- ENTREE de SECOURS -



samedi 13 avril 2019

Les canaris dans la mine

Entre le 'Faut-il se contenter de ce que l'on a' et le 'Il est nécessaire de combler les manques de ce que l'on a besoin', il n' y a pas de 'juste milieu' ni de devoir à se conformer aux idées des autres ! A chacune et à chacun de s'exprimer pour faire valoir son intérêt à disposer de.

Afin que vous ne fussiez point 'égaré(e)' en des idées préconçues, je vous ferais savoir que l'intelligence (que vous disposez de nos jours en vos neurones) et très récente et ne date pas de 'nos ancêtres les gaulois' ou même de ces chers 'hommes préhistoriques' (avant l'histoire !!) car, ces putains d'être humains qui vivaient en des grottes avaient découvert (il y a 3000 ans) le fer. Dont ils en disposaient pour faire des épées, des casseroles, des armures ou des boucliers mais... n'avaient même pas pensé à en faire des tuyaux !!
"Des tuyaux ?? Pourquoi faire ?" Pour y mettre de l'eau !
"De l'eau dans des tuyaux ?" Bêh ouais ! Pour foutre le chauffage central dans toutes les grottes ! gros con !

Il a fallut attendre LA FIN DU 19ème SIECLE pour que soit inventé le chauffage central !!! Fin 19 ème !!!

Idem pour le contemporain et condisciple à 'Leonard de Vinci' (dit 'le surdoué-complètement-con') qui s'appelait Christophe Colomb. Parti à la découverte de l'Inde en caravelles (Air France ?) et qui... emporta de l'eau ! Et oui ! La Terre est plate et, quand t'arrives là-bas en bout d'océan: y a plus d'eau ! D'où la nécessité d'en emporter ! Hahahaha !
En réalité, ils ne savaient pas AU 15ème SIÈCLE !!! comment boire de l'eau de mer !!!  Même le Dr Alain Bombard qui traversa seul l'Atlantique en 1952, ne savait pas boire de l'eau polluée !!! (photographié en 1981 aux côtés de son condisciple François Mitterrand).

- Pour boire de l'eau sale (noire, urine, chimique, etc)
- Prendre une boite de conserve et la remplir d'eau sale. La poser dans une poêle sur le feu. Y mettre une grande boite (ou marmite) retournée en couvercle dessus à l'intérieur de la poêle.
- Lorsque l'eau bout, de la condensation se forme au fond de la grande boite. Cette buée va ruisseler vers la poêle.
- Cette eau est pure. Sans odeur, sans couleur, sans microbe.

Et, au temps de Christophe Colomb (comme au 20 ème siècle !) ... ILS NE SAVAIENT PAS ENCORE ÇÀ !!!

Mais, nos ancêtres, ont tout de même inventé la roue ! (Ouf !)
Un homme porte 50 kg. Mais 2 hommes se fatiguent moins en mettant 100 kg sur un brancard. Or, si à la place du premier homme au brancard l'on place un essieu et une roue: la brouette est née !
Elle permet à un seul homme de déplacer 100 kg !

Mais il fallut attendre le 'fardier de Cugnot' (18 ème siècle) pour y joindre une énergie à vapeur ! Puis le moteur a explosion, téléphone, satellites, etc.

Donc, à voir de nos jours (les samedis) ces 'canaris dans la mine' (désespérée) qui ne savent même pas ce qu'est la Démocratie... et qui parlent seulement de remuer la putain de dictature... Ils font pitié aux ronds-points !
Savent même pas qu'il n'y a qu'UN SEUL pays au monde en Démocratie ! La Suisse.

La Démocratie c'est Par le Peuple, Pour le Peuple.

C'est LE PEUPLE qui dirige et non les 'représentants du Peuple' (qui n'ont même pas fait une heure de Droit !) qui inventent des lois et votent des lois !!!

Quand on leur parle de 'la mer qui va monter' (Hahahaha !) ou qu'il faut 15 000 litres d'eau pour faire 1 kg de bœuf ! (et combien pour les poissons ?) ILS LE CROIENT !!! HAHAHAHA ! Alors, pour eux... la Démocratie ... "La Démo quoi ?" Hahahahaha !

40 commentaires:

  1. LE DESESPOIR DES JAUNES CONTRE LES MARRONS !
    (De quel côté mettre son slip ?)

    L’acte 22 des Gilets jaunes dans l’attente des décisions de Macron après le Grand débat


    13:49 13.04.2019


    Ce samedi 13 avril, les Gilets jaunes se mobilisent pour leur 22e manifestation consécutive à Paris et dans plusieurs villes de province, dans l’attente des mesures que prendra Emmanuel Macron suite au Grand débat.

    Les Gilets jaunes se rassemblent pour leur acte 22 ce samedi 13 avril. Des appels à manifester ont été lancés à Paris, à Toulouse, à Strasbourg, à Lille, à Chartres et dans d'autres villes de province.

    L'acte 22 se déroulera alors qu'Emmanuel Macron prépare son intervention prévue pour le début de semaine prochaine et durant laquelle il annoncera les mesures prises par le gouvernement à l'issue du Grand débat.

    SUIVEZ EN DIRECT: Un cortège de Gilets jaunes part de la place de la Nation à Paris

    14:03
    De nouveaux affrontements à Toulouse

    13:59
    Des Gilets jaunes affichent leur soutien à Julian Assange

    Acte 22 des Gilets jaunes à Paris, 13 avril 2019

    13:39
    Usage massif de gaz lacrymogène à Toulouse

    13:34
    De plus en plus de manifestants à Paris

    Acte 22 des Gilets jaunes à Paris, 13 avril 2019
    Un cortège de Gilets jaunes part de la place de la Nation à Paris

    13:39 13.04.2019
    La place de la Nation est aujourd’hui l’un des deux points de départ des rassemblements des Gilets jaunes déclarés ce 13 avril à Paris. Un correspondant de Sputnik, présent sur les lieux, suit la marche de près.
    EN SAVOIR PLUS

    13:16
    Des départs de feu sur le parcours imputé à des manifestants à Toulouse

    13:13
    Des individus cagoulés et vêtus de noir aperçus à Toulouse

    13:05
    Éric Drouet rejoint les manifestants à Toulouse


    13:03
    Nombreuses forces de l’ordre à Toulouse

    12:52
    Premières charges et lacrymogènes à Toulouse

    12:41
    Un riverain en désaccord avec les Gilets jaunes

    12:31
    Des Gilets jaunes à Compiègne

    12:28
    Tensions entre Gilets jaunes et gendarmes au péage de Saint-Avold

    Ce matin, des Gilets jaunes ont organisé une opération péage gratuit à Saint-Avold. Des gendarmes arrivés sur les lieux ont interpellé un participant.

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  2. 12:25
    Début de la manifestation à Toulouse

    12:22
    Le cortège des Gilets jaunes se met en marche à Paris

    Le cortège parisien des manifestants a quitté la place Pereire pour se diriger vers la place de la République. Ils sont menés par Sophie Tissier.

    12:09
    Manifestation contre la loi anticasseurs à Châteauroux

    11:59
    Des manifestants marchent à pied de Liévin à Lille

    Ce samedi 13 avril, des Gilets jaunes sont partis à pied vers 5 heures du matin de Liévin pour rejoindre les manifestants à Lille.

    11:59
    Des Gilets jaunes et des syndicalistes CGT manifestent au Havre

    12:01
    Les motards manifestent à Lyon

    11:49
    La première manifestation à Vitré

    11:30
    Maxime Nicolle et Priscilla Ludosky sont arrivés à Toulouse

    11:10
    Les manifestants se rassemblent à Paris

    10:53
    Des manifestants à Pau

    10:51
    Des Gilets jaunes déjà dans les rues de Toulouse

    10:51
    L’acte 22 débute à Rouen

    10:36
    Un appel national à manifester à Toulouse, les autorités s’inquiètent

    Un appel national à manifester a été lancé à Toulouse. Sur Facebook, le point de rassemblement a été fixé au métro Jean Jaurès à 10 heures. Priscillia Ludosky et Maxime Nicolle devraient notamment se rendre à cette manifestation non-déclarée.

    Le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, a fait part de son inquiétude concernant l’acte 22.

    10:28
    Les Gilets jaunes bloquent les camions sur la nationale 106 à Dions

    Ce samedi 13 avril, des Gilets jaunes bloquent la nationale 106 près de Dions en installant un barrage filtrant pour les voitures et en bloquant les camions.

    10:16
    Interdit de manifester dans l’hyper-centre de Lyon

    10:21
    Le centre-ville de Lille est interdit aux manifestants

    La préfecture du Nord a pris un arrêté «d’interdiction de manifestation et de rassemblement revendicatif dans le centre-ville de Lille».

    10:11
    Deux manifestations déclarées à Paris

    Deux manifestations dans la capitale ont été déclarées à la préfecture de police.

    Le premier rassemblement est prévu vers midi dans le 17e arrondissement. Le second se déroulera à partir de 13 heures dans le 13e arrondissement.

    Il est notamment interdit de manifester sur les Champs-Élysées, ainsi qu’autour de l’Élysée et de l’Assemblée nationale.

    09:53
    «On ne lâche rien»: nuit jaune à Dunkerque avec 400 manifestants

    Environ 400 Gilets jaunes venus de différentes villes ont manifesté ce vendredi soir 12 avril dans le centre-ville de Dunkerque. Parmi eux se trouvaient plusieurs figures phares du mouvement, comme Jérôme Rodrigues qui scandait «on ne lâche rien» et «il faut continuer».

    https://fr.sputniknews.com/france/201904131040721064-gilets-jaunes-manifestation-france-paris-toulouse/

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  3. ON LÂCHE RIEN MAIS ON EN CHIE !

    «On ne lâche rien»: nuit jaune à Dunkerque avec 400 manifestants (photos, vidéo)


    08:40 13.04.2019


    Environ 400 Gilets jaunes venus de différentes villes ont manifesté ce vendredi soir 12 avril dans le centre-ville de Dunkerque. Parmi eux se trouvaient plusieurs figures phares du mouvement, comme Jérôme Rodrigues qui scandait «on ne lâche rien» et «il faut continuer».

    Ce vendredi soir 12 avril, environ 400 Gilets jaunes ont défilé à Dunkerque à l'occasion de leur troisième marche nocturne, relatent des médias locaux.

    Plusieurs manifestants sont arrivés d'autres villes comme Lille, Roubaix, Tourcoing ou encore Boulogne-sur-Mer.

    Le cortège est parti vers 21 heures de la place de la Gare. Les Gilets jaunes ont défilé pendant près de deux heures, traversant une partie de la Citadelle et du centre-ville.

    Parmi ceux-ci se trouvait notamment Jérôme Rodrigues, lequel martelait: «on ne lâche rien, il faut continuer».

    La manifestation s'est déroulée sans incidents graves. Des médias locaux évoquent cependant quelques dégradations mineures.

    https://fr.sputniknews.com/france/201904131040720345-dunkerque-nuit-jaune-manifestation-france/

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  4. FOLKLORE MARSEILLAIS

    Des tirs de kalachnikov à Marseille: un homme d'une vingtaine d'années tué par balle


    11:28 13.04.2019


    Deux hommes au visage cagoulé ont fait feu sur la victime avant de s'enfuir à pied dans le 3e arrondissement de Marseille. Touché par deux balles au cou et au thorax, le jeune homme était décédé à l'arrivée des secours.

    Un homme de 19 ans est mort par balle lors d'un «probable règlement de compte» lié au trafic de drogue vendredi soir dans un quartier proche de la gare Saint-Charles à Marseille, a appris l'AFP de source policière.

    La piste d'«une guerre de territoire liée au trafic de produits stupéfiants est privilégiée», a indiqué à l'AFP M. Tarabeux. Des coups de feu avaient été tirés la nuit précédente dans le même périmètre.

    Il s'agit de la quatrième victime morte dans un règlement de compte depuis le début de l'année. Le 12 mars, un homme de 42 ans a été tué au fusil d'assaut dans les quartiers nord, à la Busserine (14e arrondissement), alors qu'il était à bord de son véhicule avec son frère, très grièvement blessé.

    https://fr.sputniknews.com/france/201904131040721658-marseille-kalachnikov-mort/

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  5. Un drapeau de l’UE décroché et brûlé lors de l’acte 21: une plainte déposée (image)


    08:40 13.04.2019


    Bien que l’acte 21 des Gilets jaunes se soit déroulé le 6 avril dernier plutôt paisiblement dans la ville de Forbach, des manifestants ont tout de même brûlé le drapeau de l’Union européenne après l’avoir décroché de son mât devant la mairie. Le maire a décidé de porter plainte pour dégradations.

    Une plainte pour «dégradations de biens publics» contre X a été déposée par la mairie de Forbach, en Moselle, après qu'un drapeau européen a été brûlé devant l'Hôtel de Ville lors de la manifestation des Gilets jaunes du 6 avril, selon Le Républicain Lorrain.

    «Le rassemblement des Gilets jaunes du (samedi) 6 avril […] s'est passé sans aucun heurt ni incident grave […] Mais malheureusement, dans ce cadre, des individus ont brûlé le drapeau européen», lit-on dans le communiqué de la ville.

