- ENTREE de SECOURS -



samedi 11 novembre 2023

L'Armée de Terre des Femmes Américaines : les agricultrices qui ont nourri la Nation pendant la Seconde Guerre Mondiale

11 Novembre 2023

Elizabeth Maslyn, AGDAILY*

 

Des travailleuses de la Women's Land Army of America (Armée de Terre des Femmes Américaines) récoltent des pêches dans une ferme près de Leesburg, en Virginie, en août 1944. (Image : National Archives and Records Administration, via USDA)

« Nous pouvons conduire des tracteurs. Nous pouvons traire les vaches. Nous voulons rejoindre [...] l'armée de production agricole. Nous attendons de partir » – Charlotte Goodwin, édition du 14 octobre 1942 du New York Times.

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, Charlotte Goodwin était l'une des milliers de membres de la Women's Land Army of America, qui représentaient environ un tiers des agriculteurs américains et s'efforçaient de nourrir leurs communautés pendant que 16 millions de personnes (essentiellement des hommes) participaient à la guerre.

Les deux guerres mondiales ont donné lieu à des affiches de propagande exhortant les gens à rationner la nourriture, à ne pas gaspiller et à veiller à la conservation des aliments. Regardez cette affiche pleine d'esprit illustrée par Williams Dick, intitulée « Of Course I Can ! » (bien sûr que je peux !).

Alors que les maris, les fils et les pères étaient rapidement enrôlés dans la guerre, les femmes ont dû trouver un moyen de gérer les fermes familiales afin de nourrir leur famille et les troupes qui se battaient pour le pays. La Women's Land Army of America n'a pas été beaucoup évoquée dans les manuels scolaires, mais elle a joué un rôle crucial dans la guerre.

L'idée de la Women's Land Army est venue de Grande-Bretagne aux États-Unis. Au cours d'une tournée en temps de guerre, la première dame Eleanor Roosevelt a constaté que les femmes réussissaient dans les fermes et a rapidement plaidé en faveur de la création d'une armée de terre féminine américaine, qui a été tout aussi rapidement rejetée par le Département Américain de l'Agriculture.

L'USDA et d'autres fonctionnaires ne pensaient pas que les femmes avaient ce qu'il fallait pour être agricultrices, et ils n'ont donc pas encouragé l'idée.

Le secrétaire à l'Agriculture de l'époque, Claude Wickard, n'était pas non plus un grand partisan de l'aide des femmes à la ferme, bien qu'il se soit rétracté plus tard et ait admis que les femmes feraient bien l'affaire dans les champs, mais qu'elles devraient aussi lutter contre le gaspillage alimentaire dans les cuisines.

Comme de nombreux ouvriers agricoles étaient partis à la guerre, l'USDA a créé un comité chargé d'analyser si les femmes étaient assez robustes pour travailler dans les fermes. Florence Hall, employée de longue date de l'USDA et membre du comité, a annoncé la nouvelle que l'USDA ne voulait pas entendre. Elle a ensuite dirigé la Women's Land Army of America à partir de 1943.

Florence Hall est née en 1888 et a grandi dans une ferme du Michigan. Elle a obtenu une licence en économie domestique en 1909, puis a été un membre influent du Bureau de l'Industrie Laitière et une économiste domestique senior du service de vulgarisation de l'USDA jusqu'à son départ pour inciter les femmes américaines à devenir les agricultrices de l'Amérique.

Soutenue par la Première Dame du pays, la Women's Land Army a labouré, semé et récolté tout au long de l'année. Malgré un printemps difficile, la Women's Land Army a permis aux États-Unis d'enregistrer une récolte record en 1943.

L'édition du 27 septembre 1943 du magazine Life présentait en couverture une agricultrice du Minnesota, avec un article à l'intérieur indiquant que les récoltes de la saison avaient été « sauvées par des travailleuses novices ».

Les États-Unis ont la chance d'avoir pu compter sur de nombreux hommes et femmes dévoués sur le champ de bataille, que ce soit sur terre, sur mer ou dans les airs. Nos troupes n'auraient pas pu se battre sans les « travailleuses novices » qui ont trouvé comment les nourrir.

_____________

* Elizabeth Maslyn est une éleveuse de vaches laitières qui est née et a grandi dans le nord de l'État de New York. Sa passion pour l'agriculture l'a poussée à partager les histoires des agriculteurs avec tous les consommateurs et à promouvoir l'agriculture dans tout ce qu'elle fait. Elle s'efforce d'améliorer les connaissances en matière d'alimentation au sein de sa communauté et souhaite partager les histoires de ses agriculteurs locaux.

Source : Women’s Land Army: Farmers who fed the nation during WWII | AGDAILY

https://seppi.over-blog.com/2023/11/l-armee-de-terre-des-femmes-americaines-les-agricultrices-qui-ont-nourri-la-nation-pendant-la-seconde-guerre-mondiale.html

54 commentaires:

  1. Nouvelle vague de piratage sur Facebook : attention au malvertising et à nodeStealer !

    Le monde numérique connaît une évolution constante, mais avec cette évolution viennent de nouvelles menaces. Une de ces menaces récentes, particulièrement alarmante, a été identifiée par Bitdefender : une campagne active de malvertising ciblant les comptes Facebook à travers une version sophistiquée de NodeStealer. Cette campagne soulève de graves préoccupations concernant la sécurité des utilisateurs sur les réseaux sociaux.


    Par Jean-Baptiste Giraud
    le 10 novembre 2023 à 15h41


    Toutes les heures, 15 000 malwares sont téléchargés sur Facebook, à des fins de piratage.

    Le monde numérique est en perpétuelle évolution, en particulier depuis l’arrivée de l’intelligence artificielle, mais avec cette évolution viennent de nouvelles menaces. Une de ces menaces récentes, particulièrement alarmante, a été identifiée par Bitdefender : une campagne active de malvertising ciblant les comptes Facebook à travers une version sophistiquée de NodeStealer. Cette campagne soulève de graves préoccupations concernant la sécurité des utilisateurs sur les réseaux sociaux.

    La menace cachée dans les publicités

    Les cybercriminels utilisent le réseau publicitaire de Facebook pour propager NodeStealer, un logiciel malveillant particulièrement insidieux. Ils détournent les crédits publicitaires de comptes professionnels compromis pour diffuser des publicités malveillantes. Ces publicités, souvent déguisées sous la forme d'albums photos alléchants hébergés sur des plateformes comme Bitbucket, Gitlab ou Dropbox, attirent les utilisateurs avec des visuels provocateurs et des incitations à l'action.

    Comment le piratage opère-t-il ?

    Le piège se referme lorsque l'utilisateur, séduit par des publicités promouvant de nouveaux contenus, clique pour télécharger. Ce simple clic déclenche le téléchargement d'un exécutable Windows, qui déploie NodeStealer sur l'appareil de l'utilisateur. Une fois infecté, le compte Facebook de l'utilisateur est à la merci du cybercriminel, qui peut alors accéder à une multitude d'informations sensibles.

    L'impact et les victimes

    Selon Bitdefender Labs, cette campagne de piratage ne vise pas seulement les comptes professionnels mais s'étend aux utilisateurs réguliers de Facebook. Les hommes de plus de 45 ans semblent être particulièrement ciblés. Les chercheurs estiment à 100 000 le nombre de téléchargements potentiels, chaque publicité malveillante pouvant entraîner jusqu'à 15 000 téléchargements en seulement 24 heures.

    Conseils pour la sécurité

    Il est crucial pour les utilisateurs de Facebook de rester vigilants face à ces publicités trompeuses. Bitdefender recommande d'éviter de télécharger des albums photos issus de sources inconnues, surtout si elles sont promues via des publicités sur Facebook. De plus, une surveillance accrue des activités suspectes sur les comptes est essentielle pour détecter rapidement toute compromission.

    Ce nouveau type de piratage via Facebook met en lumière l'importance de la sensibilisation à la sécurité numérique. Les utilisateurs doivent être conscients des risques liés aux publicités malveillantes et aux téléchargements douteux. Les recommandations de Bitdefender offrent une ligne de défense précieuse contre ces menaces croissantes.

    En conclusion, cette campagne de malvertising représente une menace sérieuse pour les utilisateurs de Facebook. La vigilance et la prudence sont essentielles pour naviguer en toute sécurité dans l'espace numérique en constante évolution. Restez informés et protégez vos données personnelles contre ces techniques de piratage sophistiquées.

    https://www.economiematin.fr/piratage-facebook-nodestealer

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    1. Reconnaissons que la mise en place dernièrement de publicités obligatoires ! sur Facebook était faite pour çà !

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  2. Le devoir d'informer


    Xavier Azalbert, France-Soir
    le 10 novembre 2023 - 16:41


    EDITO - Désolé à l'avance si certains d'entre vous sont surpris, voire choqués, par les propos que je vais tenir céans mais j'ai une excuse recevable. Et légitime : le devoir d'informer.

    En effet, rien n'est plus grave pour un journaliste-éditorialiste que de manquer au devoir d'informer, de dire la vérité “quoi qu'il en coûte” ; a fortiori le directeur de la rédaction et de la publication du média sur lequel il officie, France-Soir, journal qui revendique haut et fort, et preuves à l'appui, son attachement sans faille à cette obligation définie par l'article 1 du texte saint du journaliste : la Charte de Munich.

    Et dans “quoi qu'il en coûte” figure évidemment le prix à payer quand on s'emploie ainsi à respecter ce premier article concernant un sujet clivant.

    Un sujet manichéen intrinsèquement, déjà, qui lorsque sa nature binaire (“pour ou contre” celle des deux parties au litige ou l'autre) est exacerbée à l'extrême par les politiciens, les médias mainstream ou les réseaux sociaux. Exacerbée de telle manière que le “diviser pour mieux régner” cher aux gouvernements, trouve sa pleine expression. Via cet artifice maléfique, des centaines de millions de braves gens, des milliards même, trouvent finalement “normal”, indispensable, d'aller tuer et mourir à la guerre, des personnes pareillement influencées et contre lesquelles jamais ces braves gens n'auraient eu le moindre grief en temps normal. Encore moins l'idée, puis l'envie, puis la volonté de frapper, tuer, exterminer férocement, folie meurtrière collective, générée artificiellement par ceux à qui les guerres profitent, systématiquement récidivistes dans cet artifice assassin : les industriels et établissement bancaires aux ordres desquels sont les politiciens, les médias mainstream et les “experts” qui y sévissent.

    Or, s'il est bien un sujet clivant au possible, dont la nature binaire a été et continue d'être exacerbée à l'extrême dans le but désormais affiché par nos “élites” d'entraîner l'humanité dans une troisième guerre mondiale, un conflit dans laquelle plusieurs milliards d'êtres humains pourraient trouver la mort, c'est le conflit du Moyen-Orient.

    En conséquence, il s'impose à tout journaliste digne de ce nom de s'opposer à cette vile manœuvre.

    Comment ? En informant. En respectant son devoir d'informer sans prendre parti : objectivement. En faisant état aux lecteurs des faits qui justement permettent aux lecteurs de constater par eux-mêmes, qu'effectivement ils sont malheureusement bel et bien victimes en l'occurrence, d'une manipulation, une manipulation de masse orchestrée au niveau planétaire. Et par qui ? Par les dirigeants de cette entité supranationale qui s'affiche dorénavant sous la dénomination “Nouvel ordre mondial”.

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  3. Exactement comme nous avons tous été plus ou moins affectés ou choqués, le 11 septembre 2001, par les images des avions et des tours s'effondrant, et par les formules choquantes utilisées ensuite pour nous obliger à prendre position pour l'une ou l'autre des deux protagonistes tel qu'il nous a été présenté (“C'est la guerre du bien contre le mal”), notamment cette tirade tristement célèbre de Georges W. Bush : “Soit vous êtes avec nous, soit vous êtes contre nous.”, nous avons pareillement le droit d'être affectés ou choqués par les images de l'acte barbare commis le 7 octobre 2023. Cependant, la raison devant toujours l'emporte sur les émotions, d’où mon édito qui expliquait pourquoi nous avions pris le temps de la réflexion, on doit ensuite très vite se poser les questions du qui ? Quoi ? Pourquoi ?

    Ainsi nous pouvons nous demander :

    Qui a réellement fait cela ?
    Qui était au courant et a laissé faire ?
    Quelle était la véritable motivation ?
    Qui a financé cette opération ?
    Quand, comment et par qui cela a-t-il été préparé ?
    Par qui cela a-t-il été décidé ?
    Et surtout pourquoi cette guerre ?
    À qui profite le crime ?
    Qui a intérêt à ce que ce conflit prenne une telle ampleur ?

    La Covid a divisé et continue de diviser à la fois à l'intérieur des familles et de la société, en France comme partout où la solution sanitaire unique de la vaccination a été imposée. Le conflit russo-ukrainien a rapporté une division supplémentaire avec la binarité pro-russe et leurs alliés, ou pro-ukrainiens et leurs alliés.

