par Tyler Durden
Mer, 03/04/2020 - 03:30
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Une vidéo montre un homme qui serait un trafiquant d'êtres humains se vantant de la façon dont il a «rempli l'Europe d'immigrants» et comment il gagne des milliers d'euros après que la Turquie a ouvert ses frontières.
L'homme a déclaré qu'il trafiquait des personnes depuis 20 ans et qu'il recevait 500 à 600 euros par tête pour chaque migrant qu'il exporte avec succès.
Bien qu'il ait purgé 6 ans de prison pour ce crime, il se vante de la façon dont il est de retour dans les affaires après l'annonce du président Erdogan que la Turquie rouvrirait sa frontière et encouragerait des millions de migrants à envahir l'Europe.
«J'ai rempli la moitié de l'Europe d'immigrants», déclare-t-il.
Erdogan a ouvert les vannes en réponse à une frappe aérienne en Syrie qui a tué 30 soldats turcs. Il demande le soutien de l'OTAN dans la lutte de la Turquie contre l'armée syrienne soutenue par la Russie.
«Je leur ai dit que c'était fait. C'est fini. Les portes sont maintenant ouvertes. Maintenant, vous devrez prendre votre part du fardeau », a-t-il déclaré dans un discours télévisé.
"Des centaines de milliers de personnes ont franchi la frontière, bientôt nous atteindrons des millions", a averti Erdogan.
Comme nous l'avons souligné précédemment, un migrant syrien aurait été tué lors d'affrontements avec la police des frontières grecque.
Une autre vidéo montre des garde-côtes grecs battre un canot rempli de migrants avec un long scrutin et tirer des coups de semonce dans l'eau dans le but de les faire retourner en Turquie.
CORAN A VIRUS (suite)
RépondreSupprimerPatrouille populaire: de simples Grecs aident la police à protéger la frontière face à l’afflux de migrants clandestins
17:38 04.03.2020
Des centaines de volontaires grecs assurent la permanence à la frontière avec la Turquie, dans le delta du fleuve Évros où des milliers de réfugiés et de migrants se sont amassés après qu’Ankara a annoncé l’ouverture de ses frontières avec l’UE, raconte à Sputnik le juriste Paris Papadakis, président de l’association Delta.
À la frontière nord de la préfecture grecque d'Évros, dans la périphérie de Macédoine-Orientale-et-Thrace, le fleuve éponyme constitue une frontière naturelle entre la Grèce et la Turquie, tout en formant un delta. Les habitants des agglomérations environnantes sont toujours aux aguets pour couper court, si besoin, à toute tentative d’intrusion illégale, indique à Sputnik le juriste Paris Papadakis, président de l’association Delta, insistant tout particulièrement sur l’unité inédite des habitants locaux.
Arrestation de deux hommes qui ont tenté de franchir illégalement la frontière par la police à Marasia, Evros, à la frontière gréco-turque, à la suite d'une décision du gouvernement turc de ne pas empêcher les flux de réfugiés de pénétrer en Europe, Grèce, le 3 mars 2020.
«Ces jours-ci, plus de 500 volontaires aident à protéger la frontière. Ces sont des habitants des villes de Phères, de Trajanopolis [Traïanoúpoli, ndlr] et d’Alexandroupolis. Ces simples citoyens, des fermiers, des pêcheurs et des éleveurs, sont membres de notre association. En tout, on a prévenu plus de 10.000 infiltrations illégales sur le territoire grec, et nous continuerons en ce sens», assure-t-il.
Et d’ajouter que, prêts à défendre main dans la main avec la police les intérêts de la Grèce, les volontaires patrouillaient en permanence, jour et nuit.
«Nous inspectons le fleuve et le territoire attenant, et surtout certains points de passage où, selon nos informations, des tentatives de pénétration illégales sont possibles sur le territoire de la Grèce. […] Nous patrouillons en voitures ou en bateaux. Tous sont armés, comme des militaires de la Garde nationale. Nous portons pour des raisons de sécurité des fusils de chasse et rien de plus», détaille le Grec.
Il retient que ce n’est la première fois que les habitants protègent le territoire de la sorte.
«C’est toutefois la première fois que je vois que les habitants de cette région peuvent être aussi unis […] et obéir aux autorités sans mot dire. Cette unité est très touchante. Tous nous avons mis de côté nos problèmes pour protéger la frontière», relève l’homme de droit.
Comment fonctionne la «patrouille populaire»?
La population locale soutient en pratique les structures de force.
«Nous dépistons des migrants clandestins, livrons à la police les informations nécessaires à l’arrestation des passeurs. Tous les jours, nous sommes "les yeux" des militaires et des policiers. […] Nous sommes invariablement vigilants, car l’endroit même l’exige. Depuis plus de 50 ans, des fermiers, des éleveurs, des chasseurs et des pêcheurs utilisent des cabanes dans le delta de l’Évros, et depuis tout ce temps, nous veillons à ce que la frontière ne soit pas franchie par des migrants clandestins», résume Paris Papadakis, président de l’association Delta.
https://fr.sputniknews.com/international/202003041043183060-patrouille-populaire-de-simples-grecs-aident-la-police-a-proteger-la-frontiere-face-a-lafflux-de/
Certains agriculteurs «gagnent 350 euros par mois et vivent bien», assure un député LREM - vidéo
RépondreSupprimer15:57 04.03.2020
La situation des agriculteurs, dont le taux de suicide est plus élevé que la moyenne, a fait l’objet d’un débat entre Éric Zemmour et Frédéric Descrozaille (LREM) dans l’émission Face à Face. Selon l’élu, certains vivent bien en touchant 350 euros par mois, le polémiste rappelant pour sa part que cette somme est inférieure au RSA.
Abordant le sujet des agriculteurs français dont certains peinent à joindre les deux bouts, et dont environ deux se suicident par jour selon la Mutualité sociale agricole, Éric Zemmour et Frédéric Descrozaille, député LREM du Val-de-Marne, ont présenté sur le plateau de CNews leurs opinions divergentes quant aux revenus du monde agricole.
Intervenant dans l’émission Face à face, l’éditorialiste a pointé du doigt qu’«un tiers des agriculteurs touchent 350 euros par mois», cette somme correspondant à «la moitié de l’allocation de droit d’asile et le tiers du RSA». En réaction, son interlocuteur a argué qu’il n’était pas possible de comparer l’agriculteur à un salarié, parce que «ça n’a pas de sens».
Et d’ajouter: «Je vais dire quelque chose qui va peut-être vous choquer mais il y a des agriculteurs, ce n’est pas la majorité de ceux qui gagnent 350 euros, mais il y en a, qui gagnent 350 euros et qui vivent bien». En expliquant sa position, il a précisé que ceux-ci capitalisaient
En outre, le député LREM a poursuivi en affirmant que les agriculteurs avaient un «problème de renouvellement de génération», alors que «c’est un métier magnifique» avec la possibilité de «bien gagner sa vie».
Défendant son point de vue, il a lancé qu’«il ne faut raconter quand on est agriculteur, qu’on est condamné à gagner 350 euros, ça ce n’est pas vrai».
L’impact de la crise
Ce chiffre vient d’une étude réalisée par la Mutualité sociale agricole (MSA), selon laquelle 30% des chefs d’exploitation français touchent cette somme. Selon Nicolas Bondonneau, directeur délégué aux politiques sociales à la MSA, cité par l’AFP, cette information était valable pour 2015 et 2016, les années marquées par la crise économique.
Cependant, 20% des agriculteurs ont déclaré une absence totale de revenus en 2017, d’après le rapport de l’Insee, alors que les micro-entrepreneurs tiraient en moyenne 470 euros mensuels de leurs activités.
Selon les chiffres de la MSA, 605 décès par suicide ont été enregistrés en 2015 parmi les agriculteurs, soit «plus de deux suicides par jour, selon les chiffres de la Mutualité sociale agricole parus cet été [2019, ndlr], a indiqué la journaliste Anne-Claire Le Sann sur le plateau du 12/13.
https://fr.sputniknews.com/france/202003041043182225-certains-agriculteurs-gagnent-350-euros-par-mois-et-vivent-bien-assure-un-depute-lrem---video/
Un paysan qui fait de l'élevage n'a pas de pommes de terre/carottes/aulx/oignons etc, ni d'alcools, de laine, de blé ou d'électricité !
SupprimerIl est un consommateur COMME LES AUTRES ! Il doit acheter ce qu'il n'a pas !
Et pourtant, il vit avec 350€/mois ? Mais ne mange pas des langoustes tous les jours ni part en vacances !
Et pourtant, il DONNE à manger à des MILLIERS de personnes ! Et PERSONNE ne défend les paysans !
Ni les p..tains de députés/sénateurs ou ministres !
SUICIDE EN AGRICULTURE « 605 décès par suicide » sur l'année contre seulement 4 au coranavirus ! Qui fait la une des journaux ?
SupprimerUn agriculteur se suicide chaque jour selon la MSA
mer. 18 septembre 2019 à 18:20 • AFP
Les exploitants et salariés agricoles ont « un risque plus élevé » de 12 % de se suicider que l'ensemble de la population, selon une étude publiée en juillet par la sécurité sociale de l'agriculture portant sur des données de 2015.
En 2015, 372 agriculteurs se sont suicidés selon la MSA (292 hommes et 80 femmes), soit un suicide environ par jour.
Tabou, le suicide dans le monde agricole reste peu étudié en France. L'agence Santé publique France avait certes pointé récemment « un excès de risque » chez les hommes, mais à partir de données restreintes aux chefs d'exploitation et remontant à 2011.
La Mutualité sociale agricole (MSA), qui soutient la sortie du film Au nom de la Terre avec Guillaume Canet portant sur le sujet, a visé plus large : parmi tous ses assurés d'au moins 15 ans « ayant consommé au moins un soin ou une prestation » en 2015, soit 1,36 million de personnes, elle a dénombré « 605 décès par suicide » sur l'année. Sur ce total, 372 agriculteurs passés à l'acte sont chefs d'exploitation (292 hommes et 80 femmes), soit un suicide par jour environ. 233 sont salariés (204 hommes et 29 femmes). Un nombre nettement plus élevé que celui rapporté par l'agence sanitaire, qui recensait environ 150 cas de suicides de chefs d'exploitation par an entre 2007 et 2011.
Rapporté au nombre d'assurés, « le taux brut de décès par suicide (...) est près de 4 fois plus important chez les hommes », souligne la MSA. Indépendamment du sexe, ce taux augmente avec l'âge et culmine au-delà de 65 ans.
En limitant le champ aux 15-64 ans, la MSA montre la « surmortalité par suicide » des assurés du régime agricole par rapport aux autres catégories de population. Comparés aux 40 millions de personnes prises en charge par la Sécu en 2015 (pour 4 991 suicides comptabilisés cette même année), les affiliés au régime agricole présentent « un risque de 12,6 % plus élevé », cette propension étant encore « plus accentuée chez les salariés agricoles » (18,4 %).
Parmi les plus précaires, la Sécu des agriculteurs constate « un sur-risque » de 15 % chez ceux qui touchent une pension d'invalidité, et de 57 % chez les bénéficiaires de la CMU-complémentaire.
« C'est un sujet tabou dont personne ne veut parler » déclare à l'AFP Patrick Bougeard, président de l'association Solidarité Paysans, qui vient en aide aux agriculteurs en difficulté. « Le syndicat majoritaire, la FNSEA, et la MSA ont mis en place des numéros d'appel d'urgence, mais cela ne règle pas les problèmes. Ils donnent accès à des psychologues, alors qu'on est en face d'une mutation massive de tout un système de production », ajoute-t-il.
https://www.terre-net.fr/actualite-agricole/economie-social/article/un-agriculteur-se-suicide-chaque-jour-selon-la-msa-202-152192.html
RépondreSupprimerBMW dévoile son nouveau logo, délaissant son emblème historique – photo
14:10 04.03.2020
L’entreprise allemande BMW va changer son emblématique logo en en supprimant la couleur noire. En un clin d’œil aux nouvelles technologies, il est supposé séduire une clientèle jeune et sera apposé sur les prochaines BMW i4.
Le constructeur automobile allemand BMW a présenté son nouveau logo, désormais dépourvu de son emblématique couleur noire. Les parties bleues et blanches qui symbolisent le drapeau de la Bavière sont quant à elles restées inchangées.
La société l’a dévoilé via une photo postée sur Instagram.
Selon les représentants de l’entreprise, le nouveau logo devrait attirer les jeunes qui s’orientent sur le marché des technologies numériques.
La conception
D’après le vice-président commercial de BMW, Jens Thiemer, cité par le site Creative Bloq, le logo symbolise l'ouverture.
«BMW devient une marque de relation, et le logo transparent a été conçu pour diffuser plus d'ouverture et de clarté», a-t-il expliqué.
La première voiture sur laquelle il apparaîtra sera la BMW i4, prévue pour l'année prochaine.
Le premier logo était quant à lui apparu en 1917. La source indique que jamais un changement aussi radical n’avait eu lieu dans l’histoire de la marque.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202003041043181248-bmw-devoile-son-nouveau-logo-delaissant-son-embleme-historique--photo/
Un noir n'est pas transparent !
SupprimerVoir homme invisible !
SUISSE - GAZ CARBONIQUE: LES VOITURES NEUVES PEINENT AVEC LES LIMITES
RépondreSupprimerDe 2015 à 2019, la valeur cible des émissions de gaz carbonique par kilomètre n'a jamais été atteinte. En cause, des véhicules toujours plus grands et toujours plus lourds.
La diminution de la part de véhicules au diesel peut aussi avoir contribué à rater les objectifs d'émission.
18.02.2020
Les voitures neuves importées en Suisse ne respectent pas les prescriptions entourant les émissions de gaz carbonique. Les valeurs d'émission ont même augmenté en 2017 et 2018, selon un rapport publié mardi par le Département fédéral de l'environnement.
Les prescriptions introduites en 2012 obligent les importateurs suisses à limiter les émissions de gaz carbonique à 130 g/km en moyenne, comme c'est le cas dans l'Union européenne. Cette valeur s’applique de manière contraignante à toutes les voitures neuves depuis 2015 et jusqu'à fin 2019. Depuis le début de cette année, la valeur a été réduite à 95 g de gaz carbonique/km.
De 2015 à 2019, la valeur cible n'a jamais été atteinte. Elle a été dépassée de 5 grammes en 2015 et de 4 grammes en 2016 et 2017. En 2018, la valeur a même atteint 137,8 g gaz carbonique/km, soit une hausse de 2,8% par rapport à l'année précédente.
Sans l’influence des véhicules électriques, cette moyenne aurait été de
141,6 g/km, relève le rapport rédigé à l'intention des commissions compétentes du Conseil national et du Conseil des États. En 2018, la part des véhicules à batterie électrique et des véhicules électriques hybrides rechargeables s’élevait à 3,2%.
Hausse explicable
La hausse des émissions peut s’expliquer entre autres par une proportion toujours plus importante de véhicules tout-terrain et de modèles de SUV et par l'augmentation du poids à vide des véhicules. La diminution de la part de véhicules au diesel peut aussi avoir contribué à ces résultats.
Le passage à la nouvelle procédure de mesure WLTP, plus réaliste, à partir de septembre 2017 a également une certaine influence sur les émissions de gaz carbonique, selon le rapport. Les évaluations ont montré que les émissions de gaz carbonique ainsi calculées étaient supérieures de 5 à 6% aux émissions d’un véhicule comparable mesuré selon l'ancienne méthode NCEC. En 2018, cela concernait environ un quart des véhicules nouvellement immatriculés.
Près de la moitié des importateurs ont manqué les objectifs en 2018. L’écart était minime pour la majorité d’entre eux, mais important dans quelques cas. Le montant total des sanctions prononcées à leur encontre s'est élevé à 31,7 millions de francs contre 12,6 millions en 2015.
L'efficacité des prescriptions sur les émissions de gaz carbonique est difficile à évaluer. Au vu du nombre de kilomètres parcourus de 2012 à 2018, il ressort aussi que les mesures ont permis de freiner la hausse des émissions de gaz carbonique générées par le trafic. Il apparaît que depuis l'entrée en vigueur des valeurs cibles, les émissions ont baissé, avant toutefois de remonter en 2017 et 2018.
Les prescriptions n'ont en revanche eu aucun effet sur les ventes de voitures qui sont restées élevées.
Les transports génèrent environ un tiers des émissions de gaz carbonique en Suisse. Les véhicules individuels sont responsables d’environ deux tiers de ces émissions. En 2018, 301'000 voitures de tourisme neuves ont été mises en circulation. La part des véhicules à quatre roues motrices n’a cessé de progresser, passant de 24,9% en 2006 à 49,1% en 2018. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/auto-moto/co2-voitures-neuves-peinent-limites/story/26658009
La Démocratie Suisse agressée, violée (bientôt lapidée ?) par les dictatures ne pourrait se défendre contre celles qui l'entoure ! C'est la Grétaconfusion voire la Grétamerde pour les helvétiques d'oser respirer et d'émettre du gaz carbonique !!
SupprimerAinsi, SANS QU'IL NE LEUR SOIT ÉTÉ DEMANDÉ LEUR AVIS !! dans le SEUL pays au monde en Démocratie, les suisses et suissesses seraient dans l'objectif de se le faire mettre profond par les nazis afin qu'ils ou elles ne les enchachiassent de leur liberté de vivre sur Terre !
Le Maroc menacé par la sécheresse en 2020, alerte l’Onu
RépondreSupprimer12:47 04.03.2020
Le Maroc risque à nouveau de connaître une sécheresse sévère en 2020, à en croire le rapport de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique. Le gouvernement marocain a mis en place un plan d’urgence pour faire face à cette menace.
Tout comme 2019, 2020 risque d’être marquée par une forte sécheresse au Maroc en raison du manque de précipitations. En effet, un rapport de l’Onu présage une année maigre en ressources hydriques dans le pays.
La Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) a fait savoir que le stress hydrique du royaume chérifien était compris entre 1.000 et 1.700 mètres cubes d’eau douce disponibles par an et par habitant.
Selon le document, d’ici 2025, le stress hydrique devrait s’aggraver. Le Maroc pourrait ainsi connaître un état de «pénurie d’eau», avec des prévisions de moins de 1.000 mètres cubes d’eau douce disponibles par an et par habitant.
Dans le rapport publié en août 2019 par l’Institut des ressources mondiales (WRI), le Maroc arrive 22e parmi les pays les plus frappés par le stress hydrique.
Des mesures d’urgences
Pour contrer cette menace, le gouvernement marocain a pris des décisions en vue d’augmenter les ressources en eau du pays et de rationaliser leur utilisation notamment dans le domaine de l’agriculture.
En effet, selon le site d’information Article 19.ma, Rabat a élaboré un programme doté d’une enveloppe de 12 milliards de dollars qui prévoit la construction de barrages, l’amélioration de la consommation de l’eau, la préservation des ressources en eau et l’augmentation de l’approvisionnement dans les zones rurales.
Dans le cadre de ce programme, le média fait savoir que le ministre de l’Agriculture Aziz Akhannouch a annoncé que le plan 2020-27 prévoyait l’irrigation de 510.000 hectares et devrait bénéficier à 160.000 agriculteurs.
Les systèmes d’irrigation traditionnels seront également rénovés et améliorés avec une technique de «goutte à goutte». Quelque 990 millions de dollars seront investis pour convertir et équiper 350.000 hectares de terres agricoles de ce nouveau système d’irrigation.
https://fr.sputniknews.com/maghreb/202003041043180580-le-maroc-menace-par-la-secheresse-en-2020-alerte-lonu/
(...) Le Maroc pourrait ainsi connaître un état de «pénurie d’eau», avec des prévisions de moins de 1.000 mètres cubes d’eau douce disponibles par an et par habitant. (...)
SupprimerLe Maroc - qui se trouve aux bords de la mer Méditerranée et de l'océan Atlantique -pourrait ainsi connaître un état de «pénurie d’eau» !!!
Ô PUTAIN !! La trisomique avait raison !! 2020: L'Atlantique et Méditerranée pourrait se traverser à pieds !!!
Surveillance des citoyens de l’UE : l’inquiétant projet d’un traité « Prüm » nouvelle génération
RépondreSupprimerUn nouveau rapport, qui peut s’apparenter à une proposition de « traité de Prüm seconde génération » et hautement attentatoire aux libertés publiques, serait en pourparlers.
Par Yannick Chatelain.
5 mars 2020
Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, le crime organisé, et l’immigration illégale, la police européenne a depuis 2005 – dans le cadre d’une coopération transfrontalière – accès aux bases de données d’empreintes digitales, d’ADN et d’immatriculation, une coopération formalisée dans le traité de Prüm, qui a été signé par l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg, et les Pays-Bas.
Aujourd’hui un nouveau rapport, qui peut s’apparenter à une proposition de « traité de Prüm seconde génération » et hautement attentatoire aux libertés publiques, serait en pourparlers.
Ce projet a été diffusé auprès des responsables européens et nationaux en novembre 2019, il a été communiqué au journal The Intercept par un lanceur d’alerte peu conventionnel : un responsable européen préoccupé par sa teneur ! Ce que le journal révèle dans un article au titre évocateur, écrit avec le soutien de Journalismfund.eu : « Des rapports divulgués montrent que la police de l’UE prévoit un réseau paneuropéen de bases de données de reconnaissance faciale »
Sans rappeler l’absence de bilan sur l’efficience de nombreuses technologies dédiées à la prévention des délits et des crimes, sans souligner le déni de recherches démontrant leur inefficacité (cf. Sécurité, vidéosurveillance, radicalisation : le bilan sans concession du sociologue Laurent Mucchielli ), force est de constater que le projet qui va être évoqué ne fait pas l’objet d’une campagne de promotion médiatique auprès de la population cible : l’ensemble des citoyens des États membres… et pour cause…
Toujours plus de la même chose, mais en pire ?
Sans renier la légitimité de bases de données recensant les criminels, il est une différence entre cette légitimité et considérer l’ensemble des citoyens européens comme des criminels potentiels, a priori.
En y intégrant probablement la reconnaissance faciale, ce nouveau projet n’est pas sans rappeler la phrase d’Einstein « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent » une phrase qui se rapproche du fameux « toujours plus de la même chose » chère à l’école de Palo Alto : quand quelque chose ne fonctionne pas, l’humain a une fâcheuse tendance à ne pas changer de manière, mais bien au contraire, d’essayer de faire plus fort, en s’obstinant dans la même direction…
Ce rapport dirigé par l’Autriche et réalisé par les forces de police nationale de dix États membres de l’UE préconiserait ainsi de pouvoir échanger des informations non plus seulement avec les pays précités, mais également avec les États-Unis.
Il appelle également à l’introduction d’une législation européenne pour introduire et interconnecter ces bases de données dans chaque État membre.
RépondreSupprimerPlus préoccupant, selon les informations recueillies par le journal, un budget de 700 000 euros aurait été alloué à un cabinet d’audit réputé, pour investiguer sur les modalités d’évolutions du traité, une part du travail de ce cabinet étant dédiée à la technologie de la reconnaissance faciale.
En effet :
Le rapport autrichien considérerait la reconnaissance faciale comme un outil biométrique très approprié pour l’identification de suspects inconnus et suggère que les bases de données soient créées et reliées aussi rapidement que possible.
De plus, The Intercept souligne que le fait d’ajouter des données de reconnaissance faciale au réseau Prüm préexistant est une perspective qui a été admise par un porte-parole de la Commission européenne. Cela ne fait qu’accréditer le fait que l’UE pourrait bientôt créer un réseau de bases de données européen de reconnaissance faciale en partenariat avec les États-unis… Fantasme ? Tant s’en faut.
Comme l’a souligné Neema Singh Guliani, conseillère législative de l’Association américaine de défense des libertés civiles (American Civil Liberties Union, ACLU), il est fort probable que les États-Unis veuillent accéder à ces informations, et soient partie prenante de ce projet s’il devait se concrétiser. Le FBI disposant déjà, comme elle le rappelait en juin 2019, de « 640 millions de photos de ses concitoyens grâce à sa base de données de reconnaissance faciale ».
Une base de données de reconnaissance faciale au service du contrôle social des citoyens de l’UE ?
Des expériences menées en matière de reconnaissance faciale, démontrent une technologie non fiable, à l’exemple de l’expérience de la MTA (Metropolitan Transportation Authority), qui avait initié en 2018 un projet de reconnaissance faciale des conducteurs traversant le pont Robert F. Kennedy à New York.
