Nous payons deux décennies de politique publique visant à implanter des éoliennes coûteuses et inutiles.
Par Pierre Farge.
11 MARS 2020
Alors que le président de la République remet en cause l’éolien à l’occasion d’une table ronde sur l’écologie, Pierre Farge, avocat au barreau de Paris, confirme l’aberration de ce mode de production au regard de la source mineure d’énergie en résultant, des nuisances à l’environnement, et des multiples désastres écologiques, pour l’Homme et pour les animaux. Fort d’une expérience de terrain, il témoigne également des prises illégales d’intérêts expliquant aujourd’hui comment de tels projets sont si nombreux, et perdus d’avance.
Le 14 janvier 2020, le président de la République lors d’une table ronde sur l’écologie déclarait « le consensus sur l’éolien est nettement en train de s’affaiblir ».
Pourtant les projets sont de plus en plus nombreux, au mépris du bons sens et du droit.
Tout d’abord, il convient de rappeler que l’éolien ne concerne qu’une infime part de l’énergie en France au profit aujourd’hui du nucléaire. Si les projets éoliens sont portés sur fond d’écologie, la réalité est bien différente, et n’a rien d’écologique. En effet, la mise en place de tels appareillages suppose au préalable le bétonnage des sols, la construction de routes. Donc rien d’éco-responsables.
Au surplus, cette production d’énergie issue des éoliennes est intermittente. Les aérogénérateurs convertissent l’énergie du vent en électricité. L’Homme n’étant pas encore en mesure de maîtriser le vent, la construction éolienne oblige donc la construction de centrales non intermittentes permettant ainsi de combler la production d’énergie en cas d’absence de vent.
Pire, les éoliennes sont la source de multiples désastres. D’abord un désastre esthétique, qui se traduit, d’un point de vue économique, par l’effondrement de l’immobilier et du tourisme. Ensuite un désastre sonore, comme en témoigne le ronronnement continu des pales pour les riverains. Et enfin un danger pour la faune dont on observe la mortalité des oiseaux se fracassant contre les hélices, la perturbation des circuits de migration, ou encore par exemple le brouillage des ondes désorientant les chauves-souris.
POURQUOI AUTANT D’ÉOLIENNES ?
Dès lors, pourquoi les projets éoliens sont si nombreux ? Un simple exemple tiré de l’examen d’un dossier judiciaire permet d’y répondre, ou en tout cas d’apporter un début de réponse.
Un particulier achète une résidence secondaire dans la Creuse pour se reposer de sa vie tumultueuse à Paris.
À peine propriétaire, il découvre un projet éolien « validé » par la préfecture et la fin de ce que l’on appelle l’ « enquête publique »; enquête n’ayant de « public » que le nom puisque personne n’en a jamais eu connaissance.
Les éoliennes de 150 mètres de hauteur seront donc construites dans un rayon de 500 mètres en face de sa maison. Une association est immédiatement créée pour s’opposer à ce projet. C’est alors dans ce cadre qu’il est découvert que le projet a été acté sur fond de ce que l’on appelle en droit une « prise illégale d’intérêts ».
L’intérêt est tout d’abord d’ordre financier, puisque les producteurs éoliens ne sont pas à la recherche de zones venteuses mais plutôt de communes nécessiteuses.
La manœuvre est la suivante : les producteurs proposent aux propriétaires une location annuelle dont le montant est très souvent supérieur à la valeur même des biens ; sans préjudice pour la commune de bénéficier également de subventions. L’intérêt étant avant tout financier, l’on comprend le soutien curieusement sans failles des élus locaux « pour l’avenir de la planète ».
L’absurde n’ayant pas de limites, à l’ouverture du projet, et pour donner un peu plus confiance au propriétaire, quelques dizaines de milliers d’euros leur sont également versés, à titre de provision du futur démantèlement, qui au bout d’une vingtaine d’années devient un impératif.
Cela revient donc à rappeler qu’effectivement il n’existe aucune obligation légale au constructeur éolien de démanteler ce qu’il a lui-même construit, mais surtout de constater que cette charge incombant finalement au propriétaire terrien s’élève à minima à 400 000 euros, soit largement au-delà de ce qui lui est provisionné.
L’ÉOLIEN EST D’ABORD POLITIQUE
Voilà donc pourquoi l’on constate des cimetières d’éoliennes abandonnées sur tout le territoire, mettant en péril la sécurité et la beauté du pays.
L’intérêt est également politique, puisqu’accepter un tel projet c’est laisser croire que l’on pense écologie, environnement, développement durable. C’est agir face à l’urgence climatique. C’est sauver la planète. C’est vert… Et cela permet d’être réélu grâce aux subventions qui elles-mêmes permettent d’équilibrer les budgets sans que l’on se demande trop pourquoi à court terme ; quitte à laisser courageusement aux générations futures, et aux prochains élus le soin de se poser la question du démantèlement de ces mastodontes.
