le 17 mars 2020
Depuis plusieurs semaines je cherche à comprendre pourquoi le monde politique et les médias sont devenus complètement psychotiques avec le coronavirus millésime 2019 et j’ai finalement trouvé un début d’explication en regardant un exposé de Jean-Pierre Chevallier, économiste spécialiste de la monnaie. Mes lecteurs peuvent trouver le lien ici :
https://www.breizh-info.com/2020/03/16/138585/vers-un-tsunami-bancaire-en-europe/ . Voici la transcription (tant bien que mal) du passage relatif au coronavirus en fin d’exposé.
« Personnellement je suis réaliste, je regarde, j’observe la réalité. Qu’est-ce qui se passe avec le virus chinois en Chine, un pays de 1 milliard 300 millions, le virus c’est 3000 morts : c’est rien du tout ! Le nombre de Chinois qui meurent dans les accidents de la route c’est 20000 par mois, c’est un ordre de grandeur, ce qui fait 250000 par an. Donc à partir du moment où les Chinois restent chez eux et ne circulent plus il y a donc 20000 morts de moins par mois qui ne sont pas morts dans des accidents de la route et 3000 qui sont morts à cause de ce virus : on est gagnant … »
Olivier Pichon : « À qui profite le crime ? »
JP Chevallier : « Moi personnellement je pense que cette histoire de virus chinois c’est exactement la même chose que le réchauffement climatique : c’est du pipeau total, c’est quelque chose pour faire peur aux gens, ça permet par exemple en France de faire passer le 49.3. Et en fait c’est surtout aux États-Unis où tous les ennemis de Donald Trump veulent que la récession qui va se passer aux Etats-Unis se passe avant les élections américaines du mois de novembre. Cette récession qui devrait se produire aux États-Unis, (…) il y a un cycle qui se développe, obligatoirement (capture d’écran du cycle dont parle JP C ci-dessous) il y aura une récession aux États-Unis dans les mois qui viennent et cette récessions sera provoquée par un tsunami bancaire en Europe et donc il y aura des conséquences aux États-Unis. Et donc les Démocrates veulent cette récession pour contrer Donald Trump qui dit : « regardez, l’Amérique se porte très bien, il y a très peu de chômeurs, une croissance considérable, grâce à la politique que je mène » et qui défend les intérêts des Américains et de l’Amérique d’abord. »
Conclusion personnelle que je ne partage qu’avec moi-même. Comme JP Chevallier je persiste à considérer cette grippe à coronavirus comme une « grippette » et la psychose organisée autour de cette histoire de virus est préméditée comme je le suspectais il y a déjà plusieurs semaines. JP Chevallier vient d’apporter un peu d’eau dans mon moulin et je le remercie ici.
L’Algérie annonce la fermeture de ses mosquées
RépondreSupprimer10:38 17.03.2020
Sur fond de pandémie du coronavirus, les mosquées algériennes seront fermées jusqu’à nouvel ordre, tandis que les prières quotidiennes et la grande prière du vendredi seront suspendues, a annoncé le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs.
L’Algérie ferme ses mosquées à travers le pays jusqu’à nouvel ordre, a déclaré ce 17 mars le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Youcef Belmehdi, cité par la chaîne de télévision Ennahar.
Le Comité permanent pour la recherche et la fatwa a également suspendu les cinq prières quotidiennes, ainsi que la grande prière du vendredi. Seul l’appel à la prière sera maintenu, a précisé le ministre algérien.
Situation en Algérie
La veille, l’Algérie a annoncé la suspension du trafic aérien et maritime avec l’Europe à partir du 19 mars, en raison de la pandémie du coronavirus.
Selon le dernier bilan publié le 16 mars, l’Algérie a recensé 60 cas confirmés de coronavirus, dont quatre décès. À l’heure actuelle, huit wilayas algériennes sont touchées par le coronavirus.
La suspension de tous les voyages à destination et en provenance de la France est prévue ce 17 mars, alors que la compagnie aérienne Air Algérie organise des vols d’urgence pour rapatrier les citoyens algériens, selon une déclaration d’Alger faite le 15 mars.
https://fr.sputniknews.com/maghreb/202003171043303645-lalgerie-annonce-la-fermeture-de-ses-mosquees/
Et les églises c'est pour quand ?
SupprimerY a personne ! Hahaha !
Paris peu avant l'entrée en vigueur du confinement - vidéos
RépondreSupprimer12:14 17.03.2020
«Restez chez vous !», a déclaré le 16 mars au soir le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner. Seuls quelques déplacements sont autorisés à partir de mardi midi avec attestation sur l'honneur. Deux heures avant l’application des nouvelles mesures, la situation est présentée en direct depuis Paris.
Face à la pandémie de coronavirus, Emmanuel Macron a annoncé le 16 mars une restriction sévère des déplacements de la population durant 15 jours au moins.
Christophe Castaner a promis quelques heures plus tard la mobilisation de 100.000 policiers et gendarmes pour des contrôles.
«Le mot d'ordre est clair: restez chez vous!», a dit M.Castaner lors d'un point presse.
À partir de mardi midi, les déplacements et rassemblements sont «réduits au maximum».
https://fr.sputniknews.com/france/202003171043303869-en-direct-depuis-les-champs-elysees-peu-avant-lentree-en-vigueur-du-confinement/
En 2018, il y a eu 609 648 décès en France (Outre mer inclus) — contre 606 274 en 2017 —1 pour une population de 66,89 millions d'habitants soit un taux de mortalité de 9,1 pour 10001, un taux stable sur les 10 dernières années1.
SupprimerQuatre principales causes, tous sexes confondus, totalisent les deux tiers (67,1 %) des décès en France (données 2013): les tumeurs malignes (27,6 % des décès), les maladies de l’appareil circulatoire (maladies cardio-vasculaires, 25,1 %), les maladies de l’appareil respiratoire (6,6%) et les morts violentes (accidents, suicides et autres causes externes de décès, 6,5 %)2 (...)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mortalité_en_France
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En France, 606.000 personnes décèdent par an (2017), soit un décès toutes les 50 secondes environ (compteur), une hausse de 14 % en 10 ans. L'âge moyen du décès a été de 79 ans, soit 4 ans de plus qu'en 1997. En 2016, le nombre de décès diminue de 1% par rapport à 2015, soit 7.000 décès en moins.
https://www.planetoscope.com/mortalite/29-deces-en-france.html
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CORONAVIRUS - L'épidémie de coronavirus touche 155 pays dans le monde, près de 200 000 personnes sont contaminées et plus de 7000 sont décédées. En France, la population est confinée pour faire barrage au virus qui a déjà touché plus de 6600 personnes et causé 148 décès. Nombre de cas par régions, morts, gestes barrières... Comment se protéger de l'épidémie.
https://sante.journaldesfemmes.fr/maladies/2605417-coronavirus-france-carte-temps-reel-bilan-cas-mort-region-france/
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UN (1) MORT SUR SUR 1 MILLION 400 000 PERSONNES DANS LE MONDE !
MISE EN PLACE DE LA 'LOI MARTIALE' (déguisée en 'conseils' !) POUR INSTAURER LE 'NOUVEL ORDRE MONDIAL' !
alors qu'il ne s'agit que pas plus de morts à bicyclettes (dans le monde !) !
NOTEZ BIEN LE BROUILLAGE (CENSURE !) DE SITES SUR INTERNET !
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1100 morts de la grippe en France en 2019.
https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/mortalite-cause-deces/taux-mortalite-sexe-age/
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La mortalité dans le monde correspond à 1,81 décès chaque seconde sur Terre, soit 109 par minute et près de 157.000 décès par jour, soit près de 57,3 millions chaque année. C'est beaucoup, mais inférieur au nombre de naissances.
Supprimer(...) La mortalité dans le monde
tombe-mort-cimetière-décès
Combien de personnes sont mortes depuis le début de l'Humanité ?
108 000 000 000 décès
Environ 108 milliards d'êtres humains seraient morts sur terre depuis le début de l'Humanité (2015)
Nombre de décès dans le monde par an
59 000 000 décès par an environ
La mortalité mondiale est, heureusement, inférieure à la natalité mondiale : le solde explique la croissance démographique.
Les maladies du coeur tout comme le cancer sont en passe de devenir très prochainement et dans le monde entier la 1ère cause de mortalité
Selon un rapport de l'OMS sur la mortalité routière dans le monde, les accidents de la circulation tuent chaque année 1,2 million de personnes. Sur le rythme actuel, la route tuera 2,4 millions de personnes en 2030.
COMPARER : Mortalité - Morts d'accidents de la route dans le monde
La mortalité infantile
32 / 1000
Le taux de mortalité infantile dans le monde était 122 pour 1000 en 1960 et de 32 pour 1000 en 2017.
Dans le monde, 1 enfant sur 18 meurt dans sa première année (en 2005). Cela représente 7,6 millions de décès d'enfants de moins d'un an en une année
L'Afrique subsaharienne, qui abrite 11% de la population mondiale, compte 53% de mortalité maternelle, 50% de mortalité des enfants de moins de 5 ans
Ces cinq facteurs de risque sont à l'origine de 40% des 60 millions de décès recensés chaque année, selon l'OMS.
Dans un rapport sur les facteurs de risques pour la santé dans le monde, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) montre que la situation globale évolue. Le vieillissement de la population est la conséquence de progrès contre les maladies infectieuses, mais en même temps il augmente la charge des maladies chroniques dans la mortalité mondiale.
Les dix facteurs de risque principaux provoquent une baisse de sept ans de l'espérance de vie moyenne dans le monde, de dix ans pour l'Afrique. L'hypertension artérielle est à l'origine de 7,5 millions de décès chaque année dans le monde, soit 12,8% du total, devant le tabagisme (5,1 millions de décès, 8,7% du total). L'excès de sucre dans le sang (hyperglycémie) est la troisième cause de mortalité, devant l'inactivité physique, le surpoids et l'obésité.
Dans les pays riches, la situation est inversée pour les deux premières causes de mortalité: le tabagisme arrive en tête devant l'hypertension artérielle. Le surpoids et l'obésité sont au troisième rang dans les pays riches devant l'inactivité physique, l'hyperglycémie et l'excès de cholestérol. L'OMS souligne que dans le monde le surpoids et l'obésité provoquent davantage de décès que la malnutrition. Mais celle-ci reste la première cause de mortalité dans les pays pauvres.
Il y avait 340 000 centenaires dans le monde en 2012 ; ils seront 1 million en 2020 et 17 millions en 2098.
Causes principales des décès dans le monde
La mortalité chaque année :
- voir tableau sur site -
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, chaque année dans le monde :
303 000 femmes meurent suite à des complications pendant la grossese ou l'accouchement ;
Supprimer5.9 millions d'enfants meurent avant son cinquième anniversaire ;
2 millions de nouveaux cas de VIH, et 214 millions de paludisme ;
1.7 milliard de personnes ont besoin de traitement pour des maladies tropicaux laissées à l'abandon ;
plus de 10 millions de personnes meurent avant 70 ans à cause de maladies cardiovasculaires et du cancer ;
800 000 personnes se suicident ;
1.25 million de personnes meurent dans les accidents de la route ;
4.3 millions de personnes meurent à cause de la pollution ;
475 000 personnes sont tuées, dont 80% sont des hommes.