    Et voilà maintenant que le conflit au Moyen-Orient, instrumentalisé à outrance, apporte une dimension planétaire au projet de certains gouvernements (ou de leurs oppositions) qui plutôt que d’évertuer à trouver le moyen d’engager une désescalade, essaient de justifier l’inacceptable, et de diviser, encore diviser. Une vie vaut une vie...

    Nous avons à faire à une guerre de religion dans laquelle - au faux prétexte avancé d'une culpabilité de l'État Juif ou des Palestiniens, musulmans pour la plupart - le NOM veut conduire Juifs, Chrétiens, Athées et Musulmans. Les forcer tout d’abord à s’invectiver, puis s’entretuer. Et à quoi cela mène-t-il ? A une haine féroce entre les deux clans. Et ceci au bénéfice de qui ? De certains dirigeants du NOM qui plutôt que de choisir la paix, ou voter pour un cessez-le-feu ou le couloir humanitaire proposé par la Russie récemment à l’ONU, s’y opposent par principe sans mettre de côté d’autres éléments qui viennent affecter le jugement. Ceux-là mêmes qui ont généré, entretenu et porté à un paroxysme mortifère le conflit au Moyen-Orient.

    Citoyens du monde, quel intérêt avons-nous dans cette guerre ? Aucun. Nous allons tout y perdre : nos vies, celles de nos enfants, notre avenir, nos biens, notre culture, notre spiritualité et notre âme.

    Nous devons donc refuser cette guerre. Refuser de prendre parti pour l'un des deux camps que le NOM a désigné dans ce conflit. Et imposer la paix, mais pas une paix politique, une paix des peuples au nom des peuples et de leurs droits fondamentaux à vivre en paix.

    Comme tout acte belliqueux causant des milliers de morts, l'attaque terroriste d'Israël par le Hamas est condamnable. Néanmoins, on ne sait pas encore véritablement qui en est le commanditaire. De même, la réponse d'Israël à cette attaque va très au-delà du droit international, des conventions et normes établies en la matière. Dire qu’elle est disproportionnée est légitime.

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  4. Légitime parce que le droit international, les conventions et normes établies, et dont Israël est signataire, étant effectivement les textes qui déterminent les limites qui sont imposées à tout pays dans sa réponse à une attaque, toute réponse qui va au-delà est bel et bien objectivement condamnable.

    Il n’y a là nul parti pris. Comme pour toutes les autres informations dont nous vous avons fait part dans France-Soir à ce sujet, il s'agit uniquement pour nous de faire état d'éléments établis.

    C'est donc à tort que j'ai été interpellé par des lecteurs, donateurs et autres, sur la manière dont France-Soir traite le conflit au Moyen-Orient, à savoir pour les uns en soutenant que France-Soir prend parti pour Israël, et pour les autres que France-Soir prend parti pour les Palestiniens.

    Certes, donner son opinion est un droit acquis pour tous et que France-Soir respecte totalement.

    Toutefois, France-Soir respectant également et “quoi qu'il en coûte” le devoir d'informer d’un média indépendant, tout particulièrement sur un sujet aussi brûlant, clivant, que le conflit au Moyen-Orient, incriminer France-Soir pour cela est foncièrement injuste, 100 % sans fondement.

    Le seul reproche qui aurait pu être fait à France-Soir sur ce sujet, c'est si nous ne l'avions pas traité. Si par peur du “quoi qu'il en coûte”, nous n’avions pas respecté notre devoir d'informer.

    Or, c'est exactement l'inverse que nous avons fait. Personnellement, j'ai pris le temps de la réflexion et d'une tribune pour la paix, deux textes qui expliquent la position de notre journal.

    Et je le rappelle aujourd'hui ici : quelles que soient la nationalité et la religion des défunts, une vie vaut une vie.

    Le devoir d'informe, les faits, tous les faits, rien que les faits, c'est ce que nous avons toujours fait, et c'est ce que nous continuerons de faire à France-Soir.

    Qui peut décemment nous en vouloir pour cela ?

    Merci donc à tous, lecteurs et donateurs, pour votre soutien, d'abord parce que sans lui, nous n'aurions rien pu faire, et ensuite parce que grâce à ce soutien, nous allons pouvoir continuer à informer, informer et informer encore, autant que nécessaire, pour que la vérité et le bon sens finissent par triompher.

    Quant aux raisons qui m’ont menées à écrire cet édito, il s’avère que je travaillais sur le dossier d’une personne victime de cyberharcèlement, une jeune femme plus exactement et que dans le même temps, je lisais nos contributeurs, nos donateurs écrire, et presque tirer à balles réelles pour pousser la rédaction à prendre parti... Cela s’est même ressenti au sein de la rédaction ou certains hésitent à parler de certains sujets par peur de …. mal faire pour le journal.

    Prenons pour exemple un acte de cyberharcèlement à l’encontre d’une femme qui se traduit non seulement une condamnation mais... d'autres actes de cyberharcèlement qui génèrent de la peur personne... peur pour sa famille et pour soi...

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  5. Je rappelle que le cyberharcèlement est un délit, notamment quand il s'agit d'appels à la haine ou de violence raciale ou religieuse... Peu importe que cette personne soit musulmane, juive ou athée... La libre expression de son culte est prévue par la loi et notre devoir est de rapporter une information. Et dans ce cas présent, il ne s’agit pas de prendre parti pour Israël ou la Palestine. Amalgame que certains seraient trop ravis de faire, pour mettre de l’huile sur le feu, ou de nous faire faire...

    Comme je rappelle aux lecteurs, aux donateurs, aux journalistes, notre devoir est de dire la vérité quoiqu'il en coute en vertu du droit des lecteurs de connaitre la vérité. La rédaction de France-Soir condamne la violence et tout ce qui dépasse les limites fixées par la loi, et nous ne cautionnons ni les actes antisémites, ni les actes anticatholiques, antimusulmans, ou les dérives idéologiques.

    Notre devoir est avant tout d'informer, pas pour mettre de l'huile sur le feu, mais afin que vous puissiez vous faire votre opinion.

    Nous déplorons donc l'attaque du Hamas autant que nous déplorons la réponse excessive d'Israël... Et l'escalade qui a suivi le risque de conflit mondial....

    Comme André Gide l’a écrit dans Les Nourritures terrestres : “Une pas assez constante pensée de la mort n'a pas donné assez de prix au plus petit instant de ta vie.”

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/le-devoir-d-informer

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    1. PAS UN SEUL journaliste n'a dit la vérité sur le '11 Septembre', sur 'Fukushima', sur le 'Global Warming' ni sur l'escroquerie du 'cocovide19' ! Alors, le 'devoir d'informer' ils SE LE METTENT AU CUL ! (Pareil que les politiques de la dite 'majorité' ou de la dite 'opposition') !

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  6. Au fil de l’eau

    Chaque année, 8 millions de visiteurs admirent les chefs d’œuvre du Louvre, conservés grâce à l’un des plus grands systèmes de refroidissement urbain au monde. Un réseau souterrain de 50 km, qui dessert plus de 500 bâtiments parisiens tels que l’Opéra de Paris et la Banque de France.


    Par Olivier de Berranger
    le 11 novembre 2023 à 9h30


    L’eau douce ne représente que 2,5 % de l’eau accessible à la surface du globe

    La Joconde et la Vénus de Milo doivent notamment leur survie à une solution développée par Alfa Laval, leader mondial de l’échange thermique, de la séparation et du transfert de fluides. Cette solution, alimentée en partie par l’eau de la Seine et des sous-stations de livraison intelligentes, permet d'économiser 500 000 m3 d'eau potable par an. Emblématique de l’extraordinaire capacité d’innovation des entreprises, cette initiative répond à un défi planétaire vital.

    L’eau, dont l’astrophysicien Hubert Reeves disait qu’elle était plus rare que l’or à l'échelle cosmique, est en effet devenue un enjeu prioritaire. Le stress hydrique touche déjà un quart des habitants de la planète. L’ONU estime qu’en l’absence d’une évolution favorable de la situation, un tiers de la population mondiale sera concerné en 2025. Les principales causes de cette crise, le réchauffement climatique et l’augmentation de la population mondiale, s’accélèrent. L’accès à l’eau douce, qui ne représente que 2,5% de l’eau accessible à la surface du globe, ne coule plus de source. Les volumes d’extraction augmentent constamment pour les besoins croissants de l’agriculture, des villes et des industries. Si la consommation d'eau a été multipliée par six à l’échelle mondiale en un siècle, la demande devrait croître de 55% à horizon 2050 selon le Forum Economique Mondial.

    Les impacts du manque d’eau douce sont multi­ples, sur la biodiversité ou la sécurité sanitaire. Des entreprises, conscientes de l’envergure des enjeux, conçoivent des stratégies ambitieuses et des solutions créatives. L’entreprise suédoise Alfa Laval a notamment élaboré une solution de dessalement permettant de transformer l'eau de mer en eau potable. Le chimiste finlandais Kemira propose un vaste portefeuille technologique de solutions de traitement de l’eau qui contribuent in fine à réduire la consommation d’eau de ses clients industriels. La prometteuse startup Kumulus Water a, pour sa part, développé une technologie de pointe qui réplique l’effet de la rosée et crée de l’eau potable en captant l’humidité de l’air grâce à un système alimenté par l’énergie solaire. Une machine connectée capable de produire jusqu’à 30 litres en 24 heures. Enfin, Veolia, leader mondial des services liés à l’environnement, entend tripler sa production d’eau recyclée d’ici 2030 la portant à 3 milliards de m3, soit la consommation annuelle de 54 millions de personnes. Le recyclage est une piste d’autant plus prometteuse que seuls 11% de l’eau en moyenne sont à l’heure actuelle recyclés dans le monde, 1% en France[1], mais 15 % en Espagne, qui a pour ambition d’atteindre 35 % d’ici 2027[2].

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  7. De nombreux leviers d’action existent pour répondre à cet enjeu stratégique. L’investissement à impact, dont le marché mondial est estimé à plus d’un trillion de dollars[3], est l’un d’eux. Ce chiffre symbolique met en lumière le rôle décisif de la finance à impact face à ce défi, en drainant les capitaux vers ces entreprises responsables, afin de construire un avenir durable tout en délivrant une performance financière. Nous intensifierons notre engagement de l’investissement à impact tout en mobilisant notre écosystème sur les enjeux climatiques et de biodiversité. La 3e édition des Rencontres du Climat et de la Biodiversité réunira ainsi en novembre experts, entreprises et investisseurs, pour mettre en lumière des solutions capables de relever les grands défis liés à l’eau, l’or bleu.

    [1] CEREMA, 2020

    [2] Les Echos, 03.07.2023

    [3] GIIN, 2022

    Disclaimer : Les opinions émises correspondent aux convictions de l'auteur. Elles ne sauraient en aucun cas engager la responsabilité de LFDE. Les valeurs et les secteurs sont cités à titre d’exemple. Leur présence en portefeuille n'est pas garantie.

    https://www.economiematin.fr/eau-ressource-energie-planete-enjeu-berranger

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    1. (...) L’eau, dont l’astrophysicien Hubert Reeves disait qu’elle était plus rare que l’or à l'échelle cosmique, (...)

      HAHAHA ! 'l’astrophysicien Hubert Reeves disait' dans ses facultés moyennageuses ...

      (...) Les principales causes de cette crise, le réchauffement climatique et l’augmentation de la population mondiale, s’accélèrent. (...)

      HAHAHA ! ' le réchauffement climatique et l’augmentation de la population mondiale, s’accélèrent.' !!
      ÔH PITAING ! Le changement de saisons !! (mais que fait la police ??) et le population qui... goberait de l'eau sans la rejeter !! ÔH PITAING !
      Heureusement (ouf !) que les mers & océans (qui sont tout sale : les poissons chient dedans !!) s'infiltre continuellement vers le magma par les planchers maritimes & océaniques qui nettoient (ils font chauffer l'eau !! et même bouillir !!), et, cette eau (depuis DES millénaires !) s'en va (sous forme de vapeurs) en des galeries souterraines vers (à 22 %) les sources de montagnes et nappes phréatiques.
      Donc: Il ne manque pas UNE GOUTTE D'EAU depuis des millions d'années sur Terre ! (d'où l’inquiétude d'Olivier de Berranger de l'absence (prochaine ??) de l'eau ! (Aïe-aïe-aïe !).

      (...) La prometteuse startup Kumulus Water a, pour sa part, développé une technologie de pointe qui réplique l’effet de la rosée et crée de l’eau potable en captant l’humidité de l’air grâce à un système alimenté par l’énergie solaire. Une machine connectée capable de produire jusqu’à 30 litres en 24 heures. (...)

      UNE DOUCHE PAR SEMAINE ! HOURRRRRAAAA !

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  8. Le soleil et les océans sont cruciaux pour le climat


    10 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La « science » qui est sous l’emprise de la politique et de l’élite financière ignore complètement les deux facteurs climatiques les plus importants : le soleil et les océans. Les modèles de l’ONU-GIEC ne peuvent donc ni décrire les processus passés ni prédire correctement les évolutions futures. Voici un aperçu de la manière dont les océans influencent et régulent le climat.

