L'ex-ministre Jérôme Cahuzac va recevoir un bracelet électronique. Il échappe donc à la prison après avoir été condamné pour fraude fiscale à quatre ans dont deux avec sursis.
L'ancien ministre socialiste du Budget Jérôme Cahuzac a été condamné mardi en appel à quatre ans de prison, dont deux avec sursis pour avoir dissimulé un compte bancaire à l'étranger. (15 mai 2018)
10.04.2019
La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Bastia a confirmé mercredi l'acceptation d'un aménagement de peine sous forme de bracelet électronique de l'ex-ministre Jérôme Cahuzac, a-t-on appris de source judiciaire.
Le 13 février, un juge d'Ajaccio avait accepté cet aménagement sous surveillance électronique pour l'ex-ministre, condamné pour fraude fiscale le 15 mai 2018 à quatre ans de prison dont deux avec sursis, contre l'avis du parquet d'Ajaccio qui avait déposé un appel suspensif suivi par le parquet général.
Procédure normale
M. Cahuzac qui a déclaré sa résidence principale en Corse-du-Sud attendait depuis sa condamnation les modalités de l'application de sa peine. La loi permet pour toute peine allant jusqu'à deux ans d'emprisonnement, et en l'absence de récidive, la possibilité d'un aménagement immédiat.
«Il est normal que Jérôme Cahuzac puisse effectuer sa peine dans le cadre d'un placement sous surveillance électronique», a réagi mercredi auprès de l'AFP Me Antoine Vey, l'avocat de M. Cahuzac, jugeant que ce n'est «ni une faveur, ni une exception».
«La cour n'a pas cédé à la démagogie», s'est-il félicité, ajoutant que son client «aura droit, une fois cette peine purgée, à reprendre le cours de sa vie». A l'issue de l'audience en appel du 19 mars, Me Vey avait jugé «regrettable que le parquet s'acharne de la sorte (...) en faisant croire que Jérôme Cahuzac solliciterait une mesure exceptionnelle, ce qui n'est pas le cas».
Une amende de 300'000 euros
Sollicité par l'AFP, le procureur général Franck Rastoul avait alors indiqué que «le parquet général (avait) considéré, comme l'avait fait le parquet d'Ajaccio, que le projet avancé par M. Cahuzac au soutien de sa demande de placement sous surveillance électronique ne répondait pas aux efforts sérieux de réadaptation sociale communément exigés pour bénéficier d'une telle mesure».
«Cette position, au vu des éléments du dossier, aurait été prise à l'identique pour tout autre condamné», avait assuré M. Rastoul.
Dans sa décision du 13 février, le juge de l'application des peines ajaccien avait précisé qu'«au regard des efforts (de M. Cahuzac) et de sa situation prise dans sa globalité, exécuter la partie ferme en détention n'aurait pas de sens».
Parmi les arguments retenus, figuraient l'avis favorable du représentant de l'administration pénitentiaire, «les regrets manifestes du condamné», le fait que «le risque de récidive est écarté», «l'implication durable dans différents projets, notamment professionnels» et le fait qu'il ait payé son amende de 300'000 euros.
M. Cahuzac doit être convoqué pour la pose de son bracelet électronique et devra respecter des heures de sortie.
Après la révélation de l'existence de son compte caché par le site d'information Mediapart fin 2012, M. Cahuzac avait nié pendant des mois, avant de finalement démissionner en mars 2013 et d'avouer en avril. Cette retentissante affaire avait secoué le quinquennat de François Hollande et conduit à la création en 2013 du parquet national financier. (afp/nxp)
(...) le juge de l'application des peines ajaccien avait précisé qu'«au regard des efforts (de M. Cahuzac) et de sa situation prise dans sa globalité, exécuter la partie ferme en détention n'aurait pas de sens». (...)
Les affaires se corsent: Bêh ouais quoi !? Voler des milliards et avoir une petite amende (promesse d'avoir une fessée ou coup de baguette sur les doigts ?) c'est typique !
Si çà se trouve la semaine prochaine il met sur ebay-Internet en vente son bracelet et reremplit sa valise ! Hahahaha !
PS: Au fait, à propos 'du trou'... où est passée la montagne ? Bêh ouais parce que pour faire un trou... C'est 'L'affaire du trou' et pas celle de la montagne?... Au fait, c'est comment 'au fond du trou' ? Non mais je vous demande çà pour savoir si... si au fond du trou il y a quelque chose... 'Y a rien' ?!... A bon, y a un trou au fond du trou ?... Oui mais vous dites que vous êtes 'au fond du trou'...
15 cm de neige qui s'ajoutent aux 15 cm tombés hier au Québec, en ce 9 avril 2019, ça laisse croire que nos hivers seront de plus en plus longs et que les précipitations de neige seront plus fréquentes et imposantes.
D'après des scientifiques britanniques, le Soleil pourrait être confronté, dès 2030, à un phénomène appelé « minimum de Maunder ». Celui-ci pourrait provoquer une nette baisse des températures sur Terre.
La Terre va-t-elle connaître de nouveau un «petit âge glaciaire» ? D'après une étude menée par la Royal Astronomical Society, un organisme de recherche astronomique britannique, l'activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60 % d'ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée comme de 1645 à 1715. Une période appelée «Minimum de Maunder», se traduisant par un nombre de taches solaires - de petites régions sombres où la température est plus basse que celle de son environnement - très faible.
Pour avancer cette hypothèse, l'organisme se base sur la mise au point d'un nouveau modèle des cycles solaires qui permet «des prédictions d'une précision sans précédent», commente l'organisme. Le modèle repose sur l'analyse de la circulation des champs magnétiques à l'intérieur et à la surface du Soleil, un phénomène appelé «effet dynamo».
«Nous avons remarqué que les deux vagues magnétiques qui circulent à l'intérieur du Soleil ont pour origine deux différentes couches de matière. Elles ont toutes deux une fréquence d'environ 11 années, même si elles sont légèrement différentes et sont parfois décalées. Au cours d'un cycle, les vagues fluctuent entre les hémisphères nord et sud du Soleil. En combinant les effets des vagues et en les comparant avec les données réelles du cycle du soleil, nos prévisions montrent une exactitude de 97 %», a expliqué le professeur Valentina Zharkova, lors d'une présentation devant l'Assemblée nationale de l'astronomie à Llandudno, au nord du Pays de Galles.
Pour Etienne Parizot, professeur à l'université Paris Diderot et astrophysicien au laboratoire AstroParticule et Cosmologie (APC), cette découverte est à prendre avec des pincettes. «Ce nouveau modèle est intéressant puisque le groupe de scientifiques a manifestement identifié un niveau de complexité supérieur par rapport aux précédents modèles. Mais de là à prédire un petit âge glaciaire, restons prudents», commente-t-il. «L'étude du Soleil est une science complexe. L'activité magnétique a certes une incidence sur les rayons cosmiques, c'est certain. Mais est-ce que les rayons cosmiques ont une incidence sur le climat et les températures ? C'est moins sûr, des expériences sont en cours à ce propos, et les résultats sont semi-concluants», explique l'astrophysicien.
Toutefois pour le groupe de scientifiques britanniques, les prochaines prévisions sont sans équivoque. «Lors du 26eme cycle, qui couvre la décennie 2030-2040, les deux vagues magnétiques seront complétement désynchronisées et cela va provoquer une réduction significative de l'activité solaire. Les deux champs magnétiques se reflèteront exactement. Il y aura un pic d'activité en même temps dans les deux hémisphères opposés (…). Nous prévoyons que cela va conduire à des propriétés d'un «minimum de Maunder», a déclaré Zharkova.
En 2014, la NASA alertait déjà sur la possibilité d'un tel phénomène mais avec beaucoup moins de certitude. Les scientifiques estimaient à 20% «la probabilité que les températures évoluent vers des ‘modifications majeures'», révélait Atlantico. «Nous allons tout droit vers des hivers très rudes, vers un mini âge de glace» confiait Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory à la BBC, s'appuyant sur la nette diminution des taches solaires depuis 2011.
Le précédent «minimum de Maunder» remonte à la période de 1645 à 1715. A l'époque les hivers étaient tellement rudes que certains fleuves d'Europe, comme la Tamise ou bien la Seine, et d'Amériques avaient entièrement gelé. «Plusieurs peintures de l'époque montrent la Tamise gelée», raconte Etienne Parizot et ajoute: «Pendant plusieurs décennies les températures ont été plus froides que la moyenne». En France durant cette période, les températures pouvaient descendre jusqu'à -25°C.
Les chutes de neige font un mort et des milliers de personnes sans électricité en Finlande
Sott.net mar., 09 avr. 2019 20:09 UTC File photo
De lundi à mardi, des chutes de neige printanières inhabituelles ont balayé le centre de la Finlande, faisant un mort dans un accident de la circulation et privant d'électricité environ 8 000 ménages.
L'institut météo finlandais a mesuré 18 cm de neige à sa station météorologique de Tikkakoski dans le centre de la Finlande.
Les chutes de neige ont été les plus abondantes le lundi soir - plus de 4 mm de précipitations par heure. Une règle générale en météorologie est qu'un millimètre de précipitations mesurées équivaut à un centimètre de neige.
Les chutes de neige qui se sont abattues sur la région ont rendu les conditions de conduite dangereuses, causant plusieurs accidents de la route. Une personne est morte mardi matin dans une collision entre une voiture et un camion de livraison à Jyvaskyla.
Plusieurs autres accidents se sont produits dans la même zone. Lundi soir, deux voitures se sont heurtées à Petajavesi, à l'ouest de Jyvaskyla, blessant un des conducteurs.
Mardi, un poids lourd a glissé de la route dans un fossé à Parkano, dans l'ouest de la Finlande. Une voiture est sortie de la route et a heurté un arbre à Hameenkyro, près de Parkano. Aucun blessé n'a été signalé dans ces accidents.
Selon la police, il y avait beaucoup de neige mélangée à de la neige fondue sur les routes lorsque les accidents sont survenus.
La région a également connu des pannes d'électricité causées par la neige mouillée qui a fait tomber des arbres et des lignes électriques.
Selon les prévisions météorologiques, on s'attend à ce que les chutes de neige continuent mais moins abondantes et que les conditions routières demeurent dangereuses dans la région.
Canada : Neige, verglas, écoles fermées et pannes d'électricité
Le Devoir mar., 09 avr. 2019 19:05 UTC
L'hiver n'a pas dit son dernier mot. L'impact des pluies verglaçantes se faisait encore sentir, lundi soir, avec de nombreuses pannes d'électricité, principalement à Laval et dans les régions de Lanaudière et des Laurentides. Et Environnement Canada anticipait des accumulations de neige importantes dans la nuit en Mauricie et dans la région de Québec.
Les quantités les plus importantes de pluie verglaçante avaient été prévues en Outaouais et sur les régions situées au nord du fleuve Saint-Laurent.
À Montréal et Gatineau, la pluie a fait place à de la pluie verglaçante qui est redevenue de la pluie en mi-journée. Sherbrooke a aussi reçu de la pluie verglaçante, puis de la neige.
Lundi, les précipitations de verglas combinées à de forts vents ont touché plusieurs régions. Le verglas et le vent ont fragilisé les branches et les arbres, les faisant entrer en contact avec le réseau électrique, a indiqué Hydro-Québec.
Après cet épisode de verglas, c'est de la neige en quantité importante qui devait s'abattre sur les secteurs de la Mauricie, de la Beauce et de la région de Québec, au moins jusqu'à mardi matin.
Environnement Canada prévoit que la neige laissera une accumulation totale de de 15 à 25 cm, et met en garde contre des déplacements difficiles en raison de la poudrerie «dans les endroits les plus exposés».
Y a-t-il encore des pannes d'électricité ?
Selon le site d'Hydro-Québec, 253 803 clients étaient encore privés d'électricité peu avant 14h, mardi. À Laval, 71 712 clients sur 190 670 se trouvaient dans le noir. La Ville a ouvert deux centres communautaires pour la nuit afin d'aider les citoyens privés d'électricité.
Les services d'incendie et de police ont assuré mardi que des patrouilles seront faites dans les secteurs les plus durement touchés. Du porte-à-porte sera effectué. Le maire de Laval, Marc Demers, demande aussi aux gens de vérifier si les personnes vulnérables de leur voisinage ont besoin d'aide.
Hydro-Québec espère rétablir le courant mercredi matin chez la majorité de ses clients qui en manquent, si la météo lui est favorable dans les prochaines heures. Les foyers des régions les plus durement touchées pourraient toutefois attendre jeudi.
D'autre part, environ 86 497 clients étaient aussi touchés dans Lanaudière, et 68 438 autres dans les Laurentides.
Le porte-parole d'Hydro-Québec Louis-Olivier Batty soulignait lundi soir que des équipes de régions moins touchées par les pannes avaient été appelées en renfort.
«Déjà, au courant de la soirée et cette nuit, nous espérons qu'un grand nombre de clients pourront retrouver le service d'électricité. Mais vu l'étendue des (..) dégâts, donc des réparations à faire, il faut s'attendre à ce que ça prenne de nombreuses heures. Dans les secteurs les plus touchés, ça pourrait aller jusqu'à demain (mardi) dans la journée», a-t-il indiqué.
M. Batty a fait valoir que les conditions météorologiques avaient été particulièrement difficiles.
«On a enregistré, à certains endroits, 10 à 15 mm de verglas, combinés avec un corridor de vents. Donc, ça vraiment traversé d'ouest en est la région des Basses-Laurentides, jusqu'au nord de Montréal. Et ce corridor-là a vraiment amené des chutes importantes d'arbres et de branches sur notre réseau», a-t-il affirmé.
Les écoles sont-elles fermées ?
Le temps a eu un impact sur les activités de certaines écoles des régions de Lanaudière, des Laurentides et de Laval, qui ont choisi de fermer leurs portes mardi.
La Commission scolaire de Laval (CSDL), notamment, ferme les écoles primaires et secondaires pour la journée. Il n'y a pas de transport scolaire et les services de garde sont fermés tout comme les centres de formation professionnelle et d'éducation des adultes. En ce qui concerne les cours de soir, le maintien ou la suspension des cours sera communiqué avant midi.
Dans Lanaudière, les écoles de la Commission scolaire des Affluents, notamment, sont fermées, de même que celles de la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles, dans les Laurentides.
Lundi, déjà, la Commission scolaire des Patriotes, en Montérégie, avait dû suspendre les cours de 13 écoles et retourner les élèves à la maison en raison d'une panne d'électricité majeure.
Quand le printemps reviendra-t-il ?
Ceux qui auront pris goût au beau temps vécu au cours du dernier week-end devront par ailleurs prendre leur mal en patience, puisque le mercure n'est pas encore prêt à monter, même si le soleil sera bientôt de retour, note Environnement Canada.
De belles journées seront ainsi au rendez-vous au Québec mercredi et jeudi, avec du soleil, mais sans la chaleur.
«Il n'y a pas beaucoup d'air chaud de disponible pour la région, admet le météorologue d'Environnement Canada Simon Legault. On ne verra pas [du temps] aussi chaud que les températures qu'on a connues en fin de semaine.»
M. Legault précise d'ailleurs que les gens ne doivent pas être surpris par ce temps en montagne russe, puisque ces hauts et ces bas météorologiques sont la norme en cette saison.
«Le printemps, c'est ça, ça oscille entre de belles journées chaudes, des journées froides, des mélanges de précipitations, de la pluie... C'est un peu de tout le printemps, avant que ça se décide franchement à être l'été», rappelle-t-il.
En plein mois d'avril, la neige fait son retour à basse altitude dans les Pyrénées
dim., 07 avr. 2019 18:02 UTC
La neige est tombée en abondance, sur la station Peyragudes, dimanche 7 avril 2019.
C'est l'invitée surprise de ce week-end. Dimanche 7 avril 2019, la neige a fait son retour dans les Pyrénées, sans doute pour un dernier baroud d'honneur. On fait le point en images.
De la neige dès 600 mètres en Haute-Garonne
Dans la vallée de Luchon, en Haute-Garonne, la neige est tombée à 600 mètres d'altitude, tandis que des flocons tombaient en abondance à la station Superbagnères.
Les stations de ski ravies
Alors qu'il s'agissait du dernier week-end de la saison dans de nombreuses stations de ski des Pyrénées, cette arrivée de neige fraîche est tombée à pic !
De la neige attendue lundi
Et la neige devrait continuer à tomber, lundi 8 avril 2019. « Il neigera sur les Pyrénées au dessus de 1600 m », indique Météo France, dans son bulletin national.
« Pourquoi et comment le datura contamine-t-il les denrées alimentaires ? » sur the Conversation
9 Avril 2019 par Seppi Glané sur la toile 330
« Pourquoi et comment le datura contamine-t-il les denrées alimentaires ? » est un article fort intéressant et très didactique de M. Xavier Reboud, chercheur en agroécologie à l'Institut National de la Recherche Agronomique (INRA).
Extrait :
« En cultures légumières, les choses se corsent. Le datura est en effet à floraison quand se fait la récolte de certains légumes verts. Les épinards, les haricots et flageolets sont plus particulièrement sujets à ce que des fragments de la plante, tous toxiques, soient inclus par inadvertance. Il peut alors s’avérer difficile de distinguer un fragment végétal de haricot d’un fragment de datura…
En France, le sarrasin est également victime du datura, car il est semé du printemps à l’automne, souvent comme une seconde culture de fin de saison. S’il est récolté pour ses grains, il peut se retrouver synchrone avec la maturité du datura. La taille du datura devrait permettre de le repérer et de l’éliminer en amont de la moisson, mais la distinction devient d’autant plus difficile que les plantes sèchent. Le millet se retrouvera dans une situation similaire à celle du sarrasin, toutefois cette céréale reste relativement peu utilisée en alimentation humaine dans notre pays, et la couleur des graines diffère franchement. »
Et aussi :
« Des pratiques qui contribuent à entretenir les risques
Au-delà de l’extension d’aire "naturelle" du datura, certaines pratiques peuvent favoriser sa dissémination. Ainsi, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail a constaté que 30 à 50 % des lots de graines de tournesol et de mélanges de graines à destination des oiselleries sont contaminés par du datura. Sans doute de peu d’impact sur les oiseaux, cette information est préoccupante, car ce sont autant de sources de dispersion récurrente et à longue distance dans l’environnement. Les mélanges pour jachère faune sauvage seraient aussi des sources de différentes contaminations botaniques.
Par ailleurs, malgré le risque d’intoxication, différentes espèces et variétés de datura sont également toujours proposées en jardinerie du fait de la qualité esthétique de la fleur. Certains sites de jardinage ont même pu aller jusqu’à proposer d’introduire sciemment le datura dans les parcelles maraîchères, dans l’espoir de contenir certains insectes ravageurs herbivores. Cette pratique, dont l’efficacité n’a jamais été avérée, a pu accroître le nombre de situations ou le datura s’est retrouvé en contact direct avec des cultures maraîchères destinées à l’alimentation. »
On peut aussi lire en complément, et d'un œil désabusé, cet article du Ministère de l'Agriculture et de l'alimentation.
Version ministère :
« Les alcaloïdes sont des substances naturelles d’origine végétale, utilisées en pharmacologie pour leurs propriétés thérapeutiques, mais qui peuvent aussi être très toxiques si la dose produisant des symptômes est dépassée ou lors de prises répétées. »
« Botanistes, vétérinaires et médecins s’accordent pour définir le datura comme une plante particulièrement toxique. Cette toxicité (qui, comme c’est souvent le cas pour les « plantes à poison », lui confère également des vertus médicinales), provient du fait que toutes ses parties (fleur, feuille, graine, sève) contiennent d’importantes teneurs en alcaloïdes. »
Amis lecteurs, vous ne serez pas surpris d'apprendre que ma préférence va à la seconde... la caractéristique principale doit passer avant la secondaire.
(...) Certains sites de jardinage ont même pu aller jusqu’à proposer d’introduire sciemment le datura dans les parcelles maraîchères, dans l’espoir de contenir certains insectes ravageurs herbivores. Cette pratique, dont l’efficacité n’a jamais été avérée, a pu accroître le nombre de situations ou le datura s’est retrouvé en contact direct avec des cultures maraîchères destinées à l’alimentation. » (...)
C'est TOUS LES JOURS que les sites dits 'de jardinage' font la propagande pour l'absence de labour !!! l'absence de traitement contre les maladies qui envahissent les jardins !!! et vendent même des sortes de fagots de bois de diverses grosseurs pour mettre dans son jardin à l'automne afin de protéger les insectes du froid de l'hiver en se logeant dans ces petits tas de bois !!! Vive les chenilles et papillons qui dévorent et contaminent tous les jardins !
Même certains vont jusqu'à faire de la publicité pour traiter toutes maladies avec... des projections de savon noir ou de bicarbonate !!! HAHAHAHAHA !
Ce sont des trolls qui postent des commentaires sur ces sites en soulignant que çà marche ! "Depuis plusieurs années je l'utilise !" Hahahaha !
Une étude montre que les petits agriculteurs n'ont pas accès à des semences de qualité
9 Avril 2019 par Seppi Joseph Opoku Gakpo*
Un nouveau rapport indique que moins de 10 % des petits exploitants agricoles du monde ont accès à des semences améliorées et de qualité, capables de freiner la faim et de tolérer les effets du changement climatique.
Le rapport 2019 de l’Access to Seeds Index révèle que seuls 47 millions des 500 millions de petits exploitants agricoles du monde ont pu acquérir des semences améliorées auprès des 13 plus grandes entreprises mondiales de semences du monde en 2017.
L’indice, publié par la fondation néerlandaise Access to Seeds, a pour but d’évaluer les travaux des grandes sociétés semencières mondiales, en mettant l’accent sur la manière dont l’industrie peut faire davantage pour augmenter la productivité des petits exploitants agricoles, améliorer la nutrition et atténuer les effets du changement climatique par le développement et la diffusion de semences de qualité.
Ido Verhagen, directeur exécutif de l'Access to Seeds Index, a appelé à de nouveaux efforts pour combler le fossé. « Bien que l'industrie progresse dans le développement de variétés plus nutritives et plus résistantes au climat, il est clair qu'il reste encore beaucoup à faire », a-t-il déclaré. « Des changements importants ne seront pas possibles sans toucher un pourcentage plus élevé de petits exploitants, qui représentent la part du lion (80 %) de la production alimentaire mondiale ».
Le rapport invite l’industrie mondiale des semences à faire plus, notant qu’il est essentiel de fournir des semences améliorées à de petits exploitants agricoles pour lutter contre la malnutrition croissante, le nombre de personnes souffrant de la faim étant passé de 784 millions en 2014 à près de 821 millions en 2017. « Le rôle de l'industrie mondiale des semences reste crucial pour atteindre l'objectif 2 du développement durable sur la faim zéro d'ici 2030 », a déclaré Verhagen, se référant au Programme de Développement Durable à l'Horizon 2030 adopté par tous les États membres des Nations Unies en 2015.
L'indice révèle également que les entreprises semencières accordent une plus grande attention au changement climatique, 12 des 13 entreprises évaluées ayant indiqué qu'elles donnaient la priorité aux caractères qui augmentent les rendements et améliorent la tolérance aux risques climatiques et météorologiques. Toutefois, la fondation a également fait part de sa préoccupation quant au retard de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique centrale par rapport aux autres régions en termes de présence des entreprises et d’investissements dans les activités semencières locales, telles que la sélection, la production et le conditionnement.
Réactions à signaler
L'agriculteur ghanéen Evans Okomeng a déclaré qu'un grand nombre d'agriculteurs de plusieurs pays en développement peinent toujours à avoir accès aux semences améliorées qui constituent un élément important de toute entreprise agricole.
« En tant qu’agriculteur, trois éléments majeurs contribuent à votre production », a-t-il noté. « C’est la qualité des semences, les intrants et de bonnes pratiques agricoles. Donc, c’est comme "camelote en entrée, camelote en sortie". Si vous utilisez de mauvaises semences, vous aurez un faible rendement. La semence est un élément majeur en matière de sécurité alimentaire et de qualité du rendement. »
Okomeng a personnellement fait l'expérience de semer de mauvaises graines et de perdre de l'argent en conséquence. « Quand j'ai commencé à cultiver, je suis allé acheter des semences censées être résistantes à la sécheresse, mais plus tard, j'ai réalisé qu'elles ne pourraient pas résister à la sécheresse », a-t-il rappelé. « Cela m'a fait perdre environ 80% du rendement attendu sur mon champ de maïs de 2 hectares. Il est donc nécessaire de déployer des efforts délibérés pour mettre à la disposition des agriculteurs des semences améliorées de qualité. »
Amos Rutherford Azinu, président-directeur général de Legacy Crop Improvement Centre, une entreprise de semences hybrides au Ghana, décrit les données du rapport sur l’accès limité aux semences améliorées comme « une situation très préoccupante. Vous pouvez faire de l’agriculture sans terres, vous pouvez produire sans engrais, mais vous ne pouvez pas faire de la production agricole sans semences. La sécurité semencière est donc synonyme de sécurité alimentaire. »
Le défi a été que dans beaucoup de pays en développement, les gouvernements ont longtemps contrôlé le secteur des semences, un scénario qui n’a pas fonctionné, a-t-il expliqué. Ensuite, la transition permettant une implication du secteur privé n’a pas été correctement gérée.
Les agriculteurs ghanéens, par exemple, ont longtemps utilisé des semences à pollinisation libre qu’ils pouvaient ressemer, a déclaré Azinu. Ils n’avaient pas besoin d'acheter des semences à des entreprises chaque année, ce qui décourageait beaucoup d’entreprises d’investir dans le secteur. Il a ajouté que cette situation a également créé une culture dans laquelle les agriculteurs ne veulent pas payer pour des semences de qualité.
« Beaucoup d'agriculteurs utilisaient des variétés à pollinisation libre pouvant être recyclées », a-t-il expliqué. « On a abusé du système et à cause de cela, au fil des ans, ils ont réutilisé des semences. Alors maintenant, quand vous leur dites d’opter pour des semences hybrides et qu’ils doivent en acheter de nouvelles chaque année, ils ne comprennent pas. »
Il appelle à une collaboration accrue entre le secteur public et le secteur privé dans le domaine des semences afin d'assurer que des semences parviennent aux agriculteurs des pays africains en développement. « Les multinationales peuvent faire d’énormes investissements ; le secteur public a beaucoup de connaissances qui peuvent aider à identifier les besoins en matière de sélection », a déclaré Azinu.
De telles collaborations ont eu des résultats positifs dans certains pays en développement dont d'autres peuvent tirer des enseignements, a-t-il noté. « Au Zimbabwe, par exemple, ils ont le taux d'adoption de semences commerciales le plus élevé d'Afrique. Plus élevé même que l'Afrique du Sud. Malgré la crise économique, si vous prenez 10 agriculteurs au Zimbabwe, huit d’entre eux retourneront à la société semencière. Et c'est parce qu'il y a un secteur privé dynamique impliqué dans la production de semences. Donc, le secteur privé est en plein contrôle de la situation. Cela a permis la concurrence, et les agriculteurs en bénéficient », a expliqué Azinu.
Maxwell Asante Darko, sélectionneur de plantes à l'Institut de Recherche sur les Cultures du Ghana, a reconnu la nécessité d'un effort soutenu pour encourager la participation du secteur privé à la filière des semences. Il souhaite que les investissements dans les sociétés locales productrices de semences soit augmentés afin qu'elles puissent contribuer à combler le vide créé par l'absence d'acteurs mondiaux sur ces marchés.
« Le problème avec les semences, c'est que votre terre est prête et que la saison commence », a déclaré Asante. « Vous ne pouvez pas attendre pour les semences. Les agriculteurs vont semer ce qu'ils ont. Les agriculteurs veulent de bonnes semences. Ils achèteront même de bonnes semences à un prix plus élevé s’ils pensent qu’elles sont de bonne qualité. Le secteur privé est la voie à suivre. Il est nécessaire d'investir davantage dans l'industrie des semences. »
Il a ajouté: « Nous avons besoin d'un système de distribution de semences pour que les agriculteurs puissent les avoir à leur portée s'ils en ont besoin. Ils devraient pouvoir se rendre dans un endroit proche et obtenir des semences à bon prix. Et c’est grâce à des semences de bonne qualité, dont ils peuvent être sûrs qu'elles vont germer, qu'ils vont pouvoir revenir en acheter la saison suivante. »
Justin Rakotorasaona, secrétaire général de l’Association Africaine du Commerce des Semences, organisation basée au Kenya, qui promeut le commerce de semences et de technologies de qualité en Afrique, souhaite une approche globale du problème de l’accès aux semences. Les efforts visant à renforcer le secteur des semences devraient aller de pair avec des mesures visant à garantir aux agriculteurs des marchés pour leurs produits, a-t-il déclaré.
