Charles Dereeper
jeudi, 12 mars 2020 12:37
Alors de temps à autre, je suis taxé de complotisme.
Actuellement nous avons un éléphant dans la salle de bains avec le corona virus.
Réfléchissons à froid. Nous avons un pétage de plomb mondial avec des conséquences économiques massives orchestré par nous ne savons pas qui...
Ce n'est pas du conspirationnisme, mais de la pure statistique.
Prenons les maladies qui tuent par exemple...
Il existe comme en atteste ce graphique ci dessus de nombreuses maladies qui tuent plus chaque jour... sans que personne ne lève le plus petit doigt.
Mais allons plus loin et checkons les causes de mort chaque jour dans le monde dont nous nous foutons tous royalement et voyons les proportions.
Noyade, alimentation défectueuse, alcool, conflit, meurtres, feu, empoissonnement, suicide...
Bref qui orchestre le bordel du corona virus ? Nous savons que ce "QUI" détient les médias puisque tout le monde est passé à table pour pousser la chansonnette de la peur.
Rendez vous compte...
Les simples moutisques butent plus d'humains que le corona virus chaque jour avec 2500 morts par jour... même les serpents peuvent faire la compétition en nombre de morts avec le corona virus Plus du double de morts que le corona Virus. Imaginons une récession mondiale à cause des morts par serpent...
Nous avons affaire sous nos yeux à un show hallucinant, exécuté brillamment.
La question est le profit.
A quoi cela va t il servir ? Sur quoi allons nous déboucher ?
Des vaccins à la con ?
Va t on basculer dans la déflation suivie par l'hyperinflation ? Passage au crypto monnaie ?
Les Chinois qui ont voulu stopper les manifs à Hong Kong ?
Empêcher Trump de gagner les élections en novembre 2020 ?
Stopper les vagues d'immigration en Europe ?
Honnêtement, je n'ai aucune idée du profit qui va être tiré de ce show. La seule certitude, c'est que nous sommes tous conviés à regarder une pièce de théätre démoniaque.
N'hésitez pas à écrire ci dessous vos convictions. Personnellement, je suis effaré du niveau de tricherie et manipulation sur terre. Effaré du niveau de bêtise des humains. Effaré par cette possibilité de ne même plus avoir besoin d'un truc crédible pour faire bouger des masses via la peur. Je suis enfin effaré par cette coordination mondiale au niveau de la communication. Un rouleau compresseur que je ne soupçonnais pas pouvoir exister.
Coronavirus : le révélateur
RépondreSupprimerHenri Dumas
jeudi, 12 mars 2020 09:02
Le coronavirus aura appris — durablement sans doute — trois choses à ceux qu’il ne tuera pas :
– 1 – L’Etat n’existe pas
– 2 – La centralisation et l’égalitarisme son reflet sont le mal absolu
– 3 – Les hommes de l’Etat sont irresponsables, avides de pouvoir, cupides et mortifères.
L’Etat n’existe pas
Cet Etat que d’aucuns appellent de leurs vœux à tout bout de champ pour tout, que les hommes de l’Etat agitent telles les marionnettes à gaine d’un guignol dont ils sont les opérateurs, cet Etat est aux abonnés absents face au coronavirus.
Égaux à eux-mêmes, les hommes de l’Etat au nom de cet absent, de cet hologramme, interdisent à tout va. Car pour toute réponse en tout, ils n’ont qu’une solution : interdire, qui est l’expression basique du pouvoir.
Alors qu’il ne tient qu’à chacun de nous, non pas de ne pas attraper le virus, mais de pas le transmettre, les hommes de l’Etat se croient obligés au nom de l’Etat qui n’existe pas d’interdire massivement ce que chacun s’interdirait naturellement.
Ce faisant ils disloquent la société, le groupe, stupidement à l’intérieur de leurs frontières donc pour leur seul intérêt, puisque le virus n’est évidemment pas concerné par celles-ci.
Les italiens font très fort dans le théâtral, ils surjouent volontairement la pantomime étatique en paralysant leur pays. Magistrale magie qui va leur permettre de tenter de faire payer leur faillite consommée avant l’arrivée du coronavirus à la richissime Allemagne, Merkel a déjà la larme à l’œil.
La preuve nous est donc rapportée que l’Etat n’existe pas. Cette preuve est liée à l’extraordinaire démocratisation de l’information. Car le pouvoir n’existe que par la retenue d’information, l’initiation, le secret d’Etat.
Or internet dans le drame du coronavirus nous rend informés, plus sans doute que les hommes de l’Etat moins disponibles que nous pour le consulter.
Cette inversion de l’information est cocasse et porte un coup mortel à l’idée de l’Etat et à l’image des hommes de l’Etat, simples escrocs usurpateurs.
La centralisation et l’égalitarisme son reflet
Face au virus chacun de nous est seul. L’idée de solidarité et d’égalité ne résiste pas.
La centralisation, cette gangrène bureaucratique fille de la passion du pouvoir, qui s’appelle monopole dans une société ou l’économie prime sur la bureaucratie, la centralisation fait faillite.
Il fut un temps ou chaque ville moyenne abritait trois ou quatre cliniques. Cette diffusion de la force des soins serait bien utile aujourd’hui où la débrouille, la responsabilité individuelle, l’initiative personnelle seraient les seuls remparts crédibles face au virus.
Au lieu de cela nous avons des monstres administratifs, les hôpitaux, un seul par ville, voire un seul pour plusieurs villes, totalement déconnectés de la maladie qui est toujours individuelle.
En temps normal cette structure centralisée fait illusion par son volume. Son inadaptation à des missions de soins forcément individuelles n’est pas perceptible par le groupe, du fait de l’isolement sociétal de chaque malade. Mais quand tout le monde est malade en même temps, les tares du système sautent aux yeux de tous. A l’exclusion des croyants intégristes du collectivisme, évidemment, mais ceux-là…
RépondreSupprimerLes hommes de l’Etat irresponsables
Au moment où j’écris ces lignes les élections municipales sont toujours programmées pour dans 48 heures.
Comment peut-on interdire les rassemblements de plus de 1.000 personnes, voire pire sous peu, et réunir plus de 40 millions de personnes pour aller voter ?
C’est à se demander si les hommes de l’Etat ont voté un jour avec le peuple, autrement que seuls devant les caméras.
Ont-ils participé aux files devant les tables de signature des listes électorales, devant les isoloirs ? Pensent-ils qu’investir l’isoloir juste derrière un malade contagieux est une bonne idée, un signe de civisme ? Ont-ils été assesseurs, tenant de l’urne ? Pensent-ils que le virus collé sur le bulletin de vote y reste sagement lors du dépouillement ?
Tout cela est scandaleux. Car de deux choses l’une, soit cette maladie est banale et n’a aucune raison de déclencher les mesures que l’on nous impose, soit cette maladie est dangereuse et réunir pour un vote plus de 40 millions de français est une écrasante responsabilité.
Je penche pour la deuxième hypothèse. Je me dis : pourquoi ?
Peut-être un peu le coût, mais ce ne peut pas être la raison profonde. Je crois tout simplement que les hommes de l’Etat s’accordent une importance démesurée.
Cette vue de l’esprit leur parait si fondamentale qu’ils sont prêts à tout faire pour qu’elle soit partagée par tous. Plier devant le virus serait, pour eux, un signe de faiblesse qui mettrait en danger leur théâtre de marionnette. Objectivement, ils n’ont pas tort.
Mais il est possible qu’ils n’arrivent pas à dissimuler les conséquences sanitaires de ce vote, si la maladie est du niveau de danger de contagion que l’on nous rapporte. Dans ce cas, les conséquences pour eux seront terribles.
Enfin, va voter qui veut, pour le résultat obtenu…. En ce qui me concerne, ce n’est pas là que j’attraperai le virus…
Bien à vous. H. Dumas
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/coronavirus-le-revelateur.html
RépondreSupprimerUn commentaire sur le corona virus et les marchés ?
jeudi, 12 mars 2020 06:14
Je ne suis pas expert. Je n'écris pas car je ne sais pas.
Je regarde juste les stats chaque jour.
Actuellement 73.000 cas sont clos. Pour un total de 126.000.
Il y a 5700 cas critiques en reflux constants depuis des semaines.
La Chine a pris le contrôle du bestio en 2 mois chrono. Donc ils vont rebosser et produire nos chères marchandises. Quand on regarde les courbes en détail ici https://www.worldometers.info/coronavirus/ on voit qu'en réalité, ils ont pris le contrôle en un mois sur ce lien direct https://www.worldometers.info/coronavirus/country/china/
Trump vient de fermer le traffic aérien avec l'Europe pour un mois. Donc on retrouve la notion de un mois. Trump prend des mesures beaucoup plus rapidement que les Chinois dans le cycle de vie du virus. Imaginons donc que ce virus fasse chier un mois entier.
Le pétrole a arrêté de chuter. A 30$ c'est bon pour le pouvoir d'achat, les coûts de production et l'inflation basse.
Clairement, le krach de 20% repose sur un paramètre différent de 1987 qui est qu'en 1987, il s'agissait d'un krach de flux de capitaux. Cela n'a pas impacté l'économie. En outre les marchés étaient sérieusement sous évaluées par rapport à aujourd'hui. Et les taux étaient aussi beaucoup plus hauts.
Actuellement notre cher corona lui a le pouvoir d'impacter l'économie. J'ignore combien sera la facture.
L'autre variable que je ne sais répondre est la durée nécessaire pour stopper la propagation de cette saloperie de virus. Au bout de 1 mois, que se passe t il ?
Si tout se fige pendant 1 mois et qu'ensuite, les chiffres du virus s'écroulent pour les nouveaux cas, l'addition sera salée, mais pas tant que ca.
En fait, l'inquiétude concerne le tourisme qui est un énorme secteur qui contribue aux PIB de nombreux pays comme nous le savons tous. Les chiffres sont les suivants. Le worldwide GDP pour le tourisme est de 8400 milliards de dollars environ. Si on enleve 2 mois, cela donne 1.400 milliards de trou de PIB dans la compta mondiale. Le worldwide GDP est de 88.000 milliards. Donc on parle de 1.6% de récession économique en perspective. Donc grosso modo on nique 2020 qui sera probablement flat sur 12 mois.
Techniquement, il n'existe pas de cas dans l'histoire des marchés boursiers comme celui que nous avons en ce moment sous les yeux.
Je ne peux que me borner à penser que la situation est extrêmement émotionnelle et concrètement pas dangereuse pour la survie du monde que nous connaissons.
Qu'en sera t il dans 3 mois ?
Jamais dans l'histoire nous avons eu un tel niveau de com pour une maladie. Jamais il y a eu un tel niveau de conscience pour une propagation de virus.
A Panama, c'est le pétage de plomb généralisé sur la bouffe pour seulement 8 cas dont 1 mort. Partout où je vais on me file du produit pour mes mains. Je suis super méga archi propre de la main...
Les panaméens se ruent pour stocker la bouffe. Avec ma femme, on a plus peur de crever de faim que du virus...
Mon compte de trading est en drawdown. N'ayant pas de levier. J'ai -10% actuellement en pricant l'ouverture à -4% demain matin suite à l'annonce de Trump.
Donc pour répondre à tous les emails. JE NE SAIS PAS !
RépondreSupprimerJe dis juste qu'on ne peut pas shorter le vix à 50 si c'est pas la fin du monde en cours. Il faut une immense peur pour coller le VIX à 60 après un plus haut à 62.
Encore une fois où sera t on dans seulement 3 mois ?
Statistiquement, nous avons 4600 morts pour 7.5 milliards d'humains ! Même si on monte à 10 ou 15K en morts... plus -1% en Pib à cause du tourisme... tant qu'on entre pas en cascade de défaillances crédit... la machine est là et elle va tourner comme avant.
- voir graphique sur site -
C'est ce graphique ma plus grande peur. Le high yield vient de lancer un signal économique. Et il est beaucoup plus précis que la courbe des taux. La courbe des taux l'an dernier n'a pas confirmé sur un tiers de la courbe. Par exemple. Le 10 ans contre le 30 ans n'étaient pas inversés contrairement aux récessions dans le passé qui voyait l'intégralité de la courbe des taux s'inverser avant une récession. Là, le high yield flash un souci économique. En 1998, avec la chute LTCM, il a fait un faux signal. Mais en contrepartie, il alerte à moyen terme des risques économiques pour les marchés. Et nous en avons un sous les yeux. Maintenant nous sommes déjà à -22% dans la zone support sur les indices boursiers US en ajoutant encore une fois l'ouverture demain matin. 22.000 DJI et 185 sur QQQ. Le marché haussier des actions US semble être fini pour 2020... Trading range ou sideways en perspective.
http://www.objectifeco.com/bourse/indices-boursiers/indices-usa/un-commentaire-sur-le-corona-virus-et-les-marches.html
Toujours est-il que s'ils veulent impacter la population ("Faudrait qu'il n'y ait que 500 000 personnes qui habitent notre planète" ! Bill Gate), ils le peuvent en répandant ici ou là ce virus qui refuse de se propager que plus loin que 2 pas !
SupprimerLe coronavirus a-t-il été créé pour couvrir l'effondrement économique imminent ?
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
12 mars 2020
Un gros titre de USA Today ce matin indiquait que le Dow plongeait alors que les inquiétudes liées au virus contre-espéraient des mesures fiscales.
Les actions américaines ont oscillé au bord d'un marché baissier mercredi alors que les inquiétudes persistaient quant aux économies ébranlées par l'épidémie de coronavirus. »
"Les craintes ont grandi qu'une épidémie prolongée puisse entraîner une récession."
"Goldman Sachs prévoit que le plus long marché haussier de tous les temps" se terminera bientôt "après 11 ans."
"Tant l'économie réelle que l'économie financière montrent des signes aigus de stress, selon les analystes de Goldman Sachs".
La panique s'est certainement installée et ce n'était pas un hasard. Une chose est sûre dans mon esprit, c'est que cette crise a été créée et non accidentelle. Quelle que soit la gravité de ce soi-disant virus, au final, comme cela s'est déjà produit à plusieurs reprises auparavant avec le MERS, le SRAS, le Nil occidental, la grippe porcine et d'autres, il est probable que toutes les prédictions sauvages se révéleront une fois de plus surestimées ou carrément faux. Mais les graves retombées économiques resteront. La propagande est poussée à tous les niveaux possibles, des gouvernements du monde entier aux organisations gouvernementales de «santé», à tous les médias grand public et à tous ceux qui en tirent profit, y compris les sociétés pharmaceutiques.
Beaucoup parlent depuis longtemps des marchés et des risques économiques apparents dans ce pays et dans le monde. J'ai commencé à sonner l'alarme avant 2008, et depuis lors, j'ai essayé de faire prendre conscience du fait que d'un point de vue économique, les marchés et l'économie sont devenus bien pires et plus suspects depuis. Après toutes les manipulations, le Quantitative Easing (QE) et la poursuite de la croissance de la dette, il est apparu qu'un échec économique massif était probable à l'avenir. Cet avenir accablant est-il sur le point de se réaliser? Les pouvoirs de contrôle qui ont créé ce probable désastre économique le comprennent-ils et cherchent-ils à blâmer cette nouvelle épidémie de coronavirus comme cause de tous les maux financiers à venir? Ce nouveau coronavirus (COVID-19) a-t-il été créé et publié à dessein pour que les banquiers centraux, les banquiers d'investissement, les chefs d'entreprise et les marionnettes du gouvernement puissent l'utiliser comme couverture d'un effondrement économique imminent devenu impossible à contenir? À mon avis, c'est une possibilité distincte. La commodité politique à ce niveau est rarement accidentelle.
Avec tout effondrement financier à la suite d'une pandémie, réelle ou non, le contrôle des populations mondiales est beaucoup plus facile à mettre en œuvre. Une fois que la loi martiale ou la loi martiale médicale est en place en raison de la panique, toute la société est paralysée en ce sens que la liberté et le pouvoir individuels sont perdus, la liberté économique est restreinte et les contrôles sociétaux tels que la quarantaine deviennent réalité. Toutes les règles de politique monétaire seront inexistantes, car le contrôle de ces mesures tyranniques fera défaut en période de conflits extrêmes. En d'autres termes, un contrôle total de populations entières devient possible, et sans une sorte de soulèvement de masse, il n'y a pas grand-chose qu'un individu puisse faire dans des situations comme celles-ci. Comme l'a si bien dit James Corbett, cette panique rendra les remèdes bien pires que la maladie. Mais était-ce le plan depuis le début?
RépondreSupprimerCe virus est devenu un cheval de Troie pour le contrôle total de la population, mais quel est l'objectif principal de ceux qui créent cette panique? Quel jeu final est recherché et pourquoi? Quels autres facteurs guident ces politiques et qui en bénéficiera? Cette soi-disant pandémie était-elle censée être un événement sous fausse bannière afin de couvrir un problème beaucoup plus vaste? Les réponses à ces questions ne sont pas parfaitement claires à ce stade, mais étant donné la gravité de la panique et le contrôle mental du public, ces questions devraient être posées.
Une chose qui est certaine dans mon esprit, c'est que ce virus est délibérément soufflé hors de proportion. Pour cette raison, des mesures extrêmes de contrôle de la population ont été mises en place dans le monde entier. Il y a une raison à cette hystérie maniaque, et si elle a été fabriquée comme un programme, comme je pense que c'est le cas, ce programme devrait être sinistre. . Cela indiquerait également que quelque chose de très dangereux se cache juste derrière le rideau et qu'aucune exposition n'est souhaitée. Cela ne doit pas être ignoré.
Au moment où j'écris ces lignes, les marchés mondiaux sont en ébullition, les économies sont en difficulté, les voyages et les déplacements sont de plus en plus restreints, la quarantaine est endémique et a atteint les États-Unis. Les mondialistes gagnent en force, et avec tout cela, la stupidité des humains est maintenant exposé pour que tous voient.
Quiconque succombe aux gros titres, et en particulier aux prévisions, est susceptible de devenir fou. Il y a des projections que jusqu'à 70% ou plus attraperont ce virus redouté, et plusieurs millions en mourront. La quarantaine devient universelle et s'aggrave à ce moment-là, et ce virus, comme on l'appelle, se répandra partout dans le monde sans aucune possibilité que quiconque puisse échapper au risque. À ce jour, même avec autant de battage médiatique, il y a eu en dehors de la Chine, seulement 1417 décès signalés dans le monde en raison de COVID-19. Tout cela, selon U.S.News, le CDC a rapporté le 21 février que 26 millions d'Américains étaient tombés malades de la grippe jusqu'à présent, 250 000 ont été hospitalisés et au moins 14 000 sont morts. Compte tenu de cette comparaison, n'est-il pas évident que la tromperie du gouvernement est plus qu'évidente ?
La peur dicte le comportement des masses, et cela semble être un résultat prévu. Des populations entières se laissent manipuler. Les gens acceptent la quarantaine, la loi martiale médicale et toutes les autres formes de diktats médicaux. Beaucoup souffrent des horribles ramifications économiques de cette folie et les familles sont déchirées.
