- ENTREE de SECOURS -



mardi 28 novembre 2023

La Chine mène la croissance des robots industriels mondiaux

 PAR TYLER DURDEN

MARDI 28 NOVEMBRE 2023 - 08h45


Alors que de plus en plus de consommateurs apprécient la commodité d'avoir un robot aspirateur chez eux ou s'occupant de la pelouse, c'est dans les applications industrielles que la robotique a eu le plus grand impact.

Les processus de fabrication de pointe sont impensables sans que les robots industriels ne prennent en charge une partie de la charge de travail, qu’il s’agisse de manutention, de soudage ou d’assemblage, qui sont les trois applications les plus courantes des robots industriels nouvellement installés en 2022.

Comme le montre Felix Richter de Statista dans le graphique suivant, basé sur les données de la Fédération internationale de robotique (IFR), le stock opérationnel de robots industriels a triplé au cours de la dernière décennie, avec près de quatre millions de robots utilisés dans diverses industries à la fin de l'année. 2022.

Infographie : L'avènement des robots | Statiste

Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

Selon l'IFR, l'Asie ouvre la voie en matière de transition vers des processus automatisés, la Chine notamment installant des robots industriels à une vitesse vertigineuse.

En 2022, le pays représentait plus de 50 % des robots industriels nouvellement installés dans le monde, rattrapant rapidement les leaders de l'industrie que sont la Corée du Sud et le Japon, qui avaient la plus forte densité de robots installés pour 10 000 travailleurs dans l'industrie manufacturière en 2021.

Selon le rapport de World Robotics, un nombre record de 553 000 robots industriels ont été nouvellement installés l’année dernière, alors que le stock opérationnel mondial a grimpé à 3,9 millions à la fin de 2022.

Comme le montre le graphique ci-dessous, la Chine représentait à elle seule plus de la moitié des nouvelles installations en 2022, ce qui en fait de loin le plus grand marché au monde.

Infographie : La Chine mène la croissance du stock mondial de robots industriels | Statiste

Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

Avec un peu plus de 50 000 nouvelles installations, le Japon est arrivé deuxième l'année dernière, suivi de près par les États-Unis et la Corée du Sud.

Le Japon est également le plus grand fabricant de robots industriels, selon l'IRF, représentant 46 % de la production mondiale en 2022.

Alors que la Chine constitue le plus grand marché en termes absolus et en termes de croissance, la Corée du Sud et le Japon devancent les superpuissances manufacturières mondiales en termes de densité de robots, c'est-à-dire de robots installés pour 10 000 ouvriers manufacturiers.

Selon l'IFR, la Corée du Sud comptait 1 000 robots installés pour 10 000 employés dans l'industrie manufacturière, contre 399 pour le Japon et 322 pour la Chine.

https://www.zerohedge.com/technology/china-leads-growth-global-industrial-robots

56 commentaires:

  1. Casseurs ou agriculteurs : le Conseil d’État a donc tranché !


    27 Novembre 2023
    Jean-Paul Pelras*


    En annulant la dissolution du mouvement « Les Soulèvements de la terre », le Conseil d’État vient d’adresser un message dévastateur aux paysans français. Depuis des mois, les membres de cette association s’en prennent régulièrement aux installations agricoles comme ils l’ont fait notamment à Sainte-Soline lors de la manifestation anti-bassines ou, entre autres lieux, dans les serres expérimentales de la Fédération des Maraichers Nantais. Rappelons que, ce jour-là, une députée de la République, membre d'EELV, Julie Laernos, participait également à la destruction des cultures. Tout comme, de Marine Tondelier en passant par Marie Toussaint, Sandrine Rousseau, Benoît Biteau, Clémence Guetté ou, entre autres, Mathilde Panot, élus ou responsables politiques de gauche furent nombreux à exprimer leur satisfaction consécutivement à la décision du Conseil d’État. Une satisfaction qui, à bien y regarder, concernait tout autant et même peut-être davantage le désaveu subi par le ministre de l’Intérieur que le blanc-seing délivré à quelques activistes par une institution républicaine.

    J’écrivais, ici même, voici quelque mois : « L’État va devoir choisir entre les écologistes et les agriculteurs ». Voilà qui est fait, urbi et orbi pour ainsi dire, avec une prise de position qui fera jurisprudence auprès de ceux qui considèrent désormais comme autorisé le saccage des biens d’autrui. « C’est bon, maintenant on peut tout péter » doivent se dire ceux qui prévoient déjà la « méga-manif de la méga-bassine » à l’horizon juillet 2024.

    Seulement voilà, l’effet de surprise risque de faire « pschitt », car de nos campagnes est en train de sourdre une étrange colère matinée d’indignation et d’exaspération. De ces colères dont le monde agricole a le secret, toute en retenue, mesurée et déterminée à la fois qui, lorsqu’elle finit par s’exprimer, c’est dans les livres d’histoire plus qu’au journal de 20 heures qu’elle est définitivement et irrémédiablement consignée.

    Les agriculteurs, ceux qui ont investi, qui doivent, 365 jours par an, faire tourner leurs exploitations, nourrir leurs familles, payer leurs salariés, acquitter leurs emprunts, pérenniser et protéger leurs cultures, ne plaisantent pas avec le respect de cet outil de travail que certains enfants gâtés confondent avec un champ de bataille ou un terrain de loisir.

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  2. En autorisant, de facto, la poursuite de ce mouvement, le Conseil d’État cautionne la violation de propriété et autorise l’incursion d’individus mal intentionnés sur des terrains privés. La cause environnementaliste semble, à ce titre, bénéficier de toutes les complaisances et pourrait, à l’instar de ce qui vient de se passer avec l’intrusion d’activistes anti-OGM dans les locaux de la Coopérative Arterris à Carcassonne, s’étendre à d’autres structures agricoles, sur l’ensemble du territoire.

    Des faits qui sont devenus monnaie courante dans les exploitations, comme en septembre dernier, en Loire Atlantique, où un agriculteur a été agressé physiquement, où son matériel de pulvérisation et un de ses bâtiments furent incendiés. Dégradations diurnes et nocturnes, intrusions, menaces écrites ou verbales, intimidations, stigmatisations, passage à tabac… Les actes criminels et délictueux se perpétuent à la petite semaine dans nos campagnes, avec des drames souvent évités de justesse et une lassitude qui pourrait s’exprimer dans des proportions dont les membres du Conseil d’État n’ont manifestement pas pris la mesure.

    Car si la main de cette institution a tremblé pour des raisons idéologiques, certains, dans les mois qui viennent, pourraient bien ne pas tendre l’autre joue. Et l’État, tout comme son écheveau d’institutions, serait amené à se prononcer plus fermement et sans ambiguïté sur certaines priorités, comprenez entre l’écologiste et l’agriculteur. Le premier totalisant pour l’instant 2 % des suffrages lors des élections présidentielles. Le second garantissant quantitativement et qualitativement l’autosuffisance alimentaire des Français, moyennant 75 milliards de chiffre d’affaires et 27 millions d’hectares cultivés. Reste à savoir si la capacité d’indignation des agriculteurs saura influencer la capacité de réflexion du législateur.
    ______________

    * Source : Casseurs ou agriculteurs : le Conseil d’État a donc tranché ! [par Jean-Paul Pelras] - L'agri (lagri.fr)

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/casseurs-ou-agriculteurs-le-conseil-d-etat-a-donc-tranche.html

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  3. L’Europe reçoit des quantités records de gaz russe via TurkStream. Alors, qui continue d'essayer de le faire exploser


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 27 NOVEMBRE 2023 - 08h00
    Rédigé par Conor Gallagher via NakedCapitalism.com,


    Le gazoduc TurkStream, qui transporte le gaz naturel de la Russie vers la Turquie à travers la mer Noire puis vers le sud-est de l’Europe, a suscité la controverse dans certaines parties de l’Occident dès sa conception.

    Aujourd’hui, le flux de gaz naturel vers l’Europe depuis la Russie via la Turquie atteint des niveaux sans précédent. TurkStream a une capacité de 31,5 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an, dont environ la moitié reste en Turquie, le reste étant acheminé vers les Balkans et l'Europe centrale. La Serbie et la Hongrie sont les principaux consommateurs européens. Selon S&P Global, les approvisionnements via TurkStream vers l'Europe du Sud-Est ont fortement augmenté en juillet, atteignant un niveau mensuel record.

    À mesure que le gaz circulant dans le gazoduc augmente, les tentatives d’attaque augmentent également. Le ministère russe de la Défense a déclaré que trois vedettes rapides ukrainiennes sans pilote avaient mené une attaque infructueuse contre le navire de guerre russe qui gardait une partie du pipeline en mai. Lorsque cela a échoué, l’Ukraine a apparemment doublé sa mise et a réessayé avec six drones à grande vitesse en juin. Cette attaque a également été déjouée par les forces russes.

    Le ministre ukrainien de l’Énergie, German Galushchenko, a déclaré dans une récente interview avec POLITICO que l’Ukraine avait pleinement l’intention d’attaquer les infrastructures pétrolières et gazières russes. Ces déclarations, tout en essayant de montrer la confiance, ont montré au contraire le désespoir croissant de l’Ukraine et de ses soutiens occidentaux face à la victoire russe sur le champ de bataille ainsi que sur le front économique.

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  4. Les attaques ukrainiennes contre les infrastructures énergétiques russes ne sont pas nouvelles. Après tout, si l’on en croit certains médias occidentaux, c’est une petite opération ukrainienne qui a détruit les gazoducs Nord Stream. Mais les commentaires de Galushchenko indiquent clairement que ce type d’attaques fera partie des dernières tactiques de l’Ukraine. Extrait de l'article POLITICO :

    Lorsqu’on lui a demandé si la « réponse » de Zelensky pourrait inclure l’Ukraine ciblant les vastes opérations pétrolières et gazières de la Russie – de loin le principal moteur de son économie – Galushchenko a répondu : « Ce ne serait que juste ».

    « Lorsque nous répondrons à [l’attaque de la Russie], nous répondrons en adoptant la même approche, en attaquant leurs infrastructures énergétiques », a déclaré Galushchenko.

    Galushchenko a souligné qu'il n'était pas membre de l'armée ukrainienne et n'avait pas discuté de l'éventuel ciblage des opérations énergétiques russes avec les responsables du gouvernement américain. Il est membre du Conseil ukrainien de sécurité et de défense nationale.

    Qu’en est-il de ces responsables du gouvernement américain ? Que pensent-ils de cette stratégie ? Est-ce qu’ils tolèrent les attaques non seulement contre les infrastructures russes, mais aussi contre celles de la Turquie, membre de l’OTAN, dans le cas de TurkStream ?

    Moscou a affirmé qu'au moment de l'attaque ukrainienne infructueuse en juin, un avion de surveillance sans pilote américain RQ-4 Global Hawk se trouvait dans cette zone de la mer Noire. Poutine a déclaré lors de la réunion du Valdai International Discussion Club en octobre :

    Nous continuons à fournir du gaz à l’Europe via les gazoducs TurkStream et, à en juger par tout, les groupes terroristes ukrainiens complotent également pour y faire des dégâts. Nos navires gardent les pipelines qui longent le fond de la mer Noire, mais ils sont constamment attaqués par des véhicules sans pilote, avec des spécialistes et des conseillers anglophones clairement impliqués, entre autres, dans la planification de ces attaques. Nous les avons interceptés à la radio : nous entendons toujours parler anglais partout où se préparent ces bateaux semi-submersibles sans pilote. C'est une évidence pour nous – mais tirez vos propres conclusions.

    La Russie a également affirmé en septembre et octobre 2022 avoir déjoué les attaques contre Turkstream, mais ces dernières sont systématiquement rejetées en Occident. Le Moscow Times, un média occidental basé à Amsterdam, estime que Moscou fait de telles affirmations afin de préparer le terrain pour rejeter la faute sur l’Ukraine après que la Russie ait détruit ses propres pipelines – encore une fois.

    N’oublions pas qu’après la destruction du Nord Streams, l’ancien directeur de la CIA et parjure extraordinaire prédisait que la Russie commencerait bientôt à détruire davantage de ses autres pipelines :

    - voir carte sur site -

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  5. Le Centre d’analyse de la politique européenne estime que le fait que la Russie affirme qu’elle déjoue les attaques contre TurkStream constitue en réalité une menace subtile, écrivant : « Il s’agit très probablement d’un stratagème visant à manipuler l’Europe à la veille de l’hiver en soulignant qu’elle peut réduire ses approvisionnements à tout moment. »

    Une analyse plus proche de la réalité est celle de Fatih Yurtsever, ancien officier de marine des forces armées turques, qui estime que la Russie met en avant les attaques déjouées dans le but de rapprocher la Turquie de son camp :

    La Russie tente d’obtenir le soutien de la Turquie contre l’Ukraine en prétendant que ses navires se trouvent dans la ZEE turque pour protéger le gazoduc TurkStream. En fait, la véritable intention de la Russie est de créer des tensions entre la Turquie et l’Ukraine. À cette fin, elle tente de convaincre la Turquie que l’Ukraine sabotera le gazoduc TurkStream dans la ZEE turque. L’Ukraine n’est pas actuellement capable de saboter TurkStream, et il n’est pas non plus logique qu’elle se livre à un tel acte qui s’opposerait directement à la Turquie.

    La Russie tente de capitaliser sur les événements récents, tels que l’attaque du navire de renseignement, afin de creuser un fossé entre la Turquie et l’Ukraine, tout en cherchant à aligner plus étroitement la Turquie sur ses propres intérêts.

    L'OTAN en mer Noire ?

