Heidi Klum et HALLOWEEN – un festival d'horreur inoffensif ?
31.10.2023 www.kla.tv/27334
Heidi Klum aime également beaucoup s'afficher avec les signes de la secte. Que ce soit le mauvais œil, ou les cornes du diable ou le « Vow of Silence », la loi du silence maçonnique...
Heidi Klum un topmodèle... Toujours qualifiée de plus belle femme du monde. Mais pour un mannequin, elle a aussi des looks très lugubres. Je suis productrice de films, alors je sais que les meilleurs maquilleurs et spécialistes du maquillage au monde ont travaillé pour la rendre aussi diabolique. Pour ce look, elle a passé dix heures au maquillage. Elle est connue pour ses fêtes d'Halloween, auxquelles elle invite des personnalités célèbres du monde entier. Ici, par exemple, Mariah Carey et Katy Perry. Selon les ex-satanistes John Ramirez et John Todd, Halloween n'est toutefois pas une fête d'horreur anodine dans les cercles de la secte satanique. Chez les satanistes et dans les cercles de sorciers, Halloween reste la fête suprême, une fête de l'horreur et de la mort. Selon les déclarations de ces deux ex-satanistes, c'est à cette période de l'année que la plupart des enfants disparaissent. John Todd dit textuellement, je cite :
« Qui veut faire la fête un jour où les sorcières du monde entier sacrifient 1 000 personnes ? »
Quelles sont les célébrités que l'on peut trouver aux fêtes d'Halloween d'Heidi Klum ? Selon les auteurs du livre « Epstein : les hommes morts ne racontent pas d'histoires », le prince Andrew et Jeffrey Epstein étaient présents à la fête d'Halloween de l'an 2000. Donald Trump et son épouse étaient également présents à la fête. Vous vous souvenez certainement des titres tristement célèbres concernant Jeffrey Epstein et son île privée de mauvais augure, sur laquelle il organisait des fêtes sexuelles avec des célébrités, des politiciens de haut rang et des personnes influentes - principalement aussi avec des filles mineures - et qu’il a été condamné pour cela. Le prince Andrew a également fait la une des journaux pour avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs, comme l'a témoigné contre lui Virginia Roberts Guiffre. Heidi Klum est également connue pour ses vidéos d'horreur. Ici, elle met en scène le cannibalisme. Ça a l'air terriblement réel... Elle est également connue pour ses Drag-shows à la télévision. Nous demandons à notre cœur : tout cela n'est-il que jeu et amusement ? Tout cela n'est-il qu'art et « déguisement » ? Est-ce encore approprié pour une « fête d'horreur inoffensive » ? Alors que partout dans le monde, des enfants et des survivants crient parce qu'ils sont martyrisés et torturés par de véritables « horreurs » ?
de ls. Sources / Liens : Heidi Klum Die Autoren des Buches "Epstein: Dead Men Tell No Tales" (zu deutsch: „Tote Männer erzählen keine Märchen“) Dylan Howard, Melissa Cronin und James Robertson erwähnen darin, dass auf Heidi Klums Party unter anderem Prinz Andrew und Jeffrey Epstein anwesend waren. Zitat aus dem Buch: „Ein paar Monate später feierte Andrew wieder mit Epstein, diesmal auf Heidi Klums Halloween-Party in New York, mit Ghislaine als Date. Das Kostüm, das sie wählte, um einen der Obersten im britischen Königshaus zu begleiten? Eine Prostituierte.“ https://www.tz.de/stars/heidi-klum-donald-trump-prinz-andrew-jeffrey-epstein-halloween-zr-13281509.html
Virginia Roberts Guiffre: https://www.stern.de/lifestyle/leute/virginia-roberts-giuffre---falls-mir-etwas-passiert--9044048.html
Heidi Klum Zeichen: t.me/Symboliken/3320 Jeffrey Epstein und Prinz Andrew - auch Donald Trump bei Heidi Klums Halloween-Party Weitere Bilder von Heidi Klum: https://hollywoodlife.com/pics/heidi-klum-greatest-halloween-costumes-photos/heidi-klum-greatest-halloween-costumes-10
Un journal « faisant autorité » vante un rapport anonyme et des « experts » anonymes pour propager un gros mensonge sur les injections de COVID « sûres et efficaces »
Par Mark Taliano Recherche mondiale, 1er novembre 2023
Un article paru dans le journal canadien Globe and Mail, rédigé par la journaliste sur la santé Carly Weeks, intitulé « L'agence ontarienne vante la sécurité du vaccin COVID mis à jour » s'appuie sur des « experts » anonymes et un « rapport » anonyme pour propager le grand mensonge selon lequel les injections expérimentales d’ARNm COVID sont « sûres et efficaces ».
La première déception est immédiate. Le sous-titre affirme que « Un rapport basé sur les données collectées depuis décembre 2020 révèle que 94,5 % des réactions ne sont pas graves » soulève une question immédiate. Si 94,5 % des réactions ne sont pas graves, les 5,5 % restants le sont.
Pourquoi accepterait-on une injection expérimentale dont la dangerosité est avérée alors que des thérapies sûres sont disponibles ? (1)
Les données publiques du CDC VAERS indiquent sans équivoque que les injections ne sont ni sûres ni efficaces et que les vaccins COVID sont responsables de plus de décès que tous les vaccins précédents réunis.(2)
L'article suggère en outre que la causalité n'a pas été prouvée. Mais ce n’est pas le cas non plus. Une étude du Département de cardiologie et de l'Institut de recherche cardiovasculaire de Bâle intitulée « Lésions myocardiques après ARNm du COVID-19 – 1273 rappels de vaccination » démontre que 2,8 %, soit 1 receveur de rappel sur 35, a subi une lésion myocardique associée au vaccin. Non seulement l’étude est nommée, mais elle est évaluée par des pairs et indépendante de l’industrie.(3)
Les lésions myocardiques, explique le Dr Chris Shoemaker, sont permanentes et 50 % des personnes souffrant de telles blessures décèdent dans les 5 ans.
L’article non sourcé du Globe and Mail en question suggère tacitement que le risque de blessures par piqûre en vaut la peine pour lutter contre la « pandémie ». Mais nous savons que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a supprimé les taux de mortalité de sa définition de la pandémie (4), le mot n’a donc presque aucun sens et, selon le Dr Ionniditis, le virus a toujours eu de faibles taux de mortalité par infection (LIFR) (5). ), et le fait que les traitements ont toujours été disponibles nie la légitimité d’une urgence de santé publique.
Santé publique Canada doit redécouvrir ses racines axées sur la santé et cesser de proposer des injections expérimentales catastrophiquement dangereuses à une population canadienne de plus en plus sophistiquée. Les gens sont de plus en plus conscients des taux de surmortalité extraordinaires directement liés aux injections expérimentales obligatoires de COVID.(6)
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Mark Taliano est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG) et auteur de Voices from Syrie , Global Research Publishers, 2017. Il écrit sur son site Web où cet article a été initialement publié.
Remarques
(1) Vidéo : « Kennedy on Ivermectin Suppression » ( Kennedy on Ivermectin Suppression (rumble.com)) Consulté le 31 octobre 2023
voir aussi : Kennedy sur la suppression de l'ivermectine – Mark Taliano
(2) Mark Taliano, « Est-il temps de licencier votre médecin ? » Le CDC VAERS enregistre plus de décès dus aux vaccins COVID que le total de tous les vaccins précédents combinés. Global Research, 7 septembre 2023. ( Is It Time to Fire Your Doctor ? CDC VAERS enregistre plus de décès dus aux vaccins COVID que le total de tous les vaccins précédents combinés – Global ResearchGlobal Research – Center for Research on Globalization ) Consulté le 31 octobre 2023.
(3) Mark Taliano, « Un receveur de rappel d'ARNm sur trente-cinq a subi une lésion myocardique associée au vaccin. » Global Research, 27 juillet 2023. ( Un receveur de rappel d’ARNm sur trente-cinq avait une lésion myocardique associée à un vaccin – Global ResearchGlobal Research – Centre de recherche sur la mondialisation ) Consulté le 31 octobre 2023.
Voir également:
Vaccins Covid : dommages cardiaques causés par les LNP, l'ARNm et la protéine Spike – Global ResearchGlobal Research – Centre de recherche sur la mondialisation
(4) Mark Taliano, «False Perception Fabrication Inc.» Global Research, 15 avril 2021. ( False Perception Fabrication Inc. – Global ResearchGlobal Research – Center for Research on Globalization ) Consulté le 31 octobre 2023.
(5) Mark Taliano, « Les tests Covid sont invalides. Les politiciens mentent. Global Research, 5 avril 2021. ( Les tests Covid sont invalides. Les politiciens mentent. – Global ResearchGlobal Research – Center for Research on Globalization ) Consulté le 31 octobre 2023.
(6) Rhoda Wilson, « Dr. Denis Rancourt : Les injections de Covid ont tué 13 millions de personnes dans le monde. The Expose, 26 juin 2023. ( Dr Denis Rancourt : Les injections de Covid ont tué 13 millions de personnes dans le monde – The Expose (expose-news.com) ) Consulté le 31 octobre 2023.
Les travailleurs paramédicaux lésés par les vaccins et les mandats à ARNm contre la COVID-19 Physiothérapeutes et ergothérapeutes, assistants médicaux et chirurgicaux, assistants dentaires, techniciens de laboratoire - 30 cas
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 31 octobre 2023
26 octobre 2023 – Parsons, KS – Leah Steinle Newland est ergothérapeute. On lui a juste retiré de gros caillots de sang de ses poumons.
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Cet article couvre les blessures de :
physiothérapeute ou physiothérapeutes ergothérapeutes Orthophonistes assistants médicaux assistants chirurgicaux assistantes dentaires techniciens de laboratoire 24 octobre 2023 – Wasco, Californie – Destiny Millan était assistante dentaire. Elle est décédée subitement le 23 octobre 2023.
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14 octobre 2023 – Pittsfield, MA – Nicolette Enhorning-Picton est une hygiéniste dentaire qui vient de subir un accident vasculaire cérébral. Elle est également athlète de haut niveau, monitrice de patrouille de ski, compétitrice Ironman.
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12 octobre 2023 – South Bend, IN – Lisa Dover est une assistante dentaire qui vient de recevoir un diagnostic de cancer du sein métastatique de stade 3.
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11 octobre 2023 – Revere, MA – Gabriella Martinelli, 26 ans, est assistante médicale. On vient de lui diagnostiquer une insuffisance hépatique aiguë et elle aura besoin d’une greffe du foie.
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25 septembre 2023 – Miami, FL – Ana Rodriguez Sire, 52 ans, est une assistante médicale qui a subi un accident vasculaire cérébral le 25 septembre 2023.
22 septembre 2023 – Union, OH – Lacey Hite, 27 ans (technicienne de laboratoire médical), mandatée par son employeur pour prendre des vaccins à ARNm contre le COVID-19, s'est effondrée quelques heures avant son mariage et est décédée subitement le 22 septembre 2023.
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21 septembre 2023 – Gilbert, Arizona – Elexus Renee est une assistante dentaire qui vient de recevoir un diagnostic de cancer de l'ovaire de stade 2B.
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4 septembre 2023 – Eureka, Californie – Joy DeJonge vient de recevoir un diagnostic de maladie auto-immune qui la rend très malade.
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2 septembre 2023 – Chicago, Illinois – Natalia est une assistante dentaire à qui on a diagnostiqué 2 cancers du SEIN différents, un de stade 3 et un de stade 1.
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1er septembre 2023 – Reno, NV – 1er septembre 2023 Karen Kottinger est physiothérapeute. On lui a diagnostiqué un cancer du pancréas de stade 4 avec métastases hépatiques.
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25 août 2023 – Bossier City, LA – Janee Rogers Gibbs est orthophoniste. Dx : troponines élevées, ECG irrégulier et MYOCARDITE « La cause est inconnue… je n'ai pas eu de COVID à ma connaissance, mais j'ai été ENTIÈREMENT VACCINÉ. »
Des chaises supplémentaires ont dû être installées au Kursaal de Hall/Tyrol le 28 octobre 2023 vers 10 heures du matin, lorsque les deux auteurs du livre, le député Gerald Hauser, député du FPÖ, et le professeur d'université Dr. Hannes Strasser, qui a accueilli environ 280 invités intéressés. Le président du parti fédéral FPÖ, Herbert Kickl, a envoyé un message de bienvenue par vidéo dans lequel il souligne les conséquences destructrices de la politique corona de ces dernières années et met en garde contre une Organisation mondiale de la santé (OMS) comme centre de commandement des États-nations. Le secrétaire général du FPÖ, Michael Schnedlitz, a souligné dans son discours de bienvenue que seule la résistance des citoyens aurait stoppé la vaccination obligatoire générale en Autriche. Malheureusement, les hommes politiques du gouvernement ne représentent pas actuellement les intérêts des Autrichiens. Les options d'action démocratiques des citoyens seraient progressivement restreintes. La transformation vers une société de surveillance totalitaire devient évidente. Les prochaines élections porteront donc sur une décision importante en matière d’orientation et de cohésion. Le discours du politicien du FPÖ était mesuré et très sérieux, tout comme les visages présents dans la salle.
« Tout est retiré aux gens. »
L'éminente politicienne européenne Christine Anderson (AfD) a confirmé les attaques contre la souveraineté nationale, les droits fondamentaux et les libertés individuelles ainsi que contre l'identité et la propriété, la prospérité et même l'alimentation. À leurs yeux, l’Union européenne est antidémocratique. Il est parfois utilisé par des hommes politiques nationaux pour faire valoir certains intérêts dans leur propre pays. En transformant l’OMS d’un organe consultatif en un organisme gouvernemental, la responsabilité des mesures sanitaires ordonnées est transférée de la politique nationale vers un organe qui n’a pas à lutter pour une légitimité démocratique. Dans les deux cas, les processus démocratiques sont délibérément compromis. Cela conduit à un vague manque de clarté quant à la responsabilité politique. Malgré les assurances constantes, les gens ne veulent pas de transparence.
"Effet discutable, effets secondaires et effets à long terme inconnus."
Professeur d'université Dr. Hannes Strasser , qui est également conseiller de chambre de l'Association médicale tyrolienne, a rappelé le déroulement des années Corona. L'isolement des personnes est l'une des méthodes de « torture blanche ». Bien que ce traitement ne laisse aucune trace visible, il endommage la volonté de vivre et le psychisme. C’est exactement ce qui s’est passé, notamment avec les personnes âgées vivant dans les foyers. Le « scénario de la pandémie » a été pratiqué au préalable dans les jeux de simulation de manière marketing et orientée projet. Le gouvernement autrichien aurait également conclu au préalable un contrat de vaccination avec l’ordre des médecins.
Pour Strasser, c'est clair : « La politique et l'industrie pharmaceutique ont conclu des accords pour l'achat du vaccin. » Il a évoqué le contenu du contrat divulgué entre la Commission européenne et BioNTech/Pfizer. « Tous les États de l’UE y ont participé. La Commission européenne et les gouvernements des États membres de l'UE ont signé le contrat et les commandes de vaccins. Les responsables politiques savaient et acceptaient que l’efficacité et la sécurité des vaccins à ARNm n’étaient pas connues. Personne non plus ne connaissait les effets à long terme. » Pour le médecin qui travaille dans son propre cabinet, les campagnes de vaccination constituent la plus grande expérience humaine de l'histoire. « Fou ou impitoyable ? On ne sait pas ce qui arrive à ceux qui sont vaccinés ! Il y a déjà eu 17 millions de décès dus au vaccin dans le monde.
Les informations factuelles fournies par les intervenants ont été accueillies avec un grand intérêt par les participants. Les applaudissements soutenus ont donné une idée de l'importance pour beaucoup de pouvoir enfin recevoir du vin pur et de pouvoir situer leurs propres expériences dans un contexte plus large. Le troisième livre du duo d’auteurs Hauser et Strasser sera publié prochainement sous le titre « La normalité volée. Arrêtez la dictature de l'OMS – sauvez le système de santé. » (ISBN 978-3-903236-75-2) Plus d'informations sur Gerald Hauser – Membre du Conseil national (gerald-hauser.at)
Utilisez simplement le formulaire Contactez-moi pour me faire savoir combien d'argent vous souhaitez parier que vous avez raison. Je signerai ensuite un contrat écrit avec le plus offrant sérieux liant les deux parties à la transaction avant de divulguer publiquement les données.
Si vous êtes sûr que le résultat est faux sans même voir les données, alors il s'agit d'une opportunité pratiquement sans risque de gagner beaucoup d'argent très rapidement.
Je perds si vous pouvez prouver que les conclusions d'une augmentation statistiquement significative de la mortalité toutes causes confondues étaient fausses (par exemple, après avoir pris en compte les biais, il n'y avait aucun signal) ou que les données ont été falsifiées pour obtenir le résultat d'une augmentation statistiquement significative de toutes les causes. provoquer la mortalité. Je vais même vous donner accès à l'historique d'Airtable qui exposerait toute manipulation de données.
Une fois que nous aurons mis en place un contrat écrit, je vous fournirai les données d'enregistrement de toutes les réponses à l'enquête. Vous utilisez ensuite simplement des techniques statistiques pour prouver que les données, après ajustement pour tenir compte des biais, ne contiennent en réalité aucun signal statistiquement significatif indiquant que le vaccin tue des personnes. Ensuite, vous gagnez.
Si nous ne sommes pas d’accord sur votre analyse, un panel d’épidémiologistes, avec un indice h de 50 ou plus, décidera qui gagnera. Les épidémiologistes seront sélectionnés au hasard par un cabinet de conseil mutuellement convenu. Le pot est divisé en fonction de la répartition des voix.
Si vous êtes sûr que le vaccin est sûr et qu’il n’augmente pas la mortalité toutes causes confondues, alors il s’agit d’une offre pratiquement sans risque pour vous. C'est de l'argent facile.
Accord ou pas d’accord ?
Les données sources Voici le tableau croisé dynamique d’Airtable :
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Je publierai bientôt l’ensemble de données complet.
Le calcul
Les chances sont définies comme prévu : inattendu.
Les valeurs de la matrice de Fisher ont été extraites du tableau : 22 49 73 362 qui totalisent 506 décès
L’existence de virus n’a jamais été prouvée : toujours la plus grande histoire réprimée de notre époqu
Par Jon Rappoport Sous-pile de Jon Rappoport 1 novembre 2023
Dès que j’ai commencé à écrire sur le COVID au printemps 2020, j’ai fait valoir que l’existence du SRAS-CoV-2 n’avait pas été prouvée.
J'ai ensuite rencontré Tom Cowan, Andrew Kaufman et Christine Massey. J'ai pris connaissance du travail de Stefan Lanka. Ils lançaient un vaste défi sur les virus en général :
Pas d’isolement réel ; aucune preuve d'existence ; au lieu de cela, un défilé de fausses affirmations et d’obscurcissements provenant de sources officielles.
Quelques années plus tard… le nombre de chercheurs sérieux arrivant à la même conclusion a considérablement augmenté. (Vous pouvez trouver des liens vers certains de ces chercheurs sur la page Substack de Christine Massey)
Le nouveau travail n’est pas seulement une répétition du défi initial lancé à l’autorité officielle. Il attaque les faux virus sous plusieurs angles. Les chocs s’enchaînent.
Cette histoire ne va pas disparaître. C’est en train de construire.
Cela me rappelle l’histoire du vaccin. Lorsque j’ai commencé à écrire sur les vaccins dangereux et inefficaces, en 1987, des dizaines d’écrivains, présents et passés, avaient abordé un sujet similaire, remontant à plusieurs décennies. Mais ce n’était rien comparé à…
C’est la force de cette histoire aujourd’hui, en 2023, après la catastrophe des vaccins contre la COVID.
C’est ce qui, je crois, va arriver à l’histoire du faux virus – contre toute attente encore. Je dis « plus longtemps », car les preuves que les virus ne sont pas réels selon aucune norme scientifique saperont et feront exploser le centre même du cartel médical, qui repose uniquement sur la théorie des germes.
La théorie des germes est du marketing. La commercialisation de médicaments (toxiques) et de vaccins contre des milliers de maladies dites distinctes, chacune étant soi-disant causée par un germe unique.
Où ces virus ont-ils été découverts ? Dans des laboratoires exclusifs. Aucun civil n’est autorisé. Portes verrouillées. Seuls les experts pouvaient comprendre les détails de leur propre isolement des minuscules particules.
Les particules dont l'existence avait été fantasmée.
Nous sommes en fait face à une histoire de mythe magique. Des chevaliers-explorateurs (médecins, chercheurs) sont à la recherche d'un objet dragon invisible qui paralyse la population. Ces héros finissent par le coincer, l'isoler et se mettre au travail pour le décimer et toutes ses variantes.
Mais la véritable fin de cette histoire est maintenant fournie par le nombre croissant de chercheurs indépendants, qui prouvent que l'objet dragon invisible n'a jamais été acculé, identifié ou isolé.
Au lieu de cela, les soi-disant chevaliers explorateurs ont inventé, inventé, fabriqué l’idée de l’objet pour commencer.
C'est la magie. Un tour de passe-passe. C'est le mythe. Des procédures de laboratoire secrètes qui, une fois révélées, s’avèrent présumer de ce qu’elles tentent de prouver. Également connu sous le nom de raisonnement circulaire.
Toute l’histoire s’est décollée.
Pour l’instant, je vais conclure avec cette analogie. Un groupe de chercheurs d’élite affirme qu’à 49 000 milliards d’années-lumière de la Terre se trouve une étoile flamboyante de la taille de la Voie lactée. Au centre de cette étoile, enfoui dans une voûte surnaturelle, se trouve un tout petit homme violet aux orteils verts et aux cheveux orange qui cause tous les problèmes et toutes les destructions circulant dans tout l'univers. Il est là. Il a été « isolé ».
Compte tenu de cette histoire incroyable, vous attendriez-vous, vous attendriez-vous vraiment à ce qu'il puisse y avoir N'IMPORTE QUEL type de test qui prouverait l'existence de ce petit homme ?
UN test authentique pourrait-il être produit ?
Alors, dans le cas du conte de fées sur les virus sauvages, sommes-nous en présence de preuves d’existence et d’isolement qu’il faut améliorer pour pouvoir les accepter ?
Ou bien sommes-nous plutôt en train de regarder le petit homme violet, dont il n’existe aucune preuve possible de l’existence ?
Parce que l’histoire est tellement absurdement scandaleuse.
Je pense que nous avons affaire au petit homme violet. Et ceci pourrait être le prochain chapitre de la révélation sans virus :
La concoction originale de virus était si folle que chaque prétendue preuve sera circulaire, stupide et futile.
La poussière (appelée 'virus') ne s'est JAMAIS 'échappée' d'un laboratoire mais reconnue et employée par d'autres aux fins génocidiques' du monde entier. Cette poussière (non-reconnue par le corps médical du monde entier) est - depuis 3 ans ! - appelé 'virus' !! Or, il n'existe AUCUNE poussière mortelle (sauf les poussières radioactives, ce qui n'est pas le cas). Donc, le monde fait avec ce jeu de mot combinant une poussière (non-vivant) avec... un microbe (vivant) !! Un microbe (combattu avec des antibiotique) est une bactérie (qui change donc de nom) lorsqu'elle est porteuse de maladie. Mais... est sorti un... 'vaccin anti-poussières' !! (bombe Pliz ?) et 'tout le monde' est censé y croire !!
Or, cette poussière (nano, pour être précis) n'est PAS dans l'air mais UNIQUEMENT servi en flacons injectables de 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène !! (découverte de la docteure Astrid Stuckelberger et aussi de Carrie Madej) en plus des spikes ! des hydres ! (- Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle) ! + diverses maladies animales et une quarantaine (source Naturalnews) de venins de serpents différents !
Des comités de médecins appellent à une urgence sanitaire mondiale commune (même si le réchauffement climatique sauve des vies)
Par Jo Nova November 1st, 2023
Fusionnons le climat et la santé en une quasi-religion gouvernementale géante. Qu'est ce qui pourrait aller mal ? L’industrie médicale s’est lancée samedi dans la politique et la sorcellerie médicale, appelant à fusionner la santé humaine et planétaire dans une seule urgence universelle.
Et ce, même si les humains vivent aujourd’hui plus longtemps que jamais, mangent plus de nourriture que jamais et sont moins susceptibles de mourir dans les tempêtes, les inondations et les cyclones.
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Catastrophes mondiales qui font chaque année un bilan mortel
Les catastrophes climatiques sont moins coûteuses et moins meurtrières | Graphique — Taux de mortalité mondial dû aux catastrophes du siècle dernier, par habitant. Notre monde dans les données. Hannah Ritchie et Max Roser.
Et ce, malgré un grand nombre de documents sur 74 millions de personnes montrant que 6 à 20 fois plus de personnes meurent par temps froid que par temps chaud. Plutôt que d’être dangereux, le réchauffement climatique sauve 160 000 vies par an. Partout dans le monde, les gens meurent plus en hiver qu’en été, année après année. Même dans les villes chaudes comme Brisbane (27° 28′ 00″ sud, 153° 02′ 00″ est), ce sont les semaines froides qui tuent, pas les semaines chaudes. La température ambiante est liée à la mortalité, et il n’existe aucune vague de chaleur sur Terre qui ne puisse être résolue par davantage de climatisation. Donnez aux pauvres et aux opprimés plus de combustibles fossiles, pas moins !
La Cour suprême de New York décide que les employés licenciés pour avoir refusé les vaccins COVID doivent être réintégrés avec des arriérés de salaire Brighton.TV
31/10/2023 Par Cassie B.
