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samedi 11 novembre 2023

Les agriculteurs au bord de l'expropriation : « Nitrogen 2000 » – Documentaire explosif en provenance des Pays-Bas

 

55 commentaires:

  1. Les agriculteurs au bord de l'expropriation : « Nitrogen 2000 » – Documentaire explosif en provenance des Pays-Bas


    10.11.2023
    www.kla.tv/27411


    Nitrogen 2000

    L'Union soviétique dans les années 1920

    En octobre 1925, un Staline belliqueux prend la parole lors d'une réunion à huis clos du parti. Il déclare la guerre aux paysans de Russie. Les koulaks sont les ennemis traditionnels du pouvoir central. Il lance un coup d'éclat : « Les koulaks sont le fief de la contre-révolution. Prenez les armes contre les koulaks. Exterminez la classe des koulaks ! »

    Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne :
    Il y a un peu plus de 50 ans, le « Club de Rome » publiait le rapport "Les limites de la croissance". Et il arrivait à une conclusion drastique. La croissance économique et démographique doit être stoppée, sinon notre planète ne survivra pas.

    Pays-Bas 2022 : Les éleveurs néerlandais possèdent 70 % des Pays-Bas – Le gouvernement tente de racheter de force 50 % des exploitations agricoles

    Les Pays-Bas font partie des nombreux pays qui ont pris des mesures pour réduire la pollution azotée. Et un certain nombre d'exploitations pourraient devoir fermer.

    Tjeerd de Groot, membre du Parlement néerlandais :
    Pour restaurer la nature, nous devons réduire le nombre d'animaux aux Pays-Bas.

    BBC : Les agriculteurs néerlandais en colère contre les réductions d'émissions

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  2. « Sky News Australia » :
    Le pays est en fait le deuxième exportateur mondial de denrées alimentaires, et on lui dit que pour répondre aux exigences climatiques il doit limiter sa production à une époque de pénurie alimentaire mondiale. Cela me semble complètement insensé.

    « Présentatrice d'Al Jazeera » :
    Une partie du plan néerlandais consiste à racheter des exploitations agricoles considérées comme polluantes.

    Jan van der Wind, agriculteur :
    Le ministre parle de paquets d'indemnités de licenciement extrêmement attrayants. C'est une déclaration ridicule.

    Andy Palmen, directeur de Greenpeace Pays-Bas :
    Le gouvernement devrait forcer les agriculteurs à arrêter. Cela doit être fait maintenant, et ce sera douloureux. Il faut dire aux agriculteurs : « Vous devez arrêter, et nous vous retirerons votre licence. Nous vous indemniserons, mais vous devez arrêter. »

    Manifestations d'agriculteurs dans le centre des Pays-Bas

    Présentatrice : Ils ont beaucoup de questions sur leur avenir. C'est pourquoi ils veulent quelques réponses de la part du gouvernement. Que va-t-il nous arriver ? Les groupes environnementaux ont demandé plus de coupes, plus de bétail doit disparaître.

    Jos Ubels, vice-président de « Farmers Defence Force » (= groupe de pression néerlandais pour les agriculteurs) :
    Ils utilisent le narratif de l'azote pour se débarrasser de nous, mais en réalité nous apportons une contribution très importante. Nous nourrissons les Pays-Bas, nous nourrissons une grande partie de l'Europe. La population augmente, la consommation augmente, mais il faut réduire la production ? C'est totalement illogique...

    Sietske Bergsma, commentatrice politique (Wikipedia NL : Sietske Bergsma est une journaliste néerlandaise. Elle est connue pour ses chroniques d'opinion dans ThePostOnline. Elle produit également des chroniques vidéo et des interviews) :
    Ils nous privent de sécurité, et bien sûr, ils ont toutes ces idées sur l'endroit où nous pourrions trouver notre nourriture à l'avenir, mais c'est tout sauf rassurant.

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  3. Présentatrice « d Al Jazeera » :
    Et si les gens étaient simplement encouragés à manger moins de viande ou de produits laitiers ?

    Bill Gates et de grands noms d'Hollywood font pression pour qu'on mange des insectes afin de lutter contre le changement climatique. Les insectes sont riches en protéines et pourraient remplacer la consommation élevée de viande de bœuf, de poulet et de porc. Les critiques de la consommation de viande affirment que l'élevage de ces animaux contribue à la pollution de l'environnement.

    Présentatrice « d Al Jazeera » :
    Et comme le monde essaie de réduire les polluants pour sauver la planète, cela pourrait affecter les sources d’alimentation des gens.

    Rypke Zeilmaker, journaliste environnemental et indépendant (RypkeZeilmaker, né en 1975, est spécialisé dans la nature et les sciences et photographe de la nature humaine) :
    L'intention semble si grande. Tout le monde veut sauver la planète, la Terre. Génial, génial, génial. C'est comme « louer Dieu » : louer dieu, c'est toujours génial. Mais quand on regarde les conséquences, cela signifie seulement qu'on rend tout beaucoup plus cher, qu'on détruit la classe moyenne, qu'on appauvrit encore plus la classe inférieure et qu'il ne reste qu'une petite élite et ses réseaux.

    Prof. Ralph Schöllhammer (professeur assistant de sciences politiques et d'économie politique à l'université Webster de Vienne) :

    « The Bolt Report » – Le plan de rachat controversé et approuvé par l'UE

    Il y a eu un membre de la Banque d'Angleterre qui a déclaré ouvertement dans une interview : « Nous devons accepter le fait que nous serons plus pauvres à l'avenir. » Eh bien, c'est facile à dire. Mais si nous regardons l'histoire des révolutions, qu'elles soient anciennes ou plus récentes, cela commence ainsi. Les gens n'acceptent pas pour toujours l’idée qu'ils deviennent de plus en plus pauvres et que leurs enfants vivront plus mal qu'eux. À un moment donné, cette colère se retourne contre le système politique.

    Greenpeace estime que l'indemnisation des agriculteurs sur une base volontaire n'aboutira pas à une réduction suffisante de l'azote.

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  4. Les ministres et les représentants des grandes organisations de protection de la nature, telles que Greenpeace, la Protection des oiseaux et la société de protection Natuurmonumenten, discuteront des plans relatifs à l'azote.

    Responsable d'ONG :
    Le problème ne cesse de s'aggraver, il faut donc absolument faire quelque chose.

    Présentateur :
    Des agriculteurs en colère manifestent dans plusieurs endroits du pays.

    Présentatrice :
    Les agriculteurs aussi s'activent aujourd'hui. En ce moment, le pont près de Rhenen est bloqué...

    Tjeerd de Groot, membre du Parlement néerlandais :
    Le fumier néerlandais est composé d'ammoniac, une forme d'azote qui est mauvaise pour l'environnement, mauvaise pour la nature.

    Prof. Han Lindeboom, spécialiste de l'environnement :
    Ils ont expliqué que l'azote était le principal problème. Non. Je suis un expert en azote et j'ose affirmer que ce n'est pas vrai.

    Azote 2000 – Le combat des agriculteurs néerlandais

    Présentatrice de « GBN Live » :
    Nous vivons actuellement une nouvelle révolution technologique, n'est-ce pas ? Et ce, sous le couvert du changement climatique. Alors on leur dit : « Changez ceci ou cela, rendez cela plus écologique, vous détruisez la terre. » Mais en réalité, ce n'est que plus de capitalisme. Et cela prive de nombreuses personnes dans le monde de leur identité nationale, en l'occurrence surtout les paysans.

    « Un documentaire Big Picture », réalisé par James Patrick
    Jos Block, agriculteur :
    Tous ceux qui pensent aux Pays-Bas pensent aux moulins à vent, aux sabots, au lait, au fromage...

    Jos Ubels, vice-président de « Farmers Defence Force » (= groupe de défense des intérêts des agriculteurs en néerlandais) :
    Notre pays est marqué par l'agriculture. Nous sommes célèbres pour marcher en sabots. Et nous sommes aussi très célèbres pour notre production de fromage et de lait.

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  5. Sietske Bergsma, commentatrice politique (Wikipedia NL : Sietske Bergsma est une journaliste néerlandaise connue pour ses chroniques d'opinion dans ThePostOnline. Elle produit également des chroniques vidéo et des interviews) :
    Nous avons environ, je crois, 60 000 agriculteurs aux Pays-Bas. Même quand on vit en ville, comme à Amsterdam ou à Rotterdam, tout le monde peut voir des vaches, juste à cinq minutes en voiture ; on voit des terres agricoles. Je veux dire que c'est tellement ancré dans notre société, dans notre mode de vie, que les agriculteurs font partie de notre culture. Tout le monde a quelqu'un dans sa famille qui a été paysan.

    Jos Block, agriculteur :
    C'est mon père. Mon père a acheté la ferme de son père. Son père a donc commencé au tout début du siècle dernier. Après 30 ou 40 ans, j'ai acheté la ferme de mon père. Et maintenant, je suis le paysan de cette ferme.

    Prof. Han Lindeboom, spécialiste de l'environnement :
    Le point de vue du gouvernement est que nous avons un gros problème avec la nature. Et qu'en raison de la réglementation européenne, nous devons sauver la nature. Et maintenant, ils veulent résoudre le problème en supprimant simplement un grand nombre de fermes.

    Jos Ubels, agriculteur :
    L'impulsion principale de notre mouvement a été que Tjeerd de Groot, l'un des leaders du D66, a eu l'idée d'annoncer à haute voix dans les médias que le meilleur plan pour les Pays-Bas était de supprimer la moitié des animaux. Il voulait donc éliminer la moitié du cheptel des Pays-Bas.

    Tjeerd de Groot, membre du Parlement néerlandais :
    Nous sommes le deuxième plus grand parti des Pays-Bas. Et nous avons vraiment négocié avec d'autres partis plus conservateurs un nouveau chapitre de la politique agricole néerlandaise.

    Jos Ubels :
    En 2019, ils ont déclaré publiquement qu'ils voulaient se débarrasser de la moitié des agriculteurs, de la moitié des animaux et de la moitié des exploitants. Lorsque cette injustice devait être imposée aux agriculteurs néerlandais, de nombreuses personnes se sont levées.

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  6. Eté 2019

    Présentatrice:
    Des milliers d'agriculteurs néerlandais manifestent avec leurs tracteurs contre le gouvernement.

    Jos Ubels, agriculteur:
    On parle en public de supprimer la moitié des fermes aux Pays-Bas, parce que ce serait bon pour la nature. Mais c'est totalement absurde.

    Wybren van Haga, Membre du Parlement néerlandais :
    C'est une connerie absolue ; une arnaque. C'est... C'est faux, c'est une fausse idéologie.

    Tjeerd de Groot:
    Pour restaurer la nature, l'azote doit être réduit de 50 % d'ici 2030. Et c'est énorme. Pour les agriculteurs, c'est évidemment énorme.

    Jos Ubels, agriculteur
    Sur 28 000 exploitations d'élevage, vous voulez fermer 11 000 fermes et 8 000 à 10 000 autres doivent réduire leur production.

    Seules 7 000 fermes ne sont pas touchées

    Sietske Bergsma:
    Les effets de cette politique de l'azote sont dévastateurs. On ne peut pas voir les choses autrement, je crois.

    Le bon sens paysan est absent de la politique de ce pays ! - Avec Rutte et Kaag à la tête, la corde est passée autour du cou des vaches. Laissez les agriculteurs tranquilles ! Ce cabinet passe sur des cadavres !

    Sietske Bergsma:
    Il a été présenté si rapidement que les agriculteurs ont dû répondre immédiatement à ces exigences folles et impossibles, vraiment. Et ces exigences ont eu pour conséquence qu'ils ont dû abandonner leurs fermes.

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  7. Jos Block, agriculteur:
    Pourquoi doivent-elles partir, mes vaches ? Pourquoi faut-il fermer ma ferme ?

    Tjeerd de Groot:
    Notre intention est d'expliquer pourquoi cela est si important pour eux et pour la nature, mais pas de changer les objectifs de la politique. Ce n'est pas le cas. Cela n'arrivera pas.

    L'azote est-il vraiment mauvais pour la nature ? 68 % de l'air que nous respirons est composé d'azote. L'organisation de protection de la nature "The Nature Conservancy" : qu'est-ce que la pollution par l'azote ?

    Si la majeure partie de l'air que nous respirons est composée d'azote, comment l'azote peut-il être une source de pollution ?

    Sietske Bergsma:
    Ce n'est pas comme un produit chimique toxique que nous devrions éradiquer.

    Prof. Han Lindeboom:
    L'azote est un composé totalement naturel dans la nature. Sans azote, nous n'existerions pas.

    Sietske Bergsma:
    L'azote est également nécessaire à la croissance des choses.

    Planet Natural : Connais ton engrais

    Ce sont les trois macronutriments qui sont importants pour la croissance des plantes. L'azote, le phosphore et le potassium. L'azote vient en premier, car il est responsable du maintien de la verdure des plantes, raison pour laquelle les engrais pour gazon ont un pourcentage d’azote élevé.

    Pourquoi les gouvernements néerlandais et européen déclarent-ils une pollution à l'azote ?

    Simon Upton (ancien homme politique néo-zélandais et responsable parlementaire de l'environnement) :
    La gestion de l'azote fait partie intégrante de la politique environnementale de nombreux pays.

