Plus de 76.000 réfugiés entrent en Europe depuis la Turquie, selon Ankara
11:55 01.03.2020
Le nombre de réfugiés ayant quitté la Turquie a atteint 76.358, a annoncé dimanche 1er mars le ministre turc de l’Intérieur, Suleyman Soylu. Des migrants sont massés à la frontière turco-grecque à Edirne depuis la décision prise par le Président Erdogan de ne plus retenir les demandeurs d’asile qui tentent d’entrer en Europe.
Le ministre turc de l'intérieur Suleyman Soylu a annoncé ce 1er mars que 76.358 migrants avaient franchi les frontières de la Turquie avec l'Union européenne. Cet afflux de réfugiés a été provoqué par la décision de Recep Tayyip Erdogan de leur ouvrir la frontière sur fond de montrée de tensions à Idlib.
«Selon les données pour 9h55 [ce dimanche, ndlr], le nombre de migrants ayant quitté notre pays via Edirne [la province frontalière avec la Grèce et la Bulgarie dans le nord-ouest de la Turquie, ndlr] est de 76.358», a annoncé M.Soylu sur son compte Twitter. La Grèce dit avoir bloqué l'entrée de 10.000 migrants
Ce 1er mars, la Grèce a annoncé avoir bloqué l'entrée sur son territoire de près de 10.000 migrants en 24 heures en provenance de Turquie.
De samedi matin à 6h00 (4h00 GMT) à la même heure dimanche matin, «9.972 entrées illégales ont été empêchées dans la région d'Evros», le long des 212 kilomètres de frontière terrestre avec la Turquie, ont indiqué les autorités grecques dans un communiqué de presse distribué aux médias présents au poste frontalier de Kastanies, dans le nord-est de la Grèce.
En outre, 73 migrants ont été arrêtés au cours des dernières 24 heures, auxquels s'ajoutent 66 arrestations samedi, selon cette source gouvernementale.
33 soldats turcs tués dans le gouvernorat syrien d'Idlib
Lors d'un conseil de sécurité extraordinaire présidé par M.Erdogan dans la nuit du 27 au 28 février, le Président turc avait déclaré que la Turquie avait ouvert ses frontières avec l’Europe pour les réfugiés syriens.
La décision a été prise suite à la mort d’au moins 33 soldats turcs dans le gouvernorat syrien d'Idlib lors de frappes aériennes du gouvernement syrien soutenu militairement par la Russie.
Cette déclaration a été faite en dépit d'un pacte conclu en 2016 entre Ankara et Bruxelles aux termes duquel le gouvernement turc s'est engagé à lutter contre les passages illégaux alors que l'UE finançait la Turquie.
Pourquoi cette invasion d'étrangers (qui ne sont pas des touristes !) et cette très modeste épidémie de coranavirus appelée 'pandémie' ?!
Pourquoi cette phrase (menace au grand-jour ?) du patron de Microsoft où seulement 500 000 personnes ne devraient vivre sur Terre ?
Pourquoi cet arrêt (hors message électoral) de guerre en Afghanistan ?
Pourquoi cette sur-mérdiatisation des conflits après l'annonce (en l'an 2000) que plus de 4% des terriens était des surdoués (plus de 280 millions de personnes à la tête bien pleine, chiffre qui a très certainement triplé ou quadruplé en 20 ans !) grâce à l'Internet ?
Pourquoi ce devoir de supprimer par tous les moyens l'agriculture dans le monde ?
Pourquoi cette obstination de dresser les Peuples entr'eux par l'indifférence sexuelle ?
Les dictatures en place se sentiraient-elles dépassées par l'arrivée OBLIGATOIRE de Démocraties envahissantes ?
La NASA met en lumière un effet inattendu du coronavirus
15:54 01.03.2020
La NASA a diffusé des images satellites montrant une baisse significative de la pollution en Chine. Des résultats qui débordent de la région de Wuhan, premier foyer de l’épidémie.
L’Agence spatiale américaine (NASA) a rendu publiques des images satellites comparant la pollution en Chine avant et pendant l’épidémie de COVID-19 qui y sévit depuis à peu près deux mois, mettant ainsi en avant un effet quelque peu inattendu de cette affection.
Concernant la pollution au dioxyde d’azote (NO2) -gaz émis par les véhicules à moteur, les centrales électriques et les installations industrielles-, ces clichés révèlent une nette amélioration de la situation écologique que les scientifiques de la NASA expliquent en partie par le «ralentissement économique consécutif à l'épidémie de coronavirus».
Extension à tout le pays
La réduction de la pollution au NO2 a d’abord été observée dans la province de Wuhan, point de départ de l’épidémie, mais le phénomène s’étend désormais au reste du pays, selon les scientifiques.
«C'est la première fois que je constate une baisse aussi spectaculaire sur une zone aussi vaste, pour un événement spécifique», explique Fei Liu, chercheur sur la qualité de l'air au Goddard Space Flight Center de la NASA.
Le spécialiste précise que des baisses occasionnelles peuvent être remarquées lors des fêtes, comme le Nouvel an lunaire, ou des grands événements. Lors des Jeux olympiques de 2008, de telles variations avaient été remarquée autour de Pékin, «mais l'effet a été principalement localisé autour de cette ville, et les niveaux de pollution avaient de nouveau augmenté une fois les Jeux olympiques terminés.»
Des parents n’ont pas apprécié que leur enfant étudie la chanson satirique de Félix Leclerc, obligeant l’enseignante a changer son programme pour éviter toute polémique.
1 MARS 2020 Par Luc Vallée. Un article de l’Institut Economique de Montréal
Un parent un peu trop sensible a demandé à une enseignante un peu trop accommodante de ne plus décortiquer la chanson « Les 100 000 façons de tuer un homme » avec des élèves d’une école primaire du Mile-End. Pourtant, la chanson de Félix Leclerc est une fable, pas un manuel d’instruction sur les 100 000 façons d’enlever la vie à son prochain.
- voir clip sur site -
Elle nous fait plutôt prendre conscience, en usant d’ironie, qu’il est facile de tuer son âme, de la dépouiller de sa dignité, en restant à ne rien faire – en étant inactif et payé à le demeurer.
