8 AUTRES experts s'interrogent sur la panique liée au coronavirus
OffGuardian ven., 17 avr. 2020 17:53 UTC
Voici notre troisième groupe d'experts médicaux en dissidence du "consensus" politico-médiatique.
1e groupe : Covid-19 : 12 experts remettent en question la nécessité d'un confinement mondial 2e groupe : Sceptiques du Covid-19 : 10 AUTRES experts médicaux de premier plan s'opposent au discours officiel des gouvernements et des médias
* * *
Le Dr John Lee est un histopathologiste consultant anglais à l'hôpital général de Rotherham et a été professeur de pathologie clinique à l'école de médecine de Hull York. Il est surtout connu du grand public en tant que co-présentateur (avec Gunther von Hagens) de Anatomy for Beginners (diffusé au Royaume-Uni sur Channel 4 en 2005), Autopsy : Life and Death (Channel 4, 2006) et Autopsy : Emergency Room (Channel 4, 2007).
Ce qu'il dit : Mais il y a un autre problème, potentiellement encore plus grave : la façon dont les décès sont enregistrés. Si une personne meurt d'une infection respiratoire au Royaume-Uni, la cause spécifique de l'infection n'est généralement pas enregistrée, à moins que la maladie ne soit une "maladie à déclaration obligatoire" rare.
Ainsi, la grande majorité des décès dus à une maladie respiratoire au Royaume-Uni sont enregistrés comme bronchopneumonie, pneumonie, vieillesse ou une désignation similaire. Nous ne faisons pas vraiment de tests pour la grippe ou d'autres infections saisonnières. Si le patient a, par exemple, un cancer, une maladie des neurones moteurs ou une autre maladie grave, cela sera enregistré comme la cause du décès, même si la maladie finale était une infection respiratoire. Cela signifie que les certifications britanniques sous-estiment normalement les décès dus à des infections respiratoires.
Examinons maintenant ce qui s'est passé depuis l'apparition du Covid-19. La liste des maladies à déclaration obligatoire a été mise à jour. Cette liste - qui contient également la variole (disparue depuis de nombreuses années) et des maladies telles que l'anthrax, la brucellose, la peste et la rage (que la plupart des médecins britanniques ne verront jamais de toute leur carrière) - a été modifiée pour inclure le Covid-19. Mais pas la grippe. Cela signifie que tout test positif pour le Covid-19 doit être notifié, alors que ce n'est pas comme cela que ça se passe pour la grippe ou la plupart des autres infections.
- How deadly is the coronavirus? It's still far from clear ("Le coronavirus est-il mortel ? C'est encore loin d'être clair"), The Spectator, 28 mars 2020
Peu de tests ont été effectués chez les patients présentant des symptômes légers. Cela signifie que le nombre de tests positifs sera bien inférieur au nombre de personnes qui ont eu la maladie. Sir Patrick Vallance, le principal conseiller scientifique du gouvernement, a tenté de le souligner.
Il a suggéré que le chiffre réel du nombre de cas pourrait être 10 à 20 fois plus élevé que le chiffre officiel. S'il a raison, le taux de mortalité dû à ce virus sera de 10 à 20 fois inférieur à ce qu'il semble être d'après les chiffres publiés.
La distinction entre mourir "avec" le Covid-19 et mourir "à cause" du Covid-19 ne consiste pas seulement à couper les cheveux en quatre. Prenons quelques exemples : une femme de 87 ans atteinte de démence dans une maison de retraite ; un homme de 79 ans atteint d'un cancer métastatique de la vessie ; un homme de 29 ans atteint de leucémie traitée par chimiothérapie ; une femme de 46 ans atteinte d'une maladie des neurones moteurs depuis 2 ans.
Tous développent des infections thoraciques et meurent. Tous sont testés positifs pour le Covid-19. Pourtant, tous étaient susceptibles de mourir d'une infection thoracique, quelle qu'en soit la cause (y compris la grippe).
How to understand & report figures for 'Covid deaths', ("Comment comprendre et rapporter les chiffres relatifs aux "décès liés au coronavirus" ?) The Spectator, 29 mars 2020
***
Le Dr John Oxford est un virologiste anglais et professeur à Queen Mary, Université de Londres. Il est un expert de premier plan en matière de grippe, y compris la grippe aviaire et la grippe espagnole de 1918, et le VIH/sida.
Ce qu'il dit : Personnellement, je dirais que le meilleur conseil est de passer moins de temps à regarder les journaux télévisés qui font dans le sensationnel et qui ne sont pas très bons. Personnellement, je considère que cette épidémie de Covid ressemble à une mauvaise épidémie de grippe hivernale. Dans ce cas, nous avons eu 8000 décès l'année dernière dans les groupes "à risque", c'est-à-dire plus de 65% de personnes souffrant de maladies cardiaques, etc. Je ne pense pas que l'épidémie actuelle de Covid dépassera ce nombre. Nous souffrons d'une épidémie médiatique !
- "A VIEW FROM THE HVIVO / OPEN ORPHAN #ORPH LABORATORY", article de blog sur le site de Novus Communications, 31 mars 2020
***
Le professeur Knut Wittkowski est un chercheur germano-étatsunien et un professeur d'épidémiologie. Il a travaillé pendant 15 ans sur l'épidémiologie du VIH avant de diriger pendant 20 ans le département de biostatistique, d'épidémiologie et de conception de la recherche à Uuniversité Rockefeller de New York.
Ce qu'il dit : Avec toutes les maladies respiratoires, la seule chose qui arrête la maladie est l'immunité de groupe. Environ 80% des personnes doivent avoir été en contact avec le virus, et la majorité d'entre elles n'auront même pas reconnu qu'elles étaient infectées, ou qu'elles avaient des symptômes très, très légers, surtout si ce sont des enfants. Il est donc très important de garder les écoles ouvertes et les enfants contribuant à la propagation du virus pour obtenir l'immunité collective le plus rapidement possible.
[...]
Nous subissons toutes sortes de conséquences contre-productives d'une politique mal conçue.
[...]
Je suis épidémiologiste depuis 35 ans, et je modélise les épidémies depuis 35 ans. C'est un plaisir d'avoir la capacité d'aider les gens à comprendre, mais c'est une lutte pour se faire entendre.
Le professeur Klaus Püschel est un pathologiste médico-légal allemand, ancien professeur de médecine légale à l'Université d'Essen et actuel directeur de l'Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf. Il a participé à de nombreuses autopsies dignes d'intérêt, ainsi qu'à des études d'archéologie médico-légale très médiatisées.
Contrairement aux directives de l'Institut Robert Koch, son bureau de Hambourg a commencé à faire la distinction entre les décès avec coronavirus et ceux dus au coronavirus, ce qui a permis de réduire le nombre de décès dus au Covid19.
Ce qu'il dit : Ce virus influence notre vie de manière tout à fait excessive. Cette influence est disproportionnée par rapport au danger que représente le virus. Et les dommages économiques astronomiques qui sont actuellement causés ne sont pas proportionnels au danger posé par le virus. Je suis convaincu que le taux de mortalité du coronavirus ne se traduira même pas par un pic de mortalité annuelle.
Tous ceux que nous avons examinés jusqu'à présent avaient un cancer, une maladie pulmonaire chronique, étaient de gros fumeurs ou gravement obèses, souffraient de diabète ou avaient une maladie cardiovasculaire. Le virus a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, pour ainsi dire [...] La Covid-19 n'est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s'agit d'une infection virale essentiellement inoffensive.
Dans un certain nombre de cas, nous avons également constaté que l'infection à coronavirus actuelle n'a rien à voir avec l'issue fatale, car d'autres causes de décès sont présentes, par exemple une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque. [Le Covid19 n'est] pas une maladie virale particulièrement dangereuse [...] Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n'ont pas été examinées par des experts ne font qu'alimenter l'anxiété.
- "Von den Toten lernen für die Lebenden", Hamburger AbendBlatt, 2 avril 2020
***
Le Dr Alexander Kekulé est un médecin et biochimiste allemand. Il est titulaire de la chaire de microbiologie médicale et de virologie à l'Université Martin Luther de Halle-Wittenberg depuis 1999 et est l'actuel directeur de l'Institut de microbiologie médicale de l'hôpital universitaire de Halle.
Ce qu'il dit : Il est impossible d'attendre un vaccin [...] Le délai le plus court pour qu'un vaccin soit prêt pourrait être de six mois. D'après mon expérience, je dirais que la réalité est plus proche d'un an. Nous ne pouvons pas rester enfermés pendant six mois à un an. Si nous faisions cela, notre société et notre culture seraient détruites.
[...]
Il est très, très peu probable que les personnes de moins de 50 ans meurent ou tombent gravement malades à cause du coronavirus. Nous devons les laisser se faire infecter pour qu'elles puissent développer une immunité.
- "'Infect the young and isolate those at risk' - One German scientist's plan to end the lockdown", The Telegraph, 11th April 2020 . "'Infecter les jeunes et isoler les personnes à risque' - Le plan d'un scientifique allemand pour mettre fin au confinement"
Le Dr Claus Köhnlein est un médecin allemand spécialisé dans la médecine interne basé à Kiel et co-auteur du livre Virus Mania
Ce qu'il dit : [Le test coronvirus] est un test basé sur la PCR, dans lequel les faux positifs sont programmés.
La moitié des [tests positifs] peuvent être erronés. Les tests PCR montrent souvent des faux positifs. Vous pouvez vous renseigner auprès du professeur Gigerenzer à Berlin sur ce problème. Les tests sont très sensibles. Si vous n'avez qu'une molécule de quelque chose, le test peut être positif. Cela ne signifie pas que le patient est malade, ou qu'il a le coronavirus ; il n'est pas isolé, mais on se repose entière sur ces tests.
Pour l'instant, on ne peut pas dire quel est le taux de mortalité réel, nous avons besoin de beaucoup plus de tests et de beaucoup plus de personnes malades ou décédées. Il est trop tôt.
Mais la panique qui se répand est en grande partie fondée sur les nouvelles venues d'Italie. Et aujourd'hui, on ne sait pas à quel point il s'agit de fausses nouvelles. J'ai vu des médecins italiens en ligne, et je soupçonne fortement qu'il y a quelque chose qui ne colle pas dans leurs propos.
Je suis un clinicien et je ne vois pas de nouvelle maladie à l'horizon. Si vous enleviez le test, la vie continuerait comme avant, il n'y aurait plus rien à voir.
Interview with Dr. med. Claus Köhnlein from thersites on Vimeo.
***
Le Dr Gérard Krause est chef du département d'épidémiologie au Helmholtz Centre for Infection à Braunschweig, directeur de l'Institut d'épidémiologie des maladies infectieuses à TWINCORE à Hanovre et président du programme de doctorat en épidémiologie à la faculté de médecine de Hanovre. Il coordonne également l'infrastructure translationnelle d'épidémiologie du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF).
Ce qu'il dit : Ces graves mesures sociales doivent aussi courtes et minimes que possible, car elles pourraient potentiellement causer plus de maladies et de décès que le coronavirus lui-même.
Bien que je me concentre sur les maladies infectieuses, je pense qu'il est impératif que nous prenions en compte l'impact sur d'autres domaines de la santé et de la société. En tant que société, nous ne devons pas nous concentrer uniquement sur les victimes du coronavirus.
Nous savons que le chômage, par exemple, provoque des maladies et même une augmentation de la mortalité. Il peut également pousser les gens au suicide. La restriction de la liberté de circulation risque d'avoir un impact négatif supplémentaire sur la santé publique.
Il n'est pas si facile de calculer directement de telles conséquences, mais elles se produisent quand même et peuvent éventuellement être plus graves que les conséquences des infections elles-mêmes.
Le Dr Gerd Gigerenzer est un psychologue allemand, professeur de psychologie et directeur du Centre Harding pour l'éducation au risque à l'Institut Max Planck pour le développement humain, à Berlin.
Ce qu'il dit : L'épidémie de grippe porcine de 2009 a tué des centaines de milliers de personnes, principalement en Afrique et en Asie du Sud-Est. Mais en Europe, où la menace était relativement faible, les médias ont mis à jour quotidiennement le nombre de morts et le nombre de cas suspects. Au Royaume-Uni, le gouvernement a prédit que jusqu'à 65 000 citoyens pourraient mourir de la maladie. Au final, moins de 500 personnes sont mortes.
Comme on pouvait s'y attendre, cette comptabilisation quotidienne a déclenché la peur et a conduit les politiciens à prendre des décisions hâtives et malavisées - comme le stockage de médicaments - sans examiner les preuves. Tous les yeux étaient tournés vers le nouveau virus inconnu, et non vers la protection des personnes contre des menaces plus mortelles, comme la grippe saisonnière qui, en 2009, a tué un nombre de personnes supérieur d'un ordre de grandeur à celui de la grippe porcine. C'est toujours le cas, il pourrait en être de même si les médias nous bombardaient d'informations toutes les heures sur le nombre de décès liés à la grippe.
De même, des millions de personnes, en particulier dans les pays en développement, meurent chaque année du paludisme et de la tuberculose. Et rien qu'aux États-Unis, les infections nosocomiales tuent quelque 99 000 patients chaque année. Pourtant, ces malchanceux ne reçoivent pratiquement aucune attention.
Pourquoi avons-nous plus peur de ce qui est moins susceptible de nous tuer ?
[...]
Lorsque la grippe porcine s'est propagée, de nombreux gouvernements ont suivi les conseils de l'Organisation mondiale de la santé et ont stocké du Tamiflu, un médicament commercialisé pour protéger contre les graves conséquences de la grippe. Pourtant, de nombreux conseillers experts de l'OMS avaient des liens financiers avec les fabricants de médicaments, et il n'y a toujours pas de preuve que le Tamiflu soit efficace. Les États-Unis ont gaspillé plus d'un milliard de dollars et le Royaume-Uni plus de 400 000 livres sterling (522 000 dollars) pour ce médicament - de l'argent qui aurait pu être investi dans l'amélioration des soins de santé.
- Why What Does Not Kill Us Makes Us Panic, ("Pourquoi ce qui ne nous tue pas nous fait paniquer"), Project Syndicate, 12 mars 2020
***
BONUS : Le Dr Pietro Vernazza, basé en Suisse, figurait dans notre première "liste d'experts", mais il a depuis écrit quatre autres articles sur divers aspects du coronavirus, notamment les programmes de dépistage, les masques médicaux et la question de savoir si la fermeture des écoles peut être contre-productive.
Le 'coanavirus est un produit (comme un autre) qui doit être vendu et qui serait le pire des terroristes !
Il se pourrait très bien qu'il n'y ait eu que 1000 ou 2000 morts dans le monde entier mais, les merdias disent ce qu'ils veulent !
Or, les merdias exagèrent volontairement le nombre de morts (différence entre le 'mort avec coranavirus' et ' mort à cause du coranavirus' !) en désignant toutes personnes décédées comme étant dû au coranavirus !
De plus, les merdias critiquent ouvertement la vérité sur Internet et luttent contre ces sites informateurs !
Exemples de l'an passé: (Publicités sur site d'économie) photos montrant des doigts de pieds sales, extropiés aux ongles retournés ! ou, photos clignotantes et dégoûtantes d'hommes barbus, anniversaire d'adolf hitler. Après quoi cette année sont apparues d'autres publicités pour 'masques' ! Casquettes avec pare-vent tranlucides vertical ou carrément 'tenue vestimentaire d'apiculteurs' ! ou 'Dispositif d'haute pression pour tuyau d'arrosage' 20 €! En réalité il s'agit simplement d'une buse pour forcer le débit à augmenter la pression comme de pincer le tuyau pour que çà coule plus fort !
Donc, dans chaque cas pour ces sites qui pour vivre acceptent de la publicité (sans pouvoir la contrôler !!), il s'agit de discréditer le site par tous les moyens en dégoûtant le lecteur de lire l'article d'à-côté et donc, de faire passer ce site pour étant 'un site de merde' !
Les annonceurs paient TRES CHER pour passer sur ces sites d'informations et pour en discréditer l'intérêt.
Mêmes choses sur des forums de 'jardinage' (il en nait un nouveau tous les jours !) où, de FAUX jardiniers (Administrateurs de site) donnent conseils aux nouveaux jardiniers. TOUT est fait pour éviter qu'un jardinier réussisse son jardin ! car, s'il réussit à faire pousser des tomates, melons ou pommes de terre: il n'ira plus aux supermarchés acheter des fruits & légumes importés ! D'où les faux conseils apportés par 50 pseudonymes de l'Administrateur du site dit 'de jardinage' qui se fait tantôt appeler 'Juliette56' ou 'Raymondjardin' ou 'Loulou de Corse' etc, etc !
Conseil de pulvériser les plants de tomates malades avec... du bicarbonate de soude ! Hahaha ! "Et çà marche !" acclament-ils. "Cela fait des années que je l'utilise et zéro maladie !" ou d'autres parlent d'utiliser du... savon noir ! Anti-mildiou, anti-oïdium, bref anti-tout !
Imaginer un maraicher avec 50 hectares de plants de tomates qui dépense des millions par an en produits de traitement contre les maladies et qui n'en dépenserait que 10 ou 20 euros en 'savon noir' ou 'bicarbonate de soude' ! Hahahaha !
À la recherche de la vérité dans ce qu'on nous dit sur la Covid-19
Tony Cartalucci Mondialisation.ca sam., 18 avr. 2020 22:57 UTC
Après les nouvelles concernant la maladie du coronavirus 2019 (COVID-19), nous serions amenés à croire que l'humanité est confrontée à une crise sans précédent - et à en juger par les dégâts socio-économiques causés - il n'est pas si difficile de croire qu'une sorte de crise sans précédent est effectivement en train de se produire.
Pourtant, le sentiment d'urgence imposé au grand public - qui a provoqué des verrouillages dans le monde entier et la mise en place de mesures sans précédent, toutes centrées sur la lutte contre un agent pathogène dit dangereux et sur la nécessité d'éviter de surcharger les infrastructures de santé mondiales - est entièrement artificiel.
Si la COVID-19 était vraiment une pandémie digne d'une telle hystérie - une pandémie dont l'Occident a prétendu au fil des ans qu'elle était pratiquement inévitable - pourquoi l'ordre international actuel dominé par l'Occident a-t-il échoué à ce point dans sa lutte contre la COVID-19 ?
Des milliards pour une guerre sans fin, rien pour les préparatifs de la pandémie ?
Des milliards de dollars ont été littéralement déversés dans la seule guerre menée par les États-Unis en Afghanistan - sans parler des billions de dollars supplémentaires dépensés pour occuper l'Irak, faire la guerre en Libye et en Syrie, aider l'Arabie Saoudite à détruire le Yémen et la myriade d'interventions de « puissance douce » qui se déroulent dans le reste du monde.
Ce sont des milliards de dollars qui auraient pu remplir les hôpitaux avec des ventilateurs haut de gamme et les entrepôts avec des ventilateurs portables beaucoup moins chers qui auraient pu être déployés quand et où cela était nécessaire.
Et ce n'est pas comme si le besoin de respirateurs artificiels s'était soudainement fait sentir au milieu de l'épidémie de la Covid-19. Un article du MIT rédigé en 2010 et intitulé « Design and Prototyping of a Low-cost Portable Mechanical Ventilator » (Conception et réalisation de prototypes d'un ventilateur mécanique portable à bas prix), il y a une décennie, écrivait :
Bien qu'il y ait suffisamment de ventilateurs pour une utilisation régulière, il y a un manque de préparation pour les cas où les victimes sont très nombreuses comme les pandémies de grippe, les catastrophes naturelles et les rejets massifs de produits chimiques toxiques. Les coûts de stockage et de déploiement des ventilateurs mécaniques de pointe pour les cas de nombreuses victimes dans les pays développés sont restreints. Selon le plan de préparation national publié par le président Bush en novembre 2005, les États-Unis auraient besoin de 742 500 ventilateurs, dans le pire des cas, dans une situation de pandémie. Par rapport aux 100 000 actuellement utilisés, il est clair que le système fait défaut.
Et en toute une décennie, rien n'a été fait pour remédier à cette pénurie, ce qui a conduit à l'hystérie dans tout l'Occident au milieu de l'épidémie de la Covid-19, où les gouvernements prétendent faire pression sur les entreprises privées pour qu'elles fabriquent des ventilateurs sur des chaînes de production habituellement utilisées pour la fabrication d'automobiles et d'appareils électroménagers.
Si le problème était bien connu il y a une décennie, les personnes au pouvoir - en particulier aux États-Unis, du président George Bush au président Barack Obama et à l'actuel président Donald Trump - n'ont rien fait pour remédier à la situation en choisissant de dépenser l'argent des impôts étasuniens dans des guerres et des sauvetages de banques. Les citoyens devraient-il ainsi faire confiance au leadership étasunien ou occidental pendant cette présumée crise ?
L'hystérie que ces intérêts suscitent chez la population doit-elle être maintenue ?
Si la COVID-19 représente une telle menace pour le monde - paralysant la vie quotidienne comme ne l'ont jamais fait deux décennies de « guerre contre la terreur » menée par les États-Unis - pourquoi n'a-t-on pas fait davantage pour s'y préparer ? D'autant plus que les pénuries étaient bien connues, même par les étudiants du MIT travaillant sur des projets de classe ?
Si tout ce qu'on nous dit sur la Covid-19 était vrai...
Les fermetures et les ruées pour construire des ventilateurs ne constituent qu'une dimension de cette crise actuelle.
Une autre est la ruée vers la fabrication de vaccins.
Déjà - l'idée de se faire vacciner - y compris contre la grippe - est imposée à l'ensemble de la population présentée comme absolument essentielle pour la santé publique. Pourtant, si cela était aussi crucial que le public soit amené à le croire, pourquoi les vaccins sont-ils confiés à certaines des entreprises les plus corrompues et les plus indignes de confiance de la planète ?
Même le ministère étasunien de la Justice a condamné à plusieurs reprises de grandes entreprises pharmaceutiques pour toutes sortes de raisons, de la falsification de rapports de sécurité et d'efficacité à la corruption de médecins, de régulateurs et de politiciens. Pourtant, le même gouvernement étasunien qui enquête et condamne ces entreprises à plusieurs reprises leur accorde également l'autorisation, par l'intermédiaire de la FDA, de fabriquer des produits dont on nous dit qu'ils sont absolument essentiels pour la santé publique - y compris des vaccins.
Si les vaccins étaient vraiment aussi importants qu'on nous le dit, leur recherche, leur développement, leur production et leur distribution devraient être absolument transparents, ouverts et nationalisés.
Les entreprises corrompues - qui ne sont pas soupçonnées, mais qui ont été condamnées à plusieurs reprises pour avoir fait passer leurs profits avant la santé publique - devraient être fermées, leurs actifs saisis et nationalisés, et leur travail placé dans le domaine public pour une surveillance et une transparence maximales.
Mais cela n'est possible que si tout ce que l'on nous dit sur les vaccins en général ou sur le prochain vaccin contre la Covid-19 est vrai. Apparemment, ce n'est pas vrai - d'où l'absence d'urgence réelle correspondant au simple sentiment d'urgence que le gouvernement et les entreprises qui influencent leur politique tentent d'imposer au grand public.
Ce sentiment d'urgence n'est pas imposé au public pour les meilleurs intérêts de la nation, mais pour les intérêts privés qui font avancer la politique étasunienne et leurs propres intérêts. L'hystérie et l'urgence qu'elle engendre font que le public est malléable et prêt à accepter pratiquement n'importe quoi comme « réponse » aux dangers qu'on lui a dit de craindre.
La recherche, le développement et la distribution de vaccins feront gagner des milliards de dollars aux entreprises pharmaceutiques, qu'elles fonctionnent ou non. Prenons par exemple la façon dont les sociétés pharmaceutiques ont gagné des milliards de dollars lors de l'épidémie de grippe porcine de 2009, lorsque les « experts » de l'Organisation mondiale de la santé à la solde des grandes entreprises pharmaceutiques ont déclaré qu'il s'agissait d'une « pandémie », ce qui a incité les gouvernements occidentaux à stocker les médicaments des grandes entreprises pharmaceutiques qui se sont révélés par la suite absolument inutiles pour combattre le virus.
Les jeux politiques de l'hégémonie pendant une « pandémie » ?
Et si tout ce que l'on nous dit sur l'urgence de la COVID-19 était vrai, les États-Unis, en ces « temps difficiles », reconnaîtraient qu'il est également dans leur intérêt de lutter contre la COVID-19 à l'échelle mondiale - en aidant à combattre la maladie, quelles que soient les frontières à l'intérieur desquelles elle se présente. Pourtant, des sanctions économiques paralysantes restent en place contre des nations comme l'Iran, qui ont été particulièrement touchées par le virus.
Des pays comme la Russie restent également sous sanctions étasuniennes et, ironiquement, ont envoyé de l'aide aux États-Unis, aide provenant d'entreprises sous sanctions américaines.
NBC rapporte dans son article, « Une entreprise sous sanctions a fait expédier des ventilateurs russes aux États-Unis, comme le montrent les photos » que :
Une filiale d'une entreprise russe sanctionnée par les États-Unis a fabriqué des ventilateurs qui ont été transportés de Moscou à New York cette semaine pour aider à lutter contre la pandémie de coronavirus, selon les photos de la livraison.
Il est évident que si la COVID-19 était une menace aussi mortelle, les États-Unis mettraient temporairement de côté leur politique étrangère hégémonique - et s'emploieraient plus activement à combattre l'épidémie - ne serait-ce que pour se sauver. Ce n'est pas le cas - parce que l'agent pathogène de la COVID-19 n'est pas à la hauteur de l'hystérie de ce virus.
Le peu qu'on nous dit sur la COVID-19 est vrai - le peu de vérité qui existe au milieu de ce que l'on dit au public est éclipsé par l'hystérie injustifiée qui se propage délibérément au sujet du virus.
Cette hystérie ne conduit pas à des mesures visant à stopper l'épidémie, mais à des plans d'action publics à but lucratif qui rempliront les coffres des sociétés pharmaceutiques et à une législation qui renforcera l'emprise des gouvernements sur leurs populations concernées.
Les grandes entreprises survivront et profiteront non seulement des fausses solutions proposées pour « combattre » la COVID-19, mais aussi des actifs vendus par des petites et moyennes entreprises en faillite et des propriétaires immobiliers qui vendent des actifs à prix d'aubaine après les fermetures et la crise économique.
« Post-COVID-19 - les mêmes intérêts corrompus et incompétents qui ont laissé le monde soit non préparé à une véritable pandémie - soit créer la panique chez la population à cause d'un virus délibérément sur-hypothéqué - sont maintenant prêts à en profiter et à prospérer dans son sillage.
Si tout ce qu'on nous a dit sur la COVID-19 était vrai, les personnes qui nous en ont parlé, qui nous ont fait paniquer et qui nous ont demandé d'agir face à ce virus - mais qui nous ont laissés totalement démunis - devraient être les dernières victimes du virus - déracinées socialement, économiquement et politiquement de la société et remplacées par des dirigeants, des systèmes économiques et des infrastructures de soins de santé capables de faire face non seulement aux pandémies virales, mais aussi aux pandémies socio-économiques et psychologiques.
Tony Cartalucci est un chercheur et écrivain en géopolitique basé à Bangkok, notamment pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook » https://journal-neo.org/ où cet article https://journal-neo.org/2020/04/13/searching-for-truth-in-what-we-are-being-told-about-covid-19/ a été publié à l'origine. Il contribue fréquemment à Global Research.
Remarquez bien qu'AUCUN journal/site dans le monde entier n'a dénoncé cette dictature hégémonique ! Idem pour le carnaval du '11 Septembre' où des hologrammes d'avions (réputés être en aluminium) auraient eu le pouvoir de pénétrer un immeuble ! et d'y trancher des poutrelles verticales d'acier de 80 cm ! Hahahaha !
Le laboratoire de Wuhan rompt le silence sur l’origine du Covid-19
14:00 19.04.2020
Pointé du doigt par des médias américains comme une possible source du Covid-19, le laboratoire P4 chinois à Wuhan nie catégoriquement toute responsabilité. Selon son chef, le laboratoire a un système de gestion strict, alors que personne au monde n’a les connaissances nécessaires pour créer un tel virus.
Le directeur du laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan, Yuan Zhi-ming, a commenté les allégations selon lesquelles l’établissement serait à l’origine de la création artificielle du nouveau coronavirus dans son laboratoire, dans une interview accordée à la chaîne de télévision chinoise CGTN.
«Nous savons exactement quel type de recherche sur les virus est effectué dans notre institut et comment l'institut traite les échantillons. Comme nous le disons depuis longtemps, ce virus ne pouvait en aucun cas venir de chez nous. Nous avons un système de gestion strict, il y a un règlement sur la recherche et d'autres choses du genre, donc nous en sommes absolument sûrs», a-t-il déclaré.
Cependant, de son avis, ces rumeurs resteront longtemps dans les medias, car l'Institut de virologie et le laboratoire BSL-4 sont situés à Wuhan, berceau de l’épidémie du Covid-19. Yuan Zhi-ming a également mentionné le sénateur américain Tom Cotton qui réitère depuis longtemps que le virus provient de l'Institut de virologie de Wuhan «sans fournir de preuve ni aucun lien logique».
Impossibilité de créer artificiellement ce virus
Le directeur du laboratoire a affirmé que l'humanité n'avait pas encore les connaissances nécessaires pour créer artificiellement un virus qui, dans ses caractéristiques, serait similaire à un nouveau type de coronavirus.