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  8. Anna Engleryd (conseillère politique suédoise principale en matière d'environnement ; présidente de l'ONU) :
    Les accords politiques conclus depuis 1990 ont permis de réduire considérablement les émissions d'oxyde d'azote provenant de la partie européenne de notre région.

    Simon Upton (ancien homme politique néo-zélandais et responsable parlementaire de l'environnement) :
    Les hotspots locaux de la pollution azotée auront besoin d'un plafond. Ils exigeront même une réduction en dessous du niveau actuel.
    [hotspot, zone biogéographique, terrestre ou marine, possédant une grande richesse de biodiversité et particulièrement menacée par l'activité humaine]
    Quel est le problème avec l'azote ?

    Femme néerlandaise :
    Quels sont les dommages que peut causer l'azote ?

    Quels sont les dommages ? Le fumier de vache est riche en azote et fait pousser les plantes

    Femme néerlandaise :
    L'azote enrichit le sol. Cela a pour conséquence que les plantes qui ont besoin de peu d'azote sont évincées par des plantes qui poussent très vite grâce à l'azote. Pensez par exemple à l'orchidée qui est envahie par les orties.

    Jos Ubels, agriculteur
    L'azote n'est un problème que pour quelques plantes.

    Prof. Han Lindeboom:
    Et il y a certaines plantes qui n'aiment pas ça, et elles disparaissent. D'autres plantes aiment ça, et elles apparaissent. Au fond, on modifie donc la nature.

    Parce que certaines plantes poussent particulièrement bien ici, elles envahissent les plantes plus fragiles, plus rares. La nature souffre notamment de la pluviométrie riche en azote.

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  9. Interviewer: Quand est-ce que quelque chose est naturel ?

    Homme: Si ça peut se développer de manière largement autonome.

    Interviewer : Exactement

    Le gouvernement néerlandais veut cultiver des petites plantes... au détriment de leurs agriculteurs

    Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne :
    Plutôt que de faire durer ces débats, je voudrais aujourd'hui me concentrer sur un point. Et c'est le message clair qu'un modèle de croissance basé sur les carburants fossiles est tout simplement obsolète.

    Le professeur Ralph Schöllhammer :
    Nous sommes gouvernés par des incompétents. Mais nous devons nous rendre à l'évidence : les générations précédentes nous ont rendus si riches que nous pouvions nous permettre d'être stupides. Mais peu à peu, nous ne sommes plus assez riches pour pouvoir nous permettre d'être aussi stupides.

    Hilde Anna de Vries :
    Si on considère les Pays-Bas, l'élevage est effectivement la source la plus importante. Il est responsable d'environ 65 % de toutes les émissions qui se répercutent sur nos réserves naturelles.

    Wybren van Haga, membre du Parlement néerlandais :
    Il y a quelques centaines d'années, nous avons abattu tous les arbres et ce qui restait, c'était des dunes de sable. Aux Pays-bas, nous sommes un pays densément peuplé et nous n'avons pas de nature. Nous avons un grand jardin.

    La politique de l'azote se concentre sur les sites « Natura 2000 »

    Tjeerd de Groot, membre du Parlement néerlandais :
    En Europe, nous avons des zones de protection spéciales que nous appelons « Natura 2000 ». Elles ont été choisies en rapport avec les espèces ou les habitats particuliers qu'elles abritent.

    Porte-parole de l'UE :
    Natura 2000 est le plus grand réseau de zones protégées au monde.

    Natura 2000 couvre 18 % de la surface terrestre de l'UE. Il existe 162 sites « Natura 2000 » autour des Pays-Bas.

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  10. Dans le cadre du concept de l'azote, toutes les zones naturelles protégées sont des zones Natura 2000 dans lesquelles vivent des organismes qui n'aiment pas trop l'azote. C'est le cas de 118 des 160 zones Natura 2000 aux pays-Bas.

    Wybren van Haga :
    Il faut peut-être revenir 25 ans en arrière, lorsque des fonctionnaires stupides sont allés voir l'Union européenne et ont dit : « Eh bien, nous avons la nature, mais notre nature, nous l'appelons dunes de sable. Et si on dépose l'oxyde d'azote sur des dunes de sable, on se retrouve avec une forêt. Je ne trouve pas ça mal. Mais on a promis à l'UE que ça resterait des dunes de sable, donc on va les garder. »

    Jos Block, agriculteur :
    Nous avons eu beaucoup de problèmes avec la réglementation sur l'azote parce que notre ferme est située à proximité et dans une « Natura 2000 », et c'est vraiment un problème pour nous. C'est ma terre, j'en suis le propriétaire, mais c'est aussi terre de la nature, « Natura 2000 ». Le gouvernement dit que dans cette zone, nous devons réduire de 95% l'azote qui provient du bétail.

    Le professeur Han Lindeboom :
    Le gouvernement harcèle beaucoup trop les agriculteurs. Ce n'est absolument pas nécessaire pour sauver la nature.

    Des milliers de familles de koulaks ont été expulsées de leurs maisons. Leurs terres, leurs céréales, leurs outils de travail et leur bétail sont pillés.

    Depuis combien de temps le gouvernement réglemente-t-il les agriculteurs ?

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  11. Jos Ubels, vice-président de « Farmers Defence Force »:
    Après la guerre, ils ont commencé à développer l'agriculture, ils ont commencé à pousser l'agriculture à produire plus. Au début, c'était une bonne chose parce qu'ils donnaient de l'argent pour produire plus et mieux, mais maintenant ils utilisent cet argent pour nous contrôler. Par exemple, je ne peux pas choisir ce que je veux cultiver. Je dois cultiver mes plantes selon les plans du gouvernement. Et ils n'ont aucune idée de ce qu'ils font. Le 15 mai de chaque année, les agriculteurs néerlandais doivent déclarer combien de têtes de bétail ils ont, combien de champs ils ont, ce qu'ils cultivent dans les champs, quand ils récoltent, comment ils récoltent. Ils doivent indiquer quel type de vaches ils ont, ils doivent indiquer combien de vaches ils veulent avoir dans un avenir proche, combien de veaux sont nés, combien sont des mâles, combien sont des femelles. Oui, c'est aussi fou que ça. Ça n'en finit pas. Ils veulent tout savoir.

    Erik Luiten, agriculteur et porte-parole d’« Agractie »

    Interviewer : Et vous devez analyser le lisier.

    Erik Luiten : Oui, on doit analyser le lisier.

    Interviewer : Chaque fois ?

    Erik Luiten : Tout le temps, tout le temps. Nous devons tout le temps analyser le lisier pour savoir quelle quantité de phosphate et quelle quantité d'ammoniaque il contient.

    Interviewer : C'est fou. Vous ne pouvez pas apporter de lisier sur la ferme de votre voisin ?

    Erik Luiten: Non.

    Interviewer : Sans un test de laboratoire ?

    Erik Luiten : C'est exact.

    Interviewer : Et depuis quand faites-vous cela ?

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  12. Erik Luiten :
    Bon, ça fait probablement 20 ans maintenant. C'est tellement compliqué. Ce n'est plus possible pour moi, en tant qu'agriculteur, de le déclarer. Nous devons le transmettre à une administration qui fait la déclaration pour nous.Et bon, ça coûte quelque part entre 5 000 et 10 000 euros par an. Nous ne récupérons rien en retour. Ça ne sert à rien, ça veut seulement dire plus de frais et moins de revenus pour moi en tant qu'agriculteur.

    Toutes les maisons sont fouillées à la recherche de choses non déclarées. Rien n'échappe aux pilleurs. Chaque grain est collecté et emporté.

    Jos Ubels, agriculteur
    Et c'est ce qu'ils utilisent comme narratif pour leurs actions. Mais notre ministère de l'azote - oui, nous avons vraiment un ministre de l'azote aux Pays-Bas. C'est drôle, mais nous en avons un.

    Prof. Han Lindeboom : Oui, nous avons maintenant un ministère de l'azote depuis peu.

    Wybren van Haga :
    Vous riez. C'est la première fois dans l'histoire que nous avons effectivement une ministre de l'azote. Mais elle ne connaît rien à l'azote.

    Christianne van der Wal-Zeggelink - Ministre de la Nature et de la Politique de l'azote

    Wybren van Haga :
    Elle n'a pas de formation en matière d'azote, elle n'est pas chimiste. Elle a juste pour mission de dire que nous devrions avoir une réduction de 50% de l'azote. Pourquoi ? Elle ne le sait pas. Je lui ai posé la question au Parlement, et elle n'en a pas la moindre idée. C'est amusant en soi, s'il n'y avait pas le fait que la vie des gens en dépend. La vie des agriculteurs en dépend.

    Rabobank ¬– La banque de l'agriculture

    Wybren van Haga :
    Le rôle de la Rabobank est vraiment étrange, car la Rabobank était la banque des agriculteurs. Avant, elle soutenait et finançait les agriculteurs.

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  13. Erik Luiten, agriculteur :
    Cette banque s'est excusée d'avoir prêté de l'argent aux agriculteurs. Une banque agricole, créée par des agriculteurs pour prêter de l'argent aux agriculteurs, s'est donc excusée d'avoir prêté de l'argent aux agriculteurs. C'est ridicule.

    Wybren van Haga :
    Mais de nombreux agriculteurs reçoivent maintenant des lettres de la Rabobank disant : « Je suis désolé, si le gouvernement met en œuvre ces plans, votre terre ne vaut absolument plus rien ». C'est une collaboration effrayante entre le gouvernement et les banques et autres entreprises.

    Qui est derrière tout ça ?

    Rypke Zeilmaker, journaliste environnemental (Rypke Zeilmaker (né en 1975) est journaliste indépendant spécialisé dans la nature et les sciences et photographe de la nature humaine) :
    Je suis Rypke Zeilmaker, je suis un journaliste scientifique qui a enquêté pendant 10 ou 15 ans sur ce programme gouvernemental de rachat de terres agricoles au nom de la protection de la nature. Et c'est ainsi que j'ai découvert quels intérêts se cachaient derrière tout ce plan. Dans le passé, j'étais un vrai vert, un défenseur de la nature, mais je suis devenu davantage un soutien des pêcheurs et des agriculteurs, parce que j'ai vu quels intérêts se cachaient désormais aussi derrière la prétendue protection de la nature. J'ai étudié le rôle des ONG, surtout ici aux Pays-Bas. Qui sont ces ONG ? Si on regarde de plus près, on voit : Qui est leur principal bailleur de fonds ? Le gouvernement. Il ne s'agit donc pas d'ONG au sens « d’organisations non gouvernementales », mais d'une extension du gouvernement.

    Des ONG font du lobbying pour l'abolition des agriculteurs, puis elles deviennent les gestionnaires de la terre

    Jos Ubels, agriculteur
    Je fais la même chose que les organisations de protection de la nature aux Pays-Bas. Pourquoi mes vaches doivent-elles partir ? Pourquoi faut-il arrêter ma ferme ? Ensuite, quelques autres vaches reviennent dans cette région. Pas par un agriculteur, mais par une organisation de protection de la nature, et elles doivent manger de l'herbe. Quelle est donc la différence ? Je trouve très étrange qu'un agriculteur n'a pas le droit de le faire et qu'une ONG de protection de la nature puisse faire la même chose que moi et qu'il n'y ait alors aucun problème d'azote.

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  14. Rypke Zeilmaker, journaliste indépendant :
    Mais que font ces ONG pour ces gens ? Elles font constamment un sujet politique de quelque chose qui n'est que dans l'intérêt de 1 %. Ils utilisent les ONG, ils les gavent d'argent pour promouvoir une politique qui n'intéresse pas du tout 99 % de la population. Toutes les subventions aux ONG doivent être supprimées.

    Le gouvernement a créé un fonds de 25 milliards d'euros pour acheter des terres agricoles... le tout financé par l'argent des contribuables !

    Rypke Zeilmaker, journaliste indépendant :
    Le gouvernement a annoncé qu'il allait transformer 150 000 hectares supplémentaires de terres arables. Ils vont utiliser 25 milliards d'euros de l'argent des contribuables pour racheter à nouveau des terres arables sous la bannière de l'azote.

    Wybren van Haga :
    Oui, nous avons un fonds azote qui représente 25 milliards et nous avons un fonds nature qui représente 35 milliards d'euros.

    Intervieweur : Comment cela va-t-il être dépensé ?

    Tjeerd de Groot, membre du Parlement néerlandais :
    Eh bien, il servira à racheter les agriculteurs qui souhaitent arrêter et à fournir une assistance technique pour permettre des innovations visant à réduire les émissions d'ammoniac. Mais aussi pour un meilleur entretien et une meilleure gestion de nos espaces naturels.

    Wybren van Haga :
    Et voilà que nous gaspillons soudain des milliards et des milliards pour un cauchemar.

    Tjeerd de Groot :
    C'est à cause de la grande quantité d'animaux sur une très petite surface que nous avons ce problème d'ammoniac. L'idée est que notre nature doit être restaurée à l'aide de réglementations, de réglementations européennes.

    Prof. Han Lindeboom, spécialiste de l'environnement :
    La vraie raison est qu'il existe des règles européennes auxquelles nous devons nous conformer. C'est une autre histoire de savoir si nous les avons interprétées correctement. Mais il y a des règles.

