L’argument choc du gouvernement français pour se hasarder dans une réforme des retraites complètement impopulaire est que soi-disant le système par répartition imaginé par le CNR sera déficitaire. Cet argument est essentiellement basé sur le fait que la population française vieillit.
Je ne comprends pas pourquoi le Président Macron, qui veut fourguer le système français des retraites à ses copains du monde financier comme BlackRock, ne choisirait pas une mesure drastique comme ne prendre aucune précaution afin de laisser le coronavirus se répandre et tuer le plus de « vieux » possible comme par exemple dans les EHPAD. Ça allégera considérablement les comptes de la sécurité sociale et par voie de conséquence le système de retraite par répartition actuel. Le Ministre de la santé japonais n’avait-il pas suggéré de « débrancher » tous les « vieux » qui survivent sous assistance artificielle ! Sa déclaration avait provoqué un tollé mais il avait osé le dire …
Il faut aussi noter que le Président Macron ne sait pas de quoi il parle quand il mentionne l’immunité de groupe à propos de cette « grippette » qui tue moins de monde que l’habituelle grippe saisonnière. J’ignore quels sont les idiots qui préparent ses discours mais je tiens à informer mes lecteurs de ce qu’est l’immunité de groupe. On ne parle d’immunité de groupe qu’à propos de la vaccination. Quand 95 % d’une population est vaccinée contre une maladie virale quelconque le « réservoir » du virus a suffisamment diminué pour que la probabilité d’apparition d’une épidémie devienne négligeable. Voilà ce qu’est une immunité de groupe. Macron a donc fait deux erreurs puisqu’aucun vaccin contre le coronavirus millésime 2019 n’existe actuellement et qu’on ne parle d’immunité de groupe qu’avec un vaccin.
Je suis né quelques semaines après l’armistice mettant fin à la seconde guerre mondiale, je suis un gros fumeur (moins que Gainsbourg tout de même) et j’ai les poumons en partie dégradés par une tuberculose dont je souffris quand j’étais jeune adolescent, je suis donc le sujet de rêve pour succomber au coronavirus et aussi le sujet de rêve pour les caisses de retraites françaises qui me permettent de vivre assez confortablement (dans un endroit, certes, où la vie est beaucoup moins coûteuse qu’en France) depuis maintenant 15 ans. Et chaque année je dois apporter la preuve à mes caisses de retraite que je suis toujours vivant contrairement à un certain nombre de retraités fantômes qui semblent dispensés de cette obligation.
Alors un petit conseil aux angoissés irréductibles et aux hypochondriaques. Prenez un petit linge éponge de dimensions 75 x 30 cm du genre de ceux qu’on vous distribue gratuitement dans les bains chauds publics au Japon (j’en ai plusieurs chez moi), pliez-le en deux ou trois dans le sens de la longueur et appliquez-le sur le nez et la bouche en le nouant derrière la tête. Après quelques heures d’usage plongez-le dans de l’eau un peu javellisée, essorez-le à la main sans le rincer, roulez l’objet et mettez-le trois minutes dans un four à micro-ondes. Toutes les bactéries et tous les virus seront détruits et vous pourrez le réutiliser tout de suite.
Et pour vous consoler, plutôt que de prendre du Prozac buvez un coup, ça aide à oublier les imbécillités des politiciens, bonne santé !
L'angoissant n'est PAS le 'Coran à virus' mais la démarche à le faire valoir comme anéantisseur ! L'hégémonie ne viendra pas de là mais de ce qui se passe aux étals des commerces. Même si certains sont dévalisés et font donc monter l'anxiété des clients sceptiques, les rayons seront bien approvisionnés le lendemain ! Mais, cette peur de rayons vides peut susciter des envies de vols, de méchancetés diverses ainsi que d'attaques chez eux de particuliers à la recherche de 'stocks' de pâtes, riz, farines ou eaux embouteillées !
J'accuse les gouvernements à pardonner ces gestes malheureux de cambriolages voire à les défendre comme justifiant une famine à venir !!!
C'est honteux, c'est misérable et criminel d'en arriver là pour une épidémie insignifiante en vis-à-vis de la grippe qui a tué cent fois plus de personnes sans qu'aucune mesure ne soient prises pour admettre alors une épidémie record (sans qu'elle n'est de qualificatif de pandémique !).
Bien sûr que cette 'peur-au-ventre' n'est qu'un exercice pour tester les moutons à l'arrivée du loup voire d'un chien errant, mais des bestiaux entretiennent une 'voix de tous' sans réflexion indépendante.
J'ai connu l'ère de baladeurs et des casques sur les oreilles, remplacée par les smartphones à fils vers l'oreillette puis l'arrivée de la wifi et, que font-ils quand ils ont fini d'écouter les bruits enregistrés. Ils passent à d'autres vacarmes ! Allument la télé ! Conduisent avec la radio ! ou même lisent les journaux pour... en 'savoir plus que les autres' sur la connerie qui les entoure et dont ils font partie, adhèrent et descendent dans la rue pour soutenir l'atteinte au climat qu'ose les terroriser le magma de la Terre qui lui fait ce qu'il veut, quand il veut et où il veut sans que ne lui soit ordonné quoi que ce soit ! Hahahaha ! Ils traquent le gaz carbonique émis à 99,99 % par le magma (recyclé en partie par les mers & océans et autres parties par l'atmosphère depuis... des milliards d'années !) Çà alors ! (sans quoi même les animaux ou la végétation n'aurait vu le jour !).
Ils n'ont plus de pensée profonde, d'avis indépendant ou de réflexion de soi ! Ils laissent les autres réfléchir pour eux !!
Quoi de plus extrême que de semer la panique pour interdire toutes manifestations et rassemblement de plus d'une personne ? Ou d'obliger 'par respect pour la Constitution de la dictature' d'instaurer l'obligation du vote par internet là où TOUS les comptes peuvent être trafiqués (comme les 'machines-à-voter' ! Hahaha !) !
Plus de preuves que les virus n'ont pas d'ailes - MISE À JOUR: SlowMo se déplace !
March 15th, 2020
NOUVELLES: Depuis l'écriture de ce document, Scott Morrison a finalement déménagé pour mettre en quarantaine toutes les arrivées, y compris les avions et les navires. Il est toujours à deux semaines du virus et rattrape Jacinda Ardern, la vraie leader. Mais enfin, le saignement évident a commencé.
Il ne fermera pas les écoles, et peut-être, tout à coup, ce sera désormais une option viable, bien que Sydney ait encore besoin d'une action majeure et rapide pour sauver des vies. Pourraient-ils supporter de ne pas faire d'événements sportifs ou sociaux pendant deux semaines ?
Le gros risque pour la plupart des États sont désormais les vols au départ de Sydney. NSW visera-t-il le «saignement lent» à éliminer les infections au fil des mois, en espérant qu'aucune ne devienne accidentellement sauvage, ou visera-t-il à effacer cela dans trois semaines pour que la vie revienne à la normale, et l'Australie peut à nouveau faire du sport contre la Nouvelle-Zélande, dès que possible ?
Avec cette nouvelle, juste à temps, l'avenir s'annonce mieux. Ma prédiction: regardez les dirigeants du monde entier comprendre cela. C'est un bon coup de pouce pour les États-nations et les frontières souveraines. Tous les regards sont tournés vers l'UE, où la politique d'ouverture des frontières a été désastreuse - l'Espagne (6300)*, l'Allemagne (4500)* et la France (4500)* sont là où l'Italie était le 7 mars, il y a un peu plus d'une semaine. Même s'ils se verrouillent sérieusement, leurs hôpitaux devraient atteindre leur point de rupture.
Dites-moi encore comment les interdictions de vol et les quarantaines n’aident pas.
En cas d'épidémie, les lignes plates sont notre tendance préférée de Noël. Ce graphique à partir des données du Coronavirus en Australie montre les infections qui arrivent ici, suivies de mystérieuses longues lignes plates. Les dates sont illisibles mais nous savons tous ce qui s'est passé et quand. h / t Travis et Chris D
- voir graphique sur site -
Propagation infectieuse Australie Données Covid-19 en Australie
Combien de milliers d'Australiens ont été sauvés par cet appel pour arrêter les vols en provenance de Chine ?
L'Italie avait le même nombre de cas que l'Australie (250) le 24 février. Aujourd'hui, 1 500 Italiens sont morts et 20 000 sont infectés. C’est un «progrès» de trois semaines.
MISE À JOUR: NSW suivra-t-il l'Italie? Le 23 février l'Italie avait 134 cas et 2 décès. 7 jours plus tard, le bilan était de 1 700 et de 34 décès. Le soleil, la chaleur et une densité de population plus faible signifient qu'elle sera plus faible en Australie.
De toute évidence, les vols en provenance des États-Unis et de l'Italie auraient dû être mis en quarantaine il y a une semaine. Pour toutes ces infections découvertes, il ne devait y en avoir que quelques-unes qui sont passées inaperçues et ont semé la propagation communautaire que nous voyons maintenant en Nouvelle-Galles du Sud. Les seuls avions que nous voulons en ce moment viennent de Russie, d'Israël, de Taiwan et de Nouvelle-Zélande.
À travers le Tasman, comme hier, toutes les arrivées de vols vers la Nouvelle-Zélande ont été mises en quarantaine. Voila. La Nouvelle-Zélande pourrait devenir le meilleur endroit sur Terre au cours du mois prochain. Après cela, quelques dirigeants auront sauvé des dizaines de milliers de vies. Jacinda Ardern ressemblera à un héros. SlowMo ressemblera à un Slow Mo.
La NZ aurait pu autoriser des vols en provenance d'Australie, mais nous sommes trop à risque.
Les dirigeants lents choisissent de tuer les gens et l'économie Pour protéger les habitants du reste de l'Australie, les voyages interétatiques pourraient être mis en quarantaine. [MISE À JOUR: Peut-être que ce n'est pas nécessaire maintenant. Mais la nation battrait plus vite si nous le faisions]. Les gens pouvaient retourner dans leur pays d'origine avec un isolement de deux semaines. Si les frontières étaient fermées, WA, SA, Tas, NT pourraient rapidement récupérer une petite épidémie sous contrôle avec la recherche des contacts. Ensuite, ils pourraient envoyer des masques, des médecins et des respirateurs de rechange à NSW pour sauver des vies. Les camions pouvaient décharger les remorques et les conteneurs aux arrêts frontaliers pour être ramassés par les chauffeurs locaux dans les semi-taxis locaux. Ou ils pourraient être autorisés à passer tout droit mais rester dans des hôtels sécurisés désignés avant de rentrer chez eux.
Nous pourrions construire des maisons de vacances au lieu d'hôpitaux.
Un économiste de génie doit expliquer comment l’économie profite de l’autorisation d’une épidémie de masse que nous n’avons pas à avoir. Les voyages interétatiques, les restaurants, les écoles et les entreprises des petits États pourraient rouvrir leurs portes avec des ventes intérieures et voyager dans peut-être quatre semaines, ce qui éviterait à des milliers d'entreprises de faire faillite. Les Australiens vulnérables à haut risque pourraient prendre un mois de vacances dans un état sûr pour attendre tout désordre dans la Nouvelle-Galles du Sud, etc.
Tout cela est réalisable, mais quel chef d'État a le pouvoir de se dresser contre les intimidateurs de l'Open Border et les médecins fatalistes mortels comme Brendan-nous-avons-à-mourir-Murphy ?
NOUVELLES Dimanche matin en Australie: Le gouvernement australien déclare qu'un verrouillage général des coronavirus reste une option Le médecin-chef Brendan Murphy affirme que les fermetures d’écoles et le stockage de la nourriture pendant quinze jours sont "prématurés" pour le moment.
La fermeture des écoles et le stockage d'une quinzaine de jours de nourriture pour préparer l'auto-isolement des coronavirus sont "prématurés" pour la population générale, ont déclaré le ministre de la Santé, Greg Hunt, et le médecin-chef, Brendan Murphy, bien que toutes les options soient sur la table.
Les Australiens accumulent des stocks en ce moment car il est évident pour les mamans de football que les dirigeants sont incompétents.
Interrogé sur la suggestion du médecin-chef victorien que les gens devraient stocker pour une quinzaine de jours de nourriture, Murphy a répondu que c'était "un peu prématuré pour le moment".
Le plan de Murphy est d'attendre jusqu'à la veille du verrouillage puis d'espérer que les magasins auront 20 fois le stock normal, garantissant ainsi des achats de panique…
Les Australiens auraient dû s'approvisionner un peu chaque semaine depuis quatre semaines. Facile.
Apparaissant aux côtés de Hunt sur ABC's Insiders dimanche, Murphy a déclaré que les autorités fédérales recommandaient actuellement aux voyageurs de retour de se distancier socialement, bien que d'autres devraient commencer à «pratiquer» pour faire de même, en particulier les groupes à risque tels que les personnes âgées.
Permet à tous de «s'entraîner» à ne pas visiter les foyers de soins pour personnes âgées. Qu'est ce que ça veut dire ? Nous le faisons ou ne le faisons pas.
Des manuels seront écrits à ce sujet sur «Ce qu'il ne faut pas faire dans la messagerie publique» et «Comment paniquer les foules en trois étapes faciles: refuser, gaufre et brouillard».
- voir graphique sur site -
Infections par état en Australie Exponentielles coquines décollant en Australie exactement comme prévu. Nous savons où cela va partir d'ici.
Est-ce vers cela que la France, l'Espagne et l'Allemagne se dirigent ? NSW a-t-il esquivé cette balle ?
