La technologie a permis de réduire les coûts de presque tout ce qui nous entoure. Ce phénomène s’appelle la démonétisation. Et la technologie en est en très grande partie responsable. Par contre, il faut avouer qu’il y a un domaine qui n’a pas connu de démonétisation drastique… c’est la construction immobilière. Mais c’est sur le point de changer très bientôt avec l’arrivée de l’impression 3D à grande échelle. Cette technologie va permettre de construire des maisons en une fraction du temps et du prix des méthodes de construction actuelle.
Ces technologies qui changent le monde : votre maison par impression 3D
RépondreSupprimer« Soonish : dix nouvelles technologies qui vont tout changer et/ou tout détruire » : si demain la robotisation se généralise, nos maisons seront faites par impression 3D en un temps record et à la portée de tous les budgets !
Par Constance Mas.
16 AVRIL 2020
Retrouvez les premiers épisodes de « Ces technologies qui changent le monde » ici, ici et ici.
Étonnamment, tandis que l’automatisation et la robotique ont fait irruption dans de nombreuses industries à la fin du siècle dernier, les méthodes utilisées dans le secteur de la construction avaient peu changé depuis des dizaines d’années, malgré quelques tentatives de révolution au cours du XXe siècle.
Cela tient à plusieurs problèmes qui rendaient l’utilisation de robots peu intéressante en comparaison avec les humains pour la construction de maisons, qui sont des objets complexes assemblés dans des conditions peu reproductibles. Mais on constate que les choses changent depuis quelques années, et que la construction de votre maison par des robots, et pour un coût modique, semble désormais réaliste. C’est donc une des dix technologies qui changeront le monde présentées dans le livre Soonish de Kelly et Zach Weinersmith.
ROBOTS MAÇONS, CHARPENTIERS ET BÂTISSEURS
Une des approches pour introduire les robots dans le bâtiment est de chercher à construire des robots maçons, charpentiers, et autres métiers du bâtiment. En fait, ce n’est pas la meilleure approche, parce que paradoxalement, il est plus facile de donner des instructions à une intelligence artificielle pour une tâche en apparence complexe (du type multiplier entre eux deux nombres à 10 chiffres) que pour une tâche « simple » comme empiler des briques, qui demande d’observer l’évolution des conditions réelles (consistance et épaisseur du mortier par exemple) et de s’y adapter, souvent de façon difficilement traduisible en instructions élémentaires. Cela a tout de même été fait, comme le prouve la vidéo ci-dessous de SAM.
Le problème, c’est que si SAM est très efficace pour empiler des briques (et encore, sous la surveillance d’un humain), il ne sait rien faire d’autre, contrairement à un humain. Pour contourner ce problème, de nombreux projets s’attachent à créer des robots avec une unité centrale munie de caméras et capteurs et un bras auquel on pourrait associer différents outils.
Une approche complémentaire, qui reprend l’idée des swarm robots présentés dans l’article précédent de la série, est de faire travailler ensemble des milliers de petits robots indépendants. Gardons deux projets parmi ceux présentés : les robots volants larguant des briques, et les minibuilders, petites imprimantes 3D reliées à une unité centrale distributrice de béton.
Bien qu’on puisse espérer qu’il sera plus simple de mettre en œuvre une technologie sur des terrains accidentés ou dans des conditions extrêmes, plutôt qu’un robot de grande taille ou une équipe d’ouvriers, la transposition du laboratoire à la vraie vie me semble peu avancée.
La troisième approche, elle, se développe rapidement – elle s’est même beaucoup développée depuis la rédaction du livre. Il s’agit de l’impression 3D de maisons. Oui, vous avez bien lu, des entreprises sont maintenant spécialisées dans l’impression 3D de bâtiments.
La plupart utilisent du béton (un certain type de béton adapté à l’impression 3D), mais d’autres matériaux sont étudiés et utilisés, pour construire à partir de matériaux locaux et/ou écologiques. Un projet décrit par les auteurs se paye même le luxe d’imprimer votre maison pendant qu’elle l’achemine chez vous : il s’agit d’une imprimante 3D couplée à un robot avec bras articulé, montée sur un camion – les maisons sont réalisées en coulant du béton dans une préforme de mousse isolante.
RépondreSupprimerINQUIÉTUDES RÉGLEMENTAIRES
À l’époque de la rédaction du livre, les acteurs du domaine étaient inquiets des limites réglementaires imposées par des certifications rédigées pour une construction par étapes et non par couches – rien d’étonnant à ce que nos « chers » États trouvent les bons prétextes pour empêcher l’innovation -, mais mettaient en avant qu’il n’existait pas de réel problème de sécurité car la surveillance de la qualité pouvait être faite au fur et à mesure de la construction, et par capteurs intégrés. Il semble que les réticences ne sont plus bloquantes, comme en témoigne la vidéo récente ci-dessous présentant un certain nombre de projets d’impression 3D en cours :
La dernière entreprise présentée, Icon, a construit la première maison 3D aux États-Unis (avec permis de construire et habilitations), et illustre bien plusieurs avantages espérés du développement de cette technologie. Pouvoir construire de façon très rapide et à faible coût est un espoir pour ceux qui sont sans logement ou dont le logement est insalubre, que ce soit à cause de la pauvreté ou des déplacements soudains de population.
Si ce coût est suffisamment bas, il pourrait être supporté par d’autres que les États ou l’aide internationale (elle-même financée par des États). Il pourra aussi permettre à tout un chacun de s’offrir des maisons plus grandes, plus originales ou avec des matériaux différents.
La diversité des acteurs intéressés pour financer une telle avancée technologique est visible dans la page des projets réalisés par Icon : cela va de la réalisation d’un lotissement au Mexique (financée par une association caritative), à l’étude de maisons constructibles sur Mars (financée par la Nasa), en passant par des partenariats avec des groupes d’architectes.
Les amoureux de la planète seront aussi heureux de savoir que l’impression 3D permet de diminuer les déchets, limiter le volume de matières premières au juste besoin (par le choix de structures complexes, aussi solides avec moins de matière), et utiliser des matériaux plus écologiques (recyclés par exemple).
Comme à chaque fois que l’automatisation est envisagée dans une industrie, elle suscite l’inquiétude quant à la destruction d’emplois dans le secteur. Il faut reconnaître que le bâtiment est un employeur massif et que le risque n’est pas petit… si la robotisation se généralise – impossible pour l’instant de savoir à quelle vitesse les acteurs du domaine adopteront ces changements !
UN IMPACT SUR L’EMPLOI PAS ÉVIDENT
Mais les auteurs de Soonish mènent une réflexion intéressante pour montrer en quoi l’impact de cette technologie sur l’emploi n’est pas si évident.
Tout d’abord parce qu’il est, comme toujours dans le cas de l’intelligence artificielle, très difficile de savoir quels emplois disparaîtront et lesquels seront modifiés et cohabiteront avec les robots. Il est possible que les nouveaux métiers soient moins risqués que les anciens (les accidents du travail sont courants dans le bâtiment).
RépondreSupprimerDeuxièmement parce que la diminution drastique des coûts de la construction pourra provoquer des changements dans les comportements. Lorsque la fabrication de vêtements est devenue plus abordable, les gens en ont acheté davantage, plus variés, et plus souvent. Bien malin celui qui peut prédire ce que fera l’arrivée des robots sur l’avenir des emplois du bâtiment ! Espérons que nos planificateurs en chef se retiendront donc d’essayer, et n’entraveront pas le développement de cette technologie prometteuse.
https://www.contrepoints.org/2020/04/16/369217-ces-technologies-qui-changent-le-monde-votre-maison-par-impression-3d
La signification du bien et du mal en des temps périlleux
RépondreSupprimerPar Brandon Smith
Le 6 Juillet 2018 – Source alt_market
Peut-être que l’idée la plus destructrice jamais répandue dans l’esprit du grand public est celle que rien dans ce monde n’est permanent, que toutes choses peuvent et doivent être constamment changées selon nos caprices. Le concept de l’impermanence alimente ce que j’appelle « la propagande de la table rase ». L’utilité de cette table rase comme arme de contrôle social doit être expliquée avant d’examiner la nature du bien et du mal, parce qu’elle infecte tout aujourd’hui.
La poussée pour une « évolution » sociale sans fin a été nommée de différentes manières au cours des décennies. Au début des années 1900 en Europe, on l’appelait « futurisme », un mouvement artistique et philosophique qui a contribué à la montée du communisme et du fascisme en politique. L’argument selon lequel toutes les vieilles idées et traditions anciennes doivent être abandonnées pour laisser la place à de nouvelles idées, de nouvelles technologies, de nouveaux systèmes d’information, suppose que les soi-disant nouvelles façons de faire soient supérieures aux vieilles. Les choses sont rarement aussi simples et dans la plupart des cas, les nouvelles méthodes si fièrement défendues par les mouvements pour le changement social sont généralement de vieilles idées, recyclées et reconditionnées, qui ont notoirement connu l’échec.
La théorie de la table rase est conçue pour faire douter les gens d’eux-mêmes et les plonger dans la confusion, et pour représenter de manière erronée les constructions de la nature comme des constructions de la société. Elle perturbe très efficacement la relation des gens à leur propre boussole morale en suggérant que cette boussole devrait être complètement ignorée parce qu’artificielle. L’argument des partisans de la table rase est que toutes les limites sont créées par la société plutôt que par la conscience innée, et que ces limites nous empêchent souvent d’atteindre nos objectifs, de nous améliorer en tant qu’espèce et d’obtenir généralement ce que nous voulons de la vie.
Mais les choses que nous voulons ne sont pas toujours ce dont nous avons besoin, et c’est quelque chose que les mouvements pour le changement social refusent souvent de saisir. Si nous sommes tous des ardoises blanches et si la morale et l’âme humaine sont des mythes, pourquoi ne pas faire tout ce que nous voulons, chaque fois que nous voulons et vivre la vie comme une grande orgie romaine de festins, d’automédication et d’addiction aux sensations ?
Le problème avec le concept de table rase est que même s’il prétend que toutes les restrictions dans la psyché humaine nous sont enseignées plutôt que d’être innées et qu’elles peuvent être abandonnées quand nous le voulons, nous ne pouvons toujours pas éviter les conséquences de la rupture avec ces restrictions. Les gens y perdent leur santé mentale, les sociétés s’effondrent et les nations tombent en ruine avec le temps, plus vite nous rejetons nos principes au nom de l’évolution sociale ou de gains à court terme. C’est inévitable.
Les seules personnes à qui semblent bénéficier la diffusion de ce concept de table rase sont les personnes déjà au pouvoir politique et économique. Car si elles peuvent convaincre les masses d’ignorer leur conscience, elles peuvent alors nous convaincre d’accepter presque toutes les autres conditions.
Agir d’une manière conforme à la conscience intrinsèque ou ignorer la conscience et agir de manière destructive est un choix. C’est le pilier central du libre arbitre. Le choix d’agir de manière destructive n’efface pas la réalité de la conscience intrinsèque ; en fait, les gens doivent souvent être trompés en croyant qu’une action destructrice et immorale est une « bonne chose » avant d’être convaincus de la mener à bien. La conscience intrinsèque doit être contournée par la supercherie.
RépondreSupprimerLe problème avec le choix de s’en tenir à ses principes est qu’il est facile pendant les périodes de stabilité relative, mais de plus en plus difficile pendant les périodes de lutte. Durant les jours périlleux, la tentation d’utiliser des tactiques destructrices pour maintenir un confort attendu ou pour simplement survivre peut être élevée. Ce n’est pas une coïncidence si les élites du pouvoir, les mêmes personnes qui ont tendance à faire la propagande de la table rase, tendent délibérément à créer une crise sociale et le chaos. Mais peut-être que cela a besoin d’une explication plus profonde. Nous devons définir quelque chose que la plupart d’entre nous comprennent déjà intuitivement. Nous devons définir le « mal ».
Comme la conscience inhérente et les limites morales, les théoriciens de la table rase et les défenseurs du changement social tentent de troubler les eaux de ce qui constitue le mal. Certains diront qu’il n’existe pas – que le mal est ce que nous considérons comme tel à une époque donnée en fonction de nos préjugés. D’autres diront que la tradition, la permanence et tout ce qui reste statique dans la société est un mal. Le seul « bien » pour eux est un changement constant.
Mais le mal n’est pas aussi illusoire et changeant que ces gens le suggèrent. En fait, la plupart des hommes et des femmes reculent automatiquement devant certains comportements spécifiques, indépendamment de la façon dont ils ont été élevés, de leur environnement, de la culture dans laquelle ils sont nés ou de l’époque à laquelle ils vivaient. Les personnes qui ne reculent pas face à ces comportements sont les personnes que nous devons surveiller car il leur manque quelque chose d’essentiel au cœur et à l’esprit qui fait de nous des êtres humains.
En termes psychologiques, les caractéristiques des narcissiques de haut niveau et des sociopathes correspondent le plus étroitement à notre concept historique du mal. Et, à mon avis, la plupart des grands maux de l’histoire sont en fait commis par des personnes ayant de multiples traits narcissiques. En ce qui concerne les élites mondiales, elles représentent une menace plutôt insidieuse, car ce sont des sociopathes narcissiques qui se sont organisés en gangs de prédateurs, donc tous les traits compatibles avec le comportement de votre tueur en série moyen sont maintenant multipliés par leur accès à des ressources illimitées.
Comment identifions-nous ces personnes ? Eh bien, c’est parfois difficile parce que les sociopathes narcissiques se cachent souvent à la vue. Certaines personnes vivent avec elles pendant des années avant de réaliser exactement ce qu’elles sont. Ils aiment aussi s’insérer dans des organisations à but non lucratif qui prétendent faire du bien à la communauté pour couvrir leurs motivations plus insidieuses.
Certains traits et comportements communs sont un manque de réponse émotionnelle normale aux événements traumatisants ou aux événements joyeux, ou ils imitent les réponses des autres pour se fondre dans leur groupe mais ils se détachent par le caractère « forcé » ou « faux » de leurs réactions. Ils n’ont aucune idée de l’empathie ; cela n’existe pas pour eux.
RépondreSupprimerIls cherchent des centres de pouvoir et sont attirés par des positions d’autorité. Ils semblent toujours exiger les efforts des autres tout en offrant rarement leur propre aide. Ils font des chefs terribles, essayant toujours de quitter un endroit en sécurité tout en laissant leurs conscrits prendre les risques. Diriger par l’exemple est un concept étranger pour eux.
Ils mentiront à propos de leurs accomplissements et de leurs mérites. Ils vont déformer leurs réalisations professionnelles afin de gagner la confiance des gens. Demandez-leur de prouver par des actions qu’ils peuvent faire tout ce qu’ils prétendent pouvoir faire, et ils essaieront d’éviter le test ou de répondre avec indignation et colère.
Ils vont manipuler leurs ennemis idéologiques ou les gens qu’ils essaient de contrôler. Ils accuseront les autres d’être des « narcissiques » ou des « sociopathes » ou des fascistes ou n’importe quel surnom qui tirera les ficelles de leur cible. Quels que soient les maux dont ils sont coupables, ils essaieront de les retourner et de les jeter aux pieds de leurs ennemis.
