- ENTREE de SECOURS -



dimanche 16 septembre 2018

OXYGÈNE -Stef Aerts, Marie Vinck.

https://www.youtube.com/watch?v=pI6jozFPjgw

25 commentaires:

  1. Les possibilités de la «pâte nucléaire» révélées par la science


    13:37 16.09.2018


    Nuclear pasta (la pâte nucléaire), un type supposé de matière dégénérée qui serait présente au sein de la croûte d’étoiles à neutrons, pourrait être la substance la plus solide de l’Univers, affirment des scientifiques américains.

    Des spécialistes américains de l'Université de l'Indiana, à Bloomington, ont étudié les capacités de la «pâte nucléaire» (nuclear pasta), un type supposé de matière dégénérée qui serait présente au sein de la croûte d'étoiles à neutrons, relate la revue Science News.

    La science connait trois formes de «pâte nucléaire» pouvant être présentée sous la forme de barres (spaghetti), de sphères ou encore de feuilles planes (lasagnes). C'est cette dernière qui a fait l'objet d'études.

    Lors d'une modélisation par ordinateur, les spécialistes ont mesuré la force nécessaire pour étirer ces «lasagnes».

    Les résultats obtenus ont montré que cette substance est la plus solide de l'Univers, en tout cas parmi toutes celles qui sont actuellement connues par la science.

    Les chercheurs espèrent pouvoir à l'avenir prouver l'existence réelle de cette pâte nucléaire.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201809161038105422-univers-science-decouverte-espace/

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    1. Infirmité journalistique que de parler de 'sciences'. Cette uniformité massive révélée est commune à chaque planète et n'étonne en rien le 'milieu' scientifique qui connaît déjà depuis longtemps la présence d'Uranium et Plutonium contenus dans chacune d'entre elles.
      Ce sont elles qui - par leur pouvoir calorifique exceptionnel - alimentent aujourd'hui les centrales nucléaire.

      CAPACITE CALORIFIQUE des COMBUSTIBLES

      Feu de bois: 16 MJ/kg

      Charbon: 13/30 MJ/kg

      Gaz naturel: 39 MJ/m3

      Pétrole brut: 45/46 MJ/kg

      Uranium (réacteur REP): 500.000 MJ/kg

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  2. Le changement climatique accélère les pertes de récoltes dues aux insectes


    16 Septembre 2018
    par Seppi
    Joan Conrow*


    Ma note : un commentaire ravageur suivra.


    Une nouvelle étude suggère que le changement climatique devrait réduire considérablement les rendements de trois cultures vivrières de base, les insectes ravageurs devenant plus affamés et plus nombreux avec l'augmentation des températures.

    Selon une étude publiée dans la revue Science, le riz, le maïs et le blé, qui représentent 42 % de la consommation calorique humaine mondiale, seront fortement affectés par l’intensification de la pression parasitaire projetée pour une augmentation de 2°C des températures mondiales.

    Les températures plus élevées produiront un double coup dur en aidant les populations d’insectes à prospérer et en accélérant le métabolisme des insectes nuisibles, les incitant à consommer plus de nourriture au cours de leur vie.

    En conséquence, l'étude prévoit une augmentation de 50 à 100 % des pertes de récoltes induites par les ravageurs pour le blé européen et de 30 à 40 % pour le maïs nord-américain. Onze pays européens devraient voir une augmentation de 75 % ou plus des pertes de blé dues aux insectes, notamment le Royaume-Uni, le Danemark, la Suède et l'Irlande.

    Cela se traduit par des pertes annuelles de plus de 16 millions de tonnes dues aux insectes dans la corbeille à pain d’Europe – actuellement la région productrice de blé la plus productive au monde. De même, les agriculteurs américains, qui produisent la plus grande partie de la récolte mondiale de maïs, devraient subir des pertes de plus de 20 millions de tonnes par an. Et la Chine, qui produit un tiers de la récolte mondiale de riz, pourrait subir des pertes dues aux insectes dépassant 27 millions de tonnes par an.

    Pour aider à réduire les pertes, l’étude recommande plusieurs changements dans la manière dont l’agriculture est pratiquée dans le monde, y compris la sélection de variétés résistantes à la chaleur et aux parasites et l’adoption de nouveaux modes de rotation des cultures. Cependant, une utilisation accrue des pesticides peut également être nécessaire dans certains cas pour protéger les approvisionnements alimentaires – en dépit des risques associés pour la santé environnementale et humaine.

    « Fondamentalement, le changement climatique et ses effets sur les insectes accélèrent le rythme et obligent les agriculteurs, les chercheurs et le reste de la société à trouver des solutions durables à toute une série de problèmes épineux qui gravitent autour de l’avenir des aliments », a déclaré Joshua Tewksbury, co-auteur de l'étude et professeur-chercheur à l'Université du Colorado, à Boulder. « Nous avons des besoins alimentaires importants et croissants, nous essayons de répondre à ces besoins sans étendre l'agriculture aux derniers bastions de la biodiversité et nous essayons de le faire sans les énormes problèmes liés à la sur-utilisation des pesticides. »

    Le défi est augmenté par le fait que nous continuons à compter sur un petit nombre d’espèces végétales, par un manque fondamental de connaissances de base sur l’histoire naturelle des espèces végétales dont nous dépendons pour la nourriture et la pratique généralisée des monocultures, a-t-il ajouté. Bien que les monocultures soient efficaces en tant qu'activité agricole, elles sont également très faciles à manger pour les insectes et fournissent d'excellents incubateurs pour que les populations d'insectes se développent et évoluent rapidement, réduisant l'efficacité de nombreux mécanismes de contrôle, y compris les pesticides.

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  3. « Tout cela produit un système alimentaire très fragile, et la pression accrue des ravageurs augmente simplement le besoin de faire l'histoire naturelle de base nécessaire pour comprendre les systèmes dans lesquels nos cultures ont évolué », a déclaré Tewksbury.

    « La lutte biologique contre les insectes nuisibles réussit lorsque nous connaissons de manière exceptionnelle l’histoire naturelle de nos plantes cultivées et de leurs espèces apparentées – là où elles croissaient, quels insectes mangeaient les cultures dans leur aire d'origine, ce qui a tué ces insectes. Il y a beaucoup de travail à faire pour développer ces connaissances, et comme notre modèle est général – pas spécifique aux trois cultures étudiées – nous avons des raisons de le faire pour toutes nos plantes agricoles. Cette connaissance est disponible et notre inattention à cette connaissance est peut-être la plus grande menace pour notre sécurité alimentaire. »

    Les chercheurs ont établi leur projection en calculant le potentiel de dommages aux cultures jusqu'en 2050 en combinant des données robustes sur les projections climatiques, des statistiques sur le rendement des cultures, les taux métaboliques des insectes et d'autres informations démographiques.

    « En moyenne, les impacts des insectes se traduisent par une réduction d'environ 2,5 % du rendement des cultures pour chaque degré d'augmentation de la température – pour le contexte, cela représente environ la moitié de l'impact direct estimé des changements de température sur les rendements des cultures, mais dans les zones tempérées du Nord, l'impact de l'augmentation des dommages causés par les insectes sera probablement plus important que l'impact direct du climat sur les rendements des cultures », a déclaré M. Tewksbury.

    Bien que les populations de ravageurs puissent diminuer dans certaines zones tropicales à mesure que les conditions climatiques deviennent plus chaudes, elles devraient augmenter dans les régions plus tempérées à mesure que les températures se réchauffent, créant un environnement plus propice aux insectes.

