«Nous avons perdu trop de temps»: «fake news» et chloroquine, à qui la faute ?
16:14 23.03.2020 Par Alexandre Keller
Pourquoi le ponte Didier Raoult a-t-il eu tant de mal à faire accepter l’idée d’un test à grande échelle de l’hydroxychloroquine contre le coronavirus ? Non seulement le spécialiste s’est jusque-là heurté à un scepticisme systématique, mais il ressort aussi qu’il a longtemps été en conflit avec Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn.
«Nous avons perdu trop de temps», dénonce le professeur Didier Raoult dans les colonnes de Marianne.
«Il ne faut plus tarder mais agir», martèle-t-il. Ce lundi 23 mars, une très longue file d’attente s’est formée devant l'Institut hospitalo-universitaire Méditerranée de Marseille (IHU). Les patients potentiels, dont certains sont décrits comme fébriles, masqués et gantés, peuvent y être testés et bénéficier du traitement par hydroxychloroquine associée à un antibiotique.
Pourquoi cette molécule a-t-elle eu tant de mal à émerger et à être reconnue comme piste très prometteuse contre le coronavirus ?
Les réseaux sociaux, puis certains médias, se sont mis à creuser la question. Résultat: il semble bien que cet antipaludéen (également utilisé contre la maladie du lupus) bon marché, utilisé depuis des décennies, et facile à produire ait été victime d’un tir de barrage à la fois médiatique et politique, et peut-être même d’inimitiés.
Pourtant considéré comme un infectiologue et virologue de tout premier plan dans le monde, le professeur français Didier Raoult a été dans un premier temps accusé de propager de fausses informations. C’est un article à charge des Décodeurs, service et rubrique de «vérification» de l’information, selon les termes du journal Le Monde, qui a mis un premier coup d’arrêt le 26 février en fournissant un argument d’autorité aux détracteurs de la chloroquine.
Quand les Décodeurs du Monde se mêlent de virologie
Les journalistes avaient entrepris de décortiquer une vidéo publiée par Didier Raoult sur YouTube intitulée «Covid-19, fin de partie». Les Décodeurs avaient alors rendu leur sentence (une de leurs prérogatives): «Cette publication contient des informations à la fois vraies et fausses, ou simplement incomplètes. Dans certains cas, les informations sont trompeuses». Et Le Monde d’y apposer son tampon: «Conclusion: partiellement faux.»
Dans la vidéo, rebaptisée depuis et tournée à la forme interrogative «Coronavirus, vers une sortie de crise?», Didier Raoult remercie ses confrères virologues chinois d’avoir mené des tests à sa demande.
«Ce que j’attendais des Chinois, que je considère comme les meilleures équipes de virologie au monde, […] c’est les résultats d’une première étude sur l’efficacité de la chloroquine sur les coronavirus, et ça vient de sortir, c’est efficace. C’est une excellente nouvelle, c’est probablement l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes», annonçait-il alors, le sourire aux lèvres.
Dès le 27 février, Didier Raoult étaie ses affirmations. Dans un article mis en ligne sur le site de l’IHU, il cite trois publications émanant d’équipes chinoises. «Un deuxième travail de publication avancée, publié dans BioScience Trends, rapporte que la première évaluation dans les essais cliniques de la chloroquine, qui inclut l’analyse des résultats de plus de 100 patients, montre que la chloroquine est supérieure au traitement de contrôle», détaille-t-il.
Pourtant, en France, on préfèrera lui reprocher la faiblesse de son étude menée localement sur 24 personnes à l’IHU. Citant une autre de ces études, menée auprès de 191 personnes, le professeur assène pourtant: «Les gens qui ont inventé la quatorzaine, ça n’a pas de sens. Il faut isoler les gens porteurs et ne pas isoler les non-porteurs.»
En clair, Didier Raoult s’oppose à la stratégie de confinement systématique et à l’absence de dépistage systématique de la population. Un crime de lèse-majesté qui pèsera lourd.
Didier Raoult, spécialiste mondial marginalisé en France
Le jugement de fake news, même partiel, du Monde a ainsi contribué à décrédibiliser l’expertise de Didier Raoult. Car l’avis des Décodeurs a des effets sur l’information du public, notamment sur les réseaux sociaux.
Facebook, tenu depuis 2017 de sous-traiter auprès de médias historiques triés sur le volet la vérification des informations échangées par ses utilisateurs, classe ainsi automatiquement les publications relayant la vidéo de Didier Raoult avec un bandeau «Information partiellement fausse».
Et le professeur de pointer dans une nouvelle vidéo mise en ligne le 16 mars les effets délétères du verdict des Décodeurs et de leur dispositif, le Décodex:
«Le Monde a décidé que ce que je disais, en rapportant ce qu’avaient publié les Chinois, n’était pas vrai. Il y a même eu "fake news" pendant 36 heures inscrit sur le site du ministère de la Santé !»
Mais Le Monde n’est pas le seul à douter de Didier Raoult. Au micro d’Europe 1, radio qui se demande si la chloroquine serait «un remède miracle», Martin Hirsch, directeur général de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), se montre catégorique. «La chloroquine n'a jamais marché chez un être vivant», affirmait-il alors.
Brouille avec Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn
Pourquoi une telle méfiance à l’égard d’un des meilleurs spécialistes au monde ? De fait, Didier Raoult se distingue depuis longtemps par ses déclarations iconoclastes. Et aussi par un caractère bien trempé ainsi qu’un goût certain pour l’indépendance.
S’il est associé au fameux Conseil scientifique maintes fois cité par Emmanuel Macron, il refuse d’y siéger, se contentant de lui faire parvenir ses recommandations.
Incontournable du fait de sa réputation, Didier Raoult se distingue également de la doxa en matière de vaccination. En 2018, il s’élève dans le livre La vérité sur les vaccins contre la décision prise en juillet 2017 par la ministre de la Santé Agnès Buzyn d’imposer huit nouvelles vaccinations aux enfants en bas âge. La décision avait alors suscité une levée de boucliers, notamment chez les parents. «Je n'aime pas rendre quelque chose obligatoire, mais dans le cas de la vaccination, c'est une mesure justifiée», avait tranché Agnès Buzyn.
Didier Raoult paie-t-il ses accusations, entre autres contre le «lobby pharmaceutique», selon ses termes? Au moment de l’inauguration de l’IHU en mars 2018, le site d’information consacré à Marseille Marsactu faisait état d’«un conflit ancien avec le mari de la ministre [de la Santé Agnès Buzyn], par ailleurs PDG de l’Inserm, Yves Lévy».
Ce dernier, qui a dû laisser sa place à la tête de l’Inserm en 2019 sur fond de possible conflit d’intérêts avec son épouse ministre de la Santé, aurait, selon un ministre cité anonymement par le Canard Enchaîné du 11 octobre 2017, «toujours voulu la peau des IHU, […] un enjeu de pouvoir».
Pour autant, les autorités sanitaires ont fini par admettre la pertinence d’essais cliniques sur la chloroquine. D’autres vont même plus vite. La République tchèque et les États-Unis ont déjà décidé de mettre en œuvre le traitement, notamment sous sa forme commerciale: le Plaquenil.
En France, c’est le maire de Nice Christian Estrosi qui sans attendre a autorisé le 22 mars le CHU de sa ville à utiliser la molécule. L’édile, testé positif au coronavirus avec son épouse, a d’ailleurs décidé de «faire confiance» à Didier Raoult.
Sur BFM TV, ce 23 mars, un médecin, qui a tenu à rester anonyme, infecté par le virus affirme ne pas avoir attendu pour s’auto-prescrire de la chloroquine. Et de noter une amélioration spectaculaire en 24 heures seulement. «Je ne m’attendais pas à une évolution impressionnante. […] Je n’ai pas la preuve scientifique, […] mais c’est extrêmement frappant, troublant et ça mérite qu’on s’intéresse de manière extrêmement forte à ce médicament», a-t-il témoigné, tout en appelant à ne pas recourir à l’automédication sans avis professionnel.
- voir clips sur site -
Les appels à utiliser la chloroquine tout de suite se multiplient. Christian Perronne, chef de service en infectiologie à l'hôpital universitaire Raymond-Poincaré de Garches, exhorte: «Il faut en donner dès maintenant aux patients.»
La Rèpublique tchèque opte pour un médicament français pour traiter le coronavirus
12:41 23.03.2020
Le Plaquenil semble être un médicament potentiellement efficace dans le traitement du Covid-19, selon le ministre tchèque de la Santé Adam Vojtech. Dimanche 22 mars, le ministère a adopté un règlement limitant sa prescription afin de le rendre disponible aux patients infectés, selon Zdravotnicky denik.
Le ministre tchèque de la Santé, Adam Vojtech, a fait savoir que les données scientifiques disponibles avaient prouvé l’efficacité potentielle du Plaquenil dans le traitement du Covid-19, rapporte Zdravotnicky denik.
«Aussi est-il nécessaire d’éviter qu’il soit inaccessible», a indiqué le ministre.
Soucieux de disposer de quantités suffisantes pour le traitement des infectés, le ministère tchèque de la Santé a adopté un règlement qui limitait la prescription du Plaquenil à d’autres fins. Le règlement est entré en vigueur dimanche 22 mars à 18h.
Selon le vice-ministre de la Santé, Roman Primula, il est désormais interdit de prescrire le Plaquenil à tous les médecins à l’exception de ceux spécialisés en allergologie et immunologie clinique, dermatovénérologie, médecine infectieuse ou rhumatologie.
Les médecins susmentionnés ne doivent pas délivrer d’ordonnance pour l’utilisation du Plaquenil pour une période de traitement supérieure à deux mois.
Le Plaquenil (le nom commercial de l’hydroxychlorouine) est un antipaludique fabriqué par Sanofi. Des médicaments contre le virus testés dans le monde
Dimanche 22 mars, il a été annoncé que le Japon avait entamé les tests cliniques de l’Avigan ou favipiravir en tant que médicament pour traiter la pneumonie provoquée par le coronavirus.
À la recherche d’un vaccin contre le coronavirus, les scientifiques de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille ont également testé un nouveau traitement contre le coronavirus à base de chloroquine, un médicament normalement utilisé pour soigner le paludisme.
Quelques jours plus tôt, Donald Trump avait évoqué les tests de l’hydroxychloroquine pour lutter contre le coronavirus.
«Ils mentent depuis le début» - Un dossier médical français contre le Premier ministre
par Tyler Durden Lun, 23/03/2020 - 04:15
COVID-19 a infecté 328 275 personnes dans le monde et fait 14 366 décès, selon les derniers chiffres de Johns Hopkins.
L'Europe est devenue la prochaine Chine, avec des cas et des décès sur une courbe exponentielle en Italie, en Espagne, en Allemagne, en France, en Suisse et au Royaume-Uni.
En France, le virus à propagation rapide a tué 562 personnes et conduit à plus de 14 400 cas confirmés dimanche (dans le monde). Le système hospitalier français est sur le point d'être submergé par des patients infectés par le virus, avec des lits d'hôpitaux et des capacités de traitement en USI qui s'épuisent rapidement.
Les hôpitaux français sont à court d'équipements de protection, ce qui rend le personnel médical susceptible de contracter le virus.
Il est devenu tout à fait évident que le pays européen n'était pas prêt à lutter contre une pandémie. C'est l'affirmation qui est faite par trois médecins français dans un nouveau procès contre le ministre Edouard Philippe et l'ancienne ministre de la Solidarité et de la Santé, Agnès Buzyn.
Les avocats des médecins ont déclaré à RT News que la plainte alléguait que les deux hauts responsables n'avaient pas préparé le pays à une crise sanitaire qui l'avait paralysé.
La plainte a indiqué que les deux responsables étaient parfaitement au courant du virus en janvier mais "avaient choisi de ne pas agir".
"À un moment donné, la vérité doit être dite, à savoir que ces personnes nous mentent depuis le début", a déclaré à RT Fabrice di Vizio, l'avocat des trois plaignants.
La plainte faisait référence à une interview accordée par Buzyn au journal Le Monde, dans laquelle elle regrette d'avoir quitté son poste gouvernemental et de se porter candidate à la mairie de Paris alors que la crise du virus se développait plus tôt cette année:
"Je savais que la vague du tsunami était devant nous." Le 30 janvier, j'ai prévenu [le Premier ministre] Edouard Philippe que les élections ne pourraient probablement pas avoir lieu. "Nous aurions dû tout arrêter, c'était une mascarade."
Le gouvernement français a rejeté tout acte répréhensible et a déclaré que sa réponse au virus était satisfaisante.
Di Vizio a déclaré à RT que le gouvernement n'était toujours pas préparé et n'avait pas d'équipement de protection essentiel pour les travailleurs de la santé:
"La semaine dernière, le gouvernement a parlé des masques. Vous vous souvenez de ces discours pompeux du président, qui était le commandant en chef et qui avait promis les masques ?" il a dit. "Les masques sont un outil de guerre principal car ils protègent les agents de santé. Ces masques sont-ils arrivés ?"
Ce serait un désastre absolu si les médecins et les travailleurs de la santé français rejoignaient les manifestants antigouvernementaux "Gilet jaune" par dégoût pour l'échec du gouvernement. Après tout, le mois dernier, les pompiers français se sont joints aux manifestations.
Coronavirus Crackdown - Méfiez-vous de "The New Normal"
par Tyler Durden Lun, 23/03/2020 - 03:30 Créé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,
C'est ainsi que Liberty meurt ... sous des applaudissements tonitruants.
Il y a quelques jours, James Corbett a publié une vidéo intitulée «Est-ce LE grand événement ?» la réponse à cette question semble de plus en plus être «oui».
Ce n'est pas le virus lui-même, vous comprenez, dont les statistiques officielles montrent encore qu'elles sont mineures par rapport aux épidémies annuelles de grippe. Mais plutôt à quoi il sert. Les formes démocratiques résiduelles de l’Occident et les libertés civiles qui s’atrophient lentement font face à un assaut final de la part d’autoritaires draconiens qui ressentent (ou créent) leur grand moment.
L'Espagne jouit de la «loi martiale en tout sauf son nom», tandis que l'Italie fait également appel à l'armée.
En France, Macron a «déclaré la guerre» au coronavirus, enfermant essentiellement tout le pays à l'intérieur de leurs maisons, à moins qu'ils n'aient «une bonne raison» de partir. Un motif qui doit être communiqué par écrit à la police.
Les rassemblements publics sont bien entendu strictement interdits. Les élections sont interrompues.
Aucun mot encore sur ce que les Gilets Jaunes ont l'intention de faire. Une marche - Acte 71 - est prévue pour aujourd'hui. Est-ce que ça ira de la tête ? Si oui, seront-ils confrontés à plus de violence ? Peut être. Ce n'est que maintenant, au lieu d'être ignorés par les médias, qu'ils seront considérés comme «égoïstes» pour avoir mis en danger les «membres du public».
Les métaphores de guerre sont également répandues au Royaume-Uni, «l'esprit de Blitz» perdure. Apparemment. Nous allons commencer à fabriquer des ventilateurs comme nous avions l'habitude de faire des Spitfire, (probablement on nous demandera d'envoyer nos casseroles et poêles pour aider à cet égard). Le Daily Mail a en fait interviewé Vera Lynn, 103 ans, qui pense que nous devrions tous «nous ressaisir».
Cet encouragement de l'esprit communautaire ersatz est un prélude à l'adoption du projet de loi sur les coronavirus, une loi vraiment terrifiante.
Les mesures proposées couvrent tout, du totalitaire prévisible au bizarrement inquiétant.
Premièrement, la police peut détenir une personne qu'elle soupçonne d'être infectieuse:
Par conséquent, le projet de loi permettra à la police et aux agents d'immigration de détenir une personne, pour une période limitée, qui est ou pourrait être infectieuse et de l'emmener dans un endroit approprié pour permettre le dépistage et l'évaluation.
Mais ne vous inquiétez pas, ce n'est que pour une "période limitée" (ce qui est juridiquement dénué de sens. Une "période limitée" peut être définie comme étant à tout moment moins que pour toujours.)
Ils supprimeront également les «restrictions» de vaccination:
la suppression d'une restriction actuelle dans la façon dont les conseils de santé territoriaux écossais peuvent dispenser des programmes de vaccination signifierait que, lorsqu'un vaccin devient disponible, il peut toucher autant de personnes que possible.
reporter les élections locales, des maires et des commissaires de police et des délits qui devaient avoir lieu en Angleterre en mai de cette année jusqu'en mai 2021. Il sera également prévu de reporter d'autres événements électoraux au cours de l'année (comme les élections partielles)
… Et accordent une immunité légale aux personnes impliquées dans le traitement de la maladie (d'une importance particulière étant donné la probabilité que des vaccins non testés soient précipités pour une utilisation de masse):
fournir une indemnité pour les responsabilités liées à la négligence clinique découlant des activités du NHS menées dans le but de faire face à, ou à cause de, l'éclosion de coronavirus
C'est un sac à main de pouvoirs vaguement formulés, largement ouvert à «l'interprétation». C'est très dangereux. Il y a même des indices que Londres pourrait être mise sous verrouillage total.
Les plus bizarres sont les dispositions légales assouplies pour l'enregistrement des décès (dont nous discutons plus en détail ici).
Tout compte fait, c’est une perspective terrifiante pour l’avenir du pays.
Il n’est pas difficile d’imaginer un monde où une personne peut être «détenue» pour «suspicion d’avoir le virus» alors qu’elle est en parfaite santé, et sa famille fait retirer tous ses messages sur les réseaux sociaux pour diffuser de la «désinformation».
Enfer, les nouvelles règles permettraient alors de couvrir plus facilement les décès en détention en demandant aux directeurs de funérailles privés d'enregistrer les décès qui ne nécessitent aucune confirmation secondaire. Une affirmation selon laquelle cette personne est décédée «alors qu'elle était traitée pour Covid19» rendrait également toutes les personnes impliquées juridiquement immunisées.
C'est un exemple extrême, mais il y a le danger de «pouvoirs» vagues. Ils sont largement ouverts aux abus.
Hier, la Grande-Bretagne a vu sa première arrestation en vertu de ces nouvelles règles, un jeune homme (qui ne serait pas malade du tout) a été arrêté sur l'île de Man pour avoir refusé de s'isoler. Il risque désormais jusqu'à 3 mois de prison, soit une amende de 10 000 £.
Annoncé également hier, Boris ferme toutes ses activités de services. Clubs, bars, cafés, gymnases, centres de loisirs, restaurants, cinémas. Tous partis. Mettre potentiellement des millions de personnes sans emploi, mais en introduisant un nouvel avantage (celui que vous devez consulter dans un Job Center pour réclamer, où il est bien connu que vous ne pouvez pas attraper de virus).
La loi danoise sur le vaccin / traitement obligatoire semble relativement docile à ce stade.
La Chine étiquette les gens avec des bracelets électroniques et scanne les foules avec des casques spéciaux pour surveiller toute personne ayant une légère température.
Israël, ayant suspendu le procès pour corruption de Netanyahu, s'affaire à éradiquer certaines libertés civiles. Leur utilisation proposée des données recueillies sur les téléphones portables pour suivre et surveiller les personnes potentiellement infectées est l'utilisation la plus réconfortante d'informations privées collectées illégalement dont je me souvienne.
Pour ne jamais être en reste, les États-Unis mettent des villes et des États entiers sous verrouillage total. Des ordonnances dystopiques «mise à l'abri sur place» ont été émises pour l'ensemble de la Californie. Les réunions de plus de 10 personnes sont interdites, certaines régions mettant en place des services d'assistance téléphonique pour les petits kapos volontaires pour signaler toute congrégation illégale.
Des «plans d'urgence secrets» pour un gouvernement militaire au cas où DC serait «dévasté» ont récemment été «divulgués» à Newsweek. Vous ressentez l’empressement du général à travers la prose.
Sean Penn est tout à fait pour l'idée.
Le secteur privé se met également à l'acte, avec YouTube annonçant que son système automatisé va supprimer beaucoup plus de vidéos (ils blâment le travail à domicile, mais l'idée que Google n'a pas déjà la possibilité de travailler à distance est franchement absurde). Les cinq principaux géants de la technologie ont publié une déclaration commune sur «la lutte contre la désinformation» et «l'augmentation des sources faisant autorité».