Ce n’est pas comme si les enfants de 8 ans n’avaient jamais rien vu. La télévision et l’internet, si ce n’est la vie elle-même, les exposent déjà de façon quotidienne à la cruauté humaine. En plus, l’ironie est une forme d’expression qui mérite d’être enseignée. Quoi, va-t-on attendre qu’ils aient tous atteint l’âge adulte pour leur faire découvrir cette facette de la littérature ?
Enfin, la leçon concernant la dignité et le travail, elle, mérite d’être inculquée à nos enfants le plus rapidement possible dans leur vie de citoyen. Non par peur qu’ils deviennent oisifs lorsqu’ils seront adultes, mais pour qu’ils apprennent tôt qu’on ne règle rien en épargnant à son prochain l’effort requis pour qu’il mérite son sort. Et qu’en agissant ainsi on ne fait que le dérober de l’opportunité de démontrer qu’il peut contribuer et, en définitive, on ne réussit qu’à le priver de sa dignité.
Cet acte de censure de parents hélicoptères1 du Mile-End devrait servir de mise en garde. Il devrait nous rappeler qu’il existe 100 000 façons de tuer la liberté et que l’une d’entre elles est de voler à l’homme libre sa dignité. Même les cœurs sensibles ne devraient pas s’abstenir d’apprendre cette leçon dès le primaire.
—
Sur le web
1 - Surnom donné aux parents qui interviennent de manière providentielle pour aider leur enfant en toutes circonstances.
L’État se fait fort de toujours tout gérer. Quand tout va bien, on voit déjà les fissures de la gestion publique. Que se passera-t-il si les choses devaient économiquement ou sanitairement tourner mal ?
Par Margot Arold. 1 MARS 2020
L’inquiétude est palpable parmi les médecins des urgences, en première ligne pour détecter le coronavirus désormais nommé COVID-19. Ces soignants disent ne pas disposer de moyens de protection, malgré leurs demandes répétées.
Or le taux de contamination des soignants est le plus haut de la population.
MÉDECINS INQUIETS
Les urgentistes s’inquiètent de ne pas pouvoir obtenir de masques de protection. La réponse qui leur est faite est que ce n’est pas nécessaire tant qu’ils ne sont pas face à un cas avéré de COVID-19.
« On n’a aucune protection adéquate du personnel, malgré des publications qui montrent un fort taux de patients porteurs asymptomatiques et un fort taux de transmission au personnel médical. »
Effectivement, les publications tout à fait scientifiques, notamment celle que le sérieux The Lancet a mis en ligne en libre accès afin de diffuser au maximum l’information, indiquent :
« Recent evidence suggests that even someone who is non-symptomatic can spread COVID-19 with high efficiency. »
Des preuves récentes suggèrent que même une personne qui ne présente pas de symptôme peut transmettre COVID-19 avec une grande efficacité.1
DES CAS UN PEU VITE CONSIDÉRÉS COMME NON SUSPECTS
Plusieurs témoignages évoquent une forme de légèreté de la part des instances de santé auxquelles les cas suspects doivent être référés2.
Quand un urgentiste constate un cas suspect, pour établir un diagnostic éventuel de COVID-19, il doit appeler le centre 15, qui lui ordonnera de considérer le cas comme « cas suspect » ou « cas possible » en fonction d’une grille d’évaluation qui au 28 février retenait toujours parmi les critères principaux un déplacement en Chine ou en Italie3, alors qu’il est prouvé que la contamination s’effectue entre personnes n’ayant pas voyagé hors de leurs pays.
« Du coup, comme les cas sont sous-détectés, les autorités disent que le virus ne circule pas. »
UNE BUREAUCRATIE PESANTE
Le centre 15 est débordé.
« « On ne peut pas tout maîtriser », voilà la réponse qui nous est faite. »
Certains évoquent des services d’urgences déjà en tension :
« C’est sur cet hôpital fragilisé que va survenir cette crise sanitaire ».
« On ne dépiste pas systématiquement les malades aux entrées des urgences. »
« Aucun test n’est disponible dans les différents services hospitaliers, sauf peut-être certains centres spécialisés en infectiologie. »
Les tests qui sont effectués sont pour l’heure faits « manuellement », et une automatisation n’est pas prévue avant la semaine prochaine.
Certains soignants réclament une mise en place de tests très faciles à mettre en œuvre, par des laboratoires mobiles (par exemple ici et ici, mais il y a de nombreux fabricants) : certains ont la taille d’une « Game Boy » et fournissent un résultat rapide.
Problème : l’État a habilité seulement une poignée de laboratoires à effectuer ces tests. Les soignants se sentent donc non seulement impuissants, mais aussi dépendants d’une bureaucratie qui n’a pas lieu d’être dans ce contexte.
Sans compter un sentiment diffus qu’on ne leur fait pas confiance et qu’il faut impérativement passer par les services mis à disposition par l’État pour avoir le « droit » de faire remonter des cas suspects à leurs yeux de soignants.
Certains urgentistes se veulent optimistes malgré tout :
« Ce ne sont pas des décisions gouvernementales qui vont « sauver le monde » mais plus probablement des initiatives locales et du bon sens. »
Une question se pose alors : l’État se fait fort de toujours tout gérer, de s’immiscer toujours davantage dans toutes les parties de nos vies. Quand tout va bien, on voit déjà les fissures de la gestion publique. Que se passera-t-il si les choses devaient économiquement ou sanitairement tourner mal ?
En cas de doute: se faire faire une prise de sang. Oui mais... le sang doit être analysé DANS L'HEURE ! Et, comme il n'y a presque pas (en France) de laboratoire pour analyser ce type d'infection...
Exemple: Pour toute la Provence ? Marseille-Timone !
Imaginez que quelqu'un qui tousse doive aller à Marseille et faire la queue de 10 km de long !... Cherchez pas, c'est la France marron !
