- ENTREE de SECOURS -



jeudi 23 novembre 2023

La mort de l’internet ouvert : comment l’IA redéfinit notre monde numérique

L’Internet tel que nous le connaissions est en train de disparaître, remplacé par un espace contrôlé par l’IA et les intérêts étatiques. Cette évolution soulève des questions cruciales sur notre liberté en ligne.



 le 23 novembre 2023

 Yannick Chatelain


L’Internet est mort, tout du moins est-il en voie de disparition, pour le meilleur et pour le pire.

Il est établi que des États ont opté pour le Splinternet. Ils ont en effet décidé de formater des intranets nationaux qui « n’altèrent » pas la saine pensée de leurs compatriotes, à l’instar de l’Iran, de la Russie, de la Chine… Si vous ne concevez pas la chose, imaginez dès lors – pour les utilisateurs de ces pays – un Internet partitionné comme le serait un disque dur ; un « Internet » entre les mains de dirigeants qui donnent accès aux ressources qu’ils considèrent comme acceptables.

Il va de soi que, fût-ce dans ces pays, des solutions existent pour contourner les interdictions, à l’instar des VPN qui, pour faire très simple, confèrent à votre ordinateur une autre géolocalisation que celle qui vous est attribuée par votre pays d’appartenance, mais elles sont bien évidemment proscrites. Notons que dans certains pays, cette interdiction ne concerne pas certains profils. En Chine par exemple, « le gouvernement a décrit de manière explicite quels profils sont autorisés à utiliser ce genre de service et dans quel but. »

Mort ou seulement mort-vivant ?

L’Internet originel tel qu’il a été pensé n’est plus !

Pour autant, il semblerait (et j’utilise à escient le conditionnel) encore temps pour les usagers en ayant la possibilité de réagir de façon massive pour – s’ils le souhaitent – arrêter de se faire tracer et redevenir les maîtres de leur Internet « accessible », non pas un Internet paupérisé et façonné par leurs requêtes.

Je parle ici naturellement d’avoir à nouveau un accès libre, total, et sans la moindre « coercition » de la partie émergée d’Internet et de sa partie immergée, le Darknet*. L’accès à cet Internet demeure sur le papier possible. Pour ce faire, l’utilisation de VPN, l’utilisation de navigateur anonymisant comme TOR, sont des solutions pour surfer sans être tracé et assailli de publicités et de recommandations… Anonyme pour autant ? Rien n’est moins sûr, c’est un a priori. C’est vrai d’une certaine façon, oui, nous pouvons recouvrer la liberté de surfer sur Internet sans être exposé à des contenus systématiquement conformes à nos attentes. Mais c’est devenu une liberté qui a un prix, nous y reviendrons.

L’Internet originel n’est plus, mais à qui la faute ?

L’Internet tel qu’il a été pensé n’est plus !

La vaste porte-fenêtre originelle ouverte sur le monde s’est, au fil du temps, progressivement étiolée puis refermée, jusqu’à devenir pour les plus chanceux un œil de bœuf. Je ne parle pas naturellement des usagers dont l’Internet s’est presque transformé, comme j’ai pu l’évoquer, en un intranet, ou, tout du moins un ersatz d’Internet, cf. le Splinternet.

Au demeurant, si j’affirme que l’Internet originel n’est plus, c’est qu’il s’est progressivement effacé, puis a disparu au profit d’un InternetIA de plus en plus sophistiqué, qui participe au Splinternet à sa façon et de manière plus insidieuse. Dès qu’un usager commence des requêtes sur un moteur, l’utilisation de l’IA sous couvert d’améliorer l’expérience client – ce qui est un fait mercantile – n’a eu de cesse de l’enfermer dans son monde plutôt que de lui permettre de… s’ouvrir sur le monde !

Mais à qui en incombe véritablement la responsabilité ? Il est certes des acteurs qui sont plus responsables que les autres : les États, les marchands ; mais nous autres usagers ne sommes pas non plus innocents, petit à petit à grand renfort d’algorithmes de « client side scanning », etc. nous sommes passés de l’Internet à « l’InternetIA » !

Qu’est-ce que l’InternetIA ?

L’internetIA tel que je le conçois est un Internet étriqué, un Internet rabougri, mais conforme aux attentes de chacun, un Internet nous enfermant, si nous n’y prenons garde, dans nos convictions, nos croyances… L’InternetIA, c’est une personnalisation de l’expérience jusqu’à l’outrance.

Sont concernés : les moteurs de recherche traditionnels, les sites web, les applications et les plateformes en ligne qui utilisent des algorithmes pour personnaliser l’expérience utilisateur. Ces algorithmes peuvent être basés sur vos préférences, vos habitudes de navigation, vos historiques d’achat et d’autres données. L’IA aide à analyser ces données en temps réel et à recommander le contenu qui vous conviendra, qu’il soit informationnel ou marchand.

Échapper au traçage, possible, oui, mais…

Dès qu’un utilisateur ouvre un moteur de recherche, il sera, de façon de plus en plus affinée en fonction de ses recherches, confronté à des publicités ciblées, des recommandations de contenu, des optimisations de recherches (vous n’êtes pas sans savoir que les moteurs de recherche utilisent des algorithmes d’IA pour comprendre l’intention de recherche des utilisateurs et leur fournir des résultats de recherche plus pertinents et précis), de l’assistance virtuelle (les assistants virtuels basés sur l’IA, tels que Siri, Alexa et Google Assistant, personnaliseront leurs réponses et leurs recommandations en fonction des habitudes et des préférences de l’utilisateur).

Mais aussi du Machine Learning et Apprentissage Automatique permettant aux systèmes en ligne d’apprendre des comportements passés des utilisateurs, et de s’ajuster en conséquence pour fournir une expérience davantage personnalisée. Tout ça ? Oui et naturellement, je ne suis pas exhaustif, alors naturellement tous les prestataires vous diront que c’est avec l’acceptation de l’usager. Toutefois, cette acceptation n’est, d’une part, pas toujours transparente par-delà les lois ; d’autre part, pour avoir accès à tous les services des prestataires, les usagers en mesurent-ils les conséquences ?

Je ne le pense pas.

Le pire est déjà là, et depuis « longtemps »…. Refuser d’être tracé… c’est être suspect

Si l’on s’en réfère à l’expérience qu’a mené la sociologue Janet Vertesi, professeur de sociologie à l’université de Princeton, aux États-Unis en 2014, ne pas être tracé à un prix : celui de la suspicion.

Cette sociologue, enceinte, a en effet voulu échapper au traçage de ses données afin de ne pas être exposée au matraquage publicitaire. Elle a donc mené une sorte de double vie, n’achetant rien qui puisse l’identifier sur les sites s’y prêtant, allant jusqu’à supprimer des messages et bannir de ses contacts un proche qui la félicitait… Nous sommes alors en 2014, mais déjà, c’est une attitude étrange qui n’a pas échappé à l’IA… « Comptant acheter une poussette à 500 dollars en cartes-cadeaux, elles-mêmes achetées sur Amazon, la sociologue a vu la transaction refusée par le site Rite Aid, tenu de signaler les transactions excessives aux autorités », peut-on lire dans un article du journal Le Point. La future maman s’est retrouvée sous surveillance policière !

Aussi, en lisant cet article, faites comme bon vous semble. Sachez que dans ce monde de l’enfermement, si vous refusez d’être tracé, vous serez « possiblement » considéré comme suspect. L’internet est de fait non seulement mort, mais depuis longtemps bien enterré.

« Un homme pur doit être libre et suspect. » Jean Cocteau

*Le darknet est une partie émergée qui n’intègre pas le Darknet. Pour rappel, malgré son nom et l’image qu’en donnent régulièrement les médias, le darknet n’a originellement pas été pensé pour la délinquance, mais bien au contraire pour ceux ayant la nécessité – pour des raisons essentiellement politique –  d’avoir recours à tous les outils et services traditionnels du net (création de site, messagerie etc ) en étant parfaitement anonymes.

https://www.contrepoints.org/2023/11/23/467543-la-mort-de-linternet-ouvert-comment-lia-redefinit-notre-monde-numerique

113 commentaires:

  1. De plus en plus de barrières s'élèvent pour empêcher l'internaute d'aller s'instruire, d'approfondir ses connaissances et de discuter.
    De plus en plus des sites se conforment aux directives dictatoriales des gouvernements. Tout pour empêcher la Démocratie de s'exprimer ! La voix du Peuple n'est plus guère qu'un lointain souvenir. La liberté s'efface un peu plus tous les jours.
    Cherchez UN site UN qui va publier les découvertes d'Astrid Stuckelberger ! Zéto ! Des journaux trous-de-culs qui refusent la vérité scientifiques !
    C'est çà l'internet d'aujourd'hui !

    RépondreSupprimer
  2. L’identité numérique validée par l’Union européenne


    Par Pierre-Alain Depauw
    Mondialisation.ca,
    22 novembre 2023


    Les représentants du Parlement européen et des États membres se sont mis d’accord sur la mise en place d’un système d’identification numérique sécurisé permettant d’accéder à des services en ligne, utilisable dans toute l’UE.

    Le texte prévoit que les citoyens et entreprises se voient proposer par les Etats membres un “portefeuille” d’identité numérique pouvant être associé à divers documents comme un permis de conduire, un compte bancaire, des diplômes.

    Ce système sera progressivement imposé aux citoyens européens pour prouver leur identité et partager des documents électroniques depuis leur téléphone portable, en s’appuyer sur les solutions nationales déjà existantes et en les rendant interopérables.

    Ce système servira aussi pour l’identification sur les grandes plateformes numériques, comme Apple, Google ou Facebook, souvent requise pour accéder à certains services.

    Un outil de contrôle supplémentaire des populations

    Le contrôle de l’utilisateur garantit que seules les informations qui doivent être partagées le seront, affirme un communiqué du Conseil de l’UE, ce qui n’engage à rien bien évidemment. Entre piratage informatique et intrusion de l’Etat et des banques dans votre vie privée, tout sera possible quoi qu’en dise le communiqué du Conseil de l’UE. Sans surprise, le commissaire européen au Numérique, Thierry Breton, s’est réjoui de l’accord, saluant “un pas de géant et une première mondiale”.

    La proposition initiale avait été présentée en juin 2021 par la Commission européenne. L’accord provisoire intervenu la semaine dernière devra encore faire l’objet d’une adoption formelle par le Parlement européen et par le Conseil.

    En vérité, comme l’explique Ursula von der Leyen, l’identité électronique suivra tout de vous, du paiement des impôts jusqu’à la conduite à vélo, tout ça pour notre bien, bien évidemment.

    Big Brother vient encore de se renforcer.

    https://www.mondialisation.ca/lidentite-numerique-validee-par-lunion-europeenne/5683512?doing_wp_cron=1700723692.4394979476928710937500

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pourquoi l'anonymat n'est plus protégé ? Il est divulgué l'identité de chacun (noms et adresse) afin de permettre aux voleurs et assassins de vivre décemment de l'argent des autres qui ont osé aller sur l'Internet !

      Supprimer
  3. Pfizer risque des naissances prématurées en vaccinant les femmes enceintes contre le virus RS


    23 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Pfizer a mené un vaste essai clinique sur un nouveau vaccin contre le virus respiratoire syncytial (VRS) destiné aux femmes enceintes, censément pour protéger les bébés. Cependant, le géant pharmaceutique n'a pas informé les participants que GlaxoSmithKline Biologicals (GSK) avait interrompu ses essais sur un vaccin similaire en raison d'un signal de sécurité inquiétant suggérant un risque potentiel de naissance prématurée.

    Depuis les conséquences catastrophiques de la campagne de vaccination contre le coronavirus, les malversations des sociétés pharmaceutiques sont devenues le centre de l’attention. Les études mal menées et les conséquences négatives des vaccinations sur la santé sont souvent acceptées au nom du profit.

    Bien qu'il ait eu connaissance de l'étude GSK et du signal de sécurité, Pfizer a continué à recruter des milliers de femmes enceintes sans méfiance sans mentionner le risque d'accouchement prématuré dans les formulaires de consentement, selon une enquête du BMJ intitulée « Préoccupations concernant le consentement éclairé des femmes enceintes dans le vaccin RSV de Pfizer ». essai trouvé :

    « GSK a interrompu son essai vaccinal de phase 3 le 28 février 2022 après l’émergence d’un signal de sécurité : un risque accru possible d’accouchement prématuré et de décès néonatal. Dans le groupe vacciné, 6,81 % des naissances étaient prématurées, contre 4,95 % dans le groupe placebo. Pour les décès néonatals, le pourcentage était de 0,37 % dans le groupe vaccin contre 0,17 % dans le groupe placebo.

    Ce signal inattendu en matière de sécurité a conduit GSK à interrompre immédiatement son essai de phase 3 et à arrêter le développement du vaccin.

    Cet échec de Pfizer représente une violation flagrante du consentement éclairé et un mépris de l’autonomie des femmes enceintes participant à la recherche clinique. Toute dissimulation d’informations nouvelles et potentiellement importantes sur la sécurité « est problématique sur le plan éthique », a expliqué le Dr. Charles Weijer, professeur de bioéthique à l'Université Western de London, Ontario, Canada, a déclaré au BMJ.

    RépondreSupprimer
  4. Mary Holland, directrice exécutive de Children's Health Defense, a déclaré au Defender :

    « Je suis consterné qu’on se demande même si Pfizer aurait dû informer les femmes enceintes qu’un précédent essai clinique avait été interrompu parce que le vaccin contre le RSV provoquait une naissance prématurée. Bien sûr, il aurait fallu le leur dire… Cette approche cavalière de la vérité et de la vie humaine est alarmante.

    Après l'apparition de signaux d'innocuité dans l'étude GSK, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis n'a pris aucune mesure pour arrêter le recrutement dans l'étude ou pour suspendre ou limiter l'étude en cours sur le vaccin maternel contre le RSV de Pfizer.

    Quelques mois après que GSK a révélé le signal inquiétant en matière de sécurité, Pfizer a également commencé à identifier un déséquilibre numérique dans les naissances prématurées dans ses propres données d'essai, mais a déclaré que les données n'étaient pas statistiquement significatives.

    Selon le BMJ, Pfizer a considéré la naissance prématurée comme un « événement indésirable particulièrement intéressant » dans son étude. Cependant, la société n’a pas divulgué cela dans les formulaires de consentement remis à des milliers de participantes enceintes à l’étude dans 18 pays.

    « Après que les résultats de l'étude GSK sur l'accouchement prématuré aient été connus, les études sur la vaccination contre le RSV chez les femmes enceintes auraient dû être mises à jour pour prendre en compte ce risque possible d'accouchement prématuré », a déclaré le Dr. Klaus Überla, président de virologie clinique et moléculaire à l'hôpital universitaire d'Erlangen, dans le rapport du BMJ.

    Cependant, les régulateurs n’ont pas fait grand-chose pour encourager la divulgation. La FDA a finalement limité l'approbation du vaccin Pfizer à la fin de la grossesse, en particulier à l'administration entre 32 et 36 semaines, en raison de préoccupations concernant les naissances prématurées. Cependant, l'agence n'a rien fait pour restreindre la participation aux essais ou exiger la divulgation des risques après la révélation des résultats de GSK.

    Certains défendent l'incapacité de Pfizer à informer les participants à l'étude en arguant que le risque d'accouchement prématuré n'est pas clair. Dr. Joop van Gerven, un « responsable de l'éthique » aux Pays-Bas, a déclaré au BMJ qu'informer les femmes « aurait causé trop d'incertitude ».

    Cependant, d’autres ont remis en question ce point de vue. "Le renouvellement du consentement éclairé est indispensable", a déclaré Rose Bernabe, PhD, au BMJ. Bernabe, professeur d'éthique dans la recherche médicale à l'Université de Norvège du Sud-Est, a fait référence aux lignes directrices du Conseil des organisations internationales des sciences médicales, qui stipulent : « Les chercheurs doivent renouveler leur consentement éclairé ». . "Si de nouvelles informations deviennent disponibles, cela pourrait affecter la volonté des participants à poursuivre l'étude ."

