SEULS les masques blancs FF P2 ('bec de canard') protègent l'infecté d'infecter les autres ou un patient non-atteint qui porte ce masque d'être lui-même infecté.
Le FFP3 (masque de chirurgien) est un masque bleu qui protègent l'opéré d'éternuement du chirurgien mais ne protège pas le chirurgien d'être infecté par un patient atteint !
Donc, le FF P2 DEVRAIT ÊTRE OBLIGATOIRE POUR TOUTES & TOUS !
Les lunettes sont faites pour protéger les yeux car, seuls les yeux n'ont pas de globules blancs.
Les sur-blouses protègent le personnels médical des éternuements de patients contaminés car, les postillons sur un vêtement peuvent être transportés jusqu'au visage de la personne ou au contact physique avec d'autres personnes.
Une soignante témoigne: «le gouvernement a quand même menti»
RépondreSupprimer16:06 15.04.2020
Manque de ressources humaines et matérielles, retard dans la formation, informations tronquées, insuffisances du gouvernement… Un personnel soignant testé positif au Covid-19 témoigne de la situation alarmante de l’hôpital public où elle travaille au micro de Sputnik.
En première ligne depuis le début de l’épidémie, le personnel soignant se dévoue corps et âme pour sauver le maximum de malades. Pourtant, malgré ces efforts, près de 16.000 patients ont perdu la vie à ce jour en France. Pour en savoir plus sur le quotidien et les conditions de travail de ces soignants en première ligne, Sputnik a tendu le micro à une kinésithérapeute qui pratique dans une unité de soins longue durée, rattachée à un hôpital public de la région parisienne.
Ce témoignage est d’autant plus important qu’il est actuellement difficile pour les soignants travaillant dans le public de témoigner. Comme l’explique notre source, «nous avons deux collègues de région parisienne qui ont réalisé une vidéo dans laquelle elles mettaient en avant leurs conditions de travail, qui ont été réprimandées et menacées de licenciement pour avoir réalisé celle-ci.» C’est donc sous couvert d’anonymat que cette kinésithérapeute a décidé de partager son témoignage, qui n’est pas tendre à l’égard du gouvernement. Pour elle, les réponses concrètes qu’il a apportées n’ont pas été à la hauteur des enjeux:
«Ils nous ont fait croire qu’il y avait des stocks de masques, alors qu’il n’y en avait pas. Je suis consciente que c’est difficile à prévoir, mais il y a vraiment eu une absence de matériel. Pas que les masques, d’ailleurs… Nous avons eu des lunettes de protection il y a seulement quinze jours, on a manqué de surblouses, aussi. Au début, dans notre service, on nous a dit qu’il ne fallait pas mettre de masque, alors qu’on a énormément de personnes âgées. Je me suis d’ailleurs battue avec mon directeur de service pour avoir plus de masques.
Et le gouvernement a quand même menti, car comme ils n’avaient pas de masques, ils ont fait croire à tout le monde que des masques chirurgicaux suffisaient, alors que nous savions très bien que ce n’était pas le cas. Face à un patient qui a le Covid-19, un masque chirurgical ne protège pas du tout. Surtout que dans notre service, les patients n’ont pas de masques.»
Si des tests ont été réalisés pour les soignants et les malades, en ce qui concerne leur protection au quotidien, c’est une autre histoire, nous explique donc cette professionnelle de santé.
RépondreSupprimerPersonnel non formé, soignants et patients en danger
Et ce, malgré le fait que le Président et son gouvernement apportent à longueur de journée leur soutien moral aux soignants qui sont «au front», en «première ligne» dans cette «guerre sanitaire», mais ils ne mettent pas la même énergie à apporter des solutions pratiques à ces «soldats».
En effet, si cette kinésithérapeute a une formation médicale poussée, ce n’est pas le cas de tout le personnel non-soignant de l’hôpital et encore moins des patients. Le manque de formation sur les gestes barrières dans un hôpital, qui sont différents des gestes barrières dans la vie de tous les jours, a coûté au début de l’épidémie.
«On n’a pas été formés, donc certaines personnes dans l’hôpital faisaient n’importe quoi, surtout les personnes dans l’hôpital qui n’ont pas de formation médicale. Seulement après deux mois d’épidémie, nous avons reçu un hygiéniste à l’hôpital. Avant la venue de cet hygiéniste, on essayait de les guider, mais on ne peut pas être partout. Donc même si une crise de ce type est difficile à gérer, il y a tout de même eu de gros manquements», souligne cette soignante.
Une situation pour le moins problématique qui a longtemps ralenti le bon fonctionnement du service et l’a mis en danger. De plus, le service de la soignante en question a été contaminé dans son entièreté, de nombreux soignants ont dû s’éloigner du service et sont restés confinés le temps qu’ils ne soient plus contagieux.
La santé du personnel mise à rude épreuve
Tous ces manques et retards ont lourdement pesé sur la santé du personnel et des malades de l’hôpital: «Pour ma part, depuis que j’ai été testée positive au coronavirus, je suis restée chez moi une quinzaine de jours et je vais revenir à l’hôpital après trois semaines. Pendant que j’ai été malade, j’ai eu une forte fièvre, mal à la poitrine et une toux persistante. J’ai aussi perdu le goût au bout d’une semaine», explique la soignante.
Alors que la population n’est toujours pas testée en masse, le personnel de l’hôpital a quand même été dépisté, une fois que le gouvernement a pris la mesure de la crise, relate la kinésithérapeute. Lorsqu’une personne contracte le virus, ou qu’il y a une suspicion de contamination, c’est-à-dire qu’elle présente des symptômes liés au Covid-19, l’ensemble des soignants du service en question sont testés. Notre témoin a vécu cette situation dans son service et des mesures ont été prises en conséquence.
«La consigne, c’est une semaine de confinement pour les personnels soignants qui travaillent aux urgences, car l’on a vraiment besoin d’eux. Dans notre service, ce n’est pas la même perspective, car on essaye de protéger au maximum les patients, donc quand on a le Covid-19, on reste chez soi plus longtemps», conclut la kinésithérapeute.
https://fr.sputniknews.com/france/202004151043565688-une-soignante-temoigne-le-gouvernement-a-quand-meme-menti/
Le patron de la SNCF exige que les passagers portent un masque dans le train à partir du 11 mai
RépondreSupprimer16:06 15.04.2020
Tandis que le trafic ferroviaire s'apprête à reprendre après le déconfinement, le directeur de la SNCF Jean-Pierre Farandou a réclamé «le port du masque obligatoire» pour tous les passagers.
Très fortement réduit ces dernières semaines, le trafic ferroviaire devrait reprendre progressivement d'ici l'été après le déconfinement, mais les passagers devront porter des masques, a indiqué mercredi le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou.
«Le "jour d'après" sera progressif. [...] Nous allons avoir une remontée progressive de l'offre» pour accompagner «le déconfinement partiel ou le confinement allégé» à partir du 11 mai, a expliqué M.Farandou lors d'une audition au Sénat.
Distanciation difficile à respecter
Mais cette reprise du trafic doit s'accompagner de nouvelles précautions sanitaires, a-t-il insisté, cité par l'AFP. M.Farandou prône en particulier «le port du masque obligatoire», ce qui selon lui permettrait de lever à bord des règles de distanciation qui «paraissent très, très compliquées à aborder».
En Île-de-France par exemple, «si on nous impose de mettre un mètre ou un mètre et demi entre chaque passager, avec 100% des trains on ne transporte que 20% de ce qu'on transporte d'habitude», a-t-il dit. «Donc ça ne marche pas!»
Pour les TGV, l'équation est aussi économique pour la SNCF, puisque ces trains -non subventionnés- ne sont rentables que si le taux de remplissage atteint 60%. La compagnie ne vend actuellement pas plus d'un siège sur deux.
«Il faut vraiment que le port du masque soit obligatoire pour les transports» publics. «C'est la demande que fait la SNCF», a-t-il insisté.
«La SNCF ne peut pas prendre sur ses épaules la distribution de masques à toute la population française», a toutefois remarqué le dirigeant.
Nettoyage des trains
S'ajouteraient aussi un effort accru sur le nettoyage des trains, davantage de filtrage des passagers et la mise à disposition de gel hydroalcoolique dans les TGV et dans les gares, a noté M.Farandou.
Concernant la reprise du trafic, le patron de la SNCF envisage d'abord pour les grandes lignes «peut-être, par rapport à l'offre actuelle, un doublement de l'offre pendant les premières semaines», ce qui la ferait passer de 6 à 7% à près de 15%.
Plan
On aurait ensuite en juin «un TGV sur deux pendant un mois environ» puis «on espère arriver à 100% des TGV au début de l'été», a-t-il dit. Quant aux TER et aux trains de banlieue d’Île-de-France, on passerait «très vite» de 15 à 25% actuellement à 50%, avant de progresser davantage en fonction de la demande.
Ce plan pourrait évidemment évoluer en fonction des consignes sanitaires, a fortiori si certaines régions devaient être déconfinées après d'autres, a-t-il remarqué.
Détails à suivre
https://fr.sputniknews.com/france/202004151043565846-le-patron-de-la-sncf-exige-que-les-passagers-portent-un-masque-dans-le-train-a-partir-du-11-mai/
(...) «La SNCF ne peut pas prendre sur ses épaules la distribution de masques à toute la population française», a toutefois remarqué le dirigeant. (...)
SupprimerUn billet = 1 masque !
Ils ne donnent que des contredanse !
Panique et absurdité face à la pandémie
RépondreSupprimerle 15 avril 2020
par Thierry Meyssan (Voltaire.net)
Chaque grande épidémie a bouleversé le cours de l’histoire, non pas forcément en anéantissant des populations, mais en provoquant des révoltes et des changements de régimes politiques. Sous l’effet de la panique, nous sommes incapables de réfléchir et nous nous comportons collectivement de manière animale. Bien des sociétés n’ont pas survécu aux décisions stupides qu’elles ont prises alors.
Dans l’Histoire, les grandes épidémies qui anéantirent les économies nationales furent presque toutes suivies de nombreux renversement des exécutifs. Celle de Covid-19 ne devrait pas faire exception à cette règle, indépendamment du nombre de décès qu’elle pourra occasionner. C’est pourquoi, un peu partout dans le monde, les dirigeants politiques prennent des décisions qu’ils savent inutiles, juste pour montrer à leurs concitoyens qu’ils ont fait tout ce qui était en leur pouvoir.
La psychologie sociale montre que la peur n’est pas proportionnelle au danger, mais au fait de ne pouvoir ni l’évaluer, ni le maîtriser.
Lorsque survient une maladie inconnue dont on ne sait combien d’hommes elle tuera, la Science tente de la connaître en doutant de tout. Les responsables politiques, eux, doivent prendre des décisions sans en savoir plus que les chercheurs. Certains s’entourent donc de personnalités ayant fait progresser la Science par le passé, les nomment « experts » de ce qu’il ne connaissent pas encore, et les utilisent pour dire tout le bien qu’ils pensent de leur politique. Pour eux, l’objectif n’est pas de sauver des vies, mais d’agir pour garantir leur Pouvoir.
Confinements
Les médias tentent de convaincre leurs concitoyens que leur propre Exécutif a pris les mêmes mesures que les autres et ne sauraient donc être accusé de laxisme. Ils obscurcissent le débat en affirmant mensongèrement que 3 milliards d’humains sont simultanément confinés pour raison médicale. C’est amalgamer des situations très différentes et mentir sur leurs objectifs.