    Le 6 avril, dans le cadre de l'acte 21 des Gilets jaunes, un drapeau européen a été décroché de son mât devant la mairie de Forbach puis détruit par le feu sur le parvis, «sous les vivats de plusieurs manifestants», selon le média, lequel a partagé une vidéo de ce moment.

    «Le débat démocratique doit permettre à chacun de s'exprimer librement» mais «n'autorise personne à s'attaquer à nos symboles et à nos valeurs», indique d'ailleurs le communiqué.

    Et de poursuivre que «la construction européenne est un gage de paix que personne ne saurait contester».

    https://fr.sputniknews.com/france/201904131040720328-drapeau-europeenne-brule-gilets-jaunes-plainte

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  6. FRANCE - LA MANIF DES GILETS JAUNES DÉBUTE À TOULOUSE

    La ville rose est samedi la «capitale» d'un acte 22 des gilets jaunes sous le coup de la loi anticasseurs en attendant les mesures que doit annoncer Macron ces prochains jours.


    13.04.2019, 04h20


    Des milliers de protestataires manifestent samedi à Toulouse, proclamée «capitale des gilets jaunes» pour leur 22e samedi consécutif d'action, dans l'attente des annonces ces prochains jours du président Emmanuel Macron censées mettre un terme à une crise de près de cinq mois.

    A Paris, quelques centaines de personnes ont commencé à défiler. «Urgence climat», «Macron on n'attend rien de vos annonces», «dissolution de l'AN, états généraux citoyens» pouvait-on lire sur les pancartes de tête. «Le grand débat, on n'en attend rien», déclare Phil, venu pour la 22e fois manifester à Paris depuis le Loiret. «Pour que le mouvement s'arrête il faudrait qu'il annonce le Ric (référendum d'initiative citoyenne) et la baisse de la TVA sur les produits de première nécessité».

    Loi anticasseurs

    Ces rassemblements, comme ceux prévus à Marseille, Grenoble ou Lille sont les premiers à se dérouler sous le coup de la loi anticasseurs, particulièrement ciblée par les manifestants. Cela laisse au pouvoir «encore plus la liberté de faire tout et n'importe quoi» contre le mouvement, a déploré Priscillia Ludosky, l'une de ses figures, venue en renfort à Toulouse où Fly Rider-Maxime Nicolle est aussi attendu.

    Jean-Baptiste, qui défile qui régulièrement à Paris, a répondu aux appels sur les réseaux sociaux pour converger sur Toulouse. Mots d'ordre: «montrer que tout ne fait que commencer après les résultats du gros débat», et poursuivre la lutte «contre Macron et son monde». «Voici les casseurs» proclame sa pancarte, avec des photos notamment du chef de l'Etat et du ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner.

    Surfant sur une forte mobilisation dans cette ville depuis novembre - jusqu'à 10'000 manifestants recensés en janvier - les «gilets jaunes» comptent notamment sur des renforts de Bordeaux et Montpellier.

    «Volonté d'en découdre»

    Non-déclarée, la manifestation a été interdite d'accès, comme depuis fin mars, à la place emblématique du Capitole. Et plus de 800 policiers et gendarmes étaient prévus, selon la Dépêche du Midi. S'ils se soldent toujours par des heurts, les cortèges toulousains ont perdu ces dernières semaines en violences.

    Se félicitant de cette amélioration, le maire Jean-Luc Moudenc s'est toutefois dit «inquiet» car «beaucoup de monde est attendu». Mais ni la municipalité ni les associations de commerçants n'ont souhaité une opération «ville morte».

    Ce rendez-vous est le premier depuis l'entrée en vigueur jeudi de la loi anticasseur, instaurant notamment un délit de dissimulation du visage dans les manifestations. «Ma liberté de donner mon opinion aujourd'hui elle m'est interdite, si je me masque le visage on peut me mettre en garde à vue, je suis scandalisée», s'indigne Pauline, une trentenaire «gilet jaune» de la première heure, venue de l'Ariège voisine.

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  7. «Loi liberticide»

    A Paris, ce dispositif, partiellement censuré par le Conseil constitutionnel et dont une cinquantaine d'organisations ont demandé l'abrogation, est aussi dans le collimateur des manifestants. Le premier cortège parisien rejoindra en début d'après-midi Place de la République la marche pour «la liberté de manifester», organisée par plusieurs associations (dont LDH, Amnesty, Attac, Unef, SOS Racisme...).

    La préfecture de police a interdit tout rassemblement sur les Champs-Élysées et les rues perpendiculaires. Régulièrement imposées depuis la mi-mars, les interdictions partielles de manifester concernent aussi nombre d'autres villes: Lille, Lyon, Montauban...

    La semaine dernière, l'acte 21 avait rassemblé 22'300 personnes dans les rues en France, selon l'Intérieur, soit le plus faible décompte officiel depuis le 17 novembre. Sur la page Facebook du «Nombre jaune», les «gilets jaunes» revendiquaient eux plus du triple.

    La possibilité d'un sursaut, en riposte à la tentative de reprise en main du chef de l'Etat inquiète. M. Castaner s'en est fait l'écho. «La menace semble plus forte pour le 20 avril, vous avez vu un certain nombre d'appels qui invitent quasiment à détruire Paris. Je crois qu'aujourd'hui, on a perdu tout le sens de la manifestation, on a perdu tout le sens de la revendication, il n'y en a plus. C'est le rituel du samedi», a-t-il déploré. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/gilets-jaunes-rue-toulouse/story/29655489

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  8. Oliver Stone prend la défense d’Assange


    08:40 13.04.2019


    Le cinéaste Oliver Stone a pris la défense de Julian Assange, arrêté jeudi à Londres, en déclarant que le travail du lanceur d’alerte était d'intérêt public et extrêmement important pour l'humanité.

    Le réalisateur américain Oliver Stone a publiquement critiqué l'arrestation du fondateur de WikiLeaks qui a eu lieu le 11 avril à Londres.

    «Julian Assange est un éditeur pour la vérité. Il a accompli un travail remarquable pour le compte de l'humanité malgré son traitement inhumain. Cette affaire est cruciale pour la survie de notre droit de savoir et de notre liberté essentielle [pour lutter] contre l'oppression des USA et du Royaume-Uni — et maintenant [contre] la tyrannie!», a-t-il écrit sur son compte Twitter.

    Réfugié depuis 2012 dans l'ambassade équatorienne à Londres, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange a fini par être arrêté le 11 avril en vertu d'une demande d'extradition américaine pour «piratage informatique» et d'un mandat délivré par la justice britannique pour non présentation au tribunal.

    https://fr.sputniknews.com/international/201904131040720361-oliver-stone-assange-soutien/

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  9. FORMATION - LES JEUNES SAVENT TOUJOURS MOINS ÉCRIRE À LA MAIN

    Les enfants maîtrisent de moins en moins l'écriture manuscrite en raison de l'ordinateur et des smartphones. Les conséquences inquiètent les enseignants.
    Ecrire à la main permet de mieux apprendre et comprendre et cela développe les capacités cognitives.


    PAR CHRISTINE TALOS
    13.04.2019


    Les enfants écrivent trop lentement, de manière illisible et connaissent beaucoup trop de crampes. Telles sont les conclusions d'une enquête menée auprès de 2000 enseignants en Allemagne. Selon l'étude, le temps consacré en classe à l'écriture manuscrite est insuffisant. Ce phénomène préoccupe également les pédagogues suisse, selon le journal «Aargauer Zeitung» samedi. «Les élèves actuels n'arrivent plus à écrire à la main aussi longtemps qu'il y a dix ans», déplore Beat Zemp, président de l'Association suisse des enseignants.

    Pourtant écrire à la main comporte de nombreux avantages: cela permet de mieux apprendre, cela favorise l'orthographe et la compréhension et développe les capacités cognitives. Et ce n'est pas valable uniquement pour les plus jeunes. En effet, les étudiants qui prennent des notes à la main s'en sortent généralement mieux que ceux qui tapent tout dans un ordinateur portable.

    L'écriture a une grande influence sur la mémoire. Elle permet de retenir ce que l'on apprend. Ce qui facilite la récupération de l'information plus tard. Du coup, les enseignants, qu'ils soient allemands ou suisses, tirent la sonnette d'alarme: «Nous avons besoin de plus de temps pour apprendre aux enfants à écrire», préviennent-ils.

    Informatique en cause

    Ce manque de temps passé à écrire à la main est dû à l'évolution des technologies. C'est particulièrement vrai dès l'école secondaire, souligne le journal. A partir de ce moment-là, les claviers, ordinateurs et autres e-mails gagnent en importance et l'écriture manuscrite passe au second plan. De plus, le smartphone a également une grande influence en dehors de l'école. Les messages courts deviennent la norme, tandis que les petits mots à la main disparaissent.

    Et cette tendance n'est pas l'apanage des jeunes. En effet une étude en Angleterre montre qu'un adulte sur trois n'a pas écrit un texte à la main plus long qu'une liste de courses durant les 6 derniers mois. Malheureusement, de nombreux parents ne sont pas des modèles à suivre pour leurs enfants en la matière, critique Beat Zemp.

    Pour renforcer les capacités motrices des élèves en dehors des classes, le président de l'Association suisse des enseignants estime que les enfants devraient pratiquer davantages d'activités «artistiques» comme la peinture, le bricolage, voire la cuisine. «C'est important pour le développement. » (nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/jeunes-savent-toujours-ecrire-main/story/31297393

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    1. Faut-il y voir au travers de ce reportage une explication filigranée de ce qui se passe au Japon du côté sexualité ?

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  10. Plat-du-jour: DE LA MERDE DE QUALITE !

    RÉSEAUX SOCIAUX FACEBOOK: NOUVELLE SALVE DE MESURES ANTI-INFOX

    Facebook va repérer les publications de sites populaires sur le réseau mais qui n'ont que peu d'écho sur Internet.


    11.04.2019, 00h24


    Toujours soucieux de montrer qu'il agit face aux critiques, Facebook a dévoilé mercredi une batterie de nouvelles fonctionnalités censées aider à lutter contre la propagation de fausses informations, notamment via la modification de certains algorithmes de référencement.

    L'entreprise américaine va mettre en place à partir de mercredi un nouveau critère qui doit lui permettre de repérer des publications venant de sites particulièrement populaires sur Facebook --et donc bien référencés sur le réseau social-- mais qui n'ont en réalité que peu d'écho ailleurs sur internet.

    Ainsi, si les systèmes repèrent une nette différence --signe que peut-être la popularité du site en question est gonflée artificiellement--, les algorithmes dégraderont son niveau de référencement, de façon à ce que ses publications apparaissent moins souvent dans le fil d'actualités des utilisateurs.

    Onglet «Group Quality»

    Le réseau social va également labelliser les groupes Facebook via un onglet «Group Quality», qui permettra d'avoir «une vison globale des contenus supprimés ou signalés pour violation des règles d'utilisation, mais aussi des fausses informations (publiées) par le groupe».

    De plus, «si le membre d'un groupe a de façon récurrente partagé des contenus notés comme faux par des fact-checkers indépendants, nous réduirons (la fréquence) d'apparition du groupe en entier dans le fil d'actualités», ajoute Facebook, qui a signé des contrats de fact-checking, soit de vérification, avec des médias dans le monde entier, dont l'AFP.

    L'entreprise va aussi placer de nouveaux éléments de contexte pour permettre aux internautes d'apprécier le degré de fiabilité du média dont ils lisent une publication, notamment sur son financement, son propriétaire, ses engagements déontologiques... Ces éléments seront rassemblés dans des «Indicateurs de confiance» mis au point par des organisations tierces.

    Ces informations seront visibles en cliquant sur l'onglet de contexte «à propos de ce site web». Le réseau social concentre depuis plus de deux ans l'essentiel des critiques adressées aux plateformes numériques, accusées de ne pas assez bien contrôler leurs contenus. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/high-tech/facebook-nouvelle-salve-mesures-antiinfox/story/15764238

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  11. PRESQUE PIRE QUE LA BARBE !

    SANTÉ - LES RIDEAUX D'HÔPITAUX SONT DES NIDS À BACTÉRIES

    Selon une étude américaine publiée vendredi, les rideaux qui séparent les lits des malades sont souvent porteurs de bactéries résistantes. Une menace pour la santé.


    12.04.2019, 12h54


    Les rideaux qui séparent les lits des malades dans de nombreux hôpitaux sont censés protéger leur intimité, mais ils pourraient bien menacer leur santé : ils sont souvent porteurs de bactéries résistantes qui peuvent ensuite contaminer les patients, selon une étude publiée vendredi.

    Un total de 1'500 prélèvements a été réalisé sur ce genre de rideaux pour cette étude, et des bactéries multirésistantes ont été détectées dans plus d'un cas sur cinq. Fréquemment, les patients étaient porteurs de la même bactérie que celle détectée sur leur rideau.

    Un problème mondial

    «Ces agents pathogènes peuvent survivre sur ces rideaux et, potentiellement, se transférer sur d'autres surfaces et sur les patients. Dans la mesure où ces rideaux sont utilisés partout, c'est un problème mondial», a affirmé l'une des auteurs de l'étude, Lona Mody, docteur et chercheuse à l'université du Michigan (Etats-Unis).