Ils semblent toujours avoir des « laquais » pour faire leur sale boulot et attaquer ceux qui s’opposent à eux. Les personnes qui ont traité avec des sociopathes narcissiques dans leurs vies personnelles se réfèrent parfois à ces laquais comme à des « singes volants », faisant référence aux singes volants asservis par la méchante sorcière dans le Magicien d’Oz. Les singes volants sont essentiellement des idiots utiles que le narcissique emploie par la fraude et parfois en les payant. Chaque fois que les narcissiques sont menacés d’être exposés, ils lâchent leurs singes volants dans les rues ou sur Internet pour démolir les conteurs de la vérité.
Ils ne croient pas aux frontières morales ou personnelles, c’est pourquoi ils essaient toujours de convaincre les gens que de telles limites sont un mythe. Ils traverseront des lignes morales, testant toujours les clôtures pour détecter leurs faiblesses ; essayer d’épuiser petit à petit les autres jusqu’à ce qu’ils abandonnent et cessent de se battre.
Ils veulent désespérément sortir de l’ombre et entrer dans la lumière du jour. Ils veulent être adorés comme les monstres qu’ils sont, plutôt que pour les faux philanthropes tels qu’ils se présentent. Pour ce faire, tout sociopathe narcissique se fait un devoir d’effacer l’idée de conscience, qu’elle fasse partie de la cabale mondialiste ou qu’elle soit une autre goule dans la rue. Leur inclination naturelle est de corrompre tout ce qu’ils touchent, et s’ils ne peuvent pas corrompre une chose, ils tenteront de la détruire.
Surtout, les sociopathes narcissiques veulent que tout le monde autour d’eux pense que nous sommes comme eux. Cette volonté de nous « affaiblir » pour nous faire croire que nous sommes tous sans scrupules et moralement en faillite, ne nécessite qu’une crise ou une calamité, qu’un peu de chaos pour faire ressortir le diable chez tout un chacun.
Mais si c’était vraiment le cas, alors l’humanité aurait disparu depuis longtemps dans une auto-destruction sans fin ; quelque chose continue de nous ramener du bord du précipice dans nos vies personnelles et dans la société dans son ensemble. La conscience continue à vaincre le mal en refusant d’accorder aux méchants l’utopie d’un chaos par cette table rase qu’ils veulent tant. Et c’est ce qui m’inspire la confiance que peu importe à quel point nos jours peuvent devenir terribles, il y a quelque chose de notre côté qui dépasse le monde physique.
RépondreSupprimerChaque crise est un test, un test pour chaque personne et un test pour notre culture. Pouvons-nous agir avec raison, courage et principes même dans les pires moments, ou serons-nous tentés par la facilité d’utiliser dans notre lutte des moyens malveillants ? Faisons-nous ce qu’il faut faire pour ceux qui nous entourent, ou allons-nous joyeusement les piétiner au nom de la « survie » ? À la fin, les pires hommes ramènent les meilleurs hommes à la surface. C’est le seul « bien » qu’ils feront.
Brandon Smith
Traduit par Hervé, relu par Cat pour le Saker Francophone
http://lesakerfrancophone.fr/la-signification-du-bien-et-du-mal-en-des-temps-perilleux
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/08/la-signification-du-bien-et-du-mal-en.html
30 millions de tonnes de béton pour implanter 20 000 éoliennes
RépondreSupprimerLes millions de tonnes de béton pour l’implantation des éoliennes ne sont certainement pas très écologiques.
Par Jean-Louis Butré1.
6 AOÛT 2018
À l’horizon 2025, 30 millions de tonnes de béton armé vont être coulées dans le sol français pour y implanter 20.000 éoliennes programmées par Nicolas Hulot.
Comment accepter un tel double langage d’un ministre de l’Environnement qui a déclaré solennellement vouloir protéger la biodiversité de la France et lutter contre l’artificialisation des sols à grands effets d’annonces médiatiques et de shows écologiques ?
20.000 éoliennes terrestres sont programmées par la transition énergétique ;
8.000 éoliennes couvrent déjà la France. Pour implanter les 20.000 éoliennes terrestres prévues à l’horizon 2025 par la loi sur la Transition Énergétique, Nicolas Hulot a autorisé que 30 millions de tonnes de béton, qui ne seront jamais enlevées, soient déversées dans le sol français, par 1,2 million de camions-toupies.
Mis à la file, ces camions couvriraient un tiers de la circonférence terrestre.
En effet, l’implantation d’un socle d’éolienne terrestre nécessite de couler dans le sol 1 500 tonnes de béton sur une armature composée d’un treillis de ferraille placé dans une cavité creusée par des bulldozers et des pelleteuses. Une telle quantité de béton armé est nécessaire pour la fixer car elle peut maintenant culminer en bout de pales à 235 mètres de hauteur et supporter une nacelle de plus de 70 tonnes.
SACCAGE ET DANGER
Des accidents spectaculaires se multiplient dans toutes les régions du monde sur les premières machines arrivant en fin de vie : lorsqu’elles explosent elles projettent à plus de 500 m de distance des morceaux de pales ou de nacelles pesant dans certains cas plusieurs centaines de kilogrammes.
Le socle d’une éolienne a un diamètre d’environ 10 mètres et une épaisseur d’environ un mètre. Les 1 500 tonnes de béton armé qui le composent sont enterrées à plus de un mètre de profondeur. Pour implanter 20.000 éoliennes, c’est un train de 12.000 km de camions-toupies qui vont déverser 30 millions de tonnes de béton dans le sol de la France. Pour une seule éolienne, 60 camions-toupies de 25 tonnes de béton chacun sont nécessaires pour la réalisation de ce socle.
Dans la grande majorité des cas, les routes n’existant pas, il faut aussi les construire et pour cela détruire des chemins traditionnels, raser les haies, couper des arbres. On peut affirmer que les socles d’éoliennes sont l’équivalent de véritables blockhaus plantés dans les champs n’importe où et plus particulièrement dans les zones vierges en où la nature était intacte.
Le béton ne sera jamais enlevé. Qui va payer ce saccage écologique ?
Au bout de 15 années, soit la durée de vie d’une éolienne, seul le démontage est prévu, et pour un montant largement sous-évalué (le septième de la somme en réalité nécessaire). Là aussi, ce sont les propriétaires de terrains, les agriculteurs et les communes qui seront grugés2 alors qu’il avait cru faire une bonne affaire. Même si l’éolienne est démantelée, le béton, lui, ne sera jamais enlevé.
RépondreSupprimerEn France, il n’existe en effet aucune obligation légale d’extraction de ce socle de béton, ce qui est écologiquement absolument scandaleux, et démontre encore une fois que l’éolien est une affaire d’argent, et depuis 2001 un domaine totalement abandonné par les divers gouvernements aux lobbies des promoteurs du vent qui se fichent de la biodiversité, et dont le seul objectif et de faire le maximum de profits sans souci des problèmes futurs.
C’est pour cette raison que la Fédération Environnement Durable (FED) demande un moratoire éolien. Un ministre ne peut prôner la protection de l’environnement et passer son temps à le bafouer.
1 - Président de la Fédération Environnement Durable.
2 - Le coût du démantèlement pour une éolienne s’élève à 350.000 €. Le promoteur est tenu d’épargner 50.000 €. Si un agriculteur a gagné 150.000 € sur 15 ans de loyer pour avoir accepté de louer son terrain, il risque en réalité d’être grugé s’il doit en financer le démantèlement. La perte pourrait s’élever pour lui à 150 000 €.
https://www.contrepoints.org/2018/08/06/321834-30-millions-de-tonnes-de-beton-pour-implanter-20-000-eoliennes
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/08/30-millions-de-tonnes-de-beton-pour.html
Une pénurie de ce produit pourrait frapper le monde
RépondreSupprimer11:10 18.04.2020
La pandémie de coronavirus pourrait provoquer une pénurie de café à cause d’un possible manque de main d’œuvre, lié à l’abandon des plantations en Amérique du Sud par les ouvriers qui craignent d’être infectés, indique Bloomberg.
Après qu’un risque de baisse de la production de chocolat a été révélé, une pénurie de café pourrait également frapper les marchés mondiaux. Les plantations d’Amérique du Sud risquent d’être abandonnées par les ouvriers en raison de l’épidémie de coronavirus, rapporte Bloomberg.
Plusieurs facteurs, dont la fermeture de banques, la réduction des heures de travail, les restrictions de déplacements et les craintes de contamination dans les exploitations agricoles, ont soulevé d’importantes inquiétudes concernant le manque d’ouvriers pour collecter les grains de café pendant la période de récolte qui commencera en mai.
Producteurs concernés
Le risque est particulièrement majeur en Colombie, au Brésil et au Pérou, des pays qui représentent environ deux tiers de la production mondiale de grains d’arabica, précise l’agence.
Ce travail de cueillette difficile et peu rémunéré expose les ouvriers qui dorment souvent dans des habitations surpeuplées au risque d’infection, poursuit Bloomberg. La récolte est menacée si la quarantaine persiste, car des familles entières d’ouvriers quittent des fermes à pied à cause des restrictions concernant les déplacements en transports publics, a souligné Jimmy Larico, directeur général de la coopérative péruvienne Cecovasa, cité par l’agence.
Comme la récolte en Colombie, deuxième pays producteur d’arabica, se fait encore à la main, elle risque de se retrouver en manque de travailleurs plus encore que le Brésil, premier producteur, dont une grande partie de l’activité de récolte est devenue mécanisée.
Une hausse des prix
Les prix de l’arabica ont déjà bondi, par exemple de 16% à New York, après que les rayons ont été épuisés pendant la vague de panique qui s’est abattue sur les magasins, provoquée par l’épidémie. Actuellement, le petit excédent de café assuré par les stocks restants des récoltes précédentes pourrait également disparaître en raison de la diminution de la production de café et la menace de pénurie de main-d'œuvre, a fait savoir Bloomberg.
https://fr.sputniknews.com/international/202004181043592333-une-penurie-de-ce-produit-pourrait-frapper-le-monde/
La ville chinoise de Wuhan désormais considérée comme une zone à faible risque
RépondreSupprimer17:52 18.04.2020
La ville chinoise de Wuhan, d’où, pense-t-on, le coronavirus qui a fait à ce jour plus de 155.000 morts de par le monde s'est propagé, a été officiellement reconnue comme zone à faible risque, a fait savoir le quartier général de prévention et de contrôle épidémique la province du Hubei samedi 18 avril.
La ville chinoise de Wuhan, foyer de la pandémie d Covid-19, a été déclarée le 18 avril zone à faible risque. Ainsi, dans la province du Hubei, il ne reste plus d’agglomération à haut risque ou à risque modéré, annonce la cellule de crise en charge de la prévention et du contrôle de la maladie dans cette circonscription.
«Dans toute la ville de Wuhan, le niveau de risque est faible, dans la province, il n'y a pas de villes ou d'arrondissements à risque modéré ou élevé», indique le communiqué.
Il est à noter que désormais, la province compte 76 villes et arrondissements à risque faible, ce qui fait qu’aucune entité administrative de la province ne représente un risque modéré ou élevé. En plus, les 13 districts de Wuhan ont également été classées comme zones à faible risque
Selon les critères de risques définis par les autorités provinciales, les villes, les districts et les arrondissements ne présentant aucun nouveau cas au cours des 14 derniers jours sont classés comme zones à faible risque. Ceux qui en recensent moins de 50 ou plus de 50 mais sans foyer concentré, sont considérés comme zones à risque modéré. Finalement, ceux qui signalent plus de 50 cas et ont un foyer concentré sont reconnus comme zones à risque élevé.
76 jours sous cloche
Petit à petit la vie à Wuhan, qui a passé 76 jours coupée du monde, reprend son cours. Ainsi, ses routes et ponts ont été rouverts à la circulation et l’aéroport international de la ville s’est remis à fonctionner, tout comme les chemins de fer et le métro, le 8 avril.
Durant l’épidémie, 50.333 cas de contamination y ont été détectés, le bilan des victimes est de 3.869.
https://fr.sputniknews.com/international/202004181043596136-la-ville-chinoise-de-wuhan-desormais-consideree-comme-une-zone-a-faible-risque/
Le récit de «récupération en forme de V» est écrasé au début des licenciements des petites entreprises
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam., 18/04/2020 - 13:05
Écrit par Bruce Wilds via le blog Advancing Time,
Le Paycheck Protection Program ou PPP a été financé avec 350 milliards de dollars dans la dernière facture de relance, cet argent a maintenant disparu. Sur les trente millions de petites entreprises en Amérique, seulement 1,7 million ont reçu de l'argent du paquet d'aide de 2,3 billions de dollars adopté pour aider à soutenir l'Amérique pendant cette période difficile. Si le gouvernement a fait exploser cet argent et n'a pu aider qu'environ 5% des petites entreprises, il est difficile de penser que 250 milliards de dollars supplémentaires arrangeront les choses.
De toute évidence, parce que le gouvernement a fait des promesses, il a retardé la vague de licenciements pendant que les entreprises attendaient de l'aide.
- voir graphique sur site -
Le gouvernement n'a pas tenu sa promesse, alors maintenant, nous devrions nous attendre à ce que le chômage augmente alors que la réalité s'installe. L'un des plus gros problèmes auxquels sont confrontées les petites entreprises est qu'elles sont souvent sous-financées et ont du mal à obtenir du financement à des taux raisonnables. Les banques trouvent les grandes entreprises beaucoup plus rentables. Le secteur de l'économie le plus endommagé par la fermeture de Covid-19 est la petite entreprise. Lorsque cela sera terminé, l'Amérique trouvera que de nombreuses petites entreprises ont été décimées et ne peuvent pas rouvrir. D'autres ne se rétabliront jamais et seront forcés de fermer en quelques mois. Étant donné que les petites entreprises emploient plus de 54 millions de personnes en Amérique et leur importance dans l'économie ne doit pas être sous-estimée.
Les petites entreprises représentent 44% de toutes les ventes du pays.
Les petites entreprises emploient 54,4 millions de personnes, soit environ 57,3% de la main-d'œuvre privée.
Soyez assurés que les employés du gouvernement et les bureaucrates continueront d'être payés, mais les petites entreprises, la partie la plus productive de l'économie ont le couteau à la gorge. En tant que propriétaire et propriétaire de petite entreprise, je peux vous dire que le programme a été structuré d'une manière qui ne sera d'aucune utilité pour la plupart des petites entreprises. Le gouvernement a claqué une loi coûteuse sans aucune idée des dommages qu'ils faisaient et de la façon dont cela entraînerait la fermeture définitive de centaines de milliers d'entreprises. Washington est devenu tellement à l'écoute des lobbyistes des méga-entreprises qu'il a perdu de vue le fait que petit est petit, et quand il s'agit des affaires, cela signifie généralement moins de vingt employés, pas des centaines.
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90% des entreprises sont petites
La réponse du gouvernement au maintien de l’emploi a été de promettre aux petites entreprises un prêt maximal facile à obtenir et rapide de deux fois et demie les charges salariales mensuelles moyennes de l’entreprise au cours des 12 derniers mois. Ce prêt se transformerait en une subvention et serait annulé si une entreprise ne licenciait pas ses employés. Malheureusement, les législateurs n'ont pas pris en considération le fait que toutes les petites entreprises ne sont pas à forte intensité de main-d'œuvre ou de paie. Certaines entreprises avec des salles d'exposition grandes ou chères sont mises à mal par le loyer, d'autres par l'inventaire, ou des choses comme les taxes, les services publics, ou même en devant jeter des produits en raison de la détérioration.
