- ENTREE de SECOURS -



vendredi 27 mars 2020

Le coronavirus N'EST PAS originaire de Chine - Les médecins de Lombardie font face à d'« étranges pneumonies » depuis au moins NOVEMBRE

Liu Zhen - South China Morning Post
Sott.net
jeu., 26 mar. 2020 14:58 UTC


Une « étrange pneumonie » circulait déjà dans le nord de l'Italie en novembre dernier, quelques semaines avant que les médecins ne soient informés de la nouvelle épidémie de coronavirus en Chine, a déclaré cette semaine l'un des principaux experts médicaux du pays européen. 

-- Commentaire : Cela signifie presque certainement que le virus n'est PAS originaire de Chine et qu'il circule dans le monde depuis de nombreux mois — même s'il le fait peut-être sous ses formes mutantes les plus récentes. -- 

Wuhan — comme Bergame, le centre de l'Iran et Madrid — s'avère alors être un « point chaud », probablement en raison d'un certain nombre de facteurs LOCAUX. 

Giuseppe Remuzzi, vend la mèche : « Des médecins ont vu des pneumonies très étranges, très graves, en particulier chez les personnes âgées, en décembre, et même en novembre ».

« Ils [les médecins généralistes] se souviennent avoir vu des pneumonies très étranges, très graves, en particulier chez les personnes âgées en décembre et même en novembre », a déclaré Giuseppe Remuzzi, le directeur de l'Institut Mario Negri pour la recherche pharmacologique à Milan, dans une interview donnée à la Radio publique nationale des États-Unis. Remuzzi ajoute :
« Cela signifie que le virus circulait, au moins dans [la région nord de] la Lombardie et avant que nous ayons eu connaissance de cette épidémie en Chine. »

Au moment où les commentaires de Remuzzi deviennent publiques, les scientifiques poursuivent toujours leurs recherches quant à l'origine du Covid-19. L'expert chinois en maladies respiratoires Zhong Nanshan avait précédemment déclaré que même si la Chine a été la première à signaler l'agent pathogène, il n'était pas possible de connaître avec certitude sa provenance réelle. 

-- Commentaire : La Chine a fondamentalement résolu un problème mondial dont les autorités occidentales — y compris les médecins — n'avaient pas conscience jusqu'en janvier. En conséquence, ils se font traiter de « terroristes du virus ». --

Remuzzi a indiqué n'avoir que récemment entendu parler de la maladie via des médecins italiens, ce qui signifie qu'elle existait et se propageait à l'insu des individus. 

Bien que l'Italie n'ait signalé ses premières infections à coronavirus transmises localement — en Lombardie et seulement le 21 février, tandis que les cas précédents étaient tous des cas importés —, elle a depuis connu plus de 53 000 cas confirmés et 4 825 décès dus au Covid-19, la maladie induite par l'agent pathogène. En comparaison, la Chine a enregistré un peu plus de 81 000 cas et 3 261 décès. L'Italie a suspendu tous ses vols vers la Chine le 31 janvier, et elle fut la première nation à le faire. 

--Commentaire : Cette mesure, comme toutes les autres mesures de confinement, s'est avérée totalement inutile : ce virus est PARTOUT depuis longtemps. --

Dans la ville de Wuhan, en Chine centrale, où l'épidémie a été identifiée pour la première fois, les médecins ont commencé à observer des « pneumonies de cause inconnue » en décembre. La première infection connue dans la ville remonte au 1er décembre. Selon un rapport du South China Morning Post, le premier cas chinois aurait pu se déclarer dès la mi-novembre, mais cette information n'a pas été confirmé par Pékin. 


La communauté scientifique pense actuellement que la première infection en Lombardie est le résultat d'un contact entre un Italien et un Chinois fin janvier. Cependant, s'il peut être démontré que le nouveau coronavirus — officiellement connu sous le nom de SRAS-CoV-2 — était en circulation en Italie en novembre, cette théorie serait alors caduque. 

Le débat sur l'origine possible de l'agent pathogène a également été au cœur d'échanges virulents entre Pékin et Washington, le président états-unien Donald Trump l'ayant qualifié à plusieurs reprises de « virus chinois » et le secrétaire d'État Mike Pompeo de « virus de Wuhan », ce qui a en retour provoqué la colère de Pékin. 

Le porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères, Zhao Lijian, s'est exprimé sur Twitter pour contester ces affirmations :

« En l'appelant "virus chinois" et en suggérant ainsi son origine sans aucun fait ou preuve à l'appui, certains médias veulent clairement faire porter le chapeau à la Chine, et leurs arrière-pensées sont étalées au grand jour. »
Il a ensuite suggéré que l'épidémie de coronavirus pourrait avoir débuté aux États-Unis avant d'être propagée à Wuhan par l'armée états-unienne. 

Source de l'article : South China Morning Post 
Traduction : Sott.net

-- Commentaire : Une question demeure : pourquoi une province — Bergame — d'une région — Lombardie — du nord de l'Italie est-elle si durement touchée ? --

Nous n'avons pas précisément la réponse à cette question... 
Mais il est intéressant de noter que la Chine a pris cette situation suffisamment au sérieux pour placer Wuhan en quarantaine, identifier le coupable (« Covid-19 »), craquer son génome, et en informer le monde, y compris en partageant les protocoles à même ou pas d'atténuer ses effets et de sauver autant de vies que possible. 

L'Italie, l'Union européenne, les États-Unis, l'OTAN et le hautain « Ordre occidental » NE L'ONT PAS FAIT. 

Soit dit en passant, cette révélation d'une « étrange épidémie de pneumonie » l'automne dernier correspond à notre propre expérience directe. L'un de nos rédacteurs a contracté début décembre ce que nous soupçonnions être une « pneumonie cryptogénique » — terme général utilisé par les experts pour désigner une « pneumonie d'origine inconnue ». 

Plusieurs médecins n'ont cependant pas pu la diagnostiquer, croyant plutôt que ce qu'ils voyaient sur les scanners pulmonaires était un cancer. Les biopsies ont cependant permis d'écarter cette hypothèse. Même à cette époque, ils ne considéraient PAS qu'il s'agissait d'une source virale ! 

Le coronavirus pourrait très bien être présent dans la population mondiale depuis bien plus longtemps que ce que l'on pensait. Si c'est le cas, cela montre à quel point la panique actuelle est sans fondement — et pire encore, comment elle est alimentée par des intérêts géopolitiques et d'ingénierie sociale malveillants.

24 commentaires:

  1. Covid-19 : confinement planétaire


    CJ Hopkins
    OffGuardian
    mer., 18 mar. 2020 19:29 UTC


    Faisons un petit exercice de réflexion. Juste pour le fun. Pour passer le temps pendant que, confinés chez nous pour une période indéfinie, nous vérifions compulsivement le nombre de « cas en circulation » et de « morts totales » de Covid-19, en nous lavant les mains toutes les vingt minutes et en essayant de ne pas nous toucher la figure.

    Mais avant cela, je tiens à préciser que je crois que cette histoire de Covid-19 est réelle, et qu'elle constitue probablement la menace la plus mortelle pour l'humanité dans toute l'Histoire des menaces mortelles pour l'humanité.

    D'après les données que j'ai consultées, ce n'est qu'une question de jours, ou d'heures, avant que presque tout le monde sur Terre ne soit infecté et ne meure dans des souffrances atroces, seul, ou ne souffre de symptômes légers et courants similaires à ceux du rhume, ou d'aucun symptôme du tout.

    Je pense que je dois le dire clairement, avant de procéder à notre exercice de réflexion, parce que je ne veux pas qu'on pense à tort que je fais partie de ces nazis probablement soutenus par la Russie qui se promènent en disant « c'est juste la grippe », ou qui répandent de dangereuses théories conspirationnistes sur les armes biologiques et la loi martiale, ou qui doutent ou remettent en question les mesures de bon sens consistant à confiner le monde entier (au risque d'entraîner une nouvelle Grande Dépression) à cause de la découverte d'un virus idéalisé.

    De toute évidence, il ne s'agit pas seulement de la grippe. Des milliers de personnes sont en train d'en mourir. Certes, la grippe fait bien plus de victimes, des centaines de milliers chaque année, mais ce virus Covid-19 est totalement nouveau, et ne ressemble à aucun des autres millions de virus qui circulent en permanence, et les experts disent qu'il va probablement tuer, ou rendre gravement malade, ou brièvement incommoder des millions, voire des milliards de personnes si nous ne confinons pas des pays entiers et ne terrorisons pas tout le monde jusqu'à la soumission totale.

    Ne vous méprenez pas, je suis tout à fait d'accord avec ça... ce n'est pas le moment de remettre en question ce que les médias institutionnels et les autorités nous disent. C'est le moment d'unir nos efforts, de débrancher notre cerveau et d'obéir aux ordres. Bon, bien sûr, d'ordinaire il est de bon ton d'être sceptique, mais nous sommes dans un putain d'état d'urgence mondial ! Idris Elba est infecté, merde, quand même !

    Désolé... Je me laisse emporter par l'émotion. Je suis un grand fan d'Idris Elba. Le fait est que je ne suis pas un négationniste du Covid, ni un théoricien du complot, ni un de ces sournois semeurs de discorde chinois ou russes. Je sais pertinemment que cette pandémie est bien réelle et qu'elle justifie toutes les « mesures d'urgence » que nos gouvernements, les multinationales et les services de renseignement veulent nous imposer.