« Les agriculteurs africains auront les moyens d’obtenir d’excellentes semences si l’excellente récolte qui en résulte est profitable », a observé Rakotorasaona. « En l'absence de cela, pourquoi devraient-ils s'embêter ? »
C'est effectivement ce que propose généralement les supermarchés où des graines de mauvaises qualités sont accrochées au rayon semence à des prix à sauter au plafond ! Hahahaha ! Rien ne vaut les bonnes graines ! Comment en avoir ? Lorsque vous achetez un fruits et qu'il est bon pour vous, conservez ces graines, pépins ou noyaux et vous les sèmerez chez vous et aurez les mêmes ! Pas plus difficile !
Environ un Japonais dans la trentaine sur dix est encore vierge, indique une étude publiée récemment dans la revue BMC Public Health. Les scientifiques ont cherché à savoir pourquoi une partie de la population japonaise semble s’être détournée du sexe.
Au cours de la dernière décennie, la moitié de la population japonaise perdait sa virginité au cours de la vingtaine. Cette étude définit une personne vierge comme une personne qui n’a jamais eu de rapports sexuels avec un membre du sexe opposé.
« Les taux de personnes hétérosexuelles sexuellement inexpérimentées au Japon sont les plus élevés jamais enregistrés dans un pays à haut revenu« , a expliqué au magazine Newsweek le Docteur Peter Ueda, auteur principal de l’étude et expert en épidémiologie et en santé publique de l’Université de Tokyo.
Sexualité
Les chercheurs ont analysé sept études issue de l’enquête nationale sur la fécondité réalisée tous cinq ans au Japon par le National Institute of Population and Social Security Research. Les enquêtes ont été menées entre 1988 et 2015 et ont concerné entre 11.553 et 17.859 participants âgés de 18 à 39 ans.
Entre 1992 et 2015, le nombre de femmes vierges entre 18 et 39 ans est passé de 21,7% à 24,6%. Chez les Japonais, ce pourcentage est passé 20% à 25,8%. Pour les femmes de 30 à 34 ans, le pourcentage de celles n’ayant jamais eu de rapports sexuels est passé de 6,2% en 1987 à 11,9% en 2015. Pour les hommes de la même tranche d’âge, ce chiffre est passé de 8,8% à 12,7% sur la même période. Enfin, le Japon comptait en 1992 près de 4% de femmes vierges entre 35 et 39 ans, contre 8,9% en 2015. Durant la même période, ce pourcentage est passé de 5,5% à 9,5% chez les hommes japonais de la même tranche d’âge.
L’étude n’indique pas les raisons pour lesquelles les trentenaires japonais n’ont pas de relations sexuelles. Toutefois, Ueda pense que les données suggèrent qu’il s’agit de facteurs socio-économiques.
Le professeur a attiré l’attention à maintes reprises de la communauté sur les « problèmes » sexuels du Japon. Il évoque l’existence de divers courants sexuels « exotiques » au Japon. Pour illustrer son propos, le scientifique cite entre autres la montée des Soshokukei Danshi, les « hommes herbivores » qui ne recherchent aucune relation sexuelle, les stages de flirt destinés aux femmes ou encore les cours de dessin de nus afin de familiariser les hommes inexpérimentés aux formes féminines.
Facteurs socio-économiques
« Nous ne pouvons pas ignorer les effets de courants plus exotiques. Toutefois, nous pouvons affirmer que les facteurs socio-économiques jouent un rôle important dans ces tendances », explique le chercheur.
Parmi les hommes de 25 à 39 ans, ceux de la catégorie de revenus moins élevés avaient dix fois plus de changes d’être vierges que ceux de la catégorie de revenus élevés. Les hommes de cette tranche d’âge au chômage ou travaillant à temps partiel avaient respectivement huit et quatre fois plus de chances d’être vierges que ceux dont l’emploi est régulier. Parallèlement, les femmes avec des revenus inférieurs étaient plus susceptibles d’avoir des relations sexuelles.
« L’inexpérience sexuelle chez les jeunes adultes est devenue une préoccupation nationale au Japon », a déclaré Ueda. Il y a eu beaucoup de malentendus à ce sujet car les chiffres étaient au départ limités aux personnes qui n’avaient jamais été mariées. Ce qui est inquiétant, c’est la proportion de personnes qui ne participent pas activement au marché de l’accouplement tout au long de leur jeune âge adulte. »
Ueda a insité sur le fait que l’étude était limitée car elle suppose que les participants ont dit la vérité en ce qui concerne leur expérience sexuelle. En outre, l’enquête nationale sur la fécondité n’inclut pas de données sur les expériences entre personnes du même sexe.
« Le sexe est important sur le plan de la qualité de vie et de la santé publique. Nous devrions également considérer l’inactivité sexuelle involontaire comme un problème de santé publique qui mérite davantage d’attention. Toutefois, les personnes sexuellement inactives ne sont pas nécessairement insatisfaites », a encore ajouté Ueda.
« Nous vivons une période de turbulences sur le marché japonais et dans les autres pays à revenu élevé. Les normes concernant les partenariats à long terme et le mariage ne sont plus aussi fortes qu’auparavant et les attentes concernant les relations amoureuses et sexuelles changent. »
(...) Ueda pense que les données suggèrent qu’il s’agit de facteurs socio-économiques (...)
Malheureusement ne sont pas abordées les relations personnelles en solitaires ou avec des substituts. Le nombre de poupées 'plus vraies que nature' serait exponentiel. Mais servent-elles à mettre en décors dans une pièce ou à s'en servir de temps à autre ? C'est là un drame de construction mentale, absence de dialogue et d'aborder ces sujets ou discrétion incomprise !
Le Royaume-Uni envisage d’adopter la législation de l’Internet « la plus dure du monde »
Audrey Duperron 8 avril 2019
C’est une première mondiale : le Royaume-Uni a décidé de ne plus se fier uniquement à la bonne volonté des plate-formes de l’internet, et de passer à l’acte. Le gouvernement britannique vient de proposer une nouvelle législation pour rendre l’internet plus sûr pour ses utilisateurs. Ce projet a déjà été décrit par certains comme étant la législation de l’internet « la plus dure du monde ».
La création d’un organisme de surveillance
La nouvelle législation s’appliquerait à toute entreprise permettant à ses utilisateurs de partager des contenus, ou d’interagir entre eux en ligne. Les propriétaires de sites de réseaux sociaux, tels que Facebook, mais aussi les services de messagerie du type WhatsApp, les moteurs de recherche tels que Google et les forums de discussion publics comme Reddit, seraient donc en première ligne.
Elle prévoit d’obliger ces entreprises à prendre des mesures appropriées pour protéger leurs utilisateurs contre la mise en contact de contenus préjudiciables ou illégaux (incitation à la violence et diffusion de contenus violents, y compris terroristes, incitation à l’automutilation ou au suicide, propagation de désinformation et d’infox, harcelement sur internet… Ces entreprises devront obligatoirement prendre des mesures « de diligence » pour lutter contre ce type de contenus. Les contenus liés au terrorisme, à l’exploitation sexuelle des enfants et aux abus pédosexuels, feront l’objet des mesures les plus sévères.
Les plate-formes de l’internet devront également faciliter la signalisation et le dépôt de plaintes des utilisateurs, et publier annuellement un rapport annuel de transparence.
Les responsables des sites pourront être personnellement mis en cause
En outre, la proposition de loi prévoit la création d’un nouvel organe de surveillance de l’internet chargé de veiller à l’application de cette réglementation.
La sévérité des sanctions en cas de non-respect de ces mesures est particulièrement remarquable. En effet, les sites contrevenants seront exposés à des sanctions très lourdes, actuellement à l’étude. Il est question d’infliger de grosses amendes, mais aussi « de bloquer l’accès aux sites et, éventuellement, d’engager la responsabilité de certains membres de la haute direction« , peut-on lire dans le projet de loi.
« L’ère de l’autorégulation des entreprises en ligne est révolue. Les mesures volontaires prises par le secteur pour lutter contre les contenus nuisibles sur internet n’ont pas été appliquées de manière cohérente ou ne sont pas allées assez loin », a commenté Jeremy Wright, secrétaire d’État britannique au numérique. Et pour cause : si elles sont adoptées, ces mesures forceront les plate-formes de l’internet à surveiller les contenus avec beaucoup plus de rigueur qu’elles ne le font actuellement.
Un précédent qui risque de faire des émules
Le projet de loi sera examiné pendant 12 semaines avant de donner naissance à une législation définitive. Il est d’autant plus remarquable, qu’il constitue une réponse à un problème auquel de nombreux pays du monde entier sont confrontés. « Étant donné que la plupart des structures gouvernementales ont été créées avant l’existence d’Internet, il est souvent difficile de déterminer quel organisme gouvernemental existant devrait gérer la réglementation sur Internet », rappelle le site américain.
Même si cette législation ne s’applique qu’au contenu accessible au Royaume-Uni, elle pourrait influencer les règlementations d’autres pays, note le site Axios. De telles mesures pourraient en effet créer un précédent, et faire d’autres émules au plan international. On peut d’ailleurs s’attendre à ce que certaines des sociétés concernées par cette réglementation décident de stopper leurs activités au Royaume-Uni, plutôt que de s’y conformer.
Comme dans toutes les dictatures, l'internet fait peur. Peur car il y avait déjà en 2010 plus de 4 % de surdoués dans le monde ! soit plus de 280 millions de têtes bien pleines surpassant bien-sûr les crânes vides des dirigeants.
C'est pourquoi, sous couvert de 'protéger' la population est justifiée une mise en place de surveillance des messages où les internautes oseraient de diffuser des articles de scientifiques et iraient jusqu'à déconseiller les sites de la dictature arguant le le niveau des mers va monter ou que les températures se réchauffent ou que le gaz carbonique est... un poison ! Hahahaha !
« La fin d’une époque » : la Norvège renonce aux dizaines de milliards de dollars de pétrole des Lofoten
Audrey Duperron 9 avril 2019
La Norvège vient de prendre une décision qui marque une évolution importante dans son histoire. Elle vient de renoncer à exploiter un grand gisement de pétrole situé dans l’archipel des Îles Lofoten, situé dans l’Arctique, au Nord du cercle polaire.
Le parti des Travaillistes, actuellement dans l’opposition, a en effet décidé de retirer son soutien à une possible exploration de ce territoire.
« La fin d’une époque »
Jusqu’alors, il était favorable avec les conservateurs à une levée du moratoire sur l’exploitation pétrolière dans cet archipel. De ce fait, le camp opposé à cette proposition est devenu majoritaire, au grand dam du secteur et de ses syndicats. « Ce changement important opéré par le plus grand parti norvégien pourrait signaler que la nation scandinave s’approche de la fin d’une époque qui en a fait l’une des plus riches du monde », écrit Bloomberg.
Les compagnies pétrolières du pays, dont la compagnie d’Etat Equinor ASA, le plus grand producteur norvégien, avaient en effet déclaré que l’accès aux Lofoten était nécessaire pour permettre au pays de maintenir son noiveau de production. L’archipel recèlerait 1 à 3 milliards de barils, selon les estimations, un trésor dans le contexte actuel d’épuisement des gisements déjà exploités. Si toutes ces réserves avaient été exploitées judicieusement, le champ des Lofoten aurait pu rapporter 65 milliards de dollars de revenus supplémentaires à l’économie norvégienne, affirmait en 2017 The Economist, qui avait fait cette évaluation aux cours du dollar et du pétrole d’alors.
Un revirement écologique
Le choix des Travaillistes n’est pourtant pas si surprenant, alors que les Norvégiens commencent à remettre en cause les implications de l’exploitation pétrolière en matière de pollution et de réchauffement climatique.
Pendant des années, les Lofoten avaient été épargnées grâce à des compromis politiques, en raison des spécificités propres à cet archipel. Il abrite en effet le plus grand récif corallien d’eau froide du monde et la plus grande colonie d’oiseaux de mer d’Europe. Près de 70 % de toutes les espèces de poissons capturés dans les mers de Barents et de Norvège utilisent ces eaux comme une nurserie, et la présence de ces alevins fournit de la nourriture pour les phoques et les baleines.
Les environnementalistes objectaient aussi que l’exploitation pétrolière des Lofoten était incompatible avec l’engagement de la Norvège de respecter les accords climatiques de Paris, compte tenu qu’il s’agit d’une énergie fossile.
Le trésor touristique norvégien
Une exploitation pétrolière menaçait aussi de ruiner le tourisme. Les îles Lofoten sont en effet réputées pour leur beauté spectaculaire et elles attirent chaque année 1 million de touristes. Les plateformes qui auraient été construites auraient été plus proches de la côte que les celles des gisements exploités actuellement dans la mer de Barents, souvent situées à des centaines de kilomètres au large. Cela signifie qu’elles auraient été visibles du rivage, et qu’elles auraient gâché ces paysages renommés.
De plus, les infrastructures de l’archipel sont peu développées, ce qui impliquait que cette exploitation aurait nécessité de lourds investissements, difficilement amortissables dans un contexte de grande volatilité des cours du pétrole. Par ailleurs, le plus grand marché à l’exportation du pétrole norvégien n’est autre que l’Europe, qui tente elle-même de substituer les énergies renouvelables aux carburants fossiles.
Cette décision créée aussi un précédent. Le secteur pétrolier norvégien craint désormais que ce rejet prenne de l’ampleur. Dans une seconde étape, c’est toute l’exploitation pétrolière en mer de Barents qui pourrait être remise en cause. De même, il redoute de nouvelles volte-faces du parti Travailliste, par exemple sur la question des taxes pétrolières, ou de la prise en charge des frais d’exploration pour les firmes non rentables.
L'horreur de la dictature monarchique ! Absence de chaleur obligatoire dans tout le pays !
La folie s'est emparé des dirigeants sur le trône (chauffé grâce aux deniers du Peuple) et dit se tourner vers les panneaux solaires (soleil absent du ciel plus de 300 jours par an !) et les éoliennes qui gèlent sur place ou qui tuent des millions d'oiseaux !
UNE SUGGESTION MODESTE EN MATIERE D'ENERGIE RENOUVELABLE
9 avril 2019 Par KEVIN KILTY,
introduction
Le 12 mars dernier, le Center of American Experiment (CAE) a publié une étude sur les coûts énergétiques projetés pour le Minnesota sur la base de sa nouvelle politique prévoyant l'utilisation de 50% d'énergie renouvelable d'ici 20301. Cette étude a été publiée peu de temps après sur les blogs PowerLine et Manhattan. Contrarian.
Parmi les hypothèses retenues par CAE pour calculer le coût de l'énergie actualisé (LCOE), il était indiqué que le facteur de capacité des centrales éoliennes fournissant le Minnesota en 2030 serait en moyenne de 40% au cours d'une année. Bien que cela ne soit pas aussi élevé que les 44% prévus par l'Agence d'information sur l'énergie (EIA) ou les 40-60% prévus par le Laboratoire national des énergies renouvelables (NREL) pour l'année 20302, il me semblait encore élevé et j'ai commencé brève étude du facteur de capacité pour vérifier ces hypothèses. En tant que sources d’information, j’ai effectué des recherches dans les divers profils annuels de l’EIE sur l’électricité et des documents techniques de l’EIA, de la FERC et de la NREL.
1. Capacité de production d'électricité
Comme expliqué dans un document technique accompagnant les différents profils électriques d'état EIA3, le facteur de capacité est le rapport entre l'énergie électrique réelle générée sur une année et la production maximale possible d'énergie (capacité de la centrale) corrigée des temps d'arrêt anticipés. Cet ajustement, appelé facteur de disponibilité, va de 0,97 pour les centrales thermiques à 0,99 pour les éoliennes et constitue donc un facteur peu important dans la plupart des calculs de capacité. En fait, il n’est pas clair qu’il soit même utilisé du tout pour les éoliennes.
Ainsi, le facteur de capacité semble être un concept très simple. Pourtant, les profils d'électricité des États de l'EIA ne répertorient pas la capacité, mais incluent plutôt un onglet dans leur feuille de calcul intitulé Capability. La capacité n’est définie nulle part dans les glossaires ou les documents techniques du site EIA. Cependant, un appel téléphonique à un membre du personnel de l'EIA a révélé que cette capacité correspond très probablement à la capacité de génération estivale ou à la capacité nette estivale5. C’est pourtant, sans aucun doute, la base du calcul des facteurs de capacité.
La capacité de production saisonnière est définie dans de nombreux endroits et toujours de la manière suivante. La capacité estivale nette correspond à la puissance nette qu'une centrale peut fournir à une charge au cours d'un test de plusieurs heures effectué dans des conditions estivales (de mai à octobre). La capacité hivernale serait similaire sauf qu’elle serait testée dans des conditions adaptées à la saison hivernale de novembre à avril. Il y a de bonnes raisons de faire de telles distinctions et tests pour les centrales thermiques. Pendant une saison estivale, le côté condenseur d’une centrale thermique peut ne pas être en mesure d’atteindre sa basse température de conception, ce qui nuit à son efficacité thermique. En hiver, un autre ensemble de parasites thermiques entre en jeu; mais ceux-ci réduisent également la puissance nette fournie à la charge.
En ce qui concerne les éoliennes, cependant, tout ce type d'ajustement minutieux de la puissance délivrée à la charge dans des conditions réalistes va à la traîne. Pour les éoliennes, la capacité estivale nette n’est que la valeur nominale de la plaque signalétique de l’équipement. Cependant, il est évident que les conditions estivales ne produiraient jamais la puissance nette d’une éolienne dans une charge conforme aux spécifications de la plaque signalétique, car le vent ne soufflait pas.
Le tableau 1 montre, à titre d'exemple, les facteurs de capacité extrêmes (élevés et faibles) des centrales éoliennes dans certains États au cours de l'année 2017, ainsi que les mois d'hiver ou d'été concernés.
État facteur de capacité d'été Facteur de capacité d'hiver Colorado juillet 22,3% décembre 42,6% Montana juillet 25,8% décembre 44,4% Nouveau-Mexique août 23,6% novembre 48,9% Wyoming Juillet 23,6% Décembre 40,6% Texas août 23,3% mars 45,1% Dakota du Nord août 28,5% décembre 59,1% Dakota du Sud août 22,2% décembre 51,2% Iowa août 16.0% février 47.4% Minnesota août 15,8% décembre 49,2%
- voir sur site -
Tableau 1. Facteurs de capacité pour l'énergie éolienne en été et en hiver dans certains États. Statistiques pour l'année 2017. Données des rapports annuels du profil d'électricité de l'EIA.
Au cours de la saison estivale, généralement en août, les facteurs de capacité sont toujours inférieurs à 25% et diminuent en fait d'ouest en est dans tout le pays pour atteindre des valeurs aussi basses que 16% dans l'Iowa et le Minnesota. Les chiffres réels peuvent changer un peu d’une année à l’autre, mais la tendance est claire. La capacité estivale nette des centrales éoliennes n’est nulle part proche de la capacité publiée par l’EIA. À cela s’ajoute le schéma typique d’utilisation de l’énergie électrique, qui atteint son maximum à l’échelle nationale à la fin de l’été, en juillet et en août, exactement à l’époque des plus faibles capacités nettes des centrales éoliennes.
2. Une suggestion modeste
Le LCOE peut utiliser des facteurs de capacité moyenne prévus allant de 40% à 60%, mais les ingénieurs ne conçoivent pas pour des conditions moyennes. Au lieu de cela, reconnaissant que le monde présente des incertitudes, ils conçoivent souvent en tenant compte des incertitudes particulières. Il peut s’agir du pire des scénarios ou d’une certitude de 99%, ou de quelque chose de similaire, mais jamais de conditions moyennes. Nous disposons de données concernant la vitesse du vent à une échelle de temps suffisamment fine et mesurée sur des périodes suffisamment longues pour permettre de calculer la capacité attendue des centrales éoliennes en toute saison ou tout mois, et nous pourrions:
calculer des chiffres raisonnables avec tout degré de certitude requis. En fait, même sans données spécifiques à une installation, une personne peut collecter les données de stations météorologiques sur des sites proches et effectuer un calcul très raisonnable de la capacité nette tous les mois. Pourtant, nous ne nous en soucions pas. Je suggère que nous devrions.
Ajouter une capacité d'été réaliste à d'autres mesures de capacité aurait deux effets positifs sur les discussions sur les énergies renouvelables.
Premièrement, en ce qui concerne les discussions sur les marges d’approvisionnement en électricité, on remarque que les agences gouvernementales traitent la marge que les nouvelles énergies renouvelables ajoutent au réseau sur la base de la notation indiquée sur la plaque signalétique6. Cela ne présente pas beaucoup d'effet négatif tant que l'éolien et le solaire restent des contributeurs mineurs au paysage énergétique net saisonnier. Cependant, alors que les énergies renouvelables tentent d’atteindre les 40% à 50% de la capacité envisagée dans les portefeuilles d’énergies renouvelables, les gens devront finalement reconnaître que 1 MW d’énergie éolienne standard ajoutée à un système ne représente en réalité que 160 kW dans son fonctionnement en août.
Deuxièmement, la soi-disant pénétration des énergies renouvelables dans un système est souvent basée sur la notation de la plaque signalétique ou sur la production réelle, les énergies renouvelables étant prioritaires sur le réseau. Cela a pour effet pernicieux de faire en sorte que les énergies renouvelables semblent faciles à intégrer et que les portefeuilles d'énergies renouvelables semblent faciles à gérer. Offrir quelque chose comme une capacité nette pire mois d’été pour augmenter d’autres mesures de capacité pour les centrales renouvelables ne rendrait pas parfaitement compte de la complexité des incertitudes, mais donnerait plus de réalisme à toutes les discussions. Cela donnerait au moins un signe explicite de la quantité de construction excessive requise pour constituer un réseau fiable à partir d'énergies renouvelables.
End notes:
1 Doubling Down on Failure: How a 50 Percent by 2030 Renewable Energy Standard Would Cost Minnesota $80.2 Billion, Isaac M. Orr, Mitch Rolling, and John Phelan. Find at: https://www.americanexperiment.org
2 Power Plant of the Future through Science-Based Innovation, Dykes, et al. National Renewable Energy Laboratory, Technical Report NREL/TP-5000-68123 August 2017.
3 These can be found online at, using Colorado as an example, https://www.eia.gov/electricity/state/colorado/.
4 For example, at the Duke Energy owned Top of the World wind turbine farm in Wyoming, the nameplate capacity of the various wind turbines adds to 200.2MW and the EIA lists this plant capacity as 200MW, which is well above an availability factor of 0.99.
5 This exercise of chasing down the true meaning of terms always reveals that definitions are slippery, sometimes difficult to locate; and, rarely does anyone exhibit complete confidence about how particular figures are calculated.
6 For instance, refer to the assessment the Offices of Electric Reliability and Enforcement at FERC made for summer 2017 found at: https://www.ferc.gov/market-oversight/reports-analyses/mkt-views/2017/2017-summer-assessment.pdf
LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE VA SUPPRIMER 750 POSTES EN FRANCE
par MARIE-EVE WILSON-JAMIN 09/04/2019
Un nouveau plan de réduction des coûts de près de 500 millions d'euros d'ici 2020 dans la BFI avait été annoncé.
La Société Générale a confirmé mardi 9 avril 2019 la suppression de 1 600 postes dans le monde, dont environ 750 en France, dans un communiqué. Elle a indiqué souhaiter réduire la voilure dans ses activités de marché.
Société Générale : 1 600 postes surpprimés dans le monde
Rien ne va plus à la Société Générale qui vient d'annoncer dans un communiqué, mardi 9 avril, vouloir supprimer près de 1 600 postes au total dans le monde, dont environ 700 en France, notamment dans sa banque de financement et d’investissement (BFI). La direction avait averti les associations syndicales lundi 8 avril.
Dans le détail, en France, la banque souhaite supprimer environ 500 postes dans la BFI et 171 dans son activité de banque de détail et de services financiers internationaux, d’après la CFDT et la CGT. Ces suppressions de postes devraient se faire dans le cadre d’une rupture conventionnelle collective (RCC), c’est-à-dire via des départs volontaires. Pour rappel, cette RCC a notamment été mise en place par les « ordonnances Macron » qui ont réformé le Code du travail.
Un plan de réduction des coûts d’environ 500 millions d’euros d’ici 2020 dans la BFI
La crise continue donc pour la Société Générale, entachée par l'affaire, puis le procès Kerviel, qui a déjà engagé depuis 2015 un vaste plan de transformation de sa banque de détail en France destiné à préserver sa rentabilité tout en répondant à l’évolution numérique du secteur et des usages de sa clientèle. Ces suppressions de postes, notamment dans la BFI, ne sont donc pas vraiment une surprise.
Et pour cause ! Un plan supplémentaire de réduction des coûts d’environ 500 millions d’euros d’ici 2020 dans cette branche au niveau mondial avait été annoncé, afin de permettre à la banque de regagner en rentabilité sur les activités de marché. Pour rappel, la banque emploie 148 000 personnes dans le monde, dont 20 000 dans la banque de financement et d'investissement.
Les voitures électriques causent déjà des pannes de réseau en Australie
April 10th, 2019
En Australie, l’achat d’un véhicule électrique n’est que d’une voiture sur 4 000 de nos voitures en circulation. Pourtant, elles font déjà noircir les rues et risquent de faire exploser les transformateurs qu'il faut remplacer «plus souvent»:
Les voitures électriques causent déjà des pannes de réseau
Robert Gottliebsen, L'Australien
C’est une crise qui a été dissimulée à la grande majorité de la population… Le danger m’a vraiment fait prendre conscience lorsque j’ai rencontré une connaissance aisée de longue date de Melbourne qui vit dans une rue où se trouvent six voitures Tesla. Lorsqu'ils essaient tous de charger leurs batteries en même temps, l'électricité est coupée dans la rue parce que le réseau tombe en panne. Parfois, cela échoue lorsque seulement trois ou quatre d’entre eux essaient de charger en même temps.
Les Australiens ne possèdent actuellement que 5 000 véhicules électriques. Imaginez le plaisir de voir 500 000 nouveaux VÉ débarquer dans les rues en 2030, puis de nouveau en 2031, 2032,….
Il parle de la puissance intermittente provoquant des flux d'électrons «instables» qui rendent les transformateurs plus chauds:
À ma grande horreur, j'ai découvert que des villes comme Melbourne et Sydney risquaient de subir des explosions ou même un effondrement complet du système.
Gottliebsen a ensuite trouvé une solution (à l'exception de la solution évidente consistant à «ne pas se précipiter dans les véhicules électriques»). Il a trouvé quelque chose appelé la grille de Faraday, développée en Australie, mais ignorée, basée à présent en Écosse et utilisée par Londres et Tokyo.
Mais donnez-moi une raison de ne pas utiliser du lignite propre et bon marché pour les 300 prochaines années, de laisser le réseau en l'état et d'utiliser tout l'argent disponible pour la recherche médicale et les vacances aux Bahamas.
Apparemment, nous remplaçons les transformateurs plus souvent qu'auparavant. Un autre coût caché des énergies renouvelables ?
Tout à coup, le réseau, au lieu d'être simplement un système de trafic à sens unique, peut gérer différentes sources d'alimentation provenant de différentes directions. Les installations de Faraday remplacent les transformateurs actuels, qui sont en fait remplacés plus fréquemment car ils n’ont jamais été conçus pour le modèle de puissance qu’ils utilisent actuellement.
Ceci est laissé de côté, mais où est l'étude universitaire sur l'attrition des transformateurs et les coûts en Australie?
Les types d'ingénierie peuvent vouloir en savoir plus sur le réseau de Faraday ou sur PowerEngineeringInt.