Elle avait abouti à un échec cuisant révélé dans un mail interne intercepté par le Wall Street Journal, évoquant « un taux de réussite de 0 % pour identifier un visage « avec des paramètres acceptables ». Ce projet « Prüm seconde génération » était déjà à l’étude bien à l’abri des yeux et des oreilles des citoyens européens.
Pour ce qui est de l’idée véhiculée par ce projet d’une intégration d’une base de données de reconnaissance faciale, est-il utile de rappeler les propos de la CNIL sur le sujet au gouvernement français et aux membres de l’UE qui voudront bien l’entendre :
Les enjeux de protection des données et les risques d’atteintes aux libertés individuelles que de tels dispositifs sont susceptibles d’induire sont considérables, dont notamment la liberté d’aller et venir anonymement ! Tout projet d’y recourir devra à tout le moins faire l’objet d’une analyse d’impact relative à la protection des données (AIPD).
L’AIPD, (analyse d’impact relative à la protection des données) est un outil qui permet de construire un traitement conforme au RGPD et respectueux de la vie privée, lorsqu’un traitement de données personnelles est susceptible d’engendrer un risque élevé pour les droits et libertés des personnes concernées.
À quand l’extension d’une base de données ADN, etc. à tous les citoyens des États membres ?
Au-delà de la provocation et pour conclure, par delà le projet qui a été évoqué, la reconnaissance faciale, – à plus petite échelle certes que celle envisagée par le projet dont il a été question dans ce papier – a connu une première défaite en France le 28 février 2020 : les deux lycées de la région PACA qui envisageaient d’utiliser la reconnaissance faciale pour contrôler l’accès à leurs locaux ne pourront exploiter des portiques biométriques.
RépondreSupprimerComme le souligne La Quadrature du Net : « il s’agit de la première décision juridictionnelle sur la reconnaissance faciale, et de la première victoire contre elle », rappelant à cette occasion avoir publié avec 124 organisations une lettre ouverte demandant l’interdiction de tous les usages sécuritaires liés à cette technologie.
Indéniablement, si le projet « Grüm seconde génération » devait voir le jour dans le cadre qui semble se dessiner, il aurait à affronter une opposition déterminée de ceux qui croient encore à la nécessité de préserver les libertés publiques pour avoir prétention à qualifier un régime de « démocratique » sans rougir !
Et après tout, si l’idée d’une reconnaissance faciale généralisée des citoyens européens, permettant la création d’une base de données est à l’étude – base dont la fiabilité serait soumise à un doute raisonnable – pourquoi un tel manque d’ambition démocratique (sic) ? Pourquoi ne pas aller plus avant dans la criminalisation a priori des citoyens des États membres ? À quand la généralisation de bases de données de l’ADN et des empreintes digitales de tous les citoyens de l’Union européenne ?
Tout croulait, du moment que l’idée de liberté faisait banqueroute, que la liberté n’était plus l’unique bien, le fondement même de la république, qu’ils avaient si chèrement achetée, d’un si long effort. Paris (1898) Émile Zola
https://www.contrepoints.org/2020/03/05/365744-surveillance-des-citoyens-de-lue-linquietant-projet-dun-traite-prum-nouvelle-generation
La dictature continentale et intercontinentale veut contrôler la totalité de la population sous de faux prétextes de sécurité car, elle reliera l'accumulation de poussières intelligentes répandues par chemtrails et consommées ou respirées par tous les individus aux sites internet visités ainsi qu'aux conversations au téléphones afin de cibler toutes les personnes.
SupprimerDès lors s'établira un fichier hyper détaillé pour chacune et chacun afin d'ensevelir tel ou telle en des 'incidents de parcours' comme de lui attribué des positions positives.
L'être humain sera une bête marquée dans le troupeau vers l'abattoir.
L'Illinois Task Force recommande d'éliminer le Prom Kings, Queens
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 03/04/2020 - 13:05
Écrit par Todd Starnes via Townhall.com,
Les rois et les reines du bal de promo de l'Illinois pourraient être détrônés si le «Affirming and Inclusive Schools Task Force» réussit.
Le rapport, «Renforcer l'inclusion dans les écoles de l'Illinois», recommande aux districts «de modifier les politiques de leurs conseils scolaires pour renforcer les protections pour les élèves transgenres, non binaires et non conformes au genre».
J'ai prédit dans mon nouveau livre, "Culture Jihad: Comment empêcher la gauche de tuer une nation", que le but ultime des révolutionnaires du sexe et du genre était de détruire complètement le sexe et les normes de genre.
Le groupe de travail a déclaré que les districts scolaires devraient éliminer ou recadrer toute tradition scolaire ou activité basée sur le genre qui n'est pas neutre.
«Par exemple, remplacer« roi et reine de bal »par« redevance de bal »ou en accordant des récompenses scolaires à deux étudiants au lieu des meilleurs hommes / femmes», recommande le rapport.
Le rapport expose un programme radical pour déconstruire le genre de l'école maternelle à la classe de 12e année à travers le Land de Lincoln. Les garçons qui s'identifient comme des filles pourraient utiliser les salles de bains et les douches de leur choix.
"Les installations comprennent, mais sans s'y limiter, les vestiaires, les toilettes, les douches, les vestiaires / coulisses, le bureau des infirmières et les salles d'entraînement sportif", indique le rapport.
Le groupe de travail a également recommandé d'éliminer l'utilisation d'un langage sexué.
«Par exemple, le personnel du district devrait appeler les étudiants« étudiants »ou« universitaires »au lieu de« garçons et filles ». Cela peut faire une différence notable pour les étudiants transgenres, non binaires et non conformes au genre qui peuvent se sentir aliénés par le genre binaire», indique le rapport. États.
Également inclus dans le rapport de 44 pages:
Les étudiants transgenres, non binaires et non conformes au genre doivent être autorisés à utiliser les toilettes, les vestiaires et les vestiaires correspondant à leur identité de genre.
Adoptez un code vestimentaire non sexiste.
Les districts doivent permettre aux étudiants transgenres, non binaires et non conformes au genre de concourir dans des équipes sportives et de participer à des activités interscolaires conformes à leur identité de genre.
Les bibliothèques scolaires doivent inclure des informations exactes et à jour sur l'identité et la diversité de genre, ainsi que des livres pour enfants affirmant le genre, la fiction pour jeunes adultes, la fiction, la non-fiction et le multimédia.
Ne divisez pas les cours d'éducation physique par sexe.
N'enseignez jamais un comportement sexuel «approprié».
Éliminer l'utilisation d'un langage sexué.
Les formulaires nécessitant une signature doivent indiquer «Parent / tuteur» plutôt que «Mère / père».
RépondreSupprimerEncore plus alarmant est le manque de participation ou de consentement des parents. Le groupe de travail recommande d'engager «les parents et les tuteurs, le cas échéant».
«Les droits des élèves en vertu de l'IHRA et du titre IX s'appliquent aux écoles indépendamment de la participation ou du consentement des parents», indique le rapport.
«Dans de nombreux cas, les écoles ne sont pas tenues de demander le consentement des parents pour soutenir les élèves transgenres, non binaires et non conformes au sexe, en particulier lorsque la sécurité de l'élève est une préoccupation.»
Les révolutionnaires du sexe et du genre enrôlent des enfants aussi jeunes que 5 ans dans leur complot pervers pour déconstruire le genre. Il s'agit très franchement de mauvais traitements infligés aux enfants par le gouvernement.
Les braves gens de l'Illinois devraient éliminer cette débauche financée par les contribuables. Pendant ce temps, les mamans et les papas devraient envisager des écoles à domicile ou des écoles privées.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/illinois-task-force-recommends-eliminating-prom-kings-queens
Des hommes vont - du jour au lendemain - se déclarer 'femmes' et accéder aux lieux réservés aux femmes ! ceci afin d'intégrer les excisé(e)s aux genre humain !!
SupprimerC'est la dictature psychopathe qui fait des essais sur un Etat avant de l'appliquer aux autres !
Les religions ont été inventées pour éliminer des milliards d'être humains. Des êtres humains qui assassinent d'autres êtres humains avec le plaisir incommensurable de l'envoyer au 'paradis' ! Les criminels ont toujours été remerciés de rendre service à la dictature sous des couverts de guerres ou de luttes contre des agressions !
Les criminels de San Francisco agissent en toute impunité, sachant qu'il n'y a pas de conséquences
RépondreSupprimer4 mars 2020
Par Andrea Widburg
Un système de justice pénale existe pour protéger les personnes et les biens. Nous avons déjà noté qu'à San Francisco, le système de justice pénale ne protège plus les gens. Cependant, ce n'est pas seulement San Francisco qui a un problème. Toute la Californie le fait, et il y a une vidéo faisant le tour montrant maintenant ce qui se passe lorsque le gouvernement retire sa protection des citoyens respectueux des lois.
En 2014, les électeurs californiens ont approuvé la proposition 47, qui a déclassé certains crimes en délits. De manière significative, la nouvelle mesure exigeait que tout vol en dessous de 950 $ soit un délit.
Un an après l'adoption de la loi, le Justice Advocacy Project de l'Université de Stanford a publié un rapport - avec l'un de ses auteurs ayant co-écrit Prop.47 - indiquant qu'il y avait maintenant 13 000 personnes de moins dans les prisons de Californie et que l'État avait déjà économisé 150 millions de dollars. . L'étude, cependant, a oublié de regarder le coût pour les citoyens de Californie.
La réalité est que l'application des lois civiques tente rarement d'enquêter ou de poursuivre les délits. C'est trop d'effort pour une trop petite conséquence ultime pour le malfaiteur. Cela est particulièrement vrai, comme nous le verrons, lorsque le procureur a des idées gauchistes sur ce qui constitue la justice.
Déjà en 2016, les détaillants californiens se plaignaient de l'effet de la nouvelle loi sur leurs entreprises:
Tout ce qui est inférieur à 950 $ garde le crime un délit - et signifie probablement que les voleurs ne sont poursuivis et punis, disent les détaillants et les responsables de l'application des lois. Les grands détaillants, y compris les pharmacies Safeway, Target, Rite Aid et CVS, affirment que le vol à l'étalage a augmenté d'au moins 15% et, dans certains cas, a doublé depuis que les électeurs ont approuvé la proposition 47 et mis fin à la possibilité de facturer le vol à l'étalage en tant que crime avec le risque d'une peine de prison.
Les rapports de vol à l'étalage au département de police de Los Angeles ont bondi d'un quart au cours de la première année, selon les statistiques compilées par le département pour l'Associated Press.
À San Francisco, les problèmes de la proposition 47 ont été aggravés par le fait qu'en novembre dernier, les électeurs ont élu Chesa Boudin pour être leur procureur de district. Boudin est le fils de deux terroristes du groupe des années 60, The Weather Underground, tous deux emprisonnés pour crime. Boudin a donc été élevé par deux autres membres de Weather Underground: William Ayers et Bernardine Dohrn. C'est un marxiste révolutionnaire à un niveau que la plupart des Américains ne peuvent même pas comprendre.
Alors que Boudin a fait grand cas du refus de poursuivre les «crimes liés au mode de vie», tels que la prostitution, la miction et la défécation en public, et la consommation publique de drogues, il a tranquillement poussé une autre révolution dans l'injustice criminelle: à la frustration des policiers de San Francisco, il refuse pour poursuivre les délits.
Cela nous amène à la dernière vidéo de San Francisco. Pour une fois, cela ne montre pas quelqu'un déféquant dans la rue ou tirant dans une station BART. Au lieu de cela, cela montre des criminels entrant simplement dans un Walgreens local et dépouillant les étagères. Il était une fois, ce Walgreens était situé dans un très joli quartier bourgeois. Maintenant, c'est un canard assis pour le crime:
RépondreSupprimerAlors que les démocrates se positionnent pour défier Trump à la présidence, gardez cette vidéo à l'esprit. Bernie a poussé le parti si loin vers la gauche que, même si le candidat est Biden ou Bloomberg, la philosophie du parti est de suivre l'exemple de la Californie et de San Francisco en matière de justice - ou plutôt d'injustice criminelle. (Bloomberg, avec ses excuses rampantes pour le stop-and-fisk, qui a sauvé de nombreuses vies, va basculer aussi fort vers la gauche que quiconque pour garder la base apaisée.)
Leur base d'électeurs d'extrême gauche veut voir l'Amérique dans son ensemble adopter les politiques de justice pénale qui rendent la vie en Californie misérable pour les citoyens respectueux des lois. Avec un Bernie, Biden ou Bloomberg à la Maison Blanche, cette vidéo pourrait un jour être prise n'importe où en Amérique, pas seulement sur la folle côte gauche.
Un système de justice pénale existe pour protéger les personnes et les biens. Nous avons déjà noté qu'à San Francisco, le système de justice pénale ne protège plus les gens. Cependant, ce n'est pas seulement San Francisco qui a un problème. Toute la Californie le fait, et il y a une vidéo faisant le tour montrant maintenant ce qui se passe lorsque le gouvernement retire sa protection des citoyens respectueux des lois.
En 2014, les électeurs californiens ont approuvé la proposition 47, qui a déclassé certains crimes en délits. De manière significative, la nouvelle mesure exigeait que tout vol en dessous de 950 $ soit un délit.
Un an après l'adoption de la loi, le Justice Advocacy Project de l'Université de Stanford a publié un rapport - avec l'un de ses auteurs ayant co-écrit Prop.47 - indiquant qu'il y avait maintenant 13 000 personnes de moins dans les prisons de Californie et que l'État avait déjà économisé 150 millions de dollars. . L'étude, cependant, a oublié de regarder le coût pour les citoyens de Californie.
La réalité est que l'application des lois civiques tente rarement d'enquêter ou de poursuivre les délits. C'est trop d'effort pour une trop petite conséquence ultime pour le malfaiteur. Cela est particulièrement vrai, comme nous le verrons, lorsque le procureur a des idées gauchistes sur ce qui constitue la justice.
Déjà en 2016, les détaillants californiens se plaignaient de l'effet de la nouvelle loi sur leurs entreprises:
Tout ce qui est inférieur à 950 $ garde le crime un délit - et signifie probablement que les voleurs ne sont poursuivis et punis, disent les détaillants et les responsables de l'application des lois. Les grands détaillants, y compris les pharmacies Safeway, Target, Rite Aid et CVS, affirment que le vol à l'étalage a augmenté d'au moins 15% et, dans certains cas, a doublé depuis que les électeurs ont approuvé la proposition 47 et mis fin à la possibilité de facturer le vol à l'étalage en tant que crime avec le risque d'une peine de prison.
Les rapports de vol à l'étalage au département de police de Los Angeles ont bondi d'un quart au cours de la première année, selon les statistiques compilées par le département pour l'Associated Press.
À San Francisco, les problèmes de la proposition 47 ont été aggravés par le fait qu'en novembre dernier, les électeurs ont élu Chesa Boudin pour être leur procureur de district. Boudin est le fils de deux terroristes du groupe des années 60, The Weather Underground, tous deux emprisonnés pour crime. Boudin a donc été élevé par deux autres membres de Weather Underground: William Ayers et Bernardine Dohrn. C'est un marxiste révolutionnaire à un niveau que la plupart des Américains ne peuvent même pas comprendre.
RépondreSupprimerAlors que Boudin a fait grand cas du refus de poursuivre les «crimes liés au mode de vie», tels que la prostitution, la miction et la défécation en public, et la consommation publique de drogues, il a tranquillement poussé une autre révolution dans l'injustice criminelle: à la frustration des policiers de San Francisco, il refuse pour poursuivre les délits.
Cela nous amène à la dernière vidéo de San Francisco. Pour une fois, cela ne montre pas quelqu'un déféquant dans la rue ou tirant dans une station BART. Au lieu de cela, cela montre des criminels entrant simplement dans un Walgreens local et dépouillant les étagères. Il était une fois, ce Walgreens était situé dans un très joli quartier bourgeois. Maintenant, c'est un canard assis pour le crime:
Alors que les démocrates se positionnent pour défier Trump à la présidence, gardez cette vidéo à l'esprit. Bernie a poussé le parti si loin vers la gauche que, même si le candidat est Biden ou Bloomberg, la philosophie du parti est de suivre l'exemple de la Californie et de San Francisco en matière de justice - ou plutôt d'injustice criminelle. (Bloomberg, avec ses excuses rampantes pour le stop-and-fisk, qui a sauvé de nombreuses vies, va basculer aussi fort vers la gauche que quiconque pour garder la base apaisée.)
Leur base d'électeurs d'extrême gauche veut voir l'Amérique dans son ensemble adopter les politiques de justice pénale qui rendent la vie en Californie misérable pour les citoyens respectueux des lois. Avec un Bernie, Biden ou Bloomberg à la Maison Blanche, cette vidéo pourrait un jour être prise n'importe où en Amérique, pas seulement sur la folle côte gauche.
https://www.americanthinker.com/blog/2020/03/criminals_in_san_francisco_act_with_impunity_knowing_there_are_no_consequences.html
Comment «femme» est devenue un gros mot
RépondreSupprimerLes activistes trans demandent l'effacement de la féminité.
Joanna Williams
JOURNALISTE
4 mars 2020
Ce dimanche est la Journée internationale de la femme. Je dois avouer que je n'ai jamais été un grand fan. Cela a toujours semblé être une excuse pour les femmes de la classe moyenne avec de bons emplois, de gros salaires et une vie agréable pour se complaire dans un apitoiement suffisant. Il y a beaucoup de raisons de vouloir voir le fond de ce bâillement. Mais l'idée que «femmes» est un terme offensant qui doit être redéfini ou, mieux encore, effacé de notre vocabulaire ? Laisse-moi tranquille.
Et pourtant, c'est exactement ce qui se passe. Plus tôt cette semaine, pour marquer la Journée internationale de la femme, le Conseil Sefton du Merseyside a levé des drapeaux devant les mairies de Bootle et de Southport. Lever le drapeau s'est réveillé maintenant. Nous connaissons tous le drapeau arc-en-ciel pour signifier la fierté gay, mais il existe également un drapeau pour la fierté bisexuelle; un drapeau bleu, rose et blanc pour le «jour du souvenir transgenre»; et un drapeau violet, vert et blanc pour signifier genderqueer. Il y a même un drapeau pour représenter la communauté asexuée: sa conception a été approuvée par un vote à plusieurs degrés, natch. Alors, quel drapeau arborer lors de la Journée internationale de la femme ?
Le conseil de Sefton est allé avec un drapeau déclarant «Femme, nom, femelle adulte», ce qui semble assez juste. Cependant, cette définition simple et brève a suscité la colère d'un homme, Adrian Harrop. Harrop, un activiste GP et LGBT, est toujours rapide quand il s'agit d'indignation par procuration. Il a tweeté au Sefton Council, "le drapeau que vous battez en ce moment est un sifflet de chien transphobe hostile". Un autre homme, le conseiller de Sefton, Leo Evans, a sonné l'alarme auprès des responsables des drapeaux et a répondu à Harrop: "@seftoncouncil est et devrait être un conseil diversifié et inclusif, pas un qui cherche à exclure qui que ce soit.'' tout ce qu'il a fallu. À la demande des hommes, le drapeau marquant la Journée internationale de la femme a été retiré et des excuses ont été présentées. Et maintenant, nous le savons tous: Sefton est un conseil «inclusif» tant que ce ne sont pas les femmes hautaines qui s'attendent à être incluses. Ils peuvent être insultés en tant que «chiens».
Ce n’est pas seulement dans le Merseyside que la Journée internationale de la femme est désormais considérée comme «problématique». À l’Université de Leicester, les étudiants ont prévu une semaine de festivités - mais le mot «femme» n’est nulle part en vue. Au lieu de cela, les étudiants célèbrent la «Semaine internationale de la femme», une initiative provoquée par leur officier trans féminin, Dan Orr - un homme biologique, autrement connu comme un homme. Dans un bulletin d'information destiné aux étudiants, l'université a expliqué: «Nous utilisons le terme« womxn »comme une orthographe plus inclusive de« femmes »qui inclut toute personne qui s'identifie comme womxn.» C'est donc clair. La catégorie des femmes ne se réfère plus exclusivement aux femmes adultes; il s'est plutôt étendu pour inclure tout homme qui a envie de se faire appeler une femme.
Cette nouvelle définition de la féminité a été énoncée par Lola Olufemi, féministe et «organisatrice», dans une déclaration lue lors d’une récente conférence commémorant le 50e anniversaire de la première conférence de libération des femmes du Collège Ruskin. Olufemi explique utilement que «la femme est un terme générique» sous lequel toute personne favorable à sa vision du monde peut «se réunir pour faire ses demandes». Il faut un degré d'arrogance incroyable pour imposer votre propre définition des mots et, ce faisant, exclure les femmes qui se battaient pour les droits des femmes avant même votre naissance. Les conséquences de cette redéfinition ont été rapidement clarifiées: une femme réelle - la féministe, auteure et professeure Selina Todd - n'était en fait pas de plate-forme de la conférence après qu'Olufemi ait refusé de parler si Todd faisait partie d'un panel. Lorsque «femmes» devient «un terme générique», les femmes sont réduites au silence.
RépondreSupprimerLa guerre étrange contre la blancheur
Le mot «femme» est devenu blasphématoire. Au Edinburgh Science Festival, un discours de l’auteur américain Maisie Hill sur le «pouvoir d’époque» a été facturé à tous les «humains atteints d’utérus». Les femmes souffrent d'une double humiliation: d'abord, elles sont réduites à leurs organes reproducteurs et hormones, puis elles sont déshumanisées en tant que groupe qui ne peut être nommé.
Lorsque les femmes ne peuvent pas se nommer, elles ne peuvent pas faire d'exigences collectives ni faire entendre leur voix. La dessinatrice Stella Perrett a régulièrement présenté son travail dans le Morning Star. Son travail le plus récent, 'endgame', montre un alligator racontant à des tritons dans un étang: 'Ne t'inquiète pas tes jolies petites têtes, je suis en transition en triton.' éditions et de présenter des excuses «sans réserve» pour toute infraction causée. Une contributrice de longue date et une discussion importante sur les espaces réservés aux femmes pourraient à la fois être expulsées et s'excuser comme une mauvaise odeur. Maintenant, c'est offensant.
En 1963, Betty Friedan a décrit le malheur vécu par les femmes au foyer de banlieue américaines comme «le problème qui n’a pas de nom». Le féminisme de la deuxième vague a débuté avec des femmes définissant leurs expériences et mettant un nom à leurs frustrations. Les femmes ont parcouru un long chemin dans les décennies qui ont suivi. Nous avons remporté des batailles juridiques pour les droits en matière de procréation, l'égalité de rémunération, l'accès à l'éducation et tous les secteurs de l'emploi; de nombreuses femmes ont prospéré et certaines surpassent désormais les hommes en matière de rémunération et de travail. Mais faire des femmes un groupe sans nom risque de revenir en arrière sur toutes ces victoires durement gagnées à la demande d'un petit groupe d'hommes intimidants, de fonctionnaires lâches et de jeunes femmes assez chanceuses pour grandir dans une société qui non seulement a l'égalité des sexes, mais a également flatté tous leurs caprices. Nous ne pouvons pas les laisser gagner. Pour cette raison, pour la première fois, je vais lever un verre pour la Journée internationale de la femme.
Joanna Williams est chroniqueuse et directrice du think tank Cieo.
https://www.spiked-online.com/2020/03/04/how-woman-became-a-dirty-word/
Abroger le Patriot Act
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 5 mars 2020
J'écris depuis des années sur les dangers pour la liberté humaine qui découlent de la surveillance de masse du gouvernement. Les États-Unis sont nés dans une réaction de défi à la surveillance du gouvernement. Au cours de la décennie précédant la signature de la Déclaration d'indépendance, les méchants étaient le Stamp Act et le Writs of Assistance Act. Aujourd'hui, le méchant est le Patriot Act.
Voici la trame de fond.
En 1765, alors que le gouvernement britannique cherchait des moyens créatifs de taxer les colons, le Parlement promulgua le Stamp Act. Cette loi obligeait toutes les personnes des colonies à acheter des timbres d'un vendeur du gouvernement britannique et à les apposer sur tous les documents en sa possession. Ce n'étaient pas des timbres comme nous les utilisons aujourd'hui, ils portaient plutôt le sceau du gouvernement britannique. Le vendeur appliquait de l'encre sur le sceau et, moyennant des frais - une taxe -, imprimait une image du sceau sur les documents.
Tous les documents en sa possession - financiers, légaux, lettres, livres, journaux, brochures, même des affiches destinées à être clouées aux arbres - exigeaient les timbres du gouvernement.
