Écoles, bars et restos ouverts, pas de confinement: malgré les critiques, la Suède rejette toute mesure drastique de lutte contre la pandémie.
Dimanche dernier, ce restaurant en extérieur était très fréquenté à Stockholm. En Suède, les écoles, bars ou commerces sont toujours ouverts.
26.03.2020
A l'heure où de plus en plus de pays européens confinent leur population pour endiguer la propagation du nouveau coronavirus, la Suède a choisi une autre voie, plus souple, laissant écoles primaires, restaurants et bars ouverts.
Ce contraste saisissant fait débat dans l'opinion publique: et si la Suède n'en faisait pas assez pour protéger sa population ? «Nous ne pouvons pas permettre de répéter en Suède le désespoir humain de Wuhan et de Bergame. Ce serait un pari qui violerait le principe le plus fondamental de la société: que chaque individu a une valeur propre», a écrit le rédacteur en chef du quotidien de référence «Dagens Nyheter», appelant à des mesures plus sévères, ou à un dépistage généralisé de la population.
Des recommandation, pas d'interdictions
Dimanche dernier, le Premier ministre social-démocrate Stefan Löfven s'est adressé à la population dans une rare allocution télévisée, exhortant chacun à «prendre ses responsabilités» et à suivre les recommandations du gouvernement: télétravail et distanciation sociale notamment.
Les autorités recommandent aussi à toute personne «à risque» de rester chez elle. Les rassemblements de plus de 500 personnes sont interdits (la limite est de deux personnes en Allemagne), les lycées et universités sont fermés.Mardi, le gouvernement a exhorté les bars et les restaurants à se limiter aux services à table, afin d'éviter les files d'attente et assurer une distance minimale entre chaque client. Mais, pour beaucoup, la vie continue normalement.
Transports pris d'assaut
Mais samedi dernier, bars et restaurants de la capitale ont fait le plein, et les transports continuent d'être pris d'assaut aux heures de pointe.
Toutefois, comme chez la plupart de ses partenaires européens, les frontières suédoises sont désormais fermées aux voyages jugés «non-essentiels». Le Parlement suédois a aussi accéléré l'adoption d'un projet de loi permettant la fermeture d'écoles primaires et maternelles si nécessaire.
Pourquoi cette attitude face à la propagation du virus? s'interrogent les médias suédois. Le gouvernement répond qu'il suit les recommandations de l'Agence de santé publique et affirme être prêt.
Accusations de mise en danger
Si les autorités sanitaires n'ont pas encore demandé aux écoles de fermer, c'est car ce sont les personnes âgées qui doivent rester à la maison, pas les enfants, justifient-elles. «Dès que l'Agence de santé publique demandera au gouvernement de prendre une décision, nous le ferons aussi rapidement», avait déclaré mi-mars, en claquant des doigts, la ministre suédoise de la Santé, Lena Hallengren.
La confiance accordée par le gouvernement aux autorités sanitaires ne fait pourtant pas l'unanimité. Plusieurs experts et personnalités publiques ont accusé l'Agence de mettre la vie des gens en danger.
Sortir profiter du soleil
Alors même que la pression sur le gouvernement suédois et l'Agence de santé publique s'accroît, les autorités campent sur leur position, rejetant toutes mesures drastiques qu'elles n'estiment pas assez efficaces pour justifier leur impact sur la société.
Lundi, Johan Giesecke, ancien épidémiologiste de l'Institut national suédois de contrôle des maladies infectieuses et actuel conseiller au sein de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a même encouragé les Suédois à sortir et à profiter du soleil printanier. «Amenez un ami et marchez à un mètre l'un de l'autre. N'étreignez pas votre voisin. Apportez un thermos et asseyez-vous sur un banc. C'est aussi mauvais pour la santé de rester assis à la maison», a affirmé M. Giesecke sur la chaîne publique SVT.
Reste à savoir si la Suède va s'en tenir à cette stratégie. Ce jeudi quelque 2500 cas de nouveau coronavirus avaient été détectés dans le royaume scandinave de quelque 10 millions d'habitants, pour une soixantaine de morts.
AFP/lematin.ch
COVID-19 : hydroxychloroquine ou rien
RépondreSupprimer« D’abord ne pas nuire » est le principe de base de la médecine. L’hydroxychloroquine ne nuit pas au malade atteint du COVID-19. Le point de vue du docteur Patrick de Casanove.
25 MARS 2020
Par Patrick de Casanove.
Le 25 février 2020, le Professeur Didier Raoult annonçait avec enthousiasme l’existence d’un traitement efficace et peu cher contre le COVID-19. Il informait que les Chinois, chronologiquement les premières victimes du virus, avaient testé des molécules connues, bien tolérées.
Il en était ressorti que la chloroquine, d’abord in vitro comme cela avait été montré sur le SARS-coV, puis in vivo, était efficace sur les coronavirus. Les Chinois recommandaient donc ce traitement pour tous les cas cliniquement positifs. Le Pr Raoult lui-même a conduit une étude avec de l’hydroxychloroquine avec des résultats spectaculaires, malgré des critiques légitimes qui ont été faites.
Ces annonces ont déclenché une polémique virulente. Il est facile d’en retrouver tous les détails sur internet. L’État a choisi son camp.
L’ÉTAT FAIT BARRAGE À L’UTILISATION FACILE DE L’HYDROXYCHLOROQUINE
L’État a pris le parti des opposants à l’utilisation, le plus tôt possible, de l’hydroxychloroquine chez les personnes infectées par le COVID-19. Olivier Véran, le ministre de la Santé, a décidé d’encadrer son usage.
Un mauvais signal avait déjà été envoyé avec le classement de l’hydroxychloroquine, le 13 février, sur la liste II des substances vénéneuses, en pleine épidémie du COVID-19. Ce classement, si tant est qu’il soit pertinent, aurait pu attendre que soit appréciée son action pendant l’épidémie. D’autant que l’instruction du dossier avait débuté en 2018.
UNE RAISON « ÉCONOMIQUE » ?
Attribuer au libéralisme (au marché…) le refus d’utiliser l’hydroxychloroquine le plus tôt possible, parce que cette philosophie privilégierait « l’économie » à la santé, au prétexte que cette molécule n’est pas chère et que cela ferait du tort aux laboratoires pharmaceutiques, est une aberration.
Le libéralisme défend la concurrence et le libre accès au marché. Mais ce n’est pas tout. Un système libéral repose sur trois droits naturels : « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’Homme », écrit Frédéric Bastiat dans La loi (1850). Aucun libéral ne portera tort aux droits naturels individuels. Ce qui veut dire qu’aucun libéral, sous peine de trahir son éthique et de ne plus être libéral, n’entravera l’utilisation de médicaments peu chers et bénéfiques. L’État oui.
Pour le cas qui nous concerne, nous aurions l’hydroxychloroquine, connue, immédiatement disponible, bien supportée, avec plus de 50 ans de recul, une expérience incomparable, une innocuité établie, des centaines de millions de personnes traitées, coûtant en France 4,17 euros la boîte de 30 comprimés, soit 2,50 euros le traitement de six jours, contre le produit X issu de la recherche moderne, pas de recul, beaucoup plus cher. Quel traitement croyez-vous que les médecins et les patients choisiraient si on leur laissait le libre choix ?
Si l’obstruction était économique, nous serions en plein scandale du capitalisme de connivence. Dans ce cas, les laboratoires effectuant de la recherche sur des molécules nouvelles, onéreuses, pour éviter que leurs produits ne soient mis à mal par la concurrence dans un marché libre, demanderaient à l’État de bloquer, ou au moins entraver, la mise à disposition du produit concurrent plus simple, mieux supporté et moins onéreux. Bien loin du libéralisme, nous serions en plein étatisme.
RépondreSupprimerEn France, c’est bien un pouvoir politique qui gêne la mise a disposition rapide d’hydroxychloroquine aux patients. Un comité dit « scientifique », qui conseille un gouvernement dépassé par les événements, a émis un avis déconnecté de la réalité, mais très pertinent si on le regarde avec l’éclairage du capitalisme d’État.
DU POINT DE VUE MÉDICAL
Il est entendu qu’il existe très peu de thérapies curatives pour les pathologies virales. Les trithérapies mettent les porteurs du VIH en rémission complète. L’aciclovir et ses dérivés traitent les infections herpétiques. C’est à peu près tout. Pour les maladies virales comme la grippe la prise en charge est classiquement symptomatique. Il a longtemps été dit qu’il devait en être de même pour le COVID-19. Ces découvertes sur la chloroquine et l’hydroxychloroquine ont changé la donne.
Aujourd’hui, pour traiter immédiatement étiologiquement et non plus symptomatiquement, les personnes atteintes de COVID-19, il n’existe rien d’autre que ces molécules.
« D’abord ne pas nuire » est le principe de base de la médecine. L’hydroxychloroquine ne nuit pas au malade atteint du COVID-19.
Nous avons beaucoup d’expérience avec ce produit. Les contre-indications sont parfaitement connues et facilement accessibles au grand public.
Les interactions avec d’autres médicaments sont également connues et faciles à identifier avec un logiciel d’aide à la prescription, comme la BCB ou le Vidal. Un médecin soignant sait parfaitement gérer les indications, contre-indications, intolérances, effets secondaires, interactions des médicaments qu’il connaît.
Bien sûr on ne peut pas obliger les médecins qui ne veulent pas traiter le COVID-19 avec un traitement ne disposant pas de l’Autorisation de Mise sur le Marché.
Mais compte tenu de la situation, il n’y a aucune raison d’empêcher les médecins qui le souhaitent de traiter dès que possible avec l’hydroxychloroquine les malades qui l’acceptent.
Traiter tôt est toujours ce qui est recommandé en médecine. N’importe quel médecin le sait. Il en est de même avec le COVID-19. Le seul médicament qui a fait ses preuves doit être utilisé dès que possible.
Or le gouvernement français préconise le contraire : attendre d’avoir une « forme grave, hospitalière, sur décision collégiale des médecins et sous surveillance stricte » pour débuter le traitement par hydroxychloroquine. Ce qui exclut « toute prescription dans la population générale ou pour des formes non sévères ». Cela devient une habitude. Au début de l’épidémie le gouvernement avait aussi fait l’exact contraire de ce qui était nécessaire.
Quand une personne présente une forme grave, il est trop tard. Quand les patients entrent en réanimation, il est trop tard. Le souci principal à ce moment-là n’est pas de détruire le virus mais de sauver les malades par de la réanimation lourde. Ne pas les traiter dès le départ est une perte de chance pour eux. Le Professeur Perronne, infectiologue, s’indigne de cette décision.
RépondreSupprimerTraiter dès le début de la maladie impliquerait de faire un dépistage massif. Des tests rapides existent. Or la France n’a pas de tests en quantité suffisante et les recommandations officielles ne le prévoient pas. Grâce à ce dépistage, les personnes atteintes seraient identifiées et traitées efficacement.
Cela dit, puisque ce dépistage de masse n’est pas envisageable dans notre système de pénurie, il n’y a pas grand risque à traiter sur syndrome clinique. Tous les médecins soignants savent le faire. Ils savent aussi que tout retard dans le traitement entraînera davantage de morts et que l’épidémie sera rendue plus meurtrière qu’elle n’aurait dû être.
PERDRE UN TEMPS PRÉCIEUX
L’attitude du gouvernement fait perdre un temps précieux. Attendre les résultats de l’étude Discovery fait perdre un temps précieux. C’est encore une perte de chance pour les malades.
Quand, lors d’une étude sur l’efficacité d’une thérapie, les médecins se rendent compte rapidement de l’efficacité d’un traitement pour les malades qui en bénéficient, par rapport à ceux qui n’en bénéficient pas, l’étude est interrompue. Le traitement est immédiatement dispensé à tout le monde. Ne pas agir ainsi serait non seulement contraire à l’éthique médicale mais criminel.
Les effets très positifs de l’hydroxychloroquine dans le cadre de l’infection à COVID-19 sont connus. Débuter une étude en ne donnant qu’un traitement symptomatique à une partie des patients est contraire à l’éthique puisqu’on sait qu’il existe un traitement. « Pour mesurer l’efficacité des traitements, les patients seront répartis en différents groupes. L’un d’eux bénéficiera de soins standards, prodigués aujourd’hui. Les autres malades bénéficieront en plus de ces soins, de l’une des molécules en test. » Tout cela au risque de réinventer l’eau tiède.
Une étude où tous les patients auraient bénéficié de molécules à visée thérapeutique n’aurait pas été en opposition avec l’éthique médicale. L’objectif est dans ce cas de comparer les traitements entre eux. Si l’un d’eux se détache, l’étude est interrompue et tous les patients le reçoivent. Il aurait été possible de recommander de traiter rapidement les patients par hydroxychloroquine sans attendre les résultats.
POUR SAVOIR QUELLE ATTITUDE ADOPTER
Les bonnes questions à poser à tous ces membres du gouvernement et aux scientifiques qui les conseillent :
se feraient-ils tester, eux, ou un membre de leur famille en cas de suspicion d’infection au COVID-19 ?
prendraient-ils de l’hydroxychloroquine et en feraient-ils bénéficier un membre de leur famille en cas d’infection au COVID-19 ?
POUR EN FINIR AVEC LA CACOPHONIE ET LES RATÉS DE PRISE EN CHARGE
RépondreSupprimerLes politiciens au pouvoir doivent constater leur incurie. Ils doivent passer la main aux médecins de terrain, spécialistes ou généralistes. Généralistes qu’ils ont envoyés au casse-pipe sans protection. Ils n’auront jamais les masques à temps, ni les tenues. Par respect pour leurs qualités professionnelle et leur abnégation, les hommes de l’État leur doivent bien ça.
https://www.contrepoints.org/2020/03/25/367459-covid-19-hydroxychloroquine-ou-rien
L'immunité naturelle de la journée a prévalu sur la vaccination contre la grippe
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
26 mars 2020
Il y a quinze ans, des chercheurs ont cherché à savoir si les vaccins contre la grippe sont efficaces, c'est-à-dire s'ils sauvent des vies. Ces chercheurs ont noté que les taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées à haut risque étaient passés de 15 à 20% avant 1980 à plus de 65% à partir de 2001. Cependant, la mortalité liée à la grippe contre-intuitive a augmenté de façon spectaculaire.
Les chercheurs ont effectué leurs calculs et ont conclu que le taux de mortalité lié à la grippe était très proche de ce qui se serait produit si aucun vaccin n'avait été disponible!
En fait, il y a eu si peu de décès liés à la grippe certaines années (l'American Lung Association rapporte des décès dus à la grippe aussi bas que 257 en 2001, 727 en 2002 et 411 en 2007. C'est un contraste frappant avec le Centers for Disease Control qui dit il y a environ 36 000 décès dus à la grippe par an.
Les médias américains, de concert avec les Centers for Disease Control, continuent de publier des rapports effrayants faisant état d'environ 14 000 à 36 000 décès annuels dus à la grippe.
Pour mémoire, voici une citation directe des Centers for Disease Control:
«Les épidémies de grippe se produisent généralement pendant les mois d'hiver dans les régions tempérées et ont été responsables d'environ 36 000 décès par an aux États-Unis en 1990-1999.» Rapports de morbidité et de mortalité Volume 54, n ° RR08, pages 1-40, 29 juillet 2005.
Se grattant la tête, ces chercheurs ont conclu que l'immunité naturelle est apparue après 1968, laissant peu de décès dans ce groupe d'âge à prévenir, environ 5000 par an.
Cela aide à expliquer pourquoi seulement un tiers des Américains sont vaccinés contre la grippe, mais les épidémies de grippe sont très limitées. Ce n'est pas l'immunité collective, transférée d'une personne à une autre, presque comme les virus sont éliminés et transférés à d'autres.
C'est peut-être la raison pour laquelle une analyse récente n'a trouvé aucune association entre les taux de vaccination et la gravité de la saison de la grippe en 2010-11 et 2017-18.
Le graphique ci-dessous révèle que les Centers for Disease Control surestiment le nombre d'infections et de décès dus à la grippe, une pratique qui est devenue un moyen courant d'effrayer le public dans la vaccination contre la grippe. Certaines années, il n'y a eu que quelques centaines de cas de grippe confirmée en laboratoire, mais plusieurs millions d'Américains ont été vaccinés.
- voir sur site -
S'il y avait 100 millions d'Américains vaccinés et seulement 1 000 décès dus à la grippe, cela signifie que 100 000 devraient être vaccinés pour éviter un décès par grippe, un exemple de sur-vaccination massive.
Faisons référence à une autre source. La Fondation de la famille Kaiser rapporte 11164 décès dus à la grippe en 2018. C'est également un chiffre élevé (une incidence de 2,8 pour 100 000). Environ un tiers des Américains retroussent leurs manches pour la vaccination contre la grippe chaque année. Disons que 120 millions d'Américains (sur une population d'environ 325 millions d'habitants) ont été vaccinés contre la grippe - - - 10 748 devraient être vaccinés pour éviter un seul décès. En d'autres termes, une personne qui choisit de se faire vacciner a peu de chances de bénéficier (d'éviter la mort) de la grippe.
Dans la panique du coronavirus de 2019-2020, plus d'Américains font la queue pour des vaccins contre la grippe que jamais auparavant. À la fin de février 2020, un record de 174,5 millions de doses de vaccin contre la grippe avait été distribué.
RépondreSupprimerLe rapport 2015 de l'American Lung Association sur les décès associés aux infections grippales est bien inférieur aux données fournies par les Centers for Disease Control (voir le graphique ci-dessous).
Le CDC et les médias choisissent de publier couramment qu'il y a environ 36 000 décès liés à la grippe par année grippale. L'American Lung Association rapporte des décès dus à la grippe aussi bas que 257 (2001), 727 (2002) et 411 (2007).
Un pédiatre a écrit au CDC une demande officielle de correction, que le CDC corrige la perception erronée que les taux de mortalité liés à la grippe sont élevés. Mais le CDC dit avec suffisance qu'il n'y a pas d'œuf sur leur visage. Le CDC s'en tient à son chiffre trompeur de 36 000 décès annuels liés à la grippe.
Qu'est-ce qui mesure l'immunité humaine ? Réponse: lymphocytes T. Il y a des cellules générées dans la glande thymus pour produire des anticorps à vie contre divers agents pathogènes entrants (bactéries, virus, etc.)
La glande du thymus rétrécit et ne produit pas suffisamment d'anticorps sans l'oligo-élément zinc.
Le zinc est nécessaire pour produire des lymphocytes T qui facilitent l'immunité mémoire qui est l'objectif de la vaccination. Des anticorps dépendants du zinc sont nécessaires pour lutter contre les agents pathogènes. L'immunité naturelle est censée produire une immunité à vie tandis que les vaccins synthétiques nécessitent des injections de rappel. belles bactéries et virus. Essentiellement, les vaccins ne fonctionnent pas sans zinc. Un rapport faisant autorité est disponible sur www.beyondvaccines.com pour ceux qui veulent en savoir plus.
C'est l'immunité naturelle qui rend les vaccins beaux.
https://www.lewrockwell.com/2020/03/no_author/the-day-natural-immunity-prevailed-over-flu-vaccination/
Coronavirus Panic: le gouvernement des États-Unis doit être arrêté maintenant
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
26 mars 2020
Tout pays qui cherche à contrôler les autres est un pays qui cherche l'agression. Tout pays qui cherche l'agression est un pays qui cherche la guerre. Tout pays qui cherche la guerre est un pays qui cherche la domination. Par conséquent, tout pays qui cherche le contrôle, l'agression, la guerre et la domination est un pays qui doit asservir son peuple afin de faire avancer ce programme impérialiste. Voici une description des États-Unis d'Amérique aujourd'hui. Il est devenu une nation basée sur le contrôle, l'agression, la guerre et la domination, et seul un régime totalitaire peut atteindre et maintenir l'empire.
Regardez attentivement ce qui est caché. Bien qu'il y ait une énorme quantité de spéculations et d'hypothèses étudiées concernant ce coronavirus, ne laissez pas le battage médiatique du virus provoquer la cécité dans les agendas cachés du gouvernement et les méthodes permettant de dominer la population. Les choses avancent très rapidement, et chaque nouvelle législation, chaque décret et toutes les mesures tyranniques mandatées instituées à n'importe quel niveau de gouvernement pourraient avoir des conséquences sous-jacentes très dangereuses, et celles-ci ne verront probablement pas la lumière du jour dans n'importe quel courant dominant. médias. C'est pourquoi il est si important de rechercher ceux qui recherchent ces documents et mesures tyranniques et en rendent compte en dehors du courant dominant. De plus, les changements sociaux insensés ne disparaîtront pas de si tôt, alors préparez-vous à une vie normale dans ce nouvel État de surveillance d'Amérique pour être un centre géant de la TSA déterminé à inspecter et à contrôler tous les mouvements et actions du public. En d'autres termes, la vie dans ce pays pourrait devenir une grande ligne de sécurité aéroportuaire, et les pannes et l'équivalent métaphorique (ou non) des fouilles corporelles pourraient devenir la norme.
Ce qui s'est passé jusqu'à présent dépasse presque le domaine de l'imagination, mais plus de tyrannie de la part du gouvernement se profile à l'horizon. Que ce coronavirus soit ou non une menace réelle, les mesures autoritaires actuellement en place resteront. Cela seul est un motif de préoccupation. Compte tenu de la surveillance renouvelée, de la mise en quarantaine forcée, de l'isolement obligatoire, du chômage élevé, de la fermeture forcée des entreprises, de la loi martiale médicale, de la destruction économique, de la politique monétaire ridicule, des vaccinations forcées à venir, des interdictions de voyager et d'une pauvreté très élevée, le tout en raison des mesures mises en place jusqu'à présent, où ça va finir ? La triste vérité est que cet assaut contre les Américains ne prendra pas fin et ne fera qu’empirer à l’avenir.
D'un point de vue économique, les dommages déjà évidents causeront à nous tous un préjudice indéterminé. Bien sûr, beaucoup, en fait, seront confrontés à des difficultés extrêmes en raison de la perte d'emplois, de la fermeture d'entreprises, de la perte de revenus et des pressions inflationnistes qui devraient se manifester en raison de l'impression et de la distribution massives d'argent. La Federal Reserve Bank a eu une capacité illimitée d'imprimer de l'argent à partir de rien. Des tentatives sont faites après le passage du plus grand plan de sauvetage de l'histoire, pour financer des sociétés, des grandes entreprises, certaines petites entreprises et même des particuliers, et tout cet argent faux inondant les secteurs public et privé entraînera des prix beaucoup plus élevés tout comme les gens ont tout perdu et n'ont même pas la possibilité de payer leurs factures.
L'une des dispositions de ce projet de loi de renflouement massif (texte intégral non disponible à l'heure actuelle) émanant du gouvernement est la création d'une monnaie numérique qui, si elle est mise en œuvre, pourrait se transformer en un moyen d'éliminer les espèces, et aussi éventuellement de contrôler à l'avenir le processus monétaires entiers. Si le modèle de la Chine était suivi, ce type de dépassement pourrait conduire à une notation sociale et à des restrictions sur les déplacements, les voyages, le crédit et même les besoins vitaux en cas de non-respect des ordonnances gouvernementales.
RépondreSupprimerLe chômage monte en flèche, et n'oubliez pas qu'il s'agit d'un chômage forcé, et les sites de chômage se bloquent. De nombreux États et villes sont complètement mis en quarantaine, «verrouillés» comme l'indique la nouvelle terminologie des coronavirus, «l'éloignement social» devient une pandémie à part entière, et «faire honte» à d'autres pour ne pas être des moutons augmente de façon exponentielle. Les faillites ne manqueront pas, et le nombre de suicides à mon avis dépassera la mort de tout coronavirus. Pour ceux de certaines régions qui refusent de se conformer, les services essentiels à la vie tels que l'électricité et l'eau seront coupés, car des menaces ont déjà été faites. Les pénuries alimentaires sont presque certaines maintenant, tout comme les choses empirent et les lignes de distribution se ferment. Tout cela et bien d'autres encore conduiront certainement à des émeutes et au chaos à un moment donné.
Pompeo, l'actuel crétin menteur autoproclamé qui est secrétaire d'État, a annoncé il y a quelques jours que cette soi-disant réponse pandémique est un "exercice en direct", donc des jeux de guerre militaires actifs ont déjà lieu, ce qui signifie que des préparatifs sont en cours. appliquer la loi martiale nationale si cela est jugé nécessaire. N'oubliez pas que 28 États ont déjà appelé des unités de la Garde nationale. Personne ne sait vraiment ce qui est discuté au sommet, car tout ce qui est important discuté par le gouvernement est gardé secret, et les bovins ne sont informés que de ce qu'ils veulent entendre, ou du moins pas informés des plans secrets qui pourraient avoir des conséquences horribles sur le population en général.