RépondreSupprimerLe PPP n'a pas non plus abordé la question de ce que ces employés vont faire alors que l'entreprise n'a pas de clients et que les affaires ont à peine coulé. Dans le passé, on s'attendait à ce que ces employés poursuivent des activités qui ont généré des revenus et des bénéfices pour l'entreprise, mais sans clients, cela est difficile à faire. Le PPP a également ignoré le fait qu'en gardant ces employés sur la liste de paie, un employeur généreux est laissé ouvert aux durs mandats énoncés dans le projet de loi précédent du gouvernement. Le plan de sauvetage économique fédéral de Covid-19 de 110 pages rédigé à la hâte, que Trump a entièrement soutenu, a porté un coup dur aux petites entreprises. Pour une petite entreprise, c'est un désastre, le projet de loi l'exige;
Les employeurs de moins de 500 employés et les employeurs du gouvernement offrent deux semaines de congé de maladie payé jusqu'en 2020.
Ces mêmes employeurs doivent désormais accorder jusqu'à 3 mois de congé familial et médical rémunéré aux personnes contraintes de se mettre en quarantaine en raison du virus ou de prendre soin de leur famille en raison de l'épidémie.
Comme prévu, cette mesure, intitulée «Families First Coronavirus Response Act». des millions de travailleurs ont soudainement perdu leur emploi. Ironiquement, il a eu lieu devant les électeurs comme preuve que les législateurs pouvaient travailler ensemble pendant une crise. En encadrant le projet de loi mal élaboré de porc de cette façon, les promoteurs se sont positionnés pour diaboliser ceux qui ne voulaient pas l'appuyer. N'oubliez pas que ce projet de loi s'ajoutait au projet de loi de 8,3 milliards de dollars sur les dépenses d'urgence approuvé pour freiner la propagation de Covid-19.
- voir graphique sur site -
Le secteur privé se rétrécit
À mesure que le gouvernement s'est agrandi, il semble être devenu totalement inconscient de la fragilité de nombreuses petites entreprises et du coût que cela peut coûter à une collectivité à la fermeture. En qualifiant ces projets de loi de porc de bipartite, leurs promoteurs sous-entendent qu'ils sont justes et équilibrés. Ce n'est pas vrai, la petite entreprise est le grand perdant et des centaines de milliers devront bientôt fermer. Avec autant de locataires qui envisagent de renoncer à louer, les petits propriétaires qui n'ont pas de poches profondes sont également confrontés à d'énormes problèmes. Nous avons la tête dans le sable si nous pensons que les entreprises qui existent lors d'événements où les gens se rassemblent retrouveront leur éclat du jour au lendemain. Ce n'est pas comme si quelqu'un pouvait simplement appuyer sur un interrupteur et les choses reviendraient à la normale.
La réalité sape l'idée de la théorie de la «récupération en forme de V» et l'idée, une fois l'économie arrêtée, peut rapidement redémarrer et être de retour à pleine vitesse dans quelques mois. Le gouvernement nous a présenté une extension du capitalisme copain structuré pour en jeter juste assez aux masses pour faire taire leur indignation mais dans les semaines à venir, nous verrons qu'il a échoué. Les grandes entreprises ayant accès à des capitaux bon marché sont les gagnantes et les grandes perdantes sont la classe moyenne, les petites entreprises et la mobilité sociale. Tous ceux qui veulent un salaire minimum plus élevé peuvent oublier que cela n'arrivera jamais si nous n'avons pas d'emploi.
RépondreSupprimerQuant au montant des propriétaires de petites entreprises, selon les chiffres de 2015 de la Small Business Administration, le revenu médian des travailleurs indépendants dans une entreprise constituée en société était de 49804 $ et de 22424 $ pour les entreprises non constituées en société. Selon les données de PayScale 2017, le revenu moyen du propriétaire d'une petite entreprise est de 73 000 $ par an. Mais, le revenu total peut varier de 30 000 $ à 182 000 $ par an. Cela signifie que cela varie considérablement en fonction de la taille et de la taille de l'entreprise, mais il est important de se rappeler que ces personnes ont «la peau du jeu» et risquent le plus de tout perdre si leur entreprise échoue.
Il est important de reconnaître que démarrer votre propre entreprise a toujours été l'occasion de concevoir et de construire votre propre avenir. C'est un symbole de liberté et non une garantie de richesse. Beaucoup de gens choisissent fièrement ce chemin, non pas pour gagner plus d'argent mais comme moyen d'exprimer leur individualité. Pour ces personnes compétentes et talentueuses, un emploi au gouvernement ou dans une grande entreprise offre souvent plus de sécurité et d'avantages mais beaucoup moins de liberté. Ne sous-estimez pas la valeur des petites entreprises et ce qu'elles apportent à notre société. Des entreprises comme Amazon sont l'antithèse de la petite entreprise qui fait de ses employés un rouage dans une machine et leur vole l'âme.
Sur la base de la promesse faite par le gouvernement aux petites entreprises, un grand nombre d'entre elles ont refusé de laisser partir leurs employés, mais chaque jour qui passe pour survivre, elles sont maintenant en train de laisser partir des centaines de milliers d'employés. C'est une bombe à retardement. En disant à ces entreprises de fermer, puis en ne respectant pas sa promesse de les aider, le gouvernement a créé une situation aux ramifications économiques négatives massives. Pour aggraver les choses, les chômeurs cherchent à obtenir presque autant que ceux qui travaillent. Pourquoi voudra-t-on travailler, en particulier les fonctionnaires quand ils peuvent être payés pour rester à la maison ? Il ne s'agit pas de vouloir plus d'argent pour les petites entreprises, c'est de la réalité que les licenciements ne font que commencer.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/v-shaped-recovery-narrative-crushed-small-business-firings-start
D'un côté il y a les méga-marchés étagés juqu'au 5ème que l'on parcourt dans une musique 'de chambre' et au devoir de faire des kilomètres pour acheter une clé à molette, une boite de petits pois et un sous-vêtement, puis, de l'autre, les petits magasins qui ferment faute aux grandes surfaces.
SupprimerPuis un jour, l'idée a été d'ouvrir des succursales de méga-marchés dans le centre-ville. Mais, elles ont fait 'choux-blancs !
Alors, aux lendemains de l'emprisonnement, les client(e)s se retrouvant en zone libre, retourneront vers les petits commerces de proximité. Un magasin qui vendra des clés à molette, un magasin qui vendra des petits pois et un magasin qui vendra des sous-tif. Des magasins près de chez soi.
Les militants de NYC pour le logement appellent à une "vague massive" de grèves de loyer parce que "les propriétaires ont pris soin de"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 12:40
L'histoire de l'inégalité de la richesse n'est pas compliquée à comprendre. Essentiellement, des dizaines de millions d'Américains souffraient déjà de dettes insurmontables, pas d'épargne et d'emplois à bas salaires, avant même que la pandémie ne se déroule et n'écrase l'économie.
Maintenant, les pauvres de la classe ouvrière commencent à se fâcher, assis sur leurs canapés en quarantaine, comme ils ont récemment été licenciés, pour regarder le président Trump lors des points de presse de l'après-midi vanter ses renflouements épiques des entreprises américaines et de Wall Street, tandis que tout le monde sinon, on obtient un chèque de 1 200 $.
Une "bombe sociale" se prépare en Amérique - nous avons documenté comment la prochaine crise pourrait être sociale. Les 90% des Américains les moins bien lotis deviennent de plus en plus intelligents de jour en jour alors qu'ils sont en lock-out, organisant désormais sur Internet, et préparent leur prochain grand coup qui pourrait être gravement perturbateur: les grèves de loyer.
Les activistes du logement à New York se préparent à déclencher une "vague massive" de grèves des loyers au cours des deux prochaines semaines, a rapporté Bloomberg.
Housing Justice For All espère avoir jusqu'à un million de New-Yorkais le 1er mai pour participer à une grève des loyers afin de faire pression sur le gouverneur Andrew Cuomo pour qu'il annule le loyer pour la durée du verrouillage.
"Avec autant de New-Yorkais incapables de payer un loyer dans un avenir prévisible, la crise actuelle est insoutenable et exige une action", a déclaré jeudi Justice pour tous et New York Communities for Change. "De nombreux locataires n'ont pas la possibilité de payer le loyer et les propriétaires ne peuvent pas percevoir de loyer auprès des locataires qui ont fait faillite."
Lena Melendez, une militante qui s'est entretenue avec Bloomberg, a déclaré que les gens de son immeuble se sont organisés et ne paieront pas de loyer le 1er mai.
Melendez a déclaré que les propriétaires "avaient été pris en charge" par le gouvernement, faisant valoir que les pauvres de la classe ouvrière n'avaient pas à payer de loyer.
"Ils ont obtenu des abattements fiscaux et des ajournements sur leurs hypothèques. Et les locataires viennent de recevoir un gel temporaire, une pause, sur les expulsions", a-t-elle déclaré.
Le Bureau indépendant du budget de New York prévoit qu'environ un demi-million de personnes perdront leur emploi en 2020. La ville a été plongée dans une récession, sinon une dépression pour le 1H20, alors qu'une crise sociale se prépare…
Combien de temps avant que les grèves des loyers commencent à se développer dans d'autres grandes métros importantes ?
https://www.zerohedge.com/personal-finance/nyc-housing-activists-urge-massive-wave-rent-strikes-because-landlords-have-gotten
L'expérience de l'idiocratie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 12:15
Écrit par Robert Wright via l'American Institute for Economic Research,
Le titre provient des deux films examinés ci-dessous, Idiocracy (2006) et Experimenter: The Stanley Milgram Story (2015). En temps normal, ni l'un ni l'autre ne mériteraient d'être mentionnés, et encore moins d'être examinés, à une date aussi tardive. Mais à moins que vous ne veniez de quitter six mois sur un terrain de piégeage en Alaska, vous savez que ce sont des moments anormaux.
Je ne pouvais pas décider quel film convenait le mieux à notre situation actuelle, mais il m'est alors apparu qu'ils se renforçaient mutuellement, pas exclusivement.
L'idiocratie met en vedette Luke Wilson, Maya Rudolph et Terry Crews. En 2005, le soldat Wilson et la prostituée Rudolph acceptent d'être gelés cryogéniquement pendant un an mais à travers une série de mésaventures finissent par dormir pendant 500 ans. Ils s'éveillent à une dystopie où des pressions sélectives ont rendu les humains muets et muets. Les Américains vivent entourés de montagnes de déchets, regardant des déchets à la télévision, y compris des émissions comme «Oww My Balls» qui font ressembler la franchise Jackass de Johnny Knoxville à la haute culture.
POTUS Crews et ses compatriotes américains s'expriment dans un grognement de grognements et d'argot rural, urbain et Valley Girl qui semble étrangement familier. Contrairement à nos présidents à ce jour, il tire une mitrailleuse, de style Al Pacino, pour accent rhétorique.
Je ne veux pas gâcher la fin, aussi surprenante soit-elle, avec des spoilers mais je voudrais attirer l'attention sur une scène où Wilson essaie d'expliquer au cabinet de Crews que la raison pour laquelle les cultures ont cessé de pousser était parce qu'elles irriguaient avec Brawndo, une boisson pour sportifs omniprésente intitulée «The Thirst Mutilator», au lieu d'eau. Tout le monde était sûr que Wilson, bien que clairement l'homme le plus intelligent sur terre, avait tort parce que tout le monde sait que l'eau n'est utilisée que dans les toilettes. De plus, Brawndo est supérieure à l'eau pour l'irrigation car «les plantes en ont envie» car elle contient des «électrolytes». Personne ne sait ce que sont les électrolytes mais ils savent tous que Brawndo en a et que les plantes en ont envie.
Quelqu'un avec des compétences techniques devrait doubler le coronavirus sur cette scène car elle deviendrait sûrement «virale». Pourquoi devons-nous rester à l'intérieur, même si c'est plus sûr à l'extérieur, et les entreprises de volets ? "Pour aplatir la courbe et augmenter la ligne." Qu'est-ce que ça veut dire ? "Le coronavirus a soif d'isolement et de désolation économique!" Comment sais-tu ça ? "Aplatissez la courbe, augmentez la ligne!" À tout prix ? Des mesures moins extrêmes ne fonctionneraient-elles pas au moins aussi bien à moindre coût ? "Le coronavirus a soif d'isolement et de désolation économique !" Vous avez eu l'idée.
Fait intéressant, après que Wilson a ordonné de passer à l'eau, la moitié des Américains ont perdu leur emploi parce qu'ils travaillaient pour Brawndo, dont le cours de l'action est immédiatement tombé à «zéro» après la déclaration d'irrigation de Wilson uniquement. C'était un «bon» chômage, car il mettait fin à de «mauvais» emplois, à la création d'un herbicide efficace contenant des «électrolytes». Le chômage que les gouvernements provoquent aujourd'hui est un mauvais chômage car il a mis fin à un bon emploi sans raison valable. Là, je l'ai dit en termes que même un habitant de l'idiocratie américaine pourrait comprendre.
Où Idiocracy est une fiction dystopique futuriste semi-drôle, The Experimenter est un docudrame historique super original se concentrant sur les expériences réelles menées par Stanley Milgram au début des années 1960.
RépondreSupprimerMilgram a cherché à comprendre pourquoi les gens avaient suivi les ordres pendant la Shoah. Il a donc demandé à un acteur en blouse de laboratoire de diriger un sujet de test pour administrer des chocs électriques de tension croissante à un autre acteur dans une pièce adjacente. Les chocs étaient faux mais les cris étaient réels. À la grande horreur de tout le monde, Milgram a découvert que 65% des sujets testés étaient disposés à administrer des tensions létales à un autre être humain, uniquement parce qu'une figure d'autorité, dans ce cas un «scientifique», a affirmé que c'était nécessaire.
Les sujets des tests ont été payés à l'avance et informés lors des briefings pré-expérience qu'ils pouvaient partir à tout moment, pour n'importe quelle raison, sans pénalité. Lors des débriefings, certains ont dit qu'ils étaient secoués par l'expérience, qui ne passerait jamais une CISR aujourd'hui, mais aucun ne se sentait contraint de continuer par autre chose que le «scientifique».
Milgram a joué avec des variables mais à maintes reprises environ les deux tiers de ses sujets de test, blancs ou noirs, homme ou femme, gentils ou juifs ont obéi à la figure d'autorité. Il pensait que les personnes ayant une «personnalité agentique» étaient susceptibles d'être manipulées parce qu'elles se considéraient simplement comme «faisant leur travail» ou «jouant un rôle» et donc pas moralement responsables de leurs actes.
Encore une fois, quelqu'un avec des compétences en montage vidéo pourrait passer une journée sur le terrain avec cette scène en doublant quelque chose comme:
Objet: Pourquoi dois-je appuyer sur le bouton de choc ?
«Scientifique»: nous devons aplanir la courbe et relever la ligne.
Zap suivi de gémissements.
