- ENTREE de SECOURS -



mardi 21 avril 2020

Interdiction de sauver quiconque !

SINCE MARCH 3, 20
SALE OR DISTRIBUTION OF MASKS
TO PATIENTS EVEN ON PRESCRIPTION
IS PROHIBITED BY THE STATE
SENTENCED BY THE PHARMACIST
IN CASE OF NON-COMPLIANCE:
6 MONTHS OF PRISON
AND 10,000 EUROS OF FINE

L’État a réquisitionné l’ensemble des masques (chirurgicaux et FFP2) en stock et en cours de production sur l’ensemble du territoire national jusqu’au 31 mai 2020. Même ceux encore en stock en pharmacie. De fait, depuis le 4 mars, les pharmacies ne sont plus autorisées à vendre les masques chirurgicaux ou de type FFP2, y compris ceux de leur propre stock, rappelle la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) dans un communiqué du 5 mars. Le pharmacien revendeur encourt une sanction de 6 mois d’emprisonnement et 10 000 euros d’amende (art. L2215-1 du Code général des collectivités territoriales).


61 commentaires:

  1. Masques de protection : le Conseil d'Etat rejette le recours d'un syndicat de policiers


    R.F.
    Le Parisien
    ven., 17 avr. 2020 17:47 UTC


    Un contrôle routier aux abords de l’A15 vers Cergy, le samedi 11 avril 2020. Des policiers arrêtent des automobilistes pour vérifier leur attestation de sortie.

    Le syndicat « Vigi Ministère de l'Intérieur » pointait une interdiction faite aux forces de l'ordre de porter des masques de protection dans certaines situations. Mais le Conseil d'Etat a rejeté son recours. Explications.

    Le Conseil d'Etat a pris l'habitude ces dernières semaines de rejeter massivement les recours formulés à l'encontre des mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre l'épidémie du Covid-19. C'est le cas dans près de 90 % des dossiers qui ont fait l'objet d'une instruction puis d'une audience devant la haute juridiction administrative. Mais une majorité de ces référés ne franchit même pas la première l'étape et se retrouve rejetés avant même d'avoir fait l'objet d'une audience.

    C'est le cas par exemple de la requête présentée le 2 avril devant le Conseil d'Etat par le syndicat de policiers « Vigi Ministère de l'Intérieur ». Ce syndicat minoritaire de policiers et de membres du personnel administratif entendait contester la destruction des masques FFP2/N 95 après un usage de quelques heures, comme c'est le cas actuellement. « Dans les circonstances présentes, cette règle est absurde : le textile non tissé des masques FFP2/N 95 est rare et précieux, de sorte qu'il faudrait autant que possible le conserver, le temps de trouver un moyen de le décontaminer pour le réutiliser », est-il notamment écrit dans le mémoire déposé le 2 avril.

    L'interdiction de porter un masque en service

    De la même manière, le syndicat souhaitait que soit mis fin « à l'interdiction faite aux policiers de porter un masque en service ». Une interdiction formulée, selon les termes utilisés dans la requête, au travers de circulaires administratives qui fixent « dans le silence des textes, une règle nouvelle illégale » et par le biais d'instructions « verbales mais publiques de ministres ».

    « Bien sûr, la sagesse commande aux policiers d'ignorer les consignes des ministres et certains le font mais beaucoup de policiers respectent leur hiérarchie [...] », appuie encore les avocats du syndicat dans leur mémoire écrit avant de conclure : « c'est pourquoi il faut interdire à tous les membres du gouvernement et à leurs subordonnés de décourager le port du masque par les policiers ».

    Dans son ordonnance de rejet en date du 15 avril, la plus haute juridiction administrative met en avant « les mesures de réquisition, d'accroissement de la production nationale de masques de protection, de développement d'importation de tels masques... » prises par les pouvoirs publics. Manière d'étayer le constat selon lequel « il n'y a pas de carence des pouvoirs publics dans la mise à disposition des masques ». Enfin, le Conseil d'Etat contredit l'idée que « des instructions ministérielles ou gouvernementales interdiraient ou décourageraient à ce jour l'usage des masques de protection par les forces de l'ordre ».

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  2. Un communiqué à tonalité pamphlétaire

    Lors de plusieurs interventions publiques, la dernière en date jeudi 16 avril au Sénat, Christophe Castaner, ministre de l'Intérieur, semble pourtant circonscrire l'usage des masques à l'intérieur d'un périmètre assez flou. « Les masques doivent être portés, conformément à la doctrine déterminée par les scientifiques, en cas d'intervention devant des personnes présentant des symptômes ou dans des cas de figure présentant des risques importants, a-t-il déclaré devant les membres d'une commission sénatoriale. Il appartient aux policiers, ce qu'ils font à chaque contrôle, d'apprécier la situation ».

    En réaction à la décision du Conseil d'Etat, le syndicat « Vigi Ministère de l'Intérieur » a publié un communiqué à tonalité pamphlétaire dans lequel est visé le Conseil d'Etat, accusé de préférer « mettre en danger les policiers plutôt que la carrière de ses « maîtres » ».

    https://fr.sott.net/article/35387-Masques-de-protection-le-Conseil-d-Etat-rejette-le-recours-d-un-syndicat-de-policiers

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  3. Des Espagnols risquent une amende de 2 000 € pour avoir "manqué de respect" à un officier de police pendant le verrouillage


    par Tyler Durden
    Mar, 21/04/2020 - 06h00
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Au milieu d’une enquête sur la question de savoir si les lois draconiennes de verrouillage de l’Espagne sont constitutionnelles, des amendes de 2 000 euros ont été infligées à des personnes pour «manque de respect» à un policier.

    Contrairement à d'autres pays européens, les Espagnols ne sont même pas autorisés à faire de l'exercice pendant la quarantaine des coronavirus.

    Les citoyens ne sont autorisés à visiter leur épicerie la plus proche et une seule personne peut être dans un véhicule à la fois à moins que l'autre personne soit classée comme «vulnérable» ou en cas d'urgence médicale.

    Le verrouillage est imposé via un réseau de barrages routiers où les conducteurs sont interrogés sur leurs intentions par des policiers agressifs, dont certains portent des armes à feu. Un physiothérapeute a été condamné à une amende de 600 euros pour être allé voir un client après que la police l'ait arrêté alors qu'il rentrait chez lui.

    L'amende de 2 000 euros pour «manque de respect» envers un policier est manifestement tout à fait arbitraire et facilement susceptible d'abus en tant que source de revenus.

    «Les directives prévoient une pénalité standard de 601 € pour tout mouvement non autorisé à l'extérieur du domicile sans raison valable pouvant être portée à 2000 € si le délinquant répond avec une« attitude inappropriée »aux agents des forces de l'ordre, rapporte la section locale.

    Les personnes qui ne peuvent pas fournir de pièces d'identité à la police sont condamnées à une amende de 700 euros, tandis qu'un voyage dans une résidence secondaire est puni d'une amende de 1500 euros. La plus grosse amende - 10 400 euros gargantuesques - est réservée à quiconque tente «d'organiser ou de participer à un rassemblement, une fête ou une célébration».

    Selon le journaliste Jason O’Toole, qui est enfermé à Madrid, les tensions «montent en flèche» et des gens sont maintenant arrêtés pour être sortis «trop fréquemment» à l’épicerie.

    Cela a incité certains juges, avocats, professeurs de droit et ONG à se plaindre que les lourdes amendes sont «inconstitutionnelles».

    "Une enquête est actuellement en cours par le Defensor del Pueblo (Médiateur espagnol) pour voir si les amendes sont 'correctes et proportionnelles', car ils veulent 'protéger les droits des citoyens'. C’est une décision qui a même été saluée par La Abogacia del Estado », écrit O’Toole.

    "Le ministère de la Justice se demande maintenant si les amendes sont légalement valables et dit qu'il est possible que de nombreux cas puissent être rejetés à l'amiable pour des raisons techniques. Ils disent, par exemple, que les personnes appréhendées pourraient s'en sortir sans scot si la police ne leur donnait pas d'abord un avertissement formel - comme un carton jaune dans le football."

    https://www.zerohedge.com/health/spaniards-face-eu2000-fine-disrespecting-police-officer-during-lockdown

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  4. La Suède contre COVID-19: pourquoi «l'immunité collective» est importante et pourquoi le verrouillage ne fonctionne pas vraiment


    par Tyler Durden
    Mar., 21/04/2020 - 03:30
    Via UnHerd.com,


    Le professeur Johan Giesecke, l'un des plus grands épidémiologistes au monde, conseiller du gouvernement suédois (il a embauché Anders Tegnell qui dirige actuellement la stratégie suédoise), premier scientifique en chef du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies et conseiller du directeur général de l'OMS, expose avec une franc-parler typiquement suédois pourquoi il pense:

    La politique britannique sur le verrouillage et les autres pays européens n'est pas fondée sur des preuves

    La bonne politique consiste à protéger uniquement les personnes âgées et les personnes fragiles

    Cela mènera éventuellement à l'immunité collective en tant que «sous-produit»

    La réponse initiale du Royaume-Uni, avant le «virage à 180 degrés», était meilleure

    Le document de l'Imperial College n'était «pas très bon» et il n'a jamais vu un document non publié avoir autant d'impact sur les politiques

    Le papier était beaucoup trop pessimiste

    De tels modèles sont de toute façon une base douteuse pour les politiques publiques

    L'aplatissement de la courbe est dû autant au décès le plus vulnérable qu'au verrouillage

    Les résultats seront finalement similaires pour tous les pays

    Covid-19 est une «maladie bénigne» et semblable à la grippe, et c'est la nouveauté de la maladie qui a effrayé les gens.

    Le taux de mortalité réel de Covid-19 est de l'ordre de 0,1%

    Il sera démontré qu'au moins 50% de la population du Royaume-Uni et de la Suède ont déjà eu la maladie lorsque des tests de masse en anticorps seront disponibles

    L'animateur de UnHerd, Freddy Sayers, s'entretient avec le professeur Johan Giesecke dans ce qu'ils décrivent comme l'une des interviews les plus extraordinaires qu'ils aient réalisées ...

    https://www.zerohedge.com/health/sweden-vs-covid-19-why-herd-immunity-matters-why-lockdown-doesnt-really-work

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    Réponses

    1. (...) Covid-19 est une «maladie bénigne» et semblable à la grippe, et c'est la nouveauté de la maladie qui a effrayé les gens. (...)

      Le sujet n'est pas le virus mais la constatation des moutons qui obéissent au virus-en-chef !

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  5. Et si le verrouillage était une grosse erreur ?


    Par Dr Ron Paul
    Institut Ron Paul
    21 avril 2020


    De la Californie au New Jersey, les Américains protestent dans les rues. Ils demandent la fin des ordonnances d'assignation à résidence prononcées par des responsables gouvernementaux suite à une épidémie de virus qui, même selon les derniers chiffres du gouvernement américain, feront moins de morts que l'épidémie de grippe saisonnière de 2017-2018.

    Aux États-Unis, des millions d'entreprises ont été fermées par «décret» et le taux de chômage est monté en flèche à des niveaux jamais vus depuis la Grande Dépression. Les Américains, qui ont vu leurs salaires réels baisser grâce à une mauvaise pratique monétaire de la Réserve fédérale, se retrouvent plongés dans la pauvreté et se retrouvent dans la ligne de mire. C'est comme un film d'horreur, mais c'est réel.

    La semaine dernière, le Secrétaire général de l'ONU a averti qu'une récession mondiale résultant de la fermeture mondiale des coronavirus pourrait provoquer «des centaines de milliers de décès d'enfants supplémentaires par an». Au moment d'écrire ces lignes, moins de 170 000 personnes seraient mortes des coronavirus dans le monde.

    De nombreux Américains sont également décédés le mois dernier parce qu'ils n'ont pas pu obtenir les soins médicaux dont ils avaient besoin. Les traitements contre le cancer ont été reportés indéfiniment. Les chirurgies vitales ont été suspendues pour faire place aux cas de coronavirus. Pendant ce temps, les hôpitaux licencient des milliers de personnes parce que les cas de coronavirus attendus ne sont pas venus et les hôpitaux sont partiellement vides.

    Et si le «remède» est pire que la maladie ?

    Des pays comme la Suède qui n'ont pas bloqué leur économie et placé la population en résidence surveillée ne s'en sortent pas pire que les pays qui l'ont fait. Le nombre de décès par million de la Suède attribuable au coronavirus est inférieur à celui de nombreux pays fermés.

    De même, les États américains qui n'ont pas arrêté des citoyens pour simplement marcher sur la plage ne font pas pire que ceux qui l'ont fait. La gouverneure du Dakota du Sud, Kristi Noem, a déclaré la semaine dernière: "nous avons pu garder nos entreprises ouvertes et permettre aux gens d'assumer une responsabilité personnelle." Le Dakota du Sud a enregistré un total de sept décès de coronavirus.

    Le Kentucky, un État de confinement strict, est cinq fois plus peuplé que le Dakota du Sud, mais il a environ 20 fois plus de décès par coronavirus. Si le verrouillage et la détention à domicile sont la solution, ces chiffres ne devraient-ils pas être inversés, le Dakota du Sud voyant des morts massives tandis que le Kentucky évite la balle du coronavirus ?

    Quand Anthony Fauci a averti pour la première fois que deux millions de personnes mourraient, il y avait une course entre les fonctionnaires fédéraux, étatiques et locaux pour voir qui pourrait déchirer la Constitution le plus rapidement. Puis Fauci nous a dit que si nous faisons ce qu'il dit, seulement un quart de million de personnes mourraient. Ils ont enfermé l'Amérique encore plus fort. Puis, avec un peu plus qu'un haussement d'épaules, ils ont annoncé qu'un maximum de 60 000 personnes mourraient, mais peut-être moins. C'est certainement terrible, mais ce n'est qu'une saison de la grippe moyenne élevée.

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  6. Imaginez si nous avions utilisé même une fraction des ressources dépensées pour enfermer toute la population et nous concentrer sur la fourniture d'une assistance et d'une protection aux plus vulnérables - les personnes âgées et celles souffrant de graves problèmes de santé. Nous aurions pu protéger ces personnes et avoir encore une économie à laquelle remonter lorsque le virus avait suivi son cours. Et cela ne nous aurait pas coûté non plus six milliards de dollars.

    Les gouvernements n'ont ni le droit ni l'autorité de nous dire quelle entreprise ou autre activité est «essentielle». Ce n'est que dans les États totalitaires que le gouvernement revendique cette autorité. Nous devons encourager tous ceux qui se lèvent pacifiquement et demandent des comptes à leurs dirigeants élus. Ils ne devraient pas pouvoir s'en tirer.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/ron-paul/what-if-the-lockdown-was-all-a-big-mistake/

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  7. Les experts n'ont aucune idée du nombre de cas COVID-19


    Par Ryan McMaken
    Mises.org
    21 avril 2020


    Au début de la panique du COVID-19, il y a environ trois semaines, il était courant d'entendre ces deux phrases souvent répétées:

    "Le taux de mortalité de ce virus est très élevé !"
    "Il y a beaucoup plus de cas que nous ne le savons !"

    La stratégie consistant à insister sur le fait que ces deux déclarations sont vraies en même temps a été utilisée par les politiciens pour mettre en œuvre des «verrouillages» qui ont forcé les entreprises à fermer et des millions de personnes à perdre leur emploi. Par exemple, le 12 mars, la directrice du Département de la santé de l'Ohio, Amy Acton, a insisté sur le fait que «plus de 100 000» personnes «portent ce virus dans l'Ohio aujourd'hui». L'État a commencé à appliquer des ordonnances de verrouillage «rester à la maison» ce jour-là.

    À l'époque, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les médias et d'autres signalaient que 2 à 4% des personnes atteintes de COVID-19 mourraient. En prenant le nombre bas de 2% et en autorisant une période d'incubation, cela signifierait que deux semaines après l'annonce d'Acton - en supposant que le verrouillage était efficace à 100% et qu'aucune personne supplémentaire n'a attrapé la maladie - deux mille Ohioans seraient probablement mort de COVID-19. Mais en date du 17 avril, plus d'un mois plus tard, et après un mois de propagation de la maladie dans les épiceries et autres secteurs commerciaux «essentiels», environ 418 Ohioans sont morts du COVID-19.

    De toute évidence, quelque chose ne correspond pas.

    À l'époque, Acton a été critiqué par certains pour avoir probablement gonflé le nombre d'infections dans l'État. En effet, le lendemain, elle a fait marche arrière, disant qu'elle ne faisait que deviner.

    Au fur et à mesure que de plus en plus de recherches arrivent, il se peut que Acton ne soit pas follement inexacte dans son «estimation approximative» après tout. Les chercheurs en médecine et les épidémiologistes affirment de plus en plus que le virus COVID-19 s'est propagé beaucoup plus rapidement et est beaucoup plus répandu qu'on ne le pensait depuis longtemps. Et si cela est vrai, le pourcentage de cas de COVID-19 de personnes qui entraînent la mort est bien inférieur à ce que l'on suppose. Si c'est le cas, Acton avait toujours tort, mais elle avait plus tort dans ses hypothèses sur les taux de mortalité que sur le nombre total de cas.