Rien n’est pourtant plus faux et dangereux. Ces belles idées sont une source mineure d’énergie, nécessitent de nombreuses installations préalables nuisant à l’environnement, elles-mêmes entraînant de multiples désastres écologiques pour l’Homme et pour les animaux.
En somme, nous payons deux décennies plus tard ces politiques inconséquentes par des déserts d’éoliennes sur le point de s’effondrer et que personne n’a plus les moyens de démanteler.
Voilà le mensonge de l’éolien.
Le 11 Mars 2011 (y a 9 ans) le monde apprenait l'accident à Fukushima et tous les mensonges qui vont avec diffusés par les merdias internationaux (comme pour le 11 Septembre 2001 avec ses hologrammes qui pénètrent les bâtiments ! Hahaha !), mensonge non pas épidéminologique mais pandémiquo-coroné par un nippon qui éternue !
RépondreSupprimerMais, les putains de docteurs en politique de merde au pouvoir n'ont JAMAIS expliqué que le tremblement de terre (magn.9) avait brisé les tuyaux d'approvisionnement en eau des réacteurs ! Çà alors ! ET QUE CETTE CHOSE PEUT AUSSI SE PASSER A TOUTES LES CENTRALES ÉLECTRIQUE DU MONDE (qui sont au même modèle que le Fukushima1 !). D'où l'explosion d'hydrogène des réacteurs (3 sur 4) par manque d'eau ! Cà alors ! D'où la contamination des océans (milliards de poissons) et des pays ventés par le Jet-Stream ? Pas du tout ! Relevés indépendants faits, il y en avait la première semaine puis... plus du tout ! Çà alors ! Mais où qui sont-ils passés ces fameux béquerels ? Bêh ils sont partis en vacances au pôle Nord par charterAirHaap de Gakona ! Cà alors !
Les mensonges se suivent.
L'Italie suspend les versements hypothécaires et les entreprises meurent alors que des résidents paniqués accumulent de la nourriture
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 03/11/2020 - 04:15
L'Italie a suspendu les paiements d'hypothèques en raison de l'épidémie de coronavirus car plus de 9 000 personnes ont été infectées et plus de 460 sont décédées, a annoncé mardi le gouvernement.
Interrogée sur l’arrêt des versements hypothécaires à Radio Anch’io, la vice-ministre de l’Economie Laura Castelli a répondu "Oui, ce sera le cas pour les particuliers et les ménages", selon The Independent.
Pendant ce temps, des habitants paniqués se sont entassés dans les supermarchés pour faire des provisions alors que tout le pays est entré en lock-out mardi matin, tandis que les rues italiennes étaient pratiquement vides après que le gouvernement a ordonné aux gens d'éviter de voyager, sauf pour "des situations de travail urgentes et vérifiables et des urgences ou des raisons de santé". selon le Daily Mail.
Les favoris touristiques, y compris les galeries marchandes de Milan, la place d'Espagne de Rome et la place Saint-Pierre du Vatican, étaient pratiquement désertés aujourd'hui après que les mesures drastiques contre les coronavirus ont été étendues à l'ensemble du pays la nuit dernière.
Les acheteurs de panique faisaient leurs bagages dans les supermarchés ce matin avec des files d'attente qui s'étendent à l'extérieur en raison d'une règle qui exige un écart de 3 pieds entre les acheteurs - ce qui signifie que seul un nombre limité peut entrer à la fois.
À Naples, la police parcourait les rues avec un porte-voix hier soir pour avertir les gens de «rester à l'intérieur, d'éviter les sorties inutiles et d'éviter les endroits bondés» en raison de «l'urgence du coronavirus».
Le Premier ministre Giuseppe Conte a déclaré hier soir que "chacun doit renoncer à quelque chose pour protéger la santé des citoyens". -Courrier quotidien
Les entreprises souffrent évidemment de l'impact de l'isolement, alors que les rues vides de Rome sont devenues silencieuses. Les bars et les restaurants ne peuvent être ouverts qu'entre 6 h et 18 h, et doivent garder les clients à une distance minimale de 1 mètre (3,2 pieds), selon SBS. De plus, les musées et les lieux culturels sont fermés, ainsi que les discothèques, cinémas, théâtres et casinos. Les grands magasins doivent fermer les jours fériés et la veille des jours fériés.
L'effet continu a été immédiat.
La famille de Raffaello Sasson possède un magasin de vêtements à Rome depuis 1970, mais il dit que les conditions n'ont jamais été aussi désastreuses.
"C'est en ce moment bien pire que le 11 septembre et Tchernobyl réunis. C'est le pire que nous ayons vu en ce moment." -SBS
"Les deux dernières semaines ont été tragiques, dans le centre historique ici, pas même un seul touriste. Nous sommes ici depuis 15 ans et cela ne s'est jamais produit", a déclaré le propriétaire du restaurant Francesco Massotte, dont le restaurant haut de gamme réserve généralement des mois à des gens avance.
À l'extérieur de la fontaine de Trevi, les touristes ont vu des signes avertissant des interactions avec les autres.