Alors que la transmission communautaire prend son envol dans les pays, la propagation bondit à 40% de croissance par jour, mais nous ne le saurons qu'une semaine plus tard. Des centaines de personnes meurent, les hôpitaux sont envahis. Les médecins et les infirmières tombent malades. Les patients victimes d'un AVC et les victimes d'un arrêt cardiaque perdent rapidement la chance d'obtenir l'aide dont ils ont besoin. Les médecins doivent choisir les patients qui ont la chance de vivre dans le dernier lit de soins intensifs disponible. (L'Italie peut abandonner les plus de 80 ans à son sort). Ensuite, une fois que nous savons avec certitude que tout est allé au pot, les dirigeants font ce qu'ils auraient dû faire trois semaines plus tôt, et ils ont fermé toutes les frontières, les églises, les conférences, les vacances, les voyages, les écoles et les universités.
Nous payons donc le prix, le payons plus longtemps, tuons plus de gens, détruisons plus d'entreprises, et tout est entièrement prévisible. Ensuite, nous faisons une commission royale plus tard pour trouver des excuses pour couvrir les ânes.
Nous maîtriserons cette épidémie
Nous savons comment l'arrêter. Sommes-nous prêts à renoncer à quatre semaines de football, les week-ends, les films et un peu d'argent ou préférerions-nous le faire pendant 2 mois et tuer beaucoup de gens également ?
Comment prévoient-ils exactement d'interdire les combustibles fossiles ?
Paul Driessen Paul Driessen 15 mars 2020 00:01
Les opinions exprimées par les chroniqueurs sont les leurs et ne représentent pas nécessairement les vues de Townhall.com.
Berkeley, Californie, Takoma Park, MD et d'autres villes; Californie, Connecticut, New York, Virginie et autres États; Allemagne, Angleterre et autres pays; l'Union européenne - tous envisagent de bannir le pétrole, le gaz naturel et le charbon d'ici 10, 20 ou 30 ans. Un certain nombre d'États américains ont rejoint les initiatives régionales sur les gaz à effet de serre et disent fièrement que nous sommes toujours ... le traité de Paris sur le climat, quoi que dise ou fasse le président Trump.
Oubliez les gros titres et les mannequins, et regardez l'ouragan, la tornade, le niveau de la mer et d'autres records historiques. Il n'y a pas de crise, pas de réchauffement ou d'événements météorologiques sans précédent, certainement rien qui prouve que les humains ont remplacé les puissantes forces naturelles qui ont toujours entraîné les changements climatiques et les événements météorologiques.
Mais pour l'instant, examinons simplement leurs plans zéro carbone. Comment feront-ils exactement cela ? Où prévoient-ils obtenir les turbines, les panneaux et les batteries ? les matières premières pour les fabriquer ? Comment envisagent-ils de fonctionner comme des sociétés modernes avec une énergie coûteuse et erratique et des coupures de courant fréquentes ?
Comment pourraient-ils - ou l'Amérique, si l'ensemble des États-Unis passe au Green New Deal - gérer une épidémie de COVID-27? Comment fabriqueraient-ils des voitures, des avions, des éoliennes, du papier toilette, des produits pharmaceutiques ou bien autre chose avec une énergie intermittente? Cela n'a pas fonctionné en Europe (voir ci-dessous), et cela ne fonctionnera pas ici.
De plus, il ne s'agit pas seulement de remplacer les mégawatts actuels des centrales au charbon et au gaz. Elle double la production d’électricité aujourd’hui, car les nouveaux détaillants écologiques veulent remplacer tous les combustibles fossiles: voitures, camions et autobus à essence et diesel, chauffage domestique et à eau, électricité d’usine, alimentation de secours des hôpitaux, etc.
Des migrants musulmans, aidés par la police turque, attaquent la police des frontières grecque avec des bombes incendiaires
14 MARS 2020 14H00 PAR ROBERT SPENCER
C'est encore un autre acte de guerre. Comment peut-on sérieusement penser que ces «réfugiés», fraîchement jetés des cocktails Molotov à la police grecque, passeront pacifiquement en Europe et deviendront des citoyens fidèles d'États laïques ?
Face à cette invasion, nous avons cependant la complaisance et l'idiotie de gauche habituelles: «La Grèce a annoncé qu'elle n'accepterait aucune demande d'asile pendant un mois. Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés a critiqué leur décision. »
«Grèce: des migrants attaquent la police des frontières avec des bombes incendiaires, l'aide de la police turque», par Michael Lord, Voice of Europe, 12 mars 2020:
Les affrontements entre les migrants et la police grecque, qui se produisent fréquemment depuis que la Turquie a commencé à autoriser les migrants à traverser son territoire fin février, ont atteint une nouvelle intensité mercredi.
Les migrants ont de nouveau attaqué des officiers grecs dans la nuit, mais cette fois-ci ont utilisé des cocktails Molotov incendiaires, qui ont mis le feu à la barrière frontalière dans la région d'Evros, selon un rapport de Remix News.
Les médias locaux indiquent que les attaques des migrants étaient soutenues par les forces de sécurité turques et qu'en plus d'utiliser des bombes incendiaires, les migrants utilisaient du gaz lacrymogène qu'ils avaient obtenu des Turcs. Ils l'ont utilisé pour tenter de distraire les forces de l'ordre pendant qu'ils abattaient la clôture. Les forces grecques ont répondu par leurs propres gaz lacrymogènes.
La rivière Evros est devenue le point d'éclair de cette dernière crise migratoire. Lundi, la Bulgarie a ouvert l'un de ses barrages pour augmenter le niveau d'eau de l'Evros afin de rendre la traversée des migrants plus difficile, comme le rapporte Voice of Europe.
La Grèce a signalé que 348 migrants ont été arrêtés depuis le début de la dernière crise et que sa police a empêché plus de 44 000 autres personnes d'entrer illégalement dans la zone Schengen de l'Union européenne. Plusieurs autres pays, dont l'Autriche et la Pologne, ont envoyé leurs propres officiers pour renforcer les forces frontalières grecques….
Plus récemment, Erdogan a également demandé aux citoyens turcs de voyager sans visa de l'UE en échange de l'arrêt des migrants.
La Grèce a annoncé qu'elle n'accepterait aucune demande d'asile pendant un mois. Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés a critiqué leur décision.
Le coronavirus en Chine m'a maintenu en quarantaine. Je me sentais plus en sécurité ici qu'aux États-Unis
Notre attitude de laisser-faire, la priorité accordée à la liberté personnelle et le manque total de leadership gouvernemental ont laissé les Américains confus et exposés.
14 mars 2020 à 16h17 CET Par Tony Perman, professeur agrégé de musique au Grinnell College
Lorsque ma famille est retournée aux États-Unis après six semaines de quarantaine à Shanghai, nos amis et parents ont répondu avec félicitations et soulagement que nous étions enfin en sécurité. Moins d'une semaine depuis notre retour à la maison, cependant, nous ne partageons pas vraiment les sentiments de nos proches. Nous nous sentions plus en sécurité à Shanghai alors que les conditions s'amélioraient par rapport aux États-Unis.
Chacun doit accepter sa propre responsabilité, sa vulnérabilité et sa complicité - sacrifier des «droits» pour le bien collectif - sinon beaucoup d'entre nous mourront.
Notre anxiété s'est déclenchée dès que nous avons marché sur le sol américain. En Chine, des contrôles médicaux à l'aéroport ont eu lieu avant que nous ne soyons autorisés à pénétrer dans des zones avec d'autres passagers. À l’aéroport international de Chicago O’Hare, nous avons fait la queue avec des centaines d’autres passagers à la sécurité des frontières avant d’être finalement identifié comme étant de retour de Chine. À ce moment-là, nous avons été escortés sur le côté par un jeune homme s'excusant dans une veste des Centers for Disease Control and Prevention qui a vérifié nos températures et nous a donné un paquet nous informant que, en tant qu'individus venant de Chine, le CDC nous a demandé de nous isoler en tant que autant que possible pendant 14 jours. Le personnel de l'aéroport n'a même jamais demandé où nous allions.
J'ai maintenant vécu une quarantaine de coronavirus dans les deux pays, et les différences sont bien au-delà de leurs aéroports. En Chine, l'obligation d'isoler se sent partagée et le public change presque immédiatement ses habitudes. La stérilisation, la propreté et l'éloignement social ont été priorisés par tout le monde à tout moment. À tort ou à raison, l'approche brutale de l'État chinois semble fonctionner.
En revanche, la liberté individuelle est le moteur de l'exceptionnalisme américain. Il y a certainement des questions valables sur la quantité à sacrifier au nom du bien public, mais notre attitude de laisser-faire, la priorité accordée à la liberté personnelle et le manque total de leadership gouvernemental ont laissé les Américains confus et exposés.
OPINION
Le Coronavirus révèle à quelle vitesse les Asiatiques «minoritaires modèles» deviennent le «péril jaune»
La mesure dans laquelle il a semblé que des résidents à haut risque comme le nôtre ont dû supporter le fardeau de l'arrêt de la propagation de la maladie en étant les seuls à entrer en isolement est particulièrement troublante. Il y a des leçons à tirer du peuple chinois, si ce n'est de ses dirigeants, y compris le fait que chacun doit accepter sa propre responsabilité, sa vulnérabilité et sa complicité - sacrifier des «droits» pour le bien collectif - sinon beaucoup d'entre nous mourront.
Comme tout le monde en Chine, ma femme, mon jeune fils, ma petite fille et moi avons été emportés par la crise du COVID-19 fin janvier. Apparemment du jour au lendemain, le pays tout entier a été mis en lock-out. À Shanghai, où nous avions déménagé en août pour donner à notre fils la chance de vivre une vie chinoise, nous sommes restés à l'intérieur, portions des masques chaque fois que nous devions faire du shopping ou faire de l'exercice, regardés comme chaque restaurant, parc, musée et boutique autre que les épiceries ont été fermées et préparées pour une quarantaine à durée indéterminée.
Comment les Américains peuvent se rassembler pour combattre le coronavirus en restant séparés
14 MARS 202001: 02
Tout le monde a diligemment respecté la distance du mètre obligatoire les uns des autres. Les ligues sportives professionnelles ont été annulées presque immédiatement. Les écoles n'ont jamais rouvert après les vacances d'hiver. Dans toute la ville, des cliniques spéciales de lutte contre la fièvre ont été mises en place afin que les hôpitaux ordinaires puissent protéger les autres malades.
Parce que tout le monde était isolé en raison d'un mélange complexe de mandats de l'État, de restrictions imposées aux autorités de logement, de pression des pairs et d'un profond sentiment de responsabilité personnelle, afficher ces attentes en sortant en public sans masque ou en se rassemblant dans la foule était perceptible, mal vu et même réprimandé. Avec tout le monde suivant, cela n'a jamais semblé être un choix comme aux États-Unis. Ici, si nous ne décidions pas de nous isoler, qui saurait ?
Parfois, en Chine, les choses devenaient trop zélées. Il y avait une profonde méfiance et peur, naturellement. Toute personne sans masque représentait un risque. Les histoires abondaient sur les communautés qui se chargeaient de barricader les entrées de leurs villes. Parfois, avec l'approbation officielle, les voisins ont chassé les voisins soupçonnés de cacher des symptômes.
Des dizaines de volontaires ont également balayé le pays armés de thermomètres. La responsabilité civique collective en matière de sécurité individuelle est devenue un
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Les personnes qui semblent chinoises sont particulièrement ciblées par le harcèlement et blâmées aux États-Unis, renforçant le fossé entre la menace et l'innocent. Dans notre pays déjà polarisé, nous n'avons pas besoin d'une autre division sociale. Et chaque jour où la maladie est politisée de cette manière est un jour où le mépris absolu du virus pour les passeports et l’appartenance à un parti lui donne le dessus.
Le changement d'habitude est également plus difficile aux États-Unis, où l'individualisme et l'optimisme règnent et où la société semble isolée dans les nantis et les démunis du COVID-19. Avec si peu d'orientations fédérales, il y a une économie de responsabilité en cascade et il appartient aux personnes potentiellement malades d'assurer la sécurité des personnes non malades, tandis que toute disposition gouvernementale ou collective semble totalement inadéquate.
Suite à notre paquet CDC, nous surveillons nos symptômes et prenons nos températures deux fois par jour, bien que personne n'ait jamais suivi. Nous évitons les épiceries, car ce sont des lieux publics, même si notre épicerie en ligne a été un fiasco qui a pris des heures à blâmer car notre commande n'a jamais été satisfaite, insufflant peu de confiance dans le fait qu'une ville isolée peut obtenir l'essentiel.
Sortir en public sans masque ou se rassembler dans la foule était perceptible, mal vu et même réprimandé. Avec tout le monde suivant, cela n'a jamais semblé être un choix comme aux États-Unis.
On nous a également dit de ne pas s’embêter avec les masques, et la prise de température est une réflexion après coup (comme à O’Hare). Peut-être que les masques ne fonctionnent pas, peut-être que la lecture de la température est inefficace. Mais s'il s'agit d'une sorte de théâtre de sécurité élaboré, en Chine, on avait l'impression que tout le monde était dans la pièce. Les masques communiquaient une conscience de responsabilité, de vulnérabilité et de complicité, une déférence partagée envers la maladie.
Nous avons quitté Shanghai alors que la ville montrait des signes d'optimisme vacillant. Les nouveaux cas étaient rares. La vie revenait à la normale et les millions de résidents en quarantaine sortaient provisoirement de l'ombre.
Nous sommes entrés aux États-Unis en panique. Les directives changent d'un jour à l'autre et d'une agence à l'autre. Les tests de coronavirus et les établissements de santé adéquats sont rares. Il est clair que le gouvernement ne peut pas arrêter la propagation.