    RépondreSupprimer
  5. Comme le montre la lettre récemment publiée par l’Agence médicale européenne EMA, ce principe n’a pas non plus été respecté tout au long de la campagne de vaccination contre le coronavirus.

    Justine Tanguay, avocate du CHD et directrice de la recherche de campagne pour Reform Pharma, a déclaré au Defender : « Il n'est pas surprenant que les régulateurs comme la FDA fassent passer les profits des grandes sociétés pharmaceutiques avant les intérêts de santé de leurs participantes enceintes aux essais lorsque vous tirez le rideau et fermez le rideau. la porte tournante entre les plus hauts responsables fédéraux du gouvernement et les principaux dirigeants des grandes sociétés pharmaceutiques – l’industrie que la FDA est censée réglementer.

    En fait, la porte tournante est devenue si courante qu’il est difficile de déchiffrer l’enchevêtrement entre le secteur privé et les agences gouvernementales.

    https://

    RépondreSupprimer
  6. Les grands médias rapportent enfin les énormes dégâts causés aux enfants par les mesures liées au Corona.


    23 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le New York Times a publié ce week-end un article d’opinion intitulé « Les preuves surprenantes de la perte d’apprentissage sont là ». Voici le deuxième paragraphe :
    Les preuves sont désormais disponibles et elles sont stupéfiantes. Les fermetures d’écoles qui ont privé 50 millions d’enfants des salles de classe au début de la pandémie pourraient s’avérer être la perturbation la plus dommageable de l’histoire de l’éducation américaine. Ils ont également retardé de deux décennies les progrès des élèves en mathématiques et en lecture et ont creusé l'écart de réussite entre les enfants pauvres et riches.

    Pour quiconque a l'esprit alerte et n'a pas passé les trois dernières années et demie dans l'horloge à pendule, les énormes dégâts causés sont évidents depuis longtemps. Des études réalisées en Autriche et en Allemagne ont déjà montré ces faits, mais ils ont été ignorés par négligence, voire délibérément, par les hommes politiques, les « experts » médicaux et les autorités compétentes.

    En Europe, il était encore plus clair que les fermetures d’écoles n’étaient ni utiles ni raisonnables. Nous avons eu l'exemple de la Suède, qui s'en est passée. Même sans fermer les magasins et les restaurants et sans exiger de masques inutiles et nocifs pour la santé.

    Plusieurs études nous savaient déjà en mars 2020 que le taux de mortalité par infection au coronavirus actuel correspond à celui de la grippe. Voici mon rapport du 10 avril 2020. Et nous savions aussi que les enfants sont encore moins touchés par le Corona que par la grippe. Même une étude autrichienne, notamment dans le hotspot d'Ischgl, n'a montré qu'un taux de mortalité par infection de 0,13%, comme pour la grippe, et le développement rapide d'une immunité généralisée.

    Voici quelques articles du TKP sur le thème des fermetures d’écoles :

    Les avantages de la fermeture des écoles dans la lutte contre la crise du coronavirus sont faibles 27 avril 2020
    Des experts norvégiens critiquent les fermetures d'écoles comme étant inutiles 14 mai 2020
    Une étude finno-suédoise ne révèle aucun effet positif de la fermeture des écoles 21 août 2020
    Grande étude au Royaume-Uni : davantage de décès dus aux restrictions et aux fermetures d'écoles 9 octobre 2020
    Les fermetures d'écoles nuisent aux enfants à long terme et n'influencent pas les infections 11 novembre 2020
    Aucune raison rationnelle apparente pour la fermeture des écoles 12 novembre 2020
    Les fermetures d'écoles causent d'énormes dommages aux enfants sans affecter les infections 2 mars 2021
    Étude américaine : les États sans confinement et sans fermeture d'écoles obtiennent de meilleurs résultats le 12 avril 2022
    Les fermetures d'écoles liées au coronavirus ont retardé de plusieurs décennies la réussite scolaire des élèves 8 septembre 2022
    Mais plus nous tirions la sonnette d’alarme et présentions des faits et des études, plus nous étions diabolisés et attaqués.

    RépondreSupprimer
  7. Il n’est pas surprenant que ce soient les enfants les plus pauvres et les plus vulnérables qui aient été les plus touchés. Cela était clair dès le départ, même si l’on faisait preuve d’un minimum de bon sens.

    Il s’agissait d’enfants pauvres et à faible revenu qui étaient laissés seuls à la maison pour suivre « l’école Zoom » tandis que leurs parents travaillaient pour un salaire horaire dans des emplois « essentiels ». Et ce sont les enfants pauvres et à faible revenu qui doivent rester à la maison pour s’occuper de leurs frères et sœurs plus jeunes. Ou pour trouver une communauté en dehors de l’école. Il s'agissait d'enfants pauvres et à faibles revenus qui manquaient des repas parce qu'ils n'étaient pas à l'école, qui ne disposaient pas d'une connexion Wi-Fi fonctionnelle, qui n'étaient pas pris en charge et supervisés par des adultes comme c'est le cas à l'école. C’était et c’est toujours la lutte des classes d’en haut.

    Les mesures ont été prescrites par l'OMS, l'ONU et l'UE au nom du WEF, de l'industrie pharmaceutique et de leurs propriétaires, comme prévu lors de l'événement 201 en octobre 2019. Et les organisations dirigeantes veulent désormais disposer d’encore plus de pouvoir, de droits, d’argent et de technologie afin de pouvoir organiser encore et encore des pandémies. Voir traité sur la pandémie, extension du Règlement sanitaire international, certificats de vaccination, identité numérique, monnaie de banque centrale et systèmes de crédit social.

    https://

    RépondreSupprimer
  8. Dysphorie de genre, de Nicole et Gérard Delépine


    Francis Richard
    Resp. Ressources humaines
    le 19.11.2023


    La "dysphorie de genre" désigne un état psychologique de malaise, voire de mal-être par rapport au sexe reçu à la naissance.

    Il s'agit donc d'un ressenti, qui n'est pas une donnée anthropologique. Les individus possédant les chromosomes XY, c'est-à-dire de sexe masculin, ont une taille, un poids du cœur, un volume des poumons, une masse musculaire supérieurs à ceux nés XX, c'est-à-dire de sexe féminin. C'est pourquoi le changement de sexe est biologiquement impossible.

    Il n'en demeure pas moins vrai que la dysphorie de genre est une souffrance, qui affecte une infime minorité d'individus, accompagne leur puberté et se présente sous forme de plusieurs maladies, telles que l'autisme, la dépression ou l'anorexie: si elles bénéficiaient d'une prise en charge adaptée par des psychiatres, elles ne seraient pas systématiquement transformées en troubles de l'identité.

    Il est donc criminel de pousser des mineurs à faire leur transition de genre par des traitements lourds, qu'ils devront prendre toute leur vie et dont les conséquences sont irréversibles:

    Les bloqueurs de puberté bloquent la croissance, la libido, la calcification des os et la fertilité.
    Les hormonothérapies peuvent conduire à une hypofertilité et/ou une infertilité.
    Il est encore plus criminel de les pousser à la chirurgie d'affirmation ou de confirmation du genre, qui est tout aussi irréversible et n'est pas sans graves complications.

    Les auteurs, Nicole et Gérard Delépine, tous deux médecins, décrivent dans le détail - âmes sensibles s'abstenir - les interventions possibles pour transformer un homme en femme trans:

    la chirurgie faciale
    une glottoplastie pour que la voix ne soit pas trop grave
    l'augmentation mammaire
    la chirurgie pelvienne: ablation du pénis, des testicules, du scrotum, construction d'une vulve
    la vaginoplastie: construction d'un vagin.
    Et les interventions possibles pour transformer une femme en homme trans:

    la chirurgie faciale
    la chirurgie thoracique pour enlever les deux seins
    une chirurgie génitale:
    ablation de l'utérus et des ovaires
    création d'un phallus par métoïdioplastie ou par phalloplastie.
    Tout cela pour quels résultats ?

    un mal-être qui se caractérise par une tendance suicidaire plus élevée chez les trans que chez les autres individus, due à leur isolement auto-entretenu
    un mal-vivre aggravé par les complications et les déceptions occasionnées par les médicaments et la chirurgie.
    Les femmes trans, par exemple, ne trouvent pas leur place, parce que les femmes de naissance regimbent:

    RépondreSupprimer
  9. dans le sport, où est remise en cause l'équité au nom de l'inclusivité
    dans les prisons, les vestiaires ou les toilettes.
    Si des trans sont déçus d'avoir changé de sexe, d'autant que les médecins qui les ont prescrits ou opérés, les suivent rarement une fois leur transition faite - les témoignages se multiplient -, ce n'est pas un sujet pour les média mainstream... et c'est même censuré sous la pression des extrémistes pro-genre.

    La propagande pro-genre, parfois très violente, bat son plein, partout, à l'école, au lycée, dans les universités, sur les réseaux sociaux. Elle est le fait notamment de mouvements politiques de gauche à des fins électoralistes. Elle sert volontairement ou pas les intérêts juteux de laboratoires pharmaceutiques et de la chirurgie de changement de sexe. Les auteurs donnent des montants qui donnent le tournis...

    Conclusions:

    Autant il faut respecter la décision des adultes qui veulent changer de sexe, autant il faut protéger les mineurs d'une mode (manipulée à des fins politiques et financières) qui les médicalise à vie, parfois les mutile et les mène au minimum à une vie difficile, semée d'embûches, de malade chronique.

    Lorsque des adultes commencent à s'intéresser activement à la sexualité des enfants, surtout dans les salles de classe, en leur donnant des exercices pratiques, n'est-ce pas simplement de la pédophilie? Depuis quand serait-ce le rôle des enseignants d'initier les enfants à la sexualité? Et ce, dès la maternelle?

    Après avoir pointé du doigt le rôle néfaste de l'OMS dans cette affaire et en attendant les jours bénis où une opposition digne de ce nom apparaîtra en France, les auteurs rappellent que les parents sont les seuls à pouvoir protéger leurs enfants du mal scolaire.

    Francis Richard

    Dysphorie de genre, Nicole et Gérard Delépine, 244 pages, Fauves Éditions

    https://lesobservateurs.ch/2023/11/19/dysphorie-de-genre-de-nicole-et-gerard-delepine/

    RépondreSupprimer
  10. Une augmentation de 28 % des taux de cancer du sein mortel chez les femmes.
    Une augmentation de 80 % des décès par cancer du pancréas chez les femmes et de 60 % chez les hommes.
    Une augmentation de 55 % des décès par cancer du côlon chez les hommes et de 41 % chez les femmes.
    Une augmentation de 120 % des mélanomes mortels chez les hommes et de 35 % chez les femmes.
    Une augmentation de 35 % des décès par cancer du cerveau chez les hommes et de 12 % chez les femmes.
    Une augmentation de 60 % des taux de mortalité par cancer chez les hommes dans les cancers « sans précision de localisation » et une augmentation de 55 % chez les femmes.

    Les « preuves cliniques croissantes » ont conduit à une étude

    - voir graph sur site -

    Dowd a produit son rapport, rédigé par Carlos Alegria, l'un des partenaires de Dowd, dans son étude Humanity Projects sur la surmortalité au Royaume-Uni et aux États-Unis, à l'aide de données du gouvernement et du secteur des assurances .

    Il a déclaré qu'il avait lancé son projet pro bono basé sur des données pour aider à orienter les politiques publiques lorsqu'il avait constaté comment les politiques liées à la pandémie de COVID-19 détruisaient la confiance de la société dans les experts institutionnels.

    En étudiant la mainmise des agences de régulation gouvernementales nationales et étatiques et des médias d'entreprise par les grandes entreprises pharmaceutiques et d'autres intérêts mondiaux, il a réalisé :

    « Nous avons besoin d’agents indépendants pour agir en tant que gardiens de l’intérêt public. »

    « Nous avons l’intention d’être de tels agents et de fournir des recherches de haute qualité à d’autres individus et institutions qui recherchent des résultats similaires », écrit-il.

    Le nouveau rapport est le troisième du UK Cause of Death Project, qui a précédemment examiné « Royaume-Uni – Tendances en matière de décès et d'invalidité pour les maladies cardiovasculaires, âges 15-44 » et « Royaume-Uni – Tendances en matière de décès pour le système cardiovasculaire, âges 15-44 ». Analyse des causes individuelles.

    Les preuves cliniques croissantes reliant les cancers émergents chez les jeunes aux vaccins contre le COVID-19 ont conduit Dowd à sa dernière étude, a-t-il déclaré.

    « Nous concentrons nos recherches sur les individus plus jeunes, âgés de 15 à 44 ans, car il s'agit actuellement d'un sujet d'intérêt particulier en raison de l'augmentation des preuves anecdotiques de nombreux cancers agressifs et inhabituels inexpliqués (tels que les turbo-cancers…) survenant dans la population, en particulier chez les individus plus jeunes », a-t-il écrit dans l’étude .

    « L’objectif de cette étude n’est pas d’examiner les allégations et les anecdotes individuelles, mais plutôt de fournir une analyse statistique au niveau de la population et de clarifier si les preuves anecdotiques sont anormales ou non. »

    RépondreSupprimer
  11. Dowd a déclaré qu'il espère que « les relations que nous découvrons dans notre analyse » constituent « une base pour une vérification de la réalité permettant aux professionnels de la santé de comprendre les tendances sous-jacentes de la santé des individus ».

    La méthode de Dowd consistait à analyser le nombre de décès attribués au cancer en Angleterre et au Pays de Galles entre 2010 et 2022 dans les données de l'Office britannique des statistiques nationales.

    Il a comparé les taux de mortalité excédentaire, la différence entre les décès observés et la référence pour les décès attendus, avant et après la pandémie de COVID-19.

    Il a établi une base de référence des taux normaux de mortalité par cancer de 2010 à 2020 qui était remarquablement cohérente avec peu d’écarts, a-t-il déclaré – jusqu’à ce que les taux de mortalité par cancer augmentent de manière significative fin 2021 au Royaume-Uni suite au déploiement du vaccin.

    Les principales conclusions du rapport comprennent :

    Le cancer du sein domine chez les femmes. La cause la plus fréquente de cancer mortel chez les femmes âgées de 15 à 44 ans est le cancer du sein, qui représente environ 25 % du taux de mortalité excédentaire total causé par les tumeurs malignes chez les femmes en 2022. Le deuxième cancer le plus dangereux pour les femmes, sur la base de la surmortalité Les taux les plus élevés étaient le cancer du côlon et le cancer du col de l’utérus.
    Alors que les décès mortels par cancer ont augmenté de façon spectaculaire chez les jeunes hommes et les jeunes femmes en 2022, les jeunes hommes ont connu une augmentation disproportionnée des décès par cancer, mais sans cancer dominant comparable au cancer du sein chez les femmes. Les cancers du cerveau, du côlon et de l’estomac représentent 30,9 % de l’augmentation des cancers mortels chez les hommes en 2022.
    Les cancers « sans précision de site », indiquant des métastases rapides vers d’autres organes et communément appelés « cancers turbo », « ont explosé » en 2022, a déclaré Dowd. « Ces cancers ont connu une très forte augmentation chez les femmes (en 2021 et 2022) et chez les hommes (en 2022) et étaient probablement déjà métastasés une fois identifiés. Comme les individus font référence à des individus plus jeunes qui ne nécessitent pas de dépistage précoce, ces cancers sont susceptibles de croître rapidement.
    Les hommes ont connu une augmentation considérable du taux de mortalité par cancer de la peau, de 118 % en 2022. « Même si ces cancers ne représentent pas une grande proportion de tous les cancers », a déclaré Dowd.
    Les cancers du tube digestif « ont connu des changements explosifs en 2021 et 2022 par rapport à la tendance 2010-2019 », a écrit Dowd. « Les cancers du côlon (codés internationalement C18), de l'estomac (C16) et de l'œsophage (C15) sont particulièrement intéressants. "Ces cancers liés au tube digestif semblent avoir pris une importance considérable, et on constate également qu'ils semblent toucher les hommes de manière disproportionnée."
    Le cancer du pancréas « a connu une très forte augmentation tant chez les femmes (en 2022) que chez les hommes (en 2021 et 2022). Pourquoi ces cancers ont augmenté de façon si spectaculaire et pourquoi ils ont augmenté d’abord chez les hommes puis chez les femmes est l’une des questions qui, à notre avis, méritent d’être étudiées.
    Dowd a souligné que ses recherches étaient « une première tentative de faire ressortir certains modèles observés dans les tendances » du cancer après 2020.

