60 ans après l'assassinat de John F. Kennedy – Les instigateurs de l'attentat dévoilés
21.11.2023 www.kla.tv/27500
Nous sommes le 22 novembre 1963, Kennedy est en visite dans la métropole de Dallas au Texas. Avec son épouse Jackie, il traverse la ville en voiture ouverte. Des dizaines de milliers de personnes sont sur le bord de la route et acclament le couple. Soudain, des coups de feu retentissent, une balle atteint le président à la tête.
Qui sont les instigateurs de l'assassinat de John F. Kennedy ? Ce documentaire présente les révélations et les corrélations importantes concernant les auteurs de l'assassinat de Kennedy. Il révèle les relations entre les politiciens, le complexe militaro-industriel et les sociétés secrètes qui agissent dans l'ombre jusqu'à aujourd'hui et qui éliminent toute juridiction indépendante.
Le 22 novembre 1963, le 35e président des États-Unis, John F. Kennedy, a été tué dans un attentat. Tout comme le 11 septembre, l'assassinat de Kennedy compte parmi les événements historiques les plus marquants du siècle dernier. Une grande partie de la population est aujourd'hui convaincue que la version officielle de l'assassinat de Kennedy ne correspond pas à la vérité.
Dans cette émission, Kla.TV révèle des interconnexions dévastatrices qui, 60 ans après l'assassinat de Kennedy, continuent d'exister dans le monde entier et d'avoir une influence lourde de conséquences sur les événements mondiaux. Il est donc crucial pour chacun de connaître les liens dévoilés et les dessous fatals de l'assassinat de Kennedy.
I. Moins d'une heure et demie après l'assassinat, Lee Harvey Oswald, 24 ans, a été arrêté comme suspect. Le FBI l'a certes présenté comme un auteur unique et il est officiellement considéré comme l'assassin de Kennedy. Mais cette version ne résiste pas à un examen approfondi.
Un test au nitrate auquel il a dû se soumettre le soir de l'attentat a été un indice à la décharge d'Oswald. Un test au nitrate permet de détecter des traces d'utilisation d'une arme à feu sur la main et les vêtements. Le résultat du test a en effet montré qu'Oswald n'avait tiré aucun coup de feu avec une arme au cours des 24 heures précédentes. De plus, ses empreintes digitales n'ont pas été retrouvées sur le fusil avec lequel il aurait tiré sur le président.
Oswald lui-même a nié les faits avec véhémence et a déclaré qu'il n'avait tiré sur personne. Voici un enregistrement peu après l'attentat où il dit : « Je ne suis qu'un bouc émissaire. » Le procès, c'est-à-dire l'audience de Lee Oswald, n'a pas eu lieu. En effet, deux jours seulement après son arrestation, il a été abattu par le propriétaire d'une boîte de nuit, Jack Ruby.
Il est étrange que Lee Oswald ait été abattu dans un poste de police sécurisé. De plus, les éléments suivants sont accablants : la police avait interrogé Oswald, mais a indiqué plus tard qu'elle avait omis de dresser un procès-verbal de ses déclarations. N’aurait-il pas dû y avoir justement un protocole ou un enregistrement pour cette enquête cruciale ?
L'enregistrement original d'Abraham Zapruder réfute l'hypothèse d'un acte isolé
Selon la version officielle, Lee Oswald est l’unique auteur et a tiré depuis le sixième étage d'un entrepôt de livres scolaires. Selon ce rapport, la balle mortelle dans la tête a été tirée sur Kennedy par derrière. Cette version officielle a été violemment ébranlée en 1975 avec la publication du film dit « Zapruder ». Sur les images d'Abraham Zapruder, qui, en tant que spectateur, avait filmé le président au Texas, on voit clairement que la tête de Kennedy est violemment projetée en arrière vers la gauche par le tir mortel et que la balle vient donc de face. Cela indique que le président a également été atteint de face et qu'il devait y avoir plusieurs tireurs.
Révélations de l'avocat Mark Lane
Dès 1966, l'avocat Mark Lane a révélé que la théorie de l'auteur unique ne tenait pas. Lane s'est entretenu avec un grand nombre de témoins et a publié un livre intitulé « Rush to Judgement » - en français « Jugement hâtif ». Dans son film du même nom, de nombreux témoins ont déclaré que Kennedy avait également été abattu de face, depuis une colline herbeuse.
La trajectoire particulière de la balle
La version officielle du crime indique que Lee Harvey Oswald était seul et a tiré trois coups de feu par derrière. Pour ne pas compromettre cette théorie de l'auteur unique, on a expliqué au public que le deuxième tir avait provoqué sept blessures d'entrée et de sortie chez Kennedy et chez le gouverneur John Connally assis devant lui. La balle avait une trajectoire si particulière qu'elle a blessé, outre Kennedy, le dos, la poitrine, le poignet et la cuisse de Connally, changeant plusieurs fois de trajectoire. Comme la trajectoire de la balle défie toutes les lois de la physique, ce deuxième tir est donc appelé la « balle magique » dans la recherche sur Kennedy. Toutes les contradictions disparaissent immédiatement si on suppose qu'au moins un autre tireur était positionné non pas derrière la limousine de Kennedy, mais devant elle.
L'ex-garde du corps de John F. Kennedy témoigne
Paul Landis, agent des services secrets et garde du corps de John F. Kennedy, se trouvait à quelques mètres de Kennedy lorsque les coups de feu mortels ont été tirés. En publiant ses mémoires en octobre 2023, le témoin direct de l'assassinat a rompu un silence de plusieurs décennies. Le point central de son livre de révélations est la fameuse « balle magique ». Sur la base de ses observations, il estime qu'il est impossible que seuls trois coups de feu aient été tirés. Il est convaincu qu'il y avait plusieurs tireurs !
Enlèvement du corps
John F. Kennedy a été transporté à l'hôpital Parkland de Dallas immédiatement après l'assassinat. Les médecins de cet hôpital ont insisté pour que l'autopsie soit réalisée sur place, comme le prévoyait d'ailleurs la législation texane. Une autopsie minutieuse aurait permis de déterminer combien de fois Kennedy avait été touché et dans quelles directions. Mais on y a renoncé : le chirurgien Dr Charles Crenshaw a en effet rapporté plus tard : « Le corps du président a été enlevé de force aux responsables de l'autopsie, les autorités du Texas. » Malgré l'opposition farouche du Dr Earl Rose, chef du service de pathologie médico-légale de l'hôpital Parkland, le corps de Kennedy a été enlevé par des agents des services secrets, arme au poing, le jour même à 14 heures. Les agents des services secrets ont transporté le corps à Washington, au Bethesda Naval Hospital, où l'autopsie a commencé à 19 heures sous la surveillance de militaires haut gradés.
Dans un article consacré à l'autopsie de John F. Kennedy à l'hôpital militaire, le Deutsches Ärzteblatt s'est exprimé comme suit : « L’analyse neuro-légale [= examen déterminé] du président assassiné et même ses soins médicaux d'urgence sont également marqués par quelques contradictions. [...] - avec, entre autres, une autopsie pratiquée à un endroit autre que celui prescrit par la loi [...] et une trachéotomie [= incision de la trachée] pratiquée exactement dans le canal de tir d'une blessure, ce qui, au sens strictement légal, correspond à la manipulation d'une pièce à conviction. [...] L'autopsie est qualifiée d'incomplète dans la littérature médico-légale. Entre autres, le cerveau n'aurait pas été examiné en profondeur dans un premier temps, surtout pour déterminer la balistique de la balle mortelle. »
Les photos d'autopsie et les radiographies publiées des années plus tard sont en contradiction avec différents témoignages. Tant l'infirmière Audrey Bell que le chirurgien, le Dr Robert McClelland, travaillant au Parkland Hospital, ont parlé d'une énorme blessure à l'arrière de la tête. Sur la base de ses observations, le Dr McClelland a estimé que le tir mortel devait avoir été tiré de l'avant.
Le docteur Charles Crenshaw a également exprimé dans une interview sa conviction que le président Kennedy avait été abattu de face : « Nous l'avons enveloppé dans un drap et l'avons placé dans le cercueil. Mais avant de le faire, j'ai regardé la blessure une dernière fois. Je voulais savoir et garder ce souvenir le reste de ma vie. Et le reste de ma vie, je le saurai toujours : Il a été abattu de face. »
II. De nombreux témoignages, les lois de la physique ainsi que des enregistrements vidéo prouvent qu'il y avait plusieurs personnes qui avaient tiré sur John F. Kennedy. S'il ne s'agissait pas d'un tireur unique, qui étaient alors les auteurs et les commanditaires de cet assassinat ? Qui avait un motif pour assassiner le président américain ? Y avait-il des cercles de personnes pour qui la politique de Kennedy était une épine dans le pied ?
John Fitzgerald Kennedy, appelé John F. Kennedy, a prêté serment le 20 janvier 1961 en tant que 35e président des États-Unis. Il était issu d'une famille politiquement très respectée. La photo le montre avec ses frères Robert F. Kennedy, ministre de la Justice dans le cabinet de John F. Kennedy, et Edward Kennedy, sénateur de longue date pour l'État américain du Massachusetts. Durant son mandat, Kennedy s'est surtout fait remarquer par sa politique de paix. La crise des missiles de Cuba en 1962 a mené le monde au bord de la guerre nucléaire. John F. Kennedy a refusé de suivre les conseils de ses généraux qui avaient proposé une invasion de l'île. Au lieu de cela, il a opté pour un blocus maritime. Kennedy a alors négocié avec Nikita Khrouchtchev, le chef du gouvernement de l'Union soviétique communiste, et lui a promis de s'abstenir de toute nouvelle attaque contre Cuba. C’est ainsi que la menace d'une guerre nucléaire entre les États-Unis et l'Union soviétique a pu être évitée.
En octobre 1963, un peu plus d'un mois avant sa mort, Kennedy a également commencé à retirer les troupes américaines du Vietnam. Dans un mémorandum officiel daté du 11 octobre 1963, il a ordonné le retrait d'un millier de militaires américains du Vietnam avant la fin de l'année. Robert McNamara, le ministre de la Défense du cabinet de John F. Kennedy, a indiqué plus tard que Kennedy se serait entièrement retiré du Vietnam s'il avait été encore en vie. Avec cette politique, Kennedy s'était toutefois mis à dos le complexe militaro-industriel et les services secrets américains. Ceux-ci avaient en effet pour objectif d'étendre la suprématie des États-Unis par de nouvelles guerres d'agression et des interventions militaires, notamment au Vietnam et à Cuba. C'était précisément la raison de l'invasion de la Baie des Cochons à Cuba en 1961, qui toutefois s'était soldée par un échec. Il s'agissait d'une opération militaire clandestine de la CIA visant à renverser le président cubain Fidel Castro. Kennedy a alors renvoyé le directeur de la CIA, Allen Dulles, et a annoncé son intention de démanteler les structures de pouvoir au sein de la CIA. Son objectif était de replacer la CIA sous contrôle politique. Dans la recherche des commanditaires de l'assassinat de Kennedy, la piste des services secrets américains est évidente.
L'historien suisse Daniele Ganser s'exprime à ce sujet : « A mon avis, l'assassinat de Kennedy a été commandité par Allen Dulles. Allen Dulles était le directeur des services secrets américains, la CIA. [...] Richard Bissell est responsable des opérations secrètes au sein du département de la CIA. Il est le bras droit d'Allen Dulles. Et il les a renvoyés tous les deux. [...] Ils pensaient tous les deux que Kennedy représentait un risque pour la sécurité des États-Unis et pour les intérêts impériaux américains. Parce qu'ils pensaient que s'il ne frappait pas, par exemple contre Fidel contre Cuba, s'il ne frappait pas contre le Vietnam, s'il ne faisait pas la guerre, alors rien ne se passerait pour la domination américaine dans le monde. » Robert F. Kennedy Jr., neveu de John F. Kennedy et aujourd’hui candidat à la présidence américaine est également convaincu que la CIA a participé à l'assassinat du chef d'État américain en 1963. Dans une interview en mai 2023, il accuse les services secrets américains d'avoir brouillé les pistes pendant des décennies. Kennedy sur la mort de son oncle :
« Il existe des preuves accablantes de l'implication de la CIA dans son assassinat. » La CIA a été créée en 1941 par le président Franklin D. Roosevelt. Son premier directeur fut William Joseph Donovan. Il était membre de la Fondation Rockefeller et travaillait pour la famille Rockefeller. Allen Dulles est devenu directeur de la CIA en 1953. À partir de 1945, il a été président du très influent Council on Foreign Relations (prononcer kaonnsel onn forinn rilèyshenz), ou CFR. Le CFR a été fondé en 1921 par des banquiers connus comme John D. Rockefeller Junior et est depuis financé en grande partie par la famille Rockefeller. David Rockefeller, décédé en 2017, a siégé au conseil d'administration du CFR dès 1949 et l'a ensuite dirigé.
Derrière ce groupe de réflexion se cache un tel pouvoir que le magazine d'information DER SPIEGEL écrivait déjà en 1975 qu'il s'agissait de « l'institution privée la plus influente d'Amérique et du monde occidental ». Jusqu'à aujourd'hui, le Council on Foreign Relations tire les ficelles comme une sorte de gouvernement fantôme. L'administration américaine est également dirigée depuis ce centre stratégique dans le but de faire avancer ce qu’on appelle le « nouvel ordre mondial ». Presque tous les directeurs de la CIA étaient ou sont membres du CFR. Les agents de la CIA sont actifs dans le monde entier, le plus souvent sous couverture via l'ambassade américaine des pays concernés.
Quelques heures après l'assassinat de John F. Kennedy, Lyndon B. Johnson a prêté serment en tant que nouveau président américain à bord d'Air Force One. Johnson s'était ainsi hissé au sommet de la politique américaine sans avoir été élu. Johnson mit fin à la politique de paix de Kennedy et mena les États-Unis à la guerre avec le Nord-Vietnam. Jusqu'en 1968, plus de 500 000 soldats américains furent stationnés au Vietnam. La CIA s'est largement engagée dans cette guerre et a mené de nombreuses opérations politiques et militaires clandestines. En 1995, le Vietnam a annoncé que les opérations de guerre avaient tué quatre millions de civils nord- et sud-vietnamiens et 1,1 million de soldats et de combattants vietnamiens jusqu'en 1975, soit environ un huitième de la population totale du Vietnam.
Les scientifiques estiment que les États-Unis ont largué sur le Vietnam deux fois plus de bombes que pendant la Seconde Guerre mondiale. L’« agent orange », une arme chimique utilisée à cette occasion a empoisonné de manière permanente une superficie estimée à 24 000 kilomètres carrés, soit un septième de la superficie totale du Sud-Vietnam. En conséquence, un million d'adultes et 150 000 enfants vietnamiens souffrent de cancers ou de dommages psychiques et génétiques. Daniele Ganser :
« Vous devez savoir qu'après l'assassinat de Kennedy en 63, la guerre du Vietnam a éclaté en 1964. D'ailleurs, sur la base d'un mensonge [...]. Puis 11 ans de guerre jusqu'en 1975. Trois millions de Vietnamiens, 58 000 Américains morts, le napalm, l'agent orange, des enfants déformés... Des crimes énormes, tous. Kennedy ne voulait pas cela. Il voulait - et c'est son ministre de la Défense McNamara qui l'a dit - retirer tous les conseillers américains du Sud-Vietnam avant la fin 65. Et 50 jours après cette décision, Kennedy a été assassiné. » Discours remarquable de John F. Kennedy du 27 avril 1961 En 1961 à New York, Kennedy a prononcé un discours remarquable devant les principaux éditeurs de journaux du pays. Il y mettait en garde contre les sociétés secrètes et contre une conspiration mondiale. John F. Kennedy dit textuellement : « Le mot même de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte ; et en tant que peuple, nous sommes par nature et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux délibérations secrètes. [...] Car nous sommes confrontés, tout autour du monde, à une conspiration monolithique [= uniforme] et impitoyable qui s'appuie principalement sur des moyens occultes pour étendre sa sphère d'influence. [...] C'est un système qui a mis en place, avec d'énormes ressources humaines et matérielles, une machinerie étroitement liée, complexe et efficace, combinant des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques. [...] Ceux qui pensent autrement ne sont pas les bienvenus, mais ils sont réduits au silence. » Le sénateur républicain Ron Paul a constaté en 2016 : « Franchement, il y a une force extérieure que nous appelons « gouvernement de l'ombre » ou « État profond ». Ces gens ont une grande influence, ils sont en fait plus puissants que notre gouvernement, que notre président. »
DE QUELLES SOCIÉTÉS SECRÈTES ET DE QUELLE CONSPIRATION PARLE KENNEDY ?
Les présidents américains avant John F. Kennedy
Franklin D. Roosevelt (Président de 1933 à 1945) Roosevelt était un membre très actif de la franc-maçonnerie et a reçu de nombreuses délégations maçonniques à la Maison Blanche pendant ses années de présidence. Il était membre de la Holland Lodge n° 8 à New York.
Harry S. Truman (Président de 1945 à 1953) Truman est devenu franc-maçon actif en 1909, à l'âge de 25 ans, à la "Belton Lodge No. 450" dans le Missouri. Il a ensuite fondé la 'Grandview Lodge N° 618' et a finalement été promu Grand Maître de la Grande Loge du Missouri en 1940.
Dwight D. Eisenhower (Président de 1953 à 1961) Eisenhower, comme de nombreux présidents américains, a prêté serment d'allégeance à "la Bible maçonnique". L'exemplaire provenait de la St. John's Lodge, la plus ancienne loge maçonnique de New York. Dwight D. Eisenhower était membre du CFR depuis 1949. Après son élection à la présidence des États-Unis, Eisenhower a recruté de nombreux membres du cabinet dans les rangs du CFR. La nomination la plus importante qu'il ait faite est celle de John Foster Dulles, membre du CFR et frère d'Allen Dulles, au poste de secrétaire d'État.
Le président des États-Unis John F. Kennedy (Président de 1961 à 1963) Kennedy n'a pas prêté serment sur la Bible maçonnique, mais sur sa Bible familiale catholique. John F. Kennedy n'était pas franc-maçon et n'était pas non plus membre du CFR.
Les présidents américains après John F. Kennedy
Lyndon B. Johnson (Président de 1963 à 1969) Johnson était également franc-maçon. Il s'est inscrit en 1937 à la Johnson City Lodge n° 561 au Texas et était également membre de la loge maçonnique Janus.
Richard Nixon (Président de 1969 à 1974) Richard Nixon était lui aussi franc-maçon. Il était également un habitué du Bohemian Groove, un club exclusif ouvert uniquement aux dirigeants d'élite masculins. Il a été membre du CFR à partir de 1961.
Gerald Ford (Président de 1974 à 1977) Gerald Ford a été admis dans la loge maçonnique Malta Lodge N° 465 en 1949. En 1962, il a été promu au 33e degré de la franc-maçonnerie. Il était également membre de la loge maçonnique Three Eyes, fondée par David Rockefeller. Il était également membre du CFR depuis 1982.
Jimmy Carter (Président de 1977 à 1981) Il a été nommé par David Rockefeller en avril 1973 à la Commission trilatérale, qui agit en tant que relais du CFR. Il a également été membre du CFR.
Ronald Reagan (Président de 1981 à 1989) Était membre de la loge maçonnique White Eagle.
George Bush sen. (Président de 1989 à 1993) Bush senior était membre de la Commission trilatérale fondée par David Rockefeller et Henry Kissinger, franc-maçon au 33e degré, membre des loges maçonniques Hathor Pentalhpa, Three Eyes et Edmund Burke.
Bill Clinton (Président de 1993 à 2001) Dès sa jeunesse, Clinton est devenu membre du Hot Springs Chapter de l'Order of DeMolay, un groupe de jeunes affilié à la franc-maçonnerie. Il est finalement devenu membre des loges maçonniques Janus, Maat et Three Eyes. Il est membre du CFR depuis 1981.
George W. Bush (Président de 2001 à 2009) Il est membre de la loge maçonnique Hathor Pentalpha et de la société secrète Skull & Bones..
Barack Obama (Président de 2009 à 2017) Il est membre de la loge maçonnique Maat.
Donald Trump (Président de 2017 à 2021) On ne connaît aucun lien de Trump avec la franc-maçonnerie ou le CFR.
Joe Biden (Président depuis 2021) Il est membre de la loge maçonnique Maat.
I. En 1963, la commission Warren a été officiellement chargée d'enquêter sur l'assassinat de John F. Kennedy et d'en identifier les auteurs. Cette commission d'enquête était-elle indépendante ou faisait-elle également partie de la conspiration évoquée par Kennedy ?
Quatre jours après l'assassinat, le président Lyndon B. Johnson a mis en place la commission dite Warren, chargée de faire la lumière sur les circonstances de l'assassinat de Kennedy. Le rapport final fut publié en septembre 1964. La commission a étayé la théorie officielle et a conclu que le président Kennedy avait été assassiné par Lee Harvey Oswald et qu'il n'y avait pas eu de complot pour assassiner Kennedy.
L'auteur de best-sellers américain Jim Moore a publié en 1991 un livre sur l'assassinat de Kennedy dans lequel il expliquait que la Commission n'avait pas mené de véritable enquête : « La Commission Warren, cela doit être clair, n'a jamais mené de véritable enquête. Elle a commencé par une conclusion et a ensuite travaillé assez soigneusement pour s'assurer que les faits disponibles correspondaient à la décision préétablie. » L'historien anglais Hugh Trevor-Roper a également exprimé de fortes réserves sur le rapport de la Commission Warren : « J'ai eu l'impression que le texte présentait de graves lacunes. En outre, les parties faibles apparaissaient encore plus faibles à l'examen qu'à première vue. »
Les membres de la Commission Warren
La Commission tire son nom de son président, le juge en chef des États-Unis, Earl Warren (prononcer erl waren). Warren, comme le président Johnson qui l'a nommé à la commission d'enquête, était très actif dans la franc-maçonnerie. Il était franc-maçon au 33e degré et Grand Maître pour l'État de Californie.
Richard Brevard Russell était gouverneur et sénateur américain de Géorgie. Il était également franc-maçon et membre de la Winder Lodge n° 33 en Géorgie, où il a été promu au 33e haut degré maçonnique.
John Sherman Cooper était un sénateur américain du Parti républicain et un franc-maçon de 33e degré. Cooper était également membre de la société secrète Skull & Bones.
Gerald Ford devint quelques années plus tard - de 1974 à 1977 - le 38e président des États-Unis. Ford a été initié en 1949 dans la loge maçonnique Malta Lodge No. 465 à Grand Rapids, où il a été promu au 33e haut degré maçonnique. Selon un document du FBI datant de 1963 et rendu public en 2008, Ford a été en contact avec le FBI pendant toute la durée de son mandat au sein de la Commission Warren et a transmis des informations sur les activités du comité au personnel du FBI.
Allen Welsh Dulles était le directeur de la CIA. Avec Dulles, c'est justement l'un des principaux suspects de l'assassinat de Kennedy qui siégeait dans la commission d'enquête. Lui et son frère John Foster Dulles avaient des relations familiales avec David Rockefeller et étaient cofondateurs du Council on Foreign Relations. Allen Dulles, 33e degré maçonnique, a également siégé au conseil d'administration du CFR de 1927 à 1969.
John Jay McCloy, le président du conseil d'administration de la Chase Manhattan Bank, a été nommé président de la Banque mondiale en 1947. Il était un ami proche de la famille Rockefeller et président du CFR de 1953 à 1970, c'est-à-dire à l'époque où a eu lieu l'assassinat de John F. Kennedy.
Thomas Hale Boggs, également franc-maçon du 33e degré, a toutefois remis en question le travail de la commission Warren dans les années 1970. Il doutait fortement de la théorie de la "balle magique" et s'est finalement engagé pour une réouverture du « dossier Kennedy ». Mais cela n'a pas eu lieu ! Boggs disparut en octobre 1972 dans un accident d'avion inexpliqué.
Autres personnes décisives de la Commission Warren
Nicholas Katzenbach et John Edgar Hoover sont considérés comme les autres initiateurs de la Commission Warren. Nicholas Katzenbach était membre du CFR et a siégé à son conseil d'administration de 1975 à 1986. John Edgar Hoover, franc-maçon du 33e degré et membre de la Loge fédérale n°1 à Washington D.C., était à l'époque directeur du FBI. En tant que tel, il a également été à la tête de l'enquête du FBI sur l'affaire Kennedy.
La Dealey Plaza est un parc urbain situé dans le centre-ville de Dallas. C'est le lieu de l'assassinat de John F. Kennedy. Cela ne doit pas non plus être une coïncidence, car la Dealey Plaza est également liée à la franc-maçonnerie. La personne qui a donné son nom au lieu - George Bannerman Dealey - était également un franc-maçon du 33e degré. Ce qui frappe sur la Dealey Plaza, c'est l'obélisque maçonnique avec l'inscription : Dealey Plaza - lieu de naissance de Dallas. C'est dans ce petit parc qu'a été construite la première maison. Celle-ci a également servi de premier palais de justice et de bureau de poste, de premier magasin et de première loge maçonnique.
La Commission Rockefeller
La population a critiqué avec véhémence la méthode de travail de la Commission Warren et n'a pas cru la version officielle. Le gouvernement américain s'est donc vu contraint de faire examiner les conclusions de la Commission Warren par quatre autres comités au total. En 1975, la Commission Rockefeller a été créée et présidée par Nelson Rockefeller, le frère de David Rockefeller. Il était également franc-maçon de haut niveau et membre de la loge maçonnique Three Eyes. Elle a réaffirmé que la Commission Warren avait conclu à l'existence d'un seul assassin et a qualifié de « spéculations tirées par les cheveux » les allégations faisant état de plusieurs assassins.
Décès dans la famille Kennedy
Robert Kennedy, le frère cadet de John F. Kennedy, s'est engagé à ce que le meurtre de son frère soit élucidé. En 2013, son fils Robert F. Kennedy Jr. a déclaré dans une interview sur CBS que son père était « plutôt convaincu » que plusieurs personnes étaient impliquées dans l'assassinat de son frère. Il a qualifié le rapport de la commission Warren de « mauvais coup artisanal ». Robert Kennedy s'est présenté aux élections présidentielles de 1968.
Lorsque Robert Kennedy a remporté les élections primaires en Californie et dans le Dakota du Sud, on lui donnait de bonnes chances de devenir le prochain président des États-Unis. Le 5 juin 1968, il s'est adressé à ses partisans peu après minuit dans une salle de bal de l'Ambassador Hotel de Los Angeles. Alors qu'il traversait les pièces de la cuisine de l'hôtel pour se rendre à la salle de presse, il a également été victime d'une tentative d'assassinat. Comme pour son frère John F. Kennedy, la version officielle parle d'un auteur unique, avec des contradictions tout aussi flagrantes. Un autre frère de John F. Kennedy, Edward Kennedy, a survécu à un accident d'avion le 19 juin 1964, grièvement blessé. Le 13 janvier 1982, Ted Kennedy a manqué un avion qui a également eu un accident après le décollage.
John F. Kennedy Jr. était le fils de John F. Kennedy. Il est mort dans un accident d'avion en 1999, à l'âge de 38 ans. Sa femme Carolyn Bessette-Kennedy a également perdu la vie dans cet accident.
II. Mot de la fin
Chers téléspectateurs, vous demandez-vous pourquoi, 60 ans après, l'assassinat de Kennedy est toujours d'actualité ?
Autour de l'attentat, on découvre un énorme abus de pouvoir et une incroyable dissimulation des véritables responsables et auteurs de l'attentat. Ce documentaire dévoile une vaste activité de sociétés secrètes qui ont placé leurs membres aux plus hauts postes de l'État et qui, jusqu'à aujourd'hui (!), n'hésitent pas à déclencher des guerres contre d'autres États ou à renverser des chefs de gouvernement. Il suffit de jeter un coup d'œil à l'administration américaine actuelle pour se rendre compte que le complot impitoyable dénoncé par Kennedy existe toujours sous la forme d'un gouvernement del’ombre. Comme les précédents chefs de la CIA, l'actuel chef de la CIA, William Joseph Burns, travaille pour le CFR. L'actuel directeur du FBI, Christopher Wray, est également lié au CFR. Tout comme le président américain Joe Biden, qui est franc-maçon de haut grade et également très proche du CFR.
Kla.TV a déjà montré dans de nombreuses émissions que ce gouvernement clandestin n'existe pas seulement aux États-Unis, mais dans le monde entier. On y voit les mêmes sociétés secrètes et les mêmes tireurs de ficelles à l'œuvre. Ils se cachent derrière
● la dictature du Covid, ● la guerre Russie-Ukraine, ● la guerre israélo-palestinienne actuelle, ● la puissance mondiale qu'est la Chine, ● l'administration de l'UE ● et aussi lors du 11 septembre.
C'est la raison pour laquelle il est très important, 60 ans après l'assassinat de John F. Kennedy, d'exiger une enquête complète sur ce crime afin de mettre un terme au harcèlement des hommes dans le monde entier. Seule une enquête indépendante permettra de dévoiler et de punir ceux qui dirigent ces sociétés secrètes dans le monde entier. Kla.TV continue à faire preuve d'indépendance et d'investigation pour vous. Participez, vous aussi, à ce mouvement international de dévoilement et de vérité. Vous aussi, diffusez ces révélations autant que vous le pouvez.
Kla.TV tient à préciser expressément que la mention des personnes, du contexte et des interconnexions cités dans cette émission n'a pas pour but d'inciter le téléspectateur à porter un jugement antisémite. Même si les personnes et les groupes d'intérêts mentionnés dans cette émission se font passer pour des Juifs, chaque téléspectateur devrait garder à l'esprit que la violence, quel que soit son auteur, ne doit en aucun cas inciter à des jugements racistes. En effet, une enquête plus approfondie révèle souvent les faits suivants : Les personnes qui se retrouvent sous les feux de l'actualité grâce au journalisme d'investigation détournent l'attention de leurs actes de violence en invoquant ensuite leur groupe religieux ou leur nation comme bouc émissaire ou bouclier. Ainsi, on dirige délibérément la haine et la violence consécutive vers la communauté religieuse ou la nation de manière illégale. Le fait que, dans de nombreux cas, on n'a pas du tout affaire à de vrais juifs ou à de vrais adeptes d'autres religions, mais à une idéologie luciférienne, est expliqué en détail dans les émissions (en allemand) « Wider Rassismus und Verschwörung » (contre le racisme et la conspiration) (voir : www.kla.tv/23509) et « Das Geheimnis der Obelisken » (Le secret des obélisques) (voir : www.kla.tv/14340).
Comme le dit aussi la Bible en Apocalypse 2.9 : « ...qui se disent juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. »
de mw. Sources / Liens : Assassinat de John F. Kennedy - Contexte Compact Spécial n° 39, 2023, Attentats de l'État profond, pages 10-19https://de.wikipedia.org/wiki/Attentat_auf_John_F._Kennedy
Dr. Daniele Ganser : Meurtre de Kennedy à Dallas en 1963 https://www.youtube.com/watch?v=Ij6NcSM7j78
L'ex-garde du corps de John F. Kennedy révèle ses secrets https://www.bild.de/news/ausland/news-ausland/kennedy-attentat-ex-agent-des-secret-service-zweifelt-an-offizieller-theorie-85362086.bild.html
Enlèvement du corps de Kennedy Livre «FK - conspiration du silence» Charles Crenshaw, 1992
L'assassinat de John F. Kennedy : Un coup de feu qui a ébranlé le monde https://www.aerzteblatt.de/archiv/149862/Die-Ermordung-John-F-Kennedys-Ein-Schuss-der-die-Welt-erschuetterte
Le retrait des troupes américaines du Vietnam ordonné par Kennedy https://www.maryferrell.org/pages/Featured_Kennedy_and_Vietnam.html
William J. Donovan - Père fondateur de la CIA https://en.wikipedia.org/wiki/William_J._Donovan
Council on Foreign Relations - Financement par la famille Rockefeller https://en.wikipedia.org/wiki/Council_on_Foreign_Relations
CFR - Cofondateur John Rockefeller Jr. https://www.philanthropyroundtable.org/hall-of-fame/john-rockefeller-jr/
CFR - l'institution privée la plus influente https://www.spiegel.de/politik/ein-politbuero-fuer-den-kapitalismus-a-9aa6a1fe-0002-0001-0000-000041389590
Des millions de morts de la guerre du Vietnam https://de.wikipedia.org/wiki/Vietnamkrieg#Tote_und_Verletzte
Franklin D. Roosevelt - Franc-maçon https://de.wikipedia.org/wiki/Franklin_D._Roosevelt#Mitgliedschaften
Harry S. Truman - Franc-maçon https://de.wikipedia.org/wiki/Harry_S._Truman#Freimaurerei
Dwight D. Eisenhower - Serment d'allégeance à la bible maçonnique https://menora-bibel.jimdofree.com/historische-bibeln/englisch/bibeln-der-us-pr%C3%A4sidenten
Lyndon B. Johnson - Franc-maçon https://www.focus.de/wissen/mensch/wer-die-usa-wirklich-regiert-verschwoerungstheorien_id_2197119.html
Richard Nixon - Franc-maçon https://www.kathpedia.com/index.php/Freimaurer
Jimmy Carter - Membre de la Commission trilatérale https://en.wikipedia.org/wiki/Jimmy_Carter#Georgia_governorship_(1971%E2%80%931975)
Jimmy Carter - Membre du CFR https://www.telepolis.de/features/Der-Klub-der-Weisen-Maenner-3419681.html
Gerald Ford, Ronald Reagan, George Bush, Bill Clinton, George W. Bush, Barack Obama, Joe Biden - Francs-maçons LIVRE 'Massoni – Società a responsabilità illimitata. La scoperta delle Ur-Lodges', Giole Magaldi, 2019
Commission Warren : commission d'enquête officielle sur l'assassinat de Kennedy https://en.wikipedia.org/wiki/Warren_Commission
L'auteur Jim Moore démasque la Commission Warren Livre 'Conspiracy of One: The Definitive Book on the Kennedy Assassination', Jim Moore, 1991, page 173
Vaccins iDNA pour générer une production interne de virus
Par le Dr Joseph Mercola Recherche mondiale, 22 novembre 2023
« L’ADN d’immunisation » ou iDNA est une nouvelle classe de « vaccins » de thérapie génique qui code pour l’ensemble du virus.
Les « vaccins » iDNA transcrivent l’ARN génomique complet du virus vaccinal vivant atténué. L'ARN viral complet initie ensuite la réplication du virus vivant atténué dans les tissus du receveur du vaccin, entraînant une réponse immunitaire.
La plateforme iDNA peut être utilisée pour créer des vaccins de deux manières différentes. Vous pouvez soit cultiver l’ADNi dans une culture pour produire le vaccin de la manière conventionnelle, soit injecter l’ADNi directement au receveur et permettre à l’organisme de produire le virus vivant atténué en interne.
Les premiers essais sur l’homme d’une injection d’ADNi codant pour un virus vivant pourraient commencer dès 2024
Début avril 2023, le microbiologiste Kevin McKernan a rapporté avoir découvert des fragments d'ADN dans les injections d'ARNm réalisées par Pfizer et Moderna, soulevant des inquiétudes quant à la possibilité d'une intégration génomique, de maladies auto-immunes et de cancer. McKernan rapporte désormais avoir découvert une relation de dose entre la charge de contamination de l'ADN et les événements indésirables graves.
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Si vous pensiez que les injections d’ARNm étaient les choses les plus folles que l’industrie du vaccin ait concoctées ces derniers temps, vous n’en avez pas encore vu la moitié. Ensuite, nous avons ce que l’on appelle « l’ADN d’immunisation » ou iDNA, 1 , 2 une nouvelle classe de « vaccins » de thérapie génique qui code pour l’ensemble du virus.
C'est comme l'ARNm, mais sous stéroïdes. Plutôt que de demander à vos cellules de produire une petite partie, la protéine de pointe d'un virus donné, les produits iDNA demandent aux cellules de produire le virus dans son intégralité. Comme décrit dans le brevet américain 8691563B2 : 3
« L'ADNi génère des vaccins vivants atténués dans des cellules eucaryotes in vitro ou in vivo pour les virus à ARN pathogènes… Lorsque l'ADNi est injecté au receveur du vaccin, l'ARN du virus vivant atténué est généré par transcription in vivo dans les tissus du receveur.
Cela déclenche la production de virus atténués dans la descendance dans les tissus du receveur du vaccin, ainsi que le déclenchement d’une réponse immunitaire efficace protégeant contre le virus de type sauvage non atténué.
Selon Medigen, basée à Taipei4, qui a lancé sa plateforme de « vaccins » iDNA en 2018, la technologie « combine la stabilité génétique de l’ADN avec l’efficacité exceptionnelle des vaccins vivants atténués ». Les vaccins « vivants atténués » font référence aux vaccins qui contiennent des virus vivants (viables) mais affaiblis (moins virulents).
La plateforme iDNA peut être utilisée pour créer des vaccins de deux manières différentes. Vous pouvez soit cultiver l’ADNi dans une culture pour produire le vaccin de la manière conventionnelle, soit injecter l’ADNi directement au receveur et permettre à l’organisme de produire le virus vivant atténué en interne.
Qu'est-ce qui pourrait mal se passer?
Un article de 2016 décrit ainsi le processus iDNA : 5
« Comme tout vaccin à ADN, les plasmides iDNA sont isolés de bactéries et incluent un promoteur eucaryote, tel que le promoteur majeur immédiat et précoce du cytomégalovirus (CMV).
Cependant, contrairement à un vaccin à ADN traditionnel qui implique la transcription de l'ARNm pour l'expression d'un antigène de sous-unité, les vaccins à ADNi transcrivent l'ARN génomique complet du virus vaccinal vivant atténué. L'ARN viral complet initie ensuite une réplication limitée du virus vivant atténué dans les tissus du receveur du vaccin, ce qui permet une immunisation efficace.
Essentiellement, le plasmide iDNA transforme un nombre limité de cellules chez le receveur du vaccin en usines à l'échelle cellulaire pour la « fabrication » de vaccins vivants atténués.
Ainsi, la technologie iDNA représente un nouveau type de vaccin à ADN. Avec l’introduction des vaccins iDNA lancés par ADN, les vaccins à base d’ADN peuvent être subdivisés en (i) vaccins à ADN qui expriment des antigènes de sous-unités et (ii) vaccins à ADN qui lancent des vaccins vivants atténués compétents pour la réplication…
En mars 2023, le fondateur de Cochrane, Peter Gøtzsche, et la journaliste d'investigation Maryanne Demasi ont publié une revue systématique des articles contenant des données sur les événements indésirables graves (EIG) associés aux vaccins contre le COVID. À propos du ZyCoV-D, ils ont écrit : 9
« Un essai en Inde du ZyCoV-D, un vaccin basé sur l’ADN, s’est également révélé très problématique. Elle a randomisé 27 703 patients, âgés de 12 à 17 ans ou de 60 ans et plus. Un supplément a signalé un EIG [événement indésirable grave] dans le groupe vacciné et aucun dans le groupe placebo chez les personnes âgées et un contre deux chez les « sujets comorbides ».
Le texte principal était totalement différent, sans division par groupe randomisé. Il décrivait 15 EIG, mais sept d’entre eux étaient simplement positifs au COVID-19, ce qui n’est pas un EIG et appartient en outre à la déclaration des avantages et non des inconvénients. Il y a eu un décès dans chaque groupe. Cet article, difficile à interpréter, a été publié dans The Lancet. dix
Une recherche en ligne de données sur le ZyCoV-D m'a laissé les mains vides, donc à part cet article du Lancet (et un rapport intermédiaire sur le même essai 11 ), il ne semble pas y avoir grand-chose.
Quant à ce qu’ils ont utilisé comme placebo, cela reste également une énigme, comme le journal ne le précise pas. Tester un vaccin contre un autre est une astuce simple pour masquer les effets secondaires attendus, et nous savons qu’au moins un autre vaccin contre le COVID (AstraZeneca) n’a pas utilisé de placebo inerte mais plutôt un vaccin contre la méningite et la septicémie. 12 , 13
Donc, en résumé, la sécurité du ZyCoV-D est tout sauf claire. Même si nous disposions de données à ce sujet, cela ne nous dirait toujours pas grand-chose sur la sécurité des injections d’iDNA. Le ZyCoV-D ne code que pour deux protéines, alors que l’iDNA code pour un virus entier.
L'ADN présent dans les injections d'ARNm suscite des inquiétudes parmi les experts
Début avril 2023, le microbiologiste Kevin McKernan a rapporté avoir découvert des fragments d'ADN dans les injections d'ARNm réalisées par Pfizer et Moderna. 14 , 15 , 16 , 17 Le niveau de contamination d'ADN le plus élevé trouvé était de 30 %, ce qui signifie que près d'un tiers du contenu de la photo était de l'ADN plasmidique. Aucun ADN ne doit être présent dans un produit commercial à base d’ARNm fabriqué selon de bonnes pratiques de fabrication.
Depuis lors, d’autres ont confirmé ses résultats, notamment le professeur Phillip Buckhaults de l’Université de Caroline du Sud. En septembre 2023, il en a témoigné devant le comité ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud du ministère de la Santé et du Contrôle environnemental (DHEC).
Buckhaults est un biologiste moléculaire et un généticien du cancer possédant une vaste expérience dans le séquençage de l'ADN. Il a initialement entrepris de démystifier les affirmations de McKernan. À sa grande surprise, il a plutôt reproduit les conclusions de McKernan.
Dans son témoignage, il a expliqué comment ces contaminants de l'ADN peuvent s'intégrer dans votre génome et perturber le fonctionnement d'autres gènes, à long terme ou de façon permanente, et peuvent être transmis à la progéniture pendant des générations.
Il a déclaré aux sénateurs qu'il était « alarmé par la présence de cet ADN dans le vaccin », car « il existe un risque très réel » qu'il s'intègre dans le génome d'une personne et devienne un « élément permanent de la cellule » qui peut entraîner des problèmes auto-immuns et cancers. 19
Contaminants d'ADN dans les injections d'ARNm avec le feu vert des agences de santé Dans un tweet du 21 octobre 2023, Steve Kirsch a soutenu : 20
« Vous pouvez désormais poursuivre les fabricants de vaccins à ARNm contre la COVID pour dommages et intérêts et la FDA est tenue de retirer les vaccins contre la COVID du marché. Pourquoi? Falsification. Les séquences de contaminants bioactifs plasmidiques n’ont PAS été signalées aux autorités réglementaires.
Santé Canada a confirmé jeudi la présence d'une contamination par l'ADN dans les vaccins Pfizer contre la COVID-19 et a également confirmé que Pfizer n'avait pas divulgué la contamination aux autorités de santé publique.
Les vérificateurs des faits ont riposté, déclarant que les régulateurs de la santé étaient effectivement au courant de la contamination avant que les injections ne soient autorisées, et qu'il n'y a « aucune preuve fiable montrant que l'ADN contenu dans les vaccins s'intègre dans notre ADN ou augmente le risque de cancer ». 21 , 22
Eh bien, ils ont au moins raison sur un point. Les agences de réglementation étaient clairement conscientes de ce problème, puisque Pfizer a soumis des documents à l'Agence européenne des médicaments (EMA) démontrant que les lots échantillonnés contenaient une large gamme d'ADN double brin (ADNdb). 23 Beaucoup de ces lots dépassaient largement les limites maximales de l'EMA.
Mais quant à savoir si l’ADN peut s’intégrer et causer un handicap, le vérificateur des faits s’est clairement trompé. L’intégration de l’ADN est reconnue depuis un certain temps et discutée dans la littérature médicale. Ce n'est pas une notion nouvelle. Quoi qu’il en soit, la Food and Drug Administration des États-Unis s’en fiche. Il a déclaré à Factcheck.org : 24
« L’affirmation selon laquelle la FDA est tenue de retirer du marché l’un des vaccins à ARNm COVID-19 autorisés ou approuvés est fausse. Avec plus d’un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à la séquence ou à la quantité d’ADN résiduel n’a été identifié.
Peu importe le fait que des « cancers turbo » jamais vus auparavant envoient un nombre record de personnes dans la tombe. Rien à voir là-bas.
Réponse à la dose trouvée entre la charge de contamination de l'ADN et les événements indésirables Le 27 octobre 2023, McKernan et quatre autres coauteurs ont publié un article préimprimé 25 dans lequel ils explorent la dose-réponse entre les lots de vaccins COVID contaminés par l'ADN et les événements indésirables graves.
Les lots testés comprenaient 27 flacons provenant de 12 lots uniques de Moderna et Pfizer. De l'ADN résiduel a été trouvé dans tous les flacons, mais Moderna avait des niveaux plus faibles et plus constants, ce qui suggère qu'ils utilisent un processus de fabrication plus standardisé que Pfizer. Le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a ensuite été interrogé pour connaître le nombre et la catégorisation des événements indésirables signalés pour chacun des lots testés.
« Les valeurs du cycle de quantification (Cq) (dilution 1:10) pour l’origine plasmidique de réplication (ori) et les séquences de pointes variaient respectivement entre 18,44 – 24,87 et 18,03 – 23,83 pour Pfizer, et 22,52 – 24,53 et 25,24 – 30,10 pour Moderna.
Ces valeurs correspondent à 0,28 – 4,27 ng/dose et 0,22 – 2,43 ng/dose (Pfizer), et 0,01-0,34 g/dose et 0,25 – 0,78 ng/dose (Moderna), respectivement pour ori et Spike…
Dans une analyse exploratoire, nous avons trouvé des preuves préliminaires d'une relation dose-réponse entre la quantité d'ADN par dose et la fréquence des événements indésirables graves (EIG). Cette relation était différente pour les produits Pfizer et Moderna…
Conclusion : Ces données démontrent la présence de milliards, voire de centaines de milliards de molécules d’ADN par dose dans ces vaccins. Grâce à la fluorométrie, tous les vaccins dépassent de 188 à 509 fois les directives relatives à l'ADN résiduel fixées par la FDA et l'OMS, soit 10 ng/dose.
Cependant, la teneur en ADN résiduel de la qPCR dans tous les vaccins était inférieure à ces lignes directrices, ce qui souligne l’importance de la clarté et de la cohérence méthodologiques lors de l’interprétation des lignes directrices quantitatives.
Les preuves préliminaires d’un effet dose-réponse de l’ADN résiduel mesuré par qPCR et SAE justifient une confirmation et une enquête plus approfondie. Nos résultats élargissent les préoccupations existantes concernant la sécurité des vaccins et remettent en question la pertinence des lignes directrices conçues avant l’introduction d’une transfection efficace à l’aide des LNP.
Avec plusieurs limites évidentes, nous insistons pour que notre travail soit reproduit dans des conditions médico-légales et que les lignes directrices soient révisées pour tenir compte d’une transfection d’ADN et d’un dosage cumulatif très efficaces.
Ressources pour les personnes blessées par le vaccin COVID
Plus nous en apprenons sur les vaccins COVID, plus ils semblent pires, et si les vaccins iDNA deviennent réalité, nous pourrions être confrontés à une calamité encore plus grande. Il est temps de mettre fin à cette folie avant qu'il ne soit trop tard, et pour y parvenir, nous rejetons toutes les injections basées sur les gènes, qu'il s'agisse d'ARN, d'ARNm, d'ADN, d'ADNi ou tout ce qu'ils pourraient proposer.
De plus, si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins contre le COVID et que vous reconsidérez maintenant votre décision, il serait sage d'éviter tous les vaccins à partir de maintenant, y compris les vaccins conventionnels, car vous devez mettre fin à l'assaut contre votre corps. Même si vous n'avez ressenti aucun effet secondaire évident, votre santé peut quand même être affectée à long terme, alors ne prenez plus de piqûres.
Si vous souffrez d’effets secondaires, votre première tâche est d’éliminer la protéine de pointe produite par votre corps. Deux remèdes qui peuvent y parvenir sont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. Les deux médicaments se lient et facilitent l’élimination des protéines de pointe.
La Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) a développé un protocole de traitement post-vaccin appelé I-RECOVER . Étant donné que le protocole est continuellement mis à jour à mesure que davantage de données sont disponibles, le mieux est de télécharger la dernière version directement depuis le site Web du FLCCC à l'adresse covid19criticalcare.com. 26
Pour des suggestions supplémentaires, consultez le guide de désintoxication des protéines de pointe du Conseil mondial de la santé , 27 qui se concentre sur les substances naturelles comme les herbes, les suppléments et les thés. La thérapie par le sauna peut également aider à éliminer les protéines toxiques en stimulant l’autophagie.
Une fillette de Floride de sept ans a reçu deux injections d’ARNm Pfizer COVID-19. A maintenant un lupus érythémateux systémique (LED) et prend quotidiennement des stéroïdes, HCQ
16 enfants contractent le LUPUS après Pfizer !
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 22 novembre 2023
Centre de la Floride – L'agent immobilier Jennifer Rios Rivera a fait vacciner sa fille de 7 ans avec le vaccin à ARNm Pfizer COVID-19 en décembre 2021 parce qu'elle était asthmatique.
- voir photo sur site -
Sa fille a développé des effets secondaires 10 jours après le deuxième vaccin d'ARNm Pfizer (douleurs thoraciques, douleurs articulaires, faiblesse des jambes), mais n'a pas pu obtenir de diagnostic avant 2 ans. Elle a finalement reçu un diagnostic de lupus et de polyarthrite rhumatoïde et prend maintenant des stéroïdes, du plaquenil et du Celebrex et présente toujours des symptômes ( source ).
Articles examinés Septembre 2022 (Sagy et al) – Nouvelle apparition de lupus érythémateux systémique après le vaccin BNT162b2 à ARNm contre la COVID-19 : une série de cas et une revue de la littérature Mai 2022 (Watanabe et al) – Rapport de cas : Nouvelle polyarthrite rhumatoïde suite à la vaccination contre la COVID-19 Septembre 2022 (Sagy et al) – Nouvelle apparition de lupus érythémateux systémique après le vaccin BNT162b2 à ARNm contre la COVID-19 : une série de cas et une revue de la littérature
Cas 1 : 24 millions avaient le premier ARNm Pfizer 3 jours plus tard, une éruption cutanée est apparue sur la tête, le cou et les bras, ainsi qu'une raideur aux deux poignets.
Cas 2 : 23 millions avaient le 2ème ARNm Pfizer Un mois plus tard, il a développé de la fièvre et une pancytopénie, des ulcères buccaux et une éruption malaire sur le visage.
Cas 3 : 56 millions avaient le 2e ARNm Pfizer Un mois plus tard, il a été admis à l'hôpital pour des douleurs articulaires de la main gauche et un gonflement des ganglions lymphatiques axillaires gauches. L’examen a montré une arthrite bilatérale du genou et du poignet gauche. Tous les trois ont reçu un diagnostic de lupus La littérature revue a montré 3 autres cas après vaccination par ARNm : 27F, Moderna 2e dose , 2 semaines plus tard, arthrite 22F, Pfizer 1ère dose, 1 semaine plus tard vascularite cutanée, pancytopénie 24M, Pfizer 2ème dose , 2 semaines plus tard fièvre, arthrite, ulcères buccaux, etc. Lupus post vaccin à ARNm : tableau clinique très variable Outre le LED, le diagnostic de nouvelles maladies auto-immunes suite à la vaccination contre la COVID-19 a déjà été rapporté : polyarthrite rhumatoïde thrombocytopénie thrombotique immunitaire maladies hépatiques auto-immunes Le syndrome de Guillain Barre Néphropathie à IgA
Deux théories sur le mécanisme : 1. mimétisme moléculaire de la protéine Spike avec les protéines humaines 2. Activation immunitaire qui produit l'interféron de type 1 Mai 2022 (Watanabe et al) – Rapport de cas : Nouvelle polyarthrite rhumatoïde suite à la vaccination contre la COVID-19
Un Japonais de 53 ans a reçu 2 injections d'ARNm Pfizer 4 semaines après la 2ème dose, son articulation du genou gauche est devenue enflée et douloureuse. Les analyses de sang ont montré une élévation du facteur rhumatoïde, mais également des cytokines IL-6, TNF-a et IFN-I. Diagnostic : Polyarthrite rhumatoïde causée par le vaccin Pfizer
Conclusion : « Étant donné que les réponses des cytokines pro-inflammatoires jouent un rôle crucial dans le développement des maladies auto-immunes, il est probable que la vaccination contre le COVID-19 puisse être un déclencheur de la production de cytokines pro-inflammatoires. » « Nous montrons ici un cas de PR de novo suite à une vaccination contre le COVID-19 et caractérisé par des réponses systémiques de cytokines pro-inflammatoires, notamment l'IFN-I, l'IL-6 et le TNF-α » Enfants blessés par les vaccins à ARNm – 16 cas de nouvelle apparition de lupus VAERS 1337921 : 16F (Nouveau Mexique) avait le 1er ARNm Pfizer. Deux jours plus tard, j'ai commencé à avoir une polyarthralgie, des myalgies, de l'arthrite, etc., évocatrices d'un lupus.
VAERS 1424433 : 17F (Virginie) avait le 2ème ARNm Pfizer. 2 semaines plus tard, j'ai commencé à ressentir des douleurs thoraciques et un essoufflement, les tests de laboratoire étaient positifs pour le lupus.
VAERS 1474796 : 16F (Virginie) avait le 1er Pfizer. Une semaine plus tard, elle a commencé à avoir des éruptions cutanées sur les jambes et ses pieds étaient enflés et douloureux. Après le deuxième traitement par Pfizer, tout son corps a développé des éruptions cutanées et ses douleurs aux pieds se sont aggravées. Les médecins soupçonnent le lupus.
VAERS 1794837 : 16F (Caroline du Nord) avait le 2ème Pfizer. 39 jours plus tard, vu pour des douleurs articulaires apparues quelques semaines après la 2e dose. Maintenant diagnostiqué avec un lupus et une glomérulonéphrite.
VAERS 1866616 : 16 M (étrangers) avaient le 2ème ARNm Pfizer. Deux jours plus tard, une réaction cutanée a commencé à se développer. Au bout de 12 jours, il avait une éruption cutanée en forme de papillon sur les deux joues et il s'est présenté à l'hôpital. Petites éruptions cutanées observées dans les extrémités et l'abdomen. Diagnostic : lupus érythémateux discoïde.
VAERS 1915358 : 15 M (étrangers) avaient le 2ème ARNm Pfizer. 9 jours plus tard, il a été hospitalisé pour myocardite, péricardite, LED (lupus).
VAERS 1934578 : 12F (étranger) avait l'ARNm de Pfizer le 24 septembre 2021. Elle a eu de la fièvre pendant 2 semaines après l'ARNm et s'est présentée aux urgences avec une faiblesse des membres et de la fièvre. A reçu un diagnostic de LED (lupus).
VAERS 1967228 : 15F (Illinois) avait le 2ème Pfizer. 10 jours plus tard, admis avec douleur thoracique, diagnostic d'embolie pulmonaire, LED, néphrite lupique
VAERS 1994301 : 14 M (étrangers) avaient le 1er ARNm Pfizer le 17 octobre 2021. Diagnostic de lupus le 12 novembre 2021, purpura thrombocytopénique, etc.
VAERS 2073323 : 10F (Californie) avait le 2e Pfizer. 21 jours plus tard, admis avec des tests auto-immuns, diagnostic de néphrite de LED (lupus)
VAERS 2192193 : 8F (Colorado) avait le 2e Pfizer. 30 heures après la vaccination, j'ai commencé à avoir des fièvres intermittentes quotidiennes et des œdèmes des extrémités. Diagnostic : Nouveau LED (Lupus) compliqué d'une néphrite lupique
VAERS 2231412 : 17F (Massachusetts) avait le 2ème ARNm Pfizer. 13 jours plus tard, des maux de gorge et de la fièvre ont été diagnostiqués, un LED et une néphrite lupique ont été diagnostiqués.
VAERS 2321591 : 15F avait le 2ème ARNm Pfizer. Développé un lupus à cause du vaccin.
VAERS 2379244 : 11 M avaient le 2ème ARNm Pfizer. On lui a diagnostiqué un lupus 8 mois plus tard.
VAERS 2482327 : 16F avait l'ARNm de Pfizer le 24 novembre 2021. Hospitalisé et diagnostiqué avec LED (lupus) avec néphrite le 22 décembre 2021.
VAERS 2582228 : 11F (Kentucky) avait le 3ème ARNm Pfizer. 3 jours plus tard, des lésions faciales (macules érythémateuses) sont apparues de manière aiguë. Cela a évolué vers une éruption annulaire érythémateuse diffuse confirmée comme étant un lupus érythémateux cutané aigu.
Mon avis… Cette maman de Floride a donné à sa fille de 7 ans les vaccins à ARNm Pfizer COVID-19, et 10 jours après le deuxième vaccin Pfizer, la fille a commencé à avoir des douleurs thoraciques, des éruptions cutanées, des douleurs articulaires et souffre maintenant d'une maladie auto-immune à vie pour laquelle elle est sous stéroïdes et immunomodulateurs.
Cette mère était tragiquement inconsciente des dangers et de la toxicité des vaccins à ARNm contre la COVID-19 chez les enfants et faisait confiance à des pédiatres et des politiciens corrompus et incompétents. Aujourd’hui, sa fille est handicapée à vie.
J'apprécie qu'elle ait eu le courage de partager l'histoire.
Non seulement les symptômes de sa fille ne sont pas contrôlés par plusieurs médicaments, mais elle n'a aucune idée des conséquences à long terme de ce type de dommages au système immunitaire.
Le fait qu'il existe 16 cas VAERS d'enfants dont le système immunitaire a été endommagé de façon permanente par le lupus érythémateux systémique (avec ou sans inflammation rénale et lésions rénales), signifie qu'il y a des centaines d'enfants blessés et handicapés de façon permanente, dont les rapports n'ont jamais été transmis. VAERS.
Encore une raison de plus pour faire tout ce qui est en notre pouvoir pour que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 soient immédiatement retirés du marché et interdits d’utilisation chez les enfants !
The Dr. Ardis Show : Le Dr Seema Nanda discute des effets du DIABÈTE sur la SANTÉ DES YEUX – Brighteon.TV
21/11/2023 Kévin Hughes
Le spécialiste des yeux, le Dr Seema Nanda, a rejoint l'épisode du 15 novembre de « The Dr. Ardis Show » sur Brighteon.TV pour discuter des effets du diabète sur la santé oculaire. Nanda a déclaré à l'hôte et chiropracteur à la retraite, le Dr Bryan Ardis, que les yeux sont les fenêtres de l'âme. Elle a ajouté que les yeux sont la seule partie du corps où les vaisseaux sanguins et les nerfs peuvent être vus. Ceci, a ajouté Nanda, donne aux gens un aperçu de ce qui arrive au reste du corps.
Ardis a ensuite montré un clip sur la rétinopathie diabétique, qui est « la maladie oculaire diabétique la plus courante et l'une des principales causes de cécité chez les personnes atteintes de diabète ». Elle est causée par des modifications des vaisseaux sanguins de la rétine et peut éventuellement conduire à la cécité.
Certaines personnes atteintes de rétinopathie diabétique peuvent présenter un gonflement et une fuite de liquide ou de sang dans les vaisseaux sanguins de leur rétine. Pendant ce temps, les personnes atteintes de diabète verront de nouveaux vaisseaux sanguins anormaux se développer à la surface de la rétine.
Nanda, fondatrice et directrice du Nanda Dry Eye and Vision Institute, basé à Houston, a souligné que trop de sucre est une mauvaise idée. Lorsque le corps est plein de sucre, celui-ci s’écoule partout et pénètre dans le cristallin de l’œil, provoquant un changement de focalisation myope.
Ardis a ajouté que lorsqu'une hémorragie se produit, le corps commence à développer de nouveaux vaisseaux sanguins pour la compenser. Nanda a accepté, ajoutant que les plus petits vaisseaux sanguins du corps se trouvent dans les yeux et les orteils. La croissance de vaisseaux sanguins fragiles autour de l’œil pourrait entraîner des hémorragies, qui provoquent des crises cardiaques chez les patients diabétiques.
Nanda : 1 Américain sur 10 est diabétique
Selon Nanda, 37 millions d’Américains – soit un sur dix – souffrent de diabète. Trente-trois pour cent de cette population diabétique souffrira de rétinopathie.
Elle a également mentionné que les personnes atteintes de prédiabète consomment trop de sucre, mais avec un taux d'hémoglobine glyquée (HbA1c) plus faible. Ceux dont le taux d’HbA1c est égal ou supérieur à sept sont déjà diabétiques. Avoir soif et faim en permanence, ainsi qu’uriner fréquemment, sont les premiers symptômes cliniques du diabète.
Outre la rétine, Nanda a également expliqué que trop de sucre détruit d'autres parties de l'œil. Un taux de sucre élevé entraîne la destruction des glandes situées derrière les cils, appelées glandes de Meibomius. Ces glandes produisent du meibum, une substance huileuse qui protège la cornée du dessèchement – et le manque de ce meibum provoque une sécheresse oculaire.
Outre la destruction des glandes de Meibomius, les personnes atteintes de diabète courent un risque plus élevé de développer des orgelets (chalazions). Ces excroissances sont liées au diabète et à la résistance à l'insuline. De plus, Nanda a averti que le corps vitré de l'œil peut se remplir de sang en cas d'hémorragie, provoquant ainsi le glaucome et la cécité.
Nanda a déclaré à Ardis que beaucoup de gens mangent des articles emballés contenant quelque chose pour conserver la nourriture, qui est généralement du sucre ou du sel. Elle a exhorté les gens à abandonner ces mauvais aliments s’ils veulent préserver leur vision. (Connexe : Comment gérer les mauvaises habitudes alimentaires : Comprendre la dépendance au sucre.)
"Je ne prends même plus de ketchup maintenant parce que je peux goûter le sucre. Je n'ai pas de sucre dans tout ce que je mange ou fais, et je ne mange pas d'aliments emballés", a-t-elle commenté. "Et si tu veux te sauver, tu ne le feras pas non plus."
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Regardez l'épisode du 15 novembre de "The Dr. Ardis Show" ci-dessous. "The Dr. Ardis Show" est diffusé tous les mercredis de 10h à 11h sur Brighteon.TV.
Plus d'histoires connexes:
Étude : Un jeûne intermittent constant peut entraîner une rémission chez plus de 50 % des patients atteints de diabète de type 2.
Santé oculaire et mauvaise alimentation : un régime riche en graisses peut être lié à des problèmes de vision plus tard dans la vie, préviennent les scientifiques.
Étude : Les baies de Goji améliorent la santé oculaire et aident à prévenir les problèmes de vision, conclut l'étude.
Les patients diabétiques peuvent améliorer la fonction de leurs vaisseaux sanguins en effectuant des exercices fractionnés basés sur la résistance.
Les secrets du régime diabétique révélés : 7 aliments qui aident à stopper le diabète et à initier l'auto-guérison.