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Pourquoi le Chine serait accusée de censure ? Parce que lorsqu'il y a 1 milliard 500 millions de chinois il y a FORCEMENT un taux élevé de personnes qui toussent (de la grippe, d'un rhume, etc) et donc, d'annoncer qu'il y a xxx millions de personnes qui toussent peut aire paniquer tout le pays et toute la planète !
Car, il ne faut pas confondre le nombre de personnes qui tousseraient avec le nombre de morts ! Et aussi, de pouvoir faire une analyse post-mortem pour savoir si c'est de çà que la personne est morte !
A vrai dire, le coranavirus n'a fait que 10 000 fois moins de morts que ceux de la grippe ! de l'Ebola ! du sida ! ou de la rougeole ! (Coranavirus = Seulement 3000 morts et non-certifiés mort-du-coranavirus !!!).
Mais, les merdias, s'occupent uniquement de faire peur ! de créer l'anxiété sous l'excuse de prévention comme ils l'ont fait pour le glyphosate (Round'up de Monsanto) qui s'est révélé NON-CANCÉRIGÈNE, idem pour les 'OGM' qui sont là depuis des milliards d'années ! TOUT est 100 % ! TOUT de puis toujours ! Mais les merdias ont inventé les non-ogm !!! Ils ont fait la réclame du 'bio' ! Pourquoi ? Parce que TOUTES les plantes attrapent des maladies (comme tous les animaux), et ils vous encouragent et conseillent de manger des plantes MALADES ! De la viande de bête MALADES ! (comme au 19 è siècle où n'existaient aucun produits de traitements ! Aucun remède ! Et, tout le monde crevait à 40 ans ! C'est ÇA qu'ils veulent !).
L'humanité prend une décision très importante en ce qui concerne Assange
par Tyler Durden Dim, 03/01/2020 - 22:15 Écrit par Caitlin Johnstone via CaitlinJohnstone.com,
Les propagandistes sont tous morts de silence sur le fondateur de WikiLeaks qu'ils enduraient auparavant d'une méchanceté implacable, car ils n'ont plus d'argument. Les faits sont réunis, et oui, il s'avère que le gouvernement américain travaille certainement et indéniablement pour exploiter les échappatoires légales pour emprisonner un journaliste pour avoir exposé ses crimes de guerre. Cela se produit, et rien ne le justifie.
Ainsi, les gestionnaires narratifs, dans l'ensemble, se sont tus.
Ce qui est bon. Parce que cela nous donne une ouverture pour prendre le contrôle du récit.
Il est temps de passer à l'offensive avec ça. Les supporters d'Assange se sont tellement habitués à jouer en défense qu'il ne nous est pas venu à l'esprit de porter une charge à part entière. J'en suis aussi coupable; Je vais me laisser embourber dans un vieux débat obsolète avec quelqu'un sur un aspect obscur du cas suédois ou quelque chose comme ça, sans réaliser que rien de tout cela n'a plus d'importance. Toutes les manipulations narratives qui ont été utilisées pour amener Assange à ce point sont des dépenses d'énergie impuissantes et non pertinentes par rapport au fait que nous avons maintenant des preuves indéniables que le gouvernement américain travaille à créer un précédent qui lui permettra d'emprisonner tout journaliste qui expose ses méfaits, et nous pouvons maintenant forcer les barbouilleurs d'Assange à affronter cette réalité.
«Les journalistes devraient-ils être emprisonnés pour avoir dénoncé des crimes de guerre américains ? Oui ou non ?" C’est le débat maintenant. Pas la Russie. Pas la Suède. Pas s'il a suivi le protocole de mise en liberté sous caution ou lavé sa vaisselle à l'ambassade. C’est vieux. C'est obsolète. C'est jouer la défense.
Maintenant nous jouons l'offense: «Les journalistes devraient-ils être emprisonnés pour avoir dénoncé des crimes de guerre américains? Oui ou non ?"
Exigez une réponse. Attirez l'attention sur eux et exigez qu'ils répondent. Creusez-les hors de leurs trous cachés et faites-leur répondre à cela. Faites-les glisser dans la lumière et faites-leur répondre à cette question devant tout le monde. Parce que c'est tout ce dont il s'agit maintenant.
Ne vous laissez pas distraire. Ne vous laissez pas berner par un débat défensif. Forcez le problème: le gouvernement américain tente d'établir et de normaliser la pratique d'extradition et d'emprisonnement de journalistes pour avoir dénoncé ses méfaits. C'est la question sur laquelle se concentrer.
Vous constaterez que quiconque ose coller sa tête au-dessus du parapet et salir Assange devient maintenant très, très nerveux si vous les épinglez et les forcez à résoudre ce problème. Parce qu'ils ne peuvent pas répondre sans admettre qu'ils ont tort. Et qu'ils se sont trompés tout ce temps. C'est un argument totalement inattaquable.
Nous avons maintenant deux mois et demi pour préparer la seconde moitié de l'audience d'extradition de Julian Assange: tout le mois de mars, tout le mois d'avril et la moitié de mai. Nous allons avoir besoin de tout ce temps pour prendre le contrôle du récit et faire comprendre très, très clairement au monde qu'une décision très importante est sur le point d'être prise par les puissants en notre nom, si nous ne prenons pas cette décision pour eux.
C'est vraiment le temps de faire ou de mourir, humains. Si nous leur permettons d'extrader et d'emprisonner Julian Assange pour avoir exercé le journalisme, c'est tout. C'est fini. Nous pourrions tout aussi bien cesser de nous soucier de ce qui arrive au monde et nous asseoir sur nos mains pendant que les oligarques nous conduisent à une catastrophe écologique, à l'annihilation nucléaire ou à une dystopie autoritaire. Il est impossible de tenir le pouvoir responsable si vous n'êtes même pas autorisé à voir ce qu'il fait.
Si nous, les nombreux, n'avons pas la colonne vertébrale pour nous opposer à quelques-uns et dire: «Non, nous arrivons à découvrir des faits sur vous et à l'utiliser pour informer notre vision du monde, vous ne pouvez pas criminaliser cela». alors nous n'aurons certainement pas la colonne vertébrale qu'il faudra pour arracher le contrôle de ce monde aux mains des ploutocrates sociopathes et prendre notre destin en main.