Le réseau de Faraday est un réseau autonome à auto-équilibrage installé dans un réseau électrique existant. Il comprend un réseau de périphériques matériels autonomes indépendants appelés Faraday Exchangers, qui fonctionnent de manière isolée et sont indépendants de toute gestion de réseau central. En tant que tel, l’échangeur est conçu pour remplacer la fonction de l’infrastructure de réseau électrique existante, telle que transformateurs, convertisseurs, inverseurs et redresseurs.
Je ne peux pas m'énerver. Mais c’est peut-être bon pour une autre raison.
Ce qui veut bien dire que vous ne pouvez pas brancher chez vous une voiture électrique au risque de faire tout sauter ! Votre compteur serait hors service en plus des frais de remplacement ! Hahahaha !
L'eau peut-elle atteindre moins 263 degrés Celsius sans se transformer en glace ? Oui, disent les chercheurs de l'ETH Zurich et de l'Université de Zurich, s'il est confiné dans des canaux lipidiques à l'échelle nanométrique.
La fabrication de glaçons est un processus simple: vous prenez un bac à glaçons en plastique comme dans la plupart des ménages, vous le remplissez d'eau et vous le mettez au congélateur. Bientôt, l'eau se cristallise et se change en glace.
Si vous analysiez la structure des cristaux de glace, vous verriez que les molécules d’eau sont disposées en structures tridimensionnelles régulières. Dans l'eau, en revanche, les molécules ne sont pas organisées, ce qui explique la circulation de l'eau.
Eau vitreuse
Sous la direction des professeurs Raffaele Mezzenga et Ehud Landau, un groupe de physiciens et de chimistes de l'ETH Zurich et de l'Université de Zurich ont identifié un moyen inhabituel d'empêcher l'eau de former des cristaux de glace. Ainsi, même à des températures extrêmement basses, il conserve les caractéristiques amorphes d'un liquide.
Dans un premier temps, les chercheurs ont conçu et synthétisé une nouvelle classe de lipides (molécules de graisse) afin de créer une nouvelle forme de matière biologique "molle" appelée mésophase lipidique. Dans ce matériau, les lipides s’assemblent et s’agrégent spontanément pour former des membranes, se comportant de la même manière que les molécules adipeuses naturelles. Ces membranes adoptent alors une disposition uniforme pour former un réseau de canaux connectés dont le diamètre est inférieur à un nanomètre. La température et la teneur en eau, ainsi que la nouvelle structure des molécules lipidiques conçues, déterminent la structure de la mésophase lipidique.
Pas de place pour les cristaux d'eau
La particularité de cette structure est que, contrairement à un bac à glaçons, il n’y a pas de place dans les canaux étroits pour que l’eau forme des cristaux de glace. Elle reste donc désordonnée, même à des températures extrêmement basses. Les lipides ne gèlent pas non plus.
À l'aide d'hélium liquide, les chercheurs ont pu refroidir une mésophase lipidique consistant en un monoacylglycérol modifié chimiquement à une température pouvant atteindre moins 263 degrés Celsius, soit à peine 10 degrés au-dessus de la température zéro absolu, sans formation de cristaux de glace. À cette température, l'eau est devenue "vitreuse", comme les chercheurs ont pu le démontrer et le confirmer dans une simulation. Leur étude de ce comportement inhabituel de l’eau confinée dans une mésophase lipidique a récemment été publiée dans la revue Nature Nanotechnology.
"Le facteur clé est le rapport lipides / eau", explique le professeur Raffaele Mezzenga du Laboratoire Food & Soft Materials de l'ETH Zurich. En conséquence, c'est la teneur en eau dans le mélange qui détermine les températures auxquelles la géométrie de la mésophase change. Si, par exemple, le mélange contient 12% d'eau en volume, la structure de la mésophase passera d'environ moins 15 degrés Celsius d'un labyrinthe cubique à une structure lamellaire.
"Ce qui rend le développement de ces lipides si difficile, c'est leur synthèse et leur purification", explique Ehud Landau, professeur de chimie à l'université de Zurich. Il explique que c'est parce que les molécules lipidiques ont deux parties; l'un qui est hydrophobe (repousse l'eau) et l'autre qui est hydrophile (attire l'eau). "Cela les rend extrêmement difficiles à travailler", dit-il.
Le biomatériau mou formé à partir des membranes lipidiques et de l'eau présente une structure complexe qui minimise le contact de l'eau avec les parties hydrophobes et maximise son interface avec les parties hydrophiles.
Les chercheurs ont modélisé la nouvelle classe de lipides sur les membranes de certaines bactéries. Ces bactéries produisent également une classe spéciale de lipides à auto-assemblage qui peuvent naturellement confiner de l'eau à l'intérieur, permettant aux micro-organismes de survivre dans des environnements très froids.
"La nouveauté de nos lipides réside dans l'introduction d'anneaux très sollicités à trois chaînons dans des positions spécifiques au sein des parties hydrophobes des molécules", explique Landau. "Celles-ci permettent à la courbure nécessaire de produire des canaux d'eau aussi minimes et empêchent les lipides de se cristalliser."
Matière molle pour la recherche
Ces nouvelles mésophases lipidiques serviront principalement d’outil à d’autres chercheurs. Ils peuvent être utilisés pour isoler, préserver et étudier de manière non destructive de grandes biomolécules dans un environnement imitant la membrane, par exemple en utilisant la microscopie électronique cryogénique. Les biologistes se tournent de plus en plus vers cette méthode pour déterminer les structures et les fonctions de grandes biomolécules telles que des protéines ou de grands complexes moléculaires.
"Dans le processus de congélation normal, quand les cristaux de glace se forment, ils endommagent et détruisent généralement les membranes et les grandes biomolécules cruciales, ce qui nous empêche de déterminer leur structure et leur fonction lorsqu'elles interagissent avec les membranes lipidiques", a déclaré Mezzenga.
Mais pas avec la nouvelle mésophase, qui est non destructive et conserve de telles molécules dans leur état d'origine et en présence de l'autre élément essentiel de la vie, à savoir les lipides. "Nos recherches ouvrent la voie à de futurs projets visant à déterminer comment les protéines pourraient être préservées dans leur forme originale et interagir avec les membranes lipidiques à très basse température", explique le professeur à l'ETH.
Cette nouvelle classe de matière molle pourrait également être utilisée dans des applications potentielles où il faut empêcher l'eau de geler. "Mais notre travail ne visait pas les applications exotiques", a déclaré Mezzenga. "Notre objectif principal était de fournir aux chercheurs un nouvel outil facilitant l'étude des structures moléculaires à basse température sans cristaux gênants pour la glace, et en définitive de comprendre Les composants de la vie, à savoir l'eau et les lipides, interagissent dans des conditions extrêmes de température et de confinement géométrique ", ajoute-t-il.
«Roi des fake news»: Mediapart dresse la liste des «mensonges» de Macron et son entourage
16:30 10.04.2019
Emmanuel Macron et ses proches n’ont pas les mains propres en ce qui concerne la diffusion de «fake news», affirme Mediapart. Le média rappelle leurs propos qui n’ont pas tenu la route.
Le Président français, qui affirme combattre les «fake news», ne cesse pourtant d'en propager lui-même, affirme Mediapart tout en rappelant les principaux «mensonges» répandus ces derniers mois par Emmanuel Macron et ses proches.
Vidéo censée excuser Alexandre Benalla
Le 19 juillet, au lendemain des premières révélations du journal Le Monde sur les agissements d'Alexandre Benalla lors de la manifestation du 1er mai à Paris, une vidéo montrant un individu très agité poursuivant un groupe d'hommes vêtus de noir, chaise à la main, a été diffusée sur les réseaux sociaux.
Fin mars, Le Monde a dévoilé que c'était Ismaël Emelien, ancien conseiller d'Emmanuel Macron, qui l'avait fait circuler en utilisant des comptes militants.
Bien que l'individu à la chaise ait été présenté comme celui immobilisé par Alexandre Benalla place de la Contrescarpe, le journal indique que la vidéo a été tournée le soir, bien après l'intervention de M. Benalla.
Le 4 avril, le site la-bas.org a par ailleurs rendu publics les résultats de son enquête, d'après lesquels l'homme à la chaise poursuivait en réalité des militants «antifas».
Perquisition dans les locaux de Mediapart
Mediapart rappelle également une «fake news» dont le média a été lui-même victime. Il s'agit des propos de la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui a déclaré le 5 février que Mediapart avait refusé de remettre à la justice les enregistrements des conversations entre Alexandre Benalla et Vincent Crase. Ce qui a entraîné une tentative de perquisition dans les locaux du média.
Mediapart affirme avoir donné son accord à la réquisition de ces enregistrements, demandée par les juges d'instruction le 1er février.
Néanmoins, le 4 février, deux procureurs du parquet de Paris se sont présentés afin de procéder à une perquisition dans les locaux, et non pas pour réquisitionner les enregistrements publiés.
Selon Mediapart, cette perquisition ne visait qu'à «faire peur à tous ceux susceptibles» de parler à ses journalistes.
Un policier à l'origine de la chute d'une septuagénaire à Nice
Après que la militante Geneviève Legay a été grièvement blessée le 23 mars lors d'une manifestation des Gilets jaunes à Nice, le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre, a déclaré le 25 mars qu'il n'y avait eu «aucun contact direct entre un policier et cette dame».
Cette version a été aussi soutenue par Emmanuel Macron dans une interview accordée à Nice-Matin et publiée le 25 mars. Le Président français y a également conseillé de ne pas se rendre «dans des lieux qui sont définis comme interdits».
Néanmoins, comme l'a révélé Mediapart, un officier de police judiciaire avait indiqué dans un procès-verbal daté du 23 mars que «la septuagénaire aurait été bousculée par un homme qui portait un bouclier».
Par la suite, le procureur de Nice a reconnu qu'un policier était responsable de la chute de Mme Legay. L'agent en cause a, à son tour, exprimé des «regrets» tout en précisant qu'il avait agi dans le «strict respect des ordres».
«Manipulation» des chiffres sur les allocations chômage
Le 26 février, le premier ministre Édouard Philippe et la ministre du travail Muriel Pénicaud ont révélé des statistiques d'après lesquelles un chômeur sur cinq toucherait «une allocation chômage supérieure à la moyenne» de ses revenus lorsqu'il travaillait, indique Mediapart.
Néanmoins, ces chiffres ont été remis en cause par des experts. Mathieu Grégoire, sociologue spécialisé dans les politiques de l'emploi, a conclu sur son blog hébergé par Mediapart qu'il s'agissait d'«un artefact statistique» et d'«une manipulation assez troublante des chiffres».
Comme l'a indiqué plus tard l'Unédic, l'association gérée par les syndicats et le patronat et chargée de piloter le système d'assurance-chômage, Pôle emploi a choisi une base de calcul erronée. En réalité, toujours selon l'Unédic, 4 % seulement des allocataires reçoivent une allocation supérieure au salaire mensuel moyen qu'ils touchaient durant l'année précédant le chômage.
Mediapart estime que ces déclarations du gouvernement visaient à justifier la réforme de l'assurance-chômage.
«Ultras» et «ingérence russe» dans le mouvement des Gilets jaunes
Les déclarations sur le mouvement des Gilets jaunes faites par Emmanuel Macron le 31 janvier, lors d'une rencontre avec cinq journalistes, ne tiennent pas non plus la route.
Le Président de la République avait alors déclaré que «de 40 à 50.000 militants ultras qui veulent la destruction des institutions» étaient à l'origine des violences lors des manifestations des Gilets jaunes. Il avait aussi évoqué «le concours d'une puissance étrangère», notamment la Russie, qui, «à travers Russia Today ou Sputnik, affleure dans son discours».
Selon Mediapart, ces affirmations contredisent les informations fournies à la même période par les services de renseignement français. La DGSI avait ainsi conclu que «la scène d'ultradroite» était «quasi inexistante au sein des cortèges». Les services de renseignement avaient également indiqué que l'«ultragauche» était, de même, «impliquée de manière limitée dans un mouvement perçu comme populiste et réactionnaire».
Concernant les accusations de M. Macron à l'encontre de Moscou, le média affirme avoir recueilli des témoignages selon lesquels «la DGSI et la DGSE n'auraient toujours pas trouvé la moindre trace d'ingérence russe».
Le retour des djihadistes en France a-t-il été considéré ?
Bien que le Président français ait déclaré fin février à des élus de la Région Grand Est qu'il n'y avait pas de «programme de retour des djihadistes», Mediapart remet ces affirmations en cause.
Selon le média, les services des ministères des Affaires étrangères, de la Défense, de l'Intérieur et de la Justice travaillaient pourtant depuis l'automne 2018 au retour des djihadistes détenus par les Kurdes de Syrie.
Mediapart indique que ce programme était «tenu pour acquis» par tous ses interlocuteurs dans le cadre de cette enquête. Dans la première quinzaine de février, le Président de la République aurait bloqué ce programme.
Le chlordécone classé «cancérigène possible» par l'OMS mais pas par Macron
En se prononçant sur la dangerosité du chlordécone, utilisé jusqu'en 1993 dans les bananeraies de Guadeloupe et de Martinique, Emmanuel Macron a déclaré le 1er février aux élus d'Outre-mer qu'il ne fallait pas dire que ce pesticide était cancérigène.
«Il est établi que ce produit n'est pas bon, il y a des prévalences qui ont été reconnues scientifiquement, mais il ne faut pas aller jusqu'à dire que c'est cancérigène parce qu'on dit quelque chose qui n'est pas vrai et qu'on alimente les peurs », a-t-il soutenu.
Selon une étude publiée par Santé publique France en 2018, presque tous les Guadeloupéens et les Martiniquais sont contaminés par le chlordécone, lequel avait été classé «cancérigène possible» par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dès 1979.
Dans une lettre ouverte au chef de l'État, la députée Hélène Vainqueur-Christophe et le sénateur Victorin Lurel ont jugé «non seulement déplacé mais dangereux» d'affirmer que le chlordécone n'était pas cancérogène.
Cérémonie d'hommage au maréchal Pétain
Suite à la polémique autour de l'organisation à l'occasion des cent ans de l'Armistice d'une cérémonie d'hommage aux huit maréchaux de la Grande Guerre, dont Philippe Pétain, la ministre des Armées Florence Parly a déclaré sur BFM TV que l'état-major n'avait «jamais imaginé rendre hommage au maréchal Pétain». Néanmoins, Mediapart indique en se référant à un dossier de presse initial de la Mission du centenaire qu'une telle cérémonie était prévue.
Plus tard, Emmanuel Macron a jugé «légitime» de rendre hommage à ces huit maréchaux de la Grande Guerre. Il a, par ailleurs, déclaré que le maréchal Pétain était un «grand soldat» en 14-18.
Julian Assange ferait l’objet d’une «opération d’espionnage d’envergure»
16:42 10.04.2019
Le rédacteur en chef de WikiLeaks a déclaré ce mercredi qu’une «opération d’espionnage d’envergure» était en cours contre Julian Assange à l’ambassade d’Équateur à Londres. Selon lui, les données recueillies par la mission diplomatique sont transmises aux autorités américaines.
Une opération d'espionnage d'envergue a été lancée dans l'ambassade d'Équateur à Londres où Julian Assange avait trouvé refuge en 2012, a déclaré ce mercredi, lors d'une conférence de presse, Kristinn Hrafnsson, le rédacteur en chef du site WikiLeaks.
«Cette opération d'espionnage d'envergure, l'ingérence totale de la vie privée, est en cours dans l'ambassade d'Équateur», a-t-il martelé.
Selon lui, on a demandé à l'Équateur de recueillir les listes des visiteurs et les enregistrements des caméras de vidéosurveillance. «Nous croyons que ce matériel […] a été transmis à l'administration Trump», a ajouté M. Hrafnsson.
Il a également réitéré que l'expulsion du lanceur d'alerte pourrait avoir lieu d'un moment à l'autre.
Auparavant, WikiLeaks avait annoncé sur son compte Twitter que Julian Assange pourrait être expulsé de l'ambassade équatorienne à Londres «dans quelques heures ou jours». Le ministère équatorien des Affaires étrangères avait qualifié cette information de «rumeur».
Pour rappel, en 2012, Julian Assange a trouvé asile à l'ambassade équatorienne de Londres dans le but d'échapper à une extradition vers la Suède où il était recherché pour viol et agression sexuelle. Bien que ces poursuites aient été abandonnées en 2017, le tribunal de Westminster a maintenu le mandat d'arrêt contre M. Assange, indiquant qu'il avait été délivré après que ce dernier a enfreint les conditions de sa liberté sous caution. Julian Assange craint, en cas d'arrestation, d'être extradé vers les États-Unis où il est poursuivi pour la divulgation de nombreux secrets militaires et documents diplomatiques américains.
La ville de New York vient de passer de bête à bête ...
par Tyler Durden Mer., 04/10/2019 - 13:09 Écrit par Simon Black via SovereignMan.com,
Il y a quelques mois, je vous ai expliqué comment la ville de New York voulait taxer les personnes qui y possèdent des résidences secondaires.
Ils appellent cela une taxe sur le pied-à-terre, et les génies qui l’entourent pensent que cela contribuera à combler le déficit budgétaire d’un milliard de dollars de la ville.
Bill de Blasio lui-même, le maire de New York, a exprimé son enthousiasme pour plonger les riches.
Le gestionnaire de fonds spéculatifs, Ken Griffin, est devenu l’une des premières victimes de ce sentiment bolchevique lorsqu’il a acheté un condo de 268 millions de dollars dans la ville.
Il n’était pas suffisant que Griffin paye déjà des millions de dollars d’impôts fonciers à la ville. La taxe pied-à-terre lui rapporterait plus de 9 millions de dollars de plus par an.
(Il est choquant de noter que Griffin a récemment décidé de ne PAS déplacer ses bureaux de Chicago à New York, comme il l'avait envisagé précédemment.)
Les agents immobiliers à New York craignaient légitimement que la loi n'écrase le marché du luxe et ont donc fait pression pour que la taxe soit réduite.
Les législateurs ont écouté. Et puis, est venue une idée encore plus idiote: la taxe d'habitation.
Cela vient d'être annoncé la semaine dernière. Ainsi, maintenant, au lieu de payer la taxe au pied-à-terre, la taxe sur le manoir coûtera 4% de la valeur des maisons de luxe achetées.
(N'oubliez pas que les acheteurs immobiliers à New York paient déjà une taxe foncière de 1% sur les propriétés de plus d'un million de dollars, ce qui vous donne à peine quelques centaines de pieds carrés à Manhattan…)
C'est assez stupide. Ces législateurs comprennent parfaitement que les taxes peuvent être utilisées pour influencer le comportement des consommateurs.
C’est pourquoi ils taxent les cigarettes, l’alcool et les boissons sucrées: ils veulent décourager les gens de consommer ces produits, ils les taxent donc.
Même le crédit d’impôt pour enfants et les prestations au conjoint peuvent influer sur le comportement des gens, qu’ils aient ou non des enfants ou se marient.
Les politiciens savent que la politique fiscale exerce une influence sociale importante. Donc, ils se moquent d'eux-mêmes s'ils ne pensaient pas que cette taxe découragerait les gens d'acheter de l'immobilier à New York.
Cela ressemble à la façon dont New York a chassé Amazon, un accord qui aurait créé des emplois et des milliards de dollars de revenus pour la ville.
L'accord avec Amazon était gagnant / gagnant. La ville aurait dû investir presque rien et recevoir des avantages énormes en retour.
Amazon aurait eu accès à des employés talentueux et à un bon incitatif fiscal.
Mais ces bolcheviks ne peuvent faire un marché gagnant / gagnant. Ils ne peuvent que structurer des accords gagnant / perdant - ils gagnent et vous n’obtenez rien… sinon aucun accord.
Ce n’est pas que New York; Le New Jersey a perdu des centaines de millions de ses recettes fiscales annuelles en chassant un seul contribuable fortuné, qui a été transféré en Floride.
Mais au lieu de renverser la taxe après leur erreur, le New Jersey a levé des impôts encore plus pour compenser le manque à gagner.
Ce qui est encore plus surprenant, c’est la popularité de ces politiques.
Bien qu'ils chassent les entreprises productives et les citoyens talentueux, ces politiciens bolcheviques ont une popularité croissante.
Plus leurs idées sont bêtes, plus elles deviennent populaires.
Environ le demi-millénaire (qui constitue la plus grande partie de la population) s’identifie maintenant au socialisme. Et ils adorent ces idées idiotes et destructrices.
Howard Marks, le milliardaire fondateur de Oaktree Capital, qui gère 120 milliards de dollars, a commenté le sujet dans son récent mémo.
«On peut attribuer au capitalisme l'essentiel de ce qui a fait des États-Unis ce qu'il est aujourd'hui…
Et seul le capitalisme est susceptible de faire croître la tarte. L'échec des systèmes non capitalistes à produire de la croissance économique et de la prospérité est bien documenté. "
Il a raison. Toute expérience de communisme dans l'histoire du monde a toujours échoué.
Il cite ensuite Winston Churchill:
"Le vice inhérent au capitalisme est la part inégale des bénédictions ... La vertu inhérente du socialisme est le partage égal des misères."
Malheureusement, de plus en plus de personnes semblent préférer ce résultat.
C’est une des principales raisons pour lesquelles je vis à Porto Rico à présent: parce que je sais que je ne peux changer l’esprit de personne.
Les gens continueront à croire au conte de fée du socialisme malgré tant d’exemples de son échec total (comme le Venezuela).
Et toute personne rationnelle devrait s'attendre à ce que cette fièvre se propage…
Donc, ayez un plan B. Ne vous permettez pas d’être victime de l’idéologie ratée de quelqu'un d’autre.
Mon plan B était Porto Rico. Mais c’était un plan B si convaincant que Porto Rico est devenu mon plan A.
Je vis ici parce que Porto Rico ne relève pas de la juridiction fiscale des bolcheviks; Dans ce cas, vous ne pouvez payer que 4% du revenu d'entreprise éligible et 0% de certains types de revenu de placement (comme les gains en capital).
Et tandis que New York (et d’autres villes) augmente les taux d’impôt foncier, Porto Rico offre aux résidents un impôt ZÉRO sur les biens éligibles pendant plusieurs années, ainsi que des gains exempts d’impôt lorsque vous vendez votre bien à l’avenir.
Même si les bolcheviks haussent les impôts à 80% ou leur imposent des sanctions fiscales idiotes sur l’immobilier, cela ne touchera pas les résidents de Porto Rico.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer, il existe de nombreuses autres options, telles que la maximisation des contributions avantageuses sur le plan fiscal à un IRA ou à 401 (k).
Le fait est que vous disposez de nombreux moyens juridiques pour réduire légitimement les dommages qu’ils peuvent vous causer.
Et il est logique de commencer à prendre ces mesures maintenant, alors que la fenêtre d'opportunité existe toujours.
Et pour continuer à apprendre comment vous assurer de réussir, peu importe ce qui se passera dans le monde, je vous encourage à télécharger notre guide gratuit Perfect Plan B.
C'est le printemps et une tempête hivernale est sur le point de punir le centre des États-Unis
par Tyler Durden Mer., 04/10/2019 - 19:45
Environ trois semaines après le début du printemps et 40 millions d'Américains reçoivent des avertissements liés au vent, et des millions d'autres s'attendent à des tempêtes de neige dans le Midwest.
Certaines régions du Wyoming, du Colorado, du Dakota du Sud, du Nebraska et du Minnesota s’attendent à de fortes chutes de neige entraînant des blizzards jeudi.
"C'est une tempête potentiellement mortelle", a déclaré Patrick Burke, météorologue au National Weather Service (NWS) de College Park, dans le Maryland, le mercredi matin.
- voir carte sur site -
Certaines régions de l'Utah, du Nevada, de l'ouest du Wyoming, de l'Idaho et de la Californie pourraient voir la vitesse du vent approcher de la force d'un ouragan mercredi, avec des rafales pouvant atteindre 74 mph.
Environ 4 millions de personnes dans le Colorado, le Nebraska, les Dakotas, l'Iowa, le Wyoming et le Kansas sont sous sévères avertissements de tempête hivernale et de blizzard jusqu'à jeudi matin, a annoncé NWS.
- voir carte sur site -
Des ordres d'évacuation à la suite d'inondations ont déjà été émis en Oregon et dans l'État de Washington.
NWS a averti que certaines régions de l'ouest du Minnesota et du sud-est du Dakota du Sud pourraient voir 30 pouces de forte neige mouillée d'ici jeudi après-midi.
La région ciblée est l’Amérique centrale, la même région où un "cyclone bombardier" a frappé le mois dernier et provoqué des inondations et des blizzards meurtriers.
- voir carte sur site -
Les températures extrêmes enregistrées mardi dans le centre des États-Unis, qui ont permis à la tempête de se réchauffer du jour au lendemain, pourraient être sur le point de devenir un "cyclone à bombe" dans les 12 prochaines heures.
Reuters a déclaré que la baisse des températures survenue le 13 mars était également responsable du cyclone du mois dernier.
Les régions du nord-ouest du comté de Holt, dans le Missouri, ne se sont pas encore remises des inondations du mois dernier, qui auraient porté les dégâts à des milliards de dollars.
La tempête devrait traverser la région des Grands Lacs et le nord du Michigan vendredi, apportant davantage de pluie et de neige dans l'est du centre-nord des États-Unis.
UBS attend 75 000 fermetures de magasins aux États-Unis dans le «nettoyage en magasin»
par Tyler Durden Mer., 04/10/2019 - 18:25
Goldman Sachs et les clients qui ont suivi la recommandation "grand court" de la banque le mois dernier seront ravis de lire une note de recherche publiée par UBS et qui a fait l'objet d'une certaine couverture dans la presse grand public mercredi. Bien que les traders qui sont courts Amazon ou longs CMBX pourraient vouloir détourner les yeux.
D'après l'article sur la note publiée par le Washington Post, UBS s'attend à ce que quelque 75 000 magasins vendant des vêtements, des appareils électroniques et des meubles soient fermés d'ici 2026, alors que les achats en ligne devraient représenter 25 % des ventes au détail, selon UBS. À l'heure actuelle, environ 16 % des ventes globales sont réalisées en ligne.
Vente au détail
Les fermetures seront généralisées, mais UBS prévoit la fermeture de 21 000 magasins de vêtements, 8 000 magasins d’ameublement et 10 000 magasins d’électronique grand public, parmi des milliers d’autres.
Certes, le secteur de la vente au détail aux États-Unis a déjà été durement frappé par "l'apocalypse du commerce de détail" inspirée d'Amazon (bien que d'autres facteurs, tels que la construction excessive de surfaces de vente au cours des années qui ont précédé la crise, aient également contribué à la vague de faillites). Depuis 2016, 35 grandes chaînes de distribution et d'innombrables plus petites ont déposé leur candidature pour le chapitre 11. Et une multitude de noms ne figurant pas dans cette liste ont été classés depuis le début de l'année, notamment Diesel USA, Charlotte Russe et Shopko (entre-temps, Payless et Gymboree ont déposé une deuxième fois).
Les détaillants
Même les détaillants qui ont réussi à éviter la faillite, comme Sears, continuent de fermer des magasins. La chaîne a déjà fermé quelque 1 300 magasins KMart et Sears et devrait en fermer 80 autres avant la fin de l'année. D'autres détaillants, comme GAP, par exemple, ont averti que d'autres fermetures se profilaient à l'horizon.
Mais tout comme un feu aide à purifier le sol, permettant ainsi à des arbres en santé de survivre et de se développer, les analystes du commerce de détail estiment que cette purge des magasins non compétitifs sera finalement une bonne chose pour l'industrie. On l'a appelé un "nettoyage en bonne santé."
"Il s'agit d'un nettoyage en bonne santé pour le secteur de la vente au détail", a déclaré John D. Morris, analyste principal des vêtements de marque pour la société de services financiers D.A. Davidson. "Nous sommes au milieu d'une purge de plusieurs années pour le commerce de détail. Les entreprises constatent que lorsqu'il s'agit de magasins, moins, c'est plus."
"Les détaillants tiennent depuis trop longtemps à leurs magasins physiques", a déclaré Morris.
L'équipe d'UBS a déclaré que, même si les ventes à magasins comparables avaient augmenté l'année dernière après une décennie de baisse constante du secteur, les investisseurs ne devraient pas interpréter cela comme un indicateur haussier à long terme. Au contraire, cela devrait plutôt être attribué au niveau temporaire élevé des réductions d'impôts de Trump sur le sucre, et devrait être annulé cette année.