ALERTE / dans un projet de loi déposé au Sénat Darmanin entend punir de 15000 à 45000 euros et 3 ans d’emprisonnement toute remise en question de la doxa de big pharma
le 21 novembre 2023 par pgibertie
Un innocent projet de loi destiné parait il à lutter contre les dérives sectaires. Mais très vite on comprend, les sectes sont moins concernées que les lanceurs d’alerte . Lisez bien ci dessous : en l’état actuel des sciences médicale? La médecine n’est pas une sciences exacte, le débat doit pouvoir exister … Avec une telle loi la lobotomisation, le Médiator, le Vioxx, la Dépakine et tous les poisons au coeur des grands scandales sanitaires n’auraient pu être dénoncés.
L’Hormone de croissance, l’amiante furent tout comme le tabac, jugés positifs par la science médicale…
Cette loi est une monstruosité destinée à rendre impossible le consentement éclairé , il ne sera plus possible de réfléchir , de débattre , de critiquer
Toute contestation de ce qu’impose Big Pharma sera puni comme dérive sectaire
Le retour à l’Inquisition
Merci à Philippe Murer pour l’info
- voir doc sur site -
Art. 223-1-2. – Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique.
« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. Lutte contre les dérives sectaires PROJETS DE LOI
Texte n° 111 (2023-2024) de M. Gérald DARMANIN, ministre de l’intérieur et des outre-mer et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargée de la citoyenneté et auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée de la ville, déposé au Sénat le 15 novembre 2023
https://www.senat.fr/leg/pjl23-111.html
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DEPAKINE: le poison de Sanofi est à l’air libre, le scandale se poursuit et le principe de précaution oublié Publié le 20 novembre 2023 par pgibertie
Le scandale de la Dépakine est un concentré de tout ce qui disfonctionne: Big Pharma (Sanofi), l’Agence du Médicament (mise en examen), les Ordres des médecins et des pharmaciens qui n’ont sanctionné personne, la justice qui trouve le moyen de … Lire la suite →
Scandales sanitaires #Chlordecone, Recarbrio (antibiotique) ,#Mediator, #Vioxx…les drames de la consanguinite; politiques, journalistes ,labos, autorités de contrôle , tous INTOUCHABLES … Publié le 11 juin 2023 par pgibertie
LES MÉDICAMENTS SUR ORDONNANCE SONT LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS APRÈS LES MALADIES CARDIAQUES ET LE CANCER. Depuis trois ans nous avons la terrible révélation de la consanguinité coupable des labos, des politiques, des régulateurs et des politiques; Souvenez vous… … Lire la suite →
Le Sénat porteur de valises de la Macronie donne les pleins pouvoirs à la HAS, mais qui se souvient des positions de la HAS dans tous les scandales sanitaires ? Médiator, Dépakine, Vioxx, Levothirox… Publié le 24 juillet 2022 par pgibertie
La Haute autorité de Santé refuse la réintégration des soignants non injectés mais que savons nous de cet organisme, de son rôle et de ses liens avec le Politique ? .La lourde responsabilité de cette décision devra être assumée et … Lire la suite →
L'excès de mortalité chez les jeunes qui interroge sur la vaccination anti-Covid
Jean-Noël Haas* pour France-Soir le 21 novembre 2023 - 17:41
Nous avons plus de deux ans de recul qui nous prouvent que les vaccins anti-Covid peuvent provoquer des effets secondaires pouvant entraîner la mort.
TRIBUNE/ANALYSE - Dans un précédent article nous avions vu que pendant qu’un virus dangereux et mortel circulait, le premier semestre 2021 fut le semestre le moins mortel de tous les temps pour les 5 à 40 ans en France. Mais le deuxième semestre, alors qu’un vaccin protecteur sûr et efficace était massivement injecté, on voyait la mortalité de cette tranche d’âge brusquement augmenter de plus de 400 décès, ce qui était un retour en arrière en termes de mortalité d’environ 10 ans.
Apparemment, certains n’ont pas été convaincus par cette démonstration et osent toujours prétendre que les vaccins anti-Covid ne provoquent pas d’effet secondaires. Qu’ils se rassurent, voici une piqûre de rappel !
À la suite de cet article, j’ai eu des échanges avec le statisticien Pierre Chaillot de la chaîne YouTube Décoder l'éco qui m’a poussé à augmenter la résolution temporelle de l’analyse et à y adjoindre les courbes des injections des vaccins anti-Covid disponibles sur le site data.gouv.fr. Cela m’a permis avec son aide d’améliorer mon programme d’analyse de la mortalité française. Ainsi outillés, nous allons pouvoir nous atteler à déterminer le plus précisément possible quand cet excédent de mortalité a commencé et, pour cela, nous allons nous concentrer sur les 12-40 ans car les 5-12 ans ont vu leur campagne de vaccination démarrer plus tard et feront l’objet d’un article séparé.
Partons de l’analyse semestrielle du précédent article et affichons l’excès de mortalité pour les 12-40 ans :
- voir graph sur site -
Nous voyons là très clairement l’excédent de mortalité sur les quatre derniers semestres avec en moyenne 400 décès supplémentaires par semestre.
Ci-dessous, voici toujours une analyse semestrielle mais avec les injections de la première dose et l’excédent de mortalité relatif en pourcentages :
- voir graph sur site -
Et, ci-dessous, le même graphique mais avec les injections de la deuxième dose :
- voir graph sur site -
Nous ne pouvons que constater que le début de cet excédent de mortalité coïncide bien avec les pics des injections.
Toujours pas convaincu ? Passons donc à l’analyse trimestrielle. Ci-dessous, l’excédent de mortalité par trimestre avec les injections de la première dose :
Autre rappel : cela fait plus d’un an et demi que l'épidémiologiste Laurent Toubiana essaye d’obtenir les données de mortalité en fonction du statut vaccinal. C’est une analyse qui aurait dû être faite dès le début de la campagne de vaccination dans la mesure où les vaccins sont encore expérimentaux. Et pourtant, toutes les demandes sont encore bloquées pour cause d’obstruction. Or, il s’agit là de la seule manière de prouver l’efficacité ou la dangerosité de ces vaccins sans aucun biais.
Le ministre de la Santé devrait arrêter de faire le VRP des fabricants des vaccins anti-Covid. Ce n’est clairement pas son boulot. Il n’a maintenant plus aucune excuse. Nous avons plus de deux ans de recul qui nous prouvent que ces vaccins ont des effets secondaires qui peuvent s’avérer mortels.
Maintenant, tout le monde est face à l’évidence. Les hommes politiques et les médecins qui restent dans le déni où le mensonge ne font que renforcer nos certitudes ! Qu’ont-ils bien à cacher ?
*Jean-Noël Haas, titulaire d'un DEA en physique subatomique, est informaticien, développeur de solutions de sécurité et d'authentification forte et créateur indépendant de logiciels d'analyse de journaux informatiques.
(...) TRIBUNE/ANALYSE - Dans un précédent article nous avions vu que pendant qu’un virus dangereux et mortel circulait, (...)
TRIBUNE/ANALYSE - Dans un précédent article nous avions vu que pendant qu’un virus dangereux et mortel circulait en seringues et non dans l'air car l'air est examiné chaque jours par des milliers de laboratoires dans le monde qui n'ont JAMAIS trouvé de 'cocovide19', de 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !
Il y a 3 ans, une poussière (appelée 'virus') se serait échappé d'un laboratoire chinois à Huwan car elle avait le double des clés de la porte blindée. Et, comme cette poussière aurait eu des bébés (!) et qu'elle avait le sens commercial, elle vendit (ou offrit ?) ses progénitures à d'autres laboratoires nazis dans le monde. C'est le succès immédiat ! Des centaines de millions de morts nécessitant vite-vite l'arrivée massive d'immigrés ('réfugiés climatiques' !!) vers les USA et vers l'Europe pour éviter le trou visuel dans la circulation et les habitants du quartier.
3 ans après c'est toujours le poison en seringue qui est en tête du hit-parade ! Il est aussi proposé en masques imprégnés, en gel hydroalcoolique frelaté et en coton d'écouvillon infecté pour les faux tests 'RT-PCR' ! Whoâw ! On a le choix ! C'est noel avant l'heure !! Le black-friday ! Partez en vacances les pieds devants !
Conseils Corona de Norvège : pas de panique, masques, vaccination
22 novembre 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
Depuis que Dorothee von Laer, professeur de virologie à Innsbruck, a récemment diffusé des quantités massives de désinformation à la radio d'État, vous recevrez ici une brève « mise à jour » de Norvège sur la façon dont les bureaucrates locaux de la santé et les « experts™ » traitent actuellement la soi-disant déclaration de l'OMS. Évitez la « pandémie du coronavirus ».
Comme l'a rapporté hier le TKP , Dorothee von Laer a affirmé que « la vaccination modRNA est très sûre », que le risque de dommages causés par le vaccin est « extrêmement faible », qu'une « exigence de masque pour les personnes vulnérables est logique » et qu'une « transmission asymptomatique » existe à ce stade. il est fait référence à un article paru hier dans le journal norvégien « Leading and Quality Media ». Il s’agit des conseils actuels du Folkehelseinstituttet (par exemple l’Institut de santé publique, FHI) pour lutter contre le Sars-Cov-2.
Vous trouverez ci-dessous un article paru le 21 novembre 20223 dans Bergens Tidende , entre autres ; La traduction et les soulignements (ainsi que les commentaires insérés entre crochets) sont de moi.
Les conseils actuels du FHI sur le corona et la grippe L'Institut norvégien de santé publique (FHI) s'attend à une augmentation du nombre de cas de grippe et de coronavirus au cours de l'hiver, comme l'écrit Sval Rosenløw Eeg :
L'épidémie de grippe saisonnière n'a pas encore commencé, mais le FHI s'attend à ce que la grippe puisse apparaître vers Noël cette année. "L'incidence est encore à un niveau faible, mais est en augmentation depuis plusieurs semaines", indique la FHI dans son dernier rapport hebdomadaire .
Si vous vous sentez malade, la FHI vous recommande de surveiller votre état général et votre respiration .
Si de nouveaux symptômes respiratoires apparaissent et que votre état général se détériore, vous devez rester à la maison jusqu'à ce que vous vous sentiez mieux .
Jusqu'ici, tout va bien - et clairement quelque chose de différent de ce que l'on obtient aujourd'hui en Allemagne ou en Autriche de la part des politiciens, des « experts™ » et de leurs porteurs d'eau dans les médias de premier plan et de qualité.
L'épidémiologiste en chef de la Norvège, Preben Aavitsland, a déclaré :
Votre médecin généraliste et les urgences sont disponibles si vous êtes inquiet et avez besoin de conseils.
Lorsqu'on lui a demandé si l'on pouvait éviter de tomber malade, Aavitsland a répondu comme suit :
Vous pouvez essayer de retarder la prochaine épidémie de coronavirus ou de grippe, par exemple en vous faisant vacciner et en restant à l’écart des autres personnes, surtout à l’intérieur. Plus vous tardez à le faire, plus votre immunité sera faible la prochaine fois que vous serez infecté et la maladie pourrait s’aggraver. Chacun doit en décider pour lui-même .
Nous devons accepter que le corona, la grippe et divers autres virus respiratoires existeront toujours. Cela signifie que nous serons tous infectés de temps en temps .
En soi, il s'agit d'une approche quelque peu détendue, mais ici aussi, le casque d'acier de vaccination Aavitsland ne peut s'empêcher d'utiliser le mantra des injections « protectrices » sans aucune preuve ( a rapporté TKP ). Au moins, le FHI met l’accent sur l’autonomie physique et évite les appels trop drastiques et clairs comme celui de Dorothee von Laer.
Différenciation difficile des symptômes
Le message souligne ensuite que parfois, « il peut être difficile de distinguer les symptômes de différentes maladies ». Aavitsland est cité comme suit :
Normalement, vous ne pouvez pas faire la distinction entre les symptômes de la grippe, du corona et de la coqueluche . Mais chez les nourrissons, la coqueluche peut provoquer des quintes de toux si graves que l’enfant a des difficultés à respirer.
Bien sûr, l’alarmisme et le mélange de plusieurs maladies respiratoires font désormais « partie du jeu » pour les bureaucrates de la santé et les apôtres de la vaccination du monde entier, mais au moins Bergens Tidende souligne également les chiffres réels (qui, soit dit en passant, proviennent de le rapport hebdomadaire FHI précédemment lié) : "À la semaine 45, il y a eu moins de cinq hospitalisations pour coqueluche et infections par le RSV chez les enfants âgés de zéro à quatre ans."
Et lorsqu’il s’agit d’un (ou plusieurs) tests corona, le FHI se positionne clairement différemment du virologue d’Innsbruck (sic) :
Le test Corona n'est pas nécessaire
Le NIPH surveille la propagation du coronavirus à l’aide de divers systèmes. Cela comprend la surveillance de la quantité de coronavirus dans les eaux usées et des enquêtes hebdomadaires auprès d’un panel de population. Néanmoins, Aavitsland affirme que le test corona est volontaire :
"C'est à vous de décider. Ce n'est pas nécessaire car nos conseils sont les mêmes, que vous vous fassiez tester ou non, et quels que soient les résultats du test ." Si vous êtes plus âgé ou appartenez à un groupe à risque, vous devrez peut-être quand même passer un test afin de pouvoir vous prescrire un médicament anti-coronavirus.»
À ce stade, la partie substantielle de l'article se termine et le dernier tiers répète simplement les « groupes à risque » pour lesquels une recommandation d'injections supplémentaires s'applique (je vous épargne cela comme moi, si cela vous intéresse, veuillez vous référer à mon Substack , où cette section est également traduite).
Note éditoriale
Comme le savent les lecteurs de mes articles norvégiens, Preben Aavitsland est pour moi une sorte de « drapeau rouge ». L’arrière-pensée de cet article est de dissiper l’idée selon laquelle les Norvégiens ne sont guère moins têtus lorsqu’il s’agit d’imposer des bêtises à la population locale que, par exemple, les « experts™ » autrichiens ou allemands ou les « médias de premier plan et de qualité ».
Néanmoins, les autorités norvégiennes déclarent explicitement que les tests ne sont pas nécessaires, et les bureaucrates de la santé recommandent également explicitement de ne plus injecter d'ARN mod pour la population générale.
D’ailleurs, personne ne parle de masques ici en Norvège ; pas même les plus grands casques d'acier de vaccination comme l'ancienne directrice de FHI Camilla Stoltenberg, Preben Aavitsland ou le député. Le directeur de la santé, Espen Nakstad, n'utilise même plus le mot « masque ». (D’ailleurs : les « recommandations » sont toujours appliquées ici – à savoir pour la « protection de la bouche et du nez » et non pour les masques FFP2.)
Pauvre Autriche, considérée par des « Experts™ » comme Dorothee von Laer et accompagnée d'une cacophonie de désinformation et de désinformation à la radio d'État.
Vaccins iDNA pour générer une production interne de virus
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 22 novembre 2023
Si vous pensiez que les injections d’ARNm étaient les choses les plus folles que l’industrie du vaccin ait concoctées ces derniers temps, vous n’en avez pas encore vu la moitié. Ensuite, nous avons ce que l’on appelle « l’ADN d’immunisation » ou iDNA,1,2 une nouvelle classe de « vaccins » de thérapie génique qui code pour l’ensemble du virus.
C’est comme l’ARNm, mais sous stéroïdes. Plutôt que de demander à vos cellules de produire une petite partie, la protéine de pointe d'un virus donné, les produits iDNA demandent aux cellules de produire le virus dans son intégralité. Comme décrit dans le brevet américain 8691563B2:3
« L’ADNi génère des vaccins vivants atténués dans des cellules eucaryotes in vitro ou in vivo pour les virus à ARN pathogènes… Lorsque l’ADNi est injecté au receveur du vaccin, l’ARN du virus vivant atténué est généré par transcription in vivo dans les tissus du receveur.
Cela déclenche la production de virus atténués dans la descendance dans les tissus du receveur du vaccin, ainsi que le déclenchement d’une réponse immunitaire efficace protégeant contre le virus de type sauvage non atténué.
Selon Medigen, basée à Taipei4, qui a lancé sa plateforme de « vaccins » iDNA en 2018, la technologie « combine la stabilité génétique de l’ADN avec l’efficacité exceptionnelle des vaccins vivants atténués ». Les vaccins « vivants atténués » font référence aux vaccins qui contiennent des virus vivants (viables) mais affaiblis (moins virulents).
La plateforme iDNA peut être utilisée pour créer des vaccins de deux manières différentes. Vous pouvez soit cultiver l’ADNi dans une culture pour produire le vaccin de la manière conventionnelle, soit injecter l’ADNi directement au receveur et permettre à l’organisme de produire le virus vivant atténué en interne.
Qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?
Un article de 2016 décrit ainsi le processus iDNA :5
« Comme tout vaccin à ADN, les plasmides iDNA sont isolés de bactéries et incluent un promoteur eucaryote, tel que le promoteur majeur immédiat et précoce du cytomégalovirus (CMV).
Cependant, contrairement à un vaccin à ADN traditionnel qui implique la transcription de l'ARNm pour l'expression d'un antigène de sous-unité, les vaccins à ADNi transcrivent l'ARN génomique complet du virus vaccinal vivant atténué. L'ARN viral complet initie ensuite une réplication limitée du virus vivant atténué dans les tissus du receveur du vaccin, ce qui permet une immunisation efficace.
Essentiellement, le plasmide iDNA transforme un nombre limité de cellules chez le receveur du vaccin en usines à l’échelle cellulaire pour la « fabrication » de vaccin vivant atténué.
En mars 2023, le fondateur de Cochrane, Peter Gøtzsche, et la journaliste d'investigation Maryanne Demasi ont publié une revue systématique des articles contenant des données sur les événements indésirables graves (EIG) associés aux vaccins contre le COVID. À propos du ZyCoV-D, ils ont écrit :9
« Un essai en Inde du ZyCoV-D, un vaccin basé sur l’ADN, s’est également révélé très problématique. Elle a randomisé 27 703 patients, âgés de 12 à 17 ans ou de 60 ans et plus. Un supplément a signalé un EIG [événement indésirable grave] dans le groupe vacciné et aucun dans le groupe placebo chez les personnes âgées et un contre deux chez les « sujets comorbides ».
Le texte principal était totalement différent, sans division par groupe randomisé. Il décrivait 15 EIG, mais sept d’entre eux étaient simplement positifs au COVID-19, ce qui n’est pas un EIG et appartient en outre à la déclaration des avantages et non des inconvénients. Il y a eu un décès dans chaque groupe. Cet article, difficile à interpréter, a été publié dans The Lancet. »10
Une recherche en ligne de données sur le ZyCoV-D m’a laissé les mains vides, donc à part cet article du Lancet (et un rapport intermédiaire sur le même essai11), il ne semble pas y avoir grand-chose.
Quant à ce qu’ils ont utilisé comme placebo, cela reste également une énigme, comme le journal ne le précise pas. Tester un vaccin contre un autre est une astuce simple pour masquer les effets secondaires attendus, et nous savons qu’au moins un autre vaccin contre le COVID (AstraZeneca) n’a pas utilisé de placebo inerte mais plutôt un vaccin contre la méningite et la septicémie.12,13.
Donc, en résumé, la sécurité du ZyCoV-D est tout sauf claire. Même si nous disposions de données à ce sujet, cela ne nous dirait toujours pas grand-chose sur la sécurité des injections d’iDNA. Le ZyCoV-D ne code que pour deux protéines, alors que l’iDNA code pour un virus entier.
L'ADN présent dans les injections d'ARNm suscite des inquiétudes parmi les experts
- voir clip sur site -
Début avril 2023, le microbiologiste Kevin McKernan a rapporté avoir découvert des fragments d'ADN dans les injections d'ARNm réalisées par Pfizer et Moderna.14,15,16,17 Le niveau de contamination par l'ADN le plus élevé était de 30 %, soit près d'un tiers des le contenu de la photo était de l'ADN plasmidique. Aucun ADN ne doit être présent dans un produit commercial à base d’ARNm fabriqué selon de bonnes pratiques de fabrication.
Depuis lors, d’autres ont confirmé ses résultats, notamment le professeur Phillip Buckhaults de l’Université de Caroline du Sud. En septembre 2023, il en a témoigné18 devant le comité ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud du ministère de la Santé et du Contrôle environnemental (DHEC).
Buckhaults est un biologiste moléculaire et un généticien du cancer possédant une vaste expérience dans le séquençage de l’ADN. Il a initialement entrepris de démystifier les affirmations de McKernan. À sa grande surprise, il a plutôt reproduit les conclusions de McKernan.
Dans son témoignage, il a expliqué comment ces contaminants de l'ADN peuvent s'intégrer dans votre génome et perturber le fonctionnement d'autres gènes, à long terme ou de façon permanente, et peuvent être transmis à la progéniture pendant des générations.
Il a déclaré aux sénateurs qu'il était « alarmé par la présence de cet ADN dans le vaccin », car « il existe un risque très réel » qu'il s'intègre dans le génome d'une personne et devienne un « élément permanent de la cellule » qui peut entraîner des problèmes auto-immuns et cancers.19
Contaminants d'ADN dans les injections d'ARNm avec le feu vert des agences de santé
Dans un tweet du 21 octobre 2023, Steve Kirsch a déclaré :20
« Vous pouvez désormais poursuivre les fabricants de vaccins à ARNm contre la COVID pour dommages et intérêts et la FDA est tenue de retirer les vaccins contre la COVID du marché. Pourquoi? Falsification. Les séquences de contaminants bioactifs plasmidiques n’ont PAS été signalées aux autorités réglementaires.
Santé Canada a confirmé jeudi la présence d'une contamination par l'ADN dans les vaccins Pfizer contre la COVID-19 et a également confirmé que Pfizer n'avait pas divulgué la contamination aux autorités de santé publique.
Les vérificateurs des faits ont riposté, affirmant que les régulateurs de la santé étaient effectivement au courant de la contamination avant que les injections ne soient autorisées, et qu’il n’existe « aucune preuve fiable montrant que l’ADN présent dans les vaccins s’intègre dans notre ADN ou augmente le risque de cancer. »21,22
Eh bien, ils ont au moins raison sur un point. Les agences de réglementation étaient clairement conscientes de ce problème, car Pfizer a soumis des documents à l'Agence européenne des médicaments (EMA) démontrant que les lots échantillonnés contenaient une large gamme d'ADN double brin (ADNdb).23 Beaucoup de ces lots dépassaient de loin les niveaux d'ADN double brin (ADNdb). Limites maximales de l'EMA.
Mais quant à savoir si l’ADN peut s’intégrer et causer un handicap, le vérificateur des faits s’est clairement trompé. L’intégration de l’ADN est reconnue depuis un certain temps et discutée dans la littérature médicale. Ce n’est pas une notion nouvelle. Quoi qu’il en soit, la Food and Drug Administration des États-Unis s’en fiche. Il a déclaré à Factcheck.org :24
« L’affirmation selon laquelle la FDA est tenue de retirer du marché l’un des vaccins à ARNm COVID-19 autorisés ou approuvés est fausse. Avec plus d’un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à la séquence ou à la quantité d’ADN résiduel n’a été identifié.
Peu importe le fait que des « cancers turbo » jamais vus auparavant envoient un nombre record de personnes dans la tombe. Rien à voir là-bas.
Réponse à la dose trouvée entre la charge de contamination de l'ADN et les événements indésirables
Le 27 octobre 2023, McKernan et quatre autres coauteurs ont publié un article préimprimé25 dans lequel ils explorent la dose-réponse entre les lots de vaccins COVID contaminés par l'ADN et les événements indésirables graves.
Les lots testés comprenaient 27 flacons provenant de 12 lots uniques de Moderna et Pfizer. De l’ADN résiduel a été trouvé dans tous les flacons, mais Moderna avait des niveaux plus faibles et plus constants, ce qui suggère qu’ils utilisent un processus de fabrication plus standardisé que Pfizer. Le système américain de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a ensuite été interrogé pour connaître le nombre et la catégorisation des événements indésirables signalés pour chacun des lots testés.
« Les valeurs du cycle de quantification (Cq) (dilution 1:10) pour l’origine plasmidique de réplication (ori) et les séquences de pointes variaient respectivement entre 18,44 – 24,87 et 18,03 – 23,83 pour Pfizer, et 22,52 – 24,53 et 25,24 – 30,10 pour Moderna.
Ces valeurs correspondent à 0,28 – 4,27 ng/dose et 0,22 – 2,43 ng/dose (Pfizer), et 0,01-0,34 g/dose et 0,25 – 0,78 ng/dose (Moderna), respectivement pour ori et Spike…
Dans une analyse exploratoire, nous avons trouvé des preuves préliminaires d'une relation dose-réponse entre la quantité d'ADN par dose et la fréquence des événements indésirables graves (EIG). Cette relation était différente pour les produits Pfizer et Moderna…
Conclusion : Ces données démontrent la présence de milliards, voire de centaines de milliards de molécules d’ADN par dose dans ces vaccins. Grâce à la fluorométrie, tous les vaccins dépassent de 188 à 509 fois les directives relatives à l'ADN résiduel fixées par la FDA et l'OMS, soit 10 ng/dose.
Cependant, la teneur en ADN résiduel de la qPCR dans tous les vaccins était inférieure à ces lignes directrices, ce qui souligne l’importance de la clarté et de la cohérence méthodologiques lors de l’interprétation des lignes directrices quantitatives.
Les preuves préliminaires d’un effet dose-réponse de l’ADN résiduel mesuré par qPCR et SAE justifient une confirmation et une enquête plus approfondie. Nos résultats élargissent les préoccupations existantes concernant la sécurité des vaccins et remettent en question la pertinence des lignes directrices conçues avant l’introduction d’une transfection efficace à l’aide des LNP.
Avec plusieurs limites évidentes, nous insistons pour que notre travail soit reproduit dans des conditions médico-légales et que les lignes directrices soient révisées pour tenir compte d’une transfection d’ADN et d’un dosage cumulatif très efficaces.
Ressources pour les personnes blessées par le vaccin COVID
Plus nous en apprenons sur les vaccins COVID, plus ils semblent pires, et si les vaccins iDNA deviennent réalité, nous pourrions être confrontés à une calamité encore plus grande. Il est temps de mettre fin à cette folie avant qu’il ne soit trop tard, et pour y parvenir, nous rejetons toutes les injections basées sur les gènes, qu’il s’agisse d’ARN, d’ARNm, d’ADN, d’ADNi ou tout ce qu’ils pourraient proposer.
De plus, si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins contre le COVID et que vous reconsidérez maintenant votre décision, il serait sage d’éviter tous les vaccins à partir de maintenant, y compris les vaccins conventionnels, car vous devez mettre fin à l’assaut contre votre corps. Même si vous n’avez ressenti aucun effet secondaire évident, votre santé peut quand même être affectée à long terme, alors ne prenez plus de piqûres.
Si vous souffrez d’effets secondaires, votre première tâche est d’éliminer la protéine de pointe produite par votre corps. Deux remèdes qui peuvent y parvenir sont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. Les deux médicaments se lient et facilitent l’élimination des protéines de pointe.
La Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) a développé un protocole de traitement post-vaccin appelé I-RECOVER. Étant donné que le protocole est continuellement mis à jour à mesure que davantage de données deviennent disponibles, le mieux est de télécharger la dernière version directement depuis le site Web du FLCCC à l'adresse covid19criticalcare.com.26
Pour des suggestions supplémentaires, consultez le guide de désintoxication des protéines de pointe du Conseil mondial de la santé27, qui se concentre sur les substances naturelles comme les herbes, les suppléments et les thés. La thérapie par le sauna peut également aider à éliminer les protéines toxiques en stimulant l’autophagie.
Sources and References
1 Frontiers in Tropical Diseases March 18, 2022; 3 2, 5 Expert Rev Vaccines September 2016; 15(9): 1223-1234 3 U.S. Patent 8691563B2 4 Medigen 6 New Scientist November 6, 2023 (Archived) 7 BBC August 20, 2021 8, 10 The Lancet April 2, 2022; 399(10332): 1313-1321 9 medRxiv March 22, 2023 11 Pharmacovigilance, Efficacy, Safety and Immunogenicity of ZyCoV-D: Interim efficacy results, Page 12 12 Health Desk October 1, 2021 13 McGill July 3, 2020 14 Twitter KanekoaTheGreat May 20, 2023 15, 23 Anandamide (Kevin McKernan) Substack May 20, 2023 16 The Healthcare Channel May 22, 2023 17, 19 Spectator Australia September 25, 2023 18 Jessica Rose Substack September 18, 2023 20, 21 Health Feedback October 21, 2023 22, 24 Factcheck.org November 3, 2023 25 OSF Preprints October 27, 2023 26 Covid19criticalcare.com 27 World Council for Health Spike Protein Detox Guide November 30, 2021
(...) Lorsque l’ADNi est injecté au receveur du vaccin, l’ARN du virus vivant atténué est généré par transcription in vivo dans les tissus du receveur. (...)
Les ARNm n’ont pas mis fin au COVID, c’est Omicron qui l’a fait : Berenson
PAR TYLER DURDEN MARDI 21 NOVEMBRE 2023 - 21:25 Rédigé par Alex Berenson via Unreported Truths,
Parfois, la réponse doit simplement être codée par couleur.
- voir cadre sur site -
Pendant des années, les défenseurs de l’ARNm ont tenté d’attribuer le mérite des vaccins pour avoir mis fin à la pandémie, malgré des preuves massives qu’ils ont cessé de fonctionner en quelques mois et que les données d’observation montrant une baisse du nombre de décès parmi les vaccinés sont désespérément biaisées.
Mais plus tôt ce mois-ci, la Society of Actuaries a publié un rapport mis à jour sur les décès pendant la pandémie qui montre ce qui a réellement tué Covid.
Alerte spoiler : cela ne vient pas de Pfizer ou de Moderna.
La Society of Actuaries (slogan actuel : Empower Your Actuarial Journey) est un groupe de 30 000 membres, vous l'aurez deviné, d'actuaires - les personnes qui aident les compagnies d'assurance à évaluer les risques. Tous les quelques mois, il publie des rapports sur les tendances des décès américains pendant Covid.
Les rapports tendent à se concentrer sur le nombre d’assurés décédés plutôt que sur l’ensemble de la population. Mais les actuaires ont accès à suffisamment de grands assureurs pour que ces données constituent une approximation raisonnable des données nationales complètes – et ils les présentent beaucoup plus rapidement et de manière plus utile.
Leur rapport le plus récent, publié plus tôt en novembre, couvre la période allant jusqu’au deuxième trimestre 2023, se terminant le 30 juin. Entre autres données intéressantes, il comprend des représentations des décès dus à la Covid et non-Covid stratifiés par trimestre et par âge.
Les tendances des décès non liés au Covid sont compliquées, en particulier chez les personnes de moins de 50 ans, car les surdoses ont explosé depuis 2020. (Il existe des preuves que le déploiement du rappel bivalent à l'automne 2022 a entraîné davantage de décès non liés au Covid chez les personnes âgées, mais c'est loin d'être le cas. définitive.)
Mais les tendances des décès dus au Covid ne pourraient être plus claires.
Vous trouverez ci-dessous le même graphique présenté deux fois : une fois recadré, la deuxième fois en pleine vue. Le graphique montre les décès au fil du temps, stratifiés par âge : la ligne du haut correspond aux personnes de 0 à 24 ans, et chaque bande en dessous représente une autre décennie, avec la bande du bas, les personnes de 85 ans et plus.
Comme vous pouvez le constater, les décès dus au Covid ont été relativement faibles au printemps 2021 – la heureuse vallée des vaccins, la brève période pendant laquelle les ARNm ont fonctionné comme annoncé.
Ils ont ensuite grimpé en flèche au cours de l’été, ou au troisième trimestre 2021. Ce qui est remarquable, c’est qu’ils ont bondi à TOUS les âges, y compris chez les personnes hautement vaccinées (les trois bandes inférieures, représentant les personnes de 65 à 74 ans, de 75 à 84 ans et de plus de 85 ans).
Et bien que les décès dus au Covid aient diminué chez les jeunes au cours de l’automne et de l’hiver, ils ont continué d’augmenter par rapport à leurs plus bas niveaux du printemps 2021 chez les personnes âgées les plus exposées au risque de Covid. En conséquence, le nombre total de décès dus au Covid a également augmenté – triplant environ entre le printemps et l’automne 2021, malgré tous les rappels et les mandats.
On ne saurait trop insister sur ce point : la forte hausse des décès chez les personnes âgées s’est produite même si presque toutes les personnes âgées aux États-Unis étaient vaccinées.
Puis, au printemps 2022… Le Covid a pris fin. Toutes les cellules sont devenues vertes, d’un seul coup ! Covid a pris fin pour les personnes âgées, pour les personnes d’âge moyen et pour les jeunes. C’est fini et ça n’est pas revenu (sauf un peu pour les personnes âgées, ce qui n’est pas un argument en faveur des jabs).
Voir par vous-même.
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Un tableau pour les gouverner tous. Tondu:
- voir cadre sur site -
Et le tableau complet. Vert signifie y aller :
- voir cadre sur site -
Qu’est-ce qui explique cette fin miraculeuse du fléau de tous les fléaux ?
Pas de vaccins.
Ils ont été donnés début 2021, un an avant le début de la marée, et même leurs partisans admettent qu’ils ne fonctionnent pas bien contre Omicron.
Non, ce qui s'est passé, c'est Omicron lui-même. Elle a balayé les États-Unis à l’hiver 2022, vaccinés comme non vaccinés. Ses taux de mortalité étaient globalement bien inférieurs à ceux des variantes précédentes – probablement de l’ordre de 0,05 à 0,1 % – même si sa transmissibilité signifiait que l’hiver 2022 a encore vu beaucoup de décès (en particulier chez les personnes âgées, peu importe qu’elles aient été piquées). .
Depuis, diverses souches d’Omicron, peu mortelles, ont rebondi parmi une population dotée d’une immunité réelle (c’est-à-dire naturelle), contribuant ainsi à en faire encore plus un rien de bon.
En fin de compte, les vaccins n’ont été qu’un spectacle secondaire. Le SRAS-Cov-2 a cherché et trouvé une trêve avec ses hôtes humains (en supposant que le changement de classe IgG4 ne revienne pas hanter les personnes piquées par l’ARNm).
Vaccination des enfants contre la grippe ? Selon les autorités britanniques, uniquement pour protéger les autres
22 novembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Abuser des enfants pour protéger les autres est une tradition. Nous savons que les enfants n’ont jamais été menacés par le Corona, ni par la dernière version qui sévit depuis 2019. Néanmoins, la vaccination était autorisée à partir du 6ème mois et était recommandée, souvent au motif de protéger autrui. Mais les enfants doivent également protéger les autres en matière de vaccination contre la grippe, comme l' a admis l'Agence britannique de sécurité sanitaire. Il n’y a pas la moindre chose éthiquement justifiable là-dedans.
Les enfants sont utilisés comme boucliers humains contre la grippe, a admis le régulateur britannique de la santé. L'organisme gouvernemental chargé de protéger la santé publique explique, selon les médias, que le spray antigrippal contenant un principe actif vivant et affaibli est administré principalement pour protéger les bébés et les personnes âgées, car le risque de mourir de la grippe chez les enfants et les jeunes est très lent.
Pour eux, la vaccination, qui, comme tout acte médical, comporte des risques, présente peu d’avantages. Un porte-parole de l’UKHSA a déclaré : « La vaccination des enfants protège également les autres personnes vulnérables à la grippe, comme les bébés et les personnes âgées. »
Lorsque le vaccin contre la grippe a été déployé pour la première fois chez les enfants âgés de 2 à 16 ans en 2014, le NHS a déclaré que le vaccin devrait éviter 2 000 décès dans la population. Au cours des 22 dernières années, il y a eu ou il n'y a pas près de 2 000 décès dus à la grippe dans la population britannique. (Il n’existe pas de chiffres pour la période antérieure à 2001.) Il y a eu 161 décès en 2013, 118 en 2014 et 284 en 2015, l’année qui a suivi l’introduction du spray, soit une augmentation de 140 pour cent.
Les chiffres de l'Office of National Statistics (ONS) pour les 20 années comprises entre 2001 et 2021 montrent que le nombre de décès dus à la grippe chez les enfants âgés de zéro à 19 ans dans tous les groupes d'âge n'a atteint le double des chiffres que trois fois en 20 ans. A titre de comparaison : en moyenne, 150 enfants meurent chaque année à cause d’une crise d’asthme.
Du point de vue de la santé publique, ces chiffres sont faibles et les avantages éventuels devraient être soigneusement pesés par rapport aux risques. Les effets indésirables rares ne sont pas mentionnés dans la notice d’information publique qui doit être remise aux parents ; il dit simplement qu'ils sont « inhabituels ».
Cependant, ils peuvent mettre la vie en danger et inclure des convulsions fébriles, le syndrome de fatigue chronique, l'anaphylaxie et, dans de rares cas, le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire endommage les cellules nerveuses, entraînant une faiblesse musculaire et parfois paralysie. Le SGB peut provoquer des lésions nerveuses à long terme, voire la mort. Elle touche environ 1 300 personnes au Royaume-Uni. Caroline Morrice, directrice générale de GAIN, une organisation caritative soutenant les patients atteints du SGB, affirme que les patients courent un risque plus élevé de développer un SGB après une vaccination contre la grippe ou contre le Covid, mais qu'en mars et avril 2021, après que la vaccination contre le Covid AstraZeneca ait entraîné une augmentation des cas . Elle a ajouté : " En tant qu'organisation caritative, nous n'avons connaissance d'aucun cas actuel de SGB causé par la vaccination contre la grippe, car aucun n'a été signalé . " Les personnes qui administrent les vaccins ne peuvent pas dire qui sera touché, alors les patients et les parents jouent à la roulette russe.
Les maladies grippales graves sont rares chez les enfants. Même parmi les enfants âgés de un à quatre ans les plus à risque, le nombre de maladies n’a atteint que deux chiffres, le nombre le plus élevé étant de 12.
Selon Cochrane, l'organisation indépendante qui évalue les allégations et la validité des articles scientifiques, il existe plus de 200 virus susceptibles de provoquer la grippe et des syndromes grippaux (SG). Les symptômes comprennent de la fièvre, des maux de tête, des douleurs articulaires et musculaires, de la toux et un écoulement nasal. Les médecins ne peuvent pas faire la distinction entre la grippe et le syndrome grippal (rhume pseudo-grippal) sans tests de laboratoire, car les deux ne durent que quelques jours et entraînent rarement une maladie grave ou la mort.
Le virus de la grippe mute chaque année et les types de virus inclus dans les vaccins correspondent généralement à ceux qui devraient circuler au cours de la saison grippale suivante, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
L'examen stabilisé de Cochrane sur 20 ans de travail (stabilisé signifiant qu'il n'y a aucune nouvelle preuve contredisant les résultats) a révélé que l'efficacité du vaccin contre la grippe pour tous les groupes d'âge est surestimée.
Dr. Tom Jefferson, auteur principal de la revue Cochrane et maître de conférences à l'Université d'Oxford, a déclaré à l'époque que les études montraient un biais dans les rapports sur les méfaits du vaccin vivant atténué contre la grippe. Les vaccins contre la grippe sont « une question de marketing, pas de science », a-t-il déclaré. Nous ne disposons que de quelques études et d’un grand nombre de données d’observation très médiocres. Les données scientifiques font défaut et il est donc très difficile de prendre une décision éclairée. Jefferson est également celui qui a documenté l'inefficacité des masques contre Corona dans la grande étude Cochrane et a été massivement attaqué pour cela .
La lettre de l'autorité de régulation européenne EMA supprime la base de toute exigence de vaccination corona
22 novembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Certains députés européens ont demandé des éclaircissements à l’EMA sur un certain nombre d’aspects de l’approbation des vaccins corona. En plus des pages d’excuses, il existe une déclaration claire qui invalide tout argument en faveur d’une vaccination obligatoire générale ou liée au travail. Ce sont les députés européens Marcel de Graaff, Gilbert Collard, Francesca Donato, Joachim Kuhs, Mislav Kolakušić, Virginie Joron, Ivan Vilibor Sinčić et Bernhard Zimniok qui ont ordonné les réponses à une série de questions. Dans une lettre datée du 18 octobre 2023, signée par la directrice générale de l'EMA, Emer Cooke, il y a au moins une précision importante.
Voici la traduction de la réponse à la première question :
Les indications approuvées
Ils notent que, sur la base des indications approuvées, les vaccins « ne devraient être administrés qu’aux personnes recherchant une protection personnelle et ne sont pas approuvés pour réduire les taux de transmission ou d’infection (contrôle de la transmission) ». Ils notent également que l’indication approuvée ne correspond pas aux utilisations promues par « les sociétés pharmaceutiques, les politiques et les professionnels de la santé ».
Vous avez en effet raison de souligner que les vaccins contre la COVID-19 ne sont pas approuvés pour prévenir la transmission d’une personne à une autre. Les indications servent uniquement à protéger les personnes vaccinées.
Les informations sur le produit des vaccins contre la COVID-19 indiquent clairement que les vaccins sont destinés à une immunisation active pour prévenir la COVID-19. En outre, les rapports d’évaluation de l’EMA sur l’approbation des vaccins soulignent qu’il n’existe aucune donnée sur la transférabilité.
L’EMA continuera à faire preuve de transparence quant aux utilisations approuvées des vaccins contre la COVID-19 et à identifier les domaines dans lesquels nous devons dissiper les malentendus.
C’est comme une moquerie que l’EMA admette aujourd’hui, après que des millions de doses de vaccin périmées ont été jetées et éliminées, ce que des scientifiques réputés ont déjà clairement déclaré en 2020 : l’injection dans le haut du bras ne peut jamais conduire à une immunité stérile qui élimine le l'infection et le Peut empêcher la transmission à d'autres personnes.
Mais c'est précisément l'affirmation d'une protection contre l'infection et la transmission qui était la seule justification acceptable pour la vaccination obligatoire en Autriche et pour les vaccinations obligatoires liées au travail dans de nombreux pays - dans le système de santé, dans l'armée, dans les établissements de soins, etc. . Si l’EMA avait effectivement rendu « transparentes » « les utilisations approuvées des vaccins contre le Covid-19 » et dissipé les « malentendus », alors il n’aurait jamais pu y avoir une quelconque forme de vaccination obligatoire.
Réponses incorrectes ou évasives Les autres points de la lettre sont soit encore incorrects, soit formulés de manière très évasive.
Tout d’abord, les morceaux d’ARNm raccourcis et « cassés ». La réponse de l’EMA :
« Bien que certains morceaux d’ARNm tronqués aient été trouvés dans le vaccin, le CHMP a conclu en 2020 que « les spécifications proposées concernant l’intégrité de l’ARN et la coiffe 5′ sont considérées comme scientifiquement justifiées et acceptables. Cependant, des données supplémentaires pour compléter la caractérisation de la substance active et du médicament fini et prenant en compte l'expérience clinique sont considérées comme importantes pour confirmer l'adéquation de ces spécifications et ces données doivent être soumises après autorisation en tant que conditions particulières pour l'autorisation de mise sur le marché. .»
En fait, des proportions allant jusqu'à 50 % de ces fragments d'ARNm ainsi que d'autres impuretés, parfois massives, ont été trouvées dans les préparations livrées. L’affirmation « certains » est tout simplement fausse. Les effets que ces fragments pourraient avoir sur la personne vaccinée n’ont jamais été étudiés, de sorte que des dommages massifs à la santé n’ont jamais été exclus.
Réglementation du génie génétique TKP a rendu compte de la modification de la réglementation européenne sur le génie génétique le 5 août 2020 . Le Parlement européen a approuvé le nouveau règlement le 10 juillet, le Conseil (Conseil des ministres) le 14 juillet. La nouvelle politique entre en vigueur le 17 juillet. Le titre un peu gênant est :
« RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL relatif à la conduite d'essais cliniques de médicaments à usage humain contenant ou constitués d'organismes génétiquement modifiés pour le traitement ou la prévention de la maladie à coronavirus (COVID-19) et leur délivrance »
Le règlement précise en outre :
« Compte tenu de l’urgence de santé publique sans précédent provoquée par la pandémie de COVID-19, la protection de la santé publique doit être une priorité. Il est donc nécessaire d’accorder une dérogation temporaire aux exigences d’une évaluation préalable des incidences sur l’environnement pendant la durée de la pandémie de COVID-19 ou aussi longtemps que la COVID-19 constitue une urgence de santé publique. L’exemption devrait être limitée aux essais cliniques de médicaments expérimentaux contenant ou constitués d’OGM pour le traitement ou la prévention de la COVID-19. Tant que l’exemption temporaire s’applique, l’évaluation de l’impact environnemental… ne devrait pas être une condition préalable à la conduite de ces essais cliniques.
L’EMA affirme désormais dans sa réponse, contrairement à tout ce qui a été communiqué à l’été 2020 :
« Un pas de géant » : un plan visant à réduire le taux de natalité de 81 % au cours des 70 prochaines années Le WEF et Earth4All veulent que nous ayons moins d’arrière-petits-enfants
IGOR TCHOUDOV 21 NOVEMBRE 2023
Les « leaders d’opinion » qui génèrent des idées pour le Forum économique mondial et les Nations Unies proposent des mesures visant à réduire le nombre de naissances au cours des 70 prochaines années de 130 millions à environ 24 millions par an. Cela représente environ cinq fois la réduction !
Leurs projets radicaux sont publics et très précis.
L’organisation « Earth4All », un groupe de réflexion influent sur le développement durable issu du Club de Rome, envisage de sauver la planète avec le scénario qui porte bien son nom, « Giant Leap ».
Leur plan, visant à transformer radicalement l’existence humaine et la gouvernance sur l’ensemble de la planète, est assez détaillé. Le résultat le plus important de leur projet serait une réduction des accouchements de 81 % d'ici 2100 par rapport au niveau actuel.
Les projections sont détaillées dans leur proposition. (pages 45-46). J'ai rassemblé deux graphiques afin que vous puissiez les comparer. Ils opposent le « statu quo » (à gauche) au résultat de la mise en œuvre complète de leur plan « Giant Leap » (à droite).
Le plan Giant Leap (coin inférieur droit) réduit les accouchements de 130 millions par an actuellement à environ 24 millions par an dans le monde d’ici 2100.
Comme l'explique Earth4All, ils sont issus du Club de Rome :
La Terre pour tous trouve ses origines dans le rapport commandé par le Club de Rome, Les limites de la croissance, publié il y a 50 ans. À l’époque, les scientifiques utilisaient les premiers modèles informatiques pour montrer que les ressources limitées de la Terre finiraient par céder sous le poids de la consommation matérielle. La production alimentaire chuterait, suivie d’une chute brutale de la population. De nombreuses personnes ont été choquées par la conclusion selon laquelle dépasser les limites de la planète pourrait conduire à l’effondrement. Au cours des 50 dernières années, le monde a suivi le pire scénario présenté dans le rapport et nous commençons à constater de profondes fractures dans le système Terre et au sein des sociétés. Avec Earth for All, nous aurions pu explorer davantage de scénarios d’effondrement, mais nous pensons que notre avenir sera construit sur l’optimisme économique et non sur le désespoir.
La même personne, Sandrine Dixson-Decleve, dirige Earth4all et le Club de Rome :
Earth4All n'est pas une organisation marginale. Il a généré les idées qui ont guidé le Forum économique mondial et les Nations Unies. Comparez, par exemple, le plan Giant Leap d’Earth4All (à gauche) avec les « Objectifs de développement durable » de l’ONU (à droite).
Je dois décevoir les aficionados de la théorie du complot : l’idée principale du plan de réduction des naissances ne mentionne ni les vaccins, ni les produits chimiques toxiques, ni la 5G. (Je n'ai pas accès aux informations non publiques)
Le plan annoncé publiquement revient ennuyant à supprimer de nombreuses raisons existantes pour avoir des enfants. Cela ressemble également à de nombreuses idées très agréables, progressistes et réconfortantes – qui ont des conséquences de grande envergure !
Le plan Earth4All - Les redressements Quelques points précis méritent d’être mentionnés.
Les personnes pauvres et les petits exploitants agricoles ont tendance à avoir des enfants pour les aider dans les exploitations agricoles familiales ou comme filet de sécurité sociale pour les personnes âgées. Ainsi, le plan propose d'éliminer la pauvreté en initiant des transferts économiques massifs des pays riches vers les pays pauvres :
Notant que les femmes ayant du temps libre ont tendance à avoir des enfants, Earth4All recommande d’autonomiser les femmes (avec de nombreux effets bénéfiques), ce qui les obligerait à s’occuper d’objectifs de vie autres que celui d’avoir des enfants.
La croissance économique, avec une expansion constante du logement, des routes et des ressources, favorise également le fait d’avoir des enfants qui peuvent facilement fonder un autre foyer une fois adultes. Au lieu de la croissance économique, Earth4All et le WEF prônent une « décroissance », c’est-à-dire une réduction des ressources telles que le logement ou la nourriture consommée :
Terre pour tous :
Le FEM :
Après avoir demandé : « La décroissance est-elle réalisable ? les experts du WEF expliquent que la décroissance leur semble tout à fait logique :
Les partisans de la décroissance disposent également d’arguments convaincants.
The Conversation cite Sam Alexander, défenseur de la décroissance et chercheur au Melbourne Sustainable Society Institute de l'Université de Melbourne en Australie. Selon lui, la décroissance « ne signifie pas que nous allons vivre dans des grottes avec des bougies ». Au lieu de cela, cela pourrait signifier que les habitants des pays riches modifieraient leur régime alimentaire, vivreaient dans des maisons plus petites et conduiraient et voyageraient moins.
Le plan Earth4All a toutes les chances de réussir. Comment savons nous ?
Cela a fonctionné dans les colonies de souris !
Expérience avec la souris Calhoun Un célèbre biologiste, John Calhoun, a mené de nombreuses expériences de « colonies utopiques de souris », où les souris pouvaient vivre confortablement dans une « ville de souris » socialiste miniature en parfaite égalité sans connaître la faim, le froid ou les autres dangers de la vie dans la nature.
Les souris ont généralement la vie difficile. Les gens les exterminent. Ils sont exposés au froid, aux prédateurs, aux maladies et aux inconforts. Pourtant, sous ces prédations, leur population semble indestructible !
Le Dr Calhoun a demandé : que se passerait-il si, au lieu de vivre en danger, les souris étaient placées dans l'équivalent d'une ville moderne à 15 minutes, avec une nourriture illimitée, un logement pour les souris et une absence de maladie et de prédation ?
Le résultat pourrait vous choquer !
Il s’est avéré qu’au début, les souris adoraient ça.
Officiellement, la colonie s'appelait l'environnement inhibiteur de mortalité pour les souris. Officieusement, on l'appelait le paradis des souris.
Le biologiste John Calhoun a construit la colonie à l'Institut national de la santé mentale du Maryland en 1968. C'était un grand enclos – un cube de 4½ pieds – avec tout ce qu'une souris pouvait désirer : beaucoup de nourriture et d'eau ; un climat parfait ; des rames de papier pour faire des nids douillets ; et 256 appartements séparés, accessibles via des tubes grillagés boulonnés aux murs. Calhoun a également examiné les souris pour éliminer la maladie. Libérée des prédateurs et autres soucis, une souris pourrait théoriquement y vivre jusqu’à un âge extraordinairement avancé, sans le moindre souci.
Les huit souris qui ont fondé cette colonie ont vécu sans souci jusqu’à ce qu’elles se multiplient pour atteindre une population stupéfiante de 2 200 individus.
[Calhoun] a introduit huit souris albinos dans le cube de 4½ pieds. Après une période d'adaptation, les premiers petits sont nés 3 mois et demi plus tard, et la population a ensuite doublé tous les 55 jours. Finalement, cette croissance torride a ralenti, mais la population a continué à augmenter, culminant à 2 200 souris au cours du 19e mois.
Cependant, le succès initial inhabituel s’est vite transformé en problèmes. Des mâles alpha solitaires frustrés, des souris involontairement célibataires et des souris femelles isolées ont proliféré. Le lien social a souffert !
Finalement, d’autres comportements déviants sont apparus. Les souris qui ont été mal élevées ou qui ont été expulsées du nid trop tôt n'ont souvent pas réussi à développer des liens sociaux sains et ont donc eu des difficultés à l'âge adulte avec les interactions sociales. Les femelles inadaptées ont commencé à s’isoler comme des ermites dans des appartements vides – un comportement inhabituel chez les souris. Les mâles inadaptés, quant à eux, se livraient à leur toilette toute la journée, se lissant et se léchant heure après heure. Calhoun les appelait « les plus belles ». Et pourtant, même s’ils étaient obsédés par leur apparence, ces hommes n’avaient aucun intérêt à courtiser les femmes, aucun intérêt pour le sexe.
Les souris utopiques n’avaient pas accès à l’avortement, mais de nombreuses femelles tuaient ou refusaient de s’occuper de leurs petits :
De nombreuses mères stressées ont expulsé leurs chiots du nid très tôt, avant que ceux-ci ne soient prêts. Quelques-uns ont même attaqué leurs propres petits au milieu de la violence ou les ont abandonnés en fuyant vers des appartements différents, laissant les chiots mourir de négligence.
Finalement, la colonie s’est complètement éteinte. Ni la nourriture ni l’eau ne manquaient et aucune maladie n’apparaissait. Les souris ont tout simplement arrêté de se reproduire. Ce résultat n’était pas dû à la surpopulation : à mesure que la population murine diminuait, la surpopulation n’était plus un problème – mais les taux de reproduction n’ont rebondi qu’à la fin de la colonie. La cité utopique des souris a disparu.
L'humanité va-t-elle mourir ?
Sans aucune capacité à prédire l’avenir, je suis prudemment optimiste. Les humains ne sont pas des souris ; la Terre n’est pas une utopie confinée à la souris.
En effet, il est possible que, ayant le choix de mener une belle vie sans avoir d’enfants, de nombreuses personnes choisissent de rester sans enfants. Ils ont parfaitement le droit de décider !
Dans de nombreux pays, de nombreuses femmes et hommes choisissent déjà de ne pas avoir de progéniture, et les taux de natalité sont tombés bien en dessous des niveaux de remplacement. Le Japon et la Corée du Sud « ouvrent la voie » :
Est-ce qu'avoir des enfants ne sera plus la norme sociale ?
Cela conduira-t-il à la dissolution de nombreuses sociétés humaines ?
Enfin, avons-nous besoin d’autant de personnes sur cette planète ? Le dépeuplement est-il bon pour nous ?
Comment l’humain réagit-il face à l’inimaginable ?
Face à l’inimaginable, nos modèles mentaux sont mis à l’épreuve. L’exemple de la couverture médiatique des attentats du 11 septembre révèle combien il est difficile d’accepter et de comprendre les événements sans précédent.
le 21 novembre 2023 Philippe Silberzahn
La prise de conscience qu’on se trouve face à un phénomène inédit est extrêmement difficile car celui-ci n’entre pas dans nos modèles mentaux. L’adaptation de ces derniers, nécessaire pour rendre compte de la nouvelle réalité et lui donner un sens, peut prendre longtemps, ce qui retarde notre réponse.
Cette difficulté est très bien illustrée par la réaction de deux journalistes qui commentaient en direct les attentats du 11 septembre 2001.
La chaîne de télévision NBC New York démarre sa couverture en direct dix minutes seulement après le premier impact sur une des tours du World Trade Center. Pendant les douze premières minutes de la retransmission, les deux journalistes décrivent ce qu’ils voient. Ils savent qu’un avion a percuté la tour, mais ils n’envisagent pas une attaque.
Puis quelque chose d’hallucinant se produit : à la douzième minute, un avion apparaît en haut à droite de l’écran et vient percuter la seconde tour. S’ensuit une énorme explosion à 12 min 30 s. Les journalistes commentent alors cette explosion, mais ne semblent pas avoir vu l’avion, masqué par la première tour. Ils continuent à parler et, là encore, ne pensent pas un instant que la seconde explosion, dans une tour séparée, à quelques minutes d’intervalle, alors qu’on sait que la première est due à un avion, est probablement elle aussi due à un avion, et que ça ne peut donc pas être un accident. Ils continuent de parler d’explosion. La lenteur de prise de conscience est stupéfiante.
À 15 min 22 s, l’un des journalistes repasse la vidéo, mais seulement les quelques secondes qui précèdent l’explosion, ce qui fait qu’on ne voit pas l’avion arriver (il est masqué par la première tour déjà touchée). Pour la première fois, il envisage la possibilité d’un second avion, mais ne poursuit pas.
Puis à 17 min, un auditeur intervient par téléphone et fait remarquer aux deux journalistes que leurs propres images montraient bien un second avion. La chaîne repasse donc l’enregistrement plus en amont, et cette fois, l’avion apparaît sans aucun doute.
À 18 min 32 s, l’un des journalistes envisage une attaque délibérée. Pourtant, à 26 min, en résumant ce qu’elle sait, l’autre journaliste précise aussitôt : « Je ne devrais pas appeler cela une attaque. »
En apprenant que le FBI vient d’annoncer une enquête sur le détournement de deux appareils, le premier journaliste, avec beaucoup d’hésitation, répète « attaque terroriste », mais sa collègue le reprend en précisant qu’on n’en sait pas assez, et qu’il n’est pas certain que les deux faits soient liés.
Donc, deux avions percutent chacun une tour à 20 minutes d’intervalle, deux témoins assurent que les avions volaient très bas et sont directement allés percuter les tours, mais l’idée d’une attaque semble toujours inimaginable aux deux journalistes.
À 29 min, le journaliste cite à nouveau le FBI, suggérant une attaque délibérée, mais là encore, avec une grande prudence.
À 38 min, les journalistes interrogent à l’antenne un pilote professionnel, témoin de la première attaque. Le pilote précise que l’avion est allé directement vers la tour, et qu’il ne montrait aucun signe de problème technique ou de détresse. Puis il est interrompu par la déclaration du président Bush qui évoque clairement une attaque terroriste. La journaliste résume cependant l’intervention en parlant d’une attaque terroriste présumée. L’entretien avec le pilote reprend. Celui-ci précise qu’en aucune façon un avion commercial n’aurait dû se trouver dans cette zone et à cette altitude. Il ajoute qu’un pilote en difficulté aurait pu éviter les tours sans aucun problème.
Il conclut : « Quiconque était aux commandes a foncé délibérément dans la tour. »
Pourtant, les deux journalistes évoquent encore une « probable » attaque terroriste, plus de 40 minutes après le début du reportage, 50 minutes après le premier impact.
Et puis, à 52 min, l’annonce de l’attaque du Pentagone intervient, et clôt le débat.
Il a fallu près d’une heure aux deux journalistes pour admettre sans réserve qu’il s’agissait d’une attaque terroriste, alors que les faits étaient sans ambiguïté dès le deuxième impact.
Il ne s’agit pas de mettre en cause les deux journalistes, mais de bien souligner une fois encore la difficulté qui était la leur d’admettre qu’ils étaient face à une situation totalement inédite. Rien n’est plus triste que la mort d’une illusion, remarquait Arthur Koestler. Rien n’est plus difficile non plus à abandonner.
Les surprises ne sont ainsi pas des situations binaires, où il y aurait un avant – aveuglement – et un après – réaction – bien nets.
Il y a un entre-deux, qui peut se révéler extrêmement long, de prise de conscience durant lequel on sent que quelque chose se passe, mais ce quelque chose n’entre pas dans nos modèles mentaux. Il ne peut donc pas être correctement pris en compte. Cet entre-deux peut durer quelques minutes, comme dans l’exemple des deux journalistes, quelques jours, comme au tout début de la crise liée au covid quand les experts nous rassuraient en expliquant qu’il n’était qu’une mauvaise grippe, ou quelques années, comme dans le cas des ruptures que vivent les organisations.
Sans qu’il y ait de solution facile à cette difficulté, une sensibilité accrue aux anomalies rencontrées qui ne cadrent pas avec notre modèle est indispensable. Elle se développe par un travail explicite sur nos modèles mentaux, et sur la création de mécanismes organisationnels destinés à faire de ce travail une habitude. Les anomalies ne doivent ainsi pas être ignorées comme des aberrations, mais étudiées comme des signaux possibles d’une faiblesse de nos modèles.
Je me souviens de la séquence en boucle sur chaque chaîne c'était spectaculaire mais, dès le départ, on ne pensait pas à un truc d'Hollywood. Mais les jours qui suivirent firent discuter le 'comment est-ce possible' ? Pourquoi des 'terroristes' s'en prendraient-ils à des tours et non-pas à la statue de la Liberté ou à la Maison Blanche ?! Donc: le truc évident c'est mafia. Règlement de compte à Ok Corral !
Oui mais après, des gens ont dit que des avions (Boeing) étaient en aluminium et qu'il leur était impossible de pénétrer dans un bâtiment. Puis son venus des pilotes de lignes et avionneurs du monde entier dire que c'était IMPOSSIBLE à un avion de traverser un immeuble. Puis ils ont parlé d'artificiers qui font sauter les tours et qui auraient employé non-pas du C4 mais du termite pour abattre les tours sur leur empreinte comme il est toujours fait dans le monde entier quand il s'agit de tomber un gratte-ciel en centre-ville. Puis ils ont reparlé du système rigolo des avions qui virent à 90° et à 800 km/h alors qu'il est impossible de dépasser le 600 km/h en basse altitude compte tenu de la densité de l'air.
Donc, là on s'est dit "Çà, c'est du Hollywood !" Puis d'autres remarques ont fait apparaître des lacunes dans le programme Disney avec ses conversations de téléphone cellulaire vers le sol ! Alors qu'en 2001 n'existait pas encore des relais !!
Et puis... et puis y a eu la tour n°7 !! Aaaaaalors là !... Çà, CHAPEAU ! La tour qui tombe seule sans qu'un avion ne la percute ! HAHAHAHA ! Et, au final, l'explication (le meilleur gardé pour la fin): C'était des hologrammes ! Des hologrammes comme ils en faisaient aux studios d'Hollywood ! Ils projettent l'image d'un avion (ou bateau, camion ou soucoupe volante) n'importe où dans le ciel en 3D et, miracle du miracle envoient le son à partir de l'écran 3D projeté ! C'était nouveau. De nos jours ils en font dans les galeries marchandes de supermarchés. C'est chouette.
L'énergie durable? Les bornes de recharge individuelles pour véhicules électriques consomment l’équivalent de 280 foyers chaque heure
20/11/2023 Ethan Huff
Une vidéo controversée qui devient virale en ligne affirme qu'une borne de recharge moyenne pour véhicule électrique (VE) utilise la quantité équivalente d'énergie pour alimenter 280 foyers chaque heure d'utilisation, ce qui rend le concept inutile et totalement non durable.
Faire rouler des véhicules à l’électricité plutôt qu’au gaz était censé aider à économiser l’énergie tout en sauvant la planète, mais la vidéo en question, que vous pouvez regarder ci-dessous, explique pourquoi ce n’est peut-être pas ce qui se produit réellement à chaque fois qu’un propriétaire de VE recharge un véhicule.
"Je pense que je fais juste une petite vidéo ici juste pour donner aux gens une idée de la quantité d'énergie nécessaire pour recharger un véhicule électrique", déclare l'homme dans la vidéo.