RépondreSupprimerIl est temps de riposter et de trouver la véritable cause de cette panique fabriquée. Cette panique est souhaitée par ceux qui sont au sommet, alors quel est le véritable programme ici ? Pourquoi cela se produit-il et qu'est-ce qui est caché à la vue ? Je crois qu'il existe un lien entre cette économie défaillante et cette fausse pandémie très probable. Cette connexion semble claire et le timing est très suspect. Il y a des tromperies massives et des mensonges sont toujours présents, mais le pire reste à venir. Alors que la Réserve fédérale injecte aujourd'hui 175 milliards de dollars supplémentaires dans le système bancaire, ne peut-on pas relier les points? La fin de notre système financier est-elle en vue?
Aujourd'hui, l'OMS vient de déclarer le coronavirus une pandémie mondiale, et tout l'enfer est sur le point de se déchaîner. Dans cet environnement, la liberté naturelle deviendra une mémoire fanée.
The Best of Gary D. Barnett
https://www.lewrockwell.com/2020/03/gary-d-barnett/was-the-coronavirus-created-as-cover-for-the-imminent-economic-collapse/
Une revue à comité de lecture publie un article sur la résistance des universitaires à la vérité sur le 11 septembre
RépondreSupprimerUne hostilité pure et simple à l'égard de l'auteur et de la revue scientifique prouve ainsi le point de vue de l'auteur sur la vérité sur le 11/9 et le silence de la discipline IR (IR signifie International Relations)
Par David A. Hughes
12 mars 2020
Les conséquences des attentats terroristes du 11 septembre 2001 ont été catastrophiques. En plus des quelque 3 000 personnes qui ont perdu la vie lors des attaques, des millions d'autres ont été tuées dans la «guerre contre le terrorisme»; il y a eu une expansion mondiale agressive de la puissance militaire américaine, y compris l'introduction de la guerre des drones; la région MENA a été déstabilisée, entraînant des flux massifs de migrants; le droit international a été violé (surtout avec la guerre en Irak); et au niveau national, il y a eu une réduction draconienne des libertés civiles, y compris des niveaux de surveillance sans précédent, des détentions arbitraires et de la torture. Tout cela a contribué à saper l'ordre internationaliste libéral après 1945 et a contribué à accroître les inquiétudes concernant la transformation des démocraties libérales en États policiers. Il ne serait pas difficile de défendre l'affirmation selon laquelle le «11 septembre» représente l'événement politique le plus important de l'après-guerre froide.
Ces conséquences reposent sur le postulat fondamental que les États-Unis ont été attaqués par Al-Qaïda le 11 septembre. Sur cette base sont érigées les bases morales et juridiques de la «guerre contre le terrorisme», c'est-à-dire que les États «civilisés» ont le droit de se défendre de manière préventive contre la barbarie terroriste à une époque où le terrorisme est en réseau, transnational et plus menaçant que jamais. grâce aux nouvelles technologies de destruction. Et si la prémisse fondamentale était fausse ? Comme l'observe Benjamin,
Si cette affirmation devait jamais être prouvée fausse - devait-il jamais être démontré que les États-Unis n'étaient pas en fait attaqués par «d'autres» le 11 septembre, mais plutôt eux-mêmes (ou se laissaient attaquer) dans le but de blâmer les autres et justifier une guerre internationale - alors sa guerre ne serait pas celle de la légitime défense mais celle d'une agression préméditée et soigneusement camouflée (2017: 373).
La responsabilité juridique de la vérification de la prétention des États-Unis à la légitime défense, ne serait-ce que rétrospectivement, incombe à l'OTAN et à l'ONU. Cependant, les deux organisations «ont accepté sans hésitation la prétention américaine d'avoir été attaquée par des éléments du terrorisme international» et continuent de le faire (Benjamin, 2017: 373).
Le milieu universitaire a emboîté le pas. Malgré le volume gigantesque de la littérature académique sur le 11/9, «presque toutes ces études supposent l'exactitude de la principale revendication américaine de légitime défense et procèdent ensuite à grignoter des problèmes qui entourent son périmètre» (Benjamin, 2017: 374-5) . Ainsi, les débats tournent autour de la relation appropriée entre les libertés civiles et la sécurité, qu'il s'agisse de traiter ou non le 11 septembre comme un acte de guerre ou un crime, l'éthique de la torture et de la guerre des drones (supposant implicitement que la «guerre contre le terrorisme» elle-même est juste), et ainsi de suite. En particulier dans la littérature sur les relations internationales, y compris la littérature sur les études de sécurité et le terrorisme, il n'y a pas ou presque aucune suggestion que le 11 septembre ait pu être une opération sous faux drapeau utilisée comme prétexte à des guerres d'agression illégales et à la répression intérieure.
À première vue, cela semble étrange compte tenu de la longue et bien documentée histoire du terrorisme sous faux drapeau. En 1931, par exemple, le Japon a saboté une ligne de chemin de fer qu'il exploitait dans la province chinoise de Mandchourie, a imputé l'incident aux nationalistes chinois et a lancé une invasion à grande échelle, occupant la Mandchourie et y installant un régime fantoche (Felton, 2009: 22 -3). En 1933, l'incendie du Reichstag, provoqué par les nazis, a été imputé aux communistes et utilisé comme prétexte à une chasse aux sorcières contre des opposants politiques (Hett, 2014). L'opération Himmler en 1939 a impliqué une série d'événements sous faux drapeau, le plus célèbre étant l'incident de Gleiwitz, le jour suivant lequel l'Allemagne a envahi la Pologne (Maddox, 2015: 86-7). En 1967, Israël a bombardé et mitraillé le USS Liberty et a cherché à blâmer l'incident sur l'Égypte afin d'amener les États-Unis dans la guerre des Six Jours (Mellen, 2018). Le régime d'apartheid en Afrique du Sud a mené des attaques furtives contre des responsables gouvernementaux et des installations et les a imputés au Congrès national africain dans le but de discréditer le mouvement anti-apartheid (Baker, 2017: 377). Le gouvernement algérien aurait assassiné secrètement des civils et imputé les meurtres à des partis islamiques pendant la guerre civile des années 1990 (Baker, 2017: 378).
RépondreSupprimerLes États-Unis sont-ils au-dessus d'un tel comportement ? À peine. Le naufrage de l'USS Maine, largement soupçonné d'être un faux drapeau, a fourni le prétexte à la guerre hispano-américaine de 1898 et à la conquête de diverses îles du Pacifique (Anderson, 2016: v-vi). L'opération Northwoods, approuvée par les chefs d'état-major interarmées en 1962, contenait des propositions pour que toutes sortes d'attaques sous faux drapeau soient imputées à Fidel Castro et utilisées comme prétexte pour envahir Cuba (Scott, 2015: 94, 98). Ceux-ci comprenaient le naufrage d'un navire de la marine américaine à Guantánamo Bay, le naufrage de bateaux transportant des réfugiés cubains, la mise en scène d'attentats terroristes à Miami et à Washington, DC, et donner l'impression que Cuba avait fait exploser un avion de passagers américain en remplaçant l'avion par un drone au milieu -vol et débarquement secret des passagers. L'incident du golfe du Tonkin en 1964 a été cyniquement invoqué par le président Johnson comme raison de lancer des frappes aériennes et d'intensifier la guerre contre le Nord-Vietnam: on sait qu'il ne s'est jamais produit (Moise, 1996). En 1967, lorsqu'Israël a tenté de couler l'USS Liberty, le président Johnson a rappelé des navires et des avions de sauvetage, indiquant ainsi la complicité de l'attaque (Mellen, 2018). L'opération Gladio, orchestrée par le gouvernement américain via l'OTAN, impliquait d'utiliser des groupes d'extrême droite et néonazis pour organiser des assassinats politiques et des attaques terroristes contre des civils en Europe occidentale et les blâmer pour les organisations de gauche (Ganser, 2005).
«L'assemblage de toutes ces pièces», note Benjamin (2017: 385), «ce qui émerge est une mosaïque inquiétante montrant la possibilité très réelle d'une attaque sous faux drapeau faisant des victimes en masse exécutée pour justifier une guerre internationale.» À première vue, il n'est pas inconcevable que certains éléments du gouvernement américain, possiblement liés à d'autres acteurs transnationaux, aient pu mettre en scène le 11 septembre afin de fournir le prétexte à la «guerre contre le terrorisme». À tout le moins, cette possibilité ne doit pas être écartée d'emblée.
S'il pouvait être démontré que le 11 septembre était un faux drapeau, les implications auraient une signification révolutionnaire. Cela signifierait que le gouvernement des États-Unis, ou du moins une cabale criminelle en son sein, a sciemment commis un meurtre de masse contre sa propre population et a menti au monde à ce sujet afin de lancer des guerres impérialistes et de réprimer la dissidence nationale. Le gouvernement américain apparaîtrait alors comme une tyrannie et selon la Déclaration d'indépendance, le peuple américain aurait le droit de le renverser.
RépondreSupprimerMalgré l'importance primordiale de la recherche sur les événements du 11 septembre, le monde universitaire a pratiquement tourné le dos à cette entreprise. Comme l'écrit le professeur émérite Morgan Reynolds (2007: 101, 114), «La réponse de la communauté universitaire lorsque la théorie officielle du complot du 11 septembre a été contestée [a été] principalement un silence assourdissant, à quelques exceptions notables», et « l'académie, malgré la sécurité pendant de nombreuses années, n'a jusqu'à présent pas été une grande force de vérité sur le 11 septembre. » Selon le professeur émérite Kees van der Pijl (2014: xii), «l'événement et ses conséquences sont restés tabous en tant que sujets IR». Le professeur à la retraite Graeme MacQueen, ancien directeur du Centre for Peace Studies de l'Université McMaster, fait remarquer, à propos de la recherche sur les événements du 11 septembre, «les universités dorment si profondément que vous pouvez entendre le ronflement de l'espace» ( voir Zuberi, 2013). Pour le Dr John D. Wyndham, «Le grand silence des universités sur le 11/9 indique qu'elles ne sont actuellement pas en mesure d'examiner ce sujet ouvertement» (2017: 5). Selon Andrew Johnson de l'Open University, «pour beaucoup de ceux qui sont plus profondément ancrés dans les établissements d'enseignement, il semble qu'ils ne soient pas en mesure de confronter ou d'analyser avec passion les preuves» (Johnson, 2017: 15).
Au lieu de cela, la responsabilité de la sauvegarde de la vérité sur ce qui s'est passé le 11 septembre («la vérité sur le 11 septembre») est tombée sur un réseau mondial de chercheurs indépendants qui ont examiné les preuves par eux-mêmes et ont produit un corpus massif et très important de travaux. Certes, la qualité de la recherche sur la vérité sur le 11/9 varie énormément, le soi-disant «mouvement pour la vérité sur le 11/9» s'est rapidement fracturé et se caractérise par des combats omniprésents, et de nombreuses informations erronées connues y sont présentes.
Pourtant, les développements récents suggèrent que la vérité sur le 11 septembre est de plus en plus une force avec laquelle il faut compter. En 2016, deux candidats à la présidentielle américaine, Donald Trump et Jill Stein, ont publiquement mis en doute le récit officiel du 11 septembre, Stein allant jusqu'à appeler à une nouvelle enquête - une reconnaissance tacite du fait que de nombreux citoyens américains ne le font pas. croire le récit officiel. Le 11 septembre 2018, les résultats d'une enquête de six ans menée par l'International 9/11 Consensus Panel ont été publiés: le panel comprend 23 examinateurs experts et suit le modèle de consensus des meilleures preuves scientifiques (Griffin et Woodworth, 2018). En novembre 2018, le procureur américain de Manhattan a annoncé qu'il transmettrait les conclusions d'un rapport de la commission à but non lucratif d'avocats du 9/11 à un grand jury fédéral. En juillet 2019, la procédure devant le Grand Jury étant apparemment au point mort, le Board of Fire Commissioners du Franklin Square and Munson Fire District à New York a adopté une résolution appelant à «une enquête approfondie du grand jury fédéral et à la poursuite de tout crime lié aux attaques de 11 septembre 2001. » En septembre 2019, une enquête de quatre ans menée par une équipe de l'Université de l'Alaska à Fairbanks sur la destruction du World Trade Center Building 7 (WTC 7) a abouti à un rapport de 126 pages concluant: «l'incendie n'a pas provoqué l'effondrement de WTC 7 le 11 septembre, contrairement aux conclusions du NIST et des firmes d'ingénierie privées qui ont étudié l'effondrement »et« l'effondrement du WTC 7 était un échec mondial impliquant la défaillance quasi-simultanée de chaque colonne du bâtiment »(Hulsey, Quan et Xiao, 2019: 2). Il semblerait que le moment soit opportun pour les universitaires de commencer à prendre au sérieux la vérité sur le 11 septembre.
RépondreSupprimerUn universitaire qui a été à l'avant-garde de la vérité sur le 11 septembre est David Ray Griffin, professeur émérite à la Claremont School of Theology (Californie), qui depuis 2004 est l'auteur de nombreux livres sur le 11 septembre et avec Elizabeth Woodworth était responsable de la convocation le Groupe de concertation sur le 11/9. L'une des premières interventions importantes de Griffin (2005) a été d'identifier des dizaines d'omissions et de distorsions dans The 9/11 Commission Report (le compte rendu officiel de ce qui s'est passé le 9/11). Même les coprésidents de la Commission sur le 11/9, Thomas Kean et Lee Hamilton (2006: Ch. 1) ont reconnu que le rapport de la Commission sur le 11/9 avait été retardé, sous-financé, obstrué et "mis en place pour échouer". Une grande partie de cela repose sur le témoignage de Khalid Sheikh Mohammed qui a été obtenu sous la torture. Cela soulève la question de savoir pourquoi le gouvernement américain n'était pas disposé à soutenir une enquête appropriée sur les événements du 11 septembre et pourquoi son rapport final, comme les rapports du National Institute of Science and Technology (NIST) de 2005 et 2008, manque de crédibilité. 51 allégations clés formulées dans ces rapports sont systématiquement testées par rapport aux meilleures preuves de l'enquête menée par le Groupe de concertation sur le 11/9 et jugées non supportables (Griffin et Woodworth, 2018; voir également Ryan, 2007).
Par conséquent, il n'y a aucune bonne raison de prendre le récit officiel du 11 septembre au pied de la lettre. Cependant, quand on considère toutes les conséquences négatives qui ont découlé du 11 septembre,
RépondreSupprimerla découverte que le récit officiel sur le 11/9 [est] un mensonge [devrait] être une découverte de première importance. Et pourtant, jusqu'à présent, les médias grand public et la plupart des membres de l'académie ont refusé d'explorer les preuves qui ont été présentées pour [le] récit alternatif [selon lequel le gouvernement américain était impliqué dans le crime] (Griffin et Scott, 2007: vii).
Cela reste vrai aujourd'hui. Un silence presque total s'est abattu sur le monde universitaire lorsqu'il s'agit de remettre en question le récit officiel du 11 septembre. Cela est particulièrement préoccupant compte tenu de la nature largement volontaire de ce silence. Il n'y a pas de consensus forcé comme c'était le cas, par exemple, dans l'Allemagne nazie (phénomène de la Gleichschaltung). Au lieu de cela, les universitaires choisissent de s'autocensurer, se conformant volontairement à un récit officiel du 11 septembre qui est hégémonique au sens gramscien.
MÉTHODOLOGIE
Remettre en question le conformisme académique vis-à-vis du récit officiel du 11 septembre exige (a) de montrer que la littérature universitaire ne traite pas de manière adéquate la vérité du 11 septembre; (b) expliquer pourquoi il le devrait; et (c) expliquer pourquoi ce n'est pas le cas. Il existe en particulier des limites méthodologiques aux points a) et b).
En termes de (a), il doit y avoir une limitation dans la portée de la littérature examinée. Aux fins de cet article, la littérature se limite à la discipline des relations internationales (RI), la discipline qui devrait être la plus familière avec le terrorisme sous faux drapeau et la «guerre contre le terrorisme». Si les chercheurs en RI ne peuvent pas ou ne reconnaîtront pas la possibilité que le 11 septembre soit un événement sous faux drapeau, alors il y a peu d'espoir pour d'autres disciplines. La RI est elle-même, bien sûr, une discipline vaste et tentaculaire, par conséquent de nouvelles restrictions de portée sont nécessaires. Il n'y aura aucune tentative de résumer les rames et les rames de littérature qui souscrivent toutes à la même prémisse - c'est-à-dire que «Al-Qaïda» a attaqué «la civilisation occidentale». Au lieu de cela, l'attention sera concentrée sur la démonstration que la littérature IR a rarement interrogé de manière critique cette prémisse - y compris la littérature autoproclamée «terrorisme critique». En principe, par conséquent, l'argument pourrait être réfuté en pointant la littérature IR qui traite le 11/9 comme un éventuel événement sous faux pavillon, sur la base d'une analyse des preuves concernant ce qui s'est réellement passé ce jour-là.
En termes de (b), persuader les universitaires que la vérité sur le 11/9 a une validité se heurte au problème de la source du matériel. Un cercle vicieux apparaît: (i) les universitaires refusent de prendre au sérieux toute littérature non évaluée par des pairs; (ii) il y a relativement peu de littérature sur la vérité du 11 septembre révisée par les pairs concernant l'énormité de l'événement; par conséquent (iii) les universitaires supposent que la vérité sur le 11 septembre ne vaut pas la peine d'être prise au sérieux. Il convient toutefois de noter qu'il s'agit d'un problème sociologique plutôt qu'épistémologique. Le fait que les universitaires, pour les raisons évoquées dans la dernière section, choisissent généralement de ne pas poursuivre la vérité sur le 11 septembre ne signifie pas que la vérité sur le 11 septembre ne peut pas ou ne devrait pas être poursuivie. Comment alors convaincre les universitaires que la vérité sur le 11 septembre mérite d'être poursuivie ?
Tout d'abord, les principales conclusions de la vérité sur le 11 septembre doivent être présentées à un public universitaire, afin que les universitaires soient au moins familiers avec ces conclusions et aient une obligation intellectuelle de les considérer et d'y répondre au lieu de refuser de les regarder. Mais, non moins important, ces résultats doivent également être intellectuellement crédibles. Parfois, cela est réalisable en indiquant des preuves scientifiques irréfutables, par exemple que les tours jumelles de 110 étages ont immédiatement laissé un tas de débris pas plus haut que leurs lobbies, que le WTC 7 est tombé à la vitesse de la chute libre pendant 2,25 secondes, et que des milliers de premiers intervenants sont morts prématurément de cancers inexpliqués.
RépondreSupprimerIl est également important de se concentrer sur les sources dont on peut raisonnablement penser qu'elles assureront la crédibilité et le respect académiques. Deux de ces sources ont déjà été identifiées, à savoir le 9/11 Consensus Panel et l'Alaska, Fairbanks, des enquêtes, toutes deux dirigées par des professeurs titulaires, couvrant respectivement six et quatre ans. En outre, il existe des articles de revues à comité de lecture concernant la vérité sur le 11 septembre (mais pas autant qu'il devrait l'être) ainsi que des volumes édités tels que ceux de Zarembka (2006) et Griffin et Scott (2007). D'autres sources dignes de considération académique incluent des textes écrits par des professeurs émérites, dont le titre signifie la haute estime dans laquelle ils sont tenus par la profession, par exemple, David Ray Griffin, Kees van der Pijl, Morgan Reynolds et Peter Dale Scott. Cet article s'attache à de telles sources.