Selon des analystes, les ventes en magasin ont augmenté en 2018, en partie à cause des réductions d'impôts accordées à certains Américains. Mais ces gains devraient être inversés cette année, ont déclaré les analystes d'UBS, Jay Sole et Michael Lasser.
"Ce rythme d'amélioration de la productivité des magasins ne devrait pas être maintenu en 2019, car la relance des mesures de relance budgétaire s'estompe", ont-ils écrit mardi dans une note aux clients. "Cela entraînera probablement une accélération des fermetures physiques de magasins au cours de la prochaine année."
En fin de compte, certains détaillants ayant commencé avec une plate-forme de commerce électronique, comme la marque de matelas à licorne Casper (qui devrait bientôt disposer de beaucoup de capital pour une expansion après son introduction en bourse), pourraient se développer dans le brique et le mortier. Mais ces magasins seront plus petits et détiendront moins de stocks. Ils serviront principalement de showrooms physiques permettant aux clients d’essayer les produits avant de les acheter en ligne.
Même dans ce cas, certaines sociétés Internet uniquement, telles que le détaillant de meubles Wayfair et la marque de matelas Casper, commencent à ouvrir des magasins physiques.
Mais les analystes ont déclaré que ces avant-postes - souvent plus petits et plus étroits que les magasins traditionnels - fonctionnaient davantage comme des salles d’exposition pour les articles que les clients peuvent commander en ligne que comme un guichet unique avec des pans d’inventaire.
"La tendance est à la rationalisation des magasins: moins de chaos, moins de stocks, moins de choix", a déclaré Morris. "Si un client souhaite quelque chose de couleur ou de taille différente, il peut le trouver en ligne."
Toutefois, alors que la baisse des dépenses de consommation imputable à la fermeture du gouvernement continue de se répercuter sur l'économie, on peut s'attendre à une nouvelle vague de fermetures telles que les 465 magasins qui ont fermé en un jour.
Parce que, comme nous l’avons souligné, «l’apocalypse du commerce de détail» n’est pas terminée, elle commence tout juste.
La liberté de la santé est détruite dans le monde occidental
par Tyler Durden Mer., 04/10/2019 - 17:25 Créé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Ils nous disent que nous sommes «libres», mais ce n'est qu'un mensonge. Tous les pays du monde occidental sont régis par des règles et des règlements qui régissent de manière stricte à peu près tous les domaines de notre vie. Mais jusqu'à tout récemment, certaines lignes n'avaient toujours pas été franchies. Une de ces lignes concerne l'intégrité physique. Nous avons le droit fondamental de dire ce qui entre dans notre corps et ce qui n’entre pas dans notre corps. Lorsqu'un gouvernement viole ce droit fondamental, quelles que soient ses intentions, ils entrent dans le royaume de la tyrannie.
Et qu’il n’y ait aucun doute: ce qui se passe actuellement à New York, c’est la tyrannie. Mardi, le maire de la ville de New York, Bill de Blasio, a utilisé le prétexte d'une "urgence de santé publique" pour ordonner la vaccination obligatoire de tous les Juifs orthodoxes vivant à Williamsburg…
Le maire Bill de Blasio a déclaré mardi une urgence de santé publique et a ordonné la vaccination obligatoire des personnes susceptibles d'avoir été exposées au virus dans certaines parties de Williamsburg lors d'une épidémie de rougeole croissante.
Peut-être le maire pense-t-il réellement sauver des vies en agissant de la sorte.
Mais c'est toujours la tyrannie.
Dans une société libre, nous aurions le droit de choisir de mettre ou non des vaccins dans notre corps. Mais dans certaines parties de la ville de New York, il existe actuellement un état de loi martiale médicale.
Selon un reportage local, des membres du département de la santé vont en fait traquer les personnes non vaccinées en consultant leur dossier médical…
En vertu de cette ordonnance, les personnes non vaccinées, y compris les enfants de plus de 6 mois, qui vivent ou travaillent sous les codes postaux 11205, 11206, 11221 et 11249 devront se faire vacciner contre le ROR.
Les membres du service de santé de la ville vérifieront le carnet de vaccination de toute personne susceptible d’avoir été en contact avec des patients infectés.
Ceux qui n'ont pas reçu le vaccin ou qui ne possèdent pas de preuve d'immunité peuvent faire l'objet d'une violation et recevoir une amende de 1 000 $.
Est-ce toujours l'Amérique ?
J'ai du mal à croire que cela se produit réellement. Il n'y a aucun moyen que les gens aient jamais supporté de telles absurdités il y a 40 ou 50 ans.
Même le gouverneur démocrate de New York, Andrew Cuomo, admet que cet effort visant à imposer des vaccinations obligatoires aux habitants de la ville pourrait être inconstitutionnel…
"Regardez, c’est un grave problème de santé publique, mais c’est aussi une question sérieuse liée au Premier Amendement et ce sera une question constitutionnelle et légale", a déclaré Cuomo.
Mais si les monstres de contrôle qui gèrent la ville de New York peuvent s'en tirer, ils créeront un précédent national très important.
Vous pensez peut-être que vous vivez dans une région où vos libertés en matière de santé sont mieux protégées, mais ce qui commence à New York ou en Californie semble toujours commencer à filtrer à travers le reste du pays.
Et d'autres pays du monde occidental ont déjà beaucoup progressé sur la voie de la tyrannie médicale. Par exemple, découvrez ce qui vient de se passer en Australie…
Les autorités gouvernementales australiennes ont récemment décrété que tout professionnel de la santé qui oserait exprimer son scepticisme quant à l'innocuité ou l'efficacité des vaccins sera poursuivi conformément à la loi, y compris à une éventuelle peine de prison. jusqu'à 10 ans.
Que se passe-t-il en Australie ?
Quand nous ne pouvons même plus débattre ouvertement de certains sujets, alors vous savez que nous sommes sur la bonne voie pour vaincre la tyrannie.
Regardez, tout le monde convient que beaucoup d'enfants sont morts ou sont devenus gravement handicapés immédiatement après avoir pris les vaccins. Les membres de la communauté pro-vaccinale soutiennent que de tels sacrifices doivent être faits «pour le plus grand bien», tandis que ceux de la communauté anti-vaccinale estiment que les parents devraient avoir le droit de déterminer si leurs enfants devraient être exposés à de tels dangers.
Mais ce sur quoi tout le monde devrait pouvoir s’entendre, c’est que nous devrions pouvoir débattre de ces questions.
Au lieu de cela, le gouvernement australien a décidé que tout membre de la communauté médicale occupant un poste anti-vaccin devrait être mis en prison, et il a même mis en place un programme de surveillance pour dénoncer les délinquants…
Le gouvernement australien a également mis en place un programme «Snitch» pour les «délinquants» médicaux à signaler à leurs «amis», collègues ou autres personnes soupçonnant d’être en violation de ce nouveau code de la parole - comme une sorte d’espionnage en profondeur schéma de surveillance dérivé du roman dystopique de 1984.
Sans liberté d'expression, une société libre ne peut exister et l'Australie est en train de détruire complètement la liberté d'expression.
Ceci est un autre exemple qui montre que nous devons désespérément reprendre nos gouvernements en place. Si les gens épris de liberté ne s’impliquent pas, les monstres du contrôle prennent inévitablement le dessus et à ce stade, ils sont complètement envahis par l’Australie. En particulier, la ministre de la Santé de Victoria, Jill Hennessy, est un véritable travail…
La ministre de la Santé de Victoria, Jill Hennessy, adepte à part entière du vaccin, soutient bien sûr les nouvelles règles, qui, espère-t-elle, infligeront de lourdes sanctions à tous les sceptiques du vaccin en Australie, qu’elle qualifie de «mouton mort cérébrale».
"Ils forment un mouvement organisé, en grande partie issu des États-Unis d'Amérique, qui sont résolument enclins à induire les parents en erreur en leur faisant croire que les vaccinations ne sont pas sûres", a déclaré Hennessy.
Si nous voulons être libres, nous devons pouvoir débattre librement de tous les problèmes de notre société.
Il y a une raison pour laquelle nos fondateurs ont cherché à protéger si fermement la liberté d'expression. Sans cela, ce n'est qu'une question de temps avant que toutes nos autres libertés ne disparaissent aussi.
Si vous êtes profondément alarmé par ce que vous venez de lire dans cet article, c'est bien.
Cela montre que vous êtes toujours en vie.
Le moment est venu de se lever et de se battre pour nos libertés, car une fois qu'elles seront parties, il sera presque impossible de les récupérer.
Les législateurs demandent 11 milliards de dollars supplémentaires en crédits de taxe sur les véhicules électriques
par Tyler Durden Mer., 04/10/2019 - 14:50
Un groupe bipartite de législateurs américains est en train de présenter un projet de loi visant à augmenter le crédit de taxe sur les véhicules électriques de 400 000 véhicules par fabricant, selon Reuters. La législation devrait être présentée mercredi et pourrait donner un coup de pouce substantiel à des sociétés comme Tesla et General Motors.
Le projet de loi est parrainé par les démocrates Debbie Stabenow et Gary Peters, les sénateurs républicains Lamar Alexander et Susan Collins et le représentant des démocrates Dan Kildee. L'adoption d'un tel projet de loi pourrait catalyser davantage d'achats de véhicules électriques auprès de constructeurs automobiles qui consacrent maintenant des milliards de capital à la production de véhicules électriques.
Le crédit d’impôt existant, qui s’élève à 7 500 dollars, disparaît progressivement plus de 15 mois après que le constructeur a réalisé 200 000 ventes cumulées de véhicules électriques. Le crédit d’impôt de GM a été réduit le 1er avril de cette année et le crédit d’impôt de Tesla le 1er janvier de cette année. Les deux crédits s'élèvent maintenant à 3 750 $. Le crédit de GM tombe à 1 875 dollars en octobre et disparaîtra en avril 2020, tandis que celui de Tesla chutera à 1 875 dollars en juillet et expirera à la fin de 2019.
Comme chaque projet de loi, celui-ci porte un nom ridicule avec un jeu de mots stupide: il s'appelle "Driving America Forward Act" et accorderait à chaque constructeur un crédit de 7 000 dollars pour 400 000 véhicules supplémentaires, en plus des 200 000 véhicules déjà éligibles. En revanche, le calendrier d'élimination progressive serait ramené à 9 mois à partir d'un an.
Le projet de loi viserait également à prolonger le crédit pour piles à hydrogène jusqu’en 2028.
Et puisque les contribuables vont payer la facture, voici le dommage: les crédits d’impôt sur les véhicules électriques coûteraient 11,4 milliards de dollars, si la facture est adoptée.
Debbie Stabenow a déclaré: «Nous avons une casquette qui doit être levée. Je veux que ce soit fait le plus tôt possible. »Il n'était pas très clair pourquoi cela" doit monter ", exactement ?
Dans le même temps, cette proposition contraste fortement avec la Maison Blanche, qui avait proposé de supprimer immédiatement le crédit d’impôt existant de 7 500 dollars enregistré le mois dernier. Cela permettrait d'économiser 2,5 milliards de dollars sur une décennie au gouvernement américain. Le sénateur John Barrasso, qui préside le Comité de l'environnement et des travaux publics, a proposé en février un projet de loi visant à mettre fin au crédit et à imposer des frais d'utilisation des routes aux véhicules électriques pour couvrir les frais de réparation des routes.
Comme on pouvait s'y attendre, cette nouvelle facture est appuyée par la plupart des constructeurs automobiles, y compris GM, Tesla, Toyota Motor Corp, Ford Motor Co, Fiat Chrysler Automobiles NV, Honda Motor Co, BMW AG, Nissan Motor Co et Volkswagen. En fait, le président de GM, Mark Reuss, a déclaré: "... le crédit d’impôt sur les véhicules électriques offre aux clients un incitatif qui a fait ses preuves, alors que nous travaillons à faire des États-Unis un chef de file de l’électrification."
Et quelles seraient les dépenses proposées par le gouvernement pour 11 milliards de dollars sans l'intervention du Sierra Club ? Michael Brune, directeur exécutif du Sierra Club, a déclaré: "... alors que nous construisons et développons l'économie de l'énergie propre, nous devons continuer à investir dans la lutte contre le secteur qui génère le plus de pollution: les transports."
L'action de Tesla a progressé de 2% aux nouvelles, même s'il n'était pas clair quelles étaient les chances de l'adoption ultime du projet de loi.
(...) Et puisque les contribuables vont payer la facture, voici le dommage: les crédits d’impôt sur les véhicules électriques coûteraient 11,4 milliards de dollars, si la facture est adoptée (...)
Primo les américains doivent rattraper les allemands en matière de facture ! puis, faisant face à des pannes d'électricité prolongées, il devront encore payer au plus vite pour construire des centrales électrique aux vues que les éoliennes-de-merde et panneaux solaire-à-la-con ne peuvent fournir autre chose que des factures !
Hausse du prix de l’électricité, les Français en plein paradoxe
La hausse du prix de l’électricité confirmée par François de Rugy a suscité bon nombre de critiques, de la part des citoyens comme des politiques. La réaction des premiers s’expliquant bien souvent par l’opportunisme électoral des seconds. OPINION
Par Maruan Basic1. 11 AVRIL 2019
Quelques heures après que le ministre de la Transition écologique et solidaire, François de Rugy, a annoncé la hausse annuelle des tarifs réglementés de l’électricité, prévue «sans doute à la moitié de l’année», les commentaires n’ont pas manqué d’affluer. Avec la plupart du temps des lettres écrites en majuscules, cerclées de point d’exclamation, et souvent les mêmes expressions : «vaches à lait», «écologie ultra-punitive»; quelques innovations aussi : «pas près de ranger mon gilet jaune».
La hausse de 5,9 % du prix de l’électricité, pour tous les abonnés au tarif bleu d’EDF (soit 25,6 millions de foyers et 3,2 millions de professionnels), avait été décidée, pour mémoire, par la Commission de régulation de l’énergie (CRE), fin 2018. Face à l’ampleur de la crise des Gilets jaunes, dont l’élément déclencheur avait été la hausse du prix de l’essence, le gouvernement avait alors décidé de reporter cette mesure, qui aurait dû intervenir en février dernier. Cette hausse interviendra en juin et sera vraisemblablement de 85 euros par an pour tout foyer se chauffant à l’électricité.
Une augmentation «due principalement à une hausse des prix de marché de gros de l’électricité, ainsi qu’à une augmentation du prix des capacités électriques», a expliqué le ministère de l’Écologie, alors que les coûts d’approvisionnement d’EDF, qui grimpent en ce moment, comptent seulement pour 36 % dans le prix final. François de Rugy, sentant la tempête frémir, a également pris les devants en assurant que le prix de l’électricité, en France, était «l’un des plus bas d’Europe» ; selon les statistiques européennes, il se situe effectivement dans la tranche basse.
C’était oublier bien vite la capacité des Français, et des politiques notamment, à critiquer à tout bout de champ. Qu’importe la raison. «Je râle donc je suis» pour seul mantra. Et à ce petit jeu-là, Ségolène Royal, qui cherche visiblement à revenir sur la scène nationale, semble rompue. Selon elle : «la hausse des prix de l’énergie doit faire l’objet d’un processus démocratique»; «N’oublions pas que le mouvement des Gilets jaunes est née d’une exaspération»; «Les consommateurs ont le droit de comprendre pourquoi et comment l’énergie augmente».
NUCLÉAIRE VS CHARBON
Un joli fourre-tout de phrases-bateau, visant ni plus ni moins à endommager le fuselage du gouvernement. Mais ce faisant, l’ancienne ministre de l’Environnement, s’expose à d’inévitables contradictions. S’émouvoir de la hausse de l’électricité sans préciser que l’Hexagone jouit de tarifs ultra-préférentiels en Europe ? Passe encore. N’y a-t-il pas en revanche un léger paradoxe à critiquer cette augmentation tout en exigeant une baisse du nucléaire dans le mix électrique français ?
Lorsqu’elle était aux manettes, Ségolène Royal plaidait volontiers pour la fermeture des centrales nucléaires en France. L’ancienne ministre nage dès lors en plein paradoxe : vouloir diminuer l’atome dans notre consommation électrique tout en pestant contre les hausses du prix de l’électricité. Car comme le rappelle Michel Gay, fin connaisseur de la question nucléaire, «les coûts de production sont particulièrement bas en France grâce essentiellement au nucléaire». Énergie qui, selon un baromètre établi par KPMG et l’Institut Choiseul en 2016, place la France numéro un mondial pour « la qualité de son électricité, sa disponibilité et son accès ».
«Les coûts de production les plus bas en Europe, hors de France (et non le prix payé par le consommateur), sont ceux de pays produisant essentiellement l’électricité avec du charbon […] ou ayant beaucoup d’hydraulique», estime par ailleurs Michel Gay. Autrement dit : difficile de mieux concilier maîtrise du prix de l’électricité et lutte contre le réchauffement climatique — dû en grande partie au carbone qui s’échappe des centrales à charbon — qu’en France. Dont le contre-exemple parfait reste l’Allemagne, égérie des renouvelables et des émissions de gaz à effet de serre…
«Depuis 1990, la production d’électricité aura au total émis environ 10 milliards de tonnes de gaz carbonique en Allemagne, contre 1,5 milliard en France, estiment le géochimiste Bernard Durand et le chroniqueur énergie Jean-Pierre Riou. Cela est dû à l’usage important du charbon en Allemagne, la France ayant privilégié le nucléaire jusqu’à produire avec 75 % de son électricité». Des réflexions et des chiffres tout ce qu’il y a de plus objectifs, étonnamment absents de la bouche des politiques tout comme des citoyens.
1 - Maruan Basic est diplômé de l’Université Paris Dauphine. Après une expérience professionnelle au ministère de la Transition Écologique et Solidaire (2017-2018), il travaille aujourd’hui pour la Société Française d’Énergie Nucléaire (SFEN)
Ôh puting qu'ils sont cons ! TOUS les gaz se recyclent ! TOUS ! Il ne faut pas confondre poussières de charbon qui s'envolent et se déposent (carbone qui rejoint le sol d'où il est venu) et particules diesel qui sont elles cancérigènes.
(...) Après une expérience professionnelle au ministère de la Transition Écologique et Solidaire (...)
Tu m'étonnes ! Pas pour rien qu'il ne parle pas du gaspillage de milliards de milliards en éoliennes et panneaux solaire qui ne rapportent rien et coûtent TRÈS cher !
Loi anticasseurs: le texte promulgué par Macron publié au Journal officiel
07:56 11.04.2019
Après une censure partielle du Conseil constitutionnel sur l'interdiction de manifester, Emmanuel Macron a promulgué la loi anticasseurs ce jeudi. Le texte est publié au Journal officiel jeudi.
La loi anticasseurs, portée par le gouvernement sur fond de crise des Gilets jaunes et définitivement adoptée par le Parlement en mars, a été promulguée par Emmanuel Macron et est publiée au Journal officiel jeudi.
Le ministre des Relations avec le Parlement Marc Fesneau avait indiqué mercredi qu'il n'y aurait pas de deuxième délibération au parlement sur le texte, qui avait été partiellement censuré début avril par le Conseil constitutionnel.
Les Sages avaient refusé de valider un article phare qui donnait notamment à l'autorité administrative le pouvoir d'interdire de manifestations toute personne présentant une «menace d'une particulière gravité pour l'ordre public», indique l'AFP.
Début janvier, Édouard Philippe a annoncé vouloir adopter une nouvelle loi qui permettrait «de sanctionner ceux qui ne respectent pas l'obligation de déclaration préalable d'une manifestation». Le projet initial de cette loi a été proposé par le sénateur Les Républicains Bruno Retailleau.
(...) Début janvier, Édouard Philippe a annoncé vouloir adopter une nouvelle loi qui permettrait «de sanctionner ceux qui ne respectent pas l'obligation de déclaration préalable d'une manifestation». (...)
Que j'ai ou pas un 'gilet jaune' je peux être manifestant. Puis-je encore sortir de chez moi (sans me faire tabasser/tuer) pour aller faire mes courses en évitant de tourner au rond-point ou, préalablement dois-je faire une déclaration à la Préfecture sur Internet pour décrire mon trajet pour aller faire mes courses, envoyer la liste de mes commissions, le temps mis et le nombre de personne que je suis ?
Royaume-Uni: le nom d’un canard en chocolat déclenche un scandale raciste
22:54 10.04.2019
Une entreprise britannique a été jugée raciste pour la mise en vente de petits canards en chocolat de trois couleurs. Mais ce n’est pas la couleur qui était le point de discorde, mais les noms donnés à ces canards. Le canard au chocolat noir portait un nom «moche», tiré d’un conte pour enfants, ce qui n’a pas été apprécié des clients.
Une compagnie britannique est au centre d'un scandale raciste, relate le quotidien britannique The Mirror. L'entreprise Waitrose a mis en vente une boîte comportant trois canards en chocolat: un blanc appelé «Duveteux», un au lait nommé «Croustillant» et, enfin, un noir: «Moche», référence au conte pour enfants «Le vilain petit canard» de Hans Christian Andersen. Mais cette allusion n'a pas été bien accueillie par certains clients, condamnant cette dénomination qu'il jugent raciste.
Sur Twitter, certains internautes ont même partagé des images du livre pour enfant, soulignant que, selon ces images, le vilain petit canard est de couleur grise et non de couleur noire.
Face aux critiques, l'entreprise a décidé de retirer ses canards de la vente pour en corriger les noms et a présenté ses excuses publiquement, rapporte par le quotidien britannique.
«Nous regrettons avoir heurté certaines personnes avec le nom attribué à ce produit. Ce n'était absolument pas notre intention.»
A quand la suppression d'insultes sur les emballages: "Sucre blanc ou roux" ! "Café noir" ! "Tomates rouge" ! "Poivrons vert" ! "Ciel bleu" et Jean Passe !
Un rapport de la Haute-Ecole pour les sciences appliquées de Zurich et de Swisscom montre que deux tiers des 12-19 ans en Suisse se disent intéressés par l'actualité du monde.
Selon l'enquête, 40% des jeunes interrogés estiment avoir déjà été confrontés à une information qui s'est avérée fausse a posteriori.
11.04.2019, 08h36
Les ados consomment l'info sur le Web, mais ils font avant tout confiance aux médias traditionnels: telle est la conclusion paradoxale d'un rapport sur la consommation des médias qui révèle que deux ados sur cinq disent avoir déjà été victimes de mésinformation.
Le rapport Jamesfocus de la Haute-Ecole pour les sciences appliquées de Zurich et de Swisscom montre que deux tiers des 12-19 ans en Suisse se disent intéressés par l'actualité du monde. Ils sont 57% à juger important de se tenir informés de l'actualité quotidienne. Mais c'est via Facebook ou Instagram qu'ils se renseignent, davantage que par les médias traditionnels.
Pour cette tranche d'âge, les domaines les plus importants sont la musique (67%), l'actualité (66%), le sport (55%) ou le people (48%). Seul un tiers des jeunes interrogés disent en revanche avoir de l'intérêt pour la politique internationale et un cinquième pour la politique suisse.
Se méfier de la gratuité
Selon l'enquête, 40 % des jeunes interrogés estiment avoir déjà été confrontés à une information qui s'est avérée fausse a posteriori. D'où l'importance de pouvoir les identifier tout de suite, soulignent les auteurs de l'étude. Et ces derniers de relever le rôle des parents et de l'école dans la transmission des outils et des méthodes permettant aux ados de trier le vrai du faux.
Il s'agit aussi de leur faire prendre conscience que la vérification de l'information demande un travail intensif et professionnel qui ne peut être garanti que si les consommateurs paient. Il faut se méfier de la gratuité de l'information.
Les jeunes semblent en avoir conscience puisque, même si une part croissante d'entre eux les néglige, c'est dans les médias traditionnels qu'ils accordent la plus grande confiance. Et de nommer d'abord la télévision, suivie des journaux.
Seul un tiers des 12-19 ans juge crédibles la plupart des informations sur le Web. Les deux autres tiers sont conscients qu'il ne faut en croire que moins de la moitié. (ats/nxp)
A noter aussi qu'ils étaient quelques centaines d'enfants en short l'autre jour à manifester (en Suisse) contre le climat ! "Non au dégazage continuels des océans depuis des milliards d'années !" "Non à la chaleur ! Vive le froid qui tue !" , etc, etc ! HAHAHAHAHA !
Et, toujours d'après 'Le matin', les jeunes préfèreraient les merdias ! qui les insultent tous les jours et se foutent de leur petite gueule de con ! "La mer va monter !" "Quand la glace font elle gagne du volume !" Hahahahaha !
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
A savoir aussi que c'est GRÂCE A L'INTERNET qu'il y avait (en 2010) plus de 4 % de surdoués dans le monde (soit plus de 280 millions de têtes bien pleines qui ne lisent certainement pas les merdias !
L’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
By lejournaldusiecle 14 février 2013
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.
En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.
Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".
Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle
FRANCE - JÉRÔME CAHUZAC ÉCHAPPE À LA PRISON FERME
RépondreSupprimerL'ex-ministre Jérôme Cahuzac va recevoir un bracelet électronique. Il échappe donc à la prison après avoir été condamné pour fraude fiscale à quatre ans dont deux avec sursis.
L'ancien ministre socialiste du Budget Jérôme Cahuzac a été condamné mardi en appel à quatre ans de prison, dont deux avec sursis pour avoir dissimulé un compte bancaire à l'étranger. (15 mai 2018)
10.04.2019
La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Bastia a confirmé mercredi l'acceptation d'un aménagement de peine sous forme de bracelet électronique de l'ex-ministre Jérôme Cahuzac, a-t-on appris de source judiciaire.
Le 13 février, un juge d'Ajaccio avait accepté cet aménagement sous surveillance électronique pour l'ex-ministre, condamné pour fraude fiscale le 15 mai 2018 à quatre ans de prison dont deux avec sursis, contre l'avis du parquet d'Ajaccio qui avait déposé un appel suspensif suivi par le parquet général.
Procédure normale
M. Cahuzac qui a déclaré sa résidence principale en Corse-du-Sud attendait depuis sa condamnation les modalités de l'application de sa peine. La loi permet pour toute peine allant jusqu'à deux ans d'emprisonnement, et en l'absence de récidive, la possibilité d'un aménagement immédiat.
«Il est normal que Jérôme Cahuzac puisse effectuer sa peine dans le cadre d'un placement sous surveillance électronique», a réagi mercredi auprès de l'AFP Me Antoine Vey, l'avocat de M. Cahuzac, jugeant que ce n'est «ni une faveur, ni une exception».
«La cour n'a pas cédé à la démagogie», s'est-il félicité, ajoutant que son client «aura droit, une fois cette peine purgée, à reprendre le cours de sa vie». A l'issue de l'audience en appel du 19 mars, Me Vey avait jugé «regrettable que le parquet s'acharne de la sorte (...) en faisant croire que Jérôme Cahuzac solliciterait une mesure exceptionnelle, ce qui n'est pas le cas».
Une amende de 300'000 euros
Sollicité par l'AFP, le procureur général Franck Rastoul avait alors indiqué que «le parquet général (avait) considéré, comme l'avait fait le parquet d'Ajaccio, que le projet avancé par M. Cahuzac au soutien de sa demande de placement sous surveillance électronique ne répondait pas aux efforts sérieux de réadaptation sociale communément exigés pour bénéficier d'une telle mesure».
«Cette position, au vu des éléments du dossier, aurait été prise à l'identique pour tout autre condamné», avait assuré M. Rastoul.
Dans sa décision du 13 février, le juge de l'application des peines ajaccien avait précisé qu'«au regard des efforts (de M. Cahuzac) et de sa situation prise dans sa globalité, exécuter la partie ferme en détention n'aurait pas de sens».
Parmi les arguments retenus, figuraient l'avis favorable du représentant de l'administration pénitentiaire, «les regrets manifestes du condamné», le fait que «le risque de récidive est écarté», «l'implication durable dans différents projets, notamment professionnels» et le fait qu'il ait payé son amende de 300'000 euros.