"Je suis chez Electrify America. Il s'agit d'une station de 350 kilowatts. Je consomme environ 137 kilowatts. Cela fluctue. Parfois, je peux aller jusqu'à 350 kilowatts. Mais pour mettre cela en perspective, une maison moyenne consomme 1,25 kilowatts par heure, 135 kilowatts par heure. C'est comme l'équivalent de 106 foyers sur le réseau, rien que cette seule station. Maintenant, si je devais obtenir la totalité des 350 kilowatts comme ceux-ci peuvent fournir, cela équivaudrait à 280 maisons."
(Connexe : Apprenez-en davantage sur les raisons pour lesquelles les véhicules électriques sont une arnaque.)
Les six chargeurs de la station fonctionnant à pleine capacité consomment suffisamment d'énergie pour alimenter 1 808 foyers. L'homme explique ensuite la quantité d'énergie que consommeraient les six chargeurs fonctionnant à pleine capacité, déclarant que cela équivaut à alimenter "1 080 foyers sur le réseau".
"Juste un peu de matière à réflexion", dit-il ensuite. "Ce sont des choses que les gens ne réalisent pas, la quantité d'énergie nécessaire pour charger rapidement ces batteries. C'est une énorme quantité d'électricité. Et maintenant vous comprenez pourquoi les compagnies d'électricité ne peuvent même pas fournir autant d'électricité à un seul endroit."
"C'est comme penser à 1 600 maisons et à la quantité de cuivre et de fil qu'il faudrait pour alimenter autant de maisons. Alors oui, c'est plutôt cool. Quelqu'un d'autre vient d'arriver et oui, il y a encore 280 maisons sur le réseau dès qu'il se branche. Alors juste un peu de matière à réflexion. J'adore mon véhicule électrique. Ils sont géniaux. Ils sont silencieux, mais c'est juste quelque chose auquel les gens ne pensent pas vraiment.
X (anciennement Twitter), désormais propriété privée du milliardaire gourou des véhicules électriques Elon Musk de Tesla, n'a pas tardé à qualifier la vidéo et ses affirmations de « désinformation ». Musk et son équipe ont marqué le message en affirmant qu'ils "interprètent mal la quantité d'énergie nécessaire pour charger une batterie par rapport à la quantité d'énergie nécessaire pour la décharger", ajoutant qu'il s'agit de la différence entre kW (kilowatts) et kWh (kilowatt). heures).
En d’autres termes, selon X, ce type fait des calculs erronés. Quoi qu’il en soit, il n’y a toujours rien de vert dans les véhicules électriques ou les stations de recharge pour véhicules électriques, surtout si l’on considère le fait qu’une grande partie des soi-disant « verts » " L'énergie qu'ils produisent provient toujours de centrales alimentées au charbon et au diesel.
D’autres formes d’énergie « verte », comme l’énergie éolienne et solaire, ne sont pas non plus aussi propres qu’on le prétend. Les parcs éoliens déciment la faune et la biodiversité à un rythme effarant, tandis que les panneaux solaires nécessitent une extraction intensive des minéraux de terres rares dans des pays comme la Chine et l'Afrique, où les enfants esclaves sont souvent contraints à des situations dangereuses pour seulement quelques centimes par jour.
Il n’y a rien de propre ou de durable dans les véhicules électriques. Apprenez-en davantage sur GreenTyranny.news.
L’économie allemande s’effondre après que le pays a abandonné l’énergie nucléaire – les prix montent en flèche, les industries implosent
19/11/2023 Ethan Huff
Saviez-vous que les prix de l'électricité en Allemagne sont trois fois plus élevés que ceux de l'électricité aux États-Unis, tout cela à cause de la politique énergétique « verte » de l'Allemagne ? Ces dernières années, l'Allemagne a progressivement abandonné le charbon et l'énergie nucléaire d'une manière qui a été décrite dans les médias allemands comme « mal coordonnée avec l'Union européenne ». En conséquence, les Allemands paient pour l’énergie des prix exorbitants qui ne sont absolument pas viables si l’économie allemande veut rester à flot.
Une politique énergétique efficace poursuit généralement trois objectifs principaux : des prix bas, la sécurité de l’approvisionnement et la protection de l’environnement en ce qui concerne les émissions de gaz carbonique – ce dernier étant bien entendu discutable. La politique énergétique allemande échoue dans ces trois catégories.
Combiné aux retombées économiques de la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19), le programme agressif de l'Allemagne en matière d'énergie verte détruit l'économie du pays alors que diverses industries sont obligées soit de faire leurs valises et de partir, soit tout simplement de fermer leurs portes.
Bayer, un géant pharmaceutique allemand, a récemment annoncé des "suppressions massives d'emplois" en raison des problèmes économiques qui continuent de sévir dans le pays. L’entreprise a cité le manque de performances commerciales comme motivation.
Il y a ensuite Eisenwerk Hasenclever & Sohn, une fonderie de fer allemande vieille de 250 ans qui a récemment déposé son bilan. Eisenwerk Hasenclever & Sohn fournit depuis longtemps des pièces détachées à des constructeurs automobiles de renom tels que Audi, BMW, Daimler, Ford et Porsche, mais elle n'est plus en mesure de survivre dans une économie allemande en déclin.
"Nous ne pouvons que spéculer sur ce qui se passera ensuite dans cette fonderie de fer. Sera-t-elle vendue en morceaux et dispersée à l'étranger, laissant la région comme une ceinture de rouille ?" demande Watts avec ça.
(Connexe : Plus tôt cette année, après que l'Allemagne a fermé ses trois dernières centrales nucléaires, il y avait un tel déficit d'électricité dans tout le pays que l'Allemagne a commencé à acheter de l'énergie nucléaire à la France voisine.)
Le constructeur de machines allemand Homag licencie 600 salariés
Une autre entreprise allemande qui licencie un grand nombre de ses employés est le constructeur de machines Homag, qui a annoncé le licenciement de 600 travailleurs dans le monde, dont environ 35 à son siège social de Schopfloch, dans le Bade-Wurtemberg.
Selon certaines informations, la baisse de la demande pour ses produits serait la raison pour laquelle Homag licencie du personnel. L’objectif est d’économiser environ 25 millions d’euros l’année prochaine, et environ 50 millions d’euros par an en 2025 et au-delà.
"Malgré la demande de machines à bois dans de nombreux secteurs industriels, l'entreprise s'attend à une année à venir difficile en raison de chiffres de commandes étonnamment faibles", expliquent les rapports.
Même si cette histoire se concentre sur l’Allemagne, la plus grande économie d’Europe constitue en quelque sorte un indicateur pour le reste du monde. Ces derniers temps, nous avons fait état de nombreuses entreprises basées aux États-Unis qui licenciaient également des travailleurs, et pour bon nombre des mêmes raisons.
L’économie mondiale, dirigée par l’Occident, semble être à l’agonie. Nous ne sommes pas encore complètement tombés du précipice, mais un tel sort se dessine rapidement alors que l’inflation monte en flèche dans tous les secteurs et que de nouvelles guerres se préparent sur plusieurs fronts, notamment en Ukraine et au Moyen-Orient.
"Il n'y a aucun signal économique optimiste en vue. Les prix de l'énergie, l'inflation et les politiques économiques catastrophiques font rapidement sombrer le cuirassé économique allemand et sa prospérité", affirme Watts Up With That.
L’une des rares entreprises qui semble bien faire les choses est Toyota, qui a résisté au battage médiatique des véhicules électriques (VE) et s’est prudemment lancée même sur le marché hybride avec prudence. En conséquence, le constructeur automobile a enregistré un bénéfice record, en grande partie grâce à la vente d’hybrides, qu’il vend désormais plus que tout autre constructeur automobile.
Les dernières nouvelles sur la destruction de l’Occident par les mondialistes peuvent être trouvées sur Globalism.news.
Étude : l’absorption du gaz carbonique par les plantes augmente, tout comme la végétation
22 novembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Une nouvelle étude suggère que d’ici la fin du siècle, les plantes auront absorbé 20 % de gaz carbonique de plus que prévu initialement, ce que même certains grands médias admettent : « Les modèles climatiques surestiment la rapidité avec laquelle la planète se réchauffera . » La végétation mondiale a la remarquable capacité d’absorber le gaz carbonique de l’air et de le stocker sous forme de biomasse. De cette manière, les plantes ralentissent l’influence du gaz carbonique, un gaz trace, car le gaz carbonique qu’elles absorbent ne contribue pas au réchauffement climatique.
Les chercheurs ont examiné 3 questions :
l'efficacité avec laquelle le gaz carbonique peut se déplacer à l'intérieur de la feuille comment les plantes s'adaptent aux changements de température ambiante comment distribuer les nutriments de la manière la plus économique possible. Ils ont constaté que les modèles climatiques qui tiennent le mieux compte des processus qui soutiennent la vie végétale prédisent systématiquement la plus grande absorption de gaz carbonique. Le modèle le plus complexe prévoyait jusqu'à 20 % de plus que la version la plus simple.
Le Trinity College de Dublin a déclaré que son étude , « Une productivité primaire brute mondiale plus élevée sous un climat futur avec des représentations plus avancées de la photosynthèse », publiée dans la revue Science Advances, était « atypique » en compte tous les éléments de la photosynthèse.
La science dominante avait proclamé que le « changement climatique » affaiblirait probablement le processus, mais de nouvelles recherches montrent que les plantes continueront à absorber efficacement le dioxyde de carbone, à produire des nutriments supplémentaires, etc. Des études antérieures ont montré que les plantes poussent plus vite et ont besoin de moins d’eau lorsque les niveaux de gaz carbonique sont plus élevés. C'est pourquoi les zones arides sont verdies et les fermes inondent leurs serres de gaz carbonique pour augmenter les rendements.
Les chercheurs ont découvert une lacune dans la logique de « l'ébullition mondiale » et ont découvert que la quantité de carbone convertie lors de la photosynthèse pourrait être jusqu'à 68 % plus élevée dans le monde d'ici la fin du siècle qu'au début du siècle, soit 20 % de plus. que déterminé dans les modèles actuels.
Les plantes absorbent le gaz carbonique grâce à la photosynthèse. Ce processus utilise l'énergie du soleil pour convertir le gaz carbonique de l'air en sucre, dont les plantes ont besoin pour leur croissance et leur métabolisme.
Les plantes rejettent relativement rapidement environ la moitié de ce gaz carbonique dans l’atmosphère par la respiration. L’autre moitié est utilisée pour la croissance et reste dans la biomasse végétale pendant de longues périodes – des mois, voire des siècles.
Cette biomasse finira par mourir et se décomposer. Une partie du carbone est rejetée dans l’atmosphère, mais une autre partie finit dans le sol, où elle peut rester pendant des centaines d’années.
Ainsi, si les plantes absorbent plus de gaz carbonique davantage de carbone sera probablement stocké dans la végétation et le sol. Ce « puits terrestre » de carbone a en fait augmenté au cours des dernières décennies, comme le montrent les évaluations annuelles du budget carbone mondial.
De plus, l’augmentation du puits de carbone dans le sol est largement attribuée aux effets positifs de l’augmentation des niveaux atmosphériques de gaz carbonique sur la photosynthèse des plantes. Ceci est important car le carbone stocké dans les plantes et les sols ralentit l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique et donc leur (déjà faible) contribution au réchauffement climatique.
Plus de végétation entraîne une baisse des températures du sol. C'est un fait. Et bien que les modélisateurs aient tenté d’inclure des estimations pour ce « puits de carbone », les chercheurs ont constaté que la plupart des modèles ne sont pas suffisamment complexes pour comprendre la véritable résilience des plantes.
Le gaz carbonique est un gaz rare qui disparaît avec la chaleur. Les plantes poussent 80 % la nuit et seulement 20 % le jour. Les plantes ne créent pas de gaz carbonique elles absorbent ces nano-particules de carbone et les rejettent en mourant car leur squelette est constitué de carbone.
Science : quiconque s’appuie sur le consensus se trompe généralement – voir gaz carbonique et climat, voir Covid
22 novembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Un célèbre physicien quantique et lauréat du prix Nobel annonce la « bonne nouvelle » : il n’y a pas de crise climatique – un message que certains n’aiment pas entendre. Dr. John Clauser, prix Nobel 2022, avait fait sensation fin juin 2023 dans le cadre de la conférence « Quantum Korea 2023 » en déclarant : « Je ne crois pas qu'il y ait une crise climatique ». Le Washington Post a publié un article affirmant que Clauser s'était éloigné du « consensus scientifique écrasant ».
Clauser avait précédemment parlé à Baltimore de la désinformation qui domine actuellement la communauté scientifique concernant le changement climatique d'origine humaine. Lors de la conférence de presse de la Deposit of Faith Coalition la semaine dernière , Clauser a de nouveau annoncé : « Même si cela peut contrarier beaucoup de gens, mon message est que la planète n'est pas en danger. Je pense que c'est une bonne nouvelle. Je crois qu’il n’y a pas de crise climatique.
« Le gaz carbonique et le méthane atmosphériques présumés ont des effets négligeables sur le climat. « Les politiques du gouvernement américain sont totalement inutiles et devraient être éliminées, ce qui permettrait d’économiser des milliards de dollars », a poursuivi Clauser.
Dr. Clauser a souligné un problème crucial qui, selon lui, torpille les sombres prédictions du Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) des Nations Unies : le désaccord entre plus de 40 modèles informatiques du comité.
" Je soutiens que les modèles informatiques du IPCC ont tous mal identifié le processus dominant qui contrôle le climat de la Terre. Ils sont basés sur une physique incomplète et incorrecte », explique Clauser.
Le lauréat du prix Nobel a introduit un concept qu'il a appelé le « mécanisme nuage-soleil-réflexion-thermostat », qui met en évidence le rôle important des nuages dans l'influence de la température de la Terre. Il a souligné l'importance des nuages, qui réfléchissent 90 % de la lumière solaire dans l'espace, et a critiqué les modèles du IPCC pour avoir négligé l'effet stabilisant de la température de ce processus.
Clauser a également appelé à la fin des mesures visant à limiter les émissions de carbone, les qualifiant de « gaspillage terrible et dangereux de fonds rares » .
Le non-sens du consensus
Peu de temps après la conférence, la présentation de Clauser a été attaquée tant en ligne que dans la communauté scientifique. Le Washington Post a publié un article affirmant que Clauser s'était éloigné du « consensus scientifique écrasant ». L'article déclare : « Le récent déni du réchauffement climatique par [Clauser] a alarmé d'éminents climatologues, qui préviennent qu'il utilise sa réputation pour induire le public en erreur sur une urgence planétaire. »
Michael Mann, climatologue à l'Université de Pennsylvanie, a qualifié l'argument du lauréat du prix Nobel 2022 de « pure poubelle » et de « pseudoscience », le comparant au « genre d'erreur dont un étudiant de première année a honte lorsqu'il est surpris en train de commettre » .
Cependant, aucune preuve n'est présentée pour étayer ces affirmations, si ce n'est que quelqu'un a voté dessus et qu'une majorité était en faveur. Cependant, la réfutation de la majorité vient du fait que les modèles du GIEC sont tous erronés. Clauser à ce sujet :
« Aucune des prédictions faites par les alarmistes du climat au cours des 50 dernières années ne s’est réalisée. »
Et, il faut l’ajouter, ils n’expliquent aucun des changements de température dans le passé. C'est généralement suffisant pour échouer un stage de débutant en physique.
Le biologiste moléculaire, le professeur Dr. Phillip J. Buckhaults, ainsi que Kevin McKernan, ont publiquement souligné la présence d'amplificateurs SV40 dans les vaccins plus tôt cette année, comme l' a rapporté TKP . Il est récemment revenu sur le sujet de Galilée, apparemment motivé par ses propres expériences :
« La défense de l'héliocentrisme par Galilée est reprise dans les manuels modernes, mais pas tout à fait correctement. Bien que l'Église ait finalement condamné Galilée, sa persécution était principalement motivée par des professeurs aristotéliciens qui invoquaient l'autorité de l'Église pour le punir. En 1591, le contrat de Galilée à l'Université de Pise ne fut pas renouvelé et, après avoir enduré l'hostilité de ses professeurs, il quitta le monde universitaire, le considérant apparemment comme désespérément non scientifique.
Ici aussi, nous avons eu un groupe d'« experts » qui ont voté et décidé que la Terre était le centre de l'univers et que le Soleil tournait également autour de la Terre.
La citation est tirée de l'étude de Cory J Clark et al. « Les motivations prosociales sous-tendent la censure scientifique par les scientifiques : une perspective et un programme de recherche ». Là, il est écrit :
« La science est l'une des plus grandes réalisations de l'humanité, mais la censure scientifique est rarement examinée de manière empirique. Nous explorons les causes et conséquences sociales, psychologiques et institutionnelles de la censure scientifique (définie comme des actions visant à empêcher certaines idées scientifiques d’atteindre un public pour des raisons autres que le manque de qualité scientifique).
Et les critères de résultats sont décrits comme ceci :
« Le principe fondamental de la science est que la preuve – et non l’autorité, la tradition, l’éloquence rhétorique ou le prestige social – doit triompher. Cet engagement fait de la science une force radicale dans la société : elle remet en question et perturbe les mythes sacrés, les croyances chères et les récits socialement souhaités. Par conséquent, la science est en tension avec d’autres institutions et provoque parfois hostilité et censure.
Quiconque remplace le principe de preuve par le vote admet déjà qu'il ne possède pas cette preuve, ou du moins qu'il ne la connaît pas.
J’ai assisté un jour à une conférence sur l’épistémologie donnée par le professeur Rupert Riedl, biologiste et membre du « Cercle de Vienne ». Il a décrit l'histoire des « professeurs aristotéliciens » de manière un peu plus radicale avec une image de sa science : « Les vieux singes se serrent les coudes comme de la poix et du soufre et ne laissent pas les jeunes se lever . » Clauser, bien que déjà âgé de plus de 80 ans, est le leader de la science du climat Boy. Les partisans du consensus, en revanche, sont les « vieux singes » de Riedl. Mais ils se soucient aussi et avant tout du libre accès à l’abreuvoir.
Climat « Enron » pourrait se diriger vers un krach
PAR TYLER DURDEN LUNDI 20 NOVEMBRE 2023 - 12H30 Rédigé par Duggan Flanakin via RealClear Wire,
La version américaine moderne de « l’empereur environnemental n’a pas de vêtements » a jusqu’à présent été l’ascension et la chute d’Enron. Comme le dit l’ancien rédacteur de discours de Ken Lay, Robert Bradley Jr., « (L)a cause de la faillite financière d’Enron était à la base philosophique…. Les dirigeants d’Enron étaient certainement engagés dans une fraude philosophique massive – une tentative de tromper la réalité elle-même. »
Pendant des années, Enron a été saluée comme l’une des sociétés les plus avant-gardistes, et Lay, son fondateur et PDG, était un homme très demandé. Au cours de son mandat de 13 ans qui s'est terminé en beauté en 2021, Lay a collecté plus de 220 millions de dollars en espèces et en actions de l'entreprise, et quelques mois seulement avant « la plus grande faillite d'Amérique » (à l'époque), Lay a fait cinq présentations au Forum économique mondial de 2001. Réunion du forum à Davos.
Comme le raconte Bradley, aujourd'hui PDG de l'Institute for Economic Research, Lay était le vendeur qui faisait la promotion d'un modèle commercial développé par Jeffrey Skilling, que Lay avait nommé directeur de l'exploitation. Dans la comptabilité « évaluée à la valeur de marché » de Skilling, les bénéfices futurs anticipés de toute transaction étaient comptabilisés en estimant leur valeur actuelle plutôt que leur coût historique. Ainsi, selon Skilling, Enron n’avait pas vraiment besoin d’« actifs ».
Il fallait juste des connexions.
Et c’était là le talent particulier de Lay. Son idée était d’adopter une philosophie d’entreprise « toujours révolutionnaire », que Bradley appelait « une recherche perpétuelle de l’avantage du premier arrivé ». À cette fin, il est devenu tout pour tout le monde, gagnant les faveurs des républicains, des démocrates, des écologistes, des minorités et des chefs d’entreprise. Sa « création d’illusion » a en effet créé un écran de fumée si puissant que presque tout le monde a été surpris lorsque la bulle a éclaté.
[Note de l’éditeur : en tant qu’écrivain environnemental en Louisiane, j’ai écrit en 1999 que le rejet du Protocole de Kyoto par le Sénat américain garantirait la disparition prochaine d’Enron. J’ai fondé mon point de vue sur le fait que l’entreprise manquait d’actifs et avait construit sa valeur nette présumée grâce aux largesses de Kyoto. Comme Bradley le souligne, Enron comptait énormément sur les faveurs du gouvernement.]
Aujourd’hui, l’effondrement de FTX et la récente condamnation pénale du fondateur et PDG Sam Bankman-Fried (qui risque toute sa vie derrière les barreaux) rappellent Enron, Skilling et Lay. Mais, malgré l’ampleur de la fraude du SBF, elle n’est rien en comparaison de la fraude continue perpétrée principalement contre l’Amérique et ses alliés occidentaux au nom du « changement climatique ».
Un peu comme FTX, mais contrairement à Enron, il existe de nombreux signes avant-coureurs indiquant que la « Révolution verte » est sur le point de s’effondrer et que ses plus ardents défenseurs seront amenés à rendre des comptes. La principale chose qui maintient les mirages à flot aujourd’hui, ce sont les énormes egos et leurs investissements dans la folie qui pourraient les faire couler avec le navire.
Alors que la « Révolution verte » est en cours depuis des décennies, c’est l’administration Biden qui a imposé des mandats, attaqué les sources d’énergie et les options de transport populaires et mené la guerre contre le développement industriel traditionnel. Les Européens et les États comme la Californie avaient auparavant imposé leurs propres mandats avec des délais soi-disant « durs » pour abolir l’utilisation du pétrole, du gaz naturel, du charbon et de tout outil ou véhicule qui les utilise.
La guerre verte contre les combustibles fossiles, telle qu’elle s’est concrétisée dans la campagne « Net Zero », est peut-être le plus grand exemple de fraude philosophique de l’histoire.
« Rêver un rêve impossible » et le transformer en réalité reviendrait à sacrifier environ 6 000 produits utiles qui dépendent des sous-produits des raffineries de pétrole brut – des produits qui vont de l'asphalte pour les autoroutes aux engrais, cosmétiques, caoutchouc synthétique, médicaments et dispositifs médicaux, produits de nettoyage. produits, plastiques, et bien d’autres encore. Les 3 milliards de personnes qui vivent sans les avantages apportés par les combustibles fossiles sont également les humains les plus pauvres, les plus malades et les plus vulnérables de la planète.
Des fissures se développent déjà dans le monde « Net Zero », avec des pays qui renoncent aux mandats qu’ils ont si récemment vantés tout en marchant comme des paons pendant la saison des amours. En mars, l'Union européenne a conclu un accord avec l'Allemagne pour revenir officiellement sur son interdiction totale des moteurs à combustion interne en 2035.
Pourtant, 30 pays sont signataires de la Déclaration de Glasgow qui obligerait tous les véhicules vendus d'ici 2040 à n'émettre aucune émission de gaz carbonique, et 21 autres ont élaboré des plans pour interdire les ventes de véhicules neufs à moteur thermique avant 2040. Des dizaines de grandes villes et d'États, notamment La Californie et les États clones de Californie ont l'intention d'interdire les nouveaux véhicules ICE d'ici 2035.
Plusieurs problèmes font obstacle à leur rêve utopique. Même les partisans des VE admettent désormais que la « solution VE » doit surmonter de « graves problèmes » – comme le recours au travail des enfants dans les mines de lithium, l’infrastructure de recharge des VE terriblement inadéquate et un réseau électrique non préparé. Pourtant, le plus grand obstacle est qu’une majorité de la population mondiale s’oppose à ce que les véhicules électriques – ou les pompes à chaleur, ou les cuisinières électriques, etc. – leur soient imposés dans la gorge.
Les véhicules électriques conviennent peut-être aux déplacements urbains de courte durée, mais pas aux équipements de construction, aux avions ou même aux bus urbains, comme en témoigne la récente scène horrible à San Francisco lorsqu'un bus électrique exploité par Google a perdu de la puissance et a glissé en arrière dans une descente pour percuter neuf véhicules. Les véhicules électriques d’aujourd’hui sont totalement peu pratiques pour les habitants des montagnes et des prairies ou pour ceux qui effectuent de longs voyages (pire encore avec les enfants).
Comme Ken Lay avec Enron, la révolution verte s’est fortement appuyée sur les subventions gouvernementales et sur une philosophie d’entreprise de « révolution toujours » visant à faire de tous ceux qui osent s’opposer à ce plan grandiose – mais fatalement imparfait – des parias.
Sous l’administration Obama, Solyndra a fait faillite malgré un prêt garanti par le gouvernement de 535 millions de dollars, dont aucun n’a été remboursé. Forbes, citant OpenTheBooks.com, a noté que les contribuables détenaient les billets de 400 millions de dollars donnés à Abound Solar, 280 millions de dollars gaspillés par CaliSolar, 193 millions de dollars distribués à Fisker Automotive (avec 336 millions de dollars supplémentaires annulés) et 132 millions de dollars à A123 Systems. (un fabricant de batteries en panne).
Inébranlable, le programme « emplois » de 2 300 milliards de dollars de l’administration Biden était truffé de subventions supplémentaires pour des technologies qui, de leur propre aveu, ne sont pas durables. Pourtant, malgré tout l’argent gratuit, Ford, General Motors et de nombreux autres constructeurs automobiles renoncent à investir des milliards de dollars dans de nouvelles usines de véhicules électriques, car les ventes de nouveaux véhicules électriques ont ralenti malgré l’augmentation des remises.
Ford prévoyait en mars une perte de 3 milliards de dollars sur les véhicules électriques en 2023, compensant ainsi les bénéfices pouvant atteindre 14 milliards de dollars de ses autres divisions. Ford a également admis des pertes de 900 millions de dollars en 2021 et de 2,1 milliards de dollars en 2022 dans sa division EV. Ford et GM pensent que leur fortune en matière de véhicules électriques va s’améliorer d’ici 2025, mais ces scénarios optimistes semblent entièrement dépendants de la victoire de Biden (ou d’un démocrate encore plus « vert ») à la Maison Blanche en novembre prochain.
Même avec une victoire des Verts en 2024, la réalité mordra toujours le rêve des véhicules électriques. La Chine s’oriente discrètement vers une domination totale sur le marché mondial des véhicules électriques – en grande partie parce qu’elle contrôle le marché des batteries au lithium. Le Financial Times a écrit en septembre que la Chine était tellement en avance sur le marché des véhicules électriques que ses concurrents étaient à la traîne.
Le recours de Biden à d’énormes subventions pour soutenir la « Révolution verte » a provoqué une flambée de l’inflation aux États-Unis, qui enlève du pouvoir d’achat plus rapidement qu’elle ne peut augmenter les subventions et les « incitations » de type mafieux (vous achèterez ce que nous voulons que vous achetiez, ou autre!).
Lay est décédé d’une crise cardiaque peu après son procès, laissant derrière lui « un héritage de honte » caractérisé par « une mauvaise gestion et une malhonnêteté » qui a conduit Politico à le classer au troisième rang des pires PDG américains de tous les temps.
Le président américain Biden, qui fait maintenant face à des audiences préalables à la destitution pour d’autres erreurs présumées, ne vivra peut-être pas assez longtemps pour voir son nom barbouillé comme celui de Lay l’était autrefois. Mais est-ce que quelqu’un croit vraiment que Biden est aux commandes ici ?
À qui incombera alors la responsabilité si la marche forcée de l’Amérique vers l’asservissement des véhicules électriques à la Chine de Xi met fin à l’hégémonie américaine sur la scène mondiale ?
Duggan Flanakin est analyste politique principal pour le Comité pour un avenir constructif et écrivain fréquent sur les questions de politique publique.
Étude : Les émissions de gaz à effet de serre liées à la combustion du GNL sont supérieures à celles du charbon
20 novembre 2023 par le Dr Peter F. Mayer
La politique climatique de l’UE – et bien sûr surtout celle des Verts allemands – est extrêmement étrange et n’atteint pas les résultats escomptés. Les gens ont regardé tranquillement les États-Unis faire exploser les plus importants gazoducs vers l’Allemagne et achètent désormais du gaz naturel liquide beaucoup plus cher aux États-Unis. Si l'objectif était de réduire le gaz carbonique et le méthane dans l'atmosphère terrestre, cela a échoué de manière spectaculaire, comme le montre une étude.
La nouvelle étude de Robert Howarth de l'Université Cornell - l'un des principaux scientifiques mondiaux du méthane - montre que les émissions de gaz à effet de serre liées à la combustion du gaz naturel liquéfié (GNL) sont au moins aussi élevées, voire nettement supérieures, à celles du charbon, selon le scénario de transport du GNL.
L'article, intitulé « L'empreinte des gaz à effet de serre du gaz naturel liquéfié (GNL) exporté des États-Unis », a été soumis à une revue à comité de lecture. Cependant, le processus d'examen n'est pas encore terminé. Une version préliminaire de l'étude est disponible sur le site Web de l'Université Cornell.
La principale cause des émissions élevées de gaz à effet de serre du GNL sont les pertes de méthane (« fuites ») à différentes étapes de la production et de la distribution du GNL. L'étude a pris en compte toutes les sources d'émissions de CH4 et de gaz carbonique, y compris les émissions en amont et en aval, les émissions provenant de la liquéfaction, du transport par camion-citerne, de la regazéification et de la distribution , ainsi que de la combustion finale. Le méthane est un puissant facteur de dégagement, plus puissant que le gaz carbonique. L’étude a utilisé une valeur de potentiel de réchauffement climatique sur 20 ans du méthane de 82,5 (GWP20) et une valeur sur 100 ans de 29,8 (GWP100).
L’étude a examiné plusieurs scénarios de transport de GNL avec différentes quantités de méthane libérées pendant le transit. Les résultats (Figure 1) montrent que même lorsque le gaz est transporté par le navire le plus moderne et via la route la plus directe, les émissions de gaz à effet de serre du GNL sur le cycle de vie sont 24 % supérieures à celles de la combustion d'une quantité équivalente de charbon. Dans le pire des cas, c'est-à-dire sur de longs voyages avec de vieux navires fonctionnant au fioul lourd, les émissions sont 274 % plus élevées que celles au charbon.
L’utilisation du GWP100 au lieu du GWP20 réduit l’empreinte des gaz à effet de serre du GNL et du gaz naturel par rapport au charbon. Néanmoins, les émissions de GES du GNL sont au moins aussi élevées que celles du charbon dans le scénario de voyage court avec des pétroliers brûlant du GNL, et nettement supérieures à celles du charbon dans le scénario de long voyage avec des pétroliers brûlant du fioul lourd. Même en utilisant un GWP100, le GNL n’est jamais préférable au charbon du point de vue des émissions de gaz à effet de serre, conclut l’étude.
- voir graph sur site -
Figure 1. Empreintes GES du cycle de vie du GNL brûlé par l'utilisateur final (à gauche) et du charbon et du gaz naturel (à droite) pour différents scénarios de transport de GNL utilisant un PRP20 = 82,5 pour le méthane
L’utilisation du GWP100 au lieu du GWP20 réduit l’empreinte GES du GNL et du gaz naturel par rapport au charbon. Néanmoins, les émissions de GES du GNL sont au moins aussi élevées que celles du charbon dans le scénario du voyage court et des pétroliers brûlant du GNL, et nettement supérieures à celles du charbon dans le scénario du voyage long et des pétroliers brûlant du fioul lourd . Même en utilisant un GWP100, le GNL n’est jamais préférable au charbon du point de vue des émissions de gaz à effet de serre, conclut l’étude.
- voir graph sur site -
Ces émissions de gaz à effet de serre ne sont cependant pas significatives par rapport à la vapeur d’eau, comme le montre le graphique ci-dessus. La vapeur d'eau, qui constitue les nuages, représente 95 % des gaz à effet de serre présents dans notre atmosphère. Le gaz carbonique représente 3,6% des gaz à 'effet de serre'. Sur ce montant, environ 0,9 % est dû aux activités humaines. La catégorie « Autres » comprend également le méthane, mais cela n’a presque aucune importance.
Bien que le forçage radiatif de chaque molécule de méthane soit 30 fois supérieur à celui d'une molécule de gaz carbonique, l'augmentation globale du méthane est 300 fois inférieure à celle du gaz carbonique. En conséquence, le méthane n’est qu’un dixième (30/300) aussi puissant que le gaz carbonique. Un doublement des émissions de méthane ne représente qu’une infime fraction de l’effet de serre total.
Les pays de l’UE ont acheté plus de 6 milliards d’euros de GNL russe en 2023, échec du régime de sanctions occidental
Données : janvier-septembre 2023 Par Ahmed Adel
Des pays comme l’Estonie, la Lituanie, la France, l’Espagne et d’autres ont acheté du gaz naturel liquéfié russe malgré leur intention d’abandonner l’achat de ce carburant. Cela démontre une fois de plus que la politique énergétique de l'Europe ne peut pas être indépendante de la Russie, ce qui rend les sanctions encore plus ridicules, d'autant plus que Moscou les a surmontées.
Selon The Telegraph , les États membres de l'Union européenne ont acheté du GNL russe pour une valeur de 6,1 milliards d'euros au cours des neuf premiers mois de 2023 malgré leur intention d'abandonner l'achat de carburant russe, selon les données d'Eurostat.
Dans la liste des pays qui ont acheté du gaz russe en 2023, l’Espagne et la France occupent respectivement la deuxième et la troisième place, derrière la Chine. L'Espagne a acheté pour 1,8 milliard d'euros de gaz russe entre janvier et septembre, la France pour 1,5 milliard d'euros de GNL russe et la Belgique pour 1,36 milliard d'euros, publie le journal du 18 novembre.
Le Telegraph a rapporté que même les « plus ardents partisans de Kiev en Europe, y compris l'Estonie et la Lituanie », ont également continué à acheter du GNL russe.
Les livraisons de GNL russe, ainsi que le temps chaud et les niveaux élevés de gaz pompés dans les installations de stockage souterraines de l'UE tout au long de l'année 2022, ont abouti à une capacité record de 99,63 % des installations de stockage de gaz du bloc au début de la saison de chauffage, selon les autorités britanniques. sortie.
Depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine en février 2022, l’UE cherche des moyens de limiter sa dépendance à l’égard du carburant russe. Dans le cadre de ces efforts, le bloc a accru sa coopération énergétique avec plusieurs pays, dont les États-Unis, l’Algérie et le Nigeria, en mettant particulièrement l’accent sur les importations de GNL.
Malgré les efforts de diversification, on rappelle que la ministre espagnole de l'énergie, Teresa Ribera , avait déclaré en septembre qu'il n'était pas prévu d'interdire le GNL russe.
« Il y a ce sentiment de pénurie et de peur », avait-elle déclaré à l’époque, faisant référence aux inquiétudes liées à une pénurie d’énergie.
Dans le même temps, la Commission européenne, qui élabore des paquets de sanctions au nom du bloc, a déclaré :
"Il appartient aux États membres de décider à l'unanimité des sanctions de l'UE."
Bien que l’UE, les États-Unis et leurs alliés aient imposé des sanctions à la Russie, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov , a déclaré le 19 novembre que la myriade de restrictions n’avait pas réussi à faire tomber l’économie russe.
"Les Occidentaux sont en difficulté parce qu'ils se rendent compte que les sanctions ne nous frappent pas comme elles le devraient", a déclaré Peskov à une chaîne de télévision russe. "De plus, comme toujours, les Russes ont réussi à trouver des moyens d'en tirer profit."
Peskov a toutefois souligné que Moscou resterait vigilant et surveillerait de près toutes les restrictions imposées par l'Occident car « il n'y a pas d'extrêmes auxquels ils ne voudront pas aller ».
Sa déclaration intervient alors que les responsables et experts occidentaux commencent à reconnaître que l’impact négatif des sanctions sur la Russie n’a pas été aussi important que prévu. Comme Bloomberg l'a rapporté à contrecœur le 17 novembre,
«Les sanctions occidentales sur les exportations de pétrole russe ne parviennent pas à priver le Kremlin des revenus nécessaires au financement de sa guerre en Ukraine, ce qui signifie que ces mesures ne parviennent pas à atteindre l'un de leurs principaux objectifs.»
Néanmoins, l’UE travaille toujours sur une 12e série de sanctions, même si le bloc a cessé d’acheter du pétrole, du charbon, de l’acier et du bois russes à son propre détriment industriel. Le groupe de radio américain RFE/RL a décrit le prochain paquet de sanctions comme « le plus faible paquet de sanctions de l’UE à ce jour contre la Russie ».
Le régime des sanctions laisse encore un grand vide, près de 34 types de matières premières dites critiques et stratégiques, indispensables à la production de produits électroniques, de panneaux solaires, de véhicules électriques, d’avions et de produits de défense. L’UE continue d’acheter de grandes quantités de titane, de palladium, de nickel, de cuivre, de platine, de rhodium et d’aluminium à la Russie. Ainsi, de mars 2022 à juillet 2023, l’UE a importé ces ressources pour une valeur de 13,7 milliards d’euros, les bénéfices de leur vente étant directement reversés au budget russe et utilisés pour financer l’opération militaire spéciale en Ukraine, révélant une fois de plus le ridicule d’imposer le régime de sanctions.
En fait, la situation est tellement ridicule qu’il a été révélé le 14 novembre que les hydrocarbures russes étaient utilisés pour alimenter la marine américaine via la raffinerie Motor Oil Hellas, située en Grèce, qui figure parmi les 10 premiers fournisseurs du Pentagone. En effet, un pays de l’UE n’adhère pas aux sanctions du bloc, qui n’ont été imposées que sur instructions des États-Unis, dont la marine est alimentée par l’énergie russe. Cela illustre le ridicule du régime de sanctions imposé depuis le début de l’opération militaire spéciale russe.
Le ministère russe de l'Économie s'attend à une croissance du PIB de 2,8 % cette année, après une baisse de 2,1 % en 2022, dépassant ainsi la prévision de Reuters fin septembre d'une augmentation de 2,3 % et la prévision du FMI d'une croissance de 1,5 %. Moscou prévoit une croissance de 2,3 % en 2024, démontrant une fois de plus que les sanctions ne nuisent pas à l’économie russe comme espéré. Si l’on ajoute à cela le fait que les pays européens continuent d’acheter des milliards de dollars de GNL et d’autres ressources, l’UE ne fait manifestement que nuire à sa propre économie et à ses intérêts en limitant ses échanges avec la Russie.
Electricité : le nucléaire est vert, et c’est l’Europe qui le dit !
L’énergie nucléaire est désormais étiquetée comme « technologie verte » par le Parlement européen depuis le 21 novembre 2023. C’est une excellente nouvelle pour les consommateurs français et leurs factures d’électricité qui sont à l’abri des coups de chauffe pour quelques années au moins !
Par Grégoire Hernandez le 22 novembre 2023 à 11h45
L'Europe souhaite produire 40 % de ses besoins énergétiques sur son sol d'ici 2030.
L'Europe veut renforcer sa souveraineté énergétique Le nucléaire vient de recevoir un feu vert inattendu. Les eurodéputés viennent de le classer parmi les « technologies vertes ». Cette décision, plus politique que technique, soulève des vagues. D'un côté, une victoire pour ceux qui voient dans le nucléaire une solution zéro émission pour décarboner notre économie. De l'autre, des inquiétudes persistent sur la gestion des déchets radioactifs et la sécurité des installations.
L'Europe joue gros. Face à des géants comme la Chine et les États-Unis, elle cherche à renforcer sa souveraineté énergétique. L'objectif est clair : produire 40 % de ses besoins énergétiques sur son sol d'ici 2030. En intégrant le nucléaire dans sa stratégie, l'UE ouvre la porte à des financements plus souples et moins de tracasseries administratives. Un coup de pouce pour des technologies comme les réacteurs de quatrième génération, plus sûrs et plus efficaces. Au final, c'est surtout la France qui s'en sort bien puisque 70 % de son électricité est nucléaire.
Électricité : quelles conséquences pour les consommateurs ?
Quid pour nous, les consommateurs ? Cette décision pourrait stabiliser, voire réduire, nos factures d'électricité. Avec le nucléaire comme alternative aux énergies fossiles, dont les prix jouent au yoyo, l'Europe vise une électricité plus abordable. Cependant, le coût de la transition vers des technologies plus propres reste une équation complexe, impactant potentiellement nos portefeuilles à court terme.
Grâce cette décision l'Europe pourrait atteindre, peut-être, ses objectifs de neutralité en 2050. Reste à savoir comment gérer les déchets nucléaires. Comment assurer que nos centrales seront aussi sûres que possible, surtout celles qui seront prolongées pendant des décennies ? Un défi de taille, mais indispensable pour assurer la souveraineté énergétique de l'Europe.
Le coup de la panne pour les voitures électriques en octobre
Sous le coup d’une mutation profonde, le marché automobile européen affiche des résultats pour le moins contrastés en 2023. Les ventes de voitures électriques ont piqué du nez en octobre, mais la tendance générale reste positive pour ce segment.
Par Aurélien Delacroix le 22 novembre 2023 à 10h16
Les ventes automobiles ont progressé de 14,6% sur un an.
Selon les données récentes de l'Association des constructeurs automobiles européens (ACEA), le marché automobile européen a connu une hausse notable en 2023. En effet, avec 855.484 voitures particulières neuves immatriculées dans l'Union européenne, le secteur affiche une augmentation de 14,6% sur un an. Cette tendance ascendante se confirme sur les dix premiers mois de l'année, avec une croissance de 16,7%, totalisant près de neuf millions d'unités.
Trou d'air pour les voitures électriques
Ces chiffres représentent une reprise significative, bien que le marché soit encore en-deçà des niveaux d'avant la crise du Covid-19, qui avait perturbé les chaînes d'approvisionnement, notamment dans le domaine des puces électroniques.
Dans le détail, les voitures électriques (VE) montrent une évolution remarquable, bien que contrastée. Après avoir représenté 12 % des ventes fin 2022, ils ont connu un pic à 21 % en août 2023, avant de redescendre à 14,2 % en octobre. Malgré cette fluctuation, les VE ont dépassé pour la première fois les ventes de diesel, s'établissant à 14 % contre 12 % pour ce dernier. Les voitures à essence demeurent en tête avec 33,4 %, suivies des hybrides à 29 %.
Ces variations reflètent une adaptation continue du marché à l'évolution des technologies et des préférences des consommateurs. Elles soulignent également les défis auxquels sont confrontés les constructeurs et les gouvernements dans la transition vers une mobilité plus durable.
Palmarès des constructeurs
La dynamique globale du marché cache des réalités différentes selon les constructeurs. Volkswagen a renforcé sa position de leader en Europe, avec une part de marché de 26,1% et une hausse de 20,5% de ses immatriculations, grâce notamment aux marques Skoda et Audi. En revanche, Stellantis, groupe franco-italo-américain, a connu une baisse de près de deux points de part de marché, se situant à 18,4%. Sa croissance des immatriculations de 6% reste inférieure à la moyenne du secteur. De même, Fiat et Citroën, deux de ses marques, ont enregistré des baisses.
Le groupe Renault, de son côté, poursuit son rebond avec une augmentation de 21,2% sur un an, atteignant une part de marché de 10,9%, en partie grâce à la marque économique Dacia.
Pourquoi les amateurs de voitures classiques ne toucheront pas aux voitures modernes
Pendant des décennies, les Amériques ont réussi à résoudre à moindre coût bon nombre de leurs problèmes automobiles, mais la technologie de pointe impose des coûts plus élevés et davantage d’expertise.
Pourquoi les amateurs de voitures classiques ne toucheront pas aux voitures modernes
Par Allan Stein 15 novembre 2023
CASA GRANDE, Arizona—Étant donné le choix entre une nouvelle Chevrolet Corvette sportive et sa Dodge 330 de 1963, Bob Hughes prendra le classique de 60 ans n'importe quel jour.
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La simplicité du design automobile d'antan a ses vertus, a déclaré M. Hughes, se relaxant sur une chaise de jardin à côté de son ancien « conducteur quotidien » au Thunderfest Car and Bike Show à Casa Grande, en Arizona, le 4 novembre.
"Vous pouvez changer les bougies – vous pouvez voir les bougies – ce que vous ne pouvez pas faire sur la plupart des voitures neuves", a-t-il déclaré.
"J'ai construit ce truc à partir de rien. C'était une carrosserie à 75 $ quand je l'ai acheté." C'était en 1970.
Tout autour du grand parking se trouvaient des hot rods classiques et des muscle cars – des chefs-d’œuvre mécaniques raffinés de l’époque où il était facile de travailler sur les véhicules si l’on avait les outils et les compétences.
Ce n’est pas la même chose avec les véhicules automatisés plus récents, disent les amateurs de voitures anciennes et classiques.
« D'une part, l'électronique peut vous gâcher », a déclaré M. Hughes, 76 ans, à Epoch Times.
"Vous gâchez l'électronique en créant un arc électrique dans la batterie. Je marcherai avant d'acheter un véhicule électrique. Et je ne peux presque pas marcher du tout."
M. Hughes de Casa Grande n'est pas le seul à critiquer la nouvelle technologie automobile.
Mary Jo McDonald, une aînée de Glendale, en Californie, partageait un point de vue similaire alors qu'elle était assise sous un parapluie et surveillait la décapotable Pontiac Bonneville 1959 de son mari avec le capot ouvert.
Elle a dit que comparer des voitures anciennes et des modèles plus récents, c'est comme comparer des chats et des chiens.
"Mon mari est ingénieur électricien. Mais les nouveautés ? C'est comme Star Wars", a déclaré Mme McDonald.
Bien que son mari, Donald, ait essayé de travailler sur les voitures les plus récentes, il a du mal à « faire fonctionner toutes les cloches et tous les sifflets », a-t-elle déclaré.
"C'est compliqué. Vous pouvez comprendre comment les véhicules plus anciens s'assemblent et se démontent. Cette voiture, il l'a complètement démolie et a tout refait."
« Il n'y a pas de comparaison », a déclaré Mme McDonald à Epoch Times. "La nouvelle technologie présente des avantages certains. Mais étant octogénaire, je préférerais l'utiliser à l'ancienne."
Selon la compagnie d'assurance nationale Progressive, les principales différences entre les véhicules anciens et les nouveaux véhicules résident dans leur conception, leurs composants, leur maniabilité et leur sécurité.
"Les moteurs modernes sont beaucoup plus intelligents, plus petits, plus puissants et plus efficaces que les anciens", indique le site Web de Progressive.
"Comme elles ne disposent pas de fonctionnalités automatisées, les voitures classiques offrent une expérience de conduite plus pratique et peuvent être plus faciles à travailler soi-même. Et même si les voitures plus récentes se déprécient avec l'âge, la valeur des voitures classiques a tendance à s'apprécier en raison de l'offre et de la demande, en particulier pour des voitures bien entretenues.
La fusion de l'automatisation et de la technologie automobile a pris des décennies depuis que le constructeur automobile allemand Volkswagen a présenté le premier véhicule utilisant un système d'injection de carburant transistorisé et à commande électronique en 1968, selon Chipsets.com.
L'année suivante, Ford a présenté le premier système de freinage antidérapant commandé par ordinateur. Les véhicules Chrysler sont désormais dotés de la technologie de commande électronique du moteur (EEC) introduite en 1973.
"Avez-vous remarqué un changement dans l'image que vous voyez sous le capot de votre voiture ?" » a écrit l'équipe Drivin' & Vibin' dans un article en ligne du 27 mai 2022.
"Les réparations de véhicules sont certainement beaucoup plus compliquées qu'elles ne l'étaient il y a une vingtaine d'années, et pour cause."
Par rapport aux véhicules fabriqués avant 1990, les voitures et les camions plus récents comportent moins de pièces mobiles et disposent d'ordinateurs de bord qui contrôlent la plupart des fonctions du moteur, ce qui rend les choses plus compliquées.
"Il faut beaucoup plus de scolarité pour former correctement un mécanicien professionnel", a écrit l'équipe Drivin' & Vibin'. "Lorsque les concepteurs ont imaginé de nouveaux concepts de voitures à l'époque, ils se sont davantage attachés à rendre les véhicules faciles à réparer pour le propriétaire type.
"Les ingénieurs ont conçu les véhicules pour avoir plus d'espace ouvert sous le capot et moins de composants électriques à gérer."
Travis Rees-Fleming, 38 ans, de Snowflake, en Arizona, a déclaré qu'il préférait une technologie automobile plus simple aux véhicules plus récents.
Sa Ford Ranchero de 1962 était sa voiture préférée.
"J'ai possédé plus de voitures que je n'ai de doigts", a déclaré M. Rees-Fleming. "À part les vidanges d'huile, je n'effectue aucun entretien sur les voitures les plus récentes en raison de la quantité accrue d'électronique qu'elles y mettent."
Il a déclaré que le fait d’avoir une belle-famille propriétaire d’un atelier de réparation automobile rend les réparations plus pratiques. Mais même eux ont plus de mal à embaucher des techniciens possédant les compétences nécessaires pour réparer des véhicules plus récents.
-- Plus d'articles Un homme de Géorgie transforme la plus grande casse de voitures classiques au monde en musée – avec la dernière voiture qu'Elvis ait jamais achetée Cette rare voiture classique de 1931, l'une sur seulement huit, a survécu à la Seconde Guerre mondiale, cachée dans une botte de foin, et pourrait maintenant rapporter des millions « En plus de cela, vous disposez d'une programmation informatique mise à jour. Vous devez louer auprès des entreprises pour pouvoir entretenir leurs véhicules », a déclaré M. Rees-Fleming à Epoch Times. --
"Il est plus difficile de les garder sur la route s'ils ont des problèmes électroniques. Cela peut laisser les gens bloqués, morts dans l'eau."
"Ici, avec les rats, s'ils rongent ne serait-ce qu'un seul câble, votre véhicule est en panne. Vous devez le faire remorquer jusqu'à un concessionnaire. Les ateliers de service locaux ont besoin de techniciens pour travailler sur ces voitures."
Les problèmes de chaîne d’approvisionnement signifient que les réparations prennent plus de temps. Le délai d'exécution moyen pour les ateliers de carrosserie est de 30 jours, a déclaré M. Rees-Fleming.
Il a ajouté que cela pourrait prendre encore plus de temps avec les véhicules électriques utilisant des batteries lithium-ion complexes en raison du manque d'infrastructures pour les prendre en charge.
"Nous sommes également confrontés à des pénuries de batteries, de minéraux et de stations de recharge", a-t-il déclaré. "Même avec la technologie de conduite autonome, il y aura des problèmes avec les véhicules qui ne détectent pas certaines routes", a-t-il déclaré.
Lorsque les batteries perdent finalement leur capacité de charge, leur remplacement peut coûter entre 3 000 $ et 8 000 $ pour un véhicule hybride.
AAA a déclaré que le coût annuel moyen de possession et d'exploitation d'un nouveau véhicule en 2023 est de 12 182 $.
"Il s'agit d'une forte augmentation par rapport à 2022, où le coût annuel moyen n'était que de 10 728 dollars, soit 894 dollars par mois", indique le site Internet de l'AAA.
Robert Kennedy, professeur adjoint de technologie des transports à la New England School of Technology, a déclaré que les constructeurs automobiles se sont attachés à rendre leur technologie plus sûre, et non à rendre les choses plus difficiles pour le consommateur ou les petits ateliers de réparation automobile.
« À mesure que la technologie progresse, les bricoleurs découvrent qu'ils peuvent avoir besoin de faire appel à des techniciens automobiles professionnels pour effectuer ce qui était autrefois de simples tâches de maintenance », a déclaré M. Kennedy à Epoch Times.
"La plupart des petits ateliers automobiles indépendants ont accès aux outils et équipements nécessaires pour effectuer ces travaux, mais beaucoup ont choisi de ne pas investir à des fins commerciales."
M. Kennedy a déclaré que les véhicules électriques nécessitent beaucoup moins d'entretien puisqu'ils n'ont pas de moteur, de transmission, de différentiel ou de boîte de transfert.
"Cependant, avec plus de 300 volts alimentant le véhicule, pour des raisons de sécurité, les propriétaires voudront peut-être faire appel à des techniciens automobiles professionnels formés à la réparation de véhicules électriques", a-t-il déclaré.
David Bennett, responsable des réparations chez AAA, a déclaré qu'il est généralement plus difficile pour les propriétaires bricoleurs d'accéder aux pièces des véhicules plus récents, mais que ce n'est pas impossible.
« Vous pouvez toujours changer l'huile. Les choses de base que vous pouvez faire », a déclaré M. Bennett à Epoch Times. "Ils sont toujours accessibles. Il faut simplement plus de travail pour y accéder."
De plus, il a déclaré que la conception de certains systèmes de véhicules n'avait pas beaucoup changé.
Le propriétaire d'une Ford Falcon du début des années 1960 montre sa muscle car lors d'un salon de l'automobile classique à Casa Grande, en Arizona, le 4 novembre 2023. (Allan Stein/The Epoch Times) Le propriétaire d'une Ford Falcon du début des années 1960 montre sa muscle car lors d'un salon de l'automobile classique à Casa Grande, en Arizona, le 4 novembre 2023. (Allan Stein/The Epoch Times) "Vos freins sont vos freins. Ils n'ont pas changé", a déclaré M. Bennett. "Si vous êtes un bricoleur et que vous êtes à l'aise avec les outils, l'équipement et les précautions de sécurité appropriés, cela n'a pas changé."
"Si vous avez un voyant de contrôle du moteur, vous n'avez probablement pas les outils chez vous. Mais vous pouvez vous rendre dans votre atelier de réparation local et lui demander d'examiner et de diagnostiquer le problème pour vous."
Malgré cela, comprendre les systèmes électroniques des véhicules d'aujourd'hui est « énorme : être capable de lire un diagramme est énorme », a-t-il déclaré.
"Tout dépend du véhicule. L'âge moyen d'un véhicule sur la route est de 12,5 ans. Si le véhicule est en bon état, il est préférable de l'entretenir à long terme plutôt que d'en acheter un neuf. Cela vous fera probablement économiser de l'argent en le long terme."
Pour les passionnés de voitures anciennes, comme Tony Blowers d'Arizona City, en Arizona, avoir le meilleur des deux mondes avec la technologie des véhicules anciens et nouveaux est une bonne chose.
Il y a quelques années, M. Blowers a acheté une carrosserie de camion Chevrolet 1951 pour la monter sur un châssis Chevy S-10 2000 avec une transmission Silverado 2000.
"J'ai même découpé les vitres de ce camion. Je les ai découpées dans une grande feuille de verre et je les ai installées", a déclaré M. Blowers.
"Tout le monde ne peut pas faire ce que j'ai fait. Je l'ai construit dans mon garage pendant mon temps libre pendant trois ans. La seule chose que je n'ai pas faite a été de flasher l'ordinateur [reprogrammer le logiciel] fourni avec le moteur."
La combinaison s’est avérée excellente, a déclaré M. Blowers à Epoch Times, et Natalie Sanders, de New Richmond, Wisconsin, n’a pas tardé à s’emparer du véhicule lors d’une vente en ligne.
"J'ai aimé son apparence. J'ai aimé la patine rouille", a déclaré Mme Sanders. "Je l'ai fait par téléphone et je l'ai expédié au Wisconsin."
M. Blowers a déclaré qu'il ne craignait pas que les véhicules électriques remplacent les véhicules à essence. Il a dit qu'il ne pensait pas que cela se produirait en raison de leurs limites inhérentes. "Cela coûte plus cher de les facturer et cela prend une éternité", a-t-il déclaré.
"Les progrès des moteurs et des transmissions [à essence] les rendent meilleurs aujourd'hui qu'ils ne l'étaient il y a 10 ou 20 ans. Regardez une Chevrolet de 1957 : quand elle avait 80 000 milles au compteur, c'étaient des voitures usées."
"Les vieux trucs sont plus simples. Aujourd'hui, la première chose que vous faites pour comprendre ce qui se passe est de le connecter à un ordinateur. Ce qui est bien, c'est qu'il vous indique également par où commencer pour réparer les choses."
Rocky Stroh de Casa Grande et son père ont passé 10 ans à reconstruire une Ford Modèle A antique de 1931 en utilisant des pièces de performance et à la transformer en un objet de toute beauté.
Rocky Stroh de Casa Grande, en Arizona, s'agenouille à côté de la Ford Modèle A de 1931 que lui et son père ont reconstruite à partir de zéro. Photo prise le 4 novembre 2023. (Allan Stein/The Epoch Times) Rocky Stroh de Casa Grande, en Arizona, s'agenouille à côté de la Ford Modèle A de 1931 que lui et son père ont reconstruite à partir de zéro. Photo prise le 4 novembre 2023. (Allan Stein/The Epoch Times) M. Stroh a déclaré qu'il préférait travailler sur des véhicules plus anciens, car la technologie informatique est « très différente de la mécanique ».
« Avec les plus âgés, je m'en donnerai à cœur joie. Donnez-m'en un nouveau, et je loucherai », a-t-il déclaré à Epoch Times.
Mme McDonald a déclaré qu'elle croyait qu'il y avait un inconvénient à la technologie automobile avancée, à savoir que les gens perdaient le contrôle de l'expérience de conduite.
"Vous perdez tellement de contrôle. Vous aimez pouvoir faire les choses par vous-même et contrôler votre situation. Mais si vous ne comprenez rien à propos de votre nouvelle voiture, c'est faux."
M. Hughes a déclaré qu'il était extrêmement satisfaisant de mettre la main à la pâte en réparant la voiture chérie de sa jeunesse.
Il l'a depuis si longtemps que c'est presque devenu une partie de lui, un symbole d'époques plus simples.
"Toutes ces voitures plus récentes, c'est triste", dit-il en secouant la tête.
Automobile : va-t-on vous interdire les excès de vitesse ?
Est-ce que les excès de vitesse seront bientôt interdits ? C’est du moins ce qu’envisagent les États-Unis. Nos voisins outre-Atlantique pourraient opter pour une solution radicale : limiter la vitesse maximale des véhicules ! La France pourrait-elle suivre le pas ?
Par Axelle Ker le 22 novembre 2023 à 15h30
les radars ont engrangé 12,5 milliards d'euros de recettes à l'État
Excès de vitesse : les États-Unis ont-ils trouvé la solution ?
Le National Transportation Safety Board (NTSB) des États-Unis étudie la possibilité d'implémenter un système de blocage de la vitesse maximale sur les véhicules neufs. Cette idée fait suite à un accident survenu en janvier 2022 à Las Vegas, où un conducteur drogué, roulant à 165 km/h dans une zone limitée à 50 km/h, a percuté un monospace, entraînant la mort de neuf personnes.
Le NTSB propose une mesure radicale : installer sur l'ensemble des voitures neuves un dispositif d'alerte de dépassement de la vitesse qui serait lié au GPS et aux caméras embarquées. Dans un premier temps, celui-ci avertirait le conducteur par des sons, des voyants et des vibrations haptiques. Et si l'automobiliste refuse d'abaisser sa vitesse, le dispositif s'en chargerait à sa place en bloquant la vitesse maximale du véhicule.
La France pourrait-elle suivre ?
En France, les excès de vitesse constituent une part importante des infractions routières et des accidents. En 2021, près de la moitié des 6,65 millions d'amendes pour infractions routières étaient liées à des excès de vitesse. Ces infractions représentent une source majeure de revenus pour l'État, avec des millions d'euros collectés chaque année. En l'espace de 20 ans, les radars ont engrangé 12,5 milliards d'euros de recettes !
La vitesse excessive ou inadaptée est un facteur clé dans les accidents de la route en France. En 2022, le pays a enregistré 3 267 décès dans des accidents de la route, la vitesse étant l'une des principales causes. L'adoption d'une mesure similaire à celle des États-Unis, si elle s'avérait fructueuse, pourrait tout à fait s'étendre outre-Atlantique. Mais l'État français serait-il prêt à dire adieu à son joli pactole ? Cela semble moins sûr. Le ministre de l'Intérieur, Gérard Darmanin, a d'ailleurs annoncé en avril 2023 que les excès de vitesse de plus de 5 km/h n'entraîneraient plus de perte de points à partir du 1er janvier 2024, alors même qu'il s'agit du principal moteur pour limiter les infractions routières. Autrement dit, l'appât du gain de l'État prime sur la sécurité routière...
Périphérique parisien : vitesse baissée dès 2024, gare aux amendes !
Paris se prépare à un changement majeur : dès septembre 2024, la vitesse sur le périphérique sera limitée à 50 km/h. Annoncé par la maire Anne Hidalgo, ce nouveau plan climat 2024-2030 a de quoi surprendre. Mais quelles sont les raisons derrière cette décision et comment cela impactera-t-il les usagers quotidiens du périphérique ?
Par Grégoire Hernandez le 22 novembre 2023 à 15h30
La couverture du périphérique parisien coûterait 10,4 milliards d'euros.
Les raisons de cette réduction de vitesse
Cette diminution de la vitesse sur le périphérique n'est pas une mesure isolée. Elle fait partie d'un plan climat, visant à améliorer la qualité de l'air et réduire la pollution dans la ville. L'objectif ? Lutter contre les problèmes de santé publique, comme l'asthme, aggravés par la pollution automobile, surtout dans les quartiers populaires. Cette décision s'appuie également sur un historique de réductions progressives de la vitesse sur cet axe majeur, témoignant d'une volonté continue d'améliorer l'environnement urbain.
L'après-Jeux Olympiques de 2024 marquera une étape clé pour le périphérique. La voie olympique, créée spécialement pour l'événement, sera transformée en une voie permanente pour le covoiturage et les transports en commun. Cette initiative, effective à partir du 14 septembre 2024, vise à promouvoir des alternatives de transport plus vertes et à réduire l'encombrement sur cette voie cruciale de la capitale.
Les impacts sur les usagers du Périphérique
La baisse de la vitesse à 50 km/h représente un changement significatif pour les conducteurs habitués à circuler sur le périphérique. Cela pourrait entraîner une circulation plus fluide et moins d'accidents, contribuant à une sécurité accrue pour tous les usagers. De plus, avec une vitesse médiane actuellement de 50 km/h en journée et de 30 à 45 km/h aux heures de pointe, cette nouvelle limite pourrait ne pas être aussi contraignante qu'il n'y paraît.
L'objectif de la ville de Paris est bien sûr de devenir une capitale plus écologique et sûre. En plus de la réduction de vitesse, le plan climat inclut la sortie des énergies fossiles et la rénovation des bâtiments publics, marquant ainsi un pas de plus vers un environnement urbain plus sain et durable. Depuis 1993, la vitesse a déjà été abaissée plusieurs fois, notamment en 1993 de 90 à 80 km/h, et plus récemment, en 2014, de 80 à 70 km/h.
Automobile : permis, amendes… tout ce qui change en 2024
L’année 2024 promet d’être une année charnière pour l’univers automobile. Avec des changements majeurs allant de la modification du système de permis à l’intensification des mesures écologiques, les conducteurs français doivent se préparer à une série d’adaptations significatives.
Par Grégoire Hernandez le 22 novembre 2023 à 17h30
Pour bénéficier du bonus, les voitures électriques devront avoir un score environnemental d'au moins 60/100 et coûter moins de 47 000 euros.