    Non, je ne suis pas épidémiologiste, mais j'ai une amie proche qui connaît un gars qui est sorti avec une femme qui est sortie avec un médecin qui connaît personnellement un autre médecin qui travaille dans un hôpital en Italie quelque part, et elle (mon amie, pas le médecin en Italie) a posté hier sur Facebook un texte (trop long à lire en entier) qui était un témoignage déchirant sur des bébés koweïtiens tués par le Covid-19 dans leurs incubateurs !

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  2. Ou peut-être que c'était des bébés italiens. Comme je l'ai dit, c'était trop long à lire.

    Et puis, vous avez vu l'histoire du bébé qui est né infecté ?! Ou ces personnes d'une trentaine ou d'une quarantaine d'années qui étaient plus ou moins en parfaite santé (si on omet le cancer ou ce genre de truc) qui sont mortes de (ou avec) la peste Covid ?! Et quid de tous ces tableaux et graphiques ! Quid de ces photos de gens en combinaisons de protection contre les matières dangereuses ! Et ces Italiens qui chantent Turandot sur leur balcon ? ! Ça ne vous donne pas envie de vous effondrer et de pleurer sur l'humanité de la chose ?!

    Non, il ne fait absolument aucun doute que le Covid-19 est la pandémie mondiale la plus meurtrière que l'humanité ait jamais connue, et que nous n'avons pas d'autre choix que de tout annuler, de confiner tout le monde chez soi, de détruire toute l'économie mondiale, d'endetter encore plus les travailleurs, de verser des milliards dans les banques d'investissement, d'annuler les élections, de censurer l'Internet et de mettre en place un État policier mondial.

    Mais si ce n'était pas le cas ? Simple hypothèse. Si ce n'était pas la pandémie mondiale la plus meurtrière à laquelle l'humanité ait jamais été confrontée ? (Je pose simplement la question comme un exercice de réflexion, alors s'il vous plaît, ne me dénoncez pas à l'OMS, au CDC, à la FEMA, ou à qui sais-je encore). Et si ce nouveau coronavirus n'était qu'un autre coronavirus comme tous les autres coronavirus dont les gens meurent (ou avec lesquels ils meurent) tout le temps ? Et si le fait que celui-ci soit « nouveau » ne signifiait pas grand-chose, voire rien du tout, parce que les coronavirus sont toujours en mutation, et que chaque année, il y a de nombreuses nouvelles souches ?

    Détendez-vous, OK ? Je sais que ce virus-là est différent de tout ce que les virologues ont pu rencontrer dans l'histoire de la virologie. Souvenez-vous, ce n'est qu'un exercice de réflexion. Ce ne sont que des questions hypothétiques.

    Voici une autre question hypothétique. Et si toutes les statistiques effrayantes que nous avons vues (par exemple, les taux de mortalité, l'explosion des « cas », etc.) n'étaient pas des faits scientifiques incontestables, mais étaient plutôt (comme d'autres statistiques) fondées sur des éléments comme les groupes d'échantillons, et dépendaient d'une foule de facteurs et de variables, qu'il faut en quelque sorte connaître pour donner un sens à tout cela ?

    Disons, par exemple, que vous avez testé tous ceux qui sont morts d'une insuffisance respiratoire aiguë un jour donné dans votre hôpital italien, et que vous avez découvert que, mettons, cinq de ces patients avaient été infectés par le Covid-19. Vous transmettez donc ce chiffre à l'OMS, qui l'ajoute au « nombre total de décès », peu importe que les personnes décédées aient eu un cancer en phase terminale ou une maladie cardiaque, ou qu'elles aient également été infectées par une banale grippe ou un autre type de coronavirus. Cela fausserait probablement votre taux de « décès », n'est-ce pas ?

    Ou bien, imaginons que vous vouliez dépister le virus pour suivre tous les « cas en circulation » et établir un taux d'infection, mais que vous ne pouviez pas tester des centaines de millions de personnes, car personne ne dispose d'autant de tests. Alors, vous testez tous ceux qui tombent malades, ou qui pensent être malades et demandent à être testés, ou qui ont touché une personne malade que vous avez déjà testée (bien que vous ne soyez même pas certain que votre test soit fiable) et vous obtenez, mettons, dix résultats positifs. Vous transmettez ce chiffre à l'OMS, qui l'ajoute au nombre de « cas en circulation », même si tout le monde sait que le nombre réel est probablement vingt fois plus élevé.

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  3. OK, donc maintenant vous prenez votre nombre de « cas en circulation » et votre nombre de « décès totaux » et vous faites le calcul (en gardant à l'esprit que vos « décès totaux » incluent les personnes atteintes de cancer et d'insuffisance cardiaque), et vous finissez par sous-estimer énormément votre « taux d'infection » et vos « cas en circulation », et par surestimer énormément votre « taux de mortalité » et le nombre de « décès totaux ».

    C'est juste une hypothèse, vous comprenez. Je ne suggère pas que c'est ce qui est en train de se produire. Je ne veux certainement pas être censuré par Facebook (ou accidentellement censuré par un bug technique totalement inoffensif) pour avoir publié des « informations erronées » sur le Covid, ou inciter les « contributeurs » de Wikipédia à modifier en toute hâte ma page Wikipédia et à me qualifier de dangereux « complotiste »... ou, vous savez, à me faire mettre en quarantaine préventive.

    On n'en arrivera probablement pas là de toute façon, je veux dire à rassembler les « personnes infectées », les « personnes potentiellement infectées » et les « perturbateurs non coopératifs » et à nous mettre en quarantaine dans des « camps », par exemple. Toute cette histoire d'état d'urgence, la suspension de nos droits civils, la manipulation des faits et des chiffres, le musellement de la dissidence, la surveillance illégale, les gouvernements qui légifèrent par décret, les soldats, les quarantaines, et tout le reste ... toutes ces mesures sont temporaires, et sont prises pour notre propre bien, et purement par « précaution extrême ».

    Je veux dire, ce n'est pas comme si l'empire capitaliste mondial était en pleine Guerre contre le populisme (une guerre qu'il a perdue jusqu'à présent) et voulait profiter de l'occasion pour faire monter en puissance un capitalisme du désastre, terroriser le public mondial et l'entraîner dans une frénésie de panique égoïste et irrationnelle, et faire une démonstration de force pour rappeler à tout le monde ce qui pourrait arriver si nous continuons tous à faire les cons en votant pour des « populistes », en semant le chaos dans Paris, en quittant l'Union européenne et en interférant de toute autre manière avec la marche du capitalisme mondial.

    Non, ce n'est certainement pas ça. Nous sommes face à un véritable fléau qui va probablement vous tuer, vous et toute votre famille, si vous ne faites pas exactement ce qu'on vous dit. Alors, oubliez ce petit exercice de réflexion, et préparez-vous à un confinement mondial. Ce ne sera probablement pas si terrible... à moins qu'ils ne décident de prolonger l'exercice au-delà du supportable, et que les gens ne commencent à s'agiter, à se rebeller, à piller, à ne pas coopérer, et que l'armée ne soit finalement obligée de déployer ces fameux véhicules de répression des troubles urbains, et ces forces anti-terroristes nationales, et...

    OK, je m'emporte encore. Je ferais mieux de prendre mes pilules et de retourner sur Facebook. Oh, et... Je devrais probablement prendre des nouvelles d'Idris ! Et voir si Berlin est passé au « Stade 3 », auquel cas je devrai chercher l'attestation en ligne que je dois remplir pour pouvoir sortir de chez moi.

    Traduction : SOTT

    https://fr.sott.net/article/35059-Covid-19-confinement-planetaire

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    1. Bon. Achetez du pq. Achetez DES pizzas (çà remplace le pain).

      Faites le pain CHEZ VOUS !

      Comment faire ?

      Votre four (1500 ou 2000 Wt) doit être PROPRE/nickel) et NE DOIT QUE CUIRE DU PAIN OU DES PIZZAS (et pas alternativement du poulet).

      Votre four DOIT être un four de boulanger (ou pizzaïolo).
      C-à-d avoir avoir des briques réfractaires (int. & ext.).
      Les briques réfractaires sont en 22 x 11 x 3 cm/1€ pièce). Achetez-en une vingtaine.
      Lavez et posez (sans ciment) les briques dans le four: bas, fond, et 'U' de côtés. Et, à l'extérieur: 'U' renversé.
      Voila, vous avez votre four de 'boulanger' (faire tenir les briques extérieures par du scotch double-face. C'est tout.

      Bon. Vous êtes prêt(e) à faire du pain ? Allons-y:

      500 gr de farine T55 (non 'bio') + 1 cuillère à soupe rase de sel. + 300 gr d'eau dans laquelle vous avez émietté de la levure fraîche. (Laissez fondre à temp. 20°C). Puis vous versez l'eau/levure sur la farine/sel dans un saladier.
      Tournez/malaxez à la main et sortez la pâte sur une planche. Là, vous commencez à pétrir (1/2 heure !).
      Posez votre pâte dans un saladier propre et huilé jusqu'en haut. Et, la mettez au four (20°C).
      Laissez monter 3 h et sortez-là. Portez votre four à 300°C.
      Renversez votre saladier sur planche et formez 'un pain' roulé, puis faites 3 incisions dessus au couteau.
      Enfournez votre pâton sur une plaque fer saupoudrée de farine (un truc: La farine est mise dans une boite à sel cylindrique pour saupoudrer).
      Votre pâton est posé sur briques. Température: 310°C/1500 Watts/55 mn).