    Voici pourquoi:

    Lorsque les gens disent «taux de mortalité» ou «taux de mortalité», ils signifient généralement «taux de létalité» (CFR). Il s'agit simplement du nombre de personnes décédées d'une maladie divisé par le nombre de cas. S'il y a 10 000 cas et 100 personnes meurent de la maladie, le CFR est de 1%. (Cela ne doit pas être confondu avec le «taux de mortalité», qui est le nombre de décès divisé par l'ensemble de la population.)

    Pour calculer le CFR avec précision, nous devons savoir quel est le nombre total de cas et aussi combien de personnes sont décédées de la maladie. Si le nombre total de cas est supérieur à ce que nous pensons, alors le taux de mortalité est inférieur à ce que nous pensons.

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  8. Comment les taux de mortalité sont affectés par les méthodes de collecte de données du gouvernement

    Compter le nombre de décès a été beaucoup plus facile que de compter le nombre total de cas. En raison du «biais de gravité», les personnes qui ont présenté des symptômes graves ou qui sont décédées étaient beaucoup plus susceptibles de subir un test de dépistage du COVID-19 que les personnes présentant peu de symptômes qui n'ont jamais eu besoin de soins médicaux. Comme l'a noté un épidémiologiste cité par le New York Times:

    "Pour connaître le taux de mortalité, vous devez savoir combien de personnes sont infectées et combien de personnes sont mortes de la maladie", a déclaré Ali H. Mokdad, professeur de sciences des mesures de la santé à l'Institut des mesures et de l'évaluation de la santé. "Nous savons combien de personnes meurent, mais nous ne savons pas combien de personnes sont infectées."

    Bien sûr, certains décès sont manqués, en particulier chez ceux qui meurent à la maison. Mais comme le conclut l'article du Times:

    les données manquantes sur les décès dans le rapport décès / infections seront presque sûrement éclipsées par l'augmentation attendue du dénominateur lorsque le nombre total d'infections sera mieux compris, selon les épidémiologistes. Les statistiques généralement citées par les maires et les gouverneurs lors des conférences de presse de Covid-19 reposent sur un ensemble de données qui comprend principalement des personnes dont les symptômes étaient suffisamment graves pour être testés.

    Autrement dit, les totaux de cas souvent cités par les politiciens ne sont rien de plus que des suppositions sauvages.

    En effet, de nombreux chercheurs et autres observateurs ont affirmé que le nombre total de cas était considérablement plus élevé que ce que l'on savait d'après les tests.

    «Le Vermont pourrait avoir 16 fois plus d'infections que ce qui est officiellement annoncé», lit-on dans un titre du 18 mars. Mais cette estimation ne s'applique pas uniquement au Vermont. Le titre provient d'une estimation nationale des cas de l'épidémiologiste de Stanford Steve Goodman:

    Goodman dit que le multiplicateur de 16 fois est une hypothèse approximative, basée sur les connaissances actuelles de la façon dont le virus se propage dans d'autres endroits. Il suppose qu'une personne sur quatre qui a COVID-19 est suffisamment symptomatique pour être testée… .Un autre chercheur, Samuel Scarpino, professeur à l'Université du Nord-Est spécialisé dans la modélisation des maladies infectieuses, a déclaré au Globe que les États-Unis n'avaient identifié qu'entre 1 sur chaque 10 cas et 1 cas sur 30.

    De même, dans le Wall Street Journal du 23 mars, les chercheurs de Stanford Eran Bendavid et Jay Bhattacharya ont suggéré que les cas connus n'étaient qu'une infime fraction du nombre réel. Selon une étude de Bendavid et Bhattacharya,

    nous avons au moins 990 000 infections aux États-Unis. Le nombre de cas signalés le 19 mars aux États-Unis était de 13 677, soit 72 fois plus. Ces chiffres impliquent un taux de mortalité des ordres de grandeur de Covid-19 plus petit qu'il n'y paraît ... Si notre estimation de six millions de cas est exacte, c'est un taux de mortalité de 0,01%, en supposant un décalage de deux semaines entre l'infection et la mort. C'est un dixième du taux de mortalité par grippe de 0,1%.

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  9. Vendredi, le San Francisco Chronicle a rendu compte d'une nouvelle étude sur le comté de Santa Clara en Californie, qui suggère que «les cas sont sous-déclarés par un facteur de 50 à 85»:

    Si les chiffres de l'étude sont exacts, les taux réels de mortalité et d'hospitalisation de COVID-19 sont tous deux sensiblement inférieurs aux estimations actuelles, et en raison du décalage entre l'infection et le décès, les chercheurs projettent un véritable taux de mortalité entre 0,12 et 0,20.

    Ce taux de mortalité américain de 2 à 4% communément rapporté par les politiciens et les médias semble moins probable chaque jour.

    Qu'est-ce que cela signifie pour la politique ?

    Si l'étude de Santa Clara ou les estimations de Bendavid et Bhattacharya s'appliquent à l'ensemble du pays, le nombre actuel de 710 000 cas de COVID-19 aux États-Unis ne représente qu'une petite fraction du nombre total de personnes atteintes de la maladie. Le nombre réel de cas pourrait aller de 35 millions à 60 millions.

    Dans un pays où le nombre de personnes infectées est si élevé, les efforts pour fermer de force des entreprises et mettre des millions de personnes au chômage jusqu'à ce qu'il n'y ait «plus de nouveaux cas, pas de décès» - comme le suggère le bureaucrate fédéral de la santé Anthony Fauci - sont absurdes. Cet objectif est probablement impossible à atteindre sans mettre fin complètement aux voyages interétatiques et détruire l'économie américaine sur une période de plusieurs mois, voire des années.

    De plus, certains modèles de modèles épidémiologiques utilisés par les politiciens pour justifier des fermetures sévères, comme le modèle IMHE, supposent des taux de mortalité basés uniquement sur les «cas signalés» pour calculer le CFR. Cela met en évidence la pratique très discutable de fonder des mesures de politique publique draconiennes sur des données collectées par le gouvernement, malheureusement incomplètes. Depuis le tout début, ni l'OMS ni les gouvernements nationaux n'ont jamais su combien de cas il y a, quel est le taux de létalité, ou par quels moyens - ou à quelle vitesse - la maladie se propage.

    Il n'est pas nécessaire de savoir quoi que ce soit sur les virus pour savoir dès le début de la panique que le processus de collecte de données pour les décideurs gouvernementaux a tendance à être une entreprise partiale et de fortune. Cela est vrai pour toutes sortes de données, et dans ce cas, les décideurs politiques n'ont jamais connu le nombre de cas (ou étaient), mais ont néanmoins cité des chiffres correspondant à leurs objectifs politiques. Pendant ce temps, les responsables gouvernementaux ont encouragé les médecins et les administrateurs d'hôpitaux à maximiser le nombre de décès signalés dus à COVID-19.

    Pire que tout, cette attitude inventive à l’égard des chiffres COVID-19 est drapée dans le manteau de la «science» par les bureaucrates et les élus qui cherchent à plaire aux électeurs effrayés. Mais quelque part le long de la ligne, les États-Unis sont devenus une nation où ne connaître pratiquement rien du taux de mortalité ou de la prévalence réelle d'une maladie est suffisant pour justifier l'abolition de la Déclaration des droits et des millions d'emplois à travers le pays. Mais ça va, apparemment, parce que c'est ce que les «experts» disent que nous devrions faire.

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  10. MISE À JOUR: 20 avril

    Au cours du week-end, plusieurs nouveaux articles ont été publiés, notant une prévalence accrue de COVID-19 par rapport à ce qui était précédemment connu (ou admis). L'AP rapporte aujourd'hui:

    Un flot de nouvelles recherches suggère que beaucoup plus de personnes ont eu le coronavirus sans aucun symptôme, alimentant l'espoir qu'il se révélera beaucoup moins mortel qu'on ne le craignait à l'origine.

    Bien que ce soit clairement une bonne nouvelle, cela signifie également qu'il est impossible de savoir qui peut être contagieux autour de vous. Cela complique les décisions concernant le retour au travail, à l'école et à la vie normale.

    La semaine dernière, des informations faisant état d'infections silencieuses ont été signalées par un refuge pour sans-abri à Boston, un porte-avions de la marine américaine, des femmes enceintes d'un hôpital de New York, plusieurs pays européens et la Californie.

    Dans plus de dix États, la proportion de tests positifs est de près de 20% ou plus.

    Mais même cela peut être trop faible car les tests peuvent retourner des faux négatifs près d'un tiers du temps.

    Pendant ce temps, une nouvelle étude dans le Massachusetts a révélé qu'un tiers des personnes testées au hasard dans la rue étaient positives pour COVID-19.

    Remarque: Les opinions exprimées sur Mises.org ne sont pas nécessairement celles de l'Institut Mises.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/ryan-mcmaken/the-experts-have-no-idea-how-many-covid-19-cases-there-are/

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    1. Bon; ok-d'accord pour l'explicationnhabile de la dif' entre mortalité et létalité (rien à voir avec le lit). S'il y a 1 % de morts du cancer, 1 % de morts du diabète, 1 % de morts du corana et, 1 % de morts de vieillesse, cela fait bien 4 % de mortalité mais seulement 1 % de morts du coran-à-virus !

      Oui mais le truc n'est pas le truc-machin-virus ! mais uniquement fait en figure de test. Voir combien de moutons s'alignent contre le mur, voir combien de ces cons acceptent l'abattoir et combien d'autres tondus restent en vie.

      Mais, cela inaugure un nouveau comportement (dit 'revers-de-cuillère') que 'Chatte échaudée craint l'eau froide' ? et du Candy raton et du 'Une fois mais pas deux !' Parce que, de bousculer les us & coutumes çà ne se fait pas ! On a coutume d'être dehors, foutus à la porte ou jeté par dessus bord (ou 'Tombé du camion' ?) mais pas d'être serré chez soi surtout avec 4 gosses dont on se demande (bonne question !) s'ils sont tous à soi !

      Donc, va pour une semaine, portée jusqu'à 1 mois !! (non mais !) mais après: on fait LA révolution ! (marchez dans le marron çà porte bonheur !)

      D'où ce temps de réfléchir mis à questions du pourquoi suis-je con ? Chiffres à l'appui: guère plus de un quart de morts du corana et 500 000 morts de 'la grippe saisonnière' parent et dans le monde ! Là; on se fout de la gueule du Peuple !

      Le 'On ne m'y reprendra pas !' est en vue !

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  11. Tunisie: Une affaire de fabrication de masques tourne au scandale d’État


    12:39 21.04.2020
    Par Hanène Zbiss


    Alors que le chef du gouvernement vient de prolonger la période de confinement jusqu’au 3 mai, une affaire de «conflit d’intérêts» avec «soupçon de corruption» fait basculer le pays dans une grande polémique. Qu’en est-il ?

    La Tunisie s’apprête, comme plusieurs pays dans le monde, à lever progressivement le confinement à partir du 4 mai. Pour cela, il va falloir équiper tous les citoyens en masques de protection contre le coronavirus. Dans ce cadre, l’État a décidé de confier la fabrication de 30 millions de ces masques non médicaux aux usines locales de textile. Mais des abus sont apparus.

    Tout d’abord, une information, censée rester confidentielle, relative aux critères de fabrication des masques a filtré. Avant même la publication officielle du cahier des charges, des industriels ont racheté toutes les quantités de tissu, spécifique à la conception, disponibles sur le marché. Ensuite, une seule société, dont le propriétaire est député au Parlement, a été requise pour la fabrication de 2 millions de masques bien que la loi interdise aux parlementaires d'avoir des relations commerciales avec l'État.

    Les deux affaires, liées, ont déclenché un scandale en Tunisie. Une mission gouvernementale a été dépêchée au ministère de l’Industrie pour enquêter sur le dossier et la justice s’en est aussi saisie.

    À l’origine du dossier, l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLUCC) –une instance indépendante– avait reçu plusieurs alertes sur une importante pénurie de tissu et de matières premières nécessaires à la fabrication des masques. Certains industriels auraient tout acheté.

    «Après avoir reçu ces alertes, nous avons commencé à faire notre enquête en écoutant les différentes parties impliquées dans cette affaire. Et durant ce travail d’investigation, nous nous sommes rendu compte qu’il y avait une affaire parallèle, celle de la commande passée par le ministre de l’Industrie directement à un industriel, qui est un député parlementaire, sans aucun respect de la loi», précise à Sputnik Fawzi Chemingui, membre de l’INLUCC.

    En effet, le ministre de l’Industrie, Salah Ben Youssef, a téléphoné le 7 avril directement à Jalel Zayati –propriétaire d’une des plus grandes usines de fabrication de produits orthopédiques, OrthoTunisia– pour lui commander en urgence la fabrication de 2 millions de masques d’une valeur totale de 4 millions de dinars (1,5 million d’euros). Cette commande est différente de celle de 30 millions de masques que l’État avait annoncé vouloir acheter.

    Il lui a communiqué les caractéristiques requises et le prix d’achat des masques, avant même que tous ces détails ne soient publiés dans le cahier des charges relatif à leur confection, rendu public le 11 avril. Ceci a permis à l’industriel de s’approvisionner à temps et d’acheter tout ce qui existait sur le marché comme tissu spécial.

    «Même si l’opération s’est faite de gré à gré, vu les conditions exceptionnelles du pays à cause de la crise, il n’y a pas eu respect des dispositions en vigueur en matière d’appels d’offres publiques», estime Fawzi Chemingui.

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  12. Ce collaborateur de l’INLUCC s’interroge d’ailleurs sur les raisons de cette commande auprès d’un seul industriel, «alors qu’il en existe dans le pays au moins cinq autres qui pratiquent la même activité et qui ont les mêmes capacités en matière de fabrication».

    Le député qui voulait vendre des masques à l’État

    Le pire dans cette affaire est que Jalal Zayati est un député donc légalement, il n’a pas le droit d’avoir d’activité commerciale avec l’État, comme le précise l’article 25 du règlement intérieur du Parlement, mais aussi l’article 20 de la loi 2018-46 portant sur la déclaration des biens et des intérêts, la lutte contre l'enrichissement illicite et le conflit d'intérêts dans le secteur public. Le député est aussi membre de la Commission de l’industrie, au sein du Parlement, et rapporteur adjoint dans la commission de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption.

    Jalal Zayati n’a pas nié les faits, mais il a estimé qu’il n’y avait pas de «conflit d’intérêts vu que le pays est en état de guerre, donc il n’y a pas eu le temps pour faire des appels d’offres», d’après ses déclarations à Radio Mosaïque.

    De son côté, le ministre de l’Industrie, Salah Ben Youssef, a justifié son choix en déclarant au cours d’une conférence de presse, le 17 avril: «Cet industriel a l’habitude d’exporter sa production vers les marchés européens. Par conséquent, il est possible de lui faire confiance en matière de qualité des produits et de leur conformité aux normes.»

    Quant à sa connaissance du statut de Zayati en tant que député, il a nié:

    «Je n’ai su qu’il était député que lors de mon passage au Parlement il y a deux jours», comme le rapporte le site d’information Businessnews.

    Rendre compte au Parlement

    Le ministre de l’Industrie a été invité à deux séances d’écoute, l’une avec la Commission de la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, et l’autre avec la commission de l’Industrie, présidée par la députée Abir Moussi et présidente du Parti destourien libre (PDL). Interrogée par Sputnik, cette dernière a dévoilé:

    «C’est la Fédération tunisienne du textile et de l’habillement (FTTH) [dont Jalal Zayati est le vice-président, ndrl] qui aurait proposé au ministre le nom de Jalal Zayati. Je lui ai donc rappelé que ce dernier est député et qu’il est même membre de notre commission. Chose qu’il semblait pas savoir.»

    Abit Moussi, qui remet en question les résultats de la séance d’écoute de la Commission de lutte contre la corruption –dont rien n’a filtré–, a annoncé son intention de réagir à l’affaire Zayati.

    «J’ai proposé d’envoyer une correspondance au bloc parlementaire auquel il appartient pour leur demander de le remplacer au sein de la commission car c’est inacceptable, à mon avis, qu’il y reste. Cette suggestion sera proposée au vote lors de notre réunion mercredi prochain.»

    Entre-temps, le député Jalel Zayati a déclaré ne plus souhaiter traiter avec l’État et que, de toute façon, il n’avait jamais reçu de bon de commande ou quoi que ce soit d’écrit. Quant aux masques déjà produits, il a indiqué son intention de les vendre en Europe, à un meilleur prix. Rappelons que le prix fixé par le gouvernement est de 2,040 dinars (0,66 euro) par unité.

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  13. Interrogé sur cette affaire lors d’une interview accordée le 19 avril, à la Télévision Tunisienne et à la chaîne privée Hannibal TV, le chef du gouvernement Elyes Fakhfakh a défendu le choix du ministre de l’Industrie, considérant «qu’il n’y avait pas de malversation avérée dans l’affaire des masques», surtout que le pays vit «une situation de guerre avec le virus», comme le rapporte le site Leaders.