M. Cahuzac doit être convoqué pour la pose de son bracelet électronique et devra respecter des heures de sortie.
Après la révélation de l'existence de son compte caché par le site d'information Mediapart fin 2012, M. Cahuzac avait nié pendant des mois, avant de finalement démissionner en mars 2013 et d'avouer en avril. Cette retentissante affaire avait secoué le quinquennat de François Hollande et conduit à la création en 2013 du parquet national financier. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/jerome-cahuzac-echappe-prison-ferme/story/19845153
(...) le juge de l'application des peines ajaccien avait précisé qu'«au regard des efforts (de M. Cahuzac) et de sa situation prise dans sa globalité, exécuter la partie ferme en détention n'aurait pas de sens». (...)
SupprimerLes affaires se corsent: Bêh ouais quoi !? Voler des milliards et avoir une petite amende (promesse d'avoir une fessée ou coup de baguette sur les doigts ?) c'est typique !
Si çà se trouve la semaine prochaine il met sur ebay-Internet en vente son bracelet et reremplit sa valise ! Hahahaha !
PS: Au fait, à propos 'du trou'... où est passée la montagne ? Bêh ouais parce que pour faire un trou... C'est 'L'affaire du trou' et pas celle de la montagne?...
Au fait, c'est comment 'au fond du trou' ? Non mais je vous demande çà pour savoir si... si au fond du trou il y a quelque chose... 'Y a rien' ?!... A bon, y a un trou au fond du trou ?... Oui mais vous dites que vous êtes 'au fond du trou'...
Une mini-période glaciaire pourrait toucher la Terre à partir de 2030 (article du Figaro de 2015)
RépondreSupprimer* La Terre pourrait-elle connaître une mini-période glaciaire dès 2030 ?
https://www.lalibre.be/actu/planete/la-terre-pourrait-elle-connaitre-une-mini-periode-glaciaire-des-2030-5cacd0e99978e26333705b47?fbclid=IwAR1F_gm2p_7UGGGxa0kyZJ8lFfoydcUwNqgP49Fxgknw5Im_qdqWfxPREdI
mardi 9 avril 2019
Is a Mini Ice Age Coming ? 'Maunder Minimum' Spurs Controversy
https://www.livescience.com/51597-maunder-minimum-mini-ice-age.html
15 cm de neige qui s'ajoutent aux 15 cm tombés hier au Québec, en ce 9 avril 2019, ça laisse croire que nos hivers seront de plus en plus longs et que les précipitations de neige seront plus fréquentes et imposantes.
D'après des scientifiques britanniques, le Soleil pourrait être confronté, dès 2030, à un phénomène appelé « minimum de Maunder ». Celui-ci pourrait provoquer une nette baisse des températures sur Terre.
La Terre va-t-elle connaître de nouveau un «petit âge glaciaire» ? D'après une étude menée par la Royal Astronomical Society, un organisme de recherche astronomique britannique, l'activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60 % d'ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée comme de 1645 à 1715. Une période appelée «Minimum de Maunder», se traduisant par un nombre de taches solaires - de petites régions sombres où la température est plus basse que celle de son environnement - très faible.
Pour avancer cette hypothèse, l'organisme se base sur la mise au point d'un nouveau modèle des cycles solaires qui permet «des prédictions d'une précision sans précédent», commente l'organisme. Le modèle repose sur l'analyse de la circulation des champs magnétiques à l'intérieur et à la surface du Soleil, un phénomène appelé «effet dynamo».
«Nous avons remarqué que les deux vagues magnétiques qui circulent à l'intérieur du Soleil ont pour origine deux différentes couches de matière. Elles ont toutes deux une fréquence d'environ 11 années, même si elles sont légèrement différentes et sont parfois décalées. Au cours d'un cycle, les vagues fluctuent entre les hémisphères nord et sud du Soleil. En combinant les effets des vagues et en les comparant avec les données réelles du cycle du soleil, nos prévisions montrent une exactitude de 97 %», a expliqué le professeur Valentina Zharkova, lors d'une présentation devant l'Assemblée nationale de l'astronomie à Llandudno, au nord du Pays de Galles.
Pour Etienne Parizot, professeur à l'université Paris Diderot et astrophysicien au laboratoire AstroParticule et Cosmologie (APC), cette découverte est à prendre avec des pincettes. «Ce nouveau modèle est intéressant puisque le groupe de scientifiques a manifestement identifié un niveau de complexité supérieur par rapport aux précédents modèles. Mais de là à prédire un petit âge glaciaire, restons prudents», commente-t-il. «L'étude du Soleil est une science complexe. L'activité magnétique a certes une incidence sur les rayons cosmiques, c'est certain. Mais est-ce que les rayons cosmiques ont une incidence sur le climat et les températures ? C'est moins sûr, des expériences sont en cours à ce propos, et les résultats sont semi-concluants», explique l'astrophysicien.
Un minimum de Maunder d'ici quinze ans
RépondreSupprimerToutefois pour le groupe de scientifiques britanniques, les prochaines prévisions sont sans équivoque. «Lors du 26eme cycle, qui couvre la décennie 2030-2040, les deux vagues magnétiques seront complétement désynchronisées et cela va provoquer une réduction significative de l'activité solaire. Les deux champs magnétiques se reflèteront exactement. Il y aura un pic d'activité en même temps dans les deux hémisphères opposés (…). Nous prévoyons que cela va conduire à des propriétés d'un «minimum de Maunder», a déclaré Zharkova.
En 2014, la NASA alertait déjà sur la possibilité d'un tel phénomène mais avec beaucoup moins de certitude. Les scientifiques estimaient à 20% «la probabilité que les températures évoluent vers des ‘modifications majeures'», révélait Atlantico. «Nous allons tout droit vers des hivers très rudes, vers un mini âge de glace» confiait Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory à la BBC, s'appuyant sur la nette diminution des taches solaires depuis 2011.
Le précédent «minimum de Maunder» remonte à la période de 1645 à 1715. A l'époque les hivers étaient tellement rudes que certains fleuves d'Europe, comme la Tamise ou bien la Seine, et d'Amériques avaient entièrement gelé. «Plusieurs peintures de l'époque montrent la Tamise gelée», raconte Etienne Parizot et ajoute: «Pendant plusieurs décennies les températures ont été plus froides que la moyenne». En France durant cette période, les températures pouvaient descendre jusqu'à -25°C.
Source:
http://www.lefigaro.fr/sciences/2015/07/13/01008-20150713ARTFIG00193-une-mini-periode-glaciaire-pourrait-toucher-la-terre-a-partir-de-2030.php?fbclid=IwAR1yhnuVvhKFlpmSB-j24K03V7qIGSChYK7z-GO-wPqdjuFPYOBd6KWe4O0
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2019/04/une-mini-periode-glaciaire-pourrait.html
Les chutes de neige font un mort et des milliers de personnes sans électricité en Finlande
RépondreSupprimerSott.net
mar., 09 avr. 2019 20:09 UTC
File photo
De lundi à mardi, des chutes de neige printanières inhabituelles ont balayé le centre de la Finlande, faisant un mort dans un accident de la circulation et privant d'électricité environ 8 000 ménages.
L'institut météo finlandais a mesuré 18 cm de neige à sa station météorologique de Tikkakoski dans le centre de la Finlande.
Les chutes de neige ont été les plus abondantes le lundi soir - plus de 4 mm de précipitations par heure. Une règle générale en météorologie est qu'un millimètre de précipitations mesurées équivaut à un centimètre de neige.
Les chutes de neige qui se sont abattues sur la région ont rendu les conditions de conduite dangereuses, causant plusieurs accidents de la route. Une personne est morte mardi matin dans une collision entre une voiture et un camion de livraison à Jyvaskyla.
Plusieurs autres accidents se sont produits dans la même zone. Lundi soir, deux voitures se sont heurtées à Petajavesi, à l'ouest de Jyvaskyla, blessant un des conducteurs.
Mardi, un poids lourd a glissé de la route dans un fossé à Parkano, dans l'ouest de la Finlande. Une voiture est sortie de la route et a heurté un arbre à Hameenkyro, près de Parkano. Aucun blessé n'a été signalé dans ces accidents.
Selon la police, il y avait beaucoup de neige mélangée à de la neige fondue sur les routes lorsque les accidents sont survenus.
La région a également connu des pannes d'électricité causées par la neige mouillée qui a fait tomber des arbres et des lignes électriques.
Selon les prévisions météorologiques, on s'attend à ce que les chutes de neige continuent mais moins abondantes et que les conditions routières demeurent dangereuses dans la région.
Traduction Sott.net - Source : Xinhua
https://fr.sott.net/article/33735-Les-chutes-de-neige-font-un-mort-et-des-milliers-de-personnes-sans-electricite-en-Finlande
RépondreSupprimerLa neige frappe l'extrême sud de l'Espagne
Sott.net
mar., 09 avr. 2019 19:22 UTC
C'est le moment où la neige est tombée sur les collines derrière Estepona ce week-end.
Les images ont été partagées par le restaurant El Refugio qui a dit qu'il y avait encore plus de neige est tombée sur la sierra hier.
Cette vague de froid a balayé le pays à la suite d'un hiver plus chaud que la moyenne.
La neige est également tombée sur les sierras derrière Malaga et les environs de Ronda.
Le temps pluvieux devrait se poursuivre avec des pluies diluviennes prévues pour demain.
Selon l'agence météorologique AEMET, il y aura des intervalles nuageux accompagnés d'averses à travers la province aujourd'hui et demain.
Les régions plus intérieures, cependant, connaîtront des précipitations plus intenses et, dans certaines régions, la grêle.
Aujourd'hui et demain, on s'attend à ce que la neige tombe entre 1 000 et 1 200 mètres au-dessus du niveau de la mer.
AEMET ajoute qu'il y aura encore des périodes d'ensoleillement.
Traduction Sott.net, source : Laurence Dollimore The Olive Press
https://fr.sott.net/article/33734-La-neige-frappe-l-extreme-sud-de-l-Espagne
Canada : Neige, verglas, écoles fermées et pannes d'électricité
RépondreSupprimerLe Devoir
mar., 09 avr. 2019 19:05 UTC
L'hiver n'a pas dit son dernier mot. L'impact des pluies verglaçantes se faisait encore sentir, lundi soir, avec de nombreuses pannes d'électricité, principalement à Laval et dans les régions de Lanaudière et des Laurentides. Et Environnement Canada anticipait des accumulations de neige importantes dans la nuit en Mauricie et dans la région de Québec.
Les quantités les plus importantes de pluie verglaçante avaient été prévues en Outaouais et sur les régions situées au nord du fleuve Saint-Laurent.
À Montréal et Gatineau, la pluie a fait place à de la pluie verglaçante qui est redevenue de la pluie en mi-journée. Sherbrooke a aussi reçu de la pluie verglaçante, puis de la neige.
Lundi, les précipitations de verglas combinées à de forts vents ont touché plusieurs régions. Le verglas et le vent ont fragilisé les branches et les arbres, les faisant entrer en contact avec le réseau électrique, a indiqué Hydro-Québec.
Après cet épisode de verglas, c'est de la neige en quantité importante qui devait s'abattre sur les secteurs de la Mauricie, de la Beauce et de la région de Québec, au moins jusqu'à mardi matin.
Environnement Canada prévoit que la neige laissera une accumulation totale de de 15 à 25 cm, et met en garde contre des déplacements difficiles en raison de la poudrerie «dans les endroits les plus exposés».
Y a-t-il encore des pannes d'électricité ?
Selon le site d'Hydro-Québec, 253 803 clients étaient encore privés d'électricité peu avant 14h, mardi. À Laval, 71 712 clients sur 190 670 se trouvaient dans le noir. La Ville a ouvert deux centres communautaires pour la nuit afin d'aider les citoyens privés d'électricité.
Les services d'incendie et de police ont assuré mardi que des patrouilles seront faites dans les secteurs les plus durement touchés. Du porte-à-porte sera effectué. Le maire de Laval, Marc Demers, demande aussi aux gens de vérifier si les personnes vulnérables de leur voisinage ont besoin d'aide.
Hydro-Québec espère rétablir le courant mercredi matin chez la majorité de ses clients qui en manquent, si la météo lui est favorable dans les prochaines heures. Les foyers des régions les plus durement touchées pourraient toutefois attendre jeudi.
D'autre part, environ 86 497 clients étaient aussi touchés dans Lanaudière, et 68 438 autres dans les Laurentides.
Le porte-parole d'Hydro-Québec Louis-Olivier Batty soulignait lundi soir que des équipes de régions moins touchées par les pannes avaient été appelées en renfort.
«Déjà, au courant de la soirée et cette nuit, nous espérons qu'un grand nombre de clients pourront retrouver le service d'électricité. Mais vu l'étendue des (..) dégâts, donc des réparations à faire, il faut s'attendre à ce que ça prenne de nombreuses heures. Dans les secteurs les plus touchés, ça pourrait aller jusqu'à demain (mardi) dans la journée», a-t-il indiqué.
M. Batty a fait valoir que les conditions météorologiques avaient été particulièrement difficiles.
«On a enregistré, à certains endroits, 10 à 15 mm de verglas, combinés avec un corridor de vents. Donc, ça vraiment traversé d'ouest en est la région des Basses-Laurentides, jusqu'au nord de Montréal. Et ce corridor-là a vraiment amené des chutes importantes d'arbres et de branches sur notre réseau», a-t-il affirmé.
RépondreSupprimerLes écoles sont-elles fermées ?
Le temps a eu un impact sur les activités de certaines écoles des régions de Lanaudière, des Laurentides et de Laval, qui ont choisi de fermer leurs portes mardi.
La Commission scolaire de Laval (CSDL), notamment, ferme les écoles primaires et secondaires pour la journée. Il n'y a pas de transport scolaire et les services de garde sont fermés tout comme les centres de formation professionnelle et d'éducation des adultes. En ce qui concerne les cours de soir, le maintien ou la suspension des cours sera communiqué avant midi.
Dans Lanaudière, les écoles de la Commission scolaire des Affluents, notamment, sont fermées, de même que celles de la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles, dans les Laurentides.
Lundi, déjà, la Commission scolaire des Patriotes, en Montérégie, avait dû suspendre les cours de 13 écoles et retourner les élèves à la maison en raison d'une panne d'électricité majeure.
Quand le printemps reviendra-t-il ?
Ceux qui auront pris goût au beau temps vécu au cours du dernier week-end devront par ailleurs prendre leur mal en patience, puisque le mercure n'est pas encore prêt à monter, même si le soleil sera bientôt de retour, note Environnement Canada.
De belles journées seront ainsi au rendez-vous au Québec mercredi et jeudi, avec du soleil, mais sans la chaleur.
«Il n'y a pas beaucoup d'air chaud de disponible pour la région, admet le météorologue d'Environnement Canada Simon Legault. On ne verra pas [du temps] aussi chaud que les températures qu'on a connues en fin de semaine.»
M. Legault précise d'ailleurs que les gens ne doivent pas être surpris par ce temps en montagne russe, puisque ces hauts et ces bas météorologiques sont la norme en cette saison.
«Le printemps, c'est ça, ça oscille entre de belles journées chaudes, des journées froides, des mélanges de précipitations, de la pluie... C'est un peu de tout le printemps, avant que ça se décide franchement à être l'été», rappelle-t-il.
https://fr.sott.net/article/33733-Canada-Neige-verglas-ecoles-fermees-et-pannes-d-electricite
En plein mois d'avril, la neige fait son retour à basse altitude dans les Pyrénées
RépondreSupprimerdim., 07 avr. 2019 18:02 UTC
La neige est tombée en abondance, sur la station Peyragudes, dimanche 7 avril 2019.
C'est l'invitée surprise de ce week-end. Dimanche 7 avril 2019, la neige a fait son retour dans les Pyrénées, sans doute pour un dernier baroud d'honneur. On fait le point en images.
De la neige dès 600 mètres en Haute-Garonne
Dans la vallée de Luchon, en Haute-Garonne, la neige est tombée à 600 mètres d'altitude, tandis que des flocons tombaient en abondance à la station Superbagnères.
Les stations de ski ravies
Alors qu'il s'agissait du dernier week-end de la saison dans de nombreuses stations de ski des Pyrénées, cette arrivée de neige fraîche est tombée à pic !
De la neige attendue lundi
Et la neige devrait continuer à tomber, lundi 8 avril 2019. « Il neigera sur les Pyrénées au dessus de 1600 m », indique Météo France, dans son bulletin national.
https://fr.sott.net/article/33730-En-plein-mois-d-avril-la-neige-fait-son-retour-a-basse-altitude-dans-les-Pyrenees
« Pourquoi et comment le datura contamine-t-il les denrées alimentaires ? » sur the Conversation
RépondreSupprimer9 Avril 2019
par Seppi
Glané sur la toile 330
« Pourquoi et comment le datura contamine-t-il les denrées alimentaires ? » est un article fort intéressant et très didactique de M. Xavier Reboud, chercheur en agroécologie à l'Institut National de la Recherche Agronomique (INRA).
Extrait :
« En cultures légumières, les choses se corsent. Le datura est en effet à floraison quand se fait la récolte de certains légumes verts. Les épinards, les haricots et flageolets sont plus particulièrement sujets à ce que des fragments de la plante, tous toxiques, soient inclus par inadvertance. Il peut alors s’avérer difficile de distinguer un fragment végétal de haricot d’un fragment de datura…
En France, le sarrasin est également victime du datura, car il est semé du printemps à l’automne, souvent comme une seconde culture de fin de saison. S’il est récolté pour ses grains, il peut se retrouver synchrone avec la maturité du datura. La taille du datura devrait permettre de le repérer et de l’éliminer en amont de la moisson, mais la distinction devient d’autant plus difficile que les plantes sèchent. Le millet se retrouvera dans une situation similaire à celle du sarrasin, toutefois cette céréale reste relativement peu utilisée en alimentation humaine dans notre pays, et la couleur des graines diffère franchement. »
Et aussi :
« Des pratiques qui contribuent à entretenir les risques
Au-delà de l’extension d’aire "naturelle" du datura, certaines pratiques peuvent favoriser sa dissémination. Ainsi, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail a constaté que 30 à 50 % des lots de graines de tournesol et de mélanges de graines à destination des oiselleries sont contaminés par du datura. Sans doute de peu d’impact sur les oiseaux, cette information est préoccupante, car ce sont autant de sources de dispersion récurrente et à longue distance dans l’environnement. Les mélanges pour jachère faune sauvage seraient aussi des sources de différentes contaminations botaniques.
Par ailleurs, malgré le risque d’intoxication, différentes espèces et variétés de datura sont également toujours proposées en jardinerie du fait de la qualité esthétique de la fleur. Certains sites de jardinage ont même pu aller jusqu’à proposer d’introduire sciemment le datura dans les parcelles maraîchères, dans l’espoir de contenir certains insectes ravageurs herbivores. Cette pratique, dont l’efficacité n’a jamais été avérée, a pu accroître le nombre de situations ou le datura s’est retrouvé en contact direct avec des cultures maraîchères destinées à l’alimentation. »
On peut aussi lire en complément, et d'un œil désabusé, cet article du Ministère de l'Agriculture et de l'alimentation.
Version ministère :
« Les alcaloïdes sont des substances naturelles d’origine végétale, utilisées en pharmacologie pour leurs propriétés thérapeutiques, mais qui peuvent aussi être très toxiques si la dose produisant des symptômes est dépassée ou lors de prises répétées. »
Version Xavier Reboud :
RépondreSupprimer« Botanistes, vétérinaires et médecins s’accordent pour définir le datura comme une plante particulièrement toxique. Cette toxicité (qui, comme c’est souvent le cas pour les « plantes à poison », lui confère également des vertus médicinales), provient du fait que toutes ses parties (fleur, feuille, graine, sève) contiennent d’importantes teneurs en alcaloïdes. »
Amis lecteurs, vous ne serez pas surpris d'apprendre que ma préférence va à la seconde... la caractéristique principale doit passer avant la secondaire.
http://seppi.over-blog.com/2019/04/pourquoi-et-comment-le-datura-contamine-t-il-les-denrees-alimentaires-sur-the-conversation.html
(...) Certains sites de jardinage ont même pu aller jusqu’à proposer d’introduire sciemment le datura dans les parcelles maraîchères, dans l’espoir de contenir certains insectes ravageurs herbivores. Cette pratique, dont l’efficacité n’a jamais été avérée, a pu accroître le nombre de situations ou le datura s’est retrouvé en contact direct avec des cultures maraîchères destinées à l’alimentation. » (...)
SupprimerC'est TOUS LES JOURS que les sites dits 'de jardinage' font la propagande pour l'absence de labour !!! l'absence de traitement contre les maladies qui envahissent les jardins !!! et vendent même des sortes de fagots de bois de diverses grosseurs pour mettre dans son jardin à l'automne afin de protéger les insectes du froid de l'hiver en se logeant dans ces petits tas de bois !!! Vive les chenilles et papillons qui dévorent et contaminent tous les jardins !
Même certains vont jusqu'à faire de la publicité pour traiter toutes maladies avec... des projections de savon noir ou de bicarbonate !!! HAHAHAHAHA !
Ce sont des trolls qui postent des commentaires sur ces sites en soulignant que çà marche ! "Depuis plusieurs années je l'utilise !" Hahahaha !
Une étude montre que les petits agriculteurs n'ont pas accès à des semences de qualité
RépondreSupprimer9 Avril 2019
par Seppi
Joseph Opoku Gakpo*
Un nouveau rapport indique que moins de 10 % des petits exploitants agricoles du monde ont accès à des semences améliorées et de qualité, capables de freiner la faim et de tolérer les effets du changement climatique.
Le rapport 2019 de l’Access to Seeds Index révèle que seuls 47 millions des 500 millions de petits exploitants agricoles du monde ont pu acquérir des semences améliorées auprès des 13 plus grandes entreprises mondiales de semences du monde en 2017.
L’indice, publié par la fondation néerlandaise Access to Seeds, a pour but d’évaluer les travaux des grandes sociétés semencières mondiales, en mettant l’accent sur la manière dont l’industrie peut faire davantage pour augmenter la productivité des petits exploitants agricoles, améliorer la nutrition et atténuer les effets du changement climatique par le développement et la diffusion de semences de qualité.
Ido Verhagen, directeur exécutif de l'Access to Seeds Index, a appelé à de nouveaux efforts pour combler le fossé. « Bien que l'industrie progresse dans le développement de variétés plus nutritives et plus résistantes au climat, il est clair qu'il reste encore beaucoup à faire », a-t-il déclaré. « Des changements importants ne seront pas possibles sans toucher un pourcentage plus élevé de petits exploitants, qui représentent la part du lion (80 %) de la production alimentaire mondiale ».
Le rapport invite l’industrie mondiale des semences à faire plus, notant qu’il est essentiel de fournir des semences améliorées à de petits exploitants agricoles pour lutter contre la malnutrition croissante, le nombre de personnes souffrant de la faim étant passé de 784 millions en 2014 à près de 821 millions en 2017. « Le rôle de l'industrie mondiale des semences reste crucial pour atteindre l'objectif 2 du développement durable sur la faim zéro d'ici 2030 », a déclaré Verhagen, se référant au Programme de Développement Durable à l'Horizon 2030 adopté par tous les États membres des Nations Unies en 2015.
L'indice révèle également que les entreprises semencières accordent une plus grande attention au changement climatique, 12 des 13 entreprises évaluées ayant indiqué qu'elles donnaient la priorité aux caractères qui augmentent les rendements et améliorent la tolérance aux risques climatiques et météorologiques. Toutefois, la fondation a également fait part de sa préoccupation quant au retard de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique centrale par rapport aux autres régions en termes de présence des entreprises et d’investissements dans les activités semencières locales, telles que la sélection, la production et le conditionnement.
Réactions à signaler
L'agriculteur ghanéen Evans Okomeng a déclaré qu'un grand nombre d'agriculteurs de plusieurs pays en développement peinent toujours à avoir accès aux semences améliorées qui constituent un élément important de toute entreprise agricole.
« En tant qu’agriculteur, trois éléments majeurs contribuent à votre production », a-t-il noté. « C’est la qualité des semences, les intrants et de bonnes pratiques agricoles. Donc, c’est comme "camelote en entrée, camelote en sortie". Si vous utilisez de mauvaises semences, vous aurez un faible rendement. La semence est un élément majeur en matière de sécurité alimentaire et de qualité du rendement. »
Okomeng a personnellement fait l'expérience de semer de mauvaises graines et de perdre de l'argent en conséquence. « Quand j'ai commencé à cultiver, je suis allé acheter des semences censées être résistantes à la sécheresse, mais plus tard, j'ai réalisé qu'elles ne pourraient pas résister à la sécheresse », a-t-il rappelé. « Cela m'a fait perdre environ 80% du rendement attendu sur mon champ de maïs de 2 hectares. Il est donc nécessaire de déployer des efforts délibérés pour mettre à la disposition des agriculteurs des semences améliorées de qualité. »
RépondreSupprimerAmos Rutherford Azinu, président-directeur général de Legacy Crop Improvement Centre, une entreprise de semences hybrides au Ghana, décrit les données du rapport sur l’accès limité aux semences améliorées comme « une situation très préoccupante. Vous pouvez faire de l’agriculture sans terres, vous pouvez produire sans engrais, mais vous ne pouvez pas faire de la production agricole sans semences. La sécurité semencière est donc synonyme de sécurité alimentaire. »
Le défi a été que dans beaucoup de pays en développement, les gouvernements ont longtemps contrôlé le secteur des semences, un scénario qui n’a pas fonctionné, a-t-il expliqué. Ensuite, la transition permettant une implication du secteur privé n’a pas été correctement gérée.
Les agriculteurs ghanéens, par exemple, ont longtemps utilisé des semences à pollinisation libre qu’ils pouvaient ressemer, a déclaré Azinu. Ils n’avaient pas besoin d'acheter des semences à des entreprises chaque année, ce qui décourageait beaucoup d’entreprises d’investir dans le secteur. Il a ajouté que cette situation a également créé une culture dans laquelle les agriculteurs ne veulent pas payer pour des semences de qualité.
« Beaucoup d'agriculteurs utilisaient des variétés à pollinisation libre pouvant être recyclées », a-t-il expliqué. « On a abusé du système et à cause de cela, au fil des ans, ils ont réutilisé des semences. Alors maintenant, quand vous leur dites d’opter pour des semences hybrides et qu’ils doivent en acheter de nouvelles chaque année, ils ne comprennent pas. »
Il appelle à une collaboration accrue entre le secteur public et le secteur privé dans le domaine des semences afin d'assurer que des semences parviennent aux agriculteurs des pays africains en développement. « Les multinationales peuvent faire d’énormes investissements ; le secteur public a beaucoup de connaissances qui peuvent aider à identifier les besoins en matière de sélection », a déclaré Azinu.
De telles collaborations ont eu des résultats positifs dans certains pays en développement dont d'autres peuvent tirer des enseignements, a-t-il noté. « Au Zimbabwe, par exemple, ils ont le taux d'adoption de semences commerciales le plus élevé d'Afrique. Plus élevé même que l'Afrique du Sud. Malgré la crise économique, si vous prenez 10 agriculteurs au Zimbabwe, huit d’entre eux retourneront à la société semencière. Et c'est parce qu'il y a un secteur privé dynamique impliqué dans la production de semences. Donc, le secteur privé est en plein contrôle de la situation. Cela a permis la concurrence, et les agriculteurs en bénéficient », a expliqué Azinu.
Maxwell Asante Darko, sélectionneur de plantes à l'Institut de Recherche sur les Cultures du Ghana, a reconnu la nécessité d'un effort soutenu pour encourager la participation du secteur privé à la filière des semences. Il souhaite que les investissements dans les sociétés locales productrices de semences soit augmentés afin qu'elles puissent contribuer à combler le vide créé par l'absence d'acteurs mondiaux sur ces marchés.