L'un des pires mandats possibles que je pense susceptibles de sortir de cette effrayante pandémie est la vaccination forcée de tous. La première vaccination qui sera obligatoire sera probablement une vaccination accélérée et non testée contre les coronavirus. Je pense que cela sera extrêmement dangereux et pourrait provoquer des maladies et des décès de masse. Barbara Loe Fisher explique ce plan national ici. Soyez très au courant de tout vaccin accéléré contre le coronavirus que le gouvernement approuve, qu'il soit requis de force au début ou non.
Le battage médiatique s'aggrave en fait, même si de nombreuses questions sont posées et sans réponse, et même si le nombre de décès n'est qu'une infime fraction de la grippe normale. Les gouverneurs de nombreux sinon la plupart des États sont désormais ivres de pouvoir, et les gros titres explosifs et non vérifiés se multiplient. Il est temps de ralentir et de revoir les choses en profondeur avant de prendre des mesures drastiques.
Nous nous dirigeons vers un territoire inconnu, et une fois que ce gouvernement aura acquis un contrôle total et total sur la population en raison de cette urgence ou de toute autre prétendue urgence, toute liberté disparaîtra, et ce qui restera sera un peuple sans défense pris au piège dans un État totalitaire déterminé à opter pour une mondialisation. domination.
"Aucun n'est plus désespérément asservi que ceux qui croient à tort qu'ils sont libres."
~ Johann Wolfgang von Goethe, Affinités électives
https://www.lewrockwell.com/2020/03/gary-d-barnett/coronavirus-panic-the-united-states-government-must-be-stopped-now/
Le monde doit être dirigé par le Peuple et non par un nano-groupuscule de dictateurs psychopathes !
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RépondreSupprimerUn produit capable d’éliminer le virus en 15 minutes pulvérisé dans les rues de Cannes
21:08 25.03.2020
Les rues de la ville de Cannes sont aspergées d’un produit désinfectant. La mairie assure qu’il élimine le virus en 15 minutes. D’autres communes s’apprêtent à suivre cet exemple.
Depuis ce mercredi 25 mars, les rues de Cannes sont désinfectées à l’aide d’eau javel diluée, rapporte la mairie dans une publication Facebook.
Les agents de la Propreté urbaine, «équipés de masques anti-projection, de combinaisons intégrales, de gants et chaussures spécifiques» en pulvérisent sur la voirie et le mobilier urbain, pour lutter contre le coronavirus. Des mesures qui visent en priorité les espaces les plus exposés.
«La javel est un virucide et un bactéricide, qui permet d’éliminer ce coronavirus qui nous embête depuis plusieurs semaines. Nous faisons essentiellement les endroits les plus sensibles, l’hôpital, les cliniques, les centres médicaux, les laboratoires, les Ephad, puis nous ferons sur l’ensemble de la ville», déclare à France 2 Thierry Gaudineau, directeur de la propreté urbaine de Cannes.
D’autres villes désinfectées
La mairie affirme que le produit est le même que celui utilisé en Corée du Sud ou en Chine, et qu’il peut éliminer le virus en 15 minutes, rapporte encore France 2. Il serait en outre non toxique, et sans danger pour les animaux domestiques.
La mairie de Nice a fait savoir qu’elle allait mettre en œuvre cette même pratique. Menton et Monaco ont également entrepris des opérations de désinfection, selon France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur.
https://fr.sputniknews.com/france/202003251043392939-un-produit-capable-deliminer-le-virus-en-15-minutes-pulverise-dans-les-rues-de-cannes/
12 experts questionnent la panique du COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 25/03/2020 - 21:10
Via Off-Guardian.org,
Vous trouverez ci-dessous notre liste de douze experts médicaux dont les opinions sur l'épidémie de coronavirus contredisent les récits officiels du MSM et les mèmes si répandus sur les réseaux sociaux.
* * *
Le Dr Sucharit Bhakdi est spécialiste en microbiologie. Il était professeur à l'Université Johannes Gutenberg de Mayence et directeur de l'Institut de microbiologie médicale et d'hygiène et l'un des chercheurs les plus cités de l'histoire allemande.
Ce qu'il dit:
Nous craignons qu'un million d'infections par le nouveau virus n'entraîne 30 décès par jour au cours des 100 prochains jours. Mais nous ne réalisons pas que 20, 30, 40 ou 100 patients positifs pour les coronavirus normaux meurent déjà chaque jour.
[Les mesures anti-COVID19 du gouvernement] sont grotesques, absurdes et très dangereuses […] L'espérance de vie de millions de personnes est raccourcie. L'impact horrible sur l'économie mondiale menace l'existence d'innombrables personnes. Les conséquences sur les soins médicaux sont profondes. Déjà, les services aux patients dans le besoin sont réduits, les opérations annulées, les pratiques vides, le personnel hospitalier diminue. Tout cela aura un impact profond sur toute notre société.
Toutes ces mesures conduisent à l'autodestruction et au suicide collectif basés sur rien d'autre qu'un fantôme.
* * *
Le Dr Wolfgang Wodarg est un médecin allemand spécialisé en pneumologie, homme politique et ancien président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. En 2009, il a appelé à une enquête sur les conflits d'intérêts présumés entourant la réponse de l'UE à la pandémie de grippe porcine.
Ce qu'il dit:
Les politiciens sont courtisés par des scientifiques… des scientifiques qui veulent être importants pour obtenir de l'argent pour leurs institutions. Des scientifiques qui se contentent de nager dans le courant dominant et qui veulent leur part […] Et ce qui manque en ce moment, c'est une façon rationnelle de voir les choses.
Nous devrions poser des questions comme «Comment avez-vous découvert que ce virus était dangereux ?», «Comment était-il avant ?», «N'avions-nous pas la même chose l'année dernière ?», «Est-ce même quelque chose de nouveau ?»
Ça manque.
* * *
Dr Joel Kettner, professeur de sciences de la santé communautaire et de chirurgie à l'Université du Manitoba, ancien administrateur en chef de la santé publique de la province du Manitoba et directeur médical du Centre international des maladies infectieuses.
Ce qu'il dit:
Je n'ai jamais rien vu de tel, rien de semblable à ça. Je ne parle pas de la pandémie, car j'en ai vu 30, une chaque année. Cela s'appelle la grippe. Et d’autres virus des maladies respiratoires, nous ne savons pas toujours ce qu’ils sont. Mais je n'ai jamais vu cette réaction, et j'essaie de comprendre pourquoi.
[…]
RépondreSupprimerJe m'inquiète du message au public, de la peur d'entrer en contact avec les gens, d'être dans le même espace que les gens, de leur serrer la main, de rencontrer des gens. Je m'inquiète de nombreuses conséquences liées à cela.
[…]
À Hubei, dans la province de Hubei, où le nombre de cas et de décès a été de loin le plus élevé, le nombre réel de cas signalés est de 1 pour 1000 personnes et le taux réel de décès signalés est de 1 pour 20 000. Alors peut-être que cela aiderait à mettre les choses en perspective.
* * *
Dr John Ioannidis Professeur de médecine, de recherche et de politique de la santé et de science des données biomédicales, à la Stanford University School of Medicine et professeur de statistique à la Stanford University School of Humanities and Sciences. Il est directeur du Stanford Prevention Research Center et codirecteur du Meta-Research Innovation Center de Stanford (METRICS).
Il est également rédacteur en chef du European Journal of Clinical Investigation. Il a été président du Département d'hygiène et d'épidémiologie de la faculté de médecine de l'Université d'Ioannina ainsi que professeur adjoint à la faculté de médecine de l'Université Tufts.
En tant que médecin, scientifique et auteur, il a contribué à la médecine factuelle, à l'épidémiologie, à la science des données et à la recherche clinique. De plus, il a été pionnier dans le domaine de la méta-recherche. Il a montré qu'une grande partie de la recherche publiée ne répond pas aux bonnes normes scientifiques de preuve.
Ce qu'il dit:
Les patients qui ont été testés pour le SRAS-CoV-2 sont de manière disproportionnée ceux qui présentent des symptômes graves et de mauvais résultats. Comme la plupart des systèmes de santé ont une capacité de test limitée, le biais de sélection peut même s'aggraver dans un avenir proche.
La seule situation où une population entière fermée a été testée était le bateau de croisière Diamond Princess et ses passagers en quarantaine. Le taux de létalité était de 1,0%, mais il s'agissait d'une population largement âgée, dans laquelle le taux de mortalité de Covid-19 est beaucoup plus élevé.
[…]
Le taux de mortalité de Covid-19 pourrait-il être aussi bas ? Non, disent certains, soulignant le taux élevé chez les personnes âgées. Cependant, même certains coronavirus dits bénins ou à rhume commun qui sont connus depuis des décennies peuvent avoir des taux de létalité atteignant 8% lorsqu'ils infectent des personnes âgées dans des maisons de soins infirmiers.
[…]
Si nous n'avions pas connaissance d'un nouveau virus et si nous n'avions pas vérifié les individus avec des tests de PCR, le nombre total de décès dus à une «grippe» ne semblerait pas inhabituel cette année. Tout au plus, nous aurions pu remarquer avec désinvolture que la grippe cette saison semble être un peu pire que la moyenne.
- «Un fiasco en devenir ? Alors que la pandémie de coronavirus s'installe, nous prenons des décisions sans données fiables », Stat News, 17 mars 2020
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Le Dr Yoram Lass est un médecin, homme politique israélien et ancien directeur général du ministère de la Santé. Il a également travaillé en tant que doyen associé de la faculté de médecine de l'Université de Tel Aviv et, au cours des années 80, a présenté l'émission de télévision scientifique Tatzpit.
RépondreSupprimerCe qu'il dit:
L'Italie est connue pour son énorme morbidité dans les problèmes respiratoires, plus de trois fois n'importe quel autre pays européen. Aux États-Unis, environ 40 000 personnes meurent au cours d'une saison régulière de la grippe et jusqu'à présent, 40 à 50 personnes sont mortes du coronavirus, la plupart d'entre elles dans une maison de soins infirmiers à Kirkland, Washington.
[…]
Dans chaque pays, plus de personnes meurent d'une grippe régulière que celles qui meurent du coronavirus.
[…]
… Il y a un très bon exemple que nous oublions tous: la grippe porcine en 2009. C'était un virus qui a atteint le monde depuis le Mexique et jusqu'à aujourd'hui il n'y a pas de vaccination contre lui. Mais quoi ? À cette époque, il n'y avait pas de Facebook ou il y en avait peut-être, mais c'était encore à ses balbutiements. Le coronavirus, en revanche, est un virus ayant des relations publiques.
Quiconque pense que les gouvernements mettent fin aux virus a tort.
- Interview dans Globes, 22 mars 2020
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Le Dr Pietro Vernazza est un médecin suisse spécialisé en maladies infectieuses à l'hôpital cantonal de Saint-Gall et professeur de politique de la santé.
Ce qu'il dit:
Nous avons des chiffres fiables d'Italie et un travail d'épidémiologistes, qui a été publié dans la célèbre revue scientifique ‹Science›, qui a examiné la propagation en Chine. Cela montre clairement qu'environ 85% de toutes les infections se sont produites sans que personne ne s'en aperçoive. 90% des patients décédés ont de façon vérifiable plus de 70 ans, 50% plus de 80 ans.
[…]
En Italie, une personne sur dix diagnostiquée meurt, selon les résultats de la publication Science, qui est statistiquement une personne sur 1000 infectées. Chaque cas individuel est tragique, mais souvent - comme pour la saison de la grippe - il affecte des personnes en fin de vie.
[…]
Si nous fermons les écoles, nous empêcherons les enfants de devenir rapidement immunisés.
[…]
Nous devons mieux intégrer les faits scientifiques dans les décisions politiques.
- Entretien à St.Galler Tagblatt, 22 mars 2020
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Frank Ulrich Montgomery est radiologue allemand, ancien président de l'Association médicale allemande et vice-président de l'Association médicale mondiale.
Ce qu'il dit:
Je ne suis pas fan du verrouillage. Quiconque impose quelque chose comme ça doit également dire quand et comment le ramasser. Puisque nous devons supposer que le virus sera avec nous pendant longtemps, je me demande quand nous reviendrons à la normale ? Vous ne pouvez pas fermer les écoles et les garderies avant la fin de l'année. Parce qu'il faudra au moins aussi longtemps avant d'avoir un vaccin. L'Italie a imposé un verrouillage et a l'effet inverse. Ils ont rapidement atteint leurs limites de capacité, mais n'ont pas ralenti la propagation du virus pendant le verrouillage.
RépondreSupprimer- Entretien au général Anzeiger, 18 mars 2020
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Le professeur Hendrik Streeck est un chercheur, épidémiologiste et clinicien clinicien allemand sur le VIH. Il est professeur de virologie et directeur de l'Institut de virologie et de recherche sur le VIH à l'Université de Bonn.
Ce qu'il dit:
Le nouveau pathogène n'est pas si dangereux, il l'est encore moins que Sars-1. La particularité est que le Sars-CoV-2 se réplique dans la partie supérieure de la gorge et est donc beaucoup plus contagieux car le virus saute de gorge en gorge, pour ainsi dire. Mais c'est aussi un avantage: parce que Sars-1 se réplique dans les poumons profonds, il n'est pas si infectieux, mais il pénètre définitivement dans les poumons, ce qui le rend plus dangereux.
[…]
Vous devez également tenir compte du fait que les décès dus au Sars-CoV-2 en Allemagne étaient exclusivement des personnes âgées. À Heinsberg, par exemple, un homme de 78 ans souffrant de maladies antérieures est décédé d'une insuffisance cardiaque, et cela sans atteinte pulmonaire Sars-2. Depuis qu'il a été infecté, il apparaît naturellement dans les statistiques de Covid 19. Mais la question est de savoir s'il ne serait pas mort de toute façon, même sans Sars-2.
- Entretien à Frankfurter Allgemeine, 16 mars 2020
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Dr Yanis Roussel et. Al. - Une équipe de chercheurs de l'Institut Hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, Marseille et de l'Institut de Recherche pour le Développement, Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille, conduisant une étude évaluée par les pairs sur la mortalité par coronavirus pour le gouvernement de la France dans le cadre des Investissements pour le programme du futur.
Ce qu'ils disent:
Le problème du SRAS-CoV-2 est probablement surestimé, car 2,6 millions de personnes meurent chaque année d'infections respiratoires, contre moins de 4000 décès pour le SRAS-CoV-2 au moment de la rédaction du présent document.
[…]
Cette étude a comparé le taux de mortalité du SRAS-CoV-2 dans les pays de l'OCDE (1,3%) avec le taux de mortalité des coronavirus communs identifiés chez les patients AP-HM (0,8%) du 1er janvier 2013 au 2 mars 2020. Le test du chi carré a été réalisée et la valeur P était de 0,11 (non significative).
[…]
… Il convient de noter que des études systématiques d'autres coronavirus (mais pas encore pour le SRAS-CoV-2) ont montré que le pourcentage de porteurs asymptomatiques est égal ou même supérieur au pourcentage de patients symptomatiques. Les mêmes données pour le SRAS-CoV-2 pourraient bientôt être disponibles, ce qui réduira encore le risque relatif associé à cette pathologie spécifique.
RépondreSupprimer- «SARS-CoV-2: peur contre données», International Journal of Antimicrobial Agents, 19 mars 2020
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Le Dr David Katz est un médecin américain et directeur fondateur du Yale University Prevention Research Center
Ce qu'il dit:
Je suis profondément préoccupé par le fait que les conséquences sociales, économiques et de santé publique de cet effondrement presque total de la vie normale - écoles et commerces fermés, rassemblements interdits - seront de longue durée et calamiteuses, peut-être plus graves que le bilan direct du virus lui-même. La bourse va rebondir dans le temps, mais de nombreuses entreprises ne le feront jamais. Le chômage, l'appauvrissement et le désespoir qui en résulteront seront des fléaux de santé publique de premier ordre.
- «Notre lutte contre le coronavirus est-elle pire que la maladie ?», New York Times, 20 mars 2020
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Michael T. Osterholm est professeur régent et directeur du Centre for Infectious Disease Research and Policy à l'Université du Minnesota.
Ce qu'il dit:
Considérez l'effet de la fermeture indéfinie des bureaux, des écoles, des systèmes de transport, des restaurants, des hôtels, des magasins, des théâtres, des salles de concert, des événements sportifs et d'autres lieux et de laisser tous leurs travailleurs au chômage et sur la liste publique. Le résultat probable ne serait pas seulement une dépression, mais une rupture économique complète, avec d'innombrables emplois perdus de façon permanente, bien avant qu'un vaccin ne soit prêt ou que l'immunité naturelle ne s'installe.
[…]
La meilleure alternative consistera probablement à laisser les personnes à faible risque de maladie grave continuer à travailler, à maintenir les activités commerciales et de fabrication et à «diriger» la société, tout en conseillant en même temps aux individus à haut risque de se protéger par une distance physique et augmenter notre capacité de soins de santé de la manière la plus agressive possible. Avec ce plan de bataille, nous pourrions progressivement renforcer l'immunité sans détruire la structure financière sur laquelle nos vies sont basées.
- «Face à la réalité de Covid-19: un verrouillage national n'est pas un remède», Washington Post, 21 mars 2020
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Le Dr Peter Goetzsche est professeur de conception et d'analyse de la recherche clinique à l'Université de Copenhague et fondateur de la Cochrane Medical Collaboration. Il a écrit plusieurs livres sur la corruption dans le domaine de la médecine et le pouvoir des grandes sociétés pharmaceutiques.
Ce qu'il dit:
Notre principal problème est que personne n'aura jamais de problèmes pour des mesures trop draconiennes. Ils n'auront des ennuis que s'ils en font trop peu. Donc, nos politiciens et ceux qui travaillent avec la santé publique font beaucoup plus qu'ils ne devraient le faire.
RépondreSupprimerAucune mesure draconienne de ce type n'a été appliquée pendant la pandémie de grippe de 2009, et elles ne peuvent évidemment pas être appliquées chaque hiver, ce qui est toute l'année, car c'est toujours l'hiver quelque part. Nous ne pouvons pas fermer définitivement le monde entier.
S'il devait s'avérer que l'épidémie s'atténuerait avant longtemps, il y aurait une file d'attente de personnes voulant s'en attribuer le mérite. Et nous pouvons être sacrément sûrs que des mesures draconiennes seront à nouveau appliquées la prochaine fois. Mais souvenez-vous de la blague sur les tigres. "Pourquoi soufflez-vous la corne ?" "Pour éloigner les tigres." "Mais il n'y a pas de tigres ici." "Voilà !"
- «Corona: une épidémie de panique de masse», article de blog sur Deadly Medicines du 21 mars 2020
https://www.zerohedge.com/geopolitical/12-experts-question-covid-19-panic
47 000 magasins ferment aux États-Unis, car presque tous les détaillants cessent de payer leur loyer
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 25/03/2020 - 18:25
Avant même que la pandémie de coronavirus n'arrête l'économie américaine, le secteur de la vente au détail de briques et de mortier aux États-Unis faisait face à une apocalypse aux proportions épiques avec des dizaines de détaillants qui ont déposé leur bilan ces dernières années alors qu'Amazon a volé la part de marché de tout le monde ...
... entraînant la fermeture de dizaines de milliers de magasins à travers le pays.
Donc, ce qui s'est passé dans le secteur de la vente au détail au cours des dernières semaines est tout droit sorti du 9e cercle de l'enfer.
Avec la diminution des flux de trésorerie et leur survie chaque jour en question, l'effondrement total des revenus a fait que des entreprises telles que (récemment réorganisées) Mattress Firm et Subway figurent parmi les principales chaînes de vente au détail et de restauration des États-Unis disant aux propriétaires qu'ils retiendront ou réduiront louer dans les prochains mois après la fermeture des magasins pour ralentir le coronavirus, rapporte Bloomberg citant des sources.
Conscientes que d'une manière (hors de la faillite) ou d'une autre (en faillite), elles finiront par renégocier leurs baux, les chaînes de vente au détail demandent de manière proactive des réductions de loyer par le biais de modifications de baux et d'autres mesures à partir d'avril.
Mattress Firm, qui compte environ 2 400 magasins, a envoyé une lettre aux propriétaires la semaine dernière pour leur dire qu’elle réduirait le loyer en échange de baux plus longs et proposant deux options. Cette semaine, il a envoyé une note plus urgente révoquant son offre antérieure.
«La baisse des revenus et les fermetures forcées de magasins à travers le pays sont plus drastiques, compressées et immédiates que nous l'avions prévu à l'origine», écrit la société dans une lettre examinée par Bloomberg. «Notre besoin est maintenant plus grave», a déclaré la firme, invoquant le virus comme un événement de force majeure qui «nous empêchera ou nous interdira» de payer un loyer.
Après avoir été contacté par Bloomberg, Mattress Firm a confirmé avoir demandé une suspension temporaire de loyer.
"Nous apprécions nos partenaires propriétaires, et les réponses ont été encourageantes jusqu'à présent", a déclaré Randy Carlin, directeur immobilier de Mattress Firm, dans un communiqué. «Nous continuerons à faire tout ce que nous pouvons pour maintenir la continuité des activités et veiller à ce qu'il y ait des emplois disponibles pour que nos employés reviennent à la fin de cette crise.»
Subway Restaurants, qui compte plus de 20 000 emplacements aux États-Unis, a envoyé une lettre aux propriétaires la semaine dernière disant qu'il pourrait réduire ou reporter les paiements de location en raison du virus, selon une personne connaissant la situation. The Real Deal, une publication spécialisée dans l'immobilier, a fait un rapport sur la communication plus tôt.
Presque tous les autres détaillants américains ont également dit la même chose à leurs propriétaires, et sinon, ils le feront bientôt.
Ces mesures, comme le note Bloomberg, marquent la prochaine étape des retombées virales: qu'advient-il des milliards de loyers dus aux entreprises qui ont été fermées ? Les enjeux sont élevés. Le commerce de détail possède une multitude de grandes chaînes en mode rotation. Et s'ils retiennent les paiements, il y aurait un effet d'entraînement. Les propriétaires ne peuvent pas se permettre d’arrêter de percevoir le loyer pendant longtemps, de nombreux propriétaires étant lourdement endettés.
RépondreSupprimerPire, si les propriétaires refusent de bouger, on ne sait pas comment cette destruction mutuellement assurée se conclura en faveur de quiconque. Les plans de relance budgétaire envisagés ne concernent pas directement les loyers. Mais les actions de la Réserve fédérale peuvent donner aux banques la latitude de différer les versements hypothécaires, permettant aux propriétaires de retarder le loyer. Certains détaillants peuvent également déclarer un «cas de force majeure», une clause contractuelle qui couvre des événements très inhabituels, même si les propriétaires ou les banques l'acceptent ou non, c'est une question différente.
«Le système judiciaire va être inondé d'un million de ces différends entre locataires et propriétaires», a déclaré Vince Tibone, analyste chez Green Street Advisors. «Si le gouvernement n'intervient d'aucune façon, cela pourrait devenir moche. Ils doivent réagir rapidement. »
En bref: ce sera le plus grand jamais vu dans les mess, et qu'il s'agisse ou non de faillite judiciaire, cela n'aura aucune importance, car il n'y a tout simplement pas d'argent.
La bonne nouvelle est que certains propriétaires ont reconnu qu'ils devaient aider les petits locataires. Par exemple, Irvine Company Retail Properties, en Californie, permet de différer le loyer de 90 jours, puis de le rembourser sans intérêt sur une année à partir de janvier. L'entreprise a confirmé la pratique sans autre commentaire. Bedrock, un développeur de Detroit, a déclaré qu'il renoncerait au loyer et aux autres frais pendant trois mois pour ses petits locataires de commerces de détail et de restaurants.
Cependant, pour de nombreux autres propriétaires, eux-mêmes très endettés, s'abstenir de louer n'est tout simplement pas une vente aux enchères car le manque de quelques mois de liquidités pourrait faire la différence entre la vie et la mort. En effet, cela peut également être le point de basculement pour les centres commerciaux américains, dont beaucoup auraient dû fermer leurs portes il y a longtemps et subsister alors que les créatures zombies étaient maintenues en vie par de l'argent bon marché. Eh bien, pas plus, et le résultat est une victoire massive pour tous ceux qui avaient le commerce "Big Short 2.0" dans leurs livres: également connu sous le nom de grand commerce armageddon via CMBX Series 6, et dont nous avons discuté hier, a fait son des fans qui souffrent depuis longtemps.
