- ENTREE de SECOURS -



vendredi 26 avril 2019

LE 1er MAI SOUS PRESSION :


LES GILETS DE LA DÉMOCRATIE S'EXPRIMENT:

" J'ai eu accès à 3 Députés, ils m'ont dit 'On peut rien faire' ! HAHAHAHAHA !

57 commentaires:

  1. Ingrid Levavasseur pronostique l’avenir des Gilets jaunes suite aux annonces de Macron


    09:00 26.04.2019


    Après la conférence de presse d’Emmanuel Macron le 25 avril, la Gilet jaune Ingrid Levavasseur n’a pas pu s’empêcher de partager sa déception. Elle estime que le Président «aurait pu annoncer des mesures phares» et craint que les mobilisations ne «perdurent».

    Invitée sur Europe 1, Ingrid Levavasseur, l'une des principales figures des Gilets jaunes, s'est dit «déçue» par les annonces du Président français à l'issue du Grand débat national. Elle a ainsi reconnu avoir eu «un peu d'espoir» avant la prise de parole d'Emmanuel Macron.

    «Je pense qu'il aurait pu annoncer des mesures phares mais j'ai l'impression que c'est du réchauffé par rapport à la semaine dernière», a-t-elle précisé.

    Elle estime qu'Emmanuel Macron «a tellement à faire encore» puisqu'«il n'y a pas de précisions», notamment sur le montant des baisses d'impôt ou sur l'augmentation du temps de travail.

    Dans un autre entretien accordé à BFM TV, Ingrid Levavasseur a toutefois indiqué qu'il y avait des choses «intéressantes» dans le discours de M. Macron, notamment la réindexation des retraites.

    «Tout le reste ne colle pas», a-t-elle conclu avant de faire part de sa crainte que les mobilisations ne «perdurent».


    La première grande conférence de presse d'Emmanuel Macron à l'issue du Grand débat national s'est tenue le jeudi 25 avril à l'Élysée. Il a annoncé des mesures visant à répondre à la crise des Gilets jaunes, clamant notamment son intention de réduire «significativement» l'impôt sur le revenu. Il a également souligné que les retraites «de moins de 2.000 euros» par mois seraient réindexées sur l'inflation en 2020, plaidant par ailleurs pour la mise en œuvre facilitée d'un référendum d'initiative partagée.

    https://fr.sputniknews.com/france/201904261040888393-ingrid-levavavsseur-avenir-gilets-jaunes-annonces-macron/

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    1. A quoi à qui cela sert-il d'aller interviewer une personne qui n'est PAS représentative du mouvement contestataire ?
      Ce que veulent les manifestants du samedi c'est : LA DÉMOCRATIE !

      C'est-à-dire (comme en Suisse qui est le seul pays au monde en Démocratie) que c'est le citoyen qui propose SES propres idées (lors d'un dépôt de lois) et vote SES propres idées (lors du référendum).

      MAIS N'ALLONS PAS PERDRE DU TEMPS A ÉCOUTER, DISCUTER AVEC DES SOUTENEURS DE LA RÉPUBLIQUE !

      NON A LA RÉPUBLIQUE
      OUI A LA DÉMOCRATIE !

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  2. Exil des millionnaires: Macron, le «Président des riches»… qui n’arrive pas à les retenir


    18:57 24.04.2019
    Maxime Perrotin


    Championne du monde de l'exode des millionnaires et des entrepreneurs sous François Hollande, la France est loin d'être un Eldorado sous Emmanuel Macron: les contribuables fortunés fuient la France, mais en moins grand nombre. De plus, on observe clairement qu'en France, matraquage fiscal ne rime pas avec diminution des inégalités.

    Les «riches» sont-ils bien de retour, comme BFMTV nous l'expliquait quatre mois après l'élection d'Emmanuel Macron ? Ils auraient en effet été 3.000 millionnaires à avoir quitté la France en 2018, selon le dernier rapport du cabinet sud-africain New World Wealth (NWWealth), rédigé avec le soutien de AfrAsia Bank, sur la migration des richesses. Un «millionnaire», ou high-net-worth individual (HNWI), étant un individu possédant un capital net d'au moins un million de dollars, résidence principale non comprise.

    Certes, il s'agit d'une nette amélioration par rapport aux années du quinquennat Hollande, où ils étaient plus de 10.000 à partir rien qu'en 2015, soit 3% des 323.000 millionnaires résidents en France, un nombre réduit à 268.600 en 2018, toujours selon les rapports du NWWealth. Une perte sèche en nombre d'importants contribuables qui avait value à l'hexagone de caracoler en tête du classement mondial, devant la Chine communiste, qui compte pourtant près de deux fois plus de millionnaires.

    Une diminution des départs certes, mais la tendance reste à la fuite des «riches». Une fuite constante d'importants contribuables corroborée par un rapport du Fisc au Parlement, dont nos confrères des Échos ont eu copie.

    Comme l'estime le cabinet sud-africain, l'impact des millionnaires sur l'emploi, l'innovation, les recettes fiscales —et globalement la résilience d'une économie nationale- font de leur départ un mauvais signal. «Les millionnaires sont souvent les premiers à partir», ceux-ci ayant «les moyens de partir, contrairement aux citoyens des classes moyennes», rappelait ainsi l'auteur d'un précédent rapport, qui souligne que les millionnaires sont généralement des individus «hautement qualifiés et instruits. Beaucoup sont aussi des innovateurs,» ou encore que «30 à 40% des millionnaires sont des propriétaires d'entreprises.»

    On note d'ailleurs que dans le cas de la France et de l'Italie, cette fuite de contribuables à hauts revenus va de pair avec un appauvrissement de la richesse du pays. Inversement, on observe que les pays d'accueil ont tendance à voir leur richesse s'accroître sensiblement, comme en Australie et au Canada, qui figurent sur le podium des destinations les plus recherchées avec respectivement 12.000 et 4.000 millionnaires y ayant immigré en 2018. Les États-Unis arrivent en seconde position de ce classement de New World Wealth, qui estime à 108.000 le nombre de millionnaires ayant franchi le pas de changer de pays l'année passée, soit une progression de 14% par rapport à 2017.

    Principales raisons du succès de l'île-continent, l'usage de l'anglais, l'attrait de son système éducatif, la performance de son économie et de son système de santé, ainsi que son faible taux de criminalité. Système de santé et taux de criminalité, deux critères qui, avec l'absence d'impôts sur les successions, permettent à l'Australie de prendre le dessus sur les États-Unis dans le classement des destinations les plus prisées des migrants fortunés, selon NWWealth.

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  3. En effet, les principales raisons avancées pour expliquer les départs ne sont pas toujours d'ordre purement fiscal. Dans le cas de la France et du Royaume-Uni, le poids «très élevé» des impôts sur les successions est certes central selon NWWealth en 2018, mais notons qu'en 2015, le cabinet de conseil évoquait dans son rapport «l'augmentation des tensions religieuses et le manque d'opportunités» comme l'une des raisons «notables» de l'exode des Parisiens fortunés (solde négatif de 7.000 sur un an).

    En somme, plus que le montant des impôts, c'est la qualité de vie qui prime. Ou, dit autrement, la qualité du retour sur investissement fiscal que ces ménages à haut potentiel perçoivent: pourquoi payer de plus en plus dans un pays où tout se dégrade et où on en a de moins en mois pour son argent? En somme, le même diagnostic que bien des Gilets jaunes, qui dénoncent le double mouvement de hausse de la pression fiscale et de baisse des services publics, à ceci près que les Gilets jaunes n'ont pas les moyens de s'exiler sous des cieux plus cléments…

    On note qu'aucune destination européenne ne figure dans le classement du New World Wealth, qui relève des taux de croissance de la richesse des pays de la zone à un chiffre, voire négatifs. La France, avec —7% de croissance de richesse sur 10 ans (2008-2018), tombe d'ailleurs de la 7e à la 9e place du top 10 dressé par le cabinet sud-africain, juste devant l'Italie (-14%). L'Australie et le Canada, avec respectivement 48% et 23% de croissance de leur richesse sur la même période, prennent donc pour la première fois l'ascendant sur la France.

    Une croissance de la richesse totale des ménages d'un pays qui reste bien éloignée de celle de la Chine (+130%). Notons que cette croissance à trois chiffres, toujours sur dix ans, contrebalance les nombreux départs de millionnaires de l'Empire du Milieu (15.000 rien qu'en 2018, 10.000 en 2017 et 9.000 en 2015). En effet, alors que la France perd ses contribuables fortunés et voit sa population globalement s'appauvrir année après année, les Chinois s'enrichissent malgré le nombre important et croissant de départs de millionnaires.

    En somme, la Chine apparaît comme une fabrique de millionnaires alors que la population française semble de son côté inexorablement se paupériser, peu importe les tendances de l'économie mondiale.

    Au-delà de ce tableau, la France est absente du classement (top-20) des marchés de la richesse les plus performants et figure dans ceux des «marchés de la richesse les moins performants», tant pour la période 2017-2018 que 2008-2018. Avec respectivement —12% et —7% de croissance de sa richesse sur ces deux périodes, la France s'offre ainsi le luxe de côtoyer la Turquie, la Russie (sous sanctions occidentales depuis cinq ans), l'Ukraine ou encore le Venezuela.

    Plus embarrassant, si la France se targue de son système de redistribution des richesses- depuis les décennies que dure le débat du «matraquage fiscal» dans le pays-, on ne la retrouve pas non plus dans le classement des pays… les plus égalitaires.

    Survolé par le Japon —autre pays de l'OCDE ayant la main lourde sur les prélèvements obligatoires, bien que les recettes fiscales ne représentent «que» 30% de son PIB contrairement au 46,2% pour la France- on retrouve également dans ce classement le Danemark, la Suède ou encore l'Allemagne, des pays qui figurent également en bonne place dans le classement de l'OCDE pour leur fort ratio impôts/PIB. Un classement de l'organisation internationale où la France apparaît en bonne championne du monde.

    https://fr.sputniknews.com/analyse/201904241040873164-millionnaires-departs-France-Macron/

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    1. Un riche dépense beaucoup et fait donc travailler DES milliers de personnes contrairement aux personnes a revenu modeste (3.000 millionnaires à avoir quitté la France en 2018 ! HAHAHA !). Quand on a quelque chose on cherche en premier lieu à en préserver son montant et, à le faire fructifier. Or, si les riches ne peuvent ouvrir des entreprises, être condamner par le fisc à être pauvre et à être traité de salaud... alors là, on comprend que les têtes pleines aux poches remplies préfèrent des 'paradis fiscaux' !

      Mais que sont ces 'paradis fiscaux' sinon des coffres qui préservent les biftons ? Oui mais, encore faut-il faire la différence entre bifton et bifton ! Car même si çà rapporte pas un sous en intérêt ils ne veulent pas en perdre un centime !

      Notons bien que cet argent qui 'ne tourne pas' NE PROFITE DONC A PERSONNE ! Et c'est justement çà que cherchent les dictateurs aux pouvoirs dans le monde ! Évitez que l'argent fructifie ! Car, si des entreprises offrent du travail elles enrichissent aussi les employés qui... deviendront (petit à petit) des nouveaux riches et s'instructionnerons et seront même capable de dire merde au chef de l'État !

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  4. SONDAGE EXCLUSIF: Louis HARRIS interactive/EPOKA pour LCI:

    CONVAINCANT : 7%
    PAS CONVAINCANT: 93 %

    PENSEZ-VOUS QUE LES MESURES PROPOSÉES PAR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE...

    répondent à vos attentes ? Oui 5% Non 95 %
    vont mettre fin au mouvement des GJ ? Oui 2 % Non 98 %

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  5. Macron Woos: Gilets jaunes avec réductions d'impôt, immigration et mise en garde contre la menace d'un "islam politique"


    par Tyler Durden
    Ven., 26/04/2019 - 08:25


    Le président français Emmanuel Macron a donné jeudi une rare conférence de presse au cours de laquelle il avait promis de réduire les impôts et d'instaurer d'autres réformes économiques alors qu'il tentait de relancer sa présidence (comme le dit FT).

    Le discours de Macron était vaste et couvrait l'éducation et l'environnement - ainsi que la reconnaissance de la menace d'un "islam politique qui veut faire sécession avec notre République".

    "Nous parlons d'une sécession qui s'est parfois sournoisement installée parce que la République a déserté ou n'a pas tenu ses promesses, nous parlons de personnes qui, au nom d'une religion poursuivent un projet politique, celle d'un islam politique qui veut faire sécession avec notre république. Et là, j’ai demandé au gouvernement d’être insoluble. " -Macron (via La Presse)

    Le président français allait initialement annoncer les réformes le 15 avril, mais reporté en raison de l'incendie de la cathédrale Notre-Dame. En bref - Macron tente de calmer les Gilets jaunes, qui protestent depuis plus de cinq mois consécutifs contre les taxes élevées et la mauvaise gestion du gouvernement. Pour référence, voici ce qu'ils veulent:

    Autres citations clés du discours de Macron jeudi dans le Straits Times:

    SUR LES RÉFORMES GOUVERNEMENTALES DE MACRON

    "Je me suis demandé: devrions-nous arrêter tout ce qui a été fait au cours des deux dernières années ? Avons-nous pris un mauvais tournant ? Je crois au contraire."

    Après les manifestations, à la mairie de France

    "Nous sommes avant tout des enfants des Lumières. Et c'est à partir de ces débats, de ces délibérations, de cette capacité à se contredire… que de bonnes solutions peuvent émerger pour le pays."

    SUR LES ÉCOLES ET HÔPITAUX

    "Nous devons maintenir les services publics (à la campagne) (...) garantir l'accès de tous aux services de santé et garantir qu'aucune école ni aucun hôpital ne sera fermé sans l'approbation du maire."

    SUR LA RÉFORME DES ÉCOLES DE LA FONCTION CIVILE ET DES ÉLITES FRANÇAISES

    "Je veux réformer notre haute fonction publique. Ce n'est plus un système méritocratique ... Nous n'avons pas besoin de protection pour un emploi à vie."

    Macron a également confirmé qu'il supprimerait l'Ecole Nationale d'Administration de France, une école de troisième cycle fondée en 1945 par Charles de Gaulle dans le but de former une élite administrative de l'après-guerre composée de toutes les couches de la société.

    SUR LE NETTOYAGE DE LA FISCALITÉ EN FRANCE

    Macron a exclu la réintroduction de l'impôt sur la fortune - connu en France sous le nom d '"ISF" - que son gouvernement avait remplacé par un impôt sur les transactions immobilières et les actifs immobiliers lucratifs.

    "S'agissant d'une réforme pragmatique, elle sera réévaluée en 2020. Si ce n'est pas efficace, nous le modifierons."

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  6. SUR LES COUPES FISCALES

    Macron a déclaré qu'il souhaitait "considérablement" réduire l'impôt sur le revenu afin d'alléger le fardeau des classes moyennes.

    "Les travailleurs qui paient l'impôt sur le revenu ont largement cotisé au cours des dernières décennies. Donc, je vais être simple, je ne veux pas d'augmentation des impôts. Je veux des réductions pour ceux qui travaillent en réduisant considérablement l'impôt sur le revenu."

    Macron a décrit certaines des manières dont les réductions d'impôt seraient financées: "J'ai demandé au gouvernement de mettre en œuvre cette réduction fiscale en supprimant certaines échappatoires en matière d'impôt sur les sociétés, en obligeant les gens à travailler plus et en réduisant les dépenses publiques".