    Avec une masse totale 265 fois celle de l'atmosphère et une capacité thermique 1 000 fois supérieure, l'océan stocke 96 % de l'énergie du système climatique et reçoit 75 % de l'énergie transmise du Soleil à la surface de la planète.

    Bien que les 8 pieds supérieurs (2,5 m) de l'océan contiennent autant de chaleur que l'atmosphère entière, leur fonction principale dans le changement climatique est d'absorber la chaleur à mesure que la planète se réchauffe et de la restituer à mesure qu'elle se refroidit, contribuant ainsi à préserver l'inertie thermique.

    Cet article contient un chapitre du nouveau livre Solving the Climate Puzzle: The Sun's Surprising Role . Le livre contient de nombreuses preuves démontrant que les changements dans le transport de chaleur vers les pôles sont l'une des principales causes du changement climatique naturel sur notre planète. Cela montre également que les changements dans l’activité solaire affectent ce transport, rétablissant le soleil comme principale cause du réchauffement climatique.

    Étant donné que les modèles climatiques ne décrivent pas avec précision le transport de chaleur et que les rapports de l'IPCC négligent complètement ce processus, cette nouvelle hypothèse ne sera pas facilement écartée. Pour les scientifiques sérieux, les résultats permettront, au fil du temps, de mieux comprendre le changement climatique naturel et, espérons-le, de réduire l’hystérie climatique.

    Un extrait de 50 pages du livre Solving the Climate Puzzle: The Surprising Role of the Sun est disponible sur la page ResearchGate de l'auteur :.

    L'édition anglaise du livre est disponible sur Amazon et Google Books et sera bientôt disponible ailleurs via le réseau de distribution IngramSpark. L'édition de poche contient des illustrations en noir et blanc. L'édition allemande suivra bientôt.

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  9. Voici le texte traduit DeepL du chapitre 17 du nouveau livre.

    Le transport de chaleur par les océans est en grande partie dû au vent
    L’océan est la principale source de transport de chaleur vers les pôles sous les tropiques, le Pacifique tropical étant l’acteur dominant en raison de sa taille. Il exporte de la chaleur vers les océans Atlantique et Indien, qui sont les seuls à transporter de la chaleur à travers l’équateur. Cependant, les échanges entre bassins sont relativement faibles, ce qui suggère que les voies d’eau de mer à l’échelle mondiale jouent un rôle mineur dans le transport de chaleur. L'Atlantique est unique en ce sens qu'il présente exclusivement un transport net de chaleur vers le nord en raison de sa circulation méridionale de retournement, qui représente environ 60 % de la chaleur transportée dans l'Atlantique Nord. Le transport océanique de chaleur de l’Atlantique Nord vers les mers nordiques et l’Arctique a augmenté de manière significative entre 1998 et 2002, au cours d’une période de changement climatique arctique et mondial.

    La majeure partie de la chaleur transportée par l'océan mondial est véhiculée par l'eau au-dessus de 10°C (50°F) située entre 40°N et 40°S à une profondeur inférieure à 500 m. Même la circulation méridionale de retournement de l’Atlantique dépend tout autant du vent que la formation des eaux profondes aux hautes latitudes.

    L'analyse du bilan thermique critique de la couche tropicale supérieure a révélé une remarquable variabilité sur 11 ans liée au cycle solaire, dix fois supérieure aux changements du rayonnement solaire. De plus, des études de modélisation de la circulation méridionale de l’Atlantique montrent que le forçage solaire est son déterminant naturel le plus important. Ces études mettent en évidence le rôle essentiel du Soleil dans l’influence du transport de chaleur océanique par le biais des changements dans la circulation atmosphérique.

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  10. Transport de chaleur dans l'océan

    L'océan joue un rôle crucial dans le système climatique terrestre, assurant la stabilité thermique et stockant une grande partie de l'énergie du système. Avec une masse totale 265 fois celle de l'atmosphère et une capacité thermique 1 000 fois supérieure, l'océan stocke 96 % de l'énergie du système climatique et reçoit 75 % de l'énergie transmise du Soleil à la surface de la planète. Cette caractéristique essentielle de l’océan a permis l’existence d’une vie complexe. Cependant, comme la Terre se trouve actuellement dans une période glaciaire qui a commencé il y a 34 millions d'années (la période glaciaire du Cénozoïque supérieur), l'océan a atteint un état froid avec une température moyenne d'environ 4 °C, et seule la couche supérieure de mélange est due à le chauffage solaire et les turbulences induites par le vent sont beaucoup plus chauds. La température de surface de l'océan ouvert est limitée à 30 °C car au-dessus de 27 °C, une convection profonde se produit, augmentant l'évaporation et formant des nuages ​​qui refroidissent efficacement la surface. Bien que les 8 pieds supérieurs (2,5 m) de l'océan contiennent autant de chaleur que l'atmosphère entière, leur fonction principale dans le changement climatique est d'absorber la chaleur à mesure que la planète se réchauffe et de la restituer à mesure qu'elle se refroidit, contribuant ainsi à préserver l'inertie thermique.

    L’océan contribue à environ 25 % du transport mondial de chaleur vers les pôles (chapitre 10). Sous les tropiques, l’océan est le principal transporteur de chaleur. Sa contribution est encore plus importante dans l'hémisphère nord, où elle représente environ 30 % du transport de chaleur. Cependant, l’océan Atlantique présente un modèle de transport de chaleur unique. Dans l'Atlantique Sud, il existe un transport net de chaleur vers l'équateur (Fig. 25).

    - voir graph sur site -

    Figure 25. Transport de chaleur dans l'océan. Transport de chaleur océanique méridional moyen (en pétawatts) pour l'océan mondial (noir uni), l'Atlantique (pointillés rouges) et l'Indo-Pacifique (pointillés bleus) .[1]

    La majeure partie de la chaleur océanique est transportée par de l'eau dont la température est supérieure à 10°C, principalement dans la bande océanique comprise entre 40°S et 40°N et au-dessus d'une profondeur de 500 m. C'est la principale raison pour laquelle le transport méridional de chaleur est plus important. à ces latitudes, où la cellule de Hadley n'est pas très efficace pour transporter la chaleur vers les pôles (chapitre 13).

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  11. Le transport océanique mondial de chaleur est dominé par l’exportation de chaleur depuis le Pacifique tropical, qui possède la plus grande superficie tropicale et reçoit la plus grande quantité d’énergie solaire. Ce qui est frappant, cependant, c’est à quel point le Pacifique tropical domine les exportations de chaleur vers les autres océans : il exporte quatre fois plus de chaleur qu’il n’en importe dans l’Atlantique et l’Arctique. Les océans Atlantique et Indien transportent respectivement la chaleur vers le nord et le sud à travers l'équateur, mais le Pacifique transmet cette chaleur par le passage de Drake et le flux indonésien. Bien que certains échanges aient lieu entre les bassins, ils sont relativement faibles, ce qui suggère que les voies mondiales de l'eau de mer jouent un rôle mineur dans le bilan thermique de la Terre[2].

    Transport de chaleur vers l’Arctique vers les pôles

    Dans l'océan Atlantique, en raison de la circulation méridionale de renversement de l'Atlantique, le transport de chaleur vers le nord a lieu dans les deux hémisphères et à travers l'équateur. Cette circulation fait partie de la circulation thermohaline, dans laquelle les eaux plus chaudes et plus légères des couches supérieures de l'Atlantique s'écoulent vers le nord et les eaux plus froides et plus denses des profondeurs s'écoulent vers le sud. Bien que les deux branches soient entraînées mécaniquement, elles sont reliées par la conversion des masses d'eau chaude en masses d'eau froide aux hautes latitudes (Chapitre 10).

    Le caractère unique du transport de chaleur atlantique est mis en évidence dans la figure 25 et est lié à l'asymétrie du gradient de température latitudinal entre les deux hémisphères. Chaque année, l’hémisphère sud reçoit plus d’énergie solaire que l’hémisphère nord. Cela est dû à la précession axiale actuelle de la Terre, qui fait que l'hémisphère sud fait face au Soleil lorsque la Terre en est plus proche. L'albédo ne corrige pas cette différence en raison de la symétrie interhémisphérique (encadré 2, chapitre 3). Bien que l’hémisphère Sud reçoive plus d’énergie solaire chaque année, il fait environ 2 °C plus frais que l’hémisphère Nord, et la Terre présente un gradient de température plus prononcé vers l’Antarctique plus froid que vers l’Arctique plus chaud (Chapitre 9, Fig. 13). La théorie des transports stipule que davantage de chaleur devrait circuler vers le pôle le plus froid, car les différences de température déterminent le transport. Cependant, l’Atlantique transporte davantage de chaleur de l’hémisphère sud vers l’hémisphère nord, ce qui suggère que le transport d’énergie n’est pas déterminé par la seule production d’entropie. Au contraire, elle est fortement influencée par des facteurs géographiques et climatiques et peut donc constituer un mécanisme moteur du changement climatique.

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  12. La nature exceptionnelle du transport de chaleur dans l’océan Atlantique a des implications importantes sur le climat des régions environnantes de l’Atlantique Nord, de l’Arctique et sur le climat mondial. La température de la surface de la mer dans l'Atlantique Nord présente une oscillation multidécennale qui est en corrélation avec la température mondiale (chapitre 19).[3] L'analyse du flux thermique de l'Atlantique au fil du temps montre une relation claire entre le transport de chaleur océanique et les températures de surface de la mer dans l'Atlantique Nord (Fig. 26). Cela conforte l'hypothèse selon laquelle les fluctuations de la température de la surface de la mer de l'Atlantique Nord sont dues à des changements dans le transport de chaleur méridional. Étonnamment, malgré ces preuves, les fluctuations océaniques sont rarement prises en compte du point de vue du transport de chaleur.

    - voir graph sur site -

    Figure 26. Transport thermique dans l’Atlantique et température de la surface de la mer dans l’Atlantique Nord. a) Transport de chaleur méridional intégré de l'Atlantique au fil du temps en pétawatts à partir de la réanalyse. b) Record de température de surface de la mer de l'Atlantique Nord pour la même période.[4]

    Le transport de l'eau de l'Atlantique vers l'Arctique s'effectue via les mers nordiques, et le volume et la température de l'eau transportée ont une forte influence sur le climat de l'Europe du Nord et de l'Arctique. La conversion des masses d'eau chaude en masses d'eau froides, nécessaire à la circulation de renversement méridional de l'Atlantique, a lieu dans la mer de Norvège et dans l'océan Arctique. Bien que le transport océanique de chaleur ne représente qu’une petite partie du bilan thermique de l’Arctique (chapitres 11 et 16), son analyse peut être très instructive. Une étude récente du transport de chaleur océanique dans les mers nordiques et l’océan Arctique a révélé une augmentation soudaine du transport. De la moyenne 1993-98 à la moyenne 2002-2016, le transport de chaleur océanique dans cette région climatique importante, « signe avant-coureur » du changement climatique, a augmenté de 25 térawatts (9 %) entre 1998 et 2002 (Fig. 27).[ 5 ]

    - voir graph sur site -

    Figure 27. Le changement dans le transport maritime dans l’Arctique. Le transport océanique de chaleur dans les mers arctiques et nordiques au cours de la période 1993-2017 montre un changement brutal au cours du déplacement vers l’Arctique.

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  13. Je fais référence à la période de changement climatique rapide dans l’Arctique qui a coïncidé avec des changements dans le transport océanique sous le nom d’Arctic Shift. Comme nous le verrons, le transport de chaleur atmosphérique vers l’Arctique a également augmenté au cours du déplacement de l’Arctique, sans l’équilibre entre le transport de chaleur atmosphérique et océanique prédit par les modèles (encadré 8, chapitre 12). Il a accéléré le changement climatique dans l’Arctique et montre clairement comment les changements dans les transports entraînent de profonds changements climatiques qui sont attribués à tort au forçage anthropique. Le changement dans l’Arctique n’est que l’un des aspects les plus frappants du changement climatique mondial le plus important des 40 dernières années. Ce sujet est abordé en détail au chapitre 33.

    Circulations éoliennes et thermohalines

    La circulation océanique peut être divisée en deux types : une circulation rapide provoquée par le stress du vent, organisée en tourbillons océaniques, et une circulation plus lente liée aux changements de densité de l'eau dus aux changements de température et de salinité (thermohaline). Ces deux types de circulation ne sont pas indépendants l'un de l'autre car le vent influence également la circulation thermohaline. Le terme circulation thermohaline, qui désigne la circulation de la masse, de la chaleur et du sel, peut être trompeur car les circulations de chaleur et de sel sont différentes[6]. Dans l’Atlantique, les circulations éoliennes et thermohalines contribuent au transport vers les pôles, tandis que les tourbillons éoliens transportent l’essentiel de la chaleur vers d’autres océans.

