Dans neuf mois il y aura une crise des maternités. Des maternités de campagne seront installées en urgence par l’armée malgré le fait que les militaires ne sont pas vraiment habitués à ce genre de situation sanitaire d’urgence. Les fortes chutes de neige, on sera en décembre, perturberont l’acheminement des futures mères, les routes et les grands axes de circulation seront en effet presque impraticables. Il y aura un manque catastrophique de couveuses. Naturellement la population se souviendra de la totale nullité du gouvernement Philippe lors de la gestion de la crise du virus mais cette fois elle sera émerveillée par la rapidité de réaction des autorités militaires en place depuis le mois de septembre.
Louis-Philippe chuta devant la pression populaire spoliée par les emprunts nationaux pour le développement des chemins de fer – relisez l’histoire – et la population applaudit le coup d’Etat de Louis-Napoléon. En septembre 2020 l’armée française prit le pouvoir car non seulement le gouvernement républicain n’avait pas su gérer la crise virale, avait 15000 morts sur la conscience et des mensonges à répétitions assortis de prises d’intérêt de la part de ministres révélant la corruption généralisée de ce gouvernement. La situation s’était aggravée au cours des mois de mai et juin avec les émeutes sanglantes des banlieues des grandes villes et même de certains quartier de Paris, de Lyon et de Marseille. Le plus inquiétant était le fait que, dans le même tempo, la France périphérique, les « sans-dents » vêtus de gilets jaunes avaient ressorti les fusils de chasse chargés de chevrotines et commençaient à se protéger contre les pillages sporadiques. Devant l’inaction de la police, l’armée prit donc le pouvoir et rappela à la gendarmerie qu’elle devait désormais suivre les ordres émis par le Ministère de la Défense (illustration).
Des tribunaux d’exception commençaient à concerner un grand nombre de ministres et autres parasites inutiles de la Cour du Prince mis en prison pour incapacité totale à gouverner, cette incapacité ayant favorisé la mort de ces milliers de personnes lors de la crise virale. En décembre on réquisitionnera peut-être les anciennes sage-femmes pour la plupart septuagénaires qui auront échappé par miracle à l’ancienne grippe à virus couronné que tout le monde aura oublié, ou presque …
Ou presque en effet, parce la crise économique effroyable sera loin, très loin de son dénouement. L’armée, à peu près le seul corps d’Etat encore fonctionnel, sortira à peine des combats de rue dans les banlieues « défavorisées » ayant fait d’autres milliers de victimes pas toutes innocentes, loin de là. Elle aura pris le pouvoir dès le début de l’automne et renvoyé plus de trois millions de fonctionnaires inutiles cultiver avec leurs familles les terrasses abandonnées du sud de la France. Un audit des finances publiques et de la structure de la dette avait été dès le début des évènements confié à un cabinet anglo-saxon spécialisé qui ne pouvait pas être accusé de parti-pris. Les résultats ont été édifiants et immédiatement suivis d’effet. D’abord la nationalisation autoritaire sans indemnisation des actionnaires de toutes les banques du pays aura été l’une des premières décisions accueillie favorablement par le peuple, suivie du rachat sans conditions d’Alstom-énergie cédé par Macron aux Américains. La sortie de l’euro devait suivre dans le courant de l’automne. Des camps de rééducation seront en cours d’aménagement un peu partout sur le territoire. Fiction ou réalité ? Il faut avoir de l’imagination pour envisager un scénario de sortie de crise en douceur tant la situation financière, industrielle et commerciale va se dégrader pour mener la France, mais aussi bien d’autres pays européens, dans un profond marasme, durable qui plus est. Sans mesures autoritaires d’envergure l’économie française ne s’en remettra jamais.
L’armée n’a jamais digéré le limogeage brutal du Général Pierre de Villiers par Macron le 19 juillet 2017 et la détérioration économique de la France consécutive à un confinement digne d’un obscurantisme médiéval. Les grands gradés de l’armée on rappelé De Villiers qui a décidé que l’armée devait, c’était son devoir, prendre le contrôle du pays pour le plus grand soulagement des citoyens excédés par les errances du gouvernement de clowns à la tête d’une France maintenant reléguée au rang de 17e économie mondiale se débattant avec 10 millions de chômeurs, une véritable guerre civile à caractère ethnique et confessionnel, des centaines de milliers de tonnes d’ordures s’accumulant sur les trottoirs des grandes villes …
Seule l’armée, dernier recours, était considérée par le peuple excédé comme capable de remettre de l’ordre dans cette gabegie. C’est maintenant chose faite et la vie reprend son cours. L’épisode de la crise des maternités de ce mois de décembre ne pourra donner que de l’espoir, la vie n’est-elle pas porteuse d’espoir ?
Insultes et jets d’œufs: l'Allemagne condamne les actes anti-français découlant du Covid-19
09:27 12.04.2020
L’Allemagne a condamné les insultes à cause du Covid-19 perpétrées à l’encontre de Français se trouvant dans les zones frontalières du pays. Selon le ministre allemand des Affaires étrangères, «le coronavirus ne connaît pas de nationalité».
Le ministre allemand des Affaires étrangères a condamné les agressions verbales ou vexations subies récemment par des Français en déplacement dans les zones frontalières allemandes, moins touchées par le Covid-19.
«Le coronavirus ne connaît pas de nationalité. C'est la même chose pour la dignité humaine. Cela fait mal de voir comment nos amis français sont parfois insultés et attaqués à cause du Covid-19. Un tel comportement n'est pas possible. Nous sommes dans le même bateau!», a twitté Heiko Maas.
Il faisait écho à une déclaration de la ministre de l'Économie de la Sarre, région limitrophe du Grand-Est français, Anke Rehlinger, qui avait récemment présenté ses excuses de la part de l'Allemagne.
«On entend dire que les Français sont insultés et qu'on leur jette des œufs. Quiconque fait cela pèche contre l'amitié de nos peuples», avait-elle regretté le 8 avril sur le même réseau social.
«Je présente mes excuses à nos amis français pour ces incidents isolés», avait-elle ajouté.
Des maires se disent émus
Les faits remontent pour l'essentiel au mois de mars. À l'époque, plusieurs maires de la Sarre, région limitophe du Nord-Est de la France, se sont émus d'insultes à l'égard de Français se trouvant dans la région, dans le contexte de la pandémie.
Celui de Sarrebruck, la capitale régionale de la Sarre, Uwe Conrad, les a jugées «innaceptables», comme l’indique l’AFP.
Michael Clivot, maire de la petite commune de Gersheim, a aussi constaté «une certaine hostilité envers nos amis français».
«Certains sont insultés et arrêtés dans la rue», «certains Français n'osent plus venir ici», s'est-il alarmé dans une interview récente au site d'information t-online. Avec plusieurs de ses collègues, il s'est adressé à ses administrés dans des messages vidéo diffusés sur Facebook.
Des Français l'ont approché pour lui pour dire qu'on leur avait craché dessus lors de promenades ou à la caisse de supermarchés. L'un d'eux s'est entendu dire «Retourne dans ton pays du corona!», a-t-il expliqué.
Covid-19, en continu: l’état de catastrophe majeure déclaré dans tous les États américains, une première dans l’Histoire
09:03 12.04.2020
L’état de catastrophe majeure est déclaré dans les 50 États américains, ce pays étant le plus touché par le Covid-19 au monde avec plus de 20.000 décès et plus de 500.000 cas de contamination. La célébration de la fête des Pâques, la plus importante de la tradition chrétienne, sera inédite sans processions, ni services religieux traditionnels.
Dans la soirée de samedi, Donald Trump a déclaré l’état de catastrophe majeure dans le Wyoming. C’est la première fois de l’Histoire que tous les 50 États américains y sont assujettis, a tenu à souligner le porte-parole de la Maison-Blanche, Judd Deere.
Avec plus de 20.000 morts et plus de 500.000 malades, les États-Unis sont actuellement le pays le plus endeuillé par les conséquences de la pandémie de coronavirus. Dans le même temps, ils ont enregistré en 24h un léger ralentissement du nombre de morts par rapport aux chiffres d’hier. Ainsi, 1.920 personnes sont décédées des suites du Covid-19.
En France, qui dénombre plus de 13.800 décès au total, le porte-avions Charles de Gaulle avec à son bord 50 personnes testées positives est attendu aujourd’hui à Toulon. Les équipages du porte-avions, du groupe aérien embarqué (GAN) - hélicoptères, avions de surveillance Hawkeye et Rafale - et de la frégate Chevalier Paul qui l’accompagne seront confinés 14 jours «dans des enceintes militaires avant de rejoindre leurs foyers», selon le communiqué du ministère des Armées.
L’Allemagne a dépassé les 120.000 contaminés avec plus de 2.800 décès, selon l’Institut Robert Koch. Il s'agit d'une baisse du nombre de cas depuis 48 h après quatre jours de hausse. Les experts militaires russes continuent les travaux de désinfection en Italie et en Serbie, a fait savoir le ministère russe de la Défense L’Arabie saoudite proroge le couvre-feu, selon Saudi Press Agency (SPA) Avec 103 nouveaux cas à bord du porte-avions américain Theodore Roosevelt, le nombre total de contaminations est révisé à 550, annonce la Marine américaine
10:55 La professeure en psychologie à l'Université de Yale et auteur du populaire cours en ligne «La Science du Bien-être» (The Science of Well-Being), Laurie Santos, a donné à Sputnik des moyens pour préserver son bonheur pendant la pandémie.
10:19 12.04.2020 Une professeure américaine a expliqué que l’activité sociale, les exercices, les habitudes saines et la méditation peuvent aider à maintenir un état d’esprit positif pendant le confinement dû à la pandémie de nouveau coronavirus.
10:47 Les Philippines enregistrent leur plus lourd bilan quotidien de décès
Avec 50 morts supplémentaires, le pays déplore le décès de 297 personnes des suites de la maladie, selon le ministère de la Santé. Plus de 4.600 individus sont infectés au total.
10:19 12.04.2020 En Allemagne, le nombre de personnes rétablies après avoir contracté le Covid-19 a dépassé le nombre de celles qui restent infectées, une première, montrent les chiffres de l'Institut Robert Koch.
09:33 Le nombre de cas de contamination en Russie a atteint les 15.770 avec plus de 2.000 supplémentaires recensés en 24h, selon l'état-major opérationnel
Seule Moscou a dépassé la barre des 10.000 cas. Au total, le pays déplore la mort de 130 personnes des suites du virus.
09:22 Combien coûte le traitement contre le coronavirus en Chine? La réponse d’un officiel La fourchette des dépenses pour soigner un patient infecté par le Covid-19 en Chine se situe entre 21.500 yuans (près de 2.800 euros) pour un traitement standard et environ un million de yuans (près de 130.000 euros) pour certains cas graves, a indiqué Xiong Xianjun, représentant du Nation Healthcare Security Administration de Chine.
09:08 «Les fumeurs sont moins susceptibles d'être infectés par le coronavirus que les non–fumeurs»: l’oncologue russe Vladimir Levchine a expliqué à Sputnik dans quelle mesure cette affirmation controversée correspond à la réalité
Un médecin a indiqué à Sputnik que les fumeurs avaient plus de chances d’être contaminés gravement par le coronavirus que les non-fumeurs. Il a ainsi démenti une fake news selon laquelle les personnes ayant cette mauvaise habitude étaient moins susceptibles d’être infectées.
08:53 La Russie évacue ce dimanche ses citoyens de Tokyo L'avion russe qui a décollé de l'aéroport international de Tokyo-Haneda transporte 179 personnes, selon un correspondant de Sputnik
Combien coûte le traitement contre le coronavirus en Chine ? La réponse d’un officiel
09:11 12.04.2020
La fourchette des dépenses pour soigner un patient infecté par le Covid-19 en Chine se situe entre 21.500 yuans (près de 2.800 euros) pour un traitement standard et environ un million de yuans (près de 130.000 euros) pour certains cas graves, a indiqué Xiong Xianjun, représentant du Nation Healthcare Security Administration de Chine.
Le coût moyen du traitement d’un patient atteint du coronavirus en Chine est de 21.500 yuans (2.794 euros), alors que celui d’un malade dans un état grave coûte 150.000 yuans (19.494 euros), a déclaré Xiong Xianjun, représentant du Nation Healthcare Security Administration de Chine.
Il s’agit de données fournies le 6 avril par l’institution. Les dépenses pour le traitement de certains patients en état critique peuvent atteindre plusieurs centaines de milliers de yuans et dépassent parfois le seuil du million (129.965 euros), a-t-il expliqué.
Un total de 1,48 milliard de yuans (plus de 192 millions d’euros) a été dépensé pour l'examen et le traitement des patients confirmés ou suspectés d’être atteints dans toutes les régions de Chine.
Une partie remboursée par l’État
Environ 65% du coût du traitement est couvert par le système de santé du pays tandis que le reste est subventionné par les administrations locales, ont fait savoir les médias chinois.
Selon le bilan du 11 avril, au moins 81.900 cas de contamination par le nouveau coronavirus ont été recensés en Chine, de même que plus de 3.300 décès. Au moins 77.500 patients ont guéri.
Plutôt bizarre et sceptique que de lire ces lignes ! Le personnel hospitalier chinois est-il payé au poulet attrapé ou un fixe chaque mois qu'il y ait de poulets attrapés ou non ?
Idem pour les cons (payés chaque mois) qui font des routes et qui en plus - lorsqu'il travaillent ! - présentent facture !!!
De crainte d’une pénurie alimentaire, les gens se ruent sur ce produit
12:38 12.04.2020
Pour se prémunir contre une pénurie alimentaire due à la pandémie, certaines personnes se dépêchent d’acheter des semences pour faire pousser leur propre nourriture. Les entreprises de jardinage ont ainsi des problèmes avec l’acheminement des commandes, affirmant pourtant qu’elles seront livrées.
Alors que la pandémie de coronavirus sévit en provoquant le confinement de plusieurs pays, les consommateurs craignent une éventuelle pénurie de denrées alimentaires.
Certaines personnes ont décidé de faire pousser leur propre nourriture. Les entreprises de jardinage ont donc subi une forte pression, rapporte le 11 avril le site Ici Radio Canada. Selon la source, ces sociétés ont été désignées comme étant un service essentiel en Colombie-Britannique, au Canada.
Pour maintenir le cap durant la crise, certaines entreprises de jardinage canadiennes ont demandé à leurs clients de passer commande via le site Internet. «Notre plus grosse vente reste les graines de tomate, puis de chou kale et de concombre», a indiqué au média Conor Preston, cogérant de la boutique Figaro’s Garden, à Vancouver, en ajoutant que cette augmentation est «liée à la pandémie».
D’après la source, les commandes sont si nombreuses que les gens les attendent plusieurs semaines.
«Quand j’ai passé ma commande, ils [le fournisseur West Coast Seeds, ndlr] m’ont bien fait comprendre que ça allait prendre plus de temps que d’habitude», a raconté une jardinière amatrice. En effet, le nombre d’employés est réduit pour respecter les mesures de distanciation sociale. Des semences en quantité suffisante
Les entreprises ont souligné qu’il n’y avait pas de pénurie de graines, mais qu’il était difficile de faire parvenir les livraisons en ce moment.
Alex Augustyniak, directeur général de West Coast Seeds, a néanmoins averti qu’en cas de pénurie il possèdait «un stock de sécurité pour les fermiers et les clients».
Une pénurie alimentaire possible ?
Auparavant, l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) avait affirmé que le monde pourrait être confronté à une pénurie alimentaire si des mesures n’étaient pas prises rapidement en faveur des plus vulnérables et pour préserver les chaînes d’approvisionnement mondiales.
La FAO estime que la pandémie de Covid-19 menace les liens économiques en place, notamment le transfert de la main-d’oeuvre vers les fermes et autres exploitations agricoles.
Les plants de tomates sont indestructibles ! SEULE la gelée peut les détruire. Donc, dès lors que sont adoptées la mise en serres (doublées !) de plants, ils passent l'hiver et continuent de grandir et de fleurir comme si rien n'était. (Il n'y a PAS de 'saisons' en serre ! C'est toujours l'été pour elles !).
Certains pays froids ne peuvent réserver cet endroit [les serres] qu'à des plantes résistantes aux gelées comme les salades, céleris ou choux fleurs, ou, certains passent pour un chauffage intérieur coûteux.
La solution (en serres froides) est de passer aux serres doublées de plastiques 200µ (1€/m²) espacés de 10 cm afin que l'air circule (gratuitement) dessus et sur les 4 côtés.
Cette particularité est copiée sur les parpaings creux et briques alvéolées qui ont permis aux constructions de murs de maisons de les isoler du froid.
Les plants de tomates poussent à 2 m (et plus) en été et sont couchés à l'automne dans des sillons de terre afin de multiplier les plants gratuitement. Les plants font des 'gourmands' ou 'gréoux' (provençaux) et sortent de terre tout les 25 cm env. et font de nouveaux plants. Un seul plant de tomates peut donner jusqu'à 6 plants qui s'enracinent au sol et deviennent indépendants du pied-mère.
Préférez écouter ceux qu savent et non les 'forums de jardinage' (nazies) qui font TOUT pour empêcher les jardiniers de vivre de leurs jardins ! (manque à gagner pour les supermarchés qui importent des tomates de pays étrangers où sont tolérés les traitements toxiques interdits - en Europe - par la dictature de Bruxelles).
Le prix de l'adhésion à l'UE: le rationnement des soins de santé pour les personnes âgées en Italie et en Espagne
par Tyler Durden Dim, 04/12/2020 - 07:00 Écrit par Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Avec plus d'un demi-million de cas confirmés de coronavirus 2019 (COVID-19) en Europe, un nombre croissant d'autorités médicales régionales ont commencé à publier des lignes directrices et des protocoles appelant les hôpitaux à donner la priorité aux patients plus jeunes que ceux plus âgés.
En Italie et en Espagne, les deux pays les plus touchés par la pandémie de coronavirus en Europe, les médecins des unités de soins intensifs submergés prennent depuis des semaines des décisions de vie ou de mort quant aux bénéficiaires des soins d'urgence.
Les nouveaux protocoles, cependant, équivalent à des directives gouvernementales qui instruisent efficacement le personnel médical d'abandonner les patients âgés à leur sort.
Outre les questions éthiques soulevées par le rationnement des soins de santé en fonction de l'âge, le refus de soins médicaux aux personnes âgées, dont beaucoup ont cotisé au système de protection sociale toute leur vie, met également en lumière les lacunes de la médecine socialisée Europe du Sud, où les mesures d'austérité imposées par la Banque centrale européenne ont entraîné des coupes budgétaires massives pour les soins de santé publics.
En Espagne, le gouvernement régional de Catalogne, une région durement touchée par le coronavirus, a publié un protocole confidentiel qui conseille efficacement aux personnes âgées atteintes du coronavirus de mourir chez elles.
Dans des documents divulgués à plusieurs médias espagnols, le Service médical d'urgence catalan (Servicio de Emergencias Médicas, SEM) a demandé aux médecins, infirmières et ambulanciers d'informer les familles des patients âgés souffrant de coronavirus que "la mort à domicile est la meilleure option".
Le document indique que mourir à la maison est plus humain car il évite la souffrance: les patients peuvent mourir en étant entourés de leurs familles, ce qui n'est pas possible dans les hôpitaux surpeuplés. Le protocole a également conseillé au personnel médical d'éviter de faire référence au manque de lits d'hôpitaux en Catalogne.
Les recommandations, approuvées par le Conseil des associations de médecins de Catalogne (Consejo de Colegios de Médicos de Cataluña), stipulaient que les patients de plus de 80 ans ne devaient pas être intubés et se voir proposer uniquement une «thérapie par masque à oxygène». Les lignes directrices recommandaient que les patients de plus de 80 ans qui suffoquent soient administrés "un traitement de confort avec de la morphine pour atténuer la sensation de dyspnée."
SEM a également conseillé aux professionnels de la santé d'optimiser les ressources médicales dans la situation d'urgence actuelle et "d'éviter d'admettre des patients avec peu d'avantages". Il a été demandé au personnel médical de réserver le matériel "aux patients qui peuvent en bénéficier le plus, en termes d'années de vie sauvées".
Le ministre catalan de la Santé, Alba Vergés, a nié que la directive soit discriminatoire à l'égard des patients âgés. Le directeur médical du SEM Xavier Jiménez l'a également démenti, mais il a admis que le document existe. "Tout ce que nous faisons, c'est offrir aux patients la meilleure option pour leur situation", a-t-il déclaré.
Ailleurs en Espagne, la Société espagnole de soins médicaux intensifs et critiques basée à Madrid (Sociedad Española de Medicina Intensiva, Crítica y Unidades Coronarias, SEMICYUC) a recommandé que des efforts thérapeutiques maximaux soient réservés aux jeunes avec plus de possibilités de survie. En cas de pénurie de lits d'hôpital, les personnes de plus de 80 ans ou celles atteintes de la maladie d'Alzheimer devraient se voir refuser le traitement.
En Italie, un document préparé par une unité de gestion de crise dans la ville de Turin, dans le nord du pays, a également proposé que les victimes de coronavirus âgées de 80 ans ou plus ou en mauvaise santé se voient refuser l'accès aux soins intensifs s'il n'y a pas suffisamment de lits d'hôpital.
Dans un document divulgué au journal britannique The Telegraph, le département de la protection civile de la région du Piémont, a déclaré:
"Les critères d'accès à un traitement intensif en cas d'urgence doivent inclure un âge inférieur à 80 ans ou un score au Charlson Comorbidity Index [qui indique combien d'autres conditions médicales le patient a] de moins de 5 ans.
"La croissance de l'épidémie actuelle rend probable un point de déséquilibre entre les besoins cliniques des patients atteints de COVID-19 et la disponibilité effective de ressources intensives.
"S'il devenait impossible de fournir à tous les patients des services de soins intensifs, il serait nécessaire d'appliquer des critères d'accès au traitement intensif, qui dépendent des ressources limitées disponibles."
Un conseiller sanitaire du Piémont, Luigi Icardi, a déclaré:
"Je n'ai jamais voulu voir un tel moment. Il [le document] sera contraignant et établira en cas de saturation des services un code de priorité pour l'accès aux soins intensifs, basé sur certains paramètres comme la survie potentielle."
Aux Pays-Bas, des médecins ont été accusés d'avoir tenté de rationner des lits rares dans des unités de soins intensifs en conseillant aux patients âgés souffrant de COVID-19 de renoncer à un traitement hospitalier, selon l'agence de presse Reuters.
Des députés néerlandais ont exprimé leur inquiétude après que des personnes âgées se sont plaintes de recevoir des appels de médecins. Le député Henk Krol, qui dirige le parti 50PLUS pour les personnes âgées, a mis en garde contre la discrimination fondée sur l'âge:
"Un octogénaire n'est pas la même chose qu'un autre. Il y a quatre-vingts ans qui sont en forme et qui courent des marathons, et il y a des cinquante ans qui sont en mauvaise santé."
Le ministre de la Santé, Hugo de Jonge, a nié que les appels des médecins soient une politique officielle du gouvernement. Il a déclaré à Reuters que les discussions sur la «planification des soins avancés» entre les médecins généralistes et les patients souffrant de graves problèmes de santé n'étaient pas inhabituelles:
«C'est une pratique courante pour les médecins. Nous l'appelons la planification des soins avancés, cela signifie avoir une conversation avec les gens sur« ce que vous voudriez arriver si vous tombez malade ».
"Les patients peuvent alors dire:" si cela arrive au point où j'ai besoin d'un ventilateur, où je dois aller aux soins intensifs, je préférerais ne pas le faire. "C'est une possibilité, mais ces conversations ne sont pas basées sur l'âge des patients."
Dans une interview accordée le 15 mars à la chaîne de télévision néerlandaise WNL Op Zondag, Marc Bonten, microbiologiste à l'hôpital universitaire d'Utrecht, a déclaré:
"Quelle est la meilleure façon de servir l'humanité ? Des aspects tels que qui a le plus de chances de survivre à une admission en soins intensifs entreront en jeu. C'est aux médecins de voir qui a les meilleures chances de survie."
De retour en Espagne, Óscar Haro, directeur d'une équipe de course de motos, a décrit dans une vidéo virale sur YouTube comment son père âgé est décédé des coronavirus après s'être vu refuser un respirateur en raison de son âge:
"Mon père a commencé à travailler à l'âge de 14 ans jusqu'à l'âge de 65 ans. Il n'a jamais rien demandé. Le 18 mars, il avait besoin d'un respirateur pour éviter de mourir et on lui a refusé ... C'est l'Espagne que nous avons. La génération de mon père a construit ce pays, ses réservoirs, ses routes, son agriculture, qui travaille 14 heures par jour, sortant d'une période d'après-guerre, et ils sont laissés pour mort.
"Je ne comprends pas comment une personne comme mon père, qui a travaillé toute sa vie, contribuant à la sécurité sociale dans ce pays, pourrait mourir parce qu'il n'y a pas de respirateurs, parce qu'il n'a pas pu recevoir de traitement, en raison de la réglementation qui stipule qu'avec des personnes de plus de 75 ans, il n'est plus intéressant de s'occuper d'eux et on les laisse mourir. Nous partons pour mourir d'une génération qui a bâti ce pays.
"Nous disons que nous avons une sécurité sociale incroyable, quand le personnel de santé n'a même pas de gants à porter. Ce matin, ils n'avaient ni robes ni masques. Je ne comprends pas que mon père, qui est avec sa femme depuis l'âge de 15, n'a pas été autorisée à lui dire au revoir. "
Pendant ce temps, Ivan Calle Zapata, un entraîneur de football à Martorell, une municipalité de Catalogne, a raconté comment il avait perdu ses grands-parents paternels et maternels à cause du coronavirus:
"Ma grand-mère de 82 ans et mon grand-père de 71 ans ne sont pas morts de # COVID-19, ils ont été laissés pour mourir. @Salutcat [les autorités sanitaires catalanes] leur ont refusé des respirateurs et leur admission aux soins intensifs, tout comme les autres plus âgés en Catalogne. Voici un fil conducteur pour eux et pour toutes les familles brisées: "
Face à l'indignation croissante du public face au manque de traitement pour les personnes âgées, le gouvernement espagnol a publié le 3 avril une déclaration dans laquelle il déclarait que refuser des soins de santé aux personnes âgées était inconstitutionnel:
"En cas d'extrême rareté des ressources de santé, les patients âgés doivent être traités dans les mêmes conditions que le reste de la population, c'est-à-dire selon les critères cliniques de chaque cas particulier. Accepter une telle discrimination conduirait à une sous-estimation de certains humains vit en raison de l'âge, ce qui contredit les fondements de notre État de droit, en particulier la reconnaissance de la dignité intrinsèque égale de chaque être humain. "
La déclaration du gouvernement n'a pas d'effet juridique, ce qui signifie que les gouvernements régionaux espagnols ne sont pas expressément interdits de mettre fin à la pratique de refuser des soins de santé aux personnes âgées.
La rareté des ressources de santé en Espagne et en Italie, les deux pays européens les plus touchés par la pandémie de coronavirus, peut être directement attribuée à une décennie de mesures d'austérité.
Pendant la crise de la dette européenne en 2011 et 2012, alors que de nombreuses banques italiennes et espagnoles étaient au bord de l'effondrement, les pays d'Europe du Nord ont imposé des conditions budgétaires strictes en échange de renflouements. En conséquence, les dépenses publiques de santé publique ont été considérablement réduites.
En Espagne, le gouvernement a dévoilé en avril 2012 des mesures d'austérité destinées à réduire de 65 milliards d'euros le déficit public d'ici à 2014. Les coupes imposées par la Banque centrale européenne ont réduit les dépenses espagnoles de santé publique de 10%. Mariano Rajoy, alors Premier ministre espagnol, a expliqué: "Ces mesures ne sont pas agréables, mais elles sont nécessaires. Nos dépenses publiques dépassent nos revenus de dizaines de milliards d'euros."
En novembre 2019, deux mois avant la première apparition du coronavirus en Espagne, le gouvernement espagnol a révélé que près de 700 000 patients étaient sur une liste d'attente pour les chirurgies. À l'échelle nationale, les patients ont dû attendre en moyenne 115 jours avant d'être opérés; en Catalogne, les patients ont dû attendre près de six mois; à Madrid, les patients ont dû attendre six semaines.
Un scénario similaire s'est produit en Italie, où le gouvernement a réduit des milliards d'euros dans les dépenses de santé publique depuis 2012 en échange de fonds de sauvetage de l'Union européenne.
De nombreux économistes ont déclaré que l'Italie et l'Espagne n'auraient jamais dû rejoindre l'euro, la monnaie unique utilisée par 19 des 27 États membres de l'Union européenne, car ce faisant, ils ont perdu leur souveraineté monétaire: ils ont perdu la capacité d'apprécier ou de déprécier leur monnaie pour gérer leurs économies et répondre aux chocs économiques.
La gravité de la crise des coronavirus en Italie et en Espagne, où les patients âgés sont autorisés à mourir au profit des jeunes, est due en grande partie aux mesures d'austérité associées à leur appartenance à la zone euro. Le grand nombre de morts, en particulier parmi les personnes âgées, semble être le prix que les Italiens et les Espagnols paient pour faire partie d'une union monétaire à laquelle ils n'auraient jamais dû adhérer.
(...) Le document indique que mourir à la maison est plus humain car il évite la souffrance: les patients peuvent mourir en étant entourés de leurs familles, ce qui n'est pas possible dans les hôpitaux surpeuplés. (...)
LES HÔPITAUX SONT VIDES ! Fautes d'accidentés de la route ou sur leurs lieux de travail, comme de partout ailleurs,les patients font défaut ! Les chambres sont vides et les infirmières attendent en salle d'attente ou fument dehors !
L'argent des cotisants est allé nourrir le personnel des ministères !
On a «laissé mourir les vieux» du Covid-19, estime Éric Ciotti
14:27 12.04.2020
En commentant le bilan des morts parmi les résidents des Ehpad depuis le début de l'épidémie, le député LR Éric Ciotti a dénoncé la politique du gouvernement. Selon lui, on a laissé ces gens «mourir dans l'indifférence, sans prise en charge sanitaire adaptée».
«On a laissé mourir nos vieux» du Covid-19 dans les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), a accusé dimanche 11 avril le député LR Éric Ciotti, se disant «choqué et en colère».
«On a refusé d'hospitaliser des personnes qui étaient atteintes dans les Ehpad, on les a laissées quelque part mourir dans l'indifférence, sans prise en charge sanitaire adaptée», a-t-il insisté dans une interview donnée à Radio J. Selon le dernier bilan communiqué le 11 avril au soir, le coronavirus a emporté plus de 4.889 résidents des Ehpad et des établissements médico-sociaux depuis le début de l'épidémie, laquelle touche particulièrement les personnes âgées ou fragiles.
Ce bilan «sera le plus grand scandale de ce moment tragique pour notre pays», selon M. Ciotti, qui a dénoncé «une politique de refus de prise en charge par les SAMU de personnes âgées», et mis en cause des «choix» qu'il attribue «à des raisons de capacité hospitalière» alors qu'«il y avait d'autres réponses, notamment la sollicitation de l'hospitalisation en secteur privé.»
Le gouvernement a annoncé le 6 avril qu'une campagne de dépistage massif serait lancée progressivement dans les Ehpad, qui ne pouvaient auparavant tester que les trois premières personnes suspectées de Covid-19.
«Ce n'est toujours pas fait de façon systématique», a déploré M. Ciotti, élu des Alpes-Maritimes où se trouve l'Ehpad de Mougins. Le Covid-19 y a tué 36 résidents, les familles de quatre d’entre eux ont porté plainte, rappelle l'AFP.
Ce que «l'étendue» nous apprend sur la recherche sur la pandémie et le gain de fonction de COVID-19
par Tyler Durden Dim, 04/12/2020 - 00:00 Soumis par Harvard à la Grande Maison
Un résumé YouTube accessible d'une grande partie du rapport ci-dessous rédigé par un professeur de neurobiologie de la faculté de médecine de l'Université de Pittsburgh est disponible ici.
"Vous pouvez dire que vous avez trouvé une question vraiment intéressante quand personne ne veut que vous y répondiez."
Au cours des derniers mois, des milliers d'humains ont perdu la vie depuis que COVID-19 a lancé sa tuerie à Wuhan, et à moins d'un miracle absolu, des millions d'autres personnes sur toute la planète se joindront à eux dans les mois à venir. Les comparaisons avec la pandémie causée par la grippe espagnole au début du XXe siècle abondent, mais une chose est claire: que ce soit en raison de la mondialisation ou des différences internes entre les virus, tandis que la grippe espagnole était un miasme lent qui a mis des années à se manifester le globe, la souche Wuhan du coronavirus, COVID-19, a recouvert la planète entière en quelques mois seulement.
Partout dans le monde, les usines sont au point mort, les magasins sont fermés, des dizaines de millions de personnes sont mises en quarantaine sur plusieurs continents et les chaînes d'approvisionnement se désintègrent.
Et curieusement, même si rien ne commence même à s'approcher de preuves concluantes que COVID-19 était une souche naturellement émergente qui a fait son chemin hors d'un hôte animal intermédiaire et chez l'homme, le consensus général dans les médias et le public semble être que explorer ses origines est quelque chose que ne font que des gens qui n'ont pas encore acheté que la Terre est en fait ronde et que nous avons effectivement atterri sur la lune. Et tout le monde semble être d'accord avec le fait que les scientifiques qui chantent le plus sur une origine naturelle sont ceux qui sont directement impliqués dans le type de recherche qui a probablement engendré ce virus: recherche de gain de fonction, ou «à double usage» qui destiné à pousser la nature au-delà de ses limites, afin que les humains puissent l'exploiter pour créer des monstres qui ne se produiraient jamais naturellement.
Pourquoi l'effort concentré pour marginaliser quiconque demande des preuves concluantes de l'origine de COVID-19? Qui en profite ?
«Nous avons modifié notre équipe scientifique pour supprimer les contraintes éthiques.»
En 1977, une maladie très particulière a commencé à se propager à travers la Russie, et une fois que les scientifiques l'ont isolée, ils ont découvert qu'il s'agissait d'une souche assez unique de la grippe porcine H1N1. Dans les années qui ont suivi l'analyse génétique visant à déterminer d'où cela pourrait provenir, il a trouvé quelque chose d'assez étrange: il était très similaire à des souches de H1N1 qui n'avaient pas été en circulation depuis des décennies et semblait être le produit d'un «passage séquentiel». dans un réservoir animal »qui a été déterminé par sa grande distance génétique de toute autre souche de grippe actuelle, tout comme COVID-19 qui semble également si éloigné de tout coronavirus apparenté qu'il a été placé dans son propre clade, une branche isolée son propre dans l'arbre généalogique viral - ce qui signifie qu'il est le seul exemple de son genre, et ne s'agglutine pas avec tous les autres coronavirus connus.
À l'époque, l'Union soviétique employait des dizaines de milliers de scientifiques concevant toutes les saveurs possibles des armes biologiques, un programme d'armes enragé immoral avec un dossier de sécurité inégale - les agents pathogènes étaient connus pour fuir presque régulièrement les laboratoires soviétiques. Ce qui s'est produit dans de nombreux laboratoires d'armes biologiques depuis, mais surtout en Chine, qui ont divulgué le virus du SRAS à quatre reprises ces dernières années. Et des scientifiques soviétiques auraient ramené des animaux de recherche morts à la maison pour le dîner, la viande n'était pas exactement disponible en URSS à l'époque, ce qui est similaire aux rapports de scientifiques de Wuhan faisant passer des animaux de laboratoire morts en contrebande pour les vendre pour quelques dollars supplémentaires sur le rue.
Plus tôt dans les années 70, avant la fuite, «la peur de la grippe porcine… [avait] incité la communauté internationale à réexaminer ses stocks des dernières souches H1N1 en circulation pour tenter de développer un vaccin», ce qui aurait augmenté les chances que quelqu'un, quelque part, commettrait une erreur et ferait sortir une souche de grippe altérée de son laboratoire. Cette accélération de la recherche reflète les temps récents, lorsque les scientifiques ont enquêté et tenté de comprendre la menace supposée imminente posée par les coronavirus pendant des années, capturant autant de souches uniques de la nature que possible et mélangeant et assortissant leurs génomes en laboratoire.
Et donc l'augmentation des recherches sur la grippe porcine H1N1 dans les années 70 a finalement augmenté les chances qu'une erreur se produise suffisamment et qu'une fuite se produise. Tout comme notre pandémie actuelle a été précédée non seulement par des années de recherche sur les coronavirus partout de l'UNC au centre de recherche technique de Wuhan Institute of Virology, et a été accélérée par une conférence internationale massive destinée à étudier une pandémie potentielle causée par une hyper- souche virulente de coronavirus, Johns Hopkins 'Event 201. Elle a été financée principalement par le Forum économique mondial ainsi que par la Fondation Bill et Melinda Gates, et s'est notamment produite en octobre 2019, quelques semaines seulement avant le début de cette épidémie de COVID-19.
Si, jusqu'en 1977, le fait que l'augmentation des recherches sur les souches de la grippe augmentait les chances qu'une fuite accidentelle se produise, pourquoi la même logique n'est-elle pas appliquée à notre pandémie aujourd'hui ? Pourquoi presque tout le monde suppose-t-il aujourd'hui que l'augmentation du rythme de la recherche signifie que les scientifiques ont en fait anticipé cette épidémie au lieu de la provoquer ?
Un rythme de recherche accru n'augmenterait-il pas également les chances qu'une fuite d'un coronavirus modifié en laboratoire se produise, tout comme un rythme de recherche plus rapide a précipité la fuite de la grippe porcine H1N1 à l'époque?
"Vous donnez un bâton à un singe, inévitablement, il en battra un autre à mort"
Les scientifiques ont directement altéré et modifié les génomes viraux pendant au moins les vingt dernières années, faisant tout, de la construction de virus complets à partir de zéro, à leur peaufinage puis à leur passage à travers une série d'hôtes d'animaux pour accélérer artificiellement la sélection et l'évolution afin qu'ils soient capable d'avoir autant de souches différentes de virus avec autant de nouvelles fonctionnalités que possible pour bricoler.
Cependant, la plupart de ces travaux n'ont pas vraiment soulevé trop de sourcils, jusqu'à il y a environ dix ans, lorsque les scientifiques de Stony Brook, NY - pas par hasard aussi le premier endroit pour construire un ADN-virus à partir de zéro - ont pris la grippe aviaire H5N1, génome à deux endroits, puis passé à travers une série d'hôtes furets dans le laboratoire jusqu'à ce qu'il devienne aéroporté. Ce type de recherche, une altération mineure, puis un passage à travers les furets, a fait deux choses: a abouti à un virus qui aurait l'air naturel et ne semble pas avoir été directement modifié génétiquement, et a également créé un virus qui était tout seul branche de l'arbre généalogique viral, car ces passages séquentiels ont ajouté des générations beaucoup plus rapidement qu'ils ne se produiraient naturellement dans la nature. Si cela vous semble familier, c'est peut-être parce que ces caractéristiques sont également exactement ce que l'on trouve avec COVID-19.
Et dès 2015, des laboratoires chinois auraient été impliqués dans des recherches sur le gain de fonction à double usage, échangeant autour des génomes viraux en laboratoire pour essayer de créer la souche la plus virulente possible. De plus, des études examinant l'infectiosité du COVID-19 chez les furets ont révélé qu'il se propage facilement parmi eux et semble également en suspension dans ce modèle animal, ce qui confirme l'idée que les furets étaient utilisés pour le passage en série. Un soutien supplémentaire à la possibilité que le passage en série à travers des animaux de laboratoire ait joué un rôle dans la création de COVID-19 provient d'une pré-impression d'avril 2020, qui a révélé qu'il se lie aux cellules des furets plus étroitement que toute autre espèce, à l'exception de la musaraigne, qui ne marqué environ 2% de plus. Les musaraignes arboricoles ont également été utilisées pour le passage viral en série, et ont été promues dans un article de 2018 en Chine en tant qu'hôte préférable pour le passage en série en laboratoire car elles sont moins chères, plus petites, plus faciles à manipuler et plus proches des humains sur le plan évolutif et physiologique que les furets. . Cependant, les pangolins ont formé une liaison beaucoup plus faible que l'un et l'autre et ont été regroupés en bas de la liste avec une poignée d'autres hôtes animaux intermédiaires beaucoup plus improbables.
Curieusement, l'un des scientifiques soutenant cette recherche troublante dans un article qui a noté que le virus "pourrait changer l'histoire s'il était jamais libéré" est apparu sur le podcast de Joe Rogan en 2020 quelques semaines après la pandémie actuelle, affirmant que COVID-19 était définitivement naturel et ne faisant aucune mention de cette recherche de gain de fonction à double usage basée sur les animaux. Bizarre, non? C’est presque comme si Michael Osterholm, dont toute la carrière repose sur l’amélioration du gain de fonction de la recherche, pourrait vouloir blanchir ce qui se passe réellement ? Est-ce que ce soleil a chatouillé quand il a explosé dans le cul, Joe ?