Le permis de conduire à 17 ans va être officialisé
Dès janvier 2024, une réforme attendue depuis plusieurs mois verra le jour : l'obtention du permis de conduire à 17 ans, une mesure annoncée par Elisabeth Borne. Parallèlement, le système de points connaîtra aussi des ajustements. Les infractions mineures de vitesse (inférieures à 5 km/h) ne se traduiront plus par un retrait de points, mais resteront sanctionnées par des amendes (68 euros au-delà de 50 km/h, 135 euros en deçà). Pour surveiller son solde de points, une nouvelle plateforme, MesPointsPermis, sera disponible, remplaçant Télépoints.
2024 verra une augmentation du nombre de radars autonomes, avec 200 nouveaux dispositifs prévus, enregistrant jusqu'à quatre millions de flashs par an. Sur le périphérique parisien, six radars supplémentaires seront installés en vue des jeux olympiques. Par ailleurs, une évolution notable concerne la vignette d'assurance automobile : elle disparaîtra au 1er avril 2024. Les forces de l'ordre se référeront au fichier des véhicules assurés (FVA) pour les contrôles, réduisant ainsi l'impact financier et écologique des 50 millions de vignettes imprimées annuellement.
Le prix du Superéthanol E85 devrait rester sous la barre du 1 euro le litre en 2024
Le bonus-malus écologique connaîtra un durcissement précoce dès le 15 décembre 2023. Pour bénéficier du bonus, les voitures électriques devront avoir un score environnemental d'au moins 60/100 et coûter moins de 47 000 euros, excluant les modèles fabriqués en Chine. Le barème sera plus différencié selon les revenus, avec un bonus pouvant atteindre 7 000 euros pour les ménages modestes. Parallèlement, le malus écologique s'intensifie : le seuil de déclenchement passe à 118 g/km de gaz carbonique et le malus maximal atteindra 60 000 euros pour les véhicules émettant plus de 193 g/km de gaz carbonique.
Une bonne nouvelle pour les automobilistes : le prix du Superéthanol E85 devrait rester sous la barre du 1 euro le litre en 2024. Cette stabilité tarifaire est le résultat d'un accord entre producteurs d'éthanol et distributeurs de carburants. En matière d'électrification, les constructeurs français prennent les devants. Renault lancera sa R5 électrique, entièrement fabriquée en France, tandis que Citroën proposera sa citadine e-C3 à un prix compétitif de 23 300 euros, soit bien en dessous du coût moyen d'un véhicule électrique.
Sur la (ir)rationalité de la haine du gaz carbonique
En septembre, le monde a été témoin de cinq minutes d’idéologie climatique à son meilleur. Apple, l'entreprise la plus capitalisée au monde, a produit un film promotionnel conçu pour suggérer, ironiquement, que « supprimer complètement le carbone de l'atmosphère » n'était pas seulement l'objectif climatique ambitieux d'Apple, mais aussi souhaitable pour l'humanité dans son ensemble.
Permettez-moi de traduire cela pour le consommateur inexpérimenté de propagande : tout cela est assez drôle jusqu'à ce que ce ne soit plus drôle. Dans chaque propagande depuis l’Empire, à un moment donné, le simple fait de regarder ne suffit plus. Il faut entrer dans le monde sentimental de l’autoritarisme et céder aux bavardages joviaux, qui peuvent vite se transformer en abnégation brutale. Parce que chaque enfant sait que l’élimination permanente du carbone de l’atmosphère est le sacrifice ultime. Vous ne pouvez pas aller plus loin – à moins d’appeler directement au suicide collectif spontané.
Mais nous sommes en 2023, et le fait que l’élimination complète du carbone ou du gaz carbonique de l’atmosphère entraînerait la mort immédiate de tous les êtres vivants est considéré comme un impact environnemental positif . L’ironie est palpable. Ce qui est plus intéressant, cependant, c'est que l'hostilité maniaque envers le gaz carbonique dans chaque message climatique dans les médias n'est pas un faux pas de la part des stratèges des relations publiques d'Apple et des lobbyistes similaires, mais plutôt intentionnelle. Le réflexe pavlovien contre le gaz carbonique doit devenir une seconde nature pour les sujets étatiques. Il faut le pratiquer, l’entraîner, y faire appel. Pensez aux « deux minutes de haine » contre Goldstein, qu’Orwell décrit si bien en 1984 ; en réalité, il a désormais été remplacé par un composé chimique neutre. Le chantage climatique mafieux quotidien exercé par l'ONU, le Conseil de l'UE, l'OMS, le WEF et d'autres organismes non élus sert une guerre mondiale contre le gaz carbonique. Les combustibles fossiles sont l’ennemi. Les énergies solaire et éolienne, trop chères, sont des alliées. Tout ce qui ne produit pas de gaz carbonique en premier lieu peut être bon - ce qui est déjà un problème avec les cellules solaires, puisque les installations chinoises de production de cellules solaires fonctionnent au charbon - mais tout ce qui détruit, voire « mange » du gaz carbonique Le fait que l’énergie nucléaire soit le sale gosse du ghetto dont on ne parle pas, avec lequel on ne joue pas et qu’on évite à tout prix montre simplement qu’il y a une méthode à cette folie.
Toute personne sensée sait qu’il ne s’agit pas de « nature ». Il ne fait aucun doute que les mesures prises conformément à ces maximes ne visent pas à « protéger la planète » ou la « nature ». Il s'agit de la domination des gens sur les autres. Comme le note le philosophe allemand de la technologie Martin Burckhardt, la « nature » fonctionne désormais comme un « appareil de projection idéal » :
"Les révolutionnaires qui voulaient libérer le prolétariat tourmenté à la fin des années 1960 ont dû se faire dire par les ouvriers qu'ils n'étaient pas intéressés par ce genre de salut, c'est pourquoi la remarque agressive suivait souvent : 'Alors va là-bas.' Contrairement aux classes inférieures, la nature ne réagit pas. En ce sens, c’est un allié idéal pour l’avant-garde politique climatique. Vous êtes connecté à une puissance supérieure et faites de la théologie politique. [1]
La nature ne peut pas dire non. Elle ne peut pas protester. Contrairement au prolétariat, il ne peut pas se défendre contre l’exploitation du pouvoir. Et parce que la nature n’a pas de voix, elle se prête bien à tout jeu de pouvoir. Parce qu’aujourd’hui, tout problème social est imputé au « changement climatique ». Des gens meurent lors d’événements météorologiques extrêmes ? La faute au changement climatique. Une inflation en hausse ? La faute au changement climatique. Couronne? Le changement climatique est à blâmer. Toutes ces affirmations restent aujourd’hui incontestées. (Vous n'y croyez pas ? Recherchez-les sur Google.)
Bien sûr, le changement climatique fait aussi grossir les chevaux :
Le changement climatique a d'autres conséquences, bien que très pratiques, pour nos organismes mondiaux non élus : la cause de la pauvreté dans les pays du Sud peut être imputée à la météo, tandis que les mêmes technocrates, avec leurs compensations carbone et leurs certificats féodaux, exacerbent les conditions mêmes qui donner naissance à la pauvreté et contribuer au continent sud.
Cependant, dans une société industrielle moderne dotée de forces productives très développées qui pourraient hypothétiquement fournir aux individus toutes sortes de protections technologiques – et même de commodités – contre les caprices de la nature, il n’existe aucun « problème naturel » qui ne puisse être résolu socialement. Si vous n'avez pas de système d'eau potable ou si votre maison est emportée par un ouragan, ce n'est pas la faute de la météo. Ils sont pauvres ? Ce n'est pas la faute de la météo. Et pourtant, la pauvreté est déclarée comme une condition naturelle et la nature comme le résultat de décisions politiques. Le monde à l’envers de la « personnification des choses » et de la « réification des personnes » a pris tout son sens à travers le récit climatique.
N'oublions pas que la réduction monothématique du discours social au changement climatique fait également d'une pierre deux coups : non seulement la responsabilité est transférée à une abstraction technologique qui n'a de réalité que dans les simulations de modèles informatiques, mais on peut au nom d'un " « La contrainte objective » imposera un changement social complet qui sapera l’idée ou même le désir d’une vie de prospérité, de liberté, de sécurité, de santé et de dignité relatives, que nous tenions autrefois pour acquises mais que ceux au pouvoir n’ont jamais eu intérêt à préserver. ... effectivement détruit. Lors des inondations catastrophiques de la vallée de l'Ahr en Rhénanie du Nord-Westphalie (2021), plus de 200 personnes ont perdu la vie et des centaines de milliers ont perdu leur logement et leurs sources de revenus en raison du mauvais état des infrastructures. Cependant, la première chancelière technocratique d'Allemagne, Angela Merkel, a imputé cette situation aux « défis du changement climatique » – une politique qui est désormais considérée comme « de bonne forme ».
Le changement climatique anthropique pour les nuls Cependant, pour que ce projet fonctionne, il est essentiel d’affirmer que le changement climatique ne peut pas avoir des causes naturelles, mais seulement des causes « anthropiques » d’origine humaine. Si les processus atmosphériques et physiques observables étaient d’origine naturelle, il serait difficile de faire passer le message selon lequel tout un mode de production et de consommation doit être révolutionné pour aboutir à l’abolition de la production et de la consommation. Cependant, personne ne nie le rôle de l’homme dans le réchauffement des terres émergées : la conversion de zones entières en décharges et le revêtement des villes avec du béton jouent un rôle important. Mais rien de ce que font les humains ne peut annuler les changements naturels du climat, par ex. B. l'influence variable annuelle du rayonnement solaire, des modèles de circulation océanique, des ciels clairs ou nuageux ou des éruptions volcaniques (dont beaucoup sous l'eau). Ces influences naturelles globales sur le temps sont délibérément ignorées dans le « discours » et parfois même minimisées. Le chercheur atmosphérique américain Dr. Judith Curry souligne à plusieurs reprises que la composition de l’atmosphère n’a « qu’une influence insignifiante » sur le temps. Au lieu de cela, nous sommes amenés à croire qu’il n’y a pas d’autre cause des ouragans et des sécheresses que la combustion de combustibles fossiles. Le gaz carbonique Considérer. Mais il ne s'agit pas de « climat ». Il s’agit de déclarer que les humains sont la cause de tous les maux climatiques à travers la répétition par la société d’une mono-causalité objectivement fausse.
Mais même l'IPCC n’en est pas aussi sûr : dans le « Résumé à l’intention des décideurs politiques » (SPM) du Rapport climatique numéro 5 (AR5, 2007), l'IPCC a réaffirmé sa distinction avec la CCNUCC, bien plus hystérique. (Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques) et a souligné que sa définition du changement climatique ne se limite pas aux « activités humaines directes ou indirectes » mais inclut également la variabilité naturelle, qui présente d'énormes fluctuations. Le simple fait qu'il n'existe pas de norme permettant de distinguer le changement climatique naturel du changement climatique provoqué par l'homme n'a pas facilité les choses dans les rapports climatiques successifs, même pour les scientifiques du Groupe de travail 1 qui tentent de suivre la logique du cycle du carbone, c'est-à-dire des influences gigantesques, principalement océaniques, sur le climat, contre la machine activiste des conventions climatiques et son obsession d’attribuer « 100 % » des changements climatiques actuels à l’activité humaine.
Selon la propagande officielle, la peur du gaz carbonique doit être directement liée au changement climatique « provoqué par l’homme », quel qu’en soit le prix. Soutenue par une autoflagellation collectiviste sans précédent, cette situation aboutit à des excès prohibitifs - en plus des certificats de Cgaz carbonique et des taxes, les gens sont désormais confrontés à l'interdiction du chauffage au fioul et au gaz, à l'interdiction des moteurs à combustion, aux villes aux quarts d'heure et maintenant également à l'annulation des festivals folkloriques. comme à Zurich, dont le « gaz carbonique _ » est trop élevée pour les besoins de la ville. À la fin d’une telle tirade insensée d’interdictions, qui n’a absolument aucun effet sur le « changement climatique » mais peut faire beaucoup sur l’image démocratique des sociétés occidentales, il y a la dissolution de la subjectivité civile telle que nous la connaissons, non pas pour mentionner les droits civils individuels. Les effets du « changement climatique » sur notre existence immédiate seront probablement encore plus dévastateurs que l’érosion technocratique et fasciste de la société civile à la suite du Corona. Comme nous le savons tous, les humains ne sont porteurs de virus que temporairement, mais produisent du gaz carbonique tout au long de leur vie. Dans quelle mesure l’intérêt pour la survie humaine peut-il être grand chez ceux qui veulent « éliminer » le dioxyde de carbone, la base de toute vie sur Terre ?
Comme l’a récemment rapporté le portail en ligne Business Insider , « la première usine commerciale aux États-Unis a commencé à aspirer le dioxyde de carbone de l’air. Elle est capable d’extraire 1 000 tonnes par an et envisage de s’agrandir » [2] .
Bienvenue dans un nouveau niveau de folie.
La photosynthèse comme théorie du complot de droite Alors, à quel point le gaz carbonique peut-il être nocif pour l’environnement ?
Eh bien, cela n'a pas l'air mal du tout, bien au contraire - même si l'ironie est que ce clip de la NASA vieux de 7 ans sur YouTube a maintenant été qualifié de désinformation climatique.
S'il est évident que les niveaux de gaz carbonique ont augmenté au cours des 100 dernières années, l'impact sur la photosynthèse est encore plus insignifiant. Chaque enfant sait que la photosynthèse, le processus par lequel les plantes utilisent la lumière du soleil pour convertir le dioxyde de carbone en oxygène, est à la base de toute vie sur Terre. Chaque enfant sait aussi que sans plantes, il n’y aurait pas de vie. On pourrait être tenté de penser qu'une augmentation du gaz carbonique est bénéfique à la vie sur Terre. Comme il doit être étrange de vivre dans la peur constante de l'augmentation des concentrations de gaz carbonique.
Personne ne conteste que la planète s’est réchauffée d’environ 1°C aux latitudes plus élevées au cours des 100 dernières années. Mais il est absurde de prétendre que l'augmentation de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère en est la seule cause. Et il est encore plus absurde de prétendre que l'augmentation du gaz carbonique détruirait la Terre. Au contraire : une augmentation allant jusqu’à 1 200 ppm de la moyenne mondiale serait peut-être même nécessaire pour nourrir une population mondiale croissante.
Source : Roger H. Thayer, Eco Enterprises, hydrofarm.com. Avec l'aimable autorisation du sous-pile Irrational Fear de Matthew Wielicki : https://irrationalfear.substack.com/p/greening-earth-and-booming-crops
Nos niveaux actuels de gaz carbonique – environ 420 ppm – sont déjà critiques pour les plantes. Le physicien et ancien conseiller en énergie sous l’administration Obama, Steven Koonin, déclare dans son livre Unsettled : « La Terre d’aujourd’hui a faim de gaz carbonique atmosphérique ». Cependant, si vous faites connaître ce fait publiquement, certains trolls de Twitter vous insulteront en vous traitant de « lobbyiste pétrolier », d’« ennemi de la science » ou même de « néo-nazi ». Le scénario est désormais connu.
Comme le savent tous ceux qui ont connu des étés et des hivers continentaux, un temps plus chaud serait souhaitable pour les gens. De nombreuses personnes meurent chaque année à cause du froid, quelques-unes seulement à cause de la chaleur – l'Australie fait exception. Des études, par exemple de l' American Heart Association , montrent que le froid est la principale cause de décès liés à la température dans la plupart des pays du monde. Dans une étude portant sur 384 sites dans 13 pays sur 5 continents, il y a eu 20 fois plus de décès dus au froid qu'à la chaleur. Les températures froides augmentent le risque d’infections respiratoires et de maladies cardiovasculaires, tandis qu’un système immunitaire affaibli rend le corps plus vulnérable aux virus de la grippe et à la pneumonie. De plus, le froid provoque une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui peut entraîner une augmentation de la pression artérielle et, dans les cas extrêmes, des crises cardiaques. Réjouissez-vous et accueillez le temps plus chaud – il a rendu possible la culture de pommes de terre dans le Nord du Canada.
Heureusement, NetZero est – du moins pour l’instant – trop irréaliste pour être mis en œuvre. Si tel était le cas, la vie sur Terre cesserait d’exister. Mais pour ajouter de l’irrationalité à l’idiotie, la bonne chose qui pourrait profiter à tout le monde devient la chose dont nous nous méfions, dont nous avons peur et qu’on nous dit d’abolir.
J'ai toujours pensé que c'était le mal ultime d'avoir forcé la population mondiale - y compris les bébés et les jeunes enfants - à violer leur corps, leur dignité humaine et leurs droits humains en leur injectant un vaccin expérimental. Mais je n'en suis plus si sûr.
[1] Dans une interview avec Axel Bojanowski, sur :
[1] Dans une interview avec Axel Bojanowski, sur : https://martinburckhardt.substack.com/p/im-gesprach-mit-axel-bojanowski
VOL DE VIANDE : 5 suspects recherchés pour avoir volé des boîtes de viande congelée dans un camion réfrigéré dans le sud de Philadelphie
21/11/2023 Kevin Hughes
Le service de police de Philadelphie recherche actuellement cinq hommes soupçonnés d'avoir volé des boîtes de bœuf congelé dans un camion réfrigéré le 15 novembre dans le sud de Philadelphie. Le braquage a eu lieu vers 0 h 30 dans le pâté de maisons 700 de Pattison Avenue, dans le sud de Philadelphie Est. Le semi-remorque ciblé était garé pendant la nuit dans l'entrepôt de fournitures de Jetro, un magasin de fournitures pour restaurant. Le conducteur était dans la cabine au moment du braquage. Lorsque le conducteur a senti son camion trembler, il est sorti de la cabine pour enquêter.
Le conducteur a alors aperçu trois individus à l'arrière de la remorque qui transportaient des caisses de bœuf congelé à deux autres voleurs assis dans une voiture garée à proximité. Le conducteur a déclaré à la police que l'un des suspects lui avait dit : « Nous n'en prenons qu'un peu ».
Le voleur aurait alors fait un signe vers sa hanche, ce qui laisserait entendre que lui et peut-être d'autres voleurs avaient des armes à feu. Le conducteur a noté que les cinq suspects avaient fui les lieux à bord d'un SUV Ford Explorer argenté.
Au moins 15 caisses de bœuf ont été volées, d'une valeur estimée à 7 660 dollars. D'autres tranches de bœuf se sont déversées du camion et ont été laissées sur place après que les suspects ont été découverts par le chauffeur du camion et se sont enfuis précipitamment.
La tendance aux vols de marchandises ne devrait pas s'arrêter de sitôt
Les chauffeurs routiers de tout le pays, notamment dans les grandes villes, sont confrontés à une augmentation des vols de marchandises. Le danger accru pour les chauffeurs de camion les a amenés à s'armer d'outils pour assurer la sécurité de leurs marchandises coûteuses, tels que des verrous robustes.
"Il y a 250 000 $ de viande à l'arrière de ces camions, et cela représente 750 000 $ au moment où ils la vendent. C'est beaucoup d'argent", a déclaré le camionneur Mark Leighton.
À Philadelphie, au moins 196 vols de marchandises ont été enregistrés par la police de Philadelphie depuis le début de l'année. L'année dernière, 242 vols de marchandises ont été enregistrés. Le braquage des caisses de bœuf congelé dans le sud de Philadelphie survient quelques semaines seulement après que 184 caisses de grappes de crabes d'une valeur d'environ 73 000 $ ont été volées dans un camion au nord de Philadelphie.
L'augmentation des vols de marchandises au cours des derniers mois est une tendance qui ne devrait pas s'arrêter de sitôt, comme l'ont rapporté certains initiés du secteur.
Les dernières données de CargoNet, une société de partage de données et d'informations basée à Jersey City, dans le New Jersey, qui lutte contre le vol de marchandises, ont montré une augmentation de 59 % des vols enregistrés au troisième trimestre 2023 par rapport à l'année dernière. (Connexe : les vols de marchandises ont augmenté de 15 % en 2022 aux États-Unis et au Canada, alors que les réseaux du crime organisé ciblaient la chaîne d'approvisionnement.)
"Alors que nous entrons dans le dernier trimestre de 2023, rien n'indique que l'activité de vol de marchandises ralentira aux États-Unis. Nous prévoyons que les vols de marchandises stratégiques resteront à des niveaux d'activité sans précédent tout au long du trimestre", a déclaré la société dans un communiqué. .
Suivez Collapse.news pour plus d’informations sur les vols de marchandises en Amérique.
Regardez la vidéo ci-dessous sur la vague de pillages massifs qui a secoué Philadelphie il y a deux mois.
Cette vidéo provient de la chaîne Andreash sur Brighteon.com.
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CVS, Rite Aid et Walgreens vont fermer plus de 1 500 magasins en raison de l'augmentation de la criminalité dans le commerce de détail, laissant des MILLIONS de personnes sans accès local aux médicaments.
Le Mexique envisage de déployer des troupes de la Garde nationale pour défendre les autoroutes à forte criminalité et mettre un terme au vol de marchandises.
Les voleurs ciblent désormais les conteneurs chargés d’appareils électroniques et d’articles ménagers.
La cannelle regorge de nutriments qui peuvent être bénéfiques aux personnes souffrant de maladies cardiaques et de diabète.
21/11/2023 Arsenio Toledo
Il existe des dizaines de bienfaits prouvés pour la santé lorsque vous consommez la merveilleuse épice connue sous le nom de cannelle. La cannelle est une épice ancienne récoltée sur les branches des arbres du genre Cinnamomum. Il est cultivé partout dans le monde, de l’Asie du Sud et du Sud-Est continental jusqu’aux Caraïbes et à l’Amérique du Sud.
La cannelle est désormais la deuxième épice la plus populaire – après le poivre noir – aux États-Unis et en Europe. Comme épice, on l’utilise soit sous forme de poudre, soit entière, sous forme de morceaux d’écorce. Il est apprécié pour ses propriétés médicinales depuis des milliers d’années. (Connexe : Augmentez votre apport en antioxydants avec de la cannelle, une épice polyvalente au profil de saveur douce et chaleureuse.)
Selon le ministère américain de l'Agriculture, même une seule cuillère à café de cannelle moulue regorge de nutriments, notamment du calcium, du potassium, du magnésium, du phosphore et des vitamines K et A.
Un bâton de cannelle peut être consommé de différentes manières. La cannelle elle-même confère de merveilleuses saveurs aux plats ou aux sauces pendant le processus de cuisson, la cannelle moulue étant régulièrement mélangée ou saupoudrée sur des aliments à feuilles persistantes et sur le thème des fêtes comme les pâtisseries, les desserts, les plats salés et les boissons.
Il existe des traces d’utilisation de la cannelle comme médicament qui remontent jusqu’à l’Égypte ancienne, alors qu’elle était une denrée rare utilisée uniquement par les échelons supérieurs des sociétés anciennes.
Ces peuples anciens ne comprenaient probablement pas comment la cannelle conférait ses propriétés médicinales, mais seulement qu'elle avait un effet positif sur les personnes souffrant de maladies et sur le maintien d'une santé optimale.
Ce que la société comprend désormais, c'est que la cannelle regorge de puissants antioxydants qui protègent l'organisme des dommages oxydatifs causés par les radicaux libres, notamment les polyphénols. Une étude a même révélé qu’une supplémentation en cannelle pouvait augmenter considérablement les niveaux d’antioxydants dans le sang, tout en réduisant les niveaux de marqueurs utilisés par les scientifiques pour mesurer l’inflammation.
D'autres études ont établi un lien entre la cannelle et un risque réduit de maladie cardiaque, une étude suggérant qu'une supplémentation d'au moins 1,5 gramme de cannelle par jour aide à réduire les niveaux de triglycérides, de mauvais cholestérol et de sucre dans le sang chez les personnes atteintes de maladies métaboliques. Les taux de triglycérides et de cholestérol total sont des facteurs de risque de développer une maladie cardiaque.
La capacité de la cannelle à abaisser le taux de sucre dans le sang est bénéfique pour les personnes atteintes de diabète.
Des études ont montré que la cannelle peut diminuer la quantité de sucre qui pénètre dans le sang après les repas, en interférant avec de nombreuses enzymes digestives, ce qui ralentit la dégradation des glucides dans le tube digestif.
Un composé de la cannelle peut également imiter les effets de l’insuline pour améliorer l’absorption du sucre dans les cellules.
De plus, la cannelle peut aider à réduire la résistance à l’insuline, une caractéristique des personnes souffrant de diabète de type 2. Il est essentiel de réduire la résistance à l’insuline et d’améliorer la sensibilité à l’insuline, car l’insuline est l’une des hormones clés pour réguler le métabolisme et la consommation d’énergie.
Des dizaines d’autres études ont examiné les autres effets positifs de la cannelle.
La cannelle a des propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes, antivirales et antifongiques ; exerce des effets bénéfiques sur les personnes atteintes de maladies neurodégénératives ; et peut aider à protéger contre certains types de cancers.
Apprenez-en davantage sur les différents avantages pour la santé liés à la consommation de différents types d’aliments sains sur FoodIsMedicine.com.
Regardez cette vidéo du Health Ranger Store discutant d'une recette facile de muffins aux pommes et à la cannelle qui regorgent de protéines.
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Store sur Brighteon.com.
Les 80 % les plus pauvres se sont considérablement appauvris depuis le début de la pandémie Cela crée une « mentalité de Robin des Bois » partout en Amérique
Par Michael Snyder L'effondrement économique 20 novembre 2023
Les riches sont devenus de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres, ce qui entraîne toutes sortes de problèmes sociétaux. Grâce aux médias sociaux, les pauvres peuvent constater l’incroyable richesse dont jouissent les riches, et ils sont profondément envieux. Bien sûr, le fait qu’afficher sa richesse soit devenu l’un des passe-temps favoris des riches n’aide certainement pas. Beaucoup d’entre eux adorent publier des photos et des vidéos de leur style de vie luxueux sur leurs comptes de réseaux sociaux, et ce n’est pas une bonne chose. Parce que les temps n’ont pas été bons pour la majeure partie du pays. En fait, une toute nouvelle étude de la Réserve fédérale a découvert que les 80 % les plus pauvres ont « des dépôts bancaires et autres actifs liquides inférieurs à leur situation en mars 2020 »…
En juin, les 80 % des ménages les plus pauvres en termes de revenus, après ajustement de l'inflation, avaient des dépôts bancaires et d'autres actifs liquides inférieurs à leur situation en mars 2020. Cette baisse marque un changement significatif par rapport aux phases initiales de la pandémie, où divers Certains facteurs, notamment le soutien financier du gouvernement et les possibilités de dépenses restreintes pendant les confinements, ont conduit à une accumulation d’épargne excédentaire.
En d’autres termes, la grande majorité des Américains s’appauvrissent.
Pendant ce temps, les riches ne cessent de devenir encore plus riches…
La Réserve fédérale, ainsi que les calculs de Bloomberg, ont identifié un retrait rapide de cette épargne excédentaire, particulièrement marqué parmi les groupes à faible revenu. Même si tous les groupes de revenus ont connu une diminution de leurs soldes de trésorerie en termes réels depuis le sommet de 2021, la disparité est remarquable. Le cinquième des ménages les plus riches disposent encore d’épargnes en espèces supérieures d’environ 8 % à leurs niveaux d’avant la COVID-19. À l’opposé, les deux cinquièmes les plus pauvres ont connu une diminution de 8 %, et les 40 % suivants – qui représentent largement la classe moyenne – ont vu leur épargne en espèces tomber en dessous des niveaux d’avant la pandémie.
À l’heure actuelle, l’écart entre les riches et le reste d’entre nous est le plus grand qu’il ait jamais été dans toute l’histoire de notre nation.
Selon un autre rapport qui vient d’être publié par le ministère du Travail, le salaire horaire moyen est aujourd’hui inférieur à ce qu’il était lorsque Joe Biden est entré pour la première fois à la Maison Blanche…
Des millions d’Américains ont bénéficié d’une réduction de salaire au cours des deux dernières années en raison d’une inflation élevée, un coup dur pour le président Biden alors qu’il tente de centrer sa campagne de réélection autour de la « bidenomics ».
Le ministère du Travail a rapporté mardi que le salaire horaire moyen de tous les employés était de 11,05 dollars en octobre, soit une baisse de 3,32 % par rapport au chiffre de 11,43 dollars de janvier 2021, lorsque Biden a pris ses fonctions.
Et à mesure que le rythme des licenciements s’accélère, des millions d’Américains n’auront bientôt plus aucun emploi.
Cette semaine, on apprend que Citigroup a entamé des licenciements massifs…
L'une des plus grandes banques américaines va entamer mercredi des licenciements massifs dans le cadre d'une refonte de son entreprise alors que l'entreprise cherche à réduire ses dépenses d'exploitation à des niveaux plus conformes à ceux de ses concurrents, selon CNBC.
Citigroup commencera à supprimer des effectifs mercredi, et de nouveaux licenciements continueront d'être annoncés jusqu'à la semaine prochaine, affectant certains chefs de cabinet, directeurs généraux et employés de niveau inférieur, selon CNBC. Suite à la première série de licenciements, davantage d’employés occupant des postes moins élevés devraient être licenciés en février, et les licenciements devraient être entièrement terminés d’ici mars 2024.
Et Stellantis vient d’annoncer avoir proposé des rachats à environ la moitié de ses salariés…
Stellantis, l'un des trois grands constructeurs automobiles américains, a proposé lundi de racheter environ la moitié de ses employés alors qu'il cherche à réduire ses coûts lors de sa transition vers les véhicules électriques (VE) et à assumer l'augmentation des coûts résultant d'une nouvelle convention collective.
La société mère de grandes marques automobiles comme Chrysler, Dodge, Jeep et Ram a proposé des rachats volontaires à environ 6 400 de ses quelque 12 700 employés salariés qui ne sont pas représentés par un syndicat et ont au moins cinq ans d’expérience. Les salariés qui acceptent cette incitation quitteront l’entreprise avant la fin décembre.
À mesure que les conditions économiques se sont détériorées, la criminalité a explosé.
Ces derniers jours, j’ai écrit sur les vols choquants dont nous sommes témoins dans tout le pays, mais celui-ci est le plus important…
C'est le moment choquant où une foule de 40 personnes a pillé un camion FedEx alors qu'il était arrêté à un feu rouge à Memphis, Tennessee.
Vers 20 h 30 samedi, une remorque de 53 pieds a été saccagée alors qu'elle se trouvait dans la circulation à l'intersection de Riverport Road et de West Mallory Avenue.
Après que le conducteur ait signalé le vol, la police de Memphis est arrivée et a vu des véhicules s'éloigner à toute vitesse avec un certain nombre de cartons jetés sur la route.
Le camion FedEx n’avait nulle part où aller, car une fois arrivé à l’intersection, des voitures se sont soudainement mises en position pour le bloquer…
Le chauffeur du camion a déclaré à la police que des voitures bloquaient le carrefour juste avant qu'un groupe d'hommes n'ouvre la porte arrière scellée et pille la remorque.
Trois hommes ont depuis été arrêtés après que le groupe enragé ait causé près de 10 000 $ de dégâts et volé de nombreux objets tels que des haut-parleurs Kicker, une boîte d'avions de ligne et trois décodeurs de câble DirectTV.
Dans mon tout nouveau livre intitulé « Chaos », j’avertis spécifiquement les gens d’éviter Memphis autant que possible.
C'est devenue l'une des villes les plus dangereuses de tout le pays.
Mais bien sûr, nous commençons à voir ce genre de crimes partout.
De grands groupes de personnes ont décidé qu’il était acceptable de prendre aux riches et aux entreprises qu’ils contrôlent et de les donner aux pauvres (à eux-mêmes), car les riches ont probablement exploité les pauvres pour obtenir leur richesse en premier lieu.
Cette sorte de « mentalité de Robin des Bois » est extrêmement dangereuse et se propage rapidement.
Et maintenant, nous avons une période électorale et une guerre au Moyen-Orient pour jeter de l’huile sur le feu. Jeudi, un groupe de manifestants fous a fermé tout le Bay Bridge…
Un groupe bien coordonné de centaines de manifestants pro-palestiniens a fermé le Bay Bridge jeudi matin, bloquant la circulation aux heures de pointe et appelant les dirigeants du monde à mettre fin à la guerre à Gaza lors du sommet de l'APEC.
Cet événement chaotique de quatre heures, qui a débuté vers 7 h 45, s'est soldé par au moins 70 arrestations et 29 voitures remorquées. Toutes les voies ont finalement été rouvertes juste avant midi, mais pas après qu'au moins 200 manifestants se soient enchaînés et aient délibérément jeté leurs clés de voiture dans la baie, bloquant ainsi les efforts visant à rouvrir la travée aux conducteurs frustrés.
Inutile de dire que ce n’est qu’un début.
La guerre au Moyen-Orient va continuer à s’intensifier et 2024 sera de loin l’année électorale la plus chaotique que nous ayons jamais connue.
Alors attachez votre ceinture et tenez bon, car nous allons assister à des niveaux stupéfiants de troubles civils et de criminalité en 2024 et au-delà.
Reprinted with permission from The Economic Collapse.
"Une dictature sans larmes" Discours prémonitoire d'Aldous Huxley en 1961
Par John Leake Discours courageux 20 novembre 2023
En 1961, le président Eisenhower a prononcé son célèbre discours d’adieu au « complexe militaro-industriel » dans lequel il a mis en garde contre « le potentiel de montée désastreuse d’un pouvoir mal placé ». Au cours de cette même année et l'année suivante, Aldous Huxley a donné une conférence dans différentes institutions de Californie, notamment au UC Medical Center de San Francisco et à l'Université de Californie à Berkeley, dans laquelle il a proposé qu'à l'avenir, les tyrans n'utiliseraient plus la terreur et les camps de concentration, mais des méthodes bien plus raffinées pour induire la servitude des citoyens.
S'appuyant sur le désir compréhensible de confort, de sécurité et de plaisir, les nouveaux dictateurs obtiendront le consentement des gouvernés en les incitant à PROFITER de leur servitude. Lors de son discours à l’Université de Berkeley en 1962, il a explicitement opposé sa vision à celle d’Orwell dans le livre 1984.
Et ici, je voudrais comparer brièvement la parabole du Meilleur des Mondes avec une autre parabole qui a été présentée plus récemment dans le livre de George Orwell, Nineteen Eighty-Four. Orwell a écrit son livre entre, je pense, entre 45 et 48, à l'époque où le régime terroriste stalinien battait encore son plein et juste après l'effondrement du régime terroriste hitlérien. Et son livre que j'admire beaucoup, c'est un livre d'un très grand talent et d'une ingéniosité extraordinaire, montre pour ainsi dire une projection dans le futur du passé immédiat, de ce qu'était pour lui le passé immédiat, et le présent immédiat, il était une projection dans le futur d’une société où le contrôle était entièrement exercé par le terrorisme et des attaques violentes contre l’esprit et le corps des individus.
Alors que mon propre livre, écrit en 1932, alors qu'il n'existait qu'une légère dictature sous la forme de Mussolini, n'était pas éclipsé par l'idée du terrorisme, et j'étais donc libre, d'une manière dont Orwell ne l'était pas, de penser à propos de ces autres méthodes de contrôle, de ces méthodes non violentes et de mon, j'ai tendance à penser que les dictatures scientifiques du futur, et je pense qu'il y aura des dictatures scientifiques dans de nombreuses régions du monde, seront probablement un Bien plus proches du modèle du Meilleur des Mondes que de celui de 1984, ils le seront beaucoup plus près, non pas à cause des scrupules humanitaires des dictateurs scientifiques, mais simplement parce que le modèle BNW est probablement beaucoup plus efficace que l’autre.
Cela si vous parvenez à amener les gens à consentir à la situation dans laquelle ils vivent. L'état de servitude, l'état d'être, dont les différences ont été aplanies et qui se prêtent aux méthodes de production de masse au niveau social, si vous pouvez le faire, alors vous aurez, vous aurez probablement une vie beaucoup plus stable et durable. société. Une société bien plus facilement contrôlable que si elle s’en remettait entièrement aux matraques, aux pelotons d’exécution et aux camps de concentration.
Un autre discours que Huxley a apparemment donné à peu près à la même époque (j'ai du mal à trouver une copie de la transcription complète) est cité plus souvent, en particulier le passage suivant. La plupart des références en ligne indiquent que la citation est tirée d'un discours qu'il a prononcé devant le « Tavistock Group, California Medical School, 1961 », bien que je ne sois pas en mesure de le vérifier. Quoi qu’il en soit, ce qu’il a apparemment déclaré dans ce discours me semble remarquablement prémonitoire :
Il y aura, dans la prochaine génération, une méthode pharmacologique pour faire aimer aux gens leur servitude et produire une dictature sans larmes, pour ainsi dire, produisant une sorte de camp de concentration indolore pour des sociétés entières, de sorte que les gens auront en fait leur propre droit. libertés qui leur seront retirées, mais ils en profiteront plutôt, car ils seront distraits de toute volonté de rébellion par la propagande ou le lavage de cerveau, ou le lavage de cerveau renforcé par des méthodes pharmacologiques. Et cela semble être la révolution finale.
Ces réflexions m’ont immédiatement interpellé, car ces dernières années, j’ai souvent pensé que le pouvoir de nos suzerains venait autant de notre propre stupéfaction et de notre distraction que de leur puissance.
Chaque jour qui passe apporte de nouvelles révélations sur le caractère absurdement frauduleux de la pandémie de COVID-19 et sur la réponse officielle à celle-ci. La réalité n’est même pas cachée : elle n’est tout simplement pas rapportée dans les médias traditionnels, et une grande partie de la population est trop stupéfaite et distraite pour voir ce qui se trouve sous ses yeux.
Ceci est apparu à l’origine sur Courageous Discourse.
Quelle que soit la servitude apportée les êtres humains demeurent des êtres humains. L'intelligence est INDIVIDUELLE. S'il y a 8 milliards d'habitants sur Terre il y a 8 milliards de QI différents !
Les entreprises familiales ne peuvent pas se permettre de perdre l’accès à une électricité fiable
PAR TYLER DURDEN LUNDI 20 NOVEMBRE 2023 - 00h05 Rédigé par Palmer Schoening via RealClear Wire,
Une électricité fiable et peu coûteuse est essentielle pour maintenir l’éclairage de millions d’entreprises familiales américaines.
C’est le type d’élément essentiel qui touche presque tous les aspects de notre vie ; la boulangerie s'appuie sur des fours, l'atelier de réparation sur des outils électriques et l'épicier local sur la réfrigération, et ainsi de suite. Une source d’énergie constante et abordable garantit qu’ils peuvent fonctionner sans interruption et maintenir des prix compétitifs pour leurs clients malgré de faibles marges et une économie fragile. Malheureusement, des politiques fédérales malavisées menacent désormais de perturber davantage notre réseau électrique et pourraient entraîner la fermeture de ces entreprises.
Au cours des dernières années, les États-Unis sont rapidement passés d’une stratégie énergétique sensée et globale à une stratégie motivée par le désir singulier d’éliminer l’électricité produite à partir de combustibles fossiles. Cet objectif de changement énergétique pourrait même être quelque peu défendable si notre économie et notre réseau électrique ne sont clairement pas prêts pour la transition précipitée et imprudente que les régulateurs fédéraux précipitent.
Comme tous les autres domaines de l’économie, les marchés de l’énergie adhèrent aux lois fondamentales de l’offre et de la demande. Les régulateurs ont déformé le secteur pour forcer les centrales électriques conventionnelles à mettre hors service prématurément, réduisant ainsi la production totale d’électricité et augmentant les prix. L’administration Biden a soutenu ces actions sur la base de l’affirmation douteuse selon laquelle des incitations positives pour les projets solaires et éoliens permettraient à de nouveaux panneaux et parcs éoliens de remplacer entièrement les centrales électriques conventionnelles.
Mais la réalité finit par rattraper son retard, et même si les régulateurs ont réussi à pousser les marges au point où de nombreuses centrales électriques traditionnelles ont du mal à être compétitives financièrement, ils n’ont pas réussi à créer les conditions nécessaires au déploiement rapide de nouvelles technologies pour remplacer ces ressources importantes. Pour des raisons allant de l'autorisation à la logistique en passant par les dépenses, des milliers de projets d'énergies renouvelables ont été retardés pendant des années, dans certains cas au-delà des dates de mise hors service prévues des centrales existantes qu'ils sont censés remplacer. Tout cela a un coût élevé pour les entreprises familiales comme les industries manufacturières, qui dépendent d’une énergie abordable pour garder leurs portes ouvertes et leurs employés employés.
Les entreprises familiales ne devraient pas être obligées – et ne peuvent pas se le permettre – de payer la facture d’un passage aléatoire et artificiel à des technologies nouvelles et non éprouvées avant que notre réseau ne soit prêt pour cela. Et même si une éventuelle transition énergétique est inévitable, les récentes pannes d’électricité au Texas, en Californie et dans d’autres régions du pays révèlent à quel point nous sommes loin d’une telle transition organique. Malgré les efforts déployés par un petit groupe de régulateurs activistes, la production d’énergie thermique – charbon, gaz naturel et nucléaire inclus – reste une partie essentielle de notre mix énergétique.
Les petites entreprises de tout le pays espèrent que maintenir les prix de l’énergie à l’abri d’une nouvelle inflation pourrait encore constituer un rare consensus bipartite à Washington. Avant que la situation ne s’aggrave et que des dommages irréversibles ne soient causés à l’épine dorsale de l’économie américaine, les décideurs politiques doivent comprendre qu’abandonner l’approche « tout ce qui précède » avant que le pays ne soit préparé entraînera davantage de fermetures d’entreprises et donc moins d’emplois dans nos communautés.
Palmer Schoening est président de la Family Business Coalition.
Le recyclage des mythes écologiques est la menace existentielle
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 19 NOVEMBRE 2023 - 20:35 Rédigé par J. Peder Zane via RealClear Wire,
Le mythe du recyclage – Sauvez la planète en séparant le papier et le plastique ! – est une fausseté fondamentale du mouvement vert.
En promettant une solution relativement simple à un prétendu problème, il a permis à la gauche de contrôler les comportements à travers une morale inventée qui stigmatise la dissidence : seules les mauvaises personnes refusent de recycler.
Comme la plupart des interventions progressistes – depuis les politiques sociales qui ont détruit des familles tout en augmentant la dépendance, jusqu’aux réformes sur la consommation de drogues qui ont rempli les rues des villes de toxicomanes désespérés – les plans de recyclage qui semblent bons sur le papier (et le plastique) se sont continuellement heurtés à la réalité, de sorte que même les médias libéraux tels que comme le New York Times (« Votre recyclage est recyclé, n'est-ce pas ? Peut-être ou peut-être pas »), NPR (« Le recyclage du plastique est pratiquement impossible – et le problème s'aggrave ») et le magazine Atlantic (« Le recyclage du plastique ne fonctionne pas »). Work and Will Never Work ») ont fini par reconnaître leurs échecs.
La même dynamique est désormais à l’œuvre, revalorisant un fantasme vert bien plus important : la volonté de la gauche de décarboner les États-Unis et d’autres économies industrielles occidentales au cours des prochaines décennies et d’atteindre un calcul de pureté écologique connu sous le nom de Net Zero. Tout en brandissant le gourdin moral de toutes ses forces – le président Biden décrit le changement climatique comme « une crise existentielle », c’est-à-dire que chaque personne, chaque chiot mourra si nous ne nous soumettons pas à son programme – la gauche suggère également que la transition sera facile. : Construisez simplement des moulins à vent, installez des panneaux solaires et remplacez votre voiture, votre poêle et vos ampoules par des alternatives plus propres et moins chères.
Même si une grande partie des médias encourageants minimisent ce fait, il est déjà clair que l’objectif extrêmement coûteux et extrêmement perturbateur de Biden est une chimère. Dans une récente série d’articles, mes collègues de RealClearInvestigations ont rendu compte de plusieurs problèmes apparemment insolubles que l’administration et ses alliés écologiques tentent de faire disparaître.
La malhonnêteté commence avec le moteur de l’économie verte – la vaste gamme de parcs éoliens et solaires qui doivent être construits pour remplacer les installations de charbon et de gaz qui alimentent notre économie. James Varney a rapporté pour RCI que la ligne officielle du ministère de l'Énergie est que les installations nécessaires pour atteindre l'objectif de Biden de « 100 % d'électricité propre » d'ici 2035 nécessiteront « moins d'un demi pour cent de la superficie contiguë des États-Unis » – ou environ 15 000 des 48 inférieurs s'étendent sur environ 3 millions de miles carrés. Cependant, a noté Varney, « le rapport gouvernemental qui a fourni ces estimations note également que l'empreinte du parc éolien à elle seule pourrait nécessiter une étendue neuf fois plus grande : 134 000 milles carrés. Cela équivaut à la masse terrestre de l’Ohio, de l’Indiana et du Kentucky réunis – plus toute la Nouvelle-Angleterre.
Faisant écho à l’adage du XIXe siècle selon lequel les chiffres ne mentent pas, mais les menteurs croient, l’écart concerne principalement les estimations de ce qui peut être construit autour des moulins à vent. L’empreinte au sol de chaque éolienne est relativement petite, mais elles doivent être très espacées. Le chiffre le plus petit du DOE repose sur l’hypothèse fantaisiste selon laquelle toutes les terres environnantes peuvent être utilisées pour l’agriculture et à d’autres fins, tandis que le chiffre plus élevé suppose qu’aucune d’entre elles ne le sera. La vérité se situe probablement quelque part entre les deux. Le fait que le gouvernement vante un nombre incroyablement petit – tout en ignorant les terrains supplémentaires nécessaires à la construction de lignes de transmission qui transporteront le courant jusqu’aux utilisateurs finaux – est révélateur et troublant.
Compte tenu des délais ambitieux de Biden pour la construction – 2035 n’est qu’une douzaine d’années – on pourrait s’attendre à ce que l’administration dispose d’un plan directeur détaillant où et quand ces fermes vertes seront construites. Ce ne est pas. Et, comme Steve Miller l'a rapporté pour RCI, ce défi semble déjà insurmontable étant donné la « résistance populaire… qui se rassemble dans diverses nouvelles lois étatiques et ordonnances locales qui menacent d'enliser le développement de l'énergie solaire et éolienne dans une guerre juridique et réglementaire sur plusieurs fronts à grande échelle. jamais vu auparavant. »
Ironie du sort, les opposants invoquent régulièrement des arguments concernant les espèces en voie de disparition et les zones humides que les écologistes utilisent depuis longtemps pour alimenter les pipelines, les champs de gaz et d’autres projets de combustibles fossiles.
Un autre problème largement ignoré concerne les bornes de recharge pour véhicules électriques. John Murawski a rapporté pour RCI que la première décision prise par la Californie d'interdire la vente de nouvelles voitures à essence après 2035 met en évidence un éventail de défis et de bouleversements. Pour maintenir les voitures électriques en circulation, l’État « devra peut-être installer au moins 20 chargeurs électriques pour chaque pompe à essence actuellement en service afin de créer un réseau fiable et transparent » – soit plus de 2 millions de nouvelles stations au cours de la prochaine décennie, soit environ 10 fois plus de ports EV que de buses de station-service.
Il pourrait être difficile de convaincre les entreprises privées d’héberger les chargeurs, car, comme le souligne un rapport de 2022 de la California Energy Commission, « les revenus issus de la vente d’électricité à eux seuls ne suffisent souvent pas aujourd’hui pour que les chargeurs soient rentables, en particulier pour les stations moins utilisées. » C’est pourquoi la Californie investit au moins 14 milliards de dollars pour subventionner ce fantasme.
Même si l’infrastructure des véhicules électriques est construite, cela nécessitera un changement massif de comportement. Les jours où l’on faisait le plein une ou deux fois par semaine deviendront probablement un lointain souvenir. La plupart des stations publiques ne pourront fournir qu'une portée comprise entre cinq et 60 miles pour une heure de branchement. Les citoyens privés devront financer leur propre infrastructure de recharge à domicile, tandis que les locataires et les conducteurs à faible revenu devront compter sur les largesses des employeurs et des municipalités pour fournir des chargeurs.
Le rêve vert implique également des questions géopolitiques épineuses. Ben Weingarten a rapporté pour RCI que la transition américaine vers les énergies renouvelables donne du pouvoir à son plus redoutable adversaire économique. « La Chine occupe actuellement une position dominante dans l’industrie des énergies propres, contrôlant les ressources naturelles et fabriquant les composants essentiels à la transition énergétique alternative souhaitée par l’administration Biden », a écrit Weingarten. « Les experts en énergie estiment que sa domination va se renforcer dans les années à venir en raison de l'opposition des écologistes nationaux aux opérations minières et de raffinage perçues comme « sales » et du blitz de dépenses en « énergie propre » de l'administration Biden – qui pourrait rapporter des milliards de dollars aux entreprises et filiales chinoises. subventions. »
De plus, si les États-Unis ralentissent leur production de pétrole et de gaz dans les années à venir, les pays hostiles ou problématiques qui continuent à forer – notamment l’Iran, la Russie, l’Arabie Saoudite, le Qatar et le Venezuela – en récolteront les fruits si les énergies renouvelables ne parviennent pas à devenir une source d’énergie. source d’énergie fiable.
Enfin, l’effacement systématique de ces questions et d’autres questions qui en découlent fait partie d’un vaste effort visant à réprimer les opinions dissidentes. Alors que les partisans de l’action climatique au sein du gouvernement, des médias et du monde universitaire affirment que la science est établie, Murawski a rapporté pour RCI qu’un nombre croissant d’experts remettent courageusement en question cette orthodoxie. En août, par exemple, « plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel de physique, ont signé une déclaration affirmant qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que le plaidoyer climatique a dégénéré en hystérie collective », a écrit Murawski. « Les sceptiques affirment que la transformation radicale de sociétés entières se déroule sans débat approfondi, basé sur des affirmations scientifiques douteuses amplifiées par un journalisme instinctif. »
En détaillant les principaux arguments de ces sceptiques, Murawski a indiqué que peu d’entre eux tombent dans le camp des « négationnistes du climat » – une étiquette honteuse utilisée pour assimiler le changement climatique à l’Holocauste. Ils reconnaissent que la Terre se réchauffe. Certains, cependant, se demandent si l’activité humaine est à blâmer et, si c’est le cas, si les interventions humaines massives exigées peuvent faire une grande différence. D’autres affirment que l’argent dépensé pour réorganiser l’économie serait mieux dépensé pour stimuler une croissance économique qui permettra aux gens de s’adapter à un monde en évolution.
Murawski a rapporté que de nombreux dissidents estiment que « les slogans tels que « suivre la science » et le consensus scientifique » sont trompeurs et fallacieux. Il n’existe pas de consensus sur de nombreuses questions clés, telles que l’urgence de cesser de brûler des combustibles fossiles ou l’exactitude des prévisions des modèles informatiques sur les températures mondiales futures. Le consensus apparent sur un désastre imminent est fabriqué par la pression des pairs, l’intimidation et les priorités de financement de la recherche, fondés sur la conviction que les « nobles mensonges », « l’entrepreneuriat consensuel » et le « plaidoyer furtif » sont nécessaires pour sauver l’humanité d’elle-même.
Un mensonge est rarement noble. Cela témoigne presque toujours d’un argument faible et d’un mépris envers ceux qu’il cherche à influencer. Ceux qui voient le changement climatique comme un danger urgent et croient savoir comment contrer cette menace devraient faire valoir leur cause sans détour au lieu de recycler des mythes éculés. Notre démocratie est confrontée à une menace existentielle lorsque la volonté du peuple cède la place à la coercition des masses.
America The Obese : Comment les contribuables sont obligés de ruiner leur santé
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 22 NOVEMBRE 2023 - 02:25 Rédigé par Stephen Manuszak via The Mises Institute,
Le premier texte législatif adopté par le nouveau Congrès des États-Unis d'Amérique après la ratification de la Constitution prévoyait un droit de douane sur l'importation de sucre étranger. Bien que ce tarif ait été adopté comme moyen de lever les fonds nécessaires pour payer les dettes accumulées pendant la guerre d’indépendance, il a également fourni, par coïncidence, des protections élaborées aux producteurs de canne à sucre et de betteraves sucrières les plus riches du pays.
Les subventions indirectes accordées aux producteurs de sucre par le Tariff Act de 1789 ont été réapprouvées et signées, désormais via le Farm Bill, tous les cinq ans par tous les présidents disponibles, jusqu'à Donald J. Trump inclus. Depuis plus de deux cents ans, ces producteurs de sucre américains ont pu vendre leurs produits à des prix plus élevés que ce que le marché permettrait normalement. Plus tard cette année, le président Joe Biden aura également l’occasion d’apposer sa signature sur le projet de loi.
À la fin des années 1960, l’Institut national des sciences et technologies industrielles avancées du Japon a découvert une enzyme capable de convertir efficacement et facilement la fécule de maïs en fructose. Cette technologie a finalement été vendue à des entreprises américaines et, en 1983, la Food and Drug Administration a approuvé le sirop de maïs à haute teneur en fructose comme étant sans danger pour la consommation. En peu de temps, l’industrie alimentaire a profité de cette nouvelle forme d’édulcorant bon marché en quantités extraordinaires. L’offre de cet ersatz de sucre devint abondante. Le marché, comme on pouvait s’y attendre, a profité de cette opportunité pour réduire les prix du sucre historiquement élevés générés par les droits de douane susmentionnés.
En raison de cette opportunité de marché, une nouvelle politique agricole a été poussée aux plus hauts niveaux du gouvernement fédéral. De 1971 à 1976, sous les auspices de Richard Nixon, le secrétaire à l’Agriculture, un homme bruyant et bruyant nommé Earl Butz, est devenu célèbre pour avoir imaginé une nouvelle politique « de clôture à clôture » : une production maximale de maïs et de soja, selon la demande. car ces récoltes étaient maintenant élevées. Il a poussé les agriculteurs à s’endetter pour acheter davantage de terres et de machines pour stimuler la production. Désormais, de somptueuses subventions gouvernementales (par le biais du même Farm Bill mentionné plus haut) furent distribuées aux producteurs de maïs. La production de ces cultures a grimpé en flèche et, étant donné l’augmentation de l’offre de maïs, les édulcorants tels que le sirop de maïs à haute teneur en fructose sont devenus moins chers sur le marché libre.
Pour bien comprendre comment les politiques gouvernementales entraînent des effets néfastes sur la santé, il est important de comprendre comment le corps humain métabolise les différents types de sucre. Le sucre le plus abondant sur terre est le glucose, un sucre hexagonal à six carbones, auquel notre corps s'est principalement adapté et utilisé pour la production d'énergie. Le fructose, un pentagone à cinq carbones, est un autre sucre présent dans la nature, naturel dans de nombreux aliments et une autre source d'énergie pour le corps. De même, le glucose et le fructose sont décomposés dans l’organisme au cours du métabolisme par une voie biochimique appelée glycolyse.
Cependant, en raison de sa forme, le fructose contourne une enzyme clé du processus biochimique qui peut servir à contrôler la production d’énergie. Par conséquent, une molécule de fructose entrant dans la glycolyse est métabolisée et stockée plus rapidement et plus facilement que le glucose. Dans l’ensemble, une ingestion excessive de fructose entraîne un excès de graisse dans le corps.
C’est précisément ce que nous avons vu s’étendre du niveau moléculaire jusqu’au niveau de la population : une montée en flèche des taux d’obésité, principalement due à une consommation excessive de sucre. Aujourd’hui, les Américains consomment en moyenne 130 livres de sucre ajouté par an, dont une grande partie provient du fructose. Il s’agit d’une forte hausse par rapport aux années 1970, lorsque la consommation annuelle moyenne était plus proche de quatre-vingts livres.
De même, l’obésité a explosé depuis les années 1970. L'épidémie d'obésité continue de s'aggraver, approchant rapidement une prévalence de 50 pour cent dans le pays.
L’obésité peut augmenter les risques de diabète, de maladies cardiaques, de maladies vasculaires périphériques, d’insuffisance rénale, d’infections graves (par exemple, pires conséquences du Covid), d’arthrose, d’accident vasculaire cérébral, de cécité, de différentes formes de cancer et de dépression, et la liste est longue. L'obésité raccourcit non seulement l'espérance de vie, mais diminue également la qualité de vie, notamment en imposant une pression financière à l'individu. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) rapportent que les frais médicaux annuels pour les adultes obèses étaient 1 861 $ plus élevés que les frais médicaux pour les personnes ayant un poids santé.
L’obésité exerce également une pression financière sur la société dans son ensemble. Le CDC a rapporté que le coût médical annuel de l’obésité s’élevait à près de 173 milliards de dollars en dollars de 2019 ; il s’agit selon toute vraisemblance d’une sous-estimation. Si l’on considère le budget de l’année fiscale américaine sous forme de diagramme circulaire, l’une des plus grosses tranches du budget va à Medicare et Medicaid. Il n’est pas surprenant de constater que la dette nationale atteint des sommets insondables.
Les politiques mises en avant par le gouvernement national ont des conséquences concrètes, qui mettent parfois des décennies, voire des siècles – si l’on veut ramener les causes et les effets à la loi douanière de 1789 – à se manifester pleinement. Il est à la fois triste et presque comique de voir le contribuable américain subventionner les industries de la canne à sucre et de la betterave sucrière – ce qui exerce une pression à la hausse sur le prix du sucre – pour ensuite subventionner l'industrie du maïs afin de réduire les prix élevés du sucre, seulement plus tard pour le contribuable. être à nouveau imposé pour financer Medicare et Medicaid dans le cadre de la tentative du gouvernement de freiner les conséquences de l'obésité sur la santé.
Beaucoup acclameront le président, tant de la gauche très dépensière que de la droite pro-agriculteur, alors qu'il placera son John Hancock sur le Farm Bill qui doit être renouvelé cette année. Comprenez cependant que subventionner les agriculteurs pour produire en masse du maïs est l’un des principaux facteurs de déclin sanitaire et économique dans notre pays.
60 ans après l'assassinat de John F. Kennedy – Les instigateurs de l'attentat dévoilés
RépondreSupprimer21.11.2023
www.kla.tv/27500
Nous sommes le 22 novembre 1963, Kennedy est en visite dans la métropole de Dallas au Texas. Avec son épouse Jackie, il traverse la ville en voiture ouverte. Des dizaines de milliers de personnes sont sur le bord de la route et acclament le couple. Soudain, des coups de feu retentissent, une balle atteint le président à la tête.
Qui sont les instigateurs de l'assassinat de John F. Kennedy ? Ce documentaire présente les révélations et les corrélations importantes concernant les auteurs de l'assassinat de Kennedy. Il révèle les relations entre les politiciens, le complexe militaro-industriel et les sociétés secrètes qui agissent dans l'ombre jusqu'à aujourd'hui et qui éliminent toute juridiction indépendante.
Le 22 novembre 1963, le 35e président des États-Unis, John F. Kennedy, a été tué dans un attentat. Tout comme le 11 septembre, l'assassinat de Kennedy compte parmi les événements historiques les plus marquants du siècle dernier. Une grande partie de la population est aujourd'hui convaincue que la version officielle de l'assassinat de Kennedy ne correspond pas à la vérité.
Dans cette émission, Kla.TV révèle des interconnexions dévastatrices qui, 60 ans après l'assassinat de Kennedy, continuent d'exister dans le monde entier et d'avoir une influence lourde de conséquences sur les événements mondiaux. Il est donc crucial pour chacun de connaître les liens dévoilés et les dessous fatals de l'assassinat de Kennedy.
I. Moins d'une heure et demie après l'assassinat, Lee Harvey Oswald, 24 ans, a été arrêté comme suspect. Le FBI l'a certes présenté comme un auteur unique et il est officiellement considéré comme l'assassin de Kennedy. Mais cette version ne résiste pas à un examen approfondi.
Un test au nitrate auquel il a dû se soumettre le soir de l'attentat a été un indice à la décharge d'Oswald. Un test au nitrate permet de détecter des traces d'utilisation d'une arme à feu sur la main et les vêtements. Le résultat du test a en effet montré qu'Oswald n'avait tiré aucun coup de feu avec une arme au cours des 24 heures précédentes. De plus, ses empreintes digitales n'ont pas été retrouvées sur le fusil avec lequel il aurait tiré sur le président.
Oswald lui-même a nié les faits avec véhémence et a déclaré qu'il n'avait tiré sur personne. Voici un enregistrement peu après l'attentat où il dit : « Je ne suis qu'un bouc émissaire. » Le procès, c'est-à-dire l'audience de Lee Oswald, n'a pas eu lieu. En effet, deux jours seulement après son arrestation, il a été abattu par le propriétaire d'une boîte de nuit, Jack Ruby.
Il est étrange que Lee Oswald ait été abattu dans un poste de police sécurisé. De plus, les éléments suivants sont accablants : la police avait interrogé Oswald, mais a indiqué plus tard qu'elle avait omis de dresser un procès-verbal de ses déclarations. N’aurait-il pas dû y avoir justement un protocole ou un enregistrement pour cette enquête cruciale ?
L'enregistrement original d'Abraham Zapruder réfute l'hypothèse d'un acte isolé
Selon la version officielle, Lee Oswald est l’unique auteur et a tiré depuis le sixième étage d'un entrepôt de livres scolaires. Selon ce rapport, la balle mortelle dans la tête a été tirée sur Kennedy par derrière.
RépondreSupprimerCette version officielle a été violemment ébranlée en 1975 avec la publication du film dit « Zapruder ». Sur les images d'Abraham Zapruder, qui, en tant que spectateur, avait filmé le président au Texas, on voit clairement que la tête de Kennedy est violemment projetée en arrière vers la gauche par le tir mortel et que la balle vient donc de face. Cela indique que le président a également été atteint de face et qu'il devait y avoir plusieurs tireurs.
Révélations de l'avocat Mark Lane
Dès 1966, l'avocat Mark Lane a révélé que la théorie de l'auteur unique ne tenait pas. Lane s'est entretenu avec un grand nombre de témoins et a publié un livre intitulé « Rush to Judgement » - en français « Jugement hâtif ». Dans son film du même nom, de nombreux témoins ont déclaré que Kennedy avait également été abattu de face, depuis une colline herbeuse.
La trajectoire particulière de la balle
La version officielle du crime indique que Lee Harvey Oswald était seul et a tiré trois coups de feu par derrière. Pour ne pas compromettre cette théorie de l'auteur unique, on a expliqué au public que le deuxième tir avait provoqué sept blessures d'entrée et de sortie chez Kennedy et chez le gouverneur John Connally assis devant lui. La balle avait une trajectoire si particulière qu'elle a blessé, outre Kennedy, le dos, la poitrine, le poignet et la cuisse de Connally, changeant plusieurs fois de trajectoire.
Comme la trajectoire de la balle défie toutes les lois de la physique, ce deuxième tir est donc appelé la « balle magique » dans la recherche sur Kennedy. Toutes les contradictions disparaissent immédiatement si on suppose qu'au moins un autre tireur était positionné non pas derrière la limousine de Kennedy, mais devant elle.
L'ex-garde du corps de John F. Kennedy témoigne
Paul Landis, agent des services secrets et garde du corps de John F. Kennedy, se trouvait à quelques mètres de Kennedy lorsque les coups de feu mortels ont été tirés. En publiant ses mémoires en octobre 2023, le témoin direct de l'assassinat a rompu un silence de plusieurs décennies. Le point central de son livre de révélations est la fameuse « balle magique ». Sur la base de ses observations, il estime qu'il est impossible que seuls trois coups de feu aient été tirés. Il est convaincu qu'il y avait plusieurs tireurs !
