11:37 07.04.2020
Lundi 6 avril, 16 millions de masques devaient arriver en France mais sont toujours bloqués à Shanghai, selon RTL.
Pour cause, un pilote d’Air France a été testé positif au coronavirus la semaine dernière et l’avion qui devait transporter le chargement ne peut tout simplement pas partir.
Alors que la France se trouve en pénurie de matériel de protection face au Covid-19, un précieux stock de 16 millions de masques qui devait arriver lundi est toujours bloqué à Shanghai. D’importantes négociations entre les autorités françaises et chinoises sont en cours pour trouver une solution le plus rapidement possible, a relaté RTL, citant une source gouvernementale.
Pour éviter une seconde vague de coronavirus sur son territoire, la Chine procède à des tests de dépistage sur tous les arrivants aux aéroports. Pas de chance, l’un des pilotes d’Air France qui devait mener à bien le transport a été testé positif et placé en quarantaine. L’avion désigné pour cette mission se retrouve donc cloué au sol dans la mégalopole chinoise, tandis que le stock de masques est placé sous haute protection, affirme la radio.
Les masques commandés en Chine seront livrés en France d'ici la fin juin
Ce sont au total six rotations qui étaient prévues entre les deux pays pour acheminer ce matériel. La solution envisagée serait que Shanghai ne soit désormais qu’une courte escale pour ces avions, ce qui permettrait aux pilotes de rester à bord et d’éviter les tests de dépistage.
La Chine reste l’usine du monde
Depuis début mars, la Chine a exporté près de quatre milliards de masques, 37,5 millions de vêtements de protection, trois millions de kits de détection et 16.000 respirateurs dans le monde entier. Malgré le recul du nombre de cas sur son territoire, Pékin a encouragé les usines à accroître leur production d'équipements médicaux au moment où d'autres pays affrontent la pénurie.
Cependant, certains d’entre eux se sont plaints de la qualité des équipements livrés, qui ne se trouvait pas à la hauteur des attentes. Les Pays-Bas et l’Espagne ont par exemple renvoyé des milliers de masques et de tests de détection car ils s’avéraient défectueux. Les autorités chinoises ont assuré avoir renforcé leur réglementation concernant les équipements médicaux pour que les normes correspondent à celles des pays destinataires.
-------------------------------
Durée du voyage de Shanghai à Paris: 5 jours et 3 heures.
Combien par avion ?
(...) Les masques commandés en Chine seront livrés en France d'ici la fin juin (...)
Heureusement, ils arrivent à pieds !
(Non-non ! On ne vous prend pas pour des cons !).
À vol d’oiseau (approximative)
9 263 Kilomètres,
5 756 Miles
4 998 Milles marins
Montgolfière
50 km/h
185 Heure(s), 15 Minute(s)
Durée de vol ou horaire de vol Cessna 172 P
200 km/h
46 Heure(s), 18 Minute(s)
Airbus A320: Durée approximative du vol À Paris
800 km/h
11 Heure(s), 34 Minute(s)
Exemple d’avion De Shanghai: Airbus A380
945 km/h
9 Heure(s), 48 Minute(s)
Vaisseau Spatial: Vitesse de la Lumière Shangaï/Paris
Vitesse de la Lumière 0.031 Seconde
Il n'y a qu'UN SEUL PILOTE d'avion au monde !! Et il a le coranavirus !
Il n'y a qu'UN SEUL PILOTE d'avion au monde !! Et il a le coranavirus !
CORONAVIRUS : LES DERMATOLOGUES ALERTENT SUR UN NOUVEAU SYMPTÔME
RépondreSupprimerpar PERRINE DE ROBIEN
07/04/2020
Un groupe WhatsApp de plus de 400 dermatologues a mis en évidence des lésions cutanées associées ou non à des signes de Covid.
Un nouveau symptôme du COVID-19 vient d’être mis au jour par les dermatologues. Il s’agit de diverses manifestations cutanées qui ne sont pas forcément accompagnées d’autres troubles comme des difficultés respiratoires. Cela signifie donc que l’on pourrait être contagieux sans le savoir…
Coronavirus : les dermatologues alertent
Après la perte d’odorat (anosmie) et de goût (agueusie), un nouveau symptôme du COVID-19 vient d’être mis au jour. Il s’agit de lésions cutanées. Elles s’ajoutent à la toux, fièvre, diarrhée, maux de tête et gêne respiratoire. Cette découverte a été annoncée par le Syndicat national des dermatologues-vénéréologues (SNDV) dans un communiqué du repris par plusieurs médias.
« Un groupe WhatsApp de plus de 400 dermatologues (libéraux et hospitalo-universitaires), organisé par le SNDV, a mis en évidence des lésions cutanées, associées ou non à des signes de Covid ».
Quels sont ces symptômes cutanés ?
Quels sont les symptômes qui doivent vous mettre la puce à l’oreille ? Selon les dermatologues, il s’agirait d’engelures au niveau des extrémités (acrosyndromes), des rougeurs au niveau des doigts, des gonflements, des douleurs passagères « qui correspondent à ce qu'on peut ressentir aux sports d'hiver ». Outre ces manifestations cutanées, les dermatologues ont aussi remarqué « l'apparition subite de rougeurs persistantes parfois douloureuses, et des lésions d’urticaire passagères ».
Si le SNDV alerte sur ces manifestations cutanées c’est parce qu’elles ne s’accompagnent pas forcément de difficultés respiratoires. Par conséquent les malades peuvent être contagieux sans le savoir et répandre le coronavirus autour d’eux. Aussi, les dermatologues souhaitent que les personnes présentant ces symptômes soient testées afin de savoir si oui ou non elles sont atteintes du COVID-19.
http://www.economiematin.fr/news-coronavirus-nouveau-symptome-dermatologues
Supprimer(...) Un nouveau symptôme du COVID-19 vient d’être mis au jour par les dermatologues. Il s’agit de diverses manifestations cutanées qui ne sont pas forcément accompagnées d’autres troubles comme des difficultés respiratoires. Cela signifie donc que l’on pourrait être contagieux sans le savoir… (...)
manifestations cutanées ! (relatives au cul ?!)
Attention si vous vous faites enculer !
RépondreSupprimerQuand La Poste cachait un immense stock de masques en période de pandémie
09:54 07.04.2020
La fédération SUD PPT accuse La Poste de ne pas suffisamment protéger ses agents sur le terrain. Il s’avère que le groupe stockait près de 25 millions de masques, une information qui devait rester secrète «par crainte d’une éventuelle réquisition».
S’inquiétant du sort des postiers en cette période de pandémie, la fédération SUD PTT a attaqué le groupe La Poste sur les équipements de protection fournis à ses employés. L’avocat de la direction s’est défendu en assurant que plusieurs millions de masques étaient stockés pour les protéger, selon un communiqué de l’organisation syndicale.
C’est ainsi un stock colossal de 486.000 paquets de 50 masques, au total 24.300.000, que La Poste garde en stock dans son Centre National des Approvisionnements en Seine-et-Marne, sans pour autant que ses postiers et livreurs en soient équipés. Le groupe n’en a pas non plus fait don aux hôpitaux, qui en manquent cruellement, mais en a livré 300.000 aux forces de l’ordre, comme en témoigne ce message de remerciements de Christophe Castaner.
Un stock tenu secret
Pendant longtemps, la consigne de La Poste a été de ne donner des masques qu’à son personnel présentant des symptômes. Le groupe n’a d’ailleurs pas dressé de bilan des infectés parmi ses employés, mais le syndicat suspecte que plusieurs centaines de postiers sont atteints.
Alors que le gouvernement semble finalement admettre l’importance des masques contre la propagation du Covid-19, la DRH de La Poste, Valérie Decaux, a alerté ses pairs lundi 6 avril sur le danger que représentait la révélation de ce stock de masques. «Nous n’avons pas intérêt à ce que cela se sache car si nous sortons le chiffre, nous risquons de nous faire réquisitionner».
Face à la pénurie, Emmanuel Macron a fixé l’objectif de fabriquer 10 millions de masques par semaine d’ici à la fin du mois, mais les hôpitaux et les Ehpad en auraient besoin de quatre fois plus. Près de deux milliards de masques ont donc été commandés à la Chine. Selon le bilan du mardi 7 avril, le coronavirus a tué 8.911 personnes en France, 605 de plus que la veille, la plus grande augmentation depuis le début de la pandémie.
https://fr.sputniknews.com/france/202004071043494925-quand-la-poste-cachait-un-immense-stock-de-masques-en-periode-de-pandemie/
Garde à vue d'un entrepreneur qui proposait de la chloroquine à ses salariés
RépondreSupprimer09:37 07.04.2020
Le fondateur du groupe de chimie SNF, à Andrézieux-Bouthéon (Loire), a été placé lundi en garde à vue puis relâché car soupçonné d’avoir proposé de la chloroquine à ses salariés pouvant souffrir du Covid-19, a appris l'AFP de sources judiciaire et syndicale.
René Pich, 79 ans, également directeur général délégué de SNF, a été entendu par les gendarmes de la brigade de recherches de Montbrison, dans le cadre d'une enquête pour «exercice illégal de la pharmacie et de la médecine» ouverte par le parquet de Saint-Étienne.
«L'enquête a été ouverte à la suite d'un signalement effectué le 31 mars par l'inspection du travail de la Loire», a précisé à l'AFP le procureur de la République de Saint-Étienne, David Charmatz.
Elle suit une note de M. Pich, datée du 18 mars, informant que l'entreprise avait fait l'acquisition de comprimés de phosphate de chloroquine. Le document, dont l'AFP a obtenu copie, invite les cadres à faire une demande «auprès de la direction pour la délivrance du produit» en cas de symptômes du Covid-19 chez un salarié. La posologie à suivre y est même indiquée.
«Nous nous sommes informés en Chine dès la fin janvier et nous avons compris que ce produit était la solution. Aujourd'hui, Trump aux USA, en passant au-dessus de toutes les procédures médicales, a préconisé ce produit pour tous les cas graves. Ce produit est maintenant utilisé avec succès en Chine, Corée du Sud et Thaïlande», écrit le dirigeant.
Les perquisitions, réalisées lundi au domicile de M. Pich et à SNF, visaient à retrouver tous ces lots de phosphate de chloroquine, importés d'Inde, selon la même source.
Lors d'une audition libre vendredi, le dirigeant a remis volontairement aux gendarmes cinq boîtes, soit quelques centaines de comprimés.
«Il s'agit de produits non-validés par les autorités de santé et dont l'importation est interdite», a souligné le procureur Charmatz.
D'autres cadres dirigeants du groupe ont été auditionnés par les enquêteurs, dont la tâche est d'identifier tous les participants à cette opération et de savoir si des salariés de SNF en auraient consommé pour se soigner.
Plainte du syndicat CFDT
Une plainte du syndicat CFDT de la chimie a été déposée vendredi auprès du parquet de Saint-Étienne pour «mise en danger de la vie d'autrui, exercice illégal de la médecine et de la pharmacie et administration de substances vénéneuses».
Devenu le leader mondial des polyacrylamides utilisés dans le traitement de l'eau, SNF, créé en 1978 à Saint-Étienne, a réalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de 3,4 milliards d'euros. Il emploie 6.000 salariés dont 1.350 sur le site d'Andrézieux-Bouthéon.
En France, l'usage de la chloroquine contre le coronavirus fait l'objet de vifs débats.
https://fr.sputniknews.com/france/202004071043494845-garde-a-vue-dun-entrepreneur-qui-proposait-de-la-chloroquine-a-ses-salaries/
Arrêté pour avoir oser défendre des personnes contre le virus !
SupprimerLe bilan du Covid-19 repart à la hausse en Espagne après quarte jours de baisse
RépondreSupprimer12:21 07.04.2020
Le nombre de décès liés au Covid-19 est reparti à la hausse en Espagne avec 743 morts supplémentaires, ont annoncé ce mardi 7 avril des sources officielles.
Le nombre de décès liés au Covid-19 est reparti à la hausse en Espagne avec 743 morts supplémentaires, a annoncé ce mardi 7 avril le ministère de la Santé.
Le rythme des décès des suites du coronavirus en Espagne a légèrement augmenté après quatre jours consécutifs de baisse, atteignant désormais le total de 13.798 morts, précise Reuters.
Un espoir de courte durée
L'Europe, continent le plus frappé par la pandémie, espérait une confirmation de l'amélioration constatée le week-end dernier, lorsque le nombre de décès a baissé dans les deux pays les plus touchés: l'Italie et l'Espagne, rappelle l'AFP.
Le nombre de cas déclarés en 24 heures a lui aussi augmenté plus rapidement, de 4,1% contre 3,3% la veille, pour atteindre 140.510 dans le pays le plus frappé par le Covid-19 derrière l'Itallie. Cependant les experts du ministère avaient déjà relevé la semaine dernière que les cas et les morts du week-end n'étaient enregistrés qu'avec retard, ce qui expliquait des inflexions à la hausse en début de semaine, relate l'agence.
https://fr.sputniknews.com/sante/202004071043497058-le-bilan-du-covid-19-repart-a-la-hausse-en-espagne-743-deces/
Espagne, Italie, Allemagne, France, USA, les pays qui ont le plus de 'réfugiés climatique' au Coronavirus-ethnique.