Osterholm n'a pas raconté l'histoire de cette grippe aviaire H5N1 génétiquement modifiée, qui a été transformée en un virus qui "pourrait faire ressembler la pandémie meurtrière de 1918 à un froid embêtant". Ce résultat était si troublant que le NIH, qui avait financé la recherche, a essayé de s'assurer qu'il ne serait publié qu'après avoir extrait suffisamment de détails pour rendre la réplication de l'expérience difficile à réaliser. Cependant, l'un des virologues impliqués dans la recherche a trouvé ces restrictions un peu idiotes, car l'essentiel de l'expérience était suffisant pour permettre à quiconque disposant de suffisamment d'argent de les reproduire sans problème. Surtout des chercheurs qui connaissaient déjà la manipulation des coronavirus de chauve-souris, dont deux ont appris à faire exactement cela à l'UNC en 2015 avant de retourner à Wuhan pour continuer leur travail.
Quelques années plus tard, le NIH interdirait cette recherche à double usage sur le «gain de fonction», une interdiction qui resterait en vigueur de 2014 à 2017, date à laquelle elle a été levée. Et quel était le raisonnement derrière la levée de l'interdiction ? Permettre la recherche sur les virus de la grippe, ainsi que sur le SRAS et le MERS - les coronavirus, tout comme notre nouvel ami COVID-19. Et donc des centaines de millions de dollars de financement ont été consacrés à la recherche sur ces virus, censément avec une surveillance censée réduire «le potentiel de création, de transfert ou d'utilisation d'un pathogène pandémique potentiel amélioré».
Il s'avère que cette surveillance n'a peut-être pas trop bien fonctionné, comme en témoignent les milliers de personnes décédées de COVID-19.
«Mais ce n'est qu'une machine. Ça ne pense pas. Il suit les instructions. Si nous apprenons à modifier cette programmation, nous devenons les architectes de ce changement. »
Et donc depuis 2017, les vannes ont été ouvertes, et de l'argent a été versé pour financer la recherche sur les gains de fonction sur les coronavirus, et ils ont été considérés comme tout comme une base potentielle pour créer un vaccin contre le VIH, pour pouvoir aider les scientifiques dans leur mission de créer un vaccin universel contre la grippe et le rhume. Sans surprise, la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a aidé à financer l'événement 201, a également investi des millions et des millions de dollars dans la recherche d'un vaccin contre le VIH, dont une grande partie est centrée sur l'exploitation des coronavirus.
Les incursions précédentes de Gate dans les programmes de vaccination ne se sont pas toujours aussi bien passées, en 2009, un vaccin contre le VPH parrainé par Gates de Merck a provoqué de graves effets secondaires chez des centaines de filles auxquelles il a été administré, tuant finalement sept d'entre elles. En plus de la science défectueuse derrière ce programme de vaccination, il y avait des preuves que la majorité des patients ne savaient pas à quoi ils s'inscrivaient, mais étaient de toute façon poussés à suivre un traitement. Un comportement plus contraire à l'éthique a été signalé dans la campagne MenAfriVac financée par Gates au Tchad, selon laquelle entre 50 et 500 enfants vaccinés contre la méningite développeraient une paralysie, conduisant un journal sud-africain à annoncer que «nous sommes des cobayes pour les fabricants de drogues». Et il y a une dispersion d'autres comptes couvrant d'éventuelles malversations par les programmes de vaccination financés par Gates dans le monde entier. Ce n'est donc pas que Bill Gates frappe personnellement de petits enfants au visage, mais que son financement bien intentionné puisse se retrouver dans de nombreux mauvais endroits dans la recherche aveugle de résultats, fournissant du financement pour des pratiques très louches et totalement contraires à l'éthique.
Faire remarquer que le financement de leur fondation n'est pas destiné à diaboliser la famille Gates, seulement à commencer à construire l'idée que la responsabilité ne revient pas aux seuls scientifiques de Wuhan, ou au Parti communiste chinois d'avoir tenté de camoufler le début de la pandémie. Et de souligner que rien dans le fait d'être informaticien ou homme d'affaires n'a quoi que ce soit à voir avec la politique de santé publique ou les implications scientifiques et sociales de la recherche sur le gain de fonction. Pourquoi le NIH a-t-il permis de rouvrir cette boîte de Pandore vraiment évidente en premier lieu mérite d'être répondu, et les organisations qui financent cette recherche devraient également porter la majeure partie du blâme.
Bill Gates pourrait vouloir être un philanthrope efficace vraiment mauvais, et il a peut-être été incroyable dans la conception de logiciels informatiques et la réduction de ses concurrents - mais cela ne fait pas un philanthrope. Après tout, au-delà des tactiques douteuses pratiquées par bon nombre des programmes de vaccination qu'il finance, sa tentative très bien intentionnée de sauver des vies en fournissant des moustiquaires insecticides a finalement été destructrice: de nombreux villageois munis des moustiquaires ont décidé qu'ils étaient meilleurs utilisé comme filets de pêche, entraînant des pénuries alimentaires en raison de la surpêche du fait que les filets de plus petite taille tissent beaucoup trop de juvéniles, ce qui réduit la croissance de la population.
Semblait être une bonne idée à l'époque, non ?
«La responsabilité répartie est le problème. Une personne donne l'ordre, une autre l'exécute. L'un peut dire qu'ils n'ont pas appuyé sur la gâchette, l'autre qu'ils faisaient juste ce qu'on leur avait dit, et tout le monde se laisse décrocher. "
Bien plus sinistre que la Fondation Gates finançant la recherche à double usage sur le gain de fonction est la participation de scientifiques qui espèrent exclusivement financer leur propre entreprise grâce à ce type de travail.
Alors que The Expanse avait Jules-Pierre Mao, un scientifique-PDG qui a utilisé sa société privée pour hybrider la protomolécule - une substance mystérieuse apparemment étrangère qui semble avoir son propre esprit - avec les humains pour créer des armes biologiques imparables, aujourd'hui nous avons Peter Daszak. Son entreprise, EcoHealth Alliance, qui est un organisme à but non lucratif qui dépend en grande partie de subventions gouvernementales de plusieurs millions de dollars pour fonctionner, travaille en partenariat avec un chercheur chinois depuis des années dans le but d'obtenir du financement pour de plus en plus de recherches sur les coronavirus. Au moins, ils ne prétendent même pas être philanthropiques.
Et dans l'une des tentatives les plus transparentes de spin-PR flagrant, Daszak a été présenté aux côtés de l'un des chercheurs qui a appris à créer des coronavirus hyper-virulents de chauve-souris à l'UNC en 2015, Zhengli Shi. Leur article insiste sur le fait que nous devrions prendre Zhengli au mot quand elle prétend n’avoir trouvé aucune correspondance après avoir vérifié le génome de COVID-19 contre tout dans son laboratoire. Comme si quelqu'un responsable de la libération de l'agent pathogène le plus virulent pour frapper l'humanité dans l'histoire moderne, celui qui a déjà tué des milliers de personnes et devrait en tuer des millions et des millions de plus à travers le monde, ne ferait qu'essayer, torpillant sa carrière et les années des recherches effectuées par elle et ses collègues ? Et peut-être les ouvrir tous à des répercussions juridiques et autres ?
Si vous ne savez toujours pas si les scientifiques impliqués dans ce type de recherche sont honnêtes, il y a le Dr Ralph Baric. C'est dans son laboratoire à l'UNC qu'une chauve-souris hyper-virulente Franken-virus a été créée en épissant une nouvelle pointe de protéine sur un coronavirus existant, créant un monstre si vicieux qu'un virologue de l'Institut Louis Pasteur de Paris a averti: «Si le [nouveau] virus s'est échappé, personne ne pouvait prédire la trajectoire. » Il convient également de noter que plusieurs années avant de bricoler directement avec des protéines de pointe de coronavirus de chauve-souris, Baric a orchestré des recherches qui consistaient à isoler un coronavirus de civettes, puis à le faire passer à travers des cellules de récepteurs ACE2 de mammifères cultivées en laboratoire à partir d'échantillons de rein et de cerveau passage en série à travers des lignées cellulaires hôtes au lieu d'hôtes entiers, ce qui a conféré une forte affinité pour ACE2 et a vraisemblablement créé une souche aéroportée de coronavirus. Et si des cellules dérivées des reins et du cerveau étaient utilisées pour le développement en série du COVID-19, cela pourrait aider à expliquer son affinité pour attaquer les reins et le cerveau de ses hôtes humains.
Donc, s'il était honnête, vous pourriez vous attendre à ce qu'il avertisse le public des coronavirus potentiels mortels posés lors de notre épidémie actuelle. Cependant, lorsqu'on lui a demandé si le public devait s'inquiéter de COVID-19, il a répondu que les gens devraient être plus inquiets de la grippe saisonnière. Déclaration assez bizarre d'un scientifique qui savait très bien à quel point les coronavirus pouvaient être dangereux, surtout compte tenu du fait que non seulement Zhengli Shi travaillait dans son laboratoire sur ce projet en 2015, mais que Xing-Yi Ge l'était aussi. Tous deux sont retournés à Wuhan où ils ont poursuivi leur travail pendant des années.
Xing-Yi Ge est particulièrement remarquable car en 2013, il est devenu le tout premier scientifique à isoler un coronavirus de chauve-souris de la nature qui utilise le récepteur ACE2, qui se trouve dans les poumons des humains, des musaraignes et des furets et permet aux coronavirus de se disséminer dans l'air. Et comme vous l'avez peut-être déjà appris, c'est le récepteur exact utilisé par COVID-19 pour pénétrer dans les cellules humaines - si quelqu'un savait comment brouiller cette partie du génome du coronavirus, ce serait lui. Donc, Xing-Yi Ge et Zhengli Shi faisaient partie de l'équipe de recherche qui a créé ce coronavirus hybride de chauve-souris hyper virulent sous Baric, qui a activement minimisé le risque posé par COVID-19, puis est retourné travailler à Wuhan, où le financement a été une partie de l'entreprise de Daszak leur a permis de poursuivre leurs travaux sur les coronavirus avec de nombreuses recherches à couper et coller dans leur travail au Centre de recherche technique de l'ingénierie des maladies de l'Institut de virologie de Wuhan.
Et comme le dit le Dr Ian Malcolm dans Jurassic Park, ce n'est jamais une bonne idée de faire un tour avec la science et la recherche lorsque vous ne la comprenez pas pleinement, ni ses implications possibles.
"La partie la plus difficile de ce jeu est de savoir qui est vraiment l'ennemi."
À part le fait qu'il ne porte pas les marques directes de la falsification génétique, tout comme la grippe aviaire hyper-virulente H5N1, il n'y a littéralement rien de naturel dans le comportement ou la présentation clinique du COVID-19. Et de façon obsédante, des recherches évaluées par des pairs ont noté qu'une région cruciale de son génome «peut fournir un gain de fonction… pour une diffusion efficace dans la population humaine».
Non seulement il est si éloigné de tout autre coronavirus qu'il forme son propre clade, mais il n'y a même pas de voie naturelle pour qu'il émerge - les affirmations sur les pangolins ont toujours été au mieux douteuses, mais ont été encore plus démenties lors de l'analyse du génome de COVID-19 dans les régions qui montrent le plus fidèlement le patrimoine, il était «très peu probable» que des pangolins aient jamais été impliqués.
Au-delà de cela, le fait que son affinité pour le récepteur ACE2 soit quelque part entre 10 et 20 fois plus élevé que le SRAS, et qu'il crée également des charges virales des milliers de fois plus élevées que le SRAS. Ces deux caractéristiques indiquent que le COVID-19 utilise une amélioration dépendante des anticorps, ou ADE, pour pénétrer dans les cellules humaines. C’est à ce moment que le virus est capable de détourner les globules blancs pour pénétrer plus facilement dans le reste des cellules de notre corps, lui permettant de s’infiltrer profondément dans le système nerveux de ses hôtes, créant des dommages neurologiques permanents chez les hôtes qu’il ne tue pas carrément. ADE pourrait également expliquer pourquoi entre 5% et 10% des patients une fois «guéris» à Wuhan se sont présentés avec de nouvelles infections, car ce phénomène permet à un virus de détourner les anticorps créés par une infection précédente pour réattaquer un vieil hôte. Et curieusement, Zhengli Shi, de l'UNC et de la renommée de Wuhan, a co-écrit un article de 2019 qui a utilisé des obus viraux inertes pour comprendre exactement comment le SRAS, avec son affinité pour le récepteur ACE2 tout comme COVID-19, a pu exploiter l'ADE pour détourner le blanc cellules sanguines pour une meilleure entrée des cellules. Une extension du gain de fonction de cette recherche serait exactement le genre d'expérience qui aurait pu donner naissance à COVID-19, d'autant plus que le document de 2019 a réussi à affiner la concentration exacte d'anticorps qui faciliterait le mieux l'ADE.
Le VIH et la dengue utilisent tous deux une amélioration dépendante des anticorps pour augmenter leur virulence, mais c'est généralement un phénomène qui prend beaucoup de temps à se produire lorsqu'il se produit dans la nature. Cependant, COVID-19 semble avoir pu avoir son ADE connecté à l'hyper-entraînement lors de son passage entre une série d'hôtes animaux, car il a la capacité beaucoup plus susmentionnée de se lier aux cellules hôtes et crée des charges virales de l'ordre de grandeur plus élevé, et semble également pouvoir immédiatement pénétrer dans le système nerveux de ses hôtes, tuant bon nombre de ses victimes en attaquant la région du cerveau qui contrôle la respiration, en abaissant considérablement le nombre de globules blancs au début des infections et en réinfectant apparemment des individus qui avaient semblait déjà effacer leur infection.
Les observations d'un médecin urgentiste qui a déclaré que j'avais vu des choses que je n'avais jamais vues auparavant augmentaient encore la possibilité que la présentation clinique unique de COVID-19 soit due à son EIM. n'ont pas de sens dans le contexte du traitement d'une maladie qui est censée être une pneumonie virale. Dans une interview avec Medscape, le Dr Cameron Kyle-Sidell a poursuivi en disant que la chose la plus proche des symptômes dont il était témoin dans sa salle d'urgence.
Rien dans la présentation clinique de COVID-19 n'est typique, y compris le fait que chez de nombreux patients, le premier signe d'infection semble perdre le sens de l'odorat et du goût sans aucun autre symptôme, ce qu'aucun autre virus sur terre n'est connu pour faire autrement asymptomatique. patients - mais qui pourrait éventuellement être due à une ADE artificiellement améliorée entrant immédiatement dans ces cellules nerveuses et les faisant frire. Les observations d'un médecin des urgences qui ont déclaré que «j'ai vu des choses que je n'avais jamais vues auparavant», ont-ils été témoins d'un phénomène médical, augmentent encore la possibilité que la présentation clinique unique de COVID-19 soit due à son EIM. cela n'a tout simplement pas de sens dans le contexte du traitement d'une maladie qui est censée être une pneumonie virale. » Dans une interview avec Medscape, le Dr Cameron Kyle-Sidell a poursuivi en disant que la chose la plus proche des symptômes dont il était témoin dans sa salle d'urgence était celle créée par le mal de l'altitude.
Cette condition se produit lorsque les organes qui détectent le niveau de concentration d'oxygène dans l'air que vous respirez remarquent que ce niveau diminue et commencent une cascade de changements physiologiques qui, comme les patients COVID-19 le montrent horriblement, peuvent rapidement devenir mortels lorsqu'ils jettent votre corps. l'équilibre hors de wack. Et puisque ces organes se trouvent dans votre cou juste à côté de vos artères carotides, il est tout à fait possible qu'après avoir fait frire les cellules nerveuses qui contrôlent l'odeur et le goût, que si la charge virale est suffisamment importante, l'infection puisse éventuellement pénétrer dans ces organes et les faire frire aussi - incitant votre système nerveux à communiquer à tort la concentration d'oxygène dans l'environnement et brouillant le même système que celui utilisé lorsque votre corps est soumis aux niveaux d'oxygène abaissés qui se produisent à haute altitude pour éventuellement tromper votre corps en produisant moins de globules rouges.
De plus, une capacité anormalement poussée à utiliser l'ADE expliquerait également ce que d'autres travailleurs médicaux de première ligne observent chez leurs patients: «Je vois des gens qui semblent relativement en bonne santé avec des antécédents de santé minimes, et ils sont complètement anéantis, comme s'ils avaient été heurtés par un camion. Cela élimine ce qui devrait être parfaitement en forme, des personnes en bonne santé. Les patients bénéficieront d'un soutien minimal, d'un peu d'oxygène, puis, tout d'un coup, ils se trouveront en arrêt respiratoire complet, s'arrêteront et ne pourront plus respirer du tout… Cela semble être le cas pour beaucoup de ces patients : Ils deviennent soudain insensibles ou souffrent d'insuffisance respiratoire. » Ce type de déclin soudain et précipité est exactement ce à quoi on pourrait s'attendre si la capacité de COVID-19 à utiliser l'EAD avait été accentuée en laboratoire, et expliquerait également les observations cliniques selon lesquelles «cette gravité de [détresse respiratoire aiguë] est généralement plus typique de quelqu'un qui a une expérience de noyade proche - ils ont un tas d'eau sale dans leurs poumons - ou des gens qui inhalent du gaz caustique. Surtout pour qu'il ait un début aussi aigu comme ça. Je n'ai jamais vu un micro-organisme ou un processus infectieux causer des lésions pulmonaires aussi aiguës aussi rapidement. C'est ce qui m'a vraiment choqué. »
Et aussi le récit horrible suivant: «Putain de merde, ce n'est pas la grippe. Regarder ce gars relativement jeune, à bout de souffle, des sécrétions mousseuses roses sortant de son tube et de sa bouche. Le ventilateur aurait dû faire le travail de respiration mais il était toujours à bout de souffle, bougeant sa bouche, bougeant son corps, se débattant. Nous avons dû le retenir. Avec tous les patients atteints de coronavirus, nous avons dû les retenir. Ils hyperventilent vraiment, ont vraiment du mal à respirer. Lorsque vous êtes dans cet état d'esprit qui a du mal à respirer et qui délire de fièvre, vous ne savez pas quand quelqu'un essaie de vous aider, alors vous allez essayer d'arracher le tube respiratoire parce que vous sentez qu'il vous étouffe, mais vous le noyait. "
Personne ne sait exactement combien de personnes sont mortes à Wuhan, où en janvier et février, les crématoriums fonctionnaient 24h / 24 et 7j / 7 alors qu'ils ne fonctionnaient généralement que quatre heures par jour et cinq jours par semaine, mais une tendance apparente est que plus le virus a été autorisé à circuler et à cracher de nouvelles variantes, plus il était mortel. Une preuve supplémentaire que bien plus de vies ont été perdues à Wuhan que le gouvernement chinois ne le révèle est fournie par le fait que quelque 21 millions d'utilisateurs de téléphones portables sont en quelque sorte tombés de la carte en Chine, ainsi que par les longues files d'attente pour recueillir les cendres de leurs proches à Wuhan, qui aurait enregistré à elle seule quelque 45 000 incinérations. Donc, cette létalité élevée peut être due en partie aux multiples variantes qui ont eu le temps de circuler à Wuhan, une caractéristique de l'ADE puisque chaque variante suivante est capable d'échapper à la détection par notre système immunitaire tout en détournant nos globules blancs pour augmenter sa virulence.
Et sans surprise, ni ADE ni la possibilité que COVID-19 puisse être un produit de passage en série à double usage avec gain de fonction des animaux n'a été mentionnée à la télévision par les virologues les plus susceptibles de pouvoir identifier ces phénomènes, c'est-à-dire notre front- Les intervenants médicaux en ligne sont aveuglés par un virus qui ne se comporte pas comme quelque chose de naturel, comme tout ce qu'ils ont déjà vu.
Encore plus indicatif d'une origine non naturelle est le fait que le processus de transfert d'un virus d'une espèce à une autre, appelé saut zoonotique, suit un schéma bien établi dans la littérature. Pour qu'un virus saute complètement dans une nouvelle espèce, plusieurs mois sinon des années sont nécessaires pour que le processus se termine. Tout d'abord, une variante du virus infecte un nouvel hôte, une infection qui disparaîtra la première fois qu'il se produit, car il n'y a aucun moyen pour un virus de s'adapter immédiatement à une nouvelle espèce hôte. Mais avec une exposition continue, plus d'infections individuelles se produisent, dont certaines produisent des variantes légèrement mutées plus adaptées à la biologie de la nouvelle espèce hôte, jusqu'à ce qu'une variante remporte la loterie virulente sélective et puisse se propager facilement parmi sa nouvelle population hôte, tuant et reproduire au fur et à mesure.
Et pourtant, des recherches publiées en 2018 ont révélé que seulement deux virgule sept pour cent des villageois vivant à environ un kilomètre des grottes de chauves-souris locales possédaient des preuves d'infections passées par le coronavirus des chauves-souris. Cette étude a également examiné des personnes vivant à Wuhan et n'a trouvé absolument aucune preuve d'infection antérieure par un coronavirus de chauve-souris, ce qui rend presque impossible le saut zoonotique, car des variantes moins létales du virus auraient laissé un large signature dans sa nouvelle population hôte. Au lieu de cela, COVID-19 est sorti de nulle part, ou plus probablement juste d'un laboratoire local, et a immédiatement été extraordinairement bien adapté aux humains - se propageant facilement dans l'air, tuant au fur et à mesure. De plus, il y a le fait que toutes les premières victimes ont été infectées par la même variante, si un saut zoonotique naturel s'était produit, plusieurs variantes différentes auraient inévitablement été trouvées au début d'une épidémie.
Et ainsi que notre citation en titre fait allusion, bien qu'il soit certainement possible d'entraîner un singe à réchauffer un burrito congelé au micro-ondes, il est assez improbable qu'un singe sauvage qui n'avait jamais été en contact avec des humains auparavant puisse se voir présenter un burrito surgelé et micro-ondes, et préparez-vous à réchauffer une collation.
De la même manière, tout ce qui concerne la façon dont COVID-19 interagit avec ses hôtes humains et se propage parmi eux indique qu'il a été artificiellement formé pour se familiariser avec la biologie humaine - bloquant bizarrement nos sens de l'odorat et du goût avant de faire quoi que ce soit d'autre, se propageant facilement parmi patients asymptomatiques, puis en nous infectant et en nous tuant avec beaucoup plus d'efficacité que tout virus émergent naturel au début de son épidémie, et en émergeant d'abord sans prendre aucune des mesures nécessaires pour effectuer naturellement un saut zoonotique chez l'homme.
À un moment donné au cours des prochaines semaines, les Américains tomberont littéralement morts dans les rues, s'effondrant comme ils l'ont déjà fait en Chine, en Italie et en Iran.
Et tandis que les gens de votre télévision seront en train de perroquet tout ce que leurs parents d'entreprise leur diront, et pendant que les scientifiques intimement impliqués dans ce type de recherche se lisent comme «vous l'avaient dit» sur la menace que représentent les coronavirus au lieu d'informer le public sur la façon dont la menace à laquelle nous sommes confrontés est grave: des millions de personnes mourront et le travail à l'origine de cette pandémie se poursuivra à un rythme accéléré à mesure que le financement de la recherche sur le gain de fonction afflue.
"Rien n'a jamais tué plus de gens que d'avoir peur de ressembler à une poule mouillée."
Comme nous aimons le dire, l'Amérique est un pays libre. Et sans orientation fédérale judicieuse, et avec notre équipe d'intervention en cas de pandémie minée par des conseillers économiques et des proches qui n'ont que la compréhension la plus vague du fonctionnement de la science, sans parler de l'épidémiologie, nous approchons très rapidement de ce qui pourrait être notre dernier point d'inflexion.
Alors que les Jeux olympiques ont été reportés pour la première fois dans l'histoire moderne et que d'autres nations, de la Nouvelle-Zélande à la France, sont entièrement fermées au moins pour les prochaines semaines, les Américains n'ont pas été convaincus de ne pas se presser dans les lieux publics et les transports publics. Soi-disant, la prière, la ténacité et l'esprit américain vont fonctionner comme des traitements antiviraux efficaces.
Donc, au moment où le public et nos fonctionnaires se rendent compte collectivement que COVID-19 n'a pas l'intention de se comporter de manière similaire à la grippe, ou comme tout virus naturel, et que nos agents de santé de première ligne se sont effectivement battus contre une arme depuis des semaines, la mort de millions d'autres Américains sera déjà inévitable.
L'effort actuel pour remettre l'économie sur la bonne voie ne mène qu'au carnage humain, se précipiter dans les gueules du virus ne peut mener nulle part ailleurs. Ralentir pour obtenir une image complète de ce qui se passe est apparemment hors de propos, tout comme toute sorte de discussion raisonnée sur la façon de sauver le plus de vies tout en étant en mesure de maintenir l'économie en stase jusqu'à ce que la pandémie soit sous contrôle. Et donc l'Amérique sera à jamais changée par cette pandémie, alors que nos institutions autrefois fiables nous conduisent directement au massacre.
Se précipiter dans le danger ne s'est jamais bien terminé. Après tout, ce sont toujours les portes et les coins où ils vous mènent.
"Parfois, il faut quelques monstres pour se remettre sur la bonne voie." Signez la pétition pour mettre fin à la recherche sur le gain de fonction ici.
(...) Les scientifiques ont directement altéré et modifié les génomes viraux pendant au moins les vingt dernières années, faisant tout, de la construction de virus complets à partir de zéro, à leur peaufinage puis à leur passage à travers une série d'hôtes d'animaux pour accélérer artificiellement la sélection et l'évolution afin qu'ils soient capable d'avoir autant de souches différentes de virus avec autant de nouvelles fonctionnalités que possible pour bricoler. (...)
par Tyler Durden Sam, 04/11/2020 - 18:10 Écrit par Jacob Hornberger via The Future of Freedom Foundation,
Si les Américains ne font pas de sérieuses introspection au milieu de cette crise, ils doivent commencer. Où va l'Amérique d'ici, ce n'est pas une sorte de débat ésotérique. Ce que nous faisons à ce stade a des conséquences sur la vie ou la mort. Se tromper et souffrir plus de mort, de souffrance et d'appauvrissement. Faites les choses correctement et l'Amérique se dirige vers la vie, la santé, la liberté, la paix, la prospérité et l'harmonie.
Ce que chacun doit reconnaître, c'est qu'il fait face à un choix de systèmes et non à un choix de personnes. Restez avec les mêmes systèmes ou passez à de nouveaux systèmes. C’est le choix auquel est confronté le peuple américain.
Examinons quatre systèmes dans lesquels nous vivons actuellement et vivons depuis des décennies.
Le système économique américain
Il s'agit d'un système planifié et géré de manière centralisée et géré par le gouvernement fédéral. Son objectif principal est de «faire la guerre à la pauvreté» en prenant de l'argent de force à tous et en le redistribuant aux personnes dans le besoin, telles que les personnes âgées et les pauvres. Il est basé sur une confiscation massive des revenus et de la richesse par l'Internal Revenue Service, sous forme d'impôts sur le revenu et de charges sociales.
Le système de santé américain
Il s'agit également d'un système planifié et géré de manière centralisée et géré par le gouvernement fédéral. Il est basé sur de grandes et puissantes agences centrales de planification comme les Centers for Disease Control et la FDA, ainsi que sur des programmes socialistes massifs comme Medicare et Medicaid, qui sont tous deux responsables d'imposer une crise de santé sans fin au peuple américain composé des coûts de santé toujours croissants qui ont mis en faillite des personnes ou les ont endettées.
Le système monétaire américain
Il s'agit également d'un système planifié et géré de manière centralisée, géré par le gouvernement fédéral, en particulier la Réserve fédérale. Depuis ses débuts en 1913, son travail a consisté à imprimer des quantités toujours croissantes de papier-monnaie pour permettre au gouvernement fédéral de financer les dépenses sans cesse croissantes du mode de vie de l'État-providence.
Le système américain d'empire et d'intervention étrangère
Il s'agit également d'un système planifié et géré de manière centralisée par la branche de la sécurité nationale du gouvernement fédéral. Son travail consiste à provoquer la mort et la destruction parmi les étrangers et, ce faisant, à apporter à son armée d'entrepreneurs de «défense» bien nantis, qui sont composés d'anciens membres de l'establishment de la sécurité nationale, des quantités toujours plus importantes de largesses financées par les contribuables.
Comment fonctionnent tous ces systèmes ? La plupart, sinon la totalité, les gens conviendraient qu’ils ne fonctionnent pas bien du tout. Ensemble, ils ont soit mis en faillite des gens par le biais d'impôts ou de dettes, soit laissé des millions de personnes sans même suffisamment d'économies pour survivre à quelques mois de chômage.
Et devinez qui paie maintenant le plus gros prix de la crise des coronavirus - les personnes âgées et les pauvres. C'est parce que la FDA, dans toute sa sagesse de planification centrale, a interdit au secteur privé de produire des kits de test qui auraient, sans aucun doute, considérablement réduit le taux d'infection par les coronavirus.
Comment peuvent-ils réduire le taux d'infection s'ils ne savent pas qui a le virus, d'autant plus que les personnes infectées infectent les gens pendant environ une semaine avant de présenter des symptômes ? Un nombre considérable de kits de test bon marché aurait permis aux gens de détecter rapidement les personnes infectées, permettant à tous les autres de continuer à travailler.
Étant donné que leur système de santé dysfonctionnel n'a absolument pas réussi à endiguer la crise, ils ont recouru à la tyrannie et à l'oppression par un arrêt obligatoire de l'économie, plongeant des millions de personnes au chômage et même à la faillite.
Pour soulager la détresse financière de leur destruction des moyens de subsistance des populations, ils ont recours à leur système monétaire dysfonctionnel. La Réserve fédérale imprime maintenant de l'argent comme si elle se démodait. Quelqu'un croit-il vraiment que l'impression de milliers de milliards de dollars est un moyen de soulager la détresse économique? C’est juste une autre forme d’imposition, qui pille et pille les gens, en particulier les personnes âgées et les pauvres, par la dévaluation massive de leur argent.
Pendant ce temps, leur quatrième système dysfonctionnel fait en sorte que l'establishment de la sécurité nationale ne subisse aucune réduction budgétaire afin de lui permettre de maintenir ses mécanismes d'empire et d'intervention.
N'est-ce pas ironique ? Leurs quatre systèmes de planification et de gestion centralisées sont responsables de morts massives, de souffrances et d'appauvrissement non seulement ici au pays mais aussi à l'étranger.
Une direction différente
Si vous aimez comment tous ces systèmes dysfonctionnels ont fonctionné, fonctionnent et continueront de fonctionner dans le futur, continuez simplement à soutenir leur existence.
Mais ne vous y trompez pas: il y a un choix à faire ici parce qu'il y a quatre systèmes qui sont opposés aux quatre systèmes sous lesquels nous souffrons. Ces quatre systèmes sont les suivants:
Un système économique de libre marché
Dans ce système, tout le monde garde tout ce qu'il gagne - 100%, ce qui permet à chacun d'économiser beaucoup d'argent. Pas d'impôt sur le revenu et pas d'IRS. C'est un système basé sur une charité volontaire à 100 %. Ce fut le système économique fondateur de l'Amérique pendant plus de 100 ans. Il a produit la société la plus riche et la plus charitable de l'histoire.
Dans ce système, le secteur privé et le marché libre sont entièrement sensibles aux soins de santé. Plus besoin d'obtenir la permission des bureaucrates fédéraux pour produire des kits de test ou autre chose car le gouvernement fédéral ne jouera aucun rôle dans les soins de santé. Une séparation totale des soins de santé et de l'État, tout comme nos ancêtres avaient la sagesse de séparer l'Église et l'État. Ce fut le système de santé fondateur de l'Amérique et dura plus de 100 ans. Il a produit le meilleur système de santé de l'histoire, un système dans lequel les coûts des soins de santé étaient bon marché et abordables et dans lequel les médecins et les hôpitaux traitaient gratuitement les pauvres sur une base purement volontaire.
Un système monétaire de libre marché
Dans ce système, le marché libre détermine la devise qui sera utilisée. Plus de Réserve fédérale et plus de lois ayant cours légal. Pendant plus de 100 ans, l'Amérique a eu le meilleur système monétaire de l'histoire, basé sur des pièces d'or et des pièces d'argent. Un système monétaire de libre marché améliorerait ce concept.
Une république à gouvernement limité avec une petite force militaire de base.
Plus d'État à sécurité nationale et plus de bases militaires étrangères et d'interventionnisme étranger. Plus de sanctions, d'embargos, d'invasions, d'occupations, de guerres d'agression, de torture, d'assassinats parrainés par l'État, de surveillance secrète de masse et d'autres destructions des libertés civiles. L'Amérique a été fondée en tant que république à gouvernement limité, qui a duré plus de 100 ans.
La même vieille direction contre une nouvelle direction
Alors voilà: quatre systèmes complètement différents parmi lesquels choisir. Les Américains devraient choisir judicieusement. Votre vie, votre santé et votre bien-être financier ainsi que ceux de vos proches, amis et voisins en dépendent.
"Papiers s'il vous plaît !" Fauci approuve l'idée de la «carte d'immunité COVID» de Gates «a du mérite»
par Tyler Durden Sam, 04/11/2020 - 17:45
Les discussions sur les cartes d'immunité COVID ont certainement été un sujet brûlant ces dernières semaines de hauts responsables occidentaux. Cela pourrait être le moyen de rouvrir des économies en panne vues à travers l'Europe et les États-Unis.
Le Dr Anthony Fauci, le plus grand expert américain des maladies infectieuses, a déclaré à l'animatrice de CNN "New Day" Alisyn Camerota que les gens pourraient bientôt porter des "cartes" prouvant leur immunité au COVID-19.
"Pouvez-vous imaginer une époque où les Américains portent des certificats d'immunité ?" Camerota a demandé à Fauci lors d'une interview vendredi.
"Vous savez, c'est possible", a répondu Fauci.
"C'est une de ces choses dont nous parlons lorsque nous voulons nous assurer que nous savons qui sont les personnes vulnérables et non."
Il a poursuivi: "C'est quelque chose qui fait l'objet de discussions. Je pense que cela pourrait avoir un certain mérite, dans certaines circonstances."
Le déploiement des cartes d'immunité dépendrait du succès des tests d'anticorps, qui pourraient être dévoilés en avril:
"Si leur test d'anticorps est positif, on peut formuler des stratégies pour savoir s'ils seraient à risque ou vulnérables à une réinfection", a déclaré Fauci.
Nous avons noté que la proposition de cartes d'immunité est apparue pour la première fois en Europe, l'Allemagne, l'Italie et le Royaume-Uni appelant tous à une forme de documentation permettant aux personnes immunisées contre la maladie de voyager librement. Imaginez entrer dans un aéroport, et un fonctionnaire dit: "papiers s'il vous plaît!" - tout en faisant référence à un passeport, vous pourriez également avoir besoin de votre carte d'immunité COVID.
Il y a quelques semaines, le président de la Chambre des démocrates, Mike Stewart, a évoqué ces passeports de santé spécialisés. La semaine dernière, le sénateur Bill Cassidy a présenté la création d'un registre en ligne qui aiderait à identifier les tests positifs et négatifs.
Et pour plus de confirmation que les passeports d'immunité vont être la prochaine grande chose dans le monde occidental, ou peut-être à travers le monde. Voici Bill Gates le 24 mars, donnant une interview de 50 minutes à Chris Anderson, le conservateur de TED, l'organisation à but non lucratif qui dirige les TED Talks.
- voir clip sur site -
À 34:14, Gates a discuté de la façon dont l'avenir dans un monde post-corona serait. Il a dit:
Finalement, nous devrons avoir des certificats indiquant qui est une personne récupérée, qui est une personne vaccinée ...
... Parce que vous ne voulez pas que les gens se déplacent dans le monde où vous aurez des pays qui ne le contrôleront pas, malheureusement.
Nous avons noté que les laissez-passer d'immunité et les «verrouillages intermittents» pourraient devenir une réalité dans les mois ou les trimestres à venir et durer un certain temps - comme les virologues de JPMorgan pensent que le virus pourrait se déployer en plusieurs vagues, comme lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918.
- voir graphique sur site -
"Ici, JPM pense que les prochaines vagues pourraient être à une amplitude plus petite avec un potentiel de taux de mortalité inférieur à la première vague actuelle. Cela est dû à (1) une forte sensibilisation aux risques chez les parties prenantes; (2) un potentiel de réponse plus rapide du gouvernement au niveau du basculement de l'infection". point; et (3) manuel de risque amélioré à l'étape de confinement. Cependant, même une amplitude considérablement réduite de la vague 2 (et 3 et 4), suggèrent que les arrêts économiques en cours seront une caractéristique récurrente de la vie pendant des trimestres, voire des années! " nous avons dit la semaine dernière.
- voir graphique sur site -
Et comme l'a dit Gates: "Donc, finalement, il y aura cette preuve d'immunité numérique qui aidera à faciliter la réouverture mondiale." Il semble que Fauci et Gates soient sur la même page.
Dans un monde post-corona, l'état de surveillance prospérera à mesure que vos libertés s'éroderont. Big Brother vous surveille et le nouveau moyen de contrôle passe par les cartes d'immunité.
Sous la pression de la juge, la compagne d'Assange révèle son identité et celle de leurs enfants
12 avr. 2020, 15:57
La vie d'Assange ressemble à un film d'espionnage. Et si un élément manquait pour compléter l'intrigue, le voici : après cinq ans de secret absolu, une avocate du lanceur d'alerte révèle être sa compagne et avoir eu deux enfants de lui. C'était un secret bien gardé. Pour rester à l'abri des regards et des tractations politiques, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange et sa compagne avaient fait le nécessaire pour protéger hermétiquement leur intimité et l'existence même de leur relation et celle de leurs enfants.
L'identité de la femme et de leur progéniture était donc demeurée secrète jusqu'au 11 avril, date à laquelle, contrainte par les événements, Stella Morris a décidé de se dévoiler au grand jour. Dans une vidéo publiée à la fois sur le Daily Mail et le compte YouTube du comité de soutien du lanceur d'alerte, elle raconte leur relation alors qu'elle était déjà membre de son équipe juridique en 2011, comment ils sont tombés amoureux en 2015, et comment ils ont conçu leurs enfants à l'intérieur de l'ambassade d'Equateur à Londres, où Julian Assange a vécu en exil de juin 2012 au 11 avril 2019, date à laquelle il a été arrêté et placé en détention provisoire à la prison de haute sécurité de Belmarsh.
La juge […] Vanessa Baraitser a menacé de révéler le nom de la fiancée de mon fils et de leurs deux enfants la semaine prochaine. Il n'y avait pas de bonne raison à cela, sinon de continuer à intimider Julian pour essayer de le briser. Alors, Stella a été obligée de parler en premier La juge Baraitser voulait révéler son identité Cette révélation intervient quatre jours après que la juge britannique Vanessa Baraitser a émis l'hypothèse de lever la restriction sur la divulgation publique de l'identité de la compagne d'Assange, avant de reporter cette révélation d'une semaine suite aux vives protestations des avocats de la défense.
Une éventualité dénoncée par Christine Assange, la mère du lanceur d'alerte, comme s'apparentant à une «menace». «La juge […] Vanessa Baraitser a menacé de révéler le nom de la fiancée de mon fils et de leurs deux enfants la semaine prochaine. Il n'y avait pas de bonne raison à cela, sinon de continuer à intimider Julian pour essayer de le briser. Alors, Stella a été obligée de parler en premier», a écrit Christine Assange sur son compte Twitter.
Dans ces révélations, le public apprend que Julian Assange a secrètement engendré deux fils alors qu'il se trouvait réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres, où il bénéficiait de l'asile politique. Gabriel, âgé de deux ans, et son frère d'un an Max, ont donc été conçus pendant que leur père se cachait dans la représentation diplomatique pour éviter l'extradition vers les Etats-Unis, où il est poursuivi. «Un acte de rébellion» Stella Morris fait partie des avocats du lanceur d'alerte. A l'époque où elle l'a rencontré, il était recherché par la Suède pour une accusation de viol. Ces poursuites sont aujourd'hui abandonnées.
Sud-africaine âgée de 37 ans, Stella Morris parle couramment le suédois et l'espagnol, des compétences cruciales pour le lanceur d'alerte. À l'époque, elle participait donc activement à sa défense et se rendait tous les jours à l'ambassade pour travailler avec lui. Elle raconte que leur relation intime a commencé en 2015 et qu'ils sont fiancés depuis 2017. Julian m'a farouchement protégée et a fait de son mieux pour me préserver des cauchemars de sa vie Malgré la surveillance permanente des autorités britanniques, voire de la CIA, le couple a réussi à garder secrètes leur relation et la naissance de leurs enfants.
Julian Assange aurait même pu assister à la naissance de ses deux enfants dans des hôpitaux de Londres via une liaison vidéo en direct. Les deux garçons, citoyens britanniques, ont rendu visite à leur père à l'ambassade et en prison.