      Sortez, MANGEZ !

      Pour les pizzas: T45. Fond idem, couverture coulis, anchois, olives, huile d'olives et gruyère rapé frais (et non du 'gruyère rapé vendu en sachet ! Fromage CROÛTE ! Car aux meules il y a 'Cœur de meule', '1er choix' et 'croûte' (dont il est impossible de faire 'des fils' comme sur les photos d'emballages' !) .

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  4. 2020 : Dictature Année Zéro ?


    le 27 mars 2020



    Il y a peu de temps encore on ne pouvait pas parler de « dérive autoritaire », encore moins de « dictature » en France, ni affirmer que la « démocratie », même chez nous, n’était qu’une façade, sans se faire accuser de « complotisme » – le réflexe pavlovien des idiots utiles et des pétochards alignés sur la Doxa progressiste – ou de faire le jeu des « fascistes« .

    Les yeux commencent à se déciller maintenant avec l’inflation des violences d’État. Violences policières mais aussi politiques, économiques, sociales, fiscales, juridiques.

    Et aujourd’hui cette violence nouvelle, « sanitaire », apparue avec la crise du coronavirus. Une violence absolument révoltante parce qu’assimilable à un génocide. Et qui consiste à choisir arbitrairement qui va vivre et qui va mourir, la vie humaine étant aux yeux de nos dirigeants une valeur moins importante que la rentabilité hospitalière.

    Autant de violences diffuses et protéiformes, tantôt évidentes tantôt insidieuses, mais toujours recouvertes par une langue de bois digne d’un sermon de catéchèse déroulé en novlangue progressiste.

    La majorité d’entre nous ne sommes qu’au début de cette séquence de dégrisement.

    Quand nous aurons enfin les yeux bien ouverts, nous comprendrons que tout ce sketch démocratique, toute cette mise en scène médiatique autour du pouvoir et des élections ne sont rien d’autre qu’un gigantesque hologramme grandeur nature destiné à nous endormir et nous gruger. A nous faire croire que nous serions le « peuple souverain », que nos monarques seraient réellement « élus », que le Parlement ne serait pas autre chose qu’un théâtre et une chambre d’enregistrement, une claque, et que nous serions tous consentants pour choisir ce sort ignoble d’esclaves producteurs-consommateurs béats, abrutis de télé poubelle, d’infos falsifiées et autres hanounasseries destinées à nous maintenir en état de réceptivité hallucinatoire.

    Nous comprendrons alors que Macron n’a rigoureusement aucune « légitimité démocratique« . Qu’il n’a jamais été « élu par les Français« . Fût-ce par 1/8e du corps électoral. Qu’il n’est d’ailleurs même pas « Président de la République française« , encore moins « chef d’Etat » (quel Etat ?…), mais juste un haut fonctionnaire du Système.

    Une pure imposture.

    Que cette élection de 2017 rocambolesque, unique dans l’Histoire de la Ve, n’a jamais été qu’une splendide mascarade.

    Examinons le détail du casting et du scénario de l’époque.

    Premier champion du Système « élu dans un fauteuil » : Fillon. Forcé d’endosser dès le 2e acte le rôle du tartuffe pourri, du bouc émissaire commode du dégagisme. Puis Mélenchon : la caricature du populiste bolchevique, prophète du Prolétariat teinté de quinoa biolivardienne, mais radicalement incompatible avec le 21e siècle post-moderne. Hamon : frondeur improbable ayant envoyé vallsé l’As des traîtres. Utopiste décalé rescapé de l’extinction des dinosaures et idoles des jeunes. Une sorte d’anticapitaliste bio remixé dans un Apple Store.

    Des cadors auxquels il faut ajouter quelques spécimens cocasses parmi les outsiders, histoire de pimenter le script. Asselineau en disque rayé ânonnant en boucle quelques versets sataniques de la Constitution Européenne, du Code Civil et du Code des Montres et Pendules. Arthaud dans le rôle de la furie trotskyste, un râtelier de couteaux effilés entre les dents. Poutou dans le rôle du grand-frère anticonformiste et babacool, parti taquiner keufs et bourgeois pour faire glousser les camarades syndicalistes. Lassalle dans le rôle du grand bâton de berger descendu de ses montagnes, chantre des traditions rurales et populaires, parfumé au lait de chèvre avec quelques relents sexistes et homophobes. Et Cheminade dans le rôle du Pierrot lunaire jamais sorti de sa fusée.

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  5. On passera sur Dupont-Aignan, succédané pleurnichard de la vraie vedette de ces élections…

    Car bien sûr c’est elle que tout le monde redoute ou attend, l’irremplaçable Marine Le Pen dans le rôle de la méchante du film : la Maléfique néonazie. Chouchoutée par tous les médias parce qu’indispensable pour faire gagner le champion au second tour.

    Au fait, dans cette farce en 3D à rebondissements destinés à amuser le peuple, qui est vraiment Macron ?

    Un mirage. Une idée. Une hallucination.

    Un nouveau venu encore inconnu 3 ans auparavant. Un look propret, un verbe, des postures, une success-story et un positionnement de campagne savamment millimétrés par ses officines de marketing politique. Les mêmes qui nous vendent chaque jour de la merde pour nous faire crever à petit feu.

    Quant aux médias qui ont quasiment tous contribué à fabriquer le mythe, permis son ascension dans l’opinion publique et fait campagne pour lui, ils ont servilement chroniqué et donné vie à un scénario écrit à l’avance.

    Depuis l’entrée par les coulisses du pouvoir en tant que conseiller de Hollande chargé de dicter la politique économique de la France, jusqu’au Sacre impérial au soir de l’élection devant la Pyramide maçonnique trônant au beau milieu du Palais des rois de France : du jamais vu même au temps de de Gaulle ! En passant par ce faux couple d’opérette entre un homo placardisé et son ancienne prof de lycée, marâtre et conseillère privée.

    Tout avait été si méticuleusement choisi, pensé, repéré, calibré. Et fut réalisé comme un chef d’œuvre du péplum hollywoodien. Cette Ascension vers le pouvoir jusqu’à la scène du Triomphe en carton-pâte aurait mérité un Oscar du Meilleur acteur au Pinocchio du Système, et celui du Meilleur film, du Meilleur scénario, du Meilleur réalisateur à ce « Projet« , dont la teneur se résumait à la jeunesse de l’impétrant. Avec pour unique promesse ce slogan d’une bêtise et d’une efficacité inouïes : « Macron, c’est nouveau ! »

    Depuis 3 ans que cette arnaque magistrale nous a été infligée à notre corps consentant, tout n’a été que mensonge et déni. Fausses promesses et vraies tromperies. Ajoutées à une froideur implacable, un cynisme hors norme, une détermination irascible à dérouler un agenda conçu par les mentors du Pinocchio de la dictature oligarchique.

    Les mêmes qui l’avaient repéré tout jeune à peine émoulu de Sciences Po. Qui l’avaient biberonné au bon lolo progressiste, avaient sponsorisé sa carrière et son ascension vers le sommet : haute fonction publique, Commission Attali, Banque Rothschild en tant que dirigeant associé pour y apprendre les arcanes de la haute finance et les « valeurs » de l’élite mondiale, dont il sera désormais le fidèle valet. Puis conseiller du Prince, et enfin Ministre des Finances, le temps d’aiguiser ses canines de prédateur cynique en réalisant quelques fructueuses martingales grâce à la vente à des vautours étrangers de quelques joyaux de l’industrie française comme Alstom.

    La suite on la connaît : parti politique bidon, entrée en campagne par les routes secondaires, construction d’un hologramme politique de candidat jeune, intelligent, dynamique, compétent, intègre, volontariste « et en même temps » à l’écoute des préoccupations populaires.

    Même son absence de programme a été volontairement retournée à son avantage : chacun pouvait y projeter ses attentes et ses désirs. Le faux et le flou de ce personnage furent la matrice et la condition du Rêve, de cette puissante épopée narcotique collective.

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  6. Le temps d’une folle campagne en tout cas.

    Le mirage Macron s’est ainsi construit en creux dans la conscience collective. Jusqu’à ce que cette promesse fondée sur un vide absolu, ce conte de fées autour d’un Prince Charmant en toc sorti tout droit d’un casting de film de pub, cette hystérisation manipulée des espoirs individuels et des émotions collectives comme dans un festival rock, aboutissent à l’opposition finale de deux héros totalement antagonistes mais absolument complémentaires.

    D’un côté la vieille héritière du parti de la France rance, populiste, xénophobe, étriquée, recroquevillée sur ses peurs et ses ressentiments. Et de l’autre le Peter Pan des gogos venu emmener les orphelins de Marianne vers le Pays Imaginaire des bisounours polyglottes, multiculturels, hyper connectés, hyper mobiles et mondialistes.

    L’arrière-garde des losers frustrés contre l’avant-garde des winners au sourire Sensodyne.

    Un clash générationnel aussi.