SupprimerDes Britanniques incendient des antennes 5G à cause d’une théorie du complot
RépondreSupprimer10:49 07.04.2020
Une hypothèse diffusée via les réseaux sociaux prétend que les antennes 5G contribueraient à la propagation du Covid-19. Bien que n’ayant aucun fondement scientifique, cette théorie pousse certains Britanniques à brûler ces antennes voire à agresser des employés de sociétés de télécommunications.
Une théorie du complot «qui mélange élégamment notre peur de la maladie avec notre peur de la Chine et notre peur des nouvelles technologies que personne ne comprend vraiment» est à l’origine de plusieurs incendies volontaires d’antennes 5G au Royaume-Uni, note un journaliste du Guardian.
Cela devient un «nouveau sport national», selon l’auteur de la tribune. Il y a eu au moins trois incendies de ce type au cours de la semaine dernière, à Birmingham, à Liverpool et à Melling, rapporte la BBC.
La théorie qui pousse quelques Britanniques à ces actes de vandalisme prétend qu’il y aurait un lien entre la 5G et le Covid-19. Cette technologie aurait ainsi un impact sur le système immunitaire, favorisant les infections au coronavirus. Les hypothèses vont même plus loin: le virus «utiliserait» les fréquences de la 5G pour se propager et choisir ses victimes.
Démenti des autorités
Le Chancelier du duché de Lancastre, Michael Gove, a déclaré que c'était «un non-sens dangereux». Le Département du numérique, de la culture, des médias et des sports a déclaré sur Twitter qu'il n'y avait «absolument aucune preuve crédible» d'un tel lien.
Qui plus est, non seulement les antennes 5G sont vandalisées mais aussi celles 2G, 3G et 4G, ajoute la BBC. La société Mobile UK a déclaré que certains de ses employés clés avaient été agressés et avaient reçu des menaces de la part de personnes essayant d’endommager des infrastructures 5G. Des salariés d’une filiale de British Telecom (BT) ont pour leur part publié plusieurs appels au calme sur les réseaux sociaux, après que des employés ont été menacés dans la rue à plusieurs reprises, selon le Guardian.
https://fr.sputniknews.com/societe/202004071043495219-des-britanniques-incendient-des-antennes-5g-a-cause-dune-theorie-du-complot/
ATTENTION ! Ce site internet répand le Coronavirus-Terminator' !
SupprimerHAHAHAHAHAHA !
RépondreSupprimerBOUTIQUE DE FEUX D'ARTIFICE : ACHETER EN LIGNE ET GAGNER DU TEMPS
par PARTENAIRE
07/04/2020
Prix doux, large choix, dépenses moindres, accessibilité et facilité déconcertante, voilà les points forts de la boutique de feux d’artifice en ligne.
Pourquoi acheter ses artifices en ligne ?
Si autrefois il était nécessaire de se déplacer en magasin pour faire son shopping, avec l’essor du numérique, vous n’avez plus besoin d’aller dans les boutiques physiques. Et cela est tout aussi valable pour l’achat de feux d’artifice. Effectivement, conscientes de l’impact d’Internet sur les utilisateurs, les boutiques se sont dématérialisées. XL Artifices peut, par exemple, satisfaire vos convives lors des événements comme la Fête Nationale, un anniversaire, les fêtes de fin d’année, etc. Explications sur le sujet dans ces quelques lignes !
Où acheter ses feux d’artifice ?
Pour les particuliers, l’achat de feux d’artifice peut se faire de deux manières : soit via un commerce de proximité dédié ou un commerce de grande distribution, soit via la boutique de feux d’artifice en ligne, plusieurs enseignes se spécialisent d’ailleurs dans ce domaine.
La vente directe
Pour la totalité de vos événements à organiser, vous pouvez vous diriger vers les feux d’artifice. Mais aujourd’hui, rares sont les enseignes qui sont spécialisées dans les rayons de feux d’artifice. Ce qui vous conduit incontestablement vers la grande distribution.
Dans les grandes surfaces, vous trouverez sûrement quelques modèles de feux d’artifice. Par contre, leur inconvénient réside dans la règlementation. Ces enseignes ne peuvent pas régler les questions de transport qui répondent à une règlementation stricte.
Achat sur Internet
Si vous êtes en quête de feux d’artifice qui répondent aux règles de l’art, la seule solution reste la boutique de feux d’artifice en ligne. Là, vous avez la possibilité de trouver des marques qui fournissent un large panel de choix. Il vous suffit de vérifier leur licence et leur habilité à stocker ou à livrer les produits pyrotechniques en toute sécurité.
Les bonnes raisons de se fier à une boutique de feux d’artifice en ligne
Un achat fonctionnel et économique
Lorsque vous devez vous déplacer dans une boutique physique, vous devez d’abord vous y rendre et ensuite ramener votre acquisition à domicile. Comme l’achat est lourd, encombrant et dangereux, c’est le site de e-commerce qui se charge de contacter le transporteur agréé qui vous livrera directement sur le pas de votre porte.
De plus, faire le tour des magasins revient à vous déplacer loin de chez vous. Le cas échéant, vos dépenses en termes de transport auront tendance à s’élever. En ligne, il ne vous reste qu’à faire votre commande depuis votre tablette, votre smartphone ou encore votre ordinateur. Ce qui réduit vos dépenses en frais de taxi, en métro, ou en carburant pour votre véhicule.
Voici quelques-uns des avantages des magasins de feux d’artifice en ligne :
- Une meilleure praticité ;
- Pas de rupture de stock aussi rapide que dans les magasins ;
- Des offres spéciales ou des réductions régulières via l’adhésion à la newsletter, par exemple ;
- La consultation des avis des internautes sur le produit ;
- Des offres qui se déclinent en goût, en format et en prix.
Les boutiques joignables à tout moment avec un large éventail de choix
RépondreSupprimerDans les magasins en ligne, il n’existe pas d’heure d’ouverture et de fermeture. Cette option avantage les clients qui ont des horaires spécifiques au travail. La majorité des boutiques de feux d’artifice en ligne sont d’autant plus disponibles 7j/7 et 24h/24. En ce sens, vous faites vos achats dans le calme sans aucune pression.
La comparaison sur Internet
Avec Internet, vous avez de nombreux outils en ligne pour comparer les prix avant de lancer l’achat. Ce genre d’outils vous facilite la vie en vous faisant gagner un temps non négligeable pour dénicher les catégories de feux d’artifice qui vous conviennent au tarif le moins cher.
http://www.economiematin.fr/news-boutique-de-feux-d-artifice-acheter-en-ligne-et-gagner-du-temps
C4 ? Thermite '9-11' ? etc
SupprimerLa Chine renforce la prévention des infections à COVID-19 importées par la frontière terrestre
RépondreSupprimerXinhua, 7 avril 2020
Les autorités chinoises ont souligné lundi les mesures visant à prévenir davantage les infections à COVID-19 importées par la frontière terrestre.
La demande a été formulée lors d'une réunion du groupe leader de la riposte à l'épidémie de COVID-19 en Chine, qui était présidée par le Premier ministre Li Keqiang, également membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC).
Notant la propagation rapide de la pandémie à l'étranger et le risque croissant de cas importés par la frontière terrestre, la réunion a exhorté les autorités locales à maintenir la ligne de défense des communautés, des ports et des frontières.
La Chine aidera les régions frontalières à renforcer leurs capacités de tests en laboratoire et de traitement médical tout en renforçant la gestion portuaire, les inspections de quarantaine et les contrôles de la circulation dans les zones frontalières.
Des mesures de lutte contre les épidémies plus strictes seront imposées dans les centres de coopération économique et les marchés commerciaux le long de la frontière. Des efforts seront faits pour assurer un transport international de fret fluide dans le respect de la sécurité.
Le pays devrait intégrer la réponse d'urgence aux pratiques normales de prévention et de contrôle dans la reprise du travail, en rétablissant l'ordre de production conformément aux conditions locales et aux niveaux de risque, a noté la réunion.
Les régions à faible risque devraient optimiser les mesures de lutte contre les épidémies et annuler les mesures adoptées à un stade antérieur qui ne correspondaient pas à la reprise de la production et de l'ordre maintenant, tout en assurant les fournitures nécessaires pour la lutte contre les épidémies et la capacité de réponse d'urgence, a déclaré la réunion.
Il a appelé les entreprises à mettre en œuvre des protocoles de protection pour les employés et à prendre des dispositions raisonnables pour que les gens affluent afin d'éviter les rassemblements et les activités de groupe inutiles.
Pour se prémunir contre un rebond épidémique, la réunion de lundi a également appelé à un rapport et une réponse en temps opportun aux situations concernant les cas confirmés, suspects et asymptomatiques ainsi qu'à la divulgation transparente des informations.
Les travaux devraient être renforcés sur la prise en charge médicale des patients asymptomatiques, l'enquête épidémiologique, la quarantaine et le traitement, a déclaré la réunion.
Wang Huning, membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du PCC et chef adjoint du groupe dirigeant, a assisté à la réunion.
http://www.china.org.cn/china/2020-04/07/content_75899908.htm
La Chine réfute les accusations de responsables américains de dissimuler l'étendue du virus
RépondreSupprimerXinhua, 7 avril 2020
Jeudi, la Chine a réfuté les accusations de plusieurs responsables du renseignement américain selon lesquelles la Chine avait dissimulé l'étendue de l'épidémie de coronavirus et avait sous-déclaré le nombre de cas et de décès dus au COVID-19, et a noté que de telles remarques étaient "impudiques et immorales".
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Hua Chunying a fait ces commentaires lors d'une conférence de presse lorsqu'il a répondu à une question pertinente.
"La Chine a donné au monde des mises à jour ouvertes, transparentes et opportunes, comme le montrent clairement les détails que mes collègues et moi avons développés à plusieurs reprises sur la réponse de la Chine", a déclaré Hua.
En ce qui concerne la sécurité sanitaire internationale, ce sont l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les experts en épidémiologie et en contrôle des maladies qui ont le droit de porter un jugement, plutôt que plusieurs politiciens qui sont des menteurs habituels, a déclaré Hua.
Elle a déclaré qu'un haut responsable de l'OMS a réfuté mercredi les accusations injustifiées contre les données épidémiques de la Chine lors d'une conférence de presse à Genève.
La Chine a toujours été ouverte, transparente et responsable dans tous ses efforts, a déclaré Hua. "Les mesures décisives et énergiques prises par le gouvernement chinois ont assuré dans toute la mesure du possible la vie, la sécurité et la santé du peuple chinois et ont permis de gagner un temps précieux pour enrayer la propagation mondiale du virus."
"Nous comprenons que les États-Unis sont confrontés à des difficultés et que certains responsables américains sont sous pression, et nous ressentons profondément les difficultés du peuple américain", a déclaré Hua. "Par esprit humanitaire, nous souhaitons apporter notre aide et notre soutien dans la mesure de nos moyens aux États-Unis dans la lutte contre la pandémie."
Cependant, Hua a déclaré que les remarques de ces quelques politiciens américains étaient tout simplement impudiques et immorales. "La calomnie, le maculage et le blâme ne peuvent pas compenser le temps perdu et plus de mensonges ne feront que perdre plus de temps et entraîneront plus de vies perdues."
"Nous conseillons à ces politiciens qu'en ce moment, ils devraient mettre la sécurité et la vie des gens avant la politique", a déclaré Hua. "Il est immoral et inhumain de continuer à politiser la question de la santé publique, qui devrait être condamnée par tous les peuples du monde, y compris les Américains".
http://www.china.org.cn/world/2020-04/07/content_75899916.htm
L'Union européenne approuve les bogues pour la consommation humaine
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 04/07/2020 - 03:00
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
L'Autorité de sécurité des aliments de l'Union européenne a approuvé la vente de bogues en tant que «nouveaux aliments», ce qui signifie qu'ils sont susceptibles d'être produits en masse pour la consommation humaine sur tout le continent d'ici la fin de l'année.
Je ne peux pas attendre.
"Ceux-ci ont de bonnes chances d'obtenir le feu vert dans les prochaines semaines", a déclaré à The Guardian le secrétaire général de la Plateforme internationale des insectes pour l'alimentation humaine et animale, Christophe Derrien.
Depuis 1997, l'UE a exigé une classification des «nouveaux aliments» pour permettre la vente de produits qui n'avaient pas d'antécédents de consommation humaine, ce qui signifie que la vente d'insectes est interdite dans des pays comme l'Espagne, la France et l'Italie depuis plus de deux décennies.
Cependant, avec la nouvelle approbation, la production de masse d'aliments à base d'insectes devrait augmenter plus tard cette année. Cela signifie que les criquets, les grillons, les sauterelles et les vers de farine peuvent tous apparaître sur les rayons des supermarchés à l'automne.
Christophe Derrien est impatient de vendre des insectes à la fois comme aliment autonome et incorporé dans des produits existants, arguant qu'ils sont une excellente source de protéines et que la production de nourriture pour insectes ne nuit pas à la planète.
"Le type d'aliments va des insectes entiers à l'apéritif ou en collation aux insectes transformés dans des barres ou des pâtes ou des hamburgers à base d'insectes", a-t-il déclaré.
Comme nous l'avons déjà souligné, la consommation d'insectes a été fortement encouragée par les institutions culturelles et les médias ces dernières années parce que les gens sont prêts à accepter des niveaux de vie considérablement inférieurs dans le cadre des programmes mondiaux désastreux de «Green New Deal».