Mais même si les détaillants réussissent à obtenir un sursis de loyer pendant un mois ou deux, dans l'ensemble, cela ne fera guère de différence. La raison: au cours des 10 derniers jours, plus de 47000 chaînes de magasins à travers les États-Unis ont fermé leurs portes - temporairement, ou du moins ils l'espèrent - alors que les détaillants ont pris des mesures extrêmes pour aider à ralentir la propagation de la pandémie de coronavirus selon les données de Bloomberg. Au moins 90 détaillants nationaux, allant de Macy's à GameStop en passant par Michael Kors, sont temporairement tombés dans l’ombre.
Alors que la plupart se sont engagés à rester fermés pendant au moins deux semaines, beaucoup, sinon tous, devront probablement rester fermés beaucoup plus longtemps, car comme nous l'avons montré plus tôt, les États-Unis sont très tôt sur la courbe des coronavirus, et de nombreuses semaines doivent s'écouler avant le pic est atteint.
RépondreSupprimerCe fut un moment sans précédent pour faire du shopping en Amérique, un pays qui contient plus d'espace de vente au détail que tout autre.
"En l'espace d'une semaine, le paysage de la vente au détail est passé d'une situation assez normalisée à une situation absolument perturbée au-delà de ce que nous avons jamais vu auparavant en dehors de la Seconde Guerre mondiale", a déclaré Neil Saunders, directeur général de GlobalData Retail.
Après qu'Apple, Nike et Urban Outfitters ont été parmi les premiers à annoncer la fermeture de magasins le samedi 14 mars, le rythme de fermeture des magasins s'est accéléré le reste de la semaine. Ensuite, les centres commerciaux ont fermé par centaines, avec des développeurs comme Simon Property Group et Westfield, appartenant à Unibail-Rodamco-Westfield, bloquant l'ensemble de leurs réseaux de centres commerciaux américains. Le lundi 23 mars, au moins 47 000 chaînes de magasins étaient fermées. La plupart ont dit aux clients que les produits seraient disponibles en ligne, mais même les sites Web des magasins n'étaient pas à l'abri. Victoria’s Secret, T.J. Maxx et Marshalls ont décidé de cesser leurs activités dans leurs centres de distribution et de fermer leurs activités de commerce électronique.
Il y a un certain espoir que lorsque le virus sera contenu, les achats reviendront à la normale, mais selon toute vraisemblance, l'expérience de magasinage en Amérique ne sera peut-être jamais la même. Les gens pourraient toujours pencher vers la distanciation sociale et avoir peur des foules, a déclaré Simeon Siegel, analyste chez BMO Marchés des capitaux. "Même lorsque les entreprises reçoivent le feu vert, nous ne savons pas encore quand les consommateurs vont accepter cela". il a dit. D'un autre côté, si la durée de verrouillage se prolonge, la plupart des magasins énumérés ci-dessus seront simplement liquidés et ne seront plus jamais entendus.
https://www.zerohedge.com/economics/total-halt-47000-stores-shutter-across-us-virtually-all-retailers-stop-paying-rent
Si les propriétaires (qui paient des impôts quels que soient les revenus) ne reçoivent plus d'argent: ils se sépareront de leur bien. Biens qui passeront du privé au public ! (pour UNE SIMPLE GRIPETTE *!).
Supprimer*Qui reviendra chaque hiver sous un nouveau nom.
La France face au COVID–19 : après l’échec, l’absurde
RépondreSupprimerLa France semble plus que jamais incapable de faire face aux défis de cette année 2020. À tel point qu’il semble lui rester la coercition pour imposer quelque mesure que ce soit.
25 MARS 2020
Par Sabine Lula.
La France est frappée de plein fouet par l’épidémie de coronavirus. Bien qu’étant le premier pays européen contaminé, et ce dès le 24 janvier 2020, des mesures concrètes n’ont été prises que récemment, un peu n’importe comment.
Alors que le pays entre dans sa deuxième semaine de confinement, la gestion du problème par nos élites semble de plus en plus chaotique. Sans mentionner le spectaculaire retournement de veste d’un président qui déclare une guerre sanitaire près d’une semaine après avoir encouragé les Français à continuer à vivre normalement, il est évident que la situation leur échappe complètement.
Malgré l’appel des médecins à pratiquer des dépistages de masse et d’isoler seulement les cas avérés, la France, au bord du gouffre financier, a préféré déclarer la mise en quarantaine quasi-totale du pays, au risque de diagnostiquer certains patients trop tard pour pouvoir les sauver.
LA FRANCE, UNE OBÉSITÉ LÉGISLATIVE ÉTOUFFANTE
L’État français et sa législation ayant atteint un stade d’obésité morbide inédit, la simple idée de ne pas réguler la situation par des biais administratifs semble terrifier nos charmants élus. Ainsi non seulement tout traitement potentiel devra obtenir une AMM au risque que des milliers de patients meurent en attendant un remède déjà disponible, mais les Français sont cordialement invités à rester chez eux le temps que la pandémie se calme, paralysant ainsi une économie déjà très fragile.
Afin de s’assurer que ces indisciplinés de Français suivent les dernières consignes mises en place tardivement par Saint-Macron, l’exécutif a mis à contribution les forces de l’ordre. Si dans les pays voisins, la police a décidé de miser sur la pédagogie et l’humour pour inciter leurs concitoyens à rester chez eux, de notre côté de nouvelles régulations sont venues se greffer aux deux cent mille lois et décrets déjà existants dans l’Hexagone.
En plus d’une attestation papier signée sur l’honneur pour avoir le droit de franchir la porte de son domicile, tout réfractaire risque une amende s’élevant actuellement à 135 euros, et pouvant aller jusqu’à 1500 euros voire 3000 euros en cas de récidive.
RIVALITÉS ADMINISTRATIVES, LÉGISLATIONS DÉLIRANTES : BIENVENUE EN ABSURDIE !
La France ne voulant pas pratiquer le dépistage de masse comme en Corée du Sud, et plus récemment en Allemagne, la seule arme dont elle veut bien user est celle de la paperasse et de la régulation ; on observe dans tout le pays un durcissement des consignes de confinement ainsi que certains abus répressifs de ces toutes nouvelles fraudes.
On a pu ainsi observer non seulement une hausse spectaculaire des tensions au sein des grands centres urbains, notamment dans certains quartiers dits sensibles, mais aussi une augmentation des actes d’incivilités – le plus souvent de véritables scènes de guérilla dans les magasins. Mais c’est le simple fait de sortir sans que cela n’entre dans les clous des nouvelles législations qui pousse l’exécutif à sanctionner.
Ainsi, ces derniers jours, avons-nous appris qu’assister à l’enterrement d’un proche n’était pas une raison valable de quitter son domicile, mais qu’on pouvait éviter de purger l’intégralité de sa peine de prison si on est un délinquant. Crème de la crème de cette dernière absurdité en date, les contrôles effectués par des gendarmes… sur des policiers en service. De quoi relancer l’éternelle guerre des polices, bien que le contexte soit particulièrement tendu.
RépondreSupprimerS’il est vrai que la situation de pandémie demande à chacun d’être responsable et de réduire au possible les risques de contamination, la sévérité des répressions ainsi que des réponses pénales ne semblent pas la solution.
Si les 40 000 verbalisations à 135 euros du week-end dernier n’ont pas dissuadé les Français de respecter la quarantaine, on peut craindre une escalade dans la répression pour faire respecter les dernières consignes mises en place.
QUE FAIRE FACE À CETTE SITUATION DÉPLORABLE ?
Dans un pays croulant sous le poids de ses propres régulations, en grave crise sanitaire, économique et sociétale, agir pour communiquer ne suffit pas. La gestion de cette épidémie originaire de Chine risque fort de déboucher sur un scandale d’État.
La communication et les intérêts politiques ne doivent plus être la priorité des dirigeants. Or, un tel changement de paradigme étant complètement utopique (preuve en est, le projet de nationalisation et les saisies des ressources médicales essentielles à l’origine des pénuries), mieux vaut se fier à la science, et surtout à soi-même. Dépendre d’un État et de ses membres alors qu’ils sont responsables par leur incompétence de la situation actuelle, c’est réduire ses propres chances de s’en sortir.
Rester indépendant, être responsable et autonome, se renseigner sur les progrès de la médecine à propos de l’épidémie, voilà peut-être le moyen le plus efficace et le moins absurde pour lutter contre le virus de Wuhan.
Liberté, responsabilité, temporalité, voici peut-être les mots qui manquent à notre pays pour que celui-ci se redresse et survive à cette crise.
https://www.contrepoints.org/2020/03/25/367462-la-france-face-au-covid-19-apres-lechec-labsurde
Méfiez-vous d'un gouvernement de peur
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano.
le 26 mars 2020
"Ceux qui renonceraient à la liberté essentielle, pour acheter un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin (1706-1790)
Un de mes collègues de Fox m'a récemment envoyé une pièce jointe par courriel d'une peinture des encadreurs signant la Constitution des États-Unis. Sauf dans cette version, George Washington - qui a présidé la Convention constitutionnelle - regarde James Madison - qui était le responsable de la Convention - et dit: "Rien de tout cela ne compte si les gens tombent malades, non?"
En ces jours où les gouverneurs des États émettaient des décrets quotidiens censés criminaliser l'exercice de nos libertés personnelles, les mots mis dans la bouche de Washington ne sont que légèrement amusants. Si Washington avait effectivement posé une telle question, Madison, de toutes les personnes, aurait probablement répondu: "Non. Ce document protège nos droits naturels à tout moment et en toutes circonstances."
Il est facile, 233 ans plus tard, de proposer cette réponse hypothétique, d'autant plus que la Cour suprême l'a déjà fait lorsque, comme les lecteurs de cette chronique s'en souviendront, Abraham Lincoln a suspendu le bref d'habeas corpus garanti par la constitution - le droit d'être traduit devant un juge lors de son arrestation - seulement pour être réprimandé par la Cour suprême.
La célèbre ligne ci-dessus de Benjamin Franklin, bien que prononcée dans un différend de 1755 entre le législateur de Pennsylvanie et le gouverneur de l'État au sujet des impôts, provoque néanmoins un truisme.
C'est-à-dire que puisque nos droits viennent de notre humanité, pas du gouvernement, les gens insensés ne peuvent que sacrifier leurs propres libertés, pas les libertés des autres.
Ainsi, la liberté ne peut être retirée que lorsque le gouvernement prouve sa faute lors d'un procès avec jury. Cette protection est appelée procédure régulière et est également garantie par la Constitution.
Quelle est la valeur d'une garantie constitutionnelle si elle peut être violée lorsque des personnes tombent malades ? Si c'est le cas, ce n'est pas une garantie; c'est une fraude. Autrement dit, une garantie constitutionnelle n'a de valeur et de fiabilité que la fidélité à la Constitution de ceux entre les mains desquels nous l'avons placée en lieu sûr.
Parce que les gens du gouvernement, à de très rares exceptions près, souffrent de ce que saint Augustin appelait la libido dominandi - la soif de dominer - lorsqu'ils sont confrontés au choc séculaire de la liberté personnelle contre la force gouvernementale, ils vont presque toujours tomber sur du côté de la force.
Comment s'en sortent-ils ? En nous effrayant la lumière du jour. Je n'ai jamais pensé voir cela de mon vivant, bien que nos ancêtres l'aient vu à chaque génération. En Amérique aujourd'hui, nous avons un gouvernement de peur. Machiavel a proposé que les hommes obéissent mieux quand ils vous craignent que lorsqu'ils vous aiment. Malheureusement, il avait raison, et le gouvernement américain le sait.
Mais Madison le savait aussi quand il a écrit la Constitution. Et il le savait quatre ans plus tard quand il a écrit la Déclaration des droits. Il a intentionnellement employé un langage pour avertir ceux qui désirent dominer que, quelle que soit la manière dont ils exercent des pouvoirs gouvernementaux, la Constitution est "la loi suprême du pays" et tout comportement gouvernemental en Amérique y est soumis.
RépondreSupprimerMême si la législature de l'État de New York a ordonné, comme l'a ordonné mon ami le gouverneur Andrew Cuomo - qui en tant que gouverneur, ne peut pas rédiger des lois qui encourent des sanctions pénales -, cela serait invalide comme l'interdit la Constitution.
Ce n'est pas un roman ou un argument obscur. C'est la loi américaine fondamentale. Pourtant, elle est violée sous nos yeux par les êtres humains que nous avons choisis de défendre. Et chacun d'eux - chaque gouverneur qui interfère avec la liberté de faire ses propres choix - a prêté serment exprès de se conformer à la Constitution.
Vous voulez amener la famille rendre visite à grand-mère ? Vous souhaitez vous engager dans une transaction commerciale mutuellement avantageuse et totalement volontaire ? Tu veux aller travailler ? Vous voulez célébrer la messe ? Tout cela est désormais interdit dans un tiers des États-Unis.
J'ai essayé et échoué à trouver la messe dimanche dernier. Quand l'Église catholique est-elle devenue un agent de l'État ? Que diriez-vous d'une messe en plein air ?
Quelle est la nature de la liberté ? Il s'agit d'une revendication naturelle inattaquable contre tous les autres, y compris le gouvernement. Autrement dit, vous avez le droit inconditionnel de penser comme vous le souhaitez, de dire ce que vous pensez, de publier ce que vous dites, de vous associer à quiconque souhaite être avec vous, peu importe leur nombre, d'adorer ou non, de vous défendre, de posséder et utiliser la propriété comme bon vous semble, voyager où vous le souhaitez, acheter auprès d'un vendeur consentant, être laissé seul. Et pour faire tout cela sans un feuillet d'autorisation du gouvernement.
Quelle est la nature du gouvernement ? C'est la négation de la liberté. Il s'agit d'un monopole de la force dans une zone géographique désignée. Lorsque les élus craignent que leur base glisse, ils ressentent le besoin de faire quelque chose - n'importe quoi - qui leur permettra de prétendre améliorer la sécurité. Piétiner la liberté fonctionne dans ce but odieux. D'où un décret ordonnant l'obéissance, promettant la sécurité et trois. Et pour faire tout cela sans un feuillet d'autorisation du gouvernement.
Quelle est la nature du gouvernement ? C'est la négation de la liberté. Il s'agit d'un monopole de la force dans une zone géographique désignée. Lorsque les élus craignent que leur base glisse, ils ressentent le besoin de faire quelque chose - n'importe quoi - qui leur permettra de prétendre améliorer la sécurité. Piétiner la liberté fonctionne dans ce but odieux. D'où un décret ordonnant l'obéissance, promettant la sécurité et menaçant le châtiment.
Ces décrets - émis par ceux qui n'ont pas le pouvoir légal de les émettre, appliqués par des flics qui détestent ce qu'ils sont obligés de faire, détruisent les libertés que nos ancêtres versent des océans de sang pour préserver et écraser la prospérité économique en violant les lois de l'offre et la demande - devraient toutes être rejetées par une population indignée et contestées devant les tribunaux.
Ces contestations sont mieux déposées devant les tribunaux fédéraux, où ceux qui ont foulé aux pieds nos libertés n'auront pas de quartier spécial. Je peux vous dire de ma vie antérieure en tant que juge que la plupart des gouverneurs d'État ne craignent rien de plus qu'un juge fédéral intellectuellement honnête, personnellement courageux et constitutionnellement fidèle.
RépondreSupprimerCombattez la peur avec peur.
http://www.judgenap.com/post/beware-a-government-of-fear
Cela va être plus court et plus rapide que les gens ne le pensent
RépondreSupprimerMarch 26th, 2020
L'option trois rassemble des ailes
Enfin, le monde jette le vieux plan inutile de pandémie de grippe qui prévoyait six mois de saignements lents. Les dirigeants s'éveillent à l'option haute vitesse, dure et rapide. Ce soir, 20% de la population mondiale écrase cette courbe avec un verrouillage total, car c'est la seule option. 1,3 milliard de personnes en Inde sont désormais en quarantaine à domicile, rejoignant la France, l'Italie, la Chine, la Pologne, l'Espagne, la Belgique, le Royaume-Uni, New York, la Californie, l'Afrique du Sud, la Colombie, la Bolivie, la Jordanie et la Tunisie et la Nouvelle-Zélande. Malheureusement, un demi-million de personnes (au moins) ont attrapé Covid-19 et il y aura encore quelques doublons avant que les nouveaux verrouillages ne commencent à apparaître sur les graphiques.
Peut-être arrêter de lui donner de la viande fraîche ?
Le Lucky Country Downunder, quant à lui, copie le plan italien qui a échoué avec un tas de règles arbitraires souhaitables qui changent chaque jour et ne sont pas assez éloignées. Nous savons que l'infection se propage, mais nous sommes toujours en mesure de partager nos germes dans les files d'attente Centerlink, à Kmart et tout en obtenant une coupe de cheveux. Nous ne pouvons pas avoir 6 personnes à un mariage, mais nous pouvons en avoir 600 dans une école. Les frontières sont fermées mais les gens les traversent toujours pour des emplois essentiels, et «chaque travail est essentiel», explique Scott Morrison.
De toute évidence, après le décès de plus de personnes, nous procéderons également au verrouillage strict. Je prédis que les nombres exponentiels augmenteront de façon exponentielle en Australie, et le PM et Brendan-deux semaines trop tard-Murphy diront "cela semble inquiétant mais c'est ce que nous attendions." Ensuite, ils trouveront une excuse pour expliquer que les gens ne se distancient pas suffisamment sur le chemin du travail et de l'école et du retour et comment, maintenant, «médicalement», le moment est venu pour un verrouillage.
Les Simpletons se demanderont pourquoi, s’ils savaient que les chiffres augmenteraient, ils ne l’ont pas fait plus tôt.
Mais même les gens intelligents ne pourront pas répondre à cela.
Il est à espérer que le pire sera passé dans quatre à six semaines. Pas six mois. Le plus tôt nous commençons le mieux. Ce n'est pas la fin du monde de s'occuper des enfants à la maison (les parents le font toutes les vacances scolaires).
La différence entre Covid-19 et la grippe est que cette maladie est si terrible que nous pouvons nous permettre (nous devons nous le permettre) de l'éradiquer - ou à tout le moins - de la traiter, de trouver un traitement, un remède, un vaccin. Tout le monde pense que nous ne pouvons pas arrêter la grippe, mais la vérité est que si cela fait si mal, nous le pourrions. Nous trouverions un moyen. Nous ne le faisons pas parce que le prix est tout simplement trop élevé.
http://joannenova.com.au/2020/03/this-is-going-to-be-shorter-and-faster-than-people-think/
Superficie de l'Australie: 7 692 000 km²
Supprimer24 600 000 habitants
soit: 0,31 km² ou 310 000 m² (31 ha) pour CHAQUE habitant.
(France: 68 000 000 hab. 632 834 km²
632 834 000 000 m² = 9306,38 m²/hab)
1 ha = 10 000 m² (100 m x 100 m)
Une plus grande distanciation sociale pourrait freiner COVID-19 en 13 semaines: étude
RépondreSupprimer25 MARS 2020
par Luisa Low, Université de Sydney
Une étude de données de l'Université de Sydney de la Faculté de génie a révélé que la distanciation sociale doit être adoptée par au moins 80% de la population australienne pour réduire la propagation du COVID-19.
Si des mesures de distanciation sociale étaient adoptées par au moins 80% de la population australienne, nous pourrions nous attendre à voir un contrôle de la propagation de la pandémie de COVID-19 en un peu plus de trois mois, selon une nouvelle étude de l'Université de Sydney.
Menée par le professeur Mikhail Prokopenko, expert en modélisation complexe et universitaire en systèmes complexes, l'étude a également révélé que la distanciation sociale serait une mesure improductive si elle était adoptée par moins de 70% de la population.
"Si nous voulons contrôler la propagation du COVID-19 - plutôt que de laisser la maladie nous contrôler - au moins quatre-vingt pour cent de la population australienne doit se conformer à des mesures strictes de distanciation sociale pendant au moins quatre mois", a déclaré le professeur Mikhail Prokopenko.
"Cependant, si quatre-vingt-dix pour cent de la population se conforme, alors la durée pourrait être aussi courte que treize à quatorze semaines - ce qui signifie que si nous commencions demain, nous pourrions nous attendre à un contrôle de COVID-19 d'ici juillet", a-t-il dit.
"Inversement, si moins de 70% de la population adopte des mesures de distanciation sociale, nous ne pouvons pas supprimer la propagation de la pandémie et toute distanciation sociale pourrait être un effort infructueux", a-t-il déclaré.
"Il existe un compromis clair: des mesures plus strictes imposées plus tôt réduiraient la durée de vie de cette maladie. Au contraire, des protocoles laxistes pourraient signifier une lutte plus longue, plus longue et inefficace contre le COVID-19", a-t-il déclaré.
Une étude suggère des mesures strictes dès le début
La recherche a également révélé que pour chaque jour les mesures de distanciation sociale plus strictes sont retardées, la société devrait endurer plusieurs jours supplémentaires dans le cadre d'une politique de répression plus longue.
"Il y a de bonnes raisons d'imposer des mesures strictes dès le début. Plus nous retardons le pic, plus notre système de santé dispose de temps pour s'y préparer en accédant à plus de ressources telles que les lits de soins intensifs, les ventilateurs, les antiviraux et les agents de santé qualifiés", a déclaré le professeur Prokopenko. .
Les chercheurs ont également découvert que même si les fermetures d'écoles pouvaient compenser dix pour cent d'un manque de respect de la distanciation sociale, elles ne retardaient le pic de la pandémie que de deux semaines.
Ils ont également constaté que les fermetures d'écoles ne réduisaient pas de manière significative les nouveaux cas pour les personnes âgées, mais augmentaient légèrement la fraction des nouveaux cas chez les enfants au plus fort de la pandémie en Australie.
Comment la modélisation a fonctionné
Le simulateur AceMod comprend plus de vingt-quatre millions d'agents logiciels, chacun ayant les attributs d'un individu anonyme, tels que l'âge, le sexe, la profession, la sensibilité et l'immunité aux maladies. Les taux de contact dans différents contextes sociaux, tels que les ménages, les groupes de ménages, les quartiers locaux, les écoles, les salles de classe et les lieux de travail sont également intégrés au programme.
RépondreSupprimerL'ensemble des agents générés capture les caractéristiques moyennes de la population réelle et est calibré en fonction des données du recensement australien de 2016 en fonction des statistiques démographiques clés.
Les interactions entraînent la transmission de la maladie des individus infectieux aux individus sensibles: étant donné les taux de contact et de transmission, la simulation calcule et met à jour les états des agents au fil du temps, à partir des infections initiales, semées dans les aéroports internationaux en Australie
Dans ce scénario, une distanciation sociale de 80% pourrait signifier soit: toute personne dans un ménage peut sortir une fois tous les cinq jours, ou un membre par famille de cinq peut sortir tous les jours, mais les quatre autres restent à la maison tout le temps.
https://medicalxpress.com/news/2020-03-greater-social-distancing-curb-covid-.html
Supprimer(...) Dans ce scénario, une distanciation sociale de 80% pourrait signifier soit: toute personne dans un ménage peut sortir une fois tous les cinq jours, ou un membre par famille de cinq peut sortir tous les jours, mais les quatre autres restent à la maison tout le temps. (...)
Hahahaha !
Superficie de l'Australie: 7 692 000 km²
24 600 000 habitants
soit: 0,31 km² ou 310 000 m² (31 ha) pour CHAQUE habitant.
(France: 68 000 000 hab. 632 834 km²
632 834 000 000 m² = 9306,38 m²/hab)
1 ha = 10 000 m² (100 m x 100 m)
Brève. USA, la grande peur de Donald Trump
RépondreSupprimer26 mars 2020
Pour rappel les overdoses d’opioïdes tuent 75 000 personnes par an aux Etats-Unis, soit plus de trois fois plus que tous les morts liés au virus couronné millésime 2019 répertoriés à ce jour dans le monde entier (21 000).