Enlèvement du corps
John F. Kennedy a été transporté à l'hôpital Parkland de Dallas immédiatement après l'assassinat. Les médecins de cet hôpital ont insisté pour que l'autopsie soit réalisée sur place, comme le prévoyait d'ailleurs la législation texane. Une autopsie minutieuse aurait permis de déterminer combien de fois Kennedy avait été touché et dans quelles directions. Mais on y a renoncé : le chirurgien Dr Charles Crenshaw a en effet rapporté plus tard : « Le corps du président a été enlevé de force aux responsables de l'autopsie, les autorités du Texas. »
Malgré l'opposition farouche du Dr Earl Rose, chef du service de pathologie médico-légale de l'hôpital Parkland, le corps de Kennedy a été enlevé par des agents des services secrets, arme au poing, le jour même à 14 heures. Les agents des services secrets ont transporté le corps à Washington, au Bethesda Naval Hospital, où l'autopsie a commencé à 19 heures sous la surveillance de militaires haut gradés.
Dans un article consacré à l'autopsie de John F. Kennedy à l'hôpital militaire, le Deutsches Ärzteblatt s'est exprimé comme suit :
RépondreSupprimer« L’analyse neuro-légale [= examen déterminé] du président assassiné et même ses soins médicaux d'urgence sont également marqués par quelques contradictions. [...] - avec, entre autres, une autopsie pratiquée à un endroit autre que celui prescrit par la loi [...] et une trachéotomie [= incision de la trachée] pratiquée exactement dans le canal de tir d'une blessure, ce qui, au sens strictement légal, correspond à la manipulation d'une pièce à conviction. [...] L'autopsie est qualifiée d'incomplète dans la littérature médico-légale. Entre autres, le cerveau n'aurait pas été examiné en profondeur dans un premier temps, surtout pour déterminer la balistique de la balle mortelle. »
Les photos d'autopsie et les radiographies publiées des années plus tard sont en contradiction avec différents témoignages. Tant l'infirmière Audrey Bell que le chirurgien, le Dr Robert McClelland, travaillant au Parkland Hospital, ont parlé d'une énorme blessure à l'arrière de la tête. Sur la base de ses observations, le Dr McClelland a estimé que le tir mortel devait avoir été tiré de l'avant.
Le docteur Charles Crenshaw a également exprimé dans une interview sa conviction que le président Kennedy avait été abattu de face :
« Nous l'avons enveloppé dans un drap et l'avons placé dans le cercueil. Mais avant de le faire, j'ai regardé la blessure une dernière fois. Je voulais savoir et garder ce souvenir le reste de ma vie. Et le reste de ma vie, je le saurai toujours : Il a été abattu de face. »
II. De nombreux témoignages, les lois de la physique ainsi que des enregistrements vidéo prouvent qu'il y avait plusieurs personnes qui avaient tiré sur John F. Kennedy. S'il ne s'agissait pas d'un tireur unique, qui étaient alors les auteurs et les commanditaires de cet assassinat ? Qui avait un motif pour assassiner le président américain ? Y avait-il des cercles de personnes pour qui la politique de Kennedy était une épine dans le pied ?
John Fitzgerald Kennedy, appelé John F. Kennedy, a prêté serment le 20 janvier 1961 en tant que 35e président des États-Unis. Il était issu d'une famille politiquement très respectée. La photo le montre avec ses frères Robert F. Kennedy, ministre de la Justice dans le cabinet de John F. Kennedy, et Edward Kennedy, sénateur de longue date pour l'État américain du Massachusetts.
Durant son mandat, Kennedy s'est surtout fait remarquer par sa politique de paix. La crise des missiles de Cuba en 1962 a mené le monde au bord de la guerre nucléaire. John F. Kennedy a refusé de suivre les conseils de ses généraux qui avaient proposé une invasion de l'île. Au lieu de cela, il a opté pour un blocus maritime. Kennedy a alors négocié avec Nikita Khrouchtchev, le chef du gouvernement de l'Union soviétique communiste, et lui a promis de s'abstenir de toute nouvelle attaque contre Cuba. C’est ainsi que la menace d'une guerre nucléaire entre les États-Unis et l'Union soviétique a pu être évitée.
En octobre 1963, un peu plus d'un mois avant sa mort, Kennedy a également commencé à retirer les troupes américaines du Vietnam. Dans un mémorandum officiel daté du 11 octobre 1963, il a ordonné le retrait d'un millier de militaires américains du Vietnam avant la fin de l'année.
RépondreSupprimerRobert McNamara, le ministre de la Défense du cabinet de John F. Kennedy, a indiqué plus tard que Kennedy se serait entièrement retiré du Vietnam s'il avait été encore en vie.
Avec cette politique, Kennedy s'était toutefois mis à dos le complexe militaro-industriel et les services secrets américains. Ceux-ci avaient en effet pour objectif d'étendre la suprématie des États-Unis par de nouvelles guerres d'agression et des interventions militaires, notamment au Vietnam et à Cuba.
C'était précisément la raison de l'invasion de la Baie des Cochons à Cuba en 1961, qui toutefois s'était soldée par un échec. Il s'agissait d'une opération militaire clandestine de la CIA visant à renverser le président cubain Fidel Castro. Kennedy a alors renvoyé le directeur de la CIA, Allen Dulles, et a annoncé son intention de démanteler les structures de pouvoir au sein de la CIA. Son objectif était de replacer la CIA sous contrôle politique.
Dans la recherche des commanditaires de l'assassinat de Kennedy, la piste des services secrets américains est évidente.
L'historien suisse Daniele Ganser s'exprime à ce sujet :
« A mon avis, l'assassinat de Kennedy a été commandité par Allen Dulles. Allen Dulles était le directeur des services secrets américains, la CIA. [...] Richard Bissell est responsable des opérations secrètes au sein du département de la CIA. Il est le bras droit d'Allen Dulles. Et il les a renvoyés tous les deux. [...] Ils pensaient tous les deux que Kennedy représentait un risque pour la sécurité des États-Unis et pour les intérêts impériaux américains. Parce qu'ils pensaient que s'il ne frappait pas, par exemple contre Fidel contre Cuba, s'il ne frappait pas contre le Vietnam, s'il ne faisait pas la guerre, alors rien ne se passerait pour la domination américaine dans le monde. »
Robert F. Kennedy Jr., neveu de John F. Kennedy et aujourd’hui candidat à la présidence américaine est également convaincu que la CIA a participé à l'assassinat du chef d'État américain en 1963. Dans une interview en mai 2023, il accuse les services secrets américains d'avoir brouillé les pistes pendant des décennies.
Kennedy sur la mort de son oncle :
« Il existe des preuves accablantes de l'implication de la CIA dans son assassinat. »
La CIA a été créée en 1941 par le président Franklin D. Roosevelt. Son premier directeur fut William Joseph Donovan. Il était membre de la Fondation Rockefeller et travaillait pour la famille Rockefeller. Allen Dulles est devenu directeur de la CIA en 1953. À partir de 1945, il a été président du très influent Council on Foreign Relations (prononcer kaonnsel onn forinn rilèyshenz), ou CFR.
Le CFR a été fondé en 1921 par des banquiers connus comme John D. Rockefeller Junior et est depuis financé en grande partie par la famille Rockefeller. David Rockefeller, décédé en 2017, a siégé au conseil d'administration du CFR dès 1949 et l'a ensuite dirigé.
Derrière ce groupe de réflexion se cache un tel pouvoir que le magazine d'information DER SPIEGEL écrivait déjà en 1975 qu'il s'agissait de « l'institution privée la plus influente d'Amérique et du monde occidental ». Jusqu'à aujourd'hui, le Council on Foreign Relations tire les ficelles comme une sorte de gouvernement fantôme. L'administration américaine est également dirigée depuis ce centre stratégique dans le but de faire avancer ce qu’on appelle le « nouvel ordre mondial ».
Presque tous les directeurs de la CIA étaient ou sont membres du CFR. Les agents de la CIA sont actifs dans le monde entier, le plus souvent sous couverture via l'ambassade américaine des pays concernés.
Quelques heures après l'assassinat de John F. Kennedy, Lyndon B. Johnson a prêté serment en tant que nouveau président américain à bord d'Air Force One.
RépondreSupprimerJohnson s'était ainsi hissé au sommet de la politique américaine sans avoir été élu. Johnson mit fin à la politique de paix de Kennedy et mena les États-Unis à la guerre avec le Nord-Vietnam. Jusqu'en 1968, plus de 500 000 soldats américains furent stationnés au Vietnam. La CIA s'est largement engagée dans cette guerre et a mené de nombreuses opérations politiques et militaires clandestines.
En 1995, le Vietnam a annoncé que les opérations de guerre avaient tué quatre millions de civils nord- et sud-vietnamiens et 1,1 million de soldats et de combattants vietnamiens jusqu'en 1975, soit environ un huitième de la population totale du Vietnam.
Les scientifiques estiment que les États-Unis ont largué sur le Vietnam deux fois plus de bombes que pendant la Seconde Guerre mondiale. L’« agent orange », une arme chimique utilisée à cette occasion a empoisonné de manière permanente une superficie estimée à 24 000 kilomètres carrés, soit un septième de la superficie totale du Sud-Vietnam. En conséquence, un million d'adultes et 150 000 enfants vietnamiens souffrent de cancers ou de dommages psychiques et génétiques.
Daniele Ganser :
« Vous devez savoir qu'après l'assassinat de Kennedy en 63, la guerre du Vietnam a éclaté en 1964. D'ailleurs, sur la base d'un mensonge [...]. Puis 11 ans de guerre jusqu'en 1975. Trois millions de Vietnamiens, 58 000 Américains morts, le napalm, l'agent orange, des enfants déformés... Des crimes énormes, tous. Kennedy ne voulait pas cela. Il voulait - et c'est son ministre de la Défense McNamara qui l'a dit - retirer tous les conseillers américains du Sud-Vietnam avant la fin 65. Et 50 jours après cette décision, Kennedy a été assassiné. »
Discours remarquable de John F. Kennedy du 27 avril 1961
En 1961 à New York, Kennedy a prononcé un discours remarquable devant les principaux éditeurs de journaux du pays. Il y mettait en garde contre les sociétés secrètes et contre une conspiration mondiale.
John F. Kennedy dit textuellement : « Le mot même de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte ; et en tant que peuple, nous sommes par nature et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux délibérations secrètes. [...]
Car nous sommes confrontés, tout autour du monde, à une conspiration monolithique [= uniforme] et impitoyable qui s'appuie principalement sur des moyens occultes pour étendre sa sphère d'influence. [...]
C'est un système qui a mis en place, avec d'énormes ressources humaines et matérielles, une machinerie étroitement liée, complexe et efficace, combinant des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques. [...] Ceux qui pensent autrement ne sont pas les bienvenus, mais ils sont réduits au silence. »
Le sénateur républicain Ron Paul a constaté en 2016 : « Franchement, il y a une force extérieure que nous appelons « gouvernement de l'ombre » ou « État profond ». Ces gens ont une grande influence, ils sont en fait plus puissants que notre gouvernement, que notre président. »
DE QUELLES SOCIÉTÉS SECRÈTES ET DE QUELLE CONSPIRATION PARLE KENNEDY ?
RépondreSupprimerLes présidents américains avant John F. Kennedy
Franklin D. Roosevelt (Président de 1933 à 1945)
Roosevelt était un membre très actif de la franc-maçonnerie et a reçu de nombreuses délégations maçonniques à la Maison Blanche pendant ses années de présidence. Il était membre de la Holland Lodge n° 8 à New York.
Harry S. Truman (Président de 1945 à 1953)
Truman est devenu franc-maçon actif en 1909, à l'âge de 25 ans, à la "Belton Lodge No. 450" dans le Missouri. Il a ensuite fondé la 'Grandview Lodge N° 618' et a finalement été promu Grand Maître de la Grande Loge du Missouri en 1940.
Dwight D. Eisenhower (Président de 1953 à 1961)
Eisenhower, comme de nombreux présidents américains, a prêté serment d'allégeance à "la Bible maçonnique". L'exemplaire provenait de la St. John's Lodge, la plus ancienne loge maçonnique de New York.
Dwight D. Eisenhower était membre du CFR depuis 1949. Après son élection à la présidence des États-Unis, Eisenhower a recruté de nombreux membres du cabinet dans les rangs du CFR. La nomination la plus importante qu'il ait faite est celle de John Foster Dulles, membre du CFR et frère d'Allen Dulles, au poste de secrétaire d'État.
Le président des États-Unis John F. Kennedy (Président de 1961 à 1963)
Kennedy n'a pas prêté serment sur la Bible maçonnique, mais sur sa Bible familiale catholique.
John F. Kennedy n'était pas franc-maçon et n'était pas non plus membre du CFR.
Les présidents américains après John F. Kennedy
Lyndon B. Johnson (Président de 1963 à 1969)
Johnson était également franc-maçon. Il s'est inscrit en 1937 à la Johnson City Lodge n° 561 au Texas et était également membre de la loge maçonnique Janus.
Richard Nixon (Président de 1969 à 1974)
Richard Nixon était lui aussi franc-maçon. Il était également un habitué du Bohemian Groove, un club exclusif ouvert uniquement aux dirigeants d'élite masculins. Il a été membre du CFR à partir de 1961.
Gerald Ford (Président de 1974 à 1977)
Gerald Ford a été admis dans la loge maçonnique Malta Lodge N° 465 en 1949. En 1962, il a été promu au 33e degré de la franc-maçonnerie. Il était également membre de la loge maçonnique Three Eyes, fondée par David Rockefeller. Il était également membre du CFR depuis 1982.
Jimmy Carter (Président de 1977 à 1981)
Il a été nommé par David Rockefeller en avril 1973 à la Commission trilatérale, qui agit en tant que relais du CFR. Il a également été membre du CFR.
Ronald Reagan (Président de 1981 à 1989)
RépondreSupprimerÉtait membre de la loge maçonnique White Eagle.
George Bush sen. (Président de 1989 à 1993)
Bush senior était membre de la Commission trilatérale fondée par David Rockefeller et Henry Kissinger, franc-maçon au 33e degré, membre des loges maçonniques Hathor Pentalhpa, Three Eyes et Edmund Burke.
Bill Clinton (Président de 1993 à 2001)
Dès sa jeunesse, Clinton est devenu membre du Hot Springs Chapter de l'Order of DeMolay, un groupe de jeunes affilié à la franc-maçonnerie. Il est finalement devenu membre des loges maçonniques Janus, Maat et Three Eyes. Il est membre du CFR depuis 1981.
George W. Bush (Président de 2001 à 2009)
Il est membre de la loge maçonnique Hathor Pentalpha et de la société secrète Skull & Bones..
Barack Obama (Président de 2009 à 2017)
Il est membre de la loge maçonnique Maat.
Donald Trump (Président de 2017 à 2021)
On ne connaît aucun lien de Trump avec la franc-maçonnerie ou le CFR.
Joe Biden (Président depuis 2021)
Il est membre de la loge maçonnique Maat.
I. En 1963, la commission Warren a été officiellement chargée d'enquêter sur l'assassinat de John F. Kennedy et d'en identifier les auteurs. Cette commission d'enquête était-elle indépendante ou faisait-elle également partie de la conspiration évoquée par Kennedy ?
Quatre jours après l'assassinat, le président Lyndon B. Johnson a mis en place la commission dite Warren, chargée de faire la lumière sur les circonstances de l'assassinat de Kennedy. Le rapport final fut publié en septembre 1964. La commission a étayé la théorie officielle et a conclu que le président Kennedy avait été assassiné par Lee Harvey Oswald et qu'il n'y avait pas eu de complot pour assassiner Kennedy.
L'auteur de best-sellers américain Jim Moore a publié en 1991 un livre sur l'assassinat de Kennedy dans lequel il expliquait que la Commission n'avait pas mené de véritable enquête : « La Commission Warren, cela doit être clair, n'a jamais mené de véritable enquête. Elle a commencé par une conclusion et a ensuite travaillé assez soigneusement pour s'assurer que les faits disponibles correspondaient à la décision préétablie. » L'historien anglais Hugh Trevor-Roper a également exprimé de fortes réserves sur le rapport de la Commission Warren : « J'ai eu l'impression que le texte présentait de graves lacunes. En outre, les parties faibles apparaissaient encore plus faibles à l'examen qu'à première vue. »
RépondreSupprimerLes membres de la Commission Warren
La Commission tire son nom de son président, le juge en chef des États-Unis, Earl Warren (prononcer erl waren). Warren, comme le président Johnson qui l'a nommé à la commission d'enquête, était très actif dans la franc-maçonnerie. Il était franc-maçon au 33e degré et Grand Maître pour l'État de Californie.
Richard Brevard Russell était gouverneur et sénateur américain de Géorgie.
Il était également franc-maçon et membre de la Winder Lodge n° 33 en Géorgie, où il a été promu au 33e haut degré maçonnique.
John Sherman Cooper était un sénateur américain du Parti républicain et un franc-maçon de 33e degré. Cooper était également membre de la société secrète Skull & Bones.
Gerald Ford devint quelques années plus tard - de 1974 à 1977 - le 38e président des États-Unis. Ford a été initié en 1949 dans la loge maçonnique Malta Lodge No. 465 à Grand Rapids, où il a été promu au 33e haut degré maçonnique.
Selon un document du FBI datant de 1963 et rendu public en 2008, Ford a été en contact avec le FBI pendant toute la durée de son mandat au sein de la Commission Warren et a transmis des informations sur les activités du comité au personnel du FBI.
Allen Welsh Dulles était le directeur de la CIA.
Avec Dulles, c'est justement l'un des principaux suspects de l'assassinat de Kennedy qui siégeait dans la commission d'enquête. Lui et son frère John Foster Dulles avaient des relations familiales avec David Rockefeller et étaient cofondateurs du Council on Foreign Relations. Allen Dulles, 33e degré maçonnique, a également siégé au conseil d'administration du CFR de 1927 à 1969.
John Jay McCloy, le président du conseil d'administration de la Chase Manhattan Bank, a été nommé président de la Banque mondiale en 1947. Il était un ami proche de la famille Rockefeller et président du CFR de 1953 à 1970, c'est-à-dire à l'époque où a eu lieu l'assassinat de John F. Kennedy.
Thomas Hale Boggs, également franc-maçon du 33e degré, a toutefois remis en question le travail de la commission Warren dans les années 1970. Il doutait fortement de la théorie de la "balle magique" et s'est finalement engagé pour une réouverture du « dossier Kennedy ». Mais cela n'a pas eu lieu ! Boggs disparut en octobre 1972 dans un accident d'avion inexpliqué.
Autres personnes décisives de la Commission Warren
Nicholas Katzenbach et John Edgar Hoover sont considérés comme les autres initiateurs de la Commission Warren.
Nicholas Katzenbach était membre du CFR et a siégé à son conseil d'administration de 1975 à 1986.
John Edgar Hoover, franc-maçon du 33e degré et membre de la Loge fédérale n°1 à Washington D.C., était à l'époque directeur du FBI. En tant que tel, il a également été à la tête de l'enquête du FBI sur l'affaire Kennedy.
Dealey Plaza - le lieu de l'assassinat de Kennedy
RépondreSupprimerLa Dealey Plaza est un parc urbain situé dans le centre-ville de Dallas. C'est le lieu de l'assassinat de John F. Kennedy. Cela ne doit pas non plus être une coïncidence, car la Dealey Plaza est également liée à la franc-maçonnerie. La personne qui a donné son nom au lieu - George Bannerman Dealey - était également un franc-maçon du 33e degré. Ce qui frappe sur la Dealey Plaza, c'est l'obélisque maçonnique avec l'inscription :
Dealey Plaza - lieu de naissance de Dallas.
C'est dans ce petit parc qu'a été construite la première maison. Celle-ci a également servi de premier palais de justice et de bureau de poste, de premier magasin et de première loge maçonnique.
La Commission Rockefeller
La population a critiqué avec véhémence la méthode de travail de la Commission Warren et n'a pas cru la version officielle. Le gouvernement américain s'est donc vu contraint de faire examiner les conclusions de la Commission Warren par quatre autres comités au total. En 1975, la Commission Rockefeller a été créée et présidée par Nelson Rockefeller, le frère de David Rockefeller. Il était également franc-maçon de haut niveau et membre de la loge maçonnique Three Eyes.
Elle a réaffirmé que la Commission Warren avait conclu à l'existence d'un seul assassin et a qualifié de « spéculations tirées par les cheveux » les allégations faisant état de plusieurs assassins.
Décès dans la famille Kennedy
Robert Kennedy, le frère cadet de John F. Kennedy, s'est engagé à ce que le meurtre de son frère soit élucidé. En 2013, son fils Robert F. Kennedy Jr. a déclaré dans une interview sur CBS que son père était « plutôt convaincu » que plusieurs personnes étaient impliquées dans l'assassinat de son frère. Il a qualifié le rapport de la commission Warren de « mauvais coup artisanal ».
Robert Kennedy s'est présenté aux élections présidentielles de 1968.
Lorsque Robert Kennedy a remporté les élections primaires en Californie et dans le Dakota du Sud, on lui donnait de bonnes chances de devenir le prochain président des États-Unis. Le 5 juin 1968, il s'est adressé à ses partisans peu après minuit dans une salle de bal de l'Ambassador Hotel de Los Angeles. Alors qu'il traversait les pièces de la cuisine de l'hôtel pour se rendre à la salle de presse, il a également été victime d'une tentative d'assassinat. Comme pour son frère John F. Kennedy, la version officielle parle d'un auteur unique, avec des contradictions tout aussi flagrantes.
Un autre frère de John F. Kennedy, Edward Kennedy, a survécu à un accident d'avion le 19 juin 1964, grièvement blessé. Le 13 janvier 1982, Ted Kennedy a manqué un avion qui a également eu un accident après le décollage.
John F. Kennedy Jr. était le fils de John F. Kennedy. Il est mort dans un accident d'avion en 1999, à l'âge de 38 ans. Sa femme Carolyn Bessette-Kennedy a également perdu la vie dans cet accident.
RépondreSupprimerII. Mot de la fin
Chers téléspectateurs, vous demandez-vous pourquoi, 60 ans après, l'assassinat de Kennedy est toujours d'actualité ?
Autour de l'attentat, on découvre un énorme abus de pouvoir et une incroyable dissimulation des véritables responsables et auteurs de l'attentat. Ce documentaire dévoile une vaste activité de sociétés secrètes qui ont placé leurs membres aux plus hauts postes de l'État et qui, jusqu'à aujourd'hui (!), n'hésitent pas à déclencher des guerres contre d'autres États ou à renverser des chefs de gouvernement.
Il suffit de jeter un coup d'œil à l'administration américaine actuelle pour se rendre compte que le complot impitoyable dénoncé par Kennedy existe toujours sous la forme d'un gouvernement del’ombre. Comme les précédents chefs de la CIA, l'actuel chef de la CIA, William Joseph Burns, travaille pour le CFR. L'actuel directeur du FBI, Christopher Wray, est également lié au CFR. Tout comme le président américain Joe Biden, qui est franc-maçon de haut grade et également très proche du CFR.
Kla.TV a déjà montré dans de nombreuses émissions que ce gouvernement clandestin n'existe pas seulement aux États-Unis, mais dans le monde entier. On y voit les mêmes sociétés secrètes et les mêmes tireurs de ficelles à l'œuvre. Ils se cachent derrière
● la dictature du Covid,
● la guerre Russie-Ukraine,
● la guerre israélo-palestinienne actuelle,
● la puissance mondiale qu'est la Chine,
● l'administration de l'UE
● et aussi lors du 11 septembre.
C'est la raison pour laquelle il est très important, 60 ans après l'assassinat de John F. Kennedy, d'exiger une enquête complète sur ce crime afin de mettre un terme au harcèlement des hommes dans le monde entier.
Seule une enquête indépendante permettra de dévoiler et de punir ceux qui dirigent ces sociétés secrètes dans le monde entier.
Kla.TV continue à faire preuve d'indépendance et d'investigation pour vous. Participez, vous aussi, à ce mouvement international de dévoilement et de vérité. Vous aussi, diffusez ces révélations autant que vous le pouvez.
Remarque importante :
RépondreSupprimerKla.TV tient à préciser expressément que la mention des personnes, du contexte et des interconnexions cités dans cette émission n'a pas pour but d'inciter le téléspectateur à porter un jugement antisémite. Même si les personnes et les groupes d'intérêts mentionnés dans cette émission se font passer pour des Juifs, chaque téléspectateur devrait garder à l'esprit que la violence, quel que soit son auteur, ne doit en aucun cas inciter à des jugements racistes. En effet, une enquête plus approfondie révèle souvent les faits suivants : Les personnes qui se retrouvent sous les feux de l'actualité grâce au journalisme d'investigation détournent l'attention de leurs actes de violence en invoquant ensuite leur groupe religieux ou leur nation comme bouc émissaire ou bouclier. Ainsi, on dirige délibérément la haine et la violence consécutive vers la communauté religieuse ou la nation de manière illégale. Le fait que, dans de nombreux cas, on n'a pas du tout affaire à de vrais juifs ou à de vrais adeptes d'autres religions, mais à une idéologie luciférienne, est expliqué en détail dans les émissions (en allemand) « Wider Rassismus und Verschwörung » (contre le racisme et la conspiration) (voir : www.kla.tv/23509) et « Das Geheimnis der Obelisken » (Le secret des obélisques) (voir : www.kla.tv/14340).
Comme le dit aussi la Bible en Apocalypse 2.9 : « ...qui se disent juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. »
de mw.
Sources / Liens :
Assassinat de John F. Kennedy - Contexte
Compact Spécial n° 39, 2023, Attentats de l'État profond, pages 10-19https://de.wikipedia.org/wiki/Attentat_auf_John_F._Kennedy
Dr. Daniele Ganser : Meurtre de Kennedy à Dallas en 1963 https://www.youtube.com/watch?v=Ij6NcSM7j78
Livre 'Imperium USA', Daniele Ganser, 2022, pages 189-205
L'ex-garde du corps de John F. Kennedy révèle ses secrets https://www.bild.de/news/ausland/news-ausland/kennedy-attentat-ex-agent-des-secret-service-zweifelt-an-offizieller-theorie-85362086.bild.html
Enlèvement du corps de Kennedy
Livre «FK - conspiration du silence» Charles Crenshaw, 1992
L'assassinat de John F. Kennedy : Un coup de feu qui a ébranlé le monde https://www.aerzteblatt.de/archiv/149862/Die-Ermordung-John-F-Kennedys-Ein-Schuss-der-die-Welt-erschuetterte
Le retrait des troupes américaines du Vietnam ordonné par Kennedy https://www.maryferrell.org/pages/Featured_Kennedy_and_Vietnam.html
William J. Donovan - Père fondateur de la CIA https://en.wikipedia.org/wiki/William_J._Donovan
RépondreSupprimerCouncil on Foreign Relations - Financement par la famille Rockefeller https://en.wikipedia.org/wiki/Council_on_Foreign_Relations
CFR - Cofondateur John Rockefeller Jr.
https://www.philanthropyroundtable.org/hall-of-fame/john-rockefeller-jr/
CFR - l'institution privée la plus influente
https://www.spiegel.de/politik/ein-politbuero-fuer-den-kapitalismus-a-9aa6a1fe-0002-0001-0000-000041389590
Des millions de morts de la guerre du Vietnam https://de.wikipedia.org/wiki/Vietnamkrieg#Tote_und_Verletzte
Franklin D. Roosevelt - Franc-maçon https://de.wikipedia.org/wiki/Franklin_D._Roosevelt#Mitgliedschaften
Harry S. Truman - Franc-maçon https://de.wikipedia.org/wiki/Harry_S._Truman#Freimaurerei
Dwight D. Eisenhower - Serment d'allégeance à la bible maçonnique
https://menora-bibel.jimdofree.com/historische-bibeln/englisch/bibeln-der-us-pr%C3%A4sidenten
Lyndon B. Johnson - Franc-maçon
https://www.focus.de/wissen/mensch/wer-die-usa-wirklich-regiert-verschwoerungstheorien_id_2197119.html
Richard Nixon - Franc-maçon
https://www.kathpedia.com/index.php/Freimaurer
Jimmy Carter - Membre de la Commission trilatérale https://en.wikipedia.org/wiki/Jimmy_Carter#Georgia_governorship_(1971%E2%80%931975)
Jimmy Carter - Membre du CFR
https://www.telepolis.de/features/Der-Klub-der-Weisen-Maenner-3419681.html
Gerald Ford, Ronald Reagan, George Bush, Bill Clinton, George W. Bush, Barack Obama, Joe Biden - Francs-maçons
LIVRE 'Massoni – Società a responsabilità illimitata. La scoperta delle Ur-Lodges', Giole Magaldi, 2019
Commission Warren : commission d'enquête officielle sur l'assassinat de Kennedy https://en.wikipedia.org/wiki/Warren_Commission
L'auteur Jim Moore démasque la Commission Warren
Livre 'Conspiracy of One: The Definitive Book on the Kennedy Assassination', Jim Moore, 1991, page 173
Earl Warren - Franc-maçon
https://en.wikipedia.org/wiki/Earl_Warren#Family_and_social_life
Richard Brevard Russell - Franc-maçon
https://politicalgraveyard.com/geo/GA/masons.html
John Sherman Cooper - Franc-maçon
https://en.wikipedia.org/wiki/John_Sherman_Cooper#Early_life
Gerald Ford - Franc-maçon
https://de.wikipedia.org/wiki/Gerald_Ford#Heirat_und_Freimaurerei
Allen Welsh Dulles - Franc-maçon
https://de.metapedia.org/wiki/Dulles,_John_Foster
John Jay McCloy - Franc-maçon
https://de.metapedia.org/wiki/McCloy,_John_Jay
Thomas Hale Boggs - Doutes sur les résultats de la Commission Warren
RépondreSupprimerhttps://en.wikipedia.org/wiki/Hale_Boggs#Later_House_elections
Affiliation maçonnique de la Commission Warren
LIVRE 'Massoni – Società a responsabilità illimitata. La scoperta delle Ur-Lodges', Giole Magaldi, 2019
John Edgar Hoover - Franc-maçon
https://en.wikipedia.org/wiki/J._Edgar_Hoover#Bureau_of_Investigation
Dealey Plaza - le lieu de l'assassinat de Kennedy
https://en.wikipedia.org/wiki/George_Dealey#Personal_life
La Commission Rockefeller
https://en.wikipedia.org/wiki/United_States_President%27s_Commission_on_CIA_Activities_within_the_United_States
Décès dans la famille Kennedy
https://www.planet-wissen.de/geschichte/persoenlichkeiten/die_kennedys/pwieschicksalsschlaegederkennedys100.html
https://www.kla.tv/fr
Vaccins iDNA pour générer une production interne de virus
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Recherche mondiale,
22 novembre 2023
« L’ADN d’immunisation » ou iDNA est une nouvelle classe de « vaccins » de thérapie génique qui code pour l’ensemble du virus.
Les « vaccins » iDNA transcrivent l’ARN génomique complet du virus vaccinal vivant atténué. L'ARN viral complet initie ensuite la réplication du virus vivant atténué dans les tissus du receveur du vaccin, entraînant une réponse immunitaire.
La plateforme iDNA peut être utilisée pour créer des vaccins de deux manières différentes. Vous pouvez soit cultiver l’ADNi dans une culture pour produire le vaccin de la manière conventionnelle, soit injecter l’ADNi directement au receveur et permettre à l’organisme de produire le virus vivant atténué en interne.
Les premiers essais sur l’homme d’une injection d’ADNi codant pour un virus vivant pourraient commencer dès 2024
Début avril 2023, le microbiologiste Kevin McKernan a rapporté avoir découvert des fragments d'ADN dans les injections d'ARNm réalisées par Pfizer et Moderna, soulevant des inquiétudes quant à la possibilité d'une intégration génomique, de maladies auto-immunes et de cancer. McKernan rapporte désormais avoir découvert une relation de dose entre la charge de contamination de l'ADN et les événements indésirables graves.
*
Si vous pensiez que les injections d’ARNm étaient les choses les plus folles que l’industrie du vaccin ait concoctées ces derniers temps, vous n’en avez pas encore vu la moitié. Ensuite, nous avons ce que l’on appelle « l’ADN d’immunisation » ou iDNA, 1 , 2 une nouvelle classe de « vaccins » de thérapie génique qui code pour l’ensemble du virus.
C'est comme l'ARNm, mais sous stéroïdes. Plutôt que de demander à vos cellules de produire une petite partie, la protéine de pointe d'un virus donné, les produits iDNA demandent aux cellules de produire le virus dans son intégralité. Comme décrit dans le brevet américain 8691563B2 : 3
« L'ADNi génère des vaccins vivants atténués dans des cellules eucaryotes in vitro ou in vivo pour les virus à ARN pathogènes… Lorsque l'ADNi est injecté au receveur du vaccin, l'ARN du virus vivant atténué est généré par transcription in vivo dans les tissus du receveur.
RépondreSupprimerCela déclenche la production de virus atténués dans la descendance dans les tissus du receveur du vaccin, ainsi que le déclenchement d’une réponse immunitaire efficace protégeant contre le virus de type sauvage non atténué.
Selon Medigen, basée à Taipei4, qui a lancé sa plateforme de « vaccins » iDNA en 2018, la technologie « combine la stabilité génétique de l’ADN avec l’efficacité exceptionnelle des vaccins vivants atténués ». Les vaccins « vivants atténués » font référence aux vaccins qui contiennent des virus vivants (viables) mais affaiblis (moins virulents).
La plateforme iDNA peut être utilisée pour créer des vaccins de deux manières différentes. Vous pouvez soit cultiver l’ADNi dans une culture pour produire le vaccin de la manière conventionnelle, soit injecter l’ADNi directement au receveur et permettre à l’organisme de produire le virus vivant atténué en interne.
Qu'est-ce qui pourrait mal se passer?
Un article de 2016 décrit ainsi le processus iDNA : 5
« Comme tout vaccin à ADN, les plasmides iDNA sont isolés de bactéries et incluent un promoteur eucaryote, tel que le promoteur majeur immédiat et précoce du cytomégalovirus (CMV).
Cependant, contrairement à un vaccin à ADN traditionnel qui implique la transcription de l'ARNm pour l'expression d'un antigène de sous-unité, les vaccins à ADNi transcrivent l'ARN génomique complet du virus vaccinal vivant atténué. L'ARN viral complet initie ensuite une réplication limitée du virus vivant atténué dans les tissus du receveur du vaccin, ce qui permet une immunisation efficace.
Essentiellement, le plasmide iDNA transforme un nombre limité de cellules chez le receveur du vaccin en usines à l'échelle cellulaire pour la « fabrication » de vaccins vivants atténués.
Ainsi, la technologie iDNA représente un nouveau type de vaccin à ADN. Avec l’introduction des vaccins iDNA lancés par ADN, les vaccins à base d’ADN peuvent être subdivisés en (i) vaccins à ADN qui expriment des antigènes de sous-unités et (ii) vaccins à ADN qui lancent des vaccins vivants atténués compétents pour la réplication…
En mars 2023, le fondateur de Cochrane, Peter Gøtzsche, et la journaliste d'investigation Maryanne Demasi ont publié une revue systématique des articles contenant des données sur les événements indésirables graves (EIG) associés aux vaccins contre le COVID. À propos du ZyCoV-D, ils ont écrit : 9
RépondreSupprimer« Un essai en Inde du ZyCoV-D, un vaccin basé sur l’ADN, s’est également révélé très problématique. Elle a randomisé 27 703 patients, âgés de 12 à 17 ans ou de 60 ans et plus. Un supplément a signalé un EIG [événement indésirable grave] dans le groupe vacciné et aucun dans le groupe placebo chez les personnes âgées et un contre deux chez les « sujets comorbides ».
Le texte principal était totalement différent, sans division par groupe randomisé. Il décrivait 15 EIG, mais sept d’entre eux étaient simplement positifs au COVID-19, ce qui n’est pas un EIG et appartient en outre à la déclaration des avantages et non des inconvénients. Il y a eu un décès dans chaque groupe. Cet article, difficile à interpréter, a été publié dans The Lancet. dix
Une recherche en ligne de données sur le ZyCoV-D m'a laissé les mains vides, donc à part cet article du Lancet (et un rapport intermédiaire sur le même essai 11 ), il ne semble pas y avoir grand-chose.
Quant à ce qu’ils ont utilisé comme placebo, cela reste également une énigme, comme le journal ne le précise pas. Tester un vaccin contre un autre est une astuce simple pour masquer les effets secondaires attendus, et nous savons qu’au moins un autre vaccin contre le COVID (AstraZeneca) n’a pas utilisé de placebo inerte mais plutôt un vaccin contre la méningite et la septicémie. 12 , 13
Donc, en résumé, la sécurité du ZyCoV-D est tout sauf claire. Même si nous disposions de données à ce sujet, cela ne nous dirait toujours pas grand-chose sur la sécurité des injections d’iDNA. Le ZyCoV-D ne code que pour deux protéines, alors que l’iDNA code pour un virus entier.
L'ADN présent dans les injections d'ARNm suscite des inquiétudes parmi les experts
Début avril 2023, le microbiologiste Kevin McKernan a rapporté avoir découvert des fragments d'ADN dans les injections d'ARNm réalisées par Pfizer et Moderna. 14 , 15 , 16 , 17 Le niveau de contamination d'ADN le plus élevé trouvé était de 30 %, ce qui signifie que près d'un tiers du contenu de la photo était de l'ADN plasmidique. Aucun ADN ne doit être présent dans un produit commercial à base d’ARNm fabriqué selon de bonnes pratiques de fabrication.
Depuis lors, d’autres ont confirmé ses résultats, notamment le professeur Phillip Buckhaults de l’Université de Caroline du Sud. En septembre 2023, il en a témoigné devant le comité ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud du ministère de la Santé et du Contrôle environnemental (DHEC).
Buckhaults est un biologiste moléculaire et un généticien du cancer possédant une vaste expérience dans le séquençage de l'ADN. Il a initialement entrepris de démystifier les affirmations de McKernan. À sa grande surprise, il a plutôt reproduit les conclusions de McKernan.
RépondreSupprimerDans son témoignage, il a expliqué comment ces contaminants de l'ADN peuvent s'intégrer dans votre génome et perturber le fonctionnement d'autres gènes, à long terme ou de façon permanente, et peuvent être transmis à la progéniture pendant des générations.
Il a déclaré aux sénateurs qu'il était « alarmé par la présence de cet ADN dans le vaccin », car « il existe un risque très réel » qu'il s'intègre dans le génome d'une personne et devienne un « élément permanent de la cellule » qui peut entraîner des problèmes auto-immuns et cancers. 19
Contaminants d'ADN dans les injections d'ARNm avec le feu vert des agences de santé
Dans un tweet du 21 octobre 2023, Steve Kirsch a soutenu : 20
« Vous pouvez désormais poursuivre les fabricants de vaccins à ARNm contre la COVID pour dommages et intérêts et la FDA est tenue de retirer les vaccins contre la COVID du marché. Pourquoi? Falsification. Les séquences de contaminants bioactifs plasmidiques n’ont PAS été signalées aux autorités réglementaires.
Santé Canada a confirmé jeudi la présence d'une contamination par l'ADN dans les vaccins Pfizer contre la COVID-19 et a également confirmé que Pfizer n'avait pas divulgué la contamination aux autorités de santé publique.
Les vérificateurs des faits ont riposté, déclarant que les régulateurs de la santé étaient effectivement au courant de la contamination avant que les injections ne soient autorisées, et qu'il n'y a « aucune preuve fiable montrant que l'ADN contenu dans les vaccins s'intègre dans notre ADN ou augmente le risque de cancer ». 21 , 22
Eh bien, ils ont au moins raison sur un point. Les agences de réglementation étaient clairement conscientes de ce problème, puisque Pfizer a soumis des documents à l'Agence européenne des médicaments (EMA) démontrant que les lots échantillonnés contenaient une large gamme d'ADN double brin (ADNdb). 23 Beaucoup de ces lots dépassaient largement les limites maximales de l'EMA.
Mais quant à savoir si l’ADN peut s’intégrer et causer un handicap, le vérificateur des faits s’est clairement trompé. L’intégration de l’ADN est reconnue depuis un certain temps et discutée dans la littérature médicale. Ce n'est pas une notion nouvelle. Quoi qu’il en soit, la Food and Drug Administration des États-Unis s’en fiche. Il a déclaré à Factcheck.org : 24
« L’affirmation selon laquelle la FDA est tenue de retirer du marché l’un des vaccins à ARNm COVID-19 autorisés ou approuvés est fausse. Avec plus d’un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à la séquence ou à la quantité d’ADN résiduel n’a été identifié.
RépondreSupprimerPeu importe le fait que des « cancers turbo » jamais vus auparavant envoient un nombre record de personnes dans la tombe. Rien à voir là-bas.
Réponse à la dose trouvée entre la charge de contamination de l'ADN et les événements indésirables
Le 27 octobre 2023, McKernan et quatre autres coauteurs ont publié un article préimprimé 25 dans lequel ils explorent la dose-réponse entre les lots de vaccins COVID contaminés par l'ADN et les événements indésirables graves.
Les lots testés comprenaient 27 flacons provenant de 12 lots uniques de Moderna et Pfizer. De l'ADN résiduel a été trouvé dans tous les flacons, mais Moderna avait des niveaux plus faibles et plus constants, ce qui suggère qu'ils utilisent un processus de fabrication plus standardisé que Pfizer. Le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a ensuite été interrogé pour connaître le nombre et la catégorisation des événements indésirables signalés pour chacun des lots testés.
« Les valeurs du cycle de quantification (Cq) (dilution 1:10) pour l’origine plasmidique de réplication (ori) et les séquences de pointes variaient respectivement entre 18,44 – 24,87 et 18,03 – 23,83 pour Pfizer, et 22,52 – 24,53 et 25,24 – 30,10 pour Moderna.
Ces valeurs correspondent à 0,28 – 4,27 ng/dose et 0,22 – 2,43 ng/dose (Pfizer), et 0,01-0,34 g/dose et 0,25 – 0,78 ng/dose (Moderna), respectivement pour ori et Spike…
Dans une analyse exploratoire, nous avons trouvé des preuves préliminaires d'une relation dose-réponse entre la quantité d'ADN par dose et la fréquence des événements indésirables graves (EIG). Cette relation était différente pour les produits Pfizer et Moderna…
Conclusion : Ces données démontrent la présence de milliards, voire de centaines de milliards de molécules d’ADN par dose dans ces vaccins. Grâce à la fluorométrie, tous les vaccins dépassent de 188 à 509 fois les directives relatives à l'ADN résiduel fixées par la FDA et l'OMS, soit 10 ng/dose.
Cependant, la teneur en ADN résiduel de la qPCR dans tous les vaccins était inférieure à ces lignes directrices, ce qui souligne l’importance de la clarté et de la cohérence méthodologiques lors de l’interprétation des lignes directrices quantitatives.
RépondreSupprimerLes preuves préliminaires d’un effet dose-réponse de l’ADN résiduel mesuré par qPCR et SAE justifient une confirmation et une enquête plus approfondie. Nos résultats élargissent les préoccupations existantes concernant la sécurité des vaccins et remettent en question la pertinence des lignes directrices conçues avant l’introduction d’une transfection efficace à l’aide des LNP.
Avec plusieurs limites évidentes, nous insistons pour que notre travail soit reproduit dans des conditions médico-légales et que les lignes directrices soient révisées pour tenir compte d’une transfection d’ADN et d’un dosage cumulatif très efficaces.
Ressources pour les personnes blessées par le vaccin COVID
Plus nous en apprenons sur les vaccins COVID, plus ils semblent pires, et si les vaccins iDNA deviennent réalité, nous pourrions être confrontés à une calamité encore plus grande. Il est temps de mettre fin à cette folie avant qu'il ne soit trop tard, et pour y parvenir, nous rejetons toutes les injections basées sur les gènes, qu'il s'agisse d'ARN, d'ARNm, d'ADN, d'ADNi ou tout ce qu'ils pourraient proposer.
De plus, si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins contre le COVID et que vous reconsidérez maintenant votre décision, il serait sage d'éviter tous les vaccins à partir de maintenant, y compris les vaccins conventionnels, car vous devez mettre fin à l'assaut contre votre corps. Même si vous n'avez ressenti aucun effet secondaire évident, votre santé peut quand même être affectée à long terme, alors ne prenez plus de piqûres.
Si vous souffrez d’effets secondaires, votre première tâche est d’éliminer la protéine de pointe produite par votre corps. Deux remèdes qui peuvent y parvenir sont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. Les deux médicaments se lient et facilitent l’élimination des protéines de pointe.
La Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) a développé un protocole de traitement post-vaccin appelé I-RECOVER . Étant donné que le protocole est continuellement mis à jour à mesure que davantage de données sont disponibles, le mieux est de télécharger la dernière version directement depuis le site Web du FLCCC à l'adresse covid19criticalcare.com. 26
Pour des suggestions supplémentaires, consultez le guide de désintoxication des protéines de pointe du Conseil mondial de la santé , 27 qui se concentre sur les substances naturelles comme les herbes, les suppléments et les thés. La thérapie par le sauna peut également aider à éliminer les protéines toxiques en stimulant l’autophagie.
*
Remarques
RépondreSupprimer1 Frontières des maladies tropicales, 18 mars 2022 ; 3
2, 5 Expert Rev Vaccines, septembre 2016 ; 15(9) : 1223-1234
3 Brevet américain 8691563B2
4Médigène _
6 New Scientist 6 novembre 2023 (Archivé)
7 BBC 20 août 2021
8, 10 The Lancet 2 avril 2022 ; 399(10332) : 1313-1321
9 medRxiv 22 mars 2023
11 Pharmacovigilance, efficacité, sécurité et immunogénicité du ZyCoV-D : résultats intermédiaires d'efficacité, page 12
12 Bureau Santé 1 octobre 2021
13 McGill 3 juillet 2020
14 Twitter KanekoaTheGreat 20 mai 2023
15, 23 Sous-pile Anandamide (Kevin McKernan) 20 mai 2023
16 La chaîne de la santé 22 mai 2023
17, 19 Spectator Australie 25 septembre 2023
18 Sous-pile de Jessica Rose 18 septembre 2023
20, 21 Retour d'expérience santé 21 octobre 2023
22, 24 Factcheck.org 3 novembre 2023
25 prépublications OSF 27 octobre 2023
26 Covid19criticalcare.com
27 Conseil mondial pour la santé Spike Protein Detox Guide 30 novembre 2021
https://www.globalresearch.ca/idna-vaccines-generate-internal-virus-production/5840805
Une fillette de Floride de sept ans a reçu deux injections d’ARNm Pfizer COVID-19. A maintenant un lupus érythémateux systémique (LED) et prend quotidiennement des stéroïdes, HCQ
RépondreSupprimer16 enfants contractent le LUPUS après Pfizer !
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
22 novembre 2023
Centre de la Floride – L'agent immobilier Jennifer Rios Rivera a fait vacciner sa fille de 7 ans avec le vaccin à ARNm Pfizer COVID-19 en décembre 2021 parce qu'elle était asthmatique.
- voir photo sur site -
Sa fille a développé des effets secondaires 10 jours après le deuxième vaccin d'ARNm Pfizer (douleurs thoraciques, douleurs articulaires, faiblesse des jambes), mais n'a pas pu obtenir de diagnostic avant 2 ans. Elle a finalement reçu un diagnostic de lupus et de polyarthrite rhumatoïde et prend maintenant des stéroïdes, du plaquenil et du Celebrex et présente toujours des symptômes ( source ).
Articles examinés
Septembre 2022 (Sagy et al) – Nouvelle apparition de lupus érythémateux systémique après le vaccin BNT162b2 à ARNm contre la COVID-19 : une série de cas et une revue de la littérature
Mai 2022 (Watanabe et al) – Rapport de cas : Nouvelle polyarthrite rhumatoïde suite à la vaccination contre la COVID-19
Septembre 2022 (Sagy et al) – Nouvelle apparition de lupus érythémateux systémique après le vaccin BNT162b2 à ARNm contre la COVID-19 : une série de cas et une revue de la littérature
Cas 1 : 24 millions avaient le premier ARNm Pfizer
3 jours plus tard, une éruption cutanée est apparue sur la tête, le cou et les bras, ainsi qu'une raideur aux deux poignets.
Cas 2 : 23 millions avaient le 2ème ARNm Pfizer
Un mois plus tard, il a développé de la fièvre et une pancytopénie, des ulcères buccaux et une éruption malaire sur le visage.
Cas 3 : 56 millions avaient le 2e ARNm Pfizer
Un mois plus tard, il a été admis à l'hôpital pour des douleurs articulaires de la main gauche et un gonflement des ganglions lymphatiques axillaires gauches.
L’examen a montré une arthrite bilatérale du genou et du poignet gauche.
Tous les trois ont reçu un diagnostic de lupus
La littérature revue a montré 3 autres cas après vaccination par ARNm :
27F, Moderna 2e dose , 2 semaines plus tard, arthrite
22F, Pfizer 1ère dose, 1 semaine plus tard vascularite cutanée, pancytopénie
24M, Pfizer 2ème dose , 2 semaines plus tard fièvre, arthrite, ulcères buccaux, etc.
Lupus post vaccin à ARNm : tableau clinique très variable
Outre le LED, le diagnostic de nouvelles maladies auto-immunes suite à la vaccination contre la COVID-19 a déjà été rapporté :
polyarthrite rhumatoïde
thrombocytopénie thrombotique immunitaire
maladies hépatiques auto-immunes
Le syndrome de Guillain Barre
Néphropathie à IgA
Deux théories sur le mécanisme :
1. mimétisme moléculaire de la protéine Spike avec les protéines humaines
2. Activation immunitaire qui produit l'interféron de type 1
Mai 2022 (Watanabe et al) – Rapport de cas : Nouvelle polyarthrite rhumatoïde suite à la vaccination contre la COVID-19
Un Japonais de 53 ans a reçu 2 injections d'ARNm Pfizer
4 semaines après la 2ème dose, son articulation du genou gauche est devenue enflée et douloureuse.
Les analyses de sang ont montré une élévation du facteur rhumatoïde, mais également des cytokines IL-6, TNF-a et IFN-I.
Diagnostic : Polyarthrite rhumatoïde causée par le vaccin Pfizer
Conclusion : « Étant donné que les réponses des cytokines pro-inflammatoires jouent un rôle crucial dans le développement des maladies auto-immunes, il est probable que la vaccination contre le COVID-19 puisse être un déclencheur de la production de cytokines pro-inflammatoires. »
RépondreSupprimer« Nous montrons ici un cas de PR de novo suite à une vaccination contre le COVID-19 et caractérisé par des réponses systémiques de cytokines pro-inflammatoires, notamment l'IFN-I, l'IL-6 et le TNF-α »
Enfants blessés par les vaccins à ARNm – 16 cas de nouvelle apparition de lupus
VAERS 1337921 : 16F (Nouveau Mexique) avait le 1er ARNm Pfizer. Deux jours plus tard, j'ai commencé à avoir une polyarthralgie, des myalgies, de l'arthrite, etc., évocatrices d'un lupus.
VAERS 1424433 : 17F (Virginie) avait le 2ème ARNm Pfizer. 2 semaines plus tard, j'ai commencé à ressentir des douleurs thoraciques et un essoufflement, les tests de laboratoire étaient positifs pour le lupus.
VAERS 1474796 : 16F (Virginie) avait le 1er Pfizer. Une semaine plus tard, elle a commencé à avoir des éruptions cutanées sur les jambes et ses pieds étaient enflés et douloureux. Après le deuxième traitement par Pfizer, tout son corps a développé des éruptions cutanées et ses douleurs aux pieds se sont aggravées. Les médecins soupçonnent le lupus.
VAERS 1794837 : 16F (Caroline du Nord) avait le 2ème Pfizer. 39 jours plus tard, vu pour des douleurs articulaires apparues quelques semaines après la 2e dose. Maintenant diagnostiqué avec un lupus et une glomérulonéphrite.
VAERS 1866616 : 16 M (étrangers) avaient le 2ème ARNm Pfizer. Deux jours plus tard, une réaction cutanée a commencé à se développer. Au bout de 12 jours, il avait une éruption cutanée en forme de papillon sur les deux joues et il s'est présenté à l'hôpital. Petites éruptions cutanées observées dans les extrémités et l'abdomen. Diagnostic : lupus érythémateux discoïde.
VAERS 1915358 : 15 M (étrangers) avaient le 2ème ARNm Pfizer. 9 jours plus tard, il a été hospitalisé pour myocardite, péricardite, LED (lupus).
VAERS 1934578 : 12F (étranger) avait l'ARNm de Pfizer le 24 septembre 2021. Elle a eu de la fièvre pendant 2 semaines après l'ARNm et s'est présentée aux urgences avec une faiblesse des membres et de la fièvre. A reçu un diagnostic de LED (lupus).
VAERS 1967228 : 15F (Illinois) avait le 2ème Pfizer. 10 jours plus tard, admis avec douleur thoracique, diagnostic d'embolie pulmonaire, LED, néphrite lupique
VAERS 1994301 : 14 M (étrangers) avaient le 1er ARNm Pfizer le 17 octobre 2021. Diagnostic de lupus le 12 novembre 2021, purpura thrombocytopénique, etc.
VAERS 2073323 : 10F (Californie) avait le 2e Pfizer. 21 jours plus tard, admis avec des tests auto-immuns, diagnostic de néphrite de LED (lupus)
VAERS 2192193 : 8F (Colorado) avait le 2e Pfizer. 30 heures après la vaccination, j'ai commencé à avoir des fièvres intermittentes quotidiennes et des œdèmes des extrémités. Diagnostic : Nouveau LED (Lupus) compliqué d'une néphrite lupique
RépondreSupprimerVAERS 2231412 : 17F (Massachusetts) avait le 2ème ARNm Pfizer. 13 jours plus tard, des maux de gorge et de la fièvre ont été diagnostiqués, un LED et une néphrite lupique ont été diagnostiqués.
VAERS 2321591 : 15F avait le 2ème ARNm Pfizer. Développé un lupus à cause du vaccin.
VAERS 2379244 : 11 M avaient le 2ème ARNm Pfizer. On lui a diagnostiqué un lupus 8 mois plus tard.
VAERS 2482327 : 16F avait l'ARNm de Pfizer le 24 novembre 2021. Hospitalisé et diagnostiqué avec LED (lupus) avec néphrite le 22 décembre 2021.
VAERS 2582228 : 11F (Kentucky) avait le 3ème ARNm Pfizer. 3 jours plus tard, des lésions faciales (macules érythémateuses) sont apparues de manière aiguë. Cela a évolué vers une éruption annulaire érythémateuse diffuse confirmée comme étant un lupus érythémateux cutané aigu.
Mon avis…
Cette maman de Floride a donné à sa fille de 7 ans les vaccins à ARNm Pfizer COVID-19, et 10 jours après le deuxième vaccin Pfizer, la fille a commencé à avoir des douleurs thoraciques, des éruptions cutanées, des douleurs articulaires et souffre maintenant d'une maladie auto-immune à vie pour laquelle elle est sous stéroïdes et immunomodulateurs.
Cette mère était tragiquement inconsciente des dangers et de la toxicité des vaccins à ARNm contre la COVID-19 chez les enfants et faisait confiance à des pédiatres et des politiciens corrompus et incompétents. Aujourd’hui, sa fille est handicapée à vie.
J'apprécie qu'elle ait eu le courage de partager l'histoire.
Non seulement les symptômes de sa fille ne sont pas contrôlés par plusieurs médicaments, mais elle n'a aucune idée des conséquences à long terme de ce type de dommages au système immunitaire.
Le fait qu'il existe 16 cas VAERS d'enfants dont le système immunitaire a été endommagé de façon permanente par le lupus érythémateux systémique (avec ou sans inflammation rénale et lésions rénales), signifie qu'il y a des centaines d'enfants blessés et handicapés de façon permanente, dont les rapports n'ont jamais été transmis. VAERS.
Encore une raison de plus pour faire tout ce qui est en notre pouvoir pour que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 soient immédiatement retirés du marché et interdits d’utilisation chez les enfants !
https://www.globalresearch.ca/seven-year-old-florida-girl-given-two-pfizer-covid-19-mrna-jabs-systemic-lupus-erythematosus-daily-steroids-hcq/5840911
The Dr. Ardis Show : Le Dr Seema Nanda discute des effets du DIABÈTE sur la SANTÉ DES YEUX – Brighteon.TV
RépondreSupprimer21/11/2023
Kévin Hughes
Le spécialiste des yeux, le Dr Seema Nanda, a rejoint l'épisode du 15 novembre de « The Dr. Ardis Show » sur Brighteon.TV pour discuter des effets du diabète sur la santé oculaire.
Nanda a déclaré à l'hôte et chiropracteur à la retraite, le Dr Bryan Ardis, que les yeux sont les fenêtres de l'âme. Elle a ajouté que les yeux sont la seule partie du corps où les vaisseaux sanguins et les nerfs peuvent être vus. Ceci, a ajouté Nanda, donne aux gens un aperçu de ce qui arrive au reste du corps.
Ardis a ensuite montré un clip sur la rétinopathie diabétique, qui est « la maladie oculaire diabétique la plus courante et l'une des principales causes de cécité chez les personnes atteintes de diabète ». Elle est causée par des modifications des vaisseaux sanguins de la rétine et peut éventuellement conduire à la cécité.
Certaines personnes atteintes de rétinopathie diabétique peuvent présenter un gonflement et une fuite de liquide ou de sang dans les vaisseaux sanguins de leur rétine. Pendant ce temps, les personnes atteintes de diabète verront de nouveaux vaisseaux sanguins anormaux se développer à la surface de la rétine.
Nanda, fondatrice et directrice du Nanda Dry Eye and Vision Institute, basé à Houston, a souligné que trop de sucre est une mauvaise idée. Lorsque le corps est plein de sucre, celui-ci s’écoule partout et pénètre dans le cristallin de l’œil, provoquant un changement de focalisation myope.
Ardis a ajouté que lorsqu'une hémorragie se produit, le corps commence à développer de nouveaux vaisseaux sanguins pour la compenser. Nanda a accepté, ajoutant que les plus petits vaisseaux sanguins du corps se trouvent dans les yeux et les orteils. La croissance de vaisseaux sanguins fragiles autour de l’œil pourrait entraîner des hémorragies, qui provoquent des crises cardiaques chez les patients diabétiques.
Nanda : 1 Américain sur 10 est diabétique
Selon Nanda, 37 millions d’Américains – soit un sur dix – souffrent de diabète. Trente-trois pour cent de cette population diabétique souffrira de rétinopathie.
Elle a également mentionné que les personnes atteintes de prédiabète consomment trop de sucre, mais avec un taux d'hémoglobine glyquée (HbA1c) plus faible. Ceux dont le taux d’HbA1c est égal ou supérieur à sept sont déjà diabétiques. Avoir soif et faim en permanence, ainsi qu’uriner fréquemment, sont les premiers symptômes cliniques du diabète.
RépondreSupprimerOutre la rétine, Nanda a également expliqué que trop de sucre détruit d'autres parties de l'œil. Un taux de sucre élevé entraîne la destruction des glandes situées derrière les cils, appelées glandes de Meibomius. Ces glandes produisent du meibum, une substance huileuse qui protège la cornée du dessèchement – et le manque de ce meibum provoque une sécheresse oculaire.
Outre la destruction des glandes de Meibomius, les personnes atteintes de diabète courent un risque plus élevé de développer des orgelets (chalazions). Ces excroissances sont liées au diabète et à la résistance à l'insuline. De plus, Nanda a averti que le corps vitré de l'œil peut se remplir de sang en cas d'hémorragie, provoquant ainsi le glaucome et la cécité.
Nanda a déclaré à Ardis que beaucoup de gens mangent des articles emballés contenant quelque chose pour conserver la nourriture, qui est généralement du sucre ou du sel. Elle a exhorté les gens à abandonner ces mauvais aliments s’ils veulent préserver leur vision. (Connexe : Comment gérer les mauvaises habitudes alimentaires : Comprendre la dépendance au sucre.)
"Je ne prends même plus de ketchup maintenant parce que je peux goûter le sucre. Je n'ai pas de sucre dans tout ce que je mange ou fais, et je ne mange pas d'aliments emballés", a-t-elle commenté. "Et si tu veux te sauver, tu ne le feras pas non plus."
Suivez EyeHealth.news pour plus d’informations sur la façon de garder des yeux sains.
Regardez l'épisode du 15 novembre de "The Dr. Ardis Show" ci-dessous. "The Dr. Ardis Show" est diffusé tous les mercredis de 10h à 11h sur Brighteon.TV.
Plus d'histoires connexes:
Étude : Un jeûne intermittent constant peut entraîner une rémission chez plus de 50 % des patients atteints de diabète de type 2.
Santé oculaire et mauvaise alimentation : un régime riche en graisses peut être lié à des problèmes de vision plus tard dans la vie, préviennent les scientifiques.
Étude : Les baies de Goji améliorent la santé oculaire et aident à prévenir les problèmes de vision, conclut l'étude.
Les patients diabétiques peuvent améliorer la fonction de leurs vaisseaux sanguins en effectuant des exercices fractionnés basés sur la résistance.
Les secrets du régime diabétique révélés : 7 aliments qui aident à stopper le diabète et à initier l'auto-guérison.
Les sources incluent :
RépondreSupprimerBrighteon.com
DocNanda.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-21-dr-nanda-discusses-effects-diabetes-eye-health.html
ALERTE / dans un projet de loi déposé au Sénat Darmanin entend punir de 15000 à 45000 euros et 3 ans d’emprisonnement toute remise en question de la doxa de big pharma
RépondreSupprimerle 21 novembre 2023
par pgibertie
Un innocent projet de loi destiné parait il à lutter contre les dérives sectaires. Mais très vite on comprend, les sectes sont moins concernées que les lanceurs d’alerte . Lisez bien ci dessous : en l’état actuel des sciences médicale? La médecine n’est pas une sciences exacte, le débat doit pouvoir exister … Avec une telle loi la lobotomisation, le Médiator, le Vioxx, la Dépakine et tous les poisons au coeur des grands scandales sanitaires n’auraient pu être dénoncés.
L’Hormone de croissance, l’amiante furent tout comme le tabac, jugés positifs par la science médicale…
Cette loi est une monstruosité destinée à rendre impossible le consentement éclairé , il ne sera plus possible de réfléchir , de débattre , de critiquer
Toute contestation de ce qu’impose Big Pharma sera puni comme dérive sectaire
Le retour à l’Inquisition
Merci à Philippe Murer pour l’info
- voir doc sur site -
Art. 223-1-2. – Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique.
« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente.