« Le problème avec les semences, c'est que votre terre est prête et que la saison commence », a déclaré Asante. « Vous ne pouvez pas attendre pour les semences. Les agriculteurs vont semer ce qu'ils ont. Les agriculteurs veulent de bonnes semences. Ils achèteront même de bonnes semences à un prix plus élevé s’ils pensent qu’elles sont de bonne qualité. Le secteur privé est la voie à suivre. Il est nécessaire d'investir davantage dans l'industrie des semences. »
RépondreSupprimerIl a ajouté: « Nous avons besoin d'un système de distribution de semences pour que les agriculteurs puissent les avoir à leur portée s'ils en ont besoin. Ils devraient pouvoir se rendre dans un endroit proche et obtenir des semences à bon prix. Et c’est grâce à des semences de bonne qualité, dont ils peuvent être sûrs qu'elles vont germer, qu'ils vont pouvoir revenir en acheter la saison suivante. »
Justin Rakotorasaona, secrétaire général de l’Association Africaine du Commerce des Semences, organisation basée au Kenya, qui promeut le commerce de semences et de technologies de qualité en Afrique, souhaite une approche globale du problème de l’accès aux semences. Les efforts visant à renforcer le secteur des semences devraient aller de pair avec des mesures visant à garantir aux agriculteurs des marchés pour leurs produits, a-t-il déclaré.
« Les agriculteurs africains auront les moyens d’obtenir d’excellentes semences si l’excellente récolte qui en résulte est profitable », a observé Rakotorasaona. « En l'absence de cela, pourquoi devraient-ils s'embêter ? »
_____________
* Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2019/02/smallholder-farmers-lack-access-quality-seeds-study-shows/
http://seppi.over-blog.com/2019/04/une-etude-montre-que-les-petits-agriculteurs-n-ont-pas-acces-a-des-semences-de-qualite.html
C'est effectivement ce que propose généralement les supermarchés où des graines de mauvaises qualités sont accrochées au rayon semence à des prix à sauter au plafond ! Hahahaha !
SupprimerRien ne vaut les bonnes graines ! Comment en avoir ? Lorsque vous achetez un fruits et qu'il est bon pour vous, conservez ces graines, pépins ou noyaux et vous les sèmerez chez vous et aurez les mêmes ! Pas plus difficile !
RépondreSupprimer1 Japonais sur 10 est encore vierge à ses 30 ans
Arnaud Lefebvre
9 avril 2019
Environ un Japonais dans la trentaine sur dix est encore vierge, indique une étude publiée récemment dans la revue BMC Public Health. Les scientifiques ont cherché à savoir pourquoi une partie de la population japonaise semble s’être détournée du sexe.
Au cours de la dernière décennie, la moitié de la population japonaise perdait sa virginité au cours de la vingtaine. Cette étude définit une personne vierge comme une personne qui n’a jamais eu de rapports sexuels avec un membre du sexe opposé.
« Les taux de personnes hétérosexuelles sexuellement inexpérimentées au Japon sont les plus élevés jamais enregistrés dans un pays à haut revenu« , a expliqué au magazine Newsweek le Docteur Peter Ueda, auteur principal de l’étude et expert en épidémiologie et en santé publique de l’Université de Tokyo.
Sexualité
Les chercheurs ont analysé sept études issue de l’enquête nationale sur la fécondité réalisée tous cinq ans au Japon par le National Institute of Population and Social Security Research. Les enquêtes ont été menées entre 1988 et 2015 et ont concerné entre 11.553 et 17.859 participants âgés de 18 à 39 ans.
Entre 1992 et 2015, le nombre de femmes vierges entre 18 et 39 ans est passé de 21,7% à 24,6%. Chez les Japonais, ce pourcentage est passé 20% à 25,8%. Pour les femmes de 30 à 34 ans, le pourcentage de celles n’ayant jamais eu de rapports sexuels est passé de 6,2% en 1987 à 11,9% en 2015. Pour les hommes de la même tranche d’âge, ce chiffre est passé de 8,8% à 12,7% sur la même période. Enfin, le Japon comptait en 1992 près de 4% de femmes vierges entre 35 et 39 ans, contre 8,9% en 2015. Durant la même période, ce pourcentage est passé de 5,5% à 9,5% chez les hommes japonais de la même tranche d’âge.
L’étude n’indique pas les raisons pour lesquelles les trentenaires japonais n’ont pas de relations sexuelles. Toutefois, Ueda pense que les données suggèrent qu’il s’agit de facteurs socio-économiques.
Le professeur a attiré l’attention à maintes reprises de la communauté sur les « problèmes » sexuels du Japon. Il évoque l’existence de divers courants sexuels « exotiques » au Japon. Pour illustrer son propos, le scientifique cite entre autres la montée des Soshokukei Danshi, les « hommes herbivores » qui ne recherchent aucune relation sexuelle, les stages de flirt destinés aux femmes ou encore les cours de dessin de nus afin de familiariser les hommes inexpérimentés aux formes féminines.
Facteurs socio-économiques
« Nous ne pouvons pas ignorer les effets de courants plus exotiques. Toutefois, nous pouvons affirmer que les facteurs socio-économiques jouent un rôle important dans ces tendances », explique le chercheur.
Parmi les hommes de 25 à 39 ans, ceux de la catégorie de revenus moins élevés avaient dix fois plus de changes d’être vierges que ceux de la catégorie de revenus élevés. Les hommes de cette tranche d’âge au chômage ou travaillant à temps partiel avaient respectivement huit et quatre fois plus de chances d’être vierges que ceux dont l’emploi est régulier. Parallèlement, les femmes avec des revenus inférieurs étaient plus susceptibles d’avoir des relations sexuelles.
Préoccupation nationale
RépondreSupprimer« L’inexpérience sexuelle chez les jeunes adultes est devenue une préoccupation nationale au Japon », a déclaré Ueda. Il y a eu beaucoup de malentendus à ce sujet car les chiffres étaient au départ limités aux personnes qui n’avaient jamais été mariées. Ce qui est inquiétant, c’est la proportion de personnes qui ne participent pas activement au marché de l’accouplement tout au long de leur jeune âge adulte. »
Ueda a insité sur le fait que l’étude était limitée car elle suppose que les participants ont dit la vérité en ce qui concerne leur expérience sexuelle. En outre, l’enquête nationale sur la fécondité n’inclut pas de données sur les expériences entre personnes du même sexe.
« Le sexe est important sur le plan de la qualité de vie et de la santé publique. Nous devrions également considérer l’inactivité sexuelle involontaire comme un problème de santé publique qui mérite davantage d’attention. Toutefois, les personnes sexuellement inactives ne sont pas nécessairement insatisfaites », a encore ajouté Ueda.
« Nous vivons une période de turbulences sur le marché japonais et dans les autres pays à revenu élevé. Les normes concernant les partenariats à long terme et le mariage ne sont plus aussi fortes qu’auparavant et les attentes concernant les relations amoureuses et sexuelles changent. »
https://fr.express.live/1-japonais-sur-10-est-encore-vierge-a-ses-30-ans/
(...) Ueda pense que les données suggèrent qu’il s’agit de facteurs socio-économiques (...)
SupprimerMalheureusement ne sont pas abordées les relations personnelles en solitaires ou avec des substituts. Le nombre de poupées 'plus vraies que nature' serait exponentiel. Mais servent-elles à mettre en décors dans une pièce ou à s'en servir de temps à autre ?
C'est là un drame de construction mentale, absence de dialogue et d'aborder ces sujets ou discrétion incomprise !
RépondreSupprimerLe Royaume-Uni envisage d’adopter la législation de l’Internet « la plus dure du monde »
Audrey Duperron
8 avril 2019
C’est une première mondiale : le Royaume-Uni a décidé de ne plus se fier uniquement à la bonne volonté des plate-formes de l’internet, et de passer à l’acte. Le gouvernement britannique vient de proposer une nouvelle législation pour rendre l’internet plus sûr pour ses utilisateurs. Ce projet a déjà été décrit par certains comme étant la législation de l’internet « la plus dure du monde ».
La création d’un organisme de surveillance
La nouvelle législation s’appliquerait à toute entreprise permettant à ses utilisateurs de partager des contenus, ou d’interagir entre eux en ligne. Les propriétaires de sites de réseaux sociaux, tels que Facebook, mais aussi les services de messagerie du type WhatsApp, les moteurs de recherche tels que Google et les forums de discussion publics comme Reddit, seraient donc en première ligne.
Elle prévoit d’obliger ces entreprises à prendre des mesures appropriées pour protéger leurs utilisateurs contre la mise en contact de contenus préjudiciables ou illégaux (incitation à la violence et diffusion de contenus violents, y compris terroristes, incitation à l’automutilation ou au suicide, propagation de désinformation et d’infox, harcelement sur internet… Ces entreprises devront obligatoirement prendre des mesures « de diligence » pour lutter contre ce type de contenus. Les contenus liés au terrorisme, à l’exploitation sexuelle des enfants et aux abus pédosexuels, feront l’objet des mesures les plus sévères.
Les plate-formes de l’internet devront également faciliter la signalisation et le dépôt de plaintes des utilisateurs, et publier annuellement un rapport annuel de transparence.
Les responsables des sites pourront être personnellement mis en cause
En outre, la proposition de loi prévoit la création d’un nouvel organe de surveillance de l’internet chargé de veiller à l’application de cette réglementation.
La sévérité des sanctions en cas de non-respect de ces mesures est particulièrement remarquable. En effet, les sites contrevenants seront exposés à des sanctions très lourdes, actuellement à l’étude. Il est question d’infliger de grosses amendes, mais aussi « de bloquer l’accès aux sites et, éventuellement, d’engager la responsabilité de certains membres de la haute direction« , peut-on lire dans le projet de loi.
« L’ère de l’autorégulation des entreprises en ligne est révolue. Les mesures volontaires prises par le secteur pour lutter contre les contenus nuisibles sur internet n’ont pas été appliquées de manière cohérente ou ne sont pas allées assez loin », a commenté Jeremy Wright, secrétaire d’État britannique au numérique. Et pour cause : si elles sont adoptées, ces mesures forceront les plate-formes de l’internet à surveiller les contenus avec beaucoup plus de rigueur qu’elles ne le font actuellement.
Un précédent qui risque de faire des émules
Le projet de loi sera examiné pendant 12 semaines avant de donner naissance à une législation définitive. Il est d’autant plus remarquable, qu’il constitue une réponse à un problème auquel de nombreux pays du monde entier sont confrontés. « Étant donné que la plupart des structures gouvernementales ont été créées avant l’existence d’Internet, il est souvent difficile de déterminer quel organisme gouvernemental existant devrait gérer la réglementation sur Internet », rappelle le site américain.
Même si cette législation ne s’applique qu’au contenu accessible au Royaume-Uni, elle pourrait influencer les règlementations d’autres pays, note le site Axios. De telles mesures pourraient en effet créer un précédent, et faire d’autres émules au plan international. On peut d’ailleurs s’attendre à ce que certaines des sociétés concernées par cette réglementation décident de stopper leurs activités au Royaume-Uni, plutôt que de s’y conformer.
RépondreSupprimerhttps://fr.express.live/royaume-uni-projet-de-loi-contenus-internet/
SupprimerComme dans toutes les dictatures, l'internet fait peur. Peur car il y avait déjà en 2010 plus de 4 % de surdoués dans le monde ! soit plus de 280 millions de têtes bien pleines surpassant bien-sûr les crânes vides des dirigeants.
C'est pourquoi, sous couvert de 'protéger' la population est justifiée une mise en place de surveillance des messages où les internautes oseraient de diffuser des articles de scientifiques et iraient jusqu'à déconseiller les sites de la dictature arguant le le niveau des mers va monter ou que les températures se réchauffent ou que le gaz carbonique est... un poison ! Hahahaha !
« La fin d’une époque » : la Norvège renonce aux dizaines de milliards de dollars de pétrole des Lofoten
RépondreSupprimerAudrey Duperron
9 avril 2019
La Norvège vient de prendre une décision qui marque une évolution importante dans son histoire. Elle vient de renoncer à exploiter un grand gisement de pétrole situé dans l’archipel des Îles Lofoten, situé dans l’Arctique, au Nord du cercle polaire.
Le parti des Travaillistes, actuellement dans l’opposition, a en effet décidé de retirer son soutien à une possible exploration de ce territoire.
« La fin d’une époque »
Jusqu’alors, il était favorable avec les conservateurs à une levée du moratoire sur l’exploitation pétrolière dans cet archipel. De ce fait, le camp opposé à cette proposition est devenu majoritaire, au grand dam du secteur et de ses syndicats. « Ce changement important opéré par le plus grand parti norvégien pourrait signaler que la nation scandinave s’approche de la fin d’une époque qui en a fait l’une des plus riches du monde », écrit Bloomberg.
Les compagnies pétrolières du pays, dont la compagnie d’Etat Equinor ASA, le plus grand producteur norvégien, avaient en effet déclaré que l’accès aux Lofoten était nécessaire pour permettre au pays de maintenir son noiveau de production. L’archipel recèlerait 1 à 3 milliards de barils, selon les estimations, un trésor dans le contexte actuel d’épuisement des gisements déjà exploités. Si toutes ces réserves avaient été exploitées judicieusement, le champ des Lofoten aurait pu rapporter 65 milliards de dollars de revenus supplémentaires à l’économie norvégienne, affirmait en 2017 The Economist, qui avait fait cette évaluation aux cours du dollar et du pétrole d’alors.
Un revirement écologique
Le choix des Travaillistes n’est pourtant pas si surprenant, alors que les Norvégiens commencent à remettre en cause les implications de l’exploitation pétrolière en matière de pollution et de réchauffement climatique.
Pendant des années, les Lofoten avaient été épargnées grâce à des compromis politiques, en raison des spécificités propres à cet archipel. Il abrite en effet le plus grand récif corallien d’eau froide du monde et la plus grande colonie d’oiseaux de mer d’Europe. Près de 70 % de toutes les espèces de poissons capturés dans les mers de Barents et de Norvège utilisent ces eaux comme une nurserie, et la présence de ces alevins fournit de la nourriture pour les phoques et les baleines.
Les environnementalistes objectaient aussi que l’exploitation pétrolière des Lofoten était incompatible avec l’engagement de la Norvège de respecter les accords climatiques de Paris, compte tenu qu’il s’agit d’une énergie fossile.
Le trésor touristique norvégien
Une exploitation pétrolière menaçait aussi de ruiner le tourisme. Les îles Lofoten sont en effet réputées pour leur beauté spectaculaire et elles attirent chaque année 1 million de touristes. Les plateformes qui auraient été construites auraient été plus proches de la côte que les celles des gisements exploités actuellement dans la mer de Barents, souvent situées à des centaines de kilomètres au large. Cela signifie qu’elles auraient été visibles du rivage, et qu’elles auraient gâché ces paysages renommés.
De plus, les infrastructures de l’archipel sont peu développées, ce qui impliquait que cette exploitation aurait nécessité de lourds investissements, difficilement amortissables dans un contexte de grande volatilité des cours du pétrole. Par ailleurs, le plus grand marché à l’exportation du pétrole norvégien n’est autre que l’Europe, qui tente elle-même de substituer les énergies renouvelables aux carburants fossiles.
RépondreSupprimerCette décision créée aussi un précédent. Le secteur pétrolier norvégien craint désormais que ce rejet prenne de l’ampleur. Dans une seconde étape, c’est toute l’exploitation pétrolière en mer de Barents qui pourrait être remise en cause. De même, il redoute de nouvelles volte-faces du parti Travailliste, par exemple sur la question des taxes pétrolières, ou de la prise en charge des frais d’exploration pour les firmes non rentables.
https://fr.express.live/norvege-gisement-petrole-lofoten/
L'horreur de la dictature monarchique ! Absence de chaleur obligatoire dans tout le pays !
SupprimerLa folie s'est emparé des dirigeants sur le trône (chauffé grâce aux deniers du Peuple) et dit se tourner vers les panneaux solaires (soleil absent du ciel plus de 300 jours par an !) et les éoliennes qui gèlent sur place ou qui tuent des millions d'oiseaux !
UNE SUGGESTION MODESTE EN MATIERE D'ENERGIE RENOUVELABLE
RépondreSupprimer9 avril 2019
Par KEVIN KILTY,
introduction
Le 12 mars dernier, le Center of American Experiment (CAE) a publié une étude sur les coûts énergétiques projetés pour le Minnesota sur la base de sa nouvelle politique prévoyant l'utilisation de 50% d'énergie renouvelable d'ici 20301. Cette étude a été publiée peu de temps après sur les blogs PowerLine et Manhattan. Contrarian.
Parmi les hypothèses retenues par CAE pour calculer le coût de l'énergie actualisé (LCOE), il était indiqué que le facteur de capacité des centrales éoliennes fournissant le Minnesota en 2030 serait en moyenne de 40% au cours d'une année. Bien que cela ne soit pas aussi élevé que les 44% prévus par l'Agence d'information sur l'énergie (EIA) ou les 40-60% prévus par le Laboratoire national des énergies renouvelables (NREL) pour l'année 20302, il me semblait encore élevé et j'ai commencé brève étude du facteur de capacité pour vérifier ces hypothèses. En tant que sources d’information, j’ai effectué des recherches dans les divers profils annuels de l’EIE sur l’électricité et des documents techniques de l’EIA, de la FERC et de la NREL.
1. Capacité de production d'électricité
Comme expliqué dans un document technique accompagnant les différents profils électriques d'état EIA3, le facteur de capacité est le rapport entre l'énergie électrique réelle générée sur une année et la production maximale possible d'énergie (capacité de la centrale) corrigée des temps d'arrêt anticipés. Cet ajustement, appelé facteur de disponibilité, va de 0,97 pour les centrales thermiques à 0,99 pour les éoliennes et constitue donc un facteur peu important dans la plupart des calculs de capacité. En fait, il n’est pas clair qu’il soit même utilisé du tout pour les éoliennes.
Ainsi, le facteur de capacité semble être un concept très simple. Pourtant, les profils d'électricité des États de l'EIA ne répertorient pas la capacité, mais incluent plutôt un onglet dans leur feuille de calcul intitulé Capability. La capacité n’est définie nulle part dans les glossaires ou les documents techniques du site EIA. Cependant, un appel téléphonique à un membre du personnel de l'EIA a révélé que cette capacité correspond très probablement à la capacité de génération estivale ou à la capacité nette estivale5. C’est pourtant, sans aucun doute, la base du calcul des facteurs de capacité.
La capacité de production saisonnière est définie dans de nombreux endroits et toujours de la manière suivante. La capacité estivale nette correspond à la puissance nette qu'une centrale peut fournir à une charge au cours d'un test de plusieurs heures effectué dans des conditions estivales (de mai à octobre). La capacité hivernale serait similaire sauf qu’elle serait testée dans des conditions adaptées à la saison hivernale de novembre à avril. Il y a de bonnes raisons de faire de telles distinctions et tests pour les centrales thermiques. Pendant une saison estivale, le côté condenseur d’une centrale thermique peut ne pas être en mesure d’atteindre sa basse température de conception, ce qui nuit à son efficacité thermique. En hiver, un autre ensemble de parasites thermiques entre en jeu; mais ceux-ci réduisent également la puissance nette fournie à la charge.
En ce qui concerne les éoliennes, cependant, tout ce type d'ajustement minutieux de la puissance délivrée à la charge dans des conditions réalistes va à la traîne. Pour les éoliennes, la capacité estivale nette n’est que la valeur nominale de la plaque signalétique de l’équipement. Cependant, il est évident que les conditions estivales ne produiraient jamais la puissance nette d’une éolienne dans une charge conforme aux spécifications de la plaque signalétique, car le vent ne soufflait pas.
RépondreSupprimerLe tableau 1 montre, à titre d'exemple, les facteurs de capacité extrêmes (élevés et faibles) des centrales éoliennes dans certains États au cours de l'année 2017, ainsi que les mois d'hiver ou d'été concernés.
État facteur de capacité d'été Facteur de capacité d'hiver
Colorado juillet 22,3% décembre 42,6%
Montana juillet 25,8% décembre 44,4%
Nouveau-Mexique août 23,6% novembre 48,9%
Wyoming Juillet 23,6% Décembre 40,6%
Texas août 23,3% mars 45,1%
Dakota du Nord août 28,5% décembre 59,1%
Dakota du Sud août 22,2% décembre 51,2%
Iowa août 16.0% février 47.4%
Minnesota août 15,8% décembre 49,2%
- voir sur site -
Tableau 1. Facteurs de capacité pour l'énergie éolienne en été et en hiver dans certains États. Statistiques pour l'année 2017. Données des rapports annuels du profil d'électricité de l'EIA.
Au cours de la saison estivale, généralement en août, les facteurs de capacité sont toujours inférieurs à 25% et diminuent en fait d'ouest en est dans tout le pays pour atteindre des valeurs aussi basses que 16% dans l'Iowa et le Minnesota. Les chiffres réels peuvent changer un peu d’une année à l’autre, mais la tendance est claire. La capacité estivale nette des centrales éoliennes n’est nulle part proche de la capacité publiée par l’EIA. À cela s’ajoute le schéma typique d’utilisation de l’énergie électrique, qui atteint son maximum à l’échelle nationale à la fin de l’été, en juillet et en août, exactement à l’époque des plus faibles capacités nettes des centrales éoliennes.
2. Une suggestion modeste
Le LCOE peut utiliser des facteurs de capacité moyenne prévus allant de 40% à 60%, mais les ingénieurs ne conçoivent pas pour des conditions moyennes. Au lieu de cela, reconnaissant que le monde présente des incertitudes, ils conçoivent souvent en tenant compte des incertitudes particulières. Il peut s’agir du pire des scénarios ou d’une certitude de 99%, ou de quelque chose de similaire, mais jamais de conditions moyennes. Nous disposons de données concernant la vitesse du vent à une échelle de temps suffisamment fine et mesurée sur des périodes suffisamment longues pour permettre de calculer la capacité attendue des centrales éoliennes en toute saison ou tout mois, et nous pourrions:
calculer des chiffres raisonnables avec tout degré de certitude requis. En fait, même sans données spécifiques à une installation, une personne peut collecter les données de stations météorologiques sur des sites proches et effectuer un calcul très raisonnable de la capacité nette tous les mois. Pourtant, nous ne nous en soucions pas. Je suggère que nous devrions.
Ajouter une capacité d'été réaliste à d'autres mesures de capacité aurait deux effets positifs sur les discussions sur les énergies renouvelables.
RépondreSupprimerPremièrement, en ce qui concerne les discussions sur les marges d’approvisionnement en électricité, on remarque que les agences gouvernementales traitent la marge que les nouvelles énergies renouvelables ajoutent au réseau sur la base de la notation indiquée sur la plaque signalétique6. Cela ne présente pas beaucoup d'effet négatif tant que l'éolien et le solaire restent des contributeurs mineurs au paysage énergétique net saisonnier. Cependant, alors que les énergies renouvelables tentent d’atteindre les 40% à 50% de la capacité envisagée dans les portefeuilles d’énergies renouvelables, les gens devront finalement reconnaître que 1 MW d’énergie éolienne standard ajoutée à un système ne représente en réalité que 160 kW dans son fonctionnement en août.
Deuxièmement, la soi-disant pénétration des énergies renouvelables dans un système est souvent basée sur la notation de la plaque signalétique ou sur la production réelle, les énergies renouvelables étant prioritaires sur le réseau. Cela a pour effet pernicieux de faire en sorte que les énergies renouvelables semblent faciles à intégrer et que les portefeuilles d'énergies renouvelables semblent faciles à gérer. Offrir quelque chose comme une capacité nette pire mois d’été pour augmenter d’autres mesures de capacité pour les centrales renouvelables ne rendrait pas parfaitement compte de la complexité des incertitudes, mais donnerait plus de réalisme à toutes les discussions. Cela donnerait au moins un signe explicite de la quantité de construction excessive requise pour constituer un réseau fiable à partir d'énergies renouvelables.
End notes:
1 Doubling Down on Failure: How a 50 Percent by 2030 Renewable Energy Standard Would Cost Minnesota $80.2 Billion, Isaac M. Orr, Mitch Rolling, and John Phelan. Find at: https://www.americanexperiment.org
2 Power Plant of the Future through Science-Based Innovation, Dykes, et al. National Renewable Energy Laboratory, Technical Report NREL/TP-5000-68123 August 2017.
3 These can be found online at, using Colorado as an example, https://www.eia.gov/electricity/state/colorado/.
4 For example, at the Duke Energy owned Top of the World wind turbine farm in Wyoming, the nameplate capacity of the various wind turbines adds to 200.2MW and the EIA lists this plant capacity as 200MW, which is well above an availability factor of 0.99.
5 This exercise of chasing down the true meaning of terms always reveals that definitions are slippery, sometimes difficult to locate; and, rarely does anyone exhibit complete confidence about how particular figures are calculated.
6 For instance, refer to the assessment the Offices of Electric Reliability and Enforcement at FERC made for summer 2017 found at: https://www.ferc.gov/market-oversight/reports-analyses/mkt-views/2017/2017-summer-assessment.pdf
LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE VA SUPPRIMER 750 POSTES EN FRANCE
RépondreSupprimerpar MARIE-EVE WILSON-JAMIN
09/04/2019
Un nouveau plan de réduction des coûts de près de 500 millions d'euros d'ici 2020 dans la BFI avait été annoncé.
La Société Générale a confirmé mardi 9 avril 2019 la suppression de 1 600 postes dans le monde, dont environ 750 en France, dans un communiqué. Elle a indiqué souhaiter réduire la voilure dans ses activités de marché.
Société Générale : 1 600 postes surpprimés dans le monde
Rien ne va plus à la Société Générale qui vient d'annoncer dans un communiqué, mardi 9 avril, vouloir supprimer près de 1 600 postes au total dans le monde, dont environ 700 en France, notamment dans sa banque de financement et d’investissement (BFI). La direction avait averti les associations syndicales lundi 8 avril.
Dans le détail, en France, la banque souhaite supprimer environ 500 postes dans la BFI et 171 dans son activité de banque de détail et de services financiers internationaux, d’après la CFDT et la CGT. Ces suppressions de postes devraient se faire dans le cadre d’une rupture conventionnelle collective (RCC), c’est-à-dire via des départs volontaires. Pour rappel, cette RCC a notamment été mise en place par les « ordonnances Macron » qui ont réformé le Code du travail.
Un plan de réduction des coûts d’environ 500 millions d’euros d’ici 2020 dans la BFI
La crise continue donc pour la Société Générale, entachée par l'affaire, puis le procès Kerviel, qui a déjà engagé depuis 2015 un vaste plan de transformation de sa banque de détail en France destiné à préserver sa rentabilité tout en répondant à l’évolution numérique du secteur et des usages de sa clientèle. Ces suppressions de postes, notamment dans la BFI, ne sont donc pas vraiment une surprise.
Et pour cause ! Un plan supplémentaire de réduction des coûts d’environ 500 millions d’euros d’ici 2020 dans cette branche au niveau mondial avait été annoncé, afin de permettre à la banque de regagner en rentabilité sur les activités de marché. Pour rappel, la banque emploie 148 000 personnes dans le monde, dont 20 000 dans la banque de financement et d'investissement.
http://www.economiematin.fr/news-societe-generale-supprimer-750-postes-france
SupprimerLes banques (comme tout autre magasin) ferment leurs portes à l'heure de l'Internet.
Les voitures électriques causent déjà des pannes de réseau en Australie
RépondreSupprimerApril 10th, 2019
En Australie, l’achat d’un véhicule électrique n’est que d’une voiture sur 4 000 de nos voitures en circulation. Pourtant, elles font déjà noircir les rues et risquent de faire exploser les transformateurs qu'il faut remplacer «plus souvent»:
Les voitures électriques causent déjà des pannes de réseau
Robert Gottliebsen, L'Australien
C’est une crise qui a été dissimulée à la grande majorité de la population… Le danger m’a vraiment fait prendre conscience lorsque j’ai rencontré une connaissance aisée de longue date de Melbourne qui vit dans une rue où se trouvent six voitures Tesla. Lorsqu'ils essaient tous de charger leurs batteries en même temps, l'électricité est coupée dans la rue parce que le réseau tombe en panne. Parfois, cela échoue lorsque seulement trois ou quatre d’entre eux essaient de charger en même temps.
Les Australiens ne possèdent actuellement que 5 000 véhicules électriques. Imaginez le plaisir de voir 500 000 nouveaux VÉ débarquer dans les rues en 2030, puis de nouveau en 2031, 2032,….
Il parle de la puissance intermittente provoquant des flux d'électrons «instables» qui rendent les transformateurs plus chauds:
À ma grande horreur, j'ai découvert que des villes comme Melbourne et Sydney risquaient de subir des explosions ou même un effondrement complet du système.