    (Viol de l'Europe, statue devant le bâtiment de l'UE)

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  15. Han Lindeboom:
    Si nous ne nous y conformons pas, nous aurons des amendes de l'UE et de graves problèmes.

    Wybren van Haga:
    Parce que nous avons fait cette promesse sacrée à l'UE, nous nous retrouvons aujourd'hui dans une situation où nous devons mettre nos agriculteurs à genoux.

    Tjeerd de Groot:
    Le gouvernement doit faire ce que le gouvernement doit parfois faire, et c'est douloureux. Mais il y a aussi 25 milliards d'euros pour les petits pays comme les Pays-Bas, afin de permettre aux agriculteurs de vivre mieux et d'aider la nature.

    Les ouvriers d'usine, au nombre de 25 000, sont recrutés comme exécutants. Ils reçoivent un pistolet et un cours accéléré sur la collectivisation forcée des entreprises. Le porte-parole de Staline, Lasar Kaganowitsch, encourage ces soi-disant 25 000 personnes à viser une collectivisation à 100%.

    Sietske Bergsma:
    Ils avaient une loi qui disait que les agriculteurs devaient réduire de 49 % les émissions d'azote. Mais notre Parlement n'a pas encore pris de décision à ce sujet. Mais ils ont même augmenté ce chiffre à 75%. Cette loi n'est même pas démocratique.

    Wybren van Haga:
    Lors des dernières élections, personne n'a voté pour.

    Sietske Bergsma:
    Depuis quelques années, il est clair que le gouvernement veut réduire les émissions d'azote et voudrait surtout que ce soient les agriculteurs qui participent et non l'industrie.

    Prof. Han Lindeboom:
    Les travaux de construction produisent également de l'azote.

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  16. Jos Block, agriculteur :
    Vous y verrez deux cheminées. Ces deux cheminées viennent de la briqueterie. On a besoin de la briqueterie parce qu'on veut construire des maisons. Si on doit réduire l'azote et qu'on dit que nous devons réduire fortement l'azote, il faut voir où on peut réduire l'azote. Si vous construisez une nouvelle maison, vous avez besoin de briques.

    Jos Ubels, agriculteur :
    Le but des mesures, des lois qu'on essaie de nous imposer maintenant, c'est d'utiliser le narratif «réduire les émissions», mais en réalité, on veut nos sols et nos terres.

    25 % de la planète est utilisée comme pâturage pour le bétail
    PBS : Danger et promesse - le défi du changement climatique

    Beaucoup de gens aiment manger du bœuf, mais parmi presque tous les aliments que nous mangeons, c'est aussi celui qui a le plus d'impact sur l'environnement. Je ne sais pas si vous avez déjà vu une vache de près, mais elle est énorme. Il faut donc beaucoup de nourriture de vache pour produire autant de vache

    La plupart des vaches mangent de l'herbe, pas des céréales
    ... et beaucoup de terres pour produire toute cette nourriture pour les vaches. Plus d'un quart de la surface totale de la terre est utilisé pour nourrir ces vaches.

    Interview de Bill Gates par CNN :

    Bill Gates: Personne ne sait vraiment comment s'en débarrasser.

    Interlocuteur : … Comment empêcher les vaches de péter ?

    Bill Gates: Exactement!

    TRT World : Pets de vache et changement climatique

    Les vaches rotent et pètent beaucoup. Et cela a un impact sur le changement climatique.

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  17. Bill Gates:
    Ce que nous devons atteindre, c'est 0 (%). S'il s'agissait d'une réduction de 50%, on pourrait dire : OK, laissez les vaches tranquilles. Nous essayons d'empêcher la température de continuer à augmenter. Il faut descendre à zéro. Dans le cas contraire, la température continuera à augmenter.

    Toute cette propagande anti-vaches a-t-elle pour but de contrôler les terres ?
    Mark Moss : Bill Gates achète secrètement des terres agricoles

    Bill Gates a secrètement racheté les terres agricoles américaines et est désormais le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis.

    Investissement dans des terres agricoles
    Bénéfice de la location
    Philanthropie ou monopole ?

    CNBC : Pourquoi Bill Gates achète des terres agricoles américaines

    En 2020, Bill Gates a fait la une des journaux en devenant le plus grand propriétaire privé de terres agricoles aux États-Unis.

    Wybren van Haga:
    Les agriculteurs sont dans le collimateur. Et pourquoi les agriculteurs sont-ils pris pour cible ? Parce qu'ils ont des terres

    Erik Luiten, agriculteur et porte-parole d' « Agractie» :
    Ils doivent construire des maisons. Ils doivent construire des usines. Ils doivent construire des autoroutes. Et pour cela, ils ont besoin des terres des agriculteurs. Et ils veulent que ce soit le moins cher possible.

    Wybren van Haga:
    Nous avons besoin d'un million de logements. Pour résoudre ce problème, l'État a besoin de terres. Et quoi de plus simple que d'expulser nos paysans ?

    S'agit-il vraiment d'azote ?
    Si oui, existe-t-il des « solutions » ?
    Agriculture Cargill : capturer les rots des vaches

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  18. Le géant de l'agroalimentaire Cargill prévoit de vendre des appareils portables destinés à réduire les émissions de méthane des bovins.

    Porte-parole de « Hanskamp » :
    Les vaches produisent des émissions d'azote. Mais comment peut-on les réduire ? Il s'agit entre autres des émissions d'ammoniac. De nombreuses entreprises travaillent au sol avec des laveurs d'air, etc. Il y a une possibilité que la vache urine spontanément si on frotte le nerf ici - un réflexe nerveux naturel qui fait que la vache urine immédiatement. Nous avons développé un produit unique : « Les toilettes pour vaches de Hanskamp ».

    Le professeur Han Lindeboom :
    Nous avons un problème. Et nous devons le résoudre.

    Jos Block, agriculteur :
    Il existe une multitude de solutions pour réduire l'azote.

    Le professeur Han Lindeboom :
    Si nous changeons par exemple l'alimentation des vaches et des poules, et aussi des porcs - mais c'est une autre histoire -, nous pouvons facilement réduire la quantité d'ammoniac de 30, voire 40 pour cent. Ce qui est nécessaire, c'est donc une agriculture innovante. Et je ne veux pas dire tout de suite que nous ne pouvons pas le faire, car nous le pouvons.

    Wybren van Haga :
    Certains agriculteurs ont même dit : « D'accord, si l'azote est le problème, si la nature est le problème, alors je vais me débarrasser de mon bétail. Mais vous n'aurez pas mes terres ! » Et l'État a dit : « Non, non, non, non, non. Ce n'est pas le problème. Nous voulons votre terre ».

    Jos Ubels, agriculteur :
    Les agriculteurs les gênent. Et ils veulent se débarrasser de nous. Mais nous ne les laisserons pas faire.

    Sietske Bergsma :
    Ils souffrent vraiment. Ils ont vraiment l'impression qu'ils n'ont absolument aucune autre possibilité.

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  19. Wybren van Haga :
    Je crois que six agriculteurs se sont effectivement suicidés par pendaison à cause de cette nouvelle politique.

    Sietske Bergsma :
    J'espère que plus de civils néerlandais, y compris des citadins, participeront à leurs actions et protestations, afin qu'ils ne soient pas obligés de le faire seuls.

    Jos Ubels, agriculteur :
    Tous les jours, on peut lire dans les journaux que certains médias - surtout les médias gouvernementaux - essaient de dire que nous perdons le soutien de la population. Si vous allez dans le centre d'Amsterdam et que vous voyez des gens qui ne lisent que la propagande gouvernementale, ils n'ont rien à voir avec les agriculteurs parce qu'ils achètent leur nourriture au magasin et c'est tout. Ils n'ont aucun lien avec les fermes.

    Fier d'être agriculteur

    Jos Ubels, agriculteur
    Mais si vous demandez au reste des Néerlandais qui vivent dans des zones rurales, ils soutiennent beaucoup les agriculteurs. On le voit au fait que tous les drapeaux sont à l'envers, c'est un appel de détresse. On met le drapeau néerlandais à l'envers. Et si vous traversez les Pays-Bas, vous pouvez le voir partout.

    Sietske Bergsma :
    Ils voulaient montrer leur désespoir. C'est un symbole de détresse. Et ils les ont accrochés à des lampadaires. Ils les ont placés devant leur porte. Je pense qu'il s'agit de montrer aux gens qu'ils doivent se serrer les coudes pour lutter contre cette tyrannie.

    Interviewer : Quelle est la signification du drapeau à l'envers ?

    Tjeerd de Groot, membre du Parlement néerlandais :
    C'est un drapeau qui indique qu’on se trouve dans une situation d'urgence. Ça vient du secteur des navires et des bateaux. Ça vient du secteur maritime. C'est plus approprié.

    Interviewer : Oh, c'est ce que devraient faire les navires en détresse ?

    Tjeerd de Groot :
    Oui, c'est la manière traditionnelle de faire savoir qu'il y a une urgence.

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  20. Interviewer : Pensez-vous qu'il s'agit d'une urgence ?

    Tjeerd de Groot :
    Oui, c'est tout à fait une situation d'urgence.

    Interviewer :
    Mais je suppose que vous avez des opinions différentes à ce sujet ?

    Tjeerd de Groot :
    Nous avons des opinions différentes.

    Jos Ubels, vice-président de « Farmers Defence Force » (=défense des intérêts des agriculteurs) :
    Ils utilisent un prétexte pour imposer leur agenda et leur idéologie.

    Sietske Bergsma, commentatrice politique :
    Sous couvert de démocratie et de libéralisme, ils nous privent de nos droits. Et la plupart des gens trouvent ça acceptable parce qu'ils se sentent d'une certaine manière responsables, parce que c'est tellement progressiste de se préoccuper du climat. Ils sont donc prêts à sacrifier leur propre bien-être.

    Wybren van Haga :
    Même les personnes éduquées n'ont souvent pas le bon sens de se demander si ce que dit tel fonctionnaire du gouvernement, tel ministre, est vrai. Eh bien, très souvent, ce n'est pas vrai...

    Sietske Bergsma :
    Notre ministre du Climat a déclaré lors d'une émission télévisée : « L'azote est comme une couverture toxique qui recouvre la nature et empêche les plantes de pousser. » Ce n'est pas une explication scientifique pour l'azote.

    Wybren van Haga :
    Tout cela est inventé pour créer une atmosphère de peur. Et une fois que les gens ont peur, on peut faire avec eux ce qu'on veut.

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  21. Sietske Bergsma :
    Beaucoup de gens, la masse je dirais, aiment qu'on leur dise ce qu'ils doivent faire pour se sentir en sécurité. Nous avons payé un prix très, très élevé pour cela, car nous avons renoncé à toutes nos libertés pour nous sentir en sécurité. De toute évidence, cette sécurité est également très factice, car on ne peut pas être en sécurité sans être libre. Il ne s'agit pas de sauver la planète, mais du contrôle par le gouvernement, car c'est ce qui se passe en réalité.

    Wybren van Haga :
    Nos valeurs fondamentales ont toutes été construites sur le fait que l'individu détermine sa propre vie et est responsable de ses enfants, de sa femme et de sa maison. On détermine sa propre vie, que l'on meure ou que l'on vive, on le fait soi-même. Et la transition que nous effectuons est celle de la liberté de l'individu vers un type de structure collectiviste ou marxiste ou communiste ou socialiste. Nous sommes dans cette transition mais nous dormons ; nous sommes dans cette révolution tranquille et je trouve ça très effrayant.

    NOS : Fondation néerlandaise pour la radio et la télévision Plan azote 2030
    Le plan azote 2030 : moins d'azote
    Le plan azote stipule qu'il doit y avoir beaucoup moins d'azote aux Pays-Bas en 2030. Trop d'azote n'est pas bon pour la nature.

    Teo Wams, directeur de « Natuurmonumenten » :
    La consigne est de réduire les émissions d'azote, et de les réduire considérablement. Peut-être que certains agriculteurs devront abandonner leur exploitation, mais beaucoup plus d'agriculteurs devront simplement modifier leur exploitation afin de la rendre plus respectueuse de la nature.

    Sietske Bergsma :
    De nombreux agriculteurs, mais aussi tout simplement les citoyens néerlandais, se rendent compte que cette crise de l'azote, ou la crise climatique en général, repose sur des modèles frauduleux.
    La politique de l'azote est basée sur des modèles informatiques

    Femme néerlandaise :
    L'azote se présente sous forme de différents composés, et l'ammoniac est l'un d'entre eux. Il y a beaucoup d'ammoniac libéré par l'agriculture et le fumier des animaux, qui se disperse dans l'air et retombe ensuite dans la nature.
    La nature souffre notamment de l'élimination de l'azote.
    Souffre-t-elle ? Les modèles partent du principe que l'azote se déplace d'une ferme à l'autre.

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  22. Wybren van Haga :
    Les gens qui s'y connaissent vraiment, les professeurs dans ce domaine, ont dit que nous devrions rejeter ce modèle. Ce modèle devrait disparaître de la scène le plus rapidement possible.
    Prof. Han Lindeboom, spécialiste de l'environnement :
    Alors, ça c'est mon bureau. J'ai beaucoup travaillé en mer du Nord. J'ai travaillé dans l'Antarctique. Et ici, vous me voyez avec le roi et la reine, à l'époque encore prince et princesse. Et ici, vous me voyez avec l'ancienne reine, où je reçois une médaille d'honneur pour les arts et les sciences.
    Interviewer : Et quel est votre domaine d'expertise ?