    Depuis le début de la guerre en Ukraine, Ankara fait face à des pressions constantes pour ouvrir les détroits du Bosphore et des Dardanelles aux navires de guerre de l’OTAN. Le 17 novembre, le commandant de la marine turque a réitéré dans un discours que la Turquie ne voulait pas de l'OTAN en mer Noire :

    Comme vous le savez, l'OTAN tente de prendre certaines mesures en mer Noire. Cependant, nous déclarons que nous prendrons nous-mêmes ces mesures en mer Noire et que nous ne voulons pas de l’OTAN ou de l’Amérique dans la mer Noire. …

    Notre objectif est que Montreux soit respecté. Nous avons assuré la sécurité de tous en mer Noire. En tant que Türkiye, nous assurons la sécurité en mer Noire. Ils [les États-Unis] ne devraient pas transformer la mer Noire en un Moyen-Orient. C’est pourquoi nous ne voulons qu’aucun pays ni l’OTAN n’entrent dans la mer Noire.

    Erdogan a jusqu’à présent résisté aux pressions occidentales sur la question, mais l’OTAN pourrait gagner du terrain, selon un rapport du 20 novembre paru dans Bloomberg.

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  6. Citant des responsables anonymes, Bloomberg rapporte que la Bulgarie, la Turquie et la Roumanie, membres de l’OTAN, sont sur le point de conclure un accord visant à créer une force conjointe de déminage dans la mer Noire. Bloomberg s'efforce de décrire l'effort potentiel comme pacifique et non-OTAN :

    Le plan proposé serait de nature pacifique et viserait à réduire le danger que les mines errantes représentent pour les routes maritimes traversant la mer Noire. Cela ne serait pas considéré comme un effort de l’OTAN. Il s’agirait cependant de la première action conjointe des alliés de la mer Noire depuis le début de l’invasion à grande échelle.

    Cela semble assez innocent. Mais les néoconservateurs occidentaux envisagent clairement d’utiliser la Roumanie et tout déminage comme cheval de Troie de l’OTAN en mer Noire.

    Le plan de déminage semble très familier dans un récent article publié dans War on the Rocks par Aaron Stein, chercheur sur la mer Noire au Foreign Policy Research Institute et ancien chercheur principal à l’Atlantic Council. Le rapport s’intitule « Side-Stepping Türkiye : Using Minesweepers to Increase Allied Presence in the Black Sea » et voici l’idée centrale :

    Les navires dragueurs de mines sont purement défensifs et ne seraient donc pas aussi risqués que de fournir aux puissances de la mer Noire des navires de guerre pour les navires civils d’escorte armés dans la région. Cela devrait apaiser Ankara et constituer un point de coopération potentielle, plutôt qu’un énième point de friction entre la Turquie et ses alliés de l’OTAN. Une fois transférés et en Roumanie, ces navires (et potentiellement des plongeurs démineurs) pourraient être utilisés pour une série d’exercices bilatéraux entre les forces américaines et européennes déployées dans le pays, dans les pays voisins ou survolant la mer Noire.

    Ces exercices bilatéraux peuvent accroître les capacités de déminage de l’OTAN et constituent un moyen de mener des exercices avec les membres de l’OTAN sans avoir besoin de la sanction officielle de la Turquie. Les avantages évidents des exercices bilatéraux ont des bénéfices indirects pour l’OTAN de manière plus générale et pourraient contribuer à accroître les capacités régionales de l’OTAN à long terme. Les données des capteurs de ces navires devraient être fusionnées avec les renseignements de surveillance aérienne que l’OTAN et ses États membres collectent lors de leurs vols quotidiens au-dessus de la mer Noire. Ces données pourraient être utilisées pour améliorer la connaissance de la situation concernant les menaces qui pèsent sur le transport maritime international et constituer un mécanisme important permettant aux alliés de partager des informations sur les opérations militaires russes en mer Noire, actuelles et futures.

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  7. La Roumanie a également découvert d’importantes réserves de gaz offshore en mer Noire, qu’elle a commencé à exploiter. Les néoconservateurs soulignent que la mer Noire devra être davantage militarisée afin de protéger ces atouts énergétiques. Du Conseil de l'Atlantique en juillet :

    Dans son communiqué du sommet de ce mois-ci, l’OTAN a reconnu la valeur stratégique de la mer Noire ainsi que le recours potentiel par la Russie à des tactiques hybrides pour affaiblir ses alliés et partenaires régionaux. L’OTAN, sous la direction des États-Unis, doit maintenir un moyen de dissuasion crédible face aux actions de Moscou en mer Noire. Au minimum, l’Occident doit continuer à soutenir ses alliés et partenaires régionaux en faisant preuve de solidarité contre l’agression russe et en promouvant la sécurité énergétique régionale grâce à la diversification des sources. Cela ne peut être accompli qu’en produisant de l’énergie nationale à partir de combustibles fossiles et d’énergies renouvelables. Plus précisément, ces actions doivent être associées au développement d’une plus grande capacité opérationnelle militaire grâce à une combinaison d’acquisition d’armes modernes et d’exercices conjoints. La Roumanie a le potentiel de pousser plus loin ces efforts avec son projet Neptun Deep ; les autres alliés de l’OTAN doivent emboîter le pas en augmentant leurs contributions à une dissuasion crédible.

    La Turquie comme pôle énergétique

    La Turquie a largement profité de son refus d’accepter les sanctions autodestructrices de l’Occident contre la Russie et continue de fonctionner comme une plaque tournante principale pour l’évasion des sanctions. Cela fait de la Turquie un pôle régional majeur en matière de combustibles fossiles et un point de transfert d’énergie crucial vers l’Europe. Cet arrangement permet à la Russie de poursuivre ses exportations (très réduites) vers l’Europe et fournit à la Turquie des frais de transfert ainsi que du pétrole et du gaz bon marché pour son usage domestique. Poutine et Erdogan ont souvent discuté de l’expansion du rôle de la Turquie en tant que centre énergétique, et même si les rapports montrent que des désaccords subsistent, cela signifie également qu’Ankara et Moscou continuent de peaufiner les détails tout en travaillant à un accord.

    Cela met également en colère les néoconservateurs. Je pense que la position de Washington peut être résumée avec précision par les éléments suivants. L’une d’elles vient du Conseil atlantique : « La Turquie peut devenir une plaque tournante énergétique, mais pas en misant à fond sur le gaz russe. » La menace à peine voilée se termine ainsi :

    Explorer des opportunités fantômes de coopération énergétique avec la Russie au détriment des risques réels d’être exposé aux sanctions américaines et européennes ne transformera pas la Turquie en une plaque tournante énergétique. Bien au contraire, cela signifierait la fin de ce rêve.

    L’autre est Michael Rubin, de l’American Enterprise Institute, qui écrit que « Biden devrait tuer TurkStream pour promouvoir la sécurité énergétique transatlantique ». Et la partie transatlantique de cette sécurité énergétique est bien entendu l’objectif ultime de Washington.

    Il convient de rappeler que TurkStream a vu le jour après que les États-Unis et l'UE ont effectivement détruit le gazoduc South Stream Russie-Bulgarie en 2014. Le projet aurait transporté du gaz russe sous la mer Noire, atterrissant en Bulgarie, puis passant par la Serbie et la Hongrie jusqu'en Autriche.

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  8. Au lieu de cela, la Russie s’est tournée vers la Turquie et a ouvert TurkStream début 2020 malgré les sanctions américaines contre les entreprises impliquées dans la construction du gazoduc.

    De plus, les États-Unis ont contribué à détruire le pipeline EastMed qui aurait permis d’acheminer le gaz naturel des gisements situés au large d’Israël et de l’Égypte vers la Grèce et ailleurs en Europe via Chypre. Le sous-secrétaire d’État américain Victoria, « F*** the EU » Nuland, avait déclaré à l’époque que cela prendrait trop de temps et que la solution consistait plutôt à augmenter les expéditions de GNL vers l’Europe.

    La Grèce et les pays des Balkans qui reçoivent actuellement du gaz via TurkStream renforcent de plus en plus leur capacité d’importation de GNL. Par exemple, le plus grand fournisseur de gaz grec a récemment conclu un accord avec Total Energies pour des livraisons de GNL au cas où les flux de gaz de TurkStream seraient limités ou interrompus. Et la Grèce a reçu des importations record de GNL en 2022, ce qui lui a permis d’exporter davantage de gaz vers le sud-est de l’Europe.

    La Bulgarie obstrue le tuyau TurkStream

    Alors que les tentatives d’attaque contre le gazoduc se poursuivent, la méthode privilégiée par l’Occident pour contrecarrer les livraisons de gaz via TurkStream semble être d’utiliser la Bulgarie. Le drame politique qui tourne autour de TurkStream à Sofia, la perte potentielle du pétrole russe et ce que cela signifierait pour l'économie bulgare placent le gouvernement au bord de l'effondrement.

    En octobre, la Bulgarie a ajouté une taxe supplémentaire de 10,20 euros par mégawattheure sur le gaz naturel russe transféré via le gazoduc Turkstream. Cette décision a provoqué la colère de la Serbie et de la Hongrie – probablement les deux seuls pays européens à rester en bons termes avec Moscou. Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a décrit cette décision comme une nouvelle tentative visant à rendre impossible la coopération énergétique entre la Hongrie et la Russie.

    "C'est inacceptable. Qu’un État membre de l’UE mette en péril l’approvisionnement en gaz d’un autre État membre de l’UE est tout simplement contraire à la solidarité européenne et aux règles européennes », a-t-il déclaré.

    Fin octobre, la Commission européenne a déclaré que la Bulgarie avait parfaitement le droit d'introduire une taxe sur le gaz russe. La Hongrie a depuis demandé à la Commission européenne d'ouvrir une procédure judiciaire contre la Bulgarie à propos de cette taxe, mais la réponse a été des grillons.

    Sofia va de l’avant avec son plan fiscal tout en sachant que la Russie ne le paiera pas. D’Euractiv :

    Les autorités de Sofia ont garanti que l’argent serait recherché par Gazprom et non par les clients européens du monopole gazier russe.

    La Bulgarie espérait que les recettes de la nouvelle redevance seraient payées d'ici la mi-novembre, mais le pays n'a pas encore réussi à collecter de l'argent auprès d'une entreprise russe… Jusqu'à présent, il n'y a eu aucune réaction de la part de Gazprom concernant la contribution énergétique introduite, et c'est On ne sait pas si le groupe russe a l'intention de le payer.

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  9. Il n’est pas difficile d’imaginer comment la situation pourrait dégénérer à partir de là. Plus:

    Le ministre bulgare des Finances, Asen Vassilev, a déjà déclaré que si le monopole gazier russe refusait de payer, ses garanties financières dans le cadre de contrats en Bulgarie ou ses actifs dans le pays seraient saisis.

    La décision d'augmenter les prix pour la Serbie et la Hongrie est intervenue après que le parquet de la ville de Sofia a ouvert fin août une enquête sur des allégations de corruption dans la construction de la partie bulgare du gazoduc TurkStream.

    L'enquête est basée sur des informations révélées par l'ONG Fonds anti-corruption, selon lesquelles une réunion secrète aurait eu lieu en Turquie entre des représentants bulgares, russes sanctionnés et des Émirats arabes unis pour discuter d'actions spécifiques et d'un calendrier pour accélérer la construction du gazoduc.

    L’ONG Anti-Corruption Fund est financée par une organisation américaine appelée America for Bulgaria Foundation. Son conseil d’administration possède l’expérience habituelle – issu de la Silicon Valley et de la finance mondiale, des groupes de réflexion néoconservateurs américains et de longues carrières au Département d’État américain.

    Sur le front pétrolier russe, la Bulgarie prévoit désormais de supprimer son exemption aux sanctions de l'UE contre la Russie six mois plus tôt que prévu. Malgré cette décision de repousser la date au 1er mars 2024, deux des trois partis de la coalition au pouvoir continuent de soutenir que ce n’est pas suffisant. Ils veulent que le pétrole russe soit arrêté immédiatement et accusent le gouvernement pro-occidental du Premier ministre Nikolai Denkov d’être pro-russe (le gouvernement de Denkov maintient que couper le pétrole russe maintenant pourrait conduire la Bulgarie à ne plus avoir assez de carburant pour l’hiver).

    En plus de la taxe sur l’essence et des efforts déployés pour mettre un terme aux importations de pétrole russe, le gouvernement envisage également d’interdire l’exportation de produits pétroliers produits à partir du pétrole russe dans une importante raffinerie Lukoil du pays. La direction de la raffinerie menace de suspendre toutes ses opérations si l’approvisionnement en provenance de Russie est interrompu trop rapidement, ce qui coûterait l’emploi à des milliers de personnes dans la région de Bourgas, sur la mer Noire.

    Alors que la politique énergétique met le gouvernement au bord de l’effondrement, les relations avec la Russie, la Serbie et la Hongrie continuent de se détériorer.

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a récemment rappelé à Tucker Carlson la position de son pays sur TurkStream. À partir du B92 :

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  10. «Budapest a clairement indiqué d'emblée qu'il existait un autre gazoduc, non pas Nord Stream, mais South Stream, par lequel le gaz russe est acheminé le long du corridor sud vers la Turquie, la Bulgarie, la Serbie et la Hongrie. Avec le Premier Ministre de Serbie, nous avons souligné que si quelqu'un veut faire avec le corridor sud la même chose qu'avec celui du nord, nous considérerons cela comme un motif de guerre, une attaque terroriste, et nous réagirons immédiatement. » a déclaré le Premier ministre hongrois.

    Orban a appelé à l’abandon de tels projets, sans révéler exactement à qui s’adressait son avertissement, précisant qu’il ne s’agissait pas de la Fédération de Russie.

    « Peut-être que vous pouvez faire cela avec les Allemands, mais vous ne pouvez pas le faire avec cette région », a-t-il déclaré fermement.

    Il semble de plus en plus probable que les paroles d’Orbán seront mises à l’épreuve.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/europe-getting-record-amounts-russian-gas-through-turkstream-so-who-keeps-trying-blow

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  11. La nouvelle législation européenne sur les semences nuit à la diversité végétale et aux agriculteurs


    27 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La Commission européenne a présenté une proposition de nouvelle loi européenne sur les semences en juillet 2023. Cela menace massivement la préservation et la répartition de la diversité des cultures. Cela ne tient pas compte du droit des agriculteurs, inscrit dans le droit international, de récolter, d’utiliser, d’échanger et de vendre leurs propres semences. Une pétition de l'Arche de Noé est dirigée contre cela.