«Il existe actuellement un grand nombre de publications dans des revues scientifiques sur ce sujet. Sur la base de mes connaissances en virologie, si nous parlons de la synthèse artificielle d'un tel virus, il n'y a actuellement aucune preuve indiquant que le virus ait été créé artificiellement », a expliqué Yuan Zhi-ming.
Selon lui, beaucoup de ses collègues scientifiques conviennent que si un tel virus était synthétisé en laboratoire, ses fabricants «seraient supérieurs aux gens ordinaires de par leurs connaissances».
«Par conséquent, je ne pourrai jamais croire que l'humanité a déjà suffisamment de connaissances pour recréer un tel virus», a ajouté le scientifique.
La Chine pointée du doigt en raison de la pandémie
La chaîne Fox News a affirmé le 16 avril en se référant à «plusieurs sources informées des détails des premières actions du gouvernement chinois», avoir «vu des documents pertinents» selon lesquels un laboratoire P4 chinois est à l'origine de la diffusion du coronavirus.
Selon la chaîne américaine, le patient zéro du nouveau coronavirus était un homme qui travaillait dans un laboratoire de l’Institut de virologie de Wuhan ayant été infecté par une chauve-souris.
La chaîne Fox News a estimé que le but de ce laboratoire n’était toutefois pas de développer des armes biologiques mais de démontrer que les efforts de la Chine pour identifier et combattre les virus sont identiques voire supérieurs aux capacités des États-Unis.
Comment se fait-il qu'un confinement soit demandé il y a un mois alors que le nombre de morts était de quelques milliers dans le monde face aux 500 000 morts par an dans le monde de grippe saisonnière ?
Connaissaient-ils déjà le résultat programmé/espéré ?
Bill Gates a parlé d'un monde de seulement 500 000 personnes au lieu des 7 milliards 700 millions actuels !
Il n'y a pas que du papier hygiénique, les pénuries de semences se propagent alors que les Américains bloqués se tournent vers la culture de leurs propres aliments
par Tyler Durden Dim, 04/19/2020 - 07:35
Les Américains paniquent la thésaurisation des semences de plantes alors que l'épidémie de coronavirus confine des millions de personnes dans leurs maisons, fait planter l'économie et perturbe les chaînes d'approvisionnement alimentaire. Cela a conduit des personnes à remettre en question leur sécurité alimentaire.
Une recherche Google sur «acheter des graines» a atteint un sommet sans précédent aux États-Unis de mars à début avril, en même temps que les rayons des supermarchés se dénudaient.
- voir graphique sur site -
Nous avons très bien documenté l'évolution de la thésaurisation de panique au cours des derniers mois. Les Américains ont commencé à acheter des masques 3M N95 à la mi-janvier, puis des produits non périssables en février, suivis du papier toilette, du désinfectant pour les mains et des pistolets.
Maintenant, apparemment, les graines de plantes sont la prochaine grande chose…
Les sociétés semencières qui ont parlé à CBS News ont déclaré qu'elles avaient cessé de prendre de nouvelles commandes après une demande sans précédent. George Ball, président de Burpee Seeds, basé en Pennsylvanie, a déclaré que la récente augmentation des nouvelles commandes était "tout simplement incroyable". La société recommencera à accepter des commandes mercredi après avoir cessé d'en prendre de nouvelles pendant plusieurs jours pour rattraper son retard.
Les Américains en quarantaine sont de plus en plus préoccupés par leur sécurité alimentaire. Ce qui a choqué beaucoup, c'est que la nourriture sur les étagères des supermarchés qui existait un jour, pourrait être complètement anéantie en quelques minutes par le biais de la panique. Certaines personnes tentent maintenant de restaurer le confort de la sécurité alimentaire en plantant des «jardins pandémiques».
"Si je devais mettre le pouce dessus, je dirais que les gens s'inquiètent pour leur sécurité alimentaire en ce moment", a déclaré Emily Rose Haga, directrice exécutive de Seed Savers Exchange, une organisation à but non lucratif basée dans l'Iowa et consacrée aux semences anciennes.
"Beaucoup de gens, même dans notre région, passent des commandes dans leurs épiceries et doivent attendre une semaine pour faire leurs courses. Notre société n'a jamais connu une telle interruption de notre vivant."
Outre une crise économique et un taux de chômage élevé, l'une des tendances les plus importantes est que des dizaines de milliers d'Américains, principalement des travailleurs pauvres, qui viennent de perdre leur emploi, se retrouvent dans des banques alimentaires. Ces installations ont signalé une demande croissante, alors qu'une crise de la faim se déroule.
La crise économique, sanitaire et sociale d'aujourd'hui a fait prendre conscience aux gens que compter sur les supermarchés pour se nourrir n'est pas une valeur sûre. Certains retournent maintenant à la terre pour survivre.
Seed Savers Exchange a remarqué une forte augmentation de la demande de semences à la mi-mars, en même temps que les blocages à travers le pays entraient en vigueur. Le but non lucratif a également stoppé les nouvelles commandes pour rattraper le retard.
"Nous avons reçu deux fois le nombre de commandes que nous recevons normalement", a déclaré la société, ajoutant qu'elle a dû embaucher plus de personnel pour faire face à la demande croissante de semences.
L'Amérique étant en guerre contre le coronavirus, les «jardins de la victoire» que nos ancêtres ont plantés pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale se sont transformés en jardins pandémiques. L'augmentation de la demande de semences suggère qu'une nouvelle tendance des années 2020 se développe, celle où la dépendance des sociétés et du gouvernement pour la survie prend fin pour certaines personnes, car les communautés rurales et la vie sur la terre sont le pari le plus sûr en temps de crise.
- voir graphique sur site -
Et peut-être que le moment est venu de planter un jardin pandémique étant donné que Morgan Stanley prévoit qu'une deuxième vague de coronavirus pourrait arriver aux États-Unis plus tard cette année. Essentiellement, cela signifierait plus de courses dans les supermarchés, mettant en danger la sécurité alimentaire pour beaucoup.
Ce respirateur peut également aider à réduire l'exposition par inhalation à certaines particules biologiques en suspension dans l'air (exemples: moisissure, Bacillus anthracis, Mycobacterium tuberculosis),
mais ne peut éliminer le risque de contracter une infection ou une maladie !!
Le respirateur incorpore la technologie exclusive de 3M avec un média filtrant en microfibre chargé électrostatiquement avancé conçu pour faciliter la respiration -------------------------
Masque FFP2
Pourcentage de filtration d'aérosols : 94 % au minimum. Pourcentage de fuite vers l'intérieur : 8 % au maximum
Ce masque permet une protection dans divers domaines tels que l'industrie du verre, la fonderie, le bâtiment, l'industrie pharmaceutique et l'agriculture. Il arrête en effet les substances chimiques en poudre. Ce masque peut aussi servir de protection contre les virus comme ceux de la grippe aviaire ou du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), ou contre les bactéries de la peste pulmonaire et de la tuberculose.
Ses équivalences proches sont : le masque de protection N95 pour la zone américaine, le masque de protection KN95 pour la Chine et la Corée du Sud.
---------------------------
Comment se procurer des graines de tomates, melons, etc ?
Achetez une tomate, un melon et enlever les graines ! Laisser sécher et semez !
La réouverture de Wuhan cause des problèmes pour un monde qui sort de l'isolement
par Tyler Durden Dim, 04/19/2020 - 04:50
Les résidents de Wuhan, en Chine - l'épicentre de la pandémie mondiale qui a tué plus de 150 000 personnes en environ quatre mois - sont maintenant libres de s'aventurer après plus de deux mois de confinement à domicile dans la plus grande quarantaine de l'histoire de l'humanité.
Malheureusement pour les restaurants locaux, les restrictions levées ne se sont pas traduites par des clients désespérément nécessaires, car les résidents sont toujours soumis à des restrictions sur leurs mouvements tels que des contrôles de température avant que l'on puisse entrer dans un bâtiment, et les gens sont toujours encouragés à limiter les voyages à l'essentiel - comme le travail et le shopping.
Le propriétaire du restaurant, Xiong Fei, a déclaré que la fin du verrouillage n'a pas apporté de soulagement - juste un nouvel ensemble de défis, selon Bloomberg. Selon Xiong, les gens ont changé de comportement, peut-être pour de bon.
"Dans le passé, les gens dînaient avec leurs collègues à l'heure du déjeuner, maintenant ils reçoivent tous des boîtes à lunch", a-t-il dit, assis dans une cabine vide dans son restaurant du Sichuan. "Ils sont plus susceptibles de cuisiner à la maison que de sortir."
Sur les 10 restaurants que la société de Xiong, Bainianfeng Catering Management Co., exploitait avant l'épidémie, aucun n'a rouvert pour dîner. Et tandis que trois ont recommencé à faire des livraisons de nourriture, Xiong a déjà décidé de fermer définitivement trois autres emplacements car il attend moins de clients . Maintenant, l'entrepreneur de 40 ans et ses partenaires commerciaux tentent de décider quoi faire à long terme. La moitié des restaurants de Bainianfeng étaient des hotpot joints, où des groupes de convives cuisinent de la viande crue et des légumes dans des pots communs de bouillon bouillant - le genre d'endroits que les clients sont désormais susceptibles d'éviter. "Il y aura un ralentissement significatif de la consommation", a déclaré Xiong, prévoyant que la scène hôtelière de la ville verra un bouleversement. -Bloomberg
"Je savais que les restaurants seraient les plus touchés", a déclaré Xiong, dont les restaurants avaient déjà été largement fermés avant le verrouillage en raison de la mystérieuse nouvelle pneumonie qui circulait depuis fin décembre. "Je m'inquiétais également pour la santé de nos travailleurs."
Et même si peut-être les habitants de Wuhan ne font tout simplement pas confiance au "clair" de leur gouvernement - l'expérience de Xiong laisse présager une douleur continue pour les restaurants du monde entier actuellement fermés ou souffrant d'un manque de circulation piétonne en raison de COVID-19.
La semaine dernière, Gallup a révélé que plus de 80% des Américains attendront de reprendre leurs activités normales après la levée des restrictions. De ce nombre, 71% attendront de voir ce qui se passe avec le virus, tandis que 10% attendront indéfiniment.
De plus, Michael Wolf de The Spoon a noté le 17 mars - juste au moment où les verrouillages étaient en place, que le trafic dans les restaurants de New York était déjà en baisse de 17% avant le verrouillage.
Le trafic des restaurants de New York a diminué de 69%, tandis que celui des restaurants de Seattle a chuté de 62%. Bien qu'il s'agisse de deux des premiers points chauds, il ne s'agit pas des baisses les plus importantes. Le trafic des restaurants de San Francisco a diminué de 72% dimanche par rapport à l'année précédente, tandis que celui de Boston a diminué de 70%. -La cuillère (17 mars)
- voir graphique sur site -
Selon UBS, les restrictions dans l'UE et aux États-Unis seront levées à partir de mai dans le scénario 'à la hausse' et jusqu'en juin ou juillet dans le scénario 'à la baisse', l'activité des consommateurs devant rebondir - telle que définie comme "retour soutenu à un niveau inférieur de 20% au niveau de référence d'avant la crise, ou supérieur" - entre juin 2020 et juin 2021.
Tirer le meilleur parti d'une mauvaise situation
L'une des sociétés de Xiong, une entreprise de restauration appelée Bainianfeng, a cherché refuge dans les livraisons de repas - bien que lorsque le verrouillage a été mis en place, il était difficile de s'approvisionner et de transporter en toute sécurité des ingrédients dont le prix augmentait à mesure que les fournitures diminuaient. Pendant ce temps, son personnel a été considérablement réduit, car la plupart avaient trop peur de se présenter au travail, ou n'étaient pas autorisés à quitter leur domicile.
Avant l'épidémie, les gens faisaient la queue pendant 40 minutes le week-end pour s'asseoir aux endroits les plus populaires de Xiong. Mais sous verrouillage, il a eu la chance d'obtenir 20% des commandes qu'il recevait via des applications de livraison telles que Ele.me d'Alibaba Group Holding Ltd.et Meituan Dianping, une autre soutenue par Tencent Holdings Ltd. Pour attirer plus de convives, Xiong's trois restaurants en activité proposent de livrer de la nourriture à n'importe quel endroit dans la grande ville, même si cela prend des heures. Les plateformes en ligne représentent 20% des ventes, mais "nous n'osons pas augmenter nos prix car les gens vont se plaindre", explique Xiong.
Et tandis que ses entreprises meurent sur la vigne, Xiong se démolit - important des machines d'emballage alimentaire de haute technologie de Taïwan pour les revendre à d'autres restaurants, et se lançant dans une chaîne de diffusion en direct mettant en vedette son cousin cuisinant dans l'un de ses restaurants et mangeant la nourriture.
"Il y aura certainement des restaurants criblés", a-t-il déclaré, ajoutant: "Le marché ne fait que suivre la sélection naturelle, et seuls les plus aptes survivront."
Est-ce l'endroit le plus sûr en Amérique pour se cacher de COVID-19 ?
par Tyler Durden Sam, 18/04/2020 - 23h00
Alors que les Américains quittent les principales métros, en direction des communautés rurales, à la recherche de régions éloignées pour résister à la tempête de virus, il y a une question dans l'esprit de tous: Où est l'endroit le plus sûr en Amérique pour se cacher pendant la pandémie?
Eh bien, d'après nos écrits passés, nous avons noté qu'il pourrait s'agir du parc national de Joshua Tree en Californie du Sud ou d'un bunker apocalyptique dans le Colorado, mais maintenant il semble que ce soit une petite ville située sur une péninsule de cinq milles carrés reliée au Canada, selon le gardien britannique.
Point Roberts, un pene-exclave des États-Unis, situé à l'extrémité sud de la péninsule de Tsawwassen, au sud de Vancouver, a une population d'environ 1300 habitants et constitue une anomalie géographique - est l'une des rares régions des États-Unis. continent à être intacte par le virus.
"C'est probablement l'endroit le plus sûr du pays", a expliqué Pamala Sheppard, 65 ans, qui vit sur la péninsule depuis 1989.
La ville s'est retrouvée isolée le mois dernier lorsque les États-Unis et le Canada ont convenu de suspendre les déplacements à la frontière pour tous les déplacements non essentiels.
"Parce que nos frontières sont fermées, nous sommes comme une île en ce moment", a ajouté Sheppard. "Nous sommes comme une île sans bateaux."
Christopher Carleton, chef des pompiers de Point Roberts, a déclaré que les restrictions de voyage ont considérablement réduit le flux de véhicules en provenance du Canada.
La frontière fermée et la péninsule isolée, l'économie de la ville est entrée en récession:
«Sur le plan économique, cela nuit à notre communauté, comme dans toute communauté qui traverse cette période à ce stade, mais dans un sens, cela protège également notre communauté», a déclaré Carleton.
Carleton a déclaré qu'il n'y avait aucun cas de virus dans la ville. Les restrictions de voyage et l'éloignement social ont gardé de nombreux résidents chez eux. Il a averti que les personnes voyageant dans des endroits aux États-Unis où le virus sévit pourraient le ramener, ajoutant qu'il serait dévastateur principalement parce que la communauté est peuplée à une écrasante majorité de baby-boomers. Si des cas se développent, la ville n'a pas l'infrastructure médicale appropriée pour traiter les patients.
Theresa Coe, 57 ans, qui travaille à la marina de Point Roberts, a déclaré que la région est une ville fantôme, et que c'est "l'endroit le plus sûr probablement en Amérique du Nord; certainement dans les États", ajoutant que "vous avez des douanes américaines qui entrent et Les douanes canadiennes sortent. Rien ne va se passer ici ou très peu. "
Que ferez-vous s'ils tentent de prolonger les blocages de COVID-19 pour l'année prochaine ?
par Tyler Durden Sam, 18/04/2020 - 22:30 Écrit par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Nous assistons à un contrecoup massif contre les blocages de coronavirus partout aux États-Unis, et il est probable que les protestations contre ces blocages ne feront que s'intensifier dans les jours à venir.
Mais certains élus doublent et insistent pour que les ordonnances de «mise à l'abri sur place» restent en vigueur dans leurs juridictions pendant encore quelques mois. Honnêtement, je ne sais pas comment cela va fonctionner, car après quelques semaines, des millions et des millions d'Américains sont profondément frustrés par ces blocages. Essayer de confiner les gens chez eux dans un avenir prévisible est susceptible de déclencher d'énormes explosions de colère, mais cela semble être exactement ce que les autorités ont l'intention de faire dans certaines de nos plus grandes zones urbaines.
Par exemple, le maire de New York, Bill de Blasio, vient de dire à Fox News qu'il s'attend à ce que sa ville soit fermée jusqu'en juillet ou août…
Le maire de New York, Bill de Blasio, a rejoint Bill Hemmer aujourd'hui sur FOX News Channel.
Le maire a déclaré à Hemmer qu'il ne prévoyait pas l'ouverture de New York avant juillet ou août.
Croit-il honnêtement que les habitants de New York accepteront d'être confinés à leur domicile pendant encore trois ou quatre mois ?
Sur la côte ouest, le gouverneur de Californie Gavin Newsom a récemment déclaré à la presse qu'il n'y aura probablement pas de rassemblements de masse dans son état «tant que nous n'aurons pas atteint l'immunité collective et que nous n'aurons pas obtenu un vaccin»…
"La perspective de rassemblements de masse est au mieux négligeable jusqu'à ce que nous arrivions à l'immunité collective et que nous arrivions à un vaccin", a déclaré Newsom aux journalistes lors de sa conférence de presse.
"Les événements à grande échelle qui attirent des centaines, des milliers, des dizaines de milliers d'étrangers ... [ne sont] pas dans les cartes en fonction de nos directives actuelles et de nos attentes actuelles", a-t-il déclaré.
Il est extrêmement improbable que nous arrivions au point de «l'immunité collective» aux États-Unis cette année, et la plupart des experts n'anticipent pas de vaccin avant 2021.
Essaierait-il vraiment de garder son état verrouillé aussi longtemps ?
Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, semble être exactement sur la même page, et il a déjà pratiquement exclu tous les grands rassemblements dans sa ville «jusqu'en 2021»…
Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a déclaré mercredi que de grands rassemblements tels que des événements sportifs et des concerts ne devraient pas avoir lieu avant 2021 en raison de la pandémie de coronavirus, un coup dur pour l'une des principales capitales mondiales du sport et du divertissement.
Compte tenu du fait que la NFL a deux équipes à Los Angeles, c'est potentiellement un coup absolument dévastateur pour les fans de football.
Bien sûr, il est possible que les Rams et les Chargers puissent jouer à leurs jeux ailleurs, mais ce n'est probablement pas probable.
Surtout dans les bastions libéraux des côtes est et ouest, la crainte de grands rassemblements persistera probablement longtemps. Facebook a déjà annulé tous les événements des grandes entreprises jusqu'en 2021, et d'autres grandes entreprises technologiques emboîteront certainement le pas.
- voir sur site -
Infographie: où COVID-19 a été confirmé aux États-Unis | Statista
Sans aucun doute, tout le monde devrait être en faveur de mesures raisonnables pour aider à prévenir la propagation du virus, mais l'hystérie que nous observons dans certaines régions de Californie en ce moment est hors des cartes.
Par exemple, le comté de Mendocino a en fait interdit aux gens de chanter dans les services de culte en ligne. Ce qui suit est un extrait de leurs directives absurdes de distanciation sociale…
Il est interdit de chanter ou d'utiliser des instruments à vent, des harmonicas ou d'autres instruments susceptibles de propager le COVID-19 à travers des gouttelettes projetées, sauf si l'enregistrement de l'événement est effectué à son domicile et impliquant uniquement les membres de son ménage ou de son unité d'habitation, car du risque accru de transmission de COVID-19.
Bien sûr, nous ne voyons pas seulement ce genre de folie ici aux États-Unis.
En Australie, le Premier ministre Scott Morrison envisage sérieusement d'étendre les mesures de distanciation sociale de son pays pendant de nombreux mois à venir…
La vie publique australienne pourrait être limitée pendant un an à cause de la pandémie de coronavirus, a averti le Premier ministre Scott Morrison vendredi, alors que l'État le plus peuplé du pays réfléchissait à envoyer des enfants à l'école par roulement.
L'Australie a jusqu'à présent évité le nombre élevé de victimes de coronavirus signalées dans le monde après avoir fermé ses frontières et imposé des mesures strictes de «distanciation sociale» le mois dernier.
Ces fermetures peuvent ralentir dans une certaine mesure la propagation du virus, mais elles écrasent également absolument l'activité économique.
Des milliers d'entreprises ont été paralysées ou détruites, et des dizaines de millions d'emplois ont été perdus aux États-Unis seulement.
Inutile de dire que les propriétaires d'entreprises et les travailleurs de tout le pays sont malades et fatigués de ne pas pouvoir gagner leur vie, et le président Trump a alimenté leur frustration lorsqu'il a appelé à la libération de plusieurs États vendredi…
Vendredi, le président Trump s'est fait la vedette de la «rébellion de verrouillage» en tweetant «LIBERATE Minnesota», puis en ajoutant le Michigan et la Virginie à la liste des États qui devraient être libérés.
Les tweets sont survenus un jour après que le groupe de travail du président sur les coronavirus a mis en place des lignes directrices qui donneraient aux gouverneurs un large pouvoir pour décider du moment où les économies des États s'ouvriraient au milieu de la pandémie de coronavirus.
Et au lieu d'attendre la permission, certains propriétaires d'entreprise à travers le pays ont décidé de rouvrir de toute façon…
Le propriétaire de Summit Motorsports Park, Bill Bader Jr., a promis de commencer à organiser des événements avec ou sans l'autorisation du gouvernement, dans un message en direct sur Facebook plus tôt cette semaine.
"Je ne demande pas, j'ouvre", a-t-il déclaré dans la vidéo et a déclaré qu'il pensait que les fermetures d'entreprises étaient une réaction excessive. «Si, dans le comté de Huron, par exemple, nous sommes en mesure de sauver toutes les vies et de limiter et, finalement, d'atténuer les épidémies de Covid-19, mais dans ce processus, nous mourons tous de faim, qu'avons-nous accompli.»
Comme je l'ai averti tout au long, les Américains ne vont tout simplement pas avoir beaucoup de patience avec ce type de verrouillage, et cela est particulièrement vrai dans les régions du pays qui ont tendance à pencher pour les conservateurs.
- voir sur site - Infographie: retour à la normale ? | Statista
Mais ceux de gauche soulignent que nous commençons déjà à voir une énorme augmentation des cas confirmés dans certaines parties du pays qui n'ont pas été enfermées…
La bosse dans les cas de coronavirus est plus prononcée dans les États sans ordre de séjour à domicile. L'Oklahoma a vu une augmentation de 53% des cas au cours de la semaine dernière, selon les données compilées par l'Université Johns Hopkins. Dans le même temps, les cas ont bondi de 60% en Arkansas, 74% au Nebraska et 82% en Iowa. Le Dakota du Sud a connu un pic de 205%.
Une fois que les restrictions commenceront à être levées à l'échelle nationale, il est probablement inévitable que nous assistions à une nouvelle vague énorme de nouveaux cas et de nouveaux décès.
Cependant, il est important de souligner que ce virus finira par se propager à travers la plupart de la population, quelles que soient les mesures que nous prenons. Oui, nous voulons empêcher que nos hôpitaux soient complètement submergés, mais nous ne voulons pas non plus détruire complètement notre économie en même temps.
Nos décideurs vont devoir prendre des décisions très, très difficiles dans les jours à venir, et la vérité est que cette pandémie de coronavirus n'est que le tout début de nos problèmes.
Les mois devant nous vont être extrêmement difficiles et la vie comme vous l'avez connue ne sera plus jamais la même.
La bonne nouvelle est que certains des blocages de coronavirus commenceront à être levés dans les semaines à venir, et cela permettra à des millions d'Américains de recommencer à gagner leur vie.
Mais dans d'autres domaines, les politiciens avertissent que les blocages pourraient durer de nombreux mois à venir.
Si les politiciens de votre état essayaient de faire cela, que feriez-vous ?
Exposer les nouvelles lignes de faille dans un monde post-globalisé
par Tyler Durden Sam., 18/04/2020 - 20:35
Rédigé par Marshall Auerback et Jan Ritch-Frel. Cet article a été produit par Economy for All, un projet de l'Independent Media Institute ...
La pandémie de coronavirus a bouleversé le système économique mondial et, tout aussi important, a jeté 40 ans d'orthodoxie néolibérale qui a dominé le monde industrialisé.
Oubliez le «nouvel ordre mondial». La délocalisation et les chaînes d'approvisionnement mondiales sont terminées; la production régionale et locale est en place. Le fondamentalisme du marché est dépassé; la réglementation est la norme. La santé publique a désormais plus de valeur que les systèmes d'approvisionnement juste à temps. Le stockage et la capacité industrielle ont soudain plus de sens, ce qui peut avoir des implications futures dans le débat antitrust récemment relancé aux États-Unis.
Les données biologiques guideront la prochaine phase de la gestion et de la surveillance sociales, avec des conséquences à court terme sur la façon dont les pays gèrent l'immigration et les douanes. Les soins de santé et l'éducation seront intégrés numériquement comme l'étaient les journaux et la télévision il y a 10 ans. Les soins de santé eux-mêmes seront de plus en plus considérés comme un bien public nécessaire, plutôt que comme un droit privé, jusqu'à présent aux États-Unis, fondé sur l'âge, l'emploi ou les revenus. Chacun de ceux-ci produira des tensions politiques au sein de leurs circonscriptions et dans la société en général à mesure qu'ils s'adapteront à la nouvelle normalité.
Ce changement politique radical ne représente pas une conversion soudaine au socialisme complet, mais simplement un cas de minimisation de nos futurs risques d'infection en fournissant une couverture universelle complète. Au-delà de cela, comme l'a fait valoir le professeur Michael Sandel, il faut s'interroger sur la «logique morale» de fournir «un traitement contre les coronavirus aux personnes non assurées», tout en laissant «la couverture sanitaire en temps ordinaire… au marché» (en particulier lorsque notre concept de ce qui constitue «Temps ordinaire» a été bouleversé).
Sur le plan international, il y aura de nombreux changements internationaux positifs et substantiels pour répondre aux besoins de santé publique mondiaux en retard et aux accords sur l'atténuation du changement climatique. Et il apparaît enfin aux planificateurs économiques alliés occidentaux que le prix militaire qui a rendu possible le pétrole dit bon marché et la main-d'œuvre bon marché est largement supérieur à l'investissement dans la recherche avancée et la fabrication de nouvelle génération.
Cela signifie également que l'ancienne division Nord (monde développé) versus Sud (monde émergent) qui préoccupait depuis longtemps les universitaires et les décideurs politiques dans la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale redeviendra de plus en plus austère, en particulier pour les économies émergentes qui jusqu'ici ont attiré des investissements en grande partie sur les raisons d'être des dépositaires de main-d'œuvre à faible coût. Ils vont maintenant devoir choisir leur camp alors qu'ils cherchent de l'aide dans un monde de plus en plus divisé et multipolaire.
Les lignes de fracture de la prochaine ère économique ont déjà commencé à faire surface, créant des frictions avec la structure internationale précédente de la banque et de la finance, du commerce et de l'industrie. Il y a une force au-delà des élites et des industries critiques qui conduit cela: le prolétariat est littéralement devenu le «précariat».
Aux États-Unis et en Europe, le nombre impressionnant de travailleurs de l'économie de services va être rapidement politisé par les déficits: les gens ont vu un effondrement des revenus et de gros échecs dans l'éducation et les soins de santé. Les budgets antisyndicaux, les rentes de retraite et d'austérité et les nouvelles technologies qui concentrent la richesse loin du travail ont créé une situation dans laquelle les modèles de propriété et de profit doivent être revus pour maintenir la stabilité. Les besoins sont trop aigus pour être distraits par les mensonges de Trump ou les réponses inadéquates dans d'autres parties du monde industrialisé. La crise actuelle entraînera probablement des changements et des bouleversements géopolitiques et économiques que nous n'avons pas vus depuis la Seconde Guerre mondiale.
La mort de Chimerica, la montée de nouveaux blocs de production
L'une des plus grandes victimes de l'ordre actuel est la rupture de «Chimerica», le lien vieux de plusieurs décennies entre les économies américaine et chinoise, ainsi que les partenariats d'autres pays de premier plan avec la fabrication chinoise. Alors que la géopolitique responsable des origines du coronavirus continue de s'effondrer, le processus qui a vu une baisse des exportations de la Chine vers les États-Unis de 816 milliards de dollars en 2018 à 757 milliards de dollars en 2019 va s'accélérer et s'intensifier au cours de la prochaine décennie.
S'il est peu probable qu'un découplage conduise à un conflit armé, un style de concurrence de la guerre froide pourrait apparaître comme une nouvelle ligne de fracture mondiale. Même si la guerre froide n'a pas empêché un certain degré de collaboration entre les États-Unis et l'ancienne Union soviétique, il peut aussi y avoir encore aujourd'hui des domaines de coopération entre Washington et Pékin, du climat à la santé publique, de la recherche avancée à la prolifération des armes.