    Les effets sont attendus même si les pays respectent leurs engagements existants en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans le cadre de l’Accord de Paris. « Nos données de base sur les cultures et le climat ont été établies essentiellement aux valeurs de 1980-2000, et nombre de nos tableaux et projections sommaires se réfèrent à un réchauffement global de 2 degrés à partir de ce moment », a-t-il déclaré. « La date à laquelle nous atteindrons 2 degrés de réchauffement dépend des émissions. Aux taux actuels de réchauffement, nous atteindrons très probablement 2 degrés de réchauffement par rapport à cette valeur de référence d'ici 2050. »

    La recherche s’appuie sur un article que Tewksbury et son co-auteur Curtis A. Deutsch ont publié dans la revue PNAS en 2008. Il s’intéressait aux impacts du changement climatique sur la biodiversité, en utilisant les mêmes principes que ceux utilisés dans la nouvelle étude.

    « Nous avons découvert que de nombreux animaux tropicaux, y compris les insectes, ont des tolérances assez étroites face aux changements de température, tandis que les animaux similaires des zones tempérées tolèrent mieux les changements de température car ils doivent survivre dans un climat saisonnier » a expliqué Tewksbury.

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  4. « De plus, les températures physiologiques optimales pour les animaux tropicaux, y compris les insectes, étaient assez proches de la température réelle, tandis que la température optimale pour de nombreux animaux des zones tempérées est beaucoup plus élevée que les températures qu'ils rencontrent souvent. En conséquence, le réchauffement a tendance à poser problème aux insectes tropicaux, mais il profite aux insectes tempérés. Dans ce [nouvel] article, nous avons pris ces mêmes résultats, ajouté un modèle des effets de la température sur le métabolisme et nous nous sommes demandés ce que dit cette découverte fondamentale sur les pertes de cultures agricoles. »

    Michelle Tigchelaar, David S. Battisti, Scott Merrill, Raymond B. Huey et Rosamond L. Naylor sont les autres auteurs de « Insect metabolic and population growth rates predict increasing crop losses in a warming climate » (les taux de croissance métabolique et de croissance des populations d'insectes prédisent une augmentation des pertes de récolte avec le réchauffement climatique).

    ____________

    Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2018/08/climate-change-accelerate-crop-losses-insects/

    http://seppi.over-blog.com/2018/09/le-changement-climatique-accelere-les-pertes-de-recoltes-dues-aux-insectes.html

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    1. Il est certain que les saisons (changements climatiques) n'ont rien apporté aux hivers rigoureux où pourraient se développer les attaques de tomates, melons ou raisins dans l'agriculture, because que c'est: l'hiver !

      La présence de ravageurs est NATURELLE durant l'été et amplifiée par le non-traitement des végétaux par certaines personnes malfaisantes qui protègent les insectes et les maladies qui se développent lors de l'arrivée de chaleurs.

      De plus, le monde 'd'en haut' (hémisphère Nord où se regroupe aujourd'hui plus de 95 % de la population mondiale), voit la venue de maladies et insectes importées de pays lointains qui seraient adaptables aux étés de l'Europe/USA.

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  5. Ce que les influenceurs bruxellois font mal et comment y remédier


    15 Septembre 2018
    par Seppi
    Doru Peter Frantescu*



    Cet article de l'excellent site Vote Watch semblera peut-être sortir de la ligne éditoriale de ce blog. Ce n'est pas vraiment le cas : il fournit des informations et des conseils importants à quiconque veut agir pour promouvoir de la rationalité dans les processus de décision administratifs et politiques (à ceux qui promeuvent l'irrationalité aussi, mais nous devons admettre qu'ils sont très forts sur le plan de la communication, du lobbying et de la manipulation et qu'ils utilisent souvent des méthodes différentes). À nous d'être meilleurs !

    Le lauréat du prix Nobel Daniel Kahneman a décrit de manière lumineuse dans son livre « Système 1 / Système 2 : Les deux vitesses de la pensée » pourquoi certaines personnes se trompent la plupart du temps : elles se fient uniquement à une « pensée rapide (non analytique) ». Kahneman montre également comment « penser intelligemment » en sachant quand utiliser une pensée rapide (dans les situations qui constituent une urgence), mais aussi quand prendre du recul et utiliser une réflexion lente et analytique, ce qui permet une meilleure compréhension de notre environnement opérationnel et augmente considérablement nos chances de succès.

    Par exemple, une erreur typique est « l'effet d'ancrage » : notre tendance à être influencés par des nombres ou des anecdotes non pertinents auxquels nous sommes exposés et à généraliser ou à créer des théories sur cette base. Dans la même logique, je montrerai dans cet article comment des experts et des influenceurs bruxellois commettent des erreurs humaines typiques qui les maintiennent du côté perdant des influences, et expliquerai comment vous pouvez faire partie des « influenceurs avisés ».

    Au cours des dix dernières années, j'ai suivi la plupart des débats clés sur la politique européenne ; d'une part, la manière dont ils ont été présentés dans l'espace public et, d'autre part, la manière dont les décisions ont été réellement prises (elle est documentée dans nos bases de données sur les votes au Parlement européen et au Conseil de l'UE). Les différences entre la façon dont les décisions sont prises et la manière dont elles sont présentées (et donc comment elles sont comprises par le public non averti) sont frappantes. J'ai également eu la chance d'interagir avec un très grand nombre de professionnels du secteur, d'institutions, de médias, d'universités, de groupes de réflexion, d'ONG, etc. et de les conseiller. Cela m'a permis de comprendre pourquoi certaines personnes anticipent les choses bien avant qu'elles n'arrivent, tandis que d’autres sont toujours du côté des perdants et n’ont aucune idée de ce qui vient de se passer ou, encore moins, de ce qui va se passer.


    OoOOoo


    Chose étonnante, beaucoup à Bruxelles sont encore surpris par des changements de lignes ou de mesures politiques « soudains », alors qu’ils sont au cœur même de la politique européenne. Alors qu'ils sont employés pour être des influenceurs et pour garder une longueur d'avance, certains se demandent « comment cela s'est passé » et accusent telle ou telle personne ou institution de leur « mauvaise fortune ».

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  6. Le titre d'une source d'information bruxelloise influente le lendemain de la victoire (« surprise ») de Trump aux élections reste emblématique : « nous avions tous tort ». Comment était-il possible que tant d’experts se soient trompés sur le résultat de ces élections ? Bien que ce soit l'événement le plus célèbre qui ait surpris la plupart des influenceurs à Bruxelles, il ne s'agit que de la pointe de l'iceberg ; certains analystes, lobbyistes, technocrates et politiciens se trompent régulièrement, qu'il s'agisse du résultat d'un vote au Parlement Européen ou des élections dans un pays comme l'Italie ou la Grèce.

    Dans son livre, Daniel Kahneman montre comment non seulement nos propres émotions, mais aussi notre confiance excessive, une caractéristique répandue chez les experts, sont une source constante d’erreurs cognitives. Dans notre cas, les erreurs sont généralement de mauvaises évaluations du rapport de forces entre plusieurs factions, de mauvaises évaluations de qui détient le pouvoir réel, de mauvaises évaluations du raisonnement derrière une position (déclaration ou vote), etc. Kahneman affirme que pour éviter ces erreurs, il faut être plus analytique et plus vigilant dans nos réflexions, et remettre en question des histoires que nous accepterions comme vraies de manière irréfléchie parce qu'elles sont faciles et cohérentes.

