Pour une question de sécurité nationale, il est vital de mettre en état de fonctionnement tous les moyens de production destinés à fournir de l’électricité en cas de difficulté majeure.
Par Jean-Louis Bultré.
21 MARS 2020
Nous sommes en guerre, a déclaré le président Emmanuel Macron tandis que l’épidémie due au coronavirus progresse chaque jour en France.
Une électricité abondante et fiable est vitale pour la sécurité de notre pays et elle ne saurait être fournie par des moyens intermittents tels que des éoliennes dont les résultats dépendent uniquement du vent.
Avant-hier à 17 heures, les 8000 éoliennes que compte notre pays et qui totalisent une puissance nominale de plus de 13 000 MW ont fourni 759 MW, soit 1 % du total de l’ensemble de production totale de l’électricité, contre 64 % pour le nucléaire, 13 % pour les barrages et bien loin des 11 % pour les centrales thermiques.
EDF a déclenché son plan pandémie à la centrale de Flamanville dans le Cotentin, un des foyers du virus. Le groupe a annoncé qu’il étudiait actuellement la possibilité de mettre en place des équipes réservistes pour déployer ce plan sur d’autres centrales et barrages si nécessaires dans les prochains jours.
Hier jeudi 19 mars 2020 EDF a publié un nouveau communiqué déclarant que la centrale nucléaire de Gravelines était prête à faire face :
« Pour la centrale nucléaire de Gravelines, c’est vital. Le scénario d’une épidémie existe à la centrale nucléaire de Gravelines, la plus grosse d’Europe occidentale, avec ses six réacteurs.
Il permet de fonctionner pendant douze semaines, avec un quart du personnel en moins et, en cas d’aggravation de la crise sanitaire, avec 40 % d’absents, pendant au moins deux semaines. Et la centrale peut anticiper, en mettant à l’abri des personnels, en les laissant chez eux en cas de besoins futurs.
Le but est de continuer à produire de l’électricité, tout en maintenant le programme de travaux obligatoires sur les réacteurs. Ainsi la tranche 2 doit être arrêtée pour rechargement de combustible dans les jours à venir. Concrètement, EDF a surtout besoins d’agents de maintenance et de conduite. En temps normal, il y a 7 équipes fonctionnant en quart, qui peuvent passer à 2, en mode très dégradé. »
Toutes ces informations concordantes mettent en évidence que la sécurité du fonctionnement de 57 réacteurs nucléaires EDF situés sur 19 sites pourrait se dégrader du fait de la diminution du nombre des équipes habilitées assurant leur fonctionnement en 5 x 8.
Pour EDF organiser le télétravail à partir d’un ordinateur domestique relié par une liaison internet, pour beaucoup de ses salariés est possible.
Par contre il ne semble pas imaginable de pouvoir piloter un réacteur nucléaire à distance pour assurer la fourniture d’électricité au pays.
Pour une question de sécurité nationale, il est donc désormais vital de mettre en état de fonctionnement tous les moyens de production destinés à fournir de l’électricité en cas de difficulté majeure.
Le réacteur n° 1 de la centrale de Fessenheim doit être remis en fonctionnement et le processus de fermeture du second réacteur doit être suspendu pour permettre d’assurer 1700 MW fiables en cas de pénurie électrique majeure.
EOLIENNES BIDON OU SANTÉ BÉTON ?
RépondreSupprimerpar LUDOVIC GRANGEON
16/03/2020
La France a déjà dépensé 120 milliards d'euros dans les éoliennes.
Pendant la construction de 8000 éoliennes en France, terrible échec industriel, le budget de la santé a subi 8 milliards de crédits supprimés, 100 000 lits fermés, 95 services d’urgence éliminés, la moitié des maternités rayées de la carte. La comparaison est insupportable.
Le « grand mensonge » aux Français
Après trois ans de crise grave sanitaire et maintenant le coronavirus fatal, c'est le choix budgétaire de l’Etat qui est malade : seulement 25 % des éoliennes coûtent autant que la remise à niveau de la totalité de notre système de santé, estimée à 30 milliards minimum. Et si le résultat avait été au rendez vous, mais ce n'est pas le cas. La France a englouti 120 milliards dans une solution gadget qui prétendait remplacer le nucléaire : les éoliennes. Après avoir dépensé un coût faramineux égal à toutes les autres énergies, les éoliennes ne fournissent que ce ridicule 5% de l’électricité française, seulement 1 jour sur 5, et elles ont renchéri les tarifs de l’électricité de 35%, pour rien.
La commission parlementaire d’enquête la plus importante des 20 dernières années (Aubert- Meynier Millefert) l’a bien démontré en 2019, y compris au sein de la majorité présidentielle qui a très sévèrement interpellé le dernier congrès de France Energie Eolienne fin 2019, en soulignant ce « mensonge » aux Français. Emmanuel Macron lui mêrme a repris le message à Pau en janvier 2020 en soulignant que nous arrivions au bout de cette logique absurde. La colère gronde.
Dans le même temps, sous prétexte de rationalisation, les hôpitaux et le secteur sanitaire français subissaient les coupes les plus sévères de leur histoire. Le plan miracle 2019 a fait flop, goutte d’eau dans la mer. De froids technocrates comptables ont pris le pouvoir invisible dans les hôpitaux en y introduisant l’inhumain. Souvent leurs choix budgétaires à court terme aggravent les dépenses au lieu de les réduire par leur incohérence. Non seulement les budgets subissent chaque année des diminutions sévères, mais en plus les fermetures d’établissements de proximité se multiplient, avec des temps de trajets insensés et même dangereux. La santé est désormais rationnée par le nombre de médecins, les lits hospitaliers, les pharmacies, les équipements, les rendez vous interminables qui arrivent trop tard. 1 français sur 6 se voit contraint de se faire soigner à l’étranger. Le secteur psychiatrique est à l’agonie au niveau des pays les plus reculés, dans l’indifférence générale avec de multiples incidents graves. La gestion des handicapés est médiocre.
Pendant le naufrage de la santé, les promoteurs éoliens font fortune grâce à des crédits publics
Dans le même temps, pour des raisons politiciennes, des opérations financières peu claires, des campagnes de communication sans lendemains, des sommes considérables ont été détournées pour les éoliennes au détriment des postes essentiels de la nation : Défense, Santé, Moyens de secours, Ponts et Chaussées. Le même problème existe avec les pompiers, la police, l’agriculture, et qui se souvient encore de la démission du chef d’état major des armées en raison des suppressions budgétaires ? Qui constate que plus de 2000 chefs de services de santé ont officiellement démissionné de leur poste à ce jour ? Qui compte les suicides de policiers, d'agriculteurs, et maintenant de médecins ? Même dans les milieux écologistes, nombreux sont ceux qui dénoncent le gâchis total de cette politique sous influence, comme Antoine Waechter, par exemple, ancien candidat des Verts à l'élection présidentielle, ou Delphine Batho, ancienne ministre, qui dénonce les travers financiers de ce secteur, déçue d'y avoir cru un instant.
RépondreSupprimerBien pire, ces investissements publics ont été captés par quelques lobbies financiers qui ont fait les choux gras de quelques individus et de fonds de pension obscurs. Des fortunes par centaines de millions ont été financées directement par le contribuable et les ménages. Des capitaux publics ont été exportés par milliards dans des paradis fiscaux avec un record de 27 milliards au Luxembourg pour Engie, dont l'Etat est actionnaire. Cette seule opération d'Engie équivaut à un plan de secours entier du système de santé ....La fortune personnelle du dirigeant fondateur d'EDF énergies nouvelles est considérable à plus d'un milliard, et logée à l'étranger. La banque egyptienne impliquée dans la corruption du Président Moubarak, comme le confirme le Financial Times, détient majoritairement les éoliennes de l'un des plus importants promoteurs français. Lorsque les taxes de l’électricité ne suffisaient plus pour combler le trou des éoliennes, quelques officines d'influence des ministères ont susurré de trouver le financement par le biais des carburants et cette astuce a produit... la crise des gilets jaunes...
Depuis trois ans, l’hôpital est en crise profonde. Le coronavirus donne le coup de grâce. Les chefs de service dénoncent unanimes le désarroi de leur personnel, le délabrement de leurs locaux et de leurs outils de travail. Les jeunes médecins n’en peuvent plus d’être exploités à mort par un système qui ne respecte pas la réglementation du travail et les paie avec des salaires de misère. 660 000 infirmières soutiennent le système par une présence héroïque qui ne tient qu’à leur dévouement, malgré l’épuisement, l'absurdité administrative, les sous effectifs permanents, et des salaires ridicules. Les agents techniques, les aides soignants bouchent les fuites comme ils peuvent dans des navires en perdition. Tout cela ne serait que du vent ?
http://www.economiematin.fr/news-eoliennes-energie-arnaque-sante-danger-france-grangeon
ASSISTEZ VOUS-MÊMES A VOS OBSÈQUES ! OUI C'EST POSSIBLE ! CON-FINEZ-VOUS ! (Faites vous exhumer en 2022 !)
RépondreSupprimerCONFINEMENT : PAS DE SORTIE AVANT 2022 ?
par LUDIVINE CANARD
20/03/2020
Si le pays appliquait 18 mois de confinement, le taux de décès pourraient être réduit de 50%
L’Italie a annoncé hier le prolongement du confinement au-delà du 3 avril et il est « probable » que le gouvernement français fasse de même. Et si nous étions obligés de rester enfermé chez nous jusqu’en 2022 ?
On va devenir fou !
Nous ne sommes qu’au quatrième jour et vous en avez déjà marre d’être enfermé chez vous ? Après les annonces du président de République, vous pensiez revoir vos amis, vos collègues de travail et même votre patron (non, il ne faut pas exagérer) d’ici quinze jours ? Et bien préparez-vous, car vous n’êtes pas prêt de sortir.
C’est en tout cas ce qu’estiment des experts britanniques de l’Imperial College de Londres. Selon eux, il faudrait maintenir les mesures de confinement pendant 18 mois ou plus. Oui oui, dix-huit mois, vous avez bien lu, ce n’est pas une faute de frappe, 547 jours ou 13.128 heures ou 787.680 minutes.
Selon l'étude, cette mesure permettrait aux scientifiques de trouver un vaccin contre le covid-19. Même si une vingtaine de projets sont en cours à travers le monde, ils ne seraient pas disponibles et commercialisés avant un ou deux ans…, selon les meilleures estimations…
Le confinement, la solution optimale
Rester confiné pendant un an et demi soulève de nombreuses problématiques : Que faire des professions pour lesquelles le télétravail est impossible ? Comment assurer une continuité dans l’éducation ? Comment garantir la sécurité de tous tout en préservant les libertés individuelles ?
Nous ne sommes pas prêts et pourtant, c’est la meilleure solution. « Nous constatons que des politiques d’atténuation optimales (qui associent l’isolement à domicile des cas présumés, la mise en quarantaine, la distanciation sociale) pourraient réduire de 2/3 la demande en soins de santé et de moitié le nombre de décès», détaillent les experts britanniques dans la synthèse de leur rapport.
Bon, histoire que personne ne tombe en dépression, sachez qu’en Chine les mesures de confinement strict n'ont été appliquées "que" durant six semaines. Le pays a récencé pour deuxième journée consécutive, aucune nouvelle contamination locale. Les mesures de confinements sont donc peu à peu levées. Mais le pays ne semble pas pour autant être tiré d’affaire.
http://www.economiematin.fr/news-confinement-coronavirus-prolongement-2022-sortie-enfermement
Compte tenu qu'il faudrait que chacun habite à au moins 1 kilomètre d'une autre personne (et que certaines familles tiendraient tout un département !) et que nous n'avons que:
Supprimer7 hectares 8.476 m²/hab.
https://huemaurice5.blogspot.com/2012/07/7-hectares-8476-mhab.html
il est donc NÉCESSAIRE d'éclaircir ce nombre trop nombreux en chiffres, d'où la bonne idée de Bill Gates "Faut que nous ne soyons que 500 000 personnes sur Terre !"
Bon, j'espère que maintenant vous avez compris !
ABSURDE : LE PREMIER TOUR DES MUNICIPALES N'AURA DONC SERVI À RIEN
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
20/03/2020
Le taux d'abstention aux municipales 2020 a été de 55,25%.
Dans cette crise du coronavirus Covid-19, tout paraît absurde et surréaliste. La situation, que personne n’avait vue venir et qui est digne d’un film de science-fiction, la gestion de crise, les décisions de l’État. Mais le jeudi 19 mars 2020, c’est un tout autre niveau d’absurdité qui vient d’être franchi par le gouvernement : le premier tour des municipales… n’aura servi à rien.
Les municipales : ce scrutin qu’il fallait absolument maintenir
Alors que de nombreux médecins et spécialistes, ainsi que des élus un peu partout en France, estimaient que le premier tour des élections municipales 2020 devait être annulé du fait de la crise du coronavirus Covid-19, le gouvernement l’a maintenu l’estimant nécessaire. Résultat : une abstention record, une polémique et, surtout, des Français qui n’ont pas compris le message.
Le 14 mars 2020, Édouard Philippe a en effet demandé aux Français de « rester chez eux », mais également d’aller voter. Paradoxal, incompréhensible… les Français se sont donc retrouvés au parc. Un choix bien peu judicieux. Mais le gouvernement leur a quand même dit de sortir (pour aller voter) et de ne pas sortir (parce qu’il y a une crise sanitaire).
Le premier tour s’est donc déroulé malgré tout, et 30.000 maires ont été élus directement recueillant plus de 50% des voix.
Édouard Philippe interdit les conseils municipaux
Toute élection municipale en France est suivie d’un conseil municipal d’installation où le conseil fraîchement élu nomme officiellement le maire. Car on élit une liste, pas une personne.
Or, jeudi 19 mars 2020, Édouard Philippe a interdit la tenue de ces conseils municipaux pour la simple raison que les réunions sont interdites en France du fait du coronavirus Covid-19. Ainsi faisant, il rend totalement inutile le premier tour des municipales.
Les équipes municipales actuelles voient leur mandat être prolongé jusqu’en mai 2020, décision qui aurait très bien pu être prise avant le premier tour pour éviter de faire sortir les Français dans la rue et dans les bureaux de vote.
En somme, le premier tour des élections municipales 2020 n’a servi à rien, à part à répandre un peu plus le virus. Le gouvernement risque de devoir s’expliquer à ce sujet…
http://www.economiematin.fr/news-mucnicipales-2020-inutile-coronavirus-philippe-conseil-election-vote-decision-gouvernement
Comment se faire élire (gagner) par forfait ? Tout simple !
SupprimerSe poser une couronne sur la tête et se nommer chef de tout l'Univers jusqu'à la dernière étoile visible y compris les trous noirs !
Bon, çà y est çà c'est fait. Après ?
Après on envoie des factures à tout le monde autour comme quoi faut raquer pour oser marcher et tasser la terre (Taxe au kilo ?), raquer aussi d'oser respirer de l'air pur et de le transformer en poison mortel violent hégémonique !
Des recherches établissent si le coronavirus peut circuler dans l’air
RépondreSupprimer08:38 21.03.2020
Une étude publiée mardi 17 mars a suscité encore davantage d’inquiétudes concernant le Sars-CoV-2. En effet, des chercheurs ont indiqué qu’il était «plausible» que le coronavirus survive dans l’air, et ce pendant au moins trois heures. Il convient toutefois de rester prudent face à cette conclusion.
