que l’eau minérale plus de 60 % de la population souffre de surpoids pathologique, un terrain de choix pour une explosion de grippe à coronavirus vintage 2019 comme aux USA d’ailleurs.
CDISCOUNT VA VENDRE 60 MILLIONS DE MASQUES CHIRURGICAUX
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
19/04/2020
Les ventes ont progressé de 35% au mois de mars chez Cdiscount.
Les magasins fermés n'empêchent pas les Français confinés à la maison de continuer à consommer… en ligne. Cdiscount fait partie des plateformes les plus plébiscitées.
Les ventes sur Cdiscount ont progressé de « plus de 35% en mars et de plus de 50% depuis une semaine », se réjouit Emmanuel Grenier, PDG du commerçant en ligne, dans un entretien au Journal du Dimanche. Des performances qui reflètent celles enregistrées par les boutiques internet du groupe Fnac Darty, où les ventes ont été multipliées par deux depuis mi mars et la mise en place des mesures de confinement. « Notre site est particulièrement plébiscité par les Français. Les ventes des 12.000 vendeurs partenaires de notre place de marché, dont près de 5000 TPE-PME sont en hausse de plus de 60% » ajoute le patron de Cdiscount. La plateforme, filiale du groupe Casino, entend être « au rendez-vous de la continuité de la vie économique du pays ».
Ventes en forte progression
C'est pourquoi le site va vendre 60 millions de masques chirurgicaux auprès des professionnels des TPE-PME, au prix de 75 centimes l'unité. Il s'agit de permettre aux petites entreprises de reprendre leur activité en s'approvisionnant avec des masques indispensables pour respecter les mesures de sécurité sanitaire sur les lieux de travail. Cdiscount avait testé la vente de ces masques en région Auvergne-Rhône-Alpes durant plusieurs semaines auprès des entreprises de transport, de logistique et du commerce alimentaire. Une expérimentation qui a donné les résultats escomptés, d'où son extension à l'ensemble de la France et des professionnels.
Aider les petites entreprises
Emmanuel Grenier souhaite également que les TPE-PME puissent commercialiser leurs produits sur Cdiscount, en particulier les commerçants et les producteurs locaux qui ont dû fermer leurs portes en raison du confinement. « Notre rôle et d'aider les TPE-PME à se digitaliser pour vendre et pour exporter », explique-t-il. Le patron du groupe assure aussi ne pas être inquiet au niveau sanitaire, qui a forcé le grand concurrent Amazon à fermer temporairement ses entrepôts français en raison d'une décision de justice. Les choses ont été « bien faites sur le fond et sur la forme », assure-t-il.
http://www.economiematin.fr/news-cdiscount--vendre-60-millions-masques-chirurgicaux
(...) le site va vendre 60 millions de masques chirurgicaux auprès des professionnels des TPE-PME, au prix de 75 centimes l'unité. (...)
SupprimerNe vous précipitez pas il s'agit de masques FF P3 et non des masques FF P2 pour vous !
Notez tout de même la différence entre 'va vendre' et 'a vendu' !! Hahaha !
PÉTROLE : 15 DOLLARS LE BARIL, L'ACCORD OPEC N'AURA SERVI À RIEN
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
20/04/2020
Le pétrole représente 34% de la consommation mondiale d'énergie primaire.
La chute continue malgré l’intervention de Donald Trump auprès de l’OPEC+, en particulier Russie et Arabie saoudite, afin de faire baisser la production. L’accord a été trouvé mais en Bourse rien n’y fait : le prix du pétrole continue de chuter. La faute ? aux capacités de stockage qui commencent à manquer.
Le pétrole américain au plus bas depuis 1999
En Bourse, la coupe de production historique de 9,7 millions de barils par jour décidée par l’OPEC+ aurait fait « pschitt » : loin d’avoir l’effet escompté, une remontée ou tout du moins une stabilisation du prix du brut, la valeur du baril de pétrole a chuté. Il faut dire que l’Agence Internationale de l’Energie avait prévenu : aucune coupe de production ne permettrait de compenser la baisse de la demande mondiale estimée à plus de 20 millions de barils par jour. 9,7 millions de barils en moins de production quotidienne, ça laisse plus de 10 millions de surproduction…
A Singapour, le 20 avril 2020, le prix du baril de pétrole américain WTI a donc chuté à un niveau inédit depuis 1999 : 15,27 dollars pour les livraisons de mai, 23,75 dollars pour celles de juin. Des baisses de 16% et 5,1% respectivement, qui confirment la tendance : face à la baisse de la demande, le prix du pétrole va rester très bas encore quelques mois. Avec lui, ce sont les prix des carburants à la pompe qui devraient continuer de chuter.
On notera une grande différence entre le pétrole américain (WTI) et le Brent de mer du Nord : ce dernier a chuté de seulement 0,9% le 20 avril 2020 et s’échange à 27,84 dollars le baril.
Les capacités de stockage s’épuisent
L’autre problème que connaît l’industrie du pétrole américaine ce sont les capacités de stockage qui commencent à se raréfier : à Cushing, dans l’Oklahoma, hub de transport de l’industrie pétrolière américaine, pas moins de 55 millions de barils de pétrole sont stockés… sur une capacité de 76 millions. La quantité de pétrole stockée a grimpé de 48% entre février et mi-avril 2020… alors que les Etats-Unis n’étaient pas encore en confinement.
La situation est critique au point de faire craindre des prix… négatifs. Ce fut déjà le cas pour le pétrole de schiste en mars 2020 où, lors des enchères, la production d’un puit a été venduere à -19 centimes de dollars. Le propriétaire du puit a donc payé ses acheteurs pour qu’ils prennent le pétrole. Et, d’une manière générale, le prix du pétrole de schiste a chuté au point que le baril s’échange, parfois, sous les 10 dollars voir moins : jusqu’à 2 dollars le baril.
http://www.economiematin.fr/news-petrole-prix-baril-chute-valeur-brut-argent-opec-bourse
Le prix du baril peut descendre à 1 $ sans que le sourire revienne because que PERSONNE NE ROULE ! (ou si peu !). PERSONNE ne peut profiter de la baisse pour faire livrer du mazout !
SupprimerMasques chirurgicaux
RépondreSupprimerPar George Giles
20 avril 2020
Cela fait quelques années que j'ai écrit pour la dernière fois un essai pour votre superbe site Web, un peu d'encre virtuelle fraîche pour ainsi dire.
Comme toujours, le gouvernement renverse les choses. J'ai passé neuf ans à travailler en chirurgie cardiaque et j'ai appris une chose ou deux sur les soins de santé pendant cette période. Voici mes opinions avec un peu de science.
Chirurgiens. les infirmières et le personnel de la salle d'opération dans une salle d'opération portent des masques. Ils portent ces masques dans le but d'atténuer les effets du corps humain normal. Pendant la chirurgie, la cavité corporelle est ouverte, exposant l'intérieur stérile au monde extérieur non stérile. Ce monde est une soupe biologique de saleté, de débris, de produits chimiques, de virus et de bactéries. N'importe lequel de ces atterrissages à l'intérieur stérile peut potentiellement être très mauvais, entraînant des infections, une septicémie et la mort.
Les êtres humains respirent et avec la respiration chaude peuvent venir un certain nombre de choses de la soupe biologique susmentionnée. Les suites chirurgicales ne peuvent pas empêcher le flux d'air et le vent peut apporter beaucoup de choses non stériles dans le champ stérile. Je n'ai jamais vu une suite chirurgicale étanche aux gaz avec un sas, donc lorsque le patient / le personnel entre / sort de l'air que nous respirons peut entraîner beaucoup d'autres choses pendant le trajet.
Les masques chirurgicaux protègent le patient du personnel chirurgical et l'environnement chirurgical non stérile, ils n'ont pas été conçus pour protéger le porteur du masque du patient!
Avançons rapidement dans le gâchis actuel dans lequel le gouvernement nous a jetés et chaque jour, nous réclamons davantage de masques pour protéger tout le monde contre le coronoavirus. La distanciation sociale est une politique conçue pour la mettre en œuvre avec des masques. Je vais à l'épicerie tous les jours pour avoir une idée de ce qui est disponible et de ce qui ne l'est pas, ma propre recherche économique. J'achète également des choses qui n'étaient pas disponibles hier mais qui pourraient ne pas l'être aujourd'hui. Au cours de la semaine dernière, environ la moitié des clients du magasin ont commencé à porter des masques, ce qui n'est pas le cas pour l'autre moitié. Même chose avec le personnel. Beaucoup de ces masques que vous pouvez voir ont été portés plusieurs fois, et non pas une seule fois et jetez-les dans un environnement chirurgical. Cela signifie qu'ils ont été mis, enlevés et stockés (qui sait où) tellement pour leur propreté.
Un peu de physique ici est ce que la loi des gaz parfaits et la théorie cinétique peuvent nous dire. Les gaz à température ambiante ont une vitesse moyenne d'environ 400 mètres / seconde. Vite. Maintenant, les molécules de gaz se heurtent les unes aux autres, ainsi le libre parcours moyen (jusqu'où elles se déplacent entre les collisions) est relativement petit; ce qui signifie que les molécules de gaz ne vont pas très loin avant de se heurter. Dans le vide, une plume et un lancer de fer tombent à la même vitesse mais dans l'atmosphère au niveau du sol, la plume restera dans l'air plus longtemps, même chose avec une particule virale. Un coronoavirus est beaucoup plus gros qu'un atome mais est encore minuscule par rapport au monde macroscopique de la vie animale multicellulaire comme nous. Cela signifie qu'ils resteront dans l'air pendant un certain temps avant d'être abattus par gravité. Ainsi, les particules de cornoavirus peuvent et vont s'infiltrer sur les bords du masque chirurgical. Ces masques ne font pas un joint étanche au gaz. Ils ont été conçus pour contenir des crachats et des particules de parler, respirer, tousser ou éternuer du personnel chirurgical d'entrer dans la cavité corporelle stérile! La même chose vaut pour tout ce qui se trouve dans les moustaches et la barbe.
RépondreSupprimerIl est très important de se laver les mains à chaque fois que vous êtes à l'extérieur de votre maison et de ne pas toucher vos yeux, votre visage et votre bouche, car ce sont les portes par lesquelles les virus peuvent pénétrer dans le corps. À mon avis, cela est plus important que de porter un masque, sauf si vous êtes positif pour le coronoavirus et que vous ne voulez pas infecter les autres! Je recommanderais également d'acheter un spray nasal salin stérile pour garder la muqueuse de votre nez humide, connue pour empêcher les virus et les bactéries de traverser la barrière cutanée dans le sang.
Le désinfectant pour les mains est rare. Mon Walgreen local a manqué d'alcool à frotter un jour ou deux dans la distanciation sociale déclarée. L'alcool à friction (également connu sous le nom d'alcool isopropylique) est ce qui «désinfecte» car il positionne en fait tout virus ou bactérie avec lequel il entre en contact.
Un peu de chimie ici: le détergent à vaisselle liquide est un superbe agent nettoyant. Mettez un point de la taille d'un quart dans votre main, frottez-le sur vos mains avant de mouiller avec de l'eau. Les détergents sont une classe de produits chimiques appelés surfactants; ils abaissent la tension superficielle de l'eau et servent ainsi à dissoudre la contamination de la surface de la peau. Ajoutez une petite quantité d'eau et frottez vigoureusement vos mains ensemble avant de rincer à l'eau courante. Vous pourrez sentir quand vos mains sont rincées. Je recommande toujours d'acheter des produits chimiques ménagers génériques car ils sont moins chers car ils n'ont pas de budget publicitaire ni de temps TV dans leur contenu. Sam’s Club vend un gallon de liquide vaisselle rose pour 5 $, une solution très rentable. Bien qu'ils limitent les achats à un par jour, ils ne sont pas épuisés jusqu'à présent.
Si tout le reste échoue et que vous cherchez désespérément une solution de désinfection, allez à votre quincaillerie locale, Lowe’s ou Home Depot et achetez un gallon d'alcool dénaturé, cela coûte environ 15 $. Les quarts coûtent environ 8 $. Utilisez une cuillère à soupe à la place du désinfectant pour les mains et cela fera le travail. Il y a beaucoup de cuillères à soupe dans un gallon. Vous NE POUVEZ PAS le boire, ce n'est pas ce genre d'alcool éthylique !!! Le gouvernement exige qu'un poison soit ajouté, c'est la partie dénaturante, pour éviter de boire! Il fonctionnera très bien comme désinfectant pour les mains. N'achetez pas d'acétone, d'essence minérale ou de térébenthine si vous ne pouvez pas obtenir d'alcool dénaturé, car ils sont vraiment toxiques.
Tous ces agents désinfectants éliminent également les huiles et les produits chimiques naturels dont le corps recouvre la surface de la peau. Chaque pore de votre peau dégage ces produits chimiques. Ils sont une partie essentielle de votre système immunitaire ! Utilisez une lotion «hydratante pour la peau». Je préfère Lubriderm et Cerave mais presque n'importe qui fera l'affaire. Lisez les ingrédients énumérés. Les ingrédients sont tenus par la loi d'être listés par ordre décroissant. Le premier produit chimique répertorié sera présent en plus grande quantité, le deuxième suivant en importance. Une loi fédérale utile! Utilisez-le pour restaurer «l'humidité». Cette humidité est en fait une couche de produits chimiques huileux et elle aidera à protéger la peau pendant que votre métabolisme rétablit son équilibre chimique.
RépondreSupprimerLes Américains ont été conditionnés par la publicité pour se baigner quotidiennement et rester «propres». Il s'agit d'un produit du service marketing destiné à augmenter les ventes, mais qui fonctionne en fait au détriment de la société dans son ensemble. Les animaux ont passé environ 500 millions d'années à évoluer et la nature le sait toujours mieux. Si la nature a pris la peine de développer la peau dans le cadre de votre système immunitaire, il est préférable d'essayer de la préserver. Nous n'avons pas besoin d'utiliser / de frotter des produits chimiques tensioactifs tous les jours pour obtenir cette sensation de propreté; nous éliminons ces produits chimiques essentiels de notre peau. Je recommande de laver les fosses d'entrejambe / bras avec des nettoyants tensioactifs et de laisser l'eau qui coule faire le reste. Le shampooing élimine les produits chimiques naturels de vos cheveux. À l'époque où j'avais des cheveux, j'ai fait un test de rinçage avec de l'eau lors de la douche mais sans utiliser de shampooing et j'ai constaté qu'après environ trois semaines, le lustre est revenu une fois que j'ai cessé de retirer les produits chimiques essentiels fournis par la nature. plus de shampooing, pas que j'en ai plus besoin.
L'asthme est littéralement inconnu dans le tiers monde; un monde avec autant moins de baignade et d'application quotidienne de surfactant. Beaucoup pensent que c'est la cause de l'asthme. Je ne sais pas mais je connais quelqu'un de sévèrement asthamatique et leur solution était de réduire la douche, une solution naturelle.
Un peu de chimie ici peut aider grandement le corps et sa biochimie naturelle à fournir l'immunité, ce qui nous sauve toujours. Le grand orateur romain Cicéron a écrit, environ cinquante ans avant la naissance du Christ, que «le médecin soigne mais la nature guérit». Il a été décapité par le gouvernement romain à l'âge de 63 ans, un programme gouvernemental classique s'il en existait un.
"Ce n'est pas la connaissance, mais l'acte d'apprendre, pas la possession mais l'acte d'y arriver, qui accorde la plus grande jouissance." Carl Friedrich Gauss 1777-1855
https://www.lewrockwell.com/2020/04/george-giles/surgical-masks/
Pourquoi l'arrêt doit prendre fin
RépondreSupprimerPar David Deming
20 avril 2020
La fermeture de l'économie américaine devrait prendre fin dès que possible. Nous avons atteint le point où la peur et la panique ont empêché la logique et les faits. Les dommages causés par notre réaction excessive à la pandémie de Covid-19 risquent de se révéler plus importants que le nombre de morts de la maladie elle-même. Le virus ne peut pas être maîtrisé, et notre tentative de réaliser ce qui est impossible devient plus coûteuse chaque jour.
Covid-19 ne se révèle pas aussi meurtrier qu'on ne l'avait imaginé. Le 16 mars dernier, un groupe de chercheurs de l'Imperial College de Londres a prédit 510 000 décès au Royaume-Uni et 2,2 millions aux États-Unis. En dix jours, ces premières estimations ont été révisées à la baisse de plus d'un ordre de grandeur. Au moment où j'écris, la meilleure estimation des décès ultimes dus à Covid-19 aux États-Unis est d'environ 60000, soit les 61000 personnes décédées de la grippe au cours de l'hiver 2017-2018. Pourtant, nous continuons de souffrir d'un arrêt dont l'imposition était justifiée par une prédiction fallacieuse du modèle.
La propagation du virus Corona est à la fois inévitable et nécessaire. Elle est nécessaire car, en l'absence de vaccin, le seul moyen de lutter contre la maladie est de renforcer l'immunité de la population. Une personne qui contracte l'infection et se rétablit est immunisée. Ils ne peuvent plus tomber malades ni propager la maladie. L'infection et le rétablissement sont la vaccination la plus efficace possible.
Le 3 mars dernier, l'Organisation mondiale de la santé a estimé le taux de mortalité de Covid-19 à 3,4%. Nous savons maintenant que cette première estimation était beaucoup trop élevée car les tests étaient limités aux personnes présentant des symptômes graves. Par la suite, des tests plus poussés ont montré que la moitié de la population infectée est entièrement asymptomatique et que le taux de mortalité correspondant est de l'ordre de 0,1%. Ainsi, 99,9% des personnes atteintes de la maladie poursuivent l'objectif de renforcer l'immunité de la population. Bien que cela soit un inconvénient pour ceux qui sont touchés, ces infections accomplissent un bien ultime.
L'idée derrière les fermetures et les mises en quarantaine n'est pas de réduire la mortalité cumulée, mais «d'aplatir la courbe» afin que nos établissements de santé ne soient pas submergés. Les personnes qui ont besoin de soins intensifs peuvent être sauvées par cette stratégie, mais la réduction nette de la mortalité est probablement faible. Les arrêts et les quarantaines prolongeront le cours de la pandémie. Lorsque la distanciation sociale prendra fin, comme elle doit le faire à terme, la maladie reprendra simplement son cours inévitable dans la population. L'aplatissement de la courbe ne réduit pas la zone sous la courbe.