    Malgré leur importance pour la compréhension du système climatique, nos connaissances sur la structure verticale du transport de chaleur océanique sont limitées. Cette question est fondamentale dans le débat sur la question de savoir si le transport de chaleur océanique est contrôlé par le mélange abyssal, la formation d'eau profonde à haute latitude ou les vents. Ce débat a fait naître des craintes injustifiées selon lesquelles la circulation inverse de l’Atlantique pourrait être perturbée, entraînant un refroidissement important en Europe. Des études antérieures sur la structure verticale du transport de chaleur océanique, prenant en compte la différence de température à la frontière océan-atmosphère, ont montré que nous comprenons mal ce processus crucial[7]. De telles analyses montrent que la circulation de surface, très sensible au stress du vent, domine le transport global de chaleur océanique, tandis que le mélange abyssal n'a pratiquement aucune influence. La formation d'eau profonde aux hautes latitudes contribue à 60 % du transport de chaleur dans l'Atlantique Nord, mais la circulation méridionale est également proportionnelle à la charge du vent et est tout aussi sensible aux vents qu'à la convection aux hautes latitudes.

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  14. Les résultats de ces études remettent en question la compréhension commune du transport de chaleur océanique telle que présentée dans des livres et illustrée par des diagrammes en ruban coloré. Il est clair que les vents jouent un rôle crucial dans le transport de chaleur dans les océans et que la quantité de chaleur transportée par les océans est linéairement proportionnelle à l’ampleur de la charge du vent. Ces résultats conduisent à trois conclusions controversées et de grande portée sur le changement climatique :

    La circulation atmosphérique est la principale responsable du transport de chaleur à l'échelle mondiale, soit directement, soit par son influence sur le transport océanique.
    Les transports de chaleur atmosphérique et océanique ne peuvent pas se compenser. Puisqu’ils sont fondamentalement liés par l’action du vent, tout changement dans l’un doit s’accompagner d’un changement dans l’autre dans le même sens. Par conséquent, des changements dans la quantité de chaleur transportée vers les pôles sont non seulement possibles, mais inévitables.
    La variabilité du transport global de chaleur doit se produire sur des échelles de temps décennales typiques de la variabilité atmosphérique et océanique supérieure, plutôt que sur des échelles de temps centennales ou plus longues caractéristiques d'un renversement méridional profond.
    Encadré 14. Réponse du transport de chaleur océanique à la variabilité solaire
    Le transport de chaleur océanique se produit principalement dans les eaux tropicales peu profondes, de sorte que le bilan thermique des couches supérieures est essentiel au transport océanique mondial. Des études sur la température de la surface de la mer et la variabilité de la pression atmosphérique ont identifié des fréquences typiques des oscillations quasi-biennales et du phénomène El Niño austral, ainsi qu'une fréquence sur 11 ans. Bien que ces fluctuations sur 11 ans soient synchrones avec le cycle solaire, leur ampleur ne peut pas être expliquée par le forçage radiatif direct du Soleil à la surface.[8] Dans l'océan tropical global, la température dans la couche supérieure varie de ±0,1 °C pendant la phase du cycle solaire, ce qui nécessite un changement de ±0,9 W/m², tandis que le changement du forçage radiatif de surface au cours du cycle solaire est de ±0,1. W/m² est un ordre de grandeur trop petit. Ainsi, malgré la synchronisation avec le Soleil, la variabilité doit être due à des mécanismes océan-atmosphère.

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  15. L’impact d’El Niño sur le transport de chaleur océanique se caractérise par un réchauffement de la couche supérieure de l’océan tropical mondial, qui réchauffe ensuite l’atmosphère sus-jacente. En revanche, la variabilité associée au cycle solaire entraîne un réchauffement de l’atmosphère tropicale globale, qui réchauffe ensuite l’océan sous-jacent. Ce processus est obtenu principalement par une réduction du flux de chaleur sensible et latente net de l’océan vers l’atmosphère, l’augmentation du rayonnement solaire dans l’océan n’étant pas suffisante. Il est prouvé que l’effet du cycle solaire sur l’océan est indirect et se produit via l’atmosphère. Les affirmations selon lesquelles le soleil ne peut pas être responsable du changement climatique parce que les fluctuations du rayonnement solaire total sont faibles ignorent les nombreuses preuves selon lesquelles les fluctuations solaires agissent indirectement en affectant la circulation atmosphérique.

    Les modèles s'accordent sur le fait que les fluctuations solaires ont un impact significatif sur le transport de chaleur dans l'océan. Le modèle de circulation générale atmosphérique-océanique entièrement couplé du Hadley Centre du UK Met Office montre que le forçage solaire est le principal facteur naturel déterminant la réponse multidécennale de la circulation méridionale de l'Atlantique.[9] Le forçage solaire est associé à des anomalies durables de la circulation atmosphérique au-dessus de l'Atlantique Nord causées par des changements dans la stratosphère dus à un rayonnement solaire plus faible à la fin du 19e et au début du 20e siècle. Le modèle ne rend pas pleinement compte de la réponse atmosphérique à la variabilité solaire, mais il montre des changements notables dans l'emplacement de la zone de convergence intertropicale, les précipitations en Amazonie et les températures en Europe.

    Résumé

    L’océan joue un rôle crucial dans le transport de la chaleur des tropiques vers les pôles. La circulation éolienne dans les gyres océaniques est responsable de la majeure partie du transport de chaleur. Cependant, l'océan Atlantique constitue une exception et présente un transport net de chaleur vers le nord avec un transport transéquatorial important, principalement dû à la circulation de retournement méridional atlantique, qui est sensible à la fois au stress du vent et à la formation d'eau profonde aux hautes latitudes.

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  16. L'atmosphère est la principale responsable de l'essentiel du transport de chaleur vers les pôles, directement par sa circulation et indirectement par les effets de la pression du vent sur le transport océanique. L’oscillation multidécennale de la température de la surface de la mer dans l’Atlantique Nord est due à des changements dans le transport de chaleur vers les pôles. De plus, la couche supérieure de l’océan tropical subit des changements de température cohérents avec le cycle solaire et provoqués par des changements dans la circulation atmosphérique qui affectent le flux de chaleur de l’océan vers l’atmosphère.

    informations d'identification

    [1] Yang, H., et al. (2015). Clim. Dyn. 44, pp.2751-2768. est ce que je.org/10.1007/s00382-014-2380-5
    [2] Forget, G. et Ferreira, D., 2019. Nat. Géosci. 12 (5), pages 351-354. est ce que je.org/10.1038/s41561-019-0333-7
    [3] Chylek, P., et al. (2014). Géophysique. Rés. letton 41 (5), pages 1689-1697. est ce que je.org/10.1002/2014GL059274
    [4] Graphique supérieur de Macdonald, AM & Baringer, MO, 2013. Internat. Géophysique. Vol. 103, pages 759-785. est ce que je.org/10.1016/B978-0-12-391851-2.00029-5 . Graphique du bas, données NOAA.
    [5] Tsubouchi, T., et al., 2021. Nat. Clim. Changement, 11 (1), pp.21-26. est ce que je.org/10.1038/s41558-020-00941-3 . Source des données pour la figure 27.
    [6] Wunsch, C., 2002. Science, 298 (5596), pages 1179-1181. est ce que je.org/10.1126/science.1079329
    [7] Boccaletti, G., et al., 2005. Geophys. Rés. letton 32 (10) L10603. doi.org/10.1029/2005GL022474 Ferrari, R. et Ferreira, D., 2011. Modèle océanique. 38 (3-4), pages 171-186. doi.org/10.1016/j.ocemod.2011.02.013
    [8] White, WB et al., 2003. J. Geophys. Résolution Océans, 108 (C8) 3248. doi.org/10.1029/2002JC001396 http://doi.org/10.1029/2002JC001396
    [9] Menary, MB et Scaife, AA, 2014. Clim. Dyn. 42, pages 1347-1362. est ce que je.org/10.1007/s00382-013-2028-x

    https://tkp.at/2023/11/10/sonne-und-ozeane-sind-entscheidend-fuer-das-klima/

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    1. (...) l'océan stocke 96 % de l'énergie du système climatique et reçoit 75 % de l'énergie transmise du Soleil à la surface de la planète. (...)

      NON ! L'océan ne 'stocke pas'. La chaleur émise par les sources chaudes aux planchers maritimes & océaniques MONTE et se perd dans l'espace comme celle venue du soleil.

      (...) fonction principale dans le changement climatique est d'absorber la chaleur à mesure que la planète se réchauffe et de la restituer à mesure qu'elle se refroidit (...)

      La planète, ou du moins l'hémisphère concerné, se réchauffe en été mais cette chaleur restituée appartient aux roches, aux désert de sable et à la terre elle-même.

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  17. Le service européen sur le changement climatique Copernicus Climate Change Service, les grands médias et des personnes comme le climat Drosten suivent docilement l'ordre.

    https://tkp.at/2023/11/11/oktober-so-heiss-wie-seit-125-000-jahren-nicht-faktencheck-nonsense/

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    1. Alors que ni les animaux, ni les humains n'étaient sur Terre, la Terre était plus chaude qu'aujourd'hui !! Çà alors !!
      De ce que fait le magma: ON S'EN FOUT ! S'il veut faire des éruptions sous-marines en octobre: il peut ! S'il veut s'arrêter d'en faire: c'est le froid !
      A savoir qu'il n'y a AUCUN scientifique à l'IPCC ! Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique.

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  18. NoTricksZone répertorie les études sur le niveau de la mer dans le monde entier et gaz cabonique Science répertorie d'autres proxys. Il y a 6 000 ans, le monde était bien plus chaud et le Sahara était verdoyant et humide. Même les carottes de glace sacrées et vénérées du Groenland et de l’Antarctique montrent qu’il faisait plus chaud. Les océans les plus profonds autour de l’Indonésie étaient 2 degrés plus chauds il y a 10 000 ans. Et 6 000 forages réalisés dans le monde sont d’accord.

    Les glaciers d’Europe étaient tellement plus petits qu’à mesure que le monde se refroidissait et qu’ils grandissaient, ils ont englouti des milliers d’éléments de preuve. Lors du récent réchauffement, quelque 4 000 nouveaux outils, brides et morceaux de cuir ont fondu rien que dans les glaciers norvégiens.

    De nombreuses îles du Pacifique n’existent que depuis trois ou quatre mille ans – émergeant sous le soleil alors que le niveau de la mer baissait depuis le pic de l’Holocène.

    - voir carte sur site -

    Kench, taille de l'île, niveau de la mer, holocène
    Kench et coll.

    Cette tendance à la baisse du niveau de la mer partout dans le monde ne correspond pas aux modèles climatiques. Au lieu de simplement admettre que les modèles sont erronés, les chercheurs appellent leur échec « l’énigme de la température de l’Holocène ». Nous allons devoir nous battre pour l’Holocène – les modélisateurs veulent l’effacer pour résoudre l’énigme.

    Une nouvelle choquante pour les alarmistes, les pauvres chéris,
    Et cela provoquera sûrement des larmes de stress climatique,
    Alors que 2023 battait,
    Tous les records de chaleur,
    Conservé pendant 125 000 ans.
    –Ruairi

    LES RÉFÉRENCES
    Alley, R. B. (2000) L'intervalle froid du Young Dryas vu du centre du Groenland. Quat. Sci. Rév.19, 213-226

    Fontes et al (2017) Les impacts du niveau élevé de la mer de l'Holocène moyen et les changements climatiques sur les mangroves de la rivière Jucuruçu, sud de Bahia – nord-est du Brésil, Radiocarbone, Volume 59, Numéro 1, février 2017, pp. 215 – 230. DOÏ : https://doi.org/10.1017/RDC.2017.6

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  19. Les forêts privées, entre amendes et grillages


    le 10 novembre 2023 - 20:20


    Le 2 février dernier, pénétrer dans une "propriété privée rurale et forestière" peut être sanctionné par une amende allant jusqu'à 750€. Sachant que 75 % des forêts françaises sont privées sur le papier, nous dirigeons-nous vers une privatisation de la nature ?

    Cette mesure était censée dissuader les propriétaires d'engrillager leurs parcelles de terrains, notamment pour protéger les animaux qui s'y trouveraient des chasseurs qui les chasseraient. Les grillages peuvent effectivement les mettre en danger, les bloquer, les blesser.

    Donc, pour répondre à ce problème sans trop fâcher les propriétaires, les députés centristes se sont dits qu'il valait mieux tabler sur la punition. Résultat, ceux qui s'aventurent sur des terres privées risquent désormais de se faire verbaliser.

    Cet été, comme le rapporte Reporterre, un marquis s’est offusqué du passage de "hordes déferlantes de curieux irrespectueux sans foi ni loi" et a interdit l’entrée de ses 750 hectares de forêt. Dommage, ils étaient en plein cœur de la réserve naturelle du massif de la Chartreuse. L'événement a déchaîné la gauche, une pétition pour dénoncer sa décision a recueilli quelque 35 000 signatures, et une mobilisation a rassemblé un millier de personnes pour protester. Les militants ont souligné son hypocrisie, assurant qu'il organisait dans son terrain des parties de chasse privées pour des clients étrangers fortunés.