Cela sera exacerbé par la récession économique attendue, voire la dépression, causée par l'épidémie de coronavirus.
C'est pourquoi des publications mondialistes comme The Economist ont promu l'idée de manger des insectes malgré le fait que le genre d'élitistes qui le liraient n'envisagerait jamais une seconde grignotage de grillons ou de vers de farine.
https://www.zerohedge.com/health/european-union-approves-bugs-human-consumption
Z'avez le cafard chez vous ? Bouffez-le ! Hahaha !
SupprimerC'est 100 % Coronavirus !
Le coronavirus porte en lui les germes d'une « crise alimentaire imminente », prévient la FAO
RépondreSupprimer5 Avril 2020
par Seppi
Justin Cremer*
Ma note : L'article ci-dessous est beaucoup plus nuancé quele titre. Dans le style alarmiste qui sied si bien à la galaxie onusienne, la FAO a écrit en introduction de son Q & R :
« Nous risquons une crise alimentaire imminente si des mesures ne sont pas prises rapidement pour protéger les plus vulnérables, préserver les chaînes d'approvisionnement alimentaire mondiales et atténuer les effets de la pandémie sur l'ensemble du système alimentaire. »
Mais certains risquent d'être gravement touchés.
L’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) a averti que la pandémie de coronavirus pourrait déclencher une « crise alimentaire imminente ».
Tout en soulignant que les perturbations de l'approvisionnement alimentaire sont actuellement « minimes » et que « ce n’est pas le moment de céder à la panique », la FAO a déclaré que le système alimentaire mondial sera vraisemblablement affecté au cours des prochaines semaines par les effets du Covid-19.
« Nous risquons une crise alimentaire imminente si des mesures ne sont pas prises rapidement pour protéger les plus vulnérables, préserver les chaînes d'approvisionnement alimentaire mondiales et atténuer les effets de la pandémie sur l'ensemble du système alimentaire », a écrit l'agence sur son site Web.
La FAO a déclaré que les fermetures de frontières et les perturbations du commerce mondial créent déjà des goulets d'étranglement logistiques et que les quarantaines et les ordonnances de confinement empêchent les agriculteurs et les industries agroalimentaires de transformer les produits agricoles, en particulier les fruits et légumes. Les pénuries d'intrants agricoles comme les engrais et les médicaments vétérinaires peuvent avoir un impact supplémentaire sur la production alimentaire. Tous ces facteurs sont susceptibles de provoquer des « perturbations dans les chaînes d'approvisionnement alimentaire » en avril et mai.
« Une bombe à retardement pour la sécurité alimentaire »
L'agence a averti que « les conséquences pourraient être importantes » si le nombre de cas de Covid-19 devait augmenter rapidement dans les 53 pays qui abritent plus de 113 millions de personnes qui sont déjà confrontées à une grave insécurité alimentaire. La pandémie pourrait se révéler particulièrement catastrophique dans les régions déjà touchées par d'autres crises liées à l'alimentation, comme les pays d'Afrique subsaharienne qui sont aux prises avec de vastes nuées de criquets pèlerins qui dévorent les cultures et menacent la sécurité alimentaire.
Selon le Forum Économique Mondial, la propagation du Covid-19 en Afrique a considérablement augmenté au cours des deux dernières semaines et, au 30 mars, 41 pays africains avaient enregistré des cas.
L'Alliance pour la Science a précédemment parlé à de jeunes scientifiques au Ghana qui ont déclaré que le coronavirus avait déjà des incidences négatives sur la sécurité alimentaire. Comme dans de nombreux autres pays du monde, les citoyens inquiets se sont livrés à des achats de panique, mais la situation au Ghana a été aggravée par la flambée des prix des denrées alimentaires. Une déclaration signée par trois scientifiques ghanéens a averti que « notre approvisionnement alimentaire est en difficulté en ces temps difficiles ».
« La dure réalité à laquelle nous sommes tous confrontés est que le Ghana est virtuellement assis sur une bombe à retardement pour la sécurité alimentaire à laquelle il faut prêter attention », ont-ils écrit.
RépondreSupprimerLa FAO a déclaré qu’elle n’était pas seulement préoccupée par l’impact du Covid-19 sur les pays qui ont des problèmes de faim préexistants. Partout, les petits exploitants agricoles sont particulièrement vulnérables aux retombées de la pandémie, car ils pourraient être tenus à l'écart de leurs terres par la quarantaine ou d'autres restrictions de mouvement et leur accès aux marchés est également susceptible d'être limité tant que l'approvisionnement alimentaire mondial reste perturbé par le virus.
Les agriculteurs américains ressentent également les contraintes alors qu’ils sont aux prises avec des incertitudes quant à l’arrivée de travailleurs saisonniers du Mexique pour aider à la mise en place des cultures dans les champs et à la cueillette des fruits qui mûrissent dans les vergers du pays. Ils ont également du mal à trouver de nouveaux débouchés à la suite de la fermeture généralisée des restaurants et des écoles.
Les stocks mondiaux devraient permettre d'éviter la crise
Malgré ses avertissements concernant une crise potentielle de la sécurité alimentaire, la FAO souligne qu'« [a]u niveau mondial, il y a assez de nourriture pour tout le monde », en partie parce que les stocks mondiaux de céréales sont actuellement à des niveaux élevés. C'est en grande partie pour cette raison que Henning Otte Hansen, un expert en économie alimentaire basé à l'Université de Copenhague, a déclaré qu'il n'était pas particulièrement préoccupé par le fait que le Covid-19 pouvait déclencher une crise alimentaire mondiale.
« Normalement, les stocks étaient extrêmement bas pendant les crises alimentaires, mais aujourd'hui nous avons des stocks de céréales historiquement importants et il n'y a aucun signe actuel de mauvaise récolte ou de diminution des stocks », a déclaré Hansen à l'Alliance pour la Science. « Il n'y a aucune indication fondamentale du marché que nous aurons une crise alimentaire. »
Hansen, qui conseille l'UE sur l'impact du Covid-19 sur l'agriculture mondiale, a déclaré que les prix des céréales ont augmenté de 10 à 15 % ces dernières semaines, mais il pense que cela est largement dû à la panique et à l'incertitude. Même si les principaux pays producteurs de céréales comme la Russie devaient limiter leurs exportations, Hansen ne pense pas que cela suffirait à affecter de manière significative l'approvisionnement alimentaire mondial.
« Nous avons vu que la Russie et le Kazakhstan peuvent restreindre les exportations et cela augmenterait le risque [d'une crise mondiale des approvisionnements alimentaires] mais par rapport à la taille des stocks mondiaux, ce serait une menace mineure et je ne pense pas qu'elle aurait un impact sur le marché à long terme », a-t-il déclaré.
La Russie, troisième producteur mondial de blé, envisage de limiter ses exportations de céréales à sept millions de tonnes, tandis que le Kazakhstan a suspendu ses exportations de denrées de base et de certains légumes jusqu'au 15 avril au moins, selon des informations publiées par Reuters.
Hansen ne pensait pas que ces mesures ou toute autre décision éventuelle quant aux exportation par des pays individuels affecterait les pays d'Afrique subsaharienne ou d'Asie, car « ils sont souvent quelque peu isolés des marchés mondiaux ». L’expert en économie alimentaire a souscrit à l’évaluation de la FAO selon laquelle ces pays pourraient subir de graves conséquences pour la santé si la production alimentaire régionale devait être considérablement affectée par le Covid-19.
RépondreSupprimer_____________
* Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2020/04/coronavirus-presents-looming-food-crisis-fao-warns/
http://seppi.over-blog.com/2020/04/le-coronavirus-porte-en-lui-les-germes-d-une-crise-alimentaire-imminente-previent-la-fao.html
Effectivement, si demain est demandé de semer un grain de blé tout les 2 mètres...
Supprimeret de tirer les oiseaux qui voyagent en nuées ! (dans parler des moustiques, sauterelles et autres bestiaux fourmillièristes !
Après les reproductions naturelles et les poussières intelligentes voici qu'arrivent 'Les merdes constructives' ! Whôah ! Elles bougent ! Elles travaillent ! et bientôt seraient à-même de réfléchir !
S’en remettre à la Chine pour des productions stratégiques, «une faute extrêmement lourde des dirigeants européens»
RépondreSupprimer15:31 07.04.2020
Par Jean-Baptiste Mendès
Le nombre officiel de morts, la diplomatie du masque, la vraie cause X du Covid-19, entre la Chine et l’Occident, tout devient politique dans la crise mondiale du coronavirus. Sputnik a demandé son éclairage à Jean-Vincent Brisset, général de brigade aérienne, spécialiste des questions stratégiques et chinoises, sur cette géopolitique sanitaire.
«Certaines personnes, dans le fond, sont très admiratives des succès de la gouvernance chinoise. Ils envient l’efficacité de notre système politique et haïssent l’incapacité de leur propre pays à faire aussi bien !»
Ce tweet de l’ambassade de Chine à Paris a fait grand bruit au moment où Pékin a repris la main sur le discours médiatique autour de sa gestion du Covid-19. En premier lieu, elle a nié avoir volontairement revu à la baisse les morts liés au coronavirus, avec ce chiffre de 3.335 morts pour le moment. Ce 7 avril, les autorités chinoises ont même annoncé pour la première fois, ne déplorer aucun décès du Covid-19 au cours des dernières vingt-quatre heures. Ce qui a donné lieu à des critiques occidentales: Donald Trump a lui-même évoqué des «chiffres un peu sous-estimés et je suis gentil quand je dis ça». Partout venue au secours des pays touchés par le coronavirus, comme l’Italie, la Chine a été accusée par la diplomatie française de médiatiser excessivement son aide. La crise du coronavirus serait-elle devenue une crise géopolitique ?
Selon Jean-Vincent Brisset, général de brigade aérienne, spécialiste des questions chinoises et de Défense à l’IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques), la Chine a su contenir l’épidémie en prenant des mesures très strictes, mais «pas applicables partout». Dans le cadre de l’aide internationale, elle aide de nombreux États européens dépendants et qui ne «sont pas capables de protéger leur peuple» a expliqué l’expert à Sputnik.
Retrouvez cet entretien sur notre page YouTube
À propos du bilan de l’épidémie en Chine, Radio Free Asia, un média financé par le gouvernement américain, a lancé le chiffre de plus de 40.000 morts, en calculant le nombre d’urnes funéraires par crématorium à Wuhan. Jean-Vincent Brisset estime pourtant que les chiffres donnés par les autorités chinoises «correspondent à peu près à la réalité».
«Le problème, c’est la seconde vague»
Alors que le virus est sans nul doute né à Wuhan, l’attaché de l’Air à l’ambassade de France à Pékin pendant trois ans relève que la gestion sanitaire par la Chine a été des plus efficaces, en mettant en place des mesures extrêmement sévères en particulier des «prises de température pour tout le monde en permanence dès qu’il y avait un déplacement, dès que les gens sortaient ou rentraient quelque part et puis le port du masque obligatoire». Des décisions drastiques qui ont évité 700.000 cas supplémentaires, affirme une étude publiée dans la revue Science. Selon l’ancien militaire, «le problème, c’est la seconde vague» qui pourrait remettre en cause cette gestion chinoise, car il est impossible de contrôler la totalité des 1,4 milliard de Chinois. Le chercheur explique ainsi que la plupart d’entre eux sont «très strictement contrôlés», mais qu’il existe également «une population grise en Chine», qui n’est pas enregistrée.
«Il y a eu ce que l’on appelle les enfants noirs, c’est-à-dire les enfants qui étaient nés au-delà du premier enfant, quand il n’y avait le droit qu’à un seul enfant. Il y a aussi toute une sorte de gens qui sont des marginaux un peu partout en Chine, qui ne sont pas contrôlés et qui se déplacent de manière clandestine comme les migrants clandestins à l’intérieur de l’Europe. Ils sont des vecteurs de maladie.»
RépondreSupprimerUne «victoire de la Chine sur le Covid-19» en trompe-l’œil?
Ceux-là pourraient provoquer cette seconde vague, qui serait bien moins contrôlable et qui pourrait générer une instabilité sociale interne.
«La Chine joue la carte de la bienveillance»
Après deux mois plutôt silencieux, la diplomatie chinoise a adopté un ton offensif, rejetant toute responsabilité à propos de l’épidémie. Au contraire, selon le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, le coronavirus aurait été importé des États-Unis. Même suggestion de la part du compte Twitter de l’ambassade de Chine en France, qui évoque «la fermeture surprise en juillet dernier du plus grand centre de recherche américain d’armes biochimiques, la base de Fort Detrick, au Maryland». Peu après, des «pneumonies ou des cas similaires» seraient apparus. Des accusations qui répondaient notamment aux provocations de Donald Trump sur la qualification de «virus chinois». Une crise sanitaire mondiale qui se transformerait alors en une guerre de l’information? Jean-Vincent Brisset ne mâche pas ses mots pour décrire la stratégie de Pékin:
«La responsable de l’épidémie au niveau mondial, c’est la Chine, c’est ce que veut absolument faire oublier le pouvoir chinois. D’un autre côté, la Chine joue toutes ses cartes. Elle joue la carte de la bienveillance un peu partout dans le monde surtout vis-à-vis des plus faibles, pour pouvoir faire briller son image de nouveau, expliquer qu’elle a bien réagi, et effectivement vu le nombre de morts, elle a bien réagi.»