    Heureusement, ce n’est pas le cas pour tout le monde : les « oreilles-bulles » expérimentées et intelligentes de l’UE savent ce qui se passe réellement et ce à quoi il faut attendre, ce qui signifie qu’elles peuvent apporter une véritable valeur ajoutée à leurs publics, membres ou clients. Que savent-ils que les autres ne savent pas ?

    Dans cette note, je souhaite utiliser les connaissances de Kahneman dans le contexte de la politique bruxelloise, en les combinant avec mes observations personnelles, et montrer comment vous pouvez faire partie des influenceurs intelligents (des gagnants) plutôt que des influencés (des perdants).

    À ce stade, une clause de non-responsabilité est nécessaire : dans le contexte de cet article, le terme « influenceur » définit toute personne ayant pour objectif (professionnel ou personnel) d’influer sur l’orientation d’un débat et/ou les résultats de politiques, législations ou décisions par tout moyen légitime. Cela inclut des politiciens, des technocrates, des représentants de l'industrie, des consultants, des membres de groupes de réflexion, des ONG, des universitaires, des journalistes et autres leaders d'opinion, mais aussi des citoyens qui veulent simplement faire entendre leur voix et être pris en compte par les décideurs. En pratique, cela signifie tout le monde, car presque tout un chacun a et émet une opinion et, ce faisant, tente d'influencer les autres à penser et à agir conformément à sa propre opinion.


    ooOOoo


    Voici les erreurs les plus courantes que fait l’influenceur moyen et que l’influenceur avisé évite :

    1. Mélanger les lectures objectives et subjectives des événements politiques

    Nous sommes tous des êtres humains et, par conséquent, nous sommes nos pires ennemis quand il s’agit de comprendre notre environnement opérationnel. Notre désir d'un avenir meilleur est, parfois paradoxalement, ce qui nous empêche de l'atteindre. Comment ? Lorsque nous évaluons un développement probable, nous « injectons » intrinsèquement des vœux pieux dans notre lecture. Nous souhaitons que le résultat d'une réunion, d'une bataille politique ou d'une élection soit X, par conséquent, notre propre besoin de confort psychologique nous fait également penser que X va probablement se produire, même si, dans certains cas, les faits et données réels montrent le contraire. Nous sommes conçus pour voir ce que nous voulons voir et rejeter les informations contraires.

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  7. La plupart des influenceurs bruxellois ne sont pas différents. Un trait commun que j'ai remarqué est que les « influenceurs moyens » surestiment systématiquement le pouvoir des politiciens qui sont de leur côté et sous-estiment le pouvoir de la force adverse. Ils surestiment également le nombre d’autres personnes, qu’il s’agisse de politiciens ou de citoyens, qui sont d’accord avec leurs propres opinions. Cela vient du même besoin de confort psychologique et du besoin de confirmation du fait que « je fais ce qu'il faut » ou, en d'autres termes, que « j'ai la haute conscience intellectuelle et morale pour moi et bientôt les autres viendront à la réalité et verront les choses de la façon dont je les vois ». En conséquence, les influenceurs moyens ont tendance à avoir des surprises désagréables lorsqu'une décision est finalement prise, par exemple lorsqu'un vote au Parlement est contre eux de manière « surprenant e» ou qu'un parti qui monte rapidement gagne « étonnamment » les élections.

    De nombreux « influenceurs » ont été surpris de voir l'opposition wallonne ratifier l'accord CETA, alors que d'autres étaient déjà au courant des fortes tendances protectionnistes des partis gouvernant la région belge (les indices étaient disponibles dans nos analyses des votes sur le libre-échange).

    Au contraire, les « influenceurs avisés » peuvent faire la distinction entre le scénario idéal et le scénario probable. Ils sont prêts à digérer des informations qui les rendent mal à l'aise psychologiquement, mais qui sont essentielles pour adapter leur stratégie au bon moment.

    2. Confondre la visibilité des politiciens et leur influence réelle

    L'influenceur moyen commet l'erreur humaine typique de croire que ceux qui sont les plus visibles (comme prendre la parole fréquemment au Parlement, assister à de nombreuses conférences, être présent dans les médias) exercent également la plus grande influence sur la législation. Ce n'est pas toujours le cas.

    L'influenceur intelligent sait que, dans un débat au Parlement, il est peu probable qu'un député européen influence d'autres députés qui ne partagent pas déjà le même point de vue, simplement par le biais d'un discours. De même, lors de conférences, un eurodéputé ne peut influencer que ceux qui ne sont pas (encore) impliqués fortement dans le sujet, car ceux qui ont un enjeu peuvent difficilement être influencés par une opinion qui irait à l'encontre de leurs propres intérêts.

    L'influenceur intelligent regarde plutôt ceux qui font adopter (et pas seulement rédigent) des amendements, qui ont un réseau politique fort et qui se retrouvent du côté des vainqueurs lorsque les décisions sont effectivement prises par les votes : ce sont les personnes clés à suivre.

    VoteWatch Europe a pris en compte un large éventail de critères pour évaluer l’influence réelle des députés sur les politiques de l’UE. Consultez les résultats de notre évaluation de l'année dernière. Une version mise à jour sera bientôt disponible. Pour plus d'informations, contactez-nous à secretariat@votewatcheurope.eu.

    3. Croire ce qu'on entend des politiciens ou d'autres personnes, au lieu de suivre les choses et de vérifier par soi-même

    L'influenceur moyen croit pouvoir convaincre un homme politique clé ou un technocrate clé par le pouvoir des arguments, des faits et des chiffres, et que son travail est accompli lorsqu'il entend le politicien se dire d'accord avec lui lors d'une réunion ou d'un événement, lorsque le politicien lui serre la main et promet qu'il défendra cette position dans les processus politiques. Cette façon de penser est erronée pour une raison évidente : tous les autres influenceurs concernés par cette question travaillent pour obtenir exactement la même chose, entraînant ainsi le décideur dans d’autres directions, et entendront probablement les mêmes promesses des mêmes politiciens.

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  8. L'influenceur intelligent est conscient de la situation dans son ensemble et du fait que la décision finale de chaque politicien est, en gros, la moyenne pondérée de toutes les sources d'influence auxquelles il a été exposé. Il est également conscient du fait que les politiciens ont intérêt à faire en sorte que tous leurs électeurs (et les groupes qui ont le pouvoir de le maintenir au pouvoir) perçoivent qu'ils défendent leurs intérêts.

    Alors que les politiciens essaient de ne s'aliéner aucun des groupes de soutien et de ne pas les écarter de leur zone de popularité, dans la plupart des cas, le choix est binaire et cela se résume à un vote : pour ou contre cet amendement ou cette proposition. L'influenceur moyen ne fait qu'écouter et fait confiance à ce que les politiciens leur disent avant et après qu'une décision soit prise. Lorsque le résultat n'est pas celui souhaité, le politicien blâmera « le comité », le Conseil, la Commission, divers autres collègues qui n’ont pas fait ce qu’ils ont promis, etc. L’influenceur intelligent suit le dossier et vérifie également ce qu’a fait l’homme politique, par rapport à ce qu'il lui a indiqué, dans les dossiers de vote pour savoir qui défendait en fait quels intérêts. C'est une petite différence de méthode, mais avec une différence énorme dans la compréhension de votre environnement opérationnel et, par conséquent, dans les résultats finaux de votre travail.

    4. Surestimer l'influence des individus sur des forces plus importantes

    Soyons réalistes : en politique, comme dans tous les aspects de notre vie à l’ère du digital, le rôle du libre arbitre devient très limité. L'influenceur moyen estime qu'un individu peut à lui seul modifier le cours des résultats ou des événements politiques et pense donc que la décision X a été prise par le commissaire A ou par le rapporteur B. Ou aussi par Trump seul.