Ce changement ne signifie pas non plus nécessairement l'effondrement soudain de la puissance ou de l'influence chinoise - il a un marché intérieur colossal et toujours en croissance et figure au classement international pour un large éventail d'indicateurs avancés. Mais son statut de plaque tournante de la fabrication offshore la plus souhaitable au monde appartient au passé, tout comme la stabilité économique que les entrées régulières de capitaux étrangers ont entraînée. Cela montre une sensibilité au stress intérieur, les manifestations de Hong Kong de l'an dernier donnant un aperçu de ce qui est en magasin car la direction du parti ne peut pas pivoter vers de nouvelles réalités, notamment une croissance économique plus lente et une baisse des investissements étrangers.
À mesure que les flux d'investissement se replieront vers les pays industrialisés, il y aura probablement une diminution correspondante de l'arbitrage mondial du travail émanant du monde émergent. En général, c'est un point négatif pour le Sud global, mais potentiellement un facteur positif pour les travailleurs ailleurs, dont les salaires et le niveau de vie ont stagné pendant des décennies car ils ont perdu des emplois dans des centres de fabrication à bas prix concurrents à l'étranger (l'augmentation des inégalités est principalement un produit 40 ans d’attaques soutenues contre les syndicats). Les emplois ne seront pas les mêmes, mais il est certain que les revenus manufacturiers dépassent ceux de l'industrie des services.
Alors que chaque pays adopte une mentalité de «sauve-qui-peut», les entreprises et les investisseurs tirent les conclusions nécessaires. Le coronavirus a été un signal d'alarme, car les pays qui tentent d'importer des produits médicaux à partir des chaînes d'approvisionnement mondiales existantes sont confrontés à une pénurie d'options de fret aérien et maritime pour renvoyer des marchandises vers les marchés intérieurs. Déjà, le gouvernement japonais a annoncé son intention "de dépenser plus de 2 milliards de dollars pour aider les entreprises de son pays à délocaliser la production hors de Chine", selon le Spectator Index. Les dirigeants de l'UE indiquent publiquement une politique de subventions et d'investissements publics dans les entreprises pour empêcher les rachats chinois ou la sous-cotation des prix.
Deux milliards de dollars sont de petites pommes de terre par rapport à ce qui sera probablement dépensé par les États-Unis et d'autres pays à l'avenir. Et cela ne peut pas simplement se faire via des crédits d’impôt pour la recherche et le développement. L'État peut et doit conduire ce processus de redomiciliation par d'autres moyens: via les exigences de contenu local (LCR), les tarifs, les quotas et / ou les exigences d'approvisionnement local du gouvernement. Et avec un budget de plus de 750 milliards de dollars, l'armée américaine jouera probablement un rôle ici, car elle réfléchit aux perturbations des sources d'approvisionnement à l'étranger.
Bien sûr, si les États-Unis le font, d'autres parties du monde - la Chine, l'UE, le Japon - feront probablement de même, ce qui accélérera les tendances de régionalisation du commerce. Cela peut signifier que certaines entreprises américaines devront opérer sur les marchés étrangers via des filiales locales avec des préférences de contenu local et une main-d'œuvre locale (c'est ainsi que cela a fonctionné dans les années 1920 - Ford UK était une entreprise britannique principalement locale, différente de l'US Ford Motor Company , mais avec des bénéfices partagés).
Un examen de la planification américaine pour le monde après 1945 révèle que l'accent était mis sur le libre-échange principalement des matières premières, et non des produits finis. (Les États-Unis n'ont adopté le «libre-échange» à sens unique avec leurs alliés asiatiques et européens plus tard comme mesure de la guerre froide pour accélérer leur développement et les maintenir sur l'orbite américaine.)
Aux États-Unis, comme l'écrit Dalia Marin, la baisse prochaine des taux d'intérêt accélérera «l'adoption de robots» de 75,7%, avec une concentration «dans les secteurs les plus exposés aux chaînes de valeur mondiales. En Allemagne, cela signifie les automobiles et le matériel de transport, l'électronique et le textile - des industries qui importent environ 12% de leurs intrants des pays à bas salaires. … À l'échelle mondiale, les industries où l'activité de relocalisation est la plus importante sont les produits chimiques, les produits métalliques et les produits électriques et électroniques. »
Comme l'illustre la pandémie de coronavirus, un écosystème industriel viable ne peut pas fonctionner efficacement s'il est dispersé à trop d'extrémités géographiques ou si les redondances sont insuffisantes pour le transport des marchandises vers le marché intérieur (rail, autoroute, etc.). La proximité est devenue un avantage concurrentiel important pour les fabricants et un avantage stratégique pour les gouvernements. Mais le gouvernement américain doit jouer un rôle accru dans le processus de planification. Les États-Unis sont toujours un chef de file dans de nombreux domaines de haute technologie, mais subissent les conséquences d'un effort d'une génération pour saper le rôle naturel du gouvernement en tant que planificateur économique.
Sous la forme des blocs régionalisés qui sont en train d'être esquissés, dans les Amériques, le Mexique est probablement l'un des principaux bénéficiaires des investissements directs étrangers (IDE) américains. Il a déjà une industrie de dispositifs médicaux de 17 milliards de dollars et absorbera certainement beaucoup plus de capacité de la Chine. Cela a déjà commencé à se produire à la suite de l'accord États-Unis – Mexique – Canada (USMCA, ou nouvel ALENA). En outre, le Washington Post rapporte que «[l] a demande augmente pour les dispositifs médicaux et les équipements de protection individuelle dans la lutte contre le coronavirus, les États-Unis se sont tournés vers la phalange des usines au sud de la frontière qui sont désormais les pourvoiries de nombreux États-Unis». les hôpitaux. " Cela s'ajoute aux milliers d'usines d'assemblage déjà en place au Mexique depuis la création de l'ALENA. En effet, si les emplois qui avaient déménagé en Chine se déplacent vers le Mexique, l'Amérique centrale et l'Amérique du Sud, cela résout probablement de nombreuses tensions sociales de longue date en ce qui concerne la gestion de l'immigration, les déséquilibres monétaires et les industries correspondantes du marché noir (ironiquement, cela signifie aussi probablement la fin du mur de Trump, alors que l'écosystème industriel des Amériques devient plus cohérent et plus répandu).
Les grandes entreprises sont de bonnes affaires
Mais cela aura également des impacts importants plus près de chez nous: tout comme Franklin Delano Roosevelt a finalement donné la priorité aux augmentations nationales de la production en temps de guerre plutôt qu'à la destruction de la confiance, de même les champions nationaux sont susceptibles de figurer plus en évidence aujourd'hui, car l'échelle nationale et la solidité du bilan sont compte tenu de la priorité pour répondre à la volonté de relancer rapidement l'emploi et de travailler en collaboration pour enrayer la propagation du coronavirus. La taille des entreprises ne sera pas considérée comme un problème politique si elles peuvent à la fois offrir aux consommateurs et montrer la capacité de suivre une orientation politique pour répondre aux besoins du public. Des entreprises technologiques comme Apple et Google se mobilisent pour combler le vide laissé par le dysfonctionnement massif du gouvernement fédéral. Les voix de «briser la Big Tech» ne sont pas entendues pour le moment.
Nous avons encore besoin d'une forme de réglementation plus robuste pour ces géants des entreprises, mais via un système de réglementation qui est «axé sur les fonctions» plutôt que sur la taille. Comme le co-auteur Marshall Auerback l'a déjà écrit, ce type de réglementation «restreint la gamme des activités des entreprises (par exemple, la séparation structurelle afin d'empêcher des entreprises comme Amazon et Google de posséder à la fois la plateforme et de participer en tant que vendeur sur cette plateforme ), ou les prix que ces entreprises peuvent facturer (comme le font souvent les régulateurs pour les services publics ou les chemins de fer). Ces considérations seraient «indépendantes de la taille»: elles s’appliqueraient indépendamment de la taille de l’entreprise en soi. »
Le capitalisme a toujours eu ses ploutocrates, mais réduire le modèle trop financiarisé de l'Amérique (en empêchant les rachats d'actions, pour ne citer qu'un exemple) représenterait une réforme utile et éviterait beaucoup de gaspillage économique. Au lieu d'aller enrichir les dirigeants et les actionnaires au-delà des rêves de Croesus, cette mesure pourrait aider à garantir que les bénéfices de ces entreprises seront dirigés vers les salaires des travailleurs (ce qui signifie également soutenir une syndicalisation accrue), ou réinvestis dans l'investissement (par exemple, , robotique accrue).
Biodonnées, confidentialité et fin des profits pandémiques
Et il y a des lignes de faille dans le monde des affaires. Les industries de la recherche pharmaceutique et médicale font face à une pression énorme de la part d'autres entreprises pour mettre fin à la pandémie afin qu'elles puissent retrouver la rentabilité. Cela signifie mettre temporairement de côté les bénéfices et mettre en commun la propriété intellectuelle pour encourager les efforts de collaboration des sociétés biotechnologiques et pharmaceutiques pour trouver des traitements appropriés pour COVID-19, et les rendre librement disponibles, surtout si les gouvernements devaient renoncer à un contrôle antitrust en échange de tous les données détenues collectivement par les grandes sociétés pharmaceutiques. Comme le rapporte le Guardian, «[t] voici un précédent. En juin dernier, 10 des plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde, dont Johnson & Johnson, AstraZeneca et GlaxoSmithKline, ont annoncé qu'elles mettraient en commun les données pour une recherche basée sur l'IA de nouveaux antibiotiques, qui sont nécessaires de toute urgence car les bactéries résistantes aux antibiotiques ont proliféré à travers le monde, menaçant la croissance de maladies incurables. "
Les défenseurs de la vie privée expriment déjà leurs inquiétudes au sujet d'un état de surveillance médicale en pleine expansion et en pleine expansion. Ces préoccupations de surveillance manquent de contexte historique: à partir du XIXe siècle, de graves problèmes de santé ont été rencontrés par des politiques gouvernementales rigoureuses pour les réduire. Des politiques allant de la quarantaine au vaccin n'étaient pas toujours obligatoires, mais il était entendu que des concessions personnelles devaient être faites pour gérer une population énorme et une société avancée; la Constitution n'est pas un pacte de suicide. Nous pouvons encore atténuer ces préoccupations aujourd'hui en veillant à ce que les informations découvertes ne deviennent pas une condition préalable ou un coût supplémentaire pour bénéficier d'une couverture d'assurance. À la lumière du coronavirus, les économies de coûts liées à l'intégration des données biologiques dans l'immigration et les douanes sont une évidence pour les gouvernements et sont susceptibles de causer des frictions avec les personnes qui ne veulent peut-être pas donner de sang ou de salive pour obtenir un visa ou un permis de travail et les chefs de file de l'agro-industrie. qui savent que les mesures de sécurité réduisent la rentabilité. Mais la balance a basculé dans l'autre sens.
Nord contre Sud
Qu'en est-il des autres pays du monde en développement qui n'ont pas une proximité géographique étroite avec un marché intérieur, ou des approvisionnements abondants en produits de base essentiels requis pour les besoins de fabrication du 21e siècle, ou même une base de fabrication bien développée (en d'autres termes, le pays qui jusqu’ici ont été de gros bénéficiaires de l’investissement uniquement pour des raisons de main-d’œuvre bon marché)? Beaucoup d'entre eux ont été confrontés à une pression immédiate avec l'effondrement du commerce mondial, une fuite des capitaux sans précédent qui ne manquera pas de croître à mesure que le coronavirus se propage, tout en faisant face à COVID-19 avec des systèmes de santé très inadéquats.
Entre-temps, le marché de plusieurs billions de dollars pour la dette des marchés émergents, tant les obligations souveraines que le papier commercial, s'est effondré. Bon nombre de ces pays, via leurs fonds de pension publics et leurs fonds souverains, sont devenus le critère ultime pour bon nombre des nouveaux titres adossés à des actifs qui ont finalement renoué avec les années après la crise financière de 2008. Cela est devenu le nouveau point de tension potentiel sur le marché des services bancaires parallèles de 52 billions de dollars. La Réserve fédérale américaine a cherché à atténuer les tensions financières d'une grande partie des économies en développement en proposant des lignes de swap de banques centrales. Il a également élargi les règles d'acceptation des sûretés des principaux courtiers et mis en place des swaps de papier commercial, qui ont tous atténué les pressions de financement à court terme dans ces économies qui ont engagé des dettes importantes en dollars.
Alors que les banques centrales mondiales émergentes commencent à prêter sur ces lignes à leurs propres banques, cela devrait commencer à atténuer la pénurie de dollars sur les marchés de financement offshore. Nous commençons à voir un certain assouplissement des tensions, notamment en Indonésie, car il s'agit d'un exportateur de ressources plus qu'une économie de prix du travail bon marché.
Mais alors que lors des précédentes crises des marchés émergents, la Chine a été en mesure de soutenir ces économies via des initiatives telles que la «Belt and Road Initiative», Pékin lui-même est susceptible d'être secoué par le double choc de la baisse du commerce mondial et d'une inversion des investissements directs étrangers, qui a diminué de 8,6% au cours des deux premiers mois de cette année.
À plus long terme, de nombreux autres pays sont confrontés à des défis comparables à ceux de la Chine: les contrôles des capitaux, l'effondrement des monnaies nationales et les défauts de paiement généralisés devraient devenir la norme. C’est déjà arrivé à l’Argentin en série. L'Afrique du Sud a été rétrogradée au statut d'ordure. La Turquie reste vulnérable. Les économies dites «BRICS» - Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud - coulent toutes comme des briques. Le problème est exacerbé par le fait que les coronavirus et les futures pandémies probables créeront des pressions supplémentaires sur les économies en développement qui dépendent de leur avantage en termes de prix du travail sur le marché international pour survivre.
En revanche, des pays comme la Corée du Sud et Taïwan ont connu une «bonne crise». Les deux ont des secteurs manufacturiers dynamiques et ont créé des démocraties multipartites prospères. L'investissement étranger en Corée du Sud a continué de croître au premier trimestre de cette année, car il s'est rapidement déplacé pour contenir la propagation du COVID-19 grâce à un régime de tests approfondis (tout en maintenant son économie ouverte). De même, à Taïwan, en activant un système national d'intervention d'urgence lancé en 2004 (à la suite du virus du SRAS), ce pays a mis en place une intervention contre les coronavirus parfaitement compétente et d'une efficacité sans précédent. Les résultats parlent d'eux-mêmes: au 15 avril, en Corée du Sud, à peine 225 décès, tandis qu'à Taïwan, un total étonnamment bas de six décès dans un pays de 24 millions d'habitants, malgré une exposition à des visiteurs chinois infectés beaucoup plus élevée qu'en Italie, L'Espagne ou les États-Unis
Bien sûr, le succès même de la réponse de Taiwan fait renaître une autre ligne de fracture potentielle, à savoir la tension sous-jacente à la politique «Une seule Chine». Avant COVID-19, il convient de noter que l’OMS «a même refusé de signaler publiquement les cas de SRAS à Taïwan jusqu’à ce que la pression du public incite à publier des chiffres sous l’étiquette« Taïwan, province de Chine »», selon le Dr Anish Koka. À tout le moins, l’approche divergente de Taiwan et son succès dans la lutte contre la pandémie renforceront ses factions indépendantistes.
La question des nations étrangères qui maintiennent la souveraineté de Taiwan vis-à-vis de la Chine est de plus en plus épineuse, compte tenu des capacités militaires croissantes de Pékin. Cela représentera un défi diplomatique permanent pour les parties occidentales qui cherchent à accroître leur engagement avec Taipei sans exacerber les tensions dans la région.
Un nouveau calcul de la «valeur économique»
Nous avons décrit de nombreuses lignes de faille susceptibles d'être exposées ou exacerbées à la suite de COVID-19. Heureusement, il existe une ligne de faille susceptible d'être claquée: la fausse dichotomie qui existe depuis longtemps entre la croissance économique et l'environnementalisme. L'évaluation mondiale de la plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques rapporte que «la dégradation des terres a réduit la productivité de 23% de la surface terrestre mondiale, jusqu'à 577 milliards de dollars de cultures mondiales annuelles sont menacés par la perte de pollinisateurs et 100 -300 millions de personnes courent un risque accru d'inondations et d'ouragans en raison de la perte d'habitats côtiers et de leur protection. » De même, l'étude cite le fait qu'en 2015, 33 pour cent des stocks de poissons marins «étaient exploités à des niveaux non durables» et note l'augmentation de la pollution plastique (qui «a décuplé depuis 1980»), qui jouent tous deux un un rôle clé dans la dégradation des écosystèmes d'une manière qui finit par détruire la croissance économique.
Enfin, les pandémies répétées au cours des dernières décennies ont montré que ce ne sont pas des imperfections, mais des caractéristiques récurrentes du monde d'aujourd'hui. Par conséquent, il y a un appétit grandissant du public pour que la réglementation traite ce problème permanent. Certaines industries, telles que l'agro-industrie, n'aimeront pas cela, mais les préoccupations sont fondées. Selon l'expert Josh Balk, 75 pour cent des nouvelles maladies commencent chez les animaux domestiques et sauvages, et 2,2 millions de personnes meurent chaque année de maladies transmises par les animaux. La majorité d'entre eux sont transférés de poulets d'élevage, de vaches et de porcs mal réglementés; encore faut-il s'attaquer aux «marchés humides» d'Asie et d'Afrique et au commerce des «espèces de transfert» potentielles, comme les pangolins, un des principaux moteurs du commerce mondial de 19 milliards de dollars par an d'espèces sauvages illégales. Pékin a suggéré d'interdire le commerce d'espèces sauvages illégales et de rechercher une réglementation plus stricte des marchés humides. Ce dernier en particulier peut être plus facile à dire qu'à faire, selon le Dr Zhenzhong Si, associé de recherche à l'Université du Canada à Waterloo, spécialisé dans la sécurité alimentaire, la durabilité et le développement rural chinois. Le Dr Si a fait valoir que «[b] annuler les marchés humides ne sera pas seulement impossible, mais sera également destructeur pour la sécurité alimentaire urbaine en Chine, car ils jouent un rôle essentiel pour garantir aux résidents urbains un accès à des aliments sains et abordables. "
Pour être juste, ce n'est pas la première fois que les principes sacrés du cadre économique mondial traitent d'une crise qui semble ouvrir une nouvelle ère. La même chose s'est produite au lendemain de la crise financière de 2008. Mais cela a été largement considéré comme une crise financière, un produit d'une plomberie financière mondiale défectueuse que personne n'a vraiment compris, par opposition à un effondrement social généralisé se rapprochant étroitement des conditions de la Grande Dépression que nous avons aujourd'hui.
Non seulement le verrouillage actuel a mis l'ensemble de l'économie mondiale dans un gel profond, mais il s'est également produit dans un contexte de bouleversements politiques et sociaux généralisés et d'une fausse reprise dont les fruits ont été largement limités au niveau supérieur. Un titre de créance garanti n'est pas intuitivement facile à saisir. En revanche, être forcé de rester à la maison, privé de revenus vitaux et isolé de ses proches, tandis que les agents de santé périssent du surmenage et du manque d'équipement de protection, est d'un ordre de grandeur différent.
Alors même que nous nous réintégrons, il est difficile d'envisager un retour à «l'ancienne normale». La structure des échanges va changer. L'autosuffisance et la proximité géographique seront privilégiées par rapport à l'intégration mondiale. Il y aura de nouveaux gagnants et perdants, mais il convient de noter que le modèle de capitalisme que nous décrivons - celui qui ne présente pas de rémunération des PDG obscurément surcompensée coexistant avec le travail des serfs et la délocalisation généralisée de la fabrication - a existé sous différentes formes dans aux États-Unis de 1945 aux années 1980, et existe encore dans certaines parties de l'Europe (Allemagne) et de l'Asie de l'Est (Japon, Corée du Sud, Taïwan) à ce jour.
Notre vie quotidienne sera affectée par la mise en quarantaine sélective et certaines formes de distanciation sociale deviendront la nouvelle norme (tout comme elles l'étaient lorsque nous avons traité des épidémies de tuberculose). Tout cela a des implications pour une multitude d'industries: restaurants, loisirs, voyages, tourisme, événements sportifs, divertissement et médias, ainsi que notre définition évolutive des industries «essentielles». Même notre concept de vie privée devra probablement être modifié, notamment en ce qui concerne les questions médicales. Les inquiétudes concernant la surveillance médicale - la stigmatisation (MST, alcoolisme, maladie mentale) et le refus d'assurance - peuvent être atténuées si tout le monde reçoit un traitement sans égard à sa capacité de payer, ce qui se traduira par une plus grande intrusion du gouvernement dans la vie des citoyens et les activités des entreprises comme le secteur public cherche à socialiser les coûts.
Dans l'ensemble, nous sommes sur le point de vivre les changements sociaux, économiques et politiques les plus profonds depuis la Seconde Guerre mondiale.
COVID-19 pourrait changer le comportement des voyageurs pour toujours ... mettant en danger la demande de pétrole de 3 millions de b / j
par Tyler Durden Sam, 18/04/2020 - 19:45 Rédigé par Daniel Klein via le blog S&P Global Platts Inisghts,
Les voyages aériens, routiers et ferroviaires dans le monde ont été massivement réduits alors que les gouvernements tentent de limiter la propagation du coronavirus, faisant un lourd tribut à la demande de pétrole à court terme.
De toute évidence, les restrictions imposées prendront fin lorsque la pandémie s'atténuera et que les bas prix du pétrole contribueront davantage à stimuler la demande de pétrole. Cependant, il est possible que le comportement des consommateurs soit modifié structurellement, avec des impacts qui persistent même une fois la pandémie terminée.
Pour la demande de pétrole, les deux secteurs les plus exposés à un changement de comportement potentiel sont le transport léger et l'aviation. Ces risques sont étudiés en profondeur dans le rapport Quantifying Risk: How COVID-19 could change consumer comportements and impact long-term demand, publié par S&P Global Platts Analytics's Scenario Planning Service le 24 mars.
Pour les transports légers, un risque clé est la réduction de la demande de pétrole provenant d'un nombre moindre de navetteurs en cas de changement structurel vers le travail à domicile. Une fois les restrictions imposées levées, les entreprises peuvent remettre en question le coût des bureaux physiques et offrir un travail plus flexible à partir du domicile ou même obliger les employés à travailler à domicile.
De toute évidence, le potentiel de travailler à domicile est limité à certains segments, car de nombreux employés du secteur industriel et des services n'ont pratiquement aucune flexibilité pour travailler à domicile. Même certains cols blancs peuvent ne pas être en mesure de travailler à domicile en raison d'un manque de télécommunications et d'informatique à domicile omniprésents.
Sur la base de données sur l'emploi spécifiques au pays et d'une analyse des schémas de navettage, Platts Analytics estime que 5% des kilomètres parcourus par les véhicules de transport en commun sont menacés par un changement structurel vers une plus grande partie de la population active travaillant à domicile. À long terme, cela pourrait éliminer jusqu'à 193 milliards de kilomètres parcourus dans le monde d'ici 2030.
Outre les déplacements domicile-travail, les autres activités de transport léger ont diminué en raison de l'épidémie de COVID-19. Les consommateurs sont obligés de réduire le nombre de voyages dans les épiceries et autres magasins et d'acheter des produits en ligne pendant l'épidémie. Ces comportements peuvent persister après la levée des restrictions, en particulier si des économies de coûts sont identifiées. La plupart des grands détaillants en ligne ont fait de grands progrès dans l'utilisation des mégadonnées et des algorithmes pour prédire le comportement des consommateurs afin d'optimiser les chaînes d'approvisionnement et de livraison. Dans l'ensemble, le passage aux achats en ligne réduira globalement les kilomètres parcourus par les véhicules.
De plus, bon nombre de ces détaillants ont leurs propres flottes de livraison, et il y a un changement vers l'électrification de ces camions de livraison, illustré par le partenariat historique entre Amazon et le fabricant de véhicules électriques, Rivian. Cela pourrait aggraver encore les pertes globales de demande de pétrole. Platts Analytics estime la perte potentielle de la demande de pétrole dans le transport routier qui en résulte à partir d'une plus grande prévalence du travail à domicile et de l'évolution des habitudes d'achat à 1,9 million b / j d'ici 2040.
Le secteur de l'aviation a également été gravement touché par l'épidémie de coronavirus et est susceptible de changer de comportement structurel après la fin de la crise si l'on souhaite voler moins. Tout comme le transport routier, une partie de la demande de l'aviation est à l'abri d'un changement potentiel des préférences des consommateurs, comme le fret aérien.
Pour l'aviation de passagers, des enquêtes récentes suggèrent que 40% des passagers aériens voyagent à des fins professionnelles. Les entreprises sont actuellement obligées d'expérimenter des moyens de mener des opérations sans se déplacer et peuvent apporter des modifications durables aux politiques de voyage pour pousser plus vigoureusement à des réunions virtuelles pour réduire les coûts, réduire les émissions de CO2 et améliorer l'environnement, la société et la gouvernance (ESG) scores.
Platts Analytics estime que les voyages d'affaires sont les plus susceptibles de changer de comportement depuis l'épidémie de COVID-19. Pour les voyages d'agrément, le tourisme virtuel et les appels vocaux ou vidéo avec des êtres chers éloignés ne sont pas de bons substituts à la réalité, et ce segment du transport aérien peut s'avérer le plus sûr.
Le secteur de l'aviation suit une forte tendance à la hausse en raison de la montée de la classe moyenne, en particulier en Asie. Avant que le coronavirus ne frappe, Platts Analytics a supposé une croissance de la demande de pétrole à long terme dans l'aviation de 2% par an en raison des tendances économiques et des voyages en vigueur. Un scénario où la croissance de l'aviation serait la moitié de cette attente initiale entraînerait une demande de pétrole de 1,8 million b / j de moins d'ici 2040.
Les impacts du coronavirus seront finalement déterminés par la durée et la gravité de l'épidémie. Cependant, plus les consommateurs et les entreprises s'adaptent aux restrictions et identifient des économies potentielles, plus la probabilité que ces changements deviennent structurels et durables est grande.
La chloroquine un « vieux médicament » qui dérange.
le 19 avril 2020
- voir shéma sur site -
Le Professeur Didier Raoult n’a rien redécouvert au sujet de la chloroquine car comme tout bon scientifique il a lu la littérature relative à sa spécialité de virologiste reconnu dans le monde entier et devant l’urgence n’a fait qu’appliquer au niveau clinique concret ce qu’il avait constaté dans cette littérature scientifique. Et il a eu parfaitement raison en dépit de la scandaleuse campagne de dénigrement orchestrée par les politiciens parisiens !
Un article paru dans The Lancet en novembre 2003 décrivait l’effet positif de cette molécule sur la maîtrise de la prolifération du coronavirus – oui ! Ce virus existait déjà il y a 17 ans (SARS) – et plutôt que d’attendre l’apparition sur le marché (et l’AMM) d’un vaccin contre le nouveau coronavirus « vintage 2019 » ou tout autre nouvel antiviral qui rapporterait gros aux laboratoires pharmaceutiques et par conséquent au monde financier, Raoult a suivi les travaux des cliniciens chinois et appliqué la prescription de la chloroquine pour réduire la charge virale chez les malades aux stades précoces de l’infection.
Et ça marche parfaitement !
Pourquoi le traitement préconisé par Raoult dérange-t-il ? Tout simplement parce que les ministres du gouvernement Macron sont tous aussi corrompus les uns que les autres, prisonniers de leurs conflits d’intérêts et de l’influence des lobbyistes du secteur de la pharmacie qui leur ont attribué de grasses commissions pour inscrire la chloroquine parmi les substances vénéneuses alors que ce produit est prescrit dans le monde entier depuis plus de 50 ans. Honte à l’ex-ministre de la santé qui s’est défilée en se présentant comme candidate à la mairie de Paris ! Il était donc urgent de maintenir le premier tour des élections municipales : tout s’explique … Il ne faut pas prendre les Français pour des cons ! La chloroquine ou son dérivé hydroxylé ne coûtent rien, leurs prix de vente couvrent tout juste le conditionnement des comprimés. Il fallait donc privilégier des laboratoires susceptibles de mettre sur le marché des antiviraux coûteux, des laboratoires comme Gilead qui ont réussi à attirer l’attention des décideurs politiques et de l’administration par leur intense pression. Il s’agit de la part de l’ensemble du gouvernement français d’un conflit d’intérêt flagrant, même le Président ne peut pas ne pas être compromis dans cette affaire
Il faudra poursuivre au pénal ces éléments totalement pourris de l’administration et du monde politique français mais aussi des membres d’autres gouvernements européens qui ont pris les décisions françaises pour des décisions fiables. J’ai vraiment honte des dirigeants de mon pays …
Pour les amateurs de vraie science et non pas de politique corrompue voici l’article du Lancet : https://doi.org/10.1016/S1473-3099(03)00806-5 d’où provient l’illustration en tête de billet.
Air France surprise en plein non-respect de la distanciation sociale à bord d’un vol bondé – photo
16:03 19.04.2020
Les mesures de distanciation sociale n’ont pas été respectées par Air France lors d’un vol complet entre Paris et Marseille, comme l’atteste une photo prise par une journaliste de France 3. Les passagers ont été contraints d’occuper les sièges du milieu. Pour sa défense, Air France a indiqué que ses filtres d’air éliminaient le Covid-19 en cabine.
Une journaliste de France Télévisions a relayé un cliché pris à bord d’un avion de ligne d’Air France le 18 avril. La photo montre une forte fréquentation des voyageurs en cette période de confinement, alors qu’aucune mesure de distanciation sociale entre les passagers n’a été respectée.