Une Cour suprême de l’État de New York a reconnu que le fait d’être vacciné contre le COVID-19 n’empêche pas les gens de transmettre le virus et a ordonné que tous les employés de la ville de New York qui ont perdu leur emploi pour ne pas s’être conformés aux obligations en matière de vaccination soient réintégrés avec des arriérés de salaire.
La ville de New York a licencié environ 1 700 employés qui avaient enfreint le mandat de vaccination contre le COVID-19 mis en place par l'ancien maire Bill de Blasio. L’actuel maire de la ville, Eric Adams, a déclaré par la suite que son administration ne serait pas disposée à réembaucher les travailleurs licenciés parce qu’ils n’avaient pas reçu le vaccin. Cependant, la Cour suprême de l'État a donné raison à ceux qui ont perdu leur emploi, dont beaucoup étaient pompiers et policiers.
Le mandat des travailleurs municipaux a été annoncé par de Blasio à l’été 2021 et est entré en vigueur en septembre. Ceux qui ne s’y conformaient pas risquaient de perdre leur emploi. Les syndicats des pompiers et de la police de la ville de New York se sont opposés à ce mandat au motif qu'il empiétait sur leurs choix personnels en matière de santé.
Plusieurs décisions similaires ont récemment fait la une des journaux. Le mois dernier, un juge de New York a déclaré que 10 employés du ministère de l'Éducation de la ville de New York qui avaient été licenciés pour avoir refusé de se faire vacciner devaient être réintégrés et se voir rembourser leur salaire. Dans cette affaire, le juge de la Cour suprême de l’État, Ralph J. Porzio, a soutenu que la ville avait agi illégalement en refusant les demandes d’accommodements religieux des employés. Les employés qui ont intenté une action en justice à ce sujet comprenaient des enseignants, des directeurs et d'autres éducateurs.
Dans son avis de 22 pages, Porzio a souligné : « Cette Cour ne voit aucune raison rationnelle de ne pas autoriser des enseignants non vaccinés parmi une population admise composée principalement d’élèves non vaccinés. »
Le mandat était en vigueur d’octobre 2021 à février 2023, période pendant laquelle des milliers d’enseignants et d’autres employés du ministère de l’Éducation ont été licenciés parce qu’ils n’étaient pas disposés à se faire vacciner.
En mai, il a été annoncé que le Département de la Santé de l’État de New York abandonnerait cet automne ses exigences en matière de vaccins pour les travailleurs de la santé après une contestation judiciaire de ces mandats. Le New York Post a rapporté qu'environ 30 000 travailleurs de la santé ont perdu leur emploi en raison de leur refus de se conformer aux obligations vaccinales.
Dans un communiqué, le département a noté : « En raison de l’évolution de la pandémie de COVID-19 et de l’évolution des recommandations en matière de vaccins, le ministère de la Santé de l’État de New York a entamé le processus d’abrogation de l’exigence en matière de vaccin contre le COVID-19 pour les travailleurs des établissements de santé réglementés. .»
Trop peu, trop tard
Pour ceux qui ont eu le courage de remettre en question la sécurité et l’efficacité de ces vaccins, il pourrait y avoir une certaine justification en entendant la Cour suprême de l’État de New York proclamer que « être vacciné n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le COVID-19 ». Cependant, ces mesures ne feront rien pour réparer les dommages causés à ceux qui ont accepté à contrecœur l'obligation de vaccination parce qu'ils ne pouvaient pas se permettre de perdre leur emploi et ont fini par subir des blessures causées par la vaccination, ni ne ramèneront ceux qui ont perdu la vie à la vie. effets secondaires du vaccin.
De nombreuses personnes qui sont restées inébranlables dans leur refus de recevoir ces vaccins douteux et précipités ont également subi une atteinte à leur réputation, et de nombreuses relations ont été rompues lorsque ceux qui n'ont pas reçu le vaccin ont été accusés de mettre les autres en danger, même s'il est désormais tout à fait clair que le le vaccin n’empêche pas la propagation du virus.
Même si recevoir des arriérés de salaire peut être un geste agréable pour ceux qui ont été touchés, cela ne dissipera pas l’angoisse qu’ils ont ressentie suite à leur décision de ne pas se conformer aux mandats de vaccination et à leur perte d’emploi qui a suivi et à l’impact que cela a eu sur leurs familles.
Les exportations de pétrole de la Russie augmentent malgré son engagement à réduire l'offre
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 01 NOV 2023 - 10H00 Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com
Les exportations de pétrole brut de la Russie par voie maritime dépassent depuis des semaines les réductions d'exportations ciblées par le pays dans le cadre de l'accord OPEP+, les expéditions observées la semaine la plus récente atteignant 360 000 barils par jour (b/j) au-dessus de l'objectif, selon les données de suivi des pétroliers surveillées par Bloomberg. montré mardi. Malgré une légère baisse, les volumes moyens sur quatre semaines l'ont dépassé de près de 200 000 barils par jour au cours de la période la plus récente.
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Au cours de la semaine précédant le 29 octobre, la Russie a expédié environ 3,64 millions de b/j de pétrole brut depuis ses terminaux d'exportation pétrolière, soit une hausse de 110 000 par rapport à la semaine précédente, selon les données rapportées par Julian Lee de Bloomberg.
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L'augmentation des expéditions en provenance du port de Novorossiysk, dans la mer Noire, a contribué pour l'essentiel à l'augmentation des flux de brut en provenance de Russie au cours de la dernière semaine d'octobre et n'a été que partiellement compensée par la diminution du nombre de pétroliers qui ont quitté les ports russes de la mer Baltique. et sur le Pacifique.
Les expéditions moyennes de pétrole brut en provenance de Russie sur quatre semaines ont été légèrement inférieures, à 3,48 millions de b/j pour la semaine précédant le 29 octobre, soit une baisse d'environ 20 000 b/j par rapport à la moyenne sur quatre semaines précédant le 22 octobre.
Même ce volume d'exportation légèrement inférieur de 3,48 millions de b/j pour la moyenne des quatre semaines précédant le 29 octobre était de près de 200 000 b/j supérieur aux exportations que la Russie devrait idéalement respecter pour tenir son engagement de réduire ses exportations de 300 000 b/j, note Bloomberg.
La Russie n’a jamais clairement indiqué quelles exportations elle réduisait ni comment elle calculait ces volumes.
L’engagement de la Russie à réduire ses exportations de pétrole de 300 000 b/j inclut les produits pétroliers, a déclaré le vice-Premier ministre russe Alexander Novak au début du mois dans des remarques qui ont semé davantage de confusion sur la quantité de pétrole que la Russie retient réellement du marché.
La Russie s'est engagée à réduire ses exportations de pétrole de 300 000 b/j jusqu'à fin 2023, en signe de solidarité avec son partenaire de l'OPEP+, l'Arabie saoudite, qui réduit volontairement sa production de pétrole de 1 million de b/j jusqu'en 2023.
Je ne me souvenais pas que le vol Tokyo-Narita-Papeete-Faa’a était aussi long, 13 heures de vol ! Presque aussi long que Madrid-Tokyo en passant au dessus de la Sibérie. C’est un vieux souvenir puisque le survol de l’espace aérien russe est interdit aux avions occidentaux, cela fait partie des sanctions de l’Occident global contre la Russie qui a envahi l’Ukraine pour protéger les ressortissants de ce pays ayant la mauvaise habitude de parler le russe et qui étaient sans cesse bombardés depuis 2014. Bref, l’objet de ce court article n’est pas de faire encore des commentaires désobligeants sur l’un ou l’autre pays, encore que j’ai très envie de ne pas me priver de ce plaisir, mais de prendre conscience que l’autre « mare nostrum » qu’est l’Océan Pacifique est aussi le deuxième territoire maritime américain après l’Atlantique et il faut l’avouer la mer intérieure que constitue la Méditerranée.
Donc, pour se rendre à Tokyo depuis Tahiti l’aéronef survole les Tuamotu et c’est logique puisque la route est à peu près celle empruntée pour se rendre dans l’archipel des Marquises. Et puisque je viens de nommer les Îles Marquises celles-çi se trouvent à 8 degrés sud et si on se rend sur le site « Google-Earth » en pointant le centre de l’écran sur Niku-Hiva tout ce que l’on voit autour de cet archipel n’est que de l’eau depuis le Chili jusqu’à l’Australie et du Japon aux confins de l’Antarctique. Il n’est donc pas surprenant que le vol Tahiti-Tokyo soit aussi long puisque l’étendue d’eau visible a un diamètre de l’ordre de 18000 km et alors il faut au moins 13 heures pour en parcourir la moitié.Le premier signe de vie terrestre est un atoll des Tuamotu :
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Quelques longues heures plus tard on survole un atoll des Marshall. Il s’agit d’une dépendance américaine qui servit de base d’essais nucléaires monstrueux. Des centaines de pêcheurs paisibles furent déplacés autoritairement pour que l’armée yankee puisse expérimenter ses armes de destruction massive :
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En s’acheminant vers le Japon l’avion ne pas pas très loin des Îles Mariannes où se trouve une gigantesque installation militaire américaine. Cet archipel occupé par le Japon avant la seconde guerre mondial est maintenant américain et le restera en raison de sa position stratégique. Et en ce mercredi premier novembre je fus dérangé alors que je commençais à tranquillement m’occuper du petit jardin d’agrément de mon fils un gros hélicoptère américain qu’on appelle une « banane » ma fait bourdonner les oreilles …
Voici une introduction à l’article qui sera mis en ligne sur ce blog samedi 4 novembre 2023 et je laisse les lecteurs deviner quel sujet sera abordé. Une étude « sérieuse » a révélé que le nombre de naissances en Allemagne était étrangement corrélé à la consommation de margarine. La même corrélation a été décrite pour les cinquante États américains contigus. La margarine est une succédanée du beurre. Il s’agit d’une émulsion de matières grasses d’origine variée dans de l’eau dont la composition peut comprendre de 10 à 18 % d’eau. Les matières grasses utilisées sont d’origine végétale mais peuvent provenir d’animaux. Afin de stabiliser l’émulsion. Afin d’obtenir une matière solide les graisses et huiles sont partiellement hydrogénées par un procédé chimique. Le principe de l’émulsion aqueuse des graisses végétales est d’origine française. Ce sont en effet les chimistes Chevreul en 1813 puis Mouriès en 1869 qui mirent au point cette technique. Il fallut attendre les travaux de Grignard pour que l’hydrogénation des acides gras polyinsaturés catalysée par du nickel favorise l’essor de la margarine solide à la température ambiante et enfin l’amélioration de ce procédé industriel avec l’avènement de la catalyse avec des organomagnésiens mise au point à nouveau par Grignard, un autre chimiste français. Malgré ce succès les entreprises françaises ne réussirent pas à exploiter ce nouveau filon que les Allemands s’empressèrent de rendre célèbre.
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Il est enfin intéressant de noter que la crise de 1929 accéléra la promotion mondiale de la margarine à tel point que les pénuries de beurre conduisirent au sommet de l’aspect artificiel de cette matière grasse puisque les Allemands mirent au point une margarine totalement artificielle puisqu’elle était fabriquée avec du charbon ! Le procédé consistait à oxyder la paraffine synthétique provenant du charbon et de fractionner par distillation les fractions d’acides gras de 9 à 16 atomes de carbone et de les estérifier avec du glycérol lui-même issue de propylène produit à partir de ce même charbon. Et les Allemands, ingérant ce produit totalement synthétique ne s’en portaient pas plus mal … Une telle approche va-t-elle retrouver un intérêt avec le bannissement de l’élevage bovin, gros producteur de méthane qui est déclaré comme un important perturbateur du climat ? Je laisse aux lecteurs du présent article de ce blog le soin se se forger une opinion raisonnée. Pour ma part je préférerai toujours le lait entier qui contient un peu de vitamine D et le beurre d’origine laitière sans oublier, mais est-il nécessaire de le mentionner, le fromage bien français. On ne remplacera jamais un bon beurre et un excellent Époisse ou un Saint-Marcellin affinés dans des caves adéquates.
Pourquoi ce nombre de naissances serait-il corrélé à la consommation de margarine, nul ne le sait mais déduire une relation de cause à effet paraît pour le moins fortuite voire fallacieuse. Il existe cependant une possible interférence entre des margarines fabriquées avec les corps gras d’origine végétale, huile d’olive, de colza, de soja, de maïs, coton, … puisqu’ils contiennent des quantités certes faibles mais non nulles de phyto-stérols (illustration ci-dessous) pouvant interférer avec la synthèse par les ovaires d’estradiol ou de progestérone.
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Je laisse le soin aux spécialistes d’en décider. Tout ce qui est cité dans cet article peut se retrouver sur la toile mais la corrélation dont il est fait mention dans cet article introduit le lecteur dans le vaste domaine des relations de cause à effet improbables, voire fallacieuses. L’article suivant sur ce blog vous permettra de décider du caractère improbable ou totalement fallacieux d’une corrélation qui préoccupe la presque totalité des êtres humains aujourd’hui depuis les années 1970 lorsqu’elle fut découverte.
Un dirigeant de BP décrit l’industrie éolienne offshore américaine comme « fondamentalement brisée »
PAR TYLER DURDEN JEUDI 02 NOVEMBRE 2023 - 11H30
Orsted n’est pas le seul à se rendre compte que la révolution verte est vraiment rouge foncé en termes de valeur actionnariale.
S'exprimant mercredi lors du sommet du FT Energy Transition, un responsable des énergies propres de la supermajor BP a déclaré que l'industrie éolienne offshore américaine était « fondamentalement brisée » et avait besoin d'une réinitialisation. Mais l'environnement réglementaire et d'autorisation pour l'industrie peut être amélioré, a déclaré Anja-Isabel Dotzenrath, responsable du gaz et de l'énergie à faible émission de carbone chez BP, lors de la conférence, rapportée par Reuters.
Actuellement, l’environnement réglementaire américain est difficile pour les promoteurs en raison du manque de mécanismes d’ajustement à l’inflation, des problèmes d’autorisation et du décalage entre la signature du contrat d’achat d’électricité et la construction des projets, selon le patron de l’énergie verte de BP.
BP lui-même a enregistré une charge de dépréciation avant impôts de 540 millions de dollars au troisième trimestre liée aux projets éoliens offshore aux États-Unis.
La demande de BP et Equinor visant à renégocier les accords d’achat d’électricité associés aux parcs éoliens Empire Wind 1 et 2 et Beacon Wind 1 au large des côtes de New York a été rejetée le mois dernier.
"Equinor et BP évaluent l'impact de cette décision sur ces projets et les futurs plans de développement", a déclaré BP.
La société norvégienne Equinor, partenaire de BP dans ces projets, a reconnu une dépréciation de 300 millions de dollars sur ses projets éoliens offshore sur la côte nord-est des États-Unis suite au rejet de requêtes liées aux accords d'enlèvement.
« Les projets éoliens offshore sur la côte nord-est des États-Unis sont affectés négativement par l'inflation des coûts et les contraintes de la chaîne d'approvisionnement. La Commission de la fonction publique de New York a rejeté les demandes d'augmentation de prix d'Equinor et d'autres sociétés et Equinor évalue les implications pour ses projets », a déclaré Equinor dans la publication de ses résultats du troisième trimestre la semaine dernière.
Viticulture et leucémies infantiles : une étude un peu « survendue » et instrumentalisée
2 Novembre 2023
Deux enseignements :
1. Rassurant : on n'a pas trouvé de preuve d'association entre la proximité des vignes et la leucémie aiguë infantile ;
2. En dernière analyse également rassurant mais anxiogène pour les hypocondriaques et « businessogène » pour les activistes antipesticides : on a trouvé « une légère augmentation du risque de [leucémie aiguë lymphoblastique] chez les enfants vivant dans des zones à forte densité de viticulture ».
Qu'est-ce que cela donne dans l'article scientifique, le communiqué de presse de l'INSERM, les médias ?
Ce serait une « vaste étude de l'INSERM », selon « La densité de vignes augmente le risque de leucémie chez l’enfant », d'un Rue89Bordeaux que l'on sent un peu dépité, la Nouvelle Aquitaine ne portant pas le bonnet d'âne. C'est en tout cas un vaste travail.
L'étude, c'est « Association between Residential Proximity to Viticultural Areas and Childhood Acute Leukemia Risk in Mainland France: GEOCAP Case-Control Study, 2006–2013 » (association entre la résidence proche des zones viticoles et le risque de leucémie aiguë chez l'enfant en France métropolitaine : étude cas-témoins GEOCAP, 2006-2013) de Matthieu Mancini, Denis Hémon, Perrine de Crouy-Chanel, Laurence Guldner, Laure Faure, Jacqueline Clavel et Stéphanie Goujon. L'article a été publié dans Environmental Health Perspectives.
L'équipe relève majoritairement du Centre de Recherche en Épidémiologie et Statistiques (CRESS) et comprend deux membres de Santé Publique France.
Le résumé de l'étude
Voici la meilleure source, si on exclut l'étude elle-même.
L'exposition aux pesticides est soupçonnée d'être un facteur de risque pour plusieurs cancers infantiles, en particulier la leucémie aiguë (LA). La plupart des preuves sont fondées sur l'utilisation domestique de pesticides déclarée par les parents, mais certaines études ont également abordé les associations avec l'utilisation agricole de pesticides à proximité du lieu de résidence.
Objectifs de l'étude :
L'objectif de l'étude était d'évaluer le risque de LA chez les enfants vivant à proximité de vignes, une culture soumise à une utilisation intensive de pesticides.
Méthodes :
Les données ont été tirées de l'étude GEOCAP, basée sur un registre national. Nous avons inclus tous les cas de LA de moins de 15 ans diagnostiqués en 2006-2013 (n = 3.711) et 40.196 témoins contemporains représentatifs de la population infantile en France. La proximité des vignes (probabilité de présence à 200, 500 et 1.000 mètres) et la densité de la viticulture (surface consacrée à la vigne dans un rayon de 1.000 mètres) ont été évaluées autour des adresses géocodées dans un système d'information géographique combinant trois cartes nationales d'occupation des sols. Des modèles de régression logistique ont été utilisés pour estimer les odds ratios (OR) pour toutes les LA et pour les sous-types lymphoblastiques (LAL) et myéloïdes (LAM). L'hétérogénéité entre les régions a été étudiée par des analyses stratifiées. Des analyses de sensibilité ont été effectuées pour tenir compte, en particulier, de l'incertitude du géocodage, de la densité des autres cultures et des facteurs de confusion démographiques et environnementaux potentiels.
Résultats :
Au total, environ 10 % des témoins vivaient à moins d'un kilomètre de vignes. Bien qu'aucune preuve d'association entre la proximité des vignes et la LA n'ait été trouvée, la densité de la viticulture était positivement associée à la LAL [OR =1,05 (1,00-1,09) pour une augmentation de 10 % de la densité], avec une hétérogénéité statistiquement significative entre les régions. Aucune association avec la LAM n'a été observée. Les résultats sont restés stables dans toutes les analyses de sensibilité.
Conclusion :
Nous avons mis en évidence une légère augmentation du risque de LAL chez les enfants vivant dans des zones à forte densité de viticulture. Ce résultat confirme l'hypothèse selon laquelle l'exposition environnementale aux pesticides peut être associée à la LAL chez l'enfant. https://doi.org/10.1289/EHP12634 »
Est-ce bien honnête ?
Nous posons cette question sur le mode provocateur à dessein.
Quelle est, en effet, l'information principale ? Ce n'est pas la « légère augmentation du risque de [leucémie aiguë lymphoblastique] », mais le fait « qu'aucune preuve d'association entre la proximité des vignes et la [leucémie aiguë] n'ait été trouvée ».
On peut sans doute comprendre la propension des chercheurs à communiquer sur un « résultat positif » – un effet – plutôt que sur un « résultat négatif » – une absence d'effet –, ainsi que l'appétence des revues scientifiques pour cette démarche.
Mais nous sommes dans un monde où des résultats de ce genre ne sont plus confinés dans un monde scientifique habitué, majoritairement, à faire la part des choses. Ils sont instrumentalisés, souvent déformés, et peuvent être diffusés de manière démultipliée par les médias à la recherche du sensationnalisme, par les entités qui font commerce de la peur et de la contestation sociétale, et par les acteurs des réseaux sociaux. On ne peut dès lors que regretter ce qui relève de la faute éthique.
Les auteurs écrivent dans leur texte :
« Dans l'ensemble, il n'y a aucune preuve d'association entre l'indicateur de proximité des vignes et la LAL ou la LAM (tableau 2). Les OR étaient proches de un dans toutes les catégories sans hétérogénéité statistiquement significative. »
Cette simple et explicite phrase n'a pas trouvé sa place dans le résumé. On y a privilégié une proposition concessive (« Bien qu'aucune preuve d'association entre la proximité des vignes et la LA n'ait été trouvée... »).
Qu'a-t-on vraiment trouvé ?
Les chercheurs se sont livrés à un travail de triturage des données, exercice normal pour une étude essentiellement exploratoire, se fondant de surcroît sur des données de géolocalisation quelque peu imprécises.
C'est le tableau 2 qui résume le mieux ce qui a été trouvé.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que, s'il s'agit de tirer des enseignements, ce n'est pas très convaincant. Les odds ratios ne sont pas très élevés – pas de quoi faire sauter des épidémiologistes sur une chaise comme des cabris. En outre, les intervalles de confiance englobent 1 (ce qui correspond à des résultats statistiquement non significatif).
On peut même ironiser : les chercheurs ont eu la chance de trouver un miraculeux OR de 1,05 avec un intervalle de confiance de 1,00-1,09.
Bref, comme cela a été dit par ailleurs, en réponse à des critiques, il s'agit – au mieux à notre sens – à un « signal faible ».
En fait, nous somme plutôt perplexe devant une contradiction apparente : le risque de leucémies infantiles de tous types n'est pas augmenté par la présence de vignes – par rapport à l'absence –, mais le risque du type majoritaire (lymphoblastique, 80 %) augmente avec la densité des vignes.
Pour d'autres interrogations, on pourra se rendre sur le compte X de Bio_Saiyan.
Les auteurs ont aussi procédé à une analyse par région administrative. Ils écrivent :
« L'association entre la densité de la viticulture et le risque de LAL est apparue plus marquée dans 5 des 12 régions (Centre-Val-de-Loire, Grand-Est, Pays de la Loire, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d'Azur-Corse) ; aucune association n'a été trouvée pour les autres régions, en particulier la Nouvelle-Aquitaine, où plus de 20 % des témoins résidaient à proximité de la viticulture. Cela peut être dû à l'hétérogénéité de la description des zones viticoles dans les zones tampons de nos indicateurs ou à l'hétérogénéité régionale de l'utilisation ou des pratiques en matière de pesticides. Ces hypothèses méritent d'être approfondies. »
Le tableau 5 (reproduit en partie ci-dessous) montre en effet des résultats quelque peu surprenants. La Nouvelle-Aquitaine, grande utilisatrice de produits phytosanitaires compte tenu de ses conditions climatiques, « s'en sort plutôt bien ». Et Auvergne-Rhone-Alpes peut passer pour un outlier, une valeur aberrante. Au total, on peut formuler une autre hypothèse explicative : le hasard.
Ces résultats, pris dans leur ensemble, ne plaident pas vraiment pour la conclusion générale des auteurs :
« En conclusion, nous avons mis en évidence une légère augmentation du risque de LAL infantile dans les zones à forte densité de viticulture, avec une certaine hétérogénéité entre les régions. Cette constatation renforce l'hypothèse selon laquelle les pesticides utilisés en viticulture pourraient être associés à la LAL infantile, une hypothèse que nous étudierons plus en détail en utilisant les bases de données disponibles sur les utilisations agricoles des pesticides. »
Pourrait-il y avoir d'autres hypothèses ? Patience...
Notons un autre résultat qui, bien qu'affligé par un intervalle de confiance peu sympathique, suggère que les « méchants » pesticides ne sont peut-être pas si méchants que ça, s'agissant des leucémies aiguës infantiles : la référence est les zones urbaines de moins de 100.000 habitants, sans cultures dans un rayon d'un kilomètre. Lorsqu'il y a au moins une parcelle cultivée, mais pas en vigne, dans ce rayon – et a priori emploi de pesticides agricoles –, l'OR tombe à 0,84 (0.62-1.14) ou 0,83 (0,60-1.14), selon qu'il y a ou non une culture à moins de 500 mètres.
Et lorsque l'agglomération a une population supérieure à 100.000 habitants, l'OR tombe aussi à 0,91 (0,73-1,13).
Procédons à une extrapolation certes hasardeuse, car l'allégation devrait être prouvée : cette étude, déjà globalement rassurante pour les riverains de vignes, l'est encore plus pour les populations rurales, sachant que la vigne ne couvre que 3 % environ de la surface agricole utile, mais utilise 20 % des produits phytopharmaceutiques, et 80 % des fongicides, par des traitements en hauteur et à l'horizontale plutôt qu'au ras du sol ou de la culture et vers le bas.
Ajoutons que l'incidence de la leucémie aiguë est de 1,5 sur 100.000 enfants. Selon l'étude, il y a environ 500 nouveaux cas par an.