"Je déjeunais aujourd'hui et dans le restaurant, il y avait un panneau disant 'restez loin des gens, asseyez-vous à un mètre des autres'", a déclaré un homme à SBS.
Au moins, ils n'auront pas à payer leurs hypothèques pendant un certain temps.
https://www.zerohedge.com/economics/italy-suspends-mortgage-payments-businesses-dying-panicked-residents-hoard-food
Rappelez-vous du gag du '11 Septembre 2001' à N-Y ! Hahaha ! Des 'avions' (fabriqués en aluminium) qui entraient en des tours de béton armés et poutres verticales d'acier de 80 cm de large ! Hahaha ! Même la Tour n°7 s'est effondré de rire de n'être touchée par un hologramme !! Hahahaha !
SupprimerRappelez-vous de 'cette journée' où TOUTES les chiennes de télévision (et radios et presse écrite) faisaient la une MONDIALE et DURANT DES HEURES SUR TOUTES LES CHIENNES pour un accident d'avions !! (en attendant que le 'second avion' arrive, et puis le 3è qui n'est pas arrivé faute à un problème de projecteur d'hologrammes !!) !
C'est PAREIL aujourd'hui avec le virus ethnique !! (Mille fois moins de morts que les grippes annuelles ou sida, Ebola !)
(...) "C'est en ce moment bien pire que le 11 septembre et Tchernobyl réunis. (...) !!
Tchernobyl: Zéro mort en Italie.
'11 Septembre': Zéro mort en Italie !
Çà alors !!
La NRC prolonge à 80 ans l’exploitation de la centrale nucléaire de Peach Bottom en Pennsylvanie … et Fessenheim ?
RépondreSupprimerle 11 mars 2020
Alors que la France s’enfonce dans l’irrationalité la plus totale en fermant la centrale nucléaire de Fessenheim, arrêt qui sera suivi dans les toutes prochaines années de celles de Bugey puis de Tricastin – les « vieilles » centrales nucléaires françaises qui font les nuits blanches des écologistes – la commission de régulation nucléaire (NRC) américaine a approuvé la demande d’Exelon Generation Company pour 20 années de fonctionnement supplémentaires pour les unités 2 et 3 de la centrale nucléaire de Peach Bottom, autorisant une durée de vie pouvant aller jusqu’à 80 ans. Il s’agit du deuxième renouvellement de licence accordé par le régulateur américain, après les unités 3 et 4 de Turkey Point qui ont été renouvelées en décembre dernier. Le permis de Peach Bottom 2 expirera le 8 août 2053 et de l’unité 3 le 2 juillet 2054. La justification de la décision de la NRC est documentée dans son rapport final d’évaluation de la sécurité de la demande, publié le mois dernier, et dans une étude d’impact environnemental supplémentaire publiée en janvier. Le comité consultatif de la NRC sur les garanties des réacteurs a également examiné les aspects de sécurité du renouvellement des licences, a déclaré le régulateur.
Exelon a déposé sa demande de renouvellement de licence pour les deux usines, situées près de Delta, en Pennsylvanie, en juillet 2018. La société a déclaré qu’elle avait récemment fait d’importants investissements dans de nouveaux équipements et technologies pour augmenter la capacité de production de l’usine d’environ 12%. De nombreux composants majeurs, notamment les turbines haute et basse pression de la centrale, les sécheurs de vapeur, les générateurs principaux et les transformateurs de puissance principaux ont été remplacés ou améliorés. Cela s’appelle en français « grand carénage ».
Bryan Hanson, directeur nucléaire d’Exelon Nuclear, a déclaré que la possibilité d’exploiter Peach Bottom pendant encore 20 ans était une bonne nouvelle pour l’environnement, les employés de l’entreprise et la communauté. « Cependant, les centrales nucléaires doivent rester financièrement viables pour continuer à fonctionner », a-t-il déclaré. « Il est essentiel que nous continuions à poursuivre des réformes politiques qui valorisent les avantages environnementaux, économiques et de fiabilité que fournit l’énergie nucléaire zéro carbone. » Il serait souhaitable que ce type de commentaire arrive sur le bureau du Président de la République française ! La centrale nucléaire de Fessenheim en France, certes la plus vieille du pays, est cependant parfaitement rentable et en très bon état de fonctionnement. En outre il s’agit d’une énergie non carbonée, ce qu’exigent les amis écologistes du Président Macron.
Aux Etats-Unis la NRC est autorisée en vertu de la loi américaine sur l’énergie atomique à délivrer des licences pour que les réacteurs commerciaux fonctionnent jusqu’à 40 ans – une période qui, selon cette loi, était fondée sur des considérations économiques et antitrust, plutôt que sur des limitations de la technologie nucléaire. Ces licences peuvent être renouvelées pour une période supplémentaire de 20 ans pour une durée de vie de 60 ans. La plupart des centrales nucléaires commerciales des États-Unis fonctionnent désormais sous ces licences renouvelées. Les renouvellements de licence subséquents couvrent 20 années d’exploitation supplémentaires au-delà de 60 ans, le processus d’examen des demandes étant axé sur la gestion du vieillissement de l’usine pendant la période d’exploitation de 60 à 80 ans.
