"J'ai passé toute ma vie sans vagin pour finalement atterrir à l'hôpital avec une septicémie causée par un faux vagin défectueux dont j'ignorais l'existence. Si ces opérations d'accouchement étaient légitimement menées pour m'aider, alors pourquoi serais-je confrontée à une maladie grave. à cause d'un vagin qu'un petit garçon n'aurait jamais dû avoir ? Quelle valeur un pseudo-vagin aurait-il pu avoir pour un bébé de deux jours ? Ai-je participé à une expérience médicale ?
Ottaway veut sensibiliser les gens aux dangers des mutilations de genre
Ottaway a envisagé la possibilité d'une détransition, mais a finalement décidé de ne pas le faire en raison des risques pour la santé qui y étaient associés et de nouvelles mutilations génitales.
Au lieu de cela, il a choisi de se concentrer sur le traumatisme émotionnel et les problèmes de santé mentale résultant de ses opérations. Ottaway fait désormais campagne pour une réforme des parcours médicaux, soulignant l'importance du consentement éclairé et du bien-être des patients. Il s'exprime désormais pour sensibiliser la population, notamment les mineurs, aux dangers des mutilations sexuelles.
Scott Newgent, une femme devenue un homme, partageait le même plaidoyer qu'Ottaway. Elle est apparue dans un épisode d'avril du podcast "The Van Maren Show". Lors de son apparition dans l'émission, elle a laissé une déclaration pour avertir le public que le transgenre est une épidémie ciblant les enfants vulnérables.
"Pour beaucoup de ceux qui ont changé de sexe, il n'y a pas de choix facile. Beaucoup de gens sont tout simplement trop endommagés physiquement et physiologiquement pour avoir un choix simple. Beaucoup se sentent coincés entre les sexes – sachant qu'ils ne peuvent pas changer mais se sentent coincés quelque part entre les deux par le "Les opérations chirurgicales qu'ils ont subies et les médicaments qu'ils ont pris. C'est un aspect déchirant des retombées du mouvement transgenre avec lequel nous devrons lutter dans les années à venir", a déclaré Newgent.
Elle s’exprime désormais pour éduquer et protéger les personnes qui souhaitent subir des mutilations sexuelles, notamment les mineures.
Consultez Transhumanism.news pour lire plus d’histoires sur les chirurgies transgenres.
Regardez Harrison Smith d'InfoWars discuter des commentaires de la chirurgienne trans Dr. Marci Bowers fustigeant les procédures « d'affirmation de genre » chez les enfants dans la vidéo ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
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Une médecin généraliste avec 40 ans de carrière sans tache obtient une suspension de 6 mois pour des commentaires anti-vaxx « au vitriol » – dont un selon lequel les enfants étaient « alignés » pour obtenir un vaccin COVID qui pourrait « les tuer »
Par John Ely Recherche mondiale, 3 novembre 2023
Une médecin généraliste à la carrière sans tache a été suspendu pendant six mois en raison de commentaires « au vitriol » qu'elle a tenu sur Covid et les vaccins.
La Dr Mary McCloskey, basée à Londonderry, a affirmé que la pandémie était un « produit » des médias et du gouvernement et que les vaccins ne fonctionnaient pas et tuaient des gens.
Elle a également affirmé que les tests et les masques faciaux étaient utilisés comme des armes psychologiques pour propager la peur et que les experts « se moquaient » du public en nommant les variantes du virus.
Dans l'une de ses déclarations les plus incendiaires sur les vaccins Covid, elle a affirmé qu'on demandait aux parents « d'aligner nos enfants pour obtenir quelque chose qui pourrait les tuer, pour les protéger de quelque chose qui ne peut pas les tuer ».
Le Dr McCloskey, qui porte également son deuxième prénom Anne, a fait ces commentaires dans une série de vidéos mises en ligne entre août et novembre 2021.
Une audience du Medical Practitioners Tribunal Service (MPTS) tenue à la fin du mois dernier a permis d'entendre un commentaire, dans une vidéo du 21 août, elle a affirmé que les dangers de la pandémie avaient été inventés et promus auprès du public.
"Tout ce battage médiatique est en grande partie le fruit des tromperies des médias, du gouvernement et de leurs conseillers scientifiques menteurs", a-t-elle déclaré.
Dans une autre, elle a affirmé que les vaccins Covid n'étaient pas utilisés pour protéger la santé des gens mais plutôt leur bénéficier.
« Que les gens voient que ces injections tuent des gens ; ils font du mal aux gens ; ils ne préviennent pas la maladie et ne concernent pas la santé », a-t-elle déclaré.
L'homme de 66 ans a également affirmé que les personnes qui avaient reçu des vaccins contre le Covid l'avaient fait sous la contrainte, « contraintes, soudoyées ou intimidées » pour recevoir l'injection.
Cliquez ici pour lire l'article complet sur Daily Mail Online .
Effectivement depuis 3 ans la poussière (appelée 'virus') n'a JAMAIS été vue sous microscope !! et, a été inventé un 'vaccin' (empoisonné) contre cette poussière qui n'existe pas !!
La stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) est devenue une urgence sanitaire chez les enfants
Par le Dr Joseph Mercola Recherche mondiale, 3 novembre 2023
La NAFLD se caractérise par une accumulation excessive de graisse dans votre foie. Sans traitement approprié, elle peut entraîner de graves problèmes hépatiques, notamment la stéatohépatite non alcoolique (NASH), qui provoque une inflammation et une fibrose, ou des cicatrices du foie. La NAFLD augmente également le risque d'autres problèmes de santé, notamment les maladies cardiovasculaires.
Les premiers cas documentés de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) ne sont apparus qu'en 1980. Aujourd'hui, la NAFLD touche 32,4 % des personnes dans le monde et constitue la cause la plus fréquente de transplantation hépatique chez les adultes de moins de 50 ans.
La NAFLD touche également jusqu'à 9,6 % des enfants américains âgés de 2 à 19 ans, ce qui la rend aussi courante que l'asthme. Chez les 15 à 19 ans, la prévalence atteint 17,3 %. La prévalence chez les enfants de 0 à 17 ans a augmenté de 168,3 % depuis 2017, avec une augmentation particulièrement rapide à partir de 2020
L'augmentation spectaculaire de la NAFLD au début de 2020 pourrait être en partie due aux confinements liés au COVID, qui ont eu pour effet d'augmenter les taux d'obésité infantile de 8,3 % à 13,4 %, selon le groupe d'âge.
L'obésité maternelle et la consommation élevée de sodas light et/ou de malbouffe pendant la grossesse ont toutes deux été associées à la NAFLD chez la progéniture, et une théorie est que les édulcorants artificiels pourraient programmer le métabolisme du fœtus pour favoriser le stockage des graisses plutôt que la production d'énergie.
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La stéatose hépatique était autrefois une maladie observée presque exclusivement chez les personnes âgées, principalement les gros buveurs. Les premiers cas documentés de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) ne sont apparus que lorsque j'étais à la faculté de médecine en 1980.1 À l'époque, les chercheurs la décrivaient comme une « maladie du foie jusqu'ici sans nom, de cause inconnue ».
En juin 2023, des scientifiques ont proposé de rebaptiser la NAFLD en « maladie hépatique stéatosique associée à un dysfonctionnement métabolique », afin de mettre en évidence sa relation avec d’autres conditions métaboliques telles que le diabète. Ce qui relie toutes les conditions métaboliques, c’est que votre corps ne convertit pas efficacement les aliments en énergie.
Dans la vidéo ci-dessus, le chercheur indépendant en santé Jay Feldman enquête sur les véritables causes de la NAFLD. Il s'agit de la deuxième partie d'une série de huit parties. C'est comme un cours de maîtrise sur la NAFLD, car il passe en revue pratiquement tout ce que vous pourriez vouloir ou devoir savoir à ce sujet. Si vous ou quelqu'un que vous connaissez souffrez actuellement de NAFLD, je vous encourage fortement à regarder les huit épisodes.
Dans l'épisode présenté, il explique pourquoi le fructose n'est PAS le principal responsable comme on le pense généralement, comment votre foie produit des graisses à partir du fructose et des graisses alimentaires, et comment une production d'énergie altérée dans vos mitochondries entraîne la NAFLD.
Qu’est-ce que la NAFLD ? La NAFLD se caractérise par une accumulation excessive de graisse dans votre foie. Sans traitement approprié, elle peut entraîner de graves problèmes hépatiques, notamment la stéatohépatite non alcoolique (NASH), qui provoque une inflammation et une fibrose, ou des cicatrices du foie.
La NASH peut entraîner une cirrhose, qui augmente le risque de cancer du foie et de maladie hépatique terminale. La NAFLD augmente également le risque d’autres problèmes de santé, notamment les maladies cardiovasculaires, qui constituent la première cause de décès chez les personnes atteintes de NAFLD. La NAFLD ne présente souvent aucun symptôme, même si elle peut provoquer de la fatigue, une jaunisse, un gonflement des jambes et de l'abdomen, une confusion mentale, etc.
Votre foie remplit plus de 500 fonctions essentielles à la santé. Cela comprend la production de bile (qui décompose les graisses alimentaires et élimine les déchets), la conversion de l'excès de glucose en glycogène et la régulation des acides aminés dans le sang. C'est également important pour la désintoxication, car il aide à éliminer les toxines de votre sang.
La bonne nouvelle est que votre foie, plus que presque tout autre tissu de votre corps, possède des capacités de régénération phénoménales. Même si 90 % de celle-ci a été supprimée, elle peut retrouver sa taille normale. La NAFLD peut également être inversée avec succès à ses débuts grâce à des changements de mode de vie, comme une alimentation saine et de l’exercice.
Aujourd'hui, la NAFLD touche 32,4 % de la population mondiale2 et constitue la cause la plus fréquente de transplantation hépatique chez les adultes de moins de 50 ans.3 La NAFLD touche également jusqu'à 9,6 % des enfants américains âgés de 2 à 19 ans4, ce qui la rend aussi courante que asthme. 5 Chez les 15 à 19 ans, la prévalence atteint 17,3 %. 6
Ce qui est particulièrement étrange, c'est que la prévalence fulgurante chez les enfants et les adolescents est assez nouvelle. Comme l'illustre le graphique ci-dessous de Trilliant Health7, la prévalence de la NAFLD a augmenté de 168,3 % depuis 2017, avec une augmentation particulièrement précipitée à partir de 2020.
- voir graph sur site -
L'obésité est un principal facteur de risque de NAFLD Comme indiqué dans un article de mars 2021 sur la NAFLD pédiatrique : 8
« Le plus grand facteur de risque de NAFLD est l’obésité. L'obésité et la NAFLD chez les enfants sont souvent associées ; cependant, ils ne sont pas concomitants.
Dans une étude de 2019 portant sur 408 enfants obèses utilisant l’imagerie par résonance magnétique du foie entier – fraction de graisse à densité protonique, le taux de prévalence de la NAFLD était de 26,0 %, soit environ un enfant sur quatre. Dans l’étude Teen LABS portant sur des adolescents souffrant d’obésité suffisamment grave pour justifier une chirurgie bariatrique, le taux de prévalence de la NAFLD était plus élevé, à 59 %.
L’augmentation spectaculaire de la NAFLD au début de 2020 pourrait être en partie due aux confinements liés au COVID, qui ont eu pour effet d’augmenter les taux d’obésité infantile de 8,3 % à 13,4 %, selon le groupe d’âge. 9
Les édulcorants artificiels peuvent altérer le métabolisme
Cela dit, la NAFLD survient également chez environ 8 % des enfants de poids normal. 10 Une prédisposition héréditaire peut faire partie du problème. Mais l'environnement in utero peut également influencer le risque de NAFLD chez un enfant, 11 et c'est une explication bien plus probable de la récente explosion de la prévalence chez les enfants.
L'obésité maternelle et la consommation élevée de sodas light et/ou de malbouffe pendant la grossesse ont toutes deux été associées à la NAFLD chez la progéniture, et une théorie est que les édulcorants artificiels pourraient programmer le métabolisme du fœtus pour favoriser le stockage des graisses plutôt que la production d'énergie. 12
Les bébés reçoivent également régulièrement des quantités anormalement élevées d’édulcorants dans les préparations pour nourrissons et les aliments pour bébés. Ces dernières années, l'industrie des préparations pour nourrissons a commencé à commercialiser des préparations à base de sirop de maïs au lieu du lactose du lait de vache. On dit que c'est meilleur pour les bébés sensibles au lactose.
Cependant, des recherches récentes 13 suggèrent que les préparations à base de sirop de maïs augmentent considérablement le risque d'obésité chez votre enfant à l'âge de 4 ans et, par extension, de NAFLD, et que ceux qui consomment les plus grandes quantités de préparations pour nourrissons courent le risque le plus élevé.
Les « laits de transition » et les « laits pour tout-petits » contiennent également des quantités de sucre plus élevées que le lait de vache ordinaire. Les deux produits sont de pures inventions marketing sans aucune base nutritionnelle. Parallèlement, des recherches 14 ont montré que la consommation de lait de vache non sucré est associée à un risque plus faible de NAFLD.
Le rôle de l'alimentation
En effet, notre alimentation moderne est probablement le facteur le plus important de cette pathologie. Tel que rapporté par le Washington Post : 15
« … De nombreux médecins pensent que notre mode de vie moderne – régime alimentaire, augmentation des activités sédentaires liées à la technologie et aux expositions environnementales – est à blâmer. L’une des tâches du foie est de filtrer les toxines, et lorsque quelque chose dans le corps est déséquilibré, l’organe peut être endommagé et tomber en panne…
Un peu de graisse dans le foie est normal, mais lorsque plus de 5 % de ses cellules contiennent de la graisse, la capacité de l'organe à faire son travail est entravée, et les pédiatres disent que certains enfants qu'ils traitent ont un foie avec 30 à 40 %, voire autant. comme 60% de matières grasses…
Certains experts en pédiatrie émettent l'hypothèse qu'il existe un décalage entre notre génétique et les aliments hautement transformés et sucrés qui dominent l'alimentation des enfants.
Les enquêtes nutritionnelles montrent que les repas consommés par les enfants ont radicalement changé en une génération, passant de très peu d'aliments ultra-transformés au début des années 1980… à plus de 67 % 16 ces dernières années. De tels régimes entraînent des changements hormonaux et d’autres stress sur notre corps.
"Cela crée une bombe à retardement et tue nos enfants", a déclaré Barry M. Popkin, professeur de nutrition à la Gillings School of Global Public Health de l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill.
Le Washington Post poursuit en citant une revue systématique de janvier 202217 qui a révélé « une augmentation parallèle mais retardée » des maladies non transmissibles avec une prévalence croissante des aliments ultra-transformés.
Entre 1800 et 2019, la part des aliments transformés et ultra-transformés est passée de moins de 5 % à plus de 60 %. Cela a radicalement modifié la teneur en macronutriments de notre alimentation. La consommation de sucre et d’huile de graines (ou « huile végétale ») a augmenté de façon spectaculaire, tandis que les graisses saturées d’origine animale ont chuté.
Abandonnez la restauration rapide pour protéger la santé de votre enfant
Parmi ceux-ci, je pense que la transition des graisses animales saturées vers les huiles de graines a joué le rôle le plus important. Comme détaillé dans « Acide linoléique – L’ingrédient le plus destructeur de votre alimentation », l’huile de graines est la principale source d’acide linoléique (AL), qui détruit votre fonction mitochondriale.
Je suis convaincu qu'une consommation excessive d'AL est le principal contributeur aux maladies chroniques dans le monde occidental, y compris la NAFLD. Pour comprendre comment Los Angeles nuit à votre santé et à celle de vos enfants, veuillez lire cet article et regarder la vidéo qu'il contient. Les deux fournissent un aperçu complet de la manière dont Los Angeles est à l’origine de maladies chroniques de toutes sortes.
Pour éviter Los Angeles, vous devrez éviter les aliments transformés, les fast-foods et la plupart des aliments des restaurants, et vous concentrer plutôt sur de vrais aliments entiers et cultivés de manière biologique. Les aliments transformés sont également régulièrement contaminés par du glyphosate, ce qui peut contribuer à des problèmes de foie. Il est inquiétant de constater que des tests récents ont révélé que 95 % des repas scolaires contenaient des niveaux détectables de glyphosate18. Par conséquent, si possible, fournissez à votre enfant des déjeuners faits maison.
Un nombre choquant de 100 % des repas contenaient également des métaux lourds à des niveaux jusqu'à 6 293 fois supérieurs aux niveaux maximaux autorisés dans l'eau potable. Pendant ce temps, la plupart des repas étaient « extrêmement pauvres » en nutriments essentiels.
La restauration rapide contient également des quantités extrêmement faibles de nutriments essentiels, notamment de vitamines B. En fait, aucune quantité de vitamine B9 ou B12 n’a été détectée dans les 10 principaux fast-foods échantillonnés. 19
C'est plutôt remarquable, étant donné que les aliments riches en B12 comprennent le bœuf et le poulet, qui sont tous deux des aliments de base dans la restauration rapide, alors que le bœuf et le poulet de la restauration rapide ne fournissent aucun B12 ! Si cela ne vous convainc pas que la viande de restauration rapide est loin d’être la même que la viande biologique nourrie à l’herbe, je ne sais pas ce qui le fera.
La stéatose hépatique peut également être causée par un excès de sucre lorsque, en plus des huiles de graines, vous consommez plus de 35 % environ de vos calories sous forme de graisses. C’est probablement la raison pour laquelle cette pathologie se retrouve désormais même chez les jeunes enfants.
Nutriments qui aident à combattre la NAFLD
Augmenter votre apport en nutriments spécifiques peut également être utile si vous souffrez de NAFLD. Les exemples comprennent:
Choline – La choline est importante pour la fonction hépatique normale et la santé du foie en éliminant la graisse de votre foie. Il aide également à maintenir l’intégrité de la membrane et à gérer le métabolisme du cholestérol, notamment les lipoprotéines de basse densité (LDL) et les lipoprotéines de très basse densité (VLDL). Il a été démontré qu’une carence en choline augmente les dépôts graisseux anormaux dans votre foie, provoquant la NAFLD. 20
En fait, certains experts pensent que la NAFLD est en grande partie le résultat du fait d’éviter les aliments riches en choline comme le foie et les jaunes d’œufs, 21 qui sont ensuite aggravés par une consommation excessive d’AL. Vous pouvez augmenter votre consommation en consommant davantage d'aliments riches en choline, tels que les jaunes d'œufs de pâturage biologiques, le foie de bœuf nourri à l'herbe, le saumon d'Alaska sauvage et l'huile de krill. La roquette est également une excellente source.
La vitamine B12 et l’acide folique peuvent également être protecteurs et il a été démontré qu’ils ralentissent la progression de la NASH. 22
Niacinamide, également connue sous le nom de nicotinamide (NAM) — La niacinamide est un précurseur du nicotinamide adénine dinucléotide (NAD+), une molécule de signalisation vitale censée jouer un rôle important dans la longévité. Il a également été démontré que la supplémentation diminue le stress oxydatif et prévient la stéatose hépatique. 23
N-acétylcystéine (NAC) – La NAC est un précurseur nécessaire à la biosynthèse du glutathion. Il est utilisé comme antidote à la toxicité de l’acétaminophène, qui provoque des lésions hépatiques en appauvrissant le glutathion. Une recherche publiée dans Hepatitis Monthly a montré que la supplémentation en NAC contribue à améliorer la fonction hépatique chez les patients atteints de NAFLD. 24
Chardon-Marie – Cette plante contient de la silymarine et de la silybine, des antioxydants connus pour aider à protéger votre foie des toxines et même à régénérer les cellules hépatiques. 25
CoQ10 — La CoQ10 maintient vos mitochondries en bonne santé et joue un rôle crucial dans la production d'ATP, l'énergie cellulaire nécessaire à votre survie. Il a été démontré qu’une supplémentation en CoQ10, ou sous sa forme naturelle appelée ubiquinol, améliore la NAFLD en réduisant le stress oxydatif et l’inflammation. 26
N'oubliez pas que les suppléments doivent toujours être utilisés en association avec un mode de vie sain, notamment en mangeant sainement et en faisant de l'exercice. Si vous êtes en surpoids, perdre 7 à 10 % de votre poids corporel peut améliorer la NAFLD, notamment en réduisant la teneur en graisse du foie, l'inflammation du foie et la fibrose. 27
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 4 novembre 2023
Partie 1
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Partie 2
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Fin mai 2020, le producteur de médias Mikki Willis a publié la première partie de son documentaire « Plandemic », mettant en vedette Judy Mikovits, Ph.D., une biologiste cellulaire et moléculaire1 dont les recherches ont révélé que de nombreux vaccins sont contaminés par des gammarétrovirus, en raison de la culture de ces virus. dans des lignées de cellules animales contaminées. Le film de 26 minutes a été interdit sur toutes les plateformes de médias sociaux après être devenu viral.2 Le 18 août 2020, la deuxième partie, intitulée « Plandemic – Indoctornation », a été publiée.
Plandémie – Endoctornement
La deuxième partie est un long métrage révélant la force motrice derrière le programme vaccinal. Il examine les rôles de l’Organisation mondiale de la santé, de Bill Gates, de Tedros Adhanom, du Dr Anthony Fauci, des médias grand public, des géants de la technologie de la Silicon Valley, des grandes sociétés pharmaceutiques et bien d’autres, en reliant les points entre eux. Willis interroge diverses personnes, notamment :
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Des séquences supplémentaires gratuites, y compris une interview de suivi avec Mikovits, ainsi que des liens vers des ressources supplémentaires fournies par toutes les personnes interviewées sont censées être disponibles sur le site Web du film, plandemicseries.com.
Le film commence par passer en revue Event 201, une simulation de préparation à une pandémie organisée par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates en octobre 2019 – 10 semaines avant le début de l’épidémie de COVID-19 à Wuhan.
Cet exercice de simulation scénarisé incluait tout ce que nous voyons aujourd’hui se dérouler en temps réel, dans le monde réel, depuis les pénuries d’EPI, les confinements et la suppression des libertés civiles jusqu’aux campagnes de vaccination obligatoires, les émeutes, les troubles économiques et l’effondrement de la cohésion sociale. Un aperçu des prédictions émises lors de cet événement est inclus dans le documentaire.
À l’époque, ils ont passé beaucoup de temps à discuter des moyens de limiter et de contrer la propagation de la « désinformation » attendue sur la pandémie et les vaccins qui devraient être développés. En plus de la censure pure et simple, leur plan prévoyait le recours au « soft power », un terme faisant référence à l’influence furtive utilisant des célébrités et d’autres influenceurs des médias sociaux.
J’en ai discuté dans « Le cabinet de relations publiques derrière les approbations des célébrités de l’OMS ». Tout comme dans la vraie vie, l’une des « désinformations » qu’il a fallu contrer était les rumeurs selon lesquelles le virus avait été créé et libéré par un laboratoire d’armes biologiques.
L'opération Mockingbird n'a jamais pris fin, elle vient d'être privatisée
Le film révèle également comment le SRAS-CoV-2 a été transformé en centre de profit, les origines possibles du SRAS-CoV-2 et comment les géants de la technologie de la Silicon Valley contrôlent le récit, poussant à la peur et censurant les points de vue divergents.
Ce que nous voyons est tout droit sorti du manuel de l’Opération Mockingbird, une campagne clandestine d’influence médiatique de la CIA lancée dans les années 1950. Pendant la guerre froide, la CIA l’utilisait pour diffuser sa propagande. Il a recruté des journalistes pour rédiger de faux articles dénigrant les idéologies communistes.
Aujourd’hui, ils font tout le contraire, en promouvant des idées socialistes radicales qui soutiennent leur projet d’un système économique technocratique.
Il est choquant de constater que la raison pour laquelle ce gouvernement fantôme – dirigé par des sous-traitants du gouvernement et des sociétés de renseignement privatisées – est capable de manipuler l’opinion publique est qu’il a siphonné illégalement les données collectées par la NSA auprès de tous les Américains et les a privatisées.
Toutes nos données personnelles, combinées à l’intelligence artificielle et aux stratégies dites de localisation, permettent à des programmes informatiques sophistiqués de prédire quelle action ou quel message public entraînera un résultat particulier.
Nous sommes au milieu d’un projet d’ingénierie sociale qui constitue une menace existentielle sérieuse pour notre liberté personnelle. Nous y sommes tous exposés quotidiennement, et ce depuis des années. C’est juste que maintenant c’est devenu si omniprésent que c’est manifestement évident pour quiconque veut le voir. Comme on pouvait s’y attendre, « Plandemic – Indoctornation » passe également du temps à revoir le rôle de Bill Gates et de sa fondation.
Le CDC possède des brevets sur le coronavirus
Willis interviewe David E. Martin, Ph.D., analyste du renseignement national et fondateur de l'indice IQ100, qui a développé la génomique linguistique, une plate-forme capable de déterminer l'intention des communications. Selon Martin, en 1999, IBM a numérisé 1 million de brevets américains, ce qui a permis à son entreprise de procéder à un examen.
En utilisant la technologie de la génomique linguistique, Martin a fait l’« horrible évaluation » selon laquelle un tiers de tous les brevets déposés aux États-Unis étaient des contrefaçons fonctionnelles, ce qui signifie que « même s’ils présentaient des variations linguistiques, ils couvraient le même sujet ». En 1999, des brevets sur le coronavirus ont également commencé à apparaître, « et c’est ainsi qu’a commencé la piste du lapin », explique Martin.
En 2003, l'Asie a connu une épidémie de SRAS. Presque immédiatement, les scientifiques se sont précipités pour breveter le virus. En fin de compte, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis se sont emparés du SRAS-CoV (le virus responsable du SRAS) isolé chez l’homme.
Le CDC possède en fait tout le contenu génétique de ce virus du SRAS. Il est breveté sous le brevet américain 7776521. Ils possèdent également des brevets pour des méthodes de détection et pour un kit permettant de mesurer le virus.
Le brevet américain 7279327,3 déposé par l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill décrit des méthodes de production de coronavirus recombinants. Ralph Baric, Ph.D., professeur de microbiologie et d'immunologie célèbre pour ses recherches sur les coronavirus chimériques, figure parmi les trois inventeurs, aux côtés de Kristopher Curtis et Boyd Yount.
La loi stipule clairement que les segments génétiques « ne sont pas éligibles au brevet simplement parce qu’ils ont été isolés ». Ainsi, soit le SRAS-CoV est d’origine humaine, ce qui rendrait le brevet légal, soit il est naturel, rendant ainsi le brevet illégal. Cependant, si le virus a été fabriqué, alors il a été créé en violation des traités et des lois sur les armes biologiques. Selon Martin, Fauci, Baric et le CDC « sont au cœur » de l’histoire du COVID-19. « En 2002, les coronavirus ont été reconnus comme un mécanisme exploitable à la fois pour le meilleur et pour le pire », dit Martin, et « Entre 2003 et 2017, ils [Fauci, Baric et CDC] contrôlaient 100 % des flux de trésorerie pour construire l’empire autour de l’industrie. complexe du coronavirus.
Le CDC a enfreint la loi, d’une manière ou d’une autre
Voici maintenant le message clé à retenir que Martin délivre. Il existe un problème distinct avec le brevet du CDC sur le SRAS-CoV isolé des humains, car, selon la loi, il est interdit de breveter les segments d’ADN naturels.
La loi stipule clairement que de tels segments « ne sont pas éligibles au brevet simplement parce qu’ils ont été isolés ». Ainsi, soit le SRAS-CoV est d’origine humaine, ce qui rendrait le brevet légal, soit il est naturel, ce qui rendrait le brevet illégal.
Cependant, si le virus a été fabriqué, alors il a été créé en violation des traités et des lois sur les armes biologiques. Cela inclut la Loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, adoptée à l’unanimité par les deux chambres du Congrès et promulguée par George Bush père, qui stipule :4
« Quiconque développe, produit, stocke, transfère, acquiert, conserve ou possède sciemment un agent biologique, une toxine ou un système de lancement destiné à être utilisé comme une arme, ou aide sciemment un État étranger ou toute organisation à le faire, sera condamné à une amende en vertu de la présente loi. titre ou emprisonné à vie ou pour toute durée d'années, ou les deux. Il existe une compétence fédérale extraterritoriale sur une infraction au présent article commise par ou contre un ressortissant des États-Unis.
Ainsi, comme l’a noté Martin, quel que soit le scénario qui s’avère vrai, le CDC a enfreint la loi d’une manière ou d’une autre, soit en violant les lois sur les armes biologiques, soit en déposant un brevet illégal. Plus grave encore, le 14 mai 2007, le CDC a déposé une requête auprès du bureau des brevets pour que son brevet sur le coronavirus reste confidentiel.
Désormais, parce que le CDC détient le brevet sur le SRAS-CoV, il contrôle qui a la capacité de mener des enquêtes sur le coronavirus, note Martin. Sauf autorisation, vous ne pouvez pas examiner le virus, vous ne pouvez pas le mesurer ou faire des tests, car ils possèdent tout le génome et tout le reste.
"En obtenant les brevets qui empêchaient quiconque de l'utiliser, ils en avaient les moyens, les motivations et, surtout, ils avaient le gain monétaire en transformant le coronavirus d'un agent pathogène en un profit", explique Martin.
Des recherches dangereuses sur les gains de fonction ont été autorisées
Martin poursuit en décrivant les événements survenus entre 2012 et 2013. À cette époque, les National Institutes of Health ont décidé de réexaminer la recherche sur le gain de fonction, décidant finalement que la recherche sur le gain de fonction sur le coronavirus était trop risquée pour continuer. .
Cela a conduit à la suspension du financement de ces recherches en 2013. Cela comprenait des fonds versés à Harvard, Emery et à Chapel Hill de l’Université de Caroline du Nord. Cependant, même si les NIH avaient des raisons morales, voire juridiques, de suspendre de telles recherches, ils ont rendu la suspension du financement volontaire et non obligatoire.
Puis, en 2014, lorsque la résistance à la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus s’est encore accentuée, le NIH – sous la direction de Fauci – a délocalisé cette recherche vers – vous l’aurez deviné – l’Institut de virologie de Wuhan en Chine.
Cependant, comme l'a expliqué Martin, le financement n'a pas été envoyé de manière simple. Au lieu de cela, l’information a été acheminée via des organisations écrans telles que l’EcoHealth Alliance, dirigée par son président, Peter Daszak, dont les recherches, selon le site Web de l’EcoHealth Alliance, « incluent l’identification de l’origine du SRAS chez les chauves-souris. »5
Entre 2014 et 2019, EcoHealth Alliance a reçu une longue liste de subventions du NIH pour étudier « le risque d’émergence de coronavirus de chauve-souris ». EcoHealth Alliance a ensuite sous-traité ce travail à l’Institut de virologie de Wuhan. Ainsi, en fin de compte, les États-Unis pourraient nier toute culpabilité, attribuant l’épidémie à la Chine alors qu’en fait, c’était la recherche américaine qui avait été externalisée.
Il est intéressant de noter que dans les dernières nouvelles du 19 août 2020, le Wall Street Journal6 a rapporté que le NIH avait informé EcoHealth qu'il souhaitait « un échantillon du nouveau coronavirus que les chercheurs de Wuhan ont utilisé pour déterminer sa séquence génétique », ainsi que les détails de l'étude et les autres informations.
De plus, le NIH a exigé qu'EcoHealth « organise une inspection de l'Institut de virologie de Wuhan par une équipe extérieure qui examinerait le laboratoire et les dossiers de l'établissement « avec une attention particulière pour répondre à la question de savoir si le personnel du WIV avait le SRAS-CoV-2 dans leur possession avant décembre 2019.'»
Le problème, note Martin dans « Indoctornation », est que même si les preuves nous sautent aux yeux, on nous dit que les soi-disant « vérificateurs de faits » ont une vision transcendante de la situation et qu'ils sont les arbitres ultimes. de la verité. En conséquence, nous nous trouvons dans une situation très étrange où les faits et la logique sont écrasés et fustigés comme une bonne vieille hérésie.
La vérité prévaudra-t-elle ?
Le film continue en interrogeant de nombreux autres experts, dont beaucoup sont convaincus que les preuves indiquent que le SRAS-CoV-2 est un virus d’origine humaine. Comme Plandemic Part 1, la partie 2 vaut bien votre temps. Comme l’a souligné Willis, dans le monde en évolution rapide d’aujourd’hui, rares sont ceux qui ont le temps de faire les recherches nécessaires pour dévoiler ce qui se passe réellement.
Les preuves sont là, mais il faut les rassembler. C'est pourquoi des documentaires tels que « Plandemic » et « Shadowgate » sont si utiles. Ils tissent les points ensemble afin que vous puissiez voir une image plus complète et plus complète. Malheureusement, le tableau actuel est sombre.
Pourtant, nous devons y faire face, car ce problème ne disparaîtra pas ni ne se résoudra dans un avenir proche. Il est important de comprendre que nous sommes tous soumis à une campagne de propagande massive visant à nous orienter vers un agenda technocratique très spécifique. Ce n’est qu’en recherchant des points de vue alternatifs que nous pouvons commencer à comprendre la vérité.
Dans le cas du coronavirus, il doit être clair que la recherche sur les gains de fonction est un jeu dangereux qui ne devrait pas être autorisé. En donnant le feu vert aux chercheurs pour poursuivre ce type de recherche, même si le NIH a publiquement « suspendu » son financement, le NIH n’a pas respecté ses responsabilités morales et juridiques.
Il est également clair que le CDC s’est engagé dans des activités illégales liées au brevetage du virus et qu’il avait de nombreuses raisons et moyens de profiter de la pandémie de coronavirus. Il est difficile d’imaginer un système plus corrompu que celui que nous connaissons actuellement. La question est : quand est-ce que quelque chose sera fait à ce sujet ?
Sources and References
1 MJforMDs.org Judy Mikovits Bio 2 FreedomPlatform.tv/plandemic 3 United States Patent 7279327 April 19, 2002 4 S.993 Biological Weapons Anti-Terrorism Act of 1989 5 EcoHealth Alliance 2020 6 The Wall Street Journal August 19, 2020
Comme il en a été dans le monde des merdias le 11 Septembre 2001 à propos des 'avions' en aluminium qui aurait pu pénétrer dans des tours à New-York et même couper des poutrelles verticales d'acier de 80 cm de large, le principal est d'y croire comme un gros con. Puis, il y a 3 ans, a été lancé la propagande humoristique de l'arrivée imminente d'une poussière... extraterrestre invisible (appelée 'virus') qu'aucun microscope à balayage électronique ne peut voir !! et que SEULE la dictature en place peut voir et a le droit de le faire !! HAHAHAHAHA ! (Cela n'est pas sans rappeler les déclarations de la Greta-trisomique qui pouvait voir le gaz carbonique !!).
C'est ainsi que depuis 3 ans des scientifiques ont été retirés de leurs travaux et poursuivis pour avoir publiquement dit ou écrit la vérité scientifique sans qu'ils ne puissent faire un débat (en direct à la télé) avec les criminels au pouvoir !
Le gouverneur de Californie veut dépenser 640 000 $ chacun pour 10 000 lits de santé mentale
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 16H40 Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,
La proposition 1 du gouverneur Gavin Newsom prévoit une taxe de 6,4 milliards de dollars sur les millionnaires pour financer 10 000 lits de santé mentale...
Campagnes Newsom pour une proposition sur la santé mentale Cal Matters rapporte que Newsom lance une campagne pour un accessoire de santé mentale
Les électeurs californiens ne décideront que d’une seule mesure lors de la primaire du 5 mars – et c’est exactement ce que souhaitait le gouverneur Gavin Newsom. Il a défendu des projets de loi visant à emprunter 6,4 milliards de dollars pour financer 10 000 nouveaux lits de traitement de santé mentale et à réviser la loi californienne vieille de 20 ans qui finance les services de santé mentale par une taxe sur les millionnaires. Ils seront combinés en une seule proposition — Prop. 1.
Le Parlement a coopéré en autorisant, lors du scrutin de mars, des mesures d'obligations potentiellement concurrentes pour les écoles, les collèges et le logement, ainsi que trois amendements constitutionnels, qui ont été reportés aux élections générales du 5 novembre.
Et jeudi, Newsom a officiellement lancé sa campagne pour la mesure de vote, avec le slogan « Un traitement, pas des tentes » – un clin d'œil à la fois à l'inquiétude du public concernant les sans-abri et à ses efforts pour nettoyer les campements. Politico rapporte qu’il investit 6 millions de dollars dans la campagne pour démarrer.
Traitement pas des tentes 6,4 milliards de dollars pour 10 000 lits, cela représente 640 000 dollars par lit.
La Californie compte 161 548 sans-abri, dont la plupart souffrent de problèmes de santé mentale.
La facture totale pour les traitements, pas les tentes, serait de 161 548 * 640 000 $ = 103 390 720 000 $ (103,4 milliards de dollars).
Le gouverneur affirme que 10 000 lits serviront à 100 000 sans-abri. Non, ce ne sera pas le cas à moins que vous ne mettiez 10 personnes dans un seul lit et que vous les y gardiez.
Autrement, ce sera un cycle sans fin de gens qui se lèveront et se lèveront, ce qui fera en sorte que le total des personnes quittant la rue ne dépassera pas 10 000, pour un coût de 640 000 $ chacun.
Il existe actuellement environ 6 000 lits, ce qui n’a fait aucune brèche dans la vie des 161 000 sans-abri.
Quittez la Californie maintenant
Pour faire place à la proposition idiote 1, le législateur a reporté trois autres idioties sur les écoles, le logement et les collèges. C’est un sursis temporaire. La Californie réclamera encore plus de votre argent en novembre 2024.
Et alors que l’ajout de 10 000 lits ne fait rien, la Californie demandera 6,4 milliards de dollars supplémentaires pour des lits supplémentaires.
La grande migration de la Californie au Texas Le 18 juin, j'ai remarqué que les Millennials ouvrent la voie à la grande migration de la Californie au Texas.
Les millennials quittent la Californie à cause du prix de l’immobilier, et non à cause de l’impôt des millionnaires. La Californie compte les 14 villes les moins abordables du pays pour rechercher une première maison.
Il existe de nombreuses raisons de fuir l’État.
Pour en savoir plus, veuillez consulter La maison de départ n'existe plus, même sur les marchés de deuxième niveau.
Maladie mentale grave : la crise de santé publique ignorée
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 13H10 Rédigé par Beth Brelje via The Epoch Times
"J'ai peur de mourir." "Qu'arrivera-t-il à mon fils quand je mourrai ?" La directrice exécutive du Treatment Advocacy Center (TAC), Lisa Dailey, dit qu'elle n'oubliera jamais ce témoignage d'une mère de Virginie octogénaire qui avait passé une grande partie de sa vie à s'occuper de son fils, maintenant dans la cinquantaine, atteint d'une grave maladie mentale.
Il était instable, mais elle n’a pas pu le faire suivre un traitement parce qu’il pensait que quelque chose n’allait pas chez lui.
« La différence entre une personne souffrant d'une crise cardiaque et une personne souffrant de psychose est qu'une personne souffrant d'une crise cardiaque est prête à recevoir des soins, et elle veut ces soins », a déclaré Mme Dailey à Epoch Times. pourrait lutter activement contre cela. Il se peut qu’ils doivent être attachés pour recevoir des soins, ce qui est perçu différemment par le système médical.
"Le système médical ne semble pas pleinement reconnaître qu'une personne qui refuse des soins n'a peut-être pas la capacité de refuser des soins."
Le Treatment Advocacy Center est une organisation nationale à but non lucratif qui se consacre à l'élimination des obstacles au traitement de la maladie mentale. Aux États-Unis, 8,8 millions de personnes – soit à peu près la taille de la population de New York – souffrent de maladies mentales graves, et près de la moitié d’entre elles ne sont pas traitées chaque année, selon les données du TAC.
En 1963, le président John F. Kennedy a signé la Community Mental Health Act, censée réduire le nombre de personnes institutionnalisées dans les hôpitaux psychiatriques en créant des centres locaux de soins de santé mentale. Les centres locaux n'étaient pas financés ; la plupart n'ont jamais été construits. Mais de nombreux hôpitaux psychiatriques ont quand même fermé.
Depuis 1955, lorsque les États-Unis disposaient du plus grand nombre de lits psychiatriques, le nombre de lits d’hôpitaux publics a chuté de 97 % en 2016, selon le TAC. Cela laisse peu de lits pour les personnes ayant besoin de soins.
Aujourd’hui, il n’existe pas de voie claire pour les personnes atteintes d’une maladie mentale grave. Les soins sont laissés aux membres de la famille, pour ceux qui ont quelqu'un en mesure de les aider. D’autres se retrouvent souvent seuls, sans abri ou en prison alors qu’ils tentent de trouver leur chemin tout en vivant avec un trouble de la pensée.
Chaque année, 21 pour cent du temps total du personnel chargé de l'application des lois est consacré à l'intervention et au transport de personnes atteintes de maladie mentale. Par exemple, en 2020, la famille d’un homme de Lancaster, en Pennsylvanie, a appelé la police pour expulser un proche de son domicile lors d’un épisode de santé mentale. Ricardo Miguel Munoz, 27 ans, tenait un couteau sous le cou lorsque la police est arrivée. M. Munoz a chargé un policier et était sur le point de le poignarder, comme le montre un enregistrement de la caméra corporelle de la police, lorsque le policier lui a tiré dessus.
M. Munoz attendait une date d'audience concernant une prétendue agression au couteau de quatre personnes et a eu un incident de harcèlement criminel dans son histoire. Sa famille a déclaré dans les médias qu'elle souhaitait une aide en matière de santé mentale pour lui.
« L’ensemble de notre système médical destiné aux personnes atteintes d’une maladie mentale grave repose sur l’idée selon laquelle la famille est responsable de fournir la majorité des soins, à son domicile, à ses propres frais, sans aucun soutien et sans aucun des outils dont elle aurait besoin. pour pouvoir faire en sorte que cela fonctionne réellement », a déclaré Mme Dailey.
Une maladie mentale grave implique une psychose ou une perte de contact avec la réalité. Il s’agit souvent de personnes atteintes de schizophrénie ou de troubles bipolaires. En psychose, le comportement est imprévisible et parfois dangereux. Ils peuvent se retrouver dans la circulation, craindre que d’autres tentent de leur faire du mal, ou trouver une arme et nuire au public. Environ la moitié d’entre eux souffrent d’anosognosie ou de manque de compréhension de leur maladie. Autrement dit, ils ne comprennent pas qu’ils souffrent d’une maladie mentale, refusent de prendre des médicaments et ne veulent pas se faire soigner.
Les lois régissant la santé mentale sont différentes dans chaque État, mais il existe des problèmes communs à l'échelle nationale, notamment le nombre limité de lits psychiatriques dans les hôpitaux, la pénurie de psychiatres, la barre haute pour entrer dans un hôpital pour un traitement et souvent la libération des patients atteints de troubles mentaux. un problème de santé mentale chronique sans plan après la libération.
L'exclusion des établissements Medicaid pour les maladies mentales (IMD) est l'un des obstacles à l'obtention de soins hospitaliers. L'exclusion IMD interdit aux États d'utiliser Medicaid pour payer les soins prodigués dans les hôpitaux psychiatriques ou autres établissements de traitement résidentiels comptant plus de 16 lits.
« C'est le seul type de maladie qui présente ce phénomène, c'est donc une chose politique dont nous devrions nous débarrasser », a déclaré Mme Dailey. "C'est totalement discriminatoire et cela décourage la construction d'installations."
Les proches regardent et s’inquiètent
Bien que ni les détails ni le diagnostic spécifique ne soient connus du public, la police a rapporté que Robert Card, le suspect de la fusillade mortelle de 18 personnes à Lewiston, dans le Maine, avait récemment signalé des problèmes de santé mentale, notamment l'audition de voix. Il avait menacé de tirer sur la base de la Garde nationale à Saco, dans le Maine, et, au cours de l'été, il avait été admis dans un établissement de santé mentale pendant deux semaines.
"Je sais exactement ce que [les familles des personnes atteintes d'une maladie mentale grave] pensent lorsqu'elles voient ces choses", a déclaré Mme Dailey. "Vous êtes en colère contre le système qui l'a libéré après deux semaines parce que c'était votre opportunité de faire soigner quelqu'un. et empêcher que quelque chose comme ça ne se produise.
« C'est ce à quoi les membres de la famille pensent toujours : cela pourrait arriver. Il est très difficile de prédire ce que la psychose pourrait faire faire à une personne. Mais lorsqu’une opportunité se présente, le système médical ne fait pas ce qu’il peut pour tenter de la saisir. »
Une mère de Pennsylvanie dans la soixantaine qui regarde les informations s'inquiète pour son fils, qui souffre d'une grave maladie mentale et est récemment sorti de l'hôpital mais présente toujours des symptômes.
« Mon proche fera-t-il une chose pareille ? Je sais que cette possibilité existe », a déclaré la femme, dont Epoch Times a caché le nom pour des raisons de confidentialité. « Nous le savons tous. C’est une condition incontrôlable causée par un dysfonctionnement de leur esprit. »
Elle se sent engourdie par la peur et la colère, et aussi par un sentiment d'impuissance chaque fois qu'elle entend parler de massacres perpétrés par une personne souffrant d'une maladie mentale.
« Cette peur doit-elle toujours être là ? demande-t-elle, ajoutant que les gens se demandent pourquoi la famille ne leur apporte pas d’aide. "Ce n'est pas là. Le système s’en fiche.
La vitamine B12 pourrait réduire l’inflammation, selon une étude
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 02H40 Rédigé par Sheramy Tsai via Epoch Times
La vitamine B12 est bien plus qu’un simple nutriment. C'est un acteur clé dans le maintien de notre santé et de notre bien-être. Des études récentes ont souligné son rôle central dans la gestion de l’inflammation, cause profonde de nombreuses maladies chroniques.
Des découvertes récentes publiées dans le Journal of the Science of Food and Agriculture ont révélé une corrélation significative entre la carence en vitamine B12 et l’inflammation chronique. Cette inflammation peut ouvrir la voie à des maladies telles que les maladies cardiaques, le diabète et même certains troubles cérébraux.
Aperçus de l'étude : Carence en vitamine B12 et inflammation
Alors que des études antérieures mettaient en évidence le rôle de la vitamine B12 dans la lutte contre l'inflammation, des chercheurs espagnols ont désormais fourni des informations plus approfondies. Ils se sont concentrés sur la manière dont la vitamine B12 interagit avec les indicateurs d’inflammation, en particulier des protéines telles que l’interleukine-6 (IL-6) et la protéine C-réactive (CRP), qui augmentent toutes deux lors des réponses inflammatoires.
À l’aide des données de l’essai PREDIMED, les chercheurs se sont concentrés sur 136 participants présentant des risques cardiovasculaires notables. L’étude a révélé une tendance claire : à mesure que les niveaux de vitamine B12 augmentent, les marqueurs d’inflammation tels que l’IL-6 et la CRP diminuent.
"En général, des niveaux plus élevés de vitamine B12 sont corrélés à une inflammation plus faible", a déclaré Marta Kovatcheva, chercheuse à l'Institut de recherche en biomédecine de Barcelone et co-premier auteur de l'étude.
Des recherches parallèles sur des souris plus âgées ont validé les résultats humains. Cependant, contrairement aux humains, les souris ne subissent pas de déclin de la vitamine B12 lié à l'âge, ce qui suggère des domaines potentiels de recherche future.
La vitamine B12, ou cobalamine, est essentielle à la formation des globules rouges qui transportent l'oxygène et les nutriments. Même avec un besoin quotidien modeste de 2,4 microgrammes, cette vitamine reste difficile à obtenir pour de nombreuses personnes, d’autant plus que l’organisme absorbe environ la moitié de la vitamine B12 provenant de sources alimentaires. Jusqu'à 90 pour cent des végétariens et des végétaliens sont déficients, car les principales sources de vitamine B12 sont des produits d'origine animale. Environ 20 pour cent des mangeurs de viande pourraient également avoir des niveaux insuffisants.
"Les médecins négligent souvent la carence en vitamine B12. Bien que les analyses de sang puissent s'avérer "normales", elles ne reflètent pas toujours la vitamine B12 active et utilisable dans le corps", a déclaré le Dr J. David Spence, professeur émérite à l'Université Western, en Ontario. Époque Times. "Cet oubli signifie que beaucoup pourraient être déficients sans même s'en rendre compte."
Les conséquences d’une carence en B12 sont graves, allant de l’anémie aux problèmes neurologiques. Des études ont montré un lien entre de faibles niveaux de vitamine B12 et la démence et la dépression. D'autres complications liées à de faibles niveaux de vitamine B12 peuvent inclure l'infertilité, les maladies cardiaques, le cancer de l'estomac et un risque accru d'accident vasculaire cérébral.
La plupart des gens ignorent qu’ils souffrent d’une carence en vitamine B12, une maladie qui peut se développer progressivement ou soudainement. Une carence en vitamine B12 peut se manifester par des symptômes tels qu'un engourdissement ou des picotements dans les extrémités, des problèmes d'équilibre, une anémie, des problèmes cognitifs tels qu'une perte de mémoire, des maux de tête, des palpitations cardiaques et une sensation générale de faiblesse ou de fatigue. En raison de la diversité de ses symptômes, il peut facilement être confondu avec d’autres problèmes de santé.
Effets de la vitamine B12 sur l'inflammation
Les auteurs de l’étude ont identifié quelques raisons potentielles pour expliquer le lien observé entre l’inflammation et la diminution des taux de vitamine B12.
Une carence en B12 entraîne des taux élevés d’homocystéine. Sans B12 adéquate, notre corps a du mal à convertir l’homocystéine en molécule utile, la méthionine. Un excès d'homocystéine peut provoquer une inflammation, endommager les vaisseaux sanguins et contribuer à de nombreux problèmes de santé.
Le Dr Spence reconnaît qu'il existe un lien entre l'inflammation et l'homocystéine. Ses recherches approfondies soulignent comment un manque de vitamine B12 peut amplifier ces niveaux, augmentant ainsi le risque d’accident vasculaire cérébral. Les vitamines B sont essentielles pour atténuer l’homocystéine et les menaces qui lui sont associées.
Les cellules déficientes en vitamine B12 accélèrent la production de molécules inflammatoires telles que l'IL-6. Des études montrent que lorsque les personnes âgées prennent un supplément de B12 et de folate, ces marqueurs inflammatoires diminuent, soulignant le rôle protecteur de la B12.
Les chercheurs pensent également que la B12 pourrait aider à contrôler l’inflammation en réduisant la création de cytokines, de petites protéines qui peuvent favoriser l’inflammation. Ces protéines sont souvent produites par un type de globules blancs appelés lymphocytes T, ou cellules T, qui jouent un rôle dans l'immunité.
L’inflammation agit comme un système d’alarme pour notre corps, signalant que quelque chose ne va pas. Même si une inflammation à court terme est bénéfique, une inflammation prolongée est problématique. L'étude a noté qu'un taux élevé de vitamine B12 correspond à une réduction des taux de CRP, soulignant le rôle préventif de cette vitamine.
Les auteurs reconnaissent les limites de l'étude, en particulier la taille restreinte de l'échantillon et la mesure unique de la vitamine B12 et des marqueurs d'inflammation, qui pourraient influencer la profondeur de l'étude.
Dois-je supplémenter en B12 ?
La carence en vitamine B12 est souvent une maladie silencieuse qui s’aggrave avec l’âge. Pour ceux qui envisagent une supplémentation en B12, il est prudent d’en discuter avec un professionnel de la santé. Un test sanguin examinant la vitamine B12 et son homologue, l'homocystéine totale plasmatique, peut aider à déterminer l'état de santé de la personne en matière de vitamine B12.
Notre corps ne produit pas naturellement de B12, mais dépend plutôt de sources alimentaires. L’alimentation reste le canal principal, avec les abats, la volaille et les fruits de mer au premier plan. Pour un choix décalé, les algues offrent une surprenante richesse en B12.
Lorsqu’on se tourne vers les suppléments, la cyanocobalamine apparaît souvent comme le choix incontournable, compte tenu de son prix abordable. Cependant, cette variante synthétique a un piège : elle libère d’infimes traces de cyanure lors de sa métabolisation et peut présenter des risques pour les personnes ayant des problèmes de santé spécifiques.
Un pari plus sûr est la méthylcobalamine, une variante naturelle de la B12 présente dans notre intestin. Pour ceux qui recherchent le bien-être naturel, un supplément du complexe B mettant en vedette la méthylcobalamine ou son équivalent, l’adénosylcobalamine, est une option viable.
L'hydroxychloroquine associée à une baisse de la mortalité due au COVID-19 : étude française
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 01h40 Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
Les personnes ayant reçu de l’hydroxychloroquine étaient moins susceptibles de mourir que celles qui n’en ont pas reçu, selon une nouvelle étude.
Seulement 0,8 % des patients d'un établissement en France qui ont reçu de l'hydroxychloroquine (HCQ) et un antibiotique sont décédés, contre 4,8 % des patients qui n'ont pas reçu l'association de médicaments, ont rapporté des chercheurs français le 1er novembre.
"Cette étude représente la plus grande étude monocentrique évaluant l'HCQ-AZ dans le traitement du COVID-19. À l'instar d'autres grandes études observationnelles, elle conclut que l'HCQ aurait sauvé des vies", Dr Didier Raoult, d'Aix-Marseille Université. à Marseille, et ses co-auteurs ont écrit.
L'article a été publié dans la revue New Microbes and New Infections. Il a été publié sous forme de prépublication plus tôt cette année, mais retiré parce que les auteurs ont déclaré avoir modifié leurs « stratégies analytiques ».
Les chercheurs ont examiné les dossiers de 30 423 patients atteints du COVID-19 traités dans un autre établissement de Marseille, l'IHU Méditerranée Infection. Ils comprenaient tous les adultes qui ont été testés positifs pour le COVID-19 et qui ont été traités à l’hôpital en tant que patient hospitalisé ou ambulatoire entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021.
L'ensemble de l'étude s'est retrouvé avec 30 202 patients car les informations sur le traitement n'étaient pas disponibles pour les 221 autres.
La plupart des patients ont reçu des prescriptions non autorisées d’hydroxychloroquine et d’azithromycine (AZ), un antibiotique courant.
Sur l'ensemble, 23 172 patients ont reçu l'association médicamenteuse. Les 7 030 autres ne l’ont pas fait.
Parmi ceux qui ont reçu les médicaments, 191, soit 0,8 %, sont décédés. Parmi ceux qui ne l’ont pas fait, 344, soit 4,8 %, sont décédés.
Ceux qui ont reçu du HCQ et de l'AZ étaient plus susceptibles de survivre, qu'ils soient hospitalisés ou ambulatoires.
L'effet le plus important a été enregistré chez les patients ambulatoires âgés de 50 à 89 ans.
Les limites de l'étude comprenaient le fait de s'appuyer sur les dossiers d'un seul centre. Le financement provenait en partie du gouvernement français.
L’HCQ est autorisée en France et aux États-Unis depuis des décennies, mais pas pour traiter le COVID-19.
Le Dr David Boulware, médecin spécialiste des maladies infectieuses à la faculté de médecine de l'Université du Minnesota, a déclaré que les données des essais cliniques ne soutiennent pas l'utilisation de l'HCQ contre la maladie.
« L'hydroxychloroquine n'a démontré aucun bénéfice dans les essais cliniques randomisés », a déclaré le Dr Boulware, qui n'a pas participé à la nouvelle étude, dans un courriel à Epoch Times.
"Il n'y a aucun effet antiviral chez l'homme et aucune réduction des hospitalisations parmi 11 essais cliniques randomisés regroupés", a-t-il ajouté, faisant référence à une métaanalyse qu'il a co-écrit et publiée en janvier. Le Dr Boulware a également contribué à la réalisation d’un essai randomisé examinant l’HCQ comme prophylaxie chez les personnes exposées au COVID-19, et a constaté que cela ne prévenait pas la maladie ni ne confirmait l’infection.
Preuve mitigée
Le Dr Raoult et ses co-auteurs ont reconnu que plusieurs grands essais randomisés n’ont trouvé aucun bénéfice de l’HCQ contre le COVID-19, y compris un essai de l’Organisation mondiale de la santé. Mais ils ont déclaré que le plus grand, financé par l'Organisation mondiale de la santé et le gouvernement britannique, souffrait de « problèmes méthodologiques importants », notamment un dosage élevé au cours des premières 24 heures.
Le groupe a également critiqué des essais plus petits avec des résultats similaires comme étant de faible puissance, y compris un essai en France qui a été arrêté en raison de problèmes d'inscription.
"En revanche, plusieurs grandes études rétrospectives observationnelles publiées dans la littérature, portant sur un total de 47 516 patients, rapportent un bénéfice de l'utilisation de l'HCQ sur la mortalité des patients atteints du COVID-19", ont indiqué les auteurs, citant des études menées en France, en Iran et en Espagne.
Ils ont déclaré que le nombre de patients dans les études observationnelles dépasse le nombre de patients dans les essais randomisés et soutiennent l’utilisation de l’HCQ comme traitement précoce.
Le Dr Boulware a déclaré que les données d’observation peuvent souffrir de problèmes graves, soulignant une réponse en 2020 à un article d’observation américain qui rapportait une association entre l’HCQ et l’AZ et une mortalité plus faible chez les patients hospitalisés.
Le Dr Raoult et ses co-auteurs ont reconnu les limites des données d'observation, mais ont déploré ce qu'ils considèrent comme un manque d'essais cliniques utilisant un dosage approprié.
"Malheureusement, peu ou pas d'ECR ayant tenté de démontrer l'efficacité de l'HCQ sur les patients atteints de COVID-19 ont été menés avec une méthodologie appropriée", ont-ils écrit.
« Une cible inadéquate (traitement tardif), un dosage excessif du médicament ou une puissance d'étude inappropriée étaient les principaux problèmes. Bien que les études observationnelles comportent également des facteurs de confusion, comme indiqué ci-dessus, les différences significatives dans l'estimation des effets entre les ECR et les études observationnelles sont plus susceptibles d'être liées. à la qualité de l'étude qu'à sa conception", ont-ils ajouté, faisant référence à une revue Cochrane selon laquelle il y avait peu de différence entre les études observationnelles et les essais cliniques.
"De toute façon, l'épidémie étant désormais disparue, il n'est plus possible de réaliser des ECR", concluent-ils. "Seules les études observationnelles peuvent apporter davantage d'informations pour aider les décideurs politiques à repositionner l'hydroxychloroquine dans le traitement du COVID-19."
Le Dr Raoult était directeur de l'établissement dans lequel les patients étaient vus, mais a pris sa retraite en 2022 après qu'une enquête de l'agence française a révélé des problèmes de conformité à la réglementation dans l'établissement. Plusieurs de ses articles ont depuis été rétractés.
Le Dr Raoult n'a pas répondu à une demande de commentaire.
La nouvelle étude a eu lieu environ un mois après que des chercheurs belges ont rapporté dans une autre étude observationnelle que le HCQ avec AZ réduisait la mortalité due au COVID-19 chez les patients hospitalisés.
"Notre étude suggère que, malgré la controverse entourant son utilisation, le traitement à l'hydroxychloroquine et à l'azithromycine reste une option viable", ont écrit le Dr Gert Meeus, néphrologue à l'hôpital AZ Groeninge, et d'autres chercheurs.
Ce groupe a exprimé les mêmes préoccupations concernant les essais que le groupe français, notamment concernant les niveaux de dosage.
Certains scientifiques et certaines revues constituent des « menaces potentielles pour la confiance dans les vaccins » : CDC
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 00H40 Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
Les scientifiques et les revues qui mènent et publient certaines recherches posent un problème aux campagnes de vaccination du gouvernement fédéral qui devrait être résolu, ont écrit des responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis dans des courriels récemment examinés.
Colin Bernatzky, analyste de santé publique à la Division des services de vaccination du CDC, a signalé dans l'une des missives un article rédigé par des scientifiques des États-Unis et de plusieurs autres pays qui analysaient les effets d'une vaccination répétée contre le COVID-19.
Vladimir Uversky, un expert en médecine moléculaire en Floride, et ses co-auteurs ont noté que des expériences ont montré que des doses multiples des vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID-19 conduisent à des niveaux plus élevés d'anticorps appelés IgG4, rendant le système immunitaire plus sensible.
« Les études épidémiologiques sur le COVID-19 citées dans nos travaux ainsi que l'échec des vaccins contre le VIH, le paludisme et la coqueluche constituent des preuves irréfutables démontrant qu'une augmentation des niveaux d'IgG4 altère les réponses immunitaires », a déclaré Alberto Rubio Casillas, l'un des co-auteurs, à The Epoch. Fois.
L'article a été publié après un examen par les pairs de Vaccines.
M. Bernatzky a contesté le journal et la couverture médiatique qu'en fait Epoch Times, tout en reconnaissant qu'il n'était pas sûr de sa véracité.
"À tout le moins, il semble qu'il y ait une certaine imprudence éditoriale, d'autant plus que le résultat net est que cette recherche est considérée comme légitime et circule largement. (Et si la recherche est en fait légitime, elle devrait être publiée sur le site du CDC. radar)", a-t-il écrit.
Environ une semaine plus tard, le 7 juillet, M. Bernatzky a fourni à ses collègues plus d'informations sur ce qu'il a décrit comme des « menaces potentielles à la confiance dans les vaccins posées par certaines revues et éditeurs scientifiques ».
L'article de M. Uversky et de M. Casillas « a accumulé une énorme attention », a déclaré M. Bernatzky, avec un score d'attention élevé qui était « sans aucun doute motivé » principalement par l'article d'Epoch Times.
"Malheureusement, l'article d'Uversky fait partie d'un modèle plus large de revues universitaires conférant une légitimité aux affirmations anti-vaccin grâce à leur volonté de publier des travaux de mauvaise qualité (par exemple, des critiques contenant beaucoup de conjectures plutôt que des recherches originales) ainsi que leur réticence apparente. d'émettre des rétractations ou des avertissements lorsque ces questions sont portées à leur attention", a-t-il ajouté.
- voir clip sur site -
Le responsable du CDC a noté que l'article avait été cité par Stephanie Seneff, chercheuse au Massachusetts Institute of Technology, et ses co-auteurs, en réponse aux critiques d'un article qu'ils avaient rédigé et qui faisait état de préoccupations concernant l'impact des vaccins sur le système immunitaire.
La liste des auteurs de cet article "s'avère être... une équipe de sceptiques à l'égard des vaccins qui comprend Peter McCullough", a déclaré M. Bernatzky, faisant référence à un cardiologue basé aux États-Unis qui a exprimé ses inquiétudes quant à la sécurité des vaccins contre le COVID-19. , "avec une expérience dans la promotion d'idées sur l'autisme, les vaccins, le Roundup, etc."
M. Bernatzky a suggéré que les « problèmes systémiques » avec certains scientifiques et éditeurs devraient être résolus, qualifiant la question de « compliquée ». Il a souligné qu'un nouvel article du Dr McCullough avait été publié en prépublication par The Lancet mais avait été rapidement retiré, suscitant des critiques.
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L'e-mail a été largement diffusé au sein du CDC, selon d'autres missives obtenues par Epoch Times, les responsables se concentrant sur l'article de M. Uversky et M. Casillas et ses conclusions.
"Apparemment, c'est devenu viral", a déclaré Sarah Meyer, une autre responsable du CDC, en partageant l'e-mail avec un collègue. Elle a déclaré qu'elle avait également envoyé ses préoccupations à la division des coronavirus et autres virus respiratoires du CDC.
Karen Broder, la collègue, a transmis le courriel aux Drs. Tom Shimabukuro et John Su, deux hauts responsables de la sécurité des vaccins du CDC.
Aucun des responsables du CDC, y compris M. Bernatzky, n'a répondu aux demandes de renseignements. Un porte-parole du CDC a refusé de commenter.
M. Bernatzky est diplômé en sociologie et a écrit que « le mouvement anti-vaccin est sans doute l'un des mouvements sociaux les plus préoccupants à avoir fait surface au cours des deux premières décennies du siècle actuel ». Il a également affirmé que le soutien à l'ancien président Donald Trump était lié à des « éléments haineux ».
Le CDC publie et promeut régulièrement des articles qui n'ont pas été évalués par des pairs dans sa quasi-revue, Morbidity and Mortality Weekly Report. Dans l’ensemble des courriels obtenus grâce à la loi sur la liberté d’information, les responsables ont utilisé à plusieurs reprises ces documents pour élaborer des conseils à l’intention du public sur la sécurité des vaccins contre la COVID-19.
Les revues Vaccines et Food and Chemical Toxicology, que le CDC a critiquées, n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
M. Casillas, médecin à l'hôpital régional d'Autlan au Mexique, a déclaré à Epoch Times dans un courrier électronique que le CDC ne l'avait jamais contacté et a déclaré que l'article qu'il avait aidé à rédiger « devait être lu et interprété pour ce qu'il est : une hypothèse ».
"Dans nos travaux, nous avons développé une série d'hypothèses sur les conséquences possibles d'une concentration élevée d'anticorps IgG4 induite par une vaccination répétée à ARNm. Il est important que les experts de la santé et le grand public comprennent que nous n'avons jamais déclaré catégoriquement que, par exemple, de tels "Les anticorps induisent le cancer. Si vous lisez notre travail, vous remarquerez que tout au long de l'article, nous avons utilisé des mots qui dénotent la nature d'une hypothèse", a-t-il déclaré.
M. Casillas a déclaré que les critiques du CDC étaient injustifiées.
"Chacune de nos propositions est basée sur des recherches antérieures. Elles doivent être évaluées expérimentalement pour être confirmées ou infirmées. C'est la seule façon pour la science d'avancer pour obtenir des vaccins plus sûrs. Nous sommes conscients que nous pouvons nous tromper, mais nous n'acceptons pas que notre travail est critiqué uniquement sur la base d'opinions", a-t-il écrit.
Mme Seneff a déclaré que l'article de M. Casillas et de ses co-auteurs était « une analyse très approfondie qui révèle la complexité de la réaction du système immunitaire aux expositions antigéniques et examine les conséquences néfastes potentielles des niveaux élevés d'anticorps IgG4 observés expérimentalement. induite par une vaccination répétée avec les vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2. »
Elle a déclaré que son point de vue sur la recherche sur les anticorps IgG4 est que les anticorps ne sont pas protecteurs et bloquent d’autres anticorps protecteurs. Elle considère également les niveaux élevés d’anticorps IgG4 comme liés à de graves problèmes, notamment à de graves maladies auto-immunes.
« Cet article est fondateur, et il n'est pas surprenant qu'il soit devenu viral, en raison de son analyse approfondie de l'importance d'un taux élevé d'IgG4 suite à des injections de rappel d'ARNm », a déclaré Mme Seneff à Epoch Times dans un e-mail. "Je doute que la position dominante selon laquelle ces vaccins sont sûrs et efficaces puisse survivre beaucoup plus longtemps, même si elle poursuit ses efforts agressifs pour retirer les articles de synthèse qui révèlent les vraies couleurs de ces thérapies expérimentales."
Le Dr McCullough a déclaré par courrier électronique à Epoch Times que le CDC et d'autres agences de santé seraient mieux servis en organisant des réunions ouvertes « au lieu de s'échanger des potins par courrier électronique ».
S'ils tenaient ces réunions, a-t-il déclaré, les responsables "pourraient entendre directement les experts du pays qui ont appris à traiter le COVID-19 aigu ambulatoire et qui gèrent désormais le tsunami de patients souffrant de blessures, de handicaps et de décès liés au vaccin COVID-19".
Le taux de mortalité infantile aux États-Unis augmente pour la première fois depuis plus de 20 ans
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 NOVEMBRE 2023 - 23H40
Le taux de mortalité infantile aux États-Unis a augmenté de 3 %, avec 20 538 décès enregistrés en 2022, selon les données provisoires des Centers for Disease Control and Prevention publiées mercredi.
Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, le taux a diminué presque continuellement depuis le début des enregistrements du CDC en 1995, même si dans une comparaison internationale, les États-Unis restent derrière la plupart des pays développés dans ce domaine.
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Infographie : Le taux de mortalité infantile aux États-Unis augmente en 2022 | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La mortalité infantile est la mort d'un enfant avant son premier anniversaire.
Les décès de nourrissons entre 2 et 11 mois ont augmenté plus rapidement que le taux de mortalité infantile moyen, soit 4 pour cent, tandis que ceux entre la naissance et 28 jours ont également augmenté de 3 pour cent.
Deux causes courantes de décès infantile – les complications de la grossesse et la méningite – sont devenues plus répandues.
Les experts interrogés par les médias ont déclaré que les raisons de cette augmentation n'étaient pas encore très claires et ont proposé différentes explications pour certaines parties, par exemple la recrudescence des maladies infectieuses après la fin de la distanciation sociale, l'expansion des déserts de soins de maternité dans le pays, la persistance des grossesses non désirées. terme en raison de l'interdiction de l'avortement, d'une augmentation des complications maternelles dues au Covid-19 et d'un plus grand nombre de femmes en général commençant une grossesse avec des problèmes de santé sous-jacents comme l'obésité, le diabète et l'hypertension artérielle, car ceux-ci deviennent plus répandus dans la population.
Alors que les populations noires et autochtones ont les taux de mortalité infantile les plus élevés aux États-Unis, une augmentation statistiquement significative en 2022 s'est produite spécifiquement parmi les populations blanches et amérindiennes/autochtones de l'Alaska.
L’augmentation du taux global est la première statistiquement significative depuis 2002 et les chercheurs ne savent pas si elle va se poursuivre. Cependant, une augmentation plus faible entre 2020 et 2021 ainsi que les données du début 2023 vont dans cette direction.
De plus, Buchholz de Statista souligne que même si le monde a fait des progrès dans la réduction du taux de mortalité des enfants de moins d'un an, les décès infantiles continuent d'être répandus dans les pays en développement.
En particulier, les décès post-néonatals – ceux survenant entre 2 et 11 mois – continuent d’avoir une prévalence plus élevée dans les pays à faible revenu, tout comme les décès entre 1 et 4 ans.
L’Amérique du Nord et les États-Unis en particulier constituent une exception dans les statistiques, se classant derrière l’Europe et d’autres pays à revenu élevé pour tous les types de mortalité infantile.
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Infographie : Progrès dans la lutte mondiale contre la mortalité infantile | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon les données, les nourrissons des pays africains que sont la Sierra Leone, la République centrafricaine, la Somalie et le Nigeria courent le plus grand risque de ne pas atteindre leur premier anniversaire.
Les taux de mortalité dépassent 70 pour 1 000 naissances vivantes dans les quatre pays. Le Pakistan est le pays le moins bien classé hors du continent africain, avec 52,8 décès infantiles pour 1 000 naissances vivantes.
L’Estonie se situe à l’opposé du spectre avec un taux de mortalité infantile de 1,6 pour 1 000 naissances vivantes, ce qui la place au premier rang des nations non microéconomiques.
Le Japon s'est classé deuxième, partageant le classement avec Singapour, suivi de la Norvège, de la Finlande et de la Slovénie au troisième rang.
"Les États-Unis sont en retard sur un indicateur de base de la manière dont les sociétés traitent les gens", a déclaré au Wall Street Journal Arjumand Siddiqi, professeur à l'Université de Toronto qui étudie la santé de la population.
"Dans un pays aussi bien doté en ressources que les États-Unis, avec autant de technologies médicales, etc., nous ne devrions pas avoir de bébés qui meurent au cours de la première année de leur vie. Cela devrait être extrêmement rare, et ce n'est pas le cas."
Les chercheurs devront examiner les données de l'année prochaine pour déterminer s'il s'agit d'un « incident » ou d'un indicateur d'un « problème de santé sous-jacent », a déclaré Danielle Ely, statisticienne de la santé au Centre national des statistiques sanitaires et l'un des auteurs du rapport, à CNN.
Les antibiotiques recommandés sont incroyablement inefficaces pour les maladies infantiles courantes, selon une étude
11/03/2023 Cassie B.
Une nouvelle étude montre une baisse choquante de l’efficacité de plusieurs antibiotiques courants chez l’enfant lorsqu’il s’agit de traiter des infections graves, ce qui fait craindre que la vie des jeunes soit en danger en raison de la résistance aux antibiotiques.
Dans l'étude, publiée dans The Lancet Regional Health – Southeast Asia, des chercheurs de l'Université de Sydney ont examiné les taux de résistance chez les enfants de 11 pays de 2011 à 2021. Ils ont examiné les antibiotiques recommandés par les directives les plus récentes de l'Organisation mondiale de la santé sur utilisation d'antibiotiques. Ils ont constaté que bon nombre des médicaments recommandés par l'OMS pour traiter les infections courantes telles que la méningite, la septicémie et la pneumonie avaient des taux d'efficacité inférieurs à 50 pour cent.
Certains antibiotiques étaient particulièrement peu efficaces pour traiter les affections pour lesquelles ils sont recommandés. Un exemple est la ceftriaxone, qui ne s’est révélée efficace que pour un tiers des cas de méningite et de sepsis néonatal pour lesquels elle a été administrée. Un autre antibiotique, la gentamicine, n’a réussi à traiter que moins de la moitié des cas de méningite et de sepsis pédiatrique, tandis que la catégorie d’antibiotiques à laquelle elle appartient, les aminopénicillines, avait globalement une très faible efficacité contre les infections sanguines chez les enfants.
L’étude s’est concentrée sur les enfants d’Asie du Sud-Est et du Pacifique, mais ses résultats enseignent une leçon précieuse dont les médecins du monde entier devraient tenir compte. Aux États-Unis, plus de 35 000 décès et 2,8 millions d’infections sont causés chaque année par des bactéries résistantes aux antibiotiques. Lorsque les antibiotiques ne parviennent pas à traiter une infection, cela peut entraîner de graves problèmes pour les patients, notamment la nécessité de prendre des médicaments ayant des effets indésirables graves, voire la mort.
Andre O. Hudson, professeur de biochimie au Rochester Institute of Technology, a déclaré à Newsweek : « Si les antibiotiques cliniquement pertinents ne sont pas efficaces, cela peut entraîner une défaillance d'un organe, la mort, etc. Parfois, les médecins utilisent des antibiotiques de dernier recours.
Il a ajouté : « Ces médicaments sont utilisés dans des cas très restreints car ils ont des effets secondaires graves ; par exemple, l'antibiotique de dernier recours, les aminoglycosides, peut entraîner une perte auditive et des lésions rénales. »
La résistance aux antimicrobiens peut être particulièrement dangereuse pour les jeunes, car les antibiotiques les plus récents n’ont peut-être pas été testés sur les enfants et ne leur sont donc pas toujours accessibles.
Les auteurs de l’étude affirment que de nouveaux traitements antibiotiques doivent être développés pour les enfants afin de résoudre ce problème. La co-auteure de l'étude, Phoebe Williams, a déclaré dans un communiqué : "Les tests cliniques d'antibiotiques se concentrent sur les adultes et trop souvent les enfants et les nouveau-nés sont laissés de côté. Cela signifie que nous disposons d'options et de données très limitées pour de nouveaux traitements."
Un autre problème est le fait qu’il n’est pas financièrement viable pour les grandes sociétés pharmaceutiques d’investir dans de nouveaux antibiotiques qui ne sont nécessaires que pendant quelques jours ou quelques semaines, alors qu’elles peuvent gagner beaucoup plus d’argent grâce aux médicaments que les gens prennent pendant des années pour traiter des maladies chroniques.
L'étude souligne également la nécessité pour l'OMS de mettre à jour ses directives mondiales sur les antibiotiques ; les lignes directrices les plus récentes ont été publiées en 2013.
Comment la résistance aux antibiotiques est-elle devenue un problème ? Lorsque les bactéries sont traitées à l’aide d’antibiotiques, certaines d’entre elles peuvent survivre et évoluer de manière à résister aux effets du médicament. Lorsque ces nouvelles souches résistantes se propagent, elles peuvent provoquer des infections difficiles à traiter tout en transférant leur résistance à d’autres bactéries. Des études ont montré que dans les zones géographiques où des antibiotiques spécifiques sont souvent utilisés, la résistance à ces médicaments est plus élevée.
Un autre problème est le fait que certains médecins prescrivent des antibiotiques lorsqu’ils ne sont pas nécessaires ou prescrivent des doses plus élevées que nécessaire. Une prescription plus prudente est nécessaire, et les médecins doivent être invités à choisir dès le départ le type et la posologie d’antibiotiques appropriés et à éviter de donner aux patients des antibiotiques pour des problèmes qui ne leur répondent pas.
« Pharmageddon » pourrait fermer des centaines de pharmacies alors que des milliers de pharmaciens quittent leur travail
11/03/2023 Olivia Cook
Le mouvement de protestation de milliers d'employés non syndiqués travaillant dans de grandes chaînes – surnommé « Pharmageddon » – pourrait fermer des centaines de pharmacies alors que les protestations appelant à des changements dans la charge de travail se propagent dans au moins 15 États. Parallèlement aux arrêts de travail et aux arrêts de travail pour protester contre ce qu'ils décrivent comme des charges de travail insupportables qui pourraient avoir un impact sur la sécurité des patients, les pharmaciens ont évoqué la possibilité de protester au siège social de CVS à Woonsocket, Rhode Island et Walgreens à Deerfield, Illinois, selon la pharmacienne californienne Lannie Duong, l’un des principaux organisateurs des manifestations.
USA Today a rapporté que les organisateurs de la manifestation estimaient que jusqu'à 4 500 pharmaciens, techniciens et employés de plusieurs chaînes, dont CVS, Rite Aid et Walgreens, avaient été attirés par les efforts de « Pharmageddon ». (Connexe : THE VANISHING : La pénurie de pharmaciens entraîne la fermeture des pharmacies CVS et Walmart.)
Le PDG de l'American Pharmacists Association (APHA), Michael D. Hogue, a déclaré dans un communiqué qu'il se tenait aux côtés de tous les pharmaciens et du personnel de pharmacie en grève. L'APHA est la plus grande organisation professionnelle du secteur.
« Nous soutenons le droit de chaque pharmacien de travailler dans un environnement doté d'un personnel qui soutient votre capacité à prodiguer des soins aux patients. Nous savons que ce sont des étapes que vous jugez nécessaires pour être entendus par votre employeur. Depuis trop longtemps, les employeurs ont fait en sorte que la situation soit pire que cela ne devrait l'être", a-t-il déclaré.
Hogue a ajouté que les quotas obligeant les pharmaciens à exécuter un certain nombre d'ordonnances ou à administrer un grand nombre de vaccins détruisent leurs relations avec les patients. "Les superviseurs qui ne sont pas pharmaciens ne comprennent pas les besoins des équipes soignantes et imposent des exigences déraisonnables en matière de productivité en termes de temps."
La Virginia Pharmacy Association soutient également fermement les pharmaciens et autres personnels pharmaceutiques. L'association a déclaré : « La nouvelle selon laquelle des pharmaciens quittent leur emploi dans d'autres villes en disant « ça suffit » et s'en vont est véritablement un signe de désespoir de la part de professionnels qui, bien que engagés toute leur vie à aider les patients, se sont retrouvés dans le besoin de prendre un support."
Michael Jackson, vice-président exécutif et directeur général par intérim de la Florida Pharmacy Association, a déclaré qu'il y avait moins d'argent à consacrer au personnel pharmaceutique supplémentaire, car les remboursements de l'assurance maladie aux pharmacies pour les services de prescription fournis n'augmentent pas mais diminuent.
"Cela crée une situation dans laquelle il existe une pression énorme sur les pharmacies pour qu'elles fournissent ces services à moindre coût, ce qui se traduit par une charge de travail plus lourde pour le personnel pharmaceutique actuel et augmente les risques que les pharmaciens et les techniciens commettent des erreurs lors de l'exécution des ordonnances", a expliqué Jackson.
"La sécurité des patients est la chose la plus importante pour ces pharmaciens de première ligne. Ils ne disent pas que nous avons besoin de plus d'argent. Ils disent que nous avons besoin de plus de soutien, de plus d'aide pour faire les choses qu'on nous demande de faire. Et Je pense que ce n'est pas une demande injuste."
Dans un communiqué, un porte-parole de Walgreens a déclaré que la société reconnaissait le travail incroyable accompli quotidiennement par son personnel pharmaceutique et avait pris plusieurs mesures pour garantir que les équipes pharmaceutiques puissent se concentrer sur la fourniture de soins optimaux aux patients.
« Nos dirigeants se rendent régulièrement dans nos pharmacies pour écouter les préoccupations et les frustrations et répondre aux commentaires. Nous avons pris des mesures au cours des deux dernières années pour améliorer l'expérience des pharmaciens, faire progresser la profession et leur permettre de prodiguer les soins de grande valeur pour lesquels ils ont été formés. faire."
CVS réalise des investissements ciblés qui répondront aux principales préoccupations de son personnel pharmaceutique, notamment « en permettant aux équipes de planifier un soutien supplémentaire si nécessaire, en améliorant le recrutement et l'embauche de pharmaciens et de techniciens, et en renforçant la formation des techniciens en pharmacie », a déclaré un porte-parole de l'entreprise.
Les manifestants de "Pharmageddon" réclament de meilleures conditions de travail En septembre et octobre, les employés des pharmacies nationales comme CVS et Walgreens se sont relayés dans la série « Pharmageddon » d'arrêts de travail et de maladie, d'une durée d'un à deux jours. Plusieurs débrayages à l'échelle nationale devraient se poursuivre pour "sensibiliser au manque de personnel et améliorer les conditions de travail".
NBC News a rapporté que les manifestants demandent à leurs employeurs d'embaucher davantage de personnel et d'éliminer les politiques les encourageant à travailler plus dur, ce qui, selon eux, augmente le risque de préjudice accidentel pour les patients.
"Les inquiétudes des pharmaciens sont réelles", a déclaré le Dr Lucas Berenbrock, professeur agrégé de pharmacie et de thérapeutique à l'Université de Pittsburgh. "Ce sont les dernières personnes qu'un patient voit avant de prendre ses médicaments. Il est donc essentiel de disposer d'un personnel et d'une rémunération adéquats pour les nombreux emplois que les pharmaciens doivent accomplir au quotidien."
Berenbrock a ajouté : « Tout ce qu'ils font vise à fournir les bons médicaments au bon patient, à la bonne dose, au bon moment. Et tout cela est une question de sécurité des patients. »
Nathan Fuller, pharmacien chez Walgreens Colorado, a déclaré : « Je pense que la plupart d'entre nous qui participent [à "Pharmageddon"] ont l'impression de ne pas avoir été entendus. un point d'éclatement. Si nous continuons dans la direction dans laquelle nous allons, ce sera trop dangereux.
Il est vrai qu'une enquête récente de USA Today a révélé que les chaînes de pharmacies comme CVS et Walgreens ont constamment réduit leurs effectifs tout en « imposant à leurs travailleurs de première ligne une liste croissante de tâches supplémentaires ».
Regardez cette vidéo sur la fermeture des pharmacies en raison d'une pénurie de main-d'œuvre.
Cette vidéo provient de la chaîne Martin Brodel sur Brighteon.com.
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CVS, Rite Aid et Walgreens vont fermer plus de 1 500 magasins en raison de l'augmentation de la criminalité dans le commerce de détail, laissant des MILLIONS de personnes sans accès local aux médicaments.
Le personnel de Walgreens et d'autres grandes chaînes de pharmacies américaines pourraient S'ARRÊTER dans les semaines à venir pour protester contre les mauvaises conditions de travail.
Les pénuries de médicaments signalées dans 96 % des pharmacies américaines au sein de la chaîne d’approvisionnement des grandes sociétés pharmaceutiques commencent à échouer.
Les pharmacies CVS de Washington, D.C., affichent des photographies encadrées de produits et conservent les vraies dans des cages verrouillées pour lutter contre le vol à l'étalage endémique.
11/03/2023 Laura Harris
Deux pharmacies CVS à Washington, DC, ont été contraintes de créer des solutions non conventionnelles pour lutter contre le vol à l'étalage endémique.
CVS Pharmacy, située sur H Street Northeast, utilise désormais des photographies encadrées de papier toilette et de torchons pour remplacer les vrais produits. Les clients doivent également appuyer sur un bouton pour demander au personnel de récupérer les articles du stockage. Un autre magasin CVS du quartier de Columbia Heights conserve plusieurs articles derrière des cages verrouillées, tandis que les allées, autrement vides en raison de produits manquants, ont été gâchées par des graffitis grossiers.
"C'est ainsi que nous vivons en Amérique maintenant ? C'est le tiers monde !" Le commentateur conservateur Joey Mannarino, qui a partagé des images de la transformation surréaliste de la pharmacie, a exprimé son incrédulité. (Connexe : Les acheteurs sont obligés d'attendre jusqu'à 40 minutes pour acheter des produits de première nécessité alors que les grands détaillants VERROUILLENT les marchandises pour lutter contre le vol à l'étalage.)
Selon les dernières données du département de police métropolitaine, les cas de vol ont augmenté de 21 %, avec 10 673 incidents signalés en 2023, tandis que les vols de véhicules à moteur ont connu une augmentation de 101 % par rapport à 2022. Parallèlement, les crimes violents signalés ont augmenté de 41 %. les homicides de 33 pour cent et les vols de 70 pour cent par rapport à l’année précédente. En bref, la criminalité généralisée à Washington D.C. a atteint des niveaux de crise.
En conséquence, CapitalOne Research estime que les magasins ont perdu 86,6 milliards de dollars à cause des vols de détail en 2022, et que ce chiffre pourrait dépasser 155 milliards de dollars d'ici 2025. Les analystes d'UBS ont également prédit qu'au moins 50 000 magasins fermeront aux États-Unis au cours des cinq prochaines années. années en raison de la recrudescence des vols couplée à la transition vers les achats en ligne.
Il est vrai que la prédiction se réalise déjà. CVS a annoncé son intention de fermer 900 de ses magasins aux États-Unis pour se concentrer sur son marché en ligne. Ses pertes dues aux vols à l'étalage généralisés et à d'autres délits dans le commerce de détail coûtent à l'industrie 112 milliards de dollars par an, selon la National Retail Federation.
Le maire de Washington, D.C., propose le projet de loi ACT Now
La maire Muriel Bowser de Washington, D.C., a proposé une nouvelle législation visant à annuler bon nombre des réformes douces en matière de criminalité que la ville avait adoptées en réponse à la mort de George Floyd et aux manifestations de Black Lives Matter.
"Je pense qu'ils étaient bien intentionnés, et nous tous, après le meurtre de George Floyd, voulions nous assurer que nous faisions tout notre possible pour garantir une réforme sûre et constitutionnelle de la police. Mais je pense que certaines réformes ont rendu nos communautés moins sûres", a-t-il ajouté. ", a déclaré Bowser.
La législation, connue sous le nom de projet de loi Aborder les tendances de la criminalité maintenant (ACT Now), vise à modifier la loi modifiant la loi sur la police et la justice. Cependant, le projet de loi ACT Now vise non seulement à inverser les réformes progressistes, mais également à lutter contre les vols organisés au détail et les marchés de drogue en plein air dans la ville.
"Nous devons agir maintenant, et nous devons envoyer le message fort que la violence n'est pas acceptable dans notre ville, et que cette perception selon laquelle on peut commettre un crime éhonté et s'en tirer sans aucune conséquence doit cesser. Cette législation va changer cela, ", a déclaré Bowser.
Par exemple, le projet de loi ACT Now vise à limiter la divulgation au public d'informations sur les mesures disciplinaires des policiers, à clarifier la définition de l'étranglement, à permettre aux policiers de visionner les images des caméras portées sur le corps avant de rédiger des rapports, à préciser les incidents de recours à la force et modifier les restrictions sur les poursuites automobiles.
Le projet de loi vise également à interdire aux jeunes de 16 ans et plus de porter des masques en public et lors des manifestations ; établir des accusations criminelles pour les voleurs à l'étalage possédant plus de 1 000 $ de marchandises ou volant 10 articles ou plus d'une valeur d'au moins 250 $ dans les 30 jours ; imposer des sanctions au premier degré en cas de recel de biens volés ou de fraude au retour ; et créer un nouveau crime de vol organisé au détail, passible d'une peine pouvant aller jusqu'à 15 ans de prison.
Renseignez-vous sur d’autres cas de comportement criminel aux États-Unis sur Anarchy.news.
Regardez ce clip de Newsmax pendant que Wendy Bell explique comment les politiques démocrates ont encouragé la criminalité.
Cette vidéo provient de la chaîne GalacticStorm sur Brighteon.com.
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EVIL : un professeur promeut l'idée d'un mouvement de masse en faveur de la prostitution des enfants
11/03/2023 Kevin Hughes
Un professeur de l'Université Johns Hopkins (JHU) aurait conseillé à une travailleuse du sexe militante de créer un « mouvement de masse » promouvant l'idée des enfants dans l'industrie du sexe. Ceci était basé sur l’audio enregistré par un journaliste infiltré lors de la conférence Socialisme 2023. Karlyn Borysenko, psychologue et journaliste indépendante, a assisté à la conférence qui s'est tenue à Chicago du 1er au 4 septembre. Des socialistes et des militants de tout le pays se sont réunis à la conférence pour discuter de sujets tels que le marxisme et les stratégies et causes de la gauche.
L'un des panels intitulé "La politique de l'enfance" mettait en vedette Jules Gill-Peterson, un professeur agrégé au JHU qui s'identifie comme une femme. Une autre oratrice du panel était Sophie Lewis, l'auteur du livre "Full Surrogacy Now: Feminism Against Family".
Un panel parle de l’abolition de l’âge du consentement
Borysenko a déclaré que le panel avait parlé d'abolir l'âge de consentement avant de commencer à enregistrer. Le journaliste a également mentionné que la plupart des spectateurs semblaient accepter l'idée que les enfants avaient le « droit » de solliciter des relations sexuelles.
"Les socialistes ne croient pas que les enfants sont la 'propriété privée' de leurs parents. Ils croient que les enfants sont de petits adultes capables de prendre toutes leurs propres décisions", a déclaré Borysenko à Campus Reform.
Au cours du segment de questions et réponses du panel, une participante nommée Chanel s'est présentée comme une militante travailleuse du sexe. Elle a demandé si les jeunes travaillant dans l'industrie du sexe devraient être considérés comme faisant partie d'une « vision de libération des enfants ».
"Les jeunes travaillant dans l'industrie du sexe méritent et ont besoin de droits, au minimum de libération et de justice", a déclaré Chanel. "C'est une sorte d'utopie à laquelle je n'avais jamais vraiment pensé auparavant, parce que le monde semble si séparé et que la question de la jeunesse et du travail du sexe est incroyablement chargée."
Chanel a ajouté que son militantisme implique « de travailler à l'intersection des migrants, de la justice, du capitalisme et du travail du sexe » et qu'elle aimerait voir un mouvement de « libération » pour les enfants qui comprendrait « des enfants très marginalisés dans la rue » et « des gens qui vendent des produits ». le sexe pour survivre. »
Au lieu de répondre à la question, Gill-Peterson a demandé quelles autres stratégies devraient être explorées pour véritablement acquérir un « sentiment de solidarité ».
"Si vous faites partie d'un projet essayant de réfléchir au rôle des jeunes dans l'industrie du sexe, l'une des raisons pour lesquelles vous pourriez avoir l'impression de pouvoir consacrer du temps et de l'énergie à cet effort est si ce n'est pas le cas. "Vous n'avez pas l'impression que vous pourriez être mis à sécher tout seul, n'est-ce pas ? Donc, un mouvement de masse a une sorte de valeur persuasive", a déclaré Gill-Peterson.
Les publications d'information en ligne, le Christian Post, ont tenté de joindre Gill-Peterson pour une déclaration via son courrier électronique professionnel, mais n'ont reçu qu'une réponse automatique indiquant que le professeur était en congé pour le semestre.
Cela survient au milieu de débats nationaux sur la question de savoir si les États américains devraient interdire les interventions chirurgicales et la prescription d'hormones aux mineurs confondus avec leur sexe. (Connexe : La commercialisation d'une CHIRURGIE DE CHANGEMENT DE SEXE mutilant les organes génitaux directement auprès des mineurs est encore plus MALVEUSE et TORSADÉE que la publicité pour les cigarettes, l'alcool ou la prostitution.)
Borysenko a couvert plus tôt un autre discours prononcé par Gill-Peterson au Lewis & Clark College dans le cadre d'un symposium sur les études de genre intitulé "Transition et avortement en tant que médecine vernaculaire".
Au cours de son discours, le professeur a encouragé l'utilisation d'hormones à faire soi-même, tout en reconnaissant que cette pratique peut être "dangereuse".
Selon un rapport du Harbinger's Daily, Gill-Peterson exhortant un activiste à aider à éliminer la stigmatisation entourant le soutien au « travail du sexe » des enfants en lançant un « mouvement de masse » pour renverser la tendance de la « panique morale » autour de cette idée n'est rien de plus qu'un "tenter de normaliser la maltraitance des enfants au nom du désir sexuel des adultes. C'est dégoûtant, c'est ignoble, et il est difficile de commencer à comprendre les conséquences d'une telle dépravation."
Suivez Evil.news pour plus d’informations sur l’exploitation des enfants en tant que travailleuses du sexe.
Regardez la vidéo ci-dessous exhortant le public à dire non à la prostitution et au trafic sexuel d'enfants.
Cette vidéo provient de la chaîne Resistance Chicks sur Brighteon.com.
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La fondation Gates fait don de millions de dollars à des ONG qui cherchent à normaliser la prostitution enfantine et la sexualisation des enfants de moins de 10 ans.
Regardez qui mène le monde en ce qui concerne les enfants qui « changent de sexe ».
ENFANTS PRIS : Une vidéo horrible révèle que le gouvernement américain facilite activement un ÉNORME réseau de trafic d’enfants à travers l’Amérique.
Aux États-Unis au moins, la demande de sperme sans ARNm semble continuer à augmenter. Ceci est rapporté par des recherches actuelles en Grande-Bretagne.
« Le sperme non vacciné est le nouveau Bitcoin », tel était un slogan qui a attiré l’attention du monde entier lors des manifestations contre le Covid. Environ deux ans après la campagne de vaccination massive, la demande de donneurs de sperme non vaccinés semble avoir augmenté. Le Daily Mail rapporte sur Facebook des femmes qui recherchent de tels donneurs. La demande semble augmenter plutôt que diminuer.
Demande continue
Jonathan Davin Rinaldi est un donneur de sperme actif depuis de nombreuses années et faisait partie du groupe Facebook Sperm Donation USA, le plus grand groupe de don de sperme en Amérique. Il constate rapidement l'augmentation des demandes de sperme de la part de donneurs non vaccinés et fonde son propre groupe.
Rinaldi fait partie des « millions d’Américains » qui ont été « captivés par la théorie selon laquelle les vaccins Covid endommagent d’une manière ou d’une autre le système reproducteur », écrit le tabloïd britannique. Car, selon le Daily Mail , le CDC continuerait d’affirmer qu’il n’y a aucune preuve « que la vaccination contre le Covid-19 affecte la fertilité ».
Il n’y a en fait aucune preuve claire. Cependant, la baisse rapide des taux de natalité est liée à la campagne de vaccination. Un rapport sur les anomalies en cours en Allemagne sur le TKP peut être lu ici.
Rinaldi est plus simple ici : "Je ne fais pas confiance aux grands gouvernements ou aux grandes sociétés pharmaceutiques, je ne leur fais pas confiance, et je n'ai pas besoin de me faire injecter quoi que ce soit dont je ne sais même pas ce que c'est."
Et même si l’une des plus grandes banques de sperme des États-Unis a déclaré au Daily Mail que très peu de clients lui demandaient des informations sur des donneurs non vaccinés, la réalité semble différente. Selon l’étude, « un nouvel intérêt pour les donneurs de sperme non vaccinés a été identifié ». Les femmes disaient régulièrement « pas de vaccin Covid » lorsqu’elles recherchaient un donneur. Les donneurs potentiels ajoutent des termes comme « homme non vacciné (sperme non modifié par l’ARNm) ».
Même si la pression sociale autour de la vaccination contre le Covid s’est atténuée et que seules quelques personnes se font vacciner, l’attention sociale reste élevée. De nombreuses personnes font encore moins confiance à l’industrie pharmaceutique qu’avant 2020.
Toutefois, le prix du sperme non vacciné n’a pas encore augmenté. Cependant, il a fallu quelques années pour que Bitcoin fasse enfin sa percée. Cela était dû à une demande accrue. La question de savoir si la demande de donneurs non vaccinés augmentera également à l’avenir sera probablement également décidée politiquement et si le sceau « sûr et efficace » sera finalement retiré de la technologie de l’ARNm.
"J'ai passé toute ma vie sans vagin pour finalement atterrir à l'hôpital avec une septicémie causée par un faux vagin défectueux dont j'ignorais l'existence. Si ces opérations d'accouchement étaient légitimement menées pour m'aider, alors pourquoi serais-je confrontée à une maladie grave. à cause d'un vagin qu'un petit garçon n'aurait jamais dû avoir ? Quelle valeur un pseudo-vagin aurait-il pu avoir pour un bébé de deux jours ? Ai-je participé à une expérience médicale ?
RépondreSupprimerOttaway veut sensibiliser les gens aux dangers des mutilations de genre
Ottaway a envisagé la possibilité d'une détransition, mais a finalement décidé de ne pas le faire en raison des risques pour la santé qui y étaient associés et de nouvelles mutilations génitales.
Au lieu de cela, il a choisi de se concentrer sur le traumatisme émotionnel et les problèmes de santé mentale résultant de ses opérations. Ottaway fait désormais campagne pour une réforme des parcours médicaux, soulignant l'importance du consentement éclairé et du bien-être des patients. Il s'exprime désormais pour sensibiliser la population, notamment les mineurs, aux dangers des mutilations sexuelles.
Scott Newgent, une femme devenue un homme, partageait le même plaidoyer qu'Ottaway. Elle est apparue dans un épisode d'avril du podcast "The Van Maren Show". Lors de son apparition dans l'émission, elle a laissé une déclaration pour avertir le public que le transgenre est une épidémie ciblant les enfants vulnérables.
"Pour beaucoup de ceux qui ont changé de sexe, il n'y a pas de choix facile. Beaucoup de gens sont tout simplement trop endommagés physiquement et physiologiquement pour avoir un choix simple. Beaucoup se sentent coincés entre les sexes – sachant qu'ils ne peuvent pas changer mais se sentent coincés quelque part entre les deux par le "Les opérations chirurgicales qu'ils ont subies et les médicaments qu'ils ont pris. C'est un aspect déchirant des retombées du mouvement transgenre avec lequel nous devrons lutter dans les années à venir", a déclaré Newgent.
Elle s’exprime désormais pour éduquer et protéger les personnes qui souhaitent subir des mutilations sexuelles, notamment les mineures.
Consultez Transhumanism.news pour lire plus d’histoires sur les chirurgies transgenres.
Regardez Harrison Smith d'InfoWars discuter des commentaires de la chirurgienne trans Dr. Marci Bowers fustigeant les procédures « d'affirmation de genre » chez les enfants dans la vidéo ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
RépondreSupprimerMore related stories:
LGBTQ CHILD EXPLOITATION AGENDA: Projects and businesses caught pushing kids into gender-bender drugs and genitalia-mutilation surgery without parental permission.
GENDER-AFFIRMING BRAINWASH: The term “gender-affirming care” is NOT care at all, but mutilation, and “affirming” is NOT medicine, just delusion and child abuse.
Detransitioner sues doctors who rushed her into DOUBLE MASTECTOMY when she was a MINOR.
British Columbia greenlights legislation allowing kids to self-identify as a gender that contradicts their biological reality.
That’s messed up: American Academy of Pediatrics claims kids can consent to mastectomies and gender surgeries, but not tattoos.
Sources include:
LifeSiteNews.com 1
LifeSiteNews.com 2
DailyWire.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-03-male-raised-as-female-shares-health-struggles.html
L'excision est un meurtre.
SupprimerUne médecin généraliste avec 40 ans de carrière sans tache obtient une suspension de 6 mois pour des commentaires anti-vaxx « au vitriol » – dont un selon lequel les enfants étaient « alignés » pour obtenir un vaccin COVID qui pourrait « les tuer »
RépondreSupprimerPar John Ely
Recherche mondiale,
3 novembre 2023
Une médecin généraliste à la carrière sans tache a été suspendu pendant six mois en raison de commentaires « au vitriol » qu'elle a tenu sur Covid et les vaccins.
La Dr Mary McCloskey, basée à Londonderry, a affirmé que la pandémie était un « produit » des médias et du gouvernement et que les vaccins ne fonctionnaient pas et tuaient des gens.
Elle a également affirmé que les tests et les masques faciaux étaient utilisés comme des armes psychologiques pour propager la peur et que les experts « se moquaient » du public en nommant les variantes du virus.
Dans l'une de ses déclarations les plus incendiaires sur les vaccins Covid, elle a affirmé qu'on demandait aux parents « d'aligner nos enfants pour obtenir quelque chose qui pourrait les tuer, pour les protéger de quelque chose qui ne peut pas les tuer ».
Le Dr McCloskey, qui porte également son deuxième prénom Anne, a fait ces commentaires dans une série de vidéos mises en ligne entre août et novembre 2021.
Une audience du Medical Practitioners Tribunal Service (MPTS) tenue à la fin du mois dernier a permis d'entendre un commentaire, dans une vidéo du 21 août, elle a affirmé que les dangers de la pandémie avaient été inventés et promus auprès du public.
"Tout ce battage médiatique est en grande partie le fruit des tromperies des médias, du gouvernement et de leurs conseillers scientifiques menteurs", a-t-elle déclaré.
Dans une autre, elle a affirmé que les vaccins Covid n'étaient pas utilisés pour protéger la santé des gens mais plutôt leur bénéficier.
« Que les gens voient que ces injections tuent des gens ; ils font du mal aux gens ; ils ne préviennent pas la maladie et ne concernent pas la santé », a-t-elle déclaré.
L'homme de 66 ans a également affirmé que les personnes qui avaient reçu des vaccins contre le Covid l'avaient fait sous la contrainte, « contraintes, soudoyées ou intimidées » pour recevoir l'injection.
RépondreSupprimerCliquez ici pour lire l'article complet sur Daily Mail Online .
https://www.globalresearch.ca/general-practitioner-unblemished-40-year-career-gets-6-month-suspension-vitriolic-anti-vaxx-comments/5838905
Effectivement depuis 3 ans la poussière (appelée 'virus') n'a JAMAIS été vue sous microscope !! et, a été inventé un 'vaccin' (empoisonné) contre cette poussière qui n'existe pas !!
SupprimerLa stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) est devenue une urgence sanitaire chez les enfants
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
3 novembre 2023
La NAFLD se caractérise par une accumulation excessive de graisse dans votre foie. Sans traitement approprié, elle peut entraîner de graves problèmes hépatiques, notamment la stéatohépatite non alcoolique (NASH), qui provoque une inflammation et une fibrose, ou des cicatrices du foie. La NAFLD augmente également le risque d'autres problèmes de santé, notamment les maladies cardiovasculaires.
Les premiers cas documentés de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) ne sont apparus qu'en 1980. Aujourd'hui, la NAFLD touche 32,4 % des personnes dans le monde et constitue la cause la plus fréquente de transplantation hépatique chez les adultes de moins de 50 ans.
La NAFLD touche également jusqu'à 9,6 % des enfants américains âgés de 2 à 19 ans, ce qui la rend aussi courante que l'asthme. Chez les 15 à 19 ans, la prévalence atteint 17,3 %. La prévalence chez les enfants de 0 à 17 ans a augmenté de 168,3 % depuis 2017, avec une augmentation particulièrement rapide à partir de 2020
L'augmentation spectaculaire de la NAFLD au début de 2020 pourrait être en partie due aux confinements liés au COVID, qui ont eu pour effet d'augmenter les taux d'obésité infantile de 8,3 % à 13,4 %, selon le groupe d'âge.
L'obésité maternelle et la consommation élevée de sodas light et/ou de malbouffe pendant la grossesse ont toutes deux été associées à la NAFLD chez la progéniture, et une théorie est que les édulcorants artificiels pourraient programmer le métabolisme du fœtus pour favoriser le stockage des graisses plutôt que la production d'énergie.
*
La stéatose hépatique était autrefois une maladie observée presque exclusivement chez les personnes âgées, principalement les gros buveurs. Les premiers cas documentés de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) ne sont apparus que lorsque j'étais à la faculté de médecine en 1980.1 À l'époque, les chercheurs la décrivaient comme une « maladie du foie jusqu'ici sans nom, de cause inconnue ».
En juin 2023, des scientifiques ont proposé de rebaptiser la NAFLD en « maladie hépatique stéatosique associée à un dysfonctionnement métabolique », afin de mettre en évidence sa relation avec d’autres conditions métaboliques telles que le diabète. Ce qui relie toutes les conditions métaboliques, c’est que votre corps ne convertit pas efficacement les aliments en énergie.
RépondreSupprimerDans la vidéo ci-dessus, le chercheur indépendant en santé Jay Feldman enquête sur les véritables causes de la NAFLD. Il s'agit de la deuxième partie d'une série de huit parties. C'est comme un cours de maîtrise sur la NAFLD, car il passe en revue pratiquement tout ce que vous pourriez vouloir ou devoir savoir à ce sujet. Si vous ou quelqu'un que vous connaissez souffrez actuellement de NAFLD, je vous encourage fortement à regarder les huit épisodes.
Dans l'épisode présenté, il explique pourquoi le fructose n'est PAS le principal responsable comme on le pense généralement, comment votre foie produit des graisses à partir du fructose et des graisses alimentaires, et comment une production d'énergie altérée dans vos mitochondries entraîne la NAFLD.
Qu’est-ce que la NAFLD ?
La NAFLD se caractérise par une accumulation excessive de graisse dans votre foie. Sans traitement approprié, elle peut entraîner de graves problèmes hépatiques, notamment la stéatohépatite non alcoolique (NASH), qui provoque une inflammation et une fibrose, ou des cicatrices du foie.
La NASH peut entraîner une cirrhose, qui augmente le risque de cancer du foie et de maladie hépatique terminale. La NAFLD augmente également le risque d’autres problèmes de santé, notamment les maladies cardiovasculaires, qui constituent la première cause de décès chez les personnes atteintes de NAFLD. La NAFLD ne présente souvent aucun symptôme, même si elle peut provoquer de la fatigue, une jaunisse, un gonflement des jambes et de l'abdomen, une confusion mentale, etc.
Votre foie remplit plus de 500 fonctions essentielles à la santé. Cela comprend la production de bile (qui décompose les graisses alimentaires et élimine les déchets), la conversion de l'excès de glucose en glycogène et la régulation des acides aminés dans le sang. C'est également important pour la désintoxication, car il aide à éliminer les toxines de votre sang.
La bonne nouvelle est que votre foie, plus que presque tout autre tissu de votre corps, possède des capacités de régénération phénoménales. Même si 90 % de celle-ci a été supprimée, elle peut retrouver sa taille normale. La NAFLD peut également être inversée avec succès à ses débuts grâce à des changements de mode de vie, comme une alimentation saine et de l’exercice.
La prévalence de la NAFLD a grimpé en flèche
RépondreSupprimerAujourd'hui, la NAFLD touche 32,4 % de la population mondiale2 et constitue la cause la plus fréquente de transplantation hépatique chez les adultes de moins de 50 ans.3 La NAFLD touche également jusqu'à 9,6 % des enfants américains âgés de 2 à 19 ans4, ce qui la rend aussi courante que asthme. 5 Chez les 15 à 19 ans, la prévalence atteint 17,3 %. 6
Ce qui est particulièrement étrange, c'est que la prévalence fulgurante chez les enfants et les adolescents est assez nouvelle. Comme l'illustre le graphique ci-dessous de Trilliant Health7, la prévalence de la NAFLD a augmenté de 168,3 % depuis 2017, avec une augmentation particulièrement précipitée à partir de 2020.
- voir graph sur site -
L'obésité est un principal facteur de risque de NAFLD
Comme indiqué dans un article de mars 2021 sur la NAFLD pédiatrique : 8
« Le plus grand facteur de risque de NAFLD est l’obésité. L'obésité et la NAFLD chez les enfants sont souvent associées ; cependant, ils ne sont pas concomitants.
Dans une étude de 2019 portant sur 408 enfants obèses utilisant l’imagerie par résonance magnétique du foie entier – fraction de graisse à densité protonique, le taux de prévalence de la NAFLD était de 26,0 %, soit environ un enfant sur quatre. Dans l’étude Teen LABS portant sur des adolescents souffrant d’obésité suffisamment grave pour justifier une chirurgie bariatrique, le taux de prévalence de la NAFLD était plus élevé, à 59 %.
L’augmentation spectaculaire de la NAFLD au début de 2020 pourrait être en partie due aux confinements liés au COVID, qui ont eu pour effet d’augmenter les taux d’obésité infantile de 8,3 % à 13,4 %, selon le groupe d’âge. 9
Les édulcorants artificiels peuvent altérer le métabolisme
Cela dit, la NAFLD survient également chez environ 8 % des enfants de poids normal. 10 Une prédisposition héréditaire peut faire partie du problème. Mais l'environnement in utero peut également influencer le risque de NAFLD chez un enfant, 11 et c'est une explication bien plus probable de la récente explosion de la prévalence chez les enfants.
L'obésité maternelle et la consommation élevée de sodas light et/ou de malbouffe pendant la grossesse ont toutes deux été associées à la NAFLD chez la progéniture, et une théorie est que les édulcorants artificiels pourraient programmer le métabolisme du fœtus pour favoriser le stockage des graisses plutôt que la production d'énergie. 12
RépondreSupprimerLes bébés reçoivent également régulièrement des quantités anormalement élevées d’édulcorants dans les préparations pour nourrissons et les aliments pour bébés. Ces dernières années, l'industrie des préparations pour nourrissons a commencé à commercialiser des préparations à base de sirop de maïs au lieu du lactose du lait de vache. On dit que c'est meilleur pour les bébés sensibles au lactose.
Cependant, des recherches récentes 13 suggèrent que les préparations à base de sirop de maïs augmentent considérablement le risque d'obésité chez votre enfant à l'âge de 4 ans et, par extension, de NAFLD, et que ceux qui consomment les plus grandes quantités de préparations pour nourrissons courent le risque le plus élevé.
Les « laits de transition » et les « laits pour tout-petits » contiennent également des quantités de sucre plus élevées que le lait de vache ordinaire. Les deux produits sont de pures inventions marketing sans aucune base nutritionnelle. Parallèlement, des recherches 14 ont montré que la consommation de lait de vache non sucré est associée à un risque plus faible de NAFLD.
Le rôle de l'alimentation
En effet, notre alimentation moderne est probablement le facteur le plus important de cette pathologie. Tel que rapporté par le Washington Post : 15
« … De nombreux médecins pensent que notre mode de vie moderne – régime alimentaire, augmentation des activités sédentaires liées à la technologie et aux expositions environnementales – est à blâmer. L’une des tâches du foie est de filtrer les toxines, et lorsque quelque chose dans le corps est déséquilibré, l’organe peut être endommagé et tomber en panne…
Un peu de graisse dans le foie est normal, mais lorsque plus de 5 % de ses cellules contiennent de la graisse, la capacité de l'organe à faire son travail est entravée, et les pédiatres disent que certains enfants qu'ils traitent ont un foie avec 30 à 40 %, voire autant. comme 60% de matières grasses…
Certains experts en pédiatrie émettent l'hypothèse qu'il existe un décalage entre notre génétique et les aliments hautement transformés et sucrés qui dominent l'alimentation des enfants.
Les enquêtes nutritionnelles montrent que les repas consommés par les enfants ont radicalement changé en une génération, passant de très peu d'aliments ultra-transformés au début des années 1980… à plus de 67 % 16 ces dernières années. De tels régimes entraînent des changements hormonaux et d’autres stress sur notre corps.
RépondreSupprimer"Cela crée une bombe à retardement et tue nos enfants", a déclaré Barry M. Popkin, professeur de nutrition à la Gillings School of Global Public Health de l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill.
Le Washington Post poursuit en citant une revue systématique de janvier 202217 qui a révélé « une augmentation parallèle mais retardée » des maladies non transmissibles avec une prévalence croissante des aliments ultra-transformés.
Entre 1800 et 2019, la part des aliments transformés et ultra-transformés est passée de moins de 5 % à plus de 60 %. Cela a radicalement modifié la teneur en macronutriments de notre alimentation. La consommation de sucre et d’huile de graines (ou « huile végétale ») a augmenté de façon spectaculaire, tandis que les graisses saturées d’origine animale ont chuté.
Abandonnez la restauration rapide pour protéger la santé de votre enfant
Parmi ceux-ci, je pense que la transition des graisses animales saturées vers les huiles de graines a joué le rôle le plus important. Comme détaillé dans « Acide linoléique – L’ingrédient le plus destructeur de votre alimentation », l’huile de graines est la principale source d’acide linoléique (AL), qui détruit votre fonction mitochondriale.
Je suis convaincu qu'une consommation excessive d'AL est le principal contributeur aux maladies chroniques dans le monde occidental, y compris la NAFLD. Pour comprendre comment Los Angeles nuit à votre santé et à celle de vos enfants, veuillez lire cet article et regarder la vidéo qu'il contient. Les deux fournissent un aperçu complet de la manière dont Los Angeles est à l’origine de maladies chroniques de toutes sortes.
Pour éviter Los Angeles, vous devrez éviter les aliments transformés, les fast-foods et la plupart des aliments des restaurants, et vous concentrer plutôt sur de vrais aliments entiers et cultivés de manière biologique. Les aliments transformés sont également régulièrement contaminés par du glyphosate, ce qui peut contribuer à des problèmes de foie. Il est inquiétant de constater que des tests récents ont révélé que 95 % des repas scolaires contenaient des niveaux détectables de glyphosate18. Par conséquent, si possible, fournissez à votre enfant des déjeuners faits maison.
Un nombre choquant de 100 % des repas contenaient également des métaux lourds à des niveaux jusqu'à 6 293 fois supérieurs aux niveaux maximaux autorisés dans l'eau potable. Pendant ce temps, la plupart des repas étaient « extrêmement pauvres » en nutriments essentiels.
RépondreSupprimerLa restauration rapide contient également des quantités extrêmement faibles de nutriments essentiels, notamment de vitamines B. En fait, aucune quantité de vitamine B9 ou B12 n’a été détectée dans les 10 principaux fast-foods échantillonnés. 19
C'est plutôt remarquable, étant donné que les aliments riches en B12 comprennent le bœuf et le poulet, qui sont tous deux des aliments de base dans la restauration rapide, alors que le bœuf et le poulet de la restauration rapide ne fournissent aucun B12 ! Si cela ne vous convainc pas que la viande de restauration rapide est loin d’être la même que la viande biologique nourrie à l’herbe, je ne sais pas ce qui le fera.
La stéatose hépatique peut également être causée par un excès de sucre lorsque, en plus des huiles de graines, vous consommez plus de 35 % environ de vos calories sous forme de graisses. C’est probablement la raison pour laquelle cette pathologie se retrouve désormais même chez les jeunes enfants.
Nutriments qui aident à combattre la NAFLD
Augmenter votre apport en nutriments spécifiques peut également être utile si vous souffrez de NAFLD. Les exemples comprennent:
Choline – La choline est importante pour la fonction hépatique normale et la santé du foie en éliminant la graisse de votre foie. Il aide également à maintenir l’intégrité de la membrane et à gérer le métabolisme du cholestérol, notamment les lipoprotéines de basse densité (LDL) et les lipoprotéines de très basse densité (VLDL). Il a été démontré qu’une carence en choline augmente les dépôts graisseux anormaux dans votre foie, provoquant la NAFLD. 20
En fait, certains experts pensent que la NAFLD est en grande partie le résultat du fait d’éviter les aliments riches en choline comme le foie et les jaunes d’œufs, 21 qui sont ensuite aggravés par une consommation excessive d’AL. Vous pouvez augmenter votre consommation en consommant davantage d'aliments riches en choline, tels que les jaunes d'œufs de pâturage biologiques, le foie de bœuf nourri à l'herbe, le saumon d'Alaska sauvage et l'huile de krill. La roquette est également une excellente source.
La vitamine B12 et l’acide folique peuvent également être protecteurs et il a été démontré qu’ils ralentissent la progression de la NASH. 22
RépondreSupprimerNiacinamide, également connue sous le nom de nicotinamide (NAM) — La niacinamide est un précurseur du nicotinamide adénine dinucléotide (NAD+), une molécule de signalisation vitale censée jouer un rôle important dans la longévité. Il a également été démontré que la supplémentation diminue le stress oxydatif et prévient la stéatose hépatique. 23
N-acétylcystéine (NAC) – La NAC est un précurseur nécessaire à la biosynthèse du glutathion. Il est utilisé comme antidote à la toxicité de l’acétaminophène, qui provoque des lésions hépatiques en appauvrissant le glutathion. Une recherche publiée dans Hepatitis Monthly a montré que la supplémentation en NAC contribue à améliorer la fonction hépatique chez les patients atteints de NAFLD. 24
Chardon-Marie – Cette plante contient de la silymarine et de la silybine, des antioxydants connus pour aider à protéger votre foie des toxines et même à régénérer les cellules hépatiques. 25
CoQ10 — La CoQ10 maintient vos mitochondries en bonne santé et joue un rôle crucial dans la production d'ATP, l'énergie cellulaire nécessaire à votre survie. Il a été démontré qu’une supplémentation en CoQ10, ou sous sa forme naturelle appelée ubiquinol, améliore la NAFLD en réduisant le stress oxydatif et l’inflammation. 26
N'oubliez pas que les suppléments doivent toujours être utilisés en association avec un mode de vie sain, notamment en mangeant sainement et en faisant de l'exercice. Si vous êtes en surpoids, perdre 7 à 10 % de votre poids corporel peut améliorer la NAFLD, notamment en réduisant la teneur en graisse du foie, l'inflammation du foie et la fibrose. 27
*
Remarques
RépondreSupprimer1, 5, 7, 12, 15 Washington Post 3 octobre 2023 (archivé)
2 The Lancet Gastroenterology & Hepatology septembre 2022 ; 7(9) : 851-861
3, 4, 6, 8, 10, 11 Maladie hépatique clinique, mars 2021 ; 17(3) : 196-199
9 JAMA 2021;326(14):1434-1436
13 American Journal of Clinical Nutrition octobre 2022 ; 116(4) : 1002-1009
14 Frontières de la nutrition 2023 ; 10 : 1119118
16 JAMA 2021;326(6):519-530
17 Frontières de la Nutrition 13 janvier 2022
18 mamans à travers l’Amérique 28 septembre 2022
19 mamans à travers l’Amérique 18 octobre 2023
20 Institut Linus Pauling de l’Université d’État de l’Oregon
21 chrismasterjohnphd.com 23 novembre 2010
22 Journal d’hépatologie, 2022 ; est ce que je: 10.1016/j.hep.2022.06.033
23 The Journal of Nutritional Biochemistry 21 mai 2022
24 Hépatite mensuelle, 2010 ; 10(1):12
25 Indien J Biochem Biophys. octobre 2006;43(5):306-11
26 Journal de pratique de prescription. 2020;2(4)
27 Curr Obes Rep. 2019 septembre ; 8(3) : 220-228
https://www.globalresearch.ca/nafld-become-health-emergency-among-children/5838460
Plandémie, partie 2
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
4 novembre 2023
Partie 1
- voir clip sur site -
Partie 2
- voir clip sur site -
Fin mai 2020, le producteur de médias Mikki Willis a publié la première partie de son documentaire « Plandemic », mettant en vedette Judy Mikovits, Ph.D., une biologiste cellulaire et moléculaire1 dont les recherches ont révélé que de nombreux vaccins sont contaminés par des gammarétrovirus, en raison de la culture de ces virus. dans des lignées de cellules animales contaminées. Le film de 26 minutes a été interdit sur toutes les plateformes de médias sociaux après être devenu viral.2 Le 18 août 2020, la deuxième partie, intitulée « Plandemic – Indoctornation », a été publiée.
Plandémie – Endoctornement
La deuxième partie est un long métrage révélant la force motrice derrière le programme vaccinal. Il examine les rôles de l’Organisation mondiale de la santé, de Bill Gates, de Tedros Adhanom, du Dr Anthony Fauci, des médias grand public, des géants de la technologie de la Silicon Valley, des grandes sociétés pharmaceutiques et bien d’autres, en reliant les points entre eux. Willis interroge diverses personnes, notamment :
- voir cadre sur site -
Des séquences supplémentaires gratuites, y compris une interview de suivi avec Mikovits, ainsi que des liens vers des ressources supplémentaires fournies par toutes les personnes interviewées sont censées être disponibles sur le site Web du film, plandemicseries.com.
Événement 201
RépondreSupprimerLe film commence par passer en revue Event 201, une simulation de préparation à une pandémie organisée par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates en octobre 2019 – 10 semaines avant le début de l’épidémie de COVID-19 à Wuhan.
Cet exercice de simulation scénarisé incluait tout ce que nous voyons aujourd’hui se dérouler en temps réel, dans le monde réel, depuis les pénuries d’EPI, les confinements et la suppression des libertés civiles jusqu’aux campagnes de vaccination obligatoires, les émeutes, les troubles économiques et l’effondrement de la cohésion sociale. Un aperçu des prédictions émises lors de cet événement est inclus dans le documentaire.
À l’époque, ils ont passé beaucoup de temps à discuter des moyens de limiter et de contrer la propagation de la « désinformation » attendue sur la pandémie et les vaccins qui devraient être développés. En plus de la censure pure et simple, leur plan prévoyait le recours au « soft power », un terme faisant référence à l’influence furtive utilisant des célébrités et d’autres influenceurs des médias sociaux.
J’en ai discuté dans « Le cabinet de relations publiques derrière les approbations des célébrités de l’OMS ». Tout comme dans la vraie vie, l’une des « désinformations » qu’il a fallu contrer était les rumeurs selon lesquelles le virus avait été créé et libéré par un laboratoire d’armes biologiques.
L'opération Mockingbird n'a jamais pris fin, elle vient d'être privatisée
Le film révèle également comment le SRAS-CoV-2 a été transformé en centre de profit, les origines possibles du SRAS-CoV-2 et comment les géants de la technologie de la Silicon Valley contrôlent le récit, poussant à la peur et censurant les points de vue divergents.
Ce que nous voyons est tout droit sorti du manuel de l’Opération Mockingbird, une campagne clandestine d’influence médiatique de la CIA lancée dans les années 1950. Pendant la guerre froide, la CIA l’utilisait pour diffuser sa propagande. Il a recruté des journalistes pour rédiger de faux articles dénigrant les idéologies communistes.
Aujourd’hui, ils font tout le contraire, en promouvant des idées socialistes radicales qui soutiennent leur projet d’un système économique technocratique.
RépondreSupprimerIl est choquant de constater que la raison pour laquelle ce gouvernement fantôme – dirigé par des sous-traitants du gouvernement et des sociétés de renseignement privatisées – est capable de manipuler l’opinion publique est qu’il a siphonné illégalement les données collectées par la NSA auprès de tous les Américains et les a privatisées.
Toutes nos données personnelles, combinées à l’intelligence artificielle et aux stratégies dites de localisation, permettent à des programmes informatiques sophistiqués de prédire quelle action ou quel message public entraînera un résultat particulier.
Nous sommes au milieu d’un projet d’ingénierie sociale qui constitue une menace existentielle sérieuse pour notre liberté personnelle. Nous y sommes tous exposés quotidiennement, et ce depuis des années. C’est juste que maintenant c’est devenu si omniprésent que c’est manifestement évident pour quiconque veut le voir. Comme on pouvait s’y attendre, « Plandemic – Indoctornation » passe également du temps à revoir le rôle de Bill Gates et de sa fondation.
Le CDC possède des brevets sur le coronavirus
Willis interviewe David E. Martin, Ph.D., analyste du renseignement national et fondateur de l'indice IQ100, qui a développé la génomique linguistique, une plate-forme capable de déterminer l'intention des communications. Selon Martin, en 1999, IBM a numérisé 1 million de brevets américains, ce qui a permis à son entreprise de procéder à un examen.
En utilisant la technologie de la génomique linguistique, Martin a fait l’« horrible évaluation » selon laquelle un tiers de tous les brevets déposés aux États-Unis étaient des contrefaçons fonctionnelles, ce qui signifie que « même s’ils présentaient des variations linguistiques, ils couvraient le même sujet ». En 1999, des brevets sur le coronavirus ont également commencé à apparaître, « et c’est ainsi qu’a commencé la piste du lapin », explique Martin.
En 2003, l'Asie a connu une épidémie de SRAS. Presque immédiatement, les scientifiques se sont précipités pour breveter le virus. En fin de compte, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis se sont emparés du SRAS-CoV (le virus responsable du SRAS) isolé chez l’homme.
Le CDC possède en fait tout le contenu génétique de ce virus du SRAS. Il est breveté sous le brevet américain 7776521. Ils possèdent également des brevets pour des méthodes de détection et pour un kit permettant de mesurer le virus.
RépondreSupprimerLe brevet américain 7279327,3 déposé par l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill décrit des méthodes de production de coronavirus recombinants. Ralph Baric, Ph.D., professeur de microbiologie et d'immunologie célèbre pour ses recherches sur les coronavirus chimériques, figure parmi les trois inventeurs, aux côtés de Kristopher Curtis et Boyd Yount.
La loi stipule clairement que les segments génétiques « ne sont pas éligibles au brevet simplement parce qu’ils ont été isolés ». Ainsi, soit le SRAS-CoV est d’origine humaine, ce qui rendrait le brevet légal, soit il est naturel, rendant ainsi le brevet illégal. Cependant, si le virus a été fabriqué, alors il a été créé en violation des traités et des lois sur les armes biologiques.
Selon Martin, Fauci, Baric et le CDC « sont au cœur » de l’histoire du COVID-19. « En 2002, les coronavirus ont été reconnus comme un mécanisme exploitable à la fois pour le meilleur et pour le pire », dit Martin, et « Entre 2003 et 2017, ils [Fauci, Baric et CDC] contrôlaient 100 % des flux de trésorerie pour construire l’empire autour de l’industrie. complexe du coronavirus.
Le CDC a enfreint la loi, d’une manière ou d’une autre
Voici maintenant le message clé à retenir que Martin délivre. Il existe un problème distinct avec le brevet du CDC sur le SRAS-CoV isolé des humains, car, selon la loi, il est interdit de breveter les segments d’ADN naturels.
La loi stipule clairement que de tels segments « ne sont pas éligibles au brevet simplement parce qu’ils ont été isolés ». Ainsi, soit le SRAS-CoV est d’origine humaine, ce qui rendrait le brevet légal, soit il est naturel, ce qui rendrait le brevet illégal.
Cependant, si le virus a été fabriqué, alors il a été créé en violation des traités et des lois sur les armes biologiques. Cela inclut la Loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, adoptée à l’unanimité par les deux chambres du Congrès et promulguée par George Bush père, qui stipule :4
« Quiconque développe, produit, stocke, transfère, acquiert, conserve ou possède sciemment un agent biologique, une toxine ou un système de lancement destiné à être utilisé comme une arme, ou aide sciemment un État étranger ou toute organisation à le faire, sera condamné à une amende en vertu de la présente loi. titre ou emprisonné à vie ou pour toute durée d'années, ou les deux. Il existe une compétence fédérale extraterritoriale sur une infraction au présent article commise par ou contre un ressortissant des États-Unis.
RépondreSupprimerAinsi, comme l’a noté Martin, quel que soit le scénario qui s’avère vrai, le CDC a enfreint la loi d’une manière ou d’une autre, soit en violant les lois sur les armes biologiques, soit en déposant un brevet illégal. Plus grave encore, le 14 mai 2007, le CDC a déposé une requête auprès du bureau des brevets pour que son brevet sur le coronavirus reste confidentiel.
Désormais, parce que le CDC détient le brevet sur le SRAS-CoV, il contrôle qui a la capacité de mener des enquêtes sur le coronavirus, note Martin. Sauf autorisation, vous ne pouvez pas examiner le virus, vous ne pouvez pas le mesurer ou faire des tests, car ils possèdent tout le génome et tout le reste.
"En obtenant les brevets qui empêchaient quiconque de l'utiliser, ils en avaient les moyens, les motivations et, surtout, ils avaient le gain monétaire en transformant le coronavirus d'un agent pathogène en un profit", explique Martin.
Des recherches dangereuses sur les gains de fonction ont été autorisées
Martin poursuit en décrivant les événements survenus entre 2012 et 2013. À cette époque, les National Institutes of Health ont décidé de réexaminer la recherche sur le gain de fonction, décidant finalement que la recherche sur le gain de fonction sur le coronavirus était trop risquée pour continuer. .
Cela a conduit à la suspension du financement de ces recherches en 2013. Cela comprenait des fonds versés à Harvard, Emery et à Chapel Hill de l’Université de Caroline du Nord. Cependant, même si les NIH avaient des raisons morales, voire juridiques, de suspendre de telles recherches, ils ont rendu la suspension du financement volontaire et non obligatoire.
Puis, en 2014, lorsque la résistance à la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus s’est encore accentuée, le NIH – sous la direction de Fauci – a délocalisé cette recherche vers – vous l’aurez deviné – l’Institut de virologie de Wuhan en Chine.
Cependant, comme l'a expliqué Martin, le financement n'a pas été envoyé de manière simple. Au lieu de cela, l’information a été acheminée via des organisations écrans telles que l’EcoHealth Alliance, dirigée par son président, Peter Daszak, dont les recherches, selon le site Web de l’EcoHealth Alliance, « incluent l’identification de l’origine du SRAS chez les chauves-souris. »5
RépondreSupprimerEntre 2014 et 2019, EcoHealth Alliance a reçu une longue liste de subventions du NIH pour étudier « le risque d’émergence de coronavirus de chauve-souris ». EcoHealth Alliance a ensuite sous-traité ce travail à l’Institut de virologie de Wuhan. Ainsi, en fin de compte, les États-Unis pourraient nier toute culpabilité, attribuant l’épidémie à la Chine alors qu’en fait, c’était la recherche américaine qui avait été externalisée.
Il est intéressant de noter que dans les dernières nouvelles du 19 août 2020, le Wall Street Journal6 a rapporté que le NIH avait informé EcoHealth qu'il souhaitait « un échantillon du nouveau coronavirus que les chercheurs de Wuhan ont utilisé pour déterminer sa séquence génétique », ainsi que les détails de l'étude et les autres informations.
De plus, le NIH a exigé qu'EcoHealth « organise une inspection de l'Institut de virologie de Wuhan par une équipe extérieure qui examinerait le laboratoire et les dossiers de l'établissement « avec une attention particulière pour répondre à la question de savoir si le personnel du WIV avait le SRAS-CoV-2 dans leur possession avant décembre 2019.'»
Le problème, note Martin dans « Indoctornation », est que même si les preuves nous sautent aux yeux, on nous dit que les soi-disant « vérificateurs de faits » ont une vision transcendante de la situation et qu'ils sont les arbitres ultimes. de la verité. En conséquence, nous nous trouvons dans une situation très étrange où les faits et la logique sont écrasés et fustigés comme une bonne vieille hérésie.
La vérité prévaudra-t-elle ?
Le film continue en interrogeant de nombreux autres experts, dont beaucoup sont convaincus que les preuves indiquent que le SRAS-CoV-2 est un virus d’origine humaine. Comme Plandemic Part 1, la partie 2 vaut bien votre temps. Comme l’a souligné Willis, dans le monde en évolution rapide d’aujourd’hui, rares sont ceux qui ont le temps de faire les recherches nécessaires pour dévoiler ce qui se passe réellement.
Les preuves sont là, mais il faut les rassembler. C'est pourquoi des documentaires tels que « Plandemic » et « Shadowgate » sont si utiles. Ils tissent les points ensemble afin que vous puissiez voir une image plus complète et plus complète. Malheureusement, le tableau actuel est sombre.
Pourtant, nous devons y faire face, car ce problème ne disparaîtra pas ni ne se résoudra dans un avenir proche. Il est important de comprendre que nous sommes tous soumis à une campagne de propagande massive visant à nous orienter vers un agenda technocratique très spécifique. Ce n’est qu’en recherchant des points de vue alternatifs que nous pouvons commencer à comprendre la vérité.
RépondreSupprimerDans le cas du coronavirus, il doit être clair que la recherche sur les gains de fonction est un jeu dangereux qui ne devrait pas être autorisé. En donnant le feu vert aux chercheurs pour poursuivre ce type de recherche, même si le NIH a publiquement « suspendu » son financement, le NIH n’a pas respecté ses responsabilités morales et juridiques.
Il est également clair que le CDC s’est engagé dans des activités illégales liées au brevetage du virus et qu’il avait de nombreuses raisons et moyens de profiter de la pandémie de coronavirus. Il est difficile d’imaginer un système plus corrompu que celui que nous connaissons actuellement. La question est : quand est-ce que quelque chose sera fait à ce sujet ?
Sources and References
1 MJforMDs.org Judy Mikovits Bio
2 FreedomPlatform.tv/plandemic
3 United States Patent 7279327 April 19, 2002
4 S.993 Biological Weapons Anti-Terrorism Act of 1989
5 EcoHealth Alliance 2020
6 The Wall Street Journal August 19, 2020
https://www.lewrockwell.com/2023/11/joseph-mercola/plandemic-part-2/
Comme il en a été dans le monde des merdias le 11 Septembre 2001 à propos des 'avions' en aluminium qui aurait pu pénétrer dans des tours à New-York et même couper des poutrelles verticales d'acier de 80 cm de large, le principal est d'y croire comme un gros con. Puis, il y a 3 ans, a été lancé la propagande humoristique de l'arrivée imminente d'une poussière... extraterrestre invisible (appelée 'virus') qu'aucun microscope à balayage électronique ne peut voir !! et que SEULE la dictature en place peut voir et a le droit de le faire !! HAHAHAHAHA ! (Cela n'est pas sans rappeler les déclarations de la Greta-trisomique qui pouvait voir le gaz carbonique !!).
SupprimerC'est ainsi que depuis 3 ans des scientifiques ont été retirés de leurs travaux et poursuivis pour avoir publiquement dit ou écrit la vérité scientifique sans qu'ils ne puissent faire un débat (en direct à la télé) avec les criminels au pouvoir !
Le gouverneur de Californie veut dépenser 640 000 $ chacun pour 10 000 lits de santé mentale
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 16H40
Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,
La proposition 1 du gouverneur Gavin Newsom prévoit une taxe de 6,4 milliards de dollars sur les millionnaires pour financer 10 000 lits de santé mentale...
Campagnes Newsom pour une proposition sur la santé mentale
Cal Matters rapporte que Newsom lance une campagne pour un accessoire de santé mentale
Les électeurs californiens ne décideront que d’une seule mesure lors de la primaire du 5 mars – et c’est exactement ce que souhaitait le gouverneur Gavin Newsom. Il a défendu des projets de loi visant à emprunter 6,4 milliards de dollars pour financer 10 000 nouveaux lits de traitement de santé mentale et à réviser la loi californienne vieille de 20 ans qui finance les services de santé mentale par une taxe sur les millionnaires. Ils seront combinés en une seule proposition — Prop. 1.
Le Parlement a coopéré en autorisant, lors du scrutin de mars, des mesures d'obligations potentiellement concurrentes pour les écoles, les collèges et le logement, ainsi que trois amendements constitutionnels, qui ont été reportés aux élections générales du 5 novembre.
Et jeudi, Newsom a officiellement lancé sa campagne pour la mesure de vote, avec le slogan « Un traitement, pas des tentes » – un clin d'œil à la fois à l'inquiétude du public concernant les sans-abri et à ses efforts pour nettoyer les campements. Politico rapporte qu’il investit 6 millions de dollars dans la campagne pour démarrer.
Traitement pas des tentes
6,4 milliards de dollars pour 10 000 lits, cela représente 640 000 dollars par lit.
La Californie compte 161 548 sans-abri, dont la plupart souffrent de problèmes de santé mentale.
La facture totale pour les traitements, pas les tentes, serait de 161 548 * 640 000 $ = 103 390 720 000 $ (103,4 milliards de dollars).
Le gouverneur affirme que 10 000 lits serviront à 100 000 sans-abri. Non, ce ne sera pas le cas à moins que vous ne mettiez 10 personnes dans un seul lit et que vous les y gardiez.
RépondreSupprimerAutrement, ce sera un cycle sans fin de gens qui se lèveront et se lèveront, ce qui fera en sorte que le total des personnes quittant la rue ne dépassera pas 10 000, pour un coût de 640 000 $ chacun.
Il existe actuellement environ 6 000 lits, ce qui n’a fait aucune brèche dans la vie des 161 000 sans-abri.
Quittez la Californie maintenant
Pour faire place à la proposition idiote 1, le législateur a reporté trois autres idioties sur les écoles, le logement et les collèges. C’est un sursis temporaire. La Californie réclamera encore plus de votre argent en novembre 2024.
Et alors que l’ajout de 10 000 lits ne fait rien, la Californie demandera 6,4 milliards de dollars supplémentaires pour des lits supplémentaires.
La grande migration de la Californie au Texas
Le 18 juin, j'ai remarqué que les Millennials ouvrent la voie à la grande migration de la Californie au Texas.
Les millennials quittent la Californie à cause du prix de l’immobilier, et non à cause de l’impôt des millionnaires. La Californie compte les 14 villes les moins abordables du pays pour rechercher une première maison.
Il existe de nombreuses raisons de fuir l’État.
Pour en savoir plus, veuillez consulter La maison de départ n'existe plus, même sur les marchés de deuxième niveau.
https://www.zerohedge.com/political/california-governor-wants-spend-640000-each-10000-mental-health-beds
Maladie mentale grave : la crise de santé publique ignorée
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 13H10
Rédigé par Beth Brelje via The Epoch Times
"J'ai peur de mourir." "Qu'arrivera-t-il à mon fils quand je mourrai ?" La directrice exécutive du Treatment Advocacy Center (TAC), Lisa Dailey, dit qu'elle n'oubliera jamais ce témoignage d'une mère de Virginie octogénaire qui avait passé une grande partie de sa vie à s'occuper de son fils, maintenant dans la cinquantaine, atteint d'une grave maladie mentale.
Il était instable, mais elle n’a pas pu le faire suivre un traitement parce qu’il pensait que quelque chose n’allait pas chez lui.
« La différence entre une personne souffrant d'une crise cardiaque et une personne souffrant de psychose est qu'une personne souffrant d'une crise cardiaque est prête à recevoir des soins, et elle veut ces soins », a déclaré Mme Dailey à Epoch Times. pourrait lutter activement contre cela. Il se peut qu’ils doivent être attachés pour recevoir des soins, ce qui est perçu différemment par le système médical.
"Le système médical ne semble pas pleinement reconnaître qu'une personne qui refuse des soins n'a peut-être pas la capacité de refuser des soins."
Le Treatment Advocacy Center est une organisation nationale à but non lucratif qui se consacre à l'élimination des obstacles au traitement de la maladie mentale. Aux États-Unis, 8,8 millions de personnes – soit à peu près la taille de la population de New York – souffrent de maladies mentales graves, et près de la moitié d’entre elles ne sont pas traitées chaque année, selon les données du TAC.
En 1963, le président John F. Kennedy a signé la Community Mental Health Act, censée réduire le nombre de personnes institutionnalisées dans les hôpitaux psychiatriques en créant des centres locaux de soins de santé mentale. Les centres locaux n'étaient pas financés ; la plupart n'ont jamais été construits. Mais de nombreux hôpitaux psychiatriques ont quand même fermé.
Depuis 1955, lorsque les États-Unis disposaient du plus grand nombre de lits psychiatriques, le nombre de lits d’hôpitaux publics a chuté de 97 % en 2016, selon le TAC. Cela laisse peu de lits pour les personnes ayant besoin de soins.
Aucun soutien significatif
RépondreSupprimerAujourd’hui, il n’existe pas de voie claire pour les personnes atteintes d’une maladie mentale grave. Les soins sont laissés aux membres de la famille, pour ceux qui ont quelqu'un en mesure de les aider. D’autres se retrouvent souvent seuls, sans abri ou en prison alors qu’ils tentent de trouver leur chemin tout en vivant avec un trouble de la pensée.
Chaque année, 21 pour cent du temps total du personnel chargé de l'application des lois est consacré à l'intervention et au transport de personnes atteintes de maladie mentale. Par exemple, en 2020, la famille d’un homme de Lancaster, en Pennsylvanie, a appelé la police pour expulser un proche de son domicile lors d’un épisode de santé mentale. Ricardo Miguel Munoz, 27 ans, tenait un couteau sous le cou lorsque la police est arrivée. M. Munoz a chargé un policier et était sur le point de le poignarder, comme le montre un enregistrement de la caméra corporelle de la police, lorsque le policier lui a tiré dessus.
M. Munoz attendait une date d'audience concernant une prétendue agression au couteau de quatre personnes et a eu un incident de harcèlement criminel dans son histoire. Sa famille a déclaré dans les médias qu'elle souhaitait une aide en matière de santé mentale pour lui.
« L’ensemble de notre système médical destiné aux personnes atteintes d’une maladie mentale grave repose sur l’idée selon laquelle la famille est responsable de fournir la majorité des soins, à son domicile, à ses propres frais, sans aucun soutien et sans aucun des outils dont elle aurait besoin. pour pouvoir faire en sorte que cela fonctionne réellement », a déclaré Mme Dailey.
Une maladie mentale grave implique une psychose ou une perte de contact avec la réalité. Il s’agit souvent de personnes atteintes de schizophrénie ou de troubles bipolaires. En psychose, le comportement est imprévisible et parfois dangereux. Ils peuvent se retrouver dans la circulation, craindre que d’autres tentent de leur faire du mal, ou trouver une arme et nuire au public. Environ la moitié d’entre eux souffrent d’anosognosie ou de manque de compréhension de leur maladie. Autrement dit, ils ne comprennent pas qu’ils souffrent d’une maladie mentale, refusent de prendre des médicaments et ne veulent pas se faire soigner.
Les lois régissant la santé mentale sont différentes dans chaque État, mais il existe des problèmes communs à l'échelle nationale, notamment le nombre limité de lits psychiatriques dans les hôpitaux, la pénurie de psychiatres, la barre haute pour entrer dans un hôpital pour un traitement et souvent la libération des patients atteints de troubles mentaux. un problème de santé mentale chronique sans plan après la libération.
L'exclusion des établissements Medicaid pour les maladies mentales (IMD) est l'un des obstacles à l'obtention de soins hospitaliers. L'exclusion IMD interdit aux États d'utiliser Medicaid pour payer les soins prodigués dans les hôpitaux psychiatriques ou autres établissements de traitement résidentiels comptant plus de 16 lits.
RépondreSupprimer« C'est le seul type de maladie qui présente ce phénomène, c'est donc une chose politique dont nous devrions nous débarrasser », a déclaré Mme Dailey. "C'est totalement discriminatoire et cela décourage la construction d'installations."
Les proches regardent et s’inquiètent
Bien que ni les détails ni le diagnostic spécifique ne soient connus du public, la police a rapporté que Robert Card, le suspect de la fusillade mortelle de 18 personnes à Lewiston, dans le Maine, avait récemment signalé des problèmes de santé mentale, notamment l'audition de voix. Il avait menacé de tirer sur la base de la Garde nationale à Saco, dans le Maine, et, au cours de l'été, il avait été admis dans un établissement de santé mentale pendant deux semaines.
"Je sais exactement ce que [les familles des personnes atteintes d'une maladie mentale grave] pensent lorsqu'elles voient ces choses", a déclaré Mme Dailey. "Vous êtes en colère contre le système qui l'a libéré après deux semaines parce que c'était votre opportunité de faire soigner quelqu'un. et empêcher que quelque chose comme ça ne se produise.
« C'est ce à quoi les membres de la famille pensent toujours : cela pourrait arriver. Il est très difficile de prédire ce que la psychose pourrait faire faire à une personne. Mais lorsqu’une opportunité se présente, le système médical ne fait pas ce qu’il peut pour tenter de la saisir. »
Une mère de Pennsylvanie dans la soixantaine qui regarde les informations s'inquiète pour son fils, qui souffre d'une grave maladie mentale et est récemment sorti de l'hôpital mais présente toujours des symptômes.
« Mon proche fera-t-il une chose pareille ? Je sais que cette possibilité existe », a déclaré la femme, dont Epoch Times a caché le nom pour des raisons de confidentialité. « Nous le savons tous. C’est une condition incontrôlable causée par un dysfonctionnement de leur esprit. »
Elle se sent engourdie par la peur et la colère, et aussi par un sentiment d'impuissance chaque fois qu'elle entend parler de massacres perpétrés par une personne souffrant d'une maladie mentale.
RépondreSupprimer« Cette peur doit-elle toujours être là ? demande-t-elle, ajoutant que les gens se demandent pourquoi la famille ne leur apporte pas d’aide. "Ce n'est pas là. Le système s’en fiche.
Read the rest here...
https://www.theepochtimes.com/article/severe-mental-illness-the-ignored-public-health-crisis-5518168?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
https://www.zerohedge.com/medical/severe-mental-illness-ignored-public-health-crisis
La vitamine B12 pourrait réduire l’inflammation, selon une étude
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 02H40
Rédigé par Sheramy Tsai via Epoch Times
La vitamine B12 est bien plus qu’un simple nutriment. C'est un acteur clé dans le maintien de notre santé et de notre bien-être. Des études récentes ont souligné son rôle central dans la gestion de l’inflammation, cause profonde de nombreuses maladies chroniques.
Des découvertes récentes publiées dans le Journal of the Science of Food and Agriculture ont révélé une corrélation significative entre la carence en vitamine B12 et l’inflammation chronique. Cette inflammation peut ouvrir la voie à des maladies telles que les maladies cardiaques, le diabète et même certains troubles cérébraux.
Aperçus de l'étude : Carence en vitamine B12 et inflammation
Alors que des études antérieures mettaient en évidence le rôle de la vitamine B12 dans la lutte contre l'inflammation, des chercheurs espagnols ont désormais fourni des informations plus approfondies. Ils se sont concentrés sur la manière dont la vitamine B12 interagit avec les indicateurs d’inflammation, en particulier des protéines telles que l’interleukine-6 (IL-6) et la protéine C-réactive (CRP), qui augmentent toutes deux lors des réponses inflammatoires.
À l’aide des données de l’essai PREDIMED, les chercheurs se sont concentrés sur 136 participants présentant des risques cardiovasculaires notables. L’étude a révélé une tendance claire : à mesure que les niveaux de vitamine B12 augmentent, les marqueurs d’inflammation tels que l’IL-6 et la CRP diminuent.
"En général, des niveaux plus élevés de vitamine B12 sont corrélés à une inflammation plus faible", a déclaré Marta Kovatcheva, chercheuse à l'Institut de recherche en biomédecine de Barcelone et co-premier auteur de l'étude.
Des recherches parallèles sur des souris plus âgées ont validé les résultats humains. Cependant, contrairement aux humains, les souris ne subissent pas de déclin de la vitamine B12 lié à l'âge, ce qui suggère des domaines potentiels de recherche future.
Conséquences de la carence en B12
RépondreSupprimerLa vitamine B12, ou cobalamine, est essentielle à la formation des globules rouges qui transportent l'oxygène et les nutriments. Même avec un besoin quotidien modeste de 2,4 microgrammes, cette vitamine reste difficile à obtenir pour de nombreuses personnes, d’autant plus que l’organisme absorbe environ la moitié de la vitamine B12 provenant de sources alimentaires. Jusqu'à 90 pour cent des végétariens et des végétaliens sont déficients, car les principales sources de vitamine B12 sont des produits d'origine animale. Environ 20 pour cent des mangeurs de viande pourraient également avoir des niveaux insuffisants.
"Les médecins négligent souvent la carence en vitamine B12. Bien que les analyses de sang puissent s'avérer "normales", elles ne reflètent pas toujours la vitamine B12 active et utilisable dans le corps", a déclaré le Dr J. David Spence, professeur émérite à l'Université Western, en Ontario. Époque Times. "Cet oubli signifie que beaucoup pourraient être déficients sans même s'en rendre compte."
Les conséquences d’une carence en B12 sont graves, allant de l’anémie aux problèmes neurologiques. Des études ont montré un lien entre de faibles niveaux de vitamine B12 et la démence et la dépression. D'autres complications liées à de faibles niveaux de vitamine B12 peuvent inclure l'infertilité, les maladies cardiaques, le cancer de l'estomac et un risque accru d'accident vasculaire cérébral.
La plupart des gens ignorent qu’ils souffrent d’une carence en vitamine B12, une maladie qui peut se développer progressivement ou soudainement. Une carence en vitamine B12 peut se manifester par des symptômes tels qu'un engourdissement ou des picotements dans les extrémités, des problèmes d'équilibre, une anémie, des problèmes cognitifs tels qu'une perte de mémoire, des maux de tête, des palpitations cardiaques et une sensation générale de faiblesse ou de fatigue. En raison de la diversité de ses symptômes, il peut facilement être confondu avec d’autres problèmes de santé.
Effets de la vitamine B12 sur l'inflammation
Les auteurs de l’étude ont identifié quelques raisons potentielles pour expliquer le lien observé entre l’inflammation et la diminution des taux de vitamine B12.
Une carence en B12 entraîne des taux élevés d’homocystéine. Sans B12 adéquate, notre corps a du mal à convertir l’homocystéine en molécule utile, la méthionine. Un excès d'homocystéine peut provoquer une inflammation, endommager les vaisseaux sanguins et contribuer à de nombreux problèmes de santé.
Le Dr Spence reconnaît qu'il existe un lien entre l'inflammation et l'homocystéine. Ses recherches approfondies soulignent comment un manque de vitamine B12 peut amplifier ces niveaux, augmentant ainsi le risque d’accident vasculaire cérébral. Les vitamines B sont essentielles pour atténuer l’homocystéine et les menaces qui lui sont associées.
RépondreSupprimerLes cellules déficientes en vitamine B12 accélèrent la production de molécules inflammatoires telles que l'IL-6. Des études montrent que lorsque les personnes âgées prennent un supplément de B12 et de folate, ces marqueurs inflammatoires diminuent, soulignant le rôle protecteur de la B12.
Les chercheurs pensent également que la B12 pourrait aider à contrôler l’inflammation en réduisant la création de cytokines, de petites protéines qui peuvent favoriser l’inflammation. Ces protéines sont souvent produites par un type de globules blancs appelés lymphocytes T, ou cellules T, qui jouent un rôle dans l'immunité.
L’inflammation agit comme un système d’alarme pour notre corps, signalant que quelque chose ne va pas. Même si une inflammation à court terme est bénéfique, une inflammation prolongée est problématique. L'étude a noté qu'un taux élevé de vitamine B12 correspond à une réduction des taux de CRP, soulignant le rôle préventif de cette vitamine.
Les auteurs reconnaissent les limites de l'étude, en particulier la taille restreinte de l'échantillon et la mesure unique de la vitamine B12 et des marqueurs d'inflammation, qui pourraient influencer la profondeur de l'étude.
Dois-je supplémenter en B12 ?
La carence en vitamine B12 est souvent une maladie silencieuse qui s’aggrave avec l’âge. Pour ceux qui envisagent une supplémentation en B12, il est prudent d’en discuter avec un professionnel de la santé. Un test sanguin examinant la vitamine B12 et son homologue, l'homocystéine totale plasmatique, peut aider à déterminer l'état de santé de la personne en matière de vitamine B12.
Notre corps ne produit pas naturellement de B12, mais dépend plutôt de sources alimentaires. L’alimentation reste le canal principal, avec les abats, la volaille et les fruits de mer au premier plan. Pour un choix décalé, les algues offrent une surprenante richesse en B12.
Lorsqu’on se tourne vers les suppléments, la cyanocobalamine apparaît souvent comme le choix incontournable, compte tenu de son prix abordable. Cependant, cette variante synthétique a un piège : elle libère d’infimes traces de cyanure lors de sa métabolisation et peut présenter des risques pour les personnes ayant des problèmes de santé spécifiques.
RépondreSupprimerUn pari plus sûr est la méthylcobalamine, une variante naturelle de la B12 présente dans notre intestin. Pour ceux qui recherchent le bien-être naturel, un supplément du complexe B mettant en vedette la méthylcobalamine ou son équivalent, l’adénosylcobalamine, est une option viable.
https://www.zerohedge.com/medical/vitamin-b12-may-lower-inflammation-study-suggests
L'hydroxychloroquine associée à une baisse de la mortalité due au COVID-19 : étude française
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 01h40
Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
Les personnes ayant reçu de l’hydroxychloroquine étaient moins susceptibles de mourir que celles qui n’en ont pas reçu, selon une nouvelle étude.
Seulement 0,8 % des patients d'un établissement en France qui ont reçu de l'hydroxychloroquine (HCQ) et un antibiotique sont décédés, contre 4,8 % des patients qui n'ont pas reçu l'association de médicaments, ont rapporté des chercheurs français le 1er novembre.
"Cette étude représente la plus grande étude monocentrique évaluant l'HCQ-AZ dans le traitement du COVID-19. À l'instar d'autres grandes études observationnelles, elle conclut que l'HCQ aurait sauvé des vies", Dr Didier Raoult, d'Aix-Marseille Université. à Marseille, et ses co-auteurs ont écrit.
L'article a été publié dans la revue New Microbes and New Infections. Il a été publié sous forme de prépublication plus tôt cette année, mais retiré parce que les auteurs ont déclaré avoir modifié leurs « stratégies analytiques ».
Les chercheurs ont examiné les dossiers de 30 423 patients atteints du COVID-19 traités dans un autre établissement de Marseille, l'IHU Méditerranée Infection. Ils comprenaient tous les adultes qui ont été testés positifs pour le COVID-19 et qui ont été traités à l’hôpital en tant que patient hospitalisé ou ambulatoire entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021.
L'ensemble de l'étude s'est retrouvé avec 30 202 patients car les informations sur le traitement n'étaient pas disponibles pour les 221 autres.
La plupart des patients ont reçu des prescriptions non autorisées d’hydroxychloroquine et d’azithromycine (AZ), un antibiotique courant.
Sur l'ensemble, 23 172 patients ont reçu l'association médicamenteuse. Les 7 030 autres ne l’ont pas fait.
Parmi ceux qui ont reçu les médicaments, 191, soit 0,8 %, sont décédés. Parmi ceux qui ne l’ont pas fait, 344, soit 4,8 %, sont décédés.
Ceux qui ont reçu du HCQ et de l'AZ étaient plus susceptibles de survivre, qu'ils soient hospitalisés ou ambulatoires.
L'effet le plus important a été enregistré chez les patients ambulatoires âgés de 50 à 89 ans.
RépondreSupprimerLes limites de l'étude comprenaient le fait de s'appuyer sur les dossiers d'un seul centre. Le financement provenait en partie du gouvernement français.
L’HCQ est autorisée en France et aux États-Unis depuis des décennies, mais pas pour traiter le COVID-19.
Le Dr David Boulware, médecin spécialiste des maladies infectieuses à la faculté de médecine de l'Université du Minnesota, a déclaré que les données des essais cliniques ne soutiennent pas l'utilisation de l'HCQ contre la maladie.
« L'hydroxychloroquine n'a démontré aucun bénéfice dans les essais cliniques randomisés », a déclaré le Dr Boulware, qui n'a pas participé à la nouvelle étude, dans un courriel à Epoch Times.
"Il n'y a aucun effet antiviral chez l'homme et aucune réduction des hospitalisations parmi 11 essais cliniques randomisés regroupés", a-t-il ajouté, faisant référence à une métaanalyse qu'il a co-écrit et publiée en janvier. Le Dr Boulware a également contribué à la réalisation d’un essai randomisé examinant l’HCQ comme prophylaxie chez les personnes exposées au COVID-19, et a constaté que cela ne prévenait pas la maladie ni ne confirmait l’infection.
Preuve mitigée
Le Dr Raoult et ses co-auteurs ont reconnu que plusieurs grands essais randomisés n’ont trouvé aucun bénéfice de l’HCQ contre le COVID-19, y compris un essai de l’Organisation mondiale de la santé. Mais ils ont déclaré que le plus grand, financé par l'Organisation mondiale de la santé et le gouvernement britannique, souffrait de « problèmes méthodologiques importants », notamment un dosage élevé au cours des premières 24 heures.
Le groupe a également critiqué des essais plus petits avec des résultats similaires comme étant de faible puissance, y compris un essai en France qui a été arrêté en raison de problèmes d'inscription.
"En revanche, plusieurs grandes études rétrospectives observationnelles publiées dans la littérature, portant sur un total de 47 516 patients, rapportent un bénéfice de l'utilisation de l'HCQ sur la mortalité des patients atteints du COVID-19", ont indiqué les auteurs, citant des études menées en France, en Iran et en Espagne.
RépondreSupprimerIls ont déclaré que le nombre de patients dans les études observationnelles dépasse le nombre de patients dans les essais randomisés et soutiennent l’utilisation de l’HCQ comme traitement précoce.
Le Dr Boulware a déclaré que les données d’observation peuvent souffrir de problèmes graves, soulignant une réponse en 2020 à un article d’observation américain qui rapportait une association entre l’HCQ et l’AZ et une mortalité plus faible chez les patients hospitalisés.
Le Dr Raoult et ses co-auteurs ont reconnu les limites des données d'observation, mais ont déploré ce qu'ils considèrent comme un manque d'essais cliniques utilisant un dosage approprié.
"Malheureusement, peu ou pas d'ECR ayant tenté de démontrer l'efficacité de l'HCQ sur les patients atteints de COVID-19 ont été menés avec une méthodologie appropriée", ont-ils écrit.
« Une cible inadéquate (traitement tardif), un dosage excessif du médicament ou une puissance d'étude inappropriée étaient les principaux problèmes. Bien que les études observationnelles comportent également des facteurs de confusion, comme indiqué ci-dessus, les différences significatives dans l'estimation des effets entre les ECR et les études observationnelles sont plus susceptibles d'être liées. à la qualité de l'étude qu'à sa conception", ont-ils ajouté, faisant référence à une revue Cochrane selon laquelle il y avait peu de différence entre les études observationnelles et les essais cliniques.
"De toute façon, l'épidémie étant désormais disparue, il n'est plus possible de réaliser des ECR", concluent-ils. "Seules les études observationnelles peuvent apporter davantage d'informations pour aider les décideurs politiques à repositionner l'hydroxychloroquine dans le traitement du COVID-19."
Le Dr Raoult était directeur de l'établissement dans lequel les patients étaient vus, mais a pris sa retraite en 2022 après qu'une enquête de l'agence française a révélé des problèmes de conformité à la réglementation dans l'établissement. Plusieurs de ses articles ont depuis été rétractés.
RépondreSupprimerLe Dr Raoult n'a pas répondu à une demande de commentaire.
La nouvelle étude a eu lieu environ un mois après que des chercheurs belges ont rapporté dans une autre étude observationnelle que le HCQ avec AZ réduisait la mortalité due au COVID-19 chez les patients hospitalisés.
"Notre étude suggère que, malgré la controverse entourant son utilisation, le traitement à l'hydroxychloroquine et à l'azithromycine reste une option viable", ont écrit le Dr Gert Meeus, néphrologue à l'hôpital AZ Groeninge, et d'autres chercheurs.
Ce groupe a exprimé les mêmes préoccupations concernant les essais que le groupe français, notamment concernant les niveaux de dosage.
https://www.zerohedge.com/covid-19/hydroxychloroquine-associated-lower-covid-19-mortality-study
Il n'existe pas d'anti-poison aux piqûres mortelles.
SupprimerCertains scientifiques et certaines revues constituent des « menaces potentielles pour la confiance dans les vaccins » : CDC
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 00H40
Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
Les scientifiques et les revues qui mènent et publient certaines recherches posent un problème aux campagnes de vaccination du gouvernement fédéral qui devrait être résolu, ont écrit des responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis dans des courriels récemment examinés.
Colin Bernatzky, analyste de santé publique à la Division des services de vaccination du CDC, a signalé dans l'une des missives un article rédigé par des scientifiques des États-Unis et de plusieurs autres pays qui analysaient les effets d'une vaccination répétée contre le COVID-19.
Vladimir Uversky, un expert en médecine moléculaire en Floride, et ses co-auteurs ont noté que des expériences ont montré que des doses multiples des vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID-19 conduisent à des niveaux plus élevés d'anticorps appelés IgG4, rendant le système immunitaire plus sensible.
« Les études épidémiologiques sur le COVID-19 citées dans nos travaux ainsi que l'échec des vaccins contre le VIH, le paludisme et la coqueluche constituent des preuves irréfutables démontrant qu'une augmentation des niveaux d'IgG4 altère les réponses immunitaires », a déclaré Alberto Rubio Casillas, l'un des co-auteurs, à The Epoch. Fois.
L'article a été publié après un examen par les pairs de Vaccines.
M. Bernatzky a contesté le journal et la couverture médiatique qu'en fait Epoch Times, tout en reconnaissant qu'il n'était pas sûr de sa véracité.
"À tout le moins, il semble qu'il y ait une certaine imprudence éditoriale, d'autant plus que le résultat net est que cette recherche est considérée comme légitime et circule largement. (Et si la recherche est en fait légitime, elle devrait être publiée sur le site du CDC. radar)", a-t-il écrit.
Environ une semaine plus tard, le 7 juillet, M. Bernatzky a fourni à ses collègues plus d'informations sur ce qu'il a décrit comme des « menaces potentielles à la confiance dans les vaccins posées par certaines revues et éditeurs scientifiques ».
L'article de M. Uversky et de M. Casillas « a accumulé une énorme attention », a déclaré M. Bernatzky, avec un score d'attention élevé qui était « sans aucun doute motivé » principalement par l'article d'Epoch Times.
RépondreSupprimer"Malheureusement, l'article d'Uversky fait partie d'un modèle plus large de revues universitaires conférant une légitimité aux affirmations anti-vaccin grâce à leur volonté de publier des travaux de mauvaise qualité (par exemple, des critiques contenant beaucoup de conjectures plutôt que des recherches originales) ainsi que leur réticence apparente. d'émettre des rétractations ou des avertissements lorsque ces questions sont portées à leur attention", a-t-il ajouté.
- voir clip sur site -
Le responsable du CDC a noté que l'article avait été cité par Stephanie Seneff, chercheuse au Massachusetts Institute of Technology, et ses co-auteurs, en réponse aux critiques d'un article qu'ils avaient rédigé et qui faisait état de préoccupations concernant l'impact des vaccins sur le système immunitaire.
La liste des auteurs de cet article "s'avère être... une équipe de sceptiques à l'égard des vaccins qui comprend Peter McCullough", a déclaré M. Bernatzky, faisant référence à un cardiologue basé aux États-Unis qui a exprimé ses inquiétudes quant à la sécurité des vaccins contre le COVID-19. , "avec une expérience dans la promotion d'idées sur l'autisme, les vaccins, le Roundup, etc."
M. Bernatzky a suggéré que les « problèmes systémiques » avec certains scientifiques et éditeurs devraient être résolus, qualifiant la question de « compliquée ». Il a souligné qu'un nouvel article du Dr McCullough avait été publié en prépublication par The Lancet mais avait été rapidement retiré, suscitant des critiques.
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L'e-mail a été largement diffusé au sein du CDC, selon d'autres missives obtenues par Epoch Times, les responsables se concentrant sur l'article de M. Uversky et M. Casillas et ses conclusions.
"Apparemment, c'est devenu viral", a déclaré Sarah Meyer, une autre responsable du CDC, en partageant l'e-mail avec un collègue. Elle a déclaré qu'elle avait également envoyé ses préoccupations à la division des coronavirus et autres virus respiratoires du CDC.
Karen Broder, la collègue, a transmis le courriel aux Drs. Tom Shimabukuro et John Su, deux hauts responsables de la sécurité des vaccins du CDC.
Aucun des responsables du CDC, y compris M. Bernatzky, n'a répondu aux demandes de renseignements. Un porte-parole du CDC a refusé de commenter.
RépondreSupprimerM. Bernatzky est diplômé en sociologie et a écrit que « le mouvement anti-vaccin est sans doute l'un des mouvements sociaux les plus préoccupants à avoir fait surface au cours des deux premières décennies du siècle actuel ». Il a également affirmé que le soutien à l'ancien président Donald Trump était lié à des « éléments haineux ».
Le CDC publie et promeut régulièrement des articles qui n'ont pas été évalués par des pairs dans sa quasi-revue, Morbidity and Mortality Weekly Report. Dans l’ensemble des courriels obtenus grâce à la loi sur la liberté d’information, les responsables ont utilisé à plusieurs reprises ces documents pour élaborer des conseils à l’intention du public sur la sécurité des vaccins contre la COVID-19.
Les revues Vaccines et Food and Chemical Toxicology, que le CDC a critiquées, n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
M. Casillas, médecin à l'hôpital régional d'Autlan au Mexique, a déclaré à Epoch Times dans un courrier électronique que le CDC ne l'avait jamais contacté et a déclaré que l'article qu'il avait aidé à rédiger « devait être lu et interprété pour ce qu'il est : une hypothèse ».
"Dans nos travaux, nous avons développé une série d'hypothèses sur les conséquences possibles d'une concentration élevée d'anticorps IgG4 induite par une vaccination répétée à ARNm. Il est important que les experts de la santé et le grand public comprennent que nous n'avons jamais déclaré catégoriquement que, par exemple, de tels "Les anticorps induisent le cancer. Si vous lisez notre travail, vous remarquerez que tout au long de l'article, nous avons utilisé des mots qui dénotent la nature d'une hypothèse", a-t-il déclaré.
M. Casillas a déclaré que les critiques du CDC étaient injustifiées.
RépondreSupprimer"Chacune de nos propositions est basée sur des recherches antérieures. Elles doivent être évaluées expérimentalement pour être confirmées ou infirmées. C'est la seule façon pour la science d'avancer pour obtenir des vaccins plus sûrs. Nous sommes conscients que nous pouvons nous tromper, mais nous n'acceptons pas que notre travail est critiqué uniquement sur la base d'opinions", a-t-il écrit.
Mme Seneff a déclaré que l'article de M. Casillas et de ses co-auteurs était « une analyse très approfondie qui révèle la complexité de la réaction du système immunitaire aux expositions antigéniques et examine les conséquences néfastes potentielles des niveaux élevés d'anticorps IgG4 observés expérimentalement. induite par une vaccination répétée avec les vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2. »
Elle a déclaré que son point de vue sur la recherche sur les anticorps IgG4 est que les anticorps ne sont pas protecteurs et bloquent d’autres anticorps protecteurs. Elle considère également les niveaux élevés d’anticorps IgG4 comme liés à de graves problèmes, notamment à de graves maladies auto-immunes.
« Cet article est fondateur, et il n'est pas surprenant qu'il soit devenu viral, en raison de son analyse approfondie de l'importance d'un taux élevé d'IgG4 suite à des injections de rappel d'ARNm », a déclaré Mme Seneff à Epoch Times dans un e-mail. "Je doute que la position dominante selon laquelle ces vaccins sont sûrs et efficaces puisse survivre beaucoup plus longtemps, même si elle poursuit ses efforts agressifs pour retirer les articles de synthèse qui révèlent les vraies couleurs de ces thérapies expérimentales."
Le Dr McCullough a déclaré par courrier électronique à Epoch Times que le CDC et d'autres agences de santé seraient mieux servis en organisant des réunions ouvertes « au lieu de s'échanger des potins par courrier électronique ».
S'ils tenaient ces réunions, a-t-il déclaré, les responsables "pourraient entendre directement les experts du pays qui ont appris à traiter le COVID-19 aigu ambulatoire et qui gèrent désormais le tsunami de patients souffrant de blessures, de handicaps et de décès liés au vaccin COVID-19".
https://www.zerohedge.com/covid-19/certain-scientists-journals-pose-potential-threats-vaccine-confidence-cdc
Le taux de mortalité infantile aux États-Unis augmente pour la première fois depuis plus de 20 ans
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 03 NOVEMBRE 2023 - 23H40
Le taux de mortalité infantile aux États-Unis a augmenté de 3 %, avec 20 538 décès enregistrés en 2022, selon les données provisoires des Centers for Disease Control and Prevention publiées mercredi.
Comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, le taux a diminué presque continuellement depuis le début des enregistrements du CDC en 1995, même si dans une comparaison internationale, les États-Unis restent derrière la plupart des pays développés dans ce domaine.
- voir cadre sur site -
Infographie : Le taux de mortalité infantile aux États-Unis augmente en 2022 | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La mortalité infantile est la mort d'un enfant avant son premier anniversaire.
Les décès de nourrissons entre 2 et 11 mois ont augmenté plus rapidement que le taux de mortalité infantile moyen, soit 4 pour cent, tandis que ceux entre la naissance et 28 jours ont également augmenté de 3 pour cent.
Deux causes courantes de décès infantile – les complications de la grossesse et la méningite – sont devenues plus répandues.
Les experts interrogés par les médias ont déclaré que les raisons de cette augmentation n'étaient pas encore très claires et ont proposé différentes explications pour certaines parties, par exemple la recrudescence des maladies infectieuses après la fin de la distanciation sociale, l'expansion des déserts de soins de maternité dans le pays, la persistance des grossesses non désirées. terme en raison de l'interdiction de l'avortement, d'une augmentation des complications maternelles dues au Covid-19 et d'un plus grand nombre de femmes en général commençant une grossesse avec des problèmes de santé sous-jacents comme l'obésité, le diabète et l'hypertension artérielle, car ceux-ci deviennent plus répandus dans la population.
Alors que les populations noires et autochtones ont les taux de mortalité infantile les plus élevés aux États-Unis, une augmentation statistiquement significative en 2022 s'est produite spécifiquement parmi les populations blanches et amérindiennes/autochtones de l'Alaska.
RépondreSupprimerL’augmentation du taux global est la première statistiquement significative depuis 2002 et les chercheurs ne savent pas si elle va se poursuivre. Cependant, une augmentation plus faible entre 2020 et 2021 ainsi que les données du début 2023 vont dans cette direction.
De plus, Buchholz de Statista souligne que même si le monde a fait des progrès dans la réduction du taux de mortalité des enfants de moins d'un an, les décès infantiles continuent d'être répandus dans les pays en développement.
En particulier, les décès post-néonatals – ceux survenant entre 2 et 11 mois – continuent d’avoir une prévalence plus élevée dans les pays à faible revenu, tout comme les décès entre 1 et 4 ans.
L’Amérique du Nord et les États-Unis en particulier constituent une exception dans les statistiques, se classant derrière l’Europe et d’autres pays à revenu élevé pour tous les types de mortalité infantile.
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Infographie : Progrès dans la lutte mondiale contre la mortalité infantile | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon les données, les nourrissons des pays africains que sont la Sierra Leone, la République centrafricaine, la Somalie et le Nigeria courent le plus grand risque de ne pas atteindre leur premier anniversaire.
Les taux de mortalité dépassent 70 pour 1 000 naissances vivantes dans les quatre pays. Le Pakistan est le pays le moins bien classé hors du continent africain, avec 52,8 décès infantiles pour 1 000 naissances vivantes.
L’Estonie se situe à l’opposé du spectre avec un taux de mortalité infantile de 1,6 pour 1 000 naissances vivantes, ce qui la place au premier rang des nations non microéconomiques.
Le Japon s'est classé deuxième, partageant le classement avec Singapour, suivi de la Norvège, de la Finlande et de la Slovénie au troisième rang.
"Les États-Unis sont en retard sur un indicateur de base de la manière dont les sociétés traitent les gens", a déclaré au Wall Street Journal Arjumand Siddiqi, professeur à l'Université de Toronto qui étudie la santé de la population.
"Dans un pays aussi bien doté en ressources que les États-Unis, avec autant de technologies médicales, etc., nous ne devrions pas avoir de bébés qui meurent au cours de la première année de leur vie. Cela devrait être extrêmement rare, et ce n'est pas le cas."
RépondreSupprimerLes chercheurs devront examiner les données de l'année prochaine pour déterminer s'il s'agit d'un « incident » ou d'un indicateur d'un « problème de santé sous-jacent », a déclaré Danielle Ely, statisticienne de la santé au Centre national des statistiques sanitaires et l'un des auteurs du rapport, à CNN.
https://www.zerohedge.com/medical/us-infant-mortality-rate-rises-first-time-over-20-years
Les antibiotiques recommandés sont incroyablement inefficaces pour les maladies infantiles courantes, selon une étude
RépondreSupprimer11/03/2023
Cassie B.
Une nouvelle étude montre une baisse choquante de l’efficacité de plusieurs antibiotiques courants chez l’enfant lorsqu’il s’agit de traiter des infections graves, ce qui fait craindre que la vie des jeunes soit en danger en raison de la résistance aux antibiotiques.
Dans l'étude, publiée dans The Lancet Regional Health – Southeast Asia, des chercheurs de l'Université de Sydney ont examiné les taux de résistance chez les enfants de 11 pays de 2011 à 2021. Ils ont examiné les antibiotiques recommandés par les directives les plus récentes de l'Organisation mondiale de la santé sur utilisation d'antibiotiques. Ils ont constaté que bon nombre des médicaments recommandés par l'OMS pour traiter les infections courantes telles que la méningite, la septicémie et la pneumonie avaient des taux d'efficacité inférieurs à 50 pour cent.
Certains antibiotiques étaient particulièrement peu efficaces pour traiter les affections pour lesquelles ils sont recommandés. Un exemple est la ceftriaxone, qui ne s’est révélée efficace que pour un tiers des cas de méningite et de sepsis néonatal pour lesquels elle a été administrée. Un autre antibiotique, la gentamicine, n’a réussi à traiter que moins de la moitié des cas de méningite et de sepsis pédiatrique, tandis que la catégorie d’antibiotiques à laquelle elle appartient, les aminopénicillines, avait globalement une très faible efficacité contre les infections sanguines chez les enfants.
L’étude s’est concentrée sur les enfants d’Asie du Sud-Est et du Pacifique, mais ses résultats enseignent une leçon précieuse dont les médecins du monde entier devraient tenir compte. Aux États-Unis, plus de 35 000 décès et 2,8 millions d’infections sont causés chaque année par des bactéries résistantes aux antibiotiques. Lorsque les antibiotiques ne parviennent pas à traiter une infection, cela peut entraîner de graves problèmes pour les patients, notamment la nécessité de prendre des médicaments ayant des effets indésirables graves, voire la mort.
Andre O. Hudson, professeur de biochimie au Rochester Institute of Technology, a déclaré à Newsweek : « Si les antibiotiques cliniquement pertinents ne sont pas efficaces, cela peut entraîner une défaillance d'un organe, la mort, etc. Parfois, les médecins utilisent des antibiotiques de dernier recours.
RépondreSupprimerIl a ajouté : « Ces médicaments sont utilisés dans des cas très restreints car ils ont des effets secondaires graves ; par exemple, l'antibiotique de dernier recours, les aminoglycosides, peut entraîner une perte auditive et des lésions rénales. »
La résistance aux antimicrobiens peut être particulièrement dangereuse pour les jeunes, car les antibiotiques les plus récents n’ont peut-être pas été testés sur les enfants et ne leur sont donc pas toujours accessibles.
Les auteurs de l’étude affirment que de nouveaux traitements antibiotiques doivent être développés pour les enfants afin de résoudre ce problème. La co-auteure de l'étude, Phoebe Williams, a déclaré dans un communiqué : "Les tests cliniques d'antibiotiques se concentrent sur les adultes et trop souvent les enfants et les nouveau-nés sont laissés de côté. Cela signifie que nous disposons d'options et de données très limitées pour de nouveaux traitements."
Un autre problème est le fait qu’il n’est pas financièrement viable pour les grandes sociétés pharmaceutiques d’investir dans de nouveaux antibiotiques qui ne sont nécessaires que pendant quelques jours ou quelques semaines, alors qu’elles peuvent gagner beaucoup plus d’argent grâce aux médicaments que les gens prennent pendant des années pour traiter des maladies chroniques.
L'étude souligne également la nécessité pour l'OMS de mettre à jour ses directives mondiales sur les antibiotiques ; les lignes directrices les plus récentes ont été publiées en 2013.
Comment la résistance aux antibiotiques est-elle devenue un problème ?
Lorsque les bactéries sont traitées à l’aide d’antibiotiques, certaines d’entre elles peuvent survivre et évoluer de manière à résister aux effets du médicament. Lorsque ces nouvelles souches résistantes se propagent, elles peuvent provoquer des infections difficiles à traiter tout en transférant leur résistance à d’autres bactéries. Des études ont montré que dans les zones géographiques où des antibiotiques spécifiques sont souvent utilisés, la résistance à ces médicaments est plus élevée.
Un autre problème est le fait que certains médecins prescrivent des antibiotiques lorsqu’ils ne sont pas nécessaires ou prescrivent des doses plus élevées que nécessaire. Une prescription plus prudente est nécessaire, et les médecins doivent être invités à choisir dès le départ le type et la posologie d’antibiotiques appropriés et à éviter de donner aux patients des antibiotiques pour des problèmes qui ne leur répondent pas.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
Newsweek.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-03-antibiotics-shockingly-ineffective-common-childhood-illnesses.html
« Pharmageddon » pourrait fermer des centaines de pharmacies alors que des milliers de pharmaciens quittent leur travail
RépondreSupprimer11/03/2023
Olivia Cook
Le mouvement de protestation de milliers d'employés non syndiqués travaillant dans de grandes chaînes – surnommé « Pharmageddon » – pourrait fermer des centaines de pharmacies alors que les protestations appelant à des changements dans la charge de travail se propagent dans au moins 15 États.
Parallèlement aux arrêts de travail et aux arrêts de travail pour protester contre ce qu'ils décrivent comme des charges de travail insupportables qui pourraient avoir un impact sur la sécurité des patients, les pharmaciens ont évoqué la possibilité de protester au siège social de CVS à Woonsocket, Rhode Island et Walgreens à Deerfield, Illinois, selon la pharmacienne californienne Lannie Duong, l’un des principaux organisateurs des manifestations.
USA Today a rapporté que les organisateurs de la manifestation estimaient que jusqu'à 4 500 pharmaciens, techniciens et employés de plusieurs chaînes, dont CVS, Rite Aid et Walgreens, avaient été attirés par les efforts de « Pharmageddon ». (Connexe : THE VANISHING : La pénurie de pharmaciens entraîne la fermeture des pharmacies CVS et Walmart.)
Le PDG de l'American Pharmacists Association (APHA), Michael D. Hogue, a déclaré dans un communiqué qu'il se tenait aux côtés de tous les pharmaciens et du personnel de pharmacie en grève. L'APHA est la plus grande organisation professionnelle du secteur.
« Nous soutenons le droit de chaque pharmacien de travailler dans un environnement doté d'un personnel qui soutient votre capacité à prodiguer des soins aux patients. Nous savons que ce sont des étapes que vous jugez nécessaires pour être entendus par votre employeur. Depuis trop longtemps, les employeurs ont fait en sorte que la situation soit pire que cela ne devrait l'être", a-t-il déclaré.
Hogue a ajouté que les quotas obligeant les pharmaciens à exécuter un certain nombre d'ordonnances ou à administrer un grand nombre de vaccins détruisent leurs relations avec les patients. "Les superviseurs qui ne sont pas pharmaciens ne comprennent pas les besoins des équipes soignantes et imposent des exigences déraisonnables en matière de productivité en termes de temps."
La Virginia Pharmacy Association soutient également fermement les pharmaciens et autres personnels pharmaceutiques. L'association a déclaré : « La nouvelle selon laquelle des pharmaciens quittent leur emploi dans d'autres villes en disant « ça suffit » et s'en vont est véritablement un signe de désespoir de la part de professionnels qui, bien que engagés toute leur vie à aider les patients, se sont retrouvés dans le besoin de prendre un support."
RépondreSupprimerMichael Jackson, vice-président exécutif et directeur général par intérim de la Florida Pharmacy Association, a déclaré qu'il y avait moins d'argent à consacrer au personnel pharmaceutique supplémentaire, car les remboursements de l'assurance maladie aux pharmacies pour les services de prescription fournis n'augmentent pas mais diminuent.
"Cela crée une situation dans laquelle il existe une pression énorme sur les pharmacies pour qu'elles fournissent ces services à moindre coût, ce qui se traduit par une charge de travail plus lourde pour le personnel pharmaceutique actuel et augmente les risques que les pharmaciens et les techniciens commettent des erreurs lors de l'exécution des ordonnances", a expliqué Jackson.
"La sécurité des patients est la chose la plus importante pour ces pharmaciens de première ligne. Ils ne disent pas que nous avons besoin de plus d'argent. Ils disent que nous avons besoin de plus de soutien, de plus d'aide pour faire les choses qu'on nous demande de faire. Et Je pense que ce n'est pas une demande injuste."
Dans un communiqué, un porte-parole de Walgreens a déclaré que la société reconnaissait le travail incroyable accompli quotidiennement par son personnel pharmaceutique et avait pris plusieurs mesures pour garantir que les équipes pharmaceutiques puissent se concentrer sur la fourniture de soins optimaux aux patients.
« Nos dirigeants se rendent régulièrement dans nos pharmacies pour écouter les préoccupations et les frustrations et répondre aux commentaires. Nous avons pris des mesures au cours des deux dernières années pour améliorer l'expérience des pharmaciens, faire progresser la profession et leur permettre de prodiguer les soins de grande valeur pour lesquels ils ont été formés. faire."
CVS réalise des investissements ciblés qui répondront aux principales préoccupations de son personnel pharmaceutique, notamment « en permettant aux équipes de planifier un soutien supplémentaire si nécessaire, en améliorant le recrutement et l'embauche de pharmaciens et de techniciens, et en renforçant la formation des techniciens en pharmacie », a déclaré un porte-parole de l'entreprise.
Les manifestants de "Pharmageddon" réclament de meilleures conditions de travail
En septembre et octobre, les employés des pharmacies nationales comme CVS et Walgreens se sont relayés dans la série « Pharmageddon » d'arrêts de travail et de maladie, d'une durée d'un à deux jours. Plusieurs débrayages à l'échelle nationale devraient se poursuivre pour "sensibiliser au manque de personnel et améliorer les conditions de travail".
NBC News a rapporté que les manifestants demandent à leurs employeurs d'embaucher davantage de personnel et d'éliminer les politiques les encourageant à travailler plus dur, ce qui, selon eux, augmente le risque de préjudice accidentel pour les patients.
RépondreSupprimer"Les inquiétudes des pharmaciens sont réelles", a déclaré le Dr Lucas Berenbrock, professeur agrégé de pharmacie et de thérapeutique à l'Université de Pittsburgh. "Ce sont les dernières personnes qu'un patient voit avant de prendre ses médicaments. Il est donc essentiel de disposer d'un personnel et d'une rémunération adéquats pour les nombreux emplois que les pharmaciens doivent accomplir au quotidien."
Berenbrock a ajouté : « Tout ce qu'ils font vise à fournir les bons médicaments au bon patient, à la bonne dose, au bon moment. Et tout cela est une question de sécurité des patients. »
Nathan Fuller, pharmacien chez Walgreens Colorado, a déclaré : « Je pense que la plupart d'entre nous qui participent [à "Pharmageddon"] ont l'impression de ne pas avoir été entendus. un point d'éclatement. Si nous continuons dans la direction dans laquelle nous allons, ce sera trop dangereux.
Il est vrai qu'une enquête récente de USA Today a révélé que les chaînes de pharmacies comme CVS et Walgreens ont constamment réduit leurs effectifs tout en « imposant à leurs travailleurs de première ligne une liste croissante de tâches supplémentaires ».
Regardez cette vidéo sur la fermeture des pharmacies en raison d'une pénurie de main-d'œuvre.
Cette vidéo provient de la chaîne Martin Brodel sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
CVS, Rite Aid et Walgreens vont fermer plus de 1 500 magasins en raison de l'augmentation de la criminalité dans le commerce de détail, laissant des MILLIONS de personnes sans accès local aux médicaments.
Le personnel de Walgreens et d'autres grandes chaînes de pharmacies américaines pourraient S'ARRÊTER dans les semaines à venir pour protester contre les mauvaises conditions de travail.
Les pénuries de médicaments signalées dans 96 % des pharmacies américaines au sein de la chaîne d’approvisionnement des grandes sociétés pharmaceutiques commencent à échouer.
RépondreSupprimerSources include:
Fox13News.com
USAToday.com 1
Pharmacist.com
CBSNews.com
NBCNews.com
USAToday.com 2
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-03-pharmageddon-could-shut-down-hundreds-of-pharmacies.html
Les pharmacies CVS de Washington, D.C., affichent des photographies encadrées de produits et conservent les vraies dans des cages verrouillées pour lutter contre le vol à l'étalage endémique.
RépondreSupprimer11/03/2023
Laura Harris
Deux pharmacies CVS à Washington, DC, ont été contraintes de créer des solutions non conventionnelles pour lutter contre le vol à l'étalage endémique.
CVS Pharmacy, située sur H Street Northeast, utilise désormais des photographies encadrées de papier toilette et de torchons pour remplacer les vrais produits. Les clients doivent également appuyer sur un bouton pour demander au personnel de récupérer les articles du stockage. Un autre magasin CVS du quartier de Columbia Heights conserve plusieurs articles derrière des cages verrouillées, tandis que les allées, autrement vides en raison de produits manquants, ont été gâchées par des graffitis grossiers.
"C'est ainsi que nous vivons en Amérique maintenant ? C'est le tiers monde !" Le commentateur conservateur Joey Mannarino, qui a partagé des images de la transformation surréaliste de la pharmacie, a exprimé son incrédulité. (Connexe : Les acheteurs sont obligés d'attendre jusqu'à 40 minutes pour acheter des produits de première nécessité alors que les grands détaillants VERROUILLENT les marchandises pour lutter contre le vol à l'étalage.)
Selon les dernières données du département de police métropolitaine, les cas de vol ont augmenté de 21 %, avec 10 673 incidents signalés en 2023, tandis que les vols de véhicules à moteur ont connu une augmentation de 101 % par rapport à 2022. Parallèlement, les crimes violents signalés ont augmenté de 41 %. les homicides de 33 pour cent et les vols de 70 pour cent par rapport à l’année précédente. En bref, la criminalité généralisée à Washington D.C. a atteint des niveaux de crise.
En conséquence, CapitalOne Research estime que les magasins ont perdu 86,6 milliards de dollars à cause des vols de détail en 2022, et que ce chiffre pourrait dépasser 155 milliards de dollars d'ici 2025. Les analystes d'UBS ont également prédit qu'au moins 50 000 magasins fermeront aux États-Unis au cours des cinq prochaines années. années en raison de la recrudescence des vols couplée à la transition vers les achats en ligne.
Il est vrai que la prédiction se réalise déjà. CVS a annoncé son intention de fermer 900 de ses magasins aux États-Unis pour se concentrer sur son marché en ligne. Ses pertes dues aux vols à l'étalage généralisés et à d'autres délits dans le commerce de détail coûtent à l'industrie 112 milliards de dollars par an, selon la National Retail Federation.
RépondreSupprimerLe maire de Washington, D.C., propose le projet de loi ACT Now
La maire Muriel Bowser de Washington, D.C., a proposé une nouvelle législation visant à annuler bon nombre des réformes douces en matière de criminalité que la ville avait adoptées en réponse à la mort de George Floyd et aux manifestations de Black Lives Matter.
"Je pense qu'ils étaient bien intentionnés, et nous tous, après le meurtre de George Floyd, voulions nous assurer que nous faisions tout notre possible pour garantir une réforme sûre et constitutionnelle de la police. Mais je pense que certaines réformes ont rendu nos communautés moins sûres", a-t-il ajouté. ", a déclaré Bowser.
La législation, connue sous le nom de projet de loi Aborder les tendances de la criminalité maintenant (ACT Now), vise à modifier la loi modifiant la loi sur la police et la justice. Cependant, le projet de loi ACT Now vise non seulement à inverser les réformes progressistes, mais également à lutter contre les vols organisés au détail et les marchés de drogue en plein air dans la ville.
"Nous devons agir maintenant, et nous devons envoyer le message fort que la violence n'est pas acceptable dans notre ville, et que cette perception selon laquelle on peut commettre un crime éhonté et s'en tirer sans aucune conséquence doit cesser. Cette législation va changer cela, ", a déclaré Bowser.
Par exemple, le projet de loi ACT Now vise à limiter la divulgation au public d'informations sur les mesures disciplinaires des policiers, à clarifier la définition de l'étranglement, à permettre aux policiers de visionner les images des caméras portées sur le corps avant de rédiger des rapports, à préciser les incidents de recours à la force et modifier les restrictions sur les poursuites automobiles.
Le projet de loi vise également à interdire aux jeunes de 16 ans et plus de porter des masques en public et lors des manifestations ; établir des accusations criminelles pour les voleurs à l'étalage possédant plus de 1 000 $ de marchandises ou volant 10 articles ou plus d'une valeur d'au moins 250 $ dans les 30 jours ; imposer des sanctions au premier degré en cas de recel de biens volés ou de fraude au retour ; et créer un nouveau crime de vol organisé au détail, passible d'une peine pouvant aller jusqu'à 15 ans de prison.
Renseignez-vous sur d’autres cas de comportement criminel aux États-Unis sur Anarchy.news.
RépondreSupprimerRegardez ce clip de Newsmax pendant que Wendy Bell explique comment les politiques démocrates ont encouragé la criminalité.
Cette vidéo provient de la chaîne GalacticStorm sur Brighteon.com.
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PDG de Walmart : Des vols à l'étalage organisés et généralisés pourraient entraîner des hausses de prix et des fermetures de magasins.
Target a perdu 600 millions de dollars de bénéfices cette année en raison de vols à l'étalage et de pillages.
Le crime organisé dans le commerce de détail, et pas seulement le vol à l'étalage, est en plein essor aux États-Unis, avec des conséquences dangereuses et coûteuses.
Analyste du commerce de détail : les vols augmentent à un rythme plus rapide que les ventes.
Sources include:
TheNationalPulse.com
NewYorkPost.com
DailyMail.co.uk
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-03-cvs-pharmacies-washington-keep-products-locked-cages.html
EVIL : un professeur promeut l'idée d'un mouvement de masse en faveur de la prostitution des enfants
RépondreSupprimer11/03/2023
Kevin Hughes
Un professeur de l'Université Johns Hopkins (JHU) aurait conseillé à une travailleuse du sexe militante de créer un « mouvement de masse » promouvant l'idée des enfants dans l'industrie du sexe. Ceci était basé sur l’audio enregistré par un journaliste infiltré lors de la conférence Socialisme 2023.
Karlyn Borysenko, psychologue et journaliste indépendante, a assisté à la conférence qui s'est tenue à Chicago du 1er au 4 septembre. Des socialistes et des militants de tout le pays se sont réunis à la conférence pour discuter de sujets tels que le marxisme et les stratégies et causes de la gauche.
L'un des panels intitulé "La politique de l'enfance" mettait en vedette Jules Gill-Peterson, un professeur agrégé au JHU qui s'identifie comme une femme. Une autre oratrice du panel était Sophie Lewis, l'auteur du livre "Full Surrogacy Now: Feminism Against Family".
Un panel parle de l’abolition de l’âge du consentement
Borysenko a déclaré que le panel avait parlé d'abolir l'âge de consentement avant de commencer à enregistrer. Le journaliste a également mentionné que la plupart des spectateurs semblaient accepter l'idée que les enfants avaient le « droit » de solliciter des relations sexuelles.
"Les socialistes ne croient pas que les enfants sont la 'propriété privée' de leurs parents. Ils croient que les enfants sont de petits adultes capables de prendre toutes leurs propres décisions", a déclaré Borysenko à Campus Reform.
Au cours du segment de questions et réponses du panel, une participante nommée Chanel s'est présentée comme une militante travailleuse du sexe. Elle a demandé si les jeunes travaillant dans l'industrie du sexe devraient être considérés comme faisant partie d'une « vision de libération des enfants ».
"Les jeunes travaillant dans l'industrie du sexe méritent et ont besoin de droits, au minimum de libération et de justice", a déclaré Chanel. "C'est une sorte d'utopie à laquelle je n'avais jamais vraiment pensé auparavant, parce que le monde semble si séparé et que la question de la jeunesse et du travail du sexe est incroyablement chargée."
RépondreSupprimerChanel a ajouté que son militantisme implique « de travailler à l'intersection des migrants, de la justice, du capitalisme et du travail du sexe » et qu'elle aimerait voir un mouvement de « libération » pour les enfants qui comprendrait « des enfants très marginalisés dans la rue » et « des gens qui vendent des produits ». le sexe pour survivre. »
Au lieu de répondre à la question, Gill-Peterson a demandé quelles autres stratégies devraient être explorées pour véritablement acquérir un « sentiment de solidarité ».
"Si vous faites partie d'un projet essayant de réfléchir au rôle des jeunes dans l'industrie du sexe, l'une des raisons pour lesquelles vous pourriez avoir l'impression de pouvoir consacrer du temps et de l'énergie à cet effort est si ce n'est pas le cas. "Vous n'avez pas l'impression que vous pourriez être mis à sécher tout seul, n'est-ce pas ? Donc, un mouvement de masse a une sorte de valeur persuasive", a déclaré Gill-Peterson.
Les publications d'information en ligne, le Christian Post, ont tenté de joindre Gill-Peterson pour une déclaration via son courrier électronique professionnel, mais n'ont reçu qu'une réponse automatique indiquant que le professeur était en congé pour le semestre.
Cela survient au milieu de débats nationaux sur la question de savoir si les États américains devraient interdire les interventions chirurgicales et la prescription d'hormones aux mineurs confondus avec leur sexe. (Connexe : La commercialisation d'une CHIRURGIE DE CHANGEMENT DE SEXE mutilant les organes génitaux directement auprès des mineurs est encore plus MALVEUSE et TORSADÉE que la publicité pour les cigarettes, l'alcool ou la prostitution.)
Borysenko a couvert plus tôt un autre discours prononcé par Gill-Peterson au Lewis & Clark College dans le cadre d'un symposium sur les études de genre intitulé "Transition et avortement en tant que médecine vernaculaire".
Au cours de son discours, le professeur a encouragé l'utilisation d'hormones à faire soi-même, tout en reconnaissant que cette pratique peut être "dangereuse".
RépondreSupprimerSelon un rapport du Harbinger's Daily, Gill-Peterson exhortant un activiste à aider à éliminer la stigmatisation entourant le soutien au « travail du sexe » des enfants en lançant un « mouvement de masse » pour renverser la tendance de la « panique morale » autour de cette idée n'est rien de plus qu'un "tenter de normaliser la maltraitance des enfants au nom du désir sexuel des adultes. C'est dégoûtant, c'est ignoble, et il est difficile de commencer à comprendre les conséquences d'une telle dépravation."
Suivez Evil.news pour plus d’informations sur l’exploitation des enfants en tant que travailleuses du sexe.
Regardez la vidéo ci-dessous exhortant le public à dire non à la prostitution et au trafic sexuel d'enfants.
Cette vidéo provient de la chaîne Resistance Chicks sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
La fondation Gates fait don de millions de dollars à des ONG qui cherchent à normaliser la prostitution enfantine et la sexualisation des enfants de moins de 10 ans.
Regardez qui mène le monde en ce qui concerne les enfants qui « changent de sexe ».
ENFANTS PRIS : Une vidéo horrible révèle que le gouvernement américain facilite activement un ÉNORME réseau de trafic d’enfants à travers l’Amérique.
Les sources incluent :
ChristianPost.com
HarbingersDaily.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-03-professor-promotes-idea-mass-movement-child-prostitution.html
Demande de donneurs de sperme non vaccinés
RépondreSupprimer6 novembre 2023
de Thomas Oysmüller
Aux États-Unis au moins, la demande de sperme sans ARNm semble continuer à augmenter. Ceci est rapporté par des recherches actuelles en Grande-Bretagne.
« Le sperme non vacciné est le nouveau Bitcoin », tel était un slogan qui a attiré l’attention du monde entier lors des manifestations contre le Covid. Environ deux ans après la campagne de vaccination massive, la demande de donneurs de sperme non vaccinés semble avoir augmenté. Le Daily Mail rapporte sur Facebook des femmes qui recherchent de tels donneurs. La demande semble augmenter plutôt que diminuer.
Demande continue
Jonathan Davin Rinaldi est un donneur de sperme actif depuis de nombreuses années et faisait partie du groupe Facebook Sperm Donation USA, le plus grand groupe de don de sperme en Amérique. Il constate rapidement l'augmentation des demandes de sperme de la part de donneurs non vaccinés et fonde son propre groupe.
Rinaldi fait partie des « millions d’Américains » qui ont été « captivés par la théorie selon laquelle les vaccins Covid endommagent d’une manière ou d’une autre le système reproducteur », écrit le tabloïd britannique. Car, selon le Daily Mail , le CDC continuerait d’affirmer qu’il n’y a aucune preuve « que la vaccination contre le Covid-19 affecte la fertilité ».
RépondreSupprimerIl n’y a en fait aucune preuve claire. Cependant, la baisse rapide des taux de natalité est liée à la campagne de vaccination. Un rapport sur les anomalies en cours en Allemagne sur le TKP peut être lu ici.
Rinaldi est plus simple ici : "Je ne fais pas confiance aux grands gouvernements ou aux grandes sociétés pharmaceutiques, je ne leur fais pas confiance, et je n'ai pas besoin de me faire injecter quoi que ce soit dont je ne sais même pas ce que c'est."
Et même si l’une des plus grandes banques de sperme des États-Unis a déclaré au Daily Mail que très peu de clients lui demandaient des informations sur des donneurs non vaccinés, la réalité semble différente. Selon l’étude, « un nouvel intérêt pour les donneurs de sperme non vaccinés a été identifié ». Les femmes disaient régulièrement « pas de vaccin Covid » lorsqu’elles recherchaient un donneur. Les donneurs potentiels ajoutent des termes comme « homme non vacciné (sperme non modifié par l’ARNm) ».
Même si la pression sociale autour de la vaccination contre le Covid s’est atténuée et que seules quelques personnes se font vacciner, l’attention sociale reste élevée. De nombreuses personnes font encore moins confiance à l’industrie pharmaceutique qu’avant 2020.
RépondreSupprimerToutefois, le prix du sperme non vacciné n’a pas encore augmenté. Cependant, il a fallu quelques années pour que Bitcoin fasse enfin sa percée. Cela était dû à une demande accrue. La question de savoir si la demande de donneurs non vaccinés augmentera également à l’avenir sera probablement également décidée politiquement et si le sceau « sûr et efficace » sera finalement retiré de la technologie de l’ARNm.
https://tkp.at/2023/11/06/nachfrage-nach-ungeimpften-samenspendern/