Afin d’éviter la casse, le Fouquet’s se rebaptise «Aux Gilets jaunes»
15:11 01.04.2019
Fabien Buzzanca
Fermé plusieurs mois suite au saccage et à l’incendie dont il a été victime le 16 mars, le Fouquet’s, célèbre restaurant cossu des Champs-Élysées, s’apprête à changer de nom. Les dirigeants l’ont annoncé afin de faire un geste en direction des Gilets jaunes. Et pour cause, à sa réouverture, l’établissement se nommera… «Aux Gilets jaunes»!
Les images sont dans toutes les têtes. Le Fouquet's, restaurant huppé des Champs-Élysées, ravagé par les flammes. C'était le 16 mars en marge de l'Acte 18 des Gilets jaunes. Déjà pillé dans la matinée, l'auvent de l'établissement avait été incendié en fin d'après-midi. Des «dégâts considérables» qui nécessitent une fermeture «pour une période estimée à ce stade à plusieurs mois» d'après les dires de la direction.
Manque de chance, la brasserie avait été entièrement rénovée en 2017. Dix ans auparavant, Nicolas Sarkozy la mettait sous le feu — des projecteurs cette fois — en allant y fêter sa victoire à l'élection présidentielle, entouré de personnalités du monde des affaires aux portefeuilles bien garnis. Une soirée qui lui sera reprochée durant tout son quinquennat et lui collera l'étiquette de «Président bling-bling».
Un nouveau menu spécial Gilets jaunes
Mais du côté du Fouquet's, on ne veut plus penser au passé et regarder droit vers l'avenir. La multiplication des «actes» des Gilets jaunes pourrait bien finir par donner une édition 1.387. Quitte à devoir cohabiter avec les marées jaunes tous les samedis pendant quelques années, autant faire un geste. Il faut dire que l'ambiance est vraiment délétère. Lors des Actes 19 et 20, le Fouquet's s'est paré d'une armure qui aurait fait saliver les croisés marchant sur Jérusalem.
Le Fouquet's se prépare à la manifestation des Gilets jaunes
? Une situation qui ne peut plus durer. La direction a un temps envisagé la mise en place d'un sarcophage de plomb sur le modèle de celui installé après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Une idée abandonnée par le groupe Barrière, propriétaire de l'établissement, faute de faisabilité.
C'est là qu'une idée forte est apparue dans les têtes pensantes du Fouquet's: le changement de nom. Après un brainstorming, c'est la simplicité qui l'a emporté. Terminé le Fouquet's, place au restaurant «Aux Gilets jaunes». Avec ce gage de paix, la célèbre brasserie des Champs-Élysées espère s'acheter un peu de calme et éviter pavés, cocktails Molotov et autres pillages.
Le Fouquet's veut même aller plus loin. Les serveurs officieront désormais gilet jaune sur le dos. Le tout, encore une fois, dans une démarche de conciliation avec les manifestants. Le caviar et les grands crus aux tarifs à quatre chiffres seront toujours au menu. La nouveauté, c'est que chaque client équipé de son gilet jaune aura droit à un menu merguez-frites pour la modique somme de 12,50 euros. Une idée dont pourrait profiter Gerald Darmanin, ministre de l'Action et des Comptes publics, qui déclarait en novembre dernier que «les additions dans les restaurants parisiens tournent autour de 200 euros lorsque vous invitez quelqu'un et que vous ne prenez pas de vin». Encore un peu de patience Monsieur le ministre, plus que quelques mois avant l'ouverture d'«Aux Gilets jaunes» !
Bien connu pour ses faux-culs et, reconnaissant que les personnes qui ont saccagé l'établissement étaient des anti-manifestants français revêtus d'un gilet jaune, faute de l'appeler 'Le restau des forces de l'ordre' ou 'Le Marron Grillé', hommage est donc rendu aux casseurs qui tels des hologrammes du 11 Septembre (ou 1er Avril ?) ont fait explosé les tours suite aux fortes assurances prises quelques mois plus tôt par le propriétaire en mal de louer ses bâtiments amiantés qui coûtaient trop cher de nettoyer ! Hahahaha !
RépondreSupprimerGilets Jaunes : révélateurs d'une dictature naissante
RépondreSupprimerLATOUILLE
Agoravox
dim., 31 mar. 2019 20:27 UTC
À la suite d'un billet sur Facebook je me suis fait prendre à parti par une personne qui me reprochait de ne pas savoir ce qu'est une dictature ; entendait-elle que je ne connaîtrais pas la définition du mot et du concept ou supposait-elle que je n'aurais jamais vécu dans un pays « sous dictature ».
Concernant ce deuxième point qu'elle se rassure j'ai séjourné en Chine une quinzaine de fois entre 1992 et 2008 et j'ai travaillé de décembre 2010 à août 2015 dans un pays d'Afrique. Il y a sans doute pire comme « dictature » mais avoir sa vie sous surveillance policière, ne pouvoir ni dire se déplacer en totale liberté, côtoyer une presse libre qui chaque jour court le risque d'être supprimée, subir les contrôles policiers rudes qui risquent au moindre mouvement de devenir violents, etc, j'ai connu.
À propos des dictatures Maurice Duverger[1] écrit :
« À l'origine, la notion de dictature correspond à un régime transitoire, basé sur la force, non conforme au système de légitimité admis généralement par la société où il fonctionne, dont le but est, soit de maintenir l'ordre en face de circonstances exceptionnelles, soit d'accélérer la mise en place d'un système nouveau. Mais, une fois établies, les dictatures tendent à se perpétuer et leur caractère transitoire s'atténue. Certaines s'affirment d'ailleurs permanente dès l'origine : l'hitlérisme prétendait créer un "Reich millénaire". En fait le terme "dictature" désigne aujourd'hui tous les régimes autoritaires non héréditaires. »
Ce n'est pas sur une hypothétique illégitimité d'E. Macron, même si nous devons interroger sa légitimité « populaire » (ou charismatique), que peut reposer l'analyse d'une proximité entre le pouvoir macronien et une dictature ; c'est sa survenue subite dans la sphère politique, la façon dont il est arrivé au pouvoir et la manière dont il l'exerce qui peuvent amener les questions autour d'un engendrement, lent et progressif, d'un État autoritaire puis dictatorial. Si la légitimité légale d'E. Macron n'est pas remise en cause, cela ne suffit pas à écarter la survenue d'une dictature car l'histoire montre que nombre de dictatures ont débuté par une élection « normale », comme celle de Napoléon III ou celle de Mussolini.
C'est donc autour des caractéristiques de l'exercice du pouvoir qu'il faut faire porter l'analyse. D'abord rappelons-nous qu'un pays, qu'une société, ne sont pas des objets amorphes et inertes, ce sont des systèmes vivants qui changent et qui évoluent. Comme l'écrit Maurice Duverger
« Aucun système social ne fonctionne de façon régulière, sans à-coup. Tous sont traversés en permanence de crises plus ou moins nombreuses, plus ou moins aiguës. Mais ces crises courantes, habituelles, normales, ne dépassent pas un certain niveau. Au contraire, surgissent parfois des crises beaucoup plus graves, correspondant à un ébranlement profond du système. Tel est le type de crise qui engendre les dictatures. »
Face à l'échec de son traitement et à la persistance des manifestations il a choisi d'étouffer la « rébellion » et de couper les manifestants du reste de la population comme on le fait dans une dictature[2] par l'usage de la force et par celui de la propagande : « Dans les bouleversements si radicaux, on recourt à la manière forte pour faire face à la situation, parce que les institutions normales paraissent insuffisantes. » L'usage de la force débute par la répression qui vise à mettre les opposants hors d'état d'agir, on se souviendra des perquisitions surprises chez Jean-Luc Mélenchon et chez de nombreux membres de la France Insoumise, et à Médiapart. Cette répression s'est portée surtout, bien évidemment, sur les principaux marqueurs de l'opposition à la politique d'E. Macron : les Gilets Jaunes, avec une incroyable, et jamais vue, quantité d'arrestations, de condamnations et d'incarcérations dont d'ailleurs la ministre de la justice se vantait le samedi 23 mars à l'aube du 19ème samedi de manifestation : « Nous serons sans merci pour les casseurs [...] Ce que veulent ces gens, ce n'est pas le dialogue, leur seule revendication c'est la violence », et de vanter quelques jours plus tard les 9000 interpellations. Le pouvoir sera sans merci ! Au-delà de la détermination à maintenir l'ordre et à assurer la sécurité il y a une volonté forte à détourner le reste de la population d'imiter les opposants au pouvoir.
RépondreSupprimerJusqu'à présent nous échappions à deux autres caractéristiques d'une dictature : le recours à l'armée et la torture et les exécutions. Le « renforcement » des forces de la mission Sentinelle et l'autorisation qui leur a été donnée de faire usage de leurs armes doivent interroger notamment quand on entend les propos de la députée Claire O'Petit qui annonçait[3] que « l'armée pourra tirer sur les Gilets jaunes » ou encore ceux du premier ministre qui au JT de 20h de France2 n'excluait pas qu'il puisse y avoir des tués en précisant qu'ils ne devraient leur mort qu'à eux-mêmes puisqu'ils n'auraient pas dû venir manifester. Si la France échappe à la mise en œuvre de la torture, nous ne sommes pas loin des exécutions programmées par le Pouvoir quand nous relevons les propos de Luc Ferry qui préconise que les policiers fassent usage de leur arme, et qu'à chaque manifestation nous pouvons joindre des actes de brutalité policière dénoncés par la commission des Droits de l'Homme de l'ONU. Ne faut-il pas voir dans les propos de Benoît Barret secrétaire général adjoint de Alliance (France Info samedi 23 à 15h12) la volonté du gouvernement d'installer, sournoisement, un État policier : « la peur doit changer de camp », « la tolérance zéro, toutes les personnes interpellées doivent être condamnées sévèrement » ; ainsi aujourd'hui la police aux ordres du gouvernement (je l'évoque dans mon livre Gilets Jaunes, et en même temps) tend à indiquer à la justice (indépendante ?) comment elle doit juger.
C'est dans ce cadre organisé sur deux axes : répression et propagande visant à discréditer les manifestants que le commentaire d'E. Macron à propos de la dame blessée à Nice doit être vu : « Je souhaite d'abord qu'elle se rétablisse au plus vite et sorte rapidement de l'hôpital, et je souhaite la quiétude à sa famille. Mais pour avoir la quiétude, il faut avoir un comportement responsable. », « Quand on est fragile, qu'on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits et on ne se met pas dans des situations comme celle-ci. » Il soulignait « cette dame n'a pas été en contact avec les forces de l'ordre » et dans Nice Matin du 25 mars il ajoutait qu'il souhaitait à cette dame « un prompt rétablissement, et peut-être une forme de sagesse ». Nous passerons sur l'irrespect et l'irrévérence de ces propos d'un freluquet qui s'adresse à une personne qui a l'âge d'être sa grand-mère et dont la vie militante ne montre pas qu'elle ne soit pas pleine de sagesse.
