- ENTREE de SECOURS -



mardi 14 avril 2020

Désinformation : histoires de « règle de trois »

le 14 avril 2020


Les gros mensonges repris en boucle par les médias deviennent insupportables. Un seul exemple illustre cette tendance à la désinformation de journalistes peu scrupuleux. La province de Hubei en Chine compte à peu près autant d’habitants que la France et il y a donc statistiquement autant de décès qu’en France, soit 600 000 morts par an de toutes sortes de causes, naturelles et médicales. La ville de Wuhan concentre avec son agglomération plus de 19 millions d’habitants. En deux mois de confinement autoritaire lors de la grippe du Covid-19 il a donc fallu « gérer » pas seulement les morts provoqués par cette grippe mais également les décès « habituels », c’est-à-dire environ 40 000 morts dans la seule agglomération de Wuhan. Devant l’incapacité des familles à venir se recueillir auprès de leurs proches et de gérer elles-mêmes leurs morts, les autorités ont décidé de crémations massives prenant soin de transférer les cendres dans des urnes avec une étiquette précisant l’identité du mort correspondant afin que les familles viennent après le confinement récupérer ces urnes. J’ai mentionné environ car les statistiques démographiques datent de 2015.

Des photos prises opportunément de pleines palettes d’urnes funéraires pour alimenter la désinformation au sujet de la Chine et de sa gestion de la crise grippale du coronavirus ont fait le tour du monde sans que jamais aucun journaliste n’ai manifesté le moindre soupçon de bon sens arithmétique comme je viens de l’exposé ci-dessus, il suffisait de faire une simple règle de 3. Ces photos ont été disséminées par la CIA dans le monde occidental et les médias les ont unanimement reprises en boucle.

Quand on constate qu’un ministre de l’économie ne sait même pas combien il y a de m² dans un hectare il ne faut donc pas s’étonner que des journalistes ne soient pas capables de faire une règle de 3, c’est largement au dessus de leurs capacités intellectuelles. Et quand le président Macron prolonge le confinement en France jusqu’au 11 mai de cette année il ne faut pas s’étonner non plus qu’il ignore la règle de 3, lui qui est censé être un économiste de haut vol mis au pouvoir par des électeurs qui ignorent aussi la règle de trois. Il n’a pas compris qu’arithmétiquement parlant les deux mois de confinement représentent 16,666 points de PIB perdus, perte du PIB qui atteindra probablement le quart voire le tiers du PIB global de la France sur l’année 2020. Bon confinement à tous !

58 commentaires:

  1. Pollution atmosphérique par les pesticides : qu’en est-il réellement ?


    6 avril 2020
    GRW Agronomie, Entretiens


    De nombreux articles ont repris les propos anxiogènes de l’association Générations Futures sur la pollution de l’air par les pesticides.

    En exclusivité pour A&E, la toxicologue Annette Lexa, expert judiciaire auprès de la cour d’appel de Metz, livre son analyse.

    Le 18 février dernier, l’association Générations Futures a publié son onzième rapport EXPPERT, centré sur l’interprétation des données de la pollution par les pesticides dans l’air. Ses conclusions, anxiogènes, ont été reprises par de très nombreux médias. Qu’en pensez-vous ?

    Anna Lexa : Tout d’abord, je m’étonne que des médias aussi prestigieux que Le Monde puissent considérer ce genre de documents émanant de certaines ONG françaises comme fiables, alors qu’ils se révèlent clairement partiaux et manipulateurs, en utilisant par exemple, au lieu des valeurs brutes hebdomadaires, des pourcentages qui ne veulent pas dire grand-chose. Et sans les rapporter à ce que nous respirons réellement au cours de notre vie, quand nous passons 90% de notre temps à respirer de l’air intérieur.

    LIRE AUSSI : La toxicologue Annette Lexa réplique aux « gardes verts »

    Les médias en question auraient été bien avisés de faire vérifier les conclusions de Générations Futures par des toxicologues compétents et indépendants, mais les résultats auraient été alors plus nuancés et donc moins « vendeurs » . De fait, quoique nous soyons tout disposés à fournir notre expertise, nous ne sommes jamais contactés.

    Cela étant dit, de quoi s’agit-il exactement ? La base PhytAtmo compile les mesures en pesticides dans l’air ambiant des Associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) sur la période 2002–2017. En tout, 321 substances actives ont été recherchées avec 6 837 prélèvements effectués sur 176 sites. L’exploitation de ces données a fait l’objet de plusieurs rapports, par régions, que tout un chacun peut télécharger à partir d’un fichier qui précise les lieux et dates de prélèvement, le temps du prélèvement, le volume d’air prélevé, la taille des particules, la concentration moyenne sur une semaine de la substance en nanogrammes par mètre cube d’air, la limite de détection de la substance (concentration la plus basse qu’il est possible de détecter) et la limite de quantification (concentration la plus basse qu’il est possible de quantifier avec exactitude).

    Premier point à souligner : entre 2002 et 2017, les lieux de prélèvement, les substances recherchées et les limites de détection et de quantification ont évolué. Deuxième remarque : ni le tableau ni les rapports ne présentent d’évaluation quantitative du risque, mais uniquement des données brutes qui requièrent donc une interprétation.

    En outre, l’étude ATMO France précisant qu’il n’existe aucune valeur toxicologique de référence pour les pesticides dans l’air ambiant pour les populations ou en milieu professionnel, la prudence est de mise pour comparer ces valeurs avec des DJA (doses journalières admissibles), qui restent la seule valeur toxicologique de référence pour le consommateur par ingestion d’aliments.

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  2. D’ores et déjà, une première conclusion s’impose : entre 2002 et 2017, la concentration de pesticides dans l’air a fortement diminué en France. Voilà une bonne nouvelle ! Ainsi, pour la région d’Avignon et de Cavaillon (Vaucluse), par exemple, « le cumul des concentrations a diminué de 90 % en moyenne sur l’ensemble des 59 molécules recherchées », peut-on lire dans le document. Ce qui est déjà considérable. Et certaines villes du réseau ATMO France en sont même exemptes.

    Qu’a-t-on retrouvé ?

    Principalement des herbicides et des fongicides. Mais le plus souvent à des doses infimes. Ainsi, en 2017, l’immense majorité des relevés de pesticides, quand ils sont détectés, sont de l’ordre du nanogramme ou du dixième ou centième de nanogramme par mètre cube. À ce point, il est important de préciser à vos lecteurs qu’un nanogramme, c’est 0,000000001 gramme, soit un milliardième de gramme.

    Et comme en témoignent les relevés, cette présence est limitée généralement à certaines semaines au printemps ou à l’automne. Il y a certes quelques cas extrêmes, mais qui restent ponctuels, comme par exemple le folpel, un fongicide utilisé pour la vigne et en arboriculture, dans la région d’Avignon (27 ng/m3) et la pendiméthaline, un herbicide, à Cavaillon (15 ng/m3). Mais ces cas extrêmes eux- mêmes restent très rassurants. Prenez le cas du folpel. Classé cancérogène suspecté chez l’homme sur la base d’observations de développement de tumeurs digestives chez le rongeur à des doses très élevées (5000 ppm), sa DJA est de 0,1mg/kg/jour. Par conséquent, la dose observée de 27 ng/m3 en 2017 est 20 000 fois inférieure à la DJA. Il y a donc une très confortable marge protectrice.

    Quant au cas de la pendiméthaline, il est lui aussi très sécurisant. Cet herbicide est utilisé en arboriculture, mais aussi sur tous types de surface (voiries, gares, espaces verts). De là qu’on relève sa présence, par exemple, dans la ville de Port-de-Bouc où l’anthropisation et les industries sont très prégnantes.

    Sa métabolisation dans le corps est totale et l’excrétion de ses métabolites se fait par les urines et les fèces, ce qui explique qu’il ait un impact faible chez l’homme. Il est cependant classé sensibilisant cutané et reprotoxique de catégorie 2, avec une dose sans effet observée chez le rat (NOAEL) assez élevée, à savoir de 30 mg/kg de poids corporel. La dose acceptable par ingestion – Acceptable Daily Intake (ADI) – calculée à partir des tests effectués sur des mammifères, et avec application de facteur d’incertitude de 100, est de 0,125 mg/kg de poids corporel et par jour (et 0,17 mg/kg pour un opérateur professionnel). Autrement dit, un adulte de 70 kg peut absorber sans risque pour sa santé jusqu’à 8,75 mg/ jour.

    Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que lorsqu’on est confronté à des résidus de pesticides de l’ordre de centièmes de nanogrammes, il n’y a aucun risque, car on est largement en dessous du million de fois moins que la DJA.

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  3. Prenons un scénario d’exposition très précautionneux : à raison de 12 m3 respirés par jour, si on considère qu’on passe 24h/24 dehors, on aura respiré 180 nanogrammes/jour sur quelques semaines par an. En admettant que les 180 ng (0,00018 mg) soient intégralement inhalés et donc se retrouvent dans le corps, un adulte s’expose 30 jours par an, par l’air inspiré, à une quantité environ 50 000 fois inférieure à la dose admissible quotidienne pour une vie entière. Même dans le cas du pire scénario imaginable, les analyses demeurent en réalité très rassurantes. Ainsi, en appliquant un nouveau facteur d’incertitude de 1000 – au motif, par exemple, que des lobbys auraient eu une influence sur les toxicologues –, nous resterions encore 50 fois sous la dose admissible, celle qui a été définie à partir d’une seule observation négative, à savoir un petit poids à la naissance chez le rat.

    Bref, ce qu’il faut surtout retenir de tout cela, c’est que lorsqu’on est confronté à des résidus de pesticides de l’ordre de centièmes de nanogrammes, il n’y a aucun risque, car on est largement en dessous du million de fois moins que la DJA.

    Mais alors, que peut-on conclure réellement de cette étude ?

    D’une part, qu’avec des valeurs résiduelles sans commune mesure avec les DJA (ingestion), ce qu’on retrouve dans l’air en termes de pesticides ne peut pas être responsable d’effets sanitaires sur l’homme. Et d’autre part, que ces mesures ne sont pas le reflet de l’usage des pesticides en France. Notamment en raison des lieux de prélèvements et des propriétés intrinsèques des molécules (volatilité, photodégradation, demi-vie, etc.).

    En revanche, elles sont corrélées avec les usages attendus en fonction de la météo et des saisons. Au niveau des vignobles, les substances dépendent fortement des épidémies de mildiou et d’oïdium, et varient considérablement d’une année à l’autre. Ce qui n’a rien de surprenant. Mais, grosso modo, les pesticides sont surtout relevés sur des périodes ponctuelles à la fin du printemps et à l’automne. À noter également qu’ils ne sont pas tous d’origine agricole, mais peuvent relever d’un usage urbain.

    Enfin, certains pesticides interdits sont encore mesurés, comme le lindane, retrouvé régulièrement depuis 2002 dans toutes les régions, dont on ne peut pas exclure l’usage illicite dans les charpentes en provenance de pays hors de l’UE. C’est un réel problème, mais qui relève des autorités de contrôle telle la DFCCRF. Un renforcement de la surveillance des importations de bois serait bienvenu !

    Aujourd’hui, beaucoup de citoyens se posent des questions au sujet de la mise sur le marché des pesticides. En tant que toxicologue, quelle réponse leur apportez-vous ?

    Tout d’abord, il faut savoir que le processus d’évaluation comprend trois étapes : primo, la caractérisation du danger intrinsèque de la molécule, dans laquelle est pris en compte le principe de précaution, ce qui explique qu’on recherche le pire effet possible pour ensuite appliquer avec prudence des facteurs d’incertitude. Secundo, l’évaluation de l’exposition, qui là aussi intègre le principe de précaution (comme dans notre exemple de la pendiméthaline), aboutissant à un scénario conservateur, irréaliste mais très protecteur. Tertio, la caractérisation du risque, qui vient en dernier. On compare la dose admissible avec la dose retrouvée. Et à ce stade, on peut encore, si on est très prudents, appliquer le principe de précaution et ajouter une marge de sécurité confortable.

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  4. Ensuite, on procède, grâce à un calcul protecteur, à une classification de la substance (ou des mélanges de substances), qui précède la phase de mise en place des mesures de gestion du risque. Là encore, en Europe, nous appliquons des mesures de précaution considérablement plus strictes que dans de nombreux pays.

    Enfin, l’étape finale est constituée par la communication de risque en direction des personnes concernées. C’est tout l’arsenal non seulement des étiquettes, mais aussi de la formation des utilisateurs.

    Je suis convaincue que les peurs des consommateurs proviennent principalement d’un manque d’information. Pire, ils sont littéralement submergés d’annonces catastrophistes qui leur font perdre la raison, le bon sens, qui les paralysent et tétanisent même les plus intelligents d’entre eux. Tout cela nous empêche d’aborder sainement les enjeux du présent et de l’avenir.

    Pour conclure, j’aimerais revenir un instant sur mon expérience en tant que toxicologue réglementaire et évaluateur de risque pour la santé et l’environnement. Écologiste dans l’âme depuis bientôt quarante ans, j’ai, par le passé, été très inquiète de l’utilisation de pesticides dont certains, persistants dans l’environnement et bioaccumulables, étaient suspectés fortement d’être à l’origine de cancers chez l’homme et du déclin de la biodiversité. J’ai vu au cours des décennies passées la réglementation se mettre en place, les tests se normaliser, avec une complexification vers plus de rigueur et de reproductibilité des études, des directives devenir des règlements, imposant donc plus de contraintes, et enfin, une puissance de plus en plus grande de détection, qui permet aujourd’hui de détecter un centième de nanogramme par mètre cube d’air.

    J’ai vu aussi se développer une réelle prise de conscience du danger de la part des acteurs de l’agriculture eux-mêmes, qui sont désormais dotés d’équipements de protection individuels, de moyens de pulvérisation extrêmement précis, permettant de ne diffuser que la dose nécessaire – ce qui limite drastiquement les risques liés à une exposition mal contrôlée, que ce soit pour l’environnement ou pour les professionnels eux-mêmes. J’ai assisté à l’instauration des grands règlements européens depuis une dizaine d’années, avec une réelle volonté de démocratie sanitaire de la part de l’UE, puisque tous les documents sont accessibles et que des consultations publiques sont ouvertes chaque fois qu’une substance est réévaluée. En quelques clics, toute personne qui le souhaite peut connaître le statut d’une substance, sa limite maximale de résidus dans tel ou tel aliment, son statut (autorisé, interdit, en voie de substitution), sa classification (CMR, perturbateur endocrinien). Ainsi, le dossier de chaque substance est désormais disponible. Et pour ma part, je salue cette transparence qui nous a longtemps fait défaut.

    Je ne peux donc pas cautionner les discours anxiogènes qui circulent de plus en plus, notamment sur les prétendus manquements de nos autorités sanitaires. Je porte même un regard très sévère sur ceux et celles qui les véhiculent. C’est d’ailleurs, en partie, ce qui m’a conduite à m’éloigner de Générations Futures, de la Fondation Nicolas-Hulot ou du CRIIGEN, ayant eu l’occasion de découvrir qu’on y manipule les données de la science de façon à leur faire dire ce qu’elles n’ont jamais dit. Je suis bien trop attachée à la rigueur et à la raison scientifiques pour pouvoir m’y associer.

    https://www.agriculture-environnement.fr/2020/04/06/pollution-atmospherique-par-les-pesticides-reponse-toxicologue-lexa

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    1. (...) Tout d’abord, je m’étonne que des médias aussi prestigieux que Le Monde (...)

      HAHAHAHA ! 'Voici'-'France-Dimanche'-'Ici Paris' etc !

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  5. La fille du fermier : Cargill a le pouvoir de provoquer des changements. Il doit l'utiliser à bon escient.


    14 Avril 2020
    par Seppi Publié dans #Divers
    Amanda Zaluckyj, AGDAILY*


    Cargill s'associe au Goop de l'actrice Gwenyth Paltrow. Oui, vous avez bien lu. L’une des plus grandes sociétés de l'agroalimentaire est désormais fournisseur de la société de « bien-être » de l’actrice, qui vend des suppléments alimentaires, des médecines alternatives et des pseudosciences. C'est la même Paltrow qui vous recommande de vous fourrer des œufs de jade dans votre vagin, de prendre des soins du visage vampires et des bains de vapeur vaginaux. Elle a également prétendu à tort que le port du soutien-gorge causait le cancer du sein. Paltrow continue d'étendre son influence et a déplacé ses magouilles vers des points de vente plus traditionnels : son émission « The GOOP Lab » est désormais disponible sur Netflix.

    Alors pourquoi Cargill s'intéresse-t-il à une célébrité qui franchit régulièrement les frontières de l'éthique avec des allégations de santé non fondées – et parfois dangereuses ? Cela fait partie de l'expansion de Cargill sur le marché des suppléments alimentaires. C’est une énorme industrie qui rapporte plus de 36 milliards de dollars par an rien qu'aux États-Unis. Et ce malgré le fait que ces suppléments sont, au mieux, en grande partie inutiles et, au pire, non réglementés et dangereux. Le PDG de Cargill, Dave MacLennan, voit ces « micro-ingrédients » comme l'avenir et insiste maintenant pour que l'élevage les intègre aussi.