    RépondreSupprimer
  12. "Nous espérons que les médecins et les chercheurs spécialisés effectueront des investigations plus approfondies sur la base de ces informations (et d'autres) fournies par notre analyse de données", a-t-il écrit.

    Le lien entre les injections de COVID et l'augmentation des cancers « mérite d'être examiné »
    Le Dr Chris Flowers , médecin universitaire, radiologue et spécialiste du cancer du sein en Angleterre, qui est sorti de sa retraite pour devenir le responsable scientifique bénévole du projet d'analyse des documents War Room/DailyClout Pfizer , a déclaré au Defender que les données britanniques étaient « très, très, concernant."

    Flowers a déclaré que les recherches de Dowd confirmaient des données similaires sur une forte augmentation des décès par cancer signalées par des chercheurs, des cliniciens et des spécialistes du cancer aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans le monde industrialisé occidental depuis le déploiement mondial du vaccin expérimental à ARNm Pfizer et Moderna. On estime que plus de 5,55 milliards de personnes , soit environ 72,3 % de la population mondiale, ont reçu cette injection.

    Flowers a déclaré que lui et ses collègues, notamment des pathologistes, des radiologues, des oncologues, des internistes, des médecins de soins intensifs et des chercheurs aux États-Unis et au Royaume-Uni, n'avaient jamais rien vu de comparable à la gravité des cancers du sein mortels et d'autres cancers chez les jeunes qui ont explosé en 2022.

    Le rapport de Dowd confirme ce que Flowers et ses collègues ont remarqué depuis plus d'un an :

    « Nous constatons un taux de cancer 2 ou 3 fois supérieur à la normale. »

    "Nous voyons des personnes plus jeunes, nous parlons de femmes de 20 et 30 ans, généralement après le début de leurs règles et d'une certaine forme de stimulateur de croissance qui se déroule normalement, présentant des tumeurs avancées difficiles à traiter, mais aussi ils peuvent avoir plus d’une tumeur », a déclaré Flowers. « Quelque chose qui était rare est désormais relativement courant. »

    Le plus inquiétant, selon Flowers, est peut-être la montée chez les jeunes de ce que certains oncologues appellent désormais des « cancers turbo », un nouveau terme.

    RépondreSupprimer
  13. "Le cancer turbo est un nom populaire qui a été inventé pour décrire plusieurs choses", a déclaré Flowers. « Ce sont des cancers chez les jeunes qui apparaissent, un jour vous allez tout à fait bien, le lendemain on vous dit que vous avez un cancer en phase terminale et vous êtes mort en une semaine. Il y a de nombreux rapports à ce sujet, même dans les grands médias.

    « Non seulement les tumeurs se développent plus rapidement, mais il existe également davantage de types de cancer chez la même personne. Avant, c'était très très rare. De temps en temps, je voyais un cancer inflammatoire très, très agressif chez les jeunes. Mais maintenant, tout le monde a des histoires.

    Le Dr Pierre Kory , pneumologue et médecin de soins intensifs qui est président et directeur médical de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) et traite des centaines de patients blessés par le vaccin dans son cabinet, a déclaré qu'il était « inondé de rapports et consulte pour obtenir de l’aide » concernant l’augmentation du cancer de la part de collègues et de patients.

    David Wiseman, Ph.D. , un pharmacien titulaire d'un doctorat en pathologie expérimentale et pionnier, à l'origine pour Johnson & Johnson, des produits destinés à prévenir les blessures internes postopératoires , s'est dit tour à tour étonné et indigné que les gouvernements et les grands médias ne donnent pas suite aux recherches qu'il a menées. Kevin McKernan , ancien directeur de la recherche et du développement au MIT Human Genome Project, a montré que les injections d'ARNm étaient contaminées par des fragments d'ADN .

    Ces fragments, a déclaré Wiseman, ajoutent aux dommages potentiels que les vaccins pourraient causer au génome humain et ouvrent de nouvelles portes à une infinité de problèmes, y compris le cancer.

    Wiseman a déclaré au Defender que les propres données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) montrent des problèmes de cancer liés aux vaccins COVID-19 .

    "Nous constatons une augmentation des cancers dans le VAERS", a déclaré Wiseman, le site officiel de la Food and Drug Administration des États-Unis et du CDC chargé de signaler les blessures causées par les vaccins. "Le CDC a fait une analyse PRR , une analyse de signal, qui a trouvé un signal de cancer dans les vaccins, ce qui ne constitue pas une preuve mais cela signifie que cela vaut la peine d'être examiné."

    RépondreSupprimer
  14. *

    Mike Capuzzo est le rédacteur en chef de The Defender. Il est un ancien journaliste primé pour le Philadelphia Inquirer et le Miami Herald, un écrivain scientifique et un rédacteur fondateur et éditeur d'un magazine régional qui a remporté plus de 200 prix de journalisme en tant qu'écrivain, rédacteur et éditeur.

    https://www.globalresearch.ca/new-report-young-people-dying-cancer-explosive-rates-uk-government-data-show/5840985

    RépondreSupprimer
  15. Les profonds bienfaits de la gratitude pour la santé


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    23 novembre 2023


    La capacité d’éprouver de la gratitude envers les autres est une caractéristique fondamentale de la cognition humaine

    Les effets positifs liés à la gratitude incluent des bénéfices sociaux, psychologiques et physiques, qui augmentent à mesure que vous intégrez régulièrement la gratitude à votre routine quotidienne.

    La gratitude a un effet positif sur la psychopathologie, en particulier la dépression, les caractéristiques de la personnalité adaptative, les relations sociales positives et la santé physique, y compris le stress et le sommeil.

    Il a même été constaté que ceux qui sont reconnaissants ont une meilleure idée du sens de la vie en étant capables de percevoir le bon fonctionnement familial et les bonnes relations avec leurs pairs.

    Deux interventions de gratitude que vous pouvez essayer dans votre vie quotidienne pour promouvoir la gratitude incluent la tenue d'un journal de gratitude et l'expression de votre gratitude envers les autres, par exemple en écrivant des notes de remerciement.

    *

    La gratitude est une pratique simple qui peut avoir des effets profonds sur votre santé et votre bien-être. On pense que ses fondements sont des principes de coopération qui ont joué un rôle essentiel dans le développement de la communication humaine et de la réciprocité sociale, et la capacité d’éprouver de la gratitude envers les autres est une caractéristique fondamentale de la cognition humaine. 1

    Les effets positifs liés à la gratitude comprennent des bénéfices sociaux, psychologiques et physiques2, qui augmentent à mesure que vous intégrez régulièrement la gratitude à votre routine quotidienne.

    "Les limites des bienfaits de la gratitude pour la santé résident réellement dans l'attention que vous portez au ressenti et à la pratique de la gratitude", a noté le neuroscientifique Glenn Fox, Ph.D., expert en gratitude à l'Université de Californie du Sud. «C'est très similaire à l'entraînement, dans le sens où plus vous pratiquez, plus vous vous améliorez. Plus vous pratiquez, plus il est facile de vous sentir reconnaissant lorsque vous en avez besoin. 3

    RépondreSupprimer
  16. Comment la gratitude change votre cerveau

    La gratitude a des corrélats neurobiologiques distincts, notamment dans les régions du cerveau associées aux liens interpersonnels et au soulagement du stress. 4 Lorsque Fox et ses collègues ont suscité la gratitude chez 23 sujets féminins, à travers des histoires de survivantes de l'Holocauste, « les taux de gratitude étaient corrélés à l'activité cérébrale du cortex cingulaire antérieur et du cortex préfrontal médial », qui sont associés à la cognition morale, au jugement de valeur et à la théorie. d'esprit. 5

    Les différences individuelles en matière de propension à la gratitude sont également liées à une augmentation du volume de matière grise dans le cerveau 6 et il est possible que cela provoque des changements à long terme dans votre psychisme. Fox est devenu profondément intéressé par la gratitude après la mort de sa mère des suites d'un cancer des ovaires. Pendant sa maladie, il lui envoyait des études sur les bienfaits de la gratitude chez les patients atteints de cancer, et elle tenait un journal de gratitude au cours de ses dernières années.

    Dans un exemple, 92 adultes atteints d’un cancer avancé se sont engagés à tenir un journal de gratitude consciente ou à tenir un journal de routine. Après sept jours, ceux qui tenaient un journal de gratitude présentaient des améliorations significatives dans les mesures d'anxiété, de dépression et de bien-être spirituel, de sorte que les chercheurs ont conclu que « la tenue d'un journal de gratitude en pleine conscience pourrait affecter positivement l'état de souffrance, la détresse psychologique et la qualité de vie des patients. atteint d’un cancer avancé. 7

    « Les personnes reconnaissantes ont tendance à se remettre plus rapidement d’un traumatisme ou d’une blessure », a déclaré Fox à The Pulse. «Ils ont tendance à entretenir des relations personnelles meilleures et plus étroites et peuvent même simplement avoir une meilleure santé globale.» 8 Lorsqu'il a essayé de trouver de la gratitude après avoir perdu sa mère, ce qu'il a vécu n'était pas une solution miracle ou un chemin immédiat vers le bonheur, mais un moyen de rendre son chagrin plus gérable sur le moment.

    Il s’avère que les écrits reconnaissants, comme les lettres de gratitude, constituent une intervention psychologique positive qui entraîne des changements à plus long terme dans la santé mentale. Parmi les 293 adultes qui ont eu recours à des services de psychothérapie, ceux qui ont écrit de la gratitude ont signalé une santé mentale nettement meilleure après quatre et 12 semaines que les personnes qui n'ont pas écrit ou qui ont écrit sur leurs pensées et leurs sentiments. 9

    RépondreSupprimer
  17. La gratitude améliore la santé et le bien-être

    La gratitude peut être difficile à définir, car elle regroupe à la fois des éléments d’émotion, de vertu et de comportement. Robert Emmons, professeur de psychologie à l'Université de Californie à Davis et expert en gratitude, la définit comme un processus en deux étapes.

    Comme expliqué dans « The Science of Gratitude », un livre blanc du Greater Good Science Center de l'UC Berkeley, les deux étapes comprennent « 1) « reconnaître que l'on a obtenu un résultat positif » et 2) « reconnaître qu'il existe un facteur externe ». source de ce résultat positif. » 10

    À cet égard, les bénéfices de la gratitude peuvent être tirés des actions d’autrui ou expérimentés de manière intériorisée, par exemple en ressentant de la gratitude envers le bon sort ou la nature. De cette façon, la gratitude est à la fois un état et un trait. 11

    En tant qu'état, il repose sur la capacité d'une personne à faire preuve d'empathie et à susciter des émotions de gratitude qui favorisent un comportement prosocial. En tant que trait, la gratitude décrit la pratique consistant à être reconnaissant, à remarquer les petites choses de la vie et à apprécier le positif du monde et des autres. La gratitude peut être ressentie à la fois en étant aidé par les autres et en se concentrant habituellement sur le bien de votre vie.

    Une étude publiée dans Clinical Psychology Review a révélé que la gratitude a un effet positif sur la psychopathologie, en particulier la dépression, les caractéristiques de la personnalité adaptative, les relations sociales positives et la santé physique, y compris le stress et le sommeil. De plus, ils ont noté que « les bénéfices de la gratitude sur le bien-être peuvent être causals ». 12

    Fox a également expliqué : « Les avantages associés à la gratitude comprennent un meilleur sommeil, plus d’exercice, une réduction des symptômes de douleur physique, des niveaux d’inflammation plus faibles, une tension artérielle plus faible et une foule d’autres choses que nous associons à une meilleure santé », 13 y compris une meilleure résilience .

    Il est probable que la gratitude entraîne des bénéfices via de multiples mécanismes, non seulement en améliorant la satisfaction dans la vie 14 , mais également en contribuant à une augmentation des activités saines et à une volonté de demander de l'aide pour des problèmes de santé. 15 Il a même été constaté que ceux qui sont reconnaissants ont une meilleure idée du sens de la vie en étant capables de percevoir le bon fonctionnement familial et les bonnes relations avec leurs pairs. 16

    RépondreSupprimer
  18. La gratitude pourrait vous aider à mieux dormir et à être moins matérialiste
    On sait que la gratitude facilite l’amélioration d’une alimentation saine17 et profite à la dépression en améliorant l’estime de soi et le bien-être. 18 De plus, les personnes qui sont plus reconnaissantes ont tendance à être : 19

    Plus heureux
    Moins matérialiste
    Moins susceptible de souffrir d’épuisement professionnel
    Une étude de 2021 comparant la gratitude et l’optimisme a également révélé que les deux traits étaient associés à : 20

    Diminution de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle
    Meilleure qualité de sommeil
    Plus d'exercices
    Moins de stress
    Des attentes et des réflexions plus positives
    Un plus grand sentiment d’appréciation envers les autres

    Se sentir bienveillant peut également vous aider à dormir mieux et plus longtemps, peut-être en améliorant vos pensées avant de dormir. "La relation entre la gratitude et chacune des variables du sommeil était médiée par des cognitions pré-sommeil plus positives et des cognitions pré-sommeil moins négatives", selon une étude du Journal of Psychosomatic Research. 21

    Ceux qui ont obtenu des scores plus élevés aux mesures de gratitude avaient une meilleure qualité et durée du sommeil, ainsi qu'une latence du sommeil (le temps qu'il faut pour s'endormir) et un dysfonctionnement diurne inférieurs. Chez les adolescents, la simple pratique de tenir un journal de gratitude réduit considérablement le matérialisme tout en réduisant l’effet négatif du matérialisme sur la générosité. 22

    Ceux qui ont écrit ce pour quoi ils étaient reconnaissants ont par exemple donné 60 % de plus de leurs gains à des œuvres caritatives. Il y a également de bonnes raisons d’enseigner aux enfants l’importance de la gratitude, car cela peut améliorer les résultats scolaires et orienter les individus vers une approche de vie positive. 23

    Interventions de gratitude positive

    Fox compare la gratitude à un muscle qui doit être entraîné – quelque chose que vous pouvez pratiquer et améliorer au fil du temps : 24

    «Je pense que la gratitude peut ressembler beaucoup plus à un muscle, à une réponse entraînée ou à une compétence que nous pouvons développer au fil du temps, à mesure que nous avons appris à reconnaître l'abondance, les dons et les choses que nous n'avions pas remarquées auparavant comme étant importantes. Et c’est en soi une compétence qui peut être pratiquée et manifestée au fil du temps.

    RépondreSupprimer
  19. Plutôt qu'une solution miracle, a ajouté Fox, c'est la pratique régulière d'être reconnaissant qui fait la différence : « Vous savez, c'est comme de l'eau coupant la roche dans un canyon », a-t-il déclaré. "Cela ne se fait pas d'un seul coup, et c'est juste une pratique régulière qui permet de commencer à obtenir des choses." 25 Deux « interventions de gratitude » que vous pouvez essayer dans votre vie quotidienne pour promouvoir la gratitude comprennent la tenue d'un journal de gratitude et l'expression de votre gratitude.