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/03/26/breve-usa-la-grande-peur-de-donald-trump/
Le coronavirus aurait pu circuler en Italie avant même son apparition en Chine, selon un médecin italien
RépondreSupprimer09:05 26.03.2020
Des cas «très graves» d’une «étrange pneumonie» ayant touché principalement des personnes âgées ont été repértoriés en Italie en novembre, indique Giuseppe Remuzzi, médecin italien, cité par NPR, suggérant que le Covid-19 aurait pu circuler dans le pays avant même son dépistage en Chine.
Revenant sur le début de l’épidémie de coronavirus en Italie, un médecin italien a évoqué une maladie inhabituelle qui a circulé en novembre 2019 dans le nord du pays, rapporte le réseau de diffusion américain NPR.
Le docteur Giuseppe Remuzzi, directeur de l’Institut de recherche pharmacologique de Milan, s’est référé aux témoignages de médecins généralistes qui «se souviennent avoir vu des cas de pneumonie très étranges, très graves, surtout chez des personnes âgées, en décembre et même en novembre».
Selon lui, cela peut signifier que le virus existait «au moins en Lombardie, avant que nous ne soyons au courant de l’apparition [du Covid-19] en Chine», a-t-il conclu.
L’origine du coronavirus en Italie
Les premiers cas d’infection au Covid-19 en Italie ont été rapportés le 31 janvier, lorsque deux touristes chinois ont été testés positifs au nouveau coronavirus à Rome. Ensuite, 16 cas ont été rapportés en Lombardie le 21 février.
D’après le professeur Massimo Galli, directeur de l’hôpital Sacco à Milan, cité par Il Corriere della Sera, l’infection a circulé pendant un certain temps, avant que les premiers cas de maladie ne soient enregistrés et avant la suspension du trafic aérien avec la Chine.
https://fr.sputniknews.com/international/202003261043394120-le-coronavirus-aurait-pu-circuler-en-italie-avant-meme-son-apparition-en-chine-selon-un-medecin/
L’ultimatum du Covid-19 contre la transition énergétique
RépondreSupprimerJacques Paquier,
Les écologistes politiques s’empressent en ce moment de profiter de la crise que nous vivons pour fustiger notre mode de vie, notre système économique mais aussi la technologie et leur corollaire qu’est le progrès du bien-être.
25 MARS 2020
Par Samuel Furfari.
Sur BFM, monsieur Nicolas Hulot a estimé que la crise provoquée par le coronavirus Covid-19 est un « ultimatum de la nature ». Nous sommes nombreux à penser qu’au contraire nous assistons à un ultimatum envers la transition énergétique et envers le « Green deal européen ou pacte vert pour l’Europe ».
LES ÉCOLOGISTES CONTRE LA MONDIALISATION
Dans la lignée de tous les catastrophistes qui dominent l’essentiel des médias, les écologistes politiques s’empressent en ce moment de profiter de la crise que nous vivons pour fustiger notre mode de vie, notre système économique mais aussi la technologie et leur corollaire qu’est le progrès du bien-être.
Ne soyons pas dupes. Ce qui a déclenché cette frénésie des activistes environnementaux est leur prise de conscience que leur rêve vert s’est fracassé sur le mur impitoyable de la réalité.
Heureusement, d’autres, en réaction ? et parfois avec des excès de langage ? ont enfin le courage de dénoncer l’absurdité et les dangers de leur utopie ou, plutôt, les médias commencent à leur donner du crédit. Cela hérisse les premiers qui sentent que leurs chimères ne font plus l’unanimité dans les médias.
Il ne restera plus qu’aux politiciens de tenter de sauver la face, en assénant que des scientifiques ont abusé d’eux, en prétextant un changement de priorité, pour affronter, d’abord, la crise sanitaire et ensuite la lente et longue reprise économique qui ne pourra avoir lieu que si nous vivons à crédit pendant quelques années, voire décennies. Qui eût pensé que la Commission européenne aurait suspendu les intouchables critères de Maastricht, appliqués si strictement aux Grecs durant leur crise ?
FACE À LA CRISE ÉCONOMIQUE, FINIS LES GASPILLAGES VERTS
Face à la crise économique généralisée qui nous attend, il va falloir dépenser de manière ciblée et cesser de gaspiller. Lorsqu’un client ne paye plus sa facture d’électricité, afin quand même de disposer du minimum vital, le distributeur d’électricité place sur son compteur électrique un limiteur de puissance pour l’empêcher de consommer ce qu’il ne peut payer.
Fini le gaspillage électrique pour le mauvais payeur. Il en sera de même avec les maigres ressources financières qui nous restent.
Ainsi, finis les gaspillages verts ! Fini d’arrêter une centrale nucléaire en bon état de marche, avec une production impeccable pour satisfaire une poignée d’idéologues.
Fini de subsidier des parc éoliens onéreux qui n’ont qu’un impact bien faible sur les émissions de CO2 par rapport à ce que permet déjà le nucléaire.
Fini de financer des biocarburants, au motif que le pétrole, symbole avec l’automobile de la réussite de l’économie de marché, est honni.
Fini de subsidier l’achat de véhicules électriques que l’on ne pourrait de toute façon pas développer massivement sans éventrer toutes les rues de nos villes pour augmenter la puissance du réseau électrique, quoiqu’en disent les études payées par ceux qui veulent vendre davantage d’électricité.
RépondreSupprimerFini de continuer à parler du biogaz, une filière inventée dès les crises pétrolières des années soixante-dix et qui n’est toujours pas viable.
Finie l’utopique « société de l’hydrogène » que la Commission européenne propose depuis 1972, soit avant la première crise pétrolière, filière mort-née puisque la chimie et la physique ne dépendent pas du législateur. L’hydrogène est une molécule produite par l’Homme et n’est donc pas une énergie mais un vecteur énergétique au même titre qu’un câble électrique.
Fini « l’Airbus des batteries », domaine où l’électrochimie ne permettra pas avant longtemps de développer des stockages autres que pour des consommations très limitées.
SELON NICOLAS HULOT, IL EST TEMPS DE VIVRE EN AUTARCIE
Monsieur Hulot prône un modèle favorisant la proximité. Le Covid-19 nous impose de tester son modèle, non pas intellectuellement, mais dans notre vie quotidienne, en grandeur nature.
Le modèle du consommer local, aussi appelé « kilomètre zéro », souhaité par les activistes qui voudraient nous faire vivre dans notre petit territoire, qu’ils nomment dans leur littérature une « biorégion ».
Un tel mode de vie nous permettrait de fraterniser en faisant du troc, mais uniquement avec nos voisins suffisamment proches car nous devrons limiter au maximum les échanges à ce qui ne peut être produit localement.
Finis les bananes et les ananas pour les Français car autour de la France, aucune biorégion proche n’en produit ; nous devrons nous contenter de pommes et de poires, en saison, et pour autant qu’il y en ait pour tout le monde (frugalité et rationnement).
Fini le vin pour les Finlandais car aucune biorégion autour de ce pays n’en produit.
Fini le chocolat en Belgique car personne ne produit du cacao.
Fini le café si cher aux Viennois.
Arrêtons là cette énumération ridicule et dangereuse du repli sur soi. Nos ancêtres ont vécu l’autarcie forcée, nos aïeux l’ont abandonnée, nos enfants n’y retournerons pas. En effet, elle rompt les contacts sociaux ; or, d’évidence, ce dont nous souffrons le plus durant ce confinement est bien le manque d’échanges sociaux, les médias sociaux montrant leur profonde inadéquation avec notre ADN, qui nous pousse à vivre en société.
LE REFUS DE L’ÉCONOMIE DE MARCHÉ
Il ne vous aura pas échappé que, derrière les propos des activistes, se cache en fait le refus de l’économie de marché, et de son corollaire : la globalisation.
L’Europe a été à la base de ce changement profond de société, de cette extraordinaire amélioration de la qualité de vie. Jamais personne, ni autant de personnes, n’ont vécu aussi bien que nous dans l’Histoire de l’humanité, en ce inclus dans d’autres régions du monde.
Il existe une relation irréfutable entre la consommation d’énergie et l’espérance de vie, entre les émissions de CO2 et la qualité de vie telle que mesurée par les Nations unies (HDI). Le Roi Soleil dans toute sa splendeur à Versailles vivait bien mal par rapport à nous : il avait besoin d’un grand nombre de serviteurs pour mal chauffer son château à partir d’énergie renouvelable, le bois. Nous avons la chance d’avoir l’énergie moderne, modulable à souhait, pour notre confort.
RépondreSupprimerAujourd’hui les activistes veulent nous faire croire que nous nous sommes trompés, que nous devons renier ce modèle. Avec une inconscience désarmante ils nous proposent de « repenser [la] manière de se déplacer et ne plus prendre l’avion, redécouvrir les transports doux et rouler moins de 2000 km par an en voiture [et de manger] de la viande maximum deux fois par mois». Tous ceux qui ont dû changer brusquement de mode de vie apprécieront.
LA SOLUTION DANS LE DÉVELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE ET SCIENTIFIQUE
Allez le dire aux Sud-Coréens qui sont parvenus à juguler la crise du coronavirus Covid-19 de manière exemplaire. Les dirigeants et la population de cette vibrante et jeune démocratie continuent à miser sur le développement technologique et scientifique. Il suffit d’observer combien de produits coréens de qualité envahissent aujourd’hui l’Europe pour comprendre combien ils nous devancent dans le développement technologique, y compris ? et là c’est une surprise ? dans le domaine médical.
Allez le dire aux Africains qui ne produisent pas beaucoup de CO2 mais qui ont une espérance de vie bien inférieure à la nôtre, ce qui les pousse à tenter d’aller vivre là où l’on émet du CO2. Eux n’ont pas besoin d’un limiteur sur leur compteur électrique : la grande majorité n’en dispose pas puisque seulement 35 % de la population a accès à l’électricité.
De plus, ces privilégiés n’ont accès à la fée électricité que de manière aléatoire et pour des consommations très faibles. Ils meurent aussi de l’air pollué, non d’abord à cause des usines, mais à cause de la pollution dégagée par leur foyer de cuisine nourri à la bouse et aux plastiques.
Comme je le dit dans mon livre, il est urgent d’électrifier l’Afrique et, de grâce, ne leur faites pas l’injure de leur parler d’énergies renouvelables que nous-mêmes n’avions pas les moyens financiers de nous payer avant la crise du coronavirus. Que feront, sans électricité pour les ventilateurs pulmonaires, les Africains si le Covid-19 n’est pas neutralisé par la chaleur naturelle ? Il y aura une hécatombe parce qu’ils n’ont pas d’électricité.
TIRONS LES LEÇONS DE CETTE CRISE
La crise du coronavirus Covid-19 met en évidence que nous devons cesser de nous préoccuper de la température qu’il fera, selon un modèle mathématique, en l’an 2100. Cela n’intéresse plus que ceux dont le travail dépend du virus de la peur, qu’ils ont instillé dans la population.
Le fait est que nous n’avons pas été capables de produire et stocker le matériel sanitaire indispensable pour sauver des vies, mais nous prétendons déterminer quel sera le niveau des mers à l’avenir et imposer les conséquences de ce choix à l’ensemble de la population mondiale. Quel orgueil ! C’était ridicule, c’est aujourd’hui inadmissible.
Rêver à déterminer l’avenir, l’imposer aux Européens par la Loi et exporter ce modèle au reste du monde était déjà une utopie, aujourd’hui ce serait une faute. Les dirigeants du monde, à commencer par ceux de l’UE, feraient bien de mettre de côté l’utopie verte et de s’occuper enfin des vrais problèmes des gens car « la crise sanitaire que nous vivons pourrait être fatale à l’UE ».
Par exemple, en cas de crise, l’Union européenne pourrait développer une politique de solidarité digne de ce nom. Nous venons d’observer avec dépit que la Chine a davantage aidé concrètement l’Italie (même si c’était aussi pour des raisons de communication politique) que ne l’a fait l’UE. Le président du Conseil européen a écrit une lettre, au demeurant très aimable, mais étonnamment longue comme pour se justifier, au président de la République italienne, mais sans mesure concrète.
RépondreSupprimerUne partie de la population italienne, par un renversement historique très surprenant, était déjà devenue eurosceptique. Pensez-vous que les Italiens vont oublier ? On observe en ce moment d’une part que les partis italiens de centre-droit sont assez mesurés dans leur critique envers l’UE, tandis que le parti de centre gauche ne tarit pas d’éloges envers elle. Comme si, à l’instar des activistes écologistes, ils voulaient conjurer le sort de l’inévitable conséquence qu’ils perçoivent dans l’opinion publique italienne.
Monsieur Hulot parle d’absurdité. S’il y a une absurdité, c’est bien celle qui lui est si chère, celle de la transition énergétique, du repli sur soi, du confinement et de la pénurie permanente. Comme monsieur Hulot, tous les politiques disent qu’après cette pandémie, rien ne sera plus comme avant. En effet ! Nous sommes donc nombreux à penser que le vrai ultimatum que le Covid-19 lance au monde politique est la nécessité immédiate de mettre fin à cette idéologie verte rétrograde et à son pacte vert pour l’Europe, qui aboutiraient inévitablement à la pénurie et au repli sur soi permanent en Europe et à relancer l’UE du progrès, de la technologie, de la science et de l’énergie abondante et bon marché.
https://www.contrepoints.org/2020/03/25/367440-lultimatum-du-covid-19-contre-la-transition-energetique
Fin de réception SF1 et SF2 (AUTOGUIDAGE GPS) pour les antennes StarFire iTC en janvier 2021
RépondreSupprimerjeu. 26 mars 2020 à 07:03
Sébastien Duquef
Terre-net Média
Après près de 20 ans de bons et loyaux services, John Deere annonce la fin de la réception des signaux SF1 et SF2 pour ses premières antennes StarFire iTC. Échéance : janvier 2021. D'ici là, les agriculteurs peuvent les échanger contre un modèle dernier cri, le StarFire 6000 de 4e génération. Le tout à prix abordable selon le constructeur.
John Deere annonce que les agriculteurs bénéficiant de récepteurs StarFire iTC de 2004 peuvent bénéficier d'une mise à jour vers la dernière technologie de guidage, le tout à tarif abordable. La marque propose même un prix réduit du 1er mars au 30 avril 2020.
À l'époque, le dispositif avait permis au constructeur de s'imposer sur le marché du guidage automatique. Le StarFire iTC sorti en 2004, le dôme jaune trônant sur le toit de la cabine, était compatible avec nombre d'applications GNSS. À compter de janvier 2021, ces antennes ne pourront plus recevoir les signaux de correction SF1 et SF2.
Seuls les signaux RTK seront maintenus
Après cette date, seuls les signaux RTK seront reconnus par l’autoguidage AutoTrac. Cependant, certaines applications comme le contrôle de section, la documentation et Parallel Tracking seront toujours utilisables via les consoles GreenStar 2630 ou 1800.
Le constructeur propose donc aux agriculteurs de bénéficier de la dernière technologie de réception. Pour cela, il suffit de se rendre chez son concessionnaire pour échanger la version iTC contre le StarFire 6000 de quatrième génération. L’offre inclut le récepteur, et le signal de correction SF3, précis à environ 3 cm. Sans oublier le terminal GreenStar 4240 ou 4640. Le tout à prix abordable promet la marque.
Les récepteurs AutoTrac ont évolué depuis leur mise en service il y a près de vingt ans. Désormais, la technologie intègre davantage de fonctions, par exemple le contrôle de section pour les pulvérisateurs et les épandeurs d’engrais. Le matériel plus récent permettra entre autre d'acquérir les signaux plus rapidement. Sans compter la compatibilité Isobus des terminaux, la mise à jour sans fil des logiciels et le verrouillage par un code Pin du système en cas de vol.
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RépondreSupprimer« Il faut arrêter de venir se promener en famille dans les magasins »
jeu. 26 mars 2020 à 08:35 •
Faire ses courses seul, acheter le strict nécessaire et si possible des produits agricoles français: face aux comportements «irresponsables» de certains Français, la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD), a appelé mercredi au civisme.
« Il faut faire ses courses tout seul si on le peut, avec un enfant si jamais naturellement on n'a pas la possibilité de le (faire) garder », a déclaré Jacques Creyssel, directeur général de la FCD, au micro de RTL. Les courses ne doivent « pas être l'occasion d'une balade », a-t-il complété, « il ne s'agit pas d'y rester deux heures ». Réagissant au témoignage d'une caissière d'un magasin Carrefour de Nantes selon laquelle des clients se donnent rendez-vous dans les supermarchés, Jacques Creyssel a lancé un appel au « civisme et à la responsabilité de tous les Français lorsqu'ils vont faire leurs courses».
Le comportement décrit par cette salariée est « écoeurant » et « irresponsable », a estimé Jacques Creyssel, insistant sur le fait qu'il « faut arrêter de venir se promener en famille dans les magasins ». Les Français doivent respecter les règles, « la règle d'un mètre notamment, il en va de la santé de tous », a encore relevé Jacques Creyssel. «cCela ne sert à rien de faire du bruit le soir à vingt heures si en même temps on ne respecte pas les règles pendant la journée », selon lui, alors que des Français se rassemblent tous les soirs à leurs fenêtres pour applaudir les soignants.
Enfin, « il faut acheter ce qu'il faut, pas besoin de priver les autres en achetant beaucoup trop de choses », a estimé le directeur général de la FCD. « Et puis quitte à être civiques, autant que les Français en profitent pour acheter des produits agricoles français, pas seulement des pâtes, qu'ils achètent des asperges, des fraises, de l'agneau », a demandé Jacques Creyssel. Car il y a « une mobilisation absolument fantastique de toute la chaîne agroalimentaire pour faire en sorte que dans cette période extrêmement difficile, tout le monde puisse avoir accès à des produits de qualité en nombre suffisant », a-t-il noté, rappelant qu'il n'y avait « pas de problème de pénurie » dans les magasins.
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Vrai que la farine (T55) a manqué dès le début cause aux razias de personnes malfaisantes qui voulaient en priver les autres et l'irresponsabilité des magasins qui n'achalandaient leurs rayons que le matin avant ouverture !
SupprimerPuis, jours après jour, la farine est redevenue disponible pour faire du pain chez soi sans sortir (nécessité d'avoir un four avec briques réfractaires int. et ext. pour faire pains & pizzas).
RépondreSupprimerEnviron 40 000 candidats inscrits sur la plateforme nationale
mer. 25 mars 2020 à 19:10
Quelque 40 000 candidats s'étaient manifestés mercredi matin, 24 heures après l'appel national afin de compenser le manque de travailleurs saisonniers en agriculture dû aux mesures prises pour lutter contre la propagation du coronavirus, a indiqué la FNSEA à l'AFP.
Le ministre de l'agriculture Didier Guillaume avait lancé mardi matin un « appel à l'armée de l'ombre des hommes et des femmes » qui « n'ont plus d'activité » en raison de la crise liée au Covid-19, les invitant à « rejoindre la grande armée de l'agriculture française », en quête de main-d'oeuvre pour les récoltes de fruits et légumes ou les semis de printemps. L'appel a ensuite été largement relayé par la FNSEA.
« Plus de 40 000 personnes se sont inscrites » sur le site, « en proposant leur disponibilités, avec derrière au moins 24 000 fiches très bien renseignées » (profil, disponibilité, zone géographique), a déclaré Jérôme Volle, viticulteur en Ardèche et président de la commission emploi à la FNSEA.
Les 16 000 autres candidats potentiels ont été victimes, selon lui, du succès de l'opération : « il y a eu un bug informatique, à un moment donné. Dans l'après-midi, il y a eu un rush qui a été compliqué à gérer », a-t-il expliqué. Il a précisé que ces personnes vont être recontactées pour compléter leur fiche.
« L'idée, avec le Covid-19, c'est de trouver des gens à proximité, d'éviter les déplacements. On essaie de privilégier des employeurs du même territoire que les personnes qui se sont inscrites », a insisté Jérôme Volle, indiquant qu'il y a des candidats « sur tout le territoire ».
Les besoins ont été chiffrés par le principal syndicat patronal et salarié du secteur agricole, la FNSEA, à 200 000 personnes lors des trois mois à venir. « On a besoin de 50 000 personnes en mars, 80 000 en avril et 80 000 en mai », avait détaillé la présidente de la FNSEA Christiane Lambert mardi soir.
Parmi les candidats, « évidemment, on a des gens du monde rural, on a des gens aussi qui sont venus dans leur résidence secondaire ou chez des amis, et aussi des gens dans le péri-urbain », a indiqué Jérôme Volle. « On comprend que certains ont envie d'aller à la campagne ou d'aller travailler dans l'agriculture, parce qu'étant confiné, ça permet de se dégourdir. Nous, on rappelle qu'on est dans une activité professionnelle, économique et que les gens qui s'inscrivent doivent prendre cela en considération », a averti Jérôme Volle. Principaux foyers de demande : les travaux de récoltes de fruits et légumes, notamment dans le sud-est et le sud-ouest, mais aussi « le nord de la France, avec les endives », même si certains exploitants craignent avant tout de ne pas pouvoir écouler leurs marchandises, après la fermeture des marchés.
Des bras pour récolter, mais aussi conduire des engins, « éclaircir » les arbres fruitiers ou finir la taille de la vigne sont notamment recherchés, mais en utilisant « toutes les barrières sanitaires » : « la campagne, ce n'est pas que le grand air, c'est aussi des zones où on peut contracter le Covid-19 », a souligné Jérôme Volle.
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Avec "Autorisation d'1 h à 1 km" ?
SupprimerEn France et dans le reste du monde, un climat sec s’installe. Notez que l'eau sale des ruisseaux, fleuves & rivières (qui va se PERDRE en mer ou océan) doit être payée par les paysans si elle sert à arroser les cultures qui osent donner à bouffer aux millions de personnes en France !!
RépondreSupprimerLe Sénat adopte "le plus grand programme de sauvetage de l'histoire américaine"
par Tyler Durden
Jeu, 26/03/2020 - 06: 12t
Le projet de loi sur l'aide d'urgence de 2 000 milliards de dollars a été adopté à l'unanimité mercredi soir par le Sénat.
Le vote à l'unanimité, 96-0, est pour un plan de sauvetage économique (le plus grand projet de loi de secours économique de l'histoire des États-Unis) qui protégerait les entreprises, les travailleurs et les systèmes de santé de l'impact de l'épidémie de COVID-19.
Le paquet aura un impact sur les ménages et les travailleurs, les entreprises et les banques, les finances personnelles et les taxes, comme suit:
• 250 milliards de dollars pour rendre l'assurance-chômage accessible à davantage de catégories de travailleurs et pour étendre la durée des prestations à 39 semaines, contre 26 semaines dans la plupart des États. Il fournirait également 600 $ de plus par semaine pendant quatre mois.
• 301 milliards de dollars en paiements directs aux ménages.
• 349 milliards de dollars de prêts aux petites entreprises, le montant dépensé pour la paie, le loyer ou les services publics se transformant en subventions qui n'ont pas à être remboursées.
• 500 milliards de dollars pour des prêts, des garanties de prêts ou d'autres aides aux entreprises, aux États et aux municipalités, y compris la possibilité que le gouvernement prenne des participations directes dans des entreprises en difficulté. Sur le total, 29 milliards de dollars sont réservés aux compagnies aériennes de fret et de passagers, et 17 milliards de dollars aux entreprises jugées essentielles à la sécurité nationale, comme Boeing. Les 454 milliards de dollars restants serviraient à compenser les pertes dans les facilités de crédit établies ou élargies par la Réserve fédérale.
• 32 milliards de dollars en subventions pour couvrir les salaires des transporteurs aériens de passagers, des transporteurs aériens de fret et des entrepreneurs.
• 150 milliards de dollars d'aide directe aux États, répartis selon la taille de la population. Une municipalité pourrait demander à recevoir une aide directement, réduisant ainsi le montant disponible pour le reste de l'État.
• 221 milliards de dollars en divers avantages fiscaux pour les entreprises, notamment en permettant aux entreprises de reporter les charges sociales, qui financent l'assurance-maladie et la sécurité sociale, pour le reste de l'année. Cela permettrait également temporairement aux entreprises de demander des déductions en utilisant les pertes d'aujourd'hui sur les bénéfices antérieurs pour demander des remboursements rapides pour les injections de trésorerie.
• 340 milliards de dollars de dépenses supplémentaires, dont 117 milliards de dollars pour les hôpitaux et les soins aux anciens combattants. Il comprend également 25 milliards de dollars, principalement pour le transport en commun, afin de compenser la perte de revenus attribuable à la diminution de l'achalandage.