    SUR L'IMMIGRATION

    Macron a appelé à un meilleur contrôle des frontières aux niveaux national et européen. Il a ajouté que des modifications devraient être apportées à l'espace Schengen, même si cela conduit à une réduction de son champ d'application ou à un nombre moins élevé d'États membres.

    "Pour être ouvert, il faut des limites; pour accueillir quelqu'un, il faut une maison, il faut donc des frontières."

    SUR LE TRAVAIL PLUS ET LA RETRAITE

    "Nous devons travailler plus, je l'ai dit. La France travaille beaucoup moins que ses voisins. Nous devons avoir un vrai débat à ce sujet."

    Macron a déclaré qu'il ne souhaitait pas repousser l'âge légal de la retraite au-delà du seuil actuel de 62 ans.

    Mais il a également souligné la nécessité de mesures qui obligeraient les citoyens français à contribuer plus longtemps au système de retraite avant de prendre leur retraite.
    - voir sur site les '25 FAUSSES propositions des manifestants français -

    https://www.zerohedge.com/news/2019-04-25/macron-woos-yellow-vests-tax-cuts-immigration-and-warning-over-threat-political

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    1. ÔH PiTIN !!

      (...) reconnaissance de la menace d'un "islam politique qui veut faire sécession avec notre République". (...) !!!

      A part à l'église en feu à Paris, et les black-blocs, j'en ai pas vu beaucoup d''islamiste' défendre les français qui veulent les foutre dehors ! Hahahaha !

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  7. MACRON : le pompon


    Henri Dumas
    vendredi, 26 avril 2019 03:17


    Emmanuel, il faut que je te cause.

    Je vois que ton épouse, qui pourtant doit être raisonnable, n’a pas prise sur toi. Du coup moi, qui pourrait être ton père, je suis consterné et je m’y colle.

    Mais tu t’es vu avec tes mesurettes ? Mais de quoi t’as l’air ?

    Je vois bien que les gilets jaunes : t’as pas saisi le problème.

    Bon d’accord, tu les as poussés dans les bras des fous de la baston, puis tu as fait un lot global et tes « RoboCops » et tes magistrats les ont tabassés jusqu’à les dégoûter. Mais avec peine, c’était limite. Et puis… tu as plombé l’ambiance.

    Finalement le problème reste entier, ils ne seront peut-être plus dans la rue, mais ils sont dans tous les esprits.

    Je vais te dire un petit secret que tout le monde sait sauf toi.

    Qui sont les Gilets Jaunes ?

    Ce sont les automobilistes dégoûtés de tes PV à répétition, les mecs qui arrangeraient bien leur cabane mais qui ne peuvent pas obtenir un permis de construire, ceux qui payeraient bien un peu d’impôts mais que la paperasse dégoûte et que ton fisc harcèle et torture bêtement, ceux qui cherchent du boulot mais qui ne valent pas assez chers pour compenser leurs charges, ceux qui se sont installés à leur compte et qui croulent sous les déclarations, les normes et les charges, ceux qui croyaient engraisser leur bétail et qui engraissent leur banquier, les un peu malades qui ont peur à juste titre de l’hôpital, ceux qui vieillissent que tes flics n’ont pas le temps de protéger, les gamins sans espoir parce qu’un con de prof les a dans le nez, tous ceux que tes fonctionnaires humilient chaque jour un peu plus, ceux que les factures d’eau, de gaz et d’électricité rançonnent, qui ne peuvent plus se chauffer, se laver, s’éclairer librement, ceux qui ne mettent plus le mazout dans leur voiture qu’à coup de 20€, ceux qui n’ont pas d’avis et à qui tu le demandes, ceux qui veulent simplement qu’on ne les emmerde pas, qu’on ne les force pas à être heureux autrement que comme ils le veulent, les éoliennes ça les gonflent, les conseils sur le pastis aussi, les lois incompréhensibles et les avocats obligatoires ça les bouffe, tes horoscopes toujours faux aussi, arrête de prédire l’avenir, contente toi de gérer le présent, etc…

    Tu vois, ils sont des millions. Juste tu leur fous la paix et le tour est joué.

    Ils s’en foutent que tu sois Président de la République, que t’ais un avion, des bagnoles, des costards, des nanas, des joujoux, sont pas jaloux, t’inquiète.

    Ce n’est pas les quelques journaleux pisses-vinaigre et jaloux qui crachent sur tout qui ont leur faveur.

    Tu comprends ça : ils veulent juste qu’on arrête de les emmerder. Ils veulent être libres.

    N’ai pas peur, ils se débrouilleront très bien, arrête de leur faire croire que tu es indispensable, d’abord ils ne le croient pas, alors…

    Ils en profitent pour essayer de te tirer un peu de fric, ne t’énerve pas, c’est de bonne guerre, ils le demandent sans y croire, ils sont parfaitement capables de se démerder seuls.

    Alors Emmanuel, je t’en prie, arrête les conneries et les déclarations ridicules, ne fous pas le feu, on a déjà ce qu’il faut à ce sujet.

    T’as nettoyé le goudron, OK mais à quel prix, t’aurais pas dû, fallait venir discuter et rendre la liberté aux Gilets jaunes, avec un peu d’estime et d’amour en prime. Que crois-tu qu’ils aient trouvé sur les ronds-points ?

    T’es vraiment un jeune couillon. Peut-être qu’avec le temps….

    http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/macron-le-pompon.html

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  8. Une partie des ministres de LREM s'est assoupie lors du discours de Macron (images)


    12:13 26.04.2019


    Air ennuyé, regard perdu, yeux fermés… Quatre ministres du parti La République en Marche, dont Christophe Castaner, ont été photographiés avec des visages fatigués lors de la conférence de presse d’Emmanuel Macron. Loin d’être embarrassé, le ministre de l’Intérieur en a ri sur France info.
    Une série de photos prises pendant la conférence d'Emmanuel Macron et montrant certains ministres, tous députés du parti La République en Marche, semblant fatigués ou même ennuyés lors du discours présidentiel, a fait le tour des réseaux sociaux.

    Sur ces images, on voit le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, ayant l'air de s'ennuyer; le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, Jean-Michel Blanquer, avec le regard perdu; le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, ainsi que le ministre de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, avec les yeux fermés.

    Invité au micro de France info ce vendredi 26 avril pour réagir à la prestation du Président, Christophe Castaner n'a pas échappé à une question à ce sujet. Loin d'être embarrassé, il a, au contraire, beaucoup ri, assurant avoir été très attentif et intéressé pendant les deux heures et demie du discours.

    «J'ai même pris des notes pendant la première partie», a-t-il ajouté.

    La première grande conférence de presse d'Emmanuel Macron à l'issue du Grand débat national s'est tenue le jeudi 25 avril à l'Élysée. Il a annoncé des mesures visant à répondre à la crise des Gilets jaunes, clamant notamment son intention de réduire «significativement» l'impôt sur le revenu. Il a également souligné que les retraites «de moins de 2.000 euros» par mois seraient réindexées sur l'inflation en 2020, plaidant par ailleurs pour la mise en œuvre facilitée d'un référendum d'initiative partagée.

    https://fr.sputniknews.com/france/201904261040890234-macron-conference-ministres-visages-fatigues-photos/

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    1. Ils se croyaient aux chiottes en train de lire le magazine de Mickey.
      Voila pourquoi il ne s'appelle pas Éintellectuel Marron !

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  9. Comparutions immédiates reportées aux siècles prochains !

    Aucun policier n’a encore été jugé ou sanctionné suite aux 220 enquêtes confiées à l'IGPN


    12:07 26.04.2019


    Plus de 220 enquêtes sont en cours suite aux signalements de violences policières présumées, mais aucun verdict n’a encore été rendu car ces «enquêtes judiciaires (…) prennent un peu de temps», a déclaré Christophe Castaner, le ministre de l'Intérieur, sur France info.

    Christophe Castaner a réagi ce vendredi 26 avril aux signalements de violences policières présumées, affirmant que l'IGPN [Inspection générale de la police nationale, ndlr] était en train d'enquêter sur 220 cas présumés mais qu'aucun verdict n'avait encore été rendu.

    «Dès qu'il y a une plainte, il y a une enquête. Il y a 220 enquêtes confiées à l'IGPN qui sont en cours», a déclaré le ministre de l'Intérieur au micro de France info. Elles ne sont pas à ce jour terminées, selon M. Castaner, car «ce sont des enquêtes judiciaires. Elles prennent un peu de temps».

    «Je vous le dis, s'il y a des décisions judiciaires il y aura évidemment des sanctions administratives», a-t-il assuré.

    Demandant «l'exemplarité» aux fonctionnaires, le ministre a également défendu l'usage de la force par la police.

    «À un moment donné, si on dit à la police et à la gendarmerie "Vous n'avez pas le droit d'utiliser la force", elles doivent subir, se laisser agresser, ne rien faire et laisser casser des magasins, laisser menacer l'équilibre et l'ordre dans nos villes», a indiqué M. Castaner.

    Quelque 13.460 balles de défense ont été tirées depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, affirmait l'Intérieur le 24 avril. Le collectif militant «Allo Place Beauvau» dénombre pour sa part 260 blessures à la tête, 23 personnes éborgnées et cinq mains arrachées au cours des manifestations.

    Le 6 mars, la Haut-commissaire de l'Onu aux droits de l'Homme, Michelle Bachelet, avait exhorté le gouvernement français à mener une enquête complète sur tous les cas rapportés d'usage excessif de la force, tout en l'encourageant à poursuivre le dialogue.

    https://fr.sputniknews.com/france/201904261040890136-violences-policieres-enquetes-igpn/

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  10. Un scandale de corruption lié à l'ambassade de France au Venezuela pourrait éclater


    11:59 26.04.2019


    L'Express a révélé jeudi 25 avril les soupçons qui pesaient autour d’un détournement de fonds publics au lycée français de Caracas, sous la tutelle de l'ambassade de France. La somme de 7,5 millions d’euros est évoquée.

    Un signalement de 10 pages pour détournement de fonds publics, dont L'Express a pu prendre connaissance, a été transmis au parquet de Paris.

    En cause: un possible détournement de fonds publics au lycée français de Caracas, qui est sous la tutelle de l'ambassade de France.

    Le signalement en question émane de Pierre Mazzoni, fonctionnaire du Quai d'Orsay, qui était conseillé de coopération et d'action culturelle et inspecteur d'académie de l'établissement scolaire en question de 2015 à 2018.

    M.Mazonni est rappelé dans la foulée à Paris par l'ambassadeur français Romain Nadal, en raison de «très nombreuses affirmations ou accusations calomniatrices», poursuit L'Express.

    Une hausse surprise, et conséquente, des frais de scolarité en juin dernier est à l'origine de cette suspicion. Un nouveau droit d'entrée pour la rentrée suivante de 2.900 euros par enfant est demandé, précise le journal. C'est alors que les parents d'élèves s'insurgent et demandent un audit du lycée.
    Par ailleurs, le versement est désormais à effectuer en euros, et non plus en bolivars, alors que l'inflation atteint des records autour de 100.000%.

    https://fr.sputniknews.com/france/201904261040890092-scandale-corruption-ambassade-france-venezuela/

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    1. L'inflation ne touche QUE les importations et non les productions locales.

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  11. Le canton de Zurich veut contraindre la police à dévoiler la nationalité des suspects


    En ville de Zurich, la police pourrait être contrainte d'annoncer systématiquement la nationalité des suspects

    A Zurich, la mention de la nationalité d’un suspect ou d’un condamné pourrait devenir obligatoire pour toutes les polices du canton

    La Matinale


    L'exécutif du canton de Zurich soutient la divulgation systématique de la nationalité des auteurs de délits, mais ne veut pas aller jusqu'à contraindre la police à indiquer s'ils ont été naturalisés ou s'ils sont double nationaux.

    Maintenir la mention de la nationalité des personnes impliquées dans un délit, oui, mais sans introduire des informations plus précises sur leurs origines: telle est la position que le Conseil d'Etat zurichois a défendue jeudi soir en dévoilant son contre- projet à une initiative de l'UDC cantonale.

    A l'heure actuelle, la police cantonale zurichoise communique déjà la nationalité des délinquants. En revanche, la police municipale de la ville de Zurich, à majorité rose-verte, a renoncé à le faire depuis novembre 2017.

    L'UDC veut plus de précisions

    En réaction, l'UDC cantonale avait déposé l'an dernier une initiative qui exige que toutes les polices du canton soient contraintes de donner dans leurs communiqués et leurs conférences de presse la nationalité des auteurs présumés de délits, de même que leur âge et leur sexe.

    Le texte exige également que soit communiqué, sur demande, si un suspect a obtenu la nationalité suisse par naturalisation, ou s'il est double national.

    Contraire à la protection de la vie privée

    Pour les autorités zurichoises, cette deuxième disposition va trop loin. Elles estiment qu'une telle mesure serait contraire à la protection de la vie privée.

    L'initiative et son contre-projet doivent maintenant être débattus au parlement du canton. En cas d'acceptation de l'un ou l'autre, la police de la ville de Zurich devra faire machine arrière.

    Séverine Ambrus/vic

    https://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/10391030-le-canton-de-zurich-veut-contraindre-la-police-a-devoiler-la-nationalite-des-suspects.html

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  12. 1067 TRISOMIQUES DE SUISSE ALLEMANIQUE S'EMPARENT
    D'UN VILLAGE !!

    INFOGRAPHIE - LES ROMANDS S'INQUIÈTENT DU CLIMAT

    26.04.2019, 13h11


    1067 lecteurs ont répondu à notre sondage sur l'écologie. Inquiets de l'urgence climatique, une majorité d'entre eux adopte déjà les bons gestes pour tenter d'inverser la tendance.

    https://www.lematin.ch/suisse/romands-s-inquietent-climat/story/21110765

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    1. Mais jusqu'où ira t-on ??! Voila maintenant les attardés mentaux forcément incultes sur la science à qui sont posées des questions sur le climat !! Y a qu'en Suisse que l'on voit çà !!
      Couches-culottes bio ? Vibro-masseur sans pesticide ?

      Pourquoi ce retard intellectuel est-il pris aux frontières allemandes ? Pourquoi cette absence d'écoles conformes à l'éducation sans parti pris ?

      Ado-électricité ! Cervelle de moineau ou de poisson rouge ?

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  13. LA FAUTE A L'ABSENCE DE RESTAURANTS ASIATIQUES !

    LA SPA VALAIS DÉBORDE DE CHIENS ET DE CHATS


    26.04.2019, 09h28

    Le refuge l’Espoir d’Ardon(VS), soutenu par la Loterie Romande, doit impérativement s’agrandir. Mais il n’a toujours pas trouvé un terrain suffisant.

    Pour Biliana Perruchoud, présidente de la SPA Valais, la recherche d'un terrain de 4000 m² est primordiale pour pouvoir construire un nouveau refuge qui réponde aux normes actuelles.


    PAR VICTOR FINGAL

    Beaucoup trop petit pour satisfaire aux normes des législations actuelles! Le refuge l’Espoir d’Ardon(VS) doit doubler de surface, au plus vite. «Depuis une décennie, souligne Biliana Perruchoud, présidente de la SPA Valais, nous cherchons un terrain de 4000 m2 qui nous permettrait de doubler notre superficie. De plus, après 30 ans d’existence, nos boxes ne sont plus aux normes en vigueur.»

    Il y a deux ans, tout semblait réglé. Le refuge l’Espoir qui s’étend sur 2000 m2 avait trouvé un terrain de surface égale à proximité. «Des plans au programme de construction, ajoute la présidente, nous étions prêts à 100%. Mais un proche centre équestre a fait opposition et notre projet a capoté.»

