- ENTREE de SECOURS -



jeudi 27 septembre 2018

L'ex cheffe d'Etat Suisse (seule Démocratie au monde) 2010 et 2017, démissionne au Conseil fédéral.

Doris Leuthard quitte elle aussi le Conseil fédéral en fin d'année


PAR MATTHIEU HOFFSTETTER
27 Septembre 2018


  Deux jours après l'annonce du départ de Johann Schneider-Ammann, c'est au tour de Doris Leuthard d'annoncer son départ du Conseil fédéral à la fin de l'année 2018. L'élue PDC (Parti démocrate-chrétien) siégeait au sein de l'instance depuis juin 2006.

Plus de douze ans de présence au sein du Conseil fédéral. Si Doris Leuthard n'atteint pas les records de longévité de certains de ses prédécesseurs, l'ancienne présidente du PDC aura marqué par sa longévité. Elue le 14 juin 2006 pour succéder à Joseph Deiss (lui aussi PDC), l'Argovienne va donc se retirer à la fin de l'année 2018: son collègue de parti et président du conseil national Dominique de Buman a lu ce jeudi 27 septembre à 10h30 la lettre de démission de la conseillère fédérale.

Celle qui aura été présidente du gouvernement à deux reprises (en 2010 et en 2017) a d'abord dirigé le Département fédéral de l'économie (DFE) au cours de ses premières années (de 2006 à 2010), avant de reprendre le Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et des communications (DETEC). Deux missions au cours desquelles elle aura eu à gérer la crise économique et financière de 2008, puis la question du nucléaire et son abandon, ainsi que de nombreux autres dossiers sensibles.

Sa gestion de ces dossiers sensibles a toujours été saluée par la plupart des intéressés et par la population: celle qui a été conseillère nationale de 1999 à 2006 est restée constamment l'une des conseillères fédérales les plus populaires dans les enquêtes auprès de l'électorat. Et n'a subi quasiment aucun revers électoral dans sa carrière.

Parmi les rares échecs figurent la votation sur la vignette autoroutière à 100 francs en novembre 2013, ainsi que le choix des électeurs suisses de valider l'initiative de Franz Weber sur les résidences secondaires en mars 2012. Ces derniers mois, elle était fréquemment questionnée sur l'affaire CarPostal, relevant de ses compétences, même si ses choix n'ont jamais été mis en cause.

Lire aussi: La réforme sur l'énergie moins ambitieuse que promise

Cependant, la liste de ses réussites est bien plus longue: si la sortie progressive du nucléaire, via la Stratégie énergétique 2050, avait triomphé dans les urnes en mai 2017, elle a aussi convaincu l'électorat sur des dossiers cruciaux et complexes en matière d'infrastructures de transports, comme le financement du rail FAIF en 2014 ou le fonds routier FORTA en février 2017. Et si elle n'avait pas initié le projet, c'est elle qui a inauguré le tunnel ferroviaire du Gothard le 1er juin 2016, plus grand ouvrage du genre au monde.

L'occasion de rétablir les équilibres femmes-hommes ?

Après le départ de Johann Schneider-Ammann annoncé en début de semaine pour la fin 2018, cela fait donc deux places à pourvoir au Conseil fédéral. Seule PDC du gouvernement, Doris Leuthard devrait a priori être remplacée par un(e) collègue de parti. Mais alors que la PLR saint-galloise Karin Keller-Sutter faisait figure de favorite pour la succession de son collègue de parti Johann Schneider-Ammann, laissant entrevoir un rééquilibrage des genres au sein du Conseil fédéral, le remplacement de Doris Leuthard va poser la question symbolique de la quasi-parité: si une femme succédait à l'Argovienne, et dans l'hypothèse où Karin Keller-Sutter serait effectivement désignée et élue en remplacement de JSA, trois femmes siégeraient à nouveau au sein du gouvernement.

Il y a bientôt onze ans, l'élection d'Eveline Widmer-Schlumpf en remplacement de Christoph Blocher avait porté le nombre de femmes à trois sur sept conseillers fédéraux. Elles avaient même été majoritaires entre 2010 et 2012, jusqu'à l'élection d'Alain Berset en remplacement de Micheline Calmy-Rey. Or, l'élection d'un homme (Ignazio Cassis) l'an dernier avait soulevé des protestations dans les milieux féministes, car certains estimaient que la Suisse ratait là l'occasion de rééquilibrer les équilibres au sommet en élisant une femme (Isabelle Moret était candidate).

Un an après, le débat sur remplacement des deux sortants risque de porter davantage sur leur sexe que sur leur étiquette de parti. Le PLR sort conforté des derniers scrutins et ne devrait pas perdre de siège au Conseil fédéral, et le PDC, certes moins puissant qu'à la fin du XXe siècle, devrait conserver le sien. Reste à savoir qui va porter les couleurs de ces deux formations lors de l'élection de décembre.

22 commentaires:

  1. La seule erreur imputable à l'ex-cheffe d'État est de n'avoir aucune connaissance en l'atome, l'énergie nucléaire et dans les accidents de Tchernobyl (1986) et Fukushima (2011).

    Une centrale nucléaire n'est pas un château-fort mais une place-forte. Différence entre une marmite et une cocotte-minute pour situer les réacteurs.

    Les réacteurs nucléaires n'ont subit aucun dommage du tremblement de terre (magn.9) du 11 Mars 2011 et du ras-de-marée qui l'accompagnait. Seule, l'interruption de l'approvisionnement en eau a produit chez 3 des 4 réacteurs à Fukushima une implosion due à la libération de l'hydrogène contenu dans les crayons (tubes contenant les pastilles d'Uranium) et de la trop forte chaleur sèche intérieure.

    3 des 4 réacteurs ont donc été déchapeautés de leur couvercle et ont libéré des particules radioactives dans l'atmosphère.

    Or, toute personne intelligente constatera que si une grenade est dégoupillée elle explosera, et qu'une grenade non dégoupillée n'explosera pas. D'où l'interdiction des grenades ?

    A savoir qu'un auto-cuiseur doit contenir de l'eau et devoir présenter une goupille de sécurité pour évacuer la vapeur, sinon c'est l'explosion.

    La SEULE faute condamnable est de n'avoir appliqué aucune précaution d'usage quant aux moyens d'approvisionnement en eaux des réacteurs ! Le tremblement de terre ayant disloqué les tuyaux de pompages a rendu l'impossibilité d'apporter de l'eau aux réacteurs qui s'asséchaient au fil des heures portant la température intérieure de 300 à 3000°C !