Le célèbre expert médical Bill Gates a fait une AMA sur Reddit (transcrite ici), dans laquelle il laisse tomber quelques idées effrayantes dans la conversation:
Finalement, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou qui a été testé récemment ou quand nous avons un vaccin qui l'a reçu.
Somme toute, nos libertés sont en train d'être submergées. Les grandes entreprises et les États fixent des limites aux droits individuels sous un prétexte fragile.
Quelqu'un dans les médias rapporte-t-il cela? Bien sûr que non. Au lieu de cela, nous obtenons un radotage de célébrités adorables comme celui-ci dans l'Independent, essayant de nous convaincre "nous sommes tous dans le même bateau", ou des bêtises comme Belette de Jonathan Freedland dans The Guardian où il pleure le "libertaire" de Johnson l’esprit et la réticence à imposer un contrôle social. Ce serait le type de libertaire surveillant en masse, exécutant des drones et soutenant la guerre. Un exemple grossier et évident de gestion narrative.
Même les membres des médias alternatifs sont tombés pour cela, avec des voix éminentes saluant les mesures comme nécessaires ou exigeant une "action supplémentaire" (un analyste sain d'esprit préconise de verrouiller toutes les personnes "probablement infectées" à l'intérieur des stades de sport vides pour qu'elles soient "surveillées médicalement"). L'ancien banquier de Goldman Sachs et gestionnaire de fonds spéculatifs, Rishi Sunak, est en quelque sorte salué comme une sorte de figure de Nye Bevan. C'est presque littéralement fou.
Nous avons parcouru les nombres d'innombrables fois. Ils ne s'additionnent pas. L'ordre du jour dépasse les statistiques. Le coronavirus, en termes purs, est une erreur d'arrondi sur la saison annuelle de la grippe. La «pandémie» de grippe porcine de 2009 a été 10 fois plus répandue et cent fois plus fatale… est-ce que ce porno panique est apparu ? Cela a-t-il «changé ce que la normale signifiait» ?
Non, c'était juste un nouveau type de grippe. Cela a passé, il y a eu un battage médiatique, bien sûr, mais le monde est resté le même.
Le temps de se demander si le CFR est de 2% ou 3% est fait, car même si la maladie est aussi grave qu'ils le signalent, rien ne peut justifier le cauchemar orwellien que la Grande-Bretagne (et une grande partie du reste du monde développé) ) se transforme en.
Les personnes ayant des plates-formes doivent se concentrer sur cela, sans tomber dans des pièges rhétoriques ou des histoires de sanglots émotionnellement manipulatrices. Les anecdotes d'intérêt humain sont dénuées de sens, et de bons articles sur le fait de «se ressaisir» ou de «ne prendre aucun risque» sont au mieux une panique négative ou au pire un fascisme émergent.
Ce serait du fascisme réel. Ce n'est pas le genre de prétexte sur lequel la «résistance» anti-Trump lapin depuis environ trois ans.
Considérez ceci: Il s'agit de la SITUATION EXACTE que tout le monde, du NYT à CNN, a hystériquement averti que Trump présenterait depuis sa première élection, et où sont ces gens maintenant ? L'encourager. En raison de la «santé publique».
Les mêmes personnes qui se plaignent que Boris Johnson est un raciste néo-nazi de droite et inapte à une fonction publique avant Noël, veulent maintenant donner à l'homme le pouvoir légal d'arrêter toute personne souffrant de toux et de clou à la retraite chez eux.
«Distanciation sociale» n'est qu'un autre mot pour désigner la mise en quarantaine de masse, et comme le Dr Joel Kettner l'a déclaré à la radio la semaine dernière, il n'y a aucune preuve suggérant que cela fonctionne réellement pour contrôler les maladies. Mais contrôler les gens? Eh bien, ça fait comme un charme.
Mais peut-être que je réagis de façon excessive, non? Après tout, ce n'est que pour une courte période. Nous reviendrons à la normale assez tôt. Ces deux années passeront tout simplement.
Peut-être une brève leçon d'histoire sur les «pouvoirs spéciaux» et les «mesures temporaires»?
Eh bien, regardons le Patriot Act - des changements radicaux et autoritaires du système juridique américain qui ont été adoptés après le 11 septembre sur une base «temporaire» et ont été prolongés et élargis par chaque président depuis. Il est toujours bien en place aujourd'hui.
Ou «l'état d'urgence» de la France, accordant des «pouvoirs spéciaux» à la police après les tirs de 2015 à Paris. Ceux-ci ont été prolongés par Hollande pendant des années, jusqu'à ce que Macron «mette fin» à l'état d'urgence en signant essentiellement ces pouvoirs de manière permanente. Ils sont également devenus la «nouvelle norme».
Ou, le golden oldie, le Reichstag Fire Decree. Passé après l'incendie éponyme, il a suspendu «temporairement» les libertés civiles allemandes au nom de l'élimination des insurgés communistes. Vous savez probablement déjà comment cela s'est passé.
Les «pouvoirs spéciaux» ne disparaissent pas. Ils ne sont pas temporaires, ils ne seront pas remis. Tout ce que nous donnons au gouvernement notre permission de faire, ils le feront. Pour le prévisible. Et tu sais pourquoi ?
Parce qu'ils deviennent la Bear Patrol. Le rocher qui éloigne les tigres. Une fois qu'ils sont là, et que tout se calme, ils peuvent être salués comme la raison pour laquelle tout est calme.
Dans deux ans, lorsque le projet de loi expirera, il n'y aura plus de «pandémie»… mais les pouvoirs resteront. Parce qu'ils «nous ont gardés en sécurité pendant la pandémie». Parce qu'ils réduisent la criminalité au couteau, ou améliorent la santé publique, ou ils sont bons pour l'environnement (ce sera le plus gros). Il y aura des histoires effrayantes dans les médias au cours des deux dernières semaines avant la date d'expiration, et le projet de loi sera prolongé.
Pandémie ou pas de pandémie, vous ne pouvez pas simplement fermer les yeux sur le monde en cours de remodelage. C’est ce que font les gouvernements mondiaux, TOUS les gouvernements mondiaux. Nous ne pouvons pas nous rabattre sur des notions de plus en plus obsolètes: États-Unis / Royaume-Uni / UE = «mauvais» et Chine / Iran = «bon». Les dirigeants sont des dirigeants, ils veulent de l'autorité et ont besoin de pouvoir.
Et ils redéfinissent la société sous une forme qui correspond mieux à leurs objectifs, essayant de changer ce que les gens considèrent comme «normal».
Comment savons-nous cela ? Parce qu'ils nous le disent.
Le Guardian à lui seul a eu trois articles d'opinion discutant de la «nouvelle normalité» en moins d'une semaine, deux d'entre eux le même jour. Les technocrates et les eugénistes sont partout là-dessus aussi, contenant à peine leur joie que le «monde ne sera plus jamais le même».
Peut-être que la seule bonne nouvelle est, en masse, que le public ne semble pas totalement convaincu. En fait, curieusement, la foule des médias alternatifs semble beaucoup plus prise dans l'hystérie que ceux qui ne suivent que vaguement les informations. Un sondage NPR a montré que 56% des Américains pensent que le virus est exagéré. D'où tout le monde, de Taylor Swift à Kylie Jenner, insistant sur le fait que «c'est une chose réelle».
Dans un domaine clé, le projet de loi sur les coronavirus dit la vérité absolue: «Le soutien et la conformité du public sont cruciaux». Ils ont besoin de notre permission pour ce faire. Voulons-nous vraiment l'accorder ?
Il est vraiment important que nous nous réveillions tous à ce qui se passe ici. Parce que la police déclare qu'ils veulent accoucher est une maladie avec un taux de mortalité beaucoup plus élevé que 2%, et elle ne sera pas guérie avec un repos au lit de deux semaines.
LE CONSEIL D'ÉTAT DIT « NON » À UN CONFINEMENT TOTAL
par ANTON KUNIN 23/03/2020
Le Conseil d’État a rejeté l’idée d’un confinement total, la jugeant irréaliste. La plus haute juridiction administrative a toutefois enjoint au gouvernement de préciser la portée des mesures déjà prises.
L’État n’est pas à même d’assurer le ravitaillement à domicile, les magasins alimentaires resteront ouverts
Au cours d’une audience exceptionnelle le dimanche 22 mars 2020, le Conseil d'État a statué sur la requête en référé du syndicat Jeunes Médecins, appuyée par l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) et le Conseil national de l'ordre des médecins, dans laquelle ils demandaient la mise en place d’un confinement total : cela ne se fera pas.
Pour la plus haute juridiction administrative, un confinement total n’est pas envisageable car « le ravitaillement à domicile ne peut être organisé sur l'ensemble du territoire national, compte tenu des moyens dont l'administration dispose ». En outre, la poursuite de certaines activités essentielles, telles que celle des personnels de santé ou des personnes participant à la production et à la distribution de l'alimentation, nécessite le maintien d'autres activités comme les transports en commun, ont estimé les juges du Conseil d’État.
Faire interdire le jogging
En revanche, le juge des référés estime nécessaire de préciser la portée des mesures déjà prises par l’exécutif. Doit notamment être précisée la dérogation pour les « déplacements pour motif de santé », qui à ce jour ne fait pas mention de leur degré d'urgence.
Quant aux « déplacements brefs, à proximité du domicile, liés à l'activité physique individuelle des personnes, à l'exclusion de toute pratique sportive collective, et aux besoins des animaux de compagnie », cette formulation apparaît trop large aux yeux du juge des référés. Afin d’interdire le jogging notamment, il convient donc de préciser davantage cette mesure. L’autorisation pour les marchés alimentaires d’ouvrir à condition de ne pas accueillir plus de 100 personnes à la fois a également été qualifiée d’excessive.
Près de 13% de la population mondiale est confinée
Après avoir été la risée du monde à cause de photos de centaines de Français dans les parcs en pleine épidémie du coronavirus, la France tente de faire respecter ses mesures d’isolement en multipliant les contrôles et les sanctions.
Fini les balades au parc
Aux grands maux, les grands remèdes. Pour appliquer les mesures confinement, l’Assemblée nationale a voté un texte de loi permettant une peine de six mois de prison en cas de violations répétées des mesures. Pour un premier rappel à l’ordre, il faudra payer 135 € d'amende (ou 375 euros en cas de majoration) et 1.500 € d'amende en cas de récidive. Cela peut aller jusqu'à 3750 € et 6 mois de prison en cas de multirécidive soit quatre interpellations.
Pour faire appliquer les mesures de confinements visant à lutter contre l’épidémie de coronavirus, les forces de l’ordres ont multiplié les contrôles sur tout le territoire. Depuis le début du confinement, mardi 15 mars, 1.738.907 contrôles ont été réalisés en France. Un total de 91.824 infractions pour « non-respect du confinement » a été relevé par les forces de l'ordre depuis la mise en place de cette mesure, dont 22.574 verbalisations dressées, pour la seule journée de dimanche dernier. De quoi peut-être réduire le déficit budgétaire de la France ?
La France assez stricte ?
Dans les pays voisins, les sanctions pour non-respect de l’isolement sont plus sévères. Si vous sortez en Italie,vous encourez une amende de 206 euros et jusqu’à trois mois de prison. En Espagne, c’est entre 100 et 600 euros et jusqu’à un an de prison. L’Autriche, particulièrement drastique, impose des amendes jusqu’à 3.600 euros.
Les pays nordiques prônent quant à eux la tolérance zéro avec 1.250 euros d’amende à tous les Norvégiens qui sont partis dans leur résidence secondaire. Encore plus strictes, à Taïwan la police fournit aux habitants contaminés un smartphone avec GPS. S’ils sortent de chez eux, ils risquent 30 000 euros d’amende et la publication de leur nom sur internet.
Un médecin urgentiste déconseille la barbe dans le contexte de la pandémie
14:09 23.03.2020
Étant donné que le virus tient «plusieurs heures» sur les barbes et les moustaches lorsqu’on tousse ou éternue, le médecin urgentiste Patrick Pelloux a conseillé aux téléspectateurs de BFM TV de se raser pour lutter contre le coronavirus.
Invité dimanche 22 mars sur le plateau de BFM TV le président de l’Association des médecins urgentistes de France Patrick Pelloux a évoqué le problème de la pilosité du visage pendant la pandémie.
Un téléspectateur a notamment voulu savoir si le virus pouvait tenir sur une barbe ou une moustache lorsqu’on toussait ou qu’on éternuait.
«Oui bien sûr, il résiste», a répondu le médecin, précisant qu’il ne voulait pas faire une campagne contre les barbes et les moustaches.
A standard dust & particle mask, and an N95 medical respirator mask (bottom), that are part of personal protection and survival equipment kits ordered by customers preparing against novel coronavirus, are seen at Nitro-Pak in Midway, Utah, U.S. February 27, 2020. REUTERS/George Frey
Il a ajouté que c’était déjà recommandé et qu’il existait des études indiquant que «les barbes et les moustaches» sont «très sales».
Sur une barbe, le virus tient plusieurs heures
Patrick Pelloux a expliqué que le virus pouvait tenir «plusieurs heures» dessus.
«Il faut vous raser», a-t-il recommandé, car se raser et se laver le visage «ce sont des choses simples qui paraissent évidentes au monde médical».
BFM TV signale que dans le contexte de la pandémie certains hôpitaux comme à Southampton en Grande-Bretagne et au Québec ont recommandé à leur personnel soignant masculin portant des masques respiratoires de se raser pour que ces derniers puissent fonctionner convenablement.
Ils promènent un lapin en laisse et écopent de 135 euros d’amende
14:23 23.03.2020
Un couple du Vaucluse a été obligé de payer 135 euros d’amende après avoir promené son lapin en laisse, estimant que c’était un animal de compagnie. Selon La Provence, ils avaient déjà été prévenus par les gendarmes mais ont récidivé.
Après un rappel à l’ordre pour avoir promené son lapin en laisse le 18 mars à Apt (Vaucluse), ce couple a été finalement verbalisé par les gendarmes de la compagnie de Pertuis à cause d’une récidive, rapporte La Provence.
Ainsi, ces individus qui voulaient visiblement déroger à la règle du confinement ont écopé de 135 euros d’amende, précise le quotidien régional.
Faire un barbecue
Par ailleurs, ce couple n’a pas été le seul confronté à une application stricte du confinement. Les gendarmes de la compagnie de Pertuis ont de la même manière verbalisé une personne qui voulait laver son automobile sur une aire de lavage, des cyclistes du département des Alpes de Haute-Provence ainsi que quatre jeunes, selon La Provence.
Ces derniers avaient décidé de se réunir dans un lieu public pour faire un barbecue. Chacun d’entre eux a écopé de 135 euros d’amende.
Quelque 1,8 million de contrôles
Depuis le 17 mars, un confinement a été annoncé en France suite à la pandémie du coronavirus. Près de 1,8 million de contrôles par les forces de police ont eu lieu. Sur ce chiffre, un total de 91.824 infractions pour non-respect des restrictions ont été relevées depuis leur mise en place mardi, a indiqué le directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises, Alain Thirion, auquel se réfère l’AFP.
Les sanctions ont été durcies: les 135 euros d'amende forfaitaire passeront à 1.500 euros en cas de récidive «dans les 15 jours» et «quatre violations dans les 30 jours» pourront valoir «3.700 euros d'amende et six mois de prison au maximum».
FRANCE - CASINO CÈDE LEADER PRICE À ALDI POUR 735 MILLIONS
Le groupe de distribution a vendu trois entrepôts et plus de 500 magasins discount en France à son homologue allemand. Casino était en recherche de liquidités depuis plusieurs mois pour éponger sa lourde dette.
20.03.2020
Casino a annoncé vendredi avoir cédé le périmètre français de son enseigne discount Leader Price à l'allemand Aldi, avec qui il était en négociations exclusives depuis l'automne, pour 735 millions d'euros (774,7 millions de francs).
Ce prix de vente inclut un complément de prix de 35 millions d'euros, «versé en cas de respect d'indicateurs opérationnels durant une période de transition», précise Casino dans son communiqué.
Le distributeur stéphanois, qui négociait avec son homologue allemand depuis la mi-septembre, affirme avoir signé avec Aldi France «une promesse unilatérale d'achat en vue de la cession de trois entrepôts et de 567 magasins du périmètre Leader Price en France métropolitaine», où ils se développeront sous l'enseigne Aldi.
En revanche, Casino restera propriétaire de la marque Leader Price «pour continuer à l'exploiter selon certaines conditions convenues avec Aldi, en France et à l'international».
A 09h20 à la Bourse de Paris, l'action Casino prenait près de 4% à 35 euros, dans un marché en hausse de 6,17%.
Recherche de liquidités
Casino, en recherche de liquidités depuis plusieurs mois pour éponger sa lourde dette, avait annoncé le 19 septembre dernier être entré en «négociations exclusives» avec le groupe allemand, alors que le secteur du discount est en pleine mutation en France.
«La réalisation de cette cession interviendra après la consultation des instances représentatives du personnel et sous réserve de l'obtention de l'autorisation de l'Autorité de la concurrence», souligne le communiqué.
Mi-janvier, Casino avait annoncé un chiffre d'affaires 2019 en repli de 5,46% à 34,6 milliards d'euros (environ 36,5 milliards de francs), du fait de la sortie des comptes de Leader Price, en cours de cession à l'allemand Aldi justement.
Il avait alors fait savoir qu'il révisait à la baisse, de 10% à 5%, sa prévision d'estimation de la croissance du résultat opérationnel courant (ROC), l'indicateur phare dans la distribution.
Le groupe, dirigé par Jean-Charles Naouri et dont la maison-mère, Rallye, vient de se voir valider son plan de sauvegarde par la justice, doit publier ses résultats annuels jeudi avant l'ouverture de la Bourse. (ats/nxp)
Embedded Inside Minecraft est la bibliothèque non censurée d'articles qui peuvent vous tuer dans certains pays
par Tyler Durden Dim, 22/03/2020 - 20:40 Écrit par Jake Anderson via TheMindUnleashed.com,
Le potentiel des plates-formes de jeu en tant que communications révolutionnaires est considéré depuis des décennies.
Dans son roman pour jeunes adultes Little Brother, l'auteur Cory Doctorow a imaginé des adolescents utilisant leurs systèmes de jeux vidéo pour se connecter à un réseau crypté pour échapper aux agences gouvernementales draconiennes à la suite d'une attaque terroriste et dans For The Win, Doctorow a exploré l'économie virtuelle des MMORPG et leur potentiel en tant que mécanisme d'organisation contre le pouvoir corrompu de l'État.
Entrez dans l'un des exemples les plus intéressants de la vie réelle d'une plate-forme de jeu vidéo réutilisée pour lutter contre la censure de l'État fasciste. Reporters sans frontières a fait appel à Minecraft pour développer son nouveau projet The Uncensored Library, qui est un centre virtuel où les utilisateurs peuvent accéder au journalisme censuré du monde entier.
Développée comme un effort synergique par la branche allemande de Reporters sans frontières, l'agence de marketing allemande DDB et la société de design britannique Blockworks, The Uncensored Library n'est pas une gamification des libertés de la presse mais plutôt une partie d'une série de projets basés sur l'utilisation de plateformes alternatives et la conception 3D collaborative pour lutter contre la censure.
Reporters sans frontières a spécifiquement recherché une entreprise qui pourrait tirer parti de l'engagement mondial de Minecraft, qui est si omniprésent qu'il serait pratiquement impossible pour le gouvernement d'un pays de fermer ses serveurs. Le créateur de DDB, Tobi Natterer, a découvert dans ses recherches que les pays où la censure de la presse était particulièrement draconienne - Russie, Égypte, Mexique, Arabie saoudite, Vietnam, etc. - ont des communautés de joueurs extrêmement actives. Minecraft est la plus grande de ces communautés et cela permet aux joueurs d'écrire des livres dans le jeu.