    Avec un journal de gratitude, vous écrivez régulièrement des listes de ce pour quoi vous êtes reconnaissant. L'expression comportementale de la gratitude consiste à exprimer des sentiments de gratitude envers les autres, par exemple en disant merci ou en écrivant des lettres de gratitude, que vous lisez ensuite aux destinataires. 26

    La musique a également le potentiel d’être une force gratifiante et épanouissante. Prenez un moment pour apprécier cette chanson sincère envoyée par Frank Buono, abonné de longue date.

    Montrer de la gratitude envers votre partenaire est également un bon moyen de dynamiser votre relation. Dans une étude portant sur des partenaires romantiques, la gratitude résultant des interactions était liée à une connexion et une satisfaction accrues à l’égard de la relation, les chercheurs suggérant que « la gratitude avait un pouvoir prédictif unique dans la promotion de la relation, agissant peut-être comme un coup de pouce pour la relation ». 27 Emmons a également partagé des conseils pour vivre une vie plus reconnaissante : 28

    Souvenez-vous des moments difficiles de votre vie, qui vous rappellent à quel point vous devez être reconnaissant maintenant. «[C]e contraste est un terrain fertile pour la gratitude», dit Emmons. 29
    Appréciez ce que signifie être humain en accordant et en appréciant votre sens du toucher, de la vue, de l’odorat, du goût et de l’ouïe.
    Utilisez des rappels visuels, y compris des personnes, pour déclencher la gratitude. Cela aide à combattre « les deux principaux obstacles à la gratitude », qu’Emmons cite comme « l’oubli et le manque de conscience ». 30
    Faites un serment de gratitude. Le simple fait de jurer d'être reconnaissant peut augmenter la probabilité que vous vous en teniez à ce comportement, alors écrivez une note « promettant de compter vos bénédictions » et publiez-la quelque part où vous la verrez souvent.
    Si vous souhaitez commencer aujourd'hui, gardez un cahier à votre chevet et assurez-vous de noter une ou deux choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant chaque soir avant de vous coucher, et exprimez souvent votre gratitude aux autres, par exemple en écrivant rapidement des notes de remerciement à amis.

    *

    RépondreSupprimer
  20. Remarques

    1, 2 Royal Society Open Science 23 mai 2018

    3, 13 USC News 25 novembre 2019

    4, 8, 24, 25 The Pulse, POURQUOI PBS 21 novembre 2019

    5, 6 avant. Psychol., 30 septembre 2015

    7 BMJ soutient les soins palliat. 8 juillet 2021;bmjspcare-2021-003068

    9 Recherche en psychothérapie 2018, Volume 28

    10 « The Science of Gratitude », un livre blanc du Greater Good Science Center de l'UC Berkeley, mai 2018. Résumé

    11 Le Journal de psychologie positive 6 août 2019

    12 Revue de psychologie clinique novembre 2010, volume 30, numéro 7, pages 890-905

    14 Personnalité et différences individuelles Juillet 2008, Volume 45, Numéro 1, Pages 49-54

    15 Pers Individuelle Dif. janvier 2013 ; 54(1) : 92-96

    16 Front Psychol. 28 octobre 2021;12:680795

    17 Journal of Experimental Social Psychology mars 2019, volume 81, pages 4-14

    18 Personnalité et différences individuelles Décembre 2015, Volume 87, Pages 30-34

    19 « The Science of Gratitude », un livre blanc du Greater Good Science Center de l'UC Berkeley, mai 2018.

    20 Émotion 15 novembre 2021

    21 Journal of Psychosomatic Research janvier 2009, volume 66, numéro 1, pages 43-48

    22 Le Journal de psychologie positive 1er août 2018

    23 Le manuel Wiley Blackwell des interventions psychologiques positives, 11 avril 2014

    26 Journal de santé au travail 11 novembre 2021

    27 Relations personnelles 21 mai 2010 Résumé

    28, 29, 30 Magazine du Grand Bien 17 novembre 2010

    https://www.globalresearch.ca/profound-health-benefits-being-grateful/5841029

    RépondreSupprimer
  21. L'industrie pandémique s'attaque à une nouvelle maladie respiratoire en Chine


    23 novembre 2023
    de Thomas Oysmüller


    Des acteurs de renom sèment déjà la panique : un nouveau virus est apparu en Chine et touche particulièrement les enfants. On sait peu de choses en détail ; l’OMS appelle à l’action.

    Cela vous rappelle janvier 2020. Une « mystérieuse maladie pulmonaire » se propage actuellement dans le nord de la Chine. Les enfants seraient particulièrement touchés. Les médias chinois rapportent la situation de manière plus intensive depuis plusieurs jours. Dans le nord de la Chine – le hotspot n’est pas loin d’un biolaboratoire de quatrième catégorie de sécurité – les salles d’attente et les hôpitaux pour enfants seraient surpeuplés.

    Opération nouvelle pandémie ?

    Non seulement cela rappelle 2020, mais aussi les premières images. Les enfants masqués sont de retour, les autorités envisageraient apparemment de fermer les écoles. Et les personnes critiques se souviennent du jeu de simulation d’octobre 2022. À cette époque, une pandémie était prévue avec un « nouveau virus respiratoire » qui touchait particulièrement les enfants – vous pouvez regarder la vidéo ici.

    L’OMS était présente à ce moment-là et a pris la tête de « l’exercice ». L'organisation controversée est déjà intervenue. Même s'ils admettent ne rien savoir avec certitude, ils conseillent de "prendre des mesures pour réduire le risque de maladies respiratoires". On connaît ces « mesures » : le masque, dont il est prouvé qu’il fait plus de mal que de bien, garder ses distances et se laver les mains.

    L’agence des Nations Unies déclare également avoir envoyé une « demande officielle à la Chine pour obtenir des informations détaillées sur l’augmentation des maladies respiratoires et les foyers de pneumonie signalés chez les enfants ». Des acteurs bien connus de l’industrie du Covid, comme Eric Feigl-Ding, qui a joué un rôle clé dans l’incitation à la panique du Covid, diffusent déjà une propagande effrayante.

    Le 22 novembre, l'OMS a demandé des informations épidémiologiques et cliniques supplémentaires ainsi que des résultats de laboratoire sur ces foyers signalés chez les enfants par le biais du mécanisme du Règlement sanitaire international.

    La maladie RSV est mentionnée à plusieurs reprises dans les médias ainsi que dans la déclaration de l'OMS. L'OMS « a demandé des informations complémentaires sur les tendances récentes de la propagation d'agents pathogènes connus tels que la grippe, le SRAS-CoV-2, le RSV et Mycoplasma pneumoniae, ainsi que sur la charge actuelle qui pèse sur les systèmes de santé ».

    RépondreSupprimer
  22. Depuis la mi-octobre, on constate cette « augmentation des cas de syndromes grippaux dans le nord de la Chine par rapport à la même période des trois dernières années ». Quoi que cela signifie. Que l’augmentation soit liée au Covid – soit à cause de la vaccination, soit à cause des « mesures » – ne peut être exclu ou supposé avec certitude.

    En tout cas, il y a déjà une discussion animée sur les réseaux sociaux. « Je ne participe pas à cela », voilà ce qu’on entend de partout. L’autorité de l’OMS a également énormément souffert par rapport à 2020. Il serait probablement tout à fait impossible de créer une panique aussi soudaine (par le biais des médias) qu’en 2020. En tout cas, les regards – du moins ceux de l’OMS – sont à nouveau tournés vers la Chine.

    https://

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le canular s'apprête à être mondial (encore une fois !) !

      Supprimer
  23. Gates dans la conférence TED : recherchez des virus et des maladies et vaccinez-vous rapidement contre eux

    23 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Ces conférences TED sont très informatives. Il est toujours bon de savoir quels sont les projets futurs de Bill Gates pour nous. Le 3 avril 2015, il a fait part de son projet de militariser les soins de santé, comme indiqué ici . La réponse au Covid qui a suivi a été bien plus dommageable que n’importe quel bénéfice de la réponse. Le plan « GERM » présenté ici devrait vous terrifier. Ils chasseront les virus puis réagiront en panique. Les gens qui passent leur vie à attendre de nouveaux virus ont tendance à exagérer leur impact.

    Dans cette conférence TED, Gates propose l'équipe GERM de mobilisation et réponse mondiale aux épidémies, composée de personnes du monde entier possédant un large éventail d'expertises : épidémiologie, génétique, systèmes de données, diplomatie, réponse rapide, logistique, modélisation informatique, communications et plus encore. Lorsqu'ils ne travaillent pas activement sur le terrain, la plupart d'entre eux sont basés dans les autorités sanitaires de chaque pays, mais certains travaillent également dans les bureaux régionaux de l'OMS et au siège à Genève.

    En investissant dans la surveillance des maladies, la recherche et le développement et l’amélioration des systèmes de santé, Gates estime que nous pouvons « créer un monde dans lequel chacun a la possibilité de vivre une vie saine et productive, une vie sans crainte de maladie lors de la prochaine pandémie ».

    Voici ce qui est dit dans les notes de Gates :

    Voici comment fonctionnerait une réponse au GERM : les experts en surveillance des maladies de l'équipe garderaient un œil sur les épidémies potentielles. Une fois qu’une épidémie est découverte, le GERM devrait être en mesure de déclarer une épidémie et de travailler très rapidement avec les gouvernements nationaux et la Banque mondiale pour collecter des fonds pour la riposte. Les experts en développement de produits conseilleraient les gouvernements et les entreprises sur la sélection des médicaments et des vaccins les plus urgents. Des personnes compétentes en modélisation informatique coordonneraient le travail des modélisateurs du monde entier. Et l’équipe aiderait à élaborer et à coordonner des mesures telles que : B. sur la question de savoir comment et quand fermer les frontières et recommander le port de masques.

    Mais la réponse du GERM à une épidémie active ne représente qu’une partie du travail.

    Le rôle principal de l'équipe est d'aider à mener des exercices de réponse aux épidémies qui testent si le monde est préparé à la prochaine épidémie majeure. Les militaires organisent régulièrement des jeux de guerre pour tester leur état de préparation – nous devrions faire de même face aux menaces de maladies. Dans la plupart des pays, ces exercices peuvent être menés par les responsables locaux de la santé publique et de l’armée, le GERM agissant en tant que conseiller et auditeur. Dans certains pays à faible revenu, le monde devrait investir dans le renforcement de ces capacités et fournir des ressources là où cela est nécessaire.

    RépondreSupprimer
  24. L’équipe GERM serait également chargée d’élaborer une liste de contrôle de préparation à une pandémie, semblable à celle que les pilotes de ligne suivent avant chaque décollage et que de nombreux chirurgiens utilisent désormais pendant les interventions chirurgicales. Une liste de contrôle semble être un outil tellement évident, mais très peu d’endroits disposaient d’un tel plan lorsque la COVID a frappé. Une liste de contrôle élaborée par le GERM pourrait être utilisée n’importe où et aider à garantir que les gouvernements sont préparés à une réponse efficace et efficiente.

    Mais le GERM ne contribuera pas seulement à stopper les pandémies. Le groupe améliorera la santé globale dans le monde, en particulier dans les pays les plus pauvres.

    Les maladies émergentes resteront toujours une priorité absolue, mais lorsqu’il n’y a pas de menace active de pandémie, l’équipe maintiendra ses capacités en aidant à lutter contre des maladies mortelles telles que la polio et le paludisme.

    Le 18 mars 2015, l’oligarque a publiquement appelé à un nouveau projet ambitieux : la création d’une autorité mondiale, militarisée et supranationale, capable de répondre de manière décisive aux épidémies de maladies infectieuses. L'article de Bill Gates « The Next Epidemic – Lessons from Ebola », paru dans le prestigieux New England Journal of Medicine (NEJM), était un « appel mondial à l'action » conçu pour un impact maximal. Un article d'opinion de Gates dans le New York Times, paru en même temps que l'article du NEJM, a déclenché un flot de reportages médiatiques célébrant sans critique les arguments du multimilliardaire.

    https://

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Gates n'est PAS un scientifique et parle encore d'un 'vaccin anti-poussières' !! HAHAHAHA !

      Supprimer
  25. Les grands médias rapportent enfin les énormes dégâts causés aux enfants par les mesures liées au Corona.


    23 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le New York Times a publié ce week-end un article d’opinion intitulé « Les preuves surprenantes de la perte d’apprentissage sont là ». Voici le deuxième paragraphe :
    Les preuves sont désormais disponibles et elles sont stupéfiantes. Les fermetures d’écoles qui ont privé 50 millions d’enfants des salles de classe au début de la pandémie pourraient s’avérer être la perturbation la plus dommageable de l’histoire de l’éducation américaine. Ils ont également retardé de deux décennies les progrès des élèves en mathématiques et en lecture et ont creusé l'écart de réussite entre les enfants pauvres et riches.

    Pour quiconque a l'esprit alerte et n'a pas passé les trois dernières années et demie dans l'horloge à pendule, les énormes dégâts causés sont évidents depuis longtemps. Des études réalisées en Autriche et en Allemagne ont déjà montré ces faits, mais ils ont été ignorés par négligence, voire délibérément, par les hommes politiques, les « experts » médicaux et les autorités compétentes.

    En Europe, il était encore plus clair que les fermetures d’écoles n’étaient ni utiles ni raisonnables. Nous avons eu l'exemple de la Suède, qui s'en est passée. Même sans fermer les magasins et les restaurants et sans exiger de masques inutiles et nocifs pour la santé.

    Plusieurs études nous savaient déjà en mars 2020 que le taux de mortalité par infection au coronavirus actuel correspond à celui de la grippe. Voici mon rapport du 10 avril 2020. Et nous savions aussi que les enfants sont encore moins touchés par le Corona que par la grippe. Même une étude autrichienne, notamment dans le hotspot d'Ischgl, n'a montré qu'un taux de mortalité par infection de 0,13%, comme pour la grippe, et le développement rapide d'une immunité généralisée.

    Voici quelques articles du TKP sur le thème des fermetures d’écoles :

    Les avantages de la fermeture des écoles dans la lutte contre la crise du coronavirus sont faibles 27 avril 2020
    Des experts norvégiens critiquent les fermetures d'écoles comme étant inutiles 14 mai 2020
    Une étude finno-suédoise ne révèle aucun effet positif de la fermeture des écoles 21 août 2020
    Grande étude au Royaume-Uni : davantage de décès dus aux restrictions et aux fermetures d'écoles 9 octobre 2020
    Les fermetures d'écoles nuisent aux enfants à long terme et n'influencent pas les infections 11 novembre 2020
    Aucune raison rationnelle apparente pour la fermeture des écoles 12 novembre 2020
    Les fermetures d'écoles causent d'énormes dommages aux enfants sans affecter les infections 2 mars 2021
    Étude américaine : les États sans confinement et sans fermeture d'écoles obtiennent de meilleurs résultats le 12 avril 2022
    Les fermetures d'écoles liées au coronavirus ont retardé de plusieurs décennies la réussite scolaire des élèves 8 septembre 2022
    Mais plus nous tirions la sonnette d’alarme et présentions des faits et des études, plus nous étions diabolisés et attaqués.

    RépondreSupprimer
  26. Il n’est pas surprenant que ce soient les enfants les plus pauvres et les plus vulnérables qui aient été les plus touchés. Cela était clair dès le départ, même si l’on faisait preuve d’un minimum de bon sens.

    Il s’agissait d’enfants pauvres et à faible revenu qui étaient laissés seuls à la maison pour suivre « l’école Zoom » tandis que leurs parents travaillaient pour un salaire horaire dans des emplois « essentiels ». Et ce sont les enfants pauvres et à faible revenu qui doivent rester à la maison pour s’occuper de leurs frères et sœurs plus jeunes. Ou pour trouver une communauté en dehors de l’école. Il s'agissait d'enfants pauvres et à faibles revenus qui manquaient des repas parce qu'ils n'étaient pas à l'école, qui ne disposaient pas d'une connexion Wi-Fi fonctionnelle, qui n'étaient pas pris en charge et supervisés par des adultes comme c'est le cas à l'école. C’était et c’est toujours la lutte des classes d’en haut.