Un communiqué de presse de l'INSERM pédagogique
Le communiqué de presse, « Une étude de l’Inserm s’intéresse au lien entre le risque de leucémie pédiatrique et le fait d’habiter à proximité de vignes », est pédagogique, équilibré et aussi factuel que possible :
« L’analyse de ces données met en lumière deux résultats principaux. En premier lieu, la présence de vignes à moins de 1000 mètres de l’adresse de résidence n’était pas plus fréquente chez les cas (9,3%) que chez les témoins (10%). En d’autres termes, d’après ces résultats, la simple présence de vignes à moins de 1000 m de l’adresse de résidence ne semble pas en soi être un facteur de risque de leucémie.
En revanche, les scientifiques ont observé une association entre le risque de développer une leucémie de type "lymphoblastique" et l’étendue de la surface couverte par les vignes, dans ce périmètre de 1000 mètres autour de l’adresse des enfants. Ce risque augmente de façon modérée en fonction de la surface couverte par les vignes : en moyenne pour chaque augmentation de 10 % de la part couverte par les vignes dans le périmètre de 1000 mètres, le risque de leucémie lymphoblastique augmente de près de 10%. »
Et les médias ?
Le bon côtoie sans surprise le moins bon, bien plus nombreux. Les titres anxiogènes qui font un lien entre vignes et leucémies – zappant donc l'information principale et oubliant la distinction entre LA et LAL – abondent. L'information principale est généralement donnée, noyée dans le texte.
Citons pour le moins bon Libération dont on peut penser qu'il a sciemment surfé à la limite de la désinformation comme en témoigne le conditionnel dans son titre : « Leucémies chez l’enfant : vivre près des vignes comporterait des risques ».
Question médiocrité, tirons notre chapeau à Allo Docteurs – en principe fournisseur d'information à caractère médical – et son « Pourquoi vivre près d'une vigne augmente le risque de leucémie chez les enfants ». En chapô :
« Vivre à proximité des vignes serait associé à un risque accru de leucémie, un cancer du sang, chez les enfants, selon une nouvelle étude française. En cause : les pesticides utilisés dans ces cultures. On vous explique. »
Ah, l'alternance de l'indicatif et du conditionnel... Mais non, le risque accru n'est que pour un type de leucémie, et l'étude n'a nullement mis les pesticides en cause...
Le Monde se distingue...
Une mention summa cum laude sera attribuée au Monde – de M. Stéphane Foucart, évidemment, « Pesticides : la densité de vignes autour du domicile associée à un risque accru de leucémie de l’enfant ».
Dans deux tweets successifs, M. François-Marie Bréon relève :
« [...] Je suis allé voir comment cette étude est rapportée dans les grands médias. Libération, L’Express, Le Point, Science et Avenir et même Reporterre mentionnent bien les deux [résultats], dont le premier qui est "rassurant".
Le seul média que j’ai trouvé et qui ne donne QUE le second résultat (celui qui indique un lien entre vignoble et leucémie) est Le Monde… Curieux, non ? »
M. Stéphane Foucart a daigné répondre...
« L’analyse montre que, plutôt que la proximité des vignes au domicile, c’est la proportion de territoire consacrée à la viticulture, à moins de 1 kilomètre du lieu de résidence, qui est associée à une augmentation du risque. Un risque qui ne concerne que la leucémie aiguë lymphoblastique (80 % des leucémies de l’enfant), et non la leucémie aiguë myéloïde, plus rare, qui dans cette analyse ne semble pas associée à la culture de la vigne. »
Il vous est loisible de penser que l'incise constitue une description intelligible et honnête du résultat principal de l'étude... Même Générations Futures fait mieux dans l'objectivité... en revendiquant tout de même « un vaste plan de conversion de notre agriculture vers un modèle agricole vraiment durable, tel que l’agriculture biologique »...
L'Express se distingue aussi, mais différemment
L'Express a publié le 27 octobre 2023 (derrière un péage) « Vignes et risque accru de leucémie : les chercheurs répondent aux critiques », un excellent entretien avec Mme Jacqueline Clavel, directrice de recherche INSERM au CRESS. En voici un extrait :
« Sur la base de votre étude, est-ce que vous recommanderiez aux populations de ne pas s’installer à côté de zones à forte densité de vignes ?
Non. Je reste très mesurée sur l’utilisation du principe de précaution, parce que nos arguments de causalité sont insuffisants. Et il ne faut probablement pas considérer isolément chaque facteur de risque potentiel. Par exemple, la pollution de l’air semble aussi associée au risque de leucémie chez l’enfant. Un principe de précaution doit s’appliquer quand on détient des certitudes sur les bénéfices qu’il peut apporter, quand on est sûr qu’il va diminuer un risque et améliorer la santé des personnes. Et il faut aussi prendre en compte le bien-être et la qualité de vie des personnes.
Donc, votre étude ne recommande pas non plus de stopper l’usage des pesticides ?
Je prends un exemple fictif pour illustrer notre démarche, mais imaginons que l’augmentation du risque de leucémie soit liée à un champignon qui se développerait sur les vignes et que les pesticides permettraient justement d’éradiquer ce champignon. Alors l’interdiction des pesticides n’aurait aucun intérêt préventif. Il nous faut donc approfondir ce lien statistique pour avoir une chance d’apporter des réponses qui éclairent une décision de santé publique. Sinon, nous prenons le risque de faire une soupe de l’intérêt de santé publique, ce qui nous priverait de faire ressortir de vraies bonnes mesures. »
C'est là un discours de la raison qu'on aimerait voir et entendre plus souvent.
Pourquoi le marché européen de l’électricité a-t-il fait grimper nos factures ?
Et si l’approche libérale, en ce qui concerne l’électricité, ne convenait pas ? Et si concurrence et marché conduisaient à une augmentation des prix ? C’est à ces questions difficiles que s’attaque
Michel Negynas. le 2 novembre 2023
La « libéralisation » du marché européen a fait monter les prix partout, et les a fait exploser en France. Cela ne devrait pas faire l’objet d’un article sur un media qui prône le libéralisme. Mais c’est un fait, cela s’explique aisément, et n’enlève en rien l’intérêt de la libre entreprise et de la concurrence pour générer du dynamisme et du progrès. C’est que l’électricité n’est pas un produit comme un autre.
L’électricité est en effet un des rares domaines où il n’est pas absurde de concevoir des acteurs monopolistiques, pour autant que les États leur imposent des objectifs clairs (sécurisation des livraisons à court et long terme, résilience aux aléas conjoncturels,) et des règles de gestion transparentes autant sur les programmes d’investissements que sur la fixation des prix.
Marcel Boiteux, dans un texte publié sur la revue Futurible, daté d’avril 2007, (« Les ambiguïtés de la concurrence ») était revenu sur les principes qui avaient conduit à construire le groupe EDF/GDF, pour en conclure que la libéralisation du marché de l’électricité ne pourrait qu’augmenter le prix au consommateur.
On peut discuter du positionnement politique de monsieur Boiteux, mais on ne peut nier qu’il avait raison.
Ce texte est tellement pédagogique qu’il mérite qu’on s’attarde sur de nombreux extraits « Les réseaux […] relèvent de la catégorie des « monopoles naturels ». (Pour distribuer deux fois plus de kWh sur 100 km², le coût est doublé si l’on s’y met à deux, mais il n’augmente que de 40 à 50 % si l’on est seul à développer des maillages sur le réseau existant : il coûte donc tellement cher de n’être pas seul, que le monopole est dit « naturel ») […]
Quant à la production toutefois, un débat s’ouvre déjà sur la possibilité réelle de laisser aux compétiteurs le soin de prévoir à l’avance assez de moyens de production pour être suffisamment assurés, le moment venu, de passer les pointes de demande – ces pointes qui pourraient résulter, à terme, de la conjonction malheureuse d’une forte activité économique, d’un grand froid et d’une mauvaise hydraulicité affectant la production des usines hydroélectriques. La règle autrefois, c’était, en probabilité, de ne pas être « défaillant » (c’est-à-dire de ne pas avoir à recourir à des coupures tournantes de la clientèle) plus d’une fois tous les vingt ans – après avoir exploité, bien sûr, toutes les possibilités de secours venant des pays voisins d’une part, d’effacement de certains très gros clients consentants (moyennant rabais) d’autre part. Vingt ans… Il est à craindre qu’aucun industriel privé n’accepte d’investir dans une installation, même légère, qui ne marchera statistiquement qu’une fois tous les vingt ans.
Outre les monopoles naturels, existe le phénomène dit des « coûts de transaction » (qui valut notamment son prix Nobel au professeur R.H. Coase), lequel peut justifier qu’on renonce dans certains cas aux heureux effets de l’émulation concurrentielle. En l’occurrence, il arrive dans certains secteurs que la difficulté, l’urgence et l’enjeu de l’information soient tels que l’organisation hiérarchique soit préférable au libre jeu du marché.
C’est évident dans le cas du « dispatching ». À chaque instant, le moindre écart entre l’offre et la demande globale d’électricité entraînerait une variation de la fréquence, ce que le réseau ne peut supporter. Là, pas question d’attendre que se fixe librement sur le marché le prix pour lequel l’offre égalera la demande !
[…]
Les réseaux étant ce qu’ils sont, il n’existe un réel marché que sur la « plaque » formée de la France, du Benelux et de l’Allemagne (de l’Ouest). Sur ce marché, les prix se fixent très naturellement, à chaque instant, au niveau du coût du kWh fourni par le dernier fournisseur auquel il faut faire appel pour faire face à la demande, donc au fournisseur le plus cher de ceux qu’il faut mobiliser, lequel est allemand … et coûteux comparé aux coûts français. D’où une hausse, parfois considérable, des prix de l’électricité facturée aux anciens clients d’EDF qui, au nom (estimable) de la liberté, avaient opté imprudemment pour quitter les tarifs de service public et se livrer aux prix du marché. »
Et ceci a été écrit en 2007 ! Depuis, il y a eu pire : la course aux intermittentes, l’ARHEN, qui oblige EDF à brader à ses concurrents, le non respect de la règle des vingt ans…
Marcel Boiteux avait raison De nombreuses études confirment ce qui nous arrive en Europe.
La condition fondamentale d’un marché libéral reste celle de Walras « le prix pour lequel l’offre égale la demande doit se fixer librement sur le marché ». Et ce n’est pas possible, concernant l’électricité. C’est le dispatching qui assure offre et demande. Même aux États-Unis, la moitié des États ont conservé une situation monopolistique.
L’Étude de l’Association Américaine des Entreprises Publiques d’Électricité (2022) montre que les tarifs d’électricité des entreprises ayant gardé le modèle historique (régulé par les États) pratiquent des tarifs en moyenne plus bas de 28 % que les autres et moins sensibles aux hausses des prix du gaz.
« La question de savoir si la déréglementation entraîne ou non une baisse des prix est théoriquement ambiguë. Les prix basés sur le marché incitent les entreprises qui maximisent leurs profits à réduire leurs coûts, mais, en présence d’imperfections du marché, l’écart entre les prix et les coûts marginaux peut se creuser. Lorsque cet écart est supérieur à la réduction des coûts, les prix augmentent ».
L’étude constate que la concurrence a amené effectivement des producteurs d’électricité à optimiser leur gestion, d’où des réductions de coûts mais néanmoins :
« Nous avons trouvé que fondamentalement les prix de gros augmentaient fortement dans les Etats dérégulés [ayant introduit la concurrence] par rapport à ceux observés dans les Etats ayant gardé le modèle historique […]De plus la déréglementation pousse les fournisseurs d’électricité à s’approvisionner sur le marché au détriment de leur production propre. La combinaison des deux facteurs « explique une large part des hausses des prix de détail.
[…]
Les causes premières sont « une offre et une demande inélastique, l’obligation à chaque instant qu’offre et demande soient égales, un transport de l’électricité onéreux sur des longues distances, des investissements échoués… qui se traduisent par des « imperfections de marché ».
(Voir « Géopolitique de l’électricité »)
En réalité, le marché européen est tout sauf libéral Il réussit à cumuler les inconvénients d’un marché de l’électricité plus ou moins monopolistique régulé (contraintes sur les acteurs) et libéral (absence de vision à long terme, volatilité aberrante des prix).
En plus du marché boursier, ont été créés cinq marchés réglementés pour « libéraliser », ce qui est un comble :
Un marché de quotas d’émissions de gaz carbonique qui distord la concurrence entre moyens de production. Un marché des énergies renouvelables (ENR) subventionné (directement, ou indirectement : prise en charge des coûts énormes de raccordement, priorité sur le réseau via les prix garantis par l’Etat). Cette garantie de prix donne la priorité aux ENR sur les moyens pilotables, ce qui diminue la rentabilité de ceux-ci. Un marché à coûts de revient fixés par l’État (ARHEN), qui est proche de l’abus de bien social, puisque le nucléaire a été entièrement payé par les clients d’EDF qui ne peut pas leur faire profiter du retour sur investissement. Un marché de capacités, censé obliger les « passagers clandestins » de trading pur à investir dans des capacités pilotables qui sont inefficaces. Un marché d’économies d’énergie (les « CUMAC ») via l’imposition aux acteurs énergétiques de prouver qu’ils ont contribué à des projets en ce sens.
En outre, la fixation du prix au coût marginal lors des contrats boursiers, chère à Boiteux et adoptée par le marché européen, était un optimum, dans les conditions du marché français, mais c’est une aberration dans les conditions du marché européen actuel. Tout ceci se démontre mathématiquement. (voir une série de trois vidéos amusantes mais pédagogiques sur ce sujet compliqué)
Résultante : l’État, effrayé par les conséquences sociales de ces bazars, a inventé un nouvel outil, lui, complètement antilibéral : le bouclier tarifaire énergétique.
Doit-on pour autant renoncer à une certaine concurrence ? Bien sûr que non. Même si l’État maîtrise des éléments de gestion et organise des situations de monopoles ou oligopoles, une forme de concurrence peut s’exercer car l’État n’a pas forcément à être opérateur, il peut mettre en concurrence l’opérationnel à travers des appels d’offre sur le long terme (à l’exemple des autoroutes : même avec une négociation désastreuse des fonctionnaires, le bilan financier est positif pour le budget de l’État, et les autoroutes sont bien gérées).
Mais les règles de « gestion raisonnable » prônées par monsieur Boiteux sont pour l’instant impossibles à pratiquer :
– les règles européennes interfèrent sur ce que peut faire l’État français. Les contraintes sont générées politiquement, pour des raisons de compétitivité entre États, et n’ont rien à voir avec le bien commun.
– L’État français, via RTE, ne gère pas la sécurité d’alimentation du réseau français. À l’aide de conventions probabilistes erronées, RTE construit des scenarii complaisants qui ne reflètent pas les vrais problèmes.
– L’État français a pris la totalité du contrôle d’EDF, tout en lui laissant le statut d’entreprise privée. Cette situation est à l’origine du débat à venir sur le prix du KWh. Légitimement, EDF veut se maintenir une marge pour se désendetter et investir, mais l’État traite EDF comme si elle était nationalisée, et s’en sert pour amortir l’effet désastreux des règles européennes.
Le directeur du renseignement national poursuivi pour censure sur les réseaux sociaux
11/01/2023 Zoey Ciel
L'organisation de surveillance Judicial Watch a lancé une offensive juridique contre le Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) pour transparence sur une prétendue censure des médias sociaux.
Le procès, identifié sous le nom de Judicial Watch, Inc. c. Bureau du directeur du renseignement national, fait suite à une demande ignorée de la Freedom of Information Act (FOIA) déposée en mai.
Le procès met en lumière la lutte en cours contre la censure et la défense constante de la liberté d’expression.
Le chien de garde exige des dossiers et des communications du NCTC et du FMIC L'objectif du procès de Judicial Watch est d'exiger des « dossiers et communications » du National Counterterrorism Center (NCTC), notamment concernant le Foreign Malign Influence Center (FMIC).
L'organisme de surveillance recherche des informations cruciales telles que les organigrammes, les descriptions de postes, les budgets annuels et, en particulier, les communications avec les principales plateformes de médias sociaux comme Facebook, Meta, Reddit, TikTok, Twitter, YouTube et Instagram concernant les "opérations d'influence étrangère". désinformation » et « désinformation ». (Connexe : La Cour suprême autorise le gouvernement fédéral à continuer de supprimer le contenu des médias sociaux.)
Le procès cherche également à obtenir un aperçu des politiques, procédures et plans stratégiques élaborés par les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux.
Cependant, le procès n’est pas une initiative isolée de Judicial Watch. Il ne s’agit que d’une partie d’une saga en cours d’entités contestataires soupçonnées d’empiéter sur la liberté d’expression sous prétexte de lutter contre la désinformation.
Selon le site Internet de l'ODNI, le NCTC « produit des analyses, maintient une base de données faisant autorité sur les terroristes connus et présumés, partage des informations et mène une planification opérationnelle stratégique ».
Parallèlement, le FMIC s'organise autour de trois axes d'action :
Intégration analytique Gestion des missions Engagement des partenaires
Le FMIC travaille en étroite collaboration avec le National Intelligence Council (NIC), le National Intelligence Management Council (NIMC) et les partenaires de l'agence au sein de la communauté du renseignement.
Le FMIC sous l'ODNI cible la liberté d'expression Bien que de courte durée, la formation controversée d’un Conseil de gouvernance de la désinformation (DGB) en avril 2022 a donné lieu à une importante controverse. Les critiques du conseil consultatif l'ont qualifié d'« assaut frontal contre le premier amendement », un sentiment qui a fait écho à la création du FMIC plus tard en septembre 2022.
Le FMIC, hébergé par l'ODNI, aurait eu une mission familière aux défenseurs de la liberté d'expression : analyser et intégrer les renseignements concernant « l'influence étrangère malveillante », ainsi que la sécurité des élections.
La proposition du FMIC d'une initiative public-privé, qui appelait à « d'importants investissements monétaires et de ressources de la part du gouvernement », a été considérée comme un appel flagrant à une alliance élargie entre le gouvernement et le secteur privé pour contrôler l'information.
Tom Fitton, président de Judicial Watch, a condamné les actions de l’administration Biden, l’accusant de tenter de ressusciter « la police de la pensée intérieure au plus profond du cœur des agences d’espionnage américaines ». L'avertissement de Fitton reflète une crainte commune selon laquelle les organismes gouvernementaux, en collaboration avec les géants de la technologie, s'orientent vers la censure sous couvert de « lutte contre la désinformation ».
Le récent procès intenté par Judicial Watch contre l'ODNI fait partie d'un récit plus vaste, qui résume la tension persistante entre la liberté d'expression et le paysage en constante évolution de la communication numérique, à une époque pleine de désinformation et d'influence étrangère.
Même si le champ de bataille s’est déplacé vers la salle d’audience, l’essence de la lutte reste la même : la défense du flux libre des idées dans une société libre comme l’Amérique.
Visitez Censorship.news pour plus d’informations sur la censure aux États-Unis et dans le monde.
Regardez cette vidéo sur la sous-commission spéciale sur la militarisation du gouvernement fédéral.
Cette vidéo provient de la chaîne Endgame sur Brighteon.com.
La Russie va interdire aux particuliers d'utiliser la crypto-monnaie pour les transactions nationales
11/01/2023 Arsenio Toledo
La Russie est sur le point d’interdire la circulation de crypto-monnaies non contrôlée par l’État, y compris le commerce, l’exploitation minière et les transactions cryptographiques internes. C'est ce qu'a déclaré Anton Tkachev, membre de la Douma d'État, le parlement russe, et chef adjoint de la commission de la Douma d'État sur la politique de l'information, les technologies de l'information et des communications.
Tkachev a noté que l’utilisation de la crypto-monnaie en Russie est très limitée et insuffisamment réglementée par l’État. Cette nouvelle directive – qui maintiendra la légalité des crypto-monnaies, y compris leur possession individuelle – fait partie des efforts du Kremlin pour modifier cette situation. (En relation : La Russie va établir un échange national de crypto-monnaie.)
Une fois la réglementation mise à jour mise en œuvre, Tkachev a expliqué qu’il sera interdit aux citoyens russes d’utiliser les crypto-monnaies pour effectuer des transactions internes. On ne sait pas exactement quand ces nouvelles lois modifiées entreront en vigueur.
Bien que Tkachev ait souligné que le Kremlin souhaitait décourager les citoyens d’utiliser les crypto-monnaies dans l’économie nationale, il a admis que les crypto-monnaies continueraient probablement à jouer un rôle dans l’économie.
"L'État ne peut pas encore officiellement effectuer de transactions en crypto-monnaie. Et les entreprises russes, qui commercent avec des collègues d'autres pays, sont malheureusement également limitées dans leurs capacités [à utiliser la crypto-monnaie]", a déclaré Tkachev. "Mais je pense que cela va changer."
Les entreprises russes seront autorisées à utiliser la crypto-monnaie dans les transactions transfrontalières Dans le même temps, les entreprises russes seront autorisées à effectuer des transactions transfrontalières avec des crypto-monnaies, car leur utilisation permet à la Russie de contourner les sanctions occidentales liées à l'Ukraine dans le cadre de l'opération militaire spéciale russe en cours, qui a coupé la Russie du système financier occidental.
"Les entreprises qui négocient en utilisant des crypto-monnaies ne sont pas soumises à des sanctions, car le suivi des paiements devient beaucoup plus difficile", a déclaré Tkachev.
Tkachev a noté que le ministère de l'Industrie et du Commerce avait déjà développé les outils et systèmes appropriés pour effectuer des paiements transfrontaliers utilisant la cryptographie. Le système est actuellement en cours de test et devrait être introduit début 2024.
"Une fois les tests terminés, le gouvernement sera en mesure d'effectuer officiellement des transactions en cryptomonnaie", a déclaré Tkachev, soulignant que les entreprises russes auront également la possibilité de payer leurs partenaires étrangers soit dans la monnaie numérique connue sous le nom de rouble numérique, soit en crypto.
"Le rouble numérique n'est actuellement utilisé qu'à l'intérieur du pays et jusqu'à présent, aucune transaction transfrontalière n'a eu lieu", a déclaré Tkachev. "Mais le rouble numérique permet d'effectuer des transactions sans organismes financiers intermédiaires", résolvant ainsi le problème des règlements internationaux dans un contexte de sanctions.
En ce qui concerne l'extraction de crypto-monnaie, Tkachev a noté que le Centre des classifications économiques, une agence fédérale qui agit en tant que régulateur et chien de garde de l'activité économique légale, prépare de nouvelles règles pour « l'extraction industrielle de [crypto-monnaie] ».
"Tout indique que l'exploitation minière sera légalisée, mais uniquement pour les personnes morales", a déclaré Tkachev. "En tant que tel, selon la pensée actuelle des organes du gouvernement fédéral – et la Douma d'État est d'accord – les particuliers ne seront pas en mesure de faire cela [le minage de cryptomonnaies]."
En préparation à la création de nouvelles règles d'extraction de cryptomonnaies, le Kremlin a créé le premier organisme industriel d'extraction de cryptomonnaies du pays, l'Industrial Mining Association.
"L'association devrait bientôt se transformer en une organisation d'autorégulation capable de façonner les tendances du secteur", a déclaré Tkachev.
Regardez ce clip de « MoneroTalk » alors que Mike Adams, le Health Ranger, rejoint l'hôte Douglas Tuman pour discuter de la cryptographie de la confidentialité.
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
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DUMB MOVE : l'Oregon étend sa politique permettant aux lycéens d'obtenir leur diplôme sans avoir à prouver leur maîtrise de l'anglais et des mathématiques
11/01/2023 Laura Harris
La principale agence du ministère de l'Éducation de l'Oregon qui gère l'enseignement primaire et secondaire, le State Board of Education, a prolongé de cinq ans l'élimination des exigences en matière de tests de compétence pour l'obtention du diplôme d'études secondaires.
La politique, initialement introduite en 2021 comme mesure temporaire en raison de la pandémie, permet aux étudiants d'obtenir leur diplôme sans satisfaire aux normes de compétence dans des matières telles que les mathématiques et l'anglais. Le conseil soutient que les tests de compétence sont injustes pour les étudiants de couleur, car les étudiants issus de minorités ont tendance à avoir du mal à satisfaire aux normes de compétence.
Selon un rapport présenté au Comité sénatorial de l'éducation de l'État de l'Oregon en septembre 2022, le ministère de l'Éducation a accusé les écoles de l'État de s'appuyer principalement sur des tests standardisés, connus sous le nom de SBAC, pour évaluer la maîtrise des compétences de base des élèves. Le département affirme également avoir reçu des commentaires des districts scolaires et des éducateurs concernant la façon dont les tests de compétence sont devenus lourds et ont été mal appliqués.
Cependant, le sénateur d'État Michael Dembrow, qui siégeait au Conseil d'État de l'éducation lorsque l'exigence a été établie, a expliqué l'intention de ce test de compétence vieux de dix ans.
"Ce type d'évaluation n'avait pas vraiment pour but de montrer si les étudiants savaient lire ou écrire, mais plutôt s'ils pouvaient appliquer ce qu'ils apprenaient au monde réel et leurs scores au SBAC ne le prouvent pas vraiment", a-t-il déclaré.
Le ministère de l'Éducation avait initialement envisagé que la suspension des exigences en matière de tests de compétence permettrait aux éducateurs de soumettre les élèves à des tests individuels, tels que la réalisation de projets, la rédaction d'essais ou la participation à d'autres expériences et tâches, afin de démontrer leur capacité à utiliser des compétences essentielles telles que l'esprit critique et analytique. la réflexion, la gestion et le travail d'équipe en dehors de la salle de classe.