Nous ne pouvons pas simplement espérer que les personnes à haut risque parviennent à éviter d’infecter les autres. Cela dépend de nous tous et de chacun de nous. Nous sommes tous des menaces et nous sommes tous innocents.
La baisse du prix du pétrole a ses avantages, selon le PDG du groupe russe Gazprom Neft
17:15 15.03.2020
Le président du groupe pétrogazier russe Gazprom Neft, Alexandre Dioukov, estime qu’il y a des avantages à l’effondrement actuel du prix du pétrole.
La dégringolade du prix du brut finira par assainir le marché et assurer son développement durable, a estimé dimanche 15 mars le PDG du groupe russe Gazprom Neft, Alexandre Dioukov, lors d’une émission sur la chaîne de télévision Rossiya 1.
«Les prix bas ne sont peut-être pas bons pour le marché, mais d’autre part […], ils permettront d’assainir le marché, d’en éliminer les projets à coût élevé ce qui garantira un développement durable du marché du pétrole», a indiqué M.Dioukov. La Russie serait bien placée pour résister à la crise mondiale
Pour M.Dioukov, le secteur énergétique russe est bien placé pour «sortir sans dégâts d’une période de prix bas du pétrole, même si celle-ci est de longue durée».
Les coûts de production à 3,5 dollars le baril, les faibles niveaux d'endettement des entreprises pétrolières russes et la résistance aux bas prix sont les facteurs qui peuvent même encourager la hausse de la production, à son avis.
Chute record des prix du pétrole en 2020
Les prix du pétrole dégringolent sur fond de la pandémie due au coronavirus, qui a diminué la demande mondiale en brut et suite à l’échec, le 6 mars, des négociations entre les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et des producteurs hors Opep (Opep+), qui a déclenché une guerre des prix.
Le groupe de médias Bloomberg a mis en garde ce dimanche 15 mars contre la chute inédite de la demande mondiale en pétrole en 2020.
«La demande en pétrole, qui représentait plus de 100 millions de barils par jour en moyenne en 2019, pourrait se contracter plus que jamais cette année, dépassant facilement la perte de près d’un million de barils par jour qui a été enregistrée pendant la grande récession de 2009 et même celle des 2,65 millions de barils par jour enregistrée en 1980», a noté Bloomberg.
La Grèce érige d'énormes blocs de béton à la frontière pour stopper la vague de migrants en provenance de Turquie
par Tyler Durden Dim, 15/03/2020 - 09:55
Alors que le reste du monde est occupé à verrouiller les frontières au milieu de la pandémie de Covid-19, la Turquie aurait gardé ouverte la vague de migrants vers le couloir de l'UE, entraînant un chaos persistant aux points de frontière gréco-turcs, alors que les demandeurs d'asile désespérés tentent par tous les moyens possibles pour entrer dans l'UE.
Cela comprend désormais non seulement une riposte militarisée en cours de la part de la Grèce pour empêcher des milliers de personnes de traverser illégalement, mais également la construction d'énormes blocs de béton aux principaux points de passage terrestres.
Les passages frontaliers complètement fermés avec la Turquie commencent à ressembler à des zones de guerre semblables aux tranchées et aux fortifications de la Première Guerre mondiale:
"La Grèce a placé vendredi des blocs de béton de 5 pieds à son poste frontalier de Kastanies avec la Turquie pour empêcher l'entrée des demandeurs d'asile", rapporte l'agence turque Anadolu.
Pendant des semaines depuis qu'Erdogan a déclaré qu'il avait, dans un acte de rétribution visant des États de l'UE non coopératifs, 'ouvert les portes' à des centaines de milliers de réfugiés syriens d'Idlib cherchant à entrer en Europe, la situation frontalière a vu des batailles se dérouler entre une foule de migrants et la frontière grecque gardes.
Voir les blocs de béton massifs mis en place dans les images ci-dessous, également fortifiés avec du fil de fer barbelé:
- voir clips sur site -
Les médias et les responsables turcs ont joué la réaction «violente» de la sécurité grecque tout en minimisant et en ignorant les dirigeants turcs facilitant activement les affrontements:
Au cours des deux semaines qui se sont écoulées depuis que les demandeurs d'asile ont pu atteindre la frontière, près de 2 500 ont été blessés par des gardes-frontières grecs qui utilisent une violence disproportionnée.
Le mois dernier, la Turquie a ouvert ses frontières à l'Europe pour les demandeurs d'asile accusant l'UE de ne pas respecter sa part d'un accord sur les réfugiés de 2016.
Athènes, pour sa part, a critiqué les accusations de gardes-frontières grecs tirant sur les migrants comme de "fausses nouvelles" et des mensonges lancés par l'État turc.
Athènes a le soutien de l'UE pour sa position de tolérance zéro empêchant l'entrée massive de migrants hors de Turquie, selon le Greek City Times:
L'armée grecque a fortifié le mur grec alors que le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan refuse toujours de s'engager dans la directive de l'UE, qui vise à faire reculer tous les migrants de la frontière et à rentrer en Turquie.
La partie turque a continué à provoquer la Grèce en lançant des cocktails Molotov et en déclenchant des incendies à plusieurs endroits le long de la barrière frontalière, pour essayer d'affaiblir la clôture en acier.
Fait intéressant, l'identité syrienne dominante des migrants a été largement remise en question étant donné que la vidéo des affrontements montre souvent des demandeurs d'asile parlant toutes sortes de langues régionales, du pachtou à l'ourdou en persan, et non l'arabe syrien (dialecte levantin).
par Tyler Durden Dim, 15/03/2020 - 09:20 Écrit par Tom Luongo via le blog Gold, Goats, 'n Guns,
Je pense qu'il est sûr de dire que la nouvelle crise vient de tuer le traité de Schengen. Ce document ridicule qui garantissait la liberté de circulation à travers l'Union européenne a finalement touché quelque chose qu'il ne pouvait pas intimider, COVID-19.
Que vous pensiez que la pandémie est réelle ou non, la réaction à celle-ci est réelle et a des conséquences réelles bien au-delà de la dernière publication du Dow Jones Industrial Average.
Le verrouillage de l'Italie n'est pas une chose temporaire. Oh, la suspension de la libre circulation est temporaire, mais elle laisse présager quelque chose de beaucoup plus grand.
C’est le début de la véritable balkanisation politique qui arrivera dans l’Union européenne au cours des prochaines années. Les inimitiés et les préjugés anciens n'ont pas été éradiqués sous le talon de la législation oppressive provenant d'un groupe de technocrates déconnectés à Bruxelles.
Ils ont seulement été supprimés.
Parce que quand il y a des menaces existentielles, il n'y a pas de temps ni de désir pour la vertu de dire comment nous sommes tous une grande famille dysfonctionnelle heureuse.
Pendant des décennies, l'Allemagne a refusé d'alléger sa rigidité budgétaire, estimant, à juste titre, qu'elle ne devrait pas subventionner la débauche dans des endroits comme l'Italie, l'Espagne et la Grèce si elle ne le voulait pas.
Dans le même temps, toutefois, l'Allemagne a transmis ces règles au régime de la monnaie unique de l'euro. C'est le prix qu'ils ont imposé au reste de l'Europe.
Cela leur a finalement permis de faire exactement cela, de subventionner ou de renflouer les dettes, car la mauvaise évaluation du travail et de l'efficacité du capital inhérente à toute monnaie unique appliquée dans plusieurs économies a chassé le capital de l'Allemagne et de ces pays.
Maintenant, les Allemands sont confrontés à la menace existentielle du COVID-19 importé en Europe, principalement par le biais des travailleurs du textile de Wuhan dans les magasins de cuir de Milan / Leurs dirigeants les forceront à accepter des règles de dépenses plus souples.
Et pensez-vous que cela engendrera une vague d'amour et d'affection envers les Italiens ?
Si vous le faites, vous pourriez être délirant ou libertaire aux frontières ouvertes… mais je me répète.
La chancelière fédérale Angela Merkel a fait savoir pendant des mois qu’elle dépenserait davantage pour satisfaire les Verts montants de la gauche politique allemande.
Son ministre des Finances, Olaf Scholz, a déclenché toute la force du fonds souverain allemand pour offrir un soutien illimité aux entreprises allemandes confrontées à des problèmes à cause de ce virus.
C'est aussi une bonne histoire de couverture pour les trous gargantuesques dans les bilans des banques allemandes zombies qu'ils allaient probablement avoir des gens.
La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a été amenée à accélérer les changements politiques nécessaires pour desserrer le lien avec l'Allemagne. Elle savait que la seule façon pour l'UE de survivre à la crise croissante au sein de son marché non fonctionnel de la dette souveraine était d'imprimer de l'argent dans les cieux.
Ou laissez le syndicat se dissoudre. Mais, il n'y a pas de porte n ° 2 en Europe. Toutes les portes mènent à Bruxelles.
L'Allemagne a fait obstacle à cela, tandis que Merkel a appliqué impitoyablement Schengen. Elle a affaibli le centre politique en Allemagne et enflammé les souvenirs d'une Allemagne qui s'est déchaînée militairement à travers l'Europe au 20ème siècle à travers une austérité forcée évitant les économies moins efficaces de la zone euro.
Ainsi, au milieu de ce gâchis vient COVID-19 et la réponse non coordonnée et incompétente du centre politique de l'Europe à ce jour. Ce n'est que maintenant qu'ils arrivent à la conclusion dont ils ont besoin pour restreindre les voyages, après s'être assis sur leurs mains pendant quelques semaines alors que des Italiens sont morts par centaines.
Et pensez-vous que cela engendre des vagues d'amour et d'affection parmi les Italiens envers les Allemands?
Si vous le faites, vous ne connaissez pas du tout les Italiens… du tout.
Et c'est votre signal que c'est le début de la vraie crise. Parce que même si COVID-19 a pu être le catalyseur de l'effondrement des marchés financiers, les marchés financiers attendaient simplement que cette étincelle se produise.
Tout autre type d'étincelle, une faillite bancaire suite à une série de créances douteuses, aurait pu être géré et absorbé. Il n’y avait pas de Credit Anstalt auquel les planificateurs centraux n’étaient pas préparés.
Ils ont réussi à maintenir la Deutsche Bank opérationnelle au cours des dernières années, par pitié, ils auraient pu gérer n'importe quelle autre défaillance bancaire.
Mais avec COVID-19 étant la forme ultime de choc exogène à l'économie mondiale, il n'y a pas de contagion financière. Et c'est pourquoi nous avons assisté à un fort dénouement des actions américaines et à une forte hausse du yen japonais et de l'euro lorsque cela a commencé.
Une partie de ce qui avait poussé les actions américaines à la hausse était le flux de capitaux en provenance de l'Europe et du Japon vers les États-Unis.
Ce n'est pas différent de ce qui se passe ici.
Je suis allé hier à ma banque pour récupérer de l'argent et terminer notre préparation d'auto-quarantaine (nous avions acheté du papier toilette supplémentaire il y a des semaines). La caissière m'a dit qu'elle avait déménagé beaucoup plus d'argent que d'habitude et que ce n'était même pas la fin de l'heure du déjeuner.
Ensuite, je lui ai dit que le virement bancaire sur le crédit aux entreprises avait commencé plus tôt dans la semaine, alors que des entreprises comme Boeing avaient maximisé leurs revolvers de crédit pour diriger la banque en tirant dessus.
La même chose à plus grande échelle se produisait en Europe jusqu'à ce que Lagarde dise au monde qu'elle n'avait pas fini de faire chanter l'Allemagne pour assouplir sa position sur les règles fiscales dans son presseur jeudi.
- voir graphique sur site -
Et le rallye de l'euro, déjà malade, est mort.
Annnnd…. c'est parti!
Ce que nous avons vu se terminer cette semaine a été un renversement épique de cette sortie de capitaux alors que les actions USDX et américaines se sont redressées tandis que l'euro est retombé à 1,11 $. Et maintenant que ça a commencé, je ne m'attends pas à ce que ça s'arrête.
La Fed a tiré des blancs importants lors de la crise du financement du dollar sur les marchés du crédit cette semaine. Que va faire la BCE pour empêcher la hausse des taux en Europe alors que l'argent fuit son incompétence?
Honnêtement, la poussière de fée me vient à l'esprit. Mais, plus probablement, il y aura une décision très rapide de fermer les banques et d'annuler l'utilisation de la trésorerie alors que de nouvelles règles sont adoptées et Lagarde se tourne vers le FMI pour renflouer la BCE qui peut très facilement faire faillite ici.
Le système bancaire le plus faible d'Europe sert un pays en détention pour ce virus.
Donc, peu importe maintenant que l'Allemagne ait acquiescé, promettant ses propres économies et levant les restrictions fiscales des membres de la zone euro. L'impression ne fait qu'alimenter le tourbillon de dettes impayables qui est bien plus important que leur prodigieuse tirelire.
La prochaine étape de la crise est là, avec un focus enfin tourné vers l'Europe. Les États-Unis, malgré tous leurs défauts, sont une nation avec un marché de la dette unifié et un dirigeant qui peut et a les pouvoirs nécessaires pour empêcher les roues de tomber complètement de l'économie américaine.
Trump dépensera-t-il de l'argent qu'il n'a pas réellement? Oui. Et alors ?
Cet argent ira dans un pipeline logistique qui dépasse de loin l'Europe pour lutter contre une maladie sur une population plus petite répartie sur de plus grandes distances. Cela limite les dommages causés aux États-Unis.Il garantit une stabilité politique avec laquelle l'UE ne peut espérer rivaliser pour la confiance du capital effrayé.
