- ENTREE de SECOURS -



mercredi 26 septembre 2018

La richesse du 1 % supérieur dépasse les 100 billions de dollars: plus que le PIB mondial et tous les bilans des banques centrales

par Tyler Durden
Mar, 09/25/2018 - 17:45


En mars dernier, en regardant la dernière vague politique en Europe, Jim Reid de la Deutsche Bank a écrit un rapport selon lequel "il est difficile de s’éloigner du fait que le populisme traverse actuellement une explosion de soutien" dont Le vote de non-confiance du Premier ministre suédois Lofven n'était que le dernier exemple. La DB se concentre sur l’Europe, comme le montre le graphique suivant, et note que le chômage élevé des jeunes à deux chiffres est devenu un foyer pour le sentiment anti-établissement, qui a tout à voir avec l’économie et le manque d’opportunités.


La banque allemande a alors averti que "l'ordre mondial libéral" est en péril et a conclu de manière assez inquiétante:

À l'heure actuelle, la montée du populisme n'a pas encore déstabilisé les marchés, mais nous avons du mal à éviter le fait que les niveaux d'incertitude devraient rester élevés alors que de tels courtiers du pouvoir restent aux grandes élections. En effet, l'imprévisibilité des politiques de Trump en est un exemple, avec les récentes menaces tarifaires qui ont par la suite exacerbé les préoccupations du marché concernant une guerre commerciale. Au moment où les banques centrales mondiales se dirigent vers une ère sans précédent de resserrement et de gestion d’années d’achats massifs d’actifs, la montée du soutien populiste risque de perturber gravement l’équilibre qui prévaut ces dernières années et, par la suite, les marchés.

Aujourd'hui, lorsque Barnaby Martin, stratège de la Bank of America, aborde la question épineuse du populisme ascendant, qu'il attribue à la "décennie perdue" suite à la faillite de Lehman et à ce qu'il appelle "l'ère de l'orgueil" a vu sa richesse collective dépasser 100 milliards de dollars.

Martin Martin rappelle d'abord que «l'effondrement de Lehman Brothers a provoqué une onde de choc sur les marchés financiers il y a dix ans», ce à quoi la banque centrale a apporté un soutien sans précédent, tant en termes de taille que de créativité.

Et comme nous l’avons constaté à maintes reprises, les banques centrales jouant un rôle de levier, les marchés financiers ont surperformé les actifs réels au cours de la dernière décennie. Cependant, la dichotomie est souvent stupéfiante:

Il convient de noter que le rendement total cumulé de l’indice ICE BofAML depuis l’année 2008 est de 50 %, mais que la croissance des prix de l’immobilier au niveau mondial n’a été que de 1 %.


En termes simples, la dernière décennie a vu les personnes qui détiennent des actifs financiers devenir plus riches, alors que les marchés ont bondi; Pendant ce temps, les plus démunis - la grande majorité de la classe moyenne - ont été de plus en plus laissés pour compte, même si la croissance des salaires est restée stagnante et que les gouvernements endettés ont lutté pour apporter un soutien social solide. En conséquence, une grande vague de populisme est apparue comme "des problèmes tels que la richesse et l'inégalité des revenus ont commencé à polariser les sociétés beaucoup plus".

Le graphique suivant montre de manière stupéfiante à quel point les riches sont «riches» aujourd'hui, en particulier par rapport à d'autres grands nombres et marchés. Selon BofA estime que la richesse du top 1 % mondial a dépassé les 100 milliards de dollars maintenant… un chiffre supérieur à la somme des bilans des 4 grandes banques centrales, du PIB mondial actuel et du coût de la crise financière mondiale 2007-2008 , par exemple.


La grande division entre les nantis et les démunis s’est manifestée non seulement en termes de richesse accumulée, mais aussi en termes de revenus, car les riches ont davantage de possibilités de générer des revenus, principalement grâce à une meilleure technologie et à une meilleure éducation. Ce sont donc principalement les riches qui ont pu récolter les fruits de la mondialisation, et peut-être la raison pour laquelle les «moins riches» ont voulu démanteler le système mondialiste et être prêts à écouter, à suivre et à voter tout dirigeant populiste. qui le promet.

Pendant ce temps, les 1 % les plus riches du monde ont connu une croissance impressionnante de leurs revenus depuis 1980 - dans de nombreux cas, des multiples de ceux des moins nantis de la société. Notez également ce que Martin appelle le «creusement» de la classe moyenne au cours de cette période - où la croissance des revenus a été la plus faible - car «beaucoup ont simplement trouvé leur emploi remplacé par des travailleurs hautement qualifiés ou peu qualifiés».


Ce qui nous ramène au sujet central: la montée du mécontentement social, qui se manifeste par un populisme croissant. En observant l’inégalité croissante des revenus et des revenus, Martin écrit que ces facteurs ont été "importants (mais pas les seuls) contribuant à la montée des frustrations et du ressentiment des électeurs à travers le monde".

Le résultat, comme l’a montré Deutsche Bank en mars dernier, a été que les électeurs adoptent de plus en plus des partis «populistes» ou «anti-établissements» dans l’espoir de temps meilleurs

Comme le montre le graphique suivant, l’évolution des tendances des électeurs populistes est évidente depuis la fin des années 80, avec une tendance à la hausse dans l’ère post-GFC.

Il y a peu de signes de disparition. À la fin de 2017, dix gouvernements en Europe comprenaient un ou plusieurs partis populistes autoritaires, selon Timbro. Le soutien des électeurs aux partis populistes d'extrême gauche a également augmenté depuis 2011.


Dans sa conclusion, Martin fait écho à Reid, affirmant que "la hausse continue des inégalités de revenus et de richesse suggère que le populisme est là pour durer", mais il reste à voir son efficacité pour lutter contre les inégalités et apaiser les frustrations des électeurs.

Pendant ce temps, même les économies qui ont connu une forte croissance ces derniers temps ont eu du mal à générer une «croissance inclusive», devenant plutôt les nouvelles causes mondiales d'inégalité généralisée. Comme le montre le graphique suivant, l’inégalité des revenus en Chine a considérablement augmenté depuis 1990, en dépit d’une très forte dynamique économique.


Ce qui est ironique, c’est que depuis 2008, le gouvernement chinois - qui est terrorisé par une révolte de la classe moyenne - a introduit des mesures visant spécifiquement à réduire les inégalités. Mais, comme le montre le graphique 4, bien que cela ait ralenti la montée des inégalités de revenus en Chine, il ne l’a pas encore réduit de manière significative. La Chine sera-t-elle à l’origine de la prochaine révolution sociale alors que le peuple décidera que ses dirigeants "communistes" les ont trahis et prennent les choses en main.

31 commentaires:

  1. Ex-directeur de Google: le monde bientôt divisé entre deux internets


    14:10 26.09.2018
    Vestifinance.ru
    Dossier: Traduction de la presse russe (septembre 2018)


    Dans dix ans, deux internets différents dans le parallélisme: l'un aux USA et l'autre en Chine, selon Eric Schmidt, ancien directeur exécutif de Google.

    L'économiste Tyler Cohen a demandé à Eric Schmidt quelle était la probabilité d'une fragmentation d'internet avec le temps, écrit mardi 25 septembre le site d'information Vestifinance.

    «Je pense que le scénario le plus probable aujourd'hui n'est pas celui d'une scission, mais d'une bifurcation - une séparation entre l'internet sous la direction de la Chine et l'internet non chinois sous le contrôle des ETATS-UNIS. En regardant la Chine aujourd'hui, on peut voir des entreprises et des services recréés. L'internet est un pourcentage plus élevé que le PIB chinois: cette partie est plus importante aux USA où elle est déjà importante », a déclaré Eric Schmidt.

    L'ex-patron de Google prédit que prochainement, les produits et les services informatiques chinois seront en tête, c'est pourquoi il existe un risque avec ces produits et services à un autre régime politique avec une censure, un contrôle » .

    «Regardez ce qui est mis en œuvre à la date de 60 jours: il est tout à fait possible que ceux-ci payent perte de liberté », poursuit Eric Schmidt.

    «La Ceinture et la Route» est un projet de Pékin pour renforcer la politique et l'économie chinoise en menant tous les types de commerce, y compris le commerce numérique, avec les pays d'Europe, d'Afrique, du Moyen -Orient et d'Asie.

    Cette initiative a une grande signification pour la Chine et son dirigeant également bien du point de vue politique économique. Si elle parvenait à son terme, Pékin est l'auteur de la première puissance mondiale, et son dirigeant le plus influent de la planète.

    Début août, Google a annoncé que Google en Chine après avoir abandonné le marché en 2010 à cause des blocages: le gouvernement chinois régule directement l'internet dans le pays. Les postes de la compagnie ont également été promus par la concurrence avec Baidu, un équivalent chinois de Google.

    Les opinions exprimées dans ce contenu n'agissent pas sur la responsabilité de l'auteur.

    https://fr.sputniknews.com/presse/201809261038247481-eric-schmidt-internet-chinois-us/

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    1. Face à la censure de la Démocratie (Internet), la Chine réagit avec Baidu qui se fera un plaisir d'accueillir les internautes du monde entier ainsi que la copie de leurs sites.
      Faut dire que les dernières déclarations sur 'les droits d'auteur' et de celui qui a inventé la roue en premier, la dictature n'y va pas de main-morte ! Empêchant de citer quelconque information véridique et obligeant les bloggers à cesser de publier ou de se soumettre aux fausses informations !

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  2. L’industrie de l’énergie charbonnière en Chine mise en question par une ONG USCC


    14:16 26.09.2018


    Sur fond des tensions commerciales croissantes entre les États-Unis et la Chine, une ONG américaine a publié des données sur une expansion significative des centrales à charbon en Chine, bien que le pays ait officiellement ordonné l’annulation de ces projets.