«Au cours des cinq dernières années, j'ai découvert que l'amour rend les circonstances les plus intolérables supportables», confie Stella Morris tout en assurant que «Julian [l]'a farouchement protégée et a fait de son mieux pour [la] préserver des cauchemars de sa vie». Elle explique à cet égard avoir vécu tranquillement jusque-là, élevant ses enfants et aspirant au jour où ils pourraient être réunis. Dans les guerres, les gens peuvent tomber amoureux malgré tout.
Être amoureux, se fiancer, avoir des enfants pendant qu'il était à l'ambassade, c'était un acte de rébellion Le couple aurait même envisagé de se marier à l'intérieur de l'ambassade. «Nous voulions une famille […] Nous en avons parlé à plusieurs reprises, puis Julian m'a dit : "les gens prennent des décisions difficiles dans des situations difficiles et nous réussirons"», raconte Stella Morris. «C'était comme être dans une zone de guerre. Dans les guerres, les gens peuvent tomber amoureux malgré tout. Être amoureux, se fiancer, avoir des enfants pendant qu'il était à l'ambassade, c'était un acte de rébellion», explique-t-elle.
Un espion aurait voulu accéder à une couche-culotte de l'enfant pour obtenir son ADN Dans son récit vidéo, Stella Morris raconte également comment elle a tout fait pour que les agences de surveillance ne découvrent pas sa grossesse. De même, elle explique qu'une fois leur premier enfant né, pour l'emmener voir son père, elle était accompagnée d'un ami qui entrait toujours avant ou après elle dans l'ambassade en faisant passer l'enfant pour le sien.
Il est difficile d'en parler sans que cela ne sonne comme si c'était un complot fou, mais c'est la réalité du monde de Julian Stella Morris rapporte à cet égard une anecdote digne d'un film d'espionnage : en janvier 2018, un gardien travaillant pour la société de sécurité espagnole en charge de l'ambassade l'aurait avertie d'un plan visant à voler l'une des couches de Gabriel pour accéder à son ADN. «Par dégoût, il a décidé de me dire ce qu'on lui avait demandé de faire», explique la compagne de Julian Assange. «On lui avait demandé de me suivre et de voler la couche de notre bébé pour qu'ils puissent analyser l'ADN […] J'en ai eu des nausées.
Je savais qu'il y avait de l'espionnage, mais cela semblait impitoyable, comme s'il n'y avait pas de limite», confie-t-elle. «Ce n'était pas seulement une invasion de la vie privée de Gabriel ; cela m'a fait penser qu'il n'était pas en sécurité», ajoute la mère. «Il est difficile d'en parler sans que cela ne sonne comme si c'était un complot fou, mais c'est la réalité du monde de Julian», assure-t-elle. Malgré ses inquiétudes, le couple a décidé d'avoir un second enfant. Mais durant cette grossesse en 2017, un nouveau gouvernement équatorien est arrivé au pouvoir, le nouveau président du pays, Lenin Moreno, devenant assez rapidement hostile à Julian Assange, interdisant les visiteurs dans l'ambassade et restreignant son téléphone et l'accès à internet.
Stella Morris n'a pas pu voir son compagnon de novembre 2018 jusqu'à la naissance de Max en février 2019. Arrêté en avril 2019, Julian Assange n'a rencontré son second fils qu'en mai, selon le récit de Stella Morris, lorsque celle-ci a été autorisée à s'introduire dans la prison de Belmarsh avec les deux garçons. Au même moment, rapporte le Daily Mail, les images de la naissance de Max avaient été saisies par les Etats-Unis, ainsi que les documents juridiques de Julian Assange, à l'intérieur de l'ambassade d'Equateur.
Menacé par le coronavirus Aujourd'hui, Stella Morris et ses enfants ne peuvent plus rendre visite à Julian Assange en prison en raison des mesures prises face à l'épidémie de coronavirus. Sa compagne dit craindre que la santé d'Assange ne soit sérieusement menacée s'il demeure à Belmarsh, où un détenu serait déjà décédé de Covid-19. La juge Baraitser ayant refusé la libération sous caution de Julian Assange, Stella Morris plaide pour que son fiancé soit libéré dans le cadre des plans du gouvernement visant à relâcher des milliers de prisonniers pour endiguer la propagation du virus dans les prisons britanniques.
Cependant, les autorités ont fait savoir à l'agence de presse Australian Associated Press (AAP), le 4 avril, que le fondateur de WikiLeaks n'était pas éligible pour bénéficier du plan, car il ne purge pas à proprement parler «une peine de prison», étant en détention préventive. Stella Morris affirme pourtant que Julian Assange est doublement vulnérable, car il souffre d'une maladie pulmonaire chronique exacerbée par ses années de confinement à l'ambassade, ainsi que de problèmes de santé mentale qui s'aggravent avec l'isolement.
«La mauvaise santé physique de Julian le met en danger, comme beaucoup d'autres personnes vulnérables. Et je ne pense pas qu'il survivra à une infection par le coronavirus», s'alarme-t-elle, visiblement très émue. «Mentalement, je ne pense pas non plus qu'il survivra à un isolement forcé», ajoute-t-elle. «Il est actuellement en isolement cellulaire 23 heures et demie par jour, sans accès à nous, à sa famille ou à l'aide psychiatrique dont il a besoin», rapporte Stella Morris. Lire aussi Assange : manifestation virtuelle un an après l'incarcération du lanceur d'alerte à Belmarsh Acculée par la pression exercée par la juge, Stella Morris a également choisi la date du 11 avril pour révéler son identité, car elle marque l'anniversaire de la première année de détention de Julian Assange à Belmarsh, et qu'elle se dit «terrifiée de ne pas le revoir vivant».
«Pendant longtemps, j'ai craint de perdre Julian par suicide s'il n'y avait aucun moyen de mettre fin à son extradition vers les Etats-Unis. Je crains maintenant de le perdre plus tôt, à cause du virus», alerte sa compagne. «Julian n'a pas voix au chapitre pour le moment, mais moi oui», fait-elle enfin valoir pour expliquer sa prise de parole. Le fondateur de WikiLeaks se trouve actuellement en détention préventive en attendant l'issue de son procès d'extradition vers les Etats-Unis. Si cette demande de Washington devait aboutir, Julian Assange risquerait 175 ans de prison. Il est poursuivi en vertu des lois anti-espionnage de 1917 et pour piratage informatique, pour avoir diffusé à partir de 2010 plus de 700 000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, dont des crimes de guerre, notamment en Irak et en Afghanistan.
Face à la pandémie, des présidents de département PS plaident pour un «revenu de base» universel
12 avr. 2020, 13:22 -
Dans une tribune publiée par le Journal du Dimanche, 19 présidents de département socialistes proposent, en cette période de crise sanitaire aux lourdes conséquences sociales, de «lutter contre la pauvreté» en instaurant un revenu universel. 19 présidents Parti socialiste (PS) de département prônent l'instauration d'un «revenu de base» universel, présenté comme un outil pragmatique pour lutter contre la pauvreté dans le contexte de l'épidémie de coronavirus. Lire aussi Face à la pandémie, le gouvernement espagnol souhaite mettre en place un revenu universel «Alors que la crise sanitaire du Covid-19 évolue chaque jour un peu plus en une crise économique mondiale, poussant nos systèmes de solidarité dans leurs retranchements, le revenu de base apparaît [...] comme une solution pour amortir le choc social qui risque de faire basculer nombre de nos concitoyens dans la précarité», écrivent-ils dans une tribune publiée par le site du Journal du Dimanche le 11 avril.
L'allocation qu'ils appellent de leurs vœux serait «sans contrepartie mais avec un accompagnement renforcé, automatique pour résoudre le problème du non recours aux droits, ouvert dès 18 ans pour lutter contre la précarité des plus jeunes, dégressif en fonction des revenus d’activité et d’un montant égal au seuil de pauvreté.» «Comme l’a justement dit le président de la République le 12 mars dernier», soulignent-ils encore les élus socialistes, «des décisions de rupture sont aujourd’hui nécessaires.
Cette solution solidaire changera le référentiel des solidarités humaines pour redonner aux Françaises et aux Français confiance en un système créé pour leur apporter, à la fois, la sécurité de l’existence et les outils de leur autonomie.» Le Fonds monétaire international (FMI) compare les effets économiques attendus de la pandémie à ceux de la Grande Dépression de 1929. En France, où le quart des salariés du privé est déjà au chômage partiel, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire anticipe pour l'heure un recul du PIB de 6% en 2020.
Les 19 signataires de la tribune sont : Sophie Borderie (Lot-et-Garonne), Denis Bouad (Gard), Jean-Luc Chenut (Ille-et-Vilaine), Xavier Fortinon (Landes), Jean-Luc Gleyze (Gironde), Philippe Grosvalet (Loire-Atlantique), Mathieu Klein (Meurthe-et-Moselle), Alain Lassus (Nièvre), Philippe Martin (Gers), René Massette (Alpes-de-Haute-Provence), Georges Méric (Haute-Garonne), Kléber Mesquida (Hérault), Henri Nayrou (Ariège), Germinal Peiro (Dordogne), Serge Rigal (Lot), Nathalie Sarrabezolles (Finistère), Stéphane Troussel (Seine-Saint-Denis), Laurent Ughetto (Ardèche) et André Viola (Aude).
Un arrêté municipal sur le port du masque obligatoire retoqué
17:24 12.04.2020
Le préfet de l'Hérault a cassé l’arrêté d’un maire qui voulait rendre le port du masque obligatoire sur sa commune. La position de la préfecture rejoint celle du gouvernement sur le sujet.
Le maire de Vias, près de Béziers, s’est vu désavoué par son préfet, alors qu’il souhaitait rendre obligatoire le port du masque sur sa commune, rapporte un communiqué de la préfecture de l’Hérault, ce samedi 11 avril.
Le maire Jordan Dartier avait en effet pris un arrêté en ce sens, préconisant le port du masque, «pour l’ensemble des personnes se déplaçant dans l’espace public situé sur sa commune». L’arrêté prévoyait également des verbalisations pour les contrevenants.
Dans une vidéo diffusée le 10 avril, le maire précisait prendre cette décision après avoir constaté que certains ne respectaient pas les mesures de confinement dans sa commune. À défaut de masques chirurgicaux ou FFP2, il encourageait l’emploi d’une «protection réalisée par d’autres procédés, type foulard, châle, à condition que ceux-ci couvrent le nez et la bouche».
Un arrêté jugé illégal
Le maire a finalement été obligé de retirer son arrêté, jugé «illégal» par la préfecture. Cette dernière indique dans son communiqué que le port d’un masque «doit être utilisé sous certaines conditions de bon usage, et ne peut être imposé».
«Cela part d'un bon sentiment. Mais le port obligatoire du masque n'est pas à l'ordre du jour actuellement», expliquent les autorités préfectorales à France 3 Occitanie.
Le 9 avril, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait déjà affirmé au micro de France Info que la généralisation du port du masque devait faire l’objet d’«un consensus scientifique».
(...) À défaut de masques chirurgicaux ou FFP2, il encourageait l’emploi d’une «protection réalisée par d’autres procédés, type foulard, châle, à condition que ceux-ci couvrent le nez et la bouche». (...)
foulard, châle etc NE SERVENT A RIEN ! Un microbe n'est PAS un moucheron ou une poussière !
(...) Le maire a finalement été obligé de retirer son arrêté, jugé «illégal» par la préfecture. Cette dernière indique dans son communiqué que le port d’un masque «doit être utilisé sous certaines conditions de bon usage, et ne peut être imposé».
«Cela part d'un bon sentiment. Mais le port obligatoire du masque n'est pas à l'ordre du jour actuellement», expliquent les autorités préfectorales à France 3 Occitanie. (...)
Mais le port obligatoire du masque n'est pas à l'ordre du jour actuellement» !! Si TOUT LE MONDE PORTAIT UN MASQUE FF P2 ou FF P3, LE CONFINEMENT SERAIT INUTILE !
(...) Le 9 avril, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait déjà affirmé au micro de France Info que la généralisation du port du masque devait faire l’objet d’«un consensus scientifique». (...)
Si TOUT LE MONDE PORTAIT UN MASQUE FF P2 ou FF P3, LE CONFINEMENT SERAIT INUTILE ! Il n'y a PAS de 'consensus scientifique' là-dedans !
L'OPEP+ trouve un accord «historique» sur une baisse mondiale de la production de pétrole
23:05 12.04.2020
Les producteurs de pétrole de l’OPEP+ sont parvenus à un accord «historique» qui implique notamment une réduction de la production mondiale de pétrole de près de 10 millions de barils par jour à partir du 1er mai.
Une baisse de l’offre pétrolière mondiale de près de 10 millions de barils par jour a été décidée par les pays de l’OPEP+, a écrit sur Twitter le ministre koweïtien du Pétrole, de l'Électricité et de l'Eau Essam Abdul Mohsen Al-Marzouq. Elle sera mise en place à partir du 1er mai. Le ministre a fait cette annonce suite à une vidéoconférence tenue par les représentants des pays ce dimanche 12 avril.
«Nous annonçons un accord historique visant à réduire la production de pétrole des membres de l'OPEP+ d'environ 10 millions de barils par jour à partir du 1er mai 2020», a-t-il écrit. Le ministère iranien du Pétrole a par la suite précisé que les membres du groupe avaient convenu de réduire de 9,7 millions de barils par jour la production de pétrole en mai et en juin.
Les pays de l'OPEP+ réduiront leur production de huit millions de barils par jour au deuxième semestre de 2020, selon le ministre iranien du Pétrole Bijan Zanganeh.
«En mai et juin, la réduction sera d'environ 10 millions de barils par jour. Au cours des six prochains mois, c'est-à-dire jusqu'à la fin de l'année, huit millions de barils. Pendant les 16 mois suivants, jusqu'en avril 2022, six millions de barils par jour», indique l'agence iranienne Shana.
Au total, le groupe espère que la production diminuera de 19 millions de barils par jour à partir de début mai. Cela tient compte d'autres producteurs de pétrole, dont les États-Unis, le Canada et la Norvège, a détaillé une source à Sputnik.
Le ministre russe de l'Énergie fait la lumière sur les conditions de l'accord pour Moscou
Dans le cadre du nouvel accord, la Russie baissera en mai et juin son volume d'extraction de pétrole de 2,5 millions de barils par jour, sur les 9,7 mentionnés, a déclaré le ministre de l'Énergie Alexandre Novak.
Et d'ajouter que pour base la Russie avait accepté un volume de 11 millions de barils par jour.
Le Mexique participe
Le Mexique, qui avait auparavant empêché l'OPEP+ de conclure un accord, a confirmé sa participation à l’entente.
Comme annoncé plus tôt, le pays réduirait sa production de 100.000 barils et les États-Unis prendraient une partie des engagements mexicains et réduiraient leur production de 300.000 barils.
Toutefois, il n'est pas clair pour l’heure de savoir comment se poursuivra la réduction de la production du Mexique après juin.
Chute brutale des prix du pétrole
Au cours du mois de mars, les cours de l'or noir ont flanché, descendant à leurs plus bas de ces 17 à 18 dernières années.
Cette chute est partiellement due au coronavirus qui n’est pas resté sans effet sur la demande sur les hydrocarbures. L’absence d’un consensus parmi les membres de l’OPEP+ a également ébranlé le marché, l’Arabie saoudite a rejeté la proposition de Moscou de maintenir les volumes actuels d’extraction, insistant sur une baisse.
En l’absence d’accord, Riyad a au contraire dopé sa production et a annoncé une baisse des prix ce qui a fait s’effondrer les cours.
Le prix du baril (divisé par 3 depuis Janvier) au plus bas mais, les prix à la pompe n'ont guère changé ! De plus, aucune livraison de mazout faute de chauffeur !
Arrêt de COVID-19: la fin de la mondialisation et de l'obsolescence planifiée - Entrez dans la multipolarité
par Tyler Durden Dim, 04/12/2020 - 23:50 Écrit par Joaquin Flores via The Strategic Culture Foundation,
La pandémie de coronavirus a montré que les deux processus de mondialisation et d'obsolescence programmée sont déficients et moribonds. La mondialisation était fondée sur un certain nombre d'hypothèses, y compris la perpétuité du consumérisme et le dépérissement des frontières nationales en tant que sociétés transnationales si nécessaire.
Ce que nous voyons à la place n'est pas un processus de mondialisation, mais plutôt un processus de multipolarité croissante et de repenser le consumérisme lui-même.
Normalement, un effondrement total du marché et une crise du chômage inaugureraient une période d'activité militante, de grèves, de départs et de campagnes de travail communautaire. Nous en avons déjà vu une partie. Mais «l'état d'urgence médicale» dans lequel nous nous trouvons a effectivement fonctionné comme un «lock-out». Les élites ont effectivement inversé le script. Au lieu que les travailleurs demandent maintenant une restauration des salaires, des heures et des droits sur le lieu de travail, ils réclament toute chance de travailler, quelles que soient les conditions imposées. Les élites peuvent «se permettre» de le faire parce qu’elles ont reçu des milliards de dollars pour le faire. Voyez comment cela fonctionne?
Toute notre vie, nous avons été mal informés sur ce que signifie une économie en croissance, à quoi elle ressemble, comment nous l’identifions. Toute notre vie, on nous a menti sur ce que signifie littéralement amélioration technique.
Une économie en croissance signifie en fait que tous les biens et services deviennent moins chers. Cela réduit l'inflation. Au contraire, tous les prix devraient être dégonflés - moins d'argent devrait acheter le même (ou le même argent devrait acheter plus). L'innovation technique signifie que les biens devraient durer plus longtemps, ne pas être planifiés pour une obsolescence avec des durées de vie plus courtes.
Le chômage est bon s'il est parallèle à la déflation des prix. Si les deux atteignaient un point zéro, les problèmes que nous pensons avoir seraient résolus.
Dans un article révélateur du 2 avril publié sur le site Web de la BBC, le coronavirus inversera-t-il la mondialisation? il est proposé que la pandémie expose les faiblesses et les vulnérabilités d’une chaîne d’approvisionnement mondiale et d’un système de fabrication, et que, combinée à la guerre commerciale globale entre les États-Unis et la Chine, la tendance générale soit à la «redéfinition» des activités. Ce sont des points justes.
Mais l'article passe à côté du problème sous-jacent auquel est confrontée l'économie en général: la baisse du taux de profit rendue nécessaire par l'automatisation, les politiques de plus en plus irrationnelles, dans tous les domaines, étant poursuivies pour sauver les finalement irrécupérables.
La roue karmique de la production-consommation
Les arrêts - qui semblent inutiles chez les nombreux experts de virologie et d'épidémiologie largement reconnus - semblent viser à stopper le cycle production-consommation. Lorsque nous examinons la création gratuite de nouvelle «monnaie» pour renflouer les banques, on nous dit que cela ne provoquera pas d'inflation / d'avilissement tant que la vitesse de la monnaie sera maintenue au minimum. En d'autres termes - tant qu'il n'y a pas de réaction en chaîne des transactions et que l'argent «reste immobile» - cela ne provoquera pas d'inflation. C’est une affirmation spécieuse, mais qui justifie la politique de quarantaine / verrouillage qui détruit aujourd’hui chaque jour des milliers de petites entreprises. Aux États-Unis seulement, les demandes de chômage dépasseront les 30 millions d'ici la mi-avril.
De même, cet argent semble réel, il se présente numériquement comme une nouvelle liquidité sur les écrans d'ordinateur des banques transatlantiques - mais il ne peut pas être dépensé, ou il met le système en hyper-inflation. Plus précisément, la pièce de la BBC continue à tort d'assumer la nécessité du cycle de production-consommation, transformant le blé en or pour toujours.
Les élites n'ont pas eu tort d'arrêter le cycle en soi. Le problème est qu'ils ne peuvent pas offrir le bon matériel à sa place - car cela met fin à la façon même dont ils font de l'argent. C'est cela, qui à son tour est une source majeure pour le maintien de leur équilibre en dopamine et leur approvisionnement en narcissiques.
Ce n’est pas un problème économique auquel sont confrontés «les 1%» (les 0,03%). C'est une crise existentielle confrontée au sens de leur vie, où la satisfaction ne peut se trouver que dans des niveaux toujours plus élevés de richesse et de contrôle, réels ou imaginaires - à la poursuite de ce dragon, à la recherche de ce haut toujours insaisissable.
Alors naturellement, leurs solutions sont la réduction de la population et d'autres plans néo-malthusiens quasi génocidaires. La destruction de l'humanité - la première force potentielle productive - réinitialise les mains du temps, à une époque où les niveaux de profit étaient plus élevés. La campagne Instagram sur le coronavirus, favorisée par l'algorithme, consistant à voir les centres-villes sans personnes et à déclarer ces «beaux» et «pacifiques» est un exemple de ce principe misanthropique en jeu.
Le fait que les élites aient choisi de fermer l'économie occidentale est révélateur d'un point historique que nous avons atteint. Et bien que l'on nous dise que la production et la consommation reviendront quelque peu «après la quarantaine», nous entendons également des tsars non élus nouvellement apparus - Bill Gates et al - que les choses ne reviendront jamais à la normale.
Ce qu’il nous faut pour terminer, c’est toute la théorie et la pratique de la mondialisation elle-même, y compris l’Agenda 21 des Nations Unies et le rôle dangereux des philanthropes qui parlent de livres comme Gates et son degré de pouvoir extrêmement déséquilibré sur la formation des politiques dans la sphère occidentale.
Au lieu d'un déclin de la mondialisation, nous constatons la réalité de la montée de la multipolarité et de l'internationalisme. Avec cela, la fin du cycle production-consommation, basée sur la production off-shore et l'assemblage international, et à l'origine de tout: obsolescence programmée vers la rentabilité à long terme.
Le problème de la théorie de la mondialisation
Sans aucun doute, la théorie de la mondialisation satisfait des aspects du pouvoir descriptif. Mais à mesure que le temps avançait, son pouvoir prédictif s'affaiblissait. D'autres théories ont commencé à émerger - la principale étant la théorie de la multipolarité.
La promotion de la théorie de la mondialisation pose également des problèmes éthiques. Comme un criminologue «décrivant» une vague de criminalité tout en étant investi dans la construction de nouvelles prisons, la théorie de la mondialisation était autant une théorie qu'une politique imposée au monde par les mêmes institutions derrière sa popularisation dans le monde universitaire et dans l'élaboration des politiques. Il ne faut donc pas s'étonner de la montée de solutions comme celles de Gates. Celles-ci impliquent des «vaccins» brevetables par des entreprises à but lucratif au détriment du renforcement des immunités humaines naturelles, ou de l'utilisation de médicaments que d'autres pays utilisent avec efficacité.
La vérité ? La mondialisation n'est en réalité qu'une nouvelle image du Consensus de Washington - des groupes de réflexion néolibéraux et la domination éternelle présumée d'institutions comme la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, qui à leur tour sont des conglomérats à peine déguisés des plus grandes institutions bancaires transatlantiques.
Ainsi, alors que la mondialisation a souvent reçu un vernis humaniste qui promettait le développement mondial, la modernisation, la fin des «États-nations» qui sont vraisemblablement la source de la guerre; en réalité, la mondialisation était fondée sur la concentration continue et croissante du capital vers les zones du XIXe siècle - New York, Londres, Berlin et Paris.
L’internationalisme était autrefois enraciné dans l’existence de nations qui, à leur tour, ne sont possibles que grâce à l’existence de cultures et de peuples, mais ont été détournés par le projet transatlantique. En peu de temps, les «internationalistes» de la nouvelle gauche sont devenus les champions du même processus impérialiste auquel leurs ancêtres se sont opposés avec véhémence. Appelez cela la «mondialisation» et montrez comment elle détruit le «nationalisme toxique» et crée des «solutions de microfinance pour les femmes et les filles» - au large de Malala - et elle a été achetée; crochet, ligne et plomb.
Ce n’était pas la nouvelle ère de la «mondialisation», mais plutôt les suspects habituels remontant au 19e siècle; un changement de marque «de bien-être» du même impérialisme du 19e siècle tel que décrit dans le travail fondateur de J.A Hobson de 1902, Imperialism. Son «inévitabilité» revendiquée ne reposait pas sur l'impossibilité de modèles alternatifs, mais sur l'autorité qui découle de la diplomatie des canonnières. Mais la puissance maritime a cédé la place à la puissance terrestre.
À bien des égards, il correspondait à l'ère de la décolonisation et du post-colonialisme. Les nouvelles nations pourraient brandir leurs propres drapeaux et faire leurs propres lois, tant que les institutions bancaires occidentales traditionnellement impérialistes contrôleraient la masse monétaire.
Mais ce qui émerge n'est pas la «mondialisation» du Consensus de Washington, mais un modèle multipolaire basé sur la souveraineté et la différence civilisationnelles, construisant des produits pour durer - pour leur utilité et non pour leur potentiel de vente au détail reproductible. Cela va à l'encontre des affirmations selon lesquelles l'homogénéisation mondiale dans tous les domaines (moral, culturel, économique, politique, etc.) était inévitable, en raison de la spécialisation mercantile.
Par conséquent, l'internationalisme, coupé comme tel, nous rappelle que les nations - civilisations, souveraineté et leurs différences - nous rendent plus forts en tant qu'espèce humaine. Comme contre les virus, certains ont une immunité naturelle plus forte que d'autres. Si les gens étaient identiques, un virus pourrait anéantir toute l'humanité.
De même, une économie mondiale trop intégrée entraîne une fusion et une dépression mondiales lorsqu'un nœud s'effondre. Plutôt que des piliers indépendants qui pourraient s'aider mutuellement, l'interdépendance est sa plus grande faiblesse.
Cette nouvelle réalité - la multipolarité - implique des processus que certains aspects de la théorie de la mondialisation suggèrent et prévoient également, il y a donc des raisons honnêtes pour lesquelles les experts pourraient mal diagnostiquer la multipolarité comme la mondialisation. On a négligé le fait que la concentration de nœuds de capitaux dans des régions diverses et globalement diversifiées par continent n'était pas exclusivement des régions transatlantiques comme dans le modèle de mondialisation standard des villes Alpha ++ ou Alpha +. Cette concentration de capital le long des lignes continentales se produisait parallèlement au développement économique régional et à l'élévation du niveau de vie qui tendaient à promouvoir l'efficacité des transports locaux par opposition aux voyages en mer dans le processus de production. Étant donné que les nœuds régionaux par continent avaient de plus en plus diversifié leur propre production nationale, une tendance générale à l'augmentation des coûts de transport à mesure que l'utilisation individuelle par habitant augmentait, nuisait à la viabilité d'une dépendance excessive à l'égard des lignes de transit mondiales.
Mais parmi les nombreux problèmes de la théorie de la mondialisation, il y avait le fait que les États-Unis seraient toujours le premier consommateur des biens du monde et, avec lui, le secteur financier transatlantique. Elle dépendait également de l'idée que les conceptions mercantilistes de la spécialisation (par nation ou par région) l'emporteraient toujours sur les modèles autarciques et l'ISI (industrialisation par substitution de revenu). Encore une fois, si les bases de consommation de la classe moyenne augmentent sur tous les continents habités du monde comme l'explique et le prédit la multipolarité, alors un régime de production mondial rationalisé vers une base de consommateurs transatlantique comme le prédit la théorie de la mondialisation n'est pas tout à fait aussi approprié.
Parce que le système actuel repose sur un modèle de production-consommation et financier, les solutions aux crises sont présentées comme une réduction de la population et ce qui apparaît même, du moins dans le cas de l'Europe, comme un remplacement de la population. Aussi cliché que cela puisse paraître, cela semblait également être la politique du Troisième Reich lorsque le capitalisme a fait face à ses dernières crises majeures qui ont abouti à la Seconde Guerre mondiale.
Briser la roue
L'arrêt révèle que la roue karmique de la production-consommation est en vérité déjà brisée. Nous avons déjà dépassé le point culminant de ce que l'ancien paradigme avait à offrir, et il est depuis longtemps entré dans une période de décadence, de destruction économique et morale.
Comme le Christ qui produit une nouvelle alliance ou le Bouddha qui émerge pour briser la roue du karma, le nouveau monde à construire sur les ruines de la modernité est un monde qui libère les forces productives, réalisant leur plein potentiel, et avec lui le libération de l'homme de la machine du cycle production-consommation.
L'obsolescence planifiée et le consumérisme (marketing) sont les deux maux qui ont œuvré en faveur de l'esclavage simultané de la vie au travail et ont construit une mondialisation fondée sur l'assemblage mondial et la monoculture mondiale.
Ce qui est important pour les gens et leur qualité de vie, c'est le temps de vivre, de ne pas être coincé dans la routine. Nous entendons des politiciens et des économistes parler de «tout le monde a un emploi», comme si ce que les gens voulaient, c'était être loin de leurs familles, amis, passions ou passe-temps. De plus - les gens ne peuvent pas inventer, innover ou aborder les grandes questions de la vie et de la mort - si leur nez est à la meule.
Maintenant que nous vivons sous un système de contrôle manifeste, un «état d’urgence médicale» avec une économie gelée, nous pouvons voir qu’un autre monde est possible. La vérité est que la plupart des choses qui sont produites sont intentionnellement faites pour se casser à un moment précis, de sorte qu'un rachat est prévisible et les bénéfices sont garantis. Cela oblige les chaînes d'approvisionnement mondiales et justifie les accidents provoqués artificiellement visant une redistribution à la hausse et des expropriations massives.
Au lieu de permettre à Bill Gates de faire le tour du monde pour vanter un plan de réduction de la population cum de l'État policier juste après qu'une pandémie mondiale de virus ait frappé, dont beaucoup pensent qu'il détient le brevet, nous pouvons plutôt aborder les problèmes de multipolarité, de souveraineté civilisationnelle et mettre fin à l'obsolescence planifiée et à la chaîne d'approvisionnement mondiale, ainsi que la délocalisation qu'elle nécessite - ce que la BBC note à juste titre, est de toute façon en question.
"Les lampes s'éteignent dans toute l'Europe, nous ne les verrons plus s'allumer de notre vivant." —Whi conspirateur Edward Gray
Je n'écris pas ces mots pour mes contemporains. Nous sommes les damnés. Il nous appartient maintenant de regarder l'extinction de la lampe de la liberté, notre fardeau de témoigner du scintillement final de la flamme de la liberté.
Non, je n’écris pas ces mots pour mes pairs; Je les écris pour ceux à venir. Les habitants de cette future dystopie dont nous vivons la douleur. Le reste d'une humanité autrefois libre qui pourrait - par un miracle que je ne peux même pas imaginer - tomber sur ce message électronique dans une bouteille.
Je sais que c'est presque sans espoir. Que les chances que ces mots survivent à la purge Internet à venir sont au mieux minces. Que même si, contre toute attente, ce message échoue sur vos côtes numériques, que les chances que ces mots soient compris par vous sont encore plus minces. Non pas parce que vous ne comprenez pas l'anglais, mais parce que vous n'utilisez plus ces mots, j'écris: Liberté. Humanité. Individuel.
Pourtant, je suis ici pour enregistrer la fin d'une époque. Je vais donc continuer dans l'espoir contre l'espoir que quelqu'un, quelque part dans le futur Digital Dark Age, aura des yeux pour voir et des oreilles pour entendre.
L'obscurité descend.
Ne nous y trompons pas: nous le savons tous.
Nous savons ce que cela signifie lorsque 17 millions d'Américains, soit 10% de la population active, s'ajoutent aux listes de chômage en seulement trois semaines. Quand ils sont rejoints par des millions d'autres anciens travailleurs nouvellement sans emploi dans le monde entier. Lorsque les lignes de pain modernes s'étendent sur des kilomètres au cœur des villes autrefois fières des États-Unis. Lorsque la fausse dette d'argent drôle et fausse s'élève à plus de 24 000 milliards de dollars et que la soviétisation de l'économie par la Fed est terminée.
Nous savons ce que cela signifie lorsque la police commence à tirer sur des personnes mortes pour ne pas avoir porté de masque. Lorsque des drones la police met le ciel en quarantaine et que des robots bloquent la police au sol. Lorsque les gouvernements admettent de suivre chaque mouvement de chaque citoyen et commencent des points de contrôle internes où les passeports d'immunité numérique déterminent qui peut passer et qui doit rester chez eux.
Nous savons ce que cela signifie lorsque les milliardaires commencent à nous dire que seuls leurs nouveaux vaccins expérimentaux à base d'ARNm pourront nous libérer de ce cauchemar. Quand ils menacent de nous marquer avec des tatouages d'encre invisibles pour identifier les vaccinés. Quand ils nous disent que nous ne pourrons pas acheter, vendre ou participer à l'économie tant que nous n'aurons pas prouvé notre «immunité».
Cela signifie que l'Ordre mondial de Corona est arrivé.
Oh, bien sûr, certains le nient encore. Mais ils ne font que se leurrer. Ils ont peur d'admettre que c'est vrai. Beaucoup sont encore sous l'ancien conditionnement qui leur disait de bêler le «théoricien du complot» à quiconque remet en question l'autorité.
Nous avons un nom pour ce genre: «moutons». Ou, parfois, «mouton». De nos jours, les masses sont gardées dans l'enclos par les chiens de berger à botte de l'État policier et emmenées par les marionnettes politiques qui agissent comme leurs bergers. Parfois, un vieux sage du troupeau cotonne au jeu, mais le berger n'a jamais volé le troupeau auparavant, alors il se résigne à son sort. Pourquoi lutter? C'est surtout indolore.
Jamais le mouton n'a soupçonné qu'un jour les bergers les conduiraient au massacre.
C'est un terme de dérision, bien sûr. "Sheeple." Mais j'aime à penser que cela ne parle pas seulement de notre stupidité. Cela parle d'une naïveté, d'une innocence. Nous sommes des créatures confiantes et douces par nature. Paisible. Coopérative. Ce n'est rien à dédaigner. S'il n'y avait pas les prédateurs parmi nous, nos échecs pourraient même être considérés comme des vertus.
Mais je ne suis pas ici pour le dire. Je suis ici pour dire ceci: Résistez ! Lutte ! Bats toi !
Il est temps d'éliminer César ou nous sommes tous confrontés à l'anéantissement de la société
Par Gary D. Barnett 13 avril 2020
«La civilisation vise à standardiser progressivement des masses d'hommes de plus en plus grandes dans un cadre rigoureusement mécanique - des masses d'« hommes ordinaires »qui pensent de la même manière, se sentent semblables, prospèrent sur le conformisme, sont prêts à se plier à de vastes structures bureaucratiques et dans lesquelles le social l'instinct prédomine sur celui de l'individu créateur. » Amaury de Riencourt, «Les Césars à venir» Introduction, page 11
Il semble que le peuple dans son ensemble ait toujours recherché la domination des autres, souhaité une «direction» extérieure au lieu de se diriger lui-même, et ce phénomène a conduit à une tyrannie presque continue des masses. Cette pensée erronée a permis le massacre de centaines de millions d'innocents aux mains de ceux qui cherchent à gagner et à détenir le pouvoir sur les autres. Aujourd'hui, nous sommes confrontés à la plus grande menace pour l'humanité de l'histoire, tout cela en raison de ce besoin erroné de faux dirigeants au milieu d'une menace due à un mensonge appelé Covid-19. C'est encore une autre astuce basée sur la peur pour permettre aux Césars modernes de gagner encore plus de pouvoir, de contrôle et d'argent aux dépens de l'homme ordinaire.
Afin de regagner même un minimum de liberté en cet âge de domination oligarchique, le pouvoir de quelques-uns doit être brisé et éparpillé aux vents. Cela prendra un effort gigantesque, mais l'échec à accomplir cette mission ne résultera qu'en une société complètement dénuée de tout sens ou valeur. Avec un échec de cette ampleur, seuls le désespoir, l'esclavage et la mort resteront, tandis que quelques-uns continueront à gouverner le plus grand nombre avec une poigne de fer.
La prise de pouvoir revendiquée par la classe dirigeante a été relativement facile à réaliser, alors que les masses pathétiques continuent d'adhérer au mensonge d'État appelé «Nous le peuple», comme si les gens du commun contrôlaient jamais quoi que ce soit par le biais du système politique malhonnête. Une fois que le public a accepté le mensonge qui est le vote de masse comme source de leurs droits, un coup d'État de corruption «démocratique» corrompu, le jeu était terminé et le peuple a perdu. La complicité des gens dans leur propre servage a permis la perte totale de liberté, donc au lieu de se battre pour les droits naturels, ils croient qu'ils peuvent demander la permission à leurs dirigeants de vivre en troupeau libre. Un comportement pitoyable et passif comme celui-ci rend le travail de domination totalitaire par les oligarques facile à accomplir.
Le pouvoir ne concède rien sans une demande. Ca n'a jamais été fait et ca ne le sera jamais." Frederick Douglass, discours, Canandaigua, N.Y., 1857
Frederick Douglass avait raison, car sans demande, demande soutenue par l'action, les puissants ne se plieront jamais à la volonté des classes inférieures. Comme pour tout ce qui a de la valeur, cela n'est généralement pas facile. Afin de changer les esprits de ceux qui recherchent le pouvoir et le contrôle, ou mieux encore, pour forcer l'élimination de ce pouvoir et de ce contrôle, une posture offensive soutenue par une masse sociétale doit être évidente. Je ne recommande pas la violence, mais j'essaie de décrire la ténacité requise pour atteindre l'objectif de liberté. Tous doivent être disposés à prendre le contrôle de la bête d'oppression appelée gouvernement, et à éliminer son pouvoir. Cela peut être accompli par des moyens pacifiques, mais il est rarement facile de prendre le contrôle des contrôleurs, car ils souhaitent grandement leur position de pouvoir, et ne jamais y renoncer à moins qu'il y ait un risque de grande perte. Afin de mettre un terme à la tyrannie, le peuple doit être disposé à s'opposer massivement au gouvernement afin de regagner les libertés qui lui ont été enlevées.
On me demande continuellement: «Quelle est votre solution et qu'allez-vous faire pour résoudre ce problème ?» Cela m'irrite, car cela révèle la faiblesse même qui a causé le problème en premier lieu, car ceux qui posent cette question recherchent un leader ou un dirigeant pour leur dire quoi faire. C'est ainsi que cela s'est produit en premier lieu, et ce n'est certainement pas une réponse pour guérir les maux d'un servage volontaire.
Des individus en nombre travaillant ensemble pour arrêter les tyrans sont possibles, mais cela nécessite du courage et des risques personnels pour atteindre l'objectif de liberté, et une libération des chaînes de la tyrannie du gouvernement. Ce pays est dirigé par le haut, avec un groupe d'élites à la barre appelant les coups de feu, tandis qu'un cadre de politiciens au niveau fédéral et étatique fait les enchères de leurs patrons. C'est l'essence de l'oligarchie fasciste que sont les États-Unis actuels. La dissolution de ce groupe est obligatoire, et cela peut être fait en brisant ce groupe qui détient le monopole du pouvoir.
La décentralisation du pouvoir peut être obtenue par la dissidence et la rébellion personnelles et collectives, car ce sont les éléments clés nécessaires pour détruire ce monstre appelé gouvernement. Décentralisez tout. Tout pouvoir centralisé est extrêmement dangereux et ne devrait pas être autorisé. Une fois que les puissants peuvent être marginalisés et dispersés, la décentralisation devrait se poursuivre à tous les niveaux. Tout pouvoir majeur laissé devrait être entre les mains des communautés locales, et même alors, aucune concentration de pouvoir ne devrait être autorisée. Cela peut sembler impossible, mais tant que cette attitude prévaudra dans l'esprit du public, l'esclavage de masse continu sera le sort de la société américaine.
Il y a peu de temps, car la démolition contrôlée qu'est cette pandémie frauduleuse de virus continuera à conduire à une perdition fabriquée mise en place par l'État même qui est volontairement soutenue par une population faible et insensée. Emprisonnement, faillite économique, ruine financière, pauvreté, restrictions de voyage, dispositifs de surveillance, passeports d'immunité, argent numérique et suivi, vaccination forcée des poisons, copeaux ou colorants implantés, surveillance biométrique, notation sociale, loi martiale, brutalité policière et «papiers »Sera la norme.
Les manchettes d'aujourd'hui dévoilent déjà des plans pour une deuxième et une troisième vague de tyrannie immédiatement après le verrouillage actuel, avec le prochain cet été, puis à l'automne. Les menteurs disent normalement ce qu'ils prévoient si l'on écoute simplement. Ils disent déjà aux masses que c'est la nouvelle norme et que de nouvelles mesures plus dévastatrices sont à venir. En octobre dernier, l’événement 201 de Bill Gates, organisé par les personnes mêmes qui réclament maintenant l’emprisonnement de toute l’Amérique, s’est déroulé en plein jour et n’était rien de plus qu’un aperçu presque exact de ce qui se passe actuellement. Ce n'était pas une coïncidence, mais des menteurs exposant leur main et testant les eaux pour se préparer au véritable programme recherché, celui de la gouvernance mondiale et de la domination mondiale. Est-ce le monde que les Américains souhaitent pour leur avenir et celui de leurs enfants ? Il n'y a pas de terrain d'entente, alors le peuple américain acceptera-t-il l'esclavage ou luttera-t-il pour la liberté ? Chacun d'entre vous, en tant qu'individus, doit décider par lui-même avant qu'un effort de masse légitime ne puisse arrêter cet assaut dictatorial. Sera-ce me donner la liberté ou me donner la mort ? Vous seul pouvez décider.