    La Tunisie devrait se doter rapidement de masques. Jusqu’à présent, 884 cas de contamination et 38 décès ont été enregistrés.

    https://fr.sputniknews.com/maghreb/202004211043614418-tunisie-une-affaire-de-fabrication-de-masques-tourne-au-scandale-detat/

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  14. Singapour prolonge le verrouillage jusqu'au 1er juin; 3 États pour commencer la réouverture d'ici une semaine: Mises à jour en direct


    par Tyler Durden
    Mar., 21/04/2020 - 09:45

    Résumé:

    Singapour prolonge le verrouillage jusqu'à fin juin, la plus longue du monde
    Des manifestants envahissent les rues de Paris
    Yonhap dément les informations selon lesquelles la KJU de NK est en train de mourir
    Schumer ravive l'espoir d'un vote du Sénat mardi soir sur le projet de loi de secours
    La Géorgie, le Tennessee et la Caroline du Sud dévoilent leurs plans pour commencer la réouverture des économies d'ici mardi
    Gottlieb dit vrai # de cas américains probablement "10 fois plus élevés" que le total officiel
    Le nombre de cas dans le monde oscille juste en dessous de 2,5 millions
    Cas aux États-Unis près de 800 000, avec des décès dépassant 170 000

    * * *

    Mise à jour (0820ET): Le mot de Washington du jour au lendemain était qu'un vote sur le prochain projet de loi de secours n'aura probablement pas lieu avant demain. Mais le chef de la minorité, Chuck Schumer, a déclaré mardi qu'il y avait une chance qu'un vote au Sénat puisse avoir lieu ce soir, alors que de nouveaux progrès ont été réalisés dans les négociations pour une somme d'argent de 125 milliards de dollars qui ira directement aux 'non bancarisés' et 'aux mamans et ... magasins pop. Le leader démocrate a ajouté que' nous ne pourrons pas ouvrir l'Amérique sans une stratégie nationale de tests". Ceci, malgré le fait que le Dr Fauci ait déclaré la semaine dernière que les tests universels ne sont pas une condition obligatoire pour commencer la réouverture des économies.

    * * *

    Mise à jour (0730ET): Hier soir, juste au moment où le gouverneur de Géorgie Brian Kemp commençait son point de presse de lundi, le républicain conservateur a fait une annonce qui a immédiatement horrifié les médias grand public: l'État commencerait à assouplir certaines restrictions de verrouillage vendredi, et ce lundi, les entreprises des gymnases aux salons de beauté de son état seraient autorisées à rouvrir.

    Des centaines de têtes parlantes ont immédiatement souligné que l'État n'était pas en bonne voie pour respecter les directives établies par la Maison Blanche. Mais mardi matin, plusieurs autres États, dont le Tennessee et la Caroline du Sud, avaient rejoint la Géorgie dans l'intention de commencer à lever les restrictions avant le 1er mai.

    Alors que de nouveaux hotspots continuent de se former à travers le pays, y compris dans l'Ohio, le Michigan et d'autres États qui semblent se diriger vers la réouverture dans quelques semaines, ces États ont calculé que les dommages causés à leurs économies ne valaient tout simplement pas le risque de vie et santé. Les Géorgiens pourront à nouveau dîner dans les restaurants d'ici la fin de la journée de lundi.

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  15. Certains États ouvrent les portes. Dans le Tennessee, le gouverneur Bill Lee a déclaré qu'il avait choisi de ne pas prolonger sa commande "plus sûr à la maison" qui doit expirer le 30 avril. Selon Lee, "la grande majorité des entreprises de 89 comtés" seront autorisées à rouvrira le 1er mai. Les entreprises de l'Ohio devraient également rouvrir à cette date.

    D'autres adoptent une approche légèrement plus mesurée. En Caroline du Sud, le gouverneur Henry McMaster autorisera la réouverture de certaines entreprises de vente au détail, y compris les grands magasins, qui étaient auparavant étiquetées «non essentielles». Mais même après leur ouverture, ils doivent respecter les directives de distanciation sociale, a déclaré le gouverneur. Les résidents pourront également accéder aux plages de l'État mardi.

    Le gouverneur de l'Ohio, Mike DeWine, a déclaré dans "Meet the Press" qu'il allait "essayer d'ouvrir cette économie ... [sans faire] tuer beaucoup de gens", bien qu'il n'ait pas donné de date exacte, il a été a indiqué que le processus débutera le mois prochain.

    Alors que le nombre total de cas dans le monde était légèrement inférieur à 2,5 millions, à 8 heures du matin, Johns Hopkins avait recensé 787 960 cas de virus aux États-Unis (alors que certaines estimations ont estimé le véritable total infecté à près de 5 millions). Comme nous l'avons souligné dimanche soir, des signes récents suggèrent que les fermetures ont contribué à aplanir la courbe: Aux États-Unis, les nouveaux cas quotidiens sont en baisse de 33% par rapport au pic d'il y a 10 jours. 6% des comtés américains ont signalé zéro nouveau cas au cours des 7 derniers jours. Et 7 États ont annoncé leur intention de commencer la réouverture au cours des deux prochaines semaines, ce qui équivaut à environ un cinquième du PIB.

    S'exprimant sur "Squawk Box" mardi matin, l'ancien directeur de la FDA, Scott Gottlieb, a déclaré "qu'il pourrait être possible" qu'un million de personnes aient été exposées au virus dans le métro de New York (c'est-à-dire NYC seul; c'est à peu près 1/9 personnes), la dernière suggestion que le taux de mortalité américain est beaucoup plus faible que les chiffres officiels ne le montrent - une raison de plus pour les gouverneurs d'aller de l'avant avec la réouverture.

    Si vous vous demandez quelle est la situation dans votre état, voici un résumé de ce que

    Avant de partir, nous voulions simplement souligner ce tweet du fédéraliste Sean Davis.

    Seulement un peu de matière à réflexion.

    * * *

    Après une journée de folie historique sur le marché pétrolier américain, l'indice de référence international du pétrole Brent est déjà en baisse de plus de 40% mardi matin alors que les investisseurs continuent de digérer les informations de la nuit dernière selon lesquelles le leader nord-coréen Kim Jong Un pourrait être dans un état critique (un Une source de l'administration Trump a dit "oui" tandis que le sud-coréen Yonhap a dit "non") et un tweet du président Trump qu'il "suspendrait" l'immigration aux États-Unis en raison du coronavirus. La nouvelle a provoqué une whipsaw dans les contrats à terme sur actions tard hier soir.

    Alors que les libéraux perdent la raison, il convient de rappeler que l'immigration aux États-Unis est déjà effectivement fermée. La réinstallation des réfugiés a été suspendue, les bureaux des visas ont été fermés et les cérémonies de citoyenneté ont été suspendues. CNN a déclaré qu'il n'est pas clair comment cela affectera les détenteurs de cartes vertes.

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  16. Pendant ce temps, dans la dernière indication que personne ne sait vraiment ce qui va se passer avec cette épidémie, Singapour a annoncé il y a quelques minutes qu'il prolongerait son ordonnance de séjour à domicile jusqu'en juin, faisant du verrouillage de Singapour le plus long actuellement enregistré.

    Le Straits Times de Singapour a rapporté que, dans une allocution nationale télévisée, le leader singapourien Lee Hsien Loong a déclaré qu'après un nouveau record de nouveaux cas - une épidémie liée aux camps de travailleurs migrants qui représentent une 'classe oubliée' dans la société singapourienne - son gouvernement a décidé de prolonger le verrouillage de la ville-état densément peuplée pour un mois jusqu'en juin, faisant de Singapour la plus longue extension de verrouillage au monde.

    En plus d'étendre le verrouillage, Singapour réduit le nombre d'entreprises «essentielles» autorisées à rester ouvertes, augmentant en fait la pression sur son économie.

    La cité-état a signalé mardi 625 nouveaux cas, portant son nombre total à 7 213 selon BNO News, dans un pays de 5,7 millions de personnes.

    Alors que Lee a insisté sur le fait que le «disjoncteur» de Singapour - ne l'appelez pas un verrouillage - a été efficace pour supprimer la propagation, Lee a souligné que Singapour ne peut pas faire preuve de complaisance et que le nombre de cas «non liés» a été obstinément élevé, suggérant une "réservoir caché" de cas dans la communauté encore.

    Singapour a été félicitée pour ses méthodes rapides et intenses de lutte contre l'épidémie, déployées en février lorsque le virus a commencé à se propager en dehors de Wuhan et de la Chine continentale. Parmi sa boîte à outils, il y avait un protocole qui exigeait qu'une équipe d'enquêteurs trace les contacts des patients nouvellement positifs dans les 2 heures pour empêcher une nouvelle propagation.

    Si vous êtes curieux de savoir comment Singapour est passée de l'enfant de l'affiche d'une réponse efficace au virus à l'un des pays les plus touchés d'Asie ex-Chine, le WSJ peut vous l'expliquer.

    Le virus a trouvé un angle mort: les travailleurs migrants. Des centaines de milliers de travailleurs du Bangladesh, de l'Inde et d'autres pays vivent dans des dortoirs, souvent de 10 à 20 personnes dans une pièce. Ils montent dans des fourgonnettes bondées en route pour construire les tours de bureaux et les copropriétés étincelantes de la ville.

    Plus des trois quarts des 9 125 cas de Singapour proviennent désormais de dortoirs. Le Premier ministre Lee Hsien Loong a déclaré mardi dans un discours que les grappes de ces installations étaient restées «largement confinées» et ne s'étaient pas étendues à l'ensemble de la communauté. Les autorités s'efforcent de détecter rapidement toute transmission des dortoirs aux populations extérieures, a-t-il déclaré.

    M. Lee a déclaré que le verrouillage de Singapour - qui a commencé plus tôt ce mois-ci et devait durer quatre semaines - serait prolongé de quatre semaines au-delà, jusqu'au 1er juin. La liste des services essentiels autorisés à rester ouverts serait réduite, a-t-il déclaré, réduire davantage le risque de transmission chez les travailleurs qui les maintiennent.

    Mais le gros défaut était que Singapour négligeait les camps densément peuplés de travailleurs migrants qui occupent généralement le plus bas niveau d'emplois dans la société singapourienne. La deuxième vague d'épidémie à Singapour s'est largement concentrée sur ces camps, avec des milliers de travailleurs migrants infectés.

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  17. Lors de la quatrième allocution nationale de Lee à la nation depuis l'émergence du virus, le Premier ministre a expliqué que les mesures actuelles resteraient en place jusqu'au 4 mai, date à laquelle la cité-État commencerait à essayer de rouvrir lentement la société, en utilisant certains des mêmes critères prudents. adoptée par la Nouvelle-Zélande et l'Allemagne.

    Pour ce faire, les lieux de travail seront fermés afin de réduire davantage le nombre de travailleurs qui maintiennent les services essentiels. Certains points chauds, tels que les marchés humides populaires, restent un problème, car de grands groupes de personnes continuent de s'y rassembler, a déclaré Lee.

    Lee a noté que même s'il y aura des "problèmes de confidentialité", l'intensification de la recherche des contacts via l'application de recherche des contacts "TraceTogether" - que tous les résidents de Singapour ont été invités à télécharger - est une priorité essentielle pour le gouvernement alors qu'il se déplace vers l'élimination. le virus.

    "Il y aura des problèmes de confidentialité, mais nous devrons les comparer aux avantages de pouvoir sortir du disjoncteur et de rester ouvert en toute sécurité."

    Et en ce qui concerne les travailleurs migrants, Lee a promis que "nous prendrons soin de vous comme nous nous occupons des Singapouriens".

    Environ un cinquième du monde, dirigé par l'Inde, entame le douloureux processus de réouverture. Et les pays qui refusent de lever certaines restrictions sont confrontés à des troubles croissants, notamment en France, où des manifestants se sont précipités dans les rues de Paris pour protester contre le verrouillage et les allégations de mauvais traitements infligés aux minorités dans des conditions de verrouillage.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/singapore-extends-lockdown-until-end-june-outbreak-worsens-live-updates

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  18. «Nous seront amenés à utiliser des robots de combat»: la guerre 2.0 se précise


    12:31 21.04.2020


    Dans un entretien accordé à Sputnik, un expert russe indique qu’avec le temps, toutes les armées du monde remplaceront leurs soldats par des robots de combat. Néanmoins, il pense que la définition des tâches militaires appartiendra toujours à l’Homme pour éviter tout scénario de films de science-fiction.

    Les robots remplaceront progressivement les soldats sur le champ de bataille et ce dans toutes les armées du monde, si elles ne veulent pas sacrifier leurs troupes, confie dans une interview à Sputnik Vitali Davydov, directeur du Conseil scientifique et technique de la Fondation russe pour les projets de recherches avancées.

    «Nous [la Russie, ndlr] et d'autres pays seront amenés à utiliser des robots de combat si nous ne voulons pas que des gens continuent de mourir sur le champ de bataille. Les soldats seront progressivement remplacés par leurs "confrères" les robots, qui pourront agir plus rapidement, avec plus de précision et de manière plus sélective que l’Homme», explique-t-il.

    Par ailleurs, pour éviter que tout scénario de films de science-fiction avec une guerre entre robots et humains ne devienne réalité, poursuit-il, l’Homme devra continuer à définir les missions et contrôler les actions des robots.
    La mission de la fondation

    La Fondation russe pour les projets de recherches avancées a été créée en 2012 afin de promouvoir la recherche et le développement dans l'intérêt de la Défense et de la Sécurité russes. Les activités sont menées dans trois principaux domaines: chimico-biologique et médical, physico-technique, et informationnel. Fin 2015, le Centre national pour le développement des technologies et des éléments de base de la robotique a été créé au sein de la structure.

    https://fr.sputniknews.com/defense/202004211043616028-nous-seront-amenes-a-utiliser-des-robots-de-combat-la-guerre-20-se-precise/

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  19. -37 DOLLARS POUR UN BARIL DE PÉTROLE !


    par OLIVIER SANCERRE
    20/04/2020


    Le cours du baril de WTI a terminé à -37,63 $.


    Le baril de pétrole WTi (West Texas Intermediate) qui concerne le marché nord américain est tombé ce lundi 20 avril à un niveau historiquement bas. À tel point qu'il est entré en zone négative : -37 $ !

    La situation pourrait se résumer de la manière suivante : les producteurs de pétrole sont si désespérés d'écouler leur pétrole qu'ils sont prêts à donner de l'argent à leurs clients ! Le baril WTI côté à New York et qui fait autorité en Amérique du Nord a atteint ce lundi 20 avril un niveau négatif : -37,63 dollars le baril. Un prix qui n'intéressera que les acheteurs ayant conclu des contrats à terme arrivant à échéance à minuit. Néanmoins, la baisse pourrait se poursuivre et concerner davantage de clients si elle se poursuivait. Et il y a des chances pour que ce soit le cas : les réserves sont pleines partout dans le monde et personne n'achète de pétrole actuellement.

    En zone négative

    Cette situation inédite est la conséquence directe de la crise du coronavirus, qui paralyse une bonne partie des industries et des transports. Les usines n'ont pas besoin de pétrole pour fonctionner, les automobilistes ont remisé leurs voitures au garage, les avions sont cloués au sol. Quant aux États, ils ont profité des baisses récentes pour faire le plein de leurs réserves stratégiques à prix cassé. L'autre raison de cet effondrement de l'or noir, c'est la dispute entre l'Arabie saoudite et la Russie qui a provoqué un surplus de l'offre sur un marché où la demande était déjà faible.

    Choc historique et d'ampleur planétaire

    L'Opep et ses partenaires producteurs de pétrole ont fini par trouver un terrain d'entente qui réduit la production d'environ 10 millions de barils par jour. Mais c'est insuffisant pour soutenir des cours très déprimés. L'organisation a estimé que la consommation allait baisser à 92,82 millions de barils par jour en 2020, une baisse de 6,85 millions par rapport à l'année dernière. Ce serait la première baisse annuelle de la consommation pétrolière mondiale depuis 2009 et la crise financière. L'Opep a aussi dit craindre « un choc historique, brutal, extrême et d'ampleur planétaire ».

    http://www.economiematin.fr/news-moins-37-dollars-baril-petrole-

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    1. Comment boucher un volcan en éruption ? et le redéboucher après ?
      Hahaha !

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  20. Blain: c'est ce que vous ne lisez pas dans les nouvelles qui est le plus important


    par Tyler Durden
    Mar., 21/04/2020 - 09:25
    Écrit par Bill Blain via MorningPorridge.com,


    Cela pourrait être sérieux ...
    «La vie, c'est tout perdre. Gracieusement .. ”

    Les manchettes le disent tout ce matin ... Tout, des prix du pétrole négatifs à Richard Branson offrant Necker Island en garantie pour renflouer ses compagnies aériennes - trop tard; Virgin Oz (qui figurait en bonne place sur notre liste de défaillances de compagnies aériennes probables) a baissé la nuit dernière. Je lis au sujet des agriculteurs qui versent du lait dans les égouts, même si nous en pleurons. Le chômage passe par le toit.

    Si j'étais le Premier ministre italien, je lirais "The Last Bluff", l'histoire de la façon dont la Grèce a flirté avec la catastrophe financière et son plan de sortie de l'euro. C’est un bon plan face à une réunion de crise «tout ou rien» à être prévenu au moment où vous sortez de la pièce. (Ou, claquez le téléphone - comme cela se produira probablement lors de la réunion virtuelle de l'UE jeudi.)

    C'est ce que vous ne lisez pas dans les actualités qui est le plus important.

    Nous supposons que les catastrophes financières sont déclenchées par une folie financière; une erreur d'investissement grandiose, un papillon qui bat des ailes ou des banquiers avides. Pas cette fois .. Cette fois c'est vraiment différent.

    Le choc COVID a été soudain et grave. Les gouvernements et les banques centrales ont jeté l'évier de la cuisine au problème (certains avec moins de précision que d'autres). Les marchés financiers se comportent comme s'ils pensaient que c'était une solution rapide.