Le reste de l'article se déroule comme suit. Tout d'abord, il y a une revue de la littérature IR sur le 11 septembre, montrant qu'elle ne parvient pas à aborder la vérité sur le 11 septembre. Deuxièmement, les principales conclusions de la vérité sur le 11/9 sont présentées sous une forme résumée, en s'appuyant uniquement sur le type de sources mentionnées ci-dessus afin d'éviter les accusations de clocher. Troisièmement, il y a une discussion sur la raison pour laquelle les chercheurs en RI ignorent la vérité sur le 11 septembre. Enfin, la conclusion examine les implications de la prise au sérieux de la vérité sur le 11 septembre.
LA LITTÉRATURE IR DU 9/11
Aucun chercheur en RI n'a jamais évalué les preuves du récit officiel du 11 septembre par rapport aux preuves d'hypothèses alternatives. Sans peser systématiquement les preuves des théories concurrentes par rapport aux preuves disponibles, il n'y a aucun moyen logique de soutenir qu'une théorie est plus ou moins cohérente avec les preuves disponibles. Par conséquent, n'ayant pas entrepris la diligence raisonnable académique requise, IR ne peut pas prétendre savoir ce qui s'est passé le 11 septembre. Au lieu de cela, la connaissance IR des événements peut être réduite à une croyance quasi religieuse dans le récit officiel.
L'hypothèse automatique des érudits de l'IR au lendemain du 11 septembre était qu'Al-Qaïda était à blâmer. Par exemple, Chris Brown écrit que «la communauté internationale est engagée dans une chasse à un groupe terroriste spécifique [Al-Qaïda]»; explicitement exclue est «la rumeur absurde que le WTC a été attaqué par le Mossad» (Brown, 2002: 263, 266). Michael Cox (2002: 261) souligne «le rôle de l'islam dans la politique internationale». Dans un recueil de réponses d'éminents spécialistes de l'IR publié par l'Organisation internationale en janvier 2002 sous le titre Dialogue IO, personne ne remet en question le récit «fondamentaliste islamique». Les deux heures de Halliday qui ont secoué le monde (2002) ne concernent pas réellement les deux heures au cours desquelles les tours jumelles ont été détruites; il s'agit plutôt d'un résumé de ses travaux antérieurs sur le moyen-orient. Elshtain (2003: Ch. 1) pose la question clé: "Que s'est-il passé le 11 septembre ?" pourtant ne fait aucune tentative d'examiner les preuves empiriques dans sa condamnation implacable du fondamentalisme islamique. Le membre du personnel de la Commission sur le 11/9, Daniel Byman (2003), enquête sur les bourses d'études sur Al-Qaïda et l'islamisme militant.
RépondreSupprimerEn examinant dix volumes édités comprenant 140 auteurs différents le 11 septembre, Lisa Anderson (2004: 304, 310) identifie «une défaillance surprenante du nerf intellectuel» et «une perte de sang-froid intellectuel», concluant, «L'inconfort avec la posture scientifique de l'ouverture une enquête approfondie et la soif de réponses qui refléteraient ce que l'on a appelé la «clarté morale» étaient évidentes dans de nombreux débats intellectuels de l'époque »(2004: 323). En d'autres termes, au lieu de suivre la méthode scientifique et d'examiner les preuves, les chercheurs en RI ont perdu leur sang-froid et, dans leur besoin de «clarté morale», se sont alignés sur la demande de l'administration Bush d'être «avec nous ou contre nous». Cela dément les affirmations du courant dominant de l'IR de faire de la «science dure».
Après l'avalanche initiale de littérature sur le 11/9, les chercheurs en RI ont rapidement perdu tout intérêt pour l'événement lui-même alors que leur attention se tournait vers sa conséquence principale: la «guerre contre le terrorisme». Cinq ans après le 11 septembre, Brenner (2006: 497) note: «La réponse au 11 septembre a été relativement modérée. Il a reçu peu d'attention soutenue, n'a connu aucun débat fervent et a été largement exclu de toute orientation centrale qui aurait pu être anticipée. » Au lieu de cela, les chercheurs IR ont poursuivi leurs activités comme d'habitude. Dans un chapitre intitulé «Implications du 11 septembre pour l'étude des relations internationales», Buzan (2003: 306) affirme: «Le 11 septembre ne nécessite pas de changements majeurs aux débats sur la théorie des RI ou à l'agenda des RI.» Au lieu de regarder les preuves concernant les événements du 11 septembre et de se rendre compte que cela change tout, les chercheurs en IR se sont contentés de maintenir le statu quo.
Alors que les événements du 11 septembre eux-mêmes sont restés sans examen dans le cadre des bourses d'études en RI, une «industrie du terrorisme» a vu le jour avec «d'innombrables livres produits dont le titre se termine« depuis le 11 septembre »» (Dunne, 2011: 970). Mais combien de livres dans l'industrie du terrorisme incluent la phrase «le 11 septembre» dans leur titre et examinent d'un œil critique ce qui s'est réellement passé ce jour-là ?
Dunne and Booth’s Terror in our Time (2012) est représentatif de la littérature plus large sur le terrorisme. Avec une photo de débris du 11 septembre sur sa couverture, le blâme est attribué à «al-Qaïda» et «Oussama ben Laden» dans les deux premières pages (2012: vii-viii). Les auteurs ne voient pas comment ils prêtent sans critique la légitimation intellectuelle au récit officiel et donc à la «guerre contre le terrorisme». Au contraire, ils n'hésitent pas à souligner qu'ils n'ont pas l'intention de remettre en cause la ligne officielle: «Ce n'est pas notre intention dans ce livre de critiquer tout ce qui a été fait par les gouvernements occidentaux au cours de la décennie [depuis le 11 septembre]» » (2012: viii). En fait, la «focalisation» du livre est «nécessairement sur la mobilisation d'une puissance militaire massive et des ressources de l'État contre [al-Qaïda]» (2012: 7). Excluant toute possibilité que le 11 septembre soit un faux drapeau, les auteurs affirment: «Ce livre ne traite pas des États en tant que terroristes» (2012: 7). Ainsi, le livre est présenté comme une étude non critique sans vergogne qui sert docilement le pouvoir de l'État occidental.
RépondreSupprimerMême les soi-disant «études critiques sur le terrorisme» ont travaillé pour maintenir le tabou sur la vérité du 11 septembre. Les «discours» tels que le terrorisme islamique, les «temporalités» telles que la supposée rupture «avant» et «après» le 11 septembre et la politique de se souvenir du 11 septembre peuvent tous être interrogés de manière critique (Jackson, 2007; Toros, 2017; Zehfuss , 2003). Mais une enquête scientifique sérieuse sur ce qui s'est exactement passé le 11 septembre, comment cela a été réalisé et qui pourrait donc en être responsable reste strictement interdite.
Le terrorisme: une introduction critique (Jackson, Jarvis, Gunning et Smith, 2011) illustre ce point. Il loue les études critiques sur le terrorisme comme «rigoureuses sur le plan théorique et méthodologique, sensibles à la politique d'étiquetage, réfléchies aux questions de savoir et de pouvoir et engagées dans la résolution des conflits et la sécurité humaine» (2011: 27). Pourtant, il semblerait qu'une plus grande auto-réflexion sur les questions de connaissances et de pouvoir soit nécessaire en ce qui concerne le 11 septembre. Les auteurs font référence au «récit dominant du 11 septembre [qui] a aidé à établir […] comment le public devrait interpréter les événements» (2011: 70). Ils notent que «les défis potentiels à la narration dominante ont été […] efficacement contrés par l'administration Bush et ses alliés par le biais de vigoureuses campagnes de diplomatie publique, d'appels prolongés au patriotisme, de discréditation des opposants politiques et de recours à des groupes de pression», tous «aidés» par des médias généralement dociles qui ont directement répété la compréhension des sources officielles ou se sont simplement appuyés sur ces sources pour obtenir des indices sur la meilleure façon d'interpréter les attaques »(2011: 71). Pourtant, plutôt que de remettre en question le récit officiel du 11 septembre ou de demander pourquoi l'administration Bush a fait de si grands efforts pour fermer les récits alternatifs, les auteurs montrent simplement comment le récit officiel a été construit et propagé. Le pouvoir est décrit, pas contesté. Dans cette introduction «critique» au terrorisme, l'expression «faux drapeau» n'est pas mentionnée.
Noam Chomsky, pendant des décennies l'un des critiques les plus éminents de la politique étrangère américaine, refuse de considérer la possibilité que le 11 septembre soit une opération sous faux drapeau utilisée pour légitimer des guerres d'agression illégales. Selon Chomsky, la culpabilité de Ben Laden a été «présumée de manière plausible dès le départ» et «Dans le cas de Ben Laden, aucune discussion n'est nécessaire» (2011, 34; 2002, 146). Les preuves produites par le mouvement pour la vérité sur le 11/9 sont «essentiellement sans valeur», et l'idée que le gouvernement américain aurait pu savoir quoi que ce soit à l'avance sur les attaques a «une si faible crédibilité, je ne pense pas vraiment que ce soit sérieux»; d'ailleurs, «même si c'était vrai, qui s'en soucie? Je veux dire, cela n'a aucune signification »(2008b). L'acceptation aveugle de Chomsky du récit officiel du 11 septembre et son «ignorance volontaire» de la vérité sur le 11 septembre (Ryan, 2013) contrastent nettement avec ses travaux antérieurs sur la fabrication du consentement (Herman et Chomsky, 2010). En ce qui concerne le 11 septembre, Chomsky reste confortablement dans le spectre des opinions acceptables et fait partie intégrante de l'appareil de fabrication du consentement.
RépondreSupprimerEncore aujourd'hui, des universitaires de renom de renom acceptent automatiquement le récit officiel du 11 septembre selon lequel «les agents d'Al-Qaïda ont utilisé des cutters si efficacement pour détourner des avions commerciaux» (Mueller, 2018: 15). Il ne semble pas qu'un chercheur traditionnel en IR «tolère et encore moins entame des recherches sérieuses sur les antécédents et les implications de la guerre contre le terrorisme» (van der Pijl, 2014: 234). L'idée que le 11 septembre était un faux drapeau est tout simplement indescriptible, au-delà des limites de la discipline (les disciplines académiques ayant été créées précisément pour discipliner la pensée). De l'avis de van der Pijl, en ce qui concerne le 11 septembre, les chercheurs en RI les plus proches du pouvoir d'État - ce qu'il appelle la «base de renseignement académique» - «souscrivent à un canular évident - celui d'une série qui a déjà présenté le Tonkin Incident du Golfe, Lockerbie, le génocide des Albanais du Kosovo, les «armes de destruction massive» de Saddam Hussein et, aujourd'hui, le programme de bombes nucléaires de l'Iran »(van der Pijl, 2014: 234). Il s'agit d'une affirmation forte à faire, et qui nécessite un examen des preuves afin de déterminer leur plausibilité.
VÉRITÉ DU 11/9: PRINCIPALES CONCLUSIONS
RépondreSupprimerIl existe certaines propositions clés sur lesquelles la grande majorité des chercheurs sur la vérité sur le 11/9 seraient d'accord, sur lesquelles les universitaires feraient bien de commencer à réfléchir. Certains de ces points sont donnés ci-dessous. La plupart se trouvent dans les résultats de l'enquête du Groupe de concertation sur le 11/9 (Griffin et Woodworth 2018), qui a mis 23 experts sur six ans pour s'entendre, exigeant un taux de consensus de 85%. Le chapitre pertinent de cette enquête est indiqué entre crochets pour référence ultérieure. En problématisant le récit officiel du 11 septembre, cette section ouvre une incertitude inhérente à la connaissance du 11 septembre. Parce que les universitaires n'ont jamais enquêté correctement sur les événements du 11 septembre, il est impossible de dire avec une quelconque assurance scientifique ce qui s'est réellement passé ce jour-là, ce qui signifie qu'il n'y a pas de fondement scientifique pour la «guerre contre le terrorisme». Au lieu de cela, ce qui prévaut est «anti-science», selon lequel les scientifiques accusés par le gouvernement américain d'enquêter sur le 11 septembre «ont commencé par leurs conclusions et ont reculé vers certaines« hypothèses principales »» (Ryan, 2007: 64). Le rapport du NIST de 2008 sur la destruction du WTC 7, par exemple, publié sept ans après le début de la «guerre contre le terrorisme», «a toutes les caractéristiques d'une tentative de fraude scientifique» (Wyndham, 2017: 3). Les universitaires ont donc la responsabilité scientifique et morale d'enquêter sur le 11 septembre.
Les points suivants soulèvent des questions qui nécessitent une analyse plus approfondie plutôt que de fournir des réponses concernant ce qui s'est réellement passé le 11 septembre. Pour répondre à ces questions, une recherche minutieuse, systématique et impartiale est nécessaire, ce qui, sur une question de cette envergure, nécessite des projets de recherche, plusieurs articles, des monographies, etc. À cet égard, on espère que la communauté universitaire finira par relever le gant jeté par le mouvement pour la vérité sur le 11 septembre.
Dommages au World Trade Center
Il est impossible que des avions de ligne commerciaux aient causé la destruction complète des tours jumelles, qui ont été construites pour résister précisément à un tel impact [2]. Les incendies de bureaux, même s'ils étaient alimentés par du carburéacteur, n'auraient pas pu affaiblir ces structures métalliques massives pour produire les effets observés [2] (Ryan, 2007). Les affirmations officielles selon lesquelles il y avait des enfers généralisés dans la tour sud sont fausses [5]. Mais sinon les avions et les incendies de bureaux, qu'est-ce qui a détruit les tours jumelles ?
L'affirmation de la FEMA (2002: 2-27, 35) selon laquelle les planchers des tours se sont «crêpés» les uns sur les autres dans un «effondrement progressif» n'explique pas ce qui a détruit les 47 énormes colonnes à caissons en acier emboîtables au cœur de chaque tour (Jones, 2007: 58). Il n'était pas physiquement possible pour les étages supérieurs d'accélérer par le chemin de la résistance maximale (les étages inférieurs) à environ deux tiers du taux de gravité, à moins que la résistance des étages inférieurs ne disparaisse soudainement [9]. Si un effondrement par gravité n'était pas le mécanisme par lequel les tours jumelles ont été détruites, quel était-il ?
Des séquences vidéo des tours jumelles détruites montrent des poutres en I en acier massives éjectées horizontalement sur de grandes distances [4]. Qu'est-ce qui a causé ça ? Le fait que la pile de débris de ces deux bâtiments de 110 étages soit à peine au-dessus du niveau du sol [9] (figure 1) est cohérent avec les séquences vidéo et les photographies montrant que les tours ont été «tournées principalement en poudre dans les airs», c'est-à-dire avant toucher le sol - «un phénomène remarquable et étonnant» (Jones, 2007: 48; figures 2-4). Bien que des quantités massives d'énergie aient été libérées au cours du processus, évidentes dans la formation initiale de nuages de poussière (voir les figures 3 et 5) ainsi que l'expansion rapide des nuages de poussière pour envelopper l'ensemble du bas Manhattan, aucune lumière n'a été générée et la poussière les nuages étaient frais. Qu'est-ce qui aurait pu causer ça ?
RépondreSupprimerLes signaux sismiques enregistrés par l'Observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l'Université Columbia à Palisades, New York, révèlent des anomalies importantes. Par exemple, les lectures d'échelle de Richter 0,7 et 0,9 qui correspondent respectivement aux chocs d'impact des avions sur le WTC 2 et le WTC 1 se produisent avant les temps d'impact radar des avions et sont trop basses en fréquence pour correspondre aux impacts des avions [ 8]. Ces signaux nécessitent une explication.
Le World Trade Center 7 était un bâtiment de 47 étages qui n'a pas été touché par un avion le 11 septembre, mais à 17 h 20 ce jour-là, il est descendu spontanément, à vitesse de chute libre pendant les premières 2,25 secondes [11], tout droit dans sa propre empreinte, sa ligne de toit restant presque horizontale partout, n'endommageant pas les bâtiments adjacents. Le NIST affirme que cet «effondrement spontané» était uniquement dû aux «incendies de bureaux» et à un nouveau phénomène connu sous le nom de «dilatation thermique»; si cela était vrai, cela ferait du WTC 7 le seul grand bâtiment à ossature d'acier et protégé contre les incendies de l'histoire à avoir subi un tel sort [10, 14]. En réalité, la seule explication plausible de la destruction du WTC 7 implique la défaillance presque simultanée des 82 colonnes de support en acier (Hulsey et al., 2019). Et même alors, «les lois de Newton sur le mouvement et les considérations de conservation de l'énergie auraient dû être violées pour expliquer l'effondrement total du bâtiment dans un tas de débris de plusieurs étages» (Korol, Heerema et Sivakumaran, 2016: 25). Comment, alors, le WTC 7 a-t-il été détruit, par qui et à quelle fin ?
De nombreux rapports de témoins oculaires, y compris ceux présents dans les bâtiments, témoignent de grandes explosions et de la destruction des sous-sols / halls d'entrée du WTC 1, WTC 2 et WTC 7 avant la désintégration totale de ces bâtiments [1, 9, 17]. Cela mérite également une enquête plus approfondie.
«Fondamentalisme islamique»
Un examen des preuves empiriques rend hautement improbable que 19 hommes musulmans armés uniquement de coupe-boîtes étaient responsables du 11 septembre. Par exemple, il n'y a pas de preuves photographiques ou de témoins oculaires crédibles montrant l'un quelconque des prétendus pirates de l'air se préparant à embarquer sur l'un des quatre avions impliqués [41, 42]. Étant donné qu'il y avait plus de 300 caméras de sécurité uniquement à l'aéroport international de Dulles, cette anomalie doit être expliquée.
Le fait que les prétendus pirates de l'air, y compris le «fanatique religieux» Mohamed Atta, avaient de grandes sommes d'argent à dépenser pour l'alcool, la cocaïne et les danseurs au tour, suggère qu'ils n'étaient pas des musulmans pieux, encore moins des «fondamentalistes islamiques» [43, 44]. Si tel est le cas, cela saperait les prémisses de la «guerre contre le terrorisme» que «l'intégrisme islamique» était à blâmer pour le 11 septembre et, avec lui, la base de l'action militaire américaine dans une série de pays à majorité musulmane. Une enquête plus approfondie sur le rôle de l'intégrisme islamique le 11 septembre est donc nécessaire. Une telle enquête devrait tenir compte de la longue histoire du soutien américain et britannique au fondamentalisme islamique au Moyen-Orient afin de créer des divisions sectaires et de déstabiliser les régimes nationalistes arabes et iraniens (Anderson, 2016; Curtis, 2012).