?Selon la journaliste, alors que les distances étaient respectées à l’aéroport de Roissy, les voyageurs ont dû s’asseoir dans la cabine de l’avion reliant Paris à Marseille, «serrés les uns à côté des autres, sans masques pour la plupart, [le] visage à 30 centimètres de celui [du] voisin», a fait savoir Charlotte Gillard en direct au 20h.
«L’air en cabine renouvelé toutes les trois minutes»
Interrogée par Franceinfo, la compagnie aérienne a déclaré qu’il n’était pas possible d’assurer la distance entre les passagers sur les vols les plus fréquentés. Cependant, Air France a affirmé avoir pris toutes les mesures «afin de limiter au maximum les interactions et contacts», précisant que la plupart des vols Paris-Marseille ne sont qu’à moitié complets.
En outre, elle a noté que «l’air en cabine est renouvelé toutes les trois minutes», une mesure assurée par des filtres HEPA (High Efficiency Particulate Air), qui ressembleraient à ceux dont les blocs opératoires sont équipés, avance la chaîne de télévision.
Ces dispositifs «extraient plus de 99,999% des virus les plus petits, y compris ceux dont la taille ne dépasse pas 0,01 micromètre [...]. Les virus de type coronavirus, dont la taille varie entre 0,08 et 0,16 micromètre sont filtrés par les filtres HEPA».
Les voyages en avion après la pandémie
Auparavant, EasyJet avait indiqué que les sièges du milieu ne seraient pas vendus afin que les passagers puissent respecter la distanciation sociale après la pandémie et la reprise des vols. Quant au port des masques, Wizz Air avait noté qu’il serait indispensable de protéger tous les passagers avec des masques durant les vols.
PRODUITS ALIMENTAIRES : GARE AU POUVOIR D'ACHAT APRÈS LE CONFINEMENT
par OLIVIER SANCERRE 18/04/2020
La hausse des coûts subie par les entreprises de l'agroalimentaire oscille entre 3% et 16%.
La sortie du confinement risque d'être difficile pour le portefeuille des Français. Le secteur agroalimentaire prévient que les prix vont augmenter pour restaurer les marges.
Il n'y a pas eu de hausse vertigineuse des prix dans les linéaires des produits agroalimentaires. De fait, « l'inflation en raison est quasi-nulle », souligne le baromètre de l'Association nationale des industries agroalimentaires (Ania), qui tire la sonnette d'alarme. Si les étiquettes des produits alimentaires n'ont pas valsé, c'est parce que les sociétés du secteur ont absorbé les hausses de coût, réduisant ainsi leurs marges et leur rentabilité. Ces augmentations des coûts sont directement liées « à l’augmentation des prix des matières premières, des coûts de maintenance des outils de production ou encore de l’achat des équipements de protection des salariés », explique l'association.
Hausse des coûts depuis le confinement
Cette situation ne peut pas durer. Les hausses de coût sont comprises entre 3% et 16%, selon l'organisation qui regroupe près de 18.000 entreprises du secteur qui ont réalisé un « effort considérable » ayant permis à la chaîne alimentaire de « tenir »… Mais « à quel prix ? », s'interroge l'Ania. 70% à 80% des entreprises de l'agroalimentaire ont constaté une baisse du chiffre d'affaires et une rentabilité « fragilisée ». Le tableau est particulièrement sombre pour les sociétés spécialisées dans la restauration hors domicile. Près de la moitié d'entre elles ont subi une baisse d'activité de « plus de 75% en valeur et en volume », indique le baromètre.
Le pouvoir d'achat va baisser
Pour Richard Girardot, président de l'association, les Français doivent en avoir conscience : « Une nouvelle ère s’engagera lors de la sortie de crise, façonnée par une demande durablement modifiée du consommateur, dans ses choix, ses circuits d’achat, son pouvoir d’achat ». Les consommateurs vont prendre le relais des hausses de coût, qui se répercuteront sur la facture finale. Le pouvoir d'achat va donc en prendre un coup après le 11 mai, jour de sortie du confinement.
La foule grouille de plages de Floride au milieu d'une réouverture progressive alors que les critiques critiquent "#FloridaMorons"
par Tyler Durden Dim, 04/19/2020 - 11:00
La controverse s'ensuit sur les images et vidéos virales montrant les plages de Floride grouillant de foules un jour seulement après que le gouverneur républicain Ron DeSantis a déclaré qu'elles pourraient rouvrir en fonction de la discrétion des dirigeants locaux et des comtés.
The Hill rapporte: "Des images de personnes qui affluent vers les plages de Jacksonville, en Floride, sont devenues virales sur Twitter samedi, provoquant des réactions des utilisateurs sur la plate-forme et le hashtag #FloridaMorons."
Parmi les premières plages à rouvrir au public se trouvait à Jacksonville, où le maire Lenny Curry (R) a déclaré: «Cela peut être le début du chemin de retour à la vie normale.»
Restrictions jusqu'à ce que les amateurs de plage soient obligés de Jacksonville et d'autres plages de Floride pour éviter de se rassembler dans la foule, de rester à six pieds des membres de la famille, et pour éviter d'installer des chaises et des tentes.
Le samedi, Curry a déclaré que les résidents pratiquaient la «distanciation sociale et un comportement responsable» alors qu'il défendait la décision d'ouvrir les plages.
Le maire de Miami-Dade, Carlos Gimenez, devrait également annoncer prochainement la réouverture des plages de la région, mais la date précise n'est pas claire, mais devrait avoir lieu la semaine prochaine.
Les décideurs largement républicains de Floride semblent utiliser l'élan que le président Trump a mis en branle jeudi pour annoncer des lignes directrices pour une 'réouverture progressive' de l'économie américaine, qui donne en fin de compte les pouvoirs aux gouverneurs pour adopter les mesures.
Comme c'est toujours le cas en cette période polarisée, tout le monde n'était pas favorable à la réouverture. Le commissaire de la ville de Lake Worth Beach, Omari Hardy, a tweeté avec colère (et clairement sur le plan politique):
"Quand une personne ne croit pas à la science, elle fait des bêtises."
"Quand une personne au pouvoir ne croit pas à la science, elle fait des bêtises qui blessent le public. Cette décision est tellement stupide que je devais m'assurer que ce n'était pas de fausses nouvelles. Vous les gars, ce ne sont pas de fausses nouvelles. "
Et le maire de Miami, Francis Suarez, qui a lui-même contracté un coronavirus, a qualifié la réouverture de Jacksonville de «très préoccupante», ajoutant que la Floride «n'était pas encore sortie du bois» et que les conséquences d'une réouverture trop tôt étaient «très, très effrayantes».
Dimanche matin, la Floride comptait 25 492 cas de COVID-19 avec 748 décès signalés, la plupart des cas étant concentrés dans le centre de la Floride chez les personnes de 65 ans et plus.
Le maire de Jacksonville a défendu la décision controversée de rouvrir en faisant valoir que les citoyens peuvent rester prudents et raisonnables tout en retournant dans les lieux publics:
Il convient de noter que l'explosion prévue du nombre de cas dans le Sud ne s'est pas encore matérialisée au niveau attendu.
Ainsi, nous pourrions voir une situation dans laquelle la zone des trois États durement touchée ainsi que des endroits comme le Michigan continuent de culminer, tout en regardant les États du Sud «plus tôt que prévu» pour revenir à une «normalité» relative.
«Le Président se trompe», le port du masque est nécessaire «dès maintenant»
23:05 19.04.2020
Un spécialiste estime que la stratégie du gouvernement quant à la distribution des masques est défaillante. Il milite pour leur port par le plus grand nombre dès aujourd’hui et dans l’anticipation d’un déconfinement.
Interrogé par France Info, Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital européen Georges-Pompidou est revenu sur l’importance de porter un masque en cette période de pandémie. Non seulement pour les soignants en contact direct avec le virus, mais pour l’ensemble de la population.
« Les Français doivent porter un masque au moment du déconfinement mais aussi dès maintenant. […] Un masque vaut mieux que rien du tout, même fabriqué à la maison. Il vaut mieux se couvrir la bouche et le nez», a-t-il expliqué au micro de France Info.
Le professeur Juvin a également pointé du doigt la stratégie du gouvernement sur le port généralisé des masques, estimant que les politiques n’écoutaient pas assez les scientifiques, et que le chef de l’État était dans l’erreur.
«De plus en plus de voix s’élèvent sur ce sujet, comme l'Anses ou la communauté scientifique internationale. Les politiques devraient commencer à les écouter. Je pense que sur ça, le Président de la République se trompe», a-t-il ainsi confié à France Info.
Contre un déconfinement total
Sur France Info, Philippe Juvin a également évoqué la perspective d’un déconfinement, estimant que celui-ci devait être progressif et qu’il ne fallait pas «déconfiner tout le monde en même temps», au risque d’aggraver la situation.
Le médecin a néanmoins précisé que certaines conditions devaient être remplies avant d’envisager une sortie du confinement. Il insiste sur la mise en place d’un dépistage à grande échelle et sur le nombre de lits à prévoir en réanimation.
«Il faut que nous ayons des capacités de testing de la population extrêmement massives. Mais aussi des lits disponibles, surtout en réanimation. Quand vous faites la guerre, il faut avoir des munitions. Sinon, on ne pourra pas déconfiner les Français en toute sécurité», a-t-il déclaré à France Info.
Lors de leur conférence de presse tenue le 19 avril, Édouard Philippe et Olivier Véran ont traité de la situation liée à l’épidémie de Covid-19 en France. Il a été rappelé qu’en absence d’un vaccin ou d’un traitement efficace, l’accent devait être mis sur les gestes barrières, les tests et l’isolement des porteurs du virus. Il a en outre été mentionné que le port du masque pourrait devenir obligatoire dans les transports à partir du 11 mai.
Il n'y a pas, n'y aura jamais et il n'y a jamais eu de vaccin contre un coranavirus (il mute continuellement depuis 2013).
(...) Un masque vaut mieux que rien du tout, même fabriqué à la maison. Il vaut mieux se couvrir la bouche et le nez» (...)
Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital européen Georges-Pompidou SE TROMPE ! On ne fabrique pas un masque antivirus à la maison !
Il est parfaitement inutile de prendre un sac aspirateur, filtre Melitta, foulard ou bonnet de soutien-gorge ! Le filtre DOIT FAIRE 1µ au maximum d'entrée d'air !
Non seulement ces conneries citées ci-dessus NE PROTÈGENT PAS mais elles AGGRAVENT les cas ! Un foulard ou tissu quelconque est mouillé par les expirations. Ce faux masque devient UN NID A VIRUS !
SEULS les masques FF P2 PROTÈGENT. Ils sont été fabriqués, ils sont stockés, mais des criminels (en France) empêchent qu'ils soient distribués !
La Chine indignée après que le plus grand journal allemand accuse Pékin d'avoir "exporté" la pandémie de coronavirus et demande 149 milliards d'euros de dommages et intérêts
par Tyler Durden Dim, 04/19/2020 - 23:40
Voyons comment les "vérificateurs des faits" pro-chinois explosent sur celui-ci.
Le rédacteur en chef du plus grand journal allemand Bild a lancé jeudi une attaque frontale complète contre le président communiste chinois Xi Jinping pour le fait que son régime n'a pas menti au sujet de l'épidémie de coronavirus et des violations massives des droits de l'homme perpétrées par le Parti communiste, et exigeant qu'aucune moins de 149 milliards d'euros de dommages à la suite des actions de la Chine.
Dans un article intitulé "What China Owes Us", Julian Reichelt, éminent rédacteur en chef du Bild, a écrit à Jinping que "votre ambassade à Berlin m'a adressée dans une lettre ouverte parce que nous avons demandé dans notre journal Bild si la Chine devrait payer les dommages économiques massifs que le coronavirus inflige dans le monde entier. "
S'adressant au président chinois, le rédacteur en chef allemand a écrit: "Vous, votre gouvernement et vos scientifiques saviez depuis longtemps que le coronavirus est très contagieux, mais vous avez laissé le monde dans l'ignorance à ce sujet. Vos meilleurs experts n'ont pas répondu lorsque l'Occident les chercheurs ont demandé à savoir ce qui se passait à Wuhan. Vous étiez trop fier et trop nationaliste pour dire la vérité, ce qui vous semblait être une honte nationale. "
Reichelt a déclaré: «Vous régnez par la surveillance. Vous ne seriez pas président sans surveillance. Vous surveillez tout, chaque citoyen, mais vous refusez de surveiller les marchés humides malades dans votre pays. Vous fermez tous les journaux et sites Web qui critiquent votre règle, mais pas les étals où la soupe de chauve-souris est vendue. Vous ne surveillez pas seulement vos gens, vous les mettez en danger - et avec eux, le reste du monde. "
Il a poursuivi son exposé des détails, notant que «la surveillance est un déni de liberté. Et une nation qui n'est pas libre, n'est pas créative. Une nation qui n'est pas innovante, n'invente rien. C'est pourquoi vous avez fait de votre pays le champion du monde du vol de propriété intellectuelle.
"La Chine s'enrichit des inventions des autres, au lieu d'inventer toute seule", a écrit Reichelt. "La raison pour laquelle la Chine n'invente pas, c'est que vous ne laissez pas les jeunes de votre pays penser librement. Le plus gros coup à l'exportation de la Chine (que personne ne voulait, mais qui a néanmoins fait le tour du monde) est le coronavirus."
Nous avons hâte de lire ce que Reichelt aura à dire lorsqu'il sera confirmé que la "grippe Wu" s'est échappée de l'Institut de virologie de Wuhan, un développement auquel nous nous attendons aura lieu tous les jours.
Le journal le plus vendu, Bild, avait calculé avant l'éditorial de Reichelt que la Chine devait à l'Allemagne 149 milliards d'euros pour les dommages causés par le coronavirus, déclenchant la réaction de colère de l'ambassade de Chine à Berlin. Bild a déclaré que l'indemnisation s'élève à 1 784 € par personne si le PIB de l'Allemagne baisse de 4,2%. L'article de Bild était intitulé: "Ce que la Chine nous doit."
En réponse, la porte-parole de l'ambassade de Chine, Tao Lil, a publié une lettre ouverte à Bild en allemand sur le site Web de l'ambassade, déclarant: «J'ai suivi votre rapport sur la pandémie de corona en général et la culpabilité présumée de la Chine en particulier aujourd'hui. Outre le fait que nous considérons comme un mauvais style de blâmer un pays pour une pandémie qui affecte le monde entier, puis de présenter un compte rendu explicite des prétendues dettes chinoises envers l'Allemagne, l'article ignore certains faits essentiels. "
Elle a ajouté que "Nous notons que de nombreux pays aux prises avec le COVID-19 ont eu le temps de se préparer à la propagation transfrontalière du pathogène après que la Chine a signalé son épidémie conformément aux directives du RSI [Organisation mondiale de la santé]".
Et en retirant une page de tous les manuels libéraux, partout, n'ayant aucune défense crédible, la porte-parole de l'ambassade de Chine a rapidement changé de sujet et a déclaré que l'article "attise la xénophobie et le nationalisme".
Alors ... accusant un gouvernement d'une dissimulation géante - ce que nous savons déjà arrivé comme la Chine elle-même l'a admis quand elle a fait taire le médecin de Wuhan qui a tenté d'attirer l'attention du monde sur la peste qui ravageait sa ville pour être arrêté et étouffé avant de mourir du coronavirus - n'est plus qu'un acte de racisme. Je l'ai. Peut-être que la prochaine fois que l'IRS frappera et exigera une «part plus équitable» de son revenu, la même excuse «vous êtes raciste» pourra être appliquée également ?
Oh, et oui, la même ligne de questionnement qui a fait interdire ce site par les arbitres "ultra libéraux" de tout ce qui est vrai et juste dans ce monde - et direct dont les actions peuvent avoir facilité la mort de milliers de personnes à travers le monde - n'a pas été perdu par le rédacteur en chef de Bild, qui a cité un article du Washington Post la semaine dernière rapportant que "vos laboratoires à Wuhan ont recherché des coronavirus chez les chauves-souris, mais sans maintenir les normes de sécurité les plus élevées. Pourquoi vos laboratoires toxiques ne sont-ils pas aussi sûrs ?" comme vos prisons pour les prisonniers politiques. Souhaitez-vous expliquer cela aux veuves, filles, fils, maris, parents des victimes de la couronne dans le monde ? "
Nous n'aurions pas pu le dire mieux nous-mêmes, même si nous l'avons dit environ 3 mois plus tôt, pour lesquels nous avons obtenu la punition ultime de ce parangon de la liberté d'expression, Jack Dorsey.
Reichelt a conclu que: "Dans votre pays, votre peuple chuchote à votre sujet. Votre pouvoir s'effondre. Vous avez créé une Chine impénétrable et non transparente. Avant Corona, la Chine était connue comme un État de surveillance. Maintenant, la Chine est connue comme État de surveillance qui a infecté le monde d'une maladie mortelle. C'est votre héritage politique. "
L'attaque frontale complète de Bild contre la Chine a peut-être été le déclencheur pour tout le monde, et samedi, le président Donald Trump a averti que la Chine devrait faire face à des conséquences si elle était «sciemment responsable» du déclenchement de la pandémie de coronavirus, surtout si elle impliquait des mensonges ouverts. sur l'origine du virus mortel: le seul biolab de sécurité maximale de niveau 4 du pays, qui, comme l'a écrit Nature en février 2017, était chargé "d'étudier les agents pathogènes les plus dangereux du monde" dans lequel la publication scientifique très respectée a également mis en garde contre "les inquiétudes entourant les Chinois laboratoire. Le virus du SRAS s'est échappé des installations de confinement de haut niveau à Beijing à plusieurs reprises. "
Des virologues ont lu des données sur un conteneur pour des échantillons viraux dans le premier laboratoire de biosécurité de niveau quatre de la Chine à l'Institut de virologie de Wuhan.
Trump a déclaré aux journalistes: "Il aurait pu être arrêté en Chine avant de commencer et ce n'était pas le cas, et le monde entier en souffre." Si c'était une erreur, une erreur est une erreur. Mais s'ils étaient sciemment responsables, alors il devrait y avoir des conséquences. "
Nous sommes impatients de découvrir quelles sont ces conséquences ... non seulement pour la Chine, mais pour tous ceux - comme Jack Dorsey et Twitter - qui ont permis que ce mensonge se perpétue pendant des mois.
Trump a conclu que les Chinois étaient "embarrassés" et la question était de savoir si ce qui s'était passé avec le coronavirus était "une erreur qui a échappé à tout contrôle, ou cela a-t-il été fait délibérément ?" Tout cela s'est produit quelques heures après cette semaine dans la ville de Wuhan, où le l'épidémie a commencé, a révisé son nombre de décès par un bond soudain de 50% du chiffre, confirmant encore une fois que tout ce qui sort de la Chine est un mensonge, et que tous ceux qui défendent la position de la Chine - pour des activités purement monétaires même si cela signifie la mort d'innombrables personnes - devrait être jugée, sinon dans un système juridique tout aussi corrompu, puis devant un tribunal du peuple
Premièrement, la Chine n'a pas 'exporté' le caranavirus car il était déjà là un mois avant en Italie (Lombardie).
Deuxièmement, les merdias internationaux qui ne sont ni médecins, ni scientifiques, parlent de 'naissance en laboratoires' ! HAHAHAHA ! Un virus ne nait pas en laboratoire mais s'examine uniquement. Il est alors soumis à différents test pour connaître son ennemi implacable et sortir un remède. Mais, pour les coranavirus, il est impossible de mettre au point un vaccin car le virus mû perpétuellement et donc, un vaccin au patient serait l'euthanasie du patient !
Fuir et paniquer devant... la dépression économique, le chaos politique... ou la réduction de la population mondiale
Charles Dereeper dimanche, 19 avril 2020 18:01
J'ai reçu des emails suite à cet article http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/et-s-il-fallait-ecouter-ce-qui-se-passe-et-reellement-paniquer-la-bulle-des-milliardaires-est-l-ennemi-a-identifier.html
Beaucoup projettent leurs propres peurs. A aucun moment j'envisage de fuir la dépression économique et le chaos politique.
Cette question a été réglée par ma fuite en 2008 d'Europe. Je suis planqué au chaud à Panama. Et je m'en tamponne encore une fois.
Les gens qui votent et qui payent des impôts à un tyran doivent assumer leurs gestes et subir ce qu'ils sèment. Un tyran sans esclaves soumis ne peut pas exister.
Ce serait d'une hypocrisie folle que de me laisser toucher par le sort de l'Europe et de la France alors que je ne contribue pas et que j'écris des choses pas jolies dessus en plus.
Non mes peurs n'ont rien à voir avec cela.
Mes peurs ont avoir avec ce que je soupçonnais depuis 3 ans, l'existence d'un nouvel ordre mondial pour ne pas l'appeler autrement dont le but premier est la réduction de la population mondiale.
Bill Gates multiplie les déclarations en ce sens depuis 1 mois. C'est une obsession chez lui. Et il y travaille depuis 20 ans déjà. C'est le lever de rideau sur ses ambitions et celles de ses copains qui étaient cachées plutôt efficacement.
Cette obsession est partagée par de nombreuses et diverses élites dont la fameuse pierre gravée avec le chiffre 500 millions.
population mondiale
Je n'y croyais qu'à moitié avant le corona virus. Trop gros...
Désormais le signal est là. Ce n'est pas juste un délire et des idées en l'air. Nous avons 10 ans pour nous préparer au pire. Car le pire va au moins être tenté et sera peut être concrétisé (si dieu le veut hahahaha). L'envie chez nos maîtres est bien là. La question derrière est de savoir si nous sommes seuls ou non sur cette terre.
Les premières fortunes officielles du monde (et je le répète une énième fois, les fortunes officielles du monde comme Bill Gates ne sont rien par rapport à celles qui sont cachées dans les fondations) sont en train de communiquer CONTROLE A DISTANCE, PUCES, VACCINS, CONTRACEPTION AUTOMATIQUE... La fertilité du sperme chute linéairement d'années en années... 5G qui active des drôles de réactions, bouffe toxique... Le tableau général commence à prendre sens.
A côté, Macron, la France, l'europe et le reste du chaos social, de la haine, des problèmes raciaux et j'en passe, c'est peanuts... Chaque français peut monter dans un avion après avoir tout vendu et mettre fin à ce calvaire...
Alors que la réduction de la population mondiale, c'est autrement plus difficile à slalomer comme problème...
c'est encore moi (celui qui avait listé les possibilités du "pourquoi le Corona" ...)
Je te partage 3 éléments qui me semblent en cohérence.
1/ Les Vieux vraiment en danger ?
On nous martèle depuis des semaines que les vieux sont à risque, qu'il faut les protéger et les confiner encore plus, blabla blabla ... rendez vous compte, les 3/4 des déces du covid concernent les + de 75 ans !!!
Il apparaît effectivement que 73% des décès du covid on plus de 75 ans
Tu additionnes tous les morts de plus de 75 ans et tu divises par le total, réponse 69,57 %
donc oui le covid tue un poil plus les plus de 75 ans que l'ensemble des causes de déces, mais dans cette petite proportion là !! De là à les empécher de voir leurs petits enfants jusqu'à Noel et de bloquer toute l'économie ... faut relativiser. C'est d'ailleurs ce qui manque cruellement aux journalistes mainstream, on te colle des chiffres bruts sans aucune mise en perspective avec d'autres données ....
2/ André comte sponville est d'ailleurs bien d'accord
André Comte-Sponville prône le déconfinement : "la liberté est encore plus importante que la santé"
Et s'il fallait écouter ce qui se passe et... réellement paniquer ? La bulle des milliardaires est l'ennemi à identifier
Charles Dereeper samedi, 18 avril 2020 20:10
"Bonjour Charles, tu as fortement ralenti le rythme de tes articles. Est ce tes détracteurs qui t'ont calmé ?"
Non ce ne sont pas mes détracteurs, mais la panique. En 2008, quand Sarkozy s'est couché 6 mois après son élection devant la première grève, j'ai écouté... et je me suis enfui l'année suivante pour ne jamais revenir.
Là, si j'écoute ce qui se passe, c'est le signal. Après, que mes détracteurs n'écoutent pas, je m'en tamponne... chacun s'impose sa dose de souffrance en fonction de ses problématiques.
J'imagine que derrière votre question il y a : qu'est ce que j'écoute ? Quel est ce signal ?
La réponse est la bulle des milliardaires. Il y a 2000 milliardaires sur terre environ. Qui ont un pouvoir demesuré. Un de mes anciens potes disait toujours que la terre irait beaucoup mieux si on empêchait tout être humain de contrôler plus de 50 millions de $ de patrimoine.
Là, regardons en face la situation.
4 banques US sont présentes dans le top 10 des actionnaires des 500 entreprises du SP500.
Au Japon, la banque centrale est actionnaire dans 70% en position TOP 10 des entreprises du NIkkei 225.
La Chine contrôle également ses milliardaires.
Nous avons une poignée d'hommes qui contrôlent des pans entiers significatifs de l'économie privée.
Comment cela se traduit il ?
Bill Gates contrôle tout l'univers de la santé sur terre. Pour un cerveau moyen, c'est impossible. Maintenant, il suffit de regarder qui paye les factures de la santé mondiale...
Gates-Foundation-Donations
- voir graphique sur site -
Vous allez me dire, que l'OMS soit financée directement par une main privée Bill Gates ou indirectement par une main publique qui obéit par corruption à un ordre privé, cela ne change pas.
C'est justement le message que je tente de faire passer depuis des années.
Avec le corona virus, nous avons la Suède qui a littéralement ignoré le lockdown ? Ont ils eu un nauffrage sanitaire ? Une explosion propagation du virus ?
- voir graphique sur site -
Réponse négative. Il ne s'est rien passé. Ce qui démontre tout le pipo orchestré actuellement. Et la destruction planifiée de l'économie privée dont nous ne savons toujours pas pourquoi.
Donald Trump a réquisitionné des navires hôpitaux pour New York car il a écouté le bullshit ambiant. Que le nombre de lits ne seraient pas suffisants et bla bla bla...
Résultat, les navires sont vides et sont repartis et les appareils respiratoires sont envoyés aux autres Etats alors que New York est le centre du corona aux US.
Mais ce n'est pas un complot. C'est de la bêtise. Les politiciens du monde entier se lèvent le matin et regardent les stats comme nous tous et jamais eux ne se disent qu'ils sont idiots et incompétents alors qu'une grosse partie du peuple se le dit sans même sourciller que vaguement les politiciens sont habitées par une stratégie coordonnée mondialement de destruction.
Vu de loin, à part rire, je ne vois pas trop ce que je peux faire.
Et aussi écouter.
Le message de la bulle des milliardaires... Le signal est là devant moi.
L'étape suivante n'est pas de fuir l'Europe comme en 2008 / 2009. Cette fois ci, il faut apprendre à fuir les Etats et l'humanité.
Beaucoup de gens espèrent une issue positive. A court terme et à long terme.
Perso, le corona virus est le signal que je dois abandonner l'espoir. Le long terme, c'est un carnage qui s'annonce. https://www.marketwatch.com/story/one-side-effect-of-coronavirus-robots-will-take-our-jobs-at-an-even-faster-rate-2020-04-13
Je suis coincé dans ma maison à Panama City, dépendant du bon vouloir de connards. Plus jamais cela. Dès qu'il me relâche, je me mets en route comme en 2008...
Je dois vivre en étant loin de la civilisation et totalement indépendant sur tous les plans.
8 AUTRES experts s'interrogent sur la panique liée au coronavirus
RépondreSupprimerOffGuardian
ven., 17 avr. 2020 17:53 UTC
Voici notre troisième groupe d'experts médicaux en dissidence du "consensus" politico-médiatique.
1e groupe : Covid-19 : 12 experts remettent en question la nécessité d'un confinement mondial
2e groupe : Sceptiques du Covid-19 : 10 AUTRES experts médicaux de premier plan s'opposent au discours officiel des gouvernements et des médias
* * *
Le Dr John Lee est un histopathologiste consultant anglais à l'hôpital général de Rotherham et a été professeur de pathologie clinique à l'école de médecine de Hull York. Il est surtout connu du grand public en tant que co-présentateur (avec Gunther von Hagens) de Anatomy for Beginners (diffusé au Royaume-Uni sur Channel 4 en 2005), Autopsy : Life and Death (Channel 4, 2006) et Autopsy : Emergency Room (Channel 4, 2007).
Ce qu'il dit :
Mais il y a un autre problème, potentiellement encore plus grave : la façon dont les décès sont enregistrés. Si une personne meurt d'une infection respiratoire au Royaume-Uni, la cause spécifique de l'infection n'est généralement pas enregistrée, à moins que la maladie ne soit une "maladie à déclaration obligatoire" rare.
Ainsi, la grande majorité des décès dus à une maladie respiratoire au Royaume-Uni sont enregistrés comme bronchopneumonie, pneumonie, vieillesse ou une désignation similaire. Nous ne faisons pas vraiment de tests pour la grippe ou d'autres infections saisonnières. Si le patient a, par exemple, un cancer, une maladie des neurones moteurs ou une autre maladie grave, cela sera enregistré comme la cause du décès, même si la maladie finale était une infection respiratoire. Cela signifie que les certifications britanniques sous-estiment normalement les décès dus à des infections respiratoires.