Comment le gouvernement britannique, à 3 000 milles de distance, a-t-il su si l'on avait ses cachets sur ses documents? Réponse: Loi sur les brefs d'assistance. Un bref d'assistance était un mandat général délivré par un tribunal secret de Londres. Un mandat général ne décrit pas spécifiquement le lieu à perquisitionner ni la personne ou la chose à saisir. Il autorisait simplement le porteur - un fonctionnaire civil ou militaire - à fouiller où il voulait et à saisir tout ce qu'il trouvait.
L'utilisation de brefs d'assistance pour rechercher des timbres dans les maisons coloniales a provoqué une avalanche d'opposition qui s'est souvent transformée en violence contre les vendeurs de timbres. Le simple coût d'envahir les maisons privées a alimenté la crainte que le véritable objectif de la taxe ne soit pas de générer des revenus - bien que le roi ait toujours besoin d'argent - mais plutôt de rappeler aux colons que le roi était souverain et que ses agents et soldats pouvaient entrer dans la colonie. maisons sur un coup de tête.
Le Parlement a abrogé la loi sur le timbre en 1766, mais elle a causé un préjudice durable au roi. Le professeur Bernard Bailyn de Harvard a estimé qu'à la fin des années 1760, un tiers des colons étaient favorables à une sécession de la Grande-Bretagne, pacifique ou violente.
En 1789, six ans après la victoire de la Révolution américaine, les 13 colonies qui avaient fait sécession se sont combinées aux États-Unis d'Amérique en vertu de la Constitution. Deux ans plus tard, la Déclaration des droits a été ratifiée, dont le quatrième amendement a été expressément rédigé pour interdire les mandats généraux - pour garantir que le nouveau gouvernement ne ferait pas et ne pourrait pas faire aux Américains ce que le gouvernement britannique avait fait aux colons.
Cette assurance se manifestait dans les exigences de l'amendement selon lesquelles seuls les juges peuvent délivrer des mandats de perquisition, qui doivent être fondés sur une cause probable de crime et qui doivent décrire spécifiquement le lieu à perquisitionner ou la personne ou la chose à saisir.
RépondreSupprimerL'histoire des États-Unis est l'histoire de la croissance du gouvernement et de la perte de la liberté personnelle. Heureusement, nous avons éradiqué l'esclavage et reconnu l'égalité de tous, sans distinction de race ou de sexe. Pourtant, en temps de crise, nous avons permis au gouvernement fédéral d'envahir notre vie privée à une échelle jamais approchée par les gens qui ont apporté la Loi sur le timbre à nos ancêtres.
Après le 11 septembre, l'administration George W. Bush a proposé le Patriot Act au Congrès. Il a été conçu dans le secret et adopté en infidélité à la Constitution. Les membres de la Chambre des représentants avaient 15 minutes pour lire soit plus de 300 pages et pas de temps pour un débat sérieux. Le seul sénateur qui s'est prononcé contre cette décision a été chassé de ses fonctions.
L'article 505 du Patriot Act autorise les agents fédéraux à contourner les exigences du quatrième amendement et à émettre leurs propres mandats de perquisition. Ces mandats rédigés par des agents ne sont pas fondés sur une cause probable de crime mais plutôt sur une représentation par un agent à un autre des besoins gouvernementaux - le même standard boiteux utilisé par les tribunaux secrets de Londres qui ont délivré des brefs d'assistance.
Depuis 2001, les agents fédéraux ont délivré plus de 300 000 de ces mandats de perquisition - qu'ils appellent des lettres de sécurité nationale - aux dépositaires de dossiers financiers. Rien qu'en 2004, 56 507 mandats de perquisition écrits ont été émis par des agents. Ces dépositaires comprennent des institutions financières, des fournisseurs de télécommunications, des fournisseurs de services informatiques, des supermarchés, des émetteurs de cartes de crédit, des assureurs et des fournisseurs de soins de santé, des fournisseurs de services juridiques, des gouvernements locaux et des États, et même le bureau de poste.
Le concept même d'un agent fédéral autorisant un autre à saisir des documents est contraire au quatrième amendement et répugne à la révolution américaine.
J'écris à ce sujet maintenant parce qu'une section du Patriot Act expirera le 15 mars, et de nombreux libéraux et libertaires du Congrès - même quelques conservateurs encore meurtri par la surveillance gouvernementale du candidat Donald Trump en 2016 - ont envisagé des changements structurels à ce loi pernicieuse.
L'article 215 - qui est sur le point d'expirer - est aussi fatal à la liberté que l'article 505. Il autorise les juges fédéraux désignés à émettre des mandats généraux fondés sur les anciennes ordonnances d'assistance selon les besoins gouvernementaux. L'un de ces juges a signé un mandat de perquisition pour les enregistrements téléphoniques de tous les clients de Verizon aux États-Unis - à l'époque, 115 millions d'entre eux.
215 et 505 sont des armes de surveillance de masse et devraient être abrogées. Ce sont des instruments d'un gouvernement totalitaire, pas de personnes libres. Ils défient la Constitution. Ils présument que nos droits ne sont pas naturels mais proviennent d'un gouvernement qui peut les reprendre. La surveillance de masse produit un État qui en sait plus sur nous que nous - un État qui consommera lentement nos libertés au nom des besoins du gouvernement. Il l'a déjà fait.
http://www.judgenap.com/post/repeal-the-patriot-act
Un hiver rigoureux tue plus de 55 700 têtes de bétail dans la province de Khuvsgul en Mongolie
RépondreSupprimerXiang Bo - Xinhua
Sott.net
lun., 02 mar. 2020 21:57 UTC
livestock deadDes conditions climatiques hivernales extrêmes, connues sous le nom de dzud en Mongolie, ont tué plus de 55.700 animaux d'élevage dans la seule province de Khuvsgul au nord-ouest du pays depuis la fin de l'année dernière, a déclaré lundi le département provincial de l'agriculture.
"Dzud" est un terme mongol pour décrire l'hiver glacial qui vient après un été sec et qui provoque la mort d'un grand nombre de bétail par famine ou par grand froid.
"Un total de 55 764 animaux d'élevage sont morts dans 11 soums (un type de district administratif en Mongolie) de notre province depuis la fin de l'année dernière en raison du temps hivernal rigoureux. De fortes chutes de neige ont frappé la province à 16 reprises depuis le début du mois de novembre", a déclaré le ministère dans un communiqué.
Le département de l'agriculture et d'autres organisations provinciales concernées ont distribué de l'herbe et du fourrage aux éleveurs locaux gratuitement ou à des prix réduits, a-t-il ajouté.
La Mongolie est l'un des derniers pays nomades du monde, avec un cheptel de 70,9 millions de têtes de bétail, à la fin de 2019.
Comme les chutes de neige ont actuellement recouvert environ 60 % du pays, plus de 80 soums dans 15 provinces connaissent des conditions de dzud ou de quasi-dzud, selon l'Agence nationale de gestion des urgences du pays.
L'élevage est l'épine dorsale de l'économie nationale du pays, avec près de 40 % de la population nomade qui en dépend pour sa subsistance.
Des milliers d'éleveurs perdent leurs animaux presque chaque année à cause du dzud, et plus d'un million d'animaux en sont morts en 2016.
Traduction Sott.net - Source : Xiang Bo, Xinhua
https://fr.sott.net/article/34950-Un-hiver-rigoureux-tue-plus-de-55-700-tetes-de-betail-dans-la-province-de-Khuvsgul-en-Mongolie
Marine Le Pen appelle à un référendum pour arrêter la «submersion» de la France via l'immigration de masse
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 03/05/2020 - 03:30
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Marine Le Pen a appelé à un référendum national afin de mettre un terme à ce qu'elle a appelé la «submersion» de la France via un programme «globaliste» d'immigration de masse.
S'exprimant lors d'un débat sur la question au Parlement français, le chef du parti politique du Rassemblement national a incendié l'establishment politique pour avoir supervisé la dilution de l'identité française au détriment des gens ordinaires.
Le Pen a déclaré que les 30 dernières années de lois sur l'immigration ont été conçues pour être inefficaces et ont abouti à "rien de plus qu'une polémique politique".
Elle a déclaré que les Français "reconnaissent que l'immigration incontrôlée est une menace, une menace pour leur vie quotidienne, leur mode de vie, et même, parfois, une menace pour leur vie".
«Notre pays connaît une véritable submersion, oui une submersion, j'ose utiliser ce terme, car il décrit la réalité de la vague ininterrompue qui déferle sur nos villes, nos villes, et maintenant, à cause de votre politique irresponsable de placement des migrants dans les zones rurales, même les plus petits villages », a expliqué Le Pen.
Elle a critiqué les politiciens de l'establishment pour avoir tenté de discuter du tabou de l'immigration et diaboliser les dissidents alors même qu'un gigantesque déplacement démographique de personnes avait lieu et les a accusés de «trahison» pour ne pas avoir «défendu leur peuple».
"Mais surtout, sans jamais consulter les gens, ils ont organisé les flux de migration légale et toléré l'immigration illégale", a-t-elle ajouté, affirmant que cela était motivé par "l'idéologie mondialiste qui les guide inexorablement".
Le Pen a également accusé les mondialistes de réduire l'homme à sa «dimension économique, en tant que producteur et consommateur, un homme interchangeable, sans identité ni référence culturelle, rien d'autre qu'un rouage dans la roue du commerce mondial».
"Le torrent de migration détruit notre système de protection sociale, fait exploser tout le système pénal et sape l'unité de la nation", a-t-elle ajouté.
Slamming le président Macron pour exacerber le problème, Le Pen a rejeté le «débat» comme une «répétition inutile pour une pièce de théâtre», appelant à un référendum national sur l'arrêt de l'immigration de masse.
«Dans cette enceinte, une majorité souhaite que cette folie migratoire se poursuive. En France, une majorité souhaite que cette folie migratoire cesse », a-t-elle conclu.
Le Pen a été chahuté tout au long du discours par des politiciens d'immigration pro-masse, mais ses paroles ont été un feu absolu.
https://www.zerohedge.com/political/marine-le-pen-calls-referendum-stop-submersion-france-mass-immigration
Ce n'est qu'aujourd'hui que celle qui se dit de l''opposition' déclare vouloir un référendum !
SupprimerUn référendum mais pas DES référendums afin de conserver la dictature présente face aux demandes des françaises et français de la Démocratie !
Qui ou quoi a déclenché l'épidémie de coronavirus de Wuhan ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 03/05/2020 - 00:05
Rédigé par le professeur Anthony Hall via AHTribune.com,
Sur la condamnation des «théories du complot» en tant que dispositif de protection des mensonges, de la désinformation et de l’obscurcissement des autorités.
L'épidémie de coronavirus de Wuhan de 2019-2020 déplace de nombreux marqueurs où la vie se confond avec la mort, où la vérité se confond avec le mensonge. À 34 ans, le Dr Li Wenliang a attiré l'attention à Wuhan sur ces marqueurs en mouvement. La maladie contre laquelle le Dr Li cherchait à mettre en garde a fini par lui coûter la vie alors que l'épidémie gagnait du terrain.
Avant de descendre dans l'exercice de ses fonctions, le Dr Li a fait face à une réprimande sévère de la part des représentants du Parti communiste chinois. Le Dr Li a été accusé de répandre des rumeurs et de menacer illégalement l'ordre social avec ses tweets et messages et ses interventions personnelles. Néanmoins, le Dr Li a rapidement été justifié en attirant l'attention sur la peste à venir.
Il ne fallut pas longtemps avant que la force effroyable de la maladie démontre que le Dr Li était tout sauf un théoricien complotiste capricieux. Au lieu de cela, les preuves lui ont donné raison même si elles prouvaient que ses puissants détracteurs étaient à la fois mauvais et négligents face à une véritable menace.
Le Dr Li Wenliang est un martyr. Il reste à voir, cependant, dans quelle mesure l’ombre du martyre du Dr Li sera projetée.
Le nouveau coronavirus, COVID-19, est en train de couper une large et profonde bande à travers l'histoire épidémiologique avec un impact incertain sur la viabilité de nombreuses familles, communautés, institutions, économies et même des pays en commençant par la nation la plus peuplée de la planète. De nombreux destins sont en jeu, dont le moindre n'est pas celui du gouvernement communiste qui a dirigé la Chine depuis que la révolution maoïste l'a portée au pouvoir en 1949.
La nouvelle souche de Coronavirus a ajouté de nouvelles caractéristiques génétiques à la même famille d'agents pathogènes qui ont provoqué la crise du SRAS dans le monde en 2002-2003 et, une décennie plus tard, l'épidémie de MERS moins meurtrière. Cette nouvelle souche de coronavirus, COVID-19, se révèle beaucoup plus contagieuse et mortelle que ne l'étaient le SRAS et le MERS.
Certains ont anticipé que, si elle n'était pas radicalement contrée, l'épidémie de coronavirus de Wuhan pourrait se diriger vers l'épidémie de grippe espagnole de 1918. Cette prédiction découle de l'évaluation, par exemple, du professeur Gabriel Leung, président de la médecine de santé publique à Université de Hong King. En examinant le taux très rapide de propagation du COVID-19 d’humain à humain par l’air, le Dr Leung a contesté tout sentiment résiduel de complaisance. Il prévoyait un taux d'infection possible de 60% pour l'ensemble de la population mondiale, avec des dizaines de millions de décès.
La soi-disant grippe espagnole a mis la barre très haut et à quel point une peste contagieuse peut devenir grave. La pandémie de 1918 a coûté plus de vies en un an que tous les décès dus à la Seconde Guerre mondiale. La grippe espagnole de 1918 a engendré plus de mortalité en un an que les quatre années de pointe de la fameuse peste bubonique de la peste noire qui a décimé l'Europe au milieu du XIVe siècle. La pandémie mondiale de 1918 a infecté plus du quart de la population mondiale. Environ 65 millions de personnes sont mortes de la maladie.
Des reportages provenant de la zone zéro de l'épidémie de coronavirus de Wuhan montrent que les effets de l'infection virale sont très larges. Chaque facette de la société chinoise est mise au défi à la limite par une peste à propagation rapide qui dissémine des germes de destruction perturbant simultanément de nombreux systèmes biologiques, politiques, économiques et de connaissances.
RépondreSupprimerLes questions sur la façon d'interpréter l'épidémie et d'expliquer au public ce qui est connu ou non se posent rapidement. À qui faut-il croire ? Qui est crédible et qui ne l'est pas à mesure que l'épidémie se déroule. Quel devrait être le rôle des médias sociaux et des lanceurs d'alerte dans le processus de décision sur la manière de réagir ? Que se passe-t-il lorsque de véritables dénonciateurs comme le Dr Li sont trop rapidement renvoyés et réprimandés par les autorités au pouvoir en tant que «théoriciens du complot» ?
Une tâche essentielle à laquelle il faut faire face dans cette phase initiale de cette crise est de développer une explication précise de l'origine de la contagion et de la manière dont les premières victimes du nouveau coronavirus ont été infectées. La nécessité d'une certaine certitude quant aux origines du virus et à sa genèse ultérieure est absolument essentielle au développement de réponses solides et appropriées. Il serait hautement irresponsable d’accélérer le développement d’une stratégie globale de lutte contre la peste sans tenter honnêtement de découvrir comment la contagion a vu le jour.
L'importance d'aller aux racines factuelles de ce qui est arrivé pour mettre l'humanité sur cette trajectoire épidémiologique devrait être particulièrement claire après la débâcle du 11 septembre 2001. Sans enquête approfondie sur les crimes du 11 septembre, les Américains ont été précipités dans des cycles d'apparence perpétuelle. la guerre à l'étranger, les interventions de l'État policier et de l'État de surveillance au pays. Ce cycle de réponses rapides a commencé dans le mois du 11 septembre avec une invasion militaire à part entière de l'Afghanistan, une invasion qui se poursuit encore.
Lorsque deux sénateurs américains, Patrick Leahy et Tom Daschle, ont cherché à ralentir la précipitation de l'exécutif américain vers des mesures d'urgence et la guerre, eux et le Congrès américain qu'ils ont servi ont été durement touchés par une arme biologique de qualité militaire, l'anthrax. La tactique violente des saboteurs s’est avérée efficace pour écarter un examen minutieux qui aurait pu ralentir l’approbation rapide, fin octobre, du Patriot Act massif du Congrès.
Depuis lors, un cycle apparemment interminable d'invasions militaires s'est poursuivi au Moyen-Orient et en Eurasie. Les pouvoirs de mesures d'urgence revendiqués par l'exécutif du gouvernement américain se sont étendus à la torture illégale généralisée, à l'espionnage domestique, à la censure des médias et à une augmentation fulgurante des meurtres extrajudiciaires, en particulier par drones. Cette liste est loin d'être complète.
Tous ces crimes contre l'humanité étaient justifiés sur la base d'une explication officielle non prouvée du 11 septembre. Des enquêtes universitaires ultérieures ont démontré sans équivoque l’attention que les explications de l’autorité sur ce qui s’est passé le jour fatidique de septembre étaient fausses, gravement erronées. Les interprétations initiales sont fortement en désaccord avec le dossier de preuve disponible dans le dossier public.
Nous ne devons pas nous permettre d'être à nouveau trompés de la même manière. Les enjeux sont trop importants, peut-être même plus importants qu'en 2001. Les événements mal interprétés et déformés du 11 septembre ont été exploités conformément à la «doctrine du choc», une stratégie pour instituer des litanies d'actions invasives de l'État que le public ne voulait pas autrement accepté.
La partie consciencieuse de l'humanité, dont beaucoup de membres ont fait leurs propres devoirs sur les événements du 11 septembre, comprendra bien l'importance d'identifier la véritable source d'origine de l'épidémie de coronavirus de Wuhan.
RépondreSupprimerPas moins qu’au lendemain de la débâcle du 11 septembre, il y a de graves dangers à être trop rapide ou trop naïf ou trop confiant pour accepter immédiatement comme fait évangélique les premières explications du gouvernement chinois sur l’épidémie de COVID-19. Pourquoi ne pas prendre le temps d'enquêter et de tester les interprétations actuelles des autorités qui se sont avérées si fausses dans leur décision de réprimander le Dr Li ?
Surtout lorsque les enjeux sont extrêmement élevés, le besoin est grand pour un jugement objectif et par un tiers pour établir ce qui s'est réellement passé indépendamment des interprétations officielles. L'histoire fournit de nombreuses preuves pour démontrer que les interprétations officielles des événements transformateurs s'éloignent souvent de la vérité afin de servir et de protéger les intérêts d'un pouvoir enraciné.
Tout semblant de procédure régulière et de primauté du droit peut rapidement s'évaporer lorsque de puissantes institutions avancent des interprétations d'événements catastrophiques utilisées pour justifier leur propre invocation illimitée de pouvoirs illimités en matière de mesures d'urgence. Les exemples bien documentés de fausse déclaration et d'exploitation de la débâcle du 11 septembre démontrent bien la gravité du danger actuel. Les origines de l'épidémie de coronavirus de Wuhan n'ont pas encore été abordées et expliquées de manière adéquate par un panel d'enquêteurs véritablement indépendants.
L’ambassadeur de Chine aux États-Unis, Cui Tiankai, a reconnu le 9 février sur CBS’s Face the Nation qu’il n’existe aucune certitude quant aux origines de COVID-19. Lorsqu'on lui a demandé Margaret Brennan de CBS d'où venait le virus, l'ambassadeur de Chine a répondu: "Nous ne savons toujours pas encore."
Bien que des géants des médias comme le Washington Post aient mené des ingérences pour justifier les affirmations d'une autorité établie dans ce fiasco, il y a toujours un niveau élevé d'incertitude sur ce qu'est le COVID-19, d'où il vient et pourquoi il s'est propagé si rapidement. Quels facteurs ont entraîné les modifications génétiques déterminant la structure biologique de la nouvelle souche de Coronavirus ? Que s'est-il passé pendant le voyage biologique du coronavirus du SRAS à la souche de coronavirus qui a déclenché la bombe épidémiologique à partir de Wuhan ?
Le gouvernement communiste chinois a-t-il joué un rôle dans la création de COVID-19, volontairement ou par inadvertance ? Que savait le gouvernement chinois quand ses dirigeants l'ont-ils connu ? Ces questions fondamentales doivent encore être examinées objectivement par un groupe d'experts véritablement indépendants qui ne sont redevables à aucun centre d'autorité établie, de financement, de publicité et de réseautage politique.
La nécessité de transcender tout conflit d'intérêts dans l'enquête officielle sur cette question doit d'une manière ou d'une autre être réalisée si l'objectivité doit prévaloir dans le processus de déterrage, d'organisation et d'évaluation des preuves. L'objectif principal de ce processus doit être de faire ressortir la vérité, peu importe à quel point ces illuminations peuvent être embarrassantes pour les intérêts d'un pouvoir enraciné. Un processus doit être engagé sans se plier aux préjugés politiques des institutions et des individus ayant beaucoup à protéger, avec un intérêt majeur à déterminer le résultat des enquêtes.
Une version des événements est que la contagion a commencé quand une souche de maladie virale mutée a sauté d'une chauve-souris ou d'un serpent dans le fonctionnement biologique d'un ou de plusieurs humains. Ce saut de l'animal à l'homme aurait eu lieu dans l'enceinte du marché alimentaire traditionnel en plein air de Wuhan où les chauves-souris, les serpents, les chats, les ratons laveurs, le poisson, les opossums et similaires peuvent être achetés et vendus.
RépondreSupprimerUne perception croissante de l'incrédulité se développe face à l'idée que tout ce chaos a commencé avec quelques personnes écrasant certaines créatures mortellement infectées achetant un marché en plein air. En fait, cette explication devient l'objet de nombreuses satires et ridicules alors même que la nature horrible du déroulement des événements s'intensifie.
Une autre source possible de contagion est le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan, l'une des installations les plus avancées de Chine conçue pour la recherche biologique sur les formes de virus les plus mortelles connues de l'humanité. Cette installation de recherche, dotée de capacités de confinement de niveau 4, est issue de l'expansion et de l'élaboration d'une ancienne agence connue sous le nom de Wuhan Institute of Virology.
Comme il sera démontré, l'Institut de virologie de Wuhan est considéré par certains experts, dont un groupe prestigieux de l'Université technologique de Chine méridionale de Guangzhou, comme la source probable du contaminant. Comme il sera démontré ci-dessous, l'Institut de virologie de Wuhan et son excroissance, le Laboratoire national de biosécurité, sont considérés par certains comme intégrés à des sites plus secrets où se concentrent les opérations militaires du prétendu programme de guerre biologique de la Chine.
Un accent sur le type de procédures qui ont lieu à l'Institut de virologie de Wuhan soulève la question de savoir si une fuite virale accidentelle de cette agence constitue l'origine principale de l'épidémie. Une autre possibilité est qu'une sorte de jeu de pouvoir au sein de l'élite dirigeante chinoise pourrait avoir conduit à la décision de créer et de libérer une arme biologique au cœur de l'une des zones les plus peuplées de la planète.
Une autre possibilité encore est que l'épidémie de coronavirus de Wuhan fasse partie d'un programme de «guerre hybride» du gouvernement américain contre la Chine. La spéculation entourant ce scénario souligne que des centaines de soldats américains étaient à Wuhan fin octobre 2019 pour les Jeux militaires mondiaux.
Comme l'a expliqué Mark Episkopos dans The National Interest, la théorie selon laquelle le gouvernement américain est à l'origine de la propagation du coronavirus COVID-19 a été bien rapportée dans certains médias grand public en Russie. Cette «rumeur» est également celle que l'ambassadeur chinois aux États-Unis, Cui Tiankai, a spécifiquement mentionnée sur Face the Nation de CBS lorsqu'il a repoussé l'allégation selon laquelle le programme de guerre biologique de la Chine était en quelque sorte impliqué dans les origines de l'épidémie.
Igor Nikulin est l'une des personnes interrogées sur le sujet. M. Nikulin a soutenu: «Wuhan a été choisi pour l'attaque [par des responsables militaires américains] parce que la présence locale de l'Institut de virologie de Wuhun offre au Pentagone et à la CIA une couverture pratique sur les bio-expériences qui ont mal tourné.»
S'il s'avère que la source de la nouvelle épidémie de coronavirus est une arme de guerre biologique, une autre question se pose de savoir si le germe d'attaque est génétiquement modifié pour cibler un groupe ethnique spécifique. S'appuyant sur ses observations de la recherche biologique américaine dans certaines des anciennes républiques de l'Union soviétique, Nikulin a fait remarquer:
RépondreSupprimerles laboratoires américains supposément financés par le Pentagone en Eurasie ont collecté et traité du matériel génétique provenant de populations russes et chinoises pour créer un virus "ethniquement spécifique" qui ne cible que certains peuples.