Deuxième aspect en termes de communication, c’est la médiatisation de l’aide apportée par la Chine qui a mis en rogne certains dirigeants, au premier chef, Emmanuel Macron, qui a dénoncé le 28 mars dans la presse italienne le deux-poids deux-mesures: «On parle beaucoup de l’aide chinoise ou russe, mais pourquoi ne dit-on pas que la France et l’Allemagne ont envoyé deux millions de masques et des dizaines de milliers de combinaisons médicales en Italie?» Accusant la Chine et la Russie, la secrétaire d’État aux Affaires européennes, Amélie de Montchalin, s’est fendue elle aussi d’une déclaration-choc, estimant que «c’est parfois plus simple de faire de la propagande, des belles images et parfois d’instrumentaliser ce qui se passe». Des propos dénoncés comme «cyniques» par la diplomatie chinoise, qui a mis en place «La Route de la soie de la santé».
«La France a très mal protégé son propre peuple»
Depuis le 1er mars, les autorités chinoises ont notamment annoncé avoir exporté 3,86 milliards de masques et 16.000 respirateurs vers plus d’une cinquantaine de pays. Le chercheur de l’IRIS affirme que l’aide chinoise payante ne fait que pointer une dépendance et une faiblesse européenne:
«Elle aide le monde en échange de quelques milliards de dollars, mais la Chine aide effectivement le monde, parce qu’on lui a donné la possibilité de proposition d’exclusivité sur un certain nombre de fabrications. S’il n’y a pas de stocks de masques dans les pays européens, c’est parce qu’on a décidé que s’il y avait un problème, la Chine pourrait fournir. Donc effectivement, il y a une faute extrêmement lourde des dirigeants européens.»
Poursuivant sa diatribe, le général de brigade aérienne n’est pas tendre envers les dirigeants français: «La France a très mal protégé son propre peuple», évoquant les pénuries de masques et de respirateurs artificiels. Celui-ci estime ainsi qu’après la crise, un certain nombre d’États organiseront le rapatriement des domaines essentiels à leur souveraineté et à leur indépendance, et en premier lieu le secteur de la santé. Des propos qui se vérifient avec le changement de ton du Président de la République, qui a lui-même emprunté des accents souverainistes lors de son allocution du 12 mars, refusant dorénavant de «déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner» à l’étranger. Reste à savoir si ces propos seront suivis de faits dans les années à venir.
RépondreSupprimerhttps://fr.sputniknews.com/opinion/202004071043498157-sen-remettre-a-la-chine-pour-des-productions-strategiques-une-faute-extremement-lourde-des/
Acquitté de crimes pédophiles, le cardinal Pell n’a «aucune rancune»
RépondreSupprimer15:30 07.04.2020
Le cardinal australien George Pell, trésorier du Vatican et ancien conseiller du pape François, condamné à six ans de prison pour des violences sexuelles commises sur des mineurs dans les années 1990, a été finalement acquitté en appel.
La condamnation de l’ex-numéro trois du Vatican George Pell, 78 ans, pour viol et abus sexuels sur deux enfants de chœur dans les années 1990, confirmée en appel en août 2019, a fini par être cassée le 7 avril par la Haute Cour d'Australie. Celle-ci l'a acquitté de cinq chefs d'accusation de violences sexuelles, au bénéfice du doute.
La justice australienne a jugé qu’il n’y avait pas assez de preuves. En quittant la prison où il était détenu depuis un an, le prélat a remercié ses avocats et ses partisans, déclarant qu'il n’avait «aucune rancune» à l'égard de son accusateur, relate la chaîne de télévision SBS.
«Je ne veux pas que mon acquittement ajoute à la douleur et à l'amertume que beaucoup ressentent. […] La question était de savoir si j’avais commis ces crimes horribles, et ce n’est pas le cas»», a indiqué dans un communiqué le cardinal de 78 ans qui a toujours clamé son innocence.
Le Saint-Siège salue son acquittement
George Pell, nommé préfet du secrétariat pour l'économie du Vatican par le pape François en 2014 avec la mission de réformer les finances de l'Église catholique, est le plus haut responsable catholique à avoir été jugé coupable de pédophilie.
Il a été reconnu coupable d'abus sexuels commis en 1996 et 1997 sur deux enfants de chœur, alors âgés de 13 ans, dans la cathédrale Saint-Patrick de Melbourne, dont il était l’archevêque. L'une des deux victimes est décédée en 2014. George Pell a été condamné en mars 2019 à six ans de prison.
Le Vatican s'est félicité de son acquittement.
https://fr.sputniknews.com/societe/202004071043498989-acquitte-de-crimes-pedophiles-le-cardinal-pell-na-aucune-rancune/
Elle met des œufs au micro-ondes, ce qui l'envoie pour trois semaines à l'hôpital
RépondreSupprimer14:50 07.04.2020
Une Russe a été gravement brûlée au visage après avoir essayé de faire cuire des œufs au micro-ondes, informe l’agence de presse de la ville de Moscou. Les chirurgiens ont restauré sa peau endommagée durant trois semaines.
Voulant gagner du temps, une Moscovite a mis des œufs au micro-ondes dans un récipient rempli d’eau. Cette décision lui a coûté cher, a écrit le 6 avril l’agence de presse de la ville de Moscou en se référant au service de presse du département de la Santé de la capitale.
Alors qu’elle essayait de retirer de l’eau les œufs avec une cuillère, ils ont explosé «au moment du premier contact avec l’objet».
«De l'eau bouillante et des fragments chauds de coquille ont frappé le visage, les mains et le cou de la femme, elle a à peine réussi à fermer les yeux», indique le média.
Trois semaines de soins
La victime a été transportée dans un hôpital de Moscou où des brûlures au premier, deuxième et troisième degrés (six pour cent de la surface du corps) ont été constatées.
Pendant trois semaines, les chirurgiens ont restauré sa peau. Ils ont eu recours à des équivalents synthétiques d’épiderme, précise l’agence de presse.
Un conseil de Google
Durant l’été 2019, une Britannique de 22 ans de la ville de Redditch, dans le Worcestershire, avait aussi décidé de préparer des oeufs au micro-ondes en suivant un conseil trouvé sur Google. Mais ceux-ci avaient explosé, malgré ce disaient les instructions.
La jeune femme avait été blessée. «Je sentais ma peau se détacher. Je me sentais très mal, j’étais à l’agonie totale. J’ai senti ma peau brûler pendant des heures ensuite», avait-elle raconté au Sun.
https://fr.sputniknews.com/sante/202004071043498523-elle-met-des-ufs-au-micro-ondes-ce-qui-lenvoie-pour-trois-semaines-a-lhopital/
Conséquences inattendues ? Les cas de la polio et du Covid-19
RépondreSupprimerle 7 avril 2020
Nous devons considérer les conséquences médicales involontaires des blocages sociaux dans l’espoir d’empêcher la propagation de COVID 19. Les conséquences involontaires sont illustrées par les épidémies de polio passées qui ont laissé certains de mes camarades de classe estropiés. Pour les plus gravement atteints, un ventilateur n’était pas suffisant, il fallait un poumon d’acier pour que les enfants puissent respirer. Le virus de la polio existe probablement depuis des milliers d’années, mais au XXe siècle, de graves épidémies de polio ont commencé. Pourquoi ?
En 1992, le Dr Krause de l’Institut national de la santé a écrit : «Il existe de nombreux exemples d’anciens virus qui ont provoqué de nouvelles épidémies à la suite de changements dans les pratiques humaines et les comportements sociaux. La poliomyélite épidémique est apparue dans la première moitié du XXe siècle lorsque l’assainissement moderne a retardé l’exposition du virus jusqu’à l’adolescence ou à l’âge adulte, période à laquelle elle a provoqué une infection du système nerveux central et une paralysie sévère. Avant l’introduction de l’assainissement moderne, l’infection à poliomyélite était acquise au cours de la petite enfance, période à laquelle elle causait rarement la paralysie mais fournissait une immunité à vie contre l’infection et la paralysie ultérieures de la polio plus tard dans la vie. Ainsi, ce sont l’assainissement et l’hygiène qui ont aidé à prévenir les épidémies de typhoïde mais ont aussi favorisé l’épidémie de polio paralytique. »
En effet, ce sont les personnes les plus riches avec des niveaux de vie plus élevés qui étaient les plus touchées par les épidémies de polio, car leurs enfants avaient été isolés des souches plus douces durant leur prime enfance avec des mesures d’hygiène.
Comme c’est le cas pour tous les virus dont le génome est un ARN simple brin de même polarité dite positive que les ARN messagers (comme c’est le cas pour le coronavirus-19 alors que le génome des virus Influenza HxNy est un ARN simple brin de polarité négative) ils mutent très plus rapidement et il existe différentes souches. Certains provoqueront des effets bénins tandis que d’autres pourraient être mortels. La virulence d’une souche peut dépendre de l’âge et de la santé d’une personne. Il existe plusieurs souches de virus grippal, de sorte que les vaccins sont ajustés chaque année. Trois principales souches de poliovirus ont été identifiées. Les vaccinations ont éradiqué deux types et maintenant des groupes comme le Rotary Club financent des travaux pour éradiquer le type restant présent. L’observation selon laquelle une exposition précoce aux virus de la poliomyélite a fourni une immunité à vie soulève la question de la lutte contre le COVID 19. Dans quelle mesure isoler les personnes les empêche-t-il de devenir naturellement immunisées lorsqu’elles sont infectées par une souche légère ?
Plus la population de personnes naturellement immunisées est grande, plus le «coupe-feu» qui empêche la propagation d’une souche plus mortelle est important. Tout comme la distanciation sociale minimise la croissance exponentielle d’une souche mortelle, elle empêche également la croissance exponentielle des personnes naturellement immunisées. Dans l’affirmative, une approche plus ciblée serait peut-être préférable. Notre population âgée est la plus vulnérable et est souvent confinée dans des établissements surpeuplés. Les personnes dont l’état de santé est compromis devraient s’isoler. Nous devons absolument minimiser la propagation à ces personnes vulnérables. Peut-être que disposer d’un hôpital pour se spécialiser en COVID et un autre pour les soins médicaux non-COVID est une bonne stratégie. Il n’est pas judicieux d’arrêter les soins médicaux pour un nombre beaucoup plus grand de personnes souffrant d’autres problèmes graves par peur de propager le COVID 19. Et est-il sage de mettre tout le monde en quarantaine ?
RépondreSupprimerLe fait que de nombreuses personnes ont été testées positives pour le virus COVID 19 mais n’ont présenté aucun symptôme suggère qu’il existe diverses souches légères qui pourraient naturellement conférer une immunité. Ces réactions bénignes sont principalement observées chez les personnes de moins de 50 ans. Cependant, une fois que les cohortes plus jeunes auront acquis l’immunité, elles seront moins vulnérables en vieillissant.
Récemment, dans le New England Journal of Medicine, le Dr Fauci a écrit : «Si l’on suppose que le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois plus élevé que le nombre de cas signalés, le taux de létalité peut être considérablement inférieur à 1%. Cela suggère que les conséquences cliniques globales de Covid-19 pourraient finalement être plus proches de celles d’une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d’environ 0,1%) ou d’une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968 dont il a été fait mention sur ce blog) plutôt que une maladie similaire au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10% et 36%, respectivement. »
Le Dr John Ioannidis est professeur de médecine, de recherche et de politique de la santé et de science des données biomédicales à la Stanford University School of Medicine, directeur du Stanford Prevention Research Center et codirecteur du Meta-Research Innovation Center de Stanford
Il a écrit un article d’opinion « Un fiasco en devenir » ? Alors que la pandémie de coronavirus s’installe, nous prenons des décisions sans données fiables suggérant une réaction excessive.
- voir graphique sur site -
Contrairement au modèle de l’Imperial College suggérant que plus d’un million d’Américains pourraient mourir, Ioannidis a soutenu: «Si nous supposons que le taux de létalité parmi les personnes infectées par le SRAS-CoV-2 est de 0,3% dans la population générale – une estimation de milieu de gamme de l’analyse du cas « Diamond Princess » – et que 1% de la population américaine est infectée (environ 3,3 millions de personnes), cela se traduirait par environ 10 000 décès. Cela ressemble à un nombre énorme, mais il est enfoui dans le bruit de fond de l’estimation des décès dus à une «maladie saisonnière de type grippal ». Si nous n’avions pas eu connaissance d’un nouveau virus et si nous n’avions pas vérifié les individus avec des tests de PCR, le nombre total de décès dus à une «maladie de type grippal» ne semblerait pas inhabituel cette année. Tout au plus, nous aurions pu remarquer avec désinvolture que la grippe de cette saison hivernale 2019-2020 semble être un peu plus mortelle que la moyenne. Le modèle de l’Imperial College et d’Ioannidis sera testé prochainement, car le nombre de décès par COVID américain s’élevait déjà à 2 871 au 30 mars.