    Les mesures ont été prescrites par l'OMS, l'ONU et l'UE au nom du WEF, de l'industrie pharmaceutique et de leurs propriétaires, comme prévu lors de l'événement 201 en octobre 2019. Et les organisations dirigeantes veulent désormais disposer d’encore plus de pouvoir, de droits, d’argent et de technologie afin de pouvoir organiser encore et encore des pandémies. Voir traité sur la pandémie, extension du Règlement sanitaire international, certificats de vaccination, identité numérique, monnaie de banque centrale et systèmes de crédit social.

    https://

    RépondreSupprimer
  27. L’asile mental face au changement climatique – des fanatiques du gaz carbonique souffrant de folie idéologique


    Par Mark Keenan
    Recherche mondiale,
    23 novembre 2023


    Dans un article précédent que j'avais initialement publié en février 2023 et intitulé « 1 500 scientifiques déclarent que le « changement climatique n'est pas dû au gaz carbonique » – le véritable mouvement environnemental a été détourné », j'ai fourni des preuves et des témoignages de climatologues internationaux de renom qui contredisent l'affirmation de l'ONU selon laquelle le changement climatique est causée par les émissions de gaz carbonique .

    J'ai également évoqué la conclusion de 1 500 climatologues et professionnels du climat de la Climate Intelligence Foundation selon laquelle le climat change naturellement et lentement selon son propre cycle, et que l'activité solaire est le facteur dominant du climat ; et que les émissions de gaz carbonique ou de méthane provenant du bétail, comme les vaches, ne sont pas les facteurs dominants du changement climatique. Ceci est détaillé en détail dans les livres Transcending the Climate Change Deception Toward Real Sustainability et dans le livre Climate gaz carbonique Hoax .

    Les politiques de l'ONU en matière de changement climatique, de développement durable et d'économie verte au cours des 30 dernières années ne sont guère plus que des astuces de marketing mondiales qui ont tragiquement lavé le cerveau de deux générations de jeunes qui ne comprennent pas ce qu'est réellement l'ONU et qui est-elle réellement conçue. servir.

    Le système mondialisé actuel implique la promotion de croyances et de fausses sciences qui prétendent être des vérités incontestables , mais qui sont en fait des idéologies dans lesquelles les preuves sont manipulées, déformées et déformées pour prouver l'« idée directrice » et promouvoir ainsi sa diffusion mondiale. dissémination. Ils commencent par la conclusion qu’ils souhaitent, puis arrachent et manipulent les rares preuves disponibles pour correspondre à cette conclusion. Le changement climatique provoqué par l’homme et dû aux émissions anthropiques de carbone en est un exemple majeur.

    RépondreSupprimer
  28. Les institutions, notamment l’ONU, le Forum économique mondial (FEM) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), sont des organisations privées, non élues et irresponsables, contrôlées par la source de la création d’argent-dette, c’est-à-dire le cartel mondial des banques privées ; et ne sont que des outils de marketing intelligents et des mécanismes politiques pour mettre en œuvre et maintenir un système mondial corrompu, sous le couvert astucieux de « résoudre les problèmes du monde ».

    Le mot « durable » a été détourné il y a des décennies, et il est désormais utilisé de manière trompeuse pour faire avancer les intérêts des méga-entreprises mondialistes qui se moquent complètement de l'environnement. L’objectif est de catapulter l’humanité dans les bras de l’Agenda 2030 des Nations Unies et d’autres plans marketing trompeurs entièrement alignés sur les objectifs des soi-disant élites du groupe WEF de Davos.

    Dans cet article, je partage certaines de mes expériences récentes concernant la folie et l'illusion apparemment sans fin liées au programme de réduction du climat et du gaz carbonique de l'ONU . La réduction du gaz carbonique est le principal objectif de l'hystérie autour du changement climatique promue par l'ONU et qui sévit parmi la population mondiale. En raison de la propagande incessante sur le changement climatique promue par l'ONU, le gouvernement et les entreprises, de nombreuses personnes se trouvent donc dans un état de confusion induit par les médias et assument ainsi aveuglément leur rôle prédéterminé dans la société sous cette « dictature des mots ». sans même en avoir conscience. Nous avons désormais des millions de soi-disant fanatiques du changement climatique, aveugles au fait que le changement climatique n’est pas réellement causé par les émissions de carbone, ni par les émissions de méthane des vaches.

    L’Agenda 2030 des Nations Unies ne vise pas un véritable environnementalisme, il vise uniquement à effrayer les gens et à les amener à accepter l’autorité totalitaire et les limitations de leur liberté et de leur bien-être personnel. Pour paraphraser George Carlin : « le politiquement correct est un totalitarisme prétendant être des bonnes manières ».

    Les fanatiques du climat soumis à un lavage de cerveau sont la police climatique des conventions sociales – une force de police bien-pensante et trompeuse, non payée, critiquant tout le monde qui ne maintient pas ses émissions de carbone au minimum. Ces narcissiques veulent contrôler le comportement des autres et n'ont aucun problème avec l'abattage de millions de vaches produisant du méthane pour « arrêter le changement climatique » – ce n'est pas seulement un narcissisme illusoire – c'est insensé. Qu’a fait la douce vache, traditionnellement considérée comme un animal sacré fournissant de la nourriture à l’humanité sous forme de lait, pour mériter ces mauvais traitements ?

    RépondreSupprimer
  29. Veuillez noter que je n'ai aucun intérêt commercial à affirmer que le changement climatique n'est pas causé par le gaz carbonique. En vérité, je suis contre la « vraie » pollution, et la réalité est que le composant gaz carbonique n'est pas un polluant. Notez que l’ONU se concentre sur le gaz carbonique, mais pas sur les milliers de véritables polluants créés par la mondialisation industrielle des entreprises.

    La véritable science du climat a été largement contournée par des décennies de propagande promue par l’ONU, et par conséquent, une grande partie de la société semble avoir sombré dans l’hystérie de la réduction du gaz carbonique, tandis que les véritables questions environnementales ont été mises de côté. Dans une conférence intitulée La crise climatique imaginaire – comment pouvons-nous changer le message ? disponible sur le site Web du Irish Climate Science Forum[1], le professeur Richard L Lindzen, professeur émérite des sciences de l'atmosphère au MIT, a résumé ainsi la bataille contre l'hystérie climatique :

    « Au cours de la longue histoire de la Terre, il n’y a eu pratiquement aucune corrélation entre le climat et le gaz carbonique… les données paléoclimatiques montrent sans ambiguïté que le gaz carbonique n’est pas un bouton de contrôle… le récit est absurde… il donne aux gouvernements le pouvoir de contrôler le secteur énergétique… pendant environ Depuis 33 ans, nous sommes nombreux à lutter contre l’hystérie climatique…

    Les élites sont toujours à la recherche de moyens de faire connaître leur vertu et d’affirmer leur autorité. Ils croient qu’ils ont le droit de considérer la science comme une source d’autorité plutôt que comme un processus, et ils tentent de s’approprier la science, convenablement ou incorrectement simplifiée, comme base de leur mouvement. Les mouvements ont besoin d’objectifs, et ces objectifs sont généralement inscrits dans la législation. L’effet de la législation survit longtemps à la prétendue science. Tant que les scientifiques seront récompensés pour leurs efforts, ils ne s’opposeront probablement pas à l’exploitation de la science…

    les masses instruites sont conscientes de leur ignorance scientifique et cela les laisse très incertaines… elles ont besoin de récits simples, cela leur permet de croire qu'elles comprennent réellement la science, et comme nous le voyons aujourd'hui avec le climat, cela leur permet de devenir par ignorance fières de leurs prétendues accomplissement… Notre tâche est de montrer aux personnes concernées les gens qui prennent les décisions à notre place, les gens politiques, la stupidité globale de cette question… il est probable que nous devions capitaliser sur l'insécurité de l'élite instruite et les faire passer pour des idiots. de supérieur et vertueux. – Richard L Lindzen, professeur émérite de sciences atmosphériques, MIT

    RépondreSupprimer
  30. Peut-être que le professeur Lindzen a mis le doigt sur la tête lorsqu’il a déclaré : « nous devons capitaliser sur l’insécurité de l’élite instruite et la faire paraître idiote au lieu de supérieure et vertueuse » pour empêcher la société de sombrer dans une nouvelle folie climatique.

    Des activistes trompés en matière d’émissions de gaz carbonique(carbone)

    Je ne peux que raconter mes récentes expériences de rencontre avec des militants dérangés du climat et du gaz carbonique. L'hiver dernier, j'ai loué une cabane en bois dans une région reculée de l'Irlande rurale. Il appartenait à une femme très sympathique, experte en jardinage et en culture d'herbes aromatiques. Pourtant, lorsque j'ai acheté des bûches de bois pour le poêle à bois, cette âme soucieuse du climat a failli avoir une crise cardiaque ! Elle n’autoriserait pas la combustion de bûches de bois dans le poêle à cause, vous l’aurez deviné, du changement climatique. Ce n’est pas la première fois que je suis confronté à cette étrange condamnation de personnes brûlant des bûches de bois. Ce qui peut être fait? Ces gens ont peut-être de bonnes intentions, mais ils subissent un lavage de cerveau. Le bois est une ressource renouvelable, mais à Dieu ne plaise, le guerrier du climat voit quiconque brûler du bois dans un poêle pour se réchauffer en hiver, même dans les zones rurales. En pensant aux émissions de gaz carbonique (carbone), cet écologiste induit en erreur s'est presque spontanément réduit en cendres.

    Quelques semaines, pendant que j'écrivais un autre livre, j'ai séjourné temporairement dans ce qu'on appelle en Irlande un hébergement « bed and breakfast ». Il appartenait à une femme qui s'est avérée être encore plus une âme trompée / une « fanatique du gaz carbonique ». Certes, « ne gaspillez pas » est un truisme traditionnel », mais après avoir continuellement parlé des émissions de gaz carbonique et fustigeant quiconque gaspille de petites quantités d'électricité en n'éteignant pas immédiatement les petits appareils, l'hypocrite Loonytune s'est ensuite envolé pour la Suisse à bord d'un gaz carbonique , et il s'est avéré qu'il avait récemment visité l'Australie. Une telle hypocrisie légitime semble se produire parmi certains des « guerriers du climat » et des politiciens « verts » trompés, alors qu'ils fustigent les peuples du monde pour leurs émissions de gaz carbonique et pourtant ils sautent à bord d'un avion émettant du gaz carbonique pour se rendre aux dernières nouvelles. conférence sur le climat et crier encore plus de bêtises comme celles de Greta Thunberg en herbe.

    RépondreSupprimer
  31. Le fanatique du gaz carbonique à son retour de Suisse a découvert que j'avais négligé d'éteindre un routeur Internet dans la propriété alors qu'il n'était pas utilisé. La connexion se faisait via un câble Ethernet avec le WIFI « désactivé » et consommait une très petite quantité d'électricité, mais cette découverte a amené cette âme en détresse à me crier dessus que j'étais « un gaspilleur d'énergie ! ». Pendant ce temps, elle chauffait sa maison à l'électricité (aucun poêle à bois n'était autorisé) et se déplaçait dans une voiture électrique qui consommait beaucoup d'électricité – fière par ignorance d'avoir « sauvé la planète d'une catastrophe climatique ». Ce qui peut être fait? Il faut savoir que les voitures électriques constituent en réalité une utilisation « gaspillée » ou inefficace de l'énergie, car la conversion des combustibles fossiles en électricité implique une perte d'énergie importante – l'efficacité énergétique « du puits au réservoir » a été estimée à environ 37%. Si cette personne conduisait une voiture essence ou diesel, ce serait un moyen de transport plus économe en énergie. Sans parler des vastes quantités de pollution réelle des systèmes terrestres, atmosphériques et aquatiques qui se produisent via l’exploitation industrielle et le traitement des métaux des terres rares pour la production de millions de grosses batteries pour voitures électriques !

    Tandis que j'éprouvais une certaine compassion pour cette âme en détresse qui semblait vivre dans une impasse mentale, je réalisais qu'il était inutile d'essayer de convaincre cette fanatique de son illusion ou qu'elle était victime de la propagande corporative et politique. Je me suis rendu compte que la pauvre femme souffrait de « folie climatique » et qu’elle ne ferait pas la différence entre la « vraie durabilité » et la « marque de durabilité politique de l’ONU » si elle était frappée à la tête par le poids d’une voiture électrique. batterie. La triste réalité est que peu de gens ont accès à des informations fiables sur le sujet climatique, ou ont le temps ou la capacité de procéder à une analyse mathématique ou scientifique indépendante. La majeure partie de la population semble se contenter de ce que le gouvernement, les Nations Unies et la télévision leur disent de faire. Ici, j’inclus également des personnes travaillant pour des organisations dites de développement durable et des agences gouvernementales du monde entier qui promeuvent le faux récit selon lequel les émissions de gaz carbonique et de méthane sont à l’origine du changement climatique, par exemple la Sustainable Energy Association of Ireland.

    Ce qui peut être fait? Vous ne pouvez pas réveiller une personne qui fait semblant de dormir et vous ne pouvez pas débloquer le lavage de cerveau d'une personne ayant subi un lavage de cerveau simplement en lui disant qu'elle a tort. C’est la folie que nous vivons actuellement. Peut-être avons-nous besoin d'un nouveau type d'asile psychiatrique – un asile pour les personnes « dérangées par le climat » avec des images de moulins à vent sur les murs pour garder les patients calmes. D'accord, je plaisante bien sûr, mais ça semble devenir de plus en plus fou là-bas.

    RépondreSupprimer
  32. De faux écologistes dans les voitures électriques – des ventouses pour la publicité des méga-entreprises
    Les publicités télévisées montrent des gens souriants et beaux qui courent dans des voitures électriques aérodynamiques, semblables à des héros fringants sauvant la planète d'une destruction imminente induite par le gaz carbonique. Cependant, les gens qui ont acheté ces nouvelles voitures électriques avec la fausse impression qu’elles « sauvent le monde » ont été trompés. Ils sont de malheureuses victimes d’un marketing d’entreprise émotionnel et bien conçu et de politiques politiques trompeuses qui ne sont pas du tout respectueuses de l’environnement. Par exemple, la fabrication de millions de batteries de voitures électriques nécessite d’énormes opérations minières pour acquérir et raffiner de grandes quantités de métaux des terres rares, tels que le lithium, le rhodium et le cobalt.

    De plus, ces métaux doivent être extraits du sol à l’aide de machines propulsées par des véhicules émettant du carbone et alimentés au diesel ou à l’essence. Plus important encore, les processus d'extraction et de raffinage peuvent provoquer une pollution importante et étendue des systèmes terrestres, atmosphériques et aquatiques, par exemple dans les zones rurales de Chine et de Mongolie[2]. De plus, ces métaux des terres rares constituent une ressource limitée. Contrairement au faux programme gaz carbonique/carbone, il s’agit là de véritables problèmes environnementaux.

    En outre, les voitures électriques fonctionnent toujours à l’électricité produite à partir de combustibles fossiles et continueront probablement de le faire. Malgré des décennies de subventions gouvernementales, l'énergie éolienne fournit moins de 5 % de l'énergie mondiale, et l'énergie solaire seulement 1 %. L’utilisation de l’électricité pour recharger des véhicules et des appareils constitue également une utilisation extrêmement inefficace de l’énergie, selon une étude de l’Association européenne des véhicules électriques à batterie commandée par la Commission européenne (CE) :

    « L'efficacité énergétique 'Well-to-Tank' (depuis la source d'énergie primaire jusqu'à la prise électrique), en tenant compte de l'énergie consommée par la production et la distribution de l'électricité, est estimée à environ 37 %.»