«Dans [ces livres]», a expliqué le producteur interactif senior Robert-Jan Blonk, qui travaillait à la bibliothèque, «vous pouvez trouver des articles et des informations sur les journalistes qui sont censurés dans leur propre pays. Nous partageons ces histoires à travers les livres qui vivent dans cette bibliothèque, et les gens peuvent simplement les lire ouvertement, car même dans les pays… d'où viennent ces journalistes, vous pouvez jouer à Minecraft. »
La bibliothèque non censurée comporte des sections spéciales pour certains pays comme l'Égypte, où il n'y a pratiquement aucune liberté de la presse. La bibliothèque contient des articles d'Egypte que vous ne pouvez tout simplement pas trouver ailleurs qu'à l'intérieur du serveur Minecraft. Au Mexique, où les journalistes et les dissidents sont régulièrement assassinés à la fois par le gouvernement et les cartels, l'autocensure généralisée est fondée sur la peur.
"Dans la salle de Mexico, nous avons construit des monuments commémoratifs pour 12 journalistes mexicains qui ont été assassinés", a déclaré James Delaney, directeur général de Blockworks.
"En raison du danger explicite pour les journalistes au Mexique, il y a beaucoup de problèmes dont ils ne parleront pas parce que c'est trop dangereux."
Le jeu comprend un socle pour le travail du journaliste assassiné Javier Valdez Cárdenas.
Derrière la statue néo-classique emblématique de la bibliothèque représentant un poing tenant un stylo et des ailes de collections de livres de type musée, se trouve une carte du monde sur laquelle figure l'index de la liberté de la presse de Reporters sans frontières, qui classe 180 pays en fonction de la censure de la presse. Le classement tient compte de tout, des journalistes exécutés à la censure en ligne des articles, à la censure algorithmique des mots clés et même au blocage des VPN, comme en Chine et en Russie.
La bibliothèque non censurée reçoit beaucoup d'attention dans les pays qui ne censurent pas ouvertement la presse, bien sûr. La carte a enregistré 23 000 téléchargements dans le monde et le serveur officiel a attiré 17 000 visiteurs uniques.
Pour des informations spécifiques à la plate-forme sur la façon d'accéder à la bibliothèque, Gizmodo propose une ventilation.
Pour une visite virtuelle de la bibliothèque non censurée, regardez la vidéo ci-dessous:
Tout d'abord, cela n'est nullement destiné à minimiser la menace de Covid-19. En fait le contraire. Il vise à souligner les similitudes dans certains messages qui se produisent avec le climat et ce virus. J'ai écrit à ce sujet dans une certaine mesure auparavant, mais je voulais résumer ici plusieurs parties, y compris de nouvelles observations. Avertissement: c'est une longue histoire ennuyeuse. Le meilleur moment pour lire est quand vous allez dormir, j'allais le commercialiser comme une présentation audio pour l'insomnie, mais je pensais que ce serait collant. Comment ça pour l'honnêteté ?
Mais essayez-le ..
1) Le résultat final est inconnu. Cela signifie que les prédictions ont une grande variance et penser que vous CONNAISSEZ LE RÉSULTAT est de l'arrogance à l'écran. Croire et SAVOIR sont deux choses différentes. On le voit dans la question du changement climatique dans la lutte contre les effets gaz carbonique. Beaucoup de mon côté pensent que l'introduction du gaz carbonique dans l'atmosphère a le plus grand effet et il y a un rendement décroissant avec plus. Ainsi, les arguments vont de la «foule du tout» à «l'effet limité» (1.2C, dont, si cela est vrai, nous avons au cours des cent dernières années se sont rapprochés de cela et où je suis et j'ai été) à la 4-5°C plus chaud, où se trouvent de nombreux voltigeurs de contrôle du climat au gaz carbonique. Puis au point de basculement du réchauffement galopant avec pratiquement aucune limite.
Considérez maintenant les plages que vous voyez ici dans cette situation. Je n'ai pas besoin de l'examiner parce que quiconque y prête attention sait que nous avons des fourchettes, aucun effet perceptible des attentes régulières de mortalité avec l'âge. En fait, j'ai entendu dire que les personnes devenant plus vigilantes entraîneraient une augmentation de l'âge médian de la mort dans les années à venir. Alors que nous allons tous mourir, il s'agit simplement de savoir quand et quelle en est la cause. Puis au type de chiffres qui rivaliseraient avec les grandes épidémies des temps précédents.
Perdu en tout, c'est le fait que nous avons beaucoup plus de personnes vivant dans le monde aujourd'hui, ce qui signifie que les pourcentages de mortalité sont plus bas, mais avec un monde beaucoup plus prospère, l'effet sur la qualité de vie est en effet dévastateur, en plus avec plus de personnes sur la planète, d'autres vont être exposés et périr. Cela est fonction de l'augmentation de l'âge médian et de l'explosion démographique et de la prospérité. C'est donc extrêmement grave.
2) Les gens se disputent à ce sujet. Il y a toutes sortes de motivations croisées ici. Il y a la personne purement objective sans intérêt sauf dans la bonne réponse. Ils sont des deux côtés de cette question. L'un des avantages de mon travail que j'ai trouvé est que beaucoup de médecins aiment le temps, j'ai donc des amis personnels proches dans la profession médicale. Jusqu'à présent, je leur parlais de la météo et ils me conseillaient sur la santé. Fairtrade non ?
Mais en leur parlant maintenant, je trouve que beaucoup d'entre eux considèrent cela comme une autre maladie qui survient et à laquelle nous nous adaptons. Il y en a même quelques-uns qui croient que la réponse «une once de prévention vaut une livre de cure» en vaut la peine, même si cela s'avère être le meilleur des cas. Ils réalisent jusqu'à ce que les inconnues soient connues, il est sage de se préparer. Cependant, il y a des choses dans les médias qui sont carrément effrayantes et apocalyptiques.
De plus, toute bonne nouvelle ou potentiellement bonne est ridiculisée ou non rapportée. Nous nous transformons donc en une situation où vous avez des gens de bonne volonté avec un désaccord honnête. Puis à un deuxième niveau où les gens souhaitent pousser quelque chose dans une direction pour s'adapter à un résultat défini. En d'autres termes, un agenda se développe et une fois qu'une personne s'investit dans le résultat, sa vision peut devenir obscurcie au-delà du résultat prévu.
Croyez-moi, dans ce que je fais, c'est une préoccupation constante, que mes prévisions tardent trop longtemps parce que je suis tellement convaincu que j'aurai raison. Je n'essaie donc pas d'être critique, mais plus attentif ici à ce que je considère comme un dénominateur commun. Quand quelqu'un, par exemple, dit que l'urgence climatique est pire que l'épidémie de Covid-19, cela devrait soulever des drapeaux rouges simplement en raison des échelles de temps car Covid-19 peut détruire beaucoup en un an. En fait, aux États-Unis, en raison de la douceur de l'hiver, l'économie a probablement mieux fait qu'on ne le pensait avant l'hiver, car nous avons enregistré des mises en chantier records en janvier.
Donc là, l’urgence climatique a eu un résultat positif aux États-Unis, à moins que vous ne soyez contre le progrès pour l’humanité (c’est un autre problème, le désir de diminuer les progrès de l’homme), l’hiver plus chaud a été formidable. Le fait est que dans les deux cas, il y a de très bonnes personnes qui ne sont pas d'accord, mais toute une industrie artisanale qui est tournée par l'agenda a vu le jour. Il y a donc des messages terribles ici, mais au final, les faits montrent que le réchauffement est meilleur pour la vie, bien en face du résultat rapide possible de COVID-19.
Un test que j'ai conçu est d'essayer de détecter le ton. Par exemple, le nombre de cas en Chine correspond presque exactement au total en Inde depuis que leur premier cas a été signalé il y a quelques semaines, pourquoi ? Une personne objective veut savoir. Cependant, quelqu'un sautant aux conclusions ou regardant simplement un côté du problème, quelle qu'en soit la raison, il ne sait pas comment tester ou ne rapporte pas. Alors pourquoi la Corée du Sud est-elle si nivelée ? En ce qui concerne l'antipaludéen, les avertissements de ce qui peut mal tourner ne diffèrent pas de ce que vous voyez à la télévision pour les médicaments préventifs qu'ils annoncent. Toute une liste d'effets secondaires possibles. S'il y avait une épidémie de paludisme dans ce pays, ne rendrions-nous pas ces médicaments disponibles.
J'ai lu les études qui existent. Il existe des possibilités encourageantes. Ce n'est pas le Saint Graal ou une balle magique, mais le TONE des gens qui essaient de jeter de l'eau froide dessus devrait les faire essayer de faire la même chose pour n'importe quelle drogue courante sur le marché aujourd'hui. Il suffit de regarder une publicité télévisée pour tout médicament courant, je pense «Pourquoi quelqu'un prendrait-il cela», lorsque l'un des effets secondaires énumérés est la mort. L'idée qu'il y a une récompense sans risque dans quoi que ce soit est absurde.
Faire exploser le président pour un faux espoir ou essayer de diriger, surtout quand il dit: «Nous verrons», montre simplement une approche intolérante et fermée à tout cela. Donc, la personne objective veut savoir pourquoi de ceci et la plupart des gens qui y travaillent font ça. Comme un autre sous-ensemble travaille sur un programme différent. Un autre lien avec la question du changement climatique dans la mesure où elle est abordée. De plus, ajoutez des harengs rouges dans l'équation, comme les affirmations racistes devraient soulever des drapeaux rouges. Lorsque nous changeons le nom de ces maladies: Voici 17 autres maladies nommées d'après des populations ou des lieux:
Ver de Guinée Nommé par les explorateurs européens pour la côte guinéenne de l'Afrique de l'Ouest dans les années 1600.
Fièvre pourprée Nommé d'après la chaîne de montagnes qui s'étend dans l'ouest de l'Amérique du Nord, reconnue pour la première fois en 1896 en Idaho.
Maladie de Lyme Nommé d'après une importante éclosion de la maladie survenue à Lyme et Old Lyme, Connecticut dans les années 1970.
Fièvre de Ross River Nommé d'après un moustique responsable de la maladie dans la rivière Ross du Queensland, en Australie, dans les années 1960. Le premier foyer majeur s'est produit en 1928.
Fièvre hémorragique d'Omsk Nommé d'après sa découverte des années 40 à Omsk, en Russie.
Fièvre hémorragique Ebola Nommé en 1976 pour le fleuve Ebola au Zaïre situé en Afrique centrale.
Syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) Également connue sous le nom de «grippe de chameau», le MERS a été signalé pour la première fois en Arabie saoudite en 2012 et tous les cas sont liés à ceux qui se sont rendus dans la péninsule du Moyen-Orient.
Fièvre de la vallée Valley Fever a obtenu son surnom lors d'une épidémie des années 30 dans la vallée de San Joaquin en Californie, bien que son premier cas provienne d'Argentine.
Maladie à virus Marburg Nommé d'après Marburg, Allemagne en 1967.
Norovirus Nommé d'après Norwalk, Ohio après une épidémie en 1968.
Zika Fever Découvert pour la première fois en 1947 et nommé d'après la forêt de Zika en Ouganda.
L'encéphalite japonaise Nommé d'après son premier cas au Japon en 1871.
Rougeole allemande Nommé d'après les médecins allemands qui l'ont décrit pour la première fois au XVIIIe siècle. La maladie est aussi parfois appelée «rubéole».
Grippe espagnole Alors que les véritables origines de la grippe espagnole restent inconnues, la maladie a gagné son nom après que l'Espagne a commencé à signaler des décès dus à la grippe dans ses journaux.
Grippe de Hong Kong (1968)
Fièvre de Lassa Nommé d'après la découverte à Lassa, au Nigéria, en 1969.
Maladie du légionnaire Nommée en 1976 à la suite d'une épidémie de personnes contractant l'infection pulmonaire après avoir assisté à une convention de la Légion américaine à Philadelphie.
Tous ces éléments doivent donc être «effacés» si l'on veut détourner l'attention de la gravité de la situation actuelle avec des accusations de racisme parce que le lieu d'origine est utilisé comme étiquetage. Tout comme si vous souhaitez faire valoir que la période chaude actuelle est une urgence, vous devez effacer les périodes encore plus chaudes que cela. Ce qui a été répertorié comme optimaux et BTW est utilisé pendant la période chaude médiévale (qui était un optimum climatique), arguant qu'il s'agissait d'un effet régional. Pourtant, le fait est qu'il y a ici un dénominateur commun du hareng rouge, et pour l'utiliser, l'histoire connue doit être réécrite.
Ce qui est ironique, si je peux dire, est que beaucoup de ces personnes sont sur le même genre de train de malheur et de tristesse avec le «changement climatique». Voici une ironie encore plus grande. La jeune génération, qui a été exposée à l'agenda du changement climatique depuis son entrée à l'école primaire, et s'inquiète sans cesse à ce sujet, jusqu'à présent, semble assez insouciante à ce sujet. Pourtant, comment vous inquiétez-vous de quelque chose pour les générations à naître, lorsque vous avez des gens qui sont d'accord avec vous et qui battent un tambour pour le désastre maintenant ? Le démon d'aujourd'hui n'est-il pas beaucoup plus important que le fantôme, réel ou imaginaire, que vous pourriez affronter demain ?
Il ne s'agit pas seulement de l'idée d'être jeune et à l'épreuve des balles, car si ce n'était pas le cas, il n'y aurait pas de grève scolaire de 81 semaines contre le changement climatique.
3) La grande variance des prévisions. J'ai abordé cette question dans une certaine mesure. Les prévisions du jugement dernier sont aussi anciennes que l'humanité elle-même. Mais il y a un lien,
Ce poste exceptionnel il y a plusieurs jours sur CFACT:
a montré à quel point les prévisions étaient erronées depuis le premier jour de la Terre. Beaucoup de ces mêmes prévisions apparaissent maintenant, mais bien sûr, la raison inverse de la première. Ce qui, comme je l'ai déjà vu, est à l'opposé de ce que les périodes plus chaudes précédentes ont produit et à un point tel qu'ils étaient appelés optimaux climatiques. Mais seul le temps nous dira si les pires prévisions se réaliseront. Dans presque tous les cas, ces prévisions ne se sont pas réalisées, c'est pourquoi elles ne sont jamais évoquées.
4) Affichage de la valeur réelle du filet de sécurité américain. Cela devient intéressant aussi. Je crois en moins de gouvernement, mais nous avons besoin d'un cadre essentiel. Il y a l'argument dans la communauté des changements climatiques d'origine humaine que nous devrions avoir le même type de réponse que nous avons pour COVID-19. Ce qui est intéressant en ce que si quelque chose montre COVID-19, ce qui se passe lorsque le moteur commercial de la nation est arrêté, cela conduit à la misère. On ne peut pas affirmer qu'avant ce coup, la vie sur la planète s'était considérablement améliorée au cours des 100 dernières années. Ceci malgré et aidé en fait par le réchauffement. Pourtant, une menace comme COVID-19 sera quelque chose pour montrer que le gouvernement est essentiel pour intervenir dans des menaces comme celle-ci. Essayer de dépeindre un événement beaucoup plus graduel, sans doute pas gêner le progrès de l'homme mais le renforcer, semble être une fausse équivalence. Une chose est sûre, vous voyez ce que la suppression de quelques billions de dollars de l'économie peut faire. Imaginez un plan de 10 billions de dollars pour lutter contre le «changement climatique»?! L'événement Covid-19, comme les ouragans, les tornades, etc. montre pourquoi il doit y avoir un filet de sécurité. La question est l'étendue.
5) L'attaque des idées. J'ai trouvé que les gens que je vois se traitaient mieux. Cependant, sur les médias sociaux et les médias réguliers, le niveau de viscosité dans COVID-19 imite le genre de choses que je vois dans le climat. J'ai été accusé d'avoir minimisé la menace. Depuis que j'ai 64 ans et que les gens que j'ai connus, aimés et recherchés le plus longtemps sont en plein milieu de l'âge médian que cette maladie tue. Je suis exactement opposé. Mais si vous cherchez à détruire une idée, vous faites tout ce que vous pouvez pour le faire. J'ai eu un ami cher à moi dire qu'il voulait s'assurer que je n'étais pas cavalière à ce sujet. Sur le plan personnel, pour moi, c'est un test de ma foi.
Que ce ne soit pas pour d'autres personnes, ne me dérange pas. Ce qui est préoccupant dans ce domaine, le climat, etc., c'est l'image de marque des personnes qui proposent des idées différentes, même les personnes avec lesquelles vous êtes d'accord sur presque tout, s'énervent parce qu'elles peuvent penser que vous ne voyez pas les choses à leur façon. Ils feront tout pour FORCER, mot-clé FORCE, une autre personne pour se plier à leur volonté. Attaquer les gens est une tentative de censure des idées. Il est étroit d'esprit et intolérant.
Si j'avais un sou à chaque fois dans ma vie, quelqu'un qui n'était pas d'accord avec moi, m'exposait à quelque chose que j'avais appris, je serais un homme très riche. Vous n’apprenez rien qui exclut les idées. J'accueille favorablement la discussion et en cas d'erreur, cela me rend plus fort si j'apprends quelque chose que je peux utiliser. Vous ne faites pas cela en essayant de détruire les gens, et il semble que cela se passe.
Évidemment, c'est une situation très grave, l'un de mes professeurs à Penn State avait l'habitude de dire que les montres météo pour des événements courants tels que la neige peuvent causer plus de perturbations que la neige elle-même. (Pour ceux du sud, combien de fois avez-vous vu de la neige prévue et des étagères mises à nu? La tempête arrive et 2 jours plus tard, toute la neige a disparu.) Il y a cette possibilité ici, mais ce qu'elle montre sans aucune incertitude, c'est ce qui se passe lorsque notre moteur d'entreprise s'arrête.
C'est donc instructif. Je crois que la douleur que nous traversons en vaudra la peine, même si cela s'essouffle complètement. Je ne peux pas en dire autant de l'utilisation de cela comme stratégie pour développer une base de guerre sur le «changement climatique» et d'essayer de décrire COVID-19 comme MINIMISANT réellement le sérieux de l'ennemi commun devant nous maintenant. En tant que personne qui croit au lien dans les événements, aux similitudes dans les modèles, j'en remarque certains ici. Il y a de bonnes personnes des deux côtés sur toutes les questions qui recherchent vraiment la bonne réponse. Regardez attentivement et voyez si vous pouvez voir le lien dont je parle. Peut-être pas, mais l'appel est le vôtre, pas le mien.
L'essentiel est que la liberté est nécessaire pour la recherche de toute réponse. Ceux qui souhaitent limiter cela en diabolisant et en détruisant les personnes en désaccord avec eux sont motivés par le résultat souhaité, quel que soit le résultat réel. (Exemples: l'appel au nouveau bac à poussière en 2012, lorsque l'opposé exact a évolué le reste de la décennie ou l'idée que l'Arctique serait libre de glace d'ici 2013.)
S'il vous plaît restez en sécurité et respectez les mises en garde étant conseillé. Je ne connais pas ou ne prétends pas connaître l'issue de COVID-19, bien que je puisse croire en un certain résultat. Pourtant, comme la météo, je ne peux pas laisser des notions artificielles obscurcir ma vision du défi. Je sais que l'ouverture d'esprit et la liberté doivent être utilisées comme clés de voûte pour relever les défis et si l'on considère la prospérité de notre nation, les résultats parlent d'eux-mêmes.
Des fonctionnaires fédéraux ont récemment témoigné devant le comité de surveillance et de réforme de la Chambre des États-Unis au sujet des réponses du gouvernement à la crise du COVID-19. Les membres du comité ont exprimé leur inquiétude et leur frustration, et se sont engagés à pointer du doigt politisé, au sujet de ce qu'ils ont dit être le développement et la distribution inutilement lents des tests de diagnostic - en particulier par rapport à d'autres pays.
Certains ont félicité la Corée du Sud d'avoir testé plus de personnes en une journée que les États-Unis au cours des deux derniers mois. L'Italie et le Royaume-Uni ont également obtenu une mention positive. On peut se demander si ces membres du Comité de contrôle ont une réelle appréciation du système qu'ils et leurs prédécesseurs ont créé.
En réponse à une question, le directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, Anthony Fauci, a déclaré: «le système n'est pas vraiment adapté à ce dont nous avons besoin en ce moment» et «l'idée que quiconque l'obtienne facilement comme le font les gens dans d'autres pays. , nous ne sommes pas configurés pour cela. " Il a ajouté: "c'est un échec".