    En parallèle, l’association Canopée souligne "le risque de dérives" et de "détournement" de cette mesure. Il est certain que cette nouvelle disposition, basée sur la punition, donne des clefs aux forces de l'ordre pour sanctionner les militants écologistes. Ce qui n'est pas sans rappeler la récente décision du Conseil d'État qui a annulé la dissolution des "Soulèvements de la Terre".

    Le député Jérémie Iordanoff a insisté sur l'aspect liberticide et dangereux de cette loin qui "risque [...] d’impacter tous les usagers de la forêt. À peine quelques mois après sa création, nous constatons déjà des abus. À l’avenir, il y a de fortes chances que cela se renforce. Les propriétaires fonciers vont être poussés à interdire l’accès à leur terrain pour des questions d’assurance ou simplement pour faire plaisir à des sociétés de chasse, c’est intolérable.", a-t-il martelé.

    Finalement, la gauche plaide pour une meilleure balance entre le respect de la propriété privée et la liberté de circuler.

    https://www.francesoir.fr/societe-environnement/les-forets-privees-entre-amendes-et-grillages

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    1. Les animaux tels que les chevreuils ou sangliers vivent en forêt et sortent de nuit pour ravager les cultures comme le font les lapins. Donc: grilager une forêt est un bien pour l'un comme pour l'autre.
      La forêt est généralement le lieu de règlements de comptes entre chasseurs ou 'touristes aventuriers'.

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  20. Automobile : l’Europe met à mort le moteur à essence

    L’introduction de la norme Euro 7 par le Parlement européen suscite un vif débat entre nécessités écologiques et contraintes industrielles. Cette réglementation, visant à succéder à Euro 6, promet de remodeler profondément le secteur automobile.


    Par Grégoire Hernandez
    le 10 novembre 2023 à 17h47


    70.000 décès annuels sont dus à la pollution de l'air.

    Euro 7 : la transition vers l'électrique doit-elle être prioritaire ?

    La norme Euro 7, en discussion depuis 2018, est censée remplacer l'actuelle Euro 6, instaurée en 2010. Son objectif principal est de réduire significativement les émissions polluantes des véhicules, notamment les oxydes d'azote et les particules fines. Cette initiative, saluée par les associations environnementales, est cependant jugée insuffisante par certains, qui la perçoivent comme un compromis timide face à l'urgence climatique. Thierry Breton, Commissaire européen au marché intérieur, défend ce projet sur BFMTV comme un équilibre entre progrès environnemental et réalisme économique, offrant une vision à long terme pour l'industrie automobile.

    Face à Euro 7, l'industrie automobile se mobilise avec fermeté. Les constructeurs, unis sous la bannière de l'ACEA (The European Automobile Manufacturers' Association), lobby influent du secteur, s'opposent radicalement à cette nouvelle norme. Selon eux, la transition vers l'électrique devrait être prioritaire, rendant inutile l'investissement dans de nouvelles normes pour les moteurs à combustion. Luca de Meo, de Renault, évoque des coûts exorbitants : des milliers d’euros par voiture et des impacts économiques désastreux, tels que la fermeture potentielle de plusieurs usines. En coulisses, l'ACEA a activement œuvré pour influencer et alléger la proposition initiale de la Commission européenne.

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  21. 70 000 décès annuels dus à la pollution de l'air

    En septembre 2023, sous l'influence de certains pays membres, notamment la France et l'Italie, une version atténuée d'Euro 7 voit le jour. Cette version "light", décrite par Marie Chéron de Transport & Environnement comme une Euro 6 déguisée, déçoit les militants écologiques. La mise en application, initialement prévue pour 2025, est repoussée à 2030 pour les voitures particulières, et 2031 pour les camions et les bus. Les limites d'émissions pour les véhicules légers restent inchangées, alors que les restrictions se renforcent uniquement pour les poids lourds.

    D'un côté, l'Europe s'efforce de réduire les émissions polluantes pour lutter contre les 70.000 décès annuels dus à la pollution de l'air. De l'autre, l'industrie automobile, pilier économique crucial de l'UE, craint un impact négatif sur l'emploi et la compétitivité. Le Parlement européen a finalement adopté la norme Euro 7 le 9 novembre 2023, avec une entrée en vigueur prévue plus tard que prévu.

    https://www.economiematin.fr/euro-7-norme-automobile-parlement-europeen

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    1. D'abord, si l'on s'assied à 20 cm du pot d'échappement quand le moteur tourne: on meurt. C'est ce qui est retenu par les anti-scientifiques. Mais, quand on sait qu'il y a des millions de voitures... et 300 ou 500 sur un boulevard... les 30 000 habitants des environs devraient être tous morts. Or, ce n'est pas le cas ! Çà alors !!

      Car, depuis toujours, TOUS les gaz émis se recyclent ! Les éruptions volcaniques représentent DES milliards de voitures et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!

      L'odeur du gasoil ou de l'essence ne représente pas un poison.

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  22. Les agriculteurs s'adaptent à l'évolution de la situation pour produire les denrées alimentaires souhaitées par les consommateurs


    9 Novembre 2023
    Alfredo Gutierrez, Réseau Mondial d'Agriculteurs*


    Pour les non-initiés, l'agriculture peut sembler lente et saisonnière, et aussi passionnante que de regarder les cultures pousser en temps réel. Elle semble à l'opposé du rythme effréné de la vie urbaine, avec ses heures de pointe, ses échéances urgentes et ses distractions incessantes.

    Pourtant, les agriculteurs savent qu'il suffit de quelques heures pour perdre toute une récolte.

    C'est ce qui m'est arrivé en juin, après avoir ramené des brocolis de nos champs du centre du Mexique.

    Le ramassage des récoltes avait été difficile, avec des températures avoisinant les 100 degrés Fahrenheit [38 °C]. Nous étions soulagés d'avoir fini de charger les brocolis dans un camion pour les envoyer à notre acheteur potentiel.

    Alors que nous pensions que notre travail était terminé, la météo n'en avait pas fini avec nous : le soleil était si chaud qu'il a transformé le camion en un four sur roues et a cuit les légumes.

    Notre brocoli frais s'est flétri et n'a plus rien valu. Nous n'avons pas pu les vendre. Nous avons tout perdu.

    Cette petite mésaventure me frustre encore, plus de deux mois plus tard. Pourtant, les agriculteurs doivent persévérer. Nous nous adaptons toujours à des circonstances changeantes, et c'est ce que nous faisons en ce moment.

    En même temps, je pense que nous devons améliorer l'accès aux marchés de base. Si nous y parvenons, l'agriculture dans ma région et au-delà deviendra plus agile et plus résistante.

    En tant que producteur laitier de cinquième génération, je ne suis pas un nouveau venu dans l'agriculture. J'ai produit des denrées alimentaires toute ma vie. Mais je suis tout à fait novice en matière de cultures maraîchères, une activité que nous n'avons entreprise que l'année dernière.

    Notre décision est née d'une nécessité. La pandémie a rendu la production laitière plus difficile que jamais, les coûts des intrants ayant fortement augmenté et la valeur du peso mexicain s'étant accrue par rapport au dollar américain. La réaction normale serait d'augmenter les prix, mais la forte concurrence dans le secteur du lait et les attentes des consommateurs ont rendu cela impossible.

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  23. Nous avons dû chercher d'autres moyens de générer des revenus.

    Nous avons toujours semé des cultures fourragères pour nos vaches laitières, il était donc logique de commencer à utiliser une partie de ces terres pour produire des légumes à haute valeur ajoutée. Nous avons commencé l'année dernière avec des haricots verts sur 10 hectares. Malheureusement, nous avons acheté de mauvaises semences. Les sept premiers hectares ont été une perte totale. Puis nous nous sommes repris. Nous avons changé de semences pour les trois derniers hectares et nous avons obtenu une récolte si bonne qu'elle a compensé le déficit précédent.

    Les haricots verts étant une culture d'été, nous sommes passés en septembre au brocoli et au chou-fleur, qui résistent à des températures plus froides et même à de légères gelées. Petit à petit, nous avons converti une plus grande partie de notre ferme à la production de légumes, l'objectif étant d'avoir 40 hectares à cultiver. Nous avons également investi dans un système d'irrigation au goutte-à-goutte, afin que nos légumes reçoivent l'eau dont ils ont besoin de la manière la plus efficace et la plus durable possible.

    Nous avons procédé avec prudence, en veillant à ce que nos cultures fassent l'objet d'un contrat avant de les planter. La partie la plus difficile de toute entreprise est la vente – et avec les contrats, nous savons que si notre culture est réussie, nous aurons un acheteur après la récolte.

    C'est du moins la théorie. En réalité, trop de contrats présentent des lacunes. Les acheteurs veulent évaluer la qualité des récoltes, ce qui est juste. Mais ils veulent aussi ajuster les prix en fonction de l'offre du moment, ce qui n'est pas juste. Pour masquer le problème, ils peuvent prétendre à tort que les bonnes récoltes sont de mauvaises récoltes.

    En d'autres termes, les agriculteurs peuvent produire des légumes parfaits qui méritent un prix élevé, conformément aux règles des contrats de vente, mais les acheteurs qui s'inquiètent de la saturation des marchés invoqueront des défauts qui sont en fait des fantasmes. Ils essaieront d'acheter à des prix inférieurs, voire de rejeter des produits qui, autrement, auraient leur place dans les épiceries, les restaurants et les garde-manger.

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  24. La solution consiste à s'affranchir de ce système défectueux en trouvant de nouveaux acheteurs avec de meilleurs contrats, ce qui inclut le commerce international avec des partenaires étrangers. J'espère que nous pourrons commencer à vendre une partie de ce que nous cultivons au-delà des frontières. Les États-Unis et le Canada sont d'excellents marchés potentiels pour nous, en raison de la proximité, des accords commerciaux et de la facilité de faire des affaires.

    Les Américains et les Canadiens qui recherchent des légumes frais et délicieux devraient nous contacter. Nous sommes ouverts à toutes les possibilités, car nous étendons notre production à d'autres variétés, en fonction de ce que veulent les consommateurs.

    Nous avons également l'intention de continuer à cultiver des brocolis, que nous vous laisserons cuisiner.
    ______________

    Alfredo Gutierrez est agronome et éleveur laitier de cinquième génération dans la région centrale du Mexique, où il est responsable de la santé et de l'alimentation des animaux, de l'équipement, de la technologie et de la production végétale qui comprend une rotation de maïs, de triticale, d'orge, de pois et de ray-grass.

    Source : Farmers Adapt to Changing Circumstances to Produce the Food Consumers Want – Global Farmer Network

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/les-agriculteurs-s-adaptent-a-l-evolution-de-la-situation-pour-produire-les-denrees-alimentaires-souhaitees-par-les-consommateurs.html

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  25. Les Français et l’âge de départ à la retraite : un contexte désuet


    le 10 novembre 2023


    Le Conseil National de la Résistance (CNR) avait concocté une sorte d’utopie que l’on appelle la retraite par répartition. Les cotisants paient pour les retraités, un vase communiquant idéologique datant des années 40 et inspiré des principes sociaux notamment du parti communiste. Adapté peut-être à la période du front populaire et de ces années 40 il est aujourd’hui obsolète pour deux raisons claires. La structure économique de la France a changé et l’imposition d’un âge de la retraite me semble personnellement une privation de liberté inacceptable. Pour illustrer mon propos je vais citer quelques exemples très significatifs. Il existe encore des métiers indispensables au bon fonctionnement de la société. L’époux d’une de mes nièces issu du milieu rural n’avait pas poursuivi sa scolarité après le certificat d’études et j’ai oublié pour quelles raisons il se retrouva égoutier de la ville de Lyon. Il ne s’agit pas d’un métier dégradant puisqu’il est indispensable. De plus il est très bien rémunéré, un salaire plus de trois fois plus élevé que celui d’un ramasseur d’ordures ménagères. Les égoutiers ont un statut de contractuels de collectivité locale et il leur est conseillé de cotiser volontairement pour constituer une retraite complémentaire auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. La retraite pour ce neveu par alliance fut établie à l’âge de 50 ans et il coule des jours heureux dans sa campagne natale.