Lutte contre les dérives sectaires
PROJETS DE LOI
Texte n° 111 (2023-2024) de M. Gérald DARMANIN, ministre de l’intérieur et des outre-mer et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargée de la citoyenneté et auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée de la ville, déposé au Sénat le 15 novembre 2023
https://www.senat.fr/leg/pjl23-111.html
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DEPAKINE: le poison de Sanofi est à l’air libre, le scandale se poursuit et le principe de précaution oublié
Publié le 20 novembre 2023 par pgibertie
Le scandale de la Dépakine est un concentré de tout ce qui disfonctionne: Big Pharma (Sanofi), l’Agence du Médicament (mise en examen), les Ordres des médecins et des pharmaciens qui n’ont sanctionné personne, la justice qui trouve le moyen de … Lire la suite →
Scandales sanitaires #Chlordecone, Recarbrio (antibiotique) ,#Mediator, #Vioxx…les drames de la consanguinite; politiques, journalistes ,labos, autorités de contrôle , tous INTOUCHABLES …
Publié le 11 juin 2023 par pgibertie
LES MÉDICAMENTS SUR ORDONNANCE SONT LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS APRÈS LES MALADIES CARDIAQUES ET LE CANCER. Depuis trois ans nous avons la terrible révélation de la consanguinité coupable des labos, des politiques, des régulateurs et des politiques; Souvenez vous… … Lire la suite →
RépondreSupprimerLe Sénat porteur de valises de la Macronie donne les pleins pouvoirs à la HAS, mais qui se souvient des positions de la HAS dans tous les scandales sanitaires ? Médiator, Dépakine, Vioxx, Levothirox…
Publié le 24 juillet 2022 par pgibertie
La Haute autorité de Santé refuse la réintégration des soignants non injectés mais que savons nous de cet organisme, de son rôle et de ses liens avec le Politique ? .La lourde responsabilité de cette décision devra être assumée et … Lire la suite →
https://pgibertie.com/2022/07/24/le-senat-porteur-de-valises-de-la-macronie-donne-les-pleins-pouvoirs-a-la-has-mais-qui-se-souvient-des-positions-de-la-has-dans-tous-les-scandales-sanitaires-mediator-depakine-vioxx-levothirox/
https://pgibertie.com/2023/11/21/alerte-dans-un-projet-de-loi-depose-au-senat-darmanin-entend-punir-de-15000-a-45000-euros-et-3-ans-demprisonnement-toute-remise-en-question-de-la-doxa-de-big-pharma/
L'excès de mortalité chez les jeunes qui interroge sur la vaccination anti-Covid
RépondreSupprimerJean-Noël Haas* pour France-Soir
le 21 novembre 2023 - 17:41
Nous avons plus de deux ans de recul qui nous prouvent que les vaccins anti-Covid peuvent provoquer des effets secondaires pouvant entraîner la mort.
TRIBUNE/ANALYSE - Dans un précédent article nous avions vu que pendant qu’un virus dangereux et mortel circulait, le premier semestre 2021 fut le semestre le moins mortel de tous les temps pour les 5 à 40 ans en France. Mais le deuxième semestre, alors qu’un vaccin protecteur sûr et efficace était massivement injecté, on voyait la mortalité de cette tranche d’âge brusquement augmenter de plus de 400 décès, ce qui était un retour en arrière en termes de mortalité d’environ 10 ans.
Apparemment, certains n’ont pas été convaincus par cette démonstration et osent toujours prétendre que les vaccins anti-Covid ne provoquent pas d’effet secondaires. Qu’ils se rassurent, voici une piqûre de rappel !
À la suite de cet article, j’ai eu des échanges avec le statisticien Pierre Chaillot de la chaîne YouTube Décoder l'éco qui m’a poussé à augmenter la résolution temporelle de l’analyse et à y adjoindre les courbes des injections des vaccins anti-Covid disponibles sur le site data.gouv.fr. Cela m’a permis avec son aide d’améliorer mon programme d’analyse de la mortalité française. Ainsi outillés, nous allons pouvoir nous atteler à déterminer le plus précisément possible quand cet excédent de mortalité a commencé et, pour cela, nous allons nous concentrer sur les 12-40 ans car les 5-12 ans ont vu leur campagne de vaccination démarrer plus tard et feront l’objet d’un article séparé.
Partons de l’analyse semestrielle du précédent article et affichons l’excès de mortalité pour les 12-40 ans :
- voir graph sur site -
Nous voyons là très clairement l’excédent de mortalité sur les quatre derniers semestres avec en moyenne 400 décès supplémentaires par semestre.
Ci-dessous, voici toujours une analyse semestrielle mais avec les injections de la première dose et l’excédent de mortalité relatif en pourcentages :
- voir graph sur site -
Et, ci-dessous, le même graphique mais avec les injections de la deuxième dose :
- voir graph sur site -
Nous ne pouvons que constater que le début de cet excédent de mortalité coïncide bien avec les pics des injections.
Toujours pas convaincu ? Passons donc à l’analyse trimestrielle. Ci-dessous, l’excédent de mortalité par trimestre avec les injections de la première dose :
- voir graph sur site -
Autre rappel : cela fait plus d’un an et demi que l'épidémiologiste Laurent Toubiana essaye d’obtenir les données de mortalité en fonction du statut vaccinal. C’est une analyse qui aurait dû être faite dès le début de la campagne de vaccination dans la mesure où les vaccins sont encore expérimentaux. Et pourtant, toutes les demandes sont encore bloquées pour cause d’obstruction. Or, il s’agit là de la seule manière de prouver l’efficacité ou la dangerosité de ces vaccins sans aucun biais.
RépondreSupprimerLe ministre de la Santé devrait arrêter de faire le VRP des fabricants des vaccins anti-Covid. Ce n’est clairement pas son boulot. Il n’a maintenant plus aucune excuse. Nous avons plus de deux ans de recul qui nous prouvent que ces vaccins ont des effets secondaires qui peuvent s’avérer mortels.
Maintenant, tout le monde est face à l’évidence. Les hommes politiques et les médecins qui restent dans le déni où le mensonge ne font que renforcer nos certitudes ! Qu’ont-ils bien à cacher ?
*Jean-Noël Haas, titulaire d'un DEA en physique subatomique, est informaticien, développeur de solutions de sécurité et d'authentification forte et créateur indépendant de logiciels d'analyse de journaux informatiques.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/aux-origines-de-l-exces-de-mortalite-chez-les-jeunes-qui-interroge-sur-la
(...) TRIBUNE/ANALYSE - Dans un précédent article nous avions vu que pendant qu’un virus dangereux et mortel circulait, (...)
SupprimerTRIBUNE/ANALYSE - Dans un précédent article nous avions vu que pendant qu’un virus dangereux et mortel circulait en seringues et non dans l'air car l'air est examiné chaque jours par des milliers de laboratoires dans le monde qui n'ont JAMAIS trouvé de 'cocovide19', de 'Deltaplane-Tango-Charlie-Omicron' !
Il y a 3 ans, une poussière (appelée 'virus') se serait échappé d'un laboratoire chinois à Huwan car elle avait le double des clés de la porte blindée.
Et, comme cette poussière aurait eu des bébés (!) et qu'elle avait le sens commercial, elle vendit (ou offrit ?) ses progénitures à d'autres laboratoires nazis dans le monde.
C'est le succès immédiat !
Des centaines de millions de morts nécessitant vite-vite l'arrivée massive d'immigrés ('réfugiés climatiques' !!) vers les USA et vers l'Europe pour éviter le trou visuel dans la circulation et les habitants du quartier.
3 ans après c'est toujours le poison en seringue qui est en tête du hit-parade ! Il est aussi proposé en masques imprégnés, en gel hydroalcoolique frelaté et en coton d'écouvillon infecté pour les faux tests 'RT-PCR' ! Whoâw ! On a le choix ! C'est noel avant l'heure !! Le black-friday ! Partez en vacances les pieds devants !
Conseils Corona de Norvège : pas de panique, masques, vaccination
RépondreSupprimer22 novembre 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
Depuis que Dorothee von Laer, professeur de virologie à Innsbruck, a récemment diffusé des quantités massives de désinformation à la radio d'État, vous recevrez ici une brève « mise à jour » de Norvège sur la façon dont les bureaucrates locaux de la santé et les « experts™ » traitent actuellement la soi-disant déclaration de l'OMS. Évitez la « pandémie du coronavirus ».
Comme l'a rapporté hier le TKP , Dorothee von Laer a affirmé que « la vaccination modRNA est très sûre », que le risque de dommages causés par le vaccin est « extrêmement faible », qu'une « exigence de masque pour les personnes vulnérables est logique » et qu'une « transmission asymptomatique » existe à ce stade. il est fait référence à un article paru hier dans le journal norvégien « Leading and Quality Media ». Il s’agit des conseils actuels du Folkehelseinstituttet (par exemple l’Institut de santé publique, FHI) pour lutter contre le Sars-Cov-2.
Vous trouverez ci-dessous un article paru le 21 novembre 20223 dans Bergens Tidende , entre autres ; La traduction et les soulignements (ainsi que les commentaires insérés entre crochets) sont de moi.
Les conseils actuels du FHI sur le corona et la grippe
L'Institut norvégien de santé publique (FHI) s'attend à une augmentation du nombre de cas de grippe et de coronavirus au cours de l'hiver, comme l'écrit Sval Rosenløw Eeg :
L'épidémie de grippe saisonnière n'a pas encore commencé, mais le FHI s'attend à ce que la grippe puisse apparaître vers Noël cette année. "L'incidence est encore à un niveau faible, mais est en augmentation depuis plusieurs semaines", indique la FHI dans son dernier rapport hebdomadaire .
Si vous vous sentez malade, la FHI vous recommande de surveiller votre état général et votre respiration .
Si de nouveaux symptômes respiratoires apparaissent et que votre état général se détériore, vous devez rester à la maison jusqu'à ce que vous vous sentiez mieux .
Jusqu'ici, tout va bien - et clairement quelque chose de différent de ce que l'on obtient aujourd'hui en Allemagne ou en Autriche de la part des politiciens, des « experts™ » et de leurs porteurs d'eau dans les médias de premier plan et de qualité.
L'épidémiologiste en chef de la Norvège, Preben Aavitsland, a déclaré :
Votre médecin généraliste et les urgences sont disponibles si vous êtes inquiet et avez besoin de conseils.
Lorsqu'on lui a demandé si l'on pouvait éviter de tomber malade, Aavitsland a répondu comme suit :
RépondreSupprimerVous pouvez essayer de retarder la prochaine épidémie de coronavirus ou de grippe, par exemple en vous faisant vacciner et en restant à l’écart des autres personnes, surtout à l’intérieur. Plus vous tardez à le faire, plus votre immunité sera faible la prochaine fois que vous serez infecté et la maladie pourrait s’aggraver. Chacun doit en décider pour lui-même .
Nous devons accepter que le corona, la grippe et divers autres virus respiratoires existeront toujours. Cela signifie que nous serons tous infectés de temps en temps .
En soi, il s'agit d'une approche quelque peu détendue, mais ici aussi, le casque d'acier de vaccination Aavitsland ne peut s'empêcher d'utiliser le mantra des injections « protectrices » sans aucune preuve ( a rapporté TKP ). Au moins, le FHI met l’accent sur l’autonomie physique et évite les appels trop drastiques et clairs comme celui de Dorothee von Laer.
Différenciation difficile des symptômes
Le message souligne ensuite que parfois, « il peut être difficile de distinguer les symptômes de différentes maladies ». Aavitsland est cité comme suit :
Normalement, vous ne pouvez pas faire la distinction entre les symptômes de la grippe, du corona et de la coqueluche . Mais chez les nourrissons, la coqueluche peut provoquer des quintes de toux si graves que l’enfant a des difficultés à respirer.
Bien sûr, l’alarmisme et le mélange de plusieurs maladies respiratoires font désormais « partie du jeu » pour les bureaucrates de la santé et les apôtres de la vaccination du monde entier, mais au moins Bergens Tidende souligne également les chiffres réels (qui, soit dit en passant, proviennent de le rapport hebdomadaire FHI précédemment lié) : "À la semaine 45, il y a eu moins de cinq hospitalisations pour coqueluche et infections par le RSV chez les enfants âgés de zéro à quatre ans."
Et lorsqu’il s’agit d’un (ou plusieurs) tests corona, le FHI se positionne clairement différemment du virologue d’Innsbruck (sic) :
Le test Corona n'est pas nécessaire
Le NIPH surveille la propagation du coronavirus à l’aide de divers systèmes. Cela comprend la surveillance de la quantité de coronavirus dans les eaux usées et des enquêtes hebdomadaires auprès d’un panel de population. Néanmoins, Aavitsland affirme que le test corona est volontaire :
"C'est à vous de décider. Ce n'est pas nécessaire car nos conseils sont les mêmes, que vous vous fassiez tester ou non, et quels que soient les résultats du test ." Si vous êtes plus âgé ou appartenez à un groupe à risque, vous devrez peut-être quand même passer un test afin de pouvoir vous prescrire un médicament anti-coronavirus.»
À ce stade, la partie substantielle de l'article se termine et le dernier tiers répète simplement les « groupes à risque » pour lesquels une recommandation d'injections supplémentaires s'applique (je vous épargne cela comme moi, si cela vous intéresse, veuillez vous référer à mon Substack , où cette section est également traduite).
RépondreSupprimerNote éditoriale
Comme le savent les lecteurs de mes articles norvégiens, Preben Aavitsland est pour moi une sorte de « drapeau rouge ». L’arrière-pensée de cet article est de dissiper l’idée selon laquelle les Norvégiens ne sont guère moins têtus lorsqu’il s’agit d’imposer des bêtises à la population locale que, par exemple, les « experts™ » autrichiens ou allemands ou les « médias de premier plan et de qualité ».
Néanmoins, les autorités norvégiennes déclarent explicitement que les tests ne sont pas nécessaires, et les bureaucrates de la santé recommandent également explicitement de ne plus injecter d'ARN mod pour la population générale.
D’ailleurs, personne ne parle de masques ici en Norvège ; pas même les plus grands casques d'acier de vaccination comme l'ancienne directrice de FHI Camilla Stoltenberg, Preben Aavitsland ou le député. Le directeur de la santé, Espen Nakstad, n'utilise même plus le mot « masque ». (D’ailleurs : les « recommandations » sont toujours appliquées ici – à savoir pour la « protection de la bouche et du nez » et non pour les masques FFP2.)
Pauvre Autriche, considérée par des « Experts™ » comme Dorothee von Laer et accompagnée d'une cacophonie de désinformation et de désinformation à la radio d'État.
#Nous n'oublions pas.
https://
N'oublions pas non-plus que le 'tkp' censure TOUS les commentaires anti-nazis.
SupprimerVaccins iDNA pour générer une production interne de virus
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
22 novembre 2023
Si vous pensiez que les injections d’ARNm étaient les choses les plus folles que l’industrie du vaccin ait concoctées ces derniers temps, vous n’en avez pas encore vu la moitié. Ensuite, nous avons ce que l’on appelle « l’ADN d’immunisation » ou iDNA,1,2 une nouvelle classe de « vaccins » de thérapie génique qui code pour l’ensemble du virus.
C’est comme l’ARNm, mais sous stéroïdes. Plutôt que de demander à vos cellules de produire une petite partie, la protéine de pointe d'un virus donné, les produits iDNA demandent aux cellules de produire le virus dans son intégralité. Comme décrit dans le brevet américain 8691563B2:3
« L’ADNi génère des vaccins vivants atténués dans des cellules eucaryotes in vitro ou in vivo pour les virus à ARN pathogènes… Lorsque l’ADNi est injecté au receveur du vaccin, l’ARN du virus vivant atténué est généré par transcription in vivo dans les tissus du receveur.
Cela déclenche la production de virus atténués dans la descendance dans les tissus du receveur du vaccin, ainsi que le déclenchement d’une réponse immunitaire efficace protégeant contre le virus de type sauvage non atténué.
Selon Medigen, basée à Taipei4, qui a lancé sa plateforme de « vaccins » iDNA en 2018, la technologie « combine la stabilité génétique de l’ADN avec l’efficacité exceptionnelle des vaccins vivants atténués ». Les vaccins « vivants atténués » font référence aux vaccins qui contiennent des virus vivants (viables) mais affaiblis (moins virulents).
La plateforme iDNA peut être utilisée pour créer des vaccins de deux manières différentes. Vous pouvez soit cultiver l’ADNi dans une culture pour produire le vaccin de la manière conventionnelle, soit injecter l’ADNi directement au receveur et permettre à l’organisme de produire le virus vivant atténué en interne.
Qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?
Un article de 2016 décrit ainsi le processus iDNA :5
« Comme tout vaccin à ADN, les plasmides iDNA sont isolés de bactéries et incluent un promoteur eucaryote, tel que le promoteur majeur immédiat et précoce du cytomégalovirus (CMV).
Cependant, contrairement à un vaccin à ADN traditionnel qui implique la transcription de l'ARNm pour l'expression d'un antigène de sous-unité, les vaccins à ADNi transcrivent l'ARN génomique complet du virus vaccinal vivant atténué. L'ARN viral complet initie ensuite une réplication limitée du virus vivant atténué dans les tissus du receveur du vaccin, ce qui permet une immunisation efficace.
Essentiellement, le plasmide iDNA transforme un nombre limité de cellules chez le receveur du vaccin en usines à l’échelle cellulaire pour la « fabrication » de vaccin vivant atténué.
En mars 2023, le fondateur de Cochrane, Peter Gøtzsche, et la journaliste d'investigation Maryanne Demasi ont publié une revue systématique des articles contenant des données sur les événements indésirables graves (EIG) associés aux vaccins contre le COVID. À propos du ZyCoV-D, ils ont écrit :9
RépondreSupprimer« Un essai en Inde du ZyCoV-D, un vaccin basé sur l’ADN, s’est également révélé très problématique. Elle a randomisé 27 703 patients, âgés de 12 à 17 ans ou de 60 ans et plus. Un supplément a signalé un EIG [événement indésirable grave] dans le groupe vacciné et aucun dans le groupe placebo chez les personnes âgées et un contre deux chez les « sujets comorbides ».
Le texte principal était totalement différent, sans division par groupe randomisé. Il décrivait 15 EIG, mais sept d’entre eux étaient simplement positifs au COVID-19, ce qui n’est pas un EIG et appartient en outre à la déclaration des avantages et non des inconvénients. Il y a eu un décès dans chaque groupe. Cet article, difficile à interpréter, a été publié dans The Lancet. »10
Une recherche en ligne de données sur le ZyCoV-D m’a laissé les mains vides, donc à part cet article du Lancet (et un rapport intermédiaire sur le même essai11), il ne semble pas y avoir grand-chose.
Quant à ce qu’ils ont utilisé comme placebo, cela reste également une énigme, comme le journal ne le précise pas. Tester un vaccin contre un autre est une astuce simple pour masquer les effets secondaires attendus, et nous savons qu’au moins un autre vaccin contre le COVID (AstraZeneca) n’a pas utilisé de placebo inerte mais plutôt un vaccin contre la méningite et la septicémie.12,13.
Donc, en résumé, la sécurité du ZyCoV-D est tout sauf claire. Même si nous disposions de données à ce sujet, cela ne nous dirait toujours pas grand-chose sur la sécurité des injections d’iDNA. Le ZyCoV-D ne code que pour deux protéines, alors que l’iDNA code pour un virus entier.
L'ADN présent dans les injections d'ARNm suscite des inquiétudes parmi les experts
- voir clip sur site -
Début avril 2023, le microbiologiste Kevin McKernan a rapporté avoir découvert des fragments d'ADN dans les injections d'ARNm réalisées par Pfizer et Moderna.14,15,16,17 Le niveau de contamination par l'ADN le plus élevé était de 30 %, soit près d'un tiers des le contenu de la photo était de l'ADN plasmidique. Aucun ADN ne doit être présent dans un produit commercial à base d’ARNm fabriqué selon de bonnes pratiques de fabrication.
Depuis lors, d’autres ont confirmé ses résultats, notamment le professeur Phillip Buckhaults de l’Université de Caroline du Sud. En septembre 2023, il en a témoigné18 devant le comité ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud du ministère de la Santé et du Contrôle environnemental (DHEC).
Buckhaults est un biologiste moléculaire et un généticien du cancer possédant une vaste expérience dans le séquençage de l’ADN. Il a initialement entrepris de démystifier les affirmations de McKernan. À sa grande surprise, il a plutôt reproduit les conclusions de McKernan.
RépondreSupprimerDans son témoignage, il a expliqué comment ces contaminants de l'ADN peuvent s'intégrer dans votre génome et perturber le fonctionnement d'autres gènes, à long terme ou de façon permanente, et peuvent être transmis à la progéniture pendant des générations.
Il a déclaré aux sénateurs qu'il était « alarmé par la présence de cet ADN dans le vaccin », car « il existe un risque très réel » qu'il s'intègre dans le génome d'une personne et devienne un « élément permanent de la cellule » qui peut entraîner des problèmes auto-immuns et cancers.19
Contaminants d'ADN dans les injections d'ARNm avec le feu vert des agences de santé
Dans un tweet du 21 octobre 2023, Steve Kirsch a déclaré :20
« Vous pouvez désormais poursuivre les fabricants de vaccins à ARNm contre la COVID pour dommages et intérêts et la FDA est tenue de retirer les vaccins contre la COVID du marché. Pourquoi? Falsification. Les séquences de contaminants bioactifs plasmidiques n’ont PAS été signalées aux autorités réglementaires.
Santé Canada a confirmé jeudi la présence d'une contamination par l'ADN dans les vaccins Pfizer contre la COVID-19 et a également confirmé que Pfizer n'avait pas divulgué la contamination aux autorités de santé publique.
Les vérificateurs des faits ont riposté, affirmant que les régulateurs de la santé étaient effectivement au courant de la contamination avant que les injections ne soient autorisées, et qu’il n’existe « aucune preuve fiable montrant que l’ADN présent dans les vaccins s’intègre dans notre ADN ou augmente le risque de cancer. »21,22
Eh bien, ils ont au moins raison sur un point. Les agences de réglementation étaient clairement conscientes de ce problème, car Pfizer a soumis des documents à l'Agence européenne des médicaments (EMA) démontrant que les lots échantillonnés contenaient une large gamme d'ADN double brin (ADNdb).23 Beaucoup de ces lots dépassaient de loin les niveaux d'ADN double brin (ADNdb). Limites maximales de l'EMA.
Mais quant à savoir si l’ADN peut s’intégrer et causer un handicap, le vérificateur des faits s’est clairement trompé. L’intégration de l’ADN est reconnue depuis un certain temps et discutée dans la littérature médicale. Ce n’est pas une notion nouvelle. Quoi qu’il en soit, la Food and Drug Administration des États-Unis s’en fiche. Il a déclaré à Factcheck.org :24
« L’affirmation selon laquelle la FDA est tenue de retirer du marché l’un des vaccins à ARNm COVID-19 autorisés ou approuvés est fausse. Avec plus d’un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à la séquence ou à la quantité d’ADN résiduel n’a été identifié.
RépondreSupprimerPeu importe le fait que des « cancers turbo » jamais vus auparavant envoient un nombre record de personnes dans la tombe. Rien à voir là-bas.
Réponse à la dose trouvée entre la charge de contamination de l'ADN et les événements indésirables
Le 27 octobre 2023, McKernan et quatre autres coauteurs ont publié un article préimprimé25 dans lequel ils explorent la dose-réponse entre les lots de vaccins COVID contaminés par l'ADN et les événements indésirables graves.
Les lots testés comprenaient 27 flacons provenant de 12 lots uniques de Moderna et Pfizer. De l’ADN résiduel a été trouvé dans tous les flacons, mais Moderna avait des niveaux plus faibles et plus constants, ce qui suggère qu’ils utilisent un processus de fabrication plus standardisé que Pfizer. Le système américain de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a ensuite été interrogé pour connaître le nombre et la catégorisation des événements indésirables signalés pour chacun des lots testés.
« Les valeurs du cycle de quantification (Cq) (dilution 1:10) pour l’origine plasmidique de réplication (ori) et les séquences de pointes variaient respectivement entre 18,44 – 24,87 et 18,03 – 23,83 pour Pfizer, et 22,52 – 24,53 et 25,24 – 30,10 pour Moderna.
Ces valeurs correspondent à 0,28 – 4,27 ng/dose et 0,22 – 2,43 ng/dose (Pfizer), et 0,01-0,34 g/dose et 0,25 – 0,78 ng/dose (Moderna), respectivement pour ori et Spike…
Dans une analyse exploratoire, nous avons trouvé des preuves préliminaires d'une relation dose-réponse entre la quantité d'ADN par dose et la fréquence des événements indésirables graves (EIG). Cette relation était différente pour les produits Pfizer et Moderna…
Conclusion : Ces données démontrent la présence de milliards, voire de centaines de milliards de molécules d’ADN par dose dans ces vaccins. Grâce à la fluorométrie, tous les vaccins dépassent de 188 à 509 fois les directives relatives à l'ADN résiduel fixées par la FDA et l'OMS, soit 10 ng/dose.
Cependant, la teneur en ADN résiduel de la qPCR dans tous les vaccins était inférieure à ces lignes directrices, ce qui souligne l’importance de la clarté et de la cohérence méthodologiques lors de l’interprétation des lignes directrices quantitatives.
Les preuves préliminaires d’un effet dose-réponse de l’ADN résiduel mesuré par qPCR et SAE justifient une confirmation et une enquête plus approfondie. Nos résultats élargissent les préoccupations existantes concernant la sécurité des vaccins et remettent en question la pertinence des lignes directrices conçues avant l’introduction d’une transfection efficace à l’aide des LNP.
Avec plusieurs limites évidentes, nous insistons pour que notre travail soit reproduit dans des conditions médico-légales et que les lignes directrices soient révisées pour tenir compte d’une transfection d’ADN et d’un dosage cumulatif très efficaces.
RépondreSupprimerRessources pour les personnes blessées par le vaccin COVID
Plus nous en apprenons sur les vaccins COVID, plus ils semblent pires, et si les vaccins iDNA deviennent réalité, nous pourrions être confrontés à une calamité encore plus grande. Il est temps de mettre fin à cette folie avant qu’il ne soit trop tard, et pour y parvenir, nous rejetons toutes les injections basées sur les gènes, qu’il s’agisse d’ARN, d’ARNm, d’ADN, d’ADNi ou tout ce qu’ils pourraient proposer.
De plus, si vous avez déjà reçu un ou plusieurs vaccins contre le COVID et que vous reconsidérez maintenant votre décision, il serait sage d’éviter tous les vaccins à partir de maintenant, y compris les vaccins conventionnels, car vous devez mettre fin à l’assaut contre votre corps. Même si vous n’avez ressenti aucun effet secondaire évident, votre santé peut quand même être affectée à long terme, alors ne prenez plus de piqûres.
Si vous souffrez d’effets secondaires, votre première tâche est d’éliminer la protéine de pointe produite par votre corps. Deux remèdes qui peuvent y parvenir sont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. Les deux médicaments se lient et facilitent l’élimination des protéines de pointe.
La Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) a développé un protocole de traitement post-vaccin appelé I-RECOVER. Étant donné que le protocole est continuellement mis à jour à mesure que davantage de données deviennent disponibles, le mieux est de télécharger la dernière version directement depuis le site Web du FLCCC à l'adresse covid19criticalcare.com.26
Pour des suggestions supplémentaires, consultez le guide de désintoxication des protéines de pointe du Conseil mondial de la santé27, qui se concentre sur les substances naturelles comme les herbes, les suppléments et les thés. La thérapie par le sauna peut également aider à éliminer les protéines toxiques en stimulant l’autophagie.
Sources and References
1 Frontiers in Tropical Diseases March 18, 2022; 3
2, 5 Expert Rev Vaccines September 2016; 15(9): 1223-1234
3 U.S. Patent 8691563B2
4 Medigen
6 New Scientist November 6, 2023 (Archived)
7 BBC August 20, 2021
8, 10 The Lancet April 2, 2022; 399(10332): 1313-1321
9 medRxiv March 22, 2023
11 Pharmacovigilance, Efficacy, Safety and Immunogenicity of ZyCoV-D: Interim efficacy results, Page 12
12 Health Desk October 1, 2021
13 McGill July 3, 2020
14 Twitter KanekoaTheGreat May 20, 2023
15, 23 Anandamide (Kevin McKernan) Substack May 20, 2023
16 The Healthcare Channel May 22, 2023
17, 19 Spectator Australia September 25, 2023
18 Jessica Rose Substack September 18, 2023
20, 21 Health Feedback October 21, 2023
22, 24 Factcheck.org November 3, 2023
25 OSF Preprints October 27, 2023
26 Covid19criticalcare.com
27 World Council for Health Spike Protein Detox Guide November 30, 2021
https://www.lewrockwell.com/2023/11/joseph-mercola/idna-vaccines-to-generate-internal-virus-production/
(...) Lorsque l’ADNi est injecté au receveur du vaccin, l’ARN du virus vivant atténué est généré par transcription in vivo dans les tissus du receveur. (...)
SupprimerIL N'EXISTE PAS de poussière vivante !
Les ARNm n’ont pas mis fin au COVID, c’est Omicron qui l’a fait : Berenson
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 21 NOVEMBRE 2023 - 21:25
Rédigé par Alex Berenson via Unreported Truths,
Parfois, la réponse doit simplement être codée par couleur.
- voir cadre sur site -
Pendant des années, les défenseurs de l’ARNm ont tenté d’attribuer le mérite des vaccins pour avoir mis fin à la pandémie, malgré des preuves massives qu’ils ont cessé de fonctionner en quelques mois et que les données d’observation montrant une baisse du nombre de décès parmi les vaccinés sont désespérément biaisées.
Mais plus tôt ce mois-ci, la Society of Actuaries a publié un rapport mis à jour sur les décès pendant la pandémie qui montre ce qui a réellement tué Covid.
Alerte spoiler : cela ne vient pas de Pfizer ou de Moderna.
La Society of Actuaries (slogan actuel : Empower Your Actuarial Journey) est un groupe de 30 000 membres, vous l'aurez deviné, d'actuaires - les personnes qui aident les compagnies d'assurance à évaluer les risques. Tous les quelques mois, il publie des rapports sur les tendances des décès américains pendant Covid.
Les rapports tendent à se concentrer sur le nombre d’assurés décédés plutôt que sur l’ensemble de la population. Mais les actuaires ont accès à suffisamment de grands assureurs pour que ces données constituent une approximation raisonnable des données nationales complètes – et ils les présentent beaucoup plus rapidement et de manière plus utile.
Leur rapport le plus récent, publié plus tôt en novembre, couvre la période allant jusqu’au deuxième trimestre 2023, se terminant le 30 juin. Entre autres données intéressantes, il comprend des représentations des décès dus à la Covid et non-Covid stratifiés par trimestre et par âge.
Les tendances des décès non liés au Covid sont compliquées, en particulier chez les personnes de moins de 50 ans, car les surdoses ont explosé depuis 2020. (Il existe des preuves que le déploiement du rappel bivalent à l'automne 2022 a entraîné davantage de décès non liés au Covid chez les personnes âgées, mais c'est loin d'être le cas. définitive.)
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Mais les tendances des décès dus au Covid ne pourraient être plus claires.
RépondreSupprimerVous trouverez ci-dessous le même graphique présenté deux fois : une fois recadré, la deuxième fois en pleine vue. Le graphique montre les décès au fil du temps, stratifiés par âge : la ligne du haut correspond aux personnes de 0 à 24 ans, et chaque bande en dessous représente une autre décennie, avec la bande du bas, les personnes de 85 ans et plus.
Comme vous pouvez le constater, les décès dus au Covid ont été relativement faibles au printemps 2021 – la heureuse vallée des vaccins, la brève période pendant laquelle les ARNm ont fonctionné comme annoncé.
Ils ont ensuite grimpé en flèche au cours de l’été, ou au troisième trimestre 2021. Ce qui est remarquable, c’est qu’ils ont bondi à TOUS les âges, y compris chez les personnes hautement vaccinées (les trois bandes inférieures, représentant les personnes de 65 à 74 ans, de 75 à 84 ans et de plus de 85 ans).
Et bien que les décès dus au Covid aient diminué chez les jeunes au cours de l’automne et de l’hiver, ils ont continué d’augmenter par rapport à leurs plus bas niveaux du printemps 2021 chez les personnes âgées les plus exposées au risque de Covid. En conséquence, le nombre total de décès dus au Covid a également augmenté – triplant environ entre le printemps et l’automne 2021, malgré tous les rappels et les mandats.
On ne saurait trop insister sur ce point : la forte hausse des décès chez les personnes âgées s’est produite même si presque toutes les personnes âgées aux États-Unis étaient vaccinées.
Puis, au printemps 2022… Le Covid a pris fin. Toutes les cellules sont devenues vertes, d’un seul coup ! Covid a pris fin pour les personnes âgées, pour les personnes d’âge moyen et pour les jeunes. C’est fini et ça n’est pas revenu (sauf un peu pour les personnes âgées, ce qui n’est pas un argument en faveur des jabs).
Voir par vous-même.
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Un tableau pour les gouverner tous. Tondu:
- voir cadre sur site -
Et le tableau complet. Vert signifie y aller :
- voir cadre sur site -
Qu’est-ce qui explique cette fin miraculeuse du fléau de tous les fléaux ?
Pas de vaccins.
Ils ont été donnés début 2021, un an avant le début de la marée, et même leurs partisans admettent qu’ils ne fonctionnent pas bien contre Omicron.
Non, ce qui s'est passé, c'est Omicron lui-même. Elle a balayé les États-Unis à l’hiver 2022, vaccinés comme non vaccinés. Ses taux de mortalité étaient globalement bien inférieurs à ceux des variantes précédentes – probablement de l’ordre de 0,05 à 0,1 % – même si sa transmissibilité signifiait que l’hiver 2022 a encore vu beaucoup de décès (en particulier chez les personnes âgées, peu importe qu’elles aient été piquées). .
Depuis, diverses souches d’Omicron, peu mortelles, ont rebondi parmi une population dotée d’une immunité réelle (c’est-à-dire naturelle), contribuant ainsi à en faire encore plus un rien de bon.
En fin de compte, les vaccins n’ont été qu’un spectacle secondaire. Le SRAS-Cov-2 a cherché et trouvé une trêve avec ses hôtes humains (en supposant que le changement de classe IgG4 ne revienne pas hanter les personnes piquées par l’ARNm).
Le virus va devenir un virus.
Et la nature deviendra la nature.
Abonnez-vous aux vérités non rapportées
https://www.zerohedge.com/covid-19/mrnas-didnt-end-covid-omicron-did-berenson
Vaccination des enfants contre la grippe ? Selon les autorités britanniques, uniquement pour protéger les autres
RépondreSupprimer22 novembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Abuser des enfants pour protéger les autres est une tradition. Nous savons que les enfants n’ont jamais été menacés par le Corona, ni par la dernière version qui sévit depuis 2019. Néanmoins, la vaccination était autorisée à partir du 6ème mois et était recommandée, souvent au motif de protéger autrui. Mais les enfants doivent également protéger les autres en matière de vaccination contre la grippe, comme l' a admis l'Agence britannique de sécurité sanitaire. Il n’y a pas la moindre chose éthiquement justifiable là-dedans.
Les enfants sont utilisés comme boucliers humains contre la grippe, a admis le régulateur britannique de la santé. L'organisme gouvernemental chargé de protéger la santé publique explique, selon les médias, que le spray antigrippal contenant un principe actif vivant et affaibli est administré principalement pour protéger les bébés et les personnes âgées, car le risque de mourir de la grippe chez les enfants et les jeunes est très lent.
Pour eux, la vaccination, qui, comme tout acte médical, comporte des risques, présente peu d’avantages. Un porte-parole de l’UKHSA a déclaré : « La vaccination des enfants protège également les autres personnes vulnérables à la grippe, comme les bébés et les personnes âgées. »
Lorsque le vaccin contre la grippe a été déployé pour la première fois chez les enfants âgés de 2 à 16 ans en 2014, le NHS a déclaré que le vaccin devrait éviter 2 000 décès dans la population. Au cours des 22 dernières années, il y a eu ou il n'y a pas près de 2 000 décès dus à la grippe dans la population britannique. (Il n’existe pas de chiffres pour la période antérieure à 2001.) Il y a eu 161 décès en 2013, 118 en 2014 et 284 en 2015, l’année qui a suivi l’introduction du spray, soit une augmentation de 140 pour cent.
Les chiffres de l'Office of National Statistics (ONS) pour les 20 années comprises entre 2001 et 2021 montrent que le nombre de décès dus à la grippe chez les enfants âgés de zéro à 19 ans dans tous les groupes d'âge n'a atteint le double des chiffres que trois fois en 20 ans. A titre de comparaison : en moyenne, 150 enfants meurent chaque année à cause d’une crise d’asthme.
Du point de vue de la santé publique, ces chiffres sont faibles et les avantages éventuels devraient être soigneusement pesés par rapport aux risques. Les effets indésirables rares ne sont pas mentionnés dans la notice d’information publique qui doit être remise aux parents ; il dit simplement qu'ils sont « inhabituels ».
RépondreSupprimerCependant, ils peuvent mettre la vie en danger et inclure des convulsions fébriles, le syndrome de fatigue chronique, l'anaphylaxie et, dans de rares cas, le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire endommage les cellules nerveuses, entraînant une faiblesse musculaire et parfois paralysie. Le SGB peut provoquer des lésions nerveuses à long terme, voire la mort. Elle touche environ 1 300 personnes au Royaume-Uni. Caroline Morrice, directrice générale de GAIN, une organisation caritative soutenant les patients atteints du SGB, affirme que les patients courent un risque plus élevé de développer un SGB après une vaccination contre la grippe ou contre le Covid, mais qu'en mars et avril 2021, après que la vaccination contre le Covid AstraZeneca ait entraîné une augmentation des cas . Elle a ajouté : " En tant qu'organisation caritative, nous n'avons connaissance d'aucun cas actuel de SGB causé par la vaccination contre la grippe, car aucun n'a été signalé . " Les personnes qui administrent les vaccins ne peuvent pas dire qui sera touché, alors les patients et les parents jouent à la roulette russe.
Les maladies grippales graves sont rares chez les enfants. Même parmi les enfants âgés de un à quatre ans les plus à risque, le nombre de maladies n’a atteint que deux chiffres, le nombre le plus élevé étant de 12.
Selon Cochrane, l'organisation indépendante qui évalue les allégations et la validité des articles scientifiques, il existe plus de 200 virus susceptibles de provoquer la grippe et des syndromes grippaux (SG). Les symptômes comprennent de la fièvre, des maux de tête, des douleurs articulaires et musculaires, de la toux et un écoulement nasal. Les médecins ne peuvent pas faire la distinction entre la grippe et le syndrome grippal (rhume pseudo-grippal) sans tests de laboratoire, car les deux ne durent que quelques jours et entraînent rarement une maladie grave ou la mort.
Le virus de la grippe mute chaque année et les types de virus inclus dans les vaccins correspondent généralement à ceux qui devraient circuler au cours de la saison grippale suivante, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
L'examen stabilisé de Cochrane sur 20 ans de travail (stabilisé signifiant qu'il n'y a aucune nouvelle preuve contredisant les résultats) a révélé que l'efficacité du vaccin contre la grippe pour tous les groupes d'âge est surestimée.
Dr. Tom Jefferson, auteur principal de la revue Cochrane et maître de conférences à l'Université d'Oxford, a déclaré à l'époque que les études montraient un biais dans les rapports sur les méfaits du vaccin vivant atténué contre la grippe. Les vaccins contre la grippe sont « une question de marketing, pas de science », a-t-il déclaré. Nous ne disposons que de quelques études et d’un grand nombre de données d’observation très médiocres. Les données scientifiques font défaut et il est donc très difficile de prendre une décision éclairée. Jefferson est également celui qui a documenté l'inefficacité des masques contre Corona dans la grande étude Cochrane et a été massivement attaqué pour cela .
https:/
(...) Abuser des enfants pour protéger les autres est une tradition. Nous savons que les enfants n’ont jamais été menacés par le Corona, (...)
Supprimerni les adultes non-plus puisque que la poussière (appelée 'virus') N'EXISTE PAS !
AUCUN LABORATOIRE AU MONDE ne l'a vu depuis 3 ans !!! A U C U N !
La lettre de l'autorité de régulation européenne EMA supprime la base de toute exigence de vaccination corona
RépondreSupprimer22 novembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Certains députés européens ont demandé des éclaircissements à l’EMA sur un certain nombre d’aspects de l’approbation des vaccins corona. En plus des pages d’excuses, il existe une déclaration claire qui invalide tout argument en faveur d’une vaccination obligatoire générale ou liée au travail.
Ce sont les députés européens Marcel de Graaff, Gilbert Collard, Francesca Donato, Joachim Kuhs, Mislav Kolakušić, Virginie Joron, Ivan Vilibor Sinčić et Bernhard Zimniok qui ont ordonné les réponses à une série de questions. Dans une lettre datée du 18 octobre 2023, signée par la directrice générale de l'EMA, Emer Cooke, il y a au moins une précision importante.
Voici la traduction de la réponse à la première question :
Les indications approuvées
Ils notent que, sur la base des indications approuvées, les vaccins « ne devraient être administrés qu’aux personnes recherchant une protection personnelle et ne sont pas approuvés pour réduire les taux de transmission ou d’infection (contrôle de la transmission) ». Ils notent également que l’indication approuvée ne correspond pas aux utilisations promues par « les sociétés pharmaceutiques, les politiques et les professionnels de la santé ».
Vous avez en effet raison de souligner que les vaccins contre la COVID-19 ne sont pas approuvés pour prévenir la transmission d’une personne à une autre. Les indications servent uniquement à protéger les personnes vaccinées.
Les informations sur le produit des vaccins contre la COVID-19 indiquent clairement que les vaccins sont destinés à une immunisation active pour prévenir la COVID-19. En outre, les rapports d’évaluation de l’EMA sur l’approbation des vaccins soulignent qu’il n’existe aucune donnée sur la transférabilité.
L’EMA continuera à faire preuve de transparence quant aux utilisations approuvées des vaccins contre la COVID-19 et à identifier les domaines dans lesquels nous devons dissiper les malentendus.
C’est comme une moquerie que l’EMA admette aujourd’hui, après que des millions de doses de vaccin périmées ont été jetées et éliminées, ce que des scientifiques réputés ont déjà clairement déclaré en 2020 : l’injection dans le haut du bras ne peut jamais conduire à une immunité stérile qui élimine le l'infection et le Peut empêcher la transmission à d'autres personnes.
Mais c'est précisément l'affirmation d'une protection contre l'infection et la transmission qui était la seule justification acceptable pour la vaccination obligatoire en Autriche et pour les vaccinations obligatoires liées au travail dans de nombreux pays - dans le système de santé, dans l'armée, dans les établissements de soins, etc. . Si l’EMA avait effectivement rendu « transparentes » « les utilisations approuvées des vaccins contre le Covid-19 » et dissipé les « malentendus », alors il n’aurait jamais pu y avoir une quelconque forme de vaccination obligatoire.
RépondreSupprimerRéponses incorrectes ou évasives
Les autres points de la lettre sont soit encore incorrects, soit formulés de manière très évasive.
Tout d’abord, les morceaux d’ARNm raccourcis et « cassés ». La réponse de l’EMA :
« Bien que certains morceaux d’ARNm tronqués aient été trouvés dans le vaccin, le CHMP a conclu en 2020 que « les spécifications proposées concernant l’intégrité de l’ARN et la coiffe 5′ sont considérées comme scientifiquement justifiées et acceptables. Cependant, des données supplémentaires pour compléter la caractérisation de la substance active et du médicament fini et prenant en compte l'expérience clinique sont considérées comme importantes pour confirmer l'adéquation de ces spécifications et ces données doivent être soumises après autorisation en tant que conditions particulières pour l'autorisation de mise sur le marché. .»
En fait, des proportions allant jusqu'à 50 % de ces fragments d'ARNm ainsi que d'autres impuretés, parfois massives, ont été trouvées dans les préparations livrées. L’affirmation « certains » est tout simplement fausse. Les effets que ces fragments pourraient avoir sur la personne vaccinée n’ont jamais été étudiés, de sorte que des dommages massifs à la santé n’ont jamais été exclus.
Réglementation du génie génétique
TKP a rendu compte de la modification de la réglementation européenne sur le génie génétique le 5 août 2020 . Le Parlement européen a approuvé le nouveau règlement le 10 juillet, le Conseil (Conseil des ministres) le 14 juillet. La nouvelle politique entre en vigueur le 17 juillet. Le titre un peu gênant est :
« RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL relatif à la conduite d'essais cliniques de médicaments à usage humain contenant ou constitués d'organismes génétiquement modifiés pour le traitement ou la prévention de la maladie à coronavirus (COVID-19) et leur délivrance »
Le règlement précise en outre :
« Compte tenu de l’urgence de santé publique sans précédent provoquée par la pandémie de COVID-19, la protection de la santé publique doit être une priorité. Il est donc nécessaire d’accorder une dérogation temporaire aux exigences d’une évaluation préalable des incidences sur l’environnement pendant la durée de la pandémie de COVID-19 ou aussi longtemps que la COVID-19 constitue une urgence de santé publique. L’exemption devrait être limitée aux essais cliniques de médicaments expérimentaux contenant ou constitués d’OGM pour le traitement ou la prévention de la COVID-19. Tant que l’exemption temporaire s’applique, l’évaluation de l’impact environnemental… ne devrait pas être une condition préalable à la conduite de ces essais cliniques.
L’EMA affirme désormais dans sa réponse, contrairement à tout ce qui a été communiqué à l’été 2020 :
« Un pas de géant » : un plan visant à réduire le taux de natalité de 81 % au cours des 70 prochaines années
RépondreSupprimerLe WEF et Earth4All veulent que nous ayons moins d’arrière-petits-enfants
IGOR TCHOUDOV
21 NOVEMBRE 2023
Les « leaders d’opinion » qui génèrent des idées pour le Forum économique mondial et les Nations Unies proposent des mesures visant à réduire le nombre de naissances au cours des 70 prochaines années de 130 millions à environ 24 millions par an. Cela représente environ cinq fois la réduction !
Leurs projets radicaux sont publics et très précis.
L’organisation « Earth4All », un groupe de réflexion influent sur le développement durable issu du Club de Rome, envisage de sauver la planète avec le scénario qui porte bien son nom, « Giant Leap ».
Leur plan, visant à transformer radicalement l’existence humaine et la gouvernance sur l’ensemble de la planète, est assez détaillé. Le résultat le plus important de leur projet serait une réduction des accouchements de 81 % d'ici 2100 par rapport au niveau actuel.
Les projections sont détaillées dans leur proposition. (pages 45-46). J'ai rassemblé deux graphiques afin que vous puissiez les comparer. Ils opposent le « statu quo » (à gauche) au résultat de la mise en œuvre complète de leur plan « Giant Leap » (à droite).
Le plan Giant Leap (coin inférieur droit) réduit les accouchements de 130 millions par an actuellement à environ 24 millions par an dans le monde d’ici 2100.
Comme l'explique Earth4All, ils sont issus du Club de Rome :
La Terre pour tous trouve ses origines dans le rapport commandé par le Club de Rome, Les limites de la croissance, publié il y a 50 ans. À l’époque, les scientifiques utilisaient les premiers modèles informatiques pour montrer que les ressources limitées de la Terre finiraient par céder sous le poids de la consommation matérielle. La production alimentaire chuterait, suivie d’une chute brutale de la population. De nombreuses personnes ont été choquées par la conclusion selon laquelle dépasser les limites de la planète pourrait conduire à l’effondrement. Au cours des 50 dernières années, le monde a suivi le pire scénario présenté dans le rapport et nous commençons à constater de profondes fractures dans le système Terre et au sein des sociétés. Avec Earth for All, nous aurions pu explorer davantage de scénarios d’effondrement, mais nous pensons que notre avenir sera construit sur l’optimisme économique et non sur le désespoir.
La même personne, Sandrine Dixson-Decleve, dirige Earth4all et le Club de Rome :
RépondreSupprimerEarth4All n'est pas une organisation marginale. Il a généré les idées qui ont guidé le Forum économique mondial et les Nations Unies. Comparez, par exemple, le plan Giant Leap d’Earth4All (à gauche) avec les « Objectifs de développement durable » de l’ONU (à droite).
Je dois décevoir les aficionados de la théorie du complot : l’idée principale du plan de réduction des naissances ne mentionne ni les vaccins, ni les produits chimiques toxiques, ni la 5G. (Je n'ai pas accès aux informations non publiques)
Le plan annoncé publiquement revient ennuyant à supprimer de nombreuses raisons existantes pour avoir des enfants. Cela ressemble également à de nombreuses idées très agréables, progressistes et réconfortantes – qui ont des conséquences de grande envergure !
Le plan Earth4All - Les redressements
Quelques points précis méritent d’être mentionnés.
Les personnes pauvres et les petits exploitants agricoles ont tendance à avoir des enfants pour les aider dans les exploitations agricoles familiales ou comme filet de sécurité sociale pour les personnes âgées. Ainsi, le plan propose d'éliminer la pauvreté en initiant des transferts économiques massifs des pays riches vers les pays pauvres :
Notant que les femmes ayant du temps libre ont tendance à avoir des enfants, Earth4All recommande d’autonomiser les femmes (avec de nombreux effets bénéfiques), ce qui les obligerait à s’occuper d’objectifs de vie autres que celui d’avoir des enfants.
La croissance économique, avec une expansion constante du logement, des routes et des ressources, favorise également le fait d’avoir des enfants qui peuvent facilement fonder un autre foyer une fois adultes. Au lieu de la croissance économique, Earth4All et le WEF prônent une « décroissance », c’est-à-dire une réduction des ressources telles que le logement ou la nourriture consommée :
Terre pour tous :
Le FEM :
Après avoir demandé : « La décroissance est-elle réalisable ? les experts du WEF expliquent que la décroissance leur semble tout à fait logique :
Les partisans de la décroissance disposent également d’arguments convaincants.
The Conversation cite Sam Alexander, défenseur de la décroissance et chercheur au Melbourne Sustainable Society Institute de l'Université de Melbourne en Australie. Selon lui, la décroissance « ne signifie pas que nous allons vivre dans des grottes avec des bougies ». Au lieu de cela, cela pourrait signifier que les habitants des pays riches modifieraient leur régime alimentaire, vivreaient dans des maisons plus petites et conduiraient et voyageraient moins.
Le plan Earth4All a toutes les chances de réussir. Comment savons nous ?
RépondreSupprimerCela a fonctionné dans les colonies de souris !
Expérience avec la souris Calhoun
Un célèbre biologiste, John Calhoun, a mené de nombreuses expériences de « colonies utopiques de souris », où les souris pouvaient vivre confortablement dans une « ville de souris » socialiste miniature en parfaite égalité sans connaître la faim, le froid ou les autres dangers de la vie dans la nature.
https://sciencehistory.org/stories/magazine/mouse-heaven-or-mouse-hell/
Les souris ont généralement la vie difficile. Les gens les exterminent. Ils sont exposés au froid, aux prédateurs, aux maladies et aux inconforts. Pourtant, sous ces prédations, leur population semble indestructible !
Le Dr Calhoun a demandé : que se passerait-il si, au lieu de vivre en danger, les souris étaient placées dans l'équivalent d'une ville moderne à 15 minutes, avec une nourriture illimitée, un logement pour les souris et une absence de maladie et de prédation ?
Le résultat pourrait vous choquer !
Il s’est avéré qu’au début, les souris adoraient ça.
Officiellement, la colonie s'appelait l'environnement inhibiteur de mortalité pour les souris. Officieusement, on l'appelait le paradis des souris.
Le biologiste John Calhoun a construit la colonie à l'Institut national de la santé mentale du Maryland en 1968. C'était un grand enclos – un cube de 4½ pieds – avec tout ce qu'une souris pouvait désirer : beaucoup de nourriture et d'eau ; un climat parfait ; des rames de papier pour faire des nids douillets ; et 256 appartements séparés, accessibles via des tubes grillagés boulonnés aux murs. Calhoun a également examiné les souris pour éliminer la maladie. Libérée des prédateurs et autres soucis, une souris pourrait théoriquement y vivre jusqu’à un âge extraordinairement avancé, sans le moindre souci.
Les huit souris qui ont fondé cette colonie ont vécu sans souci jusqu’à ce qu’elles se multiplient pour atteindre une population stupéfiante de 2 200 individus.
[Calhoun] a introduit huit souris albinos dans le cube de 4½ pieds. Après une période d'adaptation, les premiers petits sont nés 3 mois et demi plus tard, et la population a ensuite doublé tous les 55 jours. Finalement, cette croissance torride a ralenti, mais la population a continué à augmenter, culminant à 2 200 souris au cours du 19e mois.
Cependant, le succès initial inhabituel s’est vite transformé en problèmes. Des mâles alpha solitaires frustrés, des souris involontairement célibataires et des souris femelles isolées ont proliféré. Le lien social a souffert !
Finalement, d’autres comportements déviants sont apparus. Les souris qui ont été mal élevées ou qui ont été expulsées du nid trop tôt n'ont souvent pas réussi à développer des liens sociaux sains et ont donc eu des difficultés à l'âge adulte avec les interactions sociales. Les femelles inadaptées ont commencé à s’isoler comme des ermites dans des appartements vides – un comportement inhabituel chez les souris. Les mâles inadaptés, quant à eux, se livraient à leur toilette toute la journée, se lissant et se léchant heure après heure. Calhoun les appelait « les plus belles ». Et pourtant, même s’ils étaient obsédés par leur apparence, ces hommes n’avaient aucun intérêt à courtiser les femmes, aucun intérêt pour le sexe.
RépondreSupprimerLes souris utopiques n’avaient pas accès à l’avortement, mais de nombreuses femelles tuaient ou refusaient de s’occuper de leurs petits :
De nombreuses mères stressées ont expulsé leurs chiots du nid très tôt, avant que ceux-ci ne soient prêts. Quelques-uns ont même attaqué leurs propres petits au milieu de la violence ou les ont abandonnés en fuyant vers des appartements différents, laissant les chiots mourir de négligence.
Finalement, la colonie s’est complètement éteinte. Ni la nourriture ni l’eau ne manquaient et aucune maladie n’apparaissait. Les souris ont tout simplement arrêté de se reproduire. Ce résultat n’était pas dû à la surpopulation : à mesure que la population murine diminuait, la surpopulation n’était plus un problème – mais les taux de reproduction n’ont rebondi qu’à la fin de la colonie. La cité utopique des souris a disparu.
L'humanité va-t-elle mourir ?
Sans aucune capacité à prédire l’avenir, je suis prudemment optimiste. Les humains ne sont pas des souris ; la Terre n’est pas une utopie confinée à la souris.
En effet, il est possible que, ayant le choix de mener une belle vie sans avoir d’enfants, de nombreuses personnes choisissent de rester sans enfants. Ils ont parfaitement le droit de décider !
Dans de nombreux pays, de nombreuses femmes et hommes choisissent déjà de ne pas avoir de progéniture, et les taux de natalité sont tombés bien en dessous des niveaux de remplacement. Le Japon et la Corée du Sud « ouvrent la voie » :
Est-ce qu'avoir des enfants ne sera plus la norme sociale ?
Cela conduira-t-il à la dissolution de nombreuses sociétés humaines ?
Enfin, avons-nous besoin d’autant de personnes sur cette planète ? Le dépeuplement est-il bon pour nous ?
Application du Plan 'Dépopulation21' ! Les enfants nés dorénavant seront des arriérés-mentaux de type 'Greta' piqués à la naissance.
RépondreSupprimerComment l’humain réagit-il face à l’inimaginable ?
RépondreSupprimerFace à l’inimaginable, nos modèles mentaux sont mis à l’épreuve. L’exemple de la couverture médiatique des attentats du 11 septembre révèle combien il est difficile d’accepter et de comprendre les événements sans précédent.
le 21 novembre 2023
Philippe Silberzahn
La prise de conscience qu’on se trouve face à un phénomène inédit est extrêmement difficile car celui-ci n’entre pas dans nos modèles mentaux. L’adaptation de ces derniers, nécessaire pour rendre compte de la nouvelle réalité et lui donner un sens, peut prendre longtemps, ce qui retarde notre réponse.
Cette difficulté est très bien illustrée par la réaction de deux journalistes qui commentaient en direct les attentats du 11 septembre 2001.
La chaîne de télévision NBC New York démarre sa couverture en direct dix minutes seulement après le premier impact sur une des tours du World Trade Center. Pendant les douze premières minutes de la retransmission, les deux journalistes décrivent ce qu’ils voient. Ils savent qu’un avion a percuté la tour, mais ils n’envisagent pas une attaque.
Puis quelque chose d’hallucinant se produit : à la douzième minute, un avion apparaît en haut à droite de l’écran et vient percuter la seconde tour. S’ensuit une énorme explosion à 12 min 30 s. Les journalistes commentent alors cette explosion, mais ne semblent pas avoir vu l’avion, masqué par la première tour. Ils continuent à parler et, là encore, ne pensent pas un instant que la seconde explosion, dans une tour séparée, à quelques minutes d’intervalle, alors qu’on sait que la première est due à un avion, est probablement elle aussi due à un avion, et que ça ne peut donc pas être un accident. Ils continuent de parler d’explosion. La lenteur de prise de conscience est stupéfiante.
À 15 min 22 s, l’un des journalistes repasse la vidéo, mais seulement les quelques secondes qui précèdent l’explosion, ce qui fait qu’on ne voit pas l’avion arriver (il est masqué par la première tour déjà touchée). Pour la première fois, il envisage la possibilité d’un second avion, mais ne poursuit pas.
Puis à 17 min, un auditeur intervient par téléphone et fait remarquer aux deux journalistes que leurs propres images montraient bien un second avion. La chaîne repasse donc l’enregistrement plus en amont, et cette fois, l’avion apparaît sans aucun doute.
À 18 min 32 s, l’un des journalistes envisage une attaque délibérée. Pourtant, à 26 min, en résumant ce qu’elle sait, l’autre journaliste précise aussitôt : « Je ne devrais pas appeler cela une attaque. »
En apprenant que le FBI vient d’annoncer une enquête sur le détournement de deux appareils, le premier journaliste, avec beaucoup d’hésitation, répète « attaque terroriste », mais sa collègue le reprend en précisant qu’on n’en sait pas assez, et qu’il n’est pas certain que les deux faits soient liés.
Donc, deux avions percutent chacun une tour à 20 minutes d’intervalle, deux témoins assurent que les avions volaient très bas et sont directement allés percuter les tours, mais l’idée d’une attaque semble toujours inimaginable aux deux journalistes.
RépondreSupprimerÀ 29 min, le journaliste cite à nouveau le FBI, suggérant une attaque délibérée, mais là encore, avec une grande prudence.
À 38 min, les journalistes interrogent à l’antenne un pilote professionnel, témoin de la première attaque. Le pilote précise que l’avion est allé directement vers la tour, et qu’il ne montrait aucun signe de problème technique ou de détresse. Puis il est interrompu par la déclaration du président Bush qui évoque clairement une attaque terroriste. La journaliste résume cependant l’intervention en parlant d’une attaque terroriste présumée. L’entretien avec le pilote reprend. Celui-ci précise qu’en aucune façon un avion commercial n’aurait dû se trouver dans cette zone et à cette altitude. Il ajoute qu’un pilote en difficulté aurait pu éviter les tours sans aucun problème.
Il conclut : « Quiconque était aux commandes a foncé délibérément dans la tour. »
Pourtant, les deux journalistes évoquent encore une « probable » attaque terroriste, plus de 40 minutes après le début du reportage, 50 minutes après le premier impact.
Et puis, à 52 min, l’annonce de l’attaque du Pentagone intervient, et clôt le débat.
Il a fallu près d’une heure aux deux journalistes pour admettre sans réserve qu’il s’agissait d’une attaque terroriste, alors que les faits étaient sans ambiguïté dès le deuxième impact.
Il ne s’agit pas de mettre en cause les deux journalistes, mais de bien souligner une fois encore la difficulté qui était la leur d’admettre qu’ils étaient face à une situation totalement inédite. Rien n’est plus triste que la mort d’une illusion, remarquait Arthur Koestler. Rien n’est plus difficile non plus à abandonner.
Les surprises ne sont ainsi pas des situations binaires, où il y aurait un avant – aveuglement – et un après – réaction – bien nets.
Il y a un entre-deux, qui peut se révéler extrêmement long, de prise de conscience durant lequel on sent que quelque chose se passe, mais ce quelque chose n’entre pas dans nos modèles mentaux. Il ne peut donc pas être correctement pris en compte. Cet entre-deux peut durer quelques minutes, comme dans l’exemple des deux journalistes, quelques jours, comme au tout début de la crise liée au covid quand les experts nous rassuraient en expliquant qu’il n’était qu’une mauvaise grippe, ou quelques années, comme dans le cas des ruptures que vivent les organisations.
Sans qu’il y ait de solution facile à cette difficulté, une sensibilité accrue aux anomalies rencontrées qui ne cadrent pas avec notre modèle est indispensable. Elle se développe par un travail explicite sur nos modèles mentaux, et sur la création de mécanismes organisationnels destinés à faire de ce travail une habitude. Les anomalies ne doivent ainsi pas être ignorées comme des aberrations, mais étudiées comme des signaux possibles d’une faiblesse de nos modèles.
https://www.contrepoints.org/2023/11/21/467451-comment-lhumain-reagit-il-face-a-linimaginable
Je me souviens de la séquence en boucle sur chaque chaîne c'était spectaculaire mais, dès le départ, on ne pensait pas à un truc d'Hollywood. Mais les jours qui suivirent firent discuter le 'comment est-ce possible' ? Pourquoi des 'terroristes' s'en prendraient-ils à des tours et non-pas à la statue de la Liberté ou à la Maison Blanche ?! Donc: le truc évident c'est mafia. Règlement de compte à Ok Corral !
SupprimerOui mais après, des gens ont dit que des avions (Boeing) étaient en aluminium et qu'il leur était impossible de pénétrer dans un bâtiment. Puis son venus des pilotes de lignes et avionneurs du monde entier dire que c'était IMPOSSIBLE à un avion de traverser un immeuble. Puis ils ont parlé d'artificiers qui font sauter les tours et qui auraient employé non-pas du C4 mais du termite pour abattre les tours sur leur empreinte comme il est toujours fait dans le monde entier quand il s'agit de tomber un gratte-ciel en centre-ville. Puis ils ont reparlé du système rigolo des avions qui virent à 90° et à 800 km/h alors qu'il est impossible de dépasser le 600 km/h en basse altitude compte tenu de la densité de l'air.
Donc, là on s'est dit "Çà, c'est du Hollywood !" Puis d'autres remarques ont fait apparaître des lacunes dans le programme Disney avec ses conversations de téléphone cellulaire vers le sol ! Alors qu'en 2001 n'existait pas encore des relais !!
Et puis... et puis y a eu la tour n°7 !! Aaaaaalors là !... Çà, CHAPEAU ! La tour qui tombe seule sans qu'un avion ne la percute ! HAHAHAHA !
Et, au final, l'explication (le meilleur gardé pour la fin): C'était des hologrammes ! Des hologrammes comme ils en faisaient aux studios d'Hollywood ! Ils projettent l'image d'un avion (ou bateau, camion ou soucoupe volante) n'importe où dans le ciel en 3D et, miracle du miracle envoient le son à partir de l'écran 3D projeté !