Le chemin de la perdition est pavé d'intentions mauvaises
Par Jim Quinn La plateforme de gravure 13 avril 2020
«Les suceurs pensent que vous guérissez la cupidité avec de l'argent, la dépendance aux substances, les problèmes d'experts avec les experts, les opérations bancaires avec les banquiers, l'économie avec les économistes et les crises de la dette avec les dépenses de la dette» - Nassim Nicholas Taleb, The Bed of Procrustes: Philosophical and Practical Aphorisms
«La mondialisation a créé cette fragilité imbriquée. À aucun moment de l'histoire de l'univers, l'annulation d'une commande de Noël à New York n'a entraîné de licenciements en Chine. » - Nassim Nicholas Taleb
Alors que nous continuons notre culte national du suicide de l'enfermement en enfer, je me retrouve de plus en plus en colère contre le leadership pathétique affiché par les politiciens, les bureaucrates du gouvernement, les soi-disant «experts» médicaux, et les universitaires intellectuels mais idiots montrant leur ignorance des faits, de la réalité, de l'histoire et l'humanité. Ma nature est d'être sceptique sur tout ce que je lis ou ce qu'on me dit.
Je néglige très certainement tout ce qui m'a été communiqué par les politiciens, les dirigeants mondiaux, les banquiers centraux, les PDG des entreprises, les chefs de file de la CNBC, les principaux faux médias d'entreprise et, ces derniers temps - des experts médicaux autoproclamés qui se sont distingués en ne voyant pas le danger venir, minimiser le danger, ne pas être préparé pour le danger, gérer le danger de manière incompétente et proclamer la nation avec justice a dû être complètement arrêté parce que leurs modèles terriblement imparfaits l'avaient dit.
Cela laisse très peu de gens à faire confiance. Je ne suis pas un expert financier. Je ne suis pas un expert politique. Je ne suis pas un expert religieux. Je ne suis pas un expert médical. Mais je sais comment penser de manière critique et remettre en question la base de chaque récit tourné dans le monde aujourd'hui. Je fais confiance aux intentions et à l'intelligence d'un certain nombre d'écrivains, de penseurs, d'investisseurs, de commentateurs et de blogueurs véridiques aux yeux clairs, notamment: Nassim Taleb, Ron Paul, Kyle Bass, Chris Martenson, John Hussman, Jim Kunstler, John Mauldin, Jim Grant, Tucker Carlson, Dave Collum, Mike Kreiger, Lew Rockwell, Glenn Greenwald, Harald Malmgren, ainsi que des dizaines d'autres penseurs honnêtes et réfléchis.
C'est là que cela devient difficile. Chris Martenson et John Hussman ont tous deux mis en garde contre la gravité de ce coronavirus avant que quiconque ne commence à le prendre au sérieux, début février, alors que pratiquement personne n'y prêtait attention. Ils ont soutenu les mesures prises par le gouvernement pour arrêter la propagation du virus, tandis que de nombreux autres ont condamné la mise en œuvre dictatoriale de ce verrouillage national.
Je ne comprends pas la nature du débat. Le coronavirus (alias grippe de Chine) est un virus très contagieux et méchant qui a touché le monde entier. Les Chinois ont dissimulé la nature et l'étendue du virus, provoquant une pandémie mondiale. Malgré l'allocation de milliards de dollars au CDC au fil des décennies, ils se sont révélés incompétents, non préparés et pour compenser leurs échecs désastreux, ils ont terrifié la nation dans un arrêt national complet avec leurs modèles de mort apocalyptiques, qui s'avèrent avoir surestimé les décès par un facteur de 500 %.
Pour aggraver les choses, ils ont ouvertement menti au peuple américain que le port de masques ne les protégerait en aucune façon. Ce mensonge a entraîné des milliers de morts supplémentaires, mais nous vantons toujours les conseils de ces menteurs éprouvés. Les porte-parole des médias pour le Parti utilisent NYC et Northern NJ comme illustration de ce qui se passe partout, quand c'est un mensonge complet.
Ces deux régions comptent 46% des cas confirmés et plus de la moitié des décès, mais ne représentent que 9% de la population du pays. Cela signifie que dans les 48 autres États, moins de 0,1% de leur population a un cas confirmé. Et pour cela, nos soi-disant dirigeants ont fermé le pays et fabriqué à dessein une 2ème Grande Dépression.
- voir graphique sur site -
Le total des morts tactiques effrayantes était de 2,2 millions si nous ne faisions rien. Dans leur propre récit «expert», si nous suivions parfaitement tous les protocoles de distanciation sociale, le nombre de morts serait de 110 000 à 220 000. Le pays n'a pas parfaitement suivi les protocoles et maintenant leurs modèles sans valeur font 60 000 morts - qui seront bientôt rétrogradés à 50 000. Ce sont des chiffres de décès comparables à ceux de la grippe annuelle.
En outre, il semble que le nombre de décès attribuables à la grippe et à la pneumonie ait été bien inférieur à celui des années précédentes, depuis l'apparition du coronavirus chinois. Compte tenu des instructions du CDC d'utiliser le coronavirus comme cause de décès, quelle que soit la condition préalable ou autre maladie de la personne, il est fort probable que le nombre de décès attribués au coronavirus soit exagéré exprès, pour soutenir le récit des dirigeants qui réagi de façon excessive et détruit notre économie.
Au début, je ne pensais pas que ce virus était utilisé comme couverture d'une crise cachée plus grande, mais après avoir observé les actions honteuses et grotesques prises par des politiciens despotiques et des banquiers centraux fantoches, je suis convaincu que cette crise fabriquée est utilisée par les entreprises fascistes pour couvrir leur fraude financière, détruire les petites entreprises, asservir davantage la plèbe endettée, instituer le contrôle martial, instituer la monnaie numérique, tout en suivant électroniquement chacun de nos mouvements. Et le pire, c'est que la majorité a accepté chaque mandat du gouvernement, comme des moutons dociles menés à l'abattage.
L'Amérique est en train de devenir un état totalitaire sous nos yeux et nous nous bornons à obéir dans nos maisons à regarder Netflix, en tenant compte des dictons «experts» de Fauci et Birx comme de l'Évangile, et en attendant que 1200 $ soient électroniquement insérés dans nos comptes bancaires vides, comme notre récompense pour perdre nos emplois et s'endetter davantage auprès des banques de Wall Street. Comme Huxley l'a souligné il y a près de quatre-vingt-dix ans, nous étions sur la voie d'un État totalitaire efficace et nous sommes enfin arrivés. Aimez-vous votre servitude ?
"Un État totalitaire vraiment efficace serait un État dans lequel le tout-puissant exécutif des patrons politiques et leur armée de dirigeants contrôlent une population d'esclaves qui n'ont pas à être contraints, car ils aiment leur servitude." - Aldous Huxley - Brave New World
Que ce virus se propage à cause de la soupe de chauve-souris, d'un bio-laboratoire militaire à Wuhan ou d'un complot de l'État profond, le résultat final est le même. Le système financier s'étouffait sur la dette à partir de septembre, les laquais de la Réserve fédérale ressuscitant désespérément les pensions tous les soirs et annulant frénétiquement le resserrement extrêmement modeste qu'ils avaient fait l'année précédente. Les esprits financiers de la pensée critique savaient que quelque chose n'allait vraiment pas sous le capot de cette jalopie vieillissante.
L'héroïne monétaire fournie par le faible d'esprit IYI Powell et ses copains trompeurs comme Kashkari, a été un feu vert pour la cabale de Wall Street pour acheter des actions en échange du poing, faisant grimper les prix et les évaluations à des niveaux record à la mi-février. Mais ceux qui sont au courant se sont retirés des marchés alors que les idiots étaient de nouveau attirés au sommet. La classe dirigeante avait besoin d'une excuse pratique pour le crash inévitable et le sauvetage ultérieur qu'elle allait concevoir pour elle-même. Ron Paul, comme d'habitude, le voit clairement.
«Même les méchants l'admettent, et c'est qu'ils ont fait ces prédictions désastreuses afin qu'ils puissent aller de l'avant et détruire les libertés civiles des gens et dépenser beaucoup d'argent et inventer une excuse pour expliquer pourquoi le marché boursier a réellement baissé - tous sortes de choses en faisant souffler cet événement de coronavirus hors de proportion. " - Ron Paul
Je ne me soucie vraiment pas de la façon dont ce virus chinois a été diffusé dans le monde, mais je me soucie de la façon dont il a été exploité par les autorités pour gagner plus de contrôle et de pouvoir sur notre économie, notre excuse pathétique pour un système financier de marché libre, une technologie de surveillance et notre vie quotidienne. C'est le pire moment de l'histoire pour les adeptes de la théorie économique autrichienne à l'esprit libertaire, alors que le gouvernement réprime violemment nos libertés et nos libertés, tandis que les banquiers fascistes non élus se moquent des marchés financiers en renflouant et en enrichissant leurs bienfaiteurs.
Je suis suspect de l'établissement à parti unique de DC depuis que le Patriot Act pré-écrit et ironiquement nommé a été coincé dans la gorge un mois après que le 9/11 a déclenché la guerre contre le terrorisme, la crise a été utilisée pour créer un État de surveillance rivalisant avec le pire d'Orwell cauchemar. La crise de l'effondrement financier de Wall Street / Federal Reserve créée en 2008/2009 a été manipulée par les oligarques pour extraire des milliers de milliards de dollars du public américain, tout en se permettant de truquer les marchés en leur faveur, et en laissant aux générations futures des centaines de milliers de milliards de dollars en dettes impayables - leur appauvrissement et leur réduction de la dette. Les politiciens et les universitaires des banques centrales savent qui beurre leur pain.
«Dans les pays pauvres, les fonctionnaires reçoivent des pots-de-vin explicites; à D.C., ils ont la promesse sophistiquée, implicite et tacite de travailler pour de grandes sociétés » Nassim Nicholas Taleb, Le lit des procrustes: aphorismes philosophiques et pratiques
Les violations et la destruction pure et simple de nos libertés garanties par la Constitution, ainsi que notre capacité à gagner leur vie, au cours du dernier mois, sont ahurissantes pour quiconque a un cerveau qui fonctionne. Heureusement pour les suzerains de l'État profond qui dirigent ce pays, des décennies d'endoctrinement dans les écoles publiques et des dizaines de milliers d'heures de propagande médiatique ont foré leurs cerveaux ont laissé la grande majorité de la nation abasourdie et infantilisée. Il faut leur dire comment penser et quoi faire.
Quiconque a paradé sur le tube de poitrine et proclamé comme un «expert» par les médias parlants est cru par les masses crédules. Peu importe qu'ils se soient révélés incompétents et se trompent dans tout ce qu'ils ont dit et fait. Une crise fondée sur la peur de l'inconnu convient parfaitement aux entreprises fascistes pour effrayer les moutons et les rassembler dans des enclos, en attendant leur abattage, les masques fermement en place.
Voici ce que nous savons pour un fait. Fauci et Birx sont des bureaucrates du gouvernement depuis des décennies. Il est chargé de préparer le pays aux maladies infectieuses depuis 1984. Son organisation n'était absolument pas préparée, avec des tests défectueux et ne prenant pas la situation au sérieux en février. Il a menti sur les bienfaits des masques, le rendant responsable de milliers de morts. Ces deux fonctionnaires étaient des bureaucrates du gouvernement sans nom il y a deux mois et maintenant ils sont des superstars expertes médicales, même si leurs prédictions se sont avérées être des conneries complètes et absolues.
Maintenant, ils ont recours à la réécriture de l'histoire et à la reconnaissance du nombre de décès bien inférieur à ce qu'ils avaient déclaré il y a deux semaines. Ils sont à la fois menteurs et incompétents. Dans le monde réel, lorsque nous avions des emplois, ils étaient licenciés. Mais leur peur de faire du bien a profité aux fascistes des entreprises et à la cabale bancaire. Ils gagnent aujourd'hui quelques centaines de milliers de dollars par an dans leurs emplois au gouvernement. Après la fin de cette crise manufacturière, avec l'oligarchie plus riche et plus puissante que jamais, ces outils seront richement récompensés par des contrats de livres lucratifs, des postes de conseil bien payés avec des sociétés pharmaceutiques et 200000 $ par discours, aux dirigeants de banques de Wall Street. Interrogez Bernanke et Yellen sur leur vie lucrative après avoir fait les enchères de l'élite dirigeante.
«La bureaucratie est une construction par laquelle une personne est commodément séparée des conséquences de ses actes.» Nassim Nicholas Taleb, La peau dans le jeu: les asymétries cachées dans la vie quotidienne
«Plus c'est simple, mieux c'est. Les complications conduisent à des chaînes multiplicatives d'effets imprévus. » Nassim Nicholas Taleb, Antifragile: les choses qui tirent profit du trouble
La combinaison de bureaucrates, qui ne souffrent d'aucune conséquence pour leur manque de préparation, leur lenteur à réagir, leur incompétence et leur erreur constante de prédire l'avenir, avec des politiciens et des banquiers centraux qui réagissent de manière excessive en jetant des billions de dollars dans un gouffre sans fond de corruption, de fraude et d'insouciance, a causé et entraînera des conséquences inattendues qui feront s'écrouler tout l'édifice du détournement de fonds. Tout comme le Patriot Act de 300 pages était assis dans un tiroir en attendant que la crise se produise, la loi CARES de 800 pages, encore ironiquement nommée, 2,2 billions de dollars, a déjà été rédigée par des lobbyistes d'entreprise en attendant la prochaine crise.
C'est un pot-pourri de goodies et de renflouements de méga-sociétés pour des entreprises terriblement dirigées qui ont dépensé la dernière décennie à gaspiller des milliards de dollars pour racheter leurs actions avec une dette bon marché fournie par la Fed. Les miettes pour les petites personnes et les petites entreprises mourantes sont distribuées de manière paresseuse, tandis que les porcs des entreprises et des banques se gorgent au creux du gouvernement / de la Fed depuis un mois.
La somme de 1 200 $ par contribuable et le supplément de chômage de 600 $ n'ont pas encore été versés, car 17 millions d'Américains ont été licenciés par mandat du gouvernement au cours des trois dernières semaines. Des petites entreprises ont été emmenées dans un champ de terre et abattues à l'arrière de la tête par des bureaucrates du gouvernement. Comme d'habitude, le programme de prêts SBA a été un gâchis complet, les banques de Wall Street rechignant jusqu'à ce qu'elles obtiennent une plus grosse part du gâteau et que le système informatique du gouvernement s'écrase.
Le dépôt des demandes de chômage a été une épreuve tortueuse, car les systèmes informatiques de l'État ont des décennies et ne peuvent pas gérer le volume. Mais le petit gars n'a pas à s'inquiéter. Ils peuvent continuer à augmenter le solde de leur carte de crédit, en payant les intérêts de 20% à JP Morgan, tandis que Jamie Dimon et ses collègues barons voleurs empruntent à 0,25% à la Fed et vendent leurs obligations inutiles sans valeur à Jérôme et ses sbires pour leur pleine valeur. C’est bien d’être rois du monde.
Charles Hugh Smith capture l'essence de la plus grande arnaque de l'histoire du monde, alors que la Réserve fédérale a fait tout son possible, essayant désespérément de retarder l'effondrement financier inévitable de leur système de ponzi de la dette, afin que leurs marionnettistes de Wall Street puissent s'enfuir avec quelques-uns mille milliards de plus avant de débrancher la prise:
«Le fait que le proxénétisme par la Fed des bulles d'actifs et de la liquidité a créé la plus grande inégalité de richesse en un siècle est ignoré par le« leadership »politique / financier égoïste et sourd parce que l'asymétrie de la richesse a considérablement enrichi les« dirigeants », leurs amis. et l'armée de flunkies technocrates qui font tout le vrai travail pour maintenir le fonctionnement des raquettes. Toute cette richesse n’a pas été gagnée par la création de valeur; il a été écrémé / détourné des 95% les plus bas via des coûts élevés, des frais indésirables, des pénalités, des taux d'intérêt et des taxes, le tout fixé par des monopoles et des cartels non soumis à la concurrence, à la responsabilité ou à la transparence. »
- voir graphique sur site -
N'importe qui avec quelques cellules cérébrales peut voir le désespoir de ces actes, car ces universitaires, qui n'ont jamais travaillé un jour dans le monde réel, ne savent que faire une chose - jeter plus de dette à chaque bulle qu'ils ont créée en jetant de la dette au bulle précédente qu'ils ont créée.
La Réserve fédérale a détruit nos marchés financiers, éliminé la découverte de prix, récompensé les scumbags les plus téméraires avec des renflouements, vendu leurs âmes noires pour soutenir la bourse, écrasé l'épargne des seniors et poussé l'inégalité des revenus à des niveaux aussi extrêmes, ils ont assuré que les citoyens affamés de ce pays finiront par venir les chercher avec des fourches et des torches. Les lampadaires seront décorés des carcasses de banquiers une fois que cette arnaque financière implosera dans une liquidation finale spectaculaire.
Dans la partie 2 de cet article, je réfléchirai à l'absurdité de ce blocage national et je réfléchirai à la date à laquelle cette farce se terminera par un violent bouleversement contre les visages des mondialistes.
Réimprimé avec la permission de The Burning Platform.
En mars, les décès aux États-Unis dus à COVID-19 ont totalisé moins de 2% de tous les décès
Par Ryan McMaken Mises.org 13 avril 2020
Aux États-Unis, environ 2,9 millions de personnes meurent chaque année de toutes causes. Par mois, ce total varie d'environ 220 000 en été à plus de 280 000 en hiver.
Au cours des dernières décennies, la saison de la grippe a souvent culminé entre janvier et mars, ce qui est l'un des principaux moteurs du nombre total de décès. Le nombre quotidien moyen de décès de décembre à mars est supérieur à huit mille.
Jusqu'à présent, les données sur les décès totaux sont trop préliminaires pour savoir s'il y a eu une augmentation significative du nombre total de décès à la suite de COVID-19, et il s'agit d'une mesure importante, car elle nous donne un aperçu de savoir si COVID-19 est ou non conduisant le nombre total de décès bien au-dessus de ce qui serait autrement prévu.
En effet, selon certaines sources, il n'est pas certain que le nombre total de décès ait augmenté de manière significative en raison de COVID-19. Dans un article du 30 mars pour The Spectator, l'ancien pathologiste du National Health Service du Royaume-Uni, John Lee, a noté que le nombre actuel de décès dus à COVID-19 n'indique pas que le Royaume-Uni connaît des «décès excessifs». Lee écrit:
La façon la plus simple de juger si nous avons une maladie exceptionnellement mortelle est d'examiner les taux de mortalité. Y a-t-il plus de personnes qui meurent que nous ne le pensons de toute façon au cours d'une semaine ou d'un mois donné ? Statistiquement, on s'attend à ce qu'environ 51 000 personnes meurent en Grande-Bretagne ce mois-ci. Au moment de la rédaction du présent rapport, 422 décès sont liés à Covid-19, soit 0,8% du total attendu. À l'échelle mondiale, nous nous attendons à ce que 14 millions de personnes meurent au cours des trois premiers mois de l'année. Les 18 944 décès de coronavirus dans le monde représentent 0,14% de ce total. Ces chiffres pourraient augmenter, mais ils sont, en ce moment, inférieurs à ceux des autres maladies infectieuses avec lesquelles nous vivons (comme la grippe). Pas des chiffres qui, en eux-mêmes, provoqueraient des réactions mondiales drastiques.
À quoi ressemblent ces chiffres aux États-Unis ? En mars 2020, il y a eu 4053 décès dus à COVID-19 selon Worldometer. Cela représente 1,6% du nombre total de décès en mars 2019 (les données totales sur les décès de mars 2020 sont encore trop préliminaires pour permettre une comparaison). Pour le contexte, nous pourrions noter que le nombre total de décès a augmenté d'environ quatre mille entre mars 2018 et mars 2019. Donc, pour mars, l'augmentation du nombre total de décès est à peu près égale à ce que nous avons déjà vu comme une augmentation pré-COVID de mars 2018 à mars 2019.
Comme le note Lee, le nombre total de décès dus au COVID-19 pourrait encore augmenter considérablement cette saison, mais même dans ce cas, nous devons nous demander quel pourcentage du total des décès justifie une panique internationale. Est-ce 5 %? 10 % ? La question n'a jamais été abordée, et jusqu'à présent, un chiffre de 1% du nombre total de décès dans certains endroits est considéré comme une raison pour arrêter de force l'économie mondiale.
Pourtant, comme un rapport du CDC l'a récemment noté, les décès par pneumonie ont souvent été beaucoup plus fréquents que les décès par COVID-19 actuellement: «Sur la base des données de surveillance de la mortalité du National Center for Health Statistics (NCHS) disponibles le 26 mars 2020, 8,2 % des les décès survenus au cours de la semaine se terminant le 21 mars 2020 (semaine 12) étaient dus à [pneumonie et grippe]. »
Pendant ce temps, il y a une tendance à attribuer davantage de décès par pneumonie au COVID-19 qu'à la grippe, bien que cela ne signifie pas en fait que le taux de mortalité total a augmenté. Le rapport du CDC continue: «le pourcentage de tous les décès dus à la grippe répertoriés comme une cause a diminué (de 1,0 % à 0,8 %) au cours de cette même période. L'augmentation des décès par pneumonie au cours de cette période est probablement associée au COVID-19 plutôt qu'à la grippe. » Cela ne représente pas nécessairement une augmentation totale des décès par pneumonie, juste un changement dans la façon dont ils sont enregistrés.
Cela reflète une concentration accrue sur l'attribution des décès au COVID-19, comme l'a noté Lee:
Dans le climat actuel, toute personne ayant un test positif pour Covid-19 sera certainement connue du personnel clinique qui s'occupe d'eux: si l'un de ces patients décède, le personnel devra enregistrer la désignation Covid-19 sur le certificat de décès - contrairement à la coutume pratique pour la plupart des infections de ce type. Il y a une grande différence entre Covid-19 causant la mort et Covid-19 se trouvant chez une personne décédée d'autres causes. Rendre Covid-19 à déclaration obligatoire pourrait en donner l'apparence, provoquant un nombre croissant de décès, que ce soit vrai ou non. Cela peut sembler beaucoup plus un tueur que la grippe, simplement en raison de la façon dont les décès sont enregistrés.
Compte tenu de cette hâte de maximiser le nombre de décès attribuables à COVID-19, à quoi ressembleront les données d'avril? Il se peut que les décès dus à COVID-19 puissent alors représenter 10 ou 20% de tous les décès.
Mais la question demeure: le nombre total de décès augmentera-t-il considérablement par rapport à avril 2019 ou avril 2018? S'ils ne le font pas, cela remettra en question si COVID-19 est ou non le moteur de la mortalité que de nombreux bureaucrates du gouvernement insistent. Après tout, si la mortalité d'avril reste «à peu près la même» que le total habituel et se situe autour de 230 000–235 000, alors l'inquiétude obsessionnelle concernant COVID-19 ne serait justifiée que s'il peut être prouvé que les décès d'avril 2020 auraient chuté d'une année à l'autre. depuis un an sans COVID-19.
Mettre à jour:
Pendant ce temps, le CDC donne pour instruction au personnel médical de signaler les décès comme des décès dus au COVID-19, même si aucun test n'a confirmé la présence de la maladie. Dans un Q & A sur les certificats de décès publiés par le CDC le 24 mars, l'agence conseille:
COVID-19 doit être déclaré sur le certificat de décès de tous les défunts lorsque la maladie a causé ou est supposée avoir causé ou contribué au décès. Les certificateurs doivent inclure autant de détails que possible en fonction de leur connaissance du cas, des dossiers médicaux, des tests de laboratoire, etc. Si la personne décédée souffrait d'autres maladies chroniques telles que la MPOC ou l'asthme qui pourraient également avoir contribué, ces conditions peuvent être signalées dans la partie II . [italique dans l'original.]
Cela est extrêmement susceptible de gonfler le nombre de décès attribués au COVID-19 tout en réduisant les décès attribuables à d'autres maladies de type grippal et aux décès causés par une pneumonie d'origine non spécifiée. Cela est particulièrement problématique, car nous savons que l'écrasante majorité des décès par COVID-19 surviennent chez des patients qui souffrent déjà d'un certain nombre d'autres conditions. En Italie, par exemple, les données montrent que 99 % des décès dus au COVID-19 sont survenus chez des patients qui avaient au moins une autre affection. Plus de 48% avaient trois autres conditions. Aux États-Unis, des cas similaires sont désormais susceptibles d'être systématiquement signalés simplement comme des cas de COVID-19.
Malheureusement, comme les données sur les décès totaux ne sont pas communiquées immédiatement, nous devons encore voir comment cela se passe. Cependant, nous savons historiquement que les décès attribuables à la grippe et à la pneumonie au cours de la dernière décennie ont eu tendance à représenter environ cinq à dix pour cent de tous les décès, selon la gravité de la «saison». La semaine dernière (semaine 14, la semaine se terminant le 4 avril) a été la première semaine au cours de laquelle les décès dus au COVID-19 ont dépassé les décès dus à la grippe et à la pneumonie, représentant 11% de tous les décès pour cette semaine. (En utilisant une moyenne de 2017-2019 comme référence.) La semaine précédente, (semaine 13, semaine se terminant le 28 mars), les décès dus à COVID-19 représentaient 3,3 % de tous les décès. Ces chiffres devraient augmenter tout au long du mois. Pourtant, tant que nous ne disposerons pas de chiffres fiables sur tous les décès au cours des prochaines semaines, il sera impossible de savoir dans quelle mesure COVID-19 «cannibalise» les décès dus à la grippe et à la pneumonie dans l'ensemble. Autrement dit, si le total de COVID-19 monte en flèche, mais le nombre total de décès reste relativement stable, on pourrait supposer que de nombreux décès autrefois attribués simplement à la pneumonie ou à la grippe sont désormais étiquetés comme des décès dus au COVID-19. Potentiellement, cela pourrait également être le cas pour d'autres patients, tels que ceux atteints de cas avancés de diabète.
MISE À JOUR, 8 avril:
La tâche COVID-19 de la Maison Blanche pour le membre Deborah Birx a confirmé qu'il est désormais de pratique courante de compter tous les décès de personnes «avec» COVID-19 comme des décès causés par COVID-19. Lors d'une réunion d'information le 7 avril, Birx a expliqué:
Nous avons adopté une approche très libérale de la mortalité. Je pense que le rapport ici a été assez simple au cours des cinq à six dernières semaines. Avant cela, quand il n'y avait pas de test en janvier et février, c'est une situation très différente et inconnue. … [Maintenant] si quelqu'un décède avec COVID-19, nous comptons cela comme un décès COVID-19.
Claude Janvier Le blog A Lupus jeu., 09 avr. 2020 19:37 UTC
L'empire contre-attaque. Non désolé, ce n'est pas l'excellent film de Georges Lucas. Mais plutôt les mondialistes qui ont décidé de mettre le turbo pour mettre en place leur hégémonie. Trop de nations, trop de souverainistes, de nationalistes, de populistes et de gueux. Trop d'électrons libres. Pas assez ordonné tout ça.
Avant de développer le sujet, une mise au point s'impose. Depuis quelque temps, on voit fleurir de-ci, de-là, des articles vantant le fait qu'un bon nombre de gens ne veulent plus de la mondialisation, avec des remarques du genre « Est-ce que la mondialisation va survivre après le coronavirus ? »
Ne confondons pas « le gouvernement mondial », et le commerce international appelé à tort mondialisation. Le flou entretenu tend à induire en erreur et à rendre confus. De la pure propagande déguisée et diffusée par les vrais mondialistes.
Car en effet, si peut-être la mondialisation - le commerce international - ne survit pas au coronavirus, ce qui reste à prouver, les gens vont oublier le vrai cauchemar oeuvrant dans l'ombre qui est le gouvernement mondial.
Pour clarifier, le leitmotiv principal des mondialistes est une planète entièrement régie par un seul gouvernement. Si les nations n'existent plus, les guerres non plus. Dans l'absolu, ça peut sembler humaniste. Mais pour ça, il faudrait que le gouvernement mondial soit composé de gens éclairés et altruistes. Et là, patatras. Quand j'étudie les buts et objectifs de la famille Rockfeller, de George Soros et de quelques banquiers, puis que je jette un oeil à leurs portraits, j'en ai presque la chair de poule. Au secours. Je n'ai pas envie de les inviter à dîner...
Cette supercherie de mondialisme humanitaire mise en évidence démontre qu'ils poussent et pousseront toujours pour accroître leur puissance. Ils veulent l'asseoir en organisant une troisième guerre mondiale. Mais comment le faire sans bombarder toute la planète ? En effet, la destruction totale de la terre par quelques bombes nucléaires semble passée de mode. Et puis ça fait désordre. Tous ces décombres, ces morts, ces ruines. Inexploitable tout ça. Comment vivre dans un tel décor ? Quel intérêt pour les ultras riches mondialistes de festoyer au milieu de cette dévastation ? Rendez-vous compte braves gens ! Pas de domestiques, pas de cuisiniers personnels, personne pour tailler les haies, ni pour nettoyer les restes de leurs fastes quotidiens. Impossible à imaginer. Que la guerre se fasse dans des pays non-alignés, c'est loin et puis ça fait fonctionner les usines d'armement. Les pays « civilisés » méritent mieux, quand même...
Le 18 octobre 2019 a eu lieu l'exercice fictif de Pandémie intitulé « Event 201 ». C'était une simulation de haut niveau qui a eu lieu au Pierre, un hôtel de luxe de Manhattan à New York. Vous retrouverez la liste de participants dans le lien (1) en bas de page. Parmi les 16 participants, Ryan Morhard attire l'attention. Il est chef de la Sécurité sanitaire mondiale du Forum économique mondial, IGWELS*, et analyste juridique au centre de biosécurité de l'UPMC (centre médical de l'université de Pittsburgh). Ce qu'on appelle vulgairement une tronche. *IGWELS, et c'est là que ça commence à devenir intéressant, signifie en français - c'est un acronyme anglais - « Rassemblements informels des leaders économiques mondiaux ». Réunions fermées de très haut niveau, réservées aux Premiers ministres, ministres des Affaires étrangères et des Finances et aux gouverneurs des banques centrales.
L'un des principaux objectifs de la simulation était d'illustrer l'affaiblissement des alliances internationales - et le potentiel des gouvernements en plein effondrement - dans le but de valoriser les partenariats public-privé. Ils ont aussi étudié comment remédier aux fausses informations allant contre les politiques gouvernementales, les messages à diffuser pour les employeurs/employés, et comment noyauter les réseaux sociaux.
Trente jours après cette « sauterie », le premier cas documenté du coronavirus COVID-19 est apparu en Chine. La suite, vous la connaissez. Le 11 mars 2020, l'OMS a déclaré la Pandémie mondiale, et depuis, toute la planète est partie en vrille confinatoire.
Une question se pose : pourquoi et comment en arrive-t-on à un consensus mondial concernant une épidémie, qui pour l'instant a fait 59 000 morts annoncés. - comptage inexact d'ailleurs, car bon nombre de décès ont été imputés au coronavirus, sans que beaucoup de patients aient été testés pour savoir si c'était bien ledit virus -
La grippe saisonnière tue chaque année entre 290 000 et 650 000 personnes dans le monde. (2)
Les activités planétaires ne s'arrêtent pas chaque année avec la grippe saisonnière. Heureusement d'ailleurs, car sinon tous les ans, nous aurions droit au confinement et au flicage. Mais alors, pourquoi tout ce tin-touin ? Parce que vous êtes les bienvenus dans un gouvernement sanitaire mondial. Vous êtes d'office membre du club. Profitez-en, l'adhésion est gratuite.
La troisième guerre mondiale est bel et bien en cours.
Analysons un peu plus loin. L'OMS est financée par les cotisations que chaque état membre verse. Mais aussi par de grands laboratoires pharmaceutiques et des fondations, dont la fondation Bill et Melinda Gates. - grand promoteur des OGM dans le monde -. (3)
Budget de l'OMS 2016 et 2017 : 4,4 milliards de dollars. 880 millions fournis par les 193 Etats membres que ces derniers financent via leurs fonds souverains. - fonds d'investissement détenus par les gouvernements -
C'est énormément d'argent. Rien que le fonds souverain norvégien approche les 1000 milliards d'euros. Oui, vous avez bien lu.
En parallèle des fonds souverains, il existe des :
- Fonds d'investissement. - Terme financier qui désigne une société financière dont l'objectif consiste à investir dans des sociétés sélectionnées pour leurs opportunités d'évolution
- Fonds de pension - Terme générique recouvrant les organismes gérant collectivement les retraites et l'épargne salariale.
- Fonds de gestions d'actifs - le plus gros : BlackRock (4) , 7 000 milliards de $ - Gestion de portefeuilles, gestion de capitaux confiés par des investisseurs. But : obtenir le meilleur rendement.
Tous ces fonds investissent dans des actions, des obligations et dans des fondations. BlackRock est par exemple l'actionnaire principal du CAC-40. Une partie de Total ou d'Airbus lui appartient. On commence à entrevoir que toute cette masse énorme d'argent fait la pluie et le beau temps sur cette planète. Tous ces fonds sont imbriqués les uns dans les autres, brassent des milliards de dollars, et interviennent dans tous les marchés internationaux. Comment voulez-vous que des gouvernements soient indépendants ? Ils ne sont en fait, que des « hommes de paille », grassement payés pour appliquer à la lettre les ordres qu'ils reçoivent d'en haut.
Les actionnaires de certains fonds ont décidé, via cette pandémie factice, la chute de l'économie mondiale en ordonnant un blocus virulent afin d'asseoir le gouvernement mondial. Bien calculé le coup du virus, car la bulle financière était sur le point d'exploser.
Mais si les actionnaires de ces fonds étaient vraiment humanistes et altruistes, ils ne nous auraient pas imposé un confinement imbécile en nous laissant nous débattre avec des enfants cloîtrés à la maison, en nous forçant à ne pas rendre visite à nos anciens dans les EHPAD, et en nous imposant une inflation des prix des denrées alimentaires de base. (5) Si les actionnaires de ces fonds étaient vraiment humanistes et altruistes, ils n'auraient pas cassé l'économie, et ils n'auraient pas précipité encore plus de gens au chômage. Les chaussures André (6) ne déposeraient pas le bilan, et la myriade de petits commerçants, artisans, vignerons et agriculteurs ne seraient pas en train de se ronger d'inquiétude, quant à leur devenir. Hong Kong (7) n'a pas ordonné un confinement strict. Leur économie n'a pas été ratatinée et leur nombre de morts, pour 7,5 millions d'habitants est de 4. En revanche, le port du masque est obligatoire à chaque sortie, et les contrôles de température et les tests sont omniprésents.
Ne pas bouger, ne pas sortir, montrer patte blanche. Nos gouvernements auraient pu aussi permettre à chacun de pouvoir porter un masque dans la rue, de tester les gens massivement, et de soigner ceux qui étaient contaminés. Mais non, ils sont aux ordres. Ce petit monde répugnant et abject de financiers sans scrupules n'est ni humaniste, ni altruiste. La clique des mondialistes est à vomir.
Les bras armés de ces fonds sont les organisations mondiales soudoyées depuis longtemps, ainsi que les gouvernements appuyés par leurs forces de police et militaire. Ce virus, peut-être fabriqué, pas pire que les précédents, est l'aubaine rêvée pour tout remettre à plat, s'enrichir au passage et aussi habituer un maximum de gens à adopter une forme d'esclavage des temps modernes. Et ça fonctionne, même au-delà de leurs espérances. Le futur proche s'annonce confinatoire. Vous êtes peut-être déjà résignés.
Cette planète est régie par une masse d'argent incalculable. Vertigineux ! Pendant que des gens crèvent de faim sur cette terre, des milliards et des milliards de dollars circulent et vont dans la poche de quelques-uns. Voilà le fond du problème. Le délirium impérial ne fait que commencer à moins qu'une majorité d'entre nous ne soit pas en accord.
Claude Janvier
Notes :
1) https://urlz.fr/cinh
2) C.News 18 mars 2020. La grippe saisonnière, est-elle plus dangereuse que le coronavirus
3) Le point 4 avril 2017. L'OMS dans les griffes des lobbyistes
4) BlackRock : Le Temps 30 mars 2020. Après cette crise, « le mode sera différent ». https://urlz.fr/cinl
5) https://urlz.fr/ckQu
6) L'OBS L'enseigne de chaussures André placée en redressement judiciaire à cause du coronavirus https://urlz.fr/cinr
Très juste ! Dernièrement un dictateur entré en hôpital pour y discourir a été stoppé par un discours d'accueil d'une infirmière qui disait la vérité. L'infirmière a été applaudie par le service hospitalier.
Mais, les caméras des merdias étaient là ! Et on filmé le dictateur qui entre dans l'hôpital puis coupure et montage d'images d'infirmières qui applaudissent (montrées à la télé) ! Pour faire croire que les applaudissements étaient destinés au dictateur de merde !
Combien d'années (ou de siècles) faut-il pour faire des masques ? Normalement, en moins de une semaine, les 7 milliards de personnes sur Terre auraient dû recevoir un masque. Seuls les pays qui en fabriquent en ont et, les masques stockées pour l'export sont en entrepôts ! Personne ne vient les chercher !! Les dictateurs veulent faire crever des centaines de millions de personnes ! Des milliards ? Pourquoi pas, quand on est confiné et qu'ils disent que le nombre de morts est en baisse, cela veut dire que compte tenu du peu d'habitants qui reste, le chiffre ne peut donc que baisser !
Fiction. Dans neuf mois la France …
RépondreSupprimerle 12 avril 2020
Dans neuf mois il y aura une crise des maternités. Des maternités de campagne seront installées en urgence par l’armée malgré le fait que les militaires ne sont pas vraiment habitués à ce genre de situation sanitaire d’urgence. Les fortes chutes de neige, on sera en décembre, perturberont l’acheminement des futures mères, les routes et les grands axes de circulation seront en effet presque impraticables. Il y aura un manque catastrophique de couveuses. Naturellement la population se souviendra de la totale nullité du gouvernement Philippe lors de la gestion de la crise du virus mais cette fois elle sera émerveillée par la rapidité de réaction des autorités militaires en place depuis le mois de septembre.
Louis-Philippe chuta devant la pression populaire spoliée par les emprunts nationaux pour le développement des chemins de fer – relisez l’histoire – et la population applaudit le coup d’Etat de Louis-Napoléon. En septembre 2020 l’armée française prit le pouvoir car non seulement le gouvernement républicain n’avait pas su gérer la crise virale, avait 15000 morts sur la conscience et des mensonges à répétitions assortis de prises d’intérêt de la part de ministres révélant la corruption généralisée de ce gouvernement. La situation s’était aggravée au cours des mois de mai et juin avec les émeutes sanglantes des banlieues des grandes villes et même de certains quartier de Paris, de Lyon et de Marseille. Le plus inquiétant était le fait que, dans le même tempo, la France périphérique, les « sans-dents » vêtus de gilets jaunes avaient ressorti les fusils de chasse chargés de chevrotines et commençaient à se protéger contre les pillages sporadiques. Devant l’inaction de la police, l’armée prit donc le pouvoir et rappela à la gendarmerie qu’elle devait désormais suivre les ordres émis par le Ministère de la Défense (illustration).
Des tribunaux d’exception commençaient à concerner un grand nombre de ministres et autres parasites inutiles de la Cour du Prince mis en prison pour incapacité totale à gouverner, cette incapacité ayant favorisé la mort de ces milliers de personnes lors de la crise virale. En décembre on réquisitionnera peut-être les anciennes sage-femmes pour la plupart septuagénaires qui auront échappé par miracle à l’ancienne grippe à virus couronné que tout le monde aura oublié, ou presque …
Ou presque en effet, parce la crise économique effroyable sera loin, très loin de son dénouement. L’armée, à peu près le seul corps d’Etat encore fonctionnel, sortira à peine des combats de rue dans les banlieues « défavorisées » ayant fait d’autres milliers de victimes pas toutes innocentes, loin de là. Elle aura pris le pouvoir dès le début de l’automne et renvoyé plus de trois millions de fonctionnaires inutiles cultiver avec leurs familles les terrasses abandonnées du sud de la France. Un audit des finances publiques et de la structure de la dette avait été dès le début des évènements confié à un cabinet anglo-saxon spécialisé qui ne pouvait pas être accusé de parti-pris. Les résultats ont été édifiants et immédiatement suivis d’effet. D’abord la nationalisation autoritaire sans indemnisation des actionnaires de toutes les banques du pays aura été l’une des premières décisions accueillie favorablement par le peuple, suivie du rachat sans conditions d’Alstom-énergie cédé par Macron aux Américains. La sortie de l’euro devait suivre dans le courant de l’automne. Des camps de rééducation seront en cours d’aménagement un peu partout sur le territoire. Fiction ou réalité ? Il faut avoir de l’imagination pour envisager un scénario de sortie de crise en douceur tant la situation financière, industrielle et commerciale va se dégrader pour mener la France, mais aussi bien d’autres pays européens, dans un profond marasme, durable qui plus est. Sans mesures autoritaires d’envergure l’économie française ne s’en remettra jamais.