Examinons maintenant ce qui s'est passé depuis l'apparition du Covid-19. La liste des maladies à déclaration obligatoire a été mise à jour. Cette liste - qui contient également la variole (disparue depuis de nombreuses années) et des maladies telles que l'anthrax, la brucellose, la peste et la rage (que la plupart des médecins britanniques ne verront jamais de toute leur carrière) - a été modifiée pour inclure le Covid-19. Mais pas la grippe. Cela signifie que tout test positif pour le Covid-19 doit être notifié, alors que ce n'est pas comme cela que ça se passe pour la grippe ou la plupart des autres infections.
- How deadly is the coronavirus? It's still far from clear ("Le coronavirus est-il mortel ? C'est encore loin d'être clair"), The Spectator, 28 mars 2020
Peu de tests ont été effectués chez les patients présentant des symptômes légers. Cela signifie que le nombre de tests positifs sera bien inférieur au nombre de personnes qui ont eu la maladie. Sir Patrick Vallance, le principal conseiller scientifique du gouvernement, a tenté de le souligner.
Il a suggéré que le chiffre réel du nombre de cas pourrait être 10 à 20 fois plus élevé que le chiffre officiel. S'il a raison, le taux de mortalité dû à ce virus sera de 10 à 20 fois inférieur à ce qu'il semble être d'après les chiffres publiés.
[...]
La distinction entre mourir "avec" le Covid-19 et mourir "à cause" du Covid-19 ne consiste pas seulement à couper les cheveux en quatre. Prenons quelques exemples : une femme de 87 ans atteinte de démence dans une maison de retraite ; un homme de 79 ans atteint d'un cancer métastatique de la vessie ; un homme de 29 ans atteint de leucémie traitée par chimiothérapie ; une femme de 46 ans atteinte d'une maladie des neurones moteurs depuis 2 ans.
RépondreSupprimerTous développent des infections thoraciques et meurent. Tous sont testés positifs pour le Covid-19. Pourtant, tous étaient susceptibles de mourir d'une infection thoracique, quelle qu'en soit la cause (y compris la grippe).
How to understand & report figures for 'Covid deaths', ("Comment comprendre et rapporter les chiffres relatifs aux "décès liés au coronavirus" ?) The Spectator, 29 mars 2020
***
Le Dr John Oxford est un virologiste anglais et professeur à Queen Mary, Université de Londres. Il est un expert de premier plan en matière de grippe, y compris la grippe aviaire et la grippe espagnole de 1918, et le VIH/sida.
Ce qu'il dit :
Personnellement, je dirais que le meilleur conseil est de passer moins de temps à regarder les journaux télévisés qui font dans le sensationnel et qui ne sont pas très bons. Personnellement, je considère que cette épidémie de Covid ressemble à une mauvaise épidémie de grippe hivernale. Dans ce cas, nous avons eu 8000 décès l'année dernière dans les groupes "à risque", c'est-à-dire plus de 65% de personnes souffrant de maladies cardiaques, etc. Je ne pense pas que l'épidémie actuelle de Covid dépassera ce nombre. Nous souffrons d'une épidémie médiatique !
- "A VIEW FROM THE HVIVO / OPEN ORPHAN #ORPH LABORATORY", article de blog sur le site de Novus Communications, 31 mars 2020
***
Le professeur Knut Wittkowski est un chercheur germano-étatsunien et un professeur d'épidémiologie. Il a travaillé pendant 15 ans sur l'épidémiologie du VIH avant de diriger pendant 20 ans le département de biostatistique, d'épidémiologie et de conception de la recherche à Uuniversité Rockefeller de New York.
Ce qu'il dit :
Avec toutes les maladies respiratoires, la seule chose qui arrête la maladie est l'immunité de groupe. Environ 80% des personnes doivent avoir été en contact avec le virus, et la majorité d'entre elles n'auront même pas reconnu qu'elles étaient infectées, ou qu'elles avaient des symptômes très, très légers, surtout si ce sont des enfants. Il est donc très important de garder les écoles ouvertes et les enfants contribuant à la propagation du virus pour obtenir l'immunité collective le plus rapidement possible.
[...]
Nous subissons toutes sortes de conséquences contre-productives d'une politique mal conçue.
[...]
Je suis épidémiologiste depuis 35 ans, et je modélise les épidémies depuis 35 ans. C'est un plaisir d'avoir la capacité d'aider les gens à comprendre, mais c'est une lutte pour se faire entendre.
***
Le professeur Klaus Püschel est un pathologiste médico-légal allemand, ancien professeur de médecine légale à l'Université d'Essen et actuel directeur de l'Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf. Il a participé à de nombreuses autopsies dignes d'intérêt, ainsi qu'à des études d'archéologie médico-légale très médiatisées.
RépondreSupprimerContrairement aux directives de l'Institut Robert Koch, son bureau de Hambourg a commencé à faire la distinction entre les décès avec coronavirus et ceux dus au coronavirus, ce qui a permis de réduire le nombre de décès dus au Covid19.
Ce qu'il dit :
Ce virus influence notre vie de manière tout à fait excessive. Cette influence est disproportionnée par rapport au danger que représente le virus. Et les dommages économiques astronomiques qui sont actuellement causés ne sont pas proportionnels au danger posé par le virus. Je suis convaincu que le taux de mortalité du coronavirus ne se traduira même pas par un pic de mortalité annuelle.
Tous ceux que nous avons examinés jusqu'à présent avaient un cancer, une maladie pulmonaire chronique, étaient de gros fumeurs ou gravement obèses, souffraient de diabète ou avaient une maladie cardiovasculaire. Le virus a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, pour ainsi dire [...] La Covid-19 n'est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s'agit d'une infection virale essentiellement inoffensive.
- "Der streit ums richtige Mas", Hamburger Morgenpost, 3 avril 2020
Dans un certain nombre de cas, nous avons également constaté que l'infection à coronavirus actuelle n'a rien à voir avec l'issue fatale, car d'autres causes de décès sont présentes, par exemple une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque. [Le Covid19 n'est] pas une maladie virale particulièrement dangereuse [...] Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n'ont pas été examinées par des experts ne font qu'alimenter l'anxiété.
- "Von den Toten lernen für die Lebenden", Hamburger AbendBlatt, 2 avril 2020
***
Le Dr Alexander Kekulé est un médecin et biochimiste allemand. Il est titulaire de la chaire de microbiologie médicale et de virologie à l'Université Martin Luther de Halle-Wittenberg depuis 1999 et est l'actuel directeur de l'Institut de microbiologie médicale de l'hôpital universitaire de Halle.
Ce qu'il dit :
Il est impossible d'attendre un vaccin [...] Le délai le plus court pour qu'un vaccin soit prêt pourrait être de six mois. D'après mon expérience, je dirais que la réalité est plus proche d'un an. Nous ne pouvons pas rester enfermés pendant six mois à un an. Si nous faisions cela, notre société et notre culture seraient détruites.
[...]
Il est très, très peu probable que les personnes de moins de 50 ans meurent ou tombent gravement malades à cause du coronavirus. Nous devons les laisser se faire infecter pour qu'elles puissent développer une immunité.
- "'Infect the young and isolate those at risk' - One German scientist's plan to end the lockdown", The Telegraph, 11th April 2020 . "'Infecter les jeunes et isoler les personnes à risque' - Le plan d'un scientifique allemand pour mettre fin au confinement"
***
Le Dr Claus Köhnlein est un médecin allemand spécialisé dans la médecine interne basé à Kiel et co-auteur du livre Virus Mania
RépondreSupprimerCe qu'il dit :
[Le test coronvirus] est un test basé sur la PCR, dans lequel les faux positifs sont programmés.
La moitié des [tests positifs] peuvent être erronés. Les tests PCR montrent souvent des faux positifs. Vous pouvez vous renseigner auprès du professeur Gigerenzer à Berlin sur ce problème. Les tests sont très sensibles. Si vous n'avez qu'une molécule de quelque chose, le test peut être positif. Cela ne signifie pas que le patient est malade, ou qu'il a le coronavirus ; il n'est pas isolé, mais on se repose entière sur ces tests.
Pour l'instant, on ne peut pas dire quel est le taux de mortalité réel, nous avons besoin de beaucoup plus de tests et de beaucoup plus de personnes malades ou décédées. Il est trop tôt.
Mais la panique qui se répand est en grande partie fondée sur les nouvelles venues d'Italie. Et aujourd'hui, on ne sait pas à quel point il s'agit de fausses nouvelles. J'ai vu des médecins italiens en ligne, et je soupçonne fortement qu'il y a quelque chose qui ne colle pas dans leurs propos.
Je suis un clinicien et je ne vois pas de nouvelle maladie à l'horizon. Si vous enleviez le test, la vie continuerait comme avant, il n'y aurait plus rien à voir.
Interview with Dr. med. Claus Köhnlein from thersites on Vimeo.
***
Le Dr Gérard Krause est chef du département d'épidémiologie au Helmholtz Centre for Infection à Braunschweig, directeur de l'Institut d'épidémiologie des maladies infectieuses à TWINCORE à Hanovre et président du programme de doctorat en épidémiologie à la faculté de médecine de Hanovre. Il coordonne également l'infrastructure translationnelle d'épidémiologie du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF).
Ce qu'il dit :
Ces graves mesures sociales doivent aussi courtes et minimes que possible, car elles pourraient potentiellement causer plus de maladies et de décès que le coronavirus lui-même.
Bien que je me concentre sur les maladies infectieuses, je pense qu'il est impératif que nous prenions en compte l'impact sur d'autres domaines de la santé et de la société. En tant que société, nous ne devons pas nous concentrer uniquement sur les victimes du coronavirus.
Nous savons que le chômage, par exemple, provoque des maladies et même une augmentation de la mortalité. Il peut également pousser les gens au suicide. La restriction de la liberté de circulation risque d'avoir un impact négatif supplémentaire sur la santé publique.
Il n'est pas si facile de calculer directement de telles conséquences, mais elles se produisent quand même et peuvent éventuellement être plus graves que les conséquences des infections elles-mêmes.
- Interview pour la ZDF.de, 29 mars 2020
***
Le Dr Gerd Gigerenzer est un psychologue allemand, professeur de psychologie et directeur du Centre Harding pour l'éducation au risque à l'Institut Max Planck pour le développement humain, à Berlin.
RépondreSupprimerCe qu'il dit :
L'épidémie de grippe porcine de 2009 a tué des centaines de milliers de personnes, principalement en Afrique et en Asie du Sud-Est. Mais en Europe, où la menace était relativement faible, les médias ont mis à jour quotidiennement le nombre de morts et le nombre de cas suspects. Au Royaume-Uni, le gouvernement a prédit que jusqu'à 65 000 citoyens pourraient mourir de la maladie. Au final, moins de 500 personnes sont mortes.
Comme on pouvait s'y attendre, cette comptabilisation quotidienne a déclenché la peur et a conduit les politiciens à prendre des décisions hâtives et malavisées - comme le stockage de médicaments - sans examiner les preuves. Tous les yeux étaient tournés vers le nouveau virus inconnu, et non vers la protection des personnes contre des menaces plus mortelles, comme la grippe saisonnière qui, en 2009, a tué un nombre de personnes supérieur d'un ordre de grandeur à celui de la grippe porcine. C'est toujours le cas, il pourrait en être de même si les médias nous bombardaient d'informations toutes les heures sur le nombre de décès liés à la grippe.
De même, des millions de personnes, en particulier dans les pays en développement, meurent chaque année du paludisme et de la tuberculose. Et rien qu'aux États-Unis, les infections nosocomiales tuent quelque 99 000 patients chaque année. Pourtant, ces malchanceux ne reçoivent pratiquement aucune attention.
Pourquoi avons-nous plus peur de ce qui est moins susceptible de nous tuer ?
[...]
Lorsque la grippe porcine s'est propagée, de nombreux gouvernements ont suivi les conseils de l'Organisation mondiale de la santé et ont stocké du Tamiflu, un médicament commercialisé pour protéger contre les graves conséquences de la grippe. Pourtant, de nombreux conseillers experts de l'OMS avaient des liens financiers avec les fabricants de médicaments, et il n'y a toujours pas de preuve que le Tamiflu soit efficace. Les États-Unis ont gaspillé plus d'un milliard de dollars et le Royaume-Uni plus de 400 000 livres sterling (522 000 dollars) pour ce médicament - de l'argent qui aurait pu être investi dans l'amélioration des soins de santé.
- Why What Does Not Kill Us Makes Us Panic, ("Pourquoi ce qui ne nous tue pas nous fait paniquer"), Project Syndicate, 12 mars 2020
***
BONUS : Le Dr Pietro Vernazza, basé en Suisse, figurait dans notre première "liste d'experts", mais il a depuis écrit quatre autres articles sur divers aspects du coronavirus, notamment les programmes de dépistage, les masques médicaux et la question de savoir si la fermeture des écoles peut être contre-productive.
Traduction : SLT
https://fr.sott.net/article/35362-8-AUTRES-expertss-interrogent-sur-la-panique-liee-au-coronavirus
Le 'coanavirus est un produit (comme un autre) qui doit être vendu et qui serait le pire des terroristes !
SupprimerIl se pourrait très bien qu'il n'y ait eu que 1000 ou 2000 morts dans le monde entier mais, les merdias disent ce qu'ils veulent !
Or, les merdias exagèrent volontairement le nombre de morts (différence entre le 'mort avec coranavirus' et ' mort à cause du coranavirus' !) en désignant toutes personnes décédées comme étant dû au coranavirus !
De plus, les merdias critiquent ouvertement la vérité sur Internet et luttent contre ces sites informateurs !
Exemples de l'an passé: (Publicités sur site d'économie) photos montrant des doigts de pieds sales, extropiés aux ongles retournés ! ou, photos clignotantes et dégoûtantes d'hommes barbus, anniversaire d'adolf hitler. Après quoi cette année sont apparues d'autres publicités pour 'masques' ! Casquettes avec pare-vent tranlucides vertical ou carrément 'tenue vestimentaire d'apiculteurs' ! ou 'Dispositif d'haute pression pour tuyau d'arrosage' 20 €! En réalité il s'agit simplement d'une buse pour forcer le débit à augmenter la pression comme de pincer le tuyau pour que çà coule plus fort !
Donc, dans chaque cas pour ces sites qui pour vivre acceptent de la publicité (sans pouvoir la contrôler !!), il s'agit de discréditer le site par tous les moyens en dégoûtant le lecteur de lire l'article d'à-côté et donc, de faire passer ce site pour étant 'un site de merde' !
Les annonceurs paient TRES CHER pour passer sur ces sites d'informations et pour en discréditer l'intérêt.
Mêmes choses sur des forums de 'jardinage' (il en nait un nouveau tous les jours !) où, de FAUX jardiniers (Administrateurs de site) donnent conseils aux nouveaux jardiniers. TOUT est fait pour éviter qu'un jardinier réussisse son jardin ! car, s'il réussit à faire pousser des tomates, melons ou pommes de terre: il n'ira plus aux supermarchés acheter des fruits & légumes importés ! D'où les faux conseils apportés par 50 pseudonymes de l'Administrateur du site dit 'de jardinage' qui se fait tantôt appeler 'Juliette56' ou 'Raymondjardin' ou 'Loulou de Corse' etc, etc !
Conseil de pulvériser les plants de tomates malades avec... du bicarbonate de soude ! Hahaha ! "Et çà marche !" acclament-ils. "Cela fait des années que je l'utilise et zéro maladie !" ou d'autres parlent d'utiliser du... savon noir ! Anti-mildiou, anti-oïdium, bref anti-tout !
Imaginer un maraicher avec 50 hectares de plants de tomates qui dépense des millions par an en produits de traitement contre les maladies et qui n'en dépenserait que 10 ou 20 euros en 'savon noir' ou 'bicarbonate de soude' ! Hahahaha !
À la recherche de la vérité dans ce qu'on nous dit sur la Covid-19
RépondreSupprimerTony Cartalucci
Mondialisation.ca
sam., 18 avr. 2020 22:57 UTC
Après les nouvelles concernant la maladie du coronavirus 2019 (COVID-19), nous serions amenés à croire que l'humanité est confrontée à une crise sans précédent - et à en juger par les dégâts socio-économiques causés - il n'est pas si difficile de croire qu'une sorte de crise sans précédent est effectivement en train de se produire.
Pourtant, le sentiment d'urgence imposé au grand public - qui a provoqué des verrouillages dans le monde entier et la mise en place de mesures sans précédent, toutes centrées sur la lutte contre un agent pathogène dit dangereux et sur la nécessité d'éviter de surcharger les infrastructures de santé mondiales - est entièrement artificiel.
Si la COVID-19 était vraiment une pandémie digne d'une telle hystérie - une pandémie dont l'Occident a prétendu au fil des ans qu'elle était pratiquement inévitable - pourquoi l'ordre international actuel dominé par l'Occident a-t-il échoué à ce point dans sa lutte contre la COVID-19 ?
Des milliards pour une guerre sans fin, rien pour les préparatifs de la pandémie ?
Des milliards de dollars ont été littéralement déversés dans la seule guerre menée par les États-Unis en Afghanistan - sans parler des billions de dollars supplémentaires dépensés pour occuper l'Irak, faire la guerre en Libye et en Syrie, aider l'Arabie Saoudite à détruire le Yémen et la myriade d'interventions de « puissance douce » qui se déroulent dans le reste du monde.
Ce sont des milliards de dollars qui auraient pu remplir les hôpitaux avec des ventilateurs haut de gamme et les entrepôts avec des ventilateurs portables beaucoup moins chers qui auraient pu être déployés quand et où cela était nécessaire.
Et ce n'est pas comme si le besoin de respirateurs artificiels s'était soudainement fait sentir au milieu de l'épidémie de la Covid-19. Un article du MIT rédigé en 2010 et intitulé « Design and Prototyping of a Low-cost Portable Mechanical Ventilator » (Conception et réalisation de prototypes d'un ventilateur mécanique portable à bas prix), il y a une décennie, écrivait :
Bien qu'il y ait suffisamment de ventilateurs pour une utilisation régulière, il y a un manque de préparation pour les cas où les victimes sont très nombreuses comme les pandémies de grippe, les catastrophes naturelles et les rejets massifs de produits chimiques toxiques. Les coûts de stockage et de déploiement des ventilateurs mécaniques de pointe pour les cas de nombreuses victimes dans les pays développés sont restreints. Selon le plan de préparation national publié par le président Bush en novembre 2005, les États-Unis auraient besoin de 742 500 ventilateurs, dans le pire des cas, dans une situation de pandémie. Par rapport aux 100 000 actuellement utilisés, il est clair que le système fait défaut.
Et en toute une décennie, rien n'a été fait pour remédier à cette pénurie, ce qui a conduit à l'hystérie dans tout l'Occident au milieu de l'épidémie de la Covid-19, où les gouvernements prétendent faire pression sur les entreprises privées pour qu'elles fabriquent des ventilateurs sur des chaînes de production habituellement utilisées pour la fabrication d'automobiles et d'appareils électroménagers.
Si le problème était bien connu il y a une décennie, les personnes au pouvoir - en particulier aux États-Unis, du président George Bush au président Barack Obama et à l'actuel président Donald Trump - n'ont rien fait pour remédier à la situation en choisissant de dépenser l'argent des impôts étasuniens dans des guerres et des sauvetages de banques. Les citoyens devraient-il ainsi faire confiance au leadership étasunien ou occidental pendant cette présumée crise ?
RépondreSupprimerL'hystérie que ces intérêts suscitent chez la population doit-elle être maintenue ?
Si la COVID-19 représente une telle menace pour le monde - paralysant la vie quotidienne comme ne l'ont jamais fait deux décennies de « guerre contre la terreur » menée par les États-Unis - pourquoi n'a-t-on pas fait davantage pour s'y préparer ? D'autant plus que les pénuries étaient bien connues, même par les étudiants du MIT travaillant sur des projets de classe ?
Si tout ce qu'on nous dit sur la Covid-19 était vrai...
Les fermetures et les ruées pour construire des ventilateurs ne constituent qu'une dimension de cette crise actuelle.
Une autre est la ruée vers la fabrication de vaccins.
Déjà - l'idée de se faire vacciner - y compris contre la grippe - est imposée à l'ensemble de la population présentée comme absolument essentielle pour la santé publique. Pourtant, si cela était aussi crucial que le public soit amené à le croire, pourquoi les vaccins sont-ils confiés à certaines des entreprises les plus corrompues et les plus indignes de confiance de la planète ?
Même le ministère étasunien de la Justice a condamné à plusieurs reprises de grandes entreprises pharmaceutiques pour toutes sortes de raisons, de la falsification de rapports de sécurité et d'efficacité à la corruption de médecins, de régulateurs et de politiciens. Pourtant, le même gouvernement étasunien qui enquête et condamne ces entreprises à plusieurs reprises leur accorde également l'autorisation, par l'intermédiaire de la FDA, de fabriquer des produits dont on nous dit qu'ils sont absolument essentiels pour la santé publique - y compris des vaccins.
Si les vaccins étaient vraiment aussi importants qu'on nous le dit, leur recherche, leur développement, leur production et leur distribution devraient être absolument transparents, ouverts et nationalisés.
Les entreprises corrompues - qui ne sont pas soupçonnées, mais qui ont été condamnées à plusieurs reprises pour avoir fait passer leurs profits avant la santé publique - devraient être fermées, leurs actifs saisis et nationalisés, et leur travail placé dans le domaine public pour une surveillance et une transparence maximales.
Mais cela n'est possible que si tout ce que l'on nous dit sur les vaccins en général ou sur le prochain vaccin contre la Covid-19 est vrai. Apparemment, ce n'est pas vrai - d'où l'absence d'urgence réelle correspondant au simple sentiment d'urgence que le gouvernement et les entreprises qui influencent leur politique tentent d'imposer au grand public.
Ce sentiment d'urgence n'est pas imposé au public pour les meilleurs intérêts de la nation, mais pour les intérêts privés qui font avancer la politique étasunienne et leurs propres intérêts. L'hystérie et l'urgence qu'elle engendre font que le public est malléable et prêt à accepter pratiquement n'importe quoi comme « réponse » aux dangers qu'on lui a dit de craindre.
La recherche, le développement et la distribution de vaccins feront gagner des milliards de dollars aux entreprises pharmaceutiques, qu'elles fonctionnent ou non. Prenons par exemple la façon dont les sociétés pharmaceutiques ont gagné des milliards de dollars lors de l'épidémie de grippe porcine de 2009, lorsque les « experts » de l'Organisation mondiale de la santé à la solde des grandes entreprises pharmaceutiques ont déclaré qu'il s'agissait d'une « pandémie », ce qui a incité les gouvernements occidentaux à stocker les médicaments des grandes entreprises pharmaceutiques qui se sont révélés par la suite absolument inutiles pour combattre le virus.
RépondreSupprimerLes jeux politiques de l'hégémonie pendant une « pandémie » ?
Et si tout ce que l'on nous dit sur l'urgence de la COVID-19 était vrai, les États-Unis, en ces « temps difficiles », reconnaîtraient qu'il est également dans leur intérêt de lutter contre la COVID-19 à l'échelle mondiale - en aidant à combattre la maladie, quelles que soient les frontières à l'intérieur desquelles elle se présente. Pourtant, des sanctions économiques paralysantes restent en place contre des nations comme l'Iran, qui ont été particulièrement touchées par le virus.
Des pays comme la Russie restent également sous sanctions étasuniennes et, ironiquement, ont envoyé de l'aide aux États-Unis, aide provenant d'entreprises sous sanctions américaines.
NBC rapporte dans son article, « Une entreprise sous sanctions a fait expédier des ventilateurs russes aux États-Unis, comme le montrent les photos » que :
Une filiale d'une entreprise russe sanctionnée par les États-Unis a fabriqué des ventilateurs qui ont été transportés de Moscou à New York cette semaine pour aider à lutter contre la pandémie de coronavirus, selon les photos de la livraison.
Il est évident que si la COVID-19 était une menace aussi mortelle, les États-Unis mettraient temporairement de côté leur politique étrangère hégémonique - et s'emploieraient plus activement à combattre l'épidémie - ne serait-ce que pour se sauver. Ce n'est pas le cas - parce que l'agent pathogène de la COVID-19 n'est pas à la hauteur de l'hystérie de ce virus.
Le peu qu'on nous dit sur la COVID-19 est vrai - le peu de vérité qui existe au milieu de ce que l'on dit au public est éclipsé par l'hystérie injustifiée qui se propage délibérément au sujet du virus.
Cette hystérie ne conduit pas à des mesures visant à stopper l'épidémie, mais à des plans d'action publics à but lucratif qui rempliront les coffres des sociétés pharmaceutiques et à une législation qui renforcera l'emprise des gouvernements sur leurs populations concernées.
Les grandes entreprises survivront et profiteront non seulement des fausses solutions proposées pour « combattre » la COVID-19, mais aussi des actifs vendus par des petites et moyennes entreprises en faillite et des propriétaires immobiliers qui vendent des actifs à prix d'aubaine après les fermetures et la crise économique.
« Post-COVID-19 - les mêmes intérêts corrompus et incompétents qui ont laissé le monde soit non préparé à une véritable pandémie - soit créer la panique chez la population à cause d'un virus délibérément sur-hypothéqué - sont maintenant prêts à en profiter et à prospérer dans son sillage.
Si tout ce qu'on nous a dit sur la COVID-19 était vrai, les personnes qui nous en ont parlé, qui nous ont fait paniquer et qui nous ont demandé d'agir face à ce virus - mais qui nous ont laissés totalement démunis - devraient être les dernières victimes du virus - déracinées socialement, économiquement et politiquement de la société et remplacées par des dirigeants, des systèmes économiques et des infrastructures de soins de santé capables de faire face non seulement aux pandémies virales, mais aussi aux pandémies socio-économiques et psychologiques.
RépondreSupprimerTony Cartalucci est un chercheur et écrivain en géopolitique basé à Bangkok, notamment pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook » https://journal-neo.org/ où cet article https://journal-neo.org/2020/04/13/searching-for-truth-in-what-we-are-being-told-about-covid-19/ a été publié à l'origine. Il contribue fréquemment à Global Research.
https://fr.sott.net/article/35364-A-la-recherche-de-la-verite-dans-ce-qu-on-nous-dit-sur-la-Covid-19
Remarquez bien qu'AUCUN journal/site dans le monde entier n'a dénoncé cette dictature hégémonique ! Idem pour le carnaval du '11 Septembre' où des hologrammes d'avions (réputés être en aluminium) auraient eu le pouvoir de pénétrer un immeuble ! et d'y trancher des poutrelles verticales d'acier de 80 cm ! Hahahaha !
SupprimerLe laboratoire de Wuhan rompt le silence sur l’origine du Covid-19
RépondreSupprimer14:00 19.04.2020
Pointé du doigt par des médias américains comme une possible source du Covid-19, le laboratoire P4 chinois à Wuhan nie catégoriquement toute responsabilité. Selon son chef, le laboratoire a un système de gestion strict, alors que personne au monde n’a les connaissances nécessaires pour créer un tel virus.
Le directeur du laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan, Yuan Zhi-ming, a commenté les allégations selon lesquelles l’établissement serait à l’origine de la création artificielle du nouveau coronavirus dans son laboratoire, dans une interview accordée à la chaîne de télévision chinoise CGTN.
«Nous savons exactement quel type de recherche sur les virus est effectué dans notre institut et comment l'institut traite les échantillons. Comme nous le disons depuis longtemps, ce virus ne pouvait en aucun cas venir de chez nous. Nous avons un système de gestion strict, il y a un règlement sur la recherche et d'autres choses du genre, donc nous en sommes absolument sûrs», a-t-il déclaré.
Cependant, de son avis, ces rumeurs resteront longtemps dans les medias, car l'Institut de virologie et le laboratoire BSL-4 sont situés à Wuhan, berceau de l’épidémie du Covid-19. Yuan Zhi-ming a également mentionné le sénateur américain Tom Cotton qui réitère depuis longtemps que le virus provient de l'Institut de virologie de Wuhan «sans fournir de preuve ni aucun lien logique».
Impossibilité de créer artificiellement ce virus
Le directeur du laboratoire a affirmé que l'humanité n'avait pas encore les connaissances nécessaires pour créer artificiellement un virus qui, dans ses caractéristiques, serait similaire à un nouveau type de coronavirus.
«Il existe actuellement un grand nombre de publications dans des revues scientifiques sur ce sujet. Sur la base de mes connaissances en virologie, si nous parlons de la synthèse artificielle d'un tel virus, il n'y a actuellement aucune preuve indiquant que le virus ait été créé artificiellement », a expliqué Yuan Zhi-ming.
Selon lui, beaucoup de ses collègues scientifiques conviennent que si un tel virus était synthétisé en laboratoire, ses fabricants «seraient supérieurs aux gens ordinaires de par leurs connaissances».
«Par conséquent, je ne pourrai jamais croire que l'humanité a déjà suffisamment de connaissances pour recréer un tel virus», a ajouté le scientifique.
La Chine pointée du doigt en raison de la pandémie
La chaîne Fox News a affirmé le 16 avril en se référant à «plusieurs sources informées des détails des premières actions du gouvernement chinois», avoir «vu des documents pertinents» selon lesquels un laboratoire P4 chinois est à l'origine de la diffusion du coronavirus.
Selon la chaîne américaine, le patient zéro du nouveau coronavirus était un homme qui travaillait dans un laboratoire de l’Institut de virologie de Wuhan ayant été infecté par une chauve-souris.