D'où nous est venue l'idée que certaines entreprises et professions sont «non essentielles» ? Dans une économie de marché, chaque emploi est essentiel. Et chaque travail est certainement essentiel pour la personne qui en dépend pour sa subsistance. Au milieu d’une pandémie, il est judicieux d’interdire les rassemblements de masse de centaines et de milliers de personnes. Mais les gouvernements locaux imposent maintenant des restrictions qui n'ont aucun sens. Les parcs et terrains de golf ont été fermés. L'imposition de couvre-feux en soirée est déconcertante. Chaque fonctionnaire gouvernemental à l'instinct totalitaire a désormais la justification morale d'imposer des restrictions arbitraires et insensées à la liberté de circulation et d'association.
Ironiquement, au milieu d'une épidémie supposée, les hôpitaux de tout le pays ferment leurs portes faute de patients. Pourquoi ? Parce que les fonctionnaires du gouvernement leur ont ordonné d'annuler toutes les procédures médicales électives afin qu'ils puissent être prêts à recevoir un écrasement de patients Covid-19 qui ne sont jamais arrivés. Au cours des quatre dernières semaines, nous avons perdu 22 millions d'emplois.
RépondreSupprimerDans notre panique face à la pandémie de Covid-19, nous semblons avoir oublié qu'une économie robuste soutient les soins de santé, l'éducation, la protection contre les incendies et la police, ainsi que la construction et l'entretien des infrastructures essentielles qui entretiennent la civilisation humaine. Le bilan de l'induction artificielle de la pauvreté peut finalement dépasser les vies perdues à cause de la maladie. En 2011, des chercheurs de l'Université Columbia ont découvert que la pauvreté contribue à 133 000 décès prématurés chaque année aux États-Unis. Notre solution provisoire, les dépenses publiques massives, n'est pas une panacée. La prospérité vient de la production, non des dépenses, des emprunts et des impôts. Si nous ne changeons pas de cap en quelques jours, nous sommes en route vers le suicide national.
https://www.lewrockwell.com/2020/04/david-deming/why-the-shutdown-must-end/
(...) La prospérité vient de la production, (...)
SupprimerA ne pas confondre avec le PIB d'un pays. La production est nécessaire comme de manger ou de respirer. La sur-production (exportation) s'appelle un PIB.
950AD: «Les navires à voile Viking reviennent au port; Violation de la distance sociale »
RépondreSupprimerErik le Rouge présente des excuses: «Trop de membres d'équipage, trop peu d'espace. De plus, nous n'avions pas de masques médicaux. Je suis sincèrement désolé. Je rampe devant le virus. Qu'est-ce qu'un virus ? "
Par Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
20 avril 2020
Prise de contrôle de la culture par la fausse science et ses avant-gardistes vermoulus; contes de fées sur l'unité; l'expansion de ce champignon huileux appelé gouvernement démocratique; des milliards d'amnésiques pensent: CE N'EST PAS VRAIMENT MAUVAIS, NOUS POUVONS VIVRE AVEC CELA.
Comment aiment-ils maintenant ?
Les globalistes de type Rockefeller veulent des épaves humaines et structurelles. Ils ne pouvaient pas se soucier moins d'un virus. Ils en utilisent l’IDÉE pour effrayer la population. Ils ont trouvé leur clé magique: la dictature médicale.
La dernière déclaration d'ordures est que la respiration peut transmettre le virus. Ce qui signifie que vivre peut transmettre la mort. Ce qui signifie que chaque humain est l'ennemi et doit être enfermé. Agréable et soigné. Hitler, Staline, Lénine, Mao - s'ils avaient pu imaginer celui-là et le faire respecter…
Les PDG des durs à cuire des méga-entreprises renoncent à faire des affaires en un clin d'œil et envoient leurs lobbyistes en tête de file à Washington avec leurs mains, pour collecter des milliards de dollars en gains. «Aujourd'hui, nous volerons à une altitude de 30 000 pieds avec trois passagers, mais ne vous inquiétez pas, nous allons bien. Étaient couvertes."
Il y a une nouvelle religion dans le pays. Ça s'appelle IL DOIT ÊTRE LE VIRUS. Les membres de cette église sont à peine suffisamment éveillés pour dire: «Ce doit être le virus, car pourquoi autrement trois médecins sont-ils morts sur Mars la semaine dernière ? Et les sept soucoupes volantes qui se sont écrasées en Antarctique ? Les pilotes ont dû être soudainement retirés par COVID. Et le bateau de croisière. Et l'Italie. " Virus, virus, virus. Les assiettes de collection de cette église éclatent et tintent et rendent le Vatican apoplectique avec envie.
Des gens effrayés par une IDÉE invisible. Reculent. Ferment leurs portes. Et vous pensiez que les tribus primitives adorant des totems étaient ridicules ? Ou des files de pénitents se flagellant de petits fouets ? Revoyons ces jours de gloire et recommençons. Nous l'appellerons SCIENCE.
"Jimmy peut-il sortir pour jouer ?"
"Non. Le virus est juste devant la porte d'entrée. Et je vous appelle les flics, petit infecteur. "
Scène deux: «Bonjour, Dr Fauci, voici la mort qui appelle. Comment allons nous ?"
«Avec COVID en particulier ? Comme vous le savez, nous le simulons pour tout ce que nous valons. »
«Faire semblant était tout ce que j'avais demandé. À bien des égards, c'est aussi bon que la réalité. "
"Nous avons importé la grippe, la pneumonie, tout ce à quoi nous pouvons penser dans la catégorie COVID."
"Bon travail."
Scène trois: «Bonjour, je mène une enquête pour le CDC. Avez-vous porté votre masque médical pendant que vous étiez sous la douche aujourd'hui ? »
"Pourquoi ? L'eau est-elle porteuse du virus ? "
"Eau, tuile, tapis, savon, shampoing, revitalisant, dentifrice, après-rasage, pantoufles, serviettes, tout sauf le papier toilette, qui est une dispense de Dieu."
RépondreSupprimerScène quatre: «Bonjour, équipage. Voici votre capitaine, Magellan. La circumnavigation du globe est désactivée. Nous devons secourir trois personnes à Guam qui ont un rhume. »
Cinquième scène: Atlas, brandissant le monde, annonce: "D'accord, je vais retirer une main maintenant et mettre le premier des deux gants de chirurgien. Je pense que je peux y arriver… »
George Carlin, 1999: «Ce que nous avons maintenant, c'est une population complètement névrotique… D'où vient cette soudaine peur des germes dans ce pays ? L'avez-vous remarqué ? Les médias publient constamment des articles sur toutes les dernières infections - salmonelles, e-coli, virus de la hanta, grippe aviaire - et les Américains, ils paniquent facilement alors maintenant tout le monde court, frotte et pulvérise cela et fait trop cuire sa nourriture et se lave les mains à plusieurs reprises, en essayant d'éviter tout contact avec des germes. C'est ridicule et ça va à des longueurs ridicules… tas de putains de chattes ! D'ailleurs, pourquoi pensez-vous avoir un système immunitaire ? C’est pour tuer les germes !… Permettez-moi de vous raconter une histoire vraie sur la vaccination, d'accord ? Quand j'étais petit à New York dans les années 40, nous avons nagé dans la rivière Hudson et elle était remplie d'eaux usées brutes, d'accord ? Nous avons nagé dans les eaux usées brutes! Tu sais… pour te rafraîchir ! Et à cette époque, la grande peur était la polio; des milliers d'enfants meurent de la polio chaque année mais vous savez quelque chose ? Dans mon quartier, personne n'a jamais contracté la polio ! Personne ! Déjà ! Tu sais pourquoi ? Parce que nous avons nagé dans les eaux usées brutes ! Cela a renforcé nos systèmes immunitaires ! La polio n'a jamais eu de prière; nous étions trempés dans de la merde brute ! Donc personnellement, je ne prends jamais de précautions particulières contre les germes. Je n'ai pas peur des gens qui éternuent et toussent, je n'essuie pas le téléphone, je ne couvre pas le siège des toilettes et si je laisse tomber de la nourriture par terre, je la prends et je la mange ! Oui. Même si je suis dans un café-terrasse ! À Calcutta ! La section pauvre ! Le matin du Nouvel An lors d'une émeute de football ! Et tu sais quelque chose ? Malgré tous ces comportements dits à risque, je n'ai jamais d'infections, je n'en attrape pas, je n'ai pas de rhume, je n'ai pas de grippe, je n'ai pas de maux de tête, je ne me fâche pas estomac, tu sais pourquoi ? Parce que j'ai un bon système immunitaire fort et ça demande beaucoup de pratique… »
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/04/jon-rappoport/950ad-viking-sailing-ships-return-to-port-violation-of-social-distancing/
Une nouvelle statistique révèle pourquoi les chiffres COVID-19 américains sont plats
RépondreSupprimerPeu de chiffres vous disent quelque chose d'utile sur la façon dont le coronavirus s'est propagé aux États-Unis. Voici celui qui le fait.
L'Atlantique
17 avr · 10 min de lecture
Par Robinson Meyer et Alexis C. Madrigal
Combien de personnes ont le coronavirus aux États-Unis ? Plus de deux mois après le début de l’épidémie dans le pays, cette question demeure la plus importante pour ses habitants, ses écoles, ses hôpitaux et ses entreprises. Il est également toujours le plus difficile à répondre. Selon The Atlantic’s COVID Tracking Project, au moins 630 000 personnes dans le pays ont désormais des cas confirmés de test de COVID-19, un décompte état par état mené par plus de 100 bénévoles et experts. Mais une masse écrasante de preuves montre qu'il s'agit d'un sous-dénombrement.
Chaque fois que les villes américaines ont testé un sous-ensemble de la population générale, comme les sans-abri ou les femmes enceintes, elles ont trouvé au moins certaines personnes infectées qui ne présentent aucun symptôme. Et, comme ProPublica l'a signalé pour la première fois, il y a eu une augmentation du nombre d'Américains décédés chez eux à travers le pays. Ces personnes peuvent mourir du COVID-19 sans jamais entrer dans le système médical, ce qui signifie qu'elles ne sont jamais testées.
Il y a clairement un groupe d'Américains qui ont le coronavirus mais qui n'apparaissent pas dans les chiffres officiels. Maintenant, en utilisant une statistique qui vient de devenir fiable, nous pouvons estimer la taille de ce groupe - et jeter un coup d'œil au reste de l'iceberg.
Selon les chiffres du Tracking Project, près d'une personne sur cinq qui se fait tester pour le coronavirus aux États-Unis en est atteinte. En d'autres termes, le pays a ce qu'on appelle un «taux de positivité des tests» de près de 20%.
C'est «très élevé», nous a dit Jason Andrews, professeur de maladies infectieuses à Stanford. Un taux de positivité des tests aussi élevé signifie presque certainement que les États-Unis ne testent pas tous ceux qui ont été infectés par l'agent pathogène, car cela implique que les médecins ne testent que les personnes ayant une très forte probabilité d'avoir l'infection. Les personnes présentant des symptômes plus légers, sans parler de celles qui n'en ont aucun, sont sous-estimées. Les pays qui testent largement devraient rencontrer beaucoup plus de personnes qui ne sont pas infectées que les personnes qui le sont, de sorte que leur taux de positivité au test devrait être inférieur.
Le taux de positivité n'est pas le même que la proportion de cas de COVID-19 dans la population américaine en général, une métrique appelée «prévalence». Personne ne connaît le véritable nombre d'Américains qui ont été exposés ou infectés par le coronavirus, bien que des tentatives pour produire des estimations beaucoup plus précises de ce chiffre par des tests sanguins soient en cours. La prévalence est un chiffre crucial pour les épidémiologistes, en partie parce qu’elle leur permet de calculer le véritable taux de mortalité par infection d’un agent pathogène: le nombre de personnes décédées après avoir été infectées.
Mais le taux de positivité est toujours précieux. "Ce n'est pas une mesure normale, mais elle peut être très utile dans certaines circonstances", a déclaré Andrews. Le taux de positivité du test est souvent utilisé pour suivre la propagation de maladies rares mais mortelles, comme le paludisme, dans des endroits où la plupart des gens ne peuvent pas se faire tester, a-t-il déclaré. Et si la même proportion d'une population est testée au fil du temps, le taux de positivité du test peut même être utilisé pour calculer la contagiosité d'une maladie.
Étant donné que le nombre d'Américains testés pour le COVID-19 a changé au fil du temps, le taux de positivité des tests aux États-Unis ne peut pas encore fournir d'informations détaillées sur le taux de contagiosité ou de mortalité de la maladie. Mais les statistiques peuvent encore donner une idée approximative de la gravité d'une épidémie particulière en distinguant les endroits subissant des épidémies de tailles très différentes, a déclaré Andrews. Un pays avec un taux de positivité de 25% et un pays avec un taux de positivité de 2% sont confrontés à «des épidémies très différentes», a-t-il dit, et le pays à 2% est mieux loti.
RépondreSupprimerÀ cet égard, le taux de positivité de 20% en Amérique est inquiétant. Les États-Unis ont effectué près de 25 fois plus de tests le 15 avril qu'au 15 mars, mais le taux positif quotidien et le taux global positif ont tous deux augmenté au cours de ce mois. Si les États-Unis étaient un pot de 330 millions de bonbons à la gelée, alors au cours de l'épidémie, le système de santé a atteint un volume de plus en plus important. Mais chaque jour, 20 pour cent des grains qu'il retire sont positifs pour COVID-19. Si l'épidémie était en effet sous contrôle, alors nous nous attendrions à ce que davantage de tests - c'est-à-dire un plus grand scoop - produisent une proportion de plus en plus petite de positifs. Jusqu'à présent, cela ne s'est pas produit.
Dans un régime de dépistage idéal - et dans tous les régimes de dépistage qui, selon les experts, doivent exister avant que les États-Unis ne puissent mettre fin à leurs blocages - toute personne souffrant de fièvre et de toux sèche serait testée immédiatement. Une très grande partie, sinon la plupart, de ces personnes s'avéreraient ne pas être infectées par le nouveau coronavirus, le SRAS-CoV-2, car les humains sont sensibles à de nombreuses autres infections respiratoires. Mais lorsque les tests sont rationnés de manière aussi stricte, seules les personnes présentant des symptômes graves pénètrent dans le groupe de test, garantissant ainsi un taux de positivité extrêmement élevé.
Les règles locales de rationnement ne sont pas la seule raison pour laquelle les Américains ne se font pas tester. Certaines personnes vivent dans un endroit qui ne fait pas beaucoup de tests du tout, soit parce que les cabinets de médecins n’ont aucun test à proposer, soit en raison d’un système de santé local déjà tendu ou inexistant. D'autres évitent le médecin s'ils sont malades ou ne tombent jamais assez malades pour demander un test - mais si les États-Unis testaient plus de personnes, comme le disent les experts, la surveillance de la population générale ou les tests sur le lieu de travail pourraient également détecter leur maladie.
Le taux de positivité du test est donc un indicateur décent (si inhabituel) de la gravité d'une épidémie dans une zone. Et cela montre clairement que les États-Unis sont encore loin derrière les autres pays dans la lutte contre leur épidémie. La Corée du Sud - qui a découvert son premier cas de coronavirus le même jour que les États-Unis - a testé plus d'un demi-million de personnes, soit environ 1% de sa population, et a découvert environ 10500 cas. Les États-Unis ont testé 3,2 millions de personnes, ce qui représente également environ 1% de sa population, mais ils ont trouvé plus de 630 000 cas. Ainsi, alors que les États-Unis ont un taux de positivité de 20%, la Corée du Sud n'est que d'environ 2% - un ordre de grandeur plus petit.
La Corée du Sud n'est pas la seule à faire baisser son taux de positivité: le chiffre de l'Amérique éclipse celui de presque tous les autres pays développés. Le Canada, l'Allemagne et le Danemark ont des taux de positivité de 6 à 8%. L'Australie et la Nouvelle-Zélande ont des taux de positivité de 2%. Même l'Italie - qui a fait face à l'une des épidémies les plus dévastatrices au monde - a un taux de 15%. Il a trouvé près de 160 000 cas et effectué plus d'un million de tests. Pratiquement le seul pays riche avec un taux de positivité plus élevé que les États-Unis est le Royaume-Uni, où plus de 30% des personnes testées pour le virus ont été positives.
RépondreSupprimerLa comparaison des États américains avec les régions d'autres pays donne le même schéma général. En Lombardie, la partie la plus durement touchée de l'Italie, le taux positif s'élève aujourd'hui à environ 28%. C'est comparable au taux du Connecticut. Mais New York, jusqu'à présent l'État le plus durement touché aux États-Unis, a un taux encore plus élevé de 41%. Et dans le New Jersey, une étonnante personne sur deux testée pour le virus en est atteinte.
La prévalence de COVID-19 pourrait être plus élevée dans la région de New York que partout ailleurs dans le pays, mais les taux élevés de positivité des tests ne se limitent pas au milieu de l'Atlantique. Cinq autres États ont un taux positif supérieur à 20%: le Michigan, la Géorgie, le Massachusetts, l'Illinois et le Colorado. Ils sont répartis dans tout le pays et ils ont tous manifestement de graves épidémies. Chacun des huit États affichant des taux positifs supérieurs à 20% a, individuellement, signalé plus de décès dus au COVID-19 que la Corée du Sud.
Hawaii, quant à lui, a testé deux fois plus de personnes par habitant que l'Illinois, mais son taux de positivité n'est que d'un dixième aussi élevé que dans le plus grand État. Alors que l'épidémie est maîtrisée, davantage d'États devraient avoir des taux de positivité plus proches de ceux d'Hawaï, a déclaré Andrews, le professeur de Stanford. Au début d'une pandémie, le nombre réel d'infections et le nombre de tests par jour montent en flèche, et le taux de positivité est contrôlé par celui qui se développe le plus rapidement, a-t-il déclaré. Dans ce cas, le nombre à croissance plus rapide semble avoir été des infections. "Alors que les choses se stabilisent, si le taux de tests diminue et que le taux de positivité diminue, vous avez un bon signal que l'épidémie est en baisse", a-t-il déclaré.
Tous les épidémiologistes ne se sentent pas aussi à l'aise pour tirer des conclusions du taux de positivité des tests que Andrews. "Si vous voulez interpréter [le taux de positivité] comme un indice de la prévalence dans un endroit particulier, vous devez supposer que beaucoup d'autres choses restent constantes", nous a expliqué Daniel Westreich, professeur d'épidémiologie à l'Université de Caroline du Nord. Il a averti que l'on en savait encore trop peu sur qui exactement subirait le test et sur la fiabilité des tests pour tirer de grandes conclusions du seul taux de positivité.