    Une nouvelle loi européenne sur les semences est actuellement en cours d'élaboration. Les réglementations précédentes, introduites dans les années 1960, encourageaient les semences développées pour l’agriculture industrielle. Ce sont des semences qui peuvent être vendues avec des pesticides nocifs et des engrais artificiels et cultivées en monoculture. Ce règlement européen est lié à l'introduction de « variétés à haut rendement, la « graine miracle », qui a été développée par le sélectionneur végétal Dr. Norman Borlaug en collaboration avec la Fondation Rockefeller et la Fondation Ford« a été développé dans les années 1950 comme le décrit l'auteur à succès, le célèbre ethnologue et anthropologue culturel Wolf-Dieter Storl dans son livre « My American Culture Shock ».

    Ce dont il s’agit réellement est clairement expliqué dès le début de la publication de la Commission :

    La révision vise à :

    2. permettre l’adoption de nouveaux développements scientifiques et techniques, notamment des procédés de production innovants, des techniques biomoléculaires et des solutions numériques

    Arche de Noé:

    « Ce système économique détruit petit à petit nos moyens de subsistance. Malgré tout, le secteur agricole pousse à durcir davantage les lois actuelles et à interdire la diversité. Cela rend nos semences et notre système alimentaire encore plus uniformes. Nous n'avons pas besoin de simplicité, nous avons besoin de diversité ! Nous avons besoin de lois sur les semences qui garantissent notre droit à une alimentation saine, diversifiée et savoureuse ! Les lois doivent favoriser la diversité dans les champs et les jardins ! Ils doivent soutenir les variétés locales et respecter les droits des agriculteurs !

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  12. Nous appelons le Parlement européen et les ministres de l’Agriculture à réviser la proposition de loi européenne sur les semences. Nous avons besoin d'une législation qui permette le partage légal de diverses semences, favorise la diversité biologique des cultures, respecte les droits des agriculteurs et crée les bases d'un système alimentaire durable, résilient et diversifié :

    La préservation et l’utilisation durable de la diversité des cultures adaptées localement doivent être une priorité absolue dans les lois européennes sur les semences.
    Un droit international sécurisé : Récolter, transmettre, échanger et vendre ses propres semences doivent rester légalement possibles pour les agriculteurs et les jardiniers.
    La commercialisation de variétés diverses et adaptées localement par les producteurs de semences régionaux doit être facilitée.
    Les variétés nouvellement approuvées ne doivent pas dépendre de pesticides ou d'engrais synthétiques.
    Nous avons besoin de 40 000 signatures.

    Quoi qu’il en soit, il n’est pas difficile de deviner pour quels groupes de pression, agricoles et financiers les eurocrates agissent.

    https://

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  13. Japon : l’immobilisation du « carbone » sans le savoir


    le 27 novembre 2023


    Comme aux Etats-Unis ainsi que dans beaucoup d’autres pays la construction de maisons individuelles utilise des matériaux dits carbonés, c’est-à-dire le bois pour la structure des murs, éléments du squelette de la maison y compris la charpente et les planchers, les plaquages extérieurs également en bois et cet ensemble « fixe » du carbone, la bête noir des adeptes de l’environnement et du changement du climat. Dans la plupart des pays européens ces maisons individuelles sont construites en béton armé, ciment et parpaings, revêtements extérieurs des murs également en ciment. Il y a un petit problème dans ce type de constructions car non seulement il ne fixe pas de carbone mais en produit des quantités massives. La production de ciment est un très gros émetteur de carbone : chaque tonne de ciment émet une tonne de gaz carbonique soit 510 mètres cube de ce gaz. Pour être plus précis il faut ajouter toute l’énergie carbonée utilisée pour extraire la roche calcaire, la transporter vers la cimenterie, produire de la chaleur dans les fours et enfin transporter le ciment vers les lieux d’utilisation. Certes les cimenteries brûlent un peu n’importe quoi dans les fours mais il s’agit d’un autre production de « carbone gazeux » qui selon le dogme du changement du climat d’origine humaine va précipiter l’arrivée de la catastrophe apocalyptique à laquelle l’humanité ne survivra pas mais les maisons construites en dur survivront comme les cathédrales, c’est presque de l’humour.

    - voir photos sur site -

    Près du domicile de mon fils la plupart des maisons individuelles ayant atteint un âge canonique d’une quarantaine d’années et qui ont vécu un certain nombre de tremblements de terre sont détruites et reconstruites avec du bois. La technique architecturale consiste à préparer une assise de béton armé flottant sur la cendre volcanique, près de 30 mètre d’épaisseur dans la plupart des plaines du Japon, et cette dalle, en cas de tremblement de terre, se déplace avec la structure générale du bâtiment. La structure est solidement amarrée à cette dalle et tout l’ensemble peut se déplacer sans dommage pour la maison, ce qui requiert l’arrimage de mobilier léger aux murs comme par exemple des étagères posées contre un mur. J’ai pu photographier une maison de moins de trois niveaux montrant en cours de construction.

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  14. On aperçoit la dalle flottante et des murets en béton armé sur lesquels sont arrimés les montants verticaux en bois. Le niveau du plancher se trouvera à cette hauteur. Toutes les maisons individuelles ont donc un premier niveau surélevé par rapport à celui de la rue en raison des risque de violentes pluies au cours d’un typhon d’exceptionnelle ampleur. Tous les bois sont prédécoupés et traités chimiquement pour prévenir le pourrissement et l’attaque par des termites et des fourmis xylophages et l’artisan est souvent seul sur le chantier car chaque intervention dans le processus de construction est strictement compartimenté et planifié. En moins d’un mois une maison est terminée, ce qui réduit le coût de construction. Pour les structures de plus de trois étages le bois est remplacé par de l’acier mais il ne faut pas oublier que l’acier est un matériau recyclable, le bois d’une vieille maison, vieille selon les critères locaux, sera brûlé pour produire de l’électricité tandis que le ciment est importé par le Japon puisque le sol de ce pays est d’origine volcanique et ne peut être utilisé pour produire le ciment. Les Japonais sont des bâtisseurs écologiques de maisons sans le savoir.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/11/27/japon-limmobilisation-du-carbone-sans-le-savoir/

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    1. Rappel que TOUTES les structures qui entourent notre regard à 180° sont en poussières (no-particules) appelées aussi... 'virus' !! (HAHAHA !). Notre propre squelette est aussi constitué de carbone comme toutes les plantes et animaux consommés.

      Donc, l'attaque d''évangéliste révolutionnaires verts' est une déficience mentale en terme absolu du pourquoi la science existe t-elle ?!!

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  15. Comment réduire sa facture de chauffage ?

    Il existe quelques astuces qui peuvent vous permettre de réduire jusqu'à 40 % de votre facture de chauffage. La première consiste à gérer astucieusement le thermostat. N'hésitez pas à investir dans un système programmable pour ajuster la température selon vos besoins. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, si vous disposez d'une chaudière gaz ou fioul mais que votre maison est mal isolée, il n'est pas conseillé d'éteindre complètement le chauffage la nuit, car le redémarrer chaque matin consomme plus d'énergie. L'Ademe recommande 17 °C dans les chambres et 19-21 °C dans les pièces à vivre pour favoriser les économies d'énergie. On y pense moins, mais nettoyer nos équipements de chauffage, tels que la purge des radiateurs, vous permettra d'optimiser leurs performances et de réduire considérablement votre consommation d'énergie.

    https://www.economiematin.fr/chauffage-bois-gaz-electricite-prix-energie

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    1. Le bois (comme tout constituant de notre maison) rassemble des milliards de nano-particules qui circulent dans l'air. Le fait de brûler du bois n'ajoute en rien du carbone à notre atmosphère puisqu'il en vient et en dépend.

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  16. Pourquoi le cours du sucre a doublé en 3 ans ?

    « Coté sur le marché à terme à New York, le cours du sucre est au plus haut depuis 2011, et a même doublé depuis 2020. Avec une livre de sucre autour de 27 centimes de dollars, soit 35% de hausse depuis le début de l’année, faisons-nous fasse à une spéculation sur la poudre blanche ? Réponse avec Charles Sannat, fondateur du site insolentiae. Ecorama du 27 novembre 2023, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com » Voilà pour le résumé rapide.


    Par Charles Sannat
    le 28 novembre 2023 à 10h30


    En octobre 2023, en France, l'inflation a été de 4% sur un an.

    En gros ce qu’il faut retenir c’est que certes le prix du sucre monte beaucoup mais que l’on peut s’en passer au contraire du blé ou du riz qui ne sont pas eux, des aliments de confort mais de vraies matières de première nécessité pour des milliards de gens sur la planète.

    Les raisons de cette hausse sont multiples.
    Le Brésil représente 50 % de la production mondiale.

    L’inde et la Thaïlande sont 2ème et 3ème et leurs récoltes sont amoindries en raison d’aléas climatiques.

    L’énergie en forte hausse comme vous avez pu le voir ces derniers mois. « Selon certaines coopératives, l’énergie est même devenue la ligne la plus importante de la facture. Industrie très énergivore, le sucre consomme beaucoup de gaz dont le prix s’envole depuis le début de la guerre en Ukraine. Son prix a été multiplié par 3 ou 4, ce qui impacte fortement le secteur ».

    « L’industrie du sucre doit également composer avec la hausse des prix sur d’autres produits et dans d’autres secteurs. Le prix des engrais et des fertilisants a, par exemple, fortement augmenté, ce qui impacte le coût du traitement de produits comme la betterave. Cette dernière permet notamment de produire du sucre dans des pays comme la France, même si la réglementation autour de certains produits comme les néonicotinoïdes pour les traiter a changé et impactera encore son prix et son utilisation. À noter également l’impact du coût des transports pour le sucre, lié notamment à la hausse du coût des carburants. Les coûts pourraient donc continuer d’augmenter en 2023. »

    En France les agriculteurs se détournent de la betterave car des traitements chimiques désormais interdits menacent les récoltes. La filière du sucre en France s’effondre.

    Pour autant, si cette hausse semble importante, disons que c’est le même mouvement de manière générale sur l’ensemble des matières agricoles dont on sent les cours très volatils mais que nous restons largement en dessous des prix les plus hauts atteints en 2011, ce qui avait provoqué des émeutes de la faim dans les pays du Maghreb ce qui a donné lieu au printemps arabe.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    https://www.economiematin.fr/augmentation-prix-sucre-matieres-premieres-sannat

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  17. Insolite : ces radars fous mitraillent 10.000 automobilistes

    Dans la ville de Berne, en Suisse, quatre radars se sont transformés en mitrailleuses à PV : près de 10 000 automobilistes ont été flashés en l’espace d’un mois.


    Par Axelle Ker
    le 28 novembre 2023 à 14h02


    Près de 10.000 automobilistes se sont fait flasher par erreur par quatre radars en Suisse.

    Radars en Suisse : 10.000 automobilistes flashés par erreur

    C'est le genre d'histoire qui fait les choux gras des médias : à Berne, des radars flambant neufs ont pris un malin plaisir à flasher à tort et à travers. Le bilan ? Pas moins de 9 604 PV distribués en un peu plus d'un mois, à des conducteurs innocents. La cause de cette frénésie « radartique » ? Une simple erreur de programmation, transformant ces sentinelles de la route en pièges à flashs.

    Les habitants de Berne n'en croyaient pas leurs yeux. Des radars, censés être l'incarnation de la précision suisse, se sont mis à distribuer des amendes comme des confettis en gonflant par eux-mêmes la vitesse des automobilistes qui croisaient leur chemin. Un dérapage incontrôlé qui a mis la puce à l'oreille des forces de l'ordre. Il n'a pas fallu longtemps pour que la police cantonale, alertée par l'anomalie, mette le doigt sur le problème : un calibrage défectueux, une petite erreur aux conséquences grandioses.

    Remboursement pour les automobilistes lésés

    La police suisse s'est empressée de rectifier le tir. Les 6 000 amendes déjà payées ? Remboursées ! Les conducteurs injustement flashés ? Notifiés ! Les radars fautifs, quant à eux, ont été mis au coin, le temps que l'Institut fédéral de métrologie (METAS) réajuste leur calibrage. Un joli casse-tête pour les autorités, mais une bonne nouvelle pour les automobilistes lésés.

    Les quatre radars en question avaient été spécialement conçus pour la Suisse. Ils sont les seuls à utiliser une configuration de boucles de 2,2 mètres (contre 2,5 habituellement). Un détail technique qui a permis à l'Institut fédéral de métrologie (METAS) de rassurer les Suisses : aucun autre radar n'est doté de ce même type de programmation.

    https://www.economiematin.fr/radars-suisse-amende-erreur-automobiliste

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  18. Voitures électriques en France : le déni de réalité

    Qui oserait mettre en doute la volonté du gouvernement français de mettre en chantier le développement et la production de la voiture électrique en France. L’objectif fixé du « zéro carbone » devra être atteint en 2050. L’avenir de la planète en dépend. Il y va de la protection climatique, écologie au sens propre oblige.


    Par Jacques Martineau
    le 28 novembre 2023 à 5h30


    12 % des voitures vendues chaque année sont électriques.

    La source d’énergie Électrique est française

    D’abord et avant tout, faut-il encore être en mesure de produire de l’électricité ? Sur ce terrain la France a encore un sérieux avantage avec le nucléaire (75 %). Une absolue continuité dans l’indécision programmée. Un retour d’au moins 12 ans en arrière et c’est reparti !