Le coronavirus peut survivre plusieurs heures voire plusieurs jours sur certaines surfaces comme le plastique, le métal ou le carton. Mais une étude américaine, menée par des scientifiques des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), de l’Université de Californie à Los Angeles et de Princeton, a conclu qu’il pouvait même rester jusqu’à trois heures dans l’air, sous forme d’aérosol.
Des résultats qui pourraient remettre en cause le mode de transmission du Sars-CoV-2, mais qui sont quand même à prendre avec des pincettes. En effet, la façon dont a été menée cette expérience ne reflète pas la réalité. «C’est une étude vraiment intéressante, à creuser, mais elle est aussi très très hypothétique» a indiqué au Parisien la virologue Marie-Paule Kieny, ancienne sous-directrice générale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
En effet, les chercheurs ont diffusé des particules du virus à l’aide d’un brumisateur, et ont ainsi détecté des particules dans l’air jusqu’à trois heures après. Selon le microbiologiste Philippe Sansonetti, également interrogé par le quotidien francilien, les gouttelettes rejetées par toux ou éternuement sont trop volumineuses pour rester dans l’air aussi longtemps, et devraient chuter en quelques secondes. «Trois heures, ce serait dans une pièce totalement confinée, sans ventilation, comme certaines chambres d'hôpital», a souligné son collègue Jean-Claude Manuguerra.
Toujours garder ses distances et se laver les mains
Bien que l’étude, de l’aveu même de ses auteurs, doive être interprétée avec prudence, les résultats confirment la nécessité de garder une distance de deux mètres avec autrui. «Et à ne pas oublier que les aérosols vont ensuite se déposer sur des surfaces que l'on va toucher… d'où l'importance de se laver les mains», a rappelé Marie-Paule Kieny.
Concernant le port du masque, il reste indispensable pour éviter de transmettre le virus par toux ou éternuement. Pour ceux qui ne sont pas contaminés, il pousse notamment à moins se toucher le visage, mais rien ne prouve qu’il puisse stopper à lui seul une contamination par aérosol, a conclu l’experte.
https://fr.sputniknews.com/sante/202003211043346931-des-recherches-etablissent-si-le-coronavirus-peut-circuler-dans-lair/
Supprimer(...) En effet, des chercheurs ont indiqué qu’il était «plausible» que le coronavirus survive dans l’air, (...)
Alors qu'il aurait dû être étouffé, suffoqué, bref ASSASSINÉ par le gaz carbonique s'il sortait de chez lui où il n'y a pas d'air (virux extraterrestre), le voilà t'y pas qu'il se promène dehors SANS AUTORISATION !! et prend aussi le métro, l'avion mais, n'entre pas à l'Elysée ! Âh bêh merde alors !
Le Financial Times évoque «une anomalie du coronavirus» en Allemagne
RépondreSupprimer12:12 21.03.2020
Avec plus de 16.600 cas répertoriés le 21 mars, le nombre de décès en Allemagne, 47, reste relativement faible par rapport à d’autre pays. Comment expliquer cela ? Le Financial Times évoque «une anomalie du coronavirus».
Il y a des milliers de malades en Allemagne mais le taux de mortalité reste extrêmement bas, contrairement à l’Italie et l’Espagne. Interrogés par le Financial Times, des experts ont essayé de fournir une explication.
Le taux devrait augmenter
Les spécialistes estiment notamment que l'anomalie peut être liée au fait que l’épidémie en est à un stade relativement précoce en Allemagne et que l'âge des personnes infectées est moins élevé que dans d'autres pays.
«Nous sommes encore à un stade relativement précoce de l'épidémie en Allemagne. L'écrasante proportion de patients a été infectée au cours de la dernière semaine ou des deux dernières, et nous verrons probablement des cas plus graves à l'avenir ainsi qu'un changement du taux de mortalité», a estimé Hans-Georg Kräusslich, professeur de médecine et chef du service virologie à l'hôpital universitaire de Heidelberg.
Quelque 160.000 tests chaque semaine
Un autre facteur tient au grand nombre de tests effectués. Ainsi, selon Lothar Wieler, qui dirige l'Institut Robert Koch, les laboratoires allemands effectuent environ 160.000 tests chaque semaine. C’est plus que tout autre pays d'Europe.
L’OMS n’a pas de réponse
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a commenté cette «anomalie» allemande sans toutefois fournir d’explication précise.
«C'est difficile à démêler (...) Nous n'avons pas de vraie réponse et c'est probablement une combinaison de différents facteurs», a indiqué Richard Pebody, responsable à l’OMS.
L’une des hypothèses avancées par des spécialistes auxquels se réfère l’AFP est qu’avec 25.000 lits de soins intensifs avec assistance respiratoire, l'Allemagne est particulièrement bien équipée comparée à ses voisins européens. La France en a environ 7.000 et l'Italie autour de 5.000. Berlin a d'ailleurs annoncé le 18 mars vouloir doubler ce nombre dans les semaines à venir.
Les patients peuvent jusqu'à présent être rapidement suivis et le pays ne redoute pas, dans l'immédiat, que ses hôpitaux soient saturés, comme c'est par exemple le cas en Italie ou dans l'est de la France.
Le bilan dans le monde
Le nombre de personnes infectées par le coronavirus est passé à plus de 255.000 dans le monde. Avec plus de 16.600 cas, l'Allemagne fait partie des pays les plus touchés après la Chine, l'Italie, l'Iran et l'Espagne.
À ce jour, plus de 4.000 personnes sont décédées en Italie. L'Espagne a dépassé la barre des 1.000 morts et se prépare au pire avec près de 20.000 cas. En France, 450 décès ont été signalés sur un total de 12.612 personnes infectées.
https://fr.sputniknews.com/sante/202003211043347643-le-financial-times-evoque-une-anomalie-du-coronavirus-en-allemagne/
Le ministre centrafricain de la Santé sur le Covid-19: «Nous ne copions pas ce que les autres font» - exclusif
RépondreSupprimer12:34 21.03.2020
Par Ksénia Lukyanova-Emelyanova
Le nombre croissant de cas de Covid-19 fait réagir les gouvernements d’Afrique. Le ministre centrafricain de la Santé a évalué la situation sanitaire de son pays dans un entretien exclusif avec Sputnik, tout en réfutant les fausses informations sur le nombre d’infectés et le premier décès dû au coronavirus en RCA.
Comment la République Centrafricaine, l’un des pays les plus pauvres au monde, fait face à la menace du Covid-19? Pierre Somsé, ministre centrafricain de la Santé, confirme à Sputnik que «tous les pays d’Afrique centrale sont touchés, cela s’est passé en espace de presque une semaine». Actuellement, il y a trois cas enregistrés en RCA, tous importés. Il souligne donc qu’il n’y a pas encore «de preuves de la transmission locale de l’épidémie».
Des fake news sur le premier décès lié au Covid-19
La circulation des rumeurs concernant le Covid-19 fait empirer la situation. Pierre Somsé dresse le bilan actuel:
«On est habitué aux rumeurs, il y a beaucoup de spéculations, notamment la fausse information sur le décès du premiers cas, qui est en fait en bonne santé et qui est en train de guérir en isolement, donc je vous confirme qu’il n’y a pas eu de décès, nous sommes conscients. Quant au nombre de cas, nous en avons trois, ils sont confirmés puisque nous travaillons avec l’Institut Pasteur de Bangui qui fait partie des réseaux de l’Institut Pasteur de France et qui est une institution de renommée internationale qui collabore avec l’OMS. Nous n’avons aucun doute sur la qualité des résultats transmis par l’Institut Pasteur».
Des cas importés
L’Afrique a été touchée en dernier par la pandémie, ce qui a laissé le temps aux autorités de se préparer. Le ministre centrafricain de la Santé souligne que ce temps a joué en la faveur du continent noir.
«Avoir des cas importés est une chose, avoir une épidémie locale en est une autre, comme au Cameroun par exemple. Nous espérons que cela ne va pas progresser en épidémie généralisée comme en Europe». Et d’ajouter que la plupart des pays africains sont en train de mettre en place des mesures rigoureuses.
«Nous ne copions pas»
Depuis deux semaines, ces pays appliquent en effet les uns après les autres des mesures strictes pour limiter la propagation du Covid-19. Pierre Somsé est certain qu’il faut réagir sans céder «ni à la panique ni à des préjugés ni à des spéculations» et mettre en place des actions qui correspondent à la situation sanitaire de chaque pays.
«Nous ne copions pas ce que les autres font de façon systématique. Par exemple, ce n’est pas parce que la fermeture des écoles ou des églises a été prônée dans les autres pays que nous devons la mettre en œuvre systématiquement. Deuxièmement vient la protection de la santé publique et troisièmement nous mettons l’accent sur la solidarité. Seule la coopération entre les pays et entre les peuples mettra fin à cette pandémie.»
L’éducation à tous les niveaux et les changements pour la MINUSCA
Le ministère, avec l’appui du gouvernement, a mis en œuvre «l’intensification de l’éducation à tous les niveaux, la mobilisation des communautés, le renforcement de l’hygiène hospitalière et de la surveillance des hôpitaux, la surveillance de l’aéroport et de différents points d’entrée frontaliers aussi bien terrestres que fluviaux ainsi que la mise en place de l’hygiène publique». La mise en quarantaine systématique des personnes arrivant des pays touchés par l’épidémie est obligatoire aussi bien que la fermeture pour un mois des bars et des boîtes de nuit.
RépondreSupprimerDans la lignées des actions mises en place par la RCA, la MINUSCA a annoncé avoir suspendu le processus de rotation des contingents.
https://fr.sputniknews.com/afrique/202003211043347714-le-ministre-centrafricain-de-la-sante-sur-le-covid-19-nous-ne-copions-pas-ce-que-les-autres-font--/
Regarder: "Jeunes" pillages, combats dans les supermarchés de Londres et Paris
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/03/2020 - 08:10
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Des séquences vidéo de Londres et de Paris montrent des «jeunes» tentant de piller des magasins et de commencer des combats en réponse à l'épidémie de coronavirus.
Un clip montrant une devanture de magasin de Sainsbury dans le centre de Londres montre des jeunes qui tentent de défoncer les portes du supermarché dans le but de s'introduire.
Selon le Daily Mail, la vidéo "montre également un certain nombre de jeunes se faufilant hors du magasin sur New Kent Road" après avoir volé de l'alcool.
"La police a déclaré que le personnel de Sainsbury a confronté les hommes, qui sont devenus "hostiles et menaçants" et ont fui à l'extérieur avant de saccager la devanture du magasin", indique le rapport.
Quatre hommes âgés de 20 à 22 ans ont ensuite été arrêtés par la police.
Pendant ce temps, un autre clip d'une succursale du supermarché Lidl à Aubervilliers près de Paris montre plus de «jeunes» se battant les uns contre les autres avec certains d'entre eux armés d'armes.
Pillage d'un Lidl à Aubervilliers près de Paris pic.twitter.com/5a8ZnmfK8A
- Common Law Quells Tyran (@CTyrants) 19 mars 2020
On ne sait pas si les individus du clip pillaient le magasin ou se bagarraient.
Un autre clip vidéo montre des acheteurs d'un supermarché à Londres se criant dessus et se chamaillant alors qu'ils se livrent à des achats de panique.
Un autre clip d'un Tesco à Londres présente un client menaçant d '«amener ses amis» après que le magasin ait refusé de lui permettre d'acheter de l'eau en vrac.
Les vidéos semblent toutes avoir quelque chose en commun; Les protagonistes semblent être très «divers», ce qui, comme nous le savons tous, est définitivement une force.
https://www.zerohedge.com/political/watch-youths-looting-fighting-supermarkets-london-paris
Notre virus star impose une question... Idiotie généralisée ou corruption et complot ?
RépondreSupprimerCharles Dereeper
vendredi, 20 mars 2020 17:47
"La myopie sélective est horrifiante
Mais là on a quitté Terre.
J’ai toujours essayé de garder mes distances avec les conspiracy theories compulsives (le mec qui ne lit que Zero Hedge a aussi un problème cognitif) mais trop de choses puent dans cette histoire."
Je reçois de plus en plus de messages de ce genre.
En fait avant le virus, certains se disaient que les politiciens étaient idiots. Dans tous les pays. Et cela expliquait pour eux la situation.
Ensuite, les journalistes seraient idiots (perso, pour avoir expérimenté à la Tribune, puis à la Vie Financière le job, je sais qu'une seule personne contrôle entièrement un média... le rédac chef... et il censure sans compter en fonction de l'actionnaire et des directives commerciales des annonceurs, j'ai expérimenté à plusieurs reprises en ayant choisi des sujets interdits... donc la bêtise des journalistes pour moi n'existe pas plus qu'ailleurs, nous sommes surtout en face d'une immense corruption).
Mais maintenant, vu que depuis plusieurs semaines est connue une solution médicale qui a été soigneusement évitée, recherchée et encore moins validée, les médecins et les chercheurs seraient idiots...
Reconnaissez que ca commence à faire beaucoup d'humains idiots en même temps qui merdent super synchrones afin que le virus puisse éclater l'économie...
A mon humble avis, le virus de la bêtise est moins virulent qu'on veut bien le croire... donc une organisation mondiale est en train de nous montrer qu'elle a les choses en main.
Nous allons devoir revoir notre conception de la liberté. Ce qui est frappant en Asie, c'est justement leur forme de liberté moindre qu'ils acceptent tous au nom du groupe. C'est saisissant de voir leur aptitude à respecter le pays, la région, la race, l'entreprise, la famille. Ces gens sont fondamentalement moins individualistes que nous... Je crains que derrière le corona virus, il y ait une forte régression de notre liberté occidentale.
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/notre-virus-star-impose-une-question-idiotie-generalisee-ou-corruption-et-complot.html
BERNE - TAXER LES AUTOS EN FONCTION DES ÉMISSIONS DE GAZ CARBONIQUE !
RépondreSupprimerLe Conseil-exécutif bernois veut modifier la taxes sur les véhicules pour inciter les automobilistes à choisir des modèles respectueux de l'environnement.
La nouvelle réglementation s'appliquera aux véhicules dont le poids total est inférieur à 3,5 tonnes.
19.03.2020
Le Conseil-exécutif du canton de Berne veut inciter les automobilistes à choisir des voitures respectueuses de l'environnement. Il entend modifier en ce sens la taxe sur les véhicules en la calculant en tenant compte des émissions de gaz carbonique.
La révision prévoit d'augmenter le produit de l'imposition des véhicules routiers de 40 millions de francs, ce qui la placerait un peu au-dessus de la moyenne suisse. Les recettes supplémentaires seront consacrées à une baisse de l'impôt des personnes physiques, précise le communiqué publié jeudi.
La nouvelle réglementation s'appliquera aux véhicules dont le poids total est inférieur à 3,5 tonnes. En revanche, les poids lourds, les tracteurs à sellette et les véhicules à moteur agricoles resteront imposés selon les modalités en vigueur. La consultation sur la modification de la loi dure jusqu'au 19 juin. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/taxer-autos-fonction-emissions-co2/story/26352457
Supprimer(...) Le Conseil-exécutif du canton de Berne veut inciter les automobilistes à choisir des voitures respectueuses de l'environnement. (...)