«Nous n’avons pas encore testé suffisamment de personnes», a-t-il déclaré. "Si vous faisiez un dépistage aléatoire de toute la population, nous ne savons tout simplement pas ce que vous verriez. Nous ne savons pas combien de shedders viraux asymptomatiques existent. " En tant que tel, il a conseillé une extrême prudence dans l'utilisation du taux - mais étant prudent avec les données, a-t-il ajouté, "c'est mon travail".
RépondreSupprimerNous sommes confiants de signaler maintenant le taux de positivité des tests aux États-Unis pour plusieurs raisons. Premièrement, nous savons que lorsque les États et les villes rationnent les tests, ils le font en imposant des critères qui permettent uniquement aux personnes les plus malades ou les plus vulnérables, telles que les résidents des maisons de soins infirmiers, de se faire tester. Nous savons que dans les États où le taux de positivité aux tests est très élevé, comme le New Jersey, de nombreuses personnes meurent encore dans des maisons de soins sans se faire dépister. Et nous savons que, même si une grande variété de tests de frottis nasaux sont utilisés à travers le pays, le type de test utilisé - appelé réaction en chaîne par polymérase ou PCR - est généralement très fiable. Westreich et Andrews ont déclaré que tout test PCR était «assez bon» pour détecter les vrais négatifs.
Enfin, le taux de positivité des tests est devenu beaucoup plus fiable à l'échelle nationale au cours des dernières semaines. Pas plus tard que fin mars, tous les États n'ont pas signalé tous les résultats de tests négatifs des laboratoires commerciaux. Presque tous les États publient désormais ces chiffres.
Bien que nos chiffres ne capturent probablement pas tous les tests de coronavirus aux États-Unis, des preuves externes suggèrent maintenant que nos données sont assez complètes. Lorsque le Groupe de travail sur le coronavirus de la Maison Blanche a signalé le nombre de tests effectués à l’échelle nationale, ses chiffres correspondaient largement à ceux du COVID Tracking Project. En outre, les plus grands processeurs de test commercial, Quest et LabCorp, ont publié des statistiques de premier ordre qui s'alignent avec les nôtres dans le cadre du projet de suivi COVID.
Le taux de positivité élevé suggère également que les nouveaux cas aux États-Unis ont atteint un plateau uniquement parce que le pays a atteint un plafond dans sa capacité de test. En regardant uniquement les points positifs, les États-Unis se dirigent vers 650 000 cas confirmés, mais le nombre de nouveaux cas par jour semble plafonner, voire diminuer.
Il existe plusieurs façons d'interpréter cette évolution. Cela pourrait suggérer, par exemple, que plus de 3,2 millions de tests effectués aux États-Unis au cours des deux derniers mois ont finalement capturé une bonne partie des personnes réellement infectées. S'il est clair que le pays ne capture pas tous les cas, cette baisse des nouveaux cas positifs pourrait suggérer que le pays a commencé à maîtriser la propagation du virus.
Mais il y a une autre façon d'interpréter la baisse des nouveaux cas: la croissance du nombre de nouveaux tests effectués par jour a également atteint un plateau. Depuis le 1er avril, le pays a testé environ 145 000 personnes chaque jour sans trajectoire ascendante régulière. La croissance du nombre de nouveaux cas par jour et la croissance du nombre de nouveaux tests par jour sont très étroitement corrélées.
Cette corrélation étroite suggère que si les États-Unis testaient plus de personnes, nous assisterions probablement à une augmentation du nombre de cas de COVID-19. Et combiné avec le taux élevé de positivité des tests, cela suggère que le réservoir de cas inconnus et non dénombrés de COVID-19 à travers le pays est toujours très grand.
RépondreSupprimerChacun de ces cas non dénombrés est une petite tragédie et un microcosme de toutes les façons dont l'infrastructure de test américaine échoue toujours. Lorsque Sarah Pavis, une ingénieure de 36 ans à New York, s'est réveillée mardi, elle était à bout de souffle et son cœur battait la chamade. Une heure de respiration profonde n'a pas réussi à calmer son pouls. Lorsque ses extrémités ont commencé à picoter, elle a appelé le 911. C'était son neuvième jour de symptômes de COVID-19.
Le taux de positivité de New York est de 55%. Plus de 111 000 habitants de la ville ont des cas de COVID-19 confirmés en laboratoire, mais Pavis n'en fait pas partie. Lorsque l’ambulance est arrivée à l’appartement de Pavis, une employée de l’EMS a pris ses signes vitaux, puis a expliqué qu’il ne pouvait pas faire grand-chose pour aider. Les hôpitaux de la ville n'ont admis que des personnes ayant un taux d'oxygène dans le sang de 94% ou moins, a-t-il déclaré. La lecture de Pavis dans l'oxygène dans le sang était de 96%. Cette différence de 2% signifiait que sa maladie n'était pas suffisamment grave pour mériter une hospitalisation, pas assez grave pour être testée, pas assez grave pour être comptée.
https://medium.com/the-atlantic/a-new-statistic-reveals-why-americas-covid-19-numbers-are-flat-82e9b600551f
Nice. L’Ordre des avocats attaque l’État pour obtenir des gants, des masques et du gel hydroalcoolique
RépondreSupprimerMe Thierry Troin, bâtonnier de l’Ordre des avocats de Nice, a lancé une procédure d’urgence ce mercredi 15 avril devant le tribunal administratif de Nice. L’objectif est de demander une meilleure prise en charge sanitaire des métiers du droit par l’État.
le 16/04/2020 à 12h49
Une procédure d’urgence a été lancée, ce mercredi 15 avril, devant le tribunal administratif de Nice (Alpes-Maritimes). À l’initiative de cette action judiciaire, Me Thierry Troin, bâtonnier de l’Ordre des avocats de Nice, estime que sa profession ne dispose pas de tous les moyens sanitaires pour exercer, rapporte Nice Matin.
Des procédures engagées à Paris et Marseille
«Il est inacceptable que l’État n’assure pas un minimum de sécurité sanitaire quand les avocats sont appelés en garde à vue ou à la maison d’arrêt pour rencontrer leurs clients», dénonce-t-il. Il demande à l’État de fournir aux juristes des masques, des gants, et du gel hydroalcoolique au même titre que d’autres professions.
Dans l’attente de protections livrées par l’État, l’Ordre a déjà remis du matériel aux avocats qui assuraient la permanence pénale lorsqu’ils plaidaient devant le tribunal correctionnel. Des procédures similaires ont été engagées devant le Conseil d’État par les barreaux de Paris et Marseille.
https://www.ouest-france.fr/provence-alpes-cote-dazur/nice-06000/nice-l-ordre-des-avocats-attaque-l-etat-pour-obtenir-des-gants-des-masques-et-du-gel-hydroalcoolique-6809711
SupprimerHAHAHA ! Et en quoi les 'avocats' seraient-ils prioritaires ?
Les paysans (qui nourrissent le monde !) sont dehors du matin au soir et 7 j sur 7 et N'ONT PAS DE MASQUE !!
Des aspects «incompréhensibles» du coronavirus désignés par un infectiologue
RépondreSupprimer11:04 20.04.2020
Plusieurs incohérences entre l’état de santé d’un infecté au Covid-19 et les résultats des analyses obtenus par scanner ou radiographie ont été signalées par un expert russe. Selon lui, la pneumonie peut ne pas être visible sur les radios, le scanner montrant parfois, pour sa part, un état grave des poumons alors que le malade se porte bien.
Certaines singularités du Covid-19 qui ne rentrent pas dans le cadre du déroulement habituel des infections virales ont été mises en valeur par Vladimir Nikiforov, expert des maladies infectieuses de l’Agence fédérale médico-biologique (FMBA) de Russie.
«Il ne se développe pas selon les canons de l’épidémiologie classique, de la pathogenèse classique des infections respiratoires virales aiguës. Il est absolument incompréhensible que l’état de santé d’un malade et les changements de ses poumons ne correspondent pas. Selon l’image du scanner, un tel malade devrait être au moins en soins intensifs, alors qu’il peut se sentir plutôt bien pendant un certain temps. Ensuite, c’est une chute catastrophique», a-t-il expliqué sur la chaîne de télévision Rossiya 1.
De plus, les radiographies révèlent normalement la présence d'une pneumonie, alors qu’elles ne montrent pas celle provoquée par le Covid-19, a-t-il ajouté.
Et de conclure: «Nous nous sommes heurtés à quelque chose de nouveau. Je ne dirais pas que ce soit effrayant mais tout ce qui est non compréhensible fait peur».
D’autres particularités
Des chercheurs chinois et américains ont également affirmé que le nouveau coronavirus pouvait s’attaquer à d’autres organes de l’Homme, en plus des poumons. Selon eux, l’infection peut affecter le cœur, le cerveau, le système sanguin et endocrinien. Des études montrent par ailleurs que l’humain risque de faire face à des séquelles à long terme dues au Covid-19.
Presque tous les pays sont actuellement touchés par le nouveau coronavirus qui a fait plus de 162.000 morts et infecté plus de 2.350.000 personnes, selon le dernier bilan de l’Université Johns Hopkins. Malgré le fait que la propagation du virus continue, plusieurs pays européens dont l’Allemagne, l’Italie, l’Autriche et le Danemark ont entamé un déconfinement partiel.
https://fr.sputniknews.com/sante/202004201043603835-des-aspects-incomprehensibles-du-coronavirus-designes-par-un-infectiologue/
SupprimerChemtrails. (+ virus) =
Sommes-nous en train de préparer un nouveau féodalisme ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 04/19/2020 - 23:05
Écrit par Paul Craig Roberts,
La réponse à la question est «OUI». Les grands créanciers renfloués se retrouveront avec la propriété des débiteurs non renfloués qui sont poussés plus profondément dans la dette avec des «prêts de renflouement» et des frais et pénalités pour les paiements de dette manqués. Amortissements pour le Pour cent et endettement accru pour tous les autres.
Tournez-vous vers l'économie. Les États-Unis ont une main-d'œuvre de 164 millions. Le taux de chômage prévu pour les arrêts de travail est de 30%. Cela signifierait 49 000 000 de personnes qui sont des émeutiers potentiels. (Nous sommes à mi-chemin avec le rapport d’aujourd’hui d’un taux de chômage de 16% avec 22 millions de chômeurs). Beaucoup de ces personnes vivaient déjà de chèque de paie à chèque de paie, ne pouvaient pas lever 400 $ et leurs dettes ne leur laissaient aucun revenu discrétionnaire. Comme ils peuvent à peine rembourser leurs dettes lorsqu'ils sont employés, comment les remboursent-ils lorsqu'ils sont au chômage et que leurs petites entreprises sont fermées et engagent des coûts mais n'ont aucun revenu? Les prêts les endettent encore davantage. Les versements en espèces aux chômeurs pourraient couvrir la nourriture et le logement, mais ne rembourseront pas leurs dettes.
Les franchises de restauration rapide et les magasins dans les centres commerciaux disent qu'ils ne paient pas leur loyer pendant trois mois. Les propriétaires de centres commerciaux ne pourront pas payer leurs créanciers. Le sauvetage ne fonctionne pour personne, sauf pour ceux qui ont causé le problème. Au fur et à mesure de leur renflouement, ils auront l'argent pour acheter ou saisir les entreprises en faillite. Plus de biens seront concentrés dans moins de mains.
Le plan de sauvetage concocté par les banques de New York et le secrétaire au Trésor de Trump, qui a gagné le nom de «roi de forclusion» au cours de sa carrière à Wall Street, laisse les créanciers entiers et les débiteurs plus endettés.
Plus la dette est concentrée dans moins de mains et plus tout le monde est endetté, moins il y a de pouvoir d'achat des consommateurs pour stimuler l'économie. Les actifs saisis perdent de leur valeur à mesure que leur rentabilité diminue avec le pouvoir d'achat des consommateurs.
La destruction de l'économie américaine est en cours depuis que les sociétés mondiales ont délocalisé les emplois de la classe moyenne.
Elle est en cours depuis que le secteur financier a détourné une part plus importante des revenus des consommateurs au service de la dette.
Elle est en cours depuis que les entreprises ont investi leurs bénéfices dans le rachat de leurs propres actions au lieu d'augmenter leurs capacités de production.
Il est en cours depuis l'assouplissement quantitatif des prix gonflés des actions et des obligations au-delà des valeurs réalistes.
Cela dure depuis que les règles interdisant la concentration ont été annulées et que la loi Glass-Steagall a été abrogée.
Cela se passe depuis que des guerres sans fin ont évincé les investissements dans les infrastructures et l'expansion des filets de sécurité sociale.
Est-ce un complot ou une stupidité ? Quelle que soit la réponse, l'économie est en train d'être détruite.
Le problème économique est que la dette du secteur privé, à la fois des particuliers et des entreprises, est trop importante pour être remboursée. Ce problème existait avant la fermeture. La fermeture signifie qu'il y a encore moins de revenus pour faire face au niveau insoutenable de la dette. Ce n'est pas un problème qui peut être résolu avec plus de dettes.
RépondreSupprimerLe problème est que les banques prêtent pour financer l’achat d’actifs financiers existants et non pour accroître le potentiel productif de l’économie.
Le problème est que les sociétés utilisent leurs bénéfices et empruntent de l'argent pour racheter leurs propres capitaux propres au lieu d'investir dans leurs entreprises. Les dirigeants endettent les sociétés tout en les décapitalisant, et ils sont récompensés pour cela par des «primes de performance».
Le problème est que les sociétés mondiales qui pensent à court terme ont déplacé des emplois américains à haute productivité et à haute valeur ajoutée vers l'Asie, réduisant ainsi les revenus gagnés aux États-Unis, nuisant à l'assiette fiscale nationale et locale, et obligeant la Réserve fédérale à substituer une croissance l'endettement des consommateurs au lieu de la perte de croissance des revenus des consommateurs.
Les responsables du correctif ne le réparent que pour eux-mêmes et à court terme. Il n'y a qu'une seule façon de régler la situation, c'est de réduire les dettes du secteur privé à des niveaux qui peuvent être remboursés. Comme les créanciers sont renfloués malgré tout, leurs pertes sur prêts n’ont pas d’importance.
Les plans de sauvetage des banques et des entreprises sont l'occasion de redresser l'économie par d'autres moyens importants. En effet, les renflouements équivalent à une nationalisation. Le gouvernement devrait accepter la propriété qu'il achète. Ensuite, le gouvernement peut briser les «banques trop grosses pour faire faillite» et séparer les investissements des banques commerciales sans avoir à adopter une nouvelle législation Glass-Steagall et sans avoir à lutter contre le lobbying financier au Congrès. Une fois démantelées, les banques pourraient être vendues. Cela éliminerait énormément la vulnérabilité du système financier et rétablirait la concurrence financière. Avec des sociétés entre les mains du gouvernement, les emplois pourraient être ramenés de l'étranger. La classe moyenne serait rétablie.
Ces mesures, combinées à une réduction de la dette, rétabliraient le pouvoir d'achat des consommateurs. La demande refoulée propulserait l'économie vers une croissance plus élevée comme cela s'est produit après la Seconde Guerre mondiale.
C'est une vraie solution à un vrai problème. Mais avec le One Percent en charge du problème, nous n'allons pas trouver de vraie solution. Nous allons utiliser plus d'argent pour faire grimper les prix des actifs financiers et du papier sur la dette insoutenable et une économie moribonde avec un marché boursier artificiellement gonflé.
L'élite nous a trop laissé tomber. Il est temps de les détrôner.
https://www.zerohedge.com/markets/are-we-brewing-new-feudalism
(...) la propriété des débiteurs non renfloués qui sont poussés plus profondément dans la dette avec des «prêts de renflouement» et des frais et pénalités pour les paiements de dette manqués. (...)
Supprimer'la propriété des débiteurs' (celle d'écrire des chiffres sur l'ordinateur et de se faire rembourser leur invention d'argent en argent billets !
Ils créaient de FAUSSES dettes (puisque l'argent prêté n'existe pas) et demandent à être remboursés + intérêts !
PERSONNE au monde ne gène l'autre. Ce n'est pas une affaire d'argent (!) mais une affaire de coefficient intellectuel.
Le nano-groupuscule de dictateurs face à 7 milliards 500 millions de personnes (dont 15 millions de grosses têtes).
15 millions ? Cela dépasse les 500 000 qui devraient rester vivants sur Terre !
L'Union européenne est morte mais ne le sait pas encore
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 20/04/2020 - 03:30
Écrit par Giulio Meotti via The Gatestone Institute,
Le nouveau coronavirus semble déchirer le cadre fragile de l'Union européenne.
"L'Europe", a déclaré l'ancien chef de la Commission et parrain de l'UE, Jacques Delors, "est en" danger mortel ".
Si les citoyens se sentent abandonnés au cœur de la pandémie, a déclaré l'ancien Premier ministre français Manuel Valls, l'UE pourrait "s'effondrer".
L'objectif de l'UE était évidemment censé être une "union toujours plus étroite". Mais maintenant, si l'UE ne fait pas preuve de solidarité et de force en temps de crise mondiale, quel est l'objectif de l'UE ? Ses partisans idéologiques ont un mantra: chaque nouveau problème doit être résolu par plus d'Europe. "L'Europe est notre avenir, nous n'en avons pas d'autre", a déclaré un jour l'ancien ministre allemand des Affaires étrangères Hans-Dietrich Genscher.
Bien qu'il s'agisse de déclarations importantes et dramatiques, chaque fois, c'est comme si quelque chose d'encore plus important et dramatique devait arriver pour éveiller les gens, comme si l'Union européenne n'était jamais réellement perçue comme mourante.
Malheureusement, ces phrases de haut vol semblent se transformer en slogans vides.
La vérité est qu'il n'y a pas d '"Union". Il existe un conglomérat d'États européens qui tentent de profiter de certaines règles appelées "l'union". En temps de crise, les anciennes divisions européennes semblent toujours rouvrir - et les crises font partie du vieux continent, peut-être son épitaphe.
Le coronavirus met désormais l'Union européenne et sa zone de confort face à face avec toutes ses faiblesses, décadence et lâcheté.
Face à la catastrophe pandémique de l'Italie, l'Union européenne n'a fait preuve que d'impuissance et d'indifférence. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a même "présenté ses excuses" à l'Italie et reconnu que l'UE n'avait pas bien réagi à la pandémie de Covid-19.
Lorsque l'Italie a appelé à la solidarité de ses voisins européens, ils ont décliné. Même l'ancien président du Parlement européen, Antonio Tajani, parlait d'une "Europe lâche". Le journal italien pro-UE, La Repubblica, l'appelait carrément "Ugly Europe". Il semble que 70% des Italiens pensent que l'Allemagne tente de les "étrangler".