Le terme « confinement » est utilisé aujourd’hui aussi bien pour désigner :
Une quarantaine. C’est-à-dire l’emprisonnement dans un sas, généralement un bateau, par les douanes, le temps qu’elles soient sûres de ne pas autoriser des sources de maladie d’entrer dans le pays. L’invention de cette mesure revient au duc de Milan, en 1374. C’est ce que le Japon a fait en février avec le paquebot Diamond Princess.
Un cordon sanitaire. C’est l’isolement d’un pays voisin malade ou d’un groupe de population malade afin qu’il ne transmette pas la maladie au reste de la population. Les personnes saines risquent alors d’être infectées par les malades. Au XVIIème siècle, l’Italie et l’Espagne firent isoler par l’armée des groupes de population malades, avec ordre de tirer à vue si des individus tentaient de sortir. C’est que la Chine a fait avec la population du Hubei, remplaçant l’ordre de tirer par des amendes, voire de la prison.
L’enfermement des personnes à risque. C’est la désignation d’une catégorie de citoyens comme potentiellement malade et son interdiction de rencontrer le reste de la population afin qu’elle ne puisse pas être infectée, ni infecter les autres. C’est ce que fait par exemple la France en interdisant de pénétrer dans les institutions pour personnes âgées et aux résidents d’en sortir.
RépondreSupprimerL’assignation de toute une population à domicile sans distinction. Cette mesure n’a pas été requise par des médecins infectiologues, mais par des statisticiens épidémiologistes afin de ne pas saturer les hôpitaux avec un afflux massif de malades dans un temps court. Elle n’a pas de précédent historique.
Seules les mesures visant à empêcher une maladie d’infecter un territoire ont parfois obtenu des résultats, comme en 1919 aux îles Samoa états-uniennes qui se protégèrent efficacement de la grippe espagnole qui ravagea les Samoa néo-zélandaises. Cependant, fermer une frontière n’a plus aucun intérêt lorsque la maladie est déjà là.
Par contre, jamais des mesures visant à ralentir une épidémie ne sont parvenues à faire baisser le taux de mortalité. Pire, en étalant la propagation de la maladie dans le temps, elles rendent la population vulnérable à une deuxième, puis une troisième vague de contamination, jusqu’à mise à disposition massive d’un vaccin lequel nécessite au moins 18 mois de préparation. Tandis que les populations qui refusent d’être assignées à résidence acquièrent progressivement une immunité de groupe qui les protège lors de nouvelles vagues de contamination. Contrairement au discours dominant, les formes actuelles de confinement sont donc susceptibles d’augmenter considérablement à terme le nombre de décès. Dans la mesure où certains pays ne pratiquent pas ces mesures, telles la Corée du Sud, l’Allemagne ou la Suède, il sera possible de comparer les résultats lorsque de nouvelles vagues de contamination surgiront. La politique hyper-précautionneuse des dirigeants politiques risque alors de se retourner contre elle.
Déchéance de la civilisation
Il n’est pas possible de vivre ensemble si nous avons peur les uns des autres. La civilisation ne peut pas être basée sur la défiance. Il n’est donc, par exemple, pas humainement acceptable d’interdire d’accompagner des malades sur leur lit de mort. Nous ne pouvons accepter d’être privés de notre liberté sans raison valable.
Le Convention européenne des Droits de l’homme, du 4 novembre 1950, qui a été signée par tous les États du continent européen du Royaume-Uni à la Russie, autorise « la détention régulière d’une personne susceptible de propager une maladie contagieuse » (article 5e), pas pour gérer les afflux de patients dans les hôpitaux.
Les Traités de l’Union européenne mettent la barre plus haut encore en affirmant que le « droit de circulation des personnes » est constitutif de l’identité de l’UE. De facto, plusieurs États-membres se sont placés hors de cette règle fondamentale, amorçant la désagrégation de l’État supranational.
Certains gouvernements ont choisi de transformer des citoyens en ennemis. Ce faisant, ils privent l’État de légitimité à leur égard puisque celui-ci devient aussi leur ennemi.
En France, le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a déclaré que les gens qui sont aujourd’hui en réanimation étaient ceux qui hier avaient violé les consignes de confinement.
RépondreSupprimerD’ores et déjà dans une autre région du monde, le président des Philippines, Rodrigo Duterte, a ordonné à sa police de « tuer par balles » tout citoyen qui tenterait de s’affranchir des règles de confinement avant de se raviser.
Si chacun a conscience du coût économique exorbitant de la politique actuelle et si chacun découvre son impact psychologique destructeur sur les personnes faibles, peu de gens ont conscience de la facture politique à venir.
Mesures placebo
Ignorant tout de la nouvelle maladie, les autorités médicales et politiques préconisent des mesures placebo pour garder le moral de leurs concitoyens.
Au XVIIème siècle, les médecins de peste portaient une sorte de combinaison en lin, en cuir ou en toile cirée et un masque à nez long qui permettait de respirer au travers de diverses fumigations de menthe, de camphre etc. Inventé par le médecin du roi de France, il se répandit à travers toute l’Europe. Aujourd’hui certains portent également des combinaison de plastique ou de caoutchouc contre le coronavirus avec des masques chirurgicaux. Le port de ces masques a débuté pour le grand public lors de l’épidémie de grippe espagnole, en 1918 au Japon. On redonna confiance à la population en l’accoutrant comme des chirurgiens occidentaux. Effet garanti, reproduit ici et là. Par la suite, le costume de chirurgien s’imposa progressivement en Asie et se répand dans le reste du monde à l’occasion de l’épidémie de 2020 de Covid-19. Cependant, jamais l’efficacité du costume des médecins de peste pas plus que celle des combinaisons et masques chirurgicaux pour tous n’a pu être démontrée contre une épidémie.
Peu importe, en recommandant l’usage du costume de chirurgien pour se prémunir de la maladie les autorités médicales chinoises, puis les dirigeants politiques du monde entier, proposent une solution à un problème que nul ne peut résoudre actuellement. L’essentiel est d’agir, pas de prévenir et encore moins de soigner.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/15/panique-et-absurdite-face-a-la-pandemie/
Un mois après la libération anticipée de 10.000 détenus par Nicole Belloubet: déjà, les premières récidives
RépondreSupprimer18:05 15.04.2020
Par Edouard Chanot
C’est une conséquence inattendue de l’épidémie de Covid-19: le problème de la surpopulation carcérale en France a été résolu par des libérations massives de détenus. Au prix de la sécurité des Français ? Déjà, des crimes et délits commis par certains anciens détenus font remarquer.
Vendredi 10 avril à Saint-Fort-sur-le-Né, un village de Charente. Il est 13h quand une voiture manque un virage serré et termine sa course dans le fossé… Pourtant blessé, le conducteur parvient à s’extraire du véhicule et s’enfuit avant l’arrivée des gendarmes. Le véhicule avait été volé 48 h plus tôt. Les riverains parviendront à orienter les forces de l’ordre et l’équipe cynophile parviendra à retrouver sa piste et à quadriller la zone. L’interpellation est musclée: caché derrière l’église du village, il cherchera à se défendre avec une hachette, avant que le chien ne l’immobilise par une morsure à l’épaule.
L’individu faisait partie des 10.000 détenus libérés de manière anticipée depuis un mois, en raison du Covid-19. à peine sorti de prison, il y retournera donc. Pourtant, du côté du ministère de la Justice, la fierté semble de mise:
«La diminution constatée au 13 avril est de 9.923 détenus depuis le 16 mars», a déclaré Stéphane Bredin, directeur de l’administration pénitentiaire, lors d’une audition par la Commission des lois de l’Assemblée nationale, ce mercredi15 avril.
Nicole Belloubet, Garde des Sceaux, avait justifié cette mesure pour endiguer la propagation du virus dans les prisons, après de nombreuses mutineries à travers la France en raison de la suspension des parloirs. Le taux de surpopulation carcérale s’élèverait désormais à 103%, avec 62.650 détenus au 15 avril, alors qu’il était à 119%, avec plus de 72.400 détenus au 1er mars. Le problème de la surpopulation carcérale serait donc résolu en France, non en raison de la construction de places de prison supplémentaires, comme le gouvernement l’avait promis en 2018 au gré des réformes de la justice, mais du fait du Covid-19.
Qui sont-ils, ces détenus libérés avant l’heure ?
Une décision sanitaire qui se confond toutefois avec le laxisme pénal. «J’ai notamment demandé aux juridictions de différer la mise à exécution des courtes peines d’emprisonnement», avait de surcroît précisé Nicole Belloubet. À la Chancellerie, on affirme que les personnes libérées sont des condamnés en fin de peine. Les ordonnances présentées par la Garde des Sceaux en Conseil des ministres précisent le mécanisme: a priori, il s’agirait de détenus dont il resterait moins de six mois d’incarcération… quel que soit le motif, exception faite des détenus condamnés pour violences intrafamiliales ou des terroristes djihadistes. Mais Le Point a révélé la semaine passée que 130 radicalisés (convertis en prison après leur condamnation, notamment) avaient été libérés depuis un mois.
Sur 10.000 détenus libérés, combien de récidives ?
RépondreSupprimerEt avec eux, de nombreuses petites frappes. Ainsi un homme a-t-il été interpellé hier 14 avril aux Sables-d’Olonne, vers 21h45. C’est un témoin qui a donné l’alerte: fortement alcoolisé, l’individu aurait frappé sa femme en pleine rue la victime aurait reçu un coup de poing et visage et un coup de pied au genou. Ce détenu était sorti de prison l’avant-veille.
Un jeune homme de 20 ans est quant à lui retourné par la case prison, le 1er avril, pour ne pas avoir respecté le confinement. Condamné pour des cambriolages quand il était mineur, il a été contrôlé à trois reprises par la police entre dimanche 12 et mardi 14 avril. C’est à la quatrième verbalisation qu’il a été emmené en garde à vue pour être jugé, ce mercredi. Le tribunal de Saint-Étienne l’a condamné à quatre mois de prison, cinq jours après avoir quitté la maison d’arrêt de La Talaudière. Pas de doute, donc: le plan de libération anticipée de Nicole Belloubet fonctionne à merveille.
Le 5 avril à 4h00 du matin, un autre jeune homme, de 22 ans, agressait une femme médecin à Villeurbanne. Criant et se débattant, le médecin poussa le délinquant à fuir avec le véhicule. Mais la police parvint à le retrouver. C’est à Saint-Étienne que la brigade anti-criminalité a procédé à l’interpellation de l’individu. L’auteur des faits était connu pour 60 mentions au fichier de traitement d’antécédents judiciaires (TAJ). Il était sorti deux semaines auparavant, mais on ignore s’il avait bénéficié du plan de libération anticipée de Nicole Belloubet.
Pour l’avocat Guillaume Jeanson, porte-parole de l’Institut pour la Justice, un tel plan demeure une solution de facilité. Il a tiré la sonnette d’alarme au micro de Sputnik, soulignant un précédent historique pour le moins inquiétant:
«En 1981, la libération anticipée à la faveur d’un décret de grâce et d’amnistie de plus de 5.000 détenus s’est traduite l’année suivante par un bond de 20% du taux de criminalité, qui est passé de 53,5 à 63 pour mille.»
À quel bond faudra-t-il s’attendre, dans la France post-coronavirus ?
https://fr.sputniknews.com/france/202004151043567285-un-mois-apres-la-liberation-anticipee-de-10000-detenus-par-nicole-belloubet-deja-les-premieres/
SupprimerLe gouvernement protège ses amis.