RépondreSupprimerPeach Bottom 2 et 3 sont des réacteurs à eau bouillante qui ont commencé leurs opérations commerciales en 1974. Si l’usine continue de fonctionner jusqu’en 2054, Exelon estime que sa production d’énergie propre éviterait les émissions de plus de 536 millions de tonnes de carbone. Combien de millions de tonnes de gaz carbonique la centrale nucléaire de Fessenheim pourrait éviter de rejeter dans l’atmosphère si le gouvernement français suivait les recommandations de l’ASN, l’équivalent français de la NRC pendant les 20 prochaines années ? La réponse est simple : 370 millions de tonnes de carbone !!! Pourtant cette donnée dont la véracité peut être vérifiée n’a pas l’air d’avoir percuté le cerveau des écologistes qui prônent pourtant le « zéro carbone » en 2035 avec en même temps une réduction de 50 % de l’énergie nucléaire en France. J’émets de sérieux doutes quant à la santé intellectuelle de ces individus et y compris celle du président Macron …
La NRC est actuellement en train d’examiner une demande d’examen de permis de Dominion Energy pour les unités Surry 1 et 2, pour laquelle une décision finale est prévue pour juin. Selon les lettres d’intention soumises à l’organisme de réglementation, les demandes de renouvellement de licence subséquentes devraient être soumises plus tard cette année pour les unités 1 et 2 de Dominion North Anna et à la fin de 2021 pour les unités Oconee 1 et 2 de Duke Energy.
Adapté d’un article de World Nuclear News
Note. Je rappelle le lien sur ce blog :
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/12/08/breve-si-cetait-la-nrc-qui-decidait-pour-lasn-elle-dirait-que-les-reacteurs-de-fessenheim-sont-bons-pour-le-service-jusquen-2059/
Et je voudrais remémorer à mes lecteurs que si l’usine de Fessenheim pouvait fonctionner jusqu’en 2059 comme la NRC américaine pourrait le préconiser alors sa fermeture précipitée sans aucune raison autre que politique (bravo pour cette décision émanant d’un ancien banquier de Rothschild) le manque à gagner pour EDF hors coût des grands carénages serait en euros d’aujourd’hui de 40 à 50 milliards € durant cette période. Le pouvoir politique français a définitivement perdu tout sens des réalités. Ce pays est foutu comme a coutume de le répéter H16 …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/03/11/la-nrc-prolonge-a-80-ans-lexploitation-de-la-centrale-nucleaire-de-peach-bottom-en-pennsylvanie-et-fessenheim/
Pourquoi n’est-il pas recommandé de se laver les mains trop fréquemment, malgré une épidémie ?
RépondreSupprimer13:40 11.03.2020
La peau des mains se prive de sa capacité protectrice contre les bactéries si on se les lave plus de six ou huit fois jour, indique un immunologue russe à Sputnik. En outre, les produits utilisés peuvent sécher et endommager la peau, tandis que les gels antiseptiques ne permettent pas de tuer tous les microorganismes.
Le lavage des mains, l’une des mesures préconisées pour se protéger contre les virus, peut avoir un impact négatif, confie un médecin immunologue dans une interview accordée à Sputnik.
«L’hygiène des mains est importante, surtout en période de grippe saisonnière, mais il ne faut pas y accorder trop d’importance. Un lavage fréquent des mains (plus de six ou huit fois par jour) rend la peau plus sèche et enlève la couche de bonnes bactéries qui sert de protection contre des infections», fait savoir Alexey Bessmertny.
De plus, savons et gels peuvent abîmer la peau à cause des agents qu’ils contiennent, souligne-t-il.
Quid des gels antiseptiques ?
Le médecin conseille également de limiter l’application de gels antiseptiques, leur action n’étant pas plus efficace que celle du savon.
Selon lui, le simple usage de gels antiseptiques ne suffit pas à désinfecter complètement les mains, parce qu’il, comme les serviettes humides, n’éliminent pas toutes les bactéries, mais les disséminent.
«Il est beaucoup plus efficace de se laver régulièrement les mains avec l’eau du robinet», conclut-il en se référant à une publication de l’Académie américaine de pédiatrie (AAP).
Nouvelles caractéristique du coronavirus
Une étude récente réalisée en Chine confirme que le Covid-19 peut rester dans l’air pendant 30 minutes après le passage d’une personne infectée. Celle-ci revoit aussi à la hausse la distance de sécurité pour éviter toute contamination, passant de 1-2 mètres à 4,5 mètres.
https://fr.sputniknews.com/sante/202003111043239709-pourquoi-nest-il-pas-recommande-de-se-laver-les-mains-trop-frequemment-malgre-une-epidemie/
THURGOVIE (N-E Suisse) - MYSTÈRE: 120 OISEAUX TOMBENT DU CIEL, MORTS
RépondreSupprimerPlus d’une centaine d’étourneaux sont tombés comme des pierres dans un village. L’événement reste pour l’heure incompréhensible.