La mortalité au XXème siècle
- voir tableau sur site -
COMPARER : Décès en France
COMPARER : Cérémonies funéraires en France
https://www.planetoscope.com/mortalite/22-deces-dans-le-monde.html
Voici venir les licenciements massifs: le site de chômage de New York tombe en panne après que "des dizaines de milliers" aient perdu leur emploi
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 17/03/2020 - 06:11
À bien des égards, l'économie américaine est actuellement dans l'œil de la tempête de coronavirus: les villes et les États sont sous contrôle de quarantaine, le CDC a interdit tout regroupement de plus de 50 personnes; les magasins, les clubs, les restaurants, les bars et les hôtels ferment volontairement indéfiniment alors que l'économie s'arrête, mais en plus d'une tapisserie de villes fantômes à travers le pays, l'impact immédiat de la tempête virale dévastatrice sur l'économie des services doit encore se manifester.
Mais l'ouragan est sur le point de frapper l'avant et le centre, et la Mecque de l'industrie des services de New York ouvre la voie.
Comme le rapporte le Daily News, le site Web de New York sur le chômage a été submergé lundi alors que la pandémie de coronavirus a mis des dizaines de milliers de personnes à travers l'État sans emploi.
Le flot de travailleurs soudainement sans emploi frappant le site Web du ministère du Travail avec des demandes d'allocations de chômage a été déclenché par une décision drastique du gouvernement Cuomo, qui a annoncé que tous les restaurants, bars, cinémas, gymnases et casinos de l'État fermeraient à 20 heures. Lundi pour contenir l'épidémie corona.
Tant de personnes ont essayé de postuler que le site Web s'est écrasé plusieurs fois dans la journée, tandis que la hotline du DOL était tellement bloquée que les appelants qui cherchaient de l'aide ne pouvaient pas contacter quelqu'un qui pouvait traiter leur demande.
Les chômeurs peuvent postuler de 7h30 à 17h. en semaine. La porte-parole de DOL, Deanna Cohen, a déclaré que le département avait vu un "pic de volume comparable à celui du 11 septembre", ajoutant qu'il y avait plus de 700 membres du personnel affectés pour gérer la forte demande.
"Je ne peux absolument pas me connecter et postuler", a déclaré Gabe Friedman, 26 ans, une drag queen qui joue sous le nom de Kiki Ball-Change. "Moi et tant d'autres drag queens sont complètement sans travail depuis au moins deux mois. Si je paie un loyer fin avril, je serais fauché."
Ce ne sont pas seulement les drag queens qui se retrouvent sans demande pour leurs "compétences" uniques: des dizaines de milliers de travailleurs dans les industries de services de New York ont ??déjà été ou sont sur le point d'être licenciés car leurs employeurs sont contraints de fermer définitivement ou hiberner jusqu'à la reprise de l'économie.
Le DOL a annulé dimanche une période d'attente de sept jours sur les allocations de chômage pour les personnes sans emploi en raison d'un coronavirus - mais cette concession s'est avérée théorique car de nombreuses personnes ne pouvaient pas postuler du tout.
RépondreSupprimerRita Lee, 57 ans, qui travaille dans l'industrie cinématographique (je l'espère pas en tant que roi des dragsters), a déclaré qu'elle avait commencé à postuler dimanche soir après la fermeture des productions cinématographiques à travers la ville. Elle a frappé un mur une fois les candidatures ouvertes lundi.
De 11 h à 15 h Lee a essayé et n'a pas réussi à postuler sur le site Web, affirmant qu'elle continuait à "recevoir un message d'erreur du système ou du serveur, sinon la page ne se chargera jamais."
"J'ai appelé tous les numéros gratuits, qui sont des enregistrements qui vous redirigent vers un menu principal ou un message disant que tous les opérateurs sont surchargés maintenant et pour rappeler", a déclaré Lee. "Je ne peux pas joindre un humain pour l'aider."
David Stollings, ingénieur du son dans un théâtre de Broadway maintenant fermé, a qualifié la situation de dramatique. «J'ai chargé le site une fois», a expliqué Stollings. "Avant cela, il ne se chargeait tout simplement pas."
Marnia Halasa, une entraîneure de patinage artistique basée à Manhattan, a déclaré qu'elle n'était pas non plus en mesure de postuler et qu'elle s'inquiétait du paiement du loyer. "Et si je devais faire sauter l'articulation de popsicle de New York et retourner en Ohio pour vivre avec mon père?", A demandé Halasa, qui a vécu dans la ville pendant 28 ans.
* * *
Bien que le nombre de New-Yorkais perdra leur emploi en raison de la pandémie, le fondateur d'Empire Center E.J. McMahon a déclaré au NYDN que le coup pourrait être pire que la Grande Récession de la fin des années 2000, quand environ 370 000 personnes ont perdu leur emploi en plus de deux ans.
"Le site Web s'est écrasé, c'est la preuve qu'il n'y a jamais eu quelque chose comme ça aussi rapidement", a déclaré McMahon. "Vous pouvez résoudre un problème informatique. Mais je ne pense pas que le problème est de savoir comment fonctionne le filet de sécurité. Je pense que le problème est comment l'économie fonctionnera à l'avenir pour toutes ces personnes. "
Soit dit en passant, l'économiste en chef d'un macro-fonds de couverture de plusieurs milliards de dollars nous a informés qu'il modélisait maintenant environ 10 millions de pertes d'emplois au cours des deux à trois prochains mois. Nous laissons aux lecteurs le soin de décider si c'est trop peu, trop ou juste.
https://www.zerohedge.com/economics/here-come-mass-layoffs-new-york-unemployment-site-goes-down-after-tens-thousands-lose
Le Danemark adopte une loi autorisant les vaccinations forcées contre les coronavirus
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 17/03/2020 - 05h00
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Le Danemark a adopté une loi d'urgence qui permet au gouvernement d'obliger les gens à prendre un vaccin contre le coronavirus.
La loi d'urgence donne aux autorités des pouvoirs étendus pour lutter contre la pandémie de COVID-19 et restera en vigueur jusqu'en mars 2021.
Les citoyens qui refusent de subir un test de dépistage du coronavirus s'exposeront à des amendes et à des peines de prison potentielles, et ne pourront pas entrer dans les magasins, les épiceries, les institutions publiques et les hôpitaux tout en étant empêchés d'utiliser les transports publics.
«En plus d'appliquer des mesures de quarantaine, la loi permet également aux autorités de forcer les gens à se faire vacciner, même s'il n'y a actuellement aucune vaccination contre le virus», rapporte la section locale.
Le professeur de droit de l'Université de Copenhague, Jens Elo Rytter, a déclaré que les nouvelles mesures étaient "certainement les plus extrêmes depuis la Seconde Guerre mondiale".
Le projet initial de loi était encore plus draconien et aurait permis à la police d'entrer dans des maisons privées sans mandat en cas de suspicion d'infection par un coronavirus.
Cependant, cette mesure a été abandonnée après l'opposition d'autres partis au Parlement.
Le Danemark compte actuellement 875 cas de coronavirus enregistrés et a enregistré 2 décès.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/denmark-passes-law-enabling-forced-coronavirus-vaccinations
Superbe vidéo d'une Europe verrouillée
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 17/03/2020 - 04:15
Une flambée massive de cas de coronavirus à travers l'Europe a forcé certaines des plus grandes économies du continent à appliquer des règles strictes de distanciation sociale pour aplatir la courbe du ralentissement des infections. L'Europe est la nouvelle Chine, et avec l'Italie et l'Espagne bloquées, la France commence à fermer des restaurants, des bars et tous les magasins non essentiels.
La crise sanitaire qui se développe en Europe se produit dans les plus grandes économies du continent, dont l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne - avait enregistré près de 44 000 cas confirmés au total lundi matin.
Les utilisateurs de Twitter en Europe ont enregistré des photos et des vidéos de l'impact de la crise du virus sur leur vie:
Rapports de convois militaires près de la frontière belge avec la Hollande.
Les manifestations antigouvernementales en France se sont poursuivies ce week-end, malgré les ordres de verrouillage de virus.
Dimanche, dans certaines parties de Paris, les rues étaient vides et les commerces fermés.
L'Allemagne a fermé sa frontière avec la France.
Des images de drones montrent des autoroutes désertes dans le nord de l'Italie.
Les villes d'Italie se sont transformées en villes fantômes.
Les règles de distanciation sociale sont suivies dans un café en Italie.
La situation actuelle dans un hôpital en Italie.
Apparemment, une ligne qui descendait la rue dans un supermarché italien.
Les villes de tentes d'hôpitaux abritant des malades en Italie, le système hospitalier étant surchargé
La police d'Adajoz, en Espagne, conduisant avec des haut-parleurs disant aux gens de ne pas sortir de la rue.
La police espagnole pilote un drone et dit aux gens de rester à l'intérieur. Cela a également été fait en Chine.
L'Espagne a beaucoup de papier hygiénique sur les étagères des magasins mais manque de nourriture.
Les troupes désinfectent les lieux publics en Espagne.
La plupart des pays occidentaux sont sur des trajectoires similaires à Covid-19 - et sans distanciation sociale extrême comme les quarantaines de masse - la courbe continuera à être exponentielle et non aplatie.
Tout ce que vous venez de voir en Europe, les blocages, ect ... - eh bien, ça arrivera en Amérique dans les semaines à venir. Préparer.
- voir photos sur site :
https://www.zerohedge.com/markets/stunning-video-locked-down-europe
7 milliards de personnes divisées par 5000 morts = 1 400 000 !
SupprimerSoit: UNE PERSONNE MORTE DU 'CORAN-A-VIRUS' SUR UN MILLION QUATRE CENT MILLE !
WÔÂÂH !
150 m de queue au supermarchés ! HAHAHAHAHA !
(Les arabes se déplaceraient en fourgon et, une quinzaine d'enfants sans parent de caddies fond le plein et dévalisent les rayons afin de créer l'angoisse de la famine à venir qui est presque au coin de la rue !) Ôh PUTAIN !
Et, dans la queue (disons plutôt 'enfile indiennes' !) il y a des personnes qui ont listé du 'bio' ! "Du bio ?!! Non mais t'es folle ou quoi tu regardes trop la télé ! Le 'bio' c'est TOUT ce qui est non-traité ! TOUTES les plantes du monde attrapent des maladies ! TU MANGES DES PLANTES MALAAAADES ! C'est comme si tu mangeais de la viande de vaches folles, du poulet de la grippe aviaire ou du porc en diarrhée de cochon ! Bouffez du bio ça tue ! Et surtout Sarah Con !
Premièrement, tester les personnes croyantes en dieu !
Deuxièmement, rappeler à ces cons le '11 Septembre' !
Troisièmement, leur dire qu'il y a un virus mortel-mort qui à tué des milliards de personnes (ou 'va le faire' ! ôh quoi si o peut plus s'amuser !...) !
Quatrièmement, les trous de cul paniquent et s'irritent ! Whôâh ! Là çà commence à devenir intéressant !
ÔH PUTAING ! Ils ont fermé les écoles, bordels et supermarchés et les vols d'avions ! (mais pas de voitures ! Ouf !) et vont déployer dans les rues la Gestape-des-gestapes ! Ils tireront sur toutes celles et tous ceux qui osent sortir de chez eux ou ouvrent la fenêtre 'pour voir' !! Hahahaha !
ÔH Putaingue là çà commence à être intéressant !
Covid-19 Helicopter Money: allez grand maintenant ou rentrez chez vous
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 17/03/2020 - 08:27
Écrit par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,
C'est pourquoi il est impératif d'aller grand maintenant, et de faire des plans pour soutenir les ménages les plus vulnérables et les petits employeurs non pas pendant deux semaines mais pendant six mois - ou si longtemps s'avère nécessaire.