    PS: TOUTES les centrales électrique du monde sont construites au même modèle !!!

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  2. Ajoutez cela à la facture éolienne: SA Battery coûte 90 millions de dollars, soit 220 dollars par famille de quatre personnes

    September 27th, 2018


    L'ABC rapporte que finalement les gens de SA peuvent savoir ce que la batterie d'urgence Tesla coûte - 56 dollars par personne, ou 220 dollars par famille, juste pour l'achat, pas pour l'opération. Les Australiens du Sud, qui se sont empressés de signer pour devenir le Star Renewable State, devaient signer les chèques eux-mêmes et leur facture d'électricité contenait un article intitulé «Le prix des énergies renouvelables».

    L’Australie-Méridionale n’a pas eu besoin de batterie pour alimenter le charbon:

    Un rapport de 505 pages publié ce mois-ci par Neoen en prévision d'une offre publique initiale a suggéré que la batterie coûte environ 90 millions de dollars, au taux de change actuel.

    La batterie géante au lithium-ion de 100 mégawatts située près de Jamestown, dans le centre-nord de l’État, a été mise en service à la fin de l’année dernière.

    «Cela coûte réellement l’argent des contribuables. Il y a un coût de 4 à 5 millions de dollars par an pour avoir la batterie en place.

    «Il y a plus de coûts que cela implique.

    Plus de coûts: où pense Giles Parkinson de ces «revenus»?

    Cependant, Giles Parkinson a déclaré que la batterie était en bonne voie pour «générer des revenus d’environ 25 à 26 millions de dollars la première année».

    La batterie ne produit pas d'électricité. Tout ce qu’il fait, c’est de déplacer l’approvisionnement au mauvais moment au bon moment, un problème que l’État n’a pas eu jusqu’à ce qu’il essaie de s’en sortir.

    Les recettes sont un autre coût à ajouter aux taxes et aux factures d’électricité des entreprises et des ménages.

    La batterie économise des millions de dollars en sécurité du système - une autre charge dont je suis sûr qu’elle n’était pas aussi importante avant que l’énergie non fiable bombarde la grille au hasard:

    En vertu de cet accord, le gouvernement sud-australien a le droit d’accéder à 70 % de la production à tout moment pour fournir une puissance urgente afin d’empêcher les coupures de courant ou de fournir des services de sécurité au réseau.

    Avant l’installation de la batterie, ces services coûtaient très cher.

    L’Australian Energy Regulator a constaté qu’elle avait coûté plus de 50 millions de dollars à l’État depuis 2015.

    Existe-t-il des experts NEM qui peuvent confirmer que des frais pour la «sécurité du système» ont été introduits dans le NEM ? Notant qu'il y a beaucoup de saveurs de sécurité. Il semble y avoir une explication de la situation NEM publiée en 2001.

    Les réseaux utilisant des turbines à charbon (ou gaz ou hydro) doivent avoir fonctionné pendant des années sans FCAS ni autres structures de marché.

    http://joannenova.com.au/2018/09/add-that-to-the-windpower-bill-sa-battery-cost-90m-which-is-220-per-family-of-four/#more-60684

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  3. L’ère glaciaire des salaires


    MYRET ZAKI
    RÉDACTRICE EN CHEF DE BILAN


    Pour la première fois depuis 2008, les salaires en Suisse ont progressé moins vite que l’inflation et le PIB. Ce qui signifie qu’en termes réels, les salaires ont reculé, malgré la bonne conjoncture. Dans le même temps, le rendement du capital et les dividendes versés aux actionnaires sont restés quant à eux élevés. Cette sanction relative du travail s’explique par nombre de facteurs.

    D’abord, par le fait que la productivité, à savoir la valeur des biens et services produits par personne employée, lorsqu’elle augmente, ne se traduit pas en hausses de salaires, mais en valeur actionnariale. La part de la rémunération du travail dans le PIB baisse alors au profit de la part qui va au capital. Cela valide l’idée de l’économiste Thomas Piketty selon laquelle notre époque voit l’écart se creuser entre salariés et actionnaires, les entreprises rémunérant davantage les seconds que les premiers. Un phénomène qui ne laisse aux ménages salariés qu’une petite part de la croissance économique, tandis que les détenteurs de capitaux en récoltent la plus grande part.

    D’autres explications ont été citées par l’Organisation internationale du travail (OIT): mondialisation, progrès technologique, mais aussi, dans la plupart des pays développés, l’affaiblissement des institutions du marché du travail, comme les législations de la protection de l’emploi, les systèmes de protection sociale, les instances de négociation salariale, les politiques de l’emploi. L’OIT cite aussi la «pression accentuée des marchés financiers pour allouer les surplus des grandes entreprises aux investisseurs».

    La situation n’est pas nouvelle et perdure depuis des années. Dans les économies développées, la croissance du salaire moyen a fluctué autour de 1 % par an depuis 2006 avant de stagner depuis, ouvrant une ère glaciaire de «modération salariale».

    Par ailleurs, un sondage mené l’an dernier par UBS expliquait que les entreprises, qui ont pour la plupart renoncé durant les années de crise à diminuer les salaires, hésitent aujourd’hui à octroyer des augmentations importantes.

    Mais le facteur le plus important est sans doute la globalisation. Notre économie helvétique, plus indexée sur le marché global que sur la conjoncture nationale, importe de l’extérieur une déflation mondiale des salaires. On observe en effet une lente convergence entre les salaires payés dans les pays émergents, qui opèrent un rattrapage, et ceux pratiqués dans les pays développés, qui ralentissent, même s’ils restent nettement au-dessus des premiers. Bref, les salaires des pays développés ont pris une pause en attendant d’être rattrapés par le reste du monde.

    On peut s’interroger si la conjoncture nationale est désormais un référentiel pour les salaires, puisqu’elle ne l’est plus pour d’autres paramètres, comme les taux d’intérêt. On observe en effet que les taux à 10 ans suisses sont très proches des taux allemands. De même, le taux de change du franc suisse contre l’euro, lui aussi une variable dépendant de l’extérieur, définit largement le prix du travail en Suisse.