    Si tout cela semble un peu tordu et mystifiant, c'est parce que c'est le cas. Mais ce n'est pas la première fois que Cargill conclut des partenariats douteux.

    Cargill s'est fièrement associé au Non-GMO Project en 2017, une organisation chargée de, prétendument, certifier, sous couvert de choix, que des produits sont exempts de risques issus d'aliments génétiquement modifiés. L'ironie est que son logo, un papillon monarque, encombre désormais les étagères des épiceries, ce qui réduit le choix car de plus en plus d'entreprises optent pour le modèle pay-to-play (payer pour jouer). Et ses campagnes sur les réseaux sociaux dénigrent l'adoption de technologies de génie génétique sûres et rigoureusement testées.

    Mais Cargill ne semblait pas se soucier de ces détails. Il s'est vanté du partenariat sur les réseaux sociaux. J'ai vigoureusement critiqué l'entreprise, en recevant même une attention nationale pour mes efforts. Car voilà un géant de l'agriculture qui a prêté sa voix et sa crédibilité à une organisation qui attaque... rien moins que les productions que Cargill achète aux agriculteurs de tout le pays. Pourtant, Cargill a refusé de reconnaître l'hypocrisie.

    Cargill a ensuite fait froncer bien des sourcils en 2018 lorsqu'il a fondé une co-entreprise avec PURIS, une entreprise productrice de protéines de pois, pour augmenter sa production de protéines végétales. Cargill a réalisé un investissement initial de 25 millions de dollars, versés dans les coffres de la société. Cargill a réaffirmé son engagement envers PURIS en août 2019 en investissant 75 millions de dollars supplémentaires dans la modernisation des installations de PURIS au Minnesota.

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  6. Lorsque j'ai pris connaissance des investissements initiaux, j'ai contacté Cargill pour lui faire part de mes observations. La chargée de liaison avec les médias de Cargill, April Nelson, m'a dit que la société est consciente du fait que le monde aura besoin de protéines tant végétales qu'animales pour nourrir 9 milliards de personnes d'ici 2050. Et qu'en est-il du langage ignoble ciblant le génie génétique et jouant sur la chimiophobie sur le site Web de PURIS ? Cargill adopte une « vision plus large ». Nelson a expliqué : « Nous reconnaissons les efforts et le succès des agriculteurs et des producteurs tout au long de la chaîne d'approvisionnement pour nourrir durablement le monde, en utilisant une grande variété de méthodes, y compris la technologie GM ».

    Nelson a promis qu'elle transmettrait mes préoccupations à PURIS.

    Mais pourquoi s'embêter ? Selon le président de PURIS, Tyler Lorenzen, Cargill était totalement d'accord avec les commentaires salaces de son entreprise.

    « Cargill investit dans tout ce que PURIS représente, depuis notre production verticalement intégrée de graines de pois sans OGM jusqu'à nos technologies exclusives et notre engagement envers les producteurs de pois biologiques certifiés aux États-Unis », a déclaré Lorenzen dans un communiqué de presse de janvier 2018.

    Personne ne reproche à Cargill d'avoir pris de sages décisions commerciales. Il est tout à fait vrai que l’approvisionnement futur en protéines de la population humaine devra provenir à la fois des animaux et des plantes. Et la protéine végétale est une entreprise en plein essor qui constitue un investissement intelligent. Les opérations de Cargill dans ce domaine ont donc un sens.

    Mais alors que Cargill réalise ces investissements, il devrait également prendre au sérieux son rôle de société agricole de premier plan. Comment se fait-il qu’il n’ait pas exigé que PURIS modifie son marketing ? Si vous êtes un investisseur qui est sur le point de lâcher des millions de dollars, demander au bénéficiaire de l'investissement d'atténuer la rhétorique ou de choisir une approche différente devrait être une évidence, surtout lorsque des accusations sont lancées contre le groupe de personnes – les agriculteurs – qui ont précisément fait votre richesse.

    Écoutez, je ne demande pas à Cargill de renoncer complètement à ces investissements. Je comprends que l'entreprise prenne des décisions en fonction de ce qui est rentable et de l'orientation du marché. Si les protéines végétales sont un investissement solide, alors Cargill devrait faire ces investissements. Si Cargill veut travailler avec la marque de bien-être d'une célébrité, il devrait trouver quelqu'un de moins hors-sol que Paltrow (sans parler, franchement, de sa dangerosité).

    Mais il doit également réaliser qu'il n'agit pas en vase clos. Cargill a une grande et puissante plate-forme construite à partir des agriculteurs avec lesquels elle travaille au niveau local. À tout le moins, il devrait examiner comment ces partenariats et investissements ont un impact sur les agriculteurs et leurs familles. Dire simplement que vous adoptez une « vision plus large » de quelque chose ne suffit pas. Cargill devrait utiliser son argent comme un levier pour gommer les aspects les plus radicaux de ces entreprises et domestiquer leur rhétorique, ne serait-ce que pour le bien de ces familles d'agriculteurs qui sont mises en joue.

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  7. Parce qu'en fin de compte, c'est ce que l'argent de Cargill obtient : le pouvoir. C'est l'influence que les agriculteurs moyens n'ont pas. Cargill est le conducteur, pas le passager réticent. Il est temps qu'il agisse comme ça.
    _____________

    * Amanda Zaluckyj blogue sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.

    Source : https://www.agdaily.com/insights/farmers-daughter-cargill-goop-puris-power-effect-change/

    http://seppi.over-blog.com/2020/04/la-fille-du-fermier-cargill-a-le-pouvoir-de-provoquer-des-changements.il-doit-l-utiliser-a-bon-escient.html

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  8. Les agriculteurs font le job tous les jours


    13 Avril 2020
    par Seppi
    John Rigolizzo*


    Lorsque j’étais un jeune agriculteur, un client est venu au stand de ma famille sur un marché de producteurs du New Jersey, où nous vendions des tomates.

    C'était à l'époque où les tomates ne coûtaient que 29 cents la livre. Je ne suis plus un jeune agriculteur, mais je n'ai jamais oublié notre échange.

    « Tout ce que vous, les agriculteurs, faites, c'est de jeter des graines dans le sol, puis de cueillir les tomates », s'est plaint notre client. « Vous ne faites rien, et vous faites fortune. »

    Non, ce n'était pas le jeune Michael Bloomberg, traversant la rivière Hudson pour se rendre dans notre État avant de devenir célèbre comme homme d'affaires milliardaire, maire de New York et maintenant candidat à la présidentielle [il ne l'est plus... sa campagne a fait long feu].

    Mais cette ancienne rencontre m'est venue à l'esprit la semaine dernière lorsque la nouvelle a éclaté à propos de ce que Bloomberg a dit des agriculteurs en 2016 : « Je pourrais enseigner à n'importe qui… à être agriculteur. … Vous creusez un trou, vous y mettez une graine, vous mettez de la terre dessus, vous ajoutez de l'eau, et le maïs pousse. »

    Pour un emploi au 21e siècle, a-t-il ajouté, « il faut avoir beaucoup plus de matière grise ». (Pour le contexte complet des remarques de Bloomberg, regardez cette vidéo.)

    Les remarques du maire Bloomberg ont commencé à me mettre en colère – aussi en colère que je me sentais il y a quatre décennies, quand j'ai dit à notre client au marché fermier de se barrer.

    Cependant, peu de temps après, j'ai fait un agréable rêve éveillé, celui de M. Bloomberg maniant une houe dans mes champs, s'échinant en sueur pendant qu'il apprenait ce que les agriculteurs font vraiment. Ça m'a fait rire.

    Le maire Bloomberg souffre de la même ignorance qui afflige tant de personnes dans le monde développé. Aux États-Unis aujourd'hui, seule une infime fraction de la population doit travailler dans l'agriculture pour produire la nourriture dont notre pays a besoin. Cette incroyable efficacité est une formidable bénédiction qui permet à des millions de personnes de se concentrer sur d'autres vocations professionnelles, telles que l'étude des données financières en prenant leur déjeuner devant les terminaux Bloomberg.

    Cela signifie aussi que peu de gens comprennent la quantité de connaissances – de « matière grise », si vous voulez – pour quelque chose d'aussi simple que de produire la laitue et les tomates qui garnissent leurs sandwichs BLT (bacon, laitue, tomate).

    Allez-y et appelez-moi un «paysan », car c'est ce que je suis. J'ai appris le métier de mon père, ainsi que de mes professeurs à l'université, où j'ai obtenu un diplôme en horticulture.

    Mais je suis aussi plombier, électricien, mécanicien, physicien, chimiste, biologiste et cent autres choses.

    Pourquoi un agriculteur doit-il être plombier ? Parce que nous irriguons nos champs, pour nous assurer que nos cultures reçoivent la bonne quantité d'eau. Nous réparons les fuites afin de ne pas gaspiller les ressources. C'est un élément essentiel de la durabilité.

    Je suis un électricien qui répare les moteurs électriques. J'ai câblé nos granges. J'ai installé des panneaux de fusibles et de disjoncteurs.

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  9. Je suis un mécanicien qui répare les tracteurs et autres équipements en cas de panne. J'ai reconstruit des moteurs et installé des transmissions. Je fais mes vidanges.

    Je suis un physicien qui étalonne les pulvérisateurs pour le désherbage et répond à des « problèmes complexes » concernant la pression des buses, la vitesse d'épandage et le volume par hectare.

    Je suis un chimiste qui mélange des formulations de produits phytosanitaires qui gardent nos champs propres et nos plantes protégées des ravageurs et des maladies. Je maintiens également la fraîcheur des fruits et légumes lorsque nous les récoltons, les stockons et les transportons. Cela implique d'utiliser un emballage approprié ainsi que de savoir quand utiliser les refroidisseurs hydrauliques et la réfrigération.

    Et je suis aussi biologiste parce que je connais les fondements de la physiologie végétale. En plus de creuser des trous, d'y mettre des graines et de mettre de la terre par dessus, à la manière de Bloomberg, je détermine ce dont les cultures ont besoin en engrais, herbicides et pesticides, eau, etc. Leurs besoins changent chaque année, en fonction des types de semences que nous achetons, des technologies qui y sont intégrées, du moment et du lieu où nous semons, de l’histoire de la production de ma ferme et des conditions météorologiques imprévisibles en période de changement climatique.

    Je pourrais continuer ainsi, mais je ne veux pas me vanter. Ce que je peux vous dire, c'est que je suis agriculteur. Et chaque jour, je remercie Dieu pour les scientifiques et les chercheurs qui nous permettent de rester à la pointe de l’agriculture d’aujourd’hui. Et, contrairement à Mike, les agriculteurs font le job tous les jours. Vraiment.
    ____________

    * Une version de cette tribune de John a été publiée précédemment dans The Hill le 25 février 2020.

    John Rigolizzo, Jr., agriculteur, New Jersey, USA

    John Rigolizzo, Jr est un agriculteur de cinquième génération qui produit des légumes frais et du maïs dans le sud du New Jersey. La ferme familiale alimente des marchés de détail et de gros. John fait du bénévolat en tant que membre du conseil d'administration du Global Farmer Network (réseau mondial d'agriculteurs) et a assuré le leadership de la Vegetable Growers Association du New Jersey (association des producteurs de légumes du New Jersey) et du New Jersey Tomato Council (conseil de la tomate du New Jersey). En tant qu'ancien président du New Jersey Farm Bureau, son intérêt et son soutien de longue date au libre-échange ont été confirmés par sa participation à 11 missions commerciales internationales et sa participation à des réunions de l'Organisation Mondiale du Commerce à Seattle et à Genève.

    Source : https://globalfarmernetwork.org/2020/02/farmers-get-it-done-every-day/

    http://seppi.over-blog.com/2020/04/les-agriculteurs-font-le-job-tous-les-jours.html

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  10. CORRESPONDANCES MANQUÉES !


    Cherilyn Nagel
    MARS 26, 2020


    TECHNOLOGIE AGRICOLEBARRIÈRES, L'ACCÈS AU MARCHÉ

    « Distanciation physique » peut être un nouveau terme pour la plupart des gens, mais il décrit assez bien une journée normale de notre ferme en Saskatchewan. Ici, dans les prairies, nous sommes complètement entourés de champs. Notre voisin le plus proche ne peut pas être vu avec des jumelles (et oui, J'ai essayé).

    Alors que nous commençons à apprendre l'importance de la connexion - avec nos voisins, collègues de travail, et la communauté dans son ensemble - nous apprenons à quel point il est essentiel de s'assurer que nous avons tous une bouée de sauvetage.

    Bien que notre ferme puisse sembler l'endroit idéal pour attendre le coronavirus, nos familles et nos moyens de subsistance comptent toujours être connectés tous les jours. L'une de ces bouées de sauvetage essentielles est le haut débit rural - quelque chose qui peut être considéré comme acquis lorsque vous suivez Google Maps dans les rues de la ville ou que vous travaillez en hauteur dans des tours de bureaux..

    Alors que nous regardons l'impact que COVID-19 a eu, nous pouvons voir que cela a changé des vies dans tous les coins du monde. Même ici, dans notre province reculée de l'Ouest canadien, les écoles sont fermées, les rendez-vous sont annulés, et les visites avec les voisins et amis ont été interrompues.

    comme les agriculteurs, nous opérons dans une économie mondiale et nous savons plus que la plupart à quel point nous sommes tous connectés les uns aux autres. La nourriture que nous cultivons sur notre ferme voyage sur les routes et les océans - et dépend uniquement des exigences du marché. Si on regarde une vidéo drone de ma ferme, nous pouvons sembler isolés, mais ce n'est qu'une illusion. Les agriculteurs voyagent, notre bétail et nos céréales traversent les frontières, et les produits et services que nous fournissons couvrent le monde.

    Alors que nous participons à une économie mondiale, nous n'en profitons pas tous les avantages. En tant que propriétaires d'entreprise, nos besoins d'accès à des téléphones fiables et à Internet sont tout aussi profonds que ceux des centres urbains. Alors que les distanciateurs sociaux et les auto-isolants exercent de nouvelles pressions sur nos systèmes de communication, les agriculteurs en ressentent le poids.

    Dans le meilleur des cas, notre service Internet ou streaming Netflix est périmé, en raison des conditions météorologiques ou d'une capacité insuffisante. Ce problème est maintenant plus aigu, avec plus de personnes travaillant à domicile et à l'école se déplaçant en ligne.

    Alors que j'essaie de diriger une entreprise agricole, tenir des vidéoconférences et participer aux réunions du conseil d'administration, J'ai été confronté à des retards constants et à un service interrompu. À ces inquiétudes s'ajoutent les récentes mesures prises par les sociétés de vente aux enchères de produits agricoles et de machines pour héberger des services d'enchères entièrement en ligne.. Cela pourrait être un signe des temps, mais c'est aussi un fardeau supplémentaire pour une infrastructure déjà sous-investie.

    Certaines fermes situées à distance auront-elles même accès à ces vente ?

    Ou cette roue tampon ennuyeuse continuera-t-elle à tourner ?

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  11. En parlant de roues qui tournent, ai-je mentionné notre service de téléphonie cellulaire notoirement peu fiable? Sur notre ferme, ma famille et nos employés restent en contact via WhatsApp. Cela nous permet de faire des plans lorsque nous décidons quels domaines nécessitent une attention particulière, quand les camions doivent arriver, et quel équipement doit être réparé. pourtant, nous souffrons de nombreuses zones mortes - des endroits de notre ferme où nous ne pouvons pas recevoir de signal du tout. Notre plan de sauvegarde est de recourir à la technologie du 20e siècle de la radio CB… * Breaker Breaker one-nine *

    Un collègue agricole a décrit son problème de connexion: "J'ai essayé de télécharger les mises à jour logicielles pour les récepteurs et moniteurs John Deere - a pris plus de six heures et a complètement rendu notre Internet inexistant à d'autres fins." Il a ajouté que le haut débit rural est au cœur de son activité agricole, "Et vous ne réalisez pas à quel point cela fait partie de votre travail jusqu'à ce qu'il ne fonctionne pas."

    Donc, que pouvons-nous faire pour résoudre ce problème?

    Récemment, notre réseau ferroviaire canadien a été bloqué par des militants bouleversés par la construction d'oléoducs. Les blocus à l'échelle nationale ont entraîné des milliards de dollars perdus et ont souligné à nouveau l'importance des bouées de sauvetage dans les communautés rurales pour garantir la mise sur le marché de nos produits..

    Alors que nous espérons avoir une solution à ce problème de connectivité, le problème de la connexion au monde extérieur n'est pas complètement résolu. Il ne peut être reflété dans aucune étude économique ou graphique de croissance du PIB, mais c'est une lutte quotidienne qui nuit certainement à nos exploitations agricoles.

    Je sais que ces problèmes ne seront pas résolus du jour au lendemain. Il faudra que notre gouvernement agisse, investissement dans les infrastructures des entreprises de télécommunications, et la prévoyance de reconnaître les besoins de la ferme moderne.

    Le haut débit rural est vital pour notre entreprise - et nous ne pouvons pas attendre indéfiniment qu'il soit résolu.