    D’un côté les « boomers » de la Génération Mitterrand, déclassés par la « start-up nation » et frustrés de la disparition de l’État-Providence. Auxquels s’ajoutent parmi les premiers électeurs de la Marine la génération des 18-30 ans les plus laminés par la crise et le chômage, du moins ceux qui ne s’abstiennent pas. Et qui tiennent à donner de la voix pour dire à quel point ils haïssent ce monde faux dans lequel ils n’ont pas leur place.

    De l’autre la Génération Macron, celle des « momos » (mobiles moraux), hyper dynamiques, hyper performants, hyper réactifs, hyper conformistes, totalement asservis au Système qui les a fabriqués. Et n’ayant aucune autre colonne vertébrale éthique que les poncifs bien usinés de la Pensée unique, du politiquement correct et des « causes à la mode » : écologie, féminisme, antisexisme, pro-LGBTQ, antiracisme, anticolonialisme, antifascisme, antinationalisme, anticorporatisme, communautarisme, défense des minorités, des migrants…

    A ceux-là s’ajoutent quelques bobos déçus de la sociale-démocratie et reconvertis au progressisme.

    « Progressisme », voilà le mot : beaucoup de blablas et de pieuses intentions au service d’une seule idéologie : l’ultralibéralisme. Et surtout de la micro-élite de ploutocrates qui tirent les ficelles.

    Une génération phobique de cette populace ringarde et fainéante qui n’a pas su prendre le TGV de la révolution numérique En Marche. Et qui pleurniche aujourd’hui parce qu’elle est totalement déclassée.

    Les imbéciles qui ont voté Macron « pour faire barrage à l’extrême droite » comme on les avait programmés à le faire se retrouvent aujourd’hui face à une triple désillusion.

    D’abord leur champion au sourire de Prince charmant n’est qu’un horrible suppôt du Satan mondialiste. Ce Mammon qui règne en maître sur le monde, régisseur obsessionnel de tous les pouvoirs et de toutes les possessions. Ce dieu de l’Argent et des richesses qui est le véritable Prince de ce monde. Et le Prince du Mensonge qui nous vend chaque jour un bonheur factice, individualiste, faussement hédoniste, hypermatérialiste, consumériste. Une arnaque à l’échelle du monde qui nous enferme dans une société transparente, fasciste, hypernormative, d’une violence sans nom et d’un niveau d’aliénation physique, psychique et spirituelle supérieur à tous les totalitarismes et toutes les dictatures que nous avions jusqu’ici connus.

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  7. Ensuite la démocratie à laquelle ils croyaient avoir contribué, qu’ils croyaient avoir défendue contre un fascisme résurgent, n’est qu’une pure illusion. Macron n’est pas le Président élu d’un Etat démocratique : tout ceci n’est qu’un mensonge. Il n’est que le jouet d’un système oligarchique qui entend préserver les apparences de la démocratie en opposant certains régimes comme le nôtre à d’autres plus obvieusement dictatoriaux comme la Corée du Nord, la Chine ou la Russie.

    En vérité ce que cache la mondialisation économique et financière et la soumission des logiques politiques et juridiques à celle du Marché, c’est l’existence depuis déjà plusieurs décennies d’un Ordre gouverné par une élite, qui a réuni depuis longtemps suffisamment de pouvoir pour contrôler et arbitrer tous les autres pouvoirs, à commencer par le pouvoir politique.

    A ce titre le discours « libéral » (libre-échange, liberté d’entreprendre, d’acheter et de vendre, d’investir, de bouger ; mais aussi libéralisme social et sociétal qui rejoint le discours humaniste…) est autant une arnaque que le discours « progressiste » (ni droite ni gauche, mi libéral mi social) qui lui a succédé.

    En réalité, si l’idéologie dominante se dit « libérale » d’un point de vue rhétorique ou même selon les méthodes de gestion, d’arbitrage politique et les stratégies économiques mises en avant, les intérêts qu’elles servent n’ont absolument rien de libéral. C’est même tout le contraire. Et on le vérifie lorsque les contestations qu’elles engendrent débordent des limites imposées sournoisement par le pouvoir en place.

    Ainsi la crise des Gilets Jaunes et la mise en scène des émeutes des Black Blocs ont servi de miroir, de défouloir et d’exutoire pour canaliser sous forme de mini guerre civile hebdomadaire la grogne populaire alimentée par des réformes de plus en plus impopulaires, perçues comme injustes et cyniques, et imposées par des gouvernants bloqués sur un mode de communication du type : « Je vous ai compris, faisons plus de pédagogie ! »

    Dernière trahison et désillusion chez les macronistes zélés qui avaient cru promouvoir « la Rupture » : Découvrir que toutes les valeurs qu’on leur avait inculquées depuis les bancs des grandes écoles (effort, sacrifice, efficacité, rentabilité, performance, adaptabilité, mobilité, cosmopolitisme managérial, excellence, mérite… enrobées dans un chamallow de fausses causes et fausses valeurs « de progrès« ) n’étaient en fait qu’un tissu de mensonges et de promesses bidon destinées à les asservir.

    Avec comme seul horizon de devenir au mieux un autoentrepreneur überisable et corvéable à merci, avec pour seule liberté de bosser toute sa vie comme un damné pour payer sa retraite et ses charges. Et au pire d’être promu l’un de ces petits chefs sadiques et arrogants qui tyrannisent leurs employés en leur promettant la lune pour produire toujours plus, mieux et moins cher afin de grossir la cagnotte de leurs actionnaires.

    Ceux qui ne sont pas déjà en train de se fabriquer un cancer en se tuant à la tâche en sont déjà probablement à leur 3e burn-out. Et s’accrochent au Moloch en attendant d’être virés et remplacés quand sonnera le tocsin de la ménopause du cadre.

    Les momos de la Génération Macron sont pourtant les premiers à se moquer de leurs parents les bobos, ces babyboomers qui ont passé leur jeunesse à polir des rêves d’un autre monde égalitaire et humaniste, avant de se reconvertir à l’aube de la quarantaine en patron d’un groupe de presse néolibérale ou patron d’une chaîne de distribution écoresponsable.

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  8. Or les voici aujourd’hui pris dans des contradictions encore plus cuisantes : leurs idoles de jeunesse, golden-boys et jet-managers quadrilingues, les Steve Jobs, Bill Gates et autres Bernard Tapie, sont aujourd’hui soit en prison, soit à la tête du Système.

    Un Système dont le seul horizon est un monde toujours plus fou, qui a perdu tout sens de l’humain, et qui se noie dans le vertige transhumaniste, seul avenir d’un peuple de clones : l’homo numericus entièrement consentant pour épouser la Matrice technologique qui l’asservit, renoncer définitivement à son âme, à sa conscience, et se fondre dans l’Eden indifférencié des robots.

    Les fans de Macron le Robot-Président sont ceux qui vont connaître la plus grave crise existentielle, quand ils vont découvrir que tout leur univers repose sur du vide.

    Ceux qui n’auront pas le courage de se suicider rejoindront les hordes de rebelles insurgés, avec une aigreur et une violence nihiliste encore plus exaltées puisqu’ils auront à juste titre le sentiment d’avoir été manipulés et trahis.

    Les plus falots et les plus idiots rejoindront les rangs des Sibeth Ndiaye et des Marlène Schiappa. Et continueront d’ânonner pour quelque temps encore un credo macroniste totalement vidé de toute substance. Avant que ces perroquets déplumés ne soient définitivement balayés par les lance-flammes des chevaliers de l’Apocalypse systémique lancés à l’assaut des dernières citadelles d’humanité et de vérité.

    Toutefois, ce scénario de fin du monde ne se produira pas.

    Car ceux qui dirigent le monde, s’ils ne peuvent s’empêcher de montrer leur vrai visage quand des incorruptibles se lancent à l’assaut de leur Matrice et menacent ses fondations, ne pourront survivre dans un monde dont ils ont déjà initié le programme d’autodestruction.

    Avant que l’Apocalypse climatique n’ait permis aux termites de remplacer les humains, d’autres cataclysmes auront sapé les bases de ce Colosse aux pieds d’argile.

    Déjà la crise du coronavirus a démontré la fragilité de tout l’édifice économique, financier, organisationnel et institutionnel du Système. Lequel peut très bien s’écrouler en quelques semaines à cause d’un virus microscopique, comme les aliens géants de la Guerre des mondes vaincus par de simples bactéries.

    Même si certains espèrent spéculer comme ils l’ont toujours fait sur la banqueroute mondiale ou la flambée des prix des denrées alimentaires, ils ne pourront pas longtemps régner sur un désert, quand toute l’économie mondiale se sera effondrée, quand les monnaies ne vaudront même plus leur poids de papier, que le troc, l’autogestion et l’autodéfense auront remplacé les hypermarchés, la régulation mondiale, la dictature policière et le flicage de tous par tous.

    Nous allons vers des temps incertains. Mais ce qui est sûr, c’est que la dictature des ploutocrates relayée par des banquiers prédateurs, des pantins politiques, des « machins » bruxellois, des croupiers de casinos où l’argent file et se volatilise à la vitesse de la lumière, des lobbyistes voués au commerce de la guerre, des énergies polluantes, des aliments trafiqués, ou des médicaments qui tuent plus vite qu’ils ne soignent, assistés par des robocops près à fusiller fils et filles pour protéger leurs maîtres, touche irrémédiablement à sa fin.