La chaîne Fox News a estimé que le but de ce laboratoire n’était toutefois pas de développer des armes biologiques mais de démontrer que les efforts de la Chine pour identifier et combattre les virus sont identiques voire supérieurs aux capacités des États-Unis.
https://fr.sputniknews.com/international/202004191043599258-le-laboratoire-de-wuhan-rompt-le-silence-sur-lorigine-du-covid-19/
Qui croire ?
SupprimerComment se fait-il qu'un confinement soit demandé il y a un mois alors que le nombre de morts était de quelques milliers dans le monde face aux 500 000 morts par an dans le monde de grippe saisonnière ?
Connaissaient-ils déjà le résultat programmé/espéré ?
Bill Gates a parlé d'un monde de seulement 500 000 personnes au lieu des 7 milliards 700 millions actuels !
Il n'y a pas que du papier hygiénique, les pénuries de semences se propagent alors que les Américains bloqués se tournent vers la culture de leurs propres aliments
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 04/19/2020 - 07:35
Les Américains paniquent la thésaurisation des semences de plantes alors que l'épidémie de coronavirus confine des millions de personnes dans leurs maisons, fait planter l'économie et perturbe les chaînes d'approvisionnement alimentaire. Cela a conduit des personnes à remettre en question leur sécurité alimentaire.
Une recherche Google sur «acheter des graines» a atteint un sommet sans précédent aux États-Unis de mars à début avril, en même temps que les rayons des supermarchés se dénudaient.
- voir graphique sur site -
Nous avons très bien documenté l'évolution de la thésaurisation de panique au cours des derniers mois. Les Américains ont commencé à acheter des masques 3M N95 à la mi-janvier, puis des produits non périssables en février, suivis du papier toilette, du désinfectant pour les mains et des pistolets.
Maintenant, apparemment, les graines de plantes sont la prochaine grande chose…
Les sociétés semencières qui ont parlé à CBS News ont déclaré qu'elles avaient cessé de prendre de nouvelles commandes après une demande sans précédent. George Ball, président de Burpee Seeds, basé en Pennsylvanie, a déclaré que la récente augmentation des nouvelles commandes était "tout simplement incroyable". La société recommencera à accepter des commandes mercredi après avoir cessé d'en prendre de nouvelles pendant plusieurs jours pour rattraper son retard.
Les Américains en quarantaine sont de plus en plus préoccupés par leur sécurité alimentaire. Ce qui a choqué beaucoup, c'est que la nourriture sur les étagères des supermarchés qui existait un jour, pourrait être complètement anéantie en quelques minutes par le biais de la panique. Certaines personnes tentent maintenant de restaurer le confort de la sécurité alimentaire en plantant des «jardins pandémiques».
"Si je devais mettre le pouce dessus, je dirais que les gens s'inquiètent pour leur sécurité alimentaire en ce moment", a déclaré Emily Rose Haga, directrice exécutive de Seed Savers Exchange, une organisation à but non lucratif basée dans l'Iowa et consacrée aux semences anciennes.
"Beaucoup de gens, même dans notre région, passent des commandes dans leurs épiceries et doivent attendre une semaine pour faire leurs courses. Notre société n'a jamais connu une telle interruption de notre vivant."
Outre une crise économique et un taux de chômage élevé, l'une des tendances les plus importantes est que des dizaines de milliers d'Américains, principalement des travailleurs pauvres, qui viennent de perdre leur emploi, se retrouvent dans des banques alimentaires. Ces installations ont signalé une demande croissante, alors qu'une crise de la faim se déroule.
La crise économique, sanitaire et sociale d'aujourd'hui a fait prendre conscience aux gens que compter sur les supermarchés pour se nourrir n'est pas une valeur sûre. Certains retournent maintenant à la terre pour survivre.
Seed Savers Exchange a remarqué une forte augmentation de la demande de semences à la mi-mars, en même temps que les blocages à travers le pays entraient en vigueur. Le but non lucratif a également stoppé les nouvelles commandes pour rattraper le retard.
"Nous avons reçu deux fois le nombre de commandes que nous recevons normalement", a déclaré la société, ajoutant qu'elle a dû embaucher plus de personnel pour faire face à la demande croissante de semences.
RépondreSupprimerL'Amérique étant en guerre contre le coronavirus, les «jardins de la victoire» que nos ancêtres ont plantés pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale se sont transformés en jardins pandémiques. L'augmentation de la demande de semences suggère qu'une nouvelle tendance des années 2020 se développe, celle où la dépendance des sociétés et du gouvernement pour la survie prend fin pour certaines personnes, car les communautés rurales et la vie sur la terre sont le pari le plus sûr en temps de crise.
- voir graphique sur site -
Et peut-être que le moment est venu de planter un jardin pandémique étant donné que Morgan Stanley prévoit qu'une deuxième vague de coronavirus pourrait arriver aux États-Unis plus tard cette année. Essentiellement, cela signifierait plus de courses dans les supermarchés, mettant en danger la sécurité alimentaire pour beaucoup.
https://www.zerohedge.com/health/its-not-just-toilet-paper-seed-shortages-spread-locked-down-americans-turn-growing-their-own
(...) 3M N95 (...)
SupprimerCe respirateur peut également aider à réduire l'exposition par inhalation à certaines particules biologiques en suspension dans l'air (exemples: moisissure, Bacillus anthracis, Mycobacterium tuberculosis),
mais ne peut éliminer le risque de contracter une infection ou une maladie !!
Le respirateur incorpore la technologie exclusive de 3M avec un média filtrant en microfibre chargé électrostatiquement avancé conçu pour faciliter la respiration
-------------------------
Masque FFP2
Pourcentage de filtration d'aérosols : 94 % au minimum.
Pourcentage de fuite vers l'intérieur : 8 % au maximum
Ce masque permet une protection dans divers domaines tels que l'industrie du verre, la fonderie, le bâtiment, l'industrie pharmaceutique et l'agriculture. Il arrête en effet les substances chimiques en poudre. Ce masque peut aussi servir de protection contre les virus comme ceux de la grippe aviaire ou du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), ou contre les bactéries de la peste pulmonaire et de la tuberculose.
Ses équivalences proches sont : le masque de protection N95 pour la zone américaine, le masque de protection KN95 pour la Chine et la Corée du Sud.
---------------------------
Comment se procurer des graines de tomates, melons, etc ?
Achetez une tomate, un melon et enlever les graines !
Laisser sécher et semez !
La réouverture de Wuhan cause des problèmes pour un monde qui sort de l'isolement
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 04/19/2020 - 04:50
Les résidents de Wuhan, en Chine - l'épicentre de la pandémie mondiale qui a tué plus de 150 000 personnes en environ quatre mois - sont maintenant libres de s'aventurer après plus de deux mois de confinement à domicile dans la plus grande quarantaine de l'histoire de l'humanité.
Malheureusement pour les restaurants locaux, les restrictions levées ne se sont pas traduites par des clients désespérément nécessaires, car les résidents sont toujours soumis à des restrictions sur leurs mouvements tels que des contrôles de température avant que l'on puisse entrer dans un bâtiment, et les gens sont toujours encouragés à limiter les voyages à l'essentiel - comme le travail et le shopping.
Le propriétaire du restaurant, Xiong Fei, a déclaré que la fin du verrouillage n'a pas apporté de soulagement - juste un nouvel ensemble de défis, selon Bloomberg. Selon Xiong, les gens ont changé de comportement, peut-être pour de bon.
"Dans le passé, les gens dînaient avec leurs collègues à l'heure du déjeuner, maintenant ils reçoivent tous des boîtes à lunch", a-t-il dit, assis dans une cabine vide dans son restaurant du Sichuan. "Ils sont plus susceptibles de cuisiner à la maison que de sortir."
Sur les 10 restaurants que la société de Xiong, Bainianfeng Catering Management Co., exploitait avant l'épidémie, aucun n'a rouvert pour dîner. Et tandis que trois ont recommencé à faire des livraisons de nourriture, Xiong a déjà décidé de fermer définitivement trois autres emplacements car il attend moins de clients . Maintenant, l'entrepreneur de 40 ans et ses partenaires commerciaux tentent de décider quoi faire à long terme. La moitié des restaurants de Bainianfeng étaient des hotpot joints, où des groupes de convives cuisinent de la viande crue et des légumes dans des pots communs de bouillon bouillant - le genre d'endroits que les clients sont désormais susceptibles d'éviter. "Il y aura un ralentissement significatif de la consommation", a déclaré Xiong, prévoyant que la scène hôtelière de la ville verra un bouleversement. -Bloomberg
"Je savais que les restaurants seraient les plus touchés", a déclaré Xiong, dont les restaurants avaient déjà été largement fermés avant le verrouillage en raison de la mystérieuse nouvelle pneumonie qui circulait depuis fin décembre. "Je m'inquiétais également pour la santé de nos travailleurs."
Et même si peut-être les habitants de Wuhan ne font tout simplement pas confiance au "clair" de leur gouvernement - l'expérience de Xiong laisse présager une douleur continue pour les restaurants du monde entier actuellement fermés ou souffrant d'un manque de circulation piétonne en raison de COVID-19.
La semaine dernière, Gallup a révélé que plus de 80% des Américains attendront de reprendre leurs activités normales après la levée des restrictions. De ce nombre, 71% attendront de voir ce qui se passe avec le virus, tandis que 10% attendront indéfiniment.
De plus, Michael Wolf de The Spoon a noté le 17 mars - juste au moment où les verrouillages étaient en place, que le trafic dans les restaurants de New York était déjà en baisse de 17% avant le verrouillage.
RépondreSupprimerLe trafic des restaurants de New York a diminué de 69%, tandis que celui des restaurants de Seattle a chuté de 62%. Bien qu'il s'agisse de deux des premiers points chauds, il ne s'agit pas des baisses les plus importantes. Le trafic des restaurants de San Francisco a diminué de 72% dimanche par rapport à l'année précédente, tandis que celui de Boston a diminué de 70%. -La cuillère (17 mars)
- voir graphique sur site -
Selon UBS, les restrictions dans l'UE et aux États-Unis seront levées à partir de mai dans le scénario 'à la hausse' et jusqu'en juin ou juillet dans le scénario 'à la baisse', l'activité des consommateurs devant rebondir - telle que définie comme "retour soutenu à un niveau inférieur de 20% au niveau de référence d'avant la crise, ou supérieur" - entre juin 2020 et juin 2021.
Tirer le meilleur parti d'une mauvaise situation
L'une des sociétés de Xiong, une entreprise de restauration appelée Bainianfeng, a cherché refuge dans les livraisons de repas - bien que lorsque le verrouillage a été mis en place, il était difficile de s'approvisionner et de transporter en toute sécurité des ingrédients dont le prix augmentait à mesure que les fournitures diminuaient. Pendant ce temps, son personnel a été considérablement réduit, car la plupart avaient trop peur de se présenter au travail, ou n'étaient pas autorisés à quitter leur domicile.
Avant l'épidémie, les gens faisaient la queue pendant 40 minutes le week-end pour s'asseoir aux endroits les plus populaires de Xiong. Mais sous verrouillage, il a eu la chance d'obtenir 20% des commandes qu'il recevait via des applications de livraison telles que Ele.me d'Alibaba Group Holding Ltd.et Meituan Dianping, une autre soutenue par Tencent Holdings Ltd. Pour attirer plus de convives, Xiong's trois restaurants en activité proposent de livrer de la nourriture à n'importe quel endroit dans la grande ville, même si cela prend des heures. Les plateformes en ligne représentent 20% des ventes, mais "nous n'osons pas augmenter nos prix car les gens vont se plaindre", explique Xiong.
Et tandis que ses entreprises meurent sur la vigne, Xiong se démolit - important des machines d'emballage alimentaire de haute technologie de Taïwan pour les revendre à d'autres restaurants, et se lançant dans une chaîne de diffusion en direct mettant en vedette son cousin cuisinant dans l'un de ses restaurants et mangeant la nourriture.
"Il y aura certainement des restaurants criblés", a-t-il déclaré, ajoutant: "Le marché ne fait que suivre la sélection naturelle, et seuls les plus aptes survivront."
https://www.zerohedge.com/health/wuhan-has-reopened-yet-nobodys-going-out-eat
Est-ce l'endroit le plus sûr en Amérique pour se cacher de COVID-19 ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 23h00
Alors que les Américains quittent les principales métros, en direction des communautés rurales, à la recherche de régions éloignées pour résister à la tempête de virus, il y a une question dans l'esprit de tous: Où est l'endroit le plus sûr en Amérique pour se cacher pendant la pandémie?
Eh bien, d'après nos écrits passés, nous avons noté qu'il pourrait s'agir du parc national de Joshua Tree en Californie du Sud ou d'un bunker apocalyptique dans le Colorado, mais maintenant il semble que ce soit une petite ville située sur une péninsule de cinq milles carrés reliée au Canada, selon le gardien britannique.
Point Roberts, un pene-exclave des États-Unis, situé à l'extrémité sud de la péninsule de Tsawwassen, au sud de Vancouver, a une population d'environ 1300 habitants et constitue une anomalie géographique - est l'une des rares régions des États-Unis. continent à être intacte par le virus.
"C'est probablement l'endroit le plus sûr du pays", a expliqué Pamala Sheppard, 65 ans, qui vit sur la péninsule depuis 1989.
La ville s'est retrouvée isolée le mois dernier lorsque les États-Unis et le Canada ont convenu de suspendre les déplacements à la frontière pour tous les déplacements non essentiels.
"Parce que nos frontières sont fermées, nous sommes comme une île en ce moment", a ajouté Sheppard. "Nous sommes comme une île sans bateaux."
Christopher Carleton, chef des pompiers de Point Roberts, a déclaré que les restrictions de voyage ont considérablement réduit le flux de véhicules en provenance du Canada.
La frontière fermée et la péninsule isolée, l'économie de la ville est entrée en récession:
«Sur le plan économique, cela nuit à notre communauté, comme dans toute communauté qui traverse cette période à ce stade, mais dans un sens, cela protège également notre communauté», a déclaré Carleton.
Carleton a déclaré qu'il n'y avait aucun cas de virus dans la ville. Les restrictions de voyage et l'éloignement social ont gardé de nombreux résidents chez eux. Il a averti que les personnes voyageant dans des endroits aux États-Unis où le virus sévit pourraient le ramener, ajoutant qu'il serait dévastateur principalement parce que la communauté est peuplée à une écrasante majorité de baby-boomers. Si des cas se développent, la ville n'a pas l'infrastructure médicale appropriée pour traiter les patients.
Theresa Coe, 57 ans, qui travaille à la marina de Point Roberts, a déclaré que la région est une ville fantôme, et que c'est "l'endroit le plus sûr probablement en Amérique du Nord; certainement dans les États", ajoutant que "vous avez des douanes américaines qui entrent et Les douanes canadiennes sortent. Rien ne va se passer ici ou très peu. "
https://www.zerohedge.com/health/safest-place-america-hide-covid-19
Que ferez-vous s'ils tentent de prolonger les blocages de COVID-19 pour l'année prochaine ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 22:30
Écrit par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,
Nous assistons à un contrecoup massif contre les blocages de coronavirus partout aux États-Unis, et il est probable que les protestations contre ces blocages ne feront que s'intensifier dans les jours à venir.
Mais certains élus doublent et insistent pour que les ordonnances de «mise à l'abri sur place» restent en vigueur dans leurs juridictions pendant encore quelques mois. Honnêtement, je ne sais pas comment cela va fonctionner, car après quelques semaines, des millions et des millions d'Américains sont profondément frustrés par ces blocages. Essayer de confiner les gens chez eux dans un avenir prévisible est susceptible de déclencher d'énormes explosions de colère, mais cela semble être exactement ce que les autorités ont l'intention de faire dans certaines de nos plus grandes zones urbaines.
Par exemple, le maire de New York, Bill de Blasio, vient de dire à Fox News qu'il s'attend à ce que sa ville soit fermée jusqu'en juillet ou août…
Le maire de New York, Bill de Blasio, a rejoint Bill Hemmer aujourd'hui sur FOX News Channel.
Le maire a déclaré à Hemmer qu'il ne prévoyait pas l'ouverture de New York avant juillet ou août.
Croit-il honnêtement que les habitants de New York accepteront d'être confinés à leur domicile pendant encore trois ou quatre mois ?
Sur la côte ouest, le gouverneur de Californie Gavin Newsom a récemment déclaré à la presse qu'il n'y aura probablement pas de rassemblements de masse dans son état «tant que nous n'aurons pas atteint l'immunité collective et que nous n'aurons pas obtenu un vaccin»…
"La perspective de rassemblements de masse est au mieux négligeable jusqu'à ce que nous arrivions à l'immunité collective et que nous arrivions à un vaccin", a déclaré Newsom aux journalistes lors de sa conférence de presse.
"Les événements à grande échelle qui attirent des centaines, des milliers, des dizaines de milliers d'étrangers ... [ne sont] pas dans les cartes en fonction de nos directives actuelles et de nos attentes actuelles", a-t-il déclaré.
Il est extrêmement improbable que nous arrivions au point de «l'immunité collective» aux États-Unis cette année, et la plupart des experts n'anticipent pas de vaccin avant 2021.
Essaierait-il vraiment de garder son état verrouillé aussi longtemps ?
Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, semble être exactement sur la même page, et il a déjà pratiquement exclu tous les grands rassemblements dans sa ville «jusqu'en 2021»…
Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a déclaré mercredi que de grands rassemblements tels que des événements sportifs et des concerts ne devraient pas avoir lieu avant 2021 en raison de la pandémie de coronavirus, un coup dur pour l'une des principales capitales mondiales du sport et du divertissement.
Compte tenu du fait que la NFL a deux équipes à Los Angeles, c'est potentiellement un coup absolument dévastateur pour les fans de football.
Bien sûr, il est possible que les Rams et les Chargers puissent jouer à leurs jeux ailleurs, mais ce n'est probablement pas probable.
RépondreSupprimerSurtout dans les bastions libéraux des côtes est et ouest, la crainte de grands rassemblements persistera probablement longtemps. Facebook a déjà annulé tous les événements des grandes entreprises jusqu'en 2021, et d'autres grandes entreprises technologiques emboîteront certainement le pas.
- voir sur site -
Infographie: où COVID-19 a été confirmé aux États-Unis | Statista
Sans aucun doute, tout le monde devrait être en faveur de mesures raisonnables pour aider à prévenir la propagation du virus, mais l'hystérie que nous observons dans certaines régions de Californie en ce moment est hors des cartes.
Par exemple, le comté de Mendocino a en fait interdit aux gens de chanter dans les services de culte en ligne. Ce qui suit est un extrait de leurs directives absurdes de distanciation sociale…
Il est interdit de chanter ou d'utiliser des instruments à vent, des harmonicas ou d'autres instruments susceptibles de propager le COVID-19 à travers des gouttelettes projetées, sauf si l'enregistrement de l'événement est effectué à son domicile et impliquant uniquement les membres de son ménage ou de son unité d'habitation, car du risque accru de transmission de COVID-19.
Bien sûr, nous ne voyons pas seulement ce genre de folie ici aux États-Unis.
En Australie, le Premier ministre Scott Morrison envisage sérieusement d'étendre les mesures de distanciation sociale de son pays pendant de nombreux mois à venir…
La vie publique australienne pourrait être limitée pendant un an à cause de la pandémie de coronavirus, a averti le Premier ministre Scott Morrison vendredi, alors que l'État le plus peuplé du pays réfléchissait à envoyer des enfants à l'école par roulement.
L'Australie a jusqu'à présent évité le nombre élevé de victimes de coronavirus signalées dans le monde après avoir fermé ses frontières et imposé des mesures strictes de «distanciation sociale» le mois dernier.
Ces fermetures peuvent ralentir dans une certaine mesure la propagation du virus, mais elles écrasent également absolument l'activité économique.
Des milliers d'entreprises ont été paralysées ou détruites, et des dizaines de millions d'emplois ont été perdus aux États-Unis seulement.
Inutile de dire que les propriétaires d'entreprises et les travailleurs de tout le pays sont malades et fatigués de ne pas pouvoir gagner leur vie, et le président Trump a alimenté leur frustration lorsqu'il a appelé à la libération de plusieurs États vendredi…
Vendredi, le président Trump s'est fait la vedette de la «rébellion de verrouillage» en tweetant «LIBERATE Minnesota», puis en ajoutant le Michigan et la Virginie à la liste des États qui devraient être libérés.
Les tweets sont survenus un jour après que le groupe de travail du président sur les coronavirus a mis en place des lignes directrices qui donneraient aux gouverneurs un large pouvoir pour décider du moment où les économies des États s'ouvriraient au milieu de la pandémie de coronavirus.
Et au lieu d'attendre la permission, certains propriétaires d'entreprise à travers le pays ont décidé de rouvrir de toute façon…
Le propriétaire de Summit Motorsports Park, Bill Bader Jr., a promis de commencer à organiser des événements avec ou sans l'autorisation du gouvernement, dans un message en direct sur Facebook plus tôt cette semaine.
RépondreSupprimer"Je ne demande pas, j'ouvre", a-t-il déclaré dans la vidéo et a déclaré qu'il pensait que les fermetures d'entreprises étaient une réaction excessive. «Si, dans le comté de Huron, par exemple, nous sommes en mesure de sauver toutes les vies et de limiter et, finalement, d'atténuer les épidémies de Covid-19, mais dans ce processus, nous mourons tous de faim, qu'avons-nous accompli.»
Comme je l'ai averti tout au long, les Américains ne vont tout simplement pas avoir beaucoup de patience avec ce type de verrouillage, et cela est particulièrement vrai dans les régions du pays qui ont tendance à pencher pour les conservateurs.
- voir sur site -
Infographie: retour à la normale ? | Statista
Mais ceux de gauche soulignent que nous commençons déjà à voir une énorme augmentation des cas confirmés dans certaines parties du pays qui n'ont pas été enfermées…
La bosse dans les cas de coronavirus est plus prononcée dans les États sans ordre de séjour à domicile. L'Oklahoma a vu une augmentation de 53% des cas au cours de la semaine dernière, selon les données compilées par l'Université Johns Hopkins. Dans le même temps, les cas ont bondi de 60% en Arkansas, 74% au Nebraska et 82% en Iowa. Le Dakota du Sud a connu un pic de 205%.
Une fois que les restrictions commenceront à être levées à l'échelle nationale, il est probablement inévitable que nous assistions à une nouvelle vague énorme de nouveaux cas et de nouveaux décès.
Cependant, il est important de souligner que ce virus finira par se propager à travers la plupart de la population, quelles que soient les mesures que nous prenons. Oui, nous voulons empêcher que nos hôpitaux soient complètement submergés, mais nous ne voulons pas non plus détruire complètement notre économie en même temps.
Nos décideurs vont devoir prendre des décisions très, très difficiles dans les jours à venir, et la vérité est que cette pandémie de coronavirus n'est que le tout début de nos problèmes.
Les mois devant nous vont être extrêmement difficiles et la vie comme vous l'avez connue ne sera plus jamais la même.
La bonne nouvelle est que certains des blocages de coronavirus commenceront à être levés dans les semaines à venir, et cela permettra à des millions d'Américains de recommencer à gagner leur vie.
Mais dans d'autres domaines, les politiciens avertissent que les blocages pourraient durer de nombreux mois à venir.
Si les politiciens de votre état essayaient de faire cela, que feriez-vous ?
https://www.zerohedge.com/health/what-will-you-do-if-they-try-extend-covid-19-lockdowns-next-year
Lamentable que de perdre son temps à écrire un article qui ne parle pas de masque !
SupprimerExposer les nouvelles lignes de faille dans un monde post-globalisé
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam., 18/04/2020 - 20:35
Rédigé par Marshall Auerback et Jan Ritch-Frel. Cet article a été produit par Economy for All, un projet de l'Independent Media Institute ...
La pandémie de coronavirus a bouleversé le système économique mondial et, tout aussi important, a jeté 40 ans d'orthodoxie néolibérale qui a dominé le monde industrialisé.
Oubliez le «nouvel ordre mondial». La délocalisation et les chaînes d'approvisionnement mondiales sont terminées; la production régionale et locale est en place. Le fondamentalisme du marché est dépassé; la réglementation est la norme. La santé publique a désormais plus de valeur que les systèmes d'approvisionnement juste à temps. Le stockage et la capacité industrielle ont soudain plus de sens, ce qui peut avoir des implications futures dans le débat antitrust récemment relancé aux États-Unis.
Les données biologiques guideront la prochaine phase de la gestion et de la surveillance sociales, avec des conséquences à court terme sur la façon dont les pays gèrent l'immigration et les douanes. Les soins de santé et l'éducation seront intégrés numériquement comme l'étaient les journaux et la télévision il y a 10 ans. Les soins de santé eux-mêmes seront de plus en plus considérés comme un bien public nécessaire, plutôt que comme un droit privé, jusqu'à présent aux États-Unis, fondé sur l'âge, l'emploi ou les revenus. Chacun de ceux-ci produira des tensions politiques au sein de leurs circonscriptions et dans la société en général à mesure qu'ils s'adapteront à la nouvelle normalité.
Ce changement politique radical ne représente pas une conversion soudaine au socialisme complet, mais simplement un cas de minimisation de nos futurs risques d'infection en fournissant une couverture universelle complète. Au-delà de cela, comme l'a fait valoir le professeur Michael Sandel, il faut s'interroger sur la «logique morale» de fournir «un traitement contre les coronavirus aux personnes non assurées», tout en laissant «la couverture sanitaire en temps ordinaire… au marché» (en particulier lorsque notre concept de ce qui constitue «Temps ordinaire» a été bouleversé).
Sur le plan international, il y aura de nombreux changements internationaux positifs et substantiels pour répondre aux besoins de santé publique mondiaux en retard et aux accords sur l'atténuation du changement climatique. Et il apparaît enfin aux planificateurs économiques alliés occidentaux que le prix militaire qui a rendu possible le pétrole dit bon marché et la main-d'œuvre bon marché est largement supérieur à l'investissement dans la recherche avancée et la fabrication de nouvelle génération.
Cela signifie également que l'ancienne division Nord (monde développé) versus Sud (monde émergent) qui préoccupait depuis longtemps les universitaires et les décideurs politiques dans la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale redeviendra de plus en plus austère, en particulier pour les économies émergentes qui jusqu'ici ont attiré des investissements en grande partie sur les raisons d'être des dépositaires de main-d'œuvre à faible coût. Ils vont maintenant devoir choisir leur camp alors qu'ils cherchent de l'aide dans un monde de plus en plus divisé et multipolaire.
Les lignes de fracture de la prochaine ère économique ont déjà commencé à faire surface, créant des frictions avec la structure internationale précédente de la banque et de la finance, du commerce et de l'industrie. Il y a une force au-delà des élites et des industries critiques qui conduit cela: le prolétariat est littéralement devenu le «précariat».
Aux États-Unis et en Europe, le nombre impressionnant de travailleurs de l'économie de services va être rapidement politisé par les déficits: les gens ont vu un effondrement des revenus et de gros échecs dans l'éducation et les soins de santé. Les budgets antisyndicaux, les rentes de retraite et d'austérité et les nouvelles technologies qui concentrent la richesse loin du travail ont créé une situation dans laquelle les modèles de propriété et de profit doivent être revus pour maintenir la stabilité. Les besoins sont trop aigus pour être distraits par les mensonges de Trump ou les réponses inadéquates dans d'autres parties du monde industrialisé. La crise actuelle entraînera probablement des changements et des bouleversements géopolitiques et économiques que nous n'avons pas vus depuis la Seconde Guerre mondiale.
RépondreSupprimerLa mort de Chimerica, la montée de nouveaux blocs de production
L'une des plus grandes victimes de l'ordre actuel est la rupture de «Chimerica», le lien vieux de plusieurs décennies entre les économies américaine et chinoise, ainsi que les partenariats d'autres pays de premier plan avec la fabrication chinoise. Alors que la géopolitique responsable des origines du coronavirus continue de s'effondrer, le processus qui a vu une baisse des exportations de la Chine vers les États-Unis de 816 milliards de dollars en 2018 à 757 milliards de dollars en 2019 va s'accélérer et s'intensifier au cours de la prochaine décennie.
S'il est peu probable qu'un découplage conduise à un conflit armé, un style de concurrence de la guerre froide pourrait apparaître comme une nouvelle ligne de fracture mondiale. Même si la guerre froide n'a pas empêché un certain degré de collaboration entre les États-Unis et l'ancienne Union soviétique, il peut aussi y avoir encore aujourd'hui des domaines de coopération entre Washington et Pékin, du climat à la santé publique, de la recherche avancée à la prolifération des armes.
Ce changement ne signifie pas non plus nécessairement l'effondrement soudain de la puissance ou de l'influence chinoise - il a un marché intérieur colossal et toujours en croissance et figure au classement international pour un large éventail d'indicateurs avancés. Mais son statut de plaque tournante de la fabrication offshore la plus souhaitable au monde appartient au passé, tout comme la stabilité économique que les entrées régulières de capitaux étrangers ont entraînée. Cela montre une sensibilité au stress intérieur, les manifestations de Hong Kong de l'an dernier donnant un aperçu de ce qui est en magasin car la direction du parti ne peut pas pivoter vers de nouvelles réalités, notamment une croissance économique plus lente et une baisse des investissements étrangers.