    Donc, même s'il est vrai que je ne veux pas être ailleurs que sur notre ferme en ce moment, J'attends avec impatience un avenir de meilleure connectivité rurale.

    https://globalfarmernetwork.org/fr/2020/03/missed-connections/

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  12. Pandémie, en continu: Olivier Véran donne des détails sur l'attribution des masques «grand public» promis par Macron


    09:45 14.04.2020) URL courte31240


    Le nouveau coronavirus est dix fois plus mortel que le virus responsable de la grippe A (H1N1) apparue fin mars 2009 au Mexique, ont indiqué lundi les autorités sanitaires mondiales, appelant à un déconfinement «lent». Emmanuel Macron a quant à lui annoncé la prolongation du confinement jusqu'au 11 mai. Point sur les actualités.

    La pandémie de grippe de 2009 a été 10 fois moins mortelle que la situation à laquelle le monde est confronté actuellement, a déclaré le patron de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, au cours d'une conférence de presse virtuelle tenue depuis Genève.

    «Les données recueillies dans plusieurs pays nous donnent une image plus claire de ce virus, de son comportement, de la manière de l'arrêter. Nous savons que le Covid-19 se répand rapidement et nous savons qu'il est mortel: 10 fois plus que le virus responsable de la pandémie de grippe de 2009», a-t-il souligné.

    Si le nouveau coronavirus a fait plus de 117.000 morts dans le monde depuis son apparition en décembre en Chine, la grippe A (H1N1) en avait fait 18.500, selon l'OMS. Toutefois, la revue médicale The Lancet avait estimé le nombre de morts entre 151.700 et 575.400.

    Dans l'attente d'un vaccin contre le SARS-Cov-2, l'OMS appelle les pays à mettre en oeuvre un dépistage généralisé des cas suspects, à leur isolement et au suivi des contacts. Mais Tedros Adhanom Ghebreyesus a reconnu lundi que «l'ère de la globalisation signifie que le risque de réintroduction et de résurgence du Covid-19 va continuer».

    «Au final, la mise au point et la distribution d'un vaccin sûr et efficace vont être nécessaires pour interrompre totalement la transmission», a-t-il dit.

    Annonces d’Emmanuel Macron

    Emmanuel Macron a annoncé lundi la prolongation du confinement jusqu'au 11 mai et la réouverture progressive des crèches, écoles et lycées à partir de cette date. «L'épidémie commence à marquer le pas», a-t-il assuré, tout en reconnaissant que la France, comme d'autres pays, avait été «à l'évidence mal préparée.»

    Voici un point sur la situation ce mardi 14 avril:

    Les États-Unis sont le pays le plus touché avec 23.529 décès pour plus de 550.000 cas
    Le Fonds monétaire international a annoncé le versement d'une aide d'urgence à 25 pays parmi les plus pauvres du monde

    Annulation du Festival d'Avignon, la plus célèbre manifestation théâtrale au monde, qui était prévu du 3 au 23 juillet

    Le confinement est prolongé jusqu'au 3 mai en Inde, pays ayant recensé à ce jour 10.363 cas et 339 morts
    125.098 cas et 2.969 morts en Allemagne

    12:52
    262 nouveaux morts et 530 nouveaux cas en Belgique
    La Belgique totalise désormais 4.157 décès, 31.119 infectés, 5.536 hospitalisés, dont 1.223 en soins intensifs.

    12:48
    Le coronavirus depisté chez un tiers du personnel médical au Royaume-Uni, relate le Daily Mail se référant aux données statistiques

    12:19
    L'Iran annonce moins de 100 décès en 24h pour la première fois en un mois
    Les autorités de Téhéran ont annoncé mardi avoir enregistré moins de 100 décès provoqués par le nouveau coronavirus, pour la première fois en un mois en Iran, pays le plus touché par la pandémie au moyen-orient.
    Ces dernières 24 heures, 98 décès supplémentaires dus à la maladie Covid-19 ont été recensés, portant le nombre total des morts à 4.683, a indiqué le porte-parole du ministère de la Santé Kianouche Jahanpour, lors de son point de presse quotidien.

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  13. 12:18
    Lavrov a fustigé les tentatives «inacceptables et indécentes» de blâmer la Chine pour la propagation du coronavirus
    Le ministre a noté que la Chine, qui a passé le pic de l'épidémie, tente de toutes les manières possibles de partager son expérience dans la lutte contre le coronavirus. Le ministre russe a dénoncé la pratique de certains pays de boycotter les biens chinois en cas de non-paiement d'indemnités pour la propagation du Covid-19.

    12:10
    La Guinée impose le port du masque contre le coronavirus
    Le Président guinéen Alpha Condé a décidé d'imposer le port du masque à partir de samedi face à la progression alarmante de l'épidémie de coronavirus dans ce pays pauvre d'Afrique de l'Ouest.
    «Tout contrevenant sera empêché de circuler et une taxe de désobéissance civile de 30.000 francs guinéens (2,8 euros) sera infligée», a dit le président guinéen dans une allocution diffusée lundi soir et postée sur les réseaux sociaux.
    La Guinée a déclaré officiellement plus de 300 cas de contamination. M. Condé lui-même évoque «l'allure inquiétante» à laquelle le virus se propage et le risque que le pays ne se fasse déborder.

    12:09
    Après la pandémie, les pays devront repenser les activités des structures internationales, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov
    Selon lui, la pandémie pose de graves problèmes, non seulement pour la vie quotidienne mais aussi pour garantir un environnement sans danger pour la santé. Le deuxième défi pour l'humanité, d’après M.Lavrov, est l'impact du Covid-19 sur le commerce, les échanges et l’investissement, le taux de change et la demande de biens, y compris l'énergie.
    Le troisième défi est la mise à l’épeuve des organisations internationales.
    «Je pense qu'après avoir travaillé ensemble pour surmonter cette menace mondiale et élaborer un antidote au cas où de tels événements se reproduiraient à l'avenir, nous devrons repenser en profondeur les activités des structures multilatérales. Nous comprendrons probablement mieux ce que les Européens, en particulier, pensent de l'Union européenne et de l'Otan, nous comprendrons mieux comment aborder la coopération dans l'espace post-soviétique, les activités de l'Union économique eurasienne et d'autres structures, l'Organisation de coopération de Shanghai. Il y aura probablement des discussions très prometteuses dans des formats tels que le G20 et les BRICS», a-t-il déclaré lors d'une interview avec des journalistes russes et étrangers.

    11:55
    Les hôpitaux que la Défense russe fait construire pour les malades du coronavirus seront également accessibles aux civils, selon Poutine

    11:51
    En Russie, le montant des moyens alloués par le gouvernement pour minimiser les conséquences du coronavirus est de 1,2% du PIB

    11:42
    Poutine: la Russie n'a pas encore atteint le pic de l'épidémie

    11:18
    Le nombre de cas d'infection en Afrique a dépassé les 15.000 et 816 personnes sont décédées, selon l'Union africaine (Africa CDC).

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  14. «52 États membres de l'Union africaine signalent 15.249 cas de Covid-19, 816 décès et 2.895 guéris», a déclaré l'organisation sur Twitter.
    L'Union africaine comprend 55 États.
    La plupart des cas ont été détectés en Afrique du Nord (6.625), le plus faible nombre d’infectés a été enregistré en Afrique centrale (1.274).

    11:14
    En Espagne, 172.541 (+3.045) cas et 18.056 (+576) morts

    11:14
    700.000 masques, dont 600.000 chirurgicaux et 100.000 FFP2, sont arrivés ce matin depuis Marseille dans le port d'Ajaccio

    10:45
    La France pratique, chaque semaine, environ 150.000 tests par jour, selon Olivier Véran

    10:18
    Le nouveau ralentissement du nombre de cas en Allemagne expliqué
    L'Allemagne a enregistré 2.082 nouveaux cas confirmés de contamination par le coronavirus au cours des dernières 24 heures, portant le total à 125.098, selon les données publiées mardi par l'institut fédéral Robert Koch.
    Ce bilan quotidien est en baisse pour le quatrième jour d'affilée, après une série de quatre hausses consécutives. Selon l'Institut, il s'explique par un nombre moindre de tests de dépistage effectués.
    Parallèlement, 170 décès supplémentaires liés au coronavirus ont été recensés, pour un total de 2.969 morts depuis le début de l'épidémie.

    10:17
    Réactions au discours de Macron du 13 avril
    Emmanuel Macron s'adresse à la Nation, 13 avril 2020
    «On continuera de naviguer à l'aveugle»: la classe politique mitigée après les annonces de Macron

    10:13 14.04.2020
    Lors de sa quatrième allocution sur la crise sanitaire, Emmanuel Macron a annoncé la prolongation du confinement tout en reconnaissant des «failles» et que la France n’était «à l’évidence pas assez préparée» pour faire face à la pandémie. Tour d’horizon des réactions politiques.
    EN SAVOIR PLUS

    10:17
    Le 11 mai est « encore une date à conquérir»
    L'horizon du 11 mai pour entamer un déconfinement progressif est une date à «conquérir par le respect du confinement», a déclaré mardi le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner.
    «Le 11 mai est une date d'objectif. Ce qu'a annoncé le président de la République hier, ce n'est pas le déconfinement le 11 mai, c'est le confinement jusqu'au 11 mai», a souligné sur France Inter M. Castaner rappelant aux Français la «discipline» qui doit prévaloir dans le respect du confinement.
    «Le 11 mai est une date que nous devons encore conquérir par le respect du confinement», a-t-il insisté. «Il est nécessaire de ne pas se projeter en disant le 12 mai, c'est le mois de mai et nous faisons ce qu'il nous plaît et bien non, il faudra continuer à se battre».
    Interrogé à plusieurs reprises sur les perspectives du déconfinement dans tel ou tel domaine, par exemple les départs en vacances d'été à l'étranger, M. Castaner a souligné qu'il n'y avait «pas de réponse précise au moment» où il s'adressait aux journalistes et auditeurs.
    «Moi je conseillerais à ma famille de ne pas se précipiter sur des réservations surtout dans des pays étrangers», a-t-il seulement commenté, avant d'ajouter elliptique: «Je pense qu'il y aura des vacances d'été».

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  15. 10:14
    Plus de 20 tonnes de fret humanitaire pour combattre l'épidémie arrivent à Moscou depuis la Chine

    09:40
    Olivier Véran donne des détails sur l'attribution des masques «grand public» promis par Macron
    Selon le ministre, le gouvernement a mobilisé les «entreprises qui fabriquent du papier, du textile, afin de réorienter leur production vers la fabrication de masques, dont les normes assurent un certain niveau de filtration qui permet d'avoir une efficacité vis-à-vis du virus». Le ministre reconnaît que «ce n'est pas la même efficacité que les masques destinés aux soignants», les masques FFP2 ou chirurgicaux, mais c'est selon lui «une efficacité qui est nettement supérieure à celle qu'on pourrait avoir en utilisant un torchon ou une écharpe».
    Les conditions de leur attribution sont encore à l'étude mais «l'hypothèse de procéder à partir des collectivités locales, des mairies, est effectivement une des hypothèses que nous envisageons», a assuré Olivier Véran. «Ces masques auront aussi la capacité d'être lavables et donc d'être utilisables plusieurs fois», précise en outre le ministre. Concernant leur gratuité, Olivier Véran se contente d'assurer qu'il «imagine qu'il seront donnés à la population».

    09:39
    Véran confiant dans «la multiplication des points de dépistage»
    Le ministre de la Santé, Olivier Véran, s'est dit confiant mardi sur «la multiplication des points de dépistage» à partir du 11 mai pour les personnes présentant les symptômes du coronavirus.
    «La multiplication des points de dépistage, nous saurons faire», a assuré le ministre sur RTL. «Nous sommes plus de 60 millions dans ce pays, aucun pays au monde n'a jamais été capable et ne sera jamais capable de tester tout le monde. Il y a des pays qui prennent l'engagement de tester toute personne qui présente des symptômes, de manière à isoler ces personnes», a-t-il poursuivi. C'est le cas de la France, à partir du 11 mai, quand le confinement pourrait être allégé, comme l'a annoncé Emmanuel Macron lundi soir.

    Le ministre souhaite «qu'on innove, qu'on mobilise toutes les bonnes volontés, toutes les forces vives de la nation», qu'il y ait des tests «dans les hôpitaux, les laboratoires - quel que ce soit leur statut», y compris ceux consacrés «à la recherche».
    Il veut aussi «s'appuyer sur les collectivités», «mettre en place des équipes mobiles, des drive-tests, procéder à partir des pharmacies, d'officines volontaires».

    09:34
    La Russie enregistre en 24h 2.774 cas, 224 personne guéries, 22 morts
    Au total, la Russie compte 1.694 guérisons, 170 décès, 21.102 infectés

    09:25
    Toutes les écoles ne seront pas ouvertes le 11 mai, annonce Blanquer
    Le ministre de l'Éducation nationale a confirmé sur France 2 les mesures d'Emmanuel Macron, en ajoutant que le retour à l'école sera «progressif».
    «Le premier but est social», a-t-il expliqué. «Il y a des élèves qui peuvent partir à la dérive à cause du confinement, aujourd’hui, il y a des enfants maltraités à la maison».
    «Il est hors de question d'avoir des classes bondées, tempère-t-il. La charge horaire sera moins importante pour certains élèves, ils se sont habitués au travail à distance. Notamment pour les plus grands, au lycée».

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  16. 09:20
    Le gouvernement français prévoit un déficit public d'environ 9% en 2020
    La France devrait connaître un déficit public aux alentours de 9 % du produit intérieur brut (PIB) cette année et une dette de 115 %, a annoncé mardi le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin. «Chaque jour, chaque semaine de confinement (...) fait effectivement aggraver les finances publiques», a-t-il affirmé sur France Info.

    09:11
    150.000 entreprises ont sollicité un prêt garanti par l'État
    Quelque 150.000 entreprises françaises ont obtenu un accord en vue d'obtenir un prêt garanti par l'État pour un montant total représentant 22 milliards d'euros, a annoncé mardi le directeur général de bpiFrance Nicolas Dufourcq sur BFM Business.
    Pour permettre aux entreprises de faire face au coup d'arrêt à l'économie provoquée par l'épidémie de coronavirus, le gouvernement a mis sur pied un dispositif de prêts garantis par l'Etat pour un total pouvant atteindre jusqu'à 300 milliards d'euros.
    «La montée en puissance du régime est très forte, très rapide. Ça démarre fort», a déclaré Nicolas Dufourcq.

    Le directeur général de bpiFrance, acteur clef du dispositif des prêts garantis, a ajouté que 40 milliards d'euros de demandes supplémentaires étaient en cours d'examen. «Je pense que nous passerons les 100 milliards d'euros sans hésitation», a-t-il dit.

    09:09
    En direct depuis l'Autriche, où le déconfinement a lieu progressivement, certains magasins non-essentiels ouvrent à nouveau leurs portes

    08:46
    Le montant du plan de soutien de l'économie française face au coronavirus est passé de 45 à 100 milliards d'euros, selon Bruno Le Maire

    08:13
    Le gouvernement français prévoit un recul du PIB de 8% en 2020, annonce Bruno Le Maire
    «Le confinement est plus long que ce qui pouvait avoir été anticipé (...) évidemment ça aura un impact plus fort sur notre croissance nationale. Nous avions prévu une croissance à -6, nous aurons une prévision de croisance qui va être fixée à -8 pour le projet de loi de finances rectificatives» qui sera présenté mercredi en conseil de ministres, a déclaré mardi Bruno Le Maire sur BFMTV et RMC.

    08:11
    Un club de foot péruvien licencie tout son effectif

    Le Deportivo Coopsol, club de deuxième division péruvienne, a licencié lundi tous ses joueurs et techniciens à cause de l'arrêt des championnats provoqué par la pandémie de Covid-19.
    «Nous annonçons avec beaucoup de douleur, mais aussi avec responsabilité, que n'ayant pas d'alternative économique ni d'échappatoire, nous avons décidé de considérer comme conclue la mission de nos joueurs et de nos techniciens», indique le club dans un communiqué.
    Depuis que le gouvernement a imposé un confinement national, le 16 mars, les sponsors du club ont interrompu leurs versements, a expliqué le président du club Freddy Ames sur Radio Ovacion.
    «Sans revenus et avec l'incertitude sur la reprise ou non de la Liga 2, il nous est impossible de continuer à entretenir un effectif de joueurs», a-t-il affirmé.

    https://fr.sputniknews.com/international/202004141043549732-epidemie-en-continu-le-covid-19-est-10-fois-plus-mortel-que-le-h1n1-estime-loms/

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    Réponses
    1. (...) 10 fois plus que le virus responsable de la pandémie de grippe de 2009», (...)

      (...) 700.000 masques, dont 600.000 chirurgicaux et 100.000 FFP2, sont arrivés ce matin depuis Marseille dans le port d'Ajaccio (...)

      Même pas un par fonctionnaire ! (Ils ont trouvé un pilote d'avion ??!).

      (...) La France devrait connaître un déficit public aux alentours de 9 % du produit intérieur brut (PIB) cette année et une dette de 115 %, (...)

      Les joystickers de la planche-à-billets sont en grève !

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  17. LE TÉLÉTRAVAIL, LA NOUVELLE NORME POST-CONFINEMENT ?


    par LUDIVINE CANARD
    14/04/2020


    62% des Français voudront faire plus de télétravail après le
    confinement

    Après quatre semaines de confinement, les Français se sont faits au télétravail et souhaitent continuer après le confinement. Pour cela, il faudra que les entreprises se réorganisent.