Episkopos ajoute que les observations de Nikulin sont conformes à la position de l'expert militaire russe, Viktor Baranets. Baranets a affirmé que la guerre biologique est devenue une nouvelle arme «dans la lutte américaine pour la suprématie mondiale contre ses principaux adversaires». Il existe de nombreuses preuves pour indiquer que l'un des principaux axes de la recherche génétique dans la guerre biologique a longtemps impliqué des efforts pour cibler des groupes ethniques spécifiques pour la maladie et la mort. Il y a des raisons évidentes pour lesquelles ceux qui sont engagés dans le développement d'armes biologiques voudraient restreindre leur objectif aux ennemis envisagés plutôt que de multiplier les germes pour tuer sans discrimination tous les humains sur leur chemin, qu'ils soient amis ou ennemis.
Lance Welton couvre certains sujets soi-disant injustifiables mais néanmoins contestés dans un article intitulé «Les Asiatiques beaucoup plus sensibles au coronavirus que les autres races, plus susceptibles de mourir».
Welton laisse de côté la question de savoir pourquoi le COVID-19 semble avoir un coup de poing beaucoup plus virulent et mortel en ce qui concerne le ciblage des personnes partageant une ascendance sino-asiatique. L'autre côté de la même médaille est que les personnes d'ascendance à prédominance européenne semblent statistiquement beaucoup moins à risque lorsqu'il s'agit de succomber à la force épidémiologique de COVID-19.
Welton a observé combien il est devenu difficile en Occident de soulever publiquement des questions concernant les différentes vulnérabilités des différents groupes ethniques à certaines maladies. Il cite des preuves anecdotiques que, jusqu'à présent au moins, tous les décès en dehors de la Chine ont pour la plupart coûté la vie à des personnes d'origine chinoise. À partir de cette observation, Welton conclut que les caractéristiques raciales sont un facteur important dans la détermination de la vulnérabilité à la maladie causée par le COVID-19.
Le fait que ce sujet soit si assidûment ignoré par ceux qui sont engagés dans la quête du politiquement correct conduit Welton à commenter,
«Cela ne fait que montrer à quel point notre tabou sur la« race »est devenu pathologique. Le déni de race est si fort que d'éventuelles différences raciales dans l'incidence d'une maladie ne peuvent être mentionnées, ni même suggérées. »
Création de nouveaux domaines de guerre hybride
L'épidémie de coronavirus de Wuhan en 2020 fait trembler de façon incontrôlable le terrain autrefois ferme sous de nombreuses institutions établies. L'une de ces institutions, le gouvernement communiste chinois, connaît son moment de Tchernobyl.
L'épidémie a de nombreuses conséquences et implications qui s'étendent déjà au-delà de la Chine vers le monde entier. L'épidémie a des implications importantes pour, par exemple, l'état de l'économie chinoise et mondiale, l'avenir de l'industrie des transports, l'avenir du tourisme, les conditions des relations internationales, l'état de la censure, l'interaction entre la recherche universitaire et militaire , ainsi que la rupture continue de la confiance dans le gouvernement. Cette liste est loin d'être complète.
RépondreSupprimerLe reste de cet essai en 6 parties met en évidence les implications de la crise du COVID-19 pour les interactions communicatives, en particulier dans la sphère publique. Les questions à traiter s'étendent aux médias sociaux et aux médias grand public. Ils touchent à l'éducation du public et à différentes conceptions de l'intérêt public.
L'analyse de la dégradation de la santé publique soulève des questions sur l'application des lois. Il soulève des questions connexes sur la gouvernance des associations professionnelles, des institutions académiques ainsi que des agences publiques et privées ayant des responsabilités importantes dans les domaines de la certification et de la publication scientifique.
L'un des principaux domaines de conflits professionnels résultant de la crise du COVID-19 concerne les liens étroits entre la recherche biologique visant à trouver des moyens de prévention et de guérison des maladies et la recherche visant à créer des armes biologiques. Les armes biologiques peuvent être conçues dans le but de provoquer des meurtres de masse aveugles. Ils peuvent également être utilisés pour provoquer le meurtre ciblé de populations humaines spécifiques partageant des attributs génétiques communs.
Peu à peu, une partie du public prend conscience qu'il existe un conflit d'intérêts entre les applications militaires et de santé publique du domaine de la microbiologie dans les soi-disant sciences de la vie. Combien de praticiens des sciences dites de la vie se consacrent réellement aux sciences de la mort ? Le public a des raisons de remettre en question, par exemple, les procédures impliquées dans la production de vaccins par une industrie qui a un pied dans le domaine des soins de santé et un autre pied dans la recherche militaire.
Pourquoi le public ne devrait-il pas craindre que certains praticiens dans le domaine de la microbiologie ne confondent leurs doubles responsabilités dans des projets visant à la fois à sauver et à tuer des gens ? Que dire du développement des vaccins, dans certains cas par les mêmes personnes impliquées dans l'ingénierie génétique des maladies mêmes contre lesquelles les vaccins sont censés se protéger ?
De même, pourquoi le public devrait-il croire que nous sommes bien servis par des systèmes de recherche principalement motivés par la recherche de brevets lucratifs pour enrichir leurs propriétaires ? Pourquoi le public ne devrait-il pas soupçonner que nous sommes utilisés comme cobayes dans des expériences sur des êtres humains qui continuent de se perpétuer au cours de la recherche médicale appliquée, quelles que soient les interdictions qui ont été promulguées ? L'épidémie de coronavirus de Wuhan a-t-elle commencé comme une expérience sur des sujets humains hors de contrôle ?
Combien de fois la confiance du public peut-elle être trahie avant que l'habitude ne cesse de donner le bénéfice du doute à d'éventuels délinquants professionnels, y compris ceux en blouse blanche ? Où se situe la protection de l'intérêt public et du bien commun dans ce tableau complexe et contradictoire en interne ?
Où existe-t-il une véritable reddition de comptes à un public tenu de soutenir avec nos deniers publics la recherche scientifique qui peut entraîner de bons et de mauvais résultats? Pourquoi le rendement financier de cet investissement public se retrouve-t-il si souvent entre les mains d'entreprises et de particuliers alors que le passif et les dommages collatéraux accumulés devraient être absorbés par le public ?
RépondreSupprimerLe fait que Ground Zero du Novel Coronavirus soit Wuhan, siège du laboratoire de microbiologie le plus récent et le plus sophistiqué de Chine, jette naturellement une ombre de doute sur les récits minimisant le rôle de l’agence humaine dans la création de la nouvelle souche de Coronavirus. Le rôle important de Wuhan en tant que grand centre de recherche chinois, en grande partie secret et secret, doit être pris en compte. En outre, Wuhan se trouve être également le quartier général médical de l'Armée populaire de libération.
La bio-arme possible était initialement étiquetée 2019-nCoV. Ensuite, l’Organisation mondiale de la santé des Nations Unies a changé le nom officiel en COVID-19. L'Organisation mondiale de la santé est-elle un complément RP de Big Pharma ? Quelle est l'étroite relation entre l'OMS et le Parti communiste chinois ?
À une époque de génie génétique proliférant, comment les gouvernements et leurs partenaires Big Pharma divisent-ils le domaine de la microbiologie ? Comment gèrent-ils le fossé entre les initiatives menées au nom de la santé publique et les initiatives visant à produire des armes biologiques pour les gouvernements nationaux, notamment ceux des États-Unis, de la Chine et d'Israël ? Comment les partenaires gèrent-ils la répartition des nouvelles richesses dérivées de la sécurisation des brevets ?
Ces problèmes trouvent leur expression dans les nombreuses questions légitimes qui se posent au cours de l'urgence du nouveau coronavirus. Certaines de ces questions se posent en raison d'une histoire de relations largement inexpliquées entre le Laboratoire national de biosécurité de Wuhan et le Laboratoire national de microbiologie à Winnipeg, Manitoba Canada (LNM). Il a été bien rapporté que les deux institutions partagent la même certification de niveau supérieur 4 attribuée aux installations de confinement dans les laboratoires de recherche où le personnel peut poursuivre des études de haut niveau sur les agents pathogènes les plus dangereux connus de l'humanité.
Construite avec l'aide de la France entre 2015 et 2017, l'installation de Wuhan, au rez-de-chaussée de l'épidémie actuelle, est l'une des principales installations de recherche sur les agents pathogènes dans un pays qui, selon certains, développe des capacités importantes de guerre biologique. De même, le centre de recherche fédéral de Winnipeg pourrait bien jouer un rôle actif ou indirect dans la recherche militaire pour faire progresser les capacités de guerre biologique en collaboration avec les deux principaux alliés du Canada, Israël et les États-Unis.
L'immunologiste et médecin, Xiangguo Qiu, est le principal lien professionnel au carrefour des relations entre les installations de Wuhan et de Winnipeg. Jusqu'à récemment, le Dr Qiu était le chef de la section Développement des vaccins et thérapies antivirales du Programme des agents pathogènes spéciaux du LNM. Le LNM à Winnipeg est administré par l'Agence fédérale de la santé publique du Canada.
Le Dr Qiu a obtenu son diplôme de médecine en Chine. En 1996, elle a déménagé de la région de Taijin en Chine aux États-Unis tout en étant déjà subventionnée en tant que participante au programme chinois des mille talents. Elle a rapidement déménagé au Canada des États-Unis, poursuivant ses études supérieures à l'Université du Manitoba. Le Dr Qiu a poursuivi sa vie professionnelle au Canada et en Chine, visitant apparemment le laboratoire de biosécurité de Wuhan de l'Académie chinoise des sciences au moins cinq fois, chacun pour des périodes de deux semaines en 2017 et 2018. Dans chaque cas, une entité chinoise non divulguée l'a payée frais de voyage.
RépondreSupprimerAprès 2006, la spécialité de recherche du Dr Qiu est devenue l’étude d’une variété de souches sauvages d’Ebola. La plus virulente de ces souches a un taux de mortalité de 80% pour celles qui contractent le virus. Une épidémie d'Ebola de 2013 à 2016 a coûté la vie à plus de 11 000 personnes en Afrique de l'Ouest. Avec le Dr Gary Kobinger, le Dr Qui aurait joué un rôle déterminant dans le développement du traitement ZMapp pour Ebola à l'aide d'un cocktail d'anticorps. En 2018, le duo a reçu un prix de l'innovation du gouverneur général du Canada pour avoir développé des traitements pour les personnes infectées par le virus Ebola.
En mars 2019, le Dr Qiu et son équipe de recherche ont envoyé en Chine via Air Canada un ensemble de souches virales mortelles qui incluraient des organismes Ebola et Nipah. La cargaison aurait déclenché une réponse négative inexpliquée de la part de responsables chinois. Le problème signalé concernait probablement un manquement présumé à suivre les procédures appropriées dans le transfert des matériaux pouvant être utilisés pour la fabrication d'armes biologiques ainsi que dans la fabrication de vaccins pour empêcher la propagation de l'infection.
Cet épisode a mené à la décision de l'Agence de la santé publique du Canada d'appeler la Gendarmerie royale du Canada (GRC) pour enquêter. Cette enquête a été dirigée contre le Dr Qiu et son mari, Cheng Keding, qui est également un expert reconnu dans le domaine de la virologie.
À la suite de ces événements, un épisode s'est produit qui a été signalé le 14 juillet par la Société Radio-Canada, la SRC. Dans son article de CBC, Karen Pauls a rapporté:
Un chercheur ayant des liens avec la Chine a récemment été escorté hors du Laboratoire national de microbiologie (LNM) de Winnipeg au milieu d'une enquête de la GRC sur ce qui est décrit comme une possible «infraction à la politique». Le 5 juillet, le Dr Xiangguo Qiu, son mari Keding Cheng et un nombre inconnu de ses étudiants chinois ont été retirés du seul laboratoire de niveau 4 du Canada.
La SRC a agi à peu près comme un sténographe de sources officielles dont la mission claire était de garder un couvercle sur l'histoire potentiellement explosive. L'histoire deviendrait encore plus explosive avec le début en décembre 2019 de la crise des coronavirus en Chine. Plutôt que d'essayer de contourner les platitudes officielles en s'engageant dans des détournements indépendants connus sous le nom de journalisme d'investigation, la CBC a fait ce que font la plupart des sites grand public de nos jours. CBC a agi comme une machine xerox pour relayer les déclarations tièdes d'une bureaucratie timide et mal guidée.
Paul a cité, par exemple, un fonctionnaire de l'Agence de la santé publique du Canada faisant référence au renvoi du Dr Qiu, de son mari et de son équipe de recherche comme d'une «question administrative» qui sera «résolue rapidement». Plusieurs responsables, dont un porte-parole de la GRC, ont indiqué: «Il n'y a aucune menace pour la sécurité publique pour le moment.»
Un agent fédéral des relations avec les médias a poursuivi l'effort de déviation en essayant de faire en sorte qu'une histoire vraiment inhabituelle, complexe et aux multiples facettes semble banale. Le commentateur a affirmé que «le travail du LNM se poursuit à l'appui de la santé et de la sécurité de tous les Canadiens». Leah West, professeure en affaires internationales à l'Université Carlton d'Ottawa, est allée jusqu'à s'aventurer que des questions de «sécurité nationale» pourraient être en cause. Cette déclaration appelle des explications que les journalistes canadiens n'ont jusqu'à présent pas sérieusement tentées.
RépondreSupprimerLe lieutenant-colonel Dany Shoham est l’une des personnalités les plus attentives à l’extérieur du Canada qui a répondu particulièrement rapidement et avec scepticisme aux questions déroutantes soulevées par les activités du Dr Qiu. Le Dr Shoham est un membre de réserve de Tsahal. Il continue ses responsabilités militaires dans les domaines de la guerre biologique et chimique en tant que chercheur principal au Centre Begin-Sadat d'études stratégiques en Israël. En 2014, le Dr Shoham était chercheur invité à l'Institut d'études et d'analyses de la défense (IDSA) basé à New Delhi.
Il y a collaboré professionnellement avec le directeur adjoint de l’IDSA, le brigadier Rumel Dahiya. Le Dr Shoham a consacré une grande partie de son temps en Inde à l'étude de ce qu'il appelle le programme de guerre biologique de la Chine. Le Dr Shoham a publié ses conclusions en 2015 dans une «étude intégrative» où il a longuement commenté la composition et la structure des initiatives secrètes militaires de R et D de la Chine dans le développement présumé d'armes biologiques. Il soutient que ces opérations militaires secrètes ont été mélangées aux opérations «d'installations apparemment civiles» où les initiatives de santé publique en matière de prévention et de traitement des maladies sont souvent mises en évidence
Le Dr note que le gouvernement chinois est devenu signataire en 1984 de la Convention des Nations Unies sur les armes biologiques de 1972. L'universitaire israélien allègue cependant que la Chine, cible de la guerre biologique américaine pendant la guerre de Corée au début des années 1950, a choisi secrètement conserver certaines capacités continues dans ce domaine militaire.
Le Dr s'est présenté comme un dénonciateur insistant attirant l'attention sur les circonstances provocatrices de l'expédition du Canada vers la Chine d'agents pathogènes virulents. Le Dr Shoham a indiqué que les recherches du Dr Qiu ont été menées non seulement au nom des gouvernements du Canada et de la Chine. Le Dr Qui a également collaboré avec trois scientifiques de l'Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l'armée américaine dans le Maryland. Cependant, une grande partie de son succès est liée au fait qu'elle a obtenu de nombreuses subventions de la Chine, toutes au «niveau national».
Mais le plexus chinois collatéral ne peut être ignoré. Marié à un scientifique chinois - le Dr Keding Cheng, également affilié au LNM (en particulier le «Science and Technology Core»), et principalement un bactériologiste qui est passé à la virologie - Le Dr Qiu a fréquemment visité et entretenu des liens étroits avec la Chine, d'une manière générale, et de nombreux étudiants chinois se sont joints à ses travaux au LNM au cours de la dernière décennie, provenant d'une gamme notable d'installations scientifiques chinoises. Néanmoins, parmi ces derniers, quatre installations sont considérées comme possédant une partie de l'alignement des armes biologiques chinoises, à savoir
Institut de médecine vétérinaire militaire, Académie des sciences médicales militaires, Changchun.
RépondreSupprimerCentre de contrôle et de prévention des maladies, région militaire de Chengdu.
Institut de virologie de Wuhan, Académie chinoise des sciences, Hubei.
Institut de microbiologie, Académie chinoise des sciences, Pékin.
Les quatre établissements mentionnés ont collaboré avec le Dr Qiu dans le contexte du virus Ebola, mais l'Institute of Military Veterinary a rejoint une étude sur le virus de la fièvre de la vallée du Rift, tandis que l'Institut de microbiologie a également rejoint une étude sur le virus de Marburg. De manière notable, le médicament utilisé dans cette dernière étude - le Favipiravir - a été précédemment testé avec succès par l'Académie chinoise des sciences médicales militaires, sous la désignation JK-05 (à l'origine un brevet japonais enregistré en Chine déjà en 2006), contre Ebola et d'autres virus.
Cependant, les études du Dr Qiu sont considérablement plus avancées et fructueuses à certains égards. Ils sont apparemment vitaux pour le développement des armes biologiques chinoises, au cas où des virus de la fièvre Ebola, Nipah, Marburg ou Rift Valley y seraient inclus, ce qui est une hypothèse plausible; sans parler des virus de type sauvage en eux-mêmes. Et il est à noter que seul le virus Nipah se trouve naturellement en Chine ou dans les pays voisins. Collectivement, alors, l'interface entre le Dr Qiu et la Chine a a priori été très suspecte. De plus, l'envoi des deux virus du NML vers la Chine a apparemment déclenché une alarme, au-delà de son apparente inadéquation. Et une question inévitable est de savoir si les expéditions précédentes vers la Chine d'autres virus ou d'autres préparations essentielles ont eu lieu de 2006 à 2018, d'une manière ou d'une autre.
Il n'est pas passé inaperçu que cet épisode au Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg pourrait être lié à la montée des tensions diplomatiques entre les gouvernements du Canada et de la Chine. La controverse se déroule d'une manière qui ajoute une nouvelle incertitude à la controverse déclenchée en décembre 2018 avec la décision du gouvernement canadien d'arrêter, de détenir et de traduire en justice le dirigeant de la société de téléphonie cellulaire Huawei, Meng Wanzhou. Beaucoup ont mis en doute la nature douteuse de la décision d'arrêter le fonctionnaire de Huawei à Vancouver pour avoir prétendument violé la loi américaine relative aux sanctions contre l'Iran.
Le rôle futur du système Huawei pour les communications sans fil 5G, un danger pour la santé publique effrayant et largement non testé en soi, est devenu un problème central dans le conflit entre les États-Unis et la Chine. Concevoir ce conflit comme une guerre commerciale à lui seul, c'est sous-estimer toute l'étendue des antagonismes. Ces antagonismes sur l'avenir des communications sans fil s'étendent, par exemple, très loin dans la forme et la forme d'un futur espionnage international. Depuis le début, il y a près de 20 ans, de l'opération psychologique du 11 septembre, une grande partie de l'espionnage international a eu lieu au moyen d'espionnage de porte dérobée sur les flux d'informations numériques. Israël s'est particulièrement identifié à ce type d'espionnage numérique sur Internet.
La stratégie chinoise pour atteindre la traction dans ce milieu concurrentiel consiste à appliquer des percées dans le calcul numérique et les communications. La stratégie consiste à intégrer les innovations en intelligence artificielle, IA, aux développements de pointe en biotechnologie. Cette méthodologie est comprise par certains étudiants chinois de géopolitique comme faisant partie intégrante du processus militaire de «préparation d'un nouveau domaine de guerre».
RépondreSupprimerDans ce théâtre de rivalité numérique et biologique, les nouvelles capacités d’épissage des gènes de la technologie CRISPR constituent un formidable nouvel outil pour des interventions majeures et irréversibles dans les cycles de mort et de renouvellement les plus fondamentaux de la vie. La capacité de modifier la constitution génétique des organismes, y compris les organismes humains, devient ainsi un aspect clé dans l'établissement de nouveaux domaines de guerre, y compris diverses formes de guerre hybride.
D'autres éléments de la stratégie géopolitique de la Chine sont apparus alors que l'épidémie de coronavirus de Wuhan prend de l'ampleur, en particulier dans la région du Ground Zero. La décision des autorités fédérales canadiennes, y compris la police fédérale, d'intervenir en retirant le Dr Qiu et son équipe de recherche du LNM se reflétait dans une certaine mesure aux États-Unis.
En janvier 2020, la police des États-Unis a arrêté le professeur Charles Lieber, président du département de chimie et de biologie chimique de l'Université de Harvard. Le Dr Lieber a été placé en congé administratif pour une durée indéterminée et accusé, en vertu du droit pénal américain, de mentir à des fonctionnaires du Département de la défense et des National Institutes of Health. Ces agences ont financé la recherche du Dr Lieber à Harvard dans le domaine des nanosciences à hauteur de 15 000 000 $ en subventions.
Le Dr Lieber aurait induit en erreur les responsables fédéraux et les responsables de Harvard sur l'étendue de ses relations contractuelles avec plusieurs entités chinoises, notamment la Wuhan Technological University. Parmi les allégations pointées sur son chemin figurent celles qui accusent le Dr Lieber de ne pas avoir révélé sa participation au programme chinois controversé Thousand Talents.
Selon le FBI, «les plans de recrutement de talents de la Chine, tels que le programme des mille talents, offrent des salaires compétitifs, des installations de recherche de pointe et des titres honorifiques, attirant à la fois les talents chinois à l'étranger et les experts étrangers pour apporter leurs connaissances et l'expérience de la Chine, même si cela signifie voler des informations exclusives ou violer les contrôles à l'exportation pour ce faire. » Le chercheur sino-canadien, le Dr Qiu, serait, comme le Dr Lieber de Harvard, un participant au programme China Thousand Talents.
Dans son rapport sur l’affaire, Bloomberg News a décrit le travail effectué au laboratoire du Dr Lieber à Harvard comme dépendant «d’un pipeline des doctorants chinois les plus brillants. étudiants et postdoctorants, souvent plus d'une douzaine à la fois, pour produire des recherches primées. »
Les activités de recherche nord-américaines du Dr Lieber et du Dr Qui semblent également dépendre du soutien financier, de la collaboration et de l’offre constante de jeunes praticiens prometteurs de la recherche scientifique. Le Dr Lieber et le Dr Qiu ont clairement rencontré un changement radical dans les conditions de leur travail avec des ramifications majeures pour la conduite de la sécurité nationale, des relations internationales, de l'application des lois et de la gouvernance universitaire.
Il ne fait aucun doute que des administrateurs ont été envoyés dans les coulisses de l'Université Harvard, de l'Université du Manitoba et d'établissements d'enseignement supérieur du monde entier. Ces institutions dépendent fortement des réseaux internationaux de collaboration universitaire. Soudain, la viabilité de bon nombre de ces réseaux universitaires a été remise en question par des interventions du système de justice pénale au Canada et aux États-Unis.
RépondreSupprimerEn effet, le coup de projecteur mondial soudain sur tout ce qui pourrait aider à faire la lumière sur le fond encore ombragé de l'épidémie de coronavirus de Wuhan doit recevoir son dû. Les développements surprenants associés à une peste majeure probablement cultivée par étapes à la fois dans des éprouvettes et chez des animaux hôtes remettent en question de nombreuses choses. Il demande des explications sur le rôle de nombreuses sociétés, agences gouvernementales et fondations philanthropiques. Les règles semblent évoluer rapidement pour les entités qui parrainent régulièrement des recherches savantes alors même qu'elles participent au processus d'application des résultats de la recherche aux innovations technologiques.
L'arrestation du Dr Lieber fait suite à l'arrestation à la mi-décembre 20019 de Zaosong Zheng à l'aéroport international Logan de Boston pour avoir tenté de faire passer en contrebande à Beijing 21 flacons de matériel biologique. Les flacons ont été prélevés au Beth Israel Deaconess Medical Center de l'Université Harvard, où Zaosong Zheng était un étudiant diplômé en pathologie.