Le fait que les gouvernements du monde entier seront contraints de distribuer de l '«argent d'hélicoptère» pour maintenir leurs populations nourries et logées et leurs économies d'imploser est déjà acquis. La fermeture de toutes les entreprises et rassemblements non essentiels compromettra les moyens de subsistance de millions de ménages et de petites entreprises qui n'ont pas les ressources financières pour survivre des semaines sans aucun revenu.
La seule question est de savoir si les gouvernements qui peuvent emprunter ou imprimer de la monnaie fraîche devanceront l'implosion ou prendront du retard, créant un choix binaire: aller gros maintenant ou rentrer chez eux.
Les demi-mesures en argent d'hélicoptère fonctionnent aussi bien que les demi-mesures en quarantaine, c'est-à-dire qu'elles n'atteignent pas les objectifs prévus. Dribbler de modestes prêts à faible taux d'intérêt est une demi-mesure, tout comme la réduction des charges sociales. Aucune de ces mesures n'aidera les employés ou les petites entreprises dont le revenu est tombé en dessous du minimum nécessaire pour payer les factures essentielles: loyer, nourriture, services publics, etc.
Pendant ce temps, les élites dirigeantes seront soumises à des pressions croissantes pour renflouer les élites financières cupides et les joueurs - les mêmes scélérats et parasites qu'ils ont renfloués en 2008-2009. Mais ce n'est pas seulement une autre bulle spéculative, c'est une question de vie et de mort et de solvabilité pour les masses de ménages à risque et les petites entreprises. C'est une situation différente et une crise différente, et le renflouement des parasites avides (banques, sociétés endettées, spéculateurs, financiers, etc.) n'ira pas trop loin alors que les ménages et les petites entreprises feront faillite.
La Réserve fédérale vient de recevoir une leçon sur l'inefficacité du «bazooka» monétaire habituel dans le sauvetage de la classe prédatrice-parasitaire des joueurs surendettés. L'argent presque gratuit pour les financiers ne sauvera pas l'économie ou les non-élites glissant vers l'insolvabilité.
Au lieu de laisser les 99,5% inférieurs se tordre dans le vent tout en enrichissant la classe prédatrice-parasitaire, les élites dirigeantes devront laisser les 0,5% supérieurs se tordre dans le vent et sauver les 99,5% inférieurs. Cela nécessitera d'aller contre tous les milliers de lobbyistes, tous les copains du club et tous les millions de contributions à la campagne, mais c'est un choix binaire.
Soit sauvez vos citoyens ou sacrifiez votre légitimité en renflouant la classe prédatrice-parasitaire. Si les élites dirigeantes sauvent leurs copains parasites, le public exigera les cuirs chevelus de la classe prédatrice-parasitaire et, à mesure que la crise s'aggravera, ils expulseront tous les crapauds élus, avides et cupides, qui ont cédé à la classe des parasites prédateurs.
Alors écoutez les élites dirigeantes: allez grand ou rentrez chez vous. Soit accepter qu'il faudra plusieurs billions de dollars en hélicoptère pour assurer que les ménages les plus vulnérables et les entreprises du monde réel restent solvables, soit démissionner et rentrer chez eux.
RépondreSupprimerLa crise pandémique ne se terminera pas en avril ou en mai, bien que l'envie de se livrer à une telle pensée magique soit puissante. Il pourrait encore se développer en août et septembre.
C'est pourquoi il est impératif d'aller grand maintenant, et de faire des plans pour soutenir les ménages les plus vulnérables et les petits employeurs non pas pendant deux semaines mais pendant six mois - ou si longtemps s'avère nécessaire.
https://www.zerohedge.com/political/covid-19-helicopter-money-go-big-now-or-go-home
Bunkers de style militaire, cocktails IV et tests privés: comment l'auto-quarantaine des élites
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 17/03/2020 - 05:45
La chose la plus intéressante à propos de coranavirus est que c'est un problème qui affecte tout le monde, principalement biaisé aux baby-boomers, mais qui est néanmoins un virus terrifiant et à propagation rapide qui a consommé le monde. Et comme les kits de tests médicaux manquent, pas de vaccin pendant 12 à 18 mois, cela signifie que les super-riches ne peuvent pas se racheter de cette crise. C'est pourquoi ils chargent leurs sacs de voyage design sur des jets privés et se dirigent vers des bunkers de style militaire pour survivre à la pandémie.
Eh bien, merde, comme le reste d'entre nous, nous allons juste devoir nous adapter à la nouvelle norme de porter des masques 3M N-95 et appliquer périodiquement Purell sur nos mains si nous sortons en public. Mais pour les super-riches, ils ont le luxe de sauter dans un avion privé vers un bunker en cas de catastrophe spécialement conçu et préparé dans des pays ou des régions qui connaissent une propagation communautaire relativement faible.
Le Guardian affirme que la demande de jets privés a grimpé en flèche alors que les personnes les plus riches du monde évitent les aéroports et emmènent des "médecins ou infirmières personnels" dans leurs bunkers en cas de catastrophe pour surmonter la tempête du virus.
Mark Ali, directeur général et directeur médical de la Private Harley Street Clinic, a déclaré à The Guardian que des gens riches exigeaient des kits de test du virus Covid-19, prêts à payer le prix fort pour un test, mais comme Ali l'a expliqué:
- voir photos sur site -
"Cela a conduit à une énorme demande de la part de personnes très riches qui demandent si elles peuvent payer pour des tests privés. Malheureusement, nous ne sommes pas en mesure de proposer des tests, car le NHS de Londres a déclaré que tous les tests devraient être effectués de manière centralisée."
Ali a déclaré que les riches avaient demandé des vaccins Covid-19. Il leur a également dit que les traitements ne seraient pas attendus avant l'année prochaine.
"[L'épidémie de Covid-19] a certainement attisé les réactions des gens", a-t-il dit. «Nous avons donné beaucoup de vaccins contre la grippe et des consultations générales aux personnes qui souhaitent parler en détail de leur santé et de leur mode de vie.
Ali a déclaré que sa clinique offrait une perfusion intraveineuse de vitamines et de minéraux pour renforcer le système immunitaire des riches. Essentiellement, le traitement coûte cher, a-t-il dit, et pas la personne moyenne ne pourrait se le permettre.
«Nous savons que 90% des adultes ont une carence en vitamines - quoi de mieux pour améliorer cela qu'un coup de pouce immunitaire IV ? Une perfusion intraveineuse assure la livraison instantanée et optimale de ces nutriments aux cellules du corps et les nutriments devraient inclure des vitamines telles que la vitamine C , le complexe de vitamine B12, le glutathion, le zinc et les acides aminés essentiels tels que l'arginine, la taurine, la lysine et la citrulline. "
Le manque de vaccins depuis un an a mis la peur aux yeux des riches. Adam Twidell, PDG du service de réservation de jets privés PrivateFly, a déclaré que les réservations avaient bondi pour les clients riches depuis le début de l'épidémie de virus, ajoutant que ces personnes évacuaient des zones où les cas et les décès augmentaient.
RépondreSupprimerTwidell a déclaré que des clients fortunés avaient organisé des vols hors d'Italie, du Royaume-Uni et d'autres pays d'Europe en raison des craintes d'une crise virale.
En ce qui concerne la demande de bunker en cas de catastrophe, Robert Vicino, PDG du groupe californien Vivos, spécialiste du bunker apocalyptique, a déclaré que les craintes de virus avaient stimulé la demande de bunkers.
Pour avoir une idée de la façon dont les super-riches vont survivre à la pandémie dans leurs bunkers en cas de catastrophe, voici quelques configurations de leur mode de vie:
- voir photos sur site -
Chambre intérieure du bunker
- voir photos sur site -
Piscine de bunker et jardin avec éclairage artificiel
- voir photos sur site -
Cave à vin souterraine
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https://www.zerohedge.com/markets/military-style-bunkers-iv-cocktails-private-testing-how-elites-self-quarantine
Jeux de guerre, coronvirus, et fuite en avant de l'OTAN
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 17/03/2020 - 02h00
Écrit par Brian Gray via The Canadian Patriot,
Actuellement, l'OTAN en est aux étapes initiales des opérations militaires appelées Defender-Europe 20.
L'exercice de jeu de guerre de 40 000 soldats comprend environ 20 000 soldats américains et des armes qui les accompagnent. Il s'agit du plus grand déploiement de personnel américain en Europe depuis 1983, l'opération Re-forger exerce au plus fort de la guerre froide. Heureusement, les forces canadiennes basées en Lettonie sont prêtes à jouer leur rôle volontaire dans cet exercice. Malgré quelques problèmes logistiques amusants en Pologne (pas de stations de ravitaillement, pas de bivouac pour les troupes américaines), l'opération Defender devrait se terminer en juin. Il y a des spéculations selon lesquelles la contagion du virus COVID-19, au grand dam des responsables de l'OTAN, pourrait entraîner une certaine réévaluation de cette opération.
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Alors, pourquoi les cerveaux de cette armée mondiale dirigée par les Britanniques et les États-Unis jugent-ils nécessaire ce stupide piétinement de bottes et ce bruit de sabres ?
"Parce que bien sûr ... en tant que dirigeants des démocraties libérales occidentales désespérées, moralement et financièrement en faillite, et des médias mensongers, crient depuis deux décennies ... ce malfaiteur et dictateur Vladimir Poutine et son «Armée rouge» a l'intention d'envahir et de conquérir l'Europe et la domination mondiale".
Dans un texte de présentation du service de presse trouvé dans divers médias imprimés, selon le général américain Terrence O'Shaughnessy, commandant du NORAD, Mad Vlad et ses cohortes diaboliques du Kremlin ont des conceptions de domination militaire de l'Arctique et donc «… une voie par laquelle la Russie peut rapidement attaquer … »Objectifs américains.
O’Shaughnessy devrait gêner les Irlandais du monde entier.
Dans les premières étapes de Defender 20 au Strategic Command Center dans le Nebraska, US Defence Sect. Esper a participé à des scénarios informatiques simulant des échanges nucléaires entre les États-Unis et la Russie.
Dans des déclarations faites au Sénat américain plus tôt ce mois-ci, le général Tod Wolters, commandant du commandement européen américain et chef de toutes les forces armées de l'OTAN, a pleinement adopté ce qu'il a défini comme une doctrine de «première frappe flexible» qui expose les États-Unis et leurs alliés » politique de dissuasion nucléaire »une imposture.
Lorsque le commandant de l’OTAN fait des déclarations aussi folles en même temps que l’OTAN fléchit ses muscles militaires à la frontière de la Russie, le risque d’une guerre nucléaire par inadvertance est réel.
L’enclave russe de Kaliningrad est la principale cible de l’OTAN. Toutes les politiques économiques, géopolitiques et militaires que la Russie et la Chine ont adoptées au cours des deux dernières décennies ont été une réaction directe à une agression britannique / américaine / OTAN injustifiée et injustifiée.