RépondreSupprimerLa propagande et la séduction sont les stratégies favorites d'E. Macron, c'est la raison pour laquelle il s'est entouré d'autant de communicants plus formés à vendre de la lessive qu'à faire de la politique, c'est-à-dire à s'occuper du bien public, mais ils ont lu Edward Bernays[4] et ils savent que les règles de la communication commerciale sont les mêmes que celles de la communication politique. Ainsi, la façon dont a été organisé le Grand Débat imposé par E. Macron, notamment sa rencontre avec 64 « intellectuels » puis avec des enfants de 10 ans dans une école, montre cette volonté de propagande dont le déploiement sert à masquer le caractère conservateur du régime macronien qui tend, en matière de droit social des salariés, à faire revenir la France sur des pratiques proches voire identiques à celle de la fin du 19ème siècle.
Cette volonté conservatrice est dissimulée par la mise en avant de la jeunesse d'E. Macron (on oublie son inexpérience) et par à la fois la rapidité dans les propositions de réformes sociales et économiques et par une volonté réformiste du régime « pour donner à celui-ci un caractère très novateur, voire révolutionnaire[5] ». Sauf que les quelques bribes de propositions lâchées par E. Macron à propos de la réforme des institutions montrent qu'il souhaite affaiblir la représentation populaire donc l'opposition à son pouvoir : diminution du nombre de députés, fusion du sénat avec le conseil économique, social et environnemental, affaiblissement des prérogatives de la cour des comptes, la mise sous véritable tutelle des collectivités territoriales par la suppression de la taxe d'habitation (imparfaitement compensée) et par le contrat[6] financier État-collectivité à l'objectif louable mais aux intentions sataniques : « À contrario, des pénalités sont prévues pour les collectivités qui ne respecteront pas leur contrat, ainsi que pour celles qui refuseront de signer. » Peut-on penser que la suppression des jurés populaires dans les procès aux assises serait une avancée démocratique alors qu'il n'y a que dans les dictatures où cela existe ?
Toutefois, le « chef » ne peut rien tout seul, il a besoin d'une cour comme l'explique Maurice Duverger : « Cependant, le dictateur n'est jamais séparé du parti. Au contraire, les dictatures capitalistes déifient la personne d'un dictateur. » E. Macron a créé son parti : La République en Marche, pour le servir et servir son ambition. Relayant le travail de propagande, les discours monocordes et surtout monosémiques des députés de la République en Marche propagent la glorification de l'action du chef. Dans une dictature on fait du leader « un surhomme, un homme providentiel, doué de plus de clairvoyance que les autres, capable de comprendre et d'exprimer les forces mystérieuses de la collectivité. L'idée des rois-dieux ou de rois élus de Dieu réapparaît ainsi sous une forme nouvelle, en se combinant bizarrement avec les théories démocratiques. », écrit Maurice Duverger. Ainsi naît Jupiter qui dès le début voulant donner un « statut » à son épouse essaya de réinstaller le roi-dieu, s'il a reculé sur ce point les dépenses exorbitantes de la présidence pour la convenance personnelle du couple Macron est significatif de la posture intellectuelle et psychologique de ces deux personnages.
RépondreSupprimerSi ce n'est comme étant la manifestation d'un pouvoir absolu, comment comprendre la protection ubuesque accordée à une fripouille qui usait de ses fonctions de chargé de la sécurité du président pour se livrer à des actes délictueux ? Jupiter s'installe comme roi élu de dieu pour qui le pouvoir ne se partage pas, pas plus que les décisions ni même les idées. Un roi élu de dieu se vénère et on lui obéit sans mot dire.
Asservi volontaire au Pouvoir et aveugle à ce que le mouvement des Gilets Jaunes révèle de la nature du Pouvoir qui sévit en France, le peuple finira bien par guérir, fusse que la mort soit son salut, car souvent aux peuples on peut dire : « Tu prends ces théories-là pour des paroles oiseuses, mais il arrive un moment où elles se transforment en coups de fusils ou en guillotine[7]. » À moins qu'un subit réveil du peuple entraîne le postulant dictateur à disparaître comme tous finissent par le faire, sort inéluctable de ces gens tel Napoléon (s) I et III, Mussolini...
[1] Maurice Duverger, Institutions politiques et droit constitutionnel, PUF.
[2] Maurice Duverger, ibidem
[3] https://www.youtube.com/watch?v=bvcjpqwkQxY
[4] Edward Bernays, Propaganda, Comment manipuler l'opinion en démocratie, ed La Découverte.
[5] Maurice Duverger, Institutions politiques et droit constitutionnel, PUF.
[6] https://www.vie-publique.fr/focus/depenses-collectivites-circulaire-fixe-contrat-type-avec-État.html
[7] Honoré de Balzac, Un grand homme de province à Paris, Les illusions perdues 2èmepartie.
https://fr.sott.net/article/33690-Gilets-Jaunes-revelateurs-d-une-dictature-naissante
Le mot dictature est le contraire de Démocratie.
SupprimerUne dictature c'est un empire, une république ou une monarchie. C'est-à-dire où le Peuple doit FERMER SA GUEULE car, il y a des FAUX représentants du Peuple (Députés, Sénateurs qui ne vous demandent JAMAIS votre avis avant de voter !) qui font et votent des lois à sa place (sans jamais avoir fait 1 h de Droit !!!) !
A l'inverse, une Démocratie c'est un pays où les habitants PROPOSENT EUX-MÊMES LEURS LOIS ET VOTENT EUX-MÊMES LEURS LOIS ! Exemple: La Suisse SEUL pays au monde en Démocratie.
Donc, face à 'La Dictature En Marche', les manifestants samediesques qui proposent 150 000 idées (garanties irrecevables) feraient mieux de proposer UNIQUEMENT l'abolition de la raie-publique et l'instauration de la Démocratie !
La France doit être 'la Suisse n°2' dans le monde de la Démocratie.
Comment l'Iran est devenu une république islamique il y a 40 ans
RépondreSupprimer15:51 01.04.2019
Gazeta.ru
Le 1er avril 1979, sur les cendres de la révolution qui venait d'enflammer le pays, l'Iran a été officiellement proclamé république islamique. Ce nouveau modèle étatique, remplaçant le régime monarchique de Reza Chah Pahlavi, a été approuvé par le référendum des 30-31 mars.
Le bulletin de vote au référendum iranien sur le nouveau model d'Etat il y a 40 ans comportait une question: «Êtes-vous d'accord avec l'établissement de la république islamique en Iran ?» Les votants pouvaient répondre par oui ou par non, écrit le site d'information Gazeta.ru.
De nombreux opposants à cette formulation, et concrètement au leader de la révolution, l'ayatollah Rouhollah Khomeini, ont boycotté ce référendum. Au final, moins de 20,5 millions d'Iraniens ont décidé d'exprimer leur avis sur cette question étatique cruciale. L'immense majorité, 99,3%, s'est prononcée pour un changement.
Après l'établissement du régime théocratique du clergé musulman en Iran, le rôle de l'islam a significativement augmenté dans toutes les sphères de la vie.
Trois semaines plus tard, le 22 avril, le Corps des gardiens de la révolution islamique, une unité militaro-politique d'élite composée de gardes du chah loyaux à l'ayatollah et ayant fait leurs preuves lors des affrontements, était créé sur ordre de Khomeini. L'issue du référendum offrait la possibilité de créer en Iran un puissant appareil militaire et d'instaurer des lois islamiques.
L'islamisation de la politique, de l'économie et de la culture a commencé. Les femmes avaient l'interdiction formelle de porter des vêtements occidentaux. Les autorités ont instauré un système judiciaire basé sur le Coran et la charia. Des mesures punitives ont été engagées contre l'opposition de gauche et les minorités ethniques. En parallèle a été lancée la répression des généraux, des officiers et des hauts fonctionnaires de l'époque du chah. Nombre d'entre eux ont été sommairement exécutés, pendus sur des arbres loin des regards indiscrets.
La nouvelle ligne de la politique étrangère iranienne était symbolisée par le slogan «Ni l'Ouest ni l'Est». L'Iran renonçait démonstrativement aussi bien aux valeurs occidentales qu'aux idées marxistes, en optant pour la «troisième voie», la théocratie, qui était révolue depuis longtemps pratiquement dans toute l'Europe.
Les Américains, qui avaient d'abord salué la révolution islamique, sont devenus les principaux ennemis de l'Iran.
Les changements profonds au sein de la société iranienne ont été évoqués par Evgueni Kalinine, traducteur de l'expédition de recherche soviétique qui a quitté Téhéran le 17 mars 1979 et y est revenu pour travailler 12 ans plus tard, dans son livre Notes d'un témoin. Selon ses souvenirs, pour éviter la pénétration dans le pays d'«éléments indésirables», on comparait le nom de tous les arrivants à ceux figurant sur une liste, ce qui n'était pas le cas auparavant. Les contrôleuses voilées assises derrière des tables dans la zone de contrôle avaient également fait forte impression sur l'auteur.
«A première vue, Téhéran n'a pas changé. Tout semble être à sa place. Mais en regardant de plus près on découvre que de nombreux bâtiments sont délabrés et n'ont pas été réparés depuis longtemps. Il n'y a plus de la propreté et de la brillance d'antan dans les rues centrales. La curiosité principale de la ville: les chevalements des tunnels de métro en construction. Partout sont accrochées des affiches avec des citations de Khomeini. Certaines idées du guide sont présentées sous la forme de poèmes, dont une bonne moitié sont antiaméricains. Ils affirment notamment que tous les malheurs du peuple iranien sont engendrés par les impérialistes américains», écrivait Evgueni Kalinine.
RépondreSupprimerEt de poursuivre: «J'essaie de trouver quelque chose d'antisoviétique. Mais je n'ai rien vu de tel».
«Ce qui surprend surtout, c'est le grand nombre de changements de noms de rues et de places. Il est difficile d'évaluer le niveau d'islamisation du pays. A en juger par les apparences, ce sont surtout les hommes portant la barbe qui sautent aux yeux. Beaucoup ont une barbichette comme celle des mollahs. A heures fixes, ils font la prière dans des endroits divers et variés, pas du tout adaptés pour cela. Dans les aéroports, dans les gares et dans tous les lieux de grande affluence sont désormais désignées des entrées séparées avec les inscriptions "Pour les frères" et "Pour les sœurs", autrement dit, des entrées séparées pour les hommes et les femmes.»
Actuellement, l'Afghanistan, le Pakistan et la Mauritanie sont également considérés comme des républiques islamiques.