Néanmoins, il sera difficile de déterminer l’efficacité d’un verrouillage de la société si le COVID-19 se comporte comme la grippe. Les infections grippales baissent de façon spectaculaire à partir du mois d’avril. Par rapport au réchauffement saisonnier, un verrouillage peut avoir un effet minimal. Peut-être qu’en inhibant la propagation d’une immunité naturelle, nous pourrions préparer le terrain pour une autre grande vague de COVID 19 l’année prochaine. Ce sont des questions qui doivent être débattues.
RépondreSupprimerLiens. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1509258
http://polioeradication.org/polio-today/polio-prevention/the-virus/
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2002387
https://www.statnews.com/2020/03/17/a-fiasco-in-the-making-as-the-coronavirus-pandemic-takes-hold-we-are-making-decisions-without-reliable-data/
https://www.kff.org/news-summary/u-s-u-k-shift-covid-19-responses-in-light-of-imperial-college-report-modeling-prevention-strategies-impacts-on-disease-spread/
Pendant 25 ans, en tant que directeur du Campus de terrain dans la Sierra Nevada de l’Université de Californie à San Francisco, Jim Steele a ouvert les yeux et les oreilles d’innombrables étudiants à la magie de la Sierra Nevada en Californie. Dans son premier livre, Landscapes and Cycles, An Environmentalist’s Journey to Climate Skepticism, Steele compare les effets des changements de paysage, des cycles naturels et du changement climatique sur les ours polaires, les baleines, les morses, les pingouins, les grenouilles, les pikas, les papillons et les écosystèmes marins. Bien qu’il soit sage de penser à l’échelle mondiale, toute la faune réagit localement et toutes les régions de la terre se comportent très différemment de ce que pourrait suggérer une statistique moyenne à l’échelle mondiale. Malgré les histoires d’horreur des médias relatives aux calamités du changement climatique, de nombreuses espèces ont bénéficié de ces récents changements en s’adaptant remarquablement beaucoup plus rapidement qu’on ne l’imaginait.
Note. Le taux de mortalité est égal au nombre de morts rapporté à l’ensemble de la population alors que le taux de létalité est le nombre de morts rapporté au nombre de personnes détectées comme séro-positives.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/07/consequences-inattendues-les-cas-de-la-polio-et-du-covid-19/
Comment les microbes du sol aident les plantes à résister aux maladies
RépondreSupprimer7 AVRIL 2020
par Olga Kuchment, Texas A&M University
Les plantes ne peuvent pas s'isoler elles-mêmes lors d'une épidémie, mais elles peuvent obtenir l'aide d'un ami - les microbes bénéfiques du sol aident les plantes à conjurer un large éventail de maladies. Aujourd'hui, les scientifiques de Texas A&M AgriLife ont découvert une partie importante du processus dans lequel les champignons bénéfiques aident les plants de maïs à se défendre contre les agents pathogènes.
Les résultats sont apparus dans The Plant Cell en janvier. Michael Kolomiets, Ph.D., professeur de pathologie végétale et de microbiologie au College of Agriculture and Life Sciences de l'Université Texas A&M, a dirigé l'étude. Le financement de l'étude a été fourni par l'Institut national de l'USDA pour l'alimentation et l'agriculture. Dans l'ensemble, les résultats mettent en lumière un aspect mystérieux de l'immunité des plantes et permettent de futures recherches vers des cultures céréalières plus productives.
Une sélection et une sélection rigoureuses des plantes ont considérablement amélioré les cultures dans le monde entier, entraînant des rendements, une rusticité et une résistance aux maladies plus élevés. Mais ces jours-ci, la productivité des cultures ne peut pas être améliorée autant par la seule sélection génétique, a déclaré Kolomiets.
"Ce qui est actuellement considéré comme la prochaine stratégie très importante - nous l'appelons la "révolution brune", a-t-il déclaré. "Nous pouvons obtenir de l'aide de micro-organismes bénéfiques résidant dans le sol."
Les microbes du sol induisent une «résistance systémique»
Les microbes du sol affectent les plantes d'une manière étonnante. Par exemple, lorsqu'une plante combat une maladie, son taux de croissance ralentit. Mais lorsqu'une plante abrite des microbes utiles sur ses racines, elle peut combattre les parasites tout en maintenant une croissance normale.
Ces microbes du sol confèrent à la plante entière une protection spéciale contre les maladies. Lorsque les microbes du sol sont présents, les plantes subissent ce qu'on appelle la «résistance systémique induite», un renforcement de l'immunité qui protège la plante contre une large gamme d'agents pathogènes.
"Lorsque nous concevons une culture résistante à un agent pathogène, nous devons généralement identifier un gène de résistance pour chaque souche ou groupe d'agents pathogènes", a déclaré Kolomiets. "La résistance systémique induite est une bien meilleure stratégie car elle est efficace contre de multiples agents pathogènes."
Pour toutes ces raisons, comprendre la synergie entre les microbes et les plantes a beaucoup de potentiel pour améliorer la santé et les rendements des cultures.
Que font exactement les micro-organismes ?
Les scientifiques savent que l'influence des microbes sur les plantes est liée à une hormone végétale appelée acide jasmonique, mais l'image ne correspond pas tout à fait aux Kolomiets. Bien que l'hormone stimule la défense, elle ralentit également la croissance. Pour cette raison, les plantes ne produisent de l'acide jasmonique que pendant une courte période de temps lors de la perception du stress, car il y a une forte pénalité de croissance due à la présence continue de cette hormone dans les tissus végétaux.
Si les champignons bénéfiques - qui résident souvent sur les racines pendant la vie d'une plante - font que les plantes produisent de l'acide jasmonique tout le temps, il a dit: "Je me demandais toujours, comment est-il possible que les champignons favorisent également la croissance? sens pour moi. "
RépondreSupprimerTout tourne autour de la sève
Pour voir ce qui se passait à l'intérieur des plants de maïs avec et sans champignons, l'équipe a recueilli la sève des plants de maïs qui avaient des champignons Trichoderma sur leurs racines. Ensuite, les chercheurs ont injecté cette sève "forte" dans des plants de maïs qui n'avaient aucun contact avec Trichoderma.
Ils ont également répété cette expérience avec deux autres variétés de maïs découvertes dans des études précédentes. La première variété a naturellement une immunité plus forte même sans la présence de Trichoderma. La seconde, en revanche, a affaibli l'immunité. Enfin, ils ont répété l'expérience avec deux mutants Trichoderma précédemment découverts. Un mutant ne peut pas augmenter l'immunité du maïs et l'autre induit une immunité à des niveaux supérieurs à son progéniteur de type sauvage.
Dans tous les cas, lorsque la sève a été prélevée sur des plantes à forte immunité et injectée dans des plantes normales ou affaiblies, la sève a agi de manière similaire à un vaccin, rendant les plantes les plus faibles résistantes aux maladies. Et lorsque la sève de plantes plus faibles a été injectée dans des plantes à immunité renforcée, cette immunité s'est affaiblie.
Une substance différente de la somme de ses parties
Ensuite, les chercheurs ont analysé l'ensemble complet des métabolites dans les plantes de chaque expérience. En dernière analyse, deux composés expliquent les effets de Trichoderma. Un composé, le 12-OPDA, était un élément familier de l'acide jasmonique. Mais contrairement à l'acide jasmonique, ce composé peut ne pas inhiber la croissance des plantes.
De plus, l'analyse a montré que Trichoderma envoie des signaux chimiques pour encourager les plantes à produire du 12-OPDA et les décourager d'utiliser jusqu'à 12-OPDA pour fabriquer de l'acide jasmonique.
"Les gens considèrent cette voie en plusieurs étapes comme un événement unique. Mais il s'avère que les intermédiaires sont aussi importants que le produit final", a déclaré Kolomiets. Le résultat suggère que les sélectionneurs qui cherchent à créer des plantes plus résistantes pourraient rechercher des variétés de maïs avec des niveaux modifiés de ces intermédiaires.
Les plantes et les microbes peuvent-ils encore mieux fonctionner ensemble ?
L'un des objectifs futurs de l'équipe est de trouver des variantes naturelles de Trichoderma qui sont encore plus bénéfiques que les souches actuellement utilisées. "Il y a une grande diversité dans la nature, et nous devons exploiter cette diversité", a déclaré Kolomiets.
En outre, l'équipe "peut désormais identifier les variétés de maïs qui sont les meilleures à cette interaction avec ces microbes bénéfiques", a déclaré Kolomiets. "Si nous savons comment ils le font, cela nous permet de produire un meilleur maïs pour le microbe et de produire un meilleur microbe pour le maïs, résultant en un maïs plus sain sur le terrain."
https://phys.org/news/2020-04-soil-microbes-resist-disease.html
L'inexplicabilité de la chute des feuilles en automne. Est-elle due au froid ? Pas du tout, il fait moins froid en automne qu'au printemps où les feuilles sont petites, fragiles et fines et résistent aux gelées. Alors c'est quoi ?
SupprimerPourquoi sur un platane (par exemple) y a t-il sur les 3 ou 4 branches fortes (qui démarrent à 3 m env. du sol) des petites branches fines (qui partent de ces fortes) qui sont vertes et portent des feuilles, puis, ces mêmes branches meurent ? Aucune attaque des feuilles ni de l'intérieur de la branche !
L'arbre, absorberait par ses racines toutes sortes de poisons analysés comme étant 'de trop'. La sève les dirige alors vers une branche sacrifiée en cours de saison, puis, arrivée de l'automne, elle semble rejeter tout ces poisons d'un seul coup par les feuilles (qui jaunissent et qui tombent).
La preuve inter-universelle Teichmüller de Mochizuki a été publiée (mise à jour)
RépondreSupprimerRAPPORT DU 7 AVRIL 2020
par Bob Yirka, Science X Network, Phys.org
Après huit ans de débats, le mathématicien japonais Shinichi Mochizuki a trouvé un éditeur pour sa gigantesque entreprise: la théorie inter-universelle de Teichmüller (IUT).
Dans le cadre de la preuve de 600 pages, Mochizuki prétend avoir résolu la conjecture abc. La preuve apparaît dans les publications de l'Institut de recherche en sciences mathématiques - Mochizuki y est rédacteur en chef.
Shinichi Mochizuki est devenu bien connu dans la communauté mathématique bien avant d'écrire l'IUT pour son travail en théorie des nombres et en géométrie arithmétique. Il est notoirement timide vis-à-vis des médias et a refusé de donner des interviews. Mais il aurait commencé à travailler sur l'IUT au début des années 2000 et achevé le travail avant 2012 - il a auto-publié la preuve sur son propre site Web cette année-là, et a immédiatement été accueilli avec scepticisme car le travail était incroyablement dense et complexe pour le degré que d'autres mathématiciens ne pouvaient pas comprendre ce qu'il avait écrit. Mochizuki a ajouté à la confusion qu'il avait résolu plusieurs conjectures dans la preuve, parmi elles l'un des problèmes ouverts les plus célèbres de la théorie des nombres - la conjecture abc.
En raison de la réputation de Mochizuki, de nombreux mathématiciens pensaient que la preuve était solide et que tout ce qui était nécessaire était que la communauté mathématique atteigne le niveau de compréhension de Mochizuki. Des ateliers nationaux ont été organisés en 2015, suivis par des ateliers internationaux l'année suivante. Mais aucun d'entre eux n'a permis de comprendre l'IUT. Pour aggraver les choses, Mochizuki a refusé d'assister aux ateliers ou d'offrir beaucoup de précisions sur son travail. Puis, il y a deux ans, plusieurs mathématiciens de renom ont rencontré Mochizuki pour discuter de la preuve, échouant à nouveau à comprendre pleinement son travail. Peu de temps après, plusieurs de ceux qui avaient rencontré Mochizuki ont affirmé qu'il y avait des lacunes dans le travail qui rendaient impossible de le reconnaître comme une preuve. Mochizuki a répondu dans une lettre ouverte suggérant que les lacunes alléguées par ses collègues étaient le résultat de leurs tentatives de simplifier le travail et a insisté sur le fait qu'il n'y avait aucune lacune dans sa preuve.
Mochizuki n'a fait aucun commentaire public sur la publication de l'IUT et a refusé toutes les demandes d'interview. Les rédacteurs en chef du journal qui a publié les preuves ont déclaré à la presse que Mochizuki s'était retiré du processus et qu'ils avaient décidé d'imprimer par leurs propres moyens - une affirmation qui se demande comment cela a pu se produire, car cela indiquerait la le document a été évalué par des pairs.
https://phys.org/news/2020-04-mochizuki-inter-universal-teichmller-proof-published.html
COVID-19: En moyenne, seulement 6% des infections réelles détectées dans le monde
RépondreSupprimer7 AVRIL 2020
par l'Université de Göttingen
Selon un récent rapport de l'Université de Göttingen, le nombre de cas confirmés de la nouvelle maladie à coronavirus COVID-19 officiellement publiés par les pays et largement rapportés par les médias nationaux et internationaux sous-estime considérablement le nombre réel d'infections. Le Dr Christian Bommer et le professeur Sebastian Vollmer de l'Université de Göttingen ont utilisé des estimations de la mortalité et du temps jusqu'à la mort du COVID-19 d'une étude récente publiée dans The Lancet Infectious Diseases pour tester la qualité des dossiers officiels. Leurs données montrent que les pays n'ont découvert en moyenne qu'environ 6% des infections à coronavirus et que le nombre réel de personnes infectées dans le monde a peut-être déjà atteint plusieurs dizaines de millions. Leur étude est disponible en ligne.