C'était nouveau. De nos jours ils en font dans les galeries marchandes de supermarchés. C'est chouette.
L'énergie durable? Les bornes de recharge individuelles pour véhicules électriques consomment l’équivalent de 280 foyers chaque heure
RépondreSupprimer20/11/2023
Ethan Huff
Une vidéo controversée qui devient virale en ligne affirme qu'une borne de recharge moyenne pour véhicule électrique (VE) utilise la quantité équivalente d'énergie pour alimenter 280 foyers chaque heure d'utilisation, ce qui rend le concept inutile et totalement non durable.
Faire rouler des véhicules à l’électricité plutôt qu’au gaz était censé aider à économiser l’énergie tout en sauvant la planète, mais la vidéo en question, que vous pouvez regarder ci-dessous, explique pourquoi ce n’est peut-être pas ce qui se produit réellement à chaque fois qu’un propriétaire de VE recharge un véhicule.
"Je pense que je fais juste une petite vidéo ici juste pour donner aux gens une idée de la quantité d'énergie nécessaire pour recharger un véhicule électrique", déclare l'homme dans la vidéo.
"Je suis chez Electrify America. Il s'agit d'une station de 350 kilowatts. Je consomme environ 137 kilowatts. Cela fluctue. Parfois, je peux aller jusqu'à 350 kilowatts. Mais pour mettre cela en perspective, une maison moyenne consomme 1,25 kilowatts par heure, 135 kilowatts par heure. C'est comme l'équivalent de 106 foyers sur le réseau, rien que cette seule station. Maintenant, si je devais obtenir la totalité des 350 kilowatts comme ceux-ci peuvent fournir, cela équivaudrait à 280 maisons."
(Connexe : Apprenez-en davantage sur les raisons pour lesquelles les véhicules électriques sont une arnaque.)
Les six chargeurs de la station fonctionnant à pleine capacité consomment suffisamment d'énergie pour alimenter 1 808 foyers.
L'homme explique ensuite la quantité d'énergie que consommeraient les six chargeurs fonctionnant à pleine capacité, déclarant que cela équivaut à alimenter "1 080 foyers sur le réseau".
"Juste un peu de matière à réflexion", dit-il ensuite. "Ce sont des choses que les gens ne réalisent pas, la quantité d'énergie nécessaire pour charger rapidement ces batteries. C'est une énorme quantité d'électricité. Et maintenant vous comprenez pourquoi les compagnies d'électricité ne peuvent même pas fournir autant d'électricité à un seul endroit."
"C'est comme penser à 1 600 maisons et à la quantité de cuivre et de fil qu'il faudrait pour alimenter autant de maisons. Alors oui, c'est plutôt cool. Quelqu'un d'autre vient d'arriver et oui, il y a encore 280 maisons sur le réseau dès qu'il se branche. Alors juste un peu de matière à réflexion. J'adore mon véhicule électrique. Ils sont géniaux. Ils sont silencieux, mais c'est juste quelque chose auquel les gens ne pensent pas vraiment.
RépondreSupprimerX (anciennement Twitter), désormais propriété privée du milliardaire gourou des véhicules électriques Elon Musk de Tesla, n'a pas tardé à qualifier la vidéo et ses affirmations de « désinformation ». Musk et son équipe ont marqué le message en affirmant qu'ils "interprètent mal la quantité d'énergie nécessaire pour charger une batterie par rapport à la quantité d'énergie nécessaire pour la décharger", ajoutant qu'il s'agit de la différence entre kW (kilowatts) et kWh (kilowatt). heures).
En d’autres termes, selon X, ce type fait des calculs erronés. Quoi qu’il en soit, il n’y a toujours rien de vert dans les véhicules électriques ou les stations de recharge pour véhicules électriques, surtout si l’on considère le fait qu’une grande partie des soi-disant « verts » " L'énergie qu'ils produisent provient toujours de centrales alimentées au charbon et au diesel.
D’autres formes d’énergie « verte », comme l’énergie éolienne et solaire, ne sont pas non plus aussi propres qu’on le prétend. Les parcs éoliens déciment la faune et la biodiversité à un rythme effarant, tandis que les panneaux solaires nécessitent une extraction intensive des minéraux de terres rares dans des pays comme la Chine et l'Afrique, où les enfants esclaves sont souvent contraints à des situations dangereuses pour seulement quelques centimes par jour.
Il n’y a rien de propre ou de durable dans les véhicules électriques. Apprenez-en davantage sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
Revolver.actualités
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-20-charging-stations-use-energy-280-homes-hourly.html
L’économie allemande s’effondre après que le pays a abandonné l’énergie nucléaire – les prix montent en flèche, les industries implosent
RépondreSupprimer19/11/2023
Ethan Huff
Saviez-vous que les prix de l'électricité en Allemagne sont trois fois plus élevés que ceux de l'électricité aux États-Unis, tout cela à cause de la politique énergétique « verte » de l'Allemagne ?
Ces dernières années, l'Allemagne a progressivement abandonné le charbon et l'énergie nucléaire d'une manière qui a été décrite dans les médias allemands comme « mal coordonnée avec l'Union européenne ». En conséquence, les Allemands paient pour l’énergie des prix exorbitants qui ne sont absolument pas viables si l’économie allemande veut rester à flot.
Une politique énergétique efficace poursuit généralement trois objectifs principaux : des prix bas, la sécurité de l’approvisionnement et la protection de l’environnement en ce qui concerne les émissions de gaz carbonique – ce dernier étant bien entendu discutable. La politique énergétique allemande échoue dans ces trois catégories.
Combiné aux retombées économiques de la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19), le programme agressif de l'Allemagne en matière d'énergie verte détruit l'économie du pays alors que diverses industries sont obligées soit de faire leurs valises et de partir, soit tout simplement de fermer leurs portes.
Bayer, un géant pharmaceutique allemand, a récemment annoncé des "suppressions massives d'emplois" en raison des problèmes économiques qui continuent de sévir dans le pays. L’entreprise a cité le manque de performances commerciales comme motivation.
Il y a ensuite Eisenwerk Hasenclever & Sohn, une fonderie de fer allemande vieille de 250 ans qui a récemment déposé son bilan. Eisenwerk Hasenclever & Sohn fournit depuis longtemps des pièces détachées à des constructeurs automobiles de renom tels que Audi, BMW, Daimler, Ford et Porsche, mais elle n'est plus en mesure de survivre dans une économie allemande en déclin.
"Nous ne pouvons que spéculer sur ce qui se passera ensuite dans cette fonderie de fer. Sera-t-elle vendue en morceaux et dispersée à l'étranger, laissant la région comme une ceinture de rouille ?" demande Watts avec ça.
(Connexe : Plus tôt cette année, après que l'Allemagne a fermé ses trois dernières centrales nucléaires, il y avait un tel déficit d'électricité dans tout le pays que l'Allemagne a commencé à acheter de l'énergie nucléaire à la France voisine.)
Le constructeur de machines allemand Homag licencie 600 salariés
Une autre entreprise allemande qui licencie un grand nombre de ses employés est le constructeur de machines Homag, qui a annoncé le licenciement de 600 travailleurs dans le monde, dont environ 35 à son siège social de Schopfloch, dans le Bade-Wurtemberg.
Selon certaines informations, la baisse de la demande pour ses produits serait la raison pour laquelle Homag licencie du personnel. L’objectif est d’économiser environ 25 millions d’euros l’année prochaine, et environ 50 millions d’euros par an en 2025 et au-delà.
"Malgré la demande de machines à bois dans de nombreux secteurs industriels, l'entreprise s'attend à une année à venir difficile en raison de chiffres de commandes étonnamment faibles", expliquent les rapports.
Même si cette histoire se concentre sur l’Allemagne, la plus grande économie d’Europe constitue en quelque sorte un indicateur pour le reste du monde. Ces derniers temps, nous avons fait état de nombreuses entreprises basées aux États-Unis qui licenciaient également des travailleurs, et pour bon nombre des mêmes raisons.
L’économie mondiale, dirigée par l’Occident, semble être à l’agonie. Nous ne sommes pas encore complètement tombés du précipice, mais un tel sort se dessine rapidement alors que l’inflation monte en flèche dans tous les secteurs et que de nouvelles guerres se préparent sur plusieurs fronts, notamment en Ukraine et au Moyen-Orient.
"Il n'y a aucun signal économique optimiste en vue. Les prix de l'énergie, l'inflation et les politiques économiques catastrophiques font rapidement sombrer le cuirassé économique allemand et sa prospérité", affirme Watts Up With That.
RépondreSupprimerL’une des rares entreprises qui semble bien faire les choses est Toyota, qui a résisté au battage médiatique des véhicules électriques (VE) et s’est prudemment lancée même sur le marché hybride avec prudence. En conséquence, le constructeur automobile a enregistré un bénéfice record, en grande partie grâce à la vente d’hybrides, qu’il vend désormais plus que tout autre constructeur automobile.
Les dernières nouvelles sur la destruction de l’Occident par les mondialistes peuvent être trouvées sur Globalism.news.
Les sources de cet article incluent :
WattsUpWithThat.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/Index.html
Étude : l’absorption du gaz carbonique par les plantes augmente, tout comme la végétation
RépondreSupprimer22 novembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Une nouvelle étude suggère que d’ici la fin du siècle, les plantes auront absorbé 20 % de gaz carbonique de plus que prévu initialement, ce que même certains grands médias admettent : « Les modèles climatiques surestiment la rapidité avec laquelle la planète se réchauffera . »
La végétation mondiale a la remarquable capacité d’absorber le gaz carbonique de l’air et de le stocker sous forme de biomasse. De cette manière, les plantes ralentissent l’influence du gaz carbonique, un gaz trace, car le gaz carbonique qu’elles absorbent ne contribue pas au réchauffement climatique.
Les chercheurs ont examiné 3 questions :
l'efficacité avec laquelle le gaz carbonique peut se déplacer à l'intérieur de la feuille
comment les plantes s'adaptent aux changements de température ambiante
comment distribuer les nutriments de la manière la plus économique possible.
Ils ont constaté que les modèles climatiques qui tiennent le mieux compte des processus qui soutiennent la vie végétale prédisent systématiquement la plus grande absorption de gaz carbonique. Le modèle le plus complexe prévoyait jusqu'à 20 % de plus que la version la plus simple.
Le Trinity College de Dublin a déclaré que son étude , « Une productivité primaire brute mondiale plus élevée sous un climat futur avec des représentations plus avancées de la photosynthèse », publiée dans la revue Science Advances, était « atypique » en compte tous les éléments de la photosynthèse.
La science dominante avait proclamé que le « changement climatique » affaiblirait probablement le processus, mais de nouvelles recherches montrent que les plantes continueront à absorber efficacement le dioxyde de carbone, à produire des nutriments supplémentaires, etc. Des études antérieures ont montré que les plantes poussent plus vite et ont besoin de moins d’eau lorsque les niveaux de gaz carbonique sont plus élevés. C'est pourquoi les zones arides sont verdies et les fermes inondent leurs serres de gaz carbonique pour augmenter les rendements.
Les chercheurs ont découvert une lacune dans la logique de « l'ébullition mondiale » et ont découvert que la quantité de carbone convertie lors de la photosynthèse pourrait être jusqu'à 68 % plus élevée dans le monde d'ici la fin du siècle qu'au début du siècle, soit 20 % de plus. que déterminé dans les modèles actuels.
Les mécanismes de croissance des plantes
RépondreSupprimerLes plantes absorbent le gaz carbonique grâce à la photosynthèse. Ce processus utilise l'énergie du soleil pour convertir le gaz carbonique de l'air en sucre, dont les plantes ont besoin pour leur croissance et leur métabolisme.
Les plantes rejettent relativement rapidement environ la moitié de ce gaz carbonique dans l’atmosphère par la respiration. L’autre moitié est utilisée pour la croissance et reste dans la biomasse végétale pendant de longues périodes – des mois, voire des siècles.
Cette biomasse finira par mourir et se décomposer. Une partie du carbone est rejetée dans l’atmosphère, mais une autre partie finit dans le sol, où elle peut rester pendant des centaines d’années.
Ainsi, si les plantes absorbent plus de gaz carbonique davantage de carbone sera probablement stocké dans la végétation et le sol. Ce « puits terrestre » de carbone a en fait augmenté au cours des dernières décennies, comme le montrent les évaluations annuelles du budget carbone mondial.
De plus, l’augmentation du puits de carbone dans le sol est largement attribuée aux effets positifs de l’augmentation des niveaux atmosphériques de gaz carbonique sur la photosynthèse des plantes. Ceci est important car le carbone stocké dans les plantes et les sols ralentit l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique et donc leur (déjà faible) contribution au réchauffement climatique.
Plus de végétation entraîne une baisse des températures du sol. C'est un fait. Et bien que les modélisateurs aient tenté d’inclure des estimations pour ce « puits de carbone », les chercheurs ont constaté que la plupart des modèles ne sont pas suffisamment complexes pour comprendre la véritable résilience des plantes.
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Le gaz carbonique est un gaz rare qui disparaît avec la chaleur. Les plantes poussent 80 % la nuit et seulement 20 % le jour. Les plantes ne créent pas de gaz carbonique elles absorbent ces nano-particules de carbone et les rejettent en mourant car leur squelette est constitué de carbone.
SupprimerScience : quiconque s’appuie sur le consensus se trompe généralement – voir gaz carbonique et climat, voir Covid
RépondreSupprimer22 novembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Un célèbre physicien quantique et lauréat du prix Nobel annonce la « bonne nouvelle » : il n’y a pas de crise climatique – un message que certains n’aiment pas entendre. Dr. John Clauser, prix Nobel 2022, avait fait sensation fin juin 2023 dans le cadre de la conférence « Quantum Korea 2023 » en déclarant : « Je ne crois pas qu'il y ait une crise climatique ». Le Washington Post a publié un article affirmant que Clauser s'était éloigné du « consensus scientifique écrasant ».
Clauser avait précédemment parlé à Baltimore de la désinformation qui domine actuellement la communauté scientifique concernant le changement climatique d'origine humaine. Lors de la conférence de presse de la Deposit of Faith Coalition la semaine dernière , Clauser a de nouveau annoncé : « Même si cela peut contrarier beaucoup de gens, mon message est que la planète n'est pas en danger. Je pense que c'est une bonne nouvelle. Je crois qu’il n’y a pas de crise climatique.
« Le gaz carbonique et le méthane atmosphériques présumés ont des effets négligeables sur le climat. « Les politiques du gouvernement américain sont totalement inutiles et devraient être éliminées, ce qui permettrait d’économiser des milliards de dollars », a poursuivi Clauser.
Dr. Clauser a souligné un problème crucial qui, selon lui, torpille les sombres prédictions du Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) des Nations Unies : le désaccord entre plus de 40 modèles informatiques du comité.
" Je soutiens que les modèles informatiques du IPCC ont tous mal identifié le processus dominant qui contrôle le climat de la Terre. Ils sont basés sur une physique incomplète et incorrecte », explique Clauser.
Le lauréat du prix Nobel a introduit un concept qu'il a appelé le « mécanisme nuage-soleil-réflexion-thermostat », qui met en évidence le rôle important des nuages dans l'influence de la température de la Terre. Il a souligné l'importance des nuages, qui réfléchissent 90 % de la lumière solaire dans l'espace, et a critiqué les modèles du IPCC pour avoir négligé l'effet stabilisant de la température de ce processus.
Clauser a également appelé à la fin des mesures visant à limiter les émissions de carbone, les qualifiant de « gaspillage terrible et dangereux de fonds rares » .
Le non-sens du consensus
Peu de temps après la conférence, la présentation de Clauser a été attaquée tant en ligne que dans la communauté scientifique. Le Washington Post a publié un article affirmant que Clauser s'était éloigné du « consensus scientifique écrasant ». L'article déclare : « Le récent déni du réchauffement climatique par [Clauser] a alarmé d'éminents climatologues, qui préviennent qu'il utilise sa réputation pour induire le public en erreur sur une urgence planétaire. »
Michael Mann, climatologue à l'Université de Pennsylvanie, a qualifié l'argument du lauréat du prix Nobel 2022 de « pure poubelle » et de « pseudoscience », le comparant au « genre d'erreur dont un étudiant de première année a honte lorsqu'il est surpris en train de commettre » .
RépondreSupprimerCependant, aucune preuve n'est présentée pour étayer ces affirmations, si ce n'est que quelqu'un a voté dessus et qu'une majorité était en faveur. Cependant, la réfutation de la majorité vient du fait que les modèles du GIEC sont tous erronés. Clauser à ce sujet :
« Aucune des prédictions faites par les alarmistes du climat au cours des 50 dernières années ne s’est réalisée. »
Et, il faut l’ajouter, ils n’expliquent aucun des changements de température dans le passé. C'est généralement suffisant pour échouer un stage de débutant en physique.
Le biologiste moléculaire, le professeur Dr. Phillip J. Buckhaults, ainsi que Kevin McKernan, ont publiquement souligné la présence d'amplificateurs SV40 dans les vaccins plus tôt cette année, comme l' a rapporté TKP . Il est récemment revenu sur le sujet de Galilée, apparemment motivé par ses propres expériences :
« La défense de l'héliocentrisme par Galilée est reprise dans les manuels modernes, mais pas tout à fait correctement. Bien que l'Église ait finalement condamné Galilée, sa persécution était principalement motivée par des professeurs aristotéliciens qui invoquaient l'autorité de l'Église pour le punir. En 1591, le contrat de Galilée à l'Université de Pise ne fut pas renouvelé et, après avoir enduré l'hostilité de ses professeurs, il quitta le monde universitaire, le considérant apparemment comme désespérément non scientifique.
Ici aussi, nous avons eu un groupe d'« experts » qui ont voté et décidé que la Terre était le centre de l'univers et que le Soleil tournait également autour de la Terre.
La citation est tirée de l'étude de Cory J Clark et al. « Les motivations prosociales sous-tendent la censure scientifique par les scientifiques : une perspective et un programme de recherche ». Là, il est écrit :
« La science est l'une des plus grandes réalisations de l'humanité, mais la censure scientifique est rarement examinée de manière empirique. Nous explorons les causes et conséquences sociales, psychologiques et institutionnelles de la censure scientifique (définie comme des actions visant à empêcher certaines idées scientifiques d’atteindre un public pour des raisons autres que le manque de qualité scientifique).
RépondreSupprimerEt les critères de résultats sont décrits comme ceci :
« Le principe fondamental de la science est que la preuve – et non l’autorité, la tradition, l’éloquence rhétorique ou le prestige social – doit triompher. Cet engagement fait de la science une force radicale dans la société : elle remet en question et perturbe les mythes sacrés, les croyances chères et les récits socialement souhaités. Par conséquent, la science est en tension avec d’autres institutions et provoque parfois hostilité et censure.
Quiconque remplace le principe de preuve par le vote admet déjà qu'il ne possède pas cette preuve, ou du moins qu'il ne la connaît pas.
J’ai assisté un jour à une conférence sur l’épistémologie donnée par le professeur Rupert Riedl, biologiste et membre du « Cercle de Vienne ». Il a décrit l'histoire des « professeurs aristotéliciens » de manière un peu plus radicale avec une image de sa science : « Les vieux singes se serrent les coudes comme de la poix et du soufre et ne laissent pas les jeunes se lever . » Clauser, bien que déjà âgé de plus de 80 ans, est le leader de la science du climat Boy. Les partisans du consensus, en revanche, sont les « vieux singes » de Riedl. Mais ils se soucient aussi et avant tout du libre accès à l’abreuvoir.
https:/
N'oublions pas non-plus que le 'tkp' censure TOUS les commentaires anti-nazis.
SupprimerClimat « Enron » pourrait se diriger vers un krach
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 20 NOVEMBRE 2023 - 12H30
Rédigé par Duggan Flanakin via RealClear Wire,
La version américaine moderne de « l’empereur environnemental n’a pas de vêtements » a jusqu’à présent été l’ascension et la chute d’Enron. Comme le dit l’ancien rédacteur de discours de Ken Lay, Robert Bradley Jr., « (L)a cause de la faillite financière d’Enron était à la base philosophique…. Les dirigeants d’Enron étaient certainement engagés dans une fraude philosophique massive – une tentative de tromper la réalité elle-même. »
Pendant des années, Enron a été saluée comme l’une des sociétés les plus avant-gardistes, et Lay, son fondateur et PDG, était un homme très demandé. Au cours de son mandat de 13 ans qui s'est terminé en beauté en 2021, Lay a collecté plus de 220 millions de dollars en espèces et en actions de l'entreprise, et quelques mois seulement avant « la plus grande faillite d'Amérique » (à l'époque), Lay a fait cinq présentations au Forum économique mondial de 2001. Réunion du forum à Davos.
Comme le raconte Bradley, aujourd'hui PDG de l'Institute for Economic Research, Lay était le vendeur qui faisait la promotion d'un modèle commercial développé par Jeffrey Skilling, que Lay avait nommé directeur de l'exploitation. Dans la comptabilité « évaluée à la valeur de marché » de Skilling, les bénéfices futurs anticipés de toute transaction étaient comptabilisés en estimant leur valeur actuelle plutôt que leur coût historique. Ainsi, selon Skilling, Enron n’avait pas vraiment besoin d’« actifs ».
Il fallait juste des connexions.
Et c’était là le talent particulier de Lay. Son idée était d’adopter une philosophie d’entreprise « toujours révolutionnaire », que Bradley appelait « une recherche perpétuelle de l’avantage du premier arrivé ». À cette fin, il est devenu tout pour tout le monde, gagnant les faveurs des républicains, des démocrates, des écologistes, des minorités et des chefs d’entreprise. Sa « création d’illusion » a en effet créé un écran de fumée si puissant que presque tout le monde a été surpris lorsque la bulle a éclaté.
[Note de l’éditeur : en tant qu’écrivain environnemental en Louisiane, j’ai écrit en 1999 que le rejet du Protocole de Kyoto par le Sénat américain garantirait la disparition prochaine d’Enron. J’ai fondé mon point de vue sur le fait que l’entreprise manquait d’actifs et avait construit sa valeur nette présumée grâce aux largesses de Kyoto. Comme Bradley le souligne, Enron comptait énormément sur les faveurs du gouvernement.]
Aujourd’hui, l’effondrement de FTX et la récente condamnation pénale du fondateur et PDG Sam Bankman-Fried (qui risque toute sa vie derrière les barreaux) rappellent Enron, Skilling et Lay. Mais, malgré l’ampleur de la fraude du SBF, elle n’est rien en comparaison de la fraude continue perpétrée principalement contre l’Amérique et ses alliés occidentaux au nom du « changement climatique ».
Un peu comme FTX, mais contrairement à Enron, il existe de nombreux signes avant-coureurs indiquant que la « Révolution verte » est sur le point de s’effondrer et que ses plus ardents défenseurs seront amenés à rendre des comptes. La principale chose qui maintient les mirages à flot aujourd’hui, ce sont les énormes egos et leurs investissements dans la folie qui pourraient les faire couler avec le navire.
RépondreSupprimerAlors que la « Révolution verte » est en cours depuis des décennies, c’est l’administration Biden qui a imposé des mandats, attaqué les sources d’énergie et les options de transport populaires et mené la guerre contre le développement industriel traditionnel. Les Européens et les États comme la Californie avaient auparavant imposé leurs propres mandats avec des délais soi-disant « durs » pour abolir l’utilisation du pétrole, du gaz naturel, du charbon et de tout outil ou véhicule qui les utilise.
La guerre verte contre les combustibles fossiles, telle qu’elle s’est concrétisée dans la campagne « Net Zero », est peut-être le plus grand exemple de fraude philosophique de l’histoire.
« Rêver un rêve impossible » et le transformer en réalité reviendrait à sacrifier environ 6 000 produits utiles qui dépendent des sous-produits des raffineries de pétrole brut – des produits qui vont de l'asphalte pour les autoroutes aux engrais, cosmétiques, caoutchouc synthétique, médicaments et dispositifs médicaux, produits de nettoyage. produits, plastiques, et bien d’autres encore. Les 3 milliards de personnes qui vivent sans les avantages apportés par les combustibles fossiles sont également les humains les plus pauvres, les plus malades et les plus vulnérables de la planète.
Des fissures se développent déjà dans le monde « Net Zero », avec des pays qui renoncent aux mandats qu’ils ont si récemment vantés tout en marchant comme des paons pendant la saison des amours. En mars, l'Union européenne a conclu un accord avec l'Allemagne pour revenir officiellement sur son interdiction totale des moteurs à combustion interne en 2035.
Pourtant, 30 pays sont signataires de la Déclaration de Glasgow qui obligerait tous les véhicules vendus d'ici 2040 à n'émettre aucune émission de gaz carbonique, et 21 autres ont élaboré des plans pour interdire les ventes de véhicules neufs à moteur thermique avant 2040. Des dizaines de grandes villes et d'États, notamment La Californie et les États clones de Californie ont l'intention d'interdire les nouveaux véhicules ICE d'ici 2035.
RépondreSupprimerPlusieurs problèmes font obstacle à leur rêve utopique. Même les partisans des VE admettent désormais que la « solution VE » doit surmonter de « graves problèmes » – comme le recours au travail des enfants dans les mines de lithium, l’infrastructure de recharge des VE terriblement inadéquate et un réseau électrique non préparé. Pourtant, le plus grand obstacle est qu’une majorité de la population mondiale s’oppose à ce que les véhicules électriques – ou les pompes à chaleur, ou les cuisinières électriques, etc. – leur soient imposés dans la gorge.
Les véhicules électriques conviennent peut-être aux déplacements urbains de courte durée, mais pas aux équipements de construction, aux avions ou même aux bus urbains, comme en témoigne la récente scène horrible à San Francisco lorsqu'un bus électrique exploité par Google a perdu de la puissance et a glissé en arrière dans une descente pour percuter neuf véhicules. Les véhicules électriques d’aujourd’hui sont totalement peu pratiques pour les habitants des montagnes et des prairies ou pour ceux qui effectuent de longs voyages (pire encore avec les enfants).
Comme Ken Lay avec Enron, la révolution verte s’est fortement appuyée sur les subventions gouvernementales et sur une philosophie d’entreprise de « révolution toujours » visant à faire de tous ceux qui osent s’opposer à ce plan grandiose – mais fatalement imparfait – des parias.
Sous l’administration Obama, Solyndra a fait faillite malgré un prêt garanti par le gouvernement de 535 millions de dollars, dont aucun n’a été remboursé. Forbes, citant OpenTheBooks.com, a noté que les contribuables détenaient les billets de 400 millions de dollars donnés à Abound Solar, 280 millions de dollars gaspillés par CaliSolar, 193 millions de dollars distribués à Fisker Automotive (avec 336 millions de dollars supplémentaires annulés) et 132 millions de dollars à A123 Systems. (un fabricant de batteries en panne).
Inébranlable, le programme « emplois » de 2 300 milliards de dollars de l’administration Biden était truffé de subventions supplémentaires pour des technologies qui, de leur propre aveu, ne sont pas durables. Pourtant, malgré tout l’argent gratuit, Ford, General Motors et de nombreux autres constructeurs automobiles renoncent à investir des milliards de dollars dans de nouvelles usines de véhicules électriques, car les ventes de nouveaux véhicules électriques ont ralenti malgré l’augmentation des remises.
Ford prévoyait en mars une perte de 3 milliards de dollars sur les véhicules électriques en 2023, compensant ainsi les bénéfices pouvant atteindre 14 milliards de dollars de ses autres divisions. Ford a également admis des pertes de 900 millions de dollars en 2021 et de 2,1 milliards de dollars en 2022 dans sa division EV. Ford et GM pensent que leur fortune en matière de véhicules électriques va s’améliorer d’ici 2025, mais ces scénarios optimistes semblent entièrement dépendants de la victoire de Biden (ou d’un démocrate encore plus « vert ») à la Maison Blanche en novembre prochain.
Même avec une victoire des Verts en 2024, la réalité mordra toujours le rêve des véhicules électriques. La Chine s’oriente discrètement vers une domination totale sur le marché mondial des véhicules électriques – en grande partie parce qu’elle contrôle le marché des batteries au lithium. Le Financial Times a écrit en septembre que la Chine était tellement en avance sur le marché des véhicules électriques que ses concurrents étaient à la traîne.
Le recours de Biden à d’énormes subventions pour soutenir la « Révolution verte » a provoqué une flambée de l’inflation aux États-Unis, qui enlève du pouvoir d’achat plus rapidement qu’elle ne peut augmenter les subventions et les « incitations » de type mafieux (vous achèterez ce que nous voulons que vous achetiez, ou autre!).
Lay est décédé d’une crise cardiaque peu après son procès, laissant derrière lui « un héritage de honte » caractérisé par « une mauvaise gestion et une malhonnêteté » qui a conduit Politico à le classer au troisième rang des pires PDG américains de tous les temps.
RépondreSupprimerLe président américain Biden, qui fait maintenant face à des audiences préalables à la destitution pour d’autres erreurs présumées, ne vivra peut-être pas assez longtemps pour voir son nom barbouillé comme celui de Lay l’était autrefois. Mais est-ce que quelqu’un croit vraiment que Biden est aux commandes ici ?
À qui incombera alors la responsabilité si la marche forcée de l’Amérique vers l’asservissement des véhicules électriques à la Chine de Xi met fin à l’hégémonie américaine sur la scène mondiale ?
Duggan Flanakin est analyste politique principal pour le Comité pour un avenir constructif et écrivain fréquent sur les questions de politique publique.
https://www.zerohedge.com/political/climate-enron-may-be-heading-crash
Étude : Les émissions de gaz à effet de serre liées à la combustion du GNL sont supérieures à celles du charbon
RépondreSupprimer20 novembre 2023
par le Dr Peter F. Mayer
La politique climatique de l’UE – et bien sûr surtout celle des Verts allemands – est extrêmement étrange et n’atteint pas les résultats escomptés. Les gens ont regardé tranquillement les États-Unis faire exploser les plus importants gazoducs vers l’Allemagne et achètent désormais du gaz naturel liquide beaucoup plus cher aux États-Unis. Si l'objectif était de réduire le gaz carbonique et le méthane dans l'atmosphère terrestre, cela a échoué de manière spectaculaire, comme le montre une étude.
La nouvelle étude de Robert Howarth de l'Université Cornell - l'un des principaux scientifiques mondiaux du méthane - montre que les émissions de gaz à effet de serre liées à la combustion du gaz naturel liquéfié (GNL) sont au moins aussi élevées, voire nettement supérieures, à celles du charbon, selon le scénario de transport du GNL.
L'article, intitulé « L'empreinte des gaz à effet de serre du gaz naturel liquéfié (GNL) exporté des États-Unis », a été soumis à une revue à comité de lecture. Cependant, le processus d'examen n'est pas encore terminé. Une version préliminaire de l'étude est disponible sur le site Web de l'Université Cornell.
La principale cause des émissions élevées de gaz à effet de serre du GNL sont les pertes de méthane (« fuites ») à différentes étapes de la production et de la distribution du GNL. L'étude a pris en compte toutes les sources d'émissions de CH4 et de gaz carbonique, y compris les émissions en amont et en aval, les émissions provenant de la liquéfaction, du transport par camion-citerne, de la regazéification et de la distribution , ainsi que de la combustion finale. Le méthane est un puissant facteur de dégagement, plus puissant que le gaz carbonique. L’étude a utilisé une valeur de potentiel de réchauffement climatique sur 20 ans du méthane de 82,5 (GWP20) et une valeur sur 100 ans de 29,8 (GWP100).
L’étude a examiné plusieurs scénarios de transport de GNL avec différentes quantités de méthane libérées pendant le transit. Les résultats (Figure 1) montrent que même lorsque le gaz est transporté par le navire le plus moderne et via la route la plus directe, les émissions de gaz à effet de serre du GNL sur le cycle de vie sont 24 % supérieures à celles de la combustion d'une quantité équivalente de charbon. Dans le pire des cas, c'est-à-dire sur de longs voyages avec de vieux navires fonctionnant au fioul lourd, les émissions sont 274 % plus élevées que celles au charbon.
RépondreSupprimerL’utilisation du GWP100 au lieu du GWP20 réduit l’empreinte des gaz à effet de serre du GNL et du gaz naturel par rapport au charbon. Néanmoins, les émissions de GES du GNL sont au moins aussi élevées que celles du charbon dans le scénario de voyage court avec des pétroliers brûlant du GNL, et nettement supérieures à celles du charbon dans le scénario de long voyage avec des pétroliers brûlant du fioul lourd. Même en utilisant un GWP100, le GNL n’est jamais préférable au charbon du point de vue des émissions de gaz à effet de serre, conclut l’étude.
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Figure 1. Empreintes GES du cycle de vie du GNL brûlé par l'utilisateur final (à gauche) et du charbon et du gaz naturel (à droite) pour différents scénarios de transport de GNL utilisant un PRP20 = 82,5 pour le méthane
L’utilisation du GWP100 au lieu du GWP20 réduit l’empreinte GES du GNL et du gaz naturel par rapport au charbon. Néanmoins, les émissions de GES du GNL sont au moins aussi élevées que celles du charbon dans le scénario du voyage court et des pétroliers brûlant du GNL, et nettement supérieures à celles du charbon dans le scénario du voyage long et des pétroliers brûlant du fioul lourd . Même en utilisant un GWP100, le GNL n’est jamais préférable au charbon du point de vue des émissions de gaz à effet de serre, conclut l’étude.
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Ces émissions de gaz à effet de serre ne sont cependant pas significatives par rapport à la vapeur d’eau, comme le montre le graphique ci-dessus. La vapeur d'eau, qui constitue les nuages, représente 95 % des gaz à effet de serre présents dans notre atmosphère. Le gaz carbonique représente 3,6% des gaz à 'effet de serre'. Sur ce montant, environ 0,9 % est dû aux activités humaines. La catégorie « Autres » comprend également le méthane, mais cela n’a presque aucune importance.
Bien que le forçage radiatif de chaque molécule de méthane soit 30 fois supérieur à celui d'une molécule de gaz carbonique, l'augmentation globale du méthane est 300 fois inférieure à celle du gaz carbonique. En conséquence, le méthane n’est qu’un dixième (30/300) aussi puissant que le gaz carbonique. Un doublement des émissions de méthane ne représente qu’une infime fraction de l’effet de serre total.
https://tkp.at/2023/11/20/studie-treibhausgasemissionen-bei-der-verbrennung-von-lng-hoeher-als-bei-kohle/
Les pays de l’UE ont acheté plus de 6 milliards d’euros de GNL russe en 2023, échec du régime de sanctions occidental
RépondreSupprimerDonnées : janvier-septembre 2023
Par Ahmed Adel
Des pays comme l’Estonie, la Lituanie, la France, l’Espagne et d’autres ont acheté du gaz naturel liquéfié russe malgré leur intention d’abandonner l’achat de ce carburant. Cela démontre une fois de plus que la politique énergétique de l'Europe ne peut pas être indépendante de la Russie, ce qui rend les sanctions encore plus ridicules, d'autant plus que Moscou les a surmontées.
Selon The Telegraph , les États membres de l'Union européenne ont acheté du GNL russe pour une valeur de 6,1 milliards d'euros au cours des neuf premiers mois de 2023 malgré leur intention d'abandonner l'achat de carburant russe, selon les données d'Eurostat.
Dans la liste des pays qui ont acheté du gaz russe en 2023, l’Espagne et la France occupent respectivement la deuxième et la troisième place, derrière la Chine. L'Espagne a acheté pour 1,8 milliard d'euros de gaz russe entre janvier et septembre, la France pour 1,5 milliard d'euros de GNL russe et la Belgique pour 1,36 milliard d'euros, publie le journal du 18 novembre.
Le Telegraph a rapporté que même les « plus ardents partisans de Kiev en Europe, y compris l'Estonie et la Lituanie », ont également continué à acheter du GNL russe.
Les livraisons de GNL russe, ainsi que le temps chaud et les niveaux élevés de gaz pompés dans les installations de stockage souterraines de l'UE tout au long de l'année 2022, ont abouti à une capacité record de 99,63 % des installations de stockage de gaz du bloc au début de la saison de chauffage, selon les autorités britanniques. sortie.
Depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine en février 2022, l’UE cherche des moyens de limiter sa dépendance à l’égard du carburant russe. Dans le cadre de ces efforts, le bloc a accru sa coopération énergétique avec plusieurs pays, dont les États-Unis, l’Algérie et le Nigeria, en mettant particulièrement l’accent sur les importations de GNL.
Malgré les efforts de diversification, on rappelle que la ministre espagnole de l'énergie, Teresa Ribera , avait déclaré en septembre qu'il n'était pas prévu d'interdire le GNL russe.
RépondreSupprimer« Il y a ce sentiment de pénurie et de peur », avait-elle déclaré à l’époque, faisant référence aux inquiétudes liées à une pénurie d’énergie.
Dans le même temps, la Commission européenne, qui élabore des paquets de sanctions au nom du bloc, a déclaré :
"Il appartient aux États membres de décider à l'unanimité des sanctions de l'UE."
Bien que l’UE, les États-Unis et leurs alliés aient imposé des sanctions à la Russie, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov , a déclaré le 19 novembre que la myriade de restrictions n’avait pas réussi à faire tomber l’économie russe.
"Les Occidentaux sont en difficulté parce qu'ils se rendent compte que les sanctions ne nous frappent pas comme elles le devraient", a déclaré Peskov à une chaîne de télévision russe. "De plus, comme toujours, les Russes ont réussi à trouver des moyens d'en tirer profit."
Peskov a toutefois souligné que Moscou resterait vigilant et surveillerait de près toutes les restrictions imposées par l'Occident car « il n'y a pas d'extrêmes auxquels ils ne voudront pas aller ».
Sa déclaration intervient alors que les responsables et experts occidentaux commencent à reconnaître que l’impact négatif des sanctions sur la Russie n’a pas été aussi important que prévu. Comme Bloomberg l'a rapporté à contrecœur le 17 novembre,
«Les sanctions occidentales sur les exportations de pétrole russe ne parviennent pas à priver le Kremlin des revenus nécessaires au financement de sa guerre en Ukraine, ce qui signifie que ces mesures ne parviennent pas à atteindre l'un de leurs principaux objectifs.»
Néanmoins, l’UE travaille toujours sur une 12e série de sanctions, même si le bloc a cessé d’acheter du pétrole, du charbon, de l’acier et du bois russes à son propre détriment industriel. Le groupe de radio américain RFE/RL a décrit le prochain paquet de sanctions comme « le plus faible paquet de sanctions de l’UE à ce jour contre la Russie ».
Le régime des sanctions laisse encore un grand vide, près de 34 types de matières premières dites critiques et stratégiques, indispensables à la production de produits électroniques, de panneaux solaires, de véhicules électriques, d’avions et de produits de défense. L’UE continue d’acheter de grandes quantités de titane, de palladium, de nickel, de cuivre, de platine, de rhodium et d’aluminium à la Russie. Ainsi, de mars 2022 à juillet 2023, l’UE a importé ces ressources pour une valeur de 13,7 milliards d’euros, les bénéfices de leur vente étant directement reversés au budget russe et utilisés pour financer l’opération militaire spéciale en Ukraine, révélant une fois de plus le ridicule d’imposer le régime de sanctions.
RépondreSupprimerEn fait, la situation est tellement ridicule qu’il a été révélé le 14 novembre que les hydrocarbures russes étaient utilisés pour alimenter la marine américaine via la raffinerie Motor Oil Hellas, située en Grèce, qui figure parmi les 10 premiers fournisseurs du Pentagone. En effet, un pays de l’UE n’adhère pas aux sanctions du bloc, qui n’ont été imposées que sur instructions des États-Unis, dont la marine est alimentée par l’énergie russe. Cela illustre le ridicule du régime de sanctions imposé depuis le début de l’opération militaire spéciale russe.
Le ministère russe de l'Économie s'attend à une croissance du PIB de 2,8 % cette année, après une baisse de 2,1 % en 2022, dépassant ainsi la prévision de Reuters fin septembre d'une augmentation de 2,3 % et la prévision du FMI d'une croissance de 1,5 %. Moscou prévoit une croissance de 2,3 % en 2024, démontrant une fois de plus que les sanctions ne nuisent pas à l’économie russe comme espéré. Si l’on ajoute à cela le fait que les pays européens continuent d’acheter des milliards de dollars de GNL et d’autres ressources, l’UE ne fait manifestement que nuire à sa propre économie et à ses intérêts en limitant ses échanges avec la Russie.
https://www.globalresearch.ca/eu-countries-bought-more-than-e6-billion-in-russian-lng-between-jan-sept/5840703
Electricité : le nucléaire est vert, et c’est l’Europe qui le dit !
RépondreSupprimerL’énergie nucléaire est désormais étiquetée comme « technologie verte » par le Parlement européen depuis le 21 novembre 2023. C’est une excellente nouvelle pour les consommateurs français et leurs factures d’électricité qui sont à l’abri des coups de chauffe pour quelques années au moins !
Par Grégoire Hernandez
le 22 novembre 2023 à 11h45
L'Europe souhaite produire 40 % de ses besoins énergétiques sur son sol d'ici 2030.
L'Europe veut renforcer sa souveraineté énergétique
Le nucléaire vient de recevoir un feu vert inattendu. Les eurodéputés viennent de le classer parmi les « technologies vertes ». Cette décision, plus politique que technique, soulève des vagues. D'un côté, une victoire pour ceux qui voient dans le nucléaire une solution zéro émission pour décarboner notre économie. De l'autre, des inquiétudes persistent sur la gestion des déchets radioactifs et la sécurité des installations.
L'Europe joue gros. Face à des géants comme la Chine et les États-Unis, elle cherche à renforcer sa souveraineté énergétique. L'objectif est clair : produire 40 % de ses besoins énergétiques sur son sol d'ici 2030. En intégrant le nucléaire dans sa stratégie, l'UE ouvre la porte à des financements plus souples et moins de tracasseries administratives. Un coup de pouce pour des technologies comme les réacteurs de quatrième génération, plus sûrs et plus efficaces. Au final, c'est surtout la France qui s'en sort bien puisque 70 % de son électricité est nucléaire.
Électricité : quelles conséquences pour les consommateurs ?
Quid pour nous, les consommateurs ? Cette décision pourrait stabiliser, voire réduire, nos factures d'électricité. Avec le nucléaire comme alternative aux énergies fossiles, dont les prix jouent au yoyo, l'Europe vise une électricité plus abordable. Cependant, le coût de la transition vers des technologies plus propres reste une équation complexe, impactant potentiellement nos portefeuilles à court terme.
Grâce cette décision l'Europe pourrait atteindre, peut-être, ses objectifs de neutralité en 2050. Reste à savoir comment gérer les déchets nucléaires. Comment assurer que nos centrales seront aussi sûres que possible, surtout celles qui seront prolongées pendant des décennies ? Un défi de taille, mais indispensable pour assurer la souveraineté énergétique de l'Europe.
https://www.economiematin.fr/electricite-nucleaire-energie-verte-factures
Le coup de la panne pour les voitures électriques en octobre
RépondreSupprimerSous le coup d’une mutation profonde, le marché automobile européen affiche des résultats pour le moins contrastés en 2023. Les ventes de voitures électriques ont piqué du nez en octobre, mais la tendance générale reste positive pour ce segment.
Par Aurélien Delacroix
le 22 novembre 2023 à 10h16
Les ventes automobiles ont progressé de 14,6% sur un an.
Selon les données récentes de l'Association des constructeurs automobiles européens (ACEA), le marché automobile européen a connu une hausse notable en 2023. En effet, avec 855.484 voitures particulières neuves immatriculées dans l'Union européenne, le secteur affiche une augmentation de 14,6% sur un an. Cette tendance ascendante se confirme sur les dix premiers mois de l'année, avec une croissance de 16,7%, totalisant près de neuf millions d'unités.
Trou d'air pour les voitures électriques
Ces chiffres représentent une reprise significative, bien que le marché soit encore en-deçà des niveaux d'avant la crise du Covid-19, qui avait perturbé les chaînes d'approvisionnement, notamment dans le domaine des puces électroniques.
Dans le détail, les voitures électriques (VE) montrent une évolution remarquable, bien que contrastée. Après avoir représenté 12 % des ventes fin 2022, ils ont connu un pic à 21 % en août 2023, avant de redescendre à 14,2 % en octobre. Malgré cette fluctuation, les VE ont dépassé pour la première fois les ventes de diesel, s'établissant à 14 % contre 12 % pour ce dernier. Les voitures à essence demeurent en tête avec 33,4 %, suivies des hybrides à 29 %.
Ces variations reflètent une adaptation continue du marché à l'évolution des technologies et des préférences des consommateurs. Elles soulignent également les défis auxquels sont confrontés les constructeurs et les gouvernements dans la transition vers une mobilité plus durable.
Palmarès des constructeurs
La dynamique globale du marché cache des réalités différentes selon les constructeurs. Volkswagen a renforcé sa position de leader en Europe, avec une part de marché de 26,1% et une hausse de 20,5% de ses immatriculations, grâce notamment aux marques Skoda et Audi. En revanche, Stellantis, groupe franco-italo-américain, a connu une baisse de près de deux points de part de marché, se situant à 18,4%. Sa croissance des immatriculations de 6% reste inférieure à la moyenne du secteur. De même, Fiat et Citroën, deux de ses marques, ont enregistré des baisses.
Le groupe Renault, de son côté, poursuit son rebond avec une augmentation de 21,2% sur un an, atteignant une part de marché de 10,9%, en partie grâce à la marque économique Dacia.
RépondreSupprimerhttps://www.economiematin.fr/voitures-electriques-panne-octobre
Pourquoi les amateurs de voitures classiques ne toucheront pas aux voitures modernes
RépondreSupprimerPendant des décennies, les Amériques ont réussi à résoudre à moindre coût bon nombre de leurs problèmes automobiles, mais la technologie de pointe impose des coûts plus élevés et davantage d’expertise.
Pourquoi les amateurs de voitures classiques ne toucheront pas aux voitures modernes
Par Allan Stein
15 novembre 2023
CASA GRANDE, Arizona—Étant donné le choix entre une nouvelle Chevrolet Corvette sportive et sa Dodge 330 de 1963, Bob Hughes prendra le classique de 60 ans n'importe quel jour.
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La simplicité du design automobile d'antan a ses vertus, a déclaré M. Hughes, se relaxant sur une chaise de jardin à côté de son ancien « conducteur quotidien » au Thunderfest Car and Bike Show à Casa Grande, en Arizona, le 4 novembre.
"Vous pouvez changer les bougies – vous pouvez voir les bougies – ce que vous ne pouvez pas faire sur la plupart des voitures neuves", a-t-il déclaré.
"J'ai construit ce truc à partir de rien. C'était une carrosserie à 75 $ quand je l'ai acheté." C'était en 1970.
Tout autour du grand parking se trouvaient des hot rods classiques et des muscle cars – des chefs-d’œuvre mécaniques raffinés de l’époque où il était facile de travailler sur les véhicules si l’on avait les outils et les compétences.
Ce n’est pas la même chose avec les véhicules automatisés plus récents, disent les amateurs de voitures anciennes et classiques.
« D'une part, l'électronique peut vous gâcher », a déclaré M. Hughes, 76 ans, à Epoch Times.
"Vous gâchez l'électronique en créant un arc électrique dans la batterie. Je marcherai avant d'acheter un véhicule électrique. Et je ne peux presque pas marcher du tout."
M. Hughes de Casa Grande n'est pas le seul à critiquer la nouvelle technologie automobile.
Mary Jo McDonald, une aînée de Glendale, en Californie, partageait un point de vue similaire alors qu'elle était assise sous un parapluie et surveillait la décapotable Pontiac Bonneville 1959 de son mari avec le capot ouvert.
Elle a dit que comparer des voitures anciennes et des modèles plus récents, c'est comme comparer des chats et des chiens.
"Mon mari est ingénieur électricien. Mais les nouveautés ? C'est comme Star Wars", a déclaré Mme McDonald.
RépondreSupprimerBien que son mari, Donald, ait essayé de travailler sur les voitures les plus récentes, il a du mal à « faire fonctionner toutes les cloches et tous les sifflets », a-t-elle déclaré.
"C'est compliqué. Vous pouvez comprendre comment les véhicules plus anciens s'assemblent et se démontent. Cette voiture, il l'a complètement démolie et a tout refait."
« Il n'y a pas de comparaison », a déclaré Mme McDonald à Epoch Times. "La nouvelle technologie présente des avantages certains. Mais étant octogénaire, je préférerais l'utiliser à l'ancienne."
Selon la compagnie d'assurance nationale Progressive, les principales différences entre les véhicules anciens et les nouveaux véhicules résident dans leur conception, leurs composants, leur maniabilité et leur sécurité.
"Les moteurs modernes sont beaucoup plus intelligents, plus petits, plus puissants et plus efficaces que les anciens", indique le site Web de Progressive.
"Comme elles ne disposent pas de fonctionnalités automatisées, les voitures classiques offrent une expérience de conduite plus pratique et peuvent être plus faciles à travailler soi-même. Et même si les voitures plus récentes se déprécient avec l'âge, la valeur des voitures classiques a tendance à s'apprécier en raison de l'offre et de la demande, en particulier pour des voitures bien entretenues.
La fusion de l'automatisation et de la technologie automobile a pris des décennies depuis que le constructeur automobile allemand Volkswagen a présenté le premier véhicule utilisant un système d'injection de carburant transistorisé et à commande électronique en 1968, selon Chipsets.com.
L'année suivante, Ford a présenté le premier système de freinage antidérapant commandé par ordinateur. Les véhicules Chrysler sont désormais dotés de la technologie de commande électronique du moteur (EEC) introduite en 1973.
"Avez-vous remarqué un changement dans l'image que vous voyez sous le capot de votre voiture ?" » a écrit l'équipe Drivin' & Vibin' dans un article en ligne du 27 mai 2022.
"Les réparations de véhicules sont certainement beaucoup plus compliquées qu'elles ne l'étaient il y a une vingtaine d'années, et pour cause."
Par rapport aux véhicules fabriqués avant 1990, les voitures et les camions plus récents comportent moins de pièces mobiles et disposent d'ordinateurs de bord qui contrôlent la plupart des fonctions du moteur, ce qui rend les choses plus compliquées.
"Il faut beaucoup plus de scolarité pour former correctement un mécanicien professionnel", a écrit l'équipe Drivin' & Vibin'. "Lorsque les concepteurs ont imaginé de nouveaux concepts de voitures à l'époque, ils se sont davantage attachés à rendre les véhicules faciles à réparer pour le propriétaire type.
RépondreSupprimer"Les ingénieurs ont conçu les véhicules pour avoir plus d'espace ouvert sous le capot et moins de composants électriques à gérer."
Travis Rees-Fleming, 38 ans, de Snowflake, en Arizona, a déclaré qu'il préférait une technologie automobile plus simple aux véhicules plus récents.
Sa Ford Ranchero de 1962 était sa voiture préférée.
"J'ai possédé plus de voitures que je n'ai de doigts", a déclaré M. Rees-Fleming. "À part les vidanges d'huile, je n'effectue aucun entretien sur les voitures les plus récentes en raison de la quantité accrue d'électronique qu'elles y mettent."
Il a déclaré que le fait d’avoir une belle-famille propriétaire d’un atelier de réparation automobile rend les réparations plus pratiques. Mais même eux ont plus de mal à embaucher des techniciens possédant les compétences nécessaires pour réparer des véhicules plus récents.
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« En plus de cela, vous disposez d'une programmation informatique mise à jour. Vous devez louer auprès des entreprises pour pouvoir entretenir leurs véhicules », a déclaré M. Rees-Fleming à Epoch Times. --
"Il est plus difficile de les garder sur la route s'ils ont des problèmes électroniques. Cela peut laisser les gens bloqués, morts dans l'eau."
"Ici, avec les rats, s'ils rongent ne serait-ce qu'un seul câble, votre véhicule est en panne. Vous devez le faire remorquer jusqu'à un concessionnaire. Les ateliers de service locaux ont besoin de techniciens pour travailler sur ces voitures."
Les problèmes de chaîne d’approvisionnement signifient que les réparations prennent plus de temps. Le délai d'exécution moyen pour les ateliers de carrosserie est de 30 jours, a déclaré M. Rees-Fleming.
RépondreSupprimerIl a ajouté que cela pourrait prendre encore plus de temps avec les véhicules électriques utilisant des batteries lithium-ion complexes en raison du manque d'infrastructures pour les prendre en charge.
"Nous sommes également confrontés à des pénuries de batteries, de minéraux et de stations de recharge", a-t-il déclaré. "Même avec la technologie de conduite autonome, il y aura des problèmes avec les véhicules qui ne détectent pas certaines routes", a-t-il déclaré.
Lorsque les batteries perdent finalement leur capacité de charge, leur remplacement peut coûter entre 3 000 $ et 8 000 $ pour un véhicule hybride.
AAA a déclaré que le coût annuel moyen de possession et d'exploitation d'un nouveau véhicule en 2023 est de 12 182 $.
"Il s'agit d'une forte augmentation par rapport à 2022, où le coût annuel moyen n'était que de 10 728 dollars, soit 894 dollars par mois", indique le site Internet de l'AAA.
Robert Kennedy, professeur adjoint de technologie des transports à la New England School of Technology, a déclaré que les constructeurs automobiles se sont attachés à rendre leur technologie plus sûre, et non à rendre les choses plus difficiles pour le consommateur ou les petits ateliers de réparation automobile.
« À mesure que la technologie progresse, les bricoleurs découvrent qu'ils peuvent avoir besoin de faire appel à des techniciens automobiles professionnels pour effectuer ce qui était autrefois de simples tâches de maintenance », a déclaré M. Kennedy à Epoch Times.
"La plupart des petits ateliers automobiles indépendants ont accès aux outils et équipements nécessaires pour effectuer ces travaux, mais beaucoup ont choisi de ne pas investir à des fins commerciales."
M. Kennedy a déclaré que les véhicules électriques nécessitent beaucoup moins d'entretien puisqu'ils n'ont pas de moteur, de transmission, de différentiel ou de boîte de transfert.
"Cependant, avec plus de 300 volts alimentant le véhicule, pour des raisons de sécurité, les propriétaires voudront peut-être faire appel à des techniciens automobiles professionnels formés à la réparation de véhicules électriques", a-t-il déclaré.
David Bennett, responsable des réparations chez AAA, a déclaré qu'il est généralement plus difficile pour les propriétaires bricoleurs d'accéder aux pièces des véhicules plus récents, mais que ce n'est pas impossible.
« Vous pouvez toujours changer l'huile. Les choses de base que vous pouvez faire », a déclaré M. Bennett à Epoch Times. "Ils sont toujours accessibles. Il faut simplement plus de travail pour y accéder."
De plus, il a déclaré que la conception de certains systèmes de véhicules n'avait pas beaucoup changé.
Le propriétaire d'une Ford Falcon du début des années 1960 montre sa muscle car lors d'un salon de l'automobile classique à Casa Grande, en Arizona, le 4 novembre 2023. (Allan Stein/The Epoch Times)
RépondreSupprimerLe propriétaire d'une Ford Falcon du début des années 1960 montre sa muscle car lors d'un salon de l'automobile classique à Casa Grande, en Arizona, le 4 novembre 2023. (Allan Stein/The Epoch Times)
"Vos freins sont vos freins. Ils n'ont pas changé", a déclaré M. Bennett. "Si vous êtes un bricoleur et que vous êtes à l'aise avec les outils, l'équipement et les précautions de sécurité appropriés, cela n'a pas changé."
"Si vous avez un voyant de contrôle du moteur, vous n'avez probablement pas les outils chez vous. Mais vous pouvez vous rendre dans votre atelier de réparation local et lui demander d'examiner et de diagnostiquer le problème pour vous."
Malgré cela, comprendre les systèmes électroniques des véhicules d'aujourd'hui est « énorme : être capable de lire un diagramme est énorme », a-t-il déclaré.
"Tout dépend du véhicule. L'âge moyen d'un véhicule sur la route est de 12,5 ans. Si le véhicule est en bon état, il est préférable de l'entretenir à long terme plutôt que d'en acheter un neuf. Cela vous fera probablement économiser de l'argent en le long terme."
Pour les passionnés de voitures anciennes, comme Tony Blowers d'Arizona City, en Arizona, avoir le meilleur des deux mondes avec la technologie des véhicules anciens et nouveaux est une bonne chose.
Il y a quelques années, M. Blowers a acheté une carrosserie de camion Chevrolet 1951 pour la monter sur un châssis Chevy S-10 2000 avec une transmission Silverado 2000.
"J'ai même découpé les vitres de ce camion. Je les ai découpées dans une grande feuille de verre et je les ai installées", a déclaré M. Blowers.
"Tout le monde ne peut pas faire ce que j'ai fait. Je l'ai construit dans mon garage pendant mon temps libre pendant trois ans. La seule chose que je n'ai pas faite a été de flasher l'ordinateur [reprogrammer le logiciel] fourni avec le moteur."
La combinaison s’est avérée excellente, a déclaré M. Blowers à Epoch Times, et Natalie Sanders, de New Richmond, Wisconsin, n’a pas tardé à s’emparer du véhicule lors d’une vente en ligne.
"J'ai aimé son apparence. J'ai aimé la patine rouille", a déclaré Mme Sanders. "Je l'ai fait par téléphone et je l'ai expédié au Wisconsin."
Évolution technologique
RépondreSupprimerM. Blowers a déclaré qu'il ne craignait pas que les véhicules électriques remplacent les véhicules à essence. Il a dit qu'il ne pensait pas que cela se produirait en raison de leurs limites inhérentes.
"Cela coûte plus cher de les facturer et cela prend une éternité", a-t-il déclaré.
"Les progrès des moteurs et des transmissions [à essence] les rendent meilleurs aujourd'hui qu'ils ne l'étaient il y a 10 ou 20 ans. Regardez une Chevrolet de 1957 : quand elle avait 80 000 milles au compteur, c'étaient des voitures usées."
"Les vieux trucs sont plus simples. Aujourd'hui, la première chose que vous faites pour comprendre ce qui se passe est de le connecter à un ordinateur. Ce qui est bien, c'est qu'il vous indique également par où commencer pour réparer les choses."
Rocky Stroh de Casa Grande et son père ont passé 10 ans à reconstruire une Ford Modèle A antique de 1931 en utilisant des pièces de performance et à la transformer en un objet de toute beauté.
Rocky Stroh de Casa Grande, en Arizona, s'agenouille à côté de la Ford Modèle A de 1931 que lui et son père ont reconstruite à partir de zéro. Photo prise le 4 novembre 2023. (Allan Stein/The Epoch Times)
Rocky Stroh de Casa Grande, en Arizona, s'agenouille à côté de la Ford Modèle A de 1931 que lui et son père ont reconstruite à partir de zéro. Photo prise le 4 novembre 2023. (Allan Stein/The Epoch Times)
M. Stroh a déclaré qu'il préférait travailler sur des véhicules plus anciens, car la technologie informatique est « très différente de la mécanique ».
« Avec les plus âgés, je m'en donnerai à cœur joie. Donnez-m'en un nouveau, et je loucherai », a-t-il déclaré à Epoch Times.
Mme McDonald a déclaré qu'elle croyait qu'il y avait un inconvénient à la technologie automobile avancée, à savoir que les gens perdaient le contrôle de l'expérience de conduite.
"Vous perdez tellement de contrôle. Vous aimez pouvoir faire les choses par vous-même et contrôler votre situation. Mais si vous ne comprenez rien à propos de votre nouvelle voiture, c'est faux."
M. Hughes a déclaré qu'il était extrêmement satisfaisant de mettre la main à la pâte en réparant la voiture chérie de sa jeunesse.
Il l'a depuis si longtemps que c'est presque devenu une partie de lui, un symbole d'époques plus simples.
"Toutes ces voitures plus récentes, c'est triste", dit-il en secouant la tête.
https://www.theepochtimes.com/article/why-classic-car-enthusiasts-wont-touch-modern-cars-2-post-5530198?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Le progrès c'est de faire meilleur qu'avant. Or, aujourd'hui... ÔH PITAING !!
SupprimerAutomobile : va-t-on vous interdire les excès de vitesse ?
RépondreSupprimerEst-ce que les excès de vitesse seront bientôt interdits ? C’est du moins ce qu’envisagent les États-Unis. Nos voisins outre-Atlantique pourraient opter pour une solution radicale : limiter la vitesse maximale des véhicules ! La France pourrait-elle suivre le pas ?
Par Axelle Ker
le 22 novembre 2023 à 15h30
les radars ont engrangé 12,5 milliards d'euros de recettes à l'État
Excès de vitesse : les États-Unis ont-ils trouvé la solution ?
Le National Transportation Safety Board (NTSB) des États-Unis étudie la possibilité d'implémenter un système de blocage de la vitesse maximale sur les véhicules neufs. Cette idée fait suite à un accident survenu en janvier 2022 à Las Vegas, où un conducteur drogué, roulant à 165 km/h dans une zone limitée à 50 km/h, a percuté un monospace, entraînant la mort de neuf personnes.
Le NTSB propose une mesure radicale : installer sur l'ensemble des voitures neuves un dispositif d'alerte de dépassement de la vitesse qui serait lié au GPS et aux caméras embarquées. Dans un premier temps, celui-ci avertirait le conducteur par des sons, des voyants et des vibrations haptiques. Et si l'automobiliste refuse d'abaisser sa vitesse, le dispositif s'en chargerait à sa place en bloquant la vitesse maximale du véhicule.
La France pourrait-elle suivre ?
En France, les excès de vitesse constituent une part importante des infractions routières et des accidents. En 2021, près de la moitié des 6,65 millions d'amendes pour infractions routières étaient liées à des excès de vitesse. Ces infractions représentent une source majeure de revenus pour l'État, avec des millions d'euros collectés chaque année. En l'espace de 20 ans, les radars ont engrangé 12,5 milliards d'euros de recettes !
La vitesse excessive ou inadaptée est un facteur clé dans les accidents de la route en France. En 2022, le pays a enregistré 3 267 décès dans des accidents de la route, la vitesse étant l'une des principales causes. L'adoption d'une mesure similaire à celle des États-Unis, si elle s'avérait fructueuse, pourrait tout à fait s'étendre outre-Atlantique. Mais l'État français serait-il prêt à dire adieu à son joli pactole ? Cela semble moins sûr. Le ministre de l'Intérieur, Gérard Darmanin, a d'ailleurs annoncé en avril 2023 que les excès de vitesse de plus de 5 km/h n'entraîneraient plus de perte de points à partir du 1er janvier 2024, alors même qu'il s'agit du principal moteur pour limiter les infractions routières. Autrement dit, l'appât du gain de l'État prime sur la sécurité routière...
https://www.economiematin.fr/exces-vitesse-maximale-voiture-interdiction
Périphérique parisien : vitesse baissée dès 2024, gare aux amendes !
RépondreSupprimerParis se prépare à un changement majeur : dès septembre 2024, la vitesse sur le périphérique sera limitée à 50 km/h. Annoncé par la maire Anne Hidalgo, ce nouveau plan climat 2024-2030 a de quoi surprendre. Mais quelles sont les raisons derrière cette décision et comment cela impactera-t-il les usagers quotidiens du périphérique ?