La Constitution de 1906 a été reconnue caduque après le référendum, et la rédaction d'une nouvelle Constitution a commencé. Cette dernière a été adoptée par référendum des 2-3 décembre 1979 à 99,5% des suffrages, malgré l'opposition des nationalistes laïques, des minorités sunnites au Kurdistan et d'autres opposants au régime de l'Ayatollah Khomeini. Selon les différentes estimations, jusqu'à 17% de la population s'opposait à la nouvelle Constitution. C'est ce groupe qui a boycotté le référendum.
A view shows the mausoleum of the founder of the Islamic Republic Ayatollah Ruhollah Khomeini during a ceremony marking his death anniversary, in Tehran, Iran, June 4, 2017
La Constitution instaurait en Iran une république théocratique combinant les éléments du pouvoir religieux et républicain. La Constitution fixait la suprématie non seulement des principes islamiques dans l'organisation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, mais également la suprématie du clergé islamique au sein des structures du pouvoir public.
La monopolisation du pouvoir politique par le clergé se traduisait par les pouvoirs attribués au guide de la révolution — ou rahbar —, un faqîh reconnu, juriste musulman qui contrôle l'activité de toutes les branches du pouvoir.
Après la révolution islamique, le poste de rahbar a été attribué à vie à l'ayatollah Khomeini.
Ce dernier a reçu le droit de déterminer les axes principaux de la politique nationale et étrangère, de nommer le chef du pouvoir judiciaire, le chef des armées et des forces intérieures, le chef du Corps des gardiens de la révolution islamique, de signer le décret de nomination du Président élu au suffrage universel direct et secret, et de nommer six faqîhs au Conseil d'administration. Le rahbar se voyait attribuer le droit de déclarer la guerre et de signer la paix, et de lever ou d'atténuer une sentence sur proposition du chef du pouvoir judiciaire.
RépondreSupprimerLes opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur de l'article repris d'un média russe et traduit dans son intégralité en français.
https://fr.sputniknews.com/presse/201904011040572032-iran-republique-islamique-anniversaire/
(...) «Êtes-vous d'accord avec l'établissement de la république islamique en Iran ?» (...)
Supprimer«Êtes-vous d'accord avec l'établissement de la dictature islamique en Iran ?»
Les iraniens qui ignoraient jusqu'à l'existence de la Démocratie (en Suisse) ont donc voté sans savoir, car, si la question portait sur «Êtes-vous d'accord pour que les femmes soient battues, aient des bras coupés ou brûlées vives en cage de fer arrosée d'essence en Iran ?», la réponse eut été toute autre !
Et l'entreprise la plus rentable au monde est...
RépondreSupprimer12:10 01.04.2019
Le géant pétrolier saoudien Saudi Aramco a dévoilé lundi pour la première fois ses comptes aux agences de notation dans la perspective d'une émission obligataire, révélant à cette occasion être de loin la plus importante société au monde par le bénéfice.
Saudi Aramco a dégagé un bénéfice net de 111,1 milliards de dollars en 2018, affirme Moddy's dans une note, rapporte l'AFP. Soit près de cinq fois plus que celui de la plus grosse des «majors» du pétrole, l'anglo-néerlandaise Shell (23,4 milliards l'an passé). Et quasiment le double de celui d'Apple (59,3 milliards pour son exercice décalé 2018), société cotée qui réalise les plus gros bénéfices au monde.
Saudi Aramco a dû ouvrir ses comptes pour pouvoir réaliser une émission obligatoire destinée à financer une partie de l'acquisition de 70% du groupe de pétrochimie SABIC, pour 69,1 milliards de dollars.
Son bénéfice avant impôts s'est élevé à 224 milliards de dollars en 2018, selon l'agence Fitch, qui a cependant attribué à Aramco une note de crédit stable de A+ car une grande partie des bénéfices est prélevée par le gouvernement saoudien.
Sur la base de ses finances, de ses réserves massives d'hydrocarbures et de ses faibles coûts de production, sa notation autonome aurait été un AA+, sur un pied d'égalité avec les compagnies pétrolières internationales, mais l'Etat saoudien dépend d'Aramco pour environ 70% de ses recettes qui totalisent 260 milliards de dollars.
C'est la première fois que le géant pétrolier saoudien ouvre ses comptes depuis sa nationalisation dans les années 1970.
Moody's ne lui attribue également qu'une note de A1 à long-terme en raison de «l'interconnexion étroite» entre le royaume et la société.
L'acquisition des 70% de SABIC au Fonds public d'investissement saoudien (PIF) «se fera par tranches jusqu'en 2021, financées principalement par la trésorerie de Saudi Aramco et complétés par de la dette externe», affirme Moody's.
Fitch a déclaré qu'elle n'attribuerait ses notes aux obligations qui doivent être émises par Aramco qu'après avoir reçu la documentation finale confirmant le montant de l'émission. L'agence s'attend à ce que la dette d'Aramco passe d'environ 15 milliards de dollars actuellement à environ 35 milliards de dollars d'ici 2021.
Selon l'agence, l'acquisition de SABIC, le quatrième producteur mondial de produits chimiques, «s'inscrit dans la stratégie d'intégration verticale de l'entreprise» et devrait contribuer à diversifier les bénéfices, tout en ayant un impact limité sur le levier financier de Saudi Aramco.
https://fr.sputniknews.com/international/201904011040568649-saudi-aramco-comptes-rentabilite/
Hiroshima, Vietnam… La petite-fille de Mussolini rappelle à Jim Carrey des crimes US
RépondreSupprimer13:36 01.04.2019
Jim Carrey a publié sur Twitter un dessin renvoyant à la mort de Benito Mussolini, suscitant une vive réaction de la petite-fille du dictateur italien. Traitant l’acteur de «salaud», elle a tenu à rappeler le sort des enfants vietnamiens brûlés dans les bombardements américains, ainsi que les bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki.
Alessandra Mussolini, petite-fille du dictateur fasciste italien Benito Mussolini et députée européenne, a violemment réagi au tweet de l'acteur américain Jim Carrey qui a partagé sur Twitter un dessin faisant allusion au grand-père de la femme politique.
«Si vous voulez savoir où mène le fascisme, demandez simplement à Benito Mussolini et à sa maîtresse Claretta», a tweeté l'acteur, accompagnant son message d'une illustration montrant un homme pendu par les pieds aux côtés d'une femme.
«Salaud», a réagi Alessandra Mussolini. Sur son compte Twitter, la députée a posté une série d'images faisant référence aux démarches hostiles entreprises par les États-Unis au cours de l'histoire. La descendante du dictateur italien a ainsi conseillé à Jim Carrey de dessiner une explosion nucléaire, les violences infligées par les hommes blancs aux esclaves noirs, des Indiens d'Amérique décimés lors de la conquête de nouveaux territoires par les européens ou encore des enfants vietnamiens brûlés au napalm dans les bombardements américains.
«Le Président Donald Trump n'a pas à s'inquiéter des médiocres attaques politiques de Jim Carrey; ses dessins ne sont que du papier sale», a ajouté Mme Mussolini.
Le dessin de Jim Carrey renvoie aux circonstances de la mort de Mussolini et de sa maîtresse Claretta Petacci, capturés par des partisans italiens et fusillés le 28 avril 1945. Leurs corps ont été livrés à une foule en colère, pendus par les pieds, sur la Piazzale Loreto de Milan.
https://fr.sputniknews.com/international/201904011040569649-petite-fille-mussolini-jim-carrey-dessin/
HAARP sur la selette:
RépondreSupprimerMaduro dénonce des «attaques électromagnétiques» contre les infrastructures vénézuéliennes
09:27 01.04.2019
Le Président vénézuélien Nicolas Maduro a imputé la responsabilité des pannes d'électricité à répétition qu'a connues ces dernières semaines le Venezuela à des «attaques électromagnétiques» contre les lignes de transmission d’énergie.
Les récentes pannes d'électricité qui ont touché le Venezuela ont été causées par des «attaques électromagnétiques», a déclaré le Président du pays, Nicolas Maduro, dans une allocution télévisée dimanche soir.
«Nous avons fait face à une situation très difficile. Les capacités de production ont été touchées. Nous sommes confrontés à une grave attaque dont les dégâts sont toujours en train d'être évalués», a-t-il déclaré.
«Il s'agit d'attaques électromagnétiques qui ont endommagé les lignes de transmission d'énergie», a ajouté Nicolas Maduro, ajoutant que les autorités avaient ouvert une enquête sur les attaques présumées contre le système d'alimentation du pays.
Le chef d'État vénézuélien a également annoncé un plan sur 30 jours de «gestion des charges pour équilibrer le processus de production et de transmission avec la consommation».
Les pannes d'électricité à répétition ont touché le Venezuela ces dernières semaines sur fond de crise politique que traverse le pays. Caracas impute la responsabilité de ces attaques présumées contre les sites énergétiques à Washington, qui soutient l'opposition du pays. Les États-Unis ont à leur tour réfuté ces accusations.
https://fr.sputniknews.com/international/201904011040566516-maduro-attaques-electromagnetiques-panne-electricite/
Après les enregistrements sismique non-enregistrés sur terre le 11 Mars 2011 (Fukushima. Mag. 9), il n'y a plus de doute que cette force incommensurable venait bien du ciel !
SupprimerLa neige et le froid de retour en Auvergne
RépondreSupprimerAurélie Albert
franceinfo
dim., 31 mar. 2019 16:18 UTC
La neige et le froid seront de retour à partir de mardi 2 avril. Et pas de jaloux : le Puy-de-Dôme, l’Allier, la Haute-Loire et le Cantal, tout le monde sera concerné.
La neige et le froid seront de retour à partir de mardi 2 avril. Et pas de jaloux : le Puy-de-Dôme, l'Allier, la Haute-Loire et le Cantal, tout le monde sera concerné. Les températures descendront jusqu'à cinq degrés dans la nuit de mardi à mercredi.
Profitez bien de ces journées printanières ensoleillées, ça risque de ne pas durer ! La neige et le froid reviennent dès mardi 2 avril dans la nuit. Non ce n'est pas un poisson d'avril avant l'heure et tous les départements auvergnats seront concernés : le Puy-de-Dôme, le Cantal, l'Allier et la Haute-Loire.
Alors si vous aviez rangé les doudounes et les bonnets, il faudra les ressortir : Météo France annonce une chute des températures de 19 degrés mardi après-midi à cinq degrés dans la nuit. La neige devrait aussi faire son retour en altitude essentiellement, mais elle pourrait descendre jusqu'à 700 mètres.
Pour la journée du mercredi 3 avril, les températures devraient remonter jusqu'à 13 degrés et la perturbation devrait s'éloigner au cours de la journée, même si quelques averses de pluie voire de neige sont attendues.
La météo devrait rester perturbée jusqu'à vendredi : les températures et le soleil devraient revenir à la normale pour le week-end.