    Les histoires effrayantes dans les médias n’aident pas. Le fait que les hôpitaux se soient débrouillés est une excellente nouvelle - après que nous ayons été prêts à nous attendre à une catastrophe. Mais avez-vous remarqué à quel point certaines personnes vous regardent avec méfiance lorsque vous passez votre promenade quotidienne ? Ils estiment que si vous vous approchez de moins de 2 mètres, vous les avez déjà effectivement tués. Achat de panique (les bananes ont disparu à Hamble), est un autre exemple.

    Mais la peur du virus n'est pas vraiment le problème. Sa peur de l'avenir.

    Cela frappe tout le monde, chaque individu de la planète au niveau le plus élémentaire. Tout le monde considère à quel point cela pourrait devenir mauvais. Et n'oubliez jamais - la plupart des consommateurs ne sont qu'à quelques chèques de paie avant une catastrophe financière. Ce n'est pas de leur faute - c'est ainsi que le système est biaisé. Si nous avions tous beaucoup d'argent, aucun de nous ne serait riche.

    Bien que les taux de virus semblent avoir atteint un sommet, nous ne savons toujours pas quand nous pourrons rouvrir complètement les économies. Nous ne connaissons pas les secondes vagues, les mutations d'ARN, ni si l'immunité collective est réelle ou non. Il n'y a aucune garantie concernant un vaccin dans 6-9 mois, de nouveaux traitements ou médicaments. Certains rapports pensent que la distanciation sociale pourrait se poursuivre pendant des années - mettant fin à l'aérospatiale et au tourisme qui représentent 14% du PIB mondial. Il y aura également une crise pour de nombreux autres secteurs.

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  21. Nous savons tout cela ...

    Mais les marchés tiennent-ils vraiment compte des dommages au niveau individuel ?
    Si vous voulez vous faire une idée de ce qui se passe réellement, vous pouvez décrocher le téléphone et parler à vos voisins et amis. Demandez-leur comment ils s'en sortent financièrement et s'ils sont confiants quant à l'avenir.

    Tout le monde peut raconter des histoires - peu d'entre elles sont positives.

    Le mien comprend un de mes anciens membres d'équipage qui est un skipper de la compagnie aérienne, qui attend son premier enfant - une réduction de salaire et une mise en congé alors que la compagnie aérienne est susceptible de faire faillite. Un autre jeune ami a vu ses revenus chuter de 80%, le laissant lui et sa très jeune famille en crise alors que la lutte pour payer l'hypothèque sur leur petite maison de banlieue de Londres coûtait un peu moins que Necker. Les amis des petites entreprises s'énervent des mers de Red Tape qu'ils rencontrent en essayant d'accéder aux prêts du gouvernement et au programme Furlough. L'un des meilleurs copains pourrait bien être en faillite bien avant le sauvetage - et ce ne sera pas sa faute si les entreprises qui lui devaient de l'argent ne peuvent pas payer, ne paieront pas ou ont fait faillite. Même les optimistes sont inquiets. Les universités semblent trop étendues dans la crise. Un copain en médecine privée estime que son organisation sera nationalisée

    Des diplômés qui ont rejoint le marché l'année dernière aux titans financiers les plus puissants parmi le lectorat de Porridge - vous connaîtrez tous des gens qui sont vraiment en difficulté. Ajoutez vos propres histoires de difficultés financières à l'image, agrandissez ensuite à travers le Royaume-Uni, les États-Unis et l'économie mondiale, et vous aurez un aperçu de la profondeur de la dépression COVID. L’effondrement de la confiance est un problème sans précédent dans cette crise.

    Cela signifie que les consommateurs ne consommeront pas ... Demand Shock.

    Au cours des prochains mois, nous allons voir les entreprises mondiales adopter le mode de survie. Il ne s’agira pas de rouvrir des magasins et des usines. Il s'agira de réduire les coûts de l'os pour résister à une dépression mondiale massive, potentiellement à long terme. Il ne sert à rien de parler de formes en V ou de récupération Nike-tick. Cela s'annonce comme le bouleversement économique ultime. Cela pourrait devenir un arrêt complet économique.

    C'est pourquoi les autorités ont rejeté les règles par la fenêtre, essayant désespérément de maintenir les économies fonctionnelles avec des gouttes et un soutien illimités. Mais, ce ne sera pas tout ce qu'ils ont à faire. Il n'y a tout simplement pas assez d'hélicoptères pour sauver tout le monde. Nous allons voir les difficultés financières s'aggraver avec potentiellement des millions de personnes incapables de payer les hypothèques, les cartes de crédit, les prêts étudiants et les factures. Les gouvernements devront envisager des annulations massives de dettes, ce qui pourrait signifier la nationalisation de facto des systèmes bancaires pour y faire face.

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  22. Ils peuvent également envisager une aide au niveau des consommateurs - des politiques pour stimuler et stimuler la consommation. Prêts pour l'amélioration de l'habitat. Aide à l'achat de nouveaux logements pour relancer le marché immobilier et subventions à coût nul. Il y a beaucoup de choses que les gouvernements peuvent faire - mais cela a un coût de risque dangereux.

    Quelques pays seront en mesure de faire face aux conséquences des dépenses massives qui seront nécessaires. Ce sera monétaire. Quelques nations sont suffisamment en sécurité avec leurs propres devises pour résister à la poussée inflationniste probable qui va suivre - un choc d'offre, suivi d'un choc de demande déflationniste et d'une création monétaire massive. Le MMT va être testé .. En théorie, cela devrait fonctionner .. mais ..

    La plupart des nations sont trop liées au dollar pour survivre intactes. Pour éviter une crise mondiale de la dette souveraine au-delà de l'imagination la plus fervente de Bosch, nous aurons probablement besoin d'un FMI largement doté de moyens financiers et financier pour y faire face - le pouvoir de prêt d'un billion de dollars du FMI n'est pas tout ce qu'il est censé être. Dépoussiérez ces plans de remise de dette souveraine mondiale!

    Bien sûr… les choses ne sont jamais aussi mauvaises que nous le craignons… la plupart du temps.

    PÉTROLE

    Commentaire très rapide sur le pétrole car cela est très bien couvert dans la presse. Les problèmes de stockage d'approvisionnement qui ont poussé le brut WTI à un niveau aussi bas que 40 $ hier soir pourraient bien être amplifiés et répétés le mois prochain. Le pétrole continue de couler par terre, et personne ne le veut particulièrement. Il doit aller quelque part et les États-Unis manquent d'espace.

    Certains disent que le pétrole est un bon indicateur de la reprise mondiale, d'où l'argent que nous voyons affluer dans les ETF pétroliers - mais c'est vraiment une très mauvaise façon de jouer du pétrole. Acheter des contrats à terme sur du pétrole à plus longue échéance n'est pas si attrayant. Si vous pensez à un coup de fouet spéculatif dans le pétrole - lisez ceci en premier: les prix du pétrole sous zéro menacent de grosses pertes pour les investisseurs des ETF.

    La question vraiment intéressante au sujet du pétrole est de savoir quels producteurs américains ont tiré le plus grand coup de la crise actuelle. Je soupçonne qu'une bande de sociétés pétrolières américaines de taille moyenne vient de mordre la poussière. Je suppose que nous le saurons lorsque les banques annonceront une augmentation des provisions contre les pertes de l'industrie pétrolière. Plus de douleur.

    https://www.zerohedge.com/markets/blain-its-what-youre-not-reading-news-thats-most-important

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  23. La grande famine de 1876-1878


    le 21 avril 2020


    De 1876 à 1878, la « Grande Famine » a tué entre 30 et 60 millions de personnes dans le monde. La sécheresse a affecté une grande partie de la planète, provoquant des pénuries alimentaires du Brésil à l’Inde et à la Chine, et anéantissant environ 3% de la population mondiale.

    La climatologue Deepti Singh de l’Observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l’Université Columbia (elle est maintenant à l’Université de Vancouver) se souvient d’avoir lu des articles au sujet la dévastation des sécheresses et de se demander: « Qu’est-ce qui pourrait avoir provoqué quelque chose comme celle de 1876-1878 ? Et quelle est la probabilité que cela se reproduise dans les prochaines décennies ? «

    Elle et ses collègues quantifient l’étendue et la gravité de cette sécheresse mondiale et tentent de découvrir ce qui l’a rendue si grave. Elle a présenté les recherches il y a quelques jours lors de la réunion de l’American Geophysical Union (AGU) à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane.

    La Grande Famine a été « sans doute la pire catastrophe environnementale jamais survenue à l’humanité », note l’équipe dans un prochain article. Ce phénomène «a contribué à créer les inégalités mondiales qui seraient plus tard qualifiées de « monde développé » et de « tiers monde ».» Il est donc important de comprendre les forces motrices de la sécheresse, dit Singh, car elles pourraient frapper à nouveau à tout moment – peut-être pire que jamais, car les températures actuelles plus chaudes que celles sévissant durant le petit âge glaciaire du XIXe siècle rendraient les sécheresses plus intenses.

    Les scientifiques soupçonnent depuis longtemps qu’El Niño est en partie responsable de la famine mondiale. Poussé par les températures de l’océan Pacifique équatorial, El Niño est un modèle climatique qui s’accompagne souvent de conditions chaudes et sèches en Inde, en Australie et en Amérique du Sud. Dans leur article (qui n’a pas encore été publié), Singh et ses collègues fournissent certaines des premières preuves quantitatives que cette catastrophe environnementale a probablement été provoquée par le plus fort El Niño que les instruments humains aient jamais mesuré. Ils trouvent également que d’autres conditions record ont peut-être été en jeu.

    Un problème global

    Pour savoir exactement où, quand et pendant combien de temps les sécheresses se sont produites, ainsi que leur gravité, les chercheurs se sont tournés vers des atlas de la sécheresse basés sur les cernes de croissance des arbres. Les cernes des arbres deviennent plus épais pendant les années humides, de sorte que les vieux arbres peuvent fournir une histoire des conditions climatiques passées. Edward Cook, co-auteur et directeur du Columbia Ring Tree Lab, a développé trois des atlas utilisés dans le document. Les données du pluviomètre, dont certaines remontent à 175 ans, ont également indiqué la rareté de l’eau au moment de la sécheresse.

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  24. La grande famine de 1876-1878


    le 21 avril 2020


    De 1876 à 1878, la « Grande Famine » a tué entre 30 et 60 millions de personnes dans le monde. La sécheresse a affecté une grande partie de la planète, provoquant des pénuries alimentaires du Brésil à l’Inde et à la Chine, et anéantissant environ 3% de la population mondiale.

    La climatologue Deepti Singh de l’Observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l’Université Columbia (elle est maintenant à l’Université de Vancouver) se souvient d’avoir lu des articles au sujet la dévastation des sécheresses et de se demander: « Qu’est-ce qui pourrait avoir provoqué quelque chose comme celle de 1876-1878 ? Et quelle est la probabilité que cela se reproduise dans les prochaines décennies ? «

    Elle et ses collègues quantifient l’étendue et la gravité de cette sécheresse mondiale et tentent de découvrir ce qui l’a rendue si grave. Elle a présenté les recherches il y a quelques jours lors de la réunion de l’American Geophysical Union (AGU) à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane.

    La Grande Famine a été « sans doute la pire catastrophe environnementale jamais survenue à l’humanité », note l’équipe dans un prochain article. Ce phénomène «a contribué à créer les inégalités mondiales qui seraient plus tard qualifiées de « monde développé » et de « tiers monde ».» Il est donc important de comprendre les forces motrices de la sécheresse, dit Singh, car elles pourraient frapper à nouveau à tout moment – peut-être pire que jamais, car les températures actuelles plus chaudes que celles sévissant durant le petit âge glaciaire du XIXe siècle rendraient les sécheresses plus intenses.

    Les scientifiques soupçonnent depuis longtemps qu’El Niño est en partie responsable de la famine mondiale. Poussé par les températures de l’océan Pacifique équatorial, El Niño est un modèle climatique qui s’accompagne souvent de conditions chaudes et sèches en Inde, en Australie et en Amérique du Sud. Dans leur article (qui n’a pas encore été publié), Singh et ses collègues fournissent certaines des premières preuves quantitatives que cette catastrophe environnementale a probablement été provoquée par le plus fort El Niño que les instruments humains aient jamais mesuré. Ils trouvent également que d’autres conditions record ont peut-être été en jeu.

    Un problème global

    Pour savoir exactement où, quand et pendant combien de temps les sécheresses se sont produites, ainsi que leur gravité, les chercheurs se sont tournés vers des atlas de la sécheresse basés sur les cernes de croissance des arbres. Les cernes des arbres deviennent plus épais pendant les années humides, de sorte que les vieux arbres peuvent fournir une histoire des conditions climatiques passées. Edward Cook, co-auteur et directeur du Columbia Ring Tree Lab, a développé trois des atlas utilisés dans le document. Les données du pluviomètre, dont certaines remontent à 175 ans, ont également indiqué la rareté de l’eau au moment de la sécheresse.

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  25. Les résultats de l’équipe suggèrent que les sécheresses de 1876-78 se sont étendues bien au-delà du Brésil, de l’Inde et de la Chine, bien que ce soit là que la famine ait frappé le plus durement. La recherche a révélé des preuves de conditions sèches en Égypte, au Maroc, en Australie et même dans le sud-ouest et l’est de l’Amérique du Nord. Les cernes des arbres suggéraient que la sécheresse en Asie était la pire depuis 800 ans ou plus.

    Prélude au désastre

    Pour découvrir ce qui a rendu les conditions si sévères, les chercheurs ont examiné les données sur la température de la surface de la mer recueillies par les marins depuis les années 1870.

    Les températures à la surface de la mer ont confirmé qu’il y avait en effet un El Niño intense qui a persisté pendant la majeure partie des deux années de la Grande Famine (1877-1878). Mais l’extrême El Niño peut avoir été amorcé par les eaux plus froides du Pacifique tropical central de 1870 à 1876. Cette période de fraîcheur prolongée – la plus longue jamais enregistrée – a peut-être conduit à une immense accumulation d’eau chaude dans le Pacifique tropical occidental. Cela s’est terminé par un fort événement La Niña en 1875-1876. La Niña a déclenché des conditions sèches en Inde, au Mexique et dans le sud-ouest des États-Unis, puis s’est déversée dans un fort El Niño, ce qui a entraîné plus de sécheresse sur une grande partie du globe.

    « C’est comme un pendule », explique Singh. « Si vous continuez à le pousser dans une direction, de plus en plus loin du centre, puis à le relâcher, il ira à l’extrême dans l’autre direction.«

    Complices océaniques

    El Niño n’a pas travaillé seul pour générer la Grande Famine. Singh et ses collègues ont également trouvé des preuves de conditions exceptionnelles dans les océans Atlantique et Indien.

    En 1877, l’océan Indien a connu des températures exceptionnellement chaudes, en particulier dans sa partie ouest, générant un dipôle dans les températures de surface de la mer. Ces conditions contrastées dans l’océan Indien peuvent souvent conduire à des conditions sèches en Australie et en Afrique du Sud. Mais en 1877, le contraste thermique entre les deux moitiés était le plus fort jamais enregistré avant, ce qui a probablement aidé El Niño à générer de graves sécheresses dans ces régions.

    En 1877 et 1878, l’Atlantique Nord a été le plus chaud qu’il n’ait jamais été, selon des données remontant aux années 1850. Cela a peut-être poussé les vents atmosphériques porteurs d’humidité vers le nord, loin du Nordeste brésilien, qui a perdu deux millions de vies pendant la famine qui a suivi.

    Les scientifiques ne s’entendent pas sur la question de savoir si El Niño aurait pu déclencher ces effets dans les océans Atlantique et Indien. Ce n’est peut-être que par malchance que des conditions extrêmes se sont produites dans les trois océans à la fois. Mais les océans sont tous connectés, et Singh et ses collègues soupçonnent El Niño de déclencher une cascade d’effets. »Il est difficile de penser que tout cela était une coïncidence« , dit Singh.

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  26. Regard vers l’avenir

    Dans l’ensemble, l’équipe conclut qu’une multitude de conditions record – un El Niño intense et durable, probablement amorcé par un Pacifique frais et exacerbé par un Atlantique chaud et de forts contrastes thermiques dans l’océan Indien – combinés dans un synchronisme qui a provoqué la Grande Famine. Et cela pourrait se reproduire.

    Étant donné que les conditions qui ont préparé la Grande Famine sont dues aux variations climatiques naturelles, rien n’empêche une sécheresse mondiale de se reproduire. Si ces conditions devaient se reproduire, elles pourraient à nouveau mettre en danger la sécurité alimentaire mondiale.

    En fait, cela pourrait être pire la prochaine fois. Alors que le thermostat mondial augmente – réchauffement climatique oblige – les températures plus chaudes pourraient aggraver les futures sécheresses, explique Singh.

    Ensuite, elle et ses collègues espèrent savoir à quelle fréquence de tels événements pourraient se produire à l’avenir, à quel point ils pourraient être graves et quels pays seraient les plus touchés. Comprendre ce qui a causé la sécheresse mondiale pourrait aider à prévoir et à préparer la prochaine, dans l’espoir qu’elle ne déclenchera pas une autre famine mondiale.

    L’étude est actuellement en préparation pour être soumise à une revue à comité de lecture. D’autres auteurs incluent Richard Seager, Benjamin I Cook, Mark Cane et Mingfang Ting du Lamont-Doherty Earth Observatory, et Michael Davis de l’Université de Californie à Riverside.