    Prof. Han Lindeboom :
    Je suis un chercheur en écologie marine. Je suis un écologiste marin, j'étudie donc le système dans son ensemble. Et mon sujet principal est l'homme et la mer. Quand j’ai pris ma retraite, je suis devenu membre d'un parti politique néerlandais. Et c'est là que j'ai commencé à m'intéresser à l'azote. Et j'ai dit : « Eh bien, les données ne sont pas correctes, et nous devrions faire quelque chose. »

    En outre, je pense qu'on surestime les dommages causés à la nature par l'azote. Il y a un problème, mais il n'est pas aussi grave qu'ils le disent tout le temps. L'idée de ces personnes est qu’il y a des problèmes partout, donc que nous devons les résoudre partout. Et il y a cette croyance religieuse selon laquelle si on libère ces composés azotés à un endroit précis, ils se répandront dans tout le pays. Mais ce n'est pas vrai. Et ainsi, on a une autre vision des choses. Et puis il y a un modèle. Ils ont construit un modèle qui est assez bancal. Ils disent que le modèle de l'azote n'est pas adapté pour calculer les choses qu’on veut analyser. On peut l'utiliser afin d’analyser où les problèmes pourraient se situer, et comme outil scientifique pour mieux comprendre les processus. Mais ce modèle n'est absolument pas capable de calculer les données sur lesquelles ils basent leurs mesures concernant les agriculteurs. C'est du pipeau. A part moi, quelques autres personnes ont écrit ici leur déclaration selon laquelle ce modèle n'est pas adapté aux calculs qu'ils font. Et que les données elles-mêmes présentent une dispersion de 95% à certains endroits. Et ensuite, on utilise ces données pour dire à un agriculteur qu'il doit disparaître. A mon avis, on ne peut pas suivre ce chemin pour résoudre le problème.
    Les modèles environnementaux sont notoirement erronés

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  23. Prof. Han Lindeboom :
    Si le résultat d'un modèle correspond à ce que je constate sur le terrain, c'est une coïncidence, car l'année suivante, ce sera totalement différent.
    Interviewer : Alors pourquoi utilisons-nous ce modèle ?

    Prof. Han Lindeboom :
    Parce qu'il nous permet de connaître les différentes voies par lesquelles le système peut se développer. Il peut donc en fait nous montrer comment les processus fonctionnent. Ces modèles sont assez efficaces pour tester des théories. Mais si on y met de la merdouille, de la merdouille en sortira. C'est ce que nous avons dit. Et nous avons déjà de gros points d'interrogation. Et le principal problème est que le gouvernement accorde du crédit aux données de ce modèle et les utilise pour sa politique, y compris la suppression d’agriculteurs.

    Sietske Bergsma :
    Nous sommes en train de discuter sur le fait que nous allons dire adieu à nos agriculteurs. Je pense que c'est une période très, très triste et inquiétante.

    Wybren van Haga :
    A mon avis, ce sont des gens qui travaillent dur. Ils paient des impôts. Ils travaillent leur terre, depuis parfois 10 ou 15 générations. Mais maintenant, tout semble avoir changé : « Les agriculteurs sont mauvais. Ils produisent des déchets. Ils détruisent notre nature. Ils maltraitent leurs animaux ». Et tout à coup, ils doivent disparaître. Il y a vingt ans, on n'aurait jamais imaginé que ça puisse arriver. Nous étions fiers de nos agriculteurs. Les agriculteurs néerlandais étaient les meilleurs du monde, et ils le sont toujours.

    Jos Block, agriculteur:
    Je pense qu'il est très important que les journalistes, par exemple, considèrent toutes les facettes de l'histoire. Les journalistes néerlandais ne racontent pas tous la bonne histoire ou l'histoire dans son ensemble. Ils ne prennent que les éléments qui leur conviennent. Et comme ils ne choisissent qu'une partie de l'histoire, les Néerlandais ont une fausse image de ce qui se passe.

    Sietske Bergsma :
    Il est totalement aberrant de vouloir véritablement sacrifier le savoir de nos agriculteurs néerlandais. Ils font partie des meilleurs au monde.

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  24. Erik Luiten, agriculteur et porte-parole d'« Agractie » :
    Si les gouvernements éloignent les agriculteurs en les achetant, loin de leurs champs, loin de là où ils vivent, ils ne reviendront plus jamais. Ils font donc une grave erreur. Et je pense que dans dix ans ou plus, les politiques diront : Que s'est-il passé en 2022 ? Pourquoi tous les agriculteurs ont-ils disparu ? Et la nature n'aura pas changé pour autant.

    Jos Ubels, agriculteur:
    Nous détruisons cela. Si nos fameuses vaches de qualité ne figurent plus que sur les photos, nous cassons la colonne vertébrale de notre pays. Et un jour, tout le monde aura faim et fera faillite.

    Tjeerd de Groot :
    Nous voulons aussi changer l'économie, de sorte que les agriculteurs puissent obtenir un meilleur revenu avec moins d'animaux. La viande est beaucoup trop bon marché.
    Interviewer : La sphère politique augmenterait-elle les prix de la viande et du lait ?

    Tjeerd de Groot : Probablement.

    The Economist : Allez-vous bientôt manger des insectes ?
    D'ici 2050, il y aura 10 milliards de personnes à nourrir. L'agriculture et la consommation d'insectes contribueront-elles à résoudre l'un des plus grands défis du 21e siècle ?

    Vanity Fair : Nicole Kidman mangeuse d’insectes
    Nicole Kidman :
    Je suis ici pour dévoiler mon talent caché : Je mange des micro-organismes, des vers de maïs. Ils sont encore vivants. Et voilà, regardez. Quelques vers de farine. Je vous le dis, je pourrais gagner dans l’émission « Survivor ».

    Rypke Zeilmaker, journaliste (environnemental) indépendant :
    Il ne s'agit pas de protéger la nature. Seuls ceux qui ont acquis le plus d'argent dans ce processus auront le pouvoir. Il s'agit de contrôler les ressources qui sont entre les mains de quelques-uns. Regardez le pouvoir des ONG. Qui soutiennent-elles vraiment ? Qui leur injecte de l'argent ? Ce sont toujours le gouvernement et les milliardaires qui le font.

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  25. Femme politique :
    Une liste de souhaits des ONG semblait être la base du plan azote. La ministre a écrit à ce sujet aujourd'hui qu'elle avait fait des recherches pour trouver les meilleurs sites possibles pour les sites Natura 2000. Un message WhatsApp a révélé que la ministre avait reçu une demande confidentielle de LNV, une ONG.

    Rypke Zeilmaker, journaliste indépendant :
    C’est exactement cela qui se passe entre le gouvernement et les ONG. Jusqu'à un certain point, on peut acheter l'opinion publique, acheter ces ONG. C'est ce qui se passe réellement aux Pays-Bas, mais aussi aux États-Unis.
    Bloomberg : L'UE approuve le plan néerlandais de rachat des agriculteurs pour réduire les émissions.
    Michael Heaver, ancien politicien britannique :
    Nous venons de voir que Bruxelles a approuvé ce projet du gouvernement néerlandais de racheter les exploitations d'élevage pour réduire les émissions d'azote. Mais écoutez ça : Une partie de l'accord stipule que les agriculteurs ne peuvent plus pratiquer l'agriculture nulle part dans l'UE.

    Sietske Bergsma :
    Il faut commencer par en parler, s'organiser et peut-être même atteindre des gens dans d'autres pays. Car il ne s'agit pas d'un problème néerlandais, mais d'un problème mondial.
    Interlocuteur de SkyNews :
    Le Canada suit apparemment la même voie maintenant. Le gouvernement canadien de Justin Trudeau veut maintenant imposer à nouveau des restrictions drastiques aux agriculteurs en raison du changement climatique, et ce à nouveau sous le prétexte de l'azote, afin de limiter la production alimentaire. Cela me semble tout simplement être une folie absolue.

    Porte-parole de RTC News :
    Ce n'est rien de moins que l'avenir de l'agriculture irlandaise qui est en jeu. Le pas vers une réduction de 51% des émissions.
    Beaucoup de politiciens parlent d'objectifs d'émissions de carbone et qu'il n'y aura pas d'abattage forcé, mais nous ne voyons pas cela. Nous constatons qu'ils abattent les animaux en passant par la « petite porte », même si c'est par le biais du règlement sur les nitrates.
    Kevin O'Leary, homme d'affaires, investisseur, journaliste et vedette de télévision canadien :
    Je ne sais pas comment nous avons été politisés lorsqu'il s'agit de deux des choses les plus importantes dont on a besoin pour prospérer. Il faut de la nourriture et de l'énergie. Personne ne le conteste, et pourtant elles deviennent des motifs très partisans.

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  26. GB News :
    Nous sommes sous l'emprise d'une psychose commune, qui s'exprime surtout par le fait que nous cherchons à nous opposer à tout ce qui rend la vie civilisée possible.

    John Kerry :
    L'agriculture contribue à environ 33% de toutes les émissions du monde. Nous ne pouvons atteindre le zéro absolu. Nous n'y parviendrons pas si l'agriculture n'est pas mise au premier plan comme partie de la solution.

    Présentateur de Global News :
    Ce soir, il y a une mise en garde pressante contre un gaz à effet de serre appelé oxyde d'azote.
    L'oxyde d'azote accélère le changement climatique
    Dans l'atmosphère, l’effet de réchauffement est cent fois plus important que celui du dioxyde de carbone. Il provient de l'azote contenu dans les engrais agricoles utilisés dans le monde entier pour augmenter le rendement des cultures.

    Présentateur d'« Al Jazeera » :
    Pollution par l'azote : les émissions ont augmenté de 30 % au cours des 40 dernières années. Les émissions d'azote doivent être réduites de 50 % pour éviter des dommages climatiques.
    Les experts de l'ONU ont conclu que le monde devait réduire de moitié les émissions d'azote pour éviter des conséquences catastrophiques.

    Rypke Zeilmaker, journaliste indépendant :
    Il ne s’agit que de peur. Il s'agit que les gens craignent l’avenir pour qu'ils approuvent une politique qu'ils n'approuveraient jamais à froid.

    GBNews.UK
    Protestations des agriculteurs néerlandais - La campagne contre les propositions du gouvernement se poursuit

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  27. Prof. Ralph Schöllhammer :
    Dans le monde occidental, nous sommes de plus en plus en guerre contre tout ce qui rend la vie moderne possible. Ce sont les agriculteurs aux Pays-Bas. Ce sont les vaches en Irlande. C'est l'exploitation minière en Grande-Bretagne. C'est l'énergie nucléaire en Allemagne. Cela fait partie d'un tableau plus large. Tout sert de prétexte au mouvement climatique, au mouvement vert. A peu près tout ce qui rend la vie moderne possible est attaqué. Mais au lieu d'essayer de riposter dans un front uni, nous sommes divisés en ces petits groupes de combat qui ne s'unissent jamais pour aborder le thème idéologique plus large qui, à mon avis, trouverait un grand écho dans tout l'Occident si seulement nous pouvions trouver un moyen de l'organiser exactement de la même manière.

    Jos Ubels, agriculteur
    Nous protégerons nos agriculteurs de toutes les manières possibles, et à tous les niveaux. Au niveau européen, au niveau mondial. Je protégerai l'agriculture. Je protégerai notre vie libre, parce que je veux que mes enfants aient la même vie libre que moi.
    Car si nous permettons que cela arrive à nos agriculteurs néerlandais, cela arrivera prochainement à la population civile. Ils leur prendront leurs maisons. Ils décideront où ils ont le droit de vivre, comment ils peuvent vivre et comment ils doivent vivre leur vie. Et ça, c'est très dangereux.
    Et ce n'est pas ce genre de pays que je veux, ce n’est pas ce monde-là que je veux. C'est pourquoi je me bats pour cette cause.
    Ce n'est que le début : le contrôle social - au nom de l'environnement
    Pour les paysans qui restent, tout est meilleur que ce qu'ils ont vécu. Beaucoup se portent volontaires pour rejoindre les collectifs et cèdent à l'État leur bétail, leurs outils, leur maison et leurs terres. Staline lui-même imagine un plan pour subventionner les frais de fondation des collectifs avec les biens séculiers des nouveaux membres.

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  28. Réalisation : James Patrick
    Production : Kelly Gallagher
    Montage : James Patrick, Matt Low, Paul Demonte
    Son : Ingmar Beyer
    « Nitrogen 2000 - La lutte des agriculteurs néerlandais »
    Un documentaire « Big Picture »

    de James Patrick
    Sources / Liens :
    « Azote 2000 - La lutte des agriculteurs néerlandais »
    Un documentaire « Big Picture »
    https://bigpicture.watch/product/fund-nitrogen-2000/

    https://www.kla.tv/fr

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    1. Notre atmosphère est composée de 78 % d'azote et les complotistes mafieux des gouvernements veulent l'éliminer !! Idem pour le gaz carbonique (0,041 %) qui est un gaz rare responsable des gelées qui serait un gaz réchauffiste !! HAHAHAHA !