Ces quelques perturbations ne sont pas exceptionnelles pour la saison selon Météo France : les risques sont toujours là en ce début du mois d'avril. Et comme dit le dicton : "en avril ne te découvre pas d'un fil"...
https://fr.sott.net/article/33688-La-neige-et-le-froid-de-retour-en-Auvergne
CLIMAT - NOUVEAUX RECORDS DE CHALEUR POUR L'AUSTRALIE
RépondreSupprimerPour le quatrième mois consécutif, l'île-continent suffoque. La situation se politise en vue des prochaines élections.
01.04.2019, 11h31
L'Australie a enregistré en mars pour le quatrième mois consécutif un record de chaleur, ont annoncé lundi les autorités alors que le changement climatique s'annonce comme l'un des sujets sensibles des prochaines législatives.
Le Bureau de la météorologie (BDM) a annoncé que l'immense île-continent avait connu son mois de mars le plus chaud, avec des températures médianes minimum comme maximum plus élevées que la moyenne dans la quasi totalité du pays. La température nationale médiane s'est révélée supérieure de 2,13 degrés Celsius à la température moyenne pour un mois de mars.
C'est le quatrième mois consécutif de chaleur record enregistré dans le pays. Le mois de janvier, en plein été austral, avait été le mois le plus chaud jamais répertorié avec une température moyenne sur l'île-continent pour la première fois supérieure à 30 degrés.
Fortes pluies nécessaires
Certaines régions victimes d'une sécheresse prolongée ont cependant connu un répit avec le passage accompagné de pluies de deux cyclones tropicaux sur le nord et l'ouest en mars.
«Malheureusement, les quantités de pluie nécessaires pour pallier le déficit dans les zones touchées par la sécheresse sont substantielles. Il faudra des niveaux de pluie supérieurs à la moyenne pendant de longues périodes pour remédier complètement aux déficits à plus long terme», a déclaré le BDM.
Les météorologistes expliquent que les schémas enregistrés dans les océans Pacifique et Indien ont contribué à l'augmentation des températures mais disent que le changement climatique est également un facteur d'explication.
Un enjeu politique
Cette question est devenue l'un des thèmes principaux des législatives qui doivent se tenir avant la mi-mai. La coalition conservatrice au pouvoir du Premier ministre Scott Morrison rechigne à soutenir des réductions fortes des émissions de gaz à effet de serre, de peur de porter atteinte à l'industrie du charbon australienne et, partant, à la croissance économique.
L'opposition de centre-gauche, qui devance les conservateurs dans les sondages, a dévoilé lundi une série de propositions pour limiter les émissions de gaz à effet de serre, visant en particulier à promouvoir les énergies renouvelables et les véhicules électriques. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/nouveaux-records-chaleur-australie/story/18341625
SupprimerSydney a la même latitude que le Sud de l'Afrique, tandis que le Nord de l'Australie a la même latitude que le Nord du Mozambique. Voir: ventusky.com
Les voitures électriques sont parfaites pour les socialistes: le plan syndical renforce le Big-Gov, mais pire pour le gaz carbonique, la pollution, l'utilisation du charbon et le réseau
RépondreSupprimerApril 1st, 2019
Le plan de la voiture électrique de la main-d’œuvre implique plus d’émissions, plus de pollution, plus de charbon et menace le réseau, mais c’est formidable pour les socialistes.
Fantasy-land: Les travailleurs veulent que la moitié de toutes les ventes de voitures neuves soient des véhicules électriques d’ici 2030. C’est un changement radical dans un grand pays qui aime ses voitures et parcourt de grandes distances. L’an dernier, 0,2% seulement des achats de voitures neuves étaient des véhicules électriques. Notre réseau est déjà en difficulté et des voitures à chargement supplémentaire le pousseraient à l'extrême et pourraient ajouter quelque chose comme 20 milliards de dollars par an en coûts de réseau et de production supplémentaires.
Cela n’a aucun sens à de nombreux égards: en Australie, les véhicules électriques sont alimentés à 80% par des combustibles fossiles et, au cours de leur durée de vie, causent plus de pollution que les moteurs à combustion interne.
Les véhicules électriques produisent plus d'émissions de carbone si le réseau qui les charge est alimenté par des combustibles fossiles.
Les résultats révèlent que la consommation d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre d'une production de véhicules électriques à batterie vont de 92,4 à 94,3 GJ et de 15,0 à 15,2 t gaz carbonique eq, soit environ 50% de plus que celles d'un véhicule à moteur à combustion interne, 63,5 GJ et 10,0 t gaz carbonique eq. Ce changement substantiel peut être principalement attribué à la production de batteries de traction, composants essentiels des véhicules électriques à batterie. (Qiao, 2017)
«… Une voiture électrique rechargée par une centrale au charbon émet autant de gaz carbonique qu'une voiture à essence, dont le rendement est de 12,2 km / L (29 milles au gallon).» (Sivak, 2017)
Dans un pays au charbon, les véhicules électriques ne produisent rien en termes d’émission de carbone, mais leur cycle de vie est encore plus dégradé en termes de toxicité humaine, d’écotoxicité en eau douce, d’eutrophisation en eau douce et d’épuisement des ressources minérales. (Hawkins, 2012).
Les véhicules électriques sont tellement inutiles pour l’environnement que vous vous demandez peut-être pourquoi les travailleurs et les verts les aiment. Faites votre choix:
Les policiers du parti travailliste vert sont honnêtes mais stupides.
Les politiciens de Labour Green se soucient peu de l’environnement mais veulent une grande voiture socialiste.
Avec notre réseau alimenté au charbon et nos longues distances, l’Antarctique est le seul endroit sur la planète qui soit moins adapté aux véhicules électriques. Il fait trop froid pour que les batteries fonctionnent et les gens meurent quand ils sont à court de carburant. Au moins, les Antarctiques n’auront pas à s’inquiéter de la chaleur extrême qui mettra le feu à leurs batteries.
Les véhicules électriques australiens sont alimentés à 80% par des combustibles fossiles
À moins que notre réseau électrique ne devienne nucléaire, l'électricité qui alimente ces wagons est alimentée à 60% au charbon, à 20% par du gaz naturel et au diesel et à 20% par des énergies «renouvelables». Le pourcentage de charbon serait probablement encore plus élevé s'ils étaient chargés la nuit, comme le sont certainement la plupart des véhicules électriques. (Chiffres du ministère de l'Environnement et de l'Énergie)
RépondreSupprimer99,8% des Australiens ne veulent pas de VÉ
C'est une transformation sauvage. Actuellement, 499 Australiens sur 500 choisissent autre chose qu'un EV:
Behyad Jafari, directeur général du Conseil des véhicules électriques (Electric Vehicle Council), qui a collaboré à ce projet, a déclaré que les ventes de véhicules électriques en Australie ont atteint 2216 unités l'année dernière, soit environ une voiture sur 500 vendues. - Peter Hannam, SMH
Comme je l'ai dit avec la politique des Verts. Seule une voiture sur 4000 actuellement en circulation en Australie est électrique:
Environ 20 millions de voitures sont actuellement immatriculées en Australie. Le parc automobile total de tous les véhicules électriques vendus dans ce pays depuis la fédération de l’Australie est d’environ 5 000 voitures, soit 0,025% du total des voitures en circulation. Vous pouvez voir combien nous les aimons.
Chaque voiture électrique nécessite environ 2 000 dollars par an en réseau et en génération supplémentaires:
La Commission australienne du marché de l'énergie (AEMC) a annoncé en 2013 que les voitures électriques coûteraient bien plus que le prix d'achat et l'électricité:
Les véhicules électriques, en particulier, constituent un autre nouvel «appareil» qui devrait imposer de nouvelles exigences au système électrique australien. Cet examen a révélé que chaque véhicule électrique pourrait imposer des coûts de réseau et de production supplémentaires allant de 7 500 à 10 000 dollars par véhicule sur les cinq années allant de 2015 à 2020, en l'absence de signaux de tarification appropriés et de décisions de charge efficaces.
Qui paie pour la capacité de production supplémentaire ? Selon les arrangements actuels du marché, tous les consommateurs seraient tenus de payer ce coût supplémentaire, qu’ils possèdent ou non une voiture électrique. En utilisant les chiffres AMEX, si la moitié de nos 20 millions de voitures étaient électriques, les coûts de réseau et de production (et les prix de 2013) augmenteraient de 20 milliards de dollars par an.
Les nouvelles batteries «grasses» sur les véhicules électriques consomment tellement de courant que nous avons besoin d’un tout nouveau réseau:
Les nouvelles batteries plus grosses ont besoin de deux jours pour charger 7 kW, ce qui revient à ajouter «trois nouvelles maisons au réseau» et c’est la bonne option. Si les consommateurs veulent charger rapidement (qui ne le ferait pas), l’option de 50 kW équivaut à ajouter «20 maisons». (Vector, Rapport de la Nouvelle-Zélande 2018)
Dix millions de voitures rechargeant en même temps équivaudraient à ajouter 200 millions de foyers au réseau. Psycho.
Les véhicules électriques sont parfaits pour les socialistes car personne ne les veut sans subventions
Partout dans le monde, les consommateurs ont besoin de subventions et de récompenses pour pouvoir acheter des VÉ. Les gouvernements doivent offrir des subventions en Chine, en Inde, au Japon, au Danemark, en Norvège et dans pratiquement tous les pays du monde. En Corée du Sud, la subvention est d'environ 12 000 USD. En Norvège, les véhicules électriques sont exemptés des taxes à l’achat (qui sont extrêmement élevées pour les autres véhicules). Ils sont également exonérés de la taxe de circulation annuelle, de tous les frais de stationnement public et du paiement des péages. De combien de cerise ce gâteau a-t-il besoin? Beaucoup: les ventes de véhicules électriques sont passées de 2000 voitures à seulement 32 voitures à Hong Kong lorsque les subventions ont été supprimées.
RépondreSupprimerL’année dernière, le Conseil des véhicules électriques d’Australie prévoyait que plus de trois millions de véhicules électriques pourraient circuler sur les routes australiennes d’ici 12 ans (ce qui est bien inférieur à 10 millions). Le conseil demande des allégements fiscaux de 7 000 $ pour les acheteurs de véhicules électriques.
Les véhicules électriques en Australie coûtent trop cher.
La Mitsubishi iMiev est arrivée en 2010, avec une autonomie de 150 km et un prix de 49 000 dollars. La Nissan Leaf était environ trois fois plus chère qu'une voiture à essence comparable. Holden Volt coûté 60 000 $. Seuls les super-riches pouvaient espérer se payer le plus glamour de Tesla Roadster à plus de 200 000 dollars. - Sam Clench, News.com
Les véhicules électriques sont la voiture idéale pour les gouvernements socialistes. C’est un autre secteur destiné à dépendre totalement du Grand Gouvernement. Les voitures électriques et leurs propriétaires sont nés de grands lobbyistes. Ils font partie d'un club pour encourager les autres personnes à charge du gouvernement.