L’armée n’a jamais digéré le limogeage brutal du Général Pierre de Villiers par Macron le 19 juillet 2017 et la détérioration économique de la France consécutive à un confinement digne d’un obscurantisme médiéval. Les grands gradés de l’armée on rappelé De Villiers qui a décidé que l’armée devait, c’était son devoir, prendre le contrôle du pays pour le plus grand soulagement des citoyens excédés par les errances du gouvernement de clowns à la tête d’une France maintenant reléguée au rang de 17e économie mondiale se débattant avec 10 millions de chômeurs, une véritable guerre civile à caractère ethnique et confessionnel, des centaines de milliers de tonnes d’ordures s’accumulant sur les trottoirs des grandes villes …
RépondreSupprimerSeule l’armée, dernier recours, était considérée par le peuple excédé comme capable de remettre de l’ordre dans cette gabegie. C’est maintenant chose faite et la vie reprend son cours. L’épisode de la crise des maternités de ce mois de décembre ne pourra donner que de l’espoir, la vie n’est-elle pas porteuse d’espoir ?
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/12/fiction-dans-neuf-mois-la-france/
Insultes et jets d’œufs: l'Allemagne condamne les actes anti-français découlant du Covid-19
RépondreSupprimer09:27 12.04.2020
L’Allemagne a condamné les insultes à cause du Covid-19 perpétrées à l’encontre de Français se trouvant dans les zones frontalières du pays. Selon le ministre allemand des Affaires étrangères, «le coronavirus ne connaît pas de nationalité».
Le ministre allemand des Affaires étrangères a condamné les agressions verbales ou vexations subies récemment par des Français en déplacement dans les zones frontalières allemandes, moins touchées par le Covid-19.
«Le coronavirus ne connaît pas de nationalité. C'est la même chose pour la dignité humaine. Cela fait mal de voir comment nos amis français sont parfois insultés et attaqués à cause du Covid-19. Un tel comportement n'est pas possible. Nous sommes dans le même bateau!», a twitté Heiko Maas.
Il faisait écho à une déclaration de la ministre de l'Économie de la Sarre, région limitrophe du Grand-Est français, Anke Rehlinger, qui avait récemment présenté ses excuses de la part de l'Allemagne.
«On entend dire que les Français sont insultés et qu'on leur jette des œufs. Quiconque fait cela pèche contre l'amitié de nos peuples», avait-elle regretté le 8 avril sur le même réseau social.
«Je présente mes excuses à nos amis français pour ces incidents isolés», avait-elle ajouté.
Des maires se disent émus
Les faits remontent pour l'essentiel au mois de mars. À l'époque, plusieurs maires de la Sarre, région limitophe du Nord-Est de la France, se sont émus d'insultes à l'égard de Français se trouvant dans la région, dans le contexte de la pandémie.
Celui de Sarrebruck, la capitale régionale de la Sarre, Uwe Conrad, les a jugées «innaceptables», comme l’indique l’AFP.
Michael Clivot, maire de la petite commune de Gersheim, a aussi constaté «une certaine hostilité envers nos amis français».
«Certains sont insultés et arrêtés dans la rue», «certains Français n'osent plus venir ici», s'est-il alarmé dans une interview récente au site d'information t-online. Avec plusieurs de ses collègues, il s'est adressé à ses administrés dans des messages vidéo diffusés sur Facebook.
Des Français l'ont approché pour lui pour dire qu'on leur avait craché dessus lors de promenades ou à la caisse de supermarchés. L'un d'eux s'est entendu dire «Retourne dans ton pays du corona!», a-t-il expliqué.
https://fr.sputniknews.com/international/202004121043537072-insultes-et-jets-dufs-lallemagne-condamne-les-actes-anti-francais-decoulant-du-covid-19/
Covid-19, en continu: l’état de catastrophe majeure déclaré dans tous les États américains, une première dans l’Histoire
RépondreSupprimer09:03 12.04.2020
L’état de catastrophe majeure est déclaré dans les 50 États américains, ce pays étant le plus touché par le Covid-19 au monde avec plus de 20.000 décès et plus de 500.000 cas de contamination. La célébration de la fête des Pâques, la plus importante de la tradition chrétienne, sera inédite sans processions, ni services religieux traditionnels.
Dans la soirée de samedi, Donald Trump a déclaré l’état de catastrophe majeure dans le Wyoming. C’est la première fois de l’Histoire que tous les 50 États américains y sont assujettis, a tenu à souligner le porte-parole de la Maison-Blanche, Judd Deere.
Avec plus de 20.000 morts et plus de 500.000 malades, les États-Unis sont actuellement le pays le plus endeuillé par les conséquences de la pandémie de coronavirus. Dans le même temps, ils ont enregistré en 24h un léger ralentissement du nombre de morts par rapport aux chiffres d’hier. Ainsi, 1.920 personnes sont décédées des suites du Covid-19.
En France, qui dénombre plus de 13.800 décès au total, le porte-avions Charles de Gaulle avec à son bord 50 personnes testées positives est attendu aujourd’hui à Toulon. Les équipages du porte-avions, du groupe aérien embarqué (GAN) - hélicoptères, avions de surveillance Hawkeye et Rafale - et de la frégate Chevalier Paul qui l’accompagne seront confinés 14 jours «dans des enceintes militaires avant de rejoindre leurs foyers», selon le communiqué du ministère des Armées.
L’Allemagne a dépassé les 120.000 contaminés avec plus de 2.800 décès, selon l’Institut Robert Koch. Il s'agit d'une baisse du nombre de cas depuis 48 h après quatre jours de hausse.
Les experts militaires russes continuent les travaux de désinfection en Italie et en Serbie, a fait savoir le ministère russe de la Défense
L’Arabie saoudite proroge le couvre-feu, selon Saudi Press Agency (SPA)
Avec 103 nouveaux cas à bord du porte-avions américain Theodore Roosevelt, le nombre total de contaminations est révisé à 550, annonce la Marine américaine
10:55
La professeure en psychologie à l'Université de Yale et auteur du populaire cours en ligne «La Science du Bien-être» (The Science of Well-Being), Laurie Santos, a donné à Sputnik des moyens pour préserver son bonheur pendant la pandémie.
10:19 12.04.2020
Une professeure américaine a expliqué que l’activité sociale, les exercices, les habitudes saines et la méditation peuvent aider à maintenir un état d’esprit positif pendant le confinement dû à la pandémie de nouveau coronavirus.
10:47
Les Philippines enregistrent leur plus lourd bilan quotidien de décès
Avec 50 morts supplémentaires, le pays déplore le décès de 297 personnes des suites de la maladie, selon le ministère de la Santé. Plus de 4.600 individus sont infectés au total.
10:19 12.04.2020
En Allemagne, le nombre de personnes rétablies après avoir contracté le Covid-19 a dépassé le nombre de celles qui restent infectées, une première, montrent les chiffres de l'Institut Robert Koch.
09:33
RépondreSupprimerLe nombre de cas de contamination en Russie a atteint les 15.770 avec plus de 2.000 supplémentaires recensés en 24h, selon l'état-major opérationnel
Seule Moscou a dépassé la barre des 10.000 cas.
Au total, le pays déplore la mort de 130 personnes des suites du virus.
09:22
Combien coûte le traitement contre le coronavirus en Chine? La réponse d’un officiel
La fourchette des dépenses pour soigner un patient infecté par le Covid-19 en Chine se situe entre 21.500 yuans (près de 2.800 euros) pour un traitement standard et environ un million de yuans (près de 130.000 euros) pour certains cas graves, a indiqué Xiong Xianjun, représentant du Nation Healthcare Security Administration de Chine.
09:08
«Les fumeurs sont moins susceptibles d'être infectés par le coronavirus que les non–fumeurs»: l’oncologue russe Vladimir Levchine a expliqué à Sputnik dans quelle mesure cette affirmation controversée correspond à la réalité
Un médecin a indiqué à Sputnik que les fumeurs avaient plus de chances d’être contaminés gravement par le coronavirus que les non-fumeurs. Il a ainsi démenti une fake news selon laquelle les personnes ayant cette mauvaise habitude étaient moins susceptibles d’être infectées.
08:53
La Russie évacue ce dimanche ses citoyens de Tokyo
L'avion russe qui a décollé de l'aéroport international de Tokyo-Haneda transporte 179 personnes, selon un correspondant de Sputnik
https://fr.sputniknews.com/international/202004121043536883-covid-19-en-continu-letat-de-catastrophe-majeure-declare-dans-tous-les-etats-americains-une/
SupprimerLes bôches se sont aperçu que s'ils portaient un masque (FF P2 ou FF P3) ils pouvaient sortir sans crainte et retourner travailler ! Cà alors !!
Combien coûte le traitement contre le coronavirus en Chine ? La réponse d’un officiel
RépondreSupprimer09:11 12.04.2020
La fourchette des dépenses pour soigner un patient infecté par le Covid-19 en Chine se situe entre 21.500 yuans (près de 2.800 euros) pour un traitement standard et environ un million de yuans (près de 130.000 euros) pour certains cas graves, a indiqué Xiong Xianjun, représentant du Nation Healthcare Security Administration de Chine.
Le coût moyen du traitement d’un patient atteint du coronavirus en Chine est de 21.500 yuans (2.794 euros), alors que celui d’un malade dans un état grave coûte 150.000 yuans (19.494 euros), a déclaré Xiong Xianjun, représentant du Nation Healthcare Security Administration de Chine.
Il s’agit de données fournies le 6 avril par l’institution. Les dépenses pour le traitement de certains patients en état critique peuvent atteindre plusieurs centaines de milliers de yuans et dépassent parfois le seuil du million (129.965 euros), a-t-il expliqué.
Un total de 1,48 milliard de yuans (plus de 192 millions d’euros) a été dépensé pour l'examen et le traitement des patients confirmés ou suspectés d’être atteints dans toutes les régions de Chine.
Une partie remboursée par l’État
Environ 65% du coût du traitement est couvert par le système de santé du pays tandis que le reste est subventionné par les administrations locales, ont fait savoir les médias chinois.
Selon le bilan du 11 avril, au moins 81.900 cas de contamination par le nouveau coronavirus ont été recensés en Chine, de même que plus de 3.300 décès. Au moins 77.500 patients ont guéri.
https://fr.sputniknews.com/international/202004121043537009-combien-coute-le-traitement-contre-le-coronavirus-en-chine-la-reponse-dun-officiel/
SupprimerPlutôt bizarre et sceptique que de lire ces lignes ! Le personnel hospitalier chinois est-il payé au poulet attrapé ou un fixe chaque mois qu'il y ait de poulets attrapés ou non ?
Idem pour les cons (payés chaque mois) qui font des routes et qui en plus - lorsqu'il travaillent ! - présentent facture !!!
RépondreSupprimerDe crainte d’une pénurie alimentaire, les gens se ruent sur ce produit
12:38 12.04.2020
Pour se prémunir contre une pénurie alimentaire due à la pandémie, certaines personnes se dépêchent d’acheter des semences pour faire pousser leur propre nourriture. Les entreprises de jardinage ont ainsi des problèmes avec l’acheminement des commandes, affirmant pourtant qu’elles seront livrées.
Alors que la pandémie de coronavirus sévit en provoquant le confinement de plusieurs pays, les consommateurs craignent une éventuelle pénurie de denrées alimentaires.
Certaines personnes ont décidé de faire pousser leur propre nourriture. Les entreprises de jardinage ont donc subi une forte pression, rapporte le 11 avril le site Ici Radio Canada.
Selon la source, ces sociétés ont été désignées comme étant un service essentiel en Colombie-Britannique, au Canada.
Pour maintenir le cap durant la crise, certaines entreprises de jardinage canadiennes ont demandé à leurs clients de passer commande via le site Internet. «Notre plus grosse vente reste les graines de tomate, puis de chou kale et de concombre», a indiqué au média Conor Preston, cogérant de la boutique Figaro’s Garden, à Vancouver, en ajoutant que cette augmentation est «liée à la pandémie».
D’après la source, les commandes sont si nombreuses que les gens les attendent plusieurs semaines.
«Quand j’ai passé ma commande, ils [le fournisseur West Coast Seeds, ndlr] m’ont bien fait comprendre que ça allait prendre plus de temps que d’habitude», a raconté une jardinière amatrice. En effet, le nombre d’employés est réduit pour respecter les mesures de distanciation sociale.
Des semences en quantité suffisante
Les entreprises ont souligné qu’il n’y avait pas de pénurie de graines, mais qu’il était difficile de faire parvenir les livraisons en ce moment.
Alex Augustyniak, directeur général de West Coast Seeds, a néanmoins averti qu’en cas de pénurie il possèdait «un stock de sécurité pour les fermiers et les clients».
Une pénurie alimentaire possible ?
Auparavant, l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) avait affirmé que le monde pourrait être confronté à une pénurie alimentaire si des mesures n’étaient pas prises rapidement en faveur des plus vulnérables et pour préserver les chaînes d’approvisionnement mondiales.
La FAO estime que la pandémie de Covid-19 menace les liens économiques en place, notamment le transfert de la main-d’oeuvre vers les fermes et autres exploitations agricoles.
https://fr.sputniknews.com/societe/202004121043538000-de-crainte-dune-penurie-alimentaire-les-gens-se-ruent-sur-ce-produit-/
Les plants de tomates sont indestructibles ! SEULE la gelée peut les détruire. Donc, dès lors que sont adoptées la mise en serres (doublées !) de plants, ils passent l'hiver et continuent de grandir et de fleurir comme si rien n'était. (Il n'y a PAS de 'saisons' en serre ! C'est toujours l'été pour elles !).
SupprimerCertains pays froids ne peuvent réserver cet endroit [les serres] qu'à des plantes résistantes aux gelées comme les salades, céleris ou choux fleurs, ou, certains passent pour un chauffage intérieur coûteux.
La solution (en serres froides) est de passer aux serres doublées de plastiques 200µ (1€/m²) espacés de 10 cm afin que l'air circule (gratuitement) dessus et sur les 4 côtés.
Vu sur:
https://www.gammvert.fr/forum/viewtopic.php?f=9&p=292952#p292952
Cette particularité est copiée sur les parpaings creux et briques alvéolées qui ont permis aux constructions de murs de maisons de les isoler du froid.
Les plants de tomates poussent à 2 m (et plus) en été et sont couchés à l'automne dans des sillons de terre afin de multiplier les plants gratuitement. Les plants font des 'gourmands' ou 'gréoux' (provençaux) et sortent de terre tout les 25 cm env. et font de nouveaux plants. Un seul plant de tomates peut donner jusqu'à 6 plants qui s'enracinent au sol et deviennent indépendants du pied-mère.
Préférez écouter ceux qu savent et non les 'forums de jardinage' (nazies) qui font TOUT pour empêcher les jardiniers de vivre de leurs jardins ! (manque à gagner pour les supermarchés qui importent des tomates de pays étrangers où sont tolérés les traitements toxiques interdits - en Europe - par la dictature de Bruxelles).
Le prix de l'adhésion à l'UE: le rationnement des soins de santé pour les personnes âgées en Italie et en Espagne
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 04/12/2020 - 07:00
Écrit par Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Avec plus d'un demi-million de cas confirmés de coronavirus 2019 (COVID-19) en Europe, un nombre croissant d'autorités médicales régionales ont commencé à publier des lignes directrices et des protocoles appelant les hôpitaux à donner la priorité aux patients plus jeunes que ceux plus âgés.
En Italie et en Espagne, les deux pays les plus touchés par la pandémie de coronavirus en Europe, les médecins des unités de soins intensifs submergés prennent depuis des semaines des décisions de vie ou de mort quant aux bénéficiaires des soins d'urgence.
Les nouveaux protocoles, cependant, équivalent à des directives gouvernementales qui instruisent efficacement le personnel médical d'abandonner les patients âgés à leur sort.
Outre les questions éthiques soulevées par le rationnement des soins de santé en fonction de l'âge, le refus de soins médicaux aux personnes âgées, dont beaucoup ont cotisé au système de protection sociale toute leur vie, met également en lumière les lacunes de la médecine socialisée Europe du Sud, où les mesures d'austérité imposées par la Banque centrale européenne ont entraîné des coupes budgétaires massives pour les soins de santé publics.
En Espagne, le gouvernement régional de Catalogne, une région durement touchée par le coronavirus, a publié un protocole confidentiel qui conseille efficacement aux personnes âgées atteintes du coronavirus de mourir chez elles.
Dans des documents divulgués à plusieurs médias espagnols, le Service médical d'urgence catalan (Servicio de Emergencias Médicas, SEM) a demandé aux médecins, infirmières et ambulanciers d'informer les familles des patients âgés souffrant de coronavirus que "la mort à domicile est la meilleure option".
Le document indique que mourir à la maison est plus humain car il évite la souffrance: les patients peuvent mourir en étant entourés de leurs familles, ce qui n'est pas possible dans les hôpitaux surpeuplés. Le protocole a également conseillé au personnel médical d'éviter de faire référence au manque de lits d'hôpitaux en Catalogne.
Les recommandations, approuvées par le Conseil des associations de médecins de Catalogne (Consejo de Colegios de Médicos de Cataluña), stipulaient que les patients de plus de 80 ans ne devaient pas être intubés et se voir proposer uniquement une «thérapie par masque à oxygène». Les lignes directrices recommandaient que les patients de plus de 80 ans qui suffoquent soient administrés "un traitement de confort avec de la morphine pour atténuer la sensation de dyspnée."
SEM a également conseillé aux professionnels de la santé d'optimiser les ressources médicales dans la situation d'urgence actuelle et "d'éviter d'admettre des patients avec peu d'avantages". Il a été demandé au personnel médical de réserver le matériel "aux patients qui peuvent en bénéficier le plus, en termes d'années de vie sauvées".
Le ministre catalan de la Santé, Alba Vergés, a nié que la directive soit discriminatoire à l'égard des patients âgés. Le directeur médical du SEM Xavier Jiménez l'a également démenti, mais il a admis que le document existe. "Tout ce que nous faisons, c'est offrir aux patients la meilleure option pour leur situation", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerAilleurs en Espagne, la Société espagnole de soins médicaux intensifs et critiques basée à Madrid (Sociedad Española de Medicina Intensiva, Crítica y Unidades Coronarias, SEMICYUC) a recommandé que des efforts thérapeutiques maximaux soient réservés aux jeunes avec plus de possibilités de survie. En cas de pénurie de lits d'hôpital, les personnes de plus de 80 ans ou celles atteintes de la maladie d'Alzheimer devraient se voir refuser le traitement.
En Italie, un document préparé par une unité de gestion de crise dans la ville de Turin, dans le nord du pays, a également proposé que les victimes de coronavirus âgées de 80 ans ou plus ou en mauvaise santé se voient refuser l'accès aux soins intensifs s'il n'y a pas suffisamment de lits d'hôpital.
Dans un document divulgué au journal britannique The Telegraph, le département de la protection civile de la région du Piémont, a déclaré:
"Les critères d'accès à un traitement intensif en cas d'urgence doivent inclure un âge inférieur à 80 ans ou un score au Charlson Comorbidity Index [qui indique combien d'autres conditions médicales le patient a] de moins de 5 ans.
"La croissance de l'épidémie actuelle rend probable un point de déséquilibre entre les besoins cliniques des patients atteints de COVID-19 et la disponibilité effective de ressources intensives.
"S'il devenait impossible de fournir à tous les patients des services de soins intensifs, il serait nécessaire d'appliquer des critères d'accès au traitement intensif, qui dépendent des ressources limitées disponibles."
Un conseiller sanitaire du Piémont, Luigi Icardi, a déclaré:
"Je n'ai jamais voulu voir un tel moment. Il [le document] sera contraignant et établira en cas de saturation des services un code de priorité pour l'accès aux soins intensifs, basé sur certains paramètres comme la survie potentielle."
Aux Pays-Bas, des médecins ont été accusés d'avoir tenté de rationner des lits rares dans des unités de soins intensifs en conseillant aux patients âgés souffrant de COVID-19 de renoncer à un traitement hospitalier, selon l'agence de presse Reuters.
Des députés néerlandais ont exprimé leur inquiétude après que des personnes âgées se sont plaintes de recevoir des appels de médecins. Le député Henk Krol, qui dirige le parti 50PLUS pour les personnes âgées, a mis en garde contre la discrimination fondée sur l'âge:
"Un octogénaire n'est pas la même chose qu'un autre. Il y a quatre-vingts ans qui sont en forme et qui courent des marathons, et il y a des cinquante ans qui sont en mauvaise santé."
Le ministre de la Santé, Hugo de Jonge, a nié que les appels des médecins soient une politique officielle du gouvernement. Il a déclaré à Reuters que les discussions sur la «planification des soins avancés» entre les médecins généralistes et les patients souffrant de graves problèmes de santé n'étaient pas inhabituelles:
«C'est une pratique courante pour les médecins. Nous l'appelons la planification des soins avancés, cela signifie avoir une conversation avec les gens sur« ce que vous voudriez arriver si vous tombez malade ».
RépondreSupprimer"Les patients peuvent alors dire:" si cela arrive au point où j'ai besoin d'un ventilateur, où je dois aller aux soins intensifs, je préférerais ne pas le faire. "C'est une possibilité, mais ces conversations ne sont pas basées sur l'âge des patients."
Dans une interview accordée le 15 mars à la chaîne de télévision néerlandaise WNL Op Zondag, Marc Bonten, microbiologiste à l'hôpital universitaire d'Utrecht, a déclaré:
"Quelle est la meilleure façon de servir l'humanité ? Des aspects tels que qui a le plus de chances de survivre à une admission en soins intensifs entreront en jeu. C'est aux médecins de voir qui a les meilleures chances de survie."
De retour en Espagne, Óscar Haro, directeur d'une équipe de course de motos, a décrit dans une vidéo virale sur YouTube comment son père âgé est décédé des coronavirus après s'être vu refuser un respirateur en raison de son âge:
"Mon père a commencé à travailler à l'âge de 14 ans jusqu'à l'âge de 65 ans. Il n'a jamais rien demandé. Le 18 mars, il avait besoin d'un respirateur pour éviter de mourir et on lui a refusé ... C'est l'Espagne que nous avons. La génération de mon père a construit ce pays, ses réservoirs, ses routes, son agriculture, qui travaille 14 heures par jour, sortant d'une période d'après-guerre, et ils sont laissés pour mort.
"Je ne comprends pas comment une personne comme mon père, qui a travaillé toute sa vie, contribuant à la sécurité sociale dans ce pays, pourrait mourir parce qu'il n'y a pas de respirateurs, parce qu'il n'a pas pu recevoir de traitement, en raison de la réglementation qui stipule qu'avec des personnes de plus de 75 ans, il n'est plus intéressant de s'occuper d'eux et on les laisse mourir. Nous partons pour mourir d'une génération qui a bâti ce pays.
"Nous disons que nous avons une sécurité sociale incroyable, quand le personnel de santé n'a même pas de gants à porter. Ce matin, ils n'avaient ni robes ni masques. Je ne comprends pas que mon père, qui est avec sa femme depuis l'âge de 15, n'a pas été autorisée à lui dire au revoir. "
Pendant ce temps, Ivan Calle Zapata, un entraîneur de football à Martorell, une municipalité de Catalogne, a raconté comment il avait perdu ses grands-parents paternels et maternels à cause du coronavirus:
"Ma grand-mère de 82 ans et mon grand-père de 71 ans ne sont pas morts de # COVID-19, ils ont été laissés pour mourir. @Salutcat [les autorités sanitaires catalanes] leur ont refusé des respirateurs et leur admission aux soins intensifs, tout comme les autres plus âgés en Catalogne. Voici un fil conducteur pour eux et pour toutes les familles brisées: "
Face à l'indignation croissante du public face au manque de traitement pour les personnes âgées, le gouvernement espagnol a publié le 3 avril une déclaration dans laquelle il déclarait que refuser des soins de santé aux personnes âgées était inconstitutionnel:
"En cas d'extrême rareté des ressources de santé, les patients âgés doivent être traités dans les mêmes conditions que le reste de la population, c'est-à-dire selon les critères cliniques de chaque cas particulier. Accepter une telle discrimination conduirait à une sous-estimation de certains humains vit en raison de l'âge, ce qui contredit les fondements de notre État de droit, en particulier la reconnaissance de la dignité intrinsèque égale de chaque être humain. "
La déclaration du gouvernement n'a pas d'effet juridique, ce qui signifie que les gouvernements régionaux espagnols ne sont pas expressément interdits de mettre fin à la pratique de refuser des soins de santé aux personnes âgées.
RépondreSupprimerLa rareté des ressources de santé en Espagne et en Italie, les deux pays européens les plus touchés par la pandémie de coronavirus, peut être directement attribuée à une décennie de mesures d'austérité.
Pendant la crise de la dette européenne en 2011 et 2012, alors que de nombreuses banques italiennes et espagnoles étaient au bord de l'effondrement, les pays d'Europe du Nord ont imposé des conditions budgétaires strictes en échange de renflouements. En conséquence, les dépenses publiques de santé publique ont été considérablement réduites.
En Espagne, le gouvernement a dévoilé en avril 2012 des mesures d'austérité destinées à réduire de 65 milliards d'euros le déficit public d'ici à 2014. Les coupes imposées par la Banque centrale européenne ont réduit les dépenses espagnoles de santé publique de 10%. Mariano Rajoy, alors Premier ministre espagnol, a expliqué: "Ces mesures ne sont pas agréables, mais elles sont nécessaires. Nos dépenses publiques dépassent nos revenus de dizaines de milliards d'euros."
En novembre 2019, deux mois avant la première apparition du coronavirus en Espagne, le gouvernement espagnol a révélé que près de 700 000 patients étaient sur une liste d'attente pour les chirurgies. À l'échelle nationale, les patients ont dû attendre en moyenne 115 jours avant d'être opérés; en Catalogne, les patients ont dû attendre près de six mois; à Madrid, les patients ont dû attendre six semaines.
Un scénario similaire s'est produit en Italie, où le gouvernement a réduit des milliards d'euros dans les dépenses de santé publique depuis 2012 en échange de fonds de sauvetage de l'Union européenne.
De nombreux économistes ont déclaré que l'Italie et l'Espagne n'auraient jamais dû rejoindre l'euro, la monnaie unique utilisée par 19 des 27 États membres de l'Union européenne, car ce faisant, ils ont perdu leur souveraineté monétaire: ils ont perdu la capacité d'apprécier ou de déprécier leur monnaie pour gérer leurs économies et répondre aux chocs économiques.
La gravité de la crise des coronavirus en Italie et en Espagne, où les patients âgés sont autorisés à mourir au profit des jeunes, est due en grande partie aux mesures d'austérité associées à leur appartenance à la zone euro. Le grand nombre de morts, en particulier parmi les personnes âgées, semble être le prix que les Italiens et les Espagnols paient pour faire partie d'une union monétaire à laquelle ils n'auraient jamais dû adhérer.
https://www.zerohedge.com/health/price-eu-membership-healthcare-rationing-elderly-italy-spain
Supprimer(...) Le document indique que mourir à la maison est plus humain car il évite la souffrance: les patients peuvent mourir en étant entourés de leurs familles, ce qui n'est pas possible dans les hôpitaux surpeuplés. (...)
LES HÔPITAUX SONT VIDES ! Fautes d'accidentés de la route ou sur leurs lieux de travail, comme de partout ailleurs,les patients font défaut !
Les chambres sont vides et les infirmières attendent en salle d'attente ou fument dehors !
L'argent des cotisants est allé nourrir le personnel des ministères !
RépondreSupprimerOn a «laissé mourir les vieux» du Covid-19, estime Éric Ciotti
14:27 12.04.2020
En commentant le bilan des morts parmi les résidents des Ehpad depuis le début de l'épidémie, le député LR Éric Ciotti a dénoncé la politique du gouvernement. Selon lui, on a laissé ces gens «mourir dans l'indifférence, sans prise en charge sanitaire adaptée».
«On a laissé mourir nos vieux» du Covid-19 dans les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), a accusé dimanche 11 avril le député LR Éric Ciotti, se disant «choqué et en colère».
«On a refusé d'hospitaliser des personnes qui étaient atteintes dans les Ehpad, on les a laissées quelque part mourir dans l'indifférence, sans prise en charge sanitaire adaptée», a-t-il insisté dans une interview donnée à Radio J.
Selon le dernier bilan communiqué le 11 avril au soir, le coronavirus a emporté plus de 4.889 résidents des Ehpad et des établissements médico-sociaux depuis le début de l'épidémie, laquelle touche particulièrement les personnes âgées ou fragiles.
Ce bilan «sera le plus grand scandale de ce moment tragique pour notre pays», selon M. Ciotti, qui a dénoncé «une politique de refus de prise en charge par les SAMU de personnes âgées», et mis en cause des «choix» qu'il attribue «à des raisons de capacité hospitalière» alors qu'«il y avait d'autres réponses, notamment la sollicitation de l'hospitalisation en secteur privé.»
Le gouvernement a annoncé le 6 avril qu'une campagne de dépistage massif serait lancée progressivement dans les Ehpad, qui ne pouvaient auparavant tester que les trois premières personnes suspectées de Covid-19.
«Ce n'est toujours pas fait de façon systématique», a déploré M. Ciotti, élu des Alpes-Maritimes où se trouve l'Ehpad de Mougins. Le Covid-19 y a tué 36 résidents, les familles de quatre d’entre eux ont porté plainte, rappelle l'AFP.
https://fr.sputniknews.com/france/202004121043538800-on-a-laisse-mourir-les-vieux-du-covid-19-estime-eric-ciotti/
Ce que «l'étendue» nous apprend sur la recherche sur la pandémie et le gain de fonction de COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 04/12/2020 - 00:00
Soumis par Harvard à la Grande Maison
Un résumé YouTube accessible d'une grande partie du rapport ci-dessous rédigé par un professeur de neurobiologie de la faculté de médecine de l'Université de Pittsburgh est disponible ici.
"Vous pouvez dire que vous avez trouvé une question vraiment intéressante quand personne ne veut que vous y répondiez."
Au cours des derniers mois, des milliers d'humains ont perdu la vie depuis que COVID-19 a lancé sa tuerie à Wuhan, et à moins d'un miracle absolu, des millions d'autres personnes sur toute la planète se joindront à eux dans les mois à venir. Les comparaisons avec la pandémie causée par la grippe espagnole au début du XXe siècle abondent, mais une chose est claire: que ce soit en raison de la mondialisation ou des différences internes entre les virus, tandis que la grippe espagnole était un miasme lent qui a mis des années à se manifester le globe, la souche Wuhan du coronavirus, COVID-19, a recouvert la planète entière en quelques mois seulement.
Partout dans le monde, les usines sont au point mort, les magasins sont fermés, des dizaines de millions de personnes sont mises en quarantaine sur plusieurs continents et les chaînes d'approvisionnement se désintègrent.
Et curieusement, même si rien ne commence même à s'approcher de preuves concluantes que COVID-19 était une souche naturellement émergente qui a fait son chemin hors d'un hôte animal intermédiaire et chez l'homme, le consensus général dans les médias et le public semble être que explorer ses origines est quelque chose que ne font que des gens qui n'ont pas encore acheté que la Terre est en fait ronde et que nous avons effectivement atterri sur la lune. Et tout le monde semble être d'accord avec le fait que les scientifiques qui chantent le plus sur une origine naturelle sont ceux qui sont directement impliqués dans le type de recherche qui a probablement engendré ce virus: recherche de gain de fonction, ou «à double usage» qui destiné à pousser la nature au-delà de ses limites, afin que les humains puissent l'exploiter pour créer des monstres qui ne se produiraient jamais naturellement.
Pourquoi l'effort concentré pour marginaliser quiconque demande des preuves concluantes de l'origine de COVID-19? Qui en profite ?
«Nous avons modifié notre équipe scientifique pour supprimer les contraintes éthiques.»
En 1977, une maladie très particulière a commencé à se propager à travers la Russie, et une fois que les scientifiques l'ont isolée, ils ont découvert qu'il s'agissait d'une souche assez unique de la grippe porcine H1N1. Dans les années qui ont suivi l'analyse génétique visant à déterminer d'où cela pourrait provenir, il a trouvé quelque chose d'assez étrange: il était très similaire à des souches de H1N1 qui n'avaient pas été en circulation depuis des décennies et semblait être le produit d'un «passage séquentiel». dans un réservoir animal »qui a été déterminé par sa grande distance génétique de toute autre souche de grippe actuelle, tout comme COVID-19 qui semble également si éloigné de tout coronavirus apparenté qu'il a été placé dans son propre clade, une branche isolée son propre dans l'arbre généalogique viral - ce qui signifie qu'il est le seul exemple de son genre, et ne s'agglutine pas avec tous les autres coronavirus connus.
À l'époque, l'Union soviétique employait des dizaines de milliers de scientifiques concevant toutes les saveurs possibles des armes biologiques, un programme d'armes enragé immoral avec un dossier de sécurité inégale - les agents pathogènes étaient connus pour fuir presque régulièrement les laboratoires soviétiques. Ce qui s'est produit dans de nombreux laboratoires d'armes biologiques depuis, mais surtout en Chine, qui ont divulgué le virus du SRAS à quatre reprises ces dernières années. Et des scientifiques soviétiques auraient ramené des animaux de recherche morts à la maison pour le dîner, la viande n'était pas exactement disponible en URSS à l'époque, ce qui est similaire aux rapports de scientifiques de Wuhan faisant passer des animaux de laboratoire morts en contrebande pour les vendre pour quelques dollars supplémentaires sur le rue.
RépondreSupprimerPlus tôt dans les années 70, avant la fuite, «la peur de la grippe porcine… [avait] incité la communauté internationale à réexaminer ses stocks des dernières souches H1N1 en circulation pour tenter de développer un vaccin», ce qui aurait augmenté les chances que quelqu'un, quelque part, commettrait une erreur et ferait sortir une souche de grippe altérée de son laboratoire. Cette accélération de la recherche reflète les temps récents, lorsque les scientifiques ont enquêté et tenté de comprendre la menace supposée imminente posée par les coronavirus pendant des années, capturant autant de souches uniques de la nature que possible et mélangeant et assortissant leurs génomes en laboratoire.
Et donc l'augmentation des recherches sur la grippe porcine H1N1 dans les années 70 a finalement augmenté les chances qu'une erreur se produise suffisamment et qu'une fuite se produise. Tout comme notre pandémie actuelle a été précédée non seulement par des années de recherche sur les coronavirus partout de l'UNC au centre de recherche technique de Wuhan Institute of Virology, et a été accélérée par une conférence internationale massive destinée à étudier une pandémie potentielle causée par une hyper- souche virulente de coronavirus, Johns Hopkins 'Event 201. Elle a été financée principalement par le Forum économique mondial ainsi que par la Fondation Bill et Melinda Gates, et s'est notamment produite en octobre 2019, quelques semaines seulement avant le début de cette épidémie de COVID-19.
Si, jusqu'en 1977, le fait que l'augmentation des recherches sur les souches de la grippe augmentait les chances qu'une fuite accidentelle se produise, pourquoi la même logique n'est-elle pas appliquée à notre pandémie aujourd'hui ? Pourquoi presque tout le monde suppose-t-il aujourd'hui que l'augmentation du rythme de la recherche signifie que les scientifiques ont en fait anticipé cette épidémie au lieu de la provoquer ?
Un rythme de recherche accru n'augmenterait-il pas également les chances qu'une fuite d'un coronavirus modifié en laboratoire se produise, tout comme un rythme de recherche plus rapide a précipité la fuite de la grippe porcine H1N1 à l'époque?
"Vous donnez un bâton à un singe, inévitablement, il en battra un autre à mort"
Les scientifiques ont directement altéré et modifié les génomes viraux pendant au moins les vingt dernières années, faisant tout, de la construction de virus complets à partir de zéro, à leur peaufinage puis à leur passage à travers une série d'hôtes d'animaux pour accélérer artificiellement la sélection et l'évolution afin qu'ils soient capable d'avoir autant de souches différentes de virus avec autant de nouvelles fonctionnalités que possible pour bricoler.
RépondreSupprimerCependant, la plupart de ces travaux n'ont pas vraiment soulevé trop de sourcils, jusqu'à il y a environ dix ans, lorsque les scientifiques de Stony Brook, NY - pas par hasard aussi le premier endroit pour construire un ADN-virus à partir de zéro - ont pris la grippe aviaire H5N1, génome à deux endroits, puis passé à travers une série d'hôtes furets dans le laboratoire jusqu'à ce qu'il devienne aéroporté. Ce type de recherche, une altération mineure, puis un passage à travers les furets, a fait deux choses: a abouti à un virus qui aurait l'air naturel et ne semble pas avoir été directement modifié génétiquement, et a également créé un virus qui était tout seul branche de l'arbre généalogique viral, car ces passages séquentiels ont ajouté des générations beaucoup plus rapidement qu'ils ne se produiraient naturellement dans la nature. Si cela vous semble familier, c'est peut-être parce que ces caractéristiques sont également exactement ce que l'on trouve avec COVID-19.
Et dès 2015, des laboratoires chinois auraient été impliqués dans des recherches sur le gain de fonction à double usage, échangeant autour des génomes viraux en laboratoire pour essayer de créer la souche la plus virulente possible. De plus, des études examinant l'infectiosité du COVID-19 chez les furets ont révélé qu'il se propage facilement parmi eux et semble également en suspension dans ce modèle animal, ce qui confirme l'idée que les furets étaient utilisés pour le passage en série. Un soutien supplémentaire à la possibilité que le passage en série à travers des animaux de laboratoire ait joué un rôle dans la création de COVID-19 provient d'une pré-impression d'avril 2020, qui a révélé qu'il se lie aux cellules des furets plus étroitement que toute autre espèce, à l'exception de la musaraigne, qui ne marqué environ 2% de plus. Les musaraignes arboricoles ont également été utilisées pour le passage viral en série, et ont été promues dans un article de 2018 en Chine en tant qu'hôte préférable pour le passage en série en laboratoire car elles sont moins chères, plus petites, plus faciles à manipuler et plus proches des humains sur le plan évolutif et physiologique que les furets. . Cependant, les pangolins ont formé une liaison beaucoup plus faible que l'un et l'autre et ont été regroupés en bas de la liste avec une poignée d'autres hôtes animaux intermédiaires beaucoup plus improbables.
Curieusement, l'un des scientifiques soutenant cette recherche troublante dans un article qui a noté que le virus "pourrait changer l'histoire s'il était jamais libéré" est apparu sur le podcast de Joe Rogan en 2020 quelques semaines après la pandémie actuelle, affirmant que COVID-19 était définitivement naturel et ne faisant aucune mention de cette recherche de gain de fonction à double usage basée sur les animaux. Bizarre, non? C’est presque comme si Michael Osterholm, dont toute la carrière repose sur l’amélioration du gain de fonction de la recherche, pourrait vouloir blanchir ce qui se passe réellement ? Est-ce que ce soleil a chatouillé quand il a explosé dans le cul, Joe ?
Osterholm n'a pas raconté l'histoire de cette grippe aviaire H5N1 génétiquement modifiée, qui a été transformée en un virus qui "pourrait faire ressembler la pandémie meurtrière de 1918 à un froid embêtant". Ce résultat était si troublant que le NIH, qui avait financé la recherche, a essayé de s'assurer qu'il ne serait publié qu'après avoir extrait suffisamment de détails pour rendre la réplication de l'expérience difficile à réaliser. Cependant, l'un des virologues impliqués dans la recherche a trouvé ces restrictions un peu idiotes, car l'essentiel de l'expérience était suffisant pour permettre à quiconque disposant de suffisamment d'argent de les reproduire sans problème. Surtout des chercheurs qui connaissaient déjà la manipulation des coronavirus de chauve-souris, dont deux ont appris à faire exactement cela à l'UNC en 2015 avant de retourner à Wuhan pour continuer leur travail.
RépondreSupprimerQuelques années plus tard, le NIH interdirait cette recherche à double usage sur le «gain de fonction», une interdiction qui resterait en vigueur de 2014 à 2017, date à laquelle elle a été levée. Et quel était le raisonnement derrière la levée de l'interdiction ? Permettre la recherche sur les virus de la grippe, ainsi que sur le SRAS et le MERS - les coronavirus, tout comme notre nouvel ami COVID-19. Et donc des centaines de millions de dollars de financement ont été consacrés à la recherche sur ces virus, censément avec une surveillance censée réduire «le potentiel de création, de transfert ou d'utilisation d'un pathogène pandémique potentiel amélioré».
Il s'avère que cette surveillance n'a peut-être pas trop bien fonctionné, comme en témoignent les milliers de personnes décédées de COVID-19.