La dictature du Conseil-exécutif du canton de Berne veut inciter les automobilistes à choisir des voitures respectueuses de l'environnement.
Si vous pesez moins de 3,5 t, et que vous osez respirer (et rejetez du GAZ CARBONIQUE !! la dictature vous tirera une balle dans la tête !
C'est de la folie, et vous devrez maintenant construire vos propres prisons !
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
21 mars 2020
«J'avoue que je suis moi-même loin d'avoir une maîtrise complète de chaque sujet que je touche, mais ma connaissance de mon sujet est toujours supérieure à l'intérêt ou à la compréhension de mes auditeurs. Vous voyez, il y a une très bonne chose à propos de l'humanité; les masses médiocres demandent très peu aux médiocrités d'un ordre supérieur, se soumettant bêtement et gaiement à leur direction »~ Alfred de Vigny, Stello
La plus récente pandémie à frapper l'Amérique, ainsi que le reste du monde, est une maladie avec de nombreuses souches du gène appelée «stupidité». De mon vivant, je n'ai pas vu autant d'ignorance manifestée par tant de personnes en même temps. Quelque chose d'aussi normal qu'une grippe mineure a calmé la terre, et a fait que presque toute l'humanité a été consumée par la peur et un manque total de pensée logique. C'est encore pire que ce que je présente ici, alors que les gens vont les uns contre les autres, surveillent leurs voisins pour l'État, se cachent dans leurs maisons comme ordonné, ferment leurs entreprises, quittent volontairement leur emploi et se recroquevillent sous la fausse autorité d'un gouvernement qui fait semblant d'être Dieu d'en haut.
Au moment d'écrire ces lignes, un peu plus de 10 000 personnes seraient mortes de ce que l'on appelle le coronavirus, et ce nombre est très probablement surestimé. Tout cela car 300 000 à 700 000 personnes mourront cette année dans le monde de la grippe commune. Ce n'est pas une pandémie; c'est de la folie. Pourquoi tant de personnes sont-elles si aveugles?
Il y a tellement d'agendas totalitaires respectés, qu'il ne restera plus grand-chose à faire à l'élite dirigeante, car l'ensemble de la population permet au gouvernement de transformer ce pays en un cloaque autoritaire. Ce qui nous attend, c'est la domination de quelques-uns sur un prolétariat faible et insensé. Si les vrais criminels étaient aussi faciles à rassembler et à contrôler que la société collective américaine, il n'y aurait pas de crime. Au lieu de cela, les criminels resteront au pouvoir, tandis que le reste de cette population pathétique logera dans leurs propres prisons.
La propagande à ce niveau est inouïe, et ce moment dans le temps restera comme l'idiotie la plus absurde et la plus fantastique de l'histoire de l'homme. Tous devraient craindre pour leur vie même, mais pas à cause d'un faux virus ou d'une pandémie, mais parce qu'ils se sont soumis à une absurdité au-delà de l'imagination des gens sensés. Apparemment, le monde que nous avons connu est révolu et le nouvel ordre mondial qui le remplacera sera celui d'un contrôle total. Ce n'est pas de la science fiction; c'est maintenant la réalité.
Il n'y a aucun moyen de savoir avec certitude si ce nouveau virus présumé est réel ou faux, mais ce qui est certain, c'est que les gens du monde entier ont accepté le battage médiatique et paniquent dans une mesure qui est une pure folie. La cause la plus probable et la plus plausible de ce virus est que cette souche de grippe, indépendamment du fait qu'elle n'est pas ce qui est projeté, a été créée dans un laboratoire, et si cela est exact, alors cette prise de contrôle de l'économie mondiale a été délibérément planifiée loin en avance. C'est ainsi que l'élite dirigeante et ses pions au gouvernement font les choses, et le seul nouvel aspect de cela est la sévérité de la propagande et le manque ridicule de réponse à ces mensonges par les hordes collectives communes de drones en forme de sommeil.
L'économie telle qu'elle a existé est terminée et un nouveau système va voir le jour. L'argent devra être éliminé, que ce soit en raison d'une fausse menace de contagion ou non, mais un nouveau système entièrement contrôlé sera mis en œuvre au fil du temps et il sera contrôlé numériquement. Cela permettra au système monétaire d'être utilisé pour forcer les gens à se conformer à toutes les règles et restrictions de l'État, car tout accès aux besoins vitaux sera soumis à des comportements et à des cotes de crédit. Ce système qui s'en vient est un système qui repose sur un réseau central contrôlé par un organe directeur caché devant les maîtres planificateurs. C'est ce qu'on appelle la technocratie, et étant donné que ce coup d'État est réussi, il deviendra à terme la norme.
RépondreSupprimerLa résistance sera très probablement absente, tout comme elle l'a été jusqu'à présent, principalement parce qu'une fois cette économie purgée et l'effondrement financier terminé, la destruction de l'épargne actuelle sera évidente. Cela laisse presque tout le monde vulnérable et dépendant du gouvernement, comme prévu. Sans la liberté de mouvement, des emplois productifs, de la nourriture, des denrées de base et sans richesse, il ne restera pas grand-chose au citoyen modeste, si ce n'est de se conformer aux mandats de l'État pour survivre.
Trump, la marionnette dictatrice en charge, a le pouvoir de bloquer tous les vols, d'interrompre toutes les transactions boursières pour les marchés, et pourrait également ordonner à tous de rester chez eux par la force de la loi. Ce ne serait rien de moins qu'un régime totalitaire planifié par décret, et entraînerait la fin de nombreuses vies et modifierait à jamais la vie de tous les autres. Toute position restante serait soumise à la loi martiale. Ce n'est pas seulement possible, mais cela pourrait arriver bientôt.
C'est ce que le «peuple américain» a permis par son comportement apathique et son indifférence, et par son désir égoïste d'une égalité imméritée et inaccessible. Ce qui restera après cette prise de contrôle sera une existence vide, et tous seront égaux, car tous seront esclaves. Cela se produit réellement et n'est pas temporaire, mais ce sera la nouvelle norme si une révolte totale des masses ne se produit pas. Soyez prêt à affronter le pire des hommes, car ce qui en résultera est un enfer pur !
https://www.lewrockwell.com/2020/03/gary-d-barnett/this-is-madness-and-you-will-now-be-required-to-build-your-own-prisons/
SupprimerEn dictatures ce sont les marionnettes qui regardent les marionnettes !
Hystérie des coronavirus: Partie I
RépondreSupprimerPar Jack Kerwick
21 mars 2020
Ce sont des moments intéressants dans lesquels nous vivons.
L'hystérie de masse à propos de COVID-19, «Le coronavirus», alimente la réflexion à distance.
Dans une série d'articles qui suit, je décrirai les nombreuses implications de la panique de masse.
Avant de le faire, cependant, nous devons d'abord établir un fait fondamental:
Il s'agit en effet d'une panique de masse.
«Le coronavirus» est, en réalité, mais la dernière variante découverte d'une famille de virus corona qui se trouvent dans toutes les maladies respiratoires aiguës. Comme Wolfgang Wodarg - un médecin allemand qui dirigeait autrefois son propre service de santé avec un système de surveillance des maladies de la grippe chez les personnes dans une zone d'environ 150 000 habitants - nous informe que les coronavirus constituent jusqu'à 15% des maladies respiratoires. "Par conséquent," explique le Dr Wodarg, "il est tout à fait normal qu'une grande partie des virus soient des coronavirus."
Afin de gagner le contexte si nécessaire dont le Big Government et les Big Media sont trop prêts à nous priver, il convient de citer longuement le médecin:
«Ainsi, tout en recherchant un virus spécifique, par exemple le coronavirus, vous pouvez examiner la population totale. Ce que vous constaterez, c'est qu'environ 8% ou 10% de la population aura une sorte de virus qui les rendra malades. Mais si vous examinez les pratiques médicales, faites vos tests là-bas, pour déterminer qui est malade, alors vous trouverez bien sûr des cas beaucoup plus positifs. Et si vous examinez les hôpitaux et y prenez des échantillons, vous trouverez encore plus de personnes infectées par la corona. »
En d'autres termes, le contexte fait toute la différence quant aux cas confirmés de virus.
Pourtant, «selon les proportions de la population que vous examinez - que ce soit l'ensemble de la population, les patients dans la salle d'attente, les personnes dans une clinique ou lorsque vous examinez des patients très malades dans l'unité de soins intensifs qui sont sur le point de mourir - vous devrait trouver ces 7% à 15% de coronavirus à chaque fois que vous effectuez un test. »
"Cependant", ajoute Wudarg, que ces patients décèdent du coronavirus lui-même ou d'autres virus qui sont accompagnés du coronavirus, ce n'est pas quelque chose qui peut être déterminé avec certitude (italiques ajoutés).
Il le lie tout à fait:
«Donc, quand vous regardez les taux de mortalité en Italie, vous voulez savoir où les tests ont été effectués. Où et comment ces quelques tests disponibles ont-ils été utilisés ? S'ils ont été utilisés dans un hôpital pour des cas graves ou en phase terminale, le taux de mortalité corona augmente évidemment. »
Bien que ce contexte soit crucial, Big Media ne le fournit pas.
John Ioannidis est membre du corps professoral de l'Université de Stanford. Il est professeur de médecine, d'épidémiologie et de santé des populations, de science des données biomédicales et de statistique. Il est également codirecteur du Meta-Research Innovation Center de Stanford. Dans un récent éditorial, il met en garde contre le «fiasco des preuves une fois en un siècle» qu'est l'hystérie de masse qui a suivi la pandémie de COVID-19.
RépondreSupprimer"Les données recueillies à ce jour sur le nombre de personnes infectées et l'évolution de l'épidémie ne sont absolument pas fiables", fait remarquer le professeur Ioannidis. Compte tenu des «tests limités à ce jour», on ne sait pas si «nous ne parvenons pas à capturer les infections par un facteur de trois ou 300».
Il continue:
«Trois mois après l'apparition de l'épidémie, la plupart des pays, y compris les États-Unis, n'ont pas la capacité de tester un grand nombre de personnes et aucun pays ne dispose de données fiables sur la prévalence du virus dans un échantillon aléatoire représentatif de la population générale.»
Ce que cela signifie à son tour, c'est que le taux de mortalité mondial de 3,4% relayé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), alors qu'il «provoque [s] l'horreur», est tout à fait «dénué de sens».
Pourquoi ? La réponse est que ceux qui ont testé le COVID-19 sont «de manière disproportionnée ceux qui présentent des symptômes graves et de mauvais résultats».
Le professeur Ioannidis ajoute: «Étant donné que la plupart des systèmes de santé ont une capacité de test limitée, le biais de sélection peut même s'aggraver à l'avenir» [étant donné la rareté inhérente des ressources dans la manière de tester et, par conséquent, la nécessité de tester de manière sélective - c'est-à-dire. pour tester uniquement ceux qui présentent des symptômes de maladie et qui demandent un traitement - les chiffres diagnostiqués peuvent devenir encore plus biaisés].
Mais il y a une autre raison, que Ioannidis ne mentionne pas, qui explique pourquoi le taux de mortalité signalé par l'OMS est non seulement dénué de sens, mais même trompeur. Comme Ben Swann l'observe astucieusement, le chiffre de 3,4% de l'OMS est une moyenne approximative entre deux autres chiffres: le taux de mortalité déclaré de 2% de COVID-19 aux États-Unis et son taux de mortalité de 4% dans le monde. Suite à la publication de ce chiffre, l'OMS a annoncé que «le coronavirus» est beaucoup plus mortel que la grippe saisonnière, car le taux de mortalité de ce dernier n'est que de 0,1%.
Les médias américains se sont montrés trop désireux d'accepter sans réserve cette déclaration - publiée après tout par les experts de l'Organisation mondiale de la santé - et de la partager avec le monde.
Il n’y a qu’un petit problème: il n’est pas du tout précis.
Le taux de mortalité de la grippe de 0,1% n’est exact que s’il est basé sur le nombre de cas estimés. Parce que l'OMS calibre le taux de mortalité pour COVID-19 uniquement sur la base de cas confirmés - il n'essaie même pas de fournir un nombre estimé de cas non diagnostiqués ou suspectés de ce coronavirus - il est significativement plus élevé que celui de la grippe.
Pourtant, si les experts de l'OMS (et les marionnettes dans les médias américains) n'étaient intéressés que par le raisonnement analogique le plus rudimentaire, ils auraient compris que cette comparaison est sans valeur car les deux choses comparées sont incomparables. Maintenant, lorsque le taux de mortalité de la grippe saisonnière est ancré dans des cas confirmés, son taux de mortalité de 0,1% passe à 10%! Cela le rend beaucoup plus mortel que ce qui a mis le monde entier à l'arrêt.
RépondreSupprimerLe Dr Paul Offit, pédiatre et directeur du Vaccine Education Center du Children's Hospital de Philadelphie, est un expert en vaccins, en immunologie et en virologie. Il est également le co-inventeur du vaccin contre le rotavirus qui est recommandé pour une utilisation universelle par les Centers for Disease and Prevention Control (CDC).
Le Dr Offit a récemment déclaré, ce que je me suis efforcé de montrer ici, que "la peur du virus est un problème plus grave que le virus lui-même". COVID-19 n'est peut-être que légèrement plus dangereux que la grippe porcine de 2009, s'il est plus dangereux du tout. En tout cas, ce n'est même pas près d'être plus mortel que la grippe saisonnière.
«Je souhaite que chaque semaine, ils affichent le nombre de décès dus à la grippe et le nombre de décès dus à COVID-19; nous réaliserions que la grippe est bien pire. » Il élabore:
«Cette année, aux États-Unis, il y a eu entre 300 000 et 500 000 hospitalisations pour grippe. Nous avons fait entre 20 000 et 45 000 morts. Parmi ceux-ci, 154 se sont produits chez des enfants.
Au cours des deux derniers mois depuis que COVID-19 a été aux États-Unis, 20 enfants sont morts de la grippe; aucun enfant n'est décédé de COVID-19. »
L'arrêt se poursuit, notant que même si la grippe est «bien pire» que COVID-19, «nous ne mettons pas en quarantaine et nous n'annulons pas les réunions pour fermer les écoles, les églises et les synagogues contre la grippe». Le bon docteur exprime sa perplexité: «Je ne comprends pas quelle est la différence. Si ces deux virus sont susceptibles de provoquer des infections et des maladies, pourquoi traitons-nous l'un différemment de l'autre ? »
Bonne question.
"Le problème avec le coronavirus", affirme le Dr Offit, "est que les gens pensent qu'ils sont plus susceptibles de mourir s'ils le contractent."
Verdict d'Offit ?
"Je pense que toutes les preuves indiquent que ce n'est pas vrai."
Au moment d'écrire ces lignes, le 18 mars 2020, le Centre John Hopkins pour la science et l'ingénierie des systèmes (CSSE), qui suit la propagation de ce virus dans le monde entier, informe ceux qui le consulteraient qu'il y a 204 251 cas confirmés du virus maintenant. Sur ce nombre, 8 246 personnes sont décédées et 82 091 se sont rétablies.
Rien de tout cela n'est une bonne chose, évidemment, mais il est essentiel de garder la perspective: sur une planète de 7 milliards d'êtres humains, une infime fraction d'un pour cent des personnes, 0,00291787%, a contracté cette chose. Et de ce nombre, officiellement, environ 4% sont morts. Le taux de mortalité réel est plus faible, car de nombreuses personnes se débarrassent de la maladie et ne se font pas tester, car dans la grande majorité des cas, les symptômes sont légers. Il y a incontestablement de nombreux cas non confirmés.