    Compte tenu de l’efficacité du puits au réservoir et du fait que l’électricité est principalement produite à partir de combustibles fossiles, la voiture électrique peut en fait consommer plus de combustibles fossiles qu’une voiture diesel ou essence traditionnelle ! Par conséquent, ceux qui achètent des voitures électriques dans la conviction de sauver la planète sont de malheureuses victimes de la publicité des grandes entreprises, des médias appartenant aux grandes entreprises, de l’écoblanchiment des entreprises et de la politique de l’écoblanchiment.

    Combien sont réellement préoccupés par la Terre de Dieu ? et combien sont en réalité des consuméristes enragés, dépendants du respect de leurs voisins et des normes sociales créées par les méga-entreprises et les institutions politiques de la mondialisation ?

    Combien de membres de la brigade des voitures électriques pensent aux dommages environnementaux causés par l’extraction des métaux des terres rares utilisés dans les batteries des voitures électriques alors qu’ils naviguent en toute bonne justice ?

    RépondreSupprimer
  33. Lorsque je travaillais pour l'environnement des Nations Unies, je me souviens d'une situation en Mongolie dans laquelle les rivières polluées par les sociétés minières auraient causé la mort et la maladie de centaines de personnes utilisant l'eau de ces rivières. Vivant dans un climat de changement climatique / gaz carbonique 'la la land', certains de ces narcissiques crachent même des insultes verbales à l'encontre des personnes qui ne se conforment pas à leur folie idéologique. Ce qui peut être fait?

    En outre, certains environnementalistes semblent avoir adopté la position selon laquelle « même si le changement climatique n’est pas causé par les émissions de gaz carbonique, le programme de réduction du gaz carbonique de l’ONU est toujours justifié car il mettrait fin au paradigme de la mondialisation destructrice de l’environnement ». Cependant, ce n'est clairement pas le cas, car le programme de réduction des émissions de gaz carbonique de l'ONU est clairement utilisé par l'ONU, les gouvernements et les méga-entreprises pour promouvoir la vente de millions et de millions de véhicules électriques équipés de très grosses batteries, dont la production provoque de grandes quantités de pollution réelle dans les systèmes terrestres, atmosphériques et aquatiques . L’ONU elle-même a été un bastion d’une mondialisation destructrice de l’environnement depuis sa création – comme d’autres commentateurs l’ont mentionné, elle est désormais simplement « une mondialisation peinte en vert ».

    L’énergie éolienne, c’est beaucoup d’air chaud

    En ce qui concerne l'énergie éolienne, je note l'analyse du professeur David MacKay (1967 – 2016), ancien professeur Regius d'ingénierie à l'Université de Cambridge et ancien conseiller scientifique en chef du ministère britannique de l'Énergie et du Changement climatique, dans son livre Sustainable Energy without Hot Air[ 3]. Son analyse montre qu'une superficie deux fois plus grande que l'ensemble du Pays de Galles devrait être entièrement couverte d'éoliennes pour répondre à la demande énergétique du Royaume-Uni, sur la base de la consommation moyenne d'énergie par personne. Voici un extrait important de son livre :

    « … les parcs éoliens offshore, qui, remplissant une zone maritime deux fois plus grande que le Pays de Galles, fourniraient en moyenne 50 kWh/j supplémentaires par personne. Un tel lambris immense du paysage et le remplissage des mers britanniques avec des éoliennes (ayant une capacité cinq fois supérieure à toutes les éoliennes du monde aujourd'hui) pourraient être possibles selon les lois de la physique, mais le public accepterait-il et paierait-il pour cela ? des arrangements aussi extrêmes ? Si nous répondons non, nous sommes obligés de conclure que la consommation actuelle ne sera jamais satisfaite par les énergies renouvelables britanniques. "

    RépondreSupprimer
  34. « Soyons réalistes. Quelle fraction du pays [le Royaume-Uni] pouvons-nous vraiment imaginer recouvrir de moulins à vent ? Peut-être 10 % ?.. si nous couvrions les 10 % du pays les plus venteux avec des éoliennes (délivrant 2 W/m2), nous serions capables de générer 20 kWh/j par personne, soit la moitié de l'énergie utilisée par une conduite moyenne. voiture à énergie fossile 50 km par jour… Je dois souligner à quel point je fais une hypothèse généreuse. Comparons cette estimation du potentiel éolien britannique avec l'énergie éolienne actuellement installée dans le monde. Les éoliennes qui seraient nécessaires pour fournir au Royaume-Uni 20 kWh/j par personne représentent 50 fois le parc éolien total du Danemark ; 7 fois tous les parcs éoliens d'Allemagne ; et doubler la flotte totale de toutes les éoliennes dans le monde »

    « La capacité d’énergie solaire requise pour fournir ces 50 kWh par jour et par personne au Royaume-Uni est plus de 100 fois supérieure à celle du photovoltaïque dans le monde entier… aujourd’hui, l’électricité produite par des parcs solaires serait quatre fois plus chère que le prix du marché… pavage 5 Le pourcentage de la superficie du Royaume-Uni équipée de panneaux solaires semble au-delà des limites de la plausibilité à bien des égards. Si nous envisageions sérieusement de faire une telle chose, il serait probablement préférable d'installer les panneaux dans un pays deux fois plus ensoleillé et de renvoyer une partie de l'énergie chez nous par des lignes électriques.»

    D'après l'analyse du professeur MacKay, compter uniquement sur les énergies renouvelables éoliennes ou solaires pour le Royaume-Uni est une folie mathématique, problématique et invraisemblable. Cependant, bien entendu, la plupart des hommes politiques nationaux ne sont ni des analystes de l’énergie ni des mathématiciens. Ils se fient naïvement à ce que leurs économistes et conseillers leur disent et s’accrochent à ces conseils comme s’il s’agissait d’un ours en peluche d’enfance. C’est une erreur car la réalité choquante et bizarre est que la plupart des économistes semblent n’avoir aucune compréhension ou connaissance de l’énergie renvoyée sur l’énergie investie (EROEI). La plupart des économistes et des décideurs politiques se laissent tromper par leur propre pseudo-science de l’économie contemporaine et ne comprennent pas que l’économie fonctionne grâce à l’énergie et aux ressources – et non à l’argent ! La création de grandes quantités de monnaie électronique ou papier à partir de rien ne résoudra pas le problème énergétique. Il faut de grandes quantités d’énergie fossile pour construire une infrastructure de production d’énergie renouvelable.

    « Ces objectifs de développement durable [de l’ONU] mènent tous vers un programme vert, un capitalisme peint en vert, à un coût effroyable pour l’humanité et pour les ressources mondiales. Mais cela est vendu sous le label de la création d’un monde plus durable… Ils semblent ignorer l’énorme utilisation des combustibles fossiles pour se convertir à une économie axée sur l’énergie verte. »- Peter Koenig, ancien analyste à la Banque mondiale

    RépondreSupprimer
  35. Dans un enregistrement vidéo[4], Hunt a ensuite fourni des preuves importantes tirées des documents de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement (CNUED), à Rio de Janeiro, Brésil, du 3 au 14 juin 1992. Cette conférence était la célèbre Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement. 92 Sommet de la Terre et était dirigé par la CNUED. Selon Hunt, via le sommet de la Terre, l'ONU était en train de tendre un filet, un programme, pour remettre entre leurs mains le pouvoir sur la Terre et ses habitants. Hunt fait référence à ces familles bancaires et à leurs réseaux financiers et institutionnels internationaux comme suit :

    « Le même ordre mondial qui a trompé les pays du tiers monde pour qu’ils empruntent des fonds et accumulent d’énormes dettes… et qui ont délibérément créé la guerre et la dette pour mettre les sociétés sous leur contrôle. Les gens de l’ordre mondial ne sont pas un groupe de personnes sympathiques… » – George Hunt, lanceur d’alerte, parlant du sommet de la Terre des Nations Unies de 1992.

    - voir clip sur site -

    À la suite du Sommet de la Terre des Nations Unies, le véritable mouvement environnemental , qui se préoccupait réellement de la pollution réelle de la terre, de l’air et de l’eau, a été politiquement détourné par de puissants intérêts politiques et financiers ayant un agenda différent.

    Maurice Strong, fonctionnaire de l'ONU et employé des trusts Rockefeller et Rothschild, avait convoqué le premier congrès de la CNUED à Stockholm, en Suède, en 1972. Puis, 20 ans plus tard, il en était l'organisateur et le secrétaire général. Hunt a également fourni une preuve vidéo de la réunion du quatrième Congrès mondial de la CNUED en 1987 d'un banquier d'investissement international, déclarant que :

    «Je suggère donc que cela ne soit pas vendu par le biais d'un processus démocratique qui prendrait trop de temps et nécessiterait beaucoup trop de fonds pour éduquer la chair à canon qui, malheureusement, peuple la Terre. Nous devons adopter un programme presque élitiste… »

    Ainsi, les décrets qui ont conduit au sommet de la Terre de l’ONU en 1992 ont été dictés sans débat ni possibilité de dissidence et remplaceraient les lois nationales. Les décrets ont été dictés par le banquier Edmund de Rothschild, qui a intégré ces décrets majeurs dans les résolutions de l'ONU de 1992 sans débat ni contestation.

    Hunt affirme que le président de la réunion lui a refusé la possibilité de contester ouvertement les remarques de Rothschild ; et décrit que la banque Rothschild de Genève est le noyau de la banque mondiale pour la conservation et que l'élite riche est intégrée dans la banque via l'offre privée d'actions des Rothschild.

    bonne création

    *

    RépondreSupprimer
  36. Mark Gerard Keenan est un ancien scientifique du Département de l'énergie et du changement climatique du gouvernement britannique et de la Division de l'environnement des Nations Unies. Il est l'auteur des livres suivants :

    Moon Landing 2023 – Science ou science-fiction ?
    Fausse science impie
    Dépasser la tromperie du changement climatique vers une véritable durabilité
    Canular climatique sur le gaz carbonique – Comment les banquiers ont détourné le véritable mouvement environnemental
    Pas de soucis, pas de virus
    L’économie démoniaque et les astuces des banquiers
    Remarques

    [1] L'URL du site Web du Forum irlandais sur la science du climat est www.icsf.ie

    [2] Source : https://www.theguardian.com/environment/2012/aug/07/china-rare-earth-village-pollution

    [3] Le livre « Sustainable Energy without Hot Air » du professeur David MacKay, professeur Regius d'ingénierie à l'université de Cambridge et ancien conseiller scientifique en chef du ministère britannique de l'Énergie et du Changement climatique, est disponible gratuitement sur : https:// withouthotair .com/

    [4] Source : https://www.youtube.com/watch?v=RqlFGQQ-lTI

    https://www.globalresearch.ca/climate-change-mental-asylum-co2-fanatics-suffering-ideological-insanity/5841012

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Écologiste: définition: Celle ou celui qui veut faire école sans être professeur ni instituteur ou sans y être allé elle-même ou lui-même. !

      Personnellement je dirais trisomique.

      Supprimer
  37. Comment organiser le marché français de l’électricité, au bénéfice des consommateurs dans le cadre de l’Union européenne

    Cet article montre comment il est possible d’organiser le marché français de l’électricité dans le cadre européen, afin que les consommateurs aient des factures basées sur les coûts de production des sources bas-carbone, et non indexées sur le coût de production au gaz.


    le 23 novembre 2023
    François Henimann


    Dans un premier article, nous avons évalué les réponses apportées par le projet de réforme des marchés de l’électricité approuvée par le Conseil européen le 17 octobre dernier, à la flambée des prix du gaz et de l’électricité depuis l’automne 2021.

    Cet article montre comment, en s’appuyant sur une solution optimisée du financement des très lourds investissements qu’il faut faire pour maintenir et développer le parc nucléaire centralisé, il est possible d’organiser le marché français de l’électricité dans le cadre européen, avec une concurrence organisée entre producteurs pour les autres moyens de production, et entre fournisseurs sur le marché en aval, afin que les consommateurs français, particuliers et entreprises, retrouvent des factures basées pour l’essentiel sur les coûts de production des sources bas-carbone, et non indexées sur le coût marginal de production au gaz.

    Nota : les coûts et les prix sont exprimés en euro 2022 pour les évaluations prospectives, et en euros courants pour les études antérieures citées en référence.

    En France, le nucléaire est le socle de la production d’électricité, et a vocation à le rester
    Avec une capacité de production annuelle de 380 à 400 TWh (après résolution du défaut générique de corrosion sous contrainte et démarrage de l’EPR de Flamanville), le parc nucléaire d’EDF représente environ 70 % de la production d’électricité française (540 TWh).

    Même si cette proportion diminuera progressivement avec la progression des sources d’électricité renouvelables et l’augmentation des besoins en électricité résultant du remplacement de sources d’énergie fossile, la production d’électricité nucléaire du parc centralisé a vocation à rester de façon pérenne au-dessus de 50 %, pour autant que les conditions économiques et industrielles permettant le renouvellement du parc soient mises en place et maintenues dans le temps long.

    Pourquoi le dispositif existant (ARENH) est-il défaillant, et a-t-il mis EDF en grande difficulté ?
    Pour assurer le libre choix du fournisseur, tout en faisant bénéficier l’ensemble des consommateurs de la compétitivité du parc nucléaire français, la loi NOME de 2010 a institué un Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire produite par le parc historique d’EDF (ARENH) aux opérateurs fournissant de l’électricité aux consommateurs finaux du territoire métropolitain français, ainsi qu’aux gestionnaires de réseau pour couvrir leurs pertes.

    RépondreSupprimer
  38. Ce dispositif, institué jusqu’au 31 décembre 2025, devait procurer un accès ARENH à des conditions économiques équivalentes à celles résultant pour EDF de l’utilisation de ses centrales nucléaires.

    À cet effet, le prix devait être réévalué chaque année sur proposition de la Commission de Régulation de l’Energie (CRE), et intégrer :

    la rémunération des capitaux, prenant en compte la nature de l’activité,
    les coûts d’exploitation,
    les coûts d’investissement de maintenance nécessaires à l’extension de la durée d’autorisation d’exploitation.

    De plus, le gouvernement devait présenter aux termes de la loi, tous les 5 ans, un rapport d’évaluation du dispositif, pouvant notamment proposer, sur la base de la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE), de « prendre progressivement en compte dans le prix de l’électricité pour les consommateurs finals les coûts de développement de nouvelles capacités de production d’électricité de base, et de mettre en place un dispositif spécifique permettant de garantir la constitution des moyens financiers appropriés pour engager le renouvellement du parc nucléaire ».

    La loi NOME n’a pas été appliquée correctement depuis 2012

    Le prix de l’ARENH a été fixé à 42 €/MWh en 2012, et n’a jamais fait l’objet d’une réévaluation, malgré le plan d’investissement (« grand carénage ») qui a été engagé pour la sécurisation post Fukushima et la prolongation de la durée d’exploitation des réacteurs au-delà de 40 ans. Ce plan représente de manière pérenne un investissement de 5 milliards d’euros par an, comme l’a indiqué Luc Rémont, PDG d’EDF, lors de son audition au Sénat le 8 novembre dernier.

    Le gouvernement français n’a jamais présenté devant le Parlement les évaluations du dispositif prévues par la loi, et il a fallu attendre que la Commission d’enquête parlementaire sur la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France en mars 2023 se saisisse du sujet pour mettre en lumière ces errements.

    EDF commercialise annuellement de l’ordre de 270 TWh d’électricité nucléaire sur la base du prix de l’ARENH : 130 TWh directement à ses concurrents et aux gestionnaires de réseau, et 140 TWh via le Tarif Régulé de Vente d’Electricité (TRVE) et les offres de marché. Le prix de l’ARENH avait été évalué par la CRE en 2020 à environ 50 €/MWh, et en juillet 2023 dans un rapport demandé par le gouvernement, le coût du MWh nucléaire pour la période 2026-2030 est évalué à 60,7 € 2022, dont 2,5 € dus à l’intégration de l’EPR de Flamanville dans le parc : on peut donc estimer le vrai prix de l’ARENH actuel aux environs de 58 €/MWh.