    Source : AGU

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/21/la-grande-famine-de-1876-1878/

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    1. Il y a une différence entre la préhistoire des satellites et aujourd'hui. Aujourd'hui les campagnes sont irriguées, l'eau ne manque pas et ne peut pas manquer même en plein été !

      voir:

      Au secours ! La mer ne veut pas monter !

      mercredi 1 janvier 2014

      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/01/bonne-annee-sabbatique.html

      Mais, tout malheur peut encore arriver !

      Voir (en France) l'interdiction de traiter les plantes contre les maladies ! (Vous en mangeriez de la vache folle ? Manger bio c'est pareil !)
      Voir l'interdiction de désherber les champs ! (Fin du Round'Up et envahissement des hautes herbes !)

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  27. L’OMS poursuivie en justice pour avoir «dissimulé» le coronavirus


    17:11 21.04.2020


    Plusieurs Américains ont engagé une poursuite judiciaire contre l’OMS accusée d’avoir contribué à la propagation de la pandémie de Covid-19 suite à la dissimulation du virus, indique le New York Post. Les plaignants ont également réclamé des dédommagements pour couvrir le préjudice «incalculable» de l’agence.

    Accusant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de négligence dans sa réaction face à l’épidémie de Covid-19, plusieurs habitants du comté de Westchester de New York intentent un procès contre l’institution, rapporte le New York Post.

    Une procédure lancée une semaine après que Donald Trump a annoncé sa décision de couper les financements de l’institution à cause de son implication «dans la mauvaise gestion et la dissimulation de la propagation du coronavirus».

    L’initiative vient du berceau épidémique US

    Cette action collective a été déposée devant le tribunal fédéral de White Plains par trois habitants du comté, pour les mêmes raisons que celles avancées par le Président américain, dont la dissimulation du danger du virus. C’est du comté de Westchester que la propagation du coronavirus a commencé à travers les États-Unis.

    La négligence grave commise dans la gestion de la situation épidémique constitue l’un des chefs d’accusation dont l’OMS fait l’objet. Elle est également accusée d’«avoir causé et/ou contribué à la propagation ultérieure du coronavirus dans le monde entier, y compris aux États-Unis et dans l'État de New York».

    Un préjudice inestimable

    L’action collective demande des dommages et intérêts non spécifiés pour ce que les plaignants appellent le préjudice «incalculable» de l’OMS aux quelque 756. 000 résidents adultes du comté de Westchester.

    Le 15 avril, Washington a suspendu la contribution américaine à l’OMS accusée d’avoir minimisé l’ampleur de l’épidémie et tardé à mettre en garde le monde entier sur sa propagation. Une décision «regrettée» par la France, selon la porte-parole du gouvernement.

    https://fr.sputniknews.com/international/202004211043618506-loms-poursuivie-en-justice-pour-avoir-dissimule-le-coronavirus/

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  28. CORONAVIRUS : COMBIEN DE FRANÇAIS CONTAMINÉS POUR CHAQUE RÉGION ?


    par PERRINE DE ROBIEN
    21/04/2020


    5,8% des Français ont été infectés par le COVID-19.

    Une étude publiée le 21 avril 2020 permet de savoir, région par région, le nombre de personnes infectées par le COVID-19. Elle dévoile d’importantes disparités entre les régions et un taux encore trop faible pour atteindre une immunité de groupe.

    Des taux très bas en Bretagne, Normandie et Nouvelle-Aquitaine

    Publiée le mardi 21 avril 2020, une étude de l’Institut Pasteur réalisée en collaboration avec l’agence sanitaire santé publique France et l’Inserm nous apprend que 5,8% des Français ont été infectés par le COVID-19. Ce taux représente un peu plus de 3,8 millions de personnes. Cependant, il ne s’agit que d’une moyenne nationale ; en réalité, il existe des disparités entre les régions.

    Ainsi, la Bretagne, la Normandie ou encore la Nouvelle-Aquitaine font partie des régions les plus épargnées, alors même qu’elles ont accueilli des citadins venus s’y réfugier pendant le confinement. En Normandie, le taux d’infection atteint 2,6%, en Bretagne il descend à 1,8% et 1,4% en Nouvelle-Aquitaine. Finalement, l'arrivée des Parisiens en province n'aura pas eu pour effet de faire flamber le nombre de cas...

    Pas de quoi faire une immunité de groupe

    Il faut compter cinq fois plus d’infections en Île-de-France et le Grand-Est. Avec, respectivement, 12,3% de la population infectée (plus de 1,5 million d’habitants) et 11,8% (650.300 habitants).
    Viennent ensuite
    les Hauts-de-France avec un taux de 6,1% et
    la Bourgogne-Franche-Comté avec 5,7%.
    Le Centre-Val de Loire et l’Occitanie atteignent toutes les deux 3,1%,
    la PACA 3,4% et 4,4% pour la région Auvergne-Rhône-Alpes.

    Globalement, ces chiffres ne sont pas suffisants pour atteindre l’immunité collective. Selon Simon Cauchez, principal auteur de l’étude, il faudrait en effet atteindre 70 % « pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème ». En effet, sans vaccin - dont la mise sur le marché pourrait avoir lieu au mieux dans 12 à 18 mois -, « seule l'immunité de groupe sera insuffisante pour éviter une seconde vague à la fin de l'épidémie ».

    http://www.economiematin.fr/news-nombre-infections-coronavirus-regions-france

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    1. (...) 5,8% des Français ont été infectés par le COVID-19. (...)

      Il ne faut pas confondre infectés et mortalité, ni français de souche et immigré !

      (...) sans vaccin - dont la mise sur le marché pourrait avoir lieu au mieux dans 12 à 18 mois (...)

      Le coronavirus d'Europe est différent de celui de l'Asie ou de l'Afrique ou de l'Amérique. Il ne peut donc y avoir de vaccin sur instabilité du dit virus.

      Seul le masque (FF P2) est protecteur et interdit à la population française !

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  29. Covid-19: une chercheure algérienne conteste scientifiquement les propos du Pr Montagnier


    18:24 21.04.2020
    Par Tarek Hafid


    Les propos du Pr Montagnier, évoquant une création chinoise du Covid-19, continuent de faire réagir la communauté scientifique. L’Algérienne Asma Mechakra, chercheure en biomédecine affiliée à l’université de Lausanne, dément les déclarations du prix Nobel de médecine en utilisant un outil de bio-informatique.

    À 83 ans, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008 pour la découverte en 1983 du virus du VIH, aurait-il versé dans le complotisme ?

    Ses récentes déclarations accusant des chercheurs chinois d’avoir «fabriqué» le virus Covid-19 en voulant créer un vaccin contre le VIH ont fait grincer les dents au sein de la communauté scientifique.

    Diplômée de l’université algérienne de Constantine et chercheure en biomédecine à l’université suisse de Lausanne, le docteur Asma Mechakra estime dans un entretien à Sputnik «regrettable que le Pr Montagnier ait relayé cette pseudoscience».

    Réagissant particulièrement à l’assertion selon laquelle le virus du SARS-CoV-2 responsable de la pandémie du Covid-19 comporterait des séquences du virus du VIH, Asma Mechakra explique:

    «Le code génétique est basé sur l’enchaînement de 4 nucléotides (A/T/C/G pour l’ADN et A/U/C/G pour l’ARN). Les différentes combinaisons de ces nucléotides sont la base de la diversité biologique. Elles vont définir l’identité d’un gène donné si la séquence est codante pour une protéine. Plus la séquence est petite, plus la chance de la retrouver ailleurs est grande, que ce soit entre ou interespèces. C’est une sorte de langage codé. Imaginons un livre où l’on retrouve deux fois ou plus le même mot.»

    Plus d’Ebola que de VIH

    Pour faire la démonstration, le Dr Mechakra n’a pas hésité à comparer les séquences génomiques du Covid-19 avec une souche du virus Ebola. Résultat: les similarités sont encore plus importantes qu’avec le VIH.

    Covid-19: bientôt un test instantané algérien «pour ne pas être dépendant de l’extérieur»

    «Le SARS-CoV-2 n’échappe pas à ces principes. Pour le démontrer, j’ai fait une petite analyse à l’aide d’un outil bio-informatique appelé "Blast nucleotide". Cet algorithme permet d’aligner deux séquences génomiques et de révéler les ressemblances. J’ai choisi un virus au hasard, la souche Mayinga du virus Ebola. Le résultat montre qu’il y a 6 séquences exactement identiques de 14-15 nucléotides et 8 autres similarités imparfaites, c’est-à-dire des ressemblances contenant des mutations. Ces dernières font jusqu’à 24 nucléotides. La fréquence de ces ressemblances est bien supérieure à celle trouvée avec le VIH», indique la chercheure.

    «Spoutnik et Mimivirus»

    Le Dr Mechakra est allée jusqu’à pousser l’expérience en étudiant la glycoprotéine Spike «structure virale qui s’attache à la cellule hôte pour permettre l’entrée du virus», objet de la publication de l’étude indienne citée par le Pr Montagnier. «L’alignement de la séquence spécifique du SARS-CoV-2 qui code cette protéine et la séquence du virus Ebola révèle aussi des ressemblances dont une ressemblance parfaite de 15 nucléotides».

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  30. «La génomique comparative est une branche de la biologie qui s’intéresse à l’étude de ces similarités. Ce n’est pas une simple question de probabilité, c’est surtout une question d’évolution moléculaire qui met en jeu divers mécanismes, notamment la transposition qui permet la mobilité d’éléments géniques. Ce phénomène existe aussi chez les virus. Par exemple, un petit virus portant le nom de phage Spoutnik présente une similarité avec son hôte, le Mimivirus, pour une grande fraction de ses protéines», explique-t-elle avec une pointe d’humour.

    Elle conteste également les allégations du Pr Montagnier sur des «pressions » prétendument subies par une équipe de scientifiques indiens, «obligés de se rétracter» après avoir établi un rapprochement avec le VIH.

    Or, précise Mechkara, ces chercheurs indiens ont retiré leur étude avant même qu’elle ne soit publiée officiellement du fait «de la fragilité de leurs résultats et des critiques acerbes de leurs pairs».

    «Devant les limites méthodologiques et théoriques, cette étude ne peut pas être prise au sérieux. Les auteurs l’ont donc retirée volontairement du site BioRxiv (prononcer bioarchive). Cette plateforme de preprint permet le partage public d’articles sans la révision du contenu par un comité de lecture scientifique (processus de peer-review). Ce processus est une condition sine qua none pour la publication de travaux de qualité. Le facteur d’impact du journal est un second critère pour juger de la qualité d’un travail. Plus il est élevé, plus les critères de publication sont sévères. BioRxiv n’en a pas puisque c’est du preprint», souligne-t-elle.

    Intervention humaine écartée

    Le Dr Mechakra estime peu probable une intervention humaine dans l’élaboration du SARS-CoV-2. La question a fait l’objet d’un «examen minutieux» d’une équipe de scientifiques du Département d’immunologie et de microbiologie de l’Institut de recherche Scripps en Californie, qui a démontré que le nouveau coronavirus est la résultante de processus naturels. «La correspondance rédigée par le Pr Kristian Andersen et ses collaborateurs publiée dans Nature Medicine, une des revues scientifiques à plus haut facteur d’impact, examine minutieusement l’hypothèse de l'intervention humaine. Ils ne trouvent aucune preuve», rappelle-t-elle.

    «Sur le plan scientifique, l’origine du SARS-CoV-2 fait toujours l’objet d’investigations. Georges Gao, le Monsieur Covid-19 chinois, a affirmé que quatre des cinq premiers patients confirmés à Wuhan n’ont pas de lien direct avec le marché de Huanan. Une nouvelle étude par une équipe de l’université du Cambridge a réalisé des arbres génétiques pour essayer de remonter au génome originel et en voir l’évolution avant le déclenchement de la pandémie mondiale. Ils trouvent que la première infection pourrait remonter à septembre 2019. Seule la résolution de la problématique du patient zéro permettra de trancher la question», ajoute le Dr Mechakra.

    «Trancher la question», c’est ce que s’essaie à faire, de son côté, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a assuré, ce 21 avril, que d'après l’ensemble des éléments disponibles, le nouveau type de coronavirus est d'origine animale et qu'il ne s'agit donc pas d'une manipulation de laboratoire.

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  31. Ces dix dernières années, le Pr Montagnier s’est distingué par ses déclarations polémiques, qui sont loin de faire l’unanimité au sein de la communauté scientifique. En 2009, il a soutenu, dans un documentaire controversé, qu’«un bon système immunitaire» peut «se débarrasser du virus VIH en quelques semaines». En novembre 2017, après qu’il a «alerté» contre les «risques» de la vaccination, plus d’une centaine de médecins et de scientifiques ont signé une déclaration publique pour dénoncer un de leurs «confrères qui utilise son prix Nobel pour diffuser, hors du champ de ses compétences, des messages dangereux pour la santé, au mépris de l’éthique qui doit présider à la science et à la médecine».

    https://fr.sputniknews.com/maghreb/202004211043619099-covid-19-une-chercheure-algerienne-conteste-scientifiquement-les-propos-du-pr-montagnier/

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    1. Premièrement, le 'Prix Nobel' ne veut plus rien dire depuis belle lurette ! Il est attribué à n'importe qui (ObamasquéÔhéÔhé, Gore et Cie !)

      Deuxièmement, un virus ne se crée pas en laboratoire (sauf s'il voyage sur Internet !). Un virus s'étudie, se combat.

      Ce n'est pas la première fois qu'une personne 'célèbre' est prise les doigts dans le pot de confiture. La corruption est sans limite.

      ---------------------

      Acide ribonucléique


      Structure moléculaire de l'ARN.

      L'acide ribonucléique (ARN) est un acide nucléique présent chez pratiquement tous les êtres vivants, et aussi chez certains virus. L'ARN est très proche chimiquement de l'ADN et il est d'ailleurs en général synthétisé dans les cellules à partir d'une matrice d'ADN dont il est une copie. Les cellules utilisent en particulier l'ARN comme un support intermédiaire des gènes pour synthétiser les protéines dont elles ont besoin. L'ARN peut remplir de nombreuses autres fonctions et en particulier intervenir dans des réactions chimiques du métabolisme cellulaire.

      Chimiquement, l'ARN est un polymère linéaire constitué d'un enchaînement de nucléotides. Chaque nucléotide contient un groupe phosphate, un sucre (le ribose) et une base nucléique, ou base azotée. Les nucléotides sont liés les uns aux autres par des liaisons phosphodiester. On trouve quatre bases nucléiques dans l'ARN : l'adénine, la guanine, la cytosine et l'uracile.

      L'ARN a de nombreuses similitudes avec l'ADN, avec cependant quelques différences importantes : d'un point de vue structurel, l'ARN contient des résidus de ribose là où l'ADN contient du désoxyribose, ce qui rend l'ARN chimiquement moins stable ; de plus la thymine de l'ADN y est remplacée par l'uracile, qui possède les mêmes propriétés d'appariement de base avec l'adénine. Sur le plan fonctionnel, l'ARN se trouve le plus souvent dans les cellules sous forme monocaténaire, c'est-à-dire de simple brin, tandis que l'ADN est présent sous forme de deux brins complémentaires formant une double-hélice. Enfin, les molécules d'ARN présentes dans les cellules sont plus courtes que l'ADN du génome, leur taille variant de quelques dizaines à quelques milliers de nucléotides, contre quelques millions à quelques milliards de nucléotides pour l'acide désoxyribonucléique (ADN).

      Dans la cellule, l'ARN est produit par transcription à partir de l'ADN (qui est situé dans le noyau chez les Eucaryotes). L'ARN est donc une copie d'une région de l'un des brins de l'ADN. Les enzymes qui effectuent la copie ADN ? ARN s'appellent des ARN polymérases. Les ARN ainsi produits peuvent avoir trois grands types de fonctions : ils peuvent être supports de l'information génétique d'un ou plusieurs gènes codant des protéines (on parle alors d'ARN messagers), ils peuvent adopter une structure secondaire et tertiaire stable et accomplir des fonctions catalytiques (par exemple l'ARN ribosomique), ils peuvent enfin servir de guide ou de matrice pour des fonctions catalytiques accomplies par des facteurs protéiques (ce qui est par exemple le cas des microARN).

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_ribonucléique

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  32. Un fonctionnaire vole une centaine de masques au commissariat de Rouen


    22:38 21.04.2020



    Un agent administratif a été condamné pour un vol de masques qui s’était produit à l’hôtel de police de Rouen. L’homme d’une quarantaine d’années envisageait de les revendre à son entourage.

    Un agent de la Direction départementale de la Sécurité publique (DDSP) a été condamné à trois mois de prison avec sursis et 800 euros d’amende, pour avoir dérobé une centaine de masques dans l’enceinte du commissariat de Rouen, rapporte le quotidien Paris-Normandie.

    L’individu d’une quarantaine d’années, qui avait l’«entière confiance de ses supérieurs», avait été appréhendé après la perquisition de son domicile. Les forces de l’ordre y avaient retrouvé la totalité du stock dérobé dans les locaux du commissariat.

    Une publicité «dont on se passerait volontiers»

    Interrogé, le suspect n’a pas pu nier les faits. L’enquête a démontré qu’il comptait revendre à son entourage le matériel dérobé. En plus de sa condamnation, l’individu fait l’objet d’une procédure administrative, qui devrait déboucher sur un conseil de discipline.