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  9. Nous devrions plus nous préoccuper de savoir quel monde nous voulons construire après, sur les ruines de l’ancien. Si nous ne voulons pas reproduire les mêmes modèles et les mêmes erreurs. Et éviter de nous laisser fasciner par la Chute de l’Empire.

    Nous devrions nous émerveiller plutôt de l’Avènement d’une nouvelle ère, qui sera à l’opposé de l’ancienne.

    Tout dépendra de notre capacité à élever collectivement notre conscience. A nous défaire de nous vieux oripeaux pour revêtir des habits neufs. A accueillir le monde qui vient sans regretter ou trop haïr le monde qui meurt.

    Tout est possible. Nous sommes les créateurs de notre Réalité.

    L’aventure humaine ne fait que commencer.

    Copie du billet de Christophe Claudel paru sur son blog le 26 mars 2019

    Lien : https://christopheclaudelblog.wordpress.com/2020/03/26/2020-dictature-annee-zero/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/03/27/2020-dictature-annee-zero/

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  10. Le canular du coronavirus selon Ron Paul


    le 27 mars 2020


    Les gouvernements aiment les crises parce que lorsque les gens ont peur, ils sont plus disposés à renoncer à leurs libertés pour des promesses que le gouvernement prendra soin d’eux. Après le 11 septembre, par exemple, les Américains ont accepté la destruction presque totale de leurs libertés civiles dans les promesses creuses de sécurité de la loi PATRIOT.

    Il est ironique de constater que les démocrates qui ont tenté de destituer le président Trump le mois dernier pour abus de pouvoir exigent que l’administration prenne plus de pouvoir et d’autorité au nom de la lutte contre un virus qui a tué jusqu’à présent moins de 100 Américains (écrit le 16 mars 2020).

    Vendredi (13 mars), déclarant une urgence pandémique, le président Trump revendique désormais le pouvoir de mettre en quarantaine les personnes soupçonnées d’être infectées par le virus et, comme l’écrit Politico, « d’arrêter et de saisir tout avion, train ou automobile pour freiner la propagation de maladies contagieuses ». Il peut même appeler l’armée à boucler une ville ou un État américain.

    Les autorités nationales et locales aiment aussi la panique. Le maire de Champaign, Illinois, a signé un décret exécutoire déclarant le pouvoir d’interdire la vente d’armes à feu et d’alcool et de couper le gaz, l’eau ou l’électricité à tout citoyen. Le gouverneur de l’Ohio vient de fermer essentiellement tout son État.

    Le principal pourvoyeur de peur de l’administration Trump est sans aucun doute Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) des National Institutes of Health. Fauci est partout dans les médias, servant des mensonges purs et simples pour attiser encore plus la panique. Il a déclaré au Congrès que le taux de mortalité pour le coronavirus est dix fois supérieur à celui de la grippe saisonnière, une affirmation sans fondement scientifique.

    Sur le plateau de Face the Nation, Fauci a fait de son mieux pour nuire davantage à une économie déjà en train de faire des ravages en déclarant : « Pour le moment, personnellement, moi-même, je n’irais pas dans un restaurant. » Il a préconisé à la fermeture de tout le pays pendant 14 jours.

    Sur quel critère ? Un virus qui a jusqu’à présent tué un peu plus de 5 000 personnes dans le monde et moins de 100 aux États-Unis ? En revanche, la tuberculose, une maladie ancienne dont on ne parle plus beaucoup ces jours-ci, a tué près de 1,6 million de personnes en 2017. Où est la panique ?

    Quoi que ce soit de ce que des gens comme Fauci et les autres alarmistes demandent aggravera probablement la maladie. La loi martiale dont ils rêvent laissera les gens accroupis à l’intérieur de leurs maisons au lieu d’aller à l’extérieur ou à la plage où le soleil et l’air frais contribueraient à renforcer l’immunité. La panique produite par ces frayeurs contribue probablement à propager la maladie, alors que des foules massives se précipitent vers Walmart et Costco pour le dernier rouleau de papier toilette (Walmart et Costco sont des department stores aux USA comme Carrefour en France ou Mercadona ou El Corte Inglese en Espagne).

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  11. La folie du coronavirus ne se limite pas aux politiciens et à la communauté médicale. Le chef du très néoconservateur Conseil de l’Atlantique a écrit cette semaine un éditorial exhortant l’OTAN à adopter une déclaration de guerre au titre de l’article 5 contre le virus COVID-19 ! Vont-ils envoyer des chars et des drones pour éliminer ces ennemis microscopiques ?

    Les gens devraient se demander si cette «pandémie» de coronavirus pourrait être un gros canular, avec le danger réel de la maladie massivement exagéré par ceux qui cherchent à profiter – financièrement ou politiquement – de la panique qui s’ensuit.

    Cela ne veut pas dire que la maladie est inoffensive. Sans aucun doute, des gens mourront du coronavirus. Les personnes appartenant à des catégories vulnérables devraient prendre des précautions pour limiter leur risque d’exposition. Mais nous avons déjà vu ce film. Le gouvernement fait l’hypothèse d’une menace comme excuse pour saisir encore plus de nos libertés. Mais quand la «menace» sera passée, ils ne nous rendront jamais nos libertés.

    Source : http://www.ronpaulinstitute.org/archives/featured-articles/2020/march/16/the-coronavirus-hoax/

    Note. Ronald E. Paul, 85 ans, médecin, essayiste et homme politique fut candidat à la présidence des Etats-Unis en 2012. Depuis cette date il s’est retiré de la vie politique alors qu’il était représentant du Texas au Congrès américain. Libertarien et adepte de l’école autrichienne d’économie ou des thèses de Murray Rothbard Ron Paul est opposé aux thèses du réchauffement climatique et prône la fermeture des frontières américaines aux immigrants ainsi que la privatisation totale de la protection santé qui ne doit pas être laissée au gouvernement. Enfin Ron Paul est fermement opposé à la légalisation de l’avortement.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/03/27/le-canular-du-coronavirus-selon-ron-paul/

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  12. Un autre coup de massue sur les travailleurs ? La durée hebdomadaire de travail portée à 60 heures par décret


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    jeu., 26 mar. 2020 08:52 UTC


    Le gouvernement va permettre de déroger à la durée du travail dans certains secteurs jusque 60 heures sur une semaine, contre 48 heures actuellement, et 46 heures contre 44 heures en moyenne sur une période de 12 semaines, a indiqué mardi 24 mars le ministère du Travail.

    Le gouvernement s’apprête à prendre des arrêtés pour relever de 48 à 60 heures la durée légale maximale de travail hebdomadaire. Seuls des secteurs jugés essentiels comme l’énergie, les télécoms ou l’alimentaire sont concernés.

    Ces dérogations, dont le principe avait été annoncé le week-end dernier par le ministre de l'Economie, pourront s'appliquer par exemple dans l'énergie, les télécoms, la logistique, les transports ou encore l'agroalimentaire, a précisé l'entourage de la ministre du Travail, Muriel Pénicaud.

    Actuellement, la durée de travail effectif hebdomadaire ne doit pas dépasser les deux limites suivantes : 48 heures sur une même semaine et 44 heures par semaine en moyenne sur une période de 12 semaines consécutives.

    Le gouvernement prendra soit un décret soit un arrêté pour changer ces deux limites et permettre des dérogations pour une durée limitée et dans des secteurs limités pour faire face à la situation exceptionnelle que connaît le pays.

    Il y aura paiement en heures supplémentaires et respect du temps de repos légal, a bien pris soin de préciser l'entourage de la ministre. Le travail dominical pourra aussi être étendu et le repos compensateur entre deux périodes de travail passer de onze à neuf heures, et cela « en fonction des secteurs ».

    L'entourage de Muriel Pénicaud a par ailleurs indiqué que le gouvernement allait annoncer rapidement des « incitations » pour le secteur agricole, qui va se trouver confronté à une pénurie de main-d'œuvre pour la récolte des fraises et des asperges. « Il va y avoir dix fois moins de travailleurs détachés qu'habituellement », a-t-on précisé au ministère.

    https://fr.sott.net/article/35060-Un-autre-coup-de-massue-sur-les-travailleurs-La-duree-hebdomadaire-de-travail-portee-a-60-heures-par-decret

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    Réponses

    1. (...) Seuls des secteurs jugés essentiels comme l’énergie, les télécoms ou l’alimentaire sont concernés. (...)

      Les paysans travaillent 80 h par semaine (Hôlala ! à 1€/h.).

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  13. Prendre ou ne pas prendre de la chloroquine ? Un virologue français répond


    16:28 27.03.2020


    Faisant le point sur la position discutable de la chloroquine en tant que molécule efficace contre le coronavirus, le virologue Pierre Tambourin explique aux Échos qu’elle est indispensable pour les patients qui n’ont d’autres choix pour guérir. Son administration à titre préventif n’a pas encore été approuvée, faute de preuves in vivo.

    Tandis que le milieu scientifique n’arrive pas à se mettre d’accord sur la prescription de la chloroquine aux malades du Covid-19, Pierre Tambourin, éminent virologiste, livre son point de vue aux Échos.