La suspension des tests de compétence dans les écoles de l’Oregon suscite la controverse Dans un article d'opinion rédigé par Jonathan Turley pour son blog, il a déclaré que "plutôt que de donner à ces étudiants le niveau d'éducation nécessaire pour exceller dans le monde du travail moderne, les écoles les diplômeront désormais et appelleront cela un progrès social". Cette approche, a-t-il soutenu, ne fera que conduire les étudiants à ne pas être préparés aux exigences d'un marché du travail de plus en plus compétitif.
"Si nous nous soucions vraiment de ces étudiants, nous ne pouvons pas truquer le système pour les pousser sur la voie de l'échec. C'est comme déclarer des patients en bonne santé simplement en les regardant et en les renvoyant. Nous avons la capacité de mesurer les compétences, et nous avons l'obligation morale de faire face à nos propres échecs en aidant ces enfants à y parvenir", a écrit Turley. (Connexe : Carey Woodruff : Un programme scolaire trompeur dans le système éducatif entraîne les jeunes sur le mauvais chemin – Brighteon.TV.)
Les législateurs républicains soutiennent également que malgré la campagne pour l’équité, il est toujours crucial que les étudiants possèdent les bases.
New Direction, une organisation à but non lucratif fondée par l'ancienne législatrice républicaine et candidate au poste de gouverneur Christine Drazan, a mobilisé une campagne de commentaires publics contre la suspension et généré 11 000 courriels envoyés au conseil d'administration.
"Il est décevant que ces bureaucrates non élus aient décidé d'ignorer les commentaires du public et de poursuivre sur une voie qui néglige leur responsabilité d'aider les étudiants à atteindre des normes élevées", a déclaré Drazan.
La représentante de l'État Tracy Cramer, membre du comité d'éducation de l'Oregon House, a exprimé sa frustration face à la décision du conseil d'administration et à l'absence d'une période de commentaires publics avant le vote.
"Je pense que le plus gros problème ici est que le conseil d'administration a continué à supprimer les normes et n'a pas élaboré de plan d'action", a-t-elle déclaré. "Je pense que c'est la raison pour laquelle les parents et les habitants de l'Oregon sont un peu frustrés. Ce n'est pas parce que les taux d'obtention de diplôme s'améliorent que les compétences le sont."
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Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
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Un rapport du ministère de l’Éducation montre que les fermetures d’écoles ont entraîné des pertes d’apprentissage HISTORIQUES pour les élèves de tout le pays.
Les districts scolaires de Californie « suppriment progressivement » les notes D et F dans un effort bizarre pour affirmer que les élèves des écoles publiques en période de pandémie n’échouent pas.
Mesures de censure renouvelées et introduction du DSA de l’UE
2 novembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
La politique de l'UE devient de plus en plus incroyable et de moins en moins de gens croient que ce que disent les politiciens européens est la vérité. La confiance a déjà disparu avec la soi-disant pandémie du coronavirus, mais aussi avec l’hystérie climatique et le conflit ukrainien. Puisque les eurocrates ont peu de vérité crédible à offrir, ils doivent essayer de faire taire leurs opposants politiques par la censure.
Le conflit israélien nous a ouvert les yeux non seulement sur la fragilité du discours établi, mais aussi sur notre liberté de nous exprimer sur les questions les plus sensibles. Et il s’avère que rien n’est plus sensible pour l’establishment que la question d’Israël.
La propagande de l’establishment s’est retournée contre eux alors que les réseaux « d’information » se démènent pour contrôler le retour de flamme pour leurs payeurs. Les gouvernements du monde entier annoncent des mesures radicales sous presque tous les angles imaginables : les crimes de pensée sont plus réels que jamais à mesure que la liberté d'expression appartient au passé.
La plus néfaste de ces mesures est la loi sur les services numériques (DSA) de l'Union européenne, entrée en vigueur cette année, mais qui donne encore aux entreprises jusqu'en janvier 2024 pour s'y conformer pleinement, ce qui signifie que nous supporterons de plein fouet le poids de la censure qui ne se fera probablement sentir qu'en janvier 2024. quelques mois, comme l'écrit le média technologique américain The Verge :
« L’objectif global de DSA est de créer un environnement en ligne plus sûr. En vertu des nouvelles règles, les plateformes en ligne doivent trouver des moyens de prévenir et de supprimer les publications contenant des biens, services ou contenus illégaux, tout en donnant aux utilisateurs la possibilité de signaler ce type de contenu.
Il s’agit d’un acte totalitaire qui menace de faire tomber complètement Twitter dans l’UE. Cela oblige toutes les sociétés de médias sociaux à supprimer tous les messages « illégaux » ou haineux, ce qui, comme nous le savons, désigne un contenu qui ne correspond pas au récit de l’establishment.
» Le commissaire européen Thierry Breton a prévenu Elon Musk, mardi 10 octobre, dans une lettre obtenue par l'AFP, que sa plateforme X, anciennement Twitter, diffusait « des contenus illégaux et de la désinformation ». La lettre indiquait que les inquiétudes avaient été accrues à la suite de l’attaque du Hamas contre Israël et demandait à Musk de répondre à la plainte dans les 24 heures et de contacter « les autorités chargées de l’application des lois appropriées ».
L’ironie est que la loi – décrite comme la loi « la plus ambitieuse » de ce type dans l’histoire – est décrite par ses rédacteurs comme « protégeant » la liberté d’expression tout en ciblant les « contenus illégaux ou haineux ». La première partie n’est qu’une phrase délibérément trompeuse ; les contenus « illégaux » et « haineux » sont précisément la liberté d’expression que la loi entend restreindre.
Mais cela montre à quel point l’UE en tant qu’institution est devenue antidémocratique et totalitaire. Il convient de rappeler que la Commission européenne est l’organe entièrement non élu qui propose de nouvelles législations dans l’UE. Les « commissaires » sont nommés par les membres du Conseil de l’UE et non par un vote direct des citoyens européens.
Cependant, une fois que le DSA entrera en vigueur, il deviendra une loi absolue dans tous les États membres de l’UE. Pensez-y : une loi est proposée par des personnes qui n’ont jamais été élues par les citoyens de l’UE, mais désormais tous les citoyens de l’UE doivent s’y conformer. C’est la définition d’une bureaucratie technocratique totalitaire.
Pour être honnête, le Parlement européen vote sur le paquet final et les parlementaires sont élus « directement » par les citoyens de l’UE. Cependant, le taux de participation aux élections parlementaires européennes est extrêmement faible, inférieur à 50 %, par rapport à la moyenne mondiale de 66 % de participation aux élections parlementaires et présidentielles nationales, ce qui signifie que les citoyens ne sont tout simplement pas intéressés par la politique européenne et que la bureaucratie européenne est donc de facto gouverne davantage par désintérêt et par retrait que par de véritables principes démocratiques. Sans parler du fait que les commissaires – bien que nommés par des parlementaires « élus » – peuvent être révoqués à volonté par le président de la Commission européenne, qui n’est pas lui-même élu.
En bref : les citoyens de tous les pays de l’UE doivent permettre que leur langue en ligne soit restreinte et strictement contrôlée parce qu’un groupe de bureaucrates non élus le leur dit.
Et est-il surprenant que la commissaire qui a proposé le DSA soit Margrethe Vestager, membre de la Commission trilatérale fondée par Rockefeller ?
C’est ainsi que fonctionne la technocratie. Les plans sont d’abord élaborés et élaborés lors de réunions secrètes de groupes tels que les Bilderbergers et la Commission trilatérale. Les « fantassins » les plus enthousiastes sont ensuite sélectionnés parmi les hommes politiques, et les barons de la finance qui contrôlent l’argent chargent leurs filiales de nommer un candidat particulier. Cela se fait simplement en injectant suffisamment d’argent dans diverses campagnes de relations publiques, en graissant les mains de fonctionnaires corrompus, etc. pour amener ce candidat au bureau ou au poste approprié où il promouvra le nouveau programme/initiative rédigé lors de la convocation trilatérale.
Il y a à peine une semaine , TikTok a annoncé avoir embauché un grand nombre de nouveaux employés pour « lutter contre la désinformation » sur Israël après que l'UE s'est plainte. L’initiative a déjà supprimé 500 000 vidéos et 8 000 diffusions en direct pour « violations ».
Comme on pouvait s’y attendre, le commissaire européen à l’Industrie, Thierry Breton, a qualifié l’initiative de « protéger les enfants et les jeunes » de la « propagande terroriste ». Nous retrouvons cette terminologie volontairement ambiguë. « Terroriste » et « propagande » sont tous deux des termes subjectifs qui distinguent « tout ce avec quoi nous ne sommes pas d’accord » (propagande) de « toute personne avec laquelle nous ne sommes pas d’accord » (terroriste).
Bien entendu, les citoyens de l’UE ont droit à la liberté d’expression – mais personne n’a le droit de prononcer des « discours de haine ». Quel discours de haine est déterminé par le commissaire européen Breton. On prétend que le Hamas est un groupe terroriste désigné, mais Benjamin Netanyahu a ordonné à son gouvernement de continuer à soutenir financièrement le Hamas - cela a été rapporté textuellement par le journal israélien Haaretz :
« Quiconque veut contrecarrer la création d’un État palestinien doit soutenir le Hamas et transférer de l’argent au Hamas », a déclaré Netanyahu aux membres de la Knesset de son parti, le Likoud, en mars 2019. "Cela fait partie de notre stratégie."
Mais c’est là le nœud du débat. Les censeurs de l’establishment se discréditent et s’invalident en faisant preuve d’une hypocrisie évidente, de deux poids, deux mesures et de décrets contradictoires. Ils appliquent leur prétendu « État de droit » comme ils l’entendent, mais à l’ère de l’information, le monde entier est quotidiennement témoin de cette hypocrisie.
Le nombre de satellites en orbite basse prévus dépasse désormais le million
Par Arthur Firstenberg Recherche mondiale, 2 novembre 2023
Dimanche, SpaceX a lancé 23 satellites depuis Cap Canaveral dans la matinée et 22 autres depuis la base aérienne de Vandenberg dans la soirée. Cela porte le nombre total de satellites opérationnels irradiant la Terre à environ 8 800.
SpaceX a envoyé des fusées chargées de satellites tous les quelques jours cette année, dans sa hâte de satisfaire la demande insatiable de bande passante des milliards d'êtres humains qui utilisent des téléphones portables. Mais SpaceX n’est pas le seul. Des centaines d'entreprises se disputent une part du marché mondial afin de fournir l'Internet depuis le ciel à la population mondiale.
Le 5 janvier 2022, j'ai envoyé une newsletter répertoriant 147 entreprises et agences gouvernementales de 34 pays qui exploitaient, lançaient ou planifiaient des flottes de satellites qui, si elles étaient toutes lancées, totaliseraient environ un demi-million dans notre ciel, loin s'en faut. plus nombreux que les étoiles visibles. Le 17 octobre 2023, la revue Science , examinant les dossiers déposés auprès de l'Union internationale des télécommunications, a informé le monde que le nombre de dossiers et le nombre de satellites prévus ont de nouveau plus que doublé. Il existe plus de 90 dossiers pour des constellations de plus de 1 000 satellites chacune. Vingt-trois d’entre eux possèdent plus de 5 000 satellites et huit, plus de 10 000 satellites. Au 31 décembre 2022, le nombre de satellites prévus par 300 entreprises et gouvernements dépassait le million. Et en juin 2023, E-Space, une société basée en France et fondée par Greg Wyler en 2022, a déposé un plan pour une mégaconstellation unique contenant 116 640 satellites. E-Space avait précédemment déposé un projet, via le gouvernement rwandais, pour une constellation encore plus grande contenant 327 320 satellites. Deux jours après son nouveau dépôt auprès de l'UIT, Wyler a précisé que « notre dépôt en France s'ajoute à nos dépôts au Rwanda ».
Notre nouveau réseau, People Without Cell Phones , est plus important que jamais. La seule façon de diminuer la demande de bande passante qui transforme la Terre en un ordinateur géant, avec tous les êtres vivants électrocutés à l’intérieur, est d’arrêter d’utiliser les téléphones portables. Non pas pour les utiliser moins fréquemment, mais pour les jeter. Pour pouvoir les utiliser, aussi rarement soit-il, il faut irradier la planète entière. Veuillez rejoindre notre réseau en formant une section locale là où vous vivez. Vous pouvez fixer vos propres règles, mais il est important d’avoir des réunions en personne. S'il vous plaît contactez-moi si vous avez besoin d'aide et faites-moi savoir que vous le faites. Notre objectif est d’établir une présence mondiale croissante des communautés qui n’utilisent pas de téléphone portable. Il est à nous.
Marcel Leroux chasse-maritime-calaisis.com mer., 01 nov. 2023 14:53 UTC
Marcel Leroux était professeur émérite de climatologie de l'Université Jean Moulin (Lyon III), directeur du LCRE (Laboratoire de climatologie, risques et environnement) du CNRS, membre de l'American Meteorological Society et de la Société Météorologique de France. Il a écrit notamment Global Warming - Myth or reality ? Il est décédé le 12 août 2008.
Aujourd'hui, il n'est presque plus possible de participer à un colloque consacré à l'agriculture sans que soient évoqués le réchauffement climatique et l'effet de serre. Préoccupation majeure de l'agriculteur, la question du climat suscite un intérêt évident car ses aléas ont des répercussions immédiates sur les résultats des exploitations.
Marcel Leroux, professeur en climatologie à l'université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS), est l'auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, il a achevé son troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality, disponible depuis décembre 2006.
Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s'expliquent tout naturellement, lorsque l'on prend en compte ce qu'il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d'air glacial de 1500 mètres d'épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l'équateur.
Un entretien avec Marcel Leroux
Question : Tout le monde s'accorde à dire que la planète se réchauffe. Qu'en pensez-vous ?
Marcel Leroux : En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C'est d'ailleurs la position de la Russie, qui considère qu'un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d'immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole. En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l'époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s'étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu'il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s'est d'ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d'abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l'échelle paléoclimatique comme à l'échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n'est pas le cas.
Question : Pourtant, il y a unanimité chez les climatologues pour dire que le réchauffement est une réalité ...
Marcel Leroux : Non, on insiste sur un prétendu consensus chez les climatologues, alors que celui-ci n'existe pas. Ensuite, il y a plusieurs sortes de « climatologues ». Prenons l'IPCC, présenté comme l'autorité en la matière. En réalité, il s'agit d'un groupement intergouvernemental, c'est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques. D'ailleurs, la grande majorité de ses membres ne sont pas climatologues, à l'instar de Michel Petit, ingénieur en télécommunications, ou bien Jean Jouzel, qui est un excellent chimiste glaciologue, mais dont les connaissances scientifiques sur le climat sont limitées. Depuis l'avènement de l'informatique, nombre de ceux qui s'autoproclament « climatologues » sont en réalité des informaticiens-modélisateurs, qui accordent de très loin la préférence à la statistique et aux téléconnexions, sans se préoccuper des liens physiques réels. Il existe toutefois des climatologues météorologues, comme le spécialiste suédois de l'élévation du niveau de la mer Nils-Axel Mörner, ou encore le météorologiste canadien Madhav Khandekar, qui en revanche se préoccupent en priorité de l'observation des phénomènes réels et des principes physiques qui les relient. C'est aussi, naturellement, le souci premier de notre laboratoire. Ces derniers sont loin d'être convaincus par les résultats des modèles. Même parmi les modélisateurs, certains, comme l'Américain Richard Lindzen, restent très sceptiques concernant l'hypothèse du réchauffement climatique. Le problème du IPCC, comme d'ailleurs de Météo France, c'est que depuis les années 1980, ces organismes sont dominés par les modélisateurs, vedettes des médias. Les climatologues réellement soucieux de l'analyse du temps se sont d'ailleurs regroupés en association, dont l'une particulièrement active est intitulée « climat sceptics ».
Question : Le rôle nocif sur le climat des gaz à effet de serre est quand même une donnée objective ?
Marcel Leroux : Il n'y a rien de moins objectif qu'une telle affirmation ! Mettre l'accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d'autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l'atmosphère, les transferts méridiens d'air et d'énergie, et pour faire simple, les transferts d'air froid et d'air chaud. Chacun est capable d'observer que la température est fonction de ces brusques changements, et qu'elle n'évolue pas de façon linéaire. L'important, c'est d'abord de savoir pourquoi et comment des masses d'air froid se forment et se déplacent ; pourquoi elles remplacent ou sont remplacées par de l'air chaud - autrement dit de préciser le mécanisme de la machine atmosphérique. Le temps dépend au jour le jour de ces changements de masses d'air ; en revanche, sur le long terme, la variation dépend de l'activité solaire (tâche, magnétisme, éruption et vent solaires), des projections volcaniques, de la turbidité de l'air, des paramètres astronomiques, etc... Comment voulez-vous que leur responsabilité dans le climat puisse être mise en évidence dans des modèles qui ne prennent tout simplement pas en compte l'ensemble de ces paramètres ? L'effet de serre est donc totalement marginal, sinon même insignifiant, d'autant plus que le principal effet de serre n'est pas réalisé par le gaz carbonique ou le CH4, mais par la vapeur d'eau. Or, même la part réelle de la vapeur d'eau dans l'effet de serre n'est pas considérée à sa juste valeur dans les modèles.
Question : Qu'observe-t-on alors à l'échelle globale ?
Marcel Leroux : On n'observe rien, car il n'y a pas de « climat global ». En revanche, on connaît parfaitement l'évolution des climats régionaux qui suivent des évolutions fort dissemblables. D'ailleurs, il est très révélateur de constater que, de l'aveu même de l'IPCC, leurs modèles sont incapables de restituer ces variations régionales ! Dans son deuxième rapport de 1996, l'IPCC écrit : « Les valeurs régionales des températures pourraient être sensiblement différentes de la moyenne globale, mais il n'est pas encore possible de déterminer avec précision ces fluctuations. » Cela signifie que les modèles du IPCC seraient capables de donner une valeur moyenne sans connaître les valeurs régionales qui permettent d'établir précisément cette moyenne ! Ce n'est pas très sérieux !
Dans l'Atlantique Nord, on observe un refroidissement de la façade ouest (Canada, Éats-Unis à l'est des Rocheuses), alors que l'Europe occidentale se réchauffe, notamment la Scandinavie. L'Europe centrale, elle, se refroidit, comme la Méditerranée orientale, ou comme la Chine. Ces différences de comportement résultent de la dynamique aérologique. Cela dépend en effet des trajectoires des anticyclones mobiles polaires (AMP). Ceux-ci sont de vastes lentilles d'air glacial de 1500 km de rayon, générées quotidiennement par les pôles. Ces lentilles glissent au ras du sol, sous les couches d'air chaud plus légères, contournant les reliefs pour se diriger vers l'équateur. Sur leurs faces avant, elles provoquent le retour vers leur pôle respectif de l'air réchauffé sous les tropiques. Les AMP représentent l'exemple même de discontinuité que les modèles informatiques refusent d'incorporer. En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l'importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent.
Question : Vous voulez dire qu'il n'y a pas de fonte des calottes glaciaires ?
Marcel Leroux : C'est un fait incontestable ! Cependant, évitons de généraliser : dans le détail, la glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l'eau marine et de l'air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada. Comme l'écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, « le gros de la calotte antarctique n'a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d'années. » L'observation satellitale montre même qu'au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l'île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 - c'est- à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 ! C'est le démenti le plus flagrant apporté aux prévisions des modèles. Il est d'ailleurs surprenant que ceux-ci aient pu concevoir un tel réchauffement alors qu'il n'y a aucune raison physique qui puisse le justifier ! Est-ce seulement pour faire peur aux gens avec une prétendue montée des eaux qui en résulterait ?
Question : Comment expliquez-vous une telle désinformation sur ce sujet ?
Marcel Leroux : Prédire le temps a toujours été une passion. Or, prédire que rien d'alarmant ne va se produire n'est pas très intéressant. Au début du XXe siècle, les prédictions alarmistes étaient déjà très à la mode.
Cependant, elles n'ont jamais réussi à s'imposer, car tous les faits les contredisaient. C'est seulement à partir des années 1985 que sont réapparus, lorsque la climatologie a été monopolisée par les informaticiens, les scénarios les plus catastrophistes. Oubliant tout simplement la météorologie, les modélistes ont appliqué des calculs en vérité extrêmement simplistes dans des modèles super sophistiqués pour imposer leurs concepts. Mais les hypothèses sur le réchauffement climatique n'ont jamais été vérifiées par l'observation, pas plus au début du XXe siècle qu'au début du XXIe. La fameuse courbe du IPCC n'est qu'un artefact, constamment démenti par les mesures et les observations satellitaires. En réalité, le problème dit du climat est en permanence confondu avec celui de la pollution, deux domaines pourtant bien séparés, qui ne seront bien traités l'un et l'autre que lorsqu'ils seront dissociés. Il sert également de prétexte pour imposer une restriction à l'activité humaine, considérée à tort comme à l'origine du réchauffement climatique. La connexion d'intérêt qui s'est établie entre certains laboratoires, plusieurs institutions internationales et certains hommes politiques, a imposé la notion de réchauffement global. Suivre aveuglément les « recommandations pour décideurs » du IPCC fait passer à côté des phénomènes réels, dépenser vainement des sommes colossales pour des réunions par définition inutiles, et n'autorise pas des mesures de prévention efficaces contre les véritables aléas climatiques que nous allons connaître. À quoi sert de préparer l'économie d'un pays à un réchauffement, alors que tous ses thermomètres signalent un refroidissement ?
Finalement, le réchauffement climatique revêt de plus en plus un caractère de manipulation, qui ressemble vraiment à une imposture « scientifique », et dont les premières victimes sont les climatologues qui ne perçoivent de financements que lorsque leurs travaux vont dans le sens du IPCC.
Heidi Klum et HALLOWEEN – un festival d'horreur inoffensif ?
RépondreSupprimer31.10.2023
www.kla.tv/27334
Heidi Klum aime également beaucoup s'afficher avec les signes de la secte. Que ce soit le mauvais œil, ou les cornes du diable ou le « Vow of Silence », la loi du silence maçonnique...
Heidi Klum un topmodèle... Toujours qualifiée de plus belle femme du monde. Mais pour un mannequin, elle a aussi des looks très lugubres. Je suis productrice de films, alors je sais que les meilleurs maquilleurs et spécialistes du maquillage au monde ont travaillé pour la rendre aussi diabolique. Pour ce look, elle a passé dix heures au maquillage. Elle est connue pour ses fêtes d'Halloween, auxquelles elle invite des personnalités célèbres du monde entier. Ici, par exemple, Mariah Carey et Katy Perry. Selon les ex-satanistes John Ramirez et John Todd, Halloween n'est toutefois pas une fête d'horreur anodine dans les cercles de la secte satanique. Chez les satanistes et dans les cercles de sorciers, Halloween reste la fête suprême, une fête de l'horreur et de la mort. Selon les déclarations de ces deux ex-satanistes, c'est à cette période de l'année que la plupart des enfants disparaissent. John Todd dit textuellement, je cite :
« Qui veut faire la fête un jour où les sorcières du monde entier sacrifient 1 000 personnes ? »
Quelles sont les célébrités que l'on peut trouver aux fêtes d'Halloween d'Heidi Klum ? Selon les auteurs du livre « Epstein : les hommes morts ne racontent pas d'histoires », le prince Andrew et Jeffrey Epstein étaient présents à la fête d'Halloween de l'an 2000. Donald Trump et son épouse étaient également présents à la fête. Vous vous souvenez certainement des titres tristement célèbres concernant Jeffrey Epstein et son île privée de mauvais augure, sur laquelle il organisait des fêtes sexuelles avec des célébrités, des politiciens de haut rang et des personnes influentes - principalement aussi avec des filles mineures - et qu’il a été condamné pour cela. Le prince Andrew a également fait la une des journaux pour avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs, comme l'a témoigné contre lui Virginia Roberts Guiffre. Heidi Klum est également connue pour ses vidéos d'horreur. Ici, elle met en scène le cannibalisme. Ça a l'air terriblement réel... Elle est également connue pour ses Drag-shows à la télévision. Nous demandons à notre cœur : tout cela n'est-il que jeu et amusement ? Tout cela n'est-il qu'art et « déguisement » ? Est-ce encore approprié pour une « fête d'horreur inoffensive » ? Alors que partout dans le monde, des enfants et des survivants crient parce qu'ils sont martyrisés et torturés par de véritables « horreurs » ?
de ls.
Sources / Liens :
Heidi Klum
Die Autoren des Buches "Epstein: Dead Men Tell No Tales" (zu deutsch: „Tote Männer erzählen keine Märchen“) Dylan Howard, Melissa Cronin und James Robertson erwähnen darin, dass auf Heidi Klums Party unter anderem Prinz Andrew und Jeffrey Epstein anwesend waren.