Des tests insuffisants et retardés peuvent expliquer pourquoi certains pays européens, comme l'Italie et l'Espagne, connaissent un nombre de victimes beaucoup plus élevé (par rapport aux cas confirmés signalés) que l'Allemagne, qui a détecté environ 15,6% des infections contre seulement 3,5% en Italie ou 1,7% en Espagne. Les taux de détection sont encore plus faibles aux États-Unis (1,6%) et au Royaume-Uni (1,2%) - deux pays qui ont reçu de nombreuses critiques de la part d'experts en santé publique pour leur réponse tardive à la pandémie.
Contrairement à cela, la Corée du Sud semble avoir découvert près de la moitié de toutes ses infections par le SRAS-CoV-2. Les auteurs estiment qu'au 31 mars 2020, l'Allemagne avait 460 000 infections. Sur la base de la même méthode, ils calculent que les États-Unis ont plus de 10 millions, l'Espagne plus de 5 millions, l'Italie environ 3 millions et le Royaume-Uni environ 2 millions d'infections. Le même jour, l'Université Johns Hopkins a signalé que dans le monde, il y avait moins de 900 000 cas confirmés, ce qui signifie que la grande majorité des infections n'étaient pas détectées.
Sebastian Vollmer, professeur d'économie du développement à l'Université de Göttingen, déclare: "Ces résultats signifient que les gouvernements et les décideurs doivent faire preuve d'une extrême prudence lors de l'interprétation des nombres de cas à des fins de planification. Ces différences extrêmes dans la quantité et la qualité des tests effectués dans différents les pays signifient que les dossiers officiels de cas sont en grande partie non informatifs et ne fournissent pas d'informations utiles. " Christian Bommer ajoute: "Des améliorations majeures de la capacité des pays à détecter de nouvelles infections et à contenir le virus sont urgentes."
https://medicalxpress.com/news/2020-04-covid-average-actual-infections-worldwide.html
Forbes dresse son classement 2020 des personnes les plus riches au monde, un Français dans le top 3
RépondreSupprimer17:23 07.04.2020
Forbes a publié l’édition 2020 de son classement des personnes les plus riches du monde. Malgré la pandémie de coronavirus, le trio de tête reste le même qu’en 2019, à savoir Jeff Bezos, Bill Gates et Bernard Arnault, alors qu’au total 39 Français dont cinq femmes se trouvent dans le top.
«Ni le krach boursier ni la crise du coronavirus, ni même son divorce ne semble pouvoir freiner l’irrésistible ascension de Jeff Bezos», écrit Forbes en présentant le plus riche milliardaire de 2020. Le fondateur d’Amazon, avec une fortune de 103,6 milliards d’euros est suivi par Bill Gates (89,9 milliards).
Par rapport à l’année précédente, Bernard Arnault et ses 69,7 milliards d’euros détrône Warren Buffett de la troisième place.
Dans le top 10 figurent également le fondateur d'Oracle, Larry Ellison (54,1 milliards), le directeur d'Inditex, Omansio Ortega (50,5 milliards), le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg (50,1 milliards). Deux héritiers du fondateur de Walmart, Sam Walton, clôturent le top 10.
Le magazine explique comment faire partie de la liste:
«Chaque année, le classement Forbes évalue la fortune professionnelle des individus. Et la règle est simple. S’il peut être prouvé, à la date d’arrêté (le 18 mars 2020 cette année), que le patrimoine d’un individu dépasse le milliard d’euros, net de son endettement, alors celui-ci est inclus dans le palmarès mondial de Forbes».
39 Français en font partie
Dans ce nouveau classement, 39 Français, dont cinq femmes, ont franchi la barre du milliard d’euros, pour un montant total de près de 277 milliards. Ils sont dominés, comme depuis plusieurs années, par Bernard Arnault et sa famille. Deux autres grandes familles du luxe, les Pinault (Kering) et les Wertheimer (Chanel), se trouvent également dans le top 5 des milliardaires français.
https://fr.sputniknews.com/economie/202004071043499862-forbes-dresse-son-classement-2020-des-personnes-les-plus-riches-au-monde-un-francais-dans-le-top-3/
Quelque 6.000 masques découverts par hasard dans un centre commercial en Moselle
RépondreSupprimer20:54 07.04.2020
Un centre commercial E.Leclerc en Moselle a récemment découvert une palette de 6.000 masques FFP2 stockés avant même l’épidémie de Covid-19 et oubliés dans la réserve du magasin. Un colis de 2.400 masques a été remis au centre hospitalier de Sarrebourg.
Une découverte inattendue et très bienvenue en pleine épidémie du nouveau coronavirus a été faite par un employé du magasin E.Leclerc de Sarrebourg, dans la Moselle: il a trouvé dans la remise 6.000 masques FFP2. Livrés au magasin avant le début de la crise sanitaire en France dans le cadre de mesures préventives, ils avaient été rangés sur une palette placée en hauteur dans le secteur des textiles, a fait savoir Le Républicain lorrain.
«Et elle était complètement sortie des écrans radars entre-temps», a déclaré le PDG du centre commercial, Jean-François Froemer, cité par le journal.
De nombreux masques, qui sont particulièrement efficaces, sont distribués aux professionnels de santé et aux établissements de soin de la région.
Une découverte apparemment plus qu’opportune quand on sait que le Grand Est est frappé de plein fouet par la pandémie.
Remis à l’hôpital
La marchandise a été écoulée dans la région de Sarrebourg auprès d’infirmiers, ambulanciers, médecins, personnel encadrant les enfants de soignants ou de maisons de retraite, a ajouté le journal. Le centre commercial a fait don de 2.800 masques à l’hôpital de la ville.
Le Républicain lorrain ajoute qu’un atelier de fabrication de masques en tissu avait été ouvert dans le magasin E.Leclerc afin que les employés ne manquent pas de protection.
https://fr.sputniknews.com/france/202004071043502941-quelque-6000-masques-decouverts-par-hasard-dans-un-centre-commercial-en-moselle/
Le coronavirus va-t-il faire disparaître le cash ? «Le rêve des banquiers»
RépondreSupprimer18:16 07.04.2020
Par Fabien Buzzanca
De plus en plus de commerçants dans le monde limitent l’utilisation du cash. L’épidémie de Covid-19 va-t-elle précipiter la fin de la monnaie fiduciaire ? L’OMS recommande en effet de privilégier les moyens de paiement sans contact afin d’éviter la propagation du virus. Philippe Béchade, président des Éconoclastes, livre son analyse à Sputnik.
«Je ne crois pas à la disparition du cash. En revanche, les tentatives pour en limiter l’usage vont se multiplier.»
Philippe Béchade, président des Éconoclastes, sent bien que la crise sanitaire que vit actuellement la planète met en danger le cash, sans toutefois croire à sa disparition. Ce n’est pas encore le cas, même si certains magasins en Europe commencent à prendre leurs précautions. Avec plus de 75.000 morts, dont environ 54.000 en Europe, la pandémie de coronavirus met le monde face à une catastrophe sanitaire d’une ampleur colossale. De quoi forcer à la prudence.
Une partie de la population exclue ?
Comme le relèvent nos confrères du quotidien suisse Le Temps, dans la banlieue de Zurich, une pharmacie a tout simplement interdit les paiements en cash. Et cette initiative est loin d’être isolée. En France aussi, les billets de banque n’ont pas la côte, comme le rappelle le journal La Croix:
«Chez certains commerçants, y compris dans de petits magasins, on voit fleurir des affiches pour privilégier les paiements par carte bancaire, voire interdire les achats en espèces. D’eux-mêmes, des consommateurs préfèrent payer par carte, si possible sans contact, pour n’avoir pas à toucher le terminal de paiement.»
Début mars, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelait à privilégier les paiements par carte «sans contact». Reste que de l’aveu même de l’organisme, la durée de survie du virus sur un billet de banque n’est pas exactement connue. D’après la porte-parole de l’OMS, elle ne dépasserait pas 120 minutes. Même son de cloche du côté de la Banque de France:
«Jusqu’à présent, il n’existe aucune preuve que des virus tels que le coronavirus aient été propagés par les billets de banque.»
Dans le climat anxiogène actuel, même un faible risque entraîne donc des mesures drastiques de la part de certains commerçants. Quitte à entrer dans l’illégalité. Sauf dans de très rares cas, en France, un commerçant n’est pas en droit de refuser un billet ou une pièce en euros.
D’autant que les conséquences d’un arrêt de l’utilisation du cash seraient énormes, comme le rappelle Philippe Béchade. D’après le président des Éconoclastes, les banques seraient les grandes gagnantes d’un monde sans cash:
«Toute transaction électronique donne lieu à des commissions. Chacune d’entre elles fournit un petit quelque chose aux banques. La fin du cash est le rêve des banquiers.»
Et de poursuivre: «Les banques pourront contrôler exactement ce que leurs clients consomment et à quelle fréquence. Imaginez le cas où un client discute de l’obtention d’un prêt avec son banquer et que ce dernier a accès à des informations qui montrent que ce même client a récemment rendu visite à un oncologue, est passé par un centre de scanner et est allé plusieurs fois à la pharmacie acheter des produits très chers. De là à faire le rapprochement avec un traitement cancéreux, il n’y a qu’un pas, qui va suffire à faire sauter le prêt.»
RépondreSupprimerD’autant plus que plusieurs associations alertent sur l’exclusion d’une partie de la population que provoquerait un monde sans cash. En France, l’interfédération PJM (protection juridique des majeurs), qui regroupe la Fédération des associations tutélaires (FNAT), l’Union des associations familiales (UNAF) et l’Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales, et de leurs amis (UNAPEI) a publié un communiqué diffusé le 30 mars, dans lequel elle estimait que «les nécessaires mesures de lutte contre la propagation du virus ne doivent pas faire oublier que 5% de nos concitoyens n’ont pas de carte de paiement ni de carte de retrait. Ils ne peuvent régler leurs achats qu’en espèces et ont besoin d’avoir accès à un guichet pour retirer de l’argent.»
Philippe Béchade relève un autre danger d’une disparition possible du cash: celui de la toute-puissance des banques:
«Sans cash, il n’existe plus d’autre option que d’avoir ses liquidités sous forme d’inscription numérique, que l’on peut vous confisquer du jour au lendemain d’un clic de souris.»
Le président des Éconoclastes insiste sur le danger d’un certain totalitarisme des institutions financières en cas de disparition du cash:
«La vie privée me paraît fondamentale. Sans possibilité de payer en cash, les banques auront énormément d’informations sur vous. On pourra savoir que vous êtes un amateur de whisky si vous vous rendez en acheter chez le caviste. Et que va-t-on faire de cette information ? Les banquiers pourront très bien se dire que cette habitude de consommation est susceptible d’entraîner des problèmes de santé. Celui qui mange des légumes bio aura son prêt, au contraire de l’hédoniste ?
https://fr.sputniknews.com/economie/202004071043499671-le-coronavirus-va-t-il-faire-disparaitre-le-cash-le-reve-des-banquiers/
SupprimerCette opération menée par la dictature en place va permettre aux dealers de continuer avec d'autres monnaies et permettra à TOUS banquiers de vider votre compte (dit pour 'cause de faillite') car, l'argent déposé en ces putains de banques change automatiquement de propriétaire ! Tel est le règlement bancaire depuis toujours !
Dès lors, ils peuvent affirmer qu'il y a 'un virus dans l'air' et vous confiner chez vous à vie dans votre tombe !
RépondreSupprimerNSA Attacks !
dimanche 19 janvier 2014
Rendez-vous compte que nous avons tous chez nous des espions dans les appartements, véhicules de transport et même dans nos poches quand ce n'est pas sous la peau ! Cette élucubrante politique de psychopathe serait conduite et maintenue afin de ... nous protéger d'une attaque terroriste !
('Mars Attacks' ?) Donc, en principe, si vous découvrez un intrus chez vous vous appellerez probablement la police, mais là, l'intrus qui n'a jamais été invité à pénétrer chez vous (ou dans vous !) vous... menace de représailles s'il est dénoncé voire (pour rigoler !) traduit en justice !
Cet espion qui ne se contente pas de lire votre courrier, de vous écouter parler au téléphone ou sans téléphone à quelqu'un, de vous filmer sous la douche ou au wc ou autre part 24/24h ! et, d'en archiver les moments les plus 'croustillants', ajoute à vos correspondances des virus de plus en plus féroces (car figurez-vous que lors de l'ouverture de votre courrier, le virus ne se propagerait pas chez lui et pire ne serait même pas vu !), et donc saurait tout sur les transactions sur le net, les mouvements bancaires et les épaisseurs de comptes de chacun (qui pourraient être vidés en un instant !).
Donc, après le 'Vive les banksters' prônés comme étant les sauveurs de la merde dans laquelle ils nous ont mis, voici venir le 'Vive les voleurs-tueurs' qui finissent le travail en vous demandant même de payer votre bourreau entre les 'Ya-ya !' d'outre-Rhin et les 'Yes-yes !' d'outre Atlantique !
Putain de sa mère de celui qu'a inventé çà !