RépondreSupprimerLa liste de 19 hommes nommés par le FBI comme les pirates de l'air présumés est connue pour être problématique, notamment parce que dix de ces hommes ont été vérifiés comme toujours en vie après le 11 septembre (Kolar, 2006: 12-13). Lorsqu'il a été démontré que deux des pirates de l'air présumés, qui se seraient rendus à Portland le 10 septembre, n'auraient pas pu être impliqués dans le 11 septembre, le FBI a simplement changé son identité avec celle de Mohamed Atta et Abdul Aziz al-Omari - mais rien ne prouve qu'Atta était à Portland ce jour-là [40]. En outre, il semble y avoir eu deux Ziad Jarrahs et deux Mohamed Attas (Kolar, 2006: 22-27) [44]. Tout cela est compatible avec l'utilisation de patsies et de doubles (identités simulées) dans des opérations de renseignement secrètes, ce qui souligne la nécessité de poursuivre les recherches sur le 11 septembre dans ce sens.
Selon la Commission nationale des attaques terroristes contre les États-Unis, 14 des 27 visas délivrés aux présumés pirates de l'air et huit conspirateurs ont été délivrés par le même consulat américain à Djeddah, en Arabie saoudite (Eldridge et al., 2004: 7). C'est le même consulat qui, selon les mots de son ancien chef de la section des visas, a été utilisé dans les années 1980 pour «amener des recrues, rassemblées par [la CIA et] Oussama ben Laden, aux États-Unis pour une formation terroriste par la CIA» probablement financé par un commerce illicite d'alcool (Springmann, 2001: 41-2). Cela suggère que les agents d'Al-Qaïda accusés du 11 septembre pourraient en fait être dirigés par la CIA. Selon Scott (2007: 77), «le réseau terroriste d'al-Qaïda accusé des attentats du 11 septembre a été soutenu et élargi par des programmes de renseignement américains et des opérations secrètes, à la fois pendant et après la guerre soviétique en Afghanistan». Les liens entre Al-Qaïda et le renseignement américain doivent être approfondis.
Il n'y a aucune preuve tangible reliant Oussama ben Laden au 11 septembre [39]. Cependant, de nombreuses preuves suggèrent que Ben Laden est décédé en décembre 2001 (Griffin, 2009). La «bande de confession» d'Oussama ben Laden publiée par le Pentagone en décembre 2001 est manifestement inauthentique (Kolar, 2006; Griffin, 2009: 22-36). Il est peu plausible d'affirmer que Ben Laden a en quelque sorte réussi à échapper au coup de filet de surveillance le plus sophistiqué de l'histoire pendant près d'une décennie après le 11 septembre, mais la suggestion selon laquelle il a servi de croque-mitaine dans la «guerre contre le terrorisme» est logique. Même lorsqu'il aurait été capturé, il a été tué et son corps jeté en mer, ce qui signifie qu'aucune preuve tangible de sa mort n'a pu être présentée au public. Des recherches supplémentaires sur la vie et la mort de Ben Laden sont nécessaires.
Le rôle des agences gouvernementales américaines
RépondreSupprimerLa Federal Aviation Authority et le North American Aerospace Defence Command ont été effectivement paralysés le 9/11 par leur incroyable décision d'organiser pas moins de douze «jeux de guerre» différents le même jour: le seul jour de l'histoire américaine après 1945 où les États-Unis les défenses aériennes devaient être pleinement opérationnelles [27]. De faux signaux radar ont été insérés dans les écrans des contrôleurs aériens. Une grande partie de la flotte de défense aérienne américaine a été détournée vers le Canada et l'Alaska. Les avions de chasse ont dû être rappelés des exercices d'entraînement jusqu'à Las Vegas. Un rapport indiquant que l'AA11 est toujours en vol après l'impact sur la tour nord a été reçu. Le ministère de la Défense et la Commission du 11 septembre n'ont pas signalé tous ces exercices sauf un [27]. Compte tenu des preuves abondantes du chaos et de la confusion provoqués par les jeux de guerre du 11 septembre, les déclarations de hauts responsables selon lesquelles les exercices ont amélioré la réponse militaire aux attaques manquent de crédibilité [27]. Une enquête approfondie sur les jeux de guerre du 11 septembre est donc nécessaire.
L'un des bâtiments les plus défendus au monde, le Pentagone, a été frappé après que la tour Sud ait été touchée, date à laquelle il était clair que les États-Unis étaient attaqués. Les déclarations officielles selon lesquelles l'attaque contre le Pentagone n'aurait pu être ni prévue ni empêchée ne résistent pas à l'examen [19, 20]. Les allégations officielles selon lesquelles l'armée n'était pas préparée pour les avions domestiques détournés utilisés comme armes sont fausses [26]. En fait, plusieurs simulations avaient eu lieu entre 1999 et mai 2001 en préparation d'un crash d'un avion de ligne au Pentagone [21]. Comment, alors, une attaque réussie contre le Pentagone a-t-elle été possible en premier lieu ?
L'affirmation officielle selon laquelle le secrétaire américain à la Défense, Donald Rumsfeld, n'était pas en mesure de faire quoi que ce soit contre les attaques du 11 septembre ou le crash de l'AU 93 est fausse [33]. L'affirmation officielle selon laquelle le général Richard B. Myers, vice-président de l'état-major interarmées, n'était pas présent au Pentagone lors des attaques, est également fausse [34]. Le général Hugh Shelton, président des chefs d'état-major interarmées, a affirmé être rentré au Pentagone à 12 h 30 le 11 septembre d'un vol à destination de la Hongrie, mais les preuves indiquent qu'il est effectivement arrivé quatre heures plus tard, le rendant absent lorsque la plupart des nécessaires [35]. Lorsque le brigadier-général Montague Winfield a déclaré à ABC en 2002 que l'armée avait décidé "d'essayer d'intercepter le vol 93", le Pentagone a cherché à minimiser son rôle en affirmant qu'il n'était pas directeur adjoint des opérations au Commandement militaire national le 11 septembre; pourtant, les preuves suggèrent qu'il l'était [36]. Les éléments de preuve indiquent que le général Ralph Eberhart a été «négligé dans son devoir», s’il est resté au secret pendant les attaques et a retardé activement la réponse des militaires aux attaques [37]. Le rôle des hauts responsables militaires américains durant le 11 septembre nécessite donc une enquête plus approfondie.
Le FBI a prétendu avoir récupéré le passeport entièrement intact de l'un des prétendus pirates de l'air de Ground Zero, bien qu'il n'ait pu récupérer aucun des composants soi-disant «indestructibles» des boîtes noires des vols AA11 et UA175 [25]. Bien que le Pentagone était entouré de caméras de vidéosurveillance et qu'il y avait également des caméras de vidéosurveillance dans les bâtiments voisins dont les images pouvaient être utilisées pour démontrer de manière concluante ce qui avait frappé le Pentagone, le FBI a tout confisqué [21], ne publiant tardivement que deux bandes en 2006 qui ne le font pas. semblent montrer un avion de ligne commercial. Couplé avec les images de vidéosurveillance manquantes de l'aéroport des prétendus pirates de l'air et le rôle du FBI dans leur (mauvaise) identification, des recherches doivent être menées sur la possibilité que le FBI soit au premier plan d'une dissimulation.
RépondreSupprimerLes services secrets, après avoir appris le premier impact sur les tours jumelles, ont permis au président Bush de rester dans une salle de classe à Sarasota, en Floride, pendant dix minutes supplémentaires, puis lui a permis de livrer son adresse télévisée régulière, annonçant ainsi son emplacement à des pirates de l'air potentiels attaquant les États-Unis, pour lesquels le président aurait pu être une cible clé [29-30]. De l'avis de Griffin, «ce comportement n'a de sens que si les services secrets savaient que les attaques prévues n'incluaient pas d'attaque contre le président. Et comment pourrait-on le savoir avec certitude à moins que les attaques ne soient menées par des personnes au sein de notre gouvernement ? » (2007: 13). Le rôle des services secrets dans le 11 septembre mérite une enquête plus approfondie.
L’agence pour la santé environnementale, sur ordre de la Maison Blanche, a affirmé que l’air autour de Ground Zero était sûr de respirer, mais des milliers de premiers intervenants sont décédés prématurément de cancers. En particulier, l'incidence du cancer de la thyroïde est 2 à 3 fois plus élevée chez les intervenants du World Trade Center, les pompiers et les résidents exposés au Département de la santé de New York que dans les registres du cancer en général (Gerwen et al., 2019: 1600). Les raisons de cela ne peuvent pas être expliquées par l'amiante dans les tours ou par un diagnostic excessif en raison du biais du médecin (Gerwen et al., 2019: 1602-4) et doivent donc être correctement étudiées.
Le maire de New York, Rudolf Giuliani, a déclaré en direct à l'antenne de Peter Jennings, sur ABC, qu'il avait été informé à l'avance que les tours jumelles étaient sur le point de s'effondrer, mais il n'a pas ordonné leur évacuation et a par la suite nié être au courant de l'événement [28]. Il a cependant évacué le Bureau de la gestion des urgences situé au WTC 7 avant 9 heures du matin ce matin-là, où il était basé; ce bureau semble avoir été responsable de la diffusion d'informations selon lesquelles les tours jumelles et le WTC 7 s'effondreraient [38]. Des recherches supplémentaires sont nécessaires sur le rôle de Giuliani dans le 11 septembre (y compris l'opération de nettoyage accéléré) ainsi que sur la connaissance officielle de la destruction du WTC 1, du WTC 2 et du WTC 7.
Les rapports de la Federal Emergency Management Agency (2002), de la Commission du 11 septembre (2004) et de l'Institut national des sciences et de la technologie (2005 et 2008) sont connus pour être truffés d'inexactitudes, d'omissions et de distorsions. Par exemple, la destruction du WTC 7 est évitée à la fois par le rapport de la Commission sur le 11/9 et le rapport 2005 du NIST. Lorsque le rapport du NIST de 2008 a finalement abordé le WTC7, il a fourni une explication qui reposait sur une simulation informatique non évaluée par des pairs qui n'a pas imité la réalité observée, dont les données n'ont pas été publiées [13]. Le NIST a également tenté de cacher les schémas structurels du WTC 7 qui rendent son explication de l'effondrement impossible [14]. Et il a tenté de dissimuler le fait que l'acier présentant un effet particulier de «fromage suisse» avait été récupéré du WTC 7 [15]. Ces rapports sont largement considérés comme des dissimulations dans la communauté de la vérité sur le 11/9, et leur statut peu fiable, peut-être frauduleux, a besoin d'explications.
RépondreSupprimerLes principaux responsables n'ont pas été tenus responsables de leur incapacité à faire leur travail le 11 septembre. Il s'agit notamment de Donald Rumsfeld [33], qui a été photographié sur la pelouse du Pentagone au lieu d'assumer ses fonctions urgentes de secrétaire à la Défense (il a reçu la plus forte augmentation des dépenses de défense depuis la guerre du Vietnam). Le général Ralph Eberhart, qui a présidé à l'échec catastrophique du NORAD pour empêcher les attaques du 11 septembre et a menti sous serment à la Commission du 11 septembre [37], a ensuite été promu chef du United States Northern Command. Le vice-président Dick Cheney, qui a donné l'ordre de ne pas abattre l'avion s'approchant du Pentagone, mais qui aurait pu, contrairement au récit officiel, donner l'ordre de faire abattre United 93 (Shanksville) [31, 32] , est resté en poste. Il faut se demander pourquoi les hauts fonctionnaires ont été récompensés, et non punis, pour leurs échecs du 11 septembre.
Indications possibles d'une faute financière
L'analyse économétrique suggère que des délits d'initiés ont eu lieu dans les jours précédant le 11 septembre 2001 [51]. Poteshman (2006: 1725), par exemple, conclut: «il existe des preuves d'une activité inhabituelle sur le marché des options dans les jours précédant le 11 septembre, ce qui est cohérent avec le fait que les investisseurs négocient sur une connaissance préalable des attaques.» Wong, Thompson et Teh (2010: 43-4, 1) trouvent «des preuves circonstancielles crédibles [à] l'appui de la réclamation pour délit d'initié», y compris «une augmentation anormale significative du volume des transactions sur le marché des options juste avant le 9- 11 attaques »et« des preuves cohérentes avec trois stratégies de spéculation baissières ». Chesney, Crameri et Mancini (2015: 26, 29) identifient les transactions d'options anormales (c'est-à-dire celles qui «génèrent des gains importants, ne sont pas utilisées à des fins de couverture d'options et ne sont effectuées que quelques jours avant la survenance d'un événement spécifique») sur American Airlines, United Airlines, Delta Air Lines, Boeing et KLM avant le 11 septembre. Ces études, qui n'ont pas été contestées, nécessitent une enquête plus approfondie sur les délits d'initiés sur la base de la connaissance préalable du 11 septembre. Ryan (2010) suggère des pistes d'enquête possibles.
La veille du 11 septembre, Donald Rumsfeld a annoncé que le Pentagone ne pouvait pas rendre compte de 2,3 billions de dollars de fonds manquants. La seule section du Pentagone à être touchée le 11 septembre contenait les bureaux comptables, où les comptables ont été tués, rendant cet argent impossible à retrouver. Comme l'explique l'analyste du renseignement Robert David Steele, «le 11 septembre, tout ce qui a frappé le Pentagone aurait détruit tous les ordinateurs contenant toutes les données nécessaires pour enquêter sur les 2,3 billions de dollars manquants» (2010: 369, n. 23). Une enquête approfondie doit être menée sur cet argent manquant, en particulier compte tenu des recherches récentes indiquant qu'un montant estimé à 21 billions de dollars ne peut pas être comptabilisé dans les dossiers financiers du ministère de la Défense et du ministère du Logement et du Développement urbain entre 1998 et 2016 ( Skidmore et Fitts, 2019).
RépondreSupprimerLarry Silverstein a signé un bail de 99 ans sur les tours jumelles et les bâtiments 4 et 5 seulement sept semaines avant le 11 septembre (Port Authority, 2001). Alors que l'autorité portuaire de New York et du New Jersey avait assuré le complexe du WTC et les trois aéroports de la région de New York pour un total de 1,5 milliard de dollars, Silverstein s'est donné beaucoup de mal pour que les bâtiments soient assurés seuls pour 3,55 milliards de dollars (Frankel, 2002). Après la destruction des tours jumelles, il a fait valoir que la destruction de chaque tour devrait compter comme un événement distinct et a passé des années devant les tribunaux à essayer de réclamer un paiement de 7,1 milliards de dollars de sa police d'assurance de 3,55 milliards de dollars, pour finalement en retirer 4,55 milliards de dollars, le règlement d'assurance le plus important de l'histoire (Bagli, 2007). Silverstein détenait également le bail sur le WTC 7, ce qui signifie qu'il détenait le bail sur cinq des sept bâtiments du WTC; tous les bâtiments détruits le 11 septembre avaient un préfixe WTC. Remarquablement, Silverstein a choisi le 9/11 de tous les jours de ne pas prendre son petit déjeuner habituel au sommet de la tour nord, et ses deux enfants, qui travaillaient dans les tours jumelles, se sont également avérés en retard pour le travail ce jour-là (van der Pijl, 2019: 34). Une enquête plus approfondie est nécessaire sur l'extraordinaire bonne fortune de "Lucky Larry".
Les avions de passagers
Rien n'indique que le vol United 93 s'est écrasé dans un champ près de Shanksville, en Pennsylvanie, plutôt que d'avoir été abattu [23]. Rien ne prouve non plus que ce soient les «pirates de l'air» qui aient éteint les transpondeurs sur trois des quatre vols; «Au lieu de cela, un éventail de preuves existe pour remettre en question le fait que des pirates de l'air étaient dans les avions» [24]. Par exemple, aucun des quatre aéronefs présumés impliqués dans le 11/9 n'a utilisé le code de détournement, même si le pilote ou le copilote aurait eu suffisamment de temps pour le faire [22]. Le compte rendu officiel de ce qui est arrivé aux boîtes noires des quatre avions n'est pas fiable [25].
La campagne «Let’s roll» glorifiant l'héroïsme des passagers du vol UA 93 était basée sur un appel téléphonique du passager Todd Beamer dont l'authenticité est douteuse [47]. L'authenticité des appels téléphoniques signalés par Barbara Olson du vol AA 77 est également discutable [48]. Bien que les appels téléphoniques des avions de ligne à haute altitude (volant au-dessus de 20 000 pieds) étaient presque impossibles en 2001, le FBI et la Commission du 11 septembre n'ont rien fait avant 2006 pour mettre en doute les informations parues dans la presse selon lesquelles six passagers avaient passé des appels par téléphone cellulaire, même bien que les heures auxquelles ces appels ont été passés placent l'avion impliqué à haute altitude [49]. Lors du procès de Zacarias Moussaoui en 2006, le FBI a modifié sa ligne, affirmant que tous les appels, sauf deux, qui avaient été signalés comme des appels sur des téléphones portables étaient en réalité passés à partir de téléphones embarqués; non seulement cette affirmation est réfutable (par exemple par identification de l'appelant), mais le fait que le FBI ait modifié sa ligne remet en question sa crédibilité antérieure [50].
RépondreSupprimerL'un des prétendus pirates de l'air du 11 septembre, Hani Hanjour, est connu pour être un terrible pilote à peine capable de piloter un Cessna monomoteur. L'affirmation officielle selon laquelle dans un Boeing 767 il a effectué une manœuvre complexe de tire-bouchon de 330 degrés vers le bas, descendant de 7 000 pieds en trois minutes avant de percuter le Pentagone à 580 milles à l'heure, n'est pas crédible [18]. En effet, cette trajectoire extraordinaire nécessite encore une explication plausible.
Les médias grand public
CNN a rendu compte de la destruction imminente du WTC 7 pendant plus d'une heure avant qu'il ne se produise; MSNBC savait à l'avance que le bâtiment allait tomber; et la BBC a rapporté 23 minutes prématurément que le WTC 7 s'était déjà effondré (avec le bâtiment toujours en arrière-plan du rapport) [16]. Comment ces organes de presse ont-ils obtenu une connaissance préalable de l'événement et pourquoi (dans le cas de la BBC) ont-ils cru leurs sources plus que leurs propres yeux?
Après le 11 septembre, les médias traditionnels ont apporté un soutien indiscutable à tous les aspects du récit officiel, propageant la guerre et classant ensuite la résistance irakienne à l'occupation américaine et britannique comme un terrorisme d'Al-Qaïda (Chossudovsky, 2005: 194-195). "Comme pour le rapport de la Commission sur le 11/9 et les préparatifs de la guerre en Irak", écrit Ryan (2007: 65) à propos des rapports du NIST de 2005, "les principaux médias ont simplement rejeté toutes les explications, ou non-explications, données à l'appui de l'histoire officielle. " Qu'est-ce qui explique cet échec abject du «quatrième état» à tenir le pouvoir responsable ?