À mesure que les flux d'investissement se replieront vers les pays industrialisés, il y aura probablement une diminution correspondante de l'arbitrage mondial du travail émanant du monde émergent. En général, c'est un point négatif pour le Sud global, mais potentiellement un facteur positif pour les travailleurs ailleurs, dont les salaires et le niveau de vie ont stagné pendant des décennies car ils ont perdu des emplois dans des centres de fabrication à bas prix concurrents à l'étranger (l'augmentation des inégalités est principalement un produit 40 ans d’attaques soutenues contre les syndicats). Les emplois ne seront pas les mêmes, mais il est certain que les revenus manufacturiers dépassent ceux de l'industrie des services.
Alors que chaque pays adopte une mentalité de «sauve-qui-peut», les entreprises et les investisseurs tirent les conclusions nécessaires. Le coronavirus a été un signal d'alarme, car les pays qui tentent d'importer des produits médicaux à partir des chaînes d'approvisionnement mondiales existantes sont confrontés à une pénurie d'options de fret aérien et maritime pour renvoyer des marchandises vers les marchés intérieurs. Déjà, le gouvernement japonais a annoncé son intention "de dépenser plus de 2 milliards de dollars pour aider les entreprises de son pays à délocaliser la production hors de Chine", selon le Spectator Index. Les dirigeants de l'UE indiquent publiquement une politique de subventions et d'investissements publics dans les entreprises pour empêcher les rachats chinois ou la sous-cotation des prix.
RépondreSupprimerDeux milliards de dollars sont de petites pommes de terre par rapport à ce qui sera probablement dépensé par les États-Unis et d'autres pays à l'avenir. Et cela ne peut pas simplement se faire via des crédits d’impôt pour la recherche et le développement. L'État peut et doit conduire ce processus de redomiciliation par d'autres moyens: via les exigences de contenu local (LCR), les tarifs, les quotas et / ou les exigences d'approvisionnement local du gouvernement. Et avec un budget de plus de 750 milliards de dollars, l'armée américaine jouera probablement un rôle ici, car elle réfléchit aux perturbations des sources d'approvisionnement à l'étranger.
Bien sûr, si les États-Unis le font, d'autres parties du monde - la Chine, l'UE, le Japon - feront probablement de même, ce qui accélérera les tendances de régionalisation du commerce. Cela peut signifier que certaines entreprises américaines devront opérer sur les marchés étrangers via des filiales locales avec des préférences de contenu local et une main-d'œuvre locale (c'est ainsi que cela a fonctionné dans les années 1920 - Ford UK était une entreprise britannique principalement locale, différente de l'US Ford Motor Company , mais avec des bénéfices partagés).
Un examen de la planification américaine pour le monde après 1945 révèle que l'accent était mis sur le libre-échange principalement des matières premières, et non des produits finis. (Les États-Unis n'ont adopté le «libre-échange» à sens unique avec leurs alliés asiatiques et européens plus tard comme mesure de la guerre froide pour accélérer leur développement et les maintenir sur l'orbite américaine.)
Aux États-Unis, comme l'écrit Dalia Marin, la baisse prochaine des taux d'intérêt accélérera «l'adoption de robots» de 75,7%, avec une concentration «dans les secteurs les plus exposés aux chaînes de valeur mondiales. En Allemagne, cela signifie les automobiles et le matériel de transport, l'électronique et le textile - des industries qui importent environ 12% de leurs intrants des pays à bas salaires. … À l'échelle mondiale, les industries où l'activité de relocalisation est la plus importante sont les produits chimiques, les produits métalliques et les produits électriques et électroniques. »
Comme l'illustre la pandémie de coronavirus, un écosystème industriel viable ne peut pas fonctionner efficacement s'il est dispersé à trop d'extrémités géographiques ou si les redondances sont insuffisantes pour le transport des marchandises vers le marché intérieur (rail, autoroute, etc.). La proximité est devenue un avantage concurrentiel important pour les fabricants et un avantage stratégique pour les gouvernements. Mais le gouvernement américain doit jouer un rôle accru dans le processus de planification. Les États-Unis sont toujours un chef de file dans de nombreux domaines de haute technologie, mais subissent les conséquences d'un effort d'une génération pour saper le rôle naturel du gouvernement en tant que planificateur économique.
Sous la forme des blocs régionalisés qui sont en train d'être esquissés, dans les Amériques, le Mexique est probablement l'un des principaux bénéficiaires des investissements directs étrangers (IDE) américains. Il a déjà une industrie de dispositifs médicaux de 17 milliards de dollars et absorbera certainement beaucoup plus de capacité de la Chine. Cela a déjà commencé à se produire à la suite de l'accord États-Unis – Mexique – Canada (USMCA, ou nouvel ALENA). En outre, le Washington Post rapporte que «[l] a demande augmente pour les dispositifs médicaux et les équipements de protection individuelle dans la lutte contre le coronavirus, les États-Unis se sont tournés vers la phalange des usines au sud de la frontière qui sont désormais les pourvoiries de nombreux États-Unis». les hôpitaux. " Cela s'ajoute aux milliers d'usines d'assemblage déjà en place au Mexique depuis la création de l'ALENA. En effet, si les emplois qui avaient déménagé en Chine se déplacent vers le Mexique, l'Amérique centrale et l'Amérique du Sud, cela résout probablement de nombreuses tensions sociales de longue date en ce qui concerne la gestion de l'immigration, les déséquilibres monétaires et les industries correspondantes du marché noir (ironiquement, cela signifie aussi probablement la fin du mur de Trump, alors que l'écosystème industriel des Amériques devient plus cohérent et plus répandu).
RépondreSupprimerLes grandes entreprises sont de bonnes affaires
Mais cela aura également des impacts importants plus près de chez nous: tout comme Franklin Delano Roosevelt a finalement donné la priorité aux augmentations nationales de la production en temps de guerre plutôt qu'à la destruction de la confiance, de même les champions nationaux sont susceptibles de figurer plus en évidence aujourd'hui, car l'échelle nationale et la solidité du bilan sont compte tenu de la priorité pour répondre à la volonté de relancer rapidement l'emploi et de travailler en collaboration pour enrayer la propagation du coronavirus. La taille des entreprises ne sera pas considérée comme un problème politique si elles peuvent à la fois offrir aux consommateurs et montrer la capacité de suivre une orientation politique pour répondre aux besoins du public. Des entreprises technologiques comme Apple et Google se mobilisent pour combler le vide laissé par le dysfonctionnement massif du gouvernement fédéral. Les voix de «briser la Big Tech» ne sont pas entendues pour le moment.
Nous avons encore besoin d'une forme de réglementation plus robuste pour ces géants des entreprises, mais via un système de réglementation qui est «axé sur les fonctions» plutôt que sur la taille. Comme le co-auteur Marshall Auerback l'a déjà écrit, ce type de réglementation «restreint la gamme des activités des entreprises (par exemple, la séparation structurelle afin d'empêcher des entreprises comme Amazon et Google de posséder à la fois la plateforme et de participer en tant que vendeur sur cette plateforme ), ou les prix que ces entreprises peuvent facturer (comme le font souvent les régulateurs pour les services publics ou les chemins de fer). Ces considérations seraient «indépendantes de la taille»: elles s’appliqueraient indépendamment de la taille de l’entreprise en soi. »
Le capitalisme a toujours eu ses ploutocrates, mais réduire le modèle trop financiarisé de l'Amérique (en empêchant les rachats d'actions, pour ne citer qu'un exemple) représenterait une réforme utile et éviterait beaucoup de gaspillage économique. Au lieu d'aller enrichir les dirigeants et les actionnaires au-delà des rêves de Croesus, cette mesure pourrait aider à garantir que les bénéfices de ces entreprises seront dirigés vers les salaires des travailleurs (ce qui signifie également soutenir une syndicalisation accrue), ou réinvestis dans l'investissement (par exemple, , robotique accrue).
Biodonnées, confidentialité et fin des profits pandémiques
RépondreSupprimerEt il y a des lignes de faille dans le monde des affaires. Les industries de la recherche pharmaceutique et médicale font face à une pression énorme de la part d'autres entreprises pour mettre fin à la pandémie afin qu'elles puissent retrouver la rentabilité. Cela signifie mettre temporairement de côté les bénéfices et mettre en commun la propriété intellectuelle pour encourager les efforts de collaboration des sociétés biotechnologiques et pharmaceutiques pour trouver des traitements appropriés pour COVID-19, et les rendre librement disponibles, surtout si les gouvernements devaient renoncer à un contrôle antitrust en échange de tous les données détenues collectivement par les grandes sociétés pharmaceutiques. Comme le rapporte le Guardian, «[t] voici un précédent. En juin dernier, 10 des plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde, dont Johnson & Johnson, AstraZeneca et GlaxoSmithKline, ont annoncé qu'elles mettraient en commun les données pour une recherche basée sur l'IA de nouveaux antibiotiques, qui sont nécessaires de toute urgence car les bactéries résistantes aux antibiotiques ont proliféré à travers le monde, menaçant la croissance de maladies incurables. "
Les défenseurs de la vie privée expriment déjà leurs inquiétudes au sujet d'un état de surveillance médicale en pleine expansion et en pleine expansion. Ces préoccupations de surveillance manquent de contexte historique: à partir du XIXe siècle, de graves problèmes de santé ont été rencontrés par des politiques gouvernementales rigoureuses pour les réduire. Des politiques allant de la quarantaine au vaccin n'étaient pas toujours obligatoires, mais il était entendu que des concessions personnelles devaient être faites pour gérer une population énorme et une société avancée; la Constitution n'est pas un pacte de suicide. Nous pouvons encore atténuer ces préoccupations aujourd'hui en veillant à ce que les informations découvertes ne deviennent pas une condition préalable ou un coût supplémentaire pour bénéficier d'une couverture d'assurance. À la lumière du coronavirus, les économies de coûts liées à l'intégration des données biologiques dans l'immigration et les douanes sont une évidence pour les gouvernements et sont susceptibles de causer des frictions avec les personnes qui ne veulent peut-être pas donner de sang ou de salive pour obtenir un visa ou un permis de travail et les chefs de file de l'agro-industrie. qui savent que les mesures de sécurité réduisent la rentabilité. Mais la balance a basculé dans l'autre sens.
Nord contre Sud
Qu'en est-il des autres pays du monde en développement qui n'ont pas une proximité géographique étroite avec un marché intérieur, ou des approvisionnements abondants en produits de base essentiels requis pour les besoins de fabrication du 21e siècle, ou même une base de fabrication bien développée (en d'autres termes, le pays qui jusqu’ici ont été de gros bénéficiaires de l’investissement uniquement pour des raisons de main-d’œuvre bon marché)? Beaucoup d'entre eux ont été confrontés à une pression immédiate avec l'effondrement du commerce mondial, une fuite des capitaux sans précédent qui ne manquera pas de croître à mesure que le coronavirus se propage, tout en faisant face à COVID-19 avec des systèmes de santé très inadéquats.
Entre-temps, le marché de plusieurs billions de dollars pour la dette des marchés émergents, tant les obligations souveraines que le papier commercial, s'est effondré. Bon nombre de ces pays, via leurs fonds de pension publics et leurs fonds souverains, sont devenus le critère ultime pour bon nombre des nouveaux titres adossés à des actifs qui ont finalement renoué avec les années après la crise financière de 2008. Cela est devenu le nouveau point de tension potentiel sur le marché des services bancaires parallèles de 52 billions de dollars. La Réserve fédérale américaine a cherché à atténuer les tensions financières d'une grande partie des économies en développement en proposant des lignes de swap de banques centrales. Il a également élargi les règles d'acceptation des sûretés des principaux courtiers et mis en place des swaps de papier commercial, qui ont tous atténué les pressions de financement à court terme dans ces économies qui ont engagé des dettes importantes en dollars.
RépondreSupprimerAlors que les banques centrales mondiales émergentes commencent à prêter sur ces lignes à leurs propres banques, cela devrait commencer à atténuer la pénurie de dollars sur les marchés de financement offshore. Nous commençons à voir un certain assouplissement des tensions, notamment en Indonésie, car il s'agit d'un exportateur de ressources plus qu'une économie de prix du travail bon marché.
Mais alors que lors des précédentes crises des marchés émergents, la Chine a été en mesure de soutenir ces économies via des initiatives telles que la «Belt and Road Initiative», Pékin lui-même est susceptible d'être secoué par le double choc de la baisse du commerce mondial et d'une inversion des investissements directs étrangers, qui a diminué de 8,6% au cours des deux premiers mois de cette année.
À plus long terme, de nombreux autres pays sont confrontés à des défis comparables à ceux de la Chine: les contrôles des capitaux, l'effondrement des monnaies nationales et les défauts de paiement généralisés devraient devenir la norme. C’est déjà arrivé à l’Argentin en série. L'Afrique du Sud a été rétrogradée au statut d'ordure. La Turquie reste vulnérable. Les économies dites «BRICS» - Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud - coulent toutes comme des briques. Le problème est exacerbé par le fait que les coronavirus et les futures pandémies probables créeront des pressions supplémentaires sur les économies en développement qui dépendent de leur avantage en termes de prix du travail sur le marché international pour survivre.
En revanche, des pays comme la Corée du Sud et Taïwan ont connu une «bonne crise». Les deux ont des secteurs manufacturiers dynamiques et ont créé des démocraties multipartites prospères. L'investissement étranger en Corée du Sud a continué de croître au premier trimestre de cette année, car il s'est rapidement déplacé pour contenir la propagation du COVID-19 grâce à un régime de tests approfondis (tout en maintenant son économie ouverte). De même, à Taïwan, en activant un système national d'intervention d'urgence lancé en 2004 (à la suite du virus du SRAS), ce pays a mis en place une intervention contre les coronavirus parfaitement compétente et d'une efficacité sans précédent. Les résultats parlent d'eux-mêmes: au 15 avril, en Corée du Sud, à peine 225 décès, tandis qu'à Taïwan, un total étonnamment bas de six décès dans un pays de 24 millions d'habitants, malgré une exposition à des visiteurs chinois infectés beaucoup plus élevée qu'en Italie, L'Espagne ou les États-Unis
Bien sûr, le succès même de la réponse de Taiwan fait renaître une autre ligne de fracture potentielle, à savoir la tension sous-jacente à la politique «Une seule Chine». Avant COVID-19, il convient de noter que l’OMS «a même refusé de signaler publiquement les cas de SRAS à Taïwan jusqu’à ce que la pression du public incite à publier des chiffres sous l’étiquette« Taïwan, province de Chine »», selon le Dr Anish Koka. À tout le moins, l’approche divergente de Taiwan et son succès dans la lutte contre la pandémie renforceront ses factions indépendantistes.
RépondreSupprimerLa question des nations étrangères qui maintiennent la souveraineté de Taiwan vis-à-vis de la Chine est de plus en plus épineuse, compte tenu des capacités militaires croissantes de Pékin. Cela représentera un défi diplomatique permanent pour les parties occidentales qui cherchent à accroître leur engagement avec Taipei sans exacerber les tensions dans la région.
Un nouveau calcul de la «valeur économique»
Nous avons décrit de nombreuses lignes de faille susceptibles d'être exposées ou exacerbées à la suite de COVID-19. Heureusement, il existe une ligne de faille susceptible d'être claquée: la fausse dichotomie qui existe depuis longtemps entre la croissance économique et l'environnementalisme. L'évaluation mondiale de la plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques rapporte que «la dégradation des terres a réduit la productivité de 23% de la surface terrestre mondiale, jusqu'à 577 milliards de dollars de cultures mondiales annuelles sont menacés par la perte de pollinisateurs et 100 -300 millions de personnes courent un risque accru d'inondations et d'ouragans en raison de la perte d'habitats côtiers et de leur protection. » De même, l'étude cite le fait qu'en 2015, 33 pour cent des stocks de poissons marins «étaient exploités à des niveaux non durables» et note l'augmentation de la pollution plastique (qui «a décuplé depuis 1980»), qui jouent tous deux un un rôle clé dans la dégradation des écosystèmes d'une manière qui finit par détruire la croissance économique.
Enfin, les pandémies répétées au cours des dernières décennies ont montré que ce ne sont pas des imperfections, mais des caractéristiques récurrentes du monde d'aujourd'hui. Par conséquent, il y a un appétit grandissant du public pour que la réglementation traite ce problème permanent. Certaines industries, telles que l'agro-industrie, n'aimeront pas cela, mais les préoccupations sont fondées. Selon l'expert Josh Balk, 75 pour cent des nouvelles maladies commencent chez les animaux domestiques et sauvages, et 2,2 millions de personnes meurent chaque année de maladies transmises par les animaux. La majorité d'entre eux sont transférés de poulets d'élevage, de vaches et de porcs mal réglementés; encore faut-il s'attaquer aux «marchés humides» d'Asie et d'Afrique et au commerce des «espèces de transfert» potentielles, comme les pangolins, un des principaux moteurs du commerce mondial de 19 milliards de dollars par an d'espèces sauvages illégales. Pékin a suggéré d'interdire le commerce d'espèces sauvages illégales et de rechercher une réglementation plus stricte des marchés humides. Ce dernier en particulier peut être plus facile à dire qu'à faire, selon le Dr Zhenzhong Si, associé de recherche à l'Université du Canada à Waterloo, spécialisé dans la sécurité alimentaire, la durabilité et le développement rural chinois. Le Dr Si a fait valoir que «[b] annuler les marchés humides ne sera pas seulement impossible, mais sera également destructeur pour la sécurité alimentaire urbaine en Chine, car ils jouent un rôle essentiel pour garantir aux résidents urbains un accès à des aliments sains et abordables. "
Pour être juste, ce n'est pas la première fois que les principes sacrés du cadre économique mondial traitent d'une crise qui semble ouvrir une nouvelle ère. La même chose s'est produite au lendemain de la crise financière de 2008. Mais cela a été largement considéré comme une crise financière, un produit d'une plomberie financière mondiale défectueuse que personne n'a vraiment compris, par opposition à un effondrement social généralisé se rapprochant étroitement des conditions de la Grande Dépression que nous avons aujourd'hui.
RépondreSupprimerNon seulement le verrouillage actuel a mis l'ensemble de l'économie mondiale dans un gel profond, mais il s'est également produit dans un contexte de bouleversements politiques et sociaux généralisés et d'une fausse reprise dont les fruits ont été largement limités au niveau supérieur. Un titre de créance garanti n'est pas intuitivement facile à saisir. En revanche, être forcé de rester à la maison, privé de revenus vitaux et isolé de ses proches, tandis que les agents de santé périssent du surmenage et du manque d'équipement de protection, est d'un ordre de grandeur différent.
Alors même que nous nous réintégrons, il est difficile d'envisager un retour à «l'ancienne normale». La structure des échanges va changer. L'autosuffisance et la proximité géographique seront privilégiées par rapport à l'intégration mondiale. Il y aura de nouveaux gagnants et perdants, mais il convient de noter que le modèle de capitalisme que nous décrivons - celui qui ne présente pas de rémunération des PDG obscurément surcompensée coexistant avec le travail des serfs et la délocalisation généralisée de la fabrication - a existé sous différentes formes dans aux États-Unis de 1945 aux années 1980, et existe encore dans certaines parties de l'Europe (Allemagne) et de l'Asie de l'Est (Japon, Corée du Sud, Taïwan) à ce jour.
Notre vie quotidienne sera affectée par la mise en quarantaine sélective et certaines formes de distanciation sociale deviendront la nouvelle norme (tout comme elles l'étaient lorsque nous avons traité des épidémies de tuberculose). Tout cela a des implications pour une multitude d'industries: restaurants, loisirs, voyages, tourisme, événements sportifs, divertissement et médias, ainsi que notre définition évolutive des industries «essentielles». Même notre concept de vie privée devra probablement être modifié, notamment en ce qui concerne les questions médicales. Les inquiétudes concernant la surveillance médicale - la stigmatisation (MST, alcoolisme, maladie mentale) et le refus d'assurance - peuvent être atténuées si tout le monde reçoit un traitement sans égard à sa capacité de payer, ce qui se traduira par une plus grande intrusion du gouvernement dans la vie des citoyens et les activités des entreprises comme le secteur public cherche à socialiser les coûts.
Dans l'ensemble, nous sommes sur le point de vivre les changements sociaux, économiques et politiques les plus profonds depuis la Seconde Guerre mondiale.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/exposing-new-fault-lines-post-globalized-world
COVID-19 pourrait changer le comportement des voyageurs pour toujours ... mettant en danger la demande de pétrole de 3 millions de b / j
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 18/04/2020 - 19:45
Rédigé par Daniel Klein via le blog S&P Global Platts Inisghts,
Les voyages aériens, routiers et ferroviaires dans le monde ont été massivement réduits alors que les gouvernements tentent de limiter la propagation du coronavirus, faisant un lourd tribut à la demande de pétrole à court terme.
De toute évidence, les restrictions imposées prendront fin lorsque la pandémie s'atténuera et que les bas prix du pétrole contribueront davantage à stimuler la demande de pétrole. Cependant, il est possible que le comportement des consommateurs soit modifié structurellement, avec des impacts qui persistent même une fois la pandémie terminée.
Pour la demande de pétrole, les deux secteurs les plus exposés à un changement de comportement potentiel sont le transport léger et l'aviation. Ces risques sont étudiés en profondeur dans le rapport Quantifying Risk: How COVID-19 could change consumer comportements and impact long-term demand, publié par S&P Global Platts Analytics's Scenario Planning Service le 24 mars.
Pour les transports légers, un risque clé est la réduction de la demande de pétrole provenant d'un nombre moindre de navetteurs en cas de changement structurel vers le travail à domicile. Une fois les restrictions imposées levées, les entreprises peuvent remettre en question le coût des bureaux physiques et offrir un travail plus flexible à partir du domicile ou même obliger les employés à travailler à domicile.
De toute évidence, le potentiel de travailler à domicile est limité à certains segments, car de nombreux employés du secteur industriel et des services n'ont pratiquement aucune flexibilité pour travailler à domicile. Même certains cols blancs peuvent ne pas être en mesure de travailler à domicile en raison d'un manque de télécommunications et d'informatique à domicile omniprésents.
Sur la base de données sur l'emploi spécifiques au pays et d'une analyse des schémas de navettage, Platts Analytics estime que 5% des kilomètres parcourus par les véhicules de transport en commun sont menacés par un changement structurel vers une plus grande partie de la population active travaillant à domicile. À long terme, cela pourrait éliminer jusqu'à 193 milliards de kilomètres parcourus dans le monde d'ici 2030.
Outre les déplacements domicile-travail, les autres activités de transport léger ont diminué en raison de l'épidémie de COVID-19. Les consommateurs sont obligés de réduire le nombre de voyages dans les épiceries et autres magasins et d'acheter des produits en ligne pendant l'épidémie. Ces comportements peuvent persister après la levée des restrictions, en particulier si des économies de coûts sont identifiées. La plupart des grands détaillants en ligne ont fait de grands progrès dans l'utilisation des mégadonnées et des algorithmes pour prédire le comportement des consommateurs afin d'optimiser les chaînes d'approvisionnement et de livraison. Dans l'ensemble, le passage aux achats en ligne réduira globalement les kilomètres parcourus par les véhicules.
De plus, bon nombre de ces détaillants ont leurs propres flottes de livraison, et il y a un changement vers l'électrification de ces camions de livraison, illustré par le partenariat historique entre Amazon et le fabricant de véhicules électriques, Rivian. Cela pourrait aggraver encore les pertes globales de demande de pétrole. Platts Analytics estime la perte potentielle de la demande de pétrole dans le transport routier qui en résulte à partir d'une plus grande prévalence du travail à domicile et de l'évolution des habitudes d'achat à 1,9 million b / j d'ici 2040.
RépondreSupprimerLe secteur de l'aviation a également été gravement touché par l'épidémie de coronavirus et est susceptible de changer de comportement structurel après la fin de la crise si l'on souhaite voler moins. Tout comme le transport routier, une partie de la demande de l'aviation est à l'abri d'un changement potentiel des préférences des consommateurs, comme le fret aérien.
Pour l'aviation de passagers, des enquêtes récentes suggèrent que 40% des passagers aériens voyagent à des fins professionnelles. Les entreprises sont actuellement obligées d'expérimenter des moyens de mener des opérations sans se déplacer et peuvent apporter des modifications durables aux politiques de voyage pour pousser plus vigoureusement à des réunions virtuelles pour réduire les coûts, réduire les émissions de CO2 et améliorer l'environnement, la société et la gouvernance (ESG) scores.
Platts Analytics estime que les voyages d'affaires sont les plus susceptibles de changer de comportement depuis l'épidémie de COVID-19. Pour les voyages d'agrément, le tourisme virtuel et les appels vocaux ou vidéo avec des êtres chers éloignés ne sont pas de bons substituts à la réalité, et ce segment du transport aérien peut s'avérer le plus sûr.
Le secteur de l'aviation suit une forte tendance à la hausse en raison de la montée de la classe moyenne, en particulier en Asie. Avant que le coronavirus ne frappe, Platts Analytics a supposé une croissance de la demande de pétrole à long terme dans l'aviation de 2% par an en raison des tendances économiques et des voyages en vigueur. Un scénario où la croissance de l'aviation serait la moitié de cette attente initiale entraînerait une demande de pétrole de 1,8 million b / j de moins d'ici 2040.
Les impacts du coronavirus seront finalement déterminés par la durée et la gravité de l'épidémie. Cependant, plus les consommateurs et les entreprises s'adaptent aux restrictions et identifient des économies potentielles, plus la probabilité que ces changements deviennent structurels et durables est grande.
https://www.zerohedge.com/energy/covid-19-could-change-travel-behavior-forever-putting-3-million-bd-oil-demand-risk
La chloroquine un « vieux médicament » qui dérange.
RépondreSupprimerle 19 avril 2020
- voir shéma sur site -
Le Professeur Didier Raoult n’a rien redécouvert au sujet de la chloroquine car comme tout bon scientifique il a lu la littérature relative à sa spécialité de virologiste reconnu dans le monde entier et devant l’urgence n’a fait qu’appliquer au niveau clinique concret ce qu’il avait constaté dans cette littérature scientifique. Et il a eu parfaitement raison en dépit de la scandaleuse campagne de dénigrement orchestrée par les politiciens parisiens !
Un article paru dans The Lancet en novembre 2003 décrivait l’effet positif de cette molécule sur la maîtrise de la prolifération du coronavirus – oui ! Ce virus existait déjà il y a 17 ans (SARS) – et plutôt que d’attendre l’apparition sur le marché (et l’AMM) d’un vaccin contre le nouveau coronavirus « vintage 2019 » ou tout autre nouvel antiviral qui rapporterait gros aux laboratoires pharmaceutiques et par conséquent au monde financier, Raoult a suivi les travaux des cliniciens chinois et appliqué la prescription de la chloroquine pour réduire la charge virale chez les malades aux stades précoces de l’infection.
Et ça marche parfaitement !
Pourquoi le traitement préconisé par Raoult dérange-t-il ? Tout simplement parce que les ministres du gouvernement Macron sont tous aussi corrompus les uns que les autres, prisonniers de leurs conflits d’intérêts et de l’influence des lobbyistes du secteur de la pharmacie qui leur ont attribué de grasses commissions pour inscrire la chloroquine parmi les substances vénéneuses alors que ce produit est prescrit dans le monde entier depuis plus de 50 ans. Honte à l’ex-ministre de la santé qui s’est défilée en se présentant comme candidate à la mairie de Paris ! Il était donc urgent de maintenir le premier tour des élections municipales : tout s’explique … Il ne faut pas prendre les Français pour des cons ! La chloroquine ou son dérivé hydroxylé ne coûtent rien, leurs prix de vente couvrent tout juste le conditionnement des comprimés. Il fallait donc privilégier des laboratoires susceptibles de mettre sur le marché des antiviraux coûteux, des laboratoires comme Gilead qui ont réussi à attirer l’attention des décideurs politiques et de l’administration par leur intense pression. Il s’agit de la part de l’ensemble du gouvernement français d’un conflit d’intérêt flagrant, même le Président ne peut pas ne pas être compromis dans cette affaire
Il faudra poursuivre au pénal ces éléments totalement pourris de l’administration et du monde politique français mais aussi des membres d’autres gouvernements européens qui ont pris les décisions françaises pour des décisions fiables. J’ai vraiment honte des dirigeants de mon pays …
Pour les amateurs de vraie science et non pas de politique corrompue voici l’article du Lancet : https://doi.org/10.1016/S1473-3099(03)00806-5 d’où provient l’illustration en tête de billet.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/19/la-chloroquine-un-vieux-medicament-qui-derange/
Air France surprise en plein non-respect de la distanciation sociale à bord d’un vol bondé – photo
RépondreSupprimer16:03 19.04.2020
Les mesures de distanciation sociale n’ont pas été respectées par Air France lors d’un vol complet entre Paris et Marseille, comme l’atteste une photo prise par une journaliste de France 3. Les passagers ont été contraints d’occuper les sièges du milieu. Pour sa défense, Air France a indiqué que ses filtres d’air éliminaient le Covid-19 en cabine.
Une journaliste de France Télévisions a relayé un cliché pris à bord d’un avion de ligne d’Air France le 18 avril. La photo montre une forte fréquentation des voyageurs en cette période de confinement, alors qu’aucune mesure de distanciation sociale entre les passagers n’a été respectée.
?Selon la journaliste, alors que les distances étaient respectées à l’aéroport de Roissy, les voyageurs ont dû s’asseoir dans la cabine de l’avion reliant Paris à Marseille, «serrés les uns à côté des autres, sans masques pour la plupart, [le] visage à 30 centimètres de celui [du] voisin», a fait savoir Charlotte Gillard en direct au 20h.