Les membres du comité et les médias ont saisi cette réponse largement mal citée et mal interprétée comme preuve de l'échec du gouvernement à fournir les tests nécessaires. Des informations sur notre système et des faits sur les actions réelles du gouvernement fédéral devraient corriger au moins certaines des fausses nouvelles qui ont rapidement dominé de nombreux articles, éditoriaux et commentaires de chefs de file.
Pour des raisons ancrées dans notre histoire, notre politique et notre système de gouvernement, les États-Unis ont une myriade d'agences fédérales, avec une myriade de rôles et des responsabilités essentielles en matière de soins de santé. Les services de santé des États et des collectivités locales ont également des rôles de soins de santé essentiels. Un dédale de lois, de réglementations et de politiques opère à chaque niveau.
Le secteur privé élabore des tests de diagnostic, obtient l’autorisation de mise sur le marché de la Food and Drug Administration (FDA) si nécessaire (reflétant la détermination de l’agence en matière de sécurité et d’efficacité), puis commercialise les tests pour une utilisation clinique par des professionnels de la santé. Alors que les professionnels de la santé ont généralement une discrétion dans leur utilisation clinique des appareils et des produits pharmaceutiques, de nombreux aspects de la pratique de la médecine sont réglementés par la loi de l'État.
Deux agences fédérales, la FDA et les Centers for Disease Control (CDC), ont joué un rôle de premier plan dans la lutte contre ce virus nouveau et mortel. En utilisant l'autorité d'urgence, des approches flexibles et une «discrétion d'application», ils ont rationalisé bon nombre des processus normalement beaucoup plus longs.
Le CDC promeut les activités de santé, de prévention des maladies et de préparation, dans le but d'améliorer la santé publique, en coopération avec les entités étatiques, locales et nationales. Lors d'une urgence de santé publique, l'un des principaux rôles des CDC est de développer un test pour l'agent pathogène et de fournir aux laboratoires de santé publique (PHL) des États et des collectivités locales une capacité de test. Les LSP se concentrent sur l'état de santé des groupes de population, effectuent des tests diagnostiques limités, la surveillance des maladies, le soutien aux interventions d'urgence et d'autres fonctions.
La FDA est chargée de protéger la santé publique en assurant la sécurité et l'efficacité de divers produits, y compris les tests de diagnostic des dispositifs médicaux. La FDA examine et autorise la commercialisation de ces tests, qui sont conçus et fabriqués par des sociétés de dispositifs médicaux.
Les laboratoires développent également des tests de diagnostic. L’autorité de la FDA sur les tests développés par les laboratoires (tests développés en laboratoire ou LDT) est contestée depuis de nombreuses années et, à quelques exceptions près, l’agence a exercé un «pouvoir discrétionnaire en matière d’application» dans l’application des lois et règlements aux LDT.
Quelle que soit l'avenue, une expertise, du temps et des ressources considérables à de nombreux niveaux sont essentiels au développement, au test, à la validation et finalement à la mise à disposition des tests de diagnostic qui fonctionnent comme prévu entre les mains des professionnels de la santé.
Compte tenu de nos nombreuses lois, réglementations, politiques et pratiques de longue date, le CDC et la FDA ont fait preuve de flexibilité au cours de cette crise de santé sans précédent. Les témoignages du Congrès ont noté que les scientifiques du CDC ont développé un test de diagnostic pour détecter le virus qui cause le COVID-19 dans les dix jours suivant la divulgation par la Chine de la séquence du génome. Le test était destiné aux PHL.
Conformément à l'autorité d'urgence en vertu de la loi de la FDA, la FDA a délivré une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) au CDC pour son test de diagnostic. Le CDC a commencé à expédier ce test aux laboratoires publics. Peu de temps après, des problèmes de performances se sont malheureusement posés en raison d'un problème de fabrication de l'un des réactifs. Le CDC a résolu le problème et a commencé à envoyer des tests corrigés aux laboratoires publics. Au 15 mars, 84 laboratoires de santé publique locaux et d'État dans les 50 États et le district de Columbia avaient validé avec succès et utilisaient le test de diagnostic COVID-19 du Centre.
Pendant ce temps, le CDC a également accordé un «droit de référence» aux données de performance contenues dans son EUA à toute entité cherchant un EUA pour un test COVID-19, et la FDA a mis à disposition des modèles pour les soumissions d'EUA.
Pendant ce temps, le CDC a également accordé un «droit de référence» aux données de performance contenues dans son EUA à toute entité cherchant un EUA pour un test COVID-19, et la FDA a mis à disposition des modèles pour les soumissions d'EUA.
Le 29 février, la FDA a publié une directive «immédiatement en vigueur» qui permettait à certains laboratoires qualifiés d'utiliser des tests COVID-19 validés avant que la FDA n'ait terminé son examen de leurs EUA. Le même jour, le Wadsworth Center du Département d'État de la santé publique de New York (NYSDOH) a obtenu un EUA de la FDA pour son test COVID-19. Le 12 mars, la FDA a utilisé le «pouvoir discrétionnaire d’application» et ne s’est pas opposée à la décision du NYSDOH d’autoriser certains laboratoires de New York à commencer les tests sur les patients après avoir validé leurs tests et notifié le NYSDOH.
La FDA s'est engagée avec de nombreux développeurs de tests travaillant sur ce problème. Elle a publié son premier EUA pour la distribution commerciale d'un test COVID-19 à Roche Molecular Systems le 12 mars. Depuis lors, d'autres sociétés de dispositifs médicaux ont reçu des EUA pour leurs tests de diagnostic COVID-19. Labcorp, Quest et d'autres laboratoires commerciaux, du système de santé et universitaires proposent également des tests aux patients.
Le 16 mars, la FDA a publié des directives révisées offrant une flexibilité supplémentaire aux États pour autoriser les tests de laboratoire développés par des laboratoires qualifiés dans l'État à utiliser dans leurs États. Cinq jours plus tard, la FDA a accordé le premier EUA pour un test qui fournira des résultats en quelques heures, sans avoir à se rendre dans un laboratoire.
Les membres du comité de la Chambre ont demandé pourquoi les États-Unis ne pouvaient pas simplement utiliser des tests développés par la Corée du Sud, d'autres pays ou l'Organisation mondiale de la santé (OMS). La réponse est simple: les lois et réglementations fédérales exigent que les dispositifs médicaux (y compris les tests de diagnostic) doivent être examinés par la FDA et obtenir l'approbation ou l'autorisation avant de pouvoir être commercialisés aux États-Unis, sauf si ce type particulier de dispositif est exempté. Cela s'applique aux dispositifs médicaux développés aux États-Unis et à ceux développés ailleurs. Du côté des laboratoires, les tests de diagnostic (qu'ils reçoivent ou non un examen et une autorisation de la FDA) sont également soumis à un examen minutieux.
Ce processus vise à garantir que les tests de diagnostic fonctionnent comme prévu, sans faux négatifs qui remettraient les personnes malades dans la rue pour infecter les autres - ou faux positifs qui indiquent que les personnes en bonne santé sont malades et utilisent ainsi les ressources de santé destinées aux personnes malades. Alors que le commissaire de la FDA, Stephen Hahn, était réticent à critiquer d'autres pays, il a noté lors d'un briefing à la Maison Blanche le 7 mars que plusieurs pays ont eu «différents niveaux de succès» avec leurs tests de diagnostic et qu'un pays non spécifié a eu «des problèmes avec la performance de plusieurs tests . "
Le secteur privé monte en puissance et des tests pour COVID-19 sont disponibles en plus grandes quantités. Ironiquement, certains critiques disent maintenant que les actions du gouvernement fédéral concernant les tests de diagnostic ont été trop souples. D'autres problèmes liés aux tests font leur apparition, notamment d'éventuelles pénuries de produits chimiques importants, la disponibilité de l'équipement et la capacité des laboratoires américains à effectuer les tests nécessaires.
Notre système de santé comporte de nombreuses parties mobiles, avec des rôles d'interface critiques pour le gouvernement et le secteur privé. Le système libère déjà les pouvoirs créatifs d'experts et d'innovateurs fédéraux, étatiques, locaux, universitaires et du secteur privé, qui développeront, testeront et déploieront des technologies de diagnostic, de prévention, de thérapie et de guérison pour s'attaquer au COVID-19. C'est la voie américaine.
Lorsque la poussière retombera, il sera temps d'évaluer les problèmes et d'identifier des solutions, y compris peut-être une nouvelle législation, pour faire face aux crises futures. Dans l'intervalle, nos différentes parties mobiles doivent travailler en collaboration pour faire face à tous les aspects de cette crise - tout en maintenant, dans la mesure du possible, une approche flexible dans l'application des lois, réglementations et politiques qui n'étaient pas vraiment conçues pour gérer la crise monumentale actuelle.
COVID-19 et la campagne de propagande de la Chine en Europe
par Tyler Durden Mar., 24/03/2020 - 02h00 Écrit par Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Le gouvernement chinois accélère les expéditions d'aide médicale vers l'Europe, qui est devenue l'épicentre de la pandémie de coronavirus qui a fait son apparition dans la ville chinoise de Wuhan. Les largesses semblent faire partie d'un effort de relations publiques du président chinois Xi Jinping et de son Parti communiste pour détourner les critiques sur leur responsabilité dans l'épidémie meurtrière.
La campagne de Pékin en tant que bienfaiteur mondial pourrait donner des résultats en Europe, où les dirigeants politiques agaçants craignent depuis longtemps de contrarier le deuxième partenaire commercial de l'Union européenne. Ce qui n'est pas clair, c'est si le public européen, qui subit de plein fouet les souffrances causées par l'épidémie, sera tout aussi disposé à ignorer les méfaits des autorités chinoises.
Dans ce qui ne peut être décrit que comme une humiliation géopolitique, Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission européenne, la branche administrative de l'Union européenne, qui se présente comme la "plus grande économie du monde", a fait l'éloge de la Chine communiste pour en donnant au bloc une quantité négligeable de matériel médical. Le 18 mars, elle a tweeté:
"A parlé avec le Premier ministre chinois Li Keqiang qui a annoncé que la Chine fournirait des masques chirurgicaux de 2 mil, 200 000 masques N95 et 50 000 kits de test. En janvier, l'Union européenne a aidé la Chine en faisant don de 50 tonnes de matériel. Aujourd'hui, nous sommes reconnaissants pour le soutien de la Chine. Nous avons besoin de notre soutien mutuel en cas de besoin. "
L'Union européenne n'a pas été en mesure de fournir une assistance significative à l'Italie, le troisième membre du bloc, qui a été particulièrement durement touché par le virus. Après que l'Allemagne, le membre le plus puissant de l'UE, a interdit l'exportation d'équipements de protection médicale pour éviter ses propres pénuries de masques, gants et combinaisons, la Chine est intervenue.
Le 12 mars, la Chine a envoyé en Italie une équipe de neuf membres du personnel médical chinois ainsi que quelque 30 tonnes de matériel lors d'un vol organisé par la Croix-Rouge chinoise. Le chef de la Croix-Rouge italienne, Francesco Rocca, a déclaré que l'envoi "révélait le pouvoir de la solidarité internationale". Il ajouta:
"En ce moment de grand stress, de grande difficulté, nous sommes soulagés d'avoir cette arrivée de fournitures. Il est vrai que cela n'aidera que temporairement, mais c'est toujours important. Nous avons un besoin désespéré de ces masques en ce moment. Nous ont besoin de respirateurs que la Croix-Rouge fera un don au gouvernement. C'est certainement un don vraiment important pour notre pays. "
Ces derniers jours, la Chine a également envoyé de l'aide pour:
Grèce, 21 mars. Un avion d'Air China transportant 8 tonnes de matériel médical - dont 550 000 masques chirurgicaux et d'autres articles tels que des équipements de protection, des lunettes, des gants et des couvre-chaussures - est arrivé à l'aéroport international d'Athènes. L'ambassadeur de Chine en Grèce, Zhang Qiyue, a fait référence aux propos d'Aristote: "Qu'est-ce qu'un ami ? Une seule âme vivant dans deux corps." Il a déclaré que "les moments difficiles révèlent de vrais amis" et que la Chine et la Grèce "travaillent en étroite collaboration dans la lutte contre le coronavirus". Cela, a-t-il dit, "confirme une fois de plus les excellentes relations et l'amitié entre les deux peuples".
Serbie, 21 mars. La Chine a envoyé six médecins, ventilateurs et masques médicaux en Serbie pour aider Belgrade à stopper la propagation de l'infection à coronavirus. "Un grand merci au président Xi Jinping, au Parti communiste chinois et au peuple chinois", a déclaré le président serbe Aleksandar Vucic. L'ambassadeur de Chine à Belgrade, Chen Bo, a déclaré que l'aide était un signe de "l'amitié de fer" entre les deux pays. L'agence de presse chinoise Xinhua a rapporté: "Le président Xi attache une grande importance au développement des relations sino-serbes et estime que grâce à la lutte conjointe contre l'épidémie, l'amitié traditionnelle éprouvée par les deux pays gagnera un soutien plus chaleureux de la part de son peuple, et leur partenariat stratégique global s'approfondira et atteindra un niveau supérieur.
Espagne, 21 mars. Le fondateur et président de la société technologique chinoise Huawei, Ren Zhengfei, a fait don d'un million de masques. Ils devaient arriver à l'aéroport de Saragosse, dans le nord-est de l'Espagne, le 23 mars. Les masques seront stockés dans un entrepôt appartenant au détaillant de vêtements espagnol Zara. De là, Zara mettra son réseau logistique au service du gouvernement espagnol. Cette expédition pourrait être la première de plusieurs, car des dizaines de fournisseurs chinois qui ont travaillé avec Zara pendant des années auraient manifesté leur volonté d'envoyer du matériel. Les États-Unis ont mis en garde l'Espagne contre le risque de sécurité inhérent à l'ouverture de ses réseaux de communication de cinquième génération aux fournisseurs chinois de technologies mobiles, dont Huawei.
République tchèque, 18 mars. Un avion transportant 150 000 kits de test pour le coronavirus a atterri à Prague. Le Ministère de la santé a payé environ 14 millions de couronnes tchèques (550 000 dollars) pour 100 000 kits de test, tandis que 50 000 kits supplémentaires ont été payés par le Ministère de l'intérieur. Le transport était assuré par le Ministère de la défense.
Espagne, 17 mars. Un avion chinois transportant 500 000 masques est arrivé à l'aéroport de Saragosse. "Le soleil se lève toujours après la pluie", a déclaré le président chinois Xi Jinping au Premier ministre espagnol Pedro Sánchez. Il a déclaré que l'amitié entre la Chine et l'Espagne sera renforcée et que les relations bilatérales auront un avenir meilleur après la lutte commune contre le virus. M. Xi a déclaré qu'après la pandémie, les deux pays devraient intensifier les échanges et la coopération dans un large éventail de domaines.
Belgique, 16 mars. Une autre cargaison de fournitures médicales donnée par la Fondation Jack Ma et la Fondation Alibaba pour la prévention des épidémies en Europe est arrivée à l'aéroport de Liège.
Le magazine Fortune a expliqué la motivation derrière la poussée de propagande chinoise:
"Pour la Chine, la sensibilisation à l'Europe fait partie d'un effort pour récupérer un rôle de leadership international après que des dissimulations précoces ont aidé le virus à se propager bien au-delà de ses frontières. Le gouvernement du président Xi Jinping a cherché à faire taire les critiques, y compris les journalistes et les commentateurs en ligne, et aussi diffuser des théories du complot sur l'origine du virus.
"Sur le plan géopolitique, la décision de la Chine de se faire passer pour le sauveur de l'Europe vise à améliorer sa position sur la scène mondiale en tant que partenaire de l'administration Trump. La Chine et les États-Unis ont poursuivi une lutte plus large pour une influence mondiale - Pékin a expulsé plus d'une douzaine de journalistes américains cette semaine - tout en cherchant également à détourner le blâme pour leur gestion de la maladie. "
Dans une interview accordée au journal britannique Guardian, Natasha Kassam, ancienne diplomate australienne, a déclaré:
"Maintenant, nous voyons des responsables chinois et des médias d'État affirmer que la Chine a acheté du temps au monde pour se préparer à cette pandémie. Nous savons que la machine de propagande en Chine est capable de réécrire l'histoire mais maintenant nous voyons cela reproduit à l'étranger. La victoire de la Chine sur Covid-19 a déjà été écrit et les autorités s'efforcent de faire en sorte que ce message soit reçu à l'étranger. "
Dans un essai pour la publication espagnole Libertad Digital, le commentateur Emilio Campmany a astucieusement expliqué:
"L'énorme appareil de propagande chinois a été lancé. En Italie, ils se sentent, à juste titre, abandonnés par l'Union européenne et sont reconnaissants de l'aide que le pays asiatique leur apporte. Cela a été amplement amplifié par les médias italiens.
Des pharmaciens français identifient 97 médicaments susceptibles de traiter le Covid-19
16:33 23.03.2020
Pharnext, une société biopharmaceutique française, a annoncé avoir dressé une liste de 97 médicaments bien connus qui peuvent être efficaces contre les complications associées au Covid-19. D’ailleurs, certains sont déjà en cours de test en tant que remèdes contre le coronavirus, selon l’entreprise.
Au moins 97 médicaments fréquemment prescrits peuvent être repositionnés pour lutter contre le nouveau coronavirus, même si la plupart ne sont pas répertoriés comme des antiviraux, a annoncé la société biopharmaceutique française Pharnext.
«Lorsqu'un virus infecte des cellules humaines, il détourne leur fonctionnement à son avantage, ce qui lui permet de proliférer au sein de l'hôte humain. La stratégie de Pharnext a consisté à évaluer quelle partie de ce fonctionnement cellulaire est affectée par les coronavirus (tels le SRAS et le MERS). Ceci a permis à Pharnext d'identifier des médicaments déjà approuvés pour des maladies courantes et qui pourraient potentiellement entraver le détournement de la machinerie cellulaire par le Covid-19», a indiqué la firme dans un communiqué.
Ces médicaments dont la liste est publiée dans un article lisible sur Preprints https://www.preprints.org/manuscript/202003.0302/v1 sont en grande partie utilisés pour traiter des maladies courantes telles que le diabète de type 2 et l'hypertension. Il est à noter que les personnes ayant de tels problèmes de santé présentent souvent des complications graves de la maladie Covid-19 causée par le nouveau coronavirus SRAS-CoV-2.
Plusieurs médicaments de la liste dressée par Pharnext font déjà l'objet d'essais cliniques dont la chloroquine, un médicament contre le paludisme dont les propriétés ont plusieurs fois été mentionnées, ainsi que l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et les antiviraux favipiravir et remdesivir.
Fin janvier, le ministère russe de la Santé a publié une liste de médicaments susceptibles d’être efficaces contre le Covid-19. Celle-ci comprend les médicaments utilisés pour lutter contre le VIH, l'hépatite C et la sclérose en plaques.
«Nous avons perdu trop de temps»: «fake news» et chloroquine, à qui la faute ?
RépondreSupprimer16:14 23.03.2020
Par Alexandre Keller
Pourquoi le ponte Didier Raoult a-t-il eu tant de mal à faire accepter l’idée d’un test à grande échelle de l’hydroxychloroquine contre le coronavirus ? Non seulement le spécialiste s’est jusque-là heurté à un scepticisme systématique, mais il ressort aussi qu’il a longtemps été en conflit avec Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn.
«Nous avons perdu trop de temps», dénonce le professeur Didier Raoult dans les colonnes de Marianne.
«Il ne faut plus tarder mais agir», martèle-t-il. Ce lundi 23 mars, une très longue file d’attente s’est formée devant l'Institut hospitalo-universitaire Méditerranée de Marseille (IHU). Les patients potentiels, dont certains sont décrits comme fébriles, masqués et gantés, peuvent y être testés et bénéficier du traitement par hydroxychloroquine associée à un antibiotique.
Pourquoi cette molécule a-t-elle eu tant de mal à émerger et à être reconnue comme piste très prometteuse contre le coronavirus ?
Les réseaux sociaux, puis certains médias, se sont mis à creuser la question. Résultat: il semble bien que cet antipaludéen (également utilisé contre la maladie du lupus) bon marché, utilisé depuis des décennies, et facile à produire ait été victime d’un tir de barrage à la fois médiatique et politique, et peut-être même d’inimitiés.