Dans une interview accordée à une chaîne de télévision russe, Poutine a déclaré:
«Nous n'allons lutter contre personne. Nous allons créer des conditions pour que personne ne veuille lutter contre nous. »
RépondreSupprimer- voir clip sur site où le chef de l'Etat Russe ne veut envahir le monde ni l'Europe -
La vidéo YouTube des commentaires de Vladimir Poutine faite à la Conférence de Munich sur la sécurité de 2007 devrait être sérieusement prise en compte.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/war-games-covid-19-and-natos-dis-jointed-flight-forward
Événement 201 se déroule: Plate-forme d'action Covid-19 = gouvernement mondial
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 16/03/2020 - 23:50
Fin janvier, nous avons noté l'importance de l'événement 201:
Il y a seulement trois mois, John Hopkins, la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial (une ruche de mondialistes autoproclamés) ont organisé une "simulation de pandémie" appelée "Événement 201" spécifiquement axée sur le coronavirus. Pas Ebola, ni la grippe porcine ou même la grippe aviaire - mais CORONAVIRUS. La simulation présente la propagation du coronavirus en Amérique du Sud, imputée à la transmission de l'animal à l'homme (porcs). La conclusion de l'exercice était que les gouvernements nationaux étaient loin d'être prêts, marquant 40 sur 100 sur leur échelle de préparation. La simulation a projeté plus de 65 millions de décès dans le monde.
L'événement 201 s'est déroulé presque exactement comme il l'a été en Chine aujourd'hui. Certaines personnes très malhonnêtes ou peut-être plutôt stupides ont soutenu que ce genre de chose est "normal", affirmant que nous sommes "chanceux" que les élites aient effectué des simulations à l'avance afin de nous "sauver" d'une épidémie de coronavirus. J'affirme que l'événement 201 n'était pas une simulation mais un jeu de guerre pour étudier les résultats possibles d'un événement que les mondialistes savaient déjà venir. Mettre de côté le fait qu'avant presque chaque événement de crise majeur et attaque terroriste au cours des dernières décennies, les autorités effectuaient des simulations pour cet événement exact juste avant qu'il ne se produise; quelqu'un croit-il vraiment que l'événement 201 est une pure coïncidence ?
Et a averti que même s'il était encore difficile à dire avec certitude, il semble que ce soit le «cygne noir» que les mondialistes attendaient (ou planifiaient) depuis le début.
Dans la discussion ci-dessous, Derrick Broze discute d'une récente annonce de l'Organisation mondiale de la santé, de la Food and Drug Administration des États-Unis, des Centers for Disease Prevention and Control des États-Unis concernant l'exercice pandémique Event 201 et de la nouvelle plateforme d'action COVID. Qu'est-ce que cela signifie pour la liberté ?
- voir clip sur site -
Mais qu'est-ce que les mondialistes ont à gagner directement d'une pandémie de coronavirus au-delà du simple chaos qui peut être exploité ?
Comme Max Parry le demande et répond ci-dessous, la pandémie mondiale est-elle un produit de l'agenda mathématique des élites et de la guerre biologique américaine ?
Le 11 mars, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a officiellement déclaré que l'épidémie en cours de la maladie à coronavirus (COVID-19) était une pandémie mondiale, la première depuis la grippe porcine H1N1 en 2009. Initialement signalé dans la ville de Wuhan, dans le centre La Chine en décembre, à peine quatre mois plus tard, il y a maintenant plus de 150 000 cas dans plus de 130 pays, ce qui a mis un grand nombre de personnes en situation de verrouillage total tandis que l'économie mondiale était au point mort. Alors que la République populaire de Chine a été le premier pays à signaler COVID-19, il y a une présomption répandue que le coronavirus (SRAS-CoV-2) doit être apparu dans la capitale de la province du Hubei qui n'a pas été suffisamment surveillé par Médias d'entreprise occidentaux.
La question de savoir si le coronavirus aurait pu provenir de l'armée américaine a été soulevée de manière controversée par le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Liljian Zhao, qui a tweeté un article du site Web du Center for Research on Globalization qui est ensuite devenu viral. Feignant l'inquiétude face à la propagation de la «désinformation», la couverture médiatique occidentale a uniformément évité de se procurer l'article que Zhao avait partagé sur les médias sociaux tout en rejetant comme on pouvait le prévoir la «théorie du complot». Pendant ce temps, le chef de la défense civile iranienne a également déclaré que le coronavirus pourrait être une attaque biologique contre la Chine et l'Iran, car la République islamique a été le troisième pays le plus touché avec plus de 12 000 cas, dont beaucoup aux plus hauts niveaux de son gouvernement avec plusieurs hauts fonctionnaires. infecté. Contrairement à ce genre d'alarmisme médiatique, il est tout à fait raisonnable et devrait être autorisé à spéculer sur les origines du virus. Le fait que Zhao pose la théorie a reçu une réponse aussi hostile de la part de l'establishment américain, qui montre à quel point leur chambre d'écho de propagande est délicate.
RépondreSupprimerBien que la maladie soit largement supposée avoir été transmise pour la première fois par zoonose parce que le premier groupe de cas était lié à un marché de fruits de mer de Wuhan commercialisant des espèces exotiques à la fin décembre, le premier cas connu réel a été retracé au début du mois et pourrait ne pas avoir été à l'origine passé par un animal. Beaucoup de politiciens de droite ont même suggéré que le coronavirus était un effet de la guerre biologique chinoise qui avait fuit de façon inattendue d'un laboratoire à Wuhan, une théorie disséminée dans les pages de chiffons de propagande comme le Washington Times, un journal appartenant au fondateur de la droite - aile culte de l'Église d'unification coréenne, Sun Myung Moon, ainsi que The Epoch Times de la secte religieuse fasciste similaire des expatriés chinois, le Falun Gong lié à la CIA. Malgré cela, il est vrai que le Wuhan Institute of Virology a des liens étroits avec le Galveston National Laboratory de l'Université du Texas, l'un des plus grands programmes de laboratoire de défense biologique du Pentagone. Alors qu'il n'existe aucune preuve que le gouvernement chinois est responsable de COVID-19, et que la RPC n'a pas d'antécédents dans la guerre biologique, il existe de nombreuses preuves que le gouvernement américain est impliqué depuis longtemps dans la fabrication et l'utilisation de produits biologiques. armes depuis la guerre de Corée.
Lorsque la Corée du Nord et la Chine ont accusé pour la première fois que les États-Unis utilisaient la guerre biologique et contre les germes dans la guerre de Corée de 1950 à 1953, elles ont été rejetées catégoriquement par Washington comme un canular et repoussées par l'OMS, un parti pris occidental. Au cours des décennies qui ont suivi, les États-Unis ont maintenu leur déni tandis que le débat scientifique sur le sujet est divisé. Cependant, un rapport non expurgé de 1952 d'une enquête parrainée par le Conseil mondial de la paix et menée par une commission scientifique internationale dirigée par Sir Joseph Needham, un biochimiste britannique très réputé de son époque, a été mis au jour en 2018 et présente de nombreuses preuves à l'appui des allégations, y compris des témoignages oculaires, des preuves photographiques et des aveux documentés de prisonniers de guerre américains. Plus inquiétant, l'enquête indique des liens directs entre le programme de guerre biologique des États-Unis et le programme de guerre contre les germes de l'Unité 731, une unité de guerre biologique et chimique clandestine du Japon impérial pendant la Seconde Guerre mondiale. Pendant la guerre froide, les chercheurs japonais ont été secrètement immunisés et recrutés par les États-Unis en échange de leurs connaissances en expérimentation humaine, ainsi que de nombreux "anciens" scientifiques nazis dans l'opération Paperclip.
RépondreSupprimerL'unité 731 de l'armée impériale japonaise a collecté des données non seulement en effectuant des expériences mortelles sur les humains, mais en testant des «bombes de peste» en les déposant dans les villes chinoises pour voir si elles pouvaient déclencher des épidémies. Beaucoup de ces tactiques ont été poursuivies par les États-Unis pendant la guerre de Corée. Selon Stephen Kinzer, journaliste et auteur de Poisoner in Chief: Sidney Gottlieb et de la CIA Search for Mind Control, le projet MK-ULTRA de la CIA, coordonné avec les Laboratoires de guerre biologique de l'armée américaine, était:
«… Essentiellement une poursuite des travaux qui ont commencé dans les camps de concentration japonais et nazis. Non seulement cela reposait à peu près sur ces expériences, mais la CIA a en fait engagé des vivisectionnistes et des tortionnaires qui avaient travaillé au Japon et dans des camps de concentration nazis pour venir expliquer ce qu'ils avaient découvert afin que nous puissions poursuivre leurs recherches. »
Frank Olson, l'un des scientifiques de la guerre biologique et des employés de la CIA dans le programme qui est décédé dans des circonstances mystérieuses en 1953, est le sujet de la série de docu-drame Netflix Wormwood, réalisé par Errol Morris et mettant en vedette le célèbre journaliste Seymour Hersh, qui révèle que Olson pourrait avoir été un dénonciateur potentiel du gouvernement sur les activités de la CIA et les crimes de guerre biologique des États-Unis. Il convient de noter que l'utilisation de tels agents dans la guerre de Corée comprenait des cibles chinoises, le dernier et unique conflit armé majeur entre les États-Unis et la Chine, donc si la pandémie COVID-19 s'avérait être un produit de la guerre biologique américaine contre Pékin, Ce ne serait pas la première fois.
Officiellement, les États-Unis auraient abandonné leur programme d'armes biologiques en 1969, mais leur installation à Fort Detrick, dans le Maryland, a poursuivi ses recherches sur les agents pathogènes mortels et les virus dans le but déclaré de la bio-défense, ainsi que la lutte contre les épidémies, développant vaccins et autres problèmes de santé publique. Pourtant, l'année dernière, la recherche sur les virus mortels et les armes biologiques a été suspendue en raison des craintes de leur libération accidentelle. La dernière fois que la recherche sur la guerre des germes de Fort Detrick a été suspendue, c'était en 2009 après que le Pentagone a constaté des écarts dans l'inventaire de ses agents infectieux, la même année que la dernière pandémie de l'épidémie de grippe porcine H1N1.
RépondreSupprimerFort Detrick est soumis à des restrictions plus strictes depuis que les attaques à l'anthrax de 2001 ont été retracées à Bruce Ivins, un chercheur principal en biodéfense de l'installation. L'auteur présumé et biologiste de l'armée se sont suicidés en 2008 après avoir appris que le FBI allait l'accuser de terrorisme, ce qui, s'il s'avérait vrai, signifierait que les propres recherches sur la biodéfense du Pentagone auraient elles-mêmes conduit à protéger le public américain du bioterrorisme plutôt que de le protéger. il y a beaucoup de preuves suggérant que Ivins a été encadré par les autorités fédérales. Comme l'a découvert la journaliste Whitney Webb, la branche de recherche médicale de l'armée américaine, dont le siège est dans le Maryland, coopère avec le Wuhan Institute of Virology mentionné précédemment depuis des décennies.
Jouer avec des organismes qui peuvent provoquer des maladies est une pratique courante pour le Pentagone. En 2005, des scientifiques américains ont annoncé qu'ils avaient même réussi à recréer le virus de la grippe aviaire dans un laboratoire qui a tué au moins 50 millions de personnes dans le monde en 1918, largement connu sous le nom de «grippe espagnole».
Le nom est en fait un terme impropre, car il était attribué de manière disproportionnée à l'Espagne qui était neutre pendant la Première Guerre mondiale et n'était pas soumise à la même censure de la presse en temps de guerre pour maintenir le moral comme en Allemagne, au Royaume-Uni, en France et aux États-Unis dont les médias ont initialement sous-signalé les effets de la pandémie dans leurs pays respectifs. La source géographique de la grippe espagnole fait encore l'objet de nombreux débats, mais la première observation de la maladie a eu lieu dans une installation militaire américaine à Fort Riley, Kansas en 1918. Inutile de dire que les risques liés à la résurrection d'une maladie qui a disparu plus d'un quart de la population mondiale n'est pas anodin, mais cela n'a pas empêché l'Institut de pathologie des forces armées américaines d'extraire le codage génétique de la grippe espagnole du cadavre exhumé d'une femme originaire d'Alaska gelée dans le sol et décédée des suites de la maladie dans une ville inuit en 1918.