Pourquoi le ministère français de l'Intérieur a-t-il commandé des centaines de drones pendant le confinement ?
RépondreSupprimer18:37 15.04.2020
Le ministère français de l’Intérieur a récemment lancé un appel d’offres pour l’achat de 651 drones pour quelque quatre millions d’euros. Selon BFM TV, l’Intérieur dément tout lien avec le confinement en vigueur en France dans le cadre de la pandémie de coronavirus.
Un appel d’offres pour l’acquisition de 651 drones dont 565 «micro-drones du quotidien», 66 «drones de capacité nationale» et 20 «nano-drones spécialisés» a été lancé par le ministère français de l’Intérieur à la mi-avril, alors que le pays a prolongé le confinement lié à l’épidémie de Covid-19 jusqu’au 11 mai.
L’appel d’offres pour l’achat de trois lots de drones et de passerelles de réception des trames wifi des drones collaboratifs est évalué à 3,795 millions d’euros.
Quels sont ces drones ?
Les micro-drones du quotidien, que le ministère veut acheter pour 1,8 million d’euros, sont des appareils de moins d’un kilogramme, d’une autonomie de 25 minutes minimum, capables de voler à 100 mètres d’altitude et de transporter des caméras thermiques. Ils peuvent transmettre des images en 4K et en UHD à au moins trois kilomètres, précise BFM TV.
Les drones «de capacité nationale» sont plus grands et lourds, ils pèsent jusqu’à huit kilogrammes et peuvent voler à 120 mètres d’altitude en filmant des objets à une distance de 500 mètres avec un zoom. Ces appareils, commandés pour 1,58 million d’euros, peuvent transmettre les images à cinq kilomètres de distance et ont une autonomie de vol de 20 minutes.
Les nano-drones, qui constituent le troisième lot de 175.000 euros, ne pèsent que 50 grammes et peuvent rester en vol pendant 25 minutes, d’après BFM TV.
Aucun lien avec le confinement ?
L’annonce sur cette commande a été largement partagée sur Internet.
«650 drones et pas un seul masque, cherchez l'erreur», «les drones arriveront avant les masques et les respirateurs. On voit que le gouvernement a fait son choix», écrivent notamment des personnes qui commentent dans l’un des groupes de Gilets jaunes sur Facebook.
Le ministère de l’Intérieur a toutefois noté que ces engins sans pilote devaient accomplir des missions pour la gendarmerie nationale, la police et la sécurité civile, tout en insistant sur le fait que cette commande n’a aucun lien avec le confinement actuel.
«Cet appel d'offres est sans lien avec la situation sanitaire actuelle, l’expression de besoins et les spécifications techniques ayant été consolidées au cours du second semestre 2019», a affirmé le ministère de l'Intérieur cité par BFM TV.
https://fr.sputniknews.com/france/202004151043567692-pourquoi-le-ministere-francais-de-linterieur-a-t-il-commande-des-centaines-de-drones-pendant-le/
(...) L’appel d’offres pour l’achat de trois lots de drones et de passerelles de réception des trames wifi des drones collaboratifs est évalué à 3,795 millions d’euros.(...)
Supprimer23 460 396,52 Francs
(...) «650 drones et pas un seul masque, cherchez l'erreur», «les drones arriveront avant les masques et les respirateurs. On voit que le gouvernement a fait son choix», (...)
Drones destinés aux largages d'ampoules de virus ?
L'OMS a empêché les médecins d'exhorter les contrôles aux frontières à arrêter la propagation du COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 15/04/2020 - 12:35
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
L'Organisation mondiale de la santé a empêché les médecins d'exhorter les pays à imposer des contrôles aux frontières pour arrêter la propagation du coronavirus, a-t-il été révélé.
Alors que l'organisation exigeait que les pays n'imposent aucun contrôle aux frontières, elle faisait également campagne contre le profilage des voyageurs internationaux afin d'empêcher la «stigmatisation» du peuple chinois (sentiments blessés).
Nous avons d'abord signalé que l'OMS avait dit aux pays de ne pas imposer d'interdiction de voyager à la fin du mois de janvier, lorsque l'organisation a publié une déclaration appelant à "toute restriction de voyage ou de commerce" tout en exigeant des pays qu'ils ne pratiquent pas de "discrimination" dans leur traitement du coronavirus. épidémie.
Début février, le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a réitéré cela dans une déclaration dans laquelle il a déclaré que les restrictions de voyage «peuvent avoir pour effet d'augmenter la peur et la stigmatisation».
Jusqu'à la fin du mois de février, l'OMS a continué de «déconseiller l'application de restrictions de voyage ou de commerce aux pays connaissant des flambées de COVID-19», malgré la propagation rapide de la maladie.
Il a maintenant été révélé que des experts médicaux qui exhortaient les pays à imposer des contrôles aux frontières ont été réduits au silence.
«[L'OMS] a en fait décidé de ne pas aller de l'avant avec [les recommandations sur l'interdiction de voyager] et de ne pas déclarer d'urgence sanitaire mondiale, mais il y avait quelques voix dissidentes», a rapporté Sky News Australia.
"Donc, les comptes rendus officiels de la réunion indiquent qu'il y avait une divergence de vues, mais ils n'entreront pas dans les détails pour savoir qui essayait de le bloquer. Mais il y avait des médecins qui voulaient interdire les voyages et l'Organisation mondiale de la santé l'a bloqué. »
L'effort visant à faire taire les professionnels de la santé des pays exhortant à interdire les voyages a été fait le 30 janvier lors d'une réunion des bureaucrates de l'OMS et des experts de la santé à Genève, en Suisse.
Une étude du mont Sinaï a révélé que les cas et les décès record de coronavirus à New York étaient «principalement» dus aux voyages en provenance d'Europe, ce qui signifie que de nombreuses vies auraient pu être sauvées si les frontières avaient été fermées plus tôt.
Mais au lieu de cela, l'OMS a insisté sur le fait que le maintien du principe mondialiste du trafic international de personnes était plus important que l'arrêt d'une pandémie mondiale.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/who-blocked-doctors-urging-border-controls-stop-spread-covid-19
Cuomo ordonne aux New Yorkais de porter des masques en public; La France rapporte 1 500 nouveaux décès liés au COVID-19: mises à jour en direct
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 15/04/2020 - 13:14
Résumé:
Les cas confirmés de COVID-19 dans le monde dépassent les 2 millions
Le bilan des morts approche 130 k
Singapour signale un nouveau bond record dans de nouveaux cas
L'Idaho prolonge l'ordre de séjour à domicile jusqu'au 30 avril
Le Royaume-Uni communique des données quotidiennes
Le maire de New York dit que la normalité pourrait ne pas revenir avant septembre
La Lombardie veut rouvrir le 4 mai
La France fait état de 1 483 décès, le plus haut saut d'une journée à ce jour
Cuomo dit que NY commencera les tests d'anticorps cette semaine
NY exigera que les gens portent des masques dans les transports en commun
Le Trésor imprimera la signature de Trump sur les chèques de relance
Les animaux sauvages reviennent dans les rues du Pays de Galles
La Corée du Sud organise des élections législatives
La Commission européenne publie des "orientations" pour les États de l'UE prévoyant une réouverture
La Banque mondiale et le FMI tiennent des réunions virtuelles
L'Espagne enregistre le plus grand bond du nombre de nouveaux cas en près d'une semaine
L'Iran signale le plus petit nombre de nouveaux cas en un mois
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Mise à jour (1330ET): Alors que le Royaume-Uni, l'Italie et l'Espagne ont signalé un ralentissement du nombre de nouveaux cas et / ou de décès, la France vient de signaler 1483 décès au cours de la dernière journée, battant ainsi le dernier record pour devenir le bilan le plus élevé d'une journée à ce jour.
Le gouverneur de l'Idaho, quant à lui, a prolongé l'ordre de séjour à domicile de l'État jusqu'au 30 avril.
Pendant ce temps, la Lombardie, la région du nord de l'Italie qui a été l'un des premiers foyers de l'épidémie, demande au gouvernement de Rome si les habitants peuvent commencer la réouverture le 4 mai. Certaines parties de la région étaient effectivement fermées une semaine ou deux avant le reste de la pays, mais le gouvernement s'est rendu compte après avoir officialisé qu'un verrouillage ne fonctionnerait que s'il était appliqué à l'ensemble du pays - un instinct précieux au début.
Un ralentissement des nouveaux cas et des décès a été plus dramatique en Lombardie, qui est plus en retrait que dans le reste du pays.
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Mise à jour (1250ET): les nouveaux cas ont de nouveau diminué mercredi, l'Italie ayant signalé 2667 nouveaux cas de coronavirus et 578 nouveaux décès, contre 2972 nouveaux cas et 602 décès un jour plus tôt. Le taux de mercredi était le plus bas depuis le 13 mars. Le nombre de cas confirmés en Italie s'élève désormais à 165 155, tandis que les décès ont atteint 21 645, les États-Unis creusant l'écart entre la première et la deuxième place des décès dans tout le pays.
RépondreSupprimerMême si l'opposition en Italie (comme l'opposition en Espagne) essaie d'accuser le gouvernement de sous-comptabilisation, les chiffres ont au moins renouvelé la confiance dans le fait que le verrouillage pourrait bientôt prendre fin, car l'Italie a permis à d'autres entreprises de rouvrir cette semaine.
Pendant ce temps, dans l'État de New York, le gouverneur Andrew Cuomo a commencé son briefing quotidien. Pour le deuxième jour consécutif, l'État a signalé une baisse du nombre total d'hospitalisations, ce qui signifie que davantage de lits s'ouvrent.
Maintenant que le besoin de ventilateurs de l'État n'est plus un problème majeur, Cuomo a déclaré que son prochain objectif était d'acquérir des tests d'anticorps pour déterminer qui avait été exposé au virus et qui avait développé avec succès des anticorps - et était donc vraisemblablement immunisé, bien que certains qui ont été infectés aient maintenant montré les anticorps que l'on s'attendrait à ce qu'ils soient bien, ce qui signifie qu'ils pourraient être à risque de réinfection.
De plus, NY enverra des ventilateurs dans d'autres États - 50 au Maryland et 100 au Michigan - en signe de solidarité.
Cuomo a déclaré qu'il espérait tester tous les agents de santé de première ligne dans l'État. Il aimerait également intensifier les efforts de test et de traçage. Mais il y a un problème majeur: il a besoin de 500 milliards de dollars de plus du gouvernement fédéral pour que tout cela se produise. L'État espère exécuter 2 000 de ces tests d'anticorps par jour.
"Pour faire les tests, vous avez besoin de matériel de test. Vous avez besoin d'écouvillons, vous avez besoin de flacons", a déclaré Cuomo.
Bien qu'il n'ait pas fourni de détails, Cuomo a déclaré que la réouverture progressivement progressive sera déterminée par deux facteurs: à quel point une industrie est essentielle et quel est le risque d'infection pour chaque industrie. Les industries les plus essentielles et les moins risquées seront ouvertes en premier, a-t-il déclaré.
Le gouverneur a également déclaré qu'il signerait un décret exécutif exigeant que les personnes qui sont en public, en particulier lorsque la distanciation sociale n'est pas possible - c'est-à-dire comme dans les transports en commun comme le métro - doivent porter un masque ou un autre couvre-visage. Interrogé sur l'ordonnance, Cuomo a déclaré qu'il n'était pas certain de l'application, car il appartiendrait aux responsables locaux, mais il espérait que les New Yorkais prendraient les choses en main et inciteraient `` poliment '' les gens ne respectant pas la règle à trouver un couvrant.