RépondreSupprimerDans le cas où cela n'est pas clair, pour le répéter, la grande majorité des personnes, en particulier celles qui ne sont pas déjà à haut risque - les personnes âgées, celles avec des affections pulmonaires préexistantes et les systèmes immunitaires autrement compromis - qui contractent ce coronavirus ont une légère symptômes et récupérer.
En d'autres termes, surtout si l'on habite dans un pays occidental avancé comme les États-Unis, même si l'on contracte le virus - et c'est un gros si - ce n'est pas une condamnation à mort automatique. Plutôt le contraire, en fait. Il est extrêmement probable que, tout comme c'est le cas lorsque votre personne moyenne contracte la grippe saisonnière, elle se rétablira complètement.
Pour des raisons de perspective:
Entre octobre 2019 et fin février 2020, environ 45 millions d'Américains ont contracté la grippe. Il y a eu 560 hospitalisations.
Et 46 000 Américains en sont morts.
En 2018, selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), 49 millions d'Américains ont contracté la grippe. Environ 960 000 ont été hospitalisés.
Plus de 80 000 sont morts.
Considérez, le nombre d'Américains qui sont morts de la grippe en une seule saison de grippe est environ dix fois le nombre de tous les Terriens morts du dernier coronavirus.
Le nombre d'Américains morts de la grippe depuis 2018 jusqu'à aujourd'hui est environ 20 fois supérieur à celui de tous les êtres humains décédés des derniers coronavirus.
Lorsque nous comparons le nombre d'Américains qui ont contracté et sont morts de COVID-19 avec le nombre d'Américains qui ont contracté et qui sont morts de la grippe, l'écart devient encore plus flagrant.
Au 18 mars, aux États-Unis, il y avait actuellement 6519 cas confirmés de coronavirus. Parmi ceux qui l'ont contracté, 115 sont décédés.
Alors, décomposons ceci:
Dans un pays d'environ 330 millions d'habitants, 0,0002% de la population a officiellement contracté COVID-19. Et de ce nombre, moins de 2% sont décédés.
Le taux de mortalité réel est certainement nettement inférieur à cela.
En Chine, d'où le virus est originaire et où la majorité de tous les cas dans le monde subsistent, une étude portant sur 45 000 infections confirmées a révélé que dans 81% des cas, le virus «n'a causé que des maladies mineures», avec 14% des patients affichant des symptômes «décrits comme« graves »et seulement 5%» identifiés comme «« critiques »».
Pensez-y: parce que dans la grande majorité des cas, les porteurs du virus ne présentent que des symptômes bénins dont ils sortent et dont ils se rétablissent, il y a beaucoup plus de cas non diagnostiqués. Ainsi, un pourcentage encore plus faible de patients que les 1,66% officiels qui sont décédés officiellement du COVID-19 en décèdent.
Étant donné que ce monde est et a toujours été infesté de maladies, des mesures de précaution de base comme se laver les mains, se couvrir le nez et la bouche tout en éternuant et toussant, etc. sont toujours raisonnables (même si nous n'avons jamais entendu parler du «Coronavirus»).
RépondreSupprimerPourtant, étant donné les faits concernant COVID-19, tout ensemble de réponses au-delà de cela équivaut à de l'hystérie.
https://www.lewrockwell.com/2020/03/jack-kerwick/coronavirus-hysteria-part-i/
(...) «Cette année, aux États-Unis, il y a eu entre 300 000 et 500 000 hospitalisations pour grippe. Nous avons fait entre 20 000 et 45 000 morts. Parmi ceux-ci, 154 se sont produits chez des enfants.
SupprimerAu cours des deux derniers mois depuis que COVID-19 a été aux États-Unis, 20 enfants sont morts de la grippe; aucun enfant n'est décédé de COVID-19. » (...)
(...) Entre octobre 2019 et fin février 2020, environ 45 millions d'Américains ont contracté la grippe. Il y a eu 560 hospitalisations.
Et 46 000 Américains en sont morts.
En 2018, selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), 49 millions d'Américains ont contracté la grippe. Environ 960 000 ont été hospitalisés.
Plus de 80 000 sont morts. (...)
La fin de la civilisation ?
RépondreSupprimerPar Llewellyn H. Rockwell, Jr.
21 mars 2020
Les gouvernements du monde entier utilisent la menace présumée d’une pandémie de COVID-19 pour fermer l’économie mondiale. Daniel Lacalle, une autorité en économie de l'énergie, écrit: «La décision de fermer le transport aérien et de fermer toutes les entreprises non essentielles est désormais une réalité dans les grandes économies mondiales. Les États-Unis ont interdit tous les vols européens alors que l'Italie entre en lock-out complet, l'Espagne déclare l'état d'urgence et la France ferme tous les lieux publics et commerces non essentiels. »
De plus, souligne-t-il, les gouvernements ne peuvent pas résoudre les problèmes qu'ils ont créés par des programmes de dépenses massifs et des déficits plus importants. Ces politiques aggravent les choses: «Les gouvernements mettront en œuvre de vastes politiques axées sur la demande, ce qui n'est pas la bonne réponse à un arrêt de l'économie. La plupart des entreprises souffriront de l'effondrement des ventes et de la constitution ultérieure de fonds de roulement, et rien de tout cela ne sera résolu par des dépenses déficitaires. Vous ne pouvez pas atténuer un choc d'offre avec des politiques de demande, qui augmentent la dette et la surcapacité dans les secteurs déjà endettés et gonflés et n'aident pas les secteurs qui subissent un effondrement brutal de l'activité. » Et l'impression de l'argent par le gouvernement, c'est-à-dire un inflationnisme pur et simple, est encore plus dangereuse.
Les remarques de Lacalle rappellent les commentaires tranchants sur Ludwig von Mises. Il met en garde contre les tentatives de consolider des politiques désastreuses en imprimant plus d'argent. Mises déclare: «Aucune urgence ne peut justifier un retour à l'inflation. L'inflation ne peut fournir ni les armes dont une nation a besoin pour défendre son indépendance ni les biens d'équipement nécessaires à tout projet. Il ne guérit pas les conditions insatisfaisantes. Cela aide simplement les dirigeants dont les politiques ont provoqué la catastrophe à se disculper. » Il nous dit où finira une politique d'inflationnisme: «L'inflation est le complément budgétaire de l'Étatisme et du gouvernement arbitraire. C'est un rouage dans le complexe des politiques et des institutions qui mènent progressivement au totalitarisme. »
Bill Sardi souligne la folie criminelle de la politique du gouvernement américain. Le gouvernement fédéral, dit-il. est «disposé à faire planter l'économie, à tuer des entreprises, en particulier des églises et des restaurants qui n'ont probablement pas les ressources nécessaires pour rouvrir leurs établissements, et à contraindre les gens à rester à l'intérieur, une pratique qui réduira encore les niveaux de vitamine D et entraînera une infection généralisée et la mort parmi les retraités. " Les États et les villes se sont précipités pour emboîter le pas. Los Angeles et San Francisco, par exemple, sont désormais soumises à des ordonnances drastiques de «refuge sur place» qui obligent les «entreprises non essentielles» à fermer et à interdire de manger dans les restaurants.
Pour mieux comprendre ce qui se passe, nous avons besoin des conseils de deux grands penseurs, Ludwig von Mises et Murray Rothbard. Ils nous enseignent une leçon vitale. La civilisation dépend de la division internationale du travail. Détruire la division du travail nous plongerait dans le chaos. La vie telle que nous la connaissons ne peut pas survivre dans un système d'autarcie économique.
Rothbard explique ce principe clé dans «Liberté, inégalité, primitivisme et division du travail:» Personne ne peut développer pleinement ses pouvoirs dans n'importe quelle direction sans s'engager dans une spécialisation. Le tribu ou le paysan primitif, lié à une série interminable de tâches différentes afin de se maintenir, ne pouvait avoir ni le temps ni les ressources disponibles pour poursuivre pleinement un intérêt particulier. Il n'avait pas de place pour se spécialiser, pour développer le domaine dans lequel il était le mieux ou dans lequel il était le plus intéressé. Il y a deux cents ans, Adam Smith a souligné que la division du travail en développement est la clé du progrès de toute économie au-dessus du niveau le plus primitif. Condition nécessaire à toute sorte d'économie développée, la division du travail est également nécessaire au développement de toute sorte de société civilisée. Le philosophe, le scientifique, le constructeur, le marchand - personne ne pourrait développer ces compétences ou fonctions s'il n'avait eu aucune possibilité de spécialisation. En outre, aucun individu qui ne vit pas dans une société bénéficiant d'un large éventail de divisions du travail ne peut utiliser pleinement ses pouvoirs. Il ne peut pas concentrer ses pouvoirs dans un domaine ou une discipline et faire progresser cette discipline et ses propres facultés mentales. Sans la possibilité de se spécialiser dans tout ce qu'il peut faire de mieux, personne ne peut développer pleinement ses pouvoirs; aucun homme ne pouvait donc être pleinement humain.
RépondreSupprimerAlors qu'une division du travail continue et évolutive est nécessaire pour une économie et une société développées, l'étendue d'un tel développement à un moment donné limite le degré de spécialisation que peut avoir une économie donnée. Il n'y a donc pas de place pour un physicien ou un ingénieur en informatique sur une île primitive; ces compétences seraient prématurées dans le contexte de cette économie existante. Comme l'a dit Adam Smith, «la division du travail est limitée par l'étendue du marché.» Le développement économique et social est donc un processus qui se renforce mutuellement: le développement du marché permet une division du travail plus large, ce qui à son tour permet de extension du marché. "
Mises écrit dans le même sens: «Le phénomène social fondamental est la division du travail et sa contrepartie la coopération humaine. L'expérience enseigne à l'homme que l'action coopérative est plus efficace et productive que l'action isolée d'individus autosuffisants. Les conditions naturelles qui déterminent la vie et l'effort de l'homme sont telles que la division du travail augmente la production par unité de travail dépensée. " La division du travail, nous dit Mises, est la clé du développement de la civilisation. Il dit: «Nous concevons ce qui incite les gens à ne pas se considérer simplement comme des rivaux dans une lutte pour l'appropriation de l'offre limitée de moyens de subsistance mis à disposition par la nature. Nous sommes conscients de ce qui les a poussés et les poussons de manière permanente à coopérer entre eux dans un souci de coopération. Chaque pas en avant vers un mode plus développé de division du travail sert les intérêts de tous les participants. »
Maintenant, les gouvernements du monde entier veulent que nous abandonnions cela. L'abandon de la division internationale du travail frappera l'Afrique, tributaire du commerce pour sa survie à nu, particulièrement dur. À quelle fin le système économique mondial soigneusement élaboré est-il démantelé? La propagation de COVID-19 nous oblige-t-elle à détruire l’économie mondiale? Ici, nous pouvons apprendre d'un autre penseur exceptionnel, Ron Paul, qui est médecin et peut donner une analyse experte de la propagande médicale du gouvernement. Il dit: «Face à la nation, [Dr. Anthony] Fauci a fait de son mieux pour endommager encore plus une économie déjà en train de se ravitailler en déclarant: "Pour le moment, personnellement, je n'irais pas dans un restaurant."
RépondreSupprimerSur quoi? Un virus qui a jusqu'à présent tué un peu plus de 5 000 personnes dans le monde et moins de 100 aux États-Unis? En revanche, la tuberculose, une maladie ancienne dont on ne parle plus beaucoup ces jours-ci, a tué près de 1,6 million de personnes en 2017. Où est la panique?
Si quoi que ce soit, ce que des gens comme Fauci et les autres alarmistes demandent, aggravera probablement la maladie. La loi martiale dont ils rêvent laissera les gens accroupis à l'intérieur de leurs maisons au lieu d'aller à l'extérieur ou à la plage où le soleil et l'air frais contribueraient à renforcer l'immunité. La panique provoquée par ces frayeurs contribue probablement à propager la maladie, alors que des foules massives se précipitent vers Walmart et Costco pour ce dernier rouleau de papier hygiénique. » Ben Swann soutient le scepticisme de Ron Paul avec une analyse minutieuse des statistiques de l'organisation mondiale de la santé dans cette vidéo importante:
Même si le virus COVOID-19 s'avère plus grave que ce que les sceptiques nous donnent à penser, nous pouvons le surmonter. Nous ne pouvons pas survivre à la fin de la division du travail. Ce serait la fin de la civilisation telle que nous la connaissons.
https://www.lewrockwell.com/2020/03/lew-rockwell/the-end-of-civilization/
SupprimerLe plus rigolot (en France) est 'L'Autorisation de se donner de vivre' ! Hahahaha !
Pas de blague !
https://static.ccm2.net/scrib-files/14384866.pdf
où, VOUS VOUS PERMETTEZ DE SORTIR ! WHÔÄAH !
"Je (nom, prénom, adresse) me donne la permission de vivre comme un être humain" !
Datez et signez.
Avec çà, vous pouvez sortir comme si rien n'était. OUF !
Le papelard 'à imprimer' (donnant autorisation de sortir soi-même et signé par !) peut être réécrit soi-même.
SupprimerCette copie vaut le 'sorti sur imprimante'.
Mais, COMME IL N'EST PAS STIPULÉ QU'IL DOIT ÊTRE REMPLI AU STYLO-BILLE, FEUTRE OU CRAYON...
Recopiez-le AU CRAYON afin de gommer LA DATE DU JOUR ET DE LA RÉÉCRIRE !
27 février: certains républicains américains savaient ce qui allait arriver et n'ont pas averti le peuple
RépondreSupprimerMarch 21st, 2020
Traîtres au peuple ?
Certains membres du Parti républicain savaient ce qui allait arriver. Aux États-Unis, au moins quatre sénateurs sont accusés de délits d'initiés, d'avoir vendu des actions avant le krach, mais sans avertir le public ni s'assurer que les États-Unis étaient prêts. Le sénateur Richard Burr a vendu quelque chose comme un million de dollars dans leurs propres actions le 13 février. Lors de briefings privés, son message était que ce virus était agressif, plus comme la grippe espagnole, «les militaires pourraient être mobilisés». Burr était probablement plus au courant que la plupart des autres parce qu'il «a aidé à rédiger la loi sur la préparation à une pandémie et à tous les risques (PAHPA)».
D'un autre côté, le sénateur Loeffer dit qu'elle n'a pas participé au choix des actions qui ont été vendues dans son portefeuille. Mais d'autres disent que certaines de ces fiducies aveugles ont vendu des actions le même jour que les sénateurs ont été informés dans certains cas dès le 24 janvier. Les sénateurs affirment qu'ils n'agissaient que sur les services de nouvelles publiques. Peut-être même s'ils le savaient, ils auraient pu être liés par une décision du Parti de ne pas contredire le président.
Rod Dreher, The American Conservative "Ils savaient et ne nous ont pas dit"
Pensez-y: Trump savait certainement à quel point cela allait devenir mauvais, mais a continué à minimiser cela, à un moment où la simplicité aurait donné aux gens le temps et l'élan nécessaires pour se préparer. Les soutiens les plus fidèles de Trump appelaient alors cela un canular, et trempaient des gens comme moi pour avoir paniqué, etc. Ce républicain du Sénat (et sans doute d'autres républicains du Sénat) savait que le président trompait le public et n'a rien dit. S'il se sentait à l'aise d'en parler à de riches donateurs, pourquoi n'en a-t-il pas parlé au grand public? Parce que cela contredirait le message du président? Pourquoi?