Zitat aus dem Buch: „Ein paar Monate später feierte Andrew wieder mit Epstein, diesmal auf Heidi Klums Halloween-Party in New York, mit Ghislaine als Date. Das Kostüm, das sie wählte, um einen der Obersten im britischen Königshaus zu begleiten? Eine Prostituierte.“
https://www.tz.de/stars/heidi-klum-donald-trump-prinz-andrew-jeffrey-epstein-halloween-zr-13281509.html
https://www.tz.de/stars/heidi-klum-donald-trump-prinz-andrew-jeffrey-epstein-halloween-zr-13281509.html
RépondreSupprimerhttps://www.wunderweib.de/jeffrey-epstein-das-grausame-geheimnis-seiner-privatinsel-121172.html
https://www.dailymail.co.uk/news/article-2900787/Prince-Andrew-Heidi-Klum-Hookers-Pimps-party-New-York-socialite-accused-procuring-underage-girls-billionaire-pedophile-Jeffrey-Epstein.html
https://www.tz.de/stars/heidi-klum-donald-trump-prinz-andrew-jeffrey-epstein-halloween-zr-13281509.html
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7752543/Donald-Trump-poses-Ghislaine-Maxwell-Heidi-Klums-hookers-pimps-themed-party.html
https://www.dailymail.co.uk/news/article-2900787/Prince-Andrew-Heidi-Klum-Hookers-Pimps-party-New-York-socialite-accused-procuring-underage-girls-billionaire-pedophile-Jeffrey-Epstein.html
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7752543/Donald-Trump-poses-Ghislaine-Maxwell-Heidi-Klums-hookers-pimps-themed-party.html
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7752543/Donald-Trump-poses-Ghislaine-Maxwell-Heidi-Klums-hookers-pimps-themed-party.html
Virginia Roberts Guiffre:
https://www.stern.de/lifestyle/leute/virginia-roberts-giuffre---falls-mir-etwas-passiert--9044048.html
Heidi Klum Zeichen:
t.me/Symboliken/3320
Jeffrey Epstein und Prinz Andrew - auch Donald Trump bei Heidi Klums Halloween-Party
Weitere Bilder von Heidi Klum:
https://hollywoodlife.com/pics/heidi-klum-greatest-halloween-costumes-photos/heidi-klum-greatest-halloween-costumes-10
https://www.wunderweib.de/jeffrey-epstein-das-grausame-geheimnis-seiner-privatinsel-121172.html
Heidi und Tom und Bill:
https://www.promiflash.de/news/2019/11/01/zu-heidis-halloween-party-bill-als-dunkle-maleficent-fee.html
Halloween-Hintergründe
Ex-Satanist John Todd:
https://www.youtube.com/watch?v=7zVpwcnWhao
Ex-Satanist John Ramirez: „Der Hölle entkommen“
https://www.kla.tv/9927
Best-of: Das sind Heidi Klums schaurigste Halloween-Looks!
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=OdWW7cYsr4w
Heidi Klums Transvestiten-Shows
Queen of Drags:
https://www.nau.ch/people/welt/queen-of-drags-65613057
Heidi Klum so stolz!
https://www.promiflash.de/news/2019/12/19/erste-queen-of-drags-staffel-endet-heidi-klum-so-stolz.html
Heidi Klum’s Drag Race:
https://www.sleek-mag.com/article/everything-you-need-to-know-heidi-klum-drag-race/
Queen of Drags mit Heidi und Bill:
https://www.promiflash.de/news/2019/11/12/conchita-wurst-so-war-queen-of-drags-mit-heidi-und-bill.html
Queen of Drags, Rheinische Post:
https://rp-online.de/panorama/leute/queen-of-drags-heidi-klum-wehrt-sich-gegen-kritik-an-ihr-und-ihrer-show_aid-47195463
Heidi Klum’s Gory Horror Film:
https://www.youtube.com/watch?v=bxmOsFjo7QA
https://www.youtube.com/watch?v=SOYLWp-GXFM
Heidi Halloween 2021:
https://www.youtube.com/watch?v=qqtFOYc1FMc
https://www.express.de/promi-und-show/heidi-klum-model-verraet-ihre-liebsten-horror-filme-112035
https://www.kla.tv/fr
Un journal « faisant autorité » vante un rapport anonyme et des « experts » anonymes pour propager un gros mensonge sur les injections de COVID « sûres et efficaces »
RépondreSupprimerPar Mark Taliano
Recherche mondiale,
1er novembre 2023
Un article paru dans le journal canadien Globe and Mail, rédigé par la journaliste sur la santé Carly Weeks, intitulé « L'agence ontarienne vante la sécurité du vaccin COVID mis à jour » s'appuie sur des « experts » anonymes et un « rapport » anonyme pour propager le grand mensonge selon lequel les injections expérimentales d’ARNm COVID sont « sûres et efficaces ».
La première déception est immédiate. Le sous-titre affirme que « Un rapport basé sur les données collectées depuis décembre 2020 révèle que 94,5 % des réactions ne sont pas graves » soulève une question immédiate. Si 94,5 % des réactions ne sont pas graves, les 5,5 % restants le sont.
Pourquoi accepterait-on une injection expérimentale dont la dangerosité est avérée alors que des thérapies sûres sont disponibles ? (1)
Les données publiques du CDC VAERS indiquent sans équivoque que les injections ne sont ni sûres ni efficaces et que les vaccins COVID sont responsables de plus de décès que tous les vaccins précédents réunis.(2)
L'article suggère en outre que la causalité n'a pas été prouvée. Mais ce n’est pas le cas non plus. Une étude du Département de cardiologie et de l'Institut de recherche cardiovasculaire de Bâle intitulée « Lésions myocardiques après ARNm du COVID-19 – 1273 rappels de vaccination » démontre que 2,8 %, soit 1 receveur de rappel sur 35, a subi une lésion myocardique associée au vaccin. Non seulement l’étude est nommée, mais elle est évaluée par des pairs et indépendante de l’industrie.(3)
Les lésions myocardiques, explique le Dr Chris Shoemaker, sont permanentes et 50 % des personnes souffrant de telles blessures décèdent dans les 5 ans.
L’article non sourcé du Globe and Mail en question suggère tacitement que le risque de blessures par piqûre en vaut la peine pour lutter contre la « pandémie ». Mais nous savons que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a supprimé les taux de mortalité de sa définition de la pandémie (4), le mot n’a donc presque aucun sens et, selon le Dr Ionniditis, le virus a toujours eu de faibles taux de mortalité par infection (LIFR) (5). ), et le fait que les traitements ont toujours été disponibles nie la légitimité d’une urgence de santé publique.
Santé publique Canada doit redécouvrir ses racines axées sur la santé et cesser de proposer des injections expérimentales catastrophiquement dangereuses à une population canadienne de plus en plus sophistiquée. Les gens sont de plus en plus conscients des taux de surmortalité extraordinaires directement liés aux injections expérimentales obligatoires de COVID.(6)
RépondreSupprimer*
Mark Taliano est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG) et auteur de Voices from Syrie , Global Research Publishers, 2017. Il écrit sur son site Web où cet article a été initialement publié.
Remarques
(1) Vidéo : « Kennedy on Ivermectin Suppression » ( Kennedy on Ivermectin Suppression (rumble.com)) Consulté le 31 octobre 2023
voir aussi : Kennedy sur la suppression de l'ivermectine – Mark Taliano
(2) Mark Taliano, « Est-il temps de licencier votre médecin ? » Le CDC VAERS enregistre plus de décès dus aux vaccins COVID que le total de tous les vaccins précédents combinés. Global Research, 7 septembre 2023. ( Is It Time to Fire Your Doctor ? CDC VAERS enregistre plus de décès dus aux vaccins COVID que le total de tous les vaccins précédents combinés – Global ResearchGlobal Research – Center for Research on Globalization ) Consulté le 31 octobre 2023.
(3) Mark Taliano, « Un receveur de rappel d'ARNm sur trente-cinq a subi une lésion myocardique associée au vaccin. » Global Research, 27 juillet 2023. ( Un receveur de rappel d’ARNm sur trente-cinq avait une lésion myocardique associée à un vaccin – Global ResearchGlobal Research – Centre de recherche sur la mondialisation ) Consulté le 31 octobre 2023.
Voir également:
Vaccins Covid : dommages cardiaques causés par les LNP, l'ARNm et la protéine Spike – Global ResearchGlobal Research – Centre de recherche sur la mondialisation
(4) Mark Taliano, «False Perception Fabrication Inc.» Global Research, 15 avril 2021. ( False Perception Fabrication Inc. – Global ResearchGlobal Research – Center for Research on Globalization ) Consulté le 31 octobre 2023.
(5) Mark Taliano, « Les tests Covid sont invalides. Les politiciens mentent. Global Research, 5 avril 2021. ( Les tests Covid sont invalides. Les politiciens mentent. – Global ResearchGlobal Research – Center for Research on Globalization ) Consulté le 31 octobre 2023.
(6) Rhoda Wilson, « Dr. Denis Rancourt : Les injections de Covid ont tué 13 millions de personnes dans le monde. The Expose, 26 juin 2023. ( Dr Denis Rancourt : Les injections de Covid ont tué 13 millions de personnes dans le monde – The Expose (expose-news.com) ) Consulté le 31 octobre 2023.
https://www.globalresearch.ca/authoritative-newspaper-touts-unnamed-report-anonymous-experts-propagate-big-lie-safe-effective-covid-injections/5838549
Les travailleurs paramédicaux lésés par les vaccins et les mandats à ARNm contre la COVID-19
RépondreSupprimerPhysiothérapeutes et ergothérapeutes, assistants médicaux et chirurgicaux, assistants dentaires, techniciens de laboratoire - 30 cas
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
31 octobre 2023
26 octobre 2023 – Parsons, KS – Leah Steinle Newland est ergothérapeute. On lui a juste retiré de gros caillots de sang de ses poumons.
- voir photo sur site -
Cet article couvre les blessures de :
physiothérapeute ou physiothérapeutes
ergothérapeutes
Orthophonistes
assistants médicaux
assistants chirurgicaux
assistantes dentaires
techniciens de laboratoire
24 octobre 2023 – Wasco, Californie – Destiny Millan était assistante dentaire. Elle est décédée subitement le 23 octobre 2023.
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14 octobre 2023 – Pittsfield, MA – Nicolette Enhorning-Picton est une hygiéniste dentaire qui vient de subir un accident vasculaire cérébral. Elle est également athlète de haut niveau, monitrice de patrouille de ski, compétitrice Ironman.
- voir photo sur site -
12 octobre 2023 – South Bend, IN – Lisa Dover est une assistante dentaire qui vient de recevoir un diagnostic de cancer du sein métastatique de stade 3.
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11 octobre 2023 – Revere, MA – Gabriella Martinelli, 26 ans, est assistante médicale. On vient de lui diagnostiquer une insuffisance hépatique aiguë et elle aura besoin d’une greffe du foie.
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25 septembre 2023 – Miami, FL – Ana Rodriguez Sire, 52 ans, est une assistante médicale qui a subi un accident vasculaire cérébral le 25 septembre 2023.
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22 septembre 2023 – Union, OH – Lacey Hite, 27 ans (technicienne de laboratoire médical), mandatée par son employeur pour prendre des vaccins à ARNm contre le COVID-19, s'est effondrée quelques heures avant son mariage et est décédée subitement le 22 septembre 2023.
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
21 septembre 2023 – Gilbert, Arizona – Elexus Renee est une assistante dentaire qui vient de recevoir un diagnostic de cancer de l'ovaire de stade 2B.
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4 septembre 2023 – Eureka, Californie – Joy DeJonge vient de recevoir un diagnostic de maladie auto-immune qui la rend très malade.
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2 septembre 2023 – Chicago, Illinois – Natalia est une assistante dentaire à qui on a diagnostiqué 2 cancers du SEIN différents, un de stade 3 et un de stade 1.
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1er septembre 2023 – Reno, NV – 1er septembre 2023 Karen Kottinger est physiothérapeute. On lui a diagnostiqué un cancer du pancréas de stade 4 avec métastases hépatiques.
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25 août 2023 – Bossier City, LA – Janee Rogers Gibbs est orthophoniste. Dx : troponines élevées, ECG irrégulier et MYOCARDITE « La cause est inconnue… je n'ai pas eu de COVID à ma connaissance, mais j'ai été ENTIÈREMENT VACCINÉ. »
Cliquez ici pour lire l'article complet .
https://www.globalresearch.ca/allied-healthcare-workers-harmed-covid-19-mrna-vaccines-mandates/5838269
En route vers une dictature sanitaire ?
RépondreSupprimer1 novembre 2023
par le Dr. Christine Né
Des chaises supplémentaires ont dû être installées au Kursaal de Hall/Tyrol le 28 octobre 2023 vers 10 heures du matin, lorsque les deux auteurs du livre, le député Gerald Hauser, député du FPÖ, et le professeur d'université Dr. Hannes Strasser, qui a accueilli environ 280 invités intéressés.
Le président du parti fédéral FPÖ, Herbert Kickl, a envoyé un message de bienvenue par vidéo dans lequel il souligne les conséquences destructrices de la politique corona de ces dernières années et met en garde contre une Organisation mondiale de la santé (OMS) comme centre de commandement des États-nations. Le secrétaire général du FPÖ, Michael Schnedlitz, a souligné dans son discours de bienvenue que seule la résistance des citoyens aurait stoppé la vaccination obligatoire générale en Autriche. Malheureusement, les hommes politiques du gouvernement ne représentent pas actuellement les intérêts des Autrichiens. Les options d'action démocratiques des citoyens seraient progressivement restreintes. La transformation vers une société de surveillance totalitaire devient évidente. Les prochaines élections porteront donc sur une décision importante en matière d’orientation et de cohésion. Le discours du politicien du FPÖ était mesuré et très sérieux, tout comme les visages présents dans la salle.
« Tout est retiré aux gens. »
L'éminente politicienne européenne Christine Anderson (AfD) a confirmé les attaques contre la souveraineté nationale, les droits fondamentaux et les libertés individuelles ainsi que contre l'identité et la propriété, la prospérité et même l'alimentation. À leurs yeux, l’Union européenne est antidémocratique. Il est parfois utilisé par des hommes politiques nationaux pour faire valoir certains intérêts dans leur propre pays. En transformant l’OMS d’un organe consultatif en un organisme gouvernemental, la responsabilité des mesures sanitaires ordonnées est transférée de la politique nationale vers un organe qui n’a pas à lutter pour une légitimité démocratique. Dans les deux cas, les processus démocratiques sont délibérément compromis. Cela conduit à un vague manque de clarté quant à la responsabilité politique. Malgré les assurances constantes, les gens ne veulent pas de transparence.
"Effet discutable, effets secondaires et effets à long terme inconnus."
RépondreSupprimerProfesseur d'université Dr. Hannes Strasser , qui est également conseiller de chambre de l'Association médicale tyrolienne, a rappelé le déroulement des années Corona. L'isolement des personnes est l'une des méthodes de « torture blanche ». Bien que ce traitement ne laisse aucune trace visible, il endommage la volonté de vivre et le psychisme. C’est exactement ce qui s’est passé, notamment avec les personnes âgées vivant dans les foyers. Le « scénario de la pandémie » a été pratiqué au préalable dans les jeux de simulation de manière marketing et orientée projet. Le gouvernement autrichien aurait également conclu au préalable un contrat de vaccination avec l’ordre des médecins.
Pour Strasser, c'est clair : « La politique et l'industrie pharmaceutique ont conclu des accords pour l'achat du vaccin. » Il a évoqué le contenu du contrat divulgué entre la Commission européenne et BioNTech/Pfizer. « Tous les États de l’UE y ont participé. La Commission européenne et les gouvernements des États membres de l'UE ont signé le contrat et les commandes de vaccins. Les responsables politiques savaient et acceptaient que l’efficacité et la sécurité des vaccins à ARNm n’étaient pas connues. Personne non plus ne connaissait les effets à long terme. » Pour le médecin qui travaille dans son propre cabinet, les campagnes de vaccination constituent la plus grande expérience humaine de l'histoire. « Fou ou impitoyable ? On ne sait pas ce qui arrive à ceux qui sont vaccinés ! Il y a déjà eu 17 millions de décès dus au vaccin dans le monde.
Les informations factuelles fournies par les intervenants ont été accueillies avec un grand intérêt par les participants. Les applaudissements soutenus ont donné une idée de l'importance pour beaucoup de pouvoir enfin recevoir du vin pur et de pouvoir situer leurs propres expériences dans un contexte plus large. Le troisième livre du duo d’auteurs Hauser et Strasser sera publié prochainement sous le titre « La normalité volée. Arrêtez la dictature de l'OMS – sauvez le système de santé. » (ISBN 978-3-903236-75-2) Plus d'informations sur Gerald Hauser – Membre du Conseil national (gerald-hauser.at)
https://tkp.at/2023/11/01/auf-dem-weg-in-eine-gesundheitsdiktatur/
Utilisez simplement le formulaire Contactez-moi pour me faire savoir combien d'argent vous souhaitez parier que vous avez raison. Je signerai ensuite un contrat écrit avec le plus offrant sérieux liant les deux parties à la transaction avant de divulguer publiquement les données.
RépondreSupprimerSi vous êtes sûr que le résultat est faux sans même voir les données, alors il s'agit d'une opportunité pratiquement sans risque de gagner beaucoup d'argent très rapidement.
Je perds si vous pouvez prouver que les conclusions d'une augmentation statistiquement significative de la mortalité toutes causes confondues étaient fausses (par exemple, après avoir pris en compte les biais, il n'y avait aucun signal) ou que les données ont été falsifiées pour obtenir le résultat d'une augmentation statistiquement significative de toutes les causes. provoquer la mortalité. Je vais même vous donner accès à l'historique d'Airtable qui exposerait toute manipulation de données.
Une fois que nous aurons mis en place un contrat écrit, je vous fournirai les données d'enregistrement de toutes les réponses à l'enquête. Vous utilisez ensuite simplement des techniques statistiques pour prouver que les données, après ajustement pour tenir compte des biais, ne contiennent en réalité aucun signal statistiquement significatif indiquant que le vaccin tue des personnes. Ensuite, vous gagnez.
Si nous ne sommes pas d’accord sur votre analyse, un panel d’épidémiologistes, avec un indice h de 50 ou plus, décidera qui gagnera. Les épidémiologistes seront sélectionnés au hasard par un cabinet de conseil mutuellement convenu. Le pot est divisé en fonction de la répartition des voix.
Si vous êtes sûr que le vaccin est sûr et qu’il n’augmente pas la mortalité toutes causes confondues, alors il s’agit d’une offre pratiquement sans risque pour vous. C'est de l'argent facile.
Accord ou pas d’accord ?
Les données sources
Voici le tableau croisé dynamique d’Airtable :
- voir graph sur site -
Je publierai bientôt l’ensemble de données complet.
Le calcul
Les chances sont définies comme prévu : inattendu.
Les valeurs de la matrice de Fisher ont été extraites du tableau : 22 49 73 362 qui totalisent 506 décès
L’existence de virus n’a jamais été prouvée : toujours la plus grande histoire réprimée de notre époqu
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Sous-pile de Jon Rappoport
1 novembre 2023
Dès que j’ai commencé à écrire sur le COVID au printemps 2020, j’ai fait valoir que l’existence du SRAS-CoV-2 n’avait pas été prouvée.
J'ai ensuite rencontré Tom Cowan, Andrew Kaufman et Christine Massey. J'ai pris connaissance du travail de Stefan Lanka. Ils lançaient un vaste défi sur les virus en général :
Pas d’isolement réel ; aucune preuve d'existence ; au lieu de cela, un défilé de fausses affirmations et d’obscurcissements provenant de sources officielles.
Quelques années plus tard… le nombre de chercheurs sérieux arrivant à la même conclusion a considérablement augmenté. (Vous pouvez trouver des liens vers certains de ces chercheurs sur la page Substack de Christine Massey)
Le nouveau travail n’est pas seulement une répétition du défi initial lancé à l’autorité officielle. Il attaque les faux virus sous plusieurs angles. Les chocs s’enchaînent.
Cette histoire ne va pas disparaître. C’est en train de construire.
Cela me rappelle l’histoire du vaccin. Lorsque j’ai commencé à écrire sur les vaccins dangereux et inefficaces, en 1987, des dizaines d’écrivains, présents et passés, avaient abordé un sujet similaire, remontant à plusieurs décennies. Mais ce n’était rien comparé à…
C’est la force de cette histoire aujourd’hui, en 2023, après la catastrophe des vaccins contre la COVID.
C’est ce qui, je crois, va arriver à l’histoire du faux virus – contre toute attente encore. Je dis « plus longtemps », car les preuves que les virus ne sont pas réels selon aucune norme scientifique saperont et feront exploser le centre même du cartel médical, qui repose uniquement sur la théorie des germes.
La théorie des germes est du marketing. La commercialisation de médicaments (toxiques) et de vaccins contre des milliers de maladies dites distinctes, chacune étant soi-disant causée par un germe unique.
Où ces virus ont-ils été découverts ? Dans des laboratoires exclusifs. Aucun civil n’est autorisé. Portes verrouillées. Seuls les experts pouvaient comprendre les détails de leur propre isolement des minuscules particules.
RépondreSupprimerLes particules dont l'existence avait été fantasmée.
Nous sommes en fait face à une histoire de mythe magique. Des chevaliers-explorateurs (médecins, chercheurs) sont à la recherche d'un objet dragon invisible qui paralyse la population. Ces héros finissent par le coincer, l'isoler et se mettre au travail pour le décimer et toutes ses variantes.
Mais la véritable fin de cette histoire est maintenant fournie par le nombre croissant de chercheurs indépendants, qui prouvent que l'objet dragon invisible n'a jamais été acculé, identifié ou isolé.
Au lieu de cela, les soi-disant chevaliers explorateurs ont inventé, inventé, fabriqué l’idée de l’objet pour commencer.
C'est la magie. Un tour de passe-passe. C'est le mythe. Des procédures de laboratoire secrètes qui, une fois révélées, s’avèrent présumer de ce qu’elles tentent de prouver. Également connu sous le nom de raisonnement circulaire.
Toute l’histoire s’est décollée.
Pour l’instant, je vais conclure avec cette analogie. Un groupe de chercheurs d’élite affirme qu’à 49 000 milliards d’années-lumière de la Terre se trouve une étoile flamboyante de la taille de la Voie lactée. Au centre de cette étoile, enfoui dans une voûte surnaturelle, se trouve un tout petit homme violet aux orteils verts et aux cheveux orange qui cause tous les problèmes et toutes les destructions circulant dans tout l'univers. Il est là. Il a été « isolé ».
Compte tenu de cette histoire incroyable, vous attendriez-vous, vous attendriez-vous vraiment à ce qu'il puisse y avoir N'IMPORTE QUEL type de test qui prouverait l'existence de ce petit homme ?
UN test authentique pourrait-il être produit ?
Alors, dans le cas du conte de fées sur les virus sauvages, sommes-nous en présence de preuves d’existence et d’isolement qu’il faut améliorer pour pouvoir les accepter ?
Ou bien sommes-nous plutôt en train de regarder le petit homme violet, dont il n’existe aucune preuve possible de l’existence ?
Parce que l’histoire est tellement absurdement scandaleuse.
Je pense que nous avons affaire au petit homme violet. Et ceci pourrait être le prochain chapitre de la révélation sans virus :
La concoction originale de virus était si folle que chaque prétendue preuve sera circulaire, stupide et futile.
There is no there to get to.
Stay tuned.
https://www.lewrockwell.com/2023/11/jon-rappoport/viruses-never-proved-to-exist-still-the-greatest-suppressed-story-of-our-time/
La poussière (appelée 'virus') ne s'est JAMAIS 'échappée' d'un laboratoire mais reconnue et employée par d'autres aux fins génocidiques' du monde entier.
SupprimerCette poussière (non-reconnue par le corps médical du monde entier) est - depuis 3 ans ! - appelé 'virus' !! Or, il n'existe AUCUNE poussière mortelle (sauf les poussières radioactives, ce qui n'est pas le cas).
Donc, le monde fait avec ce jeu de mot combinant une poussière (non-vivant) avec... un microbe (vivant) !!
Un microbe (combattu avec des antibiotique) est une bactérie (qui change donc de nom) lorsqu'elle est porteuse de maladie.
Mais... est sorti un... 'vaccin anti-poussières' !! (bombe Pliz ?) et 'tout le monde' est censé y croire !!
Or, cette poussière (nano, pour être précis) n'est PAS dans l'air mais UNIQUEMENT servi en flacons injectables de 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène !! (découverte de la docteure Astrid Stuckelberger et aussi de Carrie Madej) en plus des spikes ! des hydres ! (- Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle) ! + diverses maladies animales et une quarantaine (source Naturalnews) de venins de serpents différents !
Des comités de médecins appellent à une urgence sanitaire mondiale commune (même si le réchauffement climatique sauve des vies)
RépondreSupprimerPar Jo Nova
November 1st, 2023
Fusionnons le climat et la santé en une quasi-religion gouvernementale géante. Qu'est ce qui pourrait aller mal ?
L’industrie médicale s’est lancée samedi dans la politique et la sorcellerie médicale, appelant à fusionner la santé humaine et planétaire dans une seule urgence universelle.
Et ce, même si les humains vivent aujourd’hui plus longtemps que jamais, mangent plus de nourriture que jamais et sont moins susceptibles de mourir dans les tempêtes, les inondations et les cyclones.
- voir graph sur site -
Catastrophes mondiales qui font chaque année un bilan mortel
Les catastrophes climatiques sont moins coûteuses et moins meurtrières | Graphique — Taux de mortalité mondial dû aux catastrophes du siècle dernier, par habitant. Notre monde dans les données. Hannah Ritchie et Max Roser.
Et ce, malgré un grand nombre de documents sur 74 millions de personnes montrant que 6 à 20 fois plus de personnes meurent par temps froid que par temps chaud. Plutôt que d’être dangereux, le réchauffement climatique sauve 160 000 vies par an. Partout dans le monde, les gens meurent plus en hiver qu’en été, année après année. Même dans les villes chaudes comme Brisbane (27° 28′ 00″ sud, 153° 02′ 00″ est), ce sont les semaines froides qui tuent, pas les semaines chaudes. La température ambiante est liée à la mortalité, et il n’existe aucune vague de chaleur sur Terre qui ne puisse être résolue par davantage de climatisation. Donnez aux pauvres et aux opprimés plus de combustibles fossiles, pas moins !
