- ENTREE de SECOURS -



vendredi 3 avril 2020

Coronavirus. Trois pharmaciens des Alpes-Maritimes poursuivis pour vente illégale de masques !

Une pharmacienne de Nice et deux pharmaciens de Grasse et de Cannes sont poursuivis pour vente illégale de masques de protection. Ils continuaient à en vendre en dépit de l’interdiction. Ces deux affaires distinctes seront jugées prochainement.

Deux docteurs en pharmacie exerçant respectivement à Cannes et à Grasse revendaient des masques en dépit de l’interdiction et, qui plus est, ne portant pas l’estampille CE garantissant leur efficacité.


le 28/03/2020 à 13h19


Trois pharmaciens des Alpes-Maritimes sont poursuivis par la justice, dans deux affaires distinctes, pour vente illégale de masques de protection, a-t-on appris samedi de sources concordantes.

Le premier dossier concerne une pharmacienne de Nice, propriétaire de son officine, qui revendait des masques alors que ceux-ci sont réquisitionnés par le gouvernement depuis un décret du 23 mars. Elle écoulait en prime du gel hydroalcoolique fabriqué dans des conditions artisanales à partir de gel pour échographie.

Déférée jeudi devant le tribunal de Nice pour non-respect de la réglementation et tromperie sur la marchandise, cette pharmacienne a demandé un renvoi de son procès, qui a été fixé au 27 avril, a indiqué le parquet de Nice.

En attendant l’audience elle a été placée sous contrôle judiciaire, assorti d’une caution de 5 000 euros et d’une interdiction d’exercice professionnel. Il lui est de même impossible de se présenter à sa pharmacie. Le nombre de masques saisis n’a pas été précisé.

Par l’intermédiaire d’un snack

Dans la seconde affaire, réalisée par la brigade de sûreté urbaine du commissariat de Grasse, deux pharmaciens, salariés cette fois, ont été interpellés pour avoir vendu des masques de manière illégale, notamment par l’intermédiaire d’un snack.

Ces deux docteurs en pharmacie exerçant respectivement à Cannes et à Grasse revendaient des masques en dépit de l’interdiction et, qui plus est, ne portant pas l’estampille CE garantissant leur efficacité. Plus de 220 masques ont été saisis dans le cadre de ce dossier.

Présentés devant la justice vendredi, ils sont poursuivis pour travail illégal et tromperie sur la marchandise. Ils ont dû verser une caution, respectivement de 2 000 et 1 500 euros, et ont été placés sous contrôle judiciaire d’ici leur jugement le 25 mai. Le tribunal de Grasse, contrairement aux réquisitions du parquet, n’a pas prononcé d’interdiction d’exercice professionnel à leur encontre.

L’enquête n’a par ailleurs pas permis d’établir les faits à l’encontre du gérant du snack, lequel n’est pas poursuivi, a précisé le parquet de Grasse.

58 commentaires:

  1. Brève. Fake News ou réalité ?


    le 2 avril 2020


    Le Président de la République française envisagerait de quitter l’Union européenne et la zone euro dès le premier janvier 2021 selon une information écoutée sur Sud-Radio dans l’émission de qualité d’André Bercoff « Bercoff dans tous ses états ». Il faut attendre confirmation naturellement … En réalité il s’agissait d’un « poisson d’avril » puisque l’émission avait été enregistrée le 1er Avril ! Mais cette blague de Bercoff est révélatrice de la lassitude des pays européens envers l’hégémonie presque totalitaire de la commission européenne, incapable de mettre en place un semblant de solidarité entre les Etats membres de l’Union face à la pandémie de virus couronné. Le « chacun pour soi » est avant-coureur d’une implosion de l’Union européenne qui ne résistera pas à la gigantesque crise économique à venir en raison justement de cette pandémie. Échaudée par ce manque flagrant de solidarité l’Italie va certainement prendre ses distances vis-à-vis de Bruxelles, alors automatiquement toute l’Union européenne, un édifice totalitaire contre nature, s’effondrera. Les mois à venir vont être vraiment haletants …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/04/02/breve-fake-news-ou-realite/

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  2. D'abord ne pas nuire - Si les soins de santé primaires restent fermés, le bilan pour les personnes âgées sera pire que celui du Covid-19


    Gabriela Segura, M.D.
    Sott.net
    mer., 01 avr. 2020 13:35 UTC


    Je suis médecin « en première ligne » dans la « guerre contre le Covid-19 ». Oui, nous avons un énorme problème, mais ce n'est pas nécessairement le virus lui-même. Le vrai problème est caché à la vue de tous. Voyons si nous pouvons commencer à le discerner.

    Voici comment les médecins, les infirmières et autres personnels médicaux et administrateurs gèrent cette crise.

    Des unités d'assistance respiratoire « pour les contaminés » qui sont séparées du reste des patients ambulatoires et du personnel de santé ont été mis en place au sein des cliniques et des hôpitaux. Toute personne qui se présente avec une toux, ou des éternuements, ou qui montre un signe de détresse respiratoire, est dirigée vers cette unité et tenue à l'écart de toute personne entrant avec des blessures ou toute autre maladie non respiratoire. C'est ainsi que pour prévenir sa propagation à l'ensemble du bâtiment, la contagion est maintenue isolée au sein de l'unité d'assistance respiratoire qui dispose de ses propres médecins et du personnel nécessaire pour soigner les malades. Là encore, tous les arrivants qui présentent des symptômes respiratoires — qui peuvent en réalité aller du simple rhume à la grippe saisonnière typique, voire à une toux due à des allergies saisonnières — sont envoyés dans cette unité respiratoire.

    Chaque fois qu'un médecin est tenu d'enregistrer un élément lié à la consultation d'un patient, il doit le faire en saisissant une note dans un dossier — électronique, la plupart du temps — en lui attribuant une certaine catégorie. Après que la pandémie ait été officiellement déclarée, et compte tenu de l'effort mondial de confinement, cette catégorie est spécifique aux codes internationaux désignés pour ce coronavirus particulier. Après tout, les personnes ont besoin d'attestations d'arrêt de travail pour maladie ou de certificats de quarantaine délivrés par les médecins, qui déterminent lesquels délivrer à qui en fonction de la probabilité d'être infecté ou d'être en contact étroit avec des personnes infectées.

    Voici les codes internationaux qui ont été désignés pour ce confinement, dans la 10e version de la Classification statistique internationale des Maladies et des Problèmes de santé connexes (CIM-10) pour le Covid-19 :
    B34.2 pour les cas confirmés de Covid-19 et les cas PROBABLES
    Z20.828 pour les cas possibles et les personnes en contact avec ceux qui ont été confirmés et/ou sont des cas probables.

    Des instructions détaillées et des mises à jour sur la manière d'utiliser ces codes en milieu clinique arrivent chaque jour dans les établissements médicaux. Dans mon pays, une version « définitive » a été envoyée il y a juste quelques jours. Au début, de nombreuses personnes étaient étiquetées B34.2 [« confirmé »/« probable »] alors qu'elles auraient concrètement dû se voir attribuer l'autre code [Z20.828 - « possible »]. En outre, les personnes dont les tests n'étaient pas concluants — cas « probables » — ont néanmoins été regroupées avec les cas « confirmés ». Si ces codes de distinction sont utiles pour gérer une situation de crise, ils laissent aussi une grande place à l'interprétation subjective, malheureusement.

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  3. Dépister, dépister, 1-2-3 ?

    Les dépistages visant à détecter la présence de ce « nouveau » coronavirus sont effectués par RT-PCR (réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse en temps réel), qui détecte les antigènes du virus ou les protéines ou les acides nucléiques, qui constituent l'information génétique de l'ARN du virus. Même s'il y a des limites à ce qu'ils peuvent révéler, ces tests génétiques constituent la méthode officielle et optimale pour dépister les personnes.

    Un autre mode de dépistage consiste à déterminer la présence d'une réponse immunitaire contre le virus. Ces tests ont été appelés « tests rapides » parce qu'ils prennent beaucoup moins de temps que les tests génétiques. Dans ce cas, les anticorps IgM [immunoglobuline M - NdT] sont produits plus tôt et les anticorps IgG [immunoglobuline G - NdT] plus tard. Les deux peuvent être détectés dans le test rapide. Cependant, selon une étude publiée sur ces tests pour le Covid-19 :

    « La séroconversion est apparue de manière séquentielle pour les Ab [anticorps], les IgM puis les IgG, avec un temps médian de 11, 12 et 14 jours, respectivement. La présence d'anticorps était inférieure à 40 % chez les patients au cours des 7 premiers jours de la maladie. »

    Par conséquent, les tests rapides permettant de mesurer la présence d'anticorps IgM ou IgG contre le Covid-19 ne sont pas utiles pour la détection des cas aigus.

    Le confinement met en évidence un problème : la population dans son ensemble n'est de toute façon pas testée parce qu'elle est considérée comme potentiellement contaminée dans sa totalité. Il s'agit, après tout, d'une urgence. Les personnes testées sont, pour la plupart, des patients hospitalisés. Cette approche produit des chiffres statistiques à partir d'échantillons qui ne reflètent pas la situation globale du Covid-19 au sein de la totalité de la population. Les populations hospitalières sont une chose, mais la population confinée à domicile en est une autre.

    Comme l'explique cet article publié le 26 mars 2020 dans le New England Journal of Medicine,
    « Si l'on suppose que le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois supérieur au nombre de cas déclarés, le taux de létalité pourrait largement être inférieur à 1 %. Ceci suggère que les conséquences cliniques globales du Covid-19 pourraient finalement s'apparenter davantage à celles d'une grippe saisonnière grave (dont le taux de létalité est d'environ 0,1 %) ou d'une grippe pandémique (semblable à celles de 1957 et 1968) plutôt qu'à celles d'une maladie semblable au SRAS ou au SREM, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10 % et 36 %, respectivement. »

    Comment pouvons-nous le savoir ? Un seul pays teste toute sa population. Selon les chiffres publiés par le gouvernement islandais le 25 mars dernier, l'Islande est le pays qui compte la plus grande proportion du nombre de tests effectués au monde. L'épidémiologiste en chef de l'Islande, Thorolfur Guðnason est cité pour avoir déclaré,
    « Les premiers résultats de deCode Genetics indiquent qu'une faible proportion de la population générale a contracté le virus et qu'environ la moitié des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme », a déclaré M. Guðnason. « L'autre moitié présente des symptômes très modérés ressemblant à ceux d'un rhume. »

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  4. Seulement voilà, les cabinets libéraux [médecine générale, kinésithérapie, orthophonie, etc. - NdT] ont été fermés un peu partout, et de nombreuses personnes comptant sur eux dans le cadre d'un suivi médical vont devoir attendre jusqu'à nouvel ordre. Tout ce qui est considéré superflu face à l'urgence du coronavirus est reporté. Cela signifie que le rôle très important des soins de santé primaires dispensés par les médecins généralistes a effectivement cessé. Pour les raisons que j'explique ci-après, je suis nettement plus inquiète pour les patients dont les consultations prévues ont été annulées.

    Témoignages directs de médecins hospitaliers

    L'un de mes correspondants est un médecin qui travaille dans l'un des hôpitaux les plus touchés d'Italie. À première vue, son témoignage confirme ce qui a été souligné à plusieurs reprises : un nombre « supérieur à la normale » de personnes, y compris des jeunes, en détresse respiratoire ou souffrant de pneumonies sévères, etc.

    Cependant, un autre élément a attiré mon attention : il a déclaré avoir vu de nombreux patients — hospitalisés ou non — qui présentaient des symptômes cliniques légers, en précisant qu'ils constituaient « la plupart » de ses patients.

    Cela mérite d'être répété : LA PLUPART des patients hospitalisés et non hospitalisés présentent des symptômes cliniques légers. Même si les médecins de certaines régions sensibles peuvent avoir l'impression subjective de se trouver en « zone de guerre », les chiffres auxquels ils ont affaire s'avéreront néanmoins — avec le recul ou les données contextuelles — cohérents avec des données telles que celles provenant d'Islande.

    Des personnes allongées sur le sol quelque part dans un hôpital espagnol parce qu'il n'y a pas assez de lits. Croyez-le ou non, cela arrive de temps en temps...

    Des photos et des vidéos montrant des personnes allongées sur le sol d'un hôpital espagnol circulent sur le Web. Dans l'un des multiples groupes WhatsApp créés dernièrement pour les médecins, un collègue souligne :

    « Je pense que cette vidéo est très sensationnaliste... [C'est mon hôpital] où, les patients admis aux urgences ont demandé à s'allonger sur le sol pour pouvoir dormir car ils ne pouvaient malheureusement pas le faire sur un fauteuil. C'est déplorable, mais avec 120 personnes en attente d'hospitalisation, donner un lit à tout le monde était impossible. La situation s'est néanmoins améliorée après avoir doublé le nombre de lits, et même si nous n'avons pas de surplus de matériel, nous ne sommes pas en manque de personnel... »

    Beaucoup de personnes qui seraient normalement restées chez elles avec un suivi de soins de santé primaires restent inutilement à l'hôpital, ce qui semble aggraver cette crise largement administrative. C'est un luxe que l'on ne peut tout simplement pas s'offrir dans les pays où la population est très âgée et peut souffrir d'une insuffisance respiratoire à cause d'un virus même banal. Il existe également aujourd'hui de nombreux cas de comorbidité au sein de la population générale.

    Il est vrai que le Covid-19 joue un rôle dans les pneumonies atypiques observées chez les jeunes qui peuvent souffrir de détresse respiratoire. Mais selon un article publié dans JAMA le 17 mars, près de 87 % des décès en Italie sont survenus chez des patients de plus de 70 ans — comme c'est le cas pendant TOUTE saison grippale. Le chef de l'Institut supérieur de la santé italien a indiqué à la mi-mars que,

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  5. « D'après les dossiers médicaux examinés jusqu'à présent (guère plus de 100), la majorité des décès dus au Covid-19 en Italie concernent des personnes très âgées. L'âge moyen est de 80,3 ans. La majorité des décès étaient associée à trois problèmes de santé graves, voire plus. Deux patients décédés n'en présentaient aucun parmi les plus courants, bien que d'autres problèmes puissent apparaître au fur et à mesure des recherches. Seulement deux personnes de moins de 40 ans sont décédées, toutes deux âgées de 39 ans — l'une avait un cancer et l'autre souffrait avant l'infection de diabète, d'obésité et d'autres problèmes de santé. »

    La panique, combinée aux directives administratives et médicales, envoie TOUS les patients en détresse émotionnelle et physique vers les hôpitaux. Il n'en reste pas moins que la PLUPART des gens dans la population générale n'entreront pas en détresse respiratoire. Conserver une certaine perspective est nécessaire si l'on veut préserver le système hospitalier.

    -- Commentaire : Ou bien... serait-ce le but non avoué ? Faire s'effondrer le système hospitalier sur lui-même pour ensuite clamer qu'il ne fonctionne pas, tel quel ? --

    Pour avoir une idée des problèmes caractéristiques auxquels sont confrontés les patients âgés, passons en revue un cas fictif mais typique :

    Disons qu'un patient de 86 ans a de la fièvre. Il a toussé pendant plusieurs jours. Un médecin pourrait découvrir qu'il est proche de l'insuffisance respiratoire. Dans ses antécédents médicaux, vous découvrez qu'il souffre d'insuffisance rénale chronique — comme la plupart des personnes âgées — , d'insuffisance cardiaque, de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), de diabète, d'hypertension, de fibrillation auriculaire et d'hypothyroïdie. Un tel groupe n'est pas inhabituel chez une personne de son âge, c'est la raison pour laquelle un tel patient peut être amené à prendre jusqu'à douze médicaments, dont de puissants anticoagulants. Une telle personne pourrait être catégorisée comme souffrant d'une « bronchopneumopathie chronique obstructive exacerbée ». Si elle est hospitalisée, elle sera soumise à des tests en vue de dépister des microbes, y compris des bactéries et des virus. Si aucune progression n'est constatée, ses organes pourraient se détériorer. Ou le patient pourrait aller mieux. Certains ne vont pas mieux, et — tenez-vous bien — ils meurent.

    Les hôpitaux et les cliniques européens sont surchargés par de tels cas en raison du nombre élevé de patients âgés présentant une comorbidité. Néanmoins, une assistance et des soins de santé assez bons sont — jusqu'à la toute fin — toujours prodigués. J'ai par le passé souvent été agréablement surprise de constater à quel point les Européens se soucient de leurs personnes âgées. Maintenant, je m'y suis habitué. Dans d'autres pays, ils ne s'en soucient tout simplement pas.

    Les unités de soins intensifs (USI) pourraient envisager d'appliquer un « filtrage basé sur le bon sens ». Un patient âgé souffrant d'une infection, de maladies multiples et d'une défaillance de plusieurs organes pourrait être un signal leur indiquant que le moment est venu pour cette personne de mourir paisiblement, en prenant soin de minimiser ses souffrances. Il arrive souvent qu'un patient âgé ait officiellement exprimé, à un certain point, le souhait de mourir et de ne pas être réanimé. Le personnel de santé peut parfois être tellement obsédé par la nécessité de soigner des patients âgés, qu'une personne plus jeune ne puisse disposer d'un lit de soins intensifs quand elle en a besoin, c'est-à-dire en cas de détresse respiratoire.

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  6. Dans l'exemple décrit ci-dessus, chaque maladie et infection trouvée chez le patient possède un code international spécifique qui permet de les cataloguer. Comme expliqué précédemment, le libellé du coronavirus a ses propres codes à des fins statistiques. Cela ne signifie PAS que le patient a été tué par le Covid-19. Certaines personnes présentent tellement de maladies conjointes que le moindre petit virus pourrait les tuer. La différence entre mourir AVEC un coronavirus et mourir À CAUSE d'un coronavirus est subtile mais néanmoins d'importance.