Objet: Le patient sonne comme si cela lui faisait mal.
«Scientifique»: certains doivent souffrir aujourd'hui pour que certaines personnes âgées puissent mourir de la grippe, l'année prochaine.
Commutateur suivant de tension plus élevée, zap, suivi d'un cri de miséricorde.
Objet: Je ne sais pas combien le patient peut prendre de plus.
"Scientifique": Quelle partie de l'aplatissement de la courbe et de l'élévation de la ligne ne comprenez-vous pas ?
Objet: Je ne comprends pas comment torturer cette personne aide quoi que ce soit.
«Scientifique»: comment osez-vous! Je suis le docteur Fow Chi, M.D., D.O., S.T.A.T.I.S.T., Ph.D. Moi et moi seul savons ce qui est le mieux.
Tension, zap, hurlement de caillage de sang.
Objet: Je ne comprends toujours pas.
"Scientifique": Et oh au fait, vous ne zappez pas un seul gars, mais presque tous les propriétaires d'entreprise en Amérique.
Objet: Je ne le ferai pas !
"Scientifique": Oui, parce que je porte une blouse blanche !
Objet: Avez-vous un diplôme en économie ? Politique économique ? Histoire économique même ?
RépondreSupprimer«Scientifique»: bien sûr que non ! Tout cela n'a rien à voir avec l'aplatissement de la courbe et l'augmentation de la ligne.
Objet: Je ne sais pas…
«Scientifique»: Voici un tas d'argent et de lois qui disent que vous n'avez pas à payer vos factures.
Tension en hausse. Zap. Un gémissement bas, puis un silence.
«Scientifique»: Excellent travail. Vous avez aplati l'économie. L'argent que je viens de vous donner est maintenant sans valeur et les entreprises auxquelles vous devez de l'argent sont de toute façon en faillite. Ayez une belle vie, ce qu'il en reste de toute façon. Maintenant, allez sur les réseaux sociaux et vantez-vous de ce que vous avez fait !
Une autre expérience célèbre discutée dans le film, menée par Solomon Asch, a montré qu'un tiers de ses sujets de test ont sciemment choisi la mauvaise réponse à une simple question sur la longueur des lignes lorsque les répondants précédents, les acteurs chargés de choisir la mauvaise réponse, se sont trompés. Ces sujets testaient la conformité à la vérité évidente. La bonne nouvelle est que lorsqu'une seule autre personne du groupe de répondants a choisi la bonne réponse, les conformistes sont tombés à seulement cinq pour cent.
La réponse politique correcte à COVID-19 est plus difficile à discerner que de juger de la longueur des lignes et beaucoup plus est en jeu, mais il y a des gens, de plus en plus chaque jour, qui ne se conforment plus aveuglément au «changement de courbe» et élever la ligne ”mantra. Ils posent des questions, difficiles, et pensent par eux-mêmes, ce qui est toujours techniquement légal dans la plupart des États.
Alors que quelques gouverneurs courageux ont refusé d'ordonner des fermetures massives d'entreprises, la plupart des Américains restent enfermés dans ce qui semble être une expérience géante de Milgram testant jusqu'où ils sont prêts à emprunter un chemin de plus en plus irrationnel, incité par des personnalités dont les dictatures inconstitutionnelles n'a pas besoin d'être suivi. Nous n'aurons pas à attendre un demi-millénaire pour une Amérique comme celle décrite dans l'idiocratie à moins d'avoir le courage de dire «assez !»
https://www.zerohedge.com/health/idiocracy-experiment
Quelle est la différence entre les fausses nouvelles et l'hypernormalisation ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 11:25
Soumis par Mark E. Jeftovic d'EasyDNS
Avant la pandémie actuelle de coronavirus, le gouvernement canadien a pris livraison de l'examen législatif des télécommunications à large bande. Le rapport de 235 pages propose 97 recommandations pour la refonte d'Internet et la surveillance de la radiodiffusion, la plupart d'entre elles étant mauvaises. Parmi celles-ci figuraient des dispositions obligeant tous les créateurs de contenu à obtenir une licence d'exploitation auprès du gouvernement et des «dispositions de découvrabilité» pour forcer les principales plateformes technologiques à privilégier les «sources crédibles de nouvelles» par rapport aux autres (ce que le gouvernement appelle les «médias approuvés»).
J'ai écrit un article à ce sujet à l'époque et déposé une pétition à la Chambre des communes pour demander au gouvernement de rejeter le BTLR dans son intégralité (toujours ouvert, alors veuillez signer et partager). Plus récemment, la section Internet Society Canada (dont je suis membre du conseil d'administration) a soumis une critique point par point du cadre (il n'est pas encore sur le site, il sera lié quand il le sera).
Peu de temps après, la CBC, financée par le gouvernement, a rassemblé un groupe de «médias approuvés» au Canada (sans aucun doute l'une des entités qui recevront une partie de cet ensemble de subventions de 600 000 000 $ annoncé avant les dernières élections) pour inviter le gouvernement à légiférer. «Sources fiables» de nouvelles… ..
Si vous êtes avec moi jusqu'à présent, la logique se déroule comme suit:
Le dernier battement de cette marche vers un contrôle du PCC sur le récit est la dernière déclaration du gouvernement fédéral selon laquelle «ils sont ouverts à de nouvelles lois contre la propagation de la désinformation pandémique»
Le président du Conseil privé, Dominic LeBlanc, a déclaré que le gouvernement fédéral envisage de présenter une loi pour ériger en infraction le fait de diffuser sciemment de la désinformation.
Rex Murphy a été rapidement sorti de la porte avec une critique cinglante de l'idée, établissant le parallèle tout à fait approprié à la similitude que toute législation canadienne pour contrôler le récit serait la même chose que le contrôle total du Parti communiste chinois dans ce pays, et nous voyons de première main les horreurs que cela cause.
Il y a déjà un gouvernement qui a ce pouvoir et, dans certains cas, l'a exercé brutalement. C'est le gouvernement du Parti communiste chinois.
Et qu'a-t-il fait avec ce pouvoir ? Il a interdit de dire la vérité sur COVID-19, et a plutôt menti à ce sujet. Sur l'endroit où cela s'est produit, quand cela s'est produit, comment cela s'est produit et comment il s'est propagé, le gouvernement chinois a confondu, confondu et menti au sujet d'une peste qui a maintenant entravé la planète entière. Et la Chine a "officiellement réprimandé" le médecin qui avait initialement tenté d'avertir les gens du coronavirus et qui, avec une ironie effrayante, en est décédé.
La prétention de «prévenir la désinformation sur le coronavirus» fait appel aux gouvernements du monde entier alors qu'ils utilisent la vieillesse «ne laisse jamais une bonne crise se perdre» pour tenter de resserrer leur contrôle sur leurs populations respectives.
RépondreSupprimerDominic Leblanc cite les mouvements du député britannique Damian Collins dans une direction similaire au Royaume-Uni.
LeBlanc a déclaré à CBC News qu'il était intéressé par l'appel du député britannique Damian Collins à des lois pour punir les responsables de la diffusion en ligne de fausses informations dangereuses sur la pandémie de COVID-19.
Collins 'est l'impulsion derrière Infotagion, un nouveau site Web qui prétend être un arbitre neutre et impartial de ce qui est et n'est pas des "fausses nouvelles" (soit dit en passant, Collins était également un "Remainer" convaincu, poussé pour un deuxième référendum sur le Brexit et appelait à une enquête sur «l'ingérence russe» autour du vote du Brexit).
Ce qui est troublant à propos de ce peloton de gouvernements et de médias traditionnels en place qui chantent en harmonie sur la nécessité de contrôler la «désinformation», c'est que dans une situation qui évolue rapidement comme celle-ci, il est impossible pour quiconque de dire avec certitude ce qu'est réellement la vérité.
Luc Montagnier perdra-t-il son Nobel pour avoir déclaré que COVID-19 provenait d'un laboratoire ?
Zerohedge a été expulsé de Twitter pour avoir cherché à savoir si le coronavirus provenait d'un laboratoire de Wuhan. Cette ligne d'enquête est depuis devenue courante, de nombreux législateurs et scientifiques américains affirmant que c'est possible. Parmi eux, Luc Montagnier, l'homme qui a remporté un prix Nobel en 2008 pour sa découverte du VIH, qui dit que COVID-19 est un virus d'origine humaine qui est sorti d'un laboratoire. Ceci est largement non rapporté dans les médias grand public et les médias de langue française accentuent consciencieusement les opposants.
Ce qui me dérange le plus, c'est le timbre péjoratif des critiques des médias traditionnels envers les récits non approuvés et les confondant avec une idéologie politiquement teintée afin de marginaliser la pensée orthogonale.
Les théories 5G / Coronavirus des boutons chauds en sont un bon exemple. À l'origine, cette «théorie du complot» a pris racine alors que «la 5G supprime le système immunitaire, favorisant la propagation du coronavirus». Mais quand je vois les médias grand public fustiger des «théories du complot 5G sans fondement», il est ensuite encadré avec la notion supplémentaire que «les gens pensent que le virus sprea
Les théories 5G / Coronavirus des boutons chauds en sont un bon exemple. À l'origine, cette «théorie du complot» a pris racine alors que «la 5G supprime le système immunitaire, favorisant la propagation du coronavirus». Mais quand je vois les médias grand public fustiger des «théories du complot 5G sans fondement», il est alors encadré avec la notion supplémentaire que «les gens pensent que le virus se propage via les ondes radio 5G».
Je n'ai vu personne dans des chapeaux en papier d'aluminium faire cette affirmation (mais pour être honnête, je ne suis pas allé chercher ça non plus).
Ma suspicion, mon inquiétude, est que les médias traditionnels renforcent les complots 5G pour les rendre plus absurdes, ce qui est pire, ils les encadrent ensuite avec d'autres boogymen pour confondre toute pensée non conformiste.
RépondreSupprimerLa capture d'écran provient de cet article dans The Guardian, tandis que cette colonne Media Matters sur les théories du complot autour de Bill Gates (qui a, indéniablement, appelé à un système de suivi national pour surveiller l'état de la vaccination individuelle dans une récente AMA Reddit) encadre toute hystérie. dépassement du gouvernement comme exclusivement un mouvement d'extrême droite, d'extrême blanc:
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Pendant ce temps, les théoriciens du complot, les anti-vaxxers, les nationalistes blancs et les partisans de la théorie du complot QAnon ont répandu une théorie du complot sans fondement sur plusieurs plateformes de médias sociaux, sites d'extrême droite et babillards électroniques affirmant que les efforts de Gates pour aider à développer un le vaccin est une sorte de tentative néfaste de contrôler, de suivre ou même de dépeupler la population mondiale via une sorte de «micropuce»
Chaque fois que vous voyez des articles de presse qui utilisent des mots comme «sans fondement», sans ajouter de données contextuelles ou de fondements pour étayer cela, ils ajoutent à une suspicion grandissante parmi le grand public, une raison qui peut expliquer pourquoi presque tous échouent financièrement au milieu d'audiences en chute libre. C'est la suspicion ou la prise de conscience que les médias grand public, en particulier ceux financés par le gouvernement, sont tout aussi axés sur l'agenda que les chocs les plus extravagants dans les chapeaux en aluminium.
Ils sonnent comme la Pravda.
Lorsqu'un populiste comme Donald Trump dénonce #FakeNews, il ne crée pas quelque chose à l'improviste et ne le fait pas tomber dans la gorge de ses adeptes stupides, provoquant une crise de foi non méritée dans l'intégrité vénérable des principaux médias, celui qui sinon, cela ne se serait pas produit.
Cela fonctionne parce qu'il frappe un nerf. Il puise dans un bassin subconscient de méfiance et de cynisme dans une institution qui pomper régulièrement des mensonges monumentaux (comme les ADM en Irak), puis bénéficie de l'immunité de responsabilité pour ce faire.
C'est la prise de conscience croissante que ce que nous appelons aujourd'hui les médias principaux est l'échafaudage essentiel de l'hypernormalisation qui s'est installé ici à l'ouest (l'hypernormalisation est la construction d'un prétexte institutionnalisé qu'une structure sociétale défaillante fonctionne toujours comme prévu).
En Union soviétique [tout le monde] savait que le système échouait, mais personne ne pouvait imaginer une alternative au statu quo, et les politiciens et les citoyens étaient résignés à maintenir le prétexte d'une société qui fonctionnait. Au fil du temps, cette illusion est devenue une prophétie auto-réalisatrice et la fausseté a été acceptée par tout le monde comme réelle, un effet que Yurchak a appelé l'hypernormalisation.
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RépondreSupprimerLe plan ci-dessus est tiré de Wikipedia. Le terme a été inventé par le dissident soviétique Alexei Yurchak et plus tard transformé en documentaire par le cinéaste britannique Adam Curtis.
Dans le prochain épisode, je vais vous parler de la fois où les médias grand public ici au Canada ont essayé de me recruter pour participer à la construction de «nouvelles» purement fabriquées. C’est la raison pour laquelle j’ai cessé de donner des interviews aux médias après 2010. Et nous ne parlons pas non plus d’éléments marginaux indépendants, dans le billet de suivi, je vais vous parler de deux incidents impliquant la CBC et Global News.
https://www.zerohedge.com/political/quick-whats-difference-between-fake-news-and-hypernormalisation
Le comté de Los Angeles fait état de 81 nouveaux décès dus à des coronavirus, de loin le total le plus élevé sur une journée
RépondreSupprimerPar ALEX WIGGLESWORTH, PATRICK MCGREEVY, JACK DOLAN, ANITA CHABRIA
18 AVRIL 20202: 44 PM MISE À JOUR 20:26 PM
Le comté de Los Angeles a rapporté samedi 81 nouveaux décès liés au COVID-19, le bilan de mortalité par jour le plus élevé du comté dû à la maladie.
"Aujourd'hui marque une étape très triste pour notre comté", a déclaré Barbara Ferrer, directrice de la santé publique du comté, dans un communiqué. «Nous signalons le nombre le plus élevé de décès dus à COVID-19 depuis un jour depuis le début de la pandémie, et nos plus sincères condoléances vont à toutes les personnes qui pleurent la perte de leurs proches.»
Au cours de la dernière semaine, les décès parmi les résidents du comté de L.A. ont à peu près doublé et s'élèvent maintenant à plus de 570, a-t-elle déclaré.
Parmi les personnes décédées le plus récemment, 56 avaient plus de 65 ans, 18 avaient 41 à 65 ans et une personne avait 18 à 40 ans, a déclaré Ferrer. Soixante-trois des personnes avaient des problèmes de santé sous-jacents.
Le comté a également annoncé 642 nouveaux cas de coronavirus samedi. Long Beach, qui possède son propre service de santé, a signalé samedi un nouveau décès et 30 nouveaux cas, pour un total de 12051 cas et 577 décès dans le comté de L.A.
"Nous sommes particulièrement préoccupés par le nombre écrasant de résidents résidant dans nos maisons de soins infirmiers qui sont décédés", a déclaré Ferrer, notant qu'elle a demandé le soutien de l'État et du gouvernement fédéral pour garantir la sécurité des maisons de soins infirmiers.