Dans les années qui ont suivi le 11 septembre, les médias américains ont montré à plusieurs reprises des images des tours jumelles détruites mais pas du WTC 7 (Griffin et Woodworth, 2018: 37); jusqu'en 2013, 46% des citoyens américains ignoraient qu'une troisième tour avait été détruite le 11 septembre (McLeod, 2013). Les médias n'ont pas non plus rendu compte des jeux de guerre du 11 septembre (Four Arrows, 2006: 130). Plus récemment, il n'y avait pratiquement aucune mention du rapport Hulsey (2019) dans les médias grand public. Qu'est-ce qui explique de telles omissions flagrantes, qui travaillent toujours en faveur du récit officiel ?
Pourquoi «un nombre étonnamment élevé de médias de gauche - la plupart d'entre eux, en fait - ont adopté la même position le 11/9 que Chomsky: refuser d'enquêter sur le 11/9 et décourager ou ridiculiser ceux qui le font» (Zwicker , 2006: 218)? Un exemple bien connu est Amy Goodman, le visage de Democracy Now, que des preuves vidéo placent près du WTC 7 peu de temps avant sa destruction, mais qui refuse fermement de discuter de la vérité sur le 11 septembre.
RépondreSupprimer«Même alors qu'elle se déroulait encore», note King (2005: 47), «l'attaque du World Trade Center du 11 septembre 2001 a été décrite à de nombreuses reprises comme quelque chose« d'un film »[…] Les images étaient, en certains aspects, étrangement similaires à ceux offerts par un certain nombre de superproductions hollywoodiennes produites au cours de la décennie précédente »(King, 2005: 47). Si le 11 septembre était un faux drapeau, ces étranges similitudes ont besoin d'explications. MacGregor (2006: 206) fait une observation intéressante: «De nombreux films sur les catastrophes et des thrillers de complot comme Arlington Road, qui se sont terminés par un attentat terroriste massif à Washington, ont amorcé l'inconscient collectif américain le 9-11.» Dans quelle mesure cela a-t-il été délibéré, visant à rendre le quasi-impossible (c'est-à-dire une attaque massive contre une ville américaine à l'époque «unipolaire») non seulement possible mais peut-être même prévisible? Une recherche sur Internet de «programmation prédictive du 11 septembre» renvoie des centaines, voire des milliers d'exemples de préfiguration possible du 11 septembre dans la culture populaire. Pourtant, malgré «l'étendue du contrôle exercé par le gouvernement américain à Hollywood», aboutissant à «un vaste appareil de propagande militarisé opérant dans l'industrie du divertissement sur écran aux États-Unis» (Secker et Alford, 2017), la possibilité que cette industrie puisse être utilisé pour conditionner la réponse du public au terrorisme sous faux drapeau reste inexploré dans la littérature universitaire.
Les films hollywoodiens World Trade Center (2006) et United 93 (2006) ont fortement renforcé le récit officiel au moment même où il était remis en question par un mouvement de vérité émergent du 11 septembre. Ce dernier prétend s'appuyer en partie sur des appels de téléphones portables dont l'authenticité est douteuse [47] et finit par exonérer les chefs militaires de tout blâme possible pour le sort du vol UA 93, même si le champ de débris de huit milles était compatible avec une fusillade -down et le vice-président Cheney aurait pu donner l'ordre d'abattre à temps [23, 32]. Des études exposant la nature ouvertement propagandiste de ces films sont nécessaires.
Sommaire
Les points ci-dessus, tout en offrant un résumé très condensé de ce sur quoi la plupart des chercheurs du 11 septembre conviendraient probablement sur la base d'un examen des preuves empiriques, rayent à peine la surface du tableau d'ensemble concernant le 11 septembre. Néanmoins, ils devraient être suffisants pour inciter les chercheurs en RI à reconsidérer de manière critique leurs présupposés fondamentaux concernant le 11 septembre.
RAISONS POUR LESQUELLES LES BOURSIERS IR IGNORENT LA VÉRITÉ DU 11/9
Étant donné le nombre important de preuves indiquant que le récit officiel du 11 septembre est faux, pourquoi rien de tout cela n'apparaît dans la discipline des relations internationales ? Je propose trois raisons principales: (i) l'arsenalisation du terme «théorie du complot»; (ii) le tabou de la remise en cause des structures dirigeantes de la société; et (iii) un climat politique néo-maccarthyite.
RépondreSupprimerL'armement de la «théorie du complot»
Les chercheurs de l'IR, comme d'autres universitaires, semblent avoir pris leur exemple du président George W. Bush (2001): «Ne tolérons jamais des théories de complot scandaleuses concernant les attentats du 11 septembre.» La réaction instinctive à quiconque remet en question le récit officiel du 11 septembre est de les qualifier de «théoricien du complot», et étonnamment, cela est vrai même dans le monde universitaire. Par exemple, considérez les commentaires des examinateurs suivants que j'ai reçus sur un manuscrit soumis à une autre revue:
La section 9/11 regorge d'informations très douteuses qui ne résistent même pas à un examen minutieux. Un exemple est la discussion de WTB7, où l'auteur refait une célèbre théorie du complot discréditée. Ce n'est vraiment pas un mystère pourquoi WTB7 s'est effondré (et pourquoi il a été signalé avant l'effondrement). Frappé par des débris et en feu pendant sept heures, il a finalement été abandonné par les pompiers, puis s'est effondré.
Ces mots, qui perroquent le récit officiel et recourent instinctivement à la «théorie du complot», ont été écrits après la publication de l'étude de l'Alaska, Fairbanks, qui conclut que «l'incendie n'a pas provoqué l'effondrement du WTC 7 le 9/11» ( Hulsey et al., 2019: 2). Où est la science ici et où est la superstition ?
Comme les spécialistes des RI devraient vraiment le savoir, le terme «théorie du complot» est armé. Bien qu'utilisé auparavant, il a été systématiquement propagé par la CIA à travers les médias grand public à partir de 1967 afin de détourner les accusations selon lesquelles des responsables au plus haut niveau du gouvernement américain étaient complices du meurtre du [président] Kennedy. […] La campagne de la CIA pour populariser le terme «théorie du complot» et faire de la croyance en complot une cible de ridicule et d'hostilité doit malheureusement être considérée comme l'une des initiatives de propagande les plus réussies de tous les temps. (deHaven-Smith, 2013: 25)
Comme le souligne Falk (2007: 120), «cette gestion des soupçons [par le biais de l'étiquette« théorie du complot »] est elle-même suspecte.» Rejeter la vérité sur le 11 septembre comme une «théorie du complot» n'est pas seulement intellectuellement paresseux, conciliant et mal informé, c'est aussi la marque de la vulnérabilité à une opération de guerre psychologique de longue date. Une telle approche est indigne d'une érudition sérieuse.
Il existe aux États-Unis une tradition intellectuelle de chercher à discréditer quiconque prend au sérieux la possibilité de complots de haut niveau dans la politique américaine. Cela remonte à l’essai de Richard Hofstadter de 1964 sur le «style paranoïaque» de la politique américaine (Hofstadter, 1965). Alors que «il n'y a rien de paranoïaque à prendre note» de véritables «actes de complot dans l'histoire», soutient Hofstadter un an après l'assassinat de JFK, nous devons nous méfier des théories du complot qui «nous alertent sur un jugement déformé» (1965: 29, 6) . Cette tendance ne se limite pas aux «personnes dont l'esprit est profondément perturbé», mais décrit également «les modes d'expression des personnes plus ou moins normales» (Hofstadter, 1965: 4). L'hypothèse non formulée étant que de véritables actes de complot n'ont pas lieu dans le système politique américain, cela implique que toute personne sensée qui pointe des preuves de tels actes doit être «paranoïaque», son jugement «déformé».
RépondreSupprimerCette tradition est devenue militarisée en 2009 lorsque le professeur de droit de Harvard, Cass Sunstein, récemment nommé président du bureau Obama du Bureau de l'information et des affaires réglementaires, a co-écrit un document préconisant l'utilisation d'agents gouvernementaux anonymes pour s'engager dans une «infiltration cognitive de groupes extrémistes, conçu pour introduire la diversité informationnelle dans de tels groupes et pour exposer les théories du complot indéfendables en tant que telles »(Sunstein et Vermeule, 2009: 205). La vérité sur le 11 septembre est la cible principale du journal. «Les agents du gouvernement (et leurs alliés)», proposent les auteurs, «pourraient pénétrer dans les bavardoirs, les réseaux sociaux en ligne ou même les groupes de l'espace réel et tenter de saper les théories du complot en infiltrant en soulevant des doutes sur leurs prémisses factuelles, leur logique causale ou leurs implications. pour action, politique ou autre »(2009: 224).
Bien que les prémisses, la logique et les implications de l'article de Sunstein et Vermeule soient complètement réfutées par Hagen (2011) et Griffin (2011), il est clair qu'il y a eu une infiltration massive du mouvement de vérité du 11 septembre par des agents cherchant à le renverser ( voir Johnson, 2011; 2017). «L'interférence dans la recherche en cours», écrit Johnson (2011: 233), a conduit à «une baisse de la qualité de la discussion» et à «des changements apparemment temporaires et permanents dans le comportement des personnes impliquées dans la recherche sur le 11/9». La fracture du mouvement pour la vérité sur le 11 septembre n'est pas accidentelle mais plutôt le résultat de tentatives délibérées de le saper. Les techniques utilisées comprennent l'ensemencement de la désinformation, le ridicule de certains auteurs, la promotion de théories absurdes et la censure pure et simple (dans le cas du Dr Judy Wood). Bien sûr, si des éléments du gouvernement américain étaient complices du 11 septembre, les efforts généralisés des «agents du gouvernement [américain] (et de leurs alliés)» (Sunstein et Vermeule, 2009: 244) pour renverser le mouvement de vérité du 11 septembre font sens.
Le pouvoir du tabou
RépondreSupprimerCertains sujets sont jugés interdits pour des raisons sociopolitiques. Le principe de base est de ne jamais discuter de tout ce qui est en conflit avec la structure dirigeante de la société, et ce principe est appliqué par l'exclusion systématique de ces sujets de la considération dans les médias traditionnels et le discours politique, de sorte que tout débat et discussion reste confiné à un spectre d'opinion acceptable (McMurtry, 1988; Herman et Chomsky, 2010). Une «spirale de silence» s'installe alors dans laquelle les individus, consciemment ou inconsciemment refusant de sortir du spectre des opinions acceptables, ne le remettent jamais en question (Noelle-Neumann, 1993). En termes anthropologiques, note Chomsky (2008: 177), «nous avons affaire ici à une forme de tabou, une éviction superstitieuse profondément enracinée d'une question terrifiante […]»
Le tabou contemporain est la vérité sur le 11 septembre et la question terrifiante est de savoir comment le pouvoir fonctionne vraiment aux États-Unis. Car si la vérité du 11 septembre devait être pris par des arbitres influents de la réalité aussi précis, comme un nombre croissant de personnes ici et à l'étranger semblent le croire, alors il montrera la grande vulnérabilité du constitutionnalisme américain à la subversion fondamentale de l'intérieur par les membres les plus extrêmes et éthiquement dépravés de sa propre communauté politique . (Falk, 2007: 122)
La possibilité que le système politique américain, un phare autoproclamé de la démocratie, ait été détourné par des psychopathes et des criminels de guerre n'est pas quelque chose que la plupart des gens sont prêts à accepter. «Les conclusions [sur la complicité des États-Unis dans les attentats] sont difficiles à accepter», reconnaît Chossudovsky, «car elles pointent vers la criminalisation des échelons supérieurs de l'État. Ils confirment également la complicité des médias d’entreprise à défendre la légitimité du programme de guerre de l’Administration et à camoufler les crimes de guerre parrainés par les États-Unis »(2005, xxi).
La «gauche de l'establishment», pour emprunter le terme approprié de MacGregor (2006: 194), rechigne à reconnaître toute possibilité d'implication du gouvernement américain dans le 11 septembre. Il comprend des personnalités telles que Mary Kaldor, Samir Amin, Michael Parenti, Michael Mann, Charles Tilly, Tom Nairn, Susie Orbach et Stephen Lukes, ainsi que «un éventail de revues et de sites Web de gauche et libéraux, de Counterpunch à The Nation and from Socialist Register to The New Left Review »(MacGregor, 2006: 193-6). La gauche de l'establishment interprète généralement le 11 septembre comme un «retour de flamme», c'est-à-dire une réponse prévisible des exclus et des défavorisés du monde à la mondialisation dirigée par les États-Unis, la périphérie opprimée contre le noyau impérial. Il est difficile de contester l’évaluation de MacGregor selon laquelle la gauche de l’establishment est «déconnectée des réalités historiques du terrorisme», ne reconnaissant pas «la source de terreur la plus virulente, l’État [lui-même]» (2006: 199).
Psychologiquement, la vérité du 11 septembre peut générer un sentiment d'insécurité ontologique lorsque ceux qui s'y réveillent réalisent que les propositions clés qu'ils ont été socialisés pour accepter sont fausses. Comme l'écrit un universitaire américain, remettre en question le récit officiel du 11 septembre signifie que «tout change». Les changements possibles incluent:
perte de confiance et de confiance dans le gouvernement; perte de confiance dans la valeur de la participation démocratique; perte de la croyance en ma propre tradition en tant que porteuse de «civilisation»; perte de confiance dans le pouvoir du dialogue et du compromis comme base de la société civile; perte de confiance dans l'ouverture et la transparence des politiques publiques; perte de confiance dans mon gouvernement démocratiquement élu pour agir selon des valeurs et des principes compatibles avec les miens, etc. (Smith, 2012: 348)
RépondreSupprimerComme l'indique le langage de la perte, c'est beaucoup pour quiconque à accepter, et trop pour de nombreux Occidentaux, du moins pour commencer.
Néo-maccarthysme
Il existe un lien de longue date entre les guerres américaines et la suppression de la liberté académique:
Trop souvent, un appel aux armes à l'étranger contre la dernière menace à l'hégémonie américaine a également un champ de bataille national. De la Première Guerre mondiale aux excès nationalistes qui ont suivi les attentats du 11 septembre, des entités publiques et privées ont tenté de purger la liberté d'expression de l'académie sans laquelle la recherche de la vérité serait vaine. (Kirstein, 2009: 70)
Après le 11 septembre, les gouvernements des États-Unis, de la Grande-Bretagne et d'ailleurs «ont légiféré des limites extrêmement rigoureuses à la dissidence concernant la guerre contre le terrorisme» (MacGregor, 2006: 195). Le silence académique sur la vérité sur le 11/9 peut, en conséquence, être attribué à «l'effet disciplinant de la guerre contre le terrorisme et de l'état d'urgence, qui […] est encore plus fort que l'anticommunisme de l'époque McCarthy» (van der Pijl, 2014 : 229). Le climat néo-mccarthyite de peur et d'intimidation qui s'est abattu sur le monde universitaire après le 11 septembre a «considérablement entravé l'acceptation et la publication de documents de recherche qui remettent en question ou contredisent le compte rendu officiel de cet événement» (Wyndham, 2017: 3).
Les universitaires sont confrontés à de dissuasifs clairs lorsqu'il s'agit de s'exprimer sur le 11 septembre.
Par exemple, lorsque William Woodward, professeur de psychologie à l'Université du New Hampshire, a exprimé son point de vue selon lequel l'administration Bush avait autorisé le 11 septembre en 2006, des étudiants et des législateurs de l'État ont appelé à son licenciement. La même chose est arrivée à Kevin Barrett, un professeur de l'Université du Wisconsin-Madison qui croyait que l'administration Bush avait orchestré le 11 septembre afin de justifier des opérations militaires en Irak (Rosborough, 2009: 565-6). Le professeur Steven E. Jones, un nom influent dans la vérité sur le 11 septembre, aurait été mis à la retraite par l'Université Brigham Young en 2006. Le Dr Judy Wood a quitté l'Université de Clemson en 2006 pour des raisons qui ne sont pas claires, mais il semble que son 11 septembre la recherche était incompatible avec la détention d'un poste universitaire. Le Dr Daniele Ganser a été licencié par l'ETH Zurich en 2006 pour «diffusion de théories du complot absurdes» à propos du 11 septembre, pour citer son ancien supérieur hiérarchique, le professeur Kurt Spillmann (cité dans Schawinski, 2081: 41). Lorsque Morgan Reynolds a soulevé des doutes fondés sur des preuves concernant le récit officiel en 2007, il a été désigné pour censure par l'Université du Texas au président d'Austin et l'ancien directeur de la CIA, Robert Gates (Reynolds, 2007).
La pression sur les universitaires pour qu'ils perdent leur emploi pour avoir dénoncé le 11 septembre a été reflétée dans d'autres secteurs. Kevin Ryan, ancien directeur du site des Underwriters Laboratories (qui a certifié l'acier WTC), a été licencié en 2004 après avoir publiquement contesté l'affirmation officielle selon laquelle le «carburéacteur» avait causé la destruction des tours jumelles. Cate Jenkins a été licenciée par l'Environmental Protection Agency (EPA) en 2010 après avoir parlé du rôle de l'agence dans la dissimulation des niveaux de toxicité dans les poussières du World Trade Center. Lorsqu'un tribunal fédéral a statué que Jenkins avait été injustement congédiée et a ordonné à l'EPA de la réintégrer avec un arriéré de salaire, l'EPA l'a maintenue en congé administratif payé et a déposé de nouveau les mêmes charges contre elle en 2013 (Corbett, 2019). Michael Springmann, qui a dénoncé le rôle du consulat de Jeddah dans la fourniture de visas américains aux terroristes, a soudainement découvert, selon ses propres mots, qu'il «ne pouvait pas trouver d'emploi n'importe où» (cité dans Corbett, 2019).
RépondreSupprimerBien que les contre-incitations à la vérité sur le 11 septembre soient grandes, les incitations à suivre la ligne officielle le sont aussi. Falk (2007: 127) le résume: «Jamais auparavant il n'a été aussi impératif de lutter pour un véritable rendu de la réalité du 11/9, et jamais les incitations n'ont été plus grandes pour empêcher un tel rendu.» Par exemple, l'expert en explosifs Van Romero, qui a changé son air de «dispositifs explosifs à l'intérieur des bâtiments […] a causé l'effondrement des tours» à «certainement l'incendie est ce qui a provoqué la défaillance du bâtiment» a remporté 15 millions de dollars de recherche fédérale financement (Reynolds, 2007: 112).
Les sceptiques se demandent parfois pourquoi il y a si peu d'articles de revues académiques sur la vérité du 11 septembre, comme si la connaissance ne pouvait être authentique que si elle était tamponnée avec l'imprimatur de la revue par les pairs. Mais lorsque l'environnement institutionnel du monde universitaire est si hostile à la vérité sur le 11/9 - pour des raisons politiques plutôt qu'intellectuelles - alors la rareté de la littérature scientifique évaluée par les pairs sur les événements du 11 septembre n'est pas une surprise:
Comme la recherche sur le 11/9 l'a montré sous une forme peut-être amplifiée, le processus officiel d'examen par les pairs peut être utilisé comme une arme pour enterrer les opinions opposées et étouffer la recherche indépendante dont les conclusions naturelles sont en opposition avec les récits établis ou officiels et les intérêts acquis. La tendance à mépriser ou à dénigrer un document qui n'a pas traversé ou survécu au processus officiel d'examen par les pairs est répandue mais souvent injustifiée (Wyndham, 2017: 6).