    En complément du nucléaire, de nouvelles sources d’énergies qualifiées de « renouvelables » ont vu le jour. Elles contribuent au soutien de notre indépendance et à rester vigilants. L’investissement et les implantions progressent. On peut citer, l’hydraulique (12 %), les éoliennes (6 %), le solaire (3 %), le biogaz (2 %), la géothermie et la bio-thermie (2 %) … Le charbon (< 1 %) est en en voie d’extinction d’ici quelques années.

    Le coût moyen (investissement inclus) de cette énergie produite par l’ensemble de nos sources est près de 40 % inférieur au coût actuel (novembre 2023). Nos contraintes de prix sont imposées par une Union européenne, compatible par un partenaire allemand en solo profitable. Le marché européen est lié désormais au prix du gaz de schiste (GNL) importé ! L’accord Etat-EDF peut faire évoluer à la baisse.

    Qu’en est-il de la production et de la vente des voitures électriques ?

    Au-delà des progrès, les calculs des intérêts économiques et des profits mesurés à l’échelle occidentale ont confirmé le choix du véhicule électrique. Pour un développement industriel, les investisseurs ne pouvaient que s’en satisfaire. Pourquoi émettre des réserves et des critiques quand des décisions sont prises et qu’unanimement elles sont considérées comme aller dans le « bon sens » de protection du climat ?

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  19. Une solution s’est imposée : la voiture électrique. Comme le rappelle Cédric Bonnefoy dans Économie Matin, « l'essor de la voiture électrique est directement menacé par la forte hausse du coût des matières premières utilisées pour la fabrication de ses batteries, qui a déjà entraîné les premières hausses de prix. Sa démocratisation semble un objectif de plus en plus difficile à atteindre ».

    La grande majorité des véhicules est fabriquée et importée de Chine. L’adaptabilité à faire face à cette réalité ne peut pas permettre de tenir les calendriers. Dans l’Union européenne, comme en France, c’est impossible malgré les efforts consentis.

    Un simple rappel est intéressant pour comprendre : aujourd’hui le nombre de véhicules électriques vendus représente 12 % des véhicules neufs par année. Au total moins d’un million en octobre 2023 à comparer aux 45 millions de véhicules particulières du parc automobile français. Le nombre de bornes électriques en forte hausse (environ 100.000) devra être multiplié par 4 au minimum avant 2030. La démonstration est 'suffisante'.

    Pour Stellantis, les voitures électriques européennes seront chinoises !

    La nouvelle s’est vite propagée : Stellantis investit en Chine pour conquérir le marché européen. C’est un pari risqué peut-être mais réalisé par Carlos Tavares, son PDG. Le constructeur automobile vient d’investir dans un leader montant de l’électrique : « Leapmotor ». La technologie et le prix de revient sont ses principaux atouts. En ajoutant à cela la rapidité et la facilité de production.

    Cette prise de capital est d’autant plus intéressante et pertinente pour Stellantis qu’il anticipe les retards et les difficultés européennes à produire des véhicules électriques abordables pour le grand public.

    Malgré de longues et lourdes tergiversations, nos politiques européens, y compris français, renoncent à accepter un déni de réalité : la très grande majorité de nos véhicules électriques ne seront, ni français, ni européens. Quant au coût « carbone », il est préférable de ne pas en parler au dérèglement climatique !

    https://www.economiematin.fr/voitures-electriques-france-deni-realite-martineau

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    1. La Chine n'en a RIEN A FOUTRE des aléas des voitures électrique, des éoliennes ou panneaux solaires. Elle produit, elle vend.

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  20. New York a raté de peu une catastrophe la veille de Noël dernier : les conduites de gaz ont gelé et 127 GW d'électricité ont disparu


    Par Jo Nova
    November 28th, 2023


    Nos villes sont plus fragiles qu’on ne l’imagine

    Lors de la tempête hivernale appelée « Elliot » à Noël dernier, les conduites de gaz ont failli geler à New York. Les pénuries de gaz ne sont pas seulement mortelles en elles-mêmes par temps froid, mais une plus grande partie du réseau électrique dépend désormais du gaz plutôt que du charbon, ce qui entraîne une double menace. À mesure que la crise du gaz s’est aggravée, la crise électrique a fait de même : au pire, il y a eu « 90 500 mégawatts de pannes, de déclassements et de pannes coïncidentes et imprévues d’unités de production… ». Cela s’ajoutait aux 37 000 mégawatts de production déjà hors service, soit 127 mégawatts au total. Il manquait environ 18 % des ressources normales de l’interconnexion orientale.

    À 4h25 du matin la veille de Noël, dans le nord-est des États-Unis, la fréquence du réseau est tombée à 59,936 Hz, juste en dessous du point de déclenchement de 59,95 Hz.

    Si le gaz avait complètement cessé de couler pendant le grand gel qui a duré cinq jours, les conduites d'eau auraient gelé, et non seulement l'eau cesserait de couler des robinets et les toilettes cesseraient de tirer la chasse d'eau, mais les conduites auraient éclaté, provoquant ainsi la destruction de milliers d'immeubles. et des bureaux inutilisables, et peut-être aussi endommagés par l'eau.

    D’une manière ou d’une autre, comme dans le scénario d’un film catastrophe, 8,5 millions de personnes à New York devraient être évacuées au milieu de cette crise gelée. Ils devraient vivre ailleurs, tandis que le lent et fastidieux travail de réparation et de reconstruction du système prendrait des mois. Les réseaux de gaz sont beaucoup plus lents à se rétablir que les pannes d’électricité. Robert Boyce raconte comment, lors d'une crise du gaz dans l'État de Washington, 35 000 clients ont perdu du gaz et la compagnie gazière a dû envoyer quelqu'un à chaque client, d'abord pour éteindre les compteurs de gaz, puis plus tard, lorsque la ligne a été réparée, ils ont dû envoyez quelqu'un pour allumer les veilleuses sur chaque propriété. Même avec plus de 1 000 personnes travaillant sur le problème, il a fallu près d'une semaine pour rétablir les services de gaz.

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  21. À New York, Con Edison, la société qui a failli perdre le système gazier, compte 1,1 million de clients.

    Via SmallDeadAnimals

    Glaçant les os
    À Noël dernier, les États-Unis ont évité de peu une catastrophe énergétique qui aurait décimé la ville de New York et tué des milliers de personnes.

    Par Robert Bryce

    Dans un langage simple, le rapport « Enquête sur les opérations du système d’énergie en vrac pendant la tempête hivernale Elliott de décembre 2022 » explique comment le réseau de gazoducs à New York a failli tomber en panne à Noël dernier lorsque les températures ont chuté pendant le cyclone de la bombe. Les baisses de production liées au gel, combinées à la montée en flèche de la demande des centrales électriques, des foyers et des entreprises, ont entraîné des pénuries de gaz dans tout le Nord-Est. Le manque de gaz, ainsi que des problèmes mécaniques et électriques, ont entraîné une perte « sans précédent » de capacité de production d’électricité totalisant quelque 90 000 mégawatts. Même si le manque d’électricité était dangereux, la possibilité d’une perte de pression dans le réseau de gaz naturel devrait envoyer un frisson effrayant dans le sacro-iliaque de chaque politicien et bureaucrate de Washington, D.C., de New York et du Nord-Est.

    Le rapport explique que si le système de gazoduc était tombé en panne, le processus de redressement de la ville de New York aurait pris « des mois ».

    Retenez votre souffle, ce n’est pas un événement rare. Le rapport de la FERC indique qu'il s'agissait de la cinquième panne au cours des 11 dernières années au cours de laquelle des pannes par temps froid « mettaient en danger la fiabilité du réseau ».

    Les États-Unis sont devenus très dépendants du gaz naturel, mais il existe des risques…
    Au cours des dernières décennies, les réseaux énergétiques américains ont été transformés grâce au gaz de schiste bon marché. Mais comme l’explique Robert Boyce, le gaz est un combustible « juste à temps », contrairement au charbon qui peut être stocké sur place en quantités suffisamment importantes pour survivre à une crise de courte durée, ou à l’uranium, qui peut durer quelques années.

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  22. Il semble que les décideurs politiques aient été engourdis par la complaisance face aux pannes de production importantes et aux échecs quasi catastrophiques au cours de la dernière décennie, notamment des événements tels que les tempêtes hivernales Uri et Elliott. Mais cette dernière quasi-catastrophe doit être replacée dans son contexte. Comme mentionné ci-dessus, la NERC et la FERC ont averti à plusieurs reprises que le réseau électrique est devenu trop dépendant du gaz naturel. J'adore le gaz naturel. Et l’utilisation accrue du gaz (au détriment du charbon) dans le secteur de l’électricité a aidé les États-Unis à réduire leurs émissions de dioxyde de carbone plus que tout autre pays au monde. Mais contrairement au charbon – et à l’uranium enrichi qui alimente une centrale nucléaire – le gaz est un combustible juste à temps. Cela le rend vulnérable aux interruptions de service. Et si l’approvisionnement en gaz vient à manquer, l’approvisionnement en électricité le sera également.

    La SuperClass Billionaire s’efforce d’aggraver les choses :

    Au total, [Michael] Bloomberg a engagé plus d'un milliard de dollars dans un groupe d'ONG radicales, dont la League of Conservation Voters, le Sierra Club, le Rocky Mountain Institute et Earthjustice, qui disposent toutes de budgets de fonctionnement de plus de 100 millions de dollars par an. – qui visent à compromettre l’intégrité, l’abordabilité et la résilience de notre réseau électrique.

    La conclusion ici est évidente : les réseaux énergétiques critiques américains sont proches de points de rupture catastrophiques en raison du sous-investissement dans des sources fiables de combustible et de production, et par là, j’entends les pipelines, les centrales nucléaires et les centrales électriques au charbon et au gaz.

    L’interconnexion orientale est énorme et les pannes étaient monnaie courante :

    Réseau d'interconnexion de l'est des États-Unis.

    - voir carte sur site :

    Figure 2 : Emplacement et type de combustible des pannes de production imprévues et des détarages pendant l'événement (taille de la bulle par MW pour chaque panne), au 24 décembre 202?

    h/t AnotherIan

    https://joannenova.com.au/2023/11/new-york-narrowly-missed-a-disaster-last-christmas-eve-gas-pipes-froze-and-90gw-of-electricity-vanished/

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  23. La Russie étend sa supériorité militaire à la guerre électronique


    27 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les États-Unis et l’Occident politique sont à la traîne dans un autre domaine, rapporte The Economist . « La Russie commence à utiliser sa supériorité dans la guerre électronique », titre le titre correspondant.

    La Russie a été la première puissance militaire à développer des missiles hypersoniques capables de parcourir 4 kilomètres par seconde et d'atteindre leur cible sur une distance de 1 000 km en 6 minutes. La Russie possède plus de types de missiles hypersoniques différents que les deux autres pays qui disposent également de ce type d’armes, à savoir la Chine et l’Iran.

    La Russie a également acquis une supériorité sur les États-Unis et l'Occident dans d'autres technologies, comme la technologie des radars, la gamme d'avions de combat et de systèmes de défense aérienne, les armes de char et maintenant aussi dans la guerre électronique.

    The Economist reconnaît que la Russie s’efforce depuis des décennies d’obtenir un avantage sur l’OTAN en matière de guerre électronique et que ses systèmes sont bien meilleurs que tout ce dont dispose l’Ukraine. Malgré les affirmations précédentes sur l’ingéniosité ukrainienne et la production de milliers de drones, nombre d’entre eux, ainsi que les armes de précision fournies par l’Occident (telles que les grenades guidées par GPS), sont victimes de la guerre électronique russe.

    The Economist confirme également que la Russie dépasse l’Ukraine en termes de drones (sans parler des armes à guidage de précision) par une marge estimée à au moins 2 : 1.

    L’essentiel de l’attention portée aux besoins de l’Ukraine dans sa longue bataille contre les milices du Donbass et les forces russes s’est portée sur le matériel : chars, avions de combat, missiles, batteries anti-aériennes, artillerie et quantités massives de munitions. Cependant, une vulnérabilité moins évoquée réside dans la guerre électronique, à laquelle les partisans occidentaux de l’Ukraine se sont montrés peu intéressés.

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  24. L’Ukraine a formé une armée d’environ 10 000 pilotes de drones qui sont désormais engagés dans un jeu constant du chat et de la souris avec des opérateurs électroniques russes de plus en plus qualifiés. Les drones préférés sont bon marché, ne coûtant pas plus de 1 000 dollars pièce, et l’Ukraine en construit d’énormes quantités. Mais les pertes dues aux drones russes, qui brouillent leurs systèmes de contrôle ou interrompent la communication radio avec leurs opérateurs, s'élèvent parfois à plus de 2 000 par semaine. Les drones touchés flottent sans but jusqu'à ce que leurs batteries soient épuisées et qu'ils tombent au sol.

    L'article indique que la guerre électronique est la « faiblesse la moins évoquée » de l'Ukraine, car la Russie « a mis pendant des années un énorme accent sur l'exploitation de son complexe militaro-industriel pour produire et déployer une gamme impressionnante de contre-mesures de guerre électronique ».

    «Mais l'Ukraine, selon son commandant en chef, le général Valery Zaluzhny, s'est retrouvée au début de la guerre à utiliser principalement des systèmes de guerre électronique de l'ère soviétique. Initialement, cette disparité a eu un impact limité, mais à mesure que des lignes de contact relativement statiques sont apparues, la Russie a pu déployer ses vastes capacités de guerre électronique là où elles pouvaient avoir le plus grand impact.

    Plus inquiétant encore est la capacité croissante de la guerre électronique russe à combattre la multitude de drones bon marché que l'Ukraine utilise pour tout, depuis la reconnaissance du champ de bataille et les communications jusqu'à la réalisation d'attaques explosives sur des cibles telles que des chars ou des centres de commandement... Ce n'est pas non plus possible, améliorer leur immunité aux interférences ou les équiper d'une intelligence artificielle qui leur permet de voler sans communication en direct avec un opérateur humain, du moins dans le cas des mini drones. La quantité est toujours meilleure que la qualité, mais la Russie pourrait également avoir un avantage dans ce domaine. Le ciel au-dessus du champ de bataille est désormais rempli de drones russes. "Les soldats ukrainiens estiment que la Russie déploie deux fois plus de drones d'attaque dans la région de Bakhmut qu'elle n'en est capable", indique l'article.