    L'influenceur intelligent sait que les décisions politiques sont prises par une myriade de groupes et de sous-groupes ayant des intérêts divers qui sont quelque part en dessous du radar, tout comme la majeure partie de l'iceberg se trouve sous la mer. Ces groupes et sous-groupes ont eux-mêmes été exposés à d'autres influences et s'influencent mutuellement. L'influence est un jeu de grands nombres. Un dirigeant ou un responsable ne peut pas trop s'écarter de la moyenne pondérée des opinions de son groupe de pairs, simplement parce que, ce faisant, il perdrait trop de popularité (sous forme de soutien politique, de loyauté, de votes) pour rester politiquement vivant et rester influent.

    Par exemple, au Parlement Européen, le rapporteur peut être considéré comme l'influenceur déterminant sur un sujet, mais même le rapporteur est vaincu par le pouvoir de la commission dans son ensemble ou de la plénière dans son ensemble lorsque ces organes passent au vote. Afin d'éviter d'être trop souvent vaincu, un rapporteur doit prendre en compte le pouvoir des nombres et, par conséquent, ses positions ne peuvent pas trop s'éloigner de celles du parlementaire moyen.

    L'influenceur intelligent le sait et travaille avec les nombres sous la forme d'un groupe plus large de politiciens et d'autres influenceurs dont il a besoin pour faire prendre une décision, et pas seulement avec une ou deux personnes. Il construit une carte complète de tous les politiciens et des autres groupes d'influence aux niveaux européen et national, ainsi que des tendances de l'opinion publique. Ce n'est que sur cette base qu'il évalue où vont les choses et où il est préférable de concentrer ses efforts pour changer les chiffres qui convergent vers une décision, pas seulement sur une personne en particulier.

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  9. 5. Approcher uniquement les politiciens de sa propre sphère culturelle de confort

    L'influenceur moyen a tendance à concentrer ses efforts sur les eurodéputés venant de son propre pays ou de sa propre sphère culturelle (anglo-saxonne, germanique, latine, slave, par exemple), car il vit dans les mêmes cercles qui sont donc ceux qu'il a entendus et rencontrés le plus. Alors que dans certains cas, cela signifie également que les intérêts sont plus susceptibles d'être alignés, la complexité croissante du système de l'UE (ainsi que du Brexit) a radicalement modifié l'équation.

    L'influenceur intelligent sait que par la force des choses, il a davantage interagi avec ceux de sa propre sphère culturelle, mais il fait ses recherches pour comprendre leur environnement opérationnel complet et détecter toutes les menaces et les opportunités. L’influenceur avisé cartographie l’ensemble de l’UE et ne décide qu'après de la meilleure stratégie de coalition et des personnes à contacter. Ce faisant, il trouve des alliés cachés dans les lieux les moins attendus et maximise le résultat de sa propre campagne.

    6. Trop compter sur des rapports librement accessibles

    Utiliser uniquement des reportages librement accessibles sur les développements politiques est probablement la raison principale pour laquelle les gens se trompent. Assez fréquemment, l'information qui est mise devant votre nez a beaucoup plus qu'un rôle d'information, c'est-à-dire que l'objectif principal est de vous faire penser à la manière dont la source veut que vous pensiez.

    L'influenceur moyen obtient ses informations strictement ou principalement à partir de rapports librement accessibles et prend ces faits pour acquis. En raison de diverses limitations telles que le temps, l'espace et les ressources, tous les médias, groupes de réflexion, experts, politiciens, etc. ne peuvent présenter qu'une partie des informations entourant un événement politique, plus précisément cette partie qu'ils aiment rapporter, celle pour laquelle ils ont été formés ou qu'ils ont intérêt à présenter. En absorbant uniquement le reportage libre, l'influenceur moyen devient, en fait, l’influencé et finit par répéter à ses cercles ce qu’il a été « programmé » à répéter et, par conséquent, trompe sans le savoir ses propres cercles. Par exemple, une erreur commune dans les cercles de l'UE est de surestimer l'influence allemande au sein du Conseil de l'UE, alors que les données réelles montrent que Berlin est plus fréquemment mis en minorité que les autres États membres.

    L'influenceur avisé sait que le seul moyen d'obtenir des informations exactes, complètes et objectives est de faire un investissement et de payer pour cela. Ce n'est qu'en ayant une relation contractuelle entre la source et le consommateur que la source est confrontée à la responsabilité de fournir les informations qui vous permettront d'être en amont dans le flux d'informations, vous donnant ainsi le pouvoir de comprendre et de défendre vos intérêts. Cela vous évitera d’être la personne qui, par inadvertance, défend les intérêts des autres au lieu des siens.

    Les conclusions du prix Nobel Daniel Kahneman ne valent que trop pour de nombreux experts et influenceurs bruxellois. Le problème est que, même si la plupart des gens étaient d’accord avec cette affirmation, la plupart d’entre eux ne seraient pas d’accord pour dire qu’ils tombent eux-mêmes dans la catégorie des influenceurs moyens. Pourquoi ? En raison d'une autre erreur cognitive humaine notoire : 80 % des personnes pensent que leur niveau de compréhension est supérieur à la moyenne. Cela nous amène à l'erreur numéro 7 :

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  10. 7. Travailler depuis une bulle d'information

    L'influenceur moyen lit quelques médias, parle à quelques collègues et pairs, se rend à une audition du Parlement, examine un sondage d'opinion en ligne et pense savoir ce qui se passe. Les personnes et les experts à qui ils parlent confirmeront ce qu’ils savent parce qu’ils lisent probablement les mêmes médias, vont aux mêmes événements et rencontrent d’autres personnes de la même sphère culturelle ou idéologique qui leur disent exactement la même chose. En conséquence, il semble à l’influenceur moyen qu'il recueille des informations provenant de sources multiples, mais en fait, la source primaire de l’information est la même, la seule différence est qu’elle passe par plusieurs intermédiaires. C'est ce qu'on appelle aussi « la bulle d'information ». Enfin, l’influenceur moyen ne tiendra pas compte des informations provenant d’une source extérieure à sa bulle, ou qui contredirait ce dont il a déjà été convaincu ou qui a été «programmé» comme sa réflexion.

    L'influenceur avisé est conscient de tout cela. Il est également capable de faire la distinction entre un sondage qui semble très convaincant, mais qui ne repose sur aucune méthode scientifique (et dont le but n’est pas d’informer, mais de promouvoir une personne ou un point de vue) et un sondage sociologiquement représentatif. L'influenceur intelligent voit l'intérêt de sortir de ses propres bulles habituelles et est capable d'absorber des informations qui contredisent son évaluation initiale des choses ou, surtout, des informations qui vont à l'encontre de ce qu'il veut entendre.

    Cela peut être la découverte, une fois la recherche effectuée, que les parlementaires les plus influents ou les plus proches de votre point de vue ne sont pas ceux auxquels vous avez pensé, mais d'autres dont vous n'aviez aucune idée. Ou encore, qu'une élection ou une bataille politique est susceptible d'aboutir à un résultat opposé à celui que vous espériez initialement (par exemple, la plupart des influenceurs bruxellois ont sous-estimé la probabilité d'une victoire du oui au référendum sur le Brexit). Cela peut déclencher une réaction émotionnelle négative au début, mais vous pouvez vous épargner beaucoup de problèmes si vous remarquez cela suffisamment tôt pour pouvoir adapter votre stratégie.

    Gardez ces sept points à l'esprit en tout temps pour garder votre système d'autodéfense en alerte !