    Avant son mandat, Donald Trump avait fait une promesse électorale: redorer l'industrie charbonnière et préserver les milliers d'emplois qui en dépendent aux États-Unis. Pour atteindre cet objectif, il avait retiré son pays de l'accord de Paris sur climat de 2015. En 2018, dans un contexte de différends commerciaux entre la Chine et les États-Unis, une ONG américaine nommé Coalswarm a publié des données sur l'expansion des centrales électriques fonctionnant au charbon en Chine en pointant la pollution qui en résultait, bien que les États-Unis suivent la Chine en quantité de la production d'énergie charbonnière.

    Se référant à des photos prises par satellite de différentes régions chinoises en 2018, l'ONG a trouvé des tours aéroréfrigérantes et de nouveaux bâtiments qui n'étaient pas présents l'année précédente, écrit The Guardian. Selon le groupe de recherches, il s'agit d'un véritable «tsunami» de centrales à charbon qui boosteront les capacités de production de ce type d'énergie en Chine de 25 %.

    La capacité totale des nouvelles centrales à charbon est d'environ 259 GW (gigawatts) supérieure à celle américaine et «totalement hors normes» par rapport à l'accord de Paris sur le climat, a indiqué le groupe dans un nouveau rapport.

    «Cette nouvelle preuve que le gouvernement central chinois n'a pas été en mesure d'arrêter la construction de centrales électriques au charbon est alarmante: la planète ne peut tolérer la constitution d'un autre bloc comme celui aux États-Unis», a déclaré Ted Nace, directeur exécutif de CoalSwarm, qui est financé par des groupes verts internationaux et des dons privés.

    Un grand nombre de centrales électriques remontent à la flambée des années 2014-2016, lorsque l'autorisation de construction a été transférée de Pékin aux autorités provinciales. Cela a conduit à une multiplication par trois des permis délivrés entre 2013 et 2015. En réponse, en 2016 et 2017, le gouvernement chinois avait ordonné que les projets soient reportés ou annulés.

    Mais les photos satellites analysées par Coalswarm montrent que des travaux de construction sont toujours en cours, y compris concernant la station Huadian Nanxiong dans le sud-est de la Chine. Bien que le gouvernement ait ordonné la fermeture de l'usine en janvier 2017, deux tours aéroréfrigérantes ont vu le jour en mars 2018.

    Selon le plan quinquennal chinois, cité par le groupe, il ne devrait pas y avoir plus de 1.100 GW d'énergie produite par les centrales à charbon d'ici 2020, mais l'augmentation de 259 GW par les nouvelles centrales alors que la capacité existante était déjà de 993 GW dépasse cette limite, écrit le journal britannique.

    Étant donné que la Chine représente environ la moitié de la capacité mondiale d'exploitation du charbon, «la politique du charbon du pays a un effet considérable sur les perspectives climatiques mondiales», conclut le groupe, appelant le pays à agir rapidement pour annuler les projets.

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  3. Dans le même temps, la Chine intensifie ses efforts dans le domaine des énergies renouvelables en proposant des objectifs de consommation d'énergie verte plus élevés. Selon un projet de la Commission nationale du développement et de la réforme, examiné par Bloomberg, le plus grand consommateur d’énergie au monde ambitionne que les énergies renouvelables représentent au moins 35% de la consommation d’électricité d’ici à 2030.

    En 2009, les États-Unis comptaient 1.436 centrales à charbon d'une capacité de 339 GW. En 2016, à la fin du second mandat de Barack Obama, le nombre de centrales au charbon avait diminué de 400 unités, ce qui avait fait tomber de 61 GW la capacité existante de l'État. De 2012 à 2015, la production de charbon aux États-Unis avait diminué de 432 millions de tonnes. Toutefois, après la première année du mandat de Trump, elle a augmenté de 46 millions de tonnes. En 2017, les États-Unis ont consommé 664,75 million de tonnes d'énergie charbonnière.

    En retirant les États-Unis de l'accord de Paris, Donald Trump avait mis fin à «la guerre contre le charbon». Lors d'un discours sur le développement du secteur énergétique, le Président s'était dit «très fier» de sa décision, qui permettrait, selon lui, de «protéger les travailleurs américains et les entreprises américaines» d'un accord contre le réchauffement climatique, conclu fin 2015, qu'il jugeait contraire à la souveraineté nationale.

    https://fr.sputniknews.com/international/201809261038247454-industrie-charbon-centrales-ong/

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    1. On ne peut comparer QUE ce qui est comparable !

      La Chine a 1 milliard 300 millions d'habitants et, les USA seulement 317 millions. Quant à parler 'du monde entier' pour la proportion... Hahahaha !

      Très peu d'habitants d'Afrique ou d'autres pays chauds utilisent le charbon !
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      Pollution et pollution



      jeudi 13 novembre 2014

      http://globaleconomicanalysis.blogspot.fr/2014/11/historic-hype-over-global-warming.html


      Pareillement qu'il est facile d'accuser une famille nombreuse de plus consommer qu'un célibataire et donc de taxer le grand nombre de tous les maux de la Terre, dernièrement un économiste a publié un graphique sur les pays les plus gros consommateurs de pétrole (donc: pollueurs). Graphique qui montrait la Chine, les USA, l'Inde et la Russie les quatre premiers d'une liste de 19 pays sélectionnés comme étant les plus pollueurs.

      Oui mais, de la même façon que l'on peut citer Monaco et Macao comme étant les pays les plus peuplés de la Terre (au km²), je répondrais pour les pollueurs que c'est en fait le contraire !

      Compte tenu du nombre d'habitants et de la quantité de pétrole consommée, l'Arabie Saoudite arrive largement en tête des pays les plus pollueurs de la Terre ! Cela vous étonne ? C'est bien d'ailleurs la première fois que vous lisez un tel article face au bassinnage médiatique quotidien que c'est La Chine qui est le plus gros pollueur monstrueux de la Terre !

      1 -- Arabie Saoudite
      2 -- Australie
      3 -- Canada
      4 -- USA
      5 -- Corée du Sud
      6 -- Russie
      7 -- Allemagne
      8 -- Afrique du Sud
      9 -- Japon
      10 - Italie
      11 - Royaume-Uni
      12 - Chine
      13 - Turquie
      14 - Argentine
      15 - Mexique
      16 - Inde
      17 - Indonésie
      18 - France
      19 - Brésil

      C'est bien en divisant la quantité de pollution émise par le nombre d'habitants que l'on peut mieux se rendre compte de la vérité cachée !

      Car, c'est bien au nombre d'habitants qu'il faut regarder (et non à la superficie d'un pays). L'Alaska avec ses 731.000 hab. et 1.717.854 km² consomme plus d'énergie par le fait qu'il y fait froid et que la lumière est manquante dans l'hiver long. Pareillement que le sont d'autres en Europe du Nord (Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, etc) mais qui ne sont listés dans les 19 choisis, la consommation de pétrole par habitant doit être plus élevée qu'en Afrique, car je ne pense pas qu'ils aient choisi de brûler du bois des forêts où les arbres poussent lentement, ni qu'ils se contentent de se chauffer avec des arètes de poissons !

      Et c'est bien pourquoi la Chine et le Brésil (entr'autres) ont toujours refusé de s'acquitter de la taxe aéroportuaire pour les avions en ce qui concerne le gazcarbonique décrit comme étant La pollution !!

      Ce qui est malheureusement désigné comme pollution est le gazcarbonique que nous rejetons continuellement en respirant, d'où chaque habitant de la Terre (animaux y compris) montré comme pollueur !! Pareillement que le fumier est une pollution, c'est bien cette pollution qui fait pousser les plantes !! et NOUS NOURRIT TOUS LES JOURS !

      D'où le merci à la pollution d'être là sans quoi nous n'y serions pas !

      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/pollution-et-pollution.html

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  4. Ces animaux qui ont poussé le monde vers la catastrophe écologique


    12:55 26.09.2018


    L'homme n'est pas le seul à polluer l'environnement: les vaches, les moutons, les castors, les arbres ainsi que les microorganismes ont commencé à transformer activement la planète bien avant l'apparition des humains.

    Qui sont ces autres êtres vivants qui ont poussé la biosphère au bord de la survie ?

    L'oxygénation de la nouvelle atmosphère

    Pendant très longtemps, l'hydrosphère et l'atmosphère de la Terre étaient dénuées d'oxygène. Le gaz carbonique, le méthane, le sulfure d'hydrogène et l'ammoniac prédominaient dans l'air et dans l'eau. La planète était donc essentiellement peuplée d'organismes anaérobies n'ayant pas besoin d'oxygène. La nourriture suffisait pour tous et les anaérobies prospéraient. Il y a environ 2,5 milliards d'années — voire plus tôt — les cyanobactéries ont appris à fabriquer de l'oxygène libre, ce qui a marqué le début de la fin du monde tel qu'il existait jusqu'alors.

    D'abord, l'oxygène libre produit par les microorganismes a été absorbé par les roches des montagnes et la couche d'ozone s'est formée. Quand les roches de surface et les gaz se sont oxydés, l'oxygène est parti dans l'atmosphère. Il y a environ 850-600 millions d'années, sa teneur est devenue si élevée que l'air est devenu littéralement empoisonné.

    Ce fut une véritable catastrophe pour les anaérobies, sur lesquels l'oxygène agit comme un terrible poison: la majeure partie des organismes protérozoïques a donc disparu. Peu sont restés, et parmi eux nos ancêtres lointains qui ont réussi à s'adapter et à s'habituer au gaz mortel.