    «Ce n’est pas un trafic international de masques! Mais clairement c’est le genre d’affaires dont on se passerait volontiers. Sur le plan moral, vu le contexte, c’est pas terrible...», confie à Paris-Normandie un gradé du commissariat central.
    Ce vendredi 17 avril, la métropole Rouen Normandie avait annoncé dans un communiqué avoir commandé 500.000 masques, destinés aux habitants.

    https://fr.sputniknews.com/france/202004211043620953-un-fonctionnaire-vole-une-centaine-de-masques-au-commissariat-de-rouen/

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    1. S'il avait été pharmacien çà aurait été 6 mois de taule et 100 000 € d'amende !

      Mais il y a des privilégiés qui ont droit au coiffeur à domicile !

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  33. L’impact du confinement : «On pourrait anticiper une hausse des suicides»


    19:55 21.04.2020
    Par Ksénia Lukyanova-Emelyanova


    Plus de la moitié de la population mondiale est actuellement confinée. Un isolement social accru et une crise économique imminente rivalisent au niveau de l’impact dangereux sur la santé psychologique des individus, dont les troubles peuvent aller jusqu’au risque de suicide.

    Un confinement d’une telle ampleur est un événement totalement inédit qui touche 4,4 milliards d’individus (57%) sur notre planète. Les conséquences sont de plus en plus évidentes mais aussi inédites. Et puisque la pandémie de Covid-19 est loin d’être jugulée, ses répercussions restent hypothétiques même pour les chercheurs.

    «Anticiper une hausse des suicides»

    L’unique étude réalisée à ce jour sur les effets psychologiques du confinement est le sondage effectué en Chine auprès de 53.000 personnes par le Centre de santé mentale de Shanghai. Cette enquête donne une image claire des difficultés psychologiques rencontrées par la population chinoise durant la période du confinement.

    D’après ce sondage, 35% des personnes interrogées ont déclaré avoir connu des troubles psychologiques (anxiété, frustration, impulsivité, dépression) et 5% ont avoué avoir traversé des crises sévères pouvant aller jusqu’au risque suicidaire.

    Il est très compliqué «d’anticiper l'impact de cette crise sur la mortalité par suicide», déduit Aline Désesquelles, directrice de recherche à l’Institut national d’études démographiques, qui s’inquiète de l’ampleur du confinement.

    «Si l'on fait l'hypothèse d'une fragilisation psychologique des personnes confinées, notamment en raison d'un isolement social accru, on pourrait anticiper une hausse des suicides.»
    Taux de chômage et taux de suicide

    Mais la détresse psychologique due à l’isolement social n’est qu’un côté de la médaille. La crise économique mondiale –qui ne fait que débuter– en est le revers. Et dans ce cas, les chercheurs ont beaucoup plus d’exemples historiques et d’études qui pourraient aider à faire des pronostics sur la santé mentale de la population.

    «Des études concernant différents pays (Espagne, Italie, États-Unis, France, notamment) montrent une augmentation de la mortalité par suicide au cours des périodes de récession ou de crise économique. En France, au cours de la décennie 2000-2010, on a, par exemple, observé une relation forte entre taux de chômage et taux de suicide chez les hommes âgés de 25 à 49 ans», prévient Aline Désesquelles.

    Le confinement n'a pas que des effets négatifs

    Malgré la tension croissante, les spécialistes appellent à voir le côté positif du confinement et il ne s’agit pas seulement de trouver enfin le temps pour sa famille ou encore de se réjouir de la qualité d’eau dans les fleuves. La directrice de recherche à l’Institut national d’études démographiques indique que pour certains, le télétravail est une échappatoire au stress.

    Conséquences démographiques du Covid-19: «Nous n’avons pas d’exemple similaire»

    «Le confinement n'a pas que des effets négatifs, il s’agit d’une moindre pression professionnelle pour certains.»

    Il est probable que l’impact sera plus important dans les pays plus durement touchés économiquement par la pandémie. Mais d’après Aline Désesquelles, «l'effet pourrait être modéré ou amplifié par d'autres caractéristiques des sociétés: culture, soutien social».

    Lors de sa conférence de presse du 19 avril, Édouard Philippe a annoncé que le début du déconfinement était prévu pour le 11 mai prochain.

    https://fr.sputniknews.com/france/202004211043619963-limpact-du-confinement--on-pourrait-anticiper-une-hausse-des-suicides/

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    1. Dès qu'une personne ouvre une fenêtre ELLE EST DEHORS ! Au balcon ? ELLE EST DEHORS !
      Le confinement serait d'être enfermé en pièce hermétique jusqu'à plus d'air !

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  34. Un nombre record de guérisons en 24 heures enregistré en Italie


    19:50 21.04.2020


    En Italie, le plus haut nombre de personnes guéries a été constaté ces dernières 24 heures, à savoir 2.723. En outre, le nombre le plus faible de patients atteints du Covid-19 dans les services de soins intensifs a été également enregistré, selon la protection civile italienne.

    Un nombre record de 2.723 personnes ont été considérées comme guéries ces dernières 24 heures en Italie. Le précédent record avait été établi le 17 avril avec 2.563 personnes guéries en une journée.

    De plus, le nombre le plus faible de patients atteints de coronavirus dans les services de soins intensifs a été enregistré, à savoir 2.471, selon la protection civile italienne.

    Pour la première fois, l’Italie voit une baisse du nombre de ses malades du Covid-19

    Le total des personnes infectées depuis le début de la pandémie a atteint 183.957, soit une augmentation de 2.729 par rapport à lundi.

    Le nombre de décès causés par le nouveau coronavirus en Italie est de 24.648, soit 534 de plus que la veille.

    Auparavant, le chef de la protection civile italienne a annoncé que l'Italie avait enregistré le 20 avril sa première baisse du nombre de ses malades du Covid-19 depuis le début de l'épidémie.

    Pandémie de Covid-19

    Alors que l’OMS a reconnu le 11 mars le Covid-19 comme une pandémie, la maladie a déjà touché plus de 2,5 millions de personnes dans le monde et entraîné environ 171.000 décès, selon l'université Johns-Hopkins.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202004211043619315-le-nombre-des-personnes-gueries-en-italie-en-24-heures-etablit-un-record/

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  35. Oubliez la pandémie, cela pourrait tuer 90% de la population américaine


    par Tyler Durden
    Mer, 22/04/2020 - 00:10
    Rédigé par Paul Bedard, édité via WashingtonExaminer.com,


    Aussi grave que le coronavirus et la maladie COVID-19 qu'il provoque, les cris d'avertissement augmentent sur une menace beaucoup plus grande avec le potentiel de tuer 90% de la population américaine. Et, contrairement au virus, Washington connaît la menace depuis des décennies et n'a rien fait ou presque.

    "Nous avons déjà vu ce film et nous le vivons maintenant", a déclaré Peter Pry, l'un des plus grands experts du pays sur les impulsions électromagnétiques, le tueur de réseau électrique qui menace naturellement du soleil et des armes détenues par la Chine.

    "Si nous ne sommes même pas préparés pour le coronavirus, imaginez les conséquences si nous sommes frappés par une menace existentielle réelle, comme EMP", a-t-il déclaré.

    Les partisans de la protection du réseau électrique du pays et d'autres systèmes vitaux, y compris les bases militaires, contre une attaque EMP saisissent la crise des virus pour injecter une urgence dans la budgétisation afin de protéger les transformateurs électriques, les stations de transfert et les fils des perturbations ou de l'effondrement.

    «Pour les 2 billions de dollars qui seront dépensés pour le coronavirus, nous pourrions durcir toutes les infrastructures critiques contre l'EMP, déployer des missiles spatiaux de défense Brilliant Pebbles avant la fin d'un deuxième mandat de Trump, moderniser la dissuasion nucléaire américaine de haut en bas (livraison véhicules, armes, base scientifique et industrielle), et ont plus de 1 billion de dollars à dépenser », a déclaré Pry, membre clé des commissions EMP du Congrès et auteur du nouveau livre The Power and the Light: The Congressional EMP Commission War to Save America 2001 - 2020.

    Brian Sullivan, analyste du gouvernement et de la sécurité militaire, a déclaré: «Pouvez-vous imaginer si notre réseau est tombé en panne et que nous avons perdu de l'électricité pendant une longue période ? Aussi mauvaise que soit notre situation actuelle, elle pourrait toujours être bien pire. Nous comptions sur nos chefs de gouvernement pour préparer notre pays à une pandémie, et nous voyons ce que cela nous a apporté. Nous comptons maintenant sur ce même leadership pour protéger notre réseau électrique. »

    Alors que les alertes à la pandémie actuelle existent depuis moins d'un an, des rapports ont été rédigés sur les attaques EMP depuis des décennies. Le premier panel EMP du Congrès, par exemple, a mis en garde contre une panne d'un an suite à une attaque contre le réseau électrique.

    "La Commission EMP estime qu'un black-out national des États-Unis d'une durée d'un an pourrait tuer 90 % des Américains de la famine et de l'effondrement de la société", a déclaré Pry. Cela représenterait environ 295 millions de personnes.

    Dans le passé, les avertissements ont été accueillis au sein du gouvernement et de l'industrie de l'énergie avec un roulement des yeux. Mais le président Trump a pris la menace au sérieux, d'autant plus que la Chine et d'autres ennemis ont développé des armes EMP et signé un décret exécutif pour progresser vers la protection du réseau. L'armée a également pris des mesures pour protéger ses opérations.

    Mais Pry détaille dans son nouveau livre les efforts déployés au sein de la bureaucratie fédérale et de l'industrie électrique de «l'État profond» pour «ralentir et saboter» l'agenda de Trump tout en donnant l'impression qu'ils progressent.

    "La stratégie consistant à faire semblant de faire quelque chose, mais à ne rien faire, puis à jeter de l'argent sur la menace lorsqu'elle se produira, fera tuer des millions d'Américains lorsqu'il y aura un EMP", a-t-il déclaré à Secrets.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/forget-pandemic-could-kill-90-us-population

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    1. Il y a près de 20 ans, la Chine se vantait d'avoir la 'bombe propre'. L'Impulsion ÉlectroMagnétique capable en quelques secondes de fermer TOUT ce qui fonctionne à l'électricité y compris les satellites.

      Les voitures s'arrêtent, les avions tombent, plus d'électricité sur batteries, piles, accus. Plus de centrales électrique capables de produire de l'énergie et, des milliers de Fukushima dans le monde en quelques heures.

      C'est là une arme redoutable que possède aujourd'hui tous les pays du monde. Leurs capacités est parfois d'un kilomètre de rayon, 100 km de rayon, mais, l'ennemi peut encore parcourir d'autres '100 km' par 100 km.

      Tout ce qui utilise de l'énergie électrique devient irréparable. Seuls les moteurs conservés en cage de Faraday peuvent survivre ainsi que tous les véhicule lancés à la manivelle.

      Après le nucléaire, la technologie scalaire, voir l'EMP.

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  36. Les documents révèlent que les autorités fédérales sont impatientes de créer un réseau de surveillance de masse


    par Tyler Durden
    Mar., 21/04/2020 - 22:50
    Via le blog MassPrivateI,


    Une demande FOIA de l'Electronic Privacy Information Center a révélé à quel point la Commission de la sécurité nationale sur l'intelligence artificielle (NSCAI) est enthousiaste à l'idée d'utiliser des caméras de vidéosurveillance pour créer un réseau de surveillance national.

    Une présentation de la NSCAI intitulée "Vue d'ensemble du paysage de la technologie chinoise" traite du réseau de caméras de vidéosurveillance de reconnaissance faciale de la Chine en termes élogieux.

    «Lorsque nous parlons de ressources de données, la principale source de données est vraiment le gouvernement.» »

    La présentation explique comment le gouvernement chinois profite d'encourager les entreprises à utiliser la reconnaissance faciale sur les visiteurs et les employés.

    "Maintenant que ces entreprises opèrent à grande échelle, elles construisent une foule d'autres services (par exemple, la reconnaissance faciale pour les immeubles de bureaux, la réalité augmentée)"

    En Amérique, les choses ne sont pas si différentes.

    Aux États-Unis, les autorités fédérales encouragent les entreprises privées comme Clearview AI, Amazon Ring et Flock Safety à utiliser la reconnaissance faciale et les lecteurs de plaques d'immatriculation automatiques pour identifier tout le monde.

    Dans la section "Datasets d'État: Surveillance = villes intelligentes", la présentation vante la surveillance de la ville intelligente en Chine, "il s'avère que le fait d'avoir des rues recouvertes de caméras est également une bonne infrastructure pour les villes intelligentes".

    Les Américains n'ont pas besoin de plus de surveillance gouvernementale et nous n'avons certainement pas besoin de nos villes intelligentes garnies de dispositifs de surveillance gouvernementaux.

    Le NSCAI dit, "la surveillance de masse est une application tueur pour l'apprentissage en profondeur."

    Alors que notre gouvernement applique l'apprentissage en profondeur de l'IA à des choses comme les caméras de vidéosurveillance, les emplacements de téléphones portables et les lecteurs de plaques d'immatriculation, la vie entière d'une personne peut être prédite.

    Les IA utiliseront l'apprentissage en profondeur pour deviner avec précision où vous travaillez, mangez, magasinez, dormez, adorez et passez vos vacances. Fondamentalement, la surveillance de masse est une application qui tue pour savoir tout ce qu'il y a à savoir sur tout le monde.

    La semaine dernière, MLlive a révélé qu'une start-up d'IA cofondée par l'Université du Michigan aide les gouvernements à utiliser des caméras de vidéosurveillance pour surveiller les personnes afin de détecter les distanciations sociales, comme l'a indiqué un professeur de génie électrique et informatique à l'Université du Michigan (UM):

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  37. "Il y a deux semaines, Corso a déclaré que lui et son équipe avaient commencé à suivre la distance physique dans des endroits comme Times Square à New York, Miami Beach, Abbey Road à Londres et le Ruthven Museums Building à UM."

    La police de New York utilise des caméras de vidéosurveillance pour infliger des amendes pouvant aller jusqu'à 1 000 $ aux personnes qui ne se distancient pas de la société. Alors que la police en Floride a installé des points de contrôle sur les autoroutes et la police au Royaume-Uni utilise des caméras de vidéosurveillance pour faire respecter les ordonnances de séjour à domicile.

    Voxel51 utilise son «indice de distance physique» pour suivre la distance sociale dans les grandes villes du monde.

    "Voxel51 suit l'impact de la pandémie mondiale de coronavirus sur le comportement social, en utilisant une métrique que nous avons développée appelée Voxel51 Physical Distancing Index (PDI). Le PDI aide les gens à comprendre comment le coronavirus modifie l'activité humaine en temps réel dans le monde entier. En utilisant nos modèles de vision par ordinateur de pointe et nos flux vidéo en direct de certaines des rues les plus visitées au monde, le PDI capture la quantité moyenne d'activité humaine et les comportements de distanciation sociale dans les grandes villes au fil du temps. "

    Ce qui m'inquiète, c'est comment les forces de l'ordre pourraient utiliser Voxel51 pour infliger des amendes ou arrêter des personnes pour ne pas avoir observé une distanciation sociale imposée par le gouvernement.

    Malgré ce que Voxel51 prétend à propos de l'anonymisation des données identifiables, ils collectent toujours leurs données à partir de caméras publiques / gouvernementales.

    Un article de 2019 dans la Michigan News University of Michigan a révélé que Voxel51 utilise l'intelligence artificielle pour identifier et suivre les personnes et les objets.

    "Voxel51 a entrepris de surmonter ces obstacles avec sa plate-forme d'analyse vidéo et ses bibliothèques de logiciels open source qui, ensemble, permettent une reconnaissance vidéo de pointe. Il identifie et suit les objets et les actions dans chaque clip. En tant que co-fondateur Brian Moore déclare: Nous transformons la vidéo en valeur. »

    J'ai du mal à croire que les villes et les gouvernements paieraient de l'argent simplement pour regarder des données anonymisées. Surtout lorsque le modèle économique de Voxel51 est construit autour de l'identification de personnes et d'objets à grande échelle.

    Un exemple parfait de la façon dont les Fédéraux considèrent la surveillance de masse peut se résumer au mieux dans la présentation de la NSCAI: «Les entreprises américaines ont beaucoup à gagner en adoptant les idées des entreprises chinoises».

    Chaque jour, il semble que l'on dit aux Américains que nous avons besoin de plus de programmes nationaux de surveillance pour assurer la sécurité de tous.

    L'obsession de nos gouvernements à surveiller tout le monde ne fera que croître à mesure que le coronavirus s'emparera du pays. Il nous incombe d'empêcher la mise en œuvre de ces programmes de surveillance ou de risquer de devenir un État autoritaire comme la Chine.

    https://www.zerohedge.com/technology/documents-reveal-feds-are-excited-create-mass-surveillance-network

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    1. Mais, le plus marrant, est que les 'caméras de surveillance' n'existeront plus demain FACE AUX MASQUES !
      Des milliards de 'burqa' anti-virus !

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  38. Désolé mais il était trop tentant cet article sur les hôpitaux. Pas pu me retenir d'allumer les singes parasites silencieux...