«L’air en cabine renouvelé toutes les trois minutes»
Interrogée par Franceinfo, la compagnie aérienne a déclaré qu’il n’était pas possible d’assurer la distance entre les passagers sur les vols les plus fréquentés. Cependant, Air France a affirmé avoir pris toutes les mesures «afin de limiter au maximum les interactions et contacts», précisant que la plupart des vols Paris-Marseille ne sont qu’à moitié complets.
En outre, elle a noté que «l’air en cabine est renouvelé toutes les trois minutes», une mesure assurée par des filtres HEPA (High Efficiency Particulate Air), qui ressembleraient à ceux dont les blocs opératoires sont équipés, avance la chaîne de télévision.
Ces dispositifs «extraient plus de 99,999% des virus les plus petits, y compris ceux dont la taille ne dépasse pas 0,01 micromètre [...]. Les virus de type coronavirus, dont la taille varie entre 0,08 et 0,16 micromètre sont filtrés par les filtres HEPA».
Les voyages en avion après la pandémie
Auparavant, EasyJet avait indiqué que les sièges du milieu ne seraient pas vendus afin que les passagers puissent respecter la distanciation sociale après la pandémie et la reprise des vols. Quant au port des masques, Wizz Air avait noté qu’il serait indispensable de protéger tous les passagers avec des masques durant les vols.
https://fr.sputniknews.com/france/202004191043599643-air-france-surprise-en-plein-non-respect-de-la-distanciation-sociale-a-bord-dun-vol-bonde--photo/
Les avions volent entre 17 000 et 40 000 pieds (5 100 m et 12 200 m).
SupprimerJusqu'à quelle hauteur peut voler un virus ?
Hahahaha !
PRODUITS ALIMENTAIRES : GARE AU POUVOIR D'ACHAT APRÈS LE CONFINEMENT
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
18/04/2020
La hausse des coûts subie par les entreprises de l'agroalimentaire oscille entre 3% et 16%.
La sortie du confinement risque d'être difficile pour le portefeuille des Français. Le secteur agroalimentaire prévient que les prix vont augmenter pour restaurer les marges.
Il n'y a pas eu de hausse vertigineuse des prix dans les linéaires des produits agroalimentaires. De fait, « l'inflation en raison est quasi-nulle », souligne le baromètre de l'Association nationale des industries agroalimentaires (Ania), qui tire la sonnette d'alarme. Si les étiquettes des produits alimentaires n'ont pas valsé, c'est parce que les sociétés du secteur ont absorbé les hausses de coût, réduisant ainsi leurs marges et leur rentabilité. Ces augmentations des coûts sont directement liées « à l’augmentation des prix des matières premières, des coûts de maintenance des outils de production ou encore de l’achat des équipements de protection des salariés », explique l'association.
Hausse des coûts depuis le confinement
Cette situation ne peut pas durer. Les hausses de coût sont comprises entre 3% et 16%, selon l'organisation qui regroupe près de 18.000 entreprises du secteur qui ont réalisé un « effort considérable » ayant permis à la chaîne alimentaire de « tenir »… Mais « à quel prix ? », s'interroge l'Ania. 70% à 80% des entreprises de l'agroalimentaire ont constaté une baisse du chiffre d'affaires et une rentabilité « fragilisée ». Le tableau est particulièrement sombre pour les sociétés spécialisées dans la restauration hors domicile. Près de la moitié d'entre elles ont subi une baisse d'activité de « plus de 75% en valeur et en volume », indique le baromètre.
Le pouvoir d'achat va baisser
Pour Richard Girardot, président de l'association, les Français doivent en avoir conscience : « Une nouvelle ère s’engagera lors de la sortie de crise, façonnée par une demande durablement modifiée du consommateur, dans ses choix, ses circuits d’achat, son pouvoir d’achat ». Les consommateurs vont prendre le relais des hausses de coût, qui se répercuteront sur la facture finale. Le pouvoir d'achat va donc en prendre un coup après le 11 mai, jour de sortie du confinement.
http://www.economiematin.fr/news-produits-alimentaires-gare--pouvoir-achat-apres-confinement
Les paysans sont dehors à travailler du matin au soir et 7 jours sur 7 sans masque !
SupprimerPourquoi les citadins sont-ils enfermés ?
La foule grouille de plages de Floride au milieu d'une réouverture progressive alors que les critiques critiquent "#FloridaMorons"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 04/19/2020 - 11:00
La controverse s'ensuit sur les images et vidéos virales montrant les plages de Floride grouillant de foules un jour seulement après que le gouverneur républicain Ron DeSantis a déclaré qu'elles pourraient rouvrir en fonction de la discrétion des dirigeants locaux et des comtés.
The Hill rapporte: "Des images de personnes qui affluent vers les plages de Jacksonville, en Floride, sont devenues virales sur Twitter samedi, provoquant des réactions des utilisateurs sur la plate-forme et le hashtag #FloridaMorons."
Parmi les premières plages à rouvrir au public se trouvait à Jacksonville, où le maire Lenny Curry (R) a déclaré: «Cela peut être le début du chemin de retour à la vie normale.»
Restrictions jusqu'à ce que les amateurs de plage soient obligés de Jacksonville et d'autres plages de Floride pour éviter de se rassembler dans la foule, de rester à six pieds des membres de la famille, et pour éviter d'installer des chaises et des tentes.
Le samedi, Curry a déclaré que les résidents pratiquaient la «distanciation sociale et un comportement responsable» alors qu'il défendait la décision d'ouvrir les plages.
Le maire de Miami-Dade, Carlos Gimenez, devrait également annoncer prochainement la réouverture des plages de la région, mais la date précise n'est pas claire, mais devrait avoir lieu la semaine prochaine.
Les décideurs largement républicains de Floride semblent utiliser l'élan que le président Trump a mis en branle jeudi pour annoncer des lignes directrices pour une 'réouverture progressive' de l'économie américaine, qui donne en fin de compte les pouvoirs aux gouverneurs pour adopter les mesures.
Comme c'est toujours le cas en cette période polarisée, tout le monde n'était pas favorable à la réouverture. Le commissaire de la ville de Lake Worth Beach, Omari Hardy, a tweeté avec colère (et clairement sur le plan politique):
"Quand une personne ne croit pas à la science, elle fait des bêtises."
"Quand une personne au pouvoir ne croit pas à la science, elle fait des bêtises qui blessent le public. Cette décision est tellement stupide que je devais m'assurer que ce n'était pas de fausses nouvelles. Vous les gars, ce ne sont pas de fausses nouvelles. "
Et le maire de Miami, Francis Suarez, qui a lui-même contracté un coronavirus, a qualifié la réouverture de Jacksonville de «très préoccupante», ajoutant que la Floride «n'était pas encore sortie du bois» et que les conséquences d'une réouverture trop tôt étaient «très, très effrayantes».
Dimanche matin, la Floride comptait 25 492 cas de COVID-19 avec 748 décès signalés, la plupart des cas étant concentrés dans le centre de la Floride chez les personnes de 65 ans et plus.
Le maire de Jacksonville a défendu la décision controversée de rouvrir en faisant valoir que les citoyens peuvent rester prudents et raisonnables tout en retournant dans les lieux publics:
Il convient de noter que l'explosion prévue du nombre de cas dans le Sud ne s'est pas encore matérialisée au niveau attendu.
Ainsi, nous pourrions voir une situation dans laquelle la zone des trois États durement touchée ainsi que des endroits comme le Michigan continuent de culminer, tout en regardant les États du Sud «plus tôt que prévu» pour revenir à une «normalité» relative.
https://www.zerohedge.com/health/crowds-swarm-florida-beaches-amid-phased-reopening-critics-slam-floridamorons
«Le Président se trompe», le port du masque est nécessaire «dès maintenant»
RépondreSupprimer23:05 19.04.2020
Un spécialiste estime que la stratégie du gouvernement quant à la distribution des masques est défaillante. Il milite pour leur port par le plus grand nombre dès aujourd’hui et dans l’anticipation d’un déconfinement.
Interrogé par France Info, Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital européen Georges-Pompidou est revenu sur l’importance de porter un masque en cette période de pandémie. Non seulement pour les soignants en contact direct avec le virus, mais pour l’ensemble de la population.
« Les Français doivent porter un masque au moment du déconfinement mais aussi dès maintenant. […] Un masque vaut mieux que rien du tout, même fabriqué à la maison. Il vaut mieux se couvrir la bouche et le nez», a-t-il expliqué au micro de France Info.
Le professeur Juvin a également pointé du doigt la stratégie du gouvernement sur le port généralisé des masques, estimant que les politiques n’écoutaient pas assez les scientifiques, et que le chef de l’État était dans l’erreur.
«De plus en plus de voix s’élèvent sur ce sujet, comme l'Anses ou la communauté scientifique internationale. Les politiques devraient commencer à les écouter. Je pense que sur ça, le Président de la République se trompe», a-t-il ainsi confié à France Info.
Contre un déconfinement total
Sur France Info, Philippe Juvin a également évoqué la perspective d’un déconfinement, estimant que celui-ci devait être progressif et qu’il ne fallait pas «déconfiner tout le monde en même temps», au risque d’aggraver la situation.
Le médecin a néanmoins précisé que certaines conditions devaient être remplies avant d’envisager une sortie du confinement. Il insiste sur la mise en place d’un dépistage à grande échelle et sur le nombre de lits à prévoir en réanimation.
«Il faut que nous ayons des capacités de testing de la population extrêmement massives. Mais aussi des lits disponibles, surtout en réanimation. Quand vous faites la guerre, il faut avoir des munitions. Sinon, on ne pourra pas déconfiner les Français en toute sécurité», a-t-il déclaré à France Info.
Lors de leur conférence de presse tenue le 19 avril, Édouard Philippe et Olivier Véran ont traité de la situation liée à l’épidémie de Covid-19 en France. Il a été rappelé qu’en absence d’un vaccin ou d’un traitement efficace, l’accent devait être mis sur les gestes barrières, les tests et l’isolement des porteurs du virus. Il a en outre été mentionné que le port du masque pourrait devenir obligatoire dans les transports à partir du 11 mai.
https://fr.sputniknews.com/france/202004191043601717-le-president-se-trompe-le-port-du-masque-est-necessaire-des-maintenant/
Il n'y a pas, n'y aura jamais et il n'y a jamais eu de vaccin contre un coranavirus (il mute continuellement depuis 2013).
Supprimer(...) Un masque vaut mieux que rien du tout, même fabriqué à la maison. Il vaut mieux se couvrir la bouche et le nez» (...)
Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital européen Georges-Pompidou SE TROMPE ! On ne fabrique pas un masque antivirus à la maison !
Il est parfaitement inutile de prendre un sac aspirateur, filtre Melitta, foulard ou bonnet de soutien-gorge ! Le filtre DOIT FAIRE 1µ au maximum d'entrée d'air !
Non seulement ces conneries citées ci-dessus NE PROTÈGENT PAS mais elles AGGRAVENT les cas ! Un foulard ou tissu quelconque est mouillé par les expirations. Ce faux masque devient UN NID A VIRUS !
SEULS les masques FF P2 PROTÈGENT. Ils sont été fabriqués, ils sont stockés, mais des criminels (en France) empêchent qu'ils soient distribués !
La Chine indignée après que le plus grand journal allemand accuse Pékin d'avoir "exporté" la pandémie de coronavirus et demande 149 milliards d'euros de dommages et intérêts
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 04/19/2020 - 23:40
Voyons comment les "vérificateurs des faits" pro-chinois explosent sur celui-ci.
Le rédacteur en chef du plus grand journal allemand Bild a lancé jeudi une attaque frontale complète contre le président communiste chinois Xi Jinping pour le fait que son régime n'a pas menti au sujet de l'épidémie de coronavirus et des violations massives des droits de l'homme perpétrées par le Parti communiste, et exigeant qu'aucune moins de 149 milliards d'euros de dommages à la suite des actions de la Chine.
Dans un article intitulé "What China Owes Us", Julian Reichelt, éminent rédacteur en chef du Bild, a écrit à Jinping que "votre ambassade à Berlin m'a adressée dans une lettre ouverte parce que nous avons demandé dans notre journal Bild si la Chine devrait payer les dommages économiques massifs que le coronavirus inflige dans le monde entier. "
S'adressant au président chinois, le rédacteur en chef allemand a écrit: "Vous, votre gouvernement et vos scientifiques saviez depuis longtemps que le coronavirus est très contagieux, mais vous avez laissé le monde dans l'ignorance à ce sujet. Vos meilleurs experts n'ont pas répondu lorsque l'Occident les chercheurs ont demandé à savoir ce qui se passait à Wuhan. Vous étiez trop fier et trop nationaliste pour dire la vérité, ce qui vous semblait être une honte nationale. "
Reichelt a déclaré: «Vous régnez par la surveillance. Vous ne seriez pas président sans surveillance. Vous surveillez tout, chaque citoyen, mais vous refusez de surveiller les marchés humides malades dans votre pays. Vous fermez tous les journaux et sites Web qui critiquent votre règle, mais pas les étals où la soupe de chauve-souris est vendue. Vous ne surveillez pas seulement vos gens, vous les mettez en danger - et avec eux, le reste du monde. "
Il a poursuivi son exposé des détails, notant que «la surveillance est un déni de liberté. Et une nation qui n'est pas libre, n'est pas créative. Une nation qui n'est pas innovante, n'invente rien. C'est pourquoi vous avez fait de votre pays le champion du monde du vol de propriété intellectuelle.
"La Chine s'enrichit des inventions des autres, au lieu d'inventer toute seule", a écrit Reichelt. "La raison pour laquelle la Chine n'invente pas, c'est que vous ne laissez pas les jeunes de votre pays penser librement. Le plus gros coup à l'exportation de la Chine (que personne ne voulait, mais qui a néanmoins fait le tour du monde) est le coronavirus."
Nous avons hâte de lire ce que Reichelt aura à dire lorsqu'il sera confirmé que la "grippe Wu" s'est échappée de l'Institut de virologie de Wuhan, un développement auquel nous nous attendons aura lieu tous les jours.
Le journal le plus vendu, Bild, avait calculé avant l'éditorial de Reichelt que la Chine devait à l'Allemagne 149 milliards d'euros pour les dommages causés par le coronavirus, déclenchant la réaction de colère de l'ambassade de Chine à Berlin. Bild a déclaré que l'indemnisation s'élève à 1 784 € par personne si le PIB de l'Allemagne baisse de 4,2%. L'article de Bild était intitulé: "Ce que la Chine nous doit."
En réponse, la porte-parole de l'ambassade de Chine, Tao Lil, a publié une lettre ouverte à Bild en allemand sur le site Web de l'ambassade, déclarant: «J'ai suivi votre rapport sur la pandémie de corona en général et la culpabilité présumée de la Chine en particulier aujourd'hui. Outre le fait que nous considérons comme un mauvais style de blâmer un pays pour une pandémie qui affecte le monde entier, puis de présenter un compte rendu explicite des prétendues dettes chinoises envers l'Allemagne, l'article ignore certains faits essentiels. "
RépondreSupprimerElle a ajouté que "Nous notons que de nombreux pays aux prises avec le COVID-19 ont eu le temps de se préparer à la propagation transfrontalière du pathogène après que la Chine a signalé son épidémie conformément aux directives du RSI [Organisation mondiale de la santé]".
Et en retirant une page de tous les manuels libéraux, partout, n'ayant aucune défense crédible, la porte-parole de l'ambassade de Chine a rapidement changé de sujet et a déclaré que l'article "attise la xénophobie et le nationalisme".
Alors ... accusant un gouvernement d'une dissimulation géante - ce que nous savons déjà arrivé comme la Chine elle-même l'a admis quand elle a fait taire le médecin de Wuhan qui a tenté d'attirer l'attention du monde sur la peste qui ravageait sa ville pour être arrêté et étouffé avant de mourir du coronavirus - n'est plus qu'un acte de racisme. Je l'ai. Peut-être que la prochaine fois que l'IRS frappera et exigera une «part plus équitable» de son revenu, la même excuse «vous êtes raciste» pourra être appliquée également ?
Oh, et oui, la même ligne de questionnement qui a fait interdire ce site par les arbitres "ultra libéraux" de tout ce qui est vrai et juste dans ce monde - et direct dont les actions peuvent avoir facilité la mort de milliers de personnes à travers le monde - n'a pas été perdu par le rédacteur en chef de Bild, qui a cité un article du Washington Post la semaine dernière rapportant que "vos laboratoires à Wuhan ont recherché des coronavirus chez les chauves-souris, mais sans maintenir les normes de sécurité les plus élevées. Pourquoi vos laboratoires toxiques ne sont-ils pas aussi sûrs ?" comme vos prisons pour les prisonniers politiques. Souhaitez-vous expliquer cela aux veuves, filles, fils, maris, parents des victimes de la couronne dans le monde ? "
Nous n'aurions pas pu le dire mieux nous-mêmes, même si nous l'avons dit environ 3 mois plus tôt, pour lesquels nous avons obtenu la punition ultime de ce parangon de la liberté d'expression, Jack Dorsey.
Reichelt a conclu que: "Dans votre pays, votre peuple chuchote à votre sujet. Votre pouvoir s'effondre. Vous avez créé une Chine impénétrable et non transparente. Avant Corona, la Chine était connue comme un État de surveillance. Maintenant, la Chine est connue comme État de surveillance qui a infecté le monde d'une maladie mortelle. C'est votre héritage politique. "
L'attaque frontale complète de Bild contre la Chine a peut-être été le déclencheur pour tout le monde, et samedi, le président Donald Trump a averti que la Chine devrait faire face à des conséquences si elle était «sciemment responsable» du déclenchement de la pandémie de coronavirus, surtout si elle impliquait des mensonges ouverts. sur l'origine du virus mortel: le seul biolab de sécurité maximale de niveau 4 du pays, qui, comme l'a écrit Nature en février 2017, était chargé "d'étudier les agents pathogènes les plus dangereux du monde" dans lequel la publication scientifique très respectée a également mis en garde contre "les inquiétudes entourant les Chinois laboratoire. Le virus du SRAS s'est échappé des installations de confinement de haut niveau à Beijing à plusieurs reprises. "
Des virologues ont lu des données sur un conteneur pour des échantillons viraux dans le premier laboratoire de biosécurité de niveau quatre de la Chine à l'Institut de virologie de Wuhan.
RépondreSupprimerTrump a déclaré aux journalistes: "Il aurait pu être arrêté en Chine avant de commencer et ce n'était pas le cas, et le monde entier en souffre." Si c'était une erreur, une erreur est une erreur. Mais s'ils étaient sciemment responsables, alors il devrait y avoir des conséquences. "
Nous sommes impatients de découvrir quelles sont ces conséquences ... non seulement pour la Chine, mais pour tous ceux - comme Jack Dorsey et Twitter - qui ont permis que ce mensonge se perpétue pendant des mois.
Trump a conclu que les Chinois étaient "embarrassés" et la question était de savoir si ce qui s'était passé avec le coronavirus était "une erreur qui a échappé à tout contrôle, ou cela a-t-il été fait délibérément ?" Tout cela s'est produit quelques heures après cette semaine dans la ville de Wuhan, où le l'épidémie a commencé, a révisé son nombre de décès par un bond soudain de 50% du chiffre, confirmant encore une fois que tout ce qui sort de la Chine est un mensonge, et que tous ceux qui défendent la position de la Chine - pour des activités purement monétaires même si cela signifie la mort d'innombrables personnes - devrait être jugée, sinon dans un système juridique tout aussi corrompu, puis devant un tribunal du peuple
https://www.zerohedge.com/economics/china-outraged-after-largest-german-newspaper-accuses-beijing-starting-coronavirus
Premièrement, la Chine n'a pas 'exporté' le caranavirus car il était déjà là un mois avant en Italie (Lombardie).
SupprimerDeuxièmement, les merdias internationaux qui ne sont ni médecins, ni scientifiques, parlent de 'naissance en laboratoires' ! HAHAHAHA ! Un virus ne nait pas en laboratoire mais s'examine uniquement. Il est alors soumis à différents test pour connaître son ennemi implacable et sortir un remède. Mais, pour les coranavirus, il est impossible de mettre au point un vaccin car le virus mû perpétuellement et donc, un vaccin au patient serait l'euthanasie du patient !
Fuir et paniquer devant... la dépression économique, le chaos politique... ou la réduction de la population mondiale
RépondreSupprimerCharles Dereeper
dimanche, 19 avril 2020 18:01
J'ai reçu des emails suite à cet article
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/et-s-il-fallait-ecouter-ce-qui-se-passe-et-reellement-paniquer-la-bulle-des-milliardaires-est-l-ennemi-a-identifier.html
Beaucoup projettent leurs propres peurs. A aucun moment j'envisage de fuir la dépression économique et le chaos politique.
Cette question a été réglée par ma fuite en 2008 d'Europe. Je suis planqué au chaud à Panama. Et je m'en tamponne encore une fois.
Les gens qui votent et qui payent des impôts à un tyran doivent assumer leurs gestes et subir ce qu'ils sèment. Un tyran sans esclaves soumis ne peut pas exister.
Ce serait d'une hypocrisie folle que de me laisser toucher par le sort de l'Europe et de la France alors que je ne contribue pas et que j'écris des choses pas jolies dessus en plus.
Non mes peurs n'ont rien à voir avec cela.
Mes peurs ont avoir avec ce que je soupçonnais depuis 3 ans, l'existence d'un nouvel ordre mondial pour ne pas l'appeler autrement dont le but premier est la réduction de la population mondiale.
Bill Gates multiplie les déclarations en ce sens depuis 1 mois. C'est une obsession chez lui. Et il y travaille depuis 20 ans déjà. C'est le lever de rideau sur ses ambitions et celles de ses copains qui étaient cachées plutôt efficacement.
Cette obsession est partagée par de nombreuses et diverses élites dont la fameuse pierre gravée avec le chiffre 500 millions.
population mondiale
Je n'y croyais qu'à moitié avant le corona virus. Trop gros...
Désormais le signal est là. Ce n'est pas juste un délire et des idées en l'air. Nous avons 10 ans pour nous préparer au pire. Car le pire va au moins être tenté et sera peut être concrétisé (si dieu le veut hahahaha). L'envie chez nos maîtres est bien là. La question derrière est de savoir si nous sommes seuls ou non sur cette terre.
Les premières fortunes officielles du monde (et je le répète une énième fois, les fortunes officielles du monde comme Bill Gates ne sont rien par rapport à celles qui sont cachées dans les fondations) sont en train de communiquer CONTROLE A DISTANCE, PUCES, VACCINS, CONTRACEPTION AUTOMATIQUE... La fertilité du sperme chute linéairement d'années en années... 5G qui active des drôles de réactions, bouffe toxique... Le tableau général commence à prendre sens.
A côté, Macron, la France, l'europe et le reste du chaos social, de la haine, des problèmes raciaux et j'en passe, c'est peanuts... Chaque français peut monter dans un avion après avoir tout vendu et mettre fin à ce calvaire...
Alors que la réduction de la population mondiale, c'est autrement plus difficile à slalomer comme problème...
Charles
http://www.objectifeco.com/economie/croissance-recession/recession/fuir-et-paniquer-devant-la-depression-economique-le-chaos-politique-ou-la-reduction-de-la-population-mondiale.html
3 infos pour ne pas réfléchir comme un singe...
RépondreSupprimerdimanche, 19 avril 2020 18:45
Salut Charles,
c'est encore moi (celui qui avait listé les possibilités du "pourquoi le Corona" ...)
Je te partage 3 éléments qui me semblent en cohérence.
1/ Les Vieux vraiment en danger ?
On nous martèle depuis des semaines que les vieux sont à risque, qu'il faut les protéger et les confiner encore plus, blabla blabla ... rendez vous compte, les 3/4 des déces du covid concernent les + de 75 ans !!!
Il apparaît effectivement que 73% des décès du covid on plus de 75 ans
source : https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/
Je me suis demandé quelle était la réalité "hors covid"
Facile tous les chiffres sont sur l'Insee
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3629105?sommaire=3596218#tableau-figure4
Tu additionnes tous les morts de plus de 75 ans et tu divises par le total, réponse 69,57 %
donc oui le covid tue un poil plus les plus de 75 ans que l'ensemble des causes de déces, mais dans cette petite proportion là !! De là à les empécher de voir leurs petits enfants jusqu'à Noel et de bloquer toute l'économie ... faut relativiser. C'est d'ailleurs ce qui manque cruellement aux journalistes mainstream, on te colle des chiffres bruts sans aucune mise en perspective avec d'autres données ....
2/ André comte sponville est d'ailleurs bien d'accord
André Comte-Sponville prône le déconfinement : "la liberté est encore plus importante que la santé"
podcast de 7 mn ici
https://www.europe1.fr/emissions/linterview-culture-de-bernard-poirette/andre-comte-sponville-prone-le-deconfinement-la-liberte-est-encore-plus-importante-que-la-sante-3962903
3/ Et enfin Snowden qui considère que "Ce qui est en train d'être structuré c'est l'architecture de l'oppression."
https://www.facebook.com/VICEFrance/videos/255606635480682/
Bon dimanche à toi
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/3-infos-pour-ne-pas-reflechir-comme-un-singe.html
Et s'il fallait écouter ce qui se passe et... réellement paniquer ? La bulle des milliardaires est l'ennemi à identifier
RépondreSupprimerCharles Dereeper
samedi, 18 avril 2020 20:10
"Bonjour Charles, tu as fortement ralenti le rythme de tes articles. Est ce tes détracteurs qui t'ont calmé ?"
Non ce ne sont pas mes détracteurs, mais la panique. En 2008, quand Sarkozy s'est couché 6 mois après son élection devant la première grève, j'ai écouté... et je me suis enfui l'année suivante pour ne jamais revenir.
Là, si j'écoute ce qui se passe, c'est le signal. Après, que mes détracteurs n'écoutent pas, je m'en tamponne... chacun s'impose sa dose de souffrance en fonction de ses problématiques.
J'imagine que derrière votre question il y a : qu'est ce que j'écoute ? Quel est ce signal ?
La réponse est la bulle des milliardaires. Il y a 2000 milliardaires sur terre environ. Qui ont un pouvoir demesuré. Un de mes anciens potes disait toujours que la terre irait beaucoup mieux si on empêchait tout être humain de contrôler plus de 50 millions de $ de patrimoine.
Là, regardons en face la situation.
4 banques US sont présentes dans le top 10 des actionnaires des 500 entreprises du SP500.
Au Japon, la banque centrale est actionnaire dans 70% en position TOP 10 des entreprises du NIkkei 225.
La Chine contrôle également ses milliardaires.
Nous avons une poignée d'hommes qui contrôlent des pans entiers significatifs de l'économie privée.
Comment cela se traduit il ?
Bill Gates contrôle tout l'univers de la santé sur terre. Pour un cerveau moyen, c'est impossible. Maintenant, il suffit de regarder qui paye les factures de la santé mondiale...
Gates-Foundation-Donations
- voir graphique sur site -
Vous allez me dire, que l'OMS soit financée directement par une main privée Bill Gates ou indirectement par une main publique qui obéit par corruption à un ordre privé, cela ne change pas.
C'est justement le message que je tente de faire passer depuis des années.
Avec le corona virus, nous avons la Suède qui a littéralement ignoré le lockdown ? Ont ils eu un nauffrage sanitaire ? Une explosion propagation du virus ?
- voir graphique sur site -
Réponse négative. Il ne s'est rien passé. Ce qui démontre tout le pipo orchestré actuellement. Et la destruction planifiée de l'économie privée dont nous ne savons toujours pas pourquoi.
Donald Trump a réquisitionné des navires hôpitaux pour New York car il a écouté le bullshit ambiant. Que le nombre de lits ne seraient pas suffisants et bla bla bla...
Résultat, les navires sont vides et sont repartis et les appareils respiratoires sont envoyés aux autres Etats alors que New York est le centre du corona aux US.
RépondreSupprimerMais ce n'est pas un complot. C'est de la bêtise. Les politiciens du monde entier se lèvent le matin et regardent les stats comme nous tous et jamais eux ne se disent qu'ils sont idiots et incompétents alors qu'une grosse partie du peuple se le dit sans même sourciller que vaguement les politiciens sont habitées par une stratégie coordonnée mondialement de destruction.
Vu de loin, à part rire, je ne vois pas trop ce que je peux faire.
Et aussi écouter.
Le message de la bulle des milliardaires... Le signal est là devant moi.
L'étape suivante n'est pas de fuir l'Europe comme en 2008 / 2009. Cette fois ci, il faut apprendre à fuir les Etats et l'humanité.
Beaucoup de gens espèrent une issue positive. A court terme et à long terme.
Perso, le corona virus est le signal que je dois abandonner l'espoir. Le long terme, c'est un carnage qui s'annonce. https://www.marketwatch.com/story/one-side-effect-of-coronavirus-robots-will-take-our-jobs-at-an-even-faster-rate-2020-04-13
Je suis coincé dans ma maison à Panama City, dépendant du bon vouloir de connards. Plus jamais cela. Dès qu'il me relâche, je me mets en route comme en 2008...
Je dois vivre en étant loin de la civilisation et totalement indépendant sur tous les plans.
Charles
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/et-s-il-fallait-ecouter-ce-qui-se-passe-et-reellement-paniquer-la-bulle-des-milliardaires-est-l-ennemi-a-identifier.html