    Le refuge d’Ardon joue le rôle de fourrière sur mandat du canton et représente ainsi la seule structure officielle apte à héberger des chats et des chiens abandonnés ou séquestrés dans le Valais central. Quant aux huit personnes employées à temps complet, sans parler des nombreux bénévoles, mobilisés essentiellement pour les promenades, ils ne ménagent pas leur peine 365 jours par an au service de la souffrance animale. «Notre objectif final consiste à trouver au plus vite pour nos chiens et nos chats une famille d’accueil, aimante et attentionnée.»

    Familles d’accueil sollicitées

    Mais que faire quand le refuge, avec sa capacité maximale de 200 chats et 40 chiens, déborde de toute part? «C’est justement au printemps, précise Biliana Perruchoud, que des portées de plusieurs dizaines d’animaux risquent d’arriver en une seule journée. Nous devons alors trouver des solutions avec des familles d’accueil.»

    Bien sûr, les frais vétérinaires, les castrations éventuelles, l’entretien des animaux, les salaires du personnel fixe, tout cela à un coût et la SPA Valais, une association privée d’utilité publique, compte essentiellement sur les dons, ses sponsors et ses partenaires pour subsister. «Dans ce contexte, dit encore la présidente de la SPA Valais, le soutien de la Loterie Romande est essentiel. La LoRo est aussi prête à nous aider quand notre projet d’agrandissement et de modernisation du refuge sera d’actualité.» (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/suisse/spa-valais-deborde-chiens-chats/story/12107557

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    1. Çà pue, ça chie partout et les voisins s'en éloignent ! On préfère les vaches, les chèvres et les moutons, eux au moins rapportent pas la baballe ! Hahahaha !

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  14. BIRMANIE - CHINE - LES CHINOIS VONT SATISFAIRE LEUR LIBIDO CHEZ LEUR VOISIN

    Prostitution, drogue, jeux d'argent...les Chinois assouvissent allègrement les vices interdits chez eux en Birmanie voisine.


    26.04.2019, 08h14


    Aux confins orientaux de la Birmanie, à Mongla, une ville qui borde la frontière chinoise, prostitution, trafic de drogues et jeux d'argent sont monnaie courante. A la nuit tombée, Bentleys et BMW décapotables se garent devant le Venetian Casino, en bordure de la ville, où d'imposants videurs habillés de noir empêchent les indésirables d'accéder aux zones VIP.

    Les signes de développement économique et touristique sont visibles partout, ne serait-ce que par le rythme de construction. Des grues obstruent l'horizon de la ville qui ne parvient pas à répondre assez rapidement aux besoins en hébergement.

    Prostitution, drogue, jeux d'argent interdits en Chine: Mongla dort le jour et se réveille la nuit pour offrir une multitude de divertissements. Ses habitants sont attirés par l'argent de la Chine voisine alors qu'un tiers de la population birmane vit sous le seuil de pauvreté.

    Ici, une prostituée sans licence loue ses services pour moins de 7 euros, celle qui en a obtenu une ne peut espérer plus du double alors que les chambres dans les établissements les plus hauts de gamme peuvent être facturées plus de 500 euros la nuit. Quelques Birmans viennent se divertir. «Les hôtels proposent de la drogue, des femmes sexy et tout le reste», raconte Ah Yan, 24 ans, venu d'une ville voisine.

    «Il y a tellement de divertissements ici»

    Ah Maung, 22 ans, a, lui, traversé tout le pays pour s'installer à Mongla afin de trouver un emploi de maçon et d'envoyer de l'argent à ses parents. Deux ans plus tard, il n'a rien économisé, l'attrait pour les casinos et les maisons closes étant trop fort. «Il y a tellement de divertissements ici», confie-t-il.

    Mais la majorité de la clientèle reste chinoise, le yuan est la monnaie d'échange, la plupart des gens parlent le mandarin et les téléphones se connectent sur les réseaux du puissant voisin et non sur ceux de Birmanie moins efficaces.

    La demande insatiable de la Chine pour des produits dérivés issus d'espèces protégées ou menacées alimente aussi un trafic illicite d'animaux très important dans la région devenue un véritable «supermarché pour la faune sauvage», d'après Nick Cox, directeur de la conservation du Fonds mondial pour la nature (WWF).

    Au nord de Mongla, à Panghsang, capitale régionale d'une zone entièrement autonome contrôlée depuis 30 ans par la plus puissante faction rebelle de Birmanie -l'Armée unie de l'Etat Wa (UWSA), des peaux de tigres et de léopards s'entassent dans des échoppes aux côtés d'étals d'écailles d'ivoire et de pangolin ou de cages remplies d'oiseaux rares.

    Les produits dérivés à base de cornes d'éléphants, de rhinocéros ou de pangolin sont utilisés dans la médecine traditionnelle chinoise pour leurs vertus, très controversées, contre le cancer ou l'impuissance notamment. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/chinois-satisfaire-libido-voisin/story/13176713

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    1. C'est le Peuple qui décide entre la guerre et l'amour !
      C'est le triomphe des plaisirs et de l'arrivée de l'argent !

      La Birmanie est au Sud de la Chine entre Bangladesh et Laos/Hanoï.

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  15. INTERNET - UN NOUVEAU LABEL YOUTUBE POUR PLUS DE TRANSPARENCE

    Le site web d'hébergement de vidéos va «labelliser» les vidéos de médias bénéficiant de fonds publics. Une fonctionnalité qui concerne l'Europe.
    Le site est critiqué pour sa diffusion indifférenciée de vidéos d'actualité comme de manipulations grossières.


    24.04.2019


    YouTube va prochainement ajouter un «label» sur les vidéos issues de médias «bénéficiant d'un financement public ou gouvernemental», a annoncé la plateforme mercredi sur son blog à l'approche des élections européennes.

    «Notre objectif ici est de fournir aux utilisateurs plus d'informations pour les aider à mieux comprendre les sources de contenus d'actualité qu'ils choisissent de regarder sur YouTube», souligne Lie Junius, directrice des affaires gouvernementales et des politiques publiques de l'UE pour Google, propriétaire de YouTube.

    Ces labels de transparence seront lancés en France, au Royaume-Uni, en Allemagne, Italie, Espagne et Pologne.

    Lutter contre la désinformation

    Très critiqué pour sa diffusion indifférenciée de vidéos d'actualité comme de manipulations grossières, YouTube indique également avoir «investi depuis plusieurs mois dans des fonctionnalités pour renforcer la visibilité de sources faisant autorité», via des rubriques dédiées sur la plateforme.

    Des fonctionnalités qui seront étendues à «un plus grand nombre de pays européens au cours des prochaines semaines et des prochains mois».

    Google a également créé des pages dédiées aux élections européennes et finance en partie FactCheckEU, un projet collaboratif pour lutter contre la désinformation et les fausses nouvelles (également appelées «fake news» ou infox), dans le cadre des élections européennes, dont fait partie l'AFP. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/high-tech/nouveau-label-youtube-transparence/story/30946393

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    1. Enfin le label 'Grossemerde' va voir le jour !

      Reste à savoir si les commentaires seront autorisés !!!!

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  16. Je suis gendarme et j’ai décidé de parler…


    16 AVR. 2019
    PAR JEAN-MARC B
    BLOG : LE BLOG DE JEAN-MARC B


    Dans nos rangs nous sommes divisés. Très divisés...si le nombre (le peuple) est dehors, les forces de l’ordre tomberont les casques...l’ordre de tirer sur la foule pourrait être l’élément déclencheur. Mais aujourd’hui nous sommes encore loin de ce qui s’est passé en Algérie. Au fond de moi, j’espère que l’on s’unira aux GJ.

    16 avril 2019 - CNSJS

    Dans les jours qui viennent de s’écouler, des gradés de la police ou de la gendarmerie ont pris publiquement la parole. Alors que le colonel de gendarmerie Michael Di Meo a par exemple reconnu en termes pesés l’existence « de violences policières » contre les GJ, le directeur de la police nationale Eric Morvan n’a pas tardé de justifier l’action des CRS contre les manifestants. La troupe elle, par discipline forcée a gardé jusque là le silence. Pour une des toutes premières fois, nous publions ici l’ITV que nous a adressée un simple gendarme qui porte l’uniforme depuis plus de 17 ans. Comme il nous l’a demandé, nous avons évidemment décidé de respecter totalement son anonymat, pour lui éviter les foudres d’une hiérarchie qui n’accepte pas que la parole puisse prendre la liberté de s’exprimer.

    Ce témoignage que j’ai recueilli me ramène en partie au travail que j’avais effectué pour mon documentaire « dans le secret du Burn out » avant le mouvement des Gilets jaunes, maladie qui touche plus qu’on ne le pense des membres des forces de l’ordre. Le rôle que le pouvoir fait jouer aux forces de polices, toutes catégories confondues, n’est pas pour soigner un corps profondément malade. Ce témoignage nous plonge au coeur du mouvement social des Gilets jaunes qui secoue le pays. Il est question de souveraineté, de relation entre « forces de l’ordre » et peuple, de Nation et de son avenir…

    Jacques Cotta

    1/ Vous êtes gendarme. Quel est votre grade ? Pouvez vous retracer rapidement votre carrière ?

    Mon grade est gendarme de carrière. Je suis dans l’institution depuis 17 ans. D’abord en tant que gendarme adjoint puis en tant que sous-officier au grade de gendarme. Je suis passé par des unités très différentes. Des unités spécialisées, des unités de maintien de l’ordre, des unités d’interventions, des unités d’investigations. Je préfère ne pas nommer les unités car ayant un parcours atypique, il est facile à retracer. Ce que je peux dire c’est que cet éventail large m’a permis d’avoir une vision d’ensemble de l’arme dans laquelle je sers.

    2/ Pourquoi êtes vous entré dans la gendarmerie ?

    Je ne vais pas être très original mais je suis devenu gendarme pour protéger mes concitoyens. J’avais l’envie de servir l’intérêt général, d’ajouter ma pierre à l’édifice, d’aider mon prochain.

    3/ Vous désirez témoigner dans la situation actuelle. Pour quelle raison ? Est-ce facile ? Pourquoi voulez vous demeurer anonyme ?

    Aujourd’hui, je veux apporter mon témoignage pour peut-être provoquer une prise de conscience de l’opinion publique. Ce qui se passe à mon sens est un dévoiement de la profession. Profession qui est financée par l’argent du contribuable et qui ne sert pas toujours les intérêts des français ou qui la sert mal. Profession qui souffre d’une hiérarchie qui n’écoute plus, sclérosée, assise dans ses certitudes. Cette hiérarchie tue ses propres hommes et femmes par son inertie, sa malveillance, sa violence morale. Bien sûr, il ne s’agit pas de stigmatiser, certains sont de bons chefs. Mais ceux qui font le mal le font en toute impunité, c’est intolérable.

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  17. Après avoir subie une situation de dénigrements, de calomnies et de harcèlement, j’ai beaucoup réfléchi au sens de mon engagement. J’ai dressé un bilan de toutes ces années et de ce que j’y avais vu. J’ai commencé à m’intéresser de près au nombre vertigineux de gendarmes qui mettaient fins à leur jour et j’ai étendu à la police. J’ai pris contact avec des associations (l’AFAR présidé par monsieur MORRA Paul, lieutenant de gendarmerie victime également, madame BARCOUDA Margareth dirige l’association Stop-Burn out qui se bat contre la maltraitance au travail…), des victimes comme moi (Madame Besbiss SEAADE qui a sorti un livre par exemple), monsieur CARTERON Frédéric (ancien magistrat qui aujourd’hui défend la cause des gendarmes après le suicide de son ami le major TESAN en septembre 2018. Monsieur TESAN a laissé une lettre ouverte dénonçant sa hiérarchie), monsieur GUILLAUMONT Ronald président de Profession-gendarme (retraité de la gendarmerie qui tient un décompte pour le moins funeste sur le nombre de suicidé).

    J’ai lu et me suis renseigné. J’ai découvert que je n’étais pas seul. Quid de Myriam SAKHRI morte en 2011 où l’enquête et le comportement de la justice se sont révélées être pour le moins suspect. Quid de ce gendarme à Matignon qui se suicide en octobre ou novembre 2018. Suicide intervenant bizarrement après une lettre collective de la part de ces mêmes gendarmes de Matignon dénonçant de graves problèmes au travail en août 2018 et consultable sur internet. Quid de ce rapport émis par messieurs BOUTANT (PS) et GROSDIDIER (LR) en juillet 2018 dénonçant un profond malaise chez les forces de l’ordre. Et cela n’est que la partie visible si je puis dire. J’ai été ulcéré par tout ce que j’ai découvert. Et ce silence médiatique, de certains syndicats policiers, des deux associations professionnels nationales des militaires en gendarmerie, des politiques… Silence qui ne peut être autre chose que complice de ces dérives. Il faut que les forces de l’ordre acquièrent une sérénité dans leur quotidien, une cohérence dans leurs missions, une efficacité pour la population, une écoute réel (et pas un simulacre) de la base, de ceux qui sont sur le terrain.

    C’est pour tout cela que je témoigne. C’est évidemment très dur car je sais que je m’expose, même sous le couvert de l’anonymat. Il m’arrive d’avoir peur. Je suis perdu et ne sais pas si je resterai dans la gendarmerie. Si je révèle mon identité, je ferai l’objet de sanctions, de nouvelles brimades. Voyez ce qu’ils ont fait à monsieur LANGLOIS Alexandre président du syndicat Vigi-police. Il dénonce des faits on ne peut plus grave. Ils ont cherché à lui nuire par tous les moyens. Leur arsenal est vaste et je ne veux pas que ma famille souffre de tout cela encore plus.

    4/ On parle d’un malaise dans les forces de l’ordre. De quoi s’agit-il et est-ce que ça pourrait entrer dans ce qui motive les GJ ? Il y a eu des vagues de suicides dans la police et la gendarmerie. Comment réagit-on, dans la troupe comme dans le commandement ? On parle souvent de « déséquilibrés » et de « problèmes personnels ». Est-ce à votre avis en relation avec ce qui se passe dans le pays ?

    Il s’agit de pratiques qui nuisent aux métiers, à la sécurité du pays, des personnes et des biens. Ces pratiques sont dénoncées par des lanceurs d’alertes. Elles sont de plusieurs ordres, illogiques, immorales, illégales entre autre.

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  18. Cela peut bien sûr avoir un lien avec le mouvement des gilets jaunes. Ils réclament plus de justice dans plusieurs domaines, plus de démocratie avec leur « mot à dire » plus souvent, plus d’égalité dans la répartition de richesse ou dans le traitement des personnes dans la vie judiciaire, sociale, économique. Aujourd’hui, je suis bien obligé de constater qu’un dossier concernant un officier, un préfet, un élu mis en cause ne sera pas traité avec les même égards qu’un ouvrier, un employé. Les enquêtes seront bâclées voire pas faite du tout. Les officiers et commissaires sont aux ordres des politiques et cela pose donc un problème d’indépendance quand le moment vient d’enquêter sur un député par exemple. Ou aussi quand la police ou la gendarmerie enquête sur elle-même (IGGN ou IGPN). Elle ne saurait être juge et partie à la fois, il y a un conflit d’intérêt. Les gardes à vue illégales sur les GJ, les interdictions préventives de manifester, les GJ refoulées aux gares, tout cela est le fait de politiques qui répercutent directement sur les hiérarchies des forces de l’ordre. Tout cela est sans contrôle. Le système français est archaïque et dans l’armée, nous avons des décennies de retard. Toutes les incohérences du terrain sont connues. Si nous écoutions la base je le répète, nous aurions l’impression d’être valorisé (nous les militaires) et la sécurité s’en trouverait être de meilleur qualité.