En effet, il est certainement vrai que certaines recherches extrêmement importantes sur le 11 septembre existent dans un format non évalué par des pairs (voir référence 6). Dans la mesure où le système d'examen par les pairs a fonctionné pour étouffer la vérité sur le 11 septembre, comme le prétend Wyndham, il va même de soi que certaines des recherches les plus importantes sur le 11 septembre n'ont peut-être pas fait l'objet d'un examen par les pairs.
Les universités, prétendues gardiennes du savoir légitime, restent le seul endroit où la recherche sur les événements du 11 septembre est généralement interdite. Une telle recherche déplairait sans aucun doute aux entreprises et aux bailleurs de fonds de l'État, ainsi qu'à une partie importante des étudiants, du personnel et du grand public qui, n'ayant jamais enquêté de manière indépendante sur les événements du 11 septembre, acceptent sans réserve le récit officiel. Contrairement aux idées sur la liberté académique, la réalité est qu'à peine un mot menaçant l'orthodoxie officielle le 11 septembre peut être prononcé dans le monde universitaire. Les universitaires qui se sont exprimés ont tendance à être des professeurs émérites ou à la retraite avec peu à perdre au niveau de leur carrière, par ex. David Ray Griffin, Peter Dale Scott, Morgan Reynolds, Graeme MacQueen, Richard Falk, Robert Korol, Eric Larsen, John McMurtry et Kees van der Pijl.
RépondreSupprimerVan der Pijl s'est retrouvé à l'extrémité réceptrice du nouveau maccarthysme en 2019, lorsqu'il a démissionné de son statut d'émérite à l'Université de Sussex après que l'université a menacé de le retirer en raison d'un tweet dans lequel il alléguait l'implication du Mossad dans le 11 septembre. Il a accompagné sa décision d'un article académique complet fournissant des preuves à l'appui de sa réclamation, notant que la critique de l'État d'Israël n'équivaut pas à l'antisémitisme et affirmant que la tentative de l'université de le censurer équivaut à une attaque contre la liberté d'expression et liberté académique (van der Pijl, 2019). Quoi que l'on pense des vues de van der Pijl sur le 11 septembre, ces derniers points sont sûrement valables.
Le Dr Piers Robinson a été attaqué par le Huffington Post en 2018 pour avoir suggéré que les conclusions du panel du consensus sur le 11/9 présentaient `` un sérieux défi pour les universitaires et les journalistes traditionnels de commencer à poser des questions importantes sur le 11 septembre '' (York, 2018). Huit mois plus tôt, le Times avait tacitement demandé le licenciement de Robinson et de ses collègues du Syria Media Propaganda Working Group, les comparant à des négationnistes de la Shoah qu'un département de l'histoire n'emploierait pas (Keate, Kennedy, Shveda et Haynes, 2018). En avril 2019, le journal étudiant de l'Université de Sheffield, The Forge, a allégué que Robinson 's'engageait dans le déni' des allégations d'antisémitisme au sein du Parti travailliste après avoir signé une pétition disant qu'il était 'utilisé comme une arme pour faire taire ceux qui dénoncent l'injustice.' Les universitaires qui osent contester les récits officiels peuvent, semble-t-il, s'attendre à se retrouver soumis à une campagne de diffamation médiatique dans le cadre d'un effort coordonné pour les discréditer.
CONCLUSION
Il y a quelque chose de sinistre dans le refus des universitaires de soumettre les événements du 11 septembre à un examen critique. Alors qu’une proportion importante et croissante de la population mondiale a longtemps douté du récit officiel du 11 septembre, le milieu universitaire a maintenu un régime rigoureux d’autocensure. Nulle part cela n'est plus vrai que dans la discipline des relations internationales, où le récit officiel du 11 septembre est accepté presque sans aucun doute.
Bien que les chercheurs en RI soient censés être des experts formés dans des phénomènes tels que le terrorisme sous faux drapeau, il y a un sens dans lequel ils pourraient être pardonnés de ne pas avoir exploré la possibilité que le 11 septembre était un faux drapeau dans les années qui ont immédiatement suivi l'événement. Après tout, la vérité sur le 11 septembre n'a commencé à gagner du terrain que vers 2005-2007, lorsque Griffin (2005) a discrédité le rapport de la Commission sur le 11/9, des organisations telles que Scholars for 9/11 Truth (2005), Pilots For 9/11 Truth (2006) et Architects and Engineers for 9/11 Truth (2006) ont été fondés, et le Dr Judy Wood et le Dr Morgan Reynolds ont intenté des poursuites contre Qui Tam (2007) contre Applied Research Associates et Science Applications International Corporation pour leur prétendue fraude. rôle dans la production des rapports du NIST. Cependant, plus le temps passe et plus de personnes dans le monde comprennent que les événements du 11 septembre sont profondément suspects, plus il devient inexcusable que les universitaires continuent de fermer les yeux sur ces événements. Le fardeau de la preuve incombe aujourd'hui au monde universitaire pour défendre le récit officiel contre les allégations qui ont été portées contre lui. Cela nécessite de s'engager avec la vérité du 11 septembre plutôt que de l'ignorer.
RépondreSupprimerSi les universitaires s'avéraient incapables de défendre le récit officiel, plusieurs conséquences majeures s'ensuivraient. Premièrement, la possibilité que le 11 septembre soit un faux drapeau devrait être prise au sérieux. «Ce que les attaques du 11 septembre ont montré plus que tout», écrit Hastings Dunn (2013: 1243), «était une volonté de la part des auteurs de penser de manière créative et d'employer des technologies et des tactiques totalement non conventionnelles afin de réaliser des objectifs stratégiques. surprise, choc et destruction. » Absolument, mais qui étaient les auteurs et quelles technologies étaient impliquées ? Quel type de technologie, par exemple, peut transformer un gratte-ciel à cadre en acier de 110 étages principalement en poussière en un peu plus de dix secondes, et qui aurait eu accès à une telle technologie ?
Deuxièmement, une incapacité à défendre le récit officiel nécessiterait une réflexion sur la raison pour laquelle ce récit a été pendant si longtemps accepté sans critique par les chercheurs qui sont fiers de leur capacité à penser de manière critique. Ils ne devraient certainement pas être dupes de théories complotistes farfelues telles que celle avancée par l'administration Bush. Une certaine humilité serait nécessaire pour reconnaître que les soi-disant «théoriciens du complot», souvent dépourvus de titres universitaires, ont fait beaucoup plus pour découvrir la vérité sur le 11 septembre que le monde universitaire. À cet égard, le milieu universitaire serait profondément discrédité.
Sur le plan pédagogique, une attention beaucoup plus grande doit être accordée au terrorisme sous faux drapeau, en particulier tel qu'il est perpétré par les États occidentaux. Pour
Si, comme un nombre croissant de personnes le prétendent, le 11 septembre était une opération sous faux drapeau, alors c'est quelque chose qui doit être exposé. Et si les opérations sous faux drapeau peuvent avoir le genre d'impact sur la société qu'a eu le 11/9, il est clair que ces types d'opérations doivent être étudiés beaucoup plus. Ils devraient faire l'objet d'un vaste débat public, et des personnalités de diverses disciplines doivent mettre leur expertise à profit pour étudier et analyser ces événements. Ce n'est qu'en les soumettant à une telle attention que nous pourrons mettre fin à ces crimes épouvantables (Everett, 2008: 387).
Cela implique notamment que les «études critiques sur le terrorisme» ne peuvent plus minimiser l'utilisation du terrorisme sous faux drapeau par les États occidentaux. Après tout, si l'échec de l'IR à prévoir la fin de l'Union soviétique a conduit à une décennie de recherche d'âme, à quel point le terrorisme du faux drapeau serait-il pire le 11 septembre ?
RépondreSupprimerSi le 11 septembre était un événement sous faux drapeau, alors les universitaires ont été complices en maintenant le prétexte qu'il ne l'était pas. Par extension, ils sont complices des horribles conséquences qui ont découlé du 11 septembre, car ils n'ont pas défié le Grand Mensonge sur lequel tout était basé. Certes, remarque MacQueen, «Il faut un certain courage intellectuel pour remettre en question une histoire qui est si fortement promue par pratiquement tous les gouvernements du monde, ainsi que par les médias grand public» (voir Zuberi, 2013). Pourtant, il y a un impératif moral de dire la vérité quand tant de meurtres et de souffrances sont basés sur des mensonges. Comme George Orwell est réputé l'avoir dit, à une époque de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire.
Supposons un instant que les seuls musulmans impliqués dans la perpétration du 11 septembre étaient des patsies - ce qui est raisonnable sur la base des preuves - et que le 11 septembre a été imputé aux musulmans afin de légitimer l'ingérence militaire américaine dans une chaîne de majorité musulmane des pays. Qu'est-ce que cela impliquerait dans la discipline des relations internationales? «En se vendant à la fiction auto-réalisatrice du terrorisme islamique», affirme van der Pijl (2014: 189, 229), «la discipline de la RI a elle-même aujourd'hui largement dégénéré en une force auxiliaire mercenaire« intégrée »» - un processus qui a été catalysée par le financement des fondations qui va à la recherche sur «l'Islam», avec des idées sur le terrorisme, l'extrémisme, la radicalisation, etc. souvent considérées comme acquises. La RI n'apparaîtrait guère plus qu'un instrument de propagande sophistiqué, offrant mille façons différentes de camoufler des relations de pouvoir réelles.
Si le 11 septembre était un faux drapeau, cela jetterait sous un jour nouveau le travail d'avant le 11 septembre de certains spécialistes de l'IR ayant des liens connus avec les échelons supérieurs du pouvoir de l'État américain. Par exemple, si le «terrorisme islamique» est un prétexte fabriqué pour l'ingérence militaire américaine dans les pays à majorité musulmane, que devons-nous faire du tracé prophétique de Huntington (1997: 58) des lignes de bataille entre «l'Occident» et «l'Islam, »Y compris une référence à« une demi-douzaine de jeunes hommes […], entre leurs arcs à La Mecque, assemblant une bombe pour faire exploser un avion de ligne américain »? Ou l'avertissement de Richard Betts selon lequel «des ennemis pourraient tenter de punir les États-Unis en déclenchant des catastrophes dans les villes américaines», citant spécifiquement la menace d'un «groupe islamique radical» (cité dans Lipschutz, 1999: 423)? Les liens de Huntington et Betts avec la CIA ont été révélés dans les années 1980.
Si le 11 septembre était organisé pour gagner le soutien populaire à l'invasion américaine de l'Afghanistan, alors que devons-nous faire de l'argument de Brzezinski (1997: 210, 25) selon lequel les «impératifs géostratégiques» de la «primauté américaine» nécessitent de prendre le contrôle du pétrole riches en Asie centrale, mais que persuader une population américaine sceptique du plan se révélera «difficile […], sauf en cas de menace extérieure directe véritablement massive et largement perçue», à savoir. "L'effet de choc de l'attaque japonaise sur Pearl Harbor" ?
Comment interpréter la prédiction de Carter, Deutch et Zelikow (1998: 81) d'un «événement transformateur» qui, «comme Pearl Harbor […] diviserait notre passé et notre avenir en un avant et un après», impliquant «des pertes de vie et des biens sans précédent en temps de paix »et nécessitant« des mesures draconiennes, une réduction des libertés civiles, une surveillance plus large des citoyens, la détention de suspects et le recours à une force meurtrière »? Deutch était directeur de la CIA en 1995/6 et en 1997, il a coprésidé le groupe d'étude sur le terrorisme catastrophique avec Carter. Zelikow a été l'auteur principal de la stratégie de sécurité nationale de l'USS 2002 et directeur exécutif de la Commission du 11 septembre.
RépondreSupprimerEst-ce une simple coïncidence si le Projet pour un nouveau siècle américain (2000) a affirmé que la reconstruction des défenses américaines (impliquant spécifiquement un nouveau US Space Command) serait une affaire de longue haleine «en l'absence d'un événement catastrophique et catalyseur - comme une nouvelle perle Port" ? Ou qu'une commission sur la création d'un US Space Command présidé par le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld (signataire du document fondateur du PNAC) a demandé en janvier 2001 si le financement nécessaire ne se produirait qu'après un «Space Pearl Harbor» (cité dans Griffin, 2007 : 15) ?
La possibilité inquiétante soulevée par ces prémonitions d'un nouveau Pearl Harbor lié au terrorisme islamique et associé aux mesures mêmes qui seraient plus tard mises en œuvre dans le cadre de la «guerre contre le terrorisme», est que la discipline de l'IR a peut-être contribué à encadrer la «guerre sur le terrorisme »à l'avance.
Van der Pijl (2014: 234) est pessimiste quant aux perspectives de renouvellement de la discipline IR: «Une discipline dirigée par des savants de ce calibre moral ne devrait pas restaurer son intégrité intellectuelle. Dans des conditions de précarité croissante des universitaires à tous les niveaux, peu de membres de la hiérarchie peuvent se permettre de prendre leurs distances avec ces universitaires éminents. " Pourtant, il est important de ne pas perdre de vue ce qui est réalisable. Comme l'observe MacQueen (voir Zuberi, 2013), «Lorsque vous pensez au pouvoir potentiel des universités - pas un pouvoir politique formel, mais un pouvoir informel qui découle de la crédibilité, du statut élevé dans la société et de l'influence - ils pourraient arrêter cela. le tout dans ses traces. Mais ils ne le sont pas. "
Imaginez si les universitaires ont commencé à se débarrasser de leurs entraves cognitives et éthiques et à s'opposer au récit officiel du 11 septembre. Cela donnerait un poids considérable au crescendo public des appels à une nouvelle enquête sur le 11 septembre. Considérez les conséquences potentielles:
Si le compte officiel était falsifié et que l'événement jugeait une attaque sous faux drapeau par une cabale criminelle transnationale, plusieurs choses se produiraient. La guerre contre le terrorisme prendrait immédiatement fin. Des actes d'accusation seraient prononcés et des procès criminels seraient tenus jusqu'à ce que justice soit rendue. Le pardon du monde musulman serait recherché […] Et il ne faudrait pas une once de contrôle supplémentaire par l'État policier des citoyens innocents où que ce soit dans le monde pour atteindre ces objectifs louables. (Benjamin, 2017: 392)
C'est peut-être une vue teintée de rose de la façon dont les choses pourraient être. La réalité serait peut-être quelque chose de plus proche de la guerre civile aux États-Unis. En tout cas, si les universitaires veulent sérieusement poursuivre et défendre la vérité, le premier point dont ils ont besoin pour commencer est la vérité sur le 11 septembre.
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Appendix
Figure 1: Debris at ground level immediately after the destruction of the Twin Towers. Photographer unknown. Source: http://www.drjudywood.com/articles/dirt/dirtpics/010913_5316_large.jpg
Figure 2: WTC1 is mostly turned to dust in mid air.
Credit: Detective Greg Semendinger, New York City Police Aviation Unit. This image was not released until February 2010.
Figure 3: WTC2 does not slam to the ground. The upper half is turned to dust in mid air while the lower half still stands. Some dust appears to go up while the rest goes down. Photographer unknown. Source: http://www.drjudywood.com/articles/DEW/dewpics/Image28.jpg
Figure 4: possible rocket exhaust trails as the tower is blown apart with incredible force. Photographer unknown. Source: http://www.drjudywood.com/articles/DEW/dewpics/Image250.jpg
Figure 5: The destruction of the North Tower creates a “mushroom cloud” effect. Credit: New York City Police Foundation (Sweet, 2002: 20)
https://www.lewrockwell.com/2020/03/no_author/peer-reviewed-journal-publishes-article-on-academic-resistance-to-9-11-truth/
Aux lendemains du '11 Septembre 2001' TOUS les architectes du monde se sont ligué contre l'absurdité comme quoi un bâtiment pouvait être détruit autre que par des explosifs fixés préalablement à chaque étages. Tous les pilotes de lignes et avionneurs du monde entier se sont ligué contre l'absurdité comme quoi un avion en aluminium (même lancé à très grande vitesse) pouvait détruire un bâtiment et y rentrer dedans malgré les colonnes verticales d'acier (UPN en 80 cm de large) et, de plus... sans être ralentis lors de l'impact !!!
SupprimerEt, de plus (!) il y a eu la Tour n°7 qui s'est effondré... toute seule !
Et de plus (parce que ce n'est pas fini !!) il y a eu un avion en forêt qui s'est écrasé tellement fort le même jour près de N-Y et a complètement disparu !! Même les réacteurs et trains d'atterrissage indestructibles sont devenus des poussières ! Hahaha !
Et, de plus (oui je sais c'est un peu long !), un avion aurait pénétré à l'intérieur du Pentagone !!... par un trou de 3 m de haut et 3 m de large alors qu'un boeing a une envergure d'ailes de 60 m !
Et, de plus, des conversations (avec des terroristes) se seraient tenus depuis le ou les avions vers le sol avec des téléphones portables alors qu'en 2001 n'existait encore aucun moyen de relais vers les airs !
Et de plus aucun des deux avions n'avait déposé de plan de vol à l'aéroport de départ !!
Tout est dans le spectacle hollywoodien des hologrammes projetés ce jour là dont le 3è n'a pas fonctionné (merde alors !) et, la tour (n°7) non-touchée s'est effondré ! (de rire ?).
Le gouvernement peut-il restreindre les déplacements pour protéger la santé publique ?
RépondreSupprimerPar Andrew P. Napolitano
12 mars 2020
La question de savoir si le gouvernement américain peut mettre en quarantaine des personnes contre leur volonté, apparemment pour leur propre santé et celle des autres avec qui elles peuvent entrer en contact, nécessite une double analyse - l'un des pouvoirs du gouvernement fédéral et l'autre des pouvoirs des états. Aux fins de l'analyse constitutionnelle, étant donné que les pouvoirs locaux et régionaux tirent leurs pouvoirs des États dans lesquels ils se trouvent, l'analyse des pouvoirs des États les concerne également.
Nous commençons notre analyse par l'observation du truisme que la liberté est la position par défaut. Le langage de la Déclaration d'indépendance, ainsi que divers amendements dans la Déclaration des droits, reflètent sans ambiguïté les vues que ceux qui ont écrit, ratifié et amendé la Constitution reconnaissaient que nos droits - penser, parler, publier, adorer, se défendre, voyager, posséder ses propres biens, être laissé seul - sont naturels pour notre humanité.
Ces droits préexistaient au gouvernement. Leur source est notre humanité. Le gouvernement n'accorde pas ces droits. Son objectif principal - comme indiqué dans la Déclaration d'indépendance, son seul objectif - est plutôt de protéger ces droits.
Bien que les tribunaux aient interprété la Constitution comme comportant de lamentables exceptions, les rédacteurs et les ratificateurs ont sans doute accepté le principe de non-agression - énoncé à l'époque moderne par le regretté professeur Murray Rothbard - qui déclare que toute agression contre des personnes et des biens, même par le gouvernement, est immorale.
