«Les mutilés» ? Des manifestants blessés appellent à se mobiliser à l’échelle nationale
15:46 28.04.2019
Des manifestants blessés par des tirs de LBD ou grenades des forces de l’ordre ont annoncé se réunir en collectif, qui pourrait être nommé «Les mutilés», et lancé un appel à se mobiliser à l’échelle nationale fin mai à Paris.
Des manifestants gravement blessés par les forces de l'ordre, dont la plupart lors du mouvement des Gilets jaunes, ont annoncé à Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, se constituer en collectif et ont appelé à une grande manifestation nationale dans la capitale le 26 mai.
«On a décidé de constituer un collectif, "les mutilés pour l'exemple", en référence aux fusillés pour l'exemple», a déclaré lors d'une conférence de presse Robin Pagès, handicapé depuis sa grave blessure au pied en 2017 à Bure, dans la Meuse, où est prévu un site d'enfouissement de déchets nucléaires.
19 personnes, toutes blessées par des tirs de lanceur de balles de défense (LBD) ou de grenades, ont présenté ce collectif qui vise à combattre «l'ultra-violence de la répression» et souhaite faire interdire «l'utilisation de ces armes de guerre», précise l’AFP.
«Vous avez 19 personnes devant vous et vous n'avez que 26 yeux qui vous regardent. Faites le compte, il y a un petit problème», a asséné Jérôme Rodrigues, Gilet jaune éborgné lors d'une manifestation fin janvier à Paris.
Chacune des personnes présentes a raconté sa «vie qui a basculé» ou l'impossibilité «de pouvoir se regarder dans une glace».
«La nuit, c'est des insomnies, des cauchemars. C'est l'horreur au quotidien pour essayer de se démerder comme on peut avec une main. Pour l'instant, c'est l'enfer total», a témoigné Sébastien Maillet, qui a eu la main arrachée le 9 février à Paris, lors de l'acte 13 des Gilets jaunes.
«La monophtalmie [fait de ne voir que d'un œil, ndlr] complique toute votre vie. Les choses vous demandent beaucoup de temps et il y a un impact psychologique sur votre entourage et vos proches», a expliqué Patrice Philippe, ex-chauffeur routier de 50 ans blessé à l'œil par un tir de LBD le 8 décembre 2018.
«De nombreuses personnes ici présentes ont des plaques en titane et des vis dans le visage», a ajouté Robin Pagès. D'après le collectif, depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, 22 personnes ont perdu un œil et cinq ont été amputées d'une main, «sans compter les autres mutilations» (perte d'odorat, testicule amputé).
«On réclame la vérité, la justice et l'interdiction des armes dites sublétales», a souligné Robin Pagès. Selon lui, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner «ment» quand il parle de «seulement 10 personnes touchées à la tête par des tirs de LBD».
Plusieurs associations militent pour l'interdiction de cette arme lors des manifestations. Début mars, l'Intérieur comptabilisait 13.095 tirs de LBD depuis le premier acte de ce mouvement inédit et 83 enquêtes pour des tirs potentiellement problématiques.
La France travaille beaucoup moins que ses voisins' : voici le classement contesté sur lequel Emmanuel Macron s'est basé
Damien Choppin 26 Avr 2019, 13:13
"La France travaille en moyenne beaucoup moins que ses voisins : on commence plus tard, on part plus tôt et on travaille moins dans l’année." Ce sont les mots qu'a prononcés Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse jeudi 25 avril. Le président a ainsi estimé qu'il était nécessaire de "travailler davantage", sans toutefois toucher aux 35h ou aux jours fériés. Il a annoncé, sur le volet des retraites, vouloir "allonger la durée effective de cotisation" avec "un système de décote qui incite à travailler davantage, mais sans forcer tout le monde". Sa comparaison de la France a ses voisins a toutefois été immédiatement remise en cause par ses opposants.
En effet, selon les chiffres de l'OCDE en 2016, en France, nous travaillons en moyenne 1 526 heures chaque année par travailleur, et même 1 679 heures si on prend uniquement en compte les salariés à temps plein, comme le fait remarquer LCI. Certes, cela nous place dans le bas du classement, derrière l'Italie (1 722 heures) et l'Espagne (1 686 heures). Mais nous sommes devant la Belgique (1 545 heures) et l'Allemagne (1 356 heures).
Un classement contesté
Contacté par Business Insider France, l'Elysée indique qu'Emmanuel Macron faisait en fait référence à un autre classement, basé sur les chiffres d'Eurostat, l'agence de statistique de l'Union européenne, datant de 2015. La présidence de la République indique ainsi que les Français travaillent en moyenne 1 521 heures par an, d'après ces données qui prennent en compte l'ensemble des salariés. Et c'est effectivement moins que moins que l'Allemagne (1 580 heures), l'Italie (1 627 heures) et l'Espagne (1 656 heures).
Ces chiffres apparaissent en réalité dans une étude du cabinet de recherches Rexecode, parue en 2016. Sa méthodologie est cependant contestée. Selon Le Monde, le cabinet a utilisé des données hebdomadaires fournies par Eurostat, puis les a multiplié par 52, soit le nombre de semaines dans une année. Le journal pointe de ce fait des incohérences dans les résultats. En prenant l'exemple de l'Allemagne, Le Monde remarque que les chiffres retravaillés par Rexecode — pour prendre en compte les congés et absences — donnent une durée totale d'absence inférieure au nombre de congés en Allemagne. Marianne avait émis les mêmes réserves sur la méthodologie du cabinet en 2012.
D'autres chiffres montrent bien la France dernière
Emmanuel Macron aurait pu néanmoins se baser sur un autre classement de l'OCDE dans lequel la France est bel et bien dernière : celui prenant en compte l'intégralité de la population, des nouveaux-nés aux plus âgés. Selon ces données publiées en octobre dernier, les Français travaillent en moyenne 630 heures par an, là où les Italiens travaillent 705 heures, et les Allemands 722 heures.
A titre de comparaison, le pays où l'on travaille le plus dans le monde est le Luxembourg, avec 1 089 heures par habitant, devant la Corée du Sud avec 1 064 heures et la Suisse avec 943 heures. Il s'agit de chiffres portant sur l'année 2016.
Pourquoi une telle différence entre les deux classements de l'OCDE ? A cause du chômage de masse en France, analyse L'Obs. Emmanuel Macron l'a d'ailleurs reconnu jeudi soir. Les chômeurs sont en effet inclus dans les données présentées par l'OCDE sur lesquelles semblent s'être appuyé le président. Le magazine rappelle que les autres pays ont fait des choix différents, en privilégiant le temps partiel, les faibles salaires, ou en ayant un meilleur système éducatif et de formation professionnelle.
Au final, Emmanuel Macron n'a donc pas fait d'erreur factuelle... mais il a choisi les chiffres (douteux) qui servaient le mieux son propos.
Cet article a été modifié à 16h27, après avoir obtenu la réponse de l'Elysée. Le classement de l'OCDE était auparavant présenté ci-dessous.
Voici le classement du cabinet Rexecode des 12 pays de l'Union européenne où les salariés travaillent le moins, qui prend en compte le temps de travail moyen pour l'ensemble des salariés, sur lequel Emmanuel Macron s'est appuyé :
Des chercheurs du MIT ont trouvé un moyen de sauver des îles comme Hawaii, menacées par la montée des eaux
26 Avr 2019, 14:06
Les tremblements de terre, les tsunamis, les ouragans ou encore les glissements de terrain, voici quelques-unes des conséquences du réchauffement climatique de la planète. Mais désormais, il existe peut-être un moyen pour canaliser ces catastrophes naturelles et protéger les communautés côtières. Un groupe de chercheurs du Self-Assembly Lab du MIT (Massachussetts Institute of Technology) étudie la possibilité d'exploiter les forts courants océaniques causés par les catastrophes naturelles pour lutter contre la montée du niveau de la mer.
Leur premier projet consiste à utiliser le courant pour rassembler de petits bancs de sables (l'étendue de sable au-dessus de la mer) – qui pourraient éventuellement devenir des îles – aux Maldives, où un groupe d'îles de basse altitude pourraient bientôt être submergées en raison de la montée des eaux. Le processus débute par l'installation de rampes sous-marines, décrites par l'équipe de chercheurs comme "peu onéreuses, faciles à déployer et adaptables" à différents climats.
Lorsqu'une vague passe au-dessus de la rampe avec suffisamment de force, elle amène avec elle des particules de sables et les déposent, en profondeur, sous le bord de la rampe. Au fil du temps, les sédiments s'accumulent et finissent par former une barre de sable qui émerge au-dessus de la surface de l'océan.
Skylar Tibbits, à l'origine de l'équipe, a présenté les résultats de ces recherches lors la conférence annuelle TED qui a eu lieu à Vancouver, au Canada, à la mi-avril.
Les chercheurs ont d'abord testé leur technologie au MIT avant de la déployer dans les Maldives. Skylar Tibbits/MIT Self-Assembly Lab
Il y a quelques années, l'un de ses étudiants en thèse a suggéré que les glissements de terrain et les coulées de boue pourraient être utilisés pour construire des parcs et, depuis, cette idée n'a jamais quitté Skylar Tibbits. "J'ai toujours pensé que nous pourrions peut-être nous servir de ces catastrophes naturelles – tremblements de terre, tsunamis, tempêtes, coulées de boue, glissements de terrain, incendies – pour construire plutôt que détruire", a-t-il déclaré.
Son travail est soutenu par l'Invena, une organisation basée aux Maldives qui cherche des solutions technologiques aux problèmes des communautés insulaires. En février 2019, les deux organisations ont lancé ensemble leur première expérimentation aux Maldives et continueront de surveiller la croissance du sable tout au long de l'année.
Si le projet du Self-Assembly Lab du MIT repose sur le courant océanique pour construire ces barres de sable, la force des tsunamis ou des tempêtes pourrait aider à accélérer le processus. Ce système pourrait offrir aux zones côtières un moyen de se reconstruire après une catastrophe – ou créer une barrière naturelle permettant, à terme, de repousser la montée des eaux. Une bonne nouvelle donc pour des endroits comme Hawaii, où la plage Waikiki pourrait-être engloutie dans 15 à 20 ans.
D'après Skylar Tibbits, le concept d'une "île pop-up" créée par l'énergie des vagues est différent de celui d'une île flottante, où il est question de construire des masses terrestres artificielles. "Nous sommes plus intéressés par la façon dont les choses se construisent d'elles-mêmes", a-t-il indiqué.
Et d'expliquer que pour transformer une barre de sable temporaire en île permanente, les habitants conserveront les rampes sous-marines, ces dernières imitant la topographie d'un récif corallien et aidant à ancrer le sable. L'installation d'arbres, d'arbustes et d'autres plantes peut remplir une fonction similaire. "Il y a une blague qui dit que la seule différence entre une barre de sable et une île, c'est le palmier", s'amuse Skylar Tibbits. "Si une île reste, c'est grâce à la végétation".
Le chercheur du MIT a également déclaré que son modèle pourrait être plus bénéfique que des projets d'infrastructures "statiques" comme le projet Blue Dunes, qui vise à protéger la côte américaine médio-atlantique des inondations et de la montée du niveau de la mer par la construction d'îles artificielles. Celui-ci nécessiterait le dragage ou le ramassage du sable du fond de l'océan avant de le déposer ailleurs, ce qui peut-être dommageable pour les écosystèmes locaux.
Skylar Tibbits a assuré que son concept était moins envahissant et qu'il dépensait moins d'énergie que les modes traditionnels de mise en valeur des terres – tout en admettant qu'il devait encore prouver que les barres de sable se formeront correctement. "Ce sera un projet à très long terme", a-t-il souligné. "Mais si on parvient à atteindre notre objectif, ça sera quelque chose d'assez puissant".
Les Maldives ! HAHAHAHAHA ! Ce sont des îles ou ilots (Océan Indien) qui se forment ou se déforment face aux fortes marées appelées Upwelling. La montées des eaux est parfois aussi haute que des palmiers ! (D'où les photos d'escrocs montrant que la mer monte ! Hahahaha !), mais, quelques heures après... l'eau redescend ! Çà alors ! et, ces bouts de terres ont tout-à-coup des formes différentes.
4 curiosités de Paris sur la liste des 10 pires déceptions touristiques au monde (images)
12:44 28.04.2019
La Joconde a été placée en tête de la liste des 10 attractions touristiques les plus décevantes au monde, celle-ci comprenant aussi la tour Eiffel, le Moulin Rouge et le Louvre, d’après un sondage réalisé par la compagnie aérienne EasyJet.
Un sondage réalisé par la compagnie aérienne EasyJet auprès de 2.000 Britanniques a mis en lumière les 10 sites et attractions touristiques qui ont le plus déçu les touristes, relate The Independent.
Ainsi, en tête de liste se trouve la Joconde, «décevante» pour 86% des personnes interrogées.
La 2ème est 'notre dame' qui 'serait restée vierge après s'être faite... (...) !!! Ôh puting !
Le Moulin Rouge occupe la quatrième position, la tour Eiffel la sixième et le Louvre la neuvième.
Parmi les pires déceptions des touristes se trouvent également Checkpoint Charlie, l'un des postes-frontières de Berlin, la statue de la Petite Sirène à Copenhague ou le Manneken-Pis bruxellois.
Trois curiosités italiennes n'ont pas non plus répondu aux attentes des visiteurs britanniques: les Escalier de la Trinité-des-Monts, la fontaine de Trevi à Rome ainsi que la tour de Pise.
Cependant, les attractions les plus mémorables se sont avérées être les aurores boréales islandaises, 75% des personnes interrogées ayant déclaré les avoir aimées. Viennent ensuite le lac de Côme en Italie (63%) et l'île de Santorin en Grèce (60%).
Parmi les autres destinations phares, on compte les Alpes suisses, la plage de sable rose Elafonissi en Grèce, les Cinque Terre en Italie et les champs de tulipes aux Pays-Bas.
TRAFIC FERROVIAIRE - UN POLICIER NÉONAZI TRAVAILLE POUR LES CFF
L'homme déteste les étrangers et vénère Hitler. Il patrouille au sein de la police des transports des CFF et a même participé à la surveillance de chefs d'Etat à Davos.
28.04.2019, 11h07
Un néonazi travaille à la police des transports des CFF, annonce dimanche le «SonntagsBlick». Et ce St-Gallois, agé de 43 ans, ne cache pas ses convictions. Selon le journal, il affiche clairement sur son mur Facebook, en partie visible par tous, son admiration pour les Waffen-SS et Adolf Hitler (chef juif de la nazional socialiste). On peut y lire également des slogans racistes et des fantasmes violents envers les migrants.
L'homme, explique encore le «SonntagsBlick», a également fait partie de la police cantonale d'Appenzell Rhodes-Extérieures. A ce titre, il a été amené à protéger les plus puissants lors du Forum économique mondial (WEF) à Davos GR. Il a même été chargé de sécuriser un hôtel 5 étoiles ainsi que l'héliport de la station. Et ceci armé d'un fusil d'assaut.
Mais le plus inquiétant, c'est que ses supérieurs semblent n'avoir jamais remarqué son attitude et ses convictions extrémistes. «Il n'y a pas d'autre explication au fait qu'il patrouille toujours, arme au poing, dans les trains et les gares», estime le journal dominical.
Du côté des CFF, on se refuse à commenter la personnalité d'un employé individuel. Mais un porte-parole assure que« les CFF ne tolèrent aucun comportement inhumain, raciste, glorifiant la violence ou extrémiste de la part de leurs collaborateurs». Et il assure que lors du recrutement des policiers, un contrôle des risques autour du candidat est toujours effectué.
La présence de néonazis dans la police n'est pas une première. Plusieurs cas récents ont été découverts en Allemagne. En Suisse, le «SonntagsBlick» a également remarqué qu'un employé de Securitans patrouillait dans les rues de Schaffhouse avec un tatouage de la Wehrmacht. Un policier d'extrême droite tessinois a même été promu, alors que l'on savait depuis des années qu'il incitait à la violence contre les étrangers et vénérait Hitler.
Des Gilets jaunes «marchent sur les médias» pour réclamer un traitement impartial (images)
18:31 28.04.2019
Pour leur 24e journée de mobilisation, quelques centaines de Gilets jaunes ont défilé devant les sièges de plusieurs grands médias se trouvant à Paris.
Des centaines de Gilets jaunes ont fait samedi 27 avril une tournée des grands médias de Paris afin de réclamer «un traitement impartial» du mouvement de protestation. Les manifestants se sont rendus devant les sièges de plusieurs rédactions, dont TF1, Canal+, France Télévisions et BFM TV.
La dénommée «marche sur les médias» a commencé par la Maison de la Radio, située dans le XVIe arrondissement de Paris, pour se clôturer devant le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA).
Plusieurs fourgons des forces de l’ordre ont empêché les manifestants d’accéder au parvis du bâtiment où se trouvent les locaux de CNews. La marche s’est toutefois déroulée sans débordements.
Aux abords de Radio France, Sputnik s’est entretenu avec la chroniqueuse et femme politique Raquel Garrido qui a dénoncé les «regards péjoratifs et méprisants» des médias à l’égard du peuple et des Gilets jaunes:
L’acte 24 du mouvement social né en novembre a réuni 23.600 participants, selon les évaluations du ministère de l’Intérieur, alors que Le Nombre jaune en a décompté plus de 60.000.
On ne discute pas avec des terroristes ! Les journalistes sont aux ordres du Rédacteur en Chef qui l'est lui-même à ceux de son patron qui possèdent plus de 3000 quotidiens dans le monde, 800 stations de radios et 150 chaînes de télévisions ! Sauf bien sûr si vous avez la formule magique pour négocier des transactions, capturer l'attention des lecteurs, auditeurs, spectateurs en parallèle de la politique appliqué et du fil rouge que vous vous devez de suivre et ne jamais dépasser.
Bon; ne rêvons pas, jusque là vous avez été très bons, le juste ce qu'il faut grâce à l'Internet où vous pouvez vous exprimer librement. C'est ce qui s'appelle un avant-goût de Démocratie. Alors, votre liberté, ce n'est pas aux merdias que vous devez la mendier ni aux 'hommes politique' ! C'est à votre esprit d'avancer, de réfléchir et de faire. Ne vous rabaissez jamais ! Tant que vous avez quelque chose à dire: dites-le, ne vous en privez pas !
Les partis eurosceptiques ne remporteront pas les élections européennes, selon Barnier
18:18 28.04.2019
Les partis politiques eurosceptiques pourraient obtenir de 25 à 35% des votes lors des élections au Parlement européen fin mai, a annoncé l’ex-commissaire européen Michel Barnier. Cependant, les eurosceptiques ne pourront pas obtenir la majorité des sièges, a-t-il souligné.
Il est peu probable que les eurosceptiques obtiennent la majorité des sièges dans le nouveau Parlement européen qui sera renouvelé fin mai, a affirmé le négociateur en chef chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni Michel Barnier. Aucune force politique ne pourra prendre ses décisions de manière autonome sans participation à une coalition, a-t-il précisé.
L'homme politique a précisé qu'il faudrait trois ou quatre fractions pour former une majorité de coalition, lors de l'émission le Grand Jury RTL-LCI-Figaro le 28 avril.
Cela signifie que le Parti populaire européen (PPE), actuellement majoritaire au Parlement européen, devra travailler avec les socialistes, les libéraux, les centristes mais aussi avec les verts, d'après l'ancien commissaire européen. Ainsi, le futur Parlement serait divisé entre les forces populistes et les autres groupes, a-t-il relevé.
Cette configuration «sera obligatoire», selon lui.
En s'appuyant sur des sondages, qui «donnent à ces groupes populistes une force beaucoup plus importante qu'aujourd'hui», M.Barnier a estimé que les groupes des populistes, conservateurs et eurosceptiques pourraient obtenir entre 25 et 35% à l'issu des élections européennes.
Auparavant, la prévision du Parlement européen basée sur l'analyse des préférences politiques des citoyens de l'UE avait démontré que les partis des eurosceptiques pourraient augmenter leur présence au Parlement européen. Pour autant, le Parti populaire européen pourrait rester la plus grande fraction.
HAHAHAHA ! Il se prend pour 'Le chef des gilets jaunes' ou quoi ?! Primo, en Démocratie il n'y a PAS de chef. (Connaissez vous le nom du chef de l'État de la SEULE Démocratie au monde ? Non ! Même pas ! Vous ne connaissez même pas la Suisse ! Faut dire que le chef de l'État change toute les années !). Secundo, ce mouvement qui se répand dans les rues du samedi, est constitué de celles et de ceux qui ne vont jamais voter (entre un gros con et un gros con lequel choisir ?), qui n'ont donc AUCUN parti car, chaque citoyen ne se reconnait dans un parti qu'à la proportion inférieure à 1 % de son soutien ! C'est tout dire l'amour qu'elles ou ils peuvent porter envers la politique de merde appliquée et toute les 'ambitions' qu'il dit avoir. Ils appellent çà des 'projets' 'de grandes perspectives d'avenir', mais comptent UNIQUEMENT sur le pognon que vous allez lui verser (avec ou sans le sourire !).
Pourquoi Warren Buffett pense que la plupart des journaux sont "toastés"
par Tyler Durden Dim, 28/04/2019 - 21:40
Pardonnez à l’Oracle d’Omaha de ressembler davantage à Captainident ici, mais les lecteurs ne seront pas surpris d’apprendre que l’investisseur milliardaire octogénaire n’a pas les meilleures perspectives pour le secteur de la presse qui souffre depuis longtemps.
Buffett, qui détient par le biais de sa filiale Berkshire Hathaway BH Media un véritable empire de la presse écrite, a déclaré mardi dans une interview accordée à Yahoo Finance (qui retransmettra en direct la réunion annuelle des actionnaires de Berkshire le 4 mai) que " toast ", et que la plupart des journaux (y compris vraisemblablement les 30 quotidiens et les 47 hebdomadaires appartenant à BH) vont bientôt disparaître, car ils perdent des recettes publicitaires vitales au profit de sites Internet puissants tels que Google et Facebook.