    En ce qui me concerne, confronté à une mésentente avec mon supérieur hiérarchique doublée d’une évolution des techniques de recherche en biologie à laquelle je ne pouvais pas m’adapter, immobilisé par mon savoir-faire de « purificateur d’enzymes », une sorte d’art devenu presque unique avec l’arrivée de la biologie moléculaire, je décidais donc de démissionner à l’âge de 56 ans pour vendre tous mes biens et quitter la France. Ma retraite complémentaire fut amputée ainsi que la retraite du « régime général par répartition » puisqu’il manquait un certain nombre de trimestres de cotisation. Je survis très bien y compris dans une ville perdue au milieu du Pacifique où le moindre extra est très coûteux, mais on peut vivre parfaitement sans dépenses extravagantes. Et puisque je réside maintenant à Papeete, un petit coin de France très attrayant, j’ai découvert deux nouveaux exemples qui mettent à mal l’âge légal de la retraite. Le premier médecin que j’ai consulté dans cette ville, le Docteur Fichter, généraliste de 82 ans, exerçant chaque matin y compris le samedi, s’est trouvé être le premier de sa profession à me demander en observant l’état lamentable de ma peau si par hasard je n’avais pas été victime du coronavirus. Il me demanda de me déshabiller, de me peser, il prit ma tension et m’ausculta puis me prescrivit une pommade contenant un stéroïde fluoré pour calmer cet urticaire géant dont je souffrais. Cette intervention d’un « vieux » médecin, on peut dire de campagne, prouva qu’il avait pris soin de se documenter au sujet d’une maladie nouvelle encore inconnue. Le second médecin à qui j’ai confié ma santé sévit toujours à l’âge de 71 ans et il m’a affirmé que mon mal était d’origine auto-immune consécutive à l’infection coronavirale et il me prescrivit l’hydroxychloroquine pour ses propriétés immuno-modulatrices. Tout est rentré dans l’ordre, merci .

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  26. Enfin les exemples de Charles Gave, Institut des Libertés, et André Bercoff de Sud-Radio, tous les deux octogénaires se portent très bien et l’âge légal de la retraite ne les a pas même effleurés. Supprimer cet âge légal serait synonyme d’une sorte de pédagogie pour inciter les actifs à penser à leur retraite et la constituer selon leurs moyens salariaux dans le cadre d’une capitalisation confiée à un organisme contrôlé par l’Etat ou plutôt des organisations paritaires bien informées et elles existent, ou du moins elles existaient quand j’intégrai le CNRS avec un statut de contractuel. Ce sont les syndicats qui me conseillèrent vivement de constituer une retraite complémentaire gérée par la Caisse des Dépôts. Gérer son avenir relève de chacun individuellement et l’Etat n’a pas à décider à la place d’un individu. En conclusion l’âge légal de départ à la retraite en France est suranné, inadapté à la structure économique du pays, et quoi qu’en pense la Commission européenne qui se mêle de ce qui ne la regarde pas, les individus doivent décider par eux-mêmes. Le système d’assurance-vie est un pis-aller car il est géré par des banques et des sociétés financières auxquelles on ne peut plus faire confiance, en particulier dans la conjoncture économique et sociale dégradée à laquelle on assiste quotidiennement en France ainsi que dans bien d’autres pays européens. Au Japon le système de retraite repose majoritairement sur la capitalisation et ce système profite à l’économie puisque les fonds de pension sont investis dans l’économie réelle et les gérants de fonds agissent pour faire fructifier le capital considérable accumulé par ces fonds de pension.

    Le CNR a autorisé une sorte de système invivable qui mêle les idéaux du parti communiste et le concept de charité chrétienne ancré dans la culture française. Cela peut paraître idéal mais tant sur le plan économique que philosophique ce système prive les individus de leur liberté puisqu’il est illégal en France de se soustraire à cette sorte de dogme de la répartition et il ne profite en aucun cas à l’économie. Conclusion : il faut que le gouvernement se décide à respecter la liberté de choix des citoyens dont il a la charge et pour le reste j’ai à peu près décrit la situation …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/11/10/les-francais-et-lage-de-depart-a-la-retraite-un-contexte-desuet/

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  27. Le gouvernement britannique surpris en train de surveiller la présence de membres du personnel scolaire sur les réseaux sociaux


    10/11/2023
    Olivia Cook


    Downing Street surveille la présence du personnel scolaire en Angleterre sur les réseaux sociaux, selon un rapport.
    Selon Reclaim the Net, le ministère britannique de l'Éducation (DfE) surveille de près les comptes de médias sociaux et l'activité Internet de dizaines de membres du personnel scolaire basé en Angleterre pour détecter toute dissidence ou critique de sa politique.

    Parmi les personnes surveillées figurent des experts en éducation de haut niveau, des enseignants modestement rémunérés, des assistants pédagogiques, des bibliothécaires et même les membres les moins bien payés du personnel des services auxiliaires.

    Indignés, beaucoup n'ont pas perdu de temps pour faire et soumettre des demandes d'accès aux sujets (SAR) pour faire valoir leurs droits d'accès et de réception de copies de leurs données et d'autres informations supplémentaires et obliger le DfE à divulguer toutes les informations qu'il détenait sous leur nom.

    Le personnel enseignant et de soutien ordinaire a déclaré avoir été « abasourdi » après avoir découvert que certains des fichiers comptaient jusqu'à 60 pages, contenant leurs tweets et commentaires sur les politiques gouvernementales ou sur l'Office des normes en matière d'éducation, de services et de compétences à l'enfance (Ofsted) – le inspection scolaire.

    Nikki Cleveland, qui n'est qu'une assistante pédagogique de niveau supérieur et une bibliothécaire d'école primaire qui publie principalement des livres pour enfants, a été choquée d'être même "sur leur radar". Elle a exprimé sa fureur après avoir découvert par un SAR que le DfE disposait d'un dossier signalant ses plaintes concernant le manque de financement des bibliothèques scolaires et des tweets sur les demandes déraisonnables de l'Ofsted.

    Jon Biddle, professeur d'anglais à l'école primaire, qui, il est vrai, s'est montré plus virulent dans ses critiques de la politique gouvernementale, n'a pas été surpris lorsque ses soupçons quant à sa surveillance ont été confirmés par le dossier SAR qu'il a reçu.

    "Est-ce une bonne utilisation du temps et des ressources limités du DfE ? Non", a-t-il fait remarquer. "Les écoles sont confrontées à d'énormes défis qui doivent désespérément être résolus."

    Il y a deux semaines, l'Observer a écrit à propos d'une conférence que le DfE avait tenté d'annuler « à moins que » deux experts de la petite enfance, qui figuraient sur leur liste d'orateurs, « n'apparaissent que virtuellement » via la plateforme de conférence Zoom. Les organisateurs de la conférence auraient refusé la réserve de Zoom et insisté sur le fait qu'« ils ne pouvaient pas obliger 120 assistantes maternelles et puéricultrices à renoncer à leur week-end pour parcourir le pays à pied, puis leur faire regarder un écran ».

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  28. Le DfE avait considéré la conseillère en amélioration scolaire Ruth Swailes et le conférencier international sur l'éducation et le développement de l'enfant, le Dr Aaron Bradbury, comme des orateurs vedettes « inadaptés » pour critiquer ouvertement la politique gouvernementale. Swailes a supposé que la condition "via Zoom" du DfE était que les responsables pouvaient les couper des ondes s'ils n'aimaient pas ce qui se disait.

    Le Guardian a rapporté que l'événement avait finalement été autorisé après que Swailes et Bradbury aient menacé le département de poursuites judiciaires. Un haut responsable gouvernemental aurait été présent pour « surveiller » ce qu'ils disaient.

    "Nous devions parler de l'éducation et du développement de la petite enfance, pas de choses secrètes sur l'infiltration de la Russie. Nous avions l'impression de vivre dans une dictature, pas dans une démocratie", a déclaré Bradbury, qui était à l'époque conseiller du DfE en matière de développement de la main-d'œuvre. a déclaré à l'Observateur.

    La surveillance gouvernementale rend les éducateurs britanniques plus déterminés à s'exprimer
    Swailes a révélé que le dossier SRA qu'elle a reçu contenait des tweets qu'elle avait publiés à propos d'Ofsted et a même noté qu'elle avait « aimé » des publications sur les réseaux sociaux promouvant des conseils sur l'enseignement aux jeunes enfants qui étaient rédigés par des éducateurs plutôt que par le gouvernement. Le dossier qu'elle a découvert contenait un e-mail marqué et la qualifiait de « critique de longue date » de la politique du gouvernement en matière de petite enfance. Elle a trouvé les noms expurgés des personnes du gouvernement qui la suivaient sur la plateforme X, elle n'avait donc aucune idée de qui il s'agissait.

    "Ils ont essayé de me ruiner, mais ils n'ont fait que me rendre plus vocal. De temps en temps, je les tague et leur dis 'Vous pouvez ajouter ceci à mon dossier'", a ajouté Swailes.

    Carmel O'Hagan, experte en langues étrangères modernes et consultante professionnelle en éducation, a déclaré que les 37 pages de correspondance la concernant comprenaient une feuille de calcul Excel détaillant les personnes avec lesquelles elle a interagi. (Connexe : la technologie de surveillance IA peut découvrir qui sont vos amis.)

    "Puérile", "méchante" et "non professionnelle", c'est ainsi qu'elle a décrit un e-mail expurgé du DfE qui commentait ses publications sur les réseaux sociaux disant qu'elle avait "un problème avec le gouvernement" qui avait fermé (puis décidé de recréer) le National Centre de Langues où elle travaillait auparavant.

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  29. Le dossier SRA du professeur critique de linguistique appliquée, le Dr Ian Cushing, a révélé qu'il était surveillé à la fois par le DfE et par Ofstead. Il a déclaré à propos de cette découverte : "Ce qui me dérange profondément, c'est le fait qu'ils consacrent des sommes considérables de temps et d'argent à ces procédures de surveillance à un moment où les écoles sont frappées par des difficultés économiques et une crise du coût de la vie."

    Les sentiments de Cushing ont été partagés par Sue Cowley, une enseignante expérimentée et une présentatrice professionnelle et auteure à succès de 30 livres destinés aux parents et aux enseignants.

    Elle aurait tweeté sa réponse aux documents qui lui avaient été envoyés sous son nom cette semaine comme suit : « Excusez mon langage, mais [que fait] le DfE en dépensant l'argent des contribuables pour surveiller les critiques de la politique gouvernementale ici ? »

    Le dossier SRA du Dr Pam Jarvis, enseignante à la retraite et psychologue pédagogique de l'Université Leeds Trinity, comptait plus de 40 pages de dossiers de surveillance. Il a montré que le ralentissement du DfE se concentrait sur ses critiques à l'égard des nouvelles évaluations de base controversées du département pour les enfants de quatre ans lors de leur premier trimestre scolaire.

    "Découvrir qu'ils me surveillaient me rend furieux, et cela me rend également plus enclin à continuer de le faire", a déclaré Jarvis. "Ils devraient savoir que je parlerai ainsi jusqu'à ma mort."

    Regardez la vidéo suivante pour en savoir plus sur la confidentialité et la surveillance en ligne.

    Cette vidéo provient de la chaîne Daily Videos sur Brighteon.com.

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  30. Plus d'histoires connexes:

    UNESCO : La combinaison de la neurotechnologie et de l'IA menace la vie privée mentale.

    Google a mis à jour sa politique de confidentialité afin de pouvoir utiliser toutes vos données pour entraîner l'IA.

    Un sous-traitant de la surveillance du FBI a infiltré les salons de discussion et surveillé les sceptiques des vaccins COVID.

    Sources include:

    ReclaimTheNet.org
    TheGuardian.com 1
    TheGuardian.com 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-11-10-british-government-watching-social-media-school-staffers.html

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  31. Beyond Meat a du mal à faire face à la baisse des ventes – les gens choisiront toujours le VRAI plutôt que le FAUX


    10/11/2023
    Ramon Tomey


    L'entreprise de fausse viande Beyond Meat n'a pas répondu aux attentes du marché en ce qui concerne son chiffre d'affaires trimestriel, affichant des pertes supérieures aux estimations du marché lors d'une conférence téléphonique post-résultats le 8 novembre.

    Les dirigeants de la société basée à El Segundo, en Californie, ont déclaré que le pourcentage de personnes aux États-Unis qui pensent que les viandes à base de plantes sont saines aurait probablement encore diminué cette année. Selon les données du Food Marketing Institute, ce chiffre était de 50 pour cent en 2020 et est tombé à 38 pour cent en 2022.

    Les malheurs de Beyond Meat sont exacerbés par une faiblesse constante de la demande de viandes végétales dans le pays. L'entreprise a commencé à offrir des remises plus importantes sur ses produits, car l'opinion des consommateurs à l'égard de la viande d'origine végétale et de ses bienfaits pour la santé en a pris un coup, selon Epoch Times.

    "Les consommateurs aux États-Unis ne se sont pas encore complètement réchauffés aux alternatives aux protéines végétales comme Beyond Meat, car les produits ne répondent pas aux normes des acheteurs en matière de goût et de saveur", a déclaré Rachel Wolff, analyste principale d'Insider Intelligence.

    Ce sentiment s’est traduit par des chiffres négatifs pour Beyond Meat. Son chiffre d'affaires net pour le troisième trimestre 2023 est tombé à 75,3 millions de dollars, soit une baisse de 8,7 % par rapport aux estimations des analystes de 8,54 millions de dollars basées sur les données du London Stock Exchange Group. Beyond Meat a également enregistré une perte de 1,09 $ par action, soit 20 cents de plus que les attentes du marché d'une perte de 89 cents par action.