Ajoutez à l'arrêt l'économie mondiale. Nous verrons la crise émerger en Europe pour alimenter un gyre grandissant du service de la dette qui ressemblera à une banque mondiale alimentée par la liquidité en dollars.
Il forcera une réforme fondamentale de l'euro et de la BCE. Ils sont nécessaires pour que l'UE survive à cette crise sous une forme proche de sa forme actuelle.
Je ne mets pas de chances que ça marche. Au lieu de cela, je m'attends à ce que la suspension de Schengen soit maintenue et que davantage de pays suivent le chemin des Britanniques en quittant l'UE elle-même.
Bien que cette crise soit conçue sur mesure pour pousser la fédéralisation de l'Europe dans la gorge de ce qui reste de la classe moyenne allemande, je ne pense pas qu'elle réussisse.
Jusqu'à ce que l'Allemagne soit disposée à renflouer les banques italiennes, il n'y a pas de solution à cela.
Et même si je pense que Merkel est prête à tomber sur son épée pour y arriver, cela peut toujours ne pas fonctionner.
Comme il est commode que la CDU de Merkel vient d'annuler son vote à la direction du 22 avril à cause de cette crise. Cela empêche toute possibilité que Merkel perde le contrôle de son parti jusqu'à ce que l'Allemagne commence sa présidence de la Commission européenne.
Quoi qu'elle ait prévu, elle doit le faire bientôt. Son capital politique est presque épuisé.
Il n'y aura pas de changement de direction pendant une crise comme celle-ci. Elle a presque terminé la vente de l'Allemagne à l'UE commencée par Helmut Kohl.
Juste à temps pour que toute l'expérience s'écroule.
Les plus riches du monde ont perdu près de mille milliards de dollars dans le Wipeout de Covid-19 Wealthout
par Tyler Durden Dim, 15/03/2020 - 07:35
Eh bien, s'il y a une chose qui devrait rendre plus heureux ceux qui n'ont pas de pot à pisser à propos de l'élargissement de l'écart d'inégalité dans ce pays, c'est que les plus riches du monde perdent une cargaison d'argent - une somme d'argent inconcevable pour beaucoup - à la suite de le récent recul du marché au milieu de l'épidémie de coronavirus.
Les 500 personnes les plus riches du monde ont perdu jeudi 331 milliards de dollars, selon Bloomberg. Il s'agit de la plus forte baisse d'un jour dans l'histoire de huit ans de l'indice milliardaire de Bloomberg.
Il marque la fin d'une décennie où la politique de la Fed a aidé les riches à accumuler 6,1 billions de dollars de richesse. Beaucoup de ces gains ont subi d'énormes pertes au cours des quatre derniers jours en raison des craintes liées aux coronavirus et de la chute des prix du pétrole.
Les riches ont perdu 16% de leur valeur nette collective depuis le début de l'année, selon l'indice Bloomberg. Le ralentissement a touché toutes les industries de toutes les régions géographiques.
Charles Doraine, président de Doraine Insurance Group et ancien gestionnaire de patrimoine, a déclaré: «Les gens ont peur en ce moment. Des choses sont introduites dans le monde de l'investissement qui n'ont jamais existé auparavant - les risques pour la santé. C'est au-delà des craintes et des préoccupations normales du marché. »
Et l'anxiété à propos du virus s'empare même des super riches. Rappelons-nous, il y a quelques jours, nous avons écrit comment certains des plus riches du monde se préparaient à la pandémie. Il y a eu une augmentation de la demande de jets privés, des événements caritatifs annulés et un «exode vers les résidences secondaires», selon les auteurs de Bloomberg.
Jeudi, de nombreux riches se sont précipités pour obtenir des vols vers les États-Unis, en provenance d'Europe, après que le président Trump a annoncé son interdiction de voyager en Europe.
Harold Hamm, le milliardaire fracking de l'Oklahoma, a abandonné l'indice du milliardaire après avoir perdu près de la moitié de sa valeur nette en raison de la chute des prix du pétrole. Sheldon Adelson, propriétaire des Las Vegas Sands, a perdu environ 11,7 milliards de dollars depuis le début de l'année. Le président de Carnival Corporation, Micky Arison, a perdu six places sur l'indice du milliardaire après que les actions de Carnival aient chuté à un creux de 23 ans et que la société a annoncé qu'elle suspendait ses voyages.
Le PDG d'Amazon, Jeff Bezos, a enregistré une chute de 8,1 milliards de dollars en une seule journée.
Mais les effets ne sont pas seulement aux États-Unis: Bernard Arnault, président de LVMH, a perdu 9,5 milliards de dollars en une journée. Guilherme Benchimol, fondateur de XP Inc. au Brésil, a perdu son statut de milliardaire car les actions de sa maison de courtage ont chuté de 34% en dessous de son prix d'introduction en bourse de décembre. Et les deux personnes les plus riches de la Russie ont perdu 65 milliards de dollars cette année, principalement en raison de la guerre des prix du pétrole entre la Russie et l'Arabie saoudite.
par Tyler Durden Dim, 15/03/2020 - 07h00 Écrit par Judith Bergman via le Gatestone Institute,
Le 27 février, le président turc Recep Tayyip Erdogan a tenu compte de ses nombreuses menaces d'envoyer des millions de migrants et de réfugiés en Europe, malgré un accord conclu en 2016 entre l'Europe et la Turquie pour les retenir. Cherchant apparemment à faire vivre à l'Europe la pleine force de ses intentions, des responsables turcs ont envoyé des bus de migrants - principalement des jeunes hommes d'Afghanistan et d'Iran, selon plusieurs rapports - à la frontière de la Turquie avec la Grèce.
"Nous avons préparé un plan avec nos collègues et nous nous engageons à organiser des bus gratuits pour les réfugiés de Bolu vers la ville frontalière d'Edirne", a déclaré Tanju Özcan, maire de Bolu, une ville du nord de la Turquie, à 550 kilomètres de la frontière avec Grèce.
"Les réfugiés souhaitant se rendre à Edirne peuvent s'adresser à la municipalité de Bolu et à ses succursales. Nous sommes prêts à assurer le transport quel que soit le nombre [de réfugiés]."
En novembre, Erdogan avait également menacé de libérer des prisonniers de l'Etat islamique en Europe. On ignore si les migrants qu'Erdogan a envoyés à la frontière avec la Grèce fin février incluent des terroristes. La recherche a montré que la migration des terroristes est un problème grave qui ne semble recevoir qu'une attention limitée en Europe.
Contrairement à la crise des migrants de 2015, qui a vu plus d'un million de migrants et de réfugiés traverser l'Europe en passant par la Grèce - ainsi que d'autres pays européens de première ligne - l'actuel gouvernement grec, qui est arrivé au pouvoir en juillet 2019, l'a fait clair que ses frontières sont fermées.
"L'accueil en Grèce n'est que celui que nous choisissons. Ceux qui ne sont pas les bienvenus seront renvoyés. Nous fermerons définitivement la porte aux trafiquants d'êtres humains illégaux, à ceux qui veulent entrer même s'ils n'ont pas droit à l'asile", a déclaré le Premier ministre grec. Kyriakos Mitsotakis en novembre.
Même l'Allemagne n'est pas disposée à emmener l'un des migrants transportés par Erdogan à la frontière gréco-turque. "Je comprends que la Turquie est confrontée à un très grand défi concernant Idlib", a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel.
"Pourtant, pour moi, il est inacceptable que lui - le président Erdogan et son gouvernement - n'expriment pas cette insatisfaction dans un dialogue avec nous en tant qu'Union européenne, mais plutôt sur le dos des réfugiés. Pour moi, ce n'est pas la voie à suivre. . "
"Nous ne devons pas permettre que les réfugiés soient transformés en pions pour des intérêts géopolitiques", a annoncé la ministre allemande des Affaires étrangères Heiko Maas. "Peu importe qui essaie, ils doivent compter avec notre résistance."
"N'allez pas à la frontière. La frontière n'est pas ouverte. Si quelqu'un vous dit que vous pouvez y aller parce que la frontière est ouverte ... ce n'est pas vrai", aurait déclaré le chef de la politique étrangère de l'UE, Josep Borrell. Il a également noté que l'Union européenne "prendra toutes les mesures, conformément aux règles de l'UE et au droit international, pour faire pleinement respecter l'intégrité de ses frontières".
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a en fait remercié la Grèce d'être le "bouclier" de l'Europe:
"Cette frontière n'est pas seulement une frontière grecque mais c'est aussi une frontière européenne. Et je suis ici aujourd'hui en tant qu'Européenne à vos côtés", a-t-elle déclaré au Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis.
"La Turquie n'est pas un ennemi et les gens ne sont pas seulement des moyens d'atteindre un objectif. Nous ferions tous bien de nous souvenir des deux dans les jours à venir. Je remercie la Grèce d'être notre" aspida "européenne [le mot grec pour bouclier]."
"Comme nous l'avons montré hier", a déclaré aux journalistes la vice-présidente de la Commission européenne pour la promotion de notre mode de vie, Margaritis Schinas, "lorsque l'Europe est mise à l'épreuve, nous sommes en mesure de prouver que nous pouvons maintenir la ligne et que notre unité prévaloir."
À première vue, la réponse de l'UE semble s'écarter radicalement du type de discours que les représentants de l'UE présentent normalement au monde sur le thème de la migration. Pas plus tard que lors de la Journée internationale des migrants de l'ONU - qui a lieu chaque année le 18 décembre - la Commission européenne a publié une déclaration selon laquelle:
<< À l'occasion de la Journée internationale des migrants, nous maintenons fermement notre engagement sans équivoque à respecter et à protéger la dignité, les droits de l'homme et les libertés fondamentales de tous les migrants [en gras dans l'original] ainsi qu'à veiller à ce que la migration se déroule dans un environnement sûr, ordonné et bien- manière gérée ... L'ouverture et la solidarité sont des valeurs fondamentales de l'Union européenne ".
Est-il possible que même les bureaucrates les plus élevés de l'Union européenne aient compris que l'Europe - ou tout au moins la Grèce - a atteint ses limites ?
Probablement pas. Comme l'indique la situation chaotique à la frontière entre la Turquie et la Grèce, l'UE n'a rien qui ressemble à une politique migratoire cohérente. Cette situation persiste malgré le fait que cela fait cinq ans que l'Europe a connu son pire scénario de migration dans les temps modernes, et même si Erdogan menace l'Europe d'ouvrir ses frontières depuis des années. Au contraire, la "solidarité" avec la Grèce exprimée par les principaux représentants de l'UE semble provenir de n'avoir d'autre alternative que de compter sur la Grèce pour lutter contre la situation. La Grèce a demandé à l'UE d'envoyer l'aide de Frontex - l'Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes - pour lancer une intervention rapide aux frontières à ses frontières maritimes en mer Égée. Frontex a accepté et demandera aux États membres de l'UE de fournir du personnel et de l'équipement.
La seule "politique" en place semble être celle consacrée par le règlement de Dublin. Selon elle, la responsabilité incombe généralement au premier État membre de l'UE dans lequel les demandeurs d'asile ont mis les pieds. Le règlement, selon les mots de l'ancien ministre grec des Affaires étrangères Georgios Katrougalos, "... apporte tout le poids de la crise aux pays de première ligne de l'Union européenne".
Les États membres de l'UE débattent actuellement de la manière d'empêcher Erdogan d'augmenter la pression sur la frontière grecque et de générer une crise migratoire de taille comparable à celle de 2015. Quelle que soit la décision de l'UE à ce sujet, cela ne constituera qu'une gestion de crise. Même si l'UE parvient à résoudre ses problèmes avec Erdogan, qui est douteux et ne sera que temporaire, le problème fondamental de l'Europe restera:
Tant que les migrants pensent qu'un avenir meilleur les attend en Europe, les États-providence, qui se sont montrés extrêmement accommodants en accueillant des migrants et en leur accordant toutes sortes de droits sociaux, peuvent continuer à attendre des migrants qu'ils tentent de franchir les frontières européennes. Les initiatives internationales telles que la Journée internationale des migrants des Nations Unies et le Pacte mondial sur les migrations des Nations Unies, qui louent la migration comme nécessaire et bénéfique, ne dissuadent certainement pas les migrants d'essayer. Attendez-vous à ce que la crise actuelle des migrants se répète plusieurs fois dans les années à venir.
France. Réforme des retraites et coronavirus
RépondreSupprimerle 15 mars 2020
L’argument choc du gouvernement français pour se hasarder dans une réforme des retraites complètement impopulaire est que soi-disant le système par répartition imaginé par le CNR sera déficitaire. Cet argument est essentiellement basé sur le fait que la population française vieillit.
Je ne comprends pas pourquoi le Président Macron, qui veut fourguer le système français des retraites à ses copains du monde financier comme BlackRock, ne choisirait pas une mesure drastique comme ne prendre aucune précaution afin de laisser le coronavirus se répandre et tuer le plus de « vieux » possible comme par exemple dans les EHPAD. Ça allégera considérablement les comptes de la sécurité sociale et par voie de conséquence le système de retraite par répartition actuel. Le Ministre de la santé japonais n’avait-il pas suggéré de « débrancher » tous les « vieux » qui survivent sous assistance artificielle ! Sa déclaration avait provoqué un tollé mais il avait osé le dire …
Il faut aussi noter que le Président Macron ne sait pas de quoi il parle quand il mentionne l’immunité de groupe à propos de cette « grippette » qui tue moins de monde que l’habituelle grippe saisonnière. J’ignore quels sont les idiots qui préparent ses discours mais je tiens à informer mes lecteurs de ce qu’est l’immunité de groupe. On ne parle d’immunité de groupe qu’à propos de la vaccination. Quand 95 % d’une population est vaccinée contre une maladie virale quelconque le « réservoir » du virus a suffisamment diminué pour que la probabilité d’apparition d’une épidémie devienne négligeable. Voilà ce qu’est une immunité de groupe. Macron a donc fait deux erreurs puisqu’aucun vaccin contre le coronavirus millésime 2019 n’existe actuellement et qu’on ne parle d’immunité de groupe qu’avec un vaccin.