    Les résultats de cette étude, qui doit être prochainement publiée dans une revue médicale, doivent être présentés dans le cadre du Congrès européen de microbiologie clinique et maladies infectieuses, qui a lieu de samedi à mardi à Amsterdam.

    Au Michigan

    L'étude a porté sur six centres de soins infirmiers du Michigan. Au total, les chercheurs ont recueilli 1.500 échantillons sur des rideaux de 625 chambres, d'abord lors de l'admission des patients puis périodiquement, jusqu'à 6 mois plus tard s'il s'agissait d'un séjour prolongé.

    Les prélèvements ont été réalisés sur le bord des rideaux, là où ils sont le plus fréquemment touchés.

    Résultat : 22% de ces échantillons étaient positifs à des bactéries multirésistantes. Dans le détail, près de 14% étaient contaminés à des entérocoques résistant à la vancomycine, plus de 6% à des bactéries à Gram négatif résistantes, et près de 5% à un staphylocoque doré résistant à la méticilline, autant de bactéries potentiellement mortelles.

    Du patient au rideau

    Dans près de 16% des cas, les patients étaient porteurs de la même bactérie que le rideau de leur chambre. Et à chaque fois que des patients étaient porteurs d'entérocoques résistant à la vancomycine et de staphylocoques dorés résistant à la méticilline, leur rideau l'était aussi.

    Selon l'étude, les bactéries sont probablement passées du patient au rideau, mais l'inverse est «certainement possible», a affirmé la Dr Mody à l'AFP.

    Elle juge que d'autres études sont nécessaires pour déterminer si ces rideaux sont effectivement une source de contamination bactérienne pour les patients.

    «On réalise de plus en plus que l'environnement hospitalier joue un rôle important dans la transmission de pathogènes», a-t-elle ajouté. «Les rideaux sont souvent touchés avec des mains sales et sont difficiles à désinfecter».

    «Les pratiques varient d'un hôpital à l'autre, mais souvent, ces rideaux sont changés tous les six mois ou lorsqu'ils sont visiblement sales», a-t-elle ajouté. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/sante-environnement/sante/rideaux-hopitaux-nids-bacteries/story/23440687

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  12. Lavrov: Washington a raté la Blitzkrieg au Venezuela, mais insiste pour renverser Maduro


    15:20 13.04.2019


    Malgré l'échec de la guerre éclair lancée par Washington contre le Président Nicolas Maduro, les États-Unis poursuivent leurs efforts et s'ingèrent ouvertement dans les affaires intérieures du Venezuela et d'autres États souverains, a indiqué le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

    Les États-Unis ont échoué dans leur guerre éclair au Venezuela, mais ils continuent d'œuvrer pour renverser le gouvernement de Nicolas Maduro, a déclaré samedi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov lors d'une réunion du Conseil russe pour la politique extérieure et de défense.

    «Les Américains s'ingèrent ouvertement dans les affaires intérieures d'États souverains. Au Venezuela, la Blitzkrieg destinée à changer le gouvernement a échoué, mais les Américains ne renoncent pas à leur objectif d'y renverser le Président légitime», a indiqué le ministre russe devant les journalistes.

    Selon M.Lavrov, la récente interview du secrétaire d'État américain Mike Pompeo à la chaîne Mega TV en est la preuve. M.Pompeo a notamment indiqué qu'une opération militaire n'était pas à exclure au Venezuela.

    Les États-Unis «ont même sorti leur doctrine Monroe des boules à mites, ils menacent de s'attaquer ensuite à Cuba et au Nicaragua, comme s'ils ne comprenaient pas qu'ils s'opposent ainsi non seulement au monde latino-américain. Cette politique est inadmissible», a-t-il ajouté.

    La crise politique au Venezuela a éclaté quand l'opposant Juan Guaido, renvoyé le 22 janvier du poste de président de l'Assemblée nationale sur décision de la Cour suprême, s'est autoproclamé le lendemain «Président en exercice du pays», prêtant serment dans la rue.

    Plus d'une cinquantaine de pays, les États-Unis en tête, l'ont reconnu comme chef d'État légitime. Le Président réélu Nicolas Maduro a quant à lui dénoncé une tentative de coup d'État orchestrée par l'opposition avec le soutien de Washington. La Russie, la Chine et plusieurs autres pays ont apporté leur soutien à Nicolas Maduro.

    https://fr.sputniknews.com/international/201904131040723656-russie-usa-venezuela-guerre-maduro/

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  13. Le bœuf est plus sain et plus durable que jamais


    13 Avril 2019
    par Seppi
    AGDAILY*


    Des rapports récents remettent en cause le rôle du bœuf dans une alimentation saine et durable. Le bœuf est plus sain et plus durable aujourd'hui que jamais. L’histoire et des recherches bien établies ont constamment montré que des régimes alimentaires pratiques, équilibrés et fondés sur la science favorisent la santé et la durabilité, contrairement à l’élimination d’aliments particuliers, comme le bœuf.

    Les États-Unis sont le chef de file de la production durable de bœuf. Des recherches menées récemment par le Service de Recherche Agricole de l’USDA et The Beef Checkoff ont révélé que les données communément utilisées pour décrire l’impact sur l’environnement des bovins de boucherie aux États-Unis sont souvent surestimées.

    La production de viande de bœuf, y compris la production d’aliments pour animaux, n’est responsable que de 3,3 % des émissions de gaz à effet de serre des États-Unis.

    Le maïs utilisé pour nourrir les bovins de boucherie ne représente qu’environ 9 % du maïs récolté aux États-Unis, soit 3,2 millions d'hectares.

    En moyenne, il faut 2.570 litres d'eau – qui est recyclée – pour produire un kilogramme de bœuf désossé. Au total, l'utilisation de l'eau par le bœuf ne représente qu'environ 5 % des prélèvements d'eau aux États-Unis.

    Non seulement ces données démontrent que l’impact environnemental des bovins est inférieur à ce que l'on rapporte souvent, mais, grâce au système digestif unique des bovins, ils peuvent réellement aider à réduire le gaspillage alimentaire.

    Sara Place, Ph.D., directrice principale de la recherche sur la production durable de bœuf pour la National Cattlemen's Beef Association, a déclaré : « Au bout du compte, les bovins génèrent plus de protéines pour l'approvisionnement en nourriture humaine qu'il n'y en aurait sans eux, en raison de leur système digestif unique qui leur permet de convertir des plantes non comestibles pour l'homme en protéines de haute qualité. »

    Le bœuf fournit des nutriments essentiels et favorise la santé de manière particulièrement efficace.

    Une portion de 85 grammes de bœuf maigre fournit 10 nutriments essentiels pour environ 170 calories, y compris des protéines de haute qualité, du zinc, du fer et des vitamines du groupe B. Aucune autre source de protéines n'offre le même mélange de nutriments. En outre, selon une étude récente de l'Université Purdue, les près de 40 morceaux de bœuf considérés comme maigres peuvent faire partie d'un régime alimentaire sain pour le cœur afin de favoriser la santé cardiovasculaire.

    De plus, les recherches ont constamment démontré que les nutriments contenus dans le bœuf favorisent la santé tout au long de la vie. En particulier, les protéines, le fer, le zinc et les vitamines B du bœuf aident les jeunes enfants à bien commencer leur vie, en construisant un corps et un cerveau sains. Les protéines sont aussi particulièrement importantes pour les populations vieillissantes en raison de leur contribution à la construction et au maintien des muscles. Après 50 ans, les adultes risquent de perdre de la masse musculaire, ce qui entraîne des chutes et une fragilité affectant leur capacité à vieillir de manière autonome.

    Vous trouverez ici plus d'informations sur le bœuf, notamment sur son rôle dans une alimentation saine et durable.

    ______________

    Source : https://www.agdaily.com/news/beef-healthy-more-sustainable/

    http://seppi.over-blog.com/2019/04/le-boeuf-est-plus-sain-et-plus-durable-que-jamais.html

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    Réponses
    1. (...) La production de viande de bœuf, y compris la production d’aliments pour animaux, n’est responsable que de 3,3 % des émissions de gaz à effet de serre des États-Unis. (...)

      Faux. Il n'y a PAS de 'gaz a effet de serre' et, TOUS LES GAZ SE RECYCLENT ! TOUS !

      (...) En moyenne, il faut 2.570 litres d'eau – qui est recyclée – pour produire un kilogramme de bœuf désossé. Au total, l'utilisation de l'eau par le bœuf ne représente qu'environ 5 % des prélèvements d'eau aux États-Unis. (...)

      IL N'Y A PAS UNE GOUTTE D'EAU DE PLUS OU DE MOINS DEPUIS DES MILLIARDS D'ANNÉES !

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  14. Des hackers auraient publié des données d’officiers de police et d'agents du FBI


    16:52 13.04.2019


    Un groupe de hackers a piraté plusieurs sites affiliés au FBI et a téléchargé leurs contenus sur le Web. Il s’agit de plusieurs dizaines de fichiers contenant les informations personnelles de milliers d'agents fédéraux et d'officiers de police, a appris TechCrunch.

    Des hackers ont piraté plusieurs sites associés au FBI et ont mis en ligne les données personnelles de plusieurs dizaines d'agents fédéraux et d'officiers de police, a annoncé TechCrunch en se référant à un membre du groupe dont le nom n'a pas été révélé.

    Selon la même information, les pirates ont exploité des failles d'au moins trois sites Web appartenant à des sections différentes de la FBI National Academy Association qui s'occupe, entre autres, de la formation au niveau fédéral. Ils ont ensuite offert l'accès à ces données via leur propre site Web, que TechCrunch ne nomme pas étant donné la sensibilité de l'affaire. Les données en question concernent notamment des noms, des fonctions, des numéros de téléphone, des adresses postales et des adresses électroniques personnelles et gouvernementales.

    «Nous avons piraté plus de 1.000 sites», a déclaré la source de TechCrunch, affirmant que son organisation disposait de «plus d'un million de données» sur des employés de plusieurs agences fédérales et organisations de la fonction publique américaines.

    La FBI National Academy Association n'a pas encore commenté la situation.

    https://fr.sputniknews.com/international/201904131040726647-donnees-personnelles-police-fbi-hackers/

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  15. Des milliers d'employés d'Amazon partout sur la planète écoutent des conversations et des enregistrements captés par les enceintes connectées Echo afin d'améliorer Alexa, l'assistant virtuel de l'entreprise. Le tout souvent à l'insu des utilisateurs

    vendredi 12 avril 2019


    * La vie privée est déjà hautement compromise, voire inexistante, avec les ordinateurs, téléphones intelligents et objets connectés et là, le gouvernement veut confier les données personnelles des Québécois à des agences d'espionnage telles que Amazon, Google ou encore Microsoft. On s'approche à vive allure des dystopies d'Orwell et de Huxley. Certains épisodes de la série "Black Mirror" nous font réaliser que la technologie qui "bouffe" déjà notre quotidien est et sera l'outil de notre asservissement total.

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1150932/centres-donnees-informatiques-cti-ibm-amazon-caire

    C’est le constat que dresse Bloomberg, qui a enquêté sur cette pratique et rencontré sept employés ou ex-employés affectés à cette tâche.

    Le rôle de ces employés est d’écouter des enregistrements afin d’identifier des commandes vocales qui ont été mal comprises par Alexa. L’objectif est ensuite de montrer à l’assistant virtuel l’action qu’il aurait dû accomplir afin de le rendre de plus en plus précis et performant.

    Ces personnes peuvent écouter jusqu’à 1000 enregistrements audio par quart de travail de 9 heures.

    Une tâche machinale

    Dans la plupart des cas, la tâche est répétitive et machinale. L’un des travailleurs a expliqué qu’il avait un jour dû écouter des enregistrements pour trouver ceux contenant le nom de la chanteuse Taylor Swift afin d’enseigner à l’algorithme qu’il s’agit d’une personne (son nom peut être interprété différemment en anglais).

    Il arrive toutefois que les employés tombent sur un enregistrement plus intime, comme celui de quelqu’un chantant dans la douche, ou plus bouleversant, comme celui d’un enfant appelant à l’aide.

    Deux travailleurs ont indiqué à Bloomberg avoir écouté ce qui semblait être une agression sexuelle. Bien qu’Amazon affirme accompagner les personnes exposées à ce genre d’enregistrement, deux employés ont dit que l’entreprise avait refusé de leur offrir de l’aide lorsqu’ils l’ont demandé.

    Amazon reconnaît l’existence des équipes humaines

    Dans une foire aux questions sur le site d’Amazon, l’entreprise n’indique pas explicitement que des humains ont accès aux enregistrements d’Alexa. "Nous utilisons vos commandes à Alexa pour entraîner nos systèmes de reconnaissance vocale et de compréhension du langage naturel, peut-on lire sur le site d’Amazon (Nouvelle fenêtre). Plus nous utilisons de données pour entraîner ces systèmes, mieux Alexa fonctionne [...]". [Afin que les algorithmes deviennent encore plus performants pour détecter et analyser les conversations, les ambiances dans l'environnement, l'état psychologique des gens et ce, en vue de devenir les plus puissantes agences d'espionnage et de contrôle de la population au service d'une gouvernance mondiale]

    Amazon a toutefois reconnu auprès de Bloomberg qu’elle fait appel à des équipes pour améliorer Alexa en écoutant des enregistrements. L’entreprise soutient que les informations personnelles des utilisateurs sont protégées en tout temps pendant ce processus.