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  25. Nico Lange, expert de l’Ukraine à la Conférence de Munich sur la sécurité, est tout aussi pessimiste. D’une part, il soupçonne que les capacités de l’OTAN ne sont peut-être pas aussi bonnes que celles de la Russie. Pire encore : selon lui, avec les systèmes les plus récents, il existe une certaine réticence, notamment de la part des Américains, à s'adresser à la Russie, car des informations utilisables, par exemple sur les fréquences et les techniques de saut de canal utilisées, risquent d'être transmises à les Chinois le deviennent.

    https://

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  26. Le WEF et l'ONU veulent plus de censure sur Internet


    27 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les États autoritaires ne respectent pas les droits fondamentaux. La liberté d'expression et la liberté de la presse en particulier ne sont pas souhaitables parce que le propre récit de chacun est en partie contradictoire et en partie faux. La censure est donc la méthode de choix. Il n’est pas surprenant que l’organisation de relations publiques des élites financières, le Forum économique mondial (WEF) et l’ONU y participent.

    Le WEF a annoncé qu'il soutenait les lignes directrices publiées par l'UNESCO pour le fonctionnement des plateformes numériques censées protéger les droits des personnes en ligne. Les deux organisations mondialistes non élues veulent se positionner en tant que régulateurs des contenus en ligne.

    Le WEF et l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) ont développé une « boîte à outils de sécurité numérique » qu’ils « recommandent » aux gouvernements des États souverains d’adopter. L'UNESCO et le WEF soulignent que leur boîte à outils a été développée pour lutter contre le « discours de haine » et la cyberintimidation ».

    Cependant, la boîte à outils cible spécifiquement les contenus en ligne indésirables, également appelés « désinformation » à des fins de censure. Le WEF utilise son influence pour convaincre les gouvernements que la « boîte à outils » est essentielle pour réglementer ce qu’on appelle « l’Internet de confiance ».

    Le WEF fait pression sur les dirigeants mondiaux pour qu'ils adoptent les nouvelles réglementations qui, selon l'organisation basée en Suisse de Klaus Schwab, devraient être appliquées à chaque personne dans le monde qui utilise Internet.

    L'UNESCO et le WEF insistent sur le fait que leurs réglementations garantiront que la version contrôlée d'Internet sera le seul moyen « fiable » de s'informer et de se protéger contre la désinformation et la désinformation.

    « Si nous ne parvenons plus à faire la distinction entre fiction et réalité, entre mensonge et vérité, les fondements de nos sociétés s'effondreront », a déclaré l'UNESCO citée par le WEF. On suppose que tout ce qui n’est pas approuvé et certifié par le WEF ou l’UNESCO est faux.

    « La démocratie, le dialogue et le débat – tous essentiels pour relever les grands défis de notre époque – deviennent impossibles. »

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  27. Le WEF conclut :

    « Les plateformes numériques ont besoin de mécanismes de signalement pour enregistrer les violations des politiques, mais étant donné la nature mondiale de leurs activités, elles doivent également veiller à ce que ces mécanismes prennent en compte les sensibilités culturelles locales lors du traitement des plaintes. »

    Le WEF et l’ONU militent depuis un certain temps pour prendre le contrôle du flux d’informations en ligne. Lors de la dernière réunion annuelle du WEF à Davos, en Suisse, plus tôt cette année, l'événement était axé sur les efforts visant à renforcer la censure mondiale.

    https://

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  28. Les historiens mettent en garde contre le « langage autoritaire » – et gardent le silence sur le coronavirus


    27 novembre 2023
    par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes


    Après environ trois ans d'absence, les historiens occidentaux sont de retour - et reprennent là où ils s'étaient arrêtés avant la soi-disant « pandémie du coronavirus » déclarée par l'OMS : avec des affirmations bon marché, des bavardages moralisateurs et beaucoup de soutien de la part de l'OMS. établissements. Un chant du cygne pour le « juste milieu » occidental, son « journalisme d’attitude » et la formation d’opinions plus que « juste » capricieuse des gardiens moraux autoproclamés.
    Ce week-end, cela s'est reproduit pour la première fois depuis environ quatre ans : avec une unité impressionnante, voire inattendue, les « médias de premier plan et de qualité » ont de nouveau défilé contre le 45e président américain, Donald Trump. Cela n'a certainement pas été facile pour lui, car le « Juste milieu » américain avait utilisé toutes les mesures imaginables dès le début de sa candidature pour contrecarrer ses souhaits. Il n’est pas nécessaire d’aimer Trump ni d’être « pour » (ou « contre ») son adversaire, mais il est évident à quel point les années précédant immédiatement le Corona étaient bien au-delà.

    En parlant de « Corona » – avec le début de la soi-disant « pandémie » déclarée par l’OMS, la diabolisation de Trump n’a en aucun cas disparu, mais elle est clairement passée au second plan par rapport à la diabolisation de tous les soi-disant « négationnistes du Corona ». , les « jurons », les « penseurs latéraux » et bien plus encore. Comme on le sait, des volumes peuvent être remplis sur cette période désagréable (par exemple ici , ici ou ici ), et le dernier mot n'a certainement pas encore été dit sur le prétendu mais en tout cas nécessaire « traitement ».

    Mais comment ces deux sujets s’articulent-ils ? Simple : On lit « médias leaders et de qualité ».

    ORF Online sur le « langage autoritaire »

    Le 26 novembre 2023, la radio nationale autrichienne a diffusé un reportage au titre révélateur : « Trump : le langage autoritaire inquiète les historiens ».

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  29. En tant qu'historien (professionnel), je suis toujours « ravi » lorsque mes collègues se perdent dans les abysses des « médias de premier plan et de qualité », même si leurs absurdités sont désormais légion : À propos de la fausse représentation historique à l'autrichienne à l'Académie des sciences ( voir aussi la lettre ouverte d'Ortwin Rosner à ce sujet) aux présidents allemand et autrichien égarés sur la postulation d'une « voie spéciale » autrichienne par l'actuel ministre de l'Éducation et des Sciences. Des temps difficiles pour les historiens, sans aucun doute, mais le critère clairement primordial de « reconnaissance » par les « médias de premier plan et de qualité » était le conformisme et l’obéissance anticipée au « récit » (souvent remanié).

    Mais voilà que « les historiens » sont de retour avec une nouvelle attaque contre Donald Trump. Extrait de l' article de l'ORF mentionné (c'est moi qui souligne) :

    L’ancien président américain Donald Trump se positionne à un an de l’élection présidentielle de 2024. Dans ses discours, les historiens remarquent de plus en plus un langage qui rappelle les dirigeants autoritaires des années 1930 , comme l'ont rapporté les médias américains. Il a récemment qualifié ses opposants politiques de « vermine » qu’il voulait « exterminer »…

    Le fait que les tactiques de campagne de Trump reposent désormais sur des attaques contre une menace « interne » a déclenché de nouveaux signaux d'alarme parmi les experts en autocratie, qui ont également observé avec une inquiétude croissante les louanges de Trump à l'égard des dictateurs étrangers et son mépris des idéaux démocratiques, a rapporté le New York Times. (« NYT »). La principale question est de savoir si son virage rhétorique vers des déclarations à consonance fasciste n’est qu’une provocation de la gauche ou même « la chute du voile ».

    À ce stade, il appartient à chacun de lire les citations sélectionnées de Trump ; il s’agit d’autre chose, à savoir les évaluations des collègues experts cités sur le prétendu « revirement autoritaire » :

    « Ce langage est un langage que les dictateurs utilisent pour semer la peur », a déclaré au Washington Post Timothy Naftali, chercheur à la School of International and Public Affairs de l’Université Columbia . « Lorsque vous déshumanisez un opposant, vous le privez de son droit constitutionnel de participer en toute sécurité à une démocratie parce que vous dites qu’il n’est pas humain. C’est ce que font les dictateurs.

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  30. Ruth Ben-Ghiat, historienne à l'Université de New York , a déclaré au Washington Post que « le fait de qualifier les gens de « vermine » a été effectivement utilisé par Hitler et Mussolini pour déshumaniser les gens et encourager leurs partisans à commettre des violences. Il évoque toutes sortes d’autoritaires – communistes, marxistes, fascistes et gauche radicale – pour se présenter comme un libérateur de la liberté », explique Ben-Ghiat. "Mussolini a également promis à son peuple la liberté, puis a déclaré la dictature."

    Tout d’abord, un tel langage devrait être rejeté, ne serait-ce que pour les raisons évoquées, mais ce que les collègues experts avaient à dire sur la soi-disant « pandémie corona » déclarée par l’OMS est bien plus passionnant.

    Soit dit en passant, l' article de l'ORF était la source jusqu'à présent, mais les autres informations y sont absentes.

    Syndrome de dérangement Trump/Corona
    Voici par exemple Tim Naftali, qui a attribué au président américain Biden une note de « B+ » (environ « bon » à « très bon ») en 2021 concernant sa « gestion de la pandémie » (capture d'écran via X/Twitter ) :

    On en déduit donc que son collègue Naftali a également accepté avec approbation les mesures souvent injustifiées et la diabolisation des « non vaccinés ».

    Ruth Ben-Ghiat, en revanche, était l’une des « casques d’acier de vaccination » les plus utilisés et souvent vus sur CNN, comme peuvent l’illustrer les exemples suivants :

    Beaucoup d’entre nous sont hantés par le spectre de la maladie. Nous craignons que nous, nos étudiants et nos proches puissions tomber malades du Covid-19 à cause de notre travail, d’autant plus que la variante Delta, très contagieuse, continue de circuler. [ Source , 5 novembre 2021]

    Si vous êtes intéressé par l'avis de Ben-Ghiat sur Donald Trump, vous le trouverez ici .

    Cependant, l’impartialité ou une certaine « distance » entre le sujet ou la personne faisant l’objet de l’enquête et l’opinion publiée semble différente dans les deux cas.

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  31. On constate donc que les deux historiens, abondamment cités sur l'audiovisuel public (bientôt obligatoirement taxé) , s'expriment en détail aussi bien dans le New York Times, qui n'est en aucun cas considéré comme « éloigné de l'establishment » , que dans celui de Washington . Poste . Des contextes tels que leur « loyauté envers la ligne » présentée ici comme exemple du « régime pandémique » ou leur hostilité de longue date envers Donald Trump ne font que distraire.

    Il semble également « inapproprié » que les « médias de premier plan et de qualité » mentionnés soulignent les déraillements verbaux et autres ainsi que les comportements répréhensibles au cours de la soi-disant « pandémie de coronavirus » déclarée par l’OMS.

    À propos des « négationnistes », des « silencieux », des « jurons » : un mémoire
    Cependant, pour que ces dons de mots historiquement significatifs n'existent pas totalement hors de leur contexte, quelques lignes sont citées de l' article - en soi formidable - de Philine Conrad, paru dans le Berliner Zeitung fin juillet 2023. La base de cet article est une table ronde qui a eu lieu peu de temps auparavant dans le cadre de la Fondation Martin Luther à la mairie d'Erfurt (c'est moi qui souligne) :

    Je voudrais me présenter : je suis un « appendice » . Un « négateur » . Un « nazi » – « de droite » , « en manque de solidarité » et « égoïste » . Je suis un « stupide » , un « vautour » et un « refusant » . Et je vous demande votre compréhension, je n'utilise pas d'astérisques pour différencier les vautours mâles et femelles. Le genre ne joue aucun rôle dans ce contexte. Je suis un "cochon stupide" qui a besoin d'être étiqueté et qui doit "porter des autocollants " . Je suis un « danger », un « meurtrier » et un « ange de la mort » . Je suis un « opposant » . Contre quoi ? Je suis un "râleur" . Une « figure sombre » . Et devrait « disparaître dans un trou d’où je suis sorti en rampant » . Je suis un « ravageur social » . Et folle" . Vous connaissez les raisons de ces noms.

    Vous pouvez consulter le message de Philine Conrad ici :

    Quand les historiens parlent / Quand les « médias de premier plan et de qualité » rapportent
    Les événements de la soi-disant « pandémie corona » déclarée par l’OMS dureront longtemps.

    Malheureusement, les contributions douteuses d’historiens comme Tim Naftali ou Ruth Ben-Ghiat et bien d’autres continueront de nous accompagner. Cependant, il ne s’agit pas « simplement » d’une question de décence personnelle ou de l’incapacité proverbiale de voir la paille dans l’œil de son frère mais pas la planche dans son propre œil (Matthieu 7 : 3).

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  32. C'est aussi une question de professionnalisme et de décence personnelle. L’auteur de ces lignes a travaillé autrefois (« vC », ou « avant Corona ») en tant que professeur invité István Deák à l’Université de Columbia, qui faisait notamment – ​​ironiquement – ​​partie de l’École des affaires internationales et publiques (SIPA).

    Je suis véritablement enthousiasmé lorsque des « collègues experts » ont leur mot à dire sur des sujets d'actualité - mais je suis consterné et même dégoûté lorsque des « collègues experts » et des gens des médias commettent de telles fautes, causées soit par des préjugés, soit par ignorance - dans le sens de ne pas être capable de savoir. Espérons que, car l’alternative est que la diffamation malveillante est intentionnelle derrière de tels messages.