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    * Directeur et co-fondateur de VoteWatch Europe ; membre de l'Alliance Européenne pour l'Intelligence Artificielle. Suivez-le @dorufrantescu.

    Le site VoteWatch suit les dossiers européens et fournit des informations factuelles sur les votes au Parlement et au Conseil, ainsi que des analyses et synthèses.

    « Nous sommes fermement convaincus que la stabilité du système politique et économique européen et international dépend fondamentalement d’informations de qualité et non partisanes, capables de rendre compte avec précision des actions réelles de chacun des acteurs politiques dans la prise de décisions affectant un demi-milliard de citoyens européens. Nous sommes donc indépendants de toute institution gouvernementale nationale ou supranationale, des entreprises, des partis politiques ou de toute autre entité. »

    Le site est incontournable pour quiconque s'intéresse – par curiosité, civisme ou nécessité professionnelle – aux affaires de l'Union Européenne... à nos affaires.

    Source : http://www.votewatch.eu/blog/what-brussels-influencers-do-wrong-and-how-to-fix-it/

    http://seppi.over-blog.com/2018/09/ce-que-les-influenceurs-bruxellois-font-mal-et-comment-y-remedier.html

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    1. Ce ne sont que des sous-fifres qui se croient plus intelligents que 300 millions d'européens ou 7 milliards d'habitants ! Le travail du président Trump est sapé continuellement par la presse merdiatique internationale comme par les autres 'hommes de l'ombre' qui gravitent autour de la sphère 'White House'.

      Un jour, Donald Trump déclarera les États-Unis en Démocratie. Et ce jour, le Peuple aura la parole (comme en Suisse).

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  11. Grèce: Contrebande de personnes par l'organisation "Aide humanitaire"


    par Tyler Durden
    Dim, 09/16/2018 - 09:00
    Soumis par Maria Polizoidou de Gatestone Institute


    Emergency Response Center International (ERCI) se décrit comme une "organisation grecque à but non lucratif qui fournit des secours et une aide humanitaire en temps de crise". Elle a encouragé l'entrée illégale de 70 000 immigrants en Grèce depuis 2015 "avec un demi-milliard d'euros par an.

    L'ECRI a de toute évidence reçu 2 000 euros de chaque immigrant illégal qu'elle a aidé à entrer en Grèce. En outre, ses membres ont créé une entreprise pour «intégrer les réfugiés» dans la société grecque, en lui accordant 5 000 euros par immigrant et par an provenant de divers programmes gouvernementaux (éducation, logement et nutrition).

    Le gouvernement grec étant apparemment dans l’impossibilité de gérer la crise des réfugiés et de protéger la sécurité de ses citoyens, il est particulièrement consternant de découvrir que la principale ONG chargée de fournir une aide humanitaire aux immigrants profite de la contrebande. .

    Le 28 août, trente membres de l'ONG grecque Emergency Response Center International (ERCI) ont été arrêtés pour leur implication dans un réseau de trafic de personnes opérant sur l'île de Lesbos depuis 2015. Selon un communiqué publié par la police grecque, à la suite de l'enquête qui a mené aux arrestations, "les activités d'un réseau criminel organisé qui a systématiquement facilité l'entrée illégale d'étrangers ont été pleinement exposées".

    Parmi les activités mises au jour figurent la falsification, l'espionnage et la surveillance illégale des garde-côtes grecs et de l'agence des frontières de l'UE, Frontex, afin de recueillir des informations confidentielles sur les flux de réfugiés turcs. L'enquête a également permis de découvrir six Grecs supplémentaires et 24 ressortissants étrangers impliqués dans l'affaire.

    ERCI se décrit comme:

    "[Une] organisation grecque à but non lucratif qui fournit des interventions d'urgence et une aide humanitaire en temps de crise. La philosophie d'ERCI est d'identifier les lacunes de l'aide humanitaire et de les aider de la manière la plus efficace et la plus efficace possible. réfugiés en Grèce dans les domaines de la recherche et du sauvetage, de la médecine, de l'éducation et de la coordination des camps de réfugiés. "

    En dépit de sa mission déclarée et de son profil à but non lucratif, l'ECRI, selon les autorités grecques, a gagné des sommes considérables grâce à son rôle de relais d'activités illégales. L'ECRI a de toute évidence reçu 2 000 euros de chaque immigrant illégal qu'elle a aidé à entrer en Grèce. En outre, ses membres ont créé une entreprise pour «intégrer les réfugiés» dans la société grecque, en lui accordant 5 000 euros par immigrant et par an provenant de divers programmes gouvernementaux (éducation, logement et nutrition). ERCI aurait encouragé l'entrée illégale en Grèce de 70 000 immigrants depuis 2015, fournissant au "non-profit" un demi-milliard d'euros par an.

    Cette révélation ne commence cependant pas à couvrir l'étendue des activités illégales entourant l'entrée de migrants en Grèce. En 2017, par exemple, les autorités grecques ont arrêté 1 399 passeurs, certains sous couvert d'opérations «humanitaires»; et pendant les quatre premiers mois de 2018, les autorités ont arrêté 25 594 immigrants illégaux.

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  12. Plus inquiétant que le prix littéralement exorbitant payé par les immigrés eux-mêmes aux passeurs - ou par le gouvernement grec sous la forme de subventions à l’intégration - c’est le bilan de la société grecque dans son ensemble.

    Selon les statistiques de la police grecque, 75 707 vols et cambriolages ont été signalés en 2017. De ces cas, seuls 15 048 ont été résolus et 4 207 ont été commis par des étrangers. En outre, la police estime que plus de 40 % des crimes graves ont été commis par des immigrants clandestins. (Les immigrants légaux et illégaux en Grèce représentent 10-15 % de la population totale.)

    En 2016, les prisons grecques contenaient 4 246 Grecs et 5 221 étrangers reconnus coupables de crimes graves: 336 pour homicide; 101 pour tentative d’homicide; 77 pour viol; et 635 pour vol qualifié. En outre, des milliers d’affaires sont toujours en instance de jugement.

    Récemment, le 15 août, une étudiante d'Athènes âgée de 25 ans, en visite dans une université en Écosse, a été assassinée par trois immigrants illégaux alors qu'il était en tournée dans la ville. avec une amie du Portugal.

    Les trois agresseurs, deux Pakistanais et un Irakien âgés de 17 à 28 ans, ont déclaré à la police qu’ils avaient d’abord attaqué la jeune femme, volé de l’argent, des cartes de crédit, un passeport et un téléphone portable. était "vieux" ils allèrent chercher le téléphone du jeune homme, le menaçant d'un couteau. Quand il a essayé de les repousser, ils ont dit dans leurs aveux, ils l'ont poussé et il est tombé d'une falaise à sa mort. Après l'interrogatoire, il est apparu que les trois assassins étaient recherchés pour 10 vols supplémentaires dans la région.

    Dans une lettre de colère adressée au Premier ministre grec Alexis Tsipras, au parlement et au maire d’Athènes, la mère de la victime a accusé Tsipras de "négligence criminelle" et de "complicité" dans le meurtre de son fils.

    «Au lieu d’accueillir et de fournir« terre et eau »à tous les individus criminels et dangereux avec des instincts sauvages», at-elle écrit, «l’État ne devrait-il pas penser avant tout à la sécurité de ses citoyens, L'État doit-il abandonner [ses citoyens] à des gangs voraces, pour lesquels la valeur d'une vie humaine a moins de sens que la valeur d'un téléphone portable ou d'une chaîne d'or? "

    Bien que ces mots aient été prononcés par une mère en deuil, ils sont des sentiments largement ressentis et exprimés dans toute la Grèce, où de tels incidents sont de plus en plus fréquents.