Avoir des législateurs républicains de haut rang en contradiction avec le président à ce stade relativement précoce, sur la base d'informations qu'ils connaissaient, aurait été dans le meilleur intérêt du pays. Le sénateur Burr a dit aux partisans riches et bien connectés ce qui allait arriver, mais pas aux personnes qui l'ont élu. Il leur doit une explication. Et je voudrais savoir pourquoi les républicains du Sénat, qui avaient sûrement tous les mêmes informations, n'ont pas défié le président et averti le public alors que nous avions encore le temps.
… Pour être honnête, ce n'est pas la vente des actions de [Burr] qui me dérange - c'est qu'il avait des raisons de croire que la crise des coronavirus allait être bien pire qu'elle ne le laissait entendre en public. Il aurait dû nous avertir tous.
Trump a-t-il rejeté les élections de 2020 ?
Quel jour a-t-il réalisé que le naufrage arrivait ?
Semaines avant la panique virale, le président du renseignement a déclenché une alarme déclenchée en privé, stock vendu
par Tim Mak, NPR
Le président de la commission du renseignement du Sénat a averti il ??y a trois semaines un petit groupe de citoyens bien connectés de se préparer aux effets économiques et sociétaux désastreux du coronavirus, selon un enregistrement secret obtenu par NPR.
Les remarques du sénateur américain Richard Burr étaient plus sévères que celles qu'il avait prononcées dans des forums plus publics.
RépondreSupprimerLe 27 février, alors que les États-Unis avaient 15 cas confirmés de COVID-19, le président Trump étouffait ses craintes et suggérait que le virus pouvait être saisonnier.
«Ça va disparaître. Un jour, c'est comme un miracle. Elle disparaîtra », a alors déclaré le président, avant d'ajouter,« elle pourrait empirer avant de s'améliorer. Cela pourrait peut-être disparaître. Nous allons voir ce qui se passe."
Le même jour, Burr a assisté à un déjeuner organisé dans un club social appelé Capitol Hill Club. Et il a livré un message beaucoup plus alarmant.
Burr a vendu des actions personnelles d'une valeur comprise entre 628 000 $ et 1,72 million $ dans 33 transactions distinctes en une seule journée, le 13 février, selon les divulgations publiques.
Voir également ce https://www.youtube.com/watch?v=M2BPXybIGGI
…
Est-ce que quelqu'un fait des recherches sur ce genre de chose en Australie ?
http://joannenova.com.au/2020/03/feb-27th-some-us-republicans-knew-what-was-coming-and-didnt-warn-the-people/
Crush the Curve: une ville italienne avec un premier décès en Italie a stoppé le virus
RépondreSupprimerMarch 21st, 2020
Le premier épicentre en Italie était Vò, une petite ville de 3 000 habitants. Il a été arrêté, entièrement testé et à deux et neuf jours d'intervalle. En testant, isolant et dépistant, ils ont réduit la propagation à presque rien, et ce malgré la découverte extraordinaire que lorsque le premier décès est survenu, déjà 3 % de la ville avait la maladie.
À ce stade, le gouvernement italien aurait sûrement dû tout fermer immédiatement ?
Dans une ville italienne, nous avons montré que des tests de masse pouvaient éradiquer le coronavirus
Andrea Crisanti et Antonio Cassone,
The Guardian,
20 mars.
Notre expérience est venue par hasard. Les autorités italiennes ont eu une vive réaction émotionnelle à l'annonce de la première mort du pays - qui s'est produite à Vò. Toute la ville a été mise en quarantaine et chaque habitant a été testé.
Lors de la première série de tests, 89 personnes ont été testées positives. Au deuxième tour, le nombre est tombé à 6, qui sont restés isolés. De cette façon, nous avons réussi à éradiquer le coronavirus de Vò, atteignant un taux de récupération de 100 % pour les personnes précédemment infectées sans enregistrer d'autres cas de transmission.
Le titre est un peu idiot - les tests de masse n’éliminent rien, mais ils facilitent l’isolement et le confinement. Maintenant, nous avons probablement besoin d'arrêts massifs à l'aveugle pour obtenir le même effet alors qu'une action et des tests de masse précédents auraient pu écraser la courbe avec beaucoup moins d'efforts.
70 % asymptomatique ou léger - données bonnes mais inquiétantes
Le taux de mortalité des cas connus en Italie est scandaleusement élevé (c'est pourquoi j'ai renoncé à le calculer il y a des semaines). Ces chiffres sont similaires aux taux chinois où environ 80% étaient décrits comme asymptomatiques ou légers. Cela dépend probablement de la définition de «doux»:
… Les sujets asymptomatiques ou quasi-symptomatiques représentent 70% de toutes les personnes infectées par le virus et, pire encore, une partie inconnue, mais impossible à ignorer, peut transmettre le virus à d'autres…
Cela montre qu'il est possible d'écraser la courbe et de se débarrasser de ce virus, mais il faut des tests de masse que nous ne pouvons pas faire maintenant parce que nous n'avons pas agi assez tôt. Mais nous pourrons peut-être le faire si nous augmentons la production de kits de tests comme notre vie (et notre économie) en dépendait.
Sur le plan positif, cela réduit le taux de mortalité, mais même si nous perdons le contrôle des hôpitaux, nous savons que 3 à 5 fois plus de personnes mourront si nous ne pouvons pas offrir à tous ceux qui en ont besoin une unité de soins intensifs.
Si le fait que seules les personnes présentant le virus étaient testées était pris en compte, le pourcentage de mortalité tomberait à des niveaux plus «normaux». En témoigne la mortalité dans la région de la Vénétie, qui se situe régulièrement autour de 2,5 à 3%, toujours élevée mais trois fois inférieure à celle de la Lombardie et de l'Émilie-Romagne.
En Vénétie, environ 8% de la population totale a été testée. Nous ne savons donc toujours pas quel est réellement le taux de mortalité.
RépondreSupprimerDepuis le début, j’ai dit que les cas asymptomatiques cachés réduiraient le taux de mortalité. Nous n'obtiendrons pas de bons chiffres à ce sujet avant de procéder à des tests sanguins de masse à la recherche d'anticorps qui montrent que les gens ont combattu une infection. Celles-ci doivent être effectuées avant que les titres d'anticorps ne chutent (et nous ne savons pas à quelle vitesse cela se produit et si les personnes bénéficient d'une protection pendant une longue période ou non. de l'ordre d'un an.
L'estimation des taux de mortalité reste un jeu de devinettes
Les meilleures estimations que nous avons proviennent de The Diamond Princess où tout le monde a été testé et de la Corée du Sud qui a effectué plus de tests par habitant que partout ailleurs. Respectivement, les taux de mortalité étaient de 1% et 0,9%. Étant donné que les passagers de Diamond Princess étaient plus âgés, le taux de mortalité dans un groupe démographique normal pourrait être aussi bas que 0,5%.
Sur la Diamond Princess, la moitié des personnes testées positives étaient asymptomatiques (49%). Mais l'idée que 80% du navire n'a pas attrapé le virus n'est pas réjouissante. À bord du Diamond Princess, une infection est devenue 712 en seulement quatre semaines, dont deux étaient censées être mises en quarantaine.
Le navire de croisière Diamond Princess est parti de Yokohama le 20 janvier, avec environ 3 700 passagers et membres d'équipage. Le 23 janvier, un homme est tombé malade et a quitté le bateau à Hing Kong le 25 janvier. Il a fallu quatre semaines pour infecter 20 % du navire et la moitié de ce temps a été passé en quarantaine. Parmi les personnes infectées, 178 personnes ne se sont toujours pas rétablies et 14 restent classées comme «graves / critiques». Ceci est le bug d'un virus.
Restez à l'écart de ce virus, restez à la maison si vous le pouvez, sortez vos enfants de l'école. Arrêtez simplement de mixer pendant les prochaines semaines et voyez ce qui se déroule.
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Contexte du coronavirus: La démographie: les jeunes sont épargnés, mais la sévérité augmente avec l'âge, et légèrement plus pour les hommes que pour les femmes. Le Ro est de 2 à 3 et les courbes exponentielles sont raides. Comment le coronavirus tue: pourquoi le nombre d'unités de soins intensifs est si important. Progression de la maladie: toux sèche et fièvres, courbatures. Chez 15% des personnes, au jour 5, des troubles respiratoires commencent. Dans 3% Au jour 8, ils peuvent avoir besoin d'une unité de soins intensifs (USI). Le bon cas de Singapour, mais les calculs inquiétants de la vitesse à laquelle les lits de soins intensifs peuvent s'épuiser. Preuve que les virus n'ont pas d'ailes et nous aurions dû arrêter tous les vols bien plus tôt. L'histoire de la façon dont les Samoa américaines ont évité les décès par grippe avec mise en quarantaine en 1918. L'histoire de Vo, la ville italienne qui a stoppé le virus. Retard = décès, les statistiques montrent que les taux de mortalité décuplent si les hôpitaux sont débordés.
Économie: L'énorme impact sur l'économie chinoise, le terrible cas de l'Iran.
Méfiez-vous des conseils de l'ONU: Le chef éthiopien de l'OMS faisait partie de la diplomatie chinoise du piège de la dette ?
Statistiques et données: Carte en direct de John Hopkins ? Worldomètre ? Des données sur les coronavirus en Australie ?
http://joannenova.com.au/2020/03/crush-the-curve-italian-town-with-first-death-in-italy-stopped-the-virus/
Les stocks de chloroquine ont été supprimés sous couvert de « vol »
RépondreSupprimerLe Blog Noir de Brocéliande
sam., 21 mar. 2020 08:45 UTC
La Chloroquine, médicament contre le paludisme, a été testée par le Docteur Raoult à Marseille sur un groupe de patients atteints par le coronavirus chinois. Les résultats se sont révélés encourageants au point que cela a été remarqué par le Président Trump (grâce à Tucker Carlsson de Fox News) et que celui-ci a demandé que le médicament soit le plus rapidement possible mis à disposition des hôpitaux et des malades américains.
En France, au contraire, l'ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a fait classer la chloroquine dans le tableau des "substances vénéneuses" en JANVIER, rendant ainsi plus difficile de se procurer ce médicament pourtant depuis de longues années en vente libre !
Aujourd'hui, nous apprenons que les stocks de Chloroquine des pharmacies centrales hospitalières ont été littéralement pillés et que, comme pour les masques, nous sommes en pénurie complète de chloroquine.
Est-ce que le gouvernement va maintenant nous expliquer que, comme les masques et les gants, la chloroquine ne sert à rien contre le coronavirus chinois ?
https://fr.sott.net/article/35026-Les-stocks-de-chloroquine-ont-ete-supprimes-sous-couvert-de-vol
En Italie, 99 % des morts de Covid-19 souffraient d'autres pathologies
RépondreSupprimerTommaso Ebhardt, Chiara Remondini et Marco Bertacche
Bloomberg
mer., 18 mar. 2020 19:40 UTC
Plus de 99 % des victimes du coronavirus en Italie souffraient de pathologies préexistantes, d'après une étude conduite par les autorités sanitaires italiennes.
Après que le nombre de patients ayant succombé au virus a passé la barre des 2500, avec une augmentation de 150 % la semaine passée, les autorités sanitaires ont commencé à écumer les données, à la recherche d'indices qui pourraient les aider à lutter contre la diffusion de la maladie.
Le gouvernement du Premier ministre Giuseppe Conte envisage de prolonger les mesures de confinement généralisé au-delà du premier avril, a rapporté le quotidien La Stampa mercredi. L'Italie compte aujourd'hui plus de 31 500 cas avérés.
Taux de mortalité des victimes italiennes du Covid-19, par pathologies préexistantes (%)
- voir graphique sur site -
Source : Istituto Superiore di Sanità (Institut national de la santé italien), échantillon du 17 mars.
Cette nouvelle étude pourrait nous éclairer sur les raisons pour lesquelles le taux de mortalité en Italie - environ 8% des personnes infectées - est plus élevé que dans les autres pays.
L'institut, basé à Rome, a examiné les dossiers médicaux d'environ 18% des cas mortels de coronavirus en Italie, et a découvert que seulement trois victimes (soit 0,8%) ne souffraient d'aucune pathologie préexistante. Presque la moitié des victimes souffraient d'au moins trois patholologies, et environ un quart d'entre elles souffraient d'une ou deux pathologies.
Plus de 75% souffraient d'hypertension artérielle, environ 35% de diabète, et un tiers de maladies cardiaques.
- voir graphique sur site -
Un risque accru pour les personnes âgées
Source : Istituto Superiore di Sanità (Institut national de la santé italien), échantillon du 17 mars.
L'âge médian des personnes infectées est 63 ans, mais la plupart des cas mortels sont plus âgés.
L'âge moyen des victimes du virus en Italie est de 79,5 ans. À la date du 17 mars, 17 personnes de moins de 50 ans sont mortes du virus. La totalité des victimes italiennes âgées de moins de 40 ans étaient des hommes qui souffraient déjà de graves pathologies.
Tandis que les données publiées mardi indiquent un ralentissement de l'augmentation des cas, avec une hausse de 12,6%, une étude menée séparément montre que l'Italie pourrait sous-estimer le nombre de cas, car elle ne teste que les patients présentant des symptômes.
Selon la fondation GIMBE, environ 100 000 Italiens ont contracté le virus, comme le rapporte le quotidien Il Sole 24 Ore. Ce qui ramènerait le taux de mortalité dans le pays à environ 2%, soit la moyenne mondiale.
Pays où a été identifié le coronavirus.
- voir carte sur site -
https://fr.sott.net/article/35024-En-Italie-99-des-morts-de-Covid-19-souffraient-d-autres-pathologies
Coronavirus, Bill /Melinda Gates et les autres ...
RépondreSupprimerF. William Engdahl
Mondialistation.ca
ven., 20 mar. 2020 22:17 UTC
On peut dire que personne n'a été plus actif que Bill Gates et la Fondation Bill et Melinda Gates pour promouvoir et financer la recherche sur les vaccins contre le coronavirus. Du parrainage d'une simulation d'une pandémie mondiale de coronavirus, quelques semaines avant l'annonce de l'épidémie à Wuhan, au financement de nombreux efforts des entreprises pour mettre au point un nouveau vaccin contre ce virus apparemment nouveau, la présence de Gates est là. Qu'est-ce que cela implique réellement ?
Nous devons admettre que Bill Gates est pour le moins prophétique. Il affirme depuis des années qu'une pandémie mondiale meurtrière va se produire et que nous ne sommes pas préparés à y faire face. Le 18 mars 2015, Gates a fait un exposé sur les épidémies à Vancouver. Ce jour-là, il a écrit sur son blog :
« Je viens de faire un bref exposé sur un sujet sur lequel j'ai beaucoup appris ces derniers temps : les épidémies. L'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest est une tragédie - au moment où j'écris ces lignes, plus de 10 000 personnes sont mortes ». Gates a ensuite ajouté : « Aussi terrible que cette épidémie ait été, la prochaine pourrait être bien pire. Le monde n'est tout simplement pas prêt à faire face à une maladie - une grippe particulièrement virulente, par exemple - qui infecte très rapidement un grand nombre de personnes. De toutes les choses qui pourraient tuer 10 millions de personnes ou plus, la plus probable est de loin une épidémie ».