Les ALP copient simplement les plans de contes de fées des Verts et les multiplient par deux. Mais ne vous y trompez pas, les plans du parti travailliste sont obscurément ridicules. Le travail des Verts est de donner l’impression «modérée» d’une politique du travail extrême par rapport à quelque chose de deux fois plus stupide.
Dave B, Pat
Autres postes sur les véhicules électriques:
Une autre façon de détruire un réseau: ajoutez un million de véhicules électriques
Facture peu pratique: les voitures électriques peuvent réduire votre facture de carburant, mais rendre l’électricité, les emplois, le style de vie inabordables
Sauvez le monde avec les moteurs à combustion interne
Holden Volt 2,50 $ à remplir ? Mais courir coûte plus cher qu'un gros SUV
Chaque voiture électrique pourrait générer des coûts de 2 000 dollars par an pour «notre» réseau électrique.
Les voitures électriques sont pires pour l'environnement
RÉFÉRENCES
Hawkins, R., Singh, B., G. Majeau-Bettez, Strømman, AH (2012), Analyse comparative du cycle de vie des véhicules classiques et électriques dans l'environnement, Journal of Ecological Ecology, DOI: 10.1111 / j.1530-9290.2012.00532. X
Michael Sivak et Brandon Schoettle (2017), Institut de recherche sur les transports de l’Université du Michigan.
Qiao et al (2017) Émissions de gaz à effet de serre, du berceau à la porte, des véhicules à batteries à moteur à combustion interne et à moteur à combustion interne en Chine Volume 204, 15 octobre 2017, pages 1399-1411 https://doi.org/10.1016/j.apenergy.2017.05 .041
Australian Energy Statistics, Electricity generation update 2017-18 and 2018
Vector Network Integration report, 2018
http://joannenova.com.au/2019/04/labor-cars-plan-means-higher-emissions-more-pollution-more-coal-use-threatens-grid/#more-63370
«Revenu» de remplacement
RépondreSupprimerPar Eric Peters
Eric Peters Autos
1er avril 2019
Vous rappelez-vous quand l'abrogation Obamacare est devenue l'abrogation. . . et remplacer ? En d'autres termes, les «soins de santé» gérés par le gouvernement et imposés par celui-ci sont maintenant une évidence.
Le gouvernement va tout simplement se moquer des détails.
Et nous a harcelés.
Ce sera la même chose avec les voitures à vitesse limitée, une fois que celles-ci sont fatiguées ici - comme c'est maintenant presque inévitable, étant donné qu'elles viennent de s'y fatiguer - en Europe, où environ un tiers des voitures neuves vendues ici sont fait et sera donc fait avec la même technologie intégrée dans eux et prêt à partir.
Think DRLs - les phares absurdes toujours présents sur presque toutes les nouvelles voitures depuis les années 90, lorsque GM a commencé à les installer dans toutes ses nouvelles voitures car certaines d’entre elles étaient construites (ou vendues) au Canada, ce qui les obligeait.
Ce sera la même chose avec Intelligent Speed ??Assist - l'euphémisme de la nounou électronique mandatée par l'UE, qui contraindra les voitures, les conducteurs, à respecter toutes les limites de vitesse.
Mais cela pose un problème pratique.
Les limitations de vitesse sont conçues pour collecter des «recettes» - via des «amendes» appliquées de manière sélective (un euphémisme pour les taxes) appliquées aux conducteurs qui les ignorent. Quel est presque tous les pilotes.
Exprès.
Dans ce but précis, c’est-à-dire collecter autant de «revenus» que possible en faisant en sorte que presque chaque conducteur soit un «speeder» de jure mûr pour une course en bordure de route. Le fait que tous ceux qui conduisent a reçu un «ticket» - c'est-à-dire qu'il a été taxé au bord de la route - est une preuve certaine d'une infraction commise plutôt que morale.
Le but des limitations de vitesse est de rendre tout le monde un «délinquant» - afin que tout le monde puisse payer. En principe et - éventuellement - en fait.
https://www.lewrockwell.com/2019/04/eric-peters/replacement-revenue/
Les hommes barbus ont l'air plus en colère que les types rasés de près
RépondreSupprimerQuand ils sont fâchés mais plus heureux quand ils sont joyeux, disent les scientifiques
Courrier quotidien
1er avril 2019
L'acteur Leonardo DiCaprio a remporté un Oscar pour sa transformation spectaculaire en explorateur rugueux Hugh Glass dans The Revenant, mais a tout d'abord conquis le cœur de Jack Dawson dans Titanic.
Maintenant, une équipe de chercheurs australiens a mis au point une raison convaincante pour laquelle la performance de Leo en tant que frontalier féroce aurait pu susciter de plus vives réactions chez son auditoire que sa sortie comme passager condamné sur le paquebot de croisière 1912.
La Docteure Belinda Craig, de l'Université de la Nouvelle-Angleterre en Australie, a dirigé l'étude sur les effets d'un menton plus épais sur les hommes qui communiquent leurs émotions et leur masculinité.
Elle et son équipe ont découvert que les gens reconnaissaient plus rapidement la colère d’un homme barbu que celle d’un homme rasé en colère.
Ils ont interrogé 700 personnes et leur ont demandé d'évaluer les émotions et l'intensité affichées sur divers visages masculins - barbus et non barbus.
Les résultats de l’équipe, dans un article récemment publié dans Psychological Science, suggèrent qu’une barbe a changé la façon dont la structure faciale d’un homme est vue et aide les gens à se faire une idée de la colère et de la masculinité d’un homme.
"Les barbes mettent l’accent sur la mâchoire ... conduisant à une reconnaissance plus rapide de la colère", a t-elle confié au Times.
https://www.lewrockwell.com/2019/04/no_author/bearded-men-look-angrier-than-clean-shaven-types/
SupprimerFaut dire que le 'père' noel affichant plus un grand-père à poils blancs, représente la volonté d'inculquer aux enfants (même adultes) que malgré qu'il n'y a rien de plus sale que la barbe placée devant le trou de cul (au sondages comme aux résultat) et qu'il n'y a rien de plus répugnant que de trouver un poil de je-ne-sais-quoi dans la soupe, il y a encore des restaurants où des serveurs et mêmes des cuisiniers portent la barbe !!! Encore pire en boulangeries, pâtisseries, et tout l'alimentaire !
De quoi faire dégueuler.
L'Asie commence à tourner le dos au pétrole de schiste américain
RépondreSupprimer20:01 01.04.2019
Deux grandes raffineries sud-coréennes, SK Innovation et Hyundai Oilbank, ont suspendu leurs achats de pétrole de schiste en provenance des États-Unis à cause de sa teneur élevée en impuretés - métaux et produits chimiques. Pourquoi l'or noir américain est-il si sale et à quels nouveaux problèmes les projets de schiste sont-ils confrontés ?
Fin 2018, la Corée du Sud est devenue le plus grand acheteur de pétrole américain acheminé par la mer: en décembre, les fournitures avaient atteint 550.000 barils par jour en moyenne.
Entre janvier et février, les deux plus grandes raffineries de Corée du Sud, SK Innovation et Hyundai Oilbank, ont reçu une nouvelle cargaison de pétrole en provenance du gisement d'Eagle Ford au sud du Texas, mais ont soudainement refusé de raffiner ce pétrole: l'analyse chimique a révélé un taux excessif d'impuretés.
Les Sud-Coréens ont revendu d'urgence ce pétrole à la britannique BP Plc, et une autre partie a été envoyée en Chine, à la raffinerie de Sinochem Hongrun Petrochemical, moins exigeante en ce qui concerne la qualité de l'hydrocarbure.
Les Américains ont mené leur enquête. Il s'est avéré que la cause principale de cette pollution était le manque de pipelines pour acheminer la quantité grandissante de pétrole de schiste. Les compagnies sont forcées d'utiliser les mêmes pipelines et réservoirs pétroliers que pour toutes les autres sortes de pétrole, ce qui conduit à l'apparition d'impuretés.
«Les différents types de pétrole brut provenant de gisements de schiste, du Texas au Dakota du Nord, transitent par le même itinéraire. Et ils ramassent des impuretés avant de se retrouver en Asie, la plus grande région mondiale de consommation de pétrole», explique l'agence Bloomberg, précisant que la composition chimique instable de l'or noir devenait un véritable casse-tête pour les acheteurs.
Comme l'a déclaré à Bloomberg Sebastien Barie, représentant de la compagnie sud-coréenne Hanwha Total Petrochemical, les hydrocarbures en provenance des gisements de schiste américains contiennent constamment des métaux, des produits chimiques utilisés pour nettoyer les réservoirs pétroliers, ainsi que des produits d'oxydation susceptibles de détériorer fortement la qualité du carburant fabriqué à partir d'une telle matière première.
Sebastien Barie a souligné qu'en termes de qualité, le pétrole américain était actuellement particulièrement inférieur à son analogue du moyen-orient, qui suit le même itinéraire d'acheminement mais contient bien moins d'impuretés car un pipeline séparé est généralement utilisé pour le transport de chaque sorte de pétrole.
Les Sud-Coréens ont averti les fournisseurs américains qu'ils contrôleraient la qualité du pétrole de schiste avant d'en racheter. Et il est peu probable que cela arrive à court terme.
«Le fait est que le développement de l'infrastructure nécessaire pour relier les gisements et les ports en eaux profondes aux États-Unis a beaucoup de retard sur les exportations», constate Dennis Sutton, directeur exécutif de l'Association pour la qualité du pétrole brut (Crude Oil Quality Association, COQA).
Toutefois, note Hanwha Total, malgré les problèmes de pollution Séoul n'a pas l'intention de renoncer complètement au pétrole américain. Ces fournitures sont devenues cruciales pour les Sud-Coréens après l'adoption de sanctions contre Téhéran par Washington.
RépondreSupprimerEn revanche, la capacité des compagnies de schiste américaines à satisfaire toute la demande suscite bien des doutes. D'autant que l'important incendie qui s'est déclaré le 18 mars dans une raffinerie au Texas a déjà perturbé les livraisons: les autorités de l'Etat ont bloqué le canal de Huston, y enfermant 60 cargos chargés de pétrole.
«L'incendie a conduit non seulement à la réduction des exportations, mais également à une baisse de la quantité de pétrole raffiné car les raffineries ne peuvent ni recevoir du pétrole ni décharger les produits pétroliers», ont noté les analystes de la Société générale.
Les experts sont convaincus que les exportations pétrolières américaines demanderont au moins plusieurs semaines pour se normaliser, et pendant ce temps l'or noir continuera de perdre sa valeur sur le marché national.
Dès à présent, les producteurs de schiste qui souffrent de la baisse du cours du baril sont contraints de réduire les dépenses, tout en étant confrontés à une pénurie d'investissements: depuis dix ans ce marché n'apporte que des pertes sans justifier l'espoir des investisseurs. En 2018, la somme investie dans ce secteur était deux fois inférieure par rapport à 2016. Et par rapport à 2012, les investissements se sont réduits de deux tiers.