Heureusement pour Berkshire, le déclin de l'industrie n'aura pas beaucoup d'impact sur ses résultats, car BH a acheté ses journaux à un prix "raisonnable", a déclaré Buffett.
Selon Buffett, le fait d'essayer de passer à un modèle basé sur un abonnement présente un double problème: les consommateurs ont autrefois recherché des journaux imprimés, non seulement pour le contenu de l'actualité, mais également pour les publicités. Les petites annonces comprenaient des informations essentielles sur les opportunités d’emploi et le logement, tandis que les supermarchés publiaient des tracts sur les produits en promotion cette semaine-là. Cette fonctionnalité a été largement absorbée par Craigslist.
"Cela choque les gens dans la salle de rédaction de parler ainsi, mais les publicités constituaient le contenu éditorial le plus important du point de vue du lecteur", a déclaré Buffett.
Entre 2006 et 2016, les recettes publicitaires de l'industrie de la presse étaient tombées à près du tiers de ce qu'elles étaient autrefois. Les journaux ont généré des recettes publicitaires de 18 milliards de dollars, contre 49 milliards il y a dix ans.
Aujourd’hui, les consommateurs n’utilisent pas beaucoup les journaux locaux, car ils ont en ligne leurs nouvelles politiques nationales et leurs actualités sportives nationales. Ce qui reste, les nouvelles locales, n’est tout simplement pas assez convaincant pour justifier un abonnement pour beaucoup.
Bien sûr, il y a quelques exceptions. Le New York Times, le Washington Post et le Wall Street Journal survivront grâce à leur notoriété nationale et à leur passage réussi au numérique.
Mais pour la plupart des journaux régionaux de taille moyenne, leur destin est déjà scellé.
Monsanto et le Parisien : aux racines du soupçon, il y a le soupçon, la mauvaise foi et plus encore (1)
28 Avril 2019 par Seppi
à propos de « Monsanto et ses "trolls" : aux racines du soupçon »
Le Parisien a publié coup sur coup, les 19 et 20 avril 2019, deux articles, « Comment le débat sur le glyphosate a pourri sur Twitter » et « Monsanto et ses "trolls" : aux racines du soupçon ». Nous avons analysé en partie le premier dans une livraison précédente, « Glyphosate : décidément, nous ne sortirons pas du manichéisme ni des infox ». Le deuxième s'inscrit dans le même cadre du manichéisme et des infox.
Mais il y a plus. Il y a un énorme cercle vicieux qui – nous oserons l'affirmer sans le démontrer à nouveau – relève du complot, ou du moins d'une stratégie de convergence d'intérêts idéologiques et économiques.
Un système judiciaire états-unien dévoyé
Entrons-y par le système judiciaire états-unien dévoyé.
Il permet à des avocats de lancer des actions spéculatives. En effet, les avocats ont le droit de se rémunérer au pourcentage des dommages et intérêts éventuellement alloués.
Par le mécanisme de la discovery, une partie à un litige peut aussi exiger de l'autre et de tiers impliqués dans l'affaire qu'avant le procès, il se soumettent à des interrogatoires, fassent des dépositions, soumettent des documents (lesquels peuvent aussi être obtenus dans le cas des fonctionnaires en vertu des FOIA, des lois sur l'accès à l'information). L'intérêt est au moins double : on peut se livrer à une fishing expedition, une opération de chalutage pour assembler des éléments de preuve ou des éléments suggestifs ou tout simplement compromettants ; et on peut aussi étrangler financièrement le défendeur et l'amener à accepter une transaction pour mettre fin à l'hémorragie financière.
Et, enfin, les procédures en responsabilité civile peuvent se plaider devant un tribunal avec un jury. Un jury souvent prompt à allouer des dommages-intérêts se chiffrant en millions de dollars.
Ce qui relevait de la justice est donc devenu une activité de racket.
Dans le cas d'espèce, à peine le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) eut-il déclaré le glyphosate « probablement cancérogène », que les cabinets d'avocats prédateurs se mirent en chasse de plaignants potentiels avec des messages tels que : « Êtes-vous atteint d'un lymphome non hodgkinien et avez-vous utilisé du Roundup ? Si oui, vous avez droit à une compensation. Téléphonez... ».
Actionner le tribunal de l'opinion publique avec les « Monsanto Papers »
Ce classement aurait pu être une simple aubaine, l'occasion de faire les poches à Monsanto, et maintenant Bayer. Il n'en est rien. Il a été soigneusement préparé : l'herbicide glyphosate a été inscrit au programme d'un groupe de travail chargé de produire une monographie sur des fongicides de manière « étrange » ; on a par exemple retardé la publication de deux études épidémiologiques nord-américaines à décharge (on en connaît une par une présentation Power Point et deux résumés) ; le classement a été « dopé » peu avant la clôture de la réunion du groupe de travail du CIRC ; des agents du CIRC et des membres du groupe de travail ont promu et défendu le classement bec et ongles, y compris par des méthodes contestables. Et certains membres du groupe de travail se sont mis au service de cabinets d'avocats prédateurs.
Les « Monsanto Papers » s'inscrivent dans cette stratégie.
Les « Monsanto Papers », ce sont les documents récupérés par des cabinets d'avocats agissant en théorie pour des plaignants, en pratique pour leur propre compte. Documents mis sur la place publique par ces officines et par l'US Right to Know, une entité sans but lucratif dont un des objets réels est de promouvoir les intérêts du biobusiness. Documents savamment exploités pour semer un mélange de doutes et de certitudes (alléguées) sur la dangerosité du glyphosate et pour dépeindre Monsanto et d'autres parties impliquées comme des monstres ou des gens peu recommandables.
Notons que l'US Right to Know a aussi mis en ligne – à notre sens contraint et forcé – les documents qui prouvent au-delà de tout doute les diverses malversations dont certains (nous y compris) ont fait état sous les bannières « Portier Papers » et « CIRC-gate ».
Le Parisien se risque à évoquer ces questions :
« Marcel Kuntz, chercheur au CNRS et membre du groupe Yahoo, confirme au Parisien que les "turpitudes du CIRC" ont été abordées par le cénacle virtuel. Notamment les intérêts de l’un des spécialistes invités par le groupe du travail du CIRC, Christopher Portier, très critiqué par les pro-glyphosate. »
Art consommé de l'euphémisme... Mais le Parisien se penchera peut-être sur ces « turpitudes » et « intérêts »... On peut rêver... Mais aux « racines du soupçon » il y a aussi une « information » au mieux hémiplégique.
Les idiots utiles des médias et des réseaux sociaux
Actionner le tribunal de l'opinion publique requiert le concours des médias.
La manœuvre n'est pas limitée aux États-Unis d'Amérique. La contestation du glyphosate et la mise en cause de Monsanto-Bayer en Europe sert les intérêts des avocats prédateurs. D'où ce lobbying important à Bruxelles, en partie téléguidé et en tout cas alimenté depuis l'autre rive de l'Atlantique, et le phénomène des carpetbaggers selon l'expression de notre ami David Zaruk, alias Risk-monger.
En France, des journalistes complaisants se sont obligeamment mis à disposition et ont déclenché une vague de suivisme. Notons incidemment que ces journalistes militants à la base du glyphosate- et du Monsanto-bashing se sont bien gardés d'écrire sur les « Portier Papers » et le « CIRC-gate », sauf à venir au secours, en tant que de besoins, des entités et personnes mises en cause.
Le Parisien écrit ainsi en chapô :
« Des documents que nous révélons montrent à quel point la multinationale s’est impliquée dans des groupes de discussion en ligne réunissant chercheurs et lobbyistes pour répliquer aux détracteurs de ses produits. »
Le quotidien « révèle »-t-il des documents ? Au sens strict peut-être, dans la mesure où ils n'auraient jamais été divulgués en France. Dans la réalité non : il relaie des documents publiés par ailleurs, avec les histoires, insinuations, affabulations, etc. qui vont avec.
M. Henry Miller consulte des gens de Monsanto... et alors ?
Les deux premières pièces – publiées malgré une clause de confidentialité – en sont une illustration caricaturale.
On en reste dans l'article du Parisien au conte de fée du preux chevalier blanc Gilles-Éric Séralini assailli par un gang de scientifiques à la botte de Monsanto :
« ...les Monsanto Papers montrent qu’une poignée de scientifiques se sont ligués à la firme dans le but de nuire au Français. »
En réalité, l'étude sur les rats de Gilles-Éric Séralini et al. – « la retentissante étude sur les OGM de Monsanto, le Roundup et les rats » selon le Parisien – n'est pas simplement « controversée » (ou « très controversée » comme il écrit). Ni attaquée par des factieux malveillants et à la solde de Monsanto.
Dès le lendemain de sa publication, le 20 septembre 2012, le toxicologue Gérard Pascal avait prononcé un verdict sans appel dans le Figaro : « Cela ne vaut pas un clou ».
Et dans les jours et les mois qui ont suivi, des critiques sont venues : d'un grand nombre de scientifiques des domaines pertinents, non seulement en France mais aussi ailleurs ; de scientifiques qui se sont exprimés par des lettres à l'éditeur de la revue Food & Chemical Toxicology (F&CT) à titre individuel, par des prises de position collectives ou par l'intermédiaire de leurs associations ; de scientifiques qui se sont exprimés dans la presse générale ou sur des blogs ; des agences d'évaluation et de sécurité sanitaire françaises (l'ANSES et le HCB), allemandes, australo-néo-zélandaise, belge, brésilienne, canadienne, danoise, européenne (EFSA, avec le concours de six. États membres), néerlandaise et roumaine ; d'instances compétentes en matière d'éthique scientifique, notamment pour l'expérimentation animale ; de journalistes scientifiques de journaux réputés ; d'associations de journalistes (s'agissant notamment des conditions inédites de l'embargo) ; et évidemment de Monsanto, le producteur de l'événement NK 603.
Fait unique dans les annales, six académies scientifiques françaises se sont unies – liguées selon le vocabulaire conspirationniste – pour émettre un avis fort critique sur l'étude et les événements connexes.
Même le CIRC, pourtant à la recherche d'éléments infamants pour le glyphosate, n'a pas retenu cette étude :
« Le groupe de travail a conclu que cette étude menée sur une formulation à base de glyphosate était inadéquate pour l'évaluation car le nombre d'animaux par groupe était faible, la description histopathologique des tumeurs était médiocre et les incidences de tumeurs chez des animaux individuels n'étaient pas fournies. »
Trois études de grande envergure, une française et deux européennes ont aussi, en pratique, invalidé l'étude Séralini. Cela a incité M. Sylvestre Huet à écrire sur son blog hébergé par le Monde « OGM-poisons ? La vraie fin de l’affaire Séralini » (notre analyse ici).
Le Parisien ignore ou occulte tout cela, ainsi que tous les événements qui ont eu lieu depuis septembre 2012. Tout comme précédemment le scandaleux Envoyé Spécial sur le glyphosate de France 2 du 17 janvier 2019. Rien ne saurait invalider la thèse que Monsanto « s'est démené pour détruire des recherches indépendante certaines recherches indépendantes » et qu'elle est « allé très loin pour anéantir une des enquêtes les plus dérangeantes publiées sur le Roundup » (Envoyé Spécial, 50:10).
Le Parisien monte donc en épingle un événement censé impressionner les foules :
« ...le lobbyiste américain Henry Miller, également membre d’AgBioChatter, transmet à la Monsanto un brouillon d’article au vitriol à amender avant envoi au magazine Forbes, dont il est chroniqueur. Il y accuse notamment l’étude Séralini d’être "frauduleuse". Comme le montrent des documents que nous nous sommes procurés, Eric Sachs, un employé de la firme, annote le texte, le 22 septembre, à cinq endroits. »
Forcément « lobbyiste », Henry Miller... Forcément « au vitriol » l'article... En réalité, M. Eric Sachs n'a fait que suggérer de supprimer une phrase offensante et inutile et d'apporter quelques corrections.
Mais n'apprend-on pas dans les écoles de médias à « définir un angle » ?
(Source)
L'essentiel n'est-il pas d'imprimer dans l'esprit des lecteurs la théorie d'une conspiration ?
À croire que c'est péché pour une firme de vouloir défendre deux lignes essentielles de son activité – le glyphosate et les OGM tolérant le glyphosate – ou de contribuer à leur défense par un examen critique d'un article du médecin et chroniqueur Henry Miller dans Forbes. Et que c'est péché pour celui-ci de s'assurer de l'exactitude et de l'opportunité de ses arguments auprès de celui-là.
Un « avertissement » qui passe pour une invitation à une manœuvre
Ces échanges et cet article ont été précédés par un « avertissement » de M. Drew L. Kershen déniché dans la correspondance du groupe de discussion AgBioChatter.
Le Parisien écrit ;
« Quand, le 19 septembre 2012, Le Nouvel Observateur (rebaptisé depuis L’Obs) publie la retentissante étude sur les OGM de Monsanto, le Roundup et les rats [ma note : l'étude a été publiée par Food & Chemical Toxicology], un universitaire de l’Oklahoma partage sur AgBioChatter quelques angles d’attaque. Mais met en garde le forum sur les risques que représenterait une prise de position hostile à Séralini en France. "Quelqu’un possédant des compétences scientifiques doit immédiatement qualifier cet article de science falsifiée et frauduleuse" mais ce scientifique "doit vivre aux États-Unis afin d’éviter les lois sur la diffamation pénale en vigueur en Angleterre, en France, au Pérou, etc.", suggère Drew L. Kershen, dans un e-mail rendu public l’an dernier par l’ONG américaine US Right To Know. »
Superbe rédaction qui laisse entendre une manœuvre et une tentative de dénigrement dans des juridictions donnant la préséance à la liberté d'expression. Pourquoi « quelques angles d'attaque » alors qu'il s'agissait de critiques argumentées et de mise en évidence de faiblesses, voire plus ?
Nous reproduisons ce courriel ci-dessous (avec nos caviardages).
- voir sur site -
Comme on peut le voir, l'analyse – faite le jour de la mise en ligne de l'article de Séralini et al. – est tout à fait pertinente. Mais chut ! Cela dérange la belle histoire du martyr assailli par les coups de Monsanto (mais résistant bravement).
Ah ! M. Henry Miller a été payé par Monsanto...
Comment se termine le chapitre Henry Miller ?
« Il sera plus tard démontré que le scientifique zélé a touché de l’argent de Monsanto pour un article de 2015 auquel il a pourtant peu participé, comme l’a expliqué Envoyé Spécial. Au vu du conflit d’intérêts, plusieurs articles co-signés par Miller et parus dans Forbes ont depuis été dépubliés. »
Ah, encore une fois, la belle affaire ! Il « a touché de l'argent »... Mais, horresco referens, c'est de l'argent de Monsanto...
Aujourd'hui, la vérité est sur Internet puisqu'elle est rejetée depuis toujours par les merdias. Les merdias vivent des mensonges, des lobbying qui vont donner de l'importance à ce qui n'en a pas. Ils invitent de FAUX scientifiques pour parler de science. Idem pour les politique, ne sont invités QUE les escrocs.
L'affaire Monsanto a eu pour but de faire semer le doute dans cet herbicide employé depuis plus de 50 ans par des dizaines de millions de personnes sans que l'une d'entre elles n'en soit morte mais... ils auraient découvert quelqu'un (en Californie) qui s'est plein d'avoir mal quelque part et accuse Monsanto ! Hahahahaha !
L'objectif et de faire interdire non pas l'herbicide Round'up pour empoisonnement mais UNIQUEMENT de le faire retirer des rayons des supermarchés afin que l'herbe envahissent les champs de blés !
S'il y a de l'herbe dans des champs de blé il ne peut y avoir de moisson ! Pas de moisson = pas de farine/pains, etc ! Lobbying = famine ! Hourra ! on a gagné !
Un de nos adhérents à Miserey Salines dans le Doubs a fait procéder, par le laboratoire Qualio de Besançon, à des analyses d’eau de pluie recueillies tous les 8 mois environ au même endroit et dans des conditions similaires.
Le résultat est fort préoccupant puisqu’il atteste d’une augmentation de 800% du taux d’aluminium en 16 mois (environ 9 fois plus) et d’une augmentation de 100% des taux de baryum, strontium et titane en 8 mois (2 fois plus)
Ces résultats d’analyse ont fait l’objet d’une communication au Maire de Miserey Salines (Doubs), lequel s’est engagé à transmettre ce rapport d’analyses à l’Agence Régionale de Santé (ARS-Besançon)
Un 'vieux post' de l'année dernière nous indique qu'une analyse de l'eau de pluie. Ce qu'il en ressort est que:
(...) Le résultat est fort préoccupant puisqu’il atteste d’une augmentation de 800% du taux d’aluminium en 16 mois (environ 9 fois plus) et d’une augmentation de 100% des taux de baryum, strontium et titane en 8 mois (2 fois plus) (...)
C'est-à-dire l'exacte composition des chemtrails. Composition qui se répand sur la totalité des sols chemtraillés (ou couloirs d'avions) et démontre que TOUTES les plantes sont atteinte d'un excès de nano-particules d'aluminium qui - comme on le sait - provoquent la maladie d'Alzheimer. Maladie relevée dernièrement chez les abeilles.
Nathalie Loiseau se compare à «une romanichelle», provoquant l’indignation
13:16 29.04.2019
La tête de liste LREM aux européennes s’est de nouveau attirée les critiques pour une expression lâchée en direct sur France Culture: évoquant son arrivée à la tête de l’ENA, Nathalie Loiseau a déclaré y avoir été accueillie comme une «romanichelle». Des propos qui ont suscité l’indignation de certains sur les réseaux sociaux.
La tête de liste LREM aux européennes Nathalie Loiseau a été invitée ce lundi 29 avril à l'émission Les Matins de France Culture pour y discuter, notamment, du sort de l'ENA, qu'Emmanuel Macron souhaite supprimer.
Ayant passé cinq ans à la tête de l'École nationale d'administration, l'ancienne ministre des Affaires européennes s'est exprimée sur l'accueil qui lui avait été réservé au sein de cet établissement, célèbre pour former les hauts fonctionnaires de la République.
«Je sais ce à quoi je me suis heurtée, c'est-à-dire énormément de conservatisme de la haute administration. Disons les choses: je n'ai pas été accueillie avec des fleurs en n'étant pas ancienne élève de l'ENA, femme de moins de 50 ans. J'avais l'impression d'être une romanichelle quand je suis arrivée à la tête de l'ENA», a-t-elle lancé, affirmant néanmoins que «c'était pas grave.»
Le mot «romanichelle», qui est traditionnellement employé de manière péjorative, a immédiatement fait réagir sur les réseaux sociaux.
Le 28 avril, l'ancienne ministre a déclaré être «soulagée» de la possible suppression de l'ENA, qu'elle avait dirigée:
«Je sais ce que j'ai pu faire pendant cinq ans à essayer de réformer cette école, il y a des choses que j'ai réussies, dont je suis fière, mais je sais aussi les limites auxquelles je me suis heurtée», a-t-elle développé, en déplorant notamment «le manque de diversité» des élèves.
Mme Loiseau a été déjà touchée par une série de polémiques concernant son passé. Mediapart a révélé qu'en 1984, elle figurait sur la liste d'un syndicat étudiant apparenté à l'extrême droite, notamment au Groupe union défense (GUD).
Disparition du tableau le plus cher au monde, devant être exposé au Louvre
13:03 29.04.2019
Alors que la France et l'Italie s'apprêtent à commémorer le jeudi 2 mai les 500 ans de la mort de Léonard de Vinci et que le Louvre prépare une rétrospective consacrée à ses œuvres, le Salvator Mundi, le tableau le plus cher au monde, vendu pour 450 millions de dollars en 2017, a disparu de la circulation.
Le Salvator Mundi de Léonard de Vinci, la toile la plus chère au monde, adjugée en 2017 pour la somme record de 450 millions de dollars, est au cœur d'une énigme: depuis la vente, il n'a plus refait surface.
La localisation de ce tableau de 65 cm sur 45, où le Christ en habit bleu ciel émerge des ténèbres, bénissant d'une main le monde tout en tenant un globe transparent dans l'autre, reste un mystère. Les experts interrogés sont partagés: certains le voient dans les réserves du Louvre Abu Dhabi, d'autres estiment qu'il n'y est jamais arrivé, un autre évoquant un musée à Genève…
Pourtant, le Louvre espère inclure ce tableau à sa rétrospective consacrée à Léonard de Vinci à l'automne prochain et l'a demandé en prêt au Département de la culture et du tourisme d'Abu Dhabi sans cependant avoir de réponse.
Tout comme la localisation, le propriétaire de l'œuvre reste inconnu. Selon The Wall Street Journal, l'acheteur serait le prince saoudien Badr ben Abdallah, au nom de Mohammed ben Salmane, prince héritier d'Arabie Saoudite qui n'a jamais confirmé être le propriétaire du tableau, ni par ailleurs démenti.
Bien que le ministère de la Culture émirati assure en être bien propriétaire, sans toutefois être en mesure de dire où il se trouve, personne ne sait qui est officiellement le propriétaire. Christie's n'a pas divulgué son identité lors de la conférence de presse qui avait suivi la vente.
Selon des experts, le Salvator Mundi a été peint en 1505. Pendant longtemps, le tableau a été considéré comme perdu mais en 1958 il a refait surface lors d'une vente aux enchères. Présenté comme l'œuvre d'un maître de l'école de De Vinci, il a été vendu 45 livres.
Un demi-siècle plus tard, en 2011, un groupe d'experts a conclu que le tableau avait été peint par Léonard lui-même, bien que certains spécialistes continuent d'émettre des doutes à ce sujet.
En 2013, le milliardaire russe Dmitri Rybolovlev l'avait acheté à titre privé pour 127,5 millions de dollars avant de le mettre aux enchères à New York 5 ans plus tard.