En raison du coronavirus, l'espace Schengen européen pour voyager sans passeport à l'intérieur de l'UE - l'un des deux piliers du dogme de l'UE (l'autre étant l'euro) - a été suspendu à la hâte et les frontières intérieures fermées sans action coordonnée. Au cours des deux premières semaines de mars, neuf pays ont fermé leurs frontières; suivie de la fermeture partielle des frontières de l'Allemagne. L'UE a ensuite annoncé la fermeture de ses frontières extérieures pendant 30 jours.
"Vous ne comprenez pas l'urgence que nous traversons ?", A demandé le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, à la chancelière allemande Angela Merkel lors de l'un des derniers sommets de l'UE.
Ce que les Allemands semblaient vouloir, c'était les avantages d'un marché euro élargi sans ses inconvénients, comme la «solidarité» dans le cas des migrants ou des coronavirus. L'Allemagne a toujours dominé l'Europe via l'UE, créée après la Seconde Guerre mondiale pour empêcher l'Allemagne de se relever.
Un rapport de la Fondation Bertelsmann a révélé que l'Allemagne, qui représente plus du quart de la production économique de la zone euro, a le plus profité du marché unique de l'UE, gagnant 86 milliards d'euros de plus par an. C'est probablement ce bonus financier qui aide désormais l'Allemagne à lutter contre l'épidémie. L'Allemagne compte 25 000 ventilateurs; La France n'en avait que 5 000 et l'Italie a été forcée par un manque de ventilateurs de prendre des décisions angoissantes sur qui traiter. "La solidarité européenne ne signifierait-elle pas que l'Allemagne livrerait [sic] au moins certains des nouveaux ventilateurs aux pays qui en ont le plus besoin actuellement ?", A demandé le journaliste de Die Zeit, Jochen Bittner.
RépondreSupprimerCependant, parmi les États européens, encore plus rapidement que l'empathie et la solidarité, se répandent l'amertume et le ressentiment.
En 2017, Jeroen Dijsselbloem, alors ministre néerlandais des Finances et chef de l '"Eurogroupe" (le groupement des ministres des Finances de l'UE), a déclaré que des pays d'Europe du Sud comme l'Italie avaient gaspillé leur argent en "boissons et femmes". Ce mois-ci, l'un des principaux journaux allemands, Die Welt, a écrit que la mafia italienne attendait l'argent du coronavirus de Bruxelles.
Berlin n'a pas été émue, même par les photos de l'armée italienne transportant des dizaines de cercueils hors d'une ville parce que le crématorium local a été submergé par les morts. Des dizaines de cercueils en attente d'enterrement étaient alignés dans les églises.
"Cela me fait mal de le dire, mais les pays qui traînent les pieds, comme la Hollande, l'Allemagne et la Suède, n'ont pas encore connu de pénurie de cercueils", a commenté l'ancien Premier ministre italien Enrico Letta. Les Allemands et les Néerlandais n'ont jamais trouvé de résidents des maisons de retraite "morts et abandonnés", comme cela s'est produit en Espagne. "Les capitales européennes ont vu l'Italie prendre des mesures qui semblaient extrêmes à l'époque dans une tentative finalement futile de contenir les infections du reste du continent", a écrit Politico.
Une autre bataille sans merci que l'Italie a menée avec l'UE a été celle des masques protecteurs. La France a adopté une politique de réquisition; L'Allemagne a interdit leur exportation. Ces décisions unilatérales ont sapé un principe de l'UE tant vanté: la libre circulation des marchandises dans le marché unique. Comme L'Express l'a révélé, la France a saisi quatre millions de masques appartenant à une entreprise suédoise et destinés en partie à l'Italie et à l'Espagne.
Un écrivain allemand, Hans-Magnus Enzensberger, appelant l'Union européenne "le doux monstre", a prédit sa disparition: "Tous les empires de l'histoire n'ont prospéré que pendant une demi-vie limitée, avant de sombrer dans une expansion excessive et des contradictions internes ".
Pour relancer leur économie, les pays les plus touchés, comme l'Italie et l'Espagne, ont affirmé qu'ils pourraient être financés par une dette commune de l'UE à lever via des «coronabonds». L'Espagne, la France, la Grèce, Malte et l'Irlande soutiennent tous cette solution, tout comme le philosophe allemand Jürgen Habermas, qui a demandé à l'UE de "s'entraider".
L'Allemagne et les Pays-Bas ont cependant rejeté la proposition.
Les Pays-Bas exigeaient que les prêts soient accompagnés de "conditions à long terme", telles que la réduction de la taille des États-providence.
RépondreSupprimerLe même manque d'intérêt a été démontré par le Mécanisme européen de stabilité (MES), financé par les États membres de l'UE, un processus de prêt d'argent à un État en difficulté, jusqu'à 2% de son PIB.
"L'Europe du Nord abandonne l'Europe du Sud!" a déclaré l'ancien chef des sociaux-démocrates allemands, Sigmar Gabriel. "Mieux vaut avoir des euro-obligations et des coronabonds qu'une UE détruite".
Les conditions exigées seraient cependant inacceptables pour l'Italie: les pays les plus touchés par Covid-19 - l'Italie, l'Espagne et la France - sont ceux qui ont le moins de marge de manœuvre budgétaire. "L'Europe ne s'est jamais rencontrée quand nous en avions besoin", a expliqué l'économiste français Jean-Paul Fitussi. "Et donc, il était prévisible que les pays du Nord diraient non à la mutualisation de la dette. Mais sans mutualisation de la dette, la crise d'aujourd'hui n'est pas résolue. Et ne pas le faire est un suicide collectif".
Le Royaume-Uni, après le Brexit, est sorti; L'Europe de l'Est est en conflit avec Bruxelles depuis des années et vient maintenant l'isolement de l'Europe du Sud.
Alors que l'Italie peinait à ralentir et à contenir la contagion meurtrière, la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, a annoncé que la banque centrale n'était "pas là pour combler les écarts" entre les obligations italiennes et allemandes, une mesure de l'écart de risque entre le deux dettes souveraines. Les commentaires de Lagarde, sans tache de "solidarité", ont fait grimper fortement les rendements obligataires italiens.
Plus tôt, alors que l'Italie et la Grèce étaient submergées par les migrants du moyen-orient et d'Afrique, les pays de l'UE ont refusé de prendre leur "part" des migrants. Faute d'une politique pour arrêter le flux de l'immigration de masse, l'Europe a décidé de laisser les pays du Sud à leur sort. Le ministre italien des Affaires étrangères de l'époque, Angelino Alfano, a déclaré que l'Europe avait "abandonné" l'Italie. "L'UE abandonne l'Italie à l'heure de ses besoins", a déclaré Elisabeth Braw en politique étrangère.
La vérité est que l'UE montre simplement à quel point elle est vraiment faible. Comme l'a observé Éric Zemmour:
"... notre idéologie sans frontières nous a interdit de fermer les frontières ... Quant à notre souveraineté européenne, elle finit par s'évanouir. Lorsque la tragédie frappe à nos portes, notre conception du monde nous met à genoux ... "
En temps de crise, les technocrates bruxellois semblent robotiques et apathiques, tandis que les États nationaux deviennent essentiels pour contenir l'immigration illégale ou une pandémie. L'Union européenne est morte, elle ne le sait pas encore.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/european-union-dead-does-not-yet-know-it
'L'union européenne' n'a JAMAIS existé sauf dans la tête du nano-groupuscule de dictateurs à Bruxelles.
SupprimerEn l'absence de masques FF P2 pour tous, les politichiens ont TOUS du sang sur les mains.
Plus de 2 mois pour faire un masque !
Voir:
Quelque 16 millions de masques destinés à la France sont bloqués en Chine
7 Avril 2020
Le Cap arrête de tirer des balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes alors que les pénuries alimentaires en Afrique du Sud provoquent des émeutes et des pillages
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 20/04/2020 - 02:45
COVID-19 a fait plus de 1 000 morts en Afrique et accélère rapidement, avec un total de 52 des 54 pays africains ayant signalé des cas et le nombre d'infection approchant les 20 000.
Afin de contrôler la propagation du virus mortel, qui, selon un rapport de la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique, pourrait entraîner un bilan de 3,3 millions de morts en Afrique, les autorités mettent en place certaines des règles de verrouillage les plus strictes au monde.
Pendant les restrictions, les ventes d'articles non essentiels - y compris l'alcool et les cigarettes - ont été interdites, et quatre semaines après un arrêt de 35 jours, les approvisionnements alimentaires sont pratiquement épuisés.
Un leader communautaire du Cap a plaidé avec les dirigeants sud-africains pour lutter contre les pénuries alimentaires maintenant. Joanie Fredericks, du canton de Mitchells Plain, a déclaré:
"Monsieur le Président, nous sommes au milieu d'une crise alimentaire. C'est la guerre ici.
«Les gens sont entrés par effraction dans des magasins. Ils ont attaqué des gens. La raison simple est qu'ils ont faim. "
Et les pénuries alimentaires en Afrique du Sud ont créé la panique et, comme le rapporte The Sun, ont provoqué des émeutes et des pillages dans certaines des sections les plus défavorisées de la ville.
Ceux qui attendaient l'aide dont ils avaient tant besoin ont construit des barricades de pneus en flammes et ont mené des batailles avec des scènes similaires à Johannesburg et à Port Elizabeth.
La police a tiré des balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes pour disperser les foules, mais les dirigeants de la communauté locale craignent que de nouvelles flambées de violence ne soient imminentes. Fredericks a poursuivi:
"Lorsque nous avons commencé à nourrir les gens, nous avons commencé avec les personnes très vulnérables, ... les enfants, les personnes handicapées et les retraités.
"Mais nous avons dépassé de loin Monsieur le Président, nous avons dépassé le stade du renvoi des gens".
Des photos de Johannesburg ont également montré de longues files d'attente de personnes formées aux points de distribution de nourriture (ce qui est logique car avant que le coronavirus ne frappe, au moins 20 millions de personnes étaient en danger d'insécurité alimentaire aiguë) ...
Auparavant, The Sun a rapporté comment des infirmières en Afrique du Sud ont été abattues avec des balles en caoutchouc après avoir protesté contre les conditions de travail au milieu de la pandémie.
https://www.zerohedge.com/health/capetown-cops-fire-rubber-bullets-teargas-south-african-food-shortages-spark-riots-looting
Mené par "la science" vers un despotisme médical ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 20/04/2020 - 02h00
Écrit par Rob Slane via TheBlogMire.com,
Ayant emballé ma télévision dans une boîte il y a une vingtaine d'années (ai-je raté quelque chose de bien ?), J'ai l'impression d'avoir développé une certaine immunité contre certaines des techniques de propagande les plus flagrantes exercées sur la population par les médias et le gouvernement. Les fois où j'arrive à les voir, je me retrouve souvent à court de savoir s'il faut rire à haute voix des absurdités, ou pleurer que beaucoup vont les avaler sans poser de questions.
Mon exemple récent préféré dans les médias est cet article sur la BBC (la Babylon Bee Corporation), Où ils examinent les mesures sinistres prises par certains des dirigeants les plus autoritaires d'Europe, leur demandant s'ils utilisent Covid-19 comme excuse pour opprimer leurs populations et augmenter leur pouvoir. Soyez reconnaissants, lecteurs de ces événements, que rien de tel ne puisse jamais se produire dans des pays libres comme la Grande-Bretagne, la France et l'Italie. S'il est jamais arrivé un moment dans la Grande-Bretagne libre et heureuse où ils ont précipité une législation draconienne au Parlement sans opposition, mis la population en résidence surveillée, envoyé l'économie en chute libre et mis la police sur nous au cas où nous serions assis sur des bancs de parc - Heaven pardonner - soyez assurés que tout cela serait entièrement bienveillant et pour notre propre bien.
Mon récent exemple préféré du gouvernement a été lorsque j’ai eu la malchance d’écouter un clip de l’un des stand-up réguliers de Dominic Raab cette semaine. Il a utilisé l'expression - «Nous sommes dirigés par la science. Mené par la science »- tellement de fois que j'ai commencé à me demander si le but était de nous endormir tous. Je pense cependant qu'il leur manquait un truc. S'ils avaient eu de la musique de harpe apaisante en arrière-plan, et obtenu une belle femme rêveuse avec des yeux hypnotiques et de beaux tons de dulcet pour dire les mots - "La science. La science. Nous sommes dirigés par la science. Nous sommes tous dans le même bateau. Dirigé par la science. " - pourquoi je pense qu'ils auraient pu endormir toute la population en s'endormant doucement en disant les mots dans des tons toujours plus lents, toujours plus monotones et somnolents. M. Raab, cependant, ne l'a pas tout à fait coupé.
Lorsque certaines personnes entendent des gouvernements utiliser des slogans comme «Mené par la science», l'aura des scientifiques et en particulier des scientifiques approuvés par le gouvernement semble être suffisante pour les faire rouler comme des chiots qu'on leur caresse doucement le ventre. Lorsque j'entends de tels slogans, mes antennes de propagande se mettent immédiatement en alerte, et je commence à me demander ce qu'elles font réellement.
"Ah, vous êtes donc anti-science", lance la provocation.
«Pas du tout», dit I. «Je suis juste conscient que les scientifiques sont rarement d'accord, et que lorsque les gouvernements utilisent de telles déclarations pour justifier leurs actions de cette manière, cela signifie probablement que nous allons sortir de ce plus restreint et moins libre que nous étions auparavant. "
Parce que - whaddaya sait ? - alors que M. Raab et co voudraient nous faire croire que sur Covid-19 il y a quelque chose appelé "la science" et qu'il y a des gens appelés "les scientifiques" qui sont tous d'accord sur "la science", c'est loin de la vérité. Par exemple, ces 12 scientifiques extrêmement qualifiés ne sont pas d'accord avec le fait que «la science» soit suivie par le gouvernement britannique. Ces 10 scientifiques extrêmement qualifiés ne le font pas non plus. Oh et ces 8 scientifiques extrêmement bien qualifiés non plus.
Ce que M. Raab veut vraiment dire, ce sont des scientifiques qui sont d'accord avec le gouvernement (et au cas où vous ne saviez pas où vous aviez entendu l'expression auparavant, je pense que M. Raab citait les plus grands succès de Greta Thunberg, qu'elle a utilisés dans la journée pour promouvoir sa marque particulière de panique). Ou peut-être plus précisément, nous devrions dire que les scientifiques dont les prédictions inexactes utilisant des données erronées ont été avalées par le gouvernement, ont ensuite été utilisés pour justifier que nous nous retrouvions tous dans un gâchis aux proportions vraiment gargantuesques, et pourtant, ils sont maintenant apparemment le berger qui nous mènera dans la Terre promise. Eh bien, peut-être pas la Terre Promise, mais au moins au point où nous pouvons quitter nos maisons et nous promener, sans être inquiétés et sans faire attention à qui pourrait nous regarder. Ce n'est donc pas un gouvernement dirigé par la science. C'est plutôt le gouvernement qui utilise des scientifiques agréés pour faire ce qu'il veut.
RépondreSupprimerLe grand C.S. Lewis, avec sa prévoyance remarquable, a vu la façon dont tout cela allait remonter à 1958:
«Sur le même terrain, je redoute le gouvernement au nom de la science. C'est ainsi que les tyrannies entrent en jeu. À chaque époque, les hommes qui veulent de nous sous leur pouce, s'ils ont un sens, feront valoir la prétention particulière que les espoirs et les craintes de cet âge rendent la plus puissante. Ils «encaissent». Ça a été magique, ça a été le christianisme. Maintenant, ce sera certainement la science. Peut-être que les vrais scientifiques ne pensent pas beaucoup à la «science» des tyrans - ils ne pensaient pas beaucoup aux théories raciales d'Hitler ou à la biologie de Staline. Mais ils peuvent être muselés. »
Et en effet ils sont muselés ! Car nous sommes ici dans une situation où la science faussement soi-disant avancée par des gens comme l'Imperial College, qui s'appuyait sur des données extrêmement rares et douteuses, est traitée comme l'Oracle même de Dieu par le gouvernement et un média conforme, tandis que le les opinions exprimées par les personnes extrêmement qualifiées suivantes sont presque entièrement ignorées:
Dr Sucharit Bhakdi, ancien professeur à l'Université Johannes Gutenberg de Mayence et directeur de l'Institut de microbiologie médicale et d'hygiène
Dr John Ioannidis, professeur de médecine, de recherche et de politique de la santé et de science des données biomédicales, à la Stanford University School of Medicine
Professeur Knut Wittkowski, associé de recherche principal, Université Rockefeller
Dr Alexander Kekulé, président pour la microbiologie médicale et la virologie à l'Université Martin Luther Halle-Wittenberg et directeur de l'Institut de microbiologie médicale à l'hôpital universitaire de Halle
John Oxford, virologue à Queen Mary, Université de Londres
Dr Sunetra Gupta, professeur d'épidémiologie théorique à l'Université d'Oxford
Dr Pablo Goldschmidt, professeur de pharmacologie moléculaire à l'Université Pierre et Marie Curie à Paris.
Pourquoi leurs opinions sont-elles ignorées par les médias grand public ? Premièrement, parce qu'ils ne correspondent pas à la narration établie par le gouvernement, ce que M. Raab voudrait nous faire croire est la seule science en ville et deuxièmement, parce qu'ils affirment tous que d'énormes décisions aux conséquences énormes ont été prises sur la base de données peu nombreuses ou erronées. Le leur est le genre de science qui ne peut pas être facilement manipulé par les gouvernements, c'est pourquoi les gouvernements l'ignorent. Encore une fois, Lewis prévoyait que cela se produirait des décennies avant qu'il ne se concrétise:
«Encore une fois, la nouvelle oligarchie doit de plus en plus fonder sa prétention à nous planifier sur sa prétention à la connaissance. Si nous voulons être maternés, la mère doit savoir le mieux. Cela signifie qu’ils doivent de plus en plus s’appuyer sur les conseils des scientifiques, jusqu’à ce que les politiciens eux-mêmes ne deviennent finalement que les marionnettes des scientifiques. La technocratie est la forme à laquelle une société planifiée doit tendre. Maintenant, je redoute les spécialistes du pouvoir parce que ce sont des spécialistes qui parlent en dehors de leurs sujets spéciaux. Laissez les scientifiques nous parler des sciences. Mais le gouvernement implique des questions sur le bien pour l'homme et la justice, et sur ce que les choses valent à quel prix; et sur ceux-ci une formation scientifique ne donne à l’opinion d’un homme aucune valeur ajoutée. Que le médecin me dise que je mourrai à moins que je ne fasse ceci ou cela; mais la question de savoir si la vie en vaut la peine dans ces conditions n'est pas plus une question pour lui que pour tout autre homme. »
RépondreSupprimerCe n'est même pas, comme certains pourraient le supposer, une simple question d'opinion scientifique par rapport à une autre opinion scientifique. Le modèle original de l'Imperial College, suivi par le gouvernement britannique, était basé sur des hypothèses qui étaient tout simplement inconnues et qui ne pouvaient pas être connues à l'époque. Ce n'était donc pas du tout scientifique à proprement parler. Par exemple, alors que le taux de mortalité initial était estimé à environ 3,4%, comme le souligne le Dr John Lee:
«Dans de nombreux exemples, des données plus complètes suggèrent désormais des taux de mortalité de 0,4%. Je suppose que cela se situera entre 0,5 et 0,1 pour cent, et probablement plus près de l'extrémité inférieure de cela. "
Imaginez faire s'écrouler une économie et imposer ce qui est effectivement un État policier, avec tous les maux concomitants qui en résulteront, pour faire face à une maladie avec un taux de létalité non significativement supérieur à une mauvaise saison grippale. Est-ce rationnel? Est-ce proportionnel? Est-ce dirigé par la science?