Mais comme à Fort Meade ou à l'Utah Data Center cela paraîtrait comme compliment voire d'être affiché en lettres d'or à l'entrée, autant envisager l'avenir de l'Internet par une correspondance de clés USB ou de disques gravés entre ordinateurs et transportés par la poste ou livreurs 'de pizzas'.
(vu que la place des 'pigeons voyageurs' est déjà prise par les drones armés !)
D'où de nouveaux messages terroristiques apparus/vendus sous le manteau à la sortie des écoles, ou des boites de 20 marquées 'S'INFORMER TUE' appelez la Pennsylvania Ave pour vous faire désintoxiquer !
----------------------
(...) Rassurez-vous si vous perdez votre téléphone... il savent très bien qui l'a pris et où il est puisqu'ils ont sa photo jusqu'à l'iris de ses yeux et ses empreintes digitales quand il forme un numéro ! D'où (puisqu'il y a du rable) le terme évocateur de complice de vols et de meurtres à ajouter à celui d'espion qui 'écoute aux portes' dévoilé par Snowden. (...)
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/11/photos-exclusives.html
et
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/06/touchez-pas-cest-collector.html
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/01/nsa-attacks.html
Face au Covid-19, le gouvernement est-il prêt à bafouer les libertés individuelles ?
RépondreSupprimer20:00 07.04.2020
Par Mike Beuve
L’ampleur de la crise sanitaire qui touche la France pousse le gouvernement dans ses retranchements. Pour endiguer l’épidémie, l’exécutif évoque la possibilité d’un traçage numérique des Français contaminés en utilisant les données personnelles des smartphones. Un dispositif qui s’avère potentiellement liberticide.
«Toutes les intelligences disponibles sont nécessaires et seront utilisées. Le tracking fait partie des solutions retenues par un certain nombre de pays, donc nous aurons fait le choix de travailler avec eux pour regarder ces solutions.»
Christophe Castaner a confirmé sur France 2 ce qu’avait évoqué le Premier ministre le 1er avril, à savoir la possibilité d’un traçage numérique des citoyens en utilisant les données personnelles des téléphones portables.
Une solution prônée par de nombreux pays comme Israël, Taïwan, ou encore la Russie, afin de prévenir ceux qui se sont trouvés proches d’une personne contaminée. Si pour contenir la pandémie de Covid-19 et protéger leur population les différents États à travers le monde sont prêts à tout mettre en œuvre, ces dispositifs sont autant d’entorses au respect des libertés fondamentales. Un point prégnant puisque que Christophe Castaner a rappelé que le traçage numérique devrait «respecter nos libertés individuelles», condition pour qu’il soit «retenu et soutenu par l’ensemble des Français».
Des malades sous surveillance
Interrogé par Sputnik, Sylvain Staub, PDG de Data Legal Drive (logiciel de pilotage de la conformité RGPD pour les entreprises) et avocat associé spécialisé en informatique et des données personnelles, explique qu’il «ne peut pas avoir de backtracking [retour sur trace, ndlr] des Français tout en respectant les libertés individuelles.»
«Le vrai backtracking est celui qui est efficace. Pour qu’il soit efficace, il doit être imposé et appliqué à tout le monde. Or, cela ne peut pas préserver les libertés individuelles.»
Un cas de conscience qui divise au sein de la majorité. Ainsi, sur Twitter, le député des Deux-Sèvres Guillaume Chiche, également membre du bureau exécutif de LREM, avertit que «cette séquence collective qu’est le confinement ne doit pas être le théâtre d’un fractionnement de nos droits ou d’une logique de restrictions de libertés ciblées et individualisées».
Bafouer les libertés individuelles pour contenir l’épidémie?
Dans une tribune publiée dans le JDD, le député de la Vienne Sacha Houlié (LREM) s’élève également contre ce dispositif: «Le suivi des données des personnes infectées est une réponse dangereuse et condamnable. La collecte des informations personnelles des utilisateurs de téléphones mobiles ou de montres connectées revient à placer l’ensemble de la population sous bracelet électronique et de les rendre, sinon coupables, à tout le moins tous suspects».
«Faire croire aux Français qu’il pourrait y avoir un tracking vertueux est, de mon point de vue, un mensonge», s’indigne Sacha Houlié.
Le traçage numérique pour combattre la pandémie «sera soutenu par les Français», estime Castaner - vidéo
Pour Sylvain Staub, les dérives possibles sont le cœur du problème. En effet, «si vous êtes capables de savoir qui est chez lui ou pas, cela veut dire que vous êtes capable de pister et de sanctionner abusivement. Quelle va être la parcimonie dans la sanction ? Est-ce que l’on va être en mesure de savoir si les gens ne sont pas chez eux pour de bonnes raisons ou de mauvaises raisons ?»
RépondreSupprimer«Dès lors que vous mettez le doigt dans un système qui vous permet de géolocaliser des gens par téléphone et donc de les traquer, quel que soit la finalité, de manière non anonyme vous acceptez de renoncer à une partie selon moi très importante des libertés individuelles.»
Alors, comment réussir à respecter un tant soit peu celles-ci ? Édouard Philippe avait avancé quelques pistes, précisant que le traçage numérique ne serait pas «obligatoire», mais utilisé sur la base «d’un engagement volontaire». Pour le PDG de Data legal Drive, il faudrait également «que les données soient anonymisées», ce qui soulève le problème de «l’efficacité» du suivi des personnes malades.
Les dérives du backtracking
Par ailleurs, de nombreuses mesures liberticides prises dans le cadre de l’état d’urgence pour lutter contre le terrorisme se sont retrouvées dans le droit commun. L’état d’urgence sanitaire étant en vigueur en France depuis la loi du 23 mars 2020, «tous les dispositifs que l’on prendra feront difficilement l’objet d’un retour en arrière», prévient Sylvain Staub.
Géolocalisation pour contrer le Covid-19 : vers un bafouement du respect de la vie privée ?
Au-delà du cadre juridique français, le gouvernement peut aussi s’appuyer sur les zones grises laissées par le règlement général sur la protection des données (RGPD). L’article 9-2 prévoit ainsi de sortir du cadre du RGPD pour des exceptions comme «des motifs d'intérêt public dans le domaine de la santé publique, tels que la protection contre les menaces transfrontalières graves pesant sur la santé».
«Cette période est fondamentale pour s’interroger sur l’importance du cadre réglementaire mondiale sur les données personnelles et non pas commencer à ouvrir des brèches en disant: on va porter atteinte aux libertés individuelles parce que ce sera un moyen pour lutter contre telles ou telles difficultés.»
Et d’ajouter:
«Il faut être extrêmement vigilant. Cette crise sanitaire et les possibilités qui nous sont données par la technologie et le big data doivent nous obliger à réfléchir au monde dans lequel nous voulons vivre demain», conclut Sylvain Staub.
https://fr.sputniknews.com/france/202004071043502256-face-au-covid-19-le-gouvernement-est-il-pret-a-bafouer-les-libertes-individuelles/
SupprimerTout le monde va ressortir ses Nokia du grenier !
L'escroquerie de 'traquer le virus' et de prendre tout le monde pour des cons !
Coronavirus : améliorer le « monde d’avant » oui, le rejeter, certainement pas
RépondreSupprimerRéformons ce qu’il faut réformer, faisons en sorte que l’État, globalement, et l’organisation de la Santé, en ce moment dramatiquement en cause, soient plus mobiles et plus réactifs, mais ne changeons pas de système.
8 AVRIL 2020
Par Nicolas Lecaussin.
Un article de l’Iref-Europe
Le nombre de cas et de morts à cause du coronavirus est comptabilisé inlassablement dans les médias et sur les réseaux sociaux. Même si les perspectives, surtout économiques, ne sont pas optimistes, il faut se rappeler que notre monde, à quelques exceptions près, n’était pas vraiment à plaindre avant le déclenchement de l’épidémie. Une épidémie qui, ne l’oublions jamais, a pris ces proportions à cause de l’incurie, des mensonges et des tromperies d’une dictature marxiste.
Il y a eu un avant le virus, comme les 275 000 emplois nets créés aux États-Unis en février, avec de nouvelles hausses de salaires et 54 % des petites entreprises déclarant vouloir toujours embaucher. Fin février, le taux de chômage était à 3,5 %. Il faudrait aussi tenir compte des progrès accomplis à l’échelle du monde. Selon le rapport sur le développement des Nations Unies, la décennie qui vient de s’écouler a connu la plus importante baisse de la pauvreté. Selon les données de la Banque mondiale, le taux d’extrême pauvreté a chuté de plus de moitié, passant de 18,2 % à 8,6 %, entre 2008 et 2018. Selon le World Data Lab, pour la première fois, plus de la moitié de la population de la planète pourrait être considérée comme faisant partie de la classe moyenne.
DES BONNES NOUVELLES PARTOUT
Toujours à l’échelle mondiale, l’espérance de vie a augmenté de plus de trois ans au cours des 10 dernières années, principalement grâce à la prévention de la mortalité infantile. Selon l’ONU, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans est passé de 5,6 % en 2008 à 3,9 % en 2018. Même les écologistes peuvent être contents. Les taux de mortalité par pollution atmosphérique ont diminué de près d’un cinquième dans le monde et d’un quart en Chine entre 2007 et 2017, selon la publication en ligne Our World in Data. La mortalité annuelle due aux catastrophes climatiques a diminué d’un tiers entre 2000-2009 et 2010-2015, pour atteindre 0,35 pour 100 000 habitants, soit une réduction de 95 % depuis les années 1960.
Ces données ne sont qu’une partie des bonnes nouvelles que nous avons eues avant le coronavirus. Il n’y a pas de raison que cela change après la fin de l’épidémie à condition de ne pas « changer de modèle ». Pour beaucoup, cela signifie renoncer au capitalisme, or, c’est bien lui qui nous permettra de nous en sortir. C’est l’innovation, c’est la concurrence et la recherche privée et publique. Même contre le coronavirus, on note déjà des progrès. L’innovation, la recherche et la concurrence vont se débarrasser du virus !
Il y a quelques semaines, la petite entreprise Cepheid a annoncé l’approbation, par les autorités de santé, d’un test qui pourrait donner un diagnostic en 45 minutes.
Il y a à peine cinq jours, les laboratoires d’Abbott ont reçu le feu vert pour un test qui, selon eux, peut donner des résultats en seulement cinq minutes. La société espère produire jusqu’à 50 000 tests par jour et commencer à livrer des kits cette semaine.
Des chercheurs de l’université Purdue ont créé un appareil similaire aux tests de grossesse à domicile, qui peut détecter la présence de certaines variétés de virus et fournir des résultats en 40 minutes.
RépondreSupprimerLa société de diagnostic Biomerica a lancé une procédure (résultats en 10 minutes) capable de détecter une infection, même en l’absence de symptômes. Cela permettrait aux hôpitaux d’identifier les personnes qui pourraient donc avoir déjà développé une résistance aux virus.
La société Batelle, quant à elle, a mis au point un nouveau procédé de désinfection, plus efficace que tout ce qui existe actuellement.
Réformons ce qu’il faut réformer, faisons en sorte que l’État, globalement, et l’organisation de la Santé, en ce moment dramatiquement en cause, soient plus mobiles et plus réactifs, mais ne changeons pas de système. C’est le seul qui fasse confiance à l’innovation, qui croie en l’individu et en ses capacités créatrices.
https://www.contrepoints.org/2020/04/08/368511-coronavirus-ameliorer-le-monde-davant-oui-le-rejeter-certainement-pas
(...) Coronavirus : améliorer le « monde d’avant » oui, le rejeter, certainement pas (...)
SupprimerNon à la dictature qui se renforce chaque jour un peu plus sous divers prétextes de sécurité.
Remarquez que ce parleur sans conscience ne parle JAMAIS de la Démocratie demandée par tous !
Le monde est "somnambule dans l'état de surveillance" alors que les répressions de COVID-19 s'intensifient
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 04/07/2020 - 20:00
Partout dans le monde, à commencer par la Chine, la pandémie de COVID-19 a permis la prolifération de l'État de surveillance.
Plus de 100 groupes de défense des droits de l'homme avertissent que les gouvernements et les entreprises s'associent en tant que force de collaboration pour utiliser les mégadonnées et accroître la surveillance généralisée qui menace les libertés et la vie privée, a rapporté Reuters.
À l'heure actuelle, les outils de surveillance sont utilisés pour atténuer la propagation du virus, retracer les infections jusqu'au patient zéro, surveiller la distanciation sociale et imposer des verrouillages. Cependant, le virus est probablement une couverture pour l'espionnage omniprésent.
Human Rights Watch (HRW) et Privacy International ont déclaré qu'en l'absence de garanties appropriées, les outils de surveillance pourraient rester en place même après l'éradication du virus, ce qui porterait atteinte aux libertés des personnes dans un délai suffisamment long.
"Une augmentation des pouvoirs de surveillance numérique de l'État, tels que l'accès aux données de localisation des téléphones portables, menace la vie privée, la liberté d'expression et la liberté d'association", ont déclaré les groupes.
La semaine dernière, Edward Snowden a averti que la surveillance de masse temporaire, conçue pour lutter contre le virus, ne serait pas si temporaire, et les nouvelles mesures sont la nouvelle norme. Il a dit que le virus est la couverture parfaite pour inaugurer l'état de surveillance de masse orwellienne et qu'il survivra longtemps au virus.