Leonardo da Vinci qui aurait peint le 'portrait du fils de dieu' !! ("Dis, t'as pas une photo de ton père ?" HAHAHAHA !) était de loin cet illustre personnage à qui l'on prête l'intelligence d'avoir inventer l'eau chaude, l'Internet, et le dernier phone d'Apple (poire en français) !
Car, figurez vous que le quidam en question vivait au temps de Christopho Colombo* ! (celui en 404 Pigeot ?) et, à cette même époque pris la mer (dans ses bras ?) et emporta de l'eau de peur d'en manquer ! (Car à cette époque la Terre était encore plate !).
Ainsi, constate-t-on, que les gens qui vivaient à ce 16 ème siècle NE SAVAIENT PAS (encore) COMMENT FAIRE POUR BOIRE DE L'EAU DE MER !!! HAHAHAHA !
HÂ les cons ! Les cons ! les cons !
Prendre une boite et la remplir d'eau sale (urine, toxique, noire, etc) et la poser dans une grande poêle sur le feu. Prendre une grande boite (ou marmite) et la retourner en couvercle sur la petite boite. Lorsque l'eau bout, la condensation dégoulinera le long des parois intérieures de la grande boite jusqu'à la poêle ! Eh oui ! c'est la gravité ! Et, cette eau dans la poêle est transparente ! Elle n'a pas d'odeur ! Elle ne contient AUCUN microbe ! C'est aussi ce qui s'appelle de l'eau pure.
Et donc, le 'savantissime illustrissime' ne savait pas encore çà ! HAHAHAHA !
Mais, si l'on regarde le prix du tableau... 450 millions de dollars ! Wôuâaff ! Une énormité à l'époque (2017) pour un 'gosse' avorté afin que sa mère demeure vierge après l'insémination artificielle ! (Même pas été capable de se décloué des piercings tout seul ! Hahaha !).
Et oui ! Y a du soleil sous Terre ! Il s'appelle Magma ! Hahaha !
20.000 «boutons bleus d’urgence» et 240 drones de sécurité à Paris proposés par Mahjoubi
12:28 29.04.2019
La capitale française sera surveillée par un dispositif de 240 drones de sécurité dans le cas où Mounir Mahjoubi, ex-secrétaire d’État au numérique, serait élu maire de Paris aux prochaines municipales, a-t-il confié dans un entretien au JDD, évoquant également d’autres mesures de sécurité envisagées.
Interrogé par le Journal du dimanche, Mounir Mahjoubi, candidat LREM à la mairie de Paris aux prochaines municipales et ex-secrétaire d'État au numérique, a évoqué ses projets de lutte contre l'insécurité dans la capitale française.
Le candidat LREM aux municipales préconise «une tolérance zéro» et l'application de «la théorie du carreau cassé: dès qu'il se passe quelque chose, on intervient».
«Je veux créer le Paris des 240 quartiers, dix rues au maximum dans lesquelles deux agents dédiés seront à disposition 24 heures sur 24 — ce qui nécessite entre huit et douze agents par quartier», a déclaré Mounir Mahjoubi.
Et d'expliquer qu'«ils seront ainsi à moins de cinq minutes à pied ou à vélo pour intervenir en cas d'urgence». Mounir Mahjoubi avance que cela changera beaucoup de chose, parce que «les habitants les connaîtront».
En outre, il souhaite mettre en œuvre près de 240 drones de défense en ville:
«J'envisage de déployer des drones de protection équipés de caméras, qui se rendront très rapidement sur les lieux signalés. Il y en aura un par quartier, soit 240 drones», «pilotés par des agents spécialement formés».
Afin d'appeler en urgence les forces de l'ordre en cas de problème, 20.000 boutons bleus d'urgence seraient ainsi installés dans les rues de Paris, conclut l'ancien secrétaire d'État.
Un Français signale la disparition de sa femme… pendant qu’elle porte plainte contre lui
11:47 29.04.2019
La police de Thonon-les-Bains, en Haute-Savoie, a été confrontée à une drôle de situation ce week-end. Un homme s'est présenté au commissariat pour signaler la disparition de sa femme... au moment même où cette dernière était en train de porter plainte pour violences conjugales contre lui !
Dans le commissariat de Thonon-les-Bains, en Haute-Savoie, un homme est venu annoncer qu'il recherchait sa femme. Toutefois, celle-ci était justement en train de porter plainte contre lui pour violences conjugales, au même endroit!
L'homme faisait l'objet de trois fiches de recherche, a tweeté la police.
Placé en garde à vue, il devrait comparaître le lundi 29 avril, selon le quotidien régional Le Dauphiné Libéré.
par Tyler Durden Lundi, 29/04/2019 - 03h30 Écrit par Manlio Dinucci via le réseau Voltaire,
Q: Quel est le résultat du symposium à Florence ?
Michel Chossudovsky: L'événement a été un grand succès, avec la participation de conférenciers venus des États-Unis, d'Europe et de Russie. Nous avons présenté l'histoire de l'OTAN. Nous avons identifié et documenté avec soin ses crimes contre l'humanité. Et à la fin du symposium, nous avons présenté la «Déclaration de Florence», un moyen de sortir du système de guerre.
Q: Dans votre introduction, vous avez affirmé que l’Alliance atlantique n’était pas une véritable alliance…
Michel Chossudovsky: Au contraire, sous l'apparence d'une alliance militaire multinationale, c'est le Pentagone qui domine les mécanismes décisionnels de l'OTAN. Les États-Unis contrôlent les structures de commandement de l'OTAN, qui sont intégrées à celles des États-Unis. Le commandant suprême des forces alliées en Europe (SACEUR) est toujours un général américain nommé par Washington. Le secrétaire général, actuellement Jens Stoltenberg, est essentiellement un bureaucrate qui gère les relations publiques. Il n'a aucun rôle décisionnel.
Q: Un autre thème que vous avez évoqué est celui des bases militaires américaines en Italie et dans d'autres pays européens, y compris à l'Est, malgré le fait que le Pacte de Varsovie n'existe pas depuis 1991 et malgré la promesse faite à Gorbatchev de ne pas prolonger l'OTAN. vers l'Est se produirait jamais. Quel est le but de ces bases ?
Michel Chossudovsky: L’objectif tacite de l’OTAN - un thème important de notre débat à Florence - est de mettre en œuvre, sous une dénomination différente, «l’occupation militaire» de facto de l’Europe occidentale. Les États-Unis continuent non seulement à «occuper» les anciens membres des «pays de l'Axe» de la Seconde Guerre mondiale (Italie, Allemagne), mais ont utilisé le badge de l'OTAN pour établir des bases militaires américaines dans toute l'Europe occidentale. par la suite, en Europe orientale à la suite de la guerre froide et dans les Balkans à la suite de la guerre de l'OTAN contre la Yougoslavie (Serbie-Monténégro).
Q: Qu'est-ce qui a changé en termes d'utilisation possible des armes nucléaires ?
Michel Chossudovsky: Immédiatement après la guerre froide, une nouvelle doctrine nucléaire a été formulée, axée sur l'utilisation préventive des armes nucléaires, autrement dit sur une première frappe nucléaire en tant que moyen de légitime défense. Dans le cadre des interventions USA-OTAN, présentées comme des mesures de maintien de la paix, une nouvelle génération d'armes nucléaires «de faible puissance» et «non utilisables» a été créée, décrite comme «inoffensive pour les civils». Les dirigeants politiques américains les considèrent comme des «bombes de pacification». Les accords de la guerre froide, qui établissaient certaines mesures de sécurité, ont maintenant été abandonnés. Le concept de «destruction mutuellement assurée», relatif à l'utilisation d'armes nucléaires, a été remplacé par la doctrine de la guerre nucléaire préventive
Q: L'OTAN était «obsolète» au début de la présidence Trump, mais elle a maintenant été redémarrée par la Maison-Blanche. Quel rapport y a-t-il entre la course aux armements et la crise économique ?
Michel Chossudovsky: Guerre et mondialisation vont de pair. La militarisation repose sur l'imposition d'une restructuration macro-économique dans les pays cibles. Il impose des dépenses militaires afin de soutenir l'économie de guerre au détriment de l'économie civile. Cela conduit à la déstabilisation économique et à la perte du pouvoir des institutions nationales. Un exemple - récemment, le président Trump a proposé d’énormes réductions budgétaires dans les secteurs de la santé et de l’enseignement, ainsi que dans les infrastructures sociales, bien qu’il ait demandé une augmentation massive du budget du Pentagone. Au début de son mandat, le président Trump a confirmé l'augmentation des dépenses du programme nucléaire militaire lancé par Obama de 1 000 milliards à 1 200 milliards de dollars, affirmant que cela contribuerait à rendre le monde plus sûr. L'augmentation des dépenses militaires, conjuguée aux mesures d'austérité, a entraîné la disparition de ce qu'on appelait auparavant «l'État providence». Sous la pression des États-Unis, l'OTAN s'est engagée à augmenter ses dépenses militaires. Le général Jens Stoltenberg a déclaré que c’était la bonne décision pour «garantir la sécurité de notre population». Les interventions militaires sont associées à des actes concomitants de sabotage économique et de manipulation financière. L'objectif final est la conquête des ressources humaines et matérielles ainsi que des institutions politiques. Les actes de guerre soutiennent un processus de conquête économique totale. Le projet hégémonique des États-Unis est de transformer les pays et les institutions souveraines internationales en territoires ouverts à la pénétration. L’un de leurs instruments est l’imposition de lourdes pénalités aux pays endettés. L’imposition de réformes macro-économiques mortelles a pour effet d’appauvrir de vastes secteurs de la population mondiale.
Q: Qu'en est-il maintenant et que deviendra le rôle des médias ?
Michel Chossudovsky: Sans la désinformation diffusée de manière générale par presque tous les médias, le programme militaire USA-OTAN s'effondrerait comme un château de cartes. Les dangers imminents d’une nouvelle guerre avec les armes les plus modernes et le péril atomique ne sont pas le genre de nouvelles qui font la une des journaux. La guerre est présentée comme un acte de pacification. Les criminels de guerre sont décrits comme des sucettes. La guerre devient la paix. La réalité est inversée. Quand les mensonges deviennent la vérité, il n'y a pas de retour en arrière.
Seul un quart des Britanniques sait qui est le Premier ministre irlandais
par Tyler Durden Lundi, 29/04/2019 - 02h45
Niall McCarthy, de Statista, souligne que la frontière irlandaise est le principal point d'achoppement dans les négociations sur le Brexit. Il peut donc être surprenant d'entendre que seulement un quart des Britanniques savent en réalité qui est le taoiseach ou le premier ministre irlandais.
YouGov suit les niveaux de notoriété de divers politiciens internationaux parmi le public britannique (à l’exception de l’Irlande du Nord) et seulement 26% ont entendu parler du Taoiseach irlandais Leo Varadkar.
- voir liste sur site -
Infographie: seulement un quart des Britanniques savent qui est le Premier ministre irlandais | Statista
- Donald Trump 99 % - Vladimir Poutine 95 % etc !
Cela représente toujours une part supérieure à celle du Premier ministre indien Narendra Modi (23%) ou du Premier ministre australien Scott Morrison (15%).
GASPILLAGE - LES DÉCHETS ALIMENTAIRES EXPLOSENT EN SUISSE
Les ménages suisses produisent 1 million de tonnes de déchets alimentaires par an. Près de la moitié pourrait être évitée. Près de 480'000 tonnes de déchets alimentaires sont jetées avec les ordures ménagères.
29.04.2019, 13h00
La Suisse produit chaque année 2,6 millions de tonnes de déchets alimentaires, dont les deux tiers sont évitables. A eux seuls, les ménages jettent un million de tonnes d'aliments.
Au total, 1,7 million de tonnes d'aliments pourraient être encore consommés au moment où ils sont jetés à la poubelle. Cela représente environ 190 kilos d'aliments comestibles perdus par personne et par an, a indiqué lundi l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) en publiant plusieurs études sur le gaspillage alimentaire.
Vingt-huit pour cent des déchets évitables sont imputables aux ménages privés. Ceux-ci représentent près de 480'000 tonnes d'aliments, à savoir 60 kilos par personne et par an.
Seuls 170'000 tonnes de déchets alimentaires des ménages sont collectées et valorisées sous forme d’engrais de recyclage ou de biogaz. Les 350'000 tonnes restantes sont soit compostées soit données aux animaux.
Prise de conscience à soutenir
Les ménages n'ont pas encore pris conscience de la quantité que représentent leurs propres déchets. Ils manquent de sensibilité et de connaissances quant à la conservation et au stockage des aliments ainsi qu'aux méthodes d'utilisation des restes, explique l'OFEV.
Une bonne infrastructure de gestion des déchets verts dans les communes permettrait de diminuer considérablement le gaspillage alimentaire. La collecte séparée donne une meilleure perception des quantités jetées, celles-ci étant davantage visibles, estime l'office.
Pertes pour l'agriculture aussi
L’agriculture génère quant à elle quelque 225'000 tonnes de déchets alimentaires, dont 90 % pourraient être valorisés. Ils représentent une perte de 600 millions de francs par an pour l'agriculture.
Ces déchets sont principalement dus aux normes industrielles à appliquer, aux conditions techniques et au stockage inapproprié. Environ 173'000 tonnes sont des résidus de récolte qui sont épandus sur les champs comme engrais.
Près de 49'500 tonnes sont des résidus ou des rebuts de récolte qui sont donnés aux animaux et qui restent ainsi dans le cycle de production des denrées alimentaires. Seules 2000 tonnes (1%) des déchets alimentaires provenant de l'agriculture sont valorisées thermiquement pour produire de l’électricité et de la chaleur.
Agroalimentaire surtout
Contrairement à l'industrie agroalimentaire, au commerce de détail et à la restauration, les chiffres des ménages et de l'agriculture n'avaient pas encore été publiés. Environ 43% des 1,7 million de tonnes de déchets alimentaires évitables sont à mettre sur le compte de l'industrie agroalimentaire. Celle-ci génère 950'000 tonnes.
Le commerce de détail est responsable de 100'000 tonnes de pertes, principalement en raison des invendus. 95% pourraient être évités. Les grands distributeurs perdent un peu plus d’un demi-milliard de francs par an, selon les calculs de l'OFEV.
Quant à la restauration et à l'hôtellerie, elles génèrent 290'000 tonnes de déchets par an. Pour le secteur, la plupart des déchets évitables proviennent de préparations de quantités excessives. Environ 68% de la quantité totale de déchets pourrait être évité chaque année. Le secteur perd environ un milliard de francs par an.
Mesures en place
Le Conseil fédéral a mis en place plusieurs mesures pour diminuer le gaspillage alimentaire, selon l'OFEV. En adoptant en 2015, l’Agenda de développement durable de l'ONU, la Suisse s'est engagée à réduire de moitié, d’ici à 2030, le volume de déchets alimentaires par habitant.
Le Conseil national a chargé le gouvernement d’élaborer un plan d’action contre le gaspillage alimentaire. Il fera l’objet, vraisemblablement en 2024, d’une évaluation qui visera à déterminer si les mesures qu’il contient sont suffisantes ou si des adaptations doivent être effectuées.
L’alimentation contribue à l’impact écologique global de la Suisse, avec une part de 28%, rappelle l'OFEV. Si des aliments ne sont pas consommés, leur production aura généré des émissions de gaz carbonique, contribué à la perte de biodiversité et utilisé les sols et les eaux en vain. Les aliments jetés entraînent aussi des coûts tout au long de la chaîne de production et de commercialisation, qui se répercutent sur les prix des produits. (ats/nxp)
Faut dire qu'avec le 'réchauffement climatique' qui ne veut pas venir ! (Mais que fait la police ??) et les bestioles qui envahissent les stands de 'bio' (Hahahaha !) on en jette plus que ce que l'on en consomme ! En plus: Çà fait chier !
Chier: Remettre sur Terre les choses qui lui ont été prises.
Le président Donald Trump avait raison de ne pas prendre en compte le changement climatique dans son message du Jour de la Terre du 22 avril 2019. Au lieu de cela, il s'est concentré sur des questions importantes et sur lesquelles nous exerçons un contrôle considérable: protection des infrastructures hydrauliques du pays, conservation de la terre, de l'eau et de la faune, amélioration de la santé des forêts et, bien sûr, de la prospérité économique, pilier sur lequel tout le monde est fondée. Après tout, sans prospérité, nous ne pouvons nous permettre de protéger l’environnement. Trump a expliqué dans sa déclaration officielle du Jour de la Terre:
«Protection de l'environnement et prospérité économique vont de pair. Une économie de marché forte est essentielle à la protection de nos ressources naturelles critiques et à la promotion d'un héritage de conservation. “
Il a raison, bien sûr, mais cela n’a pas été du goût de ceux qui s’inquiètent du changement climatique causé par l’homme. BNN Bloomberg a déclaré qu'Andrew Dessler, un climatologue de la Texas A & M University, s'était plaint de ce qui suit: «Cette déclaration est en réalité l'antithèse de la protection de l'environnement. Ils ne mentionnent pas la menace existentielle la plus grave [le changement climatique provoqué par l'homme] qui pèse sur l'humanité. »
Dans un article publié par le magazine de gauche Mother Jones, le journal britannique Guardian a déclaré: "Le directeur exécutif du Sierra Club a déclaré que M. Trump était" le pire président pour l'environnement que notre pays ait jamais eu "."
Les préoccupations relatives aux dangereux changements climatiques causés par l'homme ne sont pas fondées sur des observations de ce qui se passe réellement dans le monde réel. Le Goddard Institute for Space Studies de la NASA admet qu'entre 1880 et 2019, la «température annuelle moyenne de l'air à la surface de la planète» n'a que légèrement dépassé le degré Celsius, malgré une augmentation supposée de 40% du gaz carbonique atmosphérique.
Et le temps extrême n'augmente pas. La base de données NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), qui répertorie les données météorologiques extrêmes enregistrées dans l'ensemble de l'État, probablement les meilleures du genre, montre qu'en 2018, un seul enregistrement d'État a été établi: le plus grand grêlon (5,38 pouces de diamètre) de l'histoire. de l'Alabama. Jusqu'à présent, un seul record a été établi en 2019: la température la plus basse enregistrée dans l'Illinois (-38° F (-38,8° C) sur le mont Carroll). En fait, au cours des 18 premières années du 21e siècle, seuls deux États ont enregistré leurs températures maximales: la Caroline du Sud en 2012 et le Dakota du Sud en 2006 (ce dernier était à égalité avec 1936, lorsque 15 États ont établi leurs records de températures maximales).
Même s'il y avait une augmentation de 20 000 000 000% du gaz carbonique sur Terre il y aurait une augmentation équilibrante immédiate de 20 000 000 000% du gaz oxygène produit par les végétaux envahissant notre planète et d'autre part un recyclage immédiat par les mers & océans (qui couvrent plus de 75 % de notre planète) en nano-particule de carbone (charbon) grâce aux phytoplancton présents sur les bassins d'eaux, les pluies et les brouillards.
Il en a d'ailleurs TOUJOURS été ainsi depuis la formation-même de notre étoile en planète ! Mais comme ses habitants ignoraient tout de leur provenance, il n'ont pu s'appeler 'les étoilés' mais 'les terriens' ! Car, s'ils connaissaient approximativement les étendues de terres ils ignoraient totalement les étendues d'eaux !! D'où l'erreur commise même quand ils apprirent que leurs ancêtres les singes venaient eux-mêmes des eaux !!
Faut dire aussi que les merdias (comme les religieux ancien temps) essaient de prendre le pouvoir du monde en publiant conjointement les mêmes fausses nouvelles de partout et les mêmes escrocs interviewés !!
L'ADN se transforme en une nanocapsule intelligente pour l'administration de médicaments
par l'Université de Jyväskylä 29 AVRIL 2019
Des chercheurs de l'Université de Jyväskylä et de l'Université Aalto en Finlande ont mis au point une nanostructure ADN personnalisée pouvant effectuer une tâche prédéfinie dans des conditions analogues à celles du corps humain. Pour ce faire, l'équipe a construit un support en forme de capsule qui s'ouvre et se ferme en fonction du niveau de pH de la solution environnante. La nanocapsule peut être chargée - ou emballée - avec une variété de cargaisons, fermée pour livraison et rouverte grâce à une augmentation subtile du pH.
La fonction de la nanocapsule d’ADN est basée sur les résidus d’ADN sensibles au pH.
Pour y parvenir, l’équipe a conçu une structure d’origami d’ADN semblable à une capsule, fonctionnalisée avec des brins d’ADN sensibles au pH. Ces nanodesigns d'ADN dynamiques sont souvent contrôlés par la simple liaison hydrogène de deux séquences d'ADN complémentaires. Ici, une moitié de la capsule était équipée de domaines spécifiques de l'ADN double brin qui pourraient former une triple hélice d'ADN, c'est-à-dire une structure hélicoïdale composée de trois, pas seulement deux molécules d'ADN, en se liant à un ADN simple brin approprié. dans l'autre moitié.
"La formation de triplex ne peut se produire que lorsque le pH environnant de la solution est correct. Nous appelons ces verrous pH 'verrous pH', car lorsqu'ils interagissent, ils fonctionnent de manière similaire à leurs homologues macroscopiques et verrouillent la capsule à l'état fermé. Nous avons inclus plusieurs motifs dans la conception de notre capsule afin de faciliter l’ouverture / la fermeture de celle-ci sur la base du comportement coopératif des verrous. L’ouverture de la capsule est en fait très rapide et ne nécessite qu’une légère augmentation du pH de la solution ", explique le premier auteur du livre. doctorant Heini Ijäs du Nanoscience Center de l’Université de Jyvaskyla .