    Plus de temps, plus de productivité et plus d’autonomie

    Avant le confinement, ils étaient près que 5,5 millions à travailler de chez eux au moins un jour par semaine. Dorénavant, les salariés qu’ils le peuvent sont invités à faire du télétravail ; et cela n’est pas pour leur déplaire. C’est ce que démontre une étude de Deskeo, opérateur de bureaux flexibles réalisée auprès de 2.915 professionnels. En effet, 62% des Français souhaiteraient faire plus de télétravail après le confinement.

    Les télétravailleurs Français ont pu constater les nombreux avantages du home office. Plus d’autonomie, de productivité et une meilleure gestion du temps : 38% d’entre eux apprécient le fait de plus perdre de temps dans les transports et 27% valorisent le fait de travailler au calme pour pouvoir se concentrer. 19% des télétravailleurs aiment travailler chez eux, car ils peuvent s’organiser comme ils le veulent.

    En revanche, lorsque l’on demande aux Français ce qui leur manque le plus quand ils travaillent à distance, pour près de la majorité (43%), c’est l’émulation collective émanant d’un espace de travail dynamique. Ensuite, vient la facilité de pouvoir échanger avec ses collègues (35%).

    Les entreprises, pas tout à fait prêtes

    Mais ce sont les employeurs qui décident si les salariés peuvent faire du télétravail. Plus d'un Français sur deux (55%) pensent que leur société sera favorable au télétravail. Dans le détail, 4% déclarent que leur employeur sera tout à fait d’accord et 51% plutôt favorable. En revanche, 36% pensent que leur entreprise sera plutôt contre et 8% totalement opposée.

    Mais pour quelles raisons les entreprises seraient défavorables ? 4 sondés sur 10 pensent que leur entreprise a une culture du présentéisme trop importante pour mettre en place du télétravail. « La culture du présentéisme est encore très présente en France. Un accompagnement est nécessaire pour aider les managers à faire davantage confiance à leurs équipes pour s’adapter au travail à distance. Espérons que cet épisode de télétravail forcé permettra de faire évoluer les mentalités pour aller vers un management à la performance et non plus à la présence », précise Frank Zorn, co-fondateur de Deskeo. 17% pensent également que leur employeur refuserait par manque de confiance.

    http://www.economiematin.fr/news-confinement-teletravail-salaries-etude-entreprise

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    Réponses
    1. (...) Avant le confinement, ils étaient près que 5,5 millions à travailler de chez eux au moins un jour par semaine. (...)

      - "Pour décharger le camion, j'appuie sur la touche 'D' ou 2 fois sur la touche 'KK' ?"

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  18. Bill Gates veut maintenir le monde dans un verrouillage partiel
    Jusqu'à l'approbation du vaccin, peut-être dans 18 mois


    Par Bill Sardi
    14 avril 2020


    S'exprimant sur PBS Newshour, le milliardaire et développeur de vaccins Bill Gates suggère que la menace mondiale d'infection par le coronavirus COVID-19 ne disparaîtra pas complètement et que les blocages des populations humaines ne s'ouvriront que "dans une certaine mesure ... jusqu'à ce que nous ayons une vaccination très large".

    Jusque-là, Gates suggère de porter dans le monde entier des masques, une surveillance de la température, une distance sociale et un suivi des individus, probablement via des localisateurs de téléphones portables, qui ont été exposés à des personnes infectées.

    Ainsi, les mesures anti-coronavirus, qui ont fermé des restaurants et des églises, des avions commerciaux au sol et de nombreuses autres entreprises, seraient prolongées. Le préjudice financier semble être pire que la maladie.

    Si ces mesures contre les coronavirus se poursuivent pendant une période prolongée, il est également possible que la solvabilité de la plupart des pratiques médicales soit menacée et que la plupart des médecins cessent leurs activités au moment de l'introduction d'un vaccin.

    De telles mesures semblent onéreuses pour une maladie infectieuse qui n'induit pas de symptômes pour 80% des personnes infectées. C'est ce que Bill Gates appelle un «scénario de cauchemar». Le «scénario de cauchemar» sont les mesures de verrouillage, pas le virus.

    Bien qu'il existe des prévisions agressives, un vaccin contre le coronavirus pourrait être approuvé et mis sur le marché en 6 mois, d'autres experts disent qu'un tel vaccin pourrait être dans 18 mois, et même alors, ce serait "risqué".

    L'Institut international des vaccins affirme qu'une précipitation sur le marché «peut s'avérer dangereuse». Il faut généralement de 5 à 10 ans pour déployer les vaccins. L'Institut international des vaccins indique que 93% des vaccins échouent aux essais cliniques.

    Plus souffrirait du vaccin que de la maladie

    Les vaccins sont testés sur des individus en bonne santé. Mais des centaines de millions de personnes ne sont pas en bonne santé et sont plus à risque de subir des effets secondaires graves nécessitant une hospitalisation. Les personnes malsaines peuvent ne pas développer suffisamment d'anticorps et acquérir une maladie induite par le vaccin qui serait probablement confondue avec une infection coronavirale acquise dans la communauté, et non la vaccination elle-même.

    En utilisant une grande étude sur la grippe à titre de comparaison, environ 6 / 10e de 1% à 1,3% des personnes vaccinées contre la grippe ont subi un effet secondaire nécessitant une hospitalisation. Parmi les personnes hospitalisées, une autre étude révèle que 1,4% mourraient.

    En utilisant ces chiffres, même un vaccin relativement sûr et efficace s'il était universellement mandaté parmi la population mondiale de 7,8 milliards pourrait hospitaliser 46,8-101,4 millions et entraîner 655 200-1 419 600 décès inutiles dans le monde, bien pire que le coronavirus en circulation sans aucun vaccin. Il n’existe tout simplement pas autant de lits d’hôpitaux dans le monde, sans parler des ventilateurs pour les patients qui figurent sur la liste critique.

    Des décès surestimés sont utilisés pour créer une demande de vaccins

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  19. Des mois de décès signalés par des coronavirus pourraient entraîner une clameur publique pour un vaccin, mais dans l'examen post-traitement, il semble que 8 décès liés au COVID-19 sur 10 (Italie) étaient en fait dus à des conditions sous-jacentes telles que les maladies cardiaques, le diabète et le cancer. Selon le CDC, 83,3% des Américains avec des infections à coronavirus COVID-19 confirmées en laboratoire ont des conditions médicales sous-jacentes. Pourtant, les médias continuent de faire exploser le nombre de décès, ce qui est irresponsable.

    Ensuite, une incitation financière est accordée aux hôpitaux pour mettre à jour les cas de pneumonie saisonnière en suivant les nouvelles directives du CDC, pour indiquer qu'ils sont décédés de COVID-19 (remboursement de 39000 $ au lieu des 13000 $ normaux). Alors, le CDC est-il à l'origine de l'apparition de décès dus au COVID-19 pour pousser la demande publique de vaccin hors de ce qui équivaut à une peur non fondée?

    C'est peut-être en fait une autre maladie infectieuse

    Il y a un petit courant sous-jacent selon lequel de nombreux cas de pneumonie dans le monde dus au coronavirus COVID-19 sont en fait dus à la tuberculose. Il est très difficile de distinguer la pneumonie liée à la grippe de la pneumonie induite par la tuberculose. Il est particulièrement intéressant de noter que les pays qui imposent la vaccination antituberculeuse ont un taux de mortalité par coronavirus six fois inférieur à celui des autres pays.

    Gates a le monde en guillotine

    Bill Gates dépense actuellement des millions de dollars pour construire sept usines pour développer un vaccin contre le coronavirus COVID-19.

    Il serait préférable que le monde dépense de l'argent pour accroître l'immunité contre les maladies infectieuses grâce à une supplémentation nutritionnelle, à savoir les vitamines C et D et le zinc, et l'utilisation ciblée de médicaments, dont la chloroquine antipaludique, pour traiter ou prévenir les symptômes graves du COVID-19 parmi les groupes à haut risque. Une telle approche serait plus appropriée et moins problématique que la vaccination de masse.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/bill-gates-wants-to-hold-the-world-in-partial-lockdown-until-vaccine-is-approved-maybe-18-months-from-now/

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  20. Les États-Unis déclarent la guerre à l'Amérique
    Armes chimiques et biologiques


    Par Larry Romanoff
    Recherche globale
    14 avril 2020


    Au cours des 70 dernières années, le gouvernement américain a mené une guerre contre ses propres citoyens, une histoire répréhensible d'expériences illégales, contraires à l'éthique et immorales, exposant d'innombrables civils américains à des procédures mortelles et à des agents pathogènes.

    Selon une enquête du Congrès américain, à la fin des années 1970:

    «Au moins 500 000 personnes ont été utilisées comme sujets dans des expériences de radiation, biologiques et chimiques parrainées par le gouvernement fédéral américain sur ses propres citoyens».

    Capture d'écran: Tampa Bay Times, 7 octobre 2005

    Le 28 septembre 1994, le Government Accountability Office des États-Unis a publié un rapport qui indiquait qu'entre 1940 et 1974, le Département de la défense des États-Unis et d'autres agences de sécurité nationale avaient étudié des centaines de milliers de sujets humains lors d'essais et d'expériences impliquant des substances dangereuses.

    «De nombreuses expériences qui ont testé divers agents biologiques sur des sujets humains, appelés opération Whitecoat, ont été menées à Fort Detrick, Maryland, dans les années 1950. Les sujets humains étaient à l'origine des hommes enrôlés volontaires. Cependant, après que les hommes enrôlés ont organisé une grève d'occupation pour obtenir plus d'informations sur les dangers des tests biologiques. Aucun suivi notable n'a été fait, ni aucun registre des participants. L'armée américaine a par la suite affirmé qu'elle n'avait les coordonnées d'un millier de participants d'origine. [Le] programme de défense biologique des États-Unis comprend des dizaines de divisions, de départements, de groupes de recherche, de bio-intelligence et plus encore, en aucun cas tous liés à la «défense» dans tous les sens. »

    Tiré du document: Cobayes nucléaires américains: trois décennies d'expériences de radiation sur des citoyens américains: Rapport préparé par le Sous-comité sur la conservation de l'énergie et l'énergie, de la Commission de l'énergie et du commerce, Chambre des représentants des États-Unis, novembre 1986: US Government Printing Office , Washington, 1986, 65-0190

    «Les sujets humains étaient des publics captifs ou des populations que les expérimentateurs auraient effroyablement pu considérer comme« consommables »: les personnes âgées, les prisonniers, les patients hospitalisés souffrant de maladies en phase terminale ou qui n'avaient peut-être pas conservé toutes leurs facultés pour obtenir un consentement éclairé. … Aucune preuve qu'un consentement éclairé a été accordé. … Le gouvernement a dissimulé la nature des expériences et trompé les familles des victimes décédées quant à ce qui s'était passé. … Les sujets ont reçu des doses qui ont approché ou même dépassé les limites actuellement reconnues pour l'exposition professionnelle aux rayonnements. Les doses représentaient 93 fois la charge corporelle (maximale) reconnue ». Le papier procède ensuite: "Certaines des expériences les plus répugnantes ou bizarres sont résumées ci-dessous."

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  21. Peu d'Américains semblent conscients des programmes d'expérimentation humaine de leur propre gouvernement, une litanie démesurée d'atrocités perpétrées par la CIA et l'armée sur une population innocente et non informée, toujours sans consentement et le plus souvent avec des résultats tragiques.

    Ceux-ci comprenaient de vastes programmes d'expériences de contrôle de l'esprit, des expériences d'interrogatoire / torture, une infection délibérée par des maladies mortelles ou débilitantes, une exposition à une radioactivité sévère et toutes sortes de pathogènes chimiques biologiques, bactériologiques et toxiques. Ils englobaient le lavage de cerveau, la torture, les électrochocs, les agents neurotoxiques, les médicaments et l'hypnose exotique et les expériences chirurgicales, y compris les lobotomies, et un large éventail de «recherches» pharmacologiques, toutes menées sur des victimes civiles innocentes, non informées et sans défense allant des nouveau-nés aux adultes.

    Les substances utilisées - les «outils de leur commerce» - comprenaient le LSD, l'héroïne, la morphine, la benzédrine, la marijuana, la cocaïne, le PCP, la mescaline, le métrazol, l'éther, les gaz nerveux VX et la sarine, des produits chimiques toxiques tels que le sulfure de cadmium de zinc et le dioxyde de soufre, une variété d'agents biologiques, acide sulfurique, scopolamine, gaz moutarde, isotopes radioactifs et diverses dioxines de Dow Chemical. Ils comprenaient également des électrochocs, des œstrogènes synthétiques, des cellules cancéreuses vivantes, des organes sexuels d'animaux transplantés chez l'homme, des transfusions sanguines de vache et bien plus encore. Les maladies délibérément transmises comprenaient la syphilis, la gonorrhée, l'hépatite, le cancer, la peste bubonique, le béribéri, le choléra, la coqueluche, la fièvre jaune, la dengue, l'encéphalite et la typhoïde, la maladie de Lyme, la fièvre hémorragique et bien plus encore.

    Capture d'écran, New York Post

    Des expériences ont été réalisées sur des enfants, des orphelins, des malades et des handicapés mentaux, des prisonniers qui n'avaient pas le choix de participer. Les patients hospitalisés ont souvent été informés qu'ils recevaient un traitement médical, mais ont plutôt été utilisés comme sujets dans des expériences mortelles. (Voir Hornblum Allen M .; Newman Judith Lynn; Dober Gregory J. (2013). Contre leur volonté: l'histoire secrète de l'expérimentation médicale sur les enfants en Amérique de la guerre froide. Palgrave Macmillan. ISBN 978-0-230-34171-5)

    Nous ne connaîtrons jamais le nombre total de morts. Si cela ne vous dérange pas, faites des recherches sur le programme MK-ULTRA de la CIA. Beaucoup de ces expériences se sont poursuivies jusqu'à la fin des années 1990 et au-delà, et de nombreuses personnes affirment - et fournissent des preuves - qu'elles se poursuivent encore aujourd'hui.

    Trois jours après son discours dénonçant les tactiques soviétiques, Allen Dulles a approuvé le début de MK-Ultra, un programme top secret de la CIA pour «l'utilisation secrète de matières biologiques et chimiques». Les «valeurs américaines» sont une bonne rhétorique, mais Dulles avait des plans beaucoup plus ambitieux pour le programme de la guerre froide de l'agence.

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  22. Les expériences de «contrôle mental» de MK-Ultra étaient généralement centrées sur la modification du comportement via la thérapie par électrochocs, l'hypnose, les polygraphes, les radiations et une variété de médicaments, de toxines et de produits chimiques. Ces expériences reposaient sur une gamme de sujets d'essai: certains qui se sont portés volontaires, certains qui se sont portés volontaires sous la contrainte, et certains qui n'avaient absolument aucune idée qu'ils étaient impliqués dans un vaste programme de recherche en matière de défense. Des garçons souffrant de troubles mentaux dans une école publique, aux soldats américains, aux «psychopathes sexuels» dans un hôpital public, les programmes de MK-Ultra ont souvent ciblé les membres les plus vulnérables de la société. La CIA considérait les prisonniers comme de bons sujets, car ils étaient disposés à donner leur consentement en échange de temps de loisirs supplémentaires ou de peines commuées. (Programme MK-ULTRA de la CIA.)

    Ces programmes de recherche humaine ont été financés par le gouvernement américain et exécutés principalement par la CIA et l'armée, mais avec la pleine coopération de la plupart des grandes universités et hôpitaux. Ils étaient très secrets, leur existence n'a été découverte qu'après de nombreuses années de fonctionnement. Face à des ordonnances judiciaires de divulgation des documents, la CIA et l'armée ont plutôt détruit la plupart des documents, quelques documents ne survivant que par des erreurs de classement et de communication, les preuves disponibles ne couvrant qu'une infime partie des violations et atrocités commises.

    «De 1960 à 1971, le Dr Eugene Saenger, radiologue à l'Université de Cincinnati, a exposé des patients pauvres et pour la plupart noirs à des radiations du corps entier. On ne leur a pas demandé de signer les formulaires de consentement et on ne leur a pas dit que le Pentagone avait financé l'étude. Les patients ont été exposés, en l'espace d'une heure, à l'équivalent d'environ 20 000 rayons X de rayonnement. »

    La plupart des patients sont décédés, mais le Dr Saenger a récemment reçu une médaille d'or pour «réalisations professionnelles» de la Radiological Society of North America.

    À partir des années 1950, des enfants handicapés mentaux de la Willowbrook State School de Staten Island, à New York, ont été intentionnellement infectés par une hépatite virale en leur nourrissant un extrait fabriqué à partir des selles de patients infectés. Saul Krugman de l'Université de New York a promis aux parents d'enfants handicapés mentaux que leurs enfants seraient inscrits à Willowbrook en échange de la signature d'un formulaire de consentement pour les procédures qui, selon lui, étaient des «vaccinations». En réalité, les procédures impliquaient d'infecter délibérément les enfants atteints d'hépatite virale.