    Les suicides sont un sujet tabou dans les rangs. Les gens en parlent très peu mais il faut dire aussi qu’ils ignorent aussi le nombre pour beaucoup. Quant au commandement, ceux que j’ai pu croiser à de rares exceptions sont obsédés par leur avancement, leur carrière. Chacun doit marcher au pas au risque de subir les foudres de commandants tyranniques.

    Des raisons personnelles, ça doit arriver parfois ou même un mélange des deux, « boulot » et « maison ». En psychologie, j’ai appris qu’un gendarme qui se tue avec son arme de service dans les locaux de travail, cela s’appelle une signature.

    Dans mon témoignage, vous avez pu voir que j’ai soulevé un certain nombre de problème dans l’unité où je me trouve. Les réponses face à tout cela et au fait que je ne me sois pas laissé faire ont été par exemple de me refuser l’inscription à la formation OPJ, de faire échouer une permutation pour me rapprocher de ma femme, d’écrire un rapport mensonger sur moi (me fermant ainsi beaucoup de porte pour la suite de ma carrière), de faire écrire un collègue car il avait eu une conversation privée avec moi lors de mon arrêt maladie et de bien vouloir rapporter le contenu de notre échange, etc etc.

    Les forces de l’ordre sont surmenées, manquent de moyens, de matériels. Ce sont les mêmes unités qui « ramassent ». Les casseurs sont connus depuis bien longtemps (bien avant les GJ). La justice fait de la réponse pénale à géométrie variable. On évite de s’attaquer aux vraies problèmes pour acheter la paix sociale. Leurs vies de familles sont sur la brèche, ils subissent une pression énorme. Les missions ne sont pas les missions premières d’un gendarme. Les raisons sont nombreuses.

    5/ Parlons de la situation actuelle marquée par le mouvement des GJ. Est-ce qu’on en parle dans la gendarmerie? Comment vit-on le terrain? Tous sont-ils identiques (gendarmes, CRS, BAC, etc…)

    Je suis en arrêt depuis le mois de septembre 2018 et je ne suis plus sur le terrain depuis que les GJ ont commencé leur mouvement. Je pense qu’on en parle oui, à la machine à café, en patrouille, au bureau, c’est sûr.

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  19. J’ai quand même beaucoup de collègues au téléphone. Les réactions sont très variées sur le sujet. Il y a beaucoup de rejet (« on les attend les GJ », « ils nous emmerdent ») car les esprits sont formatés. La prise de conscience sera très dure chez nous pour comprendre que les GJ sont le peuple et qu’ils se battent aussi pour nous. Il y en a qui s’en rende compte mais l’embrigadement, la peur prédomine. Je connais moins bien la police mais en gendarmerie ceux qui pratiquent le maintien de l’ordre sont les gendarmes mobiles. Ils sont composés à 80 % de jeunes gens entre 20 et 30 ans sortis d’école et avec l’esprit très malléable, c’est bien sûr fait exprès. En brigade territoriale, la conscience est plus élevée, mais restent la pression et la peur.

    Je le répète, le système de peur est énorme car la hiérarchie a un poids gigantesque et elle est sans contrôle. Aujourd’hui, je suis en difficulté, et ils m’assèchent financièrement (perte de prime), m’obligent à aller voir le médecin « militaire », l’assistante sociale « militaire », je perds mon logement de fonction. Cela fonctionne en vase clos, c’est très bien réglé.

    6/ Des bruits font état de demande faite à la gendarmerie de tirer sur la foule si nécessaire. Est-ce que ça vous semble plausible ? En avez vous entendu parler ? Si oui, pouvez vous donner des précisions ?

    S’il s’agit de tirer à balle réelles, je ne sais pas. Plausible ? Si nos dirigeants sentent que la situation leur échappe, je pense que c’est un scénario envisageable. Ils montent doucement mais surement dans la graduation de la réponse. Ils essayent de garder l’opinion publique avec eux en matraquant d’images de destructions ou dégradations de biens.

    Je n’en ai pas entendu parler. Je pense forcément qu’individuellement, hormis un cas de légitime défense, chacun aurait une décision à prendre. Je pense que les forces de l’ordre rallieraient le peuple, mais ça n’engage que moi.

    7/ Toute révolution a vu pour que ça marche la police, l’armée, la gendarmerie « tourner crosse en l’air comme on dit », se ranger contre les ordres parfois du côté du peuple. Croyez vous qu’il serait possible que les forces de l’ordre désobéissent aujourd’hui en france?

    Dans nos rangs nous sommes divisés. Très divisés. Depuis notre entrée en école on fonctionne avec une bipolarité. On nous assène de fraternité, de cohésion, de camaraderie. Et en même temps, on nous incite à être meilleur que le collègue, avec la prime au mérite, la notation, les classements d’écoles, de formation. J’ai pu échanger avec monsieur CHOUARD Etienne lors d’une conférence. Il pense que si le nombre (le peuple) est dehors, les forces de l’ordre tomberont les casques. Je pense qu’il a raison mais la vraie question c’est comment obtenir ce nombre et de combien de personnes a t-on besoin ? Ou alors comme je le disais, l’ordre de tirer sur la foule pourrait être l’élément déclencheur. Mais aujourd’hui nous sommes encore loin de ce qui s’est passé en Algérie. Au fond de moi, j’espère que l’on s’unira aux GJ.

    8/ Gendarme et GJ, c’est possible ?

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  20. Publiquement, la réponse est non. Je suis GJ. Un gendarme n’a pas la possibilité d’exprimer ses opinions religieuses, partisanes, politiques ou d’associations publiquement. Dans mon cas si je le faisais, cela leur donnerait un motif de plus pour me mettre aux bancs des accusés (devoir de réserve que monsieur LANGLOIS remet en cause d’ailleurs, car il dit qu’il n’a pas de fondement légal contrairement au secret professionnel. Lui est policier et nous militaires, je ne sais pas si cela fait une différence) et engager d’autres mesures contre moi (disciplinaires par exemple). Dans le secret, il y en a quand même. Je participe à des assemblées constituantes depuis quelques semaines avec des GJ. Je leur ai dit qu’un changement du système, oui, mais un changement du système militaire/policier est très important pour l’après, si’l y en a un.

    https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/160419/je-suis-gendarme-et-j-ai-decide-de-parler?utm_source=twitter&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-67&fbclid=IwAR1kqK1uLkv6W7lAT-Pj2ikKsd48C6vzp1AorClAHokLUBOkQR8VL4uYt0Y

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  21. La mairie de Gaillac (Tarn) investie par les “gilets jaunes”


    Une vingtaine de "gilets jaunes" a investi vendredi matin la mairie de Gaillac. Les manifestants entendent ainsi protester contre l'évacuation par les forces de l'ordre, puis la destruction, jeudi dernier de deux de leurs cabanes situées sur deux ronds-points de la commune.

    Par VA.
    le 26/04/2019 à 10:53


    Depuis 10 heures ce vendredi matin, une vingtaine de "gilets jaunes" a investi la mairie de Gaillac (Tarn) pour protester contre l'évacuation jeudi dernier de leurs deux cabanes situées sur deux ronds-points de la commune et qui ont ensuite été détruites à la demande de la mairie et sur ordre de la préfecture.

    Le maire de la ville Patrice Gausserand a accepté de recevoir une déléguation de manifestants dans une ambiance décrite comme "bon enfant", pendant que le reste des troupes stationnait devant l'Hôtel de Ville déployant notamment des banderolles sur lesquelles sont incrit "rendez-nous nos cabanes !".

    Le Peloton de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie (PSIG) a été dépêché sur place.

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/tarn/albi/mairie-gaillac-tarn-envahie-gilets-jaunes-1660541.html?fbclid=IwAR3PT3C9RyGi_FBSe0tVfxn57nZ_DTAAOhiGjkUsOGdOcgv2Fjp370xS5uQ

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  22. Les Chlamydia, ces méconnues du grand public …


    le 26 avril 2019


    Plus de 100 millions de personnes sont nouvellement infectées dans le monde par des Chlamydia (Chlamydia tracomatis), une maladie sexuellement transmissible un peu négligée car ne présentant souvent aucun symptôme. Les Chlamydia sont des bactéries d’un type particulier puisqu’elles sont des parasites intracellulaires obligés en raison de leur incapacité à fabriquer leur propre énergie et de nombreux enzymes du métabolisme général leur font défaut. La Chlamydia dont il est question dans ce billet est capable de provoquer des salpingites, des urétrites dites « non bactériennes » mais aussi des infections pulmonaires et également oculaires sévères conduisant à une cécité partielle voire totale avec apparition d’un trachome, la première cause de cécité dans le monde. Enfin ces bactéries parasites ont une propension à se complaire dans les trompes de Fallope et peuvent alors obstruer ces dernières.

    Les Chlamydia, la forme invasive ressemblant à des spores, ont tendance à coloniser les cellules superficielles des tissus épithéliaux de ce que les biologistes appellent des organes annexes comme l’urètre, les paupières, les bronchioles ou les trompes de Fallope exposées justement au milieu extérieur et donc facilement accessibles à ces dernières. C’est ainsi que les biologistes du Max Planck Institute for Infection Biology de Berlin ont choisi d’étudier les Chlamydia colonisant les cellules épithéliales des trompes de Fallope et ils ont découvert que cette infection provoquait des grossesses extra-utérines mais aussi des modifications épi-génétiques persistantes des cellules hôtes. L’astuce utilisée a été de rediriger des cellules souches pour reproduire in vitro des architectures cellulaires identiques à celles des trompes c’est-à-dire un modèle de laboratoires, un organoïde très fidèle à la réalité (photo en tête de billet, en bleu et vert les cellules épithéliales, en rouge les Chlamydia) avec une durée de vie suffisamment longue, plusieurs mois, pour enfin étudier les processus d’infection et de multiplication en détail.

    Outre la sécrétion par les Chlamydia de signaux pouvant provoquer des grossesses ectopiques (extra-utérines) les changements induits par ces dernières au niveau de l’ADN des cellules épithéliales de la trompe de Fallope permet d’expliquer également l’apparition de cancers sur le long terme même si la bactérie a été éradiquée par un traitement antibiotique approprié.

    On connait donc beaucoup mieux aujourd’hui quelles peuvent être les conséquences des infections par des Chlamydia, beaucoup plus sérieuses qu’on ne le croyait auparavant et qui mériteraient d’être prises au sérieux par le corps médical.

    Source : https://doi.org/10.1038/s41467-019-09144-7

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/04/26/les-chlamydia-ces-meconnues-du-grand-public/

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  23. Synapse artificielle rapide, efficace et durable développée


    par Taylor Kubota,
    Université de Stanford
    26 AVRIL 2019


    La capacité du cerveau à apprendre et à mémoriser simultanément de grandes quantités d’informations tout en ne nécessitant que peu d’énergie a inspiré tout un domaine à la recherche d’ordinateurs neuronaux ou neuromorphes. Des chercheurs de l’Université Stanford et des laboratoires Sandia National ont précédemment mis au point une partie d’un tel ordinateur: un appareil qui agit comme une synapse artificielle, imitant la manière dont les neurones communiquent dans le cerveau.

    Dans un article publié en ligne par la revue Science le 25 avril, l'équipe indique qu'un ensemble de prototypes de neuf de ces dispositifs a obtenu des résultats encore meilleurs que prévu en termes de vitesse de traitement, d'efficacité énergétique, de reproductibilité et de durabilité.

    Les membres de l’équipe souhaitent associer leur synapse artificielle à l’électronique traditionnelle, qui, espère-t-il, pourrait être un pas en avant dans la prise en charge d’un apprentissage artificiellement intelligent sur de petits appareils.

    "Si vous avez un système de mémoire capable d'apprendre avec l'efficacité énergétique et la vitesse que nous avons présentées, vous pouvez l'insérer dans un smartphone ou un ordinateur portable", a déclaré Scott Keene, co-auteur du journal et étudiant diplômé du laboratoire d’Alberto Salleo, professeur de science des matériaux et d’ingénierie à Stanford, co-auteur principal. "Cela nous donnerait la possibilité de former nos propres réseaux et de résoudre les problèmes localement sur nos propres appareils sans compter sur le transfert de données."

    Une mauvaise batterie, une bonne synapse

    La synapse artificielle de l'équipe s'apparente à une batterie, modifiée de manière à ce que les chercheurs puissent augmenter ou réduire le débit d'électricité entre les deux terminaux. Ce flux d'électricité imite la manière dont l'apprentissage est câblé dans le cerveau. Cette conception est particulièrement efficace car le traitement des données et le stockage en mémoire se déroulent en une seule action, plutôt que dans un système informatique plus traditionnel dans lequel les données sont traitées en premier, puis transférées vers le stockage.

    Voir les performances de ces périphériques dans une matrice est une étape cruciale, car cela permet aux chercheurs de programmer plusieurs synapses artificielles simultanément. Cela prend beaucoup moins de temps que de devoir programmer chaque synapse un par un et est comparable au fonctionnement réel du cerveau.

    Lors de tests antérieurs d’une version antérieure de ce dispositif, les chercheurs ont découvert que leur traitement et leur action en mémoire nécessitaient environ un dixième de l’énergie requise par un système informatique à la pointe de la technologie pour la réalisation de tâches spécifiques. Néanmoins, les chercheurs craignaient que la somme de tous ces périphériques travaillant ensemble dans des baies plus grandes risquerait de consommer trop d'énergie. Ils ont donc réaménagé chaque périphérique pour qu'il conduise moins de courant électrique, ce qui les rend bien pires pour les batteries mais rend le réseau encore plus économe en énergie.

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  24. La baie 3-en-3 reposait sur un deuxième type de périphérique, mis au point par Joshua Yang de l’Université du Massachusetts, Amherst, co-auteur du document, qui sert de commutateur pour la programmation des synapses dans la baie.

    "Tout raccorder a nécessité beaucoup de dépannage et de câblage. Nous devions nous assurer que tous les composants de la matrice fonctionnaient de concert", a déclaré Armantas Melianas, chercheur postdoctoral au laboratoire de Salleo. "Mais quand nous avons tout vu s'allumer, c'était comme un arbre de Noël. Ce fut le moment le plus excitant."

    Au cours des tests, la matrice a dépassé les attentes des chercheurs. Les performances ont été tellement rapides que l'équipe a prédit que la prochaine version de ces appareils devra être testée avec une électronique à haute vitesse spéciale. Après avoir mesuré l'efficacité énergétique élevée dans la baie 3 x 3, les chercheurs ont procédé à des simulations informatiques d'un réseau plus vaste de synapses 1024 sur 1024 et ont estimé qu'il pourrait être alimenté par les mêmes batteries que celles utilisées actuellement dans les smartphones ou les petits drones. Les chercheurs ont également été en mesure de commuter les appareils plus d'un milliard de fois - preuve supplémentaire de sa vitesse - sans constater aucune dégradation de son comportement.

    "Il s'avère que les dispositifs en polymère, si vous les traitez bien, peuvent être aussi résistants que leurs homologues traditionnels en silicium. C'était peut-être l'aspect le plus surprenant de mon point de vue", a déclaré Salleo. "Pour moi, cela change ma perception de la fiabilité de ces dispositifs polymères et de la manière dont nous pourrions les utiliser."

    Place à la créativité

    Les chercheurs n’ont pas encore soumis leur matrice à des tests qui déterminent son apprentissage, mais c’est quelque chose qu’ils envisagent d’étudier. L'équipe souhaite également voir comment leur appareil résiste à différentes conditions, telles que les températures élevées, et s'efforcer de l'intégrer à l'électronique. Il reste également de nombreuses questions fondamentales à résoudre qui pourraient aider les chercheurs à comprendre exactement pourquoi leur appareil fonctionne si bien.