Pour exploiter les nanocapsules destinées au transport de charges utiles moléculaires ou de substances thérapeutiques, l'équipe a conçu la capsule avec une cavité pouvant héberger différents matériaux. Ils ont démontré que les nanoparticules d'or et les enzymes pouvaient être chargés (pH élevé) et encapsulés dans les capsules (pH faible) et de nouveau affichés (pH élevé). En surveillant l'activité de l'enzyme, les chercheurs ont constaté que la cargaison restait entièrement fonctionnelle au cours du processus.
"La chose la plus fascinante à propos des capsules d’origami ADN est que le seuil de pH auquel l’ouverture et la fermeture ont lieu est entièrement ajustable en sélectionnant les séquences de bases des verrous de pH. Nous avons conçu le pH de seuil de 7,2 à 7,3, proche de la pH sanguin. À l’avenir, ce type de médicament pourrait être optimisé pour s’ouvrir sélectivement à l’intérieur de cellules cancéreuses spécifiques, ce qui permettrait de maintenir un pH plus élevé que les cellules saines normales ", a déclaré Veikko Linko, professeur auxiliaire à l’Université Aalto.
De plus, les capsules sont restées fonctionnelles aux concentrations physiologiques de magnésium et de sodium et dans 10% de plasma sanguin, et peuvent continuer à le faire à des concentrations plasmatiques encore plus élevées. Ensemble, ces résultats aident à ouvrir la voie à la mise au point de véhicules de délivrance de médicaments intelligents et entièrement programmables pour la nanomédecine.
Une nouvelle approche pourrait mener à un vaccin contre la grippe à vie
par Amy Adams, Université de Stanford 29 AVRIL 2019
Si le virus qui cause la grippe était un cornet de crème glacée, le vaccin annuel enseigne au système immunitaire à ne reconnaître que le scoop: un an de chocolat et un an de fraise. Comme le virus change chaque année, il en va de même pour le vaccin.
Une nouvelle approche qui enseigne à l’organisme à reconnaître la partie cône du virus - qui reste inchangée d’une année sur l’autre - pourrait bouleverser ce rituel de vaccination annuel et protéger les personnes contre la grippe pandémique, comme celle qui a tué 40 à 50 millions de personnes en 1918. L'équipe travaillant sur cette nouvelle approche, dirigée par le biochimiste Peter Stan Kim, a montré les premiers signes de l'efficacité de leur technique chez les animaux de laboratoire. Ils avertissent qu'ils doivent encore préciser leur vaccin et montrent qu'il fonctionne dans des études beaucoup plus vastes avant de le tester chez l'homme.
"Nous pensons que cela pourrait être très généralisable", a déclaré Kim, qui est Virginia et D.K. Ludwig professeur de biochimie et chercheur principal de l'initiative sur les maladies infectieuses au Biohub de Chan Zuckerberg. "Il pourrait être important de proposer un vaccin universel contre la grippe qui protégerait contre la grippe pandémique, ainsi que contre le VIH."
Focalisation du système immunitaire
Premièrement, une introduction aux vaccins contre la grippe. L'idée est d'injecter à une personne soit un virus tué, soit une seule protéine normalement présente à la surface du virus. Le système immunitaire apprend à reconnaître des fragments de cet envahisseur artificiel et constitue une défense qu'il peut activer des mois, voire des années plus tard, s'il revoit cette protéine. Le problème, c’est que certaines parties d’une protéine sont, pour une raison quelconque, plus faciles à détecter par le système immunitaire. Dans le cas de la grippe, cette portion facilement détectable est l'extrémité de la crème glacée, donc le vaccin annuel contre le goût de l'année. Les scientifiques n’ont pas réussi à diriger efficacement l’attention du système immunitaire vers le cône.
L'idée de la nouvelle approche est née lorsque Payton Weidenbacher, étudiant en chimie diplômé en chimie, a entendu parler d'une protéine qui peut se lier très précisément à la protéine du virus de la grippe qu'ils souhaitent reconnaître par le système immunitaire. (La protéine s'appelle un anticorps monoclonal - "mono" parce qu'elle se lie à un seul endroit et "clonale" parce que les scientifiques peuvent en faire beaucoup de copies identiques.) Dans le discours que Weidenbacher a suivi, les scientifiques se demandaient s'ils pouvaient utiliser le anticorps monoclonal comme guide et créer un moyen pour le système immunitaire de se lier au même endroit.
En écoutant la conversation, Weidenbacher s'est souvenu d'un truc chimique qu'il pensait être une approche différente. Au lieu de simplement apprendre de l'anticorps monoclonal, pourquoi ne pas l'utiliser ? Son idée était de verrouiller cet anticorps monoclonal très spécifique sur la protéine du virus de la grippe en laboratoire et de l’utiliser comme pochoir. Il pourrait peindre le reste de la protéine avec des molécules qui agissent comme une cape chimique, la rendant invisible pour le système immunitaire. En enlevant le pochoir, il ne resterait qu'une infime partie de la protéine visible par le système immunitaire pour apprendre à reconnaître et finalement à attaquer.
L'utilisation de cette protéine essentiellement masquée comme vaccin peut pousser le système immunitaire à mener une attaque contre le cône - la portion du virus partagée entre les souches de grippe, y compris la grippe pandémique.
Commencez maintenant
Weidenbacher a mentionné son idée à Kim après la conférence, mais tous deux ont supposé que quelqu'un d'autre aurait pensé à une idée aussi simple. Ensuite, Weidenbacher a reçu un email de Kim tard dans la nuit. "Peter était comme" personne ne l'a fait, commence maintenant ", a déclaré Weidenbacher, qui a rejoint le laboratoire de Kim via un programme d'études supérieures de ChEM-H qui forme les étudiants à appliquer le savoir-faire en chimie aux problèmes de biologie et de médecine.
"Payton est un chimiste", a déclaré Kim. "Ce qu'il a fait, c'est trouver un moyen d'utiliser l'anticorps monoclonal non pas comme quelque chose que vous regardez, mais comme un réactif."
Bien que l'idée soit simple, sa réalisation ne l'était pas. Weidenbacher a rencontré des difficultés pour que le système fonctionne, mais les premiers tests de l'équipe, publiés le 26 avril dans les Actes de la National Academy of Sciences, semblent prometteurs. Les animaux de laboratoire qui reçoivent cette protéine de la grippe habilement dissimulée manifestent également une réponse immunitaire à d'autres souches de la grippe - ce qui ne se produirait que s'ils avaient appris à reconnaître les parties cohérentes du cône. Les animaux ayant reçu un vaccin normal ne répondaient pas bien aux autres souches de grippe.
Kim et Weidenbacher ont déclaré avoir "biaisé" la réponse immunitaire, mais ils ont du travail à faire pour la rendre plus spécifique. Mais s’ils y parviennent, ils estiment que cela pourrait devenir une approche efficace pour de nombreux agents infectieux.
"Vous devriez être capable de faire cela sur n'importe quoi - c'est le rêve", a déclaré Weidenbacher. "Avec la bonne chimie, vous pouvez prendre n'importe quel anticorps monoclonal et le faire."
Les six applications à supprimer immédiatement de votre smartphone Android
16:50 29.04.2019
Téléchargé déjà plus de 90 millions de fois, le logiciel malveillant Android baptisé PreAMO infecte des applications et permet ainsi à ses développeurs de récupérer d’importants revenus. Par sécurité, des sociétés ont déjà supprimé certaines applications du même développeur. Des chercheurs invitent les utilisateurs à en faire de même.
Six applications disponibles dans le Play Store Google sont infectées par un nouveau logiciel malveillant Android nommé PreAMO, rapportent les chercheurs en cybersécurité de Checkpoint. Ils affirment qu'il a été déjà téléchargé plus de 90 millions de fois. Les spécialistes appellent les internautes à être vigilants et à supprimer les applications concernées par ce malware et contenu dans des applications proposées par la firme chinoise DO Global.
Mais comment cela fonctionne-t-il? Le logiciel clique sur de nombreuses annonces publicitaires à votre place, permettant ainsi à son développeur de toucher d'importants revenus provenant de trois agences de publicité: Presage, Admob et Mopub: PreAMO par contraction, soit le nom du logiciel.
Les six applications Android infectées par ce malware sont Mycamera, Omni.cleaner, Speedbooster.optimizer, rambooster.totalcleaner, cooler.smartcooler, flashlight.torch.screenlight.party.
Plusieurs sociétés, dont la firme de Mountain View, ont par sécurité déjà supprimé une série d'applications du même développeur. En effet, selon une enquête de BuzzFeed, Google a retiré 46 des 100 applications de DO Global qui a réagi à cette suppression.
Dans un communiqué, la compagnie chinoise affirme avoir mené sa propre enquête en interne afin de comprendre et de prendre les mesures nécessaires. Elle a promis de respecter «strictement» à l'avenir «les règlementations en vigueur».
Éborgné lors de l’acte 19, un Gilet jaune témoigne face caméra (vidéo)
16:20 29.04.2019
L’acte 19 dans la ville de Charleville-Mézières s’est avéré être dramatique pour le Gilet jaune Olivier Fostier, son visage ayant été mutilé. En pleine mobilisation, et alors que les manifestants marchaient «tranquillement», il a été touché par un tir de LBD et a perdu son œil droit, raconte-t-il face caméra.
Olivier Fostier, un Gilet jaune qui a perdu un œil lors de l'acte 19 à Charleville-Mézières, a raconté, devant une caméra, son expérience. D'après lui, sa mutilation provient d'un tir de LBD.
Son témoignage a été diffusé par Adda François et partagé par David Dufresne, journaliste spécialiste de la question du maintien de l'ordre ayant mis en place la plateforme de signalement «Allo place Beauvau».
Selon M.Fostier, samedi 23 mars, vers 16h20, les manifestants marchaient «tranquillement sur le trottoir avenue Forest», lorsque «d'un seul coup, des gaz ont été lancés devant moi, donc j'ai fait demi-tour, et à ce moment-là j'ai reçu un choc dans l'œil droit. Je pense que c'est un tir de flashball, vu la puissance du choc. Je me suis mis à genoux aussitôt et secouru par les pompiers.»
Il a été opéré lors de son deuxième séjour à l'hôpital.
«Donc mon œil est perdu et plusieurs opérations auront lieu dans l'avenir, pour essayer pour la pose d'une prothèse et victime d'une déformation du visage», explique Olivier.
À la question de savoir s'il en veut aux forces de l'ordre, le Gilet jaune répond par la négative, car «peut-être ils avaient une raison d'intervenir»:
«Nous, on était en fin de cortège. Peut-être il y a eu des actions devant […]. Les forces de l'ordre ont fait leur travail.»
À la fin de la séquence, il se demande tout de même pourquoi il y avait «un groupe de la BAC avec le commissaire qui se trouvait avenue Forest sur un accident de la circulation», ce qui donnait «un peu l'impression d'avoir été pris en entonnoir entre les deux.»
En marge à l'actualité de ces manifestations du samedi et après les black-blocks infiltrés et autre partis politiques anti 'gilets jaunes', ont été remarquées des personnes soutenant le chef de l'État prendre part au défilé !!! et portant des gilets marqués 'CGT' !!! Hahahaha !
Bientôt des manifestants portant des gilets marqués 'CRS' ? Hahahahaha !
La porte-parole du gouvernement tacle Nicolas Hulot sur sa démission
15:24 29.04.2019
Interrogée sur la question de l’environnement dimanche 28 avril pendant l’émission Et en même temps de BFM TV, la porte-parole du gouvernement a taclé Nicolas Hulot sur sa démission. Il a selon elle eu «du mal à ce qu'était au quotidien l'exercice du pouvoir».
Invitée dimanche 28 avril sur BFM TV pour l'émission Et en même temps, la nouvelle porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, est revenue sur la question écologique, les défenseurs de l'environnement ayant été déçus des annonces faites par Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse.
«Depuis deux ans, on n'a pas été inactifs. On a fermé toutes les centrales à charbon», a-t-elle annoncé.
Elle a également taclé l'ex- ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot.
«Je crois qu'il faut regarder le départ de Nicolas Hulot comme le départ d'un militant qui a eu peut-être du mal à ce qu'était au quotidien l'exercice du pouvoir», a constaté la porte-parole.
«Quand vous devez fermer des centrales à charbon, il fallait voir les gens concernés pour leur dire: on va fermer, tu n'as plus de boulot. Vous pouvez avoir, quand vous êtes un militant, une envie d'engagement et quelque chose qui est extrêmement puissant et c'est tout à son honneur. Et puis, il y a la difficulté de se confronter concrètement au quotidien de l'exercice du pouvoir», a-t-elle ajouté.
Le ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot a annoncé sa démission le 28 août dernier, invoquant se sentir «tout seul à la manœuvre» sur les enjeux environnementaux au sein du gouvernement et avoir dû assumer des décisions contraires à ses convictions.
C'est vrai que d'aller dire à quelqu'un qu'il n'aura plus d'électricité, de chauffage afin de combattre le réchauffement climatique qui ne veut pas venir ! çà c'est dur même pour la nazional socialiste !
LIMITATION À 80 KM/H : VERS UNE APPLICATION PLUS SOUPLE ?
par MARIE-EVE WILSON-JAMIN 29/04/2019
Le nombre de morts sur les routes de France métropolitaine a connu une très forte hausse de 17,1% en février 2019.
La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a affirmé dimanche 28 avril que la question des 80 km/h sera sans doute abordée lors du séminaire gouvernemental du lundi 29 avril, « sur la manière dont on peut faire en sorte qu'il n'y ait pas une application brutale, uniforme », lors du séminaire destiné à mettre en place les annonces faites par Emmanuel Macron en conclusion du Grand débat national.
Nouvelle étape dans le dossier de la limitation de la vitesse sur les routes secondaires. La porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, a indiqué dimanche 28 avril sur BFM TV que la question des 80 km/h sera « sans doute » abordée lundi 29 avril, lors du séminaire gouvernemental, « sur la manière dont on peut faire en sorte qu’il n’y ait pas une application brutale, uniforme ».
Limitation à 80 km/h : « une application qui soit plus souple ou plus adaptée aux réalités du terrain »
Et Sibeth Ndiaye de poursuivre : « Le président de la République, comme le Premier ministre (...), a indiqué que cette réforme avait, d’abord, porté ses fruits, et donc il y avait eu moins de tués sur les routes ». Elle a ensuite détaillé : « Ils ont aussi indiqué qu’il fallait voir comment on pouvait, en discutant avec les élus, faire en sorte qu’il y ait une application qui soit plus souple ou plus adaptée aux réalités du terrain ».
Des propos qui vont dans le même sens que ceux du président de la République en début d'année 2019. Le 15 janvier, Emmanuel Macron s’était en effet déclaré ouvert à des aménagements pour faire en sorte que la limitation de la vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires soit « mieux acceptée » par les Français tout en étant « efficace ».
Le nombre de morts sur les routes en hausse début 2019
Pour rappel, le séminaire est destiné à mettre en place les annonces faites par Emmanuel Macron en conclusion du Grand débat national. Et la limitation de vitesse fait partie d'une des revendications de départ des Gilets jaunes. En effet, depuis le 1er juillet 2018, la vitesse a été limitée à 80 km/h par le gouvernement qui avait alors expliquer souhaiter réduire le nombre de morts sur les routes de France. Il s’agit d’une expérimentation qui devrait durer deux ans. Si le nombre d’accidents mortels diminue, cette mesure pourra alors devenir définitive.
Or, l’augmentation du nombre de morts sur les routes françaises se poursuit pour le deuxième mois consécutif. « Après la hausse de la mortalité routière constatée en janvier 2019 (+3,9 %), l’effet de la forte dégradation des radars fixes (dans le cadre du mouvement des Gilets jaunes, NDLR) s’amplifie et se traduit par un relâchement des comportements sur l’ensemble des réseaux routiers », explique ainsi la Sécurité routière dans un communiqué. Le nombre de morts sur les routes de France métropolitaine a connu une très forte hausse de 17,1 % en février 2019, avec 253 personnes tuées, soit 37 de plus qu’en février 2018, a annoncé jeudi 28 mars la Sécurité routière.
Enfin, en plein examen du projet de loi d’orientations des mobilités (LOM), les sénateurs ont adopté un amendement afin d'adapter à l’échelle de chaque territoire, la limitation sur les routes départementales et nationales. Ainsi, les élus, via ce texte, donnent-ils la compétence aux présidents des conseils départementaux (pour les routes départementales) et aux préfets (pour les routes nationales) d'y relever ou pas, la vitesse maximale autorisée.
A Genève, la fin du e-voting entraîne une fuite de personnel Du matériel de vote électronique du canton de Genève, en 2015.
Près de 20% des fonctionnaires chargés du développement du projet de e-voting dans le canton de Genève ont démissionné suite à l’abandon du système par le canton, a appris la RTS. Les départs sont plus massifs encore du côté des employés externes.
Depuis que le Conseil d'Etat genevois a annoncé, fin novembre, vouloir renoncer au développement de son système de vote électronique, l'Office cantonal des systèmes d'information et du numérique (OCSIN) doit faire face à des départs d'employés en cascade.
Selon des chiffres fournis à la RTS par la Chancellerie genevoise, deux employés de cet office chargé de la conception et du développement du système de e-voting ont démissionné au 30 avril. C'est près de 20% de l'effectif total de cette structure qui compte 10,5 équivalents plein temps (EPT).
Dans le même temps, l'Etat s'est séparé d'une majorité des travailleurs externes, sous contrat de location de service. Sur les 15 personnes qui avaient été engagées spécifiquement pour la deuxième génération du projet, 10 n'ont pas été reconduites soit deux tiers du total.
Le Département des infrastructures de Serge Dal Busco a confirmé à la RTS que ces 12 départs étaient liés à la décision du gouvernement genevois de renoncer au développement du e-voting d'ici février 2020.
Profil hautement qualifié
Certains de ces développeurs se sont consacrés au vote en ligne à Genève depuis ses débuts en 2001 avec un certain succès, puisque le système a été exporté dans d'autres cantons.
Voir leur projet s'effondrer du jour au lendemain a causé une grande déception, poussant certains à voir ailleurs. Grâce à leur expérience et à leurs profils hautement qualifiés, les démissionnaires n'ont pas eu à chercher longtemps un nouvel emploi.
Postes réattribués à d’autres fins
La Chancellerie genevoise admet que ces profils, dotés de compétences informatiques spécifiques, sont rares sur le marché de l'emploi.
Cette réalité pourrait contrarier la volonté politique actuelle à Genève. Le 17 avril dernier, la commission des droits politiques du Grand Conseil a voté à l'unanimité le principe d'un maintien du vote électronique dans le canton, sous le contrôle exclusif des collectivités publiques.
Mais il n'est pas sûr que relancer la machine sera simple à court terme avec ces départs. D'autant que les deux postes laissés vacants par les développeurs du vote électronique seront désormais dévolus à des tâches sans lien direct avec le domaine.
Arrêter le système, "un gâchis"
Pour Cyril Mizrahi, député socialiste au Grand Conseil genevois et co-auteur du projet de loi pour maintenir le système de vote électronique à Genève, "ce serait un retour en arrière" et "un énorme gâchis" d'abandonner le système, estime-t-il dans Forum. L'e-voting est notamment "nécessaire pour les Suisses de l'étranger ou les personnes avec un handicap."
Selon le député, le système ne doit pas non plus être développé par une entreprise privée en dehors de la Suisse, "ce n'est pas très sain au niveau du droit politique [...] C’est comme si on envoyait faire le décompte des votes à l’étranger."
«Les mutilés» ? Des manifestants blessés appellent à se mobiliser à l’échelle nationale
RépondreSupprimer15:46 28.04.2019
Des manifestants blessés par des tirs de LBD ou grenades des forces de l’ordre ont annoncé se réunir en collectif, qui pourrait être nommé «Les mutilés», et lancé un appel à se mobiliser à l’échelle nationale fin mai à Paris.
Des manifestants gravement blessés par les forces de l'ordre, dont la plupart lors du mouvement des Gilets jaunes, ont annoncé à Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, se constituer en collectif et ont appelé à une grande manifestation nationale dans la capitale le 26 mai.
«On a décidé de constituer un collectif, "les mutilés pour l'exemple", en référence aux fusillés pour l'exemple», a déclaré lors d'une conférence de presse Robin Pagès, handicapé depuis sa grave blessure au pied en 2017 à Bure, dans la Meuse, où est prévu un site d'enfouissement de déchets nucléaires.
19 personnes, toutes blessées par des tirs de lanceur de balles de défense (LBD) ou de grenades, ont présenté ce collectif qui vise à combattre «l'ultra-violence de la répression» et souhaite faire interdire «l'utilisation de ces armes de guerre», précise l’AFP.
«Vous avez 19 personnes devant vous et vous n'avez que 26 yeux qui vous regardent. Faites le compte, il y a un petit problème», a asséné Jérôme Rodrigues, Gilet jaune éborgné lors d'une manifestation fin janvier à Paris.
Chacune des personnes présentes a raconté sa «vie qui a basculé» ou l'impossibilité «de pouvoir se regarder dans une glace».
«La nuit, c'est des insomnies, des cauchemars. C'est l'horreur au quotidien pour essayer de se démerder comme on peut avec une main. Pour l'instant, c'est l'enfer total», a témoigné Sébastien Maillet, qui a eu la main arrachée le 9 février à Paris, lors de l'acte 13 des Gilets jaunes.
«La monophtalmie [fait de ne voir que d'un œil, ndlr] complique toute votre vie. Les choses vous demandent beaucoup de temps et il y a un impact psychologique sur votre entourage et vos proches», a expliqué Patrice Philippe, ex-chauffeur routier de 50 ans blessé à l'œil par un tir de LBD le 8 décembre 2018.
«De nombreuses personnes ici présentes ont des plaques en titane et des vis dans le visage», a ajouté Robin Pagès.
D'après le collectif, depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, 22 personnes ont perdu un œil et cinq ont été amputées d'une main, «sans compter les autres mutilations» (perte d'odorat, testicule amputé).