Il n'y a aucune preuve directe montrant que la grippe porcine de 2009 qui serait originaire du Mexique par zoonose de porcs serait une fuite de la grippe espagnole restaurée, mais la précédente épidémie de grippe porcine de 1976 a commencé dans une base de l'armée américaine à Fort Dix, New Jersey, tout comme la grippe espagnole de 1918. Après que l'administration Gerald R. Ford a sauté le flingue et annoncé qu'une épidémie de grippe était en suspens après la mort d'un seul soldat, un programme de vaccination de masse subséquent sans tests appropriés pour les effets secondaires a été administré à une stupéfiante 45 millions de personnes, soit exactement un quart de la population américaine à l'époque, qui ont fini par tuer plus d'Américains que la maladie elle-même. Le scandale a semé à jamais les graines de la méfiance du public à l'égard de l'inoculation après que plus de 450 personnes ont développé le syndrome de Guillain-Barré et que 25 personnes sont décédées de la vaccination avant son arrêt.
RépondreSupprimerSi un tel programme de vaccination obligatoire devait être à nouveau mis en œuvre aux États-Unis pour coronovirus, le gouvernement devrait rassurer le public sur le fait que sa négligence antérieure vis-à-vis de ces effets secondaires ne se reproduirait pas, un scénario peu probable après l'abus de confiance des entreprises exposé le Wall Street ces dernières années impliquant de grandes sociétés pharmaceutiques. Quoi qu'il en soit, Big Pharma est déjà en partenariat avec l'armée américaine pour développer un vaccin contre le coronavirus qui devrait être testé et évalué avant d'être autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) et recommandé pour une utilisation par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), tous deux partenaires de l'OMS dont le principal contributeur financier est le gouvernement américain.
L’un des autres principaux bienfaiteurs de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates avec laquelle elle a un partenariat sur les vaccinations. Le milliardaire fondateur de Microsoft Corporation a utilisé son énorme richesse pour éviter de payer des impôts sous couvert de philanthropie et ses entreprises privées 'caritatives' se sont principalement concentrées sur la production de vaccins pour les pays en développement et sur la lutte contre la pauvreté mondiale, en particulier en Afrique. En surface, cela peut sembler être un travail bienveillant, mais comme de nombreux projets dits altruistes, c'est un régime qui permet à des ploutocrates ultra-riches comme Gates d'influencer la politique mondiale et d'obtenir un pouvoir politique sans responsabilité en investissant dans la «fixation» du social problèmes causés par le système même qui les a rendus riches, avec l'expansion du néolibéralisme comme véritable programme. Les conséquences de cela peuvent être vues avec des projets de bienfaisance impliquant Gates au Congo qui ont forcé son agro-industrie locale à utiliser des semences OGM qui n'ont profité qu'à des entreprises privées comme Monsanto.
Plus inquiétant est qu'en ce qui concerne les préoccupations environnementales liées au changement climatique d'origine humaine, Gates a rendu public son point de vue sur la réduction de la croissance de la population humaine comme solution. Lors d'une conférence TED 2010, Gates a déclaré:
«Nous avons d'abord obtenu la population. Le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards de personnes. Cela représente environ 9 milliards de dollars. Maintenant, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé génésique, nous les réduisons peut-être de 10 ou 15%. »
RépondreSupprimerEn d'autres termes, l'un des hommes les plus riches du monde a admis en public qu'il pensait que les vaccins devraient être utilisés pour le dépeuplement, tout comme il investit financièrement à la fois dans leur développement et leur livraison dans les pays du Sud. Le mythe misanthropique de la «surpopulation» poussé par Gates et l'élite suggère non seulement que le dépeuplement est une solution pour ralentir le réchauffement du climat mais conserve la logique d'une composante essentielle de l'eugénisme avec l'idée implicite que la qualité de vie de l'homme les espèces peuvent être améliorées en décourageant la reproduction humaine. Étant donné que les pays en développement ont les taux de mortalité infantile les plus élevés, les familles sont plus susceptibles d'être plus grandes parce que les enfants ont moins de chances de survivre. D'où le racisme et le classisme inhérents à une telle idée fausse.
Étant donné que la grande majorité des émissions de carbone sont produites par une courte liste d'entreprises de combustibles fossiles et que le plus grand pollueur du monde est l'armée américaine, la promotion de cette erreur dangereuse est le moyen idéal pour l'élite dirigeante de transférer la responsabilité du changement climatique sur le monde. pauvres. Malheureusement, ce mensonge dangereux a été popularisé dans le mouvement environnemental dominant et pseudo-gauche avec des exemples tels que BirthStrike, un groupe de militantes majoritairement féminines protestant contre le manque de réglementations sur la crise écologique en refusant de porter des enfants qui a été irresponsablement approuvé par les populaires Des politiciens «progressistes» comme la députée américaine Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY). «AOC» est également le visage du Green New Deal du Parti démocrate qui a des liens troublants avec le programme de développement durable de l'Agenda 21 des Nations Unies qui appelle à «parvenir à une population plus durable».
La fausse notion de «surpopulation» est devenue une pierre angulaire erronée du mouvement environnemental moderne grâce à la publication du livre le plus vendu du scientifique allemand Paul Ehrlich, The Population Bomb, en 1968, une diatribe alarmiste qui, au fil des ans, est devenue célèbre pour ses inexactitudes. prédictions apocalyptiques en raison de la croyance erronée qui ne s'est jamais concrétisée. Les marchands de malheur d'aujourd'hui concernant le climat, sans aucun doute un problème grave, canalisent à bien des égards les fausses prophéties d'Ehrlich qui sont considérées comme une refonte moderne de l'économiste et philosophe britannique influent du XVIIIe siècle, Thomas Malthus. Aucun savant n'était plus détesté par Karl Marx et le mouvement ouvrier que Malthus, dont les théories pseudo-scientifiques sur la démographie auraient été défaites intellectuellement jusqu'à ce qu'elles trouvent une nouvelle vie dans l'éco-fascisme d'Ehrlich. Même si les «bombardiers de population» d'aujourd'hui comme Bill Gates peuvent éviter les idées malthusiennes plus explicitement racistes selon lesquelles le nord du monde devrait contenir la population des pays en développement, ils les approuvent toujours tacitement en faisant valoir que la taille de la population elle-même est une source de pauvreté et le changement climatique.
Bill Gates a cité le magnat des affaires John D. Rockefeller, l'homme le plus riche de l'histoire américaine qui détenait un monopole encore plus important sur le secteur pétrolier, comme Gates avait à un moment donné dans l'industrie informatique, comme une inspiration pour utiliser sa richesse pour investir dans la recherche médicale. comme un centre de sa philanthropie. Cependant, Gates a quelque chose d'autre en commun avec la famille Rockefeller dans ses opinions sur la population, car la Fondation Rockefeller était le plus grand donateur du mouvement eugénique américain dans les années 1920 et 30 et a aidé à établir sa succursale allemande, subventionnant même le Kaiser Wilhelm Institute. d'anthropologie, d'hérédité humaine et d'eugénisme dans lesquelles le médecin nazi Josef Mengele a travaillé avant ses expériences de guerre. Malgré le fait qu'une ligne puisse être tracée du mouvement eugéniste américain aux programmes du régime nazi, que les défendeurs de Nuremberg ont même essayé d'utiliser comme justification de leurs atrocités devant les tribunaux, le petit-fils de Rockefeller, John Rockefeller III, a poursuivi l'héritage familial d'intérêt pour la démographie avec le fondation de l'ONG Population Council qui mène des recherches sur la «santé reproductive» (stérilisation) dans les pays en développement. Le gouvernement nazi a également été le premier à adopter une législation protégeant l'environnement qu'ils assimilaient à l'identité nationale allemande, une autre intersection inattendue entre la politique brune et verte.
RépondreSupprimerDans une étonnante coïncidence, la Fondation Gates a organisé un événement en octobre dernier avec le Johns Hopkins Center for Health Security et le Forum économique mondial appelé Event 201, une simulation de pandémie qui a rassemblé des personnalités élites dans les domaines de l'expertise gouvernementale, commerciale et sanitaire pour planifier la possibilité d'une flambée mondiale.
Gates lui-même a mis en garde contre les pandémies pendant des années et a écrit de façon inquiétante que le monde devrait «se préparer aux épidémies comme les militaires se préparent à la guerre». Le scénario fictif de l'événement 201 se trouvait justement être un coronavirus appelé CAPS de porcs brésiliens qui a infecté des personnes dans le monde entier et après un an et demi d'exercice, a causé des dizaines de millions de morts et déclenché un krach financier mondial. Depuis le début du véritable coronavirus COVID-19, Gates lui-même a quitté Microsoft pour se concentrer sur sa philanthropie tandis que sa fondation est occupée à travailler sur un vaccin.
Beaucoup ont observé que certaines caractéristiques de coronovirus ressemblent au VIH qui n'aurait pas pu se produire de manière organique. Le récent documentaire Cold Case Hammarskjöld, qui a remporté un prix lors du festival du film de Sundance l'année dernière, avance une théorie effrayante selon laquelle une organisation suprémaciste blanche sud-africaine a délibérément propagé le VIH / sida chez les Noirs africains par le biais de vaccins au cours des décennies précédentes. Le film commence par une enquête sur le mystérieux accident d'avion en Rhodésie du Nord qui a tué le diplomate suédois et secrétaire général des Nations Unies Dag Hammarskjöld en 1961. En 1998, un document rédigé par une organisation paramilitaire ténébreuse appelée l'Institut sud-africain de recherche maritime (SAIMR) a été découvert par l'assemblée de la justice de la Commission de vérité et réconciliation en Afrique du Sud post-apartheid qui a indiqué que Hammarskjöld avait été victime d'un assassinat. Non seulement les cinéastes découvrent dans leur enquête la probabilité distincte que l'avion ait été abattu par un mercenaire belge employé par SAIMR qui opérait sous les ordres du MI6 et de la CIA, mais la révélation la plus étonnante est une confession enregistrée d'un ancien soldat SAIMR à avoir délibérément propagé le VIH / sida aux Noirs africains grâce à la vaccination. Si ce que l'on prétend au sujet de SAIMR est vrai et qu'ils étaient liés aux services de renseignement occidentaux, le fait que le virus COVID-19 pourrait être quelque chose délibérément propagé n'est pas hors de portée.
RépondreSupprimerPeut-être s’avérera-t-il que la version de la presse jaune du coronavirus commençant par le transfert zoonotique de la maladie après la consommation d’un pangolin ou d’une chauve-souris sauvage par un «patient zéro» à Wuhan est exacte. Néanmoins, la pandémie devrait être un rappel effrayant de l'agenda éco-fasciste de l'élite et du danger continu que le complexe militaro-industriel met la population mondiale en continuant à mener des recherches dangereuses sur les agents pathogènes mortels où le risque est largement supérieur aux avantages. Si l'épidémie a amené beaucoup de personnes à se méfier de l'histoire officielle, c'est précisément à cause de l'histoire de la guerre biologique américaine et de la vision du monde potentiellement génocidaire et pessimiste de l'élite que la seule façon d'empêcher la disparition de l'humanité est d'éclaircir le troupeau.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/event-201-unfolds-covid-19-action-platform-global-government
Des médecins d'Australie occidentale demandent la fermeture des frontières de l'État
RépondreSupprimerMarch 17th, 2020
Australie occidentale, WA.