    L'arrêt des visites médicales courantes

    Les personnes atteintes de diabète, d'insuffisance cardiaque, de BPCO, etc. sont obligées d'attendre chez elles, isolées, le feu vert qui leur permettra de reprendre leurs visites et suivis médicaux courants. Tant pis si à cause du stress que cette pandémie engendre elles deviennent enrhumées ou n'importe quoi d'autre. Si ces personnes se retrouvent à l'hôpital, elles seront soumises à un test de dépistage du coronavirus. En attendant, elles font preuve de patience chez elles et sont très compréhensives face à un système qui leur impose un confinement à domicile parce qu'il « doit pour l'instant faire face à des problèmes plus importants ».

    Je connais un certain nombre de cas confirmés de Covid-19 qui sont hospitalisés alors qu'ils pourraient aussi bien être chez eux. Actuellement, la plupart des personnes qui sont chez elles et qui présentent des symptômes respiratoires ne sont pas atteintes de troubles respiratoires. Néanmoins, et en conformité avec le protocole, des suivis sont effectués après une semaine, parce que les patients atteints par le Covid-19 qui se rétablissent peuvent à nouveau être atteints une semaine plus tard.

    Avant que tout cela ne commence, jusqu'à 60 patients atteints de la grippe ou du rhume se présentaient à mon centre de santé en une seule matinée. Les patients atteints de symptômes respiratoires se succédaient les uns après les autres. Mais en raison des directives de confinement, ces patients restent chez eux ou se rendent tous aux urgences et/ou à l'hôpital. Pour la plupart, il s'agit juste de faire taire leurs craintes quant à leur état de santé. L'interruption des soins de santé primaires m'inquiète parce que le travail des médecins généralistes est essentiel en ce qu'il évite les décompensations chez les personnes souffrant de comorbidité, personnes qui, autrement, se retrouveraient à l'hôpital. Les patients souffrant de problèmes tels que l'insuffisance cardiaque, le cancer, la BPCO, le diabète, l'hypertension, l'anxiété, la dépression sévère, etc. ont besoin d'être rassurés et de recevoir un suivi constant.

    Les hôpitaux seront bientôt en très grande difficulté s'ils ne libèrent pas les patients moyennement atteints. Pour un seul poste de médecin qui s'occupe d'environ 1 500 patients — ou 1 900 dans certaines régions, si vous comptez ceux qui sont dans des maisons de retraite médicalisées —, je peux facilement penser à 100-300 personnes qui risquent de développer une insuffisance respiratoire ou une autre urgence si leurs examens sont différés plus longtemps et/ou s'ils prennent froid. Oui, ce Covid-19 est très contagieux et présente des caractéristiques qui lui sont propres. Mais il n'en reste pas moins que les gens sont atteints de comorbidité et que la vie doit continuer. Le Covid-19 n'est pas le seul problème de santé dans le monde à l'heure actuelle

    - voir tableau des morts en 2017 sur site -

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  7. Et, encore une fois, LA PLUPART des individus n'en subiront qu'une forme légère, surtout parmi ceux ne souffrant pas de comorbidité. Les autres, qui constituent une grande majorité de la population, seront asymptomatiques.

    La plupart du personnel médical est réparti dans le secteur des soins de santé primaires, et non dans les hôpitaux. Aujourd'hui, toute personne souffrant d'un mal quelconque ne peut plus se rendre chez les médecins de soins de santé primaires, ni poursuivre ses visites spécialisées régulières à l'hôpital ; elle ne peut donc qu'être prise en charge par les services d'urgence des hôpitaux. Les gens ont des antécédents médicaux complexes et des vies tragiques. En plus de son activité strictement médicale, le personnel des soins de santé primaires se substitue souvent à ce qui relevait autrefois du domaine des prêtres et des paroissiens locaux. Quelqu'un aurait-il dû y réfléchir ? Certains médecins hospitaliers considèrent souvent avec dédain ces prestataires de soins de santé primaires, et le font parce qu'ils n'ont pas la patience requise pour ce type de travail, dans lequel il est important de connaître des familles entières et leurs souffrances tragiques.

    Les héros médiatiques d'hier et d'aujourd'hui

    Le travail des soins de santé primaires a toujours été considérable, mais il reste invisible dans les médias. Ces derniers ont actuellement besoin de héros hospitaliers et d'histoires relatives au fait que le personnel des urgences n'a pas le temps de manger ou qu'une infirmière des soins intensifs s'est suicidée après avoir été testée positive au Covid-19. Mais les travailleurs des soins de santé primaires sont appréciés par leurs patients habituels, surtout maintenant que les consultations se limitent aux appels téléphoniques parce que les rencontres patient-médecin sont déconseillées. Les temps ont toutefois changé car, lorsque ces prestataires de soins de santé n'avaient, déjà avant, pas le temps de manger ou de faire des pauses pour aller aux toilettes, ou qu'ils passaient jusqu'à quatre jours consécutifs à travailler sans arrêt avec très peu de sommeil, tout en gérant quatre urgences importantes en même temps, très peu de ces médias en parlaient, parce que la « guerre » mouvementée contre les maladies de ces « héros » n'avait pas leur attention. Ainsi va la vie.

    Je vous laisse avec la perspective avisée du Dr John Ioannidis, professeur de médecine, d'épidémiologie et de santé des populations, de science des données biomédicales et de statistiques à l'université de Stanford. Il est peut-être aujourd'hui LE scientifique médical le plus « factuel » au monde, et voici ce qu'il dit à propos de cette situation d'urgence :

    « La maladie à coronavirus actuelle, le Covid-19, a été qualifiée de pandémie centennale. Mais elle pourrait aussi être une preuve centennale de FIASCO. »

    Dans une publication séparée, il a ensuite ajouté :
    « Si le Covid-19 n'est pas aussi grave qu'on le dépeint, des critères de preuve élevés sont tout aussi pertinents. L'exagération et les réactions excessives peuvent sérieusement porter atteinte à la réputation de la science, de la santé publique, des médias et des décideurs politiques. Elles peuvent favoriser une incrédulité susceptible de compromettre les perspectives d'une réponse suffisamment forte lors d'une prochaine pandémie qui pourrait être, elle, plus importante. »
    Ou, comme le dit la directive principale de l'éthique médicale :

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  8. D'abord ne pas nuire

    L'article original a été publié le 28 mars 2020
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    Gabriela Segura, M.D. (Profil)

    Gabriela Segura est cardiochirurgienne et a vu le jour dans une famille multiethnique en Amérique Centrale. Son aventure au long cours avec la science médicale, les médecines douces et la nature réelle de notre monde l'ont amenée à vivre au Costa-Rica, en Espagne, au Canada, en Ouzbékistan, en France et en Italie. Ses passe-temps favoris sont SOTT, la recherche et passer du temps au milieu de la nature. Ses articles peuvent être lus sur The Health Matrix.

    https://fr.sott.net/article/35142-D-abord-ne-pas-nuire-Si-les-soins-de-sante-primaires-restent-fermes-le-bilan-pour-les-personnes-agees-sera-pire-que-celui-du-Covid-19

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  9. Les producteurs de papier toilette roulent dans la pâte


    par Tyler Durden
    Ven, 04/03/2020 - 02:10


    Parce que non seulement de la nourriture, mais - plus important encore - du papier hygiénique est stocké pendant la pandémie mondiale de coronavirus, les producteurs de TP précieux sont en marche.

    Aux États-Unis, les ventes de papier hygiénique ont augmenté d'environ 60% en mars par rapport au même mois l'an dernier.

    Comme le fait remarquer Katharina Buchholz de Statista, l'augmentation a été plus du double de celle enregistrée en Italie, qui a été frappée par l'épidémie plus tôt qu'aux États-Unis. Les revenus générés par les papiers hygiéniques ont augmenté de 140%.

    Italie + 140 %
    Australie + 98 %
    Espagne +82 %
    R-U +80 %
    USA + 60 %
    Inde +51 %
    Allemagne +35 %
    France + 30 %

    Infographie: Les producteurs de papier toilette roulent dans la pâte | Statista

    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Le Statista Consumer Market Outlook a comparé les données et calculé des estimations pour 16 pays pour montrer que les revenus avaient augmenté le plus en Italie, suivis du Vietnam et de l'Australie. Dans d'autres pays durement touchés par le virus, par exemple l'Espagne et la France, la vente de papier hygiénique a augmenté respectivement de 82% et 30%.

    https://www.zerohedge.com/health/toilet-paper-producers-rolling-dough

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  10. CORONAVIRUS : CIRCULATION EN VOITURE, PÉAGES, LES RÉPONSES À VOS QUESTIONS


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    03/04/2020


    Les déplacements à plusieurs dans un véhicule doivent se faire en cas de nécessité absolue. Il est recommandé qu'un seul membre de la famille se déplace pour les courses.

    Depuis le lundi 17 mars, le quotidien des Français est bouleversé. Difficile de suivre toutes les règles relatives au confinement. Voici quelques réponses à vos questions.

    Pouvons nous circuler à deux dans une voiture ?

    Non, sauf si vous avez une vraie bonne raison. Aller faire les courses à deux n’est pas justifié. En revanche, conduire un enfant, ou un adulte, chez le médecin, pour un rendez-vous indispensable et non reportable, c’est justifié.

    Mais attention : il faut normalement une attestation par personne. Pour les enfants, l’ajout de leur nom sur l’attestation est autorisé.

    Autre question du moment : pourquoi les péages ne sont pas gratuits ?

    Allez dire ça aux concessionnaires qui ont perdu quasiment 100% de leur chiffre d’affaires... Les véhicules de secours ou encore de police ou de gendarmerie, qui sont quasiment seuls à rouler sur les autoroutes, sont aujourd’hui exemptés de paiement des péages, mais c’est une mesure toute récente !

    Attention, sur autoroute, pour circuler : il vous faudra non seulement une attestation personnelle, mais aussi une attestation de l’employeur justifiant le déplacement, ou une preuve que vous allez effectivement venir en aide à une personne de votre famille. Ce conseil est d’autant plus vrai à l’approche des vacances de Pâques. Bon week-end !

    http://www.economiematin.fr/news-coronavirus-circulation-voiture-peages-reponses-questions

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  11. PRIX DES CARBURANTS EN CHUTE LIBRE : VERS UNE BAISSE DES TAXES ?


    par PAOLO GAROSCIO
    02/04/2020


    Le prix des carburants en France a chuté de 25 centimes d'euro en moyenne depuis début janvier 2020

    Le prix du baril de pétrole s’est effondré depuis le début de la crise du coronavirus Covid-19 : le 31 mars 2020, il a même chuté sous la barre symbolique des 20 dollars (pour le pétrole américain WTI), soit du jamais vu depuis 2001 et un niveau similaire à celui des années 80. À la pompe, le prix a suivi et devrait continuer de chuter. Et c’est une mauvaise nouvelle pour le gouvernement.

    Baisse du prix du pétrole et de la demande

    Deux facteurs ont entraîné la baisse du cours du baril en Bourse : la crise du Covid-19, entamée en Chine et devenue depuis pandémie mondiale, et la guerre que se font la Russie et l'Arabie saoudite sur les niveaux de production et qui ne semble pas prête de s’arrêter. La Russie veut prendre le contrôle du marché et est en mesure de supporter plus longtemps des prix bas que l’Arabie saoudite. C’est donc une guerre de longue haleine qui va se jouer.

    Le résultat est net : le prix du pétrole a été divisé par trois par rapport à son pic du 3 janvier 2020 lorsque le baril avait dépassé les 60 dollars. Et à la pompe, c’est la bérézina. Il faut dire que la demande mondiale, du fait du confinement, a été réduite en cendres : selon l’AIE, elle pourrait baisser de 20 millions de barils par jour. Les avions ne volent plus, les voitures ne roulent plus… En France, la consommation de carburant a chuté de plus de 70% selon les estimations.

    Vers l’essence à 1 euro ?

    Depuis le début de l’année, les prix du carburant en France ont chuté drastiquement : 25 centimes de moins le litre en moyenne… dont 12 centimes de moins par rapport à début mars 2020. Le confinement devant encore durer au moins jusqu’à fin avril, la tendance est loin de s’inverser.

    À la pompe, certains prix donnent le vertige : dans certaines stations essence, le diesel a chuté sous la barre des 1,2 euro le litre, à 1,15 euro. En moyenne, en France, le carburant le plus utilisé de l’Hexagone se vend 1,239 euro le litre, à peine 5 centimes de moins que l’essence SP95-E10 qui affiche 1,2887 euro.

    Peut-on espérer voir un prix à la pompe de 1 euro le litre ? La tendance y est, il semble qu’il suffit d’attendre.

    Le gouvernement contraint de baisser les taxes sur les carburants ?

    La baisse des prix sur l’essence est une bonne nouvelle pour le portefeuille des automobilistes qui… ne peuvent pas en profiter puisqu’ils sont en confinement. Mais qu’ils se rassurent, une fois le confinement terminé, ils pourront encore en profiter. Le gouvernement, lui, risque de devoir faire des concessions.

    Le prix du carburant à la pompe se décompose en effet en deux : d’un côté, il y a les coûts et les revenus des pétroliers (achat du brut, raffinage, distribution, marge…) et d’un autre, il y a les taxes, notamment la TICPE et la TVA. Or, la TICPE est fixe, d’un montant entre 60 et 70 centimes le litre. Lorsque le prix du carburant est élevé, prenons 1,49 euro le litre pour l’essence, les taxes représentent déjà plus de 90 centimes d’euro. Mais les pétroliers réussissent encore à se faire de la marge.

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  12. Mais avec un prix qui a chuté à 1,20 euro le litre, la TICPE et la TVA sur la TICPE restent fixes : 69 centimes et 13 centimes respectivement, soit 82 centimes. Il ne reste plus que 38 centimes pour le pétrolier (montant sur lequel s’applique encore la TVA). Un niveau potentiellement intenable. Le gouvernement va donc faire un choix : assommer encore plus les pétroliers ou baisser le niveau de la TICPE durant quelque temps.

    Au risque, toutefois, de l’augmenter à nouveau juste avant les élections présidentielles de 2022, ce qui a de fortes chances de ne pas être apprécié par les Français.

    http://www.economiematin.fr/news-prix-carburant-pompe-baisse-taxe-gouvernement-impot-automobiliste

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  13. Que diront les livres d'histoire de ce coronavirus planifié ?


    Par Bill Sardi
    3 avril 2020


    Quelle version les livres d'histoire diront-ils de notre temps actuel ?

    A. Coronavirus muté contre lequel personne sur la planète n'était immunisé contre a soudainement éclaté dans un monde non préparé; ou

    B. L'épidémie de coronavirus a été planifiée à l'avance pour couvrir un effondrement financier mondial imminent.

    Alors que quelques enquêteurs et commentateurs en ligne affirment que l'économie américaine pourrait s'effondrer et que toutes les richesses pourraient être vaincues et détruites par un verrouillage et une mise en quarantaine prolongés des coronavirus, peu d'Américains comprennent que l'épidémie et la quarantaine de coronavirus COVID-19 actuelles sont une couverture pour une effondrement déjà effondré économie avec l'épidémie virale servant de distraction effrayante alors qu'un effondrement économique soudain et sans précédent se déroule.

    Un rapport sur MSN.com dit: "Si le virus n'avait pas provoqué l'accident, quelque chose d'autre l'aurait fait."

    Un porte-parole de la banque centrale a déclaré: «Il s'agit d'un arrêt partiel planifié et organisé de l'économie américaine au deuxième trimestre. L'objectif global est de garder tout le monde, les ménages et les entreprises, entiers… C'est un énorme choc et nous essayons d'y faire face et de le garder sous contrôle. »

    Le porte-parole de la FED a déclaré qu'il "s'attend à une chute sans précédent de 50% du produit intérieur brut". Ce serait -50% de 21,427 milliards de dollars de PIB ou un PIB réel de 10,713 milliards de dollars. Il devient évident que le PIB réel a été caché par le gouvernement fédéral.

    L'économiste John Williams (ShadowStats.com) a révélé au cours des 64 derniers trimestres ou 16 dernières années que le PIB américain était en croissance négative. Traduction: le niveau de vie aux États-Unis est prêt à baisser de 50% à mesure que ses citoyens apprennent que le pays a atteint la limite de sa capacité à vivre de nos revenus futurs (crédit). Vivre avec des cartes de crédit a été amusant, mais cette époque est révolue.

    Pour preuve, environ 52% des Américains déclarent avoir atteint leur limite de carte de crédit.

    ShadowStats.com le décrit de cette façon:

    «L'insolvabilité du système financier mise à nu par la pandémie.»

    John Williams poursuit:

    La crise en cours a ses racines dans les dernières décennies, maintenant ouvertes par la crise pandémique, qui a dépouillé le placage d'un gouvernement américain et d'une réserve fédérale en faillite, le dollar américain n'étant plus soutenu par l'or, mais plutôt par la confiance mondiale dans l'économie américaine (maintenant en ébullition), la stabilité budgétaire des États-Unis (à des niveaux extrêmes de détérioration instable) et par la solidité du système bancaire américain détenu par la Banque centrale américaine (Réserve fédérale), qui vient de choisir de fournir des liquidités effectivement illimitées / liquidité du système.

    L'effondrement économique est en grande partie dû aux restrictions artificielles imposées à l'activité économique par la réponse du gouvernement à la pandémie. Le système ne peut pas récupérer / restaurer les transactions humaines et commerciales normales.

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  14. Il ne peut y avoir de véritable rétablissement tant que les gens ne peuvent reprendre leur style de vie normal. (Commentaire spécial n ° 1429 et 1430 de ShadowStats.com)

    Dans quel genre de monde reviendrons-nous lorsque le verrouillage et la quarantaine seront terminés ?

    Un rapport de GreenMedInfo indique qu'il existe deux plans qui décrivent les exigences pour mettre fin au verrouillage. L'une consiste à obliger tous les citoyens à se faire vacciner. L'autre consiste à suivre les déplacements des personnes en fonction de l'emplacement de leur téléphone portable. Ce sont des politiciens, pas des autorités sanitaires, qui font ces suggestions.