Après que le Sénat a adopté le projet de loi à l'unanimité, le chef de la majorité au Sénat Mitch McConnell (R-KY) a été entendu disant:
"Je suis fier d'annoncer ce soir qu'aucun sénateur n'a voté contre ce projet de loi de sauvetage de deux billions de dollars pour sauver des Américains, des petites entreprises et des grandes entreprises, et pour fournir un financement considérable aux travailleurs de la santé et aux scientifiques et aux médecins et autres qui sont essayer de résoudre cette pandémie. "
RépondreSupprimerLe chef démocrate du Sénat, Charles Schumer (D-NY), a déclaré: "J'ai toujours cru que nous le ferions parce que l'Amérique et le peuple américain l'exigent."
"Et donc quand nous avons adopté ce projet de loi, sur le parquet du Sénat, nous ne nous sommes pas embrassés, nous avons simplement agité de loin."
Après l'adoption du projet de loi, le président Trump a tweeté: "96-0 au Sénat américain. Félicitations AMÉRIQUE!"
Vendredi, le projet de loi est maintenant soumis à un vote à la Chambre des représentants. Trump a déclaré aux journalistes mercredi que dès que le projet de loi arriverait sur son bureau, il le signerait rapidement.
https://www.zerohedge.com/markets/senate-passes-largest-rescue-package-american-history
Le taux de mortalité COVID-19 aux États-Unis est bien inférieur aux taux en Italie et en Espagne
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/03/2020 - 05:00
Auteur Ryan McMaken via The Mises Institute,
Imaginez qu'une personne ordinaire voit un titre comme celui-ci sur son café du matin:
"Votre ville sera bientôt la capitale mondiale des homicides."
Mais, après une inspection plus approfondie, il s'avère que le taux d'homicide est en fait très bas. Ce qui est élevé, c'est le taux de tentatives d'homicide.
Dans la ville en question, il y a eu une vague d'agressions et de tentatives d'homicide. Mais pour quelque raison que ce soit, le nombre de personnes qui meurent de ces agressions reste extrêmement faible. C'est peut-être parce que les soins médicaux sont meilleurs. C'est peut-être parce que les assassins potentiels sont mal armés et peu motivés. Mais pour une raison quelconque, le taux de mortalité réel est bien inférieur à ce que laisse entendre le titre.
Maintenant, cette ville hypothétique a toujours clairement un problème d'agression, et il serait sage d'examiner pourquoi. Les tentatives de meurtre ne sont pas une chose à ignorer. Cependant, nous pourrions tous convenir que le titre sur les homicides est assez trompeur.
Nous rencontrons fréquemment un problème similaire à celui-ci avec les rapports COVID-19. Les reportages se concentrent souvent sur les cas de COVID-19 plutôt que sur les taux de mortalité dans leurs reportages. Considérez ce titre Reuters aujourd'hui:
"Les États-Unis pourraient devenir l'épicentre du coronavirus: OMS"
Les lecteurs occasionnels qui parcourent les gros titres enlèveront probablement à cela l'idée que les États-Unis suivent la même trajectoire que des pays comme l'Espagne et l'Italie en ce qui concerne l'épidémie de COVID-19. Nous avons entendu que les taux de mortalité en Italie sont alarmants dans une grande partie de l'Europe occidentale, et certains ont affirmé que les États-Unis connaîtront bientôt le même sort que l'Italie. S'il est vrai que les États-Unis abandonneront bientôt l'Italie en termes de nombre total de cas, les États-Unis sont bien en deçà de l'Italie en termes de taux de mortalité COVID-19, même si nous tenons compte des différences dans la chronologie.
Pour voir ces différences considérables, mesurons les décès dus au COVID-19 de la même manière que nous mesurons les homicides: en termes de décès pour 100 000 habitants:
- voir gaphique sur site -
Au 23 mars, en Italie, le nombre de décès attribués au COVID-19 totalisait 9,4 pour 100 000 personnes en Italie.
Aux États-Unis, le total est de 0,2 décès pour 100 000. Parmi les dix premiers pays en termes de nombre total de cas, les États-Unis ont le deuxième taux le plus bas pour 100 000, derrière l'Allemagne, qui a jusqu'à présent un nombre remarquablement faible de décès.
À ce stade, certains observateurs diront "mais l'Italie a connu une épidémie plus longue que les États-Unis, nous devons donc mesurer le nombre de jours écoulés depuis le début de la pandémie dans ce pays".
RépondreSupprimerEh bien, si nous mesurons depuis le premier jour où les États-Unis ont signalé au moins 100 cas, nous constatons que 19 jours se sont écoulés au 23 mars. Si nous prenons les mêmes dix premiers pays et examinons le taux de mortalité de chacun après 19 jours suivant le 100e cas de COVID-19, alors nous constatons que les États-Unis ont toujours l'avant-dernier taux.
- voir graphique sur site -
L'Italie, par exemple, a atteint le jour 19 le 13 mars. À cette époque, le pays avait un taux de mortalité de 2,0 pour 100 000. En d'autres termes, le taux de mortalité en Italie au 19e jour était près de dix fois supérieur au taux de mortalité américain au 19e jour. Fait intéressant, l'Espagne s'en est tirée moins bien au 19e jour que l'Italie, et pourrait finir avec plus de décès pour 100 000 habitants que l'Italie au moment où elle atteint le même point que l'Italie. L'Italie est actuellement à 30 jours du premier jour où elle a signalé 100 cas ou plus.
(En date du 24 mars, les Pays-Bas ne sont qu'au 18e jour. Tous les autres pays indiqués ici sont au moins 19 jours après le 100e cas.)
De toute évidence, si ces écarts entre le taux de mortalité aux États-Unis et dans de nombreux pays européens persistent, il serait assez trompeur de prétendre que «l'épicentre» de COVID-19 est passé de l'Europe aux États-Unis. Pour une raison quelconque, la mortalité de la maladie aux États-Unis semble être bien inférieure à ce qu'elle est en Italie, en Espagne, et même en France et en Suisse. Cela pourrait être dû à la démographie, à la qualité des soins de santé, au climat, à la pollution, à la densité de la population ou à d'autres facteurs. Mais le fait demeure que le taux de mortalité aux États-Unis est plus faible.
La mort est une mesure d'impact plus fiable que le nombre total de cas
De plus, les problèmes de collecte de données suggèrent que la mesure par le taux de mortalité plutôt que par le nombre total de cas est plus utile. Les tests sont plus susceptibles d'être effectués sur des personnes qui demandent des soins médicaux que sur des personnes qui ne présentent que des symptômes mineurs, voire aucun. Ce biais en faveur de la mesure de la plupart des personnes présentant les pires symptômes a été identifié il y a quelque temps et gonfle le "taux de létalité". À mesure que de nouveaux cas sont connus, tant que le nombre total de décès n'augmente pas au moins aussi rapidement, le taux de mortalité diminue.
Comme pour la collecte de données en criminologie, cependant, les cas les plus graves sont ceux qui sont les mieux comptés. Il est vrai depuis des décennies, par exemple, que les registres des homicides sont bien meilleurs et plus fiables que les registres des viols et agressions et des délits moins graves. Après tout, un cadavre offre une mesure tangible et objective de la perpétration ou non d'un homicide. Et le gouvernement s'intéresse depuis plus longtemps au dénombrement des homicides qu'aux autres délits. De plus, les témoins et les proches sont plus susceptibles de signaler des homicides que des délits moins graves.
Tant dans la criminalité qu'avec COVID-19, des taux plus élevés peuvent être le résultat de meilleures observations plutôt que d'une croissance réelle des cas. Par exemple, bien que de nombreuses études aient suggéré que le nombre de viols pour 100 000 est plus élevé qu'il y a des décennies, de nombreux criminologues sont sceptiques, c'est en fait le cas. Il est probable que les viols soient signalés beaucoup plus souvent aujourd'hui qu'auparavant.
De même, comme de meilleurs tests sont effectués pour COVID-19, il est logique que le nombre total de cas connus augmente. Mais cela peut ne pas être une représentation précise du degré de propagation de la maladie.
RépondreSupprimerDonc, nous savons que deux choses sont vraisemblablement vraies.
La première est que le taux de mortalité de COVID-19 est plus faible aux États-Unis qu'au même moment dans la chronologie pour de nombreux autres pays, nous dit-on, sont comparables aux États-Unis.
Deuxièmement, nous savons que les taux de mortalité sont souvent plus informatifs. En effet, les tests sont plus cohérents pour les cas qui se terminent par un décès, tandis que les taux de cas globaux dépendent de la réalisation de tests sur ceux qui présentent peu ou pas de symptômes. Dans la plupart des cas, les personnes présentant des symptômes relativement bénins - qui constituent l'écrasante majorité des cas - n'ont jamais été identifiées.
(Une note sur la Chine: je n'ai pas inclus les données chinoises dans ces comparaisons pour deux raisons. L'une est que les données communiquées par le régime chinois peuvent être encore moins fiables que celles communiquées par les régimes occidentaux. Deuxièmement, la Chine n'est certainement pas un modèle pour les autres régimes à suivre, compte tenu des arrestations généralisées de la Chine et de l'utilisation d'autres mesures draconiennes telles que le scellement des personnes dans leurs propres maisons. Pour mémoire, au 23 mars, le taux de mortalité par COVID-19 en Chine était d'environ 0,2 pour 100 000, et similaire aux États-Unis et à la Corée du Sud qui a utilisé des méthodes de confinement très différentes.)
(Sources: chronologie du nombre total de cas utilisé à partir de la page "Pandémie de coronavirus 2019-2020" sur Wikipedia, combinée avec les données de Worldometer.)
Addenda:
Bien que la chronologie "jours depuis le 100e cas" ait été utilisée par un certain nombre de publications, certains lecteurs ont estimé que le point de départ de la chronologie devrait être plus proportionnel à la taille de chaque pays. Ainsi, dans ce graphique, j'utilise "nombre de jours depuis 1 cas signalé par million d'habitants". Aux États-Unis, au 24 mars, cela faisait 17 jours que les États-Unis avaient atteint au moins un cas par million (ou 330 cas).
- voir graphique sur site -
Par cette méthode, un certain nombre de pays s'améliorent par rapport aux États-Unis, bien que le taux américain reste une simple fraction des taux de mortalité en Espagne et en Italie. Mais encore une fois, nous sommes confrontés au problème de la collecte de données fiables sur les cas. S'il est vrai que les États-Unis sont en retard sur les autres pays en matière de tests, comme cela est communément affirmé, alors il est probable que les États-Unis ont atteint leur seuil de "1 cas par million" beaucoup plus tôt qu'il y a 17 jours, et les États-Unis sont beaucoup plus bas chronologie que les données suggèrent maintenant. Si c'est le cas, les États-Unis auraient un taux de mortalité inférieur à celui indiqué ici, à la fois au total et par rapport à d'autres pays.
(Les totaux de cas et les décès totaux sont tirés du Worldometer.)
https://www.zerohedge.com/geopolitical/usas-covid-19-death-rate-far-below-rates-italy-spain
Un responsable local français interdit la vente de tout l'alcool pendant le verrouillage de COVID-19
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 26/03/2020 - 02:45
Les autorités françaises de l'Aisne, une région du nord-est de la France, ont été forcées de faire l'impensable: interdire la vente d'alcool pendant la fermeture du COVID-19.
Ziad Khoury, le préfet de l'Aisne, a annoncé mardi "l'interdiction des ventes d'alcool à emporter", a fait savoir ParisDepeches.
Khoury a déclaré que les bars, restaurants et cafés avaient déjà été fermés dans la région en raison du verrouillage national. Courrier Picard a noté que l'Aisne a fait 22 morts liées au virus.
Khoury a déclaré que pendant les quarantaines de masse, la consommation d'alcool devrait augmenter, ce qui pourrait entraîner une augmentation des cas de violence domestique.
"Une consommation excessive d'alcool est susceptible de créer des troubles et des violences accrus, en particulier au sein de la famille", a-t-il déclaré.
L'interdiction a attiré l'attention internationale et RT News a déclaré que les utilisateurs de Twitter pensaient massivement que l'interdiction causerait plus de mal que de bien:
"Incompétence ou volonté dictatoriale ? La mesure n'aura que des effets négatifs: marché noir, effets de retrait, goulots d'étranglement dans les hôpitaux, etc. Un couvre-feu empêcherait les rassemblements. Vous privez les gens de leurs libertés et mettez la population en danger", écrit l'un d'eux.
Rendre le verrouillage intolérable pour les toxicomanes, qui seront effectivement contraints à un retrait soudain qui peut entraîner de graves complications de santé, est au mieux incompréhensible et dangereux, certains ont noté.
"On ne peut pas priver soudainement un alcoolique, c'est dangereux !" a écrit un commentateur.
"C'est dommage que vous mettiez des personnes en danger et que cela ajoutera plus de problèmes aux soignants ! Inversez cette décision dès que possible!" un autre a sonné.
Certains sont même allés jusqu'à suggérer que le préfet, d'origine libanaise, réfléchissait à l'imposition de la "charia" dans le département, l'interdiction de l'alcool n'étant que la première des nombreuses étapes.
"La charia en mouvement !" a écrit un internaute plein d'esprit, se moquant du nom d'En Marche d'Emmanuel Macron! ("Forward!") Parti au pouvoir.
Après un tollé de la population locale et sur Internet, Khoury a décidé quelques heures plus tard de suspendre temporairement l'interdiction "afin de consulter plus largement, en particulier avec les spécialistes de la toxicomanie sur les effets secondaires possibles d'une interdiction", a rapporté The Local.
Les autorités locales de plusieurs autres régions ont appliqué leurs propres règles en plus du verrouillage de la nation - des plages, des espaces publics et des couvre-feux à l'échelle de la ville ont été imposés aux citoyens jusqu'au 31 mars. Le gouvernement français a déjà suggéré que si la courbe pandémique ne commençait pas à s'aplatir d'ici le 31 mars, il y a de fortes chances que des extensions soient visibles.
https://www.zerohedge.com/markets/french-local-official-bans-sales-all-alcohol-during-covid-19-lockdown
Supprimer(...) "Incompétence ou volonté dictatoriale ? La mesure n'aura que des effets négatifs: marché noir, effets de retrait, goulots d'étranglement dans les hôpitaux, etc. Un couvre-feu empêcherait les rassemblements. Vous privez les gens de leurs libertés et mettez la population en danger", écrit l'un d'eux. (...)
(...) "La charia en mouvement !" a écrit un internaute plein d'esprit, se moquant du nom d'En Marche d'Emmanuel Macron! ("Forward!") Parti au pouvoir. (...)
Le développement des énergies renouvelables menace les zones de biodiversité
RépondreSupprimer25 MARS 2020
par l'Université du Queensland
Plus de 2000 installations d'énergie renouvelable sont construites dans des zones d'importance environnementale et menacent les habitats naturels des espèces végétales et animales du monde entier.
Une équipe de recherche de l'Université du Queensland a cartographié l'emplacement des installations solaires, éoliennes et hydroélectriques dans les régions sauvages, les zones protégées et les zones clés pour la biodiversité.
L'auteur principal de l'École des sciences de la Terre et de l'environnement de l'UQ, M. José Rehbein, a déclaré qu'il était alarmé par les résultats.
"Outre les plus de 2 200 installations d'énergie renouvelable qui fonctionnent déjà à l'intérieur d'importantes zones de biodiversité, 900 autres sont en cours de construction", a déclaré M. Rehbein.
"Les installations énergétiques et les infrastructures qui les entourent, telles que les routes et l'augmentation de l'activité humaine, peuvent être extrêmement dommageables pour l'environnement naturel.
"Ces développements ne sont pas compatibles avec les efforts de conservation de la biodiversité."
La majorité des installations d'énergie renouvelable en Europe occidentale et dans les pays développés sont situées dans des zones de biodiversité.
M. Rehbein a déclaré qu'il était encore temps pour les développeurs de reconsidérer les installations en construction en Asie et en Afrique.
Le Dr James Allan, auteur principal de l'Université d'Amsterdam, a déclaré que des efforts de conservation efficaces et une transition rapide vers les énergies renouvelables étaient essentiels pour prévenir l'extinction des espèces et éviter les changements climatiques catastrophiques.
"Toute l'équipe convient que ce travail ne doit pas être interprété comme anti-renouvelable car les énergies renouvelables sont cruciales pour réduire les émissions de carbone", a déclaré le Dr Allan.
"La clé est de veiller à ce que les installations d'énergie renouvelable soient construites dans des endroits où elles n'endommagent pas la biodiversité.
"Les développements d'énergies renouvelables doivent prendre en compte la biodiversité ainsi que le carbone, et éviter tout impact négatif sur la biodiversité pour être vraiment durable."
L'équipe exhorte les gouvernements, l'industrie et les organisations de développement à éviter d'étendre les installations d'énergie renouvelable dans les zones de conservation et à planifier d'autres emplacements.
Le document de recherche a été publié dans Global Change Biology.
https://phys.org/news/2020-03-renewable-energy-threaten-biodiverse-areas.html
RépondreSupprimerUne chauve-souris, image d'illustrationPourquoi la chauve-souris est-elle pointée du doigt concernant la pandémie de Covid-19 ?
13:09 26.03.2020
Un virologue de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) explique pourquoi les chauve-souris, animaux suspectés d'être porteurs de nombreux virus dont celui responsable de la pandémie de Covid-19, sont une espèce-réservoir idéale. Il a publié ses conclusions dans un article sur le site du média scientifique Conversation.
Les chauves-souris sont suspectées d’avoir joué un triste rôle dans la pandémie de Covid-19 qui fait rage depuis plusieurs semaines. À cette occasion, Éric Leroy, directeur de recherche et virologue à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) revient dans son article paru le 23 mars dans Conversation, sur la place de ces mammifères dans la transmission de toutes sortes de virus.
«Au total, plus de 60 virus ont été détectés à partir d’organes, du sang ou des excréments de chauves-souris, un nombre bien plus élevé que chez les autres espèces animales», indique le chercheur.
L’ancienneté et la grande diversité des espèces
M.Leroy note que la diversité biologique a permis aux chauves-souris de coloniser de vastes zones géographiques et différents écosystèmes. Ainsi, ces animaux, très divers par leurs taille, régime alimentaire et mode de vie, comptent plus de 1.200 espèces, ce qui représente près de 20% de l’ensemble des mammifères.
Ces animaux anciens vivent par ailleurs en colonies qui peuvent compter des milliers d’individus, «conditions optimales pour une large diffusion des virus au sein des colonies», indique le virologue.
«Caractéristiques physiologiques propices à la persistance des virus»
Une autre raison qui explique la prédisposition des chauves-souris à héberger les virus c’est leurs caractéristiques physiologiques. Ces dernières, explique le chercheur, sont propices à la persistance des virus à long terme.
Il explique par ailleurs qu’avec leur longévité exceptionnelle pour des animaux de petite taille, qui va de plusieurs années jusqu’à 40 ans, ces animaux restent infectieux pendant de longues périodes.
S’ajoute à cela, la période d’hibernation favorable elle aussi à la persistance des virus.
«L’état d’hibernation s’accompagne d’une hypothermie, d’une diminution du rythme cardiaque et d’un ralentissement général du métabolisme qui contribueraient à la persistance du virus dans l’organisme,» détaille le virologue.
De fréquents contacts avec l’homme
Finalement, la dernière raison pour laquelle les chauves-souris seraient un réservoir idéal de virus transmissibles à l'être humain, est liée à leurs contacts fréquents.
Le spécialiste affirme: «De nombreuses espèces séjournent dans des gîtes naturels fréquentés par les êtres humains (grottes, caves, frondaisons des arbres) ou des endroits créés par les hommes (toits des maisons, combles mines désaffectées…). De même, les espèces frugivores consomment fréquemment
les fruits des arbres fruitiers cultivés dans les villages.»
RépondreSupprimerChauve-souris - pangolin - être humain
L’expert a par ailleurs précisé que «bien qu’une transmission directe de la chauve-souris à l’être humain soit quasi certaine, l’implication d’autres espèces animales intermédiaires –civettes ou pangolins– est envisagée.» Dans le cas du Covid-19, c’est un pangolin qui, vraisemblablement, a transmis le virus à l’homme, conclut-il.
https://fr.sputniknews.com/societe/202003261043397544-pourquoi-la-chauve-souris-est-elle-pointee-du-doigt-concernant-la-pandemie-de-covid-19/
La Lombardie (Région de Milan - Nord Italie) signale une accélération dans de nouveaux cas, des espoirs décevants pour le «pic» de l'épidémie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/03/2020 - 09:15
Les autorités lombardes étaient trop désireuses de jouer ce qui semblait être une baisse du nombre de nouveaux cas plus tôt dans la semaine. Mais il s'avère que les allégations selon lesquelles l'épidémie pourrait enfin s'atténuer dans la région la plus touchée d'Italie - allégations qui ont contribué à soutenir les stocks non seulement en Italie, mais dans le monde la semaine dernière - auraient pu être un peu prématurées.
Selon des rapports préliminaires, la région de Lombardie a signalé 2 500 nouveaux cas jeudi dernier, le plus gros bond en près d'une semaine.
Bien sûr, les responsables de la santé dans le nord pourraient embellir leur nombre car le gouvernement italien fait tout ce qu'il peut pour convaincre l'UE d'émettre des «coronabonds» pour aider à atténuer la pression financière sur les États membres de l'UE comme l'Italie, l'Espagne et la France qui ont été gravement blessé par l'épidémie.
Le gouverneur Attilio Fontana a déclaré lors d'une conférence de presse sur Facebook "Je suis inquiet, mais nous devons comprendre s'il s'agit d'une tendance d'inversion ou simplement d'un cas:"
Jusqu'à présent, environ 16 millions de personnes sont mises en quarantaine dans la région.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/lombardy-reports-acceleration-new-cases-dashing-hopes-outbreaks-peak
Le patron d’Alibaba offre un million de masques et des tests de dépistage du Covid-19 à la Russie
RépondreSupprimer15:31 26.03.2020
La Russie a reçu plus d’un million de masques et 200.000 tests de dépistage du Covid-19 des fondations d’Alibaba et de Jack Ma, indique le ministère russe de la Défense. Le matériel a été transporté à bord d’un avion russe.
La fondation caritative d’Alibaba et celle du fondateur de l’entreprise, Jack Ma, ont transmis une cargaison d’aide médicale à la Russie pour encadrer la propagation de l’épidémie de coronavirus, a déclaré la Défense russe.
«Plus d’un million de masques et 200.000 tests de dépistage de l’infection au coronavirus, offerts au ministère russe de la Défense par le célèbre entrepreneur chinois et membre honoraire de la Société russe de géographie Jack Ma, ont été transportés depuis la Chine à bord d’un avion des forces aérospatiales russes», indique le service de presse du ministère.
Il ajoute que Sergueï Choïgou, ministre russe de la Défense, a déjà remercié le fondateur lors d’une conversation téléphonique.
«Tout n’est qu’instant, tout se défait»
Les boîtes qui portent des inscriptions reprenant une poésie d’Alexandre Pouchkine, «Tout n’est qu’instant, tout se défait», ont été déchargées dans la capitale russe. En plus des masques et des tests de dépistage, la cargaison comprenait des combinaisons de protection.
L’envoi du cargo d’aide médicale en Russie a été organisé par les deux fondations dans le cadre de l’assistance apportée aux régions et pays touchés par la pandémie. Il s’agit notamment de la livraison de médicaments en Chine, en Asie du Sud-Est, aux États-Unis et aux pays de l’Union européenne (Italie, Belgique, France, Slovénie et Espagne), ainsi qu’en Afrique.
https://fr.sputniknews.com/russie/202003261043398849-le-patron-dalibaba-offre-un-million-de-masques-et-des-tests-de-depistage-du-covid-19-a-la-russie/
Dans un étonnant spectacle d'hypocrisie, la Chine ferme toutes les frontières aux étrangers sur les craintes de virus
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/03/2020 - 11:40
Il y a deux mois, alors que les décès dus au virus chinois s'intensifiaient et se propageaient rapidement à travers le pays, Pékin a exprimé son indignation face aux mesures adoptées par la communauté mondiale pour limiter la propagation du virus mortel, affirmant qu'elles allaient bien au-delà des normes acceptées dans le monde entier.
Plus précisément, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a déclaré que Pékin "n'est pas d'accord avec l'approche adoptée par les différents pays pour créer des tensions ou même de la panique" en fermant les frontières, le commerce et les vols à destination et en provenance de la Chine.
Le patron de l'OMS, Tedros, s'est également entassé - affirmant que ces interdictions de vol et les fermetures de frontières étaient racistes.