Pourtant considéré comme un infectiologue et virologue de tout premier plan dans le monde, le professeur français Didier Raoult a été dans un premier temps accusé de propager de fausses informations. C’est un article à charge des Décodeurs, service et rubrique de «vérification» de l’information, selon les termes du journal Le Monde, qui a mis un premier coup d’arrêt le 26 février en fournissant un argument d’autorité aux détracteurs de la chloroquine.
Quand les Décodeurs du Monde se mêlent de virologie
Les journalistes avaient entrepris de décortiquer une vidéo publiée par Didier Raoult sur YouTube intitulée «Covid-19, fin de partie». Les Décodeurs avaient alors rendu leur sentence (une de leurs prérogatives): «Cette publication contient des informations à la fois vraies et fausses, ou simplement incomplètes. Dans certains cas, les informations sont trompeuses». Et Le Monde d’y apposer son tampon: «Conclusion: partiellement faux.»
Dans la vidéo, rebaptisée depuis et tournée à la forme interrogative «Coronavirus, vers une sortie de crise?», Didier Raoult remercie ses confrères virologues chinois d’avoir mené des tests à sa demande.
«Ce que j’attendais des Chinois, que je considère comme les meilleures équipes de virologie au monde, […] c’est les résultats d’une première étude sur l’efficacité de la chloroquine sur les coronavirus, et ça vient de sortir, c’est efficace. C’est une excellente nouvelle, c’est probablement l’infection respiratoire la plus facile à traiter de toutes», annonçait-il alors, le sourire aux lèvres.
Dès le 27 février, Didier Raoult étaie ses affirmations. Dans un article mis en ligne sur le site de l’IHU, il cite trois publications émanant d’équipes chinoises. «Un deuxième travail de publication avancée, publié dans BioScience Trends, rapporte que la première évaluation dans les essais cliniques de la chloroquine, qui inclut l’analyse des résultats de plus de 100 patients, montre que la chloroquine est supérieure au traitement de contrôle», détaille-t-il.
Pourtant, en France, on préfèrera lui reprocher la faiblesse de son étude menée localement sur 24 personnes à l’IHU. Citant une autre de ces études, menée auprès de 191 personnes, le professeur assène pourtant: «Les gens qui ont inventé la quatorzaine, ça n’a pas de sens. Il faut isoler les gens porteurs et ne pas isoler les non-porteurs.»
RépondreSupprimerEn clair, Didier Raoult s’oppose à la stratégie de confinement systématique et à l’absence de dépistage systématique de la population. Un crime de lèse-majesté qui pèsera lourd.
Didier Raoult, spécialiste mondial marginalisé en France
Le jugement de fake news, même partiel, du Monde a ainsi contribué à décrédibiliser l’expertise de Didier Raoult. Car l’avis des Décodeurs a des effets sur l’information du public, notamment sur les réseaux sociaux.
Facebook, tenu depuis 2017 de sous-traiter auprès de médias historiques triés sur le volet la vérification des informations échangées par ses utilisateurs, classe ainsi automatiquement les publications relayant la vidéo de Didier Raoult avec un bandeau «Information partiellement fausse».
Et le professeur de pointer dans une nouvelle vidéo mise en ligne le 16 mars les effets délétères du verdict des Décodeurs et de leur dispositif, le Décodex:
«Le Monde a décidé que ce que je disais, en rapportant ce qu’avaient publié les Chinois, n’était pas vrai. Il y a même eu "fake news" pendant 36 heures inscrit sur le site du ministère de la Santé !»
Mais Le Monde n’est pas le seul à douter de Didier Raoult. Au micro d’Europe 1, radio qui se demande si la chloroquine serait «un remède miracle», Martin Hirsch, directeur général de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), se montre catégorique. «La chloroquine n'a jamais marché chez un être vivant», affirmait-il alors.
Brouille avec Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn
Pourquoi une telle méfiance à l’égard d’un des meilleurs spécialistes au monde ? De fait, Didier Raoult se distingue depuis longtemps par ses déclarations iconoclastes. Et aussi par un caractère bien trempé ainsi qu’un goût certain pour l’indépendance.
S’il est associé au fameux Conseil scientifique maintes fois cité par Emmanuel Macron, il refuse d’y siéger, se contentant de lui faire parvenir ses recommandations.
Incontournable du fait de sa réputation, Didier Raoult se distingue également de la doxa en matière de vaccination. En 2018, il s’élève dans le livre La vérité sur les vaccins contre la décision prise en juillet 2017 par la ministre de la Santé Agnès Buzyn d’imposer huit nouvelles vaccinations aux enfants en bas âge. La décision avait alors suscité une levée de boucliers, notamment chez les parents. «Je n'aime pas rendre quelque chose obligatoire, mais dans le cas de la vaccination, c'est une mesure justifiée», avait tranché Agnès Buzyn.
Didier Raoult paie-t-il ses accusations, entre autres contre le «lobby pharmaceutique», selon ses termes? Au moment de l’inauguration de l’IHU en mars 2018, le site d’information consacré à Marseille Marsactu faisait état d’«un conflit ancien avec le mari de la ministre [de la Santé Agnès Buzyn], par ailleurs PDG de l’Inserm, Yves Lévy».
Ce dernier, qui a dû laisser sa place à la tête de l’Inserm en 2019 sur fond de possible conflit d’intérêts avec son épouse ministre de la Santé, aurait, selon un ministre cité anonymement par le Canard Enchaîné du 11 octobre 2017, «toujours voulu la peau des IHU, […] un enjeu de pouvoir».
La digue en passe de céder ?
RépondreSupprimerPour autant, les autorités sanitaires ont fini par admettre la pertinence d’essais cliniques sur la chloroquine. D’autres vont même plus vite. La République tchèque et les États-Unis ont déjà décidé de mettre en œuvre le traitement, notamment sous sa forme commerciale: le Plaquenil.
En France, c’est le maire de Nice Christian Estrosi qui sans attendre a autorisé le 22 mars le CHU de sa ville à utiliser la molécule. L’édile, testé positif au coronavirus avec son épouse, a d’ailleurs décidé de «faire confiance» à Didier Raoult.
Sur BFM TV, ce 23 mars, un médecin, qui a tenu à rester anonyme, infecté par le virus affirme ne pas avoir attendu pour s’auto-prescrire de la chloroquine. Et de noter une amélioration spectaculaire en 24 heures seulement. «Je ne m’attendais pas à une évolution impressionnante. […] Je n’ai pas la preuve scientifique, […] mais c’est extrêmement frappant, troublant et ça mérite qu’on s’intéresse de manière extrêmement forte à ce médicament», a-t-il témoigné, tout en appelant à ne pas recourir à l’automédication sans avis professionnel.
- voir clips sur site -
Les appels à utiliser la chloroquine tout de suite se multiplient. Christian Perronne, chef de service en infectiologie à l'hôpital universitaire Raymond-Poincaré de Garches, exhorte: «Il faut en donner dès maintenant aux patients.»
https://fr.sputniknews.com/france/202003231043366325-nous-avons-perdu-trop-de-temps-fake-news-et-chloroquine-a-qui-la-faute/
La Rèpublique tchèque opte pour un médicament français pour traiter le coronavirus
RépondreSupprimer12:41 23.03.2020
Le Plaquenil semble être un médicament potentiellement efficace dans le traitement du Covid-19, selon le ministre tchèque de la Santé Adam Vojtech. Dimanche 22 mars, le ministère a adopté un règlement limitant sa prescription afin de le rendre disponible aux patients infectés, selon Zdravotnicky denik.
Le ministre tchèque de la Santé, Adam Vojtech, a fait savoir que les données scientifiques disponibles avaient prouvé l’efficacité potentielle du Plaquenil dans le traitement du Covid-19, rapporte Zdravotnicky denik.
«Aussi est-il nécessaire d’éviter qu’il soit inaccessible», a indiqué le ministre.
Soucieux de disposer de quantités suffisantes pour le traitement des infectés, le ministère tchèque de la Santé a adopté un règlement qui limitait la prescription du Plaquenil à d’autres fins. Le règlement est entré en vigueur dimanche 22 mars à 18h.
Selon le vice-ministre de la Santé, Roman Primula, il est désormais interdit de prescrire le Plaquenil à tous les médecins à l’exception de ceux spécialisés en allergologie et immunologie clinique, dermatovénérologie, médecine infectieuse ou rhumatologie.
Les médecins susmentionnés ne doivent pas délivrer d’ordonnance pour l’utilisation du Plaquenil pour une période de traitement supérieure à deux mois.
Le Plaquenil (le nom commercial de l’hydroxychlorouine) est un antipaludique fabriqué par Sanofi.
Des médicaments contre le virus testés dans le monde
Dimanche 22 mars, il a été annoncé que le Japon avait entamé les tests cliniques de l’Avigan ou favipiravir en tant que médicament pour traiter la pneumonie provoquée par le coronavirus.
À la recherche d’un vaccin contre le coronavirus, les scientifiques de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille ont également testé un nouveau traitement contre le coronavirus à base de chloroquine, un médicament normalement utilisé pour soigner le paludisme.
Quelques jours plus tôt, Donald Trump avait évoqué les tests de l’hydroxychloroquine pour lutter contre le coronavirus.
https://fr.sputniknews.com/international/202003231043364568-la-republique-tcheque-opte-pour-un-medicament-francais-pour-traiter-le-coronavirus/
«Ils mentent depuis le début» - Un dossier médical français contre le Premier ministre
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 23/03/2020 - 04:15
COVID-19 a infecté 328 275 personnes dans le monde et fait 14 366 décès, selon les derniers chiffres de Johns Hopkins.
L'Europe est devenue la prochaine Chine, avec des cas et des décès sur une courbe exponentielle en Italie, en Espagne, en Allemagne, en France, en Suisse et au Royaume-Uni.
En France, le virus à propagation rapide a tué 562 personnes et conduit à plus de 14 400 cas confirmés dimanche (dans le monde). Le système hospitalier français est sur le point d'être submergé par des patients infectés par le virus, avec des lits d'hôpitaux et des capacités de traitement en USI qui s'épuisent rapidement.
Les hôpitaux français sont à court d'équipements de protection, ce qui rend le personnel médical susceptible de contracter le virus.
Il est devenu tout à fait évident que le pays européen n'était pas prêt à lutter contre une pandémie. C'est l'affirmation qui est faite par trois médecins français dans un nouveau procès contre le ministre Edouard Philippe et l'ancienne ministre de la Solidarité et de la Santé, Agnès Buzyn.
Les avocats des médecins ont déclaré à RT News que la plainte alléguait que les deux hauts responsables n'avaient pas préparé le pays à une crise sanitaire qui l'avait paralysé.
La plainte a indiqué que les deux responsables étaient parfaitement au courant du virus en janvier mais "avaient choisi de ne pas agir".
"À un moment donné, la vérité doit être dite, à savoir que ces personnes nous mentent depuis le début", a déclaré à RT Fabrice di Vizio, l'avocat des trois plaignants.
La plainte faisait référence à une interview accordée par Buzyn au journal Le Monde, dans laquelle elle regrette d'avoir quitté son poste gouvernemental et de se porter candidate à la mairie de Paris alors que la crise du virus se développait plus tôt cette année:
"Je savais que la vague du tsunami était devant nous." Le 30 janvier, j'ai prévenu [le Premier ministre] Edouard Philippe que les élections ne pourraient probablement pas avoir lieu. "Nous aurions dû tout arrêter, c'était une mascarade."
Le gouvernement français a rejeté tout acte répréhensible et a déclaré que sa réponse au virus était satisfaisante.
Di Vizio a déclaré à RT que le gouvernement n'était toujours pas préparé et n'avait pas d'équipement de protection essentiel pour les travailleurs de la santé:
"La semaine dernière, le gouvernement a parlé des masques. Vous vous souvenez de ces discours pompeux du président, qui était le commandant en chef et qui avait promis les masques ?" il a dit. "Les masques sont un outil de guerre principal car ils protègent les agents de santé. Ces masques sont-ils arrivés ?"
Ce serait un désastre absolu si les médecins et les travailleurs de la santé français rejoignaient les manifestants antigouvernementaux "Gilet jaune" par dégoût pour l'échec du gouvernement. Après tout, le mois dernier, les pompiers français se sont joints aux manifestations.
https://www.zerohedge.com/markets/theyve-been-lying-start-french-medics-file-suit-against-prime-minister
Coronavirus Crackdown - Méfiez-vous de "The New Normal"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 23/03/2020 - 03:30
Créé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,
C'est ainsi que Liberty meurt ... sous des applaudissements tonitruants.
Il y a quelques jours, James Corbett a publié une vidéo intitulée «Est-ce LE grand événement ?» la réponse à cette question semble de plus en plus être «oui».
Ce n'est pas le virus lui-même, vous comprenez, dont les statistiques officielles montrent encore qu'elles sont mineures par rapport aux épidémies annuelles de grippe. Mais plutôt à quoi il sert. Les formes démocratiques résiduelles de l’Occident et les libertés civiles qui s’atrophient lentement font face à un assaut final de la part d’autoritaires draconiens qui ressentent (ou créent) leur grand moment.
L'Espagne jouit de la «loi martiale en tout sauf son nom», tandis que l'Italie fait également appel à l'armée.
En France, Macron a «déclaré la guerre» au coronavirus, enfermant essentiellement tout le pays à l'intérieur de leurs maisons, à moins qu'ils n'aient «une bonne raison» de partir. Un motif qui doit être communiqué par écrit à la police.
Les rassemblements publics sont bien entendu strictement interdits. Les élections sont interrompues.
Aucun mot encore sur ce que les Gilets Jaunes ont l'intention de faire. Une marche - Acte 71 - est prévue pour aujourd'hui. Est-ce que ça ira de la tête ? Si oui, seront-ils confrontés à plus de violence ? Peut être. Ce n'est que maintenant, au lieu d'être ignorés par les médias, qu'ils seront considérés comme «égoïstes» pour avoir mis en danger les «membres du public».
Les métaphores de guerre sont également répandues au Royaume-Uni, «l'esprit de Blitz» perdure. Apparemment. Nous allons commencer à fabriquer des ventilateurs comme nous avions l'habitude de faire des Spitfire, (probablement on nous demandera d'envoyer nos casseroles et poêles pour aider à cet égard). Le Daily Mail a en fait interviewé Vera Lynn, 103 ans, qui pense que nous devrions tous «nous ressaisir».
Cet encouragement de l'esprit communautaire ersatz est un prélude à l'adoption du projet de loi sur les coronavirus, une loi vraiment terrifiante.
Les mesures proposées couvrent tout, du totalitaire prévisible au bizarrement inquiétant.
Premièrement, la police peut détenir une personne qu'elle soupçonne d'être infectieuse:
Par conséquent, le projet de loi permettra à la police et aux agents d'immigration de détenir une personne, pour une période limitée, qui est ou pourrait être infectieuse et de l'emmener dans un endroit approprié pour permettre le dépistage et l'évaluation.
Mais ne vous inquiétez pas, ce n'est que pour une "période limitée" (ce qui est juridiquement dénué de sens. Une "période limitée" peut être définie comme étant à tout moment moins que pour toujours.)
Ils supprimeront également les «restrictions» de vaccination:
la suppression d'une restriction actuelle dans la façon dont les conseils de santé territoriaux écossais peuvent dispenser des programmes de vaccination signifierait que, lorsqu'un vaccin devient disponible, il peut toucher autant de personnes que possible.
… Et reporter les élections:
RépondreSupprimerreporter les élections locales, des maires et des commissaires de police et des délits qui devaient avoir lieu en Angleterre en mai de cette année jusqu'en mai 2021. Il sera également prévu de reporter d'autres événements électoraux au cours de l'année (comme les élections partielles)
… Et accordent une immunité légale aux personnes impliquées dans le traitement de la maladie (d'une importance particulière étant donné la probabilité que des vaccins non testés soient précipités pour une utilisation de masse):
fournir une indemnité pour les responsabilités liées à la négligence clinique découlant des activités du NHS menées dans le but de faire face à, ou à cause de, l'éclosion de coronavirus
C'est un sac à main de pouvoirs vaguement formulés, largement ouvert à «l'interprétation». C'est très dangereux. Il y a même des indices que Londres pourrait être mise sous verrouillage total.
Les plus bizarres sont les dispositions légales assouplies pour l'enregistrement des décès (dont nous discutons plus en détail ici).
Tout compte fait, c’est une perspective terrifiante pour l’avenir du pays.
Il n’est pas difficile d’imaginer un monde où une personne peut être «détenue» pour «suspicion d’avoir le virus» alors qu’elle est en parfaite santé, et sa famille fait retirer tous ses messages sur les réseaux sociaux pour diffuser de la «désinformation».
Enfer, les nouvelles règles permettraient alors de couvrir plus facilement les décès en détention en demandant aux directeurs de funérailles privés d'enregistrer les décès qui ne nécessitent aucune confirmation secondaire. Une affirmation selon laquelle cette personne est décédée «alors qu'elle était traitée pour Covid19» rendrait également toutes les personnes impliquées juridiquement immunisées.
C'est un exemple extrême, mais il y a le danger de «pouvoirs» vagues. Ils sont largement ouverts aux abus.
Hier, la Grande-Bretagne a vu sa première arrestation en vertu de ces nouvelles règles, un jeune homme (qui ne serait pas malade du tout) a été arrêté sur l'île de Man pour avoir refusé de s'isoler. Il risque désormais jusqu'à 3 mois de prison, soit une amende de 10 000 £.
Annoncé également hier, Boris ferme toutes ses activités de services. Clubs, bars, cafés, gymnases, centres de loisirs, restaurants, cinémas. Tous partis. Mettre potentiellement des millions de personnes sans emploi, mais en introduisant un nouvel avantage (celui que vous devez consulter dans un Job Center pour réclamer, où il est bien connu que vous ne pouvez pas attraper de virus).
La loi danoise sur le vaccin / traitement obligatoire semble relativement docile à ce stade.
La Chine étiquette les gens avec des bracelets électroniques et scanne les foules avec des casques spéciaux pour surveiller toute personne ayant une légère température.
Israël, ayant suspendu le procès pour corruption de Netanyahu, s'affaire à éradiquer certaines libertés civiles. Leur utilisation proposée des données recueillies sur les téléphones portables pour suivre et surveiller les personnes potentiellement infectées est l'utilisation la plus réconfortante d'informations privées collectées illégalement dont je me souvienne.
RépondreSupprimerPour ne jamais être en reste, les États-Unis mettent des villes et des États entiers sous verrouillage total. Des ordonnances dystopiques «mise à l'abri sur place» ont été émises pour l'ensemble de la Californie. Les réunions de plus de 10 personnes sont interdites, certaines régions mettant en place des services d'assistance téléphonique pour les petits kapos volontaires pour signaler toute congrégation illégale.
Des «plans d'urgence secrets» pour un gouvernement militaire au cas où DC serait «dévasté» ont récemment été «divulgués» à Newsweek. Vous ressentez l’empressement du général à travers la prose.
Sean Penn est tout à fait pour l'idée.
Le secteur privé se met également à l'acte, avec YouTube annonçant que son système automatisé va supprimer beaucoup plus de vidéos (ils blâment le travail à domicile, mais l'idée que Google n'a pas déjà la possibilité de travailler à distance est franchement absurde). Les cinq principaux géants de la technologie ont publié une déclaration commune sur «la lutte contre la désinformation» et «l'augmentation des sources faisant autorité».
Le célèbre expert médical Bill Gates a fait une AMA sur Reddit (transcrite ici), dans laquelle il laisse tomber quelques idées effrayantes dans la conversation:
Finalement, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou qui a été testé récemment ou quand nous avons un vaccin qui l'a reçu.
Somme toute, nos libertés sont en train d'être submergées. Les grandes entreprises et les États fixent des limites aux droits individuels sous un prétexte fragile.
Quelqu'un dans les médias rapporte-t-il cela? Bien sûr que non. Au lieu de cela, nous obtenons un radotage de célébrités adorables comme celui-ci dans l'Independent, essayant de nous convaincre "nous sommes tous dans le même bateau", ou des bêtises comme Belette de Jonathan Freedland dans The Guardian où il pleure le "libertaire" de Johnson l’esprit et la réticence à imposer un contrôle social. Ce serait le type de libertaire surveillant en masse, exécutant des drones et soutenant la guerre. Un exemple grossier et évident de gestion narrative.