    Le monde dans lequel nous retournons après ce verrouillage peut être détestable et odieux:

    Les Centers for Disease Control ont pris le contrôle de l'Amérique, puisant dans les téléphones portables pour suivre les mouvements des citoyens et tiennent le président des États-Unis responsable de tout décès résultant du retrait anticipé du verrouillage et de la quarantaine.

    Les casques de haute technologie pourraient être portés par les forces de l'ordre ou même les agents de la santé nouvellement créés, des casques qui détectent une augmentation de la température (fièvre) chez des individus sans méfiance, comme ceux déjà en activité en Chine. Il existe même une technologie permettant d'identifier par reconnaissance faciale des personnes portant des masques.

    Le philanthrope / défenseur des vaccins, Bill Gates, parle de certificats numériques (des tatouages, comme ce qui a été placé sur les détenus de l'Holocauste dans les camps de concentration allemands ?), Ce qu'il dit avec ses propres mots: «Finalement, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou été testé récemment ou quand nous avons un vaccin qui l'a reçu. " "Camarade, votre certificat numérique s'il vous plaît !"

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/what-will-the-history-books-say-of-this-coronavirus-plannedemic/

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  15. L'État policier médicalement induit


    Par Donald Jeffries
    Le garder irréel
    3 avril 2020


    Je crains depuis longtemps un État policier. Pas celui figuratif que nous laissons développer depuis des années maintenant. Je veux dire littéralement. Où ils peuvent vous arrêter pour une raison quelconque et vous demander vos «papiers». Où ils peuvent restreindre vos mouvements et vos associations. Où ils peuvent vous confiner chez vous.

    Hier, cela est devenu une triste réalité pour moi et tous les autres Virginiens. Le maire Ralph «Blackface» Northam a signé un décret exécutif qui verrouille essentiellement mon état. La police peut arrêter n'importe quel automobiliste et demander où ils vont. S'ils ne vont pas chez un médecin ou au magasin, ils peuvent être accusés d'un délit. Pour l'instant. Et le personnel essentiel qui travaille encore a reçu des papiers. Oui, «montrez-moi vos papiers» est enfin là au pays du libre.

    En seulement quelques semaines, l'Amérique et la plupart du monde ont été soumis à un jeu de puissance qui rivalise avec tout ce que George Orwell aurait pu imaginer. Des pays entiers enfermés. Personnes mises en quarantaine sans maladie. Les gens étaient limités à leurs maisons. «Distanciation sociale» exigeant que les gens restent à six pieds l'un de l'autre. La fermeture de pratiquement toutes les entreprises. Plus besoin d'aller au cinéma, au restaurant, au casino ou au concert. Les ligues sportives professionnelles et même le lucratif tournoi de basket-ball March Madness de la NCAA ont été annulés. Toutes les écoles ont été fermées indéfiniment.

    Donc, sûrement tous ces mouvements draconiens et sans précédent indiquent que quelque chose de vraiment dangereux se passe ? Au lieu de cela, le monde s'est essentiellement immobilisé face à une souche virale, qui n'a même pas été prouvée de façon concluante, qui a tué une fraction de ce que la grippe commune tue chaque année, dans ce pays et dans le monde.

    Le coronavirus existe depuis des décennies. Il suffit de regarder à l'arrière de votre boîte de Lysol. Il vous informe que leur produit vous protège, entre autres, du «coronavirus humain». Beaucoup d'entre nous soupçonnent fortement que des cas de simples coronavirus ont été regroupés avec ceux qui prétendent être COVID-19, la souche ignoble en question, qui, selon tous les meilleurs et les plus brillants «experts», pourrait se propager à travers le monde comme une traînée de poudre.

    L'épidémiologiste britannique Neil Ferguson, la principale source de toute la peur du porno qui émane de nos médias d'État putrides depuis des semaines, est venue avertir que 2,2 millions de personnes pourraient mourir du COVID-19 aux États-Unis seulement. Sans toute l'attention accordée à ses prédictions initiales par les médias hystériques, Ferguson a discrètement reconnu la semaine dernière que ses chiffres étaient faux. Très, très mal. Son faible aveu selon lequel peut-être 20 000 personnes pourraient mourir n'était pas très convaincant. Et une paire de professeurs de médecine de Stanford a poursuivi en disant que les prédictions de décès «pourraient être trop élevées par ordre de grandeur».

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  16. Au lieu de répondre raisonnablement à ces indications selon lesquelles ceux qui ont lancé le discours alarmiste de nos journalistes et politiciens avaient tout à fait tort, nos dirigeants ont doublé la réponse brutale et injustifiée. Plus d'États comme le mien sont passés en mode verrouillage. Cela s'apparente à la loi martiale, sans troupes visibles dans les rues. Compte tenu du manque d'opposition à cet autoritarisme, ils n'en ont pas eu besoin. Sans tirer, comme dit le proverbe.

    Des journalistes citoyens ont publié une multitude de vidéos sur You Tube, qui ne représentent pas les hôpitaux «débordés» qui sont littéralement pleins à craquer de cadavres, mais plutôt des installations largement vides. Jason Goodman a tourné dans des hôpitaux de New York, l'épicentre présumé de l'épidémie présumée, et il faut le voir pour le croire. Des ambulances inactives partout. Travailleurs EMT et employés hospitaliers désintéressés. Beaucoup, sinon la plupart d'entre eux ne portent pas de masques. La police le harcèle de filmer dans une rue publique. J'ai un ami qui vit à New York, et il vient de m'appeler ce matin pour me dire à quel point le plus grand hôpital de Brooklyn n'était pas occupé. Il se passe quelque chose de très étrange ici.

    Pendant ce temps, le Dr Colleen Smith, un médecin spécialisé dans la «simulation médicale», quelle qu'elle soit, a violé toutes les réglementations HIPAA imaginables lorsqu'elle a filmé à l'intérieur d'une unité de soins intensifs à l'hôpital Elmhurst de New York. Le Dr Smith s'est plaint d'un manque d'équipement et de ressources, le même mantra de l'établissement que nous avons entendu maintes et maintes fois de la part des sources de l'établissement, qui est invariablement imputé à l'infortuné Donald Trump. Sa vidéo a été publiée par le New York Times. Le même jour où elle tournait à l'intérieur, l'hôpital Elmhurst a été filmé à l'extérieur par un journaliste citoyen. Vous l'avez deviné - cela ressemblait à une ville fantôme.

    Comme je l’ai dit clairement à tant de personnes qui perroquent sur la ligne traditionnelle, «les gens meurent !», Oui, les gens meurent. Ils le font tous les jours. Comme Bob Dylan, également de retour aux actualités cette semaine avec une chanson mieux tard que jamais sur la vérité sur l'assassinat de JFK, a dit un jour: "il n'est pas occupé à naître, il est occupé à mourir". La question est de savoir de quelles personnes meurent les médias contrôlés par l'État. Combien de ces décès sont en fait dus à des causes sous-jacentes comme le diabète ou la pneumonie, ou à des souches de virus moins effrayantes, comme la grippe régulière ou le coronavirus générique ?

    Il existe de nombreuses indications inquiétantes selon lesquelles la réaction excessive à ce sujet est un canular, même si le virus ne l'est pas. La photo de sinistres rangées de cercueils émanant prétendument d'Italie, qui aurait été si durement touchée par COVID-19, qui s'est avérée provenir d'un autre pays, prise des années plus tôt. Les rapports italiens indiquent que 99% des décès attribués à ce virus provenaient «d'autres pathologies». L'histoire début février en provenance de Chine, selon laquelle les Chinois incluaient des décès dus à la pneumonie ainsi que les cas effrayants de COVID-19. Il n'est pas exagéré de dire que, compte tenu de la réponse draconienne, les responsables ont un énorme intérêt à augmenter de manière significative le nombre.

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  17. L'Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control ont été surpris en train de mentir sur la même chose en 2009; ils ont faussement gonflé les chiffres de la grippe porcine. Sharyl Attkisson a perdu son emploi avec CBS pour avoir exposé le CDC. Aucun journalisme d'investigation n'est autorisé dans ce pays, en dehors des amateurs sur Internet. Le CDC et l'OMS sont au premier plan ici, avec nos politiciens perpétuellement malhonnêtes et notre presse risible de l'establishment. Ce sont eux qui vendent ce récit. Pourquoi une personne intelligente les croirait-elle ?

    J'ai été menti à toute ma vie par les figures d'autorité les plus puissantes. J'ai travaillé pour le Complexe médical industriel pendant 44 ans, jusqu'à ce qu'il y ait deux ans pour être licencié pour avoir aidé un collègue handicapé. Vous avez bien lu. C’est la chance que vous prenez dans un état de «droit au travail». Cela leur donne le droit de vous licencier sans raison. Notre système de santé est désespérément inefficace et tout aussi corrompu que n'importe quelle autre partie de l'Amérique 2.0. La profession médicale elle-même est la troisième cause de décès dans ce pays. Lorsque vous entrez dans un hôpital, vous prenez votre vie en main. Excusez-moi donc de ne pas faire confiance à toutes les blouses blanches qui émettent leurs déclarations désastreuses.

    En Virginie, notre loi martiale officieuse est en vigueur jusqu'au 10 juin. Imaginez combien d'entreprises ne rouvriront jamais après avoir été fermées pendant près de trois mois. Combien d'employés seront licenciés et devront faire face à l'augmentation constante du coût de la vie avec leurs chèques de 1 200 $ qui constituaient les déjections du paquet de «stimulus» de 5,5 billions de dollars, que Ron Paul a appelé «un transfert massif de la richesse de la classe moyenne à l'élite ? " Imaginez les demandes massives de chômage, en quelque sorte payées par les charges sociales qui ne seront pas perçues auprès de tous les chômeurs qui ne les paient plus.

    Et nous n’avons toujours pas entendu le moindre signe de protestation de quiconque disposant d’une grande plate-forme publique. Pas un seul chef d'entreprise dont le dévouement au capitalisme l'oblige à protester contre la fermeture littérale de presque tous les commerces. Il y a une étonnante uniformité d'opinion sur cette refonte massive de notre société, qui s'est produite en un clin d'œil. Seuls les opposants comme moi, avec les voix que nous avons sur Internet, soulignent à quel point tout cela est choquant.

    L'Amérique, même telle qu'elle existait sous sa forme édulcorée et souvent embarrassante il y a un mois, a disparu pour toujours. Une fois que nos dirigeants auront démontré qu'ils peuvent instituer de telles restrictions autoritaires sur la population, sans pratiquement aucune résistance, il est certain qu'ils le feront à nouveau. Attendez-vous à voir le genre d'avertissements ridicules de «menace terroriste» codés par couleur que nous avons vus après le 11 septembre. Lorsque les autorités incontestées déclarent que nous sommes au «code rouge» en termes de nouvelle menace virale, l'Amérique reviendra tout simplement en mode verrouillage. Les Américains y seront habitués.

    Aider à vendre ce récit a été un nombre étonnant de célébrités. Ce virus est évidemment prédisposé à attaquer des personnes célèbres qui ont montré un dévouement indéfectible à l'État Profond. Il était tout à fait prévisible que les goûts de Tom Hanks, Greta Thunberg, Prince Charles et Chris Cuomo seraient positifs. Pour le Coronavirus, comme il est écrit dans tous les cas de célébrités, pas pour COVID-19. Cela pourrait être le mélange paresseux et involontaire d'un terme générique pour la souche mortelle qui a arrêté le monde. Ou cela pourrait être un aveu que techniquement ils disent la vérité - les tests ne peuvent déterminer que si l'on a un Coronavirus, pas une souche particulière de celui-ci.

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  18. Mais il y a une énorme différence entre les deux termes; un test positif pour le Coronavirus générique n'est pas un problème. Cela pourrait simplement être un rhume ou une indication que quelqu'un est porteur, sans aucun symptôme. Si tout le monde ces dernières années avait été effrayé par la peur du porno pour se faire tester pour tout reniflement, qui sait combien auraient pu être positifs ? Ils ont en quelque sorte convaincu la plupart du public que cette souche virale est potentiellement beaucoup plus meurtrière que tout depuis la peste bubonique, malgré des chiffres qui restent une fraction de ce que nous voyons chaque saison de la grippe. Même avec les saisons de grippe les plus sévères, rien n'a jamais été fermé ou annulé. Certes, il n'y a jamais eu de verrouillage.

    Tout cela a été vendu au public dans le but de nous protéger. Après tout, nos dirigeants se soucient de nous. Ils n'ont que nos meilleurs intérêts à cœur. Et quoi de plus terrifiant pour quiconque que l'état de santé ? Aucun de nous ne veut mettre la vie de nos proches en danger. Et donc nous devenons encore plus conformes que la normale.

    Benjamin Franklin a sagement averti: "Ceux qui renonceraient à la liberté essentielle, pour acheter un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la sécurité." Compte tenu de la peur constante du porno de nos dirigeants, peu d'entre nous se sentent probablement en sécurité. Et leur réponse totalitaire à un ennemi invisible devrait nous faire sentir tous moins libres.

    Reprinted with the author’s permission.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/donald-jeffries/the-medically-induced-police-state/

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  19. Le préfet de Paris estime que les personnes en réanimation sont celles qui n'ont pas respecté le confinement


    14:33 03.04.2020


    Didier Lallement, préfet de police de Paris, a fait ce vendredi 3 avril une déclaration qu’il a ensuite regrettée. Il a notamment dit que les personnes en réanimation s'y trouvaient à cause du non-respect des règles du confinement.

    Ce matin, le préfet de police de Paris a fait part d'une «corrélation très simple» entre la présence des malades en réanimation et la violation des règles du confinement instaurées en France en raison du Covid-19.

    «Pas besoin d'être sanctionné pour comprendre que ceux qui sont aujourd'hui hospitalisés, qu'on trouve dans les réanimations, sont ceux qui au début du confinement ne l'ont pas respecté. Il y a une corrélation très simple », a-t-il déclaré.

    Comme l’indique un communiqué de la préfecture de police publié plus tard dans la journée, M.Lallement «regrette» ses propos et «tient à les rectifier».

    «Son intention n’était pas d’établir le lien direct entre le non-respect des consignes sanitaires et la présence de malades en réanimation. Il s’agissait de rappeler la nécessité d’une stricte application du confinement dans cette période, pour la protection de la santé de chacun», précise le communiqué.

    Les propos de Didier Lallement ont été largement critiqués. La présidente du Rassemblement nationales les a trouvés «totalement stupides».

    Pour le leader de la France insoumise, «l'état d'urgence sanitaire ne doit pas avoir ce visage insultant».

    Le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan a demandé la démission de Didier Lallement.

    Tout comme Florian Philippot, président des Patriotes, qui a dans une vidéo rappelé les raisons pour lesquelles une personne peut être contaminée par le virus.

    https://fr.sputniknews.com/france/202004031043468131-le-prefet-de-paris-estime-que-les-personnes-en-reanimation-sont-celles-qui-nont-pas-respectees-le/

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    1. Tous les partis pro-dictatures s'élèvent contre les images d'hôpitaux vides où, faute d'accidentés de la route, ils se croisent les bras.

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  20. Les premiers résultats du test du vaccin contre le coronavirus publiés aux USA


    14:09 03.04.2020


    Alors que le monde scientifique tente de trouver un remède au coronavirus qui a déjà fait plus d’un million de contaminations et au moins 52.000 morts, des chercheurs américains et néerlandais ont présenté un vaccin éventuel. Testé sur des souris et administré par un patch de la taille d'un doigt, il a présenté de bons résultats.

    Des chercheurs de l’Université de Pittsburg et du centre médical Érasme de Rotterdam ont publié le 2 avril dans The Lancet les premiers résultats d'essais précliniques d'un vaccin contre un nouveau type de coronavirus SARS-CoV-2.

    «Nous avions une expérience antérieure sur le SRAS-CoV en 2003 et le MERS-CoV en 2014. Ces deux virus, qui sont étroitement liés au SRAS-CoV-2, nous apprennent qu'une protéine particulière, appelée protéine spike, est importante pour induire l'immunité contre le virus. Nous savions exactement où combattre ce nouveau virus », a déclaré Andrea Gambotto, l’un des chercheurs de l’Université de Pittsburg.

    Ainsi, ils ont créé le vaccin à partir d’éléments de la protéine spike (S) du coronavirus, et non à partir de ceux de l'acide ribonucléique (ARN). C'est à travers la protéine S que le SRAS-CoV-2 pénètre dans l’organisme.

    En outre, les chercheurs ont mis au point un système original de pénétration du vaccin dans le corps: un patch recouvert de micro-aiguilles grâce auxquelles le médicament pénètre à la profondeur souhaitée pour interagir avec le système immunitaire.

    Des expériences sur des souris

    Leurs expériences menées sur des souris ont montré que deux semaines après la vaccination, l'immunité des rongeurs a commencé à activement développer des anticorps luttant contre le coronavirus.

    Les scientifiques soulignent qu’en 2014, les souris qui ont reçu le vaccin contre le MERS-CoV ont produit un niveau suffisant d'anticorps pour neutraliser le virus pendant au moins un an. Et cette nouvelle expérience montre que les niveaux d'anticorps des animaux vaccinés contre le SRAS-CoV-2 semblent suivre la même tendance.

    https://fr.sputniknews.com/international/202004031043468721-les-premiers-resultats-du-test-du-vaccin-contre-le-coronavirus-publies-aux-usa/

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  21. L’une des plus puissantes balles de calibre 9 mm mise au point en Russie


    14:53 03.04.2020


    Également appelée «cartouche de Boa», une nouvelle munition de 9mm capable de percer les gilets pare-balles de classe 2 a été conçue en Russie. Ses créateurs assurent qu’il s’agit de l’une des balles les plus puissantes de ce calibre.

    Destinée à des pistolets semi-automatiques, une des cartouches de calibre 9 mm les plus puissantes au monde a été conçue en Russie, annonce le consortium technologique russe Rostech.