Gottliebsen a ensuite trouvé une solution (à l'exception de la solution évidente consistant à «ne pas se précipiter dans les véhicules électriques»). Il a trouvé quelque chose appelé la grille de Faraday, développée en Australie, mais ignorée, basée à présent en Écosse et utilisée par Londres et Tokyo.
Mais donnez-moi une raison de ne pas utiliser du lignite propre et bon marché pour les 300 prochaines années, de laisser le réseau en l'état et d'utiliser tout l'argent disponible pour la recherche médicale et les vacances aux Bahamas.
Apparemment, nous remplaçons les transformateurs plus souvent qu'auparavant. Un autre coût caché des énergies renouvelables ?
Tout à coup, le réseau, au lieu d'être simplement un système de trafic à sens unique, peut gérer différentes sources d'alimentation provenant de différentes directions. Les installations de Faraday remplacent les transformateurs actuels, qui sont en fait remplacés plus fréquemment car ils n’ont jamais été conçus pour le modèle de puissance qu’ils utilisent actuellement.
Ceci est laissé de côté, mais où est l'étude universitaire sur l'attrition des transformateurs et les coûts en Australie?
Les types d'ingénierie peuvent vouloir en savoir plus sur le réseau de Faraday ou sur PowerEngineeringInt.
Le réseau de Faraday est un réseau autonome à auto-équilibrage installé dans un réseau électrique existant. Il comprend un réseau de périphériques matériels autonomes indépendants appelés Faraday Exchangers, qui fonctionnent de manière isolée et sont indépendants de toute gestion de réseau central. En tant que tel, l’échangeur est conçu pour remplacer la fonction de l’infrastructure de réseau électrique existante, telle que transformateurs, convertisseurs, inverseurs et redresseurs.
Je ne peux pas m'énerver. Mais c’est peut-être bon pour une autre raison.
http://joannenova.com.au/2019/04/electric-cars-are-already-causing-some-grid-failures-in-australia/#more-63521
SupprimerCe qui veut bien dire que vous ne pouvez pas brancher chez vous une voiture électrique au risque de faire tout sauter ! Votre compteur serait hors service en plus des frais de remplacement ! Hahahaha !
RépondreSupprimerUne eau qui ne gèle jamais
10 AVRIL 2019
Peter Rüegg, ETH Zurich
L'eau peut-elle atteindre moins 263 degrés Celsius sans se transformer en glace ? Oui, disent les chercheurs de l'ETH Zurich et de l'Université de Zurich, s'il est confiné dans des canaux lipidiques à l'échelle nanométrique.
La fabrication de glaçons est un processus simple: vous prenez un bac à glaçons en plastique comme dans la plupart des ménages, vous le remplissez d'eau et vous le mettez au congélateur. Bientôt, l'eau se cristallise et se change en glace.
Si vous analysiez la structure des cristaux de glace, vous verriez que les molécules d’eau sont disposées en structures tridimensionnelles régulières. Dans l'eau, en revanche, les molécules ne sont pas organisées, ce qui explique la circulation de l'eau.
Eau vitreuse
Sous la direction des professeurs Raffaele Mezzenga et Ehud Landau, un groupe de physiciens et de chimistes de l'ETH Zurich et de l'Université de Zurich ont identifié un moyen inhabituel d'empêcher l'eau de former des cristaux de glace. Ainsi, même à des températures extrêmement basses, il conserve les caractéristiques amorphes d'un liquide.
Dans un premier temps, les chercheurs ont conçu et synthétisé une nouvelle classe de lipides (molécules de graisse) afin de créer une nouvelle forme de matière biologique "molle" appelée mésophase lipidique. Dans ce matériau, les lipides s’assemblent et s’agrégent spontanément pour former des membranes, se comportant de la même manière que les molécules adipeuses naturelles. Ces membranes adoptent alors une disposition uniforme pour former un réseau de canaux connectés dont le diamètre est inférieur à un nanomètre. La température et la teneur en eau, ainsi que la nouvelle structure des molécules lipidiques conçues, déterminent la structure de la mésophase lipidique.
Pas de place pour les cristaux d'eau
La particularité de cette structure est que, contrairement à un bac à glaçons, il n’y a pas de place dans les canaux étroits pour que l’eau forme des cristaux de glace. Elle reste donc désordonnée, même à des températures extrêmement basses. Les lipides ne gèlent pas non plus.
À l'aide d'hélium liquide, les chercheurs ont pu refroidir une mésophase lipidique consistant en un monoacylglycérol modifié chimiquement à une température pouvant atteindre moins 263 degrés Celsius, soit à peine 10 degrés au-dessus de la température zéro absolu, sans formation de cristaux de glace. À cette température, l'eau est devenue "vitreuse", comme les chercheurs ont pu le démontrer et le confirmer dans une simulation. Leur étude de ce comportement inhabituel de l’eau confinée dans une mésophase lipidique a récemment été publiée dans la revue Nature Nanotechnology.
"Le facteur clé est le rapport lipides / eau", explique le professeur Raffaele Mezzenga du Laboratoire Food & Soft Materials de l'ETH Zurich. En conséquence, c'est la teneur en eau dans le mélange qui détermine les températures auxquelles la géométrie de la mésophase change. Si, par exemple, le mélange contient 12% d'eau en volume, la structure de la mésophase passera d'environ moins 15 degrés Celsius d'un labyrinthe cubique à une structure lamellaire.
Antigel naturel pour bactéries
RépondreSupprimer"Ce qui rend le développement de ces lipides si difficile, c'est leur synthèse et leur purification", explique Ehud Landau, professeur de chimie à l'université de Zurich. Il explique que c'est parce que les molécules lipidiques ont deux parties; l'un qui est hydrophobe (repousse l'eau) et l'autre qui est hydrophile (attire l'eau). "Cela les rend extrêmement difficiles à travailler", dit-il.
Le biomatériau mou formé à partir des membranes lipidiques et de l'eau présente une structure complexe qui minimise le contact de l'eau avec les parties hydrophobes et maximise son interface avec les parties hydrophiles.
Les chercheurs ont modélisé la nouvelle classe de lipides sur les membranes de certaines bactéries. Ces bactéries produisent également une classe spéciale de lipides à auto-assemblage qui peuvent naturellement confiner de l'eau à l'intérieur, permettant aux micro-organismes de survivre dans des environnements très froids.
"La nouveauté de nos lipides réside dans l'introduction d'anneaux très sollicités à trois chaînons dans des positions spécifiques au sein des parties hydrophobes des molécules", explique Landau. "Celles-ci permettent à la courbure nécessaire de produire des canaux d'eau aussi minimes et empêchent les lipides de se cristalliser."
Matière molle pour la recherche
Ces nouvelles mésophases lipidiques serviront principalement d’outil à d’autres chercheurs. Ils peuvent être utilisés pour isoler, préserver et étudier de manière non destructive de grandes biomolécules dans un environnement imitant la membrane, par exemple en utilisant la microscopie électronique cryogénique. Les biologistes se tournent de plus en plus vers cette méthode pour déterminer les structures et les fonctions de grandes biomolécules telles que des protéines ou de grands complexes moléculaires.
"Dans le processus de congélation normal, quand les cristaux de glace se forment, ils endommagent et détruisent généralement les membranes et les grandes biomolécules cruciales, ce qui nous empêche de déterminer leur structure et leur fonction lorsqu'elles interagissent avec les membranes lipidiques", a déclaré Mezzenga.
Mais pas avec la nouvelle mésophase, qui est non destructive et conserve de telles molécules dans leur état d'origine et en présence de l'autre élément essentiel de la vie, à savoir les lipides. "Nos recherches ouvrent la voie à de futurs projets visant à déterminer comment les protéines pourraient être préservées dans leur forme originale et interagir avec les membranes lipidiques à très basse température", explique le professeur à l'ETH.
Cette nouvelle classe de matière molle pourrait également être utilisée dans des applications potentielles où il faut empêcher l'eau de geler. "Mais notre travail ne visait pas les applications exotiques", a déclaré Mezzenga. "Notre objectif principal était de fournir aux chercheurs un nouvel outil facilitant l'étude des structures moléculaires à basse température sans cristaux gênants pour la glace, et en définitive de comprendre Les composants de la vie, à savoir l'eau et les lipides, interagissent dans des conditions extrêmes de température et de confinement géométrique ", ajoute-t-il.
https://phys.org/news/2019-04-water-that-never-freezes.html
«Roi des fake news»: Mediapart dresse la liste des «mensonges» de Macron et son entourage
RépondreSupprimer16:30 10.04.2019
Emmanuel Macron et ses proches n’ont pas les mains propres en ce qui concerne la diffusion de «fake news», affirme Mediapart. Le média rappelle leurs propos qui n’ont pas tenu la route.
Le Président français, qui affirme combattre les «fake news», ne cesse pourtant d'en propager lui-même, affirme Mediapart tout en rappelant les principaux «mensonges» répandus ces derniers mois par Emmanuel Macron et ses proches.
Vidéo censée excuser Alexandre Benalla
Le 19 juillet, au lendemain des premières révélations du journal Le Monde sur les agissements d'Alexandre Benalla lors de la manifestation du 1er mai à Paris, une vidéo montrant un individu très agité poursuivant un groupe d'hommes vêtus de noir, chaise à la main, a été diffusée sur les réseaux sociaux.
Fin mars, Le Monde a dévoilé que c'était Ismaël Emelien, ancien conseiller d'Emmanuel Macron, qui l'avait fait circuler en utilisant des comptes militants.
Bien que l'individu à la chaise ait été présenté comme celui immobilisé par Alexandre Benalla place de la Contrescarpe, le journal indique que la vidéo a été tournée le soir, bien après l'intervention de M. Benalla.
Le 4 avril, le site la-bas.org a par ailleurs rendu publics les résultats de son enquête, d'après lesquels l'homme à la chaise poursuivait en réalité des militants «antifas».
Perquisition dans les locaux de Mediapart
Mediapart rappelle également une «fake news» dont le média a été lui-même victime. Il s'agit des propos de la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui a déclaré le 5 février que Mediapart avait refusé de remettre à la justice les enregistrements des conversations entre Alexandre Benalla et Vincent Crase. Ce qui a entraîné une tentative de perquisition dans les locaux du média.
Mediapart affirme avoir donné son accord à la réquisition de ces enregistrements, demandée par les juges d'instruction le 1er février.
Néanmoins, le 4 février, deux procureurs du parquet de Paris se sont présentés afin de procéder à une perquisition dans les locaux, et non pas pour réquisitionner les enregistrements publiés.
Selon Mediapart, cette perquisition ne visait qu'à «faire peur à tous ceux susceptibles» de parler à ses journalistes.
Un policier à l'origine de la chute d'une septuagénaire à Nice
Après que la militante Geneviève Legay a été grièvement blessée le 23 mars lors d'une manifestation des Gilets jaunes à Nice, le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre, a déclaré le 25 mars qu'il n'y avait eu «aucun contact direct entre un policier et cette dame».
Cette version a été aussi soutenue par Emmanuel Macron dans une interview accordée à Nice-Matin et publiée le 25 mars. Le Président français y a également conseillé de ne pas se rendre «dans des lieux qui sont définis comme interdits».
Néanmoins, comme l'a révélé Mediapart, un officier de police judiciaire avait indiqué dans un procès-verbal daté du 23 mars que «la septuagénaire aurait été bousculée par un homme qui portait un bouclier».
RépondreSupprimerPar la suite, le procureur de Nice a reconnu qu'un policier était responsable de la chute de Mme Legay. L'agent en cause a, à son tour, exprimé des «regrets» tout en précisant qu'il avait agi dans le «strict respect des ordres».
«Manipulation» des chiffres sur les allocations chômage
Le 26 février, le premier ministre Édouard Philippe et la ministre du travail Muriel Pénicaud ont révélé des statistiques d'après lesquelles un chômeur sur cinq toucherait «une allocation chômage supérieure à la moyenne» de ses revenus lorsqu'il travaillait, indique Mediapart.
Néanmoins, ces chiffres ont été remis en cause par des experts. Mathieu Grégoire, sociologue spécialisé dans les politiques de l'emploi, a conclu sur son blog hébergé par Mediapart qu'il s'agissait d'«un artefact statistique» et d'«une manipulation assez troublante des chiffres».
Comme l'a indiqué plus tard l'Unédic, l'association gérée par les syndicats et le patronat et chargée de piloter le système d'assurance-chômage, Pôle emploi a choisi une base de calcul erronée. En réalité, toujours selon l'Unédic, 4 % seulement des allocataires reçoivent une allocation supérieure au salaire mensuel moyen qu'ils touchaient durant l'année précédant le chômage.
Mediapart estime que ces déclarations du gouvernement visaient à justifier la réforme de l'assurance-chômage.
«Ultras» et «ingérence russe» dans le mouvement des Gilets jaunes
Les déclarations sur le mouvement des Gilets jaunes faites par Emmanuel Macron le 31 janvier, lors d'une rencontre avec cinq journalistes, ne tiennent pas non plus la route.
Le Président de la République avait alors déclaré que «de 40 à 50.000 militants ultras qui veulent la destruction des institutions» étaient à l'origine des violences lors des manifestations des Gilets jaunes. Il avait aussi évoqué «le concours d'une puissance étrangère», notamment la Russie, qui, «à travers Russia Today ou Sputnik, affleure dans son discours».
Selon Mediapart, ces affirmations contredisent les informations fournies à la même période par les services de renseignement français. La DGSI avait ainsi conclu que «la scène d'ultradroite» était «quasi inexistante au sein des cortèges». Les services de renseignement avaient également indiqué que l'«ultragauche» était, de même, «impliquée de manière limitée dans un mouvement perçu comme populiste et réactionnaire».
Concernant les accusations de M. Macron à l'encontre de Moscou, le média affirme avoir recueilli des témoignages selon lesquels «la DGSI et la DGSE n'auraient toujours pas trouvé la moindre trace d'ingérence russe».
Le retour des djihadistes en France a-t-il été considéré ?
Bien que le Président français ait déclaré fin février à des élus de la Région Grand Est qu'il n'y avait pas de «programme de retour des djihadistes», Mediapart remet ces affirmations en cause.
RépondreSupprimerSelon le média, les services des ministères des Affaires étrangères, de la Défense, de l'Intérieur et de la Justice travaillaient pourtant depuis l'automne 2018 au retour des djihadistes détenus par les Kurdes de Syrie.
Mediapart indique que ce programme était «tenu pour acquis» par tous ses interlocuteurs dans le cadre de cette enquête. Dans la première quinzaine de février, le Président de la République aurait bloqué ce programme.
Le chlordécone classé «cancérigène possible» par l'OMS mais pas par Macron
En se prononçant sur la dangerosité du chlordécone, utilisé jusqu'en 1993 dans les bananeraies de Guadeloupe et de Martinique, Emmanuel Macron a déclaré le 1er février aux élus d'Outre-mer qu'il ne fallait pas dire que ce pesticide était cancérigène.
«Il est établi que ce produit n'est pas bon, il y a des prévalences qui ont été reconnues scientifiquement, mais il ne faut pas aller jusqu'à dire que c'est cancérigène parce qu'on dit quelque chose qui n'est pas vrai et qu'on alimente les peurs », a-t-il soutenu.
Selon une étude publiée par Santé publique France en 2018, presque tous les Guadeloupéens et les Martiniquais sont contaminés par le chlordécone, lequel avait été classé «cancérigène possible» par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dès 1979.
Dans une lettre ouverte au chef de l'État, la députée Hélène Vainqueur-Christophe et le sénateur Victorin Lurel ont jugé «non seulement déplacé mais dangereux» d'affirmer que le chlordécone n'était pas cancérogène.
Cérémonie d'hommage au maréchal Pétain
Suite à la polémique autour de l'organisation à l'occasion des cent ans de l'Armistice d'une cérémonie d'hommage aux huit maréchaux de la Grande Guerre, dont Philippe Pétain, la ministre des Armées Florence Parly a déclaré sur BFM TV que l'état-major n'avait «jamais imaginé rendre hommage au maréchal Pétain».
Néanmoins, Mediapart indique en se référant à un dossier de presse initial de la Mission du centenaire qu'une telle cérémonie était prévue.
Plus tard, Emmanuel Macron a jugé «légitime» de rendre hommage à ces huit maréchaux de la Grande Guerre. Il a, par ailleurs, déclaré que le maréchal Pétain était un «grand soldat» en 14-18.
https://fr.sputniknews.com/france/201904101040685127-macron-roi-fake-news-mediapart/
Julian Assange ferait l’objet d’une «opération d’espionnage d’envergure»
RépondreSupprimer16:42 10.04.2019
Le rédacteur en chef de WikiLeaks a déclaré ce mercredi qu’une «opération d’espionnage d’envergure» était en cours contre Julian Assange à l’ambassade d’Équateur à Londres. Selon lui, les données recueillies par la mission diplomatique sont transmises aux autorités américaines.
Une opération d'espionnage d'envergue a été lancée dans l'ambassade d'Équateur à Londres où Julian Assange avait trouvé refuge en 2012, a déclaré ce mercredi, lors d'une conférence de presse, Kristinn Hrafnsson, le rédacteur en chef du site WikiLeaks.
«Cette opération d'espionnage d'envergure, l'ingérence totale de la vie privée, est en cours dans l'ambassade d'Équateur», a-t-il martelé.
Selon lui, on a demandé à l'Équateur de recueillir les listes des visiteurs et les enregistrements des caméras de vidéosurveillance.
«Nous croyons que ce matériel […] a été transmis à l'administration Trump», a ajouté M. Hrafnsson.
Il a également réitéré que l'expulsion du lanceur d'alerte pourrait avoir lieu d'un moment à l'autre.
Auparavant, WikiLeaks avait annoncé sur son compte Twitter que Julian Assange pourrait être expulsé de l'ambassade équatorienne à Londres «dans quelques heures ou jours». Le ministère équatorien des Affaires étrangères avait qualifié cette information de «rumeur».
Pour rappel, en 2012, Julian Assange a trouvé asile à l'ambassade équatorienne de Londres dans le but d'échapper à une extradition vers la Suède où il était recherché pour viol et agression sexuelle. Bien que ces poursuites aient été abandonnées en 2017, le tribunal de Westminster a maintenu le mandat d'arrêt contre M. Assange, indiquant qu'il avait été délivré après que ce dernier a enfreint les conditions de sa liberté sous caution. Julian Assange craint, en cas d'arrestation, d'être extradé vers les États-Unis où il est poursuivi pour la divulgation de nombreux secrets militaires et documents diplomatiques américains.
https://fr.sputniknews.com/international/201904101040686022-julian-assange-operation-espionnage-envergure/
La ville de New York vient de passer de bête à bête ...
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 04/10/2019 - 13:09
Écrit par Simon Black via SovereignMan.com,
Il y a quelques mois, je vous ai expliqué comment la ville de New York voulait taxer les personnes qui y possèdent des résidences secondaires.
Ils appellent cela une taxe sur le pied-à-terre, et les génies qui l’entourent pensent que cela contribuera à combler le déficit budgétaire d’un milliard de dollars de la ville.
Bill de Blasio lui-même, le maire de New York, a exprimé son enthousiasme pour plonger les riches.
Le gestionnaire de fonds spéculatifs, Ken Griffin, est devenu l’une des premières victimes de ce sentiment bolchevique lorsqu’il a acheté un condo de 268 millions de dollars dans la ville.
Il n’était pas suffisant que Griffin paye déjà des millions de dollars d’impôts fonciers à la ville. La taxe pied-à-terre lui rapporterait plus de 9 millions de dollars de plus par an.
(Il est choquant de noter que Griffin a récemment décidé de ne PAS déplacer ses bureaux de Chicago à New York, comme il l'avait envisagé précédemment.)
Les agents immobiliers à New York craignaient légitimement que la loi n'écrase le marché du luxe et ont donc fait pression pour que la taxe soit réduite.
Les législateurs ont écouté. Et puis, est venue une idée encore plus idiote: la taxe d'habitation.
Cela vient d'être annoncé la semaine dernière. Ainsi, maintenant, au lieu de payer la taxe au pied-à-terre, la taxe sur le manoir coûtera 4% de la valeur des maisons de luxe achetées.
(N'oubliez pas que les acheteurs immobiliers à New York paient déjà une taxe foncière de 1% sur les propriétés de plus d'un million de dollars, ce qui vous donne à peine quelques centaines de pieds carrés à Manhattan…)
C'est assez stupide. Ces législateurs comprennent parfaitement que les taxes peuvent être utilisées pour influencer le comportement des consommateurs.
C’est pourquoi ils taxent les cigarettes, l’alcool et les boissons sucrées: ils veulent décourager les gens de consommer ces produits, ils les taxent donc.
Même le crédit d’impôt pour enfants et les prestations au conjoint peuvent influer sur le comportement des gens, qu’ils aient ou non des enfants ou se marient.
Les politiciens savent que la politique fiscale exerce une influence sociale importante. Donc, ils se moquent d'eux-mêmes s'ils ne pensaient pas que cette taxe découragerait les gens d'acheter de l'immobilier à New York.
Cela ressemble à la façon dont New York a chassé Amazon, un accord qui aurait créé des emplois et des milliards de dollars de revenus pour la ville.
L'accord avec Amazon était gagnant / gagnant. La ville aurait dû investir presque rien et recevoir des avantages énormes en retour.
Amazon aurait eu accès à des employés talentueux et à un bon incitatif fiscal.
Mais ces bolcheviks ne peuvent faire un marché gagnant / gagnant. Ils ne peuvent que structurer des accords gagnant / perdant - ils gagnent et vous n’obtenez rien… sinon aucun accord.
Et alors, les gens partent.
RépondreSupprimerCe n’est pas que New York; Le New Jersey a perdu des centaines de millions de ses recettes fiscales annuelles en chassant un seul contribuable fortuné, qui a été transféré en Floride.
Mais au lieu de renverser la taxe après leur erreur, le New Jersey a levé des impôts encore plus pour compenser le manque à gagner.
Ce qui est encore plus surprenant, c’est la popularité de ces politiques.
Bien qu'ils chassent les entreprises productives et les citoyens talentueux, ces politiciens bolcheviques ont une popularité croissante.
Plus leurs idées sont bêtes, plus elles deviennent populaires.
Environ le demi-millénaire (qui constitue la plus grande partie de la population) s’identifie maintenant au socialisme. Et ils adorent ces idées idiotes et destructrices.
Howard Marks, le milliardaire fondateur de Oaktree Capital, qui gère 120 milliards de dollars, a commenté le sujet dans son récent mémo.
«On peut attribuer au capitalisme l'essentiel de ce qui a fait des États-Unis ce qu'il est aujourd'hui…
Et seul le capitalisme est susceptible de faire croître la tarte. L'échec des systèmes non capitalistes à produire de la croissance économique et de la prospérité est bien documenté. "
Il a raison. Toute expérience de communisme dans l'histoire du monde a toujours échoué.
Il cite ensuite Winston Churchill:
"Le vice inhérent au capitalisme est la part inégale des bénédictions ... La vertu inhérente du socialisme est le partage égal des misères."
Malheureusement, de plus en plus de personnes semblent préférer ce résultat.
C’est une des principales raisons pour lesquelles je vis à Porto Rico à présent: parce que je sais que je ne peux changer l’esprit de personne.
Les gens continueront à croire au conte de fée du socialisme malgré tant d’exemples de son échec total (comme le Venezuela).
Et toute personne rationnelle devrait s'attendre à ce que cette fièvre se propage…
Donc, ayez un plan B. Ne vous permettez pas d’être victime de l’idéologie ratée de quelqu'un d’autre.
Mon plan B était Porto Rico. Mais c’était un plan B si convaincant que Porto Rico est devenu mon plan A.
Je vis ici parce que Porto Rico ne relève pas de la juridiction fiscale des bolcheviks; Dans ce cas, vous ne pouvez payer que 4% du revenu d'entreprise éligible et 0% de certains types de revenu de placement (comme les gains en capital).
Et tandis que New York (et d’autres villes) augmente les taux d’impôt foncier, Porto Rico offre aux résidents un impôt ZÉRO sur les biens éligibles pendant plusieurs années, ainsi que des gains exempts d’impôt lorsque vous vendez votre bien à l’avenir.
C’est une différence de nuit et de jour.
Même si les bolcheviks haussent les impôts à 80% ou leur imposent des sanctions fiscales idiotes sur l’immobilier, cela ne touchera pas les résidents de Porto Rico.
RépondreSupprimerSi vous ne pouvez pas vous déplacer, il existe de nombreuses autres options, telles que la maximisation des contributions avantageuses sur le plan fiscal à un IRA ou à 401 (k).
Le fait est que vous disposez de nombreux moyens juridiques pour réduire légitimement les dommages qu’ils peuvent vous causer.
Et il est logique de commencer à prendre ces mesures maintenant, alors que la fenêtre d'opportunité existe toujours.
Et pour continuer à apprendre comment vous assurer de réussir, peu importe ce qui se passera dans le monde, je vous encourage à télécharger notre guide gratuit Perfect Plan B.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-10/new-york-city-just-went-dumb-dumber
C'est le printemps et une tempête hivernale est sur le point de punir le centre des États-Unis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 04/10/2019 - 19:45
Environ trois semaines après le début du printemps et 40 millions d'Américains reçoivent des avertissements liés au vent, et des millions d'autres s'attendent à des tempêtes de neige dans le Midwest.
Certaines régions du Wyoming, du Colorado, du Dakota du Sud, du Nebraska et du Minnesota s’attendent à de fortes chutes de neige entraînant des blizzards jeudi.
"C'est une tempête potentiellement mortelle", a déclaré Patrick Burke, météorologue au National Weather Service (NWS) de College Park, dans le Maryland, le mercredi matin.
- voir carte sur site -
Certaines régions de l'Utah, du Nevada, de l'ouest du Wyoming, de l'Idaho et de la Californie pourraient voir la vitesse du vent approcher de la force d'un ouragan mercredi, avec des rafales pouvant atteindre 74 mph.
Environ 4 millions de personnes dans le Colorado, le Nebraska, les Dakotas, l'Iowa, le Wyoming et le Kansas sont sous sévères avertissements de tempête hivernale et de blizzard jusqu'à jeudi matin, a annoncé NWS.
- voir carte sur site -
Des ordres d'évacuation à la suite d'inondations ont déjà été émis en Oregon et dans l'État de Washington.
NWS a averti que certaines régions de l'ouest du Minnesota et du sud-est du Dakota du Sud pourraient voir 30 pouces de forte neige mouillée d'ici jeudi après-midi.
La région ciblée est l’Amérique centrale, la même région où un "cyclone bombardier" a frappé le mois dernier et provoqué des inondations et des blizzards meurtriers.
- voir carte sur site -
Les températures extrêmes enregistrées mardi dans le centre des États-Unis, qui ont permis à la tempête de se réchauffer du jour au lendemain, pourraient être sur le point de devenir un "cyclone à bombe" dans les 12 prochaines heures.
Reuters a déclaré que la baisse des températures survenue le 13 mars était également responsable du cyclone du mois dernier.
Les régions du nord-ouest du comté de Holt, dans le Missouri, ne se sont pas encore remises des inondations du mois dernier, qui auraient porté les dégâts à des milliards de dollars.
La tempête devrait traverser la région des Grands Lacs et le nord du Michigan vendredi, apportant davantage de pluie et de neige dans l'est du centre-nord des États-Unis.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-10/its-spring-and-monster-winter-storm-about-punish-central-us
RépondreSupprimerUBS attend 75 000 fermetures de magasins aux États-Unis dans le «nettoyage en magasin»
par Tyler Durden
Mer., 04/10/2019 - 18:25
Goldman Sachs et les clients qui ont suivi la recommandation "grand court" de la banque le mois dernier seront ravis de lire une note de recherche publiée par UBS et qui a fait l'objet d'une certaine couverture dans la presse grand public mercredi. Bien que les traders qui sont courts Amazon ou longs CMBX pourraient vouloir détourner les yeux.
D'après l'article sur la note publiée par le Washington Post, UBS s'attend à ce que quelque 75 000 magasins vendant des vêtements, des appareils électroniques et des meubles soient fermés d'ici 2026, alors que les achats en ligne devraient représenter 25 % des ventes au détail, selon UBS. À l'heure actuelle, environ 16 % des ventes globales sont réalisées en ligne.