«Mais ce n'est qu'une machine. Ça ne pense pas. Il suit les instructions. Si nous apprenons à modifier cette programmation, nous devenons les architectes de ce changement. »
Et donc depuis 2017, les vannes ont été ouvertes, et de l'argent a été versé pour financer la recherche sur les gains de fonction sur les coronavirus, et ils ont été considérés comme tout comme une base potentielle pour créer un vaccin contre le VIH, pour pouvoir aider les scientifiques dans leur mission de créer un vaccin universel contre la grippe et le rhume. Sans surprise, la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a aidé à financer l'événement 201, a également investi des millions et des millions de dollars dans la recherche d'un vaccin contre le VIH, dont une grande partie est centrée sur l'exploitation des coronavirus.
Les incursions précédentes de Gate dans les programmes de vaccination ne se sont pas toujours aussi bien passées, en 2009, un vaccin contre le VPH parrainé par Gates de Merck a provoqué de graves effets secondaires chez des centaines de filles auxquelles il a été administré, tuant finalement sept d'entre elles. En plus de la science défectueuse derrière ce programme de vaccination, il y avait des preuves que la majorité des patients ne savaient pas à quoi ils s'inscrivaient, mais étaient de toute façon poussés à suivre un traitement. Un comportement plus contraire à l'éthique a été signalé dans la campagne MenAfriVac financée par Gates au Tchad, selon laquelle entre 50 et 500 enfants vaccinés contre la méningite développeraient une paralysie, conduisant un journal sud-africain à annoncer que «nous sommes des cobayes pour les fabricants de drogues». Et il y a une dispersion d'autres comptes couvrant d'éventuelles malversations par les programmes de vaccination financés par Gates dans le monde entier. Ce n'est donc pas que Bill Gates frappe personnellement de petits enfants au visage, mais que son financement bien intentionné puisse se retrouver dans de nombreux mauvais endroits dans la recherche aveugle de résultats, fournissant du financement pour des pratiques très louches et totalement contraires à l'éthique.
Faire remarquer que le financement de leur fondation n'est pas destiné à diaboliser la famille Gates, seulement à commencer à construire l'idée que la responsabilité ne revient pas aux seuls scientifiques de Wuhan, ou au Parti communiste chinois d'avoir tenté de camoufler le début de la pandémie. Et de souligner que rien dans le fait d'être informaticien ou homme d'affaires n'a quoi que ce soit à voir avec la politique de santé publique ou les implications scientifiques et sociales de la recherche sur le gain de fonction. Pourquoi le NIH a-t-il permis de rouvrir cette boîte de Pandore vraiment évidente en premier lieu mérite d'être répondu, et les organisations qui financent cette recherche devraient également porter la majeure partie du blâme.
RépondreSupprimerBill Gates pourrait vouloir être un philanthrope efficace vraiment mauvais, et il a peut-être été incroyable dans la conception de logiciels informatiques et la réduction de ses concurrents - mais cela ne fait pas un philanthrope. Après tout, au-delà des tactiques douteuses pratiquées par bon nombre des programmes de vaccination qu'il finance, sa tentative très bien intentionnée de sauver des vies en fournissant des moustiquaires insecticides a finalement été destructrice: de nombreux villageois munis des moustiquaires ont décidé qu'ils étaient meilleurs utilisé comme filets de pêche, entraînant des pénuries alimentaires en raison de la surpêche du fait que les filets de plus petite taille tissent beaucoup trop de juvéniles, ce qui réduit la croissance de la population.
Semblait être une bonne idée à l'époque, non ?
«La responsabilité répartie est le problème. Une personne donne l'ordre, une autre l'exécute. L'un peut dire qu'ils n'ont pas appuyé sur la gâchette, l'autre qu'ils faisaient juste ce qu'on leur avait dit, et tout le monde se laisse décrocher. "
Bien plus sinistre que la Fondation Gates finançant la recherche à double usage sur le gain de fonction est la participation de scientifiques qui espèrent exclusivement financer leur propre entreprise grâce à ce type de travail.
Alors que The Expanse avait Jules-Pierre Mao, un scientifique-PDG qui a utilisé sa société privée pour hybrider la protomolécule - une substance mystérieuse apparemment étrangère qui semble avoir son propre esprit - avec les humains pour créer des armes biologiques imparables, aujourd'hui nous avons Peter Daszak. Son entreprise, EcoHealth Alliance, qui est un organisme à but non lucratif qui dépend en grande partie de subventions gouvernementales de plusieurs millions de dollars pour fonctionner, travaille en partenariat avec un chercheur chinois depuis des années dans le but d'obtenir du financement pour de plus en plus de recherches sur les coronavirus. Au moins, ils ne prétendent même pas être philanthropiques.
Et dans l'une des tentatives les plus transparentes de spin-PR flagrant, Daszak a été présenté aux côtés de l'un des chercheurs qui a appris à créer des coronavirus hyper-virulents de chauve-souris à l'UNC en 2015, Zhengli Shi. Leur article insiste sur le fait que nous devrions prendre Zhengli au mot quand elle prétend n’avoir trouvé aucune correspondance après avoir vérifié le génome de COVID-19 contre tout dans son laboratoire. Comme si quelqu'un responsable de la libération de l'agent pathogène le plus virulent pour frapper l'humanité dans l'histoire moderne, celui qui a déjà tué des milliers de personnes et devrait en tuer des millions et des millions de plus à travers le monde, ne ferait qu'essayer, torpillant sa carrière et les années des recherches effectuées par elle et ses collègues ? Et peut-être les ouvrir tous à des répercussions juridiques et autres ?
Si vous ne savez toujours pas si les scientifiques impliqués dans ce type de recherche sont honnêtes, il y a le Dr Ralph Baric. C'est dans son laboratoire à l'UNC qu'une chauve-souris hyper-virulente Franken-virus a été créée en épissant une nouvelle pointe de protéine sur un coronavirus existant, créant un monstre si vicieux qu'un virologue de l'Institut Louis Pasteur de Paris a averti: «Si le [nouveau] virus s'est échappé, personne ne pouvait prédire la trajectoire. » Il convient également de noter que plusieurs années avant de bricoler directement avec des protéines de pointe de coronavirus de chauve-souris, Baric a orchestré des recherches qui consistaient à isoler un coronavirus de civettes, puis à le faire passer à travers des cellules de récepteurs ACE2 de mammifères cultivées en laboratoire à partir d'échantillons de rein et de cerveau passage en série à travers des lignées cellulaires hôtes au lieu d'hôtes entiers, ce qui a conféré une forte affinité pour ACE2 et a vraisemblablement créé une souche aéroportée de coronavirus. Et si des cellules dérivées des reins et du cerveau étaient utilisées pour le développement en série du COVID-19, cela pourrait aider à expliquer son affinité pour attaquer les reins et le cerveau de ses hôtes humains.
RépondreSupprimerDonc, s'il était honnête, vous pourriez vous attendre à ce qu'il avertisse le public des coronavirus potentiels mortels posés lors de notre épidémie actuelle. Cependant, lorsqu'on lui a demandé si le public devait s'inquiéter de COVID-19, il a répondu que les gens devraient être plus inquiets de la grippe saisonnière. Déclaration assez bizarre d'un scientifique qui savait très bien à quel point les coronavirus pouvaient être dangereux, surtout compte tenu du fait que non seulement Zhengli Shi travaillait dans son laboratoire sur ce projet en 2015, mais que Xing-Yi Ge l'était aussi. Tous deux sont retournés à Wuhan où ils ont poursuivi leur travail pendant des années.
Xing-Yi Ge est particulièrement remarquable car en 2013, il est devenu le tout premier scientifique à isoler un coronavirus de chauve-souris de la nature qui utilise le récepteur ACE2, qui se trouve dans les poumons des humains, des musaraignes et des furets et permet aux coronavirus de se disséminer dans l'air. Et comme vous l'avez peut-être déjà appris, c'est le récepteur exact utilisé par COVID-19 pour pénétrer dans les cellules humaines - si quelqu'un savait comment brouiller cette partie du génome du coronavirus, ce serait lui. Donc, Xing-Yi Ge et Zhengli Shi faisaient partie de l'équipe de recherche qui a créé ce coronavirus hybride de chauve-souris hyper virulent sous Baric, qui a activement minimisé le risque posé par COVID-19, puis est retourné travailler à Wuhan, où le financement a été une partie de l'entreprise de Daszak leur a permis de poursuivre leurs travaux sur les coronavirus avec de nombreuses recherches à couper et coller dans leur travail au Centre de recherche technique de l'ingénierie des maladies de l'Institut de virologie de Wuhan.
Et comme le dit le Dr Ian Malcolm dans Jurassic Park, ce n'est jamais une bonne idée de faire un tour avec la science et la recherche lorsque vous ne la comprenez pas pleinement, ni ses implications possibles.
"La partie la plus difficile de ce jeu est de savoir qui est vraiment l'ennemi."
À part le fait qu'il ne porte pas les marques directes de la falsification génétique, tout comme la grippe aviaire hyper-virulente H5N1, il n'y a littéralement rien de naturel dans le comportement ou la présentation clinique du COVID-19. Et de façon obsédante, des recherches évaluées par des pairs ont noté qu'une région cruciale de son génome «peut fournir un gain de fonction… pour une diffusion efficace dans la population humaine».
Non seulement il est si éloigné de tout autre coronavirus qu'il forme son propre clade, mais il n'y a même pas de voie naturelle pour qu'il émerge - les affirmations sur les pangolins ont toujours été au mieux douteuses, mais ont été encore plus démenties lors de l'analyse du génome de COVID-19 dans les régions qui montrent le plus fidèlement le patrimoine, il était «très peu probable» que des pangolins aient jamais été impliqués.
RépondreSupprimerAu-delà de cela, le fait que son affinité pour le récepteur ACE2 soit quelque part entre 10 et 20 fois plus élevé que le SRAS, et qu'il crée également des charges virales des milliers de fois plus élevées que le SRAS. Ces deux caractéristiques indiquent que le COVID-19 utilise une amélioration dépendante des anticorps, ou ADE, pour pénétrer dans les cellules humaines. C’est à ce moment que le virus est capable de détourner les globules blancs pour pénétrer plus facilement dans le reste des cellules de notre corps, lui permettant de s’infiltrer profondément dans le système nerveux de ses hôtes, créant des dommages neurologiques permanents chez les hôtes qu’il ne tue pas carrément. ADE pourrait également expliquer pourquoi entre 5% et 10% des patients une fois «guéris» à Wuhan se sont présentés avec de nouvelles infections, car ce phénomène permet à un virus de détourner les anticorps créés par une infection précédente pour réattaquer un vieil hôte. Et curieusement, Zhengli Shi, de l'UNC et de la renommée de Wuhan, a co-écrit un article de 2019 qui a utilisé des obus viraux inertes pour comprendre exactement comment le SRAS, avec son affinité pour le récepteur ACE2 tout comme COVID-19, a pu exploiter l'ADE pour détourner le blanc cellules sanguines pour une meilleure entrée des cellules. Une extension du gain de fonction de cette recherche serait exactement le genre d'expérience qui aurait pu donner naissance à COVID-19, d'autant plus que le document de 2019 a réussi à affiner la concentration exacte d'anticorps qui faciliterait le mieux l'ADE.
Le VIH et la dengue utilisent tous deux une amélioration dépendante des anticorps pour augmenter leur virulence, mais c'est généralement un phénomène qui prend beaucoup de temps à se produire lorsqu'il se produit dans la nature. Cependant, COVID-19 semble avoir pu avoir son ADE connecté à l'hyper-entraînement lors de son passage entre une série d'hôtes animaux, car il a la capacité beaucoup plus susmentionnée de se lier aux cellules hôtes et crée des charges virales de l'ordre de grandeur plus élevé, et semble également pouvoir immédiatement pénétrer dans le système nerveux de ses hôtes, tuant bon nombre de ses victimes en attaquant la région du cerveau qui contrôle la respiration, en abaissant considérablement le nombre de globules blancs au début des infections et en réinfectant apparemment des individus qui avaient semblait déjà effacer leur infection.
Les observations d'un médecin urgentiste qui a déclaré que j'avais vu des choses que je n'avais jamais vues auparavant augmentaient encore la possibilité que la présentation clinique unique de COVID-19 soit due à son EIM. n'ont pas de sens dans le contexte du traitement d'une maladie qui est censée être une pneumonie virale. Dans une interview avec Medscape, le Dr Cameron Kyle-Sidell a poursuivi en disant que la chose la plus proche des symptômes dont il était témoin dans sa salle d'urgence.
Rien dans la présentation clinique de COVID-19 n'est typique, y compris le fait que chez de nombreux patients, le premier signe d'infection semble perdre le sens de l'odorat et du goût sans aucun autre symptôme, ce qu'aucun autre virus sur terre n'est connu pour faire autrement asymptomatique. patients - mais qui pourrait éventuellement être due à une ADE artificiellement améliorée entrant immédiatement dans ces cellules nerveuses et les faisant frire. Les observations d'un médecin des urgences qui ont déclaré que «j'ai vu des choses que je n'avais jamais vues auparavant», ont-ils été témoins d'un phénomène médical, augmentent encore la possibilité que la présentation clinique unique de COVID-19 soit due à son EIM. cela n'a tout simplement pas de sens dans le contexte du traitement d'une maladie qui est censée être une pneumonie virale. » Dans une interview avec Medscape, le Dr Cameron Kyle-Sidell a poursuivi en disant que la chose la plus proche des symptômes dont il était témoin dans sa salle d'urgence était celle créée par le mal de l'altitude.
RépondreSupprimerCette condition se produit lorsque les organes qui détectent le niveau de concentration d'oxygène dans l'air que vous respirez remarquent que ce niveau diminue et commencent une cascade de changements physiologiques qui, comme les patients COVID-19 le montrent horriblement, peuvent rapidement devenir mortels lorsqu'ils jettent votre corps. l'équilibre hors de wack. Et puisque ces organes se trouvent dans votre cou juste à côté de vos artères carotides, il est tout à fait possible qu'après avoir fait frire les cellules nerveuses qui contrôlent l'odeur et le goût, que si la charge virale est suffisamment importante, l'infection puisse éventuellement pénétrer dans ces organes et les faire frire aussi - incitant votre système nerveux à communiquer à tort la concentration d'oxygène dans l'environnement et brouillant le même système que celui utilisé lorsque votre corps est soumis aux niveaux d'oxygène abaissés qui se produisent à haute altitude pour éventuellement tromper votre corps en produisant moins de globules rouges.
De plus, une capacité anormalement poussée à utiliser l'ADE expliquerait également ce que d'autres travailleurs médicaux de première ligne observent chez leurs patients: «Je vois des gens qui semblent relativement en bonne santé avec des antécédents de santé minimes, et ils sont complètement anéantis, comme s'ils avaient été heurtés par un camion. Cela élimine ce qui devrait être parfaitement en forme, des personnes en bonne santé. Les patients bénéficieront d'un soutien minimal, d'un peu d'oxygène, puis, tout d'un coup, ils se trouveront en arrêt respiratoire complet, s'arrêteront et ne pourront plus respirer du tout… Cela semble être le cas pour beaucoup de ces patients : Ils deviennent soudain insensibles ou souffrent d'insuffisance respiratoire. » Ce type de déclin soudain et précipité est exactement ce à quoi on pourrait s'attendre si la capacité de COVID-19 à utiliser l'EAD avait été accentuée en laboratoire, et expliquerait également les observations cliniques selon lesquelles «cette gravité de [détresse respiratoire aiguë] est généralement plus typique de quelqu'un qui a une expérience de noyade proche - ils ont un tas d'eau sale dans leurs poumons - ou des gens qui inhalent du gaz caustique. Surtout pour qu'il ait un début aussi aigu comme ça. Je n'ai jamais vu un micro-organisme ou un processus infectieux causer des lésions pulmonaires aussi aiguës aussi rapidement. C'est ce qui m'a vraiment choqué. »
Et aussi le récit horrible suivant: «Putain de merde, ce n'est pas la grippe. Regarder ce gars relativement jeune, à bout de souffle, des sécrétions mousseuses roses sortant de son tube et de sa bouche. Le ventilateur aurait dû faire le travail de respiration mais il était toujours à bout de souffle, bougeant sa bouche, bougeant son corps, se débattant. Nous avons dû le retenir. Avec tous les patients atteints de coronavirus, nous avons dû les retenir. Ils hyperventilent vraiment, ont vraiment du mal à respirer. Lorsque vous êtes dans cet état d'esprit qui a du mal à respirer et qui délire de fièvre, vous ne savez pas quand quelqu'un essaie de vous aider, alors vous allez essayer d'arracher le tube respiratoire parce que vous sentez qu'il vous étouffe, mais vous le noyait. "
RépondreSupprimerPersonne ne sait exactement combien de personnes sont mortes à Wuhan, où en janvier et février, les crématoriums fonctionnaient 24h / 24 et 7j / 7 alors qu'ils ne fonctionnaient généralement que quatre heures par jour et cinq jours par semaine, mais une tendance apparente est que plus le virus a été autorisé à circuler et à cracher de nouvelles variantes, plus il était mortel. Une preuve supplémentaire que bien plus de vies ont été perdues à Wuhan que le gouvernement chinois ne le révèle est fournie par le fait que quelque 21 millions d'utilisateurs de téléphones portables sont en quelque sorte tombés de la carte en Chine, ainsi que par les longues files d'attente pour recueillir les cendres de leurs proches à Wuhan, qui aurait enregistré à elle seule quelque 45 000 incinérations. Donc, cette létalité élevée peut être due en partie aux multiples variantes qui ont eu le temps de circuler à Wuhan, une caractéristique de l'ADE puisque chaque variante suivante est capable d'échapper à la détection par notre système immunitaire tout en détournant nos globules blancs pour augmenter sa virulence.
Et sans surprise, ni ADE ni la possibilité que COVID-19 puisse être un produit de passage en série à double usage avec gain de fonction des animaux n'a été mentionnée à la télévision par les virologues les plus susceptibles de pouvoir identifier ces phénomènes, c'est-à-dire notre front- Les intervenants médicaux en ligne sont aveuglés par un virus qui ne se comporte pas comme quelque chose de naturel, comme tout ce qu'ils ont déjà vu.
Encore plus indicatif d'une origine non naturelle est le fait que le processus de transfert d'un virus d'une espèce à une autre, appelé saut zoonotique, suit un schéma bien établi dans la littérature. Pour qu'un virus saute complètement dans une nouvelle espèce, plusieurs mois sinon des années sont nécessaires pour que le processus se termine. Tout d'abord, une variante du virus infecte un nouvel hôte, une infection qui disparaîtra la première fois qu'il se produit, car il n'y a aucun moyen pour un virus de s'adapter immédiatement à une nouvelle espèce hôte. Mais avec une exposition continue, plus d'infections individuelles se produisent, dont certaines produisent des variantes légèrement mutées plus adaptées à la biologie de la nouvelle espèce hôte, jusqu'à ce qu'une variante remporte la loterie virulente sélective et puisse se propager facilement parmi sa nouvelle population hôte, tuant et reproduire au fur et à mesure.
Et pourtant, des recherches publiées en 2018 ont révélé que seulement deux virgule sept pour cent des villageois vivant à environ un kilomètre des grottes de chauves-souris locales possédaient des preuves d'infections passées par le coronavirus des chauves-souris. Cette étude a également examiné des personnes vivant à Wuhan et n'a trouvé absolument aucune preuve d'infection antérieure par un coronavirus de chauve-souris, ce qui rend presque impossible le saut zoonotique, car des variantes moins létales du virus auraient laissé un large signature dans sa nouvelle population hôte. Au lieu de cela, COVID-19 est sorti de nulle part, ou plus probablement juste d'un laboratoire local, et a immédiatement été extraordinairement bien adapté aux humains - se propageant facilement dans l'air, tuant au fur et à mesure. De plus, il y a le fait que toutes les premières victimes ont été infectées par la même variante, si un saut zoonotique naturel s'était produit, plusieurs variantes différentes auraient inévitablement été trouvées au début d'une épidémie.
RépondreSupprimerEt ainsi que notre citation en titre fait allusion, bien qu'il soit certainement possible d'entraîner un singe à réchauffer un burrito congelé au micro-ondes, il est assez improbable qu'un singe sauvage qui n'avait jamais été en contact avec des humains auparavant puisse se voir présenter un burrito surgelé et micro-ondes, et préparez-vous à réchauffer une collation.
De la même manière, tout ce qui concerne la façon dont COVID-19 interagit avec ses hôtes humains et se propage parmi eux indique qu'il a été artificiellement formé pour se familiariser avec la biologie humaine - bloquant bizarrement nos sens de l'odorat et du goût avant de faire quoi que ce soit d'autre, se propageant facilement parmi patients asymptomatiques, puis en nous infectant et en nous tuant avec beaucoup plus d'efficacité que tout virus émergent naturel au début de son épidémie, et en émergeant d'abord sans prendre aucune des mesures nécessaires pour effectuer naturellement un saut zoonotique chez l'homme.
À un moment donné au cours des prochaines semaines, les Américains tomberont littéralement morts dans les rues, s'effondrant comme ils l'ont déjà fait en Chine, en Italie et en Iran.
Et tandis que les gens de votre télévision seront en train de perroquet tout ce que leurs parents d'entreprise leur diront, et pendant que les scientifiques intimement impliqués dans ce type de recherche se lisent comme «vous l'avaient dit» sur la menace que représentent les coronavirus au lieu d'informer le public sur la façon dont la menace à laquelle nous sommes confrontés est grave: des millions de personnes mourront et le travail à l'origine de cette pandémie se poursuivra à un rythme accéléré à mesure que le financement de la recherche sur le gain de fonction afflue.
"Rien n'a jamais tué plus de gens que d'avoir peur de ressembler à une poule mouillée."
Comme nous aimons le dire, l'Amérique est un pays libre. Et sans orientation fédérale judicieuse, et avec notre équipe d'intervention en cas de pandémie minée par des conseillers économiques et des proches qui n'ont que la compréhension la plus vague du fonctionnement de la science, sans parler de l'épidémiologie, nous approchons très rapidement de ce qui pourrait être notre dernier point d'inflexion.
Alors que les Jeux olympiques ont été reportés pour la première fois dans l'histoire moderne et que d'autres nations, de la Nouvelle-Zélande à la France, sont entièrement fermées au moins pour les prochaines semaines, les Américains n'ont pas été convaincus de ne pas se presser dans les lieux publics et les transports publics. Soi-disant, la prière, la ténacité et l'esprit américain vont fonctionner comme des traitements antiviraux efficaces.
RépondreSupprimerDonc, au moment où le public et nos fonctionnaires se rendent compte collectivement que COVID-19 n'a pas l'intention de se comporter de manière similaire à la grippe, ou comme tout virus naturel, et que nos agents de santé de première ligne se sont effectivement battus contre une arme depuis des semaines, la mort de millions d'autres Américains sera déjà inévitable.
L'effort actuel pour remettre l'économie sur la bonne voie ne mène qu'au carnage humain, se précipiter dans les gueules du virus ne peut mener nulle part ailleurs. Ralentir pour obtenir une image complète de ce qui se passe est apparemment hors de propos, tout comme toute sorte de discussion raisonnée sur la façon de sauver le plus de vies tout en étant en mesure de maintenir l'économie en stase jusqu'à ce que la pandémie soit sous contrôle. Et donc l'Amérique sera à jamais changée par cette pandémie, alors que nos institutions autrefois fiables nous conduisent directement au massacre.
Se précipiter dans le danger ne s'est jamais bien terminé. Après tout, ce sont toujours les portes et les coins où ils vous mènent.
"Parfois, il faut quelques monstres pour se remettre sur la bonne voie."
Signez la pétition pour mettre fin à la recherche sur le gain de fonction ici.
https://www.zerohedge.com/health/what-expanse-tells-us-about-covid-19-pandemic-and-gain-function-research
Supprimer(...) Les scientifiques ont directement altéré et modifié les génomes viraux pendant au moins les vingt dernières années, faisant tout, de la construction de virus complets à partir de zéro, à leur peaufinage puis à leur passage à travers une série d'hôtes d'animaux pour accélérer artificiellement la sélection et l'évolution afin qu'ils soient capable d'avoir autant de souches différentes de virus avec autant de nouvelles fonctionnalités que possible pour bricoler. (...)
Est-il temps pour une nouvelle direction ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 04/11/2020 - 18:10
Écrit par Jacob Hornberger via The Future of Freedom Foundation,
Si les Américains ne font pas de sérieuses introspection au milieu de cette crise, ils doivent commencer. Où va l'Amérique d'ici, ce n'est pas une sorte de débat ésotérique. Ce que nous faisons à ce stade a des conséquences sur la vie ou la mort. Se tromper et souffrir plus de mort, de souffrance et d'appauvrissement. Faites les choses correctement et l'Amérique se dirige vers la vie, la santé, la liberté, la paix, la prospérité et l'harmonie.
Ce que chacun doit reconnaître, c'est qu'il fait face à un choix de systèmes et non à un choix de personnes. Restez avec les mêmes systèmes ou passez à de nouveaux systèmes. C’est le choix auquel est confronté le peuple américain.
Examinons quatre systèmes dans lesquels nous vivons actuellement et vivons depuis des décennies.
Le système économique américain
Il s'agit d'un système planifié et géré de manière centralisée et géré par le gouvernement fédéral. Son objectif principal est de «faire la guerre à la pauvreté» en prenant de l'argent de force à tous et en le redistribuant aux personnes dans le besoin, telles que les personnes âgées et les pauvres. Il est basé sur une confiscation massive des revenus et de la richesse par l'Internal Revenue Service, sous forme d'impôts sur le revenu et de charges sociales.
Le système de santé américain
Il s'agit également d'un système planifié et géré de manière centralisée et géré par le gouvernement fédéral. Il est basé sur de grandes et puissantes agences centrales de planification comme les Centers for Disease Control et la FDA, ainsi que sur des programmes socialistes massifs comme Medicare et Medicaid, qui sont tous deux responsables d'imposer une crise de santé sans fin au peuple américain composé des coûts de santé toujours croissants qui ont mis en faillite des personnes ou les ont endettées.
Le système monétaire américain
Il s'agit également d'un système planifié et géré de manière centralisée, géré par le gouvernement fédéral, en particulier la Réserve fédérale. Depuis ses débuts en 1913, son travail a consisté à imprimer des quantités toujours croissantes de papier-monnaie pour permettre au gouvernement fédéral de financer les dépenses sans cesse croissantes du mode de vie de l'État-providence.
Le système américain d'empire et d'intervention étrangère
Il s'agit également d'un système planifié et géré de manière centralisée par la branche de la sécurité nationale du gouvernement fédéral. Son travail consiste à provoquer la mort et la destruction parmi les étrangers et, ce faisant, à apporter à son armée d'entrepreneurs de «défense» bien nantis, qui sont composés d'anciens membres de l'establishment de la sécurité nationale, des quantités toujours plus importantes de largesses financées par les contribuables.
Conséquences de la planification centrale
RépondreSupprimerComment fonctionnent tous ces systèmes ? La plupart, sinon la totalité, les gens conviendraient qu’ils ne fonctionnent pas bien du tout. Ensemble, ils ont soit mis en faillite des gens par le biais d'impôts ou de dettes, soit laissé des millions de personnes sans même suffisamment d'économies pour survivre à quelques mois de chômage.
Et devinez qui paie maintenant le plus gros prix de la crise des coronavirus - les personnes âgées et les pauvres. C'est parce que la FDA, dans toute sa sagesse de planification centrale, a interdit au secteur privé de produire des kits de test qui auraient, sans aucun doute, considérablement réduit le taux d'infection par les coronavirus.
Comment peuvent-ils réduire le taux d'infection s'ils ne savent pas qui a le virus, d'autant plus que les personnes infectées infectent les gens pendant environ une semaine avant de présenter des symptômes ? Un nombre considérable de kits de test bon marché aurait permis aux gens de détecter rapidement les personnes infectées, permettant à tous les autres de continuer à travailler.
Étant donné que leur système de santé dysfonctionnel n'a absolument pas réussi à endiguer la crise, ils ont recouru à la tyrannie et à l'oppression par un arrêt obligatoire de l'économie, plongeant des millions de personnes au chômage et même à la faillite.
Pour soulager la détresse financière de leur destruction des moyens de subsistance des populations, ils ont recours à leur système monétaire dysfonctionnel. La Réserve fédérale imprime maintenant de l'argent comme si elle se démodait. Quelqu'un croit-il vraiment que l'impression de milliers de milliards de dollars est un moyen de soulager la détresse économique? C’est juste une autre forme d’imposition, qui pille et pille les gens, en particulier les personnes âgées et les pauvres, par la dévaluation massive de leur argent.
Pendant ce temps, leur quatrième système dysfonctionnel fait en sorte que l'establishment de la sécurité nationale ne subisse aucune réduction budgétaire afin de lui permettre de maintenir ses mécanismes d'empire et d'intervention.
N'est-ce pas ironique ? Leurs quatre systèmes de planification et de gestion centralisées sont responsables de morts massives, de souffrances et d'appauvrissement non seulement ici au pays mais aussi à l'étranger.
Une direction différente
Si vous aimez comment tous ces systèmes dysfonctionnels ont fonctionné, fonctionnent et continueront de fonctionner dans le futur, continuez simplement à soutenir leur existence.
Mais ne vous y trompez pas: il y a un choix à faire ici parce qu'il y a quatre systèmes qui sont opposés aux quatre systèmes sous lesquels nous souffrons. Ces quatre systèmes sont les suivants:
Un système économique de libre marché
Dans ce système, tout le monde garde tout ce qu'il gagne - 100%, ce qui permet à chacun d'économiser beaucoup d'argent. Pas d'impôt sur le revenu et pas d'IRS. C'est un système basé sur une charité volontaire à 100 %. Ce fut le système économique fondateur de l'Amérique pendant plus de 100 ans. Il a produit la société la plus riche et la plus charitable de l'histoire.
Un système de santé libre
RépondreSupprimerDans ce système, le secteur privé et le marché libre sont entièrement sensibles aux soins de santé. Plus besoin d'obtenir la permission des bureaucrates fédéraux pour produire des kits de test ou autre chose car le gouvernement fédéral ne jouera aucun rôle dans les soins de santé. Une séparation totale des soins de santé et de l'État, tout comme nos ancêtres avaient la sagesse de séparer l'Église et l'État. Ce fut le système de santé fondateur de l'Amérique et dura plus de 100 ans. Il a produit le meilleur système de santé de l'histoire, un système dans lequel les coûts des soins de santé étaient bon marché et abordables et dans lequel les médecins et les hôpitaux traitaient gratuitement les pauvres sur une base purement volontaire.
Un système monétaire de libre marché
Dans ce système, le marché libre détermine la devise qui sera utilisée. Plus de Réserve fédérale et plus de lois ayant cours légal. Pendant plus de 100 ans, l'Amérique a eu le meilleur système monétaire de l'histoire, basé sur des pièces d'or et des pièces d'argent. Un système monétaire de libre marché améliorerait ce concept.
Une république à gouvernement limité avec une petite force militaire de base.
Plus d'État à sécurité nationale et plus de bases militaires étrangères et d'interventionnisme étranger. Plus de sanctions, d'embargos, d'invasions, d'occupations, de guerres d'agression, de torture, d'assassinats parrainés par l'État, de surveillance secrète de masse et d'autres destructions des libertés civiles. L'Amérique a été fondée en tant que république à gouvernement limité, qui a duré plus de 100 ans.
La même vieille direction contre une nouvelle direction
Alors voilà: quatre systèmes complètement différents parmi lesquels choisir. Les Américains devraient choisir judicieusement. Votre vie, votre santé et votre bien-être financier ainsi que ceux de vos proches, amis et voisins en dépendent.
https://www.zerohedge.com/political/it-time-new-direction
"Papiers s'il vous plaît !" Fauci approuve l'idée de la «carte d'immunité COVID» de Gates «a du mérite»
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 04/11/2020 - 17:45
Les discussions sur les cartes d'immunité COVID ont certainement été un sujet brûlant ces dernières semaines de hauts responsables occidentaux. Cela pourrait être le moyen de rouvrir des économies en panne vues à travers l'Europe et les États-Unis.
Le Dr Anthony Fauci, le plus grand expert américain des maladies infectieuses, a déclaré à l'animatrice de CNN "New Day" Alisyn Camerota que les gens pourraient bientôt porter des "cartes" prouvant leur immunité au COVID-19.
"Pouvez-vous imaginer une époque où les Américains portent des certificats d'immunité ?" Camerota a demandé à Fauci lors d'une interview vendredi.
"Vous savez, c'est possible", a répondu Fauci.
"C'est une de ces choses dont nous parlons lorsque nous voulons nous assurer que nous savons qui sont les personnes vulnérables et non."
Il a poursuivi: "C'est quelque chose qui fait l'objet de discussions. Je pense que cela pourrait avoir un certain mérite, dans certaines circonstances."
Le déploiement des cartes d'immunité dépendrait du succès des tests d'anticorps, qui pourraient être dévoilés en avril:
"Si leur test d'anticorps est positif, on peut formuler des stratégies pour savoir s'ils seraient à risque ou vulnérables à une réinfection", a déclaré Fauci.
Nous avons noté que la proposition de cartes d'immunité est apparue pour la première fois en Europe, l'Allemagne, l'Italie et le Royaume-Uni appelant tous à une forme de documentation permettant aux personnes immunisées contre la maladie de voyager librement. Imaginez entrer dans un aéroport, et un fonctionnaire dit: "papiers s'il vous plaît!" - tout en faisant référence à un passeport, vous pourriez également avoir besoin de votre carte d'immunité COVID.
Il y a quelques semaines, le président de la Chambre des démocrates, Mike Stewart, a évoqué ces passeports de santé spécialisés. La semaine dernière, le sénateur Bill Cassidy a présenté la création d'un registre en ligne qui aiderait à identifier les tests positifs et négatifs.
Et pour plus de confirmation que les passeports d'immunité vont être la prochaine grande chose dans le monde occidental, ou peut-être à travers le monde. Voici Bill Gates le 24 mars, donnant une interview de 50 minutes à Chris Anderson, le conservateur de TED, l'organisation à but non lucratif qui dirige les TED Talks.
- voir clip sur site -
À 34:14, Gates a discuté de la façon dont l'avenir dans un monde post-corona serait. Il a dit:
Finalement, nous devrons avoir des certificats indiquant qui est une personne récupérée, qui est une personne vaccinée ...
... Parce que vous ne voulez pas que les gens se déplacent dans le monde où vous aurez des pays qui ne le contrôleront pas, malheureusement.
Nous avons noté que les laissez-passer d'immunité et les «verrouillages intermittents» pourraient devenir une réalité dans les mois ou les trimestres à venir et durer un certain temps - comme les virologues de JPMorgan pensent que le virus pourrait se déployer en plusieurs vagues, comme lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
"Ici, JPM pense que les prochaines vagues pourraient être à une amplitude plus petite avec un potentiel de taux de mortalité inférieur à la première vague actuelle. Cela est dû à (1) une forte sensibilisation aux risques chez les parties prenantes; (2) un potentiel de réponse plus rapide du gouvernement au niveau du basculement de l'infection". point; et (3) manuel de risque amélioré à l'étape de confinement. Cependant, même une amplitude considérablement réduite de la vague 2 (et 3 et 4), suggèrent que les arrêts économiques en cours seront une caractéristique récurrente de la vie pendant des trimestres, voire des années! " nous avons dit la semaine dernière.
- voir graphique sur site -
Et comme l'a dit Gates: "Donc, finalement, il y aura cette preuve d'immunité numérique qui aidera à faciliter la réouverture mondiale." Il semble que Fauci et Gates soient sur la même page.
Dans un monde post-corona, l'état de surveillance prospérera à mesure que vos libertés s'éroderont. Big Brother vous surveille et le nouveau moyen de contrôle passe par les cartes d'immunité.
https://www.zerohedge.com/health/papers-please-fauci-agrees-gates-covid-immunity-card-idea-has-merit
Sous la pression de la juge, la compagne d'Assange révèle son identité et celle de leurs enfants
RépondreSupprimer12 avr. 2020, 15:57
La vie d'Assange ressemble à un film d'espionnage. Et si un élément manquait pour compléter l'intrigue, le voici : après cinq ans de secret absolu, une avocate du lanceur d'alerte révèle être sa compagne et avoir eu deux enfants de lui. C'était un secret bien gardé. Pour rester à l'abri des regards et des tractations politiques, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange et sa compagne avaient fait le nécessaire pour protéger hermétiquement leur intimité et l'existence même de leur relation et celle de leurs enfants.
L'identité de la femme et de leur progéniture était donc demeurée secrète jusqu'au 11 avril, date à laquelle, contrainte par les événements, Stella Morris a décidé de se dévoiler au grand jour. Dans une vidéo publiée à la fois sur le Daily Mail et le compte YouTube du comité de soutien du lanceur d'alerte, elle raconte leur relation alors qu'elle était déjà membre de son équipe juridique en 2011, comment ils sont tombés amoureux en 2015, et comment ils ont conçu leurs enfants à l'intérieur de l'ambassade d'Equateur à Londres, où Julian Assange a vécu en exil de juin 2012 au 11 avril 2019, date à laquelle il a été arrêté et placé en détention provisoire à la prison de haute sécurité de Belmarsh.
La juge […] Vanessa Baraitser a menacé de révéler le nom de la fiancée de mon fils et de leurs deux enfants la semaine prochaine. Il n'y avait pas de bonne raison à cela, sinon de continuer à intimider Julian pour essayer de le briser. Alors, Stella a été obligée de parler en premier La juge Baraitser voulait révéler son identité Cette révélation intervient quatre jours après que la juge britannique Vanessa Baraitser a émis l'hypothèse de lever la restriction sur la divulgation publique de l'identité de la compagne d'Assange, avant de reporter cette révélation d'une semaine suite aux vives protestations des avocats de la défense.
Une éventualité dénoncée par Christine Assange, la mère du lanceur d'alerte, comme s'apparentant à une «menace». «La juge […] Vanessa Baraitser a menacé de révéler le nom de la fiancée de mon fils et de leurs deux enfants la semaine prochaine. Il n'y avait pas de bonne raison à cela, sinon de continuer à intimider Julian pour essayer de le briser. Alors, Stella a été obligée de parler en premier», a écrit Christine Assange sur son compte Twitter.
Dans ces révélations, le public apprend que Julian Assange a secrètement engendré deux fils alors qu'il se trouvait réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres, où il bénéficiait de l'asile politique. Gabriel, âgé de deux ans, et son frère d'un an Max, ont donc été conçus pendant que leur père se cachait dans la représentation diplomatique pour éviter l'extradition vers les Etats-Unis, où il est poursuivi. «Un acte de rébellion» Stella Morris fait partie des avocats du lanceur d'alerte. A l'époque où elle l'a rencontré, il était recherché par la Suède pour une accusation de viol. Ces poursuites sont aujourd'hui abandonnées.
Sud-africaine âgée de 37 ans, Stella Morris parle couramment le suédois et l'espagnol, des compétences cruciales pour le lanceur d'alerte. À l'époque, elle participait donc activement à sa défense et se rendait tous les jours à l'ambassade pour travailler avec lui. Elle raconte que leur relation intime a commencé en 2015 et qu'ils sont fiancés depuis 2017. Julian m'a farouchement protégée et a fait de son mieux pour me préserver des cauchemars de sa vie Malgré la surveillance permanente des autorités britanniques, voire de la CIA, le couple a réussi à garder secrètes leur relation et la naissance de leurs enfants.
Julian Assange aurait même pu assister à la naissance de ses deux enfants dans des hôpitaux de Londres via une liaison vidéo en direct. Les deux garçons, citoyens britanniques, ont rendu visite à leur père à l'ambassade et en prison.
RépondreSupprimer«Au cours des cinq dernières années, j'ai découvert que l'amour rend les circonstances les plus intolérables supportables», confie Stella Morris tout en assurant que «Julian [l]'a farouchement protégée et a fait de son mieux pour [la] préserver des cauchemars de sa vie». Elle explique à cet égard avoir vécu tranquillement jusque-là, élevant ses enfants et aspirant au jour où ils pourraient être réunis. Dans les guerres, les gens peuvent tomber amoureux malgré tout.
Être amoureux, se fiancer, avoir des enfants pendant qu'il était à l'ambassade, c'était un acte de rébellion Le couple aurait même envisagé de se marier à l'intérieur de l'ambassade. «Nous voulions une famille […] Nous en avons parlé à plusieurs reprises, puis Julian m'a dit : "les gens prennent des décisions difficiles dans des situations difficiles et nous réussirons"», raconte Stella Morris. «C'était comme être dans une zone de guerre. Dans les guerres, les gens peuvent tomber amoureux malgré tout. Être amoureux, se fiancer, avoir des enfants pendant qu'il était à l'ambassade, c'était un acte de rébellion», explique-t-elle.