Nous décidons, en ce moment, de quoi nous sommes faits. Et ce que nous voulons devenir.
Ça y est. C'est la partie du film où nous choisissons collectivement la pilule rouge ou la pilule bleue.
On nous pose collectivement une question ici, et notre réponse à cette question déterminera tout le cours que nous suivrons en tant qu'espèce.
Alors qu'est-ce que ça va être, l'humanité ?
Vérité ou mensonge ?
Lumière ou obscurité ?
Un monde où nous pouvons tenir le pouvoir responsable de la lumière de la vérité, ou un monde où le pouvoir décide ce qui est vrai pour nous ?
Un monde où la liberté d'expression et la presse sont libres ou un monde où les journalistes sont emprisonnés lorsqu'ils dénoncent les maux des institutions les plus puissantes de la planète ?
Un monde où nous nous battons tous activement pour libérer Assange et faire le travail, ou un saut géant et irréversible vers la fin de l'humanité telle que nous la connaissons ?
Libérons-nous Assange ?
Ou devons-nous nous contenter de notre Netflix et de notre KFC et faire confiance aux figures d'autorité pour faire ce qui est le mieux ?
GASTRONOMIE BARRY CALLEBAUT LANCE LE CHOCOLAT IMPRIMÉ EN 3D
La firme basée à Zurich innove avec un service d’impression 3D à grande échelle de pièces chocolatées.
Pour présenter son innovation, Barry Callebaut s'est associé au pâtissier catalan Jordi Roca. Il a imaginé «Flor de Cacao», une pièce imprimée en 3D.
LEMATIN.CH 19.02.2020
Le groupe zurichois Barry Callebaut a annoncé vendredi lancer «l’impression 3D en chocolat à grande échelle, une première mondiale dans le secteur». «Cette avancée permet aux chefs d'élaborer leurs propres créations uniques sur-mesure et de les reproduire rapidement, pour un coût abordable, quelle que soit la complexité ou la spécificité du modèle», avance la firme.
La nouveauté, nommée le Mona Lisa 3D Studio, est basée à Zundert, aux Pays-Bas. Et il est précisé que les futures créations imprimées seront concoctées à partir de chocolat belge - ce qui n’est pas un sacrilège: né de la fusion de Cacao Barry et de la société belge Callebaut, le groupe Barry Callebaut est belgo-suisse.
Une fleur qui s'ouvre
Pour présenter cette première, la firme s’est associée au célèbre pâtissier catalan Jordi Roca. Il a imaginé «Flor de Cacao». Elle se présente comme une fève de cacao qui s'ouvre comme une fleur au contact de chocolat chaud.
«La technologie d’impression 3D existe déjà à petite échelle dans l’industrie alimentaire. Mais c’est la première fois qu’un important transformateur de chocolat la rend accessible au grand public», commente Forbes.
Avec cette innovation, Barry Callebaut dit viser les chefs, hôtels, chaînes de cafés et établissements de restauration. Son premier client est la chaîne hôtelière néerlandaise Van der Valk, qui souhaite des chocolats imprimés avec son logo: un toucan.
SCIENCE - DÉCOUVERTE DU PREMIER ANIMAL QUI N'A PAS BESOIN D'OXYGÈNE
Cette espèce, qui est un parasite du saumon, ne respire pas de manière traditionnelle, et c'est une première. Le parasite provoque la maladie de la chair laiteuse chez le saumon.
MICHEL PRALONG 01.03.2020, 11h57
Ce n'est pas vraiment ce que les scientifiques cherchaient, mais lorsqu'ils l'ont trouvé, ils ont été extrêmement surpris. Une équipe de l'Université de Tel Aviv séquençait le génome d'un minuscule parasite, le Henneguya salminicola. Celui-ci vit dans les tissus musculaires du saumon et lui cause la maladie, relativement inoffensive, de la chair laiteuse. Elle provoque de petites boules blanches dans la chair du poisson.
Et donc, relate CBS news, en analysant cet organisme qui comporte moins de dix cellules, les chercheurs ont été stupéfaits de voir qu'il ne possédait pas de mitochondries. Or ce sont ces dernières qui, dans les cellules, captent l'oxygène pour produire de l'énergie. Bref, qui permettent de respirer.
Respiration mystère
Mais alors, comme ce parasite respire-t-il? Pour l'instant, c'est un mystère. Il puise peut-être son énergie dans les cellules voisines du saumon selon les chercheurs, mais cela reste encore à déterminer. Certains organismes unicellulaires, comme des champignons et des amibes ont aussi, au gré de l'évolution, perdu la nécessité de respirer de l'oxygène. Mais c'est la toute première fois que c'est observé chez un organisme pluricellulaire qui est un animal.
Pour les scientifiques, les organismes ont plutôt tendance à se complexifier avec le temps, alors que celui-ci semble au contraire s'être simplifié. Comme il vit dans un environnement sans oxygène (les tissus du saumon), il a éliminé les gènes responsables de la respiration. «Notre découverte montre que la respiration aérobie, l'une des voies métaboliques les plus importantes, n'est pas omniprésente chez les animaux», conclut l'étude parue dans la revue «PNAS».
Plus de 76.000 réfugiés entrent en Europe depuis la Turquie, selon Ankara
RépondreSupprimer11:55 01.03.2020
Le nombre de réfugiés ayant quitté la Turquie a atteint 76.358, a annoncé dimanche 1er mars le ministre turc de l’Intérieur, Suleyman Soylu. Des migrants sont massés à la frontière turco-grecque à Edirne depuis la décision prise par le Président Erdogan de ne plus retenir les demandeurs d’asile qui tentent d’entrer en Europe.
Le ministre turc de l'intérieur Suleyman Soylu a annoncé ce 1er mars que 76.358 migrants avaient franchi les frontières de la Turquie avec l'Union européenne. Cet afflux de réfugiés a été provoqué par la décision de Recep Tayyip Erdogan de leur ouvrir la frontière sur fond de montrée de tensions à Idlib.