    Ce qui, d'ailleurs, a été bénéfique pour eux: l'échange oxygéné permet d'obtenir bien plus d'énergie et donc d'augmenter la taille du corps et de synthétiser de nouvelles substances. Plus la cellule est grande, plus elle contient d'ADN et plus sa structure est complexe — par conséquent il y a une chance que l'organisme devienne multicellulaire. Ainsi, cette catastrophe écologique préhistorique a constitué le premier pas vers l'apparition de l'homme.

    Les poissons sortent de l'eau

    Il y a 400 millions d'années, pendant le Dévonien, le climat était très chaud sur Terre et les bassins peu profonds s'asséchaient constamment. Au contraire, les plus grands étaient remplis de plantes de plusieurs mètres qui tombaient à cause de leur système racinaire sous-développé.

    A notre époque, des myriades d'organismes décomposeurs se seraient jetés sur la matière organique pour la transformer en matière non organique ou en corps organiques simples. Mais à l'époque, ils étaient peu nombreux sur notre planète et n'arrivaient pas à digérer tous les troncs noyés. D'autant que la «digestion» des arbres consommait pratiquement tout l'oxygène contenu dans l'eau. C'est pourquoi, comme le souligne dans ses travaux l'anthropologue russe Stanislav Drobychevski, la mort massive était chose courante pour les poissons du Dévonien.

    Au final, les plus rusés d'entre eux, y compris nos ancêtres crossoptérygiens, se sont dotés de poumons et d'un cou. Et pour mieux contourner les tas d'arbres dans les bassins, ils ont d'abord marché sur le fond (les nageoires se sont transformées en membres coniques, devenus ensuite des pattes), avant de sortir à la surface.

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  5. La menace des gaz à effet de serre

    La troisième grande catastrophe écologique pourrait se produire très bientôt à cause de l'effet de serre, qui entraîne un réchauffement climatique. Ce processus est dû non seulement à l'homme, mais aussi aux vaches — plus exactement à leur système digestif.

    L'intestin des vaches, pendant le processus de fermentation digestive, forme du méthane — l'un des principaux gaz à effet de serre. En émettant leur gaz, les animaux renforcent l'effet de serre.

    En 2006, les experts de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture ont déclaré que 18 % des gaz à effet de serre «anthropogènes» étaient en réalité émis par le gros bétail. Deux ans plus tard, des chercheurs néerlandais ont calculé qu'une vache produisait 400 à 500 litres de méthane par jour. En donnant à l'animal des aliments plus nutritifs, la quantité de méthane émise diminuerait nettement.

    Cependant, la tâche n'est pas aisée, affirment les chercheurs allemands et britanniques. La qualité de la nourriture dépend de l'environnement et dans les régions plus chaudes, le fourrage est moins nutritif car avec des températures élevées la quantité des fibres difficiles à digérer dans les herbes augmente. Ainsi, le réchauffement climatique réduit la qualité de la nourriture et les vaches émettent davantage de méthane dans l'atmosphère, ce qui augmente encore la température. Il ne serait possible de stopper ce cercle vicieux qu'en réduisant significativement la quantité de bétail, estiment les spécialistes.

    Rivières marécageuses = atmosphère empoisonnée

    Hormis les vaches, les castors sont également responsables du réchauffement climatique. D'après les biologistes de l'université Cornell (USA), les barrages construits par ces animaux rendent marécageux les rives des bassins, ce qui émet du méthane et du gaz carbonique dans l'atmosphère. Sachant que la quantité de méthane produite est dix fois supérieure à celle d'une zone marécageuse ordinaire.

    Des résultats similaires ont été obtenus par les collaborateurs de l'université de la Saskatchewan (Canada), qui ont montré que le castor canadien (Castor canadensis), augmentait significativement l'émission de méthane dans l'atmosphère en construisant des barrages et des cabanes.

    Au contraire, le castor ordinaire qui vit en Eurasie influence positivement la circulation du carbone. Après avoir étudié la population de ces animaux dans le bassin d'Ob, des chercheurs russes et français ont également constaté un haut niveau de gaz carbonique et de méthane dans l'eau près des barrages. Mais ils ajoutent que l'activité des castors accélère le cycle local du carbone. De plus, les barrages retiennent des matières organiques empêchant le courant de les emporter dans l'Ob, ce qui permet de nourrir d'autres habitants du fleuve où les castors construisent un barrage.

    Ils ont tout mangé !

    Les moutons sont capables d'éradiquer toutes les plantes comestibles, y compris les racines. En rongeant l'écorce des arbres, ces animaux les condamnent à une croissance lente. Des chercheurs norvégiens et britanniques, qui ont observé pendant neuf ans un pâturage de brebis dans une forêt de bouleaux au sud de la Norvège, ont découvert que les anneaux de croissance des bouleaux dont se nourrissaient les moutons étaient bien plus étroits par rapport aux arbres épargnés. Les anneaux de croissance étroits témoignent généralement de conditions de température défavorables, quand les arbres manquent de matières nutritives. Selon ces informations, les animaux herbivores ralentissent encore plus la croissance des bouleaux, influençant ainsi le climat.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201809261038245898-animaux-catastrophe-ecologique-monde/

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    1. (...) La troisième grande catastrophe écologique pourrait se produire très bientôt à cause de l'effet de serre, qui entraîne un réchauffement climatique.(...)

      HAHAHAHA !

      "Si nous sommes préoccupés par le réchauffement climatique causé par le gaz carbonique, cela ne serait-il pas pire si nous conduisions tous des voitures qui avaient de la vapeur d'eau à l'échappement ?"

      https://wattsupwiththat.com/2017/09/07/the-making-of-a-climate-skeptic-at-university/

      La vapeur d'eau qui a une masse volumique inférieure de 1600 fois à celle de l'eau liquide.

      95 % de notre atmosphère EST composée de vapeur d'eau. Qui n'est même pas un 'gaz à effet de serre' vue que les nuages ne sont pas présent partout.

      La chaleur émise par les millions (milliards ?) de volcans sous-océaniques & sous-marins monte en surface et est emportée par les courants marins jusqu'aux côtes où elle adoucit le climat. Mais, c'est seulement une petite partie de la chaleur émise car, sitôt arrivée en surface: la chaleur monte ! Monte dans le ciel où elle perd très vite 1°C tous les 100 mètres. Arrivée en haut elle forme des nuages plus ou moins froids (pluie, neige) suivant l'altitude vue qu'en dehors de notre planète l'espace (où circulent parfois les avions) est à -40°C !

      D'où l'idiotie d'un quelconque réchauffement à venir !

      De plus, TOUS les gaz se recyclent immédiatement depuis toujours et pour toujours. Sans cette transformation physique l'homme ne serait JAMAIS apparu sur Terre.

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  6. LES DIESEL DE PLUS DE 13 ANS INTERDITS À PARIS DÈS L'ÉTÉ 2019


    par MARIE-EVE WILSON-JAMIN
    26/09/2018


    La maire de Paris, Anne Hidalgo, poursuit son combat contre la pollution dans la capitale : dès le 1er juillet 2019, les véhicules munis d'une vignette Crit'Air 4 seront interdits.

    Les véhicules porteurs de la vignette Crit'Air 4 interdits dans Paris dès l'été 2019

    En 2019, dans Paris, les véhicules diesel aux vignettes Crit'Air 4 seront interdits à la circulation et, ce, dès le 1er juillet. C'est l'annonce d'Anne Hidalgo dans une interview donnée au Monde. La maire de la capitale poursuit donc sa lutte contre la pollution. Cela signifie que « les voitures diesel immatriculées avant 2006, les poids lourds d’avant 2009 mais aussi les deux-roues d’avant 2004 » a détaillé Anne Hidalgo.

    En revanche, cette restriction de circulation ne concerne que les jours de semaine. Ainsi, ces véhicules de plus de 13 ans pourront circuler et polluer à Paris le week-end. Cette décision prise par Anne Hidalgo fait suite à l'interdiction des plus vieilles voitures depuis le 1er juillet 2016 et les véhicules disposant de la vignette Crit’Air 5 depuis le 1er juillet 2017.

    790 839 véhicules diesel concernés

    Au final, un véhicule diesel devra donc avoir 13 ans maximum pour avoir le droit d’entrer dans Paris intra-muros. Cela concerne tout de même 790 839 véhicules porteurs de la vignette Crit’Air 4 en Île-de-France, selon les spécialistes de la donnée automobile, AAA Data. Et suivant certains départements franciliens sont plus impactés que d'autres. En effet, selon BFMTV, en Seine-Saint-Denis le nombre de voitures pucées Crit’Air 4 est le plus élevé : 128 015. Après avoir ouvert les voies sur berge aux vélos et instaurer une journée sans voiture dans la capitale, la maire poursuit son action avec pour objectif de supprimer tous les véhicules diesel dans Paris d’ici 2024, année des Jeux Olympiques, et les voitures essence en 2030.

    Pour rappel, la vignette Crit'Air a été instaurée pour lutter contre la pollution atmosphérique et la limiter dans les grandes villes. Ce 1er octobre, Rennes va adopter à son tour la circulation différenciée. En cas de pic de pollution, seuls les véhicules dotés de la vignette Crit'Air peuvent rouler. La ville bretonne rejoint ainsi Grenoble, Lyon, Toulouse, Lille ou Paris qui appliquent déjà la mesure. La vignette est valable sur l'ensemble du territoire.

    Ces vignettes peuvent être commandées sur le site internet gouvernemental. Pour un envoi en France, la vignette et le port reviennent à 3,62 euros. La Dreal, le service préfectoral en charge de la vignette rappelle qu'il existe un seul et unique prix : 3,62 euros. Pourtant, de nombreux autres tarifs sont proposés sur Internet : 7,08 euros ou encore 9,50 euros, et même jusqu'à 24,90 euros. Gare aux arnaques !

    http://www.economiematin.fr/news-diesel-plus-13-ans-interdits-paris-ete-2019-critair-vignettes-pollution-jo

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    1. (...) mais aussi les deux-roues d’avant 2004 (...)