Espérance de vie dans le monde. Graphique.
RépondreSupprimerOWID
Merci à Climate Dépôt
https://joannenova.com.au/2023/11/doctors-committees-call-for-joint-global-health-emergency-even-though-global-warming-saves-lives/
La Cour suprême de New York décide que les employés licenciés pour avoir refusé les vaccins COVID doivent être réintégrés avec des arriérés de salaire
RépondreSupprimerBrighton.TV
31/10/2023
Par Cassie B.
Une Cour suprême de l’État de New York a reconnu que le fait d’être vacciné contre le COVID-19 n’empêche pas les gens de transmettre le virus et a ordonné que tous les employés de la ville de New York qui ont perdu leur emploi pour ne pas s’être conformés aux obligations en matière de vaccination soient réintégrés avec des arriérés de salaire.
La ville de New York a licencié environ 1 700 employés qui avaient enfreint le mandat de vaccination contre le COVID-19 mis en place par l'ancien maire Bill de Blasio. L’actuel maire de la ville, Eric Adams, a déclaré par la suite que son administration ne serait pas disposée à réembaucher les travailleurs licenciés parce qu’ils n’avaient pas reçu le vaccin. Cependant, la Cour suprême de l'État a donné raison à ceux qui ont perdu leur emploi, dont beaucoup étaient pompiers et policiers.
Le mandat des travailleurs municipaux a été annoncé par de Blasio à l’été 2021 et est entré en vigueur en septembre. Ceux qui ne s’y conformaient pas risquaient de perdre leur emploi. Les syndicats des pompiers et de la police de la ville de New York se sont opposés à ce mandat au motif qu'il empiétait sur leurs choix personnels en matière de santé.
Plusieurs décisions similaires ont récemment fait la une des journaux. Le mois dernier, un juge de New York a déclaré que 10 employés du ministère de l'Éducation de la ville de New York qui avaient été licenciés pour avoir refusé de se faire vacciner devaient être réintégrés et se voir rembourser leur salaire. Dans cette affaire, le juge de la Cour suprême de l’État, Ralph J. Porzio, a soutenu que la ville avait agi illégalement en refusant les demandes d’accommodements religieux des employés. Les employés qui ont intenté une action en justice à ce sujet comprenaient des enseignants, des directeurs et d'autres éducateurs.
Dans son avis de 22 pages, Porzio a souligné : « Cette Cour ne voit aucune raison rationnelle de ne pas autoriser des enseignants non vaccinés parmi une population admise composée principalement d’élèves non vaccinés. »
Le mandat était en vigueur d’octobre 2021 à février 2023, période pendant laquelle des milliers d’enseignants et d’autres employés du ministère de l’Éducation ont été licenciés parce qu’ils n’étaient pas disposés à se faire vacciner.
RépondreSupprimerEn mai, il a été annoncé que le Département de la Santé de l’État de New York abandonnerait cet automne ses exigences en matière de vaccins pour les travailleurs de la santé après une contestation judiciaire de ces mandats. Le New York Post a rapporté qu'environ 30 000 travailleurs de la santé ont perdu leur emploi en raison de leur refus de se conformer aux obligations vaccinales.
Dans un communiqué, le département a noté : « En raison de l’évolution de la pandémie de COVID-19 et de l’évolution des recommandations en matière de vaccins, le ministère de la Santé de l’État de New York a entamé le processus d’abrogation de l’exigence en matière de vaccin contre le COVID-19 pour les travailleurs des établissements de santé réglementés. .»
Trop peu, trop tard
Pour ceux qui ont eu le courage de remettre en question la sécurité et l’efficacité de ces vaccins, il pourrait y avoir une certaine justification en entendant la Cour suprême de l’État de New York proclamer que « être vacciné n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le COVID-19 ». Cependant, ces mesures ne feront rien pour réparer les dommages causés à ceux qui ont accepté à contrecœur l'obligation de vaccination parce qu'ils ne pouvaient pas se permettre de perdre leur emploi et ont fini par subir des blessures causées par la vaccination, ni ne ramèneront ceux qui ont perdu la vie à la vie. effets secondaires du vaccin.
De nombreuses personnes qui sont restées inébranlables dans leur refus de recevoir ces vaccins douteux et précipités ont également subi une atteinte à leur réputation, et de nombreuses relations ont été rompues lorsque ceux qui n'ont pas reçu le vaccin ont été accusés de mettre les autres en danger, même s'il est désormais tout à fait clair que le le vaccin n’empêche pas la propagation du virus.
Même si recevoir des arriérés de salaire peut être un geste agréable pour ceux qui ont été touchés, cela ne dissipera pas l’angoisse qu’ils ont ressentie suite à leur décision de ne pas se conformer aux mandats de vaccination et à leur perte d’emploi qui a suivi et à l’impact que cela a eu sur leurs familles.
Les sources de cet article incluent :
BlacklistedNews.com
FoxNews.com
CNN.com
https://vaccines.news/2023-10-31-ny-sc-fired-employees-refused-covid-vaccines-reinstated.html
Les exportations de pétrole de la Russie augmentent malgré son engagement à réduire l'offre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 01 NOV 2023 - 10H00
Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com
Les exportations de pétrole brut de la Russie par voie maritime dépassent depuis des semaines les réductions d'exportations ciblées par le pays dans le cadre de l'accord OPEP+, les expéditions observées la semaine la plus récente atteignant 360 000 barils par jour (b/j) au-dessus de l'objectif, selon les données de suivi des pétroliers surveillées par Bloomberg. montré mardi. Malgré une légère baisse, les volumes moyens sur quatre semaines l'ont dépassé de près de 200 000 barils par jour au cours de la période la plus récente.
- voir graph sur site -
Au cours de la semaine précédant le 29 octobre, la Russie a expédié environ 3,64 millions de b/j de pétrole brut depuis ses terminaux d'exportation pétrolière, soit une hausse de 110 000 par rapport à la semaine précédente, selon les données rapportées par Julian Lee de Bloomberg.
- voir graph sur site -
L'augmentation des expéditions en provenance du port de Novorossiysk, dans la mer Noire, a contribué pour l'essentiel à l'augmentation des flux de brut en provenance de Russie au cours de la dernière semaine d'octobre et n'a été que partiellement compensée par la diminution du nombre de pétroliers qui ont quitté les ports russes de la mer Baltique. et sur le Pacifique.
Les expéditions moyennes de pétrole brut en provenance de Russie sur quatre semaines ont été légèrement inférieures, à 3,48 millions de b/j pour la semaine précédant le 29 octobre, soit une baisse d'environ 20 000 b/j par rapport à la moyenne sur quatre semaines précédant le 22 octobre.
Même ce volume d'exportation légèrement inférieur de 3,48 millions de b/j pour la moyenne des quatre semaines précédant le 29 octobre était de près de 200 000 b/j supérieur aux exportations que la Russie devrait idéalement respecter pour tenir son engagement de réduire ses exportations de 300 000 b/j, note Bloomberg.
La Russie n’a jamais clairement indiqué quelles exportations elle réduisait ni comment elle calculait ces volumes.
L’engagement de la Russie à réduire ses exportations de pétrole de 300 000 b/j inclut les produits pétroliers, a déclaré le vice-Premier ministre russe Alexander Novak au début du mois dans des remarques qui ont semé davantage de confusion sur la quantité de pétrole que la Russie retient réellement du marché.
RépondreSupprimerLa Russie s'est engagée à réduire ses exportations de pétrole de 300 000 b/j jusqu'à fin 2023, en signe de solidarité avec son partenaire de l'OPEP+, l'Arabie saoudite, qui réduit volontairement sa production de pétrole de 1 million de b/j jusqu'en 2023.
https://www.zerohedge.com/markets/russias-oil-exports-climb-despite-its-commitment-cut-supply
Brève. L’immensité du Pacifique …
RépondreSupprimerle 31 octobre 2023
Je ne me souvenais pas que le vol Tokyo-Narita-Papeete-Faa’a était aussi long, 13 heures de vol ! Presque aussi long que Madrid-Tokyo en passant au dessus de la Sibérie. C’est un vieux souvenir puisque le survol de l’espace aérien russe est interdit aux avions occidentaux, cela fait partie des sanctions de l’Occident global contre la Russie qui a envahi l’Ukraine pour protéger les ressortissants de ce pays ayant la mauvaise habitude de parler le russe et qui étaient sans cesse bombardés depuis 2014. Bref, l’objet de ce court article n’est pas de faire encore des commentaires désobligeants sur l’un ou l’autre pays, encore que j’ai très envie de ne pas me priver de ce plaisir, mais de prendre conscience que l’autre « mare nostrum » qu’est l’Océan Pacifique est aussi le deuxième territoire maritime américain après l’Atlantique et il faut l’avouer la mer intérieure que constitue la Méditerranée.
Donc, pour se rendre à Tokyo depuis Tahiti l’aéronef survole les Tuamotu et c’est logique puisque la route est à peu près celle empruntée pour se rendre dans l’archipel des Marquises. Et puisque je viens de nommer les Îles Marquises celles-çi se trouvent à 8 degrés sud et si on se rend sur le site « Google-Earth » en pointant le centre de l’écran sur Niku-Hiva tout ce que l’on voit autour de cet archipel n’est que de l’eau depuis le Chili jusqu’à l’Australie et du Japon aux confins de l’Antarctique. Il n’est donc pas surprenant que le vol Tahiti-Tokyo soit aussi long puisque l’étendue d’eau visible a un diamètre de l’ordre de 18000 km et alors il faut au moins 13 heures pour en parcourir la moitié.Le premier signe de vie terrestre est un atoll des Tuamotu :
- voir photo sur site -
Quelques longues heures plus tard on survole un atoll des Marshall. Il s’agit d’une dépendance américaine qui servit de base d’essais nucléaires monstrueux. Des centaines de pêcheurs paisibles furent déplacés autoritairement pour que l’armée yankee puisse expérimenter ses armes de destruction massive :
- voir photo sur site -
En s’acheminant vers le Japon l’avion ne pas pas très loin des Îles Mariannes où se trouve une gigantesque installation militaire américaine. Cet archipel occupé par le Japon avant la seconde guerre mondial est maintenant américain et le restera en raison de sa position stratégique. Et en ce mercredi premier novembre je fus dérangé alors que je commençais à tranquillement m’occuper du petit jardin d’agrément de mon fils un gros hélicoptère américain qu’on appelle une « banane » ma fait bourdonner les oreilles …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/10/31/breve-limmensite-du-pacifique/
Une curieuse relation de cause à effet
RépondreSupprimerle 2 novembre 2023
Voici une introduction à l’article qui sera mis en ligne sur ce blog samedi 4 novembre 2023 et je laisse les lecteurs deviner quel sujet sera abordé. Une étude « sérieuse » a révélé que le nombre de naissances en Allemagne était étrangement corrélé à la consommation de margarine. La même corrélation a été décrite pour les cinquante États américains contigus. La margarine est une succédanée du beurre. Il s’agit d’une émulsion de matières grasses d’origine variée dans de l’eau dont la composition peut comprendre de 10 à 18 % d’eau. Les matières grasses utilisées sont d’origine végétale mais peuvent provenir d’animaux. Afin de stabiliser l’émulsion. Afin d’obtenir une matière solide les graisses et huiles sont partiellement hydrogénées par un procédé chimique. Le principe de l’émulsion aqueuse des graisses végétales est d’origine française. Ce sont en effet les chimistes Chevreul en 1813 puis Mouriès en 1869 qui mirent au point cette technique. Il fallut attendre les travaux de Grignard pour que l’hydrogénation des acides gras polyinsaturés catalysée par du nickel favorise l’essor de la margarine solide à la température ambiante et enfin l’amélioration de ce procédé industriel avec l’avènement de la catalyse avec des organomagnésiens mise au point à nouveau par Grignard, un autre chimiste français. Malgré ce succès les entreprises françaises ne réussirent pas à exploiter ce nouveau filon que les Allemands s’empressèrent de rendre célèbre.
- voir graph sur site -
Il est enfin intéressant de noter que la crise de 1929 accéléra la promotion mondiale de la margarine à tel point que les pénuries de beurre conduisirent au sommet de l’aspect artificiel de cette matière grasse puisque les Allemands mirent au point une margarine totalement artificielle puisqu’elle était fabriquée avec du charbon ! Le procédé consistait à oxyder la paraffine synthétique provenant du charbon et de fractionner par distillation les fractions d’acides gras de 9 à 16 atomes de carbone et de les estérifier avec du glycérol lui-même issue de propylène produit à partir de ce même charbon. Et les Allemands, ingérant ce produit totalement synthétique ne s’en portaient pas plus mal … Une telle approche va-t-elle retrouver un intérêt avec le bannissement de l’élevage bovin, gros producteur de méthane qui est déclaré comme un important perturbateur du climat ? Je laisse aux lecteurs du présent article de ce blog le soin se se forger une opinion raisonnée. Pour ma part je préférerai toujours le lait entier qui contient un peu de vitamine D et le beurre d’origine laitière sans oublier, mais est-il nécessaire de le mentionner, le fromage bien français. On ne remplacera jamais un bon beurre et un excellent Époisse ou un Saint-Marcellin affinés dans des caves adéquates.
Pourquoi ce nombre de naissances serait-il corrélé à la consommation de margarine, nul ne le sait mais déduire une relation de cause à effet paraît pour le moins fortuite voire fallacieuse. Il existe cependant une possible interférence entre des margarines fabriquées avec les corps gras d’origine végétale, huile d’olive, de colza, de soja, de maïs, coton, … puisqu’ils contiennent des quantités certes faibles mais non nulles de phyto-stérols (illustration ci-dessous) pouvant interférer avec la synthèse par les ovaires d’estradiol ou de progestérone.
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Je laisse le soin aux spécialistes d’en décider. Tout ce qui est cité dans cet article peut se retrouver sur la toile mais la corrélation dont il est fait mention dans cet article introduit le lecteur dans le vaste domaine des relations de cause à effet improbables, voire fallacieuses. L’article suivant sur ce blog vous permettra de décider du caractère improbable ou totalement fallacieux d’une corrélation qui préoccupe la presque totalité des êtres humains aujourd’hui depuis les années 1970 lorsqu’elle fut découverte.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/11/02/une-curieuse-relation-de-cause-a-effet/
Un dirigeant de BP décrit l’industrie éolienne offshore américaine comme « fondamentalement brisée »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 02 NOVEMBRE 2023 - 11H30
Orsted n’est pas le seul à se rendre compte que la révolution verte est vraiment rouge foncé en termes de valeur actionnariale.
S'exprimant mercredi lors du sommet du FT Energy Transition, un responsable des énergies propres de la supermajor BP a déclaré que l'industrie éolienne offshore américaine était « fondamentalement brisée » et avait besoin d'une réinitialisation. Mais l'environnement réglementaire et d'autorisation pour l'industrie peut être amélioré, a déclaré Anja-Isabel Dotzenrath, responsable du gaz et de l'énergie à faible émission de carbone chez BP, lors de la conférence, rapportée par Reuters.
Actuellement, l’environnement réglementaire américain est difficile pour les promoteurs en raison du manque de mécanismes d’ajustement à l’inflation, des problèmes d’autorisation et du décalage entre la signature du contrat d’achat d’électricité et la construction des projets, selon le patron de l’énergie verte de BP.
BP lui-même a enregistré une charge de dépréciation avant impôts de 540 millions de dollars au troisième trimestre liée aux projets éoliens offshore aux États-Unis.
La demande de BP et Equinor visant à renégocier les accords d’achat d’électricité associés aux parcs éoliens Empire Wind 1 et 2 et Beacon Wind 1 au large des côtes de New York a été rejetée le mois dernier.
"Equinor et BP évaluent l'impact de cette décision sur ces projets et les futurs plans de développement", a déclaré BP.
La société norvégienne Equinor, partenaire de BP dans ces projets, a reconnu une dépréciation de 300 millions de dollars sur ses projets éoliens offshore sur la côte nord-est des États-Unis suite au rejet de requêtes liées aux accords d'enlèvement.
« Les projets éoliens offshore sur la côte nord-est des États-Unis sont affectés négativement par l'inflation des coûts et les contraintes de la chaîne d'approvisionnement. La Commission de la fonction publique de New York a rejeté les demandes d'augmentation de prix d'Equinor et d'autres sociétés et Equinor évalue les implications pour ses projets », a déclaré Equinor dans la publication de ses résultats du troisième trimestre la semaine dernière.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/markets/bp-executive-describes-us-offshore-wind-industry-fundamentally-broken
Viticulture et leucémies infantiles : une étude un peu « survendue » et instrumentalisée
RépondreSupprimer2 Novembre 2023
Deux enseignements :
1. Rassurant : on n'a pas trouvé de preuve d'association entre la proximité des vignes et la leucémie aiguë infantile ;
2. En dernière analyse également rassurant mais anxiogène pour les hypocondriaques et « businessogène » pour les activistes antipesticides : on a trouvé « une légère augmentation du risque de [leucémie aiguë lymphoblastique] chez les enfants vivant dans des zones à forte densité de viticulture ».
Qu'est-ce que cela donne dans l'article scientifique, le communiqué de presse de l'INSERM, les médias ?
Ce serait une « vaste étude de l'INSERM », selon « La densité de vignes augmente le risque de leucémie chez l’enfant », d'un Rue89Bordeaux que l'on sent un peu dépité, la Nouvelle Aquitaine ne portant pas le bonnet d'âne. C'est en tout cas un vaste travail.
L'étude, c'est « Association between Residential Proximity to Viticultural Areas and Childhood Acute Leukemia Risk in Mainland France: GEOCAP Case-Control Study, 2006–2013 » (association entre la résidence proche des zones viticoles et le risque de leucémie aiguë chez l'enfant en France métropolitaine : étude cas-témoins GEOCAP, 2006-2013) de Matthieu Mancini, Denis Hémon, Perrine de Crouy-Chanel, Laurence Guldner, Laure Faure, Jacqueline Clavel et Stéphanie Goujon. L'article a été publié dans Environmental Health Perspectives.
L'équipe relève majoritairement du Centre de Recherche en Épidémiologie et Statistiques (CRESS) et comprend deux membres de Santé Publique France.
Le résumé de l'étude
Voici la meilleure source, si on exclut l'étude elle-même.
«Contexte :
L'exposition aux pesticides est soupçonnée d'être un facteur de risque pour plusieurs cancers infantiles, en particulier la leucémie aiguë (LA). La plupart des preuves sont fondées sur l'utilisation domestique de pesticides déclarée par les parents, mais certaines études ont également abordé les associations avec l'utilisation agricole de pesticides à proximité du lieu de résidence.
RépondreSupprimerObjectifs de l'étude :
L'objectif de l'étude était d'évaluer le risque de LA chez les enfants vivant à proximité de vignes, une culture soumise à une utilisation intensive de pesticides.
Méthodes :
Les données ont été tirées de l'étude GEOCAP, basée sur un registre national. Nous avons inclus tous les cas de LA de moins de 15 ans diagnostiqués en 2006-2013 (n = 3.711) et 40.196 témoins contemporains représentatifs de la population infantile en France. La proximité des vignes (probabilité de présence à 200, 500 et 1.000 mètres) et la densité de la viticulture (surface consacrée à la vigne dans un rayon de 1.000 mètres) ont été évaluées autour des adresses géocodées dans un système d'information géographique combinant trois cartes nationales d'occupation des sols. Des modèles de régression logistique ont été utilisés pour estimer les odds ratios (OR) pour toutes les LA et pour les sous-types lymphoblastiques (LAL) et myéloïdes (LAM). L'hétérogénéité entre les régions a été étudiée par des analyses stratifiées. Des analyses de sensibilité ont été effectuées pour tenir compte, en particulier, de l'incertitude du géocodage, de la densité des autres cultures et des facteurs de confusion démographiques et environnementaux potentiels.
Résultats :
Au total, environ 10 % des témoins vivaient à moins d'un kilomètre de vignes. Bien qu'aucune preuve d'association entre la proximité des vignes et la LA n'ait été trouvée, la densité de la viticulture était positivement associée à la LAL [OR =1,05 (1,00-1,09) pour une augmentation de 10 % de la densité], avec une hétérogénéité statistiquement significative entre les régions. Aucune association avec la LAM n'a été observée. Les résultats sont restés stables dans toutes les analyses de sensibilité.
Conclusion :
Nous avons mis en évidence une légère augmentation du risque de LAL chez les enfants vivant dans des zones à forte densité de viticulture. Ce résultat confirme l'hypothèse selon laquelle l'exposition environnementale aux pesticides peut être associée à la LAL chez l'enfant. https://doi.org/10.1289/EHP12634 »
Est-ce bien honnête ?
Nous posons cette question sur le mode provocateur à dessein.
Quelle est, en effet, l'information principale ? Ce n'est pas la « légère augmentation du risque de [leucémie aiguë lymphoblastique] », mais le fait « qu'aucune preuve d'association entre la proximité des vignes et la [leucémie aiguë] n'ait été trouvée ».
On peut sans doute comprendre la propension des chercheurs à communiquer sur un « résultat positif » – un effet – plutôt que sur un « résultat négatif » – une absence d'effet –, ainsi que l'appétence des revues scientifiques pour cette démarche.
Mais nous sommes dans un monde où des résultats de ce genre ne sont plus confinés dans un monde scientifique habitué, majoritairement, à faire la part des choses. Ils sont instrumentalisés, souvent déformés, et peuvent être diffusés de manière démultipliée par les médias à la recherche du sensationnalisme, par les entités qui font commerce de la peur et de la contestation sociétale, et par les acteurs des réseaux sociaux. On ne peut dès lors que regretter ce qui relève de la faute éthique.
RépondreSupprimerLes auteurs écrivent dans leur texte :
« Dans l'ensemble, il n'y a aucune preuve d'association entre l'indicateur de proximité des vignes et la LAL ou la LAM (tableau 2). Les OR étaient proches de un dans toutes les catégories sans hétérogénéité statistiquement significative. »
Cette simple et explicite phrase n'a pas trouvé sa place dans le résumé. On y a privilégié une proposition concessive (« Bien qu'aucune preuve d'association entre la proximité des vignes et la LA n'ait été trouvée... »).
Qu'a-t-on vraiment trouvé ?
Les chercheurs se sont livrés à un travail de triturage des données, exercice normal pour une étude essentiellement exploratoire, se fondant de surcroît sur des données de géolocalisation quelque peu imprécises.
C'est le tableau 2 qui résume le mieux ce qui a été trouvé.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que, s'il s'agit de tirer des enseignements, ce n'est pas très convaincant. Les odds ratios ne sont pas très élevés – pas de quoi faire sauter des épidémiologistes sur une chaise comme des cabris. En outre, les intervalles de confiance englobent 1 (ce qui correspond à des résultats statistiquement non significatif).
On peut même ironiser : les chercheurs ont eu la chance de trouver un miraculeux OR de 1,05 avec un intervalle de confiance de 1,00-1,09.
Bref, comme cela a été dit par ailleurs, en réponse à des critiques, il s'agit – au mieux à notre sens – à un « signal faible ».
En fait, nous somme plutôt perplexe devant une contradiction apparente : le risque de leucémies infantiles de tous types n'est pas augmenté par la présence de vignes – par rapport à l'absence –, mais le risque du type majoritaire (lymphoblastique, 80 %) augmente avec la densité des vignes.
Pour d'autres interrogations, on pourra se rendre sur le compte X de Bio_Saiyan.
Les auteurs ont aussi procédé à une analyse par région administrative. Ils écrivent :
« L'association entre la densité de la viticulture et le risque de LAL est apparue plus marquée dans 5 des 12 régions (Centre-Val-de-Loire, Grand-Est, Pays de la Loire, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d'Azur-Corse) ; aucune association n'a été trouvée pour les autres régions, en particulier la Nouvelle-Aquitaine, où plus de 20 % des témoins résidaient à proximité de la viticulture. Cela peut être dû à l'hétérogénéité de la description des zones viticoles dans les zones tampons de nos indicateurs ou à l'hétérogénéité régionale de l'utilisation ou des pratiques en matière de pesticides. Ces hypothèses méritent d'être approfondies. »
Le tableau 5 (reproduit en partie ci-dessous) montre en effet des résultats quelque peu surprenants. La Nouvelle-Aquitaine, grande utilisatrice de produits phytosanitaires compte tenu de ses conditions climatiques, « s'en sort plutôt bien ». Et Auvergne-Rhone-Alpes peut passer pour un outlier, une valeur aberrante. Au total, on peut formuler une autre hypothèse explicative : le hasard.
Ces résultats, pris dans leur ensemble, ne plaident pas vraiment pour la conclusion générale des auteurs :
RépondreSupprimer« En conclusion, nous avons mis en évidence une légère augmentation du risque de LAL infantile dans les zones à forte densité de viticulture, avec une certaine hétérogénéité entre les régions. Cette constatation renforce l'hypothèse selon laquelle les pesticides utilisés en viticulture pourraient être associés à la LAL infantile, une hypothèse que nous étudierons plus en détail en utilisant les bases de données disponibles sur les utilisations agricoles des pesticides. »
Pourrait-il y avoir d'autres hypothèses ? Patience...