Selon les données partagées par Cuomo, 707 NYers sont morts dans les hôpitaux et 45 dans les maisons de repos au cours des dernières 24 heures. Dans l'ensemble, 11 586 décès par virus ont été signalés dans l'État depuis le début de l'épidémie. Mardi, plus de 2 200 personnes ont été hospitalisées avec COVID-19 dans tout l'État.
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Mise à jour (1030ET): Après plusieurs faux rapports plus tôt cette semaine, le nombre mondial de cas de coronavirus a finalement dépassé la barre des 2 millions, selon Johns Hopkins, tandis que potentiellement des centaines de milliers de cas - peut-être même un million ou plus - restent non dénombrés, la santé avertissent les autorités.
RépondreSupprimerLa nouvelle survient alors que Singapour rapporte son plus grand nombre de nouveaux cas par jour, avec 447 enregistrés au cours de la dernière journée, dont 404 infections impliquant des travailleurs étrangers séjournant dans des dortoirs de travailleurs étrangers qui sont devenus les foyers de la deuxième vague de la ville-état. Plus tôt ce mois-ci, le gouvernement autoritaire de Singapour a imposé un autre verrouillage avec des sanctions strictes pour ceux qui le violent. Pourtant, les nouveaux cas ont augmenté, avec un total de 3 699. Hier, les autorités ont signalé 386 nouveaux cas, ce qui représente le total quotidien le plus élevé à ce jour - jusqu'à aujourd'hui.
Le NYT a publié hier une histoire mettant en évidence la situation à Singapour - qui a été saluée au début pour sa réponse, qui comprenait un suivi rapide des contacts pour les isoler - et avertissant que cela pourrait être un récit édifiant pour ceux aux États-Unis - y compris le président - qui poussent à rouvrir l’économie prématurément.
Les autorités de Singapour contrôlent et mettent en quarantaine tous les voyageurs en provenance de l'extérieur du pays depuis le début de la pandémie. Leur recherche de contacts est sans égal. Chaque fois qu'ils identifient une infection, ils s'engagent à en déterminer l'origine en deux heures. Ils publient en ligne où les personnes infectées identifiées travaillent, vivent et ont passé du temps afin d'identifier les contacts potentiels. Ils imposent la mise en quarantaine et l'isolement de ces contacts, avec des accusations criminelles pour ceux qui violent les ordres.
Et pourtant, au cours de la dernière semaine, ils ont mis tout le pays en lock-out. Tous les travailleurs migrants sont confinés dans leurs locaux pendant au moins deux semaines. Les citoyens peuvent quitter leur domicile, mais uniquement pour acheter de la nourriture ou des médicaments, ou pour faire de l'exercice. Quiconque enfreint les règles, y compris passer du temps avec quelqu'un qui ne fait pas partie de son ménage, peut être emprisonné, condamné à une amende équivalente à 7000 $ US, ou les deux.
Ils ont fait tout cela, et le virus se propage toujours? Eh bien, oui - mais gardez à l'esprit: le nombre total de cas est toujours inférieur à 4 000, et c'est depuis le début de l'épidémie en janvier.
Pendant ce temps, l'Iran a signalé mercredi son plus faible nombre de nouveaux décès dus à des coronavirus depuis le 13 mars, avec 1 512 nouveaux cas et 94 nouveaux décès au cours des dernières 24 heures, portant son total à 76 389 cas et 4 777 décès, deux chiffres probablement bien en deçà des vrais chiffres.
De nouvelles recherches ont été publiées au Royaume-Uni, avertissant que les mesures de distanciation sociale pourraient devoir rester en place jusqu'en 2022.
Pendant ce temps, le FMI et la Banque mondiale tiennent leurs conférences annuelles mercredi. Bien que les réunions d'une journée se tiennent généralement à Washington DC et représentent un événement important du calendrier du printemps, pour la première fois, elles se tiennent virtuellement.
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Mise à jour (0935ET): Après une semaine où les décès liés au COVID-19 au Royaume-Uni se sont fortement accélérés, le ministère de la Santé et des Affaires sociales a signalé mercredi un ralentissement des décès et des nouveaux cas. Le Royaume-Uni a signalé 4 605 nouveaux cas de coronavirus et 761 nouveaux décès, ce qui porte le total national à 98 476 cas et 12 868 décès. Les décès ont augmenté plus haut qu'il y a un jour, mais sont restés en dessous de leurs sommets quotidiens totaux de la semaine dernière.
RépondreSupprimerLa nouvelle intervient après que le Département a rapporté qu'un décès sur cinq enregistré la semaine dernière en Angleterre et au Pays de Galles a été attribué à COVID-19, un signe que les décès sont en augmentation en raison de l'épidémie, selon la BBC.
Le maire de New York, Bill de Blasio, qui a retardé le paiement de ses impôts 2019 en raison de l'épidémie, comme l'a rapporté le Daily News mercredi, a déclaré plus tôt que les rassemblements de masse à New York pourraient ne pas revenir avant septembre, ce qui signifie aucun concert, spectacle ou quoi que ce soit pendant tout l'été alors que le monde combat le nouveau coronavirus.
De Blasio, qui, il y a à peine un mois, a rejeté le virus comme une préoccupation mineure, a déclaré que la ville allait "prendre cela lentement et avec soin pour s'assurer que nous obtenons les bons résultats". Cela signifie également que les célèbres plages de New York resteront probablement fermées.
Même si le maire voulait rouvrir les plages, il ne le serait probablement pas en raison d'une pénurie de sauveteurs, rapporte le Daily Mail.
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Si le roman coronavirus n'avait jamais échappé à Wuhan, la plupart des Américains se bousculeraient pour terminer la production de leurs déclarations de revenus mercredi, puisque c'est le 15 avril - alias jour des impôts aux États-Unis. Mais comme les délais de dépôt et de paiement ont été retardés, la plupart des Américains n'y parviendront probablement pas avant quelques mois.
Mais cela ne signifie pas que l'IRS a été entièrement retiré de la conversation publique. Dans une décision qui met en colère pratiquement tous ses opposants politiques et même bon nombre de ses partisans, qui se hérissent à l'idée d'une maison blanche retardant délibérément les chèques les plus nécessaires, le Washington Post a laissé tomber un rapport explosif hier soir quand il a révélé que le Trésor Le département a ordonné que le nom du président Trump soit imprimé sur les chèques de relance alors que l'IRS se précipite pour envoyer des chèques à tous les Américains qui n'ont pas encore activé le dépôt direct.
Ce sera la première fois qu'un nom de président sera imprimé sur des chèques envoyés par l'IRS, et des responsables ont contesté les allégations selon lesquelles les paiements à 70 millions d'Américains seraient retardés afin que le nom de Trump puisse être imprimé sur les chèques. Trump avait poussé Steven Mnuchin à remplacer la signature de Trump sur le chèque, mais il y avait des obstacles juridiques. Au lieu de cela, le nom du président apparaîtra sur le côté gauche du chèque sous un titre qui se lit "Chèque de stimulation économique". La Maison Blanche a affirmé que ce lot de chèques serait libéré plus rapidement que les chèques de relance ordonnés par le président George W. Bush après la crise financière.
Le secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin, a déclaré que 80 millions d'Américains auront en main leurs chèques de relance d'ici mercredi prochain.
RépondreSupprimerEn Europe, alors que l'Espagne et l'Italie entament le processus de renvoi d'un plus grand nombre de travailleurs, la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, a déclaré que les pays de l'UE devraient utiliser une "approche graduelle sur mesure" pour lever les restrictions de verrouillage. Les pays de l'UE doivent s'assurer qu'ils remplissent trois conditions préalables importantes avant de pouvoir rouvrir:
Diminution significative de la propagation du coronavirus
Capacité suffisante du système de santé
Capacité de surveillance et de contrôle adéquate
Pendant ce temps, l'Espagne, qui a le plus grand nombre de décès par habitant en Europe, a signalé la plus forte augmentation du nombre de nouveaux cas de coronavirus en six jours. Les plus de 5 000 nouveaux cas ont porté le total confirmé de l'Espagne à 177 633, selon le ministère de la Santé. Le nombre de morts a augmenté de 523 pour atteindre 18 579, contre 637 mardi.
Alors que le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez vante des données montrant que la propagation du virus a ralenti grâce à l'éloignement social et aux politiques de verrouillage mises en place par son gouvernement, des membres de l'opposition ont confronté son gouvernement lors d'un échange parlementaire mercredi où ils ont accusé Sanchez de sous-estimer le nombre des décès liés au virus à travers l'Espagne.
"Personne ne vous fait plus confiance", s'est exclamé un membre de l'opposition. En effet, l'Espagne, comme de nombreux autres pays, ne compte que les patients dont le test est positif parmi les chiffres officiels. Hier, après des critiques publiées dans le NYT, le maire de New York, Bill de Blasio, a ordonné aux responsables de la santé de compter tous les décès soupçonnés d'être causés par COVID-19, même s'ils n'avaient pas été officiellement diagnostiqués.
Cela a provoqué une augmentation de près de 4000 km du nombre officiel de morts à New York, entraînant le total de la ville au nord de 10 000 et le total des victimes américaines au nord de 25 000 (par JHU, les États-Unis avaient 26 059 décès confirmés mercredi matin).
Et alors que les critiques de Trump dans la presse continuent de marteler la réponse de l'administration au virus (le NYT a suivi le gros morceau de WaPo de la semaine dernière avec l'un des siens cette semaine pour maintenir la conversation), ignorant le fait que peu de gouvernements étaient vraiment préparé pour le virus, et que l'administration Trump a fait plus pendant les premiers jours de l'épidémie pour endiguer la propagation que la plupart de ses pairs à l'étranger, le FT rapporte que la Commission européenne organise une "campagne de dons" cette semaine pour essayer d'augmenter des fonds pour la recherche sur les virus.
Après avoir reconnu il y a quelques semaines qu'elle avait négligé de compter les patients `` asymptomatiques '' dans le total de ses patients atteints de coronavirus, la Chine a publié pour la première fois un nombre cumulé de cas de coronavirus asymptomatiques. Le nombre? 6 764 - ce qui semble instinctivement bien inférieur au nombre total de cas qui ont été exclus du décompte national chinois.
Le gouvernement allemand devrait prolonger ses restrictions sur le COVID-19 jusqu'au 3 mai, selon Handelsblatt, bien que les détails du plan du ministère de l'Intérieur pour rouvrir l'économie allemande aient déjà été divulgués.
RépondreSupprimerAlors que le nombre de cas confirmés au Japon se rapproche de 10 000, le gouvernement a publié un avertissement retentissant affirmant que quelque 850 000 Japonais pourraient être gravement malades du coronavirus, avec près de la moitié d'entre eux risquant de mourir si des mesures plus dures ne sont pas prises par le Le gouvernement japonais - qui a déjà déclaré l'état d'urgence - pour mettre en œuvre davantage d'exigences de distanciation sociale.
Les Sud-Coréens se sont rendus aux urnes mercredi après que le gouvernement a décidé de ne pas retarder les élections législatives prévues pour mercredi.
Avant de partir, avec la moitié de la population mondiale confrontée à un certain niveau de verrouillage ou de restrictions de mouvement, les animaux commencent à s'aventurer dans un territoire humain abandonné. Dans certaines régions du Pays de Galles, des chèvres peuvent être vues dans les rues de la ville.