      Motos et cyclomoteurs diesel ?!

      Faut dire que tous les deux-roues fabriqués depuis l'an 2000 tombent régulièrement en panne cause aux mauvais matériaux de fabrication et surtout aux gadgets électroniques reliés par satellites qui, comme les appareils photographiques numériques, sont mis en panne par satellite ou, comme pour les imprimantes, une durée de vie limitée par obsolescence programmée !

      Rappelons que le diesel tue plus de 40 000 personnes en France, en Allemagne ou en Angleterre PAR AN ! (quelques fois plus que les 'accidents de la route à 30 ou 40 km/h !!' mais qui sont pénalisés par radars !)

      On sait qui tue ! On sait !

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  7. Boom du charbon secret en Chine. Les photos montrent une construction massive dans des usines «fermées». La mort du charbon est FakeNews.

    September 26th, 2018


    La Chine a annoncé qu'elle arrêterait la construction de centrales électriques au charbon, mais les activistes de la CoalSwarm l'ont rattrapée en redémarrant la construction dans de nombreuses usines. C’est un tsunami de centrales au charbon selon EndCoal. Nous parlons d’une nouvelle capacité de 259 GW, soit la totalité de la flotte de charbon des États-Unis ou plus de dix fois la flotte totale de charbon australienne (23 GW).

    La Chine a déclaré que cela avait été fait avec ces centrales au charbon. Les images satellites montrent le contraire.

    Par Nathanael Johnson le 25 septembre 2018

    Selon CoalSwarm, des photos satellites récemment publiées semblent montrer que la construction de centrales au charbon a été interrompue par la Chine.

    En janvier 2017, la Chine a annoncé qu'elle annulait plus de 100 centrales à charbon dans 13 provinces. A l’époque, un chercheur familier avec la politique chinoise a déclaré que les responsables régionaux pourraient essayer de contourner l’ordre du gouvernement central.

    L’usine de Huadian a été suspendue en janvier 2017, mais regardez ces tours de refroidissement…. (Faites glisser la ligne centrale à gauche et à droite).


    L'imagerie satellitaire de Planet, de février 2017 à mars 2018, montre clairement la construction en cours à l'usine.

    Matt McGrath, BBC News

    Selon une analyse de l’imagerie satellitaire, les travaux de construction ont repris dans des centaines de centrales chinoises alimentées au charbon.

    La recherche, menée par des militants de la campagne verte, CoalSwarm, suggère que 259 gigawatts de nouvelles capacités sont en développement en Chine. Les auteurs affirment qu'il s'agit de la même capacité de production d'électricité que toute la flotte de charbon américaine. L'étude indique que les tentatives du gouvernement pour annuler de nombreuses usines ont échoué. … Entre 2014 et 2016, de nouveaux projets de charbon ont été approuvés au niveau provincial en Chine. Cela est dû à un programme de décentralisation qui a transféré aux autorités locales les autorisations de construction de centrales au charbon. Le rapport indique qu’à l’heure actuelle, la Chine possède une capacité de production de charbon de 993 gigawatts, mais que les nouvelles centrales approuvées augmenteraient ce chiffre de 25 %.

    L’augmentation des nouveaux projets dépassera le plafond de 1100 GW en Chine prévu dans le plan quinquennal.

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  8. Apparemment, cela créera plus d'éléphants blancs. Le génie de la planification communiste:

    «La flotte de charbon chinoise fonctionnant moins de la moitié du temps, une capacité de production de charbon supplémentaire de 259 GW n’est pas nécessaire et représente des dépenses en capital de 210 milliards de dollars qui pourraient financer près de 300 GW d’énergie solaire ou 175 GW.

    - Endcoal

    Qui sait quelle est la vérité ? Les prix du charbon augmentent.

    Le charbon est le seul atout mourant où les gens veulent plus et paient plus
    La vérité inconvenante de la hausse des prix du charbon

    Tim Treadgold, Forbes

    Les prix du charbon ne sont pas censés augmenter à mesure que les gouvernements renforcent les contrôles environnementaux, mais c’est précisément ce qui se passe à la pointe du marché du charbon, où les prix ont grimpé en flèche.

    Au cours des six derniers mois, le prix du charbon thermique de première qualité exporté du port australien de Newcastle a augmenté de 25 % pour atteindre 115 dollars la tonne, une évolution reflétée par les cours des exportateurs australiens de charbon, tels que Whitehaven Coal. 27 % sur la même période et Stanmore Coal, ce qui représente une hausse de 16 %.

    h / t El Gordo, GWPF


    RÉFÉRENCE
    Charbon australien, chapitre 2. Parlement australien. Plus précisément, la communication du Australian Energy Council 44. Tableau 1. Nov 2016 (moins Hazelwood).

    - voir photos sur site:

    http://joannenova.com.au/2018/09/secret-coal-boom-in-china-photos-show-massive-construction-at-closed-plants-death-of-coal-is-fakenews/#more-60663

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  9. "Nous avons commis des erreurs" sur la confidentialité des données, Google Executive dit au Sénat


    par Tyler Durden
    Mer, 09/26/2018 - 08:16


    Dans ce qui sera la dernière d’une série de mea culpas géants de la technologie, Google envisage d’admettre qu’il a commis des «erreurs» en matière de confidentialité quand un dirigeant de la société a témoigné devant la commission du commerce du Sénat mercredi, selon Reuters. "Nous reconnaissons que nous avons commis des erreurs par le passé, à partir desquelles nous avons appris, et amélioré notre solide programme de confidentialité", a déclaré Keith Enright, responsable de la protection des données de Google.

    Cependant, le témoignage n'a pas identifié d'erreurs spécifiques et, pire encore, le comportement de Google a été tout sauf contrit. Et la société a déçu de nombreux défenseurs de la vie privée en début de semaine en déclarant qu’elle continuerait à autoriser les applications tierces à analyser le contenu des comptes Gmail des utilisateurs.

    La société a été vivement critiquée pour la pratique au cours de l’été, lorsqu’elle a été révélée pour la première fois.

    Selon CNET, l'audience de mercredi se concentrera sur les efforts des entreprises technologiques et des fournisseurs de services Internet pour protéger la vie privée des utilisateurs. Des dirigeants d’Apple, d’Amazon, d’AT & T et de Twitter témoigneront également lors de l’audience, qui est la dernière d’une série d’interrogations de sociétés technologiques depuis que le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a témoigné devant les comités sénatoriaux du commerce et du commerce. après le scandale de Cambridge Analytica.

    Le PDG de Google devrait également rencontrer en privé des législateurs républicains.

    Google a publié lundi un cadre de protection des données, proposant aux entreprises de limiter la collecte de données, de protéger ces données et de permettre aux utilisateurs d’accéder facilement aux informations collectées à leur sujet.

    Le PDG de Google, Sundar Pichai, rencontrera également en privé les principaux membres républicains du Congrès vendredi.

    L’alphabet parent de Google a un passé très chargé en matière de protection de la vie privée, comme le souligne Reuters:

    En 2012, Google a accepté de payer une amende record de 22,5 millions de dollars pour régler les accusations de la Federal Trade Commission selon lesquelles il ne présenterait pas de "cookies" de suivi ni de publicités ciblées.

    Un an plus tôt, Google avait accepté un accord de confidentialité avec FTC et des audits de confidentialité réguliers pendant 20 ans après que le gouvernement lui avait imputé des tactiques trompeuses et violé les promesses de confidentialité des consommateurs lors du lancement de son réseau social Google Buzz.

    En août, Alphabet a été poursuivi et accusé de traquer illégalement des millions d’utilisateurs d’iPhone et de téléphones Android, même en utilisant un paramètre de confidentialité pour l’empêcher.

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  10. Le président du comité sénatorial du commerce, John Thune, a déclaré cette semaine que le Congrès devait travailler sur une loi qui consacrerait la protection des consommateurs au niveau fédéral. Les entreprises de technologie ont accepté les demandes des législateurs, car elles espèrent que toute législation fédérale sera moins restrictive qu'une loi californienne sur la confidentialité des données qui est devenue la loi de facto du pays.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-09-26/we-have-made-mistakes-data-privacy-google-executive-tells-senate

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  11. La répression financière : comment on nous spolie de manière légale


    25 SEPTEMBRE 2018
    Audrey Duperron


    Le niveau d'endettement record des Etats pousse les banques centrales à prendre des mesures spécifiques pour limiter qu'ils se retrouvent en difficulté financière. Mais ces mesures ne sont pas neutres pour les citoyens ordinaires et les entreprises.

    Un grand nombre de pays ont une dette publique particulièrement élevée, en particulier le Japon, dont la dette représente plus du double du PIB (236,4 % exactement), l’Italie (131,4 %), ou les Etats-Unis (107,8 %), par exemple. La Belgique, avec son endettement qui représente 103,2 % de son PIB, se classe également dans le top 20 des pays les plus endettés du monde.

    De telles montagnes de dettes ont des conséquences : elles exposent les Etats à des attaques des investisseurs sur les marchés financiers, inquiets qu’ils se retrouvent en situation de défaut en cas de choc économique. Une telle situation serait autoréalisatrice : la fuite des investisseurs (baisse de la demande pour les obligations souveraines) provoquerait une augmentation des taux d’intérêt servis sur les obligations souveraines de ces Etats, matérialisant l’augmentation du risque lié à ces produits. A son tour, cette augmentation des intérêts provoquerait une hausse du coût de la dette, qui pourrait effectivement mettre les finances de l’Etat en question en danger… et renforcer les craintes des investisseurs, créant de ce fait un cercle vicieux.