    Le 29 août, deux semaines après cet assassinat, six immigrants du nord de la Grèce ont agressé verbalement un homme de 52 ans dans la rue, apparemment sans raison. Quand il les a ignorés et a continué à marcher, l'un d'eux l'a poignardé à l'omoplate avec un couteau de 24 cm (9,4 pouces) et l'a amené à l'hôpital.

    Deux jours plus tôt, le 27 août, une centaine d’immigrants protestaient contre les conditions de vie dans leur camp de Malakasa et bloquaient la route nationale pendant plus de trois heures. Les conducteurs bloqués sur la route ont déclaré que certains des manifestants se sont déchaînés en frappant des voitures avec des blocs de bois. Pour aggraver les choses, la police sur place a déclaré qu'ils n'avaient pas reçu d'instructions du ministère de la protection des citoyens pour nettoyer la route ou protéger les victimes. Gatestone a été informé sur de nouvelles questions, qu'il n'y avait pas de déclaration officielle de la police ou du ministère, juste les déclarations des conducteurs.

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  13. Le gouvernement grec étant apparemment dans l’impossibilité de gérer la crise des migrants et de protéger la sécurité de ses citoyens, il est particulièrement consternant de constater que la principale ONG chargée de fournir une aide humanitaire aux immigrants profite plutôt de la contrebande. . L'arrestation récente de membres de l'ERCI souligne la nécessité de contrôler toutes ces organisations.

    Maria Polizoidou, journaliste, journaliste de radio et consultante en affaires internationales et étrangères, est basée en Grèce. Elle est titulaire d'un diplôme d'études supérieures en géopolitique et questions de sécurité dans le complexe islamique de Turquie et du Moyen-Orient de l'Université d'Athènes.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-09-15/greece-humanitarian-aid-organizations-people-smuggling

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  14. Les parodies des ouragans FakeNews se déchaînent grâce à Weather Channel et CNN


    September 16th, 2018


    Premièrement - The Weather Channel est pris au piège de l’ouragan Florence (au cas où vous ne l’avez pas vu).


    The Weather Channel a continué à défendre leur journaliste:

    «Il est important de noter que les deux personnes en arrière-plan marchent sur du béton, et Mike Seidel essaie de maintenir son pied sur l’herbe mouillée, après avoir signalé à l’air jusqu’à 1h00 du matin ce matin et est sans aucun doute épuisé» porte-parole a écrit.

    Puis voir les parodies:

    - voir photos sur site -

    JonestownCafé
    @jonestowncoffee
    The Weather Channel soit comme. #HurricaneFlorence
    9h11 - 16 sept. 201

    Attention aux chariots:

    - voir photos sur site -

    Paul Zanaras
    @ Pz624
    Répondre à @kjlacky @ScottAdamsSays
    Celui ci est mieux
    22h13 - 15 septembre 2018

    Anderson Cooper, la star de CNN, trouve le plus profond à dire (h / t WattsUp)…

    MISE À JOUR: Ryan Maue demande et ses lecteurs lui disent que c'est une photo de l'ouragan Ike il y a dix ans.

    JustinCredible.TV
    @JCredTV
    Médias axés sur les évaluations sensationnalistes. #cnn #florence #fakenews
    4
    9h45 - 16 sept. 2018
    Voir les autres Tweets de JustinCredible.TV

    Certains sur Twitter disent que CNNshot date de 2008. Qui sait ? Je ne peux pas confirmer.

    @ aserafyn
    Les photos de CNN datent de 2008. La photo de WC est avant qu'elle ne devienne vraiment mauvaise, mais ils voulaient que ce soit mauvais. #FakeNews #FakeWeather
    9
    4h58 - 16 sept. 2018


    Voir #CNN et leur #FakeNews

    - voir photos sur site -

    Les gens sont morts dans la millionième tempête mortelle qui a frappé l'humanité. Mais des milliers de personnes sont mortes grâce à FakeNews.

    Commettreations à tous ceux qui ont perdu quelque chose (ou quelqu'un) précieux ce week-end.

    Note: 9.7 / 10 (43 votes cast)
    Les parodies des ouragans FakeNews se déchaînent grâce à Weather Channel et CNN, 9,7 sur 10 basé sur 43 évaluations

    http://joannenova.com.au/2018/09/fakenews-parodies-run-riot-thanks-to-weather-channel-and-cnn/#more-60482

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  15. Le riche rocker privilégié Paul McCartney ne comprend pas le déni climatique


    Eric Worrall
    16 septembre 2018


    Paul Mccartney. Par Oli Gill - initialement publié sur Flickr sous le nom de Paul McCartney, CC BY-SA 2.0, Link. Photo officielle de la Maison Blanche du président Trump
    Essai invité par Eric Worrall

    Paul McCartney, qui a connu la gloire dans les années 1960 en tant que membre des Beatles, a exprimé sa frustration face à notre incapacité à tenir compte du message climatique en écrivant une chanson destinée au président Trump et à d’autres «négationnistes du climat».

    Paul McCartney sur la manipulation des foules, et pourquoi il appelle Donald Trump "le capitaine fou"

    Par Mark Savage
    Journaliste BBC Music
    13 septembre 2018



    Mais le plus grand moment de l’album survient malgré les répétitions répétées - une diatribe sur les négationnistes du climat, avec des paroles qui ne pouvaient être plus opportunes ou pertinentes: «Ceux qui crient le plus fort / ne sont pas toujours les plus intelligents».

    «Les gens qui nient le changement climatique… je pense juste que c’est la chose la plus stupide», dit la star.

    «Je voulais juste faire une chanson qui en parlerait et qui dirait simplement:« De temps en temps, nous avons un capitaine fou qui navigue sur ce bateau et nous allons nous emmener à l’iceberg. être averti que ce n’est pas une bonne idée. »

    Ce capitaine fou, pourrait-il être quelqu'un en particulier ?

    «Eh bien, je veux dire que c’est évidemment Trump, mais il y en a beaucoup. Il n'est pas le seul.



    Lire la suite: https://www.bbc.co.uk/news/entertainment-arts-45482360

    Cliquez ici pour une interview sonore avec McCartney qui parle de sa nouvelle chanson.

    Selon moi, des gens comme McCartney incarnent le genre de «socialistes de Champagne» hors du commun qui méprisent les personnes déplorables, qui ne comprennent pas la réticence des gens ordinaires à accepter les difficultés, l’énergie verte coûteuse et les sacrifices personnels. sur les jets privés qui disent au monde à quel point ils ont le sentiment d'avoir fait le bon choix.

    https://wattsupwiththat.com/2018/09/16/privileged-rich-rocker-paul-mccartney-cant-understand-climate-denial/

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    1. McCartney déteste les scientifiques et soutient les escroqueries et les criminels.

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  16. Les frontières ouvertes sont une atteinte à la propriété privée


    Par Llewellyn H. Rockwell, Jr.
    17 septembre 2018


    Que l’on parle de l’immigration clandestine en provenance du Mexique et de l’Amérique centrale, de la citoyenneté de naissance ou des migrants venant d'en Asie de l'Ouest et de l’Afrique, le sujet de l’immigration fait l’objet d’actualité et est discuté depuis des mois. Il s’agit d’un problème aux conséquences potentiellement dangereuses, il est donc particulièrement important que les libertariens le comprennent correctement. Ce Cercle Mises, consacré à la réflexion sur l’endroit où il faut aller, semble être un moment opportun pour aborder cette question capitale.