      L'air qui a fabriqué notre atmosphère vient uniquement de la combustion de la masse ferrique incandescente à 30 km sous nos pieds. Tous ces gaz remontent à la surface des eaux (l'eau de mer contient 86 % d'oxygène). TOUS ces gaz (en proportions inégales) se recyclent instantanément dans notre atmosphère sans quoi la vie sur Terre n'aurait JAMAIS eu lieu. Donc, vouloir 'retirer' un gaz ne notre atmosphère ne sert strictement a rien. L'azote, le gaz carbonique, l'oxygène, etc seront TOUJOURS LA et en pourcentage plus ou moins stables selon les éruptions volcaniques quotidiennes sous les mers & océans.

      Puis il y a le gang des criminels qui veut affamer 8 milliards d'habitants en supprimant l'agriculture sur Terre ! "Vous mangerez des insectes ! de l'herbe et votre merde ! et vous serez heureux !"

      Un nano-groupuscule de terroristes pollue, extermine 8 milliards d'habitants

      - Je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce qui est mis sur la table ! 'Les vaches rotent et pètent' !!
      ET ALORS ?!
      Demain on vous parlera d'autres animaux (qui en font autant) en plus de pisser et de chier !!
      HOULALA !!

      Donc, déjà, en ligne de mire, il y a l'humain (qui doit disparaître car il pollue !). Il ose émettre du... gaz carbonique !!
      Il ose consommer de la viande !! et des fruits, des légumes, du poisson et utilise du pétrole !! Cuisine au feu de bois ! (ou gaz ou au charbon !), et en plus... il tasse la terre !! Boit de l'eau ! et respire de l'air !!

      Aujourd'hui nous sommes riches ! Trop riches ! Trop éduqués, évolués, responsables, compréhensifs et, cette énormité dépasse les dictatures dans chaque pays. Les dictateurs sont impuissants face à la construction de 8 milliards d'habitants qui ose progresser chaque jour !

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  29. Les citrouilles peuvent aider à atténuer la carence en vitamine A et à prévenir les conséquences graves de la rougeole


    10/11/2023
    Lance D Johnson


    L’une des cultures les plus anciennes cultivées en Amérique du Nord est la citrouille. Ces globes d'automne emblématiques appartiennent à la famille des courges (Cucurbitacées), au même titre que la pastèque, le cantaloup, le melon miel, la courgette et le concombre. Les tribus autochtones cultivent des citrouilles pour se nourrir et se soigner depuis au moins 5 000 av. Les plus anciennes citrouilles domestiquées ont été découvertes par des archéologues à Oaxaca, au Mexique et seraient originaires d'Amérique centrale il y a plus de 7 500 ans.

    Bien plus que de simples décorations, les citrouilles regorgent de nutriments et offrent plusieurs bienfaits médicinaux. De la chair aux graines, les citrouilles étaient historiquement cultivées pour nourrir les familles pendant les durs mois d’hiver et pour assurer la subsistance des villages en période de pénurie alimentaire. Parce qu’elles sont riches en vitamine A, les citrouilles peuvent aider à atténuer la carence en vitamine A et à prévenir les conséquences graves de la rougeole.

    Les citrouilles fournissent de la vitamine A pour aider à se protéger contre la rougeole grave
    La couleur orange de la citrouille indique que le fruit est riche en un antioxydant appelé bêta-carotène. Le système digestif humain convertit le bêta-carotène en vitamine A, qui est ensuite utilisée pour la croissance et le bon fonctionnement des yeux, de la peau et des cellules immunitaires. Comme la plupart des fruits, les citrouilles contiennent également diverses autres vitamines, notamment C, E et B6, ainsi que du magnésium, du potassium, de la thiamine, du folate, de la niacine, du fer et de la riboflavine. Ces vitamines et minéraux jouent également un rôle important dans la lutte contre les maladies infectieuses. En prime, les graines de citrouille sont connues pour expulser les vers du tube digestif, renforçant ainsi le système immunitaire.

    Lors des épidémies de rougeole, les enfants sont mieux protégés grâce à un apport et une assimilation élevés en vitamine A. Les citrouilles sont un excellent aliment pour aider à augmenter les niveaux de vitamine A. Une tasse (245 grammes) de citrouille en conserve fournit 209 % de la valeur quotidienne en vitamine A.

    Une étude réalisée à New York a révélé que les enfants infectés par la rougeole sont plus susceptibles de souffrir de fièvre prolongée et d'être hospitalisés lorsque leur taux de vitamine A est faible. Les enfants ayant de faibles niveaux de vitamine A avaient également des niveaux d’anticorps spécifiques de la rougeole plus faibles. Les auteurs de l’étude recommandent aux cliniciens d’envisager un traitement à la vitamine A pour les enfants de moins de 2 ans également infectés par la rougeole. La vitamine A améliore à la fois l’expression des immunoglobulines et la réponse immunitaire cellulaire et est désormais recommandée au niveau international pour les enfants dans les régions du monde où la rougeole est endémique.

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  30. De plus en plus de parents choisissent de renoncer au vaccin contre la rougeole, en raison des craintes croissantes que le vaccin ROR (rougeole, oreillons et rubéole) puisse provoquer des retards de développement neurologique et l'autisme chez les enfants. Des traitements efficaces sont particulièrement importants pour les parents dont les enfants ne peuvent pas se faire vacciner parce qu’ils sont soit immunodéprimés, soit plus sujets aux lésions vaccinales. Certains parents souhaitent un moyen plus sûr et plus efficace d’aider leur enfant à acquérir une immunité contre cette maladie infectieuse.

    Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), plus de 1 200 cas de rougeole ont été signalés dans 31 États en 2019. Il s’agit du plus grand nombre de cas de rougeole observés aux États-Unis depuis plus de 25 ans. Il devient évident que le composant antirougeoleux du vaccin ROR ne parvient pas à conférer une immunité à vie et que davantage de rappels seront nécessaires pour les adultes et les enfants.

    Alors que les programmes de vaccination échouent et que de plus en plus de personnes abandonnent le paradigme vaccin-immunisation, il est important d’examiner de plus près les aliments, les suppléments et les herbes qui fournissent les nutriments nécessaires pour prévenir les maladies graves. S’il y a quelque chose que nous avons appris des confinements liés au Covid, c’est que les traitements et les solutions de santé naturelles sont censurés, humiliés et ignorés pour évincer des produits pharmaceutiques rentables dont l’innocuité et l’efficacité n’ont pas été prouvées.

    Durant la prochaine vague de vacances, de surcharge en sucre et de maladies saisonnières, n’oublions pas de manger davantage d’aliments complets riches en vitamines, minéraux et antioxydants qui combattent les maladies infectieuses. Les citrouilles sont un bon début, notamment pour lutter contre les infections parasitaires et la rougeole grave.

    Les sources incluent :

    TheEpochTimes.com
    NCBI.NLM.NIH.gov
    Healthline.com
    JAMANetwork.com
    Journaux.LWW.com
    VTechWorks.lib.vt.edu

    https://www.naturalnews.com/2023-11-10-pumpkins-help-alleviate-vitamin-a-deficiency.html

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  31. Big Pharma rebranding les produits pharmaceutiques ayant échoué avec un nouveau « double coup » contre la grippe COVID


    10/11/2023
    Ethan Huff


    Parce que plus personne ne veut prononcer le mot COVID, et encore moins recevoir d'autres injections de « vaccin », le PDG de Pfizer, Albert Bourla, propose de combiner les derniers vaccins « de rappel » d'ARNm de son entreprise avec des vaccins contre la grippe saisonnière, créant ainsi un nouveau vaccin tout-en-un. un « double vaccin » contre la grippe COVID.

    Bourla s’attend à ce qu’un Américain sur quatre, soit environ 24 % de la population américaine, reçoive un autre vaccin contre le COVID cet automne. En réalité, "peut-être sept, huit pour cent l'ont fait", s'est plaint Bourla, citant comme raisons "la fatigue du COVID" et le fait que les gens soient "loin de la peur du COVID".

    Puisque Bourla aime l’argent, ces chiffres ne suffiront pas – il a besoin d’un nouveau yacht, après tout. Ainsi, pour faire augmenter les chiffres et maintenir l’argent sur son compte bancaire, Bourla veut essentiellement inciter les Américains à prendre une autre injection non testée, cette fois un vaccin deux-en-un contre la grippe COVID.

    "Nous sommes au milieu d'une campagne internationale de rebranding largement financée pour relancer la demande de produits pharmaceutiques toxiques et défaillants", prévient le Dr William Makis à propos de ce que Bourla et ses acolytes envisagent maintenant de faire pour maintenir les profits.

    (Connexe : En octobre, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association [JAMA] a révélé que ni les vaccins contre le COVID ni les vaccins contre la grippe ne réduisent le risque d'hospitalisation.)

    Les « scientifiques » des grandes sociétés pharmaceutiques suggèrent d’imposer une double injection contre la grippe COVID pour garantir des bénéfices stables
    Quand tout le reste échouera, Bourla et ses semblables feront pression pour que leurs produits mortels soient rendus obligatoires, ce qui est exactement ce que font Aashka Shah et al. proposé dans un article du 12 janvier 2023.

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  32. S’il y a jamais eu une grossière déformation du serment d’Hippocrate par rapport à sa signification réelle, c’est bien celle-là. Ces gens ne se soucient vraiment pas de la vie humaine et du droit d'un individu à ne pas être «médicamenté» de force avec on ne sait quoi, tout cela pour que les Bourlas du monde puissent ajouter quelques zéros supplémentaires à leurs comptes bancaires.

    Les dernières nouvelles sur les dangers des produits Big Pharma peuvent être trouvées sur BigPharmaNews.com.

    Les sources de cet article incluent :

    Expose-News.com
    NaturalNews.com
    FrontiersIn.org

    https://www.naturalnews.com/2023-11-10-big-pharma-rebranding-covid-flu-double-vaccine.html

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  33. Allemagne : l’écart de revenus continue de se creuser – la situation des citoyens ordinaires se détériore

    12 novembre 2023
    par le Prof. Dr. Christian Kreiss


    Début novembre, le dernier rapport de diffusion de l'Institut des sciences économiques et sociales (WSI) de la Fondation Hans Böckler a été publié sous le titre : « L'inégalité des revenus comme menace pour la démocratie ». 1 Ainsi, l’inégalité des revenus disponibles des ménages en Allemagne s’est accrue entre 2010 et 2022. Alors qu’en 2010, le quintile supérieur des ménages disposait de 4,2 fois plus de revenus que le quintile inférieur, ce ratio est passé à 4,6 fois d’ici 2022. Ainsi, actuellement, les 20 % des ménages les plus riches disposent d’un revenu disponible 4,6 fois supérieur à celui des 20 % les plus pauvres.

    La proportion de personnes très pauvres, c'est-à-dire celles qui doivent survivre avec moins de la moitié du revenu moyen (revenu médian), a fortement augmenté, passant de 7,7 % à 10,1 % entre 2010 et 2022, la proportion de personnes pauvres ayant moins de 60 % du revenu médian est passé de 14,5 % à 16,7 %. Le résultat des scientifiques affiliés au syndicat est le suivant : « La conclusion claire sur les taux de pauvreté : la proportion de personnes touchées par la pauvreté augmente depuis des années. » 2

    Selon le rapport, la pauvreté est particulièrement prononcée parmi les personnes issues de l'immigration directe (même née à l'étranger) et indirecte (au moins un parent né à l'étranger). La proportion de personnes issues de l'immigration directe était de 11,7 % de la population totale en 2021, mais leur proportion de pauvres (revenu inférieur à 60 % de la médiane) était de 27,8 %. Les personnes issues de l'immigration indirecte représentent actuellement 8 % de la population totale, mais leur part parmi les pauvres était de 12,9 %. En bref : selon le WSI, en 2021, avant le début de la guerre en Ukraine, environ un cinquième de la population allemande était issue de l'immigration et leur part de pauvres était disproportionnée.

    Le WSI souligne avec insistance que la confiance des pauvres dans les institutions démocratiques, en particulier dans les partis, le Bundestag et les hommes politiques, est particulièrement faible et en tire le titre de l'étude : L'inégalité des revenus comme menace pour la démocratie. L’étude appelle donc fortement les responsables politiques à réduire les inégalités. Mais c’est exactement ce qui ne se produit pas en raison des mesures prises par le gouvernement fédéral actuel. En particulier, les mesures énergétiques initiées par les Verts se font largement aux dépens des citoyens allemands ordinaires.

    Politiques antisociales et anti-entreprises du gouvernement jamaïcain

    Dans un long article paru à la mi-octobre, le Zeit 3 ​​soulignait que M. Habeck, en particulier l'Energieplitilk, se fait pour la troisième fois consécutive aux dépens des gens ordinaires en Allemagne. Le temps se demande si cela est dû à l’idéologie ? Et que les Verts sont passés « du parti du peuple au parti client » des hauts revenus.

    De manière générale, on peut dire que les politiques économiques du gouvernement actuel de la « Jamaïque » ont beaucoup contribué à rendre la vie difficile à l’économie. La manie réglementaire, la bureaucratie, le dirigisme au lieu des mécanismes de marché 4 , le « marteau chauffant » ou la « dictature des pompes à chaleur » 5 Des taxes extrêmement élevées sur l'électricité et des augmentations élevées des prix de l'énergie, encore aggravées par des mesures politiques, étranglent l'économie allemande depuis longtemps. plusieurs mois et faisant de l'Allemagne l'homme malade de l'Europe, voire du monde. 6

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  34. Ces mesures politiques, souvent motivées par des idéologies et étouffant la croissance économique, dans un contexte d'inégalités croissantes et de forte augmentation de l'immigration de personnes moins instruites au cours des huit dernières années, signifient que la politique actuelle frappe deux fois plus les citoyens allemands ordinaires. dur. Le WSI souligne à juste titre que cette politique constitue une menace pour la démocratie car elle mine la confiance de larges couches de la population dans les institutions.