    Des mesures de répression financière pour assurer un financement à bon compte des Etats

    Pour se prémunir contre ce type de risque, les gouvernements peuvent être tentés de prendre des mesures visant à garantir les bonnes conditions de financement de leur dette, en s’assurant soit de la disponibilité des capitaux qui y sont consacrés, soit du coût modique de son financement : c’est ce que l’on appelle la “répression financière”. Par exemple, les Etats peuvent introduire des réglementations bancaires visant à contraindre les banques ou les organismes d’assurance à investir un certain ratio d’obligations souveraines. Ils peuvent aussi imposer des contrôles de capitaux pour empêcher les agents économiques d’investir à l’étranger, et maintenir ainsi l’épargne domestique dans le pays. Mais parfois, ce sont aussi les banques centrales, qui ont pour mission de favoriser la croissance économique, qui peuvent être amenées à prendre des mesures qui conduisent à de la répression financière, notamment lorsqu’elles maintiennent les taux d’intérêt à des niveaux anormalement bas, ou qu’elles mènent des politiques d’assouplissement quantitatif fondées sur l’achat d’obligations souveraines.

    Or, ces mesures ne sont pas anodines pour les particuliers et les entreprises, car elles introduisent une distorsion des marchés, rappelle Patrick Artus, économiste en chef à la banque d'investissement française Natixis. Il explique entre autres que ces politiques sont à l’origine des taux d’intérêt anormalement bas que l’on constate actuellement dans les pays de l’OCDE, lesquels spolient les épargnants, qui dont l’épargne n’est plus rétribuée comme elle devrait l’être dans une situation normale.

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  12. Pire, il affirme que cette répression financière est devenue irréversible, et que les marchés financiers ne pourront plus être libéralisés, ce qui signifie qu’ils seront désormais systématiquement affectés par des distorsions à l’origine d’inefficacités.

    Pour étayer son explication, il prend 3 exemples.

    1 - Les pays de l’OCDE

    Dans ces pays, les taux d’intérêt ont été maintenus à de faibles niveaux, comparativement à la croissance, surtout depuis la crise financière de 2008. L’objectif est de soutenir la croissance, mais aussi d’éviter aux Etats surendettés par les politiques de relance d’être confrontés à un problème d’insuffisance de financement, qui pourrait conduire à une crise de la dette dans certains de ces pays. “Il est alors obligatoire de maintenir des taux d’intérêt anormalement bas, donc de spolier dans le long terme les prêteurs, ce qui est la première forme de répression financière”, écrit Artus.

    - voir sur site -

    Le graphique ci-dessous, qui compare la dette publique (ligne en gras) des Etats-Unis, du Royaume-Uni, du Japon et de la zone Euro avec le total des intérêts (trait mince) payés sur cette dette publique, est à ce titre très révélateur : il montre que ces derniers se sont effondrés depuis 2011. Autrement dit, le coût du financement public a beaucoup baissé depuis cette époque, alors que les dettes ont atteint un niveau record.

    - voir sur site -

    2 - La Chine

    En Chine, cet abaissement des taux d’intérêt, opéré par la banque centrale, a incité les épargnants à rechercher de meilleurs rendements à l’étranger, ce qui a déclenché une fuite des capitaux entre 2014 et 2016, et laminé les réserves en devises du pays. Le pays a donc pris une seconde mesure de répression financière pour l'aider à financer sa dette colossale : un contrôle des capitaux, visant à contraindre les épargnants chinois à placer leur argent dans le pays, et à assurer ainsi l’existence d’un vaste “pool” de capitaux, garant de coûts de financement faible. “Les épargnants chinois sont donc soumis à une double répression financière : ils ne peuvent pas investir à l’étranger, ils reçoivent une rémunération anormalement faible sur leur épargne investie en Chine”, précise Artus.

    Mais ces mesures entraînent des distorsions du marché, qui se matérialisent par des bulles, comme celle de la construction chinoise. Ces investissements disproportionnés n'ont pas toujours été efficaces, comme en témoignent les nombreuses villes fantômes qui ont vu le jour en Chine au cours de ces dernières années.

    - voir sur site -

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  13. 3 - L'Europe

    En Europe, la répression financière s’est exercée au travers de la modification de la réglementation applicable aux banques et aux entreprises d’assurance. Elles ont été ainsi forcées d’investir dans des obligations souveraines, au détriment d’autres actifs qu’elles auraient pu leur préférer. De cette manière, les Etats européens se sont ménagés des débouchés pour leurs émissions d’obligations.

    La répression financière n'est pas sans dangers

    Des taux d'intérêt anormalement faibles, déconnectés du taux de croissance de l'économie, une réglementation bancaire contraignante, des contrôles de capitaux, sont autant de facteurs qui introduisent des distorsions en modifiant les comportements des agents économiques. Ils sont notamment à l'origine d'inefficacités dans le choix de certains investissements, et empêchent les banques et les compagnies d'assurance de prêter les capitaux dont elles disposent aux entreprises, alors que celles-ci en ont cruellement besoin dans la zone euro.

    Ils sont aussi responsables d'une insuffisance de l'épargne en conséquence des taux d'intérêt trop faibles, ou au contraire, d'un excès de celle-ci, lorsque les épargnants réagissent à de faibles rendements de leurs économies en augmentant le volume de celles-ci, comme c'est le cas en Allemagne.

    - voir sur site -

    https://fr.express.live/2018/09/25/la-repression-financiere-comment-nous-spolie-de-maniere-legale

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  14. Le loup fait toujours autant de dégâts


    Le troupeau de Michel Barengo dans les Alpes-Maritimes a subi quatre attaques par mois en moyenne pendant onze mois de l’année.

    Le bilan des dégâts du loup est bien loin du « zéro attaque » pour la première réunion du groupe national loup qui s’est déroulée le 24 septembre 2018 à Lyon. 8 500 victimes sont déjà comptabilisées pour 2 476 attaques.

    « Les chiffres sont stables alors que les troupeaux ont passé plus de temps en bergerie, constate Thomas Vernay, de la Confédération paysanne. Tant que l’on restera sur une logique de plafond de tirs autorisés, on ne s’en sortira pas. Il faut pouvoir intervenir sur les loups dès qu’ils opèrent une pression sur les troupeaux, y compris en cœur des parcs.

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  15. Une "tempête parfaite" entoure l'une des pires épidémies d'Ebola de l'histoire


    par Tyler Durden
    Jeu., 09/27/2018 - 02:00
    Auteur de Daisy Luther via le blog The Organic Prepper,


    Une épidémie d'Ebola qui sévit en République démocratique du Congo depuis le mois d'août est déjà l'une des pires de l'histoire - la septième pire pour être précise - et il semble que cela puisse dégénérer. Peter Salama, directeur général adjoint de l’OMS pour la préparation et la réponse aux situations d’urgence, a qualifié la situation de «parfaite tempête».

    L’agitation et la guerre dans la région, combinées à la résistance de la communauté et à la méfiance du personnel médical, rendent difficile pour l’Organisation mondiale de la santé de maîtriser l’épidémie. Dr. Salama a dit:

    «Nous sommes maintenant extrêmement préoccupés par le fait que plusieurs facteurs pourraient se réunir au cours des prochaines semaines ou des prochains mois pour créer une tempête parfaite. Une tempête de conflit actif qui limite notre capacité d’accéder aux civils, la détresse de segments de la communauté déjà traumatisés par des décennies de conflit et de meurtre…

    … Nous avons assisté à des attaques le 24 août, les 3, 9, 11, 16, 21 et, plus récemment et le plus dramatiquement, le 22 septembre dans la ville même de Beni », a-t-il déclaré. Il a dit que Beni était la base de la base de l’agence pour «toute l’opération». (Source)

    L'épidémie se situe au Nord-Kivu, à la frontière de l'Ouganda et du Rwanda. La violence a déplacé plus d’un million de personnes dans la région et un certain nombre d’attaques de machettes brutales ont été perpétrées contre des civils. Les choses ont tellement mal tourné que l'OMS a dû cesser ses activités pendant une semaine entière alors que le virus Ebola se propageait.

    L'un des groupes armés en RDC qui représente une menace pour les civils et la réponse internationale à Ebola, l'ADF - Allied Democratic Forces - dispose de capacités militaires suffisantes pour tendre une embuscade aux casques bleus de la Mission de stabilisation des Nations Unies en RDC (MONUSCO) et des forces gouvernementales - les FARDC.

    "Le FAD en particulier a d'énormes capacités", a déclaré le Dr Salama. "Ils ont pu envahir des bases FARDC entières dans et autour de Beni, ils ont pu tendre des embuscades (ONU)". (Source)

    L'ADF est un groupe islamiste qui représente une grave menace pour le gouvernement congolais ainsi que pour les travailleurs humanitaires.

    Si l'OMS et ses partenaires devaient quitter le Nord-Kivu… nous craignons que cette épidémie ne soit pas bien maîtrisée dans les semaines ou les mois à venir. »(Source)

    Mais ce n’est pas seulement la violence et la guerre qui sont des facteurs de cette «tempête parfaite».

    Les traditions locales rendent l'épidémie d'Ebola plus susceptible de se propager.
    Les traditions locales au Congo rendent les efforts de secours plus difficiles.

    "Nous avons entendu ce matin que cette ville morte, qui était hier, a été étendue jusqu'à vendredi de cette semaine", a-t-il déclaré, "ce qui signifie essentiellement pour la famille des Nations Unies, y compris l'OMS à Beni. Nos opérations sont en suspens. ”

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  16. … Butembo pourrait également déclarer une «ville morte» dans les prochains jours, en sympathie avec la population de Beni, a-t-il dit, augmentant potentiellement les chances de détérioration rapide de la situation.