    Comment, avec ces conditions, créer des anticipations de croissance du revenu disponible, qui seules permettent de stimuler la consommation ? En 2017, l’OIT avertissait que la déflation salariale menaçait de se transformer en déflation tout court si la spirale de baisse de salaires, de baisse de la demande, puis de baisse des prix s’enclenchait. Il est urgent que les entreprises soutiennent la croissance en assurant un meilleur pouvoir d’achat aux salariés, et que les fiches de paie reflètent mieux les gains de productivité.

    http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/lere-glaciaire-salaires

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    1. Malgré qu'il y ait une 'ère sans frontières' et que la population mondiale s'accroit au fil des jours, comme l'arrivée des machines sophistiquées qui augmentent la productivité/rentabilité (diminuant donc la part des impôts), les charges... ne baissent pas ! Çà alors ! Et, les salaires (bénéfices réalisés grâce aux machines) n'augmentent pas ! Çà alors !

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  4. SONDAGE: Les Suisses sont favorables à un accord-cadre avec l'UE



    PAR AWP/ATS
    26 Septembre 2018


    Une majorité de Suisses est favorable à trouver un accord-cadre avec l'Union européenne, les Romands en tête. Seuls les partisans de l'UDC sont nettement contre, selon un sondage effectué par l'institut Sotomo pour la SSR.

    D'après l'enquête réalisée en ligne et publiée mercredi par la RTS, 59 % des électeurs se déclarent favorables à un accord-cadre avec l'UE, alors que 38 % s'y opposent. Le soutien est particulièrement marqué dans le camp socialiste (86 %), chez les Verts (79 %) et les Vert'libéraux (82 %). Côté PDC (75 %), PLR (75 %) et PBD (64%), le oui est également clair mais moins massif. Seuls les sympathisants de l'UDC se déclarent nettement contre un accord-cadre: 81% des sondés lui disent non.

    Lire aussi : L’absence d'accord avec l'UE menace l'électricité suisse

    Le soutien à la négociation d'un tel accord est très marqué chez les sondés avec un niveau d'études universitaire (75 %) et en Suisse romande (66 %). Les Alémaniques y sont favorables à 58 %. En revanche, une nette majorité de Tessinois s'y opposent (55 %). Le sondage ne révèle que peu de différence entre l'opinion des femmes (62 % de oui) et celle des hommes (58 %). Par tranche d'âge, 60 % des 18-35 ans approuvent des négociations avec l'UE, tout comme 59 % des 36-55 ans et 59 % des plus de 55 ans.

    Concessions

    Pour parvenir à un accord, les personnes interrogées se déclarent ouvertes à des compromis (53 %). Elles estiment notamment que les procédures de contrôle de la protection salariale pourraient être simplifiées (40 %). Une minorité (9 %) y serait prête à transiger sur la protection des salaires elle-même et 4 % à revoir à la baisse les mesures d'accompagnement.

    Les avis sont très partagés sur l'attitude des syndicats, qui ont refusé de s'asseoir à la table des négociations avec le gouvernement pour discuter d'un aménagement des mesures d'accompagnement: 34 % des sondés estiment qu'ils ont raison, 45 % y voient un refus du dialogue qui ne devrait pas exister en Suisse et 15 % pensent que les torts sont partagés. Fait pas banal, la plus grande proportion de défenseurs de l'action de l'Union syndicale suisse (USS) ne se trouvent pas au sein de la gauche mais parmi les sympathisants de l'UDC, qui ne veulent de toute façon pas d'un accord-cadre.

    Sotomo a réalisé le sondage en ligne du 13 au 18 septembre auprès de 12'179 personnes. La marge d'erreur est de plus ou moins 1,5 %.

    http://www.bilan.ch/economie/suisses-favorables-a-un-accord-cadre-lue

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  5. WikiLeaks a un nouveau rédacteur en chef


    14:02 27.09.2018


    Le journaliste islandais Kristinn Hrafnsson, porte-parole du site WikiLeaks entre 2010 et 2017, a remplacé Julian Assange au poste de rédacteur en chef du site.

    Le site WikiLeaks a désormais un nouveau rédacteur en chef. C'est le journaliste islandais Kristinn Hrafnsson qui avait auparavant occupé pendant de longues années le poste de porte-parole de l'organisation non gouvernementale.

    «Assange nomme Hrafnsson rédacteur en chef après six mois de détention et d'isolement, et reste lui-même éditeur», a annoncé l'organisation via Twitter.

    Pour rappel, le fondateur de WikiLieaks, âgé de 47 ans, avait trouvé asile à l'ambassade équatorienne à Londres pour échapper à une extradition vers la Suède où il était recherché pour viol et agression sexuelle. Bien que ces poursuites aient été abandonnées en 2017, le tribunal de Westminster a maintenu le mandat d'arrêt contre M.Assange, indiquant qu'il avait été délivré quand celui-ci avait enfreint les conditions de sa liberté sous caution.

    En cas d'arrestation, Julian Assange craint d'être extradé vers les États-Unis où il est poursuivi pour la divulgation de nombreux secrets militaires et documents diplomatiques américains.

    En janvier 2018, le gouvernement équatorien avait annoncé être à la recherche d'une «médiation» en vue de trouver un accord avec Londres sur la situation «insoutenable» de M.Assange.

    https://fr.sputniknews.com/international/201809271038262013-wikileaks-redacteur-chef-assange/

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  6. Dans un nouveau livre, le physicien dit que les preuves du rôle humain dans le climat «font défaut»


    Anthony Watts
    27 septembre 2018



    Dans un nouveau livre du physicien Ralph B. Alexander, Science Under Attack: The Age of Unreason, il voit des «abus dans la science». Extraits:

    Les preuves et la logique font défaut dans de nombreux domaines du débat public aujourd'hui sur des questions d'actualité allant des graisses alimentaires à la vaccination.

    Dans Science Under Attack, le Dr Alexander montre comment la science est malmenée, mise de côté ou ignorée, ce qui rend difficile ou impossible pour le public de formuler un avis motivé sur des questions importantes. Les lecteurs apprendront pourquoi la science est de plus en plus corrompue et comment elle est utilisée pour obtenir des gains politiques et économiques, soutenir le militantisme ou soutenir les croyances religieuses.

    La sagesse scientifique conventionnelle considère que le réchauffement de la planète et les changements qui en résultent dans le climat sont avant tout des nôtres. Mais peu de gens réalisent que la preuve scientifique réelle d'une contribution humaine substantielle au changement climatique est fragile. Cela nécessite des modèles informatiques très discutables pour établir le lien entre le réchauffement climatique et les émissions humaines de gaz carbonique.