    Développements à plus long terme

    Mais la répartition inégale croissante en Allemagne de 2010 à aujourd’hui ainsi que les graves erreurs politiques ne sont que la pointe de l’iceberg. Les injustices dans notre pays n’ont cessé de croître depuis plus d’une génération ; le bien-être réel d’une grande partie de la population allemande n’a probablement pas augmenté depuis des décennies, bien au contraire.

    En juillet 2016, l'Institut de recherche en macroéconomie et en cycle économique (IMK) de la Fondation Hans Böckler a publié une étude intitulée : « Mesure du bien-être « Au-delà du PIB » – L'indice national de bien-être (NWI 2016) ». 7 Dans cet article, les scientifiques affiliés aux syndicats comparent le produit intérieur brut (PIB) conventionnel, qui est normalement utilisé pour mesurer la prospérité, avec leur propre indicateur de bien-être, l'indice national de bien-être (NWI). Celui-ci complète le PIB en déduisant, entre autres, les éléments de distribution, le travail bénévole et les activités visant à réduire les dommages tels que les coûts liés à la criminalité, à la pollution de l'environnement, aux nuisances sonores, etc.

    L’idée centrale est la suivante : pour savoir si la majorité de la population du pays connaît réellement plus de prospérité, il faut déduire du PIB les activités économiques qui ne génèrent en réalité aucune richesse, puis examiner dans quelle mesure cette réduction est réduite. la croissance économique touche la majorité de la population. Ce n’est qu’alors que l’on pourra décider si une réelle augmentation du bien-être s’est produite pour la majorité des gens.

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  35. Selon l'étude IMK, le PIB allemand corrigé de l'inflation a augmenté au total de 34,3 % entre 1991 et 2014. Cependant, l’indice de bien-être du NWI n’a augmenté que de 4,4 pour cent au cours de la même période. C'est une différence dramatique. D’après cela, le bien-être réel de la majorité des Allemands n’a pratiquement pas augmenté au cours de ces 25 années, bien que les chiffres officiels montrent une augmentation du PIB réel d’un tiers. C’est un résultat impressionnant qui soulève quelques questions.

    Si l’on y ajoute l’augmentation des inégalités de répartition entre 2010 et 2022, il devrait apparaître qu’en Allemagne, depuis 1991, il n’y a probablement eu que peu ou pas de véritable augmentation de la richesse pour la majorité des gens aujourd’hui. Mais les statistiques officielles ne nous le disent pas.

    Mais les gens le ressentent toujours. Beaucoup de gens se demandent, par exemple, pourquoi il n'est plus possible aujourd'hui dans de nombreuses jeunes familles qu'un seul des parents travaille pour financer la famille, pourquoi, pour des raisons économiques, les deux parents doivent très souvent travailler, alors qu'il y a une génération, lorsque nous en avions officiellement beaucoup, nous étions plus pauvres, ce n'était souvent pas nécessaire. Un regard sur les villes confirme également cette impression : en 2022, environ deux millions de personnes en Allemagne dépendaient des banques alimentaires. 8 Loin de pouvoir fournir suffisamment de nourriture à tous ceux qui en avaient besoin, la ruée était bien trop grande. 9 Il y a une génération, les banques alimentaires n'existaient même pas et il n'y avait pratiquement pas de faim ni de personnes cherchant de la nourriture dans les poubelles en Allemagne.

    Autres facteurs au détriment de la prospérité réelle

    Outre l'inégalité dans la répartition des revenus qui s'accentue depuis des décennies, il existe deux autres facteurs pour lesquels une grande partie de la population ne bénéficie pas d'une réelle augmentation de la prospérité malgré un produit intérieur brut (PIB) officiellement en constante augmentation : 1) l'augmentation des maladies. de civilisation et 2) un travail de plus en plus improductif, purement conservationniste.

    1) En Allemagne, la part des dépenses de santé dans le PIB est passée de 10 pour cent en 1997 à 13,2 pour cent en 2021 10 . Le ministère fédéral de la Santé indique qu'en Allemagne, selon une définition élargie, environ 7,7 millions de salariés (souvent dévoués), soit environ un salarié sur six, travaillent dans le secteur de la santé. 11 Ces activités sont extrêmement importantes. Mais qu’est-ce que cela signifie pour notre prospérité ? Plus nous devons consacrer de temps, d’argent et d’énergie dans le secteur de la santé pour maintenir ou restaurer notre santé, plus le potentiel productif est retiré aux autres secteurs et donc plus notre bien-être réel diminue. Une grande partie de l’augmentation des dépenses de santé au cours des dernières décennies n’a finalement pas accru notre prospérité, mais l’a plutôt réduite. Plus nous devenons malades, plus notre prospérité décline.

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  36. Concernant le point 2) Au cours des dernières décennies, les activités qui ne produisent pas directement des biens ou des services ont considérablement augmenté. La bureaucratie, les certifications, les accréditations, etc. ont augmenté de façon spectaculaire dans presque tous les secteurs au cours des dernières décennies, et les plaintes à ce sujet dans l'ensemble de la société sont détaillées et longues. Et le gouvernement Scholz actuel y apporte une grande contribution. Cela réduit la productivité.

    Mais d'autres secteurs y contribuent également : par exemple, le chiffre d'affaires des entreprises de gardiennage et de sécurité en Allemagne a plus que quadruplé, passant de 2,4 milliards d'euros en 1995 à 9,85 milliards d'euros en 2021. 12 Le personnel de sécurité et les caméras de surveillance n’augmentent pas notre prospérité, mais tentent simplement de maintenir ou de rétablir un état de choses sans insécurité ni criminalité. Chaque euro investi dans cette industrie réduit finalement notre prospérité par rapport à la situation d'avant, lorsque ces activités n'étaient pas nécessaires parce qu'il y avait moins de criminalité ou moins de peur du crime.

    Il en va de même pour le travail des avocats, des conseillers fiscaux et des commissaires aux comptes. Leur nombre s'est multiplié en Allemagne dans l'après-guerre. 13 Aussi importantes que soient ces professions pour le bon fonctionnement de la vie économique, elles absorbent beaucoup de ressources sans accroître directement la prospérité. Un autre exemple est celui des dépenses marketing, qui ont considérablement augmenté au cours des dernières décennies. Ils n’augmentent pas notre prospérité, mais la réduisent plutôt en rendant plus chers les produits et services annoncés. 14

    Conclusion

    Depuis plus d’une génération, l’écart de revenus dans notre pays se creuse. De plus, en raison de la bureaucratie croissante, des réglementations, des spécifications, de l'augmentation des activités de surveillance et de contrôle, etc., ainsi que du déclin de la santé, une part toujours plus grande de notre temps de travail est consacrée à des activités de nature purement conservatrice, sans aucun supplément ou un nouvel avantage sous forme de biens ou pour créer des services. Par conséquent, la croissance économique officiellement annoncée surestime de loin l’augmentation réelle du bien-être. En réalité, la prospérité augmente bien moins que ce que les chiffres officiels voudraient nous laisser croire.

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  37. La combinaison de ces deux facteurs : l’augmentation spectaculaire des activités purement de conservation et l’augmentation des inégalités signifie qu’une grande partie de la population de notre pays – et de certains autres pays – n’a probablement pas connu une réelle augmentation de son bien-être depuis des décennies et n’en fera probablement pas l’expérience. encore. Nous avons probablement déjà atteint la fin de la croissance économique.

    informations d'identification

    1 Rapport WSI 90 : https://www.wsi.de/fpdf/HBS-008729/p_wsi_report_90_2023.pdf

    2 Rapport WSI 90

    3 Zeit du 17 octobre 2023 : Cela coûtera cher - pour les Verts : https://www.zeit.de/wirtschaft/2023-10/robert-habeck-china-abhaengigkeit-kosten-gruene/komplettansicht

    4 https://www.mdr.de/nachrichten/deutschland/wirtschaft/industrie-kritik-gruene-politik-wirtschaft-strom-100.html

    5 Capitale : 16 juin 2023 : Les leçons du fiasco des pompes à chaleur : https://www.capital.de/wirtschaft-politik/heizsgesetz–die-lehren-aus-dem-waermepumpen-fiasko-33565194.html

    6 https://www.welt.de/politik/deutschland/article246969570/CDU-Generalsekretaer-ford-Agenda-2030-Wir-sind-der-kranke-Mann-der-Welt.html

    7 https://www.boeckler.de/pdf/p_imk_study_48_2016.pdf

    8 https://www.tagesschau.de/inland/mehr-menschen-nutzen-tafeln-101.html#:~:text=Less%20Food%2C%20but%20more%20People,Information%20a%20gro%C3% 9Fen%20rush%20enregistré .

    9 https://www.tafel.de/fileadmin/media/Presse/Background Information/2023-08-09_Faktenblaetter_TU_23.pdf

    10 https://de.statista.com/statistics/data/studie/76458/umfrage/deutschland-entwicklung-der-gesundheitsspenden-seit-1997/ ;

    11 https://www.bundesgesundheitsministerium.de/themen/gesundheitswesen/gesundheitswirtschaft/gesundheitswirtschaft-als-jobmotor.html , à partir de janvier 2023

    12 https://de.statista.com/statistics/data/studie/258510/umfrage/entwicklung-des-verkaufl-der-wach-und-sicherheitsunternehmen-in-deutschland/

    13 https://de.statista.com/statistics/data/studie/36372/umfrage/steuerberater-als-members-der-steuerberaterkammer/ ; https://de.statista.com/statistics/daten/studie/153866/umfrage/anzahl-der-wirtschaftspruefer-in-deutschland-seit-1961/ ; https://de.statista.com/statistics/data/studie/37293/umfrage/entwicklung-der-zahl-zulassener-rechtsanwaelte/

    14 De nombreux autres exemples d'activités purement de conservation peuvent être trouvés dans Kreiß, Christian, The End of Economic Growth - The Economic and Social Consequences of a Lack of Ethics and Morals, Hambourg, édition 2023.

    https://tkp.at/2023/11/12/deutschland-die-einkommensschere-geht-weiter-auf-einfachen-leuten-geht-es-immer-schlechter/

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    1. (...) « L'inégalité des revenus comme menace pour la démocratie ». (...)

      L'inégalité des revenus menace la future démocratie espérée par tout le monde. Car l'Allemagne n'est pas et est même très loin d'être un jour comparable à sa voisine Suisse une Démocratie !

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  38. Taxer la viande pour lutter contre le réchauffement : une si mauvaise idée…

    L’idée d’introduire une taxe sur la viande est, selon Jason Reed, une fausse bonne idée. Si l’élevage contribue aux émissions de gaz à effet de serre, les taxes punitives ne parviennent que rarement à modifier le comportement des consommateurs.


    12 novembre 2023
    Un article de l’IREF.
    Jason Reed


    Les écologistes voudraient que nous arrêtions de manger de la viande. En raison de l’inquiétude croissante suscitée par le changement climatique et de la volonté d’arriver à un bilan « zéro carbone » en réduisant les émissions de gaz à effet de serre, nombreux à gauche sont les partisans de ce diktat.

    Récemment, Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste, a été « attaqué » par Sandrine Rousseau, élue du parti écologiste, qui lui reprochait de manger du steak. « Non Fabien, tu ne gagneras pas avec un steak », a déclaré Mme Rousseau, qualifiant la viande rouge de « symbole de virilité ».

    La pression sur les consommateurs de viande s’intensifie. Des politiques visant à restreindre l’achat et la vente de viande pourraient bientôt voir le jour. Déjà, en 2021, Barbara Pompili avait exprimé le souhait que les cantines scolaires et la restauration publique suppriment la viande des menus, et ne proposent que des repas végétariens au moins un jour par semaine.

    L’irrésistible attrait de la taxe

    Malheureusement, ce n’est qu’une question de temps avant que l’idée ne fasse son chemin, et que s’impose la taxation sur les produits carnés, au même titre que d’autres produits de consommation comme les cigarettes et l’alcool. Les échéances fixées pour parvenir à des émissions nettes nulles se rapprochent de plus en plus. C’est dans l’air du temps. Beaucoup de pays, même le gros producteur qu’est la Nouvelle-Zélande, semblent déjà prêts à introduire une taxe sur la viande. La France pourrait s’y rallier.

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  39. Il est vrai que l’élevage d’animaux, en particulier de vaches, est à l’origine de niveaux élevés d’émissions de gaz à effet de serre, notamment de méthane. Cependant, cela n’implique pas que l’État doive imposer une taxe sur les produits carnés. Il y a déjà bien assez de taxes, et elles ont bien assez augmenté ces dernières décennies, le gouvernement ne manquant pas d’imagination pour prélever de l’argent dans les poches de ses citoyens. Il serait bon que les responsables politiques finissent par faire preuve d’un peu de retenue. D’autant plus que tout porte à croire que cette nouvelle taxe sur la viande ne permettra pas d’atteindre son objectif.