Et bien sûr, l'AOC et l'extrême gauche ont également fait écho à l'OrangeManBad 'raciste' à La Maison Blanche et à ses interdictions de vol chinoises (désormais clairement vitales).
Mais maintenant, alors que la Chine affirme qu'elle a maîtrisé sa flambée nationale et que les nouveaux cas proviennent UNIQUEMENT d'étrangers, et dans une étonnante hypocrisie totale et totale, ils ont décidé de ... Suspendre l'entrée de tous les étrangers en Chine :
Dans un message Weibo de Securities Times Network:
Ministère des affaires étrangères et de l'administration nationale des migrations:
La Chine a décidé de suspendre l'entrée des étrangers avec des visas et des permis de séjour en cours de validité en Chine # à partir de 00h00 le 28 mars 2020.
Suspendre les étrangers détenant le numéro d'entrée de la carte de voyage d'affaires APEC. Suspension du port, exemption de visa de transit 24/72 / 144 heures, exemption de visa d'entrée à Hainan, exemption de visa de croisière à Shanghai, exemption de visa de 144 heures pour les étrangers de Hong Kong et Macao dans le Guangdong, et exemption de visa de Guangxi pour les groupes touristiques de l'ASEAN.
L'entrée avec un visa diplomatique, officiel, de courtoisie ou C n'est pas affectée.
Les étrangers qui viennent en Chine pour exercer les activités économiques, commerciales, scientifiques et technologiques nécessaires et pour des besoins humanitaires urgents, peuvent demander un visa auprès des ambassades et consulats chinois à l'étranger. L'entrée des visas délivrés par des étrangers après l'annonce n'est pas affectée.
En outre, la Chine dit qu'elle doit prendre ces mesures nécessaires et temporaires en réponse à la situation actuelle des coronavirus, en utilisant les pratiques de divers pays comme référence.
Nous attendons avec impatience d'entendre Tedros qualifier cette action de la Chine de xénophobe.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/stunning-show-hypocrisy-china-shuts-all-borders-foreigners-over-virus-fears
Exemple à suivre !
SupprimerUn autre jalon sinistre: plus de 500 000 cas de COVID-19 diagnostiqués dans le monde: mises à jour en direct
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/03/2020 - 13:33
Sommaire:
Les hôpitaux de New York signalent une augmentation "apocalyptique" des cas
L'hôpital Elmhurst dans le Queens est submergé de nouveaux cas
Plus de 500 000 bénévoles s'inscrivent pour aider le NHS en Grande-Bretagne
500 000 cas de COVID-19 diagnostiqués
L'Italie signale le plus grand lot de nouveaux cas en 5 jours
La Nouvelle-Orléans accueille une épidémie majeure
Le NJ signale encore 2 000 cas et 19 décès
Un détenu de Washington DC est positif
Le PDG de NBCUniversal, Jeff Shell, est positif
L'Inde approuve un plan de sauvetage de 22,6 milliards de dollars
Tokyo signale 40 cas pour le 2e jour consécutif
Un nombre record de 3,3 millions d'Américains déposent une demande de chômage
La Chine interdit l'entrée d'étrangers
Iran: 157 décès supplémentaires signalés
Poutine ferme Moscou et retarde le vote sur les mesures constitutionnelles
Mercredi était encore le plus meurtrier aux États-Unis
Le président Xi appelle les nations à améliorer la coordination des politiques pour éviter une récession
Mnuchin dit qu'il parle avec Powell jusqu'à '30 fois par jour'
* * *
Comme nous l'avons mentionné ci-dessous, les hôpitaux de New York ont commencé à 'diviser' les ventilateurs pour les patients, car certains patients atteints de coronavirus à New York restent sous ventilation bien plus longtemps que les médecins ne l'avaient prévu. Alors que les patients passent généralement de 3 à 4 jours sur des ventilateurs présentant d'autres maladies pulmonaires graves, les patients COVID-19 passent jusqu'à 30 jours sur des ventilateurs à New York, ce qui atténue l'espoir que l'État sécurise suffisamment de machines.
Après que la FEMA ait promis 400 machines, les plaintes de Cuomo ont convaincu VP Pence d'augmenter l'allocation à 4 000. Mais cela reste 26k de moins que les 30k que Cuomo a déclaré nécessaires aux hôpitaux de l'État, Cuomo proposant de les livrer personnellement au prochain État qui en a besoin après le sommet de New York.
Jeudi, Cuomo a signalé 100 décès supplémentaires, pour un total de 385, alors que les hôpitaux se préparent à davantage. La ville de New York déploie même des remorques réfrigérées pour servir de morgues temporaires, car le nombre de corps submerge certains hôpitaux.
"C'est une très mauvaise nouvelle", a déclaré Cuomo lors d'une conférence de presse jeudi.
Cuomo a exprimé son inquiétude face à l'augmentation de 35% des décès en une journée. Mercredi, il avait un ton plus optimiste.
"Plus ils resteront longtemps, plus ils risquent de ne pas se détacher", at-il dit. "C'est ce qui s'est produit. Nous avons des gens qui sont en poste depuis longtemps, et ce sont ces gens que nous perdons."
Dans le New Jersey, les cas de COVID-19 ont augmenté de 2 492 par rapport à la veille à 6 876, tandis que 19 autres décès ont porté le total à 81 dans tout l'État, a déclaré le gouverneur Murphy.
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Mise à jour (1315ET): Le ministère chinois des Affaires étrangères a annoncé jeudi qu'à compter de samedi, tous les ressortissants étrangers, y compris ceux avec des visas et des permis de séjour en cours de validité, seront temporairement interdits d'entrer en Chine alors que Pékin continue de tourner la page des États-Unis et d'autres pays occidentaux qui interdit aux ressortissants chinois à la suite de l'épidémie.
RépondreSupprimerL'Université Columbia permettra aux étudiants en médecine d'obtenir leur diplôme plus tôt afin qu'ils puissent aider avec les efforts de réponse aux coronavirus à New York, ont déclaré des responsables de l'université à ABC News.
Le populaire Lakefront Trail de Chicago a été fermé jeudi, bloquant l'accès au vaste sentier et au parc, après qu'un trop grand nombre de personnes se sont rassemblées et ont violé les règles de distanciation sociale, a déclaré le maire de Chicago, Lori Lightfoot.
Lors de la conférence de presse de jeudi, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a déclaré que le projet de loi de relance de 2 000 milliards de dollars du Congrès "n'avait pas répondu aux besoins du gouvernement", ajoutant qu'il ne "faisait absolument rien pour nous" en termes de coup dur porté au budget de l'État par la perte de taxes. revenus, tout en ne faisant même pas assez pour répondre aux besoins de base dans les hôpitaux de New York.
Il a ajouté qu'il était "déçu" que le Congrès ait adopté un projet de loi aussi "imprudent" à un moment où les besoins étaient si énormes.
"Je suis déçu", a déclaré Cuomo jeudi. "Je le trouve irresponsable. Je le trouve imprudent. L'émotion est un luxe. Et nous n'avons pas le luxe en ce moment d'être émotifs à propos de ce qu'ils [le Congrès] ont fait. Quand ce sera fini, je vous promets que je m'en vais pour leur donner un morceau de mon esprit. "
"Nous n'avons pas le luxe en ce moment d'être émotifs à propos de ce qu'ils ont fait ... quand ce sera fini, je leur donnerai une idée de moi. C'est un moment extraordinaire pour cette nation ... c'était le temps de mettre la politique de côté et de mettre de côté la partisanerie. "
Le fait que les législateurs ne s'attaquent pas adéquatement au problème dans les régions où les besoins sont les plus aigus est presque inadmissible, a déclaré Cuomo.
Dans d'autres nouvelles, les nouveaux cas signalés hors d'Italie combinés à d'autres nouveaux cas signalés jeudi matin ont livré les ~ 20 000 cas nécessaires pour porter le total mondial à plus de 500 000, une étape importante dans l'épidémie.
Les épidémiologistes s'attendent à ce que 2 à 3 millions de cas soient finalement diagnostiqués, et c'est selon les projections les plus ensoleillées.
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Mise à jour (1310ET): L'Agence italienne de protection civile a signalé jeudi le plus grand bond en nombre de nouveaux cas en cinq jours, portant un nouveau coup à l'espoir que les cas pourraient enfin culminer dans l'épicentre actuel de l'épidémie mondiale.
Les 6 153 nouveaux cas confirmés mercredi représentent un taux de croissance de 8,3% par rapport à la veille. Les décès dus à l'épidémie ont enregistré une légère baisse au cours des dernières 24 heures, totalisant 662, contre 683 la veille. Au total, 8 165 des personnes diagnostiquées sont décédées de COVID-19.
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Voici une ventilation par région, gracieuseté de Corriere della Sera, un quotidien italien populaire:
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Enfin, bonne nouvelle: le nombre d'Italiens qui ont récupéré a dépassé 10 000 jeudi (totale guariti).
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Mise à jour (1155ET): Andrew Cuomo livre sa mise à jour quotidienne de la presse, affirmant que 6 448 nouveaux cas ont été confirmés hier dans l'État de New York sur 18 650 tests. Cela porte le total de l'État à 37 258 cas de COVID-19, avec 5 327 actuellement hospitalisés et 1 290 patients en soins intensifs.
RépondreSupprimerVoici la répartition par comté.
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Cuomo a ajouté que les hôpitaux commençaient à expérimenter l'attribution d'un ventilateur entre deux patients, une configuration qui peut être facilement jerryrigée pendant les périodes de grand besoin, selon les médias.
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Mise à jour (1130ET): Dans plus d'informations sur les tests positifs jeudi, le PDG de NBCUniversal, Jeff Shell, aurait été positif pour COVID-19.
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Mise à jour (1030ET): Le département du Trésor a annoncé jeudi de nouvelles sanctions contre plusieurs hauts responsables iraniens et entités commerciales, après avoir laissé entendre plus tôt ce mois-ci que plus de sanctions contre les Iraniens arriveraient bientôt et que les États-Unis ne se retiendraient pas en raison de la épidémie de coronavirus.
LES ÉTATS-UNIS IMPOSENT DES SANCTIONS RELATIVES À L'IRAN FRAIS - SITE WEB DE LA TRÉSORERIE
LES ÉTATS-UNIS IMPOSENT DES SANCTIONS À 15 PERSONNES, CINQ ENTITÉS EN VERTU DE L'IRAN ET DES PROGRAMMES DE SANCTIONS LIÉES AU TERRORISME
Plus tôt, les autorités iraniennes avaient signalé 157 décès au cours de la dernière journée, portant le total à 2 234, alors qu'elles confirmaient 2 389 nouveaux cas, ce qui porte le nombre total officiel de cas en Iran à 29 406.
Le porte-parole du ministère de la Santé, Kianoush Jahanpour, a déclaré: "Heureusement, jusqu'à ce jour, 10 457 personnes infectées se sont rétablies et ont obtenu leur congé des hôpitaux", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.
Au cours de la vidéoconférence de jeudi entre les dirigeants du G20, le président chinois Xi Jinping a appelé les pays à améliorer les coordinations des politiques macroéconomiques pour éviter une récession mondiale.
M. Xi a déclaré que les nations doivent mettre en œuvre des politiques fiscales et monétaires fortes et efficaces; la coordination est nécessaire pour renforcer les supervisions financières mondiales, et les pays doivent travailler ensemble pour stabiliser la chaîne d'approvisionnement mondiale. Il a ajouté que la Chine augmenterait la production de médicaments au niveau des matières premières, les produits de première nécessité, les équipements médicaux préventifs et augmenterait ses approvisionnements sur le marché mondial.
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Mise à jour (0930ET): Aux États-Unis, les actions sont devenues verticales à l'ouverture. Pendant ce temps, les commentaires du président Xi ne font que frapper la bande.
LE XI JINPING DE LA CHINE DIT QUE LA FLAMBÉE DE CORONAVIRUS A DÉJÀ OBTENU UNE PRODUCTION ET UNE DEMANDE MONDIALES - MÉDIAS D'ÉTAT
XI APPELLE À DES EFFORTS COMMUNS POUR STABILISER LA CHAÎNE D'APPROVISIONNEMENT: XINHUA
Pendant ce temps, en Italie, la région de Lombardie durement touchée a signalé une augmentation du nombre de cas.
Sur CNBC, lors d'une interview avec Jim Cramer, presque trop sympathique, le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin a déclaré qu'il ne se passait pas un jour sans parler avec le président de la Fed, Jerome Powell. Mnuchin dit qu'il a approuvé "chacune des" demandes de la Fed pour de nouvelles facilités de prêt. Sur le nouveau rapport de réclamations sans emploi, il dit que "ces chiffres pour le moment ne sont pas pertinents".
Pour le deuxième jour consécutif, les responsables de la santé à Tokyo ont signalé 40 cas de coronavirus supplémentaires, correspondant ou dépassant peut-être le total d'hier de 41.
Plus tôt, les données hebdomadaires sur les demandes de chômage ont montré un bond massif la semaine dernière, comme prévu.
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Les demandes pressées du président Trump de remettre la nation "au travail" avant Pâques ne pourraient probablement pas arriver à un pire moment. Aux États-Unis, mais principalement dans une poignée de `` points chauds '', notamment à New York et dans les environs, le nombre de cas confirmés et de décès attribués au COVID-19 augmente à un rythme alarmant.
RépondreSupprimerSelon les données de John Hopkins, mercredi était le jour le plus meurtrier à ce jour pour les États-Unis avec 233 décès signalés, portant les États-Unis à 65 273 cas et 938 décès. À New York et en Californie, le nombre de cas confirmés double tous les quelques jours.
- voir carte USA sur site -
Alors que la Russie enregistre une croissance record pour un deuxième jour, le président Vladimir Poutine a ordonné à la capitale du pays et à la plus grande ville, Moscou, de fermer tous les restaurants, bars et magasins "non essentiels". Dans un message en ligne, le maire de Moscou, Sergei Sobyanin, a ordonné la fermeture des bureaux du gouvernement et des sites religieux - qu'il a exhorté les Moscovites à ne pas visiter - et a demandé à tous les autres Russes de ne pas visiter la capitale pendant une `` fête nationale '' prévue qui durerait pour tous. prochaine semaine. Le Kremlin a également interrompu tout le trafic aérien international, tant pour les compagnies aériennes que pour les vols charters, à l'exception des vols de rapatriement ramenant des citoyens russes dans le pays.
Jeudi, la Russie a signalé 182 nouveaux cas de coronavirus au cours des dernières 24 heures, portant le total du pays à 840, avec 3 décès.
Hier soir, le président Poutine a prononcé un discours à l'échelle nationale où il a retardé le vote sur les amendements constitutionnels qui lui permettraient de rester au Kremlin jusqu'en 2036, et a annoncé que la semaine prochaine serait une fête nationale, exhortant les Russes à rester chez eux. Il n'a pas déclaré d'urgence nationale ou tout autre type de circonstance spéciale, mais un conseiller médical du gouvernement aurait déclaré à Poutine qu'étant donné la propagation déjà documentée à Moscou, il devait fermer le pays pour éviter une épidémie à part entière.
Le verrouillage intervient alors qu'environ un tiers de la population mondiale est maintenant confrontée à un certain degré de restriction de mouvement: le Premier ministre indien Narendra Modi a poursuivi sa décision de verrouiller le deuxième plus grand pays du monde en annonçant un plan de secours de 22,6 milliards de dollars pour aider la "pauvres et souffrants."
"Cela ne fait que 36 heures que le verrouillage a été imposé", a déclaré jeudi le ministre des Finances du pays, Nirmala Sitharaman. "Maintenant, nous avons mis au point un ensemble de mesures qui répondra immédiatement aux préoccupations de bien-être des travailleurs pauvres et souffrant et de ceux qui ont besoin d'une aide immédiate."
Le programme de secours comprend une couverture d'assurance médicale pouvant aller jusqu'à 66 400 dollars par personne (une somme considérable en Inde) pour ceux qui luttent contre le virus en première ligne, y compris les travailleurs médicaux, les travailleurs de l'assainissement et les agents de santé communautaire.
La mesure devrait couvrir 2 millions de personnes, une toute petite fraction de la population du pays. Les pompiers ont été réaffectés pour pulvériser du désinfectant dans tout le pays, et la police a agi de manière agressive pour faire respecter le verrouillage.
Plus important encore, le gouvernement fournira gratuitement à 800 millions de personnes, soit environ les deux tiers de la population du pays, 5 kilogrammes de riz ou de blé par mois pendant les trois prochains mois.
"Nous ne voulons pas que quiconque ait faim", a déclaré Sitharaman.
Les autres mesures annoncées comprennent des subventions et des avantages rapides pour les agriculteurs, les travailleurs de la construction, les veuves et les handicapés, ainsi qu'une augmentation du salaire minimum. Les travailleurs visés par la loi nationale sur la garantie de l'emploi rural du Mahatma Gandhi, qui garantit 100 jours de travail manuel non qualifié par an, verront leur salaire augmenter de 26 $. Bien sûr, comme la Russie et la plupart des autres grands pays à ce stade, l'Inde a également interdit les vols internationaux.
RépondreSupprimerÀ travers le Royaume-Uni, alors que les Britanniques se frayent un chemin à travers leur première semaine complète de verrouillage, plus d'un demi-million de personnes au Royaume-Uni se sont inscrites comme volontaires pour soutenir le NHS, selon le secrétaire britannique à la Santé, Matt Hancock.
Globalement, le nombre de cas de coronavirus a dépassé 480 000 jeudi et, à son rythme actuel, dépassera probablement les 500 000 d'ici vendredi, selon les données de Johns Hopkins. Le nombre total de cas aux États-Unis, lors de la dernière vérification, était de 69197, un peu derrière l'Italie, laissant les États-Unis à la troisième place mondiale pour le nombre de cas, et bien plus bas dans le classement du nombre de décès. Les États-Unis ont enregistré 978 décès jeudi matin, laissant derrière eux l'Espagne et la France en termes de nombre de morts.
- voir graphique sur site -
Le nombre de morts dans l'Espagne ravagée par les coronavirus a continué d'augmenter jeudi, avec plus de 600 décès supplémentaires signalés à ce jour. Au total, plus de 4 000 personnes ont été tuées par le nouveau coronavirus en Espagne à ce jour. Seule l'Italie a enregistré plus de décès pendant l'épidémie, et seules l'Espagne et l'Italie ont enregistré plus de décès que la Chine continentale - bien que nous soupçonnons que les États-Unis les rejoindront assez tôt.
Hier, nous avons discuté de l'essor des cas dans la région des trois États, la banlieue de New York. Jeudi, le décompte des cas connus de coronavirus à Washington DC, Maryland et Virginie - la région de Greater DC, comme on l'appelle - s'élève à 1051 jeudi matin après que le Maryland a signalé 74 cas supplémentaires mercredi, ce qui porte le total de l'État à 424 , Virginia a signalé 101 autres cas pour un total de 392, et DC a signalé 48 nouveaux cas mercredi, portant son total à 235. Hier, le Maryland a prolongé ses fermetures d'écoles de quatre semaines supplémentaires jusqu'au 24 avril.
Un détenu d'une prison de Washington DC a été testé positif au virus, le premier à le faire, car les États-Unis craignent une épidémie à l'intérieur de ses prisons similaire à ce qui s'est passé en Italie et en Chine.
En Floride, le nombre total de cas confirmés augmente rapidement. Hier soir, la Commission de la ville de Miami a voté à l'unanimité la mise en place d'un couvre-feu à l'échelle de la ville de 22 heures à 5 heures à partir de vendredi.
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La situation à NYC devient de plus en plus désastreuse, tandis que la Louisiane connaît également une soudaine augmentation des cas, comme l'a souligné le NYT. Selon une étude, la Louisiane connaît la croissance la plus rapide de nouveaux cas dans le monde, c'est pourquoi le président Trump a approuvé la demande du gouverneur John Bel Edwards d'une déclaration de catastrophe majeure, qui a débloqué des fonds fédéraux supplémentaires pour lutter contre l'épidémie.
La situation dans et autour de la Nouvelle-Orléans est particulièrement aiguë, avec la ville signalant 827 cas confirmés à partir de mercredi soir, plus que le nombre total de cas dans tous les États sauf 15, tandis que la paroisse d'Orléans, qui est la même frontière que la ville de la Nouvelle-Orléans, a signalé le plus grand nombre de décès par habitant dans le pays.
RépondreSupprimer- voir liste des Etats d'Amérique sur site -
Statistique: Nombre total de cas de coronavirus (COVID-19) aux États-Unis au 26 mars 2020, par État | Statista
Trouvez plus de statistiques sur Statista
À New York, les hôpitaux de la ville sont submergés car ils signalent une augmentation "apocalyptique" des patients gravement malades à cause du COVID-19, car l'hôpital Elmhurst du Queens a signalé 13 décès en une journée mercredi.
Partout dans le monde depuis New York, Israël a été un précurseur en matière de restriction des mouvements de citoyens alors que seuls quelques cas ont été confirmés. Et comme les prières de groupe sont reportées, les rassemblements de masse et les églises du dimanche sont suspendus et les pèlerinages comme le Hajj sont temporairement interrompus, des sites religieux sont également fermés pour retarder la propagation du virus.
A Jérusalem, l'église sacrée du Saint-Sépulcre a été fermée mercredi soir en raison de restrictions plus strictes sur les mouvements alors qu'Israël tente de ralentir la propagation du coronavirus, ont déclaré des responsables de l'église.
L'église, le site le plus saint du christianisme, est censée marquer l'endroit où Jésus a été crucifié, enterré et ressuscité plus tard. Le complexe tentaculaire, qui abrite certains gardiens du clergé, est partagé par six confessions chrétiennes: les églises grecque orthodoxe, catholique romaine et arménienne orthodoxe sont les principaux gardiens, tandis que les églises syrienne, copte et éthiopienne orthodoxe ont des responsabilités moindres.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/us-reports-largest-jump-new-cases-deaths-apocalyptic-surge-rocks-new-york-hospitals
Coronavirus : La Russie restaure pleinement ses frontières et n'impose pas de confinement à la population
RépondreSupprimerjeudi 26 mars 2020
Suite à l'intervention présidentielle d'hier soir, la Russie a adopté de nouvelles mesures dans le cadre de la crise globale du coronavirus. Une semaine chômée, pas de confinement obligatoire mais recommandé, mise en avant des frontières nationales contre la propagation du coronavirus par l'annulation de tous les vols internationaux. Un Etat, des frontières, des mesures sociales, des mesures économiques, une réaction rationnelle. Qui tranche avec l'hystérie que nous voyons tristement se propager en Occident. Et une déclaration qui force à une pause, l'intervention du professeur Rochal, déclarant que la manière dont les Etats réagissent lui fait penser à une répétition générale d'une guerre biologique, appelant également à ne pas tomber dans la psychose: ce virus est loin d'être des plus dangereux, mais oblige à revoir la réforme (néolibérale) de la médecine qui a entraîné une baisse significative de postes et de lits.
Hier après-midi, le Président russe Vladimir Poutine s'est adressé à la population, dans une allocution attendue :
En appelant au professionnalisme, au calme et à la responsabilité de chacun, bien loin des tonalités surjouées du péril en la demeure et tous aux abris que l'on a surpris sous d'autres cieux, Poutine a sereinement rappelé que le risque zéro était impossible, mais qu'il était possible de limiter les risques. Et les mesures étatiques prises en Russie dès le début de la crise ont permis d'éviter de connaître ces tristes situations hors de contrôle que l'on voit dans d'autres pays, en Occident. Selon lui, il est important de garder à l'esprit la santé de la population et d'adopter des mesures devant éviter la diffusion du virus.
Politiquement, si rien n'a été dit sur les cérémonies du 9 mai, la consultation populaire de la réforme constitutionnelle est reportée à une date ultérieure, non précisée, en fonction de la situation sanitaire. La gestion de la grande parade militaire des 75 ans de la victoire et le Régiment Immortel, dans ces conditions, vont être un test de résistance pour le pouvoir.