11.03.2020, 12h59
Le 29 février dernier dans le village thurgovien de Triboltingen, peu après 16 heures, «plus de 100 oiseaux sont tombés du ciel comme des pierres», relate le «St. Galler Tagblatt». Tous ont chuté dans un petit périmètre de quelque 50 mètres sur 50. La plupart sur la route principale. Certains dans la prairie voisine. «Un tiers d’entre eux bougeaient encore leurs ailes. Tous les autres étaient morts», raconte un témoin dans le quotidien alémanique.
Les oiseaux blessés sont décédés peu après. L’étrange cas a été géré par le service local de la chasse et de la pêche. Qui a finalement dénombré quelque 120 cadavres, tous d’étourneaux. Des corps ont été confiés à l’Université de Berne. Qui a estimé que les causes de leur mort étaient des traumatismes semblant découler d’un choc et des hémorragies pulmonaires.
Un éclair ? Un avion ?
Alors, que s’est-il passé? Mystère, explique le «St. Galler Tagblatt», qui a pourtant creusé de nombreuses hypothèses. La météo, d’abord. Ces étourneaux qui volent par milliers auraient pu être pris dans une tempête, frappés par un éclair? Non: ce jour-là le ciel était légèrement nuageux et le temps doux.
Les blessures laissent penser à un choc, par exemple une collision avec un grand bâtiment vitré. Mais il n’y en a aucun dans les environs. Et pas d’éoliennes non plus. Une collision avec un camion, alors? Ce n’est pas impossible mais improbable.
Autre thèse, un impact avec un avion. Mais consultés, des ornithologues expliquent qu’ils n’y croient pas car les étourneaux volent à basse d’altitude.
Enquête bouclée
Le quotidien alémanique a encore songé à un effet de la nouvelle technologie de téléphonie mobile 5G. Mais le centre ornithologique de Sempach, qui surveille des populations d’oiseaux depuis trente ans, n’a jamais constaté un tel effet qui pourrait être attribué au rayonnement.
Le mystère reste donc entier. Et peut-être ne connaîtra-t-on jamais le fin mot de cet étrange cas. Car du côté des autorités, comme les oiseaux n’ont pas été empoisonnés et ne souffraient d’aucune maladie, l’enquête est close…
Renaud Michiels
https://www.lematin.ch/suisse/mystere-120-oiseaux-tombent-ciel-morts/story/17817581
Après la mort de milliers d'oiseaux et de poissons (échoués sur plages ou flottant à la surface des eaux) le 'mystère demeure' !
Supprimer"Il ne doit rester que 500 000 personnes sur notre planète" Bill Gate.
Le journal Le Monde épinglé par la diplomatie russe pour de «fausses informations» dans un article
RépondreSupprimer15:59 11.03.2020
Le journal français Le Monde ne remplit pas ses engagements, refusant notamment de publier le démenti de son article renfermant une fausse information concernant le ministère russe des Affaires étrangères, annonce la diplomatie russe.
Le quotidien Le Monde a refusé de publier le démenti de sa fausse information sur le ministère russe des Affaires étrangères, rapporte dans un communiqué la diplomatie russe. Le 27 janvier, ce journal français a publié un article de son ancien correspondant à Moscou qui renfermait une fausse information prétendant que le ministère avait durci l’octroi de visas aux journalistes étrangers, ainsi que l’accréditation de ces derniers.
«Nous nous voyons de nouveau dans l’obligation de soulever le problème de non-respect par le grand journal français Le Monde de ses engagements, refusant à la partie, victime d’une fausse information, à savoir le ministère russe des Affaires étrangères, le droit d’y répondre dans les pages du quotidien», a-t-il été souligné au ministère.
Et de rappeler que, début février, l’ambassade de Russie à Paris avait envoyé une lettre du département de l’information et de la presse du ministère russe des Affaires étrangères, accompagnée d’un démenti de la fausse information publiée dans le journal Le Monde, au nom de son rédacteur en chef Jérôme Fenoglio.
«Pendant deux semaines, le quotidien français n’y a aucunement réagi. Notre lettre n’a pas été publiée, alors que les lecteurs du journal se sont trouvés induits en erreur suite à la publication d’une information qui ne correspondait pas à la réalité. Après des appels répétés adressés à la rédaction par l’ambassade russe à Paris, nous avons finalement reçu une réponse libellée comme suit: "Nous avons lu avec intérêt votre lettre, mais ne voulons pas la publier [retraduit du russe, ndlr]"», est-il indiqué dans le communiqué.
Violation du principe clé de l’éthique journalistique
La diplomatie russe souligne que par cela le journal français n’a pas seulement refusé au ministère des Affaires étrangères d’un État étranger le droit de démentir publiquement une information ne correspondant pas à la réalité, mais a violé le principe clé de l’éthique journalistique.