    «Si nous voyons des inhumations dangereuses auxquelles on ne peut pas répondre et des personnes symptomatiques inaccessibles, nous pouvons voir cette situation se détériorer très rapidement», a déclaré le Dr Salama.

    Une ville morte est une période de deuil.

    Les politiciens locaux manipulent le public et ont donc peur d’être traités.
    En attendant, c’est une année électorale dans la région et les politiciens locaux tirent pleinement parti de cette crise.

    En plus de la peur de nombreuses personnes d’Ebola, le haut responsable de l’OMS a expliqué que la situation était encore compliquée par les politiciens locaux qui les ont «exploités et manipulés» avant les prochaines élections.

    La réaction des médias sociaux à l’épidémie a également ajouté à une «gamme de théories du complot», a déclaré le Dr Salama, ajoutant que des personnes «fuyaient activement» les personnels de santé, y compris dans de nombreuses affaires ces dernières semaines. . (la source)

    Les «poches de résistance» contre le traitement, alimentées par les politiciens, rendent difficile la prise en compte de nouveaux cas. Les personnes terrifiées fuient les travailleurs dans des zones inaccessibles pour des raisons de sécurité.

    Nous voyons également une tendance très préoccupante. Cette résistance, alimentée par une peur tout à fait naturelle de cette maladie terrifiante, commence à être exploitée par les politiciens locaux, et nous sommes très préoccupés par la tenue des élections, prévues pour décembre, que cette exploitation… prendra de l'ampleur et la rendra très difficile. pour éliminer les derniers cas d'Ebola. "

    Certaines personnes ont fui dans la forêt pour échapper au traitement de suivi contre le virus Ebola et aux contrôles, déplaçant parfois des centaines de kilomètres, a-t-il déclaré…

    … Les médias sociaux assimilaient Ebola aux critiques du gouvernement de la RDC et des Nations Unies et à «toute une série de théories du complot», ce qui pourrait mettre en danger les agents de santé. (la source)

    Cette peur du traitement est quelque chose que nous avons vu à plusieurs reprises. Au cours de la dernière flambée, des familles ont littéralement fait irruption dans des centres de traitement et ont emmené les membres de leur famille atteints du virus Ebola actifs à des réunions de prière où ils sont morts aux stades les plus contagieux de la maladie.

    La maladie menace maintenant l'Ouganda

    Jusqu'à présent, il n'y a pas eu de cas d'Ebola en Ouganda, mais l'inquiétude s'est accrue car un cas a été confirmé près de la frontière dans une destination populaire pour les Ougandais.

    Le site d'atterrissage de Tchomia est le site d'atterrissage de la République démocratique du Congo (RDC) le plus proche des districts ougandais dans la sous-région de Bunyoro.

    Tchomia est l’un des marchés de poissons les plus fréquentés de l’est de la RDC et attire plusieurs hommes d’affaires ougandais des sites de Butiaba, Walukoba, Kijangi, Kaiso, Sebigoro, Nkondo, Ndaiga, Ntoroko, Kyehoro et Fofo. Ntoroko et Kagadi.

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  17. Habituellement, les hommes d'affaires ougandais se rendent au marché de Tchomia sur une base hebdomadaire, ce qui représente une grave menace pour la propagation de l'épidémie d'Ebola au pays. Le marché aux poissons de Tchoima fonctionne tous les jeudis. (la source)

    Les autorités ougandaises ont intensifié le dépistage à la frontière.

    Le dépistage des personnes qui quittent la RDC pour rechercher des signes et des symptômes d'Ebola est effectué dans des points d'entrée officiels et non officiels. Les communautés ont été sensibilisées au virus Ebola et sont vigilantes et signalent tout cas suspect pour enquête. (la source)

    Voici une carte qui montre la zone et l'endroit où le cas a été diagnostiqué.

    - voir sur site -

    Il est encourageant de voir que l’Ouganda ne permet pas que le politiquement correct les pousse à faire ce qui est juste pour leur peuple. Nous ne pouvons qu'espérer que les États-Unis feront de même à une époque où les maladies mortelles peuvent se propager si facilement. Les contrôles physiques de personnes provenant de zones où les épidémies sont hors de contrôle devraient être la norme, et non une chose unique qui est fortement contestée.

    Au moins 100 personnes sont mortes.
    L'épidémie actuelle est la septième plus importante de l'histoire.

    Au cours des deux derniers mois, 150 cas ont été confirmés ou «probables» et, au 23 septembre, 100 personnes étaient mortes.

    Dans le pire des cas, le virus Ebola continue de se propager au Nord-Kivu et traverse la frontière vers d’autres pays. Si cela se produit, nous pourrions faire face à un cauchemar comme l’épidémie d’Ebola de 2014-2015, au cours de laquelle plus de 11 000 personnes ont trouvé la mort. La seule bonne nouvelle: cette fois, nous avons un vaccin efficace. (la source)

    Lundi, 80% des contacts avec le virus Ebola et trois cas suspects n’ont pas pu être atteints pour la surveillance de la maladie.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-09-26/perfect-storm-surrounds-one-worst-ebola-outbreaks-history-right-now

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    1. Premièrement: offrir des allocs-à-vie à quiconque va en Europe.

      Deuxièmement: aller chercher les sceptiques ou les incroyants que l'Afrique 'va brûler sous le Global Warming d'Al Gore' (Hahahaha !).

      Troisièmement, s'il en reste encore sur le continent: Déclencher une épidémie et guerre civile pour éliminer toutes poches de résistances survivaliste.

      Quatrièmement: Guerre en Europe

      Cinquièmement s'approprier l'Afrique désormais déserte.

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  18. Empire Of Lies: Les "nous, le peuple" sont-ils des idiots utiles à l'ère du numérique ?


    par Tyler Durden
    Mer, 09/26/2018 - 22:30
    Auteur de John Whitehead via le Rutherford Institute,


    «À l’époque de l’ancienne Union soviétique, une expression a été développée pour décrire les intellectuels occidentaux crédules venus visiter la Russie et n’ayant pas remarqué les coûts humains et autres de la construction d’une utopie communiste. L'expression était «idiots utiles» et s'appliquait à un grand nombre de personnes qui auraient dû mieux connaître. Je propose maintenant un nouveau terme analogue plus approprié à l'âge dans lequel nous vivons: les hypocrites utiles. C’est vous et moi, les gars, et c’est la façon dont les maîtres de l’univers numérique nous voient. Et ils ont de très bonnes raisons de nous voir de cette façon. Ils nous entendent se plaindre de la vie privée, de la sécurité, de la surveillance, etc., mais notez que malgré nos plaintes et nos soupçons, nous semblons ne rien faire à ce sujet. En d'autres termes, nous disons une chose et en faisons une autre, ce qui est une définition aussi efficace de l'hypocrisie que l'on pourrait espérer. »- John Naughton, The Guardian

    "Qui a besoin d'une répression directe", a demandé le philosophe Slavoj Zizek, "quand on peut convaincre le poulet de marcher librement dans l'abattoir ?"

    À une époque orwellienne où la guerre équivaut à la paix, la surveillance à la sécurité et la tolérance à l’intolérance des vérités inconfortables et des idées politiquement incorrectes, «nous, les gens» avons très bien marché dans l’abattoir, nous enfermer dans l'état de police américain sont là pour notre protection.

    Appelez ça du double langage, appelez ça de l'hypocrisie, appelez ça comme vous voulez, mais le fait demeure que si nous revendiquons la liberté, la vie privée, l'individualité, l'égalité, la diversité, la Les dirigeants du gouvernement contredisent ces principes tant vantés à chaque instant.

    Par exemple, nous prétendons dédaigner la mentalité blasée de l’élite de Washington, et pourtant nous continuons à réélire les politiciens qui mentent, trichent et volent.

    Nous affirmons désapprouver les guerres interminables qui drainent nos ressources et dispersent nos forces armées, et pourtant, nous avons souvent à l’idée que le patriotisme équivaut à soutenir les militaires.

    Nous nous vantons des lois sur les tonneaux de porc financées par les contribuables, des documentaires sur les combats alimentaires et des études sur les lions de montagne qui courent sur des tapis roulants. Pourtant, nous payons nos impôts sans soulever de problème.

    Nous prétendons nous opposer à la militarisation de nos forces de police locales et à leur état d'esprit de plus en plus sur le champ de bataille, et pourtant nous ne faisons que hausser les épaules face aux raids de l'équipe SWAT et aux fusillades policières de citoyens non armés.

    Et puis il y a notre supposée affaire d'amour-haine avec la technologie, qui nous voit hérissés des efforts du gouvernement pour surveiller nos activités Internet, écouter nos appels téléphoniques, lire nos courriels, nous punir pour ce que nous disons. les médias sociaux, et pourtant nous continuons à utiliser ces mêmes technologies tout en ne faisant rien aux empiétements du gouvernement sur nos droits.

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  19. Cette contradiction est corroborée par une étude du Pew Research Center, selon laquelle «les Américains se disent profondément préoccupés par la vie privée sur le Web et leurs téléphones portables. Ils disent qu'ils ne font pas confiance aux sociétés Internet ou au gouvernement pour le protéger. Pourtant, ils continuent d’utiliser les services et de transmettre leurs informations personnelles. »

    Laissez-moi comprendre: le gouvernement continue de trahir notre confiance, d’envahir notre vie privée et d’abuser de nos droits, et nous continuons à revenir pour plus d’informations ?

    Bien sûr que nous faisons.

    Après tout, l’alternative - prendre position, provoquer le chahut, exiger des changements, refuser de coopérer, désobéir à la société civile - ne représente pas seulement un gros travail, mais peut être carrément dangereuse.