Même les membres des médias alternatifs sont tombés pour cela, avec des voix éminentes saluant les mesures comme nécessaires ou exigeant une "action supplémentaire" (un analyste sain d'esprit préconise de verrouiller toutes les personnes "probablement infectées" à l'intérieur des stades de sport vides pour qu'elles soient "surveillées médicalement"). L'ancien banquier de Goldman Sachs et gestionnaire de fonds spéculatifs, Rishi Sunak, est en quelque sorte salué comme une sorte de figure de Nye Bevan. C'est presque littéralement fou.
Nous avons parcouru les nombres d'innombrables fois. Ils ne s'additionnent pas. L'ordre du jour dépasse les statistiques. Le coronavirus, en termes purs, est une erreur d'arrondi sur la saison annuelle de la grippe. La «pandémie» de grippe porcine de 2009 a été 10 fois plus répandue et cent fois plus fatale… est-ce que ce porno panique est apparu ? Cela a-t-il «changé ce que la normale signifiait» ?
Non, c'était juste un nouveau type de grippe. Cela a passé, il y a eu un battage médiatique, bien sûr, mais le monde est resté le même.
RépondreSupprimerLe temps de se demander si le CFR est de 2% ou 3% est fait, car même si la maladie est aussi grave qu'ils le signalent, rien ne peut justifier le cauchemar orwellien que la Grande-Bretagne (et une grande partie du reste du monde développé) ) se transforme en.
Les personnes ayant des plates-formes doivent se concentrer sur cela, sans tomber dans des pièges rhétoriques ou des histoires de sanglots émotionnellement manipulatrices. Les anecdotes d'intérêt humain sont dénuées de sens, et de bons articles sur le fait de «se ressaisir» ou de «ne prendre aucun risque» sont au mieux une panique négative ou au pire un fascisme émergent.
Ce serait du fascisme réel. Ce n'est pas le genre de prétexte sur lequel la «résistance» anti-Trump lapin depuis environ trois ans.
Considérez ceci: Il s'agit de la SITUATION EXACTE que tout le monde, du NYT à CNN, a hystériquement averti que Trump présenterait depuis sa première élection, et où sont ces gens maintenant ? L'encourager. En raison de la «santé publique».
Les mêmes personnes qui se plaignent que Boris Johnson est un raciste néo-nazi de droite et inapte à une fonction publique avant Noël, veulent maintenant donner à l'homme le pouvoir légal d'arrêter toute personne souffrant de toux et de clou à la retraite chez eux.
«Distanciation sociale» n'est qu'un autre mot pour désigner la mise en quarantaine de masse, et comme le Dr Joel Kettner l'a déclaré à la radio la semaine dernière, il n'y a aucune preuve suggérant que cela fonctionne réellement pour contrôler les maladies. Mais contrôler les gens? Eh bien, ça fait comme un charme.
Mais peut-être que je réagis de façon excessive, non? Après tout, ce n'est que pour une courte période. Nous reviendrons à la normale assez tôt. Ces deux années passeront tout simplement.
Peut-être une brève leçon d'histoire sur les «pouvoirs spéciaux» et les «mesures temporaires»?
Eh bien, regardons le Patriot Act - des changements radicaux et autoritaires du système juridique américain qui ont été adoptés après le 11 septembre sur une base «temporaire» et ont été prolongés et élargis par chaque président depuis. Il est toujours bien en place aujourd'hui.
Ou «l'état d'urgence» de la France, accordant des «pouvoirs spéciaux» à la police après les tirs de 2015 à Paris. Ceux-ci ont été prolongés par Hollande pendant des années, jusqu'à ce que Macron «mette fin» à l'état d'urgence en signant essentiellement ces pouvoirs de manière permanente. Ils sont également devenus la «nouvelle norme».
Ou, le golden oldie, le Reichstag Fire Decree. Passé après l'incendie éponyme, il a suspendu «temporairement» les libertés civiles allemandes au nom de l'élimination des insurgés communistes. Vous savez probablement déjà comment cela s'est passé.
Les «pouvoirs spéciaux» ne disparaissent pas. Ils ne sont pas temporaires, ils ne seront pas remis. Tout ce que nous donnons au gouvernement notre permission de faire, ils le feront. Pour le prévisible. Et tu sais pourquoi ?
RépondreSupprimerParce qu'ils deviennent la Bear Patrol. Le rocher qui éloigne les tigres. Une fois qu'ils sont là, et que tout se calme, ils peuvent être salués comme la raison pour laquelle tout est calme.
Dans deux ans, lorsque le projet de loi expirera, il n'y aura plus de «pandémie»… mais les pouvoirs resteront. Parce qu'ils «nous ont gardés en sécurité pendant la pandémie». Parce qu'ils réduisent la criminalité au couteau, ou améliorent la santé publique, ou ils sont bons pour l'environnement (ce sera le plus gros). Il y aura des histoires effrayantes dans les médias au cours des deux dernières semaines avant la date d'expiration, et le projet de loi sera prolongé.
Pandémie ou pas de pandémie, vous ne pouvez pas simplement fermer les yeux sur le monde en cours de remodelage. C’est ce que font les gouvernements mondiaux, TOUS les gouvernements mondiaux. Nous ne pouvons pas nous rabattre sur des notions de plus en plus obsolètes: États-Unis / Royaume-Uni / UE = «mauvais» et Chine / Iran = «bon». Les dirigeants sont des dirigeants, ils veulent de l'autorité et ont besoin de pouvoir.
Et ils redéfinissent la société sous une forme qui correspond mieux à leurs objectifs, essayant de changer ce que les gens considèrent comme «normal».
Comment savons-nous cela ? Parce qu'ils nous le disent.
Le Guardian à lui seul a eu trois articles d'opinion discutant de la «nouvelle normalité» en moins d'une semaine, deux d'entre eux le même jour. Les technocrates et les eugénistes sont partout là-dessus aussi, contenant à peine leur joie que le «monde ne sera plus jamais le même».
Peut-être que la seule bonne nouvelle est, en masse, que le public ne semble pas totalement convaincu. En fait, curieusement, la foule des médias alternatifs semble beaucoup plus prise dans l'hystérie que ceux qui ne suivent que vaguement les informations. Un sondage NPR a montré que 56% des Américains pensent que le virus est exagéré. D'où tout le monde, de Taylor Swift à Kylie Jenner, insistant sur le fait que «c'est une chose réelle».
Dans un domaine clé, le projet de loi sur les coronavirus dit la vérité absolue: «Le soutien et la conformité du public sont cruciaux». Ils ont besoin de notre permission pour ce faire. Voulons-nous vraiment l'accorder ?
Il est vraiment important que nous nous réveillions tous à ce qui se passe ici. Parce que la police déclare qu'ils veulent accoucher est une maladie avec un taux de mortalité beaucoup plus élevé que 2%, et elle ne sera pas guérie avec un repos au lit de deux semaines.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/coronavirus-crackdown-beware-new-normal
LE CONSEIL D'ÉTAT DIT « NON » À UN CONFINEMENT TOTAL
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
23/03/2020
Le Conseil d’État a rejeté l’idée d’un confinement total, la jugeant irréaliste. La plus haute juridiction administrative a toutefois enjoint au gouvernement de préciser la portée des mesures déjà prises.
L’État n’est pas à même d’assurer le ravitaillement à domicile, les magasins alimentaires resteront ouverts
Au cours d’une audience exceptionnelle le dimanche 22 mars 2020, le Conseil d'État a statué sur la requête en référé du syndicat Jeunes Médecins, appuyée par l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) et le Conseil national de l'ordre des médecins, dans laquelle ils demandaient la mise en place d’un confinement total : cela ne se fera pas.
Pour la plus haute juridiction administrative, un confinement total n’est pas envisageable car « le ravitaillement à domicile ne peut être organisé sur l'ensemble du territoire national, compte tenu des moyens dont l'administration dispose ». En outre, la poursuite de certaines activités essentielles, telles que celle des personnels de santé ou des personnes participant à la production et à la distribution de l'alimentation, nécessite le maintien d'autres activités comme les transports en commun, ont estimé les juges du Conseil d’État.
Faire interdire le jogging
En revanche, le juge des référés estime nécessaire de préciser la portée des mesures déjà prises par l’exécutif. Doit notamment être précisée la dérogation pour les « déplacements pour motif de santé », qui à ce jour ne fait pas mention de leur degré d'urgence.
Quant aux « déplacements brefs, à proximité du domicile, liés à l'activité physique individuelle des personnes, à l'exclusion de toute pratique sportive collective, et aux besoins des animaux de compagnie », cette formulation apparaît trop large aux yeux du juge des référés. Afin d’interdire le jogging notamment, il convient donc de préciser davantage cette mesure. L’autorisation pour les marchés alimentaires d’ouvrir à condition de ne pas accueillir plus de 100 personnes à la fois a également été qualifiée d’excessive.
http://www.economiematin.fr/news-confinement-total-conseil-etat-decision-refere
CONFINEMENT : PLUS D'UN MILLION DE CONTRÔLES
RépondreSupprimerpar LUDIVINE CANARD
23/03/2020
Près de 13% de la population mondiale est confinée
Après avoir été la risée du monde à cause de photos de centaines de Français dans les parcs en pleine épidémie du coronavirus, la France tente de faire respecter ses mesures d’isolement en multipliant les contrôles et les sanctions.
Fini les balades au parc
Aux grands maux, les grands remèdes. Pour appliquer les mesures confinement, l’Assemblée nationale a voté un texte de loi permettant une peine de six mois de prison en cas de violations répétées des mesures. Pour un premier rappel à l’ordre, il faudra payer 135 € d'amende (ou 375 euros en cas de majoration) et 1.500 € d'amende en cas de récidive. Cela peut aller jusqu'à 3750 € et 6 mois de prison en cas de multirécidive soit quatre interpellations.
Pour faire appliquer les mesures de confinements visant à lutter contre l’épidémie de coronavirus, les forces de l’ordres ont multiplié les contrôles sur tout le territoire. Depuis le début du confinement, mardi 15 mars, 1.738.907 contrôles ont été réalisés en France. Un total de 91.824 infractions pour « non-respect du confinement » a été relevé par les forces de l'ordre depuis la mise en place de cette mesure, dont 22.574 verbalisations dressées, pour la seule journée de dimanche dernier. De quoi peut-être réduire le déficit budgétaire de la France ?
La France assez stricte ?
Dans les pays voisins, les sanctions pour non-respect de l’isolement sont plus sévères. Si vous sortez en Italie,vous encourez une amende de 206 euros et jusqu’à trois mois de prison. En Espagne, c’est entre 100 et 600 euros et jusqu’à un an de prison. L’Autriche, particulièrement drastique, impose des amendes jusqu’à 3.600 euros.
Les pays nordiques prônent quant à eux la tolérance zéro avec 1.250 euros d’amende à tous les Norvégiens qui sont partis dans leur résidence secondaire. Encore plus strictes, à Taïwan la police fournit aux habitants contaminés un smartphone avec GPS. S’ils sortent de chez eux, ils risquent 30 000 euros d’amende et la publication de leur nom sur internet.
http://www.economiematin.fr/news-confinement-verbalisations-sanctions-amendes-prison
Un médecin urgentiste déconseille la barbe dans le contexte de la pandémie
RépondreSupprimer14:09 23.03.2020
Étant donné que le virus tient «plusieurs heures» sur les barbes et les moustaches lorsqu’on tousse ou éternue, le médecin urgentiste Patrick Pelloux a conseillé aux téléspectateurs de BFM TV de se raser pour lutter contre le coronavirus.
Invité dimanche 22 mars sur le plateau de BFM TV le président de l’Association des médecins urgentistes de France Patrick Pelloux a évoqué le problème de la pilosité du visage pendant la pandémie.
Un téléspectateur a notamment voulu savoir si le virus pouvait tenir sur une barbe ou une moustache lorsqu’on toussait ou qu’on éternuait.
«Oui bien sûr, il résiste», a répondu le médecin, précisant qu’il ne voulait pas faire une campagne contre les barbes et les moustaches.
A standard dust & particle mask, and an N95 medical respirator mask (bottom), that are part of personal protection and survival equipment kits ordered by customers preparing against novel coronavirus, are seen at Nitro-Pak in Midway, Utah, U.S. February 27, 2020. REUTERS/George Frey
Il a ajouté que c’était déjà recommandé et qu’il existait des études indiquant que «les barbes et les moustaches» sont «très sales».
Sur une barbe, le virus tient plusieurs heures
Patrick Pelloux a expliqué que le virus pouvait tenir «plusieurs heures» dessus.
«Il faut vous raser», a-t-il recommandé, car se raser et se laver le visage «ce sont des choses simples qui paraissent évidentes au monde médical».
BFM TV signale que dans le contexte de la pandémie certains hôpitaux comme à Southampton en Grande-Bretagne et au Québec ont recommandé à leur personnel soignant masculin portant des masques respiratoires de se raser pour que ces derniers puissent fonctionner convenablement.
https://fr.sputniknews.com/france/202003231043366374-un-medecin-urgentiste-deconseille-la-barbe-dans-le-contexte-de-la-pandemie-/
Ils promènent un lapin en laisse et écopent de 135 euros d’amende
RépondreSupprimer14:23 23.03.2020
Un couple du Vaucluse a été obligé de payer 135 euros d’amende après avoir promené son lapin en laisse, estimant que c’était un animal de compagnie. Selon La Provence, ils avaient déjà été prévenus par les gendarmes mais ont récidivé.
Après un rappel à l’ordre pour avoir promené son lapin en laisse le 18 mars à Apt (Vaucluse), ce couple a été finalement verbalisé par les gendarmes de la compagnie de Pertuis à cause d’une récidive, rapporte La Provence.
Ainsi, ces individus qui voulaient visiblement déroger à la règle du confinement ont écopé de 135 euros d’amende, précise le quotidien régional.
Faire un barbecue
Par ailleurs, ce couple n’a pas été le seul confronté à une application stricte du confinement. Les gendarmes de la compagnie de Pertuis ont de la même manière verbalisé une personne qui voulait laver son automobile sur une aire de lavage, des cyclistes du département des Alpes de Haute-Provence ainsi que quatre jeunes, selon La Provence.
Ces derniers avaient décidé de se réunir dans un lieu public pour faire un barbecue. Chacun d’entre eux a écopé de 135 euros d’amende.
Quelque 1,8 million de contrôles
Depuis le 17 mars, un confinement a été annoncé en France suite à la pandémie du coronavirus. Près de 1,8 million de contrôles par les forces de police ont eu lieu. Sur ce chiffre, un total de 91.824 infractions pour non-respect des restrictions ont été relevées depuis leur mise en place mardi, a indiqué le directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises, Alain Thirion, auquel se réfère l’AFP.
Les sanctions ont été durcies: les 135 euros d'amende forfaitaire passeront à 1.500 euros en cas de récidive «dans les 15 jours» et «quatre violations dans les 30 jours» pourront valoir «3.700 euros d'amende et six mois de prison au maximum».
https://fr.sputniknews.com/france/202003231043366719-ils-promenent-un-lapin-en-laisse-et-ecopent-de-135-euros-damende/
FRANCE - CASINO CÈDE LEADER PRICE À ALDI POUR 735 MILLIONS
RépondreSupprimerLe groupe de distribution a vendu trois entrepôts et plus de 500 magasins discount en France à son homologue allemand.
Casino était en recherche de liquidités depuis plusieurs mois pour éponger sa lourde dette.
20.03.2020
Casino a annoncé vendredi avoir cédé le périmètre français de son enseigne discount Leader Price à l'allemand Aldi, avec qui il était en négociations exclusives depuis l'automne, pour 735 millions d'euros (774,7 millions de francs).
Ce prix de vente inclut un complément de prix de 35 millions d'euros, «versé en cas de respect d'indicateurs opérationnels durant une période de transition», précise Casino dans son communiqué.
Le distributeur stéphanois, qui négociait avec son homologue allemand depuis la mi-septembre, affirme avoir signé avec Aldi France «une promesse unilatérale d'achat en vue de la cession de trois entrepôts et de 567 magasins du périmètre Leader Price en France métropolitaine», où ils se développeront sous l'enseigne Aldi.
En revanche, Casino restera propriétaire de la marque Leader Price «pour continuer à l'exploiter selon certaines conditions convenues avec Aldi, en France et à l'international».
A 09h20 à la Bourse de Paris, l'action Casino prenait près de 4% à 35 euros, dans un marché en hausse de 6,17%.
Recherche de liquidités
Casino, en recherche de liquidités depuis plusieurs mois pour éponger sa lourde dette, avait annoncé le 19 septembre dernier être entré en «négociations exclusives» avec le groupe allemand, alors que le secteur du discount est en pleine mutation en France.
«La réalisation de cette cession interviendra après la consultation des instances représentatives du personnel et sous réserve de l'obtention de l'autorisation de l'Autorité de la concurrence», souligne le communiqué.
Mi-janvier, Casino avait annoncé un chiffre d'affaires 2019 en repli de 5,46% à 34,6 milliards d'euros (environ 36,5 milliards de francs), du fait de la sortie des comptes de Leader Price, en cours de cession à l'allemand Aldi justement.
Il avait alors fait savoir qu'il révisait à la baisse, de 10% à 5%, sa prévision d'estimation de la croissance du résultat opérationnel courant (ROC), l'indicateur phare dans la distribution.
Le groupe, dirigé par Jean-Charles Naouri et dont la maison-mère, Rallye, vient de se voir valider son plan de sauvegarde par la justice, doit publier ses résultats annuels jeudi avant l'ouverture de la Bourse. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/economie/casino-cede-leader-price-aldi-735-millions/story/17036644
Embedded Inside Minecraft est la bibliothèque non censurée d'articles qui peuvent vous tuer dans certains pays
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 22/03/2020 - 20:40
Écrit par Jake Anderson via TheMindUnleashed.com,
Le potentiel des plates-formes de jeu en tant que communications révolutionnaires est considéré depuis des décennies.
Dans son roman pour jeunes adultes Little Brother, l'auteur Cory Doctorow a imaginé des adolescents utilisant leurs systèmes de jeux vidéo pour se connecter à un réseau crypté pour échapper aux agences gouvernementales draconiennes à la suite d'une attaque terroriste et dans For The Win, Doctorow a exploré l'économie virtuelle des MMORPG et leur potentiel en tant que mécanisme d'organisation contre le pouvoir corrompu de l'État.
Entrez dans l'un des exemples les plus intéressants de la vie réelle d'une plate-forme de jeu vidéo réutilisée pour lutter contre la censure de l'État fasciste. Reporters sans frontières a fait appel à Minecraft pour développer son nouveau projet The Uncensored Library, qui est un centre virtuel où les utilisateurs peuvent accéder au journalisme censuré du monde entier.
Développée comme un effort synergique par la branche allemande de Reporters sans frontières, l'agence de marketing allemande DDB et la société de design britannique Blockworks, The Uncensored Library n'est pas une gamification des libertés de la presse mais plutôt une partie d'une série de projets basés sur l'utilisation de plateformes alternatives et la conception 3D collaborative pour lutter contre la censure.
Reporters sans frontières a spécifiquement recherché une entreprise qui pourrait tirer parti de l'engagement mondial de Minecraft, qui est si omniprésent qu'il serait pratiquement impossible pour le gouvernement d'un pays de fermer ses serveurs. Le créateur de DDB, Tobi Natterer, a découvert dans ses recherches que les pays où la censure de la presse était particulièrement draconienne - Russie, Égypte, Mexique, Arabie saoudite, Vietnam, etc. - ont des communautés de joueurs extrêmement actives. Minecraft est la plus grande de ces communautés et cela permet aux joueurs d'écrire des livres dans le jeu.