Par Grégoire Hernandez
le 22 novembre 2023 à 15h30
La couverture du périphérique parisien coûterait 10,4 milliards d'euros.
Les raisons de cette réduction de vitesse
Cette diminution de la vitesse sur le périphérique n'est pas une mesure isolée. Elle fait partie d'un plan climat, visant à améliorer la qualité de l'air et réduire la pollution dans la ville. L'objectif ? Lutter contre les problèmes de santé publique, comme l'asthme, aggravés par la pollution automobile, surtout dans les quartiers populaires. Cette décision s'appuie également sur un historique de réductions progressives de la vitesse sur cet axe majeur, témoignant d'une volonté continue d'améliorer l'environnement urbain.
L'après-Jeux Olympiques de 2024 marquera une étape clé pour le périphérique. La voie olympique, créée spécialement pour l'événement, sera transformée en une voie permanente pour le covoiturage et les transports en commun. Cette initiative, effective à partir du 14 septembre 2024, vise à promouvoir des alternatives de transport plus vertes et à réduire l'encombrement sur cette voie cruciale de la capitale.
Les impacts sur les usagers du Périphérique
La baisse de la vitesse à 50 km/h représente un changement significatif pour les conducteurs habitués à circuler sur le périphérique. Cela pourrait entraîner une circulation plus fluide et moins d'accidents, contribuant à une sécurité accrue pour tous les usagers. De plus, avec une vitesse médiane actuellement de 50 km/h en journée et de 30 à 45 km/h aux heures de pointe, cette nouvelle limite pourrait ne pas être aussi contraignante qu'il n'y paraît.
L'objectif de la ville de Paris est bien sûr de devenir une capitale plus écologique et sûre. En plus de la réduction de vitesse, le plan climat inclut la sortie des énergies fossiles et la rénovation des bâtiments publics, marquant ainsi un pas de plus vers un environnement urbain plus sain et durable. Depuis 1993, la vitesse a déjà été abaissée plusieurs fois, notamment en 1993 de 90 à 80 km/h, et plus récemment, en 2014, de 80 à 70 km/h.
https://www.economiematin.fr/peripherique-paris-voiture-amendes
Lorsque pour traverser une ville vous mettiez ¼ d'heure il faudra désormais polluer OBLIGATOIREMENT durant ¾ d'heure !
SupprimerHOURRA !
Automobile : permis, amendes… tout ce qui change en 2024
RépondreSupprimerL’année 2024 promet d’être une année charnière pour l’univers automobile. Avec des changements majeurs allant de la modification du système de permis à l’intensification des mesures écologiques, les conducteurs français doivent se préparer à une série d’adaptations significatives.
Par Grégoire Hernandez
le 22 novembre 2023 à 17h30
Pour bénéficier du bonus, les voitures électriques devront avoir un score environnemental d'au moins 60/100 et coûter moins de 47 000 euros.
Le permis de conduire à 17 ans va être officialisé
Dès janvier 2024, une réforme attendue depuis plusieurs mois verra le jour : l'obtention du permis de conduire à 17 ans, une mesure annoncée par Elisabeth Borne. Parallèlement, le système de points connaîtra aussi des ajustements. Les infractions mineures de vitesse (inférieures à 5 km/h) ne se traduiront plus par un retrait de points, mais resteront sanctionnées par des amendes (68 euros au-delà de 50 km/h, 135 euros en deçà). Pour surveiller son solde de points, une nouvelle plateforme, MesPointsPermis, sera disponible, remplaçant Télépoints.
2024 verra une augmentation du nombre de radars autonomes, avec 200 nouveaux dispositifs prévus, enregistrant jusqu'à quatre millions de flashs par an. Sur le périphérique parisien, six radars supplémentaires seront installés en vue des jeux olympiques. Par ailleurs, une évolution notable concerne la vignette d'assurance automobile : elle disparaîtra au 1er avril 2024. Les forces de l'ordre se référeront au fichier des véhicules assurés (FVA) pour les contrôles, réduisant ainsi l'impact financier et écologique des 50 millions de vignettes imprimées annuellement.
Le prix du Superéthanol E85 devrait rester sous la barre du 1 euro le litre en 2024
Le bonus-malus écologique connaîtra un durcissement précoce dès le 15 décembre 2023. Pour bénéficier du bonus, les voitures électriques devront avoir un score environnemental d'au moins 60/100 et coûter moins de 47 000 euros, excluant les modèles fabriqués en Chine. Le barème sera plus différencié selon les revenus, avec un bonus pouvant atteindre 7 000 euros pour les ménages modestes. Parallèlement, le malus écologique s'intensifie : le seuil de déclenchement passe à 118 g/km de gaz carbonique et le malus maximal atteindra 60 000 euros pour les véhicules émettant plus de 193 g/km de gaz carbonique.
Une bonne nouvelle pour les automobilistes : le prix du Superéthanol E85 devrait rester sous la barre du 1 euro le litre en 2024. Cette stabilité tarifaire est le résultat d'un accord entre producteurs d'éthanol et distributeurs de carburants. En matière d'électrification, les constructeurs français prennent les devants. Renault lancera sa R5 électrique, entièrement fabriquée en France, tandis que Citroën proposera sa citadine e-C3 à un prix compétitif de 23 300 euros, soit bien en dessous du coût moyen d'un véhicule électrique.
https://www.economiematin.fr/automobile-permis-radars-carburant
RépondreSupprimerQui a peur du gaz carbonique ?
22 novembre 2023
par Elena Louisa Lange
Sur la (ir)rationalité de la haine du gaz carbonique
En septembre, le monde a été témoin de cinq minutes d’idéologie climatique à son meilleur. Apple, l'entreprise la plus capitalisée au monde, a produit un film promotionnel conçu pour suggérer, ironiquement, que « supprimer complètement le carbone de l'atmosphère » n'était pas seulement l'objectif climatique ambitieux d'Apple, mais aussi souhaitable pour l'humanité dans son ensemble.
Permettez-moi de traduire cela pour le consommateur inexpérimenté de propagande : tout cela est assez drôle jusqu'à ce que ce ne soit plus drôle. Dans chaque propagande depuis l’Empire, à un moment donné, le simple fait de regarder ne suffit plus. Il faut entrer dans le monde sentimental de l’autoritarisme et céder aux bavardages joviaux, qui peuvent vite se transformer en abnégation brutale. Parce que chaque enfant sait que l’élimination permanente du carbone de l’atmosphère est le sacrifice ultime. Vous ne pouvez pas aller plus loin – à moins d’appeler directement au suicide collectif spontané.
Mais nous sommes en 2023, et le fait que l’élimination complète du carbone ou du gaz carbonique de l’atmosphère entraînerait la mort immédiate de tous les êtres vivants est considéré comme un impact environnemental positif . L’ironie est palpable. Ce qui est plus intéressant, cependant, c'est que l'hostilité maniaque envers le gaz carbonique dans chaque message climatique dans les médias n'est pas un faux pas de la part des stratèges des relations publiques d'Apple et des lobbyistes similaires, mais plutôt intentionnelle. Le réflexe pavlovien contre le gaz carbonique doit devenir une seconde nature pour les sujets étatiques. Il faut le pratiquer, l’entraîner, y faire appel. Pensez aux « deux minutes de haine » contre Goldstein, qu’Orwell décrit si bien en 1984 ; en réalité, il a désormais été remplacé par un composé chimique neutre. Le chantage climatique mafieux quotidien exercé par l'ONU, le Conseil de l'UE, l'OMS, le WEF et d'autres organismes non élus sert une guerre mondiale contre le gaz carbonique. Les combustibles fossiles sont l’ennemi. Les énergies solaire et éolienne, trop chères, sont des alliées. Tout ce qui ne produit pas de gaz carbonique en premier lieu peut être bon - ce qui est déjà un problème avec les cellules solaires, puisque les installations chinoises de production de cellules solaires fonctionnent au charbon - mais tout ce qui détruit, voire « mange » du gaz carbonique Le fait que l’énergie nucléaire soit le sale gosse du ghetto dont on ne parle pas, avec lequel on ne joue pas et qu’on évite à tout prix montre simplement qu’il y a une méthode à cette folie.
Toute personne sensée sait qu’il ne s’agit pas de « nature ».
Il ne fait aucun doute que les mesures prises conformément à ces maximes ne visent pas à « protéger la planète » ou la « nature ». Il s'agit de la domination des gens sur les autres. Comme le note le philosophe allemand de la technologie Martin Burckhardt, la « nature » fonctionne désormais comme un « appareil de projection idéal » :
"Les révolutionnaires qui voulaient libérer le prolétariat tourmenté à la fin des années 1960 ont dû se faire dire par les ouvriers qu'ils n'étaient pas intéressés par ce genre de salut, c'est pourquoi la remarque agressive suivait souvent : 'Alors va là-bas.' Contrairement aux classes inférieures, la nature ne réagit pas. En ce sens, c’est un allié idéal pour l’avant-garde politique climatique. Vous êtes connecté à une puissance supérieure et faites de la théologie politique. [1]
RépondreSupprimerLa nature ne peut pas dire non. Elle ne peut pas protester. Contrairement au prolétariat, il ne peut pas se défendre contre l’exploitation du pouvoir. Et parce que la nature n’a pas de voix, elle se prête bien à tout jeu de pouvoir. Parce qu’aujourd’hui, tout problème social est imputé au « changement climatique ». Des gens meurent lors d’événements météorologiques extrêmes ? La faute au changement climatique. Une inflation en hausse ? La faute au changement climatique. Couronne? Le changement climatique est à blâmer. Toutes ces affirmations restent aujourd’hui incontestées. (Vous n'y croyez pas ? Recherchez-les sur Google.)
Bien sûr, le changement climatique fait aussi grossir les chevaux :
Le changement climatique a d'autres conséquences, bien que très pratiques, pour nos organismes mondiaux non élus : la cause de la pauvreté dans les pays du Sud peut être imputée à la météo, tandis que les mêmes technocrates, avec leurs compensations carbone et leurs certificats féodaux, exacerbent les conditions mêmes qui donner naissance à la pauvreté et contribuer au continent sud.
Cependant, dans une société industrielle moderne dotée de forces productives très développées qui pourraient hypothétiquement fournir aux individus toutes sortes de protections technologiques – et même de commodités – contre les caprices de la nature, il n’existe aucun « problème naturel » qui ne puisse être résolu socialement. Si vous n'avez pas de système d'eau potable ou si votre maison est emportée par un ouragan, ce n'est pas la faute de la météo. Ils sont pauvres ? Ce n'est pas la faute de la météo. Et pourtant, la pauvreté est déclarée comme une condition naturelle et la nature comme le résultat de décisions politiques. Le monde à l’envers de la « personnification des choses » et de la « réification des personnes » a pris tout son sens à travers le récit climatique.
N'oublions pas que la réduction monothématique du discours social au changement climatique fait également d'une pierre deux coups : non seulement la responsabilité est transférée à une abstraction technologique qui n'a de réalité que dans les simulations de modèles informatiques, mais on peut au nom d'un " « La contrainte objective » imposera un changement social complet qui sapera l’idée ou même le désir d’une vie de prospérité, de liberté, de sécurité, de santé et de dignité relatives, que nous tenions autrefois pour acquises mais que ceux au pouvoir n’ont jamais eu intérêt à préserver. ... effectivement détruit. Lors des inondations catastrophiques de la vallée de l'Ahr en Rhénanie du Nord-Westphalie (2021), plus de 200 personnes ont perdu la vie et des centaines de milliers ont perdu leur logement et leurs sources de revenus en raison du mauvais état des infrastructures. Cependant, la première chancelière technocratique d'Allemagne, Angela Merkel, a imputé cette situation aux « défis du changement climatique » – une politique qui est désormais considérée comme « de bonne forme ».
Le changement climatique anthropique pour les nuls
RépondreSupprimerCependant, pour que ce projet fonctionne, il est essentiel d’affirmer que le changement climatique ne peut pas avoir des causes naturelles, mais seulement des causes « anthropiques » d’origine humaine. Si les processus atmosphériques et physiques observables étaient d’origine naturelle, il serait difficile de faire passer le message selon lequel tout un mode de production et de consommation doit être révolutionné pour aboutir à l’abolition de la production et de la consommation. Cependant, personne ne nie le rôle de l’homme dans le réchauffement des terres émergées : la conversion de zones entières en décharges et le revêtement des villes avec du béton jouent un rôle important. Mais rien de ce que font les humains ne peut annuler les changements naturels du climat, par ex. B. l'influence variable annuelle du rayonnement solaire, des modèles de circulation océanique, des ciels clairs ou nuageux ou des éruptions volcaniques (dont beaucoup sous l'eau). Ces influences naturelles globales sur le temps sont délibérément ignorées dans le « discours » et parfois même minimisées. Le chercheur atmosphérique américain Dr. Judith Curry souligne à plusieurs reprises que la composition de l’atmosphère n’a « qu’une influence insignifiante » sur le temps. Au lieu de cela, nous sommes amenés à croire qu’il n’y a pas d’autre cause des ouragans et des sécheresses que la combustion de combustibles fossiles. Le gaz carbonique Considérer. Mais il ne s'agit pas de « climat ». Il s’agit de déclarer que les humains sont la cause de tous les maux climatiques à travers la répétition par la société d’une mono-causalité objectivement fausse.
Mais même l'IPCC n’en est pas aussi sûr : dans le « Résumé à l’intention des décideurs politiques » (SPM) du Rapport climatique numéro 5 (AR5, 2007), l'IPCC a réaffirmé sa distinction avec la CCNUCC, bien plus hystérique. (Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques) et a souligné que sa définition du changement climatique ne se limite pas aux « activités humaines directes ou indirectes » mais inclut également la variabilité naturelle, qui présente d'énormes fluctuations. Le simple fait qu'il n'existe pas de norme permettant de distinguer le changement climatique naturel du changement climatique provoqué par l'homme n'a pas facilité les choses dans les rapports climatiques successifs, même pour les scientifiques du Groupe de travail 1 qui tentent de suivre la logique du cycle du carbone, c'est-à-dire des influences gigantesques, principalement océaniques, sur le climat, contre la machine activiste des conventions climatiques et son obsession d’attribuer « 100 % » des changements climatiques actuels à l’activité humaine.
Selon la propagande officielle, la peur du gaz carbonique doit être directement liée au changement climatique « provoqué par l’homme », quel qu’en soit le prix. Soutenue par une autoflagellation collectiviste sans précédent, cette situation aboutit à des excès prohibitifs - en plus des certificats de Cgaz carbonique et des taxes, les gens sont désormais confrontés à l'interdiction du chauffage au fioul et au gaz, à l'interdiction des moteurs à combustion, aux villes aux quarts d'heure et maintenant également à l'annulation des festivals folkloriques. comme à Zurich, dont le « gaz carbonique _ » est trop élevée pour les besoins de la ville. À la fin d’une telle tirade insensée d’interdictions, qui n’a absolument aucun effet sur le « changement climatique » mais peut faire beaucoup sur l’image démocratique des sociétés occidentales, il y a la dissolution de la subjectivité civile telle que nous la connaissons, non pas pour mentionner les droits civils individuels. Les effets du « changement climatique » sur notre existence immédiate seront probablement encore plus dévastateurs que l’érosion technocratique et fasciste de la société civile à la suite du Corona. Comme nous le savons tous, les humains ne sont porteurs de virus que temporairement, mais produisent du gaz carbonique tout au long de leur vie. Dans quelle mesure l’intérêt pour la survie humaine peut-il être grand chez ceux qui veulent « éliminer » le dioxyde de carbone, la base de toute vie sur Terre ?
RépondreSupprimerComme l’a récemment rapporté le portail en ligne Business Insider , « la première usine commerciale aux États-Unis a commencé à aspirer le dioxyde de carbone de l’air. Elle est capable d’extraire 1 000 tonnes par an et envisage de s’agrandir » [2] .
Bienvenue dans un nouveau niveau de folie.
La photosynthèse comme théorie du complot de droite
Alors, à quel point le gaz carbonique peut-il être nocif pour l’environnement ?
Eh bien, cela n'a pas l'air mal du tout, bien au contraire - même si l'ironie est que ce clip de la NASA vieux de 7 ans sur YouTube a maintenant été qualifié de désinformation climatique.
S'il est évident que les niveaux de gaz carbonique ont augmenté au cours des 100 dernières années, l'impact sur la photosynthèse est encore plus insignifiant. Chaque enfant sait que la photosynthèse, le processus par lequel les plantes utilisent la lumière du soleil pour convertir le dioxyde de carbone en oxygène, est à la base de toute vie sur Terre. Chaque enfant sait aussi que sans plantes, il n’y aurait pas de vie. On pourrait être tenté de penser qu'une augmentation du gaz carbonique est bénéfique à la vie sur Terre. Comme il doit être étrange de vivre dans la peur constante de l'augmentation des concentrations de gaz carbonique.
RépondreSupprimerPersonne ne conteste que la planète s’est réchauffée d’environ 1°C aux latitudes plus élevées au cours des 100 dernières années. Mais il est absurde de prétendre que l'augmentation de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère en est la seule cause. Et il est encore plus absurde de prétendre que l'augmentation du gaz carbonique détruirait la Terre. Au contraire : une augmentation allant jusqu’à 1 200 ppm de la moyenne mondiale serait peut-être même nécessaire pour nourrir une population mondiale croissante.
Source : Roger H. Thayer, Eco Enterprises, hydrofarm.com. Avec l'aimable autorisation du sous-pile Irrational Fear de Matthew Wielicki : https://irrationalfear.substack.com/p/greening-earth-and-booming-crops
Nos niveaux actuels de gaz carbonique – environ 420 ppm – sont déjà critiques pour les plantes. Le physicien et ancien conseiller en énergie sous l’administration Obama, Steven Koonin, déclare dans son livre Unsettled : « La Terre d’aujourd’hui a faim de gaz carbonique atmosphérique ». Cependant, si vous faites connaître ce fait publiquement, certains trolls de Twitter vous insulteront en vous traitant de « lobbyiste pétrolier », d’« ennemi de la science » ou même de « néo-nazi ». Le scénario est désormais connu.
Comme le savent tous ceux qui ont connu des étés et des hivers continentaux, un temps plus chaud serait souhaitable pour les gens. De nombreuses personnes meurent chaque année à cause du froid, quelques-unes seulement à cause de la chaleur – l'Australie fait exception. Des études, par exemple de l' American Heart Association , montrent que le froid est la principale cause de décès liés à la température dans la plupart des pays du monde. Dans une étude portant sur 384 sites dans 13 pays sur 5 continents, il y a eu 20 fois plus de décès dus au froid qu'à la chaleur. Les températures froides augmentent le risque d’infections respiratoires et de maladies cardiovasculaires, tandis qu’un système immunitaire affaibli rend le corps plus vulnérable aux virus de la grippe et à la pneumonie. De plus, le froid provoque une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui peut entraîner une augmentation de la pression artérielle et, dans les cas extrêmes, des crises cardiaques. Réjouissez-vous et accueillez le temps plus chaud – il a rendu possible la culture de pommes de terre dans le Nord du Canada.
Heureusement, NetZero est – du moins pour l’instant – trop irréaliste pour être mis en œuvre. Si tel était le cas, la vie sur Terre cesserait d’exister. Mais pour ajouter de l’irrationalité à l’idiotie, la bonne chose qui pourrait profiter à tout le monde devient la chose dont nous nous méfions, dont nous avons peur et qu’on nous dit d’abolir.
J'ai toujours pensé que c'était le mal ultime d'avoir forcé la population mondiale - y compris les bébés et les jeunes enfants - à violer leur corps, leur dignité humaine et leurs droits humains en leur injectant un vaccin expérimental. Mais je n'en suis plus si sûr.
[1] Dans une interview avec Axel Bojanowski, sur :
[1] Dans une interview avec Axel Bojanowski, sur : https://martinburckhardt.substack.com/p/im-gesprach-mit-axel-bojanowski
[2] https://www.businessinsider.com/us-first-commercial-carbon-capture-facility-opens-2023-11?r=US&IR=T#:~:text=The%20first%20US%20commercial% 20plant,annuellement%20and%20planifie%20to%20expand.&text=
The%20first%20US%20industrial%20carbon,envoie%20it%20into%20the%20ground .
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VOL DE VIANDE : 5 suspects recherchés pour avoir volé des boîtes de viande congelée dans un camion réfrigéré dans le sud de Philadelphie
RépondreSupprimer21/11/2023
Kevin Hughes
Le service de police de Philadelphie recherche actuellement cinq hommes soupçonnés d'avoir volé des boîtes de bœuf congelé dans un camion réfrigéré le 15 novembre dans le sud de Philadelphie.
Le braquage a eu lieu vers 0 h 30 dans le pâté de maisons 700 de Pattison Avenue, dans le sud de Philadelphie Est. Le semi-remorque ciblé était garé pendant la nuit dans l'entrepôt de fournitures de Jetro, un magasin de fournitures pour restaurant. Le conducteur était dans la cabine au moment du braquage. Lorsque le conducteur a senti son camion trembler, il est sorti de la cabine pour enquêter.
Le conducteur a alors aperçu trois individus à l'arrière de la remorque qui transportaient des caisses de bœuf congelé à deux autres voleurs assis dans une voiture garée à proximité. Le conducteur a déclaré à la police que l'un des suspects lui avait dit : « Nous n'en prenons qu'un peu ».
Le voleur aurait alors fait un signe vers sa hanche, ce qui laisserait entendre que lui et peut-être d'autres voleurs avaient des armes à feu. Le conducteur a noté que les cinq suspects avaient fui les lieux à bord d'un SUV Ford Explorer argenté.
Au moins 15 caisses de bœuf ont été volées, d'une valeur estimée à 7 660 dollars. D'autres tranches de bœuf se sont déversées du camion et ont été laissées sur place après que les suspects ont été découverts par le chauffeur du camion et se sont enfuis précipitamment.
La tendance aux vols de marchandises ne devrait pas s'arrêter de sitôt
Les chauffeurs routiers de tout le pays, notamment dans les grandes villes, sont confrontés à une augmentation des vols de marchandises. Le danger accru pour les chauffeurs de camion les a amenés à s'armer d'outils pour assurer la sécurité de leurs marchandises coûteuses, tels que des verrous robustes.
"Il y a 250 000 $ de viande à l'arrière de ces camions, et cela représente 750 000 $ au moment où ils la vendent. C'est beaucoup d'argent", a déclaré le camionneur Mark Leighton.
À Philadelphie, au moins 196 vols de marchandises ont été enregistrés par la police de Philadelphie depuis le début de l'année. L'année dernière, 242 vols de marchandises ont été enregistrés. Le braquage des caisses de bœuf congelé dans le sud de Philadelphie survient quelques semaines seulement après que 184 caisses de grappes de crabes d'une valeur d'environ 73 000 $ ont été volées dans un camion au nord de Philadelphie.
L'augmentation des vols de marchandises au cours des derniers mois est une tendance qui ne devrait pas s'arrêter de sitôt, comme l'ont rapporté certains initiés du secteur.
RépondreSupprimerLes dernières données de CargoNet, une société de partage de données et d'informations basée à Jersey City, dans le New Jersey, qui lutte contre le vol de marchandises, ont montré une augmentation de 59 % des vols enregistrés au troisième trimestre 2023 par rapport à l'année dernière. (Connexe : les vols de marchandises ont augmenté de 15 % en 2022 aux États-Unis et au Canada, alors que les réseaux du crime organisé ciblaient la chaîne d'approvisionnement.)
"Alors que nous entrons dans le dernier trimestre de 2023, rien n'indique que l'activité de vol de marchandises ralentira aux États-Unis. Nous prévoyons que les vols de marchandises stratégiques resteront à des niveaux d'activité sans précédent tout au long du trimestre", a déclaré la société dans un communiqué. .
Suivez Collapse.news pour plus d’informations sur les vols de marchandises en Amérique.
Regardez la vidéo ci-dessous sur la vague de pillages massifs qui a secoué Philadelphie il y a deux mois.
Cette vidéo provient de la chaîne Andreash sur Brighteon.com.
Autres articles connexes :
Les vols généralisés incitent les épiceries de New York à envisager de mettre sous clé les aliments.
Les détaillants et les entreprises continuent de fuir Portland en raison de la violence, du vol et de l'anarchie endémiques.
CVS, Rite Aid et Walgreens vont fermer plus de 1 500 magasins en raison de l'augmentation de la criminalité dans le commerce de détail, laissant des MILLIONS de personnes sans accès local aux médicaments.
Le Mexique envisage de déployer des troupes de la Garde nationale pour défendre les autoroutes à forte criminalité et mettre un terme au vol de marchandises.
Les voleurs ciblent désormais les conteneurs chargés d’appareils électroniques et d’articles ménagers.
Les sources incluent :
6abc.com
Téléphone fixe.media
Fox29.com
CargoNet.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-21-suspects-wanted-stealing-frozen-beef-from-truck.html
La cannelle regorge de nutriments qui peuvent être bénéfiques aux personnes souffrant de maladies cardiaques et de diabète.
RépondreSupprimer21/11/2023
Arsenio Toledo
Il existe des dizaines de bienfaits prouvés pour la santé lorsque vous consommez la merveilleuse épice connue sous le nom de cannelle.
La cannelle est une épice ancienne récoltée sur les branches des arbres du genre Cinnamomum. Il est cultivé partout dans le monde, de l’Asie du Sud et du Sud-Est continental jusqu’aux Caraïbes et à l’Amérique du Sud.
La cannelle est désormais la deuxième épice la plus populaire – après le poivre noir – aux États-Unis et en Europe. Comme épice, on l’utilise soit sous forme de poudre, soit entière, sous forme de morceaux d’écorce. Il est apprécié pour ses propriétés médicinales depuis des milliers d’années. (Connexe : Augmentez votre apport en antioxydants avec de la cannelle, une épice polyvalente au profil de saveur douce et chaleureuse.)
Selon le ministère américain de l'Agriculture, même une seule cuillère à café de cannelle moulue regorge de nutriments, notamment du calcium, du potassium, du magnésium, du phosphore et des vitamines K et A.
Un bâton de cannelle peut être consommé de différentes manières. La cannelle elle-même confère de merveilleuses saveurs aux plats ou aux sauces pendant le processus de cuisson, la cannelle moulue étant régulièrement mélangée ou saupoudrée sur des aliments à feuilles persistantes et sur le thème des fêtes comme les pâtisseries, les desserts, les plats salés et les boissons.
Il existe des traces d’utilisation de la cannelle comme médicament qui remontent jusqu’à l’Égypte ancienne, alors qu’elle était une denrée rare utilisée uniquement par les échelons supérieurs des sociétés anciennes.
Ces peuples anciens ne comprenaient probablement pas comment la cannelle conférait ses propriétés médicinales, mais seulement qu'elle avait un effet positif sur les personnes souffrant de maladies et sur le maintien d'une santé optimale.
La cannelle regorge de puissants antioxydants
RépondreSupprimerCe que la société comprend désormais, c'est que la cannelle regorge de puissants antioxydants qui protègent l'organisme des dommages oxydatifs causés par les radicaux libres, notamment les polyphénols. Une étude a même révélé qu’une supplémentation en cannelle pouvait augmenter considérablement les niveaux d’antioxydants dans le sang, tout en réduisant les niveaux de marqueurs utilisés par les scientifiques pour mesurer l’inflammation.
D'autres études ont établi un lien entre la cannelle et un risque réduit de maladie cardiaque, une étude suggérant qu'une supplémentation d'au moins 1,5 gramme de cannelle par jour aide à réduire les niveaux de triglycérides, de mauvais cholestérol et de sucre dans le sang chez les personnes atteintes de maladies métaboliques. Les taux de triglycérides et de cholestérol total sont des facteurs de risque de développer une maladie cardiaque.
La capacité de la cannelle à abaisser le taux de sucre dans le sang est bénéfique pour les personnes atteintes de diabète.
Des études ont montré que la cannelle peut diminuer la quantité de sucre qui pénètre dans le sang après les repas, en interférant avec de nombreuses enzymes digestives, ce qui ralentit la dégradation des glucides dans le tube digestif.
Un composé de la cannelle peut également imiter les effets de l’insuline pour améliorer l’absorption du sucre dans les cellules.
De plus, la cannelle peut aider à réduire la résistance à l’insuline, une caractéristique des personnes souffrant de diabète de type 2. Il est essentiel de réduire la résistance à l’insuline et d’améliorer la sensibilité à l’insuline, car l’insuline est l’une des hormones clés pour réguler le métabolisme et la consommation d’énergie.
Des dizaines d’autres études ont examiné les autres effets positifs de la cannelle.
La cannelle a des propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes, antivirales et antifongiques ; exerce des effets bénéfiques sur les personnes atteintes de maladies neurodégénératives ; et peut aider à protéger contre certains types de cancers.
Apprenez-en davantage sur les différents avantages pour la santé liés à la consommation de différents types d’aliments sains sur FoodIsMedicine.com.
Regardez cette vidéo du Health Ranger Store discutant d'une recette facile de muffins aux pommes et à la cannelle qui regorgent de protéines.
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Store sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
RépondreSupprimerLa cannelle aide à prévenir la maladie d'Alzheimer.
4 bienfaits pour la santé de la cannelle, une épice puissante qui peut aider à réduire le taux de sucre dans le sang.
Étude : Le composé de cannelle stimule la santé métabolique et aide à lutter contre l’obésité.
Bienfaits de la cannelle pour la santé : quelle est la différence entre la cannelle de Ceylan et la cannelle cassia ?
10 bienfaits surprenants de la cannelle pour la santé.
Les sources incluent :
MedicalNewsToday.com
Healthline.com
EverydayHealth.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-21-cinnamon-nutrients-beneficial-heart-disease-diabetes.html
Les 80 % les plus pauvres se sont considérablement appauvris depuis le début de la pandémie
RépondreSupprimerCela crée une « mentalité de Robin des Bois » partout en Amérique
Par Michael Snyder
L'effondrement économique
20 novembre 2023
Les riches sont devenus de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres, ce qui entraîne toutes sortes de problèmes sociétaux. Grâce aux médias sociaux, les pauvres peuvent constater l’incroyable richesse dont jouissent les riches, et ils sont profondément envieux. Bien sûr, le fait qu’afficher sa richesse soit devenu l’un des passe-temps favoris des riches n’aide certainement pas. Beaucoup d’entre eux adorent publier des photos et des vidéos de leur style de vie luxueux sur leurs comptes de réseaux sociaux, et ce n’est pas une bonne chose. Parce que les temps n’ont pas été bons pour la majeure partie du pays. En fait, une toute nouvelle étude de la Réserve fédérale a découvert que les 80 % les plus pauvres ont « des dépôts bancaires et autres actifs liquides inférieurs à leur situation en mars 2020 »…
En juin, les 80 % des ménages les plus pauvres en termes de revenus, après ajustement de l'inflation, avaient des dépôts bancaires et d'autres actifs liquides inférieurs à leur situation en mars 2020. Cette baisse marque un changement significatif par rapport aux phases initiales de la pandémie, où divers Certains facteurs, notamment le soutien financier du gouvernement et les possibilités de dépenses restreintes pendant les confinements, ont conduit à une accumulation d’épargne excédentaire.
En d’autres termes, la grande majorité des Américains s’appauvrissent.
Pendant ce temps, les riches ne cessent de devenir encore plus riches…
La Réserve fédérale, ainsi que les calculs de Bloomberg, ont identifié un retrait rapide de cette épargne excédentaire, particulièrement marqué parmi les groupes à faible revenu. Même si tous les groupes de revenus ont connu une diminution de leurs soldes de trésorerie en termes réels depuis le sommet de 2021, la disparité est remarquable. Le cinquième des ménages les plus riches disposent encore d’épargnes en espèces supérieures d’environ 8 % à leurs niveaux d’avant la COVID-19. À l’opposé, les deux cinquièmes les plus pauvres ont connu une diminution de 8 %, et les 40 % suivants – qui représentent largement la classe moyenne – ont vu leur épargne en espèces tomber en dessous des niveaux d’avant la pandémie.
À l’heure actuelle, l’écart entre les riches et le reste d’entre nous est le plus grand qu’il ait jamais été dans toute l’histoire de notre nation.
Selon un autre rapport qui vient d’être publié par le ministère du Travail, le salaire horaire moyen est aujourd’hui inférieur à ce qu’il était lorsque Joe Biden est entré pour la première fois à la Maison Blanche…
Des millions d’Américains ont bénéficié d’une réduction de salaire au cours des deux dernières années en raison d’une inflation élevée, un coup dur pour le président Biden alors qu’il tente de centrer sa campagne de réélection autour de la « bidenomics ».
Le ministère du Travail a rapporté mardi que le salaire horaire moyen de tous les employés était de 11,05 dollars en octobre, soit une baisse de 3,32 % par rapport au chiffre de 11,43 dollars de janvier 2021, lorsque Biden a pris ses fonctions.
Et à mesure que le rythme des licenciements s’accélère, des millions d’Américains n’auront bientôt plus aucun emploi.
Cette semaine, on apprend que Citigroup a entamé des licenciements massifs…
L'une des plus grandes banques américaines va entamer mercredi des licenciements massifs dans le cadre d'une refonte de son entreprise alors que l'entreprise cherche à réduire ses dépenses d'exploitation à des niveaux plus conformes à ceux de ses concurrents, selon CNBC.
Citigroup commencera à supprimer des effectifs mercredi, et de nouveaux licenciements continueront d'être annoncés jusqu'à la semaine prochaine, affectant certains chefs de cabinet, directeurs généraux et employés de niveau inférieur, selon CNBC. Suite à la première série de licenciements, davantage d’employés occupant des postes moins élevés devraient être licenciés en février, et les licenciements devraient être entièrement terminés d’ici mars 2024.
RépondreSupprimerEt Stellantis vient d’annoncer avoir proposé des rachats à environ la moitié de ses salariés…
Stellantis, l'un des trois grands constructeurs automobiles américains, a proposé lundi de racheter environ la moitié de ses employés alors qu'il cherche à réduire ses coûts lors de sa transition vers les véhicules électriques (VE) et à assumer l'augmentation des coûts résultant d'une nouvelle convention collective.
La société mère de grandes marques automobiles comme Chrysler, Dodge, Jeep et Ram a proposé des rachats volontaires à environ 6 400 de ses quelque 12 700 employés salariés qui ne sont pas représentés par un syndicat et ont au moins cinq ans d’expérience. Les salariés qui acceptent cette incitation quitteront l’entreprise avant la fin décembre.
À mesure que les conditions économiques se sont détériorées, la criminalité a explosé.
Ces derniers jours, j’ai écrit sur les vols choquants dont nous sommes témoins dans tout le pays, mais celui-ci est le plus important…
C'est le moment choquant où une foule de 40 personnes a pillé un camion FedEx alors qu'il était arrêté à un feu rouge à Memphis, Tennessee.
Vers 20 h 30 samedi, une remorque de 53 pieds a été saccagée alors qu'elle se trouvait dans la circulation à l'intersection de Riverport Road et de West Mallory Avenue.
Après que le conducteur ait signalé le vol, la police de Memphis est arrivée et a vu des véhicules s'éloigner à toute vitesse avec un certain nombre de cartons jetés sur la route.
Le camion FedEx n’avait nulle part où aller, car une fois arrivé à l’intersection, des voitures se sont soudainement mises en position pour le bloquer…
Le chauffeur du camion a déclaré à la police que des voitures bloquaient le carrefour juste avant qu'un groupe d'hommes n'ouvre la porte arrière scellée et pille la remorque.
Trois hommes ont depuis été arrêtés après que le groupe enragé ait causé près de 10 000 $ de dégâts et volé de nombreux objets tels que des haut-parleurs Kicker, une boîte d'avions de ligne et trois décodeurs de câble DirectTV.
RépondreSupprimerDans mon tout nouveau livre intitulé « Chaos », j’avertis spécifiquement les gens d’éviter Memphis autant que possible.
C'est devenue l'une des villes les plus dangereuses de tout le pays.
Mais bien sûr, nous commençons à voir ce genre de crimes partout.
De grands groupes de personnes ont décidé qu’il était acceptable de prendre aux riches et aux entreprises qu’ils contrôlent et de les donner aux pauvres (à eux-mêmes), car les riches ont probablement exploité les pauvres pour obtenir leur richesse en premier lieu.
Cette sorte de « mentalité de Robin des Bois » est extrêmement dangereuse et se propage rapidement.
Et maintenant, nous avons une période électorale et une guerre au Moyen-Orient pour jeter de l’huile sur le feu. Jeudi, un groupe de manifestants fous a fermé tout le Bay Bridge…
Un groupe bien coordonné de centaines de manifestants pro-palestiniens a fermé le Bay Bridge jeudi matin, bloquant la circulation aux heures de pointe et appelant les dirigeants du monde à mettre fin à la guerre à Gaza lors du sommet de l'APEC.
Cet événement chaotique de quatre heures, qui a débuté vers 7 h 45, s'est soldé par au moins 70 arrestations et 29 voitures remorquées. Toutes les voies ont finalement été rouvertes juste avant midi, mais pas après qu'au moins 200 manifestants se soient enchaînés et aient délibérément jeté leurs clés de voiture dans la baie, bloquant ainsi les efforts visant à rouvrir la travée aux conducteurs frustrés.
Inutile de dire que ce n’est qu’un début.
La guerre au Moyen-Orient va continuer à s’intensifier et 2024 sera de loin l’année électorale la plus chaotique que nous ayons jamais connue.
Alors attachez votre ceinture et tenez bon, car nous allons assister à des niveaux stupéfiants de troubles civils et de criminalité en 2024 et au-delà.
Reprinted with permission from The Economic Collapse.
https://www.lewrockwell.com/2023/11/michael-snyder/the-bottom-80-has-gotten-significantly-poorer-since-the-pandemic-began/
"Une dictature sans larmes"
RépondreSupprimerDiscours prémonitoire d'Aldous Huxley en 1961
Par John Leake
Discours courageux
20 novembre 2023
En 1961, le président Eisenhower a prononcé son célèbre discours d’adieu au « complexe militaro-industriel » dans lequel il a mis en garde contre « le potentiel de montée désastreuse d’un pouvoir mal placé ». Au cours de cette même année et l'année suivante, Aldous Huxley a donné une conférence dans différentes institutions de Californie, notamment au UC Medical Center de San Francisco et à l'Université de Californie à Berkeley, dans laquelle il a proposé qu'à l'avenir, les tyrans n'utiliseraient plus la terreur et les camps de concentration, mais des méthodes bien plus raffinées pour induire la servitude des citoyens.
S'appuyant sur le désir compréhensible de confort, de sécurité et de plaisir, les nouveaux dictateurs obtiendront le consentement des gouvernés en les incitant à PROFITER de leur servitude. Lors de son discours à l’Université de Berkeley en 1962, il a explicitement opposé sa vision à celle d’Orwell dans le livre 1984.
Et ici, je voudrais comparer brièvement la parabole du Meilleur des Mondes avec une autre parabole qui a été présentée plus récemment dans le livre de George Orwell, Nineteen Eighty-Four. Orwell a écrit son livre entre, je pense, entre 45 et 48, à l'époque où le régime terroriste stalinien battait encore son plein et juste après l'effondrement du régime terroriste hitlérien. Et son livre que j'admire beaucoup, c'est un livre d'un très grand talent et d'une ingéniosité extraordinaire, montre pour ainsi dire une projection dans le futur du passé immédiat, de ce qu'était pour lui le passé immédiat, et le présent immédiat, il était une projection dans le futur d’une société où le contrôle était entièrement exercé par le terrorisme et des attaques violentes contre l’esprit et le corps des individus.
Alors que mon propre livre, écrit en 1932, alors qu'il n'existait qu'une légère dictature sous la forme de Mussolini, n'était pas éclipsé par l'idée du terrorisme, et j'étais donc libre, d'une manière dont Orwell ne l'était pas, de penser à propos de ces autres méthodes de contrôle, de ces méthodes non violentes et de mon, j'ai tendance à penser que les dictatures scientifiques du futur, et je pense qu'il y aura des dictatures scientifiques dans de nombreuses régions du monde, seront probablement un Bien plus proches du modèle du Meilleur des Mondes que de celui de 1984, ils le seront beaucoup plus près, non pas à cause des scrupules humanitaires des dictateurs scientifiques, mais simplement parce que le modèle BNW est probablement beaucoup plus efficace que l’autre.
Cela si vous parvenez à amener les gens à consentir à la situation dans laquelle ils vivent. L'état de servitude, l'état d'être, dont les différences ont été aplanies et qui se prêtent aux méthodes de production de masse au niveau social, si vous pouvez le faire, alors vous aurez, vous aurez probablement une vie beaucoup plus stable et durable. société. Une société bien plus facilement contrôlable que si elle s’en remettait entièrement aux matraques, aux pelotons d’exécution et aux camps de concentration.
RépondreSupprimerUn autre discours que Huxley a apparemment donné à peu près à la même époque (j'ai du mal à trouver une copie de la transcription complète) est cité plus souvent, en particulier le passage suivant. La plupart des références en ligne indiquent que la citation est tirée d'un discours qu'il a prononcé devant le « Tavistock Group, California Medical School, 1961 », bien que je ne sois pas en mesure de le vérifier. Quoi qu’il en soit, ce qu’il a apparemment déclaré dans ce discours me semble remarquablement prémonitoire :
Il y aura, dans la prochaine génération, une méthode pharmacologique pour faire aimer aux gens leur servitude et produire une dictature sans larmes, pour ainsi dire, produisant une sorte de camp de concentration indolore pour des sociétés entières, de sorte que les gens auront en fait leur propre droit. libertés qui leur seront retirées, mais ils en profiteront plutôt, car ils seront distraits de toute volonté de rébellion par la propagande ou le lavage de cerveau, ou le lavage de cerveau renforcé par des méthodes pharmacologiques. Et cela semble être la révolution finale.
Ces réflexions m’ont immédiatement interpellé, car ces dernières années, j’ai souvent pensé que le pouvoir de nos suzerains venait autant de notre propre stupéfaction et de notre distraction que de leur puissance.
Chaque jour qui passe apporte de nouvelles révélations sur le caractère absurdement frauduleux de la pandémie de COVID-19 et sur la réponse officielle à celle-ci. La réalité n’est même pas cachée : elle n’est tout simplement pas rapportée dans les médias traditionnels, et une grande partie de la population est trop stupéfaite et distraite pour voir ce qui se trouve sous ses yeux.
Ceci est apparu à l’origine sur Courageous Discourse.
https://www.lewrockwell.com/2023/11/no_author/a-dictatorship-without-tears/
Quelle que soit la servitude apportée les êtres humains demeurent des êtres humains. L'intelligence est INDIVIDUELLE. S'il y a 8 milliards d'habitants sur Terre il y a 8 milliards de QI différents !
SupprimerLes entreprises familiales ne peuvent pas se permettre de perdre l’accès à une électricité fiable
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 20 NOVEMBRE 2023 - 00h05
Rédigé par Palmer Schoening via RealClear Wire,
Une électricité fiable et peu coûteuse est essentielle pour maintenir l’éclairage de millions d’entreprises familiales américaines.
C’est le type d’élément essentiel qui touche presque tous les aspects de notre vie ; la boulangerie s'appuie sur des fours, l'atelier de réparation sur des outils électriques et l'épicier local sur la réfrigération, et ainsi de suite. Une source d’énergie constante et abordable garantit qu’ils peuvent fonctionner sans interruption et maintenir des prix compétitifs pour leurs clients malgré de faibles marges et une économie fragile. Malheureusement, des politiques fédérales malavisées menacent désormais de perturber davantage notre réseau électrique et pourraient entraîner la fermeture de ces entreprises.
Au cours des dernières années, les États-Unis sont rapidement passés d’une stratégie énergétique sensée et globale à une stratégie motivée par le désir singulier d’éliminer l’électricité produite à partir de combustibles fossiles. Cet objectif de changement énergétique pourrait même être quelque peu défendable si notre économie et notre réseau électrique ne sont clairement pas prêts pour la transition précipitée et imprudente que les régulateurs fédéraux précipitent.
Comme tous les autres domaines de l’économie, les marchés de l’énergie adhèrent aux lois fondamentales de l’offre et de la demande. Les régulateurs ont déformé le secteur pour forcer les centrales électriques conventionnelles à mettre hors service prématurément, réduisant ainsi la production totale d’électricité et augmentant les prix. L’administration Biden a soutenu ces actions sur la base de l’affirmation douteuse selon laquelle des incitations positives pour les projets solaires et éoliens permettraient à de nouveaux panneaux et parcs éoliens de remplacer entièrement les centrales électriques conventionnelles.
Mais la réalité finit par rattraper son retard, et même si les régulateurs ont réussi à pousser les marges au point où de nombreuses centrales électriques traditionnelles ont du mal à être compétitives financièrement, ils n’ont pas réussi à créer les conditions nécessaires au déploiement rapide de nouvelles technologies pour remplacer ces ressources importantes. Pour des raisons allant de l'autorisation à la logistique en passant par les dépenses, des milliers de projets d'énergies renouvelables ont été retardés pendant des années, dans certains cas au-delà des dates de mise hors service prévues des centrales existantes qu'ils sont censés remplacer. Tout cela a un coût élevé pour les entreprises familiales comme les industries manufacturières, qui dépendent d’une énergie abordable pour garder leurs portes ouvertes et leurs employés employés.
Les entreprises familiales ne devraient pas être obligées – et ne peuvent pas se le permettre – de payer la facture d’un passage aléatoire et artificiel à des technologies nouvelles et non éprouvées avant que notre réseau ne soit prêt pour cela. Et même si une éventuelle transition énergétique est inévitable, les récentes pannes d’électricité au Texas, en Californie et dans d’autres régions du pays révèlent à quel point nous sommes loin d’une telle transition organique. Malgré les efforts déployés par un petit groupe de régulateurs activistes, la production d’énergie thermique – charbon, gaz naturel et nucléaire inclus – reste une partie essentielle de notre mix énergétique.
RépondreSupprimerLes petites entreprises de tout le pays espèrent que maintenir les prix de l’énergie à l’abri d’une nouvelle inflation pourrait encore constituer un rare consensus bipartite à Washington. Avant que la situation ne s’aggrave et que des dommages irréversibles ne soient causés à l’épine dorsale de l’économie américaine, les décideurs politiques doivent comprendre qu’abandonner l’approche « tout ce qui précède » avant que le pays ne soit préparé entraînera davantage de fermetures d’entreprises et donc moins d’emplois dans nos communautés.
Palmer Schoening est président de la Family Business Coalition.
https://www.zerohedge.com/political/family-businesses-cant-afford-lose-access-reliable-electricity
Le recyclage des mythes écologiques est la menace existentielle
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 19 NOVEMBRE 2023 - 20:35
Rédigé par J. Peder Zane via RealClear Wire,
Le mythe du recyclage – Sauvez la planète en séparant le papier et le plastique ! – est une fausseté fondamentale du mouvement vert.
En promettant une solution relativement simple à un prétendu problème, il a permis à la gauche de contrôler les comportements à travers une morale inventée qui stigmatise la dissidence : seules les mauvaises personnes refusent de recycler.
Comme la plupart des interventions progressistes – depuis les politiques sociales qui ont détruit des familles tout en augmentant la dépendance, jusqu’aux réformes sur la consommation de drogues qui ont rempli les rues des villes de toxicomanes désespérés – les plans de recyclage qui semblent bons sur le papier (et le plastique) se sont continuellement heurtés à la réalité, de sorte que même les médias libéraux tels que comme le New York Times (« Votre recyclage est recyclé, n'est-ce pas ? Peut-être ou peut-être pas »), NPR (« Le recyclage du plastique est pratiquement impossible – et le problème s'aggrave ») et le magazine Atlantic (« Le recyclage du plastique ne fonctionne pas »). Work and Will Never Work ») ont fini par reconnaître leurs échecs.
La même dynamique est désormais à l’œuvre, revalorisant un fantasme vert bien plus important : la volonté de la gauche de décarboner les États-Unis et d’autres économies industrielles occidentales au cours des prochaines décennies et d’atteindre un calcul de pureté écologique connu sous le nom de Net Zero. Tout en brandissant le gourdin moral de toutes ses forces – le président Biden décrit le changement climatique comme « une crise existentielle », c’est-à-dire que chaque personne, chaque chiot mourra si nous ne nous soumettons pas à son programme – la gauche suggère également que la transition sera facile. : Construisez simplement des moulins à vent, installez des panneaux solaires et remplacez votre voiture, votre poêle et vos ampoules par des alternatives plus propres et moins chères.
Même si une grande partie des médias encourageants minimisent ce fait, il est déjà clair que l’objectif extrêmement coûteux et extrêmement perturbateur de Biden est une chimère. Dans une récente série d’articles, mes collègues de RealClearInvestigations ont rendu compte de plusieurs problèmes apparemment insolubles que l’administration et ses alliés écologiques tentent de faire disparaître.
La malhonnêteté commence avec le moteur de l’économie verte – la vaste gamme de parcs éoliens et solaires qui doivent être construits pour remplacer les installations de charbon et de gaz qui alimentent notre économie. James Varney a rapporté pour RCI que la ligne officielle du ministère de l'Énergie est que les installations nécessaires pour atteindre l'objectif de Biden de « 100 % d'électricité propre » d'ici 2035 nécessiteront « moins d'un demi pour cent de la superficie contiguë des États-Unis » – ou environ 15 000 des 48 inférieurs s'étendent sur environ 3 millions de miles carrés. Cependant, a noté Varney, « le rapport gouvernemental qui a fourni ces estimations note également que l'empreinte du parc éolien à elle seule pourrait nécessiter une étendue neuf fois plus grande : 134 000 milles carrés. Cela équivaut à la masse terrestre de l’Ohio, de l’Indiana et du Kentucky réunis – plus toute la Nouvelle-Angleterre.
RépondreSupprimerFaisant écho à l’adage du XIXe siècle selon lequel les chiffres ne mentent pas, mais les menteurs croient, l’écart concerne principalement les estimations de ce qui peut être construit autour des moulins à vent. L’empreinte au sol de chaque éolienne est relativement petite, mais elles doivent être très espacées. Le chiffre le plus petit du DOE repose sur l’hypothèse fantaisiste selon laquelle toutes les terres environnantes peuvent être utilisées pour l’agriculture et à d’autres fins, tandis que le chiffre plus élevé suppose qu’aucune d’entre elles ne le sera. La vérité se situe probablement quelque part entre les deux. Le fait que le gouvernement vante un nombre incroyablement petit – tout en ignorant les terrains supplémentaires nécessaires à la construction de lignes de transmission qui transporteront le courant jusqu’aux utilisateurs finaux – est révélateur et troublant.
Compte tenu des délais ambitieux de Biden pour la construction – 2035 n’est qu’une douzaine d’années – on pourrait s’attendre à ce que l’administration dispose d’un plan directeur détaillant où et quand ces fermes vertes seront construites. Ce ne est pas. Et, comme Steve Miller l'a rapporté pour RCI, ce défi semble déjà insurmontable étant donné la « résistance populaire… qui se rassemble dans diverses nouvelles lois étatiques et ordonnances locales qui menacent d'enliser le développement de l'énergie solaire et éolienne dans une guerre juridique et réglementaire sur plusieurs fronts à grande échelle. jamais vu auparavant. »
Ironie du sort, les opposants invoquent régulièrement des arguments concernant les espèces en voie de disparition et les zones humides que les écologistes utilisent depuis longtemps pour alimenter les pipelines, les champs de gaz et d’autres projets de combustibles fossiles.
Un autre problème largement ignoré concerne les bornes de recharge pour véhicules électriques. John Murawski a rapporté pour RCI que la première décision prise par la Californie d'interdire la vente de nouvelles voitures à essence après 2035 met en évidence un éventail de défis et de bouleversements. Pour maintenir les voitures électriques en circulation, l’État « devra peut-être installer au moins 20 chargeurs électriques pour chaque pompe à essence actuellement en service afin de créer un réseau fiable et transparent » – soit plus de 2 millions de nouvelles stations au cours de la prochaine décennie, soit environ 10 fois plus de ports EV que de buses de station-service.
RépondreSupprimerIl pourrait être difficile de convaincre les entreprises privées d’héberger les chargeurs, car, comme le souligne un rapport de 2022 de la California Energy Commission, « les revenus issus de la vente d’électricité à eux seuls ne suffisent souvent pas aujourd’hui pour que les chargeurs soient rentables, en particulier pour les stations moins utilisées. » C’est pourquoi la Californie investit au moins 14 milliards de dollars pour subventionner ce fantasme.
Même si l’infrastructure des véhicules électriques est construite, cela nécessitera un changement massif de comportement. Les jours où l’on faisait le plein une ou deux fois par semaine deviendront probablement un lointain souvenir. La plupart des stations publiques ne pourront fournir qu'une portée comprise entre cinq et 60 miles pour une heure de branchement. Les citoyens privés devront financer leur propre infrastructure de recharge à domicile, tandis que les locataires et les conducteurs à faible revenu devront compter sur les largesses des employeurs et des municipalités pour fournir des chargeurs.
Le rêve vert implique également des questions géopolitiques épineuses. Ben Weingarten a rapporté pour RCI que la transition américaine vers les énergies renouvelables donne du pouvoir à son plus redoutable adversaire économique. « La Chine occupe actuellement une position dominante dans l’industrie des énergies propres, contrôlant les ressources naturelles et fabriquant les composants essentiels à la transition énergétique alternative souhaitée par l’administration Biden », a écrit Weingarten. « Les experts en énergie estiment que sa domination va se renforcer dans les années à venir en raison de l'opposition des écologistes nationaux aux opérations minières et de raffinage perçues comme « sales » et du blitz de dépenses en « énergie propre » de l'administration Biden – qui pourrait rapporter des milliards de dollars aux entreprises et filiales chinoises. subventions. »
De plus, si les États-Unis ralentissent leur production de pétrole et de gaz dans les années à venir, les pays hostiles ou problématiques qui continuent à forer – notamment l’Iran, la Russie, l’Arabie Saoudite, le Qatar et le Venezuela – en récolteront les fruits si les énergies renouvelables ne parviennent pas à devenir une source d’énergie. source d’énergie fiable.
RépondreSupprimerEnfin, l’effacement systématique de ces questions et d’autres questions qui en découlent fait partie d’un vaste effort visant à réprimer les opinions dissidentes. Alors que les partisans de l’action climatique au sein du gouvernement, des médias et du monde universitaire affirment que la science est établie, Murawski a rapporté pour RCI qu’un nombre croissant d’experts remettent courageusement en question cette orthodoxie. En août, par exemple, « plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel de physique, ont signé une déclaration affirmant qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que le plaidoyer climatique a dégénéré en hystérie collective », a écrit Murawski. « Les sceptiques affirment que la transformation radicale de sociétés entières se déroule sans débat approfondi, basé sur des affirmations scientifiques douteuses amplifiées par un journalisme instinctif. »
En détaillant les principaux arguments de ces sceptiques, Murawski a indiqué que peu d’entre eux tombent dans le camp des « négationnistes du climat » – une étiquette honteuse utilisée pour assimiler le changement climatique à l’Holocauste. Ils reconnaissent que la Terre se réchauffe. Certains, cependant, se demandent si l’activité humaine est à blâmer et, si c’est le cas, si les interventions humaines massives exigées peuvent faire une grande différence. D’autres affirment que l’argent dépensé pour réorganiser l’économie serait mieux dépensé pour stimuler une croissance économique qui permettra aux gens de s’adapter à un monde en évolution.
Murawski a rapporté que de nombreux dissidents estiment que « les slogans tels que « suivre la science » et le consensus scientifique » sont trompeurs et fallacieux. Il n’existe pas de consensus sur de nombreuses questions clés, telles que l’urgence de cesser de brûler des combustibles fossiles ou l’exactitude des prévisions des modèles informatiques sur les températures mondiales futures. Le consensus apparent sur un désastre imminent est fabriqué par la pression des pairs, l’intimidation et les priorités de financement de la recherche, fondés sur la conviction que les « nobles mensonges », « l’entrepreneuriat consensuel » et le « plaidoyer furtif » sont nécessaires pour sauver l’humanité d’elle-même.
Un mensonge est rarement noble. Cela témoigne presque toujours d’un argument faible et d’un mépris envers ceux qu’il cherche à influencer. Ceux qui voient le changement climatique comme un danger urgent et croient savoir comment contrer cette menace devraient faire valoir leur cause sans détour au lieu de recycler des mythes éculés. Notre démocratie est confrontée à une menace existentielle lorsque la volonté du peuple cède la place à la coercition des masses.
https://www.zerohedge.com/political/recycling-eco-myths-existential-threat
America The Obese : Comment les contribuables sont obligés de ruiner leur santé
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 22 NOVEMBRE 2023 - 02:25
Rédigé par Stephen Manuszak via The Mises Institute,
Le premier texte législatif adopté par le nouveau Congrès des États-Unis d'Amérique après la ratification de la Constitution prévoyait un droit de douane sur l'importation de sucre étranger. Bien que ce tarif ait été adopté comme moyen de lever les fonds nécessaires pour payer les dettes accumulées pendant la guerre d’indépendance, il a également fourni, par coïncidence, des protections élaborées aux producteurs de canne à sucre et de betteraves sucrières les plus riches du pays.
Les subventions indirectes accordées aux producteurs de sucre par le Tariff Act de 1789 ont été réapprouvées et signées, désormais via le Farm Bill, tous les cinq ans par tous les présidents disponibles, jusqu'à Donald J. Trump inclus. Depuis plus de deux cents ans, ces producteurs de sucre américains ont pu vendre leurs produits à des prix plus élevés que ce que le marché permettrait normalement. Plus tard cette année, le président Joe Biden aura également l’occasion d’apposer sa signature sur le projet de loi.
À la fin des années 1960, l’Institut national des sciences et technologies industrielles avancées du Japon a découvert une enzyme capable de convertir efficacement et facilement la fécule de maïs en fructose. Cette technologie a finalement été vendue à des entreprises américaines et, en 1983, la Food and Drug Administration a approuvé le sirop de maïs à haute teneur en fructose comme étant sans danger pour la consommation. En peu de temps, l’industrie alimentaire a profité de cette nouvelle forme d’édulcorant bon marché en quantités extraordinaires. L’offre de cet ersatz de sucre devint abondante. Le marché, comme on pouvait s’y attendre, a profité de cette opportunité pour réduire les prix du sucre historiquement élevés générés par les droits de douane susmentionnés.
RépondreSupprimerEn raison de cette opportunité de marché, une nouvelle politique agricole a été poussée aux plus hauts niveaux du gouvernement fédéral. De 1971 à 1976, sous les auspices de Richard Nixon, le secrétaire à l’Agriculture, un homme bruyant et bruyant nommé Earl Butz, est devenu célèbre pour avoir imaginé une nouvelle politique « de clôture à clôture » : une production maximale de maïs et de soja, selon la demande. car ces récoltes étaient maintenant élevées. Il a poussé les agriculteurs à s’endetter pour acheter davantage de terres et de machines pour stimuler la production. Désormais, de somptueuses subventions gouvernementales (par le biais du même Farm Bill mentionné plus haut) furent distribuées aux producteurs de maïs. La production de ces cultures a grimpé en flèche et, étant donné l’augmentation de l’offre de maïs, les édulcorants tels que le sirop de maïs à haute teneur en fructose sont devenus moins chers sur le marché libre.
Pour bien comprendre comment les politiques gouvernementales entraînent des effets néfastes sur la santé, il est important de comprendre comment le corps humain métabolise les différents types de sucre. Le sucre le plus abondant sur terre est le glucose, un sucre hexagonal à six carbones, auquel notre corps s'est principalement adapté et utilisé pour la production d'énergie. Le fructose, un pentagone à cinq carbones, est un autre sucre présent dans la nature, naturel dans de nombreux aliments et une autre source d'énergie pour le corps. De même, le glucose et le fructose sont décomposés dans l’organisme au cours du métabolisme par une voie biochimique appelée glycolyse.
Cependant, en raison de sa forme, le fructose contourne une enzyme clé du processus biochimique qui peut servir à contrôler la production d’énergie. Par conséquent, une molécule de fructose entrant dans la glycolyse est métabolisée et stockée plus rapidement et plus facilement que le glucose. Dans l’ensemble, une ingestion excessive de fructose entraîne un excès de graisse dans le corps.
C’est précisément ce que nous avons vu s’étendre du niveau moléculaire jusqu’au niveau de la population : une montée en flèche des taux d’obésité, principalement due à une consommation excessive de sucre. Aujourd’hui, les Américains consomment en moyenne 130 livres de sucre ajouté par an, dont une grande partie provient du fructose. Il s’agit d’une forte hausse par rapport aux années 1970, lorsque la consommation annuelle moyenne était plus proche de quatre-vingts livres.
De même, l’obésité a explosé depuis les années 1970. L'épidémie d'obésité continue de s'aggraver, approchant rapidement une prévalence de 50 pour cent dans le pays.
L’obésité peut augmenter les risques de diabète, de maladies cardiaques, de maladies vasculaires périphériques, d’insuffisance rénale, d’infections graves (par exemple, pires conséquences du Covid), d’arthrose, d’accident vasculaire cérébral, de cécité, de différentes formes de cancer et de dépression, et la liste est longue. L'obésité raccourcit non seulement l'espérance de vie, mais diminue également la qualité de vie, notamment en imposant une pression financière à l'individu. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) rapportent que les frais médicaux annuels pour les adultes obèses étaient 1 861 $ plus élevés que les frais médicaux pour les personnes ayant un poids santé.
RépondreSupprimerL’obésité exerce également une pression financière sur la société dans son ensemble. Le CDC a rapporté que le coût médical annuel de l’obésité s’élevait à près de 173 milliards de dollars en dollars de 2019 ; il s’agit selon toute vraisemblance d’une sous-estimation. Si l’on considère le budget de l’année fiscale américaine sous forme de diagramme circulaire, l’une des plus grosses tranches du budget va à Medicare et Medicaid. Il n’est pas surprenant de constater que la dette nationale atteint des sommets insondables.
Les politiques mises en avant par le gouvernement national ont des conséquences concrètes, qui mettent parfois des décennies, voire des siècles – si l’on veut ramener les causes et les effets à la loi douanière de 1789 – à se manifester pleinement. Il est à la fois triste et presque comique de voir le contribuable américain subventionner les industries de la canne à sucre et de la betterave sucrière – ce qui exerce une pression à la hausse sur le prix du sucre – pour ensuite subventionner l'industrie du maïs afin de réduire les prix élevés du sucre, seulement plus tard pour le contribuable. être à nouveau imposé pour financer Medicare et Medicaid dans le cadre de la tentative du gouvernement de freiner les conséquences de l'obésité sur la santé.
Beaucoup acclameront le président, tant de la gauche très dépensière que de la droite pro-agriculteur, alors qu'il placera son John Hancock sur le Farm Bill qui doit être renouvelé cette année. Comprenez cependant que subventionner les agriculteurs pour produire en masse du maïs est l’un des principaux facteurs de déclin sanitaire et économique dans notre pays.
https://www.zerohedge.com/markets/america-obese-how-taxpayers-are-forced-ruin-their-health