    Épilogue : À propos de « l’enjeu du moment » et du « fardeau du passé »
    Enfin, il convient de mentionner quelques lignes de Friedrich Nietzsche, que je suis toujours heureux de recommander à l'occasion (italique dans l'original, souligné en gras par moi) :

    Regardez le troupeau qui paît devant vous : il ne sait pas ce qui était hier ni ce qui est aujourd'hui, saute partout, mange, se repose, digère, saute encore, et ainsi de suite du matin au soir et du jour au jour, brusquement avec son désir et déplaisir, c'est-à-dire liés à l'instant présent et donc ni mélancoliques ni fatigués. Voir cela est dur pour une personne car elle se vante de son humanité devant l'animal et pourtant veille jalousement à son bonheur ...

    Alors l’homme dit « Je me souviens » et envie l’animal, qui oublie immédiatement et meurt à chaque instant, retombant dans le brouillard et la nuit et s’éteignant pour toujours. C'est ainsi que l'animal vit de manière anhistorique : car il est absorbé dans le présent, comme un nombre, sans qu'il subsiste aucune coupure étrange, il ne sait pas se déguiser, il ne cache rien et apparaît à chaque instant complètement et complètement tel qu'il est. , de quoi il est capable Alors ne soyez rien d'autre qu'honnête. L'homme, lui, se prépare au lourd fardeau toujours croissant du passé : cela le presse ou le plie latéralement, cela alourdit sa marche comme un fardeau invisible et obscur, qu'il peut apparemment nier et qu'il peut traiter avec qui est trop heureux pour nier son égal : pour susciter leur envie. C'est pourquoi il est ému, comme s'il pensait à un paradis perdu, de voir le troupeau en train de paître ou, plus attentivement, l'enfant qui n'a rien à nier du passé et qui joue entre les barrières du passé et de l'avenir dans un état de bonheur. cécité . Et pourtant, son jeu doit être perturbé : il est trop tôt sorti de l'oubli. Ensuite, il apprend à comprendre le mot « c'était », ce mot d'ordre avec lequel la lutte, la souffrance et la lassitude approchent les gens, leur rappelant ce qu'est essentiellement leur existence : une imperfection qui ne peut jamais être complétée.

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  33. Ainsi Nietzsche dans l'essai « Sur les avantages et les inconvénients de l'histoire pour la vie » , tiré de ses Considérations intempestives (Leipzig 1874, pp. 244-45).

    Ainsi, un voyou qui accuse son frère ou sa sœur de déni parlera bien plus volontiers de « projection ».

    #Nous n'oublions pas.

    https://

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  34. Le plan insidieux de l'UNESCO pour « réguler les médias sociaux » et « contrôler la parole en ligne »
    L'ONU intensifie sa guerre contre les « théories du complot » et la « désinformation » en créant un « Internet de confiance ».


    Par Alex Newman
    Recherche mondiale,
    28 novembre 2023


    Une puissante agence des Nations Unies a dévoilé un plan visant à réglementer les médias sociaux et la communication en ligne tout en réprimant ce qu'elle décrit comme des « fausses informations » et des « théories du complot », suscitant l'inquiétude des défenseurs de la liberté d'expression et des principaux législateurs américains.

    Dans son rapport de 59 pages publié ce mois-ci, l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la culture et la science (UNESCO) a présenté une série de « mesures concrètes qui doivent être mises en œuvre par toutes les parties prenantes : les gouvernements, les autorités de régulation, la société civile et les plateformes elles-mêmes ». »

    Cette approche inclut l’imposition de politiques mondiales, par le biais d’institutions telles que les gouvernements et les entreprises, conçues pour stopper la propagation de diverses formes d’expression tout en promouvant des objectifs tels que la « diversité culturelle » et « l’égalité des sexes ».

    L’agence des Nations Unies vise notamment à créer un « Internet de confiance » en ciblant ce qu’elle appelle la « désinformation », la « désinformation », les « discours de haine » et les « théories du complot ».

    Parmi les exemples d’expressions signalées comme étant arrêtées ou restreintes figurent les préoccupations concernant les élections, les mesures de santé publique et les activités de plaidoyer qui pourraient constituer une « incitation à la discrimination ».

    Les critiques avertissent que les allégations de « désinformation » et de « théories du complot » sont de plus en plus utilisées par les forces puissantes du gouvernement et des grandes technologies pour faire taire les informations véridiques et même les discours politiques fondamentaux.

    Ce mois-ci, le comité judiciaire de la Chambre des représentants des États-Unis a publié un rapport dénonçant la « pseudoscience de la désinformation ».

    Entre autres préoccupations, le comité a constaté que cette « pseudoscience » avait été « militarisée » par ce que les législateurs appellent le « complexe industriel de la censure ».

    L’objectif : faire taire le discours politique protégé par la Constitution, principalement celui des conservateurs.

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  35. « La pseudoscience de la désinformation n'est aujourd'hui – et n'a toujours été – rien d'autre qu'une ruse politique visant le plus souvent les communautés et les individus ayant des opinions contraires aux discours dominants », déclare le rapport du Congrès, « La militarisation des pseudo-experts en « désinformation » . et les bureaucrates.
    En effet, bon nombre des politiques préconisées par l’UNESCO ont déjà été mises en œuvre par des plateformes numériques basées aux États-Unis, souvent à la demande de l’administration Biden, comme le montre clairement le dernier rapport du Congrès.

    Au Capitole, les législateurs ont néanmoins exprimé leur inquiétude face au nouveau plan de l'UNESCO.

    indéfini

    « J'ai critiqué publiquement et à plusieurs reprises la décision malavisée de l'administration Biden de rejoindre l'UNESCO, faisant payer des centaines de millions de dollars aux contribuables américains », a déclaré à Epoch Times le président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants, Michael McCaul (Républicain du Texas ) . plan média.

    Qualifiant l'UNESCO d'« entité profondément imparfaite », M. McCaul s'est dit particulièrement préoccupé par le fait que l'organisation « promeut les intérêts des régimes autoritaires, y compris le Parti communiste chinois ».

    En effet, l'UNESCO, comme de nombreuses autres agences des Nations Unies, compte plusieurs membres du Parti communiste chinois (PCC) dans ses rangs de direction , comme le directeur général adjoint Xing Qu , a rapporté Epoch Times .
    Le PCC a clairement indiqué à plusieurs reprises que même lorsqu’ils travaillent dans des organisations internationales, les membres du PCC sont censés suivre les ordres du parti communiste.

    Les législateurs de la sous-commission des crédits de la Chambre chargée des organisations internationales travaillent actuellement à réduire le financement de diverses agences de l'ONU qui, selon les législateurs, utilisent l'argent des contribuables américains de manière inappropriée.

    Le gouvernement américain a déjà quitté l’UNESCO à deux reprises – sous les administrations Reagan et Trump – en raison de préoccupations concernant ce que les administrations ont décrit comme de l’extrémisme, de l’hostilité envers les valeurs américaines et d’autres problèmes.

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  36. L’administration Biden a rejoint le groupe plus tôt cette année malgré les objections des législateurs, a rapporté Epoch Times .

    Le plan de l'UNESCO
    Tout en étant présenté comme un plan visant à défendre la liberté d’expression, le nouveau régime réglementaire de l’UNESCO appelle à une censure internationale de la part de régulateurs « indépendants » qui sont « à l’abri des intérêts politiques et économiques ».

    « Les systèmes de gouvernance nationaux, régionaux et mondiaux devraient être capables de coopérer et de partager leurs pratiques… pour traiter les contenus qui pourraient être restreints en vertu du droit et des normes internationales en matière de droits de l'homme », explique le rapport.

    Contrairement au premier amendement de la Constitution américaine qui interdit toute atteinte gouvernementale au droit à la liberté d’expression ou à la liberté de la presse, l’UNESCO pointe du doigt divers instruments internationaux des « droits de l’homme » qui, selon elle, devraient déterminer les droits d’expression à enfreindre.

    Ces accords incluent le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), qui stipule que la restriction de la liberté d'expression doit être prévue par la loi et doit également servir un « objectif légitime ».

    Dans un récent examen de la situation aux États-Unis, un comité des droits de l’homme de l’ONU a appelé à des changements dans la Constitution américaine et a exigé que le gouvernement américain fasse davantage pour arrêter et punir les « discours de haine » afin de se conformer au PIDCP.
    Un autre instrument clé des Nations Unies est la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui stipule explicitement dans son article 29 que « les droits et libertés ne peuvent en aucun cas être exercés contrairement aux buts et principes des Nations Unies ».

    En bref, la vision de l’ONU sur la « liberté d’expression » est radicalement différente de celle inscrite dans la Constitution américaine.

    Le rapport de l'UNESCO indique qu'une fois qu'un contenu qui devrait être restreint est découvert, les plateformes de médias sociaux doivent prendre des mesures, allant de l'utilisation d'algorithmes de suppression (shadow bannissement) et d'avertissement aux utilisateurs concernant le contenu, jusqu'à sa démonétisation, voire sa suppression.

    Toute plate-forme numérique qui ne « traite pas de contenu qui pourrait être restreint de manière autorisée en vertu du droit international des droits de l’homme » devrait « être tenue responsable » et prendre des « mesures coercitives », indique le rapport.

    La directrice générale de l'UNESCO , Audrey Azoulay, ancienne ministre française de la Culture du Parti socialiste, a évoqué les risques pour la société pour justifier ce plan global.

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  37. « La technologie numérique a permis d’immenses progrès en matière de liberté d’expression », a-t-elle déclaré dans un communiqué. « Mais les plateformes de médias sociaux ont également accéléré et amplifié la diffusion de fausses informations et de discours de haine, posant ainsi des risques majeurs pour la cohésion, la paix et la stabilité de la société.

    « Pour protéger l’accès à l’information, nous devons réglementer ces plateformes sans délai, tout en protégeant la liberté d’expression et les droits de l’homme », a déclaré Azoulay, qui a succédé à l’agence des Nations Unies après la dirigeante de longue date du Parti communiste bulgare, Irina Bokova.

    Dans la préface du nouveau rapport, intitulé « Lignes directrices pour la gouvernance des plateformes numériques », Azoulay affirme que mettre fin à certaines formes d’expression tout en préservant la « liberté d’expression » n’est « pas une contradiction ».

    Citant une enquête commandée par l'UNESCO elle-même, l'agence des Nations Unies a également déclaré que la plupart des gens dans le monde soutiennent son programme.

    Selon l'UNESCO, le rapport et les lignes directrices ont été élaborés grâce à un processus de consultation comprenant plus de 1 500 soumissions et plus de 10 000 commentaires de « parties prenantes » telles que des gouvernements, des entreprises et des organisations à but non lucratif.

    L'UNESCO a déclaré qu'elle travaillerait avec les gouvernements et les entreprises pour mettre en œuvre le régime réglementaire dans le monde entier.

    « L'UNESCO ne propose pas (sic) de réglementer les plateformes numériques », a déclaré à Epoch Times un porte-parole de l'UNESCO, qui a demandé à rester anonyme.

    « Nous sommes toutefois conscients que des dizaines de gouvernements à travers le monde élaborent déjà des lois en ce sens, dont certaines ne sont pas conformes aux normes internationales en matière de droits de l’homme et pourraient même mettre en danger la liberté d’expression.

    "De même, les plateformes elles-mêmes prennent déjà des millions de décisions humaines et automatisées chaque jour en ce qui concerne la modération et la conservation du contenu, sur la base de leurs propres politiques", a déclaré le porte-parole.

    L'Union européenne, qui impose déjà de sévères restrictions à la liberté d'expression en ligne, a déjà financé sa mise en œuvre dans le monde entier, a ajouté l'UNESCO.

    L’administration Biden a déclaré à Epoch Times qu’elle n’était pas impliquée dans la création du plan.

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  38. "Nous réserverons nos commentaires jusqu'à ce que nous ayons fini d'étudier attentivement le plan", a déclaré le département d'État dans un courrier électronique.

    La préoccupation pour la liberté d’expression s’accroît
    Les inquiétudes concernant les implications pour la liberté d'expression et la liberté d'expression en ligne augmentent à mesure que la prise de conscience du plan de l'UNESCO se répand.

    Sarah McLaughlin, chercheuse principale à la Fondation pour les droits individuels et l'expression (FIRE), a exprimé son inquiétude.

    « FIRE apprécie que le nouveau plan d'action de l'UNESCO pour les médias sociaux reconnaisse la valeur de la transparence et la nécessité de protéger la liberté d'expression, mais reste profondément préoccupé par les efforts visant à réglementer la « désinformation » et les « discours de haine » en ligne », a déclaré Mme McLaughlin à The Epoch. Fois.

    « Comme nous l'avons vu ces dernières semaines, l'application de la loi européenne sur les services numériques, par exemple, a créé encore plus d'incertitude quant aux politiques de modération du contenu des plateformes et à la capacité des utilisateurs à s'exprimer librement en ligne », a-t-elle déclaré. « Les restrictions et normes juridiques locales peuvent en fin de compte influencer la façon dont les plateformes fonctionnent à l’échelle mondiale.

    "Alors que les pays du monde entier renforcent la réglementation de la parole sur Internet, il devient de plus en plus probable que l'application des plateformes affectera les utilisateurs, y compris les Américains, en dehors des États appliquant ces règles."

    En effet, dans toute l’Europe, les règles relatives au « discours de haine » sont de plus en plus utilisées non seulement pour faire taire les discours sur des questions telles que le mariage, l’immigration, la sexualité et la religion, mais même pour poursuivre en justice ceux qui violent les lois sur la liberté d’expression.

    Ce mois-ci, le Dr Päivi Räsänen, membre du Parlement finlandais et ancien ministre de l'Intérieur, a triomphé après des années de poursuites pour « discours de haine » suite à son discours en ligne soutenant la compréhension biblique de l'homosexualité et du mariage.

    En Pologne, plusieurs membres du Parlement européen sont accusés de « discours de haine » pour avoir partagé des publicités politiques mettant en garde contre les effets possibles d’une immigration islamique massive en Europe.

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  39. Cette révélation intervient après des années d’efforts de l’ONU et du gouvernement pour réprimer ce que l’organisation mondiale décrit comme de l’extrémisme, de la désinformation et bien plus encore sur Internet.