«Refuser à la partie intéressée la possibilité de répondre dans les pages de l’édition à des imprécisions et des falsifications la concernant signifie violer une série de documents internationaux, notamment la Déclaration de principe sur la conduite des journalistes de 1954, la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes de 1971 [la Charte de Munich, ndlr] et la Charte d'éthique mondiale des journalistes de 2019», résume le ministère russe des Affaires étrangères.
https://fr.sputniknews.com/international/202003111043240820-le-journal-le-monde-epingle-par-la-diplomatie-russe-pour-de-fausses-informations-dans-un-article/
RépondreSupprimerCe navigateur empêche désormais Facebook de vous traquer en ligne
15:55 11.03.2020
Plus de sécurité, moins de tracking… Une nouvelle version du navigateur Firefox 74 a été lancée par Mozilla. Cette mise à jour se concentre sur l'amélioration de la sécurité et de la confidentialité des utilisateurs.
La fondation Mozilla a publié la version 74 de son navigateur Firefox qui propose une série de nouveautés parmi lesquelles Facebook Container, relate le site mozilla.org. Ce module complémentaire empêche Facebook de traquer les internautes.
Selon la source, Facebook Container avait été proposé auparavant par Mozilla sous la forme d’une extension. On précise que cette nouveauté crée un barrage entre le réseau social et les autres sites, en l’empêchant de traquer les internautes et en bloquant les connexions, les likes et les commentaires de Facebook sur des sites tiers. Ceci crée ainsi un tampon entre l'utilisateur et Facebook, Facebook Messenger et Instagram. Mais lorsqu’un utilisateur a besoin d’une exception, il peut le faire via Facebook Container.
En outre, les modules complémentaires installés par des applications externes peuvent désormais être supprimés à l’aide du gestionnaire dédié. Seuls les utilisateurs sont en mesure de le faire et non plus une application.
Historique de navigation
De plus, la nouvelle version de Firefox désactive tous les protocoles de chiffrement TLS 1.0 et 1.1 qui sont déjà obsolètes. Firefox a également simplifié l’importation des signets et de l’historique de navigation à partir du nouveau navigateur Microsoft Edge sur Windows et Mac.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202003111043241259-ce-navigateur-empeche-desormais-facebook-de-vous-traquer-en-ligne/
COMMENT RÉDUIRE LE PRIX DE SON FORFAIT MOBILE ?
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
11/03/2020
En réduisant l'enveloppe de data de 100 Go à 60 Go par mois, le forfait passe de 20 à 12 euros.
Je vous ai parlé récemment de la petite bataille en cours sur les prix des forfaits mobiles. Ce sont principalement des opérateurs mobiles virtuels, c’est-à-dire sans réseau, qui sont à la manœuvre.
Changer d'opérateur : trop compliqué
On trouve des forfaits très complets à moins de 10 euros en ce moment. Mais bien sûr, cela implique de changer d’opérateur, et beaucoup de gens y sont réticents.
La peur, qui n’a plus lieu d’être, d’une coupure de service. Celle de devoir réenregistrer tous ses contacts, alors qu’ils ne sont plus dans la carte SIM depuis longtemps. La paresse, aussi, tout simplement, de devoir remplir des formulaires, envoyer des justificatifs et autoriser un prélèvement SEPA. Alors, j’ai peut-être un truc pour vous. Une fois n’est pas coutume, je l’ai testé pour moi-même, et je vous partage le bon plan.
Réduire son enveloppe de data
J’ai tout simplement changé de forfait chez mon opérateur actuel, passant de 20, à 12 euros par mois. Le forfait est le même, simplement, au lieu de 100 Go de données par mois, enveloppe de data dont je n’utilise jamais le quart, je passe à 60 GO que je ne consommerai jamais. Pourquoi ne pas l’avoir fait avant me direz-vous ? Et bien parce que pendant longtemps, les promotions étaient réservées aux nouveaux clients !
Mais désormais, c’est de moins en moins le cas. Surtout quand le tarif que vous choisissez n’est pas une promotion ponctuelle, mais une offre permanente. Elle est donc valable pour tous les clients, les nouveaux, comme les anciens. Allez donc visiter le site mobile de votre opérateur, ou consultez son application. Cliquez sur l’option “changer de forfait”. Vous pourriez, comme moi, avoir une excellente surprise ! Pour ma part, j’ai économisé exactement 100 euros sur un an. Cela ne se refuse pas.
http://www.economiematin.fr/news-comment-reduire-prix-forfait-mobile
Coronavirus : 4 rappels douloureux sur la prise de décision en incertitude
RépondreSupprimerDans un monde comme le nôtre, il est indispensable que les décideurs acquièrent une véritable culture de l’incertitude, dans l’anticipation comme dans la gestion d’événements inédits.
Par Philippe Silberzahn.
11 MARS 2020
L’émergence inattendue du coronavirus ainsi que ses conséquences incertaines nous rappellent quatre choses que nous aurions du savoir, ou que nous savions mais que nous avons ignorées sur l’environnement dans lequel nous vivons :
L’imprédictibilité de l’avenir
La différence entre le risque et l’incertitude
La non-linéarité de l’évolution du monde
La construction sociale des surprises
L’IMPRÉDICTIBILITÉ DE L’AVENIR
Rappelez-vous, c’était il y a trois mois, le début de l’année et les prévisions des experts pour 2020.