"Les chèvres adorent ça", a déclaré Andrew Stuart, un habitant de Llandudno, au Pays de Galles ... "Ils reprennent la ville. C'est maintenant la leur. Rien ne les arrête", a-t-il déclaré.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/critics-outraged-trump-prints-name-stimulus-checks-global-coronavirus-cases-cusp-2
16 avions charter envoyés pour ramener des ressortissants chinois de pays touchés par le virus
RépondreSupprimerXinhua, 15 avril 2020
La Chine a envoyé des avions charters pour ramener 2 744 Chinois bloqués dans les pays touchés par le coronavirus, ont annoncé mercredi les principales autorités de l'aviation civile du pays.
Selon la Civil Aviation Administration of China, seize avions chinois ont volé en Iran, en Italie, au Royaume-Uni, aux États-Unis et en Espagne du 4 mars au 12 avril, ramenant chez eux des Chinois, dont 1 449 étudiants qui étudiaient à l'étranger.
Le nombre quotidien de passagers entrants dans les aéroports de Chine s'est stabilisé entre 2 000 et 3 000 au cours des 16 derniers jours, car il n'y avait pas plus de 20 vols entrants chaque jour de la période.
La Chine a intensifié ses mesures pour se prémunir contre les infections à coronavirus importées, réduisant le nombre de vols internationaux et exigeant que tous les vols internationaux à destination de Pékin soient d'abord détournés vers d'autres aéroports.
http://www.china.org.cn/china/2020-04/15/content_75935647.htm
L'administration Abe fait face à une hésitation pour compenser les entreprises touchées par le virus
RépondreSupprimerPAR SATOSHI SUGIYAMA
Les gouverneurs régionaux ont réprimandé le gouvernement sur son hésitation à prendre des mesures financières audacieuses, ne laissant à de nombreux propriétaires d'entreprises d'autre choix que de rester ouverts au milieu de la pandémie.
Le nombre de décès dus au virus au Japon pourrait dépasser 420 000 sans distanciation sociale
Le nombre de décès dus au virus au Japon pourrait dépasser 420 000 sans distanciation sociale
Le groupe de travail gouvernemental qui suit les infections collectives du coronavirus a souligné mercredi la nécessité de réduire les contacts interhumains pour contenir l'épidémie, affirmant que 420 000 personnes au Japon pourraient mourir en l'absence de mesures préventives. L'équipe du ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être a pour mission ...
Le nombre de décès liés au coronavirus au Japon a atteint un record en une seule journée alors que le nombre total d'infections dépasse 8 000
Le nombre de décès liés au coronavirus au Japon a atteint un record en une seule journée alors que le nombre total d'infections dépasse 8 000
Le Japon a enregistré un record d'une seule journée de 19 décès liés au virus en date de mardi, alors que le nombre total d'infections confirmées a dépassé les 8 000, après 477 tests positifs.
https://www.japantimes.co.jp/news/
France : près de 10 000 détenus en moins dans les prisons depuis un mois
RépondreSupprimer15 avr. 2020, 11:52 -
Le directeur de l'Administration pénitentiaire a annoncé que le nombre de détenus dans les prisons françaises avait diminué de près de 10 000 en un mois, dans le contexte de crise du Covid-19. «La diminution constatée [dans les prisons françaises] au 13 avril est de 9 923 détenus depuis le 16 mars [...] pour atteindre 62 650 détenus», a déclaré le 14 avril le directeur de l'Administration pénitentiaire Stéphane Bredin, auditionné par la commission des lois de l'Assemblée nationale.
Cette forte baisse, qui vise à éviter une crise sanitaire et sécuritaire dans les prisons, est notamment due à un ralentissement de l'activité judiciaire et à des libérations anticipées. Lire aussi Covid-19 : le contrôleur des prisons demande au gouvernement de réduire la population carcérale «L'impact [de la crise] sur nos détentions est très fort», a souligné le directeur.
La densité carcérale «avoisine désormais les 103%». Dans les maisons d'arrêt, où sont incarcérés les prévenus et les courtes peines, et où la surpopulation est la plus lourde, la densité est tombée à 116%. Le taux de surpopulation y a «diminué de 22% depuis le début de la crise».
Le 1er mars, les prisons françaises, confrontées depuis des années à une surpopulation chronique qui a valu à la France une condamnation de la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) en janvier, comptaient 72 400 détenus, soit un taux d'occupation de 119%. Le directeur de l'administration pénitentiaire a estimé que le taux d'occupation descendrait «sans doute» à 100% dans le courant de la semaine prochaine.
404 sorties de détenus par jour en moyenne Le 8 avril, la ministre de la Justice Nicole Belloubet avait fait état d'environ 8 000 détenus en moins dans les 188 prisons françaises. Cette diminution inédite est due à «un double phénomène», a rappelé Stéphane Bredin : «L'augmentation des sorties et le fort tarissement des entrées sous l'effet du ralentissement de l'activité de juridictions et de la promotion des alternatives à la détention». Ainsi, le nombre d'écrous par jour a «fortement baissé», à 80 en moyenne contre 215 avant la mi-mars.
En parallèle, le nombre de sorties de détenus est passé de 209 par jour à 404 en moyenne. Une ordonnance prise dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire facilite notamment les libérations anticipées des détenus qui sont à deux mois de leur fin de peine. Parmi les autres mesures pour désengorger les prisons, figurent des suspensions de peines pour raison médicale et des remises en liberté pour des détenus en détention provisoire. Une circulaire, mi-mars, demandait par ailleurs de différer l'exécution des courtes peines d'emprisonnement et de réserver la détention provisoire aux faits les plus graves.
https://francais.rt.com/france/74098-coronavirus-france-pres-10-000-detenus-en-moins-un-mois
La difficile sortie du "camp global de rétention" Covid : les scénarios du déconfinement
RépondreSupprimermercredi 15 avril 2020
4 milliards de personnes confinées dans le monde, cela signifie 4 milliards de personnes privées de liberté, assignées à domicile, depuis plusieurs semaines. Simplement parce que ce sont des êtres humains. Aucun système totalitaire par le passé n'est parvenu à un tel résultat de manière aussi efficace par le passé que notre système "libéral". Sans que des réactions de résistance ne se fassent massivement voir, car "c'est pour leur bien", car nous vivons dans des pays "libres". Donc ça ne se discute pas. Donc l'on ne discute plus, l'on obéit. Puisque c'est pour notre bien et qu'il faut être "responsable". Pour ne pas être coupable. Le danger présenté par le coronavirus doit justifier, à l'échelle de la planète, des méthodes ressortant de la logique des systèmes totalitaires, dans le sens direct du terme, à savoir un contrôle total de l'individu, mental et physique.
Mais comme cette situation ne peut durer éternellement sans réellement basculer dans un système totalitaire dur, ce que mythe libéral ne peut se permettre puisqu'il s'est construit justement en opposition à un système étatique fort, il va bien falloir ouvrir les portes du camp de rétention global. Ce que Macron a tenté de faire dans son discours du 13 avril, annoncer une date, la date, le 11 mai, pour l'ouverture des portes et un retour à la normale. Immédiatement, l'incertitude et le relativisme ont été introduits par les ministres et cette étrange valse à trois temps de la peur/espoir/restriction a pu reprendre.
Le comment et le pourquoi du déconfinement sont au centre de nos préoccupations. Car, finalement, nous serons libérés parce que le virus sera vaincu dans quelques jours ? L'on peut en douter ... Qu'est-ce qui changera, réellement, en plus du discours ? Autrement dit, qui de notre société ou du Covid sera vaincu? In fine, ça dépendra de nous. De chacun d'entre nous. De notre capacité individuelle et collective à l'obéissance.
Du confinement à la liberté restreinte et provisoire
Des portes commencent à s'ouvrir dans plusieurs pays d'Europe. L'Autriche, très à la pointe sur le déconfinement, rouvre les petits commerces et les coiffeurs, les parcs avec un contrôle. Ainsi, je cite l'article :
"Les Autrichiens retrouvent ce mardi une liberté restreinte et provisoire."
C'est bien un langage appartenant au registre pénal qui est employé. Et qui est appliqué à des personnes n'ayant commis aucune infraction. Qui correspond à la situation d'environ 4 milliards d'êtres humains de par le monde.
En tout cas, l'interrogation sur le déconfinement touche toute l'Europe. L'Espagne commence à alléger le régime, l'activité reprend, mais avec masques et distances de sécurité. Au Danemark, le Gouvernement veut accélérer le déconfinement et rouvrir les écoles cette semaine. La Suède résiste toujours à la tentation totalitaire, malgré des attaques médiatiques assez fortes. La Russie n'en parle pas, en revanche dans le pays certaines grandes industries sont rouvertes, même si les mesures deviennent de plus en plus contraignantes pour la population et les PME (notamment dans la capitale) et que l'enseignement à distance continue, même s'il est inefficace (seulement 25% des élèves ont accès à un enseignement depuis qu'il est à distance, selon le ministre russe de l'Enseignement), ce qui finalement est une bonne chose - pour que l'on rouvre les salles de classe.
Il s'agit bien à chaque fois d'un déconfinement par étapes, comme recommandé par le Think tank américain dont nous avions parlé (relire ici) pour ne surtout pas donner cette bouffée d'oxygène pur aux populations, qui seraient trop rapidement grisées par un excès soudain de liberté et pourraient se réveiller. A chaque fois, en revanche, des mesures liberticides persistantes sont prévues, à chaque fois l'incertitude est posée quant aux délais, à chaque fois les populations sont prises en otages et considérées comme seules responsables des mesures adoptées : toute résistance, c'est-à-dire toute violation du régime d'assignation à domicile étant présentée comme un risque d'allongement des mesures contraignantes. Finalement, pour appeler les choses par leur nom, c'est du chantage à la soumission.
RépondreSupprimerLa réaction de la France était très attendue, car avec Macron elle est devenue le leader de l'idéologie néolibérale en Europe. Ce qui ne veut pas dire qu'elle soit le leader de l'Europe. En plus, les mouvements globalistes sont très bien implantés, et dans les structures de pouvoir et dans la société civile. Le discours de Macron, et les réactions qu'il a entraînées, sont en ce sens très intéressants.
La France, comme les autres pays européens, se dirige vers une levée des sanctions contre les populations, mais de manière aléatoire, incertaine et dans la durée. La gouvernance par l'incertitude est bien la marque de cette époque, ce qui va à l'encontre de la logique moderne, par exemple du principe de prévoyance en droit, selon lequel chaque personne doit savoir à l'avance ce qui est autorisé et interdit. Ce qui devient objectivement difficile.
Sortie le 11 mai, une nouvelle époque s'offre à vous mes amis. Enfin, on verra, dixit Castaner, ce n'est pas la date du déconfinement, mais du confinement certain. Donc une totale incertitude psychologique.
Condamnation des mesures restrictives de liberté supplémentaires adoptées par les maires dans certaines villes. Mais pour le ministre de l'Intérieur, parfois, ce n'est pas si mal, enfin il faut voir. Même si c'est illégal, c'est parfois justifié ... Donc aucune certitude juridique.
Mais un point est particulièrement révélateur, la question de la réouverture des écoles. En principe, dans tout système idéologique, les écoles jouent un rôle fondamental, elles permettent le conditionnement idéologique de la population dès le plus jeune âge. Si un doute persiste, il suffit de jeter un oeil sur l'évolution des programmes d'histoire, sur l'introduction des nouvelles "valeurs", notamment concernant le comportement sexuel, le rôle des hommes et des femmes, etc.