    Capable de percer un gilet pare-balles de classe 2 à une distance largement supérieure à celle nécessaire pour ses analogues, cette invention est un produit de l'Institut ?entral de recherche sur la construction de machines de précision, qui fait partie du conglomérat.

    «Le savoir-faire de nos créateurs de cartouches se retrouve dans la configuration du noyau de balle avec un tranchant à son sommet. Malgré le scepticisme émis lors de la conception, les expérimentations ont par la suite permis d’établir qu’une conception similaire du noyau de balle n'affecte pas la précision du tir», déclare le service de presse du directeur général de l’Institut, Albert Bakov.

    Également appelée «cartouche de Boa» -du nom du nouveau pistolet à perspective russe Oudav (ce qui se traduit par «Boa»)-, elle est «l’une des plus puissantes représentantes du calibre 9 mm dans le monde», a-t-il ajouté.

    Une cartouche «furtive»

    Plus tôt, Rostech avait annoncé, dans le cadre du travail sur Oudav, la mise au point d’une autre cartouche perforante et destinée à des tirs «furtifs». Auparavant, les balles silencieuses ne pouvaient pas percer les gilets pare-balles de classe 2 en raison de leur faible une vitesse -200-300 m/s. Or, les balles volant à 400 m/s peuvent le faire, mais non sans bruit. La nouvelle cartouche a donc conjugué les deux avantages.

    https://fr.sputniknews.com/defense/202004031043469079-lune-des-plus-puissantes-balles-de-calibre-9-mm-mise-au-point-en-russie/

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  22. La prolongation des blocages en vaut-elle le coût ? (Est-ce que les verrouillages fonctionnent ?)


    Willis Eschenbach
    1 avril 2020


    [MISE À JOUR-
    Eh bien, je me suis levé aujourd'hui et j'ai tiré le sarcleur de mauvaises herbes et je suis sorti pour transpirer un peu au soleil. Vous pouvez voir la partie tondue en bas et la partie non tondue beaucoup plus grande derrière… Je limite mon plaisir à un réservoir d'essence par jour, me fait trembler les mains par la suite.

    Et tout en transformant les hautes herbes en herbes courtes, j'ai pensé…

    Les rats ! J'ai posé la mauvaise question !

    La question n'est pas «Les verrouillages fonctionnent-ils»? La réponse est évidemment oui. Tous les différents types de ces restrictions, du plus doux au plus draconien, auront un certain effet sur la vitesse de transmission. Alors, "les verrous fonctionnent-ils ?" n'a pas de sens.

    La vraie question est: «Est-ce que l'extension des blocages en vaut le coût ?»

    Autrement dit, une nouvelle prolongation des blocages fera-t-elle une différence ? D'après ce que les gens disent ci-dessous, nous ne voyons pas les effets des blocages pendant environ trois semaines après l'imposition des sanctions. Maintenant, grâce à un site très intéressant fourni par mon ami généralement agaçant Steve Mosher, l'avenir des États-Unis ressemble à ceci (le site a également des états individuels):

    - voir sur site -

    https://i2.wp.com/wattsupwiththat.com/wp-content/uploads/2020/04/covid-days-until-peak.png

    Si le pic est dans deux semaines, et les effets de ce que nous faisons aujourd'hui ne seront pas visibles pendant deux semaines, et à ce stade, les changements possibles sont faibles, cela vaut-il les énormes dégâts causés par ce verrouillage ?

    Le problème que je vois est le coût. Une semaine de confinement nous a coûté deux mille milliards de dollars, ainsi que des milliers d'entreprises en faillite, des personnes incapables de prendre leur retraite parce que leurs 401K sont aux toilettes, des centaines de milliers de chômeurs, une forte augmentation de la violence domestique et de nombreux emplois perdus.

    Maintenant, j'estime que quelque chose de l'ordre de 80 000 personnes mourront aux États-Unis de ce virus. (Curieux, j'ai également recherché l'estimation du modèle ci-dessus… 93 000.) Supposons que «l'aplatissement de la courbe» en sauve 10%. Selon toutes les indications, ce ne sera pas le cas, mais utilisons ce numéro.

    Cela signifie que nous avons dépensé deux billions de dollars pour sauver peut-être 8 000 personnes.

    Et cela, à son tour, signifie que nous avons dépensé un TRIMESTRE DE MILLIARDS DE DOLLARS PAR PERSONNE, la plupart d'entre eux ayant plus de 70 ans comme moi mais contrairement à moi avec d'autres maladies, et nous avons mis notre économie dans le pétrin. Je me trompe peut-être, mais je ne pense pas que ma vie vaut un quart de milliard de dollars.

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  23. Maintenant, pensez à l'alternative: auto-isolement volontaire, en particulier des geezers comme moi, ainsi que deux milliards dans les hôpitaux de campagne, les hôpitaux de quarantaine, la formation accélérée des médecins et des infirmières aux procédures de quarantaine, les ventilateurs, les masques, les ambulances de quarantaine, la production de médicaments d'antibiotiques , la chloroquine et tous les médicaments dont nous avons besoin, des vidéos pédagogiques sur la distanciation sociale, etc.

    Je dirais qu'il y a de fortes chances que nous puissions sauver plus de 8 000 personnes par cette méthode, et peu importe le nombre que nous avons économisé, nous nous retrouverions avec a) un système médical sans pareil, b) une économie bourdonnante qui vient d'avoir 2 000 milliards de dollars consacrés à l'augmentation de la production, c) à l'étayage de notre industrie de production de drogue, d) aucune perte d'entreprise, aucun chômage ou perte d'emploi, et e) aucune augmentation de la violence domestique.

    Appelez-moi fou, mais je ne veux PAS dépenser deux mille milliards de dollars supplémentaires pour soutenir un verrouillage pour la plupart «agréable».

    Compte tenu de l'inefficacité générale de ces diverses interventions de type verrouillage dans les pays occidentaux, et étant donné que quelques semaines de verrouillage nous ont déjà coûté un billion de dollars et des centaines de milliers d'emplois disparus et d'entreprises en faillite et de chômeurs…

    … Étant donné tout cela, je dois demander… est-il hier trop tôt pour mettre fin aux blocages ?

    N'abandonnez pas. Il suffit de mettre fin au règlement sur les abris sur place. Laisser une forte auto-isolation VOLONTAIRE sur des geezers comme moi, des retraités. Testez les visiteurs entrants aux États-Unis. Continuez à vous laver les mains. COMMENCEZ À PORTER DES MASQUES!.

    Remettons le pays au travail avant que d'autres personnes ne fassent faillite ou ne soient pas en mesure de payer leur loyer.

    Quoi qu'il en soit, c'était ma matinée. Comment était la vôtre ? J'ai modifié le titre du message et laissé le titre d'origine également à des fins de recherche. Et maintenant, voici mon message d'origine.

    Meilleurs voeux à tous pour une bonne santé,

    w.]

    Avant que ce verrouillage de $% ^ & * ne commence, j'ai dit "DÉPENSER LE TRILLION DE $ SUR NOTRE SYSTÈME DE SANTÉ ET NE PAS BLOQUER LES ÉTATS-UNIS" !!!

    (Vous voyez, à l'époque, ils ne parlaient que d'un billion. Mais ce sont les politiciens qui dépensent l'OPM, alors bien sûr, maintenant, c'est deux billions.)

    Et de tout ce que j'ai vu jusqu'à présent, j'avais raison. Autant que je sache, les blocages dans divers pays ont peu fait et notre système de santé est encore inadéquat. Cependant, c'est juste anecdotique. Voici donc quelques données plus difficiles sur la question.

    Premièrement, presque tous les pays ont mis en œuvre certaines formes d'interventions sanitaires, allant de la répression totalitaire modérée à la chinoise.

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  24. Et comme les Coréens l'ont montré, cela peut fonctionner ... mais seulement si les gens sont prêts à appliquer les quarantaines avec les emplacements GPS et un état de surveillance et un suivi des contacts GPS qui montre partout où vous avez été au cours des deux dernières semaines. Pour autant que je sache, il faut être la Corée ou la Chine pour réussir, et aucun pays occidental ne l'a même essayé.

    Et en conséquence, il y a très peu de différence entre la propagation de la maladie et le taux de décès concomitant dans aucun des pays occidentaux. La figure 1 montre la trajectoire tragique des décès dans les 14 pays où les taux de mortalité sont les plus élevés.

    - voir sur site -

    Figure 1. Décès de coronavirus par rapport au nombre de jours écoulés depuis que le pays a dépassé 10 décès par million d'habitants.

    Comme vous pouvez le voir, il y a très peu de différence dans les taux de mortalité entre les différents pays, malgré le fait qu'ils ont tous des niveaux différents d'interventions sanitaires pour essayer de prévenir la propagation. Ils suivent tous la même trajectoire.

    Maintenant, à part les fermetures, à quel type d'interventions de santé je fais référence ? Heureux que vous ayez demandé. Sur ACAP, vous pouvez télécharger un ensemble de données des différents types de mesures utilisées par différents pays. Ils répertorient pas moins de 33 types différents d'interventions sanitaires utilisées pour lutter contre le coronavirus, à savoir:

    Exigences supplémentaires en matière de santé / documents à l'arrivée
    Modification du règlement sur les funérailles et l'enterrement
    Campagnes de sensibilisation
    Contrôles aux frontières
    Fermeture de la frontière
    Modifications des politiques pénitentiaires
    Points de contrôle dans le pays
    Fermeture complète de la frontière
    Couvre-feu
    Restrictions sur les voyages intérieurs
    Mesures économiques
    Structures administratives d'urgence activées ou établies
    Verrouillage complet
    Recommandations générales
    Examens de santé dans les aéroports et les postes frontaliers
    Exemptions humanitaires
    Suspension des vols internationaux
    Introduction de politiques de quarantaine
    Limiter les importations / exportations de produits
    Limitez les rassemblements publics
    Verrouillage des camps de réfugiés / déplacés internes ou d'autres minorités
    Tests de population de masse
    Déploiement militaire
    Tests médicaux obligatoires non liés à COVID-19
    Verrouillage partiel
    Assistance psychologique et travail social médical
    Fermeture des services publics
    Fermeture des écoles
    Etat d'urgence déclaré
    Renforcer le système de santé publique
    Surveillance et suivi
    Politique de test
    Restrictions de visa

    J'ai donc utilisé cela pour voir si les pays avec plus de ces restrictions s'en sortaient mieux. Voici, par exemple, les restrictions imposées par la Corée du Sud au fil du temps. Certains sont répertoriés deux fois parce qu'ils ont été élargis ou rendus plus rigoureux au fil du temps:

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  25. Examens de santé dans les aéroports et les postes frontaliers
    Limitez les rassemblements publics
    Restrictions de visa
    Restrictions de visa
    Introduction de politiques de quarantaine
    Fermeture des écoles
    Introduction de politiques de quarantaine
    Exigences supplémentaires en matière de santé / documents à l'arrivée
    Surveillance et suivi
    Recommandations générales
    Exigences supplémentaires en matière de santé / documents à l'arrivée
    Recommandations générales
    Verrouillage partiel
    Recommandations générales
    Introduction de politiques de quarantaine
    Assistance psychologique et travail social médical
    Introduction de politiques de quarantaine
    Surveillance et suivi

    Quarantaine, puis surveillance, puis quarantaine plus rigoureuse, puis surveillance et quarantaine encore plus rigoureuses. Je ne pense pas que les Américains accepteraient cela.

    Cependant, étant une personne à l'esprit graphique, j'ai ensuite fait un diagramme de dispersion du nombre de types de restrictions distinctes qu'un pays a imposées par rapport au nombre de décès par dix millions dans ce pays. La figure 2 montre le résultat:

    - voir sur site -

    Figure 2. Diagramme de dispersion, nombre de types de restrictions pour tenter de prévenir la propagation virale par rapport aux décès par coronavirus pour dix mille.

    Comme vous pouvez le voir, le nombre de restrictions semble avoir peu à voir avec le nombre de décès. Par exemple, voici ce que la Suisse a fait. Ce sont les différentes restrictions qu'ils ont appliquées.

    Limitez les rassemblements publics
    Contrôles aux frontières
    Restrictions de visa
    Etat d'urgence déclaré
    Fermeture des écoles
    Etat d'urgence déclaré
    Contrôles aux frontières
    Restrictions de visa
    Recommandations générales
    Renforcer le système de santé publique
    Campagnes de sensibilisation
    Politique de test
    Limitez les rassemblements publics
    Fermeture de la frontière
    Limitez les rassemblements publics
    Mesures économiques
    Limitez les rassemblements publics
    Verrouillage partiel
    Verrouillage complet
    Verrouillage partiel
    Mesures économiques
    Mesures économiques
    Limiter les importations / exportations de produits
    Déploiement militaire
    Limitez les rassemblements publics
    Suspension des vols internationaux
    Limitez les rassemblements publics
    Renforcer le système de santé publique
    Restrictions de visa
    Mesures économiques

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  26. Le manque d'effet visible n'est donc pas dû à un manque de restrictions. Le manque d’effet visible n’est pas non plus dû au fait que les restrictions ne sont pas en place depuis assez longtemps. La Suisse a imposé les premières restrictions il y a quarante jours, le 21 février. Ils ont fermé les écoles. Le 24 février, le gouvernement a déclaré une «situation extraordinaire», a interdit tous les événements privés et publics et a ordonné la fermeture des restaurants et des bars. À ce moment-là, ils n'ont eu aucun décès par coronavirus. [MISE À JOUR: Deux personnes ont déclaré que les restrictions imposées par la Suisse n’étaient pas en place depuis si longtemps. En revérifiant mes sources, je trouve qu'elles avaient raison et que j'avais 100% tort. Cependant, mon argument demeure: les différentes restrictions n'ont fait aucune différence détectable à ce jour, et le resserrement interviendra dans une ou deux semaines pour la plupart des pays. Donc, tout effet sera minime, sinon détectable, et en attendant, le coût économique et humain est horrible.]

    Ils ont actuellement 433 décès par coronavirus. Quarante jours de sanctions sans effet.

    Pendant ce temps, les Suisses ont à peu près le même nombre de décès pour dix millions d'habitants que les Pays-Bas, et voici tout ce que les Néerlandais ont fait:

    Introduction de politiques de quarantaine
    Limitez les rassemblements publics
    Fermeture des écoles
    Fermeture des services publics
    Recommandations générales
    Mesures économiques
    Structures administratives d'urgence activées ou établies

    Pas de verrouillage, ni partiel ni complet. Aucune limitation à l'importation / exportation. Pas de suspension des vols. Aucune restriction de visa. Pas d'état d'urgence. Pas de contrôles aux frontières.

    - voir sur site -

    Et malgré cela… ils sont à égalité avec les Suisses, malgré toutes les mesures de confinement suisses.

    Ou vous pouvez voir les choses autrement. L'Allemagne, les États-Unis, le Portugal, la France et l'Espagne ont tous institué le même nombre de restrictions… mais leurs décès vont de bas en haut.

    Il semble donc que mon intuition était correcte. À moins que vous ne vouliez imposer un État de police et de surveillance à part entière, ces mesures font très peu. Le problème est que ce bougre est tellement insidieux. Il a une longue période d'incubation lorsqu'il est infectieux mais asymptomatique. Et il peut vivre sur des surfaces pendant des jours. En conséquence, en termes de restrictions gouvernementales, rien d'autre qu'une grande presse de cour de style coréen, avec une surveillance et une quarantaine stricte et une population disposée à suivre les restrictions à la lettre, réduira le nombre de cas.

    Et les Américains ne le feront tout simplement pas. En fait, il est impossible d'amener les Américains à se mettre à l'abri sur place. Si vous sortez dans les rues des États-Unis, il y a beaucoup de gens qui travaillent, beaucoup de gens qui vont d'un endroit à l'autre, des épiceries pleines de gens… contrôler le virus ?

    Je ne pense pas.

    Mais concernant le contrôle du virus, voici un autre graphique. C'est exactement la même chose que la figure 2, mais il contient également le Japon.

    Hmm… ils sont dans la zone de danger, près de la Corée et de la Chine, alors quelles mesures de santé extrêmes appliquent-ils ? Voici …

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  27. Le manque d'effet visible n'est donc pas dû à un manque de restrictions. Le manque d’effet visible n’est pas non plus dû au fait que les restrictions ne sont pas en place depuis assez longtemps. La Suisse a imposé les premières restrictions il y a quarante jours, le 21 février. Ils ont fermé les écoles. Le 24 février, le gouvernement a déclaré une «situation extraordinaire», a interdit tous les événements privés et publics et a ordonné la fermeture des restaurants et des bars. À ce moment-là, ils n'ont eu aucun décès par coronavirus. [MISE À JOUR: Deux personnes ont déclaré que les restrictions imposées par la Suisse n’étaient pas en place depuis si longtemps. En revérifiant mes sources, je trouve qu'elles avaient raison et que j'avais 100% tort. Cependant, mon argument demeure: les différentes restrictions n'ont fait aucune différence détectable à ce jour, et le resserrement interviendra dans une ou deux semaines pour la plupart des pays. Donc, tout effet sera minime, sinon détectable, et en attendant, le coût économique et humain est horrible.]

    Ils ont actuellement 433 décès par coronavirus. Quarante jours de sanctions sans effet.

    Pendant ce temps, les Suisses ont à peu près le même nombre de décès pour dix millions d'habitants que les Pays-Bas, et voici tout ce que les Néerlandais ont fait:

    Introduction de politiques de quarantaine
    Limitez les rassemblements publics
    Fermeture des écoles
    Fermeture des services publics
    Recommandations générales
    Mesures économiques
    Structures administratives d'urgence activées ou établies

    Pas de verrouillage, ni partiel ni complet. Aucune limitation à l'importation / exportation. Pas de suspension des vols. Aucune restriction de visa. Pas d'état d'urgence. Pas de contrôles aux frontières.

    - voir sur site -

    Et malgré cela… ils sont à égalité avec les Suisses, malgré toutes les mesures de confinement suisses.