    "Nous espérons que davantage de personnes vont commencer à travailler sur ce type d'appareil car il n'y a pas beaucoup de groupes qui se concentrent sur cette architecture particulière, mais nous pensons que c'est très prometteur", a déclaré Melianas. "Il y a encore beaucoup de progrès à faire et de créativité. Nous avons à peine touché la surface."

    https://techxplore.com/news/2019-04-fast-efficient-durable-artificial-synapse.html

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  25. L'IDIOTIE DU JOUR:

    Effet de l'Antarctique sur l'élévation du niveau de la mer au cours des siècles à venir


    Esprit Smith,
    Laboratoire de propulsion par réaction
    26 AVRIL 2019


    L’augmentation du niveau moyen de la mer à l’échelle mondiale a deux causes principales: l’addition d’eau provenant de la fonte des glaciers et l’expansion de l’eau de mer à mesure qu’elle se réchauffe. La fonte de la calotte glaciaire de l'Antarctique est actuellement responsable de 20-25% de l'élévation du niveau de la mer dans le monde.

    Mais quel rôle jouera-t-il des centaines d'années dans le futur ?

    Les scientifiques s'appuient sur des modèles numériques précis pour répondre à des questions comme celle-ci. À mesure que les modèles utilisés pour prévoir l'élévation à long terme du niveau de la mer s'améliorent, les projections qui en découlent s'améliorent également. Des scientifiques du laboratoire de propulsion par réaction de la NASA à Pasadena, en Californie, ont découvert un moyen de rendre les modèles actuels plus précis. Ce faisant, ils ont également fait un pas de plus vers la compréhension de ce que la calotte glaciaire de l'Antarctique - et de l'élévation du niveau de la mer qui se produit au fur et à mesure de sa fonte - ressemblera à des siècles.

    "Contrairement à la plupart des modèles actuels, nous avons inclus les processus terrestres solides, tels que le rebond élastique du substrat rocheux sous la glace et l'impact des variations du niveau de la mer très proches de la calotte glaciaire", a déclaré Eric Larour, auteur principal de l'étude, du JPL. . "Nous avons également examiné ces modèles à une résolution beaucoup plus élevée que celle utilisée habituellement - nous avons zoomé sur des zones de substrat rocheux d'environ 1 km au lieu des 20 km habituelles."

    Les scientifiques ont découvert que les projections pour les 100 prochaines années se situaient à moins de 1% des projections précédentes pour cette période; Cependant, plus tard, ils ont observé des différences significatives.

    "Nous avons constaté que vers 2250, certains de ces processus terrestres solides ont commencé à compenser la fonte de la calotte glaciaire et l'élévation du niveau de la mer qui en a résulté", a déclaré Larour. En d'autres termes, ils ont en fait ralenti la fonte.

    L'équipe a noté que cent ans plus tard encore - d'ici 2350 - ce ralentissement signifie que la fonte de la calotte glaciaire contribuera probablement 29% moins à l'élévation du niveau de la mer au niveau mondial que les modèles précédents.

    "L'une des principales choses que nous avons apprises est que, lorsque la glace fondue se retire à l'intérieur des terres, le substratum rocheux se soulève de manière élastique", a déclaré Erik Ivins, co-auteur de l'étude. "Cela ressemble à la façon dont un coussin de canapé se décompresse lorsque vous enlevez votre poids. Ce processus ralentit le retrait de la couche de glace et finalement la quantité de fonte."

    Bien que cela semble être une bonne nouvelle, les scientifiques disent qu'il est important de garder cela en perspective. "C'est comme un camion en descente qui rencontre des ralentissements", a déclaré Larour. "Le camion ralentira un peu mais continuera finalement à descendre la colline" - de même que la couche de glace continuera à fondre et que le niveau de la mer continuera à monter.

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  26. La découverte de cette étude, a t-il ajouté, consistait à "atteindre des résolutions suffisamment élevées pour capturer le plus grand nombre possible de ces" ralentisseurs "et déterminer leurs effets en Antarctique tout en modélisant l'élévation du niveau de la mer sur la planète entière".

    L'étude, intitulée "Ralentissement de la perte de masse en Antarctique due à une réaction solide au niveau de la mer et du niveau de la mer", a été publiée aujourd'hui dans Science.

    https://phys.org/news/2019-04-antarctica-effect-sea-centuries.html

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    1. (...) La fonte de la calotte glaciaire de l'Antarctique est actuellement responsable de 20-25% de l'élévation du niveau de la mer dans le monde. (...)

      Mais comment peut-on écrire des âneries pareilles ?

      Lorsque la glace font elle PERD du volume et non en gagne. 90 % de la glace est immergée et seulement 10% est au-dessus de l'eau. L'altitude est variante de 180 m en bordure (cause aux tremblements de terre qui forment ces élévations) et 50 cm d'altitude sur 99 % du territoire. Les esquimaux percent un trou dans la glace pour y pêcher.

      Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.

      Sous les glaciers (pôles Nord & Sud) il y a des volcans. Ces sources chaudes continuelles fondent et libèrent d'importantes masses de glace qui flottent et partent parfois à la dérive des courants.

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  27. Journalistes convoqués à la DGSI : la profession dénonce «une atteinte à la liberté de la presse»


    25 avr. 2019, 15:23


    «Intimidation», «atteinte à la liberté d'informer», de nombreux journalistes et observateurs ont réagi à la convocation par la DGSI de trois journalistes ayant permis les révélations sur l'utilisation d'armes françaises au Yémen.

    Suite à une plainte du ministère des Armées, trois journalistes qui ont permis les révélations sur l’utilisation d’armes françaises au Yémen sont convoqués par la DGSI pour «compromission du secret de la défense nationale». Il s'agit de Geoffrey Livolsi et Mathias Destal, animateurs du site d'investigation Disclose qui a démontré l’usage d’armes françaises dans la guerre au Yémen ainsi que de Benoît Collombat, journaliste de la cellule investigation de Radio France, associé aux révélations de Disclose.

    Les rédactions de Disclose, ARTE Info, Mediapart ou encore Konbini ont immédiatement publié un communiqué commun le 24 avril pour s'élever contre cette «atteinte à la liberté de la presse». Selon les auteurs du texte, cette convocation n'aurait d’autre objectif que de connaître les sources des journalistes mis en cause.

    «A la question : "Les Français ont-ils le droit d’être informés sur l’usage qui est fait des armes vendues à des pays accusés de crimes de guerre ?", le gouvernement a donc choisi de répondre par la menace», peut-on notamment lire dans le communiqué.

    Le texte rappelle que les documents confidentiels que Disclose et ses partenaires ont révélés présentaient un intérêt public majeur, «celui de porter à la connaissance des citoyens et de leurs représentants ce que le gouvernement a voulu dissimuler. A savoir des informations indispensables à la conduite d’un débat équilibré sur les contrats d’armement qui lient la France à des pays accusés de crimes de guerre.»

    Le Syndicat national des journalistes (SNJ) a exprimé son soutien aux journalistes.

    - voir doc sur site -

    Edwy Plenel, le patron de Mediapart, a dénoncé une «nouvelle attaque contre la liberté d’informer».

    - voir doc sur site -

    «Le secret défense ne saurait servir de protection au commerce meurtrier des ventes d’armes françaises pour la sale guerre du Yémen dont les premières victimes sont civiles», ajoute Edwy Plenel dans un autre tweet.

    - voir doc sur site -

    Le dessinateur de presse Allan Barte a lui publié un dessin satirique pour dénoncer la situation.

    - voir doc sur site -

    Olivier Tesquet, journaliste à Telerama, parle de son côté de «tentative d’intimidation qui vise à identifier leurs sources». «Informer n’est pas un délit», conclut-il.

    - voir doc sur site -

    Cécile Coudriou, présidente d'Amnesty international France, a également exprimé son soutien total aux journalistes incriminés.

    - voir doc sur site -

    Publiées le 15 avril sur le site de Disclose et dans plusieurs médias français, les révélations sur l'emploi d'armes françaises dans la guerre au Yémen par la coalition menée par l'Arabie saoudite, se basent notamment sur la fuite d'un document portant la mention «Confidentiel Défense». Ce document aurait été rédigé le 25 septembre 2018 par des officiers de la Direction du renseignement militaire, selon Disclose. Y figure notamment «la liste détaillée des armes françaises impliquées dans la guerre au Yémen» qui fait depuis 2015 des milliers de morts parmi les civils. Les Nations unies considèrent que la situation au Yémen constitue l'une des pires crises humanitaires actuelles sur la planète.

    Lire aussi : Des journalistes convoqués par la DGSI après des révélations sur l'usage d'armes françaises au Yémen

    https://francais.rt.com/france/61392-journalistes-convoques-dgsi-profession-denonce-atteinte-liberte-presse

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  28. Qu'est-ce que le Cese, institution à laquelle Macron compte intégrer des citoyens tirés au sort ?


    26 avr. 2019, 07:38


    Le Conseil économique social et environnemental est l'une des institutions méconnues de la République, jugée inutile par ses détracteurs. Le chef d'Etat souhaite qu'une partie de ses membres soient des citoyens tirés au sort.

    Va-t-on vers la fin du Conseil économique social et environnemental, le Cese ? Emmanuel Macron a laissé supposer cela lors de sa conférence de presse du 25 avril. Du moins entend-il rafraîchir cette institution, créée en 1946, pour la transformer en Conseil ou Chambre de la participation citoyenne, dans lequel 150 citoyens seront tirés au sort et intégrés à la nouvelle chambre «dès le mois de juin». Ils viendront «compléter» les effectifs du Cese, qui doivent par ailleurs être allégés, ce qui lui «permettra ainsi de représenter pleinement la société dans toute sa diversité et sa vitalité», selon le président de la République.

    Actuellement, le Cese réunit 233 membres désignés pour cinq ans par des organisations patronales (tel le Medef), syndicales (comme la CGT), de métier (professions libérales, agricoles, artisans, etc.), par des associations ou encore par décret en conseil des ministres. Il est censé représenter la société civile.

    Jusqu'alors, un placard doré pour ses détracteurs

    Néanmoins, le Cese est décrit par ses détracteurs comme un placard doré pour certains «amis» casés par les organisations représentées voire du pouvoir. On s'étonne de voir certaines personnalités politiques ou ex-célébrités dont les liens avec des gouvernants sont étroits. Par exemple Marianne, en 2016, dénonçait la présence «dans l'assistance [de] Jean-Luc Bennahmias, ex-député européen Modem devenu soutien ennamouré du Président [François Hollande] ou bien [du] rappeur Rost... lui aussi membre de l'équipe de campagne du candidat PS en 2012».

    Ses membres sont rémunérés environ 3 800 euros brut. Avant une réforme de 2017, leur position leur permettait de toucher une retraite à 700 euros (1 120 euros en cas de renouvellement). Désormais, leur mandat de cinq ans ne leur assurera plus qu'une pension à 350 euros et à 700 euros pour deux mandats. Malgré ces gratifications, France Inter avait pointé du doigt, en 2017, l'absentéisme des membres. Le média émettait également une critique sur l'institution, chargée de produire des rapports ou de donner des avis sur certaines lois : «Le Cese produit une vingtaine de rapports (des "avis" dans le jargon maison) par an, mais il est bien rare que l’un d’entre eux fasse l’actualité.»

    Si son utilité peut être questionnée, son renforcement avec l'ajout de citoyens va-t-il lui donner plus de poids ? Il est possible d'en douter : en effet, le Cese fait doublon dans ses missions avec les créations de toutes les hautes autorités ou hauts conseils par les gouvernements successifs : Haut Conseil pour le Climat, Le Conseil national de la transition écologique, le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, Haut Conseil à la vie associative, etc.

    L'intégration de citoyens ne servira-t-elle pas simplement à donner l'illusion que leur avis comptera ?

    Lire aussi : Grand débat national : la grande mascarade ?

    https://francais.rt.com/france/61446-quest-que-cese-institution-laquelle-macron-compte-integrer-citoyens-tires-sort?fbclid=IwAR3KIDu0t0mP9BrFn66u9X0yFT0GPnwFWrZzAj_GSxzIYk54i4To7Oc84A0

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    1. (...)«permettra ainsi de représenter pleinement la société dans toute sa diversité et sa vitalité» (...)

      Premièrement, le 'tirage au sort' se fera où ? Dans les adhérents au parti, dans la communauté immigrée, dans les couloirs de l'Elysée ?

      Deuxièmement, un 'tirage au sort' ne peut prétendre à une 'diversité' puisque peuvent être choisis 150 fonctionnaires, ou 150 garagistes ou boulangers.

      Troisièmement, la 'vitalité' peut-elle être trouvée chez les chômeurs ou retraités ?

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  29. "Flashball": des policiers affirment que viser la tête est autorisé (vidéo)



    Mardi 15 Janvier 2019 - 18:02


    Les policiers déclarent que les tirs de "Flashball" à la tête sont "bien sûr" autorisés.

    Une vidéo diffusée ce mardi sur les réseaux sociaux montre des policiers affirmer que les tirs de "Flashball" (Lanceur de balles de défense) à la tête sont autorisés, alors que les règles stipulent clairement l'inverse. Plusieurs cas de blessures graves causées par ses armes ont été recensés ces dernières années et notamment lors des manifestations des gilets jaunes depuis novembre.

    Plusieurs cas de personnes blessées à la tête par des tirs de lanceurs de balles de défense (LBD, couramment appelés "Flashball" du nom d'un des fabricants) ont fait polémique depuis le début des manifestations des gilets jaunes. Il ne s'agit d'ailleurs pas des premières critiques envers ce type d'armes, qu'est venue ce mardi 15 alimenter une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.

    On y entend un policier affirmer que les tirs à la tête sont autorisés, alors que les règles sont claires en la matière. La phrase est prononcée alors que des manifestants discutent des violences et des blessures occasionnées lors des récentes manifestations avec des policiers déployés lors de la venue de Christophe Castaner à Grenoble lundi 14, selon l'auteur de la vidéo.

    Les propos sont confus, mais on peut clairement entendre un homme dire à l'un des fonctionnaires. "Votre collègue me dit que vous avez le droit de tirer dans la tête". Ce à quoi le policier répond "Avec le Flashball ? Bien sûr !". Ce sont donc au moins deux policiers qui seraient convaincus de la régularité de cette pratique.

    Voir: Gilet jaune dans le coma après un tir de flash-ball: bavure à Toulouse ?

    L'Instruction relative à l'emploi du Lanceur de balles de défense publiée en septembre 2014 par le ministère de l'Intérieur précise pourtant bien que "le tireur vise de façon privilégiée le torse ainsi que les membres supérieurs ou inférieurs, la tête n'est pas visée". Les seules circonstances dans laquelle un tir à la tête est justifiable sont celles dans lesquelles l'usage de l'arme à feu est lui-même possible.

    Toujours selon les auteurs de la vidéo, la supérieure des policiers serait alors intervenue pour mettre fin à l'échange. Les deux hommes étaient-ils sincèrement convaincus de leurs dires ou cherchaient-ils à défendre (maladroitement) leurs collègues? Difficile à dire puisque les policiers et gendarmes ne sont pas tous formés à l'utilisation du LBD, formation obligatoire pour pouvoir en manipuler un.

    Examinant un cas d'usage abusif en 2017, le Défenseur des droits avait d'ailleurs pointé les risques de l'usage de cette arme par des policiers insuffisamment formés à son utilisation, parfois inexpérimentés au maintien de l'ordre en manifestation et en service depuis de longues heures dans un climat qui peut-être tendu. Une accumulation de circonstances négatives pouvant conduire à l'accident. Par la suite, le Défenseur des droits avait donc recommandé début 2018 de bannir les LBD des opérations de maintien de l'ordre, comme les manifestations.

    http://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/flashball-des-policiers-affirment-que-viser-la-tete-est-autorise-video

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  30. Le gouvernement a-t-il interdit aux entreprises de louer des cars aux Gilets jaunes ?


    00:08 27.04.2019

    Les entreprises de transport se seraient vu interdire de louer des cars aux Gilets jaunes, suppose Maxime Nicolle dans une vidéo diffusée en direct sur Facebook, où il évoque notamment un test qu’il a mené pour réserver un bus pour des Gilets jaunes auprès d’une société de transport.

    En parlant de la suite de la mobilisation, l'une des figures des Gilets jaunes, Maxime Nicolle alias Fly Rider, a évoqué le problème de transport des manifestants. Selon ses dires, les entreprises de transport auraient subi des pressions afin de les forcer de refuser de louer aux Gilets jaunes. Il évoque notamment trois sociétés: Keolis, Transdev et la RATP.

    Afin de ne pas parler sans preuve, dans une vidéo diffusée sur le réseau social Facebook, il a évoqué une expérience qu'il a menée pour vérifier ses soupçons.

    D'après lui, quand il a appelé une société de transport, se présentant comme un Gilet jaune, pour louer un bus et aller à Paris, il a reçu un refus en raison de l'absence de bus disponible. Par contre, en la rappelant une deuxième fois au bout d'une demi-heure et en questionnant sur la possibilité de réserver un car pour un groupe de personnes âgées qui ont envie de se rendre à Paris, un véhicule était disponible.

    Pour lui, la conclusion est évidente, il suggère que les sociétés de transport se seraient vu interdire de transporter des Gilets jaunes et auraient reçu «des injonctions, des consignes de Mme Borne [la ministre chargée des Transports, ndlr]».

    Toutefois, les entreprises en question contactées par LCI ont démenti le fait d'avoir reçu des instructions pour empêcher les manifestants de réserver des cars.

    «Cette affirmation est totalement fallacieuse, nous n'avons reçu aucune instruction de qui que ce soit», a déclaré le directeur général de Keolis cité par LCI.

    De plus, les représentants de la RATP ont expliqué que le refus de réservation d'un car à cause de la non-disponibilité de ces derniers pourrait être vrai car les entreprises parfois ne possèdent pas de cars et le manque de véhicules disponibles est un premier frein.

    L'acte 23 des Gilets jaunes s'est déroulé en France samedi 20 avril. Le ministère de l'Intérieur a comptabilisé 27.900 manifestants dans toute la France, dont 9.000 dans la capitale. Le Nombre jaune en a, quant à lui, décompté 98.182 sur la journée.

    https://fr.sputniknews.com/france/201904261040897857-gilets-jaunes-nicolle-maxime-transport/

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  31. Une compagnie de CRS se met en arrêt de travail lors d'une visite ministérielle


    Joanna Wadel
    RTL
    jeu., 25 avr. 2019 20:39 UTC


    Sarran La quasi-totalité d'une compagnie de CRS censée encadrer une visite du secrétaire d'État Laurent Nuñez était indisponible ce jeudi en raison de nombreux arrêts de travail. Un délégué syndical évoque la fatigue psychologique et physique de ses confrères.

    Leurs arrêts de travail tombaient le même jour. La quasi-totalité d'une compagnie de CRS de Saran (Loiret) était "indisponible" ce jeudi 25 avril, jour de visite ministérielle à Tours, a appris l'AFP de source syndicale. Interrogé sur ce désistement massif, le secrétaire d'État Laurent Nuñez a évoqué pour sa part "un petit problème de gestion locale".

    Quarante-huit des 61 CRS de la compagnie de Saran se sont fait porter pâle jeudi matin, a expliqué à l'AFP Christophe Granger, délégué zonal Unsa Police de la région Ouest, confirmant une information du quotidien Ouest-France. "Au lieu d'aller au rassemblement, ils ont appelé le service pour dire qu'ils allaient voir le médecin. Du coup, la compagnie est indisponible", a-t-il précisé.

    Toujours selon ce dernier, cette compagnie, la CRS 51, devait effectuer une "mission de sécurisation" dans un quartier sensible de Joué-les-Tours, où se rendait justement le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, qui affirme quant à lui que "Ce ne sont pas des CRS qui devaient (l)'accompagner".

    Bien-sûr qu'ils sont fatigués mais je peux vous assurer qu'ils sont toujours déterminés et prêts à mener leur mission.
    "Il y a une revendication locale, que mes collaborateurs, mon cabinet est en train de traiter", a-t-il déclaré, ajoutant : "Oui, bien sûr ils sont fatigués mais je peux vous assurer qu'ils sont toujours déterminés et prêts à mener leur mission et c'est ce qu'ils démontrent tous les samedis avec beaucoup de courage."

    Des collègues "exténués (...) proches du burn-out"

    Mais selon Christophe Granger, de l'Unsa Police, c'est la CRS 13, qui rentrait de Nice à Saint-Brieuc, qui a finalement été mobilisée "au pied levé". "Les collègues n'en peuvent plus. Ce matin, ils se sont levés et étaient exténués. Certains sont proches du burn-out", a-t-il ajouté, en évoquant une "fatigue physique et psychologique".

    https://fr.sott.net/article/33818-Une-compagnie-de-CRS-se-met-en-arret-de-travail-lors-d-une-visite-ministerielle

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  32. The Essence Of Evil: le sexe avec des enfants est devenu une grosse affaire en Amérique


    par Tyler Durden
    Samedi, 27/04/2019 - 00:05
    Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,


    «Tous les jours, les enfants américains sont ciblés et vendus pour le sexe.» - John Ryan, Centre national pour enfants disparus et exploités

    Des enfants et des jeunes filles, dont certaines ont à peine 9 ans, sont achetées et vendues pour du sexe en Amérique. L'âge moyen d'une jeune femme vendue pour des relations sexuelles est maintenant de 13 ans.

    C’est le sale petit secret de l’Amérique.

    Le trafic sexuel - surtout lorsqu'il s'agit d'acheter et de vendre des jeunes filles - est devenu une grosse affaire en Amérique, la plus forte croissance du crime organisé et le deuxième produit le plus lucratif vendu illégalement après la drogue et les armes à feu.

    Comme le note la journaliste d’investigation Amy Fine Collins: «Il est devenu plus lucratif et plus sûr de vendre des adolescents malléables que des drogues ou des armes à feu. Une livre d’héroïne ou un AK-47 peuvent être vendus au détail une fois, mais une jeune fille peut être vendue 10 à 15 fois par jour - et un proxénète «juste» confisque 100% de ses gains. "

    Considérez ceci: toutes les deux minutes, un enfant est exploité dans l'industrie du sexe.

    Selon USA Today, aux États-Unis, les adultes achètent leurs enfants au moins 2,5 millions de fois par an.

    Qui achète un enfant pour le sexe ? Sinon, des hommes ordinaires de tous les horizons.

    "Ce pourrait être votre collègue, votre médecin, votre pasteur ou votre épouse", écrit le journaliste Tim Swarens, qui a passé plus d'un an à enquêter sur le commerce du sexe en Amérique.

    Rien qu'en Géorgie, on estime que 7 200 hommes (la moitié d'entre eux dans la trentaine) cherchent à avoir des relations sexuelles avec des adolescentes chaque mois, soit en moyenne 300 par jour.

    En moyenne, un enfant pourrait être violé par 6 000 hommes au cours d'une période de servitude de cinq ans.

    On estime qu'au moins 100 000 enfants - filles et garçons - sont achetés et vendus aux États-Unis pour des relations sexuelles chaque année, et pas moins de 300 000 enfants risquent d'être victimes de la traite chaque année. Certains de ces enfants sont enlevés de force, d'autres sont des fugueurs et d'autres encore sont vendus au système par des membres de leur famille ou des connaissances.

    "La traite des êtres humains - l'exploitation sexuelle commerciale d'enfants et de femmes américains via Internet, des clubs de strip-tease, des services d'escorte ou la prostitution de rue - est en passe de devenir l'un des pires crimes aux États-Unis", a déclaré le procureur Krishna Patel.

    Il s'agit d'une industrie qui tourne autour du sexe à la volée à moindre coût, avec des filles et des femmes vendues chaque jour à 50 hommes pour 25 dollars, tandis que leurs maîtres gagnent entre 150 000 et 200 000 dollars par enfant chaque année.

    Ce n'est pas un problème que l'on ne trouve que dans les grandes villes.

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  33. Cela se passe partout, juste sous notre nez, dans les banlieues, les villes et les villages à travers le pays.

    Comme le souligne Ernie Allen, du Centre national pour les enfants disparus et exploités, «Le seul moyen de ne pas le trouver dans une ville américaine est tout simplement de ne pas le rechercher."

    Ne vous trompez pas en pensant que ceci est simplement une préoccupation pour les communautés à faible revenu ou les immigrants.

    Ce n'est pas.

    On estime qu’il ya entre 100 000 et 150 000 travailleurs du sexe âgés de moins de 15 ans aux États-Unis. Ces filles ne se sont pas portées volontaires pour devenir des esclaves sexuelles. Ils sont attirés, forcés, victimes de la traite. Dans la plupart des cas, ils n'ont pas le choix.

    Afin d'éviter la détection (dans certains cas, aidée et encouragée par la police) et de répondre à la demande des acheteurs de sexe avec différentes femmes, les proxénètes et les gangs et syndicats du crime pour lesquels ils travaillent ont transformé le trafic sexuel en une entreprise très mobile. filles, garçons et femmes victimes de la traite, constamment déplacés de ville en ville, d’état en état et de pays en pays.

    Par exemple, la région de Baltimore-Washington, appelée The Circuit, avec son corridor I-95 parsemé d’arrêts de repos, de gares routières et d’arrêts de camions, est une plaque tournante du commerce du sexe.

    Nul doute qu’il s’agit d’une entreprise de trafic sexuel très rentable, très organisée et très sophistiquée qui opère dans les villes, grandes et petites, rapportant plus de 9,5 milliards de dollars par an aux États-Unis en enlevant et vendant des jeunes filles pour le sexe.

    Chaque année, les filles achetées et vendues sont de plus en plus jeunes.

    L’âge moyen des victimes de la traite est de 13 ans. Pourtant, comme l’a souligné le chef d’un groupe de lutte contre la traite, «réfléchissons à ce que signifie la moyenne. Cela signifie qu'il y a des enfants de moins de 13 ans. Cela signifie des enfants de 8, 9 ou 10 ans. "

    «Sur 10 femmes sauvées, il y a 50 à 100 femmes de plus qui sont amenées par les trafiquants. Malheureusement, ils ne sont plus âgés de 18 ou 20 ans », a déclaré une victime de la traite âgée de 25 ans. «Ce sont des mineurs âgés de 13 ans qui font l’objet d’un trafic. Ce sont des petites filles. "

    D'où venait cet appétit de jeunes filles ?

    Regarde autour de toi.

    Les jeunes filles sont sexualisées depuis des années dans les vidéoclips, les panneaux d'affichage, les publicités télévisées et les magasins de vêtements. Les spécialistes du marketing ont créé une demande pour de la chair jeune et une offre immédiate d’enfants sur-sexualisés.

    «Il suffit de jeter un coup d'œil aux photos d'adolescents sur MySpace pour voir des exemples. S'ils n'imitent pas le porno qu'ils ont vu, ils imitent les images et les poses inspirées par le porno qu'ils ont absorbées ailleurs», écrit Jessica Bennett. pour Newsweek. «Le latex, les corsets et les talons décapants, jadis à la mode des stars du porno, ont fait leur chemin au collège et au lycée.

    C'est ce que Bennett appelle la «pornification d'une génération».

    "Sur un marché qui vend des chaussures à talons hauts pour les bébés et des tongs pour les adolescentes, il ne faut pas de génie pour voir que le sexe, si ce n'est la pornographie, a envahi nos vies", conclut Bennett. «Que nous l’accueillions ou non, la télévision l’affiche dans nos salons et le Web dans nos chambres à coucher. Selon une étude réalisée en 2007 par l'Université de l'Alberta, pas moins de 90% des garçons et 70% des filles âgées de 13 à 14 ans ont eu accès à un contenu sexuellement explicite au moins une fois.

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  34. En d'autres termes, la culture prépare ces jeunes à être la proie de prédateurs sexuels. Et ensuite nous nous demandons pourquoi nos jeunes femmes sont la proie, la traite et les abus.

    Les médias sociaux rendent tout cela trop facile. Comme l’a rapporté un centre de presse: «Trouver des filles est facile pour les proxénètes. Ils consultent MySpace, Facebook et d'autres réseaux sociaux. Eux et leurs assistants des centres de croisière, des lycées et des collèges. Ils viennent les chercher aux arrêts de bus. Sur le chariot. Le recrutement entre filles se produit parfois. »Les foyers d'accueil et les centres d'accueil pour jeunes sont également devenus des cibles de choix pour les trafiquants.

    Rarement ces filles se lancent volontairement dans la prostitution. Beaucoup commencent comme des fugueurs ou des fugitifs, seulement pour être enlevés par des proxénètes ou de plus gros anneaux de sexe. D’autres, persuadées de rencontrer un étranger après une interaction en ligne sur l’un des nombreux sites de réseaux sociaux, se retrouvent rapidement initiées à leur nouvelle vie d’esclaves sexuels.

    Debbie, une étudiante hétérosexuelle qui appartenait à une famille soudée de la Force aérienne et résidant à Phoenix, en Arizona, est un exemple de ce commerce de chair. Debbie avait 15 ans lorsqu'elle a été arrachée de son entrée par un ami de la connaissance. Forcée de force, Debbie a été attachée et emmenée dans un lieu inconnu. Elle a été arrêtée et violée par plusieurs hommes. Elle a ensuite été entassée dans un petit chenil et obligée de manger des biscuits pour chiens. Les ravisseurs de Debbie ont annoncé ses services sur Craigslist. Celles qui ont répondu étaient souvent mariées avec des enfants et l’argent «gagné» par Debbie pour le sexe était donné à ses ravisseurs. Le viol en bande a continué. Après avoir fouillé l'appartement où Debbie était retenue captive, la police a finalement trouvé Debbie coincée dans un tiroir sous un lit. Son épreuve a duré 40 jours.

    Bien que Debbie ait eu la chance d'être sauvée, d'autres ne sont pas aussi chanceux. Selon le Centre national pour les enfants disparus et exploités, près de 800 000 enfants sont portés disparus chaque année (environ 2 185 enfants par jour).

    Avec une demande croissante d’esclavage sexuel et un nombre incalculable de filles et de femmes susceptibles de faire l’objet d’enlèvements, ce problème ne se résorbe pas de si tôt.

    Pour les victimes de la traite, c’est un cauchemar du début à la fin.

    Ceux qui sont vendus pour le sexe ont une espérance de vie moyenne de sept ans, et ces années sont un cauchemar vivant de viols sans fin, de toxicomanie forcée, d'humiliation, de menaces, de maladies, de grossesses, d'avortements, de fausses couches, de torture, de douleur et toujours constants. peur d'être tué ou, pire, d'avoir blessé ou tué ceux que vous aimez.