Je suis né quelques semaines après l’armistice mettant fin à la seconde guerre mondiale, je suis un gros fumeur (moins que Gainsbourg tout de même) et j’ai les poumons en partie dégradés par une tuberculose dont je souffris quand j’étais jeune adolescent, je suis donc le sujet de rêve pour succomber au coronavirus et aussi le sujet de rêve pour les caisses de retraites françaises qui me permettent de vivre assez confortablement (dans un endroit, certes, où la vie est beaucoup moins coûteuse qu’en France) depuis maintenant 15 ans. Et chaque année je dois apporter la preuve à mes caisses de retraite que je suis toujours vivant contrairement à un certain nombre de retraités fantômes qui semblent dispensés de cette obligation.
Alors un petit conseil aux angoissés irréductibles et aux hypochondriaques. Prenez un petit linge éponge de dimensions 75 x 30 cm du genre de ceux qu’on vous distribue gratuitement dans les bains chauds publics au Japon (j’en ai plusieurs chez moi), pliez-le en deux ou trois dans le sens de la longueur et appliquez-le sur le nez et la bouche en le nouant derrière la tête. Après quelques heures d’usage plongez-le dans de l’eau un peu javellisée, essorez-le à la main sans le rincer, roulez l’objet et mettez-le trois minutes dans un four à micro-ondes. Toutes les bactéries et tous les virus seront détruits et vous pourrez le réutiliser tout de suite.
Et pour vous consoler, plutôt que de prendre du Prozac buvez un coup, ça aide à oublier les imbécillités des politiciens, bonne santé !
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/03/15/france-reforme-des-retraites-et-coronavirus/
L'angoissant n'est PAS le 'Coran à virus' mais la démarche à le faire valoir comme anéantisseur ! L'hégémonie ne viendra pas de là mais de ce qui se passe aux étals des commerces. Même si certains sont dévalisés et font donc monter l'anxiété des clients sceptiques, les rayons seront bien approvisionnés le lendemain ! Mais, cette peur de rayons vides peut susciter des envies de vols, de méchancetés diverses ainsi que d'attaques chez eux de particuliers à la recherche de 'stocks' de pâtes, riz, farines ou eaux embouteillées !
SupprimerJ'accuse les gouvernements à pardonner ces gestes malheureux de cambriolages voire à les défendre comme justifiant une famine à venir !!!
C'est honteux, c'est misérable et criminel d'en arriver là pour une épidémie insignifiante en vis-à-vis de la grippe qui a tué cent fois plus de personnes sans qu'aucune mesure ne soient prises pour admettre alors une épidémie record (sans qu'elle n'est de qualificatif de pandémique !).
Bien sûr que cette 'peur-au-ventre' n'est qu'un exercice pour tester les moutons à l'arrivée du loup voire d'un chien errant, mais des bestiaux entretiennent une 'voix de tous' sans réflexion indépendante.
J'ai connu l'ère de baladeurs et des casques sur les oreilles, remplacée par les smartphones à fils vers l'oreillette puis l'arrivée de la wifi et, que font-ils quand ils ont fini d'écouter les bruits enregistrés. Ils passent à d'autres vacarmes ! Allument la télé ! Conduisent avec la radio ! ou même lisent les journaux pour... en 'savoir plus que les autres' sur la connerie qui les entoure et dont ils font partie, adhèrent et descendent dans la rue pour soutenir l'atteinte au climat qu'ose les terroriser le magma de la Terre qui lui fait ce qu'il veut, quand il veut et où il veut sans que ne lui soit ordonné quoi que ce soit ! Hahahaha ! Ils traquent le gaz carbonique émis à 99,99 % par le magma (recyclé en partie par les mers & océans et autres parties par l'atmosphère depuis... des milliards d'années !) Çà alors ! (sans quoi même les animaux ou la végétation n'aurait vu le jour !).
Ils n'ont plus de pensée profonde, d'avis indépendant ou de réflexion de soi ! Ils laissent les autres réfléchir pour eux !!
Quoi de plus extrême que de semer la panique pour interdire toutes manifestations et rassemblement de plus d'une personne ? Ou d'obliger 'par respect pour la Constitution de la dictature' d'instaurer l'obligation du vote par internet là où TOUS les comptes peuvent être trafiqués (comme les 'machines-à-voter' ! Hahaha !) !
Plus de preuves que les virus n'ont pas d'ailes - MISE À JOUR: SlowMo se déplace !
RépondreSupprimerMarch 15th, 2020
NOUVELLES: Depuis l'écriture de ce document, Scott Morrison a finalement déménagé pour mettre en quarantaine toutes les arrivées, y compris les avions et les navires. Il est toujours à deux semaines du virus et rattrape Jacinda Ardern, la vraie leader. Mais enfin, le saignement évident a commencé.
Il ne fermera pas les écoles, et peut-être, tout à coup, ce sera désormais une option viable, bien que Sydney ait encore besoin d'une action majeure et rapide pour sauver des vies. Pourraient-ils supporter de ne pas faire d'événements sportifs ou sociaux pendant deux semaines ?
Le gros risque pour la plupart des États sont désormais les vols au départ de Sydney. NSW visera-t-il le «saignement lent» à éliminer les infections au fil des mois, en espérant qu'aucune ne devienne accidentellement sauvage, ou visera-t-il à effacer cela dans trois semaines pour que la vie revienne à la normale, et l'Australie peut à nouveau faire du sport contre la Nouvelle-Zélande, dès que possible ?
Avec cette nouvelle, juste à temps, l'avenir s'annonce mieux. Ma prédiction: regardez les dirigeants du monde entier comprendre cela. C'est un bon coup de pouce pour les États-nations et les frontières souveraines. Tous les regards sont tournés vers l'UE, où la politique d'ouverture des frontières a été désastreuse - l'Espagne (6300)*, l'Allemagne (4500)* et la France (4500)* sont là où l'Italie était le 7 mars, il y a un peu plus d'une semaine. Même s'ils se verrouillent sérieusement, leurs hôpitaux devraient atteindre leur point de rupture.
Dites-moi encore comment les interdictions de vol et les quarantaines n’aident pas.
En cas d'épidémie, les lignes plates sont notre tendance préférée de Noël. Ce graphique à partir des données du Coronavirus en Australie montre les infections qui arrivent ici, suivies de mystérieuses longues lignes plates. Les dates sont illisibles mais nous savons tous ce qui s'est passé et quand. h / t Travis et Chris D
- voir graphique sur site -
Propagation infectieuse Australie
Données Covid-19 en Australie
Combien de milliers d'Australiens ont été sauvés par cet appel pour arrêter les vols en provenance de Chine ?
L'Italie avait le même nombre de cas que l'Australie (250) le 24 février. Aujourd'hui, 1 500 Italiens sont morts et 20 000 sont infectés. C’est un «progrès» de trois semaines.
MISE À JOUR: NSW suivra-t-il l'Italie? Le 23 février l'Italie avait 134 cas et 2 décès. 7 jours plus tard, le bilan était de 1 700 et de 34 décès. Le soleil, la chaleur et une densité de population plus faible signifient qu'elle sera plus faible en Australie.
De toute évidence, les vols en provenance des États-Unis et de l'Italie auraient dû être mis en quarantaine il y a une semaine. Pour toutes ces infections découvertes, il ne devait y en avoir que quelques-unes qui sont passées inaperçues et ont semé la propagation communautaire que nous voyons maintenant en Nouvelle-Galles du Sud. Les seuls avions que nous voulons en ce moment viennent de Russie, d'Israël, de Taiwan et de Nouvelle-Zélande.
À travers le Tasman, comme hier, toutes les arrivées de vols vers la Nouvelle-Zélande ont été mises en quarantaine. Voila. La Nouvelle-Zélande pourrait devenir le meilleur endroit sur Terre au cours du mois prochain. Après cela, quelques dirigeants auront sauvé des dizaines de milliers de vies. Jacinda Ardern ressemblera à un héros. SlowMo ressemblera à un Slow Mo.
RépondreSupprimerLa NZ aurait pu autoriser des vols en provenance d'Australie, mais nous sommes trop à risque.
Les dirigeants lents choisissent de tuer les gens et l'économie
Pour protéger les habitants du reste de l'Australie, les voyages interétatiques pourraient être mis en quarantaine. [MISE À JOUR: Peut-être que ce n'est pas nécessaire maintenant. Mais la nation battrait plus vite si nous le faisions]. Les gens pouvaient retourner dans leur pays d'origine avec un isolement de deux semaines. Si les frontières étaient fermées, WA, SA, Tas, NT pourraient rapidement récupérer une petite épidémie sous contrôle avec la recherche des contacts. Ensuite, ils pourraient envoyer des masques, des médecins et des respirateurs de rechange à NSW pour sauver des vies. Les camions pouvaient décharger les remorques et les conteneurs aux arrêts frontaliers pour être ramassés par les chauffeurs locaux dans les semi-taxis locaux. Ou ils pourraient être autorisés à passer tout droit mais rester dans des hôtels sécurisés désignés avant de rentrer chez eux.
Nous pourrions construire des maisons de vacances au lieu d'hôpitaux.
Un économiste de génie doit expliquer comment l’économie profite de l’autorisation d’une épidémie de masse que nous n’avons pas à avoir. Les voyages interétatiques, les restaurants, les écoles et les entreprises des petits États pourraient rouvrir leurs portes avec des ventes intérieures et voyager dans peut-être quatre semaines, ce qui éviterait à des milliers d'entreprises de faire faillite. Les Australiens vulnérables à haut risque pourraient prendre un mois de vacances dans un état sûr pour attendre tout désordre dans la Nouvelle-Galles du Sud, etc.
Tout cela est réalisable, mais quel chef d'État a le pouvoir de se dresser contre les intimidateurs de l'Open Border et les médecins fatalistes mortels comme Brendan-nous-avons-à-mourir-Murphy ?
NOUVELLES Dimanche matin en Australie:
Le gouvernement australien déclare qu'un verrouillage général des coronavirus reste une option
Le médecin-chef Brendan Murphy affirme que les fermetures d’écoles et le stockage de la nourriture pendant quinze jours sont "prématurés" pour le moment.
La fermeture des écoles et le stockage d'une quinzaine de jours de nourriture pour préparer l'auto-isolement des coronavirus sont "prématurés" pour la population générale, ont déclaré le ministre de la Santé, Greg Hunt, et le médecin-chef, Brendan Murphy, bien que toutes les options soient sur la table.
Les Australiens accumulent des stocks en ce moment car il est évident pour les mamans de football que les dirigeants sont incompétents.
Interrogé sur la suggestion du médecin-chef victorien que les gens devraient stocker pour une quinzaine de jours de nourriture, Murphy a répondu que c'était "un peu prématuré pour le moment".
Le plan de Murphy est d'attendre jusqu'à la veille du verrouillage puis d'espérer que les magasins auront 20 fois le stock normal, garantissant ainsi des achats de panique…
RépondreSupprimerLes Australiens auraient dû s'approvisionner un peu chaque semaine depuis quatre semaines. Facile.
Apparaissant aux côtés de Hunt sur ABC's Insiders dimanche, Murphy a déclaré que les autorités fédérales recommandaient actuellement aux voyageurs de retour de se distancier socialement, bien que d'autres devraient commencer à «pratiquer» pour faire de même, en particulier les groupes à risque tels que les personnes âgées.
Permet à tous de «s'entraîner» à ne pas visiter les foyers de soins pour personnes âgées. Qu'est ce que ça veut dire ? Nous le faisons ou ne le faisons pas.
Des manuels seront écrits à ce sujet sur «Ce qu'il ne faut pas faire dans la messagerie publique» et «Comment paniquer les foules en trois étapes faciles: refuser, gaufre et brouillard».
- voir graphique sur site -
Infections par état en Australie
Exponentielles coquines décollant en Australie exactement comme prévu.
Nous savons où cela va partir d'ici.
Est-ce vers cela que la France, l'Espagne et l'Allemagne se dirigent ? NSW a-t-il esquivé cette balle ?
Alors que la transmission communautaire prend son envol dans les pays, la propagation bondit à 40% de croissance par jour, mais nous ne le saurons qu'une semaine plus tard. Des centaines de personnes meurent, les hôpitaux sont envahis. Les médecins et les infirmières tombent malades. Les patients victimes d'un AVC et les victimes d'un arrêt cardiaque perdent rapidement la chance d'obtenir l'aide dont ils ont besoin. Les médecins doivent choisir les patients qui ont la chance de vivre dans le dernier lit de soins intensifs disponible. (L'Italie peut abandonner les plus de 80 ans à son sort). Ensuite, une fois que nous savons avec certitude que tout est allé au pot, les dirigeants font ce qu'ils auraient dû faire trois semaines plus tôt, et ils ont fermé toutes les frontières, les églises, les conférences, les vacances, les voyages, les écoles et les universités.