    Charles Dereeper
    lundi, 20 avril 2020 22:31


    La vérité crue à regarder en face pour ceux qui aiment chialer sur le corona virus et les hôpitaux français... la France, c'est avant tout un pays de parasites silencieux qui bouffent sans rien branler sur le dos des autres qui souffrent. Et ce, dans tous les secteurs. Cest un état d'esprit et non une quelconque exception. Et c'est spécifique à la France quand on regarde les datas des autres pays. Et là, les riches n'ont rien à voir avec ca. Et aussi, taxer les riches ne pourra rien changer ni rien résoudre à l'existence de ces parasites... j'ai quitté la France en 2009 à cause d'eux. il n'y a aucun espoir à avoir mise à part fuir. Nous sommes 11 ans plus tard. Et le fait est que j'ai bien fait de m'enfuir car absolument rien ne s'est amélioré. Tout s'est au contraire détérioré avec toujours plus de parasites silencieux qui sucent la sève de la France.

    A tous ceux qui ont cette sève créatrice qui coule dans leurs veines, je vous dis BARREZ VOUS. PROTEGEZ votre valeur, votre énergie, votre unicité. Ne laissez pas ces singes vous spolier votre existence.

    Ces singes sont tellement nombreux qu'ils laissent une trace désormais dans toutes les compta nationales et les comparaisons internationales... une démonstration sur les hôpitaux avec le lien ci dessous !

    https://fr.theepochtimes.com/les-hopitaux-francais-emploient-presque-34-de-personnes-nayant-aucune-tache-medicale-1339803.html?fbclid=IwAR1EK4DQ1WPzt8DbzPjhIMigPnlBw8yCECtEm53VnEjhpLVPYsqhu1fNdGg

    http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/fonctionnaire/desole-mais-il-etait-trop-tentant-cet-article-sur-les-hopitaux-pas-pu-me-retenir-d-allumer-les-singes-parasites-silencieux.html

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    1. En France, les rouge-marron-écolos veulent l'argent de ceux qui osent en gagner ! Or, si un patron est sans argent, il ne pourra construire d'autres usines ! Un patron riche dépense plus que quelqu'un de pauvre. Il fait donc plus travailler le commerce ! Même s'il achète un avion, un bateau ou construit un château !

      Mais il existe des dictatures où les riches sont mal vus, c'est pour çà qu'existe des paradis fiscaux et des pays qui acceptent les riches !

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  39. FAIRE SES COURSES COÛTE EN MOYENNE 2,50% PLUS CHER


    par PAOLO GAROSCIO
    22/04/2020


    Le prix de la farine a augmenté de 14%.

    Alors que le secteur agroalimentaire a déjà prévenu les Français que l’après-confinement se traduira par une baisse de pouvoir d’achat, liée à la baisse de l’activité et de la production et, surtout, la baisse des importations, l’UFC-Que Choisir a réalisé une étude sur l’évolution des prix en supermarché (drive) par rapport à l’avant confinement. C’est désormais certain : les courses coûtent plus cher.

    Et, sans surprise, la tendance à la hausse s’accompagne de pénuries sur certains produits de première nécessité.

    La hausse des prix en supermarché se maintient

    Depuis le début du confinement, l’Observatoire de la consommation de l’UFC-Que Choisir analyse les prix des produits de première nécessité et les compare à la période prise pour référence, celle du 2 au 6 mars 2020, soit avant le confinement en France mais lorsqu’il y avait déjà un début de tensions sur les chaînes d’approvisionnement. Ainsi, la hausse des prix liée au confinement est plus juste que si la période de référence avait été la même semaine de 2019.

    En analysant les prix de 252 produits de première nécessité, selon l’étude publiée le 21 avril 2020, l’UFC-Que Choisir a donc pu établir que les prix en rayon ont augmenté de 2,50% entre la semaine de référence et celle du 6 au 11 avril 2020 (4ème semaine de confinement). Mais l’Observatoire signale malgré tout que cette hausse est stable voire se réduit : la hausse était légèrement supérieure (2,80%) lors de la troisième semaine de confinement.

    5% de plus pour les pâtes, 14% pour la farine

    La farine, qui a manqué dans les rayons un peu partout en France car, ennuyés, les Français ont décidé de se lancer massivement dans la production de pain maison (une tendance née sur les réseaux sociaux), a connu la hausse de pris la plus importante : +14% à 1,77 euro le kilo. Le nombre de produits proposés à la vente, selon l’UFC, a chuté de 38% par rapport à la période de référence.

    Les pâtes, produit de première nécessité par excellence, voient leur prix augmenter de 5% et le nombre de produits chuter de 16% ; mais l’évolution la plus étonnante est celle du pain de mie : alors que le nombre de produits référencés chute de 51%, le prix a chuté de 2%. A croire que plutôt que manger du pain de mie les Français préfèrent le faire eux-mêmes…

    http://www.economiematin.fr/news-prix-course-confinement-argent-pouvoir-achat-france-ufc

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  40. Le côté obscur de l'arnaque au coronavirus


    Par Bill Sardi
    22 avril 2020


    Ce rapport révèle une collection d’informations qui jette certainement un éclairage différent sur la compréhension par le public de ce fiasco mondial des coronavirus COVID-19. Pour ce rapport, je ferai référence à des sources liées afin que les lecteurs puissent vérifier les faits comme d'habitude, et une source principale pour ce rapport que j'appelle avec admiration The Oracle Helena.

    Comme les amateurs d'histoire ancienne se souviennent peut-être, Pythia était la prêtresse du Temple d'Apollon à Delphin dans la Grèce antique (~ 1400 av.J.-C.). Le siège de l'Oracle a été creusé dans une fosse où Pythia était assise. Elle respirait des gaz terrestres qui montaient du sol, ce qui modifiait son discours un peu comme le gaz hilarant. Des gens de toute la Grèce et de pays au-delà se sont rendus à Delphes pour répondre à leurs questions par la prêtresse Pythie.

    De la même manière, je consulte Helena Glass alors qu'elle dévoile la complexité de ce «crime du siècle». Elle exploite un site Web obscur qui est difficile à localiser en raison d'une censure évidente. Ne vous inquiétez pas, je plonge dans le monde des esprits, il y a des liens réels fournis avec la bourse de Helena Glass. Je m'amuse simplement à élever Helena Glass au statut de confiance en tant qu'oracle, défini comme «une personne dotée d'une grande sagesse et d'une grande sagesse», et d'un point de vue moral que je pourrais ajouter.

    Quand ça commence

    Il faut un véritable détective dévoué pour suivre les mauvais détournements en cours à l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Helena informe l'OMS et GAVI que l'Alliance pour les vaccins, fondée par Bill et Melinda Gates, détient collectivement des actifs s'élevant à 12 milliards de dollars à la fin de 2018 et n'a rien à montrer pour la riposte à une pandémie, l'atténuation des maladies ou la réduction de la pauvreté.

    Je ne veux pas voler tout le tonnerre de l'enquête et des aperçus exceptionnels d'Helena sur la façon dont le monde moderne s'est retrouvé paralysé à cause d'une mutation du coronavirus. Donc, je vais résumer. Assurez-vous de visiter fréquemment le site Web d'Helena Glass pour les mises à jour, car je rapporte qu'un enquêteur inébranlable dit que c'est vraiment le cas.

    À titre d’exemple, Helena attire l’attention sur la charte originale de l’OMS, qui était d’éradiquer le paludisme. Depuis 1964, les cas de paludisme ont augmenté. Au Nigéria, il y a environ 100 millions de cas et 300 000 décès par an, ce qui annule entièrement l'objectif de l'OMS. Ce n'est pas seulement des chiffres comme ceux-ci qui rendent le site d'Helena Glass si unique, c'est l'intrigue, la profondeur du mal qu'elle capture. Cela m'a fait avaler dur juste pour comprendre ce qu'elle dit.

    Helena dit dans son communiqué du 4 avril qu'en 2015, le philanthrope et défenseur des vaccins Bill Gates s'est associé à l'acteur Ben Affleck pour demander plus de fonds et l'approbation pour réaliser des expériences au Congo et dans d'autres pays en développement. Rien de tel que l'approbation des célébrités. C’est le mode de fonctionnement de Gates.

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  41. Il y a 25 ans

    Helena Glass commence par noter que d'autres dirigeants mondiaux ont expulsé l'OMS. Les médias américains accordent un statut non mérité à l'OMS.

    En 2017, Vladimir Poutine a accusé Bill Gates d'avoir déclenché l'épidémie d'Ebola en Afrique. Plus tard cette année-là, le Premier ministre indien, Narendra Modi, a également expulsé la Fondation Gates après que des expériences de vaccination aient été menées sans tenir compte du consentement des patients.

    Helena fait référence à une réunion malveillante de 500 des plus grands diplomates, scientifiques et dirigeants industriels du monde parrainée par la Fondation Mikhaïl Gorbatchev qui a déterminé que le monde pouvait encore prospérer avec une réduction de 80% de la population mondiale et que le christianisme devait mourir en faveur du panthéisme , le socialisme étant préférable au capitalisme.

    Colonisation des USA ?

    Helena note dans un article du 6 avril 2020 qu'en 2001, le ministre chinois de la Défense, le général Chi Haotian, a parlé au Parti communiste chinois et a fourni un plan détaillé de la façon dont la Chine prendrait le contrôle de l'Amérique du Nord parce que la Chine avait détruit et pollué ses terres et prédit que les pénuries alimentaires exigeraient expansion géographique. Le général Chi, reconnaissant les efforts militaires serait futile contre l'Occident et recommanda la guerre biologique. Le général Chi a prévu que la Chine colonise l'Amérique du Nord et ceux qui n'ont pas été tués seront traités en conséquence.

    Voici un extrait du discours du général Haotian (1992):

    D'un point de vue humanitaire, nous devons adresser un avertissement au peuple américain et le persuader de quitter l'Amérique et de laisser la terre dans laquelle il a vécu au peuple chinois. Ou du moins, ils devraient quitter la moitié des États-Unis pour devenir la colonie chinoise, parce que l'Amérique a été découverte pour la première fois par les Chinois. Mais est-ce que cela fonctionnerait? Si cette stratégie ne fonctionne pas, alors il ne nous reste qu'un choix. Autrement dit, utilisez des moyens décisifs pour «nettoyer» l'Amérique et réserver l'Amérique pour notre usage dans un instant. Notre expérience historique a prouvé que tant que nous y parvenons, personne au monde ne peut rien faire contre nous. De plus, si les États-Unis en tant que leader sont partis, d'autres ennemis doivent se rendre à nous.

    Les armes biologiques sont sans précédent dans leur impitoyabilité, mais si les Américains ne meurent pas, les Chinois doivent mourir. Si le peuple chinois est attaché à la terre actuelle, un effondrement sociétal total est inévitable. (Le discours secret du général Chi Haotian)

    Pas d'autre issue: la guerre biologique

    Helena rapporte que la Chine a ouvert son laboratoire de Wuhan niveau 4 en 2014. La Chine a ensuite envoyé des Chinois talentueux pour infiltrer les universités américaines pour travailler dans des laboratoires universitaires, et la Chine donnerait des fonds à ces établissements d'enseignement. Les National Institutes of Health ont même octroyé des subventions à ces scientifiques et, de toutes choses, ils ont ramené leur propriété intellectuelle en Chine.

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  42. Un scientifique mentionné par Helena est She Zhengli qui s'est spécialisé dans le coronavirus du SRAS lorsqu'il était stationné à l'Université de Caroline du Nord (Chapel Hill), sous la tutelle de Ralph Baric PhD qui a collaboré avec le Wuhan Institute of Virology. (Plus d'informations sur Baric ci-dessous) Ces techniciens ont lancé une «recherche» de «Disease X Virus», ce qui revenait vraiment à créer Disease X. (Disease X a été abordé pour la première fois en 2018)

    Un autre scientifique, le Dr Xiangguo Qui, stationné au laboratoire de niveau 4 de l'Université de Winnipeg au Manitoba, au Canada, a été découvert comme ayant volé des échantillons du virus du SRAS et les a ramenés à Wuhan à 5 reprises. Pendant ce temps, Zhenglii a poursuivi son travail à l'UNC, en insérant différentes protéines et agents pathogènes, y compris le VIH, pour créer un virus hybride qui "ne peut pas être vacciné".

    «… Insérer différentes protéines et agents pathogènes
    y compris le VIH pour créer un virus hybride
    "Ne peut pas être vacciné contre."

    Tout cela a été suivi par l'Organisation mondiale de la santé qui a lancé un avertissement qu'une épidémie mondiale qui tuerait une grande partie de la population mondiale était imminente, écrit Helena. Les collaborateurs étaient Bill Gates et George Soros. Gates a finalement investi 40 milliards de dollars en Chine. Seule la guerre commerciale du président Trump avec la Chine a interrompu les progrès. Les États-Unis ont ensuite encouragé un soutien secret aux manifestations à Hong Kong. Helena pense que cela a incité la Chine à accélérer une attaque surprise avant la date prévue. La Chine y voyait une nécessité ou, comme le dit Helena, «il y aurait un effondrement de la société qui nécessiterait l'anéantissement de 800 millions de Chinois.

    Il s'agit donc d'une mission «faire ou mourir». Eux ou nous.

    Helena croit alors que la Chine est devenue un voyou avec l'État Profond, les trompant peut-être.

    Comme preuve des plans secrets de la Chine, Helena cite la découverte en Espagne de kits de test infectés par le virus, qui ont été renvoyés en Chine. "Coïncidence?" demande Helena.

    Le 15 avril, Helena note que le chef de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, Anthony Fauci, a peut-être travaillé en collaboration avec la Fondation Gates pour autoriser des milliards de subventions accordées aux scientifiques chinois qui ont infiltré les universités américaines et volé des agents de la guerre biologique lorsqu'ils ont été détournés au niveau de Wuhan. 4 Laboratoire. Gates finance également le NIH (National Institutes of Health).

    Rappelons TED Talk de Gates qui stipulait une réduction nécessaire de la population mondiale de plus de 15%, soit 1,2 milliard de personnes - - - (via les vaccinations ?). Helena suggère ensuite que la vaccination Gates contre le COVID-19 «contiendrait un agent qui stériliserait ceux qui se soumettent - soit volontairement soit avec force».

    "Helena suggère alors la vaccination Gates pour COVID-19
    contiendrait "un agent qui stériliserait
    ceux qui se soumettent - volontairement ou avec force. "

    Participation des célébrités; mais pas la célébrité que Gates avait en tête

    Le vide dans le bassin de main-d'œuvre serait comblé par l'utilisation de la robotique IA. Ensuite, Helena dit que Gates recruterait un Hollywood Jester avec une éducation de 8e année pour vendre son «super monde».

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  43. Mais ensuite «arrive quelqu'un qui n'était qu'un divertissement (Trump), une sorte de personnage de National Enquirer», dit Helena, et tout le plan est bouleversé. Il semble que chaque tentative de renverser cet homme soit vaincue. "Chaque fois que Trump est en avance sur eux", explique Helena.

    «Le peuple (américain) n’existe même plus. Fermées et abritées chez elles, privées de contacts et de besoins sociaux, les Classes se battent entre elles et nous mettent essentiellement dans une prison auto-imposée », déplore Helena.

    Un journaliste féministe a demandé à Trump ce qu'il savait de tout cela. Helena dit que Trump a répondu: "Je ne vous dirais pas si vous étiez la dernière personne."

    Helena dit que Trump a répondu:
    "Je ne vous dirais pas si vous étiez la dernière personne."

    Helena dit que Trump est ensuite passé en mode check-mate. Il semble laisser les méchants allumer un fusible, puis les inciter à placer le bâton de dynamite dans leur propre camp.

    Moneygrubbing avec la vie des gens dans la balance.

    Le 17 avril, Helena taille vraiment son crayon en épée. Elle écrit sur les obligations pandémiques émises par la Banque mondiale en collaboration avec Bill Gates et George Soros, ainsi que le gouvernement et d'autres investisseurs privés pour aider les agences à gérer une crise comme une pandémie.

    Les obligations devaient arriver à échéance le 15 juillet 2020, payant de 6,5 à 11,0% d'intérêt au-dessus du taux Libor, et étaient destinées à s'appliquer uniquement à la probabilité d'une pandémie de coronavirus (c'était en 2017). Ce qu'ils n'avaient pas prévu, c'est que les obligations de classe A se négocient aujourd'hui avec une remise (perte) de 25% et les obligations de classe B avec une remise de 95%, "ce qui signifie que les investisseurs ont perdu de l'argent et cela peut expliquer pourquoi l'OMS était réticente à appeler une pandémie sachant l'argent que Gates et d'autres perdraient », explique notre devin Helena. Maintenant, M. Trump reproche à l'OMS son appel tardif.

    «… Ce qui signifie que les investisseurs ont perdu de l'argent et
    cela peut expliquer pourquoi l'OMS était réticente
    appeler une pandémie… »

    Helena rapporte que l'OMS était au courant du potentiel d'une pandémie dès octobre ou novembre 2019. Étant donné que la pandémie n'a été annoncée par l'OMS que le 11 mars, ce qui signifie que l'aide réelle ne serait pas libérée avant le 3 juin, date à laquelle les Obligations peut être considéré comme indésirable.

    Helena raconte ensuite l'investissement que M. Gates a fait dans Gilead Science pour leur médicament contre la grippe Xlfluza qui, soit dit en passant, produit des symptômes similaires à ceux du coronavirus COVID-19.