    Lauretta Bender: Le psychiatre de l'enfer. Lauretta Bender était neuropsychiatre à l'hôpital de Bellevue dans les années 40 et au début des années 50. Elle a lancé la thérapie par électrochocs sur les petits enfants qui ont inévitablement régressé dans des états violents et catatoniques, la plupart finissant morts ou en prison. Bender a ensuite élargi ses traitements pour inclure le LSD et, malgré sa brutalité inhumaine, le NYT a publié une nécrologie éclatante à sa mort - comme cela a été le cas pour des dizaines de ces personnes.

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  23. Le gouvernement américain est-il mauvais ? À vous de me dire

    À partir de 1950 environ, l'armée américaine a mené au moins 240 attaques de guerre biologique en plein air contre des villes américaines, libérant des agents nerveux mortels et des bactéries de l'Alaska à Hawaï. La CIA a libéré des bactéries de la coqueluche de la mer près de Tampa Bay, en Floride, provoquant une épidémie qui a fait des dizaines de milliers de personnes extrêmement malades et en a tué beaucoup d'autres. L'US Navy a simulé des attaques de guerre biologique en pulvérisant de grandes quantités de bactéries sur San Francisco, dans lesquelles de nombreux citoyens sont morts et d'innombrables ont contracté des maladies graves de type pneumonie. Lorsque les informations ont été divulguées, des sources militaires ont insisté sur le fait que les bactéries étaient inoffensives, mais d'innombrables milliers de personnes ont subi de graves infections des voies urinaires et respiratoires, une pneumonie et d'autres maladies, des infections qui étaient permanentes: «À ce jour, ces bactéries sont une des principales causes de décès parmi les personnes âgées dans la région de San Francisco ».

    L'armée américaine a effectué environ 1 000 essais nucléaires au-dessus du sol pour déterminer les effets des rayonnements sur une population. Le service de santé publique a été chargé d'informer les citoyens en aval des essais de bombes nucléaires que l'augmentation des cancers était due à la névrose, et Eisenhower a ordonné que les femmes atteintes de radiothérapie, d'avortements spontanés, de perte de cheveux, de leucémie et de cancer du cerveau soient informées qu'elles souffraient de « syndrome de la femme au foyer ».

    Un document secret de l'AEC daté du 17 avril 1947, intitulé Medical Experiments in Humans, déclarait:

    «Il est souhaitable qu'aucun document ne soit publié qui fasse référence à des expériences avec des humains qui pourraient avoir une réaction défavorable sur l'opinion publique ou entraîner des poursuites judiciaires. Les documents couvrant un tel travail sur le terrain devraient être classés secrets. »

    Une indication de la nature insensible et obscène qui a toujours imprégné le gouvernement américain:

    Kodak a commencé à recevoir des plaintes de clients concernant des films embués, la cause liée au matériau d'emballage - les coques de maïs de l'Indiana contaminées par la radioactivité. Le gouvernement américain a secrètement accepté de fournir à Kodak des informations préalables sur tous les futurs essais nucléaires, y compris «la distribution attendue de matières radioactives afin d'anticiper la contamination locale». Les victimes nous disent maintenant: «. . . le gouvernement a mis en garde l'industrie photographique et fourni des cartes et des prévisions de contamination potentielle. Où étaient les avertissements aux parents d'enfants dans ces zones? Le gouvernement a protégé des pellicules, mais pas la vie de nos enfants. Pourquoi ont-ils fait cela alors qu'ils avaient toutes les informations sur les points chauds et les retombées, et pourtant ils n'ont pas averti les habitants de ce pays des dangers inhérents aux retombées radioactives? » Leur gouvernement ne leur a rien dit parce qu'ils étaient les cobayes des tests.

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  24. Vous pouvez lire sur certains des cas les plus importants ici, ici, ici et ici. Aussi le fameux Projet 100 000 de Robert McNamara, Opération DEW, Opération LAC, Projet SHAD, Projet 112, Maladie de Lyme, Gaz Nerveux et Moutons Morts à Dugway.

    Et ce n'était pas seulement la guerre contre l'Amérique

    Les preuves accumulées de l'utilisation américaine d'armes biologiques en Chine et en Corée du Nord sont incontestables, mais le gouvernement américain ment à ce sujet depuis 70 ans.

    Il est également documenté sans conteste que les États-Unis ont mené une campagne de guerre biologique de plusieurs décennies contre le petit Cuba, y compris la distribution de la fièvre hémorragique et la grippe porcine qui a fait que Cuba a tué les 500000 porcs du pays. Les Américains ont non seulement menti à ce sujet pendant 70 ans, mais ont accusé Cuba d'être "un État paria" avec un programme de guerre biologique. (1)

    Et pas seulement Cuba. Les États-Unis ont déployé des armes chimiques et biologiques au Canada, aux Philippines, à Porto Rico, en Colombie, au Vietnam, en Chine, en Corée du Nord, au Vietnam, au Laos, au Cambodge et plus encore.

    Reprinted with permission from Global Research.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/the-us-declares-war-on-america/

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  25. Missives coronavirus du Costa Rica, du Mexique, de Macao et du Laos


    Par Linh Dinh
    14 avril 2020


    Lorsque j'ai quitté Hanoï le 28 février, ses rues étaient toujours obstruées par la circulation, la plupart des restaurants et cafés étaient bondés et il n'y avait que quelques signes mineurs de la menace d'une pandémie. Il y avait plus de masques faciaux, en particulier sur les serveurs et les commerçants. À un joint pho décharné, j'ai repéré une pancarte demandant aux clients de ne pas fumer, «pour empêcher la propagation du coronavirus», et dans une pharmacie, des bâtons d'encens à la savonnière étaient à vendre, «Pour fumiger le virus corona». Certaines compagnies de bus longue distance n'accepteraient pas les passagers chinois.

    Un mois plus tard, toutes les rues du Vietnam sont vides, car même sans mort de coronavirus, la nation a également été mise en lock-out. En empêchant une population majoritairement pauvre de gagner sa vie, le gouvernement risque de provoquer une colère généralisée ou des troubles sociaux, mais il doit le faire car il estime qu'il n'a pas le choix. L'indécision entraînera des morts massives. Le Vietnam étant déjà un État totalitaire, il n'a pas besoin de prétextes pour introduire des mesures draconiennes. En plus de son coût économique paralysant, le Vietnam empêche également les étrangers d'entrer.

    Chaque État est mis à l'épreuve par cette crise mondiale. Le Turkménistan réagit en n'utilisant pas le mot «coronavirus» et en arrêtant même des gens pour avoir porté des masques faciaux. Il n'y a pas d'infection, insiste-t-il, donc il n'y a pas de problème. La calamité dans l'Iran voisin n'a tout simplement pas débordé.

    Certains pensent que cette crise a été planifiée par le gouvernement américain pour abattre les mangeurs inutiles et pour transférer la richesse des crottes terrifiées au 1%, et il n'y aura pas de résistance significative, car les citoyens affamés, enfermés à l'intérieur, ne feront que supplier leur gouvernement criminel pour les sauver. Vous ne pouvez pas vous organiser si vous ne pouvez pas vous approcher à moins de six pieds de vos voisins, et si vous le faites en ligne, ils viendront vous chercher ! Battus, ils feront la queue pour recevoir leur ration alimentaire.

    Le 28 février, Trump a déclaré à propos du coronavirus: «Ça va disparaître. Un jour, c'est comme un miracle, ça va disparaître. " Beaucoup a déjà disparu, mais pas le virus. Le souffle de ceci est sans précédent, et étape par étape, nous en apprendrons sur sa profondeur effrayante. Votre mode de vie entier a peut-être disparu.

    Écoutons comment vont certaines personnes et que font-elles de tout cela.

    Jim, un Américain de 73 ans vivant dans les montagnes du Costa Rica

    Qu'est-ce que Yogi Berra a dit, quelque chose à propos de la difficulté à faire des prédictions, en particulier sur l'avenir? Néanmoins, j'y plonge (après avoir suffisamment flâné pour avoir l'avantage d'avoir lu les cinq premiers essais par d'autres ex-tapotements)

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  26. L'opinion majoritaire semblait être que Covid 19 était une fraude, peut-être juste une autre grippe, sauf avec une équipe de relations publiques tueur. Tellement bien, maintenant je peux être le rebelle, l’étranger, le libre-penseur, et dire que j’accepte réellement les déclarations des autorités sanitaires et, à 73 ans, je prends au sérieux ce «boomer-remover» d’un virus. Je ne pense pas que les 800 morts par jour en Italie étaient des acteurs de crise. Fondamentalement, j'ai décidé de faire confiance à la Chine, qui a pris TRÈS sérieusement Covid 19, malgré le fait qu'il n'y ait pas un GRAND PHARMA dans les ailes pour fabriquer des gazillions avec un nouveau vaccin.

    J'étais en Équateur lorsque cela a commencé en janvier et février. Le 25 février, j'ai décidé que c'était grave et je ferais mieux de retourner dans ma petite ferme assez éloignée du Costa Rica. Le 4 mars, j'ai payé les frais raides pour changer la date du vol de retour. Le 12 mars, j'ai volé de l'Équateur au Costa Rica. Le 11 mars, le W.H.O. a déclaré que le virus était une pandémie. Le 11 mars également, le Costa Rica a annoncé que tout le monde au Costa Rica était soigné gratuitement, que vous ayez une assurance ou que vous soyez illégalement dans le pays. Le 15 mars, le Costa Rica a ordonné la fermeture de tous les bars, boîtes de nuit et casinos. Le 16 mars, le Costa Rica a déclaré l'état d'urgence, y compris la fermeture de tous les parcs nationaux et la suspension des bateaux de croisière accostant à Limon.

    Tous les vols internationaux ont été arrêtés le 16 mars. Je suis donc rentré avec 3 ou 4 jours à perdre. De justesse. De nombreux voyageurs sont pris au piège dans des pays sans vols et avec des frontières terrestres fermées. Le Costa Rica a annoncé récemment que toute personne quittant le pays (par voie terrestre) perdrait son statut migratoire. Il est principalement destiné aux travailleurs invités nicaraguayens, s’ils partent, ils ne peuvent pas revenir. C'est pour décourager beaucoup de Nicaraguayens de rentrer chez eux pour la Semaine Sainte (où ils pourraient attraper le virus et le ramener avec eux), mais cela s'applique également au reste d'entre nous, étrangers.

    Ce qui est drôle, c'est que je l'ai collé dans cette ferme de montagne solitaire pendant des années, toujours en pensant vouloir avoir un lieu de survie en cas d'effondrement de la société. Mais je m'ennuyais à attendre l'apocalypse et je cherchais un endroit avec plus de vie sociale. Maintenant, je remercie mes étoiles chanceuses d'avoir cet endroit pour le monter et que je suis revenu.

    J'ai écrit à un ami aux États-Unis au sujet du Costa Rica décidant que tout le monde était traité gratuitement. Il a répondu que cela devait être étrange de vivre dans un pays avec un système de santé fonctionnel.

    En Équateur, le peuple autochtone Waorani s’enfonce plus profondément en Amazonie pour éviter la nouvelle maladie de l’homme blanc. Pouvez-vous imaginer qu'il y a encore des gens si libres et courageux qu'ils sautent dans leurs pirogues et s'enfoncent dans l'Amazonie avec seulement leurs connaissances, leurs compétences et leur courage pour survivre ?

    Les deux pays sont derrière le huitième ballon. L'Équateur, avec les prix du pétrole si bas et les contrats existants devant être respectés, perd actuellement de l'argent sur tout le pétrole qu'il pompe. Le Costa Rica est tributaire du tourisme et il n'y en a pas, bien sûr, sans vols entrants ou sortants. Je voudrais profiter de cette pause touristique pour aller vers l'océan, qui est généralement trop cher ou bondé à mon goût, mais je crains de demander des ennuis à la police. J'ai lu aujourd'hui qu'ils ont réprimandé une surfeuse championne de surf et l'ont renvoyée chez elle. Vraiment ? Comment un internaute solitaire va-t-il le diffuser ?

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  27. Je suis allé à la banque il y a deux semaines et une fois la semaine dernière. Ils ont considérablement resserré les procédures. Maintenant, ils ne laissent entrer qu'une demi-douzaine de personnes à la fois et vous accompagnent immédiatement jusqu'à la salle de bain et vous regardent vous laver les mains. Et les chaises sont bien plus éloignées que la semaine précédente.

    Avant cette crise, la vie était solitaire ici, mais je pouvais aller au bar local quelques fois par semaine pour mes exigences minimales de contact humain. Maintenant, les bars sont fermés et jusqu'à présent, je n'ai pas voulu risquer d'aller voir qui que ce soit. Et s'ils tombaient malades après ma visite ? Ils me blâmeraient.

    J'avais prévu d'ouvrir enfin ma ferme à des bénévoles de Help-X ou Workaway afin d'avoir un contact humain, mais je ne peux pas le faire maintenant car il n'y a pas de vols, donc pas de voyageurs, et ne serait pas en sécurité non plus amener des inconnus qui pourraient être des porteurs asymptomatiques dans ma maison.

    Peut-être qu'après cela (s'il y a un «après»), les gens insisteront pour mettre fin à la pratique de l'isolement cellulaire dans les prisons, après avoir eu une expérience directe avec une forme très douce. Pour être honnête, je souffre de dépression et de toxicomanie dans cette situation de pandémie à la maison (seulement de la bière, je suis une mauviette à la toxicomanie)

    Je crains que le don de 2 billions de dollars, principalement aux suspects habituels, n'entraîne une grave inflation. D'un autre côté, si le dollar s'effondre, cela signifiera peut-être le début de la fin pour la botte de l'oncle Sam sur le cou de tout le monde dans le monde. D'un autre côté, peut-être que les pouvoirs en place décideront que pour distraire les gens des problèmes, il faut une bonne vieille guerre. Comme avec la Chine. Après tout, ils nous ont d'abord envahis avec leur virus chinois, c'est seulement la légitime défense de riposter, non ?

    Addendum: je suis finalement sorti (à la recherche de bière) et j'ai vu que la porte d'un ami costaricien était ouverte, alors j'ai conduit pour lui dire bonjour et son nouveau petit ami expatrié gringo. Elle n'était pas là mais lui et moi avons parlé et bu une bière.

    Il m'a dit qu'il pensait que les Chinois avaient fait exprès que ce coronavirus se produise. Il m'a dit que je pouvais vérifier sur Wikipédia, que le président de la Chine avait fait un bundle sur le marché boursier parce qu'il savait que les stocks allaient être durement touchés par la fermeture due au coronavirus.

    Je pensais que la fin de mon article était une sorte de scénario pire tiré de l'éther. Guerre avec la Chine. Des téléspectateurs avalent de la propagande anti-chinoise avant la guerre. Mais c’est vrai que j’ai peur… Au total maintenant, détestons Goldman… ou est-ce la Russie… ou la Chine ? Peu importe ! Détestons simplement quelqu'un. L'autoréflexion n'est pas un point fort aux États-Unis d'A.

    Dans la dernière auberge où j'ai séjourné en Équateur, il n'y avait qu'un seul autre invité la plupart du temps. Une touriste canadienne charmante et charmante. Pendant la cuisson dans la cuisine commune, nous avons beaucoup parlé. Quand elle ne m'a pas parlé, elle s'est parlée à haute voix pour elle-même. Son téléphone portable était Huawei et elle s'est excusée abondamment d'avoir un téléphone chinois et a expliqué comment elle détestait la Chine pour cette raison et cela. Je lui ai dit que certains de ses propos étaient vrais, ils avaient sorti des millions de personnes de la pauvreté. Elle a dit qu'elle ne le savait pas. J'ai dit que ce sont les États-Unis qui tentent de conquérir le monde entier, et la Russie et la Chine ne font que jouer la défense.

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  28. Alejandro C., propriétaire d'une entreprise de 53 ans, vivant à Mexico

    Je pense que les États-Unis s'autodétruisent en quelque sorte. Ils continuent de mener des guerres partout dans le monde, alors qu'ils devraient concentrer leurs ressources sur les soins à domicile. Ils continuent à adopter des lois qui pourraient aider à concentrer encore plus de richesses parmi les déjà obscurément riches. Des miettes pour le peuple et des milliards pour des sociétés mal gérées sans surveillance. Regardez Boeing pour commencer. Le système néolibéral est cassé. À mon avis, les États-Unis ont deux choix fondamentaux: république ou empire. Ça ne peut pas être les deux. D'après ce que j'ai lu, je n'ai jamais vu un leadership aussi horrible aux États-Unis, et je ne parle pas de Trump en particulier. La catastrophe se prépare depuis des décennies. L'avarice des entreprises mondiales revient pour les mordre. Ils considéraient comme une bonne idée à l'époque d'externaliser leur fabrication en Chine, et maintenant ils dépendent de la Chine pour de nombreux produits de base, comme les antibiotiques, qui ne sont pas «rentables». Et maintenant, ils blâment la Chine pour un gâchis de leur propre fabrication. Je ne pense pas que les Chinois soient irréprochables, mais la principale responsabilité incombe, selon moi, aux États-Unis. J'ai lu quelque part (est-ce vrai ?) Que certains systèmes d'armes nécessitent des composants fabriqués en Chine. Pouvez-vous imaginer une guerre avec la Chine, l'armée américaine passant des commandes pour ces composants ? Les choses sont au-delà du ridicule.