    RépondreSupprimer
  39. S’il est difficile de reconstituer la perte de cash flow globale d’EDF depuis 2012, on notera qu’une sous-évaluation de 10 €/MWh induit une perte annuelle de l’ordre de 2,7 milliards.

    Dans son audition, Luc Rémont avait donc raison de déclarer « qu’un système dans lequel EDF doit vendre deux tiers de sa production au-dessous du coût n’a pas d’avenir ».

    De plus, pour EDF, vis-à-vis des concurrents, l’ARENH est un dispositif asymétrique : quand les prix du marché sont bas, les concurrents s’approvisionnent sur le marché et laissent EDF commercialiser son électricité nucléaire, mais quand les prix se redressent, comme depuis 2018, ils profitent à plein du dispositif, les demandes ayant atteint 133 TWh en 2019 et 147 TWh en 2020… avant la pandémie covid qui a écroulé la demande en 2020, et conduit les fournisseurs (notamment Total) à dénoncer leur engagement d’enlèvement !

    Le dispositif de l’ARENH appliqué actuellement, est la source principale de l’affaiblissement continu de la capacité d’investissement d’EDF depuis 2012
    Cette situation s’est traduite par un endettement en augmentation année après année, malgré plusieurs recapitalisations.

    Du point de vue de la facture des consommateurs, le plafond d’enlèvement de 100 TWh est devenu insuffisant par rapport au volume d’électricité commercialisé par les concurrents d’EDF, ce qui a conduit la CRE à écrêter les demandes des fournisseurs : la proportion d’électricité nucléaire dans le sourcing des fournisseurs sur le marché et dans le TRVE, qui devrait être de 67 % en 2023, est ainsi seulement de 45 %.

    Cela signifie que, dans le TRVE et dans les prix repère de l’électricité sur le marché B to B publiés par la CRE, 55 % du prix de fourniture dépend du prix de marché de gros, ce qui contribue à aggraver la flambée des prix de l’électricité et le coût budgétaire du bouclier tarifaire, l’« amortisseur nucléaire » n’étant utilisé qu’aux deux tiers de son potentiel. Avec, il est vrai un prix bradé, mais le bilan resterait positif pour les consommateurs et les finances publiques avec un prix de l’ARENH réévalué assorti d’un déplafonnement.

    Un dispositif de prix régulé garanti à long terme par l’État est la solution optimale de financement des investissements de maintien et de renouvellement du parc nucléaire
    Pour les réacteurs centralisés de type EPR, l’industrie nucléaire est une industrie très capitalistique et de très long terme : le coût de l’électricité produite par un EPR, à calendrier et coûts de construction respectés, dépend principalement du coût moyen pondéré du capital investi (CMPC), en raison des délais de construction avant début de production, et de la durée de vie de l’équipement (60 ans à 80 ans).

    RépondreSupprimer
  40. Le rapport du gouvernement sur le nouveau nucléaire publié début 2022 évalue ainsi le coût de production pour les EPR2 à 60 €/MWh avec un coût du capital de 4 %, et à 100 €/MWh avec un coût du capital de 7 %.

    Cette évaluation du gouvernement est confirmée par l’expérience britannique du financement des EPR construits par EDF Energy : la première paire est financée par un Contrat pour Différence (CFD) d’une durée de 35 ans, avec un prix du MWh garanti par l’Etat UK de 96 £ (environ 115 €), qui reflète un CMPC de l’ordre de 10 %.

    Cette valeur du CMPC s’explique par le fait que, si le risque de marché est couvert, le risque projet (dérive des coûts et délais de construction, investissements lourds de maintenance en cours d’exploitation, comme pour réparer le défaut générique de corrosion sous contrainte apparu fin 2021), n’est pas couvert. Dans ce schéma, aucun risque n’est pris en charge par le contribuable ou le consommateur, mais la contrepartie est un prix de l’électricité élevé.

    C’est pourquoi pour la deuxième paire d’EPR, le gouvernement britannique négocie un schéma de financement de « Base d’Actifs Régulée » (BAR) qui permet de réduire le coût du capital, donc le coût de l’électricité qui sera produite. Dans ce schéma, le prix de l’électricité défini par le régulateur couvre les charges opérationnelles, ainsi qu’une rémunération de la base d’actifs dès la phase de construction, l’État apporte sa garantie sur la pérennité du dispositif, et les surcoûts par rapport à un coût cible sont reportés sur les consommateurs, jusqu’à un plafond.

    En 2019, le site Econpapers indiquait que ce schéma permet d’obtenir des financements attractifs de la part d’investisseurs institutionnels (fonds de pension,…), avec un CMPC de 3,5 % conduisant à un prix de l’électricité pendant la phase de production du MWh de 53 £ (64 €), avec un risque de dérapage relativement maîtrisé : 64 £ (77 €) avec un surcoût de 48 %.

    Un dispositif de prix régulé, réactualisé chaque année, permet donc d’obtenir un financement et un coût de production optimisé, le risque projet étant transféré sur la communauté des consommateurs.

    En résumé, on peut retenir qu’un financement du parc nucléaire centralisé par un dispositif de prix régulé permettant de couvrir les coûts opérationnels et les coûts d’investissement, aussi bien pour la prolongation de la durée d’exploitation des réacteurs existants (5 milliards d’euros/an), que pour la construction du programme EPR2 (6 à 10 milliards/an selon l’ambition retenue dans la future stratégie énergétique française), permettrait d’obtenir un financement avec un CMPC de 4 à 5 %, et un Prix Régulé de l’Electricité Nucléaire (PREN) de l’ordre de 60 €/MWh à la mise en place en 2026.

    RépondreSupprimer
  41. Ce prix augmenterait ensuite progressivement, au fur et à mesure des investissements de construction des EPR2, pour atteindre à très long terme (extinction du parc nucléaire historique) le prix objectif du nouveau nucléaire (70 à 90 €/MWh selon les aléas de construction et de maintenance).

    C’est un mode de financement comparable à celui des réseaux d’électricité (TURPE), qui permet depuis plus de 15 ans de financer, de façon optimisée et sans endettement, les investissements d’ENEDIS, qui vont atteindre 5 milliards par an en raison de l’accélération des raccordements de production éolien et solaire selon les indications du PDG d’EDF.

    La vision d’EDF pour la politique commerciale et le financement du nucléaire est tout à fait différente.

    Elle consiste à s’appuyer au maximum sur des instruments de marché de moyen ou long terme : contrats achats directs de long terme avec des industriels, ou des groupements d’industriels tel d’Excelsium, et ruban d’achat à 5 ans mis aux enchères sur le marché moyen terme pour industriels et fournisseurs concurrents. Et le moins possible sur la garantie de l’État via des Contrats pour Différence (CfD), garantissant un prix à long terme, car cela nécessite la négociation d’une aide d’État avec la commission européenne, avec des contreparties à négocier (notamment sur la position commerciale d’EDF, acteur dominant sur le marché français).

    Cette vision principalement « marché » d’EDF conduit à des prix plus élevés du nucléaire pour couvrir les risques : par exemple, prix 70 €/MWh pour le nucléaire historique dès 2026, et probablement au-delà de 100 €/MWh à terme pour couvrir le coût de financement des EPR2.

    Comment commercialiser l’électricité nucléaire produite ?

    Solution 1 : utilisation des outils de long terme prévus dans le projet d’accord européen

    Dans cette solution, la production nucléaire reste localisée dans l’entité de la tête du groupe Activités Production et Commercialisation France, et EDF cherche en priorité à commercialiser l’électricité, d’origine nucléaire ou non nucléaire, sur le marché « B to B », au moyen de contrats d’achat de long terme (10 à 20 ans), ou de rubans d’électricité de moyen terme attribués sur la base d’enchères, à des industriels, ou à des fournisseurs concurrents souhaitent se sourcer en partie par ce moyen.

    RépondreSupprimer
  42. Seul le solde de l’électricité nucléaire produite restant disponible serait commercialisé sur le marché de gros dans le cadre d’un contrat CFD, à un prix cible garanti par l’État, qui correspondrait au prix régulé PREN calculé chaque année par la CRE en fonction de l’évolution des coûts et du montant des investissements : il s’agit donc d’un prix évolutif dans le temps, dont il faudrait faire accepter le principe et le mode de calcul par la Commission européenne (pour prouver l’adéquation aux coûts et l’inexistence d’une aide d’Etat aux entreprises françaises).

    Cette solution présente l’avantage de la manoeuvrabilité pour EDF pour optimiser ses marges, mais présente plusieurs inconvénients :

    la visibilité du prix du nucléaire à long terme n’est que partielle, donc le coût du financement et le coût de production ne seront pas optimum.
    les fournisseurs d’électricité concurrents d’EDF ne pourront avoir accès à l’électricité nucléaire qu’indirectement sur le marché de gros à un prix qui restera influencé par le prix marginal de production au gaz, soit directement auprès d’EDF par des contrats hors marché.
    s’agissant du TRVE, le coût de fourniture devrait dépendre à 100 % d’une acquisition d’électricité sur le marché de gros (voir consultation de la CRE sur le TRVE 2026 en cours)
    de façon pérenne, l’État devra gérer un système de redistribution des sommes remboursées par EDF au titre du contrat CFD (on peut penser que le prix de marché spot sera en moyenne bien supérieur au PREN) vers les clients, probablement de manière indirecte via les fournisseurs sur le modèle du bouclier tarifaire et du dispositif amortisseur de crise.

    De plus, dans cette organisation, EDF est à la fois un acteur dominant par sa taille sur le marché aval, détenu à 100 % par l’État, et le seul pouvant disposer à sa guise de l’électricité nucléaire du parc centralisé, avec un prix partiellement garanti par l’État : cela posera un problème vis-à-vis de l’Autorité de la Concurrence, et de la Commission européenne, qui pose la question de la faisabilité de cette solution.

    C’est pourtant cette solution qui a fait l’objet de l’accord annoncé par EDF et l’Etat.

    Solution 2 : attribution directe de volumes d’électricité nucléaire régulée et adaptation de l’organisation du groupe EDF

    Cette solution consiste à considérer la production d’électricité nucléaire centralisée comme une commodité publique essentielle pour l’économie française, et à sortir du marché les volumes d’électricité de base nucléaire nécessaires pour satisfaire les besoins en électricité des consommateurs, au prorata du volume de production disponible, par rapport à la consommation totale.

    RépondreSupprimer
  43. Elle a le mérite de la simplicité pour injecter directement dans la facture des clients environ 65 % (un peu moins à terme) d’électricité nucléaire à un prix PREN optimisé dans le très long terme, avec une grande visibilité, tout en sécurisant le financement des investissements très lourds et indispensables, en priorité par l’auto-financement de l’opérateur.

    C’est une solution analogue à celle proposé par la Commission Champsaur en 2009, à la source de la loi NOME en vigueur, mais avec des aménagements significatifs issus du retour d’expérience douloureux décrit plus haut :

    l’État s’engage auprès de l’opérateur sur un prix régulé (PREN) garantissant année après année son équilibre économique, comme c’est le cas pour les réseaux d’électricité (TURPE).
    les volumes d’électricité sont sollicités annuellement auprès de la CRE par les fournisseurs sur la base de leur portefeuille clientèle, comme actuellement, mais avec un engagement ferme d’achat (contrat take or pay), l’électricité nucléaire acquise ne pouvant être par ailleurs commercialisée sur le marché de gros.
    en cas de manipulation par un fournisseur, s’il apparait qu’au cours de l’année « n » il a disposé d’un volume trop important d’électricité nucléaire par rapport aux quantités vendues, les volumes attribués l’année « n+1 » seront revus en baisse en conséquence (% d’attribution plus faible que le % théorique).

    Ne seront commercialisés sur le marché de gros que les quantités d’électricité nucléaire produite en excédent et non distribuées dans le cadre de la régulation.

    Afin de rendre cette solution acceptable dans le cadre des traités européens, et des règles de concurrence, il apparait nécessaire d’identifier clairement, et de façon opposable aux tiers, l’activité de production nucléaire centralisée en France (parc historique et renouvellement), par rapport aux autres activités de production et de commercialisation d’électricité du groupe EDF : cela conduit à proposer de filialiser cette activité d’opérateur au sein d’une filiale régulée à gestion indépendante, sur le modèle d’ENEDIS pour les réseaux de distribution.

    EDF fournisseur sollicitera donc auprès de la CRE, au même titre que ses concurrents, un volume d’électricité nucléaire de base pour se sourcer.

    Pour pouvoir appliquer cette solution, il faudra que l’État français négocie pour l’inclure comme possibilité dans l’accord européen sur les marchés de l’électricité, au titre de sa souveraineté. La priorité de la fourniture nucléaire sur le marché français se justifie par le fait que ce sont les consommateurs français qui prennent en charge le risque industriel.

    RépondreSupprimer
  44. Cette solution présente un avantage, car elle libère complètement la liberté d’action d’EDF sur le marché pour la valorisation de ses autres moyens de production, dans un cadre concurrentiel : thermique, éolien, solaire, hydraulique, et dans le futur les petits réacteurs nucléaires modulaires (SMR). Dans ce cadre, les outils de long terme prévus dans le projet d’accord européen seront bien entendu utilisables pour les productions décarbonées.

    EDF conservera bien entendu ses obligations de service public spécifiques : fournisseur de dernier recours, obligation d’achat ENR, fourniture au TRVE sur le marché de détail (tant qu’il est jugé pertinent de la maintenir).

    La structuration du marché français de l’électricité dans la solution proposée
    Cette dernière peut se schématiser de la façon suivante :

    - voir cadre sur site -

    % Sources production Coût de production
    (€2022/MWh)

    Mode de commercialisation (a)
    10 % Gaz – fioul – charbon > 90 (b) Marché de gros spot (c)

    25 % Sources Renouvelables ou bas carbone :

    Eolien terrestre 60 – 95

    Eolien offshore 45 – 150 (e)

    Solaire toiture bâtiments (P < 500 kWc) 70 – 160

    Solaire grands parcs au sol 40

    Hydraulique au fil de l’eau 80

    Hydraulique de barrage et Stations de Pompage (STEP) 110

    Bioénergies

    SMR (dans le futur)


    Obligation Achat (OA) (d)Contrat Achat Long Terme (PPA)
    CFD

    CFD

    Autoconsommation et injection surplus en OA

    PPA et CFD

    Marché de gros (éligible CFD)

    Marché de gros spot (c)

    OA ou CFD

    PPA, « Energy as a Service » (f)

    CFD

    65 % Nucléaire parc centralisé : parc historique, EPR, futurs réacteurs 4ème génération neutrons rapides. 60, en progression dans le temps vers 70-90 Prix Régulé (PREN) en attribution directe et complément CFD sur marché de gros

    RépondreSupprimer
  45. Le fournisseur qui est aussi producteur peut utiliser sa production pour sourcer ses offres sur le marché B to B ou B to C
    Avec un prix du gaz de 30 €/MWh et un prix de carbone de 50 €/tonne eq CO2
    Ce sont les sources marginales pilotables appelées pour assurer la sécurité d’alimentation en temps réel
    En extinction (contrats antérieurs à 2016)
    Hors raccordement (20 €/MWh pris en charge dans le cadre du TURPE). Les 6 premiers parcs (3 GW) sont à un prix d’environ 150 €/MWh
    Le modèle économique de la société Naarea, qui développe un SMR à neutrons rapides de 40 MW prévoit de conserver la propriété et l’exploitation centralisée du parc, en vendant l’électricité et la chaleur produite au client.