Map.I semble avoir la capacité étrange de prédire ce que les experts de première ligne recommanderont des jours à l'avance. Ce n'est pas du génie. Juste une formation médicale et que la solution est si évidente, et les politiciens ont encore 2 à 3 semaines derrière l'explosion d'une épidémie d'un code d'acide nucléique inanimé.
Les hôpitaux de l'AO demandent la fermeture des frontières de l'État pour faire face aux craintes liées aux coronavirus (COVID-19)
Les meilleurs médecins des plus grands hôpitaux de WA demandent de façon sensationnelle à l'État de fermer efficacement ses frontières pour protéger les Australiens de l'Ouest contre la pandémie de coronavirus.
Dans une lettre remarquable obtenue par The West Live pour être discutée exclusivement dans le cadre de l'émission de ce matin, il peut être révélé que le Combined Medical Leads Advisory Group a fait part de ses préoccupations concernant la disponibilité «extrêmement limitée» des infrastructures et des fournitures de test à WA.
Le groupe, qui comprend des médecins seniors de la FSH, de la RPH et de la SCGH, prévient également qu'il existe "des preuves limitées d'un traitement antiviral efficace", "aucun vaccin efficace" et qu'un rationnement est déjà en place dans les hôpitaux.
Il recommande que pour «aplatir la courbe», il faudrait veiller à «étendre les restrictions d'isolement à tous les déplacements personnels entre États».
Pour préciser ceci, tous les États sans transmission communautaire ont la possibilité de remettre rapidement ce virus dans la boîte. La première chose dont ils ont besoin pour arrêter est de cesser de voler dans le virus. Ensuite, ils suivent et isolent tous les cas actuels et, le cas échéant, disent aux gens de rester à la maison, annulent tout mouvement dans l'État et suspendent tout sauf les services essentiels. Ensuite, dans les trois à quatre semaines, ledit État sera dans un nirvana béate où tous les citoyens peuvent voler à l'intérieur de l'État, prendre des vacances, reprendre leur travail normal, envoyer leurs enfants dans des écoles normales et bénéficier d'une chirurgie élective, de soins médicaux et de toutes les choses normales que nous espérer.
Après ce point, la quarantaine frontalière doit être maintenue. L'État doit être vigilant à toute épidémie. Lorsque des épidémies se produisent, nous effectuons un suivi et un suivi.
Comme je l'ai dit il y a deux jours, les camions et le commerce traversent toujours la frontière même pendant le verrouillage, mais les chauffeurs (carburant viral frais) sont soit échangés à la frontière, soit conservés uniquement dans des hôtels spéciaux fermés avant leur retour.
Donc, si vous voulez sauver l'économie locale, des milliers de vies et notre mode de vie - Fermez les frontières maintenant.
Je reste perplexe quant à la raison pour laquelle tant de gens pensent que nous devons laisser ce virus se déchaîner, et pourquoi le coût du verrouillage intérieur de porte à porte n'est pas considéré comme horriblement cher et, par conséquent, la fermeture des frontières des États est une bonne affaire par rapport à la douleur inévitable et souffrance à venir.
RépondreSupprimerAu Royaume-Uni et aux États-Unis, au Canada, il y aura encore des régions où il n'y a pas encore de communauté. Celles-ci peuvent être sauvées, et alors que plus de régions propres seront atteintes, plus de vols et de mouvements entre ces régions sûres sauveront les compagnies aériennes, les agents de tourisme, etc. Le monde sera bientôt divisé entre les pays ou les États qui ont battu ce virus et ceux qui ont pas.
Le monde propre = Taiwan, Corée du Sud, Nouvelle-Zélande, Russie, Hong Kong, Singapour. Imaginez votre état d'origine là-bas et commencez à travailler sur cet avenir.
Note du blogueur: Pour les lecteurs fatigués - oui, je comprends. La transmission normale reprendra bientôt. Dans les commentaires, j’ai expliqué que le domaine de la science qui m’a toujours passionné le plus était la virologie, les maladies et les gènes (mes spécialités et recherches) *. Je n'aurais jamais deviné en un milliard d'années que je finirais par écrire un blog sur la science du climat. Et tout comme je sens dans le débat sur le climat que je peux aider les experts sur le terrain à expliquer leur cas avec les énergies renouvelables et la météorologie, dans ce débat médical, il y a des milliers de médecins et de nerds chercheurs médicaux qui sont des naffs politiques et médiatiques qui semblent avoir besoin de l'aide.
* Aussi la prévention de tels, ce qui signifie la nutrition, etc. - ne me lancez pas, prenez votre D, Zn et Se. : -)
http://joannenova.com.au/2020/03/doctors-in-west-australia-call-for-closure-of-state-borders/
Coronavirus : la Chine décuple son aide envers l'Europe, nouvel épicentre de la pandémie
RépondreSupprimer17 mars 2020, 15:07
L'Europe est désormais l'épicentre de la pandémie de Covid-19, c'est pourquoi la Chine, où les contaminations et décès liés au virus se sont considérablement réduits, a décidé de proposer son aide humaine et matérielle, ainsi que son expertise. Forte de son succès dans la lutte contre le Covid-19, la Chine, où le virus est apparu en premier lieu, a décidé d'apporter son expertise et tous les acquis de ses recherches dans ce domaine aux pays les plus touchés par le virus, tels que l'Italie, la France, l'Espagne mais aussi des pays extra-européens comme l'Iran ou la Corée du Sud, en y déployant une aide tant humaine que matérielle.
Neuf médecins chinois et plusieurs tonnes d'aide sanitaire sont arrivés le 12 mars à Rome à bord d'un vol spécial pour aider le gouvernement italien à faire face à la pandémie de Covid-19. Ne pouvant guère se reposer sur la solidarité européenne, alors que plusieurs pays du Vieux continent sont eux aussi frappés de plein fouet par la pandémie, le gouvernement italien a décidé de demander de l'aide à Pékin. Auteur: RT France Deuxième pays au monde et premier pays européen le plus touché par la pandémie après la Chine, l'Italie compte, selon un bilan de l'AFP publié le 17 mars au matin, 2 158 morts pour 27 980 cas. Depuis le 10 mars, le gouvernement italien a mis en place des mesures de restriction exceptionnelles dans l'ensemble du pays visant à limiter tous déplacements afin d'endiguer la propagation du coronavirus.
Lire aussi Coronavirus : «Nous devons choisir qui soigner» s'alarme un médecin italien Par ailleurs, les autorités s'inquiètent désormais à haute voix de la capacité de leur système hospitalier, en grand manque de moyens humains et matériels, à absorber l'afflux constant de malades. C'est dans ce contexte que l'aide chinoise est arrivée dans le pays.
A bord de l'avion affrété par Pékin se trouvaient notamment «des ventilateurs, du matériel respiratoire, des électrocardiographes, des dizaines de milliers de masques et d'autres matériels de santé», a indiqué le président de la Croix-Rouge italienne Francesco Rocca, cité par RFI. Et de préciser : «Les neuf experts, six hommes et trois femmes emmenés par le vice-président de la Croix-Rouge chinoise, Yang Huichan, et par un illustre professeur de réanimation cardio-pulmonaire, Liang Zongan, sont des médecins-réanimateurs, pédiatres et infirmiers qui ont géré la crise du coronavirus en Chine.»
La Chine s'est dite prête à envoyer encore davantage d'experts médicaux et de fournitures médicales en Italie, a par ailleurs déclaré le 16 mars le président chinois Xi Jinping lors d'une conversation téléphonique avec le Premier ministre italien Giuseppe Conte. Quelques jours après ce premier convoi, trois cent mille masques offerts par des organisations caritatives chinoises – notamment la Fondation Alibaba et la Fondation Jack Ma – sont arrivés le 16 mars à Liège, en Belgique, comme le rapporte l'agence de presse chinoise Xinhua.
En effet, un avion cargo transportant le matériel médical a atterri à l'aéroport de Liège, le plus grand aéroport cargo de Belgique et hub logistique clé dans la lutte contre l'épidémie en cours en Europe. Une affiche attachée aux colis indique que «L'Union fait la force», ou «Unity Makes Strength» en anglais, rappelant ainsi aux Belges la devise de leur pays. Les masques chirurgicaux seront d'abord distribués aux prestataires de soins de santé en Belgique, qui sont en première ligne de la lutte contre le nouveau coronavirus, selon un communiqué la ministre fédérale belge de la Santé publique, Maggie De Block.
RépondreSupprimerL'envoi faisait partie d'un ambitieux don de plus de deux millions de masques et d'équipements médicaux annoncé par les deux fondations pour soutenir les pays européens. Les deux organisations ont également envoyé un demi-million de masques en Italie.
De plus, le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, dont les propos ont été rapportés par l'agence de presse chinoise Xinhua, a fait savoir que la Chine avait décidé de fournir de toute urgence un lot de fournitures médicales à l'Espagne, qui en a un besoin urgent au vu du développement rapide de l'épidémie dans ce pays. Auparavant, le président chinois Xi Jinping avait déclaré le 13 mars que la Chine soutenait fermement l'Union européenne (UE) dans sa lutte contre la pandémie de COVID-19.
Dans des messages adressés au président du Conseil européen, Charles Michel, et à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, Xi Jinping avait exprimé ses sincères condoléances aux citoyens des pays membres de l'UE touchés par la pandémie, d'après l'agence de presse chinoise Xinhua.
Enfin, au delà du continent européen, le président chinois avait déjà proposé d'apporter son aide et son expertise à d'autres pays dans le monde, notamment à l'Iran et à la Corée du sud. C'est ce qu'avait indiqué Xi Jinping au secrétaire général de l'ONU le 12 mars lors d'un entretien téléphonique. «La Chine est prête à partager ses expériences avec d'autres pays, à mener des activités conjointes de recherche et de développement sur les médicaments et les vaccins et à offrir autant d'aide que possible aux pays où la maladie se propage», a assuré Xi Jinping, cité par Xinhua.
Il a ajouté : «La Chine soutient les Nations unies et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans ses efforts visant à mobiliser la communauté internationale pour améliorer la coordination des politiques, accroître les ressources investies et aider en particulier les pays en développement avec des systèmes de santé publique faibles à se préparer à la prévention et à la riposte».
Et de continuer : «La Chine a annoncé un don de 20 millions de dollars américains à l'OMS pour soutenir ses efforts visant à organiser des actions internationales contre l’épidémie.» La Chine (sans les territoires de Hong Kong et Macao), où l'épidémie s'est déclarée fin décembre, a dénombré au total 80 881 cas, dont 3 226 décès et 68 869 guérisons selon un bilan publié par l'AFP le 17 mars. 21 nouveaux cas et 13 nouveaux décès ont été annoncés entre le 16 et le 17 mars.
Les nouveaux cas annoncés ces derniers jours sont souvent des étrangers.