Commentant sur son enquête en cours sur l'affaire, le procureur adjoint des États-Unis, Benjamin Tolkoff, a déclaré: «Le vol de Zeng et la tentative de faire passer des spécimens biologiques hors des États-Unis n'étaient pas un incident isolé. Il s'agit plutôt d'un crime coordonné, auquel le gouvernement chinois est probablement associé. »
Idéologie et journalisme d'investigation
Un ensemble serré d'activistes de droite et d'agences ayant des antipathies profondément enracinées envers le communisme chinois ont fourni un genre particulier de critique au cours de la débâcle actuelle. Ces agences incluent Radio Free Asia, un ancien point de vente soutenu par la CIA, désormais régi par un Conseil des gouverneurs financé par le gouvernement fédéral, qui relève directement de l'actuel secrétaire d'État et ancien directeur de la CIA, Mike Pompeo. Les critiques de Radio Free Asia ont été intégrées dans une matrice de critiques du gouvernement chinois soulignée notamment dans le Washington Times et The Epoch Times.
The Epoch Times émerge d'un groupe international de journaux publiés en plusieurs langues. Il met fortement l'accent sur la Chine et sur les Chinois dans le monde. L'Epoch Times a été fondée en 2000 par John Tang avec un groupe de sino-américains associés au Falun Gong.
L'organisation du Falun Gong est aux prises avec une relation antagoniste avec le Parti communiste chinois. Le Falun Gong combine le taoïsme, le bouddhisme et la méditation. Elle est devenue si indépendante en Chine qu’en 1999, le gouvernement communiste l’a déclarée organisation hérétique. L'antagonisme entre le Falun Gong et le gouvernement chinois implique très probablement une infiltration secrète par la CIA américaine et les agences américaines apparentées.
Quoi qu'il se passe dans les coulisses, The Epoch Times a mené une critique implacable de la gestion par le gouvernement chinois de la crise du nouveau coronavirus. La couverture journalistique de la crise a souvent été incisive et audacieuse. Le message cohérent est que le gouvernement chinois ne rend pas honnêtement compte de l'épidémie. L'Epoch Times ne recule pas non plus de critiquer le gouvernement chinois pour son implication secrète dans la répression violente des citoyens chinois, en particulier dans les régions les plus durement touchées.
RépondreSupprimerCertains responsables des médias dominants des cartels pensaient que la police tentait de ridiculiser et de harceler ceux qui posaient publiquement des questions essentielles. L'Epoch Times, cependant, n'hésite pas à demander: «Le coronavirus est-il une arme biologique?» En expliquant la position de ceux qui s'opposent au débat ouvert sur la géopolitique de la guerre biologique, The Epoch Times Steven W. Mosher a déclaré: «Beaucoup d'encre a été déversée par le Washington Post et d'autres médias grand public pour essayer de nous convaincre que les le coronavirus est un produit de la nature plutôt que de la méchanceté, et que toute personne qui dit le contraire est un théoricien du complot débordant. »
Comme The Epoch Times, le Washington Times est enraciné dans la politique anti-communiste. L'un des principaux journalistes sur place est le correspondant de la sécurité nationale, Bill Gertz. Gertz est un expert en carrière en Chine qui est parfois invité à donner des conférences pour le FBI et la CIA.
Le Washington Times est né de la carrière controversée du coréen-américain Sun Myung Moon. Moon est le fondateur de l'Église de l'Unification parfois surnommé «les Moonies» par ses détracteurs. Le Washington Examiner est également connu pour son orientation de droite liée à la couverture des nouvelles. Le Dr Dany Shoham est l'une des principales autorités fréquemment mises en évidence dans la production de ce genre de reportages anticommunistes. Rappelons que le Dr Shoham a été l'un des critiques les plus insistants de l'axe Wuhan-Winnipeg révélés à l'été 2019. Shoham a été cité, par exemple, dans l'édition du 26 janvier du Washington Times affirmant que «certains laboratoires du [Wuhan Institute of Virology] ont probablement été engagés, en termes de recherche et développement, dans des [armes biologiques] chinoises, à au moins sur le plan collatéral, mais pas en tant que principale installation d'alignement des armes biologiques chinoises. »
Ailleurs, le Dr Shoham, qui est parfois décrit comme «un ancien officier du renseignement israélien», a affirmé comprendre que «la Chine avait intentionnellement divulgué le nouveau coronavirus à l'Institut de virologie de Wuhan.»
Tom Cotton, sénateur du Parti républicain pour l'Arkansas, est devenu une autre voix importante critiquant le rôle du gouvernement chinois dans l'épidémie du nouveau coronavirus. En présentant la position du sénateur à son lectorat, Newsweek a rapporté le 16 février: «Le sénateur républicain Tom Cotton de l'Arkansas a accusé dimanche la Chine de mentir sur la gravité de l'épidémie de coronavirus et a suggéré que la nouvelle maladie pourrait provenir d'un super laboratoire de biosécurité à Wuhan. "
Le sénateur Cotton a félicité le président américain Donald Trump pour sa décision d'annuler temporairement les vols entre la Chine et les États-Unis. Cette annulation, cependant, a été apparemment contredite par des documents révélant la poursuite d'une grande partie du trafic aérien entre la Chine et les États-Unis malgré la décision présidentielle.
Le sénateur Cotton a fait référence à des éléments de preuve indiquant que certaines des premières victimes de la maladie n'avaient aucun contact avec le marché alimentaire en plein air de Wuhan. Le virus mortel, insiste le sénateur Cotton, «est entré sur le marché alimentaire avant sa sortie».
RépondreSupprimerLe sénateur Cotton a sans réserve souligné son affirmation selon laquelle les autorités chinoises, depuis sa création, ont caché la vérité sur la crise. Selon le sénateur, les autorités chinoises ont été particulièrement trompeuses quant à l'étendue des maladies et de la mortalité. "Ils mentent encore aujourd'hui", aurait-il déclaré à Newsweek. Le jeune politicien de l'Arkansas a insisté sur la nécessité d'une sorte de calcul de la part du gouvernement chinois menant à une enquête complète et appropriée avec une divulgation complète.
L'angle d'interprétation de Newsweek est similaire à celui d'autres survivants des médias de l'ère Mockingbird de la propagande américaine. La plupart des sites Big Media, y compris Newsweek, employaient des écrivains et des rédacteurs en chef qui acceptaient avec plaisir l’argent supplémentaire de la CIA pour raconter l’histoire du gouvernement américain pendant la guerre froide.
Le dénominateur commun dans la plupart des rapports de style dinosaure qui caractérise une vieille garde discréditée est de décrire toute interprétation qui remet en question les conventions et intérêts établis comme des «théories du complot». Comme Lance DeHaven-Smith l'a démontré dans son livre du même nom, la CIA a ouvert la voie dans le tweeting conceptuel du terme «théories du complot», dans le but de discréditer des interprétations considérées comme menaçantes pour des intérêts établis.
Les conglomérats médiatiques les plus profondément intégrés dans les matrices dominantes du pouvoir déploient encore et encore la terminologie militarisée dans le but de limiter le discours public. Ils invoquent le boogeyman des «théories du complot» comme un mème pour discréditer avec désinvolture le journalisme sceptique remettant en question l'honnêteté des sources officielles.
Newsweek a rapporté,
Les remarques de Cotton sont venues au milieu de la prolifération de diverses théories du complot entourant les origines du coronavirus, dont l'une suggère qu'elle pourrait provenir d'un laboratoire lié au programme de guerre biologique de Pékin. En réponse, Facebook et d'autres plateformes de médias sociaux ont réprimé la portée des publications qui perpétuent ces allégations non fondées.
Il y a beaucoup d’ironie dans le récit de soutien de Newsweek sur l’intervention de Facebook visant à bloquer les échanges ouverts sur un sujet majeur indécis. L'ironie se produit en raison de la propension de certains sites HSH à condamner le gouvernement chinois pour son imposition de censure, y compris le blocage de ses détracteurs sur les réseaux sociaux.
La répression brutale en Occident du domaine de plus en plus vandalisé de la liberté d'expression violée sur Internet est tout à fait comparable aux répressions communistes contre les nouvelles et les opinions dissidentes, en particulier pendant le pic de la guerre froide.
Les États-Unis prétendent être le cœur du «monde libre» est depuis longtemps devenu ridicule à l'extrême compte tenu de nombreux facteurs, y compris la génération de la superpuissance malade d'un flot incessant de désinformation au service du pouvoir. Une partie de ce programme consiste à contrôler le récit, même s'il est trompeur. Il s'agit de s'engager dans un vandalisme numérique visant à discréditer ou à faire taire complètement les voix dissidentes sur Internet.
L'une des cibles de la censure d'Internet sur l'histoire du coronavirus de Wuhan est le site Web Zero Hedge. Zero Hedge a été déformé en permanence par les censeurs des entreprises sur Twitter pour avoir rendu compte d'interprétations qui pourraient être qualifiées de cohérentes avec la critique sceptique du sénateur Cotton à l'égard du discours officiel sur de nombreux aspects de la débâcle actuelle du coronavirus. BuzzFeed News est l'un des services de police pensés derrière l'attaque Zero Hedge.
RépondreSupprimerLa décision de Twitter de déplorer Zero Hedge est intervenue dans le sillage de son article du 29 janvier qui comprenait les commentaires suivants de Tyler Durden:
..la théorie officielle de la propagation de l'épidémie de coronavirus, à savoir parce que quelqu'un a mangé de la soupe de chauve-souris dans un marché de fruits de mer et d'animaux de Wuhan ... ... est une farce fabriquée, et que la véritable raison de la propagation virale [de la maladie ] est dû au fait qu'une version militarisée du coronavirus (qui a peut-être été obtenue à l'origine au Canada) a été publiée par l'Institut de virologie de Wuhan (accidentellement ou non), un laboratoire de premier ordre de niveau 4 qui étudie "le plus dangereux du monde" agents pathogènes. "
L'Inde, et en particulier la capitale de l'Inde, New Delhi, ont été des bases importantes où des interprétations difficiles de l'épidémie de coronavirus de Wuhan ont été formulées et distribuées. Dans certains cercles en Inde, l’intérêt et la préoccupation de la Chine pour la guerre biologique sont élevés. Cette préoccupation a été exprimée dans Tehelka, une importante publication de langue anglaise basée à New Delhi.
Tehelka a rapporté le 18 février que
La stratégie nationale de fusion militaire et civile de la Chine a mis la biologie au rang de ses priorités et l'Armée populaire de libération (APL) pourrait être à l'avant-garde de l'expansion et de l'exploitation de ces connaissances… Le programme de guerre biologique de la Chine serait à un stade avancé qui comprend la recherche et capacités de développement, de production et d'armement. On pense que son inventaire actuel comprend la gamme complète d'agents chimiques et biologiques traditionnels avec une grande variété de systèmes de livraison, notamment des roquettes d'artillerie, des bombes aériennes, des pulvérisateurs et des missiles balistiques à courte portée.
Comme nous l'avons vu, l'Institut d'études et d'analyses de la défense de New Delhi a accueilli le Dr Shoham lors d'un congé d'étude en 2014. Pendant son séjour en Inde, l'officier du renseignement israélien a consacré son congé d'étude avec l'approbation de ses hôtes indiens à enquêter sur les allégations biologiques de la Chine. programme de guerre.
Sans surprise, les scientifiques indiens ont été particulièrement rapides à essayer de comprendre la nature de l'épidémie de coronavirus de Wuhan. Certains en Inde se souviennent bien que le gouvernement chinois a tardé à publier des informations sur l'infection par le SRAS de 2002-2003. Certains, dont le Dr Dany Shoham, estiment que ce retard est lié à l'importance du SRAS dans le programme chinois de recherche sur les armes biologiques. Le Dr Shoham a soutenu que les coronavirus, mais en particulier le SRAS, ont été étudiés à l'Institut de viriologie de Wuhan. Il ajoute: «Le SRAS est inclus dans le programme chinois sur les armes biologiques et est traité dans plusieurs installations pertinentes.»
En janvier 2020, une équipe de neuf chercheurs de haut niveau de la Kusuma School of Biological Sciences de l'Université de Delhi à l'Indian Institute of Technology a étudié le côté ARN du schéma génétique du virus COVID-19. Ces chercheurs indiens ont collaboré à l'analyse de l'organisme que certains ont pris pour appeler le supervirus Wuhan.
RépondreSupprimerLes résultats initiaux des chercheurs ont été publiés en ligne dans un article intitulé «Similitude étrange d'inserts uniques dans la protéine de pointe 2019-nCoV avec le VIH-1 gp120 et Gag». Au moment de la rédaction de cet essai, la contribution très tachée de l'Université de Delhi à la recherche COVID-19 continue d'être disponible en ligne, même si elle continue son chemin dans le processus d'examen par les pairs avec d'éventuelles révisions futures.
La principale constatation de l'étude jusqu'à présent est que la structure génétique du virus a «4 insertions dans la glycoprotéine de pointe (S) qui sont uniques au 2019-nCoV [COVID-19] et ne sont pas présentes dans d'autres coronavirus.» Ces «4 inserts ont une identité ou une similitude avec ceux de HIV-1 gp120 ou HIV-1 Gag». Cette découverte «éclaire l'évolution et la pathogénicité de ce virus».
Les auteurs de l'article constatent que les insertions génétiques dans le virus «ont une identité / similitude avec les résidus d'acides aminés dans les protéines structurales clés du VIH-1». Ces caractéristiques sont «peu susceptibles d'être fortuites par nature». Cette phrase clé indique que de l'avis des chercheurs, la présence de gènes du VIH dans COVID-19 n'était pas le résultat d'un processus de mutation aléatoire dans la nature. Au lieu de cela, l'insertion des gènes du VIH dans le nouveau coronavirus a probablement eu lieu grâce à une intervention d'ingénierie par des experts en microbiologie.
La découverte que les gènes du VIH font partie intégrante de la structure génétique de COVID-19 n'a pas été sérieusement contestée. Le fait que les traitements anti-VIH soient largement utilisés pour soulager les symptômes de ceux qui souffrent des effets de la nouvelle infection est très évocateur. Cela implique qu'une partie de l'analyse de l'École de microbiologistes de Kusuma a été rapidement saisie et appliquée dans des situations cliniques.
Les principaux sujets de controverse qui ont été générés jusqu'à présent proviennent principalement de la question de savoir si l'insertion des gènes du VIH aurait pu se produire sans intervention humaine, sans génie génétique. Cette question attirera inévitablement beaucoup d’attention scientifique dans les semaines et les mois à venir.
Le travail des microbiologistes de Kusuma à l'Université de Delhi est devenu important dans l'interprétation de l'épidémie avancée par Zero Hedge. La taille du groupe à la suite de la couverture par Zero Hedge de la crise du coronavirus de 2020 n'a pris de l'ampleur qu'après l'intervention de la police de BuzzFeed et de Twitter. Le public n'adhère pas bien à l'intervention des entreprises visant à dicter ce qui peut ou ne peut pas être communiqué, vu, considéré ou débattu.
L'hystérie suscitée par le document «Uncanny Resemblance» a attiré l'attention d'un site appelé GreatGameIndia. Cette opération publie un «Journal of Geopolitics and International Relations». Les co-fondateurs et éditeurs de GreatGameIndia, un lieu d'édition particulièrement vivant et audacieux, sont Raja Sekhar et Shelly Kasli.
La tendance interprétative de ce lieu commence par l'observation surprenante que la Compagnie anglaise des Indes orientales était l'entreprise commerciale la plus influente et à grande échelle de toute l'histoire. Selon Raja Sekhar, cette histoire a établi des modèles de kleptocratie occidentale en Asie qui se poursuivent à ce jour.
RépondreSupprimerLa publication de GreatGameIndia sur le fond de l'épidémie de coronavirus de Wuhan a attiré l'attention positive de Tehelka et de nombreuses autres publications à travers le monde. Malheureusement, le lieu n'est pas toujours complètement transparent. Par exemple, les noms d'auteurs spécifiques d'essais spécifiques ne sont parfois pas publiés.
GreatGameIndia se décrit comme «le portail unique en son genre de l'Inde sur les affaires internationales fournissant des renseignements mondiaux… dans un cadre géopolitique et historique pour mieux comprendre les développements internationaux et le monde qui nous entoure. Experts dans le domaine de la géopolitique et des relations internationales, nous apportons une nouvelle perspective à l'approche académique autrement redondante. Nous sommes lus, recommandés et publiés par des décideurs, des personnalités et des organisations de renom du monde entier. »
GreatGameIndia a en effet apporté une «nouvelle perspective» en mettant en évidence un rôle possible pour le Canada dans le programme militaire présumé de la Chine pour développer des armes biologiques. Cette histoire a été développée dans une série d'articles à tir rapide, dont la plupart sont apparus en janvier et février 2020. Ces articles ont rassemblé des nouvelles entrelacées sur les rôles possibles du Wuhan Institute of Virology et du National Microbiology Laboratory de Winnipeg dans la genèse de la Épidémie de coronavirus de Wuhan.
Cette juxtaposition des deux institutions met en évidence le travail de l'expert du renseignement israélien, le Dr Dany Shoham. Il semble qu'il ait pu jouer un certain rôle dans l'élaboration du récit global. L’essai republié du Dr Shoham, souvent souligné, soulignant le rôle du Dr Xiangguo dans l’axe de biotechnologie Winnipeg-Wuhan a été republié par GreatGameIndia.
Un certain nombre de questions sont soulevées par l’implication possible du Dr Shoham dans la genèse des histoires dirigées par GreatGameIndia et par d’autres lieux liés à la crise du coronavirus de Wuhan. Le Dr Shoham doit-il être compris comme un agent d'Israël dans les discussions et les débats ? Est-ce que sa position constamment critique sur le programme présumé d'armes biologiques de la Chine, ainsi que son silence relatif sur des programmes américains similaires, sont un signe significatif d'un alignement Israël-États-Unis ou Israël-États-Unis-Inde sur cette question ?
On pourrait légitimement demander, par exemple, si la série de récits mettant en évidence le lien sino-canadien aurait pu être considérée comme une diversion ? Un tel détournement aurait-il pu être organisé pour attirer l'attention sur la possibilité qu'une attaque de guerre germinale ait été secrètement montée à Wuhan par des soldats américains participant aux 7es Jeux militaires mondiaux ? Plus de 300 militaires américains ont participé à cet événement organisé à Wuhan du 18 au 27 octobre 2019.
Dans une interview avec Jeff Brown, un vétéran des opérations spéciales américaines en Chine, "Uriah Heep", alias "Metallicman", a spéculé sur la possibilité que le gouvernement américain soit responsable d'une attaque biologique entraînant l'épidémie de COVID-19.
Les essais de GreatGameIndia reposent sur une évaluation très rigoureuse des intentions du gouvernement chinois, en particulier en Amérique du Nord. J. R. Nyquist est l'auteur de l'article de GreatGameIndia décrivant le contexte historique de l'accent mis par la Chine sur la biotechnologie, y compris le développement des moyens de mener une guerre biologique.
RépondreSupprimerUne version de l'essai GreatGameIndia de Nyquist est également apparue dans Epoch Times, soutenu par le Falun Gong. Nyquist écrit fréquemment pour The Epoch Times. Beaucoup de ses essais mettent l'accent sur des évaluations très critiques du communisme dans divers contextes contemporains et historiques.
Le cœur de l’essai introduisant les lecteurs à la genèse des capacités de guerre biologique de la Chine met en évidence un discours prononcé en 2005 par Chi Hoatian, un important général de l’Armée populaire de libération. Entre 1993 et ??2003, le général Chi a également été ministre chinois de la Défense nationale. Le texte intégral du discours est disponible ici.
L'essence de la présentation repose sur la prémisse qu'en 2005, la Chine était devenue gravement surpeuplée, un problème qui entraînait une dégradation croissante de l'environnement national. La solution à ce problème, a décidé le général Chi, était de coloniser une partie du globe en tant que deuxième Chine. Chi a observé que la région voisine de la Chine était déjà densément peuplée. Il a ajouté: "seuls des pays comme les États-Unis, le Canada et l'Australie disposent de vastes terres pour répondre à nos besoins de colonisation massive."
Le général Chi a indiqué que c'était Deng Xioping qui était la figure la plus déterminante dans la décision de constituer l'arsenal d'armes biologiques de son pays malgré l'adhésion officielle de la Chine à la Convention sur les armes biologiques. Deng est surtout connu comme le leader chinois qui a supervisé la transformation spectaculaire de l'économie chinoise à partir des années 1980. Dit le général Chi
Lorsque le camarade Xiaoping était toujours avec nous, le Comité central du Parti avait la perspicacité de prendre la bonne décision de ne pas développer de groupes de porte-avions et s'est concentré à la place sur le développement d'armes létales pouvant éliminer les populations massives du pays ennemi. Les armes biologiques sont sans précédent dans leur impitoyabilité, mais si les Américains ne meurent pas, les Chinois doivent mourir. Si le peuple chinois reste attaché à la terre actuelle, un effondrement sociétal total est inévitable.
Selon le général Chi, du point de vue chinois, les armes biologiques ont des avantages sur les armes nucléaires. Selon sa façon de voir les choses, «ce n'est qu'en utilisant des armes non destructrices qui tuent de nombreuses personnes que nous pourrons nous réserver l'Amérique».
GreatGameIndia n'a pas fait grand-chose pour expliquer comment les gens moyens en Chine ont répondu à l'explication surprenante du général Chi d'un besoin perçu de coloniser une partie du monde pour une deuxième Chine. Dans quelle mesure les paroles du général Chi ont-elles été reçues en Chine ? Combien en Chine considèrent aujourd'hui l’analyse du général Chi comme toujours pertinente ?
Le récit par GreatGameIndia de l'étrange infection virale commençant à Wuhan dépend de preuves documentées mélangées à des récits spéculatifs de choses qui auraient pu se produire. L'essence du scénario présenté au public est identifiée par le titre de l'essai principal de la série. Publié le 26 janvier 2020, ce titre est «Coronavirus Bioweapon: How China Stole Coronavirus from Canada and Weaponized It».
Cet essai a été largement republié, notamment par Zero Hedge.
RépondreSupprimerLes auteurs mélangent une pure conjecture avec une chronique factuelle de certains événements. Le but semble être de stimuler la réflexion sur ce qui est connu pour se produire tout en encourageant simultanément des réflexions sur ce qui pourrait se produire ou ce qui pourrait se produire.
Par conséquent, la nature globale du récit décrit par GreatGameIndia peut être décrite comme un SOS sur la détérioration rapide des développements contenant des avertissements sur les facteurs invisibles possibles ou les dangers potentiels à venir. Le projet GreatGameIndia peut donc être conçu comme une opération psychologique destinée à changer et à animer les attitudes, les comportements et les actions du public. Les opérations psychologiques, parfois innocemment identifiées comme des campagnes de relations publiques, occupent une place très importante dans la couverture médiatique de nombreux événements et sujets de nos jours.
Que sait-on réellement de l'état du Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg pendant la période où l'équipe de chercheurs chinois du Dr Qiu s'est comportée de manière à mener à la suppression de ses laissez-passer de sécurité, puis à leur retrait physique de l'installation ? De récents reportages dans les médias à Winnipeg ont brossé un tableau de la rupture du décorum au LNM. En septembre 2019, le Winnipeg Free Press a rapporté:
Le laboratoire, connu sous le nom de LNM, est une source de fierté pour son rôle dans la création du vaccin contre Ebola. C’est l’une des rares installations au monde accréditées pour traiter les agents pathogènes les plus mortels. Il a officiellement ouvert ses portes en 1999 en grande pompe, après que des querelles politiques l'ont finalement placé à Winnipeg.
Pourtant, de nombreuses personnes qui y travaillent ont raconté à la Free Press l'existence d'un milieu de travail plein d'intimidations, d'abus d'alcool et d'affrontements entre des fonctionnaires de Winnipeg et d'Ottawa, ce qui a été partiellement révélé cet été dans une infraction administrative qui oblige la GRC à enquêter sur un envoi de substances dangereuses vers Chine.
"Ce qui est triste, c'est qu'ils font une science de classe mondiale, mais en interne, ils sont presque autodestructeurs, en termes de façon dont ils traitent leurs employés", a déclaré Todd Panas, président national du Syndicat des travailleurs de la santé et de l'environnement.
"Les dommages collatéraux pour obtenir cette science sont assez remarquables."
En ce qui concerne les détails de l'enquête de la GRC sur l'envoi très mis en évidence de virus mortels de Winnipeg en Chine, tout ce qui a été rapporté dans MSM est qu'il peut avoir quelque chose à voir avec les «règles concernant le droit d'auteur, les brevets et les œuvres publiées».