    Le Mexique gère la crise de manière plus détendue. Le gouvernement a été fortement critiqué pour ne pas avoir pris de mesures plus sévères. Mais une chose qu'il est important de comprendre est que plus de la moitié de la population (sinon plus) ne vit pas seulement de chèque de paie à chèque de paie, beaucoup vivent au jour le jour. Ordonner à ces personnes de rester à la maison est compliqué, car elles ont besoin de manger. Les choses ont beaucoup ralenti. De nombreux restaurants et magasins sont fermés. De nombreuses entreprises ont envoyé leurs employés travailler à domicile. Les magasins ont modifié leurs horaires d'ouverture et de fermeture. Les fonctions gouvernementales non essentielles sont fermées. Les écoles sont fermées et les enfants des écoles privées travaillent à domicile en utilisant la technologie moderne, mais je ne sais pas comment les écoles publiques gèrent cela.

    Il y a un analyste appelé Gerald Celente qui critique les dirigeants mondiaux pour les mesures qu'ils prennent, faisant valoir que les dommages causés par la fermeture de l'économie seront pires que les dommages causés par le virus. D'autres soutiennent dans l'autre sens, qu'il vaut mieux fermer maintenant afin d'avoir une économie sur la route. Je pense personnellement que trop de panique a été créée. Je suis dégoûté par de telles nouvelles.

    Soit dit en passant, le Dr Roberts est l'un de mes auteurs préférés à Unz, comme vous! Et d'après ce que j'ai lu, Macron et leurs semblables sont des connards, et méritent d'être jugés à La Haye.

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  29. Jusqu'à présent, ma vie n'a pas été trop affectée. Je dirige une petite entreprise de location d'échafaudages, et les choses ne vont pas bien, mais ça avance. Plusieurs familles dépendent de moi et je fais ce que je peux pour conserver mon emploi et payer mes salaires. Nous avons pris des distances sociales et d'autres mesures, mais nous continuons à travailler. Mes enfants vivent avec leur mère et elle les a mis en quarantaine, donc je n'ai pas pu leur rendre visite, mais je garde un contact téléphonique constant. J'évite maintenant les rassemblements sociaux et je vais à peu près de la maison au travail et au retour. Le contact physique est très important pour les Mexicains. Nous aimons nous embrasser et nous embrasser, donc la distance sociale est quelque chose à laquelle s'habituer. Je m'inquiète de la tournure que prendront les choses. Le ralentissement est mondial. Nous avons un dicton: «Si les États-Unis attrapent un rhume, nous contractons une pneumonie.» C'est important, car je pense que le monde devra changer, le système mondial doit être reconfiguré. Tous les pays doivent devenir aussi autonomes que possible, mais sans s'isoler. Le commerce mondial devrait se poursuivre, mais les intérêts des pays devraient passer avant ceux des entreprises. Ce sera un défi, car les politiciens et les capitaines d'industrie semblent appartenir à la même mafia.

    Je m'inquiète plus de l'effet sur l'économie que de la maladie elle-même. D'après ce que j'ai rassemblé, le risque réside principalement chez les personnes âgées et les personnes ayant des problèmes de santé antérieurs et un système immunitaire affaibli. Alors peut-être que la mauvaise approche a été adoptée, avec le modèle coréen une meilleure solution.

    Combien de temps durera la crise ? Je n'ai aucune idée. J'espère certainement que cela se terminera rapidement. Y aura-t-il des effets permanents ? Je ne sais pas non plus, mais j'espère bien. Il s'agit d'un appel au réveil pour restreindre le pouvoir des sociétés mondiales. L'occasion de dénoncer la corruption massive du système financier. Je suis personnellement favorable aux économies mixtes.

    J'essaie d'être optimiste et j'espère que ma ville / pays s'en sortira mieux à moyen terme. Mais les choses vont probablement empirer avant de s'améliorer.

    Kevin Maher, professeur d'université américain de 49 ans, résidant à Macao, Chine

    Nouvel An chinois. L'année du Rat. Peste. Peste. J'étais à Manille lorsque ma femme m'a envoyé un texto: «Achete des masques N95 et ramene-les à la maison. Un mauvais virus circule à Macao. » J'en ai acheté un pour chaque membre de ma famille, quatre au total. Je pensais avoir fait du bon travail. "Oh, et porte-en un dans l'avion."

    De mon siège, j'ai pris une photo d'un homme avec un masque noir. Pas n'importe quel masque noir, mais un avec des lèvres rouges et une langue pendante où la bouche serait. Je l'ai posté sur les réseaux sociaux et mon ami a répondu: "Pensent-ils que c'est le SRAS ou quelque chose ?" J'ai réexaminé la photo et j'ai vu une allée de passagers portant un masque. C'était le 25 janvier 2020.

    Quand j'ai franchi ma porte d'entrée, on m'a dit de retirer mes vêtements et de prendre une douche. J'ai obéi. Cela a commencé mes vacances du Nouvel An chinois enfermées dans la maison. Les écoles et les entreprises ont été fermées. De plus, les festivités du Nouvel An chinois ont été annulées et ces mignonnes souris que nous verrions dans toute la ville resteraient invisibles. Pendant ce temps, les cas de Wuhan étaient maintenant les cas de Macao, et la ville cherchait environ 500 visiteurs de Wuhan, localisait leurs hôtels et les enlevait.

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  30. Ensuite, les ferries ont été suspendus et les vols en provenance de Chine ont été annulés. Il semble que Macao et Hong Kong se préparent à être inondés de coronavirus. «Chérie, tu dois quitter ton travail de casino», ai-je dit à ma femme. «Emmenez les enfants dans la maison de votre famille aux Philippines. Je t'enverrai de l'argent. Restez là jusqu'à ce que l'école des enfants reprenne. " J'ai écrit sa lettre de démission ce soir-là.

    Trois jours plus tard, ma famille s'est envolée pour les Philippines. Ensuite, les Philippines ont interdit tous les vols en provenance de Macao, Hong Kong et la Chine. Ils sont arrivés deux jours avant la suspension mais ont pris une nouvelle mesure de quarantaine à domicile. Le gouvernement les a vérifiés deux fois par jour pour voir s'ils se conformaient. "Les enfants s'ennuient", a écrit ma femme tous les soirs. Ils s'ennuieraient ici aussi.

    Pendant ce temps, j'avais ma propre ville de quarantaine. D'autres mesures sont arrivées à Macao, notamment des masques obligatoires dans les bus ou une amende de 600 Patacas (73 $ US). Les casinos ont fermé pendant 30 jours par décret gouvernemental. De nouvelles histoires internationales décrivaient la Mecque calme et désolée du jeu de Macao avec les lumières éteintes. J'ai passé la majeure partie de mon temps libre à enseigner en ligne ou à regarder des débats sur les réseaux sociaux sur la validité du coronavirus. Mes amis et ma famille américains ont demandé à savoir: "N'est-ce pas la grippe ?"

    Le 1er avril, nous continuons d'avoir des écoles fermées, des contrôles de température quotidiens et d'autres restrictions. Macao a stoppé la première vague d’infections de Wuhan, mais elle combat désormais la deuxième vague de «cas importés» de l’étranger. Les hôtels vides sont convertis en hôtels de quarantaine obligatoires pour les résidents en bonne santé de Macao qui insistent pour rentrer chez eux. Les non-locaux ne peuvent pas obtenir de visa pour entrer. Les écoles continuent d'être enseignées en ligne et les gens continuent de s'isoler.

    La fin de partie ne semble pas claire. Quoi qu'il arrive, il y a un fort sentiment d'auto-réflexion au niveau individuel. Partout dans le monde, nous sommes obligés d'aller vers l'intérieur. Retirez-vous de tout - liens sociaux et liens professionnels. Nous sommes obligés de regarder en profondeur, de réfléchir et de nous reconnecter avec nous-mêmes. Si nous le faisons correctement, individuellement et collectivement, d'ici l'année prochaine cette fois, nous serons aussi forts qu'un bœuf.

    Au cas où vous auriez manqué la référence, 2021 sera l'année chinoise du bœuf. Alors, régnez-vous pour la balade, tenez-vous bien et soyez fort.

    Ananda, un garçon de 12 ans à Luang Prabang, Lao

    [Ananda est à moitié canadienne, elle parle donc couramment l'anglais. Outre l'anglais et le lao, Ananda parle également le birman, le thaï et même le bengali, car il a vécu au Myanmar, en Thaïlande et au Bangladesh.]

    La situation dans ma ville n'est pas si mauvaise. Au Laos, ils ont 8 cas de Corona. Le gouvernement a déclaré que le pays était verrouillé et fermait la plupart des magasins, magasins, marchés, restaurants, écoles, bibliothèques, arcades et toutes les frontières jusqu'au 19 avril. Seuls quelques dépanneurs, supermarchés et petites boutiques restent ouverts.

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  31. Le gouvernement a également dit de rester à l'intérieur et à l'extérieur de porter des masques. Les étrangers et les touristes paniquent et se précipitent vers leurs foyers étrangers.

    Cette crise a un peu changé ma vie. Je dois rester à l'intérieur et cela signifie que je m'entends beaucoup mieux avec ma sœur qu'auparavant et c'est plutôt bien. Je ne peux pas non plus voir mes amis. Mon père recommence à l'école à domicile. Je dois être plus créatif pour trouver des activités à faire à l'intérieur.

    Le vélo me manque le plus parce que je peux passer du temps avec mes amis et j'aime voir ce qui se passe en ville. Nous avions également l'habitude de monter nos vélos aux centres de jeux.

    Je fais et ne manque pas l'école. Oui parce que j'aime aller à l'école pour voir des amis et ça me donne une éducation et non parce que je dois étudier et faire mes devoirs.

    Ce qui m'énerve le plus d'être enfermé à l'intérieur, c'est que je ne vois pas mes amis. Les amis sont vraiment importants pour moi.

    Je me levais tôt vers six heures. J'ai ensuite fait mon lit, pris une douche et me suis préparée pour l'école. Je n'avais généralement pas de petit-déjeuner.

    J'ai marché jusqu'à l'école; tu sais que je marche habituellement partout. À l'école, ils ont des exercices le matin, alors j'ai fait ceux-là, puis je suis allé dans ma classe pour étudier. Nous avons des pauses de quinze minutes toutes les deux heures.

    Je passais habituellement ma pause déjeuner à rendre visite à des amis de mon ancienne école ou à faire du vélo avec mon ami. Après la pause déjeuner, c'était de retour aux études.

    Après l'école, je suis rentré à la maison, j'ai dîné, fait mes devoirs, pris une douche et au lit à 21h30.

    Maintenant, c'est plus paresseux et détendu. J'espère que je ne perdrai pas ma routine et ma discipline.

    Je me lève tard. Je déjeune, je prends une douche et souvent je ne fais pas mon lit et je ne m'habille pas pendant des heures. Je fais d'habitude un peu d'enseignement à domicile avec mon père et je lis.

    Je déjeune généralement tard. Après le déjeuner, je fais d'habitude les mêmes choses comme: lire, faire des choses, dessiner, sortir avec ma sœur cadette ou aider mon père à cuisiner.

    Après le dîner, mon père, ma sœur et moi regardons un film ensemble. Voilà à quoi ressemblent la plupart des jours maintenant. Il nous reste au moins 3 semaines.

    Je suis plus inquiet de la façon dont les gens vont réagir à cette crise.
    Vont-ils devenir fous et commencer à paniquer ou vont-ils être calmes et y penser ? Je crains qu'il puisse y avoir de la violence ou du vol.

    Je pense que cette crise va durer quelques mois car si tout le monde reste chez elle, elle va lentement exploser. Je pense que l'un des effets permanents est que beaucoup de choses seront gaspillées comme la nourriture et que certaines entreprises ne se rétabliront pas. Beaucoup de gens seront plus pauvres et peut-être plus malades

    Dans un an, je pense que ma ville et mon pays seront les mêmes qu'avant, mais plus pauvres.

    Tel que publié dans Smirking Chimp, Unz Review et TruthSeeker, 4/3/20.

    Reprinted with the author’s permission.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/linh-dinh/coronavirus-missives-from-costa-rica-mexico-macau-and-lao/

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  32. Covid-19 est un désastre pour tout le monde… à l'exception des hommes hétéros blancs ?


    Par Frank Furedi
    RT News
    14 avril 2020


    Même une catastrophe mondiale comme Covid-19 n'a pas découragé les entrepreneurs identitaires de continuer à attirer l'attention sur leur cause. Au lieu de se rassembler dans une lutte commune, ils cherchent à exploiter Covid-19 pour leur propre fin.

    Il fut un temps où un désastre mortel comme la pandémie actuelle conduisait des parties et des intérêts concurrents à laisser leurs divergences de côté afin de se soutenir mutuellement contre un ennemi commun. Ce n'est pas ainsi que les choses fonctionnent aujourd'hui. De nombreux faussaires identitaires ne peuvent tout simplement pas résister à la tentation de faire de la pandémie une plate-forme pour leur politique.

    Quiconque lit les nombreux articles féministes se plaignant que les femmes portent le poids de la pandémie pourrait imaginer que les hommes passent un bon moment pendant le verrouillage. Selon un récit, le coronavirus est une «catastrophe pour le féminisme». Une observation intéressante, étant donné que les statistiques indiquent que les hommes sont plus susceptibles d'en mourir que les femmes. À l’heure où des dizaines de milliers d’êtres humains ont perdu la vie, l’auteur de cette dernière observation prévient que «dans le monde, l’indépendance des femmes sera une victime silencieuse de la pandémie». Les partisans de la politique identitaire féministe qualifient la pandémie de «crise de genre» qui, selon le sénateur australien Mehreen Faruqi, comporte un «risque disproportionné» pour les femmes. Il est peu probable que des gens comme Faruqi utilisent le terme de «crise sexospécifique» si une pandémie représente un risque «disproportionné» pour les hommes.

    On pouvait s'y attendre, la pandémie a non seulement été sexuée, mais aussi racialisée. Apparemment, ce ne sont pas seulement les femmes qui en portent le poids. "Si le coronavirus ne fait pas de discrimination, comment se fait-il que les Noirs portent le poids ?", Demande Afua Hirsch, commentatrice du Guardian.

    La racialisation de la pandémie est particulièrement répandue aux États-Unis, où les anciens candidats à la présidence, les sénateurs Elizabeth Warren, Kamala Harris et Cory Booker, ont exigé que le Center for Disease Control enquête sur les «biais implicites» des médecins. L'implication véhiculée par leur déclaration est que les bigoteries des professionnels de la santé sont en quelque sorte responsables de désavantager les patients noirs.

    En réalité, si la proportion d'Afro-Américains décédant de Covid-19 est plus élevée que celle des Blancs, c'est à cause de leur situation économique difficile plutôt qu'à cause de préjugés au sein de la profession médicale. Le chevauchement des groupes entre «les noirs» et «les pauvres» est une réalité qui ne peut être ignorée, mais le regrouper avec un «parti pris» général pour en faire un sujet de race est tout simplement malhonnête.

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  33. La racialisation de la pandémie a inévitablement conduit à tenir les Blancs, en particulier le «privilège des hommes blancs» responsables de la catastrophe tragique qui hante le monde. Écrivant dans cette veine dans Salon, un ennemi en colère des «électeurs blancs racistes» affirme que «le privilège des hommes blancs rend littéralement l'Amérique malade»! D'autres opposants au privilège blanc craignent que «l'éloignement social ne conduise à un pic du nationalisme blanc». Alors que cette racialisation de la pandémie prend de l'ampleur, ce n'est qu'une question de temps avant que Covid-19 ne soit rebaptisé Virus blanc. Certains prétendent déjà que «le mâle blanc est le plus grand risque de propagation du virus». Selon l'auteur de cette déclaration idiote, les hommes blancs âgés sont une nuisance pour la santé publique.

    Les militants trans ont également sauté sur le train en marche «nous portons le poids». Un gros titre de VICE se plaint: «Alors que les hôpitaux se préparent pour Covid-19, les chirurgies trans vitales sont retardées». Bien qu'il reconnaisse que «les installations médicales pourraient bientôt être surtaxées pour tout le monde», il déplore que «les soins aux personnes transgenres puissent être traités comme« non essentiels ».» Selon une source, la pandémie actuelle est «périlleuse» pour les personnes LGBTQ qui le font ne vivent pas dans des ménages «très solidaires». Périlleux pour les personnes LGBTQ ? Au cas où il échapperait à l'attention de cet écrivain, le coronavirus est dangereux pour tout le monde.

    Si l'on en croit tous les différents témoignages de différents groupes d'entrepreneurs identitaires, à l'exception des hommes hétérosexuels blancs, à peu près tout le monde porte le poids de la pandémie.