Or, l'un des premiers effets du coronavirus, qui touche très peu les jeunes enfants à la différence de la grippe, a été de faire passer l'enseignement scolaire et universitaire à distance. Les pays ont, en ce sens, suivi les recommandations de l'UNESCO, de l'OCDE et de la Banque mondiale. Ainsi, début avril, 188 Etats ont annulé les cours, la distanciation de l'enseignement concernait alors 91,3% des élèves et étudiants dans le monde, soit environ 1,58 milliard de personnes. C'est bien ça le monde global.
Pourtant, cette mesure a un double effet pour le système idéologique dominant : coupés des sources "d'endoctrinement" et remis entre les mains de la famille, ce sont les liens naturels qui se reconstituent. C'est pourquoi, alors que le déconfinement est envisagé, le retour des enfants dans les écoles est une des premières mesures évoquées. Evidemment, l'on parlera d'égalité des chances. Mais la réaction, en France, des syndicats est significative :
au secours, restez chez vous. Le processus d'intoxication de la guerre psychologique produit des effets dans le temps (voir notre texte sur les éléments de guerre psychologique dans le cas du coronavirus) et l'illogisme de la situation, sur le plan sanitaire, si danger il y a, apparaît clairement :
RépondreSupprimer“C’est tout sauf sérieux de rouvrir les écoles le 11 mai car on nous dit que tous les lieux publics sont fermés, les cinémas, les salles de spectacle, mais pas les écoles, alors que l’on sait que c’est un lieu de haute transmission, de haute contamination, il y a un manque de précaution, ça paraît être en contradiction totale avec le reste”, a réagi Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire, interrogée par l’AFP.
C'est bien ici une impasse de la crise socio-politique du coronavirus : soit le virus présente un danger d'extinction de l'humanité et les mesures adoptées sont, en fait, trop légères, soit le virus ne présente pas un danger d'extinction de l'humanité et les mesures adoptées sont trop fortes. Dans tous les cas, les mesures sans précédent, qui sont prises aujourd'hui de par le monde, sont ne sont pas proportionnelles. Dans tous les cas, elles provoquent une incompréhension.
Qui du virus ou de notre société aura été vaincu ?
Et la question que pose la mise en route du déconfinement, même partiel, même incertain, même "sous menace" est de savoir qui, du virus ou de notre société, aura in fine été vaincu.
Autrement dit, le déconfinement signifie-t-il que nous ayons, "nous monde global", vaincu le Covid, donc qu'il disparaîtra de nos vies ? Non, personne ne le prétend. Comme personne ne prétend que, désormais, toutes les maladies sont vaincues. Donc, le risque sanitaire existera toujours. Donc, théoriquement (?), si les populations restent bien sages, elles pourront périodiquement, lorsque cela sera nécessaire, être replacées en assignation à domicile. L'expérience, techniquement, a objectivment réussi, les Etats sont extrêmement dociles et finalement aucune résistance systémique n'a eu lieu. 4 milliards de personnes consignées à domicile, c'est une victoire qu'aucun système totalitaire par le passé n'a pu envier au système libéral.
Mais cela signifie-t-il pour autant que notre monde va fondamentalement changer ? Il y a peu de chances. Même si cela aussi va dépendre de nous. Il y a bien des tentatives pour changer la société à différents niveau. Sur le plan individuel, les gens vont-ils réellement prendre l'habitude des masques et des distances sociales ? Dans ce cas, adieu l'apéro et tout un mode de vie. Les utopistes totalitaires ont toujours eu ces envies de couper les relations humaines, pour couper l'humain en l'homme, mais ces tentatives n'ont jamais été fructueuses sur le long terme. Sur le plan étatique, le mythe de l'Etat-numérique, qui est la voie programmée de la disparition de l'Etat, n'est pas une grande réussite.
La justice dysfonctionne de manière systématique quand elle ne fonctionne qu'à distance, les administrations sont encore plus déstabilisées, le service public scolaire n'est plus apte à remplir ses fonctions (principale/enseignement et secondaire/endoctrinement), etc. Sur le plan social, il y a bien une tentation de faire entrer dans la vie quotidienne, certains fantasmes. Par exemple, les routes étant vidées de voitures, l'on peut voir ressurgir des tréfonds de l'histoire la politique du "grand bond en avant" ... pour les voitures sans pilotes. Tant qu'il n'y a pas de voitures ... Parce qu'il n'y a pas d'investissement public plus urgent aujourd'hui face à la crise socio-économique grandissante et désormais inévitable (voir notre texte sur la situation sociale). Les fantasmes ont la furieuse tendance à se fracasser sur le mur de la réalité.
Les mythes ont en général beaucoup de difficultés à s'implanter dans la réalité. Par exemple, imaginer qu'un contrôle total des déplacements de la population va permettre de réduire le risque sanitaire est absurde. Tel est le cas à Moscou, où un système de laissez-passer pour les transports est entré en vigueur aujourd'hui. Selon les médias russes, l'on voit des embouteillages monstres sur les grandes artères entrant dans la ville et à l'intérieur, allant jusqu'à 10 km de voitures entassées, et des attroupements compacts à l'entrée des stations de métro, où les gens, coincés les uns sur les autres, attendent jusqu'à 40 minutes.
RépondreSupprimerSur le plan sanitaire, a priori, l'on ne peut faire mieux ... Le maire de la capitale a simplement décidé d'un contrôle total, systématique de toute personne qui se déplace autrement qu'à pied. Ainsi, les fameuses "distances sociales" sont impossibles, les médecins arrivent en retard, etc.
Le plus grand risque dans la situation que nous vivons ... vient de nous. De notre capacité étonnante à nous adapter à tout. De notre capacité étonnante à accepter, relativiser, tant que cela ne nous touche pas de trop prêt. Et encore, l'argument avancé, même s'il est faussé, est imparable : l'on veut votre bien. Actuellement, en tout cas en France, lorsque l'on voit la réaction de l'opposition, hystérique et jusqu'auboutiste, le salue n'est manifestement pas à attendre de ce côté-là. La seule manière dont ce monde global à tendance totalitaire peut gagner, c'est avec notre aide.
Lorsque non seulement sous acceptons de jouer un jeu dont l'on ne connaît pas les règles (sans même parler de les maîtriser), mais lorsque, pris dans la tourmente de la peur, l'on demande des mesures de contrôle, des mesures totales, incontournables, soi-disant pour se protéger - éternellement ? Lorsque finalement la peur l'emporte, la peur de sortir, la peur de vivre encore plus forte que la peur de mourir. Donc, lorsque l'on abandonne toute rationalité.
Tout dépend de nous. Personne ne peut nous libérer de notre prison mentale.
https://russiepolitics.blogspot.com/2020/04/la-difficile-sortie-du-camp-global-de.html#more
Les 'Dirigeants' de pays (monarchies, républiques ou empires) ne dirigent pas leur pays, ce sont les familles (mafia mondiale) qui gèrent chacune leur continent. Les 'Dirigeants' de pays doivent s'y tenir et obéir.
SupprimerNous avons tous eu une nouvelle preuve le 11 Septembre 2001 où TOUTES les télés, radios, journaux du MONDE ENTIER ont reçu le DEVOIR de se plier aux ordres supérieurs d'arrêter tous programmes et de diffuser en direct les 'Victoires Holographique 2001' !
Répétition nouvelle en 2020 avec cette fois un virus (Ben Laden ?!) où TOUS les pays du monde ont ORDRE de ne réserver qu'une partie des masques (FF P2 et FF P3) aux agents hospitaliers (pour faire croire à une pénurie !) et surtout: DE VEILLER A CE QUE PERSONNE N'IMPORTE DE MASQUE (de Chine) !
Ordres suivis à la lettre où malgré que la Chine ait fabriqué des dizaines de milliards de masques FF P2 et FF P3, il est interdit d'en vendre ou d'en donner ! (car le masque FF P2 ou FF P3 STOPPE l'épidémie IMMÉDIATEMENT !). Car, cette initiative inconsciente résulterait à ZÉRO MORT dans le monde infesté de virus !
Les États Unis d'Amérique fabrique eux-mêmes 50 millions de masques, d'où le manque de plus de 250 millions pour la population.
Ordre donné aux merdias du monde entier de soutenir les initiatives personnelles de 'protection' (HAHAHAHA !) avec des foulards, pulls, bonnet de soutien-gorge ou filtre à café ! HAHAHAHAHAHAHA ! et de ne JAMAIS les dénigrer !
Donc, dès lors que les merdias (et 'Dirigeants' de pays) sont aux ordres de la mafia criminelle, ils ont ORDRE de ne publier QUE des résultats positifs même si des fuites venaient à leur rendre compte de la vérité: 1 milliard de morts, 2 milliards de morts, 3 milliards de morts, 4...
COVID-19 est-il le «jeu de pression» sur la population ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 15/04/2020 - 17:25
Écrit par Jon Rappoport via LewRockwell.com,
C’est un con aussi vieux que les collines.
L'ancien chef d'un petit territoire regarde à travers son domaine et dit à son aide supérieur,
«Vous savez, nous avons ces groupes de personnes adorant différents dieux. Ce n'est pas bon pour les affaires. Notre métier est le CONTRÔLE, nous avons donc besoin d'UNITÉ. Inventez le nom d'un dieu et allez-y et vendez-le. Éliminez ces petits sanctuaires et dites à tous les gens qu'ils doivent croire en la nouvelle divinité. Utilisez la force et la censure si nécessaire. Plus tard, je déciderai peut-être que je suis vraiment le nom que vous avez choisi pour le nouveau dieu. Nous verrons. Si vous avez des problèmes tout de suite, appelez-moi sur mon portable. Je serai dehors au soleil au bord de la piscine. "
Unité de pensée. C’est ce que recherchent les contrôleurs.
Dans le cas de cette fausse épidémie, la population doit voir CE QUE C'EST dans la façon dont les fonctionnaires et la presse le décrivent. Une analyse dissidente doit être repoussée à l'arrière-plan.
Voici un titre de Bloomberg News 4/9: «Théorie du complot 5G alimentée par un effort coordonné». [1] Un sous-titre déclare: «Les chercheurs identifient la campagne de désinformation mais pas la source.» L'article commence: «Une théorie du complot reliant la technologie 5G à l'épidémie du coronavirus gagne rapidement du terrain…»
De toute évidence, une telle pensée capricieuse doit être arrêtée. Et plus loin dans l'article de Bloomberg, nous avons des nouvelles effrayantes:
«Certaines sociétés de médias sociaux ont pris des mesures pour limiter la propagation des théories du complot sur les coronavirus sur leurs plateformes. Mardi, YouTube de Google a déclaré qu'il interdirait toutes les vidéos reliant la technologie 5G au coronavirus, affirmant que "tout contenu qui conteste l'existence ou la transmission de Covid-19" serait désormais en violation des politiques de YouTube. "
"Au Royaume-Uni, une commission parlementaire a appelé lundi le gouvernement britannique à faire plus pour" éradiquer "les théories du complot contre les coronavirus, et a déclaré qu'il prévoyait de tenir une audience plus tard cette année au cours de laquelle des représentants de géants américains de la technologie seront interrogés sur comment ils ont géré la propagation de la désinformation sur leurs plateformes. »
L'analyse indépendante de «l'épidémie» est en jeu. Les maîtres du contrôle veulent maintenir un monopole de l'information.