«Selon les données pour 9h55 [ce dimanche, ndlr], le nombre de migrants ayant quitté notre pays via Edirne [la province frontalière avec la Grèce et la Bulgarie dans le nord-ouest de la Turquie, ndlr] est de 76.358», a annoncé M.Soylu sur son compte Twitter.
La Grèce dit avoir bloqué l'entrée de 10.000 migrants
Ce 1er mars, la Grèce a annoncé avoir bloqué l'entrée sur son territoire de près de 10.000 migrants en 24 heures en provenance de Turquie.
De samedi matin à 6h00 (4h00 GMT) à la même heure dimanche matin, «9.972 entrées illégales ont été empêchées dans la région d'Evros», le long des 212 kilomètres de frontière terrestre avec la Turquie, ont indiqué les autorités grecques dans un communiqué de presse distribué aux médias présents au poste frontalier de Kastanies, dans le nord-est de la Grèce.
En outre, 73 migrants ont été arrêtés au cours des dernières 24 heures, auxquels s'ajoutent 66 arrestations samedi, selon cette source gouvernementale.
33 soldats turcs tués dans le gouvernorat syrien d'Idlib
Lors d'un conseil de sécurité extraordinaire présidé par M.Erdogan dans la nuit du 27 au 28 février, le Président turc avait déclaré que la Turquie avait ouvert ses frontières avec l’Europe pour les réfugiés syriens.
La décision a été prise suite à la mort d’au moins 33 soldats turcs dans le gouvernorat syrien d'Idlib lors de frappes aériennes du gouvernement syrien soutenu militairement par la Russie.
Cette déclaration a été faite en dépit d'un pacte conclu en 2016 entre Ankara et Bruxelles aux termes duquel le gouvernement turc s'est engagé à lutter contre les passages illégaux alors que l'UE finançait la Turquie.
https://fr.sputniknews.com/international/202003011043157207-plus-de-76000-refugies-entrent-en-europe-depuis-la-turquie-selon-ankara/
Pourquoi cette invasion d'étrangers (qui ne sont pas des touristes !) et cette très modeste épidémie de coranavirus appelée 'pandémie' ?!
SupprimerPourquoi cette phrase (menace au grand-jour ?) du patron de Microsoft où seulement 500 000 personnes ne devraient vivre sur Terre ?
Pourquoi cet arrêt (hors message électoral) de guerre en Afghanistan ?
Pourquoi cette sur-mérdiatisation des conflits après l'annonce (en l'an 2000) que plus de 4% des terriens était des surdoués (plus de 280 millions de personnes à la tête bien pleine, chiffre qui a très certainement triplé ou quadruplé en 20 ans !) grâce à l'Internet ?
Pourquoi ce devoir de supprimer par tous les moyens l'agriculture dans le monde ?
Pourquoi cette obstination de dresser les Peuples entr'eux par l'indifférence sexuelle ?
Les dictatures en place se sentiraient-elles dépassées par l'arrivée OBLIGATOIRE de Démocraties envahissantes ?
Objectent-elles en une fin du monde en 2020 ?
La NASA met en lumière un effet inattendu du coronavirus
RépondreSupprimer15:54 01.03.2020
La NASA a diffusé des images satellites montrant une baisse significative de la pollution en Chine. Des résultats qui débordent de la région de Wuhan, premier foyer de l’épidémie.
L’Agence spatiale américaine (NASA) a rendu publiques des images satellites comparant la pollution en Chine avant et pendant l’épidémie de COVID-19 qui y sévit depuis à peu près deux mois, mettant ainsi en avant un effet quelque peu inattendu de cette affection.
Concernant la pollution au dioxyde d’azote (NO2) -gaz émis par les véhicules à moteur, les centrales électriques et les installations industrielles-, ces clichés révèlent une nette amélioration de la situation écologique que les scientifiques de la NASA expliquent en partie par le «ralentissement économique consécutif à l'épidémie de coronavirus».
Extension à tout le pays
La réduction de la pollution au NO2 a d’abord été observée dans la province de Wuhan, point de départ de l’épidémie, mais le phénomène s’étend désormais au reste du pays, selon les scientifiques.
«C'est la première fois que je constate une baisse aussi spectaculaire sur une zone aussi vaste, pour un événement spécifique», explique Fei Liu, chercheur sur la qualité de l'air au Goddard Space Flight Center de la NASA.
Le spécialiste précise que des baisses occasionnelles peuvent être remarquées lors des fêtes, comme le Nouvel an lunaire, ou des grands événements. Lors des Jeux olympiques de 2008, de telles variations avaient été remarquée autour de Pékin, «mais l'effet a été principalement localisé autour de cette ville, et les niveaux de pollution avaient de nouveau augmenté une fois les Jeux olympiques terminés.»
https://fr.sputniknews.com/international/202003011043158194-la-nasa-met-en-lumiere-un-effet-inattendu-du-coronavirus/
100 000 façons de tuer la liberté au Québec
RépondreSupprimerDes parents n’ont pas apprécié que leur enfant étudie la chanson satirique de Félix Leclerc, obligeant l’enseignante a changer son programme pour éviter toute polémique.
1 MARS 2020
Par Luc Vallée.
Un article de l’Institut Economique de Montréal
Un parent un peu trop sensible a demandé à une enseignante un peu trop accommodante de ne plus décortiquer la chanson « Les 100 000 façons de tuer un homme » avec des élèves d’une école primaire du Mile-End. Pourtant, la chanson de Félix Leclerc est une fable, pas un manuel d’instruction sur les 100 000 façons d’enlever la vie à son prochain.
- voir clip sur site -
Elle nous fait plutôt prendre conscience, en usant d’ironie, qu’il est facile de tuer son âme, de la dépouiller de sa dignité, en restant à ne rien faire – en étant inactif et payé à le demeurer.
Ce n’est pas comme si les enfants de 8 ans n’avaient jamais rien vu. La télévision et l’internet, si ce n’est la vie elle-même, les exposent déjà de façon quotidienne à la cruauté humaine. En plus, l’ironie est une forme d’expression qui mérite d’être enseignée. Quoi, va-t-on attendre qu’ils aient tous atteint l’âge adulte pour leur faire découvrir cette facette de la littérature ?