Cette même année, en 2015, Bill Gates a écrit un article pour le New England Journal of Medicine intitulé « La prochaine épidémie : Leçons d'Ebola ». Il y parle d'une classe spéciale de médicaments qui
« consiste à donner aux patients un ensemble de structures particulières à base d'ARN qui leur permettent de produire des protéines spécifiques (dont des anticorps). Bien que ce domaine soit très nouveau, il est prometteur car il est possible qu'une thérapie sûre puisse être conçue et mise en fabrication à grande échelle assez rapidement. Une recherche plus fondamentale ainsi que les progrès de sociétés comme Moderna et CureVac pourraient à terme faire de cette approche un outil clé pour stopper les épidémies ».
Moderna et CureVac reçoivent tous deux aujourd'hui des fonds de la Fondation Gates et mènent la course au développement d'un vaccin COVID-19 approuvé, basé sur l'ARNm.
2017 et création du CEPI
Une pandémie mondiale de type grippal est en fait une chose à laquelle Gates et sa fondation bien financée ont passé des années à se préparer. En 2017, lors du Forum Économique Mondial de Davos, Gates a lancé une initiative appelée CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (Coalition pour l'Innovation en matière de Préparation aux Épidémies)), en collaboration avec les gouvernements de Norvège, d'Inde, du Japon et d'Allemagne, ainsi qu'avec le Wellcome Trust du Royaume-Uni. Son objectif déclaré est « d'accélérer la mise au point des vaccins dont nous aurons besoin pour contenir les apparitions » de futures épidémies. Il avait alors fait remarquer que « l'un des domaines prometteurs de la recherche sur le développement des vaccins est l'utilisation des progrès de la génomique pour cartographier l'ADN et l'ARN des agents pathogènes et fabriquer des vaccins ». Nous y reviendrons.
Événement 201
RépondreSupprimerEn 2019, Bill Gates et la fondation se lançaient à fond dans des scénarios de pandémie. Il a réalisé une vidéo sur Netflix qui a donné lieu à un scénario imaginaire inquiétant. La vidéo, qui fait partie des séries « Expliquées », imaginait un marché humide en Chine où des animaux vivants et morts sont empilés et où un virus hautement mortel éclate et se répand dans le monde entier. Gates apparaît en tant qu'expert dans la vidéo pour avertir : « Si vous pensez à quelque chose qui pourrait survenir et qui tuerait des millions de personnes, une pandémie est notre plus grand risque ». Il a déclaré que si rien n'était fait pour mieux se préparer aux pandémies, le temps viendrait où le monde regarderait en arrière et souhaiterait avoir investi davantage dans des vaccins potentiels. C'était des semaines avant que le monde n'entende parler de chauves-souris et d'un marché de produits vivants à Wuhan, en Chine.
En octobre 2019, la Fondation Gates s'est associée au Forum Économique Mondial et au Johns Hopkins Center for Health Security pour réaliser ce qu'ils ont appelé une simulation de scénario « fictif » impliquant certaines des plus grandes figures de la santé publique mondiale. Cette simulation a été appelée « Événement 201 ».
swaqComme le décrit leur site web, l'Événement 201 simulait une « apparition d'un nouveau coronavirus zoonotique transmis de chauve-souris à porc à l'homme, qui finit par se transmettre efficacement d'une personne à l'autre, entraînant une grave pandémie ». L'agent pathogène et la maladie qu'il provoque sont largement inspirés du SRAS, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins ».
Dans le scénario « Événement 201 », la maladie prend naissance dans un élevage de porcs au Brésil, se propage dans les régions à faible revenu et finit par exploser en une épidémie. La maladie est transportée par avion au Portugal, aux États-Unis et en Chine, et au-delà, au point qu'aucun pays ne peut la contrôler. Le scénario prévoit qu'aucun vaccin ne sera disponible la première année.
« Comme toute la population humaine est sensible, au cours des premiers mois de la pandémie, le nombre cumulé de cas augmente de façon exponentielle, doublant chaque semaine ».
Le scénario se termine alors après 18 mois, lorsque le coronavirus fictif a causé 65 millions de morts.
« La pandémie commence à ralentir en raison de la diminution du nombre de personnes sensibles. La pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu'à ce qu'un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90% de la population mondiale ait été exposée ».
Les Acteurs de l'Événement 201
Aussi intéressant que puisse être le scénario fictif de l'Événement Gates-Johns Hopkins 201 d'octobre 2019, la liste des panélistes invités à participer à la réponse mondiale imaginaire est tout aussi intéressante.
Parmi les « acteurs » sélectionnés, comme ils ont été appelés, se trouvait George Fu Gao. Le Professeur Gao est notamment Directeur du Centre chinois pour le contrôle et la Prévention des Maladies depuis 2017. Sa spécialisation comprend des recherches sur
« la transmission interespèces du virus de la grippe (saut d'hôte)... Il s'intéresse également à l'écologie des virus, en particulier la relation entre le virus de la grippe et les oiseaux migrateurs ou les marchés de volailles vivantes et l'écologie et la biologie moléculaire des virus dérivés des chauves-souris ».
RépondreSupprimerL'écologie des virus dérivés de la chauve-souris...
-- Commentaire : Lire aussi :
L'origine du virus serait aux Etats-Unis ? Pékin refuse de porter le chapeau --
Le Professeur Gao a été rejoint, entre autres, par l'ancienne Directrice Adjointe de la CIA pendant le mandat d'Obama, Avril Haines. Elle a également été l'assistante du Président Obama et la principale adjointe du Conseiller à la Sécurité Nationale. Le contre-amiral Stephen C. Redd, Directeur du Bureau de Préparation et d'Intervention en matière de Santé Publique aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) a également participé à l'événement de Gates. Ce même CDC est au centre d'un énorme scandale pour ne pas avoir à disposition des tests fonctionnant adéquats pour tester les cas de COVID-19 aux États-Unis. Leur préparation était tout sauf louable.
Le groupe était complété par Adrian Thomas, le Vice-Président de Johnson & Johnson, le géant de la médecine et de la pharmacie, qui a fait l'objet d'un scandale. Thomas est responsable de la préparation aux pandémies chez J&J, notamment du développement de vaccins contre le virus Ebola, la dengue et le VIH. Et il y avait Martin Knuchel, responsable de la gestion des crises, des urgences et de la continuité des activités pour le groupe Lufthansa Airlines. Lufthansa a été l'une des principales compagnies aériennes à réduire considérablement ses vols pendant la crise de la pandémie de COVID-19.
-- Commentaire : Tiens... Tiens...
Tout cela montre que Bill Gates a été très préoccupé par la possibilité d'une pandémie mondiale qui, selon lui, pourrait être encore plus importante que les décès présumés dus à la mystérieuse grippe espagnole de 1918, et qu'il a lancé un avertissement au moins au cours des cinq dernières années ou plus.
-- Commentaire : Les médias ont fait un lien, à satiété, entre le COVID-19 et la grippe espagnole ce qui a causé plus de panique dans la population. --
La Fondation Bill & Melinda Gates a également participé au financement du développement de nouveaux vaccins en utilisant les technologies de pointe d'édition de gènes du CRISPR et d'autres technologies.
Les vaccins contre le coronavirus
L'argent de la Fondation Gates soutient le développement de vaccins sur tous les fronts. La société Inovio Pharmaceuticals de Pennsylvanie a reçu 9 millions de dollars de la CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations), soutenue par la fondation Gates, pour développer un vaccin, INO-4800, qui est sur le point d'être testé sur l'homme en avril, un délai suspectement rapide. En outre, la Fondation Gates vient de donner à la société 5 millions de dollars supplémentaires pour développer un dispositif intelligent propriétaire pour l'administration intradermique du nouveau vaccin.
En outre, les fonds de la Fondation Gates, via le CEPI, financent le développement d'une nouvelle méthode de vaccination radicale connue sous le nom d'ARN messager ou ARNm.
Ils cofinancent la société de biotechnologie de Cambridge, Massachusetts, Moderna Inc. pour développer un vaccin contre le nouveau coronavirus de Wuhan, maintenant appelé SARS-CoV-2. L'autre partenaire de Moderna est l'Institut National Américain des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID), qui fait partie des Instituts Nationaux de la Santé (NIH). Le chef du NIAID est le Dr Anthony Fauci, la personne au centre de la réponse d'urgence de l'administration Trump en matière de virus. Le vaccin contre le coronavirus Fauci-Gates Moderna, ARNm-1273, a été mis en place en quelques semaines, et non en quelques années. Le 24 février, il a été envoyé directement au NIH de Fauci pour des tests sur des cobayes humains, et non sur des souris comme c'est normalement le cas. Le conseiller médical en chef de Moderna, Tal Zaks, a déclaré : « Je ne pense pas que le fait de prouver cela sur un modèle animal soit pertinent pour le porter à un essai clinique ».
RépondreSupprimerUne autre admission notable de Moderna sur son site web est l'avertissement légal, « Note spéciale concernant les déclarations prospectives : ...Ces risques, incertitudes et autres facteurs comprennent, entre autres : ... le fait qu'il n'y a jamais eu de produit commercial utilisant la technologie ARNm dont l'utilisation ait été approuvée ». En d'autres termes, la santé et la sécurité des personnes n'ont absolument pas été prouvées.
Une autre société de biotechnologie travaillant avec la technologie ARNm non éprouvée pour développer un vaccin pour le COVID-19 est une société allemande, CureVac. Depuis 2015, CureVac a reçu de l'argent de la Fondation Gates pour développer sa propre technologie ARNm. En janvier, la CEPI, soutenue par la Fondation Gates, a accordé plus de 8 millions de dollars pour développer un vaccin à ARNm pour le nouveau coronavirus.
Ajoutez à cela le fait que la Fondation Gates et les entités connexes telles que la CEPI constituent les plus grands bailleurs de fonds de l'entité public-privé connue sous le nom d'OMS, et que son directeur actuel, Tedros Adhanom, le premier Directeur de l'OMS de l'histoire à ne pas être médecin, a travaillé pendant des années sur le VIH avec la Fondation Gates lorsque Tedros était Ministre du gouvernement en Éthiopie, et nous voyons qu'il n'y a pratiquement aucune région où sévit la pandémie actuelle de coronavirus qui ne porte pas les empreintes de l'omniprésent Gates. Si c'est pour le bien de l'humanité ou s'il y a lieu de s'inquiéter, le temps nous le dira.
Traduit par Réseau International
-- Commentaire : Il apparaît clairement qu'il s'agit de business et aussi... que la planète est devenue, au nom de ce virus, une immense prison pour tous ses habitants.
Lire aussi :
« Le confinement va entraîner une hausse des comportements agressifs et des suicides » - Entretien avec Hélène Romano, psychologue
L'arbre qui cache la forêt : « pandémie » du Covid-19 et « Agenda ID2020 » -
Coronavirus Covid-19 : une fausse pandémie ? Qui est derrière ? Déstabilisation économique, sociale et géopolitique mondiale
Soyons clairs : la pandémie de coronavirus n'est pas la « cause » de cette crise économique et sociale en cours. --
https://fr.sott.net/article/35025-Coronavirus-Bill-Melinda-Gates-et-les-autres
Des chercheurs affirment avoir établi un lien entre un groupe sanguin et le risque d'infection au coronavirus
RépondreSupprimerSputnik
mar., 17 mar. 2020 22:10 UTC
Des scientifiques chinois ont mené une étude pour déterminer le risque d'infection au coronavirus en fonction du groupe sanguin. Selon les résultats, les personnes du groupe A ont un risque plus élevé par opposition à celles du groupe O.
Les personnes de groupe sanguin A sont plus susceptibles d'être infectées par le nouveau coronavirus, alors que le groupe sanguin O présente un risque d'infection significativement plus faible, indiquent les résultats de l'étude publiée le 11 mars par un groupe de scientifiques chinois sur le site Medrxiv.org.
-- Commentaire : Rappelons que le groupe O est le groupe « d'origine ». A priori les autres groupes sont issus de ce groupe car plus récents. Le groupe O est le plus répandu. --
Les scientifiques ont mené une étude ciblée pour déterminer s'il existe une relation entre le groupe sanguin des patients et leur sensibilité au Covid-19. Ils ont prélevé des échantillons sur 2 173 patients de trois hôpitaux de Wuhan et Shenzhen qui avaient été testés positifs au virus, dont 206 appartenaient à des personnes décédées des suites de la maladie.
Les chercheurs qui ont d'abord examiné le groupe de 3 694 personnes non infectées à Wuhan ont découvert que parmi elles, 33,84% appartenaient au groupe O, 32,16% au A, 24,90% au B et 9,10% au groupe sanguin AB.
Des tests menés sur 1.775 patients infectés de l'hôpital Jinyintan de Wuhan (dont 206 sont décédés) ont montré que 37,75% présentaient un groupe sanguin A, 26,42% un groupe B, 25,80% un groupe O et 10,03% un groupe AB.
L'étude portant sur 398 autres patients d'un autre hôpital de Wuhan et de Shenzhen a donné des résultats similaires.
Un nombre toujours croissant de contaminations
Détecté en décembre dernier en Chine, le Covid-19 a touché 145 pays et territoires avec plus de 180 000 cas d'infection et plus de 7 000 morts. En Europe, l'Italie est le pays le plus impacté avec 27 980 cas de contamination et 2 158 morts.
La France recense ce 17 mars un nombre de cas dépassant les 6 600 avec 148 morts. Sur fond de propagation du coronavirus, le pays a appliqué des mesures de « restriction ferme » dès aujourd'hui midi et pour une durée de 15 jours afin de réduire contacts et déplacements au strict minimum.
https://fr.sott.net/article/35008-Des-chercheurs-affirment-avoir-etabli-un-lien-entre-un-groupe-sanguin-et-le-risque-d-infection-au-coronavirus
Une vision rationnelle sur le coronavirus : l'empereur est nu
RépondreSupprimerLes Éditeurs
Sott.net
jeu., 19 mar. 2020 15:42 UTC
Le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue allemand a dirigé un réseau sentinelle de surveillance des maladies infectieuses respiratoires. Il nous livre son expertise et nous passe le message suivant : « Le battage médiatique sur le coronavirus ne repose sur aucun danger extra-ordinaire pour la santé publique. Et pourtant, il cause un préjudice considérable à notre liberté et à nos droits personnels par des mesures de quarantaine et des restrictions frivoles et injustifiées. Les images dans les médias sont effrayantes. L'évaluation épidémiologique fondée sur des preuves se noie dans le courant dominant des faiseurs de peur dans les laboratoires, les médias et les ministères. »
L'empereur est nu
La vidéo est en allemand, avec sous-titres en anglais. Nous vous en présentons le contenu.
- voir sur site -
Chaque année nous avons de nouveaux variants de virus. Si le même virus revient, notre système immunitaire le reconnaît, et nous ne sommes pas malades. Parmi ces virus il y a la famille coronavirus. Elle représente 10 pour cent de l'ensemble des virus existants.