RépondreSupprimerAilleurs dans le monde, on recensait ce 17 mars à 9h00 GMT un total de 3 837 décès (43 nouveaux) pour 99 215 cas (4 548 nouveaux). En date du 16 mars, les pays les plus touchés après la Chine sont l'Italie avec 2 158 morts pour 27 980 cas, l'Iran avec 853 morts (14 991 cas), l'Espagne avec 309 morts (9 191 cas), et la France avec 148 morts (6 633 cas).
https://francais.rt.com/international/72658-coronavirus-chine-decuple-son-aide-envers-europe-nouvel-epicentre-pandemie
Du coronavirus à la nouvelle «guerre du pétrole»
RépondreSupprimer14:09 17.03.2020
Par Jacques Sapir
Le marché pétrolier s’apprête à faire face à une crise profonde. Dans cette configuration, la Russie dispose d’avantages indéniables, les États-Unis aussi d’ailleurs. L’Arabie saoudite, en revanche, pourrait avoir du mal à tirer son épingle du jeu.
Derrière l’épidémie du nouveau coronavirus Covid-19 se profile désormais une nouvelle guerre sur les prix du pétrole. On le sait, la chute de la production en Chine a eu des conséquences importantes sur les marchés des matières premières, et de l’or noir en particulier. Mais depuis le vendredi 6 mars, on assiste à l’éclatement de l’accord qui unissait l’OPEP, emmenée par l’Arabie saoudite, au groupe dit «non-OPEP» conduit par la Russie. Nous sommes donc entrés dans une autre logique.
Échec de la réunion de Vienne
La réunion qui se tenait à Vienne le vendredi 6 mars devait étudier les réponses à apporter à la baisse des prix engendrée par la chute de la demande chinoise et le ralentissement de l’activité économique. Le ministre russe de l'Énergie, Alexandre Novak, arrivé de Moscou le vendredi matin, a alors déclaré à ses collègues ministres qu'il était en faveur du maintien de la réduction de l'offre aux niveaux actuels jusqu'en juin, date à laquelle il conviendrait d’étudier des coupes plus profondes.
Les ministres de l’OPEP, sous la direction du ministre saoudien, avaient proposé jeudi à la Russie de réduire la production de pétrole de 1,5 million de barils supplémentaires par jour afin de compenser l'impact du coronavirus. Quelques heures plus tard, l’OPEP avait de nouveau fait pression sur Moscou pour une réduction immédiate des volumes de production. La déclaration d’Alexandre Novak fut l’équivalent d’une fin de non-recevoir. Malgré les efforts du secrétaire général de l'OPEP, Mohammad Barkindo, le marché pétrolier s'est de fait préparé à une crise profonde. Le prix du pétrole brut a chuté à Londres et se trouve actuellement à 35 dollars pour le Brent, soit une baisse de plus de 45%.
Pendant plus de trois ans, Vladimir Poutine a maintenu la Russie au sein de la coalition «OPEP+» pour limiter la production de pétrole et soutenir les prix. Cette alliance a été décisive pour permettre à la Russie de traverser la crise engendrée par la baisse brutale des prix du pétrole de 2015. Cependant, en plus d'aider le budget russe, cette alliance a apporté à la Russie des gains importants en termes de politique étrangère, créant un lien avec le nouveau leader de l'Arabie saoudite, le prince héritier Mohammed ben Salmane. On peut se demander pourquoi la Russie, alors, veut y mettre fin.
L'impasse actuelle est donc la plus grande crise depuis que l'Arabie saoudite, la Russie et plus de vingt autres pays ont créé ce groupe «OPEP+» en 2016. Un groupe qui contrôle plus de la moitié de la production mondiale de pétrole et a soutenu les prix et remodelé la géopolitique du Moyen-Orient. Il est maintenant en crise. Le risque pour les Saoudiens est que si leur pari est de faire céder la Russie par une baisse de production, ils ont en fait bien plus à perdre que ce dernier pays car ils ont besoin de prix du pétrole plus élevés que la Russie pour financer leur budget.
Le contentieux russo-américain
RépondreSupprimerIl faut aussi savoir que l'accord de l'OPEP+ a indirectement aidé l'industrie du pétrole de schiste américain, qui a besoin de prix supérieurs à 50-60 dollars le baril. Or, la Russie est aujourd’hui en conflit avec les États-Unis: le gouvernement russe reproche à l'administration Trump d'utiliser l'énergie comme un outil politique et économique. Elle a été particulièrement contrariée par le recours aux sanctions par les États-Unis pour empêcher l'achèvement du gazoduc Nord Stream 2, reliant les gisements de gaz de la Sibérie à l'Allemagne. Que cette tentative ait été globalement un échec ne change par ailleurs rien au ressentiment qu’éprouve le gouvernement russe. La Maison-Blanche a également ciblé les activités vénézuéliennes du russe Rosneft. La décision de la Russie de sacrifier l’accord serait donc la réponse à cette politique américaine.
Par ailleurs, l'accord dit OPEP+ n'a jamais été très populaire auprès de nombreux acteurs de l'industrie pétrolière russe. En particulier, Igor Setchine, le puissant patron de Rosneft et allié de longue date de Poutine, y était semble-t-il opposé. Le Kremlin a également été déçu par son alliance avec Riyad. La stabilité de Mohammed Ben Salman ne semble pas assurée si l’on en croit des observateurs moscovites. La décision de prendre le risque d’une guerre commerciale avec l’Arabie saoudite et de provoquer une baisse importante des prix du pétrole brut aurait donc été prise lors de la réunion entre Vladimir Poutine et les dirigeants de l’industrie pétrolière le samedi 29 février.
Si tel est bien le cas, la stratégie de la Russie viserait alors deux objectifs. Le premier serait de mettre les producteurs américains en difficulté. On sait que les petites compagnies, qui produisent une partie du pétrole de schiste, ont besoin d’un prix du brut supérieur à 50, voire 60, dollars pour pouvoir rembourser les emprunts qu’elles ont contractés envers les banques (et ces emprunts couvrent souvent 90% du capital de la société). Compte tenu des réserves accumulées, la Russie pourrait s’accommoder de prix de l’ordre de 30 dollars pour une période assez longue. De tels prix mettraient les petites sociétés américaines, mais aussi les banques qui leur ont avancé de l’argent, dans de grandes difficultés. Ces prix bas accentueraient la tendance baissière actuelle de Wall Street car des prix du pétrole faibles signifient aussi une chute des dépenses d’exploration et d’exploitation du pétrole, et donc une moindre valorisation pour les entreprises qui fournissent le matériel et la technologie nécessaires.
Mais on ne peut exclure un autre objectif, ou un effet collatéral potentiel, de la stratégie russe. L’Arabie saoudite s’est lancée dès dimanche dans une politique très agressive de rabais sur les prix des contrats pétroliers et s'est engagée samedi dans une guerre des prix totale en réduisant les prix de son brut le plus depuis plus de 30 ans. Le géant de l'énergie saoudien Aramco a ainsi offert des remises sans précédent de 6 à 8 dollars en Asie, mais aussi en Europe et aux États-Unis dans l’espoir d’inciter les raffineurs à utiliser le brut saoudien.
«Le pétrole saoudien est ce que l’on appelle un pétrole lourd, qui demande un raffinage bien plus complexe que le pétrole produit par la Russie.»
Ces remises ont été immédiatement imitées par les autres producteurs de la région comme le Koweït et les Émirats arabes unis. L’Arabie saoudite a désespérément besoin d’argent. Non seulement le budget saoudien est en équilibre à des prix du pétrole bien plus haut que ce dont la Russie a besoin, mais la privatisation d’une partie de la société pétrolière Aramco dépend étroitement de prix élevés.
Quelles seront néanmoins les conséquences de cette dépréciation pour l’économie russe ?
RépondreSupprimerLes ajustements possibles à la nouvelle situation
Pour neutraliser les effets négatifs de la situation sur l'économie, les autorités monétaires russes ont à leur disposition un large ensemble de mesures qui peuvent être utilisées.
Premièrement, il s'agit d'opérations sur le marché des changes. On sait qu’à partir de 2018, la Banque centrale avait arrêté les achats de devises dans le cadre de la «règle budgétaire». Les prix du pétrole étaient alors plus élevés qu’aujourd’hui et l’on pouvait penser qu’ils se stabiliseraient dans la zone de 65-70 dollars le baril. Ainsi, une pause dans le mécanisme de ces interventions a fourni au marché 4 à 5 milliards de dollars par mois d'août à décembre 2018.
L’alimentation en liquidités par les gains réalisés sur le marché du pétrole, ou plus exactement par la conversion en roubles de ces gains, s’est alors substituée à une politique active de la Banque centrale. Aujourd’hui, la situation est évidemment différente. Avec un prix du pétrole qui est largement inférieur à 42 dollars par baril, la «règle budgétaire» est annulée de facto. Pour cette raison, le soutien au marché des changes devrait désormais provenir d'une décision du ministère des Finances de commencer à convertir une partie des actifs de la Caisse nationale du rouble. Le point est ici important. Il équivaut à un transfert de pouvoir de la Banque centrale au ministère des Finances, ce qui correspond à une logique de «repolitisation» de la politique monétaire.
Les analystes d’Alfa-Banque parlent ainsi de montants potentiellement égaux à 2 à 3 milliards de dollars par mois, ce qui correspondrait à la taille du déficit mensuel pour un prix du pétrole de 35 dollars le baril. La décision du ministère des Finances pourrait alors éviter un déficit budgétaire. Le niveau des réserves du ministère des Finances n’est pas rendu public. Mais les personnes ayant connaissance des chiffres estiment que ces actions pourraient être maintenues à ce niveau pour une période d’au moins deux ans.
D’autres mesures sont envisageables à court terme. La Banque centrale de Russie a élargi les mécanismes de fourniture de devises et de liquidités en roubles pour les différents acteurs économiques. Cela devrait empêcher une chute brutale des importations.
Elle va aussi utiliser des mesures macroprudentielles (comme une réduction des dépôts obligatoires et un assouplissement des règles prudentielles pour les banques) afin d’atténuer les effets des demandes de crédit qui proviendront des secteurs touchés par le coronavirus. Cela contribuera à atténuer l'effet de la volatilité financière dans le secteur réel. Toutes les mesures sont valables jusqu'au 30 septembre et cela signifie que la Banque centrale de Russie n'attend pas de solution rapide aux problèmes apparus en rapport avec le coronavirus. On peut aussi penser que cela correspond à une évaluation de la durée potentielle de la guerre des prix qui a actuellement lieu. En tout état de cause, ces mesures pourraient être renouvelées de manière régulière sur une période de 18 mois à 2 ans.
Les avantages de l’industrie pétrolière russe
RépondreSupprimerQuels sont les facteurs qui avantagent les compagnies russes ? Avec parmi les coûts de production les plus bas du monde, mais aussi un régime fiscal flexible et un rouble flottant (permettant, par une dépréciation du rouble, de baisser les coûts en roubles de l’extraction), les compagnies russes sont particulièrement bien armées pour faire face à une longue période de prix très bas. Elles peuvent aisément résister jusqu’à un prix aussi bas que 15-20 dollars.
Leur situation vient tout d’abord d’infrastructures bien développées ainsi que des voies ferrées et des pipelines efficaces qui permettent aux compagnies pétrolières russes d'opérer à faible coût. L'année dernière, Rosneft PJSC, Gazprom Neft PJSC et le premier producteur privé Lukoil PJSC ont ainsi dépensé moins de 4 dollars pour extraire un baril de pétrole, si l’on en croit les calculs basés sur les rapports financiers des entreprises. Extraire le pétrole n’est pas tout, il faut pouvoir l’exporter. C’est là qu’interviennent les infrastructures de transport –celles que l’on a évoquées. Il convient donc d’ajouter à ces 4 dollars environ 5 dollars pour transporter le baril et 6-8 dollars pour les dépenses en capital, et l’on obtient toujours un baril de pétrole pour moins de 20 dollars. Tout ceci, évidemment, pour un cours du rouble inchangé, ce qui n’est pas le cas car le rouble se déprécie depuis le début de cette guerre commerciale.