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  32. "Nous sommes déçus par nos résultats globaux alors que nous continuons à faire face à une aggravation des vents contraires spécifiques au secteur et aux consommateurs plus larges", a déclaré Ethan Brown, fondateur et PDG de Beyond Meat.

    Beyond Meat réduit pour la deuxième fois ses prévisions de revenus annuels
    Plus tôt en novembre, Beyond Meat a réduit ses prévisions de revenus annuels pour la deuxième fois cette année et a annoncé de nouvelles suppressions d'emplois dans le cadre d'un plan de réduction des coûts. Un article du 2 novembre par Bloomberg a développé ce développement de l'entreprise de fausse viande.

    D'une projection initiale comprise entre 360 et 380 millions de dollars, Beyond Meat a déclaré le 2 novembre qu'elle s'attend désormais à ce que son chiffre d'affaires pour l'ensemble de l'année se situe entre 330 et 340 millions de dollars, soit une baisse allant jusqu'à 21 % par rapport à son chiffre d'affaires. Projection 2022. Il a également annoncé la suppression de 65 emplois, soit 8 % de sa main-d'œuvre mondiale, ce qui entraînerait jusqu'à 10,5 millions de dollars d'économies. (Connexe : La fausse bulle alimentaire à base de viande éclate : Beyond Meat réduit ses perspectives de revenus et prévoit de supprimer des emplois.)

    Dans une note de recherche, Jennifer Barthasus et Jibril Lawal, analystes de Bloomberg Intelligence, ont écrit que l'annonce de Beyond Meat du 2 novembre « soutient la faible demande des consommateurs pour la viande à base de plantes, qui, nous l'espérons, se poursuivra jusqu'en 2024 ».

    "L'intérêt pour les produits de substitution à la viande qui imitent le goût et la sensation du bœuf et des saucisses a diminué après une vague d'intérêt initiale lors de leur introduction", souligne l'article de Bloomberg. L'affaissement de la demande et les promotions qui n'ont pas fonctionné ont également porté un coup dur aux revenus de tanking de Beyond Meat.

    En dehors de cela, les ventes plus faibles que prévu de produits de base tels que Beyond Burger par rapport à d’autres offres telles que Beyond Chicken Nuggets et Beyond Steak ont également joué un rôle important.

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  33. "La révision des prix est très inquiétante", a écrit Michael Lavery, analyste chez Piper Sandler, dans une note. Selon lui, les consommateurs se sont tournés vers du bétail et de la volaille plus abordables alors que l’inflation mettait à rude épreuve les budgets. Lavery s'est demandé si Beyond Meat pourrait augmenter les prix sans nuire davantage à la demande.

    "Nous restons convaincus que l'amélioration du goût et de la qualité est ce qui importe le plus, et bien plus important que l'éducation des consommateurs", a fait remarquer l'analyste, faisant référence aux projets de Beyond Meat visant à lutter contre la "désinformation" sur ses produits.

    Visitez FakeMeat.news pour plus d’histoires sur Beyond Meat.

    Regardez cette vidéo sur les malheurs de l’industrie de la fausse viande, y compris Beyond Meat.

    Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Les fausses entreprises de viande s’effondrent en raison de la baisse des ventes et d’une réaction anti-réveil.

    Le stock de Beyond Meat plonge alors que les Américains rejettent les hamburgers Frankenfood.

    Les entreprises de fausse viande soutenues par Bill Gates sont au bord de l’effondrement financier.

    Les entreprises de fausse viande échouent alors que les consommateurs abandonnent les alternatives transformées à base de plantes à la vraie viande.

    Les consommateurs REJETENT les faux produits transformés d’imitation de viande de Beyond Meat ; l'entreprise procède à une réduction massive des effectifs.

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  34. Les sources incluent :

    TheEpochTimes.com
    Bloomberg.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-11-10-beyond-meat-struggles-to-address-declining-sales.html

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  35. Risque pénal lié à la publicité destinée aux médecins – en Suisse. En Autriche : une formation médicale sponsorisée par Pharma


    11 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L’une des évolutions indésirables les plus importantes dans le monde scientifique est l’ingérence et le financement des sociétés pharmaceutiques. Ou avec le climat à travers le complexe numérique-financier. En Suisse, l'Office fédéral de la santé publique a conclu dans une première évaluation que les paiements aux médecins pour de la publicité dans les salles d'attente ne sont pas autorisés.
    La chaîne suisse SRF rapporte sur son site Internet :

    Une lettre du fabricant de médicaments génériques Sandoz inquiète actuellement le corps médical : « BAG considère que le paiement de prestations publicitaires dans les cabinets médicaux est inadmissible », écrit Sandoz. Les contrats publicitaires seront donc résiliés à la fin de l'année. Les paiements marketing – par exemple pour les écrans publicitaires Sandoz dans les salles d'attente – sont donc pour l'instant terminés. Une poursuite « impliquerait des risques majeurs, notamment criminels », pour les médecins et l’entreprise pharmaceutique.

    Et plus loin:

    Le motif du refus de paiement est une procédure administrative de l'Office fédéral de la santé publique. L'enquête a été déclenchée par un reportage de la SRF sur la chaîne de médecins du médecin de famille Thomas Haehner .

    Il semble clair pour les sociétés pharmaceutiques qu’elles doivent payer pour les services des médecins. Mais du point de vue des patients et de l’éthique, les choses semblent différentes. SRF poursuit :

    "Pour Ivan Tomka, expert en assurance maladie, c'est clair : "De tels paiements sont inadmissibles car un médecin doit agir sans avantages financiers et uniquement dans l'intérêt du patient." Sandoz voit les choses différemment et écrit à SRF Investigative : "Nous restons convaincus de la conformité juridique de ces services publicitaires conformes aux normes du secteur et nous nous défendons donc - si nécessaire par une action en justice - contre l'avis juridique du BAG." Si le BAG maintient son appréciation, Sandoz s'adressera probablement au Tribunal administratif fédéral.»

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  36. On aurait pu espérer qu'un tribunal déterminerait enfin qu'« un médecin doit agir sans aucun avantage financier et uniquement dans l'intérêt du patient ». Cela devrait être une évidence, mais ce n'est malheureusement plus le cas.

    Et en Autriche

    Des exemples tristement célèbres sont le Comité national de vaccination, dont les membres ont des conflits d'intérêt évidents, comme cela a été rapporté ici à plusieurs reprises ( ici , ici ici ou ici . Un autre exemple est la Société autrichienne des maladies infectieuses et de médecine tropicale (ÖGIT), qui organise des webinaires pour Il existe ce qu'on appelle les points .DFP, qui servent de preuve aux médecins qu'ils ont suivi les formations prescrites par l'ordre des médecins.

    Voici l’exemple le plus récent du 9 novembre 2023 avec le titre « La vague arrive-t-elle ? « Mise à jour Covid-19 »

    Voici deux diapositives d'Assoc. Professeur PD Dr. Heimo Lagler :

    - voir doc sur site -

    Nous voyons des publicités de Pfizer et Novavax accompagner toute la conférence. Il n’est donc pas surprenant qu’un tel contenu apparaisse.

    - voir doc sur site -

    Ce contenu pourrait également provenir d’un vendeur de produits pharmaceutiques ; les intérêts pharmaceutiques sont ici clairement représentés. L’autre possibilité, bien sûr, serait que l’orateur n’ait aucune connaissance en biochimie et peu de connaissances en médecine factuelle et toutes les connaissances médicales jusqu’au début de 2020.

    Très brièvement sur trois des affirmations figurant sur la diapositive :

    Ivermectine : Testé avec beaucoup de succès dans de nombreux pays d'Amérique centrale, d'Afrique, d'Asie (Inde) ainsi que dans des pays européens comme la Slovaquie et dans des cliniques individuelles, même en Allemagne. Il existe plus de 100 études qui démontrent clairement son efficacité.

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  37. Vitamine D : Sans vitamine D, le système immunitaire cellulaire ne fonctionne pas et donc il n'y a pas d'anticorps. Montré par exemple par Carsten Geisle r et al 2010 à l'Université de Copenhague. Des études ont prouvé qu'à partir d'un niveau de 50 ng/ml, le risque de maladie grave est très faible.

    Azithromycine : Les maladies graves associées aux infections des voies respiratoires sont presque toujours dues à des co-infections bactériennes, mais celles-ci peuvent être facilement contrôlées par des antibiotiques. À partir d’avril 2020, le traitement aux antibiotiques a été de facto interdit , ce qui a entraîné une augmentation significative des cas graves et des décès. Tout est très simple à comprendre.

    La vidéo peut également (encore) être visionnée sur YouTube :

    Quand d’autres autorités sanitaires nationales suivront-elles l’exemple suisse ? C’est le seul moyen de parvenir à une médecine qui soit au service des patients plutôt que des sociétés pharmaceutiques.

    https://tkp.at/2023/11/11/strafrechtliches-risiko-fuer-werbegelder-an-aerzte-in-der-schweiz-in-oesterreich-arztfortbildung-gesponsert-von-pharma/

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  38. Le groupe Stanford a aidé le gouvernement américain à censurer les dissidents du COVID, puis a menti à ce sujet, selon de nouveaux documents

    Une multitude de rapports récemment publiés sur le Virality Project confirment que le gouvernement a utilisé une coupure de Stanford pour censurer le contenu réel sur les vaccins Covid, confirmant ainsi les rapports de Twitter Files.


    Par Alex Gutentag et Andrew Lowenthal
    Recherche mondiale,
    10 novembre 2023


    Un porte-parole du Stanford Internet Observatory (SIO) a déclaré qu’il « n’a pas censuré ni demandé aux plateformes de médias sociaux de supprimer tout contenu des médias sociaux concernant les effets secondaires du vaccin contre le coronavirus ».

    Ce démenti fait suite aux fichiers Twitter publiés par Matt Taibbi en mars, qui révélaient que le soi-disant « projet de viralité » du SIO avait poussé les plateformes à traiter les inquiétudes des utilisateurs concernant les mandats et les passeports vaccinaux comme de la « désinformation » et à considérer « les histoires de véritables vaccins ». effets secondaires » pour être un contenu exploitable sur les réseaux sociaux.

    Le Virality Project était une initiative entreprise conjointement par les Big Tech, les universités et les ONG pour lutter contre la « désinformation anti-vaccin ». Le SIO a répondu aux fichiers Twitter de Taibbi en affirmant que ses conclusions étaient « inexactes et basées sur des distorsions des échanges de courriers électroniques dans les fichiers Twitter ».

    Mais de nouvelles preuves montrent que Stanford a menti sur la portée du projet Virality et que ses efforts de censure ont été entrepris au nom du gouvernement américain.

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  39. Comme Public l'a rapporté mardi, de nouveaux documents partagés par le comité judiciaire de la Chambre ont révélé que le ministère de la Sécurité intérieure (DHS) avait créé le prédécesseur du projet Virality, l'Election Integrity Partnership (EIP), pour censurer les discours protégés. Explique le comité, « l'EIP s'est reconstitué en tant que projet de viralité » et a continué à travailler avec le gouvernement fédéral. Les fichiers Twitter ont également révélé que le projet s'était associé « à plusieurs agences gouvernementales », notamment la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA), le Bureau du chirurgien général et les Centers for Disease Control (CDC).

    Pourtant, Stanford et les grands médias insistent sur le fait que les experts en « désinformation » menaient simplement des recherches et n’étaient pas impliqués dans une véritable censure.

    Aujourd'hui, une enquête menée par Public a révélé des preuves claires que le Projet était directement et délibérément impliqué dans des efforts de censure réussis. Public a analysé une multitude de tickets du système Jira récemment publiés , la ligne d'information du Virality Project destinée aux entreprises de médias sociaux. Ces tickets contredisent massivement l'affirmation de Stanford selon laquelle elle n'a pas tenté de faire censurer le contenu.

    Le Virality Project, faisant office de relais pour le DHS et le CISA, a travaillé directement avec des employés de Facebook, Google, YouTube, TikTok et bien d’autres, qui étaient tous inscrits à leur système Jira. Ces sociétés ont régulièrement assuré au Projet qu'elles s'occupaient du contenu qu'elles signalaient. Les entreprises ont répondu par des commentaires tels que : « Merci d’avoir signalé cela. Nous avons traité le contenu » ou « Merci de nous avoir contactés – notre équipe étudie cette question actuellement. » Le Virality Project a gardé une trace des actions sur le contenu qu'il a signalé et a souvent réussi à faire étiqueter ou supprimer le contenu par les plateformes, et à faire suspendre les utilisateurs.

    Le Virality Project semble avoir joué un rôle majeur dans un cas particulièrement tristement célèbre de censure liée au Covid. Le 15 mars 2021, Martin Kulldorff, professeur de médecine à Harvard , a tweeté :

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  40. « Penser que tout le monde doit être vacciné est aussi erroné sur le plan scientifique que penser que personne ne devrait le faire. Les vaccins contre la COVID sont importants pour les personnes âgées à haut risque et leurs soignants. Ceux qui ont déjà été infectés naturellement n’en ont pas besoin. Ni les enfants.