Il n'existe pas non plus de preuve scientifique que le fait de placer le pays sous des mesures de verrouillage extrêmes se révèle plus efficace que les mesures plus sensées prises par des pays comme le Japon et la Suède. Dr Lee à nouveau:
"Le vrai point est qu'il n'y a aucune preuve directe que ce que nous faisons affecte réellement le pic. Il est possible de faire des arguments qui semblent raisonnables qu'un verrouillage devrait affecter le pic. Et pourtant, d'autres endroits qui font des choses différentes semblent avoir des graphiques de forme similaire. Ce n'est qu'une supposition que le verrouillage a un grand effet sur la propagation du virus, mais ce n'est pas un fait scientifique connu. Pour autant que je sache, la Suède, bien qu'elle n'ait pas été aussi bloquée que nous l'avons été, a en fait une courbe très similaire à la nôtre. Et le taux de mortalité de la Suède pour cent mille personnes représente actuellement environ la moitié du nôtre. Il n'est donc pas acquis que ce que nous faisons fonctionne ou a tous les bons effets. »
A-t-il raison ? Vous pouvez vérifier par vous-même en utilisant les graphiques ci-dessous, qui montrent les décès hebdomadaires signalés par Covid-19, à la fois en termes absolus et par million d'habitants.
Je ne vois aucune corrélation que ce soit entre les taux de mortalité dans ces pays soumis à un verrouillage total, et la Suède qui ne l'est pas.
Ce qui est acquis, cependant, c'est que les mesures mises en place par le gouvernement britannique et de nombreux autres gouvernements, qui auraient été dirigés par la science, conduiront certainement à:
RépondreSupprimerPertes massives d'emplois (le chômage américain a apparemment augmenté de 22 millions en un peu plus d'un mois)
Des salaires bien inférieurs
Une énorme augmentation de la pauvreté
Une baisse de la santé générale
Une baisse de l'espérance de vie
Une augmentation des problèmes de santé mentale
Une augmentation du taux de suicide
Et de nombreuses personnes âgées meurent seules sans soignants.
Nous ne pouvons pas être sûrs de l'étendue, mais ce sont les sortes de choses qui se produisent dans une dépression, ce dans quoi nous entrons très évidemment.
Mais ma peur de savoir où cela mène va au-delà même de ces scénarios possibles. J'ai constaté ces dernières années une propension croissante des responsables à proposer des solutions à des problèmes qui sont en grande partie de leur ressort. Les bruits que j'entends de certains d'entre eux suggèrent que c'est ce qui se dessine, mais à plus grande échelle que jamais. Être «dirigé par la science» se révèle être un désastre absolu, mais ce sera «la science» - ou la science approuvée par le gouvernement - qui sera proposée comme le sauveur. Pour éviter que de telles situations ne se reproduisent, on nous dira que nous devons recourir à plus de technologie, plus de surveillance, plus de contrôles, plus de vaccins, plus de contrôles.
Lewis a parlé deux fois - laissez-le parler pour la troisième fois:
«Dans les conditions modernes, toute invitation efficace à l'enfer apparaîtra certainement sous le couvert d'une planification scientifique - comme l'a fait le régime d'Hitler. Tout tyran doit commencer par prétendre avoir ce que ses victimes respectent et donner ce qu'ils veulent. Dans la plupart des pays, la majorité respecte la science et souhaite être planifiée. Et, par conséquent, presque par définition, si un homme ou un groupe souhaite nous asservir, il se qualifiera bien sûr de «démocratie planifiée scientifique». Raison de plus pour examiner très attentivement tout ce qui porte ce label. »
Dans notre société technologique moderne impie, impénitente, cela arrivera forcément. Mais non merci.
https://www.zerohedge.com/political/led-science-towards-medical-despotism
Pour le professeur allemand Gérard Krause, épidémiologiste, le confinement provoque au final une augmentation de la mortalité
RépondreSupprimerSLT
mer., 01 avr. 2020 11:49 UTC
Gerard Krause est professeur en épidémiologie et chef du département au Helmholtz Centre for Infection Research. Il alerte sur le fait que les mesures de confinement pourraient provoquer plus de décès que le virus lui-même: Mehr Tote durch Anti-Corona-Maßnahmen als durch Virus ?
(Plus de décès dus aux mesures anticorona qu'aux virus lui-même ?)
« Nous devons maintenir ces mesures aussi courtes et aussi légères que possible, car elles pourraient éventuellement causer plus de maladies et de décès que le coronavirus lui-même. Nous savons que le chômage, par exemple, provoque des maladies et même une augmentation de la mortalité. Cela peut aussi conduire les gens au suicide. La restriction de la liberté de circulation est susceptible d'avoir un impact négatif supplémentaire sur la santé publique. Il n'est pas si facile de calculer directement de telles conséquences, mais elles se produisent quand même et elles peuvent être plus graves que les conséquences des infections elles-mêmes.[...] »
- voir clip sur site :
https://fr.sott.net/article/35375-Pour-le-professeur-allemand-Gerard-Krause-epidemiologiste-le-confinement-provoque-au-final-une-augmentation-de-la-mortalite
Coronavirus : les clés pour reconnaître une opération mondialiste
RépondreSupprimerDiario de Vallarta & Nayarit - Claudio Fabian Guevara
Sott.net
mer., 01 avr. 2020 07:34 UTC
La crise du coronavirus est une conception trompeuse avec un programme macabre. Elle inaugure le totalitarisme sanitaire, avec des restrictions des libertés fondamentales, la promotion de la peur d'autrui et des projets de vaccination forcée. Et elle ouvre la porte à une remise à zéro du système financier mondial agonisant.
Le coronavirus est une opération mondialiste d'une ampleur sans précédent. Son programme central semble être l'imposition massive de restrictions aux libertés fondamentales (droit de réunion, de manifestation de masse, de libre circulation et d'expression), la promotion de la peur d'autrui (notions de "distance sociale") et des projets de programmes de vaccination forcée. En outre, l'effondrement induit de l'économie mondiale permettra de remettre sur pied le système financier mourant, et induira la ruine des secteurs moyens et inférieurs de l'économie mondiale. Elle prépare aussi le terrain pour l'acceptation de "mesures extraordinaires".
Ces concepts sont familiers au projet mondialiste, une ré-ingénierie du monde menée par une élite de puissances supranationales qui vise à créer un gouvernement mondial. Avec une formidable offensive de communication, presque tous les secteurs tombent sous le charme d'une crise artificielle qui remodèle les valeurs fondamentales de la coexistence sociale qui ont gouverné pendant des siècles.
Le programme mondialiste - qui prévoit, entre autres, l'affaiblissement des États-nations pour les remplacer par des formes de gouvernance supranationale, un contrôle totalitaire de la vie des gens et un processus massif de réduction de la population - utilise des événements catalyseurs qui modèlent les changements profonds de la société planétaire.
La "pandémie" du coronavirus est l'une d'entre elles, et sa conception délibérée est en vue. Chaque événement catalyseur - opérations et planification très complexes - a de multiples objectifs et utilisations. Dans cet article nous verrons quelques indices.
L'OMS et l'approche unique de la santé
L'opération commence avec les alarmes émises par l'un des centres mondialiste : l'Organisation Mondiale de la Santé.
Le grand public a la fausse impression que l'OMS est neutre, aseptisée et non contaminée par les problèmes communs de la nature humaine. L'OMS est largement perçue comme un organisme scientifique qui se consacre à la promotion de la santé sous toutes ses formes possibles, serait comme une référence clé lorsqu'il s'agit de prendre des décisions en matière de santé.
Cependant, comme il ne pourrait en être autrement, l'OMS reflète les équilibres politiques du monde et accueille des lobbies d'intérêts différents. En général, il y a une prédominance de ceux qui sont associés aux entreprises pharmaceutiques qui défendent une vision unidimensionnelle de la santé : la lutte contre les virus, les parasites et les bactéries, qui seraient à l'origine des maladies, et cette lutte doit être menée sur la base de médicaments, de vaccins et de traitements spécialisés. Il s'agit de trouver le "remède miracle" pour chaque pathologie.
Cela est extrêmement utile pour éviter que les gens prennent soins d'eux-même et, en retour, cela permet de donner du pouvoir à la corporation médicale et aux comités "d'experts". Mais personne n'a prouvé que ce paradigme - aveugle et boiteux à bien des égards - est le plus sûr, ni le plus efficace. En fait, l'iatrogénie ( décès du patient à la suite d'un traitement médical ) est la troisième cause de décès aux États-Unis.
RépondreSupprimerDu point de vue d'une approche globale et multidimensionnelle de la santé - bien plus complète que juste la somme des connaissances humaines actuelles - l'alerte internationale promue par l'OMS est très lucrative pour les entreprises pharmaceutiques, mais elle est négative pour la santé des populations.
Un hypothétique événement futur comme outil de chantage
La "pandémie" du coronavirus est littéralement une "invention", comme l'a défini le philosophe italien Giorgio Agamben. Elle commence par un événement futur hypothétique. L'OMS avertit les gouvernements que si des mesures de prévention extraordinaires ne sont pas prises, une crise sanitaire sans précédent pourrait se déclencher. Des milliers de documents et d'articles "d'experts" dressent alors des tableaux statistiques qui sèment la panique : il pourrait y avoir des millions de morts et les systèmes de santé s'effondreront.
Cette stratégie est couramment utilisée dans les opérations mondialistes. Des alertes sont lancées autour des "menaces", les informations provenant des spéculations des hauts dirigeants, impossibles à comparer, et donc à réfuter. Les arguments sont immobilisés et le débat est placé sous le signe des émotions. Qui rassemblera suffisamment d'éléments pour nier qu'un hypothétique événement futur ne puisse PAS se produire ? Et même si nous étions certains que le mauvais présage ne se réalisera pas, il est difficile d'éviter le doute angoissant : " Et si je me trompe et que cela arrive ? "
Les prévisions catastrophiques, dans ce cas, ont une conséquence logique évidente : si des millions de morts ne surviennent pas - comme cela s'est produit pour toutes les "pandémies" de ce siècle déclarées par l'OMS - nous devrons remercier l'opération de prévention massive.
Jusqu'à présent, rien d'extraordinaire n'est arrivé. Bien que de nombreux hôpitaux risquent d'êtres submergés, par le simple effet d'une prophétie qui se réalise d'elle-même : si nous parlons tout le temps des risques sanitaires, davantage de personnes se sentiront malades.
Empoisonnement des médias : décompte quotidien, statistiques en temps réel
L'OMS n'explique pas pourquoi une épidémie d'une souche de grippe commune est plus dangereuse que 300 autres souches de virus similaires, ni pourquoi nous devons cette année compter les décès en temps réel, alors que chaque année il y a entre 250.000 et 650.000 décès dus à la grippe saisonnière dans le monde, un chiffre dont la "pandémie" actuelle n'atteint même pas les 5%.
Cette position a été mise en avant par le virologiste argentin Pablo Goldschmidt, ou sous-secrétaire à la santé du Mexique. Personne ne l'a réfuté, mais il a été disqualifié et ridiculisé.
Le taux de mortalité du nouveau coronavirus ne justifie pas non plus de s'alarmer. Revoir Peter Koening :
"L'OMS a déclaré le coronavirus COVID-19 comme étant une "pandémie", alors qu'il n'y a pas le moindre signe de pandémie. Une pandémie pourrait être la condition, lorsque le taux de mortalité par infection atteint plus de 12 %. En Europe, le taux de mortalité est d'environ 0,4 % ou moins. Sauf pour l'Italie, qui est un cas particulier, où le taux de mortalité le plus élevé a été de 6 %. En Chine, où le taux de mortalité a culminé il y a quelques semaines à environ 3 %, il est revenu à 0,7 %, et il diminue rapidement."
RépondreSupprimerLa panique et la perception de la "catastrophe sanitaire" se fondent sur une opération trompeuse des médias et des autorités : le décompte quotidien des malades et des morts, ville par ville, pays par pays.
Afin d'assurer un suivi honnête de la progression de la "pandémie", il convient d'inclure une comparaison parallèle sur la situation d'autres maladies : crises cardiaques, diabète sucré, dengue ou autres pathologies. Si l'on compare ces chiffres, alors que le "nouveau coronavirus" ne se rapproche même pas des victimes du rhume et de la grippe ordinaires, la question logique que peu de gens se posent aujourd'hui se ferait jour naturellement : pourquoi tous les efforts sont-ils dirigés vers le coronavirus ? Pourquoi semble-t-il être la seule variable de santé qui importe ?
Un autre biais important dans les données médicales consiste à attribuer chaque décès d'un porteur, sans plus, au coronavirus, alors qu'un pourcentage très élevé des décès ont également des maladies préexistantes. Combien de décès sont attribuables au coronavirus comme seul facteur ?
Jusqu'à présent, la "pandémie" a beaucoup moins d'impact que n'importe quelle grippe saisonnière. Sommes-nous préparés à quelque chose de pire ?
La menace cachée : le déversement d'un contaminant mondial
Le 25 janvier 2020, avec des manifestations dans plus de 195 villes de 32 pays, la première journée mondiale de protestation contre la technologie 5G a eu lieu. Les citoyens demandaient l'arrêt de la mise en œuvre à grande échelle des technologies 5G pour des raisons scientifiques, en raison notamment de leur impact potentiel sur la santé, la faune et l'environnement.
Dans ce contexte, on a beaucoup spéculé sur le fait que le lancement de la 5G à Wuhan (la première "ville intelligente" de Chine) serait le déclencheur de l'épidémie, et expliquerait pourquoi l'Italie (l'un des champions de la 5G en Europe) est un autre épicentre. Les médias traditionnels, profitant de l'ignorance massive sur le sujet, ont rapidement tourné cette hypothèse en ridicule.
Toutefois, les preuves des dommages causés aux systèmes biologiques par les transmissions sans fil sont accablantes et sont reprises dans le rapport en temps réel du groupe Bioinitiative, ainsi que dans des déclarations telles que la Déclaration de Fribourg, l'Appel international 2015 et la campagne Stop5G. Ces documents, soutenus par d'éminents scientifiques et des milliers de personnes, prévoient de nouvelles perturbations à la santé publique lorsque la cinquième génération du réseau pour téléphones portables sera déployé sur terre et dans l'espace.
Bien que le négationnisme officiel dise le contraire, les champs électromagnétiques interagissent avec des éléments physico-chimiques, avec le potentiel de déclencher des troubles de la santé et du comportement. Le Dr Thomas Cowan a synthétisé dans une présentation de 10 minutes, pourquoi, depuis l'épidémie de grippe espagnole de 1918 au coronavirus, chaque nouvelle couche d'électrification de la terre a entraîné une vague de nouvelles maladies.
Le récit du coronavirus, dans cette perspective, serait un écran de fumée, un bouc émissaire élaboré pour "expliquer" cette épidémie et les suivantes qui auraient lieu dans un avenir proche.
RépondreSupprimerDans cette ligne, le Dr Dietrich Klinghardt, fondateur du Sophia Health Institute et autorité mondiale sur les champs électromagnétiques et la santé, décrit comment le taux de mortalité par coronavirus (situé entre 0,5 et 2%) atteint 60% à l'hôpital EvergreenHealth de Kirkland de Washington.
Le chercheur spécule sur une possible interaction du 5G avec le virus. Kirkland est l'une des cinq villes du pays "solidement connectées" à la 5G, et EvergreenHealth est le seul hôpital du pays connecté et transmettant en 5G.
Si la 5G est liée à la crise actuelle, ce que nous verrons dans les prochains mois sera une succession d'épidémies au fur et à mesure que le nouveau réseau sera déployé dans différentes parties du monde. Le "coronavirus" (ou d'autres souches) sera recyclé comme explication récurrente.
Le mondialisme enterre ce débat par un blocus médiatique féroce, car l'une de ses matrices fondatrices est la capture des populations au sein du réseau de contrôle social massif qu'impliquent les technologies sans fil. C'est pourquoi la 5G est plutôt présentée comme un grand outil pour la crise sanitaire : un autre signe de la conception mondialiste. L'enfermement massif devient un prétexte pour canaliser toute activité sociale (cours, réunions, travail) vers l'Internet. L'accélération du déploiement de la 5G est présentée comme un moyen de satisfaire la "demande accrue de travail à distance", et les robots 5G sont présentés comme des aides providentielles dans la crise hospitalière.
Totalitarisme de la santé, distance sociale et peur du contact
Le récit de la "protection de la santé" a un impact sur les discours de droite comme de gauche, créant une atmosphère "d'unanimité face au danger". Le discours des médias de presque toutes les orientations politiques propose une obéissance aveugle à la stratégie globale d'emprisonnement massif et de paralysie de l'économie.
Les insoumis qui se rebellent contre le mandat d'isolement et de quarantaine sont punis d'une peine d'emprisonnement ou d'une amende. Un faux bon sens s'installe selon lequel la violation des dispositions du nouveau totalitarisme de la santé est une attaque contre d'autres personnes. Derrière ce concept se cache l'idée que chaque personne est en soi un danger pour les autres.
La notion de "distance sociale" émerge, qui est typique des "bonnes manières en matière de santé" : éviter les réunions de plus de 10 personnes, ne pas se serrer la main, et essayer de rester à au moins un mètre des autres. Cette perspective "isolationniste" de la santé est totalement non scientifique si elle néglige l'impact émotionnel qu'elle implique.