Enfin, la leçon concernant la dignité et le travail, elle, mérite d’être inculquée à nos enfants le plus rapidement possible dans leur vie de citoyen. Non par peur qu’ils deviennent oisifs lorsqu’ils seront adultes, mais pour qu’ils apprennent tôt qu’on ne règle rien en épargnant à son prochain l’effort requis pour qu’il mérite son sort. Et qu’en agissant ainsi on ne fait que le dérober de l’opportunité de démontrer qu’il peut contribuer et, en définitive, on ne réussit qu’à le priver de sa dignité.
Cet acte de censure de parents hélicoptères1 du Mile-End devrait servir de mise en garde. Il devrait nous rappeler qu’il existe 100 000 façons de tuer la liberté et que l’une d’entre elles est de voler à l’homme libre sa dignité. Même les cœurs sensibles ne devraient pas s’abstenir d’apprendre cette leçon dès le primaire.
—
Sur le web
1 - Surnom donné aux parents qui interviennent de manière providentielle pour aider leur enfant en toutes circonstances.
https://www.contrepoints.org/2020/03/01/365498-100-000-facons-de-tuer-la-liberte-au-quebec
COVID-19 : la fièvre monte aux urgences
RépondreSupprimerL’État se fait fort de toujours tout gérer. Quand tout va bien, on voit déjà les fissures de la gestion publique. Que se passera-t-il si les choses devaient économiquement ou sanitairement tourner mal ?
Par Margot Arold.
1 MARS 2020
L’inquiétude est palpable parmi les médecins des urgences, en première ligne pour détecter le coronavirus désormais nommé COVID-19. Ces soignants disent ne pas disposer de moyens de protection, malgré leurs demandes répétées.
Or le taux de contamination des soignants est le plus haut de la population.
MÉDECINS INQUIETS
Les urgentistes s’inquiètent de ne pas pouvoir obtenir de masques de protection. La réponse qui leur est faite est que ce n’est pas nécessaire tant qu’ils ne sont pas face à un cas avéré de COVID-19.
« On n’a aucune protection adéquate du personnel, malgré des publications qui montrent un fort taux de patients porteurs asymptomatiques et un fort taux de transmission au personnel médical. »
Effectivement, les publications tout à fait scientifiques, notamment celle que le sérieux The Lancet a mis en ligne en libre accès afin de diffuser au maximum l’information, indiquent :
« Recent evidence suggests that even someone who is non-symptomatic can spread COVID-19 with high efficiency. »
Des preuves récentes suggèrent que même une personne qui ne présente pas de symptôme peut transmettre COVID-19 avec une grande efficacité.1
DES CAS UN PEU VITE CONSIDÉRÉS COMME NON SUSPECTS
Plusieurs témoignages évoquent une forme de légèreté de la part des instances de santé auxquelles les cas suspects doivent être référés2.
Quand un urgentiste constate un cas suspect, pour établir un diagnostic éventuel de COVID-19, il doit appeler le centre 15, qui lui ordonnera de considérer le cas comme « cas suspect » ou « cas possible » en fonction d’une grille d’évaluation qui au 28 février retenait toujours parmi les critères principaux un déplacement en Chine ou en Italie3, alors qu’il est prouvé que la contamination s’effectue entre personnes n’ayant pas voyagé hors de leurs pays.
« Du coup, comme les cas sont sous-détectés, les autorités disent que le virus ne circule pas. »
UNE BUREAUCRATIE PESANTE
Le centre 15 est débordé.
« « On ne peut pas tout maîtriser », voilà la réponse qui nous est faite. »
Certains évoquent des services d’urgences déjà en tension :
« C’est sur cet hôpital fragilisé que va survenir cette crise sanitaire ».
LES TESTS ET LES LABOS ?
RépondreSupprimer« On ne dépiste pas systématiquement les malades aux entrées des urgences. »
« Aucun test n’est disponible dans les différents services hospitaliers, sauf peut-être certains centres spécialisés en infectiologie. »
Les tests qui sont effectués sont pour l’heure faits « manuellement », et une automatisation n’est pas prévue avant la semaine prochaine.
Certains soignants réclament une mise en place de tests très faciles à mettre en œuvre, par des laboratoires mobiles (par exemple ici et ici, mais il y a de nombreux fabricants) : certains ont la taille d’une « Game Boy » et fournissent un résultat rapide.
Problème : l’État a habilité seulement une poignée de laboratoires à effectuer ces tests. Les soignants se sentent donc non seulement impuissants, mais aussi dépendants d’une bureaucratie qui n’a pas lieu d’être dans ce contexte.
Sans compter un sentiment diffus qu’on ne leur fait pas confiance et qu’il faut impérativement passer par les services mis à disposition par l’État pour avoir le « droit » de faire remonter des cas suspects à leurs yeux de soignants.
Certains urgentistes se veulent optimistes malgré tout :
« Ce ne sont pas des décisions gouvernementales qui vont « sauver le monde » mais plus probablement des initiatives locales et du bon sens. »
Une question se pose alors : l’État se fait fort de toujours tout gérer, de s’immiscer toujours davantage dans toutes les parties de nos vies. Quand tout va bien, on voit déjà les fissures de la gestion publique. Que se passera-t-il si les choses devaient économiquement ou sanitairement tourner mal ?
1- https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30066-7/fulltext.
2 - https://sfgg.org/media/2020/02/guide_methodologique_covid-19-2.pdf.
3 - À l’heure où nous écrivons l’article, le questionnaire n’est plus disponible en ligne.
https://www.contrepoints.org/2020/03/01/365479-covid-19-la-fievre-monte-aux-urgences
En cas de doute: se faire faire une prise de sang. Oui mais... le sang doit être analysé DANS L'HEURE ! Et, comme il n'y a presque pas (en France) de laboratoire pour analyser ce type d'infection...
SupprimerExemple: Pour toute la Provence ? Marseille-Timone !
Imaginez que quelqu'un qui tousse doive aller à Marseille et faire la queue de 10 km de long !...