    "Chère équipe Twitter", a écrit un représentant du Virality Project en réponse au message de Kulldorff, "Ce tweet contredit directement les conseils du CDC."

    "Merci à l'équipe, nous étudions cette question", a répondu un spécialiste principal des politiques de confiance et de sécurité de Twitter.

    Le tweet de Kulldorff a ensuite été qualifié de trompeur et il a été temporairement suspendu de la plateforme. En interne, le Virality Project a identifié Kulldorff, un biostatisticien renommé, comme un « récidiviste ».

    Ce processus était en effet un acte de censure délibéré et parrainé par l’État. Dans de nombreux cas flagrants, le Virality Project – encore une fois, une coupure du gouvernement – ​​a intentionnellement et sciemment travaillé à faire taire et à déporter les utilisateurs des médias sociaux. Les enregistrements Jira confirment les fichiers Twitter et constituent la preuve de violations du premier amendement.

    Cliquez ici pour lire l'article complet :

    https://public.substack.com/p/stanford-group-helped-us-government

    https://www.globalresearch.ca/stanford-group-helped-us-government-censor-covid-dissidents-and-then-lied-about-it-new-documents-show/5839570

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  41. miARN utilisés dans les cas d'autopsie après un arrêt cardiaque

    De nouveaux diagnostics tissulaires et sanguins identifient des régulateurs génétiques indépendants de la maladie coronarienne


    Par le Dr Peter McCullough
    Recherche mondiale,
    10 novembre 2023


    Nous assistons à un tsunami d’arrêts cardiaques depuis l’avènement du programme mondial de vaccination génétique de masse. Dans pratiquement tous les cas, le statut vaccinal contre la COVID-19 n’est pas divulgué au public .

    De plus, l’autopsie générale peut être « normale ». On me demande souvent à quoi devrait ressembler une autopsie cardiaque moderne à l’ère du vaccin COVID-19 :

    Examen macroscopique, aorte cardiaque, gros vaisseaux, poumons, artères pulmonaires
    Poids du cœur < 250 g pour les femmes, < 350 g pour les hommes
    Coupes coronaires pour l'athérosclérose et le thrombus
    Coupes du myocarde pour détecter des signes de cicatrice, d'anomalies congénitales, de maladie valvulaire.
    Coloration immunohistochimique myocardique pour la protéine de pointe et la nucléocapside du SRAS-CoV-2, les cellules inflammatoires, la protéine amyloïde
    Écouvillon buccal pour panel arythmie et cardiomyopathie (In Vitae ou équivalent)
    Essais de recherche
    La maladie coronarienne anatomique est très répandue chez les adultes et elle peut être un simple spectateur et non la cause directe de l'arrêt cardiaque arythmique. Di Michele et al. ont rapporté que les petits fragments de micro-ARN connus pour réguler les gènes, et dans ce cas, les gènes qui contrôlent les canaux ioniques cardiaques, varient vers le haut ou vers le bas dans le sang et les tissus cardiaques et aident à distinguer un événement coronarien d'une arythmie primaire. événement.

    - voir doc sur site -

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  42. Bernini Di Michele A, Onofri V, Pesaresi M, Turchi C. Le rôle du profil d'expression des miARN dans les cas de mort cardiaque subite. Gènes (Bâle). 17 octobre 2023;14(10):1954. est ce que je: 10.3390/genes14101954. PMID : 37895303 ; PMCID : PMC10606010.

    À l'heure actuelle, il est possible que les vaccins à ARNm et à ADN adénoviral puissent influencer les miARN clés dans la voie causale menant à une mort cardiaque arythmique primaire en l'absence de myocardite clinique . Donc, si vous êtes impliqué dans une situation où un membre de votre famille ou un ami subit un arrêt cardiaque inattendu, veuillez insister pour que l'autopsie soit la plus complète possible. Vous n'aurez qu'un seul coup.

    https://www.globalresearch.ca/mirnas-used-autopsy-cases-after-cardiac-arrest/5839551

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  43. Le Traité de pandémie : le calendrier s'accélère


    le 10 novembre 2023 - 19:00


    La souveraineté des États est réduite à la fonction de défendre les buts et objectifs du traité de pandémie.

    TRIBUNE - Du 6 au 10 novembre, le comité intergouvernemental de négociation a tenu une réunion dans les locaux de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à Genève pour examiner et négocier avec les États membres et les autres parties prenantes "la convention de l'OMS, l'accord ou tout autre instrument international sur la prévention des pandémies" (ci-après dénommé Traité de pandémie), sur la base du "texte de négociation", proposé le 30 octobre 2023 par ce même comité. Ce traité, ainsi que des amendements du Réglement sanitaire international seront mis au vote par l'Assemblée mondiale de la santé de l'OMS en mai 2024. Ceux-ci seront contraignants pour les pays signataires. En d'autres termes, ils auront l'obligation des les appliquer.
    Donc de quoi s'agit-il au juste ?

    Le Traité de pandémie

    Pour qu’il soit entériné, il faut une majorité des deux tiers à l'Assemblée mondiale de la santé (AMS), suivie d'une ratification nationale.

    L'adoption implique :

    – de l'appliquer "en tout temps" (article 2.2), donc pas seulement pendant les périodes que l'OMS déclarera comme pandémies ;

    – que l'OMS comme soit reconnue "l'autorité directrice et coordinatrice de l'action sanitaire internationale dans le domaine de la santé" : toutes les décisions seront prises par un comité indépendant, non élu, qui ne sera pas sous le contrôle d'organes représentant les peuples, les parlements, etc. et qui incluera le secteur privé. Il aura le pouvoir de vérifier que les décisions et le traité sont correctement mis en œuvre par les États.

    Bref, la souveraineté des États est réduite à la fonction de défendre les buts et objectifs du traité. Ainsi, le contribuable paiera pour des décisions ayant un impact sur sa vie prises par des comités non élus sur lesquels il n'aura aucun droit de regard et d'influence. Mais le secteur privé, notamment pharmaceutique, participera à la mise en place de toute la politique – un secteur dont les profits seront expressément protégés ;

    – faire taire toutes les voix dissidentes au niveau mondial, qui n'acceptent pas la politique concernant les pandémies et la santé et les suppositions sur lesquelles cette politique est fondée. En effet, les États "combattront les informations fausses, trompeuses, la désinformation ou la mésinformation" par le biais de "la collaboration et de la coopération internationale" et de "recherches" menés par les États pour "éclairer les politiques sur les facteurs qui entravent l'adhésion aux mesures sociales et de santé publique en cas de pandémie et la confiance dans la science et la santé publique". Cela ne s'apparente-t-il pas à de l'ingénierie sociale ?

    Il faut savoir que depuis le 25 août, le Digital Services Act (DSA), qui vise en particulier la désinformation, est entré en vigueur en Europe.

    Qui décidera ce qu'est la désinformation ou la fausse information ? "La meilleure science disponible".

    Il s'agit d'une science qui suppose l'existence d'agents pathogènes qui auraient "une transmissibilité élevée et durable d'une personne à l'autre", et pourraient en particulier être transmis des animaux aux hommes, et qui évidemment accepte un changement climatique méritant des mesures pour le prévenir…

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  44. – s'assurer de la mise en place d'une approche "Une seule santé", c'est-à-dire incluant "la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes", impliquant notamment "des mesures pour lutter contre le changement climatique". La science, y compris les sciences sociales et comportementales, se fera dans ce cadre.

    La nature, dont nous faisons partie intégrante, est désormais l'ennemi, et nous sommes donc nos propres ennemis, et devons donc être protégés de nous-mêmes.

    Quant à la science, elle est fondée sur le raisonnement reposant sur l'observation reproduite et reproductible à volonté. Donc, elle reste la connaissance la plus objective possible pour l'esprit humain. Mais est loin de l'être. Ses théories sont susceptibles d'être modifiées, sinon rejetées ; elles sont éphémères et l’objet d’un processus constant de révision. Les mêmes phénomènes peuvent avoir diverses explications selon les points de vue.
    Si le traité est adopté, en vertu du DSA déjà en vigueur en Europe, toute science qui serait en désaccord avec le discours officiel et toute référence à celle-ci deviendraient-elles illégales, et donc pouvant être censurées si elles sont officiellement considérées "fausses" ?
    Toutefois, la science, notre meilleur outil pour nous faire une idée du monde sensible, est essentielle pour la survie de l'humanité, mais nécessite liberté.

    – "Prendre les mesures appropriées" dans le cadre de "surveillance de la santé publique", ce qui implique le partage de toute information jugée nécessaire avec, notamment, le secteur privé, ce qui pourrait inclure des données personnelles, comme semble le suggérer un décret entré en vigueur en France le 1er août 2023. Il rend obligatoire "la transmission ... à l'autorité sanitaire" de "données individuelles" jugées pertinentes "par les médecins, services et laboratoires de biologie médicale publics et privés", données qui seront accessibles à tout leur personnel…

    Le Règlement sanitaire international (RSI, version révisée de 2005)

    Parallèlement, des amendements au RSI sont en cours de préparation. Certains attribuent de nouvelles fonctions à l'OMS, et consolident le transfert de souveraineté vers cette organisation non élue. Ceux-ci seront soumis aux États pour leur considération avant mi-janvier 2024, et avant le vote à l'Assemblée mondiale de la santé en mai.

    L'adoption des amendements au RSI est plus simple que l'adoption du traité. Elle ne nécessite qu'un vote à la majorité simple des délégués à l'AMS, sans autre procédure de ratification nationale. Un État peut se retirer du RSI dans un délai de 10 mois. Passé ce délai, les amendements s'appliquent automatiquement à eux.

    Toutes les mesures appliquées dans le monde depuis 2020, y compris la vaccination obligatoire, sont en fait légales en vertu de ce traité.

    Alors pourquoi ces amendements et un nouveau traité ?

    La réponse a été donnée par le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus : le traité "contribuerait le plus au renforcement de la sécurité sanitaire mondiale et à l'autonomisation de l'Organisation mondiale de la santé " Le RSI laisse encore une certaine autorité aux États. Il ne permet à l'OMS que de recommander, pas d'imposer des mesures ; c'est aux Etats de décider et de vérifier par leurs propres moyens s'ils le jugent nécessaire que les populations les respectent.

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  45. Déclaration politique "de la réunion de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations unies sur la prévention, la préparation et l'intervention en cas de pandémie"

    Il faut aussi savoir que le 20 septembre 2023, l'Assemblée générale des Nations unies a tenu une "réunion de haut niveau sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies". Selon le site de l'OMS, elle a offert "une tribune aux États Membres pour discuter des moyens de prévenir et de se préparer aux pandémies et à leurs conséquences sanitaires, sociales et économiques". Une déclaration politique présentant les principaux points retenus a été ratifié. Certes, elle n'a pas force contraignante mais représente "l’évolution dynamique des normes juridiques internationales". Il s'agit d'un soutien de poids : elle encourage "à conclure les négociations" et réitère les points principaux du traité :

    Le rôle de l'OMS et l'augmentation de son financement ;

    La censure, notamment concernant la connaissance scientifique ; (Notons à nouveau que toute critique concernant un sujet touchant à la santé est mise sur un pied d'égalité avec "les discours de haine et la stigmatisation").  Il faut aussi savoir qu'une armée de citoyens est en formation par les casques bleus de l'ONU pour espionner et surveiller les contenus des réseaux sociaux considérés comme de la fausse information concernant santé et développement durable.
    Mise en place de toute mesure sanitaire jugée nécessaire.
    En conclusion

    Ces accords sont une atteinte grave au pouvoir démocratique des peuples, à leurs droits et libertés fondamentaux. Pour la première fois, des accords forcent légalement à reconnaître au nom de LA (et non la) science des thèses controversées scientifiquement. En d'autres termes, le scientisme devient la vérité légale, alors que la science devient mensonge.

    Urmie Ray a étudié les mathématiques à l'université de Cambridge, où elle a obtenu sa licence, son master et son doctorat. Chercheuse et universitaire (Cambridge, IHES à Bures-sur-Yvette, Institut Max Planck à Bonn, université de Californie à Santa Cruz, Centre de Recerca Matemàtica à Barcelone), elle démissionne de son poste de professeur en France (le pays de son enfance) afin de se consacrer à son intérêt de toujours pour les questions d'actualité, notamment celles liées à la science. Ses deux derniers livres et divers articles récents, parus dans divers journaux et revues, portent sur ces sujets. La version française révisée de On Science : Concepts, Cultures and Limits (Routledge, 2021) paraîtra bientôt.

    Par ailleurs, elle vient de commencer un canal YouTube, "Pensez-y", consacré à de courtes vidéos sur divers sujets, notamment la science, le but étant de donner des pistes de réflexions afin que tout un chacun puisse se réapproprier les outils de la pensée.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-traite-de-pandemie-le-calendrier-s-accelere

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