Voici ce qui s'est passé avec le covid-19 : le laboratoire de Wuhan est le plus grand laboratoire de virologie en Chine, des experts reconnus y travaillent donc. Wuhan est une mégalopole de 11 millions d'habitants. Ils ont donc de grands hôpitaux avec des services de réanimation traitant de pneumonies chaque jour. Sur une des analyses [par PCR de l'ARN viral] sur une vingtaine de ces patients, un nouveau variant est observé.
Chaque fois qu'un laboratoire trouve un nouveau variant, il l'entre dans la base de données mondiale, donc accessible à tout scientifique du monde entier. Un virologiste allemand voyant ce nouveau variant d'ARN, alerte aussitôt l'OMS en affirmant que c'est un virus dangereux. Il n'a pas vérifié les données, démarche usuelle avant d'alerter l'OMS.
Or, pour déterminer la gravité de l'infection, il convient de regarder, outre les symptômes, les données épidémiologiques. Les sujets atteints ont guéri à quelle vitesse? Y'a-t-il moins ou plus de victimes que les autres années? Quel est le taux de mortalité? Donc, si on étudie un virus donné, on examine la population générale. Usuellement, sur une année donnée, 8 à 10 pour cent de la population générale attrape un virus et en présente les symptômes (tombe malade). Tous ceux qui attrapent le virus ne tombent pas malades, c'est-à-dire qu'ils n'ont aucun symptôme; ils sont dits asymptomatiques.
Le graphique ci-dessous montre la prévalence relative de patients symptomatiques, avec la répartition par type de virus. En rouge, le rhinovirus qui est le virus du rhume. En vert, le coronavirus qui n'est pas un nouveau virus, mais qui a de nouveaux variants chaque année (mutations).
infections virales
- voir graphique sur site -
Infections virales par années sur une période allant de 2005 à 2013, dans une zone donnée (Glasgow) avec la répartition par virus (en vert le coronavirus)
Le schéma ci-dessous montre la répartition des virus qui donnent des symptômes grippaux. Le virus influenzae est le plus connu, c'est la grippe proprement dite. Il apparait en rouge sur le camembert ci-dessous. Le coronavirus (en vert sur le camembert) donne les mêmes signes cliniques que la grippe. Seule l'analyse du virus par PCR (étude de l'ARN viral) permet de distinguer le type de virus. Les deux peuvent donner comme complication une pneumonie, laquelle peut aller jusqu'à la détresse respiratoire puis au décès. En violet, le rhinovirus, de loin le plus fréquent, est celui de la rhinite. En jaune, le VRS ou Virus Respiratoire Syncytial qui touche essentiellement les enfants. En gris, les états pseudo-grippaux liés à divers autres virus. Tous ces virus donnent une infection respiratoire aiguë dont on guérit facilement et naturellement. Seuls les sujets ayant un état de santé affaibli (immunodépression, cancers, maladies cardiaques, etc) évoluent vers la détresse respiratoire aiguë voire le décès. C'est ce qui s'est passé avec le coronavirus, comme à l'accoutumée; les décès ont porté sur des personnes fragiles.
RépondreSupprimerrépartition virus flu-like
- voir graphique sur site -
Rouge: influenzae / vert: coronavirus / violet: rhinovirus / jaune: VRS / gris: les états pseudo-grippaux liés à divers autres virus.
Si vous testez la présence de l'ARN virale dans l'échantillon des patients gravement malades d'une unité de réanimation, le taux de mortalité sera bien plus élevé que dans la population générale. Il est donc important lorsqu'on regarde les chiffres, de regarder sur quel échantillon on fait le test (population générale, groupe de personnes dans une salle d'attente, unité de réanimation).
Ce qui s'est passé avec le coronavirus c'est que le virologue allemand a fait un buzz sensationnel qui a impressionné le gouvernement chinois à son tour, le menant à mettre en place un système de surveillance draconien. Le mouvement a pris une ampleur internationale au point qu'il est impossible pour une personne à l'esprit critique de dire « Stop ! il n'y a rien ! ».
Et le conte des nouveaux habits de l'empereur sied bien à cette affaire. Les sujets du royaume, parce qu'ils n'ont pas eux-mêmes la connaissance, demandent conseil au gouvernement. Ils ont tous joint la sur-médiatisation. Les scientifiques ont joint ce mouvement émotionnel, chacun cherchant sa part de gâteau (se montrer héroïque, se donner de l'importance, se sentir utile, « nous avons créé une app », « nous avons un programme pour ça », etc.)
Ce qui manque maintenant c'est un regard rationnel : comment avez-vous déterminé que le virus est dangereux ? Comment c'était avant ? Est-ce quelque chose de nouveau ?
Cette donnée primordiale manque. Et l'empereur est nu.
https://fr.sott.net/article/35016-Une-vision-rationnelle-sur-le-coronavirus-l-empereur-est-nu
Ce danger non lié au Covid-19 menace la sécurité alimentaire de 25 millions de personnes
RépondreSupprimer11:18 21.03.2020
Alors que le monde lutte contre le coronavirus, des millions de personnes en Afrique et au moyen-orient devraient être frappées par une invasion de criquets pèlerins, une espèce qui, selon les experts, a la capacité de se reproduire à un rythme effréné à cause du changement de saison.
Le criquet pèlerin, considéré comme l’insecte migrateur le plus destructeur au monde par les spécialistes de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), fait peser une menace sur des millions de personnes en matière de sécurité alimentaire, relate le Guardian.
Le changement de saison a en effet créé des conditions sans précédent pour la reproduction de ces insectes dans le désert du golfe Persique. Ils ont ensuite pu se propager à travers le Yémen, où la guerre civile a empêché le contrôle des populations acridiennes, selon les spécialistes.
Les cyclones favorables aux insectes
Le cyclone Mekunu a permis à plusieurs générations de criquets pèlerins de prospérer entre l'Arabie saoudite, le Yémen et Oman, ceux-ci se reproduisant et se regroupant en essaims pour dévorer les cultures, a déclaré au quotidien Keith Cressman, expert en prévisions acridiennes de la FAO.
Lorsque ces conditions se sont à peu près normalisées et que le sol s’est à nouveau desséché, un autre cyclone est arrivé, a-t-il expliqué. La nouvelle génération de criquets s’est multipliée par 8.000 au lieu de 400.
Le cyclone Sagar, le plus fort jamais enregistré en Somalie, a été suivi par les cyclones Mekunu puis Luban en octobre 2018.
Selon le fonctionnaire de la FAO, les populations de criquets pèlerins augmentent grâce à l’humidité et continuent de prospérer dans les zones où la végétation est abondante. Cet animal peut manger l'équivalent de sa propre masse en nourriture fraîche par jour.
Une humidification continue
Habituellement, les conditions favorables à leur reproduction durent environ six mois après le passage d’un cyclone, avant que l'habitat ne se dessèche. Les insectes meurent et migrent, a expliqué le responsable.
Les mers, en devenant plus chaudes en raison du changement de saison, conduisent pourtant à une multiplication des cyclones et des précipitations, ce qui crée des conditions propices à la reproduction dans les sols sablonneux humides ou sablonneux/argileux.
Une aide financière réclamée
La sécurité alimentaire de 25 millions de personnes pourrait être mise en danger par ces criquets qui ont été repérés dans au moins 10 pays au cours des derniers mois: l’Éthiopie, le Yémen, l’Iran, le Soudan, l’Érythrée, l’Égypte, l’Arabie saoudite, la Somalie et Oman, avertit la FAO. Un essaim récemment signalé au Kenya couvrait une superficie de la taille du Luxembourg.
L'organisation a demandé 140 millions de dollars (130 millions d’euros) pour lutter contre la reproduction continue de ces insectes.
https://fr.sputniknews.com/societe/202003211043347447-ce-danger-non-lie-au-covid-19-menace-la-securite-alimentaire-de-25-millions-de-personnes/
Les médecins italiens nomment les maladies qui augmentent le risque de mourir du Covid-19
RépondreSupprimer15:05 21.03.2020
Les patients atteints de maladies cardiovasculaires et de diabète encourent un risque plus élevé de décéder de l’infection au coronavirus, selon une étude de chercheurs italiens.
Le bureau de la Société italienne des maladies infectieuses et tropicales (SIMIT) de la région de Lombardie a constaté un risque élevé de mort de coronavirus chez les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires et de diabète.
Selon ses évaluations, parmi les patients atteints de troubles cardiovasculaires, le risque d’issue fatale est de 10,5% plus élevé, tandis que parmi les diabétiques il est de 7,3% supérieur à la moyenne.
Dans le même temps, le groupe à risque inclut les personnes souffrant de maladies respiratoires chroniques (+6,3%), d’hypertension (+6%) et de cancer (+5,6%), constatent les chercheurs italiens.
Plus de 4.000 morts en Italie
L’Italie est le pays qui a payé, pour le moment, le plus lourd tribut à la pandémie de coronavirus qui a éclaté dans la province chinoise du Hubei. Selon les dernières données de l’université John-Hopkins, plus de 47.000 Italiens ont contracté le Covid-19 et plus de 4.000 d’entre eux sont décédés.
Dans le monde entier, il est décompté plus de 230.000 cas d’infection et 10.000 décès liés au coronavirus.
https://fr.sputniknews.com/sante/202003211043348406-les-medecins-italiens-nomment-les-groupes-les-plus-vulnerables-face-au-covid-19/
(...) plus de 47.000 Italiens ont contracté le Covid-19 et plus de 4.000 d’entre eux sont décédés. (...)
Supprimerplus de 47.000 'Italiens' ont contracté le Covid-19 et plus de 4.000 d’entre eux sont décédés.
Italiens ou 'personne en Italie' ?
C'est là une question que je me pose depuis le premier jour, sont-ce des personnes nées au pays ou 'réfugiés climatique' ?
Des scientifiques ont parlé d'un virus 'ethnique'.
Des drones équipés de haut-parleurs rappelleront aux Parisiens les restrictions liées à la pandémie
RépondreSupprimer15:23 21.03.2020
Après avoir annoncé de nouvelles restrictions de déplacement et de rassemblement dans plusieurs zones, la mairie et la préfecture de Paris ont annoncé que des drones seront utilisés pour diffuser un message via leurs haut-parleurs.
Afin que les Parisiens soient informés sur les zones auxquelles ils ne peuvent accéder, une vingtaine de drones diffuseront des messages pré-enregistrés via des haut-parleurs très puissants, a rapporté Le Parisien. Les lieux concernés sont les berges, les pelouses de l’Esplanade des Invalides et du Champ-de-Mars, lesquels sont interdits d’accès depuis vendredi 20 mars.
«La technologie nous aide, mais elle n’est pas suffisante. La présence humaine est déterminante. Ce n’est pas un drone qui va remplacer un fonctionnaire de police, ça va de soi», a déclaré le préfet de police de Paris, Didier Lallement, au micro de l’AFP.
Ces drones sont capables de voler jusqu’à 150 mètres de haut et diffuseront le message suivant: «Restez chez vous, l’accès à cette zone est interdit». La brigade fluviale délivrera la même consigne grâce à ses puissants haut-parleurs.
Seuls les riverains, travailleurs et livreurs seront autorisés à circuler dans les zones concernées, et devront remettre un justificatif s’ils sont contrôlés, précise le communiqué commun de Didier Lallement et Anne Hidalgo.
Un drone déjà déployé à Nice
Depuis jeudi, à Nice, un drone «patrouille» sur la promenade des Anglais, interdite aux piétons. L’initiative est venue de la préfecture des Alpes-Maritime. Il diffuse un message qui rappelle les consignes de confinement et la distance de sécurité à respecter entre les personnes.
Le maire Les Républicains (LR), Christian Estrosi, a également instauré un couvre-feu dans la ville entre 23 heures et cinq heures du matin, lequel entrera en vigueur ce samedi. Seules les personnes qui travaillent pourront faire exception. Jardins et marchés sont fermés depuis le 16 mars. Malgré toutes ces mesures, les forces de l’ordre ont verbalisé de nombreux joggeurs et promeneurs qui se sont aventurés sur le littoral durant la semaine.
https://fr.sputniknews.com/france/202003211043349421-des-drones-equipes-de-haut-parleurs-rappelleront-aux-parisiens-les-restrictions-liees-a-la-pandemie/
Les prochains armés de Kalachnikovs ?
SupprimerLa Chine a «inexcusablement» caché des informations sur le coronavirus et devrait admettre ses actes répréhensibles
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/03/2020 - 12:35
Alors que la Chine a peut-être finalement réduit le coronavirus à des niveaux gérables à l'intérieur de ses frontières, il n'en demeure pas moins qu'elle a initialement menti sur le virus tout en supprimant activement les premières informations qui auraient pu sauver d'innombrables vies, selon le Dr Michael Pillsbury, directeur de la stratégie chinoise au Hudson Institute et conseiller du président Trump.
"Tous ceux qui le souhaitent peuvent simplement aller en ligne et consulter le site Web de l'OMS le 14 janvier. Vous verrez l'OMS dire" La Chine dit qu'il n'y a pas de transmission interhumaine "", a déclaré Pullsbury.
"Maintenant, ce n'était pas vrai. Ils savaient déjà qu'il y avait une transmission humaine. Et le lendemain, 20 Chinois sont venus à la Maison Blanche - avec le président Trump, Henry Kissinger, Lou Dobbs, moi-même, nous avons tous vu les Chinois de près. Certains ils auraient pu le porter ", at-il ajouté.
Pillsbury a ensuite discuté du cas du médecin de Wuhan Li Wenliang - le souffleur de poils qui a publié un article sur WeChat à propos de la nouvelle maladie, pour être poursuivi par le gouvernement avant de mourir plus tard du virus. Pékin prétend maintenant qu'il n'a jamais été puni pour avoir pris la parole et le considère maintenant comme un héros.
Regarder:
La semaine dernière, Axios a publié une chronologie des mensonges et des dissimulations de la Chine concernant COVID-19 qui correspond parfaitement aux commentaires du Dr Pullsbury:
Écrit par Bethany Allen-Ebrahimian via Axios
Une étude publiée en mars a indiqué que si les autorités chinoises avaient agi trois semaines plus tôt qu’elles, le nombre de cas de coronavirus aurait pu être réduit de 95% et sa répartition géographique limitée.
Ce calendrier, compilé à partir d'informations rapportées par le Wall Street Journal, le Washington Post, le South China Morning Post et d'autres sources, montre que la dissimulation de la Chine et le retard des mesures sérieuses pour contenir le virus ont duré environ trois semaines.
10 décembre:
Wei Guixian, l'un des premiers patients coronavirus connus, commence à se sentir malade.
16 décembre:
Patient admis à l'hôpital central de Wuhan avec infection dans les deux poumons mais résistant aux médicaments antigrippaux. Le personnel a appris plus tard qu'il travaillait dans un marché aux animaux sauvages lié à l'épidémie.
27 décembre:
les responsables de la santé de Wuhan sont informés qu'un nouveau coronavirus est à l'origine de la maladie.
30 décembre:
RépondreSupprimerAi Fen, un directeur de haut niveau de l'hôpital central de Wuhan, publie des informations sur WeChat sur le nouveau virus. Elle a été réprimandée pour avoir agi ainsi et a dit de ne pas diffuser d'informations à ce sujet.
Le médecin de Wuhan, Li Wenliang, partage également des informations sur WeChat sur le nouveau virus de type SRAS. Il est appelé pour un interrogatoire peu de temps après.