En ce qui concerne l'équilibrage du risque sanitaire et des libertés individuelles, la Russie résiste encore à un confinement obligatoire de la population. Il est fortement recommandé aux personnes de plus de 65 ans et aux personnes ayant une maladie chronique de rester chez eux. Il est en général demandé à la population de faire cet effort, mais le recours à l'Etat policier, pour l'instant, est exclu. L'on n'envisage pas (encore) de scénario hollywoodien avec l'armée dans la rue, les drones au niveau des fenêtres, les autorisations/déclarations de sortie. La population n'est pas mise en prison. En revanche, Moscou ferme pour une semaine les parcs du centre-ville à forte fréquentation, les grands centres commerciaux (sauf en ce qui concerne la nourriture, les médicaments ...) et les restaurants et cafés à partir de samedi. Le coût économique va être très lourd et la manière dont Sobianine, le maire de Moscou, a présenté ces mesures fut des plus maladroite, pleine de morgue et de mépris : "le but de cette semaine chômée n'est pas de s'amuser, d'être en vacances". Imaginer que les habitants de la ville puissent ne pas porter le masque mortuaire semble lui être particulièrement insupportable. Alors que justement, un bon moral de la population est fondamental pour la dynamique du pays, dont l'existence ne va pas s'arrêter là. Bref, la tentation du pouvoir est terrible, surtout lorsqu'il manque un minimum de culture politique. D'une manière générale, l'enfermement est également écarté grâce à des mesures systématiques de désinfection des transports et espaces publics qui ont très tôt été mises en place. En cela, la Russie tient également compte des recommandations de l'OMS, qui a bien précisé qu'un simple confinement de la population sans mesures de lutte sanitaire est d'une efficacité plus que limitée.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne l'équilibrage du risque sanitaire et des risques socio-économiques, la Russie annonce parallèlement une semaine chômée, mais payée, accompagnée de mesures immédiates, d'autres à long terme de révision des relations fiscales et sociales. Ainsi, Poutine a annoncé une semaine de congés payés, mais payés par les employeurs, ce qui en période d'instabilité économique passe mal. Pour tenir compte d'une situation sanitaire dite à risque, certains domaines ne sont pas concernés, à savoir les professions médicales, les magasins, banques, administrations et transports doivent fonctionner.
En contrepartie, des mesures individuelles sont adoptées, comme une augmentation de l'aide aux personnes perdant leur emploi ou en congé maladie, une aide spéciale aux familles nombreuses et aux personnes âgées, un report des crédits (pour les personnes dont les revenus ont baissé de 30%). Ces mécanismes de crédit concernent également les PME et les entrepreneurs individuels, qui bénéficient de 6 mois de vacances fiscales et 6 mois de suspension du paiement des charges sociales pour les micro-entreprises. A plus long terme, afin de soutenir les salaires, Poutine a proposé de réguler le montant des charges sociales en fonction du montant du salaire, baissant le taux en cas d'une augmentation salariale. Deux mesures fiscales, permanentes, doivent également permettre d'injecter des fonds pour l'aide sociale. D'une part, il s'agit d'augmenter l'imposition des revenus tirés des dividendes, qui sont envoyées à l'étranger, actuellement taxé à hauteur de 2% et passant à 15%, afin de rattraper les impôts des particuliers sur les revenus. D'autre part, les revenus tirés des dépôts ne sont pas à ce jour imposés, ils ne seront à hauteur de 13% pour les dépôts supérieurs à 1 million de roubles, ce qui concerne environ 1% d'entre eux. La fonction redistribituve de l'impôt, si mal perçue dans les milieux libéraux russes, est ici rappelée avec force.
Dans la foulée de ces annonces, la Russie a décidé, non pas de confiner les habitants, mais de "confiner" le pays : tous les vols internationaux sont suspendus à partir du 27 mars pour une durée indéterminée. Après avoir interrompu la délivrance des visas et fermer l'essentiel de ses frontières terrestres, la Russie achève le processus avec la fermeture de ses frontières aériennes. Dans la mesure où cette crise est présentée comme globale et totalement incontrôlée dans de très nombreux pays, notamment au sein de l'UE où, pour des raisons idéologiques, les pays ont les plus grandes difficultés à réellement fermer leurs frontières pour protéger leur population de la circulation du virus et préfèrent mettre leurs populations sous clés en attendant que ça passe tout seul, cette mesure semble assez logique. Seuls les vols autorisés par le Gouvernement et pour le rapatriement des Russes à l'étranger seront possibles. Si le coronavirus circule avec les gens à travers les frontières, Poutine a pris le contre-pied de Johnson qui préfère confiner les Britanniques, mais garder ses frontières ouvertes, en préférant donner la priorité à ses concitoyens. D'autant plus que la fermeture des frontières donne son sens aux mesures de précaution prises par ailleurs, sinon elles sont totalement dénuées de sens. Car cela reviendrait à constamment remplir un vase percé.
RépondreSupprimerCela n'empêche que l'ampleur des mesures adoptées et les conséquences socio-économiques qu'elles ne manqueront pas d'entraîner laisse songeur, si l'on tient compte de la proportion du risque réel de ce coronavirus et des conséquences humaines, politiques et socio-économiques des mesures adoptées dans les différents pays. Une remarque intéressante a été faite par le professeur Léonid Rochal, président de l'Institut de l'Académie des sciences de Russie de chirurgie pédiatrique d'urgence. Il demande à chacun de ne pas tomber dans la peur et de ne pas faire monter la pression, car en soi, ce virus ne présente pas de danger particulier et même moindre que beaucoup d'autres. Par ailleurs, cette crise oblige à reconsidérer la réforme (néolibérale) de la médecine, avec ses réductions drastiques de postes et de lits. Sur un autre plan, toute la mécanique qui se met en route de manière globale lui fait penser à la répétition d'une guerre biologique. Le professeur Rochal est un individu posé, un très grand chirurgien, bien loin de toutes les théories farfelues qui se développent toujours dans les situations de crise. Ses paroles obligent à réfléchir.
https://russiepolitics.blogspot.com/2020/03/coronavirus-la-russie-restaure.html
RUSSIE:
Supprimer144 500 000 hab
17 125 191 km²
Soit 11 hab/km²
230 ans de droits et libertés déchiquetés: pourquoi je m'oppose au verrouillage
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 27/03/2020 - 00:05
Écrit par Brandon Tourbeville via ActivistPost.com,
Bien qu'il y ait près de vingt ans, je me souviens du 11 septembre comme si c'était hier. Je me souviens du choc d'entendre les avions s'écraser sur les tours, croyant d'abord que c'était un accident tragique et apprenant rapidement qu'il en était autrement. Je me souviens avoir été informé que 19 pirates de l'air, faisant partie d'un complot fondamentaliste visant à détruire l'Amérique, étaient à l'origine des attaques et que le cerveau était un homme dans une grotte en Afghanistan nommée Oussama ben Laden.
Alors que toute l'Amérique était collée à leurs écrans de télévision, beaucoup se sont précipités pour donner du sang dans le but de faire au moins quelque chose pour s'entraider. La réponse de George W. Bush pour les Américains a été d’aller travailler, puis de sortir faire du shopping. Les Américains se sont conformés consciencieusement. Mais la réponse du gouvernement, en tandem avec les médias grand public, était aussi d’avoir peur. Très effrayé. Les Américains ont également accédé à cette demande, peut-être plus que toute autre.
Dans les jours et les semaines qui ont suivi le choc initial, un professeur d'université m'a informé d'un projet de loi appelé PATRIOT ACT qui devait essentiellement éviscérer une grande partie de la Constitution et de la Déclaration des droits. Après les cours, je l'ai interrogé davantage sur le projet de loi, qu'il a expliqué, et j'ai suggéré que si je voulais vraiment comprendre ce qui se passait, je devrais lire 1984 de George Orwell. Je suis rentré chez moi et j'ai fait exactement cela et j'ai été surpris d'apprendre que non seulement il avait raison, mais que je regardais ce que je lisais se produire devant moi dans la vraie vie.
J'ai vu la peur de parler de votre esprit et de dire certains mots devenir la liberté. J'ai regardé les Américains supposer que leurs communications étaient écoutées, effrayés de ce qu'ils disaient, mais le justifiant en louant leur pays pour ne pas être comme les gouvernements totalitaires du passé. La paix est devenue la guerre. Toute suggestion selon laquelle l'invasion de l'Afghanistan était une erreur n'était pas patriotique. En fait, toute critique du gouvernement était considérée comme antipatriotique et quiconque appréciait la liberté par rapport à la sécurité temporaire était un traître à la limite.
J'ai regardé les États-Unis devenir The Homeland et j'ai vu mes amis se faire casser la vitre de leur voiture parce qu'ils n'avaient pas un de ces drapeaux ridicules.
Pourtant, peu de temps après l'événement lui-même, j'ai commencé à m'élever contre l'érosion de notre Constitution et de la Déclaration des droits. J'ai remis en question l'histoire officielle du 11 septembre et je me suis battu contre l'adoption de la PATRIOT ACT. À cette époque, quiconque faisait l'une ou l'autre de ces choses était considéré comme terriblement ignorant et naïf ou un traître qui apportait un soutien moral à l'ennemi.
J'ai pris la parole après le 11 septembre et j'étais en grande partie seul, à quelques exceptions notables près. J'ai été forcé de regarder la majorité de mes compatriotes américains donner la chose la plus précieuse qu'ils avaient, les choses qu'aucun autre pays ne pouvait revendiquer, et la chose qu'ils prétendaient soutenir la guerre pour protéger. L'Amérique a cédé une énorme partie de ses droits à la suite du 11 septembre et, bien qu'on leur ait promis que les mesures n'étaient que temporaires, vingt ans plus tard, nous ne les avons jamais récupérés.
Au lieu de cela, les officiers de police sont maintenant souvent indiscernables des soldats militaires, les États-Unis sont toujours en Afghanistan ainsi que l'Irak, la Libye, la Syrie, la Somalie, l'Ukraine et une multitude de théâtres à travers le monde où se trouvent apparemment ses "intérêts" indéfinissables. Il est désormais acquis que le téléphone portable, Internet et toutes les autres communications sont surveillés. Il est bien entendu que la poigne de fer de l'État peut tomber avec un manque de procédure régulière et le deuxième amendement est attaqué quotidiennement. La torture est désormais une pratique courante pour les personnes arrêtées à l'étranger et au pays.
RépondreSupprimerMaintenant, nous voici près de vingt ans plus tard. Les Américains ont encore une fois un ennemi juré pour lequel notre gouvernement n'a pas encore fourni d'informations adéquates. Une fois de plus, la réponse du gouvernement n'est pas une refonte solide de la façon dont nous en sommes arrivés là où nous en sommes (dans ce cas, comment les soins médicaux sont fournis, qui y a accès, ou la philosophie globale derrière cela), mais un état policier massif, la loi quasi martiale et l'éviscération de ce qui reste des libertés et des droits qu'ils n'ont pas cédés il y a vingt ans ou qu'ils ont cédés progressivement entre les deux.
Cette fois, ce n'est pas tant le président qui mène la charge de brûler la Constitution, mais les gouverneurs de tout le pays, agissant de concert. Mais ils n'agissent pas seuls. En raison de l'énorme porte-parole de la propagande des médias grand public provoquant l'hystérie et la panique ainsi que des conclusions souhaitées qu'ils souhaitent que leur public atteigne, de nombreux Américains exigent que leurs droits leur soient retirés et que leurs concitoyens et eux-mêmes soient forcés de quitter la rue. et dans leurs maisons sous la menace d'une arme.
Mon opposition au verrouillage potentiel est double, mais elle est principalement basée sur le fait que plus de deux cent trente ans de droits et libertés ne devraient pas être déchiquetés sur la base d'une menace, réelle ou imaginaire. Les Américains ont des droits ou pas. Il n'y a pas d'astérisque dans la Constitution qui stipule que la Déclaration des droits est nulle et non avenue en cas d'attaque terroriste ou d'épidémie de virus. Si nous ne maintenons pas nos droits en temps de crise, alors, tout simplement, nous n'avons pas vraiment de droits du tout.
Si nous ne maintenons pas ces droits, notre pays, tel qu'il est, cesse d'exister.
Comme Peter Hitchens, l'un des rares critiques de cette mentalité de Lockdown (qui se produit partout dans le monde et, dans son cas, la Grande-Bretagne) a écrit dans son récent article pour le Mail Online,
Toutes les armes les plus grossières du despotisme, le couvre-feu, la présomption de culpabilité et le pouvoir d'arrestation arbitraire, prennent forme au milieu de ce qui était autrefois un pays libre. Et nous, qui aimons nous vanter de notre calme dans une crise, semblons mépriser notre ancienne liberté durement achetée et voulons réellement nous précipiter dans les bras chauds et fermes de Big Brother.
L'article de Hitchens mérite d'être lu, non seulement pour ses opinions mais aussi pour sa critique de l'ampleur de la pandémie, qui est très discutable.
Deuxièmement, nous menons rapidement ce pays vers une deuxième Grande Dépression où le chômage est à des niveaux jamais vus auparavant et où seuls 1% et les grandes banques ont quelque chose qui ressemble à de la richesse. Cette dépression sera si dévastatrice qu'elle rendra le premier aspect faible en comparaison, non seulement à cause de l'emploi, mais à cause du vrai bilan humain après des décennies de mondialisation, le libre-échange et l'urbanisation ont vidé ce pays de sa main-d'œuvre, de la fabrication, des soins de santé, l'éducation, les capacités de production et le niveau de vie général. Avec plus d'Américains vivant en milieu urbain et de moins en moins de fermes chaque jour, la deuxième grande dépression tuera beaucoup plus de personnes que le virus et laissera ceux qui restent en vie chercher des miettes au fond. Déjà, depuis le début de cette urgence virale, nous avons assisté à un énorme transfert de richesse des classes inférieures vers les classes supérieures et nous en assisterons sans aucun doute plus à mesure que cette tentative de verrouillage insensée se poursuivra.
RépondreSupprimerAprès le verrouillage, les Américains se plaindront de bas salaires et de manque de travail. Ils feront la queue pour des avantages qui peuvent ou non exister et qui seront inférieurs à leur niveau de vie actuel. Contrairement à la perte de leurs droits, les avantages seront temporaires. Mais les Américains ne seront pas en mesure de blâmer pleinement Wall Street cette fois-ci, car ce sont les médias et les gens qui l’écoutent qui hurlaient dans les rues pour les Lockdowns et les fermetures. Ils auront obtenu ce qu'ils voulaient ainsi que l'occasion de vivre pour le regretter.
Me voici donc, vingt ans après le début d'une carrière d'écrivain à la suite de personnes généralement bonnes qui ont eu peur de céder leurs droits, écrivant exactement sur la même chose encore une fois. Bien sûr, il peut être temps d'inverser la direction dans laquelle nous nous dirigeons. Les prochaines semaines détermineront très probablement cette question. Une chose est sûre, cependant, si les Américains renoncent à leurs droits maintenant, ils ne les récupéreront jamais.
Je ne me fais aucune illusion sur l'effet que cet article aura sur la direction que nous prenons en tant que nation. Au lieu de cela, je m'attends à ce qu'il suscite plus de critiques, plus d'insultes et plus d'affirmations que je ne suis plus «crédible» car les répéteurs de propagande vus sur les principaux réseaux câblés sont crédibles. Mais cela en vaudra la peine, pour aucune autre raison que d'enregistrer ma voix de sorte que, pour mémoire, il y avait au moins quelques personnes qui ont conservé leur raison pendant cette ère mondiale de panique et n'ont pas volontairement sacrifié ses droits sur l'autel de peur.
Si nous parvenons à prendre du recul, peut-être que la «crédibilité» et le respect que je perds de mes pairs à cause de cet article seront un jour rendus. Mais si nous ne sommes pas en mesure de prendre du recul, je ne peux pas imaginer que quiconque puisse se souvenir de tout ce que j'ai dit ici et, si c'est le cas, cela n'aurait probablement pas d'importance s'ils le faisaient.
https://www.zerohedge.com/political/230-years-rights-and-liberties-shredded-why-i-oppose-lockdown
Les USA est le pays le plus chemtraillés au monde !
SupprimerRéveillez-vous ! Vos craintes sont manipulées
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 26/03/2020 - 21:25
Écrit par Peter van Buren via TheAmericanConservative.com,
Nous avons un exemple terrifiant dans le 11 septembre de la façon dont cela se passe ... Calmes-nous et trouvons qui a quoi gagner en semant la panique ...
Je ne m'inquiète pas pour le gars qui tousse à côté de moi. Je suis inquiet pour ceux qui semblent chercher Jim Jones.
Jones était le fondateur charismatique du Temple du peuple culte. Grâce à un contrôle fondé sur la peur, il a pris l'argent de ses partisans et a dirigé leur vie. Il les a isolés au Guyana où il a convaincu plus de 900 d'entre eux de se suicider en buvant du raisin lacoré au cyanure Kool Aid. Les gens effrayés peuvent être obligés de faire n'importe quoi. Ils ont juste besoin d'un Jim Jones.
Il est donc plus qu'un peu effrayant que le zampolitiste des médias, Rick Wilson, ait écrit à ses 753 000 abonnés sur Twitter: «Les gens qui ont sombré dans leur peur de Trump, qui ont défendu tous les outrages, qui l'ont mis devant ce qu'ils savaient être juste, et ont prétendu ce chaos et la corruption était une nouvelle ère glorieuse paiera un prix terrible. Ils le méritent." Le tweet a été aimé plus de 82 000 fois.
Le New York Times affirme que «le spectre de la mort accélère à travers le monde, un rendez-vous à la Samara, toujours plus rapide, abattant les plus vulnérables». D'autres prétendent que Trump annulera l'élection pour régner en tant que Jim Jones. "Chaque téléspectateur qui fait confiance aux paroles d'Earhardt, Hannity ou Regan pourrait bien devenir une menace pour le public en marchant, en respirant et en vomissant des gouttelettes", a déclaré le Washington Post. Buvez le foutu Kool Aid et participez à la panique en route vers la Guyane.
L'épicerie de Manhattan, juste après l'annonce de l'état d'urgence national, était une pure panique. J'ai vu une bagarre éclater après qu'un employé ait sorti des serviettes en papier pour réapprovisionner l'étagère et que quelqu'un ait saisi le carton entier pour lui-même. La police a été appelée. Un policier a dû rester derrière pour surveiller les lignes aux registres et maintenir l'ordre. À leur crédit, le NYPD était cool à ce sujet. Je les ai entendu parler à l'un des combattants en disant: «Tu veux aller en prison pour Fruit Loops ? Reprends-toi. » En dehors de New York, les ventes d'armes et de munitions ont augmenté.
La panique semble être quelque chose que nous activons et désactivons, ou modérons de différentes manières. Comprendre qui permet de révéler ce qui se passe réellement.
Pas besoin d'histoire. À l'heure actuelle, en temps réel, derrière le dos du coronavirus, se trouve la grippe ordinaire de tous les ans. Quelque 12 000 personnes sont décédées, dont plus de 13 millions ont été infectées par la grippe entre octobre 2019 et février 2020. Le nombre de morts est extrêmement élevé (à ce jour, le coronavirus a infecté 60 653 et tué 819 Américains). Franchement: plus de personnes sont déjà décédées de la grippe aux États-Unis que du coronavirus en Chine, en Iran et en Italie réunis. Double en fait. Pour être encore plus franc, personne ne s'en soucie vraiment, même si un grand nombre de corps s'accumulent. Pourquoi ?
Les premiers cas de grippe porcine, H1N1, sont apparus en avril 2009. Au moment où Obama a finalement déclaré une urgence nationale sept mois plus tard, le CDC rapportait que 50 millions d'Américains, une personne sur six, avaient été infectés et 10 000 Américains avaient décédés. Au cours des premiers mois, Obama n’avait pas de secrétaire du HHS ou de personnes nommées aux 19 postes clés du département, ainsi qu’aucun commissaire de la Food and Drug Administration, aucun chirurgien général, aucun directeur du CDC. La vacance au CDC était particulièrement importante car au début de la crise, ils étaient les seuls à pouvoir dépister le virus (ça vous semble familier ?). Pourtant, 66% des Américains pensaient que le président les protégeait. Il n'y avait pas de panique. Pourquoi ?
RépondreSupprimerBien sûr, Trump n'est pas Obama. Mais si vous pensez vraiment que c'est ce noir et blanc, qu'un seul homme fait la différence dans la réponse à plusieurs niveaux du vaste gouvernement fédéral, vous ne savez pas grand-chose sur la bureaucratie. La plupart des personnes qui ont géré la grippe porcine travaillent maintenant le coronavirus, depuis les rangs du CDC, du HHS et du DHS jusqu'aux têtes d'affiche comme les Drs. Andrew Fauci (au gouvernement depuis 1968, a travaillé Ebola) et Deborah Brix (au gouvernement depuis 1985, avant la couronne était une nomination d'Obama AIDS).
Peut-être l'exemple le plus saillant est le 11 septembre. Ceux qui l'ont vécu s'en souviennent bien, les alertes de menace de couleur, les cellules djihadistes à chaque coin de rue, le sentiment d'impuissance apprise / enseignée. L'ennemi pouvait être n'importe où, partout et nous n'avions aucun moyen de riposter. Mais parce que les Dems et les Repubs disaient la même chose, il y avait une patine de camaraderie (dirigée par Rudy Giuliani et Mike Bloomberg, où sont-ils maintenant ?), Pas de discorde. Mais la panique était toujours bien réelle.
Pourquoi ? Nous avons paniqué lorsque les gens ont pris des mesures pour que nous le fassions. Nous avons gardé notre calme quand il n'y avait rien à gagner en nous poussant à la panique (la grippe porcine a frappé au milieu de la crise du logement; il y avait de quoi s'inquiéter). Après le 11 septembre, une population effrayée a non seulement soutenu tout ce que le gouvernement voulait faire, mais elle en a exigé davantage. Presque tout le monde a applaudi les guerres en Afghanistan et en Irak, et ne pas croire que le gouvernement voulait dire que vous étiez de leur côté. Le Patriot Act, qui a supprimé des pans entiers de la Déclaration des droits, a été massivement soutenu. Il n'y a pas eu de débat sur la torture, les colonies pénitentiaires au large, les assassinats, les enlèvements et toutes les petites horreurs. Le peuple américain a considéré cela comme une direction compétente et a réélu George W. Bush. La peur était une monnaie politique.
Besoin d'un exemple 2020 sur la façon de manipuler la panique ? Suite aux craintes d'une bombe liquide, la TSA a limité les bagages de cabine à quatre onces pendant des années. Je ne peux pas faire trop attention ! Pourtant, à cause de la couronne, ils ont juste changé la limite pour le désinfectant pour les mains uniquement (qui, avec sa teneur en alcool, est en fait inflammable, par opposition au shampooing) à 12 onces. Le théâtre de la sécurité a fermé ce soir aux côtés de Broadway.
Les fausses mesures sont également manipulatrices car elles font paraître la peur scientifique. Nous ignorons le faible taux de mortalité et nous concentrons sur le nombre de tests effectués. Mais quoi que nous fassions ne sera jamais suffisant, ne pourra jamais être suffisant, de la même manière que toute aide post-catastrophe n'est jamais livrée assez rapidement car les tests ne consistent pas (simplement) à découvrir l'étendue du virus. Pour ceux qui ont des motifs coquins, il s'agit de créer une course que nous ne pouvons pas gagner, donc les tests deviennent une preuve d'échec. Pensez à la réalité de «tous ceux qui le souhaitent devraient passer un test». Les États-Unis comptent 331 millions de personnes. Tester 10% d'entre eux en sept jours signifie 4 714 285 personnes par jour tandis que les 90% restants retiennent leur souffle. Les tests à la demande ne sont pas réalistes à cette échelle. Le test sélectif basé sur la décision est ce qui fonctionnera.
RépondreSupprimerLa Corée du Sud, considérée comme le maître des tests de masse, a réalisé à son apogée environ 20 000 par jour. Seulement 4% étaient positifs, beaucoup d'efforts pour un peu de réconfort. Les tests sont utiles pour identifier le besoin de distanciation sociale, mais des outils contondants comme la distanciation sociale de masse (voir Chine) fonctionnent également. Les tests ne guérissent pas le virus. Vous pouvez masquer le nombre d'infections en ne testant pas (ou prétendre ainsi stimuler la peur), mais les personnes très malades se font connaître dans les hôpitaux et les cadavres réels sont difficiles à ignorer. Les tests obtiennent la presse, mais la morbidité réelle est le point de données le plus clair.