Depuis fin 2018, tous les principaux acteurs du secteur du schiste vivent en régime d'austérité budgétaire — pour la première fois depuis plusieurs années. Les grandes compagnies de production Centennial Resource Development, Diamondback Energy et Parsley Energy ont réduit leurs dépenses prévues d'environ 15%. Au total, plus de dix producteurs ont annoncé une minimisation des dépenses.
Les analystes de Barclays avertissent que la production pétrolière aux États-Unis a atteint un niveau record, presque 12 millions de barils par jour, et donc que le secteur a atteint un plafond. Il est tout simplement impossible d'accroître davantage la production.
https://fr.sputniknews.com/international/201904011040574276-asie-usa-schiste-petrole/
SupprimerHors ce problème d'acheminement en tuyauteries sales il y a que le méthane (gaz de shiste) est un pet obtenu par fermentation (et sent donc la merde) et n'a donc pas la pureté gazière du pétrole de l'évaporation à hautes températures.
Grand débat: Macron n’entend rien «renier» et évoque des «mesures concrètes»
RépondreSupprimer19:52 01.04.2019
Le Grand débat «n'est pas l'occasion de renier ce que nous sommes», estime Emmanuel Macron, cité par la nouvelle porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. Elle a ajouté que le Président avait promis des «mesures concrètes».
Le Président de la République française été «très insistant» sur le fait que le Grand débat national, lancé l’année dernière pour répondre au mouvement des Gilets jaunes, ne devait pas mener l'exécutif à se «renier», a indiqué ce lundi la nouvelle porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye.
«Ce débat n'est pas l'occasion de renier ce que nous sommes» mais il conviendra «d'étudier avec beaucoup de considération l'ensemble des propositions qui émergent», a-t-il notamment dit d’après celle qui avait jusque-là occupé le poste de conseillère presse et communication de l’Élysée.
«À l'issue du Grand débat, nous pouvons renouveler le projet national en nous appuyant sur des mesures concrètes» qui seront «détaillées dans les semaines à venir», a ajouté Emmanuel Macron, toujours cité par Sibeth Ndiaye.
En outre, selon la porte-parole du gouvernement, «tout est sur la table et rien n'est décidé» et il sera d'abord établi un «diagnostic» la semaine prochaine avec une prise de parole des ministres. Elle n'a toutefois pas confirmé qu'Emmanuel Macron interviendrait mi-avril pour des annonces.
D'après des sources proches de l'exécutif auxquelles se réfère l'AFP, Emmanuel Macron, qui termine son tour de France des régions jeudi en Corse, pourrait choisir de reporter à l'été la prise de décisions.
https://fr.sputniknews.com/france/201904011040575536-grand-debat-macron-mesures-concretes/
SupprimerNe parlons pas du nombre de griefs remontés par le Peuple car quelles que soient les raisons évoquées elles sont inapplicable en république. LA tromperie est un référendum... en république ! Hahahaha ! Et pourquoi par une dictature en Démocratie pendant qu'ils y sont ?!
Particules radioactives de Fukushima découvertes dans le détroit de Bering en Alaska
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi 04/01/2019 - 12:31
Selon des scientifiques de l'université d'Alaska à Fairbanks, des particules radioactives provenant de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima Daiichi ont dérivé aussi loin au nord qu'une île isolée de l'Alaska dans le détroit de Béring.
L’eau de mer recueillie l’année dernière près de l’île St. Lawrence contenait une légère élévation des niveaux de césium 137, un isotope radioactif artificiel formé lors de la fission nucléaire.
Selon Reuters, les niveaux de césium trouvés en Alaska sont beaucoup trop faibles pour poser un risque pour la santé - les humains ont été "autorisés" à consommer des niveaux 3 000 fois supérieurs à ceux trouvés dans la mer de Béring, selon l'Environmental Protection Agency.
Eddie Ungott, un habitant du village de Gambell situé à l'extrémité nord-ouest de l'île St. Lawrence, a prélevé des échantillons d'eau. L’île, qui fait partie de l’État de l’Alaska, est physiquement plus proche de la Russie que de la partie continentale de l’Alaska, et ses résidents sont principalement des Yupik sibériens avec des parents en Russie.
Des radionucléides liés à Fukushima ont été découverts aussi loin que les eaux du Pacifique au large de la côte ouest américaine, en Colombie-Britannique et dans le golfe d'Alaska.
Jusqu'à ce que le plus récent échantillon d'île du Saint-Laurent ait été testé par la Woods Hole Oceanographic Institution, le seul autre signe connu de rayonnement de Fukushima dans la mer de Béring a été détecté en 2014 par la National Oceanic and Atmospheric Administration. -Reuters
En 2014, des traces de radiations de Fukushima ont été découvertes dans le tissu musculaire des otaries à fourrure de l'île Saint-Paul, en Alaska, dans le sud de la mer de Bering. Cependant, selon Gay Sheffield, un Sea Grant, aucun test n'a été effectué sur l'eau à l'époque. agent consultatif maritime basé à Nome, en Alaska.
Trois des six réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi ont fondu en mars 2011 après un séisme de magnitude 9,0 et le tsunami qui a suivi ont assommé les générateurs de secours de la centrale, désactivant les pompes nécessaires au refroidissement des réacteurs.
Depuis lors, des radiations ont été détectées sur la côte ouest - notamment le vin de Californie, la côte de l'Oregon et le thon rouge qui migrent des eaux proches du Japon vers la côte ouest de la Californie et le Mexique.
Et bien que pratiquement tous les rapports sur les retombées de Fukushima sur la côte ouest indiquent que «la dose est mesurable mais extrêmement faible», il est difficile de prédire les effets à long terme d'une exposition, même faible, tout au long de la vie.
Ceux qui étaient plus proches du désastre, tels que plusieurs des premiers intervenants sur l'USS Ronald Reagan, ont par la suite reçu un diagnostic de diverses formes de cancer et d'autres maladies.
Via The Nation:
RépondreSupprimerPour Piekutowski, caporal recruté dans l’Essex, il ne s’est senti particulièrement malade que plus d’un an après l’opération Tomodachi. Il était de retour aux États-Unis à l'automne 2012 et se sentait fatigué et avait perdu du poids. En novembre de la même année, ses chevilles ont enflé jusqu'à la taille de ses mollets. "Je suis un gars mince et en forme, et ma définition est généralement bonne", m'a-t-il dit. Son médecin a pensé qu'il pourrait s'agir de la goutte, bien que Piekutowski soit sceptique. "Je lui ai dit, je bois autant que le jeune homme de 21 ans, mais je ne bois pas autant." Puis, le jour de Noël, il a perdu la vue de son œil gauche. «C’est là que j’ai su que je devrais probablement aller à l’hôpital», a-t-il déclaré.
Aux urgences, Piekutowski a déclaré que les médecins semblaient reconnaître immédiatement ce qu’une analyse de sang et une biopsie de la moelle osseuse avaient ultérieurement confirmée: il était atteint de leucémie. «Ils ont été honnêtement surpris que je marche encore», a-t-il déclaré. Le personnel médical l'a revêtu d'une robe et l'a conduit dans un hôpital plus grand.
On a diagnostiqué chez Piekutowski une leucémie myéloïde aiguë (LMA), une forme agressive de cancer du sang plus souvent observée chez les hommes de plus de 65 ans. Il est rare de la voir chez un enfant de 21 ans en bonne santé. Il a commencé son traitement en Arizona, où il vivait, mais s’est ensuite installé à Chicago pour se rapprocher de ses parents et de ce que Piekutowski a appelé «des docteurs assez incroyables».
De Noël 2012 à la Saint-Valentin 2014, Piekutowski estime avoir passé huit mois dans des hôpitaux. Il a commencé par subir un traitement de chimiothérapie pendant un an, mais après quatre mois de rémission, sa leucémie est revenue. Il a subi une irradiation et une greffe de cellules souches au début de 2014, ce qui l'a jusqu'ici préservé de son cancer. Mais Piekutowski a toujours du mal à reconstruire son système immunitaire et à lutter contre la raideur et les problèmes d’estomac. "J'ai l'impression d'avoir 60 ans", a-t-il déclaré.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-01/radioactive-fukushima-particles-found-alaskas-bering-strait
SupprimerIl était une fois en 2011 des particules radioactives qui - emportées par le jet-stream - traversaient l'océan Pacifique. Dont, NILU a publié ces photos satellite de la NASA (8 en 24 h soit une toutes les 3 h). Mais, comme le phénomène angoissant s'emparait de l'Amérique du Nord et de l'Europe où se finit le vent d'Ouest, Gakona a décidé d'employer le scalaire. Technologie qui permet de détourner les composants choisis. Mais avant tout cela (de les diriger vers le pôle Nord et de les y aplatir s/glace), ils ont supprimé les publications quotidiennes de l'Institut norvégien.
Et c'est pourquoi les scientifiques américains n'ont pu trouver de particules arrivant ! Tiens-tiens ! Mais où sont-elles ? Or quelques années plus tard, le vortex les ramenait sur les USA ! (comme aujourd'hui sur l'Alaska).
Les services de protection de l'enfance ont créé un État de police de la Gestapo: PCR
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi 04/01/2019 - 23:20
Écrit par Paul Craig Roberts,
Ma génération et celle de nos enfants ont grandi sans le Service de protection de l'enfance (CPS). Nous nous tenons très bien par rapport aux générations suivantes.
Les services de protection de l'enfance sont un organisme gouvernemental extrêmement intrusif qui n'aurait pas été toléré. Le pouvoir de ce service de police l'emporte sur les droits et les responsabilités des parents. L'agence est une partie importante de la destruction de la liberté dont j'ai été témoin au cours de ma vie.
Le pouvoir de la Gestapo que l'État exerce maintenant sur les parents est une création de «défenseurs des enfants» qui croient qu'il est du rôle du gouvernement de protéger les enfants des parents. L'une des conséquences a été d'éroder le contrôle parental et d'y mettre fin efficacement dans le cas d'enfants rebelles qui répondent à une punition en appelant le CPS et en informant leurs parents. Le CPS est fortement incité à saisir les enfants, car il justifie son existence et verse un paiement fédéral pour chaque enfant saisi.
Selon certaines informations, de nombreux enfants saisis se retrouveraient entre les mains de pédophiles, mais les gouvernements veulent rarement entendre dire qu'ils font du mal plutôt que du bien.
Pourquoi la sécurité des enfants a-t-elle tellement changé au cours de ma vie que les enfants ont besoin d'un service de police pour les protéger ? Pourquoi mes camarades de classe de 5 ans et moi-même pourrions-nous marcher seuls dans les écoles de notre quartier, par exemple, mais une telle chose est impensable aujourd'hui. La destruction de quartiers homogènes par la «diversité» pourrait-elle avoir quelque chose à voir avec cela ? La redéfinition du contrôle parental de ma journée en tant que maltraitance d’enfants pourrait-elle avoir quelque chose à voir avec cela? Est-ce que toutes les forces qui ont brisé la famille pourraient avoir quelque chose à voir avec cela ?