Nous payons donc le prix, le payons plus longtemps, tuons plus de gens, détruisons plus d'entreprises, et tout est entièrement prévisible. Ensuite, nous faisons une commission royale plus tard pour trouver des excuses pour couvrir les ânes.
Nous maîtriserons cette épidémie
Nous savons comment l'arrêter. Sommes-nous prêts à renoncer à quatre semaines de football, les week-ends, les films et un peu d'argent ou préférerions-nous le faire pendant 2 mois et tuer beaucoup de gens également ?
http://joannenova.com.au/2020/03/more-proof-that-viruses-dont-have-wings-update-slowmo-moves/
* infectés et non 'morts'.
SupprimerComment prévoient-ils exactement d'interdire les combustibles fossiles ?
RépondreSupprimerPaul Driessen Paul Driessen
15 mars 2020 00:01
Les opinions exprimées par les chroniqueurs sont les leurs et ne représentent pas nécessairement les vues de Townhall.com.
Berkeley, Californie, Takoma Park, MD et d'autres villes; Californie, Connecticut, New York, Virginie et autres États; Allemagne, Angleterre et autres pays; l'Union européenne - tous envisagent de bannir le pétrole, le gaz naturel et le charbon d'ici 10, 20 ou 30 ans. Un certain nombre d'États américains ont rejoint les initiatives régionales sur les gaz à effet de serre et disent fièrement que nous sommes toujours ... le traité de Paris sur le climat, quoi que dise ou fasse le président Trump.
Oubliez les gros titres et les mannequins, et regardez l'ouragan, la tornade, le niveau de la mer et d'autres records historiques. Il n'y a pas de crise, pas de réchauffement ou d'événements météorologiques sans précédent, certainement rien qui prouve que les humains ont remplacé les puissantes forces naturelles qui ont toujours entraîné les changements climatiques et les événements météorologiques.
Mais pour l'instant, examinons simplement leurs plans zéro carbone. Comment feront-ils exactement cela ? Où prévoient-ils obtenir les turbines, les panneaux et les batteries ? les matières premières pour les fabriquer ? Comment envisagent-ils de fonctionner comme des sociétés modernes avec une énergie coûteuse et erratique et des coupures de courant fréquentes ?
Comment pourraient-ils - ou l'Amérique, si l'ensemble des États-Unis passe au Green New Deal - gérer une épidémie de COVID-27? Comment fabriqueraient-ils des voitures, des avions, des éoliennes, du papier toilette, des produits pharmaceutiques ou bien autre chose avec une énergie intermittente? Cela n'a pas fonctionné en Europe (voir ci-dessous), et cela ne fonctionnera pas ici.
De plus, il ne s'agit pas seulement de remplacer les mégawatts actuels des centrales au charbon et au gaz. Elle double la production d’électricité aujourd’hui, car les nouveaux détaillants écologiques veulent remplacer tous les combustibles fossiles: voitures, camions et autobus à essence et diesel, chauffage domestique et à eau, électricité d’usine, alimentation de secours des hôpitaux, etc.
https://townhall.com/columnists/pauldriessen/2020/03/15/how-exactly-do-they-plan-to-ban-fossil-fuels-n2564950
Des migrants musulmans, aidés par la police turque, attaquent la police des frontières grecque avec des bombes incendiaires
RépondreSupprimer14 MARS 2020 14H00
PAR ROBERT SPENCER
C'est encore un autre acte de guerre. Comment peut-on sérieusement penser que ces «réfugiés», fraîchement jetés des cocktails Molotov à la police grecque, passeront pacifiquement en Europe et deviendront des citoyens fidèles d'États laïques ?
Face à cette invasion, nous avons cependant la complaisance et l'idiotie de gauche habituelles: «La Grèce a annoncé qu'elle n'accepterait aucune demande d'asile pendant un mois. Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés a critiqué leur décision. »
«Grèce: des migrants attaquent la police des frontières avec des bombes incendiaires, l'aide de la police turque», par Michael Lord, Voice of Europe, 12 mars 2020:
Les affrontements entre les migrants et la police grecque, qui se produisent fréquemment depuis que la Turquie a commencé à autoriser les migrants à traverser son territoire fin février, ont atteint une nouvelle intensité mercredi.
Les migrants ont de nouveau attaqué des officiers grecs dans la nuit, mais cette fois-ci ont utilisé des cocktails Molotov incendiaires, qui ont mis le feu à la barrière frontalière dans la région d'Evros, selon un rapport de Remix News.
Les médias locaux indiquent que les attaques des migrants étaient soutenues par les forces de sécurité turques et qu'en plus d'utiliser des bombes incendiaires, les migrants utilisaient du gaz lacrymogène qu'ils avaient obtenu des Turcs. Ils l'ont utilisé pour tenter de distraire les forces de l'ordre pendant qu'ils abattaient la clôture. Les forces grecques ont répondu par leurs propres gaz lacrymogènes.
La rivière Evros est devenue le point d'éclair de cette dernière crise migratoire. Lundi, la Bulgarie a ouvert l'un de ses barrages pour augmenter le niveau d'eau de l'Evros afin de rendre la traversée des migrants plus difficile, comme le rapporte Voice of Europe.
La Grèce a signalé que 348 migrants ont été arrêtés depuis le début de la dernière crise et que sa police a empêché plus de 44 000 autres personnes d'entrer illégalement dans la zone Schengen de l'Union européenne. Plusieurs autres pays, dont l'Autriche et la Pologne, ont envoyé leurs propres officiers pour renforcer les forces frontalières grecques….
Plus récemment, Erdogan a également demandé aux citoyens turcs de voyager sans visa de l'UE en échange de l'arrêt des migrants.
La Grèce a annoncé qu'elle n'accepterait aucune demande d'asile pendant un mois. Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés a critiqué leur décision.
https://www.jihadwatch.org/2020/03/muslim-migrants-aided-by-turkish-police-attack-greek-border-police-with-firebombs?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=the_2020_03_15_jihad_watch_daily_digest&utm_term=2020-03-15
La grippe tue des centaines de milliers de personnes chaque année et personne ne se fait de chauves-souris et de cils.
RépondreSupprimerLe coronavirus en tue 40 et tout le monde perd la tête.
15/3/2020 13:18:01
par grundle ·
https://i.imgflip.com/3nhqd6.jpg
RépondreSupprimerLe coronavirus en Chine m'a maintenu en quarantaine. Je me sentais plus en sécurité ici qu'aux États-Unis
Notre attitude de laisser-faire, la priorité accordée à la liberté personnelle et le manque total de leadership gouvernemental ont laissé les Américains confus et exposés.
14 mars 2020 à 16h17 CET
Par Tony Perman, professeur agrégé de musique au Grinnell College
Lorsque ma famille est retournée aux États-Unis après six semaines de quarantaine à Shanghai, nos amis et parents ont répondu avec félicitations et soulagement que nous étions enfin en sécurité. Moins d'une semaine depuis notre retour à la maison, cependant, nous ne partageons pas vraiment les sentiments de nos proches. Nous nous sentions plus en sécurité à Shanghai alors que les conditions s'amélioraient par rapport aux États-Unis.
Chacun doit accepter sa propre responsabilité, sa vulnérabilité et sa complicité - sacrifier des «droits» pour le bien collectif - sinon beaucoup d'entre nous mourront.
Notre anxiété s'est déclenchée dès que nous avons marché sur le sol américain. En Chine, des contrôles médicaux à l'aéroport ont eu lieu avant que nous ne soyons autorisés à pénétrer dans des zones avec d'autres passagers. À l’aéroport international de Chicago O’Hare, nous avons fait la queue avec des centaines d’autres passagers à la sécurité des frontières avant d’être finalement identifié comme étant de retour de Chine. À ce moment-là, nous avons été escortés sur le côté par un jeune homme s'excusant dans une veste des Centers for Disease Control and Prevention qui a vérifié nos températures et nous a donné un paquet nous informant que, en tant qu'individus venant de Chine, le CDC nous a demandé de nous isoler en tant que autant que possible pendant 14 jours. Le personnel de l'aéroport n'a même jamais demandé où nous allions.
J'ai maintenant vécu une quarantaine de coronavirus dans les deux pays, et les différences sont bien au-delà de leurs aéroports. En Chine, l'obligation d'isoler se sent partagée et le public change presque immédiatement ses habitudes. La stérilisation, la propreté et l'éloignement social ont été priorisés par tout le monde à tout moment. À tort ou à raison, l'approche brutale de l'État chinois semble fonctionner.
En revanche, la liberté individuelle est le moteur de l'exceptionnalisme américain. Il y a certainement des questions valables sur la quantité à sacrifier au nom du bien public, mais notre attitude de laisser-faire, la priorité accordée à la liberté personnelle et le manque total de leadership gouvernemental ont laissé les Américains confus et exposés.
OPINION
Le Coronavirus révèle à quelle vitesse les Asiatiques «minoritaires modèles» deviennent le «péril jaune»
La mesure dans laquelle il a semblé que des résidents à haut risque comme le nôtre ont dû supporter le fardeau de l'arrêt de la propagation de la maladie en étant les seuls à entrer en isolement est particulièrement troublante. Il y a des leçons à tirer du peuple chinois, si ce n'est de ses dirigeants, y compris le fait que chacun doit accepter sa propre responsabilité, sa vulnérabilité et sa complicité - sacrifier des «droits» pour le bien collectif - sinon beaucoup d'entre nous mourront.
Comme tout le monde en Chine, ma femme, mon jeune fils, ma petite fille et moi avons été emportés par la crise du COVID-19 fin janvier. Apparemment du jour au lendemain, le pays tout entier a été mis en lock-out. À Shanghai, où nous avions déménagé en août pour donner à notre fils la chance de vivre une vie chinoise, nous sommes restés à l'intérieur, portions des masques chaque fois que nous devions faire du shopping ou faire de l'exercice, regardés comme chaque restaurant, parc, musée et boutique autre que les épiceries ont été fermées et préparées pour une quarantaine à durée indéterminée.
RépondreSupprimerComment les Américains peuvent se rassembler pour combattre le coronavirus en restant séparés
14 MARS 202001: 02
Tout le monde a diligemment respecté la distance du mètre obligatoire les uns des autres. Les ligues sportives professionnelles ont été annulées presque immédiatement. Les écoles n'ont jamais rouvert après les vacances d'hiver. Dans toute la ville, des cliniques spéciales de lutte contre la fièvre ont été mises en place afin que les hôpitaux ordinaires puissent protéger les autres malades.
Parce que tout le monde était isolé en raison d'un mélange complexe de mandats de l'État, de restrictions imposées aux autorités de logement, de pression des pairs et d'un profond sentiment de responsabilité personnelle, afficher ces attentes en sortant en public sans masque ou en se rassemblant dans la foule était perceptible, mal vu et même réprimandé. Avec tout le monde suivant, cela n'a jamais semblé être un choix comme aux États-Unis. Ici, si nous ne décidions pas de nous isoler, qui saurait ?
Parfois, en Chine, les choses devenaient trop zélées. Il y avait une profonde méfiance et peur, naturellement. Toute personne sans masque représentait un risque. Les histoires abondaient sur les communautés qui se chargeaient de barricader les entrées de leurs villes. Parfois, avec l'approbation officielle, les voisins ont chassé les voisins soupçonnés de cacher des symptômes.
Des dizaines de volontaires ont également balayé le pays armés de thermomètres. La responsabilité civique collective en matière de sécurité individuelle est devenue un
GRAPHIQUES DE DONNÉES
Coronavirus aux États-Unis: carte des cas confirmés à travers le pays
CORONAVIRUS
Ce que Taiwan peut enseigner au monde sur la lutte contre le coronavirus
Les personnes qui semblent chinoises sont particulièrement ciblées par le harcèlement et blâmées aux États-Unis, renforçant le fossé entre la menace et l'innocent. Dans notre pays déjà polarisé, nous n'avons pas besoin d'une autre division sociale. Et chaque jour où la maladie est politisée de cette manière est un jour où le mépris absolu du virus pour les passeports et l’appartenance à un parti lui donne le dessus.
Le changement d'habitude est également plus difficile aux États-Unis, où l'individualisme et l'optimisme règnent et où la société semble isolée dans les nantis et les démunis du COVID-19. Avec si peu d'orientations fédérales, il y a une économie de responsabilité en cascade et il appartient aux personnes potentiellement malades d'assurer la sécurité des personnes non malades, tandis que toute disposition gouvernementale ou collective semble totalement inadéquate.
Suite à notre paquet CDC, nous surveillons nos symptômes et prenons nos températures deux fois par jour, bien que personne n'ait jamais suivi. Nous évitons les épiceries, car ce sont des lieux publics, même si notre épicerie en ligne a été un fiasco qui a pris des heures à blâmer car notre commande n'a jamais été satisfaite, insufflant peu de confiance dans le fait qu'une ville isolée peut obtenir l'essentiel.
RépondreSupprimerSortir en public sans masque ou se rassembler dans la foule était perceptible, mal vu et même réprimandé. Avec tout le monde suivant, cela n'a jamais semblé être un choix comme aux États-Unis.
On nous a également dit de ne pas s’embêter avec les masques, et la prise de température est une réflexion après coup (comme à O’Hare). Peut-être que les masques ne fonctionnent pas, peut-être que la lecture de la température est inefficace. Mais s'il s'agit d'une sorte de théâtre de sécurité élaboré, en Chine, on avait l'impression que tout le monde était dans la pièce. Les masques communiquaient une conscience de responsabilité, de vulnérabilité et de complicité, une déférence partagée envers la maladie.