    Malheureusement, les obsessions identitaires empêchent les gens de voir la situation dans son ensemble. Tout au long de l'histoire humaine, les catastrophes ont toujours eu un impact différent sur les communautés. Mais ces différences ne sont pas fondées sur l'identité et ne sont pas motivées par elle. Ce qui compte, c'est la disponibilité - et l'accès aux - ressources nécessaires à la survie en cas de crise, ainsi que les inconvénients physiques tangibles qui rendent moins susceptible de survivre à l'infection. C'est pourquoi ce sont les pauvres et les personnes âgées qui portent le poids de Covid-19. L'obsession actuelle de l'identité détourne l'attention de l'assistance spéciale à ceux qui en ont non seulement vraiment besoin, mais qui le méritent également.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/covid-19-is-a-disaster-for-everyone-except-straight-white-men/

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  34. Quelle victoire de prix - dans la guerre des coronavirus ?


    Par Patrick J. Buchanan
    14 avril 2020


    Le même jour, le nombre de morts américains de la maladie du coronavirus a atteint la barre des 15 000, nous avons également franchi la barre des 15 millions sur le nombre d'Américains que nous avons expulsés du travail pour ralentir sa propagation et «plier la courbe».

    Pour chaque Américain perdu à cause de la pandémie, 1 000 Américains ont perdu leur emploi en raison de décisions conscientes et délibérées du président et de 50 gouverneurs.

    Quelque 60 000 citoyens, nous dit-on, seront probablement perdus dans cette pandémie. Sommes-nous prêts à accepter 60 millions de chômeurs pour «atténuer» ces pertes ?

    Quelle victoire de prix dans cette bonne et nécessaire guerre pour tuer le virus ? Est-il inconvenant ou froid de demander ?

    À quel moment «déclarons-nous la victoire et sortons», comme un sénateur nous a dit de le faire au Vietnam, plutôt que de continuer à faire périr les morts américains, même si cela signifiait que le Sud-Vietnam tomberait à nos ennemis communs ?

    Les économistes de J.P.Morgan prévoient que le produit intérieur brut américain chutera de 40 % ce printemps et que le chômage atteindra 20 % de la population active ce mois-ci.

    Ce sont des chiffres inconnus depuis la Grande Dépression.

    Que nous apprend cette décision délibérée de fermer le pays et de bombarder notre propre économie, dont nous dépendons tous, sur ce que nous, les Américains, apprécions ?

    Considérer. Dans une nation un dixième aussi peuplée que la nôtre aujourd'hui, Abe Lincoln a envoyé plus de 600 000 hommes et garçons, du Nord et du Sud, à leur mort plutôt que de laisser sept États du Sud profond faire sécession et partir en paix.

    Alors que la perte quotidienne d'Américains par le virus semble se stabiliser, un tiers du chemin vers ce chiffre de 60 000, les autres pertes dues à la dévastation sociale et économique que nous avons provoquée sur nous-mêmes commencent à peine à augmenter et continueront beaucoup plus longtemps.

    Combien de millions de malades et de personnes âgées avons-nous envoyés en isolement cellulaire ? Combien de familles avons-nous forcées dans une lutte quotidienne pour avoir les moyens de mettre de la nourriture sur la table et d'obtenir des médicaments de la pharmacie ?

    Lorsque les décisions viendront du président Donald Trump et des gouverneurs d'ouvrir l'économie et d'encourager les Américains à retourner au travail, la nation réagira-t-elle?

    Les cinémas et les centres commerciaux rouvriront-ils tous ? Les hôtels et les motels fermés se rempliront-ils à nouveau ? Les équipes professionnelles - la NFL, la MLB, la NBA ou la LNH - joueront-elles à nouveau devant les foules qu'elles connaissaient ?

    Est-ce que les écoles publiques, privées et paroissiales, les écoles à charte et les lycées, les collèges et les universités s'ouvriront à nouveau aux classes de même taille ?

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  35. Les conventions, concerts, rassemblements et récitals recommenceront-ils ?

    Pour éviter aux Américains de contracter un virus qui peut tuer 1 à 3% des personnes infectées, nous avons mis l'Amérique sous ventilateur.

    En courtisant une dépression - une conséquence certaine de la présence obligatoire d'une nation de 328 millions de personnes en refuge et de distanciation sociale - nous disons au monde le prix que nous paierons pour sauver la vie de milliers de personnes qui autrement pourraient contracter le virus et mourir.

    Pourtant, cette décision soulève des questions connexes de vie et de mort.

    Une nation qui acceptera une dépression qui détruit les moyens de subsistance de millions de ses citoyens peut-elle être crédible lorsqu'elle avertit une autre grande puissance qu'elle est prête à mener une guerre nucléaire - dans laquelle des millions de personnes mourraient - sur qui gouverne les États baltes ou qui contrôle la mer de Chine méridionale ?

    Une nation ne serait-elle pas si disposée à accepter 60 000 morts dans une pandémie qu'elle provoquerait une dépression pour réduire le nombre de victimes, s'engager dans un échange nucléaire avec la Russie sur l'Estonie ?

    Plus la fermeture se poursuit, plus les pertes que le pays subira seront étendues, profondes et durables.

    Nous, Américains, vivons déjà dans une nation et un monde au sommet d'une montagne de dettes.

    Dette de prêt étudiant. Dette hypothécaire. Dette des consommateurs. Dette des entreprises. Dette municipale, départementale et étatique. Une dette nationale de 22 billions de dollars s'envole maintenant dans la stratosphère.

    Ensuite, il y a la dette souveraine du tiers monde et de nations comme l'Argentine et l'Italie. Si nous faisons baisser l'économie américaine et mondiale, qui paie cette dette? Ou est-ce une question ridicule ?

    Les décisions que nous prenons aujourd'hui, précipitant des dizaines de milliers de petites entreprises et des millions de citoyens vers la faillite, pourraient déclencher un effondrement des défauts de paiement qui entraînera également la chute des banques.

    Les décisions que nous prenons dans cette crise de coronavirus nous définissent en tant que nation et peuple. Ils disent au monde ce que nous, Américains, sacrifierons et ce que nous chercherons à sauver à tout prix. Ils nous diront qui et ce qui est consommable et qui et ce qui ne l'est pas.

    Ils établiront une hiérarchie de valeurs qui peut ne pas correspondre exactement à ce que nous, Américains, professons publiquement.

    Nos décisions peuvent nous dire qui nous sommes vraiment.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/patrick-j-buchanan/what-price-victory-in-the-coronavirus-war/

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    1. Rendez vous compte qu'il y aurait zéro mort si tout le monde portait un masque (FF P2 ou FF P3) !
      Le prix d'un masque ? $1 les 20 !

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  36. Le risque d'émergence de virus chez l'homme peut ne pas dépendre de son hôte animal


    par l'Université de Glasgow
    14 AVRIL 2020


    La probabilité que des virus émergents se propagent aux humains à partir d'animaux ne dépend pas du réservoir animal spécifique du virus d'origine.

    À l'instar de la pandémie actuelle causée par le coronavirus SARS-CoV-2, qui est censé provenir de chauves-souris, la plupart des maladies infectieuses émergentes sont des virus zoonotiques - des maladies qui se propagent des animaux pour infecter les humains.

    Comme le montre l'impact de COVID-19, les maladies infectieuses émergentes peuvent gravement menacer les vies humaines et les moyens de subsistance dans le monde. Par conséquent, il est important de comprendre quels groupes d'animaux ou de virus présentent le plus grand risque pour lutter contre de nouvelles menaces.

    De nouvelles recherches, dirigées par le MRC-University of Glasgow Centre for Virus Research et l'Institut de la biodiversité, de la santé animale et de la médecine comparée de l'Université de Glasgow et publiées aujourd'hui dans PNAS, montrent pour la première fois que le risque de propagation des virus zoonotiques à les humains sont en grande partie les mêmes dans divers groupes de réservoirs d'animaux.

    L'étude a révélé que la proportion de virus zoonotiques ne diffère pas de manière significative entre 11 principaux ordres d'oiseaux et de mammifères. Ils ont également constaté que le nombre de virus zoonotiques liés à chaque ordre animal semblait être une conséquence de la richesse en espèces: des ordres d'animaux plus divers hébergeaient plus de virus en général et par extension, plus de virus zoonotiques.

    Ces résultats suggèrent une réflexion scientifique antérieure - que certains réservoirs d'animaux, tels que les chauves-souris, présentent un risque accru de propagation de virus aux humains - peut ne pas être précis.

    Au lieu de cela, les scientifiques croient maintenant que ce sont les traits caractéristiques des virus, plutôt que leurs hôtes animaux, qui seront les prédicteurs les plus utiles de la transmission zoonotique.

    Le Dr Daniel Streicker, chercheur principal à l'Institut de la biodiversité, de la santé animale et de la médecine comparée, a déclaré: "La reconnaissance du fait que plusieurs virus de haut niveau provenaient de chauves-souris a suscité un énorme intérêt pour savoir s'il y avait quelque chose de spécial dans leur écologie ou leur système immunitaire rend leurs virus susceptibles de contaminer de manière disproportionnée les humains. Notre constatation que le nombre de zoonoses qui ont émergé des chauves-souris est à peu près ce qui serait attendu pour n'importe quel groupe de mammifères de leur taille jette le doute sur l'idée que les traits des chauves-souris produisent des virus avec une propension accrue à infecter les humains. "

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  37. Le Dr Nardus Mollentze, assistant de recherche au Center for Virus Research, a ajouté: "Bien que les chauves-souris resteront et devraient rester un centre d'intérêt pour la recherche sur les réservoirs viraux, en tant qu'origine probable des principaux agents pathogènes zoonotiques tels que le SRAS-CoV-2 et les Ebolavirus, notre travail montre que la proportion et le nombre de virus zoonotiques chez les chauves-souris ne sont pas inhabituels par rapport à d'autres groupes de mammifères. Cela signifie que les efforts en cours pour identifier les futures menaces potentielles pour la santé humaine en recherchant les animaux pour les virus non découverts devront se concentrer sur une espèce beaucoup plus large que Notre étude met également en évidence la nécessité de trouver de nouveaux traits de virus qui peuvent nous aider à anticiper leur potentiel zoonotique, car la connaissance du réservoir actuel n'a pas été utile pour prédire si un virus pourrait infecter l'homme, même lorsque le réservoir est étroitement liés aux humains. "

    L'article, «Le risque zoonotique viral est homogène à travers les ordres taxonomiques des hôtes réservoirs mammifères et aviaires», est publié dans les Actes de la National Academy of Sciences.

    https://phys.org/news/2020-04-viruses-emerging-humans-animal-host.html

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    1. Propagande anti-viande ?

      Monde entier

      Confirmés : 1 930 780
      Personnes guéries : 464 398
      Décès : 120 863

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  38. Des chercheurs trouvent un point faible du coronavirus


    15:38 14.04.2020


    Des scientifiques de l'université de Southampton ont fait un important pas en avant dans la recherche d’un vaccin contre le coronavirus, lequel se «déguise» pour pénétrer dans les cellules humaines sans être détecté, relate phys.org.

    Le virus du SRAS-CoV-2 est doté de nombreuses pointes dépassant de sa surface qu'il utilise pour se fixer sur les cellules du corps humain et y pénétrer. Ces pointes sont enrobées de sucre, appelé glycane, qui masquent leurs protéines virales et les aident à échapper au système immunitaire de l'organisme, selon une étude d’une équipe de recherche de l’université de Southampton dont les résultats ont été publiés sur le site phys.org.

    L’étude de la structure du glycane a fourni des informations importantes sur la façon dont les protéines virales franchissent les anticorps, ce qui est une étape importante dans la conception d’un vaccin.

    «En se couvrant de sucre, le virus ressemble à un loup dans la peau d’un agneau», a expliqué le professeur Max Crispin.
    Une protection insuffisante

    Il a cependant précisé que ce sucre ne garantissait pas au Covid-19 la protection dont disposent certains autres virus.
    «La faible densité de glycane signifie qu'il y a moins de barrières pour le système immunitaire qui peut neutraliser le virus avec des anticorps, ce qui favorise le développement de vaccins», a résumé le professeur.

    Selon le bilan du 14 avril, la pandémie a fait plus de 120.000 morts tandis que près de deux millions de cas positifs ont été recensés, dont plus de la moitié en Europe. Le nombre réel est cependant bien plus élevé, car la plupart des pays ne relèvent que les cas dans les hôpitaux.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202004141043555388-des-chercheurs-trouvent-un-point-faible-du-coronavirus/

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  39. CONFINEMENT : LES FRANÇAIS BIEN PRÉPARÉS, MAIS DE NOUVELLES HABITUDES ÉMERGENT


    par ANTON KUNIN
    14/04/2020


    Parmi les personnes qui télétravaillent, 84% indiquent être bien équipées pour le faire.

    Les Français sont nombreux à avoir fait des stocks avant le confinement et se sentent majoritairement bien équipés pour passer cette période. En revanche, ils n’osent pas encore faire de projets pour l’après-confinement.

    16% des Français ont changé de logement avant le confinement

    Les Français ont-ils anticipé le confinement ? Selon un sondage Harris Interactive pour Cetelem, la réponse est « oui » : 39% de nos compatriotes indiquent avoir fait quelques stocks de produits alimentaires et 31% avoir acheté plus que d’ordinaire des produits d’hygiène. Parmi les personnes qui ont choisi de faire des stocks, 48% ont acheté des produits non périssables (pâtes, riz, conserves) et 34% des produits surgelés.

    Certains ont profité des derniers jours avant le confinement pour prendre des rendez-vous médicaux (21%) ou de soins (18%) et 16% déclarent s’être déplacés dans un autre logement que celui qui leur est habituel pour vivre mieux leur confinement. Les moins de 35 ans sont d’ailleurs particulièrement nombreux à avoir fait des stocks (55%), à acheter plus que d’habitude de produits d’hygiène (43%) et à changer de logement (30%).

    Pendant le confinement, 1 Français sur 3 pourrait découvrir une alternative aux courses en magasin

    Sans surprise, les Français sont nombreux à changer leurs habitudes en matière d’alimentation. Plus de la moitié (54%) indiquent souhaiter réduire la fréquence à laquelle ils font leurs courses. Les Français sont également nombreux à envisager des solutions alternatives, leur évitant de se déplacer dans les magasins, comme le Drive (48%, dont 19% l’utiliseraient pour la première fois en période de confinement), la livraison à domicile (31% dont 17% pour la première fois) ou encore la livraison de plats cuisinés à domicile (20% dont 7% pour la première fois). Au total, 33% des Français pourraient découvrir une alternative aux courses en magasin pour la première fois pendant la période de confinement.

    Quid de l’équipement nécessaire ? Dans l’ensemble, les Français se sentent bien équipés pour faire face au confinement : 93% indiquent avoir une bonne connexion Internet, 92% ont les produits d’hygiène dont ils ont besoin, 91% ont suffisamment de divertissements (bibliothèque, accès à des chaînes de télévision ou à des plateformes de contenus en ligne par exemple). Et parmi les personnes qui télétravaillent, 84% indiquent être bien équipées pour le faire. En revanche, l’après-confinement semble encore flou : le sondage nous apprend que 86% ne se projettent pas dans l’après et peinent à faire des projets sans plus de visibilité sur la situation.

    http://www.economiematin.fr/news-confinement-stocks-alimentaires-divertissements-teletravail-sondage

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    1. Les 'Robinsons' sur leur 'île' (murée !) se demandent encore si un navire qui pointe à l'horizon est un pirate ou un 'salvateur' qui se propose de lui acheter son île !

      Par contre, s'il est vide il peut encore se mettre à la barre et s'en aller là où il veut !

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  40. Un confinement total ferait plus de mal que de bien, estime un infectiologue


    17:17 14.04.2020


    La quasi-totalité des pays qui se heurtent actuellement au Covid-19 ont décrété des mesures de confinement. Toutefois, «une quarantaine très sévère» pourrait faire plus de mal que de bien, estime un expert russe.

    Un confinement total pourrait avoir des effets dangereux, a déclaré Vladimir Nikiforov, expert des maladies infectieuses de l’Agence fédérale médico-biologique (FMBA) de Russie, se félicitant que le pays n’aille pas trop loin dans ce domaine.

    «En cas de quarantaine très sévère, nous pourrions nous heurter à une situation où le médicament sera plus nocif que la maladie même. Heureusement que pour l’instant on ne pousse pas le bouchon trop loin», a-t-il affirmé lors d’une émission sur la chaîne de télévision Rossiya 1.

    Il n’a toutefois pas expliqué pourquoi de strictes mesures de confinement pourraient avoir un tel effet ni précisé quelles en seraient les conséquences.

    En outre, le ministre de la Santé a annoncé le 13 avril qu’un médicament développé contre le coronavirus en Russie passerait des essais cliniques dans un délai de 10 à 12 jours.

    Presque deux millions de cas dans le monde

    La pandémie de nouveau coronavirus a fait plus de 120.000 morts dans le monde depuis son apparition en décembre en Chine, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources officielles ce 14 avril à 11h00 GMT. Plus de 1.923.390 cas ont été diagnostiqués dans 193 pays.

    Les États-Unis sont le pays le plus touché avec 23.649 décès pour 582.594 cas. Ils sont suivis de l'Italie avec 20.465 morts, de l'Espagne avec 18.056 morts et de la France avec 14.967 morts

    https://fr.sputniknews.com/sante/202004141043556502-un-confinement-total-ferait-plus-de-mal-que-de-bien-estime-un-infectiologue/

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    1. (...) La pandémie de nouveau coronavirus a fait plus de 120.000 morts dans le monde depuis son apparition en décembre en Chine, (...)