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  16. « Nous avons de strictes garanties techniques et opérationnelles, et nous avons une politique de tolérance zéro pour l’utilisation inappropriée de notre système, a indiqué un porte-parole d’Amazon dans un courriel envoyé à Bloomberg. Les employés n’ont pas accès à de l’information permettant d’identifier la personne ou le compte [associé à l’enregistrement] dans le cadre de leur travail. Toute l’information est traitée avec un haut degré de confidentialité et nous utilisons l’authentification en plusieurs étapes pour restreindre l’accès [...] à notre environnement de contrôle pour le protéger. »

    Bloomberg affirme toutefois que chaque enregistrement est associé à un numéro de compte, au prénom de l’utilisateur et au numéro de série de l’appareil utilisé, d’après une capture d’écran fournie par un employé.

    Apple et Google font aussi appel à des équipes humaines pour vérifier les enregistrements de leurs assistants virtuels. D’après un document d’Apple sur la sécurité d’iOS, les enregistrements sont associés à un identifiant généré au hasard, qui ne permet pas de retrouver l’utilisateur. Quant à Google, l’entreprise affirme que les enregistrements ne sont liés à aucune information permettant d’identifier l’utilisateur et que le son est modifié pour éviter de reconnaître les voix.

    Source:
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1163774/alexa-ecoute-espionnage-electronique-enregistrement-echo-amazon

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2019/04/des-milliers-demployes-damazon-partout.html

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  17. L’avènement des « superjobs » : pourquoi l’automatisation ne vous apportera… que plus de travail


    Audrey Duperron
    12 avril 2019


    Beaucoup d’études ont été publiées concernant l’avenir du travail, dans un contexte d’automatisation croissante. Un grand nombre d’entre elles se sont penchées sur le nombre d’emplois appelés à disparaître en conséquence. Mais dans un rapport, Deloitte a examiné un autre aspect : la firme s’est demandé quelle serait la nature des emplois créés par l’IA et la robotique, et s’ils étaient susceptibles de compenser ceux qui auront été perdus en raison de l’automatisation.

    Certains experts s’attendent à la création de tout nouveaux métiers, tels que des « prévisionnistes de cyber-catastrophes ». Mais selon Deloitte, une tendance émergente semble indiquer que l’on concentrera plusieurs emplois en un seul. En clair : on demandera aux salarié d’effectuer des tâches qui étaient auparavant effectuées par deux ou trois personnes ayant des compétences très différentes.

    Les superjobs

    Dans son rapport « 2019 Global Human Capital Trends« , Deloitte qualifie ces emplois concentrés de « superjobs ». Sa co-auteure, Erica Volini, qui dirige le département de capital humain chez Deloitte USA, précise que ces emplois futurs combineront « des activités et des responsabilités professionnelles qui, traditionnellement, n’étaient jamais réunies ».

    Et elle ajoute que cette tendance est déjà observable, et cite 3 cas d’espèces :

    Dans une grande banque dont elle a tu le nom, les conseillers en investissement commencent aussi à intervenir en tant que coachs de carrière. Cette évolution de leur emploi est liée à la constatation selon laquelle les compétences de chacun sont un actif, aussi important pour leur richesse future que leurs investissements financiers.

    Dans un hôpital de la ville de Cleveland, on a fusionné en quelque sorte les postes de médecins et d’infimiers. Désormais, on attend de ses médecins non seulement qu’ils apportent leur expertise médicale, mais aussi qu’ils prodiguent des soins au chevet des malades.

    Dans les usines, Volini entrevoit un la création potentiel d’un nouveau métier, consistant à mettre l’automatisation en place, et à collaborer avec des développeurs de logiciels pour former les robots qui exécuteront les tâches en question.
    Une réduction de la main d’œuvre au travail

    L’un des corollaires de cette évolution, c’est qu’elle aura pour effet de réduire le nombre de créations d’emplois. On peut s’attendre à ce que les entreprises, trop heureuses de faire fondre leurs frais de personnel, l’embrassent joyeusement pour réduire drastiquement leurs effectifs.

    Mais ces super-jobs ne seront pas les seuls emplois occupés par des humains. On verra aussi apparaître un grand nombre d’emplois de services, d’emplois requiérant peu de compétences, et de « micro-tâches ».

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  18. Ces dernières se rapportent à des emplois requiérant certes des compétences techniques moyennes, mais pourtant peu rémunérés et pour la plupart, peu gratifiants.

    On peut citer par exemple les postes de « concierges numériques », qui seront chargés de faire le tri dans les données numériques pour éliminer celles qui sont dépourvues de la moindre valeur. Pour les illustrer, on peut par exemple songer aux postes de modérateurs de contenus chez Facebook, YouTube ou Google, par exemple. Même si l’intelligence artificielle est appelée à progresser, il faudra toujours des humains pour effectuer ces travaux de tri.

    Mme Volini prédit que dans 10 ans, 20 à 30 % des emplois seront des « super-jobs », 10 à 20 % des emplois à bas salaires et peu qualifiés, et 60 à 70 % des emplois « hybrides » qui exigeront des compétences techniques et humaines intermédiaires.

    https://fr.express.live/superjobs-automatisation-contenu-postes/

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  19. Réacteurs à sels fondus


    décembre 2018


    Les réacteurs à sels fondus ont fonctionné dans les années 1960.

    Ils sont considérés aujourd'hui comme une technologie prometteuse principalement comme perspective du cycle du combustible au thorium ou pour l'utilisation du combustible de REO usé.

    Une variété de conceptions est en cours de développement, certaines en tant que types à neutrons rapides.

    La recherche mondiale est actuellement dirigée par la Chine.
    Certains ont un combustible solide similaire au combustible HTR, d'autres ont un combustible dissous dans le liquide de refroidissement à base de sel.

    Les réacteurs à sels fondus utilisent des sels de fluorure fondu comme fluide de refroidissement primaire, à basse pression. Cela en soi n’est pas un départ radical lorsque le carburant est solide et fixe. Mais étendre le concept à la dissolution du combustible fissile et fertile dans le sel représente certainement un saut dans la pensée latérale par rapport à presque tous les réacteurs fonctionnant jusqu'à présent.

    Toutefois, le concept n’est pas nouveau, comme indiqué ci-après. Les RSM peuvent fonctionner avec des spectres épithermaux ou à neutrons rapides et avec une variété de combustibles. Aujourd’hui, l’intérêt de relancer le concept de RSM concerne l’utilisation du thorium (pour produire de l’uranium 233 fissile), où une source initiale de matières fissiles telles que le plutonium 239 doit être fournie. Il existe un certain nombre de conceptions différentes du MSR, et un certain nombre de défis intéressants dans la commercialisation de nombreux, en particulier avec le thorium.

    Les sels concernés comme agent de refroidissement primaire, principalement le fluorure de lithium-béryllium et le fluorure de lithium, restent liquides sans pressurisation à partir de 500 ° C. C jusqu’à environ 1400 ° C, ce qui contraste nettement avec un REP fonctionnant à environ 315 ° C sous une pression de 150 atmosphères. Le principal concept de MSR consiste à dissoudre le carburant dans le caloporteur, puis à le retraiter en ligne. Le thorium, l'uranium et le plutonium forment tous des sels de fluorure appropriés qui se dissolvent facilement dans le mélange LiF-BeF2 (FLiBe). Le thorium et l'uranium peuvent être facilement séparés les uns des autres sous forme de fluorure.

    Le retraitement par lots est probable à court terme et la durée de vie du combustible est estimée à 4-7 ans, avec une combustion élevée. Les conceptions intermédiaires et l'AHTR contiennent des particules de combustible dans du graphite solide et ont moins de potentiel d'utilisation de thorium. Le graphite, en tant que modérateur, est chimiquement compatible avec les sels de fluorure.

    Au fond des années 1960, les États-Unis ont développé le concept de réacteur surgénérateur à sel fondu au Oak Ridge National Laboratory, Tennessee (construit dans le cadre du projet Manhattan en temps de guerre). Il s'agissait de la principale option de secours pour le réacteur à neutrons rapides (refroidi par du métal liquide) et pour un petit prototype d'expérience de réacteur à sels fondus de 8 MW (MSRE) exploité à Oak Ridge pendant quatre ans jusqu'en 1969 (le programme MSR a été exécuté de 1957 à 1976).

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  20. Au cours de la première campagne (1965-1968), du tétrafluorure d’uranium 235 (UF4) enrichi à 33% était dissous dans des fluorures de lithium, de béryllium et de zirconium fondus à 600-700 ° C, qui passaient à travers un modérateur en graphite à la pression ambiante. Le sel de refroidissement dans un circuit secondaire était composé de fluorure de lithium et de béryllium (FLiBe) *. Il n’existait pas de couverture de reproduction, ce qui était omis pour des raisons de simplicité en faveur de la mesure des neutrons. * Point de fusion du sel 434 ° C, sel de refroidissement Point de fusion 455 ° C. Voir la référence Wong & Merrill 2004. Les objectifs initiaux du MSRE avaient été atteints en mars 1965 et la campagne U-235 s'est terminée.

    Une deuxième campagne (1968-1969) a utilisé du combustible U-233 qui était alors disponible, faisant de MSRE le premier réacteur à utiliser de l'U-233, bien qu'il ait été importé et non élevé dans le réacteur. Ce programme a ouvert la voie à la construction d’un reproducteur MSR utilisant du thorium, qui fonctionnerait dans le spectre des neutrons thermiques (lents). Selon NRC 2007, l’aboutissement de la recherche menée à Oak Ridge en 1970-1976 a débouché sur une conception MSR utilisant le LiF. -BeF2-ThF4-UF4 (72-16-12-0.4) en tant que carburant. Il serait modéré par le graphite avec un calendrier de remplacement de quatre ans, utiliserait le NaF-NaBF4 comme caloporteur secondaire et aurait une température de fonctionnement de pointe de 705 ° C.

    Le programme de R & D a démontré la faisabilité de ce système, bien qu’excluant le retraitement en ligne, et a mis en évidence certains problèmes uniques en matière de corrosion et de sécurité qu’il faudrait résoudre si l’on construisait un plus gros MSR pilote avec du sel de carburant. Les défis concerneraient notamment les installations de traitement pour éliminer les principaux produits de fission, bien que les produits de fission gazeux se détachent facilement dans le système de purge de gaz. Il a également montré que la sélection nécessitait une conception différente, avec une boucle de couverture plus grande et deux fluides (hétérogènes). La production de tritium posait un problème (voir ci-dessous l'enrichissement en lithium).

    En 1980, Oak Ridge a publié une étude visant à "examiner la faisabilité conceptuelle" d'un MSR dénaturé (DMSR) alimenté avec de l'uranium 235 faiblement enrichi "et fonctionnant avec un minimum de traitement chimique" uniquement comme réacteur à brûleur. La principale priorité était la résistance à la prolifération, en évitant l’utilisation d’UHE.Au Royaume-Uni, un grand MSR à spectre rapide (2,5 GWe) refroidi au plomb (MSFR) contenant du plutonium dissous dans un sel de chlorure fondu a été conçu. 73. Le financement a cessé en 1974.

    Le concept MSR suscite un regain d'intérêt au Japon, en Russie, en Chine, en France et aux États-Unis, et l'un des six modèles de Génération IV sélectionnés pour un développement ultérieur est le MSR en deux variantes distinctes, le réacteur rapide à sels fondus (MSFR) et le réacteur avancé à haute température (AHTR) - également connu sous le nom de réacteur à haute température refroidi par un sel de fluorure (FHR) avec combustible solide, ou PB-FHR spécifiquement avec un combustible à galets.

    Le Forum international Génération IV (GIF) mentionne la «transformation du sel» comme un fossé technologique pour les TMS, mettant clairement l’accent initial sur les brûleurs plutôt que sur les obtenteurs. Depuis le processus de sélection de la Génération IV de 2002, des changements importants ont été apportés à la philosophie de conception. un rapport de 2015 par Energy Process Developments Ltd (EPD). Le premier consiste à concevoir des réacteurs à sels fondus plus simples, moins ambitieux, qui ne génèrent pas de nouveau combustible, ne nécessitent pas de retraitement en ligne du combustible et qui utilisent le cycle bien établi du combustible à l'uranium enrichi.

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  21. À cet égard, les chercheurs américains et l’Académie des sciences de Chine / SINAP travaillent sur la technologie des réacteurs à combustible solide refroidi au sel comme première étape réaliste de l’intégration des RSM. En 2014, dans le cadre d'une évaluation des activités de MSR au niveau international, des propositions ont été formulées pour une mise en œuvre à l'échelle pilote, dans laquelle l'état de préparation technique était revendiqué. Six propositions spécifiques * de ce type ont été évaluées sur une période de 12 mois avec l'expertise de sociétés d'ingénierie nucléaire britanniques bien établies.

    Ces propositions ont toutes été considérées comme crédibles pour la construction d’un prototype, l’un dans le rapport EPD étant considéré comme le support le plus approprié pour le développement de MSR au Royaume-Uni, le Moltex SSR * * de Flibe Energy, ThorCon, Moltex, Seaborg Technologies, Terrestrial Energy et. Transatomic Power.FunctionDans le concept MSR normal ou de base, le carburant est un mélange fondu de sels de fluorure de lithium et de béryllium (FLiBe) avec des fluorures (UF4) d’uranium faiblement enrichi (U-235 ou U-233) dissous.