«Cela comprend la demande de personnel supplémentaire et d'EPI [équipement de protection individuelle], une capacité accrue de tester les résidents et les employés, et des améliorations de la capacité de contrôle des infections dans les maisons de soins infirmiers», a-t-elle déclaré.
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Les maisons de soins infirmiers sont devenues un foyer tragique de la pandémie de coronavirus, leurs résidents âgés, dont beaucoup ont des problèmes de santé sous-jacents, représentant un pourcentage élevé de décès dus au COVID-19 à travers le pays.
Pour la première fois, les responsables du département de la Santé de Californie ont détaillé samedi les noms des maisons de soins infirmiers à travers l'État avec des épidémies de COVID-19 et le nombre de cas dans chaque établissement.
Le California Health Department répertorie 261 établissements de soins infirmiers qualifiés à travers l'État avec plus de 3 000 cas positifs parmi les résidents et le personnel. Le site Web du ministère de la Santé a déclaré que la liste était un instantané représentant 86% des 1 224 établissements de soins infirmiers spécialisés de l'État qui ont communiqué des données au cours des dernières 24 heures.
L'augmentation du nombre de cas dans le comté de Los Angeles intervient alors que les responsables continuent de redoubler d'efforts pour améliorer l'accès aux tests.
RépondreSupprimerPlus de 76 000 résidents ont été testés et ont reçu leurs résultats samedi, dont environ 14% étaient positifs, a déclaré Ferrer.
De nouveaux sites de test ouvriront lundi à Bell, au Beverly Community Hospital de Montebello et au PIH Health Good Samaritan Hospital de MacArthur Park, a déclaré la superviseure du comté, Hilda Solis.
L.A.court pour sauver 15000 sans-abri du coronavirus - une chambre d'hôtel à la fois
18 avril 2020
Un site de tests de conduite à l'hôpital PIH Health Whittier ouvrira également lundi, ont annoncé samedi des responsables du comté. Tout résident présentant des symptômes de COVID-19 peut prendre rendez-vous, ont-ils déclaré.
Les gens resteront dans leurs voitures pour des tests, qu'ils administreront eux-mêmes en se tamponnant la gorge à l'aide des instructions fournies sur place, ont déclaré des responsables. Les résultats seront fournis dans les deux à trois jours, a indiqué le comté.
"L'augmentation de notre capacité de test et la garantie d'un accès facile aux tests pour les résidents nous aident à comprendre la propagation de ce virus et seront essentielles pour assouplir les restrictions le moment venu", a déclaré la superviseure du comté, Janice Hahn, dans un communiqué.
Pour l'instant, l'ordre de séjour à la maison du comté reste en vigueur, et les responsables disent qu'il est essentiel que les résidents continuent de se conformer afin de ralentir la propagation du virus. Dans la ville de Los Angeles et bien d'autres, les résidents sont également tenus de porter des masques lorsqu'ils quittent leur domicile pour visiter les épiceries, les pharmacies et d'autres établissements afin de profiter des services essentiels.
Plusieurs villes du comté d'Orange ont adopté des règles similaires exigeant des couvre-visages.
À Brea, un cadeau de masque facial accessible au volant a entraîné une telle congestion routière samedi que la police a fermé les voies de virage et a conseillé aux gens de prendre des itinéraires alternatifs.
Le cadeau a eu lieu chez AST Sportswear sur Imperial Highway près du boulevard Kraemer, a déclaré le service de police de Brea sur Twitter. La société aurait distribué 20 000 masques.
Le comté d'Orange a enregistré quatre décès supplémentaires et 63 nouveaux cas samedi, pour un total de 1 556 cas, dont 32 décès. Au total, 155 personnes ont été hospitalisées, dont 59 dans des unités de soins intensifs. Samedi, 17 616 personnes avaient été testées, dont 1 245 entre vendredi et samedi seulement, a rapporté le comté.
Dans le comté de Riverside, les gens doivent porter un couvre-visage lorsqu'ils quittent leur domicile pour une raison quelconque. Le comté a signalé samedi cinq autres décès et 145 autres cas de coronavirus pour un total de 72 décès et 2602 cas. Parmi ceux-ci, 215 personnes ont été hospitalisées, dont 69 dans des unités de soins intensifs. Un total de 32 779 résidents avaient été testés, samedi.
Les autorités ont également interdit les rassemblements publics et privés de toute taille et interdit aux établissements d'hébergement de courte durée de fonctionner jusqu'au 19 juin.
Vendredi, les autorités du comté ont rappelé aux gens d'éviter les voyages récréatifs dans les communautés de montagne. En particulier, ils ont averti que les députés du shérif garderaient un œil attentif sur la ville d'Idyllwild ce week-end après que le bureau du superviseur du comté Chuck Washington ait reçu des plaintes de résidents qui avaient vu des visiteurs le week-end précédent.
RépondreSupprimer"J'ai été profondément troublé d'apprendre que les gens ont manifestement défié les ordonnances de séjour à la maison de l'État et du comté le week-end dernier et ont mis en danger la santé et la sécurité des résidents d'Idyllwild", a déclaré Washington dans un communiqué. "J'ai demandé au shérif Bianco de prêter une attention particulière aux zones de montagne ce week-end et d'être à la recherche de visiteurs non essentiels."
Dans tout l'État, 87 autres personnes sont mortes dans la période de 24 heures se terminant vendredi soir, ce qui porte le nombre total de morts à 1 072 en Californie, a déclaré samedi le gouverneur Gavin Newsom.
"Pour ceux qui pensent que nous sommes sortis du bois ... Je vous mets en garde sur la base de ce nombre 87", a déclaré Newsom. «Cela représente l'un des décès les plus élevés que l'État ait connus depuis le début de ce processus.»
Vendredi soir, le nombre de personnes hospitalisées au COVID-19 en Californie était passé à 3 221, une augmentation de 1,3% par rapport à la veille. Au total, 1 173 de ces patients se trouvaient dans des unités de soins intensifs, soit une baisse de 0,1% par rapport à la veille, a déclaré Newsom.
Les fonctionnaires considèrent ces statistiques comme des indicateurs clés pour savoir si les règles de distanciation sociale de l’État font une différence et dans quel délai elles peuvent être assouplies.
"Je fais référence aux nombres d'hospitalisation et de soins intensifs comme des chiffres très, très importants pour déterminer quand nous pouvons commencer à assouplir les ordonnances de séjour à domicile", a déclaré Newsom. «Nous avons certainement aplati la courbe. La question est de savoir quand allons-nous voir ces chiffres commencer à diminuer de manière cohérente, par opposition à une base épisodique comme nous l'avons vu au cours de la semaine dernière. »
Le gouverneur Gavin Newsom nomme six objectifs à atteindre pour lever l'ordre des coronavirus en Californie
14 avril 2020
Newsom a eu des conseils samedi pour les gens contrariés par les ordres, dont certains ont commencé à organiser des manifestations publiques, dont un vendredi à Huntington Beach.
"Je veux juste encourager les gens à dire que lorsque vous pratiquez votre liberté d'expression, que je n'embrasse pas [simplement], je le célèbre, faites-le en toute sécurité", a-t-il déclaré. «Ce virus ne connaît aucune idéologie politique. Il ne sait pas si vous êtes républicain ou démocrate, que vous soutenez le président, que vous vous opposez au président, alors pratiquez la distance physique. "
Le gouverneur a déclaré qu'il ne se laisserait pas influencer par les protestations publiques lorsqu'il déciderait de rouvrir l'État.
"Nous allons faire la bonne chose, pas juger par la politique, pas par les protestations, mais par la science."
Au moins un comté annulait déjà certaines fermetures forcées par la pandémie.
RépondreSupprimerLe comté de Ventura a rouvert les parcs du comté à 17 h Vendredi. Les terrains de jeux, les courts de tennis, les centres communautaires, les terrains de camping et les terrains de golf sont demeurés fermés.
Les responsables du comté ont déclaré dans un communiqué de presse qu'ils avaient pu rouvrir les espaces publics parce que les résidents «se sont montrés très coopératifs pour se conformer» aux ordres de santé publique de rester chez eux.
"Il s'agit d'une étape sur la voie de la réouverture", a déclaré Mike Powers, directeur général du comté, dans un communiqué.
Vendredi après-midi, le comté de Ventura avait notifié 396 cas et 13 décès.
https://www.latimes.com/california/story/2020-04-18/l-a-county-reports-81-new-coronavirus-deaths-the-highest-one-day-toll-by-far
Le comté de Los Angeles souffre le jour le plus meurtrier à ce jour alors que COVID-19 tue 81: mises à jour en direct
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 19:20
Résumé:
Le nombre de morts en Espagne dépasse 20 000, rejoignant les États-Unis et l'Italie
Un rapport indique que 7 500 personnes sont décédées dans les foyers de soins du Royaume-Uni
Le nombre total de cas aux États-Unis dépasse 700 000 décès, près de 40 000 décès
NYPost affirme que les décès dans les maisons de retraite à New York n'ont pas été recensés
L'Afrique du Sud enregistre la plus forte augmentation quotidienne à ce jour
LA fait état d'un bond record des décès
L'Espagne prolonge le verrouillage de 2 semaines
L'Arabie saoudite enregistre de nouveaux cas record pour le 4e jour consécutif
Cali publie des données sur les flambées de maisons de soins infirmiers
NJ Gov: "nous aplatissons la courbe"
La Suède signale 606 nouveaux cas
La Belgique rapporte plus de 1000 cas
Cali rapporte la dernière mise à jour
Cuomo rapporte moins de 500 décès à New York
Le total des cas au Japon passe 10 000
L'Italie signale une baisse du nombre de nouveaux cas, de décès et d'hospitalisations
La chaîne de télévision de Phoenix met en garde contre le sous-dénombrement des décès
Le Dr Fauci dit que les tests ne sont pas tout lors de la réouverture des états
Le bilan des morts en Iran dépasse les 5 000 k alors que la réouverture du pays commence
Le Royaume-Uni rapporte environ 900 décès
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Mise à jour (1910ET): A peine avons-nous mis en évidence l'éruption de nouveaux décès et de cas signalés dans les maisons de retraite en Californie que le comté de LA a révélé qu'il avait subi sa séquence la plus meurtrière à ce jour au cours des dernières 24 heures, faisant état de 81 décès, avec un énorme bond en nombre de cas (642).
Cela porte le total à 576 décès et 12 021 cas.
Dans un communiqué, la Dre Barbara Ferrer, directrice du Département de la santé publique, a spécifiquement cité les maisons de soins infirmiers comme source de préoccupation particulière pour les responsables de la santé du comté.
"Aujourd'hui marque une étape très triste pour notre comté, nous signalons le nombre le plus élevé de décès dus à COVID-19 depuis un jour depuis le début de la pandémie, et nos plus sincères condoléances vont à chaque personne pleurant la perte de son être cher" », a-t-elle déclaré dans un communiqué.
Elle a également souligné que le nombre de décès dans le comté avait doublé en une semaine, une tendance qui a été observée dans d'autres points chauds du pays.
"Au cours de la semaine dernière, nous avons doublé le nombre de décès parmi les résidents du comté de Los Angeles", a-t-elle déclaré. "Nous sommes particulièrement préoccupés par le nombre écrasant de résidents qui sont décédés dans nos maisons de soins infirmiers."
Ferrer a indiqué qu'elle avait demandé un soutien supplémentaire aux gouvernements des États et fédéral pour garantir que les maisons de soins infirmiers soient aussi sûres que possible pour les résidents et les employés.
"Cela comprend la demande de personnel supplémentaire et d'EPI, une capacité accrue de tester les résidents et les employés, et des améliorations de la capacité de contrôle des infections dans les maisons de soins infirmiers", a-t-elle expliqué.
RépondreSupprimerSur les 576 décès au total, 89% avaient des problèmes de santé sous-jacents, a déclaré Ferrer. Des informations sur la race et l'origine ethnique étaient disponibles pour 498 victimes, soit environ 93%. Parmi les personnes décédées, 36% étaient des résidents de Latinx, 29% étaient blancs, 17% étaient asiatiques, 16% étaient afro-américains et 3% identifiés comme d'autres races.
En dehors des États-Unis et de l'Europe, l'Afrique du Sud a signalé 251 nouvelles infections à COVID-19, son plus gros saut d'une journée à ce jour, portant son total à 3 034 cas.
Lentement mais sûrement, le virus se propage à travers l'Afrique.
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Mise à jour (1600 ET): la Californie a signalé 87 nouveaux décès, portant son total à 1 072 dans tout l'État.
Regardez le point de presse de Gov Newsom ci-dessous:
La Californie a confirmé 28 963 cas de COVID-19, a déclaré Newsom. De ce nombre, 3 221 de ces cas se trouvent dans nos hôpitaux, dont 1 173 en soins intensifs.
Pendant ce temps, alors que la question des épidémies dans les maisons de soins infirmiers et le manque de transparence et de responsabilité deviennent un problème international, le LAT a rapporté plus tôt samedi que le ministère de la Santé de l'État de Californie avait publié de nouveaux chiffres sur les épidémies dans les maisons de soins infirmiers, reflétant une décision plus tôt par l'État de New York.
Plus de 30% des patients décédés dans le comté de LA étaient des résidents d'établissements de soins assistés, tandis que plus de 70% des décès à Long Beach étaient des résidents de maisons de soins infirmiers. Le California Health Department a répertorié les noms de 261 établissements de soins infirmiers qualifiés à travers l'État avec plus de 3 000 cas positifs parmi les résidents et le personnel. Cependant, le «cliché» ne comprenait que 86% des 1 224 établissements de soins infirmiers spécialisés de l'État qui ont communiqué des données au cours des dernières 24 heures.
L'une des maisons les plus touchées a été Brier Oak on Sunset à Los Angeles, où 80 résidents et 62 membres du personnel ont été testés positifs. Le centre de convalescence Country Villa South à Palms a eu 58 patients et 15 membres du personnel infectés, tandis que le centre de réadaptation Garden Crest à Silver Lake en a compté 35 chacun.
Plus tôt, nous avons noté le saut géant d'aujourd'hui dans le total des cas de Singapour, illustrant à quel point l'idée de rouvrir l'économie semble ridicule en ce moment.
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- voir graphique sur site -
Mise à jour (1545ET): le gouverneur de l'Illinois JB Pritzker tient le point de presse d'aujourd'hui ...
L'État a également signalé 1 259 nouveaux cas et 125 nouveaux décès, ce qui porte son nombre total de cas à 30 000 et son nombre de morts à 1,5 000.
Alors que nous attendons plus de nouvelles de Springfield, ainsi que des capitales d'autres États du Midwest et de la côte ouest, voici un rappel des bonnes nouvelles d'aujourd'hui de New York:
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Mise à jour (1540ET): Cuomo a finalement publié les nouveaux numéros de cas pour samedi, signalant 7 090 nouveaux cas, portant le total à 13 362. Comme nous l'avons signalé plus tôt, l'État n'a confirmé que 540 décès liés aux coronavirus jeudi, le nombre le plus bas depuis le 1er avril.
Total de 236 732 cas et 13 362 décès.
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Mise à jour (1445ET): Encore une fois, comme prévu, l'Espagne a officiellement prolongé ce qui a été un verrouillage de cinq semaines contre les coronavirus jusqu'au 9 mai, ajoutant encore deux semaines, mais prévoit de relâcher le verrouillage, l'un des plus stricts au monde, à permettre aux enfants de quitter leur foyer avant la fin de ce mois.
Parallèlement, dans une nouvelle accélération alarmante de nouveaux cas, la Suède a signalé 606 cas de COVID-19 au cours des dernières 24 heures et 111 décès, ce qui porte son total à 13 822 cas et 1 511 décès.
Sanchez a déclaré samedi soir dans une adresse qu'il demanderait au Parlement de proroger l'état d'alerte, ce qui a conféré à Sanchez le pouvoir unilatéral extraordinaire - certains pourraient dire presque fasciste - d'imposer et d'appliquer le verrouillage, que l'Espagne a supprimé, abaissant considérablement le nombre de cas nouvellement confirmés, même si les décès sont restés obstinément élevés.
Dans le New Jersey, la propagation du coronavirus a continué de ralentir, car les hôpitaux ont signalé plus de patients quittant qu’entre.
Lors d'une conférence de presse samedi, le gouverneur Phil Murphy a déclaré: "Nous aplatissons la courbe" ... ajoutant que le New Jersey a enregistré un taux plus lent de nouvelles infections et un taux plus lent de nouvelles hospitalisations ... des progrès, même s'il y a encore un long chemin à parcourir.
Alors que nous cherchons plus de signes que le nombre de morts ou le nombre de cas aux États-Unis pourrait être sous-estimé par milliers, nous avons trouvé un rapport diffusé par une station de nouvelles de la région de Phoenix affirmant que les premiers intervenants n'ont pas de protocole pour signaler les cadavres soupçonnés de mourir de COVID-19, ce qui signifie que des dizaines de ces cas - les pompiers de la ville ont signalé un pic sans précédent de rapports de cadavres, probablement en raison de COVID-19 - ne sont pas marqués comme des décès liés à COVID-19.
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Mise à jour (1350ET): Dans son dernier troll vers des États démocrates comme NY exigeant davantage du gouvernement fédéral (et, semble-t-il, des républicains en général), le président Trump a tweeté cette photo d'une cargaison de ventilateurs à distribuer aux États.
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Mise à jour (1330ET): Même si le nombre de nouveaux cas en Italie a ralenti, un bond au Royaume-Uni et en France a contribué à faire passer le total des cas européens au-delà de 1 000 000 samedi.
La France semble être le prochain pays à voir son nombre de cas dépasser les 150 000 et les décès confirmés au-delà de 20 000.
RépondreSupprimerLa France a enregistré 642 décès supplémentaires au cours des dernières 24 heures, ont annoncé samedi des responsables de la santé, ce qui porte le total national à 19323, le quatrième total le plus élevé au monde, bien que le nombre de personnes hospitalisées ait diminué pour un quatrième jour consécutif. L'autorité française de santé publique a déclaré dans un communiqué que le nombre total de patients dans les unités de soins intensifs à travers le pays avait également diminué pour le 10e jour de suite à 5833 - le niveau le plus bas depuis le 31 mars.
La France est virtuellement bloquée depuis le 17 mars dans le cadre des efforts visant à enrayer l'épidémie.
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Alors que la Corée du Sud se prépare pour le début de la saison de baseball avec la perspective de conquérir des légions de nouveaux fans américains, les responsables de la santé du pays ont signalé samedi 18 nouveaux cas de coronavirus, dont 9 auraient été importés. Il s'agit du total le plus bas depuis février et des dernières preuves que les autorités locales du comté de Westchester, de la banlieue de Seattle et de certaines parties de la Californie peuvent et ont pris les bons États pour supprimer l'épidémie. La Chine a également signalé un faible total samedi, avec plus de la moitié des cas importés, tandis que Singapour, dans son rapport le plus alarmant à ce jour, a confirmé 942 nouveaux cas de coronavirus, portant son total à 5 ??992 cas au total, soit une augmentation d'environ 15% en un jour et le plus grand saut d'une journée de loin. Juste au moment où les observateurs pensent que l'épidémie a fini de s'accélérer, encore plus de cas sont signalés alors que les responsables commencent à craindre que presque tous les travailleurs migrants vivant dans des gratte-ciel densément peuplés dans certaines parties de la cité-état aient été infectés.
À NY, Cuomo a déclaré qu'il y avait "environ" 2 000 cas confirmés au cours de la dernière journée, environ même avec les dernières semaines. Cuomo a également continué de dénigrer le gouvernement fédéral au sujet de ce qu'il a décrit comme une pénurie critique de tests.
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Mise à jour (1240ET): de bons chiffres viennent d'être signalés en provenance d'Italie.
Dans tout le pays, les autorités ont signalé 3 491 nouveaux cas et 482 nouveaux décès, ce qui porte le total des cas à 175 925 et à 23 227 décès. Par rapport à hier, cela marque une baisse du nombre de nouveaux cas et de décès, tandis que le nombre de patients hospitalisés et le nombre en soins intensifs ont également diminué.
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Pendant ce temps, 45 000 personnes se sont remises de la maladie - dont une poignée de centenaires - en Italie.
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En repensant à la conférence de presse de Cuomo, il semble que le chiffre le plus important signalé du jour au lendemain soit la baisse continue des hospitalisations.
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Bien sûr, le rythme des nouvelles hospitalisations est resté stable par rapport à hier, mais plus de décès et de récupérations, combinés à moins de nouveaux cas, signifient moins de stress pour les hôpitaux de New York, dont la plupart voyaient la capacité étirée assez mince.
Encore une fois, la Belgique a signalé samedi plus de 1000 nouveaux cas en 24 heures, avec 1045 nouveaux cas de virus et 290 nouveaux décès, pour un total de 37183 cas et 5453 décès, comme la Belgique, les Pays-Bas et plusieurs autres pays d'Europe, ainsi que la Russie, signalent une accélération surprenante du virus.
Aux États-Unis dans son ensemble, plus de 700 000 cas ont été confirmés, ainsi que plus de 35 000 décès.
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Mise à jour (1220ET): Le président Trump a probablement réussi à tuer deux oiseaux avec une pierre en déléguant le contrôle du processus de réouverture aux gouverneurs: il a fait ce qui semble vraiment être la meilleure décision pour le pays, et la décision la plus politiquement acceptable. Pour une fois pendant la présidence de Trump, ces deux impératifs étaient évidemment et dramatiquement alignés, et le président - sentant probablement une tonne de pression du public pendant un moment déterminant (c'est tout pour les livres d'histoire) - a surmonté son inclination naturelle envers parfois -confrontation sans relâche, et a pris du recul.
Cependant, en collant son nez dans le processus et en commentant - comme il l'a fait hier avec une série de tweets appelant les gouverneurs à "LIBÉRER!" certains États - il met en danger ce qui était vraiment une grande victoire pour lui et sa campagne (sans parler du pays).
Interrogé sur les manifestations qui se déroulent dans les capitales des États du pays, le président a offert un encouragement tacite, qualifiant la foule de "personnes très responsables".
Bien que ces foules soient probablement remplies de ses partisans, et Trump n'a jamais hésité à crier en échange de gestes de loyauté, en ce moment, il serait probablement mieux servi en restant silencieux et en se concentrant sur la vraie tâche à accomplir: comment est son administration va reconstituer le «PPP» et travailler avec les États pour rouvrir les États-Unis d'une manière qui ne provoque pas le retour de l'épidémie.
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Mise à jour (1215ET): Le Gouverneur de New York, Andrew Cuomo, organise un point de presse quotidien samedi.
Conformément à la pratique établie, Cuomo a révélé le nombre de décès liés au COVID-19 enregistrés dans tout l'État au cours des dernières 24 heures. Heureusement, il a fait état de moins de 500 décès, marquant un ralentissement par rapport aux sommets atteints la semaine précédente.
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Mise à jour (1155ET): Comme prévu, les États-Unis et le Canada ont convenu de prolonger la fermeture de leur frontière commune, car l'épidémie mondiale de coronavirus a maintenant rendu malade plus de 2,2 millions de personnes et tué environ 155 000 personnes.
Voici plus à ce sujet du FT:
Le Canada et les États-Unis prolongeront leur accord de fermeture de la frontière pour au moins 30 jours supplémentaires, a déclaré le Premier ministre Justin Trudeau. La frontière de près de 9 000 km est fermée, sauf pour le commerce, les travailleurs essentiels et les citoyens rentrant chez eux. L'accord est "un autre exemple de l'excellente collaboration entre nos deux pays", a déclaré samedi M. Trudeau du Canada lors de son briefing quotidien.
Au Royaume-Uni, les responsables de la santé ont signalé près de 900 décès supplémentaires liés au COVID-19 au cours des dernières 24 heures, selon le ministère de la Santé et des Affaires sociales.
Bien que le taux de nouveaux cas soit resté stable à environ 5 000.
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Les investisseurs ont applaudi et les experts ont osé spéculer sur le fait que le pire pourrait être survenu vendredi soir après que les actions américaines ont terminé la semaine avec une reprise éclatante à la clôture (une reprise qui, malheureusement, semble avoir été tirée par un optimisme déplacé chez les investisseurs de détail, tandis que la couverture les fonds qui étaient longtemps GILD ont encaissé).
RépondreSupprimerUn rapport sommaire présentant des résultats prometteurs inattendus d'une étape d'une étude internationale sur le remdesivir anitviral de Gilead, un médicament qui a été développé pour traiter l'ébola mais qui n'a pas été approuvé par la FDA pour traiter ... eh bien ... quoi que ce soit. C'est pourquoi plusieurs essais de patients sont menés à travers le monde, pour essayer de déterminer dès que possible si cela pourrait être le 'remède miracle' Trump et tout le monde espérait. Quelques jours seulement après que les responsables du PCC ont fermé deux essais en Chine continentale en raison d'une «pénurie» de «patients éligibles» (probablement une ruse hilarante), Statnews a rapporté jeudi soir qu'un essai à l'Université de Chicago avait essentiellement guéri tous les patients de l'essai sauf pour 2.
Le marché a pris cette histoire et a couru avec elle, ignorant les avertissements de Gilead lui-même que la connotation des données avait été exagérée par l'histoire, et qu'il ne s'agit que d'un essai parmi tant d'autres, les preuves de l'efficacité du médicament restant principalement 'anecdotiques'. Le remdesivir a été administré à suffisamment de patients atteints de COVID-19 à ce stade que, si le médicament était vraiment un «remède miracle», les médecins l'auraient déjà su.
Grâce à une révision des nouveaux chiffres couplée à une vague de décès aux États-Unis et au Royaume-Uni qui ont vidé les lits d'hôpitaux et les unités de soins intensifs, tout en restant probablement bien en deçà des chiffres 'réels', il semble que le monde sur le point de connaître une rapide augmentation du nombre de morts dans le monde, qui a dépassé les 150 000 vendredi. Tard jeudi soir, les États-Unis ont signalé une augmentation massive des décès au cours des dernières 24 heures, provoquée par le NJ, NY et le Michigan, ainsi que plusieurs autres des États les plus touchés.
Éclaboussée sur la première page de l'édition du samedi du Telegraph est une histoire affirmant que le nombre de décès dans les maisons de soins infirmiers est ~ 3,700 % plus élevé que les chiffres du gouvernement ne le reflètent.
Citant une enquête apparemment faisant autorité - quoique 'non officielle' auprès des patients de l'une des plus grandes associations de foyers de soins du Royaume-Uni, le Telegraph a affirmé que jusqu'à 7500 patients âgés sont décédés de COVID-19 dans des maisons de soins infirmiers et d'autres établissements de vie assistée à travers le Royaume-Uni. Cela contraste avec les quelque 217 décès dans les foyers de soins enregistrés par le Bureau des statistiques nationales, qui est responsable de la compilation des données pour le ministère de la Santé et des Affaires sociales. Il est également environ 5 fois supérieur à une estimation précédente de 1 400 publiée par l'organisation plus tôt cette semaine.
Dans le monde, plus de 2,2 millions de cas de COVID-19 ont été confirmés et près de 155 000 sont décédés samedi matin aux États-Unis. Et les décès ont continué à s'accélérer, même si le rythme des nouveaux cas signalés a ralenti.
- voir carte sur site -
Source: FT
Ce rapport initial a contribué à déclencher une conversation nationale sur le sous-dénombrement dans les maisons de retraite britanniques, qui est devenu un énorme problème pour le secrétaire à la Santé Matt Hancock alors que Boris Johnson continue de se remettre du COVID-19 (Hancock était également infecté).
Selon la dernière estimation, le Telegraph a appris que le nombre de résidents des foyers de soins qui sont décédés de suspicion de coronavirus a atteint 7 500.
RépondreSupprimerDe nouvelles données rassemblées par Care England, le plus grand organisme représentatif du pays pour les maisons de soins, suggèrent que le nombre de décès dus à Covid-19 est beaucoup plus élevé que son estimation précédente de 1400 par rapport au début de la semaine.
Le nombre est également bien en avance sur le chiffre officiel de l'Office des statistiques nationales (ONS), qui a enregistré 217 décès dus au virus dans les maisons de soins jusqu'au 3 avril - la date la plus récente pour laquelle des données officielles sont disponibles.
Bien sûr, sans tests, il serait extrêmement difficile de dire avec un certain degré de certitude combien de personnes sont décédées. La seule chose qui semble presque certaine, c'est que le numéro officiel est une grave sous-représentation.
L'idée que les décès ont presque certainement été sous-estimés non seulement au Royaume-Uni, mais aussi aux États-Unis, en Espagne et dans le monde est devenue un scandale majeur dans certains pays, car cela a beaucoup de sens. Les États-Unis ne sont pas les seuls à ne pas avoir suffisamment de tests: les pénuries abondent; même la Chine a connu des difficultés pendant des mois et exagère probablement encore sa capacité de test réelle. Plus tôt cette semaine, le maire de New York, Bill de Blasio, a ajouté près de 4k décès au tableau qui comprenait des patients décédés à la maison ou décédés à l'hôpital des symptômes de COVID-19, mais n'ont jamais été testés.
Lorsque les approvisionnements sont limités, le gaspillage de ressources précieuses sur les morts uniquement à des fins de tenue de registres ne semble guère raisonnable, et nous pouvons comprendre pourquoi les hôpitaux ne voudraient pas gaspiller ces ressources. Nous le comprenons - et tout le monde devrait le faire aussi. La révision de De Blasio a fait suite à la pression du NYT. Pas plus tard qu'hier, les autorités sanitaires de Wuhan ont "révisé" ses chiffres officiels, affirmant que la décision avait été prise alors que les autorités concilient les chiffres entre les différents ensembles de données, etc. en février et mars.
L'OMS s'est rapidement mobilisée pour défendre la décision, affirmant que Pékin ne se reposera tout simplement pas tant qu'il ne sera pas responsable de chaque décès lié au COVID-19. Une grande partie du monde, y compris - bien sûr - le président Trump, mais aussi de nombreux critiques persistants de Trump, soupçonne la Chine d'avoir sous-estimé le nombre de cas et de décès à Wuhan de plusieurs ordres de grandeur, pas de quelques milliers. Tu as vu les photos, tu te souviens? Les gens tombaient littéralement morts dans les rues - c'est ainsi que les hôpitaux de Wuhan étaient submergés à l'époque. La vidéo montrait des patients mourants gisant dans les couloirs de l'hôpital et étalés dans des salles bondées. Les preuves étaient si évidentes que même le PCC, qui avait permis à des milliers de journalistes étrangers d'entrer dans la ville, ne pouvait pas le cacher. En fait, en termes de suppression des informations, il semble que la meilleure chose à faire à Wuhan était de «faire disparaître» quelques journalistes citoyens locaux.
En Espagne, l'opposition accuse le gouvernement dirigé par les socialistes du Premier ministre Pedro Sanchez d'être insouciant dans la réouverture du pays, un processus que l'Espagne a déjà commencé provisoirement, et accusant le gouvernement de mentir délibérément au sujet des morts. Le ministère de la Santé du pays a fait état de nouvelles plus consternantes samedi, le nombre de morts dans le pays dépassant les 20 000, alors que le nombre de nouveaux cas signalés chaque jour est la moitié de ce qu'il était il y a deux semaines. Avec un taux de mortalité d'environ 10%, l'épidémie d'Espagne est devenue l'une des plus meurtrières au monde.
Et ce n'est que le troisième pays (après les États-Unis et l'Italie) à signaler plus de 20 000 décès.
RépondreSupprimerComme le souligne un Twitter:
Selon le ministère de la Santé, le nombre de nouveaux cas de coronavirus en Espagne a augmenté de 4 499 personnes au cours des dernières 24 heures, ce qui porte le total du pays à 191 726 alors que le gouvernement continue de "revoir" son processus de communication des données. Le bilan officiel des morts est désormais de 20 043 morts, puisque 565 autres personnes seraient mortes au cours des dernières 24 heures. Cela correspond à peu près aux données de cette semaine, bien que le ministère n’ait pas clarifié les écarts dans le nombre de décès signalés hier.
De l'autre côté de l'Atlantique, le New York Post a rapporté dans son édition de samedi que l'épidémie avait ravagé les maisons de soins infirmiers de la ville à un degré si horrible que même les révisions de de Blasio plus tôt cette semaine ne l'ont pas entièrement couvert. Citant de nouvelles données publiées vendredi par le ministère de la Santé de l'État de New York (probablement, nous soupçonnons, remises au NYP pour saper de Blasio), le journal a cité plusieurs exemples alarmants que nous imaginons que le maire sera contraint de traiter lors de son prochain point de presse .
Dans un établissement de Brooklyn - le Cobble Hill Health Center - 55 patients sont décédés pendant l'épidémie, le nombre d'établissements uniques le plus élevé de tout l'État. 45 patients du Kings Harbour Multicare Centre dans le Bronx sont décédés, le deuxième bilan de mortalité parmi les foyers de soins de la ville. 40 autres personnes sont décédées au Holliswood Center for Rehabilitation dans le Queens. Vous commencez à obtenir l'image ?
Voici les dernières données ventilées par le NYP ...
La ventilation partielle ne comprend que 72 maisons de soins infirmiers à travers l'État qui ont déclaré plus de cinq décès. Parmi ceux-ci, 42 ont signalé au moins 10 décès. L'État de New York compte plus de 600 maisons de soins infirmiers.
Plus de 1 100 résidents sont morts au total dans ces 72 établissements.
Dans l'ensemble, 3 316 résidents âgés résidant en soins infirmiers sont décédés dans des maisons de soins infirmiers, des garderies pour adultes ou des hôpitaux de COVID-19. Sur ce total, le virus a tué 2 056 résidents en soins infirmiers à New York.
Il y a 6 475 cas confirmés de COVID-19 positifs dans les foyers de soins agréés.
... et pour prouver que même ces chiffres sont encore terriblement incomplets, le Post a ajouté que plusieurs maisons de la ville qui auraient subi des dizaines de morts n'étaient même pas répertoriées dans la base de données de l'État.
Mais deux autres maisons de soins infirmiers soulignées par The Post comme ayant des dizaines de décès combinés au milieu de la pandémie - le château de Brooklyn Rehabilitation & Nursing Center à Sheepshead Bay et le King David Center for Nursing and Rehabilitation à Gravesend - ne figuraient pas dans le décompte.
Cuomo a signé vendredi un ordre exécutif exigeant que ces installations signalent les décès aux familles dans les 24 heures pour éviter le genre de terrible confusion qui s'est produite dans une maison de soins infirmiers de banlieue de Seattle à Kirkland qui s'est retrouvée au centre de la première épidémie de l'État de Washington.
Bien qu'une abondance de tests aurait certainement aidé les autorités sanitaires du monde entier à mieux suivre les cas et les décès, le fait demeure que, pour l'avenir, le Dr Fauci, le Dr Birx et leur équipe pensent que les États-Unis approchent maintenant des tests. capacité dont nous avons besoin pour certaines parties du pays pour entrer dans les phases initiales de la réouverture, ce qui, rappelez-vous, est tout ce qu'ils prévoient actuellement de faire. Pour toutes les discussions sur le redémarrage avant mai, il semble que le 1er mai soit une vraie ligne dans le sable pour la plupart des États. Et le président Trump a attaqué à plusieurs reprises Cuomo (lors de la conférence de presse de la nuit dernière et dans des tweets envoyés plus tôt dans la journée) pour se plaindre trop du 'manque' de tests, soulignant que l'État avait fait de même en se plaignant du manque de lits et de ventilateurs, seulement pour constater que la distanciation sociale a mieux fonctionné que les projections indiquées.
RépondreSupprimerCe n'est la faute de personne, et c'est une victoire absolue pour l'Amérique. Mais les gouverneurs et les médias traditionnels doivent-ils conclure un accord aussi massif sur la pénurie de tests ? Le sénateur Angus King, un indépendant du Maine qui fait partie des caucus avec les Dems, a accusé le vice-président Pence de "manquement à ses devoirs" lors d'un appel téléphonique hier soir, un commentaire qui a rapidement été divulgué et diffusé dans la presse.
Parlant de sous-dénombrement, les autorités sanitaires japonaises ont rapporté samedi que le nombre de cas confirmés dans le pays avait finalement dépassé les 10 000, rapporte NHK.
Le nombre de cas continue de grimper dans des marges stupéfiantes quelques jours seulement après que le PM Abe a étendu l'état d'urgence à toute la nation dans le but de ralentir la propagation du virus et a promis de distribuer près de 1000 dollars en yens japonais à l'ensemble du pays. Il a supplié les Japonais de rester à l'intérieur alors que les cas signalés à Tokyo atteignaient un record. Abe a également exprimé ses craintes quant à la propagation du virus dans les maisons de retraite, mais étant donné la grande population de personnes âgées au Japon, son taux de mortalité officiel - bien en dessous de 1% - semble beaucoup trop faible pour être réaliste.
Enfin, une nouvelle étude sur le comté de Santa Clara a trouvé des données étonnantes suggérant que le nombre de cas qui n'ont pas été comptés parmi les résidents du comté pourrait être beaucoup plus élevé qu'on ne le pense actuellement.
Et en Iran, les autorités ont signalé 73 autres décès samedi, portant le nombre officiel de morts à 5031, dépassant les 5 000, tout comme les responsables avertissent que le retour au travail du pays ne signifie pas que les citoyens devraient cesser de prendre des précautions en matière de distanciation sociale. Dans l'ensemble, l'Iran a signalé 80 868 cas, bien que le total des décès et des cas soit soupçonné d'être beaucoup plus élevé.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/shocking-reports-claim-1000s-perished-uncounted-ny-uk-nursing-homes-spanish-death-toll
OU SONT LES MASQUES ?
SupprimerLES CRIMINELS REFUSENT TOUJOURS D'EN DONNER !
La Chine apparaît comme un obstacle majeur dans la quête du Japon pour tripler ses stocks de COVID-19, le médicament "miracle" d'Abe
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 19:20
De nombreux Américains ne le savent probablement pas, mais le président Trump n'est pas le seul leader mondial à disposer d'un médicament expérimental "préféré" destiné à traiter le COVID-19.
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a poussé un médicament appelé Avigan, qui, comme le remdesivir et l'hydroxychloroquine, a montré une certaine efficacité dans le traitement des pires symptômes du COVID-19, surtout administré tôt.
Pour rappel, il est un rappel de toutes les thérapies et vaccins potentiels en cours pour essayer de traiter COVID-19, gracieuseté de Reuters:
Remdesivir
Hydroxychloroquine / chloroquine
Actemra (tocilizumab)
Kevzara (sarilumab)
Jakavi (ruxolitinib)
ARNm 1273
Plasma convalescent
Kaletra (lopinavir / ritonavir)
Cellules NKG2D-ACE2 CAR-NK
NVX-CoV2373
RhACE2 APN01
Vaccins lentiviraux minigènes (LV-SMENP)
Vaccin antituberculeux BCG
INO-4800
Mésylate de Camostat
IFX-1
AD5-nCov
Aspirine, Clopidogrel, Rivaroxaban, Atorvastatine, Omeprazole
ChAdOx1
Test de sérologie / anticorps
Et, malheureusement pour le Japon, Abe et son gouvernement découvrent rapidement que la distribution à grande échelle de la drogue à la population pour tenter d'empêcher une résurgence brutale du virus qui pourrait poser un grave problème non seulement pour la population âgée du Japon, mais pour ses voisins L'Asie qui a recouru à des mesures extrêmes pour empêcher la propagation de l'épidémie.
Le gouvernement a pris des mesures pour augmenter la production de certains ingrédients pour le médicament alors qu'il cherche à tripler son stock de médicament le plus rapidement possible. Ces étapes ont consisté à faire appel à Fujifilm, un conglomérat japonais diversifié, pour inciter efficacement d'autres géants japonais à produire certains des ingrédients nécessaires à la fabrication du médicament.
Voici plus à ce sujet selon Nikkei Asian Review:
Les efforts du Japon pour tripler son stock de médicaments antigrippaux Avigan pour le traitement des coronavirus se sont révélés difficiles, car le manque d'ingrédients bruts en provenance de Chine oblige Fujifilm Holdings à passer à un fournisseur national.
La course effrénée pour une augmentation de la production a mis en évidence la forte dépendance du Japon à l'égard des ingrédients d'origine étrangère ainsi que le lent processus d'approbation des médicaments du pays - des problèmes auxquels le gouvernement et le secteur pharmaceutique devront faire face.
Comme les brevets d'Avigan ont expiré à l'étranger, la Chine a déjà commencé à produire des versions génériques à usage domestique, ce qui rend impossible pour Fujifilm de continuer à se procurer un produit chimique appelé acide malonique dans ce pays.
RépondreSupprimerPeu de gens doutent de l'efficacité du médicament pour traiter au moins certains patients. Cependant, un problème est que pour un traitement réussi, les patients ont souvent besoin du triple de la quantité d'Avigan par rapport au Tamiflu, le médicament d'ordonnance utilisé pour traiter le virus de la grippe (et, pour certains lecteurs, souvent confondu avec le sur-le- contre-médication Theraflu).
Les rapports suggèrent qu'Avigan peut empêcher la réplication du nouveau coronavirus à l'intérieur du corps. Mais le traitement d'une infection à coronavirus semble nécessiter trois fois plus d'Avigan que la grippe, ce qui signifie que le stock du pays conçu pour 2 millions de patients grippaux ne couvre que 700 000 patients COVID-19.
Alors que les entreprises japonaises travaillent avec diligence pour répondre aux commandes, elles se heurtent à une pénurie d'ingrédients bruts essentiels produits - devinez où?
Fujifilm a demandé à la société chimique japonaise Denka de fabriquer l'acide au niveau national, dans le but de stimuler la production locale d'Avigan à partir de juillet. Denka s'est retirée de la production d'acide malonique en 2017, mais la société a conservé ses sites de fabrication et peut reprendre la production une fois que suffisamment de travailleurs seront en poste.
Kaneka, une entreprise chimique japonaise, a également annoncé jeudi qu'elle commencerait à fabriquer des ingrédients pharmaceutiques qui iront à Avigan pour être livrés à Fujifilm en juillet en réponse à une demande de ce dernier. Kaneka renforcera la capacité de ses usines nationales grâce à des dépenses d'investissement et à la sécurisation des employés pour préparer la production.
Le gouvernement, désireux de construire une chaîne d'approvisionnement chez lui, a servi d'intermédiaire pour pousser Denka à reprendre la production. Denka dit qu'elle ne prévoit pas d'augmentation de capacité à ce stade et fera des plans futurs en fonction du volume de production d'Avigan.
Comme expliqué dans l'une des citations ci-dessus, la récente expiration d'un brevet sur le médicament a conduit la Chine à commencer à augmenter la production de génériques, consommant une grande partie de l'approvisionnement mondial d'un produit chimique appelé acide malonique, que la Chine s'approvisionne au niveau national. Avec une demande plus élevée en Chine, ces entreprises bénéficient d'un accès privilégié grâce au truquage généralisé de l'économie n ° 2 en faveur des entreprises nationales. Au Japon, pendant ce temps, la ruée continue de simplement produire plus de choses au Japon ou de s'appuyer sur des sources extérieures à la Chine.
Mais toutes ces choses prendront du temps. Il est difficile de dire exactement combien de temps. C'est juste un autre rappel que les États-Unis ne sont pas le seul pays aux prises avec des restrictions soudaines à l'exportation imposées par la Chine et l'Inde sur les matériaux essentiels, les médicaments et l'équipement médical.
Il est important de se rappeler que l'une des raisons pour lesquelles ces ressources ont déménagé à l'étranger est que la synthèse de certains de ces ingrédients crée des déchets toxiques qui doivent être soumis à des traitements spéciaux pour les éliminer. Ces traitements coûtent près de 10 fois plus au Japon qu'en Chine et en Inde, selon Nikkei.
Les coûts de fabrication devraient également augmenter.
RépondreSupprimerLes comprimés et autres médicaments en vente libre sont produits par des synthèses chimiques, nécessitant le traitement coûteux des gaz toxiques et de l'eau contaminée.
Le traitement des rejets d'eau pour les médicaments au Japon coûte des dizaines voire des centaines de yens par kilogramme, soit 10 fois plus qu'en Chine et en Inde. En conséquence, la production de 50 yens (46 cents) de médicaments au Japon pourrait en fait coûter plus de 100 yens.
L'industrie japonaise des génériques ne peut tout simplement pas rivaliser avec les prix des matières premières à l'étranger, et en raison de cet écart massif, seulement environ 30% de l'offre japonaise d'Avigan générique est produite à l'aide de matériaux 100% produits au Japon.
La production de médicaments pour traiter 2 millions de patients est réalisable tant que la matière première est produite à domicile. Mais le gouvernement devra fixer un prix consommé avec les coûts de fabrication et le maintenir à ce niveau.
Le principal médicament anti-grippe Tamiflu coûte environ 2 700 yens pour deux doses quotidiennes sur cinq jours. Si le prix d'Avigan est le même que celui de Tamiflu, un patient devra payer 8 100 yens car le médicament doit être administré trois fois plus souvent. Pour 2 millions de personnes, le coût serait de 16,2 milliards de yens, soit environ 150 millions de dollars.
La dépendance du Japon à l'égard de matériaux fabriqués à l'étranger est un problème structurel. Les médicaments génériques entièrement fabriqués à partir de matériaux produits au Japon ne représentaient que 30% de la valeur totale des expéditions, selon une enquête du ministère de la Santé en 2013, tandis que les 70% restants dépendaient d'au moins certains ingrédients importés.
Parmi les importations, 30% provenaient de l'Inde, 24% de la Chine et 26% de la Corée du Sud. Alors que le Japon s'efforce de réduire davantage les prix des médicaments fixés par le gouvernement, le pourcentage d'ingrédients achetés à l'étranger devrait encore augmenter.
Les États-Unis ne sont pas le seul pays à apprendre à la dure ce qui se passe lorsque les entreprises appliquent les principes de l '«avantage comparatif» aux actifs stratégiques critiques comme les médicaments et les produits médicaux, comme nous apprenons. Cela étant, il n'est pas encore clair dans quelle mesure des changements peuvent être apportés à long terme, en particulier lorsque la durabilité - non seulement financière, mais également en termes de ressources naturelles - est prise en compte.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/china-emerges-major-obstacle-japans-quest-triple-stockpile-abes-miracle-covid-19-drug
La chronologie de la dissimulation de l'OMS dévoilée
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam., 18/04/2020 - 17:15
Écrit par Peter Svab via The Epoch Times,
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) fait face à une vague de critiques pour sa réponse à la pandémie du virus du PCC, et une grande partie du problème peut être attribuée à l'influence croissante du régime communiste chinois sur l'organisation.
Les critiques soulignent principalement que l'OMS a été trop lente pour recommander des restrictions de voyage et d'autres mesures préventives, et aussi que l'agence a accepté les informations de la Chine à leur valeur nominale, malgré de nombreux drapeaux rouges.
Alors que les experts chinois sonnaient l'alarme au sujet d'une dissimulation, l'OMS a continué à louer la réponse de la Chine et n'a jamais averti le monde que les données provenant du régime étaient suspectes.
L’OMS, une agence des Nations Unies, a longtemps été influencée par les préférences politiques de Pékin. Son chef actuel, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, est un ancien membre d'un groupe maoïste en Éthiopie.
Comme The Epoch Times l'a précédemment documenté, la Chine a augmenté son pouvoir sur les institutions des Nations Unies depuis des années. Le poids de Pékin est maintenant allé si loin, il sape les fonctions de base de l'OMS, telles que la fourniture d'informations opportunes et précises sur la situation sanitaire dans le monde.
Exemple concret: le virus CCP.
Chronologie
Le virus CCP, communément appelé le nouveau coronavirus, a éclaté dans la ville centrale de Wuhan en Chine vers novembre 2019, avant de se propager à travers la Chine et le monde.
Au 14 avril, il y avait environ 2 millions de cas confirmés de virus, qui sont à l'origine de la maladie COVID-19. Près de 130 000 décès ont depuis été attribués à la maladie dans le monde.
L'OMS a déclaré que les autorités chinoises l'avaient informée pour la première fois de l'épidémie le 31 décembre 2019. Bien que cela aurait été une occasion en or d'atténuer la propagation du virus dans le monde, l'OMS n'a transmis aucune de ses informations au monde ce jour-là.
Il semble qu'un seul pays ait eu l'oreille suffisamment près du sol à ce moment-là pour répondre de manière significative - Taïwan.
Le 31 décembre, la nation insulaire au large des côtes de la Chine continentale avait déjà commencé à surveiller les voyageurs en provenance de Wuhan. Les autorités taiwanaises ont également déclaré à l'OMS ce jour-là que les médecins taïwanais avaient appris de leurs homologues du continent que les agents de santé étaient tombés malades du mystérieux nouveau virus.
Ces informations sont cruciales, car elles indiquent que le virus se propage d'une personne à l'autre. L'OMS, cependant, l'a ignoré, ont déclaré plus tard des responsables taiwanais.
Il faut s'attendre à ce que l'OMS ignore cet avertissement. Le PCC considère Taiwan comme une province séparatiste et a pressé les Nations Unies d'ignorer l'existence de Taiwan en tant que pays indépendant.
Taïwan s'est vu refuser l'adhésion à l'OMS, dont il est interdit au personnel d'utiliser des documents ou même des informations provenant de sources officielles de Taïwan sans autorisation spéciale préalable, selon une note de l'OMS publiée en 2010.
RépondreSupprimerUne telle autorisation impliquerait "une coordination avec la Mission permanente [des Nations Unies] de Chine à Genève", indique le mémo.
Alors que Taiwan obtenait sa réponse au virus, la situation à Wuhan se détériorait rapidement.
Le 2 janvier, The Epoch Times a rendu compte des efforts du PCC pour bloquer les informations sur l'épidémie et les niveaux élevés d'anxiété qui se propagent dans toute la ville.
Une directive de la Commission de la santé de Wuhan a interdit à tous les établissements médicaux de la ville "de publier des informations médicales sans autorisation", et les discussions en ligne sur l'épidémie ont été rapidement censurées. Le 1er janvier, la police de Wuhan a déclaré avoir détenu huit habitants qui avaient répandu des «rumeurs» sur l'épidémie.
Il s'est avéré qu'au moins certains des dénonciateurs supprimés étaient des médecins qui avaient essayé d'avertir leurs collègues du nouveau virus.
Les habitants paniqués ont débarrassé les pharmacies de Wuhan des masques chirurgicaux et des médicaments préventifs en vente libre en Chine. L'expert et médecin chinois Tang Jingyuan a averti qu'une dissimulation gouvernementale pourrait exacerber la propagation du virus.
Pendant ce temps, l'OMS est restée silencieuse.
Le 3 janvier, l'OMS a été informée par les autorités chinoises de 44 cas, dont 11 graves.
C'était probablement la pointe de l'iceberg.
Le 5 janvier, The Epoch Times a rapporté, citant plusieurs experts, que le PCC avait probablement dissimulé des informations sur le virus, ce qui était préjudiciable au contrôle de l'épidémie.
Ce jour-là, l'OMS a commenté pour la première fois l'épidémie, révélant qu'elle connaissait une épidémie de «pneumonie de cause inconnue» à Wuhan depuis cinq jours et recommandant qu'elle soit «manipulée avec prudence». Mais l'agence n'a recommandé «aucune mesure spécifique pour les voyageurs».
Au lieu de cela, il a fait le contraire.
"L'OMS déconseille l'application de toute restriction de voyage ou de commerce à la Chine sur la base des informations actuellement disponibles sur cet événement", a-t-il déclaré.
Cinq jours plus tard, l'OMS a de nouveau abordé la flambée.
"D'après les informations actuellement disponibles, l'enquête préliminaire suggère qu'il n'y a pas de transmission interhumaine significative, et qu'aucune infection parmi les agents de santé ne s'est produite", a déclaré l'agence, contredisant les informations fournies par Taiwan.
"L'OMS ne recommande aucune mesure de santé spécifique aux voyageurs", a déclaré l'OMS. Au lieu de cela, il a publié des informations générales sur la façon de traiter les infections virales.
Le 12 janvier, l'OMS a déclaré qu'il n'y avait «aucune preuve claire de transmission interhumaine», ajustant légèrement son langage.
"Les enquêtes préliminaires menées par les autorités chinoises n'ont trouvé aucune preuve claire d'une transmission interhumaine", a annoncé l'OMS deux jours plus tard, ne laissant aucun doute sur les déclarations officielles du régime communiste chinois.
RépondreSupprimerÀ cette époque, Taiwan avait déjà pris des dispositions pour que sa propre équipe d'enquête se rende à Wuhan.
"Ils ne nous ont pas laissé voir ce qu'ils ne voulaient pas que nous voyions, mais nos experts ont estimé que la situation n'était pas optimiste", a déclaré à NBC News le porte-parole du gouvernement taïwanais Kolas Yotaka.
Peu de temps après le retour de l'équipe, Taïwan a lancé des tests et des rapports sur ses hôpitaux.
"Je me préoccupe de moi-même et je n'écoute pas l'OMS dans ce cas particulier", a déclaré le Dr William Stanton, vice-président de l'Université nationale Yang-Ming de Taiwan et ancien ambassadeur des États-Unis en Chine, dans une récente interview. avec Jan Jekielek de The Epoch Times.
L'OMS n'a réussi à envoyer son équipe à Wuhan que pour «une brève visite sur le terrain» le 20 janvier.
Le 17 janvier, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont envoyé du personnel pour filtrer les voyageurs en provenance de Wuhan vers trois grands aéroports américains - JFK, Los Angeles International et San Francisco International, qui obtenaient le trafic le plus élevé de l'épidémie. épicentre.
D'autres aéroports ont été ajoutés à la liste au cours des semaines suivantes.
Le 20 janvier, la Chine a confirmé la transmission interhumaine.
Le 23 janvier, le jour où le PCC a mis Wuhan en lock-out, l'OMS a annoncé que, malgré certains désaccords internes, elle ne déclarerait pas l'épidémie «une urgence de santé publique de portée internationale».
À ce moment-là, des cas avaient déjà commencé à apparaître dans le monde, y compris aux États-Unis.
Trois jours plus tard, Taïwan a interdit les vols au départ de Wuhan et organisé des vols spéciaux pour renvoyer ses habitants de la ville.
Le 28 janvier, lors de sa visite en Chine, les Tedros de l'OMS ont exhorté les pays du monde "à rester calmes et à ne pas réagir de manière excessive", exprimant leur confiance dans le contrôle de l'épidémie du PCC, ont rapporté les médias d'État chinois.
Le 3 février, trois jours après que le président Donald Trump a interdit aux étrangers qui s'étaient récemment rendus en Chine de se rendre aux États-Unis, Tedros a exprimé son opposition aux interdictions de voyager, affirmant que des mesures qui «interfèreraient inutilement avec les voyages et le commerce» n'étaient pas nécessaires.
Dans un tweet du 20 mars, Tedros a répété la propagande du PCC, disant que "pour la première fois, #Chine n'a signalé aucun cas national # COVID19 hier." Alors que pour les experts chinois, les nouvelles ont pratiquement confirmé que les chiffres du PCC étaient faux, Tedros l'a présenté comme "une réalisation incroyable, qui nous rassure tous sur le fait que le #coronavirus peut être battu".
La modélisation statistique, les témoignages oculaires et les documents fournis à The Epoch Times ont montré que les autorités chinoises ont caché l'ampleur réelle de l'épidémie à Wuhan et dans d'autres parties de la Chine.
Tedros, cependant, a salué à plusieurs reprises la Chine pour sa «transparence» dans sa réponse à l'épidémie - ce que les experts et les responsables gouvernementaux du monde entier ont souligné comme étant le plus manquant.
RépondreSupprimerLa Victims of Communism Memorial Foundation, une organisation à but non lucratif créée dans les années 90 par le gouvernement américain, a publié le 10 avril un calendrier détaillé de la dissimulation de l'épidémie par le PCC et de la culpabilité de l'OMS. L'organisation a également annoncé qu'elle ajouterait les décès du virus du PCC mondial au bilan historique du communisme.
"L'OMS a abdiqué sa responsabilité envers l'ensemble de la population mondiale afin de transporter de l'eau pour le régime communiste chinois", a déclaré la directrice exécutive de la fondation, Marion Smith, dans un communiqué.
Une connexion personnelle
Alors qu'une partie de l'influence du PCC sur l'OMS provenait de l'ONU, une autre partie en était jouée par Tedros lui-même.
Tedros est un ancien membre du Politburo du Front de libération du peuple tigré, un groupe maoïste qui avait mené une guérilla dans les années 80 contre le régime Mengistu soutenu par les Soviétiques en Éthiopie.
"La Corée du Nord serait le plus proche de [l’idéologie de Tigray]", selon Trevor Loudon, expert des mouvements communistes et des groupes de front.
Au début des années 1990, alors que le régime perdait alors le soutien financier de l'effondrement de l'Union soviétique, une coalition de Tigray et d'autres groupes l'a renversé et a gouverné le pays jusqu'en 2019.
Alors qu'en surface, le gouvernement a adopté des réformes du marché et des élections démocratiques, il est resté idéologiquement socialiste, a déclaré Loudon, en particulier en termes de politique étrangère.
"Ils maintiennent toujours leurs relations avec les communistes étrangers", a-t-il déclaré lors d'un entretien téléphonique avec The Epoch Times.
Tedros, ancien ministre de la Santé et plus tard ministre des Affaires étrangères de la nation africaine, a naturellement maintenu des liens étroits avec le PCC, embrassant des projets tels que l'initiative «Belt and Road», qui sert au PCC à étendre son influence géostratégique.
Tedros a obtenu le poste le plus élevé de l'OMS en 2017 avec le ferme soutien du lobby du PCC, malgré les allégations selon lesquelles il avait couvert trois épidémies de choléra pendant son mandat de ministre de la Santé.
"Les diplomates chinois avaient mené une campagne acharnée pour l'Éthiopien, utilisant le poids financier de Pékin et le budget d'aide opaque pour renforcer son soutien parmi les pays en développement", écrivait alors la chroniqueuse du Sunday Times Rebecca Myers.
Tedros a nié avoir dissimulé les épidémies de choléra, affirmant qu'il s'agissait simplement d'une «diarrhée aqueuse aiguë».
Il s'est avéré apte à jouer dans la sensibilité occidentale aux accusations d'oppression.
Lorsqu'un conseiller de son adversaire britannique pour la direction de l'OMS a évoqué la dissimulation du choléra, il l'a accusé d'avoir une «mentalité coloniale».
Lorsque Taiwan l'a appelé pour avoir ignoré ses informations sur le virus du PCC, Tedros a accusé Taiwan d'attaques racistes.
Cette accusation semble avoir peu contribué à détourner la critique; une pétition demandant la démission de Tedros a recueilli près d'un million de signatures.
Pendant ce temps, l'administration Trump envisage de couper son financement à l'OMS - les États-Unis sont de loin le plus grand bienfaiteur de l'organisation, fournissant plus de 110 millions de dollars par an en financement régulier, plus des centaines de millions de plus en contributions volontaires.
RépondreSupprimerDe l'avis de Stanton, l'OMS, «telle qu'elle est actuellement constituée», devrait perdre son financement.
«Je pense que nous devons adopter une position beaucoup plus dure quant à la manière dont l'OMS a géré ce virus», a-t-il déclaré. "Parce que c'est clairement un simple porte-parole, à mon avis, du gouvernement de la République populaire de Chine."
https://www.zerohedge.com/health/timeline-whos-cover-exposed
Nous avons déjà vu qu'avec le 'bio' les gens mouraient plus vite et étaient des bons clients de pharmacies because qu'ils bouffaient des plantes malades ! (plantes non traitées contre les maladies !) et que, ces dites-maladies provenaient aussi de l'étranger. Plantes tropicales enracinées en terreau et exportées. Or, la terre peut contenir des œufs de bestioles redoutables vectrices de maladies !
SupprimerC'est pourquoi nous irions vers une interdiction de voyager à l'étranger (dans un premier cas) sauf si le passager est vacciné (euthanasié) avant de monter dans l'avion !
Cette interdiction s'appliquerait aussi aux 'réfugiés climatique' et sortis de prisons ?
Aussi aux millions de containers et colis intérieurs ?