Il va sans dire que pour réaliser ce monopole, une surveillance détaillée du contenu Internet est nécessaire.
Un autre type de surveillance fait également partie du jeu de compression. Apple.com a l'histoire (communiqué de presse, 4/10):
«Partout dans le monde, les gouvernements et les autorités de santé travaillent ensemble pour trouver des solutions à la pandémie de COVID-19, pour protéger les personnes… Étant donné que le COVID-19 peut être transmis à proximité des personnes touchées, les responsables de la santé publique ont identifié la recherche des contacts comme un outil précieux outil pour aider à contenir sa propagation. Un certain nombre d'autorités de santé publique, d'universités et d'ONG de premier plan dans le monde ont fait un travail important pour développer une technologie de recherche des contacts opt-in.
«Pour faire avancer cette cause, Apple et Google lanceront une solution complète qui comprend des interfaces de programmation d'applications (API) et une technologie au niveau du système d'exploitation pour aider à activer le suivi des contacts. Compte tenu du besoin urgent, le plan consiste à mettre en œuvre cette solution en deux étapes tout en maintenant de solides protections concernant la confidentialité des utilisateurs. »
RépondreSupprimer«Premièrement, en mai, les deux sociétés publieront des API qui permettront l'interopérabilité entre les appareils Android et iOS à l'aide des applications des autorités de santé publique. Ces applications officielles seront disponibles pour les utilisateurs à télécharger via leurs magasins d'applications respectifs. "
«Deuxièmement, dans les mois à venir, Apple et Google travailleront pour permettre une plate-forme de traçage des contacts plus large basée sur Bluetooth en intégrant cette fonctionnalité aux plates-formes sous-jacentes. Il s'agit d'une solution plus robuste qu'une API et qui permettrait à davantage de personnes de participer, si elles choisissent d'y adhérer, ainsi que de permettre l'interaction avec un écosystème plus large d'applications et les autorités sanitaires gouvernementales. La confidentialité, la transparence et le consentement sont de la plus haute importance dans cet effort, et nous sommes impatients de développer cette fonctionnalité en consultation avec les parties prenantes intéressées. Nous publierons ouvertement des informations sur notre travail pour que d'autres les analysent. »
"Nous tous, chez Apple et Google, pensons qu'il n'y a jamais eu de moment plus important pour travailler ensemble pour résoudre l'un des problèmes les plus urgents au monde. Grâce à une coopération et une collaboration étroites avec les développeurs, les gouvernements et les prestataires de santé publique, nous espérons exploiter le pouvoir de la technologie pour aider les pays du monde entier à ralentir la propagation du COVID-19 et à accélérer le retour de la vie quotidienne. »
Si vous croyez que la vie privée des citoyens est une préoccupation majeure dans l'esprit de Google et d'Apple, j'ai des condos à vendre de l'autre côté de la lune.
Les outils de traçage semblent impliquer une expansion très rapide de Snitch Culture. Sur quoi d'autre les «utilisateurs opt-in» vont-ils communiquer? La météo? Le déjeuner?
«Chers utilisateurs concernés et responsables de la santé publique: Oui, je connais Marty. Triste d'apprendre qu'il a reçu un diagnostic de COVID-19. J'ai eu une brève réunion avec lui juste avant le verrouillage. Je suppose que je pourrais être infecté. Je devrais me faire tester tout de suite. Voyons, qui d'autre était à la réunion? Le frère de Marty, Felix, et Carrie, qui est la petite amie de Felix. Il y a six mois, elle a été testée pour une MST, je ne connais pas les résultats — Sandy, le courtier de Wilson et Wise était également à la réunion — OMG, cela pourrait signifier que toute l'entreprise est infectée — et le chien de Sandy Tootsie — peuvent les animaux propager le virus? - puis il y avait un concierge qui est entré dans la pièce, je pense que son nom est Al. Il habite près des quais. Il a un frère que j'entends être un trafiquant de drogue et un joueur compulsif. Il doit de l'argent à des gens méchants, je pense… Tout ce que je peux faire pour arrêter la propagation du virus, faites le moi savoir… »
Demandez aux citoyens d'agir comme des espions les uns sur les autres. Une tactique utile.
RépondreSupprimerIl déchire le tissu de la confiance sociale.
Il brise la vie privée.
Il expose les gens à l'intervention du gouvernement.
Elle cimente le DICTUM DE L'UNITÉ: l'épidémie n'a qu'un seul portrait et la population doit s'incliner devant elle.
Une réponse? Un compteur? Davantage de citoyens doivent devenir des journalistes indépendants et publier leurs conclusions. Davantage de citoyens doivent créer des blogs et des sites qui agissent comme des kiosques à journaux à l'ancienne, affichant le travail de journalistes et d'enquêteurs indépendants.
Pour chaque dix qu'ils censurent, une centaine doit surgir.
Rien n'y fait sauf dans le futur immédiat - liberté, esclavage, dictature médicale, une planète sans frontières fonctionnant comme une super-société, l'individu contre le collectif, l'énergie de l'âme individuelle.
Ou les gens peuvent dire que le malheur est sur nous et rien ne peut être fait à ce sujet.
Ou les gens peuvent s'asseoir à la maison et sucer la sucette de verrouillage.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/covid-19-squeeze-play-population
La mort au ralenti
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 16 avr.2020
Au cours du mois dernier, alors que les Américains étaient terrifiés par le coronavirus, un autre démon se cachait prêt à bondir. C'est un démon de notre propre création. C'est l'incapacité désormais largement manifestée des élus à résister à la tentation du totalitarisme. Et cela entraîne lentement la mort de la liberté personnelle dans notre société autrefois libre.
C'est une chose pour les fonctionnaires d'utiliser une chaire d'intimidation pour éduquer et même intimider la population en une prise de conscience prudente des comportements sanitaires de base - même ceux qui vont à l'encontre de notre nature - pour empêcher la propagation du virus. C'est une tout autre chose que de soutenir que leurs suggestions, intimidations et directives ont en quelque sorte la force de la loi derrière elles.
Ils ne le font pas.
Le gouvernement américain - aux niveaux fédéral et étatique - est divisé en trois branches: législative, exécutive et judiciaire. Cette séparation des pouvoirs a été élaborée lors de la Convention constitutionnelle de 1787 après un débat houleux. L'essence du débat était la suivante: comment établir un gouvernement suffisamment fort pour protéger la liberté individuelle mais pas assez fort pour permettre au gouvernement de la détruire. James Madison et ses collègues ont conçu la séparation des pouvoirs pour empêcher le pouvoir de s'accumuler dans une branche.
Le pouvoir législatif rédige les lois, et l'exécutif les applique, et le pouvoir judiciaire les interprète et articule ce qu'elles signifient. Le président ne peut pas rédiger de lois. Les tribunaux ne peuvent pas les faire respecter. Et le Congrès ne peut pas les interpréter. Lorsque le Congrès est devenu paresseux ou que les présidents sont devenus ambitieux et que nous avons vu la législation présidentielle, les tribunaux l'ont annulée. Autrement dit, la séparation des pouvoirs est au cœur de nos libertés et les tribunaux ont toujours jugé que les fonctions essentielles attribuées par la Constitution à chaque branche ne pouvaient pas être cédées à une autre branche.
Il en va de même pour les États, car la constitution de chaque État imite la Constitution américaine et impose la séparation. La séparation n'est pas mandatée pour protéger les prérogatives de chaque branche. Il a pour mandat de protéger la liberté individuelle en empêchant toute branche d'accumuler le pouvoir attribué aux autres.
C'est le génie de Madison. C'est devenu le chagrin de Madison.
Ces «ordres» - rester à la maison, fermer son entreprise, ne pas courir dans le parc, ne pas aller à la messe, pratiquer la distanciation sociale - ne sont pas des lois qui peuvent entraîner une sanction pénale pour violation. Ce sont des lignes directrices, sans force de loi. Un gouverneur ou un maire ne peut pas plus élaborer une loi et infliger une sanction pour son non-respect que les tribunaux ne pourraient ordonner à l'armée ou à la police.
Même si les organes législatifs ordonnaient la fermeture des églises et des entreprises et que les gouverneurs et les maires ne faisaient qu'appliquer ces lois, ces lois seraient profondément inconstitutionnelles. La clause de libre exercice du premier amendement établit fermement la liberté de religion comme une liberté fondamentale et la clause de régularité de la procédure du cinquième amendement établit fermement votre droit d'acheter un produit licite dans le commerce interétatique auprès d'un vendeur consentant comme fondamental.
Les libertés fondamentales appartiennent à la catégorie de liberté la plus élevée, semblable à la liberté de conscience et d'expression, à la presse et à la vie privée et aux voyages.
RépondreSupprimerDisons que vous êtes dans un magasin à grande surface à la recherche d'épicerie et d'autres articles. Le gouvernement ne peut pas constitutionnellement limiter vos choix à la nourriture et aux serviettes en papier si vous préférez acheter des semences de gazon et un tuyau d'arrosage. Ce sont des décisions personnelles intimes. Vous n'avez pas besoin de les expliquer ou de les justifier au gouvernement et vous n'avez pas besoin d'un feuillet d'autorisation du gouvernement pour exercer votre libre arbitre et faire ces choix.
Jusqu'à maintenant.
Maintenant, nous sommes devenus une nation de moutons. Nous avons des élus avec des devoirs assignés par la constitution - et des limitations imposées par la constitution - qui se sont donné des pouvoirs dictatoriaux et ont faussement prétendu qu'ils pouvaient interférer avec nos choix personnels. Qui sont les gouverneurs pour décider quelles activités humaines sont essentielles? L'avortement est essentiel, mais la masse ne l'est pas? Aucune constitution ne leur a donné ce pouvoir.
Il existe deux écoles de pensée sur l'atteinte aux libertés fondamentales. L'un requiert un examen rigoureux et l'autre exige une procédure régulière. La norme de contrôle strict impose l'existence d'un intérêt étatique impérieux traité par les moyens les moins restrictifs. La norme de procédure régulière prévoit un procès au cours duquel l'État doit prouver sa faute ou sa culpabilité. La norme de procédure régulière de fond met certaines décisions personnelles hors de portée du gouvernement.
La fermeture d'églises ne répond à aucune norme constitutionnelle. Il ne fait aucun doute que la lutte contre une pandémie est un intérêt impérieux de l'État, mais il existe des moyens beaucoup moins restrictifs pour y faire face que d'empêcher le culte. Porter des masques et des gants, rester à 10 pieds l'un de l'autre, tenir la messe à l'extérieur, même prendre un risque personnel, puis s'auto-mettre en quarantaine sont beaucoup moins restrictifs et offensants sur le plan constitutionnel que de fermer des églises.
Le maire de New York, Bill de Blasio, a violé son serment de respecter la Constitution lorsqu'il a menacé de recourir à la force pour fermer définitivement tous les lieux de culte qui défiaient ses directives. Et un service de police d'une petite ville dans le nord du New Jersey a violé de manière exquise les droits constitutionnels des catholiques - tout en imposant les caprices en constante évolution du gouverneur Phil Murphy. La police a affirmé qu'elle suivait les ordres du gouverneur lorsqu'elle a interdit à un prêtre le dimanche des Rameaux de distribuer des paumes dans des sacs en plastique scellés tandis que lui et chaque paroissien portaient des masques et des gants et étaient à six pieds l'un de l'autre en plein air.
Trop c'est trop.