    Le noyau est constitué d’un modérateur en graphite non revêtu conçu pour permettre l’écoulement du sel à environ 700 ° C et à basse pression. Des températures beaucoup plus élevées sont possibles mais pas encore testées. La chaleur est transférée dans un circuit de sel secondaire et ensuite à la vapeur ou à la chaleur de traitement. La conception de base n'est pas un réacteur à neutrons rapides, mais avec une certaine modération par le graphite, elle est épithermale (vitesse de neutron intermédiaire) et le taux de reproduction est inférieur à 1.

    Cependant, ce concept, avec le combustible dissous dans le sel, est plus loin de la commercialisation que le solide Les conceptions de combustible, dans lesquelles le combustible céramique peut être placé dans des prismes, des plaques ou des cailloux, ou un modèle avec du combustible liquide dans des tubes statiques. Le retraitement du sel combustible en ligne est encore plus éloigné de la commercialisation. Considérant les conceptions de MSR à combustible liquide, le thorium peut être dissous avec l’uranium dans un seul fluide MSR, connu sous le nom de conception homogène.

    Les RSM bi-fluides ou hétérogènes auraient un sel fertile contenant du thorium dans une seconde boucle séparée du sel de combustible contenant de l'uranium ou du plutonium fissile et pourraient fonctionner comme un réacteur reproducteur (MSBR).

    Ici, le U-233 est progressivement retiré * et transféré vers le circuit primaire. Cependant, la dégradation du graphite par le flux neutronique limite la durée de vie utile du cœur du réacteur avec le combustible et les fluides de reproduction en étroite juxtaposition, et dans les années 1960, il était supposé que la cuve du réacteur entière dans la conception à deux fluides serait remplacée après environ huit ans. .*** par exemple en faisant barboter du fluor dans le sel de sorte que l'UF6 se forme et soit éliminé sous forme de gaz.

    L'UF6 est réduit et ajouté au flux de combustible. ** Le graphite est utilisé pour ralentir les neutrons dans les conceptions épithermiques et se détériore dans un environnement à flux neutronique élevé. Le taux d'endommagement augmente avec la température, ce qui pose un problème particulier avec les RSM à 700 ° C. Dans la RSM à combustible liquide, les produits de fission se dissolvent dans le sel de combustible et sont idéalement retirés en continu dans une boucle de retraitement en ligne adjacente et remplacés par de l'uranium fissile, plutonium et autres actinides ou, éventuellement, fertile en Th-232 ou en U-238.

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  22. Pendant ce temps, le césium et l'iode en particulier restent en sécurité dans le sel fondu. Le xénon est éliminé rapidement par dégazage, mais le protactinium-233 pose un problème avec le thorium comme source de combustible. (C’est un produit intermédiaire dans la production d’U-233 et un absorbeur de neutrons majeur.) L’élimination constante des produits de fission signifie qu’une combustion beaucoup plus importante du combustible peut être atteinte (> 50%) et que l’élimination des produits de fission signifie une diminution de la désintégration. chaleur à traiter après l'arrêt du réacteur. Les actinides sont entièrement recyclés et restent dans le réacteur jusqu'à leur fission ou sont convertis en actinides supérieurs qui le font. Ainsi, le plutonium fissile est largement consommé et fournit une énergie non négligeable.

    Les déchets de haute activité ne comprendraient que des produits de fission, donc une radioactivité de courte durée. Comparés à des réacteurs à combustible solide, les systèmes MSR avec circulation du sel de combustible auraient des stocks de fissiles moins importants *, aucune contrainte de radiation due à la combustion du combustible, aucune obligation de fabriquer et de manipuler du combustible solide ou du combustible usé solide et une composition de combustible isotopique homogène dans le réacteur. Les actinides sont moins facilement formés à partir d'U-233 que dans les combustibles de masse atomique supérieure à 235. Ces caractéristiques, entre autres, peuvent permettre aux RSM de disposer de capacités uniques et d'un coût économique concurrentiel en matière de combustion et d'extension des ressources en combustible.

    La sécurité est élevée en raison du refroidissement passif, quelle que soit la taille. De plus, plusieurs modèles ont des bouchons de gel, de sorte que, si les températures excessives sont atteintes, le sel primaire sera évacué par gravité du modérateur dans des bassins de décharge configurés pour éviter la criticité. * En particulier, un petit inventaire d'armes fissiles (Pu- 242 étant l’isotope dominant dominant en Pu) et faible consommation de carburant (la variante française d’auto-reproduction revendique 50 kg de thorium et 50 kg U-238 par milliard de kWh).

    Les RSM ont de grands coefficients de réactivité négatif pour la température et le vide, et sont conçus pour en raison de la dilatation du sel de carburant lorsque la température augmente au-delà des limites prévues. Les coefficients de température négatif et de réactivité dans le vide réduisent de manière passive le taux d’augmentation de la puissance en cas de retrait par inadvertance d’une tige de commande (techniquement appelée «insertion de réactivité»). Lors des essais sur le MSRE, une barre de commande a été volontairement retirée pendant le fonctionnement normal du réacteur à pleine puissance (8 MWt) pour observer la réponse dynamique de la puissance centrale.

    Le taux de dilatation thermique du sel de combustible était tel que la puissance du réacteur s'est stabilisée à 9 MWt sans aucune intervention de l'opérateur. Le MSR a donc une capacité significative de suivi de charge lorsque le captage de chaleur réduit dans les tubes de la chaudière entraîne une augmentation de la température du liquide de refroidissement ou une plus grande évacuation de la chaleur réduit la température du liquide de refroidissement et augmente la réactivité. Le contrôle de la réactivité primaire consiste à utiliser la pompe à circulation de sel de refroidissement secondaire ou la circulation qui modifie la température du sel combustible dans le cœur, modifiant ainsi la réactivité en raison de son fort coefficient de réactivité négatif.

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  23. Le MSR fonctionne à une pression proche de la pression atmosphérique, éliminant ainsi le risque de libération explosive de matières radioactives volatiles. Un développeur de MSR, Moltex, a présenté un concept de stockage de chaleur au sel fondu (GridReserve) permettant au réacteur de compléter les énergies renouvelables intermittentes. Le sel nitrate chaud à environ 600 ° C est transféré dans des réservoirs de stockage capables de contenir huit heures de sortie du réacteur à 2,5 GW thermique (comme dans les centrales solaires à concentration de chaleur).

    Le stock de chaleur n’ajoute que 3 £ / MWh au coût moyen actualisé de l’électricité. Dans le MSBR, le réacteur U-233 de qualité réacteur élevé dans le circuit secondaire doit être retiré, sinon il va fissionner et contaminer ce circuit avec produits de fission «chauds». Par conséquent, dans la pratique, le protactinium (Pa-233) formé à partir du thorium doit être éliminé avant de se désintégrer en U-233 *, mais ce processus n’est pas prouvé à toutes les échelles. Il est relativement facile de retirer l’U-233 du Pa-233 par fluoration en UF6 avant de le réduire en UF4 pour l’ajouter au circuit de sel de carburant principal.

    Cependant, l'U-233 est contaminé par jusqu'à 400 ppm d'U-232, ce qui complique le traitement en raison de sa descendance fortement gamma-active. * Th-232 gagne un neutron pour former le Th-233, qui bientôt se désintègre (la moitié durée de vie 22 minutes) en protactinium-233. Le Pa-233 (demi-vie de 27 jours) se désintègre en U-233. Certains U-232 sont également formés via Pa-232 avec Th-233, ce qui en fait un produit de désintégration très actif gamma.Les RSM fonctionneraient normalement à des températures beaucoup plus élevées que les REO - jusqu’à au moins 700 ° C et auraient donc potentiel de chaleur de processus. Jusqu'à cette température, des matériaux de structure satisfaisants sont disponibles.

    'Alloy N' est un alliage à base de nickel (Ni-Cr-Mo-Si) développé par ORNL spécifiquement pour les RSM avec sels de fluorure.Froid de refroidissement primaire et secondaire, les sels de fluorureLes sels de fluorure ont une très faible pression de vapeur même à chaleur rouge la chaleur que le même volume d'eau, ont des propriétés de transfert de chaleur raisonnablement bonnes, ne sont pas endommagés par le rayonnement, ne réagissent pas violemment avec l'air ou l'eau et sont inertes vis-à-vis de certains métaux de structure courants.

    Cependant, avoir le carburant en solution signifie également que le sel de refroidissement primaire devient radioactif, ce qui complique les procédures de maintenance, et la chimie du sel doit être surveillée de près pour maintenir un état chimiquement réduit afin de minimiser la corrosion. De plus, le béryllium dans le sel est toxique, ce qui conduit à au moins un dessein de l’éviter, bien que cela nécessite des températures plus élevées pour maintenir le LiF liquide.

    Le LiF peut toutefois contenir une concentration d'uranium plus élevée que le FLiBe, permettant ainsi un enrichissement moindre. Le plutonium et les autres fluorures de TRU posent des problèmes dans les solvants à base de fluorure. Le lithium utilisé dans le sel doit être du Li-7 assez pur, car le Li-6 produit du tritium lorsqu’il est (facilement) fendu par des neutrons. Li-7 a une très petite section neutronique (0,045 granges). Cela signifie que le lithium doit être enrichi au-delà de son niveau naturel de 92,5% Li-7 afin de minimiser la production de tritium. Le lithium-7 est produit au moins en Russie et peut-être en Chine aujourd'hui en tant que sous-produit de l'enrichissement en lithium-6 pour produire du tritium destiné aux armes thermonucléaires.

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  24. Voir également le papier au lithium.LiF est exceptionnellement stable chimiquement et le mélange LiF-BeF2 («FLiBe») * est eutectique (à 459 ° C, son point de fusion est inférieur à celui de l’ingrédient - le LiF est d’environ 500 ° C). Il bout à 1430 ° C. Il est préféré dans les systèmes de refroidissement primaire MSR et AHTR et, lorsqu'il est non contaminé, a un faible effet de corrosion. Les trois nucléides (Li-7, Be, F) sont parmi les rares à posséder des sections efficaces de capture de neutrons thermiques suffisamment basses pour ne pas perturber les réactions de fission. 2: 1 molaire, d'où parfois parfois représenté par Li2BeF4. Le LiF sans le béryllium toxique se solidifie à environ 500 ° C et bout à environ 1200 ° C. FLiNaK (LiF-NaF-KF) est également eutectique et se solidifie à 454 ° C et bout à 1570 ° C. Il a une section neutronique supérieure à FLiBe ou LiF mais peut être utilisé dans des boucles de refroidissement intermédiaires.

    Le fluorure de sodium et de béryllium (BeF2-NaF) qui se solidifie à 385 ° C est utilisé comme sel de carburant dans une conception pour des raisons de coût. Le sel fondu chaud dans le circuit primaire peut être utilisé avec un circuit de sel secondaire ou un fluide de refroidissement à l'hélium secondaire via le système de Brayton cycle comme avec les modèles HTR, avec des rendements thermiques potentiels de 48% à 750 ° C et de 59% à 1000 ° C, ou simplement avec des générateurs de vapeur. Dans les applications industrielles, les sels de fluorure fondu (éventuellement simplement une cryolite - fluorure de Na-Al) constituent un fluide d’interface préféré dans un circuit secondaire entre la source de chaleur nucléaire et toute installation chimique.

    L’industrie de la fusion de l’aluminium possède une vaste expérience de la gestion en toute sécurité. La plupart des sels de refroidissement secondaires n’utilisent pas de lithium, pour des raisons de coût. ZrF4-NaF-KF, ZrF4-KF, mélanges eutectiques NaF-BeF2 sont habituels, ainsi que LiF-NaF-KF (FLiNaK). Dans le circuit de refroidissement secondaire du concept AHTR, l'air est comprimé, chauffé, circule dans des turbines à gaz produisant de l’électricité, entre dans une chaudière de récupération de vapeur produisant de la vapeur produisant de l’électricité supplémentaire et sortant dans l’atmosphère.

    Une puissance de pointe supplémentaire peut être produite en injectant du gaz naturel (ou de l'hydrogène dans le futur) après le chauffage nucléaire de l'air comprimé pour augmenter la température du gaz et la production de l'installation, ce qui lui confère une puissance rapidement variable (de grande valeur pour la stabilité du réseau les énergies renouvelables ont un apport significatif). Ceci est décrit comme un système à cycle combiné air Brayton (ABCC) dans un circuit secondaire.

    Dans les années 1960, le sel de refroidissement secondaire considéré était un sel de refroidissement secondaire alternatif à 8% NaF + 92% NaF-BeF2 avec un point de fusion de 385 ° C. Sels de chlorure, réacteurs à spectre rapide Les sels de chlorure ont des caractéristiques intéressantes par rapport aux fluorures, en particulier les trichlorures d’actinide forment des solutions à point de fusion plus bas et ont une solubilité plus élevée pour les actinides, ils peuvent donc contenir des quantités importantes d’éléments transuraniens. Le PuCl3 dans NaCl a fait l'objet de nombreuses recherches. Bien que le NaCl ait de bonnes propriétés nucléaires, chimiques et physiques, son point de fusion élevé signifie qu'il doit être mélangé avec du MgCl2 ou du CaCl2, le premier étant préféré en eutectique et permettant l'ajout de trichlorures d'actinide.