«On réclame la vérité, la justice et l'interdiction des armes dites sublétales», a souligné Robin Pagès. Selon lui, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner «ment» quand il parle de «seulement 10 personnes touchées à la tête par des tirs de LBD».
Plusieurs associations militent pour l'interdiction de cette arme lors des manifestations. Début mars, l'Intérieur comptabilisait 13.095 tirs de LBD depuis le premier acte de ce mouvement inédit et 83 enquêtes pour des tirs potentiellement problématiques.
https://fr.sputniknews.com/france/201904281040909969-gilets-jaunes-blesses-manifestation-nationale/
La France travaille beaucoup moins que ses voisins' : voici le classement contesté sur lequel Emmanuel Macron s'est basé
RépondreSupprimerDamien Choppin
26 Avr 2019, 13:13
"La France travaille en moyenne beaucoup moins que ses voisins : on commence plus tard, on part plus tôt et on travaille moins dans l’année." Ce sont les mots qu'a prononcés Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse jeudi 25 avril. Le président a ainsi estimé qu'il était nécessaire de "travailler davantage", sans toutefois toucher aux 35h ou aux jours fériés. Il a annoncé, sur le volet des retraites, vouloir "allonger la durée effective de cotisation" avec "un système de décote qui incite à travailler davantage, mais sans forcer tout le monde". Sa comparaison de la France a ses voisins a toutefois été immédiatement remise en cause par ses opposants.
En effet, selon les chiffres de l'OCDE en 2016, en France, nous travaillons en moyenne 1 526 heures chaque année par travailleur, et même 1 679 heures si on prend uniquement en compte les salariés à temps plein, comme le fait remarquer LCI. Certes, cela nous place dans le bas du classement, derrière l'Italie (1 722 heures) et l'Espagne (1 686 heures). Mais nous sommes devant la Belgique (1 545 heures) et l'Allemagne (1 356 heures).
Un classement contesté
Contacté par Business Insider France, l'Elysée indique qu'Emmanuel Macron faisait en fait référence à un autre classement, basé sur les chiffres d'Eurostat, l'agence de statistique de l'Union européenne, datant de 2015. La présidence de la République indique ainsi que les Français travaillent en moyenne 1 521 heures par an, d'après ces données qui prennent en compte l'ensemble des salariés. Et c'est effectivement moins que moins que l'Allemagne (1 580 heures), l'Italie (1 627 heures) et l'Espagne (1 656 heures).
Ces chiffres apparaissent en réalité dans une étude du cabinet de recherches Rexecode, parue en 2016. Sa méthodologie est cependant contestée. Selon Le Monde, le cabinet a utilisé des données hebdomadaires fournies par Eurostat, puis les a multiplié par 52, soit le nombre de semaines dans une année. Le journal pointe de ce fait des incohérences dans les résultats. En prenant l'exemple de l'Allemagne, Le Monde remarque que les chiffres retravaillés par Rexecode — pour prendre en compte les congés et absences — donnent une durée totale d'absence inférieure au nombre de congés en Allemagne. Marianne avait émis les mêmes réserves sur la méthodologie du cabinet en 2012.
D'autres chiffres montrent bien la France dernière
Emmanuel Macron aurait pu néanmoins se baser sur un autre classement de l'OCDE dans lequel la France est bel et bien dernière : celui prenant en compte l'intégralité de la population, des nouveaux-nés aux plus âgés. Selon ces données publiées en octobre dernier, les Français travaillent en moyenne 630 heures par an, là où les Italiens travaillent 705 heures, et les Allemands 722 heures.
A titre de comparaison, le pays où l'on travaille le plus dans le monde est le Luxembourg, avec 1 089 heures par habitant, devant la Corée du Sud avec 1 064 heures et la Suisse avec 943 heures. Il s'agit de chiffres portant sur l'année 2016.
RépondreSupprimerPourquoi une telle différence entre les deux classements de l'OCDE ? A cause du chômage de masse en France, analyse L'Obs. Emmanuel Macron l'a d'ailleurs reconnu jeudi soir. Les chômeurs sont en effet inclus dans les données présentées par l'OCDE sur lesquelles semblent s'être appuyé le président. Le magazine rappelle que les autres pays ont fait des choix différents, en privilégiant le temps partiel, les faibles salaires, ou en ayant un meilleur système éducatif et de formation professionnelle.
Au final, Emmanuel Macron n'a donc pas fait d'erreur factuelle... mais il a choisi les chiffres (douteux) qui servaient le mieux son propos.
Cet article a été modifié à 16h27, après avoir obtenu la réponse de l'Elysée. Le classement de l'OCDE était auparavant présenté ci-dessous.
Voici le classement du cabinet Rexecode des 12 pays de l'Union européenne où les salariés travaillent le moins, qui prend en compte le temps de travail moyen pour l'ensemble des salariés, sur lequel Emmanuel Macron s'est appuyé :
12. Luxembourg — 1 754 heures
11. Espagne — 1 656 heures
10. Italie — 1 627 heures
9. Royaume-Uni — 1 624 heures
8. Irlande — 1 600 heures
7. Allemagne — 1 580 heures
6. Autriche — 1 553 heures
5. Finlande — 1 548 heures
4. France — 1 521 heures
3. Suède — 1 509 heures
2. Danemark — 1 506 heures
1. Pays-Bas — 1 366 heures
https://www.businessinsider.fr/la-france-travaille-beaucoup-moins-que-ses-voisins-le-classement-sur-lequel-emmanuel-macron-a-pu-se-baser-pour-laffirmer/
Des chercheurs du MIT ont trouvé un moyen de sauver des îles comme Hawaii, menacées par la montée des eaux
RépondreSupprimer26 Avr 2019, 14:06
Les tremblements de terre, les tsunamis, les ouragans ou encore les glissements de terrain, voici quelques-unes des conséquences du réchauffement climatique de la planète. Mais désormais, il existe peut-être un moyen pour canaliser ces catastrophes naturelles et protéger les communautés côtières. Un groupe de chercheurs du Self-Assembly Lab du MIT (Massachussetts Institute of Technology) étudie la possibilité d'exploiter les forts courants océaniques causés par les catastrophes naturelles pour lutter contre la montée du niveau de la mer.
Leur premier projet consiste à utiliser le courant pour rassembler de petits bancs de sables (l'étendue de sable au-dessus de la mer) – qui pourraient éventuellement devenir des îles – aux Maldives, où un groupe d'îles de basse altitude pourraient bientôt être submergées en raison de la montée des eaux. Le processus débute par l'installation de rampes sous-marines, décrites par l'équipe de chercheurs comme "peu onéreuses, faciles à déployer et adaptables" à différents climats.
Lorsqu'une vague passe au-dessus de la rampe avec suffisamment de force, elle amène avec elle des particules de sables et les déposent, en profondeur, sous le bord de la rampe. Au fil du temps, les sédiments s'accumulent et finissent par former une barre de sable qui émerge au-dessus de la surface de l'océan.
Skylar Tibbits, à l'origine de l'équipe, a présenté les résultats de ces recherches lors la conférence annuelle TED qui a eu lieu à Vancouver, au Canada, à la mi-avril.
Les chercheurs ont d'abord testé leur technologie au MIT avant de la déployer dans les Maldives. Skylar Tibbits/MIT Self-Assembly Lab
Il y a quelques années, l'un de ses étudiants en thèse a suggéré que les glissements de terrain et les coulées de boue pourraient être utilisés pour construire des parcs et, depuis, cette idée n'a jamais quitté Skylar Tibbits. "J'ai toujours pensé que nous pourrions peut-être nous servir de ces catastrophes naturelles – tremblements de terre, tsunamis, tempêtes, coulées de boue, glissements de terrain, incendies – pour construire plutôt que détruire", a-t-il déclaré.
Son travail est soutenu par l'Invena, une organisation basée aux Maldives qui cherche des solutions technologiques aux problèmes des communautés insulaires. En février 2019, les deux organisations ont lancé ensemble leur première expérimentation aux Maldives et continueront de surveiller la croissance du sable tout au long de l'année.
Si le projet du Self-Assembly Lab du MIT repose sur le courant océanique pour construire ces barres de sable, la force des tsunamis ou des tempêtes pourrait aider à accélérer le processus. Ce système pourrait offrir aux zones côtières un moyen de se reconstruire après une catastrophe – ou créer une barrière naturelle permettant, à terme, de repousser la montée des eaux. Une bonne nouvelle donc pour des endroits comme Hawaii, où la plage Waikiki pourrait-être engloutie dans 15 à 20 ans.
D'après Skylar Tibbits, le concept d'une "île pop-up" créée par l'énergie des vagues est différent de celui d'une île flottante, où il est question de construire des masses terrestres artificielles. "Nous sommes plus intéressés par la façon dont les choses se construisent d'elles-mêmes", a-t-il indiqué.
Et d'expliquer que pour transformer une barre de sable temporaire en île permanente, les habitants conserveront les rampes sous-marines, ces dernières imitant la topographie d'un récif corallien et aidant à ancrer le sable. L'installation d'arbres, d'arbustes et d'autres plantes peut remplir une fonction similaire. "Il y a une blague qui dit que la seule différence entre une barre de sable et une île, c'est le palmier", s'amuse Skylar Tibbits. "Si une île reste, c'est grâce à la végétation".
Le chercheur du MIT a également déclaré que son modèle pourrait être plus bénéfique que des projets d'infrastructures "statiques" comme le projet Blue Dunes, qui vise à protéger la côte américaine médio-atlantique des inondations et de la montée du niveau de la mer par la construction d'îles artificielles. Celui-ci nécessiterait le dragage ou le ramassage du sable du fond de l'océan avant de le déposer ailleurs, ce qui peut-être dommageable pour les écosystèmes locaux.
RépondreSupprimerSkylar Tibbits a assuré que son concept était moins envahissant et qu'il dépensait moins d'énergie que les modes traditionnels de mise en valeur des terres – tout en admettant qu'il devait encore prouver que les barres de sable se formeront correctement. "Ce sera un projet à très long terme", a-t-il souligné. "Mais si on parvient à atteindre notre objectif, ça sera quelque chose d'assez puissant".
https://www.businessinsider.fr/des-chercheurs-du-mit-ont-trouve-un-moyen-de-sauver-des-iles-comme-hawaii-menacees-par-la-montee-des-eaux/
Jusqu'où peut aller l'escroquerie !!!
SupprimerLes Maldives ! HAHAHAHAHA ! Ce sont des îles ou ilots (Océan Indien) qui se forment ou se déforment face aux fortes marées appelées Upwelling. La montées des eaux est parfois aussi haute que des palmiers ! (D'où les photos d'escrocs montrant que la mer monte ! Hahahaha !), mais, quelques heures après... l'eau redescend ! Çà alors ! et, ces bouts de terres ont tout-à-coup des formes différentes.
CUL ...CUL... CULRIOSITE de PARIS:
RépondreSupprimer4 curiosités de Paris sur la liste des 10 pires déceptions touristiques au monde (images)
12:44 28.04.2019
La Joconde a été placée en tête de la liste des 10 attractions touristiques les plus décevantes au monde, celle-ci comprenant aussi la tour Eiffel, le Moulin Rouge et le Louvre, d’après un sondage réalisé par la compagnie aérienne EasyJet.
Un sondage réalisé par la compagnie aérienne EasyJet auprès de 2.000 Britanniques a mis en lumière les 10 sites et attractions touristiques qui ont le plus déçu les touristes, relate The Independent.
Ainsi, en tête de liste se trouve la Joconde, «décevante» pour 86% des personnes interrogées.
La 2ème est 'notre dame' qui 'serait restée vierge après s'être faite... (...) !!! Ôh puting !
Le Moulin Rouge occupe la quatrième position, la tour Eiffel la sixième et le Louvre la neuvième.
Parmi les pires déceptions des touristes se trouvent également Checkpoint Charlie, l'un des postes-frontières de Berlin, la statue de la Petite Sirène à Copenhague ou le Manneken-Pis bruxellois.
Trois curiosités italiennes n'ont pas non plus répondu aux attentes des visiteurs britanniques: les Escalier de la Trinité-des-Monts, la fontaine de Trevi à Rome ainsi que la tour de Pise.
Cependant, les attractions les plus mémorables se sont avérées être les aurores boréales islandaises, 75% des personnes interrogées ayant déclaré les avoir aimées. Viennent ensuite le lac de Côme en Italie (63%) et l'île de Santorin en Grèce (60%).
Parmi les autres destinations phares, on compte les Alpes suisses, la plage de sable rose Elafonissi en Grèce, les Cinque Terre en Italie et les champs de tulipes aux Pays-Bas.
https://fr.sputniknews.com/culture/201904281040907438-joconde-tour-eiffel-louvre-moulin-rouge-deception-touristes/
LA NAZIONAL SOCIALISTE EN SUISSE:
RépondreSupprimerTRAFIC FERROVIAIRE - UN POLICIER NÉONAZI TRAVAILLE POUR LES CFF
L'homme déteste les étrangers et vénère Hitler. Il patrouille au sein de la police des transports des CFF et a même participé à la surveillance de chefs d'Etat à Davos.
28.04.2019, 11h07
Un néonazi travaille à la police des transports des CFF, annonce dimanche le «SonntagsBlick». Et ce St-Gallois, agé de 43 ans, ne cache pas ses convictions. Selon le journal, il affiche clairement sur son mur Facebook, en partie visible par tous, son admiration pour les Waffen-SS et Adolf Hitler (chef juif de la nazional socialiste). On peut y lire également des slogans racistes et des fantasmes violents envers les migrants.
L'homme, explique encore le «SonntagsBlick», a également fait partie de la police cantonale d'Appenzell Rhodes-Extérieures. A ce titre, il a été amené à protéger les plus puissants lors du Forum économique mondial (WEF) à Davos GR. Il a même été chargé de sécuriser un hôtel 5 étoiles ainsi que l'héliport de la station. Et ceci armé d'un fusil d'assaut.
Mais le plus inquiétant, c'est que ses supérieurs semblent n'avoir jamais remarqué son attitude et ses convictions extrémistes. «Il n'y a pas d'autre explication au fait qu'il patrouille toujours, arme au poing, dans les trains et les gares», estime le journal dominical.
Du côté des CFF, on se refuse à commenter la personnalité d'un employé individuel. Mais un porte-parole assure que« les CFF ne tolèrent aucun comportement inhumain, raciste, glorifiant la violence ou extrémiste de la part de leurs collaborateurs». Et il assure que lors du recrutement des policiers, un contrôle des risques autour du candidat est toujours effectué.
La présence de néonazis dans la police n'est pas une première. Plusieurs cas récents ont été découverts en Allemagne. En Suisse, le «SonntagsBlick» a également remarqué qu'un employé de Securitans patrouillait dans les rues de Schaffhouse avec un tatouage de la Wehrmacht. Un policier d'extrême droite tessinois a même été promu, alors que l'on savait depuis des années qu'il incitait à la violence contre les étrangers et vénérait Hitler.
https://www.lematin.ch/suisse/policier-neonazi-travaille-cff/story/11539556
Des Gilets jaunes «marchent sur les médias» pour réclamer un traitement impartial (images)
RépondreSupprimer18:31 28.04.2019
Pour leur 24e journée de mobilisation, quelques centaines de Gilets jaunes ont défilé devant les sièges de plusieurs grands médias se trouvant à Paris.
Des centaines de Gilets jaunes ont fait samedi 27 avril une tournée des grands médias de Paris afin de réclamer «un traitement impartial» du mouvement de protestation. Les manifestants se sont rendus devant les sièges de plusieurs rédactions, dont TF1, Canal+, France Télévisions et BFM TV.
La dénommée «marche sur les médias» a commencé par la Maison de la Radio, située dans le XVIe arrondissement de Paris, pour se clôturer devant le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA).
Plusieurs fourgons des forces de l’ordre ont empêché les manifestants d’accéder au parvis du bâtiment où se trouvent les locaux de CNews. La marche s’est toutefois déroulée sans débordements.
Aux abords de Radio France, Sputnik s’est entretenu avec la chroniqueuse et femme politique Raquel Garrido qui a dénoncé les «regards péjoratifs et méprisants» des médias à l’égard du peuple et des Gilets jaunes:
L’acte 24 du mouvement social né en novembre a réuni 23.600 participants, selon les évaluations du ministère de l’Intérieur, alors que Le Nombre jaune en a décompté plus de 60.000.
https://fr.sputniknews.com/france/201904281040912415-gilets-jaunes-marche-medias-paris/
SupprimerOn ne discute pas avec des terroristes ! Les journalistes sont aux ordres du Rédacteur en Chef qui l'est lui-même à ceux de son patron qui possèdent plus de 3000 quotidiens dans le monde, 800 stations de radios et 150 chaînes de télévisions ! Sauf bien sûr si vous avez la formule magique pour négocier des transactions, capturer l'attention des lecteurs, auditeurs, spectateurs en parallèle de la politique appliqué et du fil rouge que vous vous devez de suivre et ne jamais dépasser.
Bon; ne rêvons pas, jusque là vous avez été très bons, le juste ce qu'il faut grâce à l'Internet où vous pouvez vous exprimer librement. C'est ce qui s'appelle un avant-goût de Démocratie. Alors, votre liberté, ce n'est pas aux merdias que vous devez la mendier ni aux 'hommes politique' ! C'est à votre esprit d'avancer, de réfléchir et de faire. Ne vous rabaissez jamais ! Tant que vous avez quelque chose à dire: dites-le, ne vous en privez pas !
Les partis eurosceptiques ne remporteront pas les élections européennes, selon Barnier
RépondreSupprimer18:18 28.04.2019
Les partis politiques eurosceptiques pourraient obtenir de 25 à 35% des votes lors des élections au Parlement européen fin mai, a annoncé l’ex-commissaire européen Michel Barnier. Cependant, les eurosceptiques ne pourront pas obtenir la majorité des sièges, a-t-il souligné.
Il est peu probable que les eurosceptiques obtiennent la majorité des sièges dans le nouveau Parlement européen qui sera renouvelé fin mai, a affirmé le négociateur en chef chargé de la préparation et de la conduite des négociations avec le Royaume-Uni Michel Barnier. Aucune force politique ne pourra prendre ses décisions de manière autonome sans participation à une coalition, a-t-il précisé.
L'homme politique a précisé qu'il faudrait trois ou quatre fractions pour former une majorité de coalition, lors de l'émission le Grand Jury RTL-LCI-Figaro le 28 avril.
Cela signifie que le Parti populaire européen (PPE), actuellement majoritaire au Parlement européen, devra travailler avec les socialistes, les libéraux, les centristes mais aussi avec les verts, d'après l'ancien commissaire européen. Ainsi, le futur Parlement serait divisé entre les forces populistes et les autres groupes, a-t-il relevé.
Cette configuration «sera obligatoire», selon lui.
En s'appuyant sur des sondages, qui «donnent à ces groupes populistes une force beaucoup plus importante qu'aujourd'hui», M.Barnier a estimé que les groupes des populistes, conservateurs et eurosceptiques pourraient obtenir entre 25 et 35% à l'issu des élections européennes.
Auparavant, la prévision du Parlement européen basée sur l'analyse des préférences politiques des citoyens de l'UE avait démontré que les partis des eurosceptiques pourraient augmenter leur présence au Parlement européen. Pour autant, le Parti populaire européen pourrait rester la plus grande fraction.
https://fr.sputniknews.com/international/201904281040912297-eurosceptiques-elections-europeennes-barnier/
SupprimerHAHAHAHA ! Il se prend pour 'Le chef des gilets jaunes' ou quoi ?! Primo, en Démocratie il n'y a PAS de chef. (Connaissez vous le nom du chef de l'État de la SEULE Démocratie au monde ? Non ! Même pas ! Vous ne connaissez même pas la Suisse ! Faut dire que le chef de l'État change toute les années !). Secundo, ce mouvement qui se répand dans les rues du samedi, est constitué de celles et de ceux qui ne vont jamais voter (entre un gros con et un gros con lequel choisir ?), qui n'ont donc AUCUN parti car, chaque citoyen ne se reconnait dans un parti qu'à la proportion inférieure à 1 % de son soutien ! C'est tout dire l'amour qu'elles ou ils peuvent porter envers la politique de merde appliquée et toute les 'ambitions' qu'il dit avoir. Ils appellent çà des 'projets' 'de grandes perspectives d'avenir', mais comptent UNIQUEMENT sur le pognon que vous allez lui verser (avec ou sans le sourire !).
Pourquoi Warren Buffett pense que la plupart des journaux sont "toastés"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 28/04/2019 - 21:40
Pardonnez à l’Oracle d’Omaha de ressembler davantage à Captainident ici, mais les lecteurs ne seront pas surpris d’apprendre que l’investisseur milliardaire octogénaire n’a pas les meilleures perspectives pour le secteur de la presse qui souffre depuis longtemps.
Buffett, qui détient par le biais de sa filiale Berkshire Hathaway BH Media un véritable empire de la presse écrite, a déclaré mardi dans une interview accordée à Yahoo Finance (qui retransmettra en direct la réunion annuelle des actionnaires de Berkshire le 4 mai) que " toast ", et que la plupart des journaux (y compris vraisemblablement les 30 quotidiens et les 47 hebdomadaires appartenant à BH) vont bientôt disparaître, car ils perdent des recettes publicitaires vitales au profit de sites Internet puissants tels que Google et Facebook.
Heureusement pour Berkshire, le déclin de l'industrie n'aura pas beaucoup d'impact sur ses résultats, car BH a acheté ses journaux à un prix "raisonnable", a déclaré Buffett.
Selon Buffett, le fait d'essayer de passer à un modèle basé sur un abonnement présente un double problème: les consommateurs ont autrefois recherché des journaux imprimés, non seulement pour le contenu de l'actualité, mais également pour les publicités. Les petites annonces comprenaient des informations essentielles sur les opportunités d’emploi et le logement, tandis que les supermarchés publiaient des tracts sur les produits en promotion cette semaine-là. Cette fonctionnalité a été largement absorbée par Craigslist.
"Cela choque les gens dans la salle de rédaction de parler ainsi, mais les publicités constituaient le contenu éditorial le plus important du point de vue du lecteur", a déclaré Buffett.
Entre 2006 et 2016, les recettes publicitaires de l'industrie de la presse étaient tombées à près du tiers de ce qu'elles étaient autrefois. Les journaux ont généré des recettes publicitaires de 18 milliards de dollars, contre 49 milliards il y a dix ans.
Aujourd’hui, les consommateurs n’utilisent pas beaucoup les journaux locaux, car ils ont en ligne leurs nouvelles politiques nationales et leurs actualités sportives nationales. Ce qui reste, les nouvelles locales, n’est tout simplement pas assez convaincant pour justifier un abonnement pour beaucoup.
Bien sûr, il y a quelques exceptions. Le New York Times, le Washington Post et le Wall Street Journal survivront grâce à leur notoriété nationale et à leur passage réussi au numérique.
Mais pour la plupart des journaux régionaux de taille moyenne, leur destin est déjà scellé.
Regardez l'interview complète ci-dessous:
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-23/why-warren-buffett-thinks-most-newspapers-are-toast
Monsanto et le Parisien : aux racines du soupçon, il y a le soupçon, la mauvaise foi et plus encore (1)
RépondreSupprimer28 Avril 2019
par Seppi
à propos de « Monsanto et ses "trolls" : aux racines du soupçon »
Le Parisien a publié coup sur coup, les 19 et 20 avril 2019, deux articles, « Comment le débat sur le glyphosate a pourri sur Twitter » et « Monsanto et ses "trolls" : aux racines du soupçon ». Nous avons analysé en partie le premier dans une livraison précédente, « Glyphosate : décidément, nous ne sortirons pas du manichéisme ni des infox ». Le deuxième s'inscrit dans le même cadre du manichéisme et des infox.
Mais il y a plus. Il y a un énorme cercle vicieux qui – nous oserons l'affirmer sans le démontrer à nouveau – relève du complot, ou du moins d'une stratégie de convergence d'intérêts idéologiques et économiques.
Un système judiciaire états-unien dévoyé
Entrons-y par le système judiciaire états-unien dévoyé.
Il permet à des avocats de lancer des actions spéculatives. En effet, les avocats ont le droit de se rémunérer au pourcentage des dommages et intérêts éventuellement alloués.
Par le mécanisme de la discovery, une partie à un litige peut aussi exiger de l'autre et de tiers impliqués dans l'affaire qu'avant le procès, il se soumettent à des interrogatoires, fassent des dépositions, soumettent des documents (lesquels peuvent aussi être obtenus dans le cas des fonctionnaires en vertu des FOIA, des lois sur l'accès à l'information). L'intérêt est au moins double : on peut se livrer à une fishing expedition, une opération de chalutage pour assembler des éléments de preuve ou des éléments suggestifs ou tout simplement compromettants ; et on peut aussi étrangler financièrement le défendeur et l'amener à accepter une transaction pour mettre fin à l'hémorragie financière.
Et, enfin, les procédures en responsabilité civile peuvent se plaider devant un tribunal avec un jury. Un jury souvent prompt à allouer des dommages-intérêts se chiffrant en millions de dollars.
Ce qui relevait de la justice est donc devenu une activité de racket.
Dans le cas d'espèce, à peine le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) eut-il déclaré le glyphosate « probablement cancérogène », que les cabinets d'avocats prédateurs se mirent en chasse de plaignants potentiels avec des messages tels que : « Êtes-vous atteint d'un lymphome non hodgkinien et avez-vous utilisé du Roundup ? Si oui, vous avez droit à une compensation. Téléphonez... ».
Actionner le tribunal de l'opinion publique avec les « Monsanto Papers »
Ce classement aurait pu être une simple aubaine, l'occasion de faire les poches à Monsanto, et maintenant Bayer. Il n'en est rien. Il a été soigneusement préparé : l'herbicide glyphosate a été inscrit au programme d'un groupe de travail chargé de produire une monographie sur des fongicides de manière « étrange » ; on a par exemple retardé la publication de deux études épidémiologiques nord-américaines à décharge (on en connaît une par une présentation Power Point et deux résumés) ; le classement a été « dopé » peu avant la clôture de la réunion du groupe de travail du CIRC ; des agents du CIRC et des membres du groupe de travail ont promu et défendu le classement bec et ongles, y compris par des méthodes contestables. Et certains membres du groupe de travail se sont mis au service de cabinets d'avocats prédateurs.
Les « Monsanto Papers » s'inscrivent dans cette stratégie.
RépondreSupprimerLes « Monsanto Papers », ce sont les documents récupérés par des cabinets d'avocats agissant en théorie pour des plaignants, en pratique pour leur propre compte. Documents mis sur la place publique par ces officines et par l'US Right to Know, une entité sans but lucratif dont un des objets réels est de promouvoir les intérêts du biobusiness. Documents savamment exploités pour semer un mélange de doutes et de certitudes (alléguées) sur la dangerosité du glyphosate et pour dépeindre Monsanto et d'autres parties impliquées comme des monstres ou des gens peu recommandables.
Notons que l'US Right to Know a aussi mis en ligne – à notre sens contraint et forcé – les documents qui prouvent au-delà de tout doute les diverses malversations dont certains (nous y compris) ont fait état sous les bannières « Portier Papers » et « CIRC-gate ».
Le Parisien se risque à évoquer ces questions :
« Marcel Kuntz, chercheur au CNRS et membre du groupe Yahoo, confirme au Parisien que les "turpitudes du CIRC" ont été abordées par le cénacle virtuel. Notamment les intérêts de l’un des spécialistes invités par le groupe du travail du CIRC, Christopher Portier, très critiqué par les pro-glyphosate. »
Art consommé de l'euphémisme... Mais le Parisien se penchera peut-être sur ces « turpitudes » et « intérêts »... On peut rêver... Mais aux « racines du soupçon » il y a aussi une « information » au mieux hémiplégique.
Les idiots utiles des médias et des réseaux sociaux
Actionner le tribunal de l'opinion publique requiert le concours des médias.
La manœuvre n'est pas limitée aux États-Unis d'Amérique. La contestation du glyphosate et la mise en cause de Monsanto-Bayer en Europe sert les intérêts des avocats prédateurs. D'où ce lobbying important à Bruxelles, en partie téléguidé et en tout cas alimenté depuis l'autre rive de l'Atlantique, et le phénomène des carpetbaggers selon l'expression de notre ami David Zaruk, alias Risk-monger.
En France, des journalistes complaisants se sont obligeamment mis à disposition et ont déclenché une vague de suivisme. Notons incidemment que ces journalistes militants à la base du glyphosate- et du Monsanto-bashing se sont bien gardés d'écrire sur les « Portier Papers » et le « CIRC-gate », sauf à venir au secours, en tant que de besoins, des entités et personnes mises en cause.
Le Parisien écrit ainsi en chapô :
« Des documents que nous révélons montrent à quel point la multinationale s’est impliquée dans des groupes de discussion en ligne réunissant chercheurs et lobbyistes pour répliquer aux détracteurs de ses produits. »
Le quotidien « révèle »-t-il des documents ? Au sens strict peut-être, dans la mesure où ils n'auraient jamais été divulgués en France. Dans la réalité non : il relaie des documents publiés par ailleurs, avec les histoires, insinuations, affabulations, etc. qui vont avec.
M. Henry Miller consulte des gens de Monsanto... et alors ?
Les deux premières pièces – publiées malgré une clause de confidentialité – en sont une illustration caricaturale.
On en reste dans l'article du Parisien au conte de fée du preux chevalier blanc Gilles-Éric Séralini assailli par un gang de scientifiques à la botte de Monsanto :
« ...les Monsanto Papers montrent qu’une poignée de scientifiques se sont ligués à la firme dans le but de nuire au Français. »
RépondreSupprimerEn réalité, l'étude sur les rats de Gilles-Éric Séralini et al. – « la retentissante étude sur les OGM de Monsanto, le Roundup et les rats » selon le Parisien – n'est pas simplement « controversée » (ou « très controversée » comme il écrit). Ni attaquée par des factieux malveillants et à la solde de Monsanto.
Dès le lendemain de sa publication, le 20 septembre 2012, le toxicologue Gérard Pascal avait prononcé un verdict sans appel dans le Figaro : « Cela ne vaut pas un clou ».
Et dans les jours et les mois qui ont suivi, des critiques sont venues : d'un grand nombre de scientifiques des domaines pertinents, non seulement en France mais aussi ailleurs ; de scientifiques qui se sont exprimés par des lettres à l'éditeur de la revue Food & Chemical Toxicology (F&CT) à titre individuel, par des prises de position collectives ou par l'intermédiaire de leurs associations ; de scientifiques qui se sont exprimés dans la presse générale ou sur des blogs ; des agences d'évaluation et de sécurité sanitaire françaises (l'ANSES et le HCB), allemandes, australo-néo-zélandaise, belge, brésilienne, canadienne, danoise, européenne (EFSA, avec le concours de six. États membres), néerlandaise et roumaine ; d'instances compétentes en matière d'éthique scientifique, notamment pour l'expérimentation animale ; de journalistes scientifiques de journaux réputés ; d'associations de journalistes (s'agissant notamment des conditions inédites de l'embargo) ; et évidemment de Monsanto, le producteur de l'événement NK 603.
Fait unique dans les annales, six académies scientifiques françaises se sont unies – liguées selon le vocabulaire conspirationniste – pour émettre un avis fort critique sur l'étude et les événements connexes.
Même le CIRC, pourtant à la recherche d'éléments infamants pour le glyphosate, n'a pas retenu cette étude :
« Le groupe de travail a conclu que cette étude menée sur une formulation à base de glyphosate était inadéquate pour l'évaluation car le nombre d'animaux par groupe était faible, la description histopathologique des tumeurs était médiocre et les incidences de tumeurs chez des animaux individuels n'étaient pas fournies. »
Trois études de grande envergure, une française et deux européennes ont aussi, en pratique, invalidé l'étude Séralini. Cela a incité M. Sylvestre Huet à écrire sur son blog hébergé par le Monde « OGM-poisons ? La vraie fin de l’affaire Séralini » (notre analyse ici).
Le Parisien ignore ou occulte tout cela, ainsi que tous les événements qui ont eu lieu depuis septembre 2012. Tout comme précédemment le scandaleux Envoyé Spécial sur le glyphosate de France 2 du 17 janvier 2019. Rien ne saurait invalider la thèse que Monsanto « s'est démené pour détruire des recherches indépendante certaines recherches indépendantes » et qu'elle est « allé très loin pour anéantir une des enquêtes les plus dérangeantes publiées sur le Roundup » (Envoyé Spécial, 50:10).
Le Parisien monte donc en épingle un événement censé impressionner les foules :
« ...le lobbyiste américain Henry Miller, également membre d’AgBioChatter, transmet à la Monsanto un brouillon d’article au vitriol à amender avant envoi au magazine Forbes, dont il est chroniqueur. Il y accuse notamment l’étude Séralini d’être "frauduleuse". Comme le montrent des documents que nous nous sommes procurés, Eric Sachs, un employé de la firme, annote le texte, le 22 septembre, à cinq endroits. »
Forcément « lobbyiste », Henry Miller... Forcément « au vitriol » l'article... En réalité, M. Eric Sachs n'a fait que suggérer de supprimer une phrase offensante et inutile et d'apporter quelques corrections.
RépondreSupprimerMais n'apprend-on pas dans les écoles de médias à « définir un angle » ?
(Source)
L'essentiel n'est-il pas d'imprimer dans l'esprit des lecteurs la théorie d'une conspiration ?
À croire que c'est péché pour une firme de vouloir défendre deux lignes essentielles de son activité – le glyphosate et les OGM tolérant le glyphosate – ou de contribuer à leur défense par un examen critique d'un article du médecin et chroniqueur Henry Miller dans Forbes. Et que c'est péché pour celui-ci de s'assurer de l'exactitude et de l'opportunité de ses arguments auprès de celui-là.
Un « avertissement » qui passe pour une invitation à une manœuvre
Ces échanges et cet article ont été précédés par un « avertissement » de M. Drew L. Kershen déniché dans la correspondance du groupe de discussion AgBioChatter.
Le Parisien écrit ;
« Quand, le 19 septembre 2012, Le Nouvel Observateur (rebaptisé depuis L’Obs) publie la retentissante étude sur les OGM de Monsanto, le Roundup et les rats [ma note : l'étude a été publiée par Food & Chemical Toxicology], un universitaire de l’Oklahoma partage sur AgBioChatter quelques angles d’attaque. Mais met en garde le forum sur les risques que représenterait une prise de position hostile à Séralini en France. "Quelqu’un possédant des compétences scientifiques doit immédiatement qualifier cet article de science falsifiée et frauduleuse" mais ce scientifique "doit vivre aux États-Unis afin d’éviter les lois sur la diffamation pénale en vigueur en Angleterre, en France, au Pérou, etc.", suggère Drew L. Kershen, dans un e-mail rendu public l’an dernier par l’ONG américaine US Right To Know. »
Superbe rédaction qui laisse entendre une manœuvre et une tentative de dénigrement dans des juridictions donnant la préséance à la liberté d'expression. Pourquoi « quelques angles d'attaque » alors qu'il s'agissait de critiques argumentées et de mise en évidence de faiblesses, voire plus ?
Nous reproduisons ce courriel ci-dessous (avec nos caviardages).
- voir sur site -
Comme on peut le voir, l'analyse – faite le jour de la mise en ligne de l'article de Séralini et al. – est tout à fait pertinente. Mais chut ! Cela dérange la belle histoire du martyr assailli par les coups de Monsanto (mais résistant bravement).
Ah ! M. Henry Miller a été payé par Monsanto...
Comment se termine le chapitre Henry Miller ?
« Il sera plus tard démontré que le scientifique zélé a touché de l’argent de Monsanto pour un article de 2015 auquel il a pourtant peu participé, comme l’a expliqué Envoyé Spécial. Au vu du conflit d’intérêts, plusieurs articles co-signés par Miller et parus dans Forbes ont depuis été dépubliés. »
Ah, encore une fois, la belle affaire ! Il « a touché de l'argent »... Mais, horresco referens, c'est de l'argent de Monsanto...
[À suivre...]
http://seppi.over-blog.com/2019/04/monsanto-et-le-parisien-aux-racines-du-soupcon-il-y-a-le-soupcon-la-mauvaise-foi-et-plus-encore-1.html
Aujourd'hui, la vérité est sur Internet puisqu'elle est rejetée depuis toujours par les merdias. Les merdias vivent des mensonges, des lobbying qui vont donner de l'importance à ce qui n'en a pas. Ils invitent de FAUX scientifiques pour parler de science. Idem pour les politique, ne sont invités QUE les escrocs.
SupprimerL'affaire Monsanto a eu pour but de faire semer le doute dans cet herbicide employé depuis plus de 50 ans par des dizaines de millions de personnes sans que l'une d'entre elles n'en soit morte mais... ils auraient découvert quelqu'un (en Californie) qui s'est plein d'avoir mal quelque part et accuse Monsanto ! Hahahahaha !
L'objectif et de faire interdire non pas l'herbicide Round'up pour empoisonnement mais UNIQUEMENT de le faire retirer des rayons des supermarchés afin que l'herbe envahissent les champs de blés !
S'il y a de l'herbe dans des champs de blé il ne peut y avoir de moisson ! Pas de moisson = pas de farine/pains, etc !
Lobbying = famine ! Hourra ! on a gagné !
Analyses d’eau de pluie très préoccupantes
RépondreSupprimerle 21 juillet 2014
Un de nos adhérents à Miserey Salines dans le Doubs a fait procéder, par le laboratoire Qualio de Besançon, à des analyses d’eau de pluie recueillies tous les 8 mois environ au même endroit et dans des conditions similaires.
Le résultat est fort préoccupant puisqu’il atteste d’une augmentation de 800% du taux d’aluminium en 16 mois (environ 9 fois plus) et d’une augmentation de 100% des taux de baryum, strontium et titane en 8 mois (2 fois plus)
Ces résultats d’analyse ont fait l’objet d’une communication au Maire de Miserey Salines (Doubs), lequel s’est engagé à transmettre ce rapport d’analyses à l’Agence Régionale de Santé (ARS-Besançon)
http://www.acseipica.fr/echange-l-bernard-maire-miserey-salines-25/
__________________________
Un 'vieux post' de l'année dernière nous indique qu'une analyse de l'eau de pluie. Ce qu'il en ressort est que:
(...) Le résultat est fort préoccupant puisqu’il atteste d’une augmentation de 800% du taux d’aluminium en 16 mois (environ 9 fois plus) et d’une augmentation de 100% des taux de baryum, strontium et titane en 8 mois (2 fois plus) (...)
C'est-à-dire l'exacte composition des chemtrails.
Composition qui se répand sur la totalité des sols chemtraillés (ou couloirs d'avions) et démontre que TOUTES les plantes sont atteinte d'un excès de nano-particules d'aluminium qui - comme on le sait - provoquent la maladie d'Alzheimer. Maladie relevée dernièrement chez les abeilles.
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/pas-plus-loin-que-le-bout-de-leur-nez.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html
Publié par huemaurice5 à 10:59
https://huemaurice5.blogspot.com/2015/06/analyses-deau-de-pluie-tres.html
Nathalie Loiseau se compare à «une romanichelle», provoquant l’indignation
RépondreSupprimer13:16 29.04.2019
La tête de liste LREM aux européennes s’est de nouveau attirée les critiques pour une expression lâchée en direct sur France Culture: évoquant son arrivée à la tête de l’ENA, Nathalie Loiseau a déclaré y avoir été accueillie comme une «romanichelle». Des propos qui ont suscité l’indignation de certains sur les réseaux sociaux.
La tête de liste LREM aux européennes Nathalie Loiseau a été invitée ce lundi 29 avril à l'émission Les Matins de France Culture pour y discuter, notamment, du sort de l'ENA, qu'Emmanuel Macron souhaite supprimer.
Ayant passé cinq ans à la tête de l'École nationale d'administration, l'ancienne ministre des Affaires européennes s'est exprimée sur l'accueil qui lui avait été réservé au sein de cet établissement, célèbre pour former les hauts fonctionnaires de la République.
«Je sais ce à quoi je me suis heurtée, c'est-à-dire énormément de conservatisme de la haute administration. Disons les choses: je n'ai pas été accueillie avec des fleurs en n'étant pas ancienne élève de l'ENA, femme de moins de 50 ans. J'avais l'impression d'être une romanichelle quand je suis arrivée à la tête de l'ENA», a-t-elle lancé, affirmant néanmoins que «c'était pas grave.»
Le mot «romanichelle», qui est traditionnellement employé de manière péjorative, a immédiatement fait réagir sur les réseaux sociaux.
Le 28 avril, l'ancienne ministre a déclaré être «soulagée» de la possible suppression de l'ENA, qu'elle avait dirigée:
«Je sais ce que j'ai pu faire pendant cinq ans à essayer de réformer cette école, il y a des choses que j'ai réussies, dont je suis fière, mais je sais aussi les limites auxquelles je me suis heurtée», a-t-elle développé, en déplorant notamment «le manque de diversité» des élèves.
Mme Loiseau a été déjà touchée par une série de polémiques concernant son passé. Mediapart a révélé qu'en 1984, elle figurait sur la liste d'un syndicat étudiant apparenté à l'extrême droite, notamment au Groupe union défense (GUD).
https://fr.sputniknews.com/france/201904291040918795-loiseau-romanichelle-ena-twitter/
(...) a déclaré y avoir été accueillie comme une «romanichelle». (...)
SupprimerLa rom un noiseau qui se plie et se rompa.
Disparition du tableau le plus cher au monde, devant être exposé au Louvre
RépondreSupprimer13:03 29.04.2019
Alors que la France et l'Italie s'apprêtent à commémorer le jeudi 2 mai les 500 ans de la mort de Léonard de Vinci et que le Louvre prépare une rétrospective consacrée à ses œuvres, le Salvator Mundi, le tableau le plus cher au monde, vendu pour 450 millions de dollars en 2017, a disparu de la circulation.
Le Salvator Mundi de Léonard de Vinci, la toile la plus chère au monde, adjugée en 2017 pour la somme record de 450 millions de dollars, est au cœur d'une énigme: depuis la vente, il n'a plus refait surface.
La localisation de ce tableau de 65 cm sur 45, où le Christ en habit bleu ciel émerge des ténèbres, bénissant d'une main le monde tout en tenant un globe transparent dans l'autre, reste un mystère. Les experts interrogés sont partagés: certains le voient dans les réserves du Louvre Abu Dhabi, d'autres estiment qu'il n'y est jamais arrivé, un autre évoquant un musée à Genève…
Pourtant, le Louvre espère inclure ce tableau à sa rétrospective consacrée à Léonard de Vinci à l'automne prochain et l'a demandé en prêt au Département de la culture et du tourisme d'Abu Dhabi sans cependant avoir de réponse.
Tout comme la localisation, le propriétaire de l'œuvre reste inconnu. Selon The Wall Street Journal, l'acheteur serait le prince saoudien Badr ben Abdallah, au nom de Mohammed ben Salmane, prince héritier d'Arabie Saoudite qui n'a jamais confirmé être le propriétaire du tableau, ni par ailleurs démenti.
Bien que le ministère de la Culture émirati assure en être bien propriétaire, sans toutefois être en mesure de dire où il se trouve, personne ne sait qui est officiellement le propriétaire. Christie's n'a pas divulgué son identité lors de la conférence de presse qui avait suivi la vente.
Selon des experts, le Salvator Mundi a été peint en 1505. Pendant longtemps, le tableau a été considéré comme perdu mais en 1958 il a refait surface lors d'une vente aux enchères. Présenté comme l'œuvre d'un maître de l'école de De Vinci, il a été vendu 45 livres.
Un demi-siècle plus tard, en 2011, un groupe d'experts a conclu que le tableau avait été peint par Léonard lui-même, bien que certains spécialistes continuent d'émettre des doutes à ce sujet.
En 2013, le milliardaire russe Dmitri Rybolovlev l'avait acheté à titre privé pour 127,5 millions de dollars avant de le mettre aux enchères à New York 5 ans plus tard.
https://fr.sputniknews.com/international/201904291040918691-tableau-cher-leonard-disparition-enigme/
Leonardo da Vinci qui aurait peint le 'portrait du fils de dieu' !! ("Dis, t'as pas une photo de ton père ?" HAHAHAHA !) était de loin cet illustre personnage à qui l'on prête l'intelligence d'avoir inventer l'eau chaude, l'Internet, et le dernier phone d'Apple (poire en français) !
SupprimerCar, figurez vous que le quidam en question vivait au temps de Christopho Colombo* ! (celui en 404 Pigeot ?) et, à cette même époque pris la mer (dans ses bras ?) et emporta de l'eau de peur d'en manquer ! (Car à cette époque la Terre était encore plate !).
Ainsi, constate-t-on, que les gens qui vivaient à ce 16 ème siècle NE SAVAIENT PAS (encore) COMMENT FAIRE POUR BOIRE DE L'EAU DE MER !!! HAHAHAHA !
HÂ les cons ! Les cons ! les cons !
Prendre une boite et la remplir d'eau sale (urine, toxique, noire, etc) et la poser dans une grande poêle sur le feu.
Prendre une grande boite (ou marmite) et la retourner en couvercle sur la petite boite.
Lorsque l'eau bout, la condensation dégoulinera le long des parois intérieures de la grande boite jusqu'à la poêle !
Eh oui ! c'est la gravité !
Et, cette eau dans la poêle est transparente ! Elle n'a pas d'odeur ! Elle ne contient AUCUN microbe !
C'est aussi ce qui s'appelle de l'eau pure.
Et donc, le 'savantissime illustrissime' ne savait pas encore çà ! HAHAHAHA !
Mais, si l'on regarde le prix du tableau... 450 millions de dollars ! Wôuâaff ! Une énormité à l'époque (2017) pour un 'gosse' avorté afin que sa mère demeure vierge après l'insémination artificielle ! (Même pas été capable de se décloué des piercings tout seul ! Hahaha !).
Et oui ! Y a du soleil sous Terre ! Il s'appelle Magma ! Hahaha !
* Le Canardo de Caprio de l'époque.
20.000 «boutons bleus d’urgence» et 240 drones de sécurité à Paris proposés par Mahjoubi
RépondreSupprimer12:28 29.04.2019
La capitale française sera surveillée par un dispositif de 240 drones de sécurité dans le cas où Mounir Mahjoubi, ex-secrétaire d’État au numérique, serait élu maire de Paris aux prochaines municipales, a-t-il confié dans un entretien au JDD, évoquant également d’autres mesures de sécurité envisagées.
Interrogé par le Journal du dimanche, Mounir Mahjoubi, candidat LREM à la mairie de Paris aux prochaines municipales et ex-secrétaire d'État au numérique, a évoqué ses projets de lutte contre l'insécurité dans la capitale française.
Le candidat LREM aux municipales préconise «une tolérance zéro» et l'application de «la théorie du carreau cassé: dès qu'il se passe quelque chose, on intervient».
«Je veux créer le Paris des 240 quartiers, dix rues au maximum dans lesquelles deux agents dédiés seront à disposition 24 heures sur 24 — ce qui nécessite entre huit et douze agents par quartier», a déclaré Mounir Mahjoubi.
Et d'expliquer qu'«ils seront ainsi à moins de cinq minutes à pied ou à vélo pour intervenir en cas d'urgence». Mounir Mahjoubi avance que cela changera beaucoup de chose, parce que «les habitants les connaîtront».
En outre, il souhaite mettre en œuvre près de 240 drones de défense en ville:
«J'envisage de déployer des drones de protection équipés de caméras, qui se rendront très rapidement sur les lieux signalés. Il y en aura un par quartier, soit 240 drones», «pilotés par des agents spécialement formés».
Afin d'appeler en urgence les forces de l'ordre en cas de problème, 20.000 boutons bleus d'urgence seraient ainsi installés dans les rues de Paris, conclut l'ancien secrétaire d'État.
https://fr.sputniknews.com/france/201904291040918353-projets-securite-paris-mahjoubi/
SupprimerKaboul revivra ! Vive le tchador-burqa obligatoire ! Les touristes devront voyager en boites en fer ! Hahahaha !
PAS FINIE D'ÊTRE TABASSEE !
RépondreSupprimerUn Français signale la disparition de sa femme… pendant qu’elle porte plainte contre lui
11:47 29.04.2019
La police de Thonon-les-Bains, en Haute-Savoie, a été confrontée à une drôle de situation ce week-end. Un homme s'est présenté au commissariat pour signaler la disparition de sa femme... au moment même où cette dernière était en train de porter plainte pour violences conjugales contre lui !
Dans le commissariat de Thonon-les-Bains, en Haute-Savoie, un homme est venu annoncer qu'il recherchait sa femme. Toutefois, celle-ci était justement en train de porter plainte contre lui pour violences conjugales, au même endroit!
L'homme faisait l'objet de trois fiches de recherche, a tweeté la police.
Placé en garde à vue, il devrait comparaître le lundi 29 avril, selon le quotidien régional Le Dauphiné Libéré.
https://fr.sputniknews.com/france/201904291040917845-femme-mari-disparition-haute-savoie/
Aïcha et Mohammed ont refusé de dire comment ils se prénommaient !
SupprimerÔH PITING S'ILS LE REPETENT !...
RépondreSupprimer"Sans désinformation, l'OTAN s'effondrerait ..."
par Tyler Durden
Lundi, 29/04/2019 - 03h30
Écrit par Manlio Dinucci via le réseau Voltaire,
Q: Quel est le résultat du symposium à Florence ?
Michel Chossudovsky: L'événement a été un grand succès, avec la participation de conférenciers venus des États-Unis, d'Europe et de Russie. Nous avons présenté l'histoire de l'OTAN. Nous avons identifié et documenté avec soin ses crimes contre l'humanité. Et à la fin du symposium, nous avons présenté la «Déclaration de Florence», un moyen de sortir du système de guerre.
Q: Dans votre introduction, vous avez affirmé que l’Alliance atlantique n’était pas une véritable alliance…
Michel Chossudovsky: Au contraire, sous l'apparence d'une alliance militaire multinationale, c'est le Pentagone qui domine les mécanismes décisionnels de l'OTAN. Les États-Unis contrôlent les structures de commandement de l'OTAN, qui sont intégrées à celles des États-Unis. Le commandant suprême des forces alliées en Europe (SACEUR) est toujours un général américain nommé par Washington. Le secrétaire général, actuellement Jens Stoltenberg, est essentiellement un bureaucrate qui gère les relations publiques. Il n'a aucun rôle décisionnel.
Q: Un autre thème que vous avez évoqué est celui des bases militaires américaines en Italie et dans d'autres pays européens, y compris à l'Est, malgré le fait que le Pacte de Varsovie n'existe pas depuis 1991 et malgré la promesse faite à Gorbatchev de ne pas prolonger l'OTAN. vers l'Est se produirait jamais. Quel est le but de ces bases ?
Michel Chossudovsky: L’objectif tacite de l’OTAN - un thème important de notre débat à Florence - est de mettre en œuvre, sous une dénomination différente, «l’occupation militaire» de facto de l’Europe occidentale. Les États-Unis continuent non seulement à «occuper» les anciens membres des «pays de l'Axe» de la Seconde Guerre mondiale (Italie, Allemagne), mais ont utilisé le badge de l'OTAN pour établir des bases militaires américaines dans toute l'Europe occidentale. par la suite, en Europe orientale à la suite de la guerre froide et dans les Balkans à la suite de la guerre de l'OTAN contre la Yougoslavie (Serbie-Monténégro).
Q: Qu'est-ce qui a changé en termes d'utilisation possible des armes nucléaires ?
Michel Chossudovsky: Immédiatement après la guerre froide, une nouvelle doctrine nucléaire a été formulée, axée sur l'utilisation préventive des armes nucléaires, autrement dit sur une première frappe nucléaire en tant que moyen de légitime défense. Dans le cadre des interventions USA-OTAN, présentées comme des mesures de maintien de la paix, une nouvelle génération d'armes nucléaires «de faible puissance» et «non utilisables» a été créée, décrite comme «inoffensive pour les civils». Les dirigeants politiques américains les considèrent comme des «bombes de pacification». Les accords de la guerre froide, qui établissaient certaines mesures de sécurité, ont maintenant été abandonnés. Le concept de «destruction mutuellement assurée», relatif à l'utilisation d'armes nucléaires, a été remplacé par la doctrine de la guerre nucléaire préventive
RépondreSupprimerQ: L'OTAN était «obsolète» au début de la présidence Trump, mais elle a maintenant été redémarrée par la Maison-Blanche. Quel rapport y a-t-il entre la course aux armements et la crise économique ?
Michel Chossudovsky: Guerre et mondialisation vont de pair. La militarisation repose sur l'imposition d'une restructuration macro-économique dans les pays cibles. Il impose des dépenses militaires afin de soutenir l'économie de guerre au détriment de l'économie civile. Cela conduit à la déstabilisation économique et à la perte du pouvoir des institutions nationales. Un exemple - récemment, le président Trump a proposé d’énormes réductions budgétaires dans les secteurs de la santé et de l’enseignement, ainsi que dans les infrastructures sociales, bien qu’il ait demandé une augmentation massive du budget du Pentagone. Au début de son mandat, le président Trump a confirmé l'augmentation des dépenses du programme nucléaire militaire lancé par Obama de 1 000 milliards à 1 200 milliards de dollars, affirmant que cela contribuerait à rendre le monde plus sûr. L'augmentation des dépenses militaires, conjuguée aux mesures d'austérité, a entraîné la disparition de ce qu'on appelait auparavant «l'État providence». Sous la pression des États-Unis, l'OTAN s'est engagée à augmenter ses dépenses militaires. Le général Jens Stoltenberg a déclaré que c’était la bonne décision pour «garantir la sécurité de notre population». Les interventions militaires sont associées à des actes concomitants de sabotage économique et de manipulation financière. L'objectif final est la conquête des ressources humaines et matérielles ainsi que des institutions politiques. Les actes de guerre soutiennent un processus de conquête économique totale. Le projet hégémonique des États-Unis est de transformer les pays et les institutions souveraines internationales en territoires ouverts à la pénétration. L’un de leurs instruments est l’imposition de lourdes pénalités aux pays endettés. L’imposition de réformes macro-économiques mortelles a pour effet d’appauvrir de vastes secteurs de la population mondiale.
Q: Qu'en est-il maintenant et que deviendra le rôle des médias ?
Michel Chossudovsky: Sans la désinformation diffusée de manière générale par presque tous les médias, le programme militaire USA-OTAN s'effondrerait comme un château de cartes. Les dangers imminents d’une nouvelle guerre avec les armes les plus modernes et le péril atomique ne sont pas le genre de nouvelles qui font la une des journaux. La guerre est présentée comme un acte de pacification. Les criminels de guerre sont décrits comme des sucettes. La guerre devient la paix. La réalité est inversée. Quand les mensonges deviennent la vérité, il n'y a pas de retour en arrière.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-29/without-disinformation-nato-would-crumble
Seul un quart des Britanniques sait qui est le Premier ministre irlandais
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 29/04/2019 - 02h45
Niall McCarthy, de Statista, souligne que la frontière irlandaise est le principal point d'achoppement dans les négociations sur le Brexit. Il peut donc être surprenant d'entendre que seulement un quart des Britanniques savent en réalité qui est le taoiseach ou le premier ministre irlandais.
YouGov suit les niveaux de notoriété de divers politiciens internationaux parmi le public britannique (à l’exception de l’Irlande du Nord) et seulement 26% ont entendu parler du Taoiseach irlandais Leo Varadkar.
- voir liste sur site -
Infographie: seulement un quart des Britanniques savent qui est le Premier ministre irlandais | Statista
- Donald Trump 99 %
- Vladimir Poutine 95 %
etc !
Cela représente toujours une part supérieure à celle du Premier ministre indien Narendra Modi (23%) ou du Premier ministre australien Scott Morrison (15%).
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-27/only-quarter-brits-know-who-irish-pm
MANGEZ VOTRE MERDE !
RépondreSupprimerGASPILLAGE - LES DÉCHETS ALIMENTAIRES EXPLOSENT EN SUISSE
Les ménages suisses produisent 1 million de tonnes de déchets alimentaires par an. Près de la moitié pourrait être évitée.
Près de 480'000 tonnes de déchets alimentaires sont jetées avec les ordures ménagères.
29.04.2019, 13h00
La Suisse produit chaque année 2,6 millions de tonnes de déchets alimentaires, dont les deux tiers sont évitables. A eux seuls, les ménages jettent un million de tonnes d'aliments.
Au total, 1,7 million de tonnes d'aliments pourraient être encore consommés au moment où ils sont jetés à la poubelle. Cela représente environ 190 kilos d'aliments comestibles perdus par personne et par an, a indiqué lundi l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) en publiant plusieurs études sur le gaspillage alimentaire.
Vingt-huit pour cent des déchets évitables sont imputables aux ménages privés. Ceux-ci représentent près de 480'000 tonnes d'aliments, à savoir 60 kilos par personne et par an.
Seuls 170'000 tonnes de déchets alimentaires des ménages sont collectées et valorisées sous forme d’engrais de recyclage ou de biogaz. Les 350'000 tonnes restantes sont soit compostées soit données aux animaux.
Prise de conscience à soutenir
Les ménages n'ont pas encore pris conscience de la quantité que représentent leurs propres déchets. Ils manquent de sensibilité et de connaissances quant à la conservation et au stockage des aliments ainsi qu'aux méthodes d'utilisation des restes, explique l'OFEV.
Une bonne infrastructure de gestion des déchets verts dans les communes permettrait de diminuer considérablement le gaspillage alimentaire. La collecte séparée donne une meilleure perception des quantités jetées, celles-ci étant davantage visibles, estime l'office.
Pertes pour l'agriculture aussi
L’agriculture génère quant à elle quelque 225'000 tonnes de déchets alimentaires, dont 90 % pourraient être valorisés. Ils représentent une perte de 600 millions de francs par an pour l'agriculture.
Ces déchets sont principalement dus aux normes industrielles à appliquer, aux conditions techniques et au stockage inapproprié. Environ 173'000 tonnes sont des résidus de récolte qui sont épandus sur les champs comme engrais.
Près de 49'500 tonnes sont des résidus ou des rebuts de récolte qui sont donnés aux animaux et qui restent ainsi dans le cycle de production des denrées alimentaires. Seules 2000 tonnes (1%) des déchets alimentaires provenant de l'agriculture sont valorisées thermiquement pour produire de l’électricité et de la chaleur.
Agroalimentaire surtout
Contrairement à l'industrie agroalimentaire, au commerce de détail et à la restauration, les chiffres des ménages et de l'agriculture n'avaient pas encore été publiés. Environ 43% des 1,7 million de tonnes de déchets alimentaires évitables sont à mettre sur le compte de l'industrie agroalimentaire. Celle-ci génère 950'000 tonnes.
Le commerce de détail est responsable de 100'000 tonnes de pertes, principalement en raison des invendus. 95% pourraient être évités. Les grands distributeurs perdent un peu plus d’un demi-milliard de francs par an, selon les calculs de l'OFEV.
RépondreSupprimerQuant à la restauration et à l'hôtellerie, elles génèrent 290'000 tonnes de déchets par an. Pour le secteur, la plupart des déchets évitables proviennent de préparations de quantités excessives. Environ 68% de la quantité totale de déchets pourrait être évité chaque année. Le secteur perd environ un milliard de francs par an.
Mesures en place
Le Conseil fédéral a mis en place plusieurs mesures pour diminuer le gaspillage alimentaire, selon l'OFEV. En adoptant en 2015, l’Agenda de développement durable de l'ONU, la Suisse s'est engagée à réduire de moitié, d’ici à 2030, le volume de déchets alimentaires par habitant.
Le Conseil national a chargé le gouvernement d’élaborer un plan d’action contre le gaspillage alimentaire. Il fera l’objet, vraisemblablement en 2024, d’une évaluation qui visera à déterminer si les mesures qu’il contient sont suffisantes ou si des adaptations doivent être effectuées.
L’alimentation contribue à l’impact écologique global de la Suisse, avec une part de 28%, rappelle l'OFEV. Si des aliments ne sont pas consommés, leur production aura généré des émissions de gaz carbonique, contribué à la perte de biodiversité et utilisé les sols et les eaux en vain. Les aliments jetés entraînent aussi des coûts tout au long de la chaîne de production et de commercialisation, qui se répercutent sur les prix des produits. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/dechets-alimentaires-explosent-suisse/story/23603044
SupprimerFaut dire qu'avec le 'réchauffement climatique' qui ne veut pas venir ! (Mais que fait la police ??) et les bestioles qui envahissent les stands de 'bio' (Hahahaha !) on en jette plus que ce que l'on en consomme ! En plus: Çà fait chier !
Chier: Remettre sur Terre les choses qui lui ont été prises.
Déclaration du jour de la terre parfaite de Trump
RépondreSupprimer27 avril 2019
Par Tom Harris
Le président Donald Trump avait raison de ne pas prendre en compte le changement climatique dans son message du Jour de la Terre du 22 avril 2019. Au lieu de cela, il s'est concentré sur des questions importantes et sur lesquelles nous exerçons un contrôle considérable: protection des infrastructures hydrauliques du pays, conservation de la terre, de l'eau et de la faune, amélioration de la santé des forêts et, bien sûr, de la prospérité économique, pilier sur lequel tout le monde est fondée. Après tout, sans prospérité, nous ne pouvons nous permettre de protéger l’environnement. Trump a expliqué dans sa déclaration officielle du Jour de la Terre:
«Protection de l'environnement et prospérité économique vont de pair. Une économie de marché forte est essentielle à la protection de nos ressources naturelles critiques et à la promotion d'un héritage de conservation. “
Il a raison, bien sûr, mais cela n’a pas été du goût de ceux qui s’inquiètent du changement climatique causé par l’homme. BNN Bloomberg a déclaré qu'Andrew Dessler, un climatologue de la Texas A & M University, s'était plaint de ce qui suit: «Cette déclaration est en réalité l'antithèse de la protection de l'environnement. Ils ne mentionnent pas la menace existentielle la plus grave [le changement climatique provoqué par l'homme] qui pèse sur l'humanité. »
Dans un article publié par le magazine de gauche Mother Jones, le journal britannique Guardian a déclaré: "Le directeur exécutif du Sierra Club a déclaré que M. Trump était" le pire président pour l'environnement que notre pays ait jamais eu "."
Les préoccupations relatives aux dangereux changements climatiques causés par l'homme ne sont pas fondées sur des observations de ce qui se passe réellement dans le monde réel. Le Goddard Institute for Space Studies de la NASA admet qu'entre 1880 et 2019, la «température annuelle moyenne de l'air à la surface de la planète» n'a que légèrement dépassé le degré Celsius, malgré une augmentation supposée de 40% du gaz carbonique atmosphérique.
Et le temps extrême n'augmente pas. La base de données NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), qui répertorie les données météorologiques extrêmes enregistrées dans l'ensemble de l'État, probablement les meilleures du genre, montre qu'en 2018, un seul enregistrement d'État a été établi: le plus grand grêlon (5,38 pouces de diamètre) de l'histoire. de l'Alabama. Jusqu'à présent, un seul record a été établi en 2019: la température la plus basse enregistrée dans l'Illinois (-38° F (-38,8° C) sur le mont Carroll). En fait, au cours des 18 premières années du 21e siècle, seuls deux États ont enregistré leurs températures maximales: la Caroline du Sud en 2012 et le Dakota du Sud en 2006 (ce dernier était à égalité avec 1936, lorsque 15 États ont établi leurs records de températures maximales).
https://townhall.com/columnists/tomharris/2019/04/23/trumps-perfect-earth-day-statement-n2545228
SupprimerMême s'il y avait une augmentation de 20 000 000 000% du gaz carbonique sur Terre il y aurait une augmentation équilibrante immédiate de 20 000 000 000% du gaz oxygène produit par les végétaux envahissant notre planète et d'autre part un recyclage immédiat par les mers & océans (qui couvrent plus de 75 % de notre planète) en nano-particule de carbone (charbon) grâce aux phytoplancton présents sur les bassins d'eaux, les pluies et les brouillards.
Il en a d'ailleurs TOUJOURS été ainsi depuis la formation-même de notre étoile en planète ! Mais comme ses habitants ignoraient tout de leur provenance, il n'ont pu s'appeler 'les étoilés' mais 'les terriens' ! Car, s'ils connaissaient approximativement les étendues de terres ils ignoraient totalement les étendues d'eaux !! D'où l'erreur commise même quand ils apprirent que leurs ancêtres les singes venaient eux-mêmes des eaux !!
Faut dire aussi que les merdias (comme les religieux ancien temps) essaient de prendre le pouvoir du monde en publiant conjointement les mêmes fausses nouvelles de partout et les mêmes escrocs interviewés !!
L'ADN se transforme en une nanocapsule intelligente pour l'administration de médicaments
RépondreSupprimerpar l'Université de Jyväskylä
29 AVRIL 2019
Des chercheurs de l'Université de Jyväskylä et de l'Université Aalto en Finlande ont mis au point une nanostructure ADN personnalisée pouvant effectuer une tâche prédéfinie dans des conditions analogues à celles du corps humain. Pour ce faire, l'équipe a construit un support en forme de capsule qui s'ouvre et se ferme en fonction du niveau de pH de la solution environnante. La nanocapsule peut être chargée - ou emballée - avec une variété de cargaisons, fermée pour livraison et rouverte grâce à une augmentation subtile du pH.