    Peter Landesman décrit les horreurs de la vie pour les victimes du commerce du sexe dans son article du New York Times «The Girls Next Door»:

    Andrea m'a dit qu'elle et les autres enfants avec lesquels elle était détenue étaient fréquemment battus pour les maintenir déséquilibrés et obéissants. Parfois, ils étaient filmés tout en étant forcés d'avoir des relations sexuelles avec des adultes ou l'un avec l'autre. Souvent, elle a été invitée à jouer des rôles: la patiente thérapeute ou la fille obéissante. Sa cellule de trafiquants sexuels proposait trois partenaires d'âge - des enfants de moins de 4 ans, de 5 à 12 ans et des adolescents - ainsi que ce qu'elle appelait un «groupe de victimes». «Dans le groupe de victimes, elles peuvent vous frapper tout ce qu’ils veulent », at-elle expliqué. "Même si le sexe fait toujours mal lorsque vous êtes petit, il est donc toujours violent, tout était beaucoup plus pénible une fois que vous avez été placé dans le groupe des dommages."

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  35. Ce que Andrea décrit ensuite montre à quel point certaines parties de la société américaine sont dépravées. "Ils vous donneraient alors faim pour vous entraîner" à avoir des relations sexuelles orales. «Ils ont mis du miel sur un homme. Pour les plus petits, il fallait apprendre à ne pas bâillonner. Et ils pousseraient les choses en vous pour que vous vous ouvriez mieux. Nous avons appris les réponses. Comme s'ils voulaient que nous soyons sensuelles, sexy ou effrayés. La plupart d'entre eux voulaient vous faire peur. En vieillissant, j’enseignerais aux enfants plus jeunes comment s’envoler pour que les choses ne se gâtent pas. »

    Les agents d'immigration et de contrôle des douanes du Cyber Crimes Center de Fairfax, en Virginie, signalent qu'en matière de sexualité, l'appétit de nombreux Américains a maintenant changé. Ce qui était autrefois considéré comme anormal est maintenant la norme. Ces agents suivent une nette augmentation de la demande de pornographie plus dure sur Internet. Comme l’a noté un agent, «nous sommes devenus insensibles à la substance douce; maintenant, nous avons besoin d'un coup de plus en plus dur. "

    Cette tendance se reflète dans le traitement que beaucoup de filles reçoivent des trafiquants de drogue et des hommes qui les achètent. Peter Landesman a interrogé Rosario, une Mexicaine qui avait été victime de la traite à New York et détenue captive pendant plusieurs années. Elle a déclaré: «En Amérique, nous avions des« emplois spéciaux ». Sexe oral, sexe anal, souvent avec de nombreux hommes. Le sexe est maintenant plus aventureux, plus difficile. "

    Le fil conducteur de la plupart des expériences des survivantes est de se retrouver sans sommeil ni nourriture jusqu’à ce qu’elles aient atteint leur quota sexuel d’au moins 40 hommes. Une femme a raconté comment sa trafiquante l'avait allongée sur le sol quand elle était enceinte, puis lui avait littéralement sauté sur le dos, l'obligeant à faire une fausse couche.

    Holly Austin Smith a été enlevée à l'âge de 14 ans, violée puis contrainte de se prostituer. Lors de son procès, son souteneur n'a été condamné qu'à un an de prison.

    Barbara Amaya a été vendue à plusieurs reprises entre trafiquants, maltraitée, blessée par balle, poignardée, violée, kidnappée, soumise à la traite, battue et emprisonnée avant l'âge de 18 ans. «J'avais un quota que je devais remplir tous les soirs. Et si je n’avais pas cette somme, je me ferais battre, jeté dans les escaliers. Il m'a battu une fois avec des cintres en fil métallique, du genre à suspendre ses vêtements, il l'a redressé et tout mon dos saignait.

    Comme l'explique David McSwane dans le Herald-Tribune, «les agents fédéraux ont rencontré un bordel exploité par un couple marié à Oakland Park, un quartier industriel de Fort Lauderdale. À l'intérieur de 'The Boom Boom Room', les clients payaient un supplément. Un préservatif et une minuterie leur étaient attribués. Ils étaient laissés seuls avec l'un des huit adolescents de la maison de passe, des enfants d'à peine 13 ans. Un enfant nourricier de 16 ans a témoigné qu'il agissait en tant que sécurité, alors qu'une jeune fille de 17 ans a déclaré à un juge fédéral qu'elle était forcée d'avoir des relations sexuelles avec jusqu'à 20 hommes par nuit. "

    Un groupe de trafiquants sexuels en particulier s’adresse plus particulièrement aux travailleurs migrants employés de façon saisonnière dans des fermes du sud-est du pays, en particulier les Carolines et la Géorgie, bien qu’il s’agisse d’une entreprise florissante dans tous les États du pays. Les trafiquants transportent les femmes de ferme en ferme, où les travailleurs migrants font la queue devant la cabane, jusqu'à 30 personnes à la fois, pour avoir des relations sexuelles avec elles avant d'être transportées dans une autre ferme où le processus recommencerait.

    Ce mal grandissant est, à toutes fins utiles, ouvertement.

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  36. Les femmes et les enfants victimes de la traite sont annoncés sur Internet, transportés sur un état à l’autre, puis achetés et vendus dans des hôtels chics.

    En effet, comme je l'explique clairement dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, la lutte du gouvernement contre la traite à des fins sexuelles - tout comme la lutte du gouvernement contre le terrorisme, la drogue et le crime - est devenue une excuse parfaite pour infliger davantage de tactiques policières aux États policiers. points de contrôle de la police, perquisitions, surveillance et renforcement de la sécurité) sur un public vulnérable, tout en faisant peu pour rendre nos communautés plus sûres.

    Alors que peux-tu faire?

    Renseignez-vous et sensibilisez vos enfants à cette menace croissante dans nos communautés.

    Arrêtez de nourrir le monstre: le trafic sexuel fait partie d'un plus grand continuum en Amérique qui va de l'itinérance, de la pauvreté et de l'estime de soi à la télévision sexualisée, à la glorification d'une culture proxénète / fantôme - ce que l'on appelle souvent la pornisation d'Amérique - et une industrie du sexe d'un milliard de dollars construite sur le dos de la pornographie, de la musique, du divertissement, etc.

    Cette épidémie est en grande partie une de nos causes, en particulier à l’ère des entreprises, où la valeur accordée à la vie humaine prend le pas sur la rentabilité. On estime que l'industrie du porno rapporte plus d'argent qu'Amazon, Microsoft, Google, Apple et Yahoo.

    Appelez vos municipalités, vos élus et vos services de police à faire de la lutte contre la traite à des fins sexuelles une priorité absolue, bien plus que la prétendue guerre contre le terrorisme et le trafic de drogue et la militarisation de la force publique.

    Arrêtez de poursuivre les adultes pour des «crimes» sans victime, tels que la culture de la laitue dans leur jardin, et concentrez-vous sur l'abandon des proxénètes et des acheteurs qui victimisent ces jeunes femmes.

    Enfin, la police doit mieux former, identifier et résoudre ces problèmes; les communautés et les services sociaux doivent mieux protéger les fugueurs, qui sont les principales cibles des trafiquants; les législateurs doivent adopter des lois visant à poursuivre les trafiquants et les «clients», les acheteurs qui stimulent la demande d'esclaves sexuels; et les hôtels doivent cesser de permettre ces trafiquants en leur fournissant des chambres et une couverture pour leurs actes sales.

    Le fait que tant de femmes et d’enfants continuent d’être victimes, brutalisées et traitées comme du fret humain tient à trois facteurs: premièrement, une demande des consommateurs de plus en plus lucrative pour toutes les personnes concernées, à l’exception des victimes; deuxièmement, un niveau de corruption si envahissant à l'échelle locale et internationale qu'il n'y a guère d'espoir de passer par les voies de changement établies; et troisièmement, un silence inquiétant de la part d'individus qui ne parviennent pas à dénoncer de telles atrocités.

    Mais la vérité est que nous sommes tous coupables de contribuer à cette souffrance humaine. Les trafiquants sont coupables. Les consommateurs sont coupables. Les responsables de l'application de la loi corrompus sont coupables. Les groupes de femmes qui ne font rien sont coupables. Les soldats de la paix et les travailleurs humanitaires étrangers qui contribuent à la demande d'esclaves sexuels sont coupables. Surtout, toute personne qui ne crie pas contre les atrocités commises contre les femmes et les enfants dans presque tous les pays du monde, y compris les États-Unis, est coupable.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-04-26/essence-evil-sex-children-has-become-big-business-america

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  37. "Fat Sex Therapist" compare les entraîneurs de fitness aux nazis et aux régimes amaigrissants des enfants à l'agression sexuelle


    par Tyler Durden
    Ven., 26/04/2019 - 18:05
    Écrit par Kyle Hooten via Campus Reform,


    "Je crois sincèrement qu'un enfant ne peut pas accepter de suivre un régime de la même manière qu'un enfant ne peut pas consentir à avoir des relations sexuelles", Sonalee Rashatwar, dont le nom d'utilisateur Instagram est "The Fat Sex Therapist", a annoncé jeudi à St-Olaf Université.

    Elle a poursuivi: «Je considère la culture diététique comme une forme d’agression car elle influe sur la façon dont je vis mon corps."

    Ces commentaires, parmi d’autres, ont été formulés dans le cadre de son discours de deux heures, parrainé par le Centre de mieux-être du St. Olaf College, le Département d’études féministes et de genre et le Centre pour l’équité et l’inclusion, sur le thème de la «libération radicale de la graisse».

    La conversation comprenait des affirmations selon lesquelles la forme physique aurait contribué aux récents tirs à Christchurch, que les gens devraient "contester" l'état de droit, ainsi que l'autorité de la police.

    «Ce soir, nous allons commencer par parler de la façon de politiser notre définition de l'image corporelle», a commencé Rashatwar, «parce que nous sommes souvent coincés à y penser d'un objectif de la suprématie blanche.» Elle a expliqué comment «la suprématie blanche se produit tous les jours toutes ces petites choses.

    Au cours de son discours, Rashatwar a classé la science parmi ces choses quotidiennes supposées de la suprématie blanche.

    «Nous devrions critiquer l'utilisation de la science et la production de connaissances pour continuer à promouvoir cette idée que certains corps sont en forme, capables et souhaitables ... Est-ce ma graisse qui cause mon hypertension, ou est-ce mon expérience de "La stigmatisation pondérale?", demanda Rashatwar. Elle joignit alors la science suggérant que l'obésité était malsaine pour le nazisme, affirmant que la science "fatophobe" était "souvent réellement scientifique eugénique ... la science eugénique était la science nazie".

    Cependant, elle a ensuite pivoté pour appuyer les découvertes scientifiques alors qu’elle réfléchissait à «poursuivre intentionnellement une perte de poids», affirmant que «ce que nous découvrons scientifiquement, c’est que ce n’est pas possible».

    Après avoir abordé le sujet de la science et affirmé qu'elle n'avait aucun lien entre l'hypertension artérielle et l'obésité, Rashatwar s'est tournée vers la philosophie et la politique politiques.

    «Cette conversation sur le fait de ne plus nous préoccuper de notre bien-être individuel fait partie des politiques de l'ère Reagan des années 1980 qui tentent à nouveau de transférer cette obligation structurelle d'un système et ce filet de sécurité sociale sur l'individu", a déclaré Rashatwar, au lieu de penser qu'il devraient être des soutiens sociaux qui m'aident également à subventionner mes coûts de nourriture. "

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  38. Sa solution à ces problèmes de société exigeant une responsabilité individuelle consistait à inviter les étudiants à «défier toutes les autorités, non seulement l'autorité conférée par la science, mais également l'autorité juridique ... de la même manière que je veux que nous contestions les lois, je les veux tous. contester les prisons et la police. "

    Rashatwar a précisé comment elle concrétisait personnellement ces idées en tant que thérapeute en traumatologie sexuelle. Elle a dit que dans son rôle professionnel, son code d'éthique dicte une interdiction absolue du contact physique avec les clients. Cependant, Rashatwar a affirmé que «je ne vivrai jamais selon un code d’éthique professionnel qui me dit ce que j’ai le droit de faire ou non avec mon corps».

    Enfin, Rashatwar a réagi aux récents événements, en particulier au massacre de Christchurch en Nouvelle-Zélande.

    "Je ne pense pas qu'il soit surprenant que l'homme qui a tiré sur Christchurch, en Nouvelle-Zélande, soit également un instructeur de fitness", a déclaré Rashatwar. Après cette déclaration, elle a ajouté que la fusillade était "une indication claire qu'il existe toujours un corps idéalisé. Les nazis J'adore cette idée d'un corps idéalisé. Il est donc logique qu'un instructeur de conditionnement physique ... pense aussi à un corps idéalisé de cette manière suprématiste et blanche. "

    Après la conférence, Campus Reform s'est entretenu avec Will Douty, un étudiant en première année de St. Olaf, qui a perdu plus de 100 livres au cours de son parcours personnel de santé.

    «Le discours entier était très troublant pour moi», a déclaré Douty. «Je sais par expérience personnelle que la santé est absolument liée au poids ... lorsque vous décidez d'abandonner et de prétendre que les médecins vous mentent et que vous êtes parfait tel que vous êtes, vous finissez par vous retrouver avec des émotions réprimées et des funérailles précoces ... Je peux vous garantir que le maintien d'habitudes alimentaires saines m'aidera à vivre beaucoup plus longtemps et en meilleure santé que je ne le pensais à l'origine. Votre vie ne peut s'améliorer que si vous prenez la responsabilité de vous-même. "

    Campus Reform a également contacté le service des médias de St. Olaf à propos des affirmations de Rashatwar selon lesquelles les valeurs d’un instructeur de fitness correspondent à celles du Troisième Reich. Aucune réponse n'a été reçue à temps pour la publication.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-04-26/fat-sex-therapist-compares-fitness-trainers-nazis-childrens-dieting-sexual-assault

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  39. CA Logic: augmenter les taxes sur l’essence, puis demander une enquête sur les prix élevés de l’essence


    par Tyler Durden
    Ven., 26/04/2019 - 22:45
    Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    La Californie abrite certains des politiciens les plus assoiffés de pouvoir de la planète. Ces personnes ont en fait augmenté la taxe sur l'essence et demandent maintenant une enquête sur les raisons pour lesquelles les prix de l'essence sont plus élevés en Californie qu'ailleurs aux États-Unis. Ce serait triste si ce n’était pas aussi fou.

    Le gouverneur de Californie, Gavin Newson, demande une enquête sur les prix du gaz dans cet État. Mais comme le souligne Reason, il n’est pas si difficile de voir ce que les politiciens californiens sont coupables. En fait, les prix de l'essence sont élevés parce que Newsom (et d'autres politiciens) ont augmenté les taxes sur l'essence.

    En tant que lieutenant-gouverneur, Gavin Newsom a soutenu un projet de loi de 2017 augmentant les taxes sur l’essence de l’État. Lorsqu'il était candidat au poste de gouverneur en 2018, il s'était opposé à une initiative de vote qui aurait abrogé la même augmentation, a indiqué Reason. Mais comme tous les politiciens, Newsom ne veut pas admettre que lui et ses camarades du gouvernement californien ont causé le problème. Ainsi commence le pointage du doigt. Le gouverneur a envoyé mardi une lettre à la California Energy Commission (CEC) demandant à l’agence publique "d'enquêter" sur les prix de l'essence californien d'environ 4,03 dollars le gallon, qui sont actuellement les plus élevés du pays. Ces prix sont également bien au-dessus de la moyenne nationale de 2,86 dollars le gallon (3,78 l./2,56 €).