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  25. L'isotope principal du chlore, le Cl-35, donne naissance au Cl-36 en tant que produit d'activation - une source bêta énergétique de longue durée. Le Cl-37 est donc préférable dans un réacteur.Une conception britannique contient le sel de carburant chloré dans des tubes verticaux et repose sur la convection pour faire circuler le caloporteur secondaire au sel, qui est un mélange de fluorure.Les RSF à spectre rapide (MSFR) peuvent avoir des rapports de conversion allant du brûleur au convertisseur au reproducteur. Cela peut correspondre à une seule unité, car le rapport U 238 / transuraniens (TRU) varie - moins U 238 donnant plus de fission. Ils peuvent être optimisés pour la combustion d’actinides mineurs, pour la production de plutonium à partir d’U-238, ou peuvent être des centrales à cycle ouvert sans séparation des métaux lourds des produits de fission. Le spectre de neutrons rapides offre la possibilité de ne pas avoir de traitement sur site pour éliminer les URT.

    Bien que les produits de fission aient des sections efficaces de capture de neutrons relativement grandes dans le domaine de l’énergie thermique, les sections efficaces de capture aux énergies plus élevées sont beaucoup plus basses, ce qui permet une accumulation de produit de fission beaucoup plus importante dans un MSFR que dans un MSR à spectre thermique hors du carburant liquide). Finalement, le sel de carburant fortement chargé en produits de fission peut être envoyé occasionnellement pour un traitement par lot ou autorisé à se solidifier et à être mis au rebut. Pour une configuration complète de l'obtenteur, la matière fissile doit être progressivement éliminée.

    Les MSFR ont un coefficient de vide négatif dans le sel et un retour négatif de la réactivité thermique, ce qui permet de maintenir une densité de puissance élevée avec une sécurité passive. Les bouchons de congélation pour drainer le sel de carburant constituent une mesure de sécurité passive supplémentaire, comme dans d’autres MSRs.Champires de recherche axés sur la recherche scientifique (MSR). La raison principale est qu’il s’agit d’un premier pas réaliste. En Chine, cela concerne principalement les versions alimentées au thorium (voir TMSR dans la section sur le double programme de la Chine ci-dessous). La difficulté technique liée à l'utilisation de sels fondus est significativement moins importante lorsqu'ils ne présentent pas les niveaux d'activité très élevés associés aux combustibles dissous et aux déchets.

    L’expérience acquise dans la conception, l’exploitation et la maintenance des composants avec des sels propres facilite beaucoup ensuite l’utilisation des combustibles liquides, tout en offrant plusieurs avantages essentiels liés à la possibilité de faire fonctionner des réacteurs à basse pression et de fournir des températures plus élevées. Dans le programme Génération IV pour le MSR, les membres intéressés poursuivent la RD en collaboration sous les auspices d'un comité directeur provisoire. Les prototypes auront un long délai d'exécution et l'orientation de la recherche et du développement a changé depuis la mise en place du projet, en raison de l'intérêt accru. Il a maintenant deux concepts de base:

    Le réacteur neutronique rapide à sels fondus (MSFR), qui englobera le cycle du thorium, le recyclage des actinides, le cycle du combustible Th / U en circuit fermé sans enrichissement en U, avec une sécurité accrue et des déchets minimes. c'est une conception à carburant liquide.

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  26. Le réacteur avancé à haute température (AHTR) - également connu sous le nom de réacteur à haute température refroidi par un sel de fluorure (FHR) - avec les mêmes structures centrales en graphite et à combustible solide que le VHTR et du sel fondu comme réfrigérant à la place de l'hélium, permettant des densités de puissance 4 à 6 fois plus élevé que les HTR et des niveaux de puissance allant jusqu'à 4000 MWt avec des systèmes de sécurité passive. Un prototype de 5 MWt est en construction à l'Institut de physique appliquée nucléaire de Shanghai (SINAP, relevant de l'Académie des sciences de Chine), dont l'objectif est de 2015.

    La feuille de route du GIF 2014 indiquait qu'il restait beaucoup de travail à faire sur les sels avant que les réacteurs de démonstration ne soient opérationnels, et suggérait 2025 comme la fin de la phase de recherche et développement sur la viabilité. Le recycleur et transmetteur d'actinides de sel fondu (MOSART) de Russie est un réacteur rapide alimenté uniquement par des fluorures transuraniens (TRU) provenant de combustibles irradiés d'uranium et de MOX LWR. Il fait partie du projet MARS (recyclage des actinides mineurs dans le sel fondu) impliquant le RIAR, Kurchatov et d'autres organisations de recherche.

    La conception de 2400 MWt a un noyau homogène de fluorures de Li-Na-Be ou de Li-Be sans modérateur de graphite et a réduit le retraitement par rapport à la conception originale aux États-Unis. Le thorium peut également être utilisé, bien qu'il soit décrit comme un convertisseur brûleur plutôt qu'un reproducteur. Le projet SAMOFAR (évaluation de la sécurité du réacteur à fusion fondu au sel fondu), basé aux Pays-Bas et financé par la Commission européenne, vise à démontrer les concepts de sécurité du MSFR en mode de reproduction au thorium.

    Il planifie des techniques expérimentales et numériques avancées en vue de réaliser une avancée décisive en matière de sûreté nucléaire et de gestion optimale des déchets et de créer un consortium d’acteurs. "L'utilisation du cycle de combustible Th-U présente un intérêt particulier pour le réacteur à détente forcée, car ce réacteur est le seul dans lequel le Pa-233 peut être stocké dans un réservoir de rétention pour le laisser se décomposer en U-233." Le consortium SAMOFAR comprend 11 participants et est principalement mené par des universités et des laboratoires de recherche tels que le CNRS, le JRC, le CIRTEN, la TU Delft et le PSI, exploitant ainsi les compétences et l’infrastructure de chacun.

    Il a débuté en 2015. Le double programme chinois La Chine prévoit que le TMSR-SF soit une solution énergétique pour la moitié nord-ouest du pays, avec une densité de population plus faible et un faible volume d'eau. L’application du refroidissement sans eau dans les régions arides est envisagée à partir de 2025 environ. L’Académie des sciences de Chine a lancé en janvier 2011 un programme de recherche et développement sur les réacteurs LFTR, connu dans ce pays sous le nom de réacteur à sels fondus à thorium (Th-MSR ou TMSR), et a prétendu avoir le plus grand effort national au monde dans ce domaine, dans l'espoir d'obtenir tous les droits de propriété intellectuelle sur la technologie.

    Le centre TMSR de l'Institut de physique appliquée de Shanghai (SINAP, relevant de l'Académie) de Jiading est responsable. Dans les années 1970, le SINAP travaillait à la construction d'un MSR de 25 MWe, mais cette entreprise a cédé la place au projet Qinshan PWR. Le SINAP a deux axes de développement de TMSR: un combustible solide (TRISO dans des cailloux ou des prismes / blocs) avec un cycle de combustible à passage unique et un combustible liquide (dissous dans du réfrigérant au fluorure) avec retraitement et recyclage. Un troisième flux de réacteurs rapides consommant les actinides des REO est prévu. L'objectif est de développer les applications du cycle du thorium et des applications non électriques dans un délai de 20 à 30 ans.

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  27. Le flux de TMSR-SF n’utilise que partiellement le thorium, s’appuyant sur une reproduction comme avec le U-238, et nécessitant également un apport d’uranium fissile. Il est optimisé pour les applications d'énergie nucléaire hybride à haute température. Le SINAP visait initialement une centrale pilote de 2 MW, mais ce dernier a été remplacé par un simulateur (TMSR-SF0) qui sera suivi par un prototype de 10 MWt (TMSR-SF1) avant 2025. Une centrale de démonstration à lit de galets de 100 MWt (TMSR-SF2 ) avec un cycle de combustible ouvert suivrait, puis une usine de démonstration de 1 GW (TMSR-SF3). Les particules de TRISO contiendront à la fois de l'uranium et du thorium faiblement enrichis.

    Le flux TMSR-LF réclame un cycle de combustible Th-U complètement fermé avec reproduction du U-233 et une durabilité bien meilleure avec du thorium mais une plus grande difficulté technique. Il est optimisé pour l'utilisation du thorium avec pyroprocessage électrométallurgique. SINAP vise initialement une centrale pilote de 2 MWt (TMSR-LF1), puis un réacteur expérimental de 10 MWt (TMSR-LF2) d’ici 2025, et une centrale de démonstration de 100 MWt (TMSR-LF3) avec retraitement complet par électro-métallurgie d’environ 2035, suivie de 1 une usine de démonstration GW. Le calendrier de TMSR-LF a environ dix ans de retard sur celui de SF.

    Un réacteur rapide TMSFR-LF optimisé pour brûler les actinides mineurs doit suivre.

    SINAP considère que le combustible à base de sel fondu est supérieur au combustible TRISO avec une combustion effectivement illimitée, moins de déchets et un coût de fabrication inférieur, mais atteint des températures plus basses (600 ° C +) que les réacteurs à combustible TRISO (1 200 ° C +). Les objectifs à court terme incluent la préparation de ThF4 et ThO2 de qualité nucléaire et leur test dans un MSR. Il semble que le report de la construction du réacteur d'essai de 2 MW soit peut-être dû à un approvisionnement insuffisant en lithium-7 pur. Le programme TMSR-SF procède actuellement à la conception technique préliminaire en coopération avec l'Institut chinois de l'énergie nucléaire (NPIC) et l'Institut de recherche et de conception en génie nucléaire de Shanghai (SNERDI). Des alliages à base de nickel sont en cours de développement pour les structures, ainsi que du graphite à grain très fin. Deux méthodes d'élimination du tritium sont en cours d'évaluation, ainsi que le stockage du tritium.

    Le TMSR-SF1 de 10 MW aura un carburant TRISO en galets de 60 mm, similaire au carburant HTR-PM, et fournira du liquide de refroidissement à 650 ° C et à basse pression. Le liquide de refroidissement primaire est FLiBe (avec 99,99% de Li-7) et le liquide de refroidissement secondaire est FLiNaK. La hauteur du cœur est de 3 m, le diamètre 2,85 m, dans un récipient sous pression de 7,8 m de hauteur et de 3 m de diamètre. L'élimination de la chaleur résiduelle est passive, par refroidissement de la cavité. Une durée de fonctionnement de 20 ans est envisagée. Le simulateur TMSR-SF0 est au tiers, avec refroidissement FLiNaK et chauffage électrique de 400 kW. Le TMSR-LF1 de 2 MWt n’en est qu’au stade de la conception mais il utilisera un combustible enrichi à moins de 20% en 235U, un stock de thorium d’environ 50 kg et un taux de conversion d’environ 0,1.

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  28. On utiliserait du FLiBe contenant 99,95% de Li-7 et du carburant sous forme d'UF4. Le projet débuterait par lots avec certains ravitaillements et élimination en ligne de produits de fission gazeux, mais déchargerait tous les sels de combustible au bout de 5 à 8 ans pour le retraitement et la séparation des produits de fission et des actinides mineurs en vue de leur stockage. Elle procéderait à un processus continu de recyclage du sel, de l'uranium et du thorium, avec séparation en ligne des produits de fission et des actinides mineurs. Cela ferait passer d'environ 20% de fission au thorium à environ 80%.

    Au-delà, un petit réacteur modulaire MSR à combustible liquide de 373 MWt / 168 MWe est prévu, avec cycle de gaz carbonique supercritique dans une boucle tertiaire à 23 MPa utilisant le cycle de Brayton, après une boucle secondaire d'isolation radioactive. Diverses applications ainsi que la production d'électricité sont envisagées. Il serait chargé de 15,7 tonnes de thorium et de 2,1 tonnes d'uranium (enrichi à 19,75%), avec un kilogramme d'uranium ajouté quotidiennement et aurait une combustion de 330 GWd / t avec 30% d'énergie de thorium. Le ravitaillement en ligne permettrait huit années d’exploitation avant l’arrêt, le modérateur en graphite ayant besoin d’attention. Le département américain de l'Énergie collabore avec la China Academy of Sciences au programme, doté d'un budget de démarrage de 350 millions de dollars.

    Le déploiement commercial de TMSR est prévu dans les années 2030. Autres types de combustibles solides ou fixes AHTR / FHR La recherche sur le caloporteur au sel fondu a été reprise au laboratoire national Oak Ridge (ORNL) aux États-Unis avec le réacteur à haute température avancé (AHTR). Il s’agit d’un réacteur plus grand utilisant un combustible TRISO à matrice revêtue de graphite à particules, comme celui du GT-MHR (voir le document d’information sur les petits réacteurs nucléaires) et avec du sel de fluorure fondu (FLiBe) comme caloporteur primaire. Il est également connu sous le nom de réacteur à haute température au fluorure (FHR). Semblable au HTR refroidi par gaz, il fonctionne à basse pression (moins de 1 atmosphère) et à une température plus élevée, et offre un meilleur transfert de chaleur que l’hélium. Le sel FLiBe est utilisé uniquement comme fluide de refroidissement et atteint des températures de 750-1000 ° C ou plus à basse pression. Cela pourrait être utilisé dans la fabrication thermochimique de l'hydrogène.

    Comme indiqué ci-dessus, un prototype alimenté au thorium de 5 MW est en construction à l'Institut de physique appliquée nucléaire de Shanghai (SINAP, relevant de l'Académie des sciences de Chine), qui devait initialement être opérationnel en 2015. Une centrale de démonstration de 100 MWt à lit de galets avec cycle de combustible ouvert est prévue vers 2025. Le SINAP considère que cette conception présente un potentiel de températures plus élevées que les MSR avec sel de combustible. Le SmAHTR est une version allégée du modèle AHTR / FHR, avec une taille de 125 MWt adaptée aux marchés de la chaleur de processus précédents, ou produisant plus de 50 MWe. La température de fonctionnement est de 700 ° C avec le liquide de refroidissement primaire FLiBe et trois échangeurs de chaleur intégrés.

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  29. Il est transportable par camion, mesurant 9 m de long et 3,5 m de diamètre. Le combustible consiste en uranium enrichi à 19,75% dans des particules TRISO dans des blocs de graphite ou des plaques de combustible. L'intervalle de ravitaillement est de 2,5 à 4 ans selon la configuration du carburant. Le liquide de refroidissement secondaire est un cycle de FLiNaK à Brayton et, pour l’évacuation passive de la chaleur par désintégration, des boucles auxiliaires séparées sont placées sur des radiateurs à refroidissement par air. Les versions ultérieures sont prévues pour atteindre 850 ° C à 1000 ° C, en utilisant des matériaux non encore développés. Aux États-Unis, un consortium composé de UC Berkeley, ORNL et Westinghouse conçoit un FHR à lit de galets de 100 MW, doté d’un noyau annulaire.

    Il est conçu pour la construction modulaire et à partir de 100 MWe, la charge de base est capable de fournir 242 MWe avec un système de combustion simultanée fonctionnant au gaz afin de répondre aux pics de consommation. Les cailloux de combustible ont un diamètre de 30 mm, beaucoup moins que les HTR refroidis au gaz.

    Des réacteurs AHTR de 1 500 MWe / 3 600 MWt sont envisagés, avec des coûts en capital estimés à moins de 1 000 USD / kW. Dans le circuit de refroidissement secondaire, l'air est comprimé, chauffé, circule dans des turbines à gaz produisant de l'électricité, pénètre dans une chaudière de récupération de vapeur produisant de la vapeur produisant de l'électricité supplémentaire et sortant dans l'atmosphère. Une puissance de pointe supplémentaire peut être produite en injectant du gaz naturel (ou de l'hydrogène dans le futur) après le chauffage nucléaire de l'air comprimé pour augmenter la température du gaz et la production de l'installation, ce qui lui confère une puissance rapidement variable (de grande valeur pour la stabilité du réseau les énergies renouvelables ont un apport significatif).

    Ceci est décrit comme un système à cycle combiné air Brayton (ABCC) dans le circuit secondaire. Moltex SSR Le réacteur à sel stable (SSR) de Moltex Energy est une conception conceptuelle de réacteur britannique qui, comme tous les réacteurs classiques en fonctionnement, repose sur la convection provenant de tubes de combustible verticaux statiques dans le cœur pour acheminer la chaleur vers le fluide de refroidissement du réacteur. Étant donné que les matériaux nucléaires sont contenus dans des assemblages combustibles, des pompes industrielles standard peuvent être utilisées pour le sel de refroidissement à faible radioactivité.

    La température centrale est de 500 à 600 ° C, à la pression atmosphérique. La chaleur de décomposition est éliminée par convection naturelle. Les tubes à combustible en alliage nickel-chrome remplis aux trois quarts avec le sel de combustible en fusion (60% de NaCl, 40% de trichlorures de Pu, U & lanthanide) sont regroupés dans des assemblages combustibles similaires à ceux utilisés dans les réacteurs classiques et utilisant des matériaux de structure similaires.

    Les tubes de combustible individuels sont ventilés de sorte que les produits de fission s'échappent dans le sel de refroidissement, qui est un mélange NaF-KF-ZrF4 (le fluorure de Li-7 est évité pour des raisons de coût). Les assemblages peuvent être déplacés latéralement sans les enlever. Le ravitaillement en carburant est donc continuellement en ligne et, après cinq ans, les assemblages épuisés sont stockés sur un côté du pool en attendant leur retraitement. Les modules fabriqués en usine par SSR contiennent 150 MWe de carburant, des pompes, un échangeur de chaleur primaire, des contrôleurs et une instrumentation.

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  30. Plusieurs, jusqu’à un gigawatt, peuvent partager un réservoir de réacteur, à moitié rempli du sel de refroidissement qui transfère la chaleur des assemblages de combustible aux générateurs de vapeur périphériques, essentiellement par convection, à la pression atmosphérique. Deux versions ont été promues à la fin de 2018: SSR-W et, avec environ deux ans de retard sur le développement, la SSR-U. Le SSR-W est le plus simple et le moins cher, en raison de son noyau compact et de l'absence de modérateur. Le combustible fissile principal dans cette version originale du réacteur rapide est le chlorure de plutonium 239 avec des actinides et des lanthanides mineurs, récupérés à partir de combustible à REO ou d'un réacteur SSR-U. Le sel de refroidissement est du ZrF4-NaF-KF stabilisé avec du ZrF2 et une température maximale de 650 ° C.

    Une installation de démonstration de 300 MWe était envisagée, le brûleur de déchets SSR-W300. Cependant, un marché limité pour cette version est prévu. Une entente a été signée avec Énergie Nouveau-Brunswick pour le déploiement initial à Point Lepreau, au Canada, et un examen de la conception préalable à l'autorisation des fournisseurs par la Commission canadienne de la sûreté nucléaire a été entamé. La société a ensuite annoncé la «version universelle» du modèle SSR-U, physiquement plus grande et plus coûteuse, avec un spectre de neutrons thermiques fonctionnant sur des fluorures d'UFE (enrichi jusqu'à 7%) avec du graphite intégré aux assemblages combustibles, ce qui augmente la taille du noyau.

    Il fonctionne à une température plus élevée que la version rapide - minimum 600 ° C - avec sel de refroidissement ZrF4-NaF stabilisé au ZrF2. Il est conçu pour être compatible avec une reproduction du thorium conforme à U-233. Ce marché potentiel est beaucoup plus vaste et son déploiement initial au Royaume-Uni dans les années 2030 est envisagé, avec le potentiel de remplacer les centrales au charbon et à TGCC. Dans la version de SSR-U à l’élevage de thorium, le thorium se trouverait dans le sel de refroidissement et l’U-233 produit se dissoudrait progressivement dans du bismuth au fond du bassin de sel. Celui-ci contient du U-238 pour le dénaturer.

    Une fois que le niveau souhaité d'U 233 est atteint, le bismuth avec l'uranium est extrait par lots et l'uranium à l'isotope mixte est chloré pour devenir un carburant. Si le combustible est utilisé dans un réacteur rapide, du plutonium et des actinides peuvent être ajoutés. Moltex a également présenté son concept de stockage de chaleur au sel fondu GridReserve afin de permettre au réacteur de compléter les énergies renouvelables intermittentes. Autres types de combustible liquide: obtenteurs à deux fluides Réacteur à fluorure de thorium liquide Le réacteur à fluorure de thorium liquide (LFTR) est un système MSR hétérogène qui élève son combustible U-233 à partir d'une couverture fertile de sels de fluorure de lithium-béryllium (FLiBe) avec du fluorure de thorium.

    Le thorium-232 capture les neutrons du cœur du réacteur pour les transformer en protactinium-233, qui se désintègre (demi-vie de 27 jours) en U-233. Il peut être possible de séparer le Pa-233 en ligne et de le laisser se décomposer en U-233. Sinon, l'U-233 nouvellement formé forme du tétrafluorure d'uranium soluble (UF4), qui est converti en hexafluorure d'uranium gazeux (UF6) en faisant barboter du fluor gazeux à travers le sel (qui n'affecte pas chimiquement le tétrafluorure de thorium moins réactif).

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  31. L'hexafluorure d'uranium volatil est capturé, réduit en UF4 soluble par l'hydrogène gazeux, puis ajouté au cœur du FLiBe pour servir de combustible fissile. Une complication est que des traces d'U-232 sont formées, rapportant avec l'U-233, et ayant une descendance fortement gamma-active. Les LFTR peuvent modifier rapidement leur puissance de sortie et peuvent donc être utilisés pour suivre la charge. Parce qu'ils devraient être peu coûteux à construire et à exploiter, des LFTR de 100 MW pourraient être utilisés comme unités de réserve et de pointe.

    Flibe LFTR Aux États-Unis, Flibe Energy étudie un concept de réacteur thermique modéré à deux fluides de 40 MW basé sur le programme de réacteurs à sel fondu des États-Unis des années 1960 aux années 1970. Il utilise le fluorure de lithium / fluorure de béryllium (FLiBe) comme agent de refroidissement principal dans les deux circuits. Le combustible est de l'uranium 233 extrait du thorium dans du sel de couverture FLiBe. Le sel combustible circule dans les bûches de graphite. Le sel de refroidissement de la boucle secondaire est le fluorure de sodium et de béryllium (BeF2-NaF). Une centrale pilote de 2 MWt est envisagée et éventuellement des centrales commerciales de 2225 MWt.

    Autres types de combustibles liquides: spectre unique, spectre thermique Integral MSR Terrestrial Energy, basé au Canada, a conçu Integral MSR. Ce MSR simplifié intègre les composants du réacteur primaire, y compris les échangeurs de chaleur primaires au circuit de sel propre secondaire, dans une cuve principale scellée et remplaçable ayant une durée de vie prévue de sept ans. L'IMSR fonctionnera entre 600 et 700 ° C, ce qui peut prendre en charge de nombreuses applications de traitement de la chaleur dans les processus industriels. Il fonctionne dans le spectre des neutrons thermiques avec une disposition hexagonale d’éléments en graphite formant le modérateur.

    Le sel combustible est un eutectique d'uranium 235 faiblement enrichi (2 U4) (sous forme d'UF4) et d'un sel porteur de fluorure - vraisemblablement du fluorure de sodium rubidium - susceptible de se transformer en FLiBe - à la pression atmosphérique. Le sel de refroidissement de la boucle secondaire est ZrF4-KF. Plusieurs pompes et six échangeurs de chaleur permettent la redondance. Le refroidissement d'urgence et l'évacuation de la chaleur résiduelle sont passifs. Lorsque le noyau scellé est remplacé au bout de sept ans, il est laissé aux produits de fission se décomposer. Chaque centrale aurait de la place pour deux réacteurs, permettant un basculement de sept ans, l'unité usagée étant retirée pour un retraitement hors site une fois refroidie.

    L'IMSR est conçu en trois tailles: 80 MWt (32,5 MWe), 300 MWt et 600 MWt. Le coût total actualisé de l’électricité produite par le plus important devrait être concurrentiel par rapport au gaz naturel. Le plus petit est conçu pour des applications hors réseau, à distance, et en tant que prototype. La société a achevé la première des trois phases de l'examen de la conception préalable d'un fournisseur par une licence effectuée par la Commission canadienne de la sûreté nucléaire en octobre 2018. Elle vise à faire fonctionner les premiers IMSR avant 2030. Transatomic TAP Transatomic Power est une nouvelle société américaine partiellement financée par Founders Fund et viser à développer un MSR à fluide unique utilisant du combustible à l'uranium très faiblement enrichi (1,8%) ou la totalité du composant actinide du combustible de LWR utilisé.

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  32. Le réacteur TAP est doté d'un modérateur efficace à l'hydrure de zirconium et d'un sel de carburant à base de LiF portant l'UF4 et des actinides, d'où un noyau très compact. Le liquide de refroidissement secondaire est un sel FLiNaK (LiF-KF-NaF) destiné à un générateur de vapeur. * tel qu'utilisé dans les réacteurs de recherche TRIGA et les réacteurs TOPAZ et SNAP pour le programme spatial. Grâce au modérateur ZrH, il y a beaucoup plus de neutrons dans la région thermique (moins de 1 eV) par rapport à un modérateur au graphite, ce qui permet au réacteur de générer de l'énergie à partir d'uranium très faiblement enrichi ou de combustible RLW usé. Le spectre épithermal (1 eV - 1 MeV) est inférieur à celui du graphite, mais dans le spectre rapide (supérieur à 1 MeV), le flux de neutrons est supérieur à celui du modérateur de graphite et contribue donc fortement à la combustion des actinides.

    Cela donnerait jusqu'à 96% de combustion des actinides. Les produits de fission sont généralement éliminés par lots et du combustible frais ajouté. Outre les coefficients de vide et les coefficients thermiques négatifs, le modérateur commence à faire défaut à des températures plus élevées en raison de la perte d'hydrogène. L'élimination de la chaleur de décomposition peut se faire par convection. Après un réacteur de démonstration de 20 MWt, la première centrale commerciale envisagée sera de 1250 MWt / 550 MWe fonctionnant à 44% de son efficacité thermique avec une température de 650 ° C dans la boucle primaire, en utilisant un cycle de vapeur.

    Le coût d'une nuit pour une centrale unique de 550 MWe, comprenant l'inventaire du lithium-7 et l'enlèvement et le stockage en ligne des produits de fission, est estimé à 2 milliards de dollars avec un calendrier de construction de trois ans. Une version du réacteur peut utiliser du thorium. La société a dû retirer certaines allégations exagérées concernant la combustion des actinides dans MIT Technology Review en 2016.

    En septembre 2018, la société a annoncé qu'elle cesserait ses activités et mettrait sa propriété intellectuelle à disposition gratuitement en ligne. Fuji MSR Le Fuji MSR est une solution modérée au graphite de 100 à 200 MW qui fonctionne presque en reproducteur avec le sel de carburant ThF4-UF4 et le réfrigérant FLiBe à 700 ° C. Il peut consommer du plutonium et des actinides et atteindre 100 à 1000 MWe. Retraitement par lots. Il est développé au niveau international par un consortium japonais, russe et américain: le Forum international sur le sel fondu de thorium (ITMSF), basé au Japon. Il est dérivé du MSBR Oak Ridge et plusieurs variantes ont été conçues, notamment un mini Fuji de 10 MWe.

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  33. Thorium Tech Solutions Inc (TTS) envisage de commercialiser le concept Fuji et travaille actuellement sur celui-ci avec le réacteur d'essai Halden en Norvège. Aux États-Unis, Thorcon Martingale est en train de concevoir le ThorCon MSR, un MSRE Oak Ridge à l’échelle de 250 MWe. Il s’agit d’un réacteur à convertisseur de thorium à un seul fluide à spectre thermique modéré au graphite. Il utilise une combinaison d'U 233 de thorium et d'U 235 faiblement enrichi d'uranium miné. Le sel combustible est du fluorure de sodium et de béryllium (BeF2-NaF) avec des tétrafluorures d'uranium et de thorium dissous (le fluorure de Li-7 est évité pour des raisons de coût). Le sel de refroidissement de la boucle secondaire est également du fluorure de sodium et de béryllium. Il fonctionne à 700 ° C. Il n'y a pas de traitement en ligne - celui-ci a lieu dans une centrale centralisée à la fin de sa durée de vie principale, tandis que certains produits de fission dégagent des gaz.

    Une usine pilote serait semblable au mini Fuji. Martingale vise un prototype opérationnel d’ici 2020, de construction modulaire. Plusieurs unités de 550 MWt constitueraient une centrale électrique, et une centrale Thorcon de 1 000 MWe comprendrait environ 200 modules de construction d’usines ou de chantiers navals installés sous le niveau du sol (30 m de profondeur). Tous les composants sont conçus pour être remplacés facilement et fréquemment. Par exemple, tous les quatre ans, l'intégralité de la boucle principale serait remplacée, renvoyée dans une installation de recyclage centralisée, décontaminée, démontée, inspectée et remise à neuf. Les problèmes naissants seraient résolus et des mises à niveau majeures pourraient être introduites sans perturber de manière significative la production d'électricité.

    La société réclame des coûts de production de 3 à 5 c / kWh selon l’échelle, et "cible ses premières installations dans des pays tournés vers l’avenir qui respectent les réglementations nucléaires neutres sur le plan technologique et voient les avantages du processus d’autorisation par test". Brûleur à déchets Seaborg - SWaB Au Danemark, Seaborg Technologies propose un réacteur à fluide unique thermo-épithermal destiné à une unité pilote de 50 MW et destiné à des unités modulaires commerciales de 250 MW alimentées au combustible de REO et au thorium. Le sel de carburant est du fluorure de Li-7 avec du thorium, du plutonium et des actinides mineurs sous forme de fluorures.

    Ceci est pompé à travers le noyau de la colonne de graphite et l'échangeur de chaleur. Les produits de fission sont extraits en ligne. Le sel de refroidissement secondaire est FLiNaK, à 700 ° C. Le combustible de LWR utilisé extrairait l'uranium en vue de son recyclage, ce qui laisserait du Pu et des actinides mineurs au combustible du MSR, avec du thorium. La société revendique un temps de montée en puissance très rapide. Autres types de combustibles liquides: Southern Co, à fluide unique et à spectre rapide, MCFR Southern Company Services aux États-Unis développe un réacteur rapide à chlorure fondu (MCFR) avec TerraPower, du laboratoire national Oak Ridge (ORNL) - qui héberge les travaux, le courant électrique Institut de recherche (EPRI) et université de Vanderbilt.

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  34. Aucun détail n'est disponible et il n'est pas certain qu'il s'agisse d'un type à un seul fluide. Cependant, le combustible se trouve dans le sel de chlorure (voir la section ci-dessus) et, en tant que réacteur rapide, il peut brûler du U-238, des actinides et du thorium, ainsi que du combustible de réacteur à eau légère, ne nécessitant aucun enrichissement en dehors de la charge de combustible initiale. TerraPower, pas du Sud). Il est rapporté être grand. En janvier 2016, le DOE américain a octroyé au projet une subvention GAIN (Gateway for Accelerated Innovation in Nuclear) d'une valeur maximale de 40 millions de dollars.

    En août 2016, Southern Nuclear Operating Company a signé un accord de collaboration avec X-energy afin de collaborer au développement et à la commercialisation de leurs conceptions respectives de petits réacteurs. Avec TerraPower et ORNL, X-energy conçoit le HTR à lit de galets Xe-100 de 48 MWe. Elysium MCSFR Aux États-Unis et au Canada, Elysium Industries utilise le concept de réacteur de fusion rapide à chlorure de sodium fondu (MCSFR) avec carburant dans le sel de chlorure.

    Il fonctionne en dessous du niveau du sol à une pression proche de la pression atmosphérique et n’utilise pas d’eau à proximité du sel de carburant. Il est conçu pour suivre la charge. Une gamme de tailles allant de 110 à 2700 MWt est à l'étude. Le combustible irradié provenant de réacteurs à eau légère ou d'uranium appauvri avec du plutonium peut l'alimenter. Les produits de fission sélectionnés sont retirés en ligne. La sécurité passive comprend un bouchon de congélation. Il a des coefficients de température et de vide négatifs.

    Références

    Ho MKM, Yeoh GH et Braoudakis G., 2013, Molten Salt Reactors, dans Matériaux et procédés pour l'énergie: communiquer sur la recherche actuelle et les développements technologiques, ed A.Mendez-Vilas, Centre de recherche Formatex

    Merle-Lucotte, E. et al. 2009, Minimiser l'inventaire fissile du réacteur rapide au sel fondu, Progrès de la gestion du combustible nucléaire IV (ANFM 2009), American Nuclear Society

    Merle-Lucotte, E. et al 2007, Réacteur au sel fondu au thorium: lancer le cycle du thorium tout en fermant le cycle du combustible en cours, ENC 2007

    Forsberg, CW, Peterson, PF, Zhao, HH 2004, Un réacteur à sels fondus perfectionné utilisant la technologie des réacteurs à haute température, American Nuclear Society

    LeBlanc, D, 2009, Réacteurs à sels fondus: un nouveau départ pour un vieil idée, Nuclear Engineering & Design 2010, Elsevier

    Transatomic Power Corp., livre blanc technique, mars 2014

    Ignatiev, V & Feynberg, O, Kurchatov Inst, réacteur à sel fondu: vue d'ensemble et perspectives, OCDE 2012

    Annexe 6.0 Réacteur à sel fondu, Gén Plan de programme décennal relatif aux systèmes d’énergie nucléaire, exercice 2007, Département de l’énergie du Bureau de l’énergie nucléaire (septembre 2007)

    Hargraves, R & Moir, R, 2010, Réacteurs au fluorure de fluor liquide, scientifique américain 98

    Fluorure-Salt High-Cooled High Réacteurs thermiques pour la charge de base et l'électricité de crête, la stabilisation du réseau et le traitement de la chaleur, Forsberg, Hu, Peterson, Sridharan, 2013, MIT

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  35. Wong, C et Merrill, B, 2004, Expérience pertinente en MSRE et MSR, ITER TBM Réunion de projet à UCLA, 23-25 février 2004,

    Energy Process Developments Ltd, juillet 2015, MSR Review: possibilité de développer un réacteur à sel fondu à l'échelle pilote au Royaume-Uni, juillet 2015.

    Sherrell Greene, laboratoire national d'Oak Ridge, SmAHTR - le petit module modulaire Réacteur haute température avancé (septembre 2010)

    Xu, Hongjie, SINAP, Etat et perspectives du TMSR en Chine, présenté à l’atelier sur le réacteur à sel fondu du Forum international Génération IV (GIF) à l’Institut Paul Scherrer le 24 janvier 2017. et Questions liées à la réglementation des installations de recyclage de combustible nucléaire usé de pointe, Livre blanc du Comité consultatif sur les déchets et les matières nucléaires de la Commission de réglementation de l'énergie nucléaire, NUREG-1909 (juin 2008), Fondation

    Weinberg, 2014, Royaume-Uni. Holcomb DE et al, juillet 2011, Options du réacteur à sel fondu à spectre rapide, ORNL

    http://www.world-nuclear.org/information-library/current-and-future-generation/molten-salt-reactors.aspx

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  36. «Prix de la fierté»: devant Maxime Nicolle, un CRS affirme gagner «500 euros par weekend»



    18:39 13.04.2019


    Approché par Maxime Nicolle lors de la manifestation des Gilets jaunes, un membre des forces de l’ordre a affirmé «prendre 500 euros par weekend».

    Lors de l'acte 22 des Gilets jaunes à Toulouse, la figure du mouvement protestataire Maxime Nicolle a filmé son dialogue avec un membre des forces de l'ordre au sein d'un barrage policier sur le trottoir:

    Alors que Maxime Nicolle affirme être «plus heureux de mon côté que du votre», un des CRS lui répond qu'il gagne «500 euros par weekend». «Vous, je ne suis pas sûr que vous les ayez», renchérit-il.

    «Voilà la réponse, c'est ce qu'il prend 500 euros par weekend. C'est ça le prix de la fierté», constate le chef de file de la contestation.

    Diffusé sur les réseaux sociaux, la vidéo a provoqué un flot de commentaires oscillant entre ironie et indignation:

    - voir sur site:

    https://fr.sputniknews.com/france/201904131040727694-maxime-nicolle-gilets-jaunes-crs/

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  37. Marine Le Pen pense que les Gilets jaunes ne sont que «des boulets» pour Macron


    19:40 13.04.2019


    Aux yeux de l’administration française en place, les Gilets jaunes ne sont que des «empêcheurs de tourner en rond», a déclaré Marine Le Pen lors d’une réunion publique dans le Loir-et-Cher.

    Le chef de la République française considère les Gilets jaunes comme des «boulets» et des «poids morts», estime la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen.

    «Emmanuel Macron, comme les gens qui nous dirigent à l'Union européenne, considèrent que vous êtes empêcheurs de tourner en rond. Vous êtes des boulets, vous êtes des poids morts», a lancé Mme Le Pen intervenant lors d'une réunion publique à Mer, dans le Loir-et-Cher.

    Selon la chef du RN, aux yeux du Président, les protestataires «ne méritent même pas qu'on les écoute».
    «Il vous expliquerait très certainement qu'il est même pas sûr que vous ayez la capacité de voter en fait», a-t-elle insisté après avoir qualifié le mouvement des Gilets jaunes de «révolte du peuple français».

    https://fr.sputniknews.com/france/201904131040728437-le-pen-gilets-jaunes-macron/

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  38. Hillary, qui aurait voulu tuer Assange à l'aide d'un drone, ironise sur son extradition


    14:25 13.04.2019


    Hillary Clinton, qui aurait à l’époque proposé de faire taire Julian Assange à l’aide d’un drone, a trouvé ironique la volonté de l’administration Trump de traduire le fondateur de WikiLeaks en justice.

    L’ex-candidate démocrate à la présidentielle américaine Hillary Clinton a jugé ironique la détermination de Washington à obtenir l’extradition de Julian Assange, dont le projet WikiLeaks avait, en 2016, diffusé des messages piratés de son directeur de campagne John Podesta:

    «Je crois qu’il y a une pointe d’ironie dans le fait qu’il est peut-être l’unique étranger bienvenu aux États-Unis sous cette administration», a déclaré l’ancienne secrétaire d’État, citée par AP.

    Pourtant, elle a souligné que le fondateur de WikiLeaks «devait répondre pour ce qu’il a fait».

    Ces déclarations sont à l’opposé de l’idée, évoquée par Mme Clinton à l’époque où elle dirigeait le département d’État, de réduire M.Assange au silence à l’aide d’un drone, selon l’un des documents révélés par WikiLeaks:

    Réfugié depuis 2012 à l’ambassade d’Équateur à Londres, Julian Assange a fini par être arrêté le 11 avril en vertu d’une demande d’extradition américaine pour «piratage informatique» et d’un mandat délivré par la justice britannique pour non présentation au tribunal.

    Suite à son arrestation, le vice-Président américain Mike Pence a promis de traduire l’Australien en justice pour «diffusion d’informations classifiées par les États-Unis».

    https://fr.sputniknews.com/international/201904131040721943-assange-clinton-extradition-ironie/

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