    Entre risques sanitaires, pénurie et fausses ordonnances pour de la chloroquine, le quotidien des pharmaciens – vidéo
    L’hydroxychloroquine, substitut de la quinine, prescrite comme antipaludéen, possède une capacité toxique «indiscutable» et «parfois redoutable», indique le chercheur, mettant en lumière que le médicament peut avoir des effets secondaires négatifs sur la santé.
    Manque de vérifications

    Bien que l’action inhibitrice sur la multiplication du virus ait été vérifiée et confirmée in vitro, il manque des preuves incontestables in vivo, souligne-t-il:

    «Ces différences pourraient aisément s'expliquer par ses propriétés immunomodulatrices et anti-inflammatoires, elles aussi bien connues qui, in vivo, pourraient contrecarrer les effets antiviraux. On peut, aussi, plus simplement penser à des cellules in vitro très différentes des cellules cibles du virus in vivo. De là, la grande prudence des experts».

    C’est la raison pour laquelle un groupe de spécialistes demande «au nom de l’éthique» de démontrer tout d’abord les effets toxiques du médicament in vivo avant de le présenter comme un moyen efficace pour combattre le virus.
    Non seulement les médecins ne sont pas unanimes sur la question, mais les patients non plus. Les uns n’ont pas confiance dans le médicament quand les autres sont prêts à le prendre à titre préventif.

    À qui le prescrire ?

    Partant du principe que le «désastre médical est devant nous» sans l’utilisation de l’hydroxychloroquine, le virologiste plaide néanmoins pour sa prescription, même si les malades peuvent subir des effets secondaires graves, «voire dans certains cas mortels».

    Cependant, le patient doit prendre la décision de se faire soigner ou non avec cette molécule après évaluation de la gravité de son état. À défaut d’autres solutions de traitement, il vaut mieux opter pour la chloroquine, peu importe les conséquences possibles, précise-t-il.

    Pour ce qui relève de la prévention, le virologiste ne recommande pas l’utilisation de l’hydroxychloroquine. S’adressant aux médecins, il ajoute qu’il est nécessaire d’informer les malades sur les éventuels effets toxiques de la molécule, ainsi que sur le danger de l’automédication.

    https://fr.sputniknews.com/france/202003271043411048-prendre-ou-ne-pas-prendre-de-la-chloroquine-un-virologue-francais-repond/

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  14. La Russie autorise à son tour la chloroquine pour soigner le Covid-19


    17:50 27.03.2020


    Alors que la polémique enfle autour de l'utilisation de la chloroquine dans l'Hexagone, en Russie le ministère russe de la Santé l'a inscrit sur sa liste des médicaments recommandés pour le traitement du coronavirus.

    Après que la chloroquine prônée par le Pr Didier Raoult a été autorisée le 26 mars par le gouvernement français pour traiter le Covid-19, le ministère russe de la Santé a lui aussi ajouté ce médicament destiné aux patients adultes à la version actualisée du document sur les directives cliniques. Il a été publié sur le site Internet du ministère.

    Le document indique toutefois qu'en l’absence de conclusions définitives quant à l’efficacité de la chloroquine et de l’hydrochloroquine [la chloroquine augmentée d’un radical OH d’où son nom, ndlr], les médecins doivent les prescrire sur la base du tableau clinique et en étroite collaboration avec d'autres spécialistes.

    Ainsi, avant de prescrire l’un des deux, ils doivent attentivement étudier les résultats de l'électrocardiogramme du patient.

    Par ailleurs, il est recommandé d’administrer la chloroquine ou l’hydrochloroquine en association avec d’autres médicaments comme l’association lopinavir/ritonavir et des interférons pour la prise en charge des patients atteints du coronavirus.

    Les médicaments umifénovir, remdesivir et favipiravir font actuellement l'objet d'essais cliniques chez des patients dépistés positifs.

    Débats sur la chloroquine

    Syrian Arab and Kurdish civilians flee amid Turkish bombardment on Syria's northeastern town of Ras al-Ain in the Hasakeh province along the Turkish border on October 9, 2019.

    Depuis plusieurs jours, la France connaît de vifs débats sur l’autorisation de l’utilisation de la chloroquine dans le traitement du Covid-19. En pleine polémique, le gouvernement a par un décret en date du 26 mars répondu favorablement aux demandes du Pr Didier Raoult en autorisant la vente et la prescription d’hydroxychloroquine.

    Le 16 mars, l’infectiologue et professeur de microbiologie marseillais a annoncé avoir effectué une étude préliminaire sur 24 patients infectés par le Covid-19 auxquels il avait administré une combinaison de chloroquine et d’azithromycine. Ses résultats ont montré un pourcentage de réussite de 75 %.

    Faute d'essais cliniques de plus grande ampleur, certains appellent à la prudence, car les résultats ont montré qu’il existait de possibles effets secondaires comme des problèmes d’interactions médicamenteuses.

    https://fr.sputniknews.com/russie/202003271043412241-la-russie-autorise-a-son-tour-la-chloroquine-pour-soigner-le-covid-19/

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  15. Débat sur la chloroquine: «la science a toujours été politisée», d'après l'ex-directeur scientifique d’Airbus


    LE DÉSORDRE MONDIAL
    18:25 27.03.2020
    Par Rachel Marsden


    La France et l’Europe lancent des appels d’offres pour l’innovation scientifique contre le coronavirus, tandis que le traitement à base de chloroquine du Dr Didier Raoult à Marseille vient juste d’être autorisé. Jean-François Geneste, ancien directeur scientifique d’Airbus, revient sur ces procédures et leurs enjeux au micro de Rachel Marsden.

    Le ministère des Armées a lancé un appel d’offres de dix millions d’euros pour des projets innovants de lutte contre le coronavirus. La demande souligne que la technologie doit pouvoir être appliquée dans le combat d’aujourd’hui et non dans une quelconque pandémie ultérieure.

    D’ailleurs, le 10 février, selon l’Agence nationale de la recherche (ANR), le gouvernement français a annoncé 500.000 euros de financement pour la recherche sur le coronavirus, bien avant le premier tour des élections municipales, qui a été suivie quelques heures plus tard par une mise en quarantaine stricte à l’échelle nationale. Ce budget est depuis passé à trois millions d’euros. Et la Commission européenne dispose également d’un budget de 164 millions pour faire face à l’épidémie. Quel genre d’innovation pouvons-nous réellement attendre de cet argent, et dans quels domaines ?

    Jean-François Geneste, ancien vice-président et directeur scientifique d’Airbus S.A.S., est maintenant à la tête de Warpa, une entreprise de soutien à l’innovation dans les domaines scientifiques, d’ingénierie et de finance. Il réagit à ces annonces:

    «La recherche, il faut la faire avant les ennuis. Après, c’est un peu trop tard. Les appels d’offres demandent des innovations rapides, mais ce sont avec des choses qui existent déjà.»

    Geneste commente la polémique autour du traitement innovant à base d’hydroxychloroquine contre le coronavirus, proposé par le Docteur Didier Raoult en France, qui fait le buzz dans le monde entier et qui a été autorisé en France quelques jours après l’enregistrement de cette émission:

    «Ce protocole [d’essai, ndlr] a été fait relativement vite avec un effectif faible... Mais il devrait être regardé au vu de l’expérience connue du Pr Raoult d’une part et du fait que son traitement d’association d’hydroxychloroquine et d’azithromycine est efficace sur d’autres coronavirus, si j’ai bien compris.»

    Est-ce que la science et la recherche scientifique sont politisées ? Le scientifique réagit:

    «La science a toujours été politisée, avec des rivalités, des groupes de pression, et ce que je dirais de plus inquiétant, depuis pas mal d’années maintenant, c’est une science qui doit être rentable et qui est donc liée à des intérêts financiers. Pour moi, c’est un des très, très gros problèmes. Et donc c’est une forme de politisation, une politisation financière.»

    Quid de la réactivité et de la préparation du gouvernement français face à cette pandémie ? Geneste évoque à titre d’exemple la logique de la lutte contre le terrorisme du gouvernement depuis dix ans:

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  16. «Du terrorisme bactériologique, c’est quelque chose qui malheureusement est plausible. Et donc, si on avait une vraie pensée stratégique et peut-être militaire, pour le coup, on devrait avoir mis en place un système qui pourrait réagir très rapidement à l’apparition d’une épidémie d’origine terroriste bactériologique. Manifestement, ça n’existe pas.»
    L’expert qualifie aussi le confinement de symptôme de manque de préparation et de moyens:

    «Le confinement que l’on vit aujourd’hui est lié au manque de moyens... Vous testez toute la population et vous triez, et donc les bien-portants n’ont pas de raison d’être confinés du tout, à condition qu’ils ne soient pas en contact avec des gens qui sont atteints.»

    https://fr.sputniknews.com/radio_desordre_mondial/202003271043412724-debat-sur-la-chloroquine-la-science-a-toujours-ete-politisee-dapres-lex-directeur-scientifique/

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  17. Covid 19: un cardiologue camerounais met en garde contre le traitement du professeur Raoult


    15:28 27.03.2020
    Par Christine H. Gueye


    Alors que le gouvernement français vient d’accéder par décret aux demandes de Didier Raoult, le docteur camerounais Aimé Bonny, professeur de cardiologie à l’université de Douala, met en garde contre l’usage combiné de chloroquine et d’azithromycine, «potentiellement néfaste pour le cœur», dans une analyse pour Sputnik France.

    Le gouvernement français vient d’accéder, par un décret en date du 26 mars, aux demandes du professeur Didier Raoult qui dirige l’IHU Méditerranée Infection de Marseille. La vente et la prescription d’hydroxychloroquine (de la chloroquine augmentée d’un radical OH d’où son nom, ndlr) sont désormais possibles partout sur le territoire, mais en milieu hospitalier. Ce revirement des autorités françaises intervient en pleine polémique sur l’usage thérapeutique de la chloroquine dans le traitement du nouveau coronavirus.

    Le 16 mars dernier, le médecin marseillais avait annoncé avoir effectué une étude préliminaire sur 24 patients infectés par le Covid-19 auxquels il avait administré une combinaison de chloroquine et d’azithromycine. «Dix-huit ont été guéris, soit un pourcentage de réussite de 75 %», avait-il clamé fièrement. En l’absence d’un vaccin pour endiguer la pandémie de coronavirus, officiellement déclarée le 11 mars par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), cette annonce du patron de l’IHU de Marseille a soulevé beaucoup d’espoir avec de longues files d’attente de personnes présumées porteuses du virus, venues de toute la France pour se faire traiter.

    Le Conseil scientifique Covid-19, dont le professeur Raoult a annoncé s’être retiré le 24 mars dernier, a souligné pour sa part que les médecins devaient procéder «au cas par cas». Tandis que le Comité analyse recherche et expertise (CARE), présidé par Françoise Barré Sanoussi –virologue à l’Institut Pasteur et prix Nobel 2008 pour la découverte du virus du Sida– ainsi que l’OMS appellent à la plus grande prudence. En cause: le traitement, tant vanté par le docteur Raoult, qui n’a fait pour l’instant l’objet d’aucune étude respectant toutes les exigences scientifiques prouvant son efficacité.

    En Afrique, où l’usage de la chloroquine est très répandu et depuis longtemps dans le traitement de la malaria (paludisme, ndlr), le monde médical est également très divisé. Avec l’expansion foudroyante du virus, des pays comme l’Algérie, le Maroc, la Côte d’Ivoire ou le Togo ont annoncé que l’usage de la chloroquine allait être généralisé. Tandis que d’autres préfèrent attendre des résultats plus probants ou à plus large échelle avant de se prononcer.

    Professeur agrégé de cardiologie à l’Université de Douala, le docteur Aimé Bonny dénonce les effets secondaires de la chloroquine seule ou associée à l’azythromicine sur le rythme cardiaque.

    Le docteur Aimé Bonny est un éminent cardiologue, spécialiste du traitement des troubles du rythme cardiaque et de la mort subite. Lauréat du concours d’agrégation du Conseil national des universités françaises, il est professeur de cardiologie à l’université de Douala (Cameroun), il a obtenu son diplôme de médecine à l'université médicale Pavlov de Saint-Pétersbourg en 1995. Après cinq années de résidanat à l'Institut de cardiologie de Saint-Pétersbourg et à l'université Paris XII de Créteil, il obtient son diplôme en pathologie cardiovasculaire avec, comme centres de recherches, l’épidémiologie, la prévention et le traitement des arythmies cardiaques dans les pays à faibles ressources.

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  18. Lauréat du diplôme interuniversitaire sur les troubles du rythme cardiaque en 2008, puis du concours «Praticien Hospitalier» des hôpitaux de France en 2010, il est également détenteur de plusieurs prix internationaux dont «l'un des sept meilleurs travaux d'arythmie cardiaque présentés au congrès ESC/WHF 2019 à Paris du 31 août au 4 septembre 2019», se réjouit-il.

    Anciennement attaché aux CHU parisiens (Georges Pompidou et Pitié Salpêtrière), ce praticien exerce actuellement à l’hôpital de district de Bonassama/Université de Douala ainsi qu’au Homeland Heart Centre de Douala. Et, en alternance, à l’Unité de rythmologie du centre hospitalier Le Raincy-Montfermeil dans la région parisienne.

    Pour lui, l’association de la chloroquine combinée à l’azithromycine est néfaste pour le cœur dans la mesure où il y a un risque que les effets secondaires de ces deux molécules emballent le rythme cardiaque chez certains patients à risque. Concernant la chloroquine, déjà largement utilisée dans le traitement de la malaria et contre certaines affections rhumatismales, il alerte davantage sur le dosage et la longueur du traitement nécessaires pour le traitement du Covid-19, craignant une automédication préventive «qui risquerait de faire encore plus de mal que le coronavirus», prévient-il.

    Sputnik France: En tant que cardiologue exerçant en France mais aussi au Cameroun, votre pays d’origine, que vous inspire la polémique à l’encontre de Didier Raoult ?

    Pr Aimé Bonny: «Cette polémique s’explique par une exigence de preuves plus robustes que ce qu’a démontré le professeur Raoult jusque-là. L’étude préliminaire de l’éminent chercheur marseillais a été conduite avec un protocole qui ne respecte pas les règles scientifiques nécessaires pour juger de la pertinence de ses résultats. Comparer un sujet malade et un sujet témoin sain revient à ouvrir une porte ouverte. Sans études comparatives, randomisées, en double aveugle (le prescripteur et le malade ignorent si ce dernier est placé sous le médicament testé ou bien sous le placebo), il n’est pas possible d’arriver à des résultats concluants.»

    Sputnik France: A-t-il eu raison de prescrire de la chloroquine en association avec un antibiotique pour traiter des patients infectés par le Covid-19 ? On déplore, par exemple, une mort par arrêt cardiaque aux États-Unis qui serait dû à la prise de chloroquine….

    Pr Aimé Bonny: «Lors d’études préliminaires réalisées par son équipe marseillaise, le professeur Raoult a démontré l’action de la chloroquine sur les micro-organismes intracellulaires. Ce mécanisme d’action est adapté pour lutter contre la malaria mais aussi contre d’autres virus tels que le Covid-19 qui manifestent leur virulence en envahissant les cellules humaines. La chloroquine diminue significativement la charge virale, qui est l’un des principaux facteurs de virulence des virus. Mais, à partir de ces résultats, il faut aller plus loin et tester l’efficacité d’une telle approche thérapeutique.

    Concernant le décès aux États-Unis qui serait dû à la prise de chloroquine, c’est un rappel que ce médicament est une drogue, potentiellement mortelle de surcroît lorsqu’elle est prise en dehors de tout contrôle médical. Comme toujours, l’automédication est dangereuse et peut entraîner la mort quand elle est effectuée sans contrôle sur le dosage, sur des maladies sous-jacentes ou encore sur la durée de traitement.»

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  19. Sputnik France: En Afrique, il y a très longtemps que l’on traite la malaria avec des médicaments à base de chloroquine. Comment expliquez-vous que, tout à coup, en France, on semble (re)découvrir cette molécule ?

    Pr Aimé Bonny: «Non, la France ne redécouvre pas cette molécule. La chloroquine et l’hydroxychloroquine sont des dérivés de la quinine extraite du quinquina (une écorce venant d’Amérique du sud, ndlr). Ces dérivés sont largement utilisés en Occident dans des indications cardiologiques (traitement des arythmies cardiaques) avec la quinidine, ou rhumatologiques (traitement du lupus) avec l’hydroxychloroquine (Plaquenil). Les pays endémiques pour la malaria ont longtemps et largement utilisé la chloroquine (Nivaquine). Si en Occident, on préfère sa forme chimique avec le radical –OH, c’est parce qu’elle est mieux tolérée.

    Que ce soit pour soigner le paludisme, comme les maladies rhumatologiques, le dosage est très inférieur (300 mg/j en moyenne) à celui prescrit pour le Covid-19 (600 mg/j). De surcroît, le traitement contre le paludisme est de courte durée –3 à 5 jours avec 300 mg/j après une dose de charge de 900 mg le premier jour. Il en va de même dans le traitement antirhumatismal (200 à 400 mg /j). Or, la chloroquine est réputée pour avoir une très faible marge thérapeutique (la différence entre la dose efficace et toxique, ndlr). Autrement dit, une surdose de 200 à 300 mg/j pourrait être fatale. L’étude européenne Discovery, qui est en cours, nous renseignera sur cette question de toxicité.»

    Sputnik France: Pourquoi le Conseil scientifique nommé par Emmanuel Macron ne s’appuie-t-il pas sur les travaux réalisés dans le traitement de la malaria pour juger du bien-fondé de la combinaison préconisée par le Pr Raoult ?

    Pr Aimé Bonny: «C’est sans doute parce que l’utilisation routinière de la chloroquine, en Afrique, n’a jamais associé deux molécules (hydroxychloroquine et azithromycine) dont les effets secondaires combinés sont néfastes pour le rythme cardiaque. L’effet de cette association est d’ailleurs visible à l’électrocardiogramme. Elle peut provoquer, chez certains patients, des anomalies responsables de l’emballement du cœur (torsade de pointes). Ce sont les effets secondaires combinés de ces deux molécules qui provoquent ces troubles. C’est aussi la raison pour laquelle le traitement préconisé par le professeur Raoult n’a pas reçu, à ce jour, une autorisation officielle dans la plupart des pays durablement impactés par la pandémie. La France n’est pas la seule concernée par cette polémique.»