    Aucun réchauffement de la preuve n'est causé par l'homme

    Les multiples éléments de preuve qui existent sont simplement la preuve que le monde se réchauffe, et non la preuve que le réchauffement provient principalement de l'activité humaine. La preuve supposée repose entièrement sur des modèles informatiques qui tentent de simuler le climat très complexe de la Terre et comprennent des gaz à effet de serre ainsi que des aérosols provenant de sources volcaniques et artificielles - mais ignorent presque totalement la variabilité naturelle. Modèles hors des sentiers battus Il ne faut donc pas s’étonner que les modèles aient un bilan médiocre dans la prédiction de l’avenir. De manière plus spectaculaire, les modèles ne sont pas parvenus à prédire la pause ou le hiatus récent du réchauffement climatique de la fin des années 1990 à environ 2014. Au cours de cette période, le taux de réchauffement est tombé à un tiers ou moins du début des années 1970 à 1998. tandis que le gaz carbonique continuait à cracher dans l'atmosphère.

    Sur 32 modèles climatiques, seul un modèle russe isolé est parvenu à se rapprocher des observations réelles. Non seulement les modèles surestiment le taux de réchauffement de deux ou trois fois, mais ils prédisent à tort un point chaud dans la haute atmosphère qui n’est pas là et ne peuvent pas reproduire avec précision l’élévation du niveau de la mer. Pourtant, c’est ces mêmes modèles qui ont échoué et qui sous-tendent l’ensemble des conséquences catastrophiques du changement climatique provoqué par l’homme, un cas concret inscrit dans l’Accord de Paris de 2015. L’accord international sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre - auquel 195 pays, avec de nombreuses sociétés scientifiques et académies nationales du monde - ont souscrit - ne repose pas sur des preuves empiriques, mais sur des modèles informatiques artificiels.

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  7. Seuls les modèles relient le changement climatique à l'activité humaine. Les preuves empiriques ne le font pas. La corrélation n'est pas causale Les partisans du réchauffement climatique d'origine humaine, y compris la majorité des climatologues, insistent sur le fait que l'augmentation des températures globales d'environ 0,6 degrés Celsius depuis 1850 provient presque exclusivement de l'augmentation constante du gaz carbonique atmosphérique. Ils affirment que l'augmentation du gaz carbonique doit être la cause de presque tout le réchauffement, car le seul changement majeur du «forçage» climatique au cours de cette période est dû au gaz carbonique produit par les activités humaines - principalement la combustion de combustibles fossiles et la déforestation.

    Mais la corrélation n’est pas une cause, comme le savent bien les statistiques ou le domaine de l’épidémiologie en santé publique. Ainsi, les croyants dans le récit du changement climatique anthropique (causé par l'homme) catastrophique retombent sur des modèles informatiques pour renforcer leurs arguments. Alors que le discours sur le changement climatique a été repris par des entités politiques telles que le GIEC (Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat) et amplifié par des médias conformes dans le monde entier, les prédictions des modèles climatiques informatiques ont acquis le statut d’édits quasi religieux.

    Warmists du mauvais côté de la science En effet, quiconque conteste la sagesse conventionnelle est qualifié de «négationniste» par les défenseurs de l'orthodoxie du changement climatique, qui affirment que les sceptiques du réchauffement climatique sont tout aussi anti-scientifiques que ceux qui croient que les vaccins provoquent l'autisme. La guerre contre la science, qui a fait couler beaucoup d'encre, sape généralement le climat avec les créationnistes, les anti-vaccination et les militants anti-OGM. Mais les réchauffeurs du climat sont ceux du mauvais côté de la science. "Peur, hyperbole, tactiques sévères" Comme leurs homologues dans le débat sur la sécurité des OGM, les réchauffistes utilisent la peur, l'hyperbole et des tactiques politiques sévères pour tenter de mettre un terme au débat.

    Pourtant, le scepticisme quant à l'influence de l'homme sur le réchauffement de la planète persiste et pourrait même s'aggraver chez le grand public. En 2018, un sondage Gallup aux États-Unis a révélé que 36 % des Américains ne pensaient pas que le réchauffement de la planète était causé par l’activité humaine, tandis qu’une enquête britannique a montré que 64 % des Britanniques avaient le même sentiment. Et le pourcentage de climatologues qui approuvent le point de vue général d’une forte influence humaine est loin d’être le plus largement reconnu, à savoir 97 %, bien qu’il soit probablement supérieur à 50 %.

    La plupart des scientifiques sceptiques comme moi admettent que le réchauffement climatique est réel, mais qu’il n’est pas entièrement dû à l’homme ou qu’il est dangereux. Les observations à elles seules ne sont pas la preuve d’un rôle humain majeur. Un tel manque de considération pour l’importance des preuves empiriques et une foi erronée dans le pouvoir des modèles de climat informatique déficients sont des abus de la science.

    Ralph B. Alexander a grandi à Perth, en Australie occidentale, et a obtenu son doctorat en physique à l'Université d'Oxford. Il est également un écrivain scientifique qui place la science au-dessus de la rectitude politique. Titulaire d'un doctorat en physique de l'Université d'Oxford, il est également l'auteur de Global Warming False Alarm et a publié de nombreux articles scientifiques et rapports sur des questions techniques complexes.

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  8. L'auteur a été chercheur dans des laboratoires en Europe et en Australie, professeur à la Wayne State University de Detroit, co-fondateur d'une entreprise de matériaux d'entreprise et analyste de matériaux écologiques pour une petite société de conseil. Il vit en Californie avec sa femme Claudia.

    https://wattsupwiththat.com/2018/09/27/in-a-new-book-physicist-says-evidence-of-human-role-in-climate-is-lacking/

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  9. La dictature monarchique interdit aux scientifiques de parler !

    La BBC interdit formellement les sceptiques du climat


    Anthony Watts
    27 septembre 2018


    La BBC a déclaré au personnel qu’il n’était plus nécessaire d’inviter les sceptiques face au changement climatique à son programme.

    Il instruit le personnel:

    «Soyez conscient du« faux équilibre »: à mesure que le changement climatique est accepté, vous n’avez pas besoin de« dénier »pour équilibrer le débat».

    "Il peut y avoir des occasions d'entendre d'un denier" mais seulement "avec un défi approprié d'un enquêteur compétent".