Ensuite, il faut tenir compte d’un système fiscal du pays bien conçu et qui offre plus de protection. Le niveau de taxe fluctue non pas avec le prix du brut, mais avec la différence entre le prix observé et un prix de référence, de manière à ce que les taxes portent essentiellement sur la marge bénéficiaire du pétrole, ce qui constitue la «rente» des compagnies pétrolières.
«L’année dernière, les prélèvements gouvernementaux ont constitué les dépenses restantes à la charge des producteurs russes et les entreprises ont payé 34 à 42 dollars le baril en taxe d'extraction et droits d'exportation. Cependant, la Russie a un système fiscal flexible. Cela signifie que quand les prix du pétrole baissent, les taxes baissent avec les prix.»
Enfin, il ne faut pas oublier que les producteurs russes, réalisent une partie de leurs revenus en dollars américains ou en autres devises (euro, yuan) tandis que leurs dépenses sont presque exclusivement en roubles. Ils sont donc protégés par un taux de change flexible, qui fut adopté par la Banque centrale de Russie quand elle abandonna le ciblage du taux de change pour passer à la politique dite de «ciblage de l’inflation» en décembre 2013. L'affaiblissement du rouble par rapport au dollar a donc contribué à soutenir les investissements et les dépenses en capital des entreprises lors de la chute précédente du marché. Comme le rouble s'est déprécié à 67,03 roubles pour 1 dollar en 2016 contre 31,85 en 2013, le premier producteur russe, la compagnie d’État Rosneft, a augmenté ses investissements en roubles d'environ 66%, investissant dans la production future tandis que ses concurrents mondiaux devaient réduire leurs dépenses.
Dans cette guerre sur les prix du pétrole, la Russie dispose donc d’avantages indéniables. Les États-Unis aussi d’ailleurs. On peut penser que c’est l’Arabie saoudite qui se trouve, en fait, en mauvaise posture.
https://fr.sputniknews.com/opinion/202003171043306548-du-coronavirus-a-la-nouvelle-guerre-du-petrole/
Des chercheurs affirment avoir établi un lien entre un groupe sanguin et le risque d’infection au coronavirus
RépondreSupprimer17:33 17.03.2020
Des scientifiques chinois ont mené une étude pour déterminer le risque d'infection au coronavirus en fonction du groupe sanguin. Selon les résultats, les personnes du groupe A ont un risque plus élevé par opposition à celles du groupe O.
Les personnes de groupe sanguin A sont plus susceptibles d'être infectées par le nouveau coronavirus, alors que le groupe sanguin O présente un risque d'infection significativement plus faible, indiquent les résultats de l’étude publiée le 11 mars par un groupe de scientifiques chinois sur le site Medrxiv.org.
Les scientifiques ont mené une étude ciblée pour déterminer s'il existe une relation entre le groupe sanguin des patients et leur sensibilité au Covid-19. Ils ont prélevé des échantillons sur 2.173 patients de trois hôpitaux de Wuhan et Shenzhen qui avaient été testés positifs au virus, dont 206 appartenaient à des personnes décédées des suites de la maladie.
Les chercheurs qui ont d’abord examiné le groupe de 3.694 personnes non infectées à Wuhan ont découvert que parmi elles, 33,84% appartenaient au groupe O, 32,16% au A, 24,90% au B et 9,10% au groupe sanguin AB.
Des tests menés sur 1.775 patients infectés de l'hôpital Jinyintan de Wuhan (dont 206 sont décédés) ont montré que
37,75% présentaient un groupe sanguin A,
26,42% un groupe B,
25,80% un groupe O et
10,03% un groupe AB.
L’étude portant sur 398 autres patients d'un autre hôpital de Wuhan et de Shenzhen a donné des résultats similaires.
Le nombre toujours croissant de contaminations
Détecté en décembre dernier en Chine, le Covid-19 a touché 145 pays et territoires avec plus de 180.000 cas d'infection et plus de 7.000 morts. En Europe, l’Italie est le pays le plus impacté avec 27.980 cas de contamination et 2.158 morts.
La France recense ce 17 mars un nombre de cas dépassant les 6.600 avec 148 morts. Sur fond de propagation du coronavirus, le pays a appliqué des mesures de «restriction ferme» dès aujourd’hui midi et pour une durée de 15 jours afin de réduire contacts et déplacements au strict minimum.
https://fr.sputniknews.com/international/202003171043309705-des-chercheurs-affirment-avoir-etabli-un-lien-entre-un-groupe-sanguin-et-le-risque-dinfection-au/
S'il s'agit d'hystérie politique artificielle, quel est l'objectif ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 17/03/2020 - 12:10
Écrit par "V.F." via TheChicagoEconomist.com,
Le sport de la spéculation
Je commence à croire que la «pandémie» actuelle n'est peut-être que le dernier «ennemi de l'État» artificiel. Une opportunité saisie par les gouvernements occidentaux qui, au cours des 20 ou 30 dernières années, sont devenus plus audacieux dans leur volonté de fabriquer la peur pour obtenir une fin politique. Les fins politiques concernent toujours un plus grand contrôle, la corruption et, finalement, des dissimulations.
À l’époque où l’air est devenu deuxième après le bruit numérique en termes d’ubiquité et où l’hyperbole a remplacé la vérité comme objectif journalistique, la capacité des gouvernements à exploiter la désinformation (c.-à-d. La propagande) est devenue un outil de précision. Qu'on le veuille ou non, la société est devenue confuse par la quantité d'informations jetées sur nous et cela nous rend vulnérables.
Mais s'il s'agit d'hystérie politique artificielle, quel est l'objectif ?
J'ai entendu des gens de chaque côté de l'allée suggérer que c'était pour aider ou blesser Trump. Et c'est peut-être aussi simple que cela. Cependant, étant donné les bons points des deux côtés de cet argument, je suis sceptique. Alors quoi ? Eh bien, je pense au 9/11 et que vous pensiez que c'était un acte de terrorisme de la part de notre propre gouvernement ou d'un autre groupe, le résultat final était le même - le Patriot Act, et un camion de lois qui se sont heurtées tranquillement nos droits et libertés individuels. Tout cela au nom de nous garder à l'abri du mal.
D'accord, mais voyons-nous tout cela se produire à la suite de ce récit actuel ? Bien sûr. À l'heure actuelle, un projet de loi est en train de faire son chemin à travers le Congrès que la plupart des législateurs, certes, n'ont pas lu mais sont prêts à approuver. Et l'action la plus flagrante est peut-être le renflouement financier de 5 billions de dollars qui a eu lieu au cours du week-end. Il s'agit de loin du plus important plan de sauvetage de l'industrie financière jamais réalisé, du moins sur cette planète. La plupart des Américains ne savent pas qu'un plan de sauvetage est en cours et ceux qui le feront ne sauront jamais que le plan de sauvetage a commencé début septembre. Le 2 septembre, la Fed a entamé son deuxième «sauvetage bancaire» épique. Autrement dit, cela n'a rien à voir avec le virus.
Et ce ne sont pas seulement les banques, mais tout le sport de la spéculation qui nécessitent un renflouement. L'effet de levier inhérent au sport de la spéculation, dans toutes les classes d'actifs, a créé une position de risque agrégée si importante qu'il n'y a plus assez de liquidités pour couvrir l'appel de marge.
Et c'est là que nous avons des problèmes. En 2008, nous avions mobilisé des instruments de garantie spécifiques en utilisant une économie absurde. À l'époque, j'étudiais l'ingénierie financière au Chicago Booth. J'ai obtenu mon diplôme en décembre 2008, après avoir passé 2 ans à étudier les modèles qui s'avéraient, en temps réel, absolument faux et créaient des souffrances massives pour la moitié inférieure de la chaîne alimentaire économique.
Pour sortir de ce gâchis, nous avons imprimé des milliers de milliards de dollars pour renflouer les grandes positions à risque qui avaient précédemment créé une immense richesse pour ceux qui se trouvaient au sommet de la chaîne alimentaire économique.
RépondreSupprimerLe week-end dernier, une fois de plus, la Fed a annoncé un renflouement de 5 billions de dollars et elle est passée complètement inaperçue du public parce que nous sommes distraits par un «virus de fin du monde». Le plus grand plan de sauvetage financier de l'histoire du monde et personne ne sait que cela s'est produit parce que l'accent est mis sur un virus qui, à ce jour, a fait 50 morts en Amérique (en même temps, 8 000 décès sont dus à la grippe en Amérique).
Italie, environ 16 000 décès liés à la grippe.
On me fait constamment jeter sur l'Italie des preuves que le virus va anéantir l'humanité. J'ai donc décidé de me pencher spécifiquement sur l'Italie. Ce que j'ai trouvé, c'est que chaque année en Italie, environ 16K décès liés à la grippe sont déclarés chaque année. C'est un peu plus de la grippe 2K liée à chaque mois de la saison grippale de 7 mois. Et voici les chiffres de Covid en Italie.
- voir graphique sur site -
Les nouveaux cas sont en déclin et le nombre total de décès dans les 2 mois depuis le début de la flambée, est à 2158, soit environ 1K par mois (la moitié de celui de la grippe au cours de la même période). Et l'Italie est le pire des scénarios en termes de taux de mortalité (décès par infections enregistrées - oui, il s'agit d'une statistique moins qu'idéale en termes de signification). L'Allemagne, par exemple, a un taux de mortalité incroyablement bas.
Et laissez-moi être clair, je ne dis pas que nous ne devrions pas prendre cela au sérieux. Mon point est de savoir si la réponse sévère des gouvernements occidentaux est une réponse raisonnable compte tenu de la «menace».
En 2009, la grippe porcine a frappé les côtes américaines. Examinons les chiffres de propagation et de mortalité de l'épidémie de grippe porcine qui sont passés presque inaperçus auprès du public et des médias. En fait, je n'avais aucune idée que la grippe porcine avait frappé nos côtes jusqu'à la rédaction de cet article. À la mi-mars 2010, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis estimaient qu'environ 59 millions d'Américains avaient contracté le virus H1N1, 265 000 ont été hospitalisés en conséquence (0,4% du nombre total estimé de personnes qui l'ont contracté), et 12 000 sont décédés (0,02%).
Voyons maintenant l'épidémie de Covid aux États-Unis à ce jour.
- voir graphique sur site -
12 000 morts de la grippe porcine (2009/2010)
85 morts du coronavirus.
59 millions d'Américains ont contracté la grippe porcine, 265 000 ont été hospitalisés et 12 000 sont morts de l'épidémie de 2009/2010. Pourtant, le bruit du public à propos de cette épidémie était si silencieux que je ne me souviens même pas qu’il s’est produit. Aujourd'hui, nous avons Covid, et en 2 mois, il a infecté 4 600 Américains et 85 ont succombé au virus.
Si je devais montrer ces chiffres à un étranger et leur demander d'identifier quel scénario a entraîné un verrouillage de la société, que soupçonnez-vous qu'ils indiqueraient ? Exactement. 100% d'entre vous ont souligné la grippe porcine. 100% d'entre vous.
RépondreSupprimerAlors, comment se fait-il que les gouvernements occidentaux aient choisi Covid ? Et plus important encore, pourquoi ?
https://www.zerohedge.com/political/if-contrived-political-hysteria-what-objective