Antonio Damasio montre que tout comme les états de joie sont sains, les états de tristesse et de peur provoquent un déséquilibre fonctionnel. À l'heure actuelle, il semble peu important de savoir si l'isolement et l'inactivité entraînent une augmentation de la dépression ou de l'obésité, ou si la peur induite et l'endettement généralisé augmentent le taux de suicide. Pourquoi ces préjudices potentiels pour la santé publique ne sont-ils pas pris en compte dans "l'opération de prévention" ?
Le toucher n'est pas seulement un stimulus agréable : c'est une nécessité biologique. Philippe K. Davis dans son livre "The Power of Touch. Le contact physique dans les relations humaines" résume que la stimulation de la peau est l'un des 10 besoins fondamentaux de l'être humain, et vital pour les personnes âgées et les malades.
Il y a environ 70 ans, la vision du Dr Emmerth Holt sur l'éducation des enfants est devenue une doctrine officielle aux États-Unis. Il a recommandé de ne pas bercer les bébés et de ne pas les tenir quand ils pleurent. Lorsque la doctrine Holt a été appliquée massivement, la mortalité infantile des enfants de moins d'un an élevés dans des orphelinats atteignait 50 %.
RépondreSupprimerEncourager la peur du contact et la proximité avec les autres est un autre signe de l'empreinte mondialiste de cette "crise sanitaire". C'est une attitude qui est fonctionnelle à l'érosion de l'empathie et des réseaux affectifs, et à la promotion d'une société tournée vers un modèle de "payer pour être touché" (massages, sexe, autres services payants) qui remplace le contact naturel de l'amour conjugal, familial et communautaire.
Les projets législatifs visant à interdire les réunions de plus de 25 personnes vont dans le même sens : une atteinte à la convivialité, à la vie sociale et communautaire, qui deviendra une "hérésie irresponsable" dans un monde de personnes confinées par la loi dans leur foyer individuel.
Mémoires de l'avenir : ce que les auteurs du montage prévoient
Un mois avant l'épidémie de Wuhan en octobre 2019, un groupe d'organisations mondialistes a organisé un exercice de simulation de confinement d'une pandémie : "Event 201". Un exercice de pandémie mondiale". À New York, un groupe "d'experts" réuni par l'université John Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates, le Forum de la Banque mondiale et d'autres "groupes de réflexion" a débattu de la question de savoir si l'humanité est prête à contenir les effets de la propagation incontrôlée d'une maladie.
"Quel était le nom, dans le récit fictif de l'exercice, de l'agent pathogène mortel qui a déclenché une crise avec des millions de morts ?" Réponse : Coronavirus.
Ce n'est peut-être pas une coïncidence. Les cerveaux mondialistes aiment anticiper publiquement, en code, certaines opérations de grande envergure. L'événement 201 n'est pas le seul signe avant-coureur : un document de la CIA datant de 2015 prévoit une pandémie originaire de Chine, parmi les "populations en contact avec les animaux", d'ici 2025. Le coronavirus est également mentionné.
Selon les experts réunis dans le cadre de l'événement 201, que peut-il se passer dans le monde ? Quelles mesures seraient nécessaires dans ce scénario ? Les scénarios de l'élite contiennent toujours des graines d'avenir :
La fermeture des frontières est à l'origine de 45 % des annulations de vols. Les pays qui vivent du tourisme sont durement touchés. Les marchés boursiers chutent de 40 %. Le PIB mondial est réduit de 11 %. Les établissements de crédit n'accordent plus de prêts et les conséquences de la crise se prolongent pendant une décennie. Tout semble ouvrir la porte à une remise à zéro du système financier.
La "désinformation" sur Internet provoque la panique. La réduction des services et le contrôle des réseaux sociaux et des médias traditionnels deviennent nécessaires. Un protocole de communication est établi. Les théories de conspiration et les "faux messages" sont supprimés dans les réseaux. Exemple : "Les agents de santé en Afrique sont des agents de stérilisation" ou "Ils ont propagé le virus pour s'approprier nos ressources naturelles".
Après une période où la pandémie semble décliner, elle se propage dans les villes de manière explosive. 61 millions de personnes meurent au cours des 18 premiers mois. Des soulèvements populaires se produisent et la loi martiale est nécessaire pour contrôler la situation.
RépondreSupprimerL'épidémie ne cède pas en raison de son cycle naturel, ni de la capacité des organismes à se défendre. La crise ne semble jamais se résorber, à moins que des vaccins ne soient mis au point. Tous les efforts médicaux sont dirigés dans cette direction.
La loi martiale et la vaccination forcée en vue
En résumé : l'exercice suggère que la situation sera si grave qu'il sera nécessaire de suspendre les libertés et garanties constitutionnelles et, bien sûr, d'introduire la vaccination forcée. Les programmes sont prêts :
ID2020 est une alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies. Il s'agit d'un programme d'identification électronique qui utilise la vaccination à grande échelle comme plate-forme pour l'identité numérique.
La GAVI, l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, est présentée sur son site web comme un partenariat mondial d'organisations de santé des secteurs public et privé qui se consacrent à la "vaccination pour tous". GAVI est soutenu par l'OMS. Ses principaux partenaires et sponsors sont l'industrie pharmaceutique.
Pourquoi voudraient-ils nous vacciner à l'échelle mondiale ? Voilà qui constitue une véritable menace pour la santé.
Traduction : Equipe de traduction Sott.net
Source originale de cet article ici
-- Commentaire : Lire aussi :
Covid-19, déconfinement, ID2020, OMS, MIT - Bill Gates recommande un vaccin avec implant RFID ou Tatouage à points quantiques -
8 AUTRES experts s'interrogent sur la panique liée au coronavirus -
Covid-19 - À la recherche de la vérité dans ce qui nous est dit
Covid-19, vaccin, implant et traçabilité universelle selon Jacques Attali
Le monde qui s'annonce ne plaira à personne
SOTT Focus: Les dangereuses expérimentations de Bill Gates, par Robert F. Kennedy Jr. --
- voir clips sur site :
https://fr.sott.net/article/35371-Coronavirus-les-cles-pour-reconnaitre-une-operation-mondialiste
CHRONIQUE D’UNE CATASTROPHE ANNONCÉE
RépondreSupprimer10h55 20 avril 2020
Le 31 décembre dernier, après un mois et demi de déni et de tergiversations (le premier malade avait été signalé le 17 novembre), la Chine informe l’OMS de l’apparition d’un nouveau virus, dont la létalité et la contagiosité vont être rapidement démontrées. Le 23 janvier, elle décide de couper la ville de Wuhan (11 millions d’habitants) du reste du pays, perturbant du même coup de nombreuses chaînes de production mondialisées. Les responsables occidentaux assistent alors sans le comprendre au premier acte d’une pandémie globale.
Alors que la Corée du Sud, le Japon et Taïwan prennent des mesures rapides pour contenir la diffusion de la maladie, les prévisionnistes européens et états-uniens s’inquiètent avant tout des effets du shutdownchinois sur l’économie globale. Le 13 février, le FMI craint la propagation du virus… dans des régions manquant des infrastructures sanitaires indispensables. Les 22-23 février, la rencontre des ministres des finances du G20 à Ryad ne s’intéresse pas au Covid-19.
C’est à ce moment que l’Europe bascule dans le cauchemar : la politique de confinement de l’épidémie vient clairement d’échouer en Italie : la Péninsule déplore son premier mort le 21 février, alors que le Covid-19 s’est installé à Milan. L’une des économies les plus fragiles de la zone euro est désormais touchée au cœur. Les marchés tremblent : les principaux indices boursiers et les cours du pétrole entament leur descente aux enfers. Pourtant, l’Allemagne, l’Autriche et la Hollande refusent un plan d’action concerté visant à mutualiser les nouvelles dettes publiques liées à Covid-19 par l’émission de « corona bonds ». Sur le plan sanitaire, c’est le chacun pour soi : si l’Europe avait été capable d’imiter la Chine, elle aurait mis 15 000 soignants à disposition de l’Italie et les choses auraient pu évoluer très différemment, note Adam Tooze dans la London Review of Booksdu 16 avril.
Aux États-Unis, la réponse des autorités prend plus de temps encore. Donald Trump ne veut pas entendre parler du virus, qu’il considère comme une obsession de la Chine et du parti démocrate. De surcroît, les autorités sanitaires perdent un temps précieux avant de disposer d’un test efficace. Aujourd’hui, la catastrophe sanitaire progresse de front avec la catastrophe économique : après un mois de confinement, le pays compte officiellement plus de 40 000 morts et plus de 22 millions de chômeurs (jusqu’à 20% de la force de travail, selon certains économistes).
Les banques centrales ont certes ouvert le robinet du crédit plus énergiquement encore qu’en 2008 pour ralentir la spirale de la récession (recul pronostiqué de 6% du PIB français au premier semestre 2020), alors que les mesures de confinement s’efforçaient de freiner la spirale de la pandémie. La stratégie asiatique dite « du marteau et de la danse » a été ainsi imitée avec retard, nécessitant pour cela des mesures beaucoup plus coûteuses afin de briser la progression exponentielle de la maladie, au prix de dizaines de milliers de morts inutiles.
Aujourd’hui, un sondage Tamedia publié par la Tribune de Genève indique que les Suisses sont plutôt satisfaits de la politique menée par le Conseil Fédéral. Avec 1400 morts, nous sommes au milieu du peloton européen (en proportion de notre population), mieux placés que la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la France, le Royaume-Uni et la Hollande, mais moins bien que l’Allemagne, l’Autriche et les pays scandinaves. Nous sommes cependant très loin derrière les performances du Japon, de Taïwan ou de la Corée du Sud. Vraiment pas de quoi pavoiser, pour l’un des pays les plus riches du monde.
http://regardcritique.blog.tdg.ch/archive/2020/04/20/chronique-d-une-catastrophe-annoncee-305971.html
L'Australie veut obliger Google et Facebook à rémunérer les contenus
RépondreSupprimer20. avril 2020
PAR AWP/AFP
L'Australie a annoncé lundi qu'elle allait contraindre Google et Facebook à rémunérer les contenus des éditeurs de presse, une mesure destinée à aider les médias traditionnels à faire face à la concurrence des géants du Net.
#google
#facebook
#médias
Comme dans de nombreux pays, l'impact en Australie de géants du net comme Google et Facebook est immense pour les éditeurs de presse.
Le ministre du Budget, Josh Frydenberg, a indiqué qu'un règlement obligatoire sera présenté d'ici juillet.
Il obligera les géants américains du numérique à rémunérer les éditeurs de journaux pour la réutilisation de leurs contenus sur la toile.
«Ce que nous voulons, ce sont des conditions de concurrence équitables», a déclaré le ministre sur Channel 7.
Cette annonce intervient dix jours après que l'autorité de la concurrence française a ordonné à Google de négocier «de bonne foi» avec les éditeurs et les agences de presse en France sur la rémunération de leurs contenus protégés par les droits voisins.
Comme dans de nombreux pays, l'impact en Australie de géants du net comme Google et Facebook est immense pour les éditeurs de presse.
Ainsi, le nombre de journalistes australiens travaillant pour la presse écrite et en ligne a chuté de plus de 20% depuis 2014, les recettes publicitaires numériques étant massivement captées par ces plateformes.
L'annonce de la mise en place de nouvelles dispositions intervient à l'issue d'une enquête de 18 mois sur les supports numériques.
Elle a été menée par la commission australienne de la concurrence et la consommation (ACCC) qui a préconisé une révision de la réglementation actuelle.
M. Frydenberg a précisé que ces mesures seront imposées par le gouvernement après l'échec de négociations sur la mise en place d'un code sur la base du volontariat.
La pandémie de coronavirus, qui a entrainé une chute des recettes publicitaires dans le secteur de la presse, a poussé le gouvernement à agir.
«Il n'y a eu aucun progrès significatif, alors nous prenons désormais la décision de créer un code obligatoire en cherchant à être le premier pays au monde à s'assurer que ces médias sociaux paient pour le contenu», a-t-il déclaré.
En Espagne, une initiative similaire avait conduit en 2014 Google à fermer la version espagnole de son site d'actualités (Google News).
Cette nouvelle réglementation portera également sur le partage de données ainsi que l'affichage des contenus d'actualité.
Son entrée en vigueur sera imposée via des sanctions financières ainsi que des mécanismes de résolution des différends.
Selon certaines estimations, quelque 17 millions d'Australiens vont sur Facebook chaque mois et ils passent en moyenne 30 minutes par jour sur la plateforme, tandis que 98% des recherches sur les mobiles australiens utilisent Google.
https://www.bilan.ch/techno/laustralie-veut-obliger-google-et-facebook-a-remunerer-les-contenus?mc_cid=7e5562cd99&mc_eid=76fa28326a
Alors que TOUS les contribuables sont forcés par les impôts de soutenir les merdias gouvernementaux qui mentent tous les jours, face à la concurrence de la Démocratie (Internet) ils ne font plus recette ! Plus recette malgré qu'ils soient eux-mêmes présents sur sites et qu'ils se sont vite aperçu que personne n'allait les lire ! Hahahaha !
SupprimerMais, cette nouvelle proposition de loi monarchique de la dictature britannique qui pousse les plateformes à rétribuer les merdias !! va, très bientôt - si elle est appliqué - se retourner vers TOUTES les personnes qui publient en blogs gratuits afin que ces derniers deviennent payants, plus 'anonymes' et... imposables au nombre de vues.
Amazon, rappelé à l'ordre, menace de suspendre son activité en France
RépondreSupprimer15. avril 2020
PAR AWP/AFP
Amazon envisage de suspendre son activité en France, après le jugement mardi du tribunal judiciaire de Nanterre lui ordonnant de limiter ses livraisons aux seuls produits essentiels sous peine d'amende de 1 million d'euros par infraction constatée.
#amazon
#commerce mondial
#coronavirus
Face au risque d'être mis à l'amende pour l'envoi d'un produit non essentiel, Amazon préfère fermer, au moins provisoirement, ses sites en France.
Saisi par Sud-Solidaires, premier syndicat chez Amazon, le tribunal avait jugé mardi que la société avait «de façon évidente méconnu son obligation de sécurité et de prévention de la santé des salariés».
Il lui ordonnait en conséquence de conduire une évaluation des risques avec les représentants du personnel, et entretemps de se limiter aux seuls «produits alimentaires, de produits d'hygiène et de produits médicaux, sous astreinte de 1 million d'euros d'amende par jour de retard et par infraction constatée.
Dans un communiqué mercredi, le groupe indique qu'il pourrait «être contraint de suspendre l'activité» de ses centres de distribution, restreignant un service «devenu essentiel pour les millions de personnes à travers le pays qui souhaitent avoir accès aux produits dont elles ont besoin chez elles pendant cette crise».
Le groupe récuse toute «menace» ou «chantage», expliquant que la décision du tribunal le laisse «perplexe» compte tenu des mesures de sécurité déjà mises en oeuvre (contrôles de température, masques, distanciation sociale ...). Il a annoncé faire appel, mais la décision étant de droit exécutoire, l'appel n'est pas suspensif et doit s'appliquer 24h après la notification, reçue mercredi matin par l'entreprise.
Chômage partiel
Amazon a immédiatement convoqué un CSE (comité social et économique) pour 15H mercredi, avec pour ordre du jour une fermeture de ses sites pour cinq jours (du 16 au 21 avril), selon une source syndicale.
Le groupe propose également de demander une convention de chômage partiel pour ses salariés à l'administration, et précise vouloir assurer leur rémunération à 100%.
«Nous devons d'ici 24 heures restreindre l'activité aux seuls produits essentiels, sous peine d'amende de 1 million d'euros par jour ou par infraction. Qu'est-ce qu'une infraction? Nous avons un catalogue de 250 millions de références, comment applique-t-on concrètement la notification de façon opérationnelle en terme de risque?», interroge une porte-parole du groupe.
En clair, face au risque d'être mis à l'amende pour l'envoi d'un produit non essentiel, Amazon préfère fermer, au moins provisoirement, ses sites. Les syndicats dénoncent depuis le début du confinement le traitement de commandes de produits «non essentiels», tels que livres, musique, produits de beauté, etc.
Amazon avait annoncé le 21 mars dernier cesser de prendre des commandes jugées «moins prioritaires» sur ses sites français et italien, mais cette notion ne recoupe pas celle de «produits essentiels», les produits alimentaires, d'hygiène et de santé étant très minoritaires dans l'activité du groupe.
RépondreSupprimerAmazon a fait l'objet de cinq mises en demeure de la part de l'inspection du travail, dont trois ont été levées. Le groupe, qui emploie près de 10.000 salariés dont un tiers d'intérimaires dans ses six entrepôts français, assure avoir distribué «plus de 127.000 paquets de lingettes désinfectantes, plus de 27.000 litres de gel hydroalcoolique, ainsi que plus de 1,5 million de masques».
Le tribunal de Nanterre relève plusieurs risques de contamination dans son jugement, notamment au passage des portiques de sécurité qui équipent les sites. Il déplore aussi que les comptes rendus des CSE n'aient pas été portés à sa connaissance, et y voit un défaut de concertation avec les représentants du personnel.
https://www.bilan.ch/techno/amazon-rappele-a-lordre-menace-de-suspendre-son-activite-en-france
Alors que vous pouvez encore tous les jours sortir vers les supermarchés (licence tous-commerces) pour acheter un tournevis, une ampoule ou sous-vêtement, cette même fonction est interdite à Amazon !!! de livrer chez vous !!!
SupprimerLa dictature se resserre !
Cette merde qui dirige aura du mal à faire appliquer un 'confinement II' la prochaine fois ! Car, vu les chiffres...
Nouvelle nuit de tensions dans les banlieues parisiennes – vidéos
RépondreSupprimer08:07 21.04.2020
Dans la nuit du 20 au 21 avril, des incidents sporadiques ont à nouveau éclaté dans plusieurs cités de la banlieue parisienne: des feux d’artifices ont été tirés à Villeneuve-la-Garenne, des poubelles ont été incendiées en Seine-Saint-Denis.
La tension est montée d'un cran ces derniers jours entre forces de l'ordre et habitants des cités après l'accident du 18 avril à Villeneuve-la-Garenne impliquant un motard et la police et dont les circonstances demeurent floues.
Un dispositif policier a été déployé à Villeneuve-la-Garenne où, en plein confinement lié au Covid-19, des feux d’artifices ont été tirés peu avant minuit.