    Je devrais noter d'emblée que, en cherchant la réponse correcte à ce problème épineux, je ne cherche pas à revendiquer l'originalité. Au contraire, je tire beaucoup de ce qui découle de deux des personnes dont le travail est indispensable à une bonne compréhension de la société libre: Murray N. Rothbard et Hans-Hermann Hoppe.

    Certains libertariens ont supposé que la position libertarienne correcte sur l'immigration devait être des «frontières ouvertes» ou la libre circulation des personnes. Superficiellement, cela semble correct: nous croyons sûrement que les gens peuvent aller où ils veulent!

    Mais attendez une minute. Pensez à la «liberté d'expression», un autre principe que les gens associent aux libertariens. Est-ce que nous croyons vraiment en la liberté d'expression comme un principe abstrait ? Cela voudrait dire que j'ai le droit de crier tout au long d'un film, ou le droit de perturber un service de l'Église, ou le droit d'entrer chez vous et de crier des obscénités à votre égard.

    Ce à quoi nous croyons, ce sont les droits de propriété privés. Personne n’a la «liberté d’expression» sur ma propriété, puisque j’établis les règles et, en dernier ressort, je peux expulser quelqu'un. Il peut dire ce qu'il veut sur sa propre propriété et sur la propriété de quiconque veut l'écouter, mais pas sur le mien.

    Le même principe vaut pour la liberté de mouvement. Les libertaires ne croient à aucun de ces principes dans l'abstrait. Je n'ai pas le droit d'entrer dans votre maison, dans votre communauté fermée, dans Disneyworld, sur votre plage privée ou sur l'île privée de Jay-Z. Comme pour la «liberté d'expression», la propriété privée est le facteur pertinent ici. Je peux emménager dans n'importe quelle propriété que je possède ou dont le propriétaire souhaite m'avoir. Je ne peux pas simplement aller où je veux.

    Maintenant, si toutes les parcelles de terre du monde entier étaient des propriétés privées, la solution au problème dit de l’immigration serait évidente. En fait, il serait peut-être plus exact de dire qu’il n’y aurait pas de problème d’immigration en premier lieu. Toute personne déménageant dans un nouvel endroit devrait avoir le consentement du propriétaire de cet endroit.

    Lorsque l’État et sa prétendue propriété publique entrent en scène, les choses s’embrouillent et il faut faire un effort supplémentaire pour découvrir la position libertaire appropriée. Je voudrais essayer de le faire aujourd'hui.

    Peu de temps avant sa mort, Murray Rothbard a publié un article intitulé «Nations by Consent: Decomposing the Nation State». Il avait commencé à repenser l'hypothèse selon laquelle le libertarianisme nous engageait à ouvrir les frontières.

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  17. Il a noté, par exemple, le grand nombre de Russes de souche que Staline a installés en Estonie. Cela n'a pas été fait pour que les peuples baltes puissent profiter des fruits de la diversité. Ce n'est jamais. Cela a été fait dans le but de détruire une culture existante et de rendre un peuple plus docile et moins susceptible de causer des problèmes à l’empire soviétique.

    Murray s'est demandé: le libertarisme exige-t-il que je soutienne cela, encore moins pour le célébrer ? Ou est-ce que la question de l'immigration pourrait être plus importante après tout ?

    Et ici, Murray a posé le problème comme moi: dans une société de propriété entièrement privée, les gens devraient être invités sur la propriété qu'ils ont parcourue ou sur laquelle ils se sont installés.

    Si chaque terrain d'un pays appartenait à une personne, un groupe ou une société, cela signifierait que personne ne pourrait entrer à moins d'y être invité et autorisé à louer ou à acheter une propriété. Un pays totalement privatisé serait aussi fermé que le désirent les propriétaires particuliers. Il semble donc évident que le régime des frontières ouvertes qui existe de facto aux États-Unis et en Europe occidentale équivaut à une ouverture obligatoire par l’État central, l’État responsable de toutes les rues et zones terrestres, et ne reflète pas véritablement les souhaits des propriétaires.

    Dans la situation actuelle, par contre, les immigrés ont accès aux routes publiques, aux transports publics, aux bâtiments publics, etc. Combinez cela avec les autres restrictions de l’État sur les droits de propriété privée, et il en résulte des changements démographiques artificiels qui ne se produiraient pas sur un marché libre. Les propriétaires sont obligés de s'associer et de faire des affaires avec des personnes qu'ils pourraient autrement éviter.

    «Les propriétaires d'immeubles commerciaux tels que les magasins, les hôtels et les restaurants ne sont plus libres d'exclure ou de restreindre l'accès comme ils l'entendent», écrit Hans. «Les employeurs ne peuvent plus embaucher ou licencier qui ils veulent. Sur le marché du logement, les propriétaires ne sont plus libres d'exclure les locataires indésirables. En outre, les clauses restrictives sont obligées d’accepter des membres et des actions en violation de leurs propres règles et règlements. »

    Hans continue:

    En admettant une personne sur son territoire, l’État permet également à cette personne de se rendre sur les routes et terrains publics à la porte de chaque résident, d’utiliser tous les équipements et services publics (hôpitaux et écoles) et d’accéder à tous les établissements commerciaux. l’emploi et le logement résidentiel, protégés par une multitude de lois non discriminatoires.

    Il est plutôt démodé de se préoccuper des droits des propriétaires, mais que le principe soit populaire ou non, une transaction entre deux personnes ne devrait pas avoir lieu si ces deux personnes ne le souhaitent pas. C'est le cœur même du principe libertaire.

    Pour donner un sens à tout cela et parvenir à la conclusion libertaire appropriée, nous devons examiner de plus près ce que sont réellement les biens publics et, si quelqu'un peut être considéré comme leur véritable propriétaire. Hans a consacré une partie de son travail à cette question. Nous devons rejeter deux positions: la propriété publique appartient au gouvernement ou la propriété publique n’est pas détenue et est donc comparable à la terre dans l’état de la nature, avant que des titres de propriété individuels de parcelles particulières aient été établis.

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  18. Nous ne pouvons certainement pas dire que la propriété publique appartient au gouvernement, car le gouvernement ne peut légitimement posséder quoi que ce soit. Le gouvernement acquiert ses biens par la force, généralement par l'intermédiaire de la fiscalité. Un libertarien ne peut accepter ce type d’acquisition de biens comme moralement légitime, car il s’agit de l’introduction de la force (extraction de fonds d’impôt) sur des personnes innocentes. Les prétendus titres de propriété du gouvernement sont donc illégitimes.

    Mais nous ne pouvons pas non plus dire que les biens publics ne sont pas propriétaires. Les biens en possession d'un voleur ne sont pas propriétaires, même si, pour le moment, ils ne sont pas détenus par le propriétaire légitime. La même chose vaut pour la propriété dite publique. Il a été acheté et développé au moyen d’argent saisi auprès des contribuables. Ils sont les vrais propriétaires.

    (C’était la manière correcte d’aborder la désocialisation dans les anciens régimes communistes d’Europe de l’Est. Toutes ces industries étaient la propriété des personnes pillées pour les construire, et ces personnes auraient dû recevoir des parts proportionnelles à leur contribution, dans la mesure où elle aurait pu être déterminée.)

    Dans un monde anarcho-capitaliste, avec toutes les propriétés privées, il appartiendrait à chaque propriétaire de décider de l’immigration. À l’heure actuelle, les décisions en matière d’immigration sont prises par une autorité centrale, les souhaits des propriétaires étant totalement ignorés. La bonne façon de procéder est donc de décentraliser le processus décisionnel en matière d’immigration au niveau le plus bas possible, de manière à ce que nous abordions de plus en plus la position libertaire appropriée, dans laquelle les propriétaires individuels consentent aux divers mouvements de peuples.