    Les journalistes de la BBC «doivent connaître le point de vue de l’invité et savoir comment le contester efficacement».

    «Pour atteindre l’impartialité, il n’est pas nécessaire d’inclure les négationnistes du changement climatique dans la couverture de la BBC.»

    Une section de la nouvelle politique intitulée «Quelle est la position de la BBC» affirme que «le changement climatique provoqué par l’homme existe».

    Voilà pour le mythe de l’actualité équilibrée.

    https://www.thegwpf.com/bbc-freezes-out-climate-sceptics/

    Merci à Jimmy Walter pour ce lien

    «Ce mémo de la BBC écrit ce que la plupart des gens savent depuis dix ans, à savoir que toute personne sceptique face à l’alarme climatique n’est pas autorisée sur la BBC.» - Benny Peiser

    https://wattsupwiththat.com/2018/09/27/the-bbc-formally-bans-climate-skeptics/

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  10. LA CHUTE DES VENTES DE GAZOLE ACCÉLÈRE LA FERMETURE DES STATIONS SERVICE


    par MARIE-EVE WILSON-JAMIN
    27/09/2018


    Le Conseil national des professions de l’automobile (CNPA) est inquiet. Avec la taxe carburants, l'essence est plus chère en France et les chauffeurs routiers préfèrent faire leur plein à l'étranger. La fréquentation des stations-service est donc en baisse.

    La taxe sur les carburants poussent les chauffeurs routiers à faire le plein à l'étranger

    Le gouvernement a dévoilé son Budget 2019. On y trouve notamment la taxe sur les carburants qui devrait lourdement augmenter. Et elle pourrait impacter les ménages à hauteur de 3 milliards d'euros et les entreprises pour un milliard d'euros. Ce qui laisse présager d'une envolée des prix à la pompe qui ne laissera personne insensible. Ainsi, les particuliers qui n'on d'autre choix que d'utiliser leur véhicule, cette taxe va représenter 7 centimes au litre pour le diesel, 4 centimes pour l'essence.

    En outre, les distributeurs de carburants sont très inquiets. Et pour cause : les chauffeurs de camion préfèreront à l'avenir miser sur les pays frontaliers pour faire le plein de leur poids lourd. « La compétitivité et le maillage territorial des stations-service sont fortement menacés », prévient dans un communiqué publié ce mercredi 26 septembre le Conseil national des professions de l’automobile (CNPA).

    Une réduction de près de 20 % de la fréquentation des stations-service françaises en deux ans

    « L’an prochain, le litre de gazole français sera vendu à la pompe TTC plus cher de 30 centimes d’euros par rapport à l’Espagne, de 24 centimes d’euros par rapport à l’Allemagne, et de 16 centimes par rapport au Luxembourg. » Et selon lui, ce phénomène se fait déjà ressentir avec une réduction « d’au moins 20 % » de la fréquentation des stations-service françaises en deux ans.

    La fréquentation en berne pousse certains stations-service à mettre la clé sous la porte. Ainsi, fin 2017, la France comptait 11.147 stations-service, selon les chiffres de l’Union française des industries pétrolières, contre 41.500 en 1980. Et l'avenir ne réjouit pas les professionnels puisque les taxes risquent de se multiplier. Si une hausse du prix du diesel de 6,5 centimes d’euros par litre est donc prévue en 2019, et de 2,9 centimes pour l’essence, des augmentations similaires interviendront en 2020 et 2021. En 2022, le relèvement sera de 3,3 centimes par litre pour le diesel, et de 2,9 centimes pour l’essence. Est-ce la fin programmée de milliers de stations-service ?

    http://www.economiematin.fr/news-chute-ventes-gazole-accelere-fermeture-stations-service-france

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    1. Ce n'est PAS le prix du baril qui gréve les budgets mais SEULEMENT les taxes apportées sur cette Matière Première afin de ruiner les utilisateurs.

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  11. SUISSE - RETROUVEZ LE FOU RIRE DE DORIS LEUTHARD

    La conseillère fédérale sortante était aussi connue pour sa jovialité et sa bonne humeur. Elle n'avait pu se retenir de rire en 2010 en répondant à une question sur les chevaux.

    - voir clip à la une -

    PAR CHRISTINE TALOS
    27.09.2018, 16h20


    Les partis ont salué une «forte personnalité» dotée d'une «vaste expérience politique» après l'annonce jeudi de la démission de Doris Leuthard du Conseil fédéral. Le bilan de la ministre PDC est loué, en particulier son rôle dans la sortie de la Suisse du nucléaire.

    Mais Doris Leuthard était aussi très populaire. Capable de s'exprimer aussi bien en italien, en français qu'en anglais ou en allemand, elle était régulièrement sur le podium des ministres préférés des Suisses. Réputée chez les parlementaires pour connaître parfaitement ses dossiers, elle était aussi redoutable et redoutée à la tribune pour défendre ses sujets.

    Doris Leuthard était capable d'affronter tous les thèmes avec bonne humeur. Certains se souviennent sans doute de son fou rire lorsqu'elle avait répondu à une interepellation d'un conseiller national UDC en 2010 sur la contribution de la Confédération aux épreuves d’équitation gymkhana.

    A l'heure des questions, l'élu lui avait demandé pourquoi les fédérations de chevaux collectaient 20 francs par animal pour leurs tests de performance et combien cela coûtait chaque année à la Suisse. Doris Leuthard, qui était alors présidente de la Confédération, s'était mise courageusement à lire la réponse préparée par ses services. Mais en arrivant au paragraphe consacré au gymkhana des chevaux, elle s'était mise à pouffer de rire, encouragée par la bonne humeur du National à ce moment-là.

    «C'est vraiment absurde», avait dit Leuthard, tout en se moquant du parlementaire: «Vous voyez l'importance que j'attache à cette question en ce moment». Elle s'était reprise en soulignant qu'elle apprenait quelque chose de nouveau chaque semaine. Avant d'enfoncer l'UDC en lui disant: «Ne me demandez pas combien il en a coûté à la Confédération pour répondre à votre question.» (nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/retrouvez-fou-rire-doris-leuthard/story/17581625

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    1. Rien n'empêchera Doris Leuthard de briguer un 3ème mandat de cheffe de l'État en 2019 (1/1/19-31/12/19).