    Mais le président Trump a annoncé que la chloroquine, un médicament utilisé pour traiter le paludisme, pourrait être réutilisée pour traiter le COVID-19, et le reste appartient au passé. Gilead a gardé le sac sur son Remdesivir nouvellement approuvé, qui a été considéré comme le seul moyen d'éradiquer le virus (l'avis Remdesivir a été approuvé à temps pour l'épidémie). M. Gates est lié financièrement à Gilead.

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  44. Helena semble apprécier le fait que Gates ait perdu la valeur de son investissement obligataire, et Remdisivir a été remplacé par un médicament déjà approuvé par la FDA qui a un bon dossier d'innocuité, et il est possible qu'aucun vaccin ne soit jamais approuvé pour COVID-19.

    Quoi, aucun vaccin n'est possible ?

    Cette révélation vient du professeur Ian Frazer de l'Université Queensland qui révèle que de nombreuses équipes de chercheurs travaillent sur un vaccin contre le coronavirus depuis un certain temps. Le professeur Frazer note qu'il n'y a pas de vaccin contre le rhume et que les coronavirus sont des virus du rhume. Il dit que le virus pénètre dans les poumons tandis qu'un vaccin pénètre dans la circulation sanguine pour activer les anticorps et les globules blancs. Tout vaccin proposé ne serait pas en contact direct avec le poumon. Le Dr Frazer poursuit: "Pour le moment, nous ne savons pas comment faire fonctionner un vaccin contre les coronavirus."

    Peut-être que M. Trump le sait et laisse Fauci & Co. s'en aller.

    Portes décimées

    Tous les projets de Gates de devenir un milliardaire pandémique «viennent d'être complètement décimés! dit Helena, qui perd complètement son objectivité à ce stade.

    La «machine de propagation» (Fondation) Gates, fondée en 2006 avec une valeur nette de 1,6 milliard de dollars, est financée par une taxe sur les billets d'avion qui vient de se diriger vers le sud, les aéroports ayant été fermés à la suite de l'épidémie.

    "Gates doit être absolument furieux !" écrit Helena, perdant à nouveau son sang-froid. Elle félicite Trump d'avoir éliminé toutes les sources de profits et de revenus «de cette pandémie créée».

    Helena clôt son rapport en disant: «Tout cela étant dit, essayez d'imaginer où nous pourrions être si même l'un de ces agendas Gates avait réussi ? Et imaginez à quel point ils sont pleins de haine pour être battus à chaque fois !! » Vous n'auriez aucune idée qu'elle est pour MAGA, n'est-ce pas ?

    Certains de mes propres détective

    Ce qui est historiquement important, c'est que Ralph Baric, PhD, professeur au Département de microbiologie et d'immunologie à l'Univ. de Caroline du Nord (Chapel Hill), aurait envoyé une souche de coronavirus à des chercheurs du laboratoire de Wuhan en 2015 pour des études de «gain de fonction», comme le rapporte Nature Medicine, Vol. 21, n ° 12, pages 1508-13, 2015, étant donné que de telles études étaient interdites aux États-Unis à l'époque. Le gain d'études fonctionnelles a repris en 2017.

    Donc, oui, un coronavirus a été transformé en une éventuelle bio-arme dans un laboratoire en Chine, mais oui, il a également été initialement fourni et originaire des États-Unis. Ce fait a également été signalé au Deplorable Coders Club dans un article intitulé «Le laboratoire de Wuhan a fait l'ingénierie génétique pour Baric».

    Mais nous lisons ailleurs que «le coronavirus n'a pas été génétiquement modifié dans un laboratoire de Wuhan». Le journal Emerging Microbes & Infections a récemment publié un déni ferme de toute militarisation d'un coronavirus, notant que différentes souches de coronavirus étaient impliquées. Mais la question demeure, pourquoi des études de gain de fonction ont-elles été menées ? D'autres chercheurs l'ont appelé «recherche risquée».

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  45. Curieusement, un article du New Observer affiche une carte de l'endroit où des cas de Covid-19 ont été signalés en Caroline du Nord et ils semblent être centrés près de Chapel Hill, s'il s'agit d'une association (comme l'association du marché des fruits de mer de Wuhan avec le virus épidémie en Chine). On ignore si les rédacteurs du New Observer tentaient de faire allusion à une telle association.

    COVID-19 est hautement transmissible

    La transmission rapide du coronavirus COVID-19 par rapport aux virus de la grippe s'explique par son activation par une enzyme chez l'homme appelée furine avec sa «protéine de pointe», tandis que les virus de la grippe s'attachent à une protéine appelée hémagglutinine. L'enzyme furine est abondante dans les poumons, le foie et l'intestin grêle, elle a donc le potentiel d'attaquer plusieurs organes.

    Un individu infecté par COVID-19 devrait en infecter 2,0 à 7,0 autres, contre 1,83 pour le virus Ebola et 1,54 pour les virus de la grippe et 2,9 pour le coronavirus du SRAS. C'est précisément ce qui est observé - COVID-19 est hautement infectieux.

    L'arme biologique ultime: elle ne laisse aucun indice et blâme les autres agents pathogènes

    Dans le laboratoire animalier, lorsque les animaux recevaient un vaccin contre le coronavirus inactivé, qui produisait effectivement une immunité contre le coronavirus MERS (syndrome respiratoire du Moyen-Orient), il laissait également les animaux vulnérables aux dommages pulmonaires (attaque d'éosinophiles) lorsqu'ils étaient exposés à un virus vivant. De faibles niveaux d'éosinophiles ont été trouvés chez des patients aux prises avec un coronavirus COVID-19.

    Dans un autre cas, une augmentation de la «pathogénicité» d'une grippe aviaire autrement peu pathogène (H9N2) a été observée après la vaccination avec un vaccin vivant atténué contre la bronchite infectieuse.

    Ensuite, nous avons un rapport dans le volume 38 de la revue Vaccine qui indique que le vaccin contre la grippe de 2017-18 a produit un risque relatif accru de coronavirus de 1,36 parmi le personnel du ministère de la Défense.

    L'étude impliquait une «hypothèse selon laquelle une interférence virale associée au vaccin peut entraîner un risque accru pour d'autres virus respiratoires chez les personnes vaccinées, car le vaccin contre la grippe empêche ou minimise l'immunité temporaire non spécifique conférée par une infection naturelle».

    L'interférence virale «se produit lorsqu'un virus affecte la croissance d'autres virus», comme expliqué sur HealthFeedback.org. Bien que des dénis de toute association entre le vaccin contre la grippe et le coronavirus aient été émis, ces jours-ci, vous devez regarder sous chaque roche. Une arme biologique à action indirecte serait certainement une arme furtive idéale.

    Cela peut être le moyen utilisé par COVID-19 pour préparer des individus infectés à une infection virale ultérieure et plus mortelle. On se demande si le pire reste à venir pour une population américaine imprudente. L'Amérique est-elle attaquée?

    L'épidémie de COVID-19 semble être une sorte de foret qui est devenu incontrôlable. L'événement 201 était un groupe d'experts en santé qui s'est réuni à New York en octobre 2019 pour simuler une épidémie de maladie infectieuse pandémique. Juste une coïncidence, non ? Était-ce pré-planifié? Gates lui-même l'avait prédit en novembre 2019.

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  46. En 2018, le virologue Anthony Fauci a ensuite averti menacé que la maladie X allait bientôt arriver sous la présidence de Donald Trump. D'autres ont également prédit une telle épidémie virale. Alors pourquoi la préparation était-elle si insuffisante?

    D'une manière ou d'une autre, un virus savait précisément quand muter et infecter une planète de 7,8 milliards de personnes qui n'avaient aucune immunité contre elle.

    Il est rapporté que le milliardaire Bill Gates a effectué une récente tournée médiatique avec Anthony Fauci des National Institutes of Health, menaçant le public et les entreprises d'un blocage de 6 mois à 1 an à moins que les gouvernements n'achètent leurs vaccins, des vaccins qui sont actuellement en cours de développement. Gates a déclaré: "Les choses ne reviendront pas à la normale tant que nous n’aurons pas distribué un vaccin au monde entier." Gates aurait investi dans 7 entreprises différentes de développement de vaccins COVID-19.

    Venez à vos propres conclusions. Ce n'est pas un homicide involontaire; cela pourrait être un meurtre étant donné les commentaires antérieurs de Gates sur l'abattage des populations humaines. Cela n'a aucun sens de laisser une bonne pandémie se perdre.

    Un grand merci à Helena Glass pour nous avoir conduits hors des bois.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/the-dark-side-of-the-coronavirus-scam/

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  47. COVID: La projection d'une illusion de masse


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    22 avril 2020


    Les protestations contre l'emprisonnement au COVID se répandent à travers l'Amérique.

    —Des lumières vives commencent à dissiper l'obscurité.

    Ces manifestations brisent l’illusion que nous sommes aux prises avec un virus qui dicte le suicide économique.

    Voici, de la US Library of Congress, une phrase sur la Grande Dépression des années 30:

    «Dans un pays doté de ressources abondantes, de la plus grande force de main-d'œuvre qualifiée et de l'industrie la plus productive du monde, beaucoup ont eu du mal à comprendre pourquoi la dépression s'était produite et pourquoi elle ne pouvait pas être résolue.»

    Exactement. Le krach d'ingénierie de 1929 du marché boursier n'a pas changé la quantité ou la qualité des ressources nationales, du travail ou de l'industrie d'un iota.

    Ce qui avait changé, c'était la projection réussie d'une illusion de masse: «LES CHOSES SONT COMPLÈTEMENT DIFFÉRENTES MAINTENANT. AUJOURD'HUI EST COMPLÈTEMENT DIFFÉRENT D'HIER. »

    En 1929, le charabia officiel s'est concentré sur une spéculation incontrôlée sur le marché boursier. Aujourd'hui, le charabia officiel se concentre sur un virus non prouvé.

    Les déclarations fatales officielles sur 1929 vous feraient croire que chaque Américain était, malheureusement, mis à profit jusqu'à son cou dans les stocks en panne. Des déclarations sur 2020 voudraient vous faire croire que chaque Américain est soudainement devenu un transmetteur d'un virus mortel. Les deux gros mensonges.

    En ce qui concerne ce que l'on appelle en riant la science médicale, l'énergie de base, le dynamisme, l'ambition, les perspectives et la vision intérieure de l'individu sont réduits. Sa force émotionnelle est réduite. La résilience de son système immunitaire est réduite. Le pouvoir de ses croyances spirituelles est escompté. Sa capacité à surmonter les obstacles est réduite. Et bien sûr, son droit naturel de prendre des décisions concernant sa propre santé est réduit.

    Au lieu de cela, il est considéré comme une unité mécanique réagissant aux germes, avec un potentiel élevé d'échec. C'est de la folie pure. C'est là que toute la prétendue sophistication de la science médicale fondamentale se termine: dans une impasse. LIFE lui-même a été éliminé des équations et des formules. À qui la faute? Pas le vôtre. Pas le mien.

    Il s'avère que, pour beaucoup de gens, leur croyance en la puissance du virus, et leur croyance en les fonctionnaires qui jaillissent autour de lui, l'emportent sur leur croyance en tous les ultimes spirituels qu'ils professent.

    Leurs propres croyances les plus profondes ne sont pas assez fortes.

    Leur religion est la télévision.

    C'est là que l'illusion de masse est projetée.

    Les épidémies sont mises en scène à la télévision.

    Les images commencent à couler:

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  48. Un véhicule médical d'urgence dans une rue. Le personnel de l'EMT, en combinaison de matières dangereuses, charge un homme attaché à une civière dans la camionnette. Dans une autre rue, un homme s'effondre sur le trottoir. Nous voyons encore un autre homme en quarantaine assis à l'intérieur d'une énorme bulle de plastique dans une troisième rue. Plan d'un hall d'aéroport. Les soldats patrouillent l'espace parmi la foule. Plan d'un laboratoire. Gros plan, flacons, liquide La caméra recule. Les techniciens en gommage vert clair placent les flacons dans les fentes d'une machine de table. Auditorium - un homme sur une plate-forme, vêtu d'une blouse blanche de médecin, pointe une baguette sur un grand écran, sur lequel un tableau est affiché, pour le public. Retour dans la rue. Les gens portent des masques faciaux.

    Ces images envahissent le téléspectateur. Pendant ce temps, l'ancre donne sa signification préparée: «Le gouvernement a publié aujourd'hui une interdiction de tout voyage à destination et en provenance de la ville… des centaines de vols d'avion ont été annulés. Les scientifiques se précipitent pour développer un vaccin… »

    Le public de la télévision a une IMPRESSION de savoir quelque chose. Ils sont dans le flux, le flux des nouvelles… ils sont dans les images…

    Ou: Exemple: nous voyons des foules en colère dans la rue d'une ville étrangère. Plusieurs plans de jeunes sur leur téléphone portable assis dans des cafés en plein air. Puis le hall en marbre d'un immeuble gouvernemental où des hommes en costume se promènent, debout en groupes se parlant. Puis la nuit, des roquettes explosent dans le ciel. Puis des véhicules blindés se déplaçant à travers une porte dans la ville. Puis des nuages ??de fumée dans une autre rue et des gens qui courent, pourchassés par la police.

    Un flux d'images consécutives. La séquence, évidemment, a été assemblée par un rédacteur en chef, mais le public qui le regarde n’en est pas conscient. Ils regardent les images «interconnectées» et écoutent une présentatrice raconter une histoire qui colore (infecte) chaque image: «C'est une révolution pour la démocratie, créée par la technologie des téléphones portables…»

    Les téléspectateurs croient donc quelque chose. La télévision leur a fait sensation.

    Dans son chef-d'œuvre cinématographique de 1976, Network, le journaliste désemparé de Paddy Chayefsky, Howard Beale, diffuse ce message à son public à la télévision nationale ...

    «Alors, tu m'écoutes. Écoute moi ! La télévision n'est pas la vérité. La télévision est un putain de parc d'attractions. La télévision est un cirque, un carnaval, une troupe itinérante d'acrobates, de conteurs, de danseurs, de chanteurs, de jongleurs, de monstres, de dompteurs de lions et de joueurs de football. Nous sommes dans le domaine de l'ennui… Nous avons affaire à des illusions, mec. Rien de tout cela n'est vrai! Mais vous, les gens, vous êtes assis là jour après jour, nuit après nuit, tous les âges, toutes les couleurs, toutes les croyances. Nous sommes tout ce que vous savez. Vous commencez à croire aux illusions que nous faisons tourner ici. Vous commencez à penser que le tube est une réalité et que votre propre vie est irréelle. Vous faites tout ce que le tube vous dit. Vous vous habillez comme le tube, vous mangez comme le tube, vous élevez vos enfants comme le tube. Vous pensez même comme le tube. C'est de la folie de masse. Vous les fous. Au nom de Dieu, vous êtes la vraie chose. Nous sommes l'illusion. "

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  49. La télévision, dans l’ensemble, ne cherche pas à transmettre des connaissances. Il s'efforce de donner au spectateur l'impression qu'il sait quelque chose. Il y a une différence.

    La connaissance, une fois établie, est indépendante du spectateur. Alors que l'impression de savoir est un sentiment, une conviction, une croyance que le spectateur détient, après avoir regardé des images en mouvement sur un écran. C'est ce que préfère le spectateur accro. Il ne veut aucune partie de la connaissance.

    Par conséquent: un court-circuit se produit dans son esprit.

    Lorsque vous exportez ce modèle vers une société entière, vous parlez d'une méthode dominante par laquelle les fausses connaissances sont tâtonnées et maintenues proches.

    «Avez-vous vu cette fantastique vidéo sur la guerre en Irak ? Cela a montré que Saddam avait en fait des armes biologiques. »

    "Vraiment ? Comment ont-ils montré cela ? "

    "Eh bien, je ne me souviens pas. Mais attention. Tu verras."

    Et c’est une autre caractéristique de l’acquisition moderne du «savoir»: l’amnésie des détails.

    Le spectateur ne peut pas se souvenir des principales caractéristiques de ce qu'il a vu. Ou s'il le peut, il ne peut pas les décrire, parce qu'il était à l'intérieur d'eux, occupé à se forger une impression de savoir quelque chose.

    L'histoire narrative-visuelle-télévisée se détache et rejette l'analyse conceptuelle.

    Lorsqu'une technologie (télévision) se transforme en méthode de perception, la réalité est renversée. Les gens regardent la télévision à travers les yeux de la télévision.

    Le contrôle mental n'est plus seulement quelque chose imposé de l'extérieur. C'est une matrice d'une boucle auto-alimentée et auto-exigeante.

    Les passionnés de l'image veulent des images, des coupons alimentaires de la société programmée.

    La fausse pandémie que j'ai rejetée, dans de nombreux articles, est diffusée par le biais du flux vidéo et de la narration. Images empilées et coupées.

    Il n'y a pas de contestation télévisuelle du flux télévisuel, à travers l'intrusion de connaissances réelles, car cela arrêterait le défilé d'images et annulerait les raisons de les diffuser en premier lieu.

    Le vieil adage théâtral «le spectacle doit continuer», une fois adapté à la télévision, devient «le flux doit continuer». Une fois sa trajectoire établie, il ne peut plus y avoir de retour en arrière.

    Mais les individus peuvent broyer le flux.

    Et des groupes de manifestants peuvent broyer le flot.

    Et la liberté éclate.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/jon-rappoport/covid-the-projection-of-a-mass-illusion/

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