Dans le cas du gouvernement fédéral, il s'agit d'un pouvoir limité et délégué. Bien sûr, 230 ans de législation et de contentieux ont fait exploser ses pouvoirs en dehors des limites de la Constitution et, invariablement, dans le sens de l'élargissement du pouvoir fédéral au détriment de la liberté individuelle et des États.
Les États ont formé le gouvernement fédéral et non l'inverse. Pourtant, aujourd'hui, le gouvernement fédéral reste au pouvoir en soudoyant les États avec des subventions en espèces, les riches avec des renflouements, la classe moyenne avec des allégements fiscaux et les pauvres avec des paiements de transfert. Malgré tout cela, les tribunaux continuent de reconnaître le concept de liberté individuelle dans une société libre.
Tout cela est le contexte du problème qui se cache sous les gros titres cette semaine. Le gouvernement peut-il mettre les personnes en quarantaine sans preuve de contagion et d'agression imminente ? La réponse courte est non.
Nous savons que, en vertu du cinquième amendement, si un gouvernement - étatique ou fédéral - veut porter atteinte à la vie, à la liberté ou aux biens de toute personne, il doit suivre une procédure régulière. La procédure régulière comporte deux volets - substantiel et procédural. La composante substantielle demande si l'atteinte à la liberté est propre au gouvernement qui demande l'atteinte, et la composante procédurale demande si l'atteinte s'est produite équitablement.
Revenons maintenant à ce que les autorités fédérales peuvent faire et à ce que les États peuvent faire en cas de crise de santé publique. Il n'y a pas de dispositions d'urgence ni de déclencheurs dans la Constitution; pourtant, le Congrès s'est donné le pouvoir de réglementer la santé et la sécurité publiques sous divers prétextes. Les prétextes existent parce que le besoin impérieux de nounou des membres du Congrès de réglementer est confronté à la réserve du dixième amendement de la santé et de la sécurité aux États. Ces prétextes régulent le commerce et tout ce qui affecte le commerce, et paient les États pour faire la volonté du Congrès.
RépondreSupprimerAutrement dit, la Cour suprême a statué que le gouvernement fédéral et les États peuvent confiner une personne qui n'a pas commis de crime, ou une personne qui a purgé sa peine dans sa totalité, afin de protéger la société des préjudices intentionnels ou incontrôlables de la personne. tendances.
Il est contraire au sens ordinaire de la Constitution que le Congrès se donne des pouvoirs qui ne lui ont pas été délégués par la Constitution, mais les tribunaux l'ont autorisé. Pourtant, même dans le cas d'un fou qui a commis un crime et purgé sa peine mais qui reste dangereux, les tribunaux ont reconnu des garanties constitutionnelles pour protéger ses droits naturels.
Revenons maintenant à notre question de savoir si le gouvernement - étatique ou fédéral - peut confiner des personnes contre leur volonté afin de protéger la santé publique. La réponse courte est oui, mais la Constitution exige une procédure régulière. Cela signifie un procès pour chaque personne confinée.
Ainsi, une mise en quarantaine ordonnée par le gouvernement de toutes les personnes dans un quartier ou un code postal ou un indicatif régional constituerait une violation flagrante des garanties d'une procédure régulière, tant sur le fond que sur le plan de la procédure. Sur le fond, aucun gouvernement américain n'a le pouvoir légal de restreindre les droits naturels par décret.
Sur le plan de la procédure, malgré la crainte d'une contagion à la maladie, les États et les autorités fédérales ne peuvent mettre en quarantaine que ceux qui sont activement contagieux et qui infecteront les autres de manière imminente. Et il doit présenter la preuve des deux lors d'un procès au cours duquel il supporte la charge de la preuve.
Bien que le principe de non-agression permette une agression offensive en légitime défense lorsqu'une attaque est imminente et certaine, c'est une norme élevée que le gouvernement doit respecter, comme il se doit. La liberté - même la liberté d'un fou ou d'une personne dangereusement malade et contagieuse - est la position par défaut. La violer sans procédure régulière est toujours constitutionnellement inadmissible.
La Constitution n'a pas été écrite pour que le gouvernement répare chaque tort. Nous savons que le gouvernement lui-même cause la plupart des torts - le vol de biens par la fiscalité, l'atteinte à la liberté économique par la réglementation, le massacre d'innocents par la guerre, la violation des libertés expressives par vote majoritaire. Pourtant, la Constitution exige toujours une procédure régulière rigoureuse pour tous ceux que le gouvernement restreindrait.
Cela signifie un procès avant toute mise en quarantaine, quel que soit le danger public, et un procès équitable, pas animé par une hystérie de masse ou une peur générée par le gouvernement.
RépondreSupprimerReprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2020/03/andrew-p-napolitano/can-the-government-restrict-travel-to-protect-public-health/
LONDRES - CORONAVIRUS: DES TONNES DE PQ DANS SA FOURGONNETTE…
RépondreSupprimerPar peur de l’épidémie, un conducteur anglais avait constitué un stock aussi gigantesque qu’illégal de papier toilette.
Le propriétaire de ce véhicule craignait-il d'être mis en quarantaine durant 4 ans ?
12.03.2020, 10h23
On le sait depuis des jours: certains, par peur d’être confinés à cause du coronavirus se ruent sur le papier-toilette et constituent des stocks absolument disproportionnés. Mais dans cette catégorie, le champion est probablement londonien. Un chauffeur de fourgonnette avait en effet amassé une invraisemblable montagne de PQ dans son véhicule.
La Driver and Vehicle Standards Agency (DVSA), l’organisme britannique en charges des normes routières et des contrôles, a publié sur Twitter une image de la fourgonnette et de son chargement. L’agence explique que le véhicule a été contrôlé ce mercredi près du Blackwall Tunnel, à Londres. Et note que le conducteur a fait des réserves de papier toilette et de papier ménage taxées d’«extrêmes».
Le conducteur a été allégé
Le poids total de l’impensable stock n’est pas indiqué. Par contre la DVSA souligne que le poids de chargement autorisé pour ce véhicule était dépassé de «plus d’une tonne»… Et l’agence d’ironiser, en concluant que le conducteur a été allégé de 300 livres (360 francs), soit le montant de l’amende infligée.
R.M.
https://www.lematin.ch/monde/coronavirus-tonnes-pq-fourgonnette/story/30987867
Un seul pays d’Europe toujours épargné par le coronavirus
RépondreSupprimer15:35 12.03.2020
Alors que 114 pays ont été touchés par le nouveau coronavirus qui a pris, selon l’OMS, le caractère d’une pandémie et qui touche tous les pays membres de l’UE, il existe toujours un pays du Vieux Continent où pour le moment aucun cas d’infection n’a été recensé.
Le Monténégro, ce petit pays des Balkans qui compte seulement environ 614.000 habitants, reste à l’heure actuelle le seul État européen qui n’a pas été touché par le Covid-19.
«Il n'y a eu aucun cas de coronavirus dans le pays. 392 personnes sont sous surveillance médicale, depuis le début de la propagation de la maladie, nous avons suivi l'état de 2.000 personnes», a indiqué Igor Galich, chef de l'Institut de santé publique.
Le pays ne figure pas dans le dernier rapport de l’Organisation mondiale de la santé, daté du 11 mars, qui en revanche constate des cas d’infection dans tous les autres États d’Europe.
Par le passé, les autorités du pays ont restreint la liberté de circulation entre le Monténégro et certains pays dont l’Italie, l’Espagne, la Chine, la Corée du Sud et l’Iran.
Pandémie de coronavirus
Mercredi 11 mars, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, a estimé que la propagation du Covid-19 dans le monde avait pris un caractère de pandémie.
Après la Chine qui dénombré 80.793 cas, dont 3.169 décès et 62.793 personnes aujourd'hui guéries, les pays les plus touchés sont l'Italie (12.462 cas, 827 décès), l'Iran (9.000 cas, 354 décès), la Corée du Sud (7.869 cas dont 114 nouveaux, 66 décès) et la France (2.281 cas dont 497 nouveaux, 48 décès).
https://fr.sputniknews.com/international/202003121043251585-un-seul-pays-deurope-toujours-epargne-par-le-coronavirus/
Il s'agit là d'un virus comparable à celui de la 'vache folle' où des bovins avaient été piqués de nuit alors qu'elles ou ils dormaient à l'extérieur en pâturages. Le virus ne s'est pas répandu de lui-même ! C'est-à-dire que les êtres vivants sont empoisonnés ici ou là par un 'quelque chose dans la nourriture' ? et qui ne touche donc QUE la personne (ou la vache) infectée !
SupprimerCela permet à des entreprises de voir leurs ventes augmenter (razzias dans certains supermarchés) et fermetures aussi d'entreprises 'Pour cause du coronavirus' !!
Ainsi, pire qu'un couvre-feu de guerre nucléaire, les ordures de dictateurs ont réussi à foutre la trouille à pas mal de personnes (transfusées-télé-radio-journaux 24/24 h) pour 'voir ce que çà donne' !!
Coronavirus, en continu: 60.000 salariés concernés par le chômage technique en France
RépondreSupprimer08:58 12.03.2020
Une mesure sans précédent a été prise par Donald Trump en raison du coronavirus, les voyages en provenance des pays européens vers les États-Unis ayant été suspendus pour une période de 30 jours. Parallèlement, beaucoup d’événements sportifs internationaux, dont le basket, le patinage artistique ou encore le foot, sont annulés.
Répertorié en tant que pandémie, le Covid-19 continue de toucher de nouveaux pays ce 12 mars et de pousser les autorités à opter pour de strictes mesures de précaution. Ainsi, Donald Trump a annoncé la suspension de tous les vols en provenance d’Europe pour une durée d’un mois à partir de ce vendredi minuit (4H GMT).
La mesure s'appliquera à toute personne ayant séjourné dans l'espace Schengen au cours des 14 jours précédant leur arrivée aux États-Unis, à l'exception des Américains et des résidents permanents, selon l’AFP. Le Président a par ailleurs déploré que l'Union européenne n’ait pas pris «les mêmes précautions».
Le sport international affecté
PSG-Dortmund: malgré le coronavirus et le huis clos, les ultras parisiens donnent de la voix
La NBA a annoncé dans la soirée du 11 mars la suspension de tous les matchs de la saison, après le dépistage d’un cas de coronavirus chez un joueur des Utah Jazz, le Français Rudy Gobert, comme le précise Shams Charania, journaliste pour The Athletic.
Dans le même temps, les championnats de patinage artistique prévus à Montréal sont annulés, les matchs de foot se tiennent de plus en plus souvent à huit clos ou sont reportés. La confédération sud-américaine de football (Conmebol) a demandé à la Fifa de reporter ses éliminatoires pour la Coupe du monde 2022 au Qatar.
17:20
Erdogan reporte ses visites à l'étranger
Le porte-parole de la présidence turque a fait savoir que Recep Tayyip Erdogan reportait ses visites à l'étranger en raison du coronavirus.
17:07
Justin Trudeau
Coronavirus: Trudeau et son épouse en quarantaine
17:07 12.03.2020
Le Premier ministre canadien s'est mis en auto-isolement, son épouse affichant des symptômes du coronavirus.
15:48
Kenya Airways a également annoncé avoir suspendu ses vols à destination et en provenance de Rome et de Genève.
Auparavant, une série de compagnies avaient interrompu leur trafic aérien avec l'Italie, dont Air Algérie, Air France-KLM ou encore Ryanair.
15:33
Ce petit pays des Balkans qui compte environ 614.000 habitants reste à l’heure actuelle le seul État européen qui n’a pas été touché par le Covid-19.
Un seul pays d’Europe toujours épargné par le coronavirus
15:32 12.03.2020
Alors que 114 pays ont été touchés par le nouveau coronavirus qui a pris, selon l’OMS, le caractère d’une pandémie et qui touche tous les pays membres de l’UE, il existe toujours un pays du Vieux Continent où pour le moment aucun cas d’infection n’a été recensé.
15:32
RépondreSupprimerLe coronavirus frappe le Real Madrid: suivez le direct depuis le stade Santiago-Bernabéu à Madrid, après que les équipes de football et de basketball du club ont été placées en quarantaine
15:11
Le nombre de cas en Écosse a presque doublé en 24h
Le bilan total dans le pays est porté à 60 cas par rapport aux 36 annoncés hier, selon le gouvernement écossais
15:05
Premier décès confirmé en Azerbaïdjan
L'Algérie ordonne la fermeture de toutes les écoles et universités du pays
14:53 12.03.2020
Sur fond de propagation du coronavirus, le Président Abdelmadjid Tebboune a ordonné la fermeture des établissements éducatifs du pays. Entant en vigueur ce jeudi 12 mars, la mesure est prévue jusqu'au 5 avril, date de la fin des vacances scolaires.
14:37
Par crainte du Covid-19 et pour le restreindre, plusieurs pays ont maintenant décidé de bloquer leurs frontières aux Français ou d’annuler leur visa.
La liste des pays qui restreignent ou interdisent l’entrée aux Français à cause du coronavirus s’allonge
14:00 12.03.2020
Alors que le coronavirus se répand dans l’Hexagone, plusieurs pays ont choisi d’interdire ou de restreindre l’accès à leur territoire à tous les Français.
14:31
L’état d'urgence est décrété en République Tchèque pour 30 jours, selon le Premier ministre
Prague a fermé les frontières nationales aux voyageurs en provenance de 15 pays, dont la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, a déclaré par ailleurs le Premier ministre tchèque.
13:52
Un ancien porteur du Covid-19 a fait part de ses symptômes et de son expérience d’isolement à Europe 1
Un Alsacien guéri du coronavirus raconte sa maladie et la quarantaine
13:24 12.03.2020
Après avoir contracté le coronavirus, un Alsacien, son épouse et leur enfant n’ont pas développé de symptômes inquiétants pendant leur confinement de 14 jours à leur domicile, sauf une légère fièvre et une toux, a-t-il déclaré à Europe 1.
13:45
Le meeting d'Edouard Philippe prévu au Havre jeudi annulé, selon l'entourage du Premier ministre cité par l'AFP
13:39
Le bilan en Espagne est de 84 morts et de 2.968 cas au total, selon le ministère de la Santé du pays
13:38
Dans la province italienne de Savone, une femme a dû passer plus de 24 heures dans sa maison avec le corps de son mari décédé, rapporte la chaîne italienne IVG.it.
Une Italienne confinée à cause du coronavirus plus de 24h avec son mari mort
13:37 12.03.2020
En raison de la quarantaine due à l’épidémie actuelle, une femme de la province italienne de Savone est restée enfermée plus de 24 heures avec le cadavre de son époux décédé. Celui-ci présentait des symptômes du coronavirus, a indiqué la télévision italienne avant de confirmer la présence du virus chez les deux époux.
13:37
RépondreSupprimerUn cas de Covid-19 dépisté chez un enseignant de Tolbiac, une annexe de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
13:00
L'écurie de Formule 1 McLaren a annoncé ce 12 mars qu'elle se retirait du Grand Prix d'Australie, première épreuve du championnat du monde prévue le 15 mars, après qu'un membre de l'équipe a été testé positif au Covid-19
«Cette décision a été prise pour le bien-être non seulement des employés de McLaren F1 et ses partenaires mais aussi pour celui de ses rivaux, des fans de la F1 et de l'ensemble des participants», a indiqué McLaren dans un communiqué, cité par l’AFP. Les deux pilotes de l’écurie sont l'Espagnol Carlos Sainz Jr et le Britannique Lando Norris.
12:54
La chicha interdite à Dubaï et Abou Dabi à cause du coronavirus, selon la chaîne de télévision Al-Arabiya
Les Émirats arabes unis ont répertorié à ce jour 74 cas
12:44
Un quatrième décès en Suisse
Un homme de 54 ans est décédé le 12 mars des suites du coronavirus. Il habitait le canton de Bâle-Campagne, selon les autorités sanitaires.
12:30
Un premier décès enregistré en Pologne
Les autorités de la ville de Poznan ont fait état ce 12 mars du premier décès dû au coronavirus en Pologne. Le pays compte pour le moment 47 cas.
12:11
Le bilan en Belgique est porté à 399 cas ce 12 mars, avec 95 nouveaux cas détectés, selon le ministère de la Santé du pays
12:06
Situation en Chine
Le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes par le coronavirus en Chine a chuté à 15, a annoncé ce 12 mars le ministère de la Santé. C’est le chiffre le plus bas depuis le début de la publication à la mi-janvier des statistiques sur l'épidémie. 11 personnes ont perdu la vie ces dernières 24 heures. C'est également le niveau le plus bas depuis le 24 janvier. Le total s'élève désormais à 3.169 morts en Chine, rapporte l’AFP.
Le régulateur aérien chinois indique que le nombre de vols la semaine dernière est revenu à 40% du niveau d’avant la mise en œuvre des restrictions liées au Covid-19.
11:28
Coronavirus en Italie: en direct depuis Milan
11:27
La parade militaire des 75 ans de la victoire de l'URSS contre l'Allemagne nazie annulée au Kazakhstan, selon le porte de la présidence kazakhe
Le Kazakhstan a annoncé le 12 mars la fermeture de ses écoles, cinémas et universités ainsi que l'annulation de tous les événements publics.
11:12
L'Iran a demandé l'aide du FMI, qui ne lui a pas prêté d'argent depuis 1962, selon l'AFP
Téhéran a déclaré le 12 mars avoir demandé au Fonds monétaire international (FMI) une aide d'urgence de cinq milliards de dollars (4,44 milliards d'euros) pour faire face à l'épidémie de coronavirus qui a fait plus de 354 morts dans le pays. Le FMI n'a pas octroyé d'argent à l'Iran depuis 1962.
11:11
la flamme olympique a été allumée en Grèce
La flamme olympique allumée à huis clos en Grèce pour les JO de Tokyo - vidéo
11:11 12.03.2020
RépondreSupprimerLa flamme olympique a été allumée ce jeudi 12 mars à Olympie pour les JO de Tokyo. Pour la première fois en trois décennies, la cérémonie a eu lieu en l'absence de spectateurs en raison du risque de propagation du coronavirus.
11:02
La Ministre espagnole de l'Égalité, Irene Montero, testée positive, le Premier ministre Pablo Iglesias en quarantaine
11:01
La liste des pays qui restreignent les voyages aériens s'élargit
Air India a suspendu ses vols à destination de Séoul, Rome et Milan jusqu'à la fin mars. L'Arabie saoudite a temporairement suspendu les voyages de ses citoyens et interrompu les vols avec plusieurs États, selon l'agence de presse d'État SPA citant une source officielle au sein du ministère de l'Intérieur.
Rome fermera pour sa part vendredi l'un de ses aéroports, l'activité du deuxième sera réduite à partir du 17 mars.
Un avion d'Air Algérie, image d'illustration
Air Algérie ne desservira plus l’Italie
10:11 12.03.2020
Après Milan, Air Algérie a annoncé mercredi la suspension de tous ses vols vers Rome. Ainsi, à partir du dimanche 15 mars, la compagnie aérienne ne se rendra plus en Italie.