    Ou vous pouvez voir les choses autrement. L'Allemagne, les États-Unis, le Portugal, la France et l'Espagne ont tous institué le même nombre de restrictions… mais leurs décès vont de bas en haut.

    Il semble donc que mon intuition était correcte. À moins que vous ne vouliez imposer un État de police et de surveillance à part entière, ces mesures font très peu. Le problème est que ce bougre est tellement insidieux. Il a une longue période d'incubation lorsqu'il est infectieux mais asymptomatique. Et il peut vivre sur des surfaces pendant des jours. En conséquence, en termes de restrictions gouvernementales, rien d'autre qu'une grande presse de cour de style coréen, avec une surveillance et une quarantaine stricte et une population disposée à suivre les restrictions à la lettre, réduira le nombre de cas.

    Et les Américains ne le feront tout simplement pas. En fait, il est impossible d'amener les Américains à se mettre à l'abri sur place. Si vous sortez dans les rues des États-Unis, il y a beaucoup de gens qui travaillent, beaucoup de gens qui vont d'un endroit à l'autre, des épiceries pleines de gens… contrôler le virus ?

    Je ne pense pas.

    Mais concernant le contrôle du virus, voici un autre graphique. C'est exactement la même chose que la figure 2, mais il contient également le Japon.

    Hmm… ils sont dans la zone de danger, près de la Corée et de la Chine, alors quelles mesures de santé extrêmes appliquent-ils ? Voici …

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  28. Examens de santé dans les aéroports et les postes frontaliers
    Restrictions de visa
    Whaaaa ? C’est toutes les restrictions ? … Ma seule conclusion est simple.

    PORTER UN MASQUE.

    La seule pratique en matière de santé virale qui distingue le Japon de la plupart des pays du monde est qu'ils portent tous des masques en public. Même les médias libéraux américains remarquent l'efficacité des masques - une histoire de CNN est intitulée «Masques faciaux et coronavirus: l'Asie a peut-être raison et le reste du monde revient»… semble que les spécialistes américains se soient encore trompés. Allez comprendre.

    Un masque réduit la transmission de deux manières. Premièrement, il vous empêche de toucher votre bouche ou votre nez. Cela vous protège jusqu'à ce que vous puissiez vous laver les mains, et si vous êtes infecté, cela vous empêche de propager le virus sur des surfaces dures pour infecter les autres.

    Ensuite, il vous empêche d'éternuer ou de tousser un milliard de particules virales dans l'air. Il est moins efficace pour vous empêcher d'inhaler de telles particules, bien qu'il y contribue également. Et c'est l'éternuement et la toux qui sont le principal moyen de propagation du virus.

    Et dans l'ensemble, comme le montre le Japon, le port d'un masque réduit considérablement le taux de transmission.

    Nous commençons à y arriver, mais il est peut-être trop peu trop tard. Je vois que les experts médicaux de génie qui ont recommandé le verrouillage drastique inefficace envisagent maintenant de recommander aux Américains de porter des masques. Le titre dans Politico dit "Fauci: recommandation de porter un masque sous" une considération très sérieuse "… à l'étude ?? Ils ont détruit l’économie américaine sans regarder en arrière, mais une simple recommandation de porter un masque en public exige une «considération très sérieuse»?

    Soupir …

    Nous pouvons voir ci-dessus qu'il y a très peu d'avantages au verrouillage américain… alors regardons les inconvénients. Premièrement, les dommages économiques causés par la réglementation insensée actuelle des «abris sur place» conçus pour contrecarrer le coronavirus sont déjà énormes - emplois perdus, entreprises fermées, ralentissement économique, pertes boursières. Cela ne compte pas le coût personnel dans des choses comme l'augmentation des suicides et la violence domestique et autre. Les personnes qui ont pris la décision étaient évidemment dirigées par des médecins, ce qui était bien, mais ils n'ont pas écouté les économistes ou les spécialistes des sciences sociales, ce qui était mortel.

    Pour compenser partiellement la population pour ces pertes économiques énormes, nous venons de jeter deux billions de dollars dans la direction générale du problème. C'est mille milliards avec un "T". La plupart des gens n'ont aucune idée du montant d'un billion de dollars. Considérez-le de cette façon.

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  29. Supposons que vous soyez un immortel qui a fait tellement d'argent que vous avez pu dépenser un million de dollars par jour pour toujours. La première semaine, vous achetez 350 ventilateurs à 20 000 $ chacun et vous les donnez aux différents États. Le lendemain, vous achetez 200 000 masques faciaux à 5 $ la pop, à des prix épidémiques. Ensuite, vous décidez de prendre un an et d'acheter un hôpital de campagne chaque jour, 365 d'entre eux à un million de dollars chacun. Cela fait tellement de bien que vous décidez de créer des hôpitaux complets. Ils représentent environ 1,5 million de dollars par lit. Vous pouvez donc acheter un hôpital de 250 lits par an. Vous passez les deux cents prochaines années à faire cela, deux cents nouveaux hôpitaux, 50 000 nouveaux lits.

    Maintenant, cela ne représente qu'une centaine d'années à dépenser un million de dollars par jour. Supposons en outre que vous ayez commencé à dépenser un mégabuck par jour, c'est-à-dire un million de dollars chaque jour, week-ends compris, en janvier Premier retour dans la première année. Et imaginez que vous avez dépensé un million de dollars par jour chaque jour jusqu'à présent, en achetant du matériel médical, en agrandissant des écoles de médecine, en achetant des kits de test, un million de dollars par jour de l'année 1 jusqu'en 2020.

    Devine quoi …



    … Vous auriez encore dépensé bien moins d'un billion de dollars, seulement environ les trois quarts de billion. Et pour dépenser 2 000 milliards de dollars, vous devez dépenser un million de dollars par jour pendant 5 500 ans.

    Pouvez-vous imaginer à quoi ressemblerait notre système médical si nous y consacrions un million de dollars par jour pendant cinquante-cinq cents ans ?

    Au lieu de cela, nous avons énervé les deux mille milliards de dollars pour réparer les dommages causés par le verrouillage sans redémarrer l'économie, en plus de le gaspiller sur tout le porc qui a été chargé sur la facture.

    Idiotie financière consommée que seuls les politiciens pouvaient penser raisonnable, logique ou pratique. Mark Twain avait raison quand il a dit: «Supposons que vous étiez membre du Congrès. Et supposez plus loin que vous étiez un idiot. Mais je me répète. "

    Alors ... que diriez-vous tous de mettre des masques, de continuer à nous laver les mains, d'abandonner notre rendez-vous torride à minuit (rendez-vous?) Avec les pangolins, d'augmenter les tests en particulier de notre personnel médical, de commencer à tester des anticorps et de mettre fin à ce stupide verrouillage? Les bloatocrates au Congrès ont déjà imaginé un nouveau projet de loi de crédits pour gaspiller un autre billion de dollars ou plus que nous ne pouvons pas nous permettre. Moi, je dis, arrêtons pendant que nous sommes en retard et retournons au travail.

    Ici, sur ma colline de forêt où les séquoias rayent le ciel, c'est ma grande chance que ma fille, son mari et ma petite-fille soient venus passer le verrouillage dans les bois ... et moi et ma magnifique ex-fiancée sommes ravis que ils sont ici. Ils travaillent à domicile et nous sommes à la retraite, donc tout va bien chez nous.

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  30. Alors restez bien en ces temps difficiles, chers amis. Je constate que la chloroquine a été approuvée en Inde pour le traitement Covid-19. J'ai eu le paludisme quatre fois, donc je connais ce médicament de près et personnellement. De plus, je l'ai pris une fois par semaine pendant un an comme prophylaxie contre le paludisme. Et j'avais l'habitude de prendre trois doses hebdomadaires par jour pendant trois jours consécutifs si je sentais le paludisme se propager, et cela l'arrêterait sur ses traces. Donc je le reprendrais dans une minute.

    Et j'ai également vu que le conseiller du ministre italien de la Santé a déclaré que seulement 12% des décès italiens étaient en fait des décès DE Covid-19, et le reste étaient des décès AVEC Covid-19. Donc, les choses vont peut-être mieux.

    Cordialement à tous,

    w.

    L'habituel: Lorsque vous commentez, veuillez citer les mots exacts dont vous parlez, afin que nous puissions tous être clairs à qui et à quoi vous faites référence.

    https://wattsupwiththat.com/2020/04/01/do-lockdowns-work/

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  31. Alors restez bien en ces temps difficiles, chers amis. Je constate que la chloroquine a été approuvée en Inde pour le traitement Covid-19. J'ai eu le paludisme quatre fois, donc je connais ce médicament de près et personnellement. De plus, je l'ai pris une fois par semaine pendant un an comme prophylaxie contre le paludisme. Et j'avais l'habitude de prendre trois doses hebdomadaires par jour pendant trois jours consécutifs si je sentais le paludisme se propager, et cela l'arrêterait sur ses traces. Donc je le reprendrais dans une minute.

    Et j'ai également vu que le conseiller du ministre italien de la Santé a déclaré que seulement 12% des décès italiens étaient en fait des décès DE Covid-19, et le reste étaient des décès AVEC Covid-19. Donc, les choses vont peut-être mieux.

    Cordialement à tous,

    w.

    L'habituel: Lorsque vous commentez, veuillez citer les mots exacts dont vous parlez, afin que nous puissions tous être clairs à qui et à quoi vous faites référence.

    https://wattsupwiththat.com/2020/04/01/do-lockdowns-work/

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  32. Combattez le virus avec Sunshine


    2 avril 2020
    par Jim Steele


    Je veux encourager les gens à sortir et à prendre un peu de soleil. Si les promenades dans le parc sont interdites, un bain de soleil limité dans votre cour arrière ou les toits des appartements aideraient. Je ne donne pas d'avis médical, mais c'est une suggestion qui ne va pas de soi, sans regrets.

    Les scientifiques ont longtemps cherché à savoir pourquoi la saison de la grippe se termine de façon spectaculaire dans les mois les plus chauds. Un facteur clé est que notre système immunitaire s'améliore lorsque le soleil qui brille sur notre peau produit la vitamine D qui est très importante. C'est une forme de vitamine D qui est plus efficace que ce qui est ajouté à notre lait.

    Les chercheurs ont rapporté que «la carence en vitamine D est courante en hiver, et la vitamine D activée, une hormone stéroïde, a des effets profonds sur l'immunité humaine. D agit comme un modulateur du système immunitaire, empêchant l’expression excessive de cytokines inflammatoires et augmentant le potentiel «d’éclatement oxydatif» des macrophages. Plus important encore, il stimule considérablement l'expression de puissants peptides antimicrobiens, qui existent dans les neutrophiles, les monocytes, les cellules tueuses naturelles et dans les cellules épithéliales tapissant les voies respiratoires où ils jouent un rôle majeur dans la protection du poumon contre les infections. Les volontaires inoculés avec le virus de la grippe vivant atténué sont plus susceptibles de développer de la fièvre et des signes sérologiques d'une réponse immunitaire en hiver. La carence en vitamine D prédispose les enfants aux infections respiratoires.

    Si nous n'obtenons pas suffisamment de soleil, un abri sur place pourrait avoir pour conséquence involontaire de prolonger l'épidémie de COVID 19. Les personnes âgées devenant moins mobiles et passant moins de temps à l'extérieur, une carence en vitamine D ne ferait qu'amplifier leur vulnérabilité.

    Avril est le moment où les infections grippales baissent de façon spectaculaire. Bien sûr, le virus COVID 19 diffère de la grippe, mais la capacité de notre système immunitaire à combattre tous les virus est essentielle. Peut-être qu'un peu de soleil d'avril minimisera la propagation du COVID 19 et aplatira la courbe.

    - voir photo sur site -

    Jim Steele est directeur émérite du Campus de terrain de la Sierra Nevada de l’État de San Francisco et auteur de Landscapes and Cycles: An Environmentalist’s Journey to Climate Skepticism

    Contact: naturalclimatechange@earthlink.net

    https://wattsupwiththat.com/2020/04/02/fight-the-virus-with-sunshine/

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  33. «Heureusement que les agriculteurs sont là pour mettre à manger sur la table durant cette crise»


    16:39 03.04.2020
    Par Fabien Buzzanca


    L'épidémie de coronavirus qui frappe l'Hexagone remet en question son économie. De nombreux observateurs appellent à relocaliser la production en France, à plusieurs niveaux. Les agriculteurs sont concernés et appellent à un changement. Patrick Maurin, élu de Marmande dans le Lot-et-Garonne et défenseur des agriculteurs, s'est confié à Sputnik.

    «Les agriculteurs ont peur comme le reste de la population.»
    Patrick Maurin, élu du Lot-et-Garonne, connu pour ses «marches» à travers le pays à la rencontre des agriculteurs, est conscient du moment historique que vit la France. En première ligne, durant cette crise sanitaire d'une ampleur inédite, les agriculteurs sont à pied d'œuvre pour continuer à alimenter le pays. La France est un acteur de premier plan en la matière. D'après un rapport d'information du Sénat datant du 28 mai 2019, elle représente à elle seule près de 17% de la production européenne.

    Un avant et un après coronavirus pour l’agriculture de France ?

    Secteur en difficulté, avec un taux de suicide record, plus de deux par jour selon les chiffres de la Mutualité sociale agricole parus à l'été 2019, l'agriculture française aspire à de grands bouleversements. Depuis le début de l'épidémie de coronavirus qui frappe la planète, plusieurs économistes appellent à changer de paradigme. La crise sanitaire a fait apparaître les faiblesses d'un monde peut-être trop «mondialisé».

    Emmanuel Macron invite à rapatrier les usines, de même que Donald Trump. Dans une récente tribune publiée dans le journal Le Monde, les économistes Maxime Combes, Geneviève Azam, Thomas Coutrot et le sociologue Christophe Aguiton ont lancé l'alerte:

    «Relocaliser n’est plus une option mais une condition de survie de nos systèmes économiques et sociaux.»
    Quid de l'agriculture française ? Moins d'importations, plus de production locale et de circuits courts: c'est le souhait de nombreux acteurs du secteur. Et celui de Patrick Maurin:

    «L'espoir est là. C'est mon combat depuis des années. L'agriculture française est la meilleure au monde. Il faut produire français, manger français. Ces traités comme le CETA ou le TAFTA sont néfastes. Aujourd'hui, nous nous apercevons que nos agriculteurs sont essentiels à la vie de la nation comme les personnels soignants. Nos agriculteurs sont en première ligne pour nous mettre à manger sur la table et heureusement. J'espère qu'une fois la crise sanitaire terminée, nous nous efforcerons de mettre en avant les circuits courts et la vente locale. Il est primordial que nos agriculteurs soient rémunérés à la juste valeur de leur travail.»

    «Rejoignez la grande armée de l'agriculture française !» C'est le cri de guerre lancé par le ministre de l'Agriculture Didier Guillaume. Il a appelé les Français confinés à venir en aide aux agriculteurs afin que ces derniers continuent de nourrir les citoyens de France.

    «Les Français ont répondu à l'appel. Plus de 150.000 personnes se sont inscrites afin de rendre service et aider les agriculteurs», se félicite Patrick Maurin.

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  34. L'agriculture est donc soutenue au niveau national. Et l'Union européenne (UE)? La politique agricole commune (PAC) donne le la dans le secteur agricole. Pour combien de temps? La crise sanitaire qui frappe l'Europe a mis Bruxelles sous le feu des critiques. De nombreux pays sont mécontents du manque de solidarité dont font preuve les membres de l’UE. En Italie, des citoyens de la Péninsule se filment brûlant des drapeaux européens au son de «Fratelli d'Italia», l'hymne italien. Pour Patrick Maurin, l'Europe doit se remettre en question et pas seulement au niveau agricole:

    «Il y a des pays très énervés, notamment au sud du Vieux Continent. L'Union européenne doit faire une introspection. Les décisions au niveau de Bruxelles se font attendre concernant les masques et le matériel de soin. L'Italie demande l'aide du Venezuela, de Cuba, de la Russie, de la Chine. En France, nous sommes dépendants de Pékin pour l'approvisionnement en masques. Nous pourrions travailler au niveau européen. Ceci étant dit, il ne faut pas dire que la solidarité européenne n'existe pas. Des hôpitaux allemands accueillent des malades français par exemple. Mais tout ceci n'est pas suffisant.»

    La crise actuelle est-elle de nature à bouleverser l'agriculture française ? Patrick Maurin l'appelle de ses vœux:

    «Après chaque malheur vient un bonheur. Je compte énormément sur une remise en question à la suite de cette crise. Il faut ouvrir les yeux et prendre soin de nos infirmières, de nos docteurs, de nos agriculteurs. Il faut que cette crise change tout. Le temps des restrictions budgétaires est terminé. Le temps du soutien est venu.»

    https://fr.sputniknews.com/france/202004031043471034-heureusement-que-les-agriculteurs-sont-la-pour-mettre-a-manger-sur-la-table-durant-cette-crise/

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    Réponses
    1. (...) «Rejoignez la grande armée de l'agriculture française !» C'est le cri de guerre lancé par le ministre de l'Agriculture Didier Guillaume. (...)

      Non mais çà va pas la tête ?! La 'grande muette' ? Prenez les paysans pour des cons ? Ils DONNENT à manger à tout le monde et sont PAUVRES ! 7 centimes l'œuf ! 10 centimes le pied de salade !

      Sans compter qu'avec l'absence de produits de traitement, ce manque de remède va profiter aux ravageurs ! Maladies et insectes nuisibles vont se multiplier !

      Absence de Round'Up ? Imaginez un champs de blé envahit par l'herbe: Moisson zéro ! AUCUN meunier n'acceptera des graines d'herbes dans les grains de blé ! Zéro farine (blé tendre) ? Zéro pain ! Blé dur: Zéro pâte !

      Zéro cerise, abricot, fraise, pomme, poire, tomate, etc !