Des tirs de mortier avaient déjà visé les forces de l'ordre à Villeneuve-la-Garenne dans la nuit de dimanche à lundi. Ces heurts font l'objet d'une enquête, notamment pour dégradations et violences sur policiers.
Affrontements dans des communes voisines
Les incidents ont commencé un peu plus tôt dans la commune voisine d'Asnières, avec des tirs similaires.
En Seine-Saint-Denis, des poubelles ont été incendiées à Aulnay-sous-Bois et Saint-Denis vers 22h30. À Saint-Denis, la situation était redevenue un peu plus calme peu après 23h00, sans «affrontements» avec la police, a précisé la préfecture à l'AFP.
Ailleurs dans les Hauts-de-Seine, les policiers ont également essuyé dans la nuit des jets de projectiles à Rueil-Malmaison, Suresnes et Gennevilliers, où une vingtaine de poubelles ont été incendiées, selon des bilans policiers.
D'autres incidents sporadiques se sont également produits dans d'autres départements d'Île-de-France, notamment à Aulnay-sous-Bois, Villepinte et Neuilly-sur-Marne.
Un motard grièvement blessé
L'accident d'un motard circulant sans casque sur une moto-cross le 18 avril au soir à Villeneuve-la-Garenne a mis le feu aux poudres. Il a eu la jambe fracturée après avoir percuté la portière d'un véhicule de police banalisé qui se trouvait à l'arrêt à un feu rouge.
L'accident, en plein confinement, a rapidement enflammé les réseaux sociaux, alimenté par des vidéos de témoins dénonçant une «bavure» policière, et a provoqué des échauffourées dans la ville le soir-même.
Une enquête pour «menaces et outrages contre personnes dépositaires de l'autorité publique» a été ouverte pour ces faits.L'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la «police des polices») a également été saisie.
Selon les premiers éléments d'enquête fournis par le parquet, «le motard qui arrivait par l'arrière en cherchant d'abord à dépasser le véhicule par la gauche, a changé de trajectoire pour finalement doubler le véhicule arrêté par la droite, au mépris des règles du code de la route et est venu percuter la portière avant droite, en cours d'ouverture».
https://fr.sputniknews.com/france/202004211043613312-nouvelle-nuit-de-tensions-dans-les-banlieues-parisiennes-apres-laccident-entre-un-motard-et-la/
Trump annonce la «suspension temporaire» de l'immigration
RépondreSupprimer08:01 21.04.2020
Pour faire face au coronavirus, qu'il a qualifié d'«ennemi invisible» et «protéger les emplois» des Américains face à la crise économique, Donald Trump vise à suspendre l'immigration aux États-Unis.Le Président n'a en revanche donné aucun détail sur la manière dont il entendait appliquer cette décision et pour combien de temps.
Le Président américain a annoncé le 20 avril qu'il allait «suspendre temporairement» l'immigration aux États-Unis pour «protéger les emplois» des Américains face à la crise économique provoquée par le coronavirus.
«À la lumière de l'attaque de l'ennemi Invisible, et face à la nécessité de protéger les emplois de nos GRANDS citoyens américains, je vais signer un décret présidentiel pour suspendre temporairement l'immigration aux États-Unis», a tweeté Donald Trump.
?Le coronavirus, qu'il qualifie d'«ennemi invisible», a déjà tué plus de 42.000 personnes aux États-Unis, où 766.660 cas ont été enregistrés. Quelque 22 millions d'Américains ont également perdu leur travail en raison des conséquences économiques de l'épidémie.
Le Président n'a en revanche donné aucun détail sur la manière dont il entendait appliquer cette décision et pour combien de temps.
Il avait dès le mois de janvier restreint les déplacements avec la Chine où le nouveau virus est apparu en décembre, avant d'interdire les voyages entre les États-Unis et la plupart des pays européens à la mi-mars, rappelle l'AFP.
Donald Trump s'est depuis montré impatient face aux efforts déployés pour lutter contre l'épidémie, semblant encourager les manifestants en colère contre les mesures adoptées dans certains États, et approuver la levée du confinement dans plusieurs régions du pays.
https://fr.sputniknews.com/international/202004211043613338-trump-annonce-la-suspension-temporaire-de-limmigration/
Après 170 000 morts dans le monde dû à l'immigration, des mesures sont enfin prises pour rester en bonne santé.
SupprimerLa Géorgie deviendra le premier État des États-Unis à rouvrir: mises à jour en direct
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 20/04/2020 - 16:50
Résumé:
Les hôpitaux japonais refusent les patients non-COVID-19
L'épidémie en Russie continue de s'accélérer
Les manifestants demandent la réouverture des économies à Denver, Austin
Le gouverneur de Géorgie Jon Bel Edwwards annonce son plan de réouverture
Le maire de NYC fait le point quotidiennement
La Corée du Sud signale des clusters alors que la réouverture se poursuit
Kudlow dit que l'objectif de réouverture de Trump le 1er mai est "ambitieux"
La petite ville du comté de Marin espère tester chaque résident
La NRA affirme que les 2/3 des travailleurs de la restauration aux États-Unis ont perdu leur emploi
L'Australie et la Nouvelle-Zélande commencent à assouplir les blocages
La Turquie dépasse la Chine dans le total des cas «confirmés»
Bolsonaro se joint à une foule de manifestants exigeant la réouverture au Brésil
L'Allemagne, le Danemark, la République tchèque, la Norvège et l'Inde parmi les pays qui rouvrent actuellement
L'Arabie saoudite et le Qatar voient une augmentation alarmante de nouveaux cas
Le prince Philip publie une rare déclaration faisant l'éloge des travailleurs de première ligne
NJ atteint la "stabilité" dans de nouveaux cas
Le vote sur le projet de loi de secours a été reporté à mardi
Un employé du 9e Vatican est positif
Les États-Unis constatent une baisse de 20% des cas
L'Italie signale une légère augmentation des décès et une baisse des cas
Le Royaume-Uni rapporte 450 nouveaux décès
NYC fait état d'une nouvelle baisse des hospitalisations
1 / 5ème du monde fait ses premiers pas vers la réouverture des économies
Merkel appelle à plus de «prudence» alors que l'Allemagne commence à rouvrir
"La courbe de Corona" montre une épidémie "sur la bosse"
La Belgique rapporte 1 487 nouveaux cas
Un programme de congé pour les entreprises au Royaume-Uni inondé de demandes
Mnuchin fait l'éloge de Shake Shack pour avoir rendu de l'argent «PPP»
Le Dr Tedros prévient que "le pire est à venir"
Le ministre français des Affaires étrangères accuse la Chine de propagande
Un journal allemand dénonce Pékin pour "exportation" du virus
* * *
Mise à jour (1630ET): le gouverneur de la Géorgie Brian Kempe a annoncé qu'il autoriserait l'expiration de l'ordre de séjour à domicile de la Géorgie à la fin du mois, ce qui signifie que la Géorgie deviendra l'un des rares États à entamer la 'phase 1' de réouverture selon les directives fédérales.
Il tient un presseur maintenant:
Les critiques ont immédiatement critiqué Kempe pour avoir déménagé pour rouvrir sans être en voie de respecter les repères fédéraux pour entrer dans la «phase 1» des lignes directrices.
Le plan de la Géorgie est probablement le programme de réouverture le plus radical du pays. La réouverture commence vendredi, avec des restaurants qui rouvriront lundi, ainsi que des théâtres, des salons de coiffure et des gymnases.
Les critiques de son plan sont absolument livides, et seul le temps nous dira s'il s'agissait d'une décision sage - ou extrêmement stupide.
Mais le fait demeure: une réouverture manifestement prématurée joue avec la vie des gens.
* * *
Mise à jour (1610ET): Le gouverneur du New Jersey, Phil Murphy, a déclaré lundi lors de sa conférence de presse quotidienne que le CDC prévoyait d'affecter 10 à 12 membres du personnel par État pour coordonner le `` suivi des contacts '', la pratique de traquer tous ceux qu'une personne infectée aurait pu avoir. contact avec eux, pour les faire tester et les empêcher d’infecter potentiellement plus de personnes.
RépondreSupprimerAprès avoir montré une "stabilité" continue dans de nouveaux cas avec plus de 3.000 autres signalés, Murphy a déclaré qu'il ne prendrait aucune décision sur la réouverture de l'économie de l'Etat "dans le vide", et a déclaré qu'il publierait des "repères concrets" dans les prochains mois. jours que l'Etat devra se réunir en termes de cas, d'hospitalisations, etc. pour continuer la réouverture.
Malgré toutes ces bonnes nouvelles, Murphy a déclaré qu'il souhaitait que la Fed mette en place un programme pour les États car, comme à New York, l'effort de lutte contre le virus a laissé le New Jersey dans une situation financière désastreuse, comme de nombreux autres États.
* * *
Mise à jour (1450ET): les législateurs sont restés dans une impasse lundi alors qu'un vote sur un nouveau projet de loi de relance pour compléter le programme de prêts aux petites entreprises du gouvernement fédéral a été repoussé jusqu'à mardi. Comme l'a noté le chef de la majorité au Sénat, Mitch McConnell, le programme est maintenant à sec depuis quatre jours.
Sur le parquet du Sénat lors de la session pro forma de lundi, McConnell a déclaré: "À cette heure, nos collègues démocrates prolongent toujours leurs discussions avec l'administration, de sorte que le Sénat ne sera malheureusement pas en mesure de transmettre plus de fonds pour les chèques de paie des Américains aujourd'hui."
Il a déclaré que le Sénat se réunirait de nouveau à 16 h 00 HE mardi pour essayer d'adopter à nouveau le projet de loi. La Chambre ne devrait pas se réunir à nouveau avant mercredi, date à laquelle ils devraient voter sur leur propre version du projet de loi. Dems a bloqué un vote sur un projet de loi républicain pour compléter le programme avec 250 milliards de dollars supplémentaires, tandis que les républicains ont bloqué une contre-proposition démocrate qui incluait plus d'argent pour les municipalités, les hôpitaux et les `` communautés mal desservies ''. Dans un signe alarmant, certains démocrates progressistes s'opposent de plus en plus à des «renflouements d'entreprises» qui pourraient également créer des problèmes.
Les chiffres les plus récents ont estimé le montant de la facture à 375 milliards de dollars, bien que des pourparlers soient en cours, et nous restons "presque là" sur un accord, comme nous l'avons été ces trois derniers jours.
* * *
Mise à jour (1440ET): Au cours de la dernière heure environ, nous avons reçu des nouvelles encore plus alarmantes du Moyen-Orient. L'Arabie saoudite a signalé 1 122 nouveaux cas de coronavirus et 6 nouveaux décès, conformément aux tendances récentes, ce qui porte son total à 10 484 cas et 103 décès.
Les EAU ont signalé 484 nouveaux cas de coronavirus, ce qui porte le total dans ce petit pays avec une population de moins de 10 millions d'habitants à 7 265 cas au total. Non seulement c'était le plus grand bond en un seul jour dans les nouveaux cas, mais cela équivalait au quinzième jour consécutif de nouveaux cas.
* * *
Mise à jour (1400ET): Environ une semaine après avoir déclaré leur intention de prolonger les mesures de verrouillage, l'Australie et la Nouvelle-Zélande ont fait volte-face et entament maintenant le processus de réouverture de leurs économies alors que le nombre de nouveaux cas ralentit.
RépondreSupprimerLe NYT a décrit leurs plans comme «prudents et calibrés».
L'Australie et la Nouvelle-Zélande ont annoncé lundi des plans pour assouplir les restrictions de verrouillage, les deux pays ayant jusqu'à présent réussi à contrôler les épidémies de coronavirus, ne signalant que quelques nouvelles infections chaque jour.
Prudents et calibrés, les plans incluent un retour à l'école pour certains enfants dans les semaines à venir ainsi que des allocations pour un peu plus d'activités commerciales, plus de liberté pour faire de l'exercice en plein air et le potentiel de rassemblements de plus de deux personnes.
A Sydney, quelques plages ont rouvert pour l'exercice lundi, entraînant le retour des surfeurs. À Maroubra, une banlieue sud du littoral, les sauveteurs ont utilisé des mégaphones pour avertir les surfeurs, les coureurs et les nageurs de rester éloignés physiquement.
De nombreux résidents qui ont parlé avec le NYT ont exprimé un immense soulagement.
"Je rigole juste", a déclaré Paul Beswich, 55 ans, l'un des nombreux résidents qui ont accueilli avec plaisir la possibilité de se baigner. "J'ai vécu ici toute ma vie, et on nous a toujours dit que si vous avez un virus, allez le rincer à l'eau. Maintenant, nous pouvons."
Les deux pays "ont bénéficié de méthodes de prévention précoce", mais ils n'ont tout simplement jamais vraiment vu autant de cas, pour des raisons qui, pour certains, ne semblent pas encore tout à fait claires.
Aux États-Unis, le nombre de cas confirmés aux États-Unis avait dépassé 766 000 début lundi après-midi. Le Vatican a rapporté lundi que le neuvième employé de la cité-État cloîtrée entourée de Rome avait été testé positif.
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Mise à jour (1330 ET): l'Italie a signalé 2 256 nouveaux cas de coronavirus et 454 nouveaux décès au cours des dernières 24 heures lundi, pour un total de 181 228 cas et 24 114 décès. Alors que le pays a connu une légère augmentation des décès jour après jour, le nombre de nouveaux cas (ainsi que le nombre total testé) a diminué, tout comme le nombre de patients hospitalisés et le nombre de patients intubés. Pendant ce temps, au Royaume-Uni, les autorités ont signalé 4 676 nouveaux cas de coronavirus et 449 nouveaux décès, pour un total de 124 743 cas et 16 509 décès.
La France a signalé lundi un lot de nouveaux décès et de nouveaux cas qui ont fait plus de 20 000 morts dans tout le pays, rejoignant un petit club de nations - dont les États-Unis, l'Italie et l'Espagne - avec plus de 20 000 décès confirmés de COVID-19.
Aux États-Unis, le Texas a signalé une baisse de 20% du nombre de nouveaux cas au jour le jour pour atteindre seulement 535 pour l'ensemble de l'État de 29 millions de personnes.
Après avoir signalé une baisse des décès plus tôt, l'État de New York a signalé environ 4800 nouveaux cas lundi, portant son total à 247512 cas, soit seulement un tiers du total américain, une part en diminution rapide pour un État qui représentait autrefois plus de la moitié de tous les cas. cas dans le pays.
RépondreSupprimerEnfin, cela fait un moment que nous n'avons entendu aucun avertissement de la part du Directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. Mais alors que de plus en plus de pays annoncent des plans provisoires de réouverture, il a laissé entendre lors de la conférence de presse de l'OMS de lundi que "le pire est à venir" - malgré le fait que chaque élément de données affiché par les gouvernements occidentaux montre que le pire est, en fait, , probablement derrière nous.
Coincidence ?
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Mise à jour (1140ET): le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, vient de donner au monde une raison de plus de célébrer, alors que les stocks américains retournent dans le vert, car il a signalé moins de 500 décès dans l'État de New York - un État qui abrite près de la moitié des décès de la nation - au cours des dernières 24 heures.
Voici le tableau:
- voir sur site -
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Mise à jour (1110ET): Le ministère britannique de la Santé et des Affaires sociales vient de publier des chiffres quotidiens sur l'épidémie de coronavirus. Ils ont signalé 449 nouveaux décès, ce qui porte le nombre de morts au Royaume-Uni à 16 509 à 18 heures, heure de Londres, dimanche, alors que les autorités se démènent pour expliquer davantage de décès dans des environnements non hospitaliers (en particulier les maisons de soins infirmiers).
C'est le nombre de décès sur une journée le plus bas en 2 semaines
Publiant une rare déclaration publique, le prince âgé de Grande-Bretagne, Philip, qui n'a été vu que rarement depuis sa retraite de ses fonctions publiques en 2017, a remercié les travailleurs de la santé.
"Au nom de ceux d'entre nous qui restent en sécurité et chez eux, je tiens également à remercier tous les travailleurs clés qui veillent à ce que l'infrastructure de notre vie continue; le personnel et les bénévoles travaillant dans la production et la distribution alimentaires, ceux qui assurent le fonctionnement des services postaux et de livraison, et ceux qui assurent les ordures continuent d'être collectés. "
Le Royaume-Uni a dépensé toutes les ressources imaginables pour protéger le prince et la reine, tandis que les controverses sur la mort des travailleurs de première ligne font rage, affirmant que le gouvernement et le NHS auraient dû et auraient pu faire plus pour les protéger.
Eh bien, nous sommes sûrs que les sentiments les plus chaleureux de Sa Majesté comptent beaucoup pour eux ...
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Mise à jour (1100ET): l'Arabie saoudite a du mal à supprimer le nouveau coronavirus malgré les premières mesures pour arrêter un flux d'étrangers visitant les villes saintes musulmanes et un verrouillage qui a été initialement imposé dans les points chauds avant d'être étendu il y a des semaines à l'échelle du royaume. Lundi, Al Jazeera a rapporté que le total des cas de la KSA avait dépassé 10 000.
RépondreSupprimerPendant ce temps, les musulmans du monde entier se préparent à observer le mois sacré du Ramadan sous le contrôle et les restrictions strictes, alors que la Turquie surpasse l'Iran en tant que pays le plus touché du monde musulman, avec l'Indonésie, qui a menti, déformé ou est resté à plat ignorant à plusieurs reprises sur son total de cas et le taux de mortalité, apparaissant également au bord d'une flambée encore plus grave.
Le Qatar voisin a signalé lundi 567 nouveaux cas de coronavirus, ce qui porte son total à 6 015 cas. Il s'agit à ce jour de la plus forte augmentation quotidienne du Qatar.
En Europe, la Belgique a signalé 1 487 nouveaux cas de coronavirus et 168 nouveaux décès, pour un total de 39 983 cas et 5 828 décès. C'est la dernière lecture quotidienne sur le territoire 1k alors que l'épidémie continue de s'accélérer (ou que les tests continuent de s'accélérer, nous ne sommes pas exactement certains).
Aux États-Unis, encore plus d'usines de transformation des aliments sont perturbées par le virus.
TYSON FOODS: 90 TRAVAILLEURS TESTENT POSITIFS POUR COVID-19 À L'USINE TYSON FOODS AU TENNESSEE
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Mise à jour (1041ET): Le texte explicatif d'ouverture du flux en direct du virus du New York Times de lundi a attiré notre attention ce matin. Nous avons vu le cadrage se développer au cours du dernier mois. Maintenant, comme le NYT le montre clairement, la bifurcation entre les États obligés de rouvrir leurs économies et ceux qui continuent de prolonger leurs fermetures (l'Espagne est quelque part dans l'exemple, élargissant le verrouillage tout en levant certaines restrictions).