Notons un autre résultat qui, bien qu'affligé par un intervalle de confiance peu sympathique, suggère que les « méchants » pesticides ne sont peut-être pas si méchants que ça, s'agissant des leucémies aiguës infantiles : la référence est les zones urbaines de moins de 100.000 habitants, sans cultures dans un rayon d'un kilomètre. Lorsqu'il y a au moins une parcelle cultivée, mais pas en vigne, dans ce rayon – et a priori emploi de pesticides agricoles –, l'OR tombe à 0,84 (0.62-1.14) ou 0,83 (0,60-1.14), selon qu'il y a ou non une culture à moins de 500 mètres.
Et lorsque l'agglomération a une population supérieure à 100.000 habitants, l'OR tombe aussi à 0,91 (0,73-1,13).
Procédons à une extrapolation certes hasardeuse, car l'allégation devrait être prouvée : cette étude, déjà globalement rassurante pour les riverains de vignes, l'est encore plus pour les populations rurales, sachant que la vigne ne couvre que 3 % environ de la surface agricole utile, mais utilise 20 % des produits phytopharmaceutiques, et 80 % des fongicides, par des traitements en hauteur et à l'horizontale plutôt qu'au ras du sol ou de la culture et vers le bas.
Ajoutons que l'incidence de la leucémie aiguë est de 1,5 sur 100.000 enfants. Selon l'étude, il y a environ 500 nouveaux cas par an.
Un communiqué de presse de l'INSERM pédagogique
Le communiqué de presse, « Une étude de l’Inserm s’intéresse au lien entre le risque de leucémie pédiatrique et le fait d’habiter à proximité de vignes », est pédagogique, équilibré et aussi factuel que possible :
« L’analyse de ces données met en lumière deux résultats principaux. En premier lieu, la présence de vignes à moins de 1000 mètres de l’adresse de résidence n’était pas plus fréquente chez les cas (9,3%) que chez les témoins (10%). En d’autres termes, d’après ces résultats, la simple présence de vignes à moins de 1000 m de l’adresse de résidence ne semble pas en soi être un facteur de risque de leucémie.
En revanche, les scientifiques ont observé une association entre le risque de développer une leucémie de type "lymphoblastique" et l’étendue de la surface couverte par les vignes, dans ce périmètre de 1000 mètres autour de l’adresse des enfants. Ce risque augmente de façon modérée en fonction de la surface couverte par les vignes : en moyenne pour chaque augmentation de 10 % de la part couverte par les vignes dans le périmètre de 1000 mètres, le risque de leucémie lymphoblastique augmente de près de 10%. »
RépondreSupprimerEt les médias ?
Le bon côtoie sans surprise le moins bon, bien plus nombreux. Les titres anxiogènes qui font un lien entre vignes et leucémies – zappant donc l'information principale et oubliant la distinction entre LA et LAL – abondent. L'information principale est généralement donnée, noyée dans le texte.
Citons pour le moins bon Libération dont on peut penser qu'il a sciemment surfé à la limite de la désinformation comme en témoigne le conditionnel dans son titre : « Leucémies chez l’enfant : vivre près des vignes comporterait des risques ».
Question médiocrité, tirons notre chapeau à Allo Docteurs – en principe fournisseur d'information à caractère médical – et son « Pourquoi vivre près d'une vigne augmente le risque de leucémie chez les enfants ». En chapô :
« Vivre à proximité des vignes serait associé à un risque accru de leucémie, un cancer du sang, chez les enfants, selon une nouvelle étude française. En cause : les pesticides utilisés dans ces cultures. On vous explique. »
Ah, l'alternance de l'indicatif et du conditionnel... Mais non, le risque accru n'est que pour un type de leucémie, et l'étude n'a nullement mis les pesticides en cause...
Le Monde se distingue...
Une mention summa cum laude sera attribuée au Monde – de M. Stéphane Foucart, évidemment, « Pesticides : la densité de vignes autour du domicile associée à un risque accru de leucémie de l’enfant ».
Dans deux tweets successifs, M. François-Marie Bréon relève :
« [...] Je suis allé voir comment cette étude est rapportée dans les grands médias. Libération, L’Express, Le Point, Science et Avenir et même Reporterre mentionnent bien les deux [résultats], dont le premier qui est "rassurant".
Le seul média que j’ai trouvé et qui ne donne QUE le second résultat (celui qui indique un lien entre vignoble et leucémie) est Le Monde… Curieux, non ? »
M. Stéphane Foucart a daigné répondre...
« L’analyse montre que, plutôt que la proximité des vignes au domicile, c’est la proportion de territoire consacrée à la viticulture, à moins de 1 kilomètre du lieu de résidence, qui est associée à une augmentation du risque. Un risque qui ne concerne que la leucémie aiguë lymphoblastique (80 % des leucémies de l’enfant), et non la leucémie aiguë myéloïde, plus rare, qui dans cette analyse ne semble pas associée à la culture de la vigne. »
Il vous est loisible de penser que l'incise constitue une description intelligible et honnête du résultat principal de l'étude... Même Générations Futures fait mieux dans l'objectivité... en revendiquant tout de même « un vaste plan de conversion de notre agriculture vers un modèle agricole vraiment durable, tel que l’agriculture biologique »...
RépondreSupprimerL'Express se distingue aussi, mais différemment
L'Express a publié le 27 octobre 2023 (derrière un péage) « Vignes et risque accru de leucémie : les chercheurs répondent aux critiques », un excellent entretien avec Mme Jacqueline Clavel, directrice de recherche INSERM au CRESS. En voici un extrait :
« Sur la base de votre étude, est-ce que vous recommanderiez aux populations de ne pas s’installer à côté de zones à forte densité de vignes ?
Non. Je reste très mesurée sur l’utilisation du principe de précaution, parce que nos arguments de causalité sont insuffisants. Et il ne faut probablement pas considérer isolément chaque facteur de risque potentiel. Par exemple, la pollution de l’air semble aussi associée au risque de leucémie chez l’enfant. Un principe de précaution doit s’appliquer quand on détient des certitudes sur les bénéfices qu’il peut apporter, quand on est sûr qu’il va diminuer un risque et améliorer la santé des personnes. Et il faut aussi prendre en compte le bien-être et la qualité de vie des personnes.
Donc, votre étude ne recommande pas non plus de stopper l’usage des pesticides ?
Je prends un exemple fictif pour illustrer notre démarche, mais imaginons que l’augmentation du risque de leucémie soit liée à un champignon qui se développerait sur les vignes et que les pesticides permettraient justement d’éradiquer ce champignon. Alors l’interdiction des pesticides n’aurait aucun intérêt préventif. Il nous faut donc approfondir ce lien statistique pour avoir une chance d’apporter des réponses qui éclairent une décision de santé publique. Sinon, nous prenons le risque de faire une soupe de l’intérêt de santé publique, ce qui nous priverait de faire ressortir de vraies bonnes mesures. »
C'est là un discours de la raison qu'on aimerait voir et entendre plus souvent.
https://seppi.over-blog.com/2023/11/viticulture-et-leucemies-infantiles-une-etude-un-peu-survendue-et-instrumentalisee.html
Pourquoi le marché européen de l’électricité a-t-il fait grimper nos factures ?
RépondreSupprimerEt si l’approche libérale, en ce qui concerne l’électricité, ne convenait pas ? Et si concurrence et marché conduisaient à une augmentation des prix ? C’est à ces questions difficiles que s’attaque
Michel Negynas.
le 2 novembre 2023
La « libéralisation » du marché européen a fait monter les prix partout, et les a fait exploser en France. Cela ne devrait pas faire l’objet d’un article sur un media qui prône le libéralisme. Mais c’est un fait, cela s’explique aisément, et n’enlève en rien l’intérêt de la libre entreprise et de la concurrence pour générer du dynamisme et du progrès. C’est que l’électricité n’est pas un produit comme un autre.
L’électricité est en effet un des rares domaines où il n’est pas absurde de concevoir des acteurs monopolistiques, pour autant que les États leur imposent des objectifs clairs (sécurisation des livraisons à court et long terme, résilience aux aléas conjoncturels,) et des règles de gestion transparentes autant sur les programmes d’investissements que sur la fixation des prix.
Marcel Boiteux, dans un texte publié sur la revue Futurible, daté d’avril 2007, (« Les ambiguïtés de la concurrence ») était revenu sur les principes qui avaient conduit à construire le groupe EDF/GDF, pour en conclure que la libéralisation du marché de l’électricité ne pourrait qu’augmenter le prix au consommateur.
On peut discuter du positionnement politique de monsieur Boiteux, mais on ne peut nier qu’il avait raison.
Ce texte est tellement pédagogique qu’il mérite qu’on s’attarde sur de nombreux extraits
« Les réseaux […] relèvent de la catégorie des « monopoles naturels ». (Pour distribuer deux fois plus de kWh sur 100 km², le coût est doublé si l’on s’y met à deux, mais il n’augmente que de 40 à 50 % si l’on est seul à développer des maillages sur le réseau existant : il coûte donc tellement cher de n’être pas seul, que le monopole est dit « naturel »)
[…]
Quant à la production toutefois, un débat s’ouvre déjà sur la possibilité réelle de laisser aux compétiteurs le soin de prévoir à l’avance assez de moyens de production pour être suffisamment assurés, le moment venu, de passer les pointes de demande – ces pointes qui pourraient résulter, à terme, de la conjonction malheureuse d’une forte activité économique, d’un grand froid et d’une mauvaise hydraulicité affectant la production des usines hydroélectriques. La règle autrefois, c’était, en probabilité, de ne pas être « défaillant » (c’est-à-dire de ne pas avoir à recourir à des coupures tournantes de la clientèle) plus d’une fois tous les vingt ans – après avoir exploité, bien sûr, toutes les possibilités de secours venant des pays voisins d’une part, d’effacement de certains très gros clients consentants (moyennant rabais) d’autre part. Vingt ans… Il est à craindre qu’aucun industriel privé n’accepte d’investir dans une installation, même légère, qui ne marchera statistiquement qu’une fois tous les vingt ans.
[…]
Outre les monopoles naturels, existe le phénomène dit des « coûts de transaction » (qui valut notamment son prix Nobel au professeur R.H. Coase), lequel peut justifier qu’on renonce dans certains cas aux heureux effets de l’émulation concurrentielle. En l’occurrence, il arrive dans certains secteurs que la difficulté, l’urgence et l’enjeu de l’information soient tels que l’organisation hiérarchique soit préférable au libre jeu du marché.
RépondreSupprimerC’est évident dans le cas du « dispatching ». À chaque instant, le moindre écart entre l’offre et la demande globale d’électricité entraînerait une variation de la fréquence, ce que le réseau ne peut supporter. Là, pas question d’attendre que se fixe librement sur le marché le prix pour lequel l’offre égalera la demande !
[…]
Les réseaux étant ce qu’ils sont, il n’existe un réel marché que sur la « plaque » formée de la France, du Benelux et de l’Allemagne (de l’Ouest). Sur ce marché, les prix se fixent très naturellement, à chaque instant, au niveau du coût du kWh fourni par le dernier fournisseur auquel il faut faire appel pour faire face à la demande, donc au fournisseur le plus cher de ceux qu’il faut mobiliser, lequel est allemand … et coûteux comparé aux coûts français. D’où une hausse, parfois considérable, des prix de l’électricité facturée aux anciens clients d’EDF qui, au nom (estimable) de la liberté, avaient opté imprudemment pour quitter les tarifs de service public et se livrer aux prix du marché. »
Et ceci a été écrit en 2007 ! Depuis, il y a eu pire : la course aux intermittentes, l’ARHEN, qui oblige EDF à brader à ses concurrents, le non respect de la règle des vingt ans…
Marcel Boiteux avait raison
De nombreuses études confirment ce qui nous arrive en Europe.
La condition fondamentale d’un marché libéral reste celle de Walras « le prix pour lequel l’offre égale la demande doit se fixer librement sur le marché ». Et ce n’est pas possible, concernant l’électricité. C’est le dispatching qui assure offre et demande. Même aux États-Unis, la moitié des États ont conservé une situation monopolistique.
L’Étude de l’Association Américaine des Entreprises Publiques d’Électricité (2022) montre que les tarifs d’électricité des entreprises ayant gardé le modèle historique (régulé par les États) pratiquent des tarifs en moyenne plus bas de 28 % que les autres et moins sensibles aux hausses des prix du gaz.
L’Étude de la Harvard Business School (2023) :
RépondreSupprimer« La question de savoir si la déréglementation entraîne ou non une baisse des prix est théoriquement ambiguë. Les prix basés sur le marché incitent les entreprises qui maximisent leurs profits à réduire leurs coûts, mais, en présence d’imperfections du marché, l’écart entre les prix et les coûts marginaux peut se creuser. Lorsque cet écart est supérieur à la réduction des coûts, les prix augmentent ».
L’étude constate que la concurrence a amené effectivement des producteurs d’électricité à optimiser leur gestion, d’où des réductions de coûts mais néanmoins :
« Nous avons trouvé que fondamentalement les prix de gros augmentaient fortement dans les Etats dérégulés [ayant introduit la concurrence] par rapport à ceux observés dans les Etats ayant gardé le modèle historique […]De plus la déréglementation pousse les fournisseurs d’électricité à s’approvisionner sur le marché au détriment de leur production propre. La combinaison des deux facteurs « explique une large part des hausses des prix de détail.
[…]
Les causes premières sont « une offre et une demande inélastique, l’obligation à chaque instant qu’offre et demande soient égales, un transport de l’électricité onéreux sur des longues distances, des investissements échoués… qui se traduisent par des « imperfections de marché ».
(Voir « Géopolitique de l’électricité »)
En réalité, le marché européen est tout sauf libéral
Il réussit à cumuler les inconvénients d’un marché de l’électricité plus ou moins monopolistique régulé (contraintes sur les acteurs) et libéral (absence de vision à long terme, volatilité aberrante des prix).
En plus du marché boursier, ont été créés cinq marchés réglementés pour « libéraliser », ce qui est un comble :
Un marché de quotas d’émissions de gaz carbonique qui distord la concurrence entre moyens de production.
Un marché des énergies renouvelables (ENR) subventionné (directement, ou indirectement : prise en charge des coûts énormes de raccordement, priorité sur le réseau via les prix garantis par l’Etat). Cette garantie de prix donne la priorité aux ENR sur les moyens pilotables, ce qui diminue la rentabilité de ceux-ci.
Un marché à coûts de revient fixés par l’État (ARHEN), qui est proche de l’abus de bien social, puisque le nucléaire a été entièrement payé par les clients d’EDF qui ne peut pas leur faire profiter du retour sur investissement.
Un marché de capacités, censé obliger les « passagers clandestins » de trading pur à investir dans des capacités pilotables qui sont inefficaces.
Un marché d’économies d’énergie (les « CUMAC ») via l’imposition aux acteurs énergétiques de prouver qu’ils ont contribué à des projets en ce sens.
En outre, la fixation du prix au coût marginal lors des contrats boursiers, chère à Boiteux et adoptée par le marché européen, était un optimum, dans les conditions du marché français, mais c’est une aberration dans les conditions du marché européen actuel. Tout ceci se démontre mathématiquement. (voir une série de trois vidéos amusantes mais pédagogiques sur ce sujet compliqué)
RépondreSupprimerRésultante : l’État, effrayé par les conséquences sociales de ces bazars, a inventé un nouvel outil, lui, complètement antilibéral : le bouclier tarifaire énergétique.
Doit-on pour autant renoncer à une certaine concurrence ?
Bien sûr que non. Même si l’État maîtrise des éléments de gestion et organise des situations de monopoles ou oligopoles, une forme de concurrence peut s’exercer car l’État n’a pas forcément à être opérateur, il peut mettre en concurrence l’opérationnel à travers des appels d’offre sur le long terme (à l’exemple des autoroutes : même avec une négociation désastreuse des fonctionnaires, le bilan financier est positif pour le budget de l’État, et les autoroutes sont bien gérées).
Mais les règles de « gestion raisonnable » prônées par monsieur Boiteux sont pour l’instant impossibles à pratiquer :
– les règles européennes interfèrent sur ce que peut faire l’État français. Les contraintes sont générées politiquement, pour des raisons de compétitivité entre États, et n’ont rien à voir avec le bien commun.
– L’État français, via RTE, ne gère pas la sécurité d’alimentation du réseau français. À l’aide de conventions probabilistes erronées, RTE construit des scenarii complaisants qui ne reflètent pas les vrais problèmes.
– L’État français a pris la totalité du contrôle d’EDF, tout en lui laissant le statut d’entreprise privée. Cette situation est à l’origine du débat à venir sur le prix du KWh. Légitimement, EDF veut se maintenir une marge pour se désendetter et investir, mais l’État traite EDF comme si elle était nationalisée, et s’en sert pour amortir l’effet désastreux des règles européennes.
Quand sortirons-nous de cette impasse ?
https://www.contrepoints.org/2023/11/02/466323-pourquoi-le-marche-europeen-de-lelectricite-a-t-il-fait-grimper-nos-factures
Le directeur du renseignement national poursuivi pour censure sur les réseaux sociaux
RépondreSupprimer11/01/2023
Zoey Ciel
L'organisation de surveillance Judicial Watch a lancé une offensive juridique contre le Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) pour transparence sur une prétendue censure des médias sociaux.
Le procès, identifié sous le nom de Judicial Watch, Inc. c. Bureau du directeur du renseignement national, fait suite à une demande ignorée de la Freedom of Information Act (FOIA) déposée en mai.
Le procès met en lumière la lutte en cours contre la censure et la défense constante de la liberté d’expression.
Le chien de garde exige des dossiers et des communications du NCTC et du FMIC
L'objectif du procès de Judicial Watch est d'exiger des « dossiers et communications » du National Counterterrorism Center (NCTC), notamment concernant le Foreign Malign Influence Center (FMIC).
L'organisme de surveillance recherche des informations cruciales telles que les organigrammes, les descriptions de postes, les budgets annuels et, en particulier, les communications avec les principales plateformes de médias sociaux comme Facebook, Meta, Reddit, TikTok, Twitter, YouTube et Instagram concernant les "opérations d'influence étrangère". désinformation » et « désinformation ». (Connexe : La Cour suprême autorise le gouvernement fédéral à continuer de supprimer le contenu des médias sociaux.)
Le procès cherche également à obtenir un aperçu des politiques, procédures et plans stratégiques élaborés par les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux.
Cependant, le procès n’est pas une initiative isolée de Judicial Watch. Il ne s’agit que d’une partie d’une saga en cours d’entités contestataires soupçonnées d’empiéter sur la liberté d’expression sous prétexte de lutter contre la désinformation.
Selon le site Internet de l'ODNI, le NCTC « produit des analyses, maintient une base de données faisant autorité sur les terroristes connus et présumés, partage des informations et mène une planification opérationnelle stratégique ».
Parallèlement, le FMIC s'organise autour de trois axes d'action :
Intégration analytique
Gestion des missions
Engagement des partenaires
Le FMIC travaille en étroite collaboration avec le National Intelligence Council (NIC), le National Intelligence Management Council (NIMC) et les partenaires de l'agence au sein de la communauté du renseignement.
RépondreSupprimerLe FMIC sous l'ODNI cible la liberté d'expression
Bien que de courte durée, la formation controversée d’un Conseil de gouvernance de la désinformation (DGB) en avril 2022 a donné lieu à une importante controverse. Les critiques du conseil consultatif l'ont qualifié d'« assaut frontal contre le premier amendement », un sentiment qui a fait écho à la création du FMIC plus tard en septembre 2022.
Le FMIC, hébergé par l'ODNI, aurait eu une mission familière aux défenseurs de la liberté d'expression : analyser et intégrer les renseignements concernant « l'influence étrangère malveillante », ainsi que la sécurité des élections.
La proposition du FMIC d'une initiative public-privé, qui appelait à « d'importants investissements monétaires et de ressources de la part du gouvernement », a été considérée comme un appel flagrant à une alliance élargie entre le gouvernement et le secteur privé pour contrôler l'information.
Tom Fitton, président de Judicial Watch, a condamné les actions de l’administration Biden, l’accusant de tenter de ressusciter « la police de la pensée intérieure au plus profond du cœur des agences d’espionnage américaines ». L'avertissement de Fitton reflète une crainte commune selon laquelle les organismes gouvernementaux, en collaboration avec les géants de la technologie, s'orientent vers la censure sous couvert de « lutte contre la désinformation ».
Le récent procès intenté par Judicial Watch contre l'ODNI fait partie d'un récit plus vaste, qui résume la tension persistante entre la liberté d'expression et le paysage en constante évolution de la communication numérique, à une époque pleine de désinformation et d'influence étrangère.
Même si le champ de bataille s’est déplacé vers la salle d’audience, l’essence de la lutte reste la même : la défense du flux libre des idées dans une société libre comme l’Amérique.
Visitez Censorship.news pour plus d’informations sur la censure aux États-Unis et dans le monde.
Regardez cette vidéo sur la sous-commission spéciale sur la militarisation du gouvernement fédéral.
Cette vidéo provient de la chaîne Endgame sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
RépondreSupprimerL’AMP censure Jeffrey Prather pour avoir enquêté sur les erreurs des services de renseignement israéliens.
138 sommités signent une déclaration internationale exigeant la fin de la censure.
L'ironie : Harvard, la « pire école pour la liberté d'expression 2023 » du FIRE, soutient la LIBRE EXPRESSION des étudiants pro-HAMAS.
Les sources incluent :
ReclaimTheNet.org
Docs.ReclaimTheNet.org[PDF]
DNI.gov 1
DNI.gov 2
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-01-odni-director-sued-social-media-censorship.html
La Russie va interdire aux particuliers d'utiliser la crypto-monnaie pour les transactions nationales
RépondreSupprimer11/01/2023
Arsenio Toledo
La Russie est sur le point d’interdire la circulation de crypto-monnaies non contrôlée par l’État, y compris le commerce, l’exploitation minière et les transactions cryptographiques internes. C'est ce qu'a déclaré Anton Tkachev, membre de la Douma d'État, le parlement russe, et chef adjoint de la commission de la Douma d'État sur la politique de l'information, les technologies de l'information et des communications.
Tkachev a noté que l’utilisation de la crypto-monnaie en Russie est très limitée et insuffisamment réglementée par l’État. Cette nouvelle directive – qui maintiendra la légalité des crypto-monnaies, y compris leur possession individuelle – fait partie des efforts du Kremlin pour modifier cette situation. (En relation : La Russie va établir un échange national de crypto-monnaie.)
Une fois la réglementation mise à jour mise en œuvre, Tkachev a expliqué qu’il sera interdit aux citoyens russes d’utiliser les crypto-monnaies pour effectuer des transactions internes. On ne sait pas exactement quand ces nouvelles lois modifiées entreront en vigueur.
Bien que Tkachev ait souligné que le Kremlin souhaitait décourager les citoyens d’utiliser les crypto-monnaies dans l’économie nationale, il a admis que les crypto-monnaies continueraient probablement à jouer un rôle dans l’économie.
"L'État ne peut pas encore officiellement effectuer de transactions en crypto-monnaie. Et les entreprises russes, qui commercent avec des collègues d'autres pays, sont malheureusement également limitées dans leurs capacités [à utiliser la crypto-monnaie]", a déclaré Tkachev. "Mais je pense que cela va changer."
Les entreprises russes seront autorisées à utiliser la crypto-monnaie dans les transactions transfrontalières
Dans le même temps, les entreprises russes seront autorisées à effectuer des transactions transfrontalières avec des crypto-monnaies, car leur utilisation permet à la Russie de contourner les sanctions occidentales liées à l'Ukraine dans le cadre de l'opération militaire spéciale russe en cours, qui a coupé la Russie du système financier occidental.
"Les entreprises qui négocient en utilisant des crypto-monnaies ne sont pas soumises à des sanctions, car le suivi des paiements devient beaucoup plus difficile", a déclaré Tkachev.
RépondreSupprimerTkachev a noté que le ministère de l'Industrie et du Commerce avait déjà développé les outils et systèmes appropriés pour effectuer des paiements transfrontaliers utilisant la cryptographie. Le système est actuellement en cours de test et devrait être introduit début 2024.
"Une fois les tests terminés, le gouvernement sera en mesure d'effectuer officiellement des transactions en cryptomonnaie", a déclaré Tkachev, soulignant que les entreprises russes auront également la possibilité de payer leurs partenaires étrangers soit dans la monnaie numérique connue sous le nom de rouble numérique, soit en crypto.
"Le rouble numérique n'est actuellement utilisé qu'à l'intérieur du pays et jusqu'à présent, aucune transaction transfrontalière n'a eu lieu", a déclaré Tkachev. "Mais le rouble numérique permet d'effectuer des transactions sans organismes financiers intermédiaires", résolvant ainsi le problème des règlements internationaux dans un contexte de sanctions.
En ce qui concerne l'extraction de crypto-monnaie, Tkachev a noté que le Centre des classifications économiques, une agence fédérale qui agit en tant que régulateur et chien de garde de l'activité économique légale, prépare de nouvelles règles pour « l'extraction industrielle de [crypto-monnaie] ».
"Tout indique que l'exploitation minière sera légalisée, mais uniquement pour les personnes morales", a déclaré Tkachev. "En tant que tel, selon la pensée actuelle des organes du gouvernement fédéral – et la Douma d'État est d'accord – les particuliers ne seront pas en mesure de faire cela [le minage de cryptomonnaies]."
En préparation à la création de nouvelles règles d'extraction de cryptomonnaies, le Kremlin a créé le premier organisme industriel d'extraction de cryptomonnaies du pays, l'Industrial Mining Association.
"L'association devrait bientôt se transformer en une organisation d'autorégulation capable de façonner les tendances du secteur", a déclaré Tkachev.