«Dans [ces livres]», a expliqué le producteur interactif senior Robert-Jan Blonk, qui travaillait à la bibliothèque, «vous pouvez trouver des articles et des informations sur les journalistes qui sont censurés dans leur propre pays. Nous partageons ces histoires à travers les livres qui vivent dans cette bibliothèque, et les gens peuvent simplement les lire ouvertement, car même dans les pays… d'où viennent ces journalistes, vous pouvez jouer à Minecraft. »
La bibliothèque non censurée comporte des sections spéciales pour certains pays comme l'Égypte, où il n'y a pratiquement aucune liberté de la presse. La bibliothèque contient des articles d'Egypte que vous ne pouvez tout simplement pas trouver ailleurs qu'à l'intérieur du serveur Minecraft. Au Mexique, où les journalistes et les dissidents sont régulièrement assassinés à la fois par le gouvernement et les cartels, l'autocensure généralisée est fondée sur la peur.
"Dans la salle de Mexico, nous avons construit des monuments commémoratifs pour 12 journalistes mexicains qui ont été assassinés", a déclaré James Delaney, directeur général de Blockworks.
RépondreSupprimer"En raison du danger explicite pour les journalistes au Mexique, il y a beaucoup de problèmes dont ils ne parleront pas parce que c'est trop dangereux."
Le jeu comprend un socle pour le travail du journaliste assassiné Javier Valdez Cárdenas.
Derrière la statue néo-classique emblématique de la bibliothèque représentant un poing tenant un stylo et des ailes de collections de livres de type musée, se trouve une carte du monde sur laquelle figure l'index de la liberté de la presse de Reporters sans frontières, qui classe 180 pays en fonction de la censure de la presse. Le classement tient compte de tout, des journalistes exécutés à la censure en ligne des articles, à la censure algorithmique des mots clés et même au blocage des VPN, comme en Chine et en Russie.
La bibliothèque non censurée reçoit beaucoup d'attention dans les pays qui ne censurent pas ouvertement la presse, bien sûr. La carte a enregistré 23 000 téléchargements dans le monde et le serveur officiel a attiré 17 000 visiteurs uniques.
Pour des informations spécifiques à la plate-forme sur la façon d'accéder à la bibliothèque, Gizmodo propose une ventilation.
Pour une visite virtuelle de la bibliothèque non censurée, regardez la vidéo ci-dessous:
https://www.zerohedge.com/geopolitical/embedded-inside-minecraft-uncensored-library-articles-can-get-you-killed-some
Covid-19 et fausses équivalences climatiques
RépondreSupprimerPar Joe Bastardi
23 mars 2020
Tout d'abord, cela n'est nullement destiné à minimiser la menace de Covid-19. En fait le contraire. Il vise à souligner les similitudes dans certains messages qui se produisent avec le climat et ce virus. J'ai écrit à ce sujet dans une certaine mesure auparavant, mais je voulais résumer ici plusieurs parties, y compris de nouvelles observations. Avertissement: c'est une longue histoire ennuyeuse. Le meilleur moment pour lire est quand vous allez dormir, j'allais le commercialiser comme une présentation audio pour l'insomnie, mais je pensais que ce serait collant. Comment ça pour l'honnêteté ?
Mais essayez-le ..
1) Le résultat final est inconnu. Cela signifie que les prédictions ont une grande variance et penser que vous CONNAISSEZ LE RÉSULTAT est de l'arrogance à l'écran. Croire et SAVOIR sont deux choses différentes. On le voit dans la question du changement climatique dans la lutte contre les effets gaz carbonique. Beaucoup de mon côté pensent que l'introduction du gaz carbonique dans l'atmosphère a le plus grand effet et il y a un rendement décroissant avec plus. Ainsi, les arguments vont de la «foule du tout» à «l'effet limité» (1.2C, dont, si cela est vrai, nous avons au cours des cent dernières années se sont rapprochés de cela et où je suis et j'ai été) à la 4-5°C plus chaud, où se trouvent de nombreux voltigeurs de contrôle du climat au gaz carbonique. Puis au point de basculement du réchauffement galopant avec pratiquement aucune limite.
Considérez maintenant les plages que vous voyez ici dans cette situation. Je n'ai pas besoin de l'examiner parce que quiconque y prête attention sait que nous avons des fourchettes, aucun effet perceptible des attentes régulières de mortalité avec l'âge. En fait, j'ai entendu dire que les personnes devenant plus vigilantes entraîneraient une augmentation de l'âge médian de la mort dans les années à venir. Alors que nous allons tous mourir, il s'agit simplement de savoir quand et quelle en est la cause. Puis au type de chiffres qui rivaliseraient avec les grandes épidémies des temps précédents.
Perdu en tout, c'est le fait que nous avons beaucoup plus de personnes vivant dans le monde aujourd'hui, ce qui signifie que les pourcentages de mortalité sont plus bas, mais avec un monde beaucoup plus prospère, l'effet sur la qualité de vie est en effet dévastateur, en plus avec plus de personnes sur la planète, d'autres vont être exposés et périr. Cela est fonction de l'augmentation de l'âge médian et de l'explosion démographique et de la prospérité. C'est donc extrêmement grave.
2) Les gens se disputent à ce sujet. Il y a toutes sortes de motivations croisées ici. Il y a la personne purement objective sans intérêt sauf dans la bonne réponse. Ils sont des deux côtés de cette question. L'un des avantages de mon travail que j'ai trouvé est que beaucoup de médecins aiment le temps, j'ai donc des amis personnels proches dans la profession médicale. Jusqu'à présent, je leur parlais de la météo et ils me conseillaient sur la santé. Fairtrade non ?
Mais en leur parlant maintenant, je trouve que beaucoup d'entre eux considèrent cela comme une autre maladie qui survient et à laquelle nous nous adaptons. Il y en a même quelques-uns qui croient que la réponse «une once de prévention vaut une livre de cure» en vaut la peine, même si cela s'avère être le meilleur des cas. Ils réalisent jusqu'à ce que les inconnues soient connues, il est sage de se préparer. Cependant, il y a des choses dans les médias qui sont carrément effrayantes et apocalyptiques.
RépondreSupprimerDe plus, toute bonne nouvelle ou potentiellement bonne est ridiculisée ou non rapportée. Nous nous transformons donc en une situation où vous avez des gens de bonne volonté avec un désaccord honnête. Puis à un deuxième niveau où les gens souhaitent pousser quelque chose dans une direction pour s'adapter à un résultat défini. En d'autres termes, un agenda se développe et une fois qu'une personne s'investit dans le résultat, sa vision peut devenir obscurcie au-delà du résultat prévu.
Croyez-moi, dans ce que je fais, c'est une préoccupation constante, que mes prévisions tardent trop longtemps parce que je suis tellement convaincu que j'aurai raison. Je n'essaie donc pas d'être critique, mais plus attentif ici à ce que je considère comme un dénominateur commun. Quand quelqu'un, par exemple, dit que l'urgence climatique est pire que l'épidémie de Covid-19, cela devrait soulever des drapeaux rouges simplement en raison des échelles de temps car Covid-19 peut détruire beaucoup en un an. En fait, aux États-Unis, en raison de la douceur de l'hiver, l'économie a probablement mieux fait qu'on ne le pensait avant l'hiver, car nous avons enregistré des mises en chantier records en janvier.
Donc là, l’urgence climatique a eu un résultat positif aux États-Unis, à moins que vous ne soyez contre le progrès pour l’humanité (c’est un autre problème, le désir de diminuer les progrès de l’homme), l’hiver plus chaud a été formidable. Le fait est que dans les deux cas, il y a de très bonnes personnes qui ne sont pas d'accord, mais toute une industrie artisanale qui est tournée par l'agenda a vu le jour. Il y a donc des messages terribles ici, mais au final, les faits montrent que le réchauffement est meilleur pour la vie, bien en face du résultat rapide possible de COVID-19.
Un test que j'ai conçu est d'essayer de détecter le ton. Par exemple, le nombre de cas en Chine correspond presque exactement au total en Inde depuis que leur premier cas a été signalé il y a quelques semaines, pourquoi ? Une personne objective veut savoir. Cependant, quelqu'un sautant aux conclusions ou regardant simplement un côté du problème, quelle qu'en soit la raison, il ne sait pas comment tester ou ne rapporte pas. Alors pourquoi la Corée du Sud est-elle si nivelée ? En ce qui concerne l'antipaludéen, les avertissements de ce qui peut mal tourner ne diffèrent pas de ce que vous voyez à la télévision pour les médicaments préventifs qu'ils annoncent. Toute une liste d'effets secondaires possibles. S'il y avait une épidémie de paludisme dans ce pays, ne rendrions-nous pas ces médicaments disponibles.
J'ai lu les études qui existent. Il existe des possibilités encourageantes. Ce n'est pas le Saint Graal ou une balle magique, mais le TONE des gens qui essaient de jeter de l'eau froide dessus devrait les faire essayer de faire la même chose pour n'importe quelle drogue courante sur le marché aujourd'hui. Il suffit de regarder une publicité télévisée pour tout médicament courant, je pense «Pourquoi quelqu'un prendrait-il cela», lorsque l'un des effets secondaires énumérés est la mort. L'idée qu'il y a une récompense sans risque dans quoi que ce soit est absurde.
RépondreSupprimerFaire exploser le président pour un faux espoir ou essayer de diriger, surtout quand il dit: «Nous verrons», montre simplement une approche intolérante et fermée à tout cela. Donc, la personne objective veut savoir pourquoi de ceci et la plupart des gens qui y travaillent font ça. Comme un autre sous-ensemble travaille sur un programme différent. Un autre lien avec la question du changement climatique dans la mesure où elle est abordée. De plus, ajoutez des harengs rouges dans l'équation, comme les affirmations racistes devraient soulever des drapeaux rouges. Lorsque nous changeons le nom de ces maladies: Voici 17 autres maladies nommées d'après des populations ou des lieux:
De ce lien:
https://thefederationist.com/2020/03/13/17-diseases-named-after-places-or-people/
Virus du Nil occidental
Ver de Guinée
Nommé par les explorateurs européens pour la côte guinéenne de l'Afrique de l'Ouest dans les années 1600.
Fièvre pourprée
Nommé d'après la chaîne de montagnes qui s'étend dans l'ouest de l'Amérique du Nord, reconnue pour la première fois en 1896 en Idaho.
Maladie de Lyme
Nommé d'après une importante éclosion de la maladie survenue à Lyme et Old Lyme, Connecticut dans les années 1970.
Fièvre de Ross River
Nommé d'après un moustique responsable de la maladie dans la rivière Ross du Queensland, en Australie, dans les années 1960. Le premier foyer majeur s'est produit en 1928.
RépondreSupprimerFièvre hémorragique d'Omsk
Nommé d'après sa découverte des années 40 à Omsk, en Russie.
Fièvre hémorragique Ebola
Nommé en 1976 pour le fleuve Ebola au Zaïre situé en Afrique centrale.
Syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS)
Également connue sous le nom de «grippe de chameau», le MERS a été signalé pour la première fois en Arabie saoudite en 2012 et tous les cas sont liés à ceux qui se sont rendus dans la péninsule du Moyen-Orient.
Fièvre de la vallée
Valley Fever a obtenu son surnom lors d'une épidémie des années 30 dans la vallée de San Joaquin en Californie, bien que son premier cas provienne d'Argentine.
Maladie à virus Marburg
Nommé d'après Marburg, Allemagne en 1967.
Norovirus
Nommé d'après Norwalk, Ohio après une épidémie en 1968.
Zika Fever
Découvert pour la première fois en 1947 et nommé d'après la forêt de Zika en Ouganda.
L'encéphalite japonaise
Nommé d'après son premier cas au Japon en 1871.
Rougeole allemande
Nommé d'après les médecins allemands qui l'ont décrit pour la première fois au XVIIIe siècle. La maladie est aussi parfois appelée «rubéole».
Grippe espagnole
Alors que les véritables origines de la grippe espagnole restent inconnues, la maladie a gagné son nom après que l'Espagne a commencé à signaler des décès dus à la grippe dans ses journaux.
Grippe de Hong Kong (1968)
Fièvre de Lassa
Nommé d'après la découverte à Lassa, au Nigéria, en 1969.
Maladie du légionnaire Nommée en 1976 à la suite d'une épidémie de personnes contractant l'infection pulmonaire après avoir assisté à une convention de la Légion américaine à Philadelphie.
Tous ces éléments doivent donc être «effacés» si l'on veut détourner l'attention de la gravité de la situation actuelle avec des accusations de racisme parce que le lieu d'origine est utilisé comme étiquetage. Tout comme si vous souhaitez faire valoir que la période chaude actuelle est une urgence, vous devez effacer les périodes encore plus chaudes que cela. Ce qui a été répertorié comme optimaux et BTW est utilisé pendant la période chaude médiévale (qui était un optimum climatique), arguant qu'il s'agissait d'un effet régional. Pourtant, le fait est qu'il y a ici un dénominateur commun du hareng rouge, et pour l'utiliser, l'histoire connue doit être réécrite.
Ce qui est ironique, si je peux dire, est que beaucoup de ces personnes sont sur le même genre de train de malheur et de tristesse avec le «changement climatique». Voici une ironie encore plus grande. La jeune génération, qui a été exposée à l'agenda du changement climatique depuis son entrée à l'école primaire, et s'inquiète sans cesse à ce sujet, jusqu'à présent, semble assez insouciante à ce sujet. Pourtant, comment vous inquiétez-vous de quelque chose pour les générations à naître, lorsque vous avez des gens qui sont d'accord avec vous et qui battent un tambour pour le désastre maintenant ? Le démon d'aujourd'hui n'est-il pas beaucoup plus important que le fantôme, réel ou imaginaire, que vous pourriez affronter demain ?
RépondreSupprimerIl ne s'agit pas seulement de l'idée d'être jeune et à l'épreuve des balles, car si ce n'était pas le cas, il n'y aurait pas de grève scolaire de 81 semaines contre le changement climatique.
3) La grande variance des prévisions. J'ai abordé cette question dans une certaine mesure. Les prévisions du jugement dernier sont aussi anciennes que l'humanité elle-même. Mais il y a un lien,
Ce poste exceptionnel il y a plusieurs jours sur CFACT:
https://www.cfact.org/2020/03/13/greta-preaches-many-of-the-first-earth-days-failed-predictions/
a montré à quel point les prévisions étaient erronées depuis le premier jour de la Terre. Beaucoup de ces mêmes prévisions apparaissent maintenant, mais bien sûr, la raison inverse de la première. Ce qui, comme je l'ai déjà vu, est à l'opposé de ce que les périodes plus chaudes précédentes ont produit et à un point tel qu'ils étaient appelés optimaux climatiques. Mais seul le temps nous dira si les pires prévisions se réaliseront. Dans presque tous les cas, ces prévisions ne se sont pas réalisées, c'est pourquoi elles ne sont jamais évoquées.
4) Affichage de la valeur réelle du filet de sécurité américain. Cela devient intéressant aussi. Je crois en moins de gouvernement, mais nous avons besoin d'un cadre essentiel. Il y a l'argument dans la communauté des changements climatiques d'origine humaine que nous devrions avoir le même type de réponse que nous avons pour COVID-19. Ce qui est intéressant en ce que si quelque chose montre COVID-19, ce qui se passe lorsque le moteur commercial de la nation est arrêté, cela conduit à la misère. On ne peut pas affirmer qu'avant ce coup, la vie sur la planète s'était considérablement améliorée au cours des 100 dernières années. Ceci malgré et aidé en fait par le réchauffement. Pourtant, une menace comme COVID-19 sera quelque chose pour montrer que le gouvernement est essentiel pour intervenir dans des menaces comme celle-ci. Essayer de dépeindre un événement beaucoup plus graduel, sans doute pas gêner le progrès de l'homme mais le renforcer, semble être une fausse équivalence. Une chose est sûre, vous voyez ce que la suppression de quelques billions de dollars de l'économie peut faire. Imaginez un plan de 10 billions de dollars pour lutter contre le «changement climatique»?! L'événement Covid-19, comme les ouragans, les tornades, etc. montre pourquoi il doit y avoir un filet de sécurité. La question est l'étendue.
5) L'attaque des idées. J'ai trouvé que les gens que je vois se traitaient mieux. Cependant, sur les médias sociaux et les médias réguliers, le niveau de viscosité dans COVID-19 imite le genre de choses que je vois dans le climat. J'ai été accusé d'avoir minimisé la menace. Depuis que j'ai 64 ans et que les gens que j'ai connus, aimés et recherchés le plus longtemps sont en plein milieu de l'âge médian que cette maladie tue. Je suis exactement opposé. Mais si vous cherchez à détruire une idée, vous faites tout ce que vous pouvez pour le faire. J'ai eu un ami cher à moi dire qu'il voulait s'assurer que je n'étais pas cavalière à ce sujet. Sur le plan personnel, pour moi, c'est un test de ma foi.
RépondreSupprimerQue ce ne soit pas pour d'autres personnes, ne me dérange pas. Ce qui est préoccupant dans ce domaine, le climat, etc., c'est l'image de marque des personnes qui proposent des idées différentes, même les personnes avec lesquelles vous êtes d'accord sur presque tout, s'énervent parce qu'elles peuvent penser que vous ne voyez pas les choses à leur façon. Ils feront tout pour FORCER, mot-clé FORCE, une autre personne pour se plier à leur volonté. Attaquer les gens est une tentative de censure des idées. Il est étroit d'esprit et intolérant.
Si j'avais un sou à chaque fois dans ma vie, quelqu'un qui n'était pas d'accord avec moi, m'exposait à quelque chose que j'avais appris, je serais un homme très riche. Vous n’apprenez rien qui exclut les idées. J'accueille favorablement la discussion et en cas d'erreur, cela me rend plus fort si j'apprends quelque chose que je peux utiliser. Vous ne faites pas cela en essayant de détruire les gens, et il semble que cela se passe.
Évidemment, c'est une situation très grave, l'un de mes professeurs à Penn State avait l'habitude de dire que les montres météo pour des événements courants tels que la neige peuvent causer plus de perturbations que la neige elle-même. (Pour ceux du sud, combien de fois avez-vous vu de la neige prévue et des étagères mises à nu? La tempête arrive et 2 jours plus tard, toute la neige a disparu.) Il y a cette possibilité ici, mais ce qu'elle montre sans aucune incertitude, c'est ce qui se passe lorsque notre moteur d'entreprise s'arrête.
C'est donc instructif. Je crois que la douleur que nous traversons en vaudra la peine, même si cela s'essouffle complètement. Je ne peux pas en dire autant de l'utilisation de cela comme stratégie pour développer une base de guerre sur le «changement climatique» et d'essayer de décrire COVID-19 comme MINIMISANT réellement le sérieux de l'ennemi commun devant nous maintenant. En tant que personne qui croit au lien dans les événements, aux similitudes dans les modèles, j'en remarque certains ici. Il y a de bonnes personnes des deux côtés sur toutes les questions qui recherchent vraiment la bonne réponse. Regardez attentivement et voyez si vous pouvez voir le lien dont je parle. Peut-être pas, mais l'appel est le vôtre, pas le mien.
L'essentiel est que la liberté est nécessaire pour la recherche de toute réponse. Ceux qui souhaitent limiter cela en diabolisant et en détruisant les personnes en désaccord avec eux sont motivés par le résultat souhaité, quel que soit le résultat réel. (Exemples: l'appel au nouveau bac à poussière en 2012, lorsque l'opposé exact a évolué le reste de la décennie ou l'idée que l'Arctique serait libre de glace d'ici 2013.)
S'il vous plaît restez en sécurité et respectez les mises en garde étant conseillé. Je ne connais pas ou ne prétends pas connaître l'issue de COVID-19, bien que je puisse croire en un certain résultat. Pourtant, comme la météo, je ne peux pas laisser des notions artificielles obscurcir ma vision du défi. Je sais que l'ouverture d'esprit et la liberté doivent être utilisées comme clés de voûte pour relever les défis et si l'on considère la prospérité de notre nation, les résultats parlent d'eux-mêmes.
RépondreSupprimerhttps://www.cfact.org/2020/03/23/covid-19-and-climate-false-equivalencies/
Tests COVID-19 - Réponses fiables
RépondreSupprimerPar Dvorah Richman
22 mars 2020
Des fonctionnaires fédéraux ont récemment témoigné devant le comité de surveillance et de réforme de la Chambre des États-Unis au sujet des réponses du gouvernement à la crise du COVID-19. Les membres du comité ont exprimé leur inquiétude et leur frustration, et se sont engagés à pointer du doigt politisé, au sujet de ce qu'ils ont dit être le développement et la distribution inutilement lents des tests de diagnostic - en particulier par rapport à d'autres pays.