De quel côté les États-Unis finiront-ils par tomber ? Beaucoup d'Américains pourraient rire de cette question et insister sur le fait que nous sommes déjà engagés dans le camp "trop tôt". D'autres pourraient rire et insister: "n'est-il pas évident que nous devrions déjà ouvrir ?"
Un réalignement mondial: certains pays voient les flambées exploser tandis que d'autres cherchent à relancer l'économie.
La nature fluide du coronavirus oblige à un réalignement mondial, alors que les pays qui étaient autrefois au cœur de la crise dépassent leurs sommets et que de nouveaux domaines émergent comme des sujets de préoccupation.
La Turquie, qui pendant des semaines avait maintenu son avance sur les autres nations pour endiguer la propagation du coronavirus, a dépassé la Chine dimanche, avec plus de 86 000 cas confirmés et 2 017 décès.
Le gouvernement a attribué le nombre élevé de cas à des tests généralisés, mais les experts de la santé préviennent que le taux d'infection pourrait augmenter si les restrictions de circulation sont retardées.
Le bilan confirmé des coronavirus en Europe a fait un million d'infections et 100 000 décès, selon les derniers chiffres du Centre européen de contrôle des maladies, mais de nombreux pays tentent prudemment de redémarrer la vie publique.
L'Allemagne, le Danemark, la République tchèque et la Norvège ont tous levé certaines restrictions lundi, dernières tentatives pour équilibrer un besoin d'action économique et de santé publique.
RépondreSupprimerMais certains pays les plus durement touchés, dont l'Italie et l'Espagne, déploient des mesures à un rythme plus lent. Et la France et la Grande-Bretagne se dirigent vers des semaines de verrouillage continu.
Le virus a tué au moins 160 000 personnes et infecté 2,3 millions de personnes dans le monde, mais la question des blocages est devenue très politisée et les manifestations contre les restrictions liées aux coronavirus ont gagné en intensité.
Au Brésil, le président Jair Bolsonaro a rejoint la foule à Brasilia ce week-end pour exiger la réouverture des entreprises et l'assouplissement des mesures imposées par les gouverneurs.
Aux États-Unis, des scènes similaires se sont déroulées à travers le pays au cours du week-end, alors que des manifestants de plusieurs États ont exigé la réouverture des entreprises. Le président Trump a défendu les actions des manifestants, qui, selon des critiques et des experts de la santé publique, menacent de saper les efforts pour contrôler la propagation du virus.
"Ces gens aiment notre pays", a déclaré M. Trump dimanche soir. "Ils veulent retourner au travail."
Les choses changent si rapidement, pour beaucoup, il est difficile de suivre, surtout avec tant de choses en dehors des États-Unis et du monde anglophone.
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Mise à jour (1027ET): Au cours des entretiens de câblodistribution de ce matin (entretiens qui ont depuis longtemps eu un impact matériel sur le marché, bien que nous soyons déjà légèrement en retrait ce matin), Larry Kudlow a déclaré que le président Trump espérait que le pays pourrait commencer la réouverture avant le 1er mai était un objectif «ambitieux». Ce commentaire a attiré les railleries des critiques de l'administration, qui ont dénoncé le président pour avoir semblé inciter les manifestants à demander la réouverture immédiate du pays.
Kudlow a ajouté que les discussions pour compléter le «PPP» étaient progressives «bien» tout en offrant une brève défense du programme.
Une nouvelle étude de la National Restaurant Association a perdu les 2/3 de ses employés, car les restaurants aux États-Unis ont perdu 30 milliards de dollars en mars et sont sur le point de perdre 50 milliards de dollars en avril. 66% des propriétaires de restaurants ont déclaré que l'argent fédéral n'était tout simplement pas suffisant.
Comme le rapporte le Merc, une petite ville du comté de Marin teste chacun de ses habitants pour le virus dans l'un des derniers efforts pour essayer de déterminer exactement à quel point le virus pourrait être répandu. Les États-Unis ont confirmé de loin le plus de cas de virus, mais son taux de mortalité inhabituellement élevé suggère que le virus est encore plus répandu grâce à l'avance d'un mois que les voyageurs européens - et ceux qu'ils ont infectés - ont eu en le propageant à travers le NOUS. Une étude en Californie qui a testé 3 000 personnes au hasard dans le comté de Santa Clara, à proximité, a trouvé des anticorps anti-COVID-19 chez un nombre saisissant d'entre eux.
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Mise à jour (1005ET): Comme l'a signalé un journaliste, les chiffres en provenance de New York étaient «généralement bons» lundi.
RépondreSupprimerLe taux de tests positifs a également baissé, alors même que les tests grimpaient.
En dehors des États-Unis, nous voyons des titres intéressants en dehors de l'Allemagne, où la chancelière Merkel repousse son principal antagoniste politique, Horst Seehofer, et exhorte le pays à envisager de ralentir les plans pour commencer à rouvrir l'économie allemande. L'Allemagne possède l'un des taux de mortalité et des capacités de test les plus bas de toute l'Europe. De nombreux Allemands font maintenant pression pour commencer rapidement la réouverture, et plus tôt ce mois-ci, Seehofer a semblé divulguer un plan du ministère de l'Intérieur pour rouvrir l'économie allemande, qui appelait à des mesures mesurées pour annuler lentement les restrictions.
Dans le dernier signe que l'atmosphère de mouvement mesuré par consensus que nous appelons «cerveau de Bruxelles» a influencé la direction de la chancelière, Merkel aurait déclaré lors d'une réunion privée que l'Allemagne risquait une deuxième vague de virus en prenant ces mesures, et a exhorté plus de prudence lors de la réouverture.
Utilisant un langage inhabituellement coloré, Merkel aurait déclaré que des «orgies» de «discussions d'ouverture» menaçaient de détruire les progrès dans la lutte contre la pandémie, selon la source qui a rapporté les remarques de Merkel à la presse.
Alors que l'Allemagne a rapidement pris des mesures pour soutenir son économie et les citoyens allemands avec une augmentation sans précédent des dépenses budgétaires, Berlin a hésité à approuver le plan "coronabonds" pour financer la reprise dans les pays de l'UE les plus durement touchés comme l'Italie et l'Espagne, qui auront sans aucun doute besoin de la d’argent, ou risque de faire face à un retour de flamme financier
Et maintenant, avec le virus clairement sur le dos, Merkel continue de marcher avec prudence, comme si son sort politique n'était pas déjà scellé.
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Mise à jour (0950ET): Le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin a félicité Shake Shack pour avoir rendu son argent PPP.
Maintenant, préparez-vous pour cela: d'abord ce sont les lits et les ventilateurs, puis ce sont les tests / écouvillons ... ensuite ce sera ... les robes.
Le maire de Blasio a déjà fait la une des journaux lors de la conférence de presse de lundi. Mis à part les robes, il a également déclaré qu'il annulerait tous les permis de la ville pour les rassemblements de masse jusqu'en juin.
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Partout en Amérique, des centaines de manifestants se sont présentés dimanche dans les bâtiments du Capitole de l'État à Denver, Austin et ailleurs pour exiger que les gouverneurs lèvent immédiatement leurs ordres de «rester à la maison».
Les manifestations sont rapidement devenues un point d'éclair pour la confrontation alors que quelques infirmières de Denver sont sorties pour affronter tranquillement les «Covidiots» exigeant une réouverture immédiate. La scène a rapidement attiré l'attention des HSH car elle offrait une nouvelle occasion de promouvoir leur récit des braves «héros de la santé» - des parangons multiculturels non seulement des soins de santé, mais de toutes les causes progressistes sous le soleil (du moins selon le narrative) - confronter les 'covidiots' idiots, ignorants et soutenant Trump.
Gardez à l'esprit: nous ne défendons pas les covidiots, ni ne les condamnons explicitement. Le déni est l'une des réponses humaines les plus prévisibles, et les gens terrifiés font parfois des conneries ridicules lorsque les jetons sont en panne. C'est la nature humaine, et bien qu'ils ne devraient certainement pas être célébrés ou pris en compte (comme l'a fait le président Trump, à son détriment politique évident), les décrier comme des monstres n'aide pas non plus.
RépondreSupprimerPendant ce temps, les agents de santé qui risquent leur vie pour soigner des patients infectés ne rendent pas service lorsqu'on leur demande de prendre ces risques sans équipement de protection suffisant ou avec d'autres handicaps. Ce sont d'énormes sacrifices; qu'ils se mettent en danger pour protéger la santé publique n'a jamais été mis en doute, et de nombreuses infirmières et médecins du monde entier ont payé le prix ultime lors de cette épidémie. Cette crise a vu une nouvelle vague de «martyrs des soins de santé» célébrée à travers le monde, et en particulier en Chine.
De plus, alors qu'une majorité d'Américains auraient peur de rouvrir l'économie trop rapidement - selon un récent sondage qui a été noté à plusieurs reprises sur "Squawk Box" ce matin - si des mesures ne sont pas prises rapidement, nous pourrions risquer de bouleverser le très social tissu dont l'ordre dépend.
Alors que l'épidémie est une crise qui demande à être prise au sérieux, les conséquences potentielles d'un effondrement économique total - incidences de graves pénuries alimentaires, émeutes, soulèvements et pillages en plus d'une crise de santé publique sans précédent impliquant un virus qui, chez certains patients , produit des symptômes d'une brutalité presque incroyable - aggraverait les choses bien des fois.
Pourtant, pour être sûr, les conséquences de la précipitation à la réouverture pourraient également être désastreuses, comme l'explique Morgan Stanley.
En réalité, la foule de ces manifestants «rouverts maintenant» a été modeste. Les ignorer pourrait être une meilleure stratégie si le but est de les faire rentrer à l'intérieur.
Mais nous nous éloignons ...
Pour autant que nous puissions en juger, la grande nouvelle du jour au lendemain est la résurgence continue du virus en Asie, un phénomène qui n'a pas reçu assez d'attention dans la presse grand public. Le Japon, la Russie et Singapour sont en train de devenir rapidement des points chauds, tandis que la Chine souffre également de plus de flambées et de clusters que Pékin ne laisse entendre.
Au Japon, le Premier ministre Shinzo Abe a prolongé l'état d'urgence afin de couvrir l'ensemble du pays alors que le nombre de cas de coronavirus confirmés monte en flèche, indiquant que le virus a probablement déjà profondément pénétré la société japonaise, de nombreux Japonais ignorent simplement les recommandations de distanciation sociale. La constitution japonaise considère la liberté individuelle comme primordiale, de sorte que le gouvernement ne peut pas réellement ordonner la fermeture d'entreprises. Malheureusement, cela signifie que beaucoup sont restés ouverts, et des foules de gens dans les restaurants et en public restent un site pas rare.
Maintenant, comme l'explique Japan Times, les hôpitaux de Tokyo sont submergés par une augmentation des patients atteints de coronavirus. Certains hôpitaux ont même été contraints de refouler des patients, faisant écho aux horribles premiers jours de l'épidémie à Wuhan.
RépondreSupprimerSauf que, dans une tournure intéressante, les patients qui sont refoulés sont des personnes souffrant de crises cardiaques, d'accidents graves et d'autres problèmes de santé, car les hôpitaux concentrent toutes leurs ressources sur les patients COVID-19.
Au Japon, les hôpitaux refusent de plus en plus les personnes malades alors que le pays lutte contre les infections à coronavirus et que son système médical d'urgence s'effondre. Dans un cas récent, une ambulance transportant un homme souffrant de fièvre et de difficultés respiratoires a été rejetée par 80 hôpitaux et forcée de chercher des heures dans un hôpital du centre-ville de Tokyo qui le soignerait. Un autre homme fiévreux est finalement arrivé à l'hôpital après que les ambulanciers paramédicaux aient contacté sans succès 40 cliniques.
Dans un cas récent, une ambulance transportant un homme souffrant de fièvre et de difficultés respiratoires a été rejetée par 80 hôpitaux et forcée de chercher des heures dans un hôpital du centre-ville de Tokyo qui le soignerait. Un autre homme fiévreux est finalement arrivé à l'hôpital après que les ambulanciers paramédicaux aient contacté sans succès 40 cliniques.
La Russie est essentiellement dans le même bateau que le Japon. Pendant les premiers jours de l'épidémie, le président russe Vladimir Poutine a mis en place des mesures radicales pour essayer d'empêcher le virus de pénétrer en fermant la frontière russe avec la Chine et la Corée du Nord en raison des objections de la communauté internationale. Cependant, l'hésitation de la Russie à mettre en œuvre un verrouillage à l'échelle nationale - il n'en a imposé un qu'à la fin du mois dernier - lui a apparemment coûté ces premiers gains, et Poutine avertit maintenant que le pays est probablement au bord d'une énorme crise.
Même la Corée du Sud a signalé des grappes d'épidémies alors qu'elle rouvrait son économie.
Dimanche, la Russie a annoncé le 8e jour de nombre record de nouveaux cas, alors que la capacité de test en expansion rapide révèle à quel point le virus est déjà répandu. La Suède - qui vient d'ajouter "l'obésité" à sa liste de conditions préalables à coronavirus à haut risque (désolé, Jameela Jamil) - a vu une augmentation des cas et des décès, même si le gouvernement insiste sur le fait que les cas commencent déjà à se stabiliser, même en tant que gymnases, les restaurants et les commerces sont restés ouverts.
L'inconvénient, comme l'a laissé entendre le président Trump la semaine dernière, a été une recrudescence récente de cas et de décès, mais le pays a évité une épidémie incontrôlée tout en laissant les entreprises ouvertes.
Pour le meilleur ou pour le pire, les pays poursuivent leurs efforts de réouverture. Dans notre pays, environ un cinquième de la population mondiale - l'Inde, le Ghana, l'Iran, l'Italie, l'Autriche, l'Allemagne, etc. - fait les premiers pas vers la réouverture de ses économies.
Outre l'Italie et l'Autriche, qui ont entamé le processus de réouverture, l'Inde, le Ghana - le premier pays d'Afrique subsaharienne à rouvrir - ont annoncé lundi leur intention d'ouvrir l'ouverture de leurs économies. L'Iran a également été contraint de recommencer à rouvrir.
Dans certains endroits, la réouverture n'est pas l'idée la plus folle. Comme nous l'avons noté hier soir, après des semaines de «montée de la coronacurve», nous avons enfin de bonnes nouvelles - nous sommes maintenant officiellement au-dessus du «point de basculement», car le taux mondial de croissance des infections est passé de 90% W / W à seulement 38% W / W au cours des quinze derniers jours (nombre total d'infections: 2 157 108, décès: 143 844, taux de mortalité de 6,7%) et le nombre de nouveaux cas quotidiens dans le monde a chuté à 65,6 K, le plus bas depuis fin mars.
RépondreSupprimerVoici à quoi ressemble la courbe maintenant:
Pendant ce temps, au Royaume-Uni, le régime de congé des travailleurs de HMG - selon lequel les entreprises reçoivent de l'argent pour la paie afin de garder les travailleurs et non de les licencier - a reçu plus de 70 000 demandes au cours de la première demi-heure d'admissibilité alors que les entreprises se démènent pour obtenir de l'argent pour payer les travailleurs qu'ils gardent sur la liste de paie. Les entreprises perdront l'accès à l'argent si elles ne gardent pas leurs employés.
Aux États-Unis, la plupart des plus grandes histoires liées au coronavirus du jour au lendemain impliquaient des sociétés et des organisations à but non lucratif confrontées à des pressions pour retourner de l'argent de sauvetage. Shake Shack a remporté des éloges pour avoir remboursé un prêt PPP de 10 millions de dollars (c'est-à-dire un million avec un «m»), cependant, les universités de la Ivy League, y compris Harvard et Columbia, font face à des pressions pour restituer des millions de dollars à ces institutions - qui ont des dizaines de milliards de dollars dans leurs dotations - ont accepté du programme, révélant ce qui est peut-être son plus gros défaut: les entreprises qui ont le plus besoin d'argent ne sont probablement pas celles qui l'obtiennent en premier.
Avant de partir, nous aimerions noter que la pression internationale sur la Chine s'est intensifiée du jour au lendemain, alors que le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a vivement critiqué Pékin au sujet d'une campagne de propagande, selon Le Drian, qui visait à "approfondir les divisions" dans l'UE. . De plus, comme nous l'avons noté hier soir, le plus grand journal d'Allemagne a accusé Pékin d'avoir "exporté" le virus, provoquant une réponse indignée du PCC.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/tokyo-hospitals-turn-away-patients-15th-world-takes-first-steps-toward-reopening
Désolé mais il était trop tentant cet article sur les hôpitaux. Pas pu me retenir d'allumer les singes parasites silencieux...
RépondreSupprimerlundi, 20 avril 2020 22:31
La vérité crue à regarder en face pour ceux qui aiment chialer sur le corona virus et les hôpitaux français... la France, c'est avant tout un pays de parasites silencieux qui bouffent sans rien branler sur le dos des autres qui souffrent. Et ce, dans tous les secteurs. Cest un état d'esprit et non une quelconque exception. Et c'est spécifique à la France quand on regarde les datas des autres pays. Et là, les riches n'ont rien à voir avec ca. Et aussi, taxer les riches ne pourra rien changer ni rien résoudre à l'existence de ces parasites... j'ai quitté la France en 2009 à cause d'eux. il n'y a aucun espoir à avoir mise à part fuir. Nous sommes 11 ans plus tard. Et le fait est que j'ai bien fait de m'enfuir car absolument rien ne s'est amélioré. Tout s'est au contraire détérioré avec toujours plus de parasites silencieux qui sucent la sève de la France.
A tous ceux qui ont cette sève créatrice qui coule dans leurs veines, je vous dis BARREZ VOUS. PROTEGEZ votre valeur, votre énergie, votre unicité. Ne laissez pas ces singes vous spolier votre existence.
Ces singes sont tellement nombreux qu'ils laissent une trace désormais dans toutes les compta nationales et les comparaisons internationales... une démonstration sur les hôpitaux avec le lien ci dessous !
https://fr.theepochtimes.com/les-hopitaux-francais-emploient-presque-34-de-personnes-nayant-aucune-tache-medicale-1339803.html?fbclid=IwAR1EK4DQ1WPzt8DbzPjhIMigPnlBw8yCECtEm53VnEjhpLVPYsqhu1fNdGg
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/fonctionnaire/desole-mais-il-etait-trop-tentant-cet-article-sur-les-hopitaux-pas-pu-me-retenir-d-allumer-les-singes-parasites-silencieux.html