Un espion aurait voulu accéder à une couche-culotte de l'enfant pour obtenir son ADN Dans son récit vidéo, Stella Morris raconte également comment elle a tout fait pour que les agences de surveillance ne découvrent pas sa grossesse. De même, elle explique qu'une fois leur premier enfant né, pour l'emmener voir son père, elle était accompagnée d'un ami qui entrait toujours avant ou après elle dans l'ambassade en faisant passer l'enfant pour le sien.
Il est difficile d'en parler sans que cela ne sonne comme si c'était un complot fou, mais c'est la réalité du monde de Julian Stella Morris rapporte à cet égard une anecdote digne d'un film d'espionnage : en janvier 2018, un gardien travaillant pour la société de sécurité espagnole en charge de l'ambassade l'aurait avertie d'un plan visant à voler l'une des couches de Gabriel pour accéder à son ADN. «Par dégoût, il a décidé de me dire ce qu'on lui avait demandé de faire», explique la compagne de Julian Assange. «On lui avait demandé de me suivre et de voler la couche de notre bébé pour qu'ils puissent analyser l'ADN […] J'en ai eu des nausées.
Je savais qu'il y avait de l'espionnage, mais cela semblait impitoyable, comme s'il n'y avait pas de limite», confie-t-elle. «Ce n'était pas seulement une invasion de la vie privée de Gabriel ; cela m'a fait penser qu'il n'était pas en sécurité», ajoute la mère. «Il est difficile d'en parler sans que cela ne sonne comme si c'était un complot fou, mais c'est la réalité du monde de Julian», assure-t-elle. Malgré ses inquiétudes, le couple a décidé d'avoir un second enfant. Mais durant cette grossesse en 2017, un nouveau gouvernement équatorien est arrivé au pouvoir, le nouveau président du pays, Lenin Moreno, devenant assez rapidement hostile à Julian Assange, interdisant les visiteurs dans l'ambassade et restreignant son téléphone et l'accès à internet.
Stella Morris n'a pas pu voir son compagnon de novembre 2018 jusqu'à la naissance de Max en février 2019. Arrêté en avril 2019, Julian Assange n'a rencontré son second fils qu'en mai, selon le récit de Stella Morris, lorsque celle-ci a été autorisée à s'introduire dans la prison de Belmarsh avec les deux garçons. Au même moment, rapporte le Daily Mail, les images de la naissance de Max avaient été saisies par les Etats-Unis, ainsi que les documents juridiques de Julian Assange, à l'intérieur de l'ambassade d'Equateur.
RépondreSupprimerMenacé par le coronavirus Aujourd'hui, Stella Morris et ses enfants ne peuvent plus rendre visite à Julian Assange en prison en raison des mesures prises face à l'épidémie de coronavirus. Sa compagne dit craindre que la santé d'Assange ne soit sérieusement menacée s'il demeure à Belmarsh, où un détenu serait déjà décédé de Covid-19. La juge Baraitser ayant refusé la libération sous caution de Julian Assange, Stella Morris plaide pour que son fiancé soit libéré dans le cadre des plans du gouvernement visant à relâcher des milliers de prisonniers pour endiguer la propagation du virus dans les prisons britanniques.
Cependant, les autorités ont fait savoir à l'agence de presse Australian Associated Press (AAP), le 4 avril, que le fondateur de WikiLeaks n'était pas éligible pour bénéficier du plan, car il ne purge pas à proprement parler «une peine de prison», étant en détention préventive. Stella Morris affirme pourtant que Julian Assange est doublement vulnérable, car il souffre d'une maladie pulmonaire chronique exacerbée par ses années de confinement à l'ambassade, ainsi que de problèmes de santé mentale qui s'aggravent avec l'isolement.
«La mauvaise santé physique de Julian le met en danger, comme beaucoup d'autres personnes vulnérables. Et je ne pense pas qu'il survivra à une infection par le coronavirus», s'alarme-t-elle, visiblement très émue. «Mentalement, je ne pense pas non plus qu'il survivra à un isolement forcé», ajoute-t-elle. «Il est actuellement en isolement cellulaire 23 heures et demie par jour, sans accès à nous, à sa famille ou à l'aide psychiatrique dont il a besoin», rapporte Stella Morris. Lire aussi Assange : manifestation virtuelle un an après l'incarcération du lanceur d'alerte à Belmarsh Acculée par la pression exercée par la juge, Stella Morris a également choisi la date du 11 avril pour révéler son identité, car elle marque l'anniversaire de la première année de détention de Julian Assange à Belmarsh, et qu'elle se dit «terrifiée de ne pas le revoir vivant».
«Pendant longtemps, j'ai craint de perdre Julian par suicide s'il n'y avait aucun moyen de mettre fin à son extradition vers les Etats-Unis. Je crains maintenant de le perdre plus tôt, à cause du virus», alerte sa compagne. «Julian n'a pas voix au chapitre pour le moment, mais moi oui», fait-elle enfin valoir pour expliquer sa prise de parole. Le fondateur de WikiLeaks se trouve actuellement en détention préventive en attendant l'issue de son procès d'extradition vers les Etats-Unis. Si cette demande de Washington devait aboutir, Julian Assange risquerait 175 ans de prison. Il est poursuivi en vertu des lois anti-espionnage de 1917 et pour piratage informatique, pour avoir diffusé à partir de 2010 plus de 700 000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, dont des crimes de guerre, notamment en Irak et en Afghanistan.
Meriem Laribi
https://francais.rt.com/international/73971-sous-pression-juge-compagne-julian-assange-revele-identite-enfants
Face à la pandémie, des présidents de département PS plaident pour un «revenu de base» universel
RépondreSupprimer12 avr. 2020, 13:22 -
Dans une tribune publiée par le Journal du Dimanche, 19 présidents de département socialistes proposent, en cette période de crise sanitaire aux lourdes conséquences sociales, de «lutter contre la pauvreté» en instaurant un revenu universel. 19 présidents Parti socialiste (PS) de département prônent l'instauration d'un «revenu de base» universel, présenté comme un outil pragmatique pour lutter contre la pauvreté dans le contexte de l'épidémie de coronavirus. Lire aussi Face à la pandémie, le gouvernement espagnol souhaite mettre en place un revenu universel «Alors que la crise sanitaire du Covid-19 évolue chaque jour un peu plus en une crise économique mondiale, poussant nos systèmes de solidarité dans leurs retranchements, le revenu de base apparaît [...] comme une solution pour amortir le choc social qui risque de faire basculer nombre de nos concitoyens dans la précarité», écrivent-ils dans une tribune publiée par le site du Journal du Dimanche le 11 avril.
L'allocation qu'ils appellent de leurs vœux serait «sans contrepartie mais avec un accompagnement renforcé, automatique pour résoudre le problème du non recours aux droits, ouvert dès 18 ans pour lutter contre la précarité des plus jeunes, dégressif en fonction des revenus d’activité et d’un montant égal au seuil de pauvreté.» «Comme l’a justement dit le président de la République le 12 mars dernier», soulignent-ils encore les élus socialistes, «des décisions de rupture sont aujourd’hui nécessaires.
Cette solution solidaire changera le référentiel des solidarités humaines pour redonner aux Françaises et aux Français confiance en un système créé pour leur apporter, à la fois, la sécurité de l’existence et les outils de leur autonomie.» Le Fonds monétaire international (FMI) compare les effets économiques attendus de la pandémie à ceux de la Grande Dépression de 1929. En France, où le quart des salariés du privé est déjà au chômage partiel, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire anticipe pour l'heure un recul du PIB de 6% en 2020.
Les 19 signataires de la tribune sont : Sophie Borderie (Lot-et-Garonne), Denis Bouad (Gard), Jean-Luc Chenut (Ille-et-Vilaine), Xavier Fortinon (Landes), Jean-Luc Gleyze (Gironde), Philippe Grosvalet (Loire-Atlantique), Mathieu Klein (Meurthe-et-Moselle), Alain Lassus (Nièvre), Philippe Martin (Gers), René Massette (Alpes-de-Haute-Provence), Georges Méric (Haute-Garonne), Kléber Mesquida (Hérault), Henri Nayrou (Ariège), Germinal Peiro (Dordogne), Serge Rigal (Lot), Nathalie Sarrabezolles (Finistère), Stéphane Troussel (Seine-Saint-Denis), Laurent Ughetto (Ardèche) et André Viola (Aude).
https://francais.rt.com/france/73973-face-pandemie-presidents-departement-ps-plaident-revenu-universel-de-base
Un arrêté municipal sur le port du masque obligatoire retoqué
RépondreSupprimer17:24 12.04.2020
Le préfet de l'Hérault a cassé l’arrêté d’un maire qui voulait rendre le port du masque obligatoire sur sa commune. La position de la préfecture rejoint celle du gouvernement sur le sujet.
Le maire de Vias, près de Béziers, s’est vu désavoué par son préfet, alors qu’il souhaitait rendre obligatoire le port du masque sur sa commune, rapporte un communiqué de la préfecture de l’Hérault, ce samedi 11 avril.
Le maire Jordan Dartier avait en effet pris un arrêté en ce sens, préconisant le port du masque, «pour l’ensemble des personnes se déplaçant dans l’espace public situé sur sa commune». L’arrêté prévoyait également des verbalisations pour les contrevenants.
Dans une vidéo diffusée le 10 avril, le maire précisait prendre cette décision après avoir constaté que certains ne respectaient pas les mesures de confinement dans sa commune. À défaut de masques chirurgicaux ou FFP2, il encourageait l’emploi d’une «protection réalisée par d’autres procédés, type foulard, châle, à condition que ceux-ci couvrent le nez et la bouche».
Un arrêté jugé illégal
Le maire a finalement été obligé de retirer son arrêté, jugé «illégal» par la préfecture. Cette dernière indique dans son communiqué que le port d’un masque «doit être utilisé sous certaines conditions de bon usage, et ne peut être imposé».
«Cela part d'un bon sentiment. Mais le port obligatoire du masque n'est pas à l'ordre du jour actuellement», expliquent les autorités préfectorales à France 3 Occitanie.
Le 9 avril, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait déjà affirmé au micro de France Info que la généralisation du port du masque devait faire l’objet d’«un consensus scientifique».
https://fr.sputniknews.com/france/202004121043540211-un-arrete-municipal-sur-le-port-du-masque-obligatoire-retoque/
(...) À défaut de masques chirurgicaux ou FFP2, il encourageait l’emploi d’une «protection réalisée par d’autres procédés, type foulard, châle, à condition que ceux-ci couvrent le nez et la bouche». (...)
Supprimerfoulard, châle etc NE SERVENT A RIEN ! Un microbe n'est PAS un moucheron ou une poussière !
(...) Le maire a finalement été obligé de retirer son arrêté, jugé «illégal» par la préfecture. Cette dernière indique dans son communiqué que le port d’un masque «doit être utilisé sous certaines conditions de bon usage, et ne peut être imposé».
«Cela part d'un bon sentiment. Mais le port obligatoire du masque n'est pas à l'ordre du jour actuellement», expliquent les autorités préfectorales à France 3 Occitanie. (...)
Mais le port obligatoire du masque n'est pas à l'ordre du jour actuellement» !! Si TOUT LE MONDE PORTAIT UN MASQUE FF P2 ou FF P3, LE CONFINEMENT SERAIT INUTILE !
(...) Le 9 avril, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait déjà affirmé au micro de France Info que la généralisation du port du masque devait faire l’objet d’«un consensus scientifique». (...)
Si TOUT LE MONDE PORTAIT UN MASQUE FF P2 ou FF P3, LE CONFINEMENT SERAIT INUTILE ! Il n'y a PAS de 'consensus scientifique' là-dedans !
L'OPEP+ trouve un accord «historique» sur une baisse mondiale de la production de pétrole
RépondreSupprimer23:05 12.04.2020
Les producteurs de pétrole de l’OPEP+ sont parvenus à un accord «historique» qui implique notamment une réduction de la production mondiale de pétrole de près de 10 millions de barils par jour à partir du 1er mai.
Une baisse de l’offre pétrolière mondiale de près de 10 millions de barils par jour a été décidée par les pays de l’OPEP+, a écrit sur Twitter le ministre koweïtien du Pétrole, de l'Électricité et de l'Eau Essam Abdul Mohsen Al-Marzouq. Elle sera mise en place à partir du 1er mai. Le ministre a fait cette annonce suite à une vidéoconférence tenue par les représentants des pays ce dimanche 12 avril.
«Nous annonçons un accord historique visant à réduire la production de pétrole des membres de l'OPEP+ d'environ 10 millions de barils par jour à partir du 1er mai 2020», a-t-il écrit.
Le ministère iranien du Pétrole a par la suite précisé que les membres du groupe avaient convenu de réduire de 9,7 millions de barils par jour la production de pétrole en mai et en juin.
Les pays de l'OPEP+ réduiront leur production de huit millions de barils par jour au deuxième semestre de 2020, selon le ministre iranien du Pétrole Bijan Zanganeh.
«En mai et juin, la réduction sera d'environ 10 millions de barils par jour. Au cours des six prochains mois, c'est-à-dire jusqu'à la fin de l'année, huit millions de barils. Pendant les 16 mois suivants, jusqu'en avril 2022, six millions de barils par jour», indique l'agence iranienne Shana.
Au total, le groupe espère que la production diminuera de 19 millions de barils par jour à partir de début mai. Cela tient compte d'autres producteurs de pétrole, dont les États-Unis, le Canada et la Norvège, a détaillé une source à Sputnik.
Le ministre russe de l'Énergie fait la lumière sur les conditions de l'accord pour Moscou
Dans le cadre du nouvel accord, la Russie baissera en mai et juin son volume d'extraction de pétrole de 2,5 millions de barils par jour, sur les 9,7 mentionnés, a déclaré le ministre de l'Énergie Alexandre Novak.
Et d'ajouter que pour base la Russie avait accepté un volume de 11 millions de barils par jour.
Le Mexique participe
Le Mexique, qui avait auparavant empêché l'OPEP+ de conclure un accord, a confirmé sa participation à l’entente.
Comme annoncé plus tôt, le pays réduirait sa production de 100.000 barils et les États-Unis prendraient une partie des engagements mexicains et réduiraient leur production de 300.000 barils.
Toutefois, il n'est pas clair pour l’heure de savoir comment se poursuivra la réduction de la production du Mexique après juin.
Chute brutale des prix du pétrole
Au cours du mois de mars, les cours de l'or noir ont flanché, descendant à leurs plus bas de ces 17 à 18 dernières années.
Cette chute est partiellement due au coronavirus qui n’est pas resté sans effet sur la demande sur les hydrocarbures. L’absence d’un consensus parmi les membres de l’OPEP+ a également ébranlé le marché, l’Arabie saoudite a rejeté la proposition de Moscou de maintenir les volumes actuels d’extraction, insistant sur une baisse.
RépondreSupprimerEn l’absence d’accord, Riyad a au contraire dopé sa production et a annoncé une baisse des prix ce qui a fait s’effondrer les cours.
https://fr.sputniknews.com/economie/202004121043541024-lopep-trouve-un-accord-historique-sur-une-baisse-mondiale-de-la-production-de-petrole/
Le prix du baril (divisé par 3 depuis Janvier) au plus bas mais, les prix à la pompe n'ont guère changé !
SupprimerDe plus, aucune livraison de mazout faute de chauffeur !
Arrêt de COVID-19: la fin de la mondialisation et de l'obsolescence planifiée - Entrez dans la multipolarité
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 04/12/2020 - 23:50
Écrit par Joaquin Flores via The Strategic Culture Foundation,
La pandémie de coronavirus a montré que les deux processus de mondialisation et d'obsolescence programmée sont déficients et moribonds. La mondialisation était fondée sur un certain nombre d'hypothèses, y compris la perpétuité du consumérisme et le dépérissement des frontières nationales en tant que sociétés transnationales si nécessaire.
Ce que nous voyons à la place n'est pas un processus de mondialisation, mais plutôt un processus de multipolarité croissante et de repenser le consumérisme lui-même.
Normalement, un effondrement total du marché et une crise du chômage inaugureraient une période d'activité militante, de grèves, de départs et de campagnes de travail communautaire. Nous en avons déjà vu une partie. Mais «l'état d'urgence médicale» dans lequel nous nous trouvons a effectivement fonctionné comme un «lock-out». Les élites ont effectivement inversé le script. Au lieu que les travailleurs demandent maintenant une restauration des salaires, des heures et des droits sur le lieu de travail, ils réclament toute chance de travailler, quelles que soient les conditions imposées. Les élites peuvent «se permettre» de le faire parce qu’elles ont reçu des milliards de dollars pour le faire. Voyez comment cela fonctionne?
Toute notre vie, nous avons été mal informés sur ce que signifie une économie en croissance, à quoi elle ressemble, comment nous l’identifions. Toute notre vie, on nous a menti sur ce que signifie littéralement amélioration technique.
Une économie en croissance signifie en fait que tous les biens et services deviennent moins chers. Cela réduit l'inflation. Au contraire, tous les prix devraient être dégonflés - moins d'argent devrait acheter le même (ou le même argent devrait acheter plus). L'innovation technique signifie que les biens devraient durer plus longtemps, ne pas être planifiés pour une obsolescence avec des durées de vie plus courtes.
Le chômage est bon s'il est parallèle à la déflation des prix. Si les deux atteignaient un point zéro, les problèmes que nous pensons avoir seraient résolus.
Dans un article révélateur du 2 avril publié sur le site Web de la BBC, le coronavirus inversera-t-il la mondialisation? il est proposé que la pandémie expose les faiblesses et les vulnérabilités d’une chaîne d’approvisionnement mondiale et d’un système de fabrication, et que, combinée à la guerre commerciale globale entre les États-Unis et la Chine, la tendance générale soit à la «redéfinition» des activités. Ce sont des points justes.
Mais l'article passe à côté du problème sous-jacent auquel est confrontée l'économie en général: la baisse du taux de profit rendue nécessaire par l'automatisation, les politiques de plus en plus irrationnelles, dans tous les domaines, étant poursuivies pour sauver les finalement irrécupérables.
La roue karmique de la production-consommation
Les arrêts - qui semblent inutiles chez les nombreux experts de virologie et d'épidémiologie largement reconnus - semblent viser à stopper le cycle production-consommation. Lorsque nous examinons la création gratuite de nouvelle «monnaie» pour renflouer les banques, on nous dit que cela ne provoquera pas d'inflation / d'avilissement tant que la vitesse de la monnaie sera maintenue au minimum. En d'autres termes - tant qu'il n'y a pas de réaction en chaîne des transactions et que l'argent «reste immobile» - cela ne provoquera pas d'inflation. C’est une affirmation spécieuse, mais qui justifie la politique de quarantaine / verrouillage qui détruit aujourd’hui chaque jour des milliers de petites entreprises. Aux États-Unis seulement, les demandes de chômage dépasseront les 30 millions d'ici la mi-avril.
De même, cet argent semble réel, il se présente numériquement comme une nouvelle liquidité sur les écrans d'ordinateur des banques transatlantiques - mais il ne peut pas être dépensé, ou il met le système en hyper-inflation. Plus précisément, la pièce de la BBC continue à tort d'assumer la nécessité du cycle de production-consommation, transformant le blé en or pour toujours.
RépondreSupprimerLes élites n'ont pas eu tort d'arrêter le cycle en soi. Le problème est qu'ils ne peuvent pas offrir le bon matériel à sa place - car cela met fin à la façon même dont ils font de l'argent. C'est cela, qui à son tour est une source majeure pour le maintien de leur équilibre en dopamine et leur approvisionnement en narcissiques.
Ce n’est pas un problème économique auquel sont confrontés «les 1%» (les 0,03%). C'est une crise existentielle confrontée au sens de leur vie, où la satisfaction ne peut se trouver que dans des niveaux toujours plus élevés de richesse et de contrôle, réels ou imaginaires - à la poursuite de ce dragon, à la recherche de ce haut toujours insaisissable.
Alors naturellement, leurs solutions sont la réduction de la population et d'autres plans néo-malthusiens quasi génocidaires. La destruction de l'humanité - la première force potentielle productive - réinitialise les mains du temps, à une époque où les niveaux de profit étaient plus élevés. La campagne Instagram sur le coronavirus, favorisée par l'algorithme, consistant à voir les centres-villes sans personnes et à déclarer ces «beaux» et «pacifiques» est un exemple de ce principe misanthropique en jeu.
Le fait que les élites aient choisi de fermer l'économie occidentale est révélateur d'un point historique que nous avons atteint. Et bien que l'on nous dise que la production et la consommation reviendront quelque peu «après la quarantaine», nous entendons également des tsars non élus nouvellement apparus - Bill Gates et al - que les choses ne reviendront jamais à la normale.
Ce qu’il nous faut pour terminer, c’est toute la théorie et la pratique de la mondialisation elle-même, y compris l’Agenda 21 des Nations Unies et le rôle dangereux des philanthropes qui parlent de livres comme Gates et son degré de pouvoir extrêmement déséquilibré sur la formation des politiques dans la sphère occidentale.
Au lieu d'un déclin de la mondialisation, nous constatons la réalité de la montée de la multipolarité et de l'internationalisme. Avec cela, la fin du cycle production-consommation, basée sur la production off-shore et l'assemblage international, et à l'origine de tout: obsolescence programmée vers la rentabilité à long terme.
Le problème de la théorie de la mondialisation
Sans aucun doute, la théorie de la mondialisation satisfait des aspects du pouvoir descriptif. Mais à mesure que le temps avançait, son pouvoir prédictif s'affaiblissait. D'autres théories ont commencé à émerger - la principale étant la théorie de la multipolarité.
La promotion de la théorie de la mondialisation pose également des problèmes éthiques. Comme un criminologue «décrivant» une vague de criminalité tout en étant investi dans la construction de nouvelles prisons, la théorie de la mondialisation était autant une théorie qu'une politique imposée au monde par les mêmes institutions derrière sa popularisation dans le monde universitaire et dans l'élaboration des politiques. Il ne faut donc pas s'étonner de la montée de solutions comme celles de Gates. Celles-ci impliquent des «vaccins» brevetables par des entreprises à but lucratif au détriment du renforcement des immunités humaines naturelles, ou de l'utilisation de médicaments que d'autres pays utilisent avec efficacité.
La vérité ? La mondialisation n'est en réalité qu'une nouvelle image du Consensus de Washington - des groupes de réflexion néolibéraux et la domination éternelle présumée d'institutions comme la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, qui à leur tour sont des conglomérats à peine déguisés des plus grandes institutions bancaires transatlantiques.
RépondreSupprimerAinsi, alors que la mondialisation a souvent reçu un vernis humaniste qui promettait le développement mondial, la modernisation, la fin des «États-nations» qui sont vraisemblablement la source de la guerre; en réalité, la mondialisation était fondée sur la concentration continue et croissante du capital vers les zones du XIXe siècle - New York, Londres, Berlin et Paris.
L’internationalisme était autrefois enraciné dans l’existence de nations qui, à leur tour, ne sont possibles que grâce à l’existence de cultures et de peuples, mais ont été détournés par le projet transatlantique. En peu de temps, les «internationalistes» de la nouvelle gauche sont devenus les champions du même processus impérialiste auquel leurs ancêtres se sont opposés avec véhémence. Appelez cela la «mondialisation» et montrez comment elle détruit le «nationalisme toxique» et crée des «solutions de microfinance pour les femmes et les filles» - au large de Malala - et elle a été achetée; crochet, ligne et plomb.
Ce n’était pas la nouvelle ère de la «mondialisation», mais plutôt les suspects habituels remontant au 19e siècle; un changement de marque «de bien-être» du même impérialisme du 19e siècle tel que décrit dans le travail fondateur de J.A Hobson de 1902, Imperialism. Son «inévitabilité» revendiquée ne reposait pas sur l'impossibilité de modèles alternatifs, mais sur l'autorité qui découle de la diplomatie des canonnières. Mais la puissance maritime a cédé la place à la puissance terrestre.
À bien des égards, il correspondait à l'ère de la décolonisation et du post-colonialisme. Les nouvelles nations pourraient brandir leurs propres drapeaux et faire leurs propres lois, tant que les institutions bancaires occidentales traditionnellement impérialistes contrôleraient la masse monétaire.
Mais ce qui émerge n'est pas la «mondialisation» du Consensus de Washington, mais un modèle multipolaire basé sur la souveraineté et la différence civilisationnelles, construisant des produits pour durer - pour leur utilité et non pour leur potentiel de vente au détail reproductible. Cela va à l'encontre des affirmations selon lesquelles l'homogénéisation mondiale dans tous les domaines (moral, culturel, économique, politique, etc.) était inévitable, en raison de la spécialisation mercantile.
Par conséquent, l'internationalisme, coupé comme tel, nous rappelle que les nations - civilisations, souveraineté et leurs différences - nous rendent plus forts en tant qu'espèce humaine. Comme contre les virus, certains ont une immunité naturelle plus forte que d'autres. Si les gens étaient identiques, un virus pourrait anéantir toute l'humanité.
De même, une économie mondiale trop intégrée entraîne une fusion et une dépression mondiales lorsqu'un nœud s'effondre. Plutôt que des piliers indépendants qui pourraient s'aider mutuellement, l'interdépendance est sa plus grande faiblesse.
La multipolarité est la réalité
Cette nouvelle réalité - la multipolarité - implique des processus que certains aspects de la théorie de la mondialisation suggèrent et prévoient également, il y a donc des raisons honnêtes pour lesquelles les experts pourraient mal diagnostiquer la multipolarité comme la mondialisation. On a négligé le fait que la concentration de nœuds de capitaux dans des régions diverses et globalement diversifiées par continent n'était pas exclusivement des régions transatlantiques comme dans le modèle de mondialisation standard des villes Alpha ++ ou Alpha +. Cette concentration de capital le long des lignes continentales se produisait parallèlement au développement économique régional et à l'élévation du niveau de vie qui tendaient à promouvoir l'efficacité des transports locaux par opposition aux voyages en mer dans le processus de production. Étant donné que les nœuds régionaux par continent avaient de plus en plus diversifié leur propre production nationale, une tendance générale à l'augmentation des coûts de transport à mesure que l'utilisation individuelle par habitant augmentait, nuisait à la viabilité d'une dépendance excessive à l'égard des lignes de transit mondiales.
RépondreSupprimerMais parmi les nombreux problèmes de la théorie de la mondialisation, il y avait le fait que les États-Unis seraient toujours le premier consommateur des biens du monde et, avec lui, le secteur financier transatlantique. Elle dépendait également de l'idée que les conceptions mercantilistes de la spécialisation (par nation ou par région) l'emporteraient toujours sur les modèles autarciques et l'ISI (industrialisation par substitution de revenu). Encore une fois, si les bases de consommation de la classe moyenne augmentent sur tous les continents habités du monde comme l'explique et le prédit la multipolarité, alors un régime de production mondial rationalisé vers une base de consommateurs transatlantique comme le prédit la théorie de la mondialisation n'est pas tout à fait aussi approprié.
Parce que le système actuel repose sur un modèle de production-consommation et financier, les solutions aux crises sont présentées comme une réduction de la population et ce qui apparaît même, du moins dans le cas de l'Europe, comme un remplacement de la population. Aussi cliché que cela puisse paraître, cela semblait également être la politique du Troisième Reich lorsque le capitalisme a fait face à ses dernières crises majeures qui ont abouti à la Seconde Guerre mondiale.
Briser la roue
L'arrêt révèle que la roue karmique de la production-consommation est en vérité déjà brisée. Nous avons déjà dépassé le point culminant de ce que l'ancien paradigme avait à offrir, et il est depuis longtemps entré dans une période de décadence, de destruction économique et morale.
Comme le Christ qui produit une nouvelle alliance ou le Bouddha qui émerge pour briser la roue du karma, le nouveau monde à construire sur les ruines de la modernité est un monde qui libère les forces productives, réalisant leur plein potentiel, et avec lui le libération de l'homme de la machine du cycle production-consommation.
L'obsolescence planifiée et le consumérisme (marketing) sont les deux maux qui ont œuvré en faveur de l'esclavage simultané de la vie au travail et ont construit une mondialisation fondée sur l'assemblage mondial et la monoculture mondiale.
Ce qui est important pour les gens et leur qualité de vie, c'est le temps de vivre, de ne pas être coincé dans la routine. Nous entendons des politiciens et des économistes parler de «tout le monde a un emploi», comme si ce que les gens voulaient, c'était être loin de leurs familles, amis, passions ou passe-temps. De plus - les gens ne peuvent pas inventer, innover ou aborder les grandes questions de la vie et de la mort - si leur nez est à la meule.
RépondreSupprimerMaintenant que nous vivons sous un système de contrôle manifeste, un «état d’urgence médicale» avec une économie gelée, nous pouvons voir qu’un autre monde est possible. La vérité est que la plupart des choses qui sont produites sont intentionnellement faites pour se casser à un moment précis, de sorte qu'un rachat est prévisible et les bénéfices sont garantis. Cela oblige les chaînes d'approvisionnement mondiales et justifie les accidents provoqués artificiellement visant une redistribution à la hausse et des expropriations massives.
Au lieu de permettre à Bill Gates de faire le tour du monde pour vanter un plan de réduction de la population cum de l'État policier juste après qu'une pandémie mondiale de virus ait frappé, dont beaucoup pensent qu'il détient le brevet, nous pouvons plutôt aborder les problèmes de multipolarité, de souveraineté civilisationnelle et mettre fin à l'obsolescence planifiée et à la chaîne d'approvisionnement mondiale, ainsi que la délocalisation qu'elle nécessite - ce que la BBC note à juste titre, est de toute façon en question.
https://www.zerohedge.com/health/covid-19-shutdown-end-globalization-and-planned-obsolescence-enter-multipolarity
Une lettre à l'avenir
RépondreSupprimerPar James Corbett
Rapport Corbett
13 avril 2020
"Les lampes s'éteignent dans toute l'Europe, nous ne les verrons plus s'allumer de notre vivant."
—Whi conspirateur Edward Gray
Je n'écris pas ces mots pour mes contemporains. Nous sommes les damnés. Il nous appartient maintenant de regarder l'extinction de la lampe de la liberté, notre fardeau de témoigner du scintillement final de la flamme de la liberté.
Non, je n’écris pas ces mots pour mes pairs; Je les écris pour ceux à venir. Les habitants de cette future dystopie dont nous vivons la douleur. Le reste d'une humanité autrefois libre qui pourrait - par un miracle que je ne peux même pas imaginer - tomber sur ce message électronique dans une bouteille.
Je sais que c'est presque sans espoir. Que les chances que ces mots survivent à la purge Internet à venir sont au mieux minces. Que même si, contre toute attente, ce message échoue sur vos côtes numériques, que les chances que ces mots soient compris par vous sont encore plus minces. Non pas parce que vous ne comprenez pas l'anglais, mais parce que vous n'utilisez plus ces mots, j'écris: Liberté. Humanité. Individuel.
Pourtant, je suis ici pour enregistrer la fin d'une époque. Je vais donc continuer dans l'espoir contre l'espoir que quelqu'un, quelque part dans le futur Digital Dark Age, aura des yeux pour voir et des oreilles pour entendre.
L'obscurité descend.
Ne nous y trompons pas: nous le savons tous.
Nous savons ce que cela signifie lorsque 17 millions d'Américains, soit 10% de la population active, s'ajoutent aux listes de chômage en seulement trois semaines. Quand ils sont rejoints par des millions d'autres anciens travailleurs nouvellement sans emploi dans le monde entier. Lorsque les lignes de pain modernes s'étendent sur des kilomètres au cœur des villes autrefois fières des États-Unis. Lorsque la fausse dette d'argent drôle et fausse s'élève à plus de 24 000 milliards de dollars et que la soviétisation de l'économie par la Fed est terminée.
Nous savons ce que cela signifie lorsque la police commence à tirer sur des personnes mortes pour ne pas avoir porté de masque. Lorsque des drones la police met le ciel en quarantaine et que des robots bloquent la police au sol. Lorsque les gouvernements admettent de suivre chaque mouvement de chaque citoyen et commencent des points de contrôle internes où les passeports d'immunité numérique déterminent qui peut passer et qui doit rester chez eux.
Nous savons ce que cela signifie lorsque les milliardaires commencent à nous dire que seuls leurs nouveaux vaccins expérimentaux à base d'ARNm pourront nous libérer de ce cauchemar. Quand ils menacent de nous marquer avec des tatouages d'encre invisibles pour identifier les vaccinés. Quand ils nous disent que nous ne pourrons pas acheter, vendre ou participer à l'économie tant que nous n'aurons pas prouvé notre «immunité».
Cela signifie que l'Ordre mondial de Corona est arrivé.
Oh, bien sûr, certains le nient encore. Mais ils ne font que se leurrer. Ils ont peur d'admettre que c'est vrai. Beaucoup sont encore sous l'ancien conditionnement qui leur disait de bêler le «théoricien du complot» à quiconque remet en question l'autorité.
Nous avons un nom pour ce genre: «moutons». Ou, parfois, «mouton». De nos jours, les masses sont gardées dans l'enclos par les chiens de berger à botte de l'État policier et emmenées par les marionnettes politiques qui agissent comme leurs bergers. Parfois, un vieux sage du troupeau cotonne au jeu, mais le berger n'a jamais volé le troupeau auparavant, alors il se résigne à son sort. Pourquoi lutter? C'est surtout indolore.
RépondreSupprimerJamais le mouton n'a soupçonné qu'un jour les bergers les conduiraient au massacre.
C'est un terme de dérision, bien sûr. "Sheeple." Mais j'aime à penser que cela ne parle pas seulement de notre stupidité. Cela parle d'une naïveté, d'une innocence. Nous sommes des créatures confiantes et douces par nature. Paisible. Coopérative. Ce n'est rien à dédaigner. S'il n'y avait pas les prédateurs parmi nous, nos échecs pourraient même être considérés comme des vertus.
Mais je ne suis pas ici pour le dire. Je suis ici pour dire ceci: Résistez ! Lutte ! Bats toi !
https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/a-letter-to-the-future/
Il est temps d'éliminer César ou nous sommes tous confrontés à l'anéantissement de la société
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
13 avril 2020
«La civilisation vise à standardiser progressivement des masses d'hommes de plus en plus grandes dans un cadre rigoureusement mécanique - des masses d'« hommes ordinaires »qui pensent de la même manière, se sentent semblables, prospèrent sur le conformisme, sont prêts à se plier à de vastes structures bureaucratiques et dans lesquelles le social l'instinct prédomine sur celui de l'individu créateur. »
Amaury de Riencourt, «Les Césars à venir» Introduction, page 11
Il semble que le peuple dans son ensemble ait toujours recherché la domination des autres, souhaité une «direction» extérieure au lieu de se diriger lui-même, et ce phénomène a conduit à une tyrannie presque continue des masses. Cette pensée erronée a permis le massacre de centaines de millions d'innocents aux mains de ceux qui cherchent à gagner et à détenir le pouvoir sur les autres. Aujourd'hui, nous sommes confrontés à la plus grande menace pour l'humanité de l'histoire, tout cela en raison de ce besoin erroné de faux dirigeants au milieu d'une menace due à un mensonge appelé Covid-19. C'est encore une autre astuce basée sur la peur pour permettre aux Césars modernes de gagner encore plus de pouvoir, de contrôle et d'argent aux dépens de l'homme ordinaire.
Afin de regagner même un minimum de liberté en cet âge de domination oligarchique, le pouvoir de quelques-uns doit être brisé et éparpillé aux vents. Cela prendra un effort gigantesque, mais l'échec à accomplir cette mission ne résultera qu'en une société complètement dénuée de tout sens ou valeur. Avec un échec de cette ampleur, seuls le désespoir, l'esclavage et la mort resteront, tandis que quelques-uns continueront à gouverner le plus grand nombre avec une poigne de fer.
La prise de pouvoir revendiquée par la classe dirigeante a été relativement facile à réaliser, alors que les masses pathétiques continuent d'adhérer au mensonge d'État appelé «Nous le peuple», comme si les gens du commun contrôlaient jamais quoi que ce soit par le biais du système politique malhonnête. Une fois que le public a accepté le mensonge qui est le vote de masse comme source de leurs droits, un coup d'État de corruption «démocratique» corrompu, le jeu était terminé et le peuple a perdu. La complicité des gens dans leur propre servage a permis la perte totale de liberté, donc au lieu de se battre pour les droits naturels, ils croient qu'ils peuvent demander la permission à leurs dirigeants de vivre en troupeau libre. Un comportement pitoyable et passif comme celui-ci rend le travail de domination totalitaire par les oligarques facile à accomplir.
Le pouvoir ne concède rien sans une demande. Ca n'a jamais été fait et ca ne le sera jamais."
Frederick Douglass, discours, Canandaigua, N.Y., 1857
Frederick Douglass avait raison, car sans demande, demande soutenue par l'action, les puissants ne se plieront jamais à la volonté des classes inférieures. Comme pour tout ce qui a de la valeur, cela n'est généralement pas facile. Afin de changer les esprits de ceux qui recherchent le pouvoir et le contrôle, ou mieux encore, pour forcer l'élimination de ce pouvoir et de ce contrôle, une posture offensive soutenue par une masse sociétale doit être évidente. Je ne recommande pas la violence, mais j'essaie de décrire la ténacité requise pour atteindre l'objectif de liberté. Tous doivent être disposés à prendre le contrôle de la bête d'oppression appelée gouvernement, et à éliminer son pouvoir. Cela peut être accompli par des moyens pacifiques, mais il est rarement facile de prendre le contrôle des contrôleurs, car ils souhaitent grandement leur position de pouvoir, et ne jamais y renoncer à moins qu'il y ait un risque de grande perte. Afin de mettre un terme à la tyrannie, le peuple doit être disposé à s'opposer massivement au gouvernement afin de regagner les libertés qui lui ont été enlevées.
RépondreSupprimerOn me demande continuellement: «Quelle est votre solution et qu'allez-vous faire pour résoudre ce problème ?» Cela m'irrite, car cela révèle la faiblesse même qui a causé le problème en premier lieu, car ceux qui posent cette question recherchent un leader ou un dirigeant pour leur dire quoi faire. C'est ainsi que cela s'est produit en premier lieu, et ce n'est certainement pas une réponse pour guérir les maux d'un servage volontaire.
Des individus en nombre travaillant ensemble pour arrêter les tyrans sont possibles, mais cela nécessite du courage et des risques personnels pour atteindre l'objectif de liberté, et une libération des chaînes de la tyrannie du gouvernement. Ce pays est dirigé par le haut, avec un groupe d'élites à la barre appelant les coups de feu, tandis qu'un cadre de politiciens au niveau fédéral et étatique fait les enchères de leurs patrons. C'est l'essence de l'oligarchie fasciste que sont les États-Unis actuels. La dissolution de ce groupe est obligatoire, et cela peut être fait en brisant ce groupe qui détient le monopole du pouvoir.
La décentralisation du pouvoir peut être obtenue par la dissidence et la rébellion personnelles et collectives, car ce sont les éléments clés nécessaires pour détruire ce monstre appelé gouvernement. Décentralisez tout. Tout pouvoir centralisé est extrêmement dangereux et ne devrait pas être autorisé. Une fois que les puissants peuvent être marginalisés et dispersés, la décentralisation devrait se poursuivre à tous les niveaux. Tout pouvoir majeur laissé devrait être entre les mains des communautés locales, et même alors, aucune concentration de pouvoir ne devrait être autorisée. Cela peut sembler impossible, mais tant que cette attitude prévaudra dans l'esprit du public, l'esclavage de masse continu sera le sort de la société américaine.
Il y a peu de temps, car la démolition contrôlée qu'est cette pandémie frauduleuse de virus continuera à conduire à une perdition fabriquée mise en place par l'État même qui est volontairement soutenue par une population faible et insensée. Emprisonnement, faillite économique, ruine financière, pauvreté, restrictions de voyage, dispositifs de surveillance, passeports d'immunité, argent numérique et suivi, vaccination forcée des poisons, copeaux ou colorants implantés, surveillance biométrique, notation sociale, loi martiale, brutalité policière et «papiers »Sera la norme.
Les manchettes d'aujourd'hui dévoilent déjà des plans pour une deuxième et une troisième vague de tyrannie immédiatement après le verrouillage actuel, avec le prochain cet été, puis à l'automne. Les menteurs disent normalement ce qu'ils prévoient si l'on écoute simplement. Ils disent déjà aux masses que c'est la nouvelle norme et que de nouvelles mesures plus dévastatrices sont à venir. En octobre dernier, l’événement 201 de Bill Gates, organisé par les personnes mêmes qui réclament maintenant l’emprisonnement de toute l’Amérique, s’est déroulé en plein jour et n’était rien de plus qu’un aperçu presque exact de ce qui se passe actuellement. Ce n'était pas une coïncidence, mais des menteurs exposant leur main et testant les eaux pour se préparer au véritable programme recherché, celui de la gouvernance mondiale et de la domination mondiale. Est-ce le monde que les Américains souhaitent pour leur avenir et celui de leurs enfants ? Il n'y a pas de terrain d'entente, alors le peuple américain acceptera-t-il l'esclavage ou luttera-t-il pour la liberté ? Chacun d'entre vous, en tant qu'individus, doit décider par lui-même avant qu'un effort de masse légitime ne puisse arrêter cet assaut dictatorial. Sera-ce me donner la liberté ou me donner la mort ? Vous seul pouvez décider.