    Sputnik France: Que peuvent faire les pays africains de leur côté pour accélérer ou faire avancer les recherches ? Ou, mieux encore, pour soigner les personnes infectées ? Le Maroc, la Côte d’Ivoire, le Togo, par exemple, viennent d’annoncer qu’ils allaient utiliser de la chloroquine…

    Pr Aimé Bonny: «La France vient d’autoriser ce traitement chez les patients sévèrement atteints, à la discrétion des médecins). À mon avis, c’est plus une réaction due à l’instinct de survie qui amène tout être humain, confronté à la mort, à faire un choix cornélien entre la mort et la mort! Car au pire, ce traitement ne sauvera pas ces malades graves et sous respiration artificielle dont la mortalité est, de toute façon, très élevée. Sous cet angle, le décret français est logique. La mise sous traitement de tout malade, même paucisymptomatique, me semble scientifiquement très discutable avant les résultats de Discovery. Une autre étude sous l’égide de l’OMS, appelé Solidarity (10 pays dont un seul de l’Afrique à savoir l’Afrique du Sud) visant à tester l’efficacité de plusieurs traitements (dont un antigrippal et un antirétroviral) est également en cours. À noter que cette dernière étude n’a pas de bras chloroquine dans son protocole.»

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  20. Sputnik France: En l’état actuel des recherches sur le continent, l’Afrique pourrait-elle ou serait-elle en mesure de trouver un vaccin contre le Covid-19 s’il est avéré que la chloroquine est vraiment la molécule miracle ?

    Pr Aimé Bonny: «Malheureusement non, car l’Afrique est une fois de plus en retrait dans ce rendez-vous planétaire de la connaissance et de la recherche d’une solution urgente. À sa décharge, la pandémie l’a épargnée jusqu’à récemment. Pour autant, et comme a alerté l’OMS, l’Afrique pourrait être l’épicentre à venir du Covid-19. Et nous ne sommes absolument pas outillés pour une riposte efficace. Prévenir étant la meilleure approche dans un contexte de pandémie et de pauvreté, l’Afrique a tout intérêt à s’engouffrer dans des travaux de recherche si elle ne l’a pas déjà fait. Il n’y a pas que la pharmacopée chimique qui mérite d’être testée, mais aussi les plantes médicinales africaines qui pourraient jouer un rôle déterminant grâce à leurs propriétés virucides et de modulation du système immunitaire. Concernant le vaccin, de manière générale, son processus de mise en place est très long (une année en moyenne) et n’est donc pas la priorité face à une telle pandémie à propagation exponentielle.»

    Sputnik France: Qu’est-ce que cette pandémie va changer dans le traitement de la malaria en Afrique ? Doit-on s’attendre à des pénuries de médicaments à base de chloroquine s’il y a une ruée mondiale des malades infectés par le Covid-19 ?

    Pr Aimé Bonny: «Rien, fort heureusement, car la chloroquine n’est plus le traitement de première ligne pour soigner la malaria. Il a été démontré de très nombreuses poches de résistance du parasite plasmodium falciparum à la Nivaquine, notamment.»

    Sputnik France: Compte tenu du trafic de faux médicaments, très développé sur le continent, faut-il s’inquiéter des circuits de distribution de la chloroquine ?

    Pr Aimé Bonny: «Malheureusement oui, car dans beaucoup de pays de l’Afrique subsaharienne, les stocks ont disparu des pharmacies. Certainement achetés par des populations apeurées... Nous devons donc craindre le pire en termes d’automédication et de ses conséquences.»

    Sputnik France: Quel rôle doit jouer l’OMS pour aider à lutter contre cette pandémie au Covid-19 sur le continent où les capacités hospitalières sont très faibles? On se souvient, par exemple, qu’au moment de l’épidémie d’Ebola, elle avait été très lente à réagir...

    Pr Aimé Bonny: «La sensibilisation a déjà été faite par l’OMS. Tous les pays sont touchés et se débrouillent, d’abord, par leurs propres moyens. Les pays africains doivent, eux aussi, prendre leur destin en main. C’est une question de gouvernance. La France, dont on a fait le constat à l’occasion de cette crise sanitaire qu’elle avait reculé en termes d’offre de soins, compte environ 30.000 respirateurs, soit 1 pour 2.233 potentiels malades contre moins de 30 pour un pays comme le Cameroun. Ce qui représente 1 pour 867.000 potentiels malades. Ce ratio, qui frôle le 1 pour 400, n’est absolument pas en rapport avec la différence de richesse entre les deux États. Dans beaucoup de pays, on construit des hôpitaux de campagne pour absorber la surchauffe de patients. Or, en Afrique, on n’a pas encore anticipé cette pénurie chronique des hôpitaux qui, par ailleurs, sont vides d’équipements. Nos dirigeants doivent prendre urgemment la mesure de leurs responsabilités et se rendent compte que la disparition de toute la population d’un pays peut tenir à un petit virus.»

    https://fr.sputniknews.com/afrique/202003271043407794-covid-19-un-cardiologue-camerounais-met-en-garde-contre-le-traitement-du-professeur-raoult/

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  21. Un air différent: Xi offre son aide à Trump après la «fermeture des frontières» de la Chine aux étrangers


    par Tyler Durden
    Ven, 27/03/2020 - 11h05


    Eh bien, cela est surprenant étant donné la guerre des mots de la semaine dernière entre Washington et Pékin centrée sur la Maison Blanche fustigeant la «propagande et la désinformation» du ministère chinois des Affaires étrangères sur la pandémie de coronavirus, qu'il convient de noter que Trump et Pompeo insistent toujours pour appeler «les Chinois virus ", selon Reuters:

    Le président chinois Xi Jinping a déclaré vendredi au président américain Donald Trump qu'il bénéficierait du soutien de la Chine pour lutter contre le coronavirus, les États-Unis étant menacés de devenir le prochain épicentre mondial de la pandémie.

    Il semble que tout le monde chante maintenant un air différent d'il y a quelques jours à peine.

    D'un côté, Reuters confirme la politique «controversée» et même soi-disant «raciste» de la Chine consistant à couper radicalement les vols vers le continent tout en interdisant l'entrée des étrangers - et de l'autre, les États-Unis dépassant désormais la Chine dans des cas confirmés, dépassant 86 000 par Vendredi matin, Trump semble prêt à jouer momentanément bien avec Xi, peut-être maintenant plus disposé à tirer quelque chose de l'expérience de la Chine dans la lutte contre le virus.

    "La Chine a traversé beaucoup de choses et a développé une solide compréhension du virus", a déclaré Trump. «Nous travaillons en étroite collaboration. Un grand respect !"

    Comme nous l'avons expliqué hier, Pékin affirme maintenant que sa flambée nationale est sous contrôle et que les nouveaux cas proviennent UNIQUEMENT d'étrangers, et dans une étonnante hypocrisie totale et totale, ils ont décidé de ... Suspendre l'entrée de tous les étrangers à Chine.

    Le ministère des Affaires étrangères peut désormais présenter un confinement local et des chiffres en baisse tout en vantant sa propre version d'un récit de 'virus étranger': Shanghai compte désormais 125 patients qui sont arrivés d'outre-mer, dont 46 de Grande-Bretagne et 27 des États-Unis, rapporte Reuters basé sur le chinois Nombres.

    Via EPA-EFE
    Apparemment, des "mesures draconiennes" pour verrouiller les frontières et empêcher les étrangers d'entrer ne sont plus une forme unique de "racisme OrangeManBad White House". Voici la ventilation des nouvelles mesures de la Chine:

    En effet, dimanche, la Chine a ordonné à ses compagnies aériennes de n'emprunter qu'une seule route vers n'importe quel pays, sur un seul vol chaque semaine. Les compagnies aériennes étrangères doivent respecter des restrictions similaires sur les vols à destination de la Chine, bien que beaucoup aient déjà interrompu leurs services.

    Environ 90% des vols internationaux actuels vers la Chine seront suspendus, réduisant les arrivées à 5 000 passagers par jour, contre 25 000, a annoncé jeudi le régulateur de l'aviation civile.

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  22. A partir de samedi, la Chine suspendra temporairement l'entrée des étrangers munis de visas et de permis de séjour valides, dans une mesure provisoire, a ajouté le ministère des Affaires étrangères.

    Il y a seulement deux mois, alors que les décès dus au virus chinois s'intensifiaient et se propageaient rapidement à travers le pays, Pékin a exprimé son indignation face aux mesures adoptées par la communauté mondiale pour limiter la propagation du virus mortel, affirmant qu'elles allaient bien au-delà des normes acceptées dans le monde entier. .

    Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi avait déclaré dans des critiques mordantes émises la première semaine de février que Pékin "n'était pas d'accord avec l'approche adoptée par les différents pays pour créer des tensions ou même paniquer" en fermant les frontières, le commerce et les vols à destination et en provenance de la Chine. Il a souligné à l'époque que l'OMS "n'approuvait pas les restrictions de voyage ou de commerce à l'encontre de la Chine".

    N'oubliez pas non plus l'accusation très publique d'hypocrisie! visant les États-Unis au cours de cette période cruciale où l'épidémie s'est clairement propagée rapidement en dehors de la Chine continentale:

    "Tout comme l'OMS a recommandé de ne pas restreindre les déplacements, les États-Unis se sont précipités dans la direction opposée. Certainement pas un geste de bonne volonté", a alors dénoncé un autre fonctionnaire chinois avec colère.

    Et maintenant, nous attendons toujours les grandes dénonciations des experts de gauche de la supposée décision xénophobe de la Chine d'interdire l'entrée aux étrangers. Nous ne retiendrons pas notre souffle.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/different-tune-xi-offers-trump-help-after-china-shuts-down-borders-foreigners

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