    Ce que nous ne réalisons pas, cependant, c'est qu'en autorisant tacitement ces violations à continuer, non seulement nous autorisons le tyran mais nous nourrissons le monstre.

    De cette manière, ce qui commence par de petits empiétements occasionnels sur nos droits, justifiés au nom d’une plus grande sécurité, devient une routine, des abus de grande ampleur, tellement ancrés que la réforme est pratiquement impossible.

    Nous avons vu cela se produire avec la police et leur arsenal militaire, apparemment pour lutter contre la drogue. Le résultat: une transformation des forces de l’ordre américaines en une extension de l’armée, peuplée de soldats endurcis au combat qui considèrent «nous, les gens» comme des combattants ennemis.

    La même chose s’est produite avec les soi-disant efforts du gouvernement pour s’opposer à la criminalité en adoptant des lois sans fin interdisant toutes sortes d’activités. Le résultat: une explosion de lois criminalisant tout, des décisions parentales et de la pêche au jardinage et à la vie hors réseau.

    Et puis, il y avait les prisons privées, commercialisées comme un moyen de réduire le coût de l’enfermement des criminels. Seulement, il s'avère que les prisons privées coûtent en fait plus d’argent au contribuable et incitent davantage les Américains à emprunter, ce qui se traduit par la plus grande population carcérale au monde.

    Commencez-vous à remarquer un modèle ?

    Le gouvernement nous attire avec un plan visant à améliorer notre vie, à rendre nos familles plus sûres et nos communautés plus sûres, puis, une fois que nous y participons, nous claquerons le piège.

    Peu importe que vous parliez d’appareils photo à lumière rouge, de bases de données ADN, de caméras de surveillance ou de politiques de tolérance zéro: ils nous permettent tous de devenir «l’ennemi numéro un».

    De cette manière, la campagne du gouvernement visant à espionner nos appels téléphoniques, nos lettres et nos courriels a été vendue au peuple américain comme outil nécessaire dans la guerre contre le terrorisme.

    Au lieu de cibler les terroristes, cependant, le gouvernement nous a fait appel à des terroristes potentiels, de sorte que si nous osons dire le contraire dans un appel téléphonique, une lettre, un courrier électronique ou sur Internet, en particulier les médias sociaux.

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  20. Si vous êtes l'un des 1,31 milliard d'individus qui utilisent Facebook ou l'un des 255 millions de personnes qui tweetent leurs opinions personnelles et politiques sur Twitter, vous devriez faire très attention.

    Cette criminalisation de la liberté d’expression, qui est exactement ce que les poursuites engagées par le gouvernement contre ceux qui disent que la «mauvaise» chose à l’aide d’un support électronique, est au cœur d’Elonis c. United States, une affaire où le gouvernement peut tirer la ligne quand il s'agit de discours expressif qui est protégé et autorisé par rapport à la parole qui pourrait être interprété comme une intention criminelle.

    Anthony Elonis, un artiste de rap en herbe, a utilisé des documents personnels de sa vie comme source d’inspiration pour des paroles de rap qu’il a ensuite partagées sur Facebook.

    Par exemple, peu de temps après que l'épouse d'Elonis l'ait quitté et qu'il a été renvoyé de son travail, ses paroles incluaient le meurtre de son ex-femme, la fusillade dans une salle de classe d'enfants et l'explosion d'un agent du FBI. .

    En dépit du fait que Elonis accompagnait régulièrement ses messages sur Facebook avec des avertissements selon lesquels ses paroles étaient fictives et qu’il utilisait ces écrits comme un exutoire pour ses frustrations, il a été accusé de menaces illégales (bien qu’il n’ait jamais été prouvé qu’il avait l’intention de menacer n'importe qui) et condamné à 44 mois de prison.

    Elonis n'est pas le seul utilisateur de Facebook à faire l'objet de poursuites en fonction du contenu de ses publications.

    Brandon Raub, une marine décorée, a été arrêtée par un groupe d’agents du FBI, d’agents des services secrets et de la police locale et détenue de force dans une unité psychiatrique à cause de paroles de chansons controversées et opinions politiques affichées sur sa page Facebook. Il a finalement été libéré après qu'un juge de la cour de circuit eut rejeté les accusations portées contre lui comme non fondées.

    Le rappeur Jamal Knox et Rashee Beasley ont été condamnés à des peines de prison allant jusqu’à six ans de prison pour une vidéo sur YouTube appelant les auditeurs à «tuer ces flics» car ils ne nous font pas de bien. portant préjudice à la police, il a été reconnu coupable de menaces terroristes et d’intimidation de témoins.

    Et puis il y avait Franklin Delano Jeffries II, un vétéran de la guerre en Irak, qui, en pleine bataille pour sa fille, a partagé une vidéo musicale sur YouTube et Facebook dans laquelle il a parlé du juge dans son cas: enfant et je vais prendre ta vie. »Malgré son insistance sur le fait que les paroles ne sont qu’un moyen pour lui d’exprimer ses frustrations face à la bataille juridique, Jeffries a été reconnu coupable de communication de menaces et condamné à 18 mois de prison.

    Le dénominateur commun de tous ces cas est l'utilisation des médias sociaux pour exprimer la frustration, les griefs et la colère, parfois en utilisant un langage ouvertement violent.

    La question à laquelle la Cour suprême des États-Unis a été invitée à se prononcer dans l'affaire Elonis est de savoir si cette activité, en l'absence de toute intention manifeste de commettre un crime, équivaut à une véritable menace ou à une protection Activité du premier amendement. (La Cour suprême a défini une «menace réelle» comme «des déclarations où le locuteur veut dire une expression grave de l'intention de commettre un acte de violence illicite à l'encontre d'un individu ou d'un groupe d'individus en particulier».)

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  21. Dans une décision 8-1 concernant davantage les «principes de droit pénal relatifs à l'intention que la protection de la liberté d'expression par le Premier Amendement», la Cour a statué que les procureurs n'avaient pas prouvé qu'Elonis .

    C'était il y a trois ans.

    En dépit de la décision de la Cour suprême dans l'affaire Elonis, Corporate America a désormais pris l'initiative de surveiller les activités expressives en ligne avec des géants des médias sociaux tels que Facebook, Twitter et YouTube pour censurer, pénaliser et réguler la parole et le comportement en ligne. suspendre et / ou interdire les utilisateurs dont le contenu viole les soi-disant normes communautaires en matière d'obscénité, de violence, de discours de haine, de discrimination, etc.

    Ne vous méprenez pas: c'est le fascisme.

    C'est du fascisme avec un sourire.

    Comme le notait Bertram Gross, ancien conseiller présidentiel, dans son livre glacial Friendly Fascism: The New Face of Power en Amérique: «Quiconque cherche des chemises noires, des fêtes de masse ou des hommes à cheval manquera les indices révélateurs du fascisme rampant. . . . En Amérique, il serait super moderne et multiethnique - aussi américain que Madison Avenue, déjeuners de dirigeants, cartes de crédit et tarte aux pommes. Ce serait le fascisme avec le sourire. Comme mise en garde contre sa façade cosmétique, sa manipulation subtile et ses gants de velours, je l'appelle le fascisme amical. Ce qui me fait le plus peur, c'est son appel subtil.

    L’attrait subtil de cette forme particulière de fascisme est sa prétention à combattre les maux de notre époque (intolérance, haine, violence) en utilisant les armes de l’entreprise américaine.

    Soyez averti, cependant: ce n’est qu’une question de temps avant que ces armes ne soient utilisées plus largement, en s’attaquant à tout ce qui est dans leur quête de profits, de contrôle et de pouvoir accrus.

    C’est ce à quoi ressemble le fascisme dans un contexte moderne, les entreprises se pliant à censurer et à réduire au silence les activités expressives sous prétexte qu’elles se déroulent dans un environnement privé soumis aux règles de l’entreprise, par opposition aux activités publiques ou gouvernementales. forum qui pourrait être soumis à la protection par le Premier Amendement d'un discours «controversé» et / ou politiquement incorrect.

    Alex Jones n'était que le début.

    Jones, le majordome des théoriciens du complot qui a donné naissance à un empire fondé sur des informations alternatives, a été banni de Facebook pour avoir publié des contenus qui enfreignent les «standards communautaires» du site de médias sociaux, qui interdisent les articles pouvant être considérés comme intimidants.

    Selon le Washington Post, Twitter a suspendu plus de 70 millions de comptes en deux mois pour «réduire le flux de désinformation sur la plate-forme».

    Aux dires justes des sociétés de technologie qui ne sont que des extensions du gouvernement, l'ancien membre du Congrès Ron Texas estime que les réseaux sociaux sous le contrôle de Google, Apple, Twitter et Facebook collaborent avec le gouvernement américain pour faire taire la dissidence. «Vous êtes accusé de trahison et de trahison car, dans un empire de mensonges, la vérité est la trahison», a déclaré Paul. «Il est impossible de contester le statu quo et cela les énerve, alors ils doivent faire taire les gens.»

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  22. Assez curieusement, vous savez qui doit encore être suspendu ? Président Trump.

    La justification de Twitter de ne pas suspendre les leaders mondiaux tels que Trump, que les critiques affirment violer systématiquement les règles du géant des médias sociaux, est que «bloquer un leader mondial de Twitter ou supprimer ses Tweets controversés cacherait des informations importantes que les gens devraient pouvoir voir et débattre. Cela ne ferait pas taire ce leader, mais cela entraverait certainement les discussions nécessaires sur leurs paroles et leurs actions. »

    Franchement, tous les individus, qu'ils soient ou non leaders mondiaux, devraient avoir le droit de voir leurs idées et leurs idées diffusées ouvertement, opposées à ceux qui pourraient être en désaccord avec eux et débattues largement, en particulier dans un forum comme internet.