Nous avons quitté Shanghai alors que la ville montrait des signes d'optimisme vacillant. Les nouveaux cas étaient rares. La vie revenait à la normale et les millions de résidents en quarantaine sortaient provisoirement de l'ombre.
Nous sommes entrés aux États-Unis en panique. Les directives changent d'un jour à l'autre et d'une agence à l'autre. Les tests de coronavirus et les établissements de santé adéquats sont rares. Il est clair que le gouvernement ne peut pas arrêter la propagation.
Nous ne pouvons pas simplement espérer que les personnes à haut risque parviennent à éviter d’infecter les autres. Cela dépend de nous tous et de chacun de nous. Nous sommes tous des menaces et nous sommes tous innocents.
https://www.nbcnews.com/think/opinion/coronavirus-china-kept-me-under-quarantine-i-felt-safer-there-ncna1158756
S'il y a 3 personnes malades AU MONDE en 3 pays différents, l'épidémie est nommée pandémie.
SupprimerLa baisse du prix du pétrole a ses avantages, selon le PDG du groupe russe Gazprom Neft
RépondreSupprimer17:15 15.03.2020
Le président du groupe pétrogazier russe Gazprom Neft, Alexandre Dioukov, estime qu’il y a des avantages à l’effondrement actuel du prix du pétrole.
La dégringolade du prix du brut finira par assainir le marché et assurer son développement durable, a estimé dimanche 15 mars le PDG du groupe russe Gazprom Neft, Alexandre Dioukov, lors d’une émission sur la chaîne de télévision Rossiya 1.
«Les prix bas ne sont peut-être pas bons pour le marché, mais d’autre part […], ils permettront d’assainir le marché, d’en éliminer les projets à coût élevé ce qui garantira un développement durable du marché du pétrole», a indiqué M.Dioukov.
La Russie serait bien placée pour résister à la crise mondiale
Pour M.Dioukov, le secteur énergétique russe est bien placé pour «sortir sans dégâts d’une période de prix bas du pétrole, même si celle-ci est de longue durée».
Les coûts de production à 3,5 dollars le baril, les faibles niveaux d'endettement des entreprises pétrolières russes et la résistance aux bas prix sont les facteurs qui peuvent même encourager la hausse de la production, à son avis.
Chute record des prix du pétrole en 2020
Les prix du pétrole dégringolent sur fond de la pandémie due au coronavirus, qui a diminué la demande mondiale en brut et suite à l’échec, le 6 mars, des négociations entre les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et des producteurs hors Opep (Opep+), qui a déclenché une guerre des prix.
Le groupe de médias Bloomberg a mis en garde ce dimanche 15 mars contre la chute inédite de la demande mondiale en pétrole en 2020.
«La demande en pétrole, qui représentait plus de 100 millions de barils par jour en moyenne en 2019, pourrait se contracter plus que jamais cette année, dépassant facilement la perte de près d’un million de barils par jour qui a été enregistrée pendant la grande récession de 2009 et même celle des 2,65 millions de barils par jour enregistrée en 1980», a noté Bloomberg.
https://fr.sputniknews.com/economie/202003151043285068-la-baisse-du-prix-du-petrole-a-ses-avantages-selon-le-pdg-du-groupe-russe-gazprom-neft/
La Grèce érige d'énormes blocs de béton à la frontière pour stopper la vague de migrants en provenance de Turquie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 15/03/2020 - 09:55
Alors que le reste du monde est occupé à verrouiller les frontières au milieu de la pandémie de Covid-19, la Turquie aurait gardé ouverte la vague de migrants vers le couloir de l'UE, entraînant un chaos persistant aux points de frontière gréco-turcs, alors que les demandeurs d'asile désespérés tentent par tous les moyens possibles pour entrer dans l'UE.
Cela comprend désormais non seulement une riposte militarisée en cours de la part de la Grèce pour empêcher des milliers de personnes de traverser illégalement, mais également la construction d'énormes blocs de béton aux principaux points de passage terrestres.
Les passages frontaliers complètement fermés avec la Turquie commencent à ressembler à des zones de guerre semblables aux tranchées et aux fortifications de la Première Guerre mondiale:
"La Grèce a placé vendredi des blocs de béton de 5 pieds à son poste frontalier de Kastanies avec la Turquie pour empêcher l'entrée des demandeurs d'asile", rapporte l'agence turque Anadolu.
Pendant des semaines depuis qu'Erdogan a déclaré qu'il avait, dans un acte de rétribution visant des États de l'UE non coopératifs, 'ouvert les portes' à des centaines de milliers de réfugiés syriens d'Idlib cherchant à entrer en Europe, la situation frontalière a vu des batailles se dérouler entre une foule de migrants et la frontière grecque gardes.
Voir les blocs de béton massifs mis en place dans les images ci-dessous, également fortifiés avec du fil de fer barbelé:
- voir clips sur site -
Les médias et les responsables turcs ont joué la réaction «violente» de la sécurité grecque tout en minimisant et en ignorant les dirigeants turcs facilitant activement les affrontements:
Au cours des deux semaines qui se sont écoulées depuis que les demandeurs d'asile ont pu atteindre la frontière, près de 2 500 ont été blessés par des gardes-frontières grecs qui utilisent une violence disproportionnée.
Le mois dernier, la Turquie a ouvert ses frontières à l'Europe pour les demandeurs d'asile accusant l'UE de ne pas respecter sa part d'un accord sur les réfugiés de 2016.
Athènes, pour sa part, a critiqué les accusations de gardes-frontières grecs tirant sur les migrants comme de "fausses nouvelles" et des mensonges lancés par l'État turc.
Athènes a le soutien de l'UE pour sa position de tolérance zéro empêchant l'entrée massive de migrants hors de Turquie, selon le Greek City Times:
L'armée grecque a fortifié le mur grec alors que le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan refuse toujours de s'engager dans la directive de l'UE, qui vise à faire reculer tous les migrants de la frontière et à rentrer en Turquie.
La partie turque a continué à provoquer la Grèce en lançant des cocktails Molotov et en déclenchant des incendies à plusieurs endroits le long de la barrière frontalière, pour essayer d'affaiblir la clôture en acier.
Fait intéressant, l'identité syrienne dominante des migrants a été largement remise en question étant donné que la vidéo des affrontements montre souvent des demandeurs d'asile parlant toutes sortes de langues régionales, du pachtou à l'ourdou en persan, et non l'arabe syrien (dialecte levantin).
https://www.zerohedge.com/geopolitical/greece-erects-massive-concrete-blocks-border-halt-migrant-wave-turkey
La vraie crise commence maintenant en Europe
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 15/03/2020 - 09:20
Écrit par Tom Luongo via le blog Gold, Goats, 'n Guns,
Je pense qu'il est sûr de dire que la nouvelle crise vient de tuer le traité de Schengen. Ce document ridicule qui garantissait la liberté de circulation à travers l'Union européenne a finalement touché quelque chose qu'il ne pouvait pas intimider, COVID-19.
Que vous pensiez que la pandémie est réelle ou non, la réaction à celle-ci est réelle et a des conséquences réelles bien au-delà de la dernière publication du Dow Jones Industrial Average.
Le verrouillage de l'Italie n'est pas une chose temporaire. Oh, la suspension de la libre circulation est temporaire, mais elle laisse présager quelque chose de beaucoup plus grand.
C’est le début de la véritable balkanisation politique qui arrivera dans l’Union européenne au cours des prochaines années. Les inimitiés et les préjugés anciens n'ont pas été éradiqués sous le talon de la législation oppressive provenant d'un groupe de technocrates déconnectés à Bruxelles.
Ils ont seulement été supprimés.
Parce que quand il y a des menaces existentielles, il n'y a pas de temps ni de désir pour la vertu de dire comment nous sommes tous une grande famille dysfonctionnelle heureuse.
Pendant des décennies, l'Allemagne a refusé d'alléger sa rigidité budgétaire, estimant, à juste titre, qu'elle ne devrait pas subventionner la débauche dans des endroits comme l'Italie, l'Espagne et la Grèce si elle ne le voulait pas.
Dans le même temps, toutefois, l'Allemagne a transmis ces règles au régime de la monnaie unique de l'euro. C'est le prix qu'ils ont imposé au reste de l'Europe.
Cela leur a finalement permis de faire exactement cela, de subventionner ou de renflouer les dettes, car la mauvaise évaluation du travail et de l'efficacité du capital inhérente à toute monnaie unique appliquée dans plusieurs économies a chassé le capital de l'Allemagne et de ces pays.
Maintenant, les Allemands sont confrontés à la menace existentielle du COVID-19 importé en Europe, principalement par le biais des travailleurs du textile de Wuhan dans les magasins de cuir de Milan / Leurs dirigeants les forceront à accepter des règles de dépenses plus souples.
Et pensez-vous que cela engendrera une vague d'amour et d'affection envers les Italiens ?
Si vous le faites, vous pourriez être délirant ou libertaire aux frontières ouvertes… mais je me répète.
La chancelière fédérale Angela Merkel a fait savoir pendant des mois qu’elle dépenserait davantage pour satisfaire les Verts montants de la gauche politique allemande.
Son ministre des Finances, Olaf Scholz, a déclenché toute la force du fonds souverain allemand pour offrir un soutien illimité aux entreprises allemandes confrontées à des problèmes à cause de ce virus.
C'est aussi une bonne histoire de couverture pour les trous gargantuesques dans les bilans des banques allemandes zombies qu'ils allaient probablement avoir des gens.
RépondreSupprimerLa présidente de la BCE, Christine Lagarde, a été amenée à accélérer les changements politiques nécessaires pour desserrer le lien avec l'Allemagne. Elle savait que la seule façon pour l'UE de survivre à la crise croissante au sein de son marché non fonctionnel de la dette souveraine était d'imprimer de l'argent dans les cieux.
Ou laissez le syndicat se dissoudre. Mais, il n'y a pas de porte n ° 2 en Europe. Toutes les portes mènent à Bruxelles.
L'Allemagne a fait obstacle à cela, tandis que Merkel a appliqué impitoyablement Schengen. Elle a affaibli le centre politique en Allemagne et enflammé les souvenirs d'une Allemagne qui s'est déchaînée militairement à travers l'Europe au 20ème siècle à travers une austérité forcée évitant les économies moins efficaces de la zone euro.
Ainsi, au milieu de ce gâchis vient COVID-19 et la réponse non coordonnée et incompétente du centre politique de l'Europe à ce jour. Ce n'est que maintenant qu'ils arrivent à la conclusion dont ils ont besoin pour restreindre les voyages, après s'être assis sur leurs mains pendant quelques semaines alors que des Italiens sont morts par centaines.
Et pensez-vous que cela engendre des vagues d'amour et d'affection parmi les Italiens envers les Allemands?
Si vous le faites, vous ne connaissez pas du tout les Italiens… du tout.
Et c'est votre signal que c'est le début de la vraie crise. Parce que même si COVID-19 a pu être le catalyseur de l'effondrement des marchés financiers, les marchés financiers attendaient simplement que cette étincelle se produise.
Tout autre type d'étincelle, une faillite bancaire suite à une série de créances douteuses, aurait pu être géré et absorbé. Il n’y avait pas de Credit Anstalt auquel les planificateurs centraux n’étaient pas préparés.
Ils ont réussi à maintenir la Deutsche Bank opérationnelle au cours des dernières années, par pitié, ils auraient pu gérer n'importe quelle autre défaillance bancaire.
Mais avec COVID-19 étant la forme ultime de choc exogène à l'économie mondiale, il n'y a pas de contagion financière. Et c'est pourquoi nous avons assisté à un fort dénouement des actions américaines et à une forte hausse du yen japonais et de l'euro lorsque cela a commencé.
Une partie de ce qui avait poussé les actions américaines à la hausse était le flux de capitaux en provenance de l'Europe et du Japon vers les États-Unis.
Ce n'est pas différent de ce qui se passe ici.
Je suis allé hier à ma banque pour récupérer de l'argent et terminer notre préparation d'auto-quarantaine (nous avions acheté du papier toilette supplémentaire il y a des semaines). La caissière m'a dit qu'elle avait déménagé beaucoup plus d'argent que d'habitude et que ce n'était même pas la fin de l'heure du déjeuner.
Ensuite, je lui ai dit que le virement bancaire sur le crédit aux entreprises avait commencé plus tôt dans la semaine, alors que des entreprises comme Boeing avaient maximisé leurs revolvers de crédit pour diriger la banque en tirant dessus.
Cela a attiré son attention.
RépondreSupprimerLa même chose à plus grande échelle se produisait en Europe jusqu'à ce que Lagarde dise au monde qu'elle n'avait pas fini de faire chanter l'Allemagne pour assouplir sa position sur les règles fiscales dans son presseur jeudi.
- voir graphique sur site -
Et le rallye de l'euro, déjà malade, est mort.
Annnnd…. c'est parti!
Ce que nous avons vu se terminer cette semaine a été un renversement épique de cette sortie de capitaux alors que les actions USDX et américaines se sont redressées tandis que l'euro est retombé à 1,11 $. Et maintenant que ça a commencé, je ne m'attends pas à ce que ça s'arrête.
La Fed a tiré des blancs importants lors de la crise du financement du dollar sur les marchés du crédit cette semaine. Que va faire la BCE pour empêcher la hausse des taux en Europe alors que l'argent fuit son incompétence?
Honnêtement, la poussière de fée me vient à l'esprit. Mais, plus probablement, il y aura une décision très rapide de fermer les banques et d'annuler l'utilisation de la trésorerie alors que de nouvelles règles sont adoptées et Lagarde se tourne vers le FMI pour renflouer la BCE qui peut très facilement faire faillite ici.