L'emploi du pouvoir du gouvernement pour porter atteinte à la liberté personnelle et couper les coins constitutionnels n'est jamais justifié dans une société libre, quelle que soit l'exigence. La Constitution protège nos droits dans les bons et les mauvais moments. Ceux qui volent la liberté sont indignes de leurs fonctions. Mais ne vous attendez pas à ce qu'ils nous rendent nos libertés. Nous devrons l'éloigner de leurs mains froides et cupides.
http://www.judgenap.com/post/death-in-slow-motion
L'OMS et sa liste sans fin d'erreurs
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 15/04/2020 - 23:30
Via Great Game India,
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) est l'un des principaux organismes des Nations Unies chargé de la santé publique internationale. Cependant, ces derniers temps, l'OMS a été critiquée pour avoir agi trop tard ou trop peu lors d'une crise sanitaire. Il y a eu des cas où l'OMS n'était pas du tout préparée à sa ligne de conduite. D'autres fois, les scientifiques et les chercheurs de l'OMS ont commis des erreurs risibles lors de la préparation des rapports.
Cela soulève la question:
Pourquoi l'OMS fait tant d'erreurs ?
Est-ce délibéré ?
Ou y a-t-il une autre raison derrière la liste sans fin d'erreurs de l'OMS ?
En commençant par la récente éclosion de coronavirus, voici quelques-uns des incidents où l'Organisation mondiale de la santé a commis des inexactitudes, des erreurs et des erreurs:
L'OMS commet une erreur dans l'évaluation des risques de coronavirus
L’agence des Nations Unies basée à Genève avait - dans ses précédents rapports - déclaré que la probabilité que l’épidémie de coronavirus se transforme en risque mondial était «modérée». Cependant, l'OMS a reconnu plus tard avoir fait une erreur dans ses rapports précédents en évaluant le risque.
Dans son rapport quelques jours plus tard, l'OMS a déclaré que le risque était «très élevé en Chine, élevé au niveau régional et élevé au niveau mondial». Ils ont également admis que les rapports antérieurs avaient mentionné à tort que le risque global était modéré.
Interrogé sur les erreurs, Antoine Flahault, co-directeur de l'Ecole suisse de santé publique, a déclaré à l'AFP que «c'est une erreur. Elle est certainement assez importante… mais je pense vraiment que c'est une erreur qui a maintenant été corrigée. »
Le chef de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, s'est adressé à Twitter et s'est excusé pour le rapport erroné:
Le chef de l'OMS a déjà été sévèrement critiqué pour son retard à déclarer l'épidémie de coronavirus comme une urgence. Certains journalistes ont même laissé entendre que la décision était politisée. Le fait que l'OMS n'ait pas fourni l'évaluation correcte des risques n'a fait qu'empirer les choses pour le chef de l'OMS.
Taiwan demande des excuses au chef de l'OMS
Taïwan a demandé des excuses au chef de l'OMS à la suite de ses allégations controversées contre le pays où il a accusé la nation insulaire et son peuple d'abus raciaux.
Lors d'une conférence de presse, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a fait de graves allégations contre Taiwan. Le chef de l'OMS a déclaré qu'il avait été la cible d'insultes raciales au cours des trois derniers mois, qui, selon lui, provenaient de l'île de Taiwan.
L'OMS a été critiquée pour sa gestion de la pandémie de corona, y compris son traitement de Taiwan. L'agence onusienne - sous la pression de la Chine - ne reconnaît pas la souveraineté de Taiwan. La nation insulaire est toujours considérée comme un territoire de la Chine continentale. L'exclusion signifie que Taïwan est tenu à l'écart et n'est pas en mesure de partager et de recevoir des données cruciales liées à la pandémie de coronavirus.
RépondreSupprimerLorsque le journaliste du RTHK - lors d'un appel vidéo - a interrogé le conseiller de l'OMS Bruce Aylward sur Taiwan, le meilleur médecin de l'OMS a été perdu pour des mots et a brusquement mis fin à l'appel.
L'OMS admet avoir fait un faux rapport sur l'Inde
Un rapport de situation publié par l'OMS a placé à tort l'Inde à un stade de transmission communautaire. Ce n'est que lorsqu'on lui a demandé de clarifier les choses que l'OMS a été forcée d'admettre sa bévue à une chaîne de presse indienne en disant que l'Inde avait un groupe de cas et non une transmission communautaire.
Une transmission communautaire se produit lorsque les cas d'infection augmentent de façon exponentielle avec de multiples sources introuvables. Le gouvernement indien a fermement nié que le pays ait atteint le stade trois ou la transmission communautaire.
Le secrétaire adjoint du ministère de la Santé, Lav Aggarwal, a déclaré: «Si cela se produit, nous serons les premiers à vous le dire. Nous dirons aux gens d'être particulièrement vigilants… Il n'y a pas de transmission communautaire. »
Une publication basée à Oxford cesse d'utiliser les données de l'OMS sur les coronavirus, citant des erreurs
Our World in Data - une publication en ligne basée à l'Université d'Oxford - a cessé d'utiliser les données de Word Health Organization relatives aux coronavirus pour ses recherches. La publication a annoncé qu'elle ne basait plus ses modèles sur les données de l'OMS citant des erreurs et d'autres problèmes.
Au lieu de cela, les chercheurs utilisent les données fournies par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies. Les erreurs et inexactitudes, que Notre monde dans les données a documentées dans un rapport séparé, ont montré diverses divergences dans les rapports de situation publiés par l'OMS entre le 5 février et le 16 mars.
Le manque de données fiables disponibles pendant l'éclosion de coronavirus a été une source majeure de frustration pour les économistes, les statisticiens, les chercheurs et les décideurs publics.
La Finlande déclare que le protocole de l'OMS sur les coronavirus ne fonctionne pas
Dans une révélation surprenante, un haut responsable de la santé finlandais a rejeté un avis de l'Organisation mondiale de la santé disant que l'OMS ne comprenait pas les pandémies et que leur protocole de dépistage des coronavirus était illogique et ne fonctionnait pas.
Un haut responsable de la santé finlandais a rejeté un avis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour tester le plus de personnes possible pour le coronavirus, arguant qu'une telle mesure serait complètement illogique lors de la lutte contre une pandémie. Le responsable finlandais de la sécurité sanitaire, Mika Salminen, s’est attaqué à la notion selon laquelle l’arrêt de la propagation de Covid-19 nécessite des tests à grande échelle.
"Nous ne comprenons pas les instructions de l'OMS pour les tests. Nous ne pouvons plus éliminer complètement la maladie du monde », a-t-elle déclaré, ajoutant:« Si quelqu'un prétend cela, il ne comprend pas les pandémies. »
L'OMS présente ses excuses au Port Talbot du Royaume-Uni
RépondreSupprimerEn 2018, l'Organisation mondiale de la santé a présenté des excuses pour avoir déclaré à tort que Port Talbot était la ville la plus polluée du Royaume-Uni. L’agence mondiale de la santé a déclaré qu’elle avait «omis» les données, ce qui suggérait que la pollution de l’air à Port Talbot était pire que dans les plus grandes villes du Royaume-Uni.
La base de données de l'OMS a montré que la ville du sud du Pays de Galles avait un niveau de pollution fine de 18 microgrammes de particules de pollution M2,5 par mètre cube d'air. En comparaison, Londres avait 14 microgrammes tandis que Manchester en avait 13 - tous au-dessus des directives nationales de 10 microgrammes.
Le directeur de l'OMS de l'époque, le Dr Maria Neria, a décrit plus tard les chiffres comme "erronés" et a déclaré que le niveau de pollution de l'air pour Port Talbot était plutôt mesuré à 9,68 microgrammes et non 18 comme suggéré précédemment.
Elle a déclaré: «Le niveau de PM2,5 pour 2015 pour Port Talbot devrait être de 9,6853 (et est arrondi à 10 dans la feuille Excel mise à jour) et est noté comme« mesuré ». Le PM2,5 a été présenté à tort comme une valeur convertie (estimée) de 18. L'Organisation mondiale de la santé a pris des mesures immédiates pour y remédier sur son site Web de l'OMS et dans la base de données. Nous regrettons que cette erreur se soit produite. »
L'OMS exclut la tuberculose de la liste des priorités mondiales
En 2017, l'OMS a établi la toute première liste mondiale de priorités pour les bactéries résistantes aux antibiotiques. Il comprenait 12 familles de bactéries que l’OMS considère comme «la plus grande menace pour la santé humaine» et pour lesquelles il existe un besoin urgent de nouveaux antibiotiques.
Étonnamment, la liste ne comprenait pas les bactéries qui causent la tuberculose - même si la tuberculose provoque plus de décès que toute autre maladie infectieuse. Selon les estimations de l'OMS, environ 10 millions de personnes ont contracté cette maladie aéroportée en 2015 seulement. De plus, la tuberculose a développé une grande résistance aux anticorps disponibles. La décision de ne pas inclure la bactérie Mycobacterium tuberculosis sur la liste a dérouté de nombreux experts.
Pour sa défense, l'OMS a déclaré qu '«il s'agit déjà d'une priorité mondialement établie pour laquelle de nouveaux traitements innovants sont nécessaires de toute urgence». Au mieux, la réponse de l'OMS a sauvé la face. S'il s'agit déjà d'une priorité établie à l'échelle mondiale, pourquoi ne pas l'inclure dans la liste?
Quand l'OMS a simulé une pandémie
Un rapport exclusif de GreatGameIndia a révélé comment, en 2009, l'OMS a déclaré prématurément la «grippe porcine» comme une pandémie, ce qui a entraîné une augmentation des commandes de vaccins. Les nations riches et riches ont rapidement acheté les vaccins pour leur population. Ironiquement, la plupart des décès ne sont pas survenus en Europe mais en Afrique et en Asie du Sud-Est.
Dans son livre controversé, l'auteur renommé Stuart Blume révèle que bon nombre des conseillers les plus influents, à la fois à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et aux niveaux nationaux, sont des consultants rémunérés pour l'industrie des vaccins, ce qui soulève une question très grave - que l'OMS pourrait travailler pour le les intérêts de l'industrie des vaccins et non les gens - la raison pour laquelle il y a 10 ans, l'OMS a simulé une pandémie.
L'OMS devrait-elle être démantelée ?
RépondreSupprimerLe schéma constant de bévues commises par l'OMS soulève de sérieuses questions sur son efficacité à gérer la vie des gens. Le nombre d’erreurs sur une base régulière suggère l’approche du jeu de l’OMS face à la crise sanitaire mondiale. Les expériences passées mettant en lumière l'utilisation de l'OMS comme outil de lobby des vaccins ont conduit de nombreux experts à demander le démantèlement de l'OMS.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) peut-elle encore être réformée ou doit-elle renaître? Peut-elle relever concrètement et efficacement les défis auxquels elle est confrontée ? L'OMS doit-elle être démantelée? Ce sont des questions importantes, non seulement pour le prochain directeur général mais peut-être encore plus pour les États membres qui sont les véritables «propriétaires» de l'OMS.
https://www.zerohedge.com/health/who-its-never-ending-list-errors
SupprimerPareillement que l'ONU de New-York à créé des écologistes pétologues, climatologues ou pissologues et les a reconnu comme étant au-dessus des scientifiques sans même avoir fait une heure d'études scientifiques, le principal est qu'ils soient bien considérés par les merdias qui doivent refuser un droit de réponse aux véritables scientifiques, l'OMS est née dans sa fange.
"Si les chinois n'étaient pas là
RépondreSupprimerOn serait tout au macronie
Enfermés entre quatre bois
Et à fumer des pissenlits !"