10:55
Un premier décès en Autriche
L'agence d'information autrichienne APA fait état d'un premier décès dû au coronavirus à Vienne
10:46
La première personne contaminée en Polynésie française est la députée UDI Maina Sage
La députée a déclaré des symptômes lundi, deux jours après son retour de métropole, selon l'AFP. Elle pourrait avoir été contaminée par le ministre de la Culture Franck Riester. Maina Sage est confinée à son domicile et ne présente pas de symptômes graves.
10:44
Le groupe Aéroports de Paris (ADP) pourrait fermer un terminal de Roissy-CDG
ADP pourrait fermer l'un des trois terminaux de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, dans le nord de Paris, afin réduire les coûts. Les opérateurs aéroportuaires français font en effet face à une baisse du trafic due au coronavirus, rapporte Europe 1.
10:30
Tous les spectacles et parades extérieurs annulés par Disneyland Paris jusqu’au 15 avril, selon Le Parisien
10:19
Twitter prie ses employés à travers le monde entier de travailler à distance
09:53
Test japonais ultra-rapide de dépistage du coronavirus
La société japonaise Kurabo Industries annonce qu’à partir du 16 mars, elle mettra en vente des tests pour le coronavirus dont le résultat arrive en 15 minutes.
09:30
La Bourse de Paris
Les bourses continuent de s'effondrer, celle de Paris chute de 5,11%
09:25 12.03.2020
Les Bourses ont à nouveau plongé ce 12 mars après l'annonce surprise par Donald Trump d'une suspension pour trente jours de l'entrée aux États-Unis des voyageurs ayant récemment séjourné en Europe.
09:10
RépondreSupprimerTous les matchs du championnat nord-américain de basketball (NBA) ont été suspendus indéfiniment après qu'un joueur de l'équipe Utah Jazz a été testé positif au coronavirus.
Un basketteur français touché par le coronavirus, la saison NBA suspendue
09:05 12.03.2020
La saison NBA a été mise sur pause après le contrôle positif du basketteur français Rudy Gobert au coronavirus dans la soirée du mercredi 11 mars. Tous les matchs ont été annulés pour une période indéterminée.
Shanghai rouvre partiellement des lieux touristiques
De nombreux monuments et lieux touristiques ont partiellement rouvert le 12 mars à Shanghai, la capitale économique chinoise n'enregistrant plus aucune nouvelle contamination au Covid-19. L'activité reprend progressivement ailleurs dans le pays, rapporte l'AFP.
08:59
Cinq nouveaux cas, dont un décès, annoncés en Algérie
Le bilan dans le pays est porté à 24, selon le ministère de la Santé de l'État
Un premier mort en Algérie à cause du coronavirus, la maladie se propage dans le pays
08:57 12.03.2020
Un premier décès dû au coronavirus a été confirmé ce jeudi 12 mars en Algérie, selon le ministère de la Santé. Au total, 24 cas sont confirmés dans trois wilayas du pays.
08:53
En interview sur LCI, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a annoncé que dans le contexte du coronavirus, 3.600 entreprises et 60.000 salariés étaient concernés par le chômage technique.
08:48
Le nombre d'infectés a atteint les 302 en Autriche, selon le ministère de la Santé du pays
08:43
Israël recense au total 100 cas, dont 24 dépistés durant ces dernières 24h, selon le ministère de la Santé de l'État juif
08:34
Des gens se préparent à quitter un hôpital après une quarantaine de 14 jours à Wuhan
Le pic de l’épidémie de coronavirus est passé en Chine, annonce Pékin
08:28 12.03.2020
Aucun cas n’ayant été dépisté dans la province du Hubei depuis une semaine à l’exception de la ville de Wuhan, la Commission nationale de la santé chinoise a annoncé que le pic de l’épidémie de Covid-19 avait été franchi.
08:34
Le nombre total de cas recensés en Serbie est porté à 19 ce 12 mars
08:20
Un paquebot avec 420 personnes à bord mis en quarantaine au large de la Grèce
Un ferry Blue Star Myconos a été retenu au port de Myrina à Lemnos, en Grèce, car un membre d'équipage sur les 77 présents à bord a présenté des symptômes suspects de coronavirus. 343 passagers restent en outre à bord, alors que les 127 à destination de Lemnos ont été débarqués après avoir reçu des instructions des autorités sanitaires.
RépondreSupprimer08:01
En Corse, tous les établissements scolaires sont fermés jusqu'au 29 mars, les rassemblements de plus de 50 personnes sont interdits, selon la préfecture
Le Covid-19 a déjà tué trois personnes sur l'île. Dans la soirée du 11 mars, 51 cas d'infection étaient confirmés.
07:57
La parade traditionnelle de Saint-Patrick annulée à New York
07:49
L'acteur américain Tom Hanks a annoncé mercredi 11 mars sur les réseaux sociaux qu'il avait été testé positif au nouveau coronavirus, de même que son épouse Rita Wilson, avec laquelle il se trouve actuellement en Australie.
https://fr.sputniknews.com/international/202003121043246506-coronavirus-en-continu-les-europeens-interdits-dentree-aux-usa-le-sport-en-quarantaine/
CARNET NOIR - LA RÉALISATRICE TONIE MARSHALL EST DÉCÉDÉE
RépondreSupprimerSeule femme à avoir reçu le César de la meilleure réalisation, la cinéaste franco-américaine s'est éteinte à l'âge de 68 ans.
Tonie Marshall est décédée «des suites d'une longue maladie»
12.03.2020, 15h02
La réalisatrice franco-américaine Tonie Marshall, seule femme à avoir remporté le César de la meilleure réalisation pour «Vénus beauté (institut)» en 2000, est décédée jeudi à l'âge de 68 ans, a annoncé son agente Élisabeth Tanner jeudi à l'AFP. Tonie Marshall est décédée «ce matin des suites d'une longue maladie», a précisé Élisabeth Tanner.
Une dizaine de longs métrages
Fille de l'actrice française Micheline Presle et de l'acteur, réalisateur et producteur américain William Marshall, Tonie Marshall avait débuté au cinéma comme actrice en 1972 dans «L'Événement le plus important depuis que l'homme a marché sur la Lune», de Jacques Demy.
Elle était passée à la réalisation en 1990 avec «Pentimento», avant une dizaine de longs métrages, dont «Vénus beauté (institut)», avec Nathalie Baye et Audrey Tautou, son film le plus connu, qui lui vaudra plusieurs César, dont celui de la meilleure réalisation et celui du meilleur film.
Viendront ensuite «Au plus près du paradis», avec Catherine Deneuve et William Hurt, «France Boutique», avec Karin Viard et François Cluzet, ou «Numéro une» avec Emmanuelle Devos en 2017, son dernier film, sur la bataille d'une ingénieure pour prendre la tête d'une entreprise du CAC 40. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/loisirs/cinema/realisatrice-tonie-marshall-decedee/story/26976068
Comment ne pas attraper le coronavirus ? DEVENEZ MILLIARDAIRE ! (en vendant des conneries).
RépondreSupprimerVoici d'où vient la fortune des 5 plus jeunes milliardaires du monde, et ce qu'ils font de leur temps
Business Insider
10 Mar 2020, 11:32
Pour la plupart des jeunes dans la vingtaine, la vie est un équilibre constant entre recherche d'argent pour acquérir son indépendance, remboursement des dettes contractées pendant ses études et amusement. Ce n'est pas le cas de Kylie Jenner et d'autres jeunes super-riches. Kylie Jenner a vendu sa participation majoritaire dans sa marque de cosmétiques à la société mère de CoverGirl, Coty Inc, pour 600 millions de dollars (530 millions d'euros) en fin d'année dernière.
Nous nous sommes penchés sur les cinq plus jeunes milliardaires du monde — tous âgés de 29 ans et moins — pour voir comment ils passent leurs journées et dépensent leur argent. Des Ferrari aux compétitions internationales de dressage, voici le quotidien des cinq plus jeunes milliardaires du monde, présentés par âge en ordre croissant :
À 22 ans, Kylie Jenner est la plus jeune milliardaire du monde.
Elle dispose d'une fortune d'un milliard de dollars (0,88 milliard d'euros) grâce au succès de sa société de cosmétiques, Kylie Cosmetics.
Sa société a été évaluée à 1,2 milliards de dollars (1,06 milliards d'euros) en décembre dernier, après qu'elle a vendu une participation majoritaire dans sa marque à la société mère de CoverGirl, Coty Inc., pour 600 millions de dollars (530 millions d'euros).
Une exposition de Kylie Cosmetics dans un magasin Ulta Beauty à Houston, le 18 novembre 2018. Rick Kern/Getty Images pour Ulta Beauty
Elle partage sa vie avec ses 138 millions de followers sur Instagram, et ferait payer 1 million de dollars (0,88 million d'euros) pour une publication sponsorisée.
Kylie Jenner est devenue célèbre grâce à l'émission de télé-réalité de sa famille, 'Keeping Up With The Kardashians'. Elle avait 9 ans lorsque le premier épisode a été tourné.
Elle a lancé son premier produit de maquillage, le Kylie Lip Kit, en 2015.
Kylie Jenner au magasin Ulta Beauty de Houston. Rick Kern/Getty Images pour Ulta Beauty
Kylie Jenner possède plusieurs voitures de luxe qui, ensemble, valent très probablement des millions.
Kylie Jenner stocke ses voitures dans son complexe de plus d'un demi hectare à Hidden Hills, en Californie, qu'elle a acheté en 2016 pour 12 millions de dollars (10,6 millions d'euros).
Pour en savoir plus — Voici comment Kylie Jenner a fait fortune et est devenue la plus jeune milliardaire 'autodidacte' du monde
Les deuxième et troisième plus jeunes milliardaires du monde sont les sœurs Alexandra (à droite) et Katharina Andresen.
Alexandra et Katharina Andresen ont chacune une fortune de 1,3 milliard de dollars (1,13 milliards d'euros).
Elles détiennent chacune 42,2% de la société d'investissement Ferd, basée à Oslo, en Norvège, que leur père Johan H. Andresen a fondée.
Alexandra Andresen, 23 ans, est cavalière et possède au moins quatre chevaux.
RépondreSupprimerElle monte en compétition et est sponsorisée par les marques équestres Kingsland et Samshield.
Elle s'assure que ses 'boys' sont maintenus dans la meilleure forme possible grâce à de nombreux rendez-vous chez le vétérinaire et le toiletteur.
Elle faisait partie de l'équipe de dressage de la Norvège...
... et comme beaucoup d'autres jeunes de 23 ans, elle aime sortir avec des amis.
Mais il n'y a pas que les poneys et la fête dans sa vie. Si l'on en croit son compte Instagram, Alexandra Andresen aime aussi les activités de plein air, la randonnée, le camping et la pêche.
Alexandra Andresen est une jet-setteuse autoproclamée. Sur cette photo datée de décembre 2016, elle est à Mumbai, en Inde.
Alexandra et Katharina Andresen, sa sœur de 24 ans, ont cinq chiens, dont un boxer et un bulldog.
Avant qu'Alexandra Andresen ne déménage en Floride en 2018, les deux sœurs vivaient dans la maison familiale avec leur père et leur mère, photographiée ici avec Katharina Andresen.
En 2005, quand le père a transféré la plupart de ses fonds à ses filles, l'argent a été partagé à parts égales entre Alexandra et Katharina Andresen (en photo ci-dessous).
Katharina Andresen est également fan d'équitation, mais moins que sa jeune sœur.
Katharina Andresen aime se tenir au courant des dernières tendances de la mode et semble apprécier particulièrement Louis Vuitton. La valeur de ce sac de la griffe est estimée à 1 900 dollars (1 677 euros).
Un autre élément de sa collection : ce sac de voyage Louis Vuitton est évalué à 1 870 dollars (1 650 euros).
Katharina Andresen est une 'accro aux chaussures' autoproclamée. Ces talons Louboutin en édition limitée ont une valeur estimée à 640 dollars (566 euros).
Ces mocassins Gucci à talons incrustés de perles — également issus de sa collection — vous coûteront 990 dollars (876 euros).
Mais la fierté et la joie de Katharina Andresen, c'est son bulldog, Tycho.
Juste derrière les sœurs Andresen vient Gustav Magnar Witzøe, qui fait également partie des super-riches de Norvège et est le quatrième plus jeune milliardaire du monde.
Ce jeune homme de 26 ans vaut 3 milliards de dollars (2,65 milliards d'euros) et possède 47% du producteur de saumon norvégien SalMar, qui lui a été offert en 2013 par son père, Gustav Witzøe, que l'on voit ici. Il est le le plus riche de cette liste.
Gustav Magnar Witzøe (souvent appelé Gus) est un passionné de mode, en particulier de chaussures. Il figure souvent au premier rang des défilés de mode norvégiens.
Il est aussi mannequin chez Next Models Worldwide.
Et à en juger par son compte Instagram, il aime voyager. Il était à Paris en juillet 2017 et à Padangtegal, en Indonésie, en avril 2017.
Gustav Witzøe a au moins un bras complètement tatoué.
RépondreSupprimerIl a obtenu des places de choix à des spectacles à guichets fermés, dont un concert de Coldplay en 2016 et, à en juger par ses publications sur les réseaux sociaux, il aime le golf, le ski et le jet-ski.
Comme les sœurs Andresen, Gustav Witzøe a un chien qu'il affiche sur son compte Instagram.
John Collison est le cinquième plus jeune milliardaire et le deuxième plus jeune 'self-made' milliardaire du monde.
L'entrepreneur irlandais de 29 ans a fondé avec son frère la société de paiement Stripe en 2010. Elle a permis aux deux hommes de devenir milliardaires après un accord conclu en 2016. La fortune de John Collison est aujourd'hui estimée à 2,1 milliards de dollars (1,86 milliards d'euros).
John Collison étudiait à Harvard lorsque son frère et lui ont lancé la société. Il a rapidement abandonné ses études après que Stripe a pris de l'ampleur. Aujourd'hui, il peut prendre du bon temps et avancer sur sa liste de choses à faire avant de mourir, comme traverser l'Atlantique en avion.
Il aime également participer à des courses ...
... et des randonnées sur de longues distances, entraînant parfois tout le bureau de Stripe avec lui.
Faites le test — Que changeriez-vous si vous étiez très riche ?
Malgré son génie et son style de vie aventureux, John Collison semble toujours s'amuser et s'émerveiller des petites choses de la vie, comme de cette tasse de café abritant un 'cookie de poche'.
https://www.businessinsider.fr/voici-dou-vient-la-fortune-des-5-plus-jeunes-milliardaires-du-monde-et-ce-quils-font-de-leur-temps/
La charge rapide endommage les batteries des voitures électriques
RépondreSupprimer12 MARS 2020
par Holly Ober,
Université de Californie - Riverside
Les stations de recharge rapide commerciales soumettent les batteries des voitures électriques à des températures élevées et à une résistance élevée qui peuvent les faire craquer, fuir et perdre leur capacité de stockage, écrivent des ingénieurs de l'Université de Californie à Riverside dans une nouvelle étude publiée dans Energy Storage. Pour y remédier, les chercheurs ont développé une méthode de charge à des températures plus basses avec moins de risques de dommages catastrophiques et de perte de capacité de stockage.
Mihri Ozkan, professeur de génie électrique et informatique et Cengiz Ozkan, professeur de génie mécanique au Marlan and Rosemary Bourns College of Engineering, ont dirigé un groupe qui a chargé un ensemble de batteries lithium-ion cylindriques Panasonic NCR 18650B déchargées, trouvées à Tesla voitures, en utilisant la même méthode de charge rapide de l'industrie que les chargeurs rapides trouvés le long des autoroutes.
Ils ont également chargé un ensemble en utilisant un nouvel algorithme de charge rapide basé sur la résistance interne de la batterie, ce qui interfère avec le flux d'électrons. La résistance interne d'une batterie varie en fonction de la température, de l'état de charge, de l'âge de la batterie et d'autres facteurs. Une résistance interne élevée peut provoquer des problèmes pendant la charge.
La méthode de charge UC Riverside Battery Team est un système adaptatif qui apprend de la batterie en vérifiant la résistance interne de la batterie pendant la charge. Il repose lorsque la résistance interne se déclenche pour éliminer la perte de capacité de charge.
Pour les 13 premiers cycles de charge, les capacités de stockage de la batterie pour les deux techniques de charge sont restées similaires. Après cela, cependant, la technique de charge rapide de l'industrie a fait disparaître la capacité beaucoup plus rapidement: après 40 cycles de charge, les batteries n'ont conservé que 60% de leur capacité de stockage. Les batteries chargées à l'aide de la méthode de charge par résistance interne ont conservé plus de 80% de leur capacité après le 40e cycle.
Avec une capacité de 80%, les batteries lithium-ion rechargeables ont atteint la fin de leur durée de vie dans la plupart des cas. Les batteries chargées en utilisant la méthode de charge rapide de l'industrie ont atteint ce point après 25 cycles de charge, tandis que les batteries de la méthode de résistance interne étaient bonnes pendant 36 cycles.
"La charge rapide industrielle affecte négativement la durée de vie des batteries lithium-ion en raison de l'augmentation de la résistance interne des batteries, qui à son tour entraîne la génération de chaleur", a déclaré le doctorant et co-auteur Tanner Zerrin.
Pire encore, après 60 cycles de charge, les boîtiers de batterie de la méthode industrielle se sont fissurés, exposant les électrodes et l'électrolyte à l'air et augmentant le risque d'incendie ou d'explosion. Des températures élevées de 60 degrés Celsius / 140 degrés Fahrenheit ont accéléré les dommages et les risques.
"La perte de capacité, les dommages chimiques et mécaniques internes et la chaleur élevée de chaque batterie sont des problèmes de sécurité majeurs, d'autant plus qu'il y a 7 104 batteries lithium-ion dans une Tesla Model S et 4 416 dans une Tesla Model 3", a déclaré Mihri Ozkan.
RépondreSupprimerLa charge par résistance interne a entraîné des températures beaucoup plus basses et aucun dommage.
"Notre algorithme alternatif de charge rapide adaptative a réduit la décoloration de la capacité et éliminé les fractures et les changements de composition dans les cellules de batterie commerciales", a déclaré Cengiz Ozkan.
"La charge rapide adaptative proposée offre une nouvelle perspective pour la conception d'une technologie de charge rapide pour les véhicules électriques avec de meilleures performances de sécurité et une plus longue durée de vie de la batterie", a déclaré Bo Dong, un doctorant et co-auteur de l'article.
Les chercheurs ont déposé un brevet sur l'algorithme de charge rapide à résistance interne adaptative qui pourrait être autorisé par les constructeurs de batteries et de voitures. Dans l'intervalle, l'équipe de la batterie UCR recommande de minimiser l'utilisation de chargeurs rapides commerciaux, de recharger avant que la batterie ne soit complètement déchargée et d'éviter une surcharge.
https://techxplore.com/news/2020-03-fast-charging-electric-car-batteries.html