    En 2016, le Conseil de sécurité de l’ONU a lancé un « cadre » pour lutter contre « l’extrémisme » en ligne, dans la foulée d’un programme de l’année précédente qui s’engageait à combattre les « idéologies » qui, selon lui, pourraient conduire à la violence. Le communisme ne faisait pas partie des idéologies ciblées.

    L'UNESCO défend le plan
    Le porte-parole de l'UNESCO a défendu le nouveau plan, le présentant davantage comme un effort visant à protéger la liberté d'expression plutôt que comme un plan visant à la limiter.

    « La protection de la liberté d'expression est au cœur de toutes les initiatives de l'UNESCO visant à promouvoir les meilleures pratiques en matière de communication depuis des décennies, et ce principe sous-tend notre approche des Lignes directrices depuis le début », a déclaré le porte-parole.

    La déclaration a également souligné une section des lignes directrices qui appelle à adhérer à une « procédure légale régulière » en cas de « discours de haine ».

    « Ils mettent particulièrement l’accent sur la nécessité de transparence ainsi que sur une diligence raisonnable et des évaluations d’impact systématiques en matière de droits de l’homme, ainsi que sur la responsabilité envers les utilisateurs », a déclaré le porte-parole, ajoutant que le plan appelle à « une répartition équitable de la capacité de modération ».

    « Il est également clairement indiqué que les lignes directrices doivent être considérées dans leur intégralité, plutôt que de choisir. Par exemple, une politique de modération du contenu mise en œuvre par des régulateurs qui ne répond pas à la définition de l'indépendance énoncée dans les lignes directrices ne serait pas pertinente. l’alignement, quelle que soit la nature spécifique de la politique », a déclaré le porte-parole de l’UNESCO, affirmant que les lignes directrices « élargiront » en réalité la liberté d’expression.

    L'organisation n'a pas fourni de calendrier de mise en œuvre, mais d'autres réunions sont prévues à l'approche du sommet des Nations Unies de septembre 2024 à New York.

    https://www.globalresearch.ca/inside-un-plan-control-speech-online/5841421

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  40. Le superyacht de Jeff Bezos génère 447 fois les émissions annuelles de carbone d'un ménage américain moyen


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 27 NOVEMBRE 2023 - 23H20


    Le superyacht à trois mâts du fondateur d'Amazon, Jeff Bezos, d'une valeur de 500 millions de dollars, est loin d'être respectueux du climat, générant des centaines de fois l'empreinte carbone annuelle d'un ménage américain typique.

    Mesurant 417 pieds, « Koru » est le plus grand voilier du monde. Il produit 7 154 tonnes de gaz à effet de serre par an, soit environ 447 fois l'empreinte carbone annuelle totale d'un ménage américain moyen, a rapporté le New York Post, citant des chercheurs de l'Indiana.

    Doctorat en anthropologie de l'Indiana. la candidate Beatriz Barros et l'anthropologue Richard Wilk ont dirigé la recherche sur les émissions de Koru.

    Barros a déclaré : "Mais parce qu'ils sont si riches et si puissants, ils ont le sentiment qu'ils ont le droit [de voyager dans des superyachts produisant du carbone], alors que vous et moi devrions conduire moins, manger moins de viande."

    Malgré la capacité « verte » de Koru à voyager via les trois mâts, elle a déclaré que de nombreux gaz à effet de serre étaient toujours libérés pour fournir de l'électricité à bord du navire – généralement par des générateurs marins diesel.

    Pendant ce temps, les milliardaires plaident en faveur du changement climatique tout en naviguant autour du monde à bord de superyachts de luxe et en traversant les continents à bord de Gulfstream G500 qui émettent de grandes quantités d'émissions de carbone. Ensuite, ils plaident en faveur de lois interdisant les cuisinières à gaz, l’élimination progressive des véhicules à essence, l’interdiction des pets de vache dans le but ultime de produire des hamburgers aux insectes et d’autres changements structurels radicaux dans la société qui reflètent le plan mondial de réinitialisation du WEF.

    Tout cela survient quelques jours avant le début du sommet des Nations Unies sur le climat, jeudi à Dubaï.

    Le sommet de deux semaines, la COP28, a également lieu alors que la bulle de l'énergie « verte » est en train de fondre.

    https://www.zerohedge.com/markets/jeff-bezos-superyacht-generates-447-times-yearly-carbon-emissions-average-us-household

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  41. Le rêve d’énergie verte du Texas met en danger son réseau électrique


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 28 NOVEMBRE 2023 - 02h20
    Rédigé par Michael Washburn via The Epoch Times


    Depuis que le Texas a connu son deuxième été le plus chaud jamais enregistré et fait face à des demandes sans précédent sur son réseau électrique, l’avenir de l’approvisionnement et de l’utilisation de l’énergie dans l’État – et dans tout le pays – est devenu le sujet de débats nationaux. Les climatiseurs ont été constamment utilisés au Texas au cours de l'été, alors que les températures moyennes ont atteint 85,3 degrés entre juin et août et ne sont pas descendues en dessous de 100 degrés pendant des semaines dans certaines villes.

    La pression que la hausse des températures exerce sur l’Electric Reliability Council of Texas (ERCOT), le réseau de distribution d’énergie de l’État, est sévère, quelles que soient les circonstances.

    La situation est encore plus désastreuse en raison de la croissance rapide de la population de l’État et du nombre croissant d’entreprises technologiques qui installent ou agrandissent des installations au Texas qui nécessitent d’énormes quantités d’énergie pour fonctionner.

    De plus en plus de personnes vivent et travaillent dans un État qui n’est malheureusement pas préparé à faire face à une demande croissante.

    « La demande maximale à ERCOT a augmenté de 14 % depuis 2019, tandis que notre offre de production thermique (gaz, charbon, nucléaire) est restée essentiellement stable », Brent Bennett, directeur politique de Life:Powered, une initiative de la Texas Public Policy Foundation. a déclaré à Epoch Times.

    L'investissement de 99 milliards de dollars dans les infrastructures éoliennes et solaires au Texas et d'environ 10 milliards de dollars supplémentaires dans les lignes de transport d'énergie verte n'a pas seulement échoué à améliorer l'approvisionnement en énergie, mais a également exacerbé le problème, a-t-il déclaré.

    M. Bennett et d’autres affirment que le surinvestissement dans l’énergie verte se fait au détriment des investissements dans des sources qui fonctionnent réellement.

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  42. Étouffants du Texas

    L’été 2023 a été si chaud que les autorités de certaines régions ont failli adopter des « délestages » quotidiens ou des coupures de courant, au moins à titre temporaire – des protocoles similaires à ceux qui ont rendu la vie misérable à de nombreuses personnes vivant en Afrique du Sud. dont le distributeur d’énergie public, Eskom, est notoirement mal géré.

    Les villes du Texas ont connu une température étouffante de 105 degrés ou plus pendant le plus grand nombre de jours consécutifs jamais enregistrés.

    Le 20 août, ERCOT a franchi une étape importante : un record historique de demande de pointe le week-end de 84 805 mégawatts (MW), selon Alexander Stevens, responsable des politiques et des communications à l'Institute for Energy Research, une agence à but non lucratif basée à Washington. M. Stevens a comparé ce chiffre à la demande de pointe d’août 2022 de 78 485 MW.

    Même lors du pic de demande du week-end du 20 août, la demande n'était pas aussi élevée que celle de certains jours de l'été dernier. Le 10 août, ERCOT était aux prises avec une demande de 85 435 MW et a atteint 81 674 MW le 5 septembre.

    M. Stevens attribue en partie ces records à la croissance démographique, notant que de 2000 à 2022, le Texas a reçu un afflux de 9 085 073 nouveaux résidents, un record parmi les États et 3 millions de plus que le deuxième, la Floride.

    Le retrait des températures atrocement chaudes au cours de l’automne ne signifie pas que le Lone Star State soit à l’abri des ennuis. Alors que l'hiver approche et présente son lot de défis, ERCOT a commencé le mois dernier à solliciter des offres auprès des fournisseurs d'électricité dans l'espoir d'augmenter ses réserves d'au moins 3 000 MW.

    Étant donné que 2023 a été loin d’être le premier été chaud au Texas et que les tendances démographiques sont en cours depuis de nombreuses années, certains peuvent se demander pourquoi l’État se démène maintenant pour tenter d’élargir ses réserves et d’éviter davantage de situations d’urgence.

    M. Stevens et d'autres experts qui ont parlé à Epoch Times conviennent que même si les énergies renouvelables ne suffisent pas à répondre à la demande, les politiciens qui veulent paraître tournés vers l'avenir et conformes aux impératifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) ne le sont pas. écoute.

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  43. Une panacée en matière d’énergie verte ?

    Même avec des politiques spécifiquement adaptées pour répondre aux besoins aigus du Texas, le marché resterait difficile. Mais face à toutes ces tendances, le Texas ne reçoit pas le niveau d’investissement dans les systèmes et installations de production et de distribution d’énergie dont il a besoin pour répondre à la demande.

    En fait, les politiques qui encouragent l'énergie éolienne, solaire et d'autres sources d'énergie dites vertes et renouvelables non seulement ne parviennent pas à répondre à la demande, mais sapent activement tous les efforts visant à maintenir et à élargir les réseaux d'approvisionnement qui ne sont pas de nature cyclique et vulnérables aux changements de l'environnement. la quantité d’énergie éolienne ou solaire disponible à un moment donné, ont déclaré des spécialistes de l’utilisation de l’énergie à Epoch Times.

    Une partie du problème ici est culturelle et politique. Certaines personnes supposent que seuls les régressifs politiques et sociaux vivant dans des États de survol, avec une attitude insensible à l’égard de l’environnement, nourriraient des doutes ou s’opposeraient aux subventions généreuses en faveur des politiques ESG.

    Beaucoup considèrent l’ESG comme fondamentalement bien intentionné et ne comprennent pas comment de telles politiques détournent des ressources et détruisent la compétitivité des services publics dont dépendent des millions de personnes pour leur existence quotidienne, selon les experts du secteur de l’énergie.

    L'escalade de la crise au Texas a des implications sur la disponibilité et la fiabilité de l'énergie dans tout le pays, étant donné la tendance dans d'autres États à privilégier les solutions basées sur l'ESG et les tendances démographiques qui augmentent la consommation d'énergie sans tenir compte des ressources disponibles, disent les experts.

    Allocations mal orientées

    Le problème réside dans une politique énergétique défectueuse, a déclaré à Epoch Times William Keffer, directeur des programmes de droit de l’énergie à la Texas Tech University.

    « En guise d'observation générale, nous avons laissé nos sources d'électricité dans l'État devenir déséquilibrées, de sorte que nous sommes trop dépendants du secteur des énergies renouvelables (éolien et solaire) et pas autant de capacité que nous aurions dû avoir en matière d'énergie. sources distribuables comme le gaz naturel, le charbon et le nucléaire », a-t-il déclaré.

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  44. Les investisseurs qui recherchent des opportunités au Texas et ailleurs recherchent évidemment des actifs dont ils s'attendent à générer des rendements élevés, et les crédits d'impôt fédéraux accordés aux installations éoliennes et solaires ont contribué à créer ce marché déséquilibré, a-t-il déclaré.

    L'idée initiale de fournir des subventions pour encourager les sources d'énergie renouvelables dans les années 1990 était compréhensible, voire louable, mais les législateurs ont continué à renouveler les crédits d'impôt pour de tels projets sans tenir compte de la dynamique du marché, a déclaré M. Keffer.

    Une clause de la loi sur la réduction de l’inflation du président Joe Biden étend le crédit d’impôt à l’investissement, offrant un crédit de 30 % pour l’énergie éolienne, solaire, le stockage et d’autres initiatives renouvelables, a-t-il souligné.

    L’administration Biden est un fervent partisan des crédits d’impôt pour les investissements dans des projets éoliens et solaires. Le 31 mai, le Département du Trésor, le Département de l'Énergie et l'IRS ont publié de nouvelles directives concernant un programme de crédit alloué, offrant un crédit d'impôt de 20 % en plus du crédit existant de 30 % pour les installations éoliennes et solaires dans les communautés à faible revenu.

    "Nous continuons simplement à étendre ces crédits d'impôt, ce qui va continuer à perturber le marché, les gens dépensant leur argent d'une manière qu'ils ne feraient pas autrement", a déclaré M. Keffer.

    Réduire les prix des livrables

    Avec des crédits d’impôt aussi généreux, les installations éoliennes et solaires peuvent essentiellement vendre leur énergie pour près de zéro dollar tout en réalisant des bénéfices, selon M. Keffer. Les producteurs de sources d’énergie distribuables et indispensables ne sont pas dans cette situation, ils ne constituent donc pas des cibles d’investissement attractives, et personne ne veut financer la construction ou l’expansion d’installations au charbon, au gaz naturel ou nucléaires.

    « L’éolien et le solaire vont toujours les devancer avec un prix artificiellement bas, de sorte qu’ils ne peuvent pas vendre leur électricité à un prix qui leur donne un retour sur investissement », a-t-il déclaré.

    "Les centrales au charbon continuent d'être fermées et les centrales au gaz naturel ne s'ajoutent pas à leur offre, car personne ne veut investir dans de nouvelles."

    https://www.zerohedge.com/energy/texass-green-energy-dream-risking-its-electric-grid

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  45. « Nous entrons dans une toute nouvelle ère » : la génération de vidéos IA devient « incroyablement bonne »


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 28 NOVEMBRE 2023 - 02h00


    Il faudra peut-être quelques années à l'IA pour créer des films VR sur mesure basés sur tout ce que vous pouvez imaginer, mais elle est devenue étonnamment bonne en très peu de temps.

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    Comme le dit Rowan Cheung de Therundown.ai à propos de X, "Nous entrons dans une toute nouvelle ère du cinéma".

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    Bien sûr, ne prétendons pas que ce n’est pas exactement là où les choses vont.