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  35. Voilà à quoi ressemble l'effondrement économique


    par Tyler Durden
    Ven, 04/03/2020 - 11:45
    Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,


    Environ dix millions d'Américains ont déposé de nouvelles demandes d'allocations de chômage au cours des deux dernières semaines. Pour mettre cela en perspective, le record de tous les temps pour une seule semaine avant cette pandémie de coronavirus n'était que de 695 000. Il va donc sans dire que 6,6 millions de réclamations en une seule semaine nous placent en territoire inconnu. Consultez simplement ces graphiques ...

    - voir graphique sur site -

    Nous n'avons jamais vu une semaine comme celle-ci auparavant, et nous ne verrons peut-être plus jamais une semaine aussi mauvaise. Bien sûr, des millions d'emplois supplémentaires seront perdus dans les mois à venir à mesure que cette pandémie s'étend, mais il est difficile d'imaginer un autre pic comme nous venons de le faire. Lorsque vous additionnez les deux dernières semaines, quelque 10 millions d'Américains ont déposé de nouvelles demandes de chômage pendant cette période…

    Le torrent d'Américains ayant déposé une demande d'assurance-chômage est monté en flèche la semaine dernière alors que plus de 6,6 millions de nouvelles demandes ont été déposées, a rapporté jeudi le Département du Travail. Cela porte à 10 millions le nombre total d'Américains qui ont déposé au cours des deux dernières semaines.

    - voir graphique sur site -

    Les économistes interrogés par Dow Jones s'attendaient à 3,1 millions pour la semaine dernière, une semaine après 3,3 millions de dépôts dans la première vague de ce qui a été un gonflement record des rangs des chômeurs. Le total de la semaine précédente a été révisé à la hausse de 24 000.

    Comme je l'ai documenté à plusieurs reprises dans mes articles, enquête après enquête a montré que la plupart des Américains vivaient chèque de paie à chèque de paie même pendant les «bons moments».

    Maintenant que ces chèques de paie ne viennent plus pour des millions d'Américains, beaucoup de factures ne seront pas payées.

    Tout comme nous l'avons vu en 2008, les défauts de paiement sont sur le point de monter en flèche, et Wall Street se prépare au pire…

    Les emprunteurs qui ont perdu des revenus du coronavirus, qui est déjà un nombre en hausse comme l'attestent les 10 millions de nouvelles demandes de chômage au cours des deux dernières semaines, peuvent demander d'ignorer les paiements pendant 180 jours à la fois sur les hypothèques financées par le gouvernement fédéral et d'éviter les pénalités et un coup à leurs cotes de crédit. Mais comme le note Bloomberg, ce n'est pas un congé de paiement et, finalement, les propriétaires devront compenser.

    Selon les estimations de l'économiste en chef de Moody’s Analytics, Mark Zandi, jusqu'à 30% des Américains ayant des prêts immobiliers - environ 15 millions de ménages - pourraient cesser de payer si l'économie américaine restait fermée pendant l'été ou au-delà.

    Comme je l'ai noté hier, la Fed de St. Louis s'attend à ce que le taux de chômage atteigne finalement 32%. Cela ne se produira pas immédiatement, mais si nous y arrivons, ce sera pire que tout ce que nous avons vu pendant la Grande Dépression des années 1930.

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  36. En raison de tous les fermetures qui ont été instituées à l'échelle nationale, l'activité économique a déjà chuté à des niveaux que nous n'avions jamais vus auparavant dans toute notre histoire.

    Personnellement, j'ai été absolument stupéfait lorsque les derniers numéros du box-office ont été publiés…

    Le box-office national (cinémas) a rapporté 5 179 $ pour la semaine du 20 au 26 mars. 100% de moins que 204 193 406 $ la même semaine il y a un an… Ces chiffres sont tout simplement incroyables.

    Et même une fois que toutes les commandes de «refuge sur place» auront finalement été levées, une partie substantielle de la population ne voudra plus aller au cinéma par crainte d'attraper le virus.

    De nombreux cinémas qui ont fermé ne rouvriront tout simplement jamais.

    Une autre chose qui m'a vraiment surpris est la rapidité avec laquelle de nombreux Américains sont à court de nourriture. Un article du Daily Mail qui a documenté une file de véhicules d'un demi-mile de long dans une église d'Orlando qui distribuait de la nourriture a reçu beaucoup d'attention aujourd'hui…

    Aujourd'hui, les centaines de familles qui affluent vers un parking de l'église en face des stations emblématiques d'Orlando et des parcs à thème sont là pour une raison tout à fait différente: la survie.

    «Dans les parcs d'attractions, le but ou le résultat est d'avoir de la joie ou du frisson», explique Glenda Hernandez, maman de trois enfants, en baissant la fenêtre pour parler à un journaliste de DailyMail.com.

    "Il s'agit d'avoir le ventre d'un enfant plein pour la nuit ou les prochaines nuits sur tout ce qu'ils nous donnent."

    Comment est-il possible que tant de familles soient déjà à court de nourriture ?

    Et apparemment, les organismes de bienfaisance et les banques alimentaires dans tout le pays connaissent une augmentation similaire de la demande. Voici quelques exemples partagés par le Guardian…

    À Amherst, qui abrite le plus grand campus de l’Université du Massachusetts, le garde-manger a distribué 849% plus de nourriture en mars par rapport à l’année précédente. La deuxième plus importante augmentation dans l'ouest du Massachusetts était de 748% au garde-manger de l'Armée du Salut de Pittsfield.

    Le garde-manger communautaire Grace Klein dans le comté de Jefferson, qui compte le plus grand nombre de cas confirmés de Covid-19 en Alabama, a fourni à 5 076 personnes des boîtes de nourriture la semaine dernière - une augmentation de 90% par rapport à la semaine précédente.

    Dans le sud de l'Arizona, la demande a doublé, avec des garde-manger fournissant des produits d'épicerie à 4 000 ménages chaque jour - le double du nombre fourni en mars 2019. "Nous avons vu une augmentation pendant la fermeture du gouvernement fédéral, mais rien d'aussi rapide, massif ou écrasant que cela", a déclaré Michael McDonald, PDG de la Community Food Bank of South Arizona.

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  37. Si les choses sont déjà si mauvaises, dans quelle mesure les souffrances seront-elles encore un mois ou deux plus tard ?

    Pendant ce temps, les agriculteurs américains sont confrontés à leurs propres problèmes.

    En raison de tous les arrêts, il a été difficile pour les agriculteurs de recruter suffisamment de travailleurs dans leurs champs. Ce qui suit vient de CNN…

    Avril et mai sont des périodes critiques de plantation et de récolte pour de nombreux agriculteurs américains. Ils ont besoin d'ouvriers qualifiés pour travailler leurs champs et d'une chaîne d'approvisionnement fiable pour livrer leurs marchandises. Et ils n'ont pas de temps à perdre.

    Si les agriculteurs ne trouvent pas suffisamment de travailleurs ou si leurs pratiques agricoles sont perturbées en raison de la pandémie, les Américains pourraient avoir moins ou plus cher de nourriture cet été. Et parce que les agriculteurs internationaux et leurs chaînes d'approvisionnement sont confrontés à des problèmes similaires, nous pourrions recevoir moins d'importations alimentaires, ce qui pourrait limiter l'offre et faire monter les prix.

    Bien sûr, la principale chose qui va faire grimper les prix est le fait que le système est absolument inondé d'argent frais. De nombreux Américains ont applaudi les récentes initiatives de la Réserve fédérale, et à peu près tout le monde semble ravi que de gros chèques du gouvernement arrivent, mais ils ne seront pas aussi ravis quand une miche de pain coûte cinq dollars et un gallon de lait coûte dix dollars.

    Alors que le virus se propage, nombreux sont ceux qui craignent qu'il ne pénètre particulièrement durement dans les communautés à bas salaires, et c'est un problème énorme car les travailleurs à bas salaires sont absolument vitaux tout au long de la chaîne alimentaire…

    Selon la loi, les fabricants d'aliments doivent empêcher quiconque est malade ou atteint d'une maladie transmissible de manipuler, de transformer ou de préparer des aliments pour la consommation humaine. Mais une grande partie de la chaîne d'approvisionnement alimentaire est composée de travailleurs à bas salaires, dont beaucoup sont des immigrants sans papiers ayant des liens limités avec les services de santé.

    Alors, qu'allons-nous faire s'il n'y a pas suffisamment de travailleurs en bonne santé pour acheminer notre nourriture des fermes à nos tables ?

    Déjà, des cas confirmés commencent à apparaître dans de nombreuses installations de production alimentaire…

    Le premier cas d'un travailleur chez un grand producteur de viande américain dont le test de dépistage du virus a été positif a été signalé la semaine dernière chez le géant de la volaille Sanderson Farms Inc.

    Alors que des usines dispersées ont fermé temporairement ou réduit leur production, les entreprises maintiennent généralement les usines en fonctionnement lorsque les travailleurs tombent malades. Plutôt que de fermer des usines entières, ils se sont concentrés sur l'identification des zones où les personnes infectées ont été en contact direct.

    La peur du coronavirus va paralyser même des industries «essentielles» comme la production alimentaire.

    On nous dit maintenant que les autorités espèrent que les cas culmineront en avril et que cette crise sera, espérons-le, derrière nous d'ici juin. Prions pour que cela soit vrai, mais ce que la plupart des Américains ne réalisent pas, c'est que cette pandémie n'est que le début.

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  38. Avant même qu'aucun d'entre nous n'entende parler de «COVID-19», notre monde était déjà en train de sombrer dans la folie, mais maintenant cette pandémie a certainement accéléré les choses.

    Des millions d'Américains ont déjà perdu leur emploi et les jours à venir vont être extrêmement difficiles.

    Voilà à quoi ressemble un effondrement économique, et il ne fait que commencer.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/what-economic-collapse-looks

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  39. Les agriculteurs font face au risque de coronavirus: «Vous ne pouvez pas cueillir des fraises sur Zoom»


    Par ANDREA CASTILLO
    1 AVRIL 20205 AM


    Avant de partir avec son équipe d'ouvriers agricoles, le chef de file Carlos Garcia a enfilé une chemise boutonnée bleue, une veste, un jean et des bottes de travail. Il s'est lavé les mains avant de glisser des gants dessus.

    Il s'est lavé les mains lorsqu'il est arrivé à l'orangeraie près de Visalia dans la vallée de San Joaquin, où les cueilleurs ont rempli près de 100 bacs d'oranges Cara Cara par une récente matinée ensoleillée. Il s'est lavé les mains avant et après être allé aux toilettes. Il s'est lavé les mains avant de quitter le ranch.

    En rentrant chez lui, il entra dans le garage, ôta ses vêtements et les jeta au lavage avant de sauter sous la douche. C'était le nouveau régime de Garcia alors que lui et des milliers d'autres ouvriers agricoles de Californie, dont beaucoup d'immigrants, s'adaptent à l'âge du coronavirus.

    Bien qu'il ait 73 ans avec le diabète, Garcia ne pouvait pas se permettre d'arrêter de travailler. Son employeur n'a rien dit sur le virus aux travailleurs, ne leur a pas fourni d'équipement de protection supplémentaire ni fourni de stations de lavage des mains supplémentaires, a-t-il déclaré.

    Il craignait de l'attraper et de le transmettre à ses cinq enfants et 12 petits-enfants, qui remplissent constamment sa maison.

    "Il n'y a jamais d'attention accordée au campesino", a-t-il dit - à l'agent de terrain. «Dieu nous bénit. Nous ne pouvons rien faire d'autre.

    "Personne ne veux mourir."

    Plus d'un tiers des légumes du pays et les deux tiers de ses fruits et noix sont cultivés en Californie. Les commandes à domicile en Californie exonèrent les travailleurs agricoles en tant qu'employés essentiels. Mais nombre d’entre eux sont sans papiers, n’ont pas d’assurance maladie et n’ont pas droit à l’assurance chômage ou à l’allégement fédéral COVID-19, ce qui place l’effectif estimé de 420 000 personnes dans un état vulnérable.

    Le Syndicat des travailleurs agricoles unis a appelé les employeurs agricoles à protéger les travailleurs contre le coronavirus en prolongeant les congés de maladie, en éliminant les périodes d'attente pour l'admissibilité aux indemnités de maladie, en augmentant le nettoyage des surfaces fréquemment touchées et en offrant une assistance pour la garde des enfants lors de la fermeture des écoles.

    Certains employeurs ont émis des cartes d'identité ou des lettres pour que les travailleurs montrent l'application de la loi s'ils sont amenés à destination ou en provenance d'un chantier. Certains ont pris de nouvelles mesures, notamment en étalant les pauses déjeuner pour encourager la séparation sociale, en affectant des travailleurs à toutes les autres rangées de cultures, en fournissant des stations de lavage des mains supplémentaires et en étendant les congés de maladie au-delà des trois jours prescrits par l'État.

    Lucas Zucker, directeur des politiques et des communications du groupe de défense des travailleurs Central Coast Alliance United for a Sustainable Economy, a déclaré qu'il craignait que ces directives ne se répercutent pas tout le long de chaque travailleur agricole, en particulier dans les grandes entreprises de milliers d'employés.

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  40. «Il y a des défis inhérents à l'industrie agricole qui, au cours de ces catastrophes, deviennent vraiment amplifiés», a-t-il déclaré. «Les couches de la sous-traitance et de la sous-traitance. Les messages se perdent en cours de route. Les directives de sécurité semblent venir de haut en bas, mais au moment où elles atteignent les travailleurs dans les champs, c'est comme un jeu de téléphone. "

    Pour les travailleurs de la côte centrale, a déclaré Zucker, c'est le pire moment possible pour faire face à une crise sanitaire. Alors que la saison de pointe des fraises s'accélère le mois prochain, le salaire passe du taux horaire au taux à la pièce, a-t-il déclaré. Les cueilleurs sont incités à travailler dur et rapidement, parfois au détriment de leur propre santé. Passer 20 secondes à se laver les mains pourrait ressembler à une éternité.

    "Vous ne pouvez pas cueillir des fraises sur Zoom", a-t-il déclaré.

    Les exigences de distanciation ont rendu particulièrement difficile la communication d'informations sur le coronavirus aux travailleurs parlant des langues autochtones. À la mi-mars, les résidents ont commencé à demander aux défenseurs du projet d'organisation communautaire Mixteco / Indigena à Oxnard pourquoi les étagères des supermarchés étaient soudainement vides et pourquoi les petites épiceries vendaient des paquets d'eau en bouteille qui coûtaient normalement 3 $ pour 13 $.

    La directrice associée, Genevieve Flores-Haro, a déclaré que l'organisation à but non lucratif avait répondu en tirant des informations du site Web des Centers for Disease Control and Prevention, en les traduisant en Mixtec, Zapotec et Purepecha et en enregistrant des annonces de sécurité publique, qui ont été diffusées sur la station de radio du groupe: Radio Indigena 94.1 FM .

    Les annonces, qui durent 15 minutes et s'exécutent plusieurs fois par jour, expliquent les bases du virus, les instructions pour se laver les mains correctement et comment rechercher et signaler les prix illégaux des articles comme l'eau en bouteille. Environ 3 000 personnes écoutent la station par jour, a déclaré Flores-Haro.

    Elle a déclaré que les traductions étaient cruciales car ces langues dépendent fortement du contexte. Contrairement à l'espagnol, par exemple, il n'y a pas de mot pour «virus» dans Mixtec, la maladie doit donc être décrite en détail. Environ la moitié des travailleurs agricoles entre Oxnard et Watsonville sont autochtones, a-t-elle déclaré.

    Les ouvriers agricoles de Californie gagnent en moyenne 26 000 $ par an, selon le Bureau américain des statistiques du travail. De nombreuses familles partagent une maison avec d'autres familles et se rendent au travail dans des véhicules bondés, ce qui rend la distance physique difficile. Les problèmes de santé, notamment l'asthme et le diabète, sont courants chez les travailleurs, a déclaré Flores-Haro. Son objectif est de s'assurer qu'ils ne sont pas laissés à découvert.

    "Ces inégalités avec lesquelles vivent nos familles, elles ont toujours été là", a-t-elle déclaré. "Mais quand des choses comme les incendies de forêt se produisent, quand des choses comme une pandémie mondiale se produisent, vous pouvez vraiment voir ces disparités mises à nu."

    La plus grande préoccupation de Lucy Cruz Lopez au milieu de la pandémie est de joindre les deux bouts. Elle travaille pour la même ferme de fraises à Oxnard depuis 13 ans.

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  41. Pendant qu'elle est au travail, sa fille de 16 ans veille sur ses trois frères et sœurs plus jeunes. Ils vivent à une heure de marche de l'école - trop loin pour prendre les déjeuners gratuits qui y sont proposés en semaine.

    Pressée par la panique collective à propos du virus, Cruz Lopez a dépensé les 200 $ qu'elle avait en économies sur des aliments supplémentaires. Maintenant, elle s'inquiète de payer son loyer de 1 500 $.

    En ce qui concerne sa santé, Cruz Lopez a déclaré qu'elle faisait ce qu'elle pouvait pour se protéger. Pendant son temps libre, elle et les enfants ne quittent pas leur appartement d'une chambre, sauf pour faire l'épicerie. Elle reste informée par le biais des avocats de la Central Coast Alliance et partage les nouvelles avec des amis et des voisins qui parlent son zapotèque natif mais ne parlent pas couramment l'espagnol, comme elle.

    Mais une distanciation sociale totale n'est pas possible. Elle ne sait pas conduire, elle dépend donc de sa belle-sœur pour se rendre au travail.

    Cruz Lopez a déclaré que son employeur n'avait pas mentionné le virus. Par un temps couvert la semaine dernière, elle a cueilli des fraises pendant qu'une chanson populaire de bachata de Romeo Santos jouait à partir d'un haut-parleur. Certains travailleurs étaient séparés par plusieurs rangées. Mais un homme en gants de latex bleu travaillait dans la rangée juste à côté du sien.

    "Ils disent que le virus vient de l'air que vous respirez", a-t-elle déclaré. "Mais je dois travailler."