Vente au détail
Les fermetures seront généralisées, mais UBS prévoit la fermeture de 21 000 magasins de vêtements, 8 000 magasins d’ameublement et 10 000 magasins d’électronique grand public, parmi des milliers d’autres.
Certes, le secteur de la vente au détail aux États-Unis a déjà été durement frappé par "l'apocalypse du commerce de détail" inspirée d'Amazon (bien que d'autres facteurs, tels que la construction excessive de surfaces de vente au cours des années qui ont précédé la crise, aient également contribué à la vague de faillites). Depuis 2016, 35 grandes chaînes de distribution et d'innombrables plus petites ont déposé leur candidature pour le chapitre 11. Et une multitude de noms ne figurant pas dans cette liste ont été classés depuis le début de l'année, notamment Diesel USA, Charlotte Russe et Shopko (entre-temps, Payless et Gymboree ont déposé une deuxième fois).
Les détaillants
Même les détaillants qui ont réussi à éviter la faillite, comme Sears, continuent de fermer des magasins. La chaîne a déjà fermé quelque 1 300 magasins KMart et Sears et devrait en fermer 80 autres avant la fin de l'année. D'autres détaillants, comme GAP, par exemple, ont averti que d'autres fermetures se profilaient à l'horizon.
Mais tout comme un feu aide à purifier le sol, permettant ainsi à des arbres en santé de survivre et de se développer, les analystes du commerce de détail estiment que cette purge des magasins non compétitifs sera finalement une bonne chose pour l'industrie. On l'a appelé un "nettoyage en bonne santé."
"Il s'agit d'un nettoyage en bonne santé pour le secteur de la vente au détail", a déclaré John D. Morris, analyste principal des vêtements de marque pour la société de services financiers D.A. Davidson. "Nous sommes au milieu d'une purge de plusieurs années pour le commerce de détail. Les entreprises constatent que lorsqu'il s'agit de magasins, moins, c'est plus."
"Les détaillants tiennent depuis trop longtemps à leurs magasins physiques", a déclaré Morris.
L'équipe d'UBS a déclaré que, même si les ventes à magasins comparables avaient augmenté l'année dernière après une décennie de baisse constante du secteur, les investisseurs ne devraient pas interpréter cela comme un indicateur haussier à long terme. Au contraire, cela devrait plutôt être attribué au niveau temporaire élevé des réductions d'impôts de Trump sur le sucre, et devrait être annulé cette année.
Selon des analystes, les ventes en magasin ont augmenté en 2018, en partie à cause des réductions d'impôts accordées à certains Américains. Mais ces gains devraient être inversés cette année, ont déclaré les analystes d'UBS, Jay Sole et Michael Lasser.
RépondreSupprimer"Ce rythme d'amélioration de la productivité des magasins ne devrait pas être maintenu en 2019, car la relance des mesures de relance budgétaire s'estompe", ont-ils écrit mardi dans une note aux clients. "Cela entraînera probablement une accélération des fermetures physiques de magasins au cours de la prochaine année."
En fin de compte, certains détaillants ayant commencé avec une plate-forme de commerce électronique, comme la marque de matelas à licorne Casper (qui devrait bientôt disposer de beaucoup de capital pour une expansion après son introduction en bourse), pourraient se développer dans le brique et le mortier. Mais ces magasins seront plus petits et détiendront moins de stocks. Ils serviront principalement de showrooms physiques permettant aux clients d’essayer les produits avant de les acheter en ligne.
Même dans ce cas, certaines sociétés Internet uniquement, telles que le détaillant de meubles Wayfair et la marque de matelas Casper, commencent à ouvrir des magasins physiques.
Mais les analystes ont déclaré que ces avant-postes - souvent plus petits et plus étroits que les magasins traditionnels - fonctionnaient davantage comme des salles d’exposition pour les articles que les clients peuvent commander en ligne que comme un guichet unique avec des pans d’inventaire.
"La tendance est à la rationalisation des magasins: moins de chaos, moins de stocks, moins de choix", a déclaré Morris. "Si un client souhaite quelque chose de couleur ou de taille différente, il peut le trouver en ligne."
Toutefois, alors que la baisse des dépenses de consommation imputable à la fermeture du gouvernement continue de se répercuter sur l'économie, on peut s'attendre à une nouvelle vague de fermetures telles que les 465 magasins qui ont fermé en un jour.
Parce que, comme nous l’avons souligné, «l’apocalypse du commerce de détail» n’est pas terminée, elle commence tout juste.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-10/ubs-expects-75000-us-store-closures-coming-retail-cleansing
RépondreSupprimerLa liberté de la santé est détruite dans le monde occidental
par Tyler Durden
Mer., 04/10/2019 - 17:25
Créé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Ils nous disent que nous sommes «libres», mais ce n'est qu'un mensonge. Tous les pays du monde occidental sont régis par des règles et des règlements qui régissent de manière stricte à peu près tous les domaines de notre vie. Mais jusqu'à tout récemment, certaines lignes n'avaient toujours pas été franchies. Une de ces lignes concerne l'intégrité physique. Nous avons le droit fondamental de dire ce qui entre dans notre corps et ce qui n’entre pas dans notre corps. Lorsqu'un gouvernement viole ce droit fondamental, quelles que soient ses intentions, ils entrent dans le royaume de la tyrannie.
Et qu’il n’y ait aucun doute: ce qui se passe actuellement à New York, c’est la tyrannie. Mardi, le maire de la ville de New York, Bill de Blasio, a utilisé le prétexte d'une "urgence de santé publique" pour ordonner la vaccination obligatoire de tous les Juifs orthodoxes vivant à Williamsburg…
Le maire Bill de Blasio a déclaré mardi une urgence de santé publique et a ordonné la vaccination obligatoire des personnes susceptibles d'avoir été exposées au virus dans certaines parties de Williamsburg lors d'une épidémie de rougeole croissante.
Peut-être le maire pense-t-il réellement sauver des vies en agissant de la sorte.
Mais c'est toujours la tyrannie.
Dans une société libre, nous aurions le droit de choisir de mettre ou non des vaccins dans notre corps. Mais dans certaines parties de la ville de New York, il existe actuellement un état de loi martiale médicale.
Selon un reportage local, des membres du département de la santé vont en fait traquer les personnes non vaccinées en consultant leur dossier médical…
En vertu de cette ordonnance, les personnes non vaccinées, y compris les enfants de plus de 6 mois, qui vivent ou travaillent sous les codes postaux 11205, 11206, 11221 et 11249 devront se faire vacciner contre le ROR.
Les membres du service de santé de la ville vérifieront le carnet de vaccination de toute personne susceptible d’avoir été en contact avec des patients infectés.
Ceux qui n'ont pas reçu le vaccin ou qui ne possèdent pas de preuve d'immunité peuvent faire l'objet d'une violation et recevoir une amende de 1 000 $.
Est-ce toujours l'Amérique ?
J'ai du mal à croire que cela se produit réellement. Il n'y a aucun moyen que les gens aient jamais supporté de telles absurdités il y a 40 ou 50 ans.
Même le gouverneur démocrate de New York, Andrew Cuomo, admet que cet effort visant à imposer des vaccinations obligatoires aux habitants de la ville pourrait être inconstitutionnel…
"Regardez, c’est un grave problème de santé publique, mais c’est aussi une question sérieuse liée au Premier Amendement et ce sera une question constitutionnelle et légale", a déclaré Cuomo.
Mais si les monstres de contrôle qui gèrent la ville de New York peuvent s'en tirer, ils créeront un précédent national très important.
RépondreSupprimerVous pensez peut-être que vous vivez dans une région où vos libertés en matière de santé sont mieux protégées, mais ce qui commence à New York ou en Californie semble toujours commencer à filtrer à travers le reste du pays.
Et d'autres pays du monde occidental ont déjà beaucoup progressé sur la voie de la tyrannie médicale. Par exemple, découvrez ce qui vient de se passer en Australie…
Les autorités gouvernementales australiennes ont récemment décrété que tout professionnel de la santé qui oserait exprimer son scepticisme quant à l'innocuité ou l'efficacité des vaccins sera poursuivi conformément à la loi, y compris à une éventuelle peine de prison. jusqu'à 10 ans.
Que se passe-t-il en Australie ?
Quand nous ne pouvons même plus débattre ouvertement de certains sujets, alors vous savez que nous sommes sur la bonne voie pour vaincre la tyrannie.
Regardez, tout le monde convient que beaucoup d'enfants sont morts ou sont devenus gravement handicapés immédiatement après avoir pris les vaccins. Les membres de la communauté pro-vaccinale soutiennent que de tels sacrifices doivent être faits «pour le plus grand bien», tandis que ceux de la communauté anti-vaccinale estiment que les parents devraient avoir le droit de déterminer si leurs enfants devraient être exposés à de tels dangers.
Mais ce sur quoi tout le monde devrait pouvoir s’entendre, c’est que nous devrions pouvoir débattre de ces questions.
Au lieu de cela, le gouvernement australien a décidé que tout membre de la communauté médicale occupant un poste anti-vaccin devrait être mis en prison, et il a même mis en place un programme de surveillance pour dénoncer les délinquants…
Le gouvernement australien a également mis en place un programme «Snitch» pour les «délinquants» médicaux à signaler à leurs «amis», collègues ou autres personnes soupçonnant d’être en violation de ce nouveau code de la parole - comme une sorte d’espionnage en profondeur schéma de surveillance dérivé du roman dystopique de 1984.
Sans liberté d'expression, une société libre ne peut exister et l'Australie est en train de détruire complètement la liberté d'expression.
Ceci est un autre exemple qui montre que nous devons désespérément reprendre nos gouvernements en place. Si les gens épris de liberté ne s’impliquent pas, les monstres du contrôle prennent inévitablement le dessus et à ce stade, ils sont complètement envahis par l’Australie. En particulier, la ministre de la Santé de Victoria, Jill Hennessy, est un véritable travail…
La ministre de la Santé de Victoria, Jill Hennessy, adepte à part entière du vaccin, soutient bien sûr les nouvelles règles, qui, espère-t-elle, infligeront de lourdes sanctions à tous les sceptiques du vaccin en Australie, qu’elle qualifie de «mouton mort cérébrale».
"Ils forment un mouvement organisé, en grande partie issu des États-Unis d'Amérique, qui sont résolument enclins à induire les parents en erreur en leur faisant croire que les vaccinations ne sont pas sûres", a déclaré Hennessy.
Si nous voulons être libres, nous devons pouvoir débattre librement de tous les problèmes de notre société.
Il y a une raison pour laquelle nos fondateurs ont cherché à protéger si fermement la liberté d'expression. Sans cela, ce n'est qu'une question de temps avant que toutes nos autres libertés ne disparaissent aussi.
RépondreSupprimerSi vous êtes profondément alarmé par ce que vous venez de lire dans cet article, c'est bien.
Cela montre que vous êtes toujours en vie.
Le moment est venu de se lever et de se battre pour nos libertés, car une fois qu'elles seront parties, il sera presque impossible de les récupérer.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-10/freedom-health-being-destroyed-all-over-western-world
Cet essai très 'N.O.W.' à N-Y c'est "La mort ou la mort ?"
SupprimerLes législateurs demandent 11 milliards de dollars supplémentaires en crédits de taxe sur les véhicules électriques
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 04/10/2019 - 14:50
Un groupe bipartite de législateurs américains est en train de présenter un projet de loi visant à augmenter le crédit de taxe sur les véhicules électriques de 400 000 véhicules par fabricant, selon Reuters. La législation devrait être présentée mercredi et pourrait donner un coup de pouce substantiel à des sociétés comme Tesla et General Motors.
Le projet de loi est parrainé par les démocrates Debbie Stabenow et Gary Peters, les sénateurs républicains Lamar Alexander et Susan Collins et le représentant des démocrates Dan Kildee. L'adoption d'un tel projet de loi pourrait catalyser davantage d'achats de véhicules électriques auprès de constructeurs automobiles qui consacrent maintenant des milliards de capital à la production de véhicules électriques.
Le crédit d’impôt existant, qui s’élève à 7 500 dollars, disparaît progressivement plus de 15 mois après que le constructeur a réalisé 200 000 ventes cumulées de véhicules électriques. Le crédit d’impôt de GM a été réduit le 1er avril de cette année et le crédit d’impôt de Tesla le 1er janvier de cette année. Les deux crédits s'élèvent maintenant à 3 750 $. Le crédit de GM tombe à 1 875 dollars en octobre et disparaîtra en avril 2020, tandis que celui de Tesla chutera à 1 875 dollars en juillet et expirera à la fin de 2019.
Comme chaque projet de loi, celui-ci porte un nom ridicule avec un jeu de mots stupide: il s'appelle "Driving America Forward Act" et accorderait à chaque constructeur un crédit de 7 000 dollars pour 400 000 véhicules supplémentaires, en plus des 200 000 véhicules déjà éligibles. En revanche, le calendrier d'élimination progressive serait ramené à 9 mois à partir d'un an.
Le projet de loi viserait également à prolonger le crédit pour piles à hydrogène jusqu’en 2028.
Et puisque les contribuables vont payer la facture, voici le dommage: les crédits d’impôt sur les véhicules électriques coûteraient 11,4 milliards de dollars, si la facture est adoptée.
Debbie Stabenow a déclaré: «Nous avons une casquette qui doit être levée. Je veux que ce soit fait le plus tôt possible. »Il n'était pas très clair pourquoi cela" doit monter ", exactement ?
Dans le même temps, cette proposition contraste fortement avec la Maison Blanche, qui avait proposé de supprimer immédiatement le crédit d’impôt existant de 7 500 dollars enregistré le mois dernier. Cela permettrait d'économiser 2,5 milliards de dollars sur une décennie au gouvernement américain. Le sénateur John Barrasso, qui préside le Comité de l'environnement et des travaux publics, a proposé en février un projet de loi visant à mettre fin au crédit et à imposer des frais d'utilisation des routes aux véhicules électriques pour couvrir les frais de réparation des routes.
RépondreSupprimerComme on pouvait s'y attendre, cette nouvelle facture est appuyée par la plupart des constructeurs automobiles, y compris GM, Tesla, Toyota Motor Corp, Ford Motor Co, Fiat Chrysler Automobiles NV, Honda Motor Co, BMW AG, Nissan Motor Co et Volkswagen. En fait, le président de GM, Mark Reuss, a déclaré: "... le crédit d’impôt sur les véhicules électriques offre aux clients un incitatif qui a fait ses preuves, alors que nous travaillons à faire des États-Unis un chef de file de l’électrification."
Et quelles seraient les dépenses proposées par le gouvernement pour 11 milliards de dollars sans l'intervention du Sierra Club ? Michael Brune, directeur exécutif du Sierra Club, a déclaré: "... alors que nous construisons et développons l'économie de l'énergie propre, nous devons continuer à investir dans la lutte contre le secteur qui génère le plus de pollution: les transports."
L'action de Tesla a progressé de 2% aux nouvelles, même s'il n'était pas clair quelles étaient les chances de l'adoption ultime du projet de loi.
https://www.zerohedge.com/news/2019-04-10/lawmakers-push-another-114-billion-electric-vehicle-tax-credits-0
Supprimer(...) Et puisque les contribuables vont payer la facture, voici le dommage: les crédits d’impôt sur les véhicules électriques coûteraient 11,4 milliards de dollars, si la facture est adoptée (...)
Primo les américains doivent rattraper les allemands en matière de facture ! puis, faisant face à des pannes d'électricité prolongées, il devront encore payer au plus vite pour construire des centrales électrique aux vues que les éoliennes-de-merde et panneaux solaire-à-la-con ne peuvent fournir autre chose que des factures !
Hausse du prix de l’électricité, les Français en plein paradoxe
RépondreSupprimerLa hausse du prix de l’électricité confirmée par François de Rugy a suscité bon nombre de critiques, de la part des citoyens comme des politiques. La réaction des premiers s’expliquant bien souvent par l’opportunisme électoral des seconds. OPINION
Par Maruan Basic1.
11 AVRIL 2019
Quelques heures après que le ministre de la Transition écologique et solidaire, François de Rugy, a annoncé la hausse annuelle des tarifs réglementés de l’électricité, prévue «sans doute à la moitié de l’année», les commentaires n’ont pas manqué d’affluer. Avec la plupart du temps des lettres écrites en majuscules, cerclées de point d’exclamation, et souvent les mêmes expressions : «vaches à lait», «écologie ultra-punitive»; quelques innovations aussi : «pas près de ranger mon gilet jaune».
La hausse de 5,9 % du prix de l’électricité, pour tous les abonnés au tarif bleu d’EDF (soit 25,6 millions de foyers et 3,2 millions de professionnels), avait été décidée, pour mémoire, par la Commission de régulation de l’énergie (CRE), fin 2018. Face à l’ampleur de la crise des Gilets jaunes, dont l’élément déclencheur avait été la hausse du prix de l’essence, le gouvernement avait alors décidé de reporter cette mesure, qui aurait dû intervenir en février dernier. Cette hausse interviendra en juin et sera vraisemblablement de 85 euros par an pour tout foyer se chauffant à l’électricité.
Une augmentation «due principalement à une hausse des prix de marché de gros de l’électricité, ainsi qu’à une augmentation du prix des capacités électriques», a expliqué le ministère de l’Écologie, alors que les coûts d’approvisionnement d’EDF, qui grimpent en ce moment, comptent seulement pour 36 % dans le prix final. François de Rugy, sentant la tempête frémir, a également pris les devants en assurant que le prix de l’électricité, en France, était «l’un des plus bas d’Europe» ; selon les statistiques européennes, il se situe effectivement dans la tranche basse.
C’était oublier bien vite la capacité des Français, et des politiques notamment, à critiquer à tout bout de champ. Qu’importe la raison. «Je râle donc je suis» pour seul mantra. Et à ce petit jeu-là, Ségolène Royal, qui cherche visiblement à revenir sur la scène nationale, semble rompue. Selon elle : «la hausse des prix de l’énergie doit faire l’objet d’un processus démocratique»; «N’oublions pas que le mouvement des Gilets jaunes est née d’une exaspération»; «Les consommateurs ont le droit de comprendre pourquoi et comment l’énergie augmente».
NUCLÉAIRE VS CHARBON
Un joli fourre-tout de phrases-bateau, visant ni plus ni moins à endommager le fuselage du gouvernement. Mais ce faisant, l’ancienne ministre de l’Environnement, s’expose à d’inévitables contradictions. S’émouvoir de la hausse de l’électricité sans préciser que l’Hexagone jouit de tarifs ultra-préférentiels en Europe ? Passe encore. N’y a-t-il pas en revanche un léger paradoxe à critiquer cette augmentation tout en exigeant une baisse du nucléaire dans le mix électrique français ?
Lorsqu’elle était aux manettes, Ségolène Royal plaidait volontiers pour la fermeture des centrales nucléaires en France. L’ancienne ministre nage dès lors en plein paradoxe : vouloir diminuer l’atome dans notre consommation électrique tout en pestant contre les hausses du prix de l’électricité. Car comme le rappelle Michel Gay, fin connaisseur de la question nucléaire, «les coûts de production sont particulièrement bas en France grâce essentiellement au nucléaire». Énergie qui, selon un baromètre établi par KPMG et l’Institut Choiseul en 2016, place la France numéro un mondial pour « la qualité de son électricité, sa disponibilité et son accès ».
RépondreSupprimer«Les coûts de production les plus bas en Europe, hors de France (et non le prix payé par le consommateur), sont ceux de pays produisant essentiellement l’électricité avec du charbon […] ou ayant beaucoup d’hydraulique», estime par ailleurs Michel Gay. Autrement dit : difficile de mieux concilier maîtrise du prix de l’électricité et lutte contre le réchauffement climatique — dû en grande partie au carbone qui s’échappe des centrales à charbon — qu’en France. Dont le contre-exemple parfait reste l’Allemagne, égérie des renouvelables et des émissions de gaz à effet de serre…
«Depuis 1990, la production d’électricité aura au total émis environ 10 milliards de tonnes de gaz carbonique en Allemagne, contre 1,5 milliard en France, estiment le géochimiste Bernard Durand et le chroniqueur énergie Jean-Pierre Riou. Cela est dû à l’usage important du charbon en Allemagne, la France ayant privilégié le nucléaire jusqu’à produire avec 75 % de son électricité». Des réflexions et des chiffres tout ce qu’il y a de plus objectifs, étonnamment absents de la bouche des politiques tout comme des citoyens.
1 - Maruan Basic est diplômé de l’Université Paris Dauphine. Après une expérience professionnelle au ministère de la Transition Écologique et Solidaire (2017-2018), il travaille aujourd’hui pour la Société Française d’Énergie Nucléaire (SFEN)
https://www.contrepoints.org/2019/04/11/341342-hausse-du-prix-de-lelectricite-les-francais-en-plein-paradoxe
SupprimerÔh puting qu'ils sont cons ! TOUS les gaz se recyclent ! TOUS ! Il ne faut pas confondre poussières de charbon qui s'envolent et se déposent (carbone qui rejoint le sol d'où il est venu) et particules diesel qui sont elles cancérigènes.
(...) Après une expérience professionnelle au ministère de la Transition Écologique et Solidaire (...)
Tu m'étonnes ! Pas pour rien qu'il ne parle pas du gaspillage de milliards de milliards en éoliennes et panneaux solaire qui ne rapportent rien et coûtent TRÈS cher !
RépondreSupprimerLoi anticasseurs: le texte promulgué par Macron publié au Journal officiel
07:56 11.04.2019
Après une censure partielle du Conseil constitutionnel sur l'interdiction de manifester, Emmanuel Macron a promulgué la loi anticasseurs ce jeudi. Le texte est publié au Journal officiel jeudi.
La loi anticasseurs, portée par le gouvernement sur fond de crise des Gilets jaunes et définitivement adoptée par le Parlement en mars, a été promulguée par Emmanuel Macron et est publiée au Journal officiel jeudi.
Le ministre des Relations avec le Parlement Marc Fesneau avait indiqué mercredi qu'il n'y aurait pas de deuxième délibération au parlement sur le texte, qui avait été partiellement censuré début avril par le Conseil constitutionnel.
Les Sages avaient refusé de valider un article phare qui donnait notamment à l'autorité administrative le pouvoir d'interdire de manifestations toute personne présentant une «menace d'une particulière gravité pour l'ordre public», indique l'AFP.
Début janvier, Édouard Philippe a annoncé vouloir adopter une nouvelle loi qui permettrait «de sanctionner ceux qui ne respectent pas l'obligation de déclaration préalable d'une manifestation». Le projet initial de cette loi a été proposé par le sénateur Les Républicains Bruno Retailleau.
https://fr.sputniknews.com/france/201904111040691654-loi-anticasseurs-texte-promulgation-macron/
(...) Début janvier, Édouard Philippe a annoncé vouloir adopter une nouvelle loi qui permettrait «de sanctionner ceux qui ne respectent pas l'obligation de déclaration préalable d'une manifestation». (...)
SupprimerQue j'ai ou pas un 'gilet jaune' je peux être manifestant. Puis-je encore sortir de chez moi (sans me faire tabasser/tuer) pour aller faire mes courses en évitant de tourner au rond-point ou, préalablement dois-je faire une déclaration à la Préfecture sur Internet pour décrire mon trajet pour aller faire mes courses, envoyer la liste de mes commissions, le temps mis et le nombre de personne que je suis ?
RépondreSupprimerRoyaume-Uni: le nom d’un canard en chocolat déclenche un scandale raciste
22:54 10.04.2019
Une entreprise britannique a été jugée raciste pour la mise en vente de petits canards en chocolat de trois couleurs. Mais ce n’est pas la couleur qui était le point de discorde, mais les noms donnés à ces canards. Le canard au chocolat noir portait un nom «moche», tiré d’un conte pour enfants, ce qui n’a pas été apprécié des clients.
Une compagnie britannique est au centre d'un scandale raciste, relate le quotidien britannique The Mirror. L'entreprise Waitrose a mis en vente une boîte comportant trois canards en chocolat: un blanc appelé «Duveteux», un au lait nommé «Croustillant» et, enfin, un noir: «Moche», référence au conte pour enfants «Le vilain petit canard» de Hans Christian Andersen. Mais cette allusion n'a pas été bien accueillie par certains clients, condamnant cette dénomination qu'il jugent raciste.
Sur Twitter, certains internautes ont même partagé des images du livre pour enfant, soulignant que, selon ces images, le vilain petit canard est de couleur grise et non de couleur noire.
Face aux critiques, l'entreprise a décidé de retirer ses canards de la vente pour en corriger les noms et a présenté ses excuses publiquement, rapporte par le quotidien britannique.
«Nous regrettons avoir heurté certaines personnes avec le nom attribué à ce produit. Ce n'était absolument pas notre intention.»
https://fr.sputniknews.com/insolite/201904101040691234-canards-uk-racisme-scandale-moche/
SupprimerA quand la suppression d'insultes sur les emballages: "Sucre blanc ou roux" ! "Café noir" ! "Tomates rouge" ! "Poivrons vert" ! "Ciel bleu" et Jean Passe !
RépondreSupprimerSUISSE - LES ADOS PRÉFÈRENT S'INFORMER SUR LE WEB
Un rapport de la Haute-Ecole pour les sciences appliquées de Zurich et de Swisscom montre que deux tiers des 12-19 ans en Suisse se disent intéressés par l'actualité du monde.
Selon l'enquête, 40% des jeunes interrogés estiment avoir déjà été confrontés à une information qui s'est avérée fausse a posteriori.
11.04.2019, 08h36
Les ados consomment l'info sur le Web, mais ils font avant tout confiance aux médias traditionnels: telle est la conclusion paradoxale d'un rapport sur la consommation des médias qui révèle que deux ados sur cinq disent avoir déjà été victimes de mésinformation.
Le rapport Jamesfocus de la Haute-Ecole pour les sciences appliquées de Zurich et de Swisscom montre que deux tiers des 12-19 ans en Suisse se disent intéressés par l'actualité du monde. Ils sont 57% à juger important de se tenir informés de l'actualité quotidienne. Mais c'est via Facebook ou Instagram qu'ils se renseignent, davantage que par les médias traditionnels.
Pour cette tranche d'âge, les domaines les plus importants sont la musique (67%), l'actualité (66%), le sport (55%) ou le people (48%). Seul un tiers des jeunes interrogés disent en revanche avoir de l'intérêt pour la politique internationale et un cinquième pour la politique suisse.
Se méfier de la gratuité
Selon l'enquête, 40 % des jeunes interrogés estiment avoir déjà été confrontés à une information qui s'est avérée fausse a posteriori. D'où l'importance de pouvoir les identifier tout de suite, soulignent les auteurs de l'étude. Et ces derniers de relever le rôle des parents et de l'école dans la transmission des outils et des méthodes permettant aux ados de trier le vrai du faux.
Il s'agit aussi de leur faire prendre conscience que la vérification de l'information demande un travail intensif et professionnel qui ne peut être garanti que si les consommateurs paient. Il faut se méfier de la gratuité de l'information.
Les jeunes semblent en avoir conscience puisque, même si une part croissante d'entre eux les néglige, c'est dans les médias traditionnels qu'ils accordent la plus grande confiance. Et de nommer d'abord la télévision, suivie des journaux.
Seul un tiers des 12-19 ans juge crédibles la plupart des informations sur le Web. Les deux autres tiers sont conscients qu'il ne faut en croire que moins de la moitié. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/ados-preferent-s-informer-web/story/10579398
A noter aussi qu'ils étaient quelques centaines d'enfants en short l'autre jour à manifester (en Suisse) contre le climat ! "Non au dégazage continuels des océans depuis des milliards d'années !" "Non à la chaleur ! Vive le froid qui tue !" , etc, etc ! HAHAHAHAHA !
SupprimerEt, toujours d'après 'Le matin', les jeunes préfèreraient les merdias ! qui les insultent tous les jours et se foutent de leur petite gueule de con !
"La mer va monter !" "Quand la glace font elle gagne du volume !" Hahahahaha !
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
A savoir aussi que c'est GRÂCE A L'INTERNET qu'il y avait (en 2010) plus de 4 % de surdoués dans le monde (soit plus de 280 millions de têtes bien pleines qui ne lisent certainement pas les merdias !
SupprimerL’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
By lejournaldusiecle
14 février 2013
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.
En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.
Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".
Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet