Putschs en Afrique : L'Afrique victime d'une exploitation sans pitié au nom de la démocratie
09.11.2023 www.kla.tv/27399
Les coups d'État militaires au Niger le 26 juillet et au Gabon le 30 août de cette année sont les plus récents d'une série qui a traversé l'Afrique de l'Ouest et le Sahel ces dernières années. Les politiciens et les médias occidentaux ont condamné ces renversements violents de gouvernement et exigent le retour des présidents constitutionnellement élus. La CEDEAO, alliance d'Etats africains connue pour être un allié occidental, a immédiatement exclu ces deux pays membres après leurs coups d'Etat et a même menacé de guerre le nouveau gouvernement du Niger. On a ainsi l'impression que le président renversé a gouverné son peuple de manière adéquate et que la population doit être sauvée des putschistes. Or, ces populations ont réagi aux putschs de manière totalement différente. Au Niger, au Gabon et également au Burkina Faso, ils acclament les putschistes militaires et célèbrent la destitution des anciens dirigeants. Comment expliquer cet enthousiasme ?
Il est frappant de constater que les six derniers pays africains dont le président a été chassé par la force sont d'anciennes colonies françaises. Bien qu'autonomes depuis plus de 60 ans, ils restent aujourd'hui encore sous le diktat militaire, financier et économique de la France.
1. Militaire : La France a toujours des soldats stationnés dans ses anciennes colonies. Avec les Etats-Unis, ils exercent une influence sur l'armée nationale par le biais de programmes de formation pour les officiers africains.
2. Financier : En tant qu'anciennes colonies françaises, le Niger et le Gabon font partie des 14 pays d'Afrique de l'Ouest qui ont été obligés par la France de céder 85 % de leurs réserves de devises et 100 % de leurs réserves d'or. Ils doivent jusqu'à aujourd'hui conserver comme monnaie le franc CFA [= franc ouest-africain] de l'époque coloniale. Son taux de change est dicté par la banque centrale française, à l'avantage de la France : en 1994 par exemple, celle-ci a dévalué du jour au lendemain le franc CFA, ce qui a fait que les exportations des colonies ont perdu la moitié de leur valeur et que les prix des importations ont augmenté de 50 %. Il n'est donc pas étonnant que neuf des 14 pays de la zone CFA soient parmi les plus pauvres du monde, malgré leur richesse en matières premières.
3. L'économie : L'exploitation économique systématique et ses conséquences sont évoquées par le député européen Martin Sonneborn de la manière suivante :
« Il n'y a pas une seule mine d'or en activité en France. Pourtant, cet (ancien) État colonialiste criminel, avec 2 436 tonnes d'or, possède les quatrièmes plus grandes réserves d'or du monde. Le Mali, (ancienne) colonie française, possède exactement 0,0 tonne d'or, bien qu'il possède plusieurs dizaines de mines (dont 14 officielles) dans le pays, d'où sont extraites pas moins de 70 tonnes par an. Sur les revenus de près de 60 tonnes d'or extraites par 600 000 enfants (selon les estimations) dans l'(ancienne) colonie française du Burkina Faso, seuls 10 % reviennent au pays, mais 90 % aux multinati-onales de l'orpaillage. [...] Le Niger, (ancienne) colonie française, possède les minerais d'uranium de la plus haute qualité d'Afrique et est le septième producteur d'uranium au monde, mais selon la Banque mondiale, 81,4 % de ses citoyens ne sont même pas raccordés au réseau électrique. 40 % vivent en dessous du seuil de pauvreté, un tiers des enfants ont un poids insuffisant et le taux d'analphabétisme est de 63 %. Seule la moitié des habitants a accès à l'eau potable, et 16 % seulement sont raccordés à un système d'assainissement adéquat. [...] Comment l'Afrique, qui dispose de tant de richesses, peut-elle être devenue le continent le plus pauvre du monde ? »
Selon Sonneborn, le politologue Michael Parenti a une réponse très simple à cette question : « Les pays pauvres ne sont pas 'sous-développés', mais 'surexploités'. »
De ce point de vue, les récents coups d'État apparaissent comme une tentative attendue de l'Afrique de se libérer du système d'exploitation et d'oppression. Le nouveau chef d'État du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, parle des huit années qui ont précédé le coup d'État de 2022 comme la forme la plus barbare et la plus violente de néo-colonialisme impérial. Lors du sommet africain de juillet à Saint-Pétersbourg, Traoré a lancé un appel à tous les représentants des Etats africains pour qu'ils libèrent le continent de ce système. Il a déclaré : « Le problème, ce sont les chefs d'Etat africains qui ne contribuent en rien à la lutte des peuples et qui jouent la même partition que les impérialistes. Ils nous qualifient de « milices », d'hommes qui ne respectent pas les droits de l'homme. De quels droits de l'homme parlent-ils ? [...] Nous, chefs d'Etat africains, devons cesser de nous comporter comme des marionnettes qui sautent à chaque fois que les impérialistes tirent les ficelles. »
Mais pourquoi les États africains ne se sont-ils pas libérés de ce système depuis longtemps ? Leurs présidents ne sont-ils vraiment que des marionnettes des intérêts occidentaux ? En regardant le passé plus récent, Arikana Chihombori-Quao, ancienne représentante de l'Union africaine aux États-Unis, explique que les dirigeants qui ont essayé d'obtenir le meilleur pour leur peuple ont été assassinés. Avant même qu'un président n'arrive au pouvoir, il existe pour lui des tabous : l'armée, les finances, les ressources naturelles. Il ne doit pas y toucher, car s'il le fait, il risque de ne pas survivre à la journée. Tant qu'il évite ces domaines, il peut gouverner comme il l'entend.
Chers téléspectateurs, n'est-ce pas une moquerie lorsque les politiciens et les médias occidentaux parlent de préserver l'ordre constitutionnel, alors qu'en réalité, cela ne désigne que les présidents qui assistent impuissants au bradage de leur pays ? Dans ce contexte, la demande de réintégration du président nigérien n'apparaît-elle pas sous un tout autre jour ? De quel droit la CEDEAO, qui a menacé de faire la guerre au Niger juste après le putsch, exige-t-elle le maintien d'un ordre constitutionnel qui ne garantit pas une vie digne à ses habitants ? Il est évident qu'il ne s'agit pas ici de protéger la démocratie, ce que les pays occidentaux utilisent constamment pour justifier leurs actions sans scrupules, mais d'une politique économique et de pouvoir implacable pour laquelle la CEDEAO s'est corrompue, tout comme les politiciens et les médias occidentaux. C'est pourquoi nous devons tous cesser d'accepter ce système flagrant de „deux poids deux mesures“. Il est grand temps qu'un tribunal populaire international indépendant se mette en place afin de rendre justice et de demander des comptes aux coupables.
LA VÉRITÉ MAL : Les responsables du CDC s’inquiètent de la publicité des études sur le vaccin contre le COVID-19 qui porte atteinte à la confiance du public dans les vaccins.
11/09/2023 Cassie B.
Le CDC estime que les revues et les scientifiques qui mènent et publient des recherches avec des résultats négatifs sur les vaccins contre le COVID-19 sont problématiques et doivent être abordés, montrent les courriels.
Lors d’un incident, un analyste de santé publique de la Division des services de vaccination du CDC, Colin Bernatzky, a souligné une étude scientifique menée par des scientifiques des États-Unis et de l’étranger qui a abouti à un résultat défavorable concernant la vaccination répétée contre le COVID-19.
L’étude, qui a été examinée par des pairs et publiée dans la revue Vaccines, a conclu que la réception de plusieurs doses de vaccins à ARNm contre la COVID-19 entraînait des niveaux plus élevés d’anticorps IgG4 et une plus grande vulnérabilité du système immunitaire.
L'un des co-auteurs de l'étude, Alberto Rubio Casillas, a déclaré à Epoch Times : « Les études épidémiologiques sur le COVID-19 citées dans nos travaux ainsi que l'échec des vaccins contre le VIH, le paludisme et la coqueluche constituent des preuves irréfutables démontrant qu'une augmentation des taux d'IgG4 altère les réponses immunitaires. ".
Non seulement Bernatzky avait un problème avec la conclusion de l’étude, mais il a également critiqué Epoch Times pour l’avoir couvert, même s’il a admis ne pas être certain si c’était vrai ou non.
Dans l'e-mail, il écrit : « À tout le moins, il semble qu'il y ait une certaine imprudence éditoriale, d'autant plus que le résultat net est que cette recherche est considérée comme légitime et circule largement. (Et si la recherche est en fait légitime, cela devrait être sur le radar du CDC).
Il a déclaré qu’une grande partie de l’attention reçue par l’étude provenait probablement de la couverture médiatique qu’en faisait Epoch Times.
Dr Zelenko : Le ZINC est la BALLE qui tue le virus responsable du COVID-19
11/09/2023 Ramón Tomey
Le zinc est la balle qui tue le SRAS-CoV-2, l'agent pathogène responsable du coronavirus de Wuhan (COVID-19), selon le regretté Dr Vladimir « Zev » Zelenko. Zelenko, décédé à l’âge de 48 ans en juin 2022, est devenu célèbre pour son soi-disant protocole Zelenko pour le COVID-19. Il a initialement utilisé l’hydroxychloroquine (HCQ) pour les patients positifs au COVID alors qu’il exerçait dans l’État de New York. Cependant, Andrew Cuomo, alors gouverneur de New York, a ordonné l'interdiction de la vente de HCQ dans les pharmacies.
Cela n’a pas dissuadé le médecin de famille, qui a découvert plus tard les effets positifs du zinc contre le COVID-19. Les efforts de Zelenko ont finalement porté leurs fruits sous la forme du comprimé Z-Stack, qui combine du zinc, de la quercétine et des vitamines.
"Le zinc est la balle – il tue le virus ; le seul problème est que la balle n'arrive pas là où elle doit être. Le virus est à l'intérieur de la cellule, l'enzyme est à l'intérieur de la cellule et le zinc tout seul. Je ne peux pas entrer dans la cellule", a-t-il expliqué. "Vous avez une balle sans arme – cela ne sert à rien."
"Maintenant, il s'avère qu'il existe une classe de médicaments appelés" ionophores de zinc "... qui ouvrent un canal, une porte, qui permet au zinc de passer de l'extérieur de la cellule à l'intérieur de la cellule. Ce sont les armes qui tirent la balle. " La balle pénètre ensuite dans la cellule et empêche l'enzyme virale d'aider le virus à se répliquer. "
Zelenko a également raconté que « les patients avaient du mal » à se procurer les quatre composants différents du protocole Zelenko. Soit les ingrédients n'étaient pas toujours disponibles au même endroit, soit ils avaient du mal à trouver les bonnes doses. "C'était un puzzle un peu trop complexe à assembler", a déclaré le médecin américain d'origine ukrainienne.
La quercétine est une alternative à l'HCQ
En 2022, le défunt médecin de famille est apparu dans l'épisode du 21 janvier de l'émission Brighteon.TV « Thrive Time Show ». Zelenko a raconté à Clay Clark, animateur du programme et fondateur du ReAwaken America Tour, comment il était tombé sur son protocole éponyme qui est finalement devenu Z-Stack.
« En mars [2020], mon protocole de traitement [original] était basé sur l'utilisation de HCQ, de zinc et de l'antibiotique azithromycine. Mais ce qui s'est passé le 27 mars 2020 [c'est que] la « goule » Cuomo a émis un décret (EO ) empêchant les pharmacies de l'État de New York de distribuer de l'HCQ", a-t-il déclaré à Clark. "[It] a été approuvé pour d'autres indications et il était sûr, donc je ne comprenais pas pourquoi cela était obstrué." (Connexe : Le médecin qui a développé le protocole HCQ a désormais traité avec succès des milliers de patients atteints du COVID-19.)
"J'ai perdu quelques patients à cause de cette HE [puisque] ils ne pouvaient pas obtenir de médicaments. J'ai trouvé des articles évalués par des pairs sur une substance appelée quercétine, et j'ai donc commencé à l'utiliser. J'ai vu de très bons résultats et j'ai publié cela en open source. Je fais connaître à tout le monde l'existence de la quercétine, qui est [vendue] sans ordonnance."
Selon Zelenko, les gens sont morts du COVID-19 pour deux raisons. Il y a d’abord « le médecin débile qui retarde les soins ». Deuxièmement, il y a « le gouvernement tyrannique qui fait obstacle à l’accès aux médicaments qui sauvent des vies ».
Il a également parlé à Clark d'une "prescription pour ceux qui cherchent un retour à la normale", qu'il a empruntée au livre des Psaumes. "'Détournez-vous du mal, faites le bien et vivez.' C'est une très bonne prescription, et laissez-moi définir les termes. »
« « Détournez-vous du mal », dans ce cas particulier, [signifie] ne pas avoir peur. Ne mettez pas [votre] couche pour le visage, n'écoutez pas les mandats. « Faites le bien » signifie si vous » Si vous faites partie de la catégorie à risque plus élevé, prenez une prévention antivirale. Si Dieu vous en préserve, vous tombez malade – commencez le traitement dans les premiers jours et vous vivrez.
Visitez AlternativeMedicine.news pour plus d’histoires sur les effets positifs du zinc et de l’HCQ contre le COVID-19.
Regardez l'épisode du 21 janvier 2022 de « Thrive Time Show » sur Brighteon.TV ci-dessous, où le regretté Dr Vladimir « Zev » Zelenko discute de son protocole de traitement contre le COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne BrighteonTV sur Brighteon.com.
Le Dr Vladimir Zelenko exhorte la population à se dresser contre la tyrannie du gouvernement.
Le zinc peut aider dans la lutte contre le COVID-19 – mais seulement si vous l’associez à un ionophore de zinc.
Le Dr Vladimir Zelenko déclare à Ann Vandersteel : le COVID-19 est une arme biologique – Brighteon.TV.
Le Dr Zev Zelenko discute de son protocole de traitement Covid avec Clay Clark – Brighteon.TV.
Si les hôpitaux avaient utilisé le protocole Zelenko avec de la vitamine C et de la vitamine D par voie intraveineuse, les décès associés au covid-19 seraient pratiquement inexistants.
(...) " La balle pénètre ensuite dans la cellule et empêche l'enzyme virale d'aider le virus à se répliquer. " (...)
l'appelé 'virus' EST UNE POUSSIÈRE ! et, une poussière NE SE RÉPLIQUE PAS ! Même s'il s'agit d'une nano-particule de poudre de poison, le poison va empoisonner les cellules voisines par contamination, donc: dilution. La quantité de poison demeurera telle quelle donc: ne se répliquera pas.
(...) Il y a d’abord « le médecin débile qui retarde les soins ». Deuxièmement, il y a « le gouvernement tyrannique qui fait obstacle à l’accès aux médicaments qui sauvent des vies ». (...)
Il y a d’abord « le médecin débile qui inocule la victime atterri au camps de la mort. Son travail de SS est d'injecter une solution létale. Deuxièmement, il y a « le gouvernement tyrannique qui fait obstacle à l’accès aux médicaments qui ne peuvent pas sauver des vie puisqu'il n'existe pas d'anti poison mis au point à ce jour.
Prix Nobel pour la technologie de l'ARNm : vérification des faits
9 novembre 2023 de Thomas Oysmüller
Le prix Nobel de technologie de l'ARNm est examiné en détail par les Médecins pour la Santé, la Liberté et la Démocratie. Une fois de plus, la science a été massivement endommagée.
Les « Médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie, eV » (MWGFD) ont rédigé une vérification détaillée des faits sur le scandale du prix Nobel 2023. Le document a été publié jeudi.
Prévenir MWGFD ne mâche pas ses mots lorsqu'il s'agit de vérifier les faits. Dans l’introduction de la déclaration, l’Association médicale écrit :
« Les plus grands crimes contre l'humanité sont désormais récompensés par le prix Nobel. Les soi-disant vérificateurs de faits traditionnels ne peuvent pas réfuter la vérification des faits ultérieure. Nous découvrons quel est réellement le but de la cérémonie de remise du prix Nobel grâce aux lauréats eux-mêmes. Ce n’est rien de plus qu’une campagne de marketing.
Cette conclusion est soutenue par un porte-parole du comité Nobel. Il a déclaré que « l’attribution d’un prix Nobel à ce vaccin contre la COVID-19 pourrait encourager les personnes hésitantes à prendre le vaccin et à être assurées qu’il est très efficace et sûr ».
Sur 14 pages, le MWGFD décortique l'attribution du prix Nobel à Katalina Karikó et Drew Weissman. Non seulement la « justification scientifique » du comité est décortiquée phrase par phrase, mais également la séance de questions-réponses des journalistes après la remise des prix. C’était en fait difficile à battre en termes d’absurdité – avait rapporté le TKP.
Puisqu'il ne fallait en aucun cas s'attendre à un examen critique de la décision du comité du prix Nobel de l'Institut Karolinska par les « Correctivs » et les soi-disant « vérificateurs de faits », dont la véracité se limitait à l'ignorance systématique des faits, le professeur .Dr. Klaus Steger, biologiste moléculaire, Université de Giessen, et le Dr. Christof Schalhorn, un expert en dispositifs médicaux, a effectué une vérification des faits de deux pages à partir des trois déclarations de l'annonce du prix Nobel (remarquablement disponibles uniquement sous forme de vidéo YouTube) et l'a étayé par des références clés. Le groupe de travail a également retranscrit la séance de questions-réponses, qui s'est révélée être une démonstration d'absence de scrupules particulièrement scandaleuse, et a commenté les contre-vérités particulièrement audacieuses.
La conclusion des scientifiques est la suivante :
« Avec l’attribution du prix Nobel de médecine 2023, la confiance dans la science indépendante a été considérablement et durablement mise à mal. Le comité du prix Nobel a non seulement ignoré les faits scientifiques, mais ses affirmations non fondées démontrent un manque de compréhension de la médecine fondée sur des preuves. »
L’intégralité de la vérification des faits du MWGFD peut être trouvée ici.
Lettre à Robert Malone Un plaidoyer pour la civilité
MARGARET ANNA ALICE 9 NOVEMBRE 2023
Lettre à Robert Malone « Il est essentiel d’employer, de faire confiance et de récompenser ceux dont la perspective, les capacités et le jugement sont radicalement différents des vôtres. C’est également rare, car cela nécessite une humilité, une tolérance et une sagesse hors du commun. —Dee Hock
Robert, je viens d'apprendre votre réponse à un tweet partageant une vidéo de Mike Yeadon1 dans laquelle vous écriviez :
Robert Malone répond au tweet sur la vidéo de Mike Yeadon C'était en réponse au message suivant de Wide Awake Media :
Article Wide Awake Media de la vidéo de Mike Yeadon Dans cette vidéo, Mike a déclaré à un journaliste de CHD.TV :
« Jusqu’en 2011, pendant de nombreuses années, j’ai été responsable de la recherche mondiale et des premiers développements dans le domaine [de Pfizer] des nouveaux médicaments contre les maladies respiratoires et les allergies.…
"Il n'y a pas beaucoup de domaines de cette industrie que je ne connaissais pas, et quand j'ai commencé à remarquer d'anciens collègues, dont Sir Patrick Vallance, dire des choses à la télévision dont je savais qu'elles n'étaient pas vraies et que je savais qu'il savait qu'elles ne l'étaient pas. Ce n'est pas vrai, c'est à ce moment-là que l'argent est tombé pour moi, probablement en février 2020.
« Je me souviens avoir dit à ma femme : « Ce n’est pas ce qu’ils disent. Il se passe quelque chose.
« Et puis, quand j’ai vu non seulement mon pays se confiner mais des dizaines de pays se verrouiller en même temps, je dirais à vos auditeurs que c’était la preuve, et c’est toujours la preuve, d’une opération supranationale. Cela n’aurait jamais pu se produire au niveau local, au niveau national.
« Par conséquent, cela a dû se produire au niveau supérieur. Qu’il s’agisse de l’OMS, du Forum économique mondial ou autre, je ne sais pas, mais je suis convaincu que cette action à elle seule prouve sans équivoque que nous n’avons pas simplement fait dériver un virus et ensuite : « Oh ! Nous avons tous paniqué.
« Ils ont tous fait en même temps les mêmes choses stupides, inefficaces, connues pour ne pas fonctionner, et dont aucune ne figurait dans les plans de préparation à la pandémie de leur pays. Parce que je les ai tous lus, non ?
« Alors, quand j’accuse ces gens de mentir, je le fais avec la certitude qu’ils ne me poursuivront pas en justice parce que je leur dirais : « Allez, poursuivez-moi en justice ! J’adorerais avoir une découverte au tribunal. Vous perdrez énormément.
« Et donc ils ne me poursuivront pas en justice. Ce qu'ils font, c'est me salir et me censurer. Et je m’en fiche car nous sommes confrontés à quelque chose de bien pire qu’un prétendu virus.
« À tout le moins, les choses avec lesquelles les gens ont reçu des injections – les blessures causées aux gens par ces soi-disant « vaccins »… J’aimerais pouvoir vous dire que c’était accidentel, mais ce n’était pas accidentel.
« J’ai passé trente-deux ans dans la conception rationnelle de médicaments. Je sais, et je savais et je l'ai écrit avant qu'aucun d'entre eux n'ait une autorisation d'utilisation d'urgence, qu'ils étaient dangereux.…
« Je suis convaincu et je dirais, la main sur une Bible, devant un tribunal, que ces injections ont été faites pour blesser des gens, pour mutiler et tuer délibérément. »
« Ils ont tous fait en même temps les mêmes choses stupides, inefficaces, connues pour ne pas fonctionner, et dont aucune ne figurait dans les plans de préparation à une pandémie de leur pays. » —Mike Yeadon
En tant que personne qui a rédigé un profil en courage sur vous ; vous a défendu contre des allégations d’opposition contrôlée ; a fustigé Alex Berenson pour son coup de côté juvénile à votre égard ; proposé de servir de médiateur entre vous et les Breggins ; j’ai moi-même été la cible d’accusations ; et pris une position ferme sur l'octroi du bénéfice du doute aux membres du mouvement pour la liberté en l'absence de preuves tangibles prouvant la collusion, j'ai été déçu de vous voir vous comporter de manière si incivile envers l'un des fantassins les plus anciens et les plus courageux de notre communauté.
Je vous demande respectueusement : pourquoi parleriez-vous avec autant de mépris d’un collègue scientifique qui a consacré sa vie à dénoncer les mensonges que vous avez vous-même travaillé avec diligence pour révéler tout au long de la crise du COVID ? Pourquoi voudriez-vous jouer le rôle du démolisseur quand vous comprenez à quel point de telles attaques peuvent être douloureuses ? Pourquoi cibleriez-vous quelqu’un qui n’a jamais parlé et ne parlera jamais de vous avec autant de dédain ?
Même la réponse gracieuse de Mike à votre tweet illustre son noble caractère :
« Je ne crois pas que quiconque ayant la capacité de comprendre les arguments avancés puisse conclure autrement que par l’intentionnalité. »2
Mike a toujours prouvé que parler en sa faveur n’a jamais été une question d’ego, de gloire ou de gain monétaire. Vous insinuez qu'il fait ces déclarations pour obtenir « beaucoup de clics et de likes », mais il n'a même pas de compte Twitter et est inactif sur tous les réseaux sociaux à l'exception de la chaîne Telegram qu'il a précédemment partagée avec Robin Monotti et Cory Morningstar avant de récemment se connecter. créer sa propre chaîne.
Bien que Mike soit un lecteur assidu de Substack et un commentateur occasionnel, il a choisi de ne pas gagner un seul centime des milliers d'heures qu'il a consacrées à défendre l'humanité contre la propagande et le démocide, même si de nombreuses personnes seraient heureuses d'avoir l'opportunité de le soutenir en tant qu'acteur. expression insuffisante de notre gratitude pour ses contributions héroïques.
En tant qu'ancien scientifique en chef, vice-président et responsable de la recherche sur les allergies et les maladies respiratoires chez Pfizer, Mike a généreusement partagé ses idées avisées, ses observations fondées sur des faits et son expertise scientifique fondée sur plus de trois décennies d'expérience dans l'industrie pharmaceutique.
Cette expérience comprend une carrière de consultant dans le secteur des biotechnologies après avoir quitté Pfizer en 2011. Mike a également lancé sa propre biotechnologie appelée Ziarco, levant des millions de fonds privés pour mener des études de recherche et développement sur le ZPL-389, un composé issu de Pfizer qui s'est révélé efficace. obtenir une réduction cliniquement et statistiquement significative de l’eczéma sans effets secondaires. En collaboration avec deux anciens collègues, Mike a transformé le composé en médicament. Novartis a acquis son entreprise en 2017. Avant de devenir persona non grata pour avoir révélé la corruption de l'industrie pendant la COVID, Forbes a publié un article sur l'entreprise réussie rédigé par le Dr John LaMattina, ancien membre du conseil d'administration de Pfizer.
Mike identifie et prédit avec précision les malversations depuis début 2020, notamment en cosignant une lettre ouverte urgente de médecins et de scientifiques à l'Agence européenne des médicaments concernant les problèmes de sécurité du vaccin COVID-19 le 10 mars 2021.
Il a montré à plusieurs reprises « les reçus » que vous exigeiez, tout comme moi – et comme vous ! Le 25 juillet 2023, vous avez publié un article intitulé Contrôle de la population et politique officielle du gouvernement américain avec le sous-titre « Voici les reçus. Il ne s’agit pas d’une « théorie du complot » » :
- voir post sur site -
Dans cet article, vous citez des preuves accablantes tirées de documents tels que le rapport Kissinger, que j’ai moi-même examiné dans ma série Anatomie d’un philanthrope en juin 2022, suivi de ma présentation au Comité d’enquête Corona le 1er juillet 2022.
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 10 novembre 2023
J'ai initialement écrit cet article il y a 12 ans. Mais le sujet est si important que j’ai voulu publier une mise à jour pour faire savoir que, dans la plupart des cas, il n’y a aucune raison de craindre la fièvre. Prendre immédiatement des médicaments pour réduire la fièvre est également généralement contre-productif et peut mettre plus de temps à aller mieux.1,2
La fièvre est un signe que votre système immunitaire, ou celui de votre enfant, fonctionne au mieux. Pratiquement tous les animaux – et même les poissons3 – développent naturellement de la fièvre lorsqu’ils luttent contre une maladie bactérienne ou virale. Cette réponse se produit parce qu’elle améliore la capacité de votre corps à se débarrasser de l’infection.
La fièvre profite à votre corps
Lorsqu’un organisme envahit votre corps, il déclenche la libération de pyrogène, une substance qui signale à l’hypothalamus de votre cerveau d’augmenter la température de votre corps. Cela se fait à travers un certain nombre de mécanismes différents, notamment :
Frissons Libération de l'hormone TRH Augmenter votre taux métabolique Restreindre le flux sanguin vers la peau pour minimiser la perte de chaleur Piloérection (remontée des petits poils), qui supprime la transpiration, un mécanisme de refroidissement
La fièvre, à son tour, déclenche un certain nombre de processus corporels bénéfiques, notamment des mécanismes de protection immunitaire, qui aident directement ou indirectement à repousser les bactéries ou les virus envahisseurs. Par exemple, des températures de 104 à 105,8 degrés F (40 à 41 degrés C) réduisent de 200 fois le taux de réplication du poliovirus dans les cellules, tout en augmentant la sensibilité des bactéries à Gram négatif à la destruction des anticorps.4
"Compte tenu de la complexité de ces mécanismes immunitaires, il est remarquable que les températures fébriles stimulent presque toutes les étapes impliquées dans ce processus, favorisant à la fois l'immunité innée et adaptative", ont écrit les chercheurs dans Nature Reviews Immunology.5
« Les températures fébriles servent de système d’alerte systémique qui favorise largement la surveillance immunitaire lors d’une provocation par des agents pathogènes envahisseurs. »6 Certains de ces avantages de grande envergure comprennent :
- voir cadre sur site -
Fièvre ? Laisser le suivre son cours
« La réponse fébrile est une caractéristique des infections et des maladies inflammatoires et a été façonnée au cours de centaines de millions d’années de sélection naturelle »7, mais de nombreux prestataires de soins de santé la considèrent toujours comme dangereuse et mérite d’être traitée car elle provoque un inconfort.
Les scientifiques continuent également de débattre des mérites de la fièvre. Les uns sont favorables à l’idée selon laquelle la fièvre devrait être supprimée en raison de ses coûts métaboliques élevés. Chaque augmentation de 1,8 degré F de la température corporelle nécessite une augmentation de 10 à 12,5 % du taux métabolique8, ce qui est significatif.
C’est l’une des raisons pour lesquelles vous perdez fréquemment du poids lorsque vous avez de la fièvre. Cependant, de plus en plus de recherches soutiennent la philosophie du « laisser faire », selon laquelle la fièvre a un effet protecteur.9 Dans le Journal of Thoracic Disease, des chercheurs de la Miller School of Medicine de l'Université de Miami ont décrit une étude classique de 197510 sur la fièvre et la survie des iguanes. infecté par des bactéries :11
« Il leur a donné la possibilité de rechercher de la chaleur grâce à des lampes solaires et tous, sauf un, ont recherché la chaleur pour augmenter leur température. Celui qui ne l’a pas fait est le seul à mourir. Ensuite, il a injecté des bactéries aux iguanes et leur a donné des antipyrétiques [médicaments contre la fièvre]. Les iguanes qui étaient capables de faire monter la fièvre malgré les antipyrétiques ont été les seuls à avoir survécu.
Une étude réalisée en 1987 sur des lapins a également révélé que l’administration de médicaments contre la fièvre causait plus de mal que de bien. L’équipe a découvert que la suppression de la fièvre chez les animaux « avait un effet délétère notable sur l’évolution de l’infection, entraînant une augmentation de la teneur en virus infectieux dans les ganglions lymphatiques mésentériques, une mortalité accrue et un rétablissement retardé chez les animaux qui ont survécu à l’infection. »12
Des résultats tout aussi frappants ont été constatés chez des personnes, en particulier chez des patients gravement malades en unité de soins intensifs. Un groupe de patients a été traité de manière agressive contre la fièvre, recevant de l'acétaminophène toutes les six heures si leur température dépassait 101,3 degrés F (38,5 degrés C).
L'autre groupe ne recevait un traitement que si sa fièvre atteignait 104 degrés F (40 degrés C), qui consistait en de l'acétaminophène et des couvertures rafraîchissantes jusqu'à ce que sa température descende en dessous de 104 degrés F.
L’étude a dû être interrompue prématurément car le nombre de personnes du groupe de traitement agressif est décédé par rapport à l’autre groupe – respectivement sept décès contre un. « Un traitement agressif de la fièvre chez les patients gravement malades peut entraîner un taux de mortalité plus élevé », a conclu l’équipe.13
Une autre étude, cette fois sur des poissons, a montré que laisser la fièvre suivre son cours éliminait l'infection en deux fois moins de temps qu'il fallait aux animaux sans fièvre pour guérir.14,15 En plus de faire disparaître rapidement l'infection, la fièvre aidait à contrôler l'inflammation et à réparer les lésions tissulaires.
« Nous avons laissé la nature faire ce qu'elle fait, et dans ce cas-ci, c'était une chose très positive », a déclaré l'auteur de l'étude et immunologiste Daniel Barreda, de l'Université de l'Alberta, dans un communiqué de presse.16 « Chaque animal examiné possède cette caractéristique biologique. réponse à l’infection », dit-elle, suggérant que la fièvre offre un fort avantage évolutif en matière de survie.
Une fièvre modérée protège contre le COVID-19
Le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), qui implique la mort programmée des cellules alvéolaires des poumons, est l’une des principales causes de décès chez les patients atteints de COVID-19. L'augmentation naturelle de la température corporelle qui se produit lors d'une fièvre légère ou modérée peut cependant augmenter les niveaux cellulaires de la protéine de choc thermique bénéfique 70 (HSP70), qui est protectrice dans les cas de SDRA induit par la septicémie.
Écrivant dans Frontiers in Medicine, les chercheurs ont suggéré que plusieurs heures de fièvre légère, définie comme inférieure à 101,8 degrés F (38,8 degrés C), sont avantageuses pour les patients atteints de COVID-19, « permettant aux cellules pulmonaires d'accumuler du HSP70 protecteur contre les dommages causés par la réponse inflammatoire ». au virus SARS-CoV-2. »17 Encore une fois, le simple fait de laisser une fièvre légère ou modérée suivre son cours contribue à augmenter le HSP70, vous offrant ainsi un avantage de survie :18
« Les HSP70 peuvent utiliser l’énergie de l’hydrolyse de l’ATP pour déployer et démanteler avec force différents types d’oligomères protéiques agrégés et fonctionnels dans la cellule. Par conséquent, il peut entraîner des changements conformationnels dans divers grands agrégats de protéines cytotoxiques et les convertir en protéines fonctionnelles solubles, inoffensives.
… À l’inverse, les tissus neuronaux et musculaires dégénératifs des nématodes vieillissants et des humains qui expriment systématiquement des taux cellulaires de HSP70 inférieurs à ceux des jeunes individus sont particulièrement fragiles et sensibles au stress. Les cellules avec de faibles niveaux de HSP70 ont tendance à subir spontanément l’apoptose, et les pertes de tissus qui en résultent chez les humains vieillissants conduisent à des maladies dégénératives progressives.
Parce que la capacité à développer de la fièvre et à accumuler du HSP70 diminue avec l’âge, l’équipe a même suggéré d’utiliser des thermothérapies ou un entraînement physique pour augmenter la température corporelle dans ces cas. Les scientifiques écrivant dans Evolution, Medicine, and Public Health ont également suggéré de laisser la fièvre faire son travail, en particulier à l’ère de la pandémie :19
« Pour le COVID-19, de nombreux organismes de santé publique ont conseillé de traiter la fièvre avec des médicaments comme l’acétaminophène ou l’ibuprofène. Même s’il s’agit d’une pratique courante, l’abaissement de la température corporelle n’a pas amélioré la survie des animaux de laboratoire ou des patients infectés.
Bloquer la fièvre peut être nocif car la fièvre, ainsi que d’autres symptômes de maladie, ont évolué comme un moyen de défense contre l’infection. La fièvre agit en causant plus de dommages aux agents pathogènes et aux cellules infectées qu’aux cellules saines du corps. Pendant la pandémie de COVID-19, les avantages de laisser la fièvre survenir l’emportent probablement sur les inconvénients, pour les individus et pour le grand public.
Les médicaments contre la fièvre peuvent se retourner contre eux
Dans la plupart des cas, les médicaments contre la fièvre doivent être évités, car ils ne font généralement que supprimer les mécanismes naturels de guérison de la fièvre et prolonger la maladie. Par exemple, chez les personnes atteintes de grippe, l’utilisation de médicaments contre la fièvre est liée à une augmentation de 5 % de la mortalité.20 Même l’American Academy of Pediatrics (AAP) a mis en garde contre la « phobie de la fièvre » et la surutilisation de médicaments contre la fièvre :21
« Des conseils appropriés sur la gestion de la fièvre commencent par aider les parents à comprendre que la fièvre, en soi, n'est pas connue pour mettre en danger un enfant généralement en bonne santé. En revanche, la fièvre peut effectivement être bénéfique…
Lorsqu’ils conseillent une famille sur la gestion de la fièvre chez un enfant, les pédiatres et autres prestataires de soins de santé doivent minimiser la phobie de la fièvre et souligner que l’utilisation d’antipyrétiques ne prévient pas les convulsions fébriles.
De plus, dans ses conseils aux parents qui se demandent s’ils doivent traiter la fièvre de leur enfant, l’AAP déclare : « La clé est de surveiller le comportement de votre enfant. S’ils boivent, mangent, dorment normalement et sont capables de jouer, vous n’avez pas besoin de traiter la fièvre. Au lieu de cela, vous devriez attendre de voir si la fièvre s’améliore d’elle-même. »22
N’oubliez pas que le but de la fièvre est de stimuler le système immunitaire et de créer un environnement inhospitalier pour les organismes envahisseurs, augmentant ainsi la chaleur suffisamment pour que les microbes envahisseurs ne puissent pas vivre. Ainsi, chaque fois que vous faites baisser artificiellement la fièvre, vous rendez votre corps plus hospitalier aux agents pathogènes envahisseurs.
Faire baisser la fièvre avec des médicaments masque également vos symptômes, ce qui peut vous amener à reprendre vos activités normales trop tôt, alors que votre corps pourrait encore bénéficier d'un repos supplémentaire. Les médicaments peuvent également prolonger la maladie. Dans une étude sur l’acétaminophène chez les enfants atteints de varicelle, le médicament a entraîné des démangeaisons et un délai d’apparition de croûtes prolongés par rapport au traitement placebo.23
En outre, une étude menée auprès d’adultes souffrant de rhume a révélé que l’aspirine et l’acétaminophène supprimaient la production d’anticorps et augmentaient les symptômes du rhume, avec une tendance à une contagiosité plus longue.24
Ces médicaments comportent également des risques d’effets secondaires, notamment des lésions hépatiques liées à l’acétaminophène, des maux d’estomac liés à l’ibuprofène et le syndrome de Reye lié à l’aspirine. Il est recommandé de ne pas donner d’aspirine aux enfants de moins de 19 ans lorsqu’ils ont de la fièvre, en raison du lien avec le syndrome de Reye.
Quand la fièvre est-elle dangereuse ?
Il est rare qu’une fièvre dépasse 104 ou 105 degrés F, et tant que votre enfant n’est pas en détresse, il n’y a aucun mal à laisser la fièvre suivre son cours. Gardez également à l’esprit que la fièvre a tendance à augmenter en fin d’après-midi et en soirée, donc une légère augmentation de la fièvre pendant cette période n’est pas nécessairement alarmante.
Dans la plupart des cas, du repos et beaucoup de liquides suffisent en cas de fièvre. La fièvre augmente la perte de liquide, il est donc important de donner beaucoup de liquides à votre enfant, même s’il n’a pas soif, pour éviter la déshydratation. Il existe cependant des cas où une fièvre nécessite des soins médicaux. Ceci comprend:
Fièvre chez un nourrisson de moins de 3 mois (à n'importe quelle température) Fièvre supérieure à 102,2 degrés F (39 degrés C) chez les enfants entre 3 mois et 36 mois, s'ils semblent malades Chaque fois que la fièvre dépasse 104,5 degrés F (40 degrés C) Dans certains cas de sepsis ou de lésions neurologiques, une fièvre incontrôlée peut entraîner de pires conséquences25. Chez les enfants de 5 ans et moins, la fièvre peut également entraîner une convulsion, appelée crise fébrile. Même si cela peut être effrayant, cela n’entraînera généralement aucun effet durable. Lors d'une crise fébrile, couchez votre enfant sur le côté ou sur le ventre, desserrez tous les vêtements serrés et soutenez l'enfant pour éviter les blessures.
Lorsque la crise s'arrête, vous devez immédiatement consulter un médecin pour vous assurer qu'elle n'a pas été causée par autre chose que la fièvre, comme une méningite ou une bactérie dans le sang.
Cependant, n’oubliez pas que laisser la fièvre suivre son cours est généralement le meilleur choix pour lutter contre une infection virale ou bactérienne. Vous pouvez renforcer davantage la capacité de votre système immunitaire à repousser les agents pathogènes et réduire le risque de développer une fièvre en premier lieu, en mangeant sainement, en faisant beaucoup d’exercices quotidiens, en utilisant des méthodes judicieuses pour soulager le stress et en dormant bien.
Fréderic Beltra, un combat en mémoire de son fils Maxime, décédé le 26 juillet 2021 à 22 ans
Xavier Azalbert, France-Soir le 09 novembre 2023 - 16:59
ENTRETIEN ESSENTIEL - Fréderic Beltra est président de l’association Verity France, regroupant les familles de victimes des vaccins Covid-19. Ses apparitions médiatiques sont très rares et il n’a jamais donné d’interview à un média. Son fils Maxime est décédé lundi 26 juillet 2021, quelques heures après avoir reçu sa première dose Pfizer. Il avait 22 ans.
Dans cet entretien essentiel, Frédéric Beltra prend le temps d’évoquer le début de la pandémie. Il avait quelques interrogations sur les interdictions de certains médicaments car, intuitivement et à titre personnel, il aurait préféré avoir plus d’options. Il évoque sa situation d’entrepreneur et la mise en place des mesures et gestes barrières pour protéger ses clients. Travaillant beaucoup, il faisait confiance au gouvernement et à sa communication jusqu’au moment où s’est posé la question de la vaccination de son fils, courant 2021. S’il avait préalablement téléchargé la notice du vaccin du site de l’ANSM, il n’en prendra connaissance que trop tard. Depuis le décès de son fils, malgré le drame et la dévastation, Frédéric a dévoué son temps à sa famille et son association, Verity. L’association a mis en place des cellules de soutien aux victimes des effets secondaires devant la faillite du système à proposer une réponse adéquate dans ce domaine ou même à considérer les victimes comme tel. En tant que père d’une victime, il n’a jamais été contacté par les officiels du gouvernement. Pire encore, il a dû subir les attaques de certains médias tentant de justifier que la mort de son fils n’avait rien à voir avec l’injection. Aujourd’hui, malgré plus de 200 000 effets secondaires recensés dont 25 % de grave, les injections Covid-19 sont toujours autorisées. Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau est d’ailleurs visé par une plainte de Verity France (d’autres associations lui ont emboîté le pas) en rapport avec ce qu'on peut considérer comme un délit d’extorsion du consentement libre et éclairé. Les mots de Frédéric Beltra sont tranchants, sa détermination entière. Il demande simplement à ce que le statut des victimes soit reconnu et protégé par la loi.
Le Dr Robert Malone révèle comment le gouvernement a déchiré sa réputation, « pièce par pièce »
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 05:40 Rédigé par le Dr Robert W. Malone, MD, MS via Who Is Robert Malone,
Chers Américains, le gouvernement prendra soin de vous !
Ils ne veulent pas que vous ayez à vous soucier des informations qu’ils n’approuvent pas dans vos comptes de réseaux sociaux. Ils ne veulent pas que vous craigniez que le gouvernement américain n’interfère directement avec vos droits au titre du premier amendement, et ne se mêlera certainement jamais d’une élection ou de vos libertés médicales.
Cela dit, l’État profond se fera un plaisir de « confier ces emplois à des entreprises effrayantes de gauche qui luttent contre la « désinformation » ».
Un nouveau rapport explosif a été publié, intitulé : « ARMEMENT DES PSEUDO-EXPERTS ET BUREAUCRATS « DÉSINFORMATION » : COMMENT LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL S'EST PARTENÉ AVEC LES UNIVERSITÉS POUR CENSURER LE DISCOURS POLITIQUE DES AMÉRICAINS », rapport intérimaire du Comité de la magistrature et du Sous-comité spécial. sur la militarisation du gouvernement fédéral par la Chambre des représentants des États-Unis a été publiée le 6 novembre 2023.
Dans ce rapport, le comité a exposé le rôle de l’Election Integrity Partnership (EIP) et d’autres organisations d’astroturf engagées (c’est-à-dire payées) par le ministère de la Sécurité intérieure pour censurer les Américains.
Le représentant Jim Jordan sur son compte Twitter a également fourni les reçus de la création du Partenariat pour l'intégrité électorale, en joignant une lettre du Conseil atlantique conseillant une « synchronisation » par laquelle ils ont créé le Partenariat pour l'intégrité électorale en 2020. Ergo, un partenariat de quatre organisations travaillant en collaboration avec le gouvernement américain et l’Atlantic Council.
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En fait, l'EIP est composé de quatre « partenaires ». Il s'agit du Stanford Internet Observatory (SIO), du Center for an Informed Public (CIP) de l'Université de Washington, de Graphika et de l'Atlantic Council. Chaque organisation a un rôle distinct à jouer, allant de l'identification des « propageurs de désinformation » à l'identification des réseaux de médias sociaux sur lesquels les personnes ainsi accusées ont interagi, en passant par les recommandations concrètes aux sociétés de médias sociaux pour la suppression des publications offensantes identifiées, et les communications en retour et en retour. davantage entre le gouvernement et le PEI. Cela a été fait avec l’argent et les ressources du gouvernement.
Vous trouverez ci-dessous un lien pour chaque partenaire, ainsi qu'une description de leurs technologies ou de leurs activités récentes.
L'Observatoire Internet de Stanford (SIO) : Stanford a supprimé la page SIO de son site Web, bien que la machine de retour dispose d'une copie d'archives quelque peu fonctionnelle.
Ces pages contiennent des informations sur leur opération « Platform Takedown », qui a été développée pour supprimer les informations des principales plateformes de médias sociaux.
Le retrait de la plateforme SIO ne répertorie que les rapports de cas jusqu'en juin 2020, mais la machine de retour propose des rapports détaillés jusqu'en 2022.
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Centre pour un public informé (CIP) de l’Université de Washington Leur mission « est de résister à la désinformation stratégique, de promouvoir une société informée et de renforcer le discours démocratique ».
Depuis ce mois-ci (novembre 2023), le CIP a désormais orienté son identification des cibles de censure vers l'identification du flux de ce qu'il considère comme les « nouvelles élites » de X (ergo-influenceurs très suivis) concernant la manière dont ils partagent des informations concernant le Conflit Hamas/Israël.
L’implication étant que « X » sera ciblé à l’avenir pour davantage de harcèlement de la part du Election Integrity Partnership.
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Graphique Il s’agit d’une entreprise spécialisée dans « une technologie de pointe qui crée des cartes explorables à grande échelle des paysages des médias sociaux ». Leur analyse approfondie révèle des informations permettant d'aider « les clients et les partenaires à comprendre les réseaux en ligne complexes et à prendre des mesures décisives ». Graphika cite Harvard, Oxford et DARPA (DARPA = CIA) comme partenaires.
Laboratoire de recherche médico-légale numérique (DFRLab) de l’Atlantic Council Le DFRL de l'Atlantic Council est composé d'anciens membres du personnel technologique du renseignement américain (par exemple, d'anciens membres de la CIA et de la DIA = personnel de l'« État profond »), et bien sûr, l'Atlantic Council lui-même est connu comme une plate-forme d'atterrissage pour les agents de l'État profond (autrement connus sous le nom de « Deep State »). une organisation découpée).
Le site Web du DFRL indique :
Les plates-formes centralisées et décentralisées partagent un ensemble commun de menaces émanant d'utilisateurs malveillants motivés et nécessitent un ensemble commun d'investissements pour garantir des résultats fiables et axés sur l'utilisateur…
Des recherches plus approfondies et le renforcement des capacités sont nécessaires pour éviter une nouvelle prolifération de ces menaces.
Au sein de l'industrie, des décennies de pratique de « confiance et sécurité » (T&S) se sont développées pour devenir un domaine capable d'éclairer les complexités de la création et de l'exploitation d'espaces en ligne. En dehors de l’industrie, des groupes de la société civile, des chercheurs indépendants et des universitaires continuent de montrer la voie en matière de compréhension collective de la manière dont les risques se propagent via les plateformes en ligne et de la manière dont les produits pourraient être conçus pour mieux promouvoir le bien-être social et atténuer les dommages.
Enlevez tous les mots fleuris et cela me semble être une censure organisée par l’État profond parrainée par le gouvernement !
Au-delà des sites Web répertoriés ci-dessus, le House Report fait un excellent travail en montrant comment le Election Integrity Partnership a travaillé pour censurer le peuple américain.
Revenons au rapport du Congrès sur la censure, il se lit comme suit :
Entrez dans l'Election Integrity Partnership (EIP), un consortium d'universitaires sur la « désinformation » dirigé par le Stanford Internet Observatory (SIO) de l'Université de Stanford qui a travaillé directement avec le Département de la sécurité intérieure et le Global Engagement Center, une entité multi-agences hébergée au sein de l'État. Département, pour surveiller et censurer le discours en ligne des Américains avant l'élection présidentielle de 2020. Créé à l’été 2020 « à la demande » de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA), l’EIP a permis au gouvernement fédéral de blanchir ses activités de censure dans l’espoir de contourner à la fois le premier amendement et le contrôle public.
Ce rapport intérimaire détaille l’implication massive du gouvernement fédéral dans la création et le fonctionnement de l’EIP, qui a facilité la censure du discours politique des Américains dans les semaines et les mois précédant les élections de 2020. Ce rapport révèle également publiquement pour la première fois des rapports secrets de « désinformation » provenant du système de reporting centralisé de l’EIP, auparavant accessibles uniquement à certaines parties, notamment les agences fédérales, les universités et les grandes technologies. Le comité et le sous-comité restreint ont obtenu ces rapports non publics de l'université de Stanford uniquement sous la menace d'outrage au Congrès. Ces informations faisant état de fausses informations présumées ont été utilisées pour censurer les Américains engagés dans des discours politiques fondamentaux à l’approche des élections de 2020.
Comme le révèlent ces nouvelles informations et ce rapport, le gouvernement fédéral et les universités ont fait pression sur les sociétés de médias sociaux pour qu'elles censurent les informations véridiques, les blagues et les opinions politiques. Cette pression était en grande partie dirigée d’une manière qui profitait à un côté de l’allée politique : les vraies informations publiées par les républicains et les conservateurs étaient qualifiées de « désinformation », tandis que les fausses informations publiées par les démocrates et les libéraux n’étaient pratiquement pas rapportées et n’étaient pas touchées par les censeurs. La pseudoscience de la désinformation n’est aujourd’hui – et n’a toujours été – qu’une ruse politique visant le plus souvent les communautés et les individus ayant des opinions contraires aux discours dominants.
Le fonctionnement de l’EIP était simple : les « parties prenantes externes », notamment les agences fédérales et les organisations financées par le gouvernement fédéral, soumettaient des rapports de désinformation directement à l’EIP. Les « analystes » de la désinformation de l’EIP ont ensuite parcouru Internet à la recherche d’exemples supplémentaires de censure. Si le rapport soumis signalait une publication sur Facebook, par exemple, les analystes de l'EIP recherchaient un contenu similaire sur Twitter, YouTube, TikTok, Reddit et d'autres grandes plateformes de médias sociaux. Une fois que tous les liens incriminés ont été compilés, l'EIP a envoyé les plus importants directement aux Big Tech avec des recommandations spécifiques sur la manière dont les plateformes de médias sociaux devraient censurer les publications, comme réduire la « découverte » des publications, « suspendre [un compte] possibilité de continuer à tweeter pendant 12 heures », « surveiller si l'un des comptes d'influenceurs tagués retweete » un utilisateur particulier et, bien sûr, supprimer des milliers de publications américaines.
Le comité de la Chambre (par l'intermédiaire du représentant Jim Jordan) a également publié un document Google (Jira Tickets) qui répertorie certaines des personnes censurées par ordre chronologique et quels étaient leurs « crimes » présumés.
Dans la liste Jira Tickets, il convient de noter que le 11 juin 2021, la liste a brusquement changé son orientation de « désinformation électorale » à « désinformation sur les vaccins » et a renommé ces efforts sous le nom de projet de viralité. Presque comme s’il y avait une sorte de directive venant d’en haut .
Sur la dernière page de la liste des tickets Jira, ils ont inclus la censure de mon entretien original avec Tucker Carlson pour Fox News. Presque immédiatement après, la liste se termine. Donc, on ne sait pas combien de fois j’ai été recommandé à la censure. Sauf que si l’on se base sur l’interdiction évidente de l’ombre au cours des deux dernières années, cela s’est probablement produit des centaines de fois.
Quelques captures d'écran du rapport Jira Tickets généré sur moi concernant l'interview de Tucker (page neuf) :
Mon péché, comme le montre la capture d'écran ci-dessous, est d'avoir affirmé dans l'interview de Fox que les risques l'emportent sur les avantages chez les adolescents et les jeunes adultes (au 30 juin 2021).
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Dans l’image ci-dessous, l’Election Integrity Partnership (maintenant le Partenariat Virality) note que je suis à la fois « anti-vaccination générale » et également « de droite » dans mes affiliations.
Donc c'est vraiment effrayant. Le fait que mes tendances politiques soient mentionnées implique qu’être « de droite » était/est un critère suffisant pour la censure. Le fait que ce critère soit suffisant pour la censure montre une ingérence directe dans les élections.
Car cette liste me marque également comme étant généralement contre la vaccination. Comme si être contre la thérapie génique à ARNm pour des groupes vulnérables spécifiques équivalait à être contre la vaccination. C'était apparemment suffisant pour être censuré.
Je crois qu'il s'agit d'une liste des endroits où cela avait été partagé avant la censure :
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Le Election Integrity Partnership note également que je suis un « récidiviste ».
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Franchement, l’ensemble du document et le rapport du comité de la Chambre me donnent le sentiment d’être violés.
Le rapport de la Chambre documente ensuite comment même les membres du Congrès ont été censurés et que sous Biden, les efforts de censure se sont intensifiés au niveau national.
Cela ne s’est pas arrêté aux élections de 2020.
Après l’investiture du président Biden en janvier 2021, le régime de censure du gouvernement s’est intensifié. Au CISA, l’équipe du CFITF a abandonné toute prétention de se concentrer sur « l’étranger » et s’est rebaptisée « équipe MDM » qui se concentrerait sur les discours étrangers et nationaux que le gouvernement considérait comme de la désinformation ou de la malinformation. Tout au long de l’année 2021, la Maison Blanche Biden s’est engagée dans une campagne de pression contre Facebook et d’autres sociétés de médias sociaux pour censurer les contenus anti-vaccins, même si c’était vrai. D'ici 2022, la CISA a invité le Dr Starbird, puis Vijaya Gadde, alors directeur de Twitter, et d'autres à former un sous-comité consultatif MDM pour consulter la CISA sur la manière dont l'agence pourrait et devrait lutter contre le discours des Américains que le gouvernement considérait comme erroné, dis-, ou désinformation.
Mais en 2023, alors que les républicains reprenaient la majorité à la Chambre des représentants et commençaient à superviser le complexe censure-industriel, la CISA a supprimé sur son site Web toute référence à la censure nationale. Le comité et le sous-comité restreint ont obtenu et révélé comment Facebook a modifié ses politiques en raison de la pression de l'administration Biden. Des documents internes de Facebook ont montré que la Maison Blanche de Biden en particulier voulait que les informations vraies et les satires soient censurées à un rythme que même les grandes technologies trouvaient répréhensible.
Sur la base du travail de la commission et de la sous-commission spéciale, même les grands médias ne pouvaient plus ignorer ces violations constitutionnelles. Les plaignants dans l’affaire Missouri contre Biden ont obtenu des victoires significatives devant un tribunal fédéral de district et devant la Cour d’appel du cinquième circuit des États-Unis, et leur cause sera désormais entendue par la Cour suprême. Les rapports publics montrent que les universités reconsidèrent si elles doivent autoriser leurs professeurs à recevoir des financements et à s'engager dans un travail de censure. Mais le travail n’est pas encore terminé. L’enquête du comité et du sous-comité restreint est toujours en cours.
De toute évidence, les articles à succès sur moi publiés par l'Atlantic Monthly, le New York Times, le Washington Post (deux fois), Business Insider, The Scientist et Rolling Stone et d'autres médias grand public dans un laps de temps très court étaient un effort coordonné de l'État profond pour fais-moi tomber. Je crois que cet effort a été mené par les agences de renseignement et le DHS à travers le Deep State. Kash Patel explique joliment comment ces types de succès sont menés dans son livre, Government Gangsters. Par lequel le gouvernement transmet des informations aux agents travaillant dans les médias grand public (par exemple, comme dans l’opération Mockingbird de la CIA). On me dit maintenant que ces mêmes pièces ont été utilisées contre moi dans d’autres cercles gouvernementaux. L'affaire Sullivan contre le New York Times devant la Cour suprême a abouti à une situation dans laquelle les personnes connues du public ne peuvent presque jamais gagner un procès pour diffamation malveillante. L’État profond utilise ce fait pour attaquer, calomnier, diffamer, harceler et se livrer à des diffamations directes. C'est mal.
Pour ma part, je ne retrouverai jamais ma réputation telle qu’elle était. Cependant, je n’abandonnerai pas la lutte pour nos libertés, qu’il s’agisse de restaurer l’intégrité de la FDA, du CDC, du NIH, du DoD et du HHS ou de freiner l’agence de renseignement. Nous devons tous continuer à mettre notre gouvernement au pas.
Je ne céderai pas à la diffamation de l’État profond. Je ne les laisserai pas ruiner ma vie et ma réputation. Et je ne leur permettrai pas de me victimiser.
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BMJ : la FDA maintient une base de données secrète sur les effets secondaires de l'ARNm
10 novembre 2023 de Thomas Oysmüller
C’est une bombe journalistique qu’a fait exploser le British Medical Journal jeudi. Les effets secondaires du vaccin signalés publiquement aux États-Unis ne sont pas complets.
Le British Medical Journal - l'une des revues scientifiques les plus renommées au monde - a fait réfléchir les gens jeudi avec des recherches hautement explosives. Le (tristement célèbre) système américain de déclaration des effets secondaires des vaccins « ne fonctionne pas comme prévu ». Cela conduit à supposer que « les signaux sont négligés ». De plus, tous les effets secondaires signalés ne sont pas publiés.
Signaler le chaos ? La recherche commence par un cas précis :
« Trois semaines après avoir reçu une deuxième dose d’un vaccin contre le Covid, Robert Sullivan s’est effondré sur son tapis roulant chez lui. L'anesthésiste du Maryland, aux États-Unis, était un homme de 49 ans particulièrement en forme : la semaine avant de tomber malade, il skiait en haute altitude dans le Colorado.
Sullivan a reçu un diagnostic d'hypertension pulmonaire d'apparition soudaine, qui est généralement progressive, peut être mortelle et, dans la plupart des cas, ne peut être guérie. La maladie est rare, surtout chez les hommes d'âge moyen. Sullivan a décidé de déposer un rapport dans le système de déclaration des événements indésirables des vaccins (VAERS), qui recueille les rapports sur les symptômes, les diagnostics, les hospitalisations et les décès suite aux vaccinations afin de capturer les signaux de sécurité post-commercialisation.
TKP a régulièrement publié des articles liés à la base de données VAERS ces dernières années. Par exemple, la série détaillée du Dr. Kremer au sujet du turbo-cancer et de l'ARNm . Mais en coulisses, la base de données VAERS est ésotérique et opaque.
Le cas de Robert Sullivan continue :
«Mais le processus de soumission était une course contre la montre imparfaite. "Le format est encombrant et vous oblige à manquer de temps", rapporte-t-il au BMJ. En guise de compensation pour ses ennuis, Sullivan a reçu un e-mail de confirmation et un numéro de « rapport électronique » temporaire. Il a appris du cabinet de son médecin qu'un représentant du VAERS avait demandé un dossier médical. Puis il n'a plus rien entendu pendant un an.
VAERS se veut convivial, réactif et transparent. Mais les recherches menées par le BMJ ont révélé que l'agence ne parvient pas à respecter ses propres normes. Non seulement les niveaux de personnel n’ont pas réussi à suivre le nombre sans précédent de rapports depuis le déploiement des vaccins Covid, mais il y a des signes que le système est débordé, les rapports ne sont pas suivis et des signaux sont manqués.
Deux bases de données Mais il ne s'agit probablement pas d'un cas isolé, estime le BMJ :
« Le BMJ s’est entretenu avec plus d’une douzaine de personnes, dont des médecins et un médecin légiste de l’État, qui ont déposé des rapports VAERS sérieux en leur nom ou en celui de patients et n’ont jamais été contactés par les enquêteurs cliniques ou seulement des mois plus tard.
Notre enquête a également révélé que, contrairement à la gestion par le gouvernement américain des rapports sur les événements indésirables liés aux médicaments et aux dispositifs, la base de données des vaccins VAERS accessible au public ne contient que les rapports initiaux, tandis que les mises à jour et les corrections des cas sont contenues dans un système back-end distinct et sont enregistrées.
C’est la bombe de l’article : parce que cela signifie que la FDA maintient à la fois une version interne et une version publique incomplète du système de déclaration des blessures causées par le vaccin VAERS.
Qu’est-ce que cela signifie en termes de surveillance du traitement de l’ARNm ? Voici la dernière partie de l'article (traduit avec DeepL) :
« La pharmacovigilance s'est avérée être un outil efficace pour alerter le public de réactions inhabituelles et aiguës, même lorsque les signalements sont rares. Par exemple, il n’a fallu que six rapports VAERS de thrombose avec syndrome de thrombocytopénie suite à l’administration du vaccin Janssen Covid pour que les régulateurs fassent une « pause » en avril 2021.
Ralph Edwards, ancien directeur du centre de surveillance d'Uppsala et jusqu'à récemment rédacteur en chef de l'International Journal of Risk & Safety in Medicine, explique que les systèmes de surveillance comme le VAERS sont excellents pour détecter les effets indésirables qui surviennent très peu de temps après la vaccination ou d'autres Des vaccins sont connus, comme celui de l'anaphylaxie ou du syndrome de Guillain-Barré. Cependant, la détection de réactions nouvelles et inhabituelles, notamment celles ayant des effets latents, représente un défi permanent dans le monde de la pharmacovigilance.
Edwards a déclaré au BMJ : "Si vous n'avez jamais entendu parler de quelque chose, vous avez tendance à l'ignorer." Il explique que les régulateurs s’appuient peut-être trop sur les preuves épidémiologiques pour reconnaître un signal. Le VAERS à lui seul a peu de capacité à capturer de tels effets indésirables à long terme à moins que les rapports ne soient mis à jour régulièrement et que les enquêteurs ne suivent de près ces cas – « un véritable piège », dit-il. « Vous n'obtiendrez jamais de preuves si vous n'avez même pas l'idée de les rechercher.
Lors d’une réunion en octobre 2021, Helen a déclaré que la plupart des médecins n’étaient disposés à parler que des effets secondaires des vaccins reconnus par la FDA. Elle a appelé la FDA à alerter les médecins des éventuels effets secondaires neurologiques, comme elle l’a fait pour la myocardite. Cependant, Peter Marks, de la FDA, a exprimé à plusieurs reprises sa confusion quant aux raisons pour lesquelles il devrait importer aux médecins que les régulateurs reconnaissent ou non qu'une maladie peut être liée au vaccin. "Ne font-ils pas face à ce qu'ils ont devant eux ?", a-t-il demandé.
Svetlana Blitshteyn, neurologue et chercheuse à l'Université de Buffalo, New York, qui traite le syndrome de tachycardie orthostatique posturale depuis environ 20 ans et a vu cette maladie apparaître après la vaccination, a déclaré au BMJ que les médecins qui ne sont pas responsables du syndrome de tachycardie orthostatique posturale. Il est peu probable que les personnes capables de traiter la maladie effectuent des tests de dépistage ou sachent comment la traiter.
Helen appelle à mettre fin à la « boucle de rétroaction négative... La FDA ne cite pas d'effets secondaires supplémentaires liés aux vaccins parce que les systèmes de surveillance passive ne les montrent pas. Mais les systèmes de surveillance passive ne les signalent pas parce que les médecins sont aveugles aux effets secondaires chez leurs patients et ne les signalent donc pas.
Le lien vers l’intégralité de la recherche du BMJ.
Google va supprimer votre compte Gmail pour cette raison
Google prend une mesure audacieuse : la suppression des comptes inactifs. Cette initiative, visant à renforcer la sécurité et l’efficacité de ses services.
Par Grégoire Hernandez le 10 novembre 2023 à 13h00
L'offre pour 100Go sur Google One est de 1,99 $ par mois.
Deux ans sans activité, et dites au revoir à votre compte Google
La nouvelle stratégie de Google surprend. Depuis l'annonce faite en mai 2023, les utilisateurs de comptes inactifs depuis leur création reçoivent des alertes de suppression imminente. Google a défini un critère clair : deux ans sans activité et votre espace numérique s'envole. Pour éviter ce sort, les utilisateurs doivent interagir avec les services de Google, que ce soit en envoyant un email via Gmail, en visionnant une vidéo sur YouTube, ou en utilisant Google Drive. Google veut ainsi réveiller ces comptes endormis avant l'échéance de décembre 2023, poussant les utilisateurs à reprendre une activité ou à libérer de l'espace sur ses serveurs.
Cette démarche drastique de Google ne s'inscrit pas uniquement dans une logique de gestion d'espace. Elle répond à un impératif de sécurité. Les comptes inactifs représentent une faille potentielle dans la cybersécurité. Souvent, ces comptes sont moins sécurisés, sans authentification à deux facteurs, et avec des mots de passe faibles ou réutilisés. En procédant à cette suppression, Google vise à réduire les risques d'attaques cybernétiques et d'usurpation d'identité, protégeant ainsi ses utilisateurs et son réseau. C'est un pas vers un écosystème numérique plus sûr et plus fiable.
Les abonnés à des services payants évidemment épargnés
Pour les millions d'utilisateurs de Google, cette annonce est un appel à l'action. Garder son compte actif est assez simple et s'intègre naturellement dans le quotidien numérique. Utiliser régulièrement les services comme Google Docs, Google Photos, ou même effectuer des recherches sur Google peut suffire pour maintenir un compte en vie. Les abonnés à des services payants comme Google One ou les créateurs de contenu sur YouTube sont automatiquement épargnés. Cette politique incite les utilisateurs à explorer et à utiliser davantage l'éventail des services offerts par Google, transformant ainsi une contrainte en opportunité d'engagement.
Cette initiative est plus qu'un simple nettoyage : elle signale un changement dans la philosophie de gestion des données de Google. Elle pourrait inspirer d'autres géants du numérique à adopter des politiques similaires. La suppression de comptes inactifs n'est pas seulement une question de libération d'espace sur les serveurs ; c'est aussi une démarche vers un internet plus responsable, où la sécurité des données est prioritaire.
Que signifie un 'compte inactif ? Des comptes inactifs il y en a des dizaines de millions ! Des documents sur tout sont sur le web. Mais ces documents (pour la plupart de grandes valeurs) ne sont visités qu'à la... 300 ème page de Google qui - avec le programme supervirus appelé 'intelligence artificelle' - établit une politique du 'faut pas voir' ou 'à oublier' sur ses pages en présentant de faux sites aux premières pages. Donc, à l'avenir': zéro information !
(...) Cette démarche drastique de Google ne s'inscrit pas uniquement dans une logique de gestion d'espace. Elle répond à un impératif de sécurité. (...)
Le fisc américain réclame 29 milliards à Microsoft
Les services fiscaux américains ont lancé une offensive majeure en réclamant la somme de 28,9 milliards de dollars à Microsoft pour des impayés s’étendant de 2004 à 2013, avec des intérêts et des pénalités. La firme de Redmond entend « contester vigoureusement » ces conclusions, ouvrant la porte à une potentielle bataille judiciaire. Ce litige met en lumière les efforts accrus des gouvernements pour contrer les pratiques d’évasion fiscale des multinationales, dans un contexte où la responsabilité fiscale des grandes entreprises est toujours plus scrutée.
Par Rédacteur le 10 novembre 2023 à 13h59
Le chiffre d'affaires de Microsoft a atteint 198 milliards de dollars en 2022.
Microsoft se retrouve au cœur d'un différend fiscal majeur, l’administration américaine lui réclamant la somme conséquente de 28,9 milliards de dollars. Ces réclamations couvrent la période de 2004 à 2013, avec des intérêts et des pénalités. L'Internal Revenue Service (IRS), l'agence du gouvernement fédéral des États-Unis chargé de collecter l’impôt et les taxes et de faire respecter les lois fiscales, reproche en effet une répartition frauduleuse de ses bénéfices entre différents pays et juridictions.
Microsoft accusé d’évasion fiscale massive par l’IRS
Dit autrement : l’IRS accuse Microsoft d’avoir profité de son implantation dans le monde entier pour affecter le maximum de revenus à des territoires où les impôts sont plus modestes qu’aux États-Unis. La pratique peut se faire légalement (même si elle est éthiquement discutable), et s’appelle alors de l’optimisation fiscale. Mais, selon l’IRS, Microsoft aurait au passage violer les règles fiscales en vigueur – de l’évasion fiscale, passible de ce type de rappel à l’ordre. Selon le vice-président de l’IRS, Daniel Goff, l’agence fédérale n'a pas pris en compte jusqu'à « 10 milliards de dollars d'impôts déjà payés par Microsoft ».
Dans un document boursier publié mercredi, Microsoft a annoncé son intention de "contester vigoureusement" les conclusions de l'IRS. Daniel Goff a précisé que Microsoft allait d'abord faire appel auprès de l'IRS et, si nécessaire, pourrait porter l’affaire devant la justice. « La procédure d'appel de l'IRS prendra plusieurs années », a-t-il souligné.
Changements dans la pratique fiscale depuis l'audit
Microsoft insiste sur le fait qu'elle a toujours payé les impôts requis : « Nous pensons que nous avons toujours payé les impôts que nous devions aux États-Unis et dans le monde », peut-on lire dans le document boursier.
Microsoft rappelle aussi qu’elle avait longuement discuté avec l’IRS « pour répondre à des questions sur la manière dont nous avons réparti nos revenus et nos dépenses pour des années fiscales remontant jusqu'à 2004 ». La société affirme avoir modifié son approche depuis cette période d'audit, et avoir cessé toute pratique répréhensible.
« Les questions soulevées par l'IRS sont pertinentes pour le passé, mais pas pour nos pratiques actuelles », précise la firme de Redmont. Dans un exercice de communication classique en cas de contestation sur la politique fiscale d’une entreprise, Microsoft a insisté sur sa contribution fiscale, mentionnant avoir payé plus de « 67 milliards de dollars d'impôts aux États-Unis depuis 2004 ».
Incidence sur les provisions fiscales et perspectives futures
Microsoft, dans le même document, considère que ses provisions pour risques fiscaux sont « suffisantes » à ce stade, et ne prévoit pas d'augmentation significative de ses provisions fiscales pour ces questions au cours des douze prochains mois.
Ce litige prend place dans un contexte de remise en cause généralisé des pratiques fiscales des multinationales du numérique. Le 11 octobre 2023, l’OCDE a ainsi publié le texte de sa « convention multilatérale réglementant la taxation des géants du numérique », le « Pilier 1 » de la réforme de la fiscalité internationale adoptée fin 2021.
L’organisation entend ainsi harmoniser la taxation des géants du numérique, et surtout octroyer un droit à taxer aux pays où ils exercent une activité sans y être physiquement présente grâce à Internet, et éviter ainsi la fuite d’une partie des bénéfices vers les paradis fiscaux. Mais la mesure pourrait prendre des années à être adoptée, et nécessitera le soutien des États-Unis.
Un américain (naît en Amérique) qui s'établit à l'étranger (et change de nationalité) et qui n'a plus de domicile, ni de terrain aux USA, paiera ses impôts à l'étranger... + aux USA !!
Les révélations de Philip Lane chef économiste de la BCE
On va commencer par un peu de compliqué, mais évidemment, vous avez la traduction tout de suite après, puisque votre modeste serviteur ici présent parle le « banquecentrale » couramment !
Par Charles Sannat le 10 novembre 2023 à 10h30
L’actif total de la BCE a chuté de près de 2.000 milliards d’euros
Philip Lane, c’est l’économiste en chef de la Banque centrale européenne (BCE), et il a pris la parole lors d’un événement organisé à l’Université de Chypre à Nicosie, où il a souligné la nécessité d’une réduction contrôlée du bilan de la BCE. Il a insisté sur le fait que, bien qu’une diminution soit indispensable, il serait irréaliste de viser les niveaux initiaux de l’institution.
Dans le cadre des discussions sur un nouveau système opérationnel, la BCE s’est engagée à mettre en place d’ici le printemps 2024 un nouveau cadre pour la gestion des taux d’intérêt à court terme, avec la taille de son bilan comme élément déterminant.
Depuis son apogée, l’actif total de la BCE a chuté de près de 2 000 milliards d’euros, pour s’établir actuellement à 7 000 milliards d’euros. Cependant, ce montant reste bien au-delà de la fourchette de 1 000 à 2 000 milliards d’euros observée aux débuts de la BCE.
Lane a expliqué que le niveau optimal des réserves de la banque centrale pourrait être significativement plus élevé et plus sujet à fluctuation que les niveaux relativement bas d’avant la crise financière mondiale. Il a ajouté que le niveau adéquat de réserves devrait prévenir les risques liés à des réserves insuffisantes ou excessives.
Il a préconisé une approche équilibrée pour inciter les banques commerciales à octroyer des prêts, malgré les risques liés aux actifs illiquides, dans un contexte mondial plus susceptible de subir des chocs macrofinanciers.
Lane a suggéré que ces réserves devraient être soutenues par des obligations structurées et des opérations de refinancement à long terme, en complément des opérations de refinancement standard à court terme. Ces outils devraient fournir des liquidités à plus long terme au système bancaire et leur disponibilité devrait être flexible pour minimiser le besoin pour les banques de constituer des réserves de précaution.
Enfin, Lane a affirmé que la BCE devrait rester disposée à accepter des augmentations durables de son bilan si les taux d’intérêt venaient à chuter à nouveau.
Bon je le reconnais ce résumé de son intervention est un peu technique.
Alors traduisons ce langage abscons de banquier central. Historiquement le bilan de la BCE évolue entre 1 000 et 2 000 milliards d’euros ce qui est déjà pas mal.
Le problème c’est qu’à force de racheter des actifs moisis le bilan de la banque centrale augmente et enfle.
Allons plus loin dans l’explication.
Pour ceux qui ne seraient pas comptable, un « bilan » c’est toujours, toujours équilibré.
Cela veut dire que quand la BCE « imprime » ou « crée » 1 milliard d’euros à son passif elle va mettre en face dans la colonne actif le même montant en actif. Rien de plus simple dans la vraie vie. La BCE imprime ou crée 1 milliard d’euros et achète pour un milliard d’euros d’obligations grecques par exemple. Passif 1 milliard imprimé, actif 1 milliard de créances grecques. Tout va bien c’est équilibré.
Et c’est ainsi que plan d’aide après plan d’aide, que sauvetage de banque après sauvetage de banque le bilan de la BCE est une grenouille devenue aussi grosse qu’un bœuf !
Jusqu’en 2006 le bilan de la BCE c’est-à-dire la création monétaire était sous la barre des 1 000 milliards d’euros.
- voir graph sur site -
Comme vous pouvez le voir c’est à partir de la crise des subprimes que tout est parti à vau-l’eau.
Tout est tellement parti à la dérive qu’en 2022 nous avons atteint les 9 000 milliards de bilan pour la BCE.
Ce bilan a été multiplié par 9 entre 2006 et 2022.
Depuis la hausse des taux, la BCE tente, comme la FED de normaliser son bilan et donc de réduire sa taille ce qui revient à retirer de l’argent du système économique. Cela s’appelle la « stérilisation » et bien évidemment, cela provoque des tensions et du « stress » sur les marchés financiers comme nous avons pu le voir avant l’été dernier avec la crise bancaire aux Etats-Unis.
Quand Philip Lane vous dit que « le bilan de la Banque centrale européenne (BCE) doit être davantage réduit, mais ne peut pas revenir au niveau auquel il était au cours des premières années de l’institution », il vous explique en réalité que la normalisation monétaire est impossible.
Irréaliste.
Plus grave.
Quand il dit que « le niveau approprié des réserves de la banque centrale pourrait rester beaucoup plus élevé et soit plus volatil par rapport aux niveaux relativement bas qui prévalaient avant la crise financière mondiale », il vous dit que la BCE n’hésitera pas à recommencer à augmenter la taille de son bilan, ce qui veut dire qu’elle le fera.
Pour achever l’analyse, quand il rajoute que la « voie médiane » est nécessaire pour encourager les banques commerciales à accorder des crédits malgré les risques associés aux actifs illiquides dans un monde beaucoup plus enclin aux chocs macrofinanciers », il vous dit qu’il y a tellement d’actifs pourris, moisis, mais mieux vaut dire « illiquides » c’est plus poétique et moins effrayant, qu’il faut quand même gérer discrètement ce sujet pour que les banques puissent continuer à prêter. Il faut donc que la BCE reprenne ces actifs illiquides… dans son bilan et donne de l’argent frais aux banques.
Vous l’avez compris, la situation financière est très compliquée, la normalisation monétaire presque impossible et la réduction du bilan des banques centrales est une gageure.
Les révélations de Philip Lane sont passionnantes, car en creux, il vient de vous dire que rien ne redeviendra à la normale.
Si rien ne revient à la normale en termes monétaires, alors il ne faut pas avoir trop de monnaie.
A bon entendeur salut… et quand la monnaie ne va pas, l’or est toujours la planche de salut !
A force de prendre des incapables du fond de la classe pour être ministre ou secrétaire du ou de la, la gestion d'un pays devient ingérable ! Ils ne savent même pas gérer une épicerie et veulent gérer une grande surface !!
Peter Schiff : La Fed ne remplira aucun de ses mandats
SchiffGold.com 10 novembre 2023
La Réserve fédérale fonctionne sous un double mandat du Congrès : atteindre un taux d’emploi maximal et des prix stables. Dans un podcast récent, Peter Schiff a expliqué pourquoi la Fed n’y parviendra pas non plus.
Le FOMC a tenu sa réunion de novembre la semaine dernière. Comme prévu, la Fed a laissé ses taux d’intérêt inchangés. Peter a déclaré que l’on peut presque toujours compter sur la banque centrale pour faire ce qui est attendu.
- voir clip sur site -
La Fed ne veut jamais confondre les attentes. Ils ne veulent jamais surprendre les marchés. Donc, si les marchés ne s’attendent à aucune hausse des taux, eh bien, ils ne prévoient aucune hausse des taux, et c’est ce qui s’est produit.
Lors de son discours préparé, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a reconnu les « difficultés économiques » causées par l'inflation des prix. Mais Peter a dit qu’il ne semble pas avoir une vision globale de la situation.
Puisque l’inflation est causée par le gouvernement et par la Réserve fédérale, c’est le gouvernement et la Fed qui créent ces difficultés. Ce n’est pas comme si cela se produisait hors du champ gauche.
C’est une politique intentionnelle. Le gouvernement a décidé de financer ses emprunts et ses dépenses au moyen d’une taxe inflationniste.
Or, s’ils avaient utilisé une autre forme de taxation, si l’administration Biden, et d’ailleurs l’administration Trump, avaient augmenté les impôts suffisamment pour financer tous ces programmes gouvernementaux, cela aurait également créé des difficultés. Les familles seraient aux prises avec le fardeau d’une fiscalité écrasante. Donc, parce que le gouvernement a décidé de les imposer par le biais de l'inflation plutôt que par l'impôt sur le revenu ou les charges sociales, les difficultés qui sont créées sont dues au gouvernement. Ce n’est pas quelque chose qui arrive par hasard. »
Powell a également réitéré que l’objectif est la « stabilité des prix ». Personne ne prend jamais la peine de demander : « Pourquoi ? » Qu’y a-t-il de si bien dans la stabilité des prix ?
Qu’en est-il de la baisse des prix ? Parce que la stabilité des prix, telle qu’une personne normale la définirait, c’est que les prix restent les mêmes. Eh bien, je suis un consommateur. Je préfère que les prix baissent plutôt que les prix restent les mêmes. Et si les prix baissaient de 1 % ou de 2 % par an ? Pourquoi est-ce si grave ? Pourquoi la Fed doit-elle remplacer cela par la stabilité ?
Peter a dit que nous n’avons pas vraiment besoin de « stabilité des prix ».
C’est vraiment un objectif de BS.
Et nous n’avons même pas d’objectif de stabilité des prix. L'objectif est que les prix augmentent de 2 %.
Il n’y a rien de stable là-dedans, à part le taux d’augmentation.
Après la réunion de la Fed, Powell a admis que la banque centrale était loin d’atteindre cet objectif et qu’il s’agissait d’un long processus.
Il sous-estime. Attendre que l’inflation atteigne 2 %, ce sera comme attendre Godot. Cela n’arrivera jamais.
Au cours de la séance de questions-réponses, Powell a souligné que nous avons une économie « très forte ». À peine deux jours plus tard, nous avons reçu un rapport sur l'emploi très médiocre. (Peter en a parlé plus tôt dans le podcast.)
Comment l’économie peut-elle être si forte si le marché du travail est si faible ? … Je ne sais pas ce que Powell regarde. Je pense qu’il lit simplement un scénario que l’administration Biden lui a remis parce qu’il ne fait que réitérer leurs points de discussion pour parler de l’économie afin que Biden puisse en obtenir le mérite.
La question est de savoir comment Powell réagira lorsque le marché du travail continuera de se détériorer ? Cela impliquerait que la Fed cesse de relever ses taux. Mais comme Peter l’a souligné, l’une des raisons pour lesquelles le marché du travail s’affaiblit est que l’inflation des prix s’accentue. Comment peut-il se concentrer sur un marché du travail en déclin et ignorer la hausse de l’inflation ?
Parallèlement, Powell a continué d’insister sur la nécessité d’assister à un ralentissement de la croissance économique et à un certain « ralentissement » du marché du travail afin de « restaurer pleinement la stabilité des prix ». En d’autres termes, il souhaite voir davantage de personnes perdre leur emploi. C’est parce qu’il pense que les gens dépensent parce qu’ils se portent bien, que ces dépenses créent davantage d’emplois et font également augmenter les salaires. Peter a déclaré que les gens dépensent plus parce que les prix augmentent.
Ils dépensent parce que la masse monétaire a augmenté. Ils ont plus d’argent à dépenser, et ils dépensent parce qu’ils ont toujours accès au crédit. Ils prennent cet argent emprunté et le dépensent. Ce n’est pas ainsi qu’on fait croître une économie. C’est ainsi qu’on détruit une économie. Ce n’est pas une dynamique vertueuse qu’il décrit. C’est une politique vicieuse qui va se terminer par une ruine. Parce qu’on ne fait pas croître une économie en dépensant de l’argent.
Vous développez une économie en ne dépensant pas d’argent et en épargnant. Cela fournit des semences de maïs pour les investissements en capital. Cela augmente la productivité et crée plus de production.
Vous produisez votre chemin vers la prospérité. Vous économisez votre chemin, puis investissez et produisez pour accéder à la prospérité. Nous ne faisons pas ça. Nous essayons de mettre la charrue avant les bœufs.
Peter a réitéré que nous n’avons pas une économie forte. Nous avons une économie inflationniste.
C’est l’inflation qui dirige tout. Powell ne s’en rend tout simplement pas compte. Il regarde l’économie « forte » et il pense que tout va bien. Il regarde l’inflation. Il vient de le faire
Brève. Le Président de la FED va encore augmenter les taux !
le 9 novembre 2023
Si les Américains entrent en guerre au Moyen-Orient ils renieront leur dette détenue par d’autres pays comme le Japon, l’Allemagne, la France, la Chine et … la Russie dont les T-bonds sont gelés dans les banques occidentales. Et comme les Américains risquent de se trouver confrontés à une coalition musulmane considérable disposant d’armes qui échappent à tout contrôle, un tel conflit signera la ruine des USA sur la scène internationale. La partie est perdue pour eux en Ukraine quitte à envoyer à l’abattoir jusqu’au dernier Ukrainien, et les velléités guerrières américaines au Moyen-Orient sont le dernier soubresaut de ce pays.
Il m’arrive parfois de rêver d’une destruction totale d’Israël par une puissante alliance musulmane pour liquider les séquelles du désordre organisé dans la région par les Anglais depuis la première guerre mondiale. Les Américains ont toujours copié la fourberie des Anglais depuis la création de l’Etat américain. Et ils ont persévéré dans les mensonges, les faux drapeaux et les coups tordus de toute sorte à la manière britannique. La finalité hégémonique américaine a toujours été l’énergie et la suprématie du dollar lié au pétrole. Les Chinois financent leurs investissements en particulier en Afrique avec des T-bonds, c’est une manière élégante de se débarrasser de cette monnaie de singe. Les entreprises japonaises font de même ainsi que la Corée. Les Russes semblent avoir « oublié » la scandaleuse spoliation dont ils ont été victimes avec le gel de leurs avoirs (T-bonds) déposés dans les banques occidentales. Il faut mentionner le gel de l’or russe en Suisse. Haro sur les Suisses qui ont renié leur neutralité pour se faire bien voir par les Américains. Les Finlandais comme les Suédois ont également renoncé à leur neutralité : ils paieront la facture plus tard quand la défaite de l’OTAN en Ukraine sera actée et quand la défaite américaine au Moyen-Orient sera également évidente. Les deux porte-avions américains qui croisent en Méditerranée seront coupés en deux par un missile supersonique sans aucune riposte possible. Et les flottes n et n+1 américaines sans avions n’auront plus aucune valeur …
La menace de Powell d’augmenter le taux directeur de la FED ne va pénaliser que la population américaine qui souffre déjà d’une inflation fleurant les deux chiffres mais ce n’est pas tout : les Américains vivent tous à crédit. Le taux du découvert des cartes de crédit (les Américains en ont tous une demi douzaine) va dépasser les 12 % et même à court terme c’est insupportable. Powell joue donc un jeu dangereux : non seulement les mesures prises par la FED n’arrivent pas à maîtriser l’inflation mais elle aggravent la situation quotidienne de l’Américain moyen. Les conséquences sur la politique intérieure américaine sont imprévisibles comme par exemple des émeutes de la faim … Les Américains en sont là, et il est impossible de juguler des émeutes de la faim, la pire situation qui puisse arriver à un pays. J’ose mentionner l’abus de fentanyl réservé aux désespérés qui considèrent qu’ils n’ont plus d’avenir dans leur pays : pas de travail, pas de protection sociale, plus de logement, plus de crédit bancaire, plus de téléphone … il est facile de se mettre à leur place, une sorte de suicide organisé par l’Etat fédéral qui trouve supportable de voir disparaître d’elle-même cet aéropage de sans-dents.
Donc Powell contribue à la décadence des Etats-Unis ! Et une bonne guerre au Moyen-Orient serait une excellente opportunité pour effacer de l’ardoise de 30000 milliards de dollars. Personnellement j’ai atteint le crépuscule de ma vie et je ne dispose d’aucun capital pour acheter de l’or, d’ailleurs à quoi bon mourir riche, et je ne peux que conseiller à mes lecteurs sérieux d’acheter de l’or car de 2000 dollars l’once (cours largement manipulé par la FED, JP Morgan ainsi que la City) ce cours va atteindre en un bref laps de temps plus de 5000 dollars l’once. Jerome Powell devrait vite opter pour une retraite dorée et vite se faire oublier !
Lidl : après le succès des magasins, le succès de la vente en ligne
L’e-commerce en France connaît un nouveau tournant avec l’ascension fulgurante de Lidl.fr et Temu. Ces plateformes, connues pour leurs prix attractifs, se frayent un chemin vers le sommet du marché en ligne, bousculant les géants établis.
Pdp Ecomat Par Grégoire Hernandez
Lidl 7ème au troisième trimestre 2023
Lidl a réalisé une percée spectaculaire dans l'univers du e-commerce. La célèbre enseigne a lancé juste avant l'été 2023 son portail Lidl.fr. Il se classe déjà septième au troisième trimestre 2023, selon Médiametrie//NetRatings et la Fevad. Avec 15,82 millions de visiteurs uniques mensuels en moyenne, Lidl dépasse même des noms comme Carrefour et se rapproche dangereusement de Cdiscount et Leclerc. Ce succès s'explique par une stratégie digitale efficace et une approche centrée sur l'utilisateur mobile, avec 88,4 % des visites depuis des smartphones.
Temu, l'acteur chinois, ne passe pas inaperçu. Avec plus de 1,6 million de cyber-visiteurs quotidiens en France, cette plateforme devient un incontournable du paysage e-commerce français. Temu se distingue par ses tarifs avantageux et une offre diversifiée, attirant une clientèle à la recherche de bonnes affaires. Son entrée fracassante dans le top 20 des sites les plus visités montre une appétence croissante des consommateurs français pour des alternatives économiques en ligne.
Les entreprises historiques sont bousculées
L'arrivée de Lidl.fr et Temu dans le top 20 bouleverse l'équilibre du marché du e-commerce en France. Ces nouveaux venus, avec leur proposition de valeur axée sur les prix bas, défient des acteurs établis comme la Fnac, Leroy Merlin, ou Decathlon. Cette concurrence stimule l'innovation et pousse les entreprises historiques à réviser leurs stratégies pour rester compétitives. L'impact se ressent également sur les habitudes de consommation, avec une tendance croissante vers le shopping en ligne pour des produits de qualité à des prix compétitifs.
Cette évolution du marché e-commerce reflète une transformation des attentes et comportements des consommateurs français. Ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers des plateformes offrant des produits à des prix abordables, sans compromettre la qualité. Lidl.fr et Temu répondent à cette demande avec leur large gamme de produits et leurs tarifs attractifs.
Après les milliers de fermetures de magasins, les commerçants se sont dirigés vers les marchés hebdomadaires de différentes villes. Car en plus des impôts locaux, il y a l'électricité et le chauffage du magasin + assurances et diverses 'normes de sécurité obligatoires' (d'où, la clé sous la porte). De plus, aujourd'hui, il y a le développement de la vente en ligne... (du producteur au consommateur).
Donc: il faut s'attendre à des taxes (faramineuses) sur les transferts d'argent en ligne pour qui opte pour de achats !
Devinez ce qui se cachait dans ce projet de loi de 1 000 pages
Par Tom Woods 10 novembre 2023
Extrait de la lettre de Tom Woods :
Vous avez peut-être entendu dire que depuis hier, il a été décidé qu'à partir de 2026, toutes les voitures vendues aux États-Unis seront équipées d'un « coupe-circuit », grâce auquel la voiture pourra être désactivée à distance s'il est déterminé que vous conduisez mal.
Le représentant Thomas Massie a cherché à annuler cette disposition de la loi sur les investissements dans les infrastructures et l'emploi, un projet de loi de plus de 1 000 pages. Son amendement a été rejeté.
Mais je veux que vous voyiez la différence entre sa façon d’argumenter et celle des démocrates. Vous le verrez immédiatement.
Premier Massie :
Mon amendement est simple. Il annulera le mandat fédéral qui exige que tous les nouveaux véhicules après 2026 soient équipés d’un coupe-circuit capable de désactiver un véhicule si le véhicule a surveillé les performances de l’utilisateur et du conducteur et que le véhicule détermine que le conducteur ne fonctionne pas bien.
C’est tellement incroyable que je doive proposer cet amendement. Cela ressemble presque au domaine de la science-fiction, de la science-fiction dystopique, que le gouvernement fédéral mette un coupe-circuit dans des véhicules qui seraient le juge, le jury et le bourreau d'un droit aussi fondamental que le droit de voyager librement. Mais nous y sommes. C'est la loi fédérale qui impose cela. Je propose donc cet amendement pour annuler ce mandat.
Ensuite, la représentante Debbie Wasserman-Schultz (Démocrate-FL) donne sa réponse :
Je m'oppose à cet amendement. Laisse moi être clair. C'est la loi que le monsieur tente de supprimer, qui n'oblige pas les constructeurs automobiles à installer des coupe-circuit. Ce n'est pas le cas. La technologie passive de conduite en état d’ébriété est un outil essentiel pour protéger nos proches et les autres personnes innocentes sur nos routes. Cette nouvelle technologie offre une bouée d’espoir non seulement pour sauver des vies, mais aussi pour éviter le bilan émotionnel à vie et les coûts gargantuesques que ces accidents infligent aux familles. Les accidents mortels liés à la conduite en état d’ébriété peuvent se répercuter sur plusieurs générations, mais nous pouvons saisir cette opportunité pour mettre fin à de telles tragédies.
Entre 2019 et 2021, la Floride a connu une augmentation de 31 % des accidents de conduite en état d’ébriété dans l’État d’origine de M. Massie, le Kentucky, 190 personnes ont été tuées dans des accidents de conduite en état d’ébriété rien qu’en 2021. Cela représente une augmentation de 26 %. Lorsque nous avons vu ces sombres statistiques, nous avons agi de manière bipartite au Congrès. Et combien de fois voyons-nous que les Républicains et les Démocrates ont soutenu la loi Halt pour obliger les constructeurs automobiles à intégrer cette technologie passive comme norme dans les nouveaux véhicules ?
Le parrain de cet amendement malavisé vous dira qu'il s'inquiète des problèmes de confidentialité. Nous avons entendu les mêmes appels stupides concernant l’exigence du port de la ceinture de sécurité. Mais vous n’avez pas le droit d’adopter un comportement potentiellement mortel qui, nous le savons, constitue une menace majeure pour la santé et la sécurité publique. La technologie passive de conduite en état d’ébriété est favorable à la police. Cette technologie anti-alcool au volant allège la charge des policiers, leur permettant de se concentrer sur des problèmes de sécurité plus urgents. L’importance de cette technologie va bien au-delà des statistiques. Il s’agit de sauver des vies, de prévenir les chagrins et de rendre nos routes plus sûres. Il s’agit d’un appel passionné à l’action pour empêcher la conduite avec facultés affaiblies par l’alcool de détruire la vie de ceux qui nous sont chers.
Si je comprends bien, cet amendement a été surnommé l'amendement coupe-circuit et il ne nécessite pas de coupe-circuit. Cela permet simplement, cela nécessite simplement une technologie passive pour nous aider à prévenir la conduite en état d'ébriété. Au nom des 406 personnes qui ont été tuées par un conducteur ivre dans mon propre État, la Floride, l'année dernière seulement, j'exhorte mes collègues à voter non sur cet amendement. Prenons des mesures pour réduire les décès dus à la conduite en état d’ébriété, et non pour les augmenter.
Voici à nouveau Massie :
L'alcool au volant est un problème grave. C'est pourquoi 31 États ont déjà une loi pour mettre en œuvre la technologie d'allumage par verrouillage, selon laquelle si vous avez été reconnu coupable de conduite en état d'ébriété, vous devez réussir ce test pour pouvoir conduire votre véhicule. Mais cette loi fédérale que je cherche à annuler va bien au-delà. Et je regrette de devoir passer une partie de mon temps à lire la loi de l’autre côté de l’allée. Mais je vais le faire.
Cette loi, adoptée dans un projet de loi de mille pages il y a deux ans, exige que les automobiles puissent surveiller passivement les performances d'un conducteur, non pas le taux d'alcool dans le sang, mais les performances d'un conducteur d'un véhicule automobile afin d'identifier avec précision si ce conducteur peut être avec facultés affaiblies, et non ivre, il est dit avec facultés affaiblies, et empêcher ou limiter la conduite d'un véhicule à moteur. C'est un kill switch.
Maintenant, la question est : de combien de temps disposez-vous une fois que votre tableau de bord vous indique qu’il n’approuve pas votre conduite ? Que se passe-t-il si vous êtes une mère célibataire, que vous partez en voyage par mauvais temps et que vous essayez d'éviter certains obstacles ? De la glace peut-être. Et vous avez fait trois écarts et votre tableau de bord dit : faites encore un écart et vous allez être mis sur le bord de la route, que vous aurez 100 mètres pour garer ce véhicule au milieu de nulle part avec votre enfants sur la banquette arrière.
Ce n’est pas un scénario fantastique. C’est ce qui arrivera si cela est mis en œuvre.
Et c'est la loi. Je vous l'ai lu ici. Vous auriez peut-être dû le lire il y a deux ans, lorsque vous avez tous voté pour, de ce côté-là de l'allée. Mais c'était dans un projet de loi de 1 039 pages. Je peux donc comprendre que vous ne sachiez pas ce que contient la loi. Mais je vous l'ai lu.
La représentante Janice Schakowsky (Démocrate-IL) prend ensuite la parole, n'ayant visiblement rien entendu de ce que la représentante Massie vient de dire :
Plus de 10 000 personnes meurent chaque année des suites d’accidents dus à la conduite en état d’ébriété. Les conducteurs ivres sont sept fois plus susceptibles d'être impliqués dans un accident mortel qu'une personne sobre. On pourrait donc penser que les Républicains voudraient faire quelque chose à ce sujet. Les démocrates ont fait quelque chose et ont déclaré que la NHTSA disposerait désormais d'une technologie de prévention pour la protection des conducteurs ivres.
Vous savez, cette technologie a le potentiel de sauver des milliers de vies. Et je ne pense pas que vous soyez d’accord sur le fait que nous devrions sauver ces vies. Et je dirais que nous devrions tous voter contre la loi sur la protection des conducteurs ivres [son nom sarcastique pour l'amendement Massie], et je cède.
Et enfin Massie, qui, comme vous le remarquerez, est le seul à ne pas avoir l’air de lire un rapport de lecture de quatrième année :
Eh bien, nous ne savons pas vraiment comment cette technologie va fonctionner. Et ils ne le savent pas non plus au DoD, car nous leur avons envoyé une lettre à laquelle ils n’ont pas encore répondu, leur demandant : est-ce qu’il y aura des caméras à l’intérieur de la voiture ? Est-ce qu'il surveillera vos yeux pour voir si vous êtes concentré sur la route ? Aura-t-il des caméras à l’extérieur de la voiture ? Comment saura-t-il quelle est votre performance par rapport à la route sur laquelle vous conduisez s’il ne sait pas en fait sur quelle route vous conduisez ?
Les effets des micro-ondes pulsées et des ondes électromagnétiques à très basse fréquence sur le cerveau humain ? Les gouvernements « classifient » régulièrement les informations relatives à la manipulation du système nerveux humain
Par Mojmir Babacek Recherche mondiale, 10 novembre 2023
En 1962, le scientifique américain Allan H. Frey a mené des expériences avec des micro-ondes pulsées, qui produisaient des cliquetis, des bourdonnements, des sifflements ou des cognements dans la tête de personnes situées à plusieurs milliers de mètres de distance. Dans son rapport, il écrit également qu'avec le changement de paramètres, il peut produire des sensations de fourmillements ou une perception de secousses sévères dans la tête et affirme que cette énergie « pourrait éventuellement être utilisée comme un outil pour explorer le codage du système nerveux… et pour stimuler le système nerveux sans les dommages causés par les électrodes » (voir ceci ).
En d’autres termes, Allan Frey était sur le point de trouver le moyen de manipuler le système nerveux humain à distance. Cela a été rapidement compris par le gouvernement américain. Au cours des deux décennies suivantes, Frey, financé par l'Office of Naval Research et l'armée américaine, fut le chercheur le plus actif du pays sur les effets biologiques des rayonnements micro-ondes. Frey a rendu les rats dociles en les exposant à des rayonnements d'une puissance moyenne de seulement 50 microwatts par centimètre carré. Il a modifié les comportements spécifiques des rats à 8 microwatts par centimètre carré. Il a modifié la fréquence cardiaque des grenouilles vivantes à 3 microwatts par centimètre carré. À seulement 0,6 microwatt par centimètre carré, il a provoqué l'arrêt des battements du cœur de grenouilles isolées en chronométrant les impulsions micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque (voir ceci et ceci ).
En 1975, Allan Frey a publié ses recherches sur la barrière hémato-encéphalique dans les Annales de l'Académie des Sciences de New York, où la barrière hémato-encéphalique (protégeant le cerveau du poison qui y pénètre avec le sang) de rats, éclairée par radiofréquence pulsée, permettait de colorer pénétrer dans leur cerveau. Ses découvertes ont été confirmées par 13 laboratoires différents dans 6 pays et avec l'utilisation de différents animaux.
En 2012, Allan H. Frey a écrit un article dans lequel il décrivait comment l'American Brooks Air Force avait falsifié son expérience en sélectionnant un entrepreneur qui injectait le colorant dans les intestins plutôt que dans le sang, et s'assurait ainsi que le colorant n'apparaissent pas dans le cerveau. Cela était censé aider l'US Air Force à obtenir l'approbation des gens pour construire des radars à proximité. Selon Frey, la même base aérienne de Brooks a ensuite tenté de « discréditer les recherches non classifiées dans le domaine des micro-ondes » afin de couvrir « un programme classifié d’armes biologiques à micro-ondes ».
Allan Frey a conclu : « Le financement de la recherche ouverte sur la biomicro-onde aux États-Unis a été pour l’essentiel interrompu. » D'ailleurs le grand public (dans le monde entier) ne sait jusqu'à présent rien de la possibilité de contrôler son activité cérébrale à distance grâce aux effets des micro-ondes pulsées sur son système nerveux.
En mars 2021, le scientifique américain James C. Lin a écrit un article sur le syndrome de La Havane, dans lequel il écrivait que ce trouble causé aux diplomates et agents gouvernementaux américains à Cuba et ailleurs était très probablement produit par des micro-ondes pulsées (voir ceci ) .
Le 5 décembre 2020, l’Académie américaine des sciences a publié une étude sur le syndrome de La Havane, dans laquelle elle affirme :
"Dans l'ensemble, l'énergie RF pulsée dirigée (radiofréquence), en particulier chez ceux présentant des manifestations précoces distinctes, semble être le mécanisme le plus plausible pour expliquer ces cas parmi ceux examinés par le comité."
Quand la population mondiale atteindra-t-elle son apogée ?
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 05:20
Quand le monde atteindra-t-il son pic de population ?
Selon les données de la révision 2022 des perspectives démographiques mondiales des Nations Unies, nous pourrions assister à un pic de plus de 10,4 milliards de personnes à la fin des années 2080.
Même si les projections de l’ONU sont les plus largement utilisées, cela ne signifie pas nécessairement qu’elles sont les plus précises. Plusieurs modèles alternatifs prédisent un pic plus précoce et plus faible, ce qui suggère que la population mondiale pourrait décliner plus tôt que prévu.
Dans les dernières révisions de l’ONU, l’ONU a abaissé ses propres estimations de la population mondiale en 2100, de 10,9 milliards (en 2019) à 10,4 milliards (en 2022).
Dans ce graphique, Marcu Lu et Miranda Smith de Visual Capitalist ont visualisé les projections démographiques jusqu'en 2100 de trois organisations : l'ONU, l'Institut de mesure et d'évaluation de la santé (IHME) et l'Institut international d'analyse des systèmes appliqués (IIASA).
- voir graph sur site -
Données et faits saillants
Les données de projection démographique que nous avons utilisées pour créer ce graphique sont répertoriées dans le tableau ci-dessous. Notez que les projections de l’ONU datent de 2022, de l’IHME de 2020 et de l’IIASA de 2014.
- voir liste sur site -
À partir de ces données, nous pouvons voir que l’ONU s’attend à ce que la population mondiale atteigne son pic de population en 2086, et qu’elle se maintienne au-dessus de 10 milliards de personnes en 2100.
D’un autre côté, ni les modèles IHME ni IIASA ne prévoient que la population mondiale atteindra 10 milliards, prévoyant plutôt un pic de 9,7 milliards dans les années 2060 (IHME) ou de 9,4 milliards en 2070 (IIASA). Les deux modèles prévoient également que la population retombera autour de 8 milliards d’ici 2100.
L’écart à 2100 est substantiel, les prévisions de l’IHME étant par exemple inférieures à celles de l’ONU de 1,6 milliard de personnes.
Qu'est-ce que l'IHME et l'IIASA et pourquoi diffèrent-ils ?
L'Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) est un institut de recherche basé à Seattle, fondé en 2007 par la Fondation Bill & Melinda Gates. Sa mission est de « fournir au monde des données probantes opportunes, pertinentes et scientifiquement valables pour améliorer les politiques et les pratiques de santé ».
L'Institut international d'analyse des systèmes appliqués (IIASA), quant à lui, est un institut de recherche international basé en Autriche et fondé en 1972. Il a été créé pour améliorer la coopération scientifique entre l'Union soviétique et les États-Unis et compte aujourd'hui des membres dans plus de 20 pays.
Pour comprendre pourquoi les modèles IHME et IIASA diffèrent de ceux de l’ONU, examinons les projections de chaque organisation en matière de taux de fécondité, qui est mesuré comme le nombre d’enfants par femme.
- voir graph sur site -
Sur la base de ce graphique, l'IHME et l'IIASA s'attendent à ce que les taux de fécondité mondiaux chutent plus rapidement avant 2050, puis se stabilisent à l'approche de 2100. Cela contraste avec les projections de l'ONU, qui s'attendent à une baisse de la fécondité à un rythme plus lent et plus régulier tout au long de la période. chemin vers 2100.
D’une manière générale, le taux de natalité d’un pays diminue à mesure qu’il devient plus développé. Cela est dû à de nombreux facteurs tels que des taux d'éducation plus élevés pour les femmes (et donc un plus grand nombre de femmes sur le marché du travail), un meilleur accès aux contraceptifs et à la planification familiale, ainsi que des coûts de procréation plus élevés.
À quelle vitesse les taux de fécondité baisseront-ils en Afrique ?
L'Afrique subsaharienne a l'un des taux de fécondité les plus élevés au monde, mais celui-ci diminue rapidement à mesure que la région connaît une croissance économique rapide. Par exemple, le PIB par habitant en Afrique subsaharienne est passé de 632 dollars en 2000 à 1 690 dollars en 2000. 2022.
En raison de cette transformation économique, certains chercheurs estiment que l’Afrique connaîtra une transition démographique rapide, semblable à celle de l’Asie de l’Est, où la croissance démographique chutera fortement. Par exemple, une enquête de l’UNICEF de 2021 a révélé que les taux de fécondité au Nigeria étaient tombés de 5,8 à 4,6 (une diminution de 17 %) en seulement cinq ans.
ℹ️ Considérez cet article de juillet 2023 du Wilson Center pour plus de contexte sur l’évolution démographique du Nigeria.
Revenons maintenant à la question posée, voyons en quoi les projections du taux de fécondité de l’ONU et de l’IHME diffèrent pour l’Afrique subsaharienne.
- voir doc sur site -
Ces différences peuvent sembler minimes, mais même quelques décimales peuvent avoir un impact énorme. Par exemple, revenons à la projection démographique de l’ONU pour l’année 2100, qui était de 10,4 milliards de personnes.
Selon le scénario de faible fécondité de l’ONU (les taux de natalité restent inférieurs de 0,5), la population en 2100 serait nettement inférieure à 7,0 milliards. Pendant ce temps, dans le scénario d’une fécondité élevée (les taux de natalité restent 0,5 fois plus élevés), la population atteindrait 14,7 milliards.
En conséquence, l’évolution des taux de natalité dans les régions à forte fécondité comme l’Afrique subsaharienne aura une influence significative sur le moment où la population mondiale atteindra son apogée.
Putschs en Afrique : L'Afrique victime d'une exploitation sans pitié au nom de la démocratie
RépondreSupprimer09.11.2023
www.kla.tv/27399
Les coups d'État militaires au Niger le 26 juillet et au Gabon le 30 août de cette année sont les plus récents d'une série qui a traversé l'Afrique de l'Ouest et le Sahel ces dernières années. Les politiciens et les médias occidentaux ont condamné ces renversements violents de gouvernement et exigent le retour des présidents constitutionnellement élus. La CEDEAO, alliance d'Etats africains connue pour être un allié occidental, a immédiatement exclu ces deux pays membres après leurs coups d'Etat et a même menacé de guerre le nouveau gouvernement du Niger. On a ainsi l'impression que le président renversé a gouverné son peuple de manière adéquate et que la population doit être sauvée des putschistes. Or, ces populations ont réagi aux putschs de manière totalement différente. Au Niger, au Gabon et également au Burkina Faso, ils acclament les putschistes militaires et célèbrent la destitution des anciens dirigeants. Comment expliquer cet enthousiasme ?
Il est frappant de constater que les six derniers pays africains dont le président a été chassé par la force sont d'anciennes colonies françaises. Bien qu'autonomes depuis plus de 60 ans, ils restent aujourd'hui encore sous le diktat militaire, financier et économique de la France.
1. Militaire :
La France a toujours des soldats stationnés dans ses anciennes colonies. Avec les Etats-Unis, ils exercent une influence sur l'armée nationale par le biais de programmes de formation pour les officiers africains.
2. Financier :
En tant qu'anciennes colonies françaises, le Niger et le Gabon font partie des 14 pays d'Afrique de l'Ouest qui ont été obligés par la France de céder 85 % de leurs réserves de devises et 100 % de leurs réserves d'or. Ils doivent jusqu'à aujourd'hui conserver comme monnaie le franc CFA [= franc ouest-africain] de l'époque coloniale. Son taux de change est dicté par la banque centrale française, à l'avantage de la France : en 1994 par exemple, celle-ci a dévalué du jour au lendemain le franc CFA, ce qui a fait que les exportations des colonies ont perdu la moitié de leur valeur et que les prix des importations ont augmenté de 50 %. Il n'est donc pas étonnant que neuf des 14 pays de la zone CFA soient parmi les plus pauvres du monde, malgré leur richesse en matières premières.
3. L'économie :
L'exploitation économique systématique et ses conséquences sont évoquées par le député européen Martin Sonneborn de la manière suivante :
« Il n'y a pas une seule mine d'or en activité en France. Pourtant, cet (ancien) État colonialiste criminel, avec 2 436 tonnes d'or, possède les quatrièmes plus grandes réserves d'or du monde.
Le Mali, (ancienne) colonie française, possède exactement 0,0 tonne d'or, bien qu'il possède plusieurs dizaines de mines (dont 14 officielles) dans le pays, d'où sont extraites pas moins de 70 tonnes par an. Sur les revenus de près de 60 tonnes d'or extraites par 600 000 enfants (selon les estimations) dans l'(ancienne) colonie française du Burkina Faso, seuls 10 % reviennent au pays, mais 90 % aux multinati-onales de l'orpaillage. [...]
Le Niger, (ancienne) colonie française, possède les minerais d'uranium de la plus haute qualité d'Afrique et est le septième producteur d'uranium au monde, mais selon la Banque mondiale, 81,4 % de ses citoyens ne sont même pas raccordés au réseau électrique. 40 % vivent en dessous du seuil de pauvreté, un tiers des enfants ont un poids insuffisant et le taux d'analphabétisme est de 63 %. Seule la moitié des habitants a accès à l'eau potable, et 16 % seulement sont raccordés à un système d'assainissement adéquat. [...] Comment l'Afrique, qui dispose de tant de richesses, peut-elle être devenue le continent le plus pauvre du monde ? »
Selon Sonneborn, le politologue Michael Parenti a une réponse très simple à cette question :
RépondreSupprimer« Les pays pauvres ne sont pas 'sous-développés', mais 'surexploités'. »
De ce point de vue, les récents coups d'État apparaissent comme une tentative attendue de l'Afrique de se libérer du système d'exploitation et d'oppression. Le nouveau chef d'État du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, parle des huit années qui ont précédé le coup d'État de 2022 comme la forme la plus barbare et la plus violente de néo-colonialisme impérial. Lors du sommet africain de juillet à Saint-Pétersbourg, Traoré a lancé un appel à tous les représentants des Etats africains pour qu'ils libèrent le continent de ce système. Il a déclaré :
« Le problème, ce sont les chefs d'Etat africains qui ne contribuent en rien à la lutte des peuples et qui jouent la même partition que les impérialistes. Ils nous qualifient de « milices », d'hommes qui ne respectent pas les droits de l'homme. De quels droits de l'homme parlent-ils ? [...] Nous, chefs d'Etat africains, devons cesser de nous comporter comme des marionnettes qui sautent à chaque fois que les impérialistes tirent les ficelles. »
Mais pourquoi les États africains ne se sont-ils pas libérés de ce système depuis longtemps ? Leurs présidents ne sont-ils vraiment que des marionnettes des intérêts occidentaux ? En regardant le passé plus récent, Arikana Chihombori-Quao, ancienne représentante de l'Union africaine aux États-Unis, explique que les dirigeants qui ont essayé d'obtenir le meilleur pour leur peuple ont été assassinés. Avant même qu'un président n'arrive au pouvoir, il existe pour lui des tabous : l'armée, les finances, les ressources naturelles. Il ne doit pas y toucher, car s'il le fait, il risque de ne pas survivre à la journée. Tant qu'il évite ces domaines, il peut gouverner comme il l'entend.
Chers téléspectateurs, n'est-ce pas une moquerie lorsque les politiciens et les médias occidentaux parlent de préserver l'ordre constitutionnel, alors qu'en réalité, cela ne désigne que les présidents qui assistent impuissants au bradage de leur pays ?
Dans ce contexte, la demande de réintégration du président nigérien n'apparaît-elle pas sous un tout autre jour ?
De quel droit la CEDEAO, qui a menacé de faire la guerre au Niger juste après le putsch, exige-t-elle le maintien d'un ordre constitutionnel qui ne garantit pas une vie digne à ses habitants ?
Il est évident qu'il ne s'agit pas ici de protéger la démocratie, ce que les pays occidentaux utilisent constamment pour justifier leurs actions sans scrupules, mais d'une politique économique et de pouvoir implacable pour laquelle la CEDEAO s'est corrompue, tout comme les politiciens et les médias occidentaux.
C'est pourquoi nous devons tous cesser d'accepter ce système flagrant de „deux poids deux mesures“. Il est grand temps qu'un tribunal populaire international indépendant se mette en place afin de rendre justice et de demander des comptes aux coupables.
de jmr
RépondreSupprimerSources / Liens :
Carte coloniale de l'Afrique, bases militaires de la France
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9colonisation_de_l%27Afrique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_arm%C3%A9es_fran%C3%A7aises
Le système colonial français
https://parstoday.ir/fr/news/africa-i123592-la_junte_accuse_la_france_de_pr%C3%A9parer_une_invasion_du_niger
Discours de Traoré :
https://www.youtube.com/watch?v=_ztLT-_gzww
https://www.kla.tv/fr
LA VÉRITÉ MAL : Les responsables du CDC s’inquiètent de la publicité des études sur le vaccin contre le COVID-19 qui porte atteinte à la confiance du public dans les vaccins.
RépondreSupprimer11/09/2023
Cassie B.
Le CDC estime que les revues et les scientifiques qui mènent et publient des recherches avec des résultats négatifs sur les vaccins contre le COVID-19 sont problématiques et doivent être abordés, montrent les courriels.
Lors d’un incident, un analyste de santé publique de la Division des services de vaccination du CDC, Colin Bernatzky, a souligné une étude scientifique menée par des scientifiques des États-Unis et de l’étranger qui a abouti à un résultat défavorable concernant la vaccination répétée contre le COVID-19.
L’étude, qui a été examinée par des pairs et publiée dans la revue Vaccines, a conclu que la réception de plusieurs doses de vaccins à ARNm contre la COVID-19 entraînait des niveaux plus élevés d’anticorps IgG4 et une plus grande vulnérabilité du système immunitaire.
L'un des co-auteurs de l'étude, Alberto Rubio Casillas, a déclaré à Epoch Times : « Les études épidémiologiques sur le COVID-19 citées dans nos travaux ainsi que l'échec des vaccins contre le VIH, le paludisme et la coqueluche constituent des preuves irréfutables démontrant qu'une augmentation des taux d'IgG4 altère les réponses immunitaires. ".
Non seulement Bernatzky avait un problème avec la conclusion de l’étude, mais il a également critiqué Epoch Times pour l’avoir couvert, même s’il a admis ne pas être certain si c’était vrai ou non.
Dans l'e-mail, il écrit : « À tout le moins, il semble qu'il y ait une certaine imprudence éditoriale, d'autant plus que le résultat net est que cette recherche est considérée comme légitime et circule largement. (Et si la recherche est en fait légitime, cela devrait être sur le radar du CDC).
Il a déclaré qu’une grande partie de l’attention reçue par l’étude provenait probablement de la couverture médiatique qu’en faisait Epoch Times.
Les sources de cet article incluent :
RépondreSupprimerTheEpochTimes.com
NYPost.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-09-cdc-officials-worried-vaccine-studies-negative.html
Dr Zelenko : Le ZINC est la BALLE qui tue le virus responsable du COVID-19
RépondreSupprimer11/09/2023
Ramón Tomey
Le zinc est la balle qui tue le SRAS-CoV-2, l'agent pathogène responsable du coronavirus de Wuhan (COVID-19), selon le regretté Dr Vladimir « Zev » Zelenko.
Zelenko, décédé à l’âge de 48 ans en juin 2022, est devenu célèbre pour son soi-disant protocole Zelenko pour le COVID-19. Il a initialement utilisé l’hydroxychloroquine (HCQ) pour les patients positifs au COVID alors qu’il exerçait dans l’État de New York. Cependant, Andrew Cuomo, alors gouverneur de New York, a ordonné l'interdiction de la vente de HCQ dans les pharmacies.
Cela n’a pas dissuadé le médecin de famille, qui a découvert plus tard les effets positifs du zinc contre le COVID-19. Les efforts de Zelenko ont finalement porté leurs fruits sous la forme du comprimé Z-Stack, qui combine du zinc, de la quercétine et des vitamines.
"Le zinc est la balle – il tue le virus ; le seul problème est que la balle n'arrive pas là où elle doit être. Le virus est à l'intérieur de la cellule, l'enzyme est à l'intérieur de la cellule et le zinc tout seul. Je ne peux pas entrer dans la cellule", a-t-il expliqué. "Vous avez une balle sans arme – cela ne sert à rien."
"Maintenant, il s'avère qu'il existe une classe de médicaments appelés" ionophores de zinc "... qui ouvrent un canal, une porte, qui permet au zinc de passer de l'extérieur de la cellule à l'intérieur de la cellule. Ce sont les armes qui tirent la balle. " La balle pénètre ensuite dans la cellule et empêche l'enzyme virale d'aider le virus à se répliquer. "
Zelenko a également raconté que « les patients avaient du mal » à se procurer les quatre composants différents du protocole Zelenko. Soit les ingrédients n'étaient pas toujours disponibles au même endroit, soit ils avaient du mal à trouver les bonnes doses. "C'était un puzzle un peu trop complexe à assembler", a déclaré le médecin américain d'origine ukrainienne.
La quercétine est une alternative à l'HCQ
En 2022, le défunt médecin de famille est apparu dans l'épisode du 21 janvier de l'émission Brighteon.TV « Thrive Time Show ». Zelenko a raconté à Clay Clark, animateur du programme et fondateur du ReAwaken America Tour, comment il était tombé sur son protocole éponyme qui est finalement devenu Z-Stack.
« En mars [2020], mon protocole de traitement [original] était basé sur l'utilisation de HCQ, de zinc et de l'antibiotique azithromycine. Mais ce qui s'est passé le 27 mars 2020 [c'est que] la « goule » Cuomo a émis un décret (EO ) empêchant les pharmacies de l'État de New York de distribuer de l'HCQ", a-t-il déclaré à Clark. "[It] a été approuvé pour d'autres indications et il était sûr, donc je ne comprenais pas pourquoi cela était obstrué." (Connexe : Le médecin qui a développé le protocole HCQ a désormais traité avec succès des milliers de patients atteints du COVID-19.)
RépondreSupprimer"J'ai perdu quelques patients à cause de cette HE [puisque] ils ne pouvaient pas obtenir de médicaments. J'ai trouvé des articles évalués par des pairs sur une substance appelée quercétine, et j'ai donc commencé à l'utiliser. J'ai vu de très bons résultats et j'ai publié cela en open source. Je fais connaître à tout le monde l'existence de la quercétine, qui est [vendue] sans ordonnance."
Selon Zelenko, les gens sont morts du COVID-19 pour deux raisons. Il y a d’abord « le médecin débile qui retarde les soins ». Deuxièmement, il y a « le gouvernement tyrannique qui fait obstacle à l’accès aux médicaments qui sauvent des vies ».
Il a également parlé à Clark d'une "prescription pour ceux qui cherchent un retour à la normale", qu'il a empruntée au livre des Psaumes. "'Détournez-vous du mal, faites le bien et vivez.' C'est une très bonne prescription, et laissez-moi définir les termes. »
« « Détournez-vous du mal », dans ce cas particulier, [signifie] ne pas avoir peur. Ne mettez pas [votre] couche pour le visage, n'écoutez pas les mandats. « Faites le bien » signifie si vous » Si vous faites partie de la catégorie à risque plus élevé, prenez une prévention antivirale. Si Dieu vous en préserve, vous tombez malade – commencez le traitement dans les premiers jours et vous vivrez.
Visitez AlternativeMedicine.news pour plus d’histoires sur les effets positifs du zinc et de l’HCQ contre le COVID-19.
Regardez l'épisode du 21 janvier 2022 de « Thrive Time Show » sur Brighteon.TV ci-dessous, où le regretté Dr Vladimir « Zev » Zelenko discute de son protocole de traitement contre le COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne BrighteonTV sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
RépondreSupprimerLe Dr Vladimir Zelenko exhorte la population à se dresser contre la tyrannie du gouvernement.
Le zinc peut aider dans la lutte contre le COVID-19 – mais seulement si vous l’associez à un ionophore de zinc.
Le Dr Vladimir Zelenko déclare à Ann Vandersteel : le COVID-19 est une arme biologique – Brighteon.TV.
Le Dr Zev Zelenko discute de son protocole de traitement Covid avec Clay Clark – Brighteon.TV.
Si les hôpitaux avaient utilisé le protocole Zelenko avec de la vitamine C et de la vitamine D par voie intraveineuse, les décès associés au covid-19 seraient pratiquement inexistants.
Sources include:
100PercentFedUp.com
TheWashingtonStandard.com
Brighteon.com
BibleGateway.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-09-dr-zelenko-zinc-bullet-kills-covid-virus.html
(...) " La balle pénètre ensuite dans la cellule et empêche l'enzyme virale d'aider le virus à se répliquer. " (...)
Supprimerl'appelé 'virus' EST UNE POUSSIÈRE ! et, une poussière NE SE RÉPLIQUE PAS ! Même s'il s'agit d'une nano-particule de poudre de poison, le poison va empoisonner les cellules voisines par contamination, donc: dilution. La quantité de poison demeurera telle quelle donc: ne se répliquera pas.
(...) Il y a d’abord « le médecin débile qui retarde les soins ». Deuxièmement, il y a « le gouvernement tyrannique qui fait obstacle à l’accès aux médicaments qui sauvent des vies ». (...)
Il y a d’abord « le médecin débile qui inocule la victime atterri au camps de la mort. Son travail de SS est d'injecter une solution létale. Deuxièmement, il y a « le gouvernement tyrannique qui fait obstacle à l’accès aux médicaments qui ne peuvent pas sauver des vie puisqu'il n'existe pas d'anti poison mis au point à ce jour.
Prix Nobel pour la technologie de l'ARNm : vérification des faits
RépondreSupprimer9 novembre 2023
de Thomas Oysmüller
Le prix Nobel de technologie de l'ARNm est examiné en détail par les Médecins pour la Santé, la Liberté et la Démocratie. Une fois de plus, la science a été massivement endommagée.
Les « Médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie, eV » (MWGFD) ont rédigé une vérification détaillée des faits sur le scandale du prix Nobel 2023. Le document a été publié jeudi.
Prévenir
MWGFD ne mâche pas ses mots lorsqu'il s'agit de vérifier les faits. Dans l’introduction de la déclaration, l’Association médicale écrit :
« Les plus grands crimes contre l'humanité sont désormais récompensés par le prix Nobel. Les soi-disant vérificateurs de faits traditionnels ne peuvent pas réfuter la vérification des faits ultérieure. Nous découvrons quel est réellement le but de la cérémonie de remise du prix Nobel grâce aux lauréats eux-mêmes. Ce n’est rien de plus qu’une campagne de marketing.
Cette conclusion est soutenue par un porte-parole du comité Nobel. Il a déclaré que « l’attribution d’un prix Nobel à ce vaccin contre la COVID-19 pourrait encourager les personnes hésitantes à prendre le vaccin et à être assurées qu’il est très efficace et sûr ».
Sur 14 pages, le MWGFD décortique l'attribution du prix Nobel à Katalina Karikó et Drew Weissman. Non seulement la « justification scientifique » du comité est décortiquée phrase par phrase, mais également la séance de questions-réponses des journalistes après la remise des prix. C’était en fait difficile à battre en termes d’absurdité – avait rapporté le TKP.
Voici un petit extrait :
- voir doc sur site -
Le club écrit également dans son communiqué :
Puisqu'il ne fallait en aucun cas s'attendre à un examen critique de la décision du comité du prix Nobel de l'Institut Karolinska par les « Correctivs » et les soi-disant « vérificateurs de faits », dont la véracité se limitait à l'ignorance systématique des faits, le professeur .Dr. Klaus Steger, biologiste moléculaire, Université de Giessen, et le Dr. Christof Schalhorn, un expert en dispositifs médicaux, a effectué une vérification des faits de deux pages à partir des trois déclarations de l'annonce du prix Nobel (remarquablement disponibles uniquement sous forme de vidéo YouTube) et l'a étayé par des références clés. Le groupe de travail a également retranscrit la séance de questions-réponses, qui s'est révélée être une démonstration d'absence de scrupules particulièrement scandaleuse, et a commenté les contre-vérités particulièrement audacieuses.
RépondreSupprimerLa conclusion des scientifiques est la suivante :
« Avec l’attribution du prix Nobel de médecine 2023, la confiance dans la science indépendante a été considérablement et durablement mise à mal. Le comité du prix Nobel a non seulement ignoré les faits scientifiques, mais ses affirmations non fondées démontrent un manque de compréhension de la médecine fondée sur des preuves. »
L’intégralité de la vérification des faits du MWGFD peut être trouvée ici.
https://tkp.at/2023/11/09/nobelpreis-fuer-mrna-technologie-faktencheck/
Lettre à Robert Malone
RépondreSupprimerUn plaidoyer pour la civilité
MARGARET ANNA ALICE
9 NOVEMBRE 2023
Lettre à Robert Malone
« Il est essentiel d’employer, de faire confiance et de récompenser ceux dont la perspective, les capacités et le jugement sont radicalement différents des vôtres. C’est également rare, car cela nécessite une humilité, une tolérance et une sagesse hors du commun.
—Dee Hock
Robert, je viens d'apprendre votre réponse à un tweet partageant une vidéo de Mike Yeadon1 dans laquelle vous écriviez :
Robert Malone répond au tweet sur la vidéo de Mike Yeadon
C'était en réponse au message suivant de Wide Awake Media :
Article Wide Awake Media de la vidéo de Mike Yeadon
Dans cette vidéo, Mike a déclaré à un journaliste de CHD.TV :
« Jusqu’en 2011, pendant de nombreuses années, j’ai été responsable de la recherche mondiale et des premiers développements dans le domaine [de Pfizer] des nouveaux médicaments contre les maladies respiratoires et les allergies.…
"Il n'y a pas beaucoup de domaines de cette industrie que je ne connaissais pas, et quand j'ai commencé à remarquer d'anciens collègues, dont Sir Patrick Vallance, dire des choses à la télévision dont je savais qu'elles n'étaient pas vraies et que je savais qu'il savait qu'elles ne l'étaient pas. Ce n'est pas vrai, c'est à ce moment-là que l'argent est tombé pour moi, probablement en février 2020.
« Je me souviens avoir dit à ma femme : « Ce n’est pas ce qu’ils disent. Il se passe quelque chose.
« Et puis, quand j’ai vu non seulement mon pays se confiner mais des dizaines de pays se verrouiller en même temps, je dirais à vos auditeurs que c’était la preuve, et c’est toujours la preuve, d’une opération supranationale. Cela n’aurait jamais pu se produire au niveau local, au niveau national.
« Par conséquent, cela a dû se produire au niveau supérieur. Qu’il s’agisse de l’OMS, du Forum économique mondial ou autre, je ne sais pas, mais je suis convaincu que cette action à elle seule prouve sans équivoque que nous n’avons pas simplement fait dériver un virus et ensuite : « Oh ! Nous avons tous paniqué.
« Ils ont tous fait en même temps les mêmes choses stupides, inefficaces, connues pour ne pas fonctionner, et dont aucune ne figurait dans les plans de préparation à la pandémie de leur pays. Parce que je les ai tous lus, non ?
« Alors, quand j’accuse ces gens de mentir, je le fais avec la certitude qu’ils ne me poursuivront pas en justice parce que je leur dirais : « Allez, poursuivez-moi en justice ! J’adorerais avoir une découverte au tribunal. Vous perdrez énormément.
RépondreSupprimer« Et donc ils ne me poursuivront pas en justice. Ce qu'ils font, c'est me salir et me censurer. Et je m’en fiche car nous sommes confrontés à quelque chose de bien pire qu’un prétendu virus.
« À tout le moins, les choses avec lesquelles les gens ont reçu des injections – les blessures causées aux gens par ces soi-disant « vaccins »… J’aimerais pouvoir vous dire que c’était accidentel, mais ce n’était pas accidentel.
« J’ai passé trente-deux ans dans la conception rationnelle de médicaments. Je sais, et je savais et je l'ai écrit avant qu'aucun d'entre eux n'ait une autorisation d'utilisation d'urgence, qu'ils étaient dangereux.…
« Je suis convaincu et je dirais, la main sur une Bible, devant un tribunal, que ces injections ont été faites pour blesser des gens, pour mutiler et tuer délibérément. »
« Ils ont tous fait en même temps les mêmes choses stupides, inefficaces, connues pour ne pas fonctionner, et dont aucune ne figurait dans les plans de préparation à une pandémie de leur pays. » —Mike Yeadon
En tant que personne qui a rédigé un profil en courage sur vous ; vous a défendu contre des allégations d’opposition contrôlée ; a fustigé Alex Berenson pour son coup de côté juvénile à votre égard ; proposé de servir de médiateur entre vous et les Breggins ; j’ai moi-même été la cible d’accusations ; et pris une position ferme sur l'octroi du bénéfice du doute aux membres du mouvement pour la liberté en l'absence de preuves tangibles prouvant la collusion, j'ai été déçu de vous voir vous comporter de manière si incivile envers l'un des fantassins les plus anciens et les plus courageux de notre communauté.
Je vous demande respectueusement : pourquoi parleriez-vous avec autant de mépris d’un collègue scientifique qui a consacré sa vie à dénoncer les mensonges que vous avez vous-même travaillé avec diligence pour révéler tout au long de la crise du COVID ? Pourquoi voudriez-vous jouer le rôle du démolisseur quand vous comprenez à quel point de telles attaques peuvent être douloureuses ? Pourquoi cibleriez-vous quelqu’un qui n’a jamais parlé et ne parlera jamais de vous avec autant de dédain ?
Même la réponse gracieuse de Mike à votre tweet illustre son noble caractère :
"Cher Robert,
RépondreSupprimer«Veuillez lire cet article sur Telegram.
« Vos pensées m’intéressent.
« Je ne crois pas que quiconque ayant la capacité de comprendre les arguments avancés puisse conclure autrement que par l’intentionnalité. »2
Mike a toujours prouvé que parler en sa faveur n’a jamais été une question d’ego, de gloire ou de gain monétaire. Vous insinuez qu'il fait ces déclarations pour obtenir « beaucoup de clics et de likes », mais il n'a même pas de compte Twitter et est inactif sur tous les réseaux sociaux à l'exception de la chaîne Telegram qu'il a précédemment partagée avec Robin Monotti et Cory Morningstar avant de récemment se connecter. créer sa propre chaîne.
Bien que Mike soit un lecteur assidu de Substack et un commentateur occasionnel, il a choisi de ne pas gagner un seul centime des milliers d'heures qu'il a consacrées à défendre l'humanité contre la propagande et le démocide, même si de nombreuses personnes seraient heureuses d'avoir l'opportunité de le soutenir en tant qu'acteur. expression insuffisante de notre gratitude pour ses contributions héroïques.
En tant qu'ancien scientifique en chef, vice-président et responsable de la recherche sur les allergies et les maladies respiratoires chez Pfizer, Mike a généreusement partagé ses idées avisées, ses observations fondées sur des faits et son expertise scientifique fondée sur plus de trois décennies d'expérience dans l'industrie pharmaceutique.
Cette expérience comprend une carrière de consultant dans le secteur des biotechnologies après avoir quitté Pfizer en 2011. Mike a également lancé sa propre biotechnologie appelée Ziarco, levant des millions de fonds privés pour mener des études de recherche et développement sur le ZPL-389, un composé issu de Pfizer qui s'est révélé efficace. obtenir une réduction cliniquement et statistiquement significative de l’eczéma sans effets secondaires. En collaboration avec deux anciens collègues, Mike a transformé le composé en médicament. Novartis a acquis son entreprise en 2017. Avant de devenir persona non grata pour avoir révélé la corruption de l'industrie pendant la COVID, Forbes a publié un article sur l'entreprise réussie rédigé par le Dr John LaMattina, ancien membre du conseil d'administration de Pfizer.
Mike identifie et prédit avec précision les malversations depuis début 2020, notamment en cosignant une lettre ouverte urgente de médecins et de scientifiques à l'Agence européenne des médicaments concernant les problèmes de sécurité du vaccin COVID-19 le 10 mars 2021.
Il a montré à plusieurs reprises « les reçus » que vous exigeiez, tout comme moi – et comme vous ! Le 25 juillet 2023, vous avez publié un article intitulé Contrôle de la population et politique officielle du gouvernement américain avec le sous-titre « Voici les reçus. Il ne s’agit pas d’une « théorie du complot » » :
- voir post sur site -
Dans cet article, vous citez des preuves accablantes tirées de documents tels que le rapport Kissinger, que j’ai moi-même examiné dans ma série Anatomie d’un philanthrope en juin 2022, suivi de ma présentation au Comité d’enquête Corona le 1er juillet 2022.
https://margaretannaalice.substack.com/p/letter-to-robert-malone
Les bienfaits de la fièvre
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
10 novembre 2023
J'ai initialement écrit cet article il y a 12 ans. Mais le sujet est si important que j’ai voulu publier une mise à jour pour faire savoir que, dans la plupart des cas, il n’y a aucune raison de craindre la fièvre. Prendre immédiatement des médicaments pour réduire la fièvre est également généralement contre-productif et peut mettre plus de temps à aller mieux.1,2
La fièvre est un signe que votre système immunitaire, ou celui de votre enfant, fonctionne au mieux. Pratiquement tous les animaux – et même les poissons3 – développent naturellement de la fièvre lorsqu’ils luttent contre une maladie bactérienne ou virale. Cette réponse se produit parce qu’elle améliore la capacité de votre corps à se débarrasser de l’infection.
La fièvre profite à votre corps
Lorsqu’un organisme envahit votre corps, il déclenche la libération de pyrogène, une substance qui signale à l’hypothalamus de votre cerveau d’augmenter la température de votre corps. Cela se fait à travers un certain nombre de mécanismes différents, notamment :
Frissons
Libération de l'hormone TRH
Augmenter votre taux métabolique
Restreindre le flux sanguin vers la peau pour minimiser la perte de chaleur
Piloérection (remontée des petits poils), qui supprime la transpiration, un mécanisme de refroidissement
La fièvre, à son tour, déclenche un certain nombre de processus corporels bénéfiques, notamment des mécanismes de protection immunitaire, qui aident directement ou indirectement à repousser les bactéries ou les virus envahisseurs. Par exemple, des températures de 104 à 105,8 degrés F (40 à 41 degrés C) réduisent de 200 fois le taux de réplication du poliovirus dans les cellules, tout en augmentant la sensibilité des bactéries à Gram négatif à la destruction des anticorps.4
"Compte tenu de la complexité de ces mécanismes immunitaires, il est remarquable que les températures fébriles stimulent presque toutes les étapes impliquées dans ce processus, favorisant à la fois l'immunité innée et adaptative", ont écrit les chercheurs dans Nature Reviews Immunology.5
« Les températures fébriles servent de système d’alerte systémique qui favorise largement la surveillance immunitaire lors d’une provocation par des agents pathogènes envahisseurs. »6 Certains de ces avantages de grande envergure comprennent :
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
Fièvre ? Laisser le suivre son cours
« La réponse fébrile est une caractéristique des infections et des maladies inflammatoires et a été façonnée au cours de centaines de millions d’années de sélection naturelle »7, mais de nombreux prestataires de soins de santé la considèrent toujours comme dangereuse et mérite d’être traitée car elle provoque un inconfort.
Les scientifiques continuent également de débattre des mérites de la fièvre. Les uns sont favorables à l’idée selon laquelle la fièvre devrait être supprimée en raison de ses coûts métaboliques élevés. Chaque augmentation de 1,8 degré F de la température corporelle nécessite une augmentation de 10 à 12,5 % du taux métabolique8, ce qui est significatif.
C’est l’une des raisons pour lesquelles vous perdez fréquemment du poids lorsque vous avez de la fièvre. Cependant, de plus en plus de recherches soutiennent la philosophie du « laisser faire », selon laquelle la fièvre a un effet protecteur.9 Dans le Journal of Thoracic Disease, des chercheurs de la Miller School of Medicine de l'Université de Miami ont décrit une étude classique de 197510 sur la fièvre et la survie des iguanes. infecté par des bactéries :11
« Il leur a donné la possibilité de rechercher de la chaleur grâce à des lampes solaires et tous, sauf un, ont recherché la chaleur pour augmenter leur température. Celui qui ne l’a pas fait est le seul à mourir. Ensuite, il a injecté des bactéries aux iguanes et leur a donné des antipyrétiques [médicaments contre la fièvre]. Les iguanes qui étaient capables de faire monter la fièvre malgré les antipyrétiques ont été les seuls à avoir survécu.
Une étude réalisée en 1987 sur des lapins a également révélé que l’administration de médicaments contre la fièvre causait plus de mal que de bien. L’équipe a découvert que la suppression de la fièvre chez les animaux « avait un effet délétère notable sur l’évolution de l’infection, entraînant une augmentation de la teneur en virus infectieux dans les ganglions lymphatiques mésentériques, une mortalité accrue et un rétablissement retardé chez les animaux qui ont survécu à l’infection. »12
Des résultats tout aussi frappants ont été constatés chez des personnes, en particulier chez des patients gravement malades en unité de soins intensifs. Un groupe de patients a été traité de manière agressive contre la fièvre, recevant de l'acétaminophène toutes les six heures si leur température dépassait 101,3 degrés F (38,5 degrés C).
RépondreSupprimerL'autre groupe ne recevait un traitement que si sa fièvre atteignait 104 degrés F (40 degrés C), qui consistait en de l'acétaminophène et des couvertures rafraîchissantes jusqu'à ce que sa température descende en dessous de 104 degrés F.
L’étude a dû être interrompue prématurément car le nombre de personnes du groupe de traitement agressif est décédé par rapport à l’autre groupe – respectivement sept décès contre un. « Un traitement agressif de la fièvre chez les patients gravement malades peut entraîner un taux de mortalité plus élevé », a conclu l’équipe.13
Une autre étude, cette fois sur des poissons, a montré que laisser la fièvre suivre son cours éliminait l'infection en deux fois moins de temps qu'il fallait aux animaux sans fièvre pour guérir.14,15 En plus de faire disparaître rapidement l'infection, la fièvre aidait à contrôler l'inflammation et à réparer les lésions tissulaires.
« Nous avons laissé la nature faire ce qu'elle fait, et dans ce cas-ci, c'était une chose très positive », a déclaré l'auteur de l'étude et immunologiste Daniel Barreda, de l'Université de l'Alberta, dans un communiqué de presse.16 « Chaque animal examiné possède cette caractéristique biologique. réponse à l’infection », dit-elle, suggérant que la fièvre offre un fort avantage évolutif en matière de survie.
Une fièvre modérée protège contre le COVID-19
Le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), qui implique la mort programmée des cellules alvéolaires des poumons, est l’une des principales causes de décès chez les patients atteints de COVID-19. L'augmentation naturelle de la température corporelle qui se produit lors d'une fièvre légère ou modérée peut cependant augmenter les niveaux cellulaires de la protéine de choc thermique bénéfique 70 (HSP70), qui est protectrice dans les cas de SDRA induit par la septicémie.
Écrivant dans Frontiers in Medicine, les chercheurs ont suggéré que plusieurs heures de fièvre légère, définie comme inférieure à 101,8 degrés F (38,8 degrés C), sont avantageuses pour les patients atteints de COVID-19, « permettant aux cellules pulmonaires d'accumuler du HSP70 protecteur contre les dommages causés par la réponse inflammatoire ». au virus SARS-CoV-2. »17 Encore une fois, le simple fait de laisser une fièvre légère ou modérée suivre son cours contribue à augmenter le HSP70, vous offrant ainsi un avantage de survie :18
RépondreSupprimer« Les HSP70 peuvent utiliser l’énergie de l’hydrolyse de l’ATP pour déployer et démanteler avec force différents types d’oligomères protéiques agrégés et fonctionnels dans la cellule. Par conséquent, il peut entraîner des changements conformationnels dans divers grands agrégats de protéines cytotoxiques et les convertir en protéines fonctionnelles solubles, inoffensives.
… À l’inverse, les tissus neuronaux et musculaires dégénératifs des nématodes vieillissants et des humains qui expriment systématiquement des taux cellulaires de HSP70 inférieurs à ceux des jeunes individus sont particulièrement fragiles et sensibles au stress. Les cellules avec de faibles niveaux de HSP70 ont tendance à subir spontanément l’apoptose, et les pertes de tissus qui en résultent chez les humains vieillissants conduisent à des maladies dégénératives progressives.
Parce que la capacité à développer de la fièvre et à accumuler du HSP70 diminue avec l’âge, l’équipe a même suggéré d’utiliser des thermothérapies ou un entraînement physique pour augmenter la température corporelle dans ces cas. Les scientifiques écrivant dans Evolution, Medicine, and Public Health ont également suggéré de laisser la fièvre faire son travail, en particulier à l’ère de la pandémie :19
« Pour le COVID-19, de nombreux organismes de santé publique ont conseillé de traiter la fièvre avec des médicaments comme l’acétaminophène ou l’ibuprofène. Même s’il s’agit d’une pratique courante, l’abaissement de la température corporelle n’a pas amélioré la survie des animaux de laboratoire ou des patients infectés.
Bloquer la fièvre peut être nocif car la fièvre, ainsi que d’autres symptômes de maladie, ont évolué comme un moyen de défense contre l’infection. La fièvre agit en causant plus de dommages aux agents pathogènes et aux cellules infectées qu’aux cellules saines du corps. Pendant la pandémie de COVID-19, les avantages de laisser la fièvre survenir l’emportent probablement sur les inconvénients, pour les individus et pour le grand public.
Les médicaments contre la fièvre peuvent se retourner contre eux
RépondreSupprimerDans la plupart des cas, les médicaments contre la fièvre doivent être évités, car ils ne font généralement que supprimer les mécanismes naturels de guérison de la fièvre et prolonger la maladie. Par exemple, chez les personnes atteintes de grippe, l’utilisation de médicaments contre la fièvre est liée à une augmentation de 5 % de la mortalité.20 Même l’American Academy of Pediatrics (AAP) a mis en garde contre la « phobie de la fièvre » et la surutilisation de médicaments contre la fièvre :21
« Des conseils appropriés sur la gestion de la fièvre commencent par aider les parents à comprendre que la fièvre, en soi, n'est pas connue pour mettre en danger un enfant généralement en bonne santé. En revanche, la fièvre peut effectivement être bénéfique…
Lorsqu’ils conseillent une famille sur la gestion de la fièvre chez un enfant, les pédiatres et autres prestataires de soins de santé doivent minimiser la phobie de la fièvre et souligner que l’utilisation d’antipyrétiques ne prévient pas les convulsions fébriles.
De plus, dans ses conseils aux parents qui se demandent s’ils doivent traiter la fièvre de leur enfant, l’AAP déclare : « La clé est de surveiller le comportement de votre enfant. S’ils boivent, mangent, dorment normalement et sont capables de jouer, vous n’avez pas besoin de traiter la fièvre. Au lieu de cela, vous devriez attendre de voir si la fièvre s’améliore d’elle-même. »22
N’oubliez pas que le but de la fièvre est de stimuler le système immunitaire et de créer un environnement inhospitalier pour les organismes envahisseurs, augmentant ainsi la chaleur suffisamment pour que les microbes envahisseurs ne puissent pas vivre. Ainsi, chaque fois que vous faites baisser artificiellement la fièvre, vous rendez votre corps plus hospitalier aux agents pathogènes envahisseurs.
Faire baisser la fièvre avec des médicaments masque également vos symptômes, ce qui peut vous amener à reprendre vos activités normales trop tôt, alors que votre corps pourrait encore bénéficier d'un repos supplémentaire. Les médicaments peuvent également prolonger la maladie. Dans une étude sur l’acétaminophène chez les enfants atteints de varicelle, le médicament a entraîné des démangeaisons et un délai d’apparition de croûtes prolongés par rapport au traitement placebo.23
En outre, une étude menée auprès d’adultes souffrant de rhume a révélé que l’aspirine et l’acétaminophène supprimaient la production d’anticorps et augmentaient les symptômes du rhume, avec une tendance à une contagiosité plus longue.24
Ces médicaments comportent également des risques d’effets secondaires, notamment des lésions hépatiques liées à l’acétaminophène, des maux d’estomac liés à l’ibuprofène et le syndrome de Reye lié à l’aspirine. Il est recommandé de ne pas donner d’aspirine aux enfants de moins de 19 ans lorsqu’ils ont de la fièvre, en raison du lien avec le syndrome de Reye.
RépondreSupprimerQuand la fièvre est-elle dangereuse ?
Il est rare qu’une fièvre dépasse 104 ou 105 degrés F, et tant que votre enfant n’est pas en détresse, il n’y a aucun mal à laisser la fièvre suivre son cours. Gardez également à l’esprit que la fièvre a tendance à augmenter en fin d’après-midi et en soirée, donc une légère augmentation de la fièvre pendant cette période n’est pas nécessairement alarmante.
Dans la plupart des cas, du repos et beaucoup de liquides suffisent en cas de fièvre. La fièvre augmente la perte de liquide, il est donc important de donner beaucoup de liquides à votre enfant, même s’il n’a pas soif, pour éviter la déshydratation. Il existe cependant des cas où une fièvre nécessite des soins médicaux. Ceci comprend:
Fièvre chez un nourrisson de moins de 3 mois (à n'importe quelle température)
Fièvre supérieure à 102,2 degrés F (39 degrés C) chez les enfants entre 3 mois et 36 mois, s'ils semblent malades
Chaque fois que la fièvre dépasse 104,5 degrés F (40 degrés C)
Dans certains cas de sepsis ou de lésions neurologiques, une fièvre incontrôlée peut entraîner de pires conséquences25.
Chez les enfants de 5 ans et moins, la fièvre peut également entraîner une convulsion, appelée crise fébrile. Même si cela peut être effrayant, cela n’entraînera généralement aucun effet durable. Lors d'une crise fébrile, couchez votre enfant sur le côté ou sur le ventre, desserrez tous les vêtements serrés et soutenez l'enfant pour éviter les blessures.
Lorsque la crise s'arrête, vous devez immédiatement consulter un médecin pour vous assurer qu'elle n'a pas été causée par autre chose que la fièvre, comme une méningite ou une bactérie dans le sang.
Cependant, n’oubliez pas que laisser la fièvre suivre son cours est généralement le meilleur choix pour lutter contre une infection virale ou bactérienne. Vous pouvez renforcer davantage la capacité de votre système immunitaire à repousser les agents pathogènes et réduire le risque de développer une fièvre en premier lieu, en mangeant sainement, en faisant beaucoup d’exercices quotidiens, en utilisant des méthodes judicieuses pour soulager le stress et en dormant bien.
Sources and References
RépondreSupprimer1, 14, 16 Science Daily March 15, 2023
2, 3, 15 Immunology and Inflammation March 14, 2023
4, 5, 6, 7, 8, 20, 25 Nat Rev Immunol. 2015 Jun; 15(6): 335–349
9, 11 J Thorac Dis. 2015 Dec; 7(12): E633–E636
10 Science. 1975 Apr 11;188(4184):166-8
12 J Infect Dis. 1987 May;155(5):991-7. doi: 10.1093/infdis/155.5.991
13 Surg Infect (Larchmt). 2005 Winter;6(4):369-75. doi: 10.1089/sur.2005.6.369
17, 18 Front Med (Lausanne). 2020; 7: 564170
19 Evol Med Public Health. 2021; 9(1): 26–35
21 American Academy of Pediatrics March 2011, Volume 127, Issue 3
22 AAP, Healthychildren.org, Treating Your Child’s Fever
23 J Pediatr. 1989 Jun;114(6):1045-8. doi: 10.1016/s0022-3476(89)80461-5
24 The Journal of Infectious Diseases December 1, 1990
https://www.lewrockwell.com/2023/11/joseph-mercola/the-benefits-of-fever/
Fréderic Beltra, un combat en mémoire de son fils Maxime, décédé le 26 juillet 2021 à 22 ans
RépondreSupprimerXavier Azalbert, France-Soir
le 09 novembre 2023 - 16:59
ENTRETIEN ESSENTIEL - Fréderic Beltra est président de l’association Verity France, regroupant les familles de victimes des vaccins Covid-19. Ses apparitions médiatiques sont très rares et il n’a jamais donné d’interview à un média. Son fils Maxime est décédé lundi 26 juillet 2021, quelques heures après avoir reçu sa première dose Pfizer. Il avait 22 ans.
Dans cet entretien essentiel, Frédéric Beltra prend le temps d’évoquer le début de la pandémie. Il avait quelques interrogations sur les interdictions de certains médicaments car, intuitivement et à titre personnel, il aurait préféré avoir plus d’options. Il évoque sa situation d’entrepreneur et la mise en place des mesures et gestes barrières pour protéger ses clients. Travaillant beaucoup, il faisait confiance au gouvernement et à sa communication jusqu’au moment où s’est posé la question de la vaccination de son fils, courant 2021. S’il avait préalablement téléchargé la notice du vaccin du site de l’ANSM, il n’en prendra connaissance que trop tard. Depuis le décès de son fils, malgré le drame et la dévastation, Frédéric a dévoué son temps à sa famille et son association, Verity. L’association a mis en place des cellules de soutien aux victimes des effets secondaires devant la faillite du système à proposer une réponse adéquate dans ce domaine ou même à considérer les victimes comme tel. En tant que père d’une victime, il n’a jamais été contacté par les officiels du gouvernement. Pire encore, il a dû subir les attaques de certains médias tentant de justifier que la mort de son fils n’avait rien à voir avec l’injection. Aujourd’hui, malgré plus de 200 000 effets secondaires recensés dont 25 % de grave, les injections Covid-19 sont toujours autorisées. Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau est d’ailleurs visé par une plainte de Verity France (d’autres associations lui ont emboîté le pas) en rapport avec ce qu'on peut considérer comme un délit d’extorsion du consentement libre et éclairé. Les mots de Frédéric Beltra sont tranchants, sa détermination entière. Il demande simplement à ce que le statut des victimes soit reconnu et protégé par la loi.
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/frederic-beltra-un-combat-en-memoire-de-son-fils-maxime-decede-le-26
Le Dr Robert Malone révèle comment le gouvernement a déchiré sa réputation, « pièce par pièce »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 05:40
Rédigé par le Dr Robert W. Malone, MD, MS via Who Is Robert Malone,
Chers Américains, le gouvernement prendra soin de vous !
Ils ne veulent pas que vous ayez à vous soucier des informations qu’ils n’approuvent pas dans vos comptes de réseaux sociaux.
Ils ne veulent pas que vous craigniez que le gouvernement américain n’interfère directement avec vos droits au titre du premier amendement, et ne se mêlera certainement jamais d’une élection ou de vos libertés médicales.
Cela dit, l’État profond se fera un plaisir de « confier ces emplois à des entreprises effrayantes de gauche qui luttent contre la « désinformation » ».
Un nouveau rapport explosif a été publié, intitulé : « ARMEMENT DES PSEUDO-EXPERTS ET BUREAUCRATS « DÉSINFORMATION » : COMMENT LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL S'EST PARTENÉ AVEC LES UNIVERSITÉS POUR CENSURER LE DISCOURS POLITIQUE DES AMÉRICAINS », rapport intérimaire du Comité de la magistrature et du Sous-comité spécial. sur la militarisation du gouvernement fédéral par la Chambre des représentants des États-Unis a été publiée le 6 novembre 2023.
Dans ce rapport, le comité a exposé le rôle de l’Election Integrity Partnership (EIP) et d’autres organisations d’astroturf engagées (c’est-à-dire payées) par le ministère de la Sécurité intérieure pour censurer les Américains.
Le représentant Jim Jordan sur son compte Twitter a également fourni les reçus de la création du Partenariat pour l'intégrité électorale, en joignant une lettre du Conseil atlantique conseillant une « synchronisation » par laquelle ils ont créé le Partenariat pour l'intégrité électorale en 2020. Ergo, un partenariat de quatre organisations travaillant en collaboration avec le gouvernement américain et l’Atlantic Council.
- voir doc sur site -
En fait, l'EIP est composé de quatre « partenaires ». Il s'agit du Stanford Internet Observatory (SIO), du Center for an Informed Public (CIP) de l'Université de Washington, de Graphika et de l'Atlantic Council. Chaque organisation a un rôle distinct à jouer, allant de l'identification des « propageurs de désinformation » à l'identification des réseaux de médias sociaux sur lesquels les personnes ainsi accusées ont interagi, en passant par les recommandations concrètes aux sociétés de médias sociaux pour la suppression des publications offensantes identifiées, et les communications en retour et en retour. davantage entre le gouvernement et le PEI. Cela a été fait avec l’argent et les ressources du gouvernement.
Vous trouverez ci-dessous un lien pour chaque partenaire, ainsi qu'une description de leurs technologies ou de leurs activités récentes.
RépondreSupprimerL'Observatoire Internet de Stanford (SIO) : Stanford a supprimé la page SIO de son site Web, bien que la machine de retour dispose d'une copie d'archives quelque peu fonctionnelle.
Ces pages contiennent des informations sur leur opération « Platform Takedown », qui a été développée pour supprimer les informations des principales plateformes de médias sociaux.
Le retrait de la plateforme SIO ne répertorie que les rapports de cas jusqu'en juin 2020, mais la machine de retour propose des rapports détaillés jusqu'en 2022.
- voir doc sur site -
Centre pour un public informé (CIP) de l’Université de Washington
Leur mission « est de résister à la désinformation stratégique, de promouvoir une société informée et de renforcer le discours démocratique ».
Depuis ce mois-ci (novembre 2023), le CIP a désormais orienté son identification des cibles de censure vers l'identification du flux de ce qu'il considère comme les « nouvelles élites » de X (ergo-influenceurs très suivis) concernant la manière dont ils partagent des informations concernant le Conflit Hamas/Israël.
L’implication étant que « X » sera ciblé à l’avenir pour davantage de harcèlement de la part du Election Integrity Partnership.
- voir doc sur site -
Graphique
Il s’agit d’une entreprise spécialisée dans « une technologie de pointe qui crée des cartes explorables à grande échelle des paysages des médias sociaux ». Leur analyse approfondie révèle des informations permettant d'aider « les clients et les partenaires à comprendre les réseaux en ligne complexes et à prendre des mesures décisives ». Graphika cite Harvard, Oxford et DARPA (DARPA = CIA) comme partenaires.
- voir doc sur site -
Laboratoire de recherche médico-légale numérique (DFRLab) de l’Atlantic Council
RépondreSupprimerLe DFRL de l'Atlantic Council est composé d'anciens membres du personnel technologique du renseignement américain (par exemple, d'anciens membres de la CIA et de la DIA = personnel de l'« État profond »), et bien sûr, l'Atlantic Council lui-même est connu comme une plate-forme d'atterrissage pour les agents de l'État profond (autrement connus sous le nom de « Deep State »). une organisation découpée).
Le site Web du DFRL indique :
Les plates-formes centralisées et décentralisées partagent un ensemble commun de menaces émanant d'utilisateurs malveillants motivés et nécessitent un ensemble commun d'investissements pour garantir des résultats fiables et axés sur l'utilisateur…
Des recherches plus approfondies et le renforcement des capacités sont nécessaires pour éviter une nouvelle prolifération de ces menaces.
Au sein de l'industrie, des décennies de pratique de « confiance et sécurité » (T&S) se sont développées pour devenir un domaine capable d'éclairer les complexités de la création et de l'exploitation d'espaces en ligne. En dehors de l’industrie, des groupes de la société civile, des chercheurs indépendants et des universitaires continuent de montrer la voie en matière de compréhension collective de la manière dont les risques se propagent via les plateformes en ligne et de la manière dont les produits pourraient être conçus pour mieux promouvoir le bien-être social et atténuer les dommages.
Enlevez tous les mots fleuris et cela me semble être une censure organisée par l’État profond parrainée par le gouvernement !
Au-delà des sites Web répertoriés ci-dessus, le House Report fait un excellent travail en montrant comment le Election Integrity Partnership a travaillé pour censurer le peuple américain.
Revenons au rapport du Congrès sur la censure, il se lit comme suit :
Entrez dans l'Election Integrity Partnership (EIP), un consortium d'universitaires sur la « désinformation » dirigé par le Stanford Internet Observatory (SIO) de l'Université de Stanford qui a travaillé directement avec le Département de la sécurité intérieure et le Global Engagement Center, une entité multi-agences hébergée au sein de l'État. Département, pour surveiller et censurer le discours en ligne des Américains avant l'élection présidentielle de 2020. Créé à l’été 2020 « à la demande » de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA), l’EIP a permis au gouvernement fédéral de blanchir ses activités de censure dans l’espoir de contourner à la fois le premier amendement et le contrôle public.
Ce rapport intérimaire détaille l’implication massive du gouvernement fédéral dans la création et le fonctionnement de l’EIP, qui a facilité la censure du discours politique des Américains dans les semaines et les mois précédant les élections de 2020. Ce rapport révèle également publiquement pour la première fois des rapports secrets de « désinformation » provenant du système de reporting centralisé de l’EIP, auparavant accessibles uniquement à certaines parties, notamment les agences fédérales, les universités et les grandes technologies. Le comité et le sous-comité restreint ont obtenu ces rapports non publics de l'université de Stanford uniquement sous la menace d'outrage au Congrès. Ces informations faisant état de fausses informations présumées ont été utilisées pour censurer les Américains engagés dans des discours politiques fondamentaux à l’approche des élections de 2020.
RépondreSupprimerComme le révèlent ces nouvelles informations et ce rapport, le gouvernement fédéral et les universités ont fait pression sur les sociétés de médias sociaux pour qu'elles censurent les informations véridiques, les blagues et les opinions politiques. Cette pression était en grande partie dirigée d’une manière qui profitait à un côté de l’allée politique : les vraies informations publiées par les républicains et les conservateurs étaient qualifiées de « désinformation », tandis que les fausses informations publiées par les démocrates et les libéraux n’étaient pratiquement pas rapportées et n’étaient pas touchées par les censeurs. La pseudoscience de la désinformation n’est aujourd’hui – et n’a toujours été – qu’une ruse politique visant le plus souvent les communautés et les individus ayant des opinions contraires aux discours dominants.
Le fonctionnement de l’EIP était simple : les « parties prenantes externes », notamment les agences fédérales et les organisations financées par le gouvernement fédéral, soumettaient des rapports de désinformation directement à l’EIP. Les « analystes » de la désinformation de l’EIP ont ensuite parcouru Internet à la recherche d’exemples supplémentaires de censure. Si le rapport soumis signalait une publication sur Facebook, par exemple, les analystes de l'EIP recherchaient un contenu similaire sur Twitter, YouTube, TikTok, Reddit et d'autres grandes plateformes de médias sociaux. Une fois que tous les liens incriminés ont été compilés, l'EIP a envoyé les plus importants directement aux Big Tech avec des recommandations spécifiques sur la manière dont les plateformes de médias sociaux devraient censurer les publications, comme réduire la « découverte » des publications, « suspendre [un compte] possibilité de continuer à tweeter pendant 12 heures », « surveiller si l'un des comptes d'influenceurs tagués retweete » un utilisateur particulier et, bien sûr, supprimer des milliers de publications américaines.
Le comité de la Chambre (par l'intermédiaire du représentant Jim Jordan) a également publié un document Google (Jira Tickets) qui répertorie certaines des personnes censurées par ordre chronologique et quels étaient leurs « crimes » présumés.
RépondreSupprimerDans la liste Jira Tickets, il convient de noter que le 11 juin 2021, la liste a brusquement changé son orientation de « désinformation électorale » à « désinformation sur les vaccins » et a renommé ces efforts sous le nom de projet de viralité. Presque comme s’il y avait une sorte de directive venant d’en haut .
Sur la dernière page de la liste des tickets Jira, ils ont inclus la censure de mon entretien original avec Tucker Carlson pour Fox News. Presque immédiatement après, la liste se termine. Donc, on ne sait pas combien de fois j’ai été recommandé à la censure. Sauf que si l’on se base sur l’interdiction évidente de l’ombre au cours des deux dernières années, cela s’est probablement produit des centaines de fois.
Quelques captures d'écran du rapport Jira Tickets généré sur moi concernant l'interview de Tucker (page neuf) :
Mon péché, comme le montre la capture d'écran ci-dessous, est d'avoir affirmé dans l'interview de Fox que les risques l'emportent sur les avantages chez les adolescents et les jeunes adultes (au 30 juin 2021).
- voir doc sur site -
Dans l’image ci-dessous, l’Election Integrity Partnership (maintenant le Partenariat Virality) note que je suis à la fois « anti-vaccination générale » et également « de droite » dans mes affiliations.
Donc c'est vraiment effrayant. Le fait que mes tendances politiques soient mentionnées implique qu’être « de droite » était/est un critère suffisant pour la censure. Le fait que ce critère soit suffisant pour la censure montre une ingérence directe dans les élections.
Car cette liste me marque également comme étant généralement contre la vaccination. Comme si être contre la thérapie génique à ARNm pour des groupes vulnérables spécifiques équivalait à être contre la vaccination. C'était apparemment suffisant pour être censuré.
- voir doc sur site -
Je crois qu'il s'agit d'une liste des endroits où cela avait été partagé avant la censure :
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
Le Election Integrity Partnership note également que je suis un « récidiviste ».
- voir doc sur site -
Franchement, l’ensemble du document et le rapport du comité de la Chambre me donnent le sentiment d’être violés.
Le rapport de la Chambre documente ensuite comment même les membres du Congrès ont été censurés et que sous Biden, les efforts de censure se sont intensifiés au niveau national.
Cela ne s’est pas arrêté aux élections de 2020.
Après l’investiture du président Biden en janvier 2021, le régime de censure du gouvernement s’est intensifié. Au CISA, l’équipe du CFITF a abandonné toute prétention de se concentrer sur « l’étranger » et s’est rebaptisée « équipe MDM » qui se concentrerait sur les discours étrangers et nationaux que le gouvernement considérait comme de la désinformation ou de la malinformation. Tout au long de l’année 2021, la Maison Blanche Biden s’est engagée dans une campagne de pression contre Facebook et d’autres sociétés de médias sociaux pour censurer les contenus anti-vaccins, même si c’était vrai. D'ici 2022, la CISA a invité le Dr Starbird, puis Vijaya Gadde, alors directeur de Twitter, et d'autres à former un sous-comité consultatif MDM pour consulter la CISA sur la manière dont l'agence pourrait et devrait lutter contre le discours des Américains que le gouvernement considérait comme erroné, dis-, ou désinformation.
Mais en 2023, alors que les républicains reprenaient la majorité à la Chambre des représentants et commençaient à superviser le complexe censure-industriel, la CISA a supprimé sur son site Web toute référence à la censure nationale. Le comité et le sous-comité restreint ont obtenu et révélé comment Facebook a modifié ses politiques en raison de la pression de l'administration Biden. Des documents internes de Facebook ont montré que la Maison Blanche de Biden en particulier voulait que les informations vraies et les satires soient censurées à un rythme que même les grandes technologies trouvaient répréhensible.
Sur la base du travail de la commission et de la sous-commission spéciale, même les grands médias ne pouvaient plus ignorer ces violations constitutionnelles. Les plaignants dans l’affaire Missouri contre Biden ont obtenu des victoires significatives devant un tribunal fédéral de district et devant la Cour d’appel du cinquième circuit des États-Unis, et leur cause sera désormais entendue par la Cour suprême. Les rapports publics montrent que les universités reconsidèrent si elles doivent autoriser leurs professeurs à recevoir des financements et à s'engager dans un travail de censure. Mais le travail n’est pas encore terminé. L’enquête du comité et du sous-comité restreint est toujours en cours.
De toute évidence, les articles à succès sur moi publiés par l'Atlantic Monthly, le New York Times, le Washington Post (deux fois), Business Insider, The Scientist et Rolling Stone et d'autres médias grand public dans un laps de temps très court étaient un effort coordonné de l'État profond pour fais-moi tomber. Je crois que cet effort a été mené par les agences de renseignement et le DHS à travers le Deep State. Kash Patel explique joliment comment ces types de succès sont menés dans son livre, Government Gangsters. Par lequel le gouvernement transmet des informations aux agents travaillant dans les médias grand public (par exemple, comme dans l’opération Mockingbird de la CIA). On me dit maintenant que ces mêmes pièces ont été utilisées contre moi dans d’autres cercles gouvernementaux. L'affaire Sullivan contre le New York Times devant la Cour suprême a abouti à une situation dans laquelle les personnes connues du public ne peuvent presque jamais gagner un procès pour diffamation malveillante. L’État profond utilise ce fait pour attaquer, calomnier, diffamer, harceler et se livrer à des diffamations directes. C'est mal.
RépondreSupprimerPour ma part, je ne retrouverai jamais ma réputation telle qu’elle était. Cependant, je n’abandonnerai pas la lutte pour nos libertés, qu’il s’agisse de restaurer l’intégrité de la FDA, du CDC, du NIH, du DoD et du HHS ou de freiner l’agence de renseignement. Nous devons tous continuer à mettre notre gouvernement au pas.
Je ne céderai pas à la diffamation de l’État profond. Je ne les laisserai pas ruiner ma vie et ma réputation. Et je ne leur permettrai pas de me victimiser.
« Qui est Robert Malone » est une publication financée par les lecteurs. Veuillez envisager de nous soutenir dans notre travail important.
https://www.zerohedge.com/political/dr-robert-malone-reveals-how-government-tore-his-reputation-apart-piece-piece
BMJ : la FDA maintient une base de données secrète sur les effets secondaires de l'ARNm
RépondreSupprimer10 novembre 2023
de Thomas Oysmüller
C’est une bombe journalistique qu’a fait exploser le British Medical Journal jeudi. Les effets secondaires du vaccin signalés publiquement aux États-Unis ne sont pas complets.
Le British Medical Journal - l'une des revues scientifiques les plus renommées au monde - a fait réfléchir les gens jeudi avec des recherches hautement explosives. Le (tristement célèbre) système américain de déclaration des effets secondaires des vaccins « ne fonctionne pas comme prévu ». Cela conduit à supposer que « les signaux sont négligés ». De plus, tous les effets secondaires signalés ne sont pas publiés.
Signaler le chaos ?
La recherche commence par un cas précis :
« Trois semaines après avoir reçu une deuxième dose d’un vaccin contre le Covid, Robert Sullivan s’est effondré sur son tapis roulant chez lui. L'anesthésiste du Maryland, aux États-Unis, était un homme de 49 ans particulièrement en forme : la semaine avant de tomber malade, il skiait en haute altitude dans le Colorado.
Sullivan a reçu un diagnostic d'hypertension pulmonaire d'apparition soudaine, qui est généralement progressive, peut être mortelle et, dans la plupart des cas, ne peut être guérie. La maladie est rare, surtout chez les hommes d'âge moyen. Sullivan a décidé de déposer un rapport dans le système de déclaration des événements indésirables des vaccins (VAERS), qui recueille les rapports sur les symptômes, les diagnostics, les hospitalisations et les décès suite aux vaccinations afin de capturer les signaux de sécurité post-commercialisation.
TKP a régulièrement publié des articles liés à la base de données VAERS ces dernières années. Par exemple, la série détaillée du Dr. Kremer au sujet du turbo-cancer et de l'ARNm . Mais en coulisses, la base de données VAERS est ésotérique et opaque.
Le cas de Robert Sullivan continue :
«Mais le processus de soumission était une course contre la montre imparfaite. "Le format est encombrant et vous oblige à manquer de temps", rapporte-t-il au BMJ. En guise de compensation pour ses ennuis, Sullivan a reçu un e-mail de confirmation et un numéro de « rapport électronique » temporaire. Il a appris du cabinet de son médecin qu'un représentant du VAERS avait demandé un dossier médical. Puis il n'a plus rien entendu pendant un an.
VAERS se veut convivial, réactif et transparent. Mais les recherches menées par le BMJ ont révélé que l'agence ne parvient pas à respecter ses propres normes. Non seulement les niveaux de personnel n’ont pas réussi à suivre le nombre sans précédent de rapports depuis le déploiement des vaccins Covid, mais il y a des signes que le système est débordé, les rapports ne sont pas suivis et des signaux sont manqués.
RépondreSupprimerDeux bases de données
Mais il ne s'agit probablement pas d'un cas isolé, estime le BMJ :
« Le BMJ s’est entretenu avec plus d’une douzaine de personnes, dont des médecins et un médecin légiste de l’État, qui ont déposé des rapports VAERS sérieux en leur nom ou en celui de patients et n’ont jamais été contactés par les enquêteurs cliniques ou seulement des mois plus tard.
Notre enquête a également révélé que, contrairement à la gestion par le gouvernement américain des rapports sur les événements indésirables liés aux médicaments et aux dispositifs, la base de données des vaccins VAERS accessible au public ne contient que les rapports initiaux, tandis que les mises à jour et les corrections des cas sont contenues dans un système back-end distinct et sont enregistrées.
C’est la bombe de l’article : parce que cela signifie que la FDA maintient à la fois une version interne et une version publique incomplète du système de déclaration des blessures causées par le vaccin VAERS.
Qu’est-ce que cela signifie en termes de surveillance du traitement de l’ARNm ? Voici la dernière partie de l'article (traduit avec DeepL) :
« La pharmacovigilance s'est avérée être un outil efficace pour alerter le public de réactions inhabituelles et aiguës, même lorsque les signalements sont rares. Par exemple, il n’a fallu que six rapports VAERS de thrombose avec syndrome de thrombocytopénie suite à l’administration du vaccin Janssen Covid pour que les régulateurs fassent une « pause » en avril 2021.
Ralph Edwards, ancien directeur du centre de surveillance d'Uppsala et jusqu'à récemment rédacteur en chef de l'International Journal of Risk & Safety in Medicine, explique que les systèmes de surveillance comme le VAERS sont excellents pour détecter les effets indésirables qui surviennent très peu de temps après la vaccination ou d'autres Des vaccins sont connus, comme celui de l'anaphylaxie ou du syndrome de Guillain-Barré. Cependant, la détection de réactions nouvelles et inhabituelles, notamment celles ayant des effets latents, représente un défi permanent dans le monde de la pharmacovigilance.
Edwards a déclaré au BMJ : "Si vous n'avez jamais entendu parler de quelque chose, vous avez tendance à l'ignorer." Il explique que les régulateurs s’appuient peut-être trop sur les preuves épidémiologiques pour reconnaître un signal. Le VAERS à lui seul a peu de capacité à capturer de tels effets indésirables à long terme à moins que les rapports ne soient mis à jour régulièrement et que les enquêteurs ne suivent de près ces cas – « un véritable piège », dit-il. « Vous n'obtiendrez jamais de preuves si vous n'avez même pas l'idée de les rechercher.
RépondreSupprimerLors d’une réunion en octobre 2021, Helen a déclaré que la plupart des médecins n’étaient disposés à parler que des effets secondaires des vaccins reconnus par la FDA. Elle a appelé la FDA à alerter les médecins des éventuels effets secondaires neurologiques, comme elle l’a fait pour la myocardite. Cependant, Peter Marks, de la FDA, a exprimé à plusieurs reprises sa confusion quant aux raisons pour lesquelles il devrait importer aux médecins que les régulateurs reconnaissent ou non qu'une maladie peut être liée au vaccin. "Ne font-ils pas face à ce qu'ils ont devant eux ?", a-t-il demandé.
Svetlana Blitshteyn, neurologue et chercheuse à l'Université de Buffalo, New York, qui traite le syndrome de tachycardie orthostatique posturale depuis environ 20 ans et a vu cette maladie apparaître après la vaccination, a déclaré au BMJ que les médecins qui ne sont pas responsables du syndrome de tachycardie orthostatique posturale. Il est peu probable que les personnes capables de traiter la maladie effectuent des tests de dépistage ou sachent comment la traiter.
Helen appelle à mettre fin à la « boucle de rétroaction négative... La FDA ne cite pas d'effets secondaires supplémentaires liés aux vaccins parce que les systèmes de surveillance passive ne les montrent pas. Mais les systèmes de surveillance passive ne les signalent pas parce que les médecins sont aveugles aux effets secondaires chez leurs patients et ne les signalent donc pas.
Le lien vers l’intégralité de la recherche du BMJ.
https://tkp.at/2023/11/10/bmj-fda-fuehrt-geheime-mrna-nebenwirkungsdatenbank/
Google va supprimer votre compte Gmail pour cette raison
RépondreSupprimerGoogle prend une mesure audacieuse : la suppression des comptes inactifs. Cette initiative, visant à renforcer la sécurité et l’efficacité de ses services.
Par Grégoire Hernandez
le 10 novembre 2023 à 13h00
L'offre pour 100Go sur Google One est de 1,99 $ par mois.
Deux ans sans activité, et dites au revoir à votre compte Google
La nouvelle stratégie de Google surprend. Depuis l'annonce faite en mai 2023, les utilisateurs de comptes inactifs depuis leur création reçoivent des alertes de suppression imminente. Google a défini un critère clair : deux ans sans activité et votre espace numérique s'envole. Pour éviter ce sort, les utilisateurs doivent interagir avec les services de Google, que ce soit en envoyant un email via Gmail, en visionnant une vidéo sur YouTube, ou en utilisant Google Drive. Google veut ainsi réveiller ces comptes endormis avant l'échéance de décembre 2023, poussant les utilisateurs à reprendre une activité ou à libérer de l'espace sur ses serveurs.
Cette démarche drastique de Google ne s'inscrit pas uniquement dans une logique de gestion d'espace. Elle répond à un impératif de sécurité. Les comptes inactifs représentent une faille potentielle dans la cybersécurité. Souvent, ces comptes sont moins sécurisés, sans authentification à deux facteurs, et avec des mots de passe faibles ou réutilisés. En procédant à cette suppression, Google vise à réduire les risques d'attaques cybernétiques et d'usurpation d'identité, protégeant ainsi ses utilisateurs et son réseau. C'est un pas vers un écosystème numérique plus sûr et plus fiable.
Les abonnés à des services payants évidemment épargnés
Pour les millions d'utilisateurs de Google, cette annonce est un appel à l'action. Garder son compte actif est assez simple et s'intègre naturellement dans le quotidien numérique. Utiliser régulièrement les services comme Google Docs, Google Photos, ou même effectuer des recherches sur Google peut suffire pour maintenir un compte en vie. Les abonnés à des services payants comme Google One ou les créateurs de contenu sur YouTube sont automatiquement épargnés. Cette politique incite les utilisateurs à explorer et à utiliser davantage l'éventail des services offerts par Google, transformant ainsi une contrainte en opportunité d'engagement.
Cette initiative est plus qu'un simple nettoyage : elle signale un changement dans la philosophie de gestion des données de Google. Elle pourrait inspirer d'autres géants du numérique à adopter des politiques similaires. La suppression de comptes inactifs n'est pas seulement une question de libération d'espace sur les serveurs ; c'est aussi une démarche vers un internet plus responsable, où la sécurité des données est prioritaire.
https://www.economiematin.fr/google-suppression-comptes-inactifs
Que signifie un 'compte inactif ?
SupprimerDes comptes inactifs il y en a des dizaines de millions ! Des documents sur tout sont sur le web. Mais ces documents (pour la plupart de grandes valeurs) ne sont visités qu'à la... 300 ème page de Google qui - avec le programme supervirus appelé 'intelligence artificelle' - établit une politique du 'faut pas voir' ou 'à oublier' sur ses pages en présentant de faux sites aux premières pages.
Donc, à l'avenir': zéro information !
(...) Cette démarche drastique de Google ne s'inscrit pas uniquement dans une logique de gestion d'espace. Elle répond à un impératif de sécurité. (...)
de sécurité ?????!
Le fisc américain réclame 29 milliards à Microsoft
RépondreSupprimerLes services fiscaux américains ont lancé une offensive majeure en réclamant la somme de 28,9 milliards de dollars à Microsoft pour des impayés s’étendant de 2004 à 2013, avec des intérêts et des pénalités. La firme de Redmond entend « contester vigoureusement » ces conclusions, ouvrant la porte à une potentielle bataille judiciaire. Ce litige met en lumière les efforts accrus des gouvernements pour contrer les pratiques d’évasion fiscale des multinationales, dans un contexte où la responsabilité fiscale des grandes entreprises est toujours plus scrutée.
Par Rédacteur
le 10 novembre 2023 à 13h59
Le chiffre d'affaires de Microsoft a atteint 198 milliards de dollars en 2022.
Microsoft se retrouve au cœur d'un différend fiscal majeur, l’administration américaine lui réclamant la somme conséquente de 28,9 milliards de dollars. Ces réclamations couvrent la période de 2004 à 2013, avec des intérêts et des pénalités. L'Internal Revenue Service (IRS), l'agence du gouvernement fédéral des États-Unis chargé de collecter l’impôt et les taxes et de faire respecter les lois fiscales, reproche en effet une répartition frauduleuse de ses bénéfices entre différents pays et juridictions.
Microsoft accusé d’évasion fiscale massive par l’IRS
Dit autrement : l’IRS accuse Microsoft d’avoir profité de son implantation dans le monde entier pour affecter le maximum de revenus à des territoires où les impôts sont plus modestes qu’aux États-Unis. La pratique peut se faire légalement (même si elle est éthiquement discutable), et s’appelle alors de l’optimisation fiscale. Mais, selon l’IRS, Microsoft aurait au passage violer les règles fiscales en vigueur – de l’évasion fiscale, passible de ce type de rappel à l’ordre. Selon le vice-président de l’IRS, Daniel Goff, l’agence fédérale n'a pas pris en compte jusqu'à « 10 milliards de dollars d'impôts déjà payés par Microsoft ».
Dans un document boursier publié mercredi, Microsoft a annoncé son intention de "contester vigoureusement" les conclusions de l'IRS. Daniel Goff a précisé que Microsoft allait d'abord faire appel auprès de l'IRS et, si nécessaire, pourrait porter l’affaire devant la justice. « La procédure d'appel de l'IRS prendra plusieurs années », a-t-il souligné.
Changements dans la pratique fiscale depuis l'audit
Microsoft insiste sur le fait qu'elle a toujours payé les impôts requis : « Nous pensons que nous avons toujours payé les impôts que nous devions aux États-Unis et dans le monde », peut-on lire dans le document boursier.
Microsoft rappelle aussi qu’elle avait longuement discuté avec l’IRS « pour répondre à des questions sur la manière dont nous avons réparti nos revenus et nos dépenses pour des années fiscales remontant jusqu'à 2004 ». La société affirme avoir modifié son approche depuis cette période d'audit, et avoir cessé toute pratique répréhensible.
« Les questions soulevées par l'IRS sont pertinentes pour le passé, mais pas pour nos pratiques actuelles », précise la firme de Redmont. Dans un exercice de communication classique en cas de contestation sur la politique fiscale d’une entreprise, Microsoft a insisté sur sa contribution fiscale, mentionnant avoir payé plus de « 67 milliards de dollars d'impôts aux États-Unis depuis 2004 ».
Incidence sur les provisions fiscales et perspectives futures
RépondreSupprimerMicrosoft, dans le même document, considère que ses provisions pour risques fiscaux sont « suffisantes » à ce stade, et ne prévoit pas d'augmentation significative de ses provisions fiscales pour ces questions au cours des douze prochains mois.
Ce litige prend place dans un contexte de remise en cause généralisé des pratiques fiscales des multinationales du numérique. Le 11 octobre 2023, l’OCDE a ainsi publié le texte de sa « convention multilatérale réglementant la taxation des géants du numérique », le « Pilier 1 » de la réforme de la fiscalité internationale adoptée fin 2021.
L’organisation entend ainsi harmoniser la taxation des géants du numérique, et surtout octroyer un droit à taxer aux pays où ils exercent une activité sans y être physiquement présente grâce à Internet, et éviter ainsi la fuite d’une partie des bénéfices vers les paradis fiscaux. Mais la mesure pourrait prendre des années à être adoptée, et nécessitera le soutien des États-Unis.
https://www.economiematin.fr/microsoft-irs-fraude-fiscale-usa
Un américain (naît en Amérique) qui s'établit à l'étranger (et change de nationalité) et qui n'a plus de domicile, ni de terrain aux USA, paiera ses impôts à l'étranger... + aux USA !!
SupprimerLes révélations de Philip Lane chef économiste de la BCE
RépondreSupprimerOn va commencer par un peu de compliqué, mais évidemment, vous avez la traduction tout de suite après, puisque votre modeste serviteur ici présent parle le « banquecentrale » couramment !
Par Charles Sannat
le 10 novembre 2023 à 10h30
L’actif total de la BCE a chuté de près de 2.000 milliards d’euros
Philip Lane, c’est l’économiste en chef de la Banque centrale européenne (BCE), et il a pris la parole lors d’un événement organisé à l’Université de Chypre à Nicosie, où il a souligné la nécessité d’une réduction contrôlée du bilan de la BCE. Il a insisté sur le fait que, bien qu’une diminution soit indispensable, il serait irréaliste de viser les niveaux initiaux de l’institution.
Dans le cadre des discussions sur un nouveau système opérationnel, la BCE s’est engagée à mettre en place d’ici le printemps 2024 un nouveau cadre pour la gestion des taux d’intérêt à court terme, avec la taille de son bilan comme élément déterminant.
Depuis son apogée, l’actif total de la BCE a chuté de près de 2 000 milliards d’euros, pour s’établir actuellement à 7 000 milliards d’euros. Cependant, ce montant reste bien au-delà de la fourchette de 1 000 à 2 000 milliards d’euros observée aux débuts de la BCE.
Lane a expliqué que le niveau optimal des réserves de la banque centrale pourrait être significativement plus élevé et plus sujet à fluctuation que les niveaux relativement bas d’avant la crise financière mondiale. Il a ajouté que le niveau adéquat de réserves devrait prévenir les risques liés à des réserves insuffisantes ou excessives.
Il a préconisé une approche équilibrée pour inciter les banques commerciales à octroyer des prêts, malgré les risques liés aux actifs illiquides, dans un contexte mondial plus susceptible de subir des chocs macrofinanciers.
Lane a suggéré que ces réserves devraient être soutenues par des obligations structurées et des opérations de refinancement à long terme, en complément des opérations de refinancement standard à court terme. Ces outils devraient fournir des liquidités à plus long terme au système bancaire et leur disponibilité devrait être flexible pour minimiser le besoin pour les banques de constituer des réserves de précaution.
Enfin, Lane a affirmé que la BCE devrait rester disposée à accepter des augmentations durables de son bilan si les taux d’intérêt venaient à chuter à nouveau.
RépondreSupprimerBon je le reconnais ce résumé de son intervention est un peu technique.
Alors traduisons ce langage abscons de banquier central.
Historiquement le bilan de la BCE évolue entre 1 000 et 2 000 milliards d’euros ce qui est déjà pas mal.
Le problème c’est qu’à force de racheter des actifs moisis le bilan de la banque centrale augmente et enfle.
Allons plus loin dans l’explication.
Pour ceux qui ne seraient pas comptable, un « bilan » c’est toujours, toujours équilibré.
Cela veut dire que quand la BCE « imprime » ou « crée » 1 milliard d’euros à son passif elle va mettre en face dans la colonne actif le même montant en actif. Rien de plus simple dans la vraie vie. La BCE imprime ou crée 1 milliard d’euros et achète pour un milliard d’euros d’obligations grecques par exemple. Passif 1 milliard imprimé, actif 1 milliard de créances grecques. Tout va bien c’est équilibré.
Et c’est ainsi que plan d’aide après plan d’aide, que sauvetage de banque après sauvetage de banque le bilan de la BCE est une grenouille devenue aussi grosse qu’un bœuf !
Jusqu’en 2006 le bilan de la BCE c’est-à-dire la création monétaire était sous la barre des 1 000 milliards d’euros.
- voir graph sur site -
Comme vous pouvez le voir c’est à partir de la crise des subprimes que tout est parti à vau-l’eau.
Tout est tellement parti à la dérive qu’en 2022 nous avons atteint les 9 000 milliards de bilan pour la BCE.
Ce bilan a été multiplié par 9 entre 2006 et 2022.
Depuis la hausse des taux, la BCE tente, comme la FED de normaliser son bilan et donc de réduire sa taille ce qui revient à retirer de l’argent du système économique. Cela s’appelle la « stérilisation » et bien évidemment, cela provoque des tensions et du « stress » sur les marchés financiers comme nous avons pu le voir avant l’été dernier avec la crise bancaire aux Etats-Unis.
RépondreSupprimerQuand Philip Lane vous dit que « le bilan de la Banque centrale européenne (BCE) doit être davantage réduit, mais ne peut pas revenir au niveau auquel il était au cours des premières années de l’institution », il vous explique en réalité que la normalisation monétaire est impossible.
Irréaliste.
Plus grave.
Quand il dit que « le niveau approprié des réserves de la banque centrale pourrait rester beaucoup plus élevé et soit plus volatil par rapport aux niveaux relativement bas qui prévalaient avant la crise financière mondiale », il vous dit que la BCE n’hésitera pas à recommencer à augmenter la taille de son bilan, ce qui veut dire qu’elle le fera.
Pour achever l’analyse, quand il rajoute que la « voie médiane » est nécessaire pour encourager les banques commerciales à accorder des crédits malgré les risques associés aux actifs illiquides dans un monde beaucoup plus enclin aux chocs macrofinanciers », il vous dit qu’il y a tellement d’actifs pourris, moisis, mais mieux vaut dire « illiquides » c’est plus poétique et moins effrayant, qu’il faut quand même gérer discrètement ce sujet pour que les banques puissent continuer à prêter. Il faut donc que la BCE reprenne ces actifs illiquides… dans son bilan et donne de l’argent frais aux banques.
Vous l’avez compris, la situation financière est très compliquée, la normalisation monétaire presque impossible et la réduction du bilan des banques centrales est une gageure.
Les révélations de Philip Lane sont passionnantes, car en creux, il vient de vous dire que rien ne redeviendra à la normale.
Si rien ne revient à la normale en termes monétaires, alors il ne faut pas avoir trop de monnaie.
A bon entendeur salut… et quand la monnaie ne va pas, l’or est toujours la planche de salut !
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
https://www.economiematin.fr/bce-comptes-bilan-actifs-economie-crise-sannat
Le renard C'EST le poulailler !
SupprimerA force de prendre des incapables du fond de la classe pour être ministre ou secrétaire du ou de la, la gestion d'un pays devient ingérable ! Ils ne savent même pas gérer une épicerie et veulent gérer une grande surface !!
Peter Schiff : La Fed ne remplira aucun de ses mandats
RépondreSupprimerSchiffGold.com
10 novembre 2023
La Réserve fédérale fonctionne sous un double mandat du Congrès : atteindre un taux d’emploi maximal et des prix stables. Dans un podcast récent, Peter Schiff a expliqué pourquoi la Fed n’y parviendra pas non plus.
Le FOMC a tenu sa réunion de novembre la semaine dernière. Comme prévu, la Fed a laissé ses taux d’intérêt inchangés. Peter a déclaré que l’on peut presque toujours compter sur la banque centrale pour faire ce qui est attendu.
- voir clip sur site -
La Fed ne veut jamais confondre les attentes. Ils ne veulent jamais surprendre les marchés. Donc, si les marchés ne s’attendent à aucune hausse des taux, eh bien, ils ne prévoient aucune hausse des taux, et c’est ce qui s’est produit.
Lors de son discours préparé, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a reconnu les « difficultés économiques » causées par l'inflation des prix. Mais Peter a dit qu’il ne semble pas avoir une vision globale de la situation.
Puisque l’inflation est causée par le gouvernement et par la Réserve fédérale, c’est le gouvernement et la Fed qui créent ces difficultés. Ce n’est pas comme si cela se produisait hors du champ gauche.
C’est une politique intentionnelle. Le gouvernement a décidé de financer ses emprunts et ses dépenses au moyen d’une taxe inflationniste.
Or, s’ils avaient utilisé une autre forme de taxation, si l’administration Biden, et d’ailleurs l’administration Trump, avaient augmenté les impôts suffisamment pour financer tous ces programmes gouvernementaux, cela aurait également créé des difficultés. Les familles seraient aux prises avec le fardeau d’une fiscalité écrasante. Donc, parce que le gouvernement a décidé de les imposer par le biais de l'inflation plutôt que par l'impôt sur le revenu ou les charges sociales, les difficultés qui sont créées sont dues au gouvernement. Ce n’est pas quelque chose qui arrive par hasard. »
Powell a également réitéré que l’objectif est la « stabilité des prix ». Personne ne prend jamais la peine de demander : « Pourquoi ? » Qu’y a-t-il de si bien dans la stabilité des prix ?
Qu’en est-il de la baisse des prix ? Parce que la stabilité des prix, telle qu’une personne normale la définirait, c’est que les prix restent les mêmes. Eh bien, je suis un consommateur. Je préfère que les prix baissent plutôt que les prix restent les mêmes. Et si les prix baissaient de 1 % ou de 2 % par an ? Pourquoi est-ce si grave ? Pourquoi la Fed doit-elle remplacer cela par la stabilité ?
RépondreSupprimerPeter a dit que nous n’avons pas vraiment besoin de « stabilité des prix ».
C’est vraiment un objectif de BS.
Et nous n’avons même pas d’objectif de stabilité des prix. L'objectif est que les prix augmentent de 2 %.
Il n’y a rien de stable là-dedans, à part le taux d’augmentation.
Après la réunion de la Fed, Powell a admis que la banque centrale était loin d’atteindre cet objectif et qu’il s’agissait d’un long processus.