Chaque année c’est la même chose.
L’économie, la société, tout y passe, et chaque année c’est la même chose : un événement survient qui dément toutes les prévisions. Ce qui était annoncé ne se produit pas, et ce qui se produit n’était pas annoncé. Nous le savons, mais nous continuons à produire des prévisions et à les croire en agissant sur leur base.
Tant que nous continuerons à prendre nos décisions sur un paradigme prédictif, nous resterons fragiles, c’est-à-dire qu’il suffira que les prévisions sur lesquelles nous nous basons se révèlent fausses, ce qui arrive souvent, pour que ces décisions aient des conséquences catastrophiques pour nous.
LA DIFFÉRENCE ENTRE RISQUE ET INCERTITUDE
Faut-il avoir peur de ce virus ?
C’est bien sûr la question que se pose chacun d’entre nous, tiraillé entre l’inquiétude de ne pas prendre au sérieux ce qui pourrait être l’épidémie du siècle et la crainte de céder à la panique si son impact ne se révèle que modeste, à l’instar d’Éric Caumes, chef du service des maladies infectieuses de la Pitié-Salpêtrière, qui déclarait ainsi récemment :
Si vous n’avez pas peur de la grippe (jusqu’à 10 000 décès par an en France), pourquoi avez-vous peur du coronavirus ?
Cela semble le bon sens même, et pourtant la comparaison n’est pas légitime, car elle ignore une distinction très importante, celle entre le risque et l’incertitude, qu’un décideur doit absolument maîtriser.
La grippe est un événement récurrent et connu ; il relève du risque, c’est-à-dire qu’il est gérable.
Le coronavirus est inédit, et son impact est imprévisible à ce stade. Il relève de l’incertitude et est donc moins facilement gérable, notamment parce qu’il peut évoluer soudainement en létalité.
Le simple fait que les experts s’étripent à l’heure où sont écrites ces lignes sur le fait de savoir si oui ou non il faut prendre des mesures drastiques est tout à fait typique d’un problème complexe incertain : nous ne pouvons même pas nous mettre d’accord sur l’évaluation de sa gravité !
RépondreSupprimerNon, le virus ethnique ne s'est pas 'échappé' d'un laboratoire chinois (Wuhan étant un des plus sûr laboratoire du monde) mais, un étranger (né en Asie de l'Ouest et venu à l'Est) l'a répandu là. Là pour faire croire que ce serait !!!...
Ainsi commença 'la fin du monde' car, se déplaçant que très peu, il a dû se faire aéroporté et répandre non pas par un kamikaze mais par un porteur de flacons qui ensemença divers pays. Il ne se répand pas tout seul et s'efface de lui-même avec les jours, d'où l'inexpansion naturelle !
Un commentaire sur le corona virus et les marchés ?
RépondreSupprimerCharles Dereeper
jeudi, 12 mars 2020 06:14
Je ne suis pas expert. Je n'écris pas car je ne sais pas.
Je regarde juste les stats chaque jour.
Actuellement 73.000 cas sont clos. Pour un total de 126.000.
Il y a 5700 cas critiques en reflux constants depuis des semaines.
La Chine a pris le contrôle du bestio. Donc ils vont rebosser et produire nos chères marchandises.
Trump vient de fermer le traffic aérien avec l'Europe.
Le pétrole a arrêté de chuter. A 30$ c'est bon pour le pouvoir d'achat, les coûts de production et l'inflation basse.
Clairement, le krach de 20% repose sur un paramètre différent de 1987 qui est qu'en 1987, il s'agissait d'un krach de flux de capitaux. Cela n'a pas impacté l'économie. En outre les marchés étaient sérieusement sous évaluées par rapport à aujourd'hui. Et les taux étaient aussi beaucoup plus hauts.
Actuellement notre cher corona lui a le pouvoir d'impacter l'économie. J'ignore combien sera la facture.
L'autre variable que je ne sais répondre est la durée nécessaire pour stopper la propagation de cette saloperie de virus.
Si tout se fige pendant 1 mois et qu'ensuite, les chiffres du virus s'écroulent pour les nouveaux cas, l'addition sera salée, mais pas tant que ca.
En fait, l'inquiétude concerne le tourisme qui est un énorme secteur qui contribue aux PIB de nombreux pays comme nous le savons tous.
Il n'existe pas de cas dans l'histoire des marchés boursiers comme celui que nous avons en ce moment sous les yeux.
Je ne peux que me borner à penser que la situation est extrêmement émotionnelle et concrètement pas dangereuse pour la survie du monde que nous connaissons.
Qu'en sera t il dans 3 mois ?
Jamais dans l'histoire nous avons eu un tel niveau de com pour une maladie. Jamais il y a eu un tel niveau de conscience pour une propagation de virus.