Aaron Kesel d'ActivistPost a récemment souligné que le virus "se révèle être le cheval de Troie qui justifie une surveillance numérique accrue via nos smartphones".
"La Chine n'est pas le seul pays à se tourner vers les smartphones pour surveiller ses citoyens. Israël et la Pologne ont également mis en place leur propre espionnage pour surveiller ceux soupçonnés ou confirmés d'être infectés par le virus COVID-19. Israël a choisi la voie la plus extrême, et s'est maintenant donné le pouvoir de surveiller tout citoyen sans mandat judiciaire. En revanche, la Pologne demande aux personnes diagnostiquées avec COVID-19 de s'auto-isoler pour envoyer aux autorités un selfie à l'aide d'une application. Ce qui, si les Polonais ne répondent pas en 20 minutes avec un visage souriant, ils risquent une visite de la police, a rapporté Dailymail. "
"Singapour a demandé aux citoyens de télécharger une application qui utilise Bluetooth pour savoir s'ils ont été à proximité de toute personne diagnostiquée avec le virus. . "
"Pendant ce temps, ici aux États-Unis, comme le rapporte le Washington Post, les smartphones sont utilisés par diverses entreprises pour collecter" anonymement "les données des utilisateurs et suivre si les ordres de distanciation sociale sont respectés. Au-delà de cela, l'industrie de la téléphonie mobile discute comment surveiller la propagation de COVID-19. Si cela ne suffit pas, comme l'a rapporté cet auteur pour The Mind Unleashed, le gouvernement veut travailler avec de grands géants des technologies sociales comme Google, Facebook et d'autres, pour suivre la propagation de COVID-19. "
Peter Micek, avocat général du groupe de droits numériques Access Now, a déclaré que la récente montée en puissance de l'État de surveillance constituait une marche claire vers un avenir dystopique de Big Brother.
RépondreSupprimerHRW note que 24 pays ont déjà installé des outils de surveillance répandus qui suivent les personnes à des fins d'application de la quarantaine.
Rasha Abdul Rahim, directeur adjoint de la division technique d'Amnesty International, a déclaré que le monde "ne doit pas s'endormir dans un État de surveillance élargi permanent".
La guerre contre le terrorisme, la guerre contre la drogue, la guerre contre l'immigration illégale, et maintenant la guerre contre COVID-19: tout commence comme des réponses légitimes mais est ensuite utilisé par les gouvernements pour accroître la surveillance et éroder toutes les libertés que les citoyens ont laissées.
Ce qui va arriver, c'est que la pandémie, à un moment donné, sera résolue, mais nous allons tous sortir de l'autre côté avec moins de libertés que ce que nous avions commencé.
https://www.zerohedge.com/technology/world-sleepwalking-surveillance-state-covid-19-crackdowns-escalate
Rions (jaune) encore: un peu de fiction ou anticipation ? ou simplement l'histoire
RépondreSupprimermardi, 07 avril 2020 00:23
Antoine Capitan
Lors d'une de mes dernières vidéos que vous trouverez ici , "Innovhub Sact" a posté ce commentaire , que je me permets de publier ci-dessous :
Le vendredi 20 mai 2020, à 18h, les européens, confinés chez eux depuis deux mois en raison du coronavirus, sont informés devant leurs TV d'un flash spécial:
la directrice de la BCE, Christine Lagarde, va prendre la parole ce soir sur toutes les chaînes de télévision publiques en Europe.
D'après les journalistes de BFM WC, Mme Lagarde devrait annoncer des mesures majeures face aux difficultés économiques, financières, bancaires et monétaires de la zone euro.
En effet, les bourses américaines et européennes sont fermées depuis un mois, suite à la chute de 80% du marché boursier. A 20h, Christine Lagarde commence son discours en anglais. Elle commence par évoquer l'effondrement économique lié au confinement de la population pour éviter le propagation du coronavirus.
Reprenant ses arguments développés au World Economic Forum de Davos en 2014, quand elle était directrice du FMI, elle justifie ensuite de la nécessité d'un reset monétaire pour relancer la croissance européenne et pour assurer la survie économique de l'Europe, suite à cette pandémie.
Puis, elle détaille les modalités d'une conversion monétaire parfaitement spoliatrice.
En effet, dès dimanche soir, l'euro sera immédiatement démonétisé. Les européens devront échanger leurs euros sans cours légal contre les nouveaux billets de la nouvelle monnaie européenne: le phénix.
Chaque européen reçoit 6000 phénix en échange de tous ses euros ;
les entreprises perçoivent 5000 phénix par employé comme fonds de roulement ;
les assurance vies garanties par des emprunts d’État sont échangés au dixième de leur valeur,
les dépôts en banque et les livrets d’épargne sont dévalués de 94 %.
Les dettes des états européens sont annulées.
Les épargnants européens sont ruinés, ainsi que les simples déposants.
Ne sauvent une partie de leurs économies que ceux qui, le samedi matin se précipitent dans les magasins pour y acheter tout ce qu’on veut bien leur vendre.
Je l'ai trouvé excellent, pas vous ? .... Un peu trop surréaliste ?
Impossible ?..... Heu... Cela a déjà existé quand même, et pas très loin
http://archives.investir.fr/2007/jdf/20070922ARTHBD00094-cree-en-le-deutsche-mark-augure-la-nouvelle-allemagne.php
Merci pour ton adaptation ""Innovhub Sact""
http://www.objectifeco.com/les-tribunes-libres/rions-jaune-encore-un-peu-de-fiction-ou-anticipation-ou-simplement-l-histoire.html
La crise du coronavirus et le recours à des éléments de guerre psychologique
RépondreSupprimermardi 7 avril 2020
Dans le cadre de la crise du coronavirus, l'on voit clairement émerger des éléments de guerre psychologique, par le monopole de "l'info-comm", qui rappelle les méthodes de pays totalitaires, joint à une pratique d'intimidation des personnes résistantes. Les pays ont été amenés à ces extrêmes, car la comm globale sur le péril imminent de l'humanité pour raison de coronavirus, qui ne peut être combattu que par un abandon de l'état de droit démocratique, cette nouvelle "réalité" issue du virus, n'a pas réussi à convaincre une partie significative de la population. La guerre psychologique n'est pas nouvelle, mais en général elle n'est adoptée que contre un ennemi, sur le mode différencié des fonctions agression / protection en fonction des catégories ennemis / soi-même / tiers. Or, ici, le combat "covid" est global, ce qui pose un problème de détermination de la cible. Et l'on se retrouve face à des techniques agressives tournées contre son peuple lui-même, contre les siens, puisque le monde est global, le virus est global, la cible aussi. Et là est "l'innovation", si l'on peut dire, du recours à la guerre psychologique en la situation que nous vivons. L'homme, après avoir été réduit à un malade potentiel, est devenu un ennemi potentiel. De ce nouveau monde.
Si la théorie de la guerre psychologique est assez peu développée en France, en revanche elle est parfaitement étudiée et développée dans les pays anglo-saxons et les structures internationales, comme l'OTAN. Il existe deux conceptions de la guerre psychologique, une conception large, qui permet de recourir au moyen de déstabilisation des cibles, de leur conditionnement psychologique pour atteindre un comportement attendu, affaiblir leur résistance, non seulement en période de guerre, mais également en période de paix, non pas uniquement contre les ennemis, mais également contre les populations neutres ou amies. Ces armes, alors, ne sont pas uniquement concentrées entre les mains des structures militaires étatiques. C'est la définition donnée par l'OTAN dans sa Doctrine interalliée des opérations interarmées de 1997 :
"Les opérations psychologiques sont définies comme des activités psychologiques planifiées en temps de paix, de crise et de guerre, dirigées sur des publics ennemis, amis et neutres pour influencer leurs attitudes et leur comportement de manière à affecter la réalisation des objectifs politiques et militaires ?"
L'Allemagne partage la vision large de l'OTAN :
"Une opération d’information consiste à influencer le comportement d’un groupe-cible spécifique par des moyens de communication de masse en conformité avec nos objectifs"
Aucune limite concernant la typologie des groupes-cibles ou les circonstances de mise en oeuvre ne sont indiquées ici.
La seconde conception est étroite, elle ne concerne que les temps de guerre et n'en reconnaît la compétence qu'à l'armée contre l'ennemi. Cette conception fut notamment celle de la France lors de la mise en place brève du Ve Bureau et de l'adoption de l'Instruction provisoire sur l'emploi de l'arme psychologique du 29 juillet 1957 (TTA 117), dont le rôle fut principalement visible lors de la guerre d'Algérie.
Dans tous les cas, la maîtrise de l'information est un élément central de la guerre psychologique :
"Le contrôle de l’information découle de l’idée qu’“en maîtrisant l’information qu’il reçoit, il est possible de réduire la capacité d’un individu de penser par lui-même. Car vous limitez l’étendue de sa capacité à penser” - Steven Hassan
Donc, si un État ou une organisation s’assure la supériorité dans le domaine de l’information, il peut s’emparer de l’esprit d’un individu, de groupes, voire d’une société dans son ensemble. Ceci revient à la définition de nouvelles méthodes de prise de pouvoir douces, sans violence, sans coup d’État, sans guerre, simplement par l’exercice de l’influence psychique informationnelle."
RépondreSupprimerComme nous l'avons développé hier, la communication mise en oeuvre dans le cadre de la crise du coronavirus a largement dépassé le stade de l'information pour se transformer en propagande (plus en détail, voir notre texte ici).
Or, le premier problème qui se pose ici vient du fait que la crise étant présentée comme globale, elle appelle une réponse globale. Et la propagande mise en place devient elle aussi globale. Que vous soyez en France, aux Etats-Unis ou en Russie, les médias sont uniquement focalisés sur la question du coronavirus et le discours produit est sensiblement le même, accompagné des mêmes images. De ce fait, il y a un monopole de "l'info-comm", qui comme dans les systèmes de type totalitaire, vise à recréer une vision du monde. Sauf qu'ici, la globalisation entraîne un mécanisme en chaîne qui produit une vision totale pour un monde global.
Et l'alternance des méthodes de conditionnement psychologique, de mise en situation de détresse psychique, comme nous l'avons montré hier, avec les mécanismes d'intimidation, de sanctions, sont également pris dans tous les pays. Avec les dérives que l'on connaît. Par exemple, en France, la liste s'allonge pour amendes abusives de violation des règles de confinement et l'on voit même des divergences apparaître entre les préfectures de police et les policiers eux-mêmes, jetés en première ligne du combat.
En Russie, la situation est plus délicate, car le cadre juridique est flou. Les amendes existent, la Douma a légiféré, mais cela concerne la violation des règles sanitaires, c'est-à-dire pour les personnes malades, revenant de l'étranger et devant être en quarantaine, etc. Cela ne concerne pas les simples citoyens, puisque les décisions de Sobianine, finalement, manquent de fondement juridique, le Président n'a pas mis en oeuvre le régime d'urgence qui aurait permis de donner une base juridique et la Douma n'a pas adopté de loi fédérale en ce sens (voir notre texte ici). Donc, lorsque les gens sortent, les policiers "discutent" avec eux pour les convaincre. Ce qui finalement est plutôt une bonne solution, moins répressive. Mais, elle conduit à une impasse juridique, lorsque les représentants des forces de l'ordre tombent sur un cas difficile, comme ce fut le cas avec ce provocateur bien connu qui a promené son chien (ce qui est autorisé), à 100 m de chez lui (ce qui est autorisé) mais autour des Etangs du Patriarche, qui sans être un Parc, ont pourtant été fermés de facto, sans entrer dans la liste des parcs fermés. Il a été interpellé et condamné, à distance grâce au miracle de la "justice numérique", à une amende de 1 000 roubles (12-13 euros). Non pas pour avoir violé les règles de confinement (puisqu'elles manquent de base légale), mais pour avoir résisté aux forces de l'ordre.
La pression est doublée d'un dénigrement de ceux qui s'adressent en justice, puisqu'ils osent remettre en cause "l'union sacrée", ou plutôt ils dérogent aux mécanismes de soumission volontaire. Ainsi, en Russie, la député Poklonskaya, ancien procureur de Crimée, à la réputation sans tache, après s'être fait remettre en place pour non-allégeance au Dieu Covid semble perdre, au minimum, le sens de la mesure et traite de parasites ceux qui se sont adressés à la justice pour qu'elle examine la légalité des décisions de Sobianine, qui semble devenir un héros intouchable dans ce nouveau monde, espérons-le, temporaire.
D'une manière générale, le caractère global de la crise met les Etats, qui se sont pliés, face à un problème majeur : les cibles visées par ces méthodes d'incitation / sanction, par ces méthodes de conditionnement psychologique, ne peuvent être divisées entre les ennemis et les siens, donc les fonctions d'agression (contre les ennemis) et de protections (contre les siens) ne peuvent pas non plus être différenciées et l'agression est générale. Contre son propre peuple. Quelle légitimité après cela restera-t-il à nos systèmes, qu'il devient de plus en plus difficile de qualifier de démocratique ? Comment arriveront-ils à sortir de la crise ? A quelle "normalité" seront-ils capables de revenir ? Il va être difficile de faire ensuite comme si de rien n'était ...
RépondreSupprimerhttp://russiepolitics.blogspot.com/2020/04/la-crise-du-coronavirus-et-le-recours.html