    Ralph Raico, notre grand historien libertaire, a écrit:

    L'immigration libre semble être dans une catégorie différente des autres décisions politiques, dans la mesure où ses conséquences modifient en permanence et radicalement la composition même de l'organe politique démocratique qui prend ces décisions. En fait, l'ordre libéral, où et dans la mesure où il existe, est le produit d'un développement culturel extrêmement complexe. On se demande par exemple ce que deviendrait la société libérale de Suisse sous un régime de «frontières ouvertes».

    La Suisse est en fait un exemple intéressant. Avant que l'Union européenne ne soit impliquée, la politique d'immigration de la Suisse a approché le type de système que nous décrivons ici. En Suisse, les localités ont opté pour l'immigration et les immigrés ou leurs employeurs ont dû payer pour admettre un éventuel migrant. De cette façon, les résidents pourraient mieux s’assurer que leurs communautés seraient peuplées par des personnes qui ajouteraient de la valeur et ne les imposeraient pas avec la facture pour une liste exhaustive d’avantages.

    De toute évidence, dans un système de frontières ouvertes, les États-providence occidentaux seraient simplement envahis par des étrangers cherchant des deniers publics. En tant que libertariens, nous devrions bien sûr célébrer la disparition de l'État providence. Mais s’attendre à ce qu’un dévouement soudain au laissez-faire soit le résultat probable d’un effondrement de l’État-providence, c’est se livrer à une naïveté particulièrement absurde.

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  19. Pouvons-nous conclure qu'un immigrant devrait être considéré comme «invité» par le simple fait qu'il a été embauché par un employeur? Non, dit Hans, parce que l'employeur n'assume pas la totalité des coûts associés à son nouvel employé. L'employeur externalisé partiellement les coûts de cet employé sur le public contribuable:

    Doté d'un permis de travail, l'immigrant est autorisé à utiliser gratuitement tous les établissements publics: routes, parcs, hôpitaux, écoles et aucun propriétaire, homme d'affaires ou associé privé n'est autorisé à faire preuve de discrimination à son égard en matière de logement, d'emploi, d'hébergement, et association. Autrement dit, l’immigrant est invité avec un important ensemble d’avantages sociaux payés non pas (ou seulement partiellement) par l’employeur immigré (qui aurait prolongé l’invitation), mais par d’autres propriétaires domestiques en tant que contribuables qui n’avaient aucune influence sur l’invitation.

    En bref, ces migrations ne sont pas des résultats commerciaux. Ils ne se produiraient pas sur un marché libre. Nous assistons à des exemples de mouvements subventionnés. Les libertariens défendant ces migrations de masse comme s’ils étaient des phénomènes de marché ne font qu’aider à discréditer et à saper le véritable marché libre.

    En outre, comme le souligne Hans, la position de «libre immigration» n’est pas analogue au libre-échange, comme certains libertariens l’ont fait valoir à tort. Dans le cas des biens échangés d'un endroit à un autre, il y a toujours et nécessairement un destinataire volontaire. La même chose n'est pas vraie pour «immigration libre».

    Pour être sûr, il est à la mode aux États-Unis de rire des mots de prudence sur l'immigration de masse. Pourquoi les gens ont-ils fait des prédictions sur les vagues d’immigration précédentes, nous dit-on, et nous savons tous que ce n’est pas devenu réalité. Maintenant, pour une chose, ces vagues ont toutes été suivies de réductions d'immigration rapides et substantielles, au cours desquelles la société s'est adaptée à ces mouvements de population de l'état pré-social. Il n'y a pratiquement aucune perspective de telles réductions aujourd'hui. D'autre part, il est faux d'affirmer que, comme certaines personnes ont prédit à tort un résultat particulier à un moment donné, ce résultat est donc impossible et quiconque émet des mots de prudence à son sujet est un imbécile méprisable.

    Le fait est que le multiculturalisme imposé politiquement a des antécédents exceptionnellement médiocres. Le 20ème siècle est un échec après un échec prévisible. Qu'il s'agisse de la Tchécoslovaquie, de la Yougoslavie, de l'Union soviétique, du Pakistan et du Bangladesh ou de la Malaisie et de Singapour ou des innombrables lieux de division ethnique et religieuse qui n'ont pas encore été résolus, les faits suggèrent quelque chose de différent la fraternité qui est un aliment de base du folklore de gauche.

    Il ne fait aucun doute que certains des nouveaux arrivants seront des personnes parfaitement honnêtes, malgré le peu d’intérêt du gouvernement américain pour encourager l’immigration parmi les personnes compétentes et compétentes. Mais certains ne le feront pas. Les trois grandes vagues de crimes de l’histoire des États-Unis - qui ont débuté en 1850, 1900 et 1960 - ont coïncidé avec des périodes d’immigration massive.

    La criminalité n’est pas la seule raison pour laquelle les gens peuvent légitimement vouloir résister à l’immigration massive. Si quatre millions d’Américains se présentaient à Singapour, la culture et la société de ce pays seraient modifiées pour toujours. Et non, il n’est pas vrai que le libertarisme exigerait dans ce cas que les Singapouriens haussent les épaules et disent que c’était bien de voir notre société durer mais que toutes les bonnes choses doivent cesser. Personne à Singapour ne voudrait ce résultat et, dans une société libre, ils le préviendraient activement.

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  20. En d’autres termes, c’est déjà grave que l’État doive être pillé, espionné et mis à la porte. Devrions-nous également payer pour le privilège du destructionnisme culturel, résultat que la vaste majorité des contribuables de l’État ne veut pas et qui empêcherait activement les personnes vivant dans une société libre et autorisées à le faire ?

    Les cultures mêmes que les nouveaux arrivants sont censés nous enrichir n’auraient pas pu se développer s’ils avaient été constamment bombardés de vagues d’immigration par des peuples de cultures radicalement différentes. L’argument multiculturel n’a même pas de sens.

    Il est impossible de croire que les États-Unis ou l’Europe seront plus libres après plusieurs décennies d’immigration massive sans interruption. Compte tenu des tendances en matière d’immigration encouragées par les gouvernements des États-Unis et de l’Union européenne, le résultat à long terme consistera à faire en sorte que les parties prenantes à la poursuite de la croissance du gouvernement soient tellement impossibles à arrêter. Les libertariens des frontières ouvertes actifs à cette époque vont se gratter la tête et prétendre ne pas comprendre pourquoi leur promotion des marchés libres connaît si peu de succès. Tout le monde connaîtra la réponse.

    Cette conférence a eu lieu au Cercle Mises à Phoenix, AZ, le 7 novembre 2015.

    https://www.lewrockwell.com/2018/09/lew-rockwell/open-borders-are-an-assault-on-private-property/

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    1. Généralement, dans les ascenseurs figure en écriteaux l'information concernant le nombre de personnes ou poids maximum. C'est ce qui s'appelle 'Une mesure de sécurité' qui n'est pas comparable aux pousseurs de métros chargés d'asphyxier le plus grand nombre de personnes dans une rame de train !

      Bien sûr en villes la toise n'est plus de mise ! Moins d'1m² par personne en comptant ceux qui s'empilent en des tours. Mais les idiots aiment çà, ils votent et en redemandent !

      De tous temps en Amérique, si quelqu'un s'introduit en propriété privée il se prend une balle en pleine gueule. L'assurance est donc qu'il ne recommencera plus. Mais... en 'Europe'... Hahahaha !

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