      Apparu en premier en Italie (Lombardie) en Novembre 2019 !

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  41. LE REVENU UNIVERSEL BIENTÔT FONCTIONNEL ?


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    14/04/2020


    Jusqu'à la fin de la crise sanitaire, le candidat démocrate aux
    élections présidentielles américaines, Bernie Sanders, voudrait verser 2 000 dollars (1851 euros) par mois à tous les ménages.

    Je profite de la situation inédite que nous traversons pour vous parler d’une utopie qui pourrait demain devenir parfaitement réelle et fonctionnelle.

    Vers un revenu universel ?

    Je parle bien entendu du rêve du revenu universel, défendu par plusieurs candidats de gauche à la dernière élection présidentielle, mais aussi, en son temps, par l’ancienne ministre du Logement de Nicolas Sarkozy, Christine Boutin. Preuve s’il en est que le sujet, l’idée, transcende les clivages politiques.

    Jusqu’ici, le revenu universel semblait impossible à mettre en place, faute d’argent pour le financer. On ne savait pas où le trouver, dans quelle poche le prendre. Mais l’injection massive de milliers de milliards de dollars et d’euros dans l’économie mondiale par les banques centrales, des sommes d’argent colossales qui en fait, n’existent pas, sont une pure création informatique, mais aussi et surtout, politique, permet d’envisager le revenu universel autrement.

    Le revenu universel : un outil pour traverser la crise

    Nous allons peut-être entrer dans une nouvelle ère économique dans laquelle certaines choses ne seront plus soumises à la loi du marché. On pense bien entendu à la santé. Mais cela pourrait tout aussi bien concerner le financement de la retraite, dont le projet de réforme, voici quelques semaines encore, paralysait le pays. Et donc, oui, un revenu universel, pourquoi pas, pourrait aussi être financé par de l’argent créé tout spécialement pour ce seul usage.

    Cet Eco Quick n’est évidemment pas un cours d’économie. En revanche, vous dire, ici, dans ce rendez-vous, que ce qui était inconcevable, impossible, hier, le sera peut-être demain pour sortir de la crise, ça, c’est intéressant. Et oui, je vous le confirme : le revenu universel, accessible à tous, identique pour tous, est peut-être possible. En tout cas, il fera peut-être partie de la boîte à outils de sortie de crise.

    http://www.economiematin.fr/news-revenu-universel-bientot-fonctionnel

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    1. (...) l’injection massive de milliers de milliards de dollars et d’euros dans l’économie mondiale par les banques centrales, des sommes d’argent colossales qui en fait, n’existent pas, sont une pure création informatique, mais aussi et surtout, politique, permet d’envisager le revenu universel autrement. (...)

      Depuis l'après période de troc où sont apparus des billets* imprimés par millions (planche-à-billets remplacée aujourd'hui par le clavier d'ordinateur), cet 'argent' est apparu comme du troc formalisé. L'argent est fait pour tourner au travers des échanges. Mais, dès lors où ce sont des machines et robots qui travaillent pour vous (esclaves métalliques), il n'y a plus lieu de travailler ! D'où l'utilité d'un revenu 'universel' qui profiterait à toutes et tous.
      Encore faudrait-il que les anciens travailleurs investissent dans la machine-outil afin de toucher une rente ! L'achat d'une vache (ou génisse) est un investissement comme dans celui d'un 'carré de terre' où les frais y sont divisés en parts comme sa rentabilité.(Sans pour cela en arriver au 'Kolkhoze' !).
      C'est une autre forme de trader ou d'actions de sociétés.

      *Représentant des têtes coupées de dictateurs ou dictatrices.

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    2. Tout est bien qui finit bien

      Il fut un temps où existait le troc. L'on s'échangeait des oeufs contre du lait, du fromage, des journées de travail, etc.

      Puis un jour, arrivèrent les pièces et les billets. Billets où était imprimées des valeurs comme sur les pièces. Ces dites valeurs s'échangeaient donc contre des oeufs, du lait, du fromage, ou des heures de travail. Mais, l'imprimeur en imprimait tant qu'il voulait ! D'où l'absence de manque. Mais, arriva le jour où les esclaves furent remplacés par des bestiaux, puis par des moteurs et des machines-outils qui fabriquaient plus que personne n'en pouvait acheter. Ces remplaçants remplaçaient les travailleurs. D'où l'image de 'la belle vie' pour les consommateurs qui entendaient avoir en mains tous ces objets fabriqués presque gratis.

      Mais, les imprimeurs (remplacés par les ordinateurs qui imprimaient des sommes) se voyaient donc débordés dans leur pouvoir de diriger les humains qui, entre-temps, s'étaient éduqués et en savaient autant qu'eux sinon plus !

      Ils inventèrent alors la dette ! Seule la dette pouvait ruiner les humains et en détruire les cultures.

      Mais, la dette n'avait aucun sens dans la mesure où ce sont des machines-outils qui travaillent gratis, d'où la recherche d'inepsies. Faire payer l'eau claire des sources qui sort gratuitement, faire payer le droit de circuler, émettre des taxes sur toutes les Matières Premières ainsi que leurs transformations (toujours en disant que c'était pour le bien de tous !).

      C'est ainsi que la dictature au pouvoir (absence du Peuple à proposer et à voter des lois) se trouva débordée par le Peuple qui en savait déjà trop. Faute de guerres pour l'éliminer, elle eut recourt aux virus. Virus avec confinement pour connaître qui habite où et ce qu'il en dit entre amis.

      Mais, ces géolocalisés refusèrent ces 'taxes de redressement' car, les dictateurs inventaient ces manques d'argent et s'en suivit une révolution pour enfin demander la Démocratie (comme en Suisse où c'est le Peuple qui propose lui-même ses lois et vote lui-même ses lois).

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  42. Libérez le marché des masques, Monsieur le Président !

    Des masques, il y en a, monsieur le Président. Seulement, il faut laisser faire le marché : il y a une demande, et c’est l’État qui entrave l’offre, organisant une pénurie qui à son tour, fait monter les prix.


    Par Margot Arold.
    14 AVRIL 2020


    Emmanuel Macron s’est débrouillé pour évoquer la pénurie de masques sans évoquer la responsabilité de la bureaucratie qui a freiné voire empêché l’accès de la population aux masques.

    Pour le président, au contraire, la pénurie de matériel qui touche la France a pour origine les faiblesses du marché mondial :

    « Il est difficile d’entendre qu’une pénurie mondiale empêche les livraisons. »

    Ainsi, il rassure les Français en leur indiquant que s’il n’y a pas de masques pour tout le monde (et, rappelons-le, pour les soignants non plus), c’est parce que le monde entier en réclame (ce qui est vrai) et que cela entraîne une pénurie en février, en mars, et en avril, ce qui est faux.

    En trois mois, le marché, agile, s’organise pour répondre à la demande. Encore faut-il que l’État, lui, ait l’agilité nécessaire pour faire la demande rapidement (et ne passe pas commande début avril !).

    DES MASQUES, IL Y EN A !

    Monsieur le Président, vous avez oublié de dire que des masques, il y a en a. Ce n’est pas une « pénurie mondiale » : c’est juste qu’en France, on ne laisse pas le marché s’exprimer. Des offres de masques, il y en a, probablement des fiables et des moins fiables, mais au regard des millions dépensés en TGV, hélicoptères…, aurait-ce été un gaspillage de tenter d’en obtenir « quoi qu’il en coûte » et par tous les moyens possibles ?

    Les pharmaciens ont interdiction de vendre des masques aux clients au prétexte qu’il y a une pénurie. Mais ils reçoivent des offres de masques régulièrement, par des entreprises privées, offres qu’on leur intime de refuser (ou qu’ils refusent eux-mêmes) au motif que ce sont des masques non homologués.

    Bien sûr, certains expliquent que la piètre qualité de ces masques ou l’arnaque sont des motifs de refus.

    Mais qu’auraient-ils de moins bien, ces masques « non médicaux », que ces fameux masques « maison » confectionnés dans un bout de tissu de récupération ? Qu’auront-ils de moins efficace que celui qu’on va prochainement nous ordonner de porter, ce fameux « masque grand public » ?

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  43. Et alors que tentent de s’organiser les collectivités locales, peut-être un peu moins lourdes que la strate étatique au-dessus, l’État fond comme sur une proie sur les masques commandés par les régions, pour les redistribuer lui-même, ainsi que Christophe Castaner l’a reconnu. Quand l’État se vole lui-même, c’est que le problème est aussi d’ordre politique : il ne faut pas qu’on se rende compte de son incurie.

    Des masques, il y en a, monsieur le Président. Seulement, il faut laisser faire le marché : il y a une demande, et c’est l’État qui entrave l’offre, organisant une pénurie qui a son tour, fait monter les prix.

    D’ailleurs, depuis que Bruno Le Maire a encadré le prix du gel hydroalcoolique « pour notre bien », on constate que le précieux gel n’a pas fait sa réapparition dans les rayons. Un prix plafonné cache le vrai prix, qui, lui, fluctue et donne un indice sur l’offre et la demande. Quand les deux s’équilibrent, le prix est stabilisé.

    Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, et Emmanuel Macron, ancien ministre de l’Économie ne veulent décidément pas sortir de leur idéologie : l’État doit toujours tout faire, et quand il échoue, c’est qu’ « on a tout essayé ». Ce raisonnement mitterrandien peine de plus en plus à camoufler que ce sont les mauvais remèdes que l’on applique, et il faudra bien un jour s’intéresser à la manière dont d’autres pays gèrent mieux que nous la crise sanitaire… avec une approche économique différente de la France.

    https://www.contrepoints.org/2020/04/14/369091-liberez-le-marche-des-masques-monsieur-le-president

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    1. C'EST L'HÉGÉMONIE PROGRAMMÉE !

      Ordre d'enfermer les habitants dans leur tombe !

      Pourquoi éviter d'aller dehors ? Vous ouvrez la fenêtre ? VOUS ÊTES DEHORS ! A la fenêtre ou sur le balcon VOUS ÊTES DEHORS !
      Dès qu'une fenêtre est ouverte il y a un échange d'air qui se crée (air chaud/air froid) et, dedans c'est comme dehors !

      La Gretamoilescouilles de Margot Arold va jusqu'à se poser la question !!!

      (...) Mais qu’auraient-ils de moins bien, ces masques « non médicaux », que ces fameux masques « maison » confectionnés dans un bout de tissu de récupération ? Qu’auront-ils de moins efficace que celui qu’on va prochainement nous ordonner de porter, ce fameux « masque grand public » ? (...)

      Et pourquoi pas un masque de Mickey ? Connasse ! SEULS les masques FF P2 et FF P3 protègent des virus ! Et non les foulards, sacs d'aspirateurs, filtre à café ou bonnets de soutien-gorge !
      Il ne faut pas confondre les 'anti-poussières' avec des anti-virus ! L'entre-maille d'un FF P2 ou FF P3 est de 1 micron.

      S'il n'y a pas de masques disponibles (alors que les entreprises tournent 24/24 h et en sortent des milliards) c'est parce que la dictature en place n'en veut pas ! Elle refuse que des achats ou des livraisons soient faites !

      Est-ce que vous comprenez qu'il vous prend pour des cons ?

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  44. Des policiers australiens utilisent un hélicoptère de surveillance pour retrouver des campeurs éloignés


    par Tyler Durden
    Mar., 14/04/2020 - 20:45
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    La police de Tasmanie utilise un hélicoptère de surveillance pour traquer les personnes campant dans des endroits reculés, en violation des lois de verrouillage des coronavirus.

    "Les officiers de police de Tasmanie effectuant une surveillance aérienne dans tout l'État, y compris sur la côte nord-ouest, ont localisé plusieurs campings où les gens devaient quitter et rentrer chez eux", rapporte The Advocate.

    "Quand la distance sociale est si bonne que les flics doivent la trouver par hélicoptère", a tweeté l'utilisateur Twitter @PetiteNicoco.

    17 personnes à travers l'État ont été inculpées d'une infraction de verrouillage en seulement 24 heures au cours du week-end de Pâques.

    L'hélicoptère de sauvetage Westpac «a atterri près de campings vus du ciel» pour interroger les campeurs de la région. Là où l'hélicoptère ne pouvait pas atterrir, des officiers ont été envoyés à pied dans la région.

    Le commandant Rob Blackwood a qualifié les campeurs d '«égoïstes» pour avoir mis en danger d'autres personnes pendant la pandémie de COVID-19 alors qu'ils ne se trouvaient littéralement autour d'aucune autre personne.

    "Des véhicules de police secrets et marqués, ainsi que l'hélicoptère de sauvetage Westpac, continueront à effectuer des patrouilles dans l'État, donc si vous êtes loin de votre résidence principale, vous pouvez vous attendre à ce que la police s'arrête et vous parle de vos mouvements", a déclaré la police de Tasmanie. sur leur page Facebook.

    La pratique a été dénoncée par beaucoup comme une exagération absurde, étant donné que les campeurs ne constituent une menace pour personne.

    "Cela semble être un gaspillage de ressources", a répondu un utilisateur de Twitter.

    "Vous ferez ce qui vous a été commandé, même si vous le faites déjà dans les bois. La conformité n'est pas optionnelle. L'État sait ce qui est le mieux, citoyen », a commenté un autre.

    https://www.zerohedge.com/health/aussie-cops-use-surveillance-helicopter-track-down-remote-campers

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  45. Cartographie de la personne la plus riche de tous les États américains en 2020


    par Tyler Durden
    Mar., 04/14/2020 - 23:05


    Il existe différents degrés de richesse, même parmi les plus riches d'Amérique.

    Par exemple, un millionnaire qui frappe fort pourrait avoir la fortune la plus impressionnante dans son État d'origine - mais, comme le montre Jeff Desjardins de Visual Capitalist ci-dessous, aventurez-vous à quelques kilomètres de la frontière de l'État, et soudain, ils deviennent un petit poisson dans beaucoup plus grand étang.

    La carte d'aujourd'hui nous vient de HowMuch.net, et elle montre l'incroyable variance des plus grandes fortunes état par état.

    - voir carte USA sur site -

    La liste riche, par État

    Vous trouverez ci-dessous la liste complète contenant la personne la plus riche de chaque État américain, sur la base des calculs de Forbes début mars 2020.

    Le fondateur d'Amazon, Jeff Bezos, arrive en tête de liste avec une valeur nette de 117,1 milliards de dollars dans l'État de Washington.En attendant, la plus petite fortune de la liste se trouve en Alaska, à seulement 0,3 milliard de dollars.

    - voir liste sur site -

    Bien que tous les noms ci-dessus soient considérés comme extrêmement riches dans leurs États d'origine, il y a toujours une grande différence. Le bas de la liste (0,3 milliard de dollars) devrait multiplier sa fortune par 390 fois pour atteindre le niveau de 117,1 milliards de dollars de Bezos.

    En d'autres termes, le même degré de différence existe entre la richesse médiane des ménages aux États-Unis (~ 100000 $) et un multimillionnaire avec 39 millions de dollars à son nom.

    Montée et chute des fortunes

    Les chiffres ci-dessus ont été obtenus avant le krach boursier du COVID-19, ce qui aura sûrement un impact sur la taille de certaines des fortunes répertoriées ici.

    Qui sera le plus et le moins impacté par la récente crise boursière?

    Même si Jeff Bezos a la majeure partie de sa richesse liée aux actions d'Amazon, jusqu'à présent, il n'a pas été relativement affecté par la volatilité. Avec plus de personnes restant à la maison en raison de l'éloignement social, les commandes sur des plateformes en ligne telles qu'Amazon ont explosé.

    De même qu’Amazon, les héritiers de la fortune Walmart dans la famille Walton - dont Jim Walton, Alice Walton et Rob Walton - voient également le cours des actions de Walmart se maintenir relativement stable face à la volatilité. En fait, certains analystes considèrent Walmart comme le stock ultime «à l'épreuve de la récession», car les consommateurs affluent pour escompter les marchandises en période de mauvaise conjoncture.

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  46. Warren Buffett est également un cas intéressant. Bien que le marché boursier ait certainement perturbé la valeur en temps réel de sa fortune, ce n'est pas le jeu auquel Warren Buffett joue. En fait, il est connu pour attendre les périodes de crise pour déployer son argent et dispose d'un stock important d'argent prêt pour ce genre de situation.

    Des milliardaires comme Sheldon Adelson au Nevada ou Philip Anschutz du Colorado pourraient chanter un air différent de celui des autres magnats ci-dessus. Adelson, par exemple, possède une bonne partie du Strip de Las Vegas, ainsi que des casinos et des hôtels à Singapour et à Macao. Malheureusement, les entreprises liées au tourisme sont parmi les plus durement touchées par le crash du COVID-19.

    Pendant ce temps, Anschutz est propriétaire du Coachella Music Festival et participe à de nombreuses équipes sportives professionnelles (LA Lakers, LA Kings et plusieurs équipes MLS), qui ont toutes été affectées par l'annulation de grands événements et rassemblements à travers le pays. Comme beaucoup d'autres, Anschutz a probablement hâte que les choses reviennent à la normale.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/mapping-wealthiest-person-every-us-state-2020

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    1. Celui qui distribuera des milliards de masques par hélicoptères sera riche !

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