Quand j'ai grandi, mes enfants avaient des parents, deux grands-parents, des tantes, des oncles et des cousins, tous dans la même zone géographique. Les mariages et les enfants ont bénéficié d'un soutien considérable. Le divorce était rare comparé à aujourd'hui. Les familles se sont rendues à l'église, une mission importante consistant à inculquer et à renforcer les normes de comportement morales et éthiques. Les revenus du père étaient suffisants pour subvenir aux besoins de la famille. Les mères étaient donc à la maison pour fournir des services aux enfants et au ménage. Aujourd'hui, les deux parents doivent travailler.
Les systèmes de soutien ont été balayés. Les entreprises ont transféré leurs employés vers des zones géographiques sans rapport avec leurs parents, augmentant ainsi la pression sur les mariages. Le divorce a brisé des familles, créant une animosité où il était une fois un soutien. L’immigration de masse a amené un «multiculturalisme» où les normes étaient autrefois partagées. La politique d'identité a produit une population désunie.
Au cours de ma vie, j’ai assisté à la destruction du capital social des États-Unis - normes communes, conceptions, valeurs, coopération et confiance partagées qui rendent une société fonctionnelle. Dans la société dysfonctionnelle dans laquelle les Américains vivent aujourd'hui, le gouvernement tente de recoller les morceaux en exerçant davantage de pouvoir, en régulant le discours, en contrôlant les explications et en imposant davantage de contraintes à l'action humaine.
RépondreSupprimerLa conséquence est la mort de la liberté et de la responsabilité individuelle et l'effacement d'une nation.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-01/child-protective-services-has-created-gestapo-police-state-pcr
Le monde est-il déjà multipolaire ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 04/01/2019 - 22:40
Écrit par Mike Krieger via le blog Liberty Blitzkrieg,
On peut soutenir que l’empire du Chaos n’a actuellement aucun allié; il est essentiellement entouré d’un assortiment de vassaux, de marionnettes et de 5èmes élites éditorialistes compradores professant divers degrés d’obéissance - parfois à contrecœur -.
La politique étrangère de l’administration Trump peut facilement être déconstruite comme un croisement entre les Sopranos et la comédie de fin de soirée.
- Pepe Escobar, dans son récent article du Consortium: Empire of Chaos in Overbrive War Overdrive
Bien que l’empire américain ait connu divers états de déclin pendant la plus grande partie du XXIe siècle, j’ai fait part de mon opinion sur le sujet beaucoup plus fréquemment et de toute urgence depuis l’élection de Donald Trump. Ce n’est pas parce qu’il est fondamentalement très différent des dirigeants impériaux (présidents) qui l’ont précédé en politique étrangère, mais parce que sa personnalité, son style et sa grossièreté servent à accélérer le déclin.
Comme de nombreux observateurs astucieux l'ont noté, ce qui dérange vraiment les types d'établissement sur la droite «NeverTrump» et la «théorie du complot Russiagate» à gauche, ce n'est pas tant ce que fait Trump, mais comment il le fait. Ces cliques politiques peuvent être en désaccord sur de nombreuses questions, mais ce qu’elles ont en commun - mis à part le syndrome de dérangement de Trump - est une histoire d’amour avec l’empire américain et une volonté inébranlable de maintenir à tout prix la domination géopolitique américaine.
Tant la droite NeverTrump que la théorie du complot Russiagate à gauche craignent que Trump, contrairement à Obama, soit un pauvre vendeur mondial pour empire. Obama avait la rare qualité de pouvoir renflouer des banquiers et de les garder hors de prison, de passer à la "réforme" des soins de santé qu'une société d'assurances pouvait aimer, et d'étendre les guerres américaines à travers le monde et d'être toujours vénéré dans le monde entier et célébré comme un libéral à la maison. C’est le genre de personne dont vous avez besoin pour assurer le bon fonctionnement d’un empire corrompu et violent.
Cela garde le masque plus longtemps et permet à chacun de prétendre que le statu quo fonctionne toujours. En revanche, il n'y a pas de rouge à lèvres sur le cochon impérial sous Trump et sa bande de néocons recyclés effrayants. C’est juste un flot incessant de menaces et de sanctions, et surtout, une volonté accrue d’utiliser le dollar américain et le système financier mondial comme une arme, même contre des alliés.
Ce qui est le plus intéressant, c’est que, alors que les États-Unis s’efforcent de sanctionner et d’essayer de changer de régime tout État souverain qui ose être autre chose qu’un caniche obséquieux, de nombreux alliés traditionnels ont commencé à se hérisser. Nous l’avons vu avec l’ouverture d’un nouveau canal commercial plus tôt cette année par la France, l’Allemagne et la Grande-Bretagne afin d’éviter les sanctions américaines contre l’Iran suite au retrait unilatéral de Trump du JCPOA en mai dernier. Nous l’avons encore vu récemment avec la décision de la Commission européenne de permettre à certains pays de décider eux-mêmes de la participation de Huawei à la construction de la 5G, en dépit du fait que le gouvernement Trump ait réclamé une interdiction. Nous l’avons également vu avec l’adhésion récente de l’Italie à l’initiative chinoise «ceinture et route» malgré les objections américaines, ainsi que la signature par Xi Jinping de divers accords avec la France la semaine dernière alors que les États-Unis restaient au cœur d’une guerre commerciale.
Le simple fait que les alliés européens des États-Unis aient fait preuve d’une si flagrante indifférence vis-à-vis des exigences américaines sur divers fronts me fait penser récemment qu’un monde multipolaire n’arrivera peut-être pas dans un avenir lointain, mais qu’il le fait déjà déjà. En d’autres termes, il semble que le monde tel qu’il est aujourd’hui soit déjà façonné et influencé par toute une série de puissances géopolitiques importantes au lieu d’une seule. La seule faction qui ne semble pas encore comprendre cela est le gouvernement américain lui-même, ce qui est bien sûr une situation très dangereuse. Le reste du monde ne sait pas comment casser la réalité aux responsables des leviers du pouvoir en Amérique. Personne ne veut leur dire carrément, car il est devenu évident que beaucoup d’impérialistes intrépides sont toujours prêts à doubler certaines choses très perverses et stupides afin de maintenir une illusion de domination mondiale.
RépondreSupprimerAvec l’échec de la tentative de changement de régime en Syrie et maintenant le coup de force au Venezuela, il est devenu évident que les États-Unis ne peuvent plus obtenir ce qu’ils veulent, malgré son gigantesque budget de défense et ses 800 bases militaires formelles situées dans 80 pays. L’arme la plus efficace dont dispose encore l’empire américain est la domination du système financier mondial et le rôle central de l’USD dans ce système. C’est la raison pour laquelle l’administration Trump utilise ces outils financiers avec tant d’agressivité, mais il va sans dire que cet abus du privilège exorbitant des États-Unis est précisément ce qui conduira finalement à un sérieux déclin de la position mondiale du dollar américain (je pense que cela se produira). d'ici 2025).
Si vous êtes un Américain qui lit ceci et le trouvez déprimant, ne désespérez pas. L’empire américain actuel est extrêmement corrompu, violent et va à l’encontre des intérêts du citoyen américain moyen, tant du point de vue économique que du point de vue des libertés civiles. Bien que le passage de la puissance unipolaire à une seule parmi plusieurs grandes puissances sera un défi, nous devrions le voir comme une opportunité. Notre gouvernement et notre culture dépensent beaucoup trop d’énergie et de richesses pour tenter de dominer le monde, mais nous avons collectivement perdu de vue notre intérêt pour le pays dans lequel nous vivons.
Nos médias sont une blague et les ponts s’effondrent au moment où j’écris, et c’est la partie visible de l’iceberg.
Trump a promis de changer cela, mais ses promesses de campagne ont été écartées alors qu'il remplissait les positions en matière de politique étrangère avec des néo-conservateurs aux yeux féroces, soucieux de redonner une place de choix à la domination impériale. Rien ne s'améliorera tant que nous ne cesserons plus de jouer à Game of Thrones avec le monde et que nous ferons passer nos affaires intérieures de l'oligarchie corrompue et irresponsable d'aujourd'hui à une société solide, créative, entrepreneuriale et épris de liberté.
C’est très possible, il faut juste sortir de notre propre chemin.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-01/world-already-multi-polar
Pour en revenir au 'Revenu Universel' où l'argent tombé d'un hélicoptère ne servirait à rien, petite explication aussi sur les sociétés qui s'y sont essayés:
SupprimerPrimo, que l'argent profite à s'acheter des bonbons ou des voitures il fait marcher le commerce, les fabricants et les emplois.
Secundo, il aurait été constaté que cette allocation créait majoritairement des feignants. Là, petite explication:
La Chine a le plus grand nombre de surdoués. Pourquoi ? Parce que sur 1 milliard 400 millions d'habitants, il y a forcément un pourcentage plus élevé de surdoués qu'à Monaco !
Tertio, alors, faut-il donner ou pas un 'revenu universel' ? Oui, oui car il va profiter au pourcentage même faible de surdoués. Ces petits génies sont indispensables. Nikola Tesla était seul, comme tous les autres découvreurs du moteur, de l'électricité, du téléphone, etc. Mais, il faut aussi avoir une petite pensée où des découvreurs du système D sur le point de réussir n'ont pu y arriver cause au manque d'argent. C'était des découvreurs inconnus qui peut-être étaient encore meilleurs que les autres génies, mais...
Les alarmistes du changement climatique ignorent systématiquement le mépris des accords de Paris par les Chinois
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi 04/01/2019 - 21:20
Écrit par Duane Norman via FMShooter.com,
Malheureusement, le «Green New Deal» continue de faire l'actualité. Lorsque le chef de la majorité, Mitch McConnell, a forcé le projet de loi à se rendre au Sénat, le sénateur de l'Utah, Mike Lee, a utilisé ses 13 minutes de séance au Sénat pour consacrer plus de temps à discuter de Reagan sur un Velociraptor et de Star Wars Tauntauns plutôt que de présenter un argument politique cohérent contre le projet de loi la politique décrite.
Par la suite, AOC a été très contrariée et a publié sa propre tirade gémissante «les gens meurent», accusant tout le monde (mais elle-même) pour tout le gaz carbonique qu'elle prétend causer des températures extrêmes en Amérique. Bien sûr, tout cela s'est produit juste avant le vote du Sénat sur l'accord, le décompte final étant de 57-0, 43 démocrates (y compris Bernie Sanders) ayant voté "présents" au lieu de se faire enregistrer à l'initiative de GND.