Il sous-estime. Attendre que l’inflation atteigne 2 %, ce sera comme attendre Godot. Cela n’arrivera jamais.
Au cours de la séance de questions-réponses, Powell a souligné que nous avons une économie « très forte ». À peine deux jours plus tard, nous avons reçu un rapport sur l'emploi très médiocre. (Peter en a parlé plus tôt dans le podcast.)
Comment l’économie peut-elle être si forte si le marché du travail est si faible ? … Je ne sais pas ce que Powell regarde. Je pense qu’il lit simplement un scénario que l’administration Biden lui a remis parce qu’il ne fait que réitérer leurs points de discussion pour parler de l’économie afin que Biden puisse en obtenir le mérite.
La question est de savoir comment Powell réagira lorsque le marché du travail continuera de se détériorer ? Cela impliquerait que la Fed cesse de relever ses taux. Mais comme Peter l’a souligné, l’une des raisons pour lesquelles le marché du travail s’affaiblit est que l’inflation des prix s’accentue. Comment peut-il se concentrer sur un marché du travail en déclin et ignorer la hausse de l’inflation ?
Parallèlement, Powell a continué d’insister sur la nécessité d’assister à un ralentissement de la croissance économique et à un certain « ralentissement » du marché du travail afin de « restaurer pleinement la stabilité des prix ». En d’autres termes, il souhaite voir davantage de personnes perdre leur emploi. C’est parce qu’il pense que les gens dépensent parce qu’ils se portent bien, que ces dépenses créent davantage d’emplois et font également augmenter les salaires. Peter a déclaré que les gens dépensent plus parce que les prix augmentent.
Ils dépensent parce que la masse monétaire a augmenté. Ils ont plus d’argent à dépenser, et ils dépensent parce qu’ils ont toujours accès au crédit. Ils prennent cet argent emprunté et le dépensent. Ce n’est pas ainsi qu’on fait croître une économie. C’est ainsi qu’on détruit une économie. Ce n’est pas une dynamique vertueuse qu’il décrit. C’est une politique vicieuse qui va se terminer par une ruine. Parce qu’on ne fait pas croître une économie en dépensant de l’argent.
Vous développez une économie en ne dépensant pas d’argent et en épargnant. Cela fournit des semences de maïs pour les investissements en capital. Cela augmente la productivité et crée plus de production.
RépondreSupprimerVous produisez votre chemin vers la prospérité. Vous économisez votre chemin, puis investissez et produisez pour accéder à la prospérité. Nous ne faisons pas ça. Nous essayons de mettre la charrue avant les bœufs.
Peter a réitéré que nous n’avons pas une économie forte. Nous avons une économie inflationniste.
C’est l’inflation qui dirige tout. Powell ne s’en rend tout simplement pas compte. Il regarde l’économie « forte » et il pense que tout va bien. Il regarde l’inflation. Il vient de le faire
This originally appeared on SchiffGold.com.
https://www.lewrockwell.com/2023/11/no_author/peter-schiff-the-fed-wont-achieve-either-of-its-mandates/
Brève. Le Président de la FED va encore augmenter les taux !
RépondreSupprimerle 9 novembre 2023
Si les Américains entrent en guerre au Moyen-Orient ils renieront leur dette détenue par d’autres pays comme le Japon, l’Allemagne, la France, la Chine et … la Russie dont les T-bonds sont gelés dans les banques occidentales. Et comme les Américains risquent de se trouver confrontés à une coalition musulmane considérable disposant d’armes qui échappent à tout contrôle, un tel conflit signera la ruine des USA sur la scène internationale. La partie est perdue pour eux en Ukraine quitte à envoyer à l’abattoir jusqu’au dernier Ukrainien, et les velléités guerrières américaines au Moyen-Orient sont le dernier soubresaut de ce pays.
Il m’arrive parfois de rêver d’une destruction totale d’Israël par une puissante alliance musulmane pour liquider les séquelles du désordre organisé dans la région par les Anglais depuis la première guerre mondiale. Les Américains ont toujours copié la fourberie des Anglais depuis la création de l’Etat américain. Et ils ont persévéré dans les mensonges, les faux drapeaux et les coups tordus de toute sorte à la manière britannique. La finalité hégémonique américaine a toujours été l’énergie et la suprématie du dollar lié au pétrole. Les Chinois financent leurs investissements en particulier en Afrique avec des T-bonds, c’est une manière élégante de se débarrasser de cette monnaie de singe. Les entreprises japonaises font de même ainsi que la Corée. Les Russes semblent avoir « oublié » la scandaleuse spoliation dont ils ont été victimes avec le gel de leurs avoirs (T-bonds) déposés dans les banques occidentales. Il faut mentionner le gel de l’or russe en Suisse. Haro sur les Suisses qui ont renié leur neutralité pour se faire bien voir par les Américains. Les Finlandais comme les Suédois ont également renoncé à leur neutralité : ils paieront la facture plus tard quand la défaite de l’OTAN en Ukraine sera actée et quand la défaite américaine au Moyen-Orient sera également évidente. Les deux porte-avions américains qui croisent en Méditerranée seront coupés en deux par un missile supersonique sans aucune riposte possible. Et les flottes n et n+1 américaines sans avions n’auront plus aucune valeur …
La menace de Powell d’augmenter le taux directeur de la FED ne va pénaliser que la population américaine qui souffre déjà d’une inflation fleurant les deux chiffres mais ce n’est pas tout : les Américains vivent tous à crédit. Le taux du découvert des cartes de crédit (les Américains en ont tous une demi douzaine) va dépasser les 12 % et même à court terme c’est insupportable. Powell joue donc un jeu dangereux : non seulement les mesures prises par la FED n’arrivent pas à maîtriser l’inflation mais elle aggravent la situation quotidienne de l’Américain moyen. Les conséquences sur la politique intérieure américaine sont imprévisibles comme par exemple des émeutes de la faim … Les Américains en sont là, et il est impossible de juguler des émeutes de la faim, la pire situation qui puisse arriver à un pays. J’ose mentionner l’abus de fentanyl réservé aux désespérés qui considèrent qu’ils n’ont plus d’avenir dans leur pays : pas de travail, pas de protection sociale, plus de logement, plus de crédit bancaire, plus de téléphone … il est facile de se mettre à leur place, une sorte de suicide organisé par l’Etat fédéral qui trouve supportable de voir disparaître d’elle-même cet aéropage de sans-dents.
Donc Powell contribue à la décadence des Etats-Unis ! Et une bonne guerre au Moyen-Orient serait une excellente opportunité pour effacer de l’ardoise de 30000 milliards de dollars. Personnellement j’ai atteint le crépuscule de ma vie et je ne dispose d’aucun capital pour acheter de l’or, d’ailleurs à quoi bon mourir riche, et je ne peux que conseiller à mes lecteurs sérieux d’acheter de l’or car de 2000 dollars l’once (cours largement manipulé par la FED, JP Morgan ainsi que la City) ce cours va atteindre en un bref laps de temps plus de 5000 dollars l’once. Jerome Powell devrait vite opter pour une retraite dorée et vite se faire oublier !
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2023/11/09/breve-le-president-de-la-fed-va-encore-augmenter-les-taux/
Lidl : après le succès des magasins, le succès de la vente en ligne
RépondreSupprimerL’e-commerce en France connaît un nouveau tournant avec l’ascension fulgurante de Lidl.fr et Temu. Ces plateformes, connues pour leurs prix attractifs, se frayent un chemin vers le sommet du marché en ligne, bousculant les géants établis.
Pdp Ecomat
Par Grégoire Hernandez
Lidl 7ème au troisième trimestre 2023
Lidl a réalisé une percée spectaculaire dans l'univers du e-commerce. La célèbre enseigne a lancé juste avant l'été 2023 son portail Lidl.fr. Il se classe déjà septième au troisième trimestre 2023, selon Médiametrie//NetRatings et la Fevad. Avec 15,82 millions de visiteurs uniques mensuels en moyenne, Lidl dépasse même des noms comme Carrefour et se rapproche dangereusement de Cdiscount et Leclerc. Ce succès s'explique par une stratégie digitale efficace et une approche centrée sur l'utilisateur mobile, avec 88,4 % des visites depuis des smartphones.
Temu, l'acteur chinois, ne passe pas inaperçu. Avec plus de 1,6 million de cyber-visiteurs quotidiens en France, cette plateforme devient un incontournable du paysage e-commerce français. Temu se distingue par ses tarifs avantageux et une offre diversifiée, attirant une clientèle à la recherche de bonnes affaires. Son entrée fracassante dans le top 20 des sites les plus visités montre une appétence croissante des consommateurs français pour des alternatives économiques en ligne.
Les entreprises historiques sont bousculées
L'arrivée de Lidl.fr et Temu dans le top 20 bouleverse l'équilibre du marché du e-commerce en France. Ces nouveaux venus, avec leur proposition de valeur axée sur les prix bas, défient des acteurs établis comme la Fnac, Leroy Merlin, ou Decathlon. Cette concurrence stimule l'innovation et pousse les entreprises historiques à réviser leurs stratégies pour rester compétitives. L'impact se ressent également sur les habitudes de consommation, avec une tendance croissante vers le shopping en ligne pour des produits de qualité à des prix compétitifs.
Cette évolution du marché e-commerce reflète une transformation des attentes et comportements des consommateurs français. Ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers des plateformes offrant des produits à des prix abordables, sans compromettre la qualité. Lidl.fr et Temu répondent à cette demande avec leur large gamme de produits et leurs tarifs attractifs.
https://www.economiematin.fr/lidl-temu-ecommerce-france
Après les milliers de fermetures de magasins, les commerçants se sont dirigés vers les marchés hebdomadaires de différentes villes. Car en plus des impôts locaux, il y a l'électricité et le chauffage du magasin + assurances et diverses 'normes de sécurité obligatoires' (d'où, la clé sous la porte).
SupprimerDe plus, aujourd'hui, il y a le développement de la vente en ligne... (du producteur au consommateur).
Donc: il faut s'attendre à des taxes (faramineuses) sur les transferts d'argent en ligne pour qui opte pour de achats !
Devinez ce qui se cachait dans ce projet de loi de 1 000 pages
RépondreSupprimerPar Tom Woods
10 novembre 2023
Extrait de la lettre de Tom Woods :
Vous avez peut-être entendu dire que depuis hier, il a été décidé qu'à partir de 2026, toutes les voitures vendues aux États-Unis seront équipées d'un « coupe-circuit », grâce auquel la voiture pourra être désactivée à distance s'il est déterminé que vous conduisez mal.
Le représentant Thomas Massie a cherché à annuler cette disposition de la loi sur les investissements dans les infrastructures et l'emploi, un projet de loi de plus de 1 000 pages. Son amendement a été rejeté.
Mais je veux que vous voyiez la différence entre sa façon d’argumenter et celle des démocrates. Vous le verrez immédiatement.
Premier Massie :
Mon amendement est simple. Il annulera le mandat fédéral qui exige que tous les nouveaux véhicules après 2026 soient équipés d’un coupe-circuit capable de désactiver un véhicule si le véhicule a surveillé les performances de l’utilisateur et du conducteur et que le véhicule détermine que le conducteur ne fonctionne pas bien.
C’est tellement incroyable que je doive proposer cet amendement. Cela ressemble presque au domaine de la science-fiction, de la science-fiction dystopique, que le gouvernement fédéral mette un coupe-circuit dans des véhicules qui seraient le juge, le jury et le bourreau d'un droit aussi fondamental que le droit de voyager librement. Mais nous y sommes. C'est la loi fédérale qui impose cela. Je propose donc cet amendement pour annuler ce mandat.
Ensuite, la représentante Debbie Wasserman-Schultz (Démocrate-FL) donne sa réponse :
Je m'oppose à cet amendement. Laisse moi être clair. C'est la loi que le monsieur tente de supprimer, qui n'oblige pas les constructeurs automobiles à installer des coupe-circuit. Ce n'est pas le cas. La technologie passive de conduite en état d’ébriété est un outil essentiel pour protéger nos proches et les autres personnes innocentes sur nos routes. Cette nouvelle technologie offre une bouée d’espoir non seulement pour sauver des vies, mais aussi pour éviter le bilan émotionnel à vie et les coûts gargantuesques que ces accidents infligent aux familles. Les accidents mortels liés à la conduite en état d’ébriété peuvent se répercuter sur plusieurs générations, mais nous pouvons saisir cette opportunité pour mettre fin à de telles tragédies.
Entre 2019 et 2021, la Floride a connu une augmentation de 31 % des accidents de conduite en état d’ébriété dans l’État d’origine de M. Massie, le Kentucky, 190 personnes ont été tuées dans des accidents de conduite en état d’ébriété rien qu’en 2021. Cela représente une augmentation de 26 %. Lorsque nous avons vu ces sombres statistiques, nous avons agi de manière bipartite au Congrès. Et combien de fois voyons-nous que les Républicains et les Démocrates ont soutenu la loi Halt pour obliger les constructeurs automobiles à intégrer cette technologie passive comme norme dans les nouveaux véhicules ?
RépondreSupprimerLe parrain de cet amendement malavisé vous dira qu'il s'inquiète des problèmes de confidentialité. Nous avons entendu les mêmes appels stupides concernant l’exigence du port de la ceinture de sécurité. Mais vous n’avez pas le droit d’adopter un comportement potentiellement mortel qui, nous le savons, constitue une menace majeure pour la santé et la sécurité publique. La technologie passive de conduite en état d’ébriété est favorable à la police. Cette technologie anti-alcool au volant allège la charge des policiers, leur permettant de se concentrer sur des problèmes de sécurité plus urgents. L’importance de cette technologie va bien au-delà des statistiques. Il s’agit de sauver des vies, de prévenir les chagrins et de rendre nos routes plus sûres. Il s’agit d’un appel passionné à l’action pour empêcher la conduite avec facultés affaiblies par l’alcool de détruire la vie de ceux qui nous sont chers.
Si je comprends bien, cet amendement a été surnommé l'amendement coupe-circuit et il ne nécessite pas de coupe-circuit. Cela permet simplement, cela nécessite simplement une technologie passive pour nous aider à prévenir la conduite en état d'ébriété. Au nom des 406 personnes qui ont été tuées par un conducteur ivre dans mon propre État, la Floride, l'année dernière seulement, j'exhorte mes collègues à voter non sur cet amendement. Prenons des mesures pour réduire les décès dus à la conduite en état d’ébriété, et non pour les augmenter.
Voici à nouveau Massie :
L'alcool au volant est un problème grave. C'est pourquoi 31 États ont déjà une loi pour mettre en œuvre la technologie d'allumage par verrouillage, selon laquelle si vous avez été reconnu coupable de conduite en état d'ébriété, vous devez réussir ce test pour pouvoir conduire votre véhicule. Mais cette loi fédérale que je cherche à annuler va bien au-delà. Et je regrette de devoir passer une partie de mon temps à lire la loi de l’autre côté de l’allée. Mais je vais le faire.
Cette loi, adoptée dans un projet de loi de mille pages il y a deux ans, exige que les automobiles puissent surveiller passivement les performances d'un conducteur, non pas le taux d'alcool dans le sang, mais les performances d'un conducteur d'un véhicule automobile afin d'identifier avec précision si ce conducteur peut être avec facultés affaiblies, et non ivre, il est dit avec facultés affaiblies, et empêcher ou limiter la conduite d'un véhicule à moteur. C'est un kill switch.
RépondreSupprimerMaintenant, la question est : de combien de temps disposez-vous une fois que votre tableau de bord vous indique qu’il n’approuve pas votre conduite ? Que se passe-t-il si vous êtes une mère célibataire, que vous partez en voyage par mauvais temps et que vous essayez d'éviter certains obstacles ? De la glace peut-être. Et vous avez fait trois écarts et votre tableau de bord dit : faites encore un écart et vous allez être mis sur le bord de la route, que vous aurez 100 mètres pour garer ce véhicule au milieu de nulle part avec votre enfants sur la banquette arrière.
Ce n’est pas un scénario fantastique. C’est ce qui arrivera si cela est mis en œuvre.
Et c'est la loi. Je vous l'ai lu ici. Vous auriez peut-être dû le lire il y a deux ans, lorsque vous avez tous voté pour, de ce côté-là de l'allée. Mais c'était dans un projet de loi de 1 039 pages. Je peux donc comprendre que vous ne sachiez pas ce que contient la loi. Mais je vous l'ai lu.
La représentante Janice Schakowsky (Démocrate-IL) prend ensuite la parole, n'ayant visiblement rien entendu de ce que la représentante Massie vient de dire :
Plus de 10 000 personnes meurent chaque année des suites d’accidents dus à la conduite en état d’ébriété. Les conducteurs ivres sont sept fois plus susceptibles d'être impliqués dans un accident mortel qu'une personne sobre. On pourrait donc penser que les Républicains voudraient faire quelque chose à ce sujet. Les démocrates ont fait quelque chose et ont déclaré que la NHTSA disposerait désormais d'une technologie de prévention pour la protection des conducteurs ivres.
Vous savez, cette technologie a le potentiel de sauver des milliers de vies. Et je ne pense pas que vous soyez d’accord sur le fait que nous devrions sauver ces vies. Et je dirais que nous devrions tous voter contre la loi sur la protection des conducteurs ivres [son nom sarcastique pour l'amendement Massie], et je cède.
Et enfin Massie, qui, comme vous le remarquerez, est le seul à ne pas avoir l’air de lire un rapport de lecture de quatrième année :
Eh bien, nous ne savons pas vraiment comment cette technologie va fonctionner. Et ils ne le savent pas non plus au DoD, car nous leur avons envoyé une lettre à laquelle ils n’ont pas encore répondu, leur demandant : est-ce qu’il y aura des caméras à l’intérieur de la voiture ? Est-ce qu'il surveillera vos yeux pour voir si vous êtes concentré sur la route ? Aura-t-il des caméras à l’extérieur de la voiture ? Comment saura-t-il quelle est votre performance par rapport à la route sur laquelle vous conduisez s’il ne sait pas en fait sur quelle route vous conduisez ?
Les effets des micro-ondes pulsées et des ondes électromagnétiques à très basse fréquence sur le cerveau humain ? Les gouvernements « classifient » régulièrement les informations relatives à la manipulation du système nerveux humain
RépondreSupprimerPar Mojmir Babacek
Recherche mondiale,
10 novembre 2023
En 1962, le scientifique américain Allan H. Frey a mené des expériences avec des micro-ondes pulsées, qui produisaient des cliquetis, des bourdonnements, des sifflements ou des cognements dans la tête de personnes situées à plusieurs milliers de mètres de distance. Dans son rapport, il écrit également qu'avec le changement de paramètres, il peut produire des sensations de fourmillements ou une perception de secousses sévères dans la tête et affirme que cette énergie « pourrait éventuellement être utilisée comme un outil pour explorer le codage du système nerveux… et pour stimuler le système nerveux sans les dommages causés par les électrodes » (voir ceci ).
En d’autres termes, Allan Frey était sur le point de trouver le moyen de manipuler le système nerveux humain à distance. Cela a été rapidement compris par le gouvernement américain. Au cours des deux décennies suivantes, Frey, financé par l'Office of Naval Research et l'armée américaine, fut le chercheur le plus actif du pays sur les effets biologiques des rayonnements micro-ondes. Frey a rendu les rats dociles en les exposant à des rayonnements d'une puissance moyenne de seulement 50 microwatts par centimètre carré. Il a modifié les comportements spécifiques des rats à 8 microwatts par centimètre carré. Il a modifié la fréquence cardiaque des grenouilles vivantes à 3 microwatts par centimètre carré. À seulement 0,6 microwatt par centimètre carré, il a provoqué l'arrêt des battements du cœur de grenouilles isolées en chronométrant les impulsions micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque (voir ceci et ceci ).
En 1975, Allan Frey a publié ses recherches sur la barrière hémato-encéphalique dans les Annales de l'Académie des Sciences de New York, où la barrière hémato-encéphalique (protégeant le cerveau du poison qui y pénètre avec le sang) de rats, éclairée par radiofréquence pulsée, permettait de colorer pénétrer dans leur cerveau. Ses découvertes ont été confirmées par 13 laboratoires différents dans 6 pays et avec l'utilisation de différents animaux.
En 2012, Allan H. Frey a écrit un article dans lequel il décrivait comment l'American Brooks Air Force avait falsifié son expérience en sélectionnant un entrepreneur qui injectait le colorant dans les intestins plutôt que dans le sang, et s'assurait ainsi que le colorant n'apparaissent pas dans le cerveau. Cela était censé aider l'US Air Force à obtenir l'approbation des gens pour construire des radars à proximité. Selon Frey, la même base aérienne de Brooks a ensuite tenté de « discréditer les recherches non classifiées dans le domaine des micro-ondes » afin de couvrir « un programme classifié d’armes biologiques à micro-ondes ».
Allan Frey a conclu : « Le financement de la recherche ouverte sur la biomicro-onde aux États-Unis a été pour l’essentiel interrompu. » D'ailleurs le grand public (dans le monde entier) ne sait jusqu'à présent rien de la possibilité de contrôler son activité cérébrale à distance grâce aux effets des micro-ondes pulsées sur son système nerveux.
En mars 2021, le scientifique américain James C. Lin a écrit un article sur le syndrome de La Havane, dans lequel il écrivait que ce trouble causé aux diplomates et agents gouvernementaux américains à Cuba et ailleurs était très probablement produit par des micro-ondes pulsées (voir ceci ) .
Le 5 décembre 2020, l’Académie américaine des sciences a publié une étude sur le syndrome de La Havane, dans laquelle elle affirme :
"Dans l'ensemble, l'énergie RF pulsée dirigée (radiofréquence), en particulier chez ceux présentant des manifestations précoces distinctes, semble être le mécanisme le plus plausible pour expliquer ces cas parmi ceux examinés par le comité."
Quand la population mondiale atteindra-t-elle son apogée ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 05:20
Quand le monde atteindra-t-il son pic de population ?
Selon les données de la révision 2022 des perspectives démographiques mondiales des Nations Unies, nous pourrions assister à un pic de plus de 10,4 milliards de personnes à la fin des années 2080.
Même si les projections de l’ONU sont les plus largement utilisées, cela ne signifie pas nécessairement qu’elles sont les plus précises. Plusieurs modèles alternatifs prédisent un pic plus précoce et plus faible, ce qui suggère que la population mondiale pourrait décliner plus tôt que prévu.
Dans les dernières révisions de l’ONU, l’ONU a abaissé ses propres estimations de la population mondiale en 2100, de 10,9 milliards (en 2019) à 10,4 milliards (en 2022).
Dans ce graphique, Marcu Lu et Miranda Smith de Visual Capitalist ont visualisé les projections démographiques jusqu'en 2100 de trois organisations : l'ONU, l'Institut de mesure et d'évaluation de la santé (IHME) et l'Institut international d'analyse des systèmes appliqués (IIASA).
- voir graph sur site -
Données et faits saillants
Les données de projection démographique que nous avons utilisées pour créer ce graphique sont répertoriées dans le tableau ci-dessous. Notez que les projections de l’ONU datent de 2022, de l’IHME de 2020 et de l’IIASA de 2014.
- voir liste sur site -
À partir de ces données, nous pouvons voir que l’ONU s’attend à ce que la population mondiale atteigne son pic de population en 2086, et qu’elle se maintienne au-dessus de 10 milliards de personnes en 2100.
D’un autre côté, ni les modèles IHME ni IIASA ne prévoient que la population mondiale atteindra 10 milliards, prévoyant plutôt un pic de 9,7 milliards dans les années 2060 (IHME) ou de 9,4 milliards en 2070 (IIASA). Les deux modèles prévoient également que la population retombera autour de 8 milliards d’ici 2100.
L’écart à 2100 est substantiel, les prévisions de l’IHME étant par exemple inférieures à celles de l’ONU de 1,6 milliard de personnes.
Qu'est-ce que l'IHME et l'IIASA et pourquoi diffèrent-ils ?
L'Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) est un institut de recherche basé à Seattle, fondé en 2007 par la Fondation Bill & Melinda Gates. Sa mission est de « fournir au monde des données probantes opportunes, pertinentes et scientifiquement valables pour améliorer les politiques et les pratiques de santé ».
L'Institut international d'analyse des systèmes appliqués (IIASA), quant à lui, est un institut de recherche international basé en Autriche et fondé en 1972. Il a été créé pour améliorer la coopération scientifique entre l'Union soviétique et les États-Unis et compte aujourd'hui des membres dans plus de 20 pays.
RépondreSupprimerPour comprendre pourquoi les modèles IHME et IIASA diffèrent de ceux de l’ONU, examinons les projections de chaque organisation en matière de taux de fécondité, qui est mesuré comme le nombre d’enfants par femme.
- voir graph sur site -
Sur la base de ce graphique, l'IHME et l'IIASA s'attendent à ce que les taux de fécondité mondiaux chutent plus rapidement avant 2050, puis se stabilisent à l'approche de 2100. Cela contraste avec les projections de l'ONU, qui s'attendent à une baisse de la fécondité à un rythme plus lent et plus régulier tout au long de la période. chemin vers 2100.
D’une manière générale, le taux de natalité d’un pays diminue à mesure qu’il devient plus développé. Cela est dû à de nombreux facteurs tels que des taux d'éducation plus élevés pour les femmes (et donc un plus grand nombre de femmes sur le marché du travail), un meilleur accès aux contraceptifs et à la planification familiale, ainsi que des coûts de procréation plus élevés.
À quelle vitesse les taux de fécondité baisseront-ils en Afrique ?
L'Afrique subsaharienne a l'un des taux de fécondité les plus élevés au monde, mais celui-ci diminue rapidement à mesure que la région connaît une croissance économique rapide. Par exemple, le PIB par habitant en Afrique subsaharienne est passé de 632 dollars en 2000 à 1 690 dollars en 2000. 2022.
En raison de cette transformation économique, certains chercheurs estiment que l’Afrique connaîtra une transition démographique rapide, semblable à celle de l’Asie de l’Est, où la croissance démographique chutera fortement. Par exemple, une enquête de l’UNICEF de 2021 a révélé que les taux de fécondité au Nigeria étaient tombés de 5,8 à 4,6 (une diminution de 17 %) en seulement cinq ans.
ℹ️ Considérez cet article de juillet 2023 du Wilson Center pour plus de contexte sur l’évolution démographique du Nigeria.
Revenons maintenant à la question posée, voyons en quoi les projections du taux de fécondité de l’ONU et de l’IHME diffèrent pour l’Afrique subsaharienne.
- voir doc sur site -
Ces différences peuvent sembler minimes, mais même quelques décimales peuvent avoir un impact énorme. Par exemple, revenons à la projection démographique de l’ONU pour l’année 2100, qui était de 10,4 milliards de personnes.
Selon le scénario de faible fécondité de l’ONU (les taux de natalité restent inférieurs de 0,5), la population en 2100 serait nettement inférieure à 7,0 milliards. Pendant ce temps, dans le scénario d’une fécondité élevée (les taux de natalité restent 0,5 fois plus élevés), la population atteindrait 14,7 milliards.
En conséquence, l’évolution des taux de natalité dans les régions à forte fécondité comme l’Afrique subsaharienne aura une influence significative sur le moment où la population mondiale atteindra son apogée.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/when-will-global-population-reach-its-peak
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