Cherchez pas, c'est la France marron !
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Pourquoi le Chine serait accusée de censure ? Parce que lorsqu'il y a 1 milliard 500 millions de chinois il y a FORCEMENT un taux élevé de personnes qui toussent (de la grippe, d'un rhume, etc) et donc, d'annoncer qu'il y a xxx millions de personnes qui toussent peut aire paniquer tout le pays et toute la planète !
Car, il ne faut pas confondre le nombre de personnes qui tousseraient avec le nombre de morts ! Et aussi, de pouvoir faire une analyse post-mortem pour savoir si c'est de çà que la personne est morte !
A vrai dire, le coranavirus n'a fait que 10 000 fois moins de morts que ceux de la grippe ! de l'Ebola ! du sida ! ou de la rougeole ! (Coranavirus = Seulement 3000 morts et non-certifiés mort-du-coranavirus !!!).
Mais, les merdias, s'occupent uniquement de faire peur ! de créer l'anxiété sous l'excuse de prévention comme ils l'ont fait pour le glyphosate (Round'up de Monsanto) qui s'est révélé NON-CANCÉRIGÈNE, idem pour les 'OGM' qui sont là depuis des milliards d'années ! TOUT est 100 % ! TOUT de puis toujours ! Mais les merdias ont inventé les non-ogm !!!
Ils ont fait la réclame du 'bio' ! Pourquoi ? Parce que TOUTES les plantes attrapent des maladies (comme tous les animaux), et ils vous encouragent et conseillent de manger des plantes MALADES ! De la viande de bête MALADES ! (comme au 19 è siècle où n'existaient aucun produits de traitements ! Aucun remède ! Et, tout le monde crevait à 40 ans ! C'est ÇA qu'ils veulent !).
L'humanité prend une décision très importante en ce qui concerne Assange
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 03/01/2020 - 22:15
Écrit par Caitlin Johnstone via CaitlinJohnstone.com,
Les propagandistes sont tous morts de silence sur le fondateur de WikiLeaks qu'ils enduraient auparavant d'une méchanceté implacable, car ils n'ont plus d'argument. Les faits sont réunis, et oui, il s'avère que le gouvernement américain travaille certainement et indéniablement pour exploiter les échappatoires légales pour emprisonner un journaliste pour avoir exposé ses crimes de guerre. Cela se produit, et rien ne le justifie.
Ainsi, les gestionnaires narratifs, dans l'ensemble, se sont tus.
Ce qui est bon. Parce que cela nous donne une ouverture pour prendre le contrôle du récit.
Il est temps de passer à l'offensive avec ça. Les supporters d'Assange se sont tellement habitués à jouer en défense qu'il ne nous est pas venu à l'esprit de porter une charge à part entière. J'en suis aussi coupable; Je vais me laisser embourber dans un vieux débat obsolète avec quelqu'un sur un aspect obscur du cas suédois ou quelque chose comme ça, sans réaliser que rien de tout cela n'a plus d'importance. Toutes les manipulations narratives qui ont été utilisées pour amener Assange à ce point sont des dépenses d'énergie impuissantes et non pertinentes par rapport au fait que nous avons maintenant des preuves indéniables que le gouvernement américain travaille à créer un précédent qui lui permettra d'emprisonner tout journaliste qui expose ses méfaits, et nous pouvons maintenant forcer les barbouilleurs d'Assange à affronter cette réalité.
«Les journalistes devraient-ils être emprisonnés pour avoir dénoncé des crimes de guerre américains ? Oui ou non ?"
C’est le débat maintenant. Pas la Russie. Pas la Suède. Pas s'il a suivi le protocole de mise en liberté sous caution ou lavé sa vaisselle à l'ambassade. C’est vieux. C'est obsolète. C'est jouer la défense.
Maintenant nous jouons l'offense: «Les journalistes devraient-ils être emprisonnés pour avoir dénoncé des crimes de guerre américains? Oui ou non ?"
Exigez une réponse. Attirez l'attention sur eux et exigez qu'ils répondent. Creusez-les hors de leurs trous cachés et faites-leur répondre à cela. Faites-les glisser dans la lumière et faites-leur répondre à cette question devant tout le monde. Parce que c'est tout ce dont il s'agit maintenant.
Ne vous laissez pas distraire. Ne vous laissez pas berner par un débat défensif. Forcez le problème: le gouvernement américain tente d'établir et de normaliser la pratique d'extradition et d'emprisonnement de journalistes pour avoir dénoncé ses méfaits. C'est la question sur laquelle se concentrer.
Vous constaterez que quiconque ose coller sa tête au-dessus du parapet et salir Assange devient maintenant très, très nerveux si vous les épinglez et les forcez à résoudre ce problème. Parce qu'ils ne peuvent pas répondre sans admettre qu'ils ont tort. Et qu'ils se sont trompés tout ce temps. C'est un argument totalement inattaquable.
Nous avons maintenant deux mois et demi pour préparer la seconde moitié de l'audience d'extradition de Julian Assange: tout le mois de mars, tout le mois d'avril et la moitié de mai. Nous allons avoir besoin de tout ce temps pour prendre le contrôle du récit et faire comprendre très, très clairement au monde qu'une décision très importante est sur le point d'être prise par les puissants en notre nom, si nous ne prenons pas cette décision pour eux.
C'est vraiment le temps de faire ou de mourir, humains. Si nous leur permettons d'extrader et d'emprisonner Julian Assange pour avoir exercé le journalisme, c'est tout. C'est fini. Nous pourrions tout aussi bien cesser de nous soucier de ce qui arrive au monde et nous asseoir sur nos mains pendant que les oligarques nous conduisent à une catastrophe écologique, à l'annihilation nucléaire ou à une dystopie autoritaire. Il est impossible de tenir le pouvoir responsable si vous n'êtes même pas autorisé à voir ce qu'il fait.