Le journaliste, Dylan Robertson, est allé plus loin, indiquant que "plusieurs sources qui ont parlé à la presse libre sous couvert d'anonymat, disent que l'envoi manquait d'un accord énonçant les droits de propriété intellectuelle, ce qui est essentiel pour protéger la recherche scientifique." Selon Robertson, la GRC ne dira toujours pas si son enquête se poursuit dans le domaine organisationnel de la sécurité nationale, du crime organisé ou de la criminalistique. »
Les essais de GreatGameIndia mettent en lumière le rôle de Frank Plummer, ancien directeur scientifique du Laboratoire national de microbiologie du Canada et chercheur de premier plan sur le VIH-sida. Le professeur Plummer a mené une grande partie de ses principales recherches sur le VIH au Kenya. Il s'est concentré en particulier sur la propagation hétérosexuelle du sida en Afrique, développant ainsi un projet conjoint entre l'Université du Manitoba et l'Université de Nairobi.
RépondreSupprimerGreatGameIndia a inclus dans leur liste d'histoires entrelacées l'une décrivant Frank Plummer comme la «clé de l'enquête sur les coronavirus» qui «a été assassiné en Afrique». Il n'y a rien d'autre que des conjectures derrière l'affirmation selon laquelle le Dr Plummer a été assassiné. Il a été largement rapporté dans MSM que le professeur Plummer est décédé rapidement d'une crise cardiaque inattendue à Nairobi le 4 février 2020, alors que la couverture de l'épidémie de Wuhan atteignait un point de masse critique.
La conjecture de l'assassinat a donné à l'histoire une résonance contemporaine qui a retenu l'attention. Cette tournure a investi le récit plus large de connotations sensationnalistes. Cela impliquait fortement qu'un groupe malveillant de saboteurs avait éliminé le Dr Plummer afin qu'il ne puisse pas témoigner de ce qui s'était apparemment produit au LNM à Winnipeg pour verser du pétrole sur la crise enflammée en Chine.
Aucune preuve n'est offerte que le Dr Plummer n'est pas mort de causes naturelles. Les projecteurs mis sur sa carrière par GreatGameIndia, cependant, attirent l'attention sur la carrière plutôt exotique d'un Canadien important impliqué dans de nombreux types originaux d'études génétiques et d'altérations totalement nouvelles pour la science médicale et militaire. Le rapport sert à stimuler des réflexions sur les types d’intrigues qui se produiraient probablement régulièrement dans la ligne de travail inhabituelle du Dr Plummer.
Le compte rendu par GreatGameIndia du lien canadien avec la peste de Wuhan souligne le rôle du Dr Plummer dans le processus qui aurait introduit dans le laboratoire de pathogènes de niveau 4 de Winnipeg une souche particulière du SRAS qui provenait initialement d'Arabie saoudite. Avant d'arriver à Winnipeg, la souche du SRAS qui aurait fait l'objet d'une enquête par le Dr Plummer s'est transmise le long d'une chaîne de détention impliquant une collaboration avec des collègues à Jeddah, en Égypte et à Rotterdam.
Le récit nous apprend que le LNM a «une longue histoire d’offre de services de test complets pour les coronavirus»; qu'il «a isolé et fourni la première séquence du génome du coronavirus du SRAS et identifié un autre coronavirus comme NL63 en 2004.» Nous apprenons que le «laboratoire canadien a augmenté les stocks de virus [provenant de maladies respiratoires infectant les victimes saoudiennes] et l'a utilisé pour évaluer les tests de diagnostic utilisés au Canada. Des scientifiques de Winnipeg ont cherché à savoir quelles espèces animales pouvaient être infectées par le nouveau virus. »
L'article utilise un langage provocateur appelant le Dr Qui «un agent chinois de la guerre biologique». Après avoir fait référence au Dr Shoham, dont les commentaires apparaissent régulièrement dans un large éventail de rapports critiquant le programme de guerre biologique présumé dirigé par le gouvernement chinois, une référence est faite à James Giordano. a est identifié comme professeur de neurologie à l'Université de Georgetown et agrégé supérieur en biowarfare au Commandement des opérations spéciales des États-Unis. Le professeur Giordano aurait commenté,
Les investissements croissants de la Chine dans la bio-science, l'éthique plus souple autour de l'édition de gènes et d'autres technologies de pointe et l'intégration entre le gouvernement et le monde universitaire font craindre que de tels agents pathogènes ne soient militarisés.
RépondreSupprimerCela pourrait signifier un agent offensant, ou un germe modifié libéré par des mandataires, pour lequel seule la Chine a le traitement ou le vaccin. "Ce n'est pas une guerre en soi", a-t-il dit. "Mais ce qu'il fait, c'est tirer parti de sa capacité à agir en tant que sauveur mondial, ce qui crée ensuite divers niveaux de dépendances macro et microéconomiques et de bioénergie."
Les auteurs de la série GreatGameIndia sur l'éventuelle connexion du Canada à l'Institut de virologie de Wuhan supposent que les envois de virus du LNM vers la Chine comprenaient la souche spécifique de Coronavirus originaire d'Arabie saoudite. Cette conjecture m'a amené à spéculer sur les raisons pour lesquelles le spécialiste israélien de la guerre biologique et chimique, le Dr Dany Shoman, s'intéressait si activement au biolab de Winnipeg. Je n'ai vu aucune preuve que le Dr Shoham ait jamais visité le laboratoire de Winnipeg, mais pour une raison inexpliquée, il semble bien informé de ses activités.
Mes propres spéculations me font me demander si le Dr Shoham aurait pu entrer en contact avec le Dr Plummer en raison des travaux signalés de ce dernier pour effectuer le séquençage génétique du virus provoquant l'épidémie en Arabie saoudite d'une version du SRAS. Cette spéculation découle d'un rapport sérieux à Londres en Angleterre mettant en évidence les intérêts des experts israéliens de la guerre biologique dans une «bombe ethnique» qui viserait spécifiquement les Arabes.
L'existence d'un tel programme a été décrite le 15 novembre 1998 dans un article du London Sunday Times intitulé «Israël planifiant une« bombe ethnique »sous le nom de Saddam Caves In». Les auteurs de l'histoire, Uzi Mahnaimi et Marie Cohen, expliquent l'existence d'un tel projet de recherche clandestin sur les armes biologiques ethniques à Ness Ziona Israël près de Tel Aviv. Le projet de recherche israélien, qui se poursuit toujours, s'appuyait apparemment plus tôt sur des enquêtes sur des armes biologiques à visée ethnique qui avaient eu lieu en Afrique du Sud à l'époque de l'apartheid.
L'article du Times rapporte que
Israël, utilisant des recherches obtenues en Afrique du Sud, développait une «bombe ethno; En développant leur «ethno-bombe», les scientifiques israéliens tentent d'exploiter les avancées médicales en identifiant un gène distinctif porté par certains Arabes, puis créent une bactérie ou un virus génétiquement modifié… Les scientifiques tentent de créer des micro-organismes mortels qui n'attaquent que ceux portant les gènes distinctifs.
En tant qu'expert militaire et médical israélien dans le domaine de la guerre biologique et chimique, le Dr Shoham devait avoir une certaine connaissance de la fondation et de la genèse du projet «ethno-bombe» de Ness Ziona.
Quelle est la relation passée ou actuelle du Dr Shoham avec l'Institut Ness Ziona pour la recherche biologique ? Le Dr Shoham a-t-il eu des interactions professionnelles avec le Dr Plummer à la suite de la culture et du séquençage génétique signalés par le scientifique de Winnipeg de la souche saoudienne de SRAS ? Cette souche est connue sous le nom de MERS. L’implication du Dr Plummers dans une souche de coronavirus qui ciblait initialement les Arabes a-t-elle contribué à attirer l’intérêt du Dr Shoham pour le LNM de Winnipeg.
GreatGameIndia a publié un article académique riche et détaillé présentant une chronique et une évaluation de la propagation de la souche du SRAS qui a frappé les victimes arabes initialement au Qatar et en Jordanie ainsi qu'en Arabie saoudite. Certaines victimes ont également propagé la maladie aux membres de leur famille à Londres et au Pakistan. L'étiquetage de cette souche d'infection comme MERS vient du nom, Syndrome respiratoire du moyen-orient.
RépondreSupprimerLe professeur Gufaraz Kahn est l'auteur de l'article publié le 28 février 2013 dans le vol. 10 (n ° 66) du Virology Journal. La base professionnelle du Dr Kahn est le Département de microbiologie et d'immunologie du Collège de médecine et des sciences de la santé de l'Université des Émirats arabes unis.
Le compte rendu académique riche et érudit du Dr Kahn sur les premiers stades des infections MERS dans le Virology Journal aurait presque certainement attiré l’attention des agents israéliens impliqués dans le prétendu programme de guerre biologique et chimique du pays. Cette attraction aurait été particulièrement attrayante pour tout responsable militaire israélien cherchant toujours à cibler les victimes arabes avec des virus génétiquement modifiés.
Le Dr Plummer a-t-il sciemment ou par inadvertance aidé le Dr Shoham dans ses travaux de recherche basés en Israël ? Comment le personnel de la LNH gère-t-il le côté militaire inévitable de sa recherche avec ses applications au Canada, aux États-Unis et à l'étranger ?
Si le Dr Plummer a en quelque sorte collaboré avec le Dr Shoham et avec d'autres chercheurs israéliens en biotechnologie, cette activité aurait-elle pu être un facteur dans la décision de l'Université hébraïque de Jérusalem d'accorder au Dr Plummer le prix Scopus ? Quel niveau de responsabilité les gestionnaires du LNM de Winnipeg doivent-ils aux citoyens qui financent l'installation de recherche ? Ces gestionnaires et leurs superviseurs dans les postes administratifs et élus ne devraient-ils pas s'engager à ne pas cacher la recherche pour la guerre biologique derrière les facettes de la recherche en santé publique ?
Au cours de la dernière année de sa vie, le Dr Plummer a accepté l'insertion d'un implant inséré chirurgicalement dans son cerveau destiné à aider le scientifique à faire face à un cas grave d'alcoolisme qui a tourmenté sa vie à partir des années 1980. Le Dr Plummer a accepté d'être un cas d'essai dans cette nouvelle thérapie biomédicale après avoir subi une insuffisance hépatique suivie d'une greffe du foie en 2012.
L'affaire a été largement médiatisée par la BBC et de nombreux autres médias dans les semaines et les jours précédant la mort du Dr Plummer par insuffisance cardiaque à Nairobi. Il est légitime de se demander si le problème de longue date du Dr Plummer avec l’alcoolisme a contribué à l’effondrement des procédures ordonnées et de la civilité qui auraient dépassé la culture du travail scientifique au LNM de Winnipeg ?
La Société Radio-Canada masque sa propre ineptie en attaquant les «théoriciens du complot» et les «vigiles»
Le 27 janvier 2020, la Société Radio-Canada a répondu à la réponse bruyante créée sur Internet à la série d'articles GreatGameIndian. L'article de CBC a été écrit par Karen Pauls et Jeff Yates. Comme nous l'avons vu, certains éléments de la série GreatGameIndia se sont inspirés des nouvelles véhiculées par les précédents reportages de Karen Paul sur CBC rédigés au printemps et à l'été 2019.
Le reportage de la CBC sur les lacunes factuelles de l'axe présumé de microbiologie Winnipeg-Wuhan n'a pas traité de nombreux sujets pertinents, y compris le rôle du Dr Dany Shoham. Les histoires contenant des commentaires du Dr Shoham ont eu tendance à développer des histoires que le rapport de la CBC juge trompeuses.
RépondreSupprimerLes interventions des médias du Dr Shoham ont eu une influence sur la création de l'imagerie des malversations du gouvernement chinois dans la gestion de la crise du COVID-19. Cette orientation critique envers le PCC est devenue courante dans la couverture générée par de nombreux sites. Les plus importants d'entre eux sont The Epoch Times, le Washington Times, la couverture de Steve Bannon et Miles Guo sur War Room: Pandemic, et la couverture de Simone Gao basée à Taïwan sur Zooming In.
Une autre source très importante de reportages honnêtes sur la crise du COVID-19 est Trunews, une opération de diffusion chrétienne évangélique hébergée par Rick Wiles. Le révérend Wiles et ceux qui le rejoignent à l'antenne ont émergé comme des pionniers dans la couverture approfondie de la Chine dans la crise épidémiologique. Ils ont mené leurs propres recherches indépendantes, rampé trou de lapin après trou de lapin et ont émergé avec une excellente couverture qui se qualifie vraiment comme Trunews. Au cours de leur couverture, la webdiffusion a été supprimée de la plateforme You Tube / ADL. Le fond de la déformatisation a à voir avec le fait que le révérend Wiles est un chrétien né de nouveau autoproclamé qui est très critique des préoccupations et de l'éthique des sionistes chrétiens.
L'intervention de la SRC a qualifié de «faux» une capture d'écran d'un tweet par un gestionnaire de fonds spéculatifs basé à Dallas nommé Kyle Bass. Citant CBC News, Bass a tweeté qu '«une équipe d'espionnage chinois mari et femme a récemment été retirée d'un centre de traitement des maladies de niveau 4 pour avoir envoyé des agents pathogènes au centre de Wuhan». CBC a rapporté que ce tweet, qui combine des faits documentés avec des suppositions spéculatives, a été partagé 12 000 fois.
La SRC n'a pas tenté d'ajouter du contexte et du contexte à l'utilisation faite de ses propres histoires formulées des mois avant le début de l'épidémie de coronavirus de Wuhan. Il n'y avait aucune référence spécifique dans la diatribe de la CBC «Fake News» à la série d'articles GreatGameIndia. Comme indiqué précédemment, réunies, les publications de GreatGameIndia ont créé un récit assez élaboré en mélangeant le reportage direct de faits bien documentés avec des interludes spéculatifs.
Gardez à l'esprit que cette spéculation a été livrée à peu près dans le vide créé par la réticence ou l'incapacité de nombreux médias grand public à faire face à la complexité d'une urgence rapide se propageant de la Chine au monde. La genèse de l'épidémie de coronavirus de Wuhan ouvre une fenêtre importante sur toute une série de problèmes qui, à bien des égards, sont très différents de tout ce qui se posait auparavant à l'humanité.
L'introduction récente des outils du génie génétique dans la production d'aliments, de vaccins ou d'armes biologiques n'est pas un sujet facile ou familier pour de nombreuses personnes. Lorsqu'il s'agit d'initier le public à un large éventail de nouveaux problèmes impliquant des technologies faisant partie intégrante de l'épidémie de COVID-19, les médias ont encore beaucoup à faire en matière d'éducation publique. Cette éducation publique est la porte d'entrée nécessaire pour un discours public bien informé sur un éventail complexe de questions, dont certaines sont de nature mortelle, qui se répercutent rapidement sur nous tous.
Au lieu de rendre compte consciencieusement de la situation, les reporters de la CBC ont tendance, comme tant d’autres, à se replier sur ce qui devient un vieux canard. Plutôt que d'évaluer tous les trous béants, les omissions et les silences dans leur propre couverture médiatique, ils attribuent tous les problèmes à une tribu imaginée de rois méconnus malicieux dénigrés collectivement comme des «théoriciens du complot».
RépondreSupprimerDans l'ensemble, la plupart des journalistes HSH assimilent le concept de «théoriciens du complot» à des kooks et des perdants qui existent dans une zone capricieuse bien en dehors du cercle intérieur charmé des «sources faisant autorité»? Comment devons-nous interpréter ce que Pauls et Yates veulent dire lorsqu'ils se réfèrent subjectivement à un «blog de conspiration» ou à des «blogs de théorie du complot» sans donner d'explications, de preuves ou de définitions de ce qu'ils signifient. Où est l'agence de confiance qualifiée et habilitée à décider sans parti pris ni intérêt personnel ce qu'est ou n'est pas un «blog de conspiration»? Une interprétation qui va à l’encontre de l’interprétation souvent imprécise des événements par la SRC est-elle une «théorie du complot»?
L’abus en série par le MSM du mème de la «théorie du complot» ne permet-il pas aux sténographes de pouvoir paresseux et enclins à penser en groupe de poursuivre une politique au service du règne du statu quo ?
Combien de fois arrive-t-il que des dénonciateurs qui fournissent des critiques consciencieuses des récits officiels dans de nombreux domaines sont rejetés comme des «théoriciens du complot»? Le médecin de Wuhan, Li Wenliang, n’a-t-il pas été initialement rejeté par les autorités chinoises en tant que théoricien du complot ? Combien de fois arrive-t-il que ceux qui se rabattent sur le mème de la théorie du complot pour discréditer leurs détracteurs soient en fait des apologistes et des gardiens de lobbies corrompus et égoïstes ?
L'histoire de la CBC présente une capture d'écran qui attribue à Zero Hedge la question: «La Chine a-t-elle volé le coronavirus du Canada et l'a-t-il armé ?» Aucun effort n'est fait par les journalistes de la CBC pour mettre en contexte l'histoire importante de l'attaque de Zero Hedge par Twitter afin de protéger le récit officiel problématique de l'épidémie de COVID-19. La SRC n'a fait aucun effort pour identifier GreatGameIndia comme la source de l'histoire sur le lien présumé du Canada avec COVID-19. Aucun effort n'est fait pour évaluer le contexte, la compréhension et les motivations possibles des créateurs des essais de GreatGameIndia.
Si la CBC avait retenu son attaque contre les «théoriciens du complot» du coronavirus un jour de plus, ses journalistes auraient eu devant eux l'histoire de l'arrestation du Dr Charles Lieber, président du Département de chimie et de biologie chimique de l'Université de Harvard. Le Dr Lieber fait face à de graves accusations criminelles pour avoir omis de communiquer aux autorités américaines toute l'étendue de ses engagements en Chine, y compris son rôle à l'Université de technologie de Wuhan.
La nature des allégations contre les activités du Dr Lieber a jeté une lumière importante sur le cas du Dr Xiangguo Qui, de son mari Keding Cheng, et sur ses nombreux étudiants chinois diplômés qui ont souvent bénéficié d'un traitement favorable au LNM et à l'Université du Manitoba. Les explications claires et détaillées fournies par certains responsables américains décrivant le contenu et les implications plus larges de l'affaire Lieber aident à clarifier ce qui n'est pas signalé au Canada.
Qu'est-ce qui a été à l'origine de la tentative d'identifier et d'expliquer un lien important entre le Canada et la crise du COVID-19 ? Quelle est la position du gouvernement fédéral et de l'Université du Manitoba dans le cas de Winnipeg qui, d'une manière générale, semble être reproduit par certains aspects du scandale qui a ouvert le département de chimie de l'Université Harvard à un examen public sceptique considérable ?
RépondreSupprimerLe rapport sur l’affaire Lieber aide à clarifier le black-out sur la nature imposé aux Canadiens, par exemple par le Premier ministre Justin Trudeau, par l’Agence fédérale de la santé publique, par la GRC et par le radiodiffuseur public de la Couronne connu sous le nom de Société Radio-Canada.
En se présentant comme des critiques de vertus des «théoriciens du complot», les journalistes de la CBC ont malmené professionnellement un éventail d’écrivains dont ils n’ont probablement pas lu le travail, et encore moins considéré de manière prudente et réfléchie. En créant des récits stéréotypés sur un ensemble d'œuvres qu'ils n'ont probablement pas évaluées au cas par cas, les journalistes de la CBC ont recours à des formes de généralisations générales qui ont beaucoup en commun avec la caricaturation raciste des groupes ethniques.
Par conséquent, les journalistes de la CBC continuent sur la voie de l'incitation en diabolisant des interprétations qui, dans de nombreux cas, ne sont pas conformes à leur propre façon de regarder les événements. Une partie de cette incitation s'exprime dans la décision de mettre en évidence les commentaires du professeur Fuyuki Kurasawa. Kurasawa est sociologue et directeur du Global Digital Citizenship Lab de l'Université York. Kurasawa condamne les «théories du complot» et les «rumeurs» pour «effacement des informations factuelles rapportées en ligne».
Comment une véritable «information factuelle» peut-elle être déterminée de manière crédible sans prévoir d'espace et de temps pour un débat ouvert entre les partisans d'interprétations concurrentes? Si la recherche de la vérité au moyen d'un débat ouvert est repoussée même par les membres du corps professoral dans les établissements universitaires (ce qui est tragiquement souvent le cas de nos jours), où d'autre société peut-elle avoir de tels rituels de désaccord éclairé et civil dans la quête de l'humanité pour la connaissance ?
Kurasawa est l'un de ces carriéristes universitaires qui a décidé de nager professionnellement avec un large éventail d'hypothèses discréditées sous-tendant la guerre mondiale contre le terrorisme.
La complicité de Kurasawa dans la guerre contre la culture de la caricature terroriste montre dans son récit alambiqué comment les «vigiles» du Coronavirus de son imagination pourraient penser et agir. Il imagine un sous-groupe de «théoriciens du complot» qui se chargeront de devenir des justiciers, où ils essaieront de repérer quelqu'un qui est censé détenir la vérité sur une vérité cachée sur le coronavirus ou une personne qui peut être un porteur ou supposé porteur du virus car ils semblent présenter certains symptômes, puis ils demanderont au grand public de prendre les choses en main.
Sciences de la vie ou sciences de la mort ?
Spiro Skouras, ancien producteur exécutif de Newsbud, est devenu l'un des jeunes journalistes d'investigation les plus engageants et les plus érudits qui se sont penchés sur l'épidémie de coronavirus de Wuhan. Skouras a documenté la position de nombreuses personnalités éminentes qui ont mis en doute l'affirmation douteuse selon laquelle la source de l'infection au COVID-19 était un animal malade sur le marché alimentaire en plein air de Wuhan.
Skouras a fait valoir qu'il serait «négligent» de la part des chercheurs de ne pas enquêter sur «l'éventail complet des possibilités» sur l'origine et la propagation de la contagion.
RépondreSupprimerParmi les premières personnalités, Skouras interrogé sur la crise était Francis Boyle, le célèbre professeur de droit international à l'Université de l'Illinois. Le professeur Boyle a rédigé la loi sur les armes biologiques et le terrorisme, une loi qui a permis aux États-Unis de ratifier la Convention des Nations Unies sur la guerre biologique en 1990.
Le professeur Boyle a indiqué dans son entretien avec Skouras que COVID-19 est très probablement un pathogène génétiquement modifié qui s'est échappé du soi-disant laboratoire de biosécurité à Wuhan. Le professeur Boyle a indiqué,
Il m'est clair [que le coronavirus] s'est échappé de l'installation de Wuhan Biosafety Level 4 mise en place par le gouvernement chinois qui travaille sur tous les types d'agents de guerre biologique dangereux que vous pouvez envisager.
Le professeur Boyle souligne le fait que le virus du SRAS s'est échappé d'un laboratoire de Pékin en 2004. Il décrit comme de la «propagande» l'opinion largement diffusée selon laquelle le COVID-19 provenait du marché exotique en plein air de Wuhan. Le professeur Boyle a développé certaines de ses interprétations dans une interview ultérieure publiée par GreatGameIndia.
Skouras a spécifiquement interrogé le Dr Boyle sur sa relation avec les médias grand public compte tenu de son dossier en tant que l'un des plus grands experts universitaires en droit international et en culture militaire concernant le développement de la bio-arme aux États-Unis. Le Dr Boyle a répondu qu'il était à peu près sur la liste noire des commentaires sur le sujet de la guerre biologique depuis qu'il a publiquement partagé son interprétation des attaques à l'anthrax contre deux sénateurs américains en octobre 2001.
Au début du mois d'octobre 2001, les attaques à l'anthrax visant le Congrès américain et certaines organisations médiatiques ont fait l'objet d'un examen scientifique approfondi. Les attaques à l'anthrax constituent l'attaque la plus grave jamais menée contre les opérations du Congrès américain, l'interface principale entre le droit et la politique dans le États Unis.
Ces attaques ont fini par être comprises comme faisant partie intégrante du vaste ensemble de crimes commis à Manhattan et à Washington DC le 11 septembre. Les attaques à l'anthrax ont tué cinq personnes, dont deux postiers. Dix-sept personnes ont été blessées et le Congrès a été fermé pendant quelques jours.
Les attaques par lettre chargées d'anthrax ont été spécifiquement dirigées contre deux sénateurs du Parti démocrate, Patrick Leahy et Tom Daschle. Lorsqu'ils ont reçu les lettres contaminées, les deux législateurs se sont mis à remettre en question les dispositions de la législation sur les mesures d'urgence post-11 septembre connue sous le nom de Patriot Act. Les sénateurs Leahy et Daschle hésitaient à approuver le texte qui a apparemment été rédigé et présenté au Congrès dans les trois semaines suivant la débâcle du 11 septembre.