Regardez ce clip de « MoneroTalk » alors que Mike Adams, le Health Ranger, rejoint l'hôte Douglas Tuman pour discuter de la cryptographie de la confidentialité.
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
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FIN DE L'HÉGÉMONIE DU DOLLAR : le géant pétrolier russe utilise désormais le yuan et le rouble pour régler ses exportations.
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Le PDG d'OpenAI lance la crypto-monnaie mondiale « Worldcoin » pour faciliter le revenu de base universel (UBI) et le contrôle autoritaire mondialiste.
La Russie légalise les crypto-monnaies pour les transactions transfrontalières.
RépondreSupprimerBêta-tests, crypto-romance et bien plus encore : le FBI met en garde les internautes contre les techniques de piratage d'applications.
Les sources incluent :
RT.com
CryptoNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-01-russia-ban-individuals-use-cryptocurrency-domestic-transactions.html
DUMB MOVE : l'Oregon étend sa politique permettant aux lycéens d'obtenir leur diplôme sans avoir à prouver leur maîtrise de l'anglais et des mathématiques
RépondreSupprimer11/01/2023
Laura Harris
La principale agence du ministère de l'Éducation de l'Oregon qui gère l'enseignement primaire et secondaire, le State Board of Education, a prolongé de cinq ans l'élimination des exigences en matière de tests de compétence pour l'obtention du diplôme d'études secondaires.
La politique, initialement introduite en 2021 comme mesure temporaire en raison de la pandémie, permet aux étudiants d'obtenir leur diplôme sans satisfaire aux normes de compétence dans des matières telles que les mathématiques et l'anglais. Le conseil soutient que les tests de compétence sont injustes pour les étudiants de couleur, car les étudiants issus de minorités ont tendance à avoir du mal à satisfaire aux normes de compétence.
Selon un rapport présenté au Comité sénatorial de l'éducation de l'État de l'Oregon en septembre 2022, le ministère de l'Éducation a accusé les écoles de l'État de s'appuyer principalement sur des tests standardisés, connus sous le nom de SBAC, pour évaluer la maîtrise des compétences de base des élèves. Le département affirme également avoir reçu des commentaires des districts scolaires et des éducateurs concernant la façon dont les tests de compétence sont devenus lourds et ont été mal appliqués.
Cependant, le sénateur d'État Michael Dembrow, qui siégeait au Conseil d'État de l'éducation lorsque l'exigence a été établie, a expliqué l'intention de ce test de compétence vieux de dix ans.
"Ce type d'évaluation n'avait pas vraiment pour but de montrer si les étudiants savaient lire ou écrire, mais plutôt s'ils pouvaient appliquer ce qu'ils apprenaient au monde réel et leurs scores au SBAC ne le prouvent pas vraiment", a-t-il déclaré.
Le ministère de l'Éducation avait initialement envisagé que la suspension des exigences en matière de tests de compétence permettrait aux éducateurs de soumettre les élèves à des tests individuels, tels que la réalisation de projets, la rédaction d'essais ou la participation à d'autres expériences et tâches, afin de démontrer leur capacité à utiliser des compétences essentielles telles que l'esprit critique et analytique. la réflexion, la gestion et le travail d'équipe en dehors de la salle de classe.
La suspension des tests de compétence dans les écoles de l’Oregon suscite la controverse
Dans un article d'opinion rédigé par Jonathan Turley pour son blog, il a déclaré que "plutôt que de donner à ces étudiants le niveau d'éducation nécessaire pour exceller dans le monde du travail moderne, les écoles les diplômeront désormais et appelleront cela un progrès social". Cette approche, a-t-il soutenu, ne fera que conduire les étudiants à ne pas être préparés aux exigences d'un marché du travail de plus en plus compétitif.
"Si nous nous soucions vraiment de ces étudiants, nous ne pouvons pas truquer le système pour les pousser sur la voie de l'échec. C'est comme déclarer des patients en bonne santé simplement en les regardant et en les renvoyant. Nous avons la capacité de mesurer les compétences, et nous avons l'obligation morale de faire face à nos propres échecs en aidant ces enfants à y parvenir", a écrit Turley. (Connexe : Carey Woodruff : Un programme scolaire trompeur dans le système éducatif entraîne les jeunes sur le mauvais chemin – Brighteon.TV.)
RépondreSupprimerLes législateurs républicains soutiennent également que malgré la campagne pour l’équité, il est toujours crucial que les étudiants possèdent les bases.
New Direction, une organisation à but non lucratif fondée par l'ancienne législatrice républicaine et candidate au poste de gouverneur Christine Drazan, a mobilisé une campagne de commentaires publics contre la suspension et généré 11 000 courriels envoyés au conseil d'administration.
"Il est décevant que ces bureaucrates non élus aient décidé d'ignorer les commentaires du public et de poursuivre sur une voie qui néglige leur responsabilité d'aider les étudiants à atteindre des normes élevées", a déclaré Drazan.
La représentante de l'État Tracy Cramer, membre du comité d'éducation de l'Oregon House, a exprimé sa frustration face à la décision du conseil d'administration et à l'absence d'une période de commentaires publics avant le vote.
"Je pense que le plus gros problème ici est que le conseil d'administration a continué à supprimer les normes et n'a pas élaboré de plan d'action", a-t-elle déclaré. "Je pense que c'est la raison pour laquelle les parents et les habitants de l'Oregon sont un peu frustrés. Ce n'est pas parce que les taux d'obtention de diplôme s'améliorent que les compétences le sont."
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Regardez ce clip de Fox News alors que l'animateur de "Life, Liberty and Levin", Mark Levin, discute de ce qui ne va réellement pas avec le système éducatif américain.
Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
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Les districts scolaires de Californie « suppriment progressivement » les notes D et F dans un effort bizarre pour affirmer que les élèves des écoles publiques en période de pandémie n’échouent pas.
Sources include:
JonathanTurley.org
OregonCapitalChronicle.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-01-oregon-hs-students-graduate-proficiency-english-math.html
Mesures de censure renouvelées et introduction du DSA de l’UE
RépondreSupprimer2 novembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
La politique de l'UE devient de plus en plus incroyable et de moins en moins de gens croient que ce que disent les politiciens européens est la vérité. La confiance a déjà disparu avec la soi-disant pandémie du coronavirus, mais aussi avec l’hystérie climatique et le conflit ukrainien. Puisque les eurocrates ont peu de vérité crédible à offrir, ils doivent essayer de faire taire leurs opposants politiques par la censure.
Le conflit israélien nous a ouvert les yeux non seulement sur la fragilité du discours établi, mais aussi sur notre liberté de nous exprimer sur les questions les plus sensibles. Et il s’avère que rien n’est plus sensible pour l’establishment que la question d’Israël.
La propagande de l’establishment s’est retournée contre eux alors que les réseaux « d’information » se démènent pour contrôler le retour de flamme pour leurs payeurs. Les gouvernements du monde entier annoncent des mesures radicales sous presque tous les angles imaginables : les crimes de pensée sont plus réels que jamais à mesure que la liberté d'expression appartient au passé.
La plus néfaste de ces mesures est la loi sur les services numériques (DSA) de l'Union européenne, entrée en vigueur cette année, mais qui donne encore aux entreprises jusqu'en janvier 2024 pour s'y conformer pleinement, ce qui signifie que nous supporterons de plein fouet le poids de la censure qui ne se fera probablement sentir qu'en janvier 2024. quelques mois, comme l'écrit le média technologique américain The Verge :
« L’objectif global de DSA est de créer un environnement en ligne plus sûr. En vertu des nouvelles règles, les plateformes en ligne doivent trouver des moyens de prévenir et de supprimer les publications contenant des biens, services ou contenus illégaux, tout en donnant aux utilisateurs la possibilité de signaler ce type de contenu.
Il s’agit d’un acte totalitaire qui menace de faire tomber complètement Twitter dans l’UE. Cela oblige toutes les sociétés de médias sociaux à supprimer tous les messages « illégaux » ou haineux, ce qui, comme nous le savons, désigne un contenu qui ne correspond pas au récit de l’establishment.
» Le commissaire européen Thierry Breton a prévenu Elon Musk, mardi 10 octobre, dans une lettre obtenue par l'AFP, que sa plateforme X, anciennement Twitter, diffusait « des contenus illégaux et de la désinformation ». La lettre indiquait que les inquiétudes avaient été accrues à la suite de l’attaque du Hamas contre Israël et demandait à Musk de répondre à la plainte dans les 24 heures et de contacter « les autorités chargées de l’application des lois appropriées ».
L’ironie est que la loi – décrite comme la loi « la plus ambitieuse » de ce type dans l’histoire – est décrite par ses rédacteurs comme « protégeant » la liberté d’expression tout en ciblant les « contenus illégaux ou haineux ». La première partie n’est qu’une phrase délibérément trompeuse ; les contenus « illégaux » et « haineux » sont précisément la liberté d’expression que la loi entend restreindre.
RépondreSupprimerMais cela montre à quel point l’UE en tant qu’institution est devenue antidémocratique et totalitaire. Il convient de rappeler que la Commission européenne est l’organe entièrement non élu qui propose de nouvelles législations dans l’UE. Les « commissaires » sont nommés par les membres du Conseil de l’UE et non par un vote direct des citoyens européens.
Cependant, une fois que le DSA entrera en vigueur, il deviendra une loi absolue dans tous les États membres de l’UE. Pensez-y : une loi est proposée par des personnes qui n’ont jamais été élues par les citoyens de l’UE, mais désormais tous les citoyens de l’UE doivent s’y conformer. C’est la définition d’une bureaucratie technocratique totalitaire.
Pour être honnête, le Parlement européen vote sur le paquet final et les parlementaires sont élus « directement » par les citoyens de l’UE. Cependant, le taux de participation aux élections parlementaires européennes est extrêmement faible, inférieur à 50 %, par rapport à la moyenne mondiale de 66 % de participation aux élections parlementaires et présidentielles nationales, ce qui signifie que les citoyens ne sont tout simplement pas intéressés par la politique européenne et que la bureaucratie européenne est donc de facto gouverne davantage par désintérêt et par retrait que par de véritables principes démocratiques. Sans parler du fait que les commissaires – bien que nommés par des parlementaires « élus » – peuvent être révoqués à volonté par le président de la Commission européenne, qui n’est pas lui-même élu.
En bref : les citoyens de tous les pays de l’UE doivent permettre que leur langue en ligne soit restreinte et strictement contrôlée parce qu’un groupe de bureaucrates non élus le leur dit.
Et est-il surprenant que la commissaire qui a proposé le DSA soit Margrethe Vestager, membre de la Commission trilatérale fondée par Rockefeller ?
C’est ainsi que fonctionne la technocratie. Les plans sont d’abord élaborés et élaborés lors de réunions secrètes de groupes tels que les Bilderbergers et la Commission trilatérale. Les « fantassins » les plus enthousiastes sont ensuite sélectionnés parmi les hommes politiques, et les barons de la finance qui contrôlent l’argent chargent leurs filiales de nommer un candidat particulier. Cela se fait simplement en injectant suffisamment d’argent dans diverses campagnes de relations publiques, en graissant les mains de fonctionnaires corrompus, etc. pour amener ce candidat au bureau ou au poste approprié où il promouvra le nouveau programme/initiative rédigé lors de la convocation trilatérale.
Il y a à peine une semaine , TikTok a annoncé avoir embauché un grand nombre de nouveaux employés pour « lutter contre la désinformation » sur Israël après que l'UE s'est plainte. L’initiative a déjà supprimé 500 000 vidéos et 8 000 diffusions en direct pour « violations ».
RépondreSupprimerComme on pouvait s’y attendre, le commissaire européen à l’Industrie, Thierry Breton, a qualifié l’initiative de « protéger les enfants et les jeunes » de la « propagande terroriste ». Nous retrouvons cette terminologie volontairement ambiguë. « Terroriste » et « propagande » sont tous deux des termes subjectifs qui distinguent « tout ce avec quoi nous ne sommes pas d’accord » (propagande) de « toute personne avec laquelle nous ne sommes pas d’accord » (terroriste).
Bien entendu, les citoyens de l’UE ont droit à la liberté d’expression – mais personne n’a le droit de prononcer des « discours de haine ». Quel discours de haine est déterminé par le commissaire européen Breton. On prétend que le Hamas est un groupe terroriste désigné, mais Benjamin Netanyahu a ordonné à son gouvernement de continuer à soutenir financièrement le Hamas - cela a été rapporté textuellement par le journal israélien Haaretz :
« Quiconque veut contrecarrer la création d’un État palestinien doit soutenir le Hamas et transférer de l’argent au Hamas », a déclaré Netanyahu aux membres de la Knesset de son parti, le Likoud, en mars 2019. "Cela fait partie de notre stratégie."
Mais c’est là le nœud du débat. Les censeurs de l’establishment se discréditent et s’invalident en faisant preuve d’une hypocrisie évidente, de deux poids, deux mesures et de décrets contradictoires. Ils appliquent leur prétendu « État de droit » comme ils l’entendent, mais à l’ère de l’information, le monde entier est quotidiennement témoin de cette hypocrisie.
https://tkp.at/2023/11/02/erneute-zensurmassnahmen-und-eu-dsa-einfuehrung/
Le nombre de satellites en orbite basse prévus dépasse désormais le million
RépondreSupprimerPar Arthur Firstenberg
Recherche mondiale,
2 novembre 2023
Dimanche, SpaceX a lancé 23 satellites depuis Cap Canaveral dans la matinée et 22 autres depuis la base aérienne de Vandenberg dans la soirée. Cela porte le nombre total de satellites opérationnels irradiant la Terre à environ 8 800.
SpaceX a envoyé des fusées chargées de satellites tous les quelques jours cette année, dans sa hâte de satisfaire la demande insatiable de bande passante des milliards d'êtres humains qui utilisent des téléphones portables. Mais SpaceX n’est pas le seul. Des centaines d'entreprises se disputent une part du marché mondial afin de fournir l'Internet depuis le ciel à la population mondiale.
Le 5 janvier 2022, j'ai envoyé une newsletter répertoriant 147 entreprises et agences gouvernementales de 34 pays qui exploitaient, lançaient ou planifiaient des flottes de satellites qui, si elles étaient toutes lancées, totaliseraient environ un demi-million dans notre ciel, loin s'en faut. plus nombreux que les étoiles visibles. Le 17 octobre 2023, la revue Science , examinant les dossiers déposés auprès de l'Union internationale des télécommunications, a informé le monde que le nombre de dossiers et le nombre de satellites prévus ont de nouveau plus que doublé. Il existe plus de 90 dossiers pour des constellations de plus de 1 000 satellites chacune. Vingt-trois d’entre eux possèdent plus de 5 000 satellites et huit, plus de 10 000 satellites. Au 31 décembre 2022, le nombre de satellites prévus par 300 entreprises et gouvernements dépassait le million. Et en juin 2023, E-Space, une société basée en France et fondée par Greg Wyler en 2022, a déposé un plan pour une mégaconstellation unique contenant 116 640 satellites. E-Space avait précédemment déposé un projet, via le gouvernement rwandais, pour une constellation encore plus grande contenant 327 320 satellites. Deux jours après son nouveau dépôt auprès de l'UIT, Wyler a précisé que « notre dépôt en France s'ajoute à nos dépôts au Rwanda ».
Notre nouveau réseau, People Without Cell Phones , est plus important que jamais. La seule façon de diminuer la demande de bande passante qui transforme la Terre en un ordinateur géant, avec tous les êtres vivants électrocutés à l’intérieur, est d’arrêter d’utiliser les téléphones portables. Non pas pour les utiliser moins fréquemment, mais pour les jeter. Pour pouvoir les utiliser, aussi rarement soit-il, il faut irradier la planète entière. Veuillez rejoindre notre réseau en formant une section locale là où vous vivez. Vous pouvez fixer vos propres règles, mais il est important d’avoir des réunions en personne. S'il vous plaît contactez-moi si vous avez besoin d'aide et faites-moi savoir que vous le faites. Notre objectif est d’établir une présence mondiale croissante des communautés qui n’utilisent pas de téléphone portable. Il est à nous.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/number-planned-low-orbit-satellites-now-exceeds-one-million/5838709
Le réchauffement climatique est un mythe !
RépondreSupprimerMarcel Leroux
chasse-maritime-calaisis.com
mer., 01 nov. 2023 14:53 UTC
Marcel Leroux était professeur émérite de climatologie de l'Université Jean Moulin (Lyon III), directeur du LCRE (Laboratoire de climatologie, risques et environnement) du CNRS, membre de l'American Meteorological Society et de la Société Météorologique de France. Il a écrit notamment Global Warming - Myth or reality ? Il est décédé le 12 août 2008.
Aujourd'hui, il n'est presque plus possible de participer à un colloque consacré à l'agriculture sans que soient évoqués le réchauffement climatique et l'effet de serre. Préoccupation majeure de l'agriculteur, la question du climat suscite un intérêt évident car ses aléas ont des répercussions immédiates sur les résultats des exploitations.
Marcel Leroux, professeur en climatologie à l'université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS), est l'auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, il a achevé son troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality, disponible depuis décembre 2006.
Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s'expliquent tout naturellement, lorsque l'on prend en compte ce qu'il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d'air glacial de 1500 mètres d'épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l'équateur.
Un entretien avec Marcel Leroux
Question : Tout le monde s'accorde à dire que la planète se réchauffe. Qu'en pensez-vous ?
Marcel Leroux : En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C'est d'ailleurs la position de la Russie, qui considère qu'un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d'immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole. En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l'époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s'étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu'il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s'est d'ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d'abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l'échelle paléoclimatique comme à l'échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n'est pas le cas.
Question : Pourtant, il y a unanimité chez les climatologues pour dire que le réchauffement est une réalité ...
RépondreSupprimerMarcel Leroux : Non, on insiste sur un prétendu consensus chez les climatologues, alors que celui-ci n'existe pas. Ensuite, il y a plusieurs sortes de « climatologues ». Prenons l'IPCC, présenté comme l'autorité en la matière. En réalité, il s'agit d'un groupement intergouvernemental, c'est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques. D'ailleurs, la grande majorité de ses membres ne sont pas climatologues, à l'instar de Michel Petit, ingénieur en télécommunications, ou bien Jean Jouzel, qui est un excellent chimiste glaciologue, mais dont les connaissances scientifiques sur le climat sont limitées. Depuis l'avènement de l'informatique, nombre de ceux qui s'autoproclament « climatologues » sont en réalité des informaticiens-modélisateurs, qui accordent de très loin la préférence à la statistique et aux téléconnexions, sans se préoccuper des liens physiques réels. Il existe toutefois des climatologues météorologues, comme le spécialiste suédois de l'élévation du niveau de la mer Nils-Axel Mörner, ou encore le météorologiste canadien Madhav Khandekar, qui en revanche se préoccupent en priorité de l'observation des phénomènes réels et des principes physiques qui les relient. C'est aussi, naturellement, le souci premier de notre laboratoire. Ces derniers sont loin d'être convaincus par les résultats des modèles. Même parmi les modélisateurs, certains, comme l'Américain Richard Lindzen, restent très sceptiques concernant l'hypothèse du réchauffement climatique. Le problème du IPCC, comme d'ailleurs de Météo France, c'est que depuis les années 1980, ces organismes sont dominés par les modélisateurs, vedettes des médias. Les climatologues réellement soucieux de l'analyse du temps se sont d'ailleurs regroupés en association, dont l'une particulièrement active est intitulée « climat sceptics ».
Question : Le rôle nocif sur le climat des gaz à effet de serre est quand même une donnée objective ?
Marcel Leroux : Il n'y a rien de moins objectif qu'une telle affirmation ! Mettre l'accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d'autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l'atmosphère, les transferts méridiens d'air et d'énergie, et pour faire simple, les transferts d'air froid et d'air chaud. Chacun est capable d'observer que la température est fonction de ces brusques changements, et qu'elle n'évolue pas de façon linéaire. L'important, c'est d'abord de savoir pourquoi et comment des masses d'air froid se forment et se déplacent ; pourquoi elles remplacent ou sont remplacées par de l'air chaud - autrement dit de préciser le mécanisme de la machine atmosphérique. Le temps dépend au jour le jour de ces changements de masses d'air ; en revanche, sur le long terme, la variation dépend de l'activité solaire (tâche, magnétisme, éruption et vent solaires), des projections volcaniques, de la turbidité de l'air, des paramètres astronomiques, etc... Comment voulez-vous que leur responsabilité dans le climat puisse être mise en évidence dans des modèles qui ne prennent tout simplement pas en compte l'ensemble de ces paramètres ? L'effet de serre est donc totalement marginal, sinon même insignifiant, d'autant plus que le principal effet de serre n'est pas réalisé par le gaz carbonique ou le CH4, mais par la vapeur d'eau. Or, même la part réelle de la vapeur d'eau dans l'effet de serre n'est pas considérée à sa juste valeur dans les modèles.
Question : Qu'observe-t-on alors à l'échelle globale ?
RépondreSupprimerMarcel Leroux : On n'observe rien, car il n'y a pas de « climat global ». En revanche, on connaît parfaitement l'évolution des climats régionaux qui suivent des évolutions fort dissemblables. D'ailleurs, il est très révélateur de constater que, de l'aveu même de l'IPCC, leurs modèles sont incapables de restituer ces variations régionales ! Dans son deuxième rapport de 1996, l'IPCC écrit : « Les valeurs régionales des températures pourraient être sensiblement différentes de la moyenne globale, mais il n'est pas encore possible de déterminer avec précision ces fluctuations. » Cela signifie que les modèles du IPCC seraient capables de donner une valeur moyenne sans connaître les valeurs régionales qui permettent d'établir précisément cette moyenne ! Ce n'est pas très sérieux !
Dans l'Atlantique Nord, on observe un refroidissement de la façade ouest (Canada, Éats-Unis à l'est des Rocheuses), alors que l'Europe occidentale se réchauffe, notamment la Scandinavie. L'Europe centrale, elle, se refroidit, comme la Méditerranée orientale, ou comme la Chine. Ces différences de comportement résultent de la dynamique aérologique. Cela dépend en effet des trajectoires des anticyclones mobiles polaires (AMP). Ceux-ci sont de vastes lentilles d'air glacial de 1500 km de rayon, générées quotidiennement par les pôles. Ces lentilles glissent au ras du sol, sous les couches d'air chaud plus légères, contournant les reliefs pour se diriger vers l'équateur. Sur leurs faces avant, elles provoquent le retour vers leur pôle respectif de l'air réchauffé sous les tropiques. Les AMP représentent l'exemple même de discontinuité que les modèles informatiques refusent d'incorporer. En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l'importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent.
Question : Vous voulez dire qu'il n'y a pas de fonte des calottes glaciaires ?
Marcel Leroux : C'est un fait incontestable ! Cependant, évitons de généraliser : dans le détail, la glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l'eau marine et de l'air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada. Comme l'écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, « le gros de la calotte antarctique n'a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d'années. » L'observation satellitale montre même qu'au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l'île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 - c'est- à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 ! C'est le démenti le plus flagrant apporté aux prévisions des modèles. Il est d'ailleurs surprenant que ceux-ci aient pu concevoir un tel réchauffement alors qu'il n'y a aucune raison physique qui puisse le justifier ! Est-ce seulement pour faire peur aux gens avec une prétendue montée des eaux qui en résulterait ?
Question : Comment expliquez-vous une telle désinformation sur ce sujet ?
RépondreSupprimerMarcel Leroux : Prédire le temps a toujours été une passion. Or, prédire que rien d'alarmant ne va se produire n'est pas très intéressant. Au début du XXe siècle, les prédictions alarmistes étaient déjà très à la mode.
Cependant, elles n'ont jamais réussi à s'imposer, car tous les faits les contredisaient. C'est seulement à partir des années 1985 que sont réapparus, lorsque la climatologie a été monopolisée par les informaticiens, les scénarios les plus catastrophistes. Oubliant tout simplement la météorologie, les modélistes ont appliqué des calculs en vérité extrêmement simplistes dans des modèles super sophistiqués pour imposer leurs concepts. Mais les hypothèses sur le réchauffement climatique n'ont jamais été vérifiées par l'observation, pas plus au début du XXe siècle qu'au début du XXIe. La fameuse courbe du IPCC n'est qu'un artefact, constamment démenti par les mesures et les observations satellitaires. En réalité, le problème dit du climat est en permanence confondu avec celui de la pollution, deux domaines pourtant bien séparés, qui ne seront bien traités l'un et l'autre que lorsqu'ils seront dissociés. Il sert également de prétexte pour imposer une restriction à l'activité humaine, considérée à tort comme à l'origine du réchauffement climatique. La connexion d'intérêt qui s'est établie entre certains laboratoires, plusieurs institutions internationales et certains hommes politiques, a imposé la notion de réchauffement global. Suivre aveuglément les « recommandations pour décideurs » du IPCC fait passer à côté des phénomènes réels, dépenser vainement des sommes colossales pour des réunions par définition inutiles, et n'autorise pas des mesures de prévention efficaces contre les véritables aléas climatiques que nous allons connaître. À quoi sert de préparer l'économie d'un pays à un réchauffement, alors que tous ses thermomètres signalent un refroidissement ?
Finalement, le réchauffement climatique revêt de plus en plus un caractère de manipulation, qui ressemble vraiment à une imposture « scientifique », et dont les premières victimes sont les climatologues qui ne perçoivent de financements que lorsque leurs travaux vont dans le sens du IPCC.
http://www.chasse-maritime-calaisis.com/files/6013/4519/3957/rechauffement_climatique.pdf