Il y aura du temps pour des revues après action et des arguments sur la responsabilité. Cette période n'est jamais au milieu des choses, et il faut remettre en question les motivations des journalistes qui utilisent un accès rare au président pour poser des questions destinées à saper largement la confiance. S'ils réussissent, nous nous tournerons bientôt les uns contre les autres. Vous avez voté pour lui; c'est pourquoi nous sommes ici maintenant. Votez pour Bernie et Trump gagne et nous mourons tous littéralement. Vous avez acheté le dernier papier toilette. Vous pouvez vous permettre un traitement, je ne peux pas. Vous travaillez en sécurité à la maison pendant que je dois sortir. Attendez simplement que le concept de triage médical de longue date soit reconditionné par les médias comme un «privilège» et que l'enfer se déchaîne dans les salles d'urgence. On pourrait finir par s'entretuer alors même que le virus s'estompe.
À tout le moins, nous aurons été conditionnés à de nouveaux précédents de contrôle sur les décisions personnelles, la vie civile, la liberté de mouvement et de réunion, les fermetures de toute la ville, l'éducation et un rôle croissant du gouvernement et des militaires dans les soins de santé. Les enseignants, ne soyez pas surpris si moins d’entre vous et moins de salles de classe sont nécessaires dans un futur sans virus, en faveur de plus de classes en ligne. C'est presque comme si quelqu'un profite de nos peurs pour ses propres profits et son propre intérêt.
Il existe de nombreuses raisons de prendre des mesures prudentes. Il n'y a pas de bonnes raisons de craindre et de paniquer. La peur encouragée n'a aucun fondement rationnel par rapport à la grippe ordinaire et à la grippe porcine de 2009. Nous avons un exemple terrifiant dans le 11 septembre de la facilité avec laquelle les personnes craintives sont manipulées. Rester calme et aider les autres à le faire est une grande partie de votre contribution aux secours en cas de catastrophe.
C’est une façon de voir cela. Cependant, trop de personnes semblent rechercher Jim Jones.
https://www.zerohedge.com/political/wake-your-fears-are-being-manipulated
Bill Gates propose d'implanter une capsule (implant) validant le test négatif du corona virus pour pouvoir travailler à nouveau... Nous y voilà...
RépondreSupprimerjeudi, 26 mars 2020 19:18
Ca y est, l'arrière plan du show corona démarre... Bill Gates propose un certificat sous forme de chips implant donnant le droit de retravailler après la corona épidémie... Il a répondu dans une session REDDIT à des américains...
A noter qu'il développe la même techno pour le HIV ou la contraception... https://www.gatesfoundation.org/Where-We-Work/China-Office/Case-Highlights/An-Effective-Affordable-Contraceptive-Implant
La prévention hahahhaha https://minorityaidssupport.org/bill-gates-invests-140m-into-company-creating-hiv-prevention-implant/
Je copie colle l'article compte rendu de REDDIT en anglais car c'est le genre de truc qui doit rester. C'est notre futur. C'est celui que je refuse. C'est la raison pour laquelle je pense qu'il faut aller off the grid unplugged de la matrice en tribu. Je suis certain que nous pourrons bientôt plus voyager sans clearance, donc sans puce dans notre corps. Les anti complotistes vont se reveiller avec leurs croyances intactes... mais une belle pupuce dans le bras...
source https://www.ghanacrusader.com/bill-gates-to-use-microchip-implants-to-fight-coronavirus/
Microsoft co-founder Bill Gates will launch human-implantable capsules that have ‘digital certificates’ which can show who has been tested for the coronavirus and who has been vaccinated against it.
The 64 year old tech mogul and currently the second richest person in the world, revealed this yesterday during a Reddit ‘Ask Me Anything’ session while answering questions on the COVID-19 Coronavirus Pandemic.
Gates was responding to a question on how businesses will be able to operate while maintaining social distancing, and said that, “Eventually we will have some digital certificates to show who has recovered or been tested recently or when we have a vaccine who has received it.”
The ‘digital certificates’ Gates was referring to are human-implantable ‘QUANTUM-DOT TATTOOS’ that researchers at MIT and Rice University are working on as a way to hold vaccination records. It was last year in December when scientists from the two universities revealed that they were working on these quantum-dot tattoos after Bill Gates approached them about solving the problem of identifying those who have not been vaccinated.
The quantum-dot tattoos involve applying dissolvable sugar-based microneedles that contain a vaccine and fluorescent copper-based ‘quantum dots’ embedded inside biocompatible, micron-scale capsules. After the microneedes dissolve under the skin, they leave the encapsulated quantum dots whose patterns can be read to identify the vaccine that was administered.
The quantum-dot tattoos will likely be supplemented with Bill Gates’ other undertaking called ID2020, which is an ambitious project by Microsoft to solve the problem of over 1 billion people who live without an officially recognized identity. ID2020 is solving this through digital identity. Currently, the most feasible way of implementing digital identity is either through smartphones or RFID microchip implants. The latter will be Gates’s likely approach not only because of feasibility and sustainability, but also because for over 6 years, the Gates Foundation has been funding another project that incorporates human-implantable microchip implants. This project, also spearheaded by MIT, is a birth control microchip implant that will allow women to control contraceptive hormones in their bodies.
RépondreSupprimerAs for ID2020, to see it through, Microsoft has formed an alliance with four other companies, namely; Accenture, IDEO, Gavi, and the Rockefeller Foundation. The project is supported by the United Nations and has been incorporated into the UN’s Sustainable Development Goals initiative.
It will be interesting to see how Bill Gates and ID2020 will execute all this because many Christians, and surprisingly a growing number of Shia Muslims, are very opposed to the idea of microchipping and any form of body-invasive identification technology. Some Christian legislators and politicians in the United States have even tried to ban all forms of human microchipping.
But, on the other hand, this is Bill Gates’ perfect opportunity to see the projects through because as the coronavirus continues to spread and more people continue to die from the pandemic, the public at large is becoming more open to problem-solving technologies that will contain the spread of the virus.
The main reason many Christians and some Shia Muslims are opposed to body-invasive identification technologies, however helpful such technologies are for preventing pandemics, is because they believe that such technologies are the so called ‘Mark of Satan’ mentioned in the Bible and some Mahdi prophecies. In the Book of Revelations in the Bible, anyone who does not have this “mark” is not allowed to buy or sell anything.
Last year in November, a Denmark-based tech company which had contracts to produce microchip implants for the Danish Government and the US Navy, had to cancel the launch of its supposedly “revolutionary” Internet-of-Things powered microchip implant after Christian activists attacked its offices in Copenhagen.
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/bill-gates-propose-d-implanter-une-capsule-implant-validant-le-test-negatif-du-corona-virus-pour-pouvoir-travailler-a-nouveau-nous-y-voila.html
TRADUC:
SupprimerLe co-fondateur de Microsoft, Bill Gates, lancera des capsules implantables chez l'homme dotées de «certificats numériques» qui peuvent montrer qui a été testé pour le coronavirus et qui a été vacciné contre celui-ci.
Le magnat de la technologie de 64 ans et actuellement la deuxième personne la plus riche du monde, l'a révélé hier lors d'une session Reddit "Ask Me Anything" tout en répondant à des questions sur la pandémie de coronavirus COVID-19.
Gates répondait à une question sur la façon dont les entreprises pourront fonctionner tout en maintenant une distance sociale, et a déclaré: «Finalement, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou qui a été testé récemment ou quand nous avons un vaccin qui l'a reçu. . "
Les «certificats numériques» auxquels Gates faisait référence sont des «TATOUAGES QUANTUM-DOT» implantables par l'homme sur lesquels les chercheurs du MIT et de la Rice University travaillent comme moyen de tenir des registres de vaccination. C'était l'année dernière en décembre lorsque des scientifiques des deux universités ont révélé qu'ils travaillaient sur ces tatouages ??à points quantiques après que Bill Gates les ait approchés pour résoudre le problème de l'identification de ceux qui n'avaient pas été vaccinés.
Les tatouages à points quantiques impliquent l'application de micro-aiguilles solubles à base de sucre qui contiennent un vaccin et des «points quantiques» à base de cuivre fluorescent intégrés dans des capsules biocompatibles à l'échelle du micron. Après la dissolution des microneedes sous la peau, ils quittent les points quantiques encapsulés dont les motifs peuvent être lus pour identifier le vaccin qui a été administré.
Les tatouages à points quantiques seront probablement complétés par une autre entreprise de Bill Gates appelée ID2020, qui est un projet ambitieux de Microsoft pour résoudre le problème de plus d'un milliard de personnes qui vivent sans identité officiellement reconnue. ID2020 résout ce problème grâce à l'identité numérique. Actuellement, le moyen le plus réalisable de mise en œuvre de l'identité numérique consiste à utiliser des smartphones ou des implants de puces RFID. Ce dernier sera l'approche probable de Gates non seulement en raison de la faisabilité et de la durabilité, mais aussi parce que depuis plus de 6 ans, la Fondation Gates finance un autre projet qui intègre des implants de micropuces implantables par l'homme. Ce projet, également mené par le MIT, est un implant de micropuce de contrôle des naissances qui permettra aux femmes de contrôler les hormones contraceptives dans leur corps.
Quant à ID2020, pour le concrétiser, Microsoft a formé une alliance avec quatre autres sociétés, à savoir; Accenture, IDEO, Gavi et la Fondation Rockefeller. Le projet est soutenu par les Nations Unies et a été intégré à l’initiative des Nations Unies pour les objectifs de développement durable.
Il sera intéressant de voir comment Bill Gates et ID2020 exécuteront tout cela, car de nombreux chrétiens, et étonnamment un nombre croissant de musulmans chiites, sont très opposés à l'idée de la micropuce et de toute forme de technologie d'identification invasive du corps. Aux États-Unis, certains législateurs et politiciens chrétiens ont même tenté d'interdire toutes les formes de micropuce humaine.
Mais, d'autre part, c'est l'occasion idéale pour Bill Gates de mener à bien les projets car, à mesure que le coronavirus continue de se propager et que de plus en plus de personnes meurent de la pandémie, le grand public devient plus ouvert aux technologies de résolution de problèmes qui contiendra la propagation du virus.
SupprimerLa principale raison pour laquelle de nombreux chrétiens et certains musulmans chiites sont opposés aux technologies d'identification invasive du corps, même si ces technologies sont utiles pour prévenir les pandémies, c'est parce qu'ils croient que ces technologies sont ce que l'on appelle la «marque de Satan» mentionnée dans la Bible et certains Mahdi. prophéties. Dans le livre des révélations dans la Bible, quiconque n'a pas cette «marque» n'est pas autorisé à acheter ou vendre quoi que ce soit.
L'année dernière, en novembre, une société de technologie basée au Danemark qui avait des contrats pour produire des implants de micropuces pour le gouvernement danois et la marine américaine, a dû annuler le lancement de son implant de micropuce supposément «révolutionnaire» alimenté par Internet des objets après l'attaque de militants chrétiens ses bureaux à Copenhague.
Le corona virus n'est plus considéré comme très dangereux par la Grande Bretagne - le complot se confirme...
RépondreSupprimerCharles Dereeper
jeudi, 26 mars 2020 16:50
La Grande Bretagne vient de downgrader le corona virus... après avoir étudié les statistiques. Source site gouvernemental ici
https://www.gov.uk/government/collections/wuhan-novel-coronavirus
La liste des virus dangereux selon la santé anglaise est ici
https://www.gov.uk/guidance/high-consequence-infectious-diseases-hcid
Déjà, les anglais se sont cassés de l'Europe. Désormais, ils se cassent du corona virus...
Ca sent l'énorme embrouille cette histoire de corona au delà de tout ce qu'on imagine.
L'Italie réserve désormais ses appareils respiratoires pour les moins de 60 ans
https://www.thesun.co.uk/news/11232070/doctors-italy-ventilators-shortage-coronavirus/
Ce qui ne manque pas de piquant puisque on sait que ceux qui meurt sont les plus de 60 ans et c'est la raison principale pour laquelle on a bouclé et tué l'économie mondiale
https://www.worldometers.info/coronavirus/coronavirus-age-sex-demographics/
Et voilà que la principale raison de sauver des vies est annulée.
Si on met ca en parallèle avec les recommandations françaises qui font exactement l'inverse de ce que préconise le professeur Raoult au lieu par exemple de ne rien faire... lire mon article ici
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/doit-on-en-conclure-qu-ils-veulent-nous-vacciner-le-professeur-raoult-se-fait-jeter.html où l'on voit le gouvernement français en train de manipuler grossièrement les foules. Je parie qu'ils affirmeront sous peu qu'ils ont testé la recommandation du professeur Raoult et que cela ne marche pas hahahahaha
Nous avons la farce européenne qui coute la plus chère dans l'histoire sous nos yeux.
Un pays qui se paye pendant des décennies un hopital et 800 chercheurs en virus et qui fait l'inverse des résultats des recherches pour sauver des vies
Un autre qui dit que finalement ce virus n'est pas très dangereux
Et un troisième qui ne cherche plus à sauver les plus de 60 ans alors que les moins de 60 ans sont infimes dans le taux de mortalité.
Aux USA, les démocrates jubilent en pensant qu'ils ont affaibli Trump alors qu'il existe une énorme probabilité pour qu'il passe comme un sauveur actif dans l'adversité et qu'il remporte une nouvelle fois les élections.
Je ne sais toujours pas ce qui va sortir du chapeau corona virus, mais sous nos yeux se joue un complot avec prise d'otage de l'économie mondiale.
Nous sommes élevés en occident dans la peur, la haine et la culpabilité. Les grosses ficelles sont toutes activées.
RépondreSupprimerCe que cela m'inspire c'est que les hommes ont appris avec la crise 2008 et parvenait dans le déséquilibre à faire de la croissance depuis 11 ans, à innover comme jamais, dans la paix.
Les détraqués du dessus ont mis fin à ce process dans un acte de prédation sans précédent dans l'histoire moderne.
Toutes les guerres ont été démarrées par des mensonges.
Voilà désormais que nous démarrons les récessions et dépressions économiques par mensonge.
Cette vie sur terre est à vomir.
Un de mes bons amis à Panama City aime à tous nous rappeler qu'il faut chaque jour chercher à transformer la merde en or, que c'est toujours possible du fait des polarités
Je cherche toujours comment transformer ce qui se passe actuellement en or (or étant un symbole pas forcément financier)...
Ma compassion pour l'être humain a subi un énorme krach et je suis en bear market. Objectif Eco est le dernier endroit où je donne encore de ma personne. Sinon, plus du tout envie de contribuer à l'intérêt général. Ca sert à rien.
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/le-corona-virus-n-est-plus-considere-comme-tres-dangereux-par-la-grande-bretagne-le-complot-se-confirme.html
Heureux les naufragés qui sur des îles lointaines n'ont pas de radios et bouffent des langoustes tous les jours !
SupprimerStaline se marre
RépondreSupprimerjeudi, 26 mars 2020 08:19
Incroyable, les bras m’en tombent.
Voyons, ai-je la berlue ? La sénilité me gagne-t-elle ?
Voici ce que j’ai vu concernant la santé.
Naguère un tissu de bonnes volontés maillait le pays, les médecins généralistes se déplaçaient au moindre coup de fil, ils soignaient, rassuraient, recousaient eux-mêmes les petites plaies, accouchaient parfois, etc… ils étaient présents partout, jusque dans les villages. Le pharmacien, souvent leur ami, préparait les décoctions souhaitées par le médecin, sur ses indications.
Tout cela n’était pas très rationnel, mais très humain.
Chaque ville avait ses cliniques, en plus de l’hôpital réservé lui aux cas lourds et aux indigents.
Voici ce que je vois maintenant.
De fringants intellectuels, maniant la macro-organisation, les chiffres, ont entrepris de concentrer la santé, prétendant à une efficacité accrue, alors qu’il s’agissait simplement de regrouper un pouvoir diffus pour en faire un pouvoir centralisé.
C’est ainsi que les médecins, peu à peu, ont été dépossédés de leurs actes de nécessité pour se contenter d’un flot assuré de patients référencés. Ils y ont gagné en tranquillité, ils y ont perdu en respect, en utilité.
Les cliniques, après une résistance désespérée, ont été pour la plus grande part éradiquées.
L’hôpital est devenu le seul interlocuteur de la santé.
Monstre froid et gigantesque, il est souvent le plus gros employer de la ville, juste avant ou après la mairie. Ce monstre n’est qu’apparence mais, tel le trou noir, il absorbe tout. Les malades n’ont plus le réflexe d’appeler leur médecin, ils vont aux urgences de l’hôpital.
Cette gigantesque structure ne correspond pas aux nécessités courantes des soins, qui ne demandent qu’exceptionnellement une lourde machinerie, d’ailleurs souvent malheureusement inefficace. Ces structures sont coûteuses, ont une inertie liée à leur modèle incompatible avec l’irrationalité de la maladie.
Conséquence
L’hôpital ne sait pas descendre au niveau de l’homme, il vit au niveau du global, or la maladie, elle, descend au niveau de l’homme, c’est son niveau naturel. L’hôpital et la maladie se croisent, mais ne se rencontrent pas souvent.
C’est ainsi que par le passé, face au Codiv-19, médecins et pharmaciens eurent été parfaitement capables, en un temps record, de tester toute la population, d’isoler les contaminés, d’envoyer aux cliniques les cas graves. Car leur maillage permettait cela, était à la dimension humaine de la maladie.
Alors que l’hôpital, coquille prétentieuse, remplie de vide, est non seulement incapable de tester la population, mais ne peut même pas protéger ses soignants.
Conclusions
Ici, comme en économie avec les banques, la centralisation a accouché d’un monstre qui flatte l’orgueil des hommes de l’Etat, mais qui n’est pas efficient.
Tout le monde comprend, du moins je l’espère, que face à la dissémination des virus d’aujourd’hui et de demain la dissémination de l’outil de combat est la seule solution.
Que seuls les pharmaciens, les médecins de ville, sont à même de tester rapidement tout le monde, de distribuer les outils de protection, d’adresser les cas lourds aux cliniques et aux hôpitaux.
C’est là que je suis sur le cul.
Macron déclare qu’il va engager un gigantesque plan pour l’hôpital.
J’y crois pas. Où il va ce mec ?
Ça alors. Il n’aurait donc rien compris. Il est étanche ?
Il va sans doute prendre le même genre de décision en économie.
La centralisation à outrance, c’est son credo, qu’elle folie. “L’Etat, l’Etat…”, qui n’existe pas. Qui, en réalité, n’est que lui et ses copains, qui ne sont donc pas conscients de s’être gravement plantés.
Staline rigole, il sait où cela mène, mais lui il s’en foutait il n’était là que pour partager le pouvoir avec ses pots, par pour diriger une démocratie.
Alors que l’épisode “Coronavirus” fait la démonstration des carences de la centralisation, que les souffrances et la déshumanisation engendrées sont colossales, Macron en rajoute une couche.
RépondreSupprimerIl va se faire lyncher.
Le jeune Macron ne se rend pas compte, mais quand il va falloir payer la facture, maman ne sera pas de trop pour le consoler.
Il fallait redonner sa place à l’individu, c’est la réussite des GAFA. Il sanctifie la technostructure, ce fut l’échec de l’URSS.
Ce petit homme-robot déclare effectivement la guerre… à son peuple !!!
Bien à vous. H. Dumas
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/staline-se-marre.html
RECHERCHE - BONNE NOUVELLE, LE CORONAVIRUS MUTE PEU !
RépondreSupprimerDes scientifiques ont observé que la souche italienne était proche de la chinoise. Or un vaccin est plus efficace si le virus est stable.
La souche italienne ne présente que cinq variations avec la chinoise, ce qui est peu.
27.03.2020, 06h55
La question se posait: le nouveau coronavirus est-il en constante mutation ? Il y avait eu notamment des rumeurs qu'une souche bien plus virulente se serait développée. Mais heureusement, cela ne semble pas être le cas.
Deux équipes de chercheurs italiens, l'une de l'Institut national des maladies infectieuses Lazzaro Spallanzani à Rome et l'autre de de la division médico-légale du Département des sciences biomédicales et de la santé publique de l'hôpital universitaire d'Ancône ont étudié son évolution depuis son apparition, explique Numerama. Elles ont comparé le génome du coronavirus récemment prélevé sur des patients italiens à celui de la souche chinoise, cartographié il y a deux mois à Wuhan.
Des vaccins longue durée
Alors oui, il existe des différences. Mais cinq variations seulement, ce qui est très peu surtout si l'on considère le nombre de cas qu'il y a eu entre-temps et la propagation de ce virus. «Nous aurions pu nous attendre à des dizaines de nouvelles mutations après tant de cycles infectieux chez les patients, a commenté le professeur Stefano Menzo , chef de la virologie à l'hôpital d'Ancône. Nos données initiales montrent qu'il s'agit d'un virus à ARN très stable. Un virus avec un génome stable est une bonne nouvelle pour le développement de vaccins car il indique que l'efficacité des vaccins pourrait être plus cohérente, peut-être sur plusieurs années.»
En effet, un vaccin sur un virus qui change beaucoup et rapidement risque fort de se montrer vite inefficace. Reste qu'il y a tout de même eu quelques mutations et qu'il est important de les comprendre, comme le souligne le Dr Maria Rosaria Capobianchi, cheffe du département de virologie de Institut Lazzaro Spallanzani: «Les génomes viraux sont dynamiques et ces données préliminaires nécessitent une analyse plus approfondie pour déterminer la signification biologique des variantes génétiques et pour étudier la voie évolutive du coronavirus.»
Découverte de trois femmes
Le Dr Maria Rosaria Capobianchi fait partie du groupe de ces trois femmes qui sont parvenues à isoler le coronavirus italien en février 2020, avec Francesca Colavita et Concetta Castilletti. Ce qui a constitué une avancée majeure pour la lutte contre ce virus.
Michel Pralong
https://www.lematin.ch/sante/sciences/bonne-nouvelle-coronavirus-mute/story/12896647
Selon une étude universitaire, un incendie n'a pas provoqué l'effondrement du bâtiment 7 le 11 septembre
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
27 mars 2020
Il est regrettable qu'un rapport aussi important ait été publié lors d'une crise sanitaire et économique alors qu'il sera éclipsé et négligé par deux crises simultanées.
Le 25 mars 2020, des chercheurs de l'Université d'Alaska Fairbanks ont publié le rapport final d'une étude de modélisation informatique de quatre ans sur l'effondrement du World Trade Center Building 7.
Le WTC 7 de 47 étages était le troisième gratte-ciel à être complètement détruit le 11 septembre 2001, s'effondrant rapidement et symétriquement dans son empreinte à 17h20. Sept ans plus tard, les enquêteurs de l'Institut national des normes et de la technologie (NIST) ont conclu que le WTC 7 était le premier gratte-ciel à ossature d'acier à s'être effondré uniquement à la suite d'incendies de bureaux normaux.
Contrairement aux conclusions du NIST, l'équipe de recherche de l'UAF constate que l'effondrement du WTC 7 le 11 septembre n'a pas été causé par des incendies, mais a été causé par la défaillance quasi-simultanée de chaque colonne du bâtiment [ce qui signifie qu'il s'agissait d'un contrôle démolition].
Le rapport final de l'étude d'ingénierie de l'Université de l'Alaska sur l'effondrement du bâtiment 7 du WTC peut être téléchargé ici ou ici :
https://www.lewrockwell.com/2020/03/paul-craig-roberts/university-study-finds-fire-did-not-cause-building-7s-collapse-on-9-11/
Il est faux de dire que des avions seraient allés se confiner en des tours sans avoir la carte-pass pour y entrer !
SupprimerCar, premièrement, les images projetées ne l'ont été que sur la façade et d'un seul côté ! (un hologramme ne traverse PAS les murs) où devait être projeté aussi les mot 'THE END'.
Et, deuxièmement, même si ce spectacle hollywoodien a eu un succès mondial (projeté sur 2 tours !), il n'en a pas été de même pour la troisième qui, après incident des projecteurs, n'a pu montrer sur l'écran n°7 l'image d'un avion.
Bref, ce jour là, les tours amiantées et non-louables devaient être détruites (les artificiers avaient longuement travaillé pour çà ! Rendez-vous compte pose de thermite sur 110 étages ! jusqu'à 415 et 417 m d'hauteur ! 200 000 tonnes d'acier à faire disparaître sur l'empreinte de 63x63 m.
(...) Les deux tours ne réussirent pas à attirer la clientèle attendue. Elles furent occupées durant leurs premières années par des organisations gouvernementales variées, dont l'État de New York. Cette situation était due à la crise financière qui secoua New York dans les années 1970. Ce ne fut que dans les années 1980 que des sociétés privées s'installèrent dans le complexe, dont de nombreuses firmes financières liées à Wall Street. Toutefois, le World Trade Center ne devint jamais une adresse de prestige. (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/World_Trade_Center