    Certains producteurs ont pris des mesures proactives et créatives pour soutenir leurs employés.

    Depuis début mars, Ellen Brokaw, copropriétaire de Brokaw Ranch et de la pépinière, a participé à des réunions de vidéoconférence hebdomadaires avec d'autres acteurs de l'industrie agricole de la côte centrale pour élaborer des stratégies sur les meilleures pratiques pendant la pandémie. Le groupe comprend quatre agriculteurs, deux défenseurs des travailleurs agricoles, le commissaire agricole local, le président du bureau agricole local, un avocat du Conseil national des relations du travail agricole et deux employés du programme de ressources des travailleurs agricoles du comté de Ventura.

    Brokaw a déclaré que le point le plus crucial est que les employeurs communiquent tôt et souvent pour s'assurer que les employés disposent d'informations à jour et crédibles.

    "La chose la plus difficile peut-être pour tout le monde, c'est que nous n'avons aucune idée de la durée", a-t-elle déclaré. "Nous devons nous préparer pour un long terme et espérons que ce ne sera pas le cas."

    Avec la saison des cerises dans un mois, les dirigeants de Warmerdam Packing à Hanford, qui cultive et conditionne des prunes, des kiwis et des cerises, élaborent des plans de sécurité contre les coronavirus avant de passer de la supervision de 100 travailleurs à 1 000. Ils ont commencé par embaucher un spécialiste temporaire de l'évaluation des risques de maladies infectieuses et déployer une formation supplémentaire. Maintenant, ils analysent comment réduire les lignes de colisage, qui sont généralement composées de 100 personnes par quart de travail, a déclaré la responsable des ressources humaines Natalie Martinez.

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  42. Et chez Reiter Affiliated Cos., Le plus grand producteur de baies au monde et le principal fournisseur de Driscoll's, le directeur général Hector Lujan a déclaré qu'il était en communication quotidienne avec une équipe de gestion de crise depuis un mois. La société développe des kits à emporter comprenant du papier hygiénique, des produits de nettoyage, un désinfectant pour les mains et du savon afin que les travailleurs n'aient pas à lutter pour trouver ces articles dans les épiceries, a-t-il déclaré.

    Les employés ont reçu des cartes imprimées qui les identifient comme des travailleurs essentiels, a déclaré Lujan. Les gestionnaires ont commencé à identifier les personnes présentant de graves risques pour la santé et à recommander de rester à la maison. Ils ont étendu les congés de maladie payés de trois jours à 10 jours. L'entreprise a également abandonné la quote-part de 5 $ pour que les travailleurs visitent sa clinique de soins de santé.

    Lujan a déclaré que sa priorité était de maintenir les travailleurs en bonne santé et de maintenir la stabilité de l'industrie.

    "Ils sont essentiels aujourd'hui à l'approvisionnement alimentaire - ils l'ont toujours été, mais maintenant il y a un nouveau niveau de lumière qui brille sur eux", a-t-il déclaré. "Si les gens se disputent le papier hygiénique, imaginez s'ils devaient se battre pour la nourriture."

    https://www.latimes.com/california/story/2020-04-01/california-farmworkers-coronavirus

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  43. Moi, simple crayon « made in world »

    Rien n’est made in France ou made in quelque part. En cette période où la mondialisation est fortement conspuée, relisons ce qu’elle apporte.


    Par Alain Madelin.
    4 AVRIL 2020


    Un nouveau label Made in France ou plus exactement Origine France garantie vient d’être dévoilé. Ayant pour ma part toujours roulé dans une voiture française par fierté de nos marques nationales, privilégiant volontiers aussi le Made in Breiz, par attachement à l’identité bretonne, je ne peux que trouver sympathique cette démarche patriotique.

    Il serait pourtant abusif de tirer des leçons économiques de cette forme de préférence nationale. Un achat à l’étranger n’est pas une perte d’emploi mais un déplacement d’emploi d’une entreprise française à une autre.

    Depuis belle lurette, tous nos produits sont Made in world. Rien n’illustre mieux cette réalité que le petit essai de l’économiste américain Leonard Read, Moi, simple crayon.

    Je suis un crayon noir, le crayon de bois ordinaire que connaissent tous ceux qui savent lire et écrire… Moi le crayon, aussi simple que je paraisse, je mérite votre émerveillement et votre respect…

    Simple ? Et pourtant pas une seule personne à la surface de cette Terre ne sait comment me fabriquer.

    Et d’énumérer tout ce qui entre dans la fabrication d’un crayon.

    Le bois de cèdre d’Oregon. Tout le travail des bucherons – du campement qui les loge à leur ravitaillement – les scies et les haches, les camions et les trains qui assurent la coupe et le transport (jusqu’aux machines complexes de la scierie). Comment le graphite d’une mine de Ceylan est produit, transformé puis transporté jusqu’au crayon qui s’ébauche.

    Et de décrire aussi le long processus qui permet de fabriquer, à partir des mines de zinc et de cuivre la virole en laiton au bout du crayon qui retient une gomme elle-même produite par l’interaction du chlorure de soufre avec de l’huile de graine de colza provenant d’Indonésie.

    Et l’histoire des six couches de laque qui recouvrent le crayon, celle de la marque imprimée…

    Ce sont au total des millions d’êtres humains qui participent sans le savoir à la création de ce simple crayon, qui échangent et coordonnent leur savoir et leur savoir-faire dans le cadre d’un système de prix sans qu’une autorité supérieure ne dicte leur conduite.

    Ce texte date de 1958.

    Depuis, la mondialisation et la mutation de nos économies vers la société de la connaissance n’ont fait bien entendu que renforcer cette interdépendance. Mais notre façon d’appréhender le réel reste encore fortement marquée par un appareil statistique conçu pour mesurer les échanges de biens physiques de la société industrielle. Or, derrière la crainte de la désindustrialisation ou les peurs des délocalisations, la réalité, c’est l’internationalisation de l’économie et l’interpénétration de l’industrie et des services. La frontière entre industrie et services s’estompe. Au lieu de vendre un bien, on vend de plus en plus un service. Les industriels se font commerçants, les commerçants se font industriels.

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  44. Une nouvelle catégorie d’entreprises apparait, les « sociétés plateformes » qui conçoivent leurs produits, maîtrisent leurs marques, vendent partout dans le monde et remplacent leur activité de production par une sous-traitance optimisée à l’échelle de la planète.

    Apple en est un bon exemple. Prenez un iPhone, comptabilisé 179 dollars dans les statistiques américaines des importations en provenance de Chine. Une récente étude universitaire réalisée au Japon (Yuquig Xing et Neal Detert) a décomposé le processus de fabrication et la chaîne de valeur. Si la 3G, le Bluetooth et les composants audio sont Made in USA, la mémoire flash et l’écran sont produits au Japon, le processeur et ses composants sont coréens, le GPS, la caméra et le Wifi viennent d’Allemagne. L’assemblage final en Chine ne représente que 6,5 dollars soit 1,3 % du prix de vente aux États-Unis !

    Ce que l’on voit, c’est un déficit commercial apparent de 1,9 milliard pour les États-Unis avec l’iPhone.

    Ce que l’on ne voit pas, c’est la captation de l’essentiel de la valeur créée par les Américains.

    Derrière le film catastrophe de la désindustrialisation que la France aime se projeter, la baisse de nos effectifs industriels a deux causes essentielles.

    D’une part, l’externalisation des fonctions de service (gardiennage, nettoyage, cantine) autrefois comptabilisées dans les emplois industriels et passées aujourd’hui dans les services.

    D’autre part, la hausse de la productivité dans l’industrie : moins d’emplois et moins d’argent sont nécessaires par unité produite. L’influence des délocalisations reste marginale.

    D’ailleurs, tous les rapports convergent pour montrer que les délocalisations sont globalement favorables à la croissance économique et à l’emploi. Elles sont favorables à la croissance économique et donc à l’emploi tout comme le progrès technique. Il n’y a pas de différence entre une main-d’œuvre chinoise peu chère et un robot industriel ! L’Allemagne est devenue le premier exportateur de biens de haute technologie devant les États-Unis, à partir des mêmes facteurs de production que la France (même monnaie et même coût du travail).

    Il ne faut pas se tromper de combat et prétendre défendre nos emplois, face aux pays à main-d’œuvre bon marché, en comprimant les salaires, en subventionnant les emplois peu qualifiés par d’artificielles baisses de charges tout en décourageant le capital et en surfiscalisant les emplois qualifiés. Le mariage réussi du Made in world et du Made in France, c’est celui de la créativité et de l’investissement.

    Article initialement publié en mai 2011.

    A lire aussi : Moi, le Crayon.

    https://www.contrepoints.org/2020/04/04/27394-moi-simple-crayon-«-made-in-world-»

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    1. Sur des tronçonneuses, tondeuses à gazon, motobineuses, etc est collé 'Fabriqué en France' (avec moteur Honda !) et vendus en supermarchés. Or, ce douloureux passage chez eux fait qu'ils changent des pièces reçues (par exemple fer devient plastique !). Votre appareil ne marche plus 2 jours après ? Il est garantie ! Vous le ramenez au magasin (qui le conserve 15 jours !) et, remplace la pièce en plastique cassé par une autre pièce en plastique !).
      C'est pourquoi vous ne devez acheter ce type de matériels QUE chez des établissements professionnel.

      Nombreuses sont les entreprises françaises immigrées à l'étranger pour cause d'impossibilité de production en France ! Impôts trop lourds, charges mortelles et législation de merde !

      Est-ce patriote d'acheter chez des escrocs ?

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  45. Voici tous les vaccins et traitements en développement pour COVID-19, jusqu'à présent


    par Tyler Durden
    Ven, 04/03/2020 - 22:20


    Alors que le nombre de cas confirmés de COVID-19 continue de monter en flèche, les chercheurs en santé du monde entier travaillent sans relâche pour découvrir de nouvelles innovations médicales vitales.

    Comme le note Nick Routley de Visual Capitalist, les projets sur lesquels ces entreprises travaillent peuvent être organisés en trois groupes distincts:

    Diagnostic: détection rapide et efficace de la maladie en premier lieu

    Traitements: atténuer les symptômes pour que les personnes atteintes de la maladie ressentent des symptômes plus doux et réduire le taux de mortalité global

    Vaccins: prévenir la transmission en immunisant la population au COVID-19

    Les graphiques d'aujourd'hui offrent un aperçu approfondi de ceux qui sont dans la course à l'innovation pour vaincre le virus, et ils nous sont gracieusement offerts par Artis Ventures, une société de capital-risque axée sur les sciences de la vie et les investissements technologiques.

    Note de l'éditeur: la R&D progresse rapidement sur COVID-19, et la situation est assez fluide. Bien que la publication d'aujourd'hui soit considérée comme un instantané précis de toutes les innovations et développements répertoriés par l'OMS et la FDA au 30 mars 2020, il est possible que davantage de données soient disponibles.

    La connaissance est le pouvoir

    Les taux de tests au cours de cette pandémie ont été un sujet de controverse. Sans tests généralisés, il a été difficile de suivre avec précision la propagation du virus, ainsi que d'identifier des paramètres importants tels que le taux d'infectiosité et de mortalité. Des kits de test peu coûteux offrant des résultats rapides seront essentiels pour enrayer l'épidémie.

    Voici les entreprises et institutions développant de nouveaux tests pour COVID-19:

    - voir sur site -

    L'objectif ultime d'entreprises comme Abbott et BioFire Defence est de créer un test qui peut produire des résultats précis en quelques minutes seulement.

    Dans les tranchées avec le coronavirus
    Bien que la majorité des personnes infectées par COVID-19 ne présentent que des symptômes mineurs, la maladie peut provoquer de graves problèmes dans certains cas, voire entraîner la mort. La plupart des formes de traitement suivies entrent dans l'une des deux catégories suivantes:

    Traiter les symptômes respiratoires - en particulier l'inflammation qui se produit dans les cas graves

    Croissance antivirale - empêchant essentiellement les virus de se multiplier à l'intérieur du corps humain

    Voici les entreprises et institutions développant de nouvelles options de traitement pour COVID-19:

    - voir sur site -

    Un large éventail d'acteurs sont en course pour développer des traitements liés à COVID-19. Les sociétés pharmaceutiques et de soins de santé sont dans le mélange, ainsi que les universités et les instituts.

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  46. Fujifilm est un nom surprenant sur la liste. Les actions de la société japonaise ont récemment appris que Avigan, un médicament contre la grippe vieux de plusieurs décennies développé par la filiale de soins de santé de Fujifilm, pourrait être efficace pour aider les patients atteints de coronavirus à guérir. Le stock de drogue du gouvernement japonais serait suffisant pour traiter deux millions de personnes.

    Vaccin

    Le progrès qui est peut-être le plus observé par le grand public est le développement d'un vaccin COVID-19.

    - voir sur site -

    Créer un vaccin sûr contre une nouvelle maladie n'est pas une mince affaire. Heureusement, des progrès rapides sont accomplis pour diverses raisons, notamment les efforts de la Chine pour séquencer le matériel génétique de Sars-CoV-2 et pour partager ces informations avec des groupes de recherche du monde entier.

    Un autre facteur contribuant à la vitesse de développement sans précédent est le fait que les coronavirus étaient déjà sur le radar des chercheurs en sciences de la santé. Le SRAS et le MERS ont été causés par des coronavirus, et même si les vaccins ont été mis de côté une fois que ces épidémies ont été maîtrisées, des enseignements peuvent encore être appliqués pour vaincre COVID-19.

    L'une des pistes les plus prometteuses pour un vaccin COVID-19 est l'ARNm-1273. Ce vaccin, développé par Moderna Therapeutics, est développé avec une extrême urgence, passant directement aux essais sur les humains avant même d'être testé sur les animaux. Si tout se passe bien avec les essais en cours dans l'État de Washington, la société espère avoir une version précoce du vaccin prête d'ici l'automne 2020. Les premières versions du vaccin seraient mises à la disposition des groupes à risque tels que les travailleurs de la santé.

    Plus loin dans le pipeline, 15 types de vaccins sous-unitaires. Cette méthode de vaccination utilise un fragment d'un agent pathogène, généralement une protéine de surface, pour déclencher une réponse immunitaire, enseignant au système immunitaire de l'organisme comment combattre la maladie sans introduire réellement d'agents pathogènes vivants.

    Pas de ligne d'arrivée claire

    Malheureusement, il n'y a pas de solution miracle pour résoudre cette pandémie.

    Un scénario probable est que des équipes de chercheurs du monde entier proposeront des solutions qui aideront progressivement à stopper la propagation du virus, à atténuer les symptômes pour les personnes infectées et à réduire le nombre global de morts. De plus, les premières solutions précipitées sur le marché devront être affinées au cours des prochains mois.

    Nous ne pouvons qu'espérer que les dures leçons tirées de la lutte contre le COVID-19 aideront à arrêter une future épidémie dans son élan avant qu'elle ne devienne une pandémie. Pour l'instant, ceux d'entre nous sur la touche ne peuvent que faire de notre mieux pour aplatir la courbe.

    https://www.zerohedge.com/health/heres-every-vaccine-and-treatment-development-covid-19-so-far

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  47. Voici comment imprimer des masques 3D à la maison


    par Tyler Durden
    Ven, 04/03/2020 - 21:00


    Il y a un peu plus d'un mois, le Surgeon General des États-Unis a tweeté: "Sérieusement, arrêtez d'acheter des masques ! cela les met, ainsi que nos communautés, en danger! "

    Désormais, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) devraient inverser la recommandation concernant le port de masques faciaux.


    Le président Trump a suggéré jeudi que les nouvelles directives du CDC pourraient obliger les Américains à porter des masques.

    Mais il y a un problème: les masques sont rares - l'Américain moyen ne peut pas trouver des N95 3M ou plus, et s'ils le font, certains masques peuvent coûter jusqu'à 10 $ à 20 $ par. Il y a plusieurs mois, les masques étaient sur Amazon ou à Home Depot pour 1 $ par, mais l'énorme demande alors qu'une pandémie se déroulait a éteint toute l'offre. Même les principaux systèmes hospitaliers américains manquent de masques et d'autres équipements médicaux, les cas confirmés atteignant 245 658 et les décès dépassant les 6 000.

    Pour ceux qui n'ont pas tenu compte de notre avertissement concernant l'achat de masques N95 3M en janvier / février, voici une autre option: vous pouvez désormais imprimer des masques 3D à la maison grâce aux étudiants en médecine et aux ingénieurs de l'Université Rowan.

    "Les étudiants en ingénierie et en médecine de l'Université Rowan ont développé un prototype de masque facial durable, léger et réutilisable pour augmenter l'offre de masques pendant la pénurie actuelle d'EPI pendant l'épidémie de COVID-19. Le masque est fourni" tel quel "et agit principalement comme une barrière mécanique et ne remplace pas les masques N95.

    Développé en collaboration avec des professionnels de la santé, le prototype de masque peut être utilisé en clinique et sur le terrain. S'il est imprimé, utilisé et entretenu correctement, le masque fournit une barrière mécanique durable et réutilisable ", a lu le site Web de l'Université Rowan.

    "Cela fait partie d'un effort humanitaire de Rowan", a déclaré le Dr Shreekanth Mandayam, professeur d'ingénierie sur le campus de Glassboro de l'université qui dirige le projet.

    "Il n'y a pas que le New Jersey et le South Jersey où nous sommes. Il y a beaucoup de pays dans le monde où il y a une pénurie d'EPI. C'est une solution rapide et peu coûteuse que les gens peuvent utiliser", a déclaré Mandayam.

    Avec l'aimable autorisation de Courier-Post, les étudiants de Rowan montrent comment les masques sont assemblés:

    - voir sur site -

    Dans une opération d'impression distincte, voici une vidéo timelapse des masques en cours d'impression:

    - voir sur site -

    Les masques imprimés sont fabriqués à partir d'acide polylactique et ne sont pas de qualité N95. Tout le monde peut glisser du matériau HEPA pour le filtre - c'est une meilleure option que de ne pas porter de masque.