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  12. Nous vivons en 1984

    Certains points que les médias nationaux n'ont peut-être pas partagés. Les juges de la Cour suprême dans la démocratie la plus puissante sur Terre sont peut-être en train d'être sélectionnés par assassinat de personnage. La preuve est tellement démodée…

    September 28th, 2018


    Comme le dit Donald Trump, «c’est un très grand moment culturel pour les États-Unis». En termes de civilisations, certaines choses importent.

    Nous vivons en 1984
    Victor David Hanson, Revue Nationale

    La vérité, la régularité de la procédure, les preuves, les droits de l'accusé: tous sont balayés dans la poursuite de l'agenda progressiste.

    Dans le monde d’Orwell en 1984, l’Océanie n’a plus le sens de la régularité, de la libre enquête, des règles de la preuve et du contre-interrogatoire, et encore moins d’une présomption d’innocence jusqu’à preuve du contraire. Au lieu de cela, l’idéologie réglementée - la suprématie du pouvoir étatique de contrôler tous les aspects de la vie pour imposer une idée fossilisée de la qualité imposée - déforme tout, de l’utilisation de la langue à la vie privée.

    Newspeak et Doublethink

    Statue des limitations ? Ça n'existe pas. Il y a 36 ans, un incident est apparemment aussi frais aujourd'hui que lorsque Kavanaugh avait 17 ans et Ford 15.

    Présomption d'innocence? Pas du tout. Kavanaugh est accusé et donc coupable. L'accusateur ne fait aucun doute. En Amérique orwellienne, l'accusé doit d'abord présenter sa défense, même s'il ne sait pas très bien ce dont il est accusé. Ensuite, l'accusateur et son équipe juridique se livrent à son témoignage pour préparer son accusation.

    Preuve? C'est aussi un concept fossilisé. Ford ne pouvait nommer ni l'emplacement de l'agression alléguée ni la date ou l'heure. Elle n'avait aucune idée de comment elle était arrivée ou avait quitté la scène du crime allégué. Il n'y a aucune preuve physique d'une attaque. Et de telles lacunes dans sa mémoire ne comptaient plus du tout.

    Détails? Encore une fois, de telles notions sont contre-révolutionnaires. Il ya six ans (30 ans après l’incident présumé), Ford a dit à son thérapeute qu’il y avait quatre agresseurs potentiels, du moins comme l’indiquent les notes du thérapeute.

    Mais maintenant, elle a affirmé qu'il n'y avait que deux agresseurs: Kavanaugh et un ami. En réalité, les quatre personnes - dont une femme - ont été citées dans ses accusations comme agresseurs ou témoins. Elles ont insisté sur le fait qu’elles n’avaient aucune connaissance de l’événement, encore moins d’actes illicites où et quand Ford Le fait qu’ils nient la connaissance est parfois utilisé comme preuve par les avocats de Ford que l’événement de 36 ans a été traumatisant.

    Un incident survenu à 15 ans est si profondément gravé dans sa mémoire qu’à 52 ans, Ford n’a aucun souvenir des événements ou des détails entourant cette journée sans nom, sauf qu’elle est convaincue que Brett Kavanaugh, âgé de 17 ans, et quatre autres ? Trois ? deux ? d'autres la harcelaient. Elle n'a aucune idée où et quand elle a été agressée…

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  13. Témoignage ? N'est plus pertinent. Peu importe que Kavanaugh et l’autre suspect présumé nient les allégations et n’aient aucun souvenir d’être dans le même lieu que Ford il ya 36 ans. En somme, tous les supposés fêtards, hommes et femmes, jurent maintenant, sous peine de crime, qu'ils ne se souviennent d'aucun des incidents survenus il y a si longtemps. Le fait que Ford ne puisse pas produire un seul témoin pour confirmer son récit ou réfuter le leur est également sans importance. Jusqu'à présent, elle n'a singulièrement pas soumis d'affidavit formel ni reçu de déposition qui serait sujette à une exposition légale si elle était fausse.

    Encore une fois, l'idéologique l'emporte sur l'empirique. «Toutes les femmes doivent être crues» est le testament, et les individus s'inclinent devant le collectif. À l’exception de la ferme d’Orwell, il existe des exceptions idéologiques, comme Bill Clinton, Keith Ellison, Sherrod Brown et Joe Biden. Le slogan du psychodrame de Ford est «Toutes les femmes doivent être crues, mais certaines femmes sont plus crédibles que d’autres». Le fait qu’une affirmation devienne une réalité en raison de l’idéologie dominante et du sexe de

    Droits de l'accusé? Eux aussi n'existent pas. Dans la version américaine de 1984, l'accusatrice, à savoir le parti le plus idéologiquement correct, dicte aux autorités les circonstances dans lesquelles elle fera l'objet d'une enquête et d'un contre-interrogatoire: elle exigera toutes sortes de considérations spéciales sur la vie privée et les exemptions; Kavanaugh sera obligé de retourner et de faire face à des caméras et au public pour prouver qu'il n'était pas à ce moment-là et qu'il ne l'a jamais été depuis, un agresseur sexuel.

    Dans notre monde de 1984, l'accusé est considéré coupable s'il est simplement inculpé, et l'accusateur est une victime qui peut gâcher une vie mais ne doit en aucun cas se sentir mal à l'aise de prouver ses accusations.

    Lisez tout, il y a beaucoup plus…

    Espérons que la procédure régulière, les preuves et la présomption d’innocence subsistent.

    Andrew Bolt a six questions à propos du troisième et plus étrange accusateur…

    h / t Scott of the Pacific et David E.

    http://joannenova.com.au/2018/09/we-are-living-nineteen-eighty-four/#more-60700

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  14. Snyder: Pauvreté, criminalité et excréments humains - Les démocraties sont les pires villes d'Amérique


    par Tyler Durden
    Jeu., 27/09/2018 - 20:10
    Créé par Michael Snyder via le blog The American Dream,


    Est-ce juste une coïncidence que plusieurs des plus grandes villes d'Amérique soient devenues des enfers infestés par la pauvreté une fois que les démocrates ont pris les choses en main ? Detroit, Baltimore, Chicago, Saint-Louis, Philadelphie, Oakland et Memphis étaient autrefois de grandes villes. Mais après une longue période de contrôle par le parti démocrate, chacun d'entre eux est devenu une crise persistante qui semble ne jamais se terminer. Je pensais écrire un article sur Baltimore aujourd’hui, mais j’ai réalisé que les mêmes événements se déroulent à Baltimore dans une multitude d’autres grandes villes et que le thème commun à tous est que les démocrates sont en contrôle. Mais même si c'est le cas, les électeurs de ces villes continuent de choisir les élections démocrates après les élections.