A Panama, c'est le pétage de plomb généralisé sur la bouffe pour seulement 8 cas dont 1 mort. Partout où je vais on me file du produit pour mes mains. Je suis super méga archi propre de la main...
Les panaméens se ruent pour stocker la bouffe. Avec ma femme, on a plus peur de crever de faim que du virus...
Mon compte de trading est en drawdown. N'ayant pas de levier. J'ai -10% actuellement en pricant l'ouverture à -4% demain matin suite à l'annonce de Trump.
Donc pour répondre à tous les emails. JE NE SAIS PAS !
Je dis juste qu'on ne peut pas shorter le vix à 50 si c'est pas la fin du monde en cours. Il faut une immense peur pour coller le VIX à 60 après un plus haut à 62.
Encore une fois où sera t on dans seulement 3 mois ?
Statistiquement, nous avons 4600 morts pour 7.5 milliards d'humains ! Même si on monte à 10 ou 15K en morts... plus -1% en Pib à cause du tourisme... tant qu'on entre pas en cascade de défaillances crédit... la machine est là et elle va tourner comme avant.
http://www.objectifeco.com/bourse/indices-boursiers/indices-usa/un-commentaire-sur-le-corona-virus-et-les-marches.html
L'AMAZONIE POURRAIT DISPARAÎTRE EN 50 ANS
RépondreSupprimerEnviron 20% de la forêt amazonienne ont été rasés depuis 1970, en grande partie pour cultiver du soja, du bois et de l'huile de palme.
11.03.2020
La forêt amazonienne s'approche d'un point de non-retour sous l'effet du changement climatique. Elle pourrait se transformer en une savane aride d'ici un demi-siècle, avertissent des chercheurs dans une étude parue dans la revue Nature communications.
Un autre écosystème majeur, la barrière de corail dans les Caraïbes, pourrait disparaître en quinze ans s'il dépasse lui aussi un point de non-retour, indiquent les scientifiques dans la même étude. De tels changements auraient des conséquences dramatiques pour les humains et les autres espèces qui dépendent de ces habitats, mettent-ils en garde. Dans les deux cas, les causes de ces modifications sont le changement climatique causé par l'humanité et les dommages environnementaux, déforestation dans le cas de l'Amazonie, pollution et acidification des océans pour les coraux.
Selon les travaux des experts climat de l'ONU, le Giec, 90% des coraux en eaux peu profondes seront condamnés si le réchauffement climatique atteint 1,5°C comparé à la période pré-industrielle. Une hausse de 2°C signera leur disparition quasi-complète. Le réchauffement atteint déjà 1°C.
Concernant l'Amazonie, le point de basculement est moins clair, mais des scientifiques estiment que la perte de 35% de surface déclencherait sa disparition. Environ 20% de la forêt amazonienne, qui recouvre plus de cinq millions de km2 répartis sur sept pays, ont été rasés depuis 1970, en grande partie pour cultiver du soja, du bois, de l'huile de palme, des biocarburants ou l'élevage bovin.
«Au bord du précipice»
«L'humanité doit se préparer à des changements beaucoup plus vite qu'attendu», a prévenu l'auteur principal de l'étude, Simon Willcock, de l'Université de Bangor (GB). L'écosystème amazonien pourrait ainsi basculer dès l'an prochain, selon lui et ses collègues.
Les feux de forêt devenus hors de contrôle en Amazonie ou en Australie suggèrent que de nombreux écosystèmes sont «au bord du précipice», a-t-il ajouté.
«Si l'on n'agit pas rapidement, nous pourrions être sur le point de perdre une des forêts tropicales les plus vastes et les plus diversifiées, qui évolue depuis 58 millions d'années et dont dépendent des dizaines de millions de personnes», indique Alexandre Antonelli, des Jardins botaniques royaux de Kew, qui n'a pas participé à l'étude.
Les écosystèmes peuvent changer, parfois rapidement, en situation de stress. Les chercheurs ont étudié de tels changements dans 40 régions naturelles, de différentes tailles. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/amazonie-pourrait-disparaitre-50-ans/story/25289797
Elle pourrait, Elle pourrait, Elle pourrait ! HAHAHA !
SupprimerNon l'Amazonie n'est pas victime des saisons car elles ne changent pas sous les Tropiques mais plutôt prête à aider les amazoniens à se nourrir de comestibles et à gagner beaucoup d'argent !
Enfin des plants de tomates, des plants de melons remplacent les forêts humides et inutiles envahies de serpents et de mille espèces venimeuses. Enfin les brésiliens peuvent se réjouir, ils ont enfn appris que si les arbres et les plantes fournissent de l'oxygène et respirent du gaz carbonique c'est très peu ! Très très peu aux côtés des mers et océans qui dégazent des milliards de fois plus que tous les humains, les animaux et les industries réunis !
C'est le magma qui fabrique l'oxygène qui fait vivre des milliards de poissons et d'animaux sur terre et non les arbres ! Hahaha !
C'est aussi ces immenses bassins d'eaux qui recyclent les émissions volcaniques sous marines et sous océanique comme le fait aussi l'atmosphère.