    Instructions pour le masque facial adulte imprimé en 3D:

    - voir sur site -

    Voici le logiciel de masque facial pour adulte imprimé en 3D:

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  48. Petit masque adulte - small_rowan3dprintedmask_v2_1.stl (2.1MB)
    Masque adulte moyen - medium_rowan3dprintedmask_v2_1.stl (2.1MB)
    Grand masque adulte - large_rowan3dprintedmask_v2_1.stl (2.1MB)
    Filtre - filter_rowan3dprintedmask_v2.stl (438 Ko)
    Nous avons également mentionné que les armes et les munitions se vendent à travers le pays - forçant certaines personnes à imprimer des armes 3D à la maison.

    https://www.zerohedge.com/health/heres-how-you-can-3d-print-masks-home

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  49. Contrôle au sol jusqu'au verrouillage de la planète: ce n'est qu'un test


    Par Pepe Escobar
    Culture stratégique
    4 avril 2020


    Bien que Covid-19 soit un disjoncteur, une bombe à retardement et une véritable arme de destruction massive (ADM), un débat acharné fait rage dans le monde entier sur la sagesse de la quarantaine de masse appliquée à des villes, des États et des nations entières.

    Ceux qui s'y opposent soutiennent que non seulement Planet Lockdown n'arrête pas la propagation de Covid-19, mais a également plongé l'économie mondiale dans un état cryogénique - avec des conséquences imprévues et désastreuses. La quarantaine devrait donc s'appliquer essentiellement à la population présentant le plus grand risque de décès: les personnes âgées.

    Avec Planet Lockdown transpercé par des rapports déchirants de la ligne de front de Covid-19, il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une affirmation incendiaire.

    Parallèlement, une prise de contrôle totale des médias par les entreprises implique que si les chiffres ne diminuent pas de manière substantielle, Planet Lockdown - un euphémisme pour l'assignation à résidence - demeure indéfiniment.

    Michael Levitt, prix Nobel de chimie 2013 et biophysicien de Stanford, était au courant lorsqu'il a calculé que la Chine traverserait le pire de Covid-19 avant que des foules d'experts de la santé ne le croient, et que "ce dont nous avons besoin est de contrôler la panique".

    Croisons cela avec quelques faits et opinions dissidentes, afin de favoriser un débat éclairé.

    Le rapport Covid-19 - Navigating the Uncharted a été co-écrit par le Dr Anthony Fauci - le visage de la Maison Blanche du combat -, H. Clifford Lane, et le directeur du CDC, Robert R. Redfield. Cela vient donc du cœur de l'établissement de santé américain.

    Le rapport indique explicitement que «les conséquences cliniques globales de Covid-19 peuvent finalement être plus proches de celles d'une grippe saisonnière grave (qui a un taux de létalité d'environ 0,1%) ou d'une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968). ) plutôt qu'une maladie semblable au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de létalité respectivement de 9 à 10% et 36%. »

    Le 19 mars, quatre jours avant que Downing Street n'ordonne le verrouillage britannique, Covid-19 a été rétrogradé du statut de «Maladie infectieuse à conséquences élevées».

    John Lee, professeur de pathologie récemment retraité et ancien pathologiste consultant du NHS, a récemment affirmé que «les 18 944 décès de coronavirus dans le monde représentent 0,14% du total. Ces chiffres pourraient augmenter, mais ils sont, en ce moment, inférieurs à ceux des autres maladies infectieuses avec lesquelles nous vivons (comme la grippe). »

    Il recommande, «un certain degré de distanciation sociale devrait être maintenu pendant un certain temps, en particulier pour les personnes âgées et les personnes immunodéprimées. Mais lorsque des mesures drastiques sont introduites, elles doivent être basées sur des preuves claires. Dans le cas de Covid-19, les preuves ne sont pas claires. »

    C'est essentiellement le même point développé par un analyste militaire russe.

    Pas moins de 22 scientifiques - voir ici et ici - ont élargi leurs doutes sur la stratégie occidentale.

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  50. Le Dr Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale à l'Université Johannes Gutenberg de Mayence, a provoqué une immense controverse avec sa lettre ouverte à la chancelière Merkel, soulignant les «conséquences vraiment imprévisibles des mesures de confinement drastiques qui sont actuellement appliquées dans de grandes parties du L'Europe ?."

    Même le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a reconnu publiquement l'erreur de mettre en quarantaine les personnes âgées malades aux côtés de la jeune population en forme.

    La question absolument clé est de savoir comment l'Occident a été pris au dépourvu pour la propagation de Covid-19 - même après avoir obtenu une avance de deux mois par la Chine et avoir eu le temps d'étudier différentes stratégies efficaces appliquées à travers l'Asie.

    Il n'y a pas de secret pour le succès du modèle sud-coréen.

    La Corée du Sud produisait déjà des kits de test début janvier et, en mars, testait 100 000 personnes par jour, après avoir établi un contrôle strict de toute la population - aux cris occidentaux de "pas de protection de la vie privée". C'était avant que l'Occident ne se lance dans le mode Planet Lockdown.

    La Corée du Sud était tout au sujet des tests précoces, souvent et en toute sécurité - en tandem avec la recherche rapide et approfondie des contacts, l'isolement et la surveillance.

    Les transporteurs Covid-19 sont surveillés à l'aide de caméras de vidéosurveillance, d'achats de cartes de crédit et de dossiers de smartphones. Ajoutez-y des SMS envoyés à tout le monde lorsqu'un nouveau cas est détecté près d'eux ou de leur lieu de travail. Ceux qui s'isolent ont besoin d'une application à surveiller en permanence; la non-conformité signifie une amende équivalente à 2 800 $.

    Démolition contrôlée en vigueur

    Début mars, le Chinese Journal of Infectious Diseases, hébergé par la Shanghai Medical Association, a pré-publié un consensus d'experts sur le traitement complet du coronavirus à Shanghai. Les recommandations de traitement comprenaient «de fortes doses de vitamine C… injectées par voie intraveineuse à une dose de 100 à 200 mg / kg par jour. La durée d'utilisation continue est d'améliorer considérablement l'indice d'oxygénation. »

    C’est la raison pour laquelle 50 tonnes de vitamine C ont été expédiées dans la province du Hubei début février. C’est un exemple frappant d’une solution simple d’atténuation capable de minimiser la catastrophe économique.

    En revanche, c'est comme si le contre-coup brutalement rapide de la «guerre du peuple» chinois contre Covid-19 avait pris Washington sans aucune préparation. Des informations constantes grondent sur le net chinois à Pékin ayant déjà étudié toutes les pistes plausibles vers l'origine du virus Sars-Cov-2 - des informations vitales qui seront certainement militarisées, style Sun Tzu, au bon moment.

    Dans l'état actuel des choses, la durabilité du projet complexe d'intégration eurasienne n'a pas été substantiellement compromise. Alors que l'UE a fourni à la planète entière une démonstration graphique de son impuissance et de son impuissance, le partenariat stratégique Russie-Chine se renforce chaque jour - investissant de plus en plus dans le soft power et faisant avancer un dialogue paneurasien qui comprend, d'une manière cruciale, une aide médicale.

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  51. Face à ce processus, le diplomate de haut niveau de l'UE, Joseph Borrell, semble en effet si impuissant: «Il y a une bataille mondiale de récits en cours dans laquelle le timing est un facteur crucial. […] La Chine a réduit le nombre de nouvelles infections locales à des chiffres uniques - et elle envoie maintenant du matériel et des médecins en Europe, comme d'autres le font également. La Chine fait passer agressivement le message que, contrairement aux États-Unis, c'est un partenaire responsable et fiable. Dans la bataille des récits, nous avons également vu des tentatives de discréditer l’UE (…) Nous devons être conscients qu’il existe une composante géopolitique, notamment une lutte pour l’influence par le biais de la filature et la «politique de générosité». Armés de faits, nous devons défendre l'Europe contre ses détracteurs. »

    Cela nous emmène sur un territoire vraiment explosif. Une critique de la stratégie Planet Lockdown soulève inévitablement de sérieuses questions pointant vers une démolition contrôlée de l'économie mondiale. Ce qui est déjà en plein effet, ce sont les innombrables déclinaisons de la loi martiale, les sévères contrôles des médias sociaux en mode Ministère de la Vérité et le retour de contrôles frontaliers stricts.

    Ce sont des marquages sans équivoque d'un vaste projet de réingénierie sociale, avec une surveillance complète intégrée, un contrôle de la population et une distanciation sociale promus comme la nouvelle norme.

    Cela porterait à la limite le secrétaire d'État Mike «nous mentons, nous trichons, nous volons» l'affirmation de Pompeo, au procès-verbal, que Covid-19 est un exercice militaire en direct: «Cette affaire va de l'avant - nous sommes en direct exercice ici pour obtenir ce droit. "

    Tous grêle BlackRock

    Alors que nous sommes confrontés à une nouvelle grande dépression, les étapes menant à un nouveau monde courageux sont déjà perceptibles. Cela va bien au-delà d'un simple Bretton Woods 2.0, de la manière que Pam et Russ Martens déconstruisent superbement les récents stimulants de 2 000 milliards de dollars approuvés par Capitol Hill pour l'économie américaine.

    Essentiellement, la Fed "tirera parti de la caisse noire de sauvetage de 454 millions de dollars du projet de loi en 4,5 billions de dollars". Et aucune question n'est autorisée sur qui reçoit l'argent, car le projet de loi annule simplement la Loi sur la liberté d'information (FOIA) pour la Fed.

    L'entrepreneur privé privilégié de la caisse noire n'est autre que BlackRock. Voici la version extrêmement courte de l'ensemble, un schéma étonnant, magistralement détaillé ici.

    Wall Street a transformé la Fed en un hedge fund. La Fed détiendra au moins les deux tiers de tous les bons du Trésor américain se vautrant sur le marché avant la fin de l'année.

    Le Trésor américain achètera tous les titres et prêts en vue tandis que la Fed sera le banquier - finançant l'ensemble du programme.

    Il s'agit donc essentiellement d'une fusion Fed / Trésor. Un géant distribuant de l'argent d'hélicoptère - avec BlackRock comme le gagnant incontestable.

    BlackRock est largement connu comme le plus grand gestionnaire d'argent de la planète. Leurs tentacules sont partout. Ils détiennent 5% d'Apple, 5% d'Exxon Mobil, 6% de Google, deuxième actionnaire d'AT & T (Turner, HBO, CNN, Warner Brothers) - ce ne sont que quelques exemples.

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  52. Ils achèteront tous ces titres et géreront ces véhicules spéciaux louches (SPV) pour le compte du Trésor.

    BlackRock n'est pas seulement le premier investisseur de Goldman Sachs. Mieux encore: Blackrock est plus gros que Goldman Sachs, JP Morgan et Deutsche Bank réunis. BlackRock est un donateur sérieux de Trump. Maintenant, à toutes fins pratiques, ce sera le système d'exploitation - Chrome, Firefox, Safari - de Fed / Treasury.

    Cela représente la Wall Street définitive de la Fed - sans aucune preuve que cela conduira à une amélioration de la vie de l'Américain moyen.

    Les médias d'entreprise occidentaux, en masse, ont pratiquement ignoré la myriade de conséquences économiques dévastatrices de Planet Lockdown. La couverture de mur à mur ne mentionne guère l'étonnante épave économique économique déjà en vigueur - en particulier pour les masses qui survivent à peine, jusqu'à présent, dans l'économie informelle.

    À toutes fins pratiques, la guerre mondiale contre le terrorisme (GWOT) a été remplacée par la guerre mondiale contre le virus (GWOV). Mais ce qui n'est pas sérieusement analysé, c'est la Perfect Toxic Storm: une économie totalement brisée; La mère de tous les accidents financiers - à peine masquée par les milliers de milliards de dollars d'hélicoptères de la Fed et de la BCE; les dizaines de millions de chômeurs engendrés par la nouvelle grande dépression; les millions de petites entreprises qui disparaîtront tout simplement; une crise mondiale généralisée de la santé mentale. Sans parler des masses de personnes âgées, en particulier aux États-Unis, qui recevront un avis de «mort morte» tacite.

    Au-delà de toute rhétorique sur le «découplage», l'économie mondiale est déjà, de facto, divisée en deux. D'un côté, nous avons l'Eurasie, l'Afrique et des pans d'Amérique latine - ce que la Chine va minutieusement connecter et reconnecter via les nouvelles routes de la soie. De l'autre côté, nous avons l'Amérique du Nord et certains vassaux occidentaux. Une Europe perplexe se trouve au milieu.

    Une économie mondiale induite par cryogénisation facilite certainement un redémarrage. Le Trumpisme est le Nouvel Exceptionalisme - cela signifie donc un MAGA isolationniste sur les stéroïdes. En revanche, la Chine va minutieusement redémarrer sa base de marché le long des Nouvelles routes de la soie - Afrique et Amérique latine incluses - pour remplacer les 20% des échanges / exportations à perdre avec les États-Unis.

    Les maigres chèques de 1 200 $ promis aux Américains sont de facto un précurseur du revenu de base universel (UBI). Ils peuvent devenir permanents car des dizaines de millions de personnes seront sans emploi de façon permanente. Cela facilitera la transition vers une économie totalement automatisée, 24h / 24 et 7j / 7, gérée par l'IA - d'où l'importance de la 5G.

    Et c'est là qu'ID2020 entre en jeu.

    AI et ID2020

    La Commission européenne est impliquée dans un projet crucial mais pratiquement inconnu, CREMA (Cloud Based Rapid Elastic Manufacturing) qui vise à faciliter la mise en œuvre la plus large possible de l'IA en conjonction avec l'avènement d'un système One-World sans numéraire.

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  53. La fin de l'argent implique nécessairement un gouvernement One-World capable de dispenser - et de contrôler - UBI; une réalisation de facto complète des études de Foucault sur la biopolitique. N'importe qui est susceptible d'être effacé du système si un algorithme équivaut à cet individu avec dissidence.

    Il devient encore plus sexy lorsque le contrôle social absolu est promu comme un vaccin innocent.

    ID2020 est décrit comme une alliance bénigne de «partenaires public-privé». Il s'agit essentiellement d'une plateforme d'identification électronique basée sur la vaccination généralisée. Et ça commence à la naissance; les nouveau-nés recevront une «identité numérique portable et persistante liée biométriquement».

    GAVI, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, s’engage à «protéger la santé des personnes» et à fournir «la vaccination pour tous». Les principaux partenaires et sponsors, en dehors de l'OMS, incluent, comme on pouvait s'y attendre, Big Pharma.

    Lors du sommet de l'Alliance ID2020 en septembre dernier à New York, il a été décidé que le programme «Rising to the Good ID Challenge» serait lancé en 2020. Cela a été confirmé par le Forum économique mondial (WEF) en janvier dernier à Davos. L'identité numérique sera testée avec le gouvernement du Bangladesh.

    Cela pose une question sérieuse: l'ID2020 a-t-il été programmé pour coïncider avec ce qu'un sponsor crucial, l'OMS, a qualifié de pandémie? Ou une pandémie était-elle absolument cruciale pour justifier le lancement d'ID2020?

    Au fur et à mesure que les essais d'essai changent la donne, rien ne vaut évidemment l'événement 201, qui a eu lieu moins d'un mois après ID2020.

    Le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec, une fois de plus, le WEF, ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates, a décrit l'événement 201 comme «un exercice de pandémie de haut niveau». L'exercice «illustre les domaines dans lesquels des partenariats public / privé seront nécessaires lors de la réponse à une grave pandémie afin de réduire les conséquences économiques et sociales à grande échelle».

    Avec Covid-19 en vigueur en tant que pandémie, la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health a été forcée de publier une déclaration disant simplement qu'elle «avait modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré que ce n'était pas une prédiction».

    Il ne fait aucun doute qu ’« une pandémie grave, qui deviendra «l’événement 201», nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, gouvernements nationaux et principales institutions internationales », selon les auteurs. Covid-19 suscite exactement ce type de «coopération». Que ce soit «fiable» est ouvert à un débat sans fin.

    Le fait est que, dans toute la planète Lockdown, une vague de l'opinion publique penche vers la définition de la situation actuelle comme un psyop mondial: une fusion mondiale délibérée - la Nouvelle Grande Dépression - imposée aux citoyens sans méfiance par leur conception.

    Les pouvoirs en place, s'inspirant du manuel de jeu de la CIA éprouvé et vieux de plusieurs décennies, l'appellent bien sûr «théorie du complot». Pourtant, ce que de vastes pans de l'opinion publique mondiale observent est un virus - dangereux - utilisé comme couverture pour l'avènement d'un nouveau système financier numérique, avec un vaccin forcé et des nanopuces créant une identité numérique complète et individuelle.

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  54. Le scénario le plus plausible pour notre avenir immédiat se lit comme des grappes de villes intelligentes liées par l'IA, avec des personnes surveillées à plein temps et dûment micropuces faisant ce dont elles ont besoin avec une monnaie numérique unifiée, dans une atmosphère de Panopticum de Bentham et de Foucault sur l'overdrive.

    Donc, si c'est vraiment notre avenir, le système mondial existant doit disparaître. Ceci est un test, ce n'est qu'un test.

    Les opinions des contributeurs individuels ne représentent pas nécessairement celles de la Fondation pour la culture stratégique.

    https://www.lewrockwell.com/2020/04/no_author/ground-control-to-planet-lockdown-this-is-only-a-test/

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    1. De là à ce que des criminels répètent que 'nous sommes trop nombreux ! (Ils suffoquent l'Europe avec des dizaines de millions d'immigrés ('réfugiés climatique'!) et vident l'Afrique et l'Asie !).

      Si je divise la surface des terres immergées par les 500 000 personnes épargnées par Bill Gates, elles auraient 19.153 m² chacune.

      https://huemaurice5.blogspot.com/2012/07/7-hectares-8476-mhab.html

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