Le système bancaire le plus faible d'Europe sert un pays en détention pour ce virus.
Donc, peu importe maintenant que l'Allemagne ait acquiescé, promettant ses propres économies et levant les restrictions fiscales des membres de la zone euro. L'impression ne fait qu'alimenter le tourbillon de dettes impayables qui est bien plus important que leur prodigieuse tirelire.
La prochaine étape de la crise est là, avec un focus enfin tourné vers l'Europe. Les États-Unis, malgré tous leurs défauts, sont une nation avec un marché de la dette unifié et un dirigeant qui peut et a les pouvoirs nécessaires pour empêcher les roues de tomber complètement de l'économie américaine.
Trump dépensera-t-il de l'argent qu'il n'a pas réellement? Oui. Et alors ?
Cet argent ira dans un pipeline logistique qui dépasse de loin l'Europe pour lutter contre une maladie sur une population plus petite répartie sur de plus grandes distances. Cela limite les dommages causés aux États-Unis.Il garantit une stabilité politique avec laquelle l'UE ne peut espérer rivaliser pour la confiance du capital effrayé.
Ajoutez à l'arrêt l'économie mondiale. Nous verrons la crise émerger en Europe pour alimenter un gyre grandissant du service de la dette qui ressemblera à une banque mondiale alimentée par la liquidité en dollars.
Il forcera une réforme fondamentale de l'euro et de la BCE. Ils sont nécessaires pour que l'UE survive à cette crise sous une forme proche de sa forme actuelle.
Je ne mets pas de chances que ça marche. Au lieu de cela, je m'attends à ce que la suspension de Schengen soit maintenue et que davantage de pays suivent le chemin des Britanniques en quittant l'UE elle-même.
Bien que cette crise soit conçue sur mesure pour pousser la fédéralisation de l'Europe dans la gorge de ce qui reste de la classe moyenne allemande, je ne pense pas qu'elle réussisse.
RépondreSupprimerJusqu'à ce que l'Allemagne soit disposée à renflouer les banques italiennes, il n'y a pas de solution à cela.
Et même si je pense que Merkel est prête à tomber sur son épée pour y arriver, cela peut toujours ne pas fonctionner.
Comme il est commode que la CDU de Merkel vient d'annuler son vote à la direction du 22 avril à cause de cette crise. Cela empêche toute possibilité que Merkel perde le contrôle de son parti jusqu'à ce que l'Allemagne commence sa présidence de la Commission européenne.
Quoi qu'elle ait prévu, elle doit le faire bientôt. Son capital politique est presque épuisé.
Il n'y aura pas de changement de direction pendant une crise comme celle-ci. Elle a presque terminé la vente de l'Allemagne à l'UE commencée par Helmut Kohl.
Juste à temps pour que toute l'expérience s'écroule.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/real-crisis-starts-now-europe
Les plus riches du monde ont perdu près de mille milliards de dollars dans le Wipeout de Covid-19 Wealthout
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 15/03/2020 - 07:35
Eh bien, s'il y a une chose qui devrait rendre plus heureux ceux qui n'ont pas de pot à pisser à propos de l'élargissement de l'écart d'inégalité dans ce pays, c'est que les plus riches du monde perdent une cargaison d'argent - une somme d'argent inconcevable pour beaucoup - à la suite de le récent recul du marché au milieu de l'épidémie de coronavirus.
Les 500 personnes les plus riches du monde ont perdu jeudi 331 milliards de dollars, selon Bloomberg. Il s'agit de la plus forte baisse d'un jour dans l'histoire de huit ans de l'indice milliardaire de Bloomberg.
Il marque la fin d'une décennie où la politique de la Fed a aidé les riches à accumuler 6,1 billions de dollars de richesse. Beaucoup de ces gains ont subi d'énormes pertes au cours des quatre derniers jours en raison des craintes liées aux coronavirus et de la chute des prix du pétrole.
Les riches ont perdu 16% de leur valeur nette collective depuis le début de l'année, selon l'indice Bloomberg. Le ralentissement a touché toutes les industries de toutes les régions géographiques.
Charles Doraine, président de Doraine Insurance Group et ancien gestionnaire de patrimoine, a déclaré: «Les gens ont peur en ce moment. Des choses sont introduites dans le monde de l'investissement qui n'ont jamais existé auparavant - les risques pour la santé. C'est au-delà des craintes et des préoccupations normales du marché. »
Et l'anxiété à propos du virus s'empare même des super riches. Rappelons-nous, il y a quelques jours, nous avons écrit comment certains des plus riches du monde se préparaient à la pandémie. Il y a eu une augmentation de la demande de jets privés, des événements caritatifs annulés et un «exode vers les résidences secondaires», selon les auteurs de Bloomberg.
Jeudi, de nombreux riches se sont précipités pour obtenir des vols vers les États-Unis, en provenance d'Europe, après que le président Trump a annoncé son interdiction de voyager en Europe.
Harold Hamm, le milliardaire fracking de l'Oklahoma, a abandonné l'indice du milliardaire après avoir perdu près de la moitié de sa valeur nette en raison de la chute des prix du pétrole. Sheldon Adelson, propriétaire des Las Vegas Sands, a perdu environ 11,7 milliards de dollars depuis le début de l'année. Le président de Carnival Corporation, Micky Arison, a perdu six places sur l'indice du milliardaire après que les actions de Carnival aient chuté à un creux de 23 ans et que la société a annoncé qu'elle suspendait ses voyages.
Le PDG d'Amazon, Jeff Bezos, a enregistré une chute de 8,1 milliards de dollars en une seule journée.
Mais les effets ne sont pas seulement aux États-Unis: Bernard Arnault, président de LVMH, a perdu 9,5 milliards de dollars en une journée. Guilherme Benchimol, fondateur de XP Inc. au Brésil, a perdu son statut de milliardaire car les actions de sa maison de courtage ont chuté de 34% en dessous de son prix d'introduction en bourse de décembre. Et les deux personnes les plus riches de la Russie ont perdu 65 milliards de dollars cette année, principalement en raison de la guerre des prix du pétrole entre la Russie et l'Arabie saoudite.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/worlds-richest-have-lost-almost-1-trillion-covid-19-wealth-wipeout
Union européenne: fermer les frontières ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 15/03/2020 - 07h00
Écrit par Judith Bergman via le Gatestone Institute,
Le 27 février, le président turc Recep Tayyip Erdogan a tenu compte de ses nombreuses menaces d'envoyer des millions de migrants et de réfugiés en Europe, malgré un accord conclu en 2016 entre l'Europe et la Turquie pour les retenir. Cherchant apparemment à faire vivre à l'Europe la pleine force de ses intentions, des responsables turcs ont envoyé des bus de migrants - principalement des jeunes hommes d'Afghanistan et d'Iran, selon plusieurs rapports - à la frontière de la Turquie avec la Grèce.
"Nous avons préparé un plan avec nos collègues et nous nous engageons à organiser des bus gratuits pour les réfugiés de Bolu vers la ville frontalière d'Edirne", a déclaré Tanju Özcan, maire de Bolu, une ville du nord de la Turquie, à 550 kilomètres de la frontière avec Grèce.
"Les réfugiés souhaitant se rendre à Edirne peuvent s'adresser à la municipalité de Bolu et à ses succursales. Nous sommes prêts à assurer le transport quel que soit le nombre [de réfugiés]."
En novembre, Erdogan avait également menacé de libérer des prisonniers de l'Etat islamique en Europe. On ignore si les migrants qu'Erdogan a envoyés à la frontière avec la Grèce fin février incluent des terroristes. La recherche a montré que la migration des terroristes est un problème grave qui ne semble recevoir qu'une attention limitée en Europe.
Contrairement à la crise des migrants de 2015, qui a vu plus d'un million de migrants et de réfugiés traverser l'Europe en passant par la Grèce - ainsi que d'autres pays européens de première ligne - l'actuel gouvernement grec, qui est arrivé au pouvoir en juillet 2019, l'a fait clair que ses frontières sont fermées.
"L'accueil en Grèce n'est que celui que nous choisissons. Ceux qui ne sont pas les bienvenus seront renvoyés. Nous fermerons définitivement la porte aux trafiquants d'êtres humains illégaux, à ceux qui veulent entrer même s'ils n'ont pas droit à l'asile", a déclaré le Premier ministre grec. Kyriakos Mitsotakis en novembre.
Même l'Allemagne n'est pas disposée à emmener l'un des migrants transportés par Erdogan à la frontière gréco-turque. "Je comprends que la Turquie est confrontée à un très grand défi concernant Idlib", a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel.
"Pourtant, pour moi, il est inacceptable que lui - le président Erdogan et son gouvernement - n'expriment pas cette insatisfaction dans un dialogue avec nous en tant qu'Union européenne, mais plutôt sur le dos des réfugiés. Pour moi, ce n'est pas la voie à suivre. . "
"Nous ne devons pas permettre que les réfugiés soient transformés en pions pour des intérêts géopolitiques", a annoncé la ministre allemande des Affaires étrangères Heiko Maas. "Peu importe qui essaie, ils doivent compter avec notre résistance."
"N'allez pas à la frontière. La frontière n'est pas ouverte. Si quelqu'un vous dit que vous pouvez y aller parce que la frontière est ouverte ... ce n'est pas vrai", aurait déclaré le chef de la politique étrangère de l'UE, Josep Borrell. Il a également noté que l'Union européenne "prendra toutes les mesures, conformément aux règles de l'UE et au droit international, pour faire pleinement respecter l'intégrité de ses frontières".
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a en fait remercié la Grèce d'être le "bouclier" de l'Europe:
RépondreSupprimer"Cette frontière n'est pas seulement une frontière grecque mais c'est aussi une frontière européenne. Et je suis ici aujourd'hui en tant qu'Européenne à vos côtés", a-t-elle déclaré au Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis.
"La Turquie n'est pas un ennemi et les gens ne sont pas seulement des moyens d'atteindre un objectif. Nous ferions tous bien de nous souvenir des deux dans les jours à venir. Je remercie la Grèce d'être notre" aspida "européenne [le mot grec pour bouclier]."
"Comme nous l'avons montré hier", a déclaré aux journalistes la vice-présidente de la Commission européenne pour la promotion de notre mode de vie, Margaritis Schinas, "lorsque l'Europe est mise à l'épreuve, nous sommes en mesure de prouver que nous pouvons maintenir la ligne et que notre unité prévaloir."
À première vue, la réponse de l'UE semble s'écarter radicalement du type de discours que les représentants de l'UE présentent normalement au monde sur le thème de la migration. Pas plus tard que lors de la Journée internationale des migrants de l'ONU - qui a lieu chaque année le 18 décembre - la Commission européenne a publié une déclaration selon laquelle:
<< À l'occasion de la Journée internationale des migrants, nous maintenons fermement notre engagement sans équivoque à respecter et à protéger la dignité, les droits de l'homme et les libertés fondamentales de tous les migrants [en gras dans l'original] ainsi qu'à veiller à ce que la migration se déroule dans un environnement sûr, ordonné et bien- manière gérée ... L'ouverture et la solidarité sont des valeurs fondamentales de l'Union européenne ".
Est-il possible que même les bureaucrates les plus élevés de l'Union européenne aient compris que l'Europe - ou tout au moins la Grèce - a atteint ses limites ?
Probablement pas. Comme l'indique la situation chaotique à la frontière entre la Turquie et la Grèce, l'UE n'a rien qui ressemble à une politique migratoire cohérente. Cette situation persiste malgré le fait que cela fait cinq ans que l'Europe a connu son pire scénario de migration dans les temps modernes, et même si Erdogan menace l'Europe d'ouvrir ses frontières depuis des années. Au contraire, la "solidarité" avec la Grèce exprimée par les principaux représentants de l'UE semble provenir de n'avoir d'autre alternative que de compter sur la Grèce pour lutter contre la situation. La Grèce a demandé à l'UE d'envoyer l'aide de Frontex - l'Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes - pour lancer une intervention rapide aux frontières à ses frontières maritimes en mer Égée. Frontex a accepté et demandera aux États membres de l'UE de fournir du personnel et de l'équipement.
La seule "politique" en place semble être celle consacrée par le règlement de Dublin. Selon elle, la responsabilité incombe généralement au premier État membre de l'UE dans lequel les demandeurs d'asile ont mis les pieds. Le règlement, selon les mots de l'ancien ministre grec des Affaires étrangères Georgios Katrougalos, "... apporte tout le poids de la crise aux pays de première ligne de l'Union européenne".
Les États membres de l'UE débattent actuellement de la manière d'empêcher Erdogan d'augmenter la pression sur la frontière grecque et de générer une crise migratoire de taille comparable à celle de 2015. Quelle que soit la décision de l'UE à ce sujet, cela ne constituera qu'une gestion de crise. Même si l'UE parvient à résoudre ses problèmes avec Erdogan, qui est douteux et ne sera que temporaire, le problème fondamental de l'Europe restera:
Tant que les migrants pensent qu'un avenir meilleur les attend en Europe, les États-providence, qui se sont montrés extrêmement accommodants en accueillant des migrants et en leur accordant toutes sortes de droits sociaux, peuvent continuer à attendre des migrants qu'ils tentent de franchir les frontières européennes. Les initiatives internationales telles que la Journée internationale des migrants des Nations Unies et le Pacte mondial sur les migrations des Nations Unies, qui louent la migration comme nécessaire et bénéfique, ne dissuadent certainement pas les migrants d'essayer. Attendez-vous à ce que la crise actuelle des migrants se répète plusieurs fois dans les années à venir.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/geopolitical/european-union-closing-borders