La commission de la santé de Wuhan informe les hôpitaux d'une «pneumonie de cause obscure» et leur ordonne de communiquer toute information connexe.
31 décembre:
Les responsables de la santé de Wuhan confirment 27 cas de maladie et ferment un marché qu'ils pensent être lié à la propagation du virus.
La Chine informe le bureau chinois de l'Organisation mondiale de la santé des cas d'une maladie inconnue.
1er janvier: le Bureau de la sécurité publique de Wuhan fait venir pour interroger huit médecins qui avaient publié des informations sur la maladie sur WeChat.
Un responsable de la Commission provinciale de la santé du Hubei ordonne aux laboratoires, qui avaient déjà déterminé que le nouveau virus était similaire au SRAS, d'arrêter de tester les échantillons et de détruire les échantillons existants.
2 janvier:
des chercheurs chinois cartographient les informations génétiques complètes du nouveau coronavirus. Ces informations ne seront rendues publiques que le 9 janvier.
7 janvier:
Xi Jinping s'implique dans la réponse.
9 janvier:
la Chine annonce qu'elle a cartographié le génome du coronavirus.
11-17 janvier:
Une importante réunion programmée du PCC s'est tenue à Wuhan. Pendant ce temps, la Wuhan Health Commission insiste sur le fait qu'il n'y a pas de nouveaux cas.
13 janvier:
premier cas de coronavirus signalé en Thaïlande, premier cas connu hors de Chine.
14 janvier:
L'OMS annonce que les autorités chinoises n'ont vu "aucune preuve claire de la transmission interhumaine du nouveau coronavirus".
15 janvier:
Le patient qui devient le premier cas américain confirmé quitte Wuhan et arrive aux États-Unis, porteur du coronavirus.
18 janvier:
La Wuhan Health Commission annonce quatre nouveaux cas.
Banquet annuel du Nouvel An lunaire de Wuhan. Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées pour un repas-partage.
19 janvier: Pékin envoie des épidémiologistes à Wuhan.
20 janvier:
Le premier cas annoncé en Corée du Sud.
Zhong Nanshan, un grand médecin chinois qui aide à coordonner la réponse au coronavirus, annonce que le virus peut être transmis entre les gens.
21 janvier:
RépondreSupprimerLes Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis confirment le premier cas de coronavirus aux États-Unis.
Le journal phare du PCC, People’s Daily, mentionne l’épidémie de coronavirus et les actions de Xi pour la combattre pour la première fois.
La plus haute commission politique chinoise en charge de l'ordre public avertit que "quiconque délibérément retardera et cachera le signalement des cas de virus par son propre intérêt sera cloué sur le pilier de la honte pour l'éternité".
23 janvier: Wuhan et trois autres villes sont mises sous verrouillage. À cette époque, environ 5 millions de personnes quittent la ville sans avoir été dépistées pour la maladie.
24-30 janvier: la Chine célèbre les vacances du Nouvel An lunaire. Des centaines de millions de personnes transitent à travers le pays alors qu'elles rendent visite à des proches.
24 janvier: la Chine prolonge le verrouillage pour couvrir 36 millions de personnes et commence à construire rapidement un nouvel hôpital à Wuhan. À partir de ce moment, des mesures très strictes continuent d'être mises en œuvre dans tout le pays pour le reste de l'épidémie.
L'essentiel: la Chine essaie maintenant de créer un récit selon lequel c'est un exemple de la façon de gérer cette crise alors qu'en fait, ses premières actions ont entraîné la propagation du virus dans le monde entier.
https://www.zerohedge.com/health/china-inexcusably-hid-information-about-coronavirus-and-should-admit-their-wrongdoing
SupprimerAprès les accusations de FAUSSES DÉTENTION D'ARMES OU DE GAZ OU DE JE-NE-SAIS-QUOI contre l'Irak (Saddam Hussein) ou la Libye (Mouammar Kadhafi), est-ce le tour de la Chine (Xi) ???!!! pour entrer en guerre mondiale après y avoir semé un virus ?
Le bourdonnement des pales d'hélicoptère: le changement de régime arrive
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/03/2020 - 10h30
Écrit par Peter Tasker via PeterTasker.asia,
"La pandémie de coronavirus est une urgence de santé publique. Mais c'est aussi une urgence économique ...
Cet effort national sera soutenu par des interventions gouvernementales dans l'économie à une échelle inimaginable il y a seulement quelques semaines. Ce n'est pas le moment de l'idéologie et de l'orthodoxie ... Nous soutiendrons les emplois, nous soutiendrons les revenus, nous soutiendrons les entreprises et nous vous aiderons à protéger vos proches. Nous ferons tout ce qu'il faut. "
- Chancelier de l'Échiquier britannique Rishi Sunak 18/3/2020
Les décideurs ont peur, et à juste titre. La pandémie de coronavirus a provoqué un choc déflationniste massif dans l'économie mondiale, comme en témoigne l'effondrement du rendement des obligations d'État américaines à 10 ans à un creux momentané de 0,31% le 9 mars.
Une forte baisse de l'activité économique est un effet secondaire inévitable de l'application du principe de précaution à la crise des virus, qui est néanmoins la bonne ligne de conduite. Il en va de même pour la politique économique; sous-estimer les risques est une erreur bien pire que de les surestimer. Les crises économiques tuent aussi des gens. Après que le Japon ait plongé dans la déflation à la fin des années 90, les suicides ont bondi de 10 000 cas par an et sont restés à un niveau élevé pendant une décennie. Cette augmentation constitue chaque année un bilan pire que le décompte mondial du coronavirus à ce jour.
Comme il ne s'agit pas d'une crise financière - même si une vague de faillites et d'effondrements de prix d'actifs pourrait en faire une - la protection des revenus et des emplois doit être la principale priorité. La façon dont cela se fera variera d'un pays à l'autre, mais en fin de compte, les ressources financières ne peuvent être fournies par les gouvernements que par le biais d'émissions d'obligations soutenues par les banques centrales. Un retour simultané à l'assouplissement quantitatif, comme cela s'est produit aux États-Unis, ouvre la voie à une monétisation pure et simple.
"Aujourd'hui, je mets à disposition une garantie initiale de 330 milliards de livres sterling, soit 15% de notre PIB. Cela signifie que toute entreprise qui a besoin d'avoir accès à de l'argent pour payer son loyer, les salaires, les fournisseurs ou acheter des stocks, pourra pour accéder à un prêt soutenu par le gouvernement, à des conditions attractives. Et si la demande est supérieure aux 330 milliards de livres sterling que je mets à disposition aujourd'hui, j'irai plus loin et fournirai autant de capacité que nécessaire. J'ai dit tout ce qu'il fallait - et je le pensait. "
- Le chancelier britannique Rishi Sunak 18/3/2020
Il est peu probable que les «prêts» utilisés pour financer les frais de fonctionnement comme les salaires et le loyer soient remboursés. Ils finiront probablement par être profondément ancrés dans les comptes publics, ainsi que plusieurs autres actifs non performants tels que les prêts étudiants et les investissements publics-privés. L'échelle, cependant, sera beaucoup plus grande.
Aux États-Unis, l'approche la plus simple du président Donald Trump consiste à réduire les charges sociales et à envoyer des chèques de 1 000 $ aux citoyens américains. Bien que le paquet Trump soit énorme, équivalant à 6% du PIB américain, il a été critiqué pour son insuffisance d'échelle, compte tenu des risques de récession profonde. Si cela ne fonctionne pas, d'autres suivront sûrement. Il s'agit, après tout, d'une année d'élection présidentielle.
RépondreSupprimerLe point clé est que l'argent est susceptible de couler directement vers les ménages, comme il ne l'a jamais fait lorsque la politique monétaire était le seul jeu en ville. En quoi cela diffère-t-il de «l'argent de l'hélicoptère», du «People’s QE» de Jeremy Corbyn ou des propositions des croyants de la théorie monétaire moderne? En substance, ce n'est pas le cas, sauf que les partisans sont les dirigeants d'administrations nominalement conservatrices. Si la crise ne se résorbe pas rapidement, les gouvernements pourraient finir par monétiser les salaires et traitements d'un très grand nombre de personnes et détenir d'importantes tranches d'industrie.
Qu'est-ce que tout cela signifie pour les investisseurs? Selon toute probabilité, la fin du régime dominé par la politique monétaire en place depuis la crise financière mondiale de 2008 et le paysage des investissements qu'il a créé. Un calcul pour les valeurs de croissance accélérées sur des valorisations exorbitantes. Une avalanche d'émission d'obligations. Risques croissants d'inflation. Les turbulences monétaires si les banques centrales tentent de maintenir les rendements à la baisse une fois la normalisation commencée.
En quelques brefs sauts, les taux d’intérêt sont restés stables ou en baisse pour la plupart des carrières des fonctionnaires, des investisseurs et des chefs d’entreprise d’aujourd’hui. Au cours des dernières années, on a cru de plus en plus que les taux bas étaient «structurels», entraînés par des facteurs déflationnistes à long terme tels que la démographie et l'essor de l'économie Internet. Si tel est le cas, les gouvernements peuvent emprunter et dépenser autant qu'ils le souhaitent sans craindre les conséquences.
Grâce au coronavirus, cette théorie est sur le point d'être testée. Et, comme nous l'avons toujours soupçonné, le point zéro pour un changement de régime ne sera pas le Japon ou les États-Unis, mais le Royaume-Uni.
https://www.zerohedge.com/markets/whirr-helicopter-blades-regime-change-coming
CONFINEMENT : PAS DE SORTIE AVANT 2022 ?
Supprimerhttp://www.economiematin.fr/news-confinement-coronavirus-prolongement-2022-sortie-enfermement
------------------------
(...) Au moment d'écrire ces lignes, un peu plus de 10 000 personnes seraient mortes de ce que l'on appelle le coronavirus, et ce nombre est très probablement surestimé. Tout cela car 300 000 à 700 000 personnes mourront cette année dans le monde de la grippe commune. (...)
(...) «Cette année, aux États-Unis, il y a eu entre 300 000 et 500 000 hospitalisations pour grippe. Nous avons fait entre 20 000 et 45 000 morts. Parmi ceux-ci, 154 se sont produits chez des enfants.
Au cours des deux derniers mois depuis que COVID-19 a été aux États-Unis, 20 enfants sont morts de la grippe; aucun enfant n'est décédé de COVID-19. » (...)
(...) Entre octobre 2019 et fin février 2020, environ 45 millions d'Américains ont contracté la grippe. Il y a eu 560 hospitalisations.
Et 46 000 Américains en sont morts.
En 2018, selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), 49 millions d'Américains ont contracté la grippe. Environ 960 000 ont été hospitalisés.
Plus de 80 000 sont morts. (...)
https://www.lewrockwell.com/2020/03/jack-kerwick/coronavirus-hysteria-part-i/
-----------------------------
TOUT DOUCEMENT, SANS TROP FAIRE DE BRUIT SUR LES VÉRITABLES INTENTIONS, C'EST LA LOI MARTIALE MONDIALE QUI SE MET EN PLACE SOUS LE CAMOUFLET D'UNE 'GRIPETTE' (Interdite de cholovaquine !).
Pas de masques ! Çà alors !! Pas de lits d'hôpitaux ! Çà alors !
"We Can Sh*t For 10 Years" - Dutch PM Mocks Toilet-Paper Shortage Rumors
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 21/03/2020 - 08:45
Alors que le monde occidental craint que la pénurie de papier hygiénique ne se développe en raison de la panique des consommateurs au milieu de l'épidémie de COVID-19, le Premier ministre néerlandais a rassuré un concitoyen que le pays a au moins une décennie de trucs moelleux, a rapporté RT News.
Jeudi, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte traversait un supermarché lorsqu'un acheteur lui a demandé si le pays disposait de suffisamment de papier hygiénique. Réponse de Rutte:
"Il y en a aussi assez pour les 10 prochaines années aux Pays-Bas."
"Nous avons tellement, nous pouvons chier pendant 10 ans", a-t-il ajouté.
Rutte visitait un supermarché local pour montrer son soutien aux travailleurs en ces temps difficiles. Il a déclaré plus tôt dans la semaine, dans une adresse télévisée à la nation, que la plupart des résidents recevraient COVID-19.
"Il n'y a pas de message facile pour vous ce soir ... La réalité est qu'une grande partie de la population néerlandaise sera infectée par le coronavirus. C'est ce que les experts nous disent."
Il a dit qu'un verrouillage complet du pays est peu probable car il veut construire une «immunité de groupe» alors qu'un vaccin pourrait être dans 12 à 18 mois.
Les Pays-Bas ont confirmé 2 468 cas de virus, dont 77 décès vendredi matin.
Pendant ce temps, en Amérique, les magasins Costco sont à court de papier toilette.
Alors que «la merde a frappé l'éventail», certains Américains ont appelé le 911 parce qu'ils n'avaient plus de papier hygiénique.
- voir doc sur site -
Il est peut-être temps que les Pays-Bas transfèrent une partie de leurs stocks de papier toilette en Amérique. On pourrait l'utiliser…
https://www.zerohedge.com/markets/we-can-sht-10-years-dutch-pm-mocks-toilet-paper-shortage-rumors
CORONAVIRUS - L'AGRICULTURE REDOUTE UNE PÉNURIE DE MAIN-D'OEUVRE
RépondreSupprimerEn raison des mesures prises en Suisse pour lutter contre la propagation du coronavirus, de nombreux travailleurs saisonniers étrangers ne peuvent ou ne veulent plus venir.
L’USP propose une plate-forme de placement qui permet aux exploitations d'y publier leurs offres d'emploi.
21.03.2020
En Suisse, le secteur agricole s'active pour continuer à participer à l’approvisionnement alimentaire dans cette situation exceptionnelle. Face au risque de pénurie de main-d'oeuvre, l'Union suisse des paysans (USP) cherche des solutions avec les autorités fédérales.
«Il est essentiel de garantir la disponibilité d’une main-d’œuvre suffisante», indique samedi l'USP dans un communiqué. Or, de nombreux travailleurs saisonniers étrangers ne peuvent ou ne veulent plus venir en Suisse, relève la faîtière agricole.
L'USP tente avec ses organisations membres et les autorités fédérales d’offrir au moins à ceux qui peuvent et veulent venir travailler la possibilité d’entrer sur le territoire. L’USP propose aussi une plate-forme de placement qui permet aux exploitations d'y publier leurs offres d'emploi.
Cette plate-forme permettra aussi aux personnes interdites de travailler dans leur secteur de s’y enregistrer si elles souhaitent reprendre une activité. Le site sera lancé à l’échelle nationale la semaine prochaine.
A la ferme
L’USP continue aussi d'éclaircir la question des marchés. Pour l’instant n’est permise que la vente directe dans un magasin de ferme situé sur une exploitation. Les agriculteurs pratiquant la vente directe peuvent profiter de la plate-forme gratuite À la ferme.ch pour accroître leur visibilité.
Au niveau financier, l’Office fédéral de l’agriculture et les cantons examinent si une première tranche de paiements directs pourrait être rapidement versée. Les prêts sans intérêts au titre d’aide aux exploitations sont aussi possibles. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/agriculture-redoute-penurie-maindoeuvre/story/21257615
Qui va ramasser les cerises ? Les fraises, les melons, tomates etc ? Qui va s'occuper du bétail ? et de TOUTE l'alimentation finies les conserves d'aujourd'hui ?
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