    "Une analyse indépendante suggère qu'il existe un écart de prix inexpliqué dans les prix du gaz en Californie et que cet écart de prix peut provenir en partie de pratiques inappropriées du secteur", a écrit Newsom dans sa lettre à la CCE.

    "Ce sont toutes des raisons importantes pour que la Commission aide à faire la lumière sur ce qui se passe sur notre marché de l'essence."

    La Californie impose actuellement la deuxième taxe sur l’essence la plus élevée du pays. Une taxe d'accise nationale ajoute actuellement 0,417 dollar le gallon (près de 42 cents le gallon), taux qui passera à 0,473 dollar (47 cents le gallon) en juillet. Mais ce n'est pas tout. En plus de cette taxe, l'État impose une taxe de vente sur l'essence de 2,25%. Il y a plus. La Californie a également ajouté une norme sur les carburants à faible émission de carbone et un système de plafonnement et d’échange des émissions de dioxyde de carbone qui, ensemble, font déjà augmenter les prix de l’essence de l’état de 0,24 dollar le gallon au-dessus de la moyenne nationale, selon un rapport du gouvernement de 2017.

    Le pire, c’est que Newsom n’est pas le seul problème à avoir demandé que l’on reproche à des «pratiques inappropriées de l’industrie», par opposition à la hausse de la taxe sur l’essence. En janvier, 19 législateurs d'Etats (dont 17 avaient voté en faveur de cette augmentation de la taxe sur l'essence en 2017, les deux autres n'étant entrés en fonction qu'en 2018) ont envoyé une lettre au procureur général Xavier Becerra, dans laquelle ils demandaient à son ministère of Justice (DOJ) a enquêté sur le «supplément d’essence inexpliqué» qui, selon les estimations, coûterait 1 700 dollars aux familles californiennes.

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  40. Ouais. C’est un vrai casse-tête.

    Même les personnes qui comprennent seulement les bases de l’économie savent que les hauts niveaux de taxation et de réglementation et le manque de concurrence dans le secteur des carburants de l’État ne sont pas des explications mutuellement exclusives des prix élevés de l’essence. Les redevances imposées par le gouvernement et les lourdeurs administratives ont souvent pour effet d'éliminer les producteurs et les détaillants marginaux (en éliminant la concurrence), ce qui donne aux entreprises restantes une plus grande capacité à augmenter leurs prix. C'est ce qu'on appelle l'offre et la demande. La demande reste, mais une grande partie de l'offre a disparu. Une fois que la concurrence (l'offre) a disparu par le biais de la fiscalité et de la réglementation, les entreprises qui restent peuvent faire monter les prix aussi haut qu'elles le souhaitent.

    Le gouvernement californien n’accorde aucune faveur à ses habitants en ce qui concerne leurs politiques

    https://www.zerohedge.com/news/2019-04-25/ca-logic-raise-gas-taxes-then-demand-investigation-why-gas-prices-are-high

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  41. Comment Google aide le gouvernement américain à violer votre vie privée


    par Tyler Durden
    Ven., 26/04/2019 - 14:00
    Écrit par Derrick Broze via le blog Mind Unleashed,


    Un nouveau dossier judiciaire affirme que Google aide le gouvernement américain à contourner les protections du quatrième amendement afin de mener des recherches sans mandat.

    Le centre EPIC (Electronic Privacy Information Center) a officiellement accusé Google d'analyser des milliards de fichiers personnels d'utilisateurs à la demande du gouvernement américain. L’EPIC a récemment déposé un mémoire d ’« ami de la cour »alléguant que Google aide le gouvernement américain à effectuer des recherches sans mandat en analysant les fichiers des utilisateurs à la recherche de contenus potentiellement illicites ou de preuves de crimes.

    Le dossier faisait suite à l'affaire United States v. Wilson, une affaire dans laquelle Google avait numérisé des fichiers de milliards d'utilisateurs afin de suivre les images d'enfants disparus signalées par le Centre national pour les enfants disparus et exploités (NCMEC). Après avoir numérisé les images contenues dans les fichiers des utilisateurs, Google contacte les forces de l'ordre pour partager des informations sur les personnes susceptibles de posséder des images d'enfants disparus. Cependant, tout ce processus se déroule sans la permission des utilisateurs ou un mandat délivré par un tribunal. Dans son mémoire, EPIC affirme que "parce que ni Google ni le gouvernement n’a expliqué le fonctionnement de la technique de comparaison d’images ou présenté des éléments de preuve établissant l’exactitude et la fiabilité, la recherche du gouvernement était déraisonnable".

    Selon EPIC, cette situation permet aux forces de l'ordre d'ignorer les protections prévues par le quatrième amendement contre les perquisitions et les saisies abusives des biens et d'effectuer des perquisitions sans mandat avec l'aide de Google.

    «Si, par exemple, les fonctionnaires de police souhaitent examiner les fichiers numériques de certains suspects, ils peuvent tout simplement faire appel à Google, qui se chargera de leur recherche - et sans le temps, les frais ni la galère d'obtenir un mandat pour cette recherche. , Rapporte le magazine CPO. «Pour les services de police, la recherche de documents numériques sans mandat serait un moyen de faciliter considérablement leurs enquêtes criminelles.»

    Le cœur de cette affaire s’articule autour d’un nouvel algorithme Google qui analyse activement les fichiers pour rechercher une image spécifique à l’aide de la correspondance d’images. Auparavant, le NCMEC était censé fournir à Google des hachages d’images permettant d’identifier une image unique sans afficher l’image réelle. Toutefois, le nouvel algorithme de Google utilise la correspondance d’image au lieu du hachage d’image. L'EPIC a déclaré que la «juridiction inférieure avait commis une erreur essentielle» en confondant le hachage de fichiers avec la méthode plus personnelle de correspondance d'images.

    Les préoccupations de l’EPIC sont centrées sur les moyens par lesquels une telle technologie pourrait être utilisée pour cibler les utilisateurs en raison de leurs opinions religieuses, de leurs affiliations politiques ou même pour posséder un contenu interdit. Par exemple, après la fusillade à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, des responsables ont menacé de condamner un citoyen néo-zélandais à la possession de la vidéo en direct du tireur. Avec la politique actuelle de Google, comment empêcher les forces de l'ordre néo-zélandaises de demander à Google de rechercher dans les fichiers utilisateur une copie du "contenu haineux" interdit ?

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  42. Ce type d’arrangement permet au gouvernement des États-Unis d’éviter de saisir un tribunal pour demander un mandat et constitue également un dangereux précédent pour de futures atteintes à la vie privée. Le plus grand groupe de moteurs de recherche au monde fait l’objet d’un examen minutieux, car la nouvelle de son incapacité à protéger les informations des utilisateurs fait la une des journaux dans le monde entier. Par exemple, Google a récemment été critiqué pour avoir choisi de construire une version censurée de son moteur de recherche pour le gouvernement chinois dans le cadre du programme Dragonfly.

    Si Google continue de faire comprendre au monde entier qu’ils ne se soucient pas de la vie privée ou du respect des droits des utilisateurs, pourquoi tant de personnes utilisent-elles toujours cet outil ? La réalité est que les entreprises vont continuer à travailler avec les gouvernements pour porter atteinte à la vie privée - et donc à la liberté - tant qu'elles savent que des milliards de personnes dans le monde entier continueront à utiliser leurs services.

    La réponse ?

    Recherchez des alternatives au moteur de recherche de Google et à d’autres services. Votez avec votre temps et votre argent en soutenant les entreprises soucieuses de la confidentialité - et dites «au revoir» à Google.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-04-26/how-google-helping-us-government-violate-your-privacy

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  43. La bulle australienne des énergies renouvelables, évaluée à 25 milliards de dollars, est sur le point de s’effondrer: ABC lance une promotion pour la soutenir


    April 27th, 2019


    Est-ce le sommet de la bulle australienne des énergies renouvelables ?
    Mise à jour de la maquette de test de collision: L'année dernière, notre capacité en énergies renouvelables a augmenté de 50%. Nous avons plus d’énergies renouvelables par habitant que tout autre pays du monde. Les investisseurs ont dépensé 25 milliards de dollars en seulement un an, sans compter le coût de l’adoption généralisée de l’énergie solaire à la maison ou, vraisemblablement, de toutes les subventions. Notre réseau de 56 gigawatts comprend maintenant six gigawatts d'invariable. Mais Lordy, regardez ce qui va arriver dans les trois prochaines années dans le tableau après ce graphique… potentiellement un autre 30GW. Combien de milliards allons-nous brûler sur ce bûcher ?

    Dans le graphique ci-dessous, notez à quel point les investisseurs dépendent des règles et des largesses du gouvernement. Kevin Rudd a débuté à la fin de 2007. Abbott a remporté son marché à la mi-2013. Turnbull a pris la relève à la mi-2016. Les investisseurs ont réagi, non pas avec la demande, mais avec la politique.

    - voir sur site -

    Le titre: «Les investissements dans les énergies renouvelables devraient aller d'un boom à un autre avec l'effondrement des prix»

    par Stephen Letts, ABC News

    Bulle d'énergies renouvelables, Australie, 2019, graphique solaire, éolienne, génération.
    Figure 1: investissement dans RHS Renewables (ligne pointillée). LHS Production d'énergie par vent et solaire (colonnes).

    - voir sur site -

    OhOH. Regardez ce qui s'en vient:
    Quelle est la taille de l’offre excédentaire qui se prépare ? Découvrez le tableau sinistre caché au bas de l'histoire de ABC.

    Énergies renouvelables supplémentaires engagées et sous contrat d’ici 2020-2021 dans tous les NEM (MWh)

    ---------------2018 ----2020/21 -----2021 vs 2018
    Hydro :::::::::16 704 ::::15 000 :::::::-1 704
    Toit solaire::: 8 813 ::::13 419 ::::::::5 271
    Ferme solaire 2 122 ::::14 486 :::::::12 364
    Parc éolien: :14 164 ::::28 869 ::::::14 705

    Total additionnel
    net d'approvisionnement:::::::::::::::30 636

    Source: marchés de l'énergie verte

    Mais le buste est à l'horizon, avertit ABC:
    Apparemment, les investisseurs ont remarqué un problème à venir.

    Les accords d'achat d'électricité à long terme pour les grands producteurs d'énergie renouvelable ont chuté de 30% au cours des 5 dernières années
    AEMO a réduit les prix payés à beaucoup plus de générateurs renouvelables à distance
    Une vague de nouveaux projets, équivalant à deux usines de Hazelwood, démarrera au cours des deux prochaines années, entraînant un important déséquilibre de l'offre excédentaire.
    Voulez-vous une propagande avec ça ?

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  44. Maintenant, avec les premières indications que notre dernière bulle sauvage pourrait éclater, l’ABC ne nous prévient pas de nous précipiter trop vite, mais plutôt de lancer une campagne publicitaire discrète pour soutenir plus longtemps ce secteur inutile. L’auteur Stephen Letts n’interviewe que des hackers et des phrases de l’industrie verte comme un «problème» à résoudre. C’est presque comme s'il travaillait pour l’industrie ?

    Sorti d’un trou noir d’investissement à une vitesse fulgurante, l’immense essor du secteur de l’énergie renouvelable devrait se heurter à un mur sans compromis.

    Le bilan est susceptible d’être plus tôt plutôt que tôt, alors qu’une méchante convergence de facteurs ne cesse de s’accumuler.

    Pour le personnel d’ABC, il s’agit d’une «mauvaise combinaison de facteurs». Pour les sceptiques, c’est une dose de réalité.

    L’AEMO a peut-être cruellement «réduit les prix», mais il est tout aussi vrai de dire qu’elle a trop payé les générateurs distants pour l’électricité perdue sur de longues lignes de transmission.

    En ce qui concerne les nouveaux projets "équivalant à deux Hazelwoods" - bonjour DisneyWatts! 4 000 MW de production aléatoire, asynchrone et non fiable n’est pas lointain équivalent à 16 éoliennes centralisées optimisées au cours de décennies d’efficacité en matière d’ingénierie pour fonctionner à 90% de la capacité sans interruption pendant 50 ans. Chaque jour, les non-constantes ne peuvent produire que 100 MW, pas 4 000. Nous avons besoin d'une sauvegarde de 98%. Comment appelez-vous la voiture de rechange sur laquelle vous ne pouvez compter que pour rouler à 2% de la limite de vitesse ? Inutile.

    Holy Cash Cow, c'est tellement injuste !
    Le charbon est encore bon marché

    C’est peut-être la seule fois où ABC a admis à quel point le charbon est bon marché - au beau milieu d’une histoire sur le besoin d’aide accrue des énergies renouvelables.

    De toute évidence, la croissance des énergies renouvelables à l’échelle des services publics pose un problème, à savoir que les anciennes centrales au charbon sans dette fonctionnent de manière rentable à 40 $ / MWh.

    Quel problème hein ? Pas cher, sans dette, une concurrence qui fonctionne quand nous en avons besoin !

    Elles [les centrales à charbon] continuent également à se désaltérer lorsque le vent cesse de souffler et que le soleil cesse de briller, ce que les détaillants sont prêts à payer.

    Comme on dit dans l'industrie - «les centrales thermiques brûlent des combustibles fossiles, les énergies renouvelables dépensent de l'argent»…

    (Pauvres bébé renouvelables !)

    La réponse est naturellement de fermer le charbon. Ainsi, ABC interroge un porte-parole de l'industrie verte qui propose la solution évidente:

    «Nous pouvons avoir des prix de l'électricité plus bas, mais pour qu'ils soient durables, nous avons besoin d'un cadre politique en place qui nous permette de développer régulièrement une capacité de remplacement avant le retrait des centrales à charbon.»

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  45. - Tristan Edis de l’énergie verte

    Traduit: mon secteur veut de l'argent garanti par le gouvernement et des règles qui éliminent la concurrence.

    Oui, pas nous tous ?

    Remarquez qu'il balance la ligne de vente classique «Nous pouvons avoir des prix de l'électricité plus bas». Sûr. Nous pourrions légiférer pour produire 10 c par kilowattheure d’électricité. Mais l’argent doit venir de quelque part ou les lumières s’éteignent. Est-ce par le biais de la taxe ? Frais de connexion? Des prélèvements énergétiques à Tesla ?

    Si l’ABC desservait l’autre moitié du pays, elle interrogerait un ingénieur électricien ou deux, ou peut-être un blogueur stupide qui leur dirait que la solution était de laisser le marché libre fonctionner et de mettre le gouvernement à l’écart.

    L'article évoquait également de manière très sombre des chiffres fantastiques tels que des coûts de 55 $ par MW heure. Comme le savent les lecteurs, ils ne méritent pas d’être analysés, car ce sont des idées délirantes entièrement fondées sur des offres générées par des producteurs qui n’ont pas à payer pour leurs lignes de transmission extrêmement longues, leur système de secours, leur produit peu fiable ou le fardeau de l’inefficacité qu’elles rejettent. sur l'ensemble du système, ou les maisons qu'ils brûlent. Et en Australie, ils bénéficient de la subvention RET, et souvent de prêts à faible coût, ainsi que d’un accès à une agence de publicité gratuite d’un milliard de dollars appelée ABC.

    Les seuls chiffres qui comptent - le nombre d'États avec beaucoup d'énergie solaire et éolienne et d'électricité bon marché. C'est zéro.

    h/t Peter Fitzroy and Dave B.

    http://joannenova.com.au/2019/04/australias-25b-renewables-bubble-set-to-bust-abc-starts-promo-to-prop-it-up/

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    1. C'est là qu'on ressent le besoin URGENT de la Démocratie dans cette dictature monarchique de merde !

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