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2020/04/gary-d-barnett/its-time-to-dethrone-caesar-or-we-all-face-societal-annihilation/
(...) les puissants ne se plieront jamais à la volonté des classes inférieures. (...)
SupprimerEffectivement, les gens du Peuple ne se plieront jamais à la volonté des classes inférieures appelées 'autorités' ou 'gouvernements' !
Le chemin de la perdition est pavé d'intentions mauvaises
RépondreSupprimerPar Jim Quinn
La plateforme de gravure
13 avril 2020
«Les suceurs pensent que vous guérissez la cupidité avec de l'argent, la dépendance aux substances, les problèmes d'experts avec les experts, les opérations bancaires avec les banquiers, l'économie avec les économistes et les crises de la dette avec les dépenses de la dette» - Nassim Nicholas Taleb, The Bed of Procrustes: Philosophical and Practical Aphorisms
«La mondialisation a créé cette fragilité imbriquée. À aucun moment de l'histoire de l'univers, l'annulation d'une commande de Noël à New York n'a entraîné de licenciements en Chine. » - Nassim Nicholas Taleb
Alors que nous continuons notre culte national du suicide de l'enfermement en enfer, je me retrouve de plus en plus en colère contre le leadership pathétique affiché par les politiciens, les bureaucrates du gouvernement, les soi-disant «experts» médicaux, et les universitaires intellectuels mais idiots montrant leur ignorance des faits, de la réalité, de l'histoire et l'humanité. Ma nature est d'être sceptique sur tout ce que je lis ou ce qu'on me dit.
Je néglige très certainement tout ce qui m'a été communiqué par les politiciens, les dirigeants mondiaux, les banquiers centraux, les PDG des entreprises, les chefs de file de la CNBC, les principaux faux médias d'entreprise et, ces derniers temps - des experts médicaux autoproclamés qui se sont distingués en ne voyant pas le danger venir, minimiser le danger, ne pas être préparé pour le danger, gérer le danger de manière incompétente et proclamer la nation avec justice a dû être complètement arrêté parce que leurs modèles terriblement imparfaits l'avaient dit.
Cela laisse très peu de gens à faire confiance. Je ne suis pas un expert financier. Je ne suis pas un expert politique. Je ne suis pas un expert religieux. Je ne suis pas un expert médical. Mais je sais comment penser de manière critique et remettre en question la base de chaque récit tourné dans le monde aujourd'hui. Je fais confiance aux intentions et à l'intelligence d'un certain nombre d'écrivains, de penseurs, d'investisseurs, de commentateurs et de blogueurs véridiques aux yeux clairs, notamment: Nassim Taleb, Ron Paul, Kyle Bass, Chris Martenson, John Hussman, Jim Kunstler, John Mauldin, Jim Grant, Tucker Carlson, Dave Collum, Mike Kreiger, Lew Rockwell, Glenn Greenwald, Harald Malmgren, ainsi que des dizaines d'autres penseurs honnêtes et réfléchis.
C'est là que cela devient difficile. Chris Martenson et John Hussman ont tous deux mis en garde contre la gravité de ce coronavirus avant que quiconque ne commence à le prendre au sérieux, début février, alors que pratiquement personne n'y prêtait attention. Ils ont soutenu les mesures prises par le gouvernement pour arrêter la propagation du virus, tandis que de nombreux autres ont condamné la mise en œuvre dictatoriale de ce verrouillage national.
Je ne comprends pas la nature du débat. Le coronavirus (alias grippe de Chine) est un virus très contagieux et méchant qui a touché le monde entier. Les Chinois ont dissimulé la nature et l'étendue du virus, provoquant une pandémie mondiale. Malgré l'allocation de milliards de dollars au CDC au fil des décennies, ils se sont révélés incompétents, non préparés et pour compenser leurs échecs désastreux, ils ont terrifié la nation dans un arrêt national complet avec leurs modèles de mort apocalyptiques, qui s'avèrent avoir surestimé les décès par un facteur de 500 %.
Pour aggraver les choses, ils ont ouvertement menti au peuple américain que le port de masques ne les protégerait en aucune façon. Ce mensonge a entraîné des milliers de morts supplémentaires, mais nous vantons toujours les conseils de ces menteurs éprouvés. Les porte-parole des médias pour le Parti utilisent NYC et Northern NJ comme illustration de ce qui se passe partout, quand c'est un mensonge complet.
RépondreSupprimerCes deux régions comptent 46% des cas confirmés et plus de la moitié des décès, mais ne représentent que 9% de la population du pays. Cela signifie que dans les 48 autres États, moins de 0,1% de leur population a un cas confirmé. Et pour cela, nos soi-disant dirigeants ont fermé le pays et fabriqué à dessein une 2ème Grande Dépression.
- voir graphique sur site -
Le total des morts tactiques effrayantes était de 2,2 millions si nous ne faisions rien. Dans leur propre récit «expert», si nous suivions parfaitement tous les protocoles de distanciation sociale, le nombre de morts serait de 110 000 à 220 000. Le pays n'a pas parfaitement suivi les protocoles et maintenant leurs modèles sans valeur font 60 000 morts - qui seront bientôt rétrogradés à 50 000. Ce sont des chiffres de décès comparables à ceux de la grippe annuelle.
En outre, il semble que le nombre de décès attribuables à la grippe et à la pneumonie ait été bien inférieur à celui des années précédentes, depuis l'apparition du coronavirus chinois. Compte tenu des instructions du CDC d'utiliser le coronavirus comme cause de décès, quelle que soit la condition préalable ou autre maladie de la personne, il est fort probable que le nombre de décès attribués au coronavirus soit exagéré exprès, pour soutenir le récit des dirigeants qui réagi de façon excessive et détruit notre économie.
Au début, je ne pensais pas que ce virus était utilisé comme couverture d'une crise cachée plus grande, mais après avoir observé les actions honteuses et grotesques prises par des politiciens despotiques et des banquiers centraux fantoches, je suis convaincu que cette crise fabriquée est utilisée par les entreprises fascistes pour couvrir leur fraude financière, détruire les petites entreprises, asservir davantage la plèbe endettée, instituer le contrôle martial, instituer la monnaie numérique, tout en suivant électroniquement chacun de nos mouvements. Et le pire, c'est que la majorité a accepté chaque mandat du gouvernement, comme des moutons dociles menés à l'abattage.
L'Amérique est en train de devenir un état totalitaire sous nos yeux et nous nous bornons à obéir dans nos maisons à regarder Netflix, en tenant compte des dictons «experts» de Fauci et Birx comme de l'Évangile, et en attendant que 1200 $ soient électroniquement insérés dans nos comptes bancaires vides, comme notre récompense pour perdre nos emplois et s'endetter davantage auprès des banques de Wall Street. Comme Huxley l'a souligné il y a près de quatre-vingt-dix ans, nous étions sur la voie d'un État totalitaire efficace et nous sommes enfin arrivés. Aimez-vous votre servitude ?
"Un État totalitaire vraiment efficace serait un État dans lequel le tout-puissant exécutif des patrons politiques et leur armée de dirigeants contrôlent une population d'esclaves qui n'ont pas à être contraints, car ils aiment leur servitude." - Aldous Huxley - Brave New World
Que ce virus se propage à cause de la soupe de chauve-souris, d'un bio-laboratoire militaire à Wuhan ou d'un complot de l'État profond, le résultat final est le même. Le système financier s'étouffait sur la dette à partir de septembre, les laquais de la Réserve fédérale ressuscitant désespérément les pensions tous les soirs et annulant frénétiquement le resserrement extrêmement modeste qu'ils avaient fait l'année précédente. Les esprits financiers de la pensée critique savaient que quelque chose n'allait vraiment pas sous le capot de cette jalopie vieillissante.
L'héroïne monétaire fournie par le faible d'esprit IYI Powell et ses copains trompeurs comme Kashkari, a été un feu vert pour la cabale de Wall Street pour acheter des actions en échange du poing, faisant grimper les prix et les évaluations à des niveaux record à la mi-février. Mais ceux qui sont au courant se sont retirés des marchés alors que les idiots étaient de nouveau attirés au sommet. La classe dirigeante avait besoin d'une excuse pratique pour le crash inévitable et le sauvetage ultérieur qu'elle allait concevoir pour elle-même. Ron Paul, comme d'habitude, le voit clairement.
RépondreSupprimer«Même les méchants l'admettent, et c'est qu'ils ont fait ces prédictions désastreuses afin qu'ils puissent aller de l'avant et détruire les libertés civiles des gens et dépenser beaucoup d'argent et inventer une excuse pour expliquer pourquoi le marché boursier a réellement baissé - tous sortes de choses en faisant souffler cet événement de coronavirus hors de proportion. " - Ron Paul
Je ne me soucie vraiment pas de la façon dont ce virus chinois a été diffusé dans le monde, mais je me soucie de la façon dont il a été exploité par les autorités pour gagner plus de contrôle et de pouvoir sur notre économie, notre excuse pathétique pour un système financier de marché libre, une technologie de surveillance et notre vie quotidienne. C'est le pire moment de l'histoire pour les adeptes de la théorie économique autrichienne à l'esprit libertaire, alors que le gouvernement réprime violemment nos libertés et nos libertés, tandis que les banquiers fascistes non élus se moquent des marchés financiers en renflouant et en enrichissant leurs bienfaiteurs.
Je suis suspect de l'établissement à parti unique de DC depuis que le Patriot Act pré-écrit et ironiquement nommé a été coincé dans la gorge un mois après que le 9/11 a déclenché la guerre contre le terrorisme, la crise a été utilisée pour créer un État de surveillance rivalisant avec le pire d'Orwell cauchemar. La crise de l'effondrement financier de Wall Street / Federal Reserve créée en 2008/2009 a été manipulée par les oligarques pour extraire des milliers de milliards de dollars du public américain, tout en se permettant de truquer les marchés en leur faveur, et en laissant aux générations futures des centaines de milliers de milliards de dollars en dettes impayables - leur appauvrissement et leur réduction de la dette. Les politiciens et les universitaires des banques centrales savent qui beurre leur pain.
«Dans les pays pauvres, les fonctionnaires reçoivent des pots-de-vin explicites; à D.C., ils ont la promesse sophistiquée, implicite et tacite de travailler pour de grandes sociétés » Nassim Nicholas Taleb, Le lit des procrustes: aphorismes philosophiques et pratiques
Les violations et la destruction pure et simple de nos libertés garanties par la Constitution, ainsi que notre capacité à gagner leur vie, au cours du dernier mois, sont ahurissantes pour quiconque a un cerveau qui fonctionne. Heureusement pour les suzerains de l'État profond qui dirigent ce pays, des décennies d'endoctrinement dans les écoles publiques et des dizaines de milliers d'heures de propagande médiatique ont foré leurs cerveaux ont laissé la grande majorité de la nation abasourdie et infantilisée. Il faut leur dire comment penser et quoi faire.
Quiconque a paradé sur le tube de poitrine et proclamé comme un «expert» par les médias parlants est cru par les masses crédules. Peu importe qu'ils se soient révélés incompétents et se trompent dans tout ce qu'ils ont dit et fait. Une crise fondée sur la peur de l'inconnu convient parfaitement aux entreprises fascistes pour effrayer les moutons et les rassembler dans des enclos, en attendant leur abattage, les masques fermement en place.
Voici ce que nous savons pour un fait. Fauci et Birx sont des bureaucrates du gouvernement depuis des décennies. Il est chargé de préparer le pays aux maladies infectieuses depuis 1984. Son organisation n'était absolument pas préparée, avec des tests défectueux et ne prenant pas la situation au sérieux en février. Il a menti sur les bienfaits des masques, le rendant responsable de milliers de morts. Ces deux fonctionnaires étaient des bureaucrates du gouvernement sans nom il y a deux mois et maintenant ils sont des superstars expertes médicales, même si leurs prédictions se sont avérées être des conneries complètes et absolues.
RépondreSupprimerMaintenant, ils ont recours à la réécriture de l'histoire et à la reconnaissance du nombre de décès bien inférieur à ce qu'ils avaient déclaré il y a deux semaines. Ils sont à la fois menteurs et incompétents. Dans le monde réel, lorsque nous avions des emplois, ils étaient licenciés. Mais leur peur de faire du bien a profité aux fascistes des entreprises et à la cabale bancaire. Ils gagnent aujourd'hui quelques centaines de milliers de dollars par an dans leurs emplois au gouvernement. Après la fin de cette crise manufacturière, avec l'oligarchie plus riche et plus puissante que jamais, ces outils seront richement récompensés par des contrats de livres lucratifs, des postes de conseil bien payés avec des sociétés pharmaceutiques et 200000 $ par discours, aux dirigeants de banques de Wall Street. Interrogez Bernanke et Yellen sur leur vie lucrative après avoir fait les enchères de l'élite dirigeante.
«La bureaucratie est une construction par laquelle une personne est commodément séparée des conséquences de ses actes.» Nassim Nicholas Taleb, La peau dans le jeu: les asymétries cachées dans la vie quotidienne
«Plus c'est simple, mieux c'est. Les complications conduisent à des chaînes multiplicatives d'effets imprévus. » Nassim Nicholas Taleb, Antifragile: les choses qui tirent profit du trouble
La combinaison de bureaucrates, qui ne souffrent d'aucune conséquence pour leur manque de préparation, leur lenteur à réagir, leur incompétence et leur erreur constante de prédire l'avenir, avec des politiciens et des banquiers centraux qui réagissent de manière excessive en jetant des billions de dollars dans un gouffre sans fond de corruption, de fraude et d'insouciance, a causé et entraînera des conséquences inattendues qui feront s'écrouler tout l'édifice du détournement de fonds. Tout comme le Patriot Act de 300 pages était assis dans un tiroir en attendant que la crise se produise, la loi CARES de 800 pages, encore ironiquement nommée, 2,2 billions de dollars, a déjà été rédigée par des lobbyistes d'entreprise en attendant la prochaine crise.
C'est un pot-pourri de goodies et de renflouements de méga-sociétés pour des entreprises terriblement dirigées qui ont dépensé la dernière décennie à gaspiller des milliards de dollars pour racheter leurs actions avec une dette bon marché fournie par la Fed. Les miettes pour les petites personnes et les petites entreprises mourantes sont distribuées de manière paresseuse, tandis que les porcs des entreprises et des banques se gorgent au creux du gouvernement / de la Fed depuis un mois.
La somme de 1 200 $ par contribuable et le supplément de chômage de 600 $ n'ont pas encore été versés, car 17 millions d'Américains ont été licenciés par mandat du gouvernement au cours des trois dernières semaines. Des petites entreprises ont été emmenées dans un champ de terre et abattues à l'arrière de la tête par des bureaucrates du gouvernement. Comme d'habitude, le programme de prêts SBA a été un gâchis complet, les banques de Wall Street rechignant jusqu'à ce qu'elles obtiennent une plus grosse part du gâteau et que le système informatique du gouvernement s'écrase.
Le dépôt des demandes de chômage a été une épreuve tortueuse, car les systèmes informatiques de l'État ont des décennies et ne peuvent pas gérer le volume. Mais le petit gars n'a pas à s'inquiéter. Ils peuvent continuer à augmenter le solde de leur carte de crédit, en payant les intérêts de 20% à JP Morgan, tandis que Jamie Dimon et ses collègues barons voleurs empruntent à 0,25% à la Fed et vendent leurs obligations inutiles sans valeur à Jérôme et ses sbires pour leur pleine valeur. C’est bien d’être rois du monde.
RépondreSupprimerCharles Hugh Smith capture l'essence de la plus grande arnaque de l'histoire du monde, alors que la Réserve fédérale a fait tout son possible, essayant désespérément de retarder l'effondrement financier inévitable de leur système de ponzi de la dette, afin que leurs marionnettistes de Wall Street puissent s'enfuir avec quelques-uns mille milliards de plus avant de débrancher la prise:
«Le fait que le proxénétisme par la Fed des bulles d'actifs et de la liquidité a créé la plus grande inégalité de richesse en un siècle est ignoré par le« leadership »politique / financier égoïste et sourd parce que l'asymétrie de la richesse a considérablement enrichi les« dirigeants », leurs amis. et l'armée de flunkies technocrates qui font tout le vrai travail pour maintenir le fonctionnement des raquettes. Toute cette richesse n’a pas été gagnée par la création de valeur; il a été écrémé / détourné des 95% les plus bas via des coûts élevés, des frais indésirables, des pénalités, des taux d'intérêt et des taxes, le tout fixé par des monopoles et des cartels non soumis à la concurrence, à la responsabilité ou à la transparence. »
- voir graphique sur site -
N'importe qui avec quelques cellules cérébrales peut voir le désespoir de ces actes, car ces universitaires, qui n'ont jamais travaillé un jour dans le monde réel, ne savent que faire une chose - jeter plus de dette à chaque bulle qu'ils ont créée en jetant de la dette au bulle précédente qu'ils ont créée.
La Réserve fédérale a détruit nos marchés financiers, éliminé la découverte de prix, récompensé les scumbags les plus téméraires avec des renflouements, vendu leurs âmes noires pour soutenir la bourse, écrasé l'épargne des seniors et poussé l'inégalité des revenus à des niveaux aussi extrêmes, ils ont assuré que les citoyens affamés de ce pays finiront par venir les chercher avec des fourches et des torches. Les lampadaires seront décorés des carcasses de banquiers une fois que cette arnaque financière implosera dans une liquidation finale spectaculaire.
Dans la partie 2 de cet article, je réfléchirai à l'absurdité de ce blocage national et je réfléchirai à la date à laquelle cette farce se terminera par un violent bouleversement contre les visages des mondialistes.
Réimprimé avec la permission de The Burning Platform.
https://www.lewrockwell.com/2020/04/jim-quinn/the-road-to-perdition-is-paved-with-evil-intentions/
En mars, les décès aux États-Unis dus à COVID-19 ont totalisé moins de 2% de tous les décès
RépondreSupprimerPar Ryan McMaken
Mises.org
13 avril 2020
Aux États-Unis, environ 2,9 millions de personnes meurent chaque année de toutes causes. Par mois, ce total varie d'environ 220 000 en été à plus de 280 000 en hiver.
Au cours des dernières décennies, la saison de la grippe a souvent culminé entre janvier et mars, ce qui est l'un des principaux moteurs du nombre total de décès. Le nombre quotidien moyen de décès de décembre à mars est supérieur à huit mille.
Jusqu'à présent, les données sur les décès totaux sont trop préliminaires pour savoir s'il y a eu une augmentation significative du nombre total de décès à la suite de COVID-19, et il s'agit d'une mesure importante, car elle nous donne un aperçu de savoir si COVID-19 est ou non conduisant le nombre total de décès bien au-dessus de ce qui serait autrement prévu.
En effet, selon certaines sources, il n'est pas certain que le nombre total de décès ait augmenté de manière significative en raison de COVID-19. Dans un article du 30 mars pour The Spectator, l'ancien pathologiste du National Health Service du Royaume-Uni, John Lee, a noté que le nombre actuel de décès dus à COVID-19 n'indique pas que le Royaume-Uni connaît des «décès excessifs». Lee écrit:
La façon la plus simple de juger si nous avons une maladie exceptionnellement mortelle est d'examiner les taux de mortalité. Y a-t-il plus de personnes qui meurent que nous ne le pensons de toute façon au cours d'une semaine ou d'un mois donné ? Statistiquement, on s'attend à ce qu'environ 51 000 personnes meurent en Grande-Bretagne ce mois-ci. Au moment de la rédaction du présent rapport, 422 décès sont liés à Covid-19, soit 0,8% du total attendu. À l'échelle mondiale, nous nous attendons à ce que 14 millions de personnes meurent au cours des trois premiers mois de l'année. Les 18 944 décès de coronavirus dans le monde représentent 0,14% de ce total. Ces chiffres pourraient augmenter, mais ils sont, en ce moment, inférieurs à ceux des autres maladies infectieuses avec lesquelles nous vivons (comme la grippe). Pas des chiffres qui, en eux-mêmes, provoqueraient des réactions mondiales drastiques.
À quoi ressemblent ces chiffres aux États-Unis ? En mars 2020, il y a eu 4053 décès dus à COVID-19 selon Worldometer. Cela représente 1,6% du nombre total de décès en mars 2019 (les données totales sur les décès de mars 2020 sont encore trop préliminaires pour permettre une comparaison). Pour le contexte, nous pourrions noter que le nombre total de décès a augmenté d'environ quatre mille entre mars 2018 et mars 2019. Donc, pour mars, l'augmentation du nombre total de décès est à peu près égale à ce que nous avons déjà vu comme une augmentation pré-COVID de mars 2018 à mars 2019.
Comme le note Lee, le nombre total de décès dus au COVID-19 pourrait encore augmenter considérablement cette saison, mais même dans ce cas, nous devons nous demander quel pourcentage du total des décès justifie une panique internationale. Est-ce 5 %? 10 % ? La question n'a jamais été abordée, et jusqu'à présent, un chiffre de 1% du nombre total de décès dans certains endroits est considéré comme une raison pour arrêter de force l'économie mondiale.
Pourtant, comme un rapport du CDC l'a récemment noté, les décès par pneumonie ont souvent été beaucoup plus fréquents que les décès par COVID-19 actuellement: «Sur la base des données de surveillance de la mortalité du National Center for Health Statistics (NCHS) disponibles le 26 mars 2020, 8,2 % des les décès survenus au cours de la semaine se terminant le 21 mars 2020 (semaine 12) étaient dus à [pneumonie et grippe]. »
RépondreSupprimerPendant ce temps, il y a une tendance à attribuer davantage de décès par pneumonie au COVID-19 qu'à la grippe, bien que cela ne signifie pas en fait que le taux de mortalité total a augmenté. Le rapport du CDC continue: «le pourcentage de tous les décès dus à la grippe répertoriés comme une cause a diminué (de 1,0 % à 0,8 %) au cours de cette même période. L'augmentation des décès par pneumonie au cours de cette période est probablement associée au COVID-19 plutôt qu'à la grippe. » Cela ne représente pas nécessairement une augmentation totale des décès par pneumonie, juste un changement dans la façon dont ils sont enregistrés.
Cela reflète une concentration accrue sur l'attribution des décès au COVID-19, comme l'a noté Lee:
Dans le climat actuel, toute personne ayant un test positif pour Covid-19 sera certainement connue du personnel clinique qui s'occupe d'eux: si l'un de ces patients décède, le personnel devra enregistrer la désignation Covid-19 sur le certificat de décès - contrairement à la coutume pratique pour la plupart des infections de ce type. Il y a une grande différence entre Covid-19 causant la mort et Covid-19 se trouvant chez une personne décédée d'autres causes. Rendre Covid-19 à déclaration obligatoire pourrait en donner l'apparence, provoquant un nombre croissant de décès, que ce soit vrai ou non. Cela peut sembler beaucoup plus un tueur que la grippe, simplement en raison de la façon dont les décès sont enregistrés.
Compte tenu de cette hâte de maximiser le nombre de décès attribuables à COVID-19, à quoi ressembleront les données d'avril? Il se peut que les décès dus à COVID-19 puissent alors représenter 10 ou 20% de tous les décès.
Mais la question demeure: le nombre total de décès augmentera-t-il considérablement par rapport à avril 2019 ou avril 2018? S'ils ne le font pas, cela remettra en question si COVID-19 est ou non le moteur de la mortalité que de nombreux bureaucrates du gouvernement insistent. Après tout, si la mortalité d'avril reste «à peu près la même» que le total habituel et se situe autour de 230 000–235 000, alors l'inquiétude obsessionnelle concernant COVID-19 ne serait justifiée que s'il peut être prouvé que les décès d'avril 2020 auraient chuté d'une année à l'autre. depuis un an sans COVID-19.
Mettre à jour:
Pendant ce temps, le CDC donne pour instruction au personnel médical de signaler les décès comme des décès dus au COVID-19, même si aucun test n'a confirmé la présence de la maladie. Dans un Q & A sur les certificats de décès publiés par le CDC le 24 mars, l'agence conseille:
COVID-19 doit être déclaré sur le certificat de décès de tous les défunts lorsque la maladie a causé ou est supposée avoir causé ou contribué au décès. Les certificateurs doivent inclure autant de détails que possible en fonction de leur connaissance du cas, des dossiers médicaux, des tests de laboratoire, etc. Si la personne décédée souffrait d'autres maladies chroniques telles que la MPOC ou l'asthme qui pourraient également avoir contribué, ces conditions peuvent être signalées dans la partie II . [italique dans l'original.]
RépondreSupprimerCela est extrêmement susceptible de gonfler le nombre de décès attribués au COVID-19 tout en réduisant les décès attribuables à d'autres maladies de type grippal et aux décès causés par une pneumonie d'origine non spécifiée. Cela est particulièrement problématique, car nous savons que l'écrasante majorité des décès par COVID-19 surviennent chez des patients qui souffrent déjà d'un certain nombre d'autres conditions. En Italie, par exemple, les données montrent que 99 % des décès dus au COVID-19 sont survenus chez des patients qui avaient au moins une autre affection. Plus de 48% avaient trois autres conditions. Aux États-Unis, des cas similaires sont désormais susceptibles d'être systématiquement signalés simplement comme des cas de COVID-19.
Malheureusement, comme les données sur les décès totaux ne sont pas communiquées immédiatement, nous devons encore voir comment cela se passe. Cependant, nous savons historiquement que les décès attribuables à la grippe et à la pneumonie au cours de la dernière décennie ont eu tendance à représenter environ cinq à dix pour cent de tous les décès, selon la gravité de la «saison». La semaine dernière (semaine 14, la semaine se terminant le 4 avril) a été la première semaine au cours de laquelle les décès dus au COVID-19 ont dépassé les décès dus à la grippe et à la pneumonie, représentant 11% de tous les décès pour cette semaine. (En utilisant une moyenne de 2017-2019 comme référence.) La semaine précédente, (semaine 13, semaine se terminant le 28 mars), les décès dus à COVID-19 représentaient 3,3 % de tous les décès. Ces chiffres devraient augmenter tout au long du mois. Pourtant, tant que nous ne disposerons pas de chiffres fiables sur tous les décès au cours des prochaines semaines, il sera impossible de savoir dans quelle mesure COVID-19 «cannibalise» les décès dus à la grippe et à la pneumonie dans l'ensemble. Autrement dit, si le total de COVID-19 monte en flèche, mais le nombre total de décès reste relativement stable, on pourrait supposer que de nombreux décès autrefois attribués simplement à la pneumonie ou à la grippe sont désormais étiquetés comme des décès dus au COVID-19. Potentiellement, cela pourrait également être le cas pour d'autres patients, tels que ceux atteints de cas avancés de diabète.
MISE À JOUR, 8 avril:
La tâche COVID-19 de la Maison Blanche pour le membre Deborah Birx a confirmé qu'il est désormais de pratique courante de compter tous les décès de personnes «avec» COVID-19 comme des décès causés par COVID-19. Lors d'une réunion d'information le 7 avril, Birx a expliqué:
Nous avons adopté une approche très libérale de la mortalité. Je pense que le rapport ici a été assez simple au cours des cinq à six dernières semaines. Avant cela, quand il n'y avait pas de test en janvier et février, c'est une situation très différente et inconnue. … [Maintenant] si quelqu'un décède avec COVID-19, nous comptons cela comme un décès COVID-19.
https://www.lewrockwell.com/2020/04/ryan-mcmaken/in-march-us-deaths-from-covid-19-totaled-less-than-2-percent-of-all-deaths/
Sois confiné et tais-toi !
RépondreSupprimerClaude Janvier
Le blog A Lupus
jeu., 09 avr. 2020 19:37 UTC
L'empire contre-attaque. Non désolé, ce n'est pas l'excellent film de Georges Lucas. Mais plutôt les mondialistes qui ont décidé de mettre le turbo pour mettre en place leur hégémonie. Trop de nations, trop de souverainistes, de nationalistes, de populistes et de gueux. Trop d'électrons libres. Pas assez ordonné tout ça.
Avant de développer le sujet, une mise au point s'impose. Depuis quelque temps, on voit fleurir de-ci, de-là, des articles vantant le fait qu'un bon nombre de gens ne veulent plus de la mondialisation, avec des remarques du genre « Est-ce que la mondialisation va survivre après le coronavirus ? »
Ne confondons pas « le gouvernement mondial », et le commerce international appelé à tort mondialisation. Le flou entretenu tend à induire en erreur et à rendre confus. De la pure propagande déguisée et diffusée par les vrais mondialistes.
Car en effet, si peut-être la mondialisation - le commerce international - ne survit pas au coronavirus, ce qui reste à prouver, les gens vont oublier le vrai cauchemar oeuvrant dans l'ombre qui est le gouvernement mondial.
Pour clarifier, le leitmotiv principal des mondialistes est une planète entièrement régie par un seul gouvernement. Si les nations n'existent plus, les guerres non plus. Dans l'absolu, ça peut sembler humaniste. Mais pour ça, il faudrait que le gouvernement mondial soit composé de gens éclairés et altruistes. Et là, patatras. Quand j'étudie les buts et objectifs de la famille Rockfeller, de George Soros et de quelques banquiers, puis que je jette un oeil à leurs portraits, j'en ai presque la chair de poule. Au secours. Je n'ai pas envie de les inviter à dîner...
Cette supercherie de mondialisme humanitaire mise en évidence démontre qu'ils poussent et pousseront toujours pour accroître leur puissance. Ils veulent l'asseoir en organisant une troisième guerre mondiale. Mais comment le faire sans bombarder toute la planète ? En effet, la destruction totale de la terre par quelques bombes nucléaires semble passée de mode. Et puis ça fait désordre. Tous ces décombres, ces morts, ces ruines. Inexploitable tout ça. Comment vivre dans un tel décor ? Quel intérêt pour les ultras riches mondialistes de festoyer au milieu de cette dévastation ? Rendez-vous compte braves gens ! Pas de domestiques, pas de cuisiniers personnels, personne pour tailler les haies, ni pour nettoyer les restes de leurs fastes quotidiens. Impossible à imaginer. Que la guerre se fasse dans des pays non-alignés, c'est loin et puis ça fait fonctionner les usines d'armement. Les pays « civilisés » méritent mieux, quand même...
Le 18 octobre 2019 a eu lieu l'exercice fictif de Pandémie intitulé « Event 201 ». C'était une simulation de haut niveau qui a eu lieu au Pierre, un hôtel de luxe de Manhattan à New York. Vous retrouverez la liste de participants dans le lien (1) en bas de page. Parmi les 16 participants, Ryan Morhard attire l'attention. Il est chef de la Sécurité sanitaire mondiale du Forum économique mondial, IGWELS*, et analyste juridique au centre de biosécurité de l'UPMC (centre médical de l'université de Pittsburgh). Ce qu'on appelle vulgairement une tronche. *IGWELS, et c'est là que ça commence à devenir intéressant, signifie en français - c'est un acronyme anglais - « Rassemblements informels des leaders économiques mondiaux ». Réunions fermées de très haut niveau, réservées aux Premiers ministres, ministres des Affaires étrangères et des Finances et aux gouverneurs des banques centrales.
L'un des principaux objectifs de la simulation était d'illustrer l'affaiblissement des alliances internationales - et le potentiel des gouvernements en plein effondrement - dans le but de valoriser les partenariats public-privé. Ils ont aussi étudié comment remédier aux fausses informations allant contre les politiques gouvernementales, les messages à diffuser pour les employeurs/employés, et comment noyauter les réseaux sociaux.
RépondreSupprimerTrente jours après cette « sauterie », le premier cas documenté du coronavirus COVID-19 est apparu en Chine. La suite, vous la connaissez. Le 11 mars 2020, l'OMS a déclaré la Pandémie mondiale, et depuis, toute la planète est partie en vrille confinatoire.
Une question se pose : pourquoi et comment en arrive-t-on à un consensus mondial concernant une épidémie, qui pour l'instant a fait 59 000 morts annoncés. - comptage inexact d'ailleurs, car bon nombre de décès ont été imputés au coronavirus, sans que beaucoup de patients aient été testés pour savoir si c'était bien ledit virus -
La grippe saisonnière tue chaque année entre 290 000 et 650 000 personnes dans le monde. (2)
Les activités planétaires ne s'arrêtent pas chaque année avec la grippe saisonnière. Heureusement d'ailleurs, car sinon tous les ans, nous aurions droit au confinement et au flicage. Mais alors, pourquoi tout ce tin-touin ? Parce que vous êtes les bienvenus dans un gouvernement sanitaire mondial. Vous êtes d'office membre du club. Profitez-en, l'adhésion est gratuite.
La troisième guerre mondiale est bel et bien en cours.
Analysons un peu plus loin. L'OMS est financée par les cotisations que chaque état membre verse. Mais aussi par de grands laboratoires pharmaceutiques et des fondations, dont la fondation Bill et Melinda Gates. - grand promoteur des OGM dans le monde -. (3)
Budget de l'OMS 2016 et 2017 : 4,4 milliards de dollars. 880 millions fournis par les 193 Etats membres que ces derniers financent via leurs fonds souverains. - fonds d'investissement détenus par les gouvernements -
C'est énormément d'argent. Rien que le fonds souverain norvégien approche les 1000 milliards d'euros. Oui, vous avez bien lu.
En parallèle des fonds souverains, il existe des :
- Fonds d'investissement. - Terme financier qui désigne une société financière dont l'objectif consiste à investir dans des sociétés sélectionnées pour leurs opportunités d'évolution
- Fonds de pension - Terme générique recouvrant les organismes gérant collectivement les retraites et l'épargne salariale.
- Fonds de gestions d'actifs - le plus gros : BlackRock (4) , 7 000 milliards de $ - Gestion de portefeuilles, gestion de capitaux confiés par des investisseurs. But : obtenir le meilleur rendement.
Tous ces fonds investissent dans des actions, des obligations et dans des fondations. BlackRock est par exemple l'actionnaire principal du CAC-40. Une partie de Total ou d'Airbus lui appartient. On commence à entrevoir que toute cette masse énorme d'argent fait la pluie et le beau temps sur cette planète. Tous ces fonds sont imbriqués les uns dans les autres, brassent des milliards de dollars, et interviennent dans tous les marchés internationaux. Comment voulez-vous que des gouvernements soient indépendants ? Ils ne sont en fait, que des « hommes de paille », grassement payés pour appliquer à la lettre les ordres qu'ils reçoivent d'en haut.
Les actionnaires de certains fonds ont décidé, via cette pandémie factice, la chute de l'économie mondiale en ordonnant un blocus virulent afin d'asseoir le gouvernement mondial. Bien calculé le coup du virus, car la bulle financière était sur le point d'exploser.
RépondreSupprimerMais si les actionnaires de ces fonds étaient vraiment humanistes et altruistes, ils ne nous auraient pas imposé un confinement imbécile en nous laissant nous débattre avec des enfants cloîtrés à la maison, en nous forçant à ne pas rendre visite à nos anciens dans les EHPAD, et en nous imposant une inflation des prix des denrées alimentaires de base. (5) Si les actionnaires de ces fonds étaient vraiment humanistes et altruistes, ils n'auraient pas cassé l'économie, et ils n'auraient pas précipité encore plus de gens au chômage. Les chaussures André (6) ne déposeraient pas le bilan, et la myriade de petits commerçants, artisans, vignerons et agriculteurs ne seraient pas en train de se ronger d'inquiétude, quant à leur devenir. Hong Kong (7) n'a pas ordonné un confinement strict. Leur économie n'a pas été ratatinée et leur nombre de morts, pour 7,5 millions d'habitants est de 4. En revanche, le port du masque est obligatoire à chaque sortie, et les contrôles de température et les tests sont omniprésents.
Ne pas bouger, ne pas sortir, montrer patte blanche. Nos gouvernements auraient pu aussi permettre à chacun de pouvoir porter un masque dans la rue, de tester les gens massivement, et de soigner ceux qui étaient contaminés. Mais non, ils sont aux ordres. Ce petit monde répugnant et abject de financiers sans scrupules n'est ni humaniste, ni altruiste. La clique des mondialistes est à vomir.
Les bras armés de ces fonds sont les organisations mondiales soudoyées depuis longtemps, ainsi que les gouvernements appuyés par leurs forces de police et militaire. Ce virus, peut-être fabriqué, pas pire que les précédents, est l'aubaine rêvée pour tout remettre à plat, s'enrichir au passage et aussi habituer un maximum de gens à adopter une forme d'esclavage des temps modernes. Et ça fonctionne, même au-delà de leurs espérances. Le futur proche s'annonce confinatoire. Vous êtes peut-être déjà résignés.
Cette planète est régie par une masse d'argent incalculable. Vertigineux ! Pendant que des gens crèvent de faim sur cette terre, des milliards et des milliards de dollars circulent et vont dans la poche de quelques-uns. Voilà le fond du problème. Le délirium impérial ne fait que commencer à moins qu'une majorité d'entre nous ne soit pas en accord.
Claude Janvier
Notes :
1) https://urlz.fr/cinh
2) C.News 18 mars 2020. La grippe saisonnière, est-elle plus dangereuse que le coronavirus
3) Le point 4 avril 2017. L'OMS dans les griffes des lobbyistes
4) BlackRock : Le Temps 30 mars 2020. Après cette crise, « le mode sera différent ». https://urlz.fr/cinl
5) https://urlz.fr/ckQu
6) L'OBS L'enseigne de chaussures André placée en redressement judiciaire à cause du coronavirus https://urlz.fr/cinr
7) https://urlz.fr/ciOV
Documents : https://urlz.fr/cio0 ; https://urlz.fr/cint ; https://urlz.fr/cinz ; https://urlz.fr/cinD ; https://urlz.fr/cinE ; https://urlz.fr/cinH ; https://urlz.fr/cinJ ; https://urlz.fr/cinK ; https://urlz.fr/cinO ; https://urlz.fr/cinT
1) Quinze leaders mondiaux participaient à cet exercice, dont voici la liste exhaustive :
1- Latoya Abbott, responsable des risques du groupe hôtelier états-unien Marriott International
RépondreSupprimer2- Sofia Borges, vice-présidente de la Fondation des Nations Unies
3- Brad Connett, président du groupe Henry Schein (premier producteur de matériel médical au monde)
4- Christopher Elias, responsable du développement global à la Bill & Melinda Gates Foundation
5- Tim Evans, ancien directeur du département Santé de la Banque mondiale
6- George Gao, directeur du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies
7- Avril Haines, ancienne directrice adjointe de la CIA et ancienne conseillère de Sécurité nationale du président Barack Obama.
8- Jane Halton, ancienne ministre australienne de la Santé, administratrice d'ANZ (banque d'Australie et de Nouvelle-Zélande).
9- Matthew Harrington, directeur d'Edelman, la plus importante firme de relations publiques au monde
10- Martin Knuchel, directeur des situations de crise du groupe de transport aérien Lufthansa
11- Eduardo Martinez, conseiller juridique de la plus importante société de logistique postale au monde, UPS, et directeur de l'UPS Foundation.
12- Stephen Redd, directeur adjoint des US Centers for Disease Control and Prevention
13- Hasti Taghi, vice-présidente du groupe de communication, NBCUniversal
14- Adrian Thomas, vice-président du géant de la pharmacie Johnson & Johnson
15- Lavan Thiru, gouverneur de la Banque centrale de Singapour
Source : Réseau voltaire
https://fr.sott.net/article/35266-Sois-confine-et-tais-toi
SupprimerTrès juste ! Dernièrement un dictateur entré en hôpital pour y discourir a été stoppé par un discours d'accueil d'une infirmière qui disait la vérité. L'infirmière a été applaudie par le service hospitalier.
Mais, les caméras des merdias étaient là ! Et on filmé le dictateur qui entre dans l'hôpital puis coupure et montage d'images d'infirmières qui applaudissent (montrées à la télé) ! Pour faire croire que les applaudissements étaient destinés au dictateur de merde !
Combien d'années (ou de siècles) faut-il pour faire des masques ? Normalement, en moins de une semaine, les 7 milliards de personnes sur Terre auraient dû recevoir un masque. Seuls les pays qui en fabriquent en ont et, les masques stockées pour l'export sont en entrepôts ! Personne ne vient les chercher !! Les dictateurs veulent faire crever des centaines de millions de personnes ! Des milliards ? Pourquoi pas, quand on est confiné et qu'ils disent que le nombre de morts est en baisse, cela veut dire que compte tenu du peu d'habitants qui reste, le chiffre ne peut donc que baisser !
A savoir que les personnes confinées qui ouvrent leurs fenêtres ou sortent sur le balcon sont DEHORS !
SupprimerC'est pourquoi la confination EST INUTILE !
Inutile car 'confination' serait de dire 'herméticité' et, herméticité = mort par manque d'oxygène !
D'où l'imbécillité morbide de chefs d'États d'emprisonner plus de 7 milliards de personnes pour le plaisir de voir les gens crever chez eux !
Si tout le monde avait un masque il y aurait ZÉRO mort !