RépondreSupprimerSi nous, les nombreux, n'avons pas la colonne vertébrale pour nous opposer à quelques-uns et dire: «Non, nous arrivons à découvrir des faits sur vous et à l'utiliser pour informer notre vision du monde, vous ne pouvez pas criminaliser cela». alors nous n'aurons certainement pas la colonne vertébrale qu'il faudra pour arracher le contrôle de ce monde aux mains des ploutocrates sociopathes et prendre notre destin en main.
Nous décidons, en ce moment, de quoi nous sommes faits. Et ce que nous voulons devenir.
Ça y est. C'est la partie du film où nous choisissons collectivement la pilule rouge ou la pilule bleue.
On nous pose collectivement une question ici, et notre réponse à cette question déterminera tout le cours que nous suivrons en tant qu'espèce.
Alors qu'est-ce que ça va être, l'humanité ?
Vérité ou mensonge ?
Lumière ou obscurité ?
Un monde où nous pouvons tenir le pouvoir responsable de la lumière de la vérité, ou un monde où le pouvoir décide ce qui est vrai pour nous ?
Un monde où la liberté d'expression et la presse sont libres ou un monde où les journalistes sont emprisonnés lorsqu'ils dénoncent les maux des institutions les plus puissantes de la planète ?
Un monde où nous nous battons tous activement pour libérer Assange et faire le travail, ou un saut géant et irréversible vers la fin de l'humanité telle que nous la connaissons ?
Libérons-nous Assange ?
Ou devons-nous nous contenter de notre Netflix et de notre KFC et faire confiance aux figures d'autorité pour faire ce qui est le mieux ?
Prenons-nous la pilule rouge ?
Ou prenons-nous le bleu ?
Choisissez votre chemin, humains.
Choisis sagement.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/humanity-making-very-important-decision-when-it-comes-assange
GASTRONOMIE BARRY CALLEBAUT LANCE LE CHOCOLAT IMPRIMÉ EN 3D
RépondreSupprimerLa firme basée à Zurich innove avec un service d’impression 3D à grande échelle de pièces chocolatées.
Pour présenter son innovation, Barry Callebaut s'est associé au pâtissier catalan Jordi Roca. Il a imaginé «Flor de Cacao», une pièce imprimée en 3D.
LEMATIN.CH
19.02.2020
Le groupe zurichois Barry Callebaut a annoncé vendredi lancer «l’impression 3D en chocolat à grande échelle, une première mondiale dans le secteur». «Cette avancée permet aux chefs d'élaborer leurs propres créations uniques sur-mesure et de les reproduire rapidement, pour un coût abordable, quelle que soit la complexité ou la spécificité du modèle», avance la firme.
La nouveauté, nommée le Mona Lisa 3D Studio, est basée à Zundert, aux Pays-Bas. Et il est précisé que les futures créations imprimées seront concoctées à partir de chocolat belge - ce qui n’est pas un sacrilège: né de la fusion de Cacao Barry et de la société belge Callebaut, le groupe Barry Callebaut est belgo-suisse.
Une fleur qui s'ouvre
Pour présenter cette première, la firme s’est associée au célèbre pâtissier catalan Jordi Roca. Il a imaginé «Flor de Cacao». Elle se présente comme une fève de cacao qui s'ouvre comme une fleur au contact de chocolat chaud.
«La technologie d’impression 3D existe déjà à petite échelle dans l’industrie alimentaire. Mais c’est la première fois qu’un important transformateur de chocolat la rend accessible au grand public», commente Forbes.
Avec cette innovation, Barry Callebaut dit viser les chefs, hôtels, chaînes de cafés et établissements de restauration. Son premier client est la chaîne hôtelière néerlandaise Van der Valk, qui souhaite des chocolats imprimés avec son logo: un toucan.
R.M.
https://www.lematin.ch/suisse/barry-callebaut-lance-chocolat-imprime-3d/story/12332435
Demain sera le jour des pâtes 3D, de la viande hachée 3D (en forme de poisson ou de fleur ou de Ferrari) Émile Autrechoses !
SupprimerSCIENCE - DÉCOUVERTE DU PREMIER ANIMAL QUI N'A PAS BESOIN D'OXYGÈNE
RépondreSupprimerCette espèce, qui est un parasite du saumon, ne respire pas de manière traditionnelle, et c'est une première.
Le parasite provoque la maladie de la chair laiteuse chez le saumon.
MICHEL PRALONG
01.03.2020, 11h57
Ce n'est pas vraiment ce que les scientifiques cherchaient, mais lorsqu'ils l'ont trouvé, ils ont été extrêmement surpris. Une équipe de l'Université de Tel Aviv séquençait le génome d'un minuscule parasite, le Henneguya salminicola. Celui-ci vit dans les tissus musculaires du saumon et lui cause la maladie, relativement inoffensive, de la chair laiteuse. Elle provoque de petites boules blanches dans la chair du poisson.
Et donc, relate CBS news, en analysant cet organisme qui comporte moins de dix cellules, les chercheurs ont été stupéfaits de voir qu'il ne possédait pas de mitochondries. Or ce sont ces dernières qui, dans les cellules, captent l'oxygène pour produire de l'énergie. Bref, qui permettent de respirer.
Respiration mystère
Mais alors, comme ce parasite respire-t-il? Pour l'instant, c'est un mystère. Il puise peut-être son énergie dans les cellules voisines du saumon selon les chercheurs, mais cela reste encore à déterminer. Certains organismes unicellulaires, comme des champignons et des amibes ont aussi, au gré de l'évolution, perdu la nécessité de respirer de l'oxygène. Mais c'est la toute première fois que c'est observé chez un organisme pluricellulaire qui est un animal.
Pour les scientifiques, les organismes ont plutôt tendance à se complexifier avec le temps, alors que celui-ci semble au contraire s'être simplifié. Comme il vit dans un environnement sans oxygène (les tissus du saumon), il a éliminé les gènes responsables de la respiration. «Notre découverte montre que la respiration aérobie, l'une des voies métaboliques les plus importantes, n'est pas omniprésente chez les animaux», conclut l'étude parue dans la revue «PNAS».
Michel Pralong
https://www.lematin.ch/sante/sciences/decouverte-premier-animal-besoin-doxygene/story/12705879