La fonction de la nanocapsule d’ADN est basée sur les résidus d’ADN sensibles au pH.
Pour y parvenir, l’équipe a conçu une structure d’origami d’ADN semblable à une capsule, fonctionnalisée avec des brins d’ADN sensibles au pH. Ces nanodesigns d'ADN dynamiques sont souvent contrôlés par la simple liaison hydrogène de deux séquences d'ADN complémentaires. Ici, une moitié de la capsule était équipée de domaines spécifiques de l'ADN double brin qui pourraient former une triple hélice d'ADN, c'est-à-dire une structure hélicoïdale composée de trois, pas seulement deux molécules d'ADN, en se liant à un ADN simple brin approprié. dans l'autre moitié.
"La formation de triplex ne peut se produire que lorsque le pH environnant de la solution est correct. Nous appelons ces verrous pH 'verrous pH', car lorsqu'ils interagissent, ils fonctionnent de manière similaire à leurs homologues macroscopiques et verrouillent la capsule à l'état fermé. Nous avons inclus plusieurs motifs dans la conception de notre capsule afin de faciliter l’ouverture / la fermeture de celle-ci sur la base du comportement coopératif des verrous. L’ouverture de la capsule est en fait très rapide et ne nécessite qu’une légère augmentation du pH de la solution ", explique le premier auteur du livre. doctorant Heini Ijäs du Nanoscience Center de l’Université de Jyvaskyla .
Pour exploiter les nanocapsules destinées au transport de charges utiles moléculaires ou de substances thérapeutiques, l'équipe a conçu la capsule avec une cavité pouvant héberger différents matériaux. Ils ont démontré que les nanoparticules d'or et les enzymes pouvaient être chargés (pH élevé) et encapsulés dans les capsules (pH faible) et de nouveau affichés (pH élevé). En surveillant l'activité de l'enzyme, les chercheurs ont constaté que la cargaison restait entièrement fonctionnelle au cours du processus.
"La chose la plus fascinante à propos des capsules d’origami ADN est que le seuil de pH auquel l’ouverture et la fermeture ont lieu est entièrement ajustable en sélectionnant les séquences de bases des verrous de pH. Nous avons conçu le pH de seuil de 7,2 à 7,3, proche de la pH sanguin. À l’avenir, ce type de médicament pourrait être optimisé pour s’ouvrir sélectivement à l’intérieur de cellules cancéreuses spécifiques, ce qui permettrait de maintenir un pH plus élevé que les cellules saines normales ", a déclaré Veikko Linko, professeur auxiliaire à l’Université Aalto.
De plus, les capsules sont restées fonctionnelles aux concentrations physiologiques de magnésium et de sodium et dans 10% de plasma sanguin, et peuvent continuer à le faire à des concentrations plasmatiques encore plus élevées. Ensemble, ces résultats aident à ouvrir la voie à la mise au point de véhicules de délivrance de médicaments intelligents et entièrement programmables pour la nanomédecine.
https://phys.org/news/2019-04-dna-smart-nanocapsule-drug-delivery.html
Une nouvelle approche pourrait mener à un vaccin contre la grippe à vie
RépondreSupprimerpar Amy Adams,
Université de Stanford
29 AVRIL 2019
Si le virus qui cause la grippe était un cornet de crème glacée, le vaccin annuel enseigne au système immunitaire à ne reconnaître que le scoop: un an de chocolat et un an de fraise. Comme le virus change chaque année, il en va de même pour le vaccin.
Une nouvelle approche qui enseigne à l’organisme à reconnaître la partie cône du virus - qui reste inchangée d’une année sur l’autre - pourrait bouleverser ce rituel de vaccination annuel et protéger les personnes contre la grippe pandémique, comme celle qui a tué 40 à 50 millions de personnes en 1918. L'équipe travaillant sur cette nouvelle approche, dirigée par le biochimiste Peter Stan Kim, a montré les premiers signes de l'efficacité de leur technique chez les animaux de laboratoire. Ils avertissent qu'ils doivent encore préciser leur vaccin et montrent qu'il fonctionne dans des études beaucoup plus vastes avant de le tester chez l'homme.
"Nous pensons que cela pourrait être très généralisable", a déclaré Kim, qui est Virginia et D.K. Ludwig professeur de biochimie et chercheur principal de l'initiative sur les maladies infectieuses au Biohub de Chan Zuckerberg. "Il pourrait être important de proposer un vaccin universel contre la grippe qui protégerait contre la grippe pandémique, ainsi que contre le VIH."
Focalisation du système immunitaire
Premièrement, une introduction aux vaccins contre la grippe. L'idée est d'injecter à une personne soit un virus tué, soit une seule protéine normalement présente à la surface du virus. Le système immunitaire apprend à reconnaître des fragments de cet envahisseur artificiel et constitue une défense qu'il peut activer des mois, voire des années plus tard, s'il revoit cette protéine. Le problème, c’est que certaines parties d’une protéine sont, pour une raison quelconque, plus faciles à détecter par le système immunitaire. Dans le cas de la grippe, cette portion facilement détectable est l'extrémité de la crème glacée, donc le vaccin annuel contre le goût de l'année. Les scientifiques n’ont pas réussi à diriger efficacement l’attention du système immunitaire vers le cône.
L'idée de la nouvelle approche est née lorsque Payton Weidenbacher, étudiant en chimie diplômé en chimie, a entendu parler d'une protéine qui peut se lier très précisément à la protéine du virus de la grippe qu'ils souhaitent reconnaître par le système immunitaire. (La protéine s'appelle un anticorps monoclonal - "mono" parce qu'elle se lie à un seul endroit et "clonale" parce que les scientifiques peuvent en faire beaucoup de copies identiques.) Dans le discours que Weidenbacher a suivi, les scientifiques se demandaient s'ils pouvaient utiliser le anticorps monoclonal comme guide et créer un moyen pour le système immunitaire de se lier au même endroit.
RépondreSupprimerEn écoutant la conversation, Weidenbacher s'est souvenu d'un truc chimique qu'il pensait être une approche différente. Au lieu de simplement apprendre de l'anticorps monoclonal, pourquoi ne pas l'utiliser ? Son idée était de verrouiller cet anticorps monoclonal très spécifique sur la protéine du virus de la grippe en laboratoire et de l’utiliser comme pochoir. Il pourrait peindre le reste de la protéine avec des molécules qui agissent comme une cape chimique, la rendant invisible pour le système immunitaire. En enlevant le pochoir, il ne resterait qu'une infime partie de la protéine visible par le système immunitaire pour apprendre à reconnaître et finalement à attaquer.
L'utilisation de cette protéine essentiellement masquée comme vaccin peut pousser le système immunitaire à mener une attaque contre le cône - la portion du virus partagée entre les souches de grippe, y compris la grippe pandémique.
Commencez maintenant
Weidenbacher a mentionné son idée à Kim après la conférence, mais tous deux ont supposé que quelqu'un d'autre aurait pensé à une idée aussi simple. Ensuite, Weidenbacher a reçu un email de Kim tard dans la nuit. "Peter était comme" personne ne l'a fait, commence maintenant ", a déclaré Weidenbacher, qui a rejoint le laboratoire de Kim via un programme d'études supérieures de ChEM-H qui forme les étudiants à appliquer le savoir-faire en chimie aux problèmes de biologie et de médecine.
"Payton est un chimiste", a déclaré Kim. "Ce qu'il a fait, c'est trouver un moyen d'utiliser l'anticorps monoclonal non pas comme quelque chose que vous regardez, mais comme un réactif."
Bien que l'idée soit simple, sa réalisation ne l'était pas. Weidenbacher a rencontré des difficultés pour que le système fonctionne, mais les premiers tests de l'équipe, publiés le 26 avril dans les Actes de la National Academy of Sciences, semblent prometteurs. Les animaux de laboratoire qui reçoivent cette protéine de la grippe habilement dissimulée manifestent également une réponse immunitaire à d'autres souches de la grippe - ce qui ne se produirait que s'ils avaient appris à reconnaître les parties cohérentes du cône. Les animaux ayant reçu un vaccin normal ne répondaient pas bien aux autres souches de grippe.
Kim et Weidenbacher ont déclaré avoir "biaisé" la réponse immunitaire, mais ils ont du travail à faire pour la rendre plus spécifique. Mais s’ils y parviennent, ils estiment que cela pourrait devenir une approche efficace pour de nombreux agents infectieux.
"Vous devriez être capable de faire cela sur n'importe quoi - c'est le rêve", a déclaré Weidenbacher. "Avec la bonne chimie, vous pouvez prendre n'importe quel anticorps monoclonal et le faire."
https://medicalxpress.com/news/2019-04-approach-lifetime-flu-vaccine.html
Les six applications à supprimer immédiatement de votre smartphone Android
RépondreSupprimer16:50 29.04.2019
Téléchargé déjà plus de 90 millions de fois, le logiciel malveillant Android baptisé PreAMO infecte des applications et permet ainsi à ses développeurs de récupérer d’importants revenus. Par sécurité, des sociétés ont déjà supprimé certaines applications du même développeur. Des chercheurs invitent les utilisateurs à en faire de même.
Six applications disponibles dans le Play Store Google sont infectées par un nouveau logiciel malveillant Android nommé PreAMO, rapportent les chercheurs en cybersécurité de Checkpoint. Ils affirment qu'il a été déjà téléchargé plus de 90 millions de fois. Les spécialistes appellent les internautes à être vigilants et à supprimer les applications concernées par ce malware et contenu dans des applications proposées par la firme chinoise DO Global.
Mais comment cela fonctionne-t-il? Le logiciel clique sur de nombreuses annonces publicitaires à votre place, permettant ainsi à son développeur de toucher d'importants revenus provenant de trois agences de publicité: Presage, Admob et Mopub: PreAMO par contraction, soit le nom du logiciel.
Les six applications Android infectées par ce malware sont Mycamera, Omni.cleaner, Speedbooster.optimizer, rambooster.totalcleaner, cooler.smartcooler, flashlight.torch.screenlight.party.
Plusieurs sociétés, dont la firme de Mountain View, ont par sécurité déjà supprimé une série d'applications du même développeur. En effet, selon une enquête de BuzzFeed, Google a retiré 46 des 100 applications de DO Global qui a réagi à cette suppression.
Dans un communiqué, la compagnie chinoise affirme avoir mené sa propre enquête en interne afin de comprendre et de prendre les mesures nécessaires. Elle a promis de respecter «strictement» à l'avenir «les règlementations en vigueur».
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201904291040922228-logiciel-malveillant-android-supprimer/
RépondreSupprimerÉborgné lors de l’acte 19, un Gilet jaune témoigne face caméra (vidéo)
16:20 29.04.2019
L’acte 19 dans la ville de Charleville-Mézières s’est avéré être dramatique pour le Gilet jaune Olivier Fostier, son visage ayant été mutilé. En pleine mobilisation, et alors que les manifestants marchaient «tranquillement», il a été touché par un tir de LBD et a perdu son œil droit, raconte-t-il face caméra.
Olivier Fostier, un Gilet jaune qui a perdu un œil lors de l'acte 19 à Charleville-Mézières, a raconté, devant une caméra, son expérience. D'après lui, sa mutilation provient d'un tir de LBD.
Son témoignage a été diffusé par Adda François et partagé par David Dufresne, journaliste spécialiste de la question du maintien de l'ordre ayant mis en place la plateforme de signalement «Allo place Beauvau».
Selon M.Fostier, samedi 23 mars, vers 16h20, les manifestants marchaient «tranquillement sur le trottoir avenue Forest», lorsque «d'un seul coup, des gaz ont été lancés devant moi, donc j'ai fait demi-tour, et à ce moment-là j'ai reçu un choc dans l'œil droit. Je pense que c'est un tir de flashball, vu la puissance du choc. Je me suis mis à genoux aussitôt et secouru par les pompiers.»
Il a été opéré lors de son deuxième séjour à l'hôpital.
«Donc mon œil est perdu et plusieurs opérations auront lieu dans l'avenir, pour essayer pour la pose d'une prothèse et victime d'une déformation du visage», explique Olivier.
À la question de savoir s'il en veut aux forces de l'ordre, le Gilet jaune répond par la négative, car «peut-être ils avaient une raison d'intervenir»:
«Nous, on était en fin de cortège. Peut-être il y a eu des actions devant […]. Les forces de l'ordre ont fait leur travail.»
À la fin de la séquence, il se demande tout de même pourquoi il y avait «un groupe de la BAC avec le commissaire qui se trouvait avenue Forest sur un accident de la circulation», ce qui donnait «un peu l'impression d'avoir été pris en entonnoir entre les deux.»
https://fr.sputniknews.com/france/201904291040920840-gilet-jaune-oeil-perdu-eborgne/
SupprimerEn marge à l'actualité de ces manifestations du samedi et après les black-blocks infiltrés et autre partis politiques anti 'gilets jaunes', ont été remarquées des personnes soutenant le chef de l'État prendre part au défilé !!! et portant des gilets marqués 'CGT' !!! Hahahaha !
Bientôt des manifestants portant des gilets marqués 'CRS' ? Hahahahaha !
RépondreSupprimerLa porte-parole du gouvernement tacle Nicolas Hulot sur sa démission
15:24 29.04.2019
Interrogée sur la question de l’environnement dimanche 28 avril pendant l’émission Et en même temps de BFM TV, la porte-parole du gouvernement a taclé Nicolas Hulot sur sa démission. Il a selon elle eu «du mal à ce qu'était au quotidien l'exercice du pouvoir».
Invitée dimanche 28 avril sur BFM TV pour l'émission Et en même temps, la nouvelle porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, est revenue sur la question écologique, les défenseurs de l'environnement ayant été déçus des annonces faites par Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse.
«Depuis deux ans, on n'a pas été inactifs. On a fermé toutes les centrales à charbon», a-t-elle annoncé.
Elle a également taclé l'ex- ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot.
«Je crois qu'il faut regarder le départ de Nicolas Hulot comme le départ d'un militant qui a eu peut-être du mal à ce qu'était au quotidien l'exercice du pouvoir», a constaté la porte-parole.
«Quand vous devez fermer des centrales à charbon, il fallait voir les gens concernés pour leur dire: on va fermer, tu n'as plus de boulot. Vous pouvez avoir, quand vous êtes un militant, une envie d'engagement et quelque chose qui est extrêmement puissant et c'est tout à son honneur. Et puis, il y a la difficulté de se confronter concrètement au quotidien de l'exercice du pouvoir», a-t-elle ajouté.
Le ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot a annoncé sa démission le 28 août dernier, invoquant se sentir «tout seul à la manœuvre» sur les enjeux environnementaux au sein du gouvernement et avoir dû assumer des décisions contraires à ses convictions.
https://fr.sputniknews.com/france/201904291040920393-porte-parole-gouvernement-demission-hulot/
SupprimerC'est vrai que d'aller dire à quelqu'un qu'il n'aura plus d'électricité, de chauffage afin de combattre le réchauffement climatique qui ne veut pas venir ! çà c'est dur même pour la nazional socialiste !
LIMITATION À 80 KM/H : VERS UNE APPLICATION PLUS SOUPLE ?
RépondreSupprimerpar MARIE-EVE WILSON-JAMIN
29/04/2019
Le nombre de morts sur les routes de France métropolitaine a connu une très forte hausse de 17,1% en février 2019.
La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a affirmé dimanche 28 avril que la question des 80 km/h sera sans doute abordée lors du séminaire gouvernemental du lundi 29 avril, « sur la manière dont on peut faire en sorte qu'il n'y ait pas une application brutale, uniforme », lors du séminaire destiné à mettre en place les annonces faites par Emmanuel Macron en conclusion du Grand débat national.
Nouvelle étape dans le dossier de la limitation de la vitesse sur les routes secondaires. La porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, a indiqué dimanche 28 avril sur BFM TV que la question des 80 km/h sera « sans doute » abordée lundi 29 avril, lors du séminaire gouvernemental, « sur la manière dont on peut faire en sorte qu’il n’y ait pas une application brutale, uniforme ».
Limitation à 80 km/h : « une application qui soit plus souple ou plus adaptée aux réalités du terrain »
Et Sibeth Ndiaye de poursuivre : « Le président de la République, comme le Premier ministre (...), a indiqué que cette réforme avait, d’abord, porté ses fruits, et donc il y avait eu moins de tués sur les routes ». Elle a ensuite détaillé : « Ils ont aussi indiqué qu’il fallait voir comment on pouvait, en discutant avec les élus, faire en sorte qu’il y ait une application qui soit plus souple ou plus adaptée aux réalités du terrain ».
Des propos qui vont dans le même sens que ceux du président de la République en début d'année 2019. Le 15 janvier, Emmanuel Macron s’était en effet déclaré ouvert à des aménagements pour faire en sorte que la limitation de la vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires soit « mieux acceptée » par les Français tout en étant « efficace ».
Le nombre de morts sur les routes en hausse début 2019
Pour rappel, le séminaire est destiné à mettre en place les annonces faites par Emmanuel Macron en conclusion du Grand débat national. Et la limitation de vitesse fait partie d'une des revendications de départ des Gilets jaunes. En effet, depuis le 1er juillet 2018, la vitesse a été limitée à 80 km/h par le gouvernement qui avait alors expliquer souhaiter réduire le nombre de morts sur les routes de France. Il s’agit d’une expérimentation qui devrait durer deux ans. Si le nombre d’accidents mortels diminue, cette mesure pourra alors devenir définitive.
Or, l’augmentation du nombre de morts sur les routes françaises se poursuit pour le deuxième mois consécutif. « Après la hausse de la mortalité routière constatée en janvier 2019 (+3,9 %), l’effet de la forte dégradation des radars fixes (dans le cadre du mouvement des Gilets jaunes, NDLR) s’amplifie et se traduit par un relâchement des comportements sur l’ensemble des réseaux routiers », explique ainsi la Sécurité routière dans un communiqué. Le nombre de morts sur les routes de France métropolitaine a connu une très forte hausse de 17,1 % en février 2019, avec 253 personnes tuées, soit 37 de plus qu’en février 2018, a annoncé jeudi 28 mars la Sécurité routière.
Enfin, en plein examen du projet de loi d’orientations des mobilités (LOM), les sénateurs ont adopté un amendement afin d'adapter à l’échelle de chaque territoire, la limitation sur les routes départementales et nationales. Ainsi, les élus, via ce texte, donnent-ils la compétence aux présidents des conseils départementaux (pour les routes départementales) et aux préfets (pour les routes nationales) d'y relever ou pas, la vitesse maximale autorisée.
http://www.economiematin.fr/news-limitation-vitesse-80-km-h-gouvernement-application-souple
LA SUISSE FACE AU PIRATAGE DE SA DEMOCRATIE
RépondreSupprimerA Genève, la fin du e-voting entraîne une fuite de personnel
Du matériel de vote électronique du canton de Genève, en 2015.
Près de 20% des fonctionnaires chargés du développement du projet de e-voting dans le canton de Genève ont démissionné suite à l’abandon du système par le canton, a appris la RTS. Les départs sont plus massifs encore du côté des employés externes.
Depuis que le Conseil d'Etat genevois a annoncé, fin novembre, vouloir renoncer au développement de son système de vote électronique, l'Office cantonal des systèmes d'information et du numérique (OCSIN) doit faire face à des départs d'employés en cascade.
Selon des chiffres fournis à la RTS par la Chancellerie genevoise, deux employés de cet office chargé de la conception et du développement du système de e-voting ont démissionné au 30 avril. C'est près de 20% de l'effectif total de cette structure qui compte 10,5 équivalents plein temps (EPT).
Dans le même temps, l'Etat s'est séparé d'une majorité des travailleurs externes, sous contrat de location de service. Sur les 15 personnes qui avaient été engagées spécifiquement pour la deuxième génération du projet, 10 n'ont pas été reconduites soit deux tiers du total.
Le Département des infrastructures de Serge Dal Busco a confirmé à la RTS que ces 12 départs étaient liés à la décision du gouvernement genevois de renoncer au développement du e-voting d'ici février 2020.
Profil hautement qualifié
Certains de ces développeurs se sont consacrés au vote en ligne à Genève depuis ses débuts en 2001 avec un certain succès, puisque le système a été exporté dans d'autres cantons.
Voir leur projet s'effondrer du jour au lendemain a causé une grande déception, poussant certains à voir ailleurs. Grâce à leur expérience et à leurs profils hautement qualifiés, les démissionnaires n'ont pas eu à chercher longtemps un nouvel emploi.
Postes réattribués à d’autres fins
La Chancellerie genevoise admet que ces profils, dotés de compétences informatiques spécifiques, sont rares sur le marché de l'emploi.
Cette réalité pourrait contrarier la volonté politique actuelle à Genève. Le 17 avril dernier, la commission des droits politiques du Grand Conseil a voté à l'unanimité le principe d'un maintien du vote électronique dans le canton, sous le contrôle exclusif des collectivités publiques.
Mais il n'est pas sûr que relancer la machine sera simple à court terme avec ces départs. D'autant que les deux postes laissés vacants par les développeurs du vote électronique seront désormais dévolus à des tâches sans lien direct avec le domaine.
Arrêter le système, "un gâchis"
Pour Cyril Mizrahi, député socialiste au Grand Conseil genevois et co-auteur du projet de loi pour maintenir le système de vote électronique à Genève, "ce serait un retour en arrière" et "un énorme gâchis" d'abandonner le système, estime-t-il dans Forum. L'e-voting est notamment "nécessaire pour les Suisses de l'étranger ou les personnes avec un handicap."
Selon le député, le système ne doit pas non plus être développé par une entreprise privée en dehors de la Suisse, "ce n'est pas très sain au niveau du droit politique [...] C’est comme si on envoyait faire le décompte des votes à l’étranger."
https://www.rts.ch/info/regions/geneve/10397321-a-geneve-la-fin-du-e-voting-entraine-une-fuite-de-personnel.html