Les attaques à l'anthrax ont eu lieu juste au moment où les forces armées américaines ont commencé à envahir l'Afghanistan où les coupables des crimes du 11 septembre étaient censés se cacher. Les auteurs de l'attaque à l'anthrax, que nous étions censés imaginer à l'époque comme des terroristes d'al-Qaïda, ont réussi à écarter le principal lieu d'opposition au passage rapide du Patriot Act fin octobre. Pourquoi, pourrait-on légitimement demander, demander, les djihadistes islamiques voudraient que le Patriot Act soit précipité par le Congrès. Début octobre, les forces armées américaines ont envahi l'Afghanistan en même temps que l'exécutif américain cherchait avec le Patriot une licence pour tuer et torturer et voler sans aucun contrôle de responsabilité.
RépondreSupprimerUne fois que les forces armées américaines sont entrées en guerre avec l'Afghanistan sur la base d'une explication frauduleuse de la genèse du 11 septembre, il n'y avait pratiquement aucune chance qu'une enquête authentique et légitime fondée sur des preuves des crimes du 11 septembre n'ait jamais lieu. À ce jour, la guerre mondiale contre le terrorisme continue de se dérouler sur la base de mensonges et d'illusions qui ont eu des conséquences dévastatrices sur la qualité de vie de la population moyenne des États-Unis et du monde.
Dans son livre de 2005, Biowarfare and Terrorism, l’analyse du professeur Boyle a mis en évidence des problèmes majeurs dans l’enquête du FBI sur les attaques au charbon, y compris la destruction par l’agence des preuves pertinentes. Pour le professeur Boyle, la qualité hautement raffinée de l'anthrax de qualité militaire rendait presque certain que l'arme biologique de l'anthrax a été produite au sein des forces armées américaines au laboratoire de Fort Detrick Maryland. L'anthrax, ou Bacillus anthracis, est une bactérie en forme de bâtonnet que l'on trouve naturellement dans le sol.
En repensant à l'épisode que le Dr Boyle a observé, «Le Pentagone et le C.I.A. sont prêts, désireux et capables de lancer la guerre biologique quand cela convient à leurs intérêts. Ils ont déjà attaqué le peuple et le Congrès américains et handicapé notre République avec de l'anthrax super-armé en octobre 2001. »
L’interprétation du professeur Boyle a ensuite été vérifiée et développée dans un livre du professeur canadien Graeme MacQueen. Le professeur Boyle reconnaît la véracité de l'étude du professeur MacQueen sur la tromperie de l'anthrax dans le cadre d'une «conspiration domestique». Il considère The Anthrax Deception 2001 comme la découverte la plus avancée de la recherche universitaire sur le sujet jusqu'à présent.
Le professeur MacQueen occupe une place importante parmi un très grand groupe d'universitaires et de fonctionnaires qui condamnent le récit officiel du 11 septembre pour ses incohérences dramatiques avec les preuves disponibles. Ceux qui partagent cette compréhension sont l'ancien Premier ministre italien Francesco Cossiga, l'ancien ministre allemand de la Défense Andreas von Bülow, l'ancien ministre britannique de l'Environnement Michael Meacher, l'ancien secrétaire adjoint du Trésor américain Paul Craig Roberts, l'ancien directeur de la US Star Wars Missile Defense Programme Le lieutenant-colonel Bob Bowman, le professeur de droit international de Princeton, Richard Falk, et l'auteur de dix ouvrages universitaires sur différents aspects de la débâcle du 11 septembre, le professeur David Ray Griffin de Claremont Graduate University.
Le professeur Francis Boyle a partagé le scepticisme de beaucoup du 11 septembre lorsqu'il a demandé:
Les véritables coupables des attentats terroristes du 11 septembre 2001 et des attentats terroristes au charbon qui ont suivi le Congrès pourraient-ils finalement être les mêmes ? Serait-ce vraiment une coïncidence que deux des principales victimes prévues des attaques terroristes à l'anthrax - les sénateurs Daschle et Leahy - retardent l'adoption rapide du USA Patriot Act préétabli ... une loi qui accordait au gouvernement fédéral des pouvoirs sans précédent par rapport aux citoyens et institutions américains ?
RépondreSupprimerDans sa couverture de l'épidémie de coronavirus de Wuhan, Spiro Skouras a souligné la procédure connue sous le nom d'événement 201. L'événement 201 a réuni à New York le 18 octobre 2019 une assemblée de délégués organisée par la Fondation Bill et Melinda Gates, le Forum économique mondial et le Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire. Le rassemblement anticipait la crise du COVID-19 de quelques semaines seulement. Rétrospectivement, c'est presque comme si l'événement 201 annonçait bon nombre des controverses sur le point d'apparaître avec le déclenchement de la véritable épidémie à Wuhan en Chine. L'événement 201 a rempli des fonctions similaires à celles des exercices qui imitent fréquemment les scénarios d'ingénierie animant des événements terroristes sous faux drapeau, mais surtout ceux du 11 septembre.
Un sujet majeur de la réunion a souligné la nécessité perçue de contrôler les communications pendant une épidémie. Levan Thiru, de l'Autorité monétaire de Singapour, est allé jusqu'à appeler à «une intensification de la part des gouvernements pour agir contre les fausses nouvelles». Thiru a appelé à des poursuites pénales visant à criminaliser les «mauvais acteurs». Mettant en garde contre ce type de censure, Skouras a demandé: «Qui va décider ce qui constitue des« fausses nouvelles » ? Si des vérificateurs des faits doivent être employés, «qui vérifiera les faits auprès des vérificateurs des faits» ?
Hasti Taghi, un responsable des médias de NBC Universal à New York, a été particulièrement franc en condamnant les activités des «théoriciens du complot» qui se sont organisés pour questionner les motivations et les méthodes du complexe des agences impliquées dans le développement et la diffusion des vaccins. Elle a fréquemment condamné le rôle des «théories du complot» pour alimenter la méfiance du public à l'égard du rôle des sociétés pharmaceutiques et des conglomérats de médias dans leurs interactions avec le gouvernement.
Tom Ingelsby du Johns Hopkins Center for Health Security a apporté une touche intéressante à la discussion. Il a demandé: «Quel devrait être le contrôle des informations ? Par qui le contrôle des informations doit-il être exercé ? Comment contester efficacement les fausses informations ? » Ingelsby a ensuite ajouté: "Que se passe-t-il si les fausses informations proviennent d'entreprises et de gouvernements ?"
Cette dernière question résume un problème majeur pour les citoyens consciencieux qui tentent de trouver leur chemin à travers la corruption et la désinformation qui imprègnent souvent nos institutions clés. Ceux qui tentent de contrer le problème que les gouvernements et les sociétés colportent parfois de fausses informations peuvent à peu près s'attendre à être accusés d'être des «théoriciens du complot». Trop souvent, les calculs impliqués pour décider qui ou quoi est crédible (ou non) dépendent principalement d'une simple arithmétique favorisant la prépondérance de la richesse et du pouvoir.
Spiro Skouras examine attentivement la possibilité que les États-Unis aient déclenché l'épidémie de COVID-19 à partir de Wuhan en Chine.
RépondreSupprimerIl note le précédent établi en 1945 sur les attaques atomiques du gouvernement américain contre les populations civiles d'Hiroshima et de Nagasaki. Skouras souligne qu'il existe des preuves que depuis la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement américain a mené au moins 239 expériences, déployant secrètement des agents chimiques et biologiques toxiques contre des parties de sa propre population.
Sur l'histoire de l'implication américaine dans la guerre biologique, voir ici, ici et ici.
Skouras souligne la fenêtre présentée pour une attaque secrète des États-Unis par arme biologique aux Jeux militaires mondiaux de Wuhan en Chine dans la seconde moitié d'octobre 2019. Il note que 300 soldats américains ont participé en tant qu'athlètes aux Jeux militaires de Wuhan avec un important contingent de soutien américain. personnel. Le moment et les circonstances de l'événement étaient plus ou moins idéaux pour ouvrir un nouveau front pathogène dans la «guerre hybride» informelle du gouvernement américain contre la Chine.
Le 15 février, lors de la Conférence de Munich sur la sécurité, le secrétaire américain à la Défense, Mark T. Esper, a développé une caractérisation très critique des actes répréhensibles chinois afin de justifier apparemment des actions de récrimination. Esper a affirmé: «La croissance de la Chine au fil des ans a été remarquable, mais à bien des égards, elle est alimentée par le vol, la coercition et l'exploitation des économies de marché, des entreprises privées, des collèges et des universités… Huawei et la 5G sont aujourd'hui les affiches de cette infâme activité.
L'antagonisme américain au leadership de Huawei dans la conception et la diffusion mondiale de la technologie 5 G pourrait bien être un facteur dans le scandale généré par la connexion chinoise à la recherche entrelacée en microbiologie dans les laboratoires de niveau 4 à Winnipeg et à Wuhan.
En 2000, le célèbre rapport intitulé Rebuilding America’s Defenses, une publication présentée par le projet néoconservateur pour le nouveau siècle américain (PNAC), proposait que le gouvernement américain remette à neuf et invoque sa capacité à mener une guerre biologique. Le PNAC était le groupe de réflexion qui a anticipé les événements du 11 septembre 2001 en esquissant un schéma stratégique qui ne pouvait être réalisé qu'en mobilisant l'opinion publique américaine avec "un événement catalytique comme New Pearl Harbor".
Après le 11 septembre, l'équipe PNAC d'activistes néoconservateurs et d'organisations sionistes apparentées a à peu près pris le contrôle de la gouvernance des États-Unis ainsi que la construction et le déploiement de sa formidable machine de guerre. Le PNAC a appelé à l'invocation de «formes avancées de guerre biologique pouvant« cibler »des génotypes spécifiques». De cette façon, «la guerre biologique pourrait être transformée en un outil politiquement utile».
La relation de cette pandémie avec les désaccords internes en Chine a été mise en évidence dans la couverture de la crise par Steve Bannon intitulée War Room: Pandemic. Membre éminent du cercle restreint du président américain Donald Trump, Steve Bannon est souvent accompagné dans l'émission quotidienne par le dissident milliardaire chinois, Miles Guo (alias Guo Wengui, Miles Haoyun, Miles Kwok).
Guo est un réfugié chinois franc. Il est un critique persistant de pratiquement toutes les facettes des politiques et des actions du Parti communiste chinois.
RépondreSupprimerGuo condamne régulièrement ceux qui dominent le système de parti unique chinois, un système dirigé par une élite qui, selon lui, sont des menteurs corrompus, incompétents et invétérés. Guo affirme régulièrement que tous les chiffres du gouvernement chinois sur la pandémie, y compris les taux de mortalité et les taux d'infection, peuvent probablement être multipliés par 10X ou même 100X pour se rapprocher de la précision.
Il est clair que Bannon et Guo aimeraient voir les conditions d'urgence créées par la pandémie comme un coin de division, de protestation et de changement de régime en Chine. L'un des sujets qu'ils soulèvent régulièrement, comme d'autres qui accusent le gouvernement chinois de mensonge et de tromperie systématiques, est que les crématoriums de Wuhan et de Chongqing, à proximité, brûlent des cadavres de morts à un rythme bien supérieur aux chiffres officiels des décès. Certains rapports ont indiqué que des incinérateurs portables étaient amenés dans le cœur le plus infecté de l'épidémie de coronavirus de Wuhan.
Il est pour le moins troublant que certains rapports indiquent que les morts sont incinérés beaucoup plus rapidement et à des taux beaucoup plus élevés que ne le signalent le gouvernement chinois et l'Organisation mondiale de la santé. Un certain calcul de la disparité apparente entre les décès signalés et les décès réels a conduit à des soupçons généralisés sur ce qui se passe réellement dans les scènes d'échanges violents et en colère entre les gens de la région de Wuhan.
Beaucoup de ces vidéos montrent des affrontements brutaux entre des civils chinois et la police de sécurité chinoise. Les manifestations de désespoir de certains de ceux qui tentent d'échapper aux appréhensions des responsables en uniforme semblent parfois suggérer la gravité d'une lutte pour la vie ou la mort. Il semble que ceux qui cherchent à échapper à l'emprise des autorités soient conscients que leur échec pourrait entraîner une mort rapide et une sortie rapide par incinération. Ces réflexions sont bien sûr spéculatives plutôt que définitives.
Les questions concernant qui nous sommes censés croire ou non dans cette crise deviennent de plus en plus pressantes et volatiles. L'un des thèmes émergents dans le discours développé à War Room: Pandemic est la propension de certaines des principales agences des médias grand public aux États-Unis à accepter à leur valeur nominale les rapports qu'ils reçoivent des médias officiels répondant au Parti communiste chinois. Pour Banning et Guo, ce modèle fait que des organisations médiatiques comme le New York Times, le Washington Post et CNN sont essentiellement des extensions de propagande du gouvernement chinois.
Le peuple chinois lui-même est clairement aux prises avec de nouvelles manières de résoudre le problème de la compréhension des informations et des directives que lui donne l'appareil gouvernemental du Parti communiste chinois. Il est clair que le Parti a initialement échoué au peuple en n'intervenant pas suffisamment tôt et de manière décisive après que les premiers cas de coronavirus ont commencé à apparaître. La sortie de Wuhan de près de cinq millions de personnes avant les célébrations du Nouvel An lunaire chinois a eu d'énormes implications pour propager la contagion.
Comme indiqué dans l'introduction, la mort à Wuhan du Dr Li Wenliang le 7 février est devenue un point d'éclair pour la critique populaire du Parti communiste chinois dirigée par le secrétaire général Xi Jinping. Le Dr Li a écrit aux membres de son groupe d'anciens étudiants de la faculté de médecine suggérant que des mesures importantes devraient être prises en réponse à l'apparition de symptômes de type SRAS qui ont soudainement affecté ses patients.
RépondreSupprimerPour avoir envoyé cette communication non autorisée, le Dr Li a été convoqué avec sept autres présumés contrevenants au Bureau de la sécurité publique. Là, il a été averti par la police d'arrêter de «faire de fausses déclarations». Il a reçu l'ordre de cesser et de s'abstenir de «répandre des rumeurs» et «d'agir illégalement pour troubler l'ordre social».
Le Dr Li a signé un formulaire indiquant qu'il s'abstiendrait de continuer à faire ce qu'il avait été accusé d'avoir fait. Le professionnel réprimandé est retourné à son cabinet médical. Il a suivi ses propres conseils et a commencé à traiter des patients présentant des signes de la nouvelle maladie. Il est lui-même bientôt décédé de COVID-19 alors qu'il était encore connu sous le nom de 19-nCoV.
La dé-plate-forme permanente de Twitter du site Web Zero Hedge est-elle une version nord-américaine de l'intervention policière en Chine dans le but de faire taire le Dr Li? La censure d'Internet est-elle au nom des «théoriciens du complot» opposés qui répètent les efforts du Parti communiste chinois pour faire taire le Dr Li ?
Le Dr Li doit-il être correctement compris comme une version chinoise d'un «théoricien du complot» ? Quelle différence y avait-il entre le traitement qu'il aurait réservé à la «propagation de rumeurs» et «l'action illégale pour perturber l'ordre social» du traitement réservé à ceux qui, en Occident, ont été déformés, enduits et défroqués professionnellement pour avoir tenté de dire la vérité au pouvoir ?
J'ai développé des réponses à ces incursions basées sur des expériences durement gagnées face aux coups de propagande d'un lobby politique particulièrement puissant capable de prendre le contrôle du conseil d'administration de mon université. Ces lobbyistes professionnels cherchent à discréditer l'analyse universitaire de leurs propres violations du droit, de l'éthique et de la civilité en qualifiant les critiques de leur fanatisme de «théoriciens du complot» ou pire.
Plus récemment, je me suis battu contre une variation de ce processus en essayant de contrer les attaques censurées contre l'American Herald Tribune. Ces attaques contre la liberté d'expression et le débat ouvert ont commencé avec les machinations de faucons militaires dont les instructions de travail ont été transmises aux spécialistes de la désinformation de CNN et du Washington Post.
Personne ne peut dire avec certitude où l'épidémie de coronavirus de Wuhan prend le monde. Où que nous allions, cependant, nous laissons derrière nous une époque qui ne pourra jamais être recréée. Quoi qu'il en soit à l'origine de la contagion, cette crise nous oblige à faire le point sur le cadre de la guerre biologique telle qu'elle se développe en Chine, en Russie, en Israël et probablement dans de nombreux autres pays.
Nulle part, cependant, la guerre biologique ne se développe et ne se déploie plus largement et probablement plus que celle des forces armées américaines. La mort et la destruction que l'humanité subit actuellement devraient nous signaler qu'il est temps de prendre beaucoup plus au sérieux l'inspection des installations militaires et l'application des dispositions de la Convention sur la guerre biologique de 1972. Il est, en fait, temps de devenir beaucoup plus grave sur l'application de tous les aspects du droit pénal international de manière équilibrée qui transcende les préjugés de la justice des victimes.
Il est temps de se débarrasser du poids des pseudo-lois introduites après le 11 septembre par des tactiques odieuses comme l'attaque militaire à l'anthrax contre le Congrès. Il est très certainement temps de faire une distinction claire entre la recherche dans le domaine de la santé publique et la recherche sur le développement d'armes biologiques létales. Mieux encore, nous devons travailler à mettre fin à la militarisation par l'expansion massive des "sciences de la mort". Les activités ignobles des praticiens déchus des sciences de la vie menacées menacent, pour commencer, l'intégrité de nos établissements d'enseignement supérieur assiégés.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/health/who-or-what-started-wuhan-coronavirus-epidemic
(...) Par conséquent, la nature globale du récit décrit par GreatGameIndia peut être décrite comme un SOS sur la détérioration rapide des développements contenant des avertissements sur les facteurs invisibles possibles ou les dangers potentiels à venir. Le projet GreatGameIndia peut donc être conçu comme une opération psychologique destinée à changer et à animer les attitudes, les comportements et les actions du public. Les opérations psychologiques, parfois innocemment identifiées comme des campagnes de relations publiques, occupent une place très importante dans la couverture médiatique de nombreux événements et sujets de nos jours. (...)
Supprimer(...) «Israël planifiant une« bombe ethnique »sous le nom de Saddam Caves In». (...)
(...) Israël, utilisant des recherches obtenues en Afrique du Sud, développait une «bombe ethno; En développant leur «ethno-bombe», les scientifiques israéliens tentent d'exploiter les avancées médicales en identifiant un gène distinctif porté par certains Arabes, puis créent une bactérie ou un virus génétiquement modifié… Les scientifiques tentent de créer des micro-organismes mortels qui n'attaquent que ceux portant les gènes distinctifs. (...)
(...) Par conséquent, la nature globale du récit décrit par GreatGameIndia peut être décrite comme un SOS sur la détérioration rapide des développements contenant des avertissements sur les facteurs invisibles possibles ou les dangers potentiels à venir. Le projet GreatGameIndia peut donc être conçu comme une opération psychologique destinée à changer et à animer les attitudes, les comportements et les actions du public. Les opérations psychologiques, parfois innocemment identifiées comme des campagnes de relations publiques, occupent une place très importante dans la couverture médiatique de nombreux événements et sujets de nos jours. (...)
(...) «Le Pentagone et le C.I.A. sont prêts, désireux et capables de lancer la guerre biologique quand cela convient à leurs intérêts. (...)
(...) L'antagonisme américain au leadership de Huawei dans la conception et la diffusion mondiale de la technologie 5 G pourrait bien être un facteur dans le scandale généré par la connexion chinoise à la recherche entrelacée en microbiologie dans les laboratoires de niveau 4 à Winnipeg et à Wuhan. (...)
Avec l'anonymat des victimes (comme pour les agresseurs qui commettent des crimes en Europe), l'on ne peut pas dire si seulement les arabes sont touchés.
Peur du climat de (tout le monde) voler
RépondreSupprimerPar Duggan Flanakin
4 mars 2020
Il y a un peu plus d'un an, la représentante américaine nouvellement élue Alexandria Ocasio-Cortez (D, NY) et le sénateur américain Edward Markey (D, MA) ont choqué le monde en proposant un Green New Deal. L'une de ses dispositions les plus controversées était une proposition de «construire un train à grande vitesse à une échelle où le transport aérien cesse de devenir nécessaire».
UBack en 2013, Elizabeth Rosenthal, écrivant dans le New York Times, a déclaré que le transport aérien est le «péché environnemental le plus grave» pour de nombreux Américains. Un vol aller-retour unique de New York vers l'Europe ou San Francisco ajoute 2 ou 3 tonnes par personne de gaz carbonique à l'atmosphère, a-t-elle noté, et a ajouté que les émissions des voyages aériens augmentent (relativement parlant, au moins) en raison du volume de les voyages en avion augmentent beaucoup plus rapidement que les gains d'efficacité en carburant de vol (alors que les émissions des autres secteurs diminuent).
Le site Web «Choix verts» qualifie le transport aérien de «l'un des modes de transport les plus riches en gaz à effet de serre» et déplore que l'absence de taxe sur le carburant d'aviation soit une subvention qui rend le transport aérien «étonnamment bon marché». En plus du gaz carbonique, le transport aérien génère des oxydes d'azote et de la vapeur d'eau qui contribuent également à l'effet de serre. Selon eux, la croissance de l'industrie aéronautique est incompatible avec les efforts de lutte contre le changement climatique.
L'Union européenne a intégré l'aviation dans son système d'échange de droits d'émission en 2012, mais les protestations de la Chine, des États-Unis et d'autres pays ont limité ce programme aux vols intra-UE jusqu'en 2024. Mais Transport & Environment, qui se présente comme «la première campagne de transport propre d'Europe groupe ", affirme que le secteur de l'aviation a un impact climatique qui" continue de devenir incontrôlable "sans" aucun signe de ralentissement "
Au Royaume-Uni, qui vient de quitter l'UE, des plans vieux de plusieurs décennies pour construire une troisième piste à l'aéroport de Londres Heathrow ont rencontré un autre barrage routier à la Cour d'appel du Royaume-Uni a jugé que la proposition de piste était «illégale» parce qu'elle ne ne pas tenir compte des engagements du gouvernement en matière de changement climatique.
Le maire de Londres, Sadiq Khan, et ses alliés écologistes ont applaudi la décision, que Heathrow Airport Holdings (mais pas le gouvernement britannique) promet de faire appel à la Cour suprême du pays. Khan condamne depuis longtemps les projets d'une troisième piste, la qualifiant de «mauvaise décision pour Londres et l'ensemble de la Grande-Bretagne» et affirmant que sa construction et le nombre accru de vols qu'elle autoriserait seraient «dévastateurs pour la qualité de l'air à travers Londres. "
Même si Heathrow obtient le droit de construire sa troisième piste à un moment donné dans le futur, les retards provoqués en grande partie grâce à la signature par la nation de l'accord de Paris sur le climat feront sûrement augmenter le prix de la construction - sans parler de reporter les revenus de l'atterrissage des frais qui, autrement, seraient déjà en jeu.
La piste si nécessaire augmenterait la capacité de l'aéroport de 85,5 millions de passagers par an à 130 millions et augmenterait le nombre total de vols annuels de 474 000 à 740 000. La nouvelle piste entraînerait jusqu'à 228 milliards de dollars de croissance économique à travers le Royaume-Uni et créerait jusqu'à 180 000 nouveaux emplois à l'échelle nationale - le tout à un coût estimé à moins de 20 milliards de dollars.
RépondreSupprimerEn juin 2018, la Confédération de l'industrie britannique avait salué la décision de la première ministre de l'époque, Theresa May, et de son cabinet au complet d'approuver l'agrandissement de l'aéroport, qui n'est PAS favorisé par l'actuel premier ministre Boris Johnson. Josh Hardie, directeur général adjoint de la CBI, a déclaré: "Notre capacité d'aviation devrait s'épuiser dès 2025, il est donc crucial que nous ayons des piques dans le sol dès que possible."
Pendant ce temps, la Chine a annoncé en 2018 son intention de construire 216 nouveaux aéroports d'ici 2035 pour répondre «à la demande croissante de voyages en avion», doublant presque le nombre d'aéroports dans ce pays aujourd'hui. Le pays (virus pré-corona) comptait en 2017 552 millions de passagers aériens.