Certains ont félicité la Corée du Sud d'avoir testé plus de personnes en une journée que les États-Unis au cours des deux derniers mois. L'Italie et le Royaume-Uni ont également obtenu une mention positive. On peut se demander si ces membres du Comité de contrôle ont une réelle appréciation du système qu'ils et leurs prédécesseurs ont créé.
En réponse à une question, le directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, Anthony Fauci, a déclaré: «le système n'est pas vraiment adapté à ce dont nous avons besoin en ce moment» et «l'idée que quiconque l'obtienne facilement comme le font les gens dans d'autres pays. , nous ne sommes pas configurés pour cela. " Il a ajouté: "c'est un échec".
Les membres du comité et les médias ont saisi cette réponse largement mal citée et mal interprétée comme preuve de l'échec du gouvernement à fournir les tests nécessaires. Des informations sur notre système et des faits sur les actions réelles du gouvernement fédéral devraient corriger au moins certaines des fausses nouvelles qui ont rapidement dominé de nombreux articles, éditoriaux et commentaires de chefs de file.
Pour des raisons ancrées dans notre histoire, notre politique et notre système de gouvernement, les États-Unis ont une myriade d'agences fédérales, avec une myriade de rôles et des responsabilités essentielles en matière de soins de santé. Les services de santé des États et des collectivités locales ont également des rôles de soins de santé essentiels. Un dédale de lois, de réglementations et de politiques opère à chaque niveau.
Le secteur privé élabore des tests de diagnostic, obtient l’autorisation de mise sur le marché de la Food and Drug Administration (FDA) si nécessaire (reflétant la détermination de l’agence en matière de sécurité et d’efficacité), puis commercialise les tests pour une utilisation clinique par des professionnels de la santé. Alors que les professionnels de la santé ont généralement une discrétion dans leur utilisation clinique des appareils et des produits pharmaceutiques, de nombreux aspects de la pratique de la médecine sont réglementés par la loi de l'État.
Deux agences fédérales, la FDA et les Centers for Disease Control (CDC), ont joué un rôle de premier plan dans la lutte contre ce virus nouveau et mortel. En utilisant l'autorité d'urgence, des approches flexibles et une «discrétion d'application», ils ont rationalisé bon nombre des processus normalement beaucoup plus longs.
Le CDC promeut les activités de santé, de prévention des maladies et de préparation, dans le but d'améliorer la santé publique, en coopération avec les entités étatiques, locales et nationales. Lors d'une urgence de santé publique, l'un des principaux rôles des CDC est de développer un test pour l'agent pathogène et de fournir aux laboratoires de santé publique (PHL) des États et des collectivités locales une capacité de test. Les LSP se concentrent sur l'état de santé des groupes de population, effectuent des tests diagnostiques limités, la surveillance des maladies, le soutien aux interventions d'urgence et d'autres fonctions.
RépondreSupprimerLa FDA est chargée de protéger la santé publique en assurant la sécurité et l'efficacité de divers produits, y compris les tests de diagnostic des dispositifs médicaux. La FDA examine et autorise la commercialisation de ces tests, qui sont conçus et fabriqués par des sociétés de dispositifs médicaux.
Les laboratoires développent également des tests de diagnostic. L’autorité de la FDA sur les tests développés par les laboratoires (tests développés en laboratoire ou LDT) est contestée depuis de nombreuses années et, à quelques exceptions près, l’agence a exercé un «pouvoir discrétionnaire en matière d’application» dans l’application des lois et règlements aux LDT.
Quelle que soit l'avenue, une expertise, du temps et des ressources considérables à de nombreux niveaux sont essentiels au développement, au test, à la validation et finalement à la mise à disposition des tests de diagnostic qui fonctionnent comme prévu entre les mains des professionnels de la santé.
Compte tenu de nos nombreuses lois, réglementations, politiques et pratiques de longue date, le CDC et la FDA ont fait preuve de flexibilité au cours de cette crise de santé sans précédent. Les témoignages du Congrès ont noté que les scientifiques du CDC ont développé un test de diagnostic pour détecter le virus qui cause le COVID-19 dans les dix jours suivant la divulgation par la Chine de la séquence du génome. Le test était destiné aux PHL.
Conformément à l'autorité d'urgence en vertu de la loi de la FDA, la FDA a délivré une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) au CDC pour son test de diagnostic. Le CDC a commencé à expédier ce test aux laboratoires publics. Peu de temps après, des problèmes de performances se sont malheureusement posés en raison d'un problème de fabrication de l'un des réactifs. Le CDC a résolu le problème et a commencé à envoyer des tests corrigés aux laboratoires publics. Au 15 mars, 84 laboratoires de santé publique locaux et d'État dans les 50 États et le district de Columbia avaient validé avec succès et utilisaient le test de diagnostic COVID-19 du Centre.
Pendant ce temps, le CDC a également accordé un «droit de référence» aux données de performance contenues dans son EUA à toute entité cherchant un EUA pour un test COVID-19, et la FDA a mis à disposition des modèles pour les soumissions d'EUA.
Pendant ce temps, le CDC a également accordé un «droit de référence» aux données de performance contenues dans son EUA à toute entité cherchant un EUA pour un test COVID-19, et la FDA a mis à disposition des modèles pour les soumissions d'EUA.
Le 29 février, la FDA a publié une directive «immédiatement en vigueur» qui permettait à certains laboratoires qualifiés d'utiliser des tests COVID-19 validés avant que la FDA n'ait terminé son examen de leurs EUA. Le même jour, le Wadsworth Center du Département d'État de la santé publique de New York (NYSDOH) a obtenu un EUA de la FDA pour son test COVID-19. Le 12 mars, la FDA a utilisé le «pouvoir discrétionnaire d’application» et ne s’est pas opposée à la décision du NYSDOH d’autoriser certains laboratoires de New York à commencer les tests sur les patients après avoir validé leurs tests et notifié le NYSDOH.
RépondreSupprimerLa FDA s'est engagée avec de nombreux développeurs de tests travaillant sur ce problème. Elle a publié son premier EUA pour la distribution commerciale d'un test COVID-19 à Roche Molecular Systems le 12 mars. Depuis lors, d'autres sociétés de dispositifs médicaux ont reçu des EUA pour leurs tests de diagnostic COVID-19. Labcorp, Quest et d'autres laboratoires commerciaux, du système de santé et universitaires proposent également des tests aux patients.
Le 16 mars, la FDA a publié des directives révisées offrant une flexibilité supplémentaire aux États pour autoriser les tests de laboratoire développés par des laboratoires qualifiés dans l'État à utiliser dans leurs États. Cinq jours plus tard, la FDA a accordé le premier EUA pour un test qui fournira des résultats en quelques heures, sans avoir à se rendre dans un laboratoire.
Les membres du comité de la Chambre ont demandé pourquoi les États-Unis ne pouvaient pas simplement utiliser des tests développés par la Corée du Sud, d'autres pays ou l'Organisation mondiale de la santé (OMS). La réponse est simple: les lois et réglementations fédérales exigent que les dispositifs médicaux (y compris les tests de diagnostic) doivent être examinés par la FDA et obtenir l'approbation ou l'autorisation avant de pouvoir être commercialisés aux États-Unis, sauf si ce type particulier de dispositif est exempté. Cela s'applique aux dispositifs médicaux développés aux États-Unis et à ceux développés ailleurs. Du côté des laboratoires, les tests de diagnostic (qu'ils reçoivent ou non un examen et une autorisation de la FDA) sont également soumis à un examen minutieux.
Ce processus vise à garantir que les tests de diagnostic fonctionnent comme prévu, sans faux négatifs qui remettraient les personnes malades dans la rue pour infecter les autres - ou faux positifs qui indiquent que les personnes en bonne santé sont malades et utilisent ainsi les ressources de santé destinées aux personnes malades. Alors que le commissaire de la FDA, Stephen Hahn, était réticent à critiquer d'autres pays, il a noté lors d'un briefing à la Maison Blanche le 7 mars que plusieurs pays ont eu «différents niveaux de succès» avec leurs tests de diagnostic et qu'un pays non spécifié a eu «des problèmes avec la performance de plusieurs tests . "
Le secteur privé monte en puissance et des tests pour COVID-19 sont disponibles en plus grandes quantités. Ironiquement, certains critiques disent maintenant que les actions du gouvernement fédéral concernant les tests de diagnostic ont été trop souples. D'autres problèmes liés aux tests font leur apparition, notamment d'éventuelles pénuries de produits chimiques importants, la disponibilité de l'équipement et la capacité des laboratoires américains à effectuer les tests nécessaires.
Notre système de santé comporte de nombreuses parties mobiles, avec des rôles d'interface critiques pour le gouvernement et le secteur privé. Le système libère déjà les pouvoirs créatifs d'experts et d'innovateurs fédéraux, étatiques, locaux, universitaires et du secteur privé, qui développeront, testeront et déploieront des technologies de diagnostic, de prévention, de thérapie et de guérison pour s'attaquer au COVID-19. C'est la voie américaine.
RépondreSupprimerLorsque la poussière retombera, il sera temps d'évaluer les problèmes et d'identifier des solutions, y compris peut-être une nouvelle législation, pour faire face aux crises futures. Dans l'intervalle, nos différentes parties mobiles doivent travailler en collaboration pour faire face à tous les aspects de cette crise - tout en maintenant, dans la mesure du possible, une approche flexible dans l'application des lois, réglementations et politiques qui n'étaient pas vraiment conçues pour gérer la crise monumentale actuelle.
https://www.cfact.org/2020/03/22/covid-19-tests-trustworthy-answers/
COVID-19 et la campagne de propagande de la Chine en Europe
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 24/03/2020 - 02h00
Écrit par Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Le gouvernement chinois accélère les expéditions d'aide médicale vers l'Europe, qui est devenue l'épicentre de la pandémie de coronavirus qui a fait son apparition dans la ville chinoise de Wuhan. Les largesses semblent faire partie d'un effort de relations publiques du président chinois Xi Jinping et de son Parti communiste pour détourner les critiques sur leur responsabilité dans l'épidémie meurtrière.
La campagne de Pékin en tant que bienfaiteur mondial pourrait donner des résultats en Europe, où les dirigeants politiques agaçants craignent depuis longtemps de contrarier le deuxième partenaire commercial de l'Union européenne. Ce qui n'est pas clair, c'est si le public européen, qui subit de plein fouet les souffrances causées par l'épidémie, sera tout aussi disposé à ignorer les méfaits des autorités chinoises.
Dans ce qui ne peut être décrit que comme une humiliation géopolitique, Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission européenne, la branche administrative de l'Union européenne, qui se présente comme la "plus grande économie du monde", a fait l'éloge de la Chine communiste pour en donnant au bloc une quantité négligeable de matériel médical. Le 18 mars, elle a tweeté:
"A parlé avec le Premier ministre chinois Li Keqiang qui a annoncé que la Chine fournirait des masques chirurgicaux de 2 mil, 200 000 masques N95 et 50 000 kits de test. En janvier, l'Union européenne a aidé la Chine en faisant don de 50 tonnes de matériel. Aujourd'hui, nous sommes reconnaissants pour le soutien de la Chine. Nous avons besoin de notre soutien mutuel en cas de besoin. "
L'Union européenne n'a pas été en mesure de fournir une assistance significative à l'Italie, le troisième membre du bloc, qui a été particulièrement durement touché par le virus. Après que l'Allemagne, le membre le plus puissant de l'UE, a interdit l'exportation d'équipements de protection médicale pour éviter ses propres pénuries de masques, gants et combinaisons, la Chine est intervenue.
Le 12 mars, la Chine a envoyé en Italie une équipe de neuf membres du personnel médical chinois ainsi que quelque 30 tonnes de matériel lors d'un vol organisé par la Croix-Rouge chinoise. Le chef de la Croix-Rouge italienne, Francesco Rocca, a déclaré que l'envoi "révélait le pouvoir de la solidarité internationale". Il ajouta:
"En ce moment de grand stress, de grande difficulté, nous sommes soulagés d'avoir cette arrivée de fournitures. Il est vrai que cela n'aidera que temporairement, mais c'est toujours important. Nous avons un besoin désespéré de ces masques en ce moment. Nous ont besoin de respirateurs que la Croix-Rouge fera un don au gouvernement. C'est certainement un don vraiment important pour notre pays. "
Ces derniers jours, la Chine a également envoyé de l'aide pour:
Grèce, 21 mars. Un avion d'Air China transportant 8 tonnes de matériel médical - dont 550 000 masques chirurgicaux et d'autres articles tels que des équipements de protection, des lunettes, des gants et des couvre-chaussures - est arrivé à l'aéroport international d'Athènes. L'ambassadeur de Chine en Grèce, Zhang Qiyue, a fait référence aux propos d'Aristote: "Qu'est-ce qu'un ami ? Une seule âme vivant dans deux corps." Il a déclaré que "les moments difficiles révèlent de vrais amis" et que la Chine et la Grèce "travaillent en étroite collaboration dans la lutte contre le coronavirus". Cela, a-t-il dit, "confirme une fois de plus les excellentes relations et l'amitié entre les deux peuples".
Serbie, 21 mars. La Chine a envoyé six médecins, ventilateurs et masques médicaux en Serbie pour aider Belgrade à stopper la propagation de l'infection à coronavirus. "Un grand merci au président Xi Jinping, au Parti communiste chinois et au peuple chinois", a déclaré le président serbe Aleksandar Vucic. L'ambassadeur de Chine à Belgrade, Chen Bo, a déclaré que l'aide était un signe de "l'amitié de fer" entre les deux pays. L'agence de presse chinoise Xinhua a rapporté: "Le président Xi attache une grande importance au développement des relations sino-serbes et estime que grâce à la lutte conjointe contre l'épidémie, l'amitié traditionnelle éprouvée par les deux pays gagnera un soutien plus chaleureux de la part de son peuple, et leur partenariat stratégique global s'approfondira et atteindra un niveau supérieur.
RépondreSupprimerEspagne, 21 mars. Le fondateur et président de la société technologique chinoise Huawei, Ren Zhengfei, a fait don d'un million de masques. Ils devaient arriver à l'aéroport de Saragosse, dans le nord-est de l'Espagne, le 23 mars. Les masques seront stockés dans un entrepôt appartenant au détaillant de vêtements espagnol Zara. De là, Zara mettra son réseau logistique au service du gouvernement espagnol. Cette expédition pourrait être la première de plusieurs, car des dizaines de fournisseurs chinois qui ont travaillé avec Zara pendant des années auraient manifesté leur volonté d'envoyer du matériel. Les États-Unis ont mis en garde l'Espagne contre le risque de sécurité inhérent à l'ouverture de ses réseaux de communication de cinquième génération aux fournisseurs chinois de technologies mobiles, dont Huawei.
République tchèque, 18 mars. Un avion transportant 150 000 kits de test pour le coronavirus a atterri à Prague. Le Ministère de la santé a payé environ 14 millions de couronnes tchèques (550 000 dollars) pour 100 000 kits de test, tandis que 50 000 kits supplémentaires ont été payés par le Ministère de l'intérieur. Le transport était assuré par le Ministère de la défense.
Espagne, 17 mars. Un avion chinois transportant 500 000 masques est arrivé à l'aéroport de Saragosse. "Le soleil se lève toujours après la pluie", a déclaré le président chinois Xi Jinping au Premier ministre espagnol Pedro Sánchez. Il a déclaré que l'amitié entre la Chine et l'Espagne sera renforcée et que les relations bilatérales auront un avenir meilleur après la lutte commune contre le virus. M. Xi a déclaré qu'après la pandémie, les deux pays devraient intensifier les échanges et la coopération dans un large éventail de domaines.
Belgique, 16 mars. Une autre cargaison de fournitures médicales donnée par la Fondation Jack Ma et la Fondation Alibaba pour la prévention des épidémies en Europe est arrivée à l'aéroport de Liège.
Le magazine Fortune a expliqué la motivation derrière la poussée de propagande chinoise:
"Pour la Chine, la sensibilisation à l'Europe fait partie d'un effort pour récupérer un rôle de leadership international après que des dissimulations précoces ont aidé le virus à se propager bien au-delà de ses frontières. Le gouvernement du président Xi Jinping a cherché à faire taire les critiques, y compris les journalistes et les commentateurs en ligne, et aussi diffuser des théories du complot sur l'origine du virus.
"Sur le plan géopolitique, la décision de la Chine de se faire passer pour le sauveur de l'Europe vise à améliorer sa position sur la scène mondiale en tant que partenaire de l'administration Trump. La Chine et les États-Unis ont poursuivi une lutte plus large pour une influence mondiale - Pékin a expulsé plus d'une douzaine de journalistes américains cette semaine - tout en cherchant également à détourner le blâme pour leur gestion de la maladie. "
Dans une interview accordée au journal britannique Guardian, Natasha Kassam, ancienne diplomate australienne, a déclaré:
RépondreSupprimer"Maintenant, nous voyons des responsables chinois et des médias d'État affirmer que la Chine a acheté du temps au monde pour se préparer à cette pandémie. Nous savons que la machine de propagande en Chine est capable de réécrire l'histoire mais maintenant nous voyons cela reproduit à l'étranger. La victoire de la Chine sur Covid-19 a déjà été écrit et les autorités s'efforcent de faire en sorte que ce message soit reçu à l'étranger. "
Dans un essai pour la publication espagnole Libertad Digital, le commentateur Emilio Campmany a astucieusement expliqué:
"L'énorme appareil de propagande chinois a été lancé. En Italie, ils se sentent, à juste titre, abandonnés par l'Union européenne et sont reconnaissants de l'aide que le pays asiatique leur apporte. Cela a été amplement amplifié par les médias italiens.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/covid-19-chinas-propaganda-campaign-europe
Des pharmaciens français identifient 97 médicaments susceptibles de traiter le Covid-19
RépondreSupprimer16:33 23.03.2020
Pharnext, une société biopharmaceutique française, a annoncé avoir dressé une liste de 97 médicaments bien connus qui peuvent être efficaces contre les complications associées au Covid-19. D’ailleurs, certains sont déjà en cours de test en tant que remèdes contre le coronavirus, selon l’entreprise.
Au moins 97 médicaments fréquemment prescrits peuvent être repositionnés pour lutter contre le nouveau coronavirus, même si la plupart ne sont pas répertoriés comme des antiviraux, a annoncé la société biopharmaceutique française Pharnext.
«Lorsqu'un virus infecte des cellules humaines, il détourne leur fonctionnement à son avantage, ce qui lui permet de proliférer au sein de l'hôte humain. La stratégie de Pharnext a consisté à évaluer quelle partie de ce fonctionnement cellulaire est affectée par les coronavirus (tels le SRAS et le MERS). Ceci a permis à Pharnext d'identifier des médicaments déjà approuvés pour des maladies courantes et qui pourraient potentiellement entraver le détournement de la machinerie cellulaire par le Covid-19», a indiqué la firme dans un communiqué.
Ces médicaments dont la liste est publiée dans un article lisible sur Preprints
https://www.preprints.org/manuscript/202003.0302/v1
sont en grande partie utilisés pour traiter des maladies courantes telles que le diabète de type 2 et l'hypertension. Il est à noter que les personnes ayant de tels problèmes de santé présentent souvent des complications graves de la maladie Covid-19 causée par le nouveau coronavirus SRAS-CoV-2.
Plusieurs médicaments de la liste dressée par Pharnext font déjà l'objet d'essais cliniques dont la chloroquine, un médicament contre le paludisme dont les propriétés ont plusieurs fois été mentionnées, ainsi que l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et les antiviraux favipiravir et remdesivir.
Fin janvier, le ministère russe de la Santé a publié une liste de médicaments susceptibles d’être efficaces contre le Covid-19. Celle-ci comprend les médicaments utilisés pour lutter contre le VIH, l'hépatite C et la sclérose en plaques.
https://fr.sputniknews.com/sante/202003231043368591-des-pharmaciens-francais-identifient-97-medicaments-susceptibles-de-traiter-le-covid-19/