    Parlons d'abord du crime. Selon le FBI, Baltimore avait le taux de meurtres le plus élevé de l’ensemble du pays l’an dernier…

    L’année dernière, Baltimore a enregistré le plus fort taux d’homicides parmi les 50 plus grandes villes du pays et le deuxième taux de crimes violents le plus élevé, selon de nouvelles données du FBI.

    La triste nouvelle est le dernier rappel du cycle de violence qui sévit dans la ville depuis 2015, année où le nombre annuel d’homicides a dépassé les 300 morts trois années consécutives après les troubles qui ont suivi la mort de Freddie Gray des suites de blessures subies en garde à vue.

    En fait, il s’agissait du taux de meurtre le plus élevé jamais observé par Baltimore.

    Alors, qui dirige Baltimore ?

    Démocrates.

    Mais Baltimore n'est certainement pas seul. Quand vous commencez à descendre dans la liste, vous trouvez beaucoup plus de grandes villes dirigées par des démocrates…

    # 2 Detroit - géré par les démocrates

    # 3 Memphis - dirigé par des démocrates

    # 4 Chicago - Dirigé par les démocrates

    # 5 Philadelphie - Couru par les démocrates

    Et ce n’est certainement pas un phénomène récent. Selon une étude plus large des grandes villes, il existe une très forte corrélation entre le contrôle démocratique et la criminalité violente…

    Utilisant des villes américaines comptant plus de 100 000 habitants et les statistiques les plus récentes du FBI sur les crimes violents, USA Today a dressé une liste des dix villes les plus dangereuses d’Amérique. Sur ces dix, huit sont actuellement dirigés par des maires et des conseils municipaux démocrates, et deux sont contrôlés par des indépendants. Sur les dix derniers maires de chacune des trois villes les plus violentes d'Amérique - Birmingham, Détroit et Saint-Louis - huit étaient démocrates. En tout et pour tout, les trois villes les plus violentes du pays sont sous contrôle démocratique quasi ininterrompu depuis plus d'un demi-siècle.

    La morale de l’histoire est la suivante: si vous voulez plus de crimes violents, votez pour les démocrates.

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  15. Sans surprise, il existe également une très forte corrélation entre le contrôle démocratique et la pauvreté.

    Selon le Los Angeles Times, la Californie sous contrôle démocratique a le taux de pauvreté le plus élevé de toute la nation…

    Devinez quel État a le taux de pauvreté le plus élevé du pays ? Pas le Mississippi, le Nouveau-Mexique ou la Virginie occidentale, mais la Californie, où près d’un habitant sur cinq est pauvre. C’est ce qui ressort de la mesure supplémentaire de la pauvreté du Bureau du recensement, qui prend en compte le coût du logement, de la nourriture, des services publics et des vêtements, et qui inclut l’aide gouvernementale non monétaire comme forme de revenu.

    Mais les démocrates ne sont-ils pas censés être ceux qui se soucient des pauvres ?

    Eh bien, ils consacrent certainement beaucoup d’argent au problème, mais tout cet argent ne semble pas aider. En fait, le Los Angeles Times a même admis que les dépenses de la Californie dans les programmes de lutte contre la pauvreté «semblent en réalité avoir aggravé la situation»…

    Ce n’est pas comme si les décideurs de la Californie avaient négligé de faire la guerre à la pauvreté. Sacramento et les gouvernements locaux ont dépensé des sommes considérables pour la cause. Plusieurs programmes d’avantages sociaux des États et des municipalités se chevauchent; dans certains cas, les personnes dont le revenu est 200 % au-dessus du seuil de pauvreté reçoivent des prestations. Les autorités étatiques et locales de la Californie ont dépensé près de 958 milliards de dollars de 1992 à 2015 en programmes de protection sociale, y compris les paiements en espèces, les paiements versés aux fournisseurs et «autres prestations sociales», selon le Census Bureau. La Californie, avec 12 % de la population américaine, accueille aujourd'hui environ un tiers des assistés sociaux.

    Les dépenses généreuses n’ont donc pas seulement permis de réduire la pauvreté; cela semble en fait avoir empiré les choses.

    C'est un constat étonnant du Los Angeles Times.

    Et la pauvreté ne se limite pas aux niveaux de crise en Californie.

    Vous ne serez sans doute pas surpris d'apprendre que neuf des dix villes les plus pauvres des États-Unis sont gérées par des démocrates…

    En se référant aux données recueillies par le US Census Bureau, CBS News a composé une liste des dix villes les plus pauvres des États-Unis. L'omniprésence de la gouvernance démocratique est renforcée dans ce contexte, neuf des dix villes les plus pauvres étant dirigées par des démocrates. Combinant les dix derniers maires des trois villes les plus pauvres - Philadelphie, Milwaukee et Detroit - il y a vingt-trois démocrates, trois socialistes, deux indépendants et deux républicains. Essentiellement, les trois villes les plus pauvres d’Amérique ont connu plus de gouvernance au cours des 50 dernières années par les socialistes que par les républicains, et le ratio entre la gouvernance démocratique et la gouvernance républicaine est d’environ 12: 1.

    Aie.

    Et même les villes contrôlées par les démocrates qui sont censées être «prospères» sur le plan économique sont encore confrontées à une situation sans précédent.

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  16. Par exemple, une enquête a révélé 300 piles de matières fécales humaines dans les rues du centre-ville de San Francisco. Ce qui suit vient de NPR…

    Les rues de San Francisco sont tellement sales qu’au moins un spécialiste des maladies infectieuses a comparé la ville à certains des bidonvilles les plus sales du monde.

    L'unité d'enquête de la région de la baie de NBC a enquêté sur 153 blocs de la ville en février, découvrant des tas de déchets et de nourriture géants dans la majorité des rues. Selon le rapport, au moins 100 aiguilles et plus de 300 excréments humains ont été retrouvés dans le centre-ville de San Francisco.

    Le Parti démocrate n'est certainement pas la solution et le Parti républicain fait souvent l'erreur d'essayer de se rapprocher du Parti démocrate pour tenter de gagner des électeurs indépendants. Mais dans le processus, le GOP semble avoir perdu les valeurs et les principes qui le rendaient si attrayant pour un si grand nombre d’entre nous.