L'Inde a également lancé un plan massif de construction de 100 nouveaux aéroports d'ici 2024 dans le cadre d'un plan de relance de la croissance économique. Le plan, conçu par le groupe de réflexion d'État indien, comprend également le doublement de la flotte d'avions nationaux, la formation de 600 nouveaux pilotes par an et la modernisation des pistes existantes, dont beaucoup datent de la Seconde Guerre mondiale. Il y a à peine quatre ans, seulement 75 des 450 pistes du pays étaient opérationnelles.
Ceux qui espèrent que nous pouvons remplacer les moteurs à réaction par de l'énergie propre seront tristes d'apprendre que, même s'il existe un avion solaire, ils sont lents (vitesse maximale de 100 kilomètres par heure), incapables de transporter un avion plein de passagers, dépend fortement du beau temps et offre des marges d’erreur très étroites aux pilotes.
Comme Dan Reed l'a expliqué dans un éditorial de Forbes 2019, appliquer le Green New Deal uniquement aux voyages aériens aurait des effets dévastateurs sur l'économie américaine et ne traiterait que les 3,5% des émissions de gaz à effet de serre attribuables aux voyages aériens. La proposition menace les emplois des plus de 700 000 employés des compagnies aériennes du pays (dont le salaire moyen en 2016 était d'environ 86 000 $), et des coupures sévères dans le transport aérien auraient également un impact sur les fournisseurs de l'industrie, les aéroports, les sociétés de transport de fret, les hôtels et autres sociétés liées aux voyages.
Une telle action des États-Unis menacerait également la domination américaine dans les technologies de fabrication d'avions ainsi que dans les technologies avancées de l'aviation et de l'aérospatiale, le développement et la conception et la production d'avions, a ajouté Reed.
Tout en fermant le secteur du transport aérien semble hors du domaine du possible, il ne faut pas oublier que 67 membres du Congrès ont coparrainé la résolution AOC-Markey Green New Deal, y compris le leader démocrate, le sénateur Bernie Sanders (I, VT). Sanders a ensuite présenté sa propre proposition (réduite) de Green New Deal qui ne serait sûrement qu'une première étape vers la mise en œuvre complète du plan radical pour transformer l'Amérique loin de la prospérité.
https://www.cfact.org/2020/03/04/fear-of-everybody-else-flying/
Éliminez les combustibles fossiles maintenant - Le modèle américain «MAGICC» dit pourquoi s'embêter ?
RépondreSupprimerPar Collister Johnson
3 mars 2020
La communauté des alarmistes climatiques aime les modèles informatiques, en particulier ceux qui prédisent, avec certitude, que la Terre deviendra inhabitable d'ici 2050. Ceci bien sûr, à moins que la production humaine de gaz carbonique ne soit considérablement réduite, voire complètement éliminée. Une écolière suédoise de seize ans, un ancien vice-président des États-Unis, un membre de la famille royale britannique, un membre de première année du Congrès et d'autres pensent que l'Armageddon se produira bien avant 2050. Mais nous ignorerons les célébrités apocalyptiques pour le moment et concentrer cette discussion sur la dépendance des alarmistes sur les modèles informatiques.
Ces modèles sont représentés par ce que l'ONU appelle les modèles de circulation générale (MCG). Il en existe plus de 100, principalement produites au début des années 80. Jusqu'à présent, ils se sont révélés être d'une erreur spectaculaire, surestimant considérablement l'augmentation des températures mondiales observées. Presque dès leur création, ces prédictions ont manqué de données satellitaires, qui ont remplacé les thermomètres terrestres qui, pendant des années, avaient été «ajustés» (truqués) par des scientifiques de la NOAA et d'autres organisations officielles afin de soutenir le mouvement mondial créé par l'homme. récit chaleureux.
The UN, its sister agency, the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) et l'Environmental Protection Agency (EPA) estiment que ces projections informatiques sont correctes. Après tout, ils ont été produits par les meilleurs scientifiques de leur domaine, n'est-ce pas ?
Le gaz carbonique d'origine humaine doit donc être réduit. Mais combien de réduction suffit-il pour sauver la planète ? Certains True Believers préconisent des taxes sur le «carbone» (True Believer - pour le gaz carbonique), qui pourraient réduire le gaz carbonique artificiel de 50% aux États-Unis d'ici 2050. D'autres True Believers soutiennent que la réduction doit être de 100%. De plus, pour éviter véritablement une «crise climatique», cette réduction doit intervenir immédiatement.
Cette réduction pourrait être réalisée, soutiennent Tue Believers, par l'élimination totale de l'utilisation des combustibles fossiles pour le transport, l'électricité, la fabrication, l'agriculture et la construction de bâtiments.
Par conséquent, afin de réaliser cette réduction maintenant, il ne peut plus y avoir de camions, de voitures ou de tracteurs fonctionnant aux combustibles fossiles. Plus de centrales électriques au charbon, au gaz naturel ou au pétrole. Plus de bâtiments, de matériel agricole et même de pailles en plastique, comme nous les connaissons.
Mais quel impact un tel scénario - aussi physiquement, pratiquement, politiquement et fiscalement impossible qu'il puisse paraître - aurait-il réellement sur la température mondiale ?
Nous sommes heureux que vous ayez posé cette question.
Tout comme avec les modèles de circulation générale, l'ONU et le gouvernement américain ont développé un modèle informatique conçu pour nous donner la réponse. Le nom de ce modèle est le modèle d'évaluation des changements climatiques induits par les gaz à effet de serre - MAGICC. (Nous n'inventons rien.) MAGICC a été développé par une agence du gouvernement américain appelée NCAR - le National Center for Atmospheric Research - la même agence qui fournit au IPCC les modèles informatiques qu'il utilise pour soutenir les GCM. Situé à Bethesda, MD, NCAR est l'agence de référence pour le gouvernement américain et les modélisateurs climatiques du IPCC pour déterminer l'impact du gaz carbonique sur le climat mondial.
RépondreSupprimerDe plus, le modèle MAGICC prévoit quel serait exactement l'impact sur la température de la Terre si les États-Unis, ou toute autre subdivision politique sur Terre, cessaient de brûler tous les combustibles fossiles maintenant - pas à un moment lointain dans le futur.
Des scientifiques et des experts en données de la Heritage Foundation, dirigés par Kevin Dayaratna, statisticien principal et programmeur de recherche, ont analysé les chiffres à l'aide du modèle MAGICC et saisi les mêmes données de température et de gaz carbonique utilisées par le IPCC pour obtenir les résultats.
Voici la réponse.
Quelles que soient les hypothèses utilisées pour la quantité ou l'augmentation du gaz carbonique généré par les combustibles fossiles aux États-Unis, de petites quantités à de très grandes, l'élimination complète de tous les combustibles fossiles aux États-Unis ne ferait que restreindre immédiatement toute augmentation de la température mondiale de moins de un dixième d'un degré Celsius d'ici 2050 et moins d'un cinquième d'un degré Celsius d'ici 2100.
Quelle ? Répète ça. Si les États-Unis éliminaient demain toute utilisation de combustibles fossiles, cela n'aurait pratiquement aucun impact mesurable sur la température mondiale.
Cela signifie donc que si les États-Unis développaient une sorte de taxe sur le carbone qui réduirait l'utilisation des combustibles fossiles, par exemple, de 50% d'ici 2050, cela aurait encore moins d'impact sur la température mondiale que si toute utilisation de combustibles fossiles était éliminée immédiatement.
Whoa. Arrête toi là. Quelque chose ne va pas avec ce modèle. Le patrimoine doit avoir mal interprété les sensibilités du modèle. NCAR doit se tromper. L'impact ne pouvait vraiment pas être aussi minuscule.
En fait, non, non, non et oui. Rien n'est mal avec les entrées ou le modèle, et rien n'est mal avec la conclusion qu'il atteint.
Donc, tout cet engouement pour le Congrès au sujet de la législation nécessaire pour réduire la consommation de combustibles fossiles est vraiment très simple pour rien. Les États-Unis pourraient, en fait, avoir une politique de ne rien faire pour les combustibles fossiles, et la température de la Terre serait toujours la même que si nous adoptions une législation éliminant tous les combustibles fossiles - ce qui, par coïncidence, aurait pour effet de détruire notre mode de vie moderne.
Pourquoi personne n’a-t-il dit cela au Congrès auparavant ? Se pourrait-il que les vrais croyants déterminés par l'agenda aient quelque chose à cacher ?
Cela semble sûr de cette façon. MAGICC n'est jamais mentionné par les True Believers. MAGICC est ignoré par les rassemblements de décideurs à Amsterdam, Paris et Madrid. MAGICC est enterré dans une énorme pile de données du IPCC.
RépondreSupprimerMais si l'on croit au MAGICC, le Congrès pourrait peut-être maintenant cesser de s'inquiéter autant du changement climatique et se concentrer sur des problèmes réels - comme l'immigration, l'économie, les taxes, l'éducation, la pauvreté et des problèmes similaires - des questions pour lesquelles il pourrait réellement faire quelque chose.
Et peut-être que les adultes qui manipulent et exploitent sans vergogne une certaine suédoise de seize ans peuvent lui permettre de retourner à l'école et obtenir l'éducation dont elle a si clairement besoin.
En bref, MAGICC fait sauter l'argument de l'élimination immédiate des combustibles fossiles aux États-Unis, et même de l'élimination progressive par une taxe sur le carbone, de l'eau.
https://www.cfact.org/2020/03/03/eliminate-fossil-fuels-now-u-s-climate-model-says-why-bother/
Les gouvernements saisissent une propriété privée pour des pistes cyclables
RépondreSupprimerPar Bonner Cohen, Ph. D.
3 mars 2020
"Penser globalement agir localement."
Cette phrase désormais à la mode est attribuée au biologiste, sociologue et urbaniste écossais Patrick Geddes (1854-1932). Geddes a en fait utilisé les mots «penser local, agir localement», mais la version moderne du concept qu'il a proposé il y a plus d'un siècle sert désormais les objectifs ambitieux d'activistes environnementaux et d'urbanistes désireux de transformer les villes en oasis vertes.
Non content de parcs urbains attrayants et de rues bordées d'arbres, un nombre croissant de gouvernements locaux - travaillant souvent avec des «commissions» non élues - se tournent vers la saisie de la propriété privée par le biais d'un domaine éminent afin de signaler leur engagement envers une planète plus verte.
Dans le comté de Mahoning, en Ohio, un district de parc local veut convertir une voie ferrée abandonnée en piste cyclable récréative. Mais la ligne de chemin de fer traverse une douzaine de fermes dont les propriétaires ne sont naturellement pas fous de l'idée d'avoir de parfaits inconnus à vélo sur leur terre. Lorsque les agriculteurs ont fait part de leur mécontentement, Mill Creek MetroParks, un organisme public dirigé par cinq commissaires non élus, a décidé d'invoquer un domaine éminent pour obtenir le droit de passage pour la piste cyclable. La décision des commissaires a tellement mis en colère le représentant de l’État Don Manning (R) qu’il a présenté un projet de loi restreignant fortement l’utilisation du domaine éminent dans l’Ohio.
Dans le Wall Street Journal (du 15 au 16 février), Steve Malanga souligne que «la pratique du gouvernement de prendre des terres à des fins récréatives - généralement, des pistes cyclables, des pistes cyclables et des« sentiers ferroviaires »et« voies vertes »à la mode est se propager à travers le pays, marquant une expansion forte et troublante du domaine éminent. La clause Takings du cinquième amendement de la Constitution accorde au gouvernement le pouvoir de saisir une propriété privée pour un usage public, tant que le gouvernement paie «juste compensation» au propriétaire.
Définition élargie d '«usage public»
Au fil des ans, la Cour suprême a autorisé «l'utilisation publique» pour couvrir un nombre toujours croissant de projets. Le cas le plus tristement célèbre a été la décision Kelo de 2005 dans laquelle la haute cour a confirmé la saisie de la maison au bord de l'eau de Susette Kelo par la ville de New London, dans le Connecticut, afin qu'un développeur puisse construire des condos haut de gamme et un hôtel sur sa propriété. Quant à l '«usage public» devant être servi par la saisie, il s'agirait de l'augmentation des valeurs immobilières et de l'augmentation des recettes fiscales que le réaménagement produirait. L'accord immobilier a finalement échoué, et les condos chics et l'hôtel n'ont jamais été construits, mais Mme Kelo a toujours perdu sa maison.
La définition approximative de «l'utilisation publique» a encouragé l'accaparement des terres à travers le pays, les pistes cyclables étant présentées comme des exemples parfaits de la quantité de bien pouvant provenir d'un domaine éminent. Les pistes cyclables «sont de plus en plus utilisées comme moyen de transport non récréatif, en particulier par les résidents à faible revenu sans accès à un véhicule à moteur», a déclaré Jason Segedy, directeur de la planification et du développement urbain d'Akron, Ohio, en opposition au projet de loi de la représentante Manning.
Valeurs des propriétés diminuées
RépondreSupprimerMalanga cite l'exemple de responsables de Sioux City, dans l'Iowa, qui ont cherché à terminer un sentier récréatif en bord de rivière en 2017 en offrant au propriétaire la moitié de ce qu'une commission de comté indépendante a déterminé que la propriété valait. Lorsque le propriétaire a refusé «l'offre», les autorités de la ville ont invoqué un domaine éminent. Le propriétaire a intenté une action en justice et l'affaire est en suspens depuis plus de deux ans.
Ensuite, il y a Swampscott, dans le Massachusetts, où des responsables de la banlieue nord de Boston veulent construire un sentier de 2 milles à travers la propriété de plus de deux douzaines de propriétaires. Les saisonniers de l'hôtel de ville sont armés d'un financement dédié de 850 000 $ pour le sentier, qui comprend de l'argent pour les saisies de domaines éminents. Les propriétaires, cependant, ripostent, et 28 d'entre eux ont engagé l'avocat Peter E. Flynn pour les défendre contre les abus de domaine éminents.
"Il y a des propriétés le long de ce chemin dont les valeurs pourraient être considérablement diminuées", a déclaré Malanga, citant Flynn. «Les jurys ont tendance à être sympathiques aux propriétaires fonciers s'ils peuvent se permettre de défendre une affaire comme celle-ci devant les tribunaux, et j'ai vu des sentences judiciaires qui peuvent faire exploser le budget d'une ville.»
Comme le montre clairement le témoignage du responsable d'Akron, les partisans des abus dans les domaines éminents se réjouissent de citer de nobles idéaux pour justifier la saisie d'une propriété privée.
Construction sans fin de porte-vélos
Et quand ils n'accaparent pas de terres pour les pistes cyclables, ils donnent de l'argent aux contribuables sur des supports à vélos. WJLA TV, de Washington D.C., rapporte que Metro, le système de métro de la région métropolitaine, a dépensé 3,8 millions de dollars pour deux supports à vélos inachevés au cours des cinq dernières années. Metro avait initialement prévu 600 000 $ pour chaque rack, mais le prix a grimpé à 1,9 million de dollars chacun. Les abris à vélos couverts de deux stations de métro abriteront 92 vélos, ce qui porte le prix à plus de 20 000 $ par vélo. Le projet entre dans sa sixième année et personne ne peut dire quand il sera achevé et combien il en coûtera finalement.
Il n'y a rien de noble à penser à l'échelle mondiale et à agir localement quand cela permet aux autorités locales de s'en prendre aux droits et à l'argent des gens.
https://www.cfact.org/2020/03/03/governments-seizing-private-property-for-bike-paths/
Un modèle informatique de traitement du visage pourrait révéler comment le cerveau produit des représentations visuelles riches en détails si rapidement
RépondreSupprimer5 MARS 2020
par Anne Trafton,
Massachusetts Institute of Technology
Un nouveau modèle de vision
Les scientifiques cognitifs du MIT ont développé un modèle informatique de reconnaissance faciale qui effectue une série de calculs qui inversent les étapes qu'un programme d'infographie utiliserait pour générer une représentation 2D d'un visage.
Lorsque nous ouvrons les yeux, nous voyons immédiatement notre environnement dans les moindres détails. Comment le cerveau est capable de former si rapidement ces représentations du monde riches en détails est l'un des plus grands casse-tête non résolus de l'étude de la vision.
Les scientifiques qui étudient le cerveau ont essayé de reproduire ce phénomène en utilisant des modèles informatiques de vision, mais jusqu'à présent, les modèles de pointe n'effectuent que des tâches beaucoup plus simples telles que sélectionner un objet ou un visage sur un fond encombré. Maintenant, une équipe dirigée par des scientifiques cognitifs du MIT a produit un modèle informatique qui capture la capacité du système visuel humain à générer rapidement une description détaillée de la scène à partir d'une image, et offre un aperçu de la façon dont le cerveau y parvient.
"Ce que nous essayions de faire dans ce travail est d'expliquer comment la perception peut être tellement plus riche que de simplement attacher des étiquettes sémantiques sur des parties d'une image, et d'explorer la question de savoir comment nous voyons tout le monde physique", explique Josh. Tenenbaum, professeur de sciences cognitives computationnelles et membre du laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (CSAIL) et du Center for Brains, Minds, and Machines (CBMM).
Le nouveau modèle postule que lorsque le cerveau reçoit une entrée visuelle, il effectue rapidement une série de calculs qui inversent les étapes qu'un programme d'infographie utiliserait pour générer une représentation 2D d'un visage ou d'un autre objet. Ce type de modèle, connu sous le nom de graphiques inverses efficaces (EIG), est également en bonne corrélation avec les enregistrements électriques de régions sélectives pour le visage dans le cerveau de primates non humains, ce qui suggère que le système visuel des primates peut être organisé de la même manière que le modèle informatique. , disent les chercheurs.
Ilker Yildirim, un ancien post-doctorant du MIT qui est maintenant professeur adjoint de psychologie à l'Université de Yale, est l'auteur principal de l'article, qui paraît aujourd'hui dans Science Advances. Tenenbaum et Winrich Freiwald, professeur de neurosciences et de comportement à l'Université Rockefeller, sont les principaux auteurs de l'étude. Mario Belledonne, étudiant diplômé à Yale, est également auteur.
Graphiques inversés
Des décennies de recherche sur le système visuel du cerveau ont étudié en détail comment l'apport de lumière sur la rétine est transformé en scènes cohérentes. Cette compréhension a aidé les chercheurs en intelligence artificielle à développer des modèles informatiques qui peuvent reproduire des aspects de ce système, tels que la reconnaissance de visages ou d'autres objets.
"La vision est l'aspect fonctionnel du cerveau que nous comprenons le mieux, chez l'homme et les autres animaux", explique Tenenbaum. "Et la vision par ordinateur est l'un des domaines les plus réussis de l'IA à ce stade. Nous tenons pour acquis que les machines peuvent désormais regarder les images et reconnaître très bien les visages, et détecter d'autres types d'objets."
RépondreSupprimerCependant, même ces systèmes sophistiqués d'intelligence artificielle ne se rapprochent pas de ce que le système visuel humain peut faire, dit Yildirim.
"Notre cerveau ne détecte pas simplement qu'il y a un objet là-bas, ni ne reconnaît et met une étiquette sur quelque chose", dit-il. "Nous voyons toutes les formes, la géométrie, les surfaces, les textures. Nous voyons un monde très riche."
Il y a plus d'un siècle, le médecin, physicien et philosophe Hermann von Helmholtz a émis l'hypothèse que le cerveau crée ces riches représentations en inversant le processus de formation de l'image. Il a émis l'hypothèse que le système visuel comprend un générateur d'images qui serait utilisé, par exemple, pour produire les visages que nous voyons pendant les rêves. Faire fonctionner ce générateur à l'envers permettrait au cerveau de travailler en arrière à partir de l'image et de déduire quel type de visage ou d'autre objet produirait cette image, disent les chercheurs.
Cependant, la question restait: comment le cerveau pouvait-il exécuter ce processus, connu sous le nom de graphiques inverses, si rapidement? Les informaticiens ont essayé de créer des algorithmes qui pourraient réaliser cet exploit, mais les meilleurs systèmes précédents nécessitent de nombreux cycles de traitement itératif, prenant beaucoup plus de temps que les 100 à 200 millisecondes dont le cerveau a besoin pour créer une représentation visuelle détaillée de ce que vous voyez. Les neuroscientifiques croient que la perception dans le cerveau peut se dérouler si rapidement, car elle est mise en œuvre dans un passage principalement à action directe à travers plusieurs couches hiérarchiquement organisées de traitement neuronal.
L'équipe dirigée par le MIT a entrepris de créer un type spécial de modèle de réseau de neurones profond pour montrer comment une hiérarchie neuronale peut rapidement déduire les caractéristiques sous-jacentes d'une scène - dans ce cas, un visage spécifique. Contrairement aux réseaux de neurones profonds standard utilisés en vision par ordinateur, qui sont formés à partir de données étiquetées indiquant la classe d'un objet dans l'image, le réseau des chercheurs est formé à partir d'un modèle qui reflète les représentations internes du cerveau de ce que les scènes avec des visages peuvent ressembler.
Leur modèle apprend ainsi à inverser les étapes d'un programme d'infographie pour générer des visages. Ces programmes graphiques commencent par une représentation tridimensionnelle d'un visage individuel, puis la convertissent en une image bidimensionnelle, vue d'un point de vue particulier. Ces images peuvent être placées sur une image d'arrière-plan arbitraire. Les chercheurs théorisent que le système visuel du cerveau peut faire quelque chose de similaire lorsque vous rêvez ou évoquez une image mentale du visage de quelqu'un.
Les chercheurs ont formé leur réseau neuronal profond pour effectuer ces étapes à l'envers, c'est-à-dire qu'il commence avec l'image 2D et ajoute ensuite des fonctionnalités telles que la texture, la courbure et l'éclairage, pour créer ce que les chercheurs appellent une représentation "2.5D" . Ces images 2.5D spécifient la forme et la couleur du visage d'un point de vue particulier. Celles-ci sont ensuite converties en représentations 3D, qui ne dépendent pas du point de vue.
"Le modèle rend compte au niveau des systèmes du traitement des visages dans le cerveau, lui permettant de voir une image et finalement d'arriver à un objet 3D, qui comprend des représentations de forme et de texture, à travers cette étape intermédiaire importante d'un 2.5 Image D, "dit Yildirim.
RépondreSupprimerPerformances du modèle
Les chercheurs ont découvert que leur modèle est cohérent avec les données obtenues en étudiant certaines régions du cerveau de singes macaques. Dans une étude publiée en 2010, Freiwald et Doris Tsao de Caltech ont enregistré l'activité des neurones dans ces régions et analysé comment ils ont répondu à 25 visages différents, vus de sept points de vue différents. Cette étude a révélé trois étapes de traitement de visage de niveau supérieur, qui, selon l'équipe du MIT, correspondent désormais à trois étapes de leur modèle graphique inverse: en gros, une étape dépendante du point de vue 2,5D; une scène qui fait le pont entre 2,5 et 3-D; et un stade de représentation du visage invariant en 3D.
"Ce que nous montrons, c'est que les propriétés de réponse à la fois quantitatives et qualitatives de ces trois niveaux du cerveau semblent s'accorder remarquablement bien avec les trois premiers niveaux du réseau que nous avons construit", a déclaré Tenenbaum.
Les chercheurs ont également comparé les performances du modèle à celles des humains dans une tâche qui implique de reconnaître les visages de différents points de vue. Cette tâche devient plus difficile lorsque les chercheurs modifient les visages en supprimant la texture du visage tout en préservant sa forme ou en déformant la forme tout en préservant la texture relative. Les performances du nouveau modèle étaient beaucoup plus similaires à celles des humains que les modèles informatiques utilisés dans les logiciels de reconnaissance faciale de pointe, preuve supplémentaire que ce modèle pourrait être plus proche de l'imitation de ce qui se passe dans le système visuel humain.
Les chercheurs prévoient maintenant de continuer à tester l'approche de modélisation sur des images supplémentaires, y compris des objets qui ne sont pas des visages, pour déterminer si des graphiques inverses pourraient également expliquer comment le cerveau perçoit d'autres types de scènes. De plus, ils pensent que l'adaptation de cette approche à la vision par ordinateur pourrait conduire à des systèmes d'IA plus performants.
"Si nous pouvons montrer que ces modèles peuvent correspondre à la façon dont le cerveau fonctionne, ce travail pourrait amener les chercheurs en vision par ordinateur à prendre plus au sérieux et à investir plus de ressources d'ingénierie dans cette approche graphique inverse de la perception", a déclaré Tenenbaum. "Le cerveau est toujours la référence pour tout type de machine qui voit le monde rapidement et richement."
https://techxplore.com/news/2020-03-reveal-brain-richly-visual-representations.html