    Les taxes punitives ne fonctionnent pas

    Il existe de nombreuses preuves que les « taxes sur le péché » destinées à modifier le comportement des consommateurs ne fonctionnent pas.

    Par exemple, en 2018 au Royaume-Uni a été introduit une taxe sur le sucre pour les boissons gazeuses, afin de lutter contre l’obésité. Les consommateurs n’ont pas accepté l’augmentation de prix : ils ont tout simplement modifié leur comportement d’achat afin d’y échapper. Certains se sont rabattus sur des boissons moins chères, comme les produits de première marque des supermarchés. D’autres ont préféré des jus de fruits, plus riches en calories et en sucre. Un troisième groupe a tout simplement payé plus cher, mais n’a pas sacrifié ses préférences.

    Il arrive fréquemment que les taxes punitives ratent leur objectif principal, mais provoquent des effets secondaires qui n’avaient pas été prévus. Il n’y a aucune raison de penser qu’une taxe sur la viande serait différente.

    Le soja comme remède… pire que le mal

    Elle pourrait même se retourner contre nous et, au lieu de sauver la planète, lui faire encore plus de tort que ce qu’elle est censée contrecarrer.

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  40. Si l’État impose l’abstinence, nombre de consommateurs pourraient remplacer la viande par des produits protéinés d’origine végétale. Or, la plupart des substituts de ce type disponibles à l’heure actuelle, comme le tofu et le tempeh, sont tous fabriqués à partir de soja, qui est sans doute bien plus nocif pour la planète que la viande. La culture du soja implique de défricher de très grandes superficies de terre, ce qui entraîne une accélération de la déforestation. Elle provoque aussi l’érosion des sols, ce qui rend ensuite plus difficile l’implantation d’autres cultures. En outre, les émissions de gaz à effet de serre liées à la production de soja sont très élevées. Tous ces problèmes pour l’environnement n’existent pas dans l’élevage.

    Taxer la viande pour lutter contre le changement climatique est donc une mauvaise idée.

    Selon toute vraisemblance, cela ne changera pas grand-chose dans le comportement des consommateurs. Seul résultat certain : s’alimenter deviendra plus onéreux, à un moment où l’inflation est élevée, et ce sont les plus pauvres qui en pâtiront. Plus important peut-être même, une taxe sur la viande violerait encore un peu plus les droits fondamentaux des citoyens. Imagine-t-on pouvoir un jour, dans nos pays occidentaux censés protéger les libertés, être « puni » parce qu’on a mangé un steak frites ?

    https://www.contrepoints.org/2023/11/12/466818-taxer-la-viande-pour-lutter-contre-le-rechauffement-une-si-mauvaise-idee

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    1. (...) l’élevage contribue aux émissions de gaz à effet de serre, (...)

      Il n'existe PAS d''effet de serre'. Il s'agit là d'une invention de la dictature au pouvoir et non d'une constatation scientifique.
      Si le prix de la viande monte c'est une mesure pour finir de ruiner les consommateurs et non pour lutter contre un 'Global Warming' qui n'existe pas.

      Notons que dès lors que la viande (ou autres produits) est transformée elle ou ils peut (ou peuvent) recevoir des ingrédients mortels comme cela a été le cas avec les expérimentations géniques d'essais (frauduleusement et criminellement appelées 'vaccin').
      N'oublions pas l'eau fluorée.

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  41. Commission européenne : encore 10 ans de glyphosate ?


    12 novembre 2023
    par le Dr. Gabriele Feyerer


    Pas de fin à la contamination toxique de nos terres arables ? Au lieu d’interdire définitivement des toxines comme le glyphosate en raison de leurs conséquences clairement visibles sur les personnes, les animaux et l’environnement, l’UE pourrait prolonger l’utilisation de ce poison de 10 ans supplémentaires en décembre !

    La demande de la Commission européenne en octobre pour une nouvelle approbation du glyphosate n'a pas trouvé de majorité dans un premier temps. Si aucun accord n'est trouvé en novembre, la Commission pourrait finalement décider elle-même - comment, nous n'avons pas besoin de demander...

    Un résumé clair de la situation actuelle peut être trouvé dans le « Werkstatt-Blatt » 3/23 du Solidarwerkstatt (article d'Eveline Steinbacher).

    Pour l'Autriche, il a été décidé début 2021 que le glyphosate ne pourrait plus être utilisé dans les lieux dits « sensibles » (aires de jeux pour enfants, parcs, établissements de retraite et de santé ainsi que dans les jardins familiaux et familiaux), mais il peut être utilisé en agriculture. Tout comme la Commission européenne, ils s’appuient sur des « études » qui n’ont soi-disant pas encore « prouvé » un risque absolu pour la sécurité de cet herbicide total.

    Il est vrai qu’il existe de nombreuses études menées par des scientifiques indépendants qui montrent les effets extrêmement nocifs du glyphosate (« Round up ») sur l’environnement et la biodiversité. Il existe de nombreuses lacunes dans les connaissances dues à un manque de soin et il est bien connu que les fabricants de pesticides jouent un rôle clé dans le processus d’approbation. Pour ce faire, ils commandent eux-mêmes des études et l’autorité européenne, l’EFSA, prend des décisions sur la base de ces données. Pour le glyphosate, il existe le « Glyphosate Renewal Group », une association de fabricants de pesticides dirigée par Bayer Agriculture BV, qui fait bien entendu campagne pour une prolongation. Les conséquences pour la « protection des espèces » sont encore « floues ».

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  42. Un principe intéressant : si quelque chose peut être dangereux, utilisez-le avec suffisamment de force jusqu'à ce que suffisamment de dégâts aient été causés et que les dégâts aient été gagnés en conséquence !

    Dans une interview accordée au Frankfurter Rundschau le 17 octobre 23 avec l'écotoxicologue Dr. Carsten Brühl (Université de Landau) considère la controverse sur le glyphosate comme un « pistolet à fumée » idéal pour détourner l'attention des problèmes généraux liés aux pesticides. Car il se pourrait bien entendu qu’une interdiction du glyphosate signifierait également que tous les autres herbicides totaux devraient être retirés du marché, car nombre d’entre eux sont soupçonnés de provoquer le cancer. Dr. Brühl a notamment participé à une étude sur les effets secondaires des herbicides contenant du glyphosate sur les crapauds communs et les algues associées.

    Les tribunaux américains ont déjà jugé que le glyphosate pouvait provoquer le cancer – mais l'UE n'aurait aucun problème à continuer de l'autoriser. Mais il s’agit en général du fait que nous sommes à la merci de tout un cocktail de pesticides depuis environ 50 ans, même s’il n’existe pas de données permettant de prouver lesquels sont présents sur les terres arables allemandes. Personne ne semble s'en soucier, même si si vous regardez bien, vous pouvez en trouver jusqu'à 30 dans un seul champ. Ceux-ci restent là et ne se décomposent que très lentement.

    On ne sait absolument rien de l'interaction de 20 à 30 substances différentes - elles pourraient non seulement s'additionner, mais même augmenter leur puissance dès qu'elles pénètrent dans les organismes vivants. Rien qu'en Allemagne, environ 300 principes actifs de pesticides sont autorisés et peuvent être pulvérisés dans toutes les combinaisons possibles. Cependant, la recherche sur les effets nocifs qui en résultent est aussi complexe que coûteuse, c’est pourquoi elle n’est généralement pas effectuée. L’autruche enfouit simplement sa tête dans le sable !

    Selon une étude suédoise récente de l'Université de Stockholm, le processus d'approbation de l'UE aurait dû être réformé depuis longtemps. Selon cela, des sociétés agrochimiques telles que Bayer/Monsanto ou Syngenta ont refusé dans le cadre de la procédure européenne des études faisant état de risques sanitaires importants, notamment de troubles du développement chez les fœtus et les enfants.

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  43. Cependant, les autorités européennes ne voient aucun potentiel toxique au glyphosate, bien qu'une méta-étude espagnole prouve le contraire, à savoir, entre autres, des effets massifs sur la transmission de l'influx nerveux dans le corps. Une étude de suivi de l'Université d'Ulm a montré des dommages au développement des animaux, en particulier des lésions cérébrales.

    Cécité délibérée des faits ?

    Il est intéressant de noter que l’OMS a classé le glyphosate comme « probablement cancérigène » il y a huit ans. Aux États-Unis, des personnes atteintes de cancer ont poursuivi avec succès Bayer (alors Monsanto) pour plusieurs millions de dollars de dommages et intérêts. Annemarie Botzki de « Foodwatch » déclare :

    « Le glyphosate représente non seulement un risque pour les consommateurs, mais il met également en danger la biodiversité de nos champs. Il détruit sans pitié les plantes sauvages et provoque la famine des insectes et des oiseaux.

    L’argument est régulièrement avancé selon lequel il est impossible de nourrir le monde entier sans pesticides et de protéger le climat (apparemment, seuls les consommateurs stupides devraient le faire – les entreprises ne se soucient pas du « climat »).

    Vandana Shiva – une femme forte « gênante »

    Bien entendu, une agriculture durable et régénératrice n’est plus une impossibilité – elle n’a jamais dû l’être. La militante sociale indienne, critique de la mondialisation et scientifique Vandana Shiva veut montrer dans un film et son nouveau livre « Agroécologie et véritable agriculture régénérative » qu’il existe une voie complètement différente. Pour elle, la guerre pour la nourriture commence « dans la tête des gens ».

    Pour toutes les victimes opprimées par les sociétés semencières et affectées par les conséquences - pas seulement en Inde - elle est une héroïne qui s'élève également au même niveau contre les structures patriarcales destructrices. Son livre, en plus d'une analyse des crises actuelles de l'agriculture et de l'écologie (qui incluent la santé publique), propose des solutions véritablement fondées sur des preuves aux problèmes mondiaux les plus urgents qui alimentent ces crises :

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  44. Faim, pauvreté et catastrophes climatiques. Il s’agit avant tout d’agroécologie – lorsqu’elle est utilisée correctement, elle offre également la sécurité alimentaire – sans tous les mensonges du « génie génétique vert ». Ce que Vandana Shiva dénonce particulièrement, ce sont les brevets sur les semences qui visent à créer une dictature alimentaire qui conduit déjà à d'innombrables suicides parmi les petits agriculteurs indiens désespérés. Pour cela, les grandes entreprises la traitent d’« extrémiste folle » ou de « conteuse dangereuse ». Il n’est pas souhaitable que leurs thèses et leurs activités créent un précédent.

    Les alternatives à l’industrie agricole habituelle peuvent ressembler à ceci :

    La culture de variétés locales doit être massivement développée.
    « Technique des rangées jumelées » : les deux côtés des sillons du champ sont plantés, de sorte qu'un sillon irrigue deux rangées en même temps, ce qui permet d'économiser environ 20 pour cent d'eau et d'augmenter les rendements des cultures jusqu'à 15 pour cent.
    « Push and Pull » : Cultiver des cultures avec des plantes qui repoussent les ravageurs ou attirent les insectes utiles.
    Combattez les parasites de manière naturelle – par exemple avec des « biopesticides » comme le tabac ou l’ail.
    Accompagnement des agriculteurs pendant la phase de transition vers l’agriculture biologique.
    Mais le plus important:

    Interdictions d’importation de produits et aliments pour animaux contenant du glyphosate (céréales ukrainiennes…). Une interdiction totale du glyphosate et des herbicides totaux similaires doit être appliquée !

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  45. Toutes les personnes impliquées savent sans aucun doute que les choses pourraient être différentes, mais « l’argent » règne toujours en maître. Le grand discours est celui de grandes entreprises bien connues et de leurs mécènes, qui produisent non seulement des semences brevetées, mais aussi les poisons appropriés. Si l’humanité en tombe malade, exactement les mêmes bienfaiteurs interviendront pour nous « guérir » grâce à la chimie et au génie génétique. Ici, même une OMS qui a longtemps été gouvernée par des étrangers ne risque pas de contredire leurs souhaits et leurs points de vue à l'avenir - pour éviter cela, le « Traité sur la pandémie » a été inventé. Une fois ce projet finalisé, l’OMS ne servira plus que de porte-parole des Big Tech et des Big Pharma.

    Chacun peut imaginer par lui-même les dommages ultérieurs complexes que la technologie de l’ARNm peut provoquer chez les humains et les animaux dans les organismes contaminés par des pesticides et du glyphosate. En règle générale, personne ne nous le dira - la connaissance est et reste ici une dette. Et personne d’autre ne nous soulagera de l’effort de nous défendre.

    https://tkp.at/2023/11/12/eu-kommission-noch-10-jahre-glyphosat/

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    1. Lorsque des criminels affairistes ont décidé de combattre la firme Monsanto c'était bien pour affamer le monde dans le plan 'Dépopulation21'. Les paysans ont beau passer le griffon, la charrue ou le rotavator sur un terrain pour détruire l'herbe, sitôt la pluie revenue l'herbe repousse. Et, si l'herbe pousse dans un champs de céréale il ne peut exister de moissons car les meuniers en refuseront les grains de blés mélangés aux graines d'herbes !

      Le célèbre RoundUp de Monsanto a fait le tour du monde sans que quiconque ne vienne se plaindre ! bien au contraire ! Mais... mais dans certains pays, les tribunaux ne sont pas libres de s'exprimer ! ils dépendent du ministère de la justice !