    Pourquoi est-ce important ?

    Internet et les médias sociaux ont pris la place de la place publique historique, qui a été progressivement évincée par les centres commerciaux et les parkings.

    En tant que telles, ces cyber «places publiques» peuvent constituer le seul forum où les citoyens peuvent librement s'exprimer et exercer leurs droits au titre du premier amendement, notamment à la suite d'une législation limitant l'accès à nos représentants élus.

    Malheureusement, Internet est devenu un outil pour le gouvernement - et ses entreprises partenaires - pour surveiller, contrôler et punir la population des comportements et des discours susceptibles d’être controversés mais loin d’être criminels.

    En effet, le gouvernement, maître dans l'art de la violence, de l'intrusion, de la surveillance et de la criminalisation des activités inoffensives, a tenté à plusieurs reprises de réprimer l'activité du premier amendement sur le web et dans les médias sociaux sous différentes formes: lutte contre le terrorisme, découragement de la cyberintimidation. combattre la violence.

    La police et les procureurs ont également ciblé les messages et messages «anonymes» sur les forums et les sites Web, arguant que cet anonymat encourage tout, de la cyberintimidation au terrorisme, et ont tenté de poursuivre ceux qui utilisent l'anonymat à des fins commerciales ou personnelles.

    Nous ferions bien de faire preuve de prudence dans l’autorité que nous accordons à l’Etat policier pour criminaliser les activités de liberté d’expression et de refroidir ce qui est devenu un forum essentiel de la liberté de parole.

    Non seulement les médias sociaux et l’Internet sont des forums critiques permettant aux individus de partager librement des informations et d’exprimer leurs idées, mais ils servent également de vannes de déblocage à ceux qui peuvent être en colère, en colère, aliénés ou mécontents.

    Sans un exutoire pour leur colère et leur frustration refoulées, ces pensées et ces émotions s’enrichissent en secret, ce qui est à l’origine de la plupart des actes de violence.

    De même, la liberté d’expression sur la place publique - qu’il s’agisse d’Internet, de la place devant la Cour suprême des États-Unis ou d’un campus universitaire - rassemble les gens pour exprimer leurs griefs et contester les régimes répressifs du gouvernement.

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  23. Sans elle, la démocratie devient stagnante et atrophiée.

    De même, comme je le précise dans mon livre Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, si la liberté d’expression n’est pas protégée de manière vigilante, la démocratie risque davantage de sombrer dans la peur, la répression et la violence. Dans un tel scénario, nous nous trouverons menacés d'une blessure encore plus pernicieuse que la violence elle-même: la perte de liberté.

    Plus de parole, pas moins, est le remède.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-09-26/empire-lies-are-we-people-useful-idiots-digital-age

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  24. L'idiocratie ? L'enseignant est congédié pour avoir refusé de donner une note de 50 % aux élèves qui n'ont pas rendu leurs devoirs


    par Tyler Durden
    Mer, 09/26/2018 - 17h30
    Auteur de Michael Snyder via le blog The American Dream,


    Les élèves qui refusent de rendre leurs devoirs devraient-ils recevoir une note de 50 % de toute façon ? Bien sûr que non. Ce serait comme des travailleurs qui ne se sont pas présentés au travail pour demander 50 % de leur salaire.

    Notre système d'éducation est devenu une blague complète et le reste du monde se moque de nous. Heureusement, il y a encore quelques âmes courageuses qui défendent ce qui est juste. Diane Tirado, professeur d’histoire de 52 ans, a été embauchée par l’école West Gate K-8 de Port St Lucie, en Floride, pour cette année scolaire, mais elle a été licenciée quand elle a refusé de donner aux étudiants 50 %. note sur leurs affectations. Lorsque Tirado a été embauchée, on ne lui a jamais dit que l'école avait une politique «zéro zéro». Et quand elle l'a découvert, elle a refusé de l'accompagner.

    Le jour où elle a été licenciée, Mme Tirado a laissé un message d'adieu aux élèves sur le tableau blanc, et ce message d'adieu est devenu viral…

    Les étudiants doivent-ils recevoir la moitié des crédits pour une mission qu’ils n’ont même pas rendue? Un ancien enseignant du comté de St. Lucie ne le pense pas.

    C’est pourquoi elle a écrit un message d’adieu à ses élèves de huitième année sur un tableau blanc en disant: «Bye Kids, Mme Tirado vous aime et vous souhaite le meilleur dans la vie ! J'ai été licencié pour avoir refusé de vous donner 50 % pour n'avoir rien remis. Mme Tirado »

    Beaucoup d'étudiants ont posté des messages de soutien sur Facebook, et c'est très bien à voir.

    Et ce n’est pas un cas où les étudiants n’ont pas pu terminer leurs devoirs qui leur avaient été assignés du jour au lendemain. Selon Mme Tirado, les étudiants avaient eu deux semaines pour terminer leurs projets…

    Elle a assigné un projet de cahier d’explorateur, qu’elle a dit avoir donné deux semaines aux étudiants.

    Lorsque plusieurs étudiants n’y sont pas allés, Tirado a découvert ce qu’elle appelle une politique «zéro zéro», qui se reflète dans le manuel des étudiants et des parents de West Gate. En dessous de la rubrique d'évaluation, en lettres rouges, le manuel indique «AUCUN ZEROS - LA PLUS GRANDE QUALITÉ POSSIBLE EST DE 50 %»

    Il aurait été très facile pour Mme Tirado de suivre le système, mais elle fait partie de ces rares âmes qui sont prêtes à défendre ses normes.

    Elle insiste pour que tout grade de sa classe soit mérité, et elle a expliqué à WPTV que donner aux enfants des notes qu’ils ne méritaient pas, c’est simplement les mettre en échec une fois dans le monde réel…

    «Je suis tellement bouleversé parce que nous avons une nation d’enfants qui s’attendent à être payés et à vivre leur vie juste pour se présenter et ce n’est pas réel», a déclaré Tirado.

    Si nous avions plus d'enseignants comme Mme Tirado, nous serions probablement beaucoup mieux en tant que nation.

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  25. Il était une fois, nous avions le plus grand système d'éducation sur la planète entière, mais maintenant, nous tombons rapidement derrière d'autres pays développés. J'ai partagé les numéros suivants dans un article précédent, mais je pense que c'est le bon moment pour les partager à nouveau…

    Après avoir dominé le monde pendant des décennies chez les 25-34 ans titulaires de diplômes universitaires, les États-Unis occupent maintenant la 12e place. Le Forum économique mondial a classé les États-Unis au 52e rang parmi 139 pays en ce qui concerne la qualité de leur enseignement universitaire des mathématiques et des sciences en 2010.

    Selon le National Assessment of Educational Progress de 2009, 68 % des enfants des écoles publiques des États-Unis ne lisent pas correctement au moment où ils terminent la troisième année. Et les États-Unis News & World ont rapporté qu’à peine 50 % des étudiants sont prêts pour la lecture au niveau collégial quand ils obtiendront leur diplôme…

    Ce que nous faisons ne fonctionne clairement pas, et nous avons désespérément besoin de plus d'enseignants, comme Mme Tirado, prêts à défier nos étudiants.

    Dans le même ordre d'idées, une femme de Caroline du Nord nommée Tammie Hedges a pris l'initiative de sauver 27 animaux lors de l'ouragan Florence, mais une fois que les autorités ont découvert ce qu'elle avait fait, ils l'ont arrêtée…

    Hedges, un résident du comté de Wayne, en Caroline du Nord, a été arrêté vendredi après avoir soigné plus de deux douzaines d’animaux - 17 chats et 10 chiens - pour les propriétaires qui devaient évacuer avant que la tempête ne frappe.

    «Les propriétaires ont dû évacuer. Ils doivent se sauver eux-mêmes. Mais qui va sauver ces animaux ? C’est ce que nous avons fait », a déclaré Hedges. “Nous les avons sauvés.”

    La propriétaire de Crazy’s Claws N Paws, un centre de secours pour animaux basé sur des dons, était en train de convertir un entrepôt en un véritable refuge pour animaux quand elle a décidé d’utiliser le bâtiment pour garder ses animaux au sec. Cependant, son établissement n'était pas légalement enregistré comme refuge.

    Qu'est-ce qui ne va pas dans le comté de Wayne en Caroline du Nord?

    Sont-ils littéralement devenus fous ?

    J'en ai assez de lire à propos des gens qui ont des problèmes avec la loi pour avoir agi correctement.

    Je pense que ma bonne amie Daisy Luther a très bien exprimé ce point dans son récent article…

    Selon la page Facebook, 18 des animaux ont été livrés à des haies déjà en très mauvais état. Aucun vétérinaire n'était ouvert à cause de l'inondation. Était-il préférable de les laisser souffrir ou de faire ce qu'ils pouvaient pour les aider?

    Selon le gouvernement, les Hedges ne devraient pas simplement laisser ces animaux souffrir… elle aurait dû les laisser se noyer dans les eaux de crue.

    Révoltant.

    J'en ai assez de «demander la permission» et de payer des frais pour faire les choses correctement, et je pense que beaucoup d’autres personnes le sont aussi.

    Nous vivons dans une société où le mal et la corruption échappent à tout contrôle, et pourtant, les responsables des contrôles semblent apprécier ceux qui essaient de faire ce qui est juste.

    Il est difficile d’être optimiste quant à un pays qui traitera des personnes comme Tammie Hedges et Diane Tirado de cette manière. Quelque part en cours de route, nous avons perdu notre bon sens, et l'Amérique a énormément de problèmes en conséquence.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-09-26/idiocracy-teacher-fired-refusing-give-50-grade-students-who-didnt-turn-homework

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    1. Idem en Europe avec l'invasion terroriste hébergée en châteaux 'cosa nostre' !

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