    Nous avons besoin de nouvelles idées et nous avons désespérément besoin de revenir aux valeurs et aux principes qui ont fait de notre pays une si grande nation. C’est ce que je propose et c’est ce que défendent tant d’autres conservateurs de ce pays.

    Si nous continuons à faire ce que nous avons fait, nous continuerons à obtenir les mêmes résultats.

    Si nous voulons des résultats différents, nous avons besoin d’un réel changement, ce qui signifie que nous devons nous débarrasser de la plupart des gens qui occupent actuellement des postes politiques dans toute l’Amérique.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-09-27/snyder-poverty-crime-human-feces-worst-cities-america-are-being-run-democrats

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    1. Ce que Snyder 'oublie' volontairement de dire est que... les républicains font pareils !!

      Primo, le 'parti démocrate' n'a RIEN de démocrate et est CONTRE la Démocratie. Les USA n'est pas la seule dictature à user de cette supercherie en parlant de 'Démocratie'. La Démocratie c'est : Le Peuple Pour le Peuple, Par le Peuple. C'est à dire que SEUL le Peuple gouverne.

      C'est pourquoi il n'existe au monde qu'un seul pays en Démocratie: La Suisse.

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  17. Chapitre oublié: comment la CIA et la NSA ont aidé à créer Google pour épier le peuple


    21:48 27.09.2018


    En commémoration du 20e anniversaire de Google, nombreux ont été les médias mainstream à publier l'histoire du géant des moteurs de recherche, et notamment les moments clés de ces deux dernières décennies. Or, chaque récapitulatif semble omettre le rôle qu'auraient eues la CIA et d'autres agences de renseignement américaines dans sa création.
    Bien que le refrain traditionnel à l'occasion du 20e anniversaire de Google soit de se remémorer les moments décisifs de son développement, les liens du géant de la recherche avec la CIA et d'autres agences plus ou moins secrètes ont été passés sous silence. Recommençons depuis le début.

    Au début des années 1990, les services de renseignements américains lançaient une initiative audacieuse: en collaboration avec des universités et des entreprises vedettes de la Silicon Valley, en Californie, les agences d'espionnage cherchaient un moyen de surveiller les activités de certains groupes et individus.

    Dans le contexte du boom informatique, la Central Intelligence Agency (CIA) et la National Security Agency (NSA) ne sont pas restées les bras croisés. Souhaitant notamment en tirer profit, les agences se sont lancées dans la création d'une plateforme en ligne pour faciliter la collecte de données sur les citoyens.

    Et voilà que Google entre en scène.

    Démenti plausible

    Le renseignement américain a ainsi mis en place le programme de recherche Massive Digital Data Systems (MDDS), projet qui précisait les défis que les agences affrontaient et souhaitaient réaliser.

    «Les demandes changeantes exigent que la communauté de renseignement traite divers types et volumes de données. Par conséquent, cette communauté joue un rôle proactif dans la stimulation de la recherche en matière de gestion efficace de bases de données importantes, et cherche également à garantir que les exigences de la communauté de renseignement soient intégrées ou adaptées en produits commerciaux», s'était-il dit à l'époque lors d'un point de presse.

    «Les défis ne sont pas uniques pour chaque agence. […] Le personnel de la communauté de gestion a chargé le groupe de travail de Massive Digital Data Systems (MDDS) de répondre aux besoins et d'identifier et d'évaluer des solutions possibles».

    Pour parvenir à ces buts, les agences ont émis une dizaine de bourses pour un montant de quelques millions de dollars chacune et les a réparties entre plusieurs équipes dans différentes universités. Les bourses devaient aider à accomplir les tâches suivantes: identifier en ligne les empreintes digitales des individus et des groupes, lier et classer leurs requêtes par ordre d'importance, déchiffrer tous les schémas significatifs émergeant de ce « marais de données», tracer leurs futures traces numériques.

    En cas de succès, les détenteurs des bourses devraient être transférés dans le secteur privé pour que leur travail prenne plus d'ampleur. Un grand nombre de sociétés technologiques d'importance moderne ont ainsi connu leur essor — Google était parmi elles.

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  18. Les recherches réalisées dans le cadre des deux subventions constitueront avec le temps la raison d'être et le fruit du travail de deux chercheurs, Sergueï Brin et Larry Page, de Google, capable de rechercher des informations spécifiques à partir d'un vaste ensemble de données. C'était exactement ce que la CIA et la NSA avaient espéré créer.

    «En fait, la dernière fois que nous nous sommes rencontrés en septembre 1998, Brin nous a montré son moteur de recherche, qui est devenu Google peu après», écrit par la suite le Dr.Bhavani Thuraisingham avec qui les deux chercheurs coordonnaient régulièrement leurs projets.

    Le Dr.Bhavani Thuraisingham était un employé du groupe américain de défense MITER Corp., organisme dirigeant les efforts de recherche et de développement de la NSA, de la CIA et de l'US Air Force Research.

    Mentir ou tout simplement omettre?

    Les informations selon lesquelles la CIA a pu contribuer à la création de Google d'une manière ou d'une autre sont presque aussi anciennes que la société elle-même, qui rejette catégoriquement ces affirmations.

    Par exemple, en 2006 avait été largement discuté le fait que Google entretiendrait une relation de longue date avec les agences de renseignement américaines, recevant des fonds de la part de la communauté. Un porte-parole de la firme a fermement réfuté ces allégations, les qualifiant de complètement fausses.

    De même, l'histoire traditionnelle de l'entreprise évite d'évoquer les subventions de MDDS. L'œuvre scientifique de Brin et Page, L'anatomie d'un moteur de recherche Web hypertextuel à grande échelle, décrivant comment ils avaient créé Google, ne fait aucune mention de MDDS.

    Ainsi, s'il n'y avait pas eu le témoignage de Thuraisingham, on n'aurait peut-être rien appris sur une éventuelle subvention de MDDS accordée à Brin et Page. D'ailleurs, le professeur Jeffrey Ullman a dans un rapport de 2000 décrit Google comme un produit du projet de recherches.

    Puis un autre un document de 1998 qui mentionne Brin et Page comme auteurs, décrit Brin comme «partiellement soutenu par la communauté de gestion du programme MDDS».

    https://fr.sputniknews.com/international/201809271038270938-google-creation-liens-cia-nsa/

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