      C'est le pourquoi de cette affaire.

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  46. Menteur comme un journaliste écolo du Parisien ; pour promouvoir les insectes ,toutes les idioties sont bonnes à reprendre sans vérifier


    le 10 novembre 2023
    par pgibertie


    Les bouffeurs d’insectes sont bien entendu plumassiers du Parisien , regardez ci dessous

    - voir schéma sur site -

    https://www.leparisien.fr/environnement/pourquoi-il-faut-manger-moins-de-viande-18-09-2019-8154270.php

    La source ??? un marchand d’insectes jiminis. com

    Accueil

    Tout est farfelu!la presse gobe tout

    La production nette de bovins finis totaliserait 1,406 million de tonnes équivalent carcasse en 2022

    La production nette de bovins finis totaliserait 1,406 million de tonnes équivalent carcasse en 2022 soit 0,2 millions de tonnes de protéine ou encore 200 000 tonnes et donc 200 000 000 de kg. Si on en croit le parisien 10 hectares par kg sont necessaires soit 2000 000 000 d’hectares

    Probleme, le pays compte 29 000 000 d’hectares de SAU et elles ne sont pas toutes destinées à la production de viande bovine

    Le journaliste ne parle pas de surface agricole utile mais de terres, on tombe à 20 millions d’ha

    En réalité même en AGRICULTURE BIOLOGIQUE 1 hectare de prairie temporaire suffit à nourrir une vache et sa suite.Pour les céréales complémentaires 1 ha de céréales suffit donc à complémenter 10 adultes en farine fermière

    Le Parisien a donc multiplié par plus de 100 le nombre d’hectares nécessaire à la production bovine du pays

    La quantité d’eau évoquée est stupide, celle qui tombe sur les prés ne servira à rien si l’herbe n’est pas broutée par les vaches … Quant à la production d’insectes dans les prairies, les écolos n’ont qu’à prendre un filet à papillons…

    Et puis bonne nouvelle

    - voir doc sur site -

    marco nius

    « Contrairement à toutes les prophéties apocalyptiques que vous entendez : Cette année, nous produirons probablement plus de nourriture mondiale que jamais Selon l’ONU, « la production céréalière mondiale devrait atteindre un niveau record » »

    - voir doc sur site -

    Ci dessus le menu de la cop 27

    NET ZÉRO – Les nouveaux médias craignent un coup de pouce. Manger de la viande est aussi mauvais pour la santé que fumer. Sauf que ce n’est pas le cas ! Contrôler votre comportement par la peur signifie qu’ils n’auront jamais à vous demander de voter

    - voir doc sur site -

    https://pgibertie.com/2023/11/10/menteur-comme-un-journaliste-ecolo-du-parisien-pour-promouvoir-les-insectes-toutes-les-idioties-sont-bonnes-a-reprendre-sans-verifier/

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    1. La différence entre la ville et ses habitants et la campagne et ses habitants est que les employés de la ville dépensent leurs ressources à des fins de loisirs, etc, tandis qu'à la campagne... c'est dans l'achat d'un râteau, d'une pelle, une fourche, un tracteur ! Un camion ! de la semence, de l'engrais et... les loisirs ? Zéro vacance. Le dimanche faut ramasser les fruits & légumes pour le marché du lundi. Le travail c'est au lever du jour et jusqu'au coucher du soleil et même après avec les phares du tracteur !

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  47. WaPo lance une bombe sur le récit du sabotage du pipeline Nord Stream : un colonel ukrainien, des opérations secrètes et l'ombre de la CIA


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 12 NOVEMBRE 2023 - 00h05


    Considérez la source (et le moment)...

    Le Washington Post, un porte-parole de l'État profond, vient de lancer une bombe en révélant que le colonel ukrainien Roman Chervinsky « faisait partie intégrante de l'opération de sabotage effrontée » sur le gazoduc Nord Stream, « selon des responsables en Ukraine et ailleurs en Europe, ainsi que ainsi que d'autres personnes connaissant les détails de l'opération secrète."

    L'attentat à la bombe, qualifié à l'époque d'« assaut dangereux contre les infrastructures énergétiques européennes » par les responsables américains et occidentaux, a marqué un tournant critique dans les tensions actuelles entre la Russie et l'Occident. En ciblant le pipeline, les agents (quels qu’ils soient) ont porté un coup à une artère critique des exportations énergétiques russes, un secteur qui est au cœur des relations économiques euro-russes.

    De plus, comme le récit goebbelsien selon lequel « c’est la Russie qui l’a fait » a été poussé par les grands médias (et les politiciens), il a permis d’envoyer davantage d’« aide » à l’Ukraine, pour « protéger les intérêts ».

    Les groupes de réflexion reçoivent des financements du gouvernement américain et d’entités privées, et n’en rendent souvent pas compte, afin de diffuser des informations erronées et de discréditer des informations exactes pic.twitter.com/BHx7d8wvmO.
    – Michael Shellenberger (@shellenberger) 8 février 2023

    Chervinsky, un haut responsable des forces d'opérations spéciales ukrainiennes, aurait été le « coordinateur » de l'attaque contre le gazoduc Nord Stream. L’opération, exécutée avec précision et secret, impliquait des plongées en haute mer et des charges explosives, ce qui a finalement entraîné des dommages importants au pipeline dont l’Ukraine se plaignait depuis longtemps, car cela permettrait à la Russie de contourner les canalisations ukrainiennes, privant ainsi Kiev d’énormes revenus de transit.

    Bien entendu, comme on pouvait s’y attendre, le colonel ukrainien, par l’intermédiaire de son avocat, réfute toute implication dans le sabotage du pipeline, accusant la Russie d’être responsable de cette accusation.

    « Sans aucun fondement, la propagande russe répand toutes les rumeurs concernant ma participation à l’assaut du Nord Stream », a déclaré Chervinsky dans une déclaration écrite au Washington Post et au Spiegel, qui ont enquêté conjointement sur ses activités.

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  48. Cela n'aurait pas été hors de propos puisque le WaPo rapporte que Chervinsky est un officier décoré possédant une vaste expérience des opérations secrètes, notamment des projets visant à piéger les mercenaires russes de Wagner et à cibler les séparatistes pro-russes, mettant en évidence un modèle d'opérations agressives aux enjeux élevés contre Intérêts russes.

    En outre, WaPo rapporte que Chervinsky n'a pas agi seul et qu'il n'a pas planifié l'opération, toujours « selon des personnes familières avec son rôle », mais qu'il a plutôt reçu les ordres de responsables ukrainiens plus élevés, qui ont finalement rendu compte au général Valery Zaluzhny, le chef de l'état-major ukrainien. officier militaire le plus haut gradé, "selon des personnes proches du déroulement de l'opération".

    Plus problématique encore, l’implication de Chervinsky dans l’assaut du Nord Stream est en opposition directe avec les dénégations publiques de Zelensky concernant l’implication de l’Ukraine.

    « Je suis président et je donne des ordres en conséquence », a déclaré Zelensky lors d’un entretien à la presse en juin, en réponse à un article du Post selon lequel la Central Intelligence Agency américaine avait eu connaissance des plans de l’Ukraine avant l’attaque.

    « L’Ukraine n’a rien fait de tel. Je n’agirais jamais de cette façon », a déclaré Zelensky.

    Il est intéressant de noter que le WaPo rapporte que Chervinsky est détenu dans une prison de Kiev pour avoir abusé de son pouvoir dans le cadre d'un complot visant à inciter un pilote russe à faire défection en Ukraine en juillet 2022. Les autorités affirment que Chervinsky, qui a été arrêté en avril, a agi sans autorisation et que l'opération a révélé les coordonnées d'un aérodrome ukrainien, provoquant une attaque à la roquette russe qui a tué un soldat et en a blessé 17 autres.

    Ce rapport du WaPo arrive à un moment crucial dans le jeu d'échecs géopolitique, alors que le désir de dépenser davantage dans ce qui semble être une cause perdue en Ukraine s'estompe rapidement parmi les populations occidentales (notamment aux États-Unis), et offre peut-être au président Biden un « excuse » pour réduire l’aide à la lumière de ce « développement choquant » – dans lequel, bien entendu, Washington a nié avec véhémence toute implication (et dénoncé comme un « acte imprudent »).

    Mais les rebondissements ne s'arrêtent pas là puisque la toile de fond de ce drame qui se déroule comprend les allégations explosives de Seymour Hersh concernant les activités secrètes de la CIA et de l'US Navy.

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  49. Pendant « toutes ces intrigues », a déclaré la source, « certains employés de la CIA et du Département d’État disaient : « Ne faites pas ça ». C’est stupide et ce sera un cauchemar politique si cela se révèle.’ »

    Néanmoins, début 2022, le groupe de travail de la CIA a fait rapport au groupe interagences de Sullivan : « Nous avons un moyen de faire exploser les pipelines. »

    Hersh, un journaliste d'investigation renommé - qui a dévoilé des histoires aussi connues que le massacre de My Lai et le scandale d'Abou Ghraib et est connu depuis longtemps pour ses sources internes impeccables - a déjà rendu compte de l'enchevêtrement profond des services de renseignement américains dans divers points chauds mondiaux, laissant entendre fortement à l’interaction complexe entre les ambitions ukrainiennes et les objectifs stratégiques occidentaux plus larges.

    Le contexte géopolitique plus large ne peut être ignoré.

    Les États-Unis et l’OTAN ont été profondément impliqués dans le soutien à l’Ukraine contre l’agression russe, mais l’étendue de leur implication dans des opérations secrètes reste un sujet de débats et de spéculations intenses. L’attentat à la bombe du Nord Stream, s’il est effectivement orchestré par une faction au sein de l’armée ukrainienne, pourrait être considéré comme une extension de ce conflit par procuration, dans lequel l’Ukraine sert de ligne de front dans une compétition stratégique plus large entre la Russie et l’Occident, avec la CIA tirant les ficelles ( tout comme le conclut Hersh).

    Dans une interview accordée au WaPo en juin de cette année, Zaluzhny a déclaré que la CIA ne lui avait jamais posé de questions directement sur une quelconque attaque contre Nord Stream. Il a déclaré qu’après les explosions, en septembre 2022, il avait reçu un appel téléphonique de l’U. S. Président des Joint Chiefs, le général Mark A. Milley.

    « Il m'a demandé : 'As-tu quelque chose à voir avec ça ?' J'ai dit non'. Beaucoup d’opérations sont prévues, beaucoup d’opérations sont en cours, mais nous n’y sommes pour rien, rien du tout. »

    Certains de ceux qui ont décrit la participation de Chervinsky à l’attaque du Nord Stream ont défendu l’ancien officier du renseignement comme agissant dans le meilleur intérêt de l’Ukraine.

    Alors pourquoi maintenant ? Soudain, diverses « sources » se présentent pour proposer un bouc émissaire à cet « acte imprudent » ?

    Une distraction par rapport à une éventuelle confirmation de l’implication de Washington ? … Une soupape de décharge potentielle pour le discours « blâmer la Russie » permettant des discussions sur la « paix » ? ... Une excuse opportune pour freiner l'aide (dans l'attente d'une enquête), compte tenu de l'implication du général Valery Zaluzhny, le plus haut officier militaire ukrainien (et du déni de Zelensky), qui soulève des questions de discorde au sein de la chaîne de commandement ukrainienne ?

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/wapo-drops-bombshell-nord-stream-pipeline-sabotage-narrative-ukrainian-colonel-covert

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  50. Chère Greta...


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 12 NOVEMBRE 2023 - 03h35


    Selon l’Atlas mondial du carbone, les principaux pollueurs mondiaux sont la Chine, l’Inde et les États-Unis, qui représentaient 52 % du gaz carbonique mondial en 2021.

    - voir liste sur site -

    Marcus Lu et Bruno Venditti de Visual Capitalist utilisent ces données dans le graphique ci-dessous pour explorer quels pays contribuent le plus aux émissions de gaz carbonique

    - voir graph sur site -

    Les plus grands pollueurs sont également les plus grands en termes de population, ce qui signifie qu'en termes d'émissions de gaz carbonique par habitant (tonnes métriques), les États-Unis sont relativement élevés avec 15,32, tandis que la Chine et l'Inde se classent plus bas avec respectivement 7,44 et 1,89.

    Historiquement, les États-Unis ont été le plus grand émetteur de carbone, rejetant 422 milliards de tonnes de gaz carbonique dans l’atmosphère depuis la révolution industrielle. Cela équivaut à près d’un quart de tout le gaz carbonique produit à partir des combustibles fossiles et des activités industrielles.

    Compte tenu de leur population massive et du fait que les pays augmentent généralement leurs émissions à mesure qu’ils deviennent plus développés, la Chine et l’Inde pourraient continuer à accroître encore davantage leur part.

    L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit que la part de l’Inde dans les émissions mondiales pourrait atteindre 10 % d’ici 2030.

    Tous ces principaux contributeurs de carbone à l’atmosphère se sont fixés des objectifs de réduction des émissions au cours des prochaines décennies.

    Alors que les États-Unis visent zéro émission nette d’ici 2050, la Chine vise la neutralité carbone d’ici 2060 et l’Inde a récemment fixé un objectif de 2070.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/dear-greta

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