Pendant tout ce temps, les politiciens américains des deux partis ont pratiquement ignoré les émissions beaucoup plus répandues provenant de l’étranger - en particulier des deux plus grands coupables, la Chine et l’Inde:
- voir graphique sur site -
Bien entendu, les problèmes de pollution en Chine, en Inde et en Asie du Sud-Est ne sont guère limités aux émissions de gaz carbonique:
- voir carte sur site -
Alors que les démocrates ont tenté de se détourner du Green New Deal vert, en présentant un projet de loi prévoyant une arrivée à mort visant à forcer le président Trump à revenir dans l'accord sur le climat à Paris, tous les politiciens américains continuent de fermer les yeux sur la Chine, se moquant de l'impuissance Accords de Paris:
La recherche, menée par les militants verts CoalSwarm, suggère que 259 gigawatts de nouvelles capacités sont en cours de développement en Chine.
Les auteurs disent que cette capacité de production d'électricité est la même que celle de l'ensemble du parc de charbon américain.
Dans cette étude, les chercheurs ont utilisé des photos satellites pour examiner chaque centrale soumise à une ordonnance de suspension. Ils ont trouvé la construction en cours à de nombreux endroits.
La Chine a choisi d'étendre considérablement la production d'électricité à partir de charbon (64,7% de la production d'électricité chinoise) tout en renonçant à l'énergie nucléaire (seulement 3,9% de la production d'électricité chinoise). Et même le (faux) New York Times a été contraint d'admettre que la Chine ment ouvertement sur le respect de l'accord de Paris:
- voir carte sur site -
La Chine, premier émetteur mondial de gaz à effet de serre du charbon, brûle 17% de charbon de plus par an que le gouvernement ne l’a précédemment annoncé, selon de nouvelles données. Cette découverte pourrait compliquer les efforts déjà difficiles déployés pour limiter le réchauffement climatique.
Même pour un pays de la taille de la Chine, l’ampleur de la correction est immense. La révision à la hausse des chiffres officiels signifie que la Chine a libéré beaucoup plus de dioxyde de carbone - environ un milliard de tonnes de plus par an selon les calculs initiaux - par rapport aux estimations précédentes.
RépondreSupprimerLa Chine reste peu attachée à la réduction des émissions de combustibles fossiles malgré l’opposition au smog excessif dans le pays. Au lieu de limiter les activités polluantes, la Chine a plutôt choisi de construire d’énormes purificateurs d’air au cœur de ses villes:
Une tour expérimentale de plus de 100 mètres de haut dans le nord de la Chine, surnommé le plus grand purificateur d'air au monde par ses exploitants, a apporté une amélioration notable de la qualité de l'air, selon le scientifique qui dirige le projet, alors que les autorités cherchent des moyens de s'attaquer au problème du pays. problème chronique de smog.
Malgré les affirmations selon lesquelles elle «peut fonctionner» à l’énergie solaire, les responsables du projet ne voulaient ni confirmer, ni nier si la tour utilisait ou non le charbon, ce qui serait une ironie en soi. Chose étonnante, la Chine est plus que contente de châtier les législateurs américains des deux parties (qui sont plus qu'heureux de se faire bousculer pour une taxe sur le carbone), déclarant récemment que les États-Unis ne faisaient pas assez pour «payer leurs dettes»:
- voir carte sur site -
La Chine a appelé les pays riches à "payer leurs dettes" sur le changement climatique lors des négociations mondiales de jeudi, critiquant les pays développés pour ne pas en faire assez pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et fournir un financement pour aider les pays pauvres à faire de même.
Et ce n’est pas seulement en Chine: les Chinois financent des centrales à charbon dans le monde entier, externalisant de plus en plus le non-respect des accords de Paris avec de nombreuses autres nations signataires:
- voir carte sur site -
Selon un nouveau rapport, la Chine a financé plus du quart de toutes les centrales au charbon annoncées à l'extérieur du pays l'année dernière, mettant ainsi en péril son image d'énergie propre, les institutions chinoises finançant des projets alimentés au charbon dans les marchés émergents.
L'année dernière, les institutions chinoises ont fourni un financement de 36 milliards de dollars à des centrales à charbon situées à l'extérieur du pays, soit 26% des 399 gigawatts de telles centrales planifiées ou engagées l'an dernier, selon un rapport publié par l'Institut de l'économie de l'énergie et des analyses financières (IEEFA), une organisation à but non lucratif basée aux États-Unis.
Les banquiers et les planificateurs de projets chinois aiment les projets financés par le charbon, car ils sont bon marché. Bien qu’ils soient limités par les objectifs de pollution et d’émission de la Chine chez eux, ils sont libres de financer des projets financés par le charbon à l’étranger. "Ils considèrent que les conséquences financières, environnementales et sanitaires à long terme de ces projets relèvent de la responsabilité de l’autre partie", a déclaré Mme Brown de l’IEEEFA.
Pendant ce temps, malgré l’insistance de Trump sur sa volonté de sauver le charbon américain ...
RépondreSupprimer… Les centrales au charbon sont en déclin rapide aux États-Unis, la révolution du schiste a cédé la place à une augmentation rapide du nombre de centrales alimentées au gaz naturel. Cela s'est également fait au détriment de l'énergie nucléaire - de loin la plus grande source d'énergie sans carbone aux États-Unis, les centrales nucléaires «coûteuses» se ferment à un rythme soutenu:
- voir carte sur site -
Ainsi, même si les États-Unis se sont retirés de l'accord de Paris alors que la Chine restait à l'intérieur et réprimandait la sortie de Trump, les États-Unis ont encore mieux réussi à réduire leurs émissions de gaz carbonique que la Chine. Allez comprendre.
Quiconque a la moitié du cerveau qui fonctionne sait que les accords de Paris sont totalement inefficaces - élaborés par des élites hypocrites qui patrouillent la planète sur des jets privés dans le but d'imposer une taxation massive de l'énergie à tous les habitants de la planète. Ce n’est pas une surprise de voir les cerveaux lisses de gauche s’engager, mais la défense pathétique mise en avant par les «meilleurs et les plus brillants» du GOP ne laisse guère d’espoir qu’une défense crédible contre cette politique puisse être mise en œuvre par leurs adversaires.
Sans surprise, Chris Hayes de MSNBC (peut-être la personne la plus malhonnête dans les médias traditionnels) a organisé un «forum public dans le Bronx» avec AOC - ce qui revient essentiellement à endosser sa législation. Les détails de l’accord n’ont pas fait l’objet de contestations, et à l’évidence aucune mention d’émissions mondiales; il s’agissait simplement d’un «appel à l’action» émanant d’un hôte pathétique qui se comportait davantage comme une marionnette qu’un journaliste qui contesterait toute proposition politique. Et le public de MSNBC ? Ils ont juste mangé le tout - plus que désireux de faire en sorte que les lourdes taxes ne nuisent pas à la pollution mondiale.
Malheureusement, si la meilleure défense du GOP contre les accords de Paris et le Green New Deal ignore complètement le mépris excessif des «objectifs d’émission» par les étrangers…
… Tôt ou tard, nous serons prêts à adopter un projet de loi massif et sans valeur qui ne produira rien, à l'exception de taxes plus élevées et de réglementations plus inutiles.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-01/climate-change-alarmists-routinely-ignore-chinese-flouting-paris-accords
Primo: Les 'gaz a effet de serre' N'EXISTENT PAS ! (Même la vapeur d'eau qui représente 95% de l'atmosphère n'est PAS un 'effet de serre' !
SupprimerSecundo: "Si nous sommes préoccupés par le réchauffement climatique causé par le gaz carbonique, cela ne serait-il pas pire si nous conduisions tous des voitures qui avaient de la vapeur d'eau à l'échappement ?"
https://wattsupwiththat.com/2017/09/07/the-making-of-a-climate-skeptic-at-university/
Tertio: TOUS LES GAZ SE REYCLENT ! TOUS !
Quatro:
Pollution et pollution
jeudi 13 novembre 2014
http://globaleconomicanalysis.blogspot.fr/2014/11/historic-hype-over-global-warming.html
Pareillement qu'il est facile d'accuser une famille nombreuse de plus consommer qu'un célibataire et donc de taxer le grand nombre de tous les maux de la Terre, dernièrement un économiste a publié un graphique sur les pays les plus gros consommateurs de pétrole (donc: pollueurs). Graphique qui montrait la Chine, les USA, l'Inde et la Russie les quatre premiers d'une liste de 19 pays sélectionnés comme étant les plus pollueurs.
Oui mais, de la même façon que l'on peut citer Monaco et Macao comme étant les pays les plus peuplés de la Terre (au km²), je répondrais pour les pollueurs que c'est en fait le contraire !
Compte tenu du nombre d'habitants et de la quantité de pétrole consommée, l'Arabie Saoudite arrive largement en tête des pays les plus pollueurs de la Terre ! Cela vous étonne ? C'est bien d'ailleurs la première fois que vous lisez un tel article face au bassinnage médiatique quotidien que c'est La Chine qui est le plus gros pollueur monstrueux de la Terre !
1 -- Arabie Saoudite
2 -- Australie
3 -- Canada
4 -- USA
5 -- Corée du Sud
6 -- Russie
7 -- Allemagne
8 -- Afrique du Sud
9 -- Japon
10 - Italie
11 - Royaume-Uni
12 - Chine
13 - Turquie
14 - Argentine
15 - Mexique
16 - Inde
17 - Indonésie
18 - France
19 - Brésil
C'est bien en divisant la quantité de pollution émise par le nombre d'habitants que l'on peut mieux se rendre compte de la vérité cachée !
Car, c'est bien au nombre d'habitants qu'il faut regarder (et non à la superficie d'un pays). L'Alaska avec ses 731.000 hab. et 1.717.854 km² consomme plus d'énergie par le fait qu'il y fait froid et que la lumière est manquante dans l'hiver long. Pareillement que le sont d'autres en Europe du Nord (Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, etc) mais qui ne sont listés dans les 19 choisis, la consommation de pétrole par habitant doit être plus élevée qu'en Afrique, car je ne pense pas qu'ils aient choisi de brûler du bois des forêts où les arbres poussent lentement, ni qu'ils se contentent de se chauffer avec des arètes de poissons !
Et c'est bien pourquoi la Chine et le Brésil (entr'autres) ont toujours refusé de s'acquitter de la taxe aéroportuaire pour les avions en ce qui concerne le gazcarbonique décrit comme étant La pollution !!
Ce qui est malheureusement désigné comme pollution est le gazcarbonique que nous rejetons continuellement en respirant, d'où chaque habitant de la Terre (animaux y compris) montré comme pollueur !! Pareillement que le fumier est une pollution, c'est bien cette pollution qui fait pousser les plantes !! et NOUS NOURRIT TOUS LES JOURS !
D'où le merci à la pollution d'être là sans quoi nous n'y serions pas !
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/pollution-et-pollution.html