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    Pendant ce temps, ce « modèle » d’IA gagnerait jusqu’à 11 000 dollars par mois.

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    Et pour Ted...

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    Avec des lunettes VR, des Fleshlights, Doordash, UBI et un approvisionnement à vie d'Ozimpec, les futurs humains ne quitteront peut-être jamais la maison. Vous voudrez peut-être lire.

    https://www.zerohedge.com/technology/were-entering-whole-new-era-ai-video-generation-becoming-shockingly-good

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    1. Nous entrons (depuis 3 ans ?) dans la génération CON !

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  46. Ce qu’un chien peut vous apprendre sur les dangers de l’IA

    L’intelligence artificielle, souvent crainte pour sa complexité insondable, partage des parallèles surprenants avec la domestication des chiens. Comme nos ancêtres ont utilisé ces compagnons canins sans les comprendre pleinement, nous pourrions embrasser l’IA pour sa valeur utilitaire.


    le 29 novembre 2023
    Philippe Silberzahn


    Alors que s’accélère son développement, l’IA suscite une crainte croissante, à la fois par son ampleur et par sa puissance. Et ce n’est que le début. La principale crainte souvent énoncée est qu’elle ne sait pas expliquer comment elle arrive à un résultat donné, et qu’elle est donc dangereuse. Comment peut-on utiliser une intelligence non humaine si on ne sait pas comment elle fonctionne ?

    L’exemple du chien

    Et pourtant c’est ce que nous faisons depuis des milliers d’années… avec le chien.

    Le chien identifié le plus ancien date d’environ 16 000 ans. Les chiens proviennent des loups que nous avons domestiqués. Ils se sont peu à peu transformés par sélection successive au cours des millénaires. Le chien est donc un être artificiel, une création de l’Homme, il n’existait pas dans la nature. Et c’est un être incroyablement utile. Très tôt il a été utilisé pour la chasse et pour la garde. Mais aussi pour nous tenir compagnie. Ainsi, l’homme n’a pas seulement créé des objets extraordinaires (lances, habits, etc.) mais il a également créé des intelligences artificielles dès le Paléolithique supérieur.

    Or, un chien peut être incroyablement stupide, bien moins intelligent que de nombreux animaux. Il échoue à des tâches pourtant très simples, qu’un corbeau exécute sans difficulté. C’est parfois à se taper la tête contre les murs de voir leur stupidité. Et difficile de savoir comment ils réfléchissent, si ce terme peut d’ailleurs leur être appliqué.

    Mais demandez-leur quelque chose qui entre dans ce pourquoi nous les avons patiemment fabriqués depuis tant d’années, et tout change. Ils vous ramènent seul un troupeau de brebis en quelques minutes. Ils sentent quand vous avez un problème. Ils sont à vos côtés pour la chasse. Ils avertissent du danger. Ils vous protègent. Ils sont une source de bien-être. Ils guident les aveugles. Et en plus, ils nous aiment. En gros, avec le chien, nous avons créé une intelligence spécialisée pour des tâches vitales. Nous ne savons pas comment il fonctionne, il peut être très dangereux, mais il est pourtant remarquablement utile s’il est bien utilisé.

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  47. L’IA est comme un chien

    Eh bien l’IA, c’est comme le chien. Nous n’avons pas besoin de savoir comment elle fonctionne pour qu’elle puisse être utile.

    Les deux sont des outils. Comme pour tout outil, il faut bien savoir comment il peut être employé, où il est utile, et où il est inutile, voire dangereux, et il faut bien l’utiliser, sinon il peut y avoir des accidents. Le marteau est parfait pour enfoncer des clous, médiocre pour enfoncer des vis, inutile pour bêcher votre jardin, et dangereux pour les doigts. Un outil est typiquement remarquablement efficace dans son champ, pathétiquement inutile en dehors. Idem pour le chien, et donc pour l’IA.

    L’IA est simplement une manière différente de créer une intelligence artificielle. Le chien, c’est bien, mais avec lui nous sommes soumis à l’évolution pour l’améliorer, c’est-à-dire qu’il faut des générations pour obtenir des traits intéressants. Avec le développement de la génétique et de technologies comme CRISPR, on peut imaginer aller beaucoup plus vite. Mais l’IA, c’est du logiciel, et là les cycles d’évolution ne sont plus en centaines d’années, mais en dizaines de semaines. Nous pouvons enfin nous affranchir de l’évolution pour développer une intelligence non-humaine.

    Et donc l’argument souvent avancé selon lequel l’IA doit être « systématiquement explicable, auditable et transparente », comme je l’entendais récemment lors d’une conférence, est erroné. Exiger cela de l’IA, c’est renoncer à l’utiliser, comme nos ancêtres auraient dû renoncer à utiliser le chien, incompréhensible, se privant ainsi d’un outil qui leur a considérablement facilité la vie, et probablement la survie.

    Ne commettons pas cette erreur. Comme pour le chien, comprenons là où elle peut être utile, ce qu’elle peut faire, ses avantages et ses limites, et ne lui en demandons pas plus.

    https://www.contrepoints.org/2023/11/29/467920-ce-quun-chien-peut-vous-apprendre-sur-les-dangers-de-lia

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  48. L'agriculture dans l'UE en 2032 – une fiction ?


    28 Novembre 2023
    Willi l'agriculteur*


    Dans le texte qui suit, j'essaie de chiffrer les effets de la stratégie « de la ferme à la table » ainsi que d'autres planifications des autorités européennes ou nationales. Bien entendu, il ne peut s'agir que d'hypothèses, mais celles-ci pourraient tout à fait se réaliser de cette manière ou de manière similaire. Bien entendu, d'autres scénarios sont également possibles. Voici mes réflexions personnelles.

    Note : Willi se place en 2032.

    En 2017, la surface agricole utile de l'UE s'élevait à environ 178 millions d'hectares. Entre-temps, elle a diminué en raison de nombreuses interventions et d'autres utilisations et s'élève en 2032, c'est-à-dire actuellement, à 158 millions d'hectares. Cette diminution des cultures, combinée à de nouvelles exigences légales, a entraîné une baisse de la production de 25 %. L'Ukraine, membre de l'UE depuis 2031, est exclue de ce calcul.

    Depuis, l'utilisation des terres arables s'est fortement modifiée. En raison des énormes restrictions en matière de protection phytosanitaire, la culture du colza et des pommes de terre a été fortement réduite par les agriculteurs. La culture de la betterave sucrière a pris fin en 2028, après que la lutte contre les mauvaises herbes est devenue impossible en raison de l'interdiction de substances actives importantes et que la lutte contre les agents pathogènes animaux (vecteurs de virus) n'était plus efficace. Environ 50 % des sucreries ont été fermées et leurs employés « démobilisés ». Depuis, les sucreries restantes transforment toute l'année du sucre brut provenant du Brésil, d'Inde et d'Australie.

    Pour le colza, la part des importations a considérablement augmenté. Les graines de colza sont principalement importées du Canada et du nouveau membre de l'UE, l'Ukraine, qui bénéficie encore de réglementations exceptionnelles en matière de protection phytosanitaire et de fertilisation pendant la phase de transition jusqu'en 2040. Les interdictions en vigueur dans le reste de l'UE doivent être progressivement appliquées en Ukraine également.

    L'UE est désormais importatrice de pommes de terre. En raison du manque de substances actives, il n'était plus possible de lutter efficacement contre Phytophthora infestans et le ver fil de fer, ce qui a entraîné une forte diminution de la culture. En ce qui concerne l'importation des pommes de terre, le problème a été pendant un certain temps que seule la Russie entrait en ligne de compte comme exportateur important. Toutefois, après des années d'embargo, le commerce s'est à nouveau normalisé et, outre les pommes de terre, du gaz bon marché est à nouveau importé. Les centrales à gaz tournent actuellement à plein régime, ce qui est devenu nécessaire en raison de la fermeture des centrales à charbon rhénanes en 2030.

    L'assolement a dû être modifié en raison du recul des betteraves sucrières, du colza et des pommes de terre. Les surfaces libérées sont désormais occupées par le maïs, dont la surface cultivée a presque doublé et représente aujourd'hui environ 40 % des terres arables. Il est désormais présent dans des régions où il n'était guère cultivé auparavant.

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  49. La situation du marché des fruits et légumes s'est encore aggravée, car les exigences en matière de fertilisation et de protection phytosanitaire ont entraîné une forte baisse de la culture dans toute l'UE. L'Espagne et l'Italie sont particulièrement touchées, mais aussi les Pays-Bas. Les importations en provenance de l'extérieur de l'Europe sont très coûteuses, et pas seulement en raison de la logistique. La plupart des importations proviennent actuellement d'Afrique, mais cela se heurte à des limites, car l'approvisionnement en eau y est de plus en plus critique. De plus, les premiers troubles apparaissent parce que trop de denrées alimentaires sont exportées et que la population locale est affamée ou mal nourrie. Ce colonialisme moderne entraîne une nouvelle pression migratoire.

    L'élevage dans l'UE a également connu de profonds changements. Ainsi, en Allemagne, l'élevage de moutons a été abandonné, à l'exception de quelques éleveurs amateurs. La politique du loup y a fortement contribué. L'élevage porcin a également été fortement réduit et n'est plus pratiqué que par quelques porcheries industrielles. Le nombre moyen de places d'engraissement par exploitation est de 30.000 dans l'UE. Il n'y a plus d'élevage de porcs bio en Allemagne, car la demande n'était de toute façon importante qu'en Allemagne. On trouve quelques grands éleveurs de porcs bio en Roumanie et en Bulgarie, certifiés par les grandes chaînes de supermarchés européennes. Ce n'est que pour les aliments pour animaux (chiens et chats) que les produits bio proviennent d'Autriche. On ne veut pas prendre de risque dans ce segment de marché exigeant.

    Dans l'élevage laitier, il y a eu relativement peu de changements, hormis une forte diminution du nombre d'exploitations et une augmentation simultanée du nombre de têtes par exploitation. L'élevage à l'attache n'existe plus et les vaches laitières sont désormais élevées en stabulation libre sans pâturage. Ce n'est que dans les Préalpes que les vaches sont encore conduites dans les prés et les alpages pour des raisons touristiques. Mais cela n'est possible que parce que ces formes d'élevage sont fortement soutenues financièrement par les offices de tourisme régionaux. (« primes Bullerbü »). On craint sinon une forte diminution du nombre de vacanciers qui aiment cette idylle.

    L'objectif de la stratégie « Farm to Fork » de 25 % d'agriculture biologique n'a pas été atteint. Une augmentation massive des paiements directs aux agriculteurs bio à 800 €/ha a certes permis de quasiment doubler la surface, mais en raison d'effets d'aubaine, l'augmentation a essentiellement eu lieu dans les zones défavorisées. Les pays où le salaire minimum est bas ont également pu en profiter. Il y a toutefois un problème : la production de produits biologiques a fortement augmenté, mais la demande stagne. Par conséquent, les revenus des producteurs ont fortement chuté. Cette situation n'est pas compensée par l'augmentation des paiements directs, ce qui non seulement freine l'intérêt pour une reconversion au bio, mais conduit également de nombreuses exploitations bio à revenir à la production conventionnelle.

    L'objectif de remise en eau des marais s'avère difficile à atteindre. Sur l'objectif prévu de 1,2 million d'hectares devant être retirés de la production agricole en Allemagne, seuls 400.000 hectares ont été remis en eau à ce jour. Dans la plupart des cas, ces surfaces ne sont pas réutilisées. Seuls 80.000 hectares sont consacrés aux cultures paludières. Il n'y a plus de production alimentaire.

    Le dimanche 12 novembre 2923 au matin, M. Marian E. Finger a apporté le complément suivant dans les commentaires :

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  50. En 2032, la part de l'UE dans le PIB mondial est passée de près de 15 % (2021) à moins de 10 %, et la part du G7 dans le PIB mondial de 31 % (2021) à 22 %. Les BRICS ne se sont pas seulement élargis à l'Arabie Saoudite et à l'Iran, mais représentent désormais une communauté de 17 pays qui sont en train de faire s'effondrer le dollar. L'Amérique ne peut plus honorer ses dettes.

    La Russie livre son gaz et son pétrole de préférence aux pays BRICSplus et, après l'ouverture des pourparlers d'adhésion de l'Ukraine à l'UE, elle n'a pas renouvelé les contrats de gaz et de transit de gaz qui expiraient en 2025, ce qui a eu pour conséquence que l'Autriche et l'Italie n'achètent plus non plus de gaz à la Russie. Le commerce de barres de combustible nucléaire en provenance de Russie se poursuit.

    En Allemagne, l'assurance pension légale s'est effondrée en raison des baby-boomers et ne verse plus qu'un montant de base de 771 € par personne/mois, un montant qui se situe juste au-dessus du minimum vital. La situation n'est pas très différente dans les autres pays européens. L'Allemagne compte désormais 87,5 millions d'habitants, mais au cours des 9 dernières années, un maximum de 250.000 logements ont été construits chaque année, ce qui a pour conséquence que près de 1,7 million de personnes sont sans abri et que 4 millions vivent dans des conditions précaires. Au sud de Berlin, 600.000 personnes vivent dans un bidonville nouvellement créé.

    On s'est entre-temps habitué aux coupures de courant et à la pénurie permanente d'électricité. 70 % des foyers disposent d'un générateur de secours afin de pouvoir continuer à regarder le journal télévisé et Tatort le soir.

    Près de la moitié des enfants en 9e année ne disposent plus des compétences nécessaires en lecture, mais on peut désormais étudier sans le baccalauréat.

    « Farm to Fork » et « Green Deal » ont été discrètement mis de côté. Certains jours, de longues files d'attente se forment devant les magasins.
    _______

    * Source : Landwirtschaft in der EU im Jahr 2032 - eine Fiktion? - Bauer Willi

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/l-agriculture-dans-l-ue-en-2032-une-fiction.html

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