    La concurrence s’exerce librement sur le volume de 35 % hors production nucléaire, les fournisseurs utilisant pour se sourcer le parc de production dans lequel ils ont investi, et en complément l’acquisition sur les marchés de gros à terme et/ou spot, ou des contrats PPA conclus avec des producteurs : c’est une incitation à investir dans des moyens de production, les fournisseurs purs traders auront des difficultés pour rester compétitifs.

    Faut-il conserver le Tarif Régulé de Vente d’Électricité pour les particuliers et les TPE ?
    Ce tarif est toléré à titre transitoire dans le projet d’accord européen (article 53), bien que dans son principe, il s’agit d’une distorsion des règles de marché.

    En période de crise, quand les prix de l’électricité augmentent significativement (marché de gros et de détail) avec un large impact négatif sur l’économie, la Commission peut ouvrir la possibilité d’étendre le prix régulé temporairement aux PME : les prix peuvent être fixés temporairement en-dessous des coûts, à condition de ne pas créer de distorsion de concurrence et que le niveau de prix n’incite pas à accroitre la consommation. Les fournisseurs sont indemnisés (bouclier tarifaire.)

    Même avec 65 % de prix régulé nucléaire, le calcul du TRVE restera inflationniste, car le volume de 35% évalué au prix de marché selon le mode de calcul de la CRE (principe de « contestabilité » permettant à un fournisseur « pur trader » de faire une offre compétitive par rapport au TRVE) le sera à un prix qui sera probablement durablement supérieur au coût moyen des sources de production en France.

    La question du maintien du TRVE se pose, mais elle est politiquement sensible : il pourrait donc être maintenu, et utilisé comme tarif de dernier recours par EDF en cas de défaillance d’un fournisseur.

    Mais la compétition sur le marché de détail devrait a priori se faire à des niveaux sensiblement inférieurs au tarif (le niveau actuel du TRVE intègre un coût de fourniture moyen de 110 €/MWh, après l’augmentation de 10 % au 1er août 2023.

    https://www.contrepoints.org/2023/11/23/467434-comment-organiser-le-marche-francais-de-lelectricite-au-benefice-des-consommateurs-dans-le-cadre-de-lunion-europeenne

    RépondreSupprimer
  46. Le gouvernement australien investit énormément d’argent dans les énergies renouvelables – si gros que le coût est un secret
    Coffre au trésor d'or brillant.


    Par Jo Nova
    November 23rd, 2023


    Le gouvernement australien construit des machines météorologiques magiques avec de grandes sommes d’argent de nos enfants, et il ne nous dit même pas combien cela coûtera. Cher Monsieur, nous sommes là pour réparer la voiture dont vous ignoriez qu'elle était en panne, donnez-nous votre portefeuille ? Nous nous servirons simplement de votre argent et ne vous dirons pas ce que cela coûte, d'accord ? (Ça doit coûter une fortune, parce que si c’était bon marché, on vous le dirait).

    Le gouvernement travailliste a promis des choses impossibles à atteindre Net Zero, et 18 mois plus tard, tout le monde sait que c’est impossible. Les investissements dans les énergies renouvelables sont au point mort, les gens n'achètent pas de véhicules électriques, les agriculteurs ne veulent pas de lignes de transmission, les villes côtières ne veulent pas d'éoliennes, les coûts des projets doublent et triplent, et Florence, la perce-sol, est toujours coincée dans une situation très difficile. trou court qui est censé être long.

    Au lieu de reculer lentement, le Parti travailliste s’est laissé aller à la fée des vœux du Père Noël.
    Juste comme ça – le plan pour 6 gigawatts de générateurs peu fiables deviendra 7, attendez, je veux dire, 32 gigawatts. Ouah.

    Le réseau australien utilise environ 30 gigawatts de production et dispose déjà de 65 gigawatts d’équipements pour la produire. Il a fallu trois générations pour construire et rentabiliser cette énergie, mais nous ajoutons 32 GW cette décennie…

    Chris Bowen joue avec l’argent des contribuables pour atteindre son objectif en matière d’énergies renouvelables
    Geoff Chambers, l'Australien

    Les contribuables garantiront une multiplication par cinq de la nouvelle capacité d’énergies renouvelables soutenue par le gouvernement dans toute l’Australie, alors que Chris Bowen parie sur une intervention spectaculaire sur le marché pour garantir la fiabilité du réseau et atteindre l’objectif ambitieux du parti travailliste de 82 % d’énergies renouvelables d’ici 2030.

    Si le marché ne construit pas des machines de production peu fiables et déficitaires, le gouvernement le fera.

    Ils nous obligent à payer, mais ils ne peuvent même pas nous dire ce que ça coûte :

    Le programme sera étendu de son mandat initial visant à garantir 6 gigawatts de projets d'énergie renouvelable à 32 GW, le coût pour les contribuables étant gardé secret en vertu de dispositions commerciales confidentielles.

    Et avant de vous opposer au massacre des baleines, aux coups d’aigles et à la fauche des forêts, nous allons simplement éliminer les formalités administratives pour les projets industriels massifs :

    RépondreSupprimer
  47. M. Bowen conclura également des accords avec les États et territoires pour accélérer les grands projets d’énergies renouvelables.

    Est-ce le moment où les Verts se rendent compte du monstre qu’ils ont créé ?

    Tout cet argent, pour qu'ils puissent impressionner leurs amis avec des jets privés à l'ONU :

    Avant de participer à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques à Dubaï, M. Bowen a déclaré que le gouvernement prenait des mesures sans précédent en faveur des énergies renouvelables afin d'éviter les coupures de courant et la hausse des prix de l'énergie en raison de la fermeture des centrales au charbon.

    Le nouveau programme s'appelle le programme d'investissement en capacité. Le gouvernement est désormais votre conseiller financier et il choisit les gagnants. Avoir peur.

    https://joannenova.com.au/2023/11/australian-government-throws-giant-pile-of-money-at-renewables-so-big-its-a-secret/

    RépondreSupprimer
  48. Et plus loin de l'agence de presse Xinhua :

    Selon le Centre météorologique national, les températures chuteront de 6 à 10 degrés Celsius entre 8h00 jeudi et 8h00 samedi dans des régions telles que le Gansu, le Ningxia, le Shaanxi, la Mongolie intérieure et le nord-est de la Chine.

    Pendant cette période, les températures dans certaines parties du Heilongjiang et du Liaoning pourraient chuter de plus de 18 degrés Celsius. Vendredi matin, les températures minimales pourraient descendre en dessous de moins 30 degrés Celsius dans certaines régions de Mongolie intérieure et du Heilongjiang.

    La couverture de glace augmente en Antarctique et au Groenland . L'Arctique continue également de geler, comme l' a appris avec surprise une expédition polaire de l'Institut allemand Wegener.

    Faire des déclarations sur le climat lors d’une visite à Bologne est, comme les préparations corona à ARNm, garanti « sans effets secondaires ». Le climat affecte des périodes plus longues et des régions qui s’étendent sur au moins un hémisphère de la Terre. Le lien entre les conditions météorologiques extrêmes et le climat ne peut être reconnu que sur de longues périodes, mais pas parce qu’il fait sec quelque part ou qu’il pleut abondamment. En fait, les sécheresses , les tornades , les fortes pluies ou d'autres événements météorologiques ont même tendance à diminuer.

    Les données sur les niveaux de neige de l'hiver 2023 dans l'hémisphère sud et tout ce que nous avons vu jusqu'à présent dans l'hémisphère nord ont confirmé le rapport de l'étude de marché Precision Reports selon lequel « le marché mondial des services de déneigement connaîtra une croissance significative au cours de la période de prévision entre 2023 et 2023 ». et 2030."

    https://

    RépondreSupprimer
  49. Une autre crise « bien pire que le Covid », paralysie de l’alimentation électrique, des communications et des transports. Le scénario de « cyberattaque » du FEM

    WEF : « Il y aura une autre crise. Elle sera plus importante. Elle sera plus rapide que ce que nous avons vu avec le COVID »


    Par le professeur Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale,
    22 novembre 2023


    Introduction et mise à jour de l'auteur
    Le Forum économique mondial (WEF), qui représente les élites financières occidentales, a joué un rôle clé dans le lancement du confinement du 11 mars 2020, propice à un processus mondial de chaos économique et social. Il a également joué un rôle clé dans le lancement du vaccin Covid-19 en novembre 2020, qui (amplement documenté) a été propice (dans le monde entier) à une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité .

    Et maintenant, ils nous « promettent » une crise « bien pire que celle du Covid ».

    Depuis plus de trois ans, le déclenchement délibéré du chaos fait désormais partie d’un programme vaste et complexe :

    la guerre en Ukraine,
    la hausse des prix de l'énergie,
    le déclenchement de faillites,
    l'effondrement de l'activité économique,
    pauvreté, famine et désespoir généralisés.

    Au cours des récents développements, Washington a approuvé le génocide perpétré par Israël contre le peuple palestinien, associé au programme militaire en cours entre les États-Unis, l'OTAN et Israël contre l'ensemble du Moyen-Orient.

    Cyber-attaques
    L’article ci-dessous se concentre sur les dangers imminents de la cyberguerre, déjà annoncés par le Forum économique mondial (WEF).

    En 2021, le WEF a mené une simulation de cyberattaques impliquant un scénario de paralysie de l'alimentation électrique, des communications, des transports et d'Internet.

    Klaus Schwab a laissé entendre sans équivoque, sur la base d'un « scénario simulé », qu'une cyberattaque :

    « Cela pourrait entraîner un arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des services hospitaliers, de notre société dans son ensemble …

    La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure.» (c'est nous qui soulignons)

    Qu’est-ce que Schwab a dans sa manche ?

    Une « attaque cyberterroriste » propice à des perturbations sans précédent ? Est-ce quelque chose que nous devrions prendre au sérieux ?

    RépondreSupprimer
  50. Une campagne de peur renouvelée, un avertissement d’un danger imminent ? Selon les mots de Jeremy Jurgens , directeur général du WEF :

    «Je crois qu'il y aura une autre crise. Ce sera plus significatif. Ce sera plus rapide que ce que nous avons vu avec la COVID . L’impact sera plus important et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus importantes. » (c'est nous qui soulignons)

    Le scénario de simulation de cyberpolygone du FEM 2021 avait une orientation géopolitique « contradictoire » évidente :

    L'événement était présidé par le Premier ministre russe Mikhaïl Mishustin et de nombreuses institutions financières, médias et entités de communication russes avaient été invités par le WEF.

    Quarante-huit pays ont participé à l'événement, il y avait 41 partenaires, dont 10 de Russie et du Kazakhstan : parmi eux figuraient l'agence de presse TASS, NTV , la Sberbank , la plus grande banque de Russie et une institution financière mondiale de premier plan, le groupe Mail.ru , la plus grande banque de Russie. fournisseur d'accès Internet, MTS, premier groupe de télécommunications de Russie, Département juridique de l'État de la région d'Omsk , Sibérie. Institutions financières bancaires puissantes du Kazakhstan. Entre autres.

    Voir également les hypothèses du programme de formation , qui reposent sur les cyberpirates terroristes.

    Abondamment documenté, le Forum économique mondial (FEM) a joué un rôle déterminant dans l’approbation du programme militaire des États-Unis et de l’OTAN concernant l’Ukraine.

    Cet événement Cyber ​​Polygon de juillet 2021 ( qui a eu lieu moins de 8 mois avant le début de la guerre en Ukraine ) avait-il pour objectif de créer des divisions politiques au sein de la Fédération de Russie en établissant des partenariats avec un certain nombre de puissants médias, communications, banques et institutions financières russes ? etc.

    Pas un seul représentant de la République populaire de Chine. La simulation Cyber ​​Polygon (juillet 2021) avait-elle pour objectif de favoriser la confrontation entre la Chine et la Russie ? Les cyberattaques sont-elles envisagées dans le cadre d’un programme militaire mondial ?

    RépondreSupprimer
  51. Le processus de « tout-numérisation »
    En novembre 2023, comme le documente un article de Peter Koenig , les élites financières sont passées de la « simulation de scénarios » à la pure « mise en œuvre » . Ils ont confié à la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) « le rôle de porte-drapeau… de l’assaut meurtrier de la toute-numérisation ».

    Koenig se concentre sur « la destruction d'une société numérique ». » qui pourrait être menée sous la forme d’une cyberattaque mondiale (comme l’a souligné Klaus Schwab dans sa déclaration de 2021) :

    « Si tout autour de nous est géré par des signaux numériques contrôlés par la « Cabale mondialiste » (élites financières), un ou quelques interrupteurs peuvent désactiver nos différents réseaux :

    l'approvisionnement en eau, l'électricité, le gaz, toutes sortes d'énergie, l'approvisionnement alimentaire, les livraisons de carburant, les feux de circulation, tous les transports, toutes les communications, l'argent sur nos comptes, et bien plus encore. (Peter Koenig , 18 novembre 2023)

    "L'enfer est vide et les diables sont tous là". William Shakespeare , « La Tempête », 1623

    Michel Chossudovsky , Global Research, 21 mai 2023, 20 novembre 2023

    ***

    Vous trouverez ci-dessous le texte de mon article de décembre 2021, modifications mineures.

    Introduction
    Le Forum économique mondial (WEF), qui représente les élites financières occidentales, a joué un rôle clé dans le déclenchement du confinement du 11 mars 2020, propice à un processus mondial de chaos économique et social.

    Le WEF pointe désormais du doigt : « une cyberattaque aux caractéristiques de type COVID », qui s’annonce bien plus dévastatrice et chaotique que la pandémie de Covid-19.

    Le « Concept 2021 » du Forum économique mondial. Scénario de cyberpolygone

    Le Forum économique mondial (WEF), qui a co-parrainé l'Event 201, la simulation sur table de la pandémie corona avec John Hopkins et la Fondation Gates en octobre 2019, a été impliqué dans un autre exercice stratégique intitulé Concept 2021. Ce dernier est décrit comme un:

    « initiative internationale de renforcement des capacités visant à accroître la cyber-résilience mondiale ».

    Il ne s'agit pas d'une simulation sur table comparable à l'Event 201.

    L’année dernière, elle s’est déroulée au plus fort du confinement, par vidéoconférence. Cette année, la Conférence 2021 « a discuté des « principaux risques de la numérisation ».

    Les participants au Cyber ​​Polygon Exercise (2020) comprenaient des entreprises de haute technologie, dont IBM, de nombreuses banques et institutions financières, des sociétés Internet, des agences de cybersécurité, des médias d'entreprise et gouvernementaux, des groupes de réflexion, des organismes d'application de la loi, dont Interpol, avec des représentants de 48 pays .

    RépondreSupprimer
  52. Cet exercice s’est révélé un moyen évident d’obtenir des partenaires fiables et de développer des alliances stratégiques. A cet égard, de nombreux représentants de la Russie et des pays de l'ex-Union soviétique, parmi lesquels d'importants intérêts bancaires, sociétés de communication et de médias russes, étaient présents. Au total 42 partenaires. Aucun partenaire corporatif/gouvernemental de Chine n’a participé à la simulation.

    Il y avait également un programme de formation avec 200 équipes de 48 pays. Cyberattaque aux caractéristiques similaires à celles de Covid

    Simulation d'une cyber-attaque. Vers un arrêt complet de l’alimentation électrique, des communications et des transports

    Klaus Schwab, fondateur et directeur exécutif du WEF et architecte de la « Grande Réinitialisation » décrit le scénario de crise comme suit :

    « Le scénario effrayant d’une cyberattaque globale pourrait entraîner un arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des services hospitaliers et de notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure.» (c'est nous qui soulignons)

    Jeremy Jurgens , directeur général du WEF :

    «Je crois qu'il y aura une autre crise. Ce sera plus significatif. Ce sera plus rapide que ce que nous avons vu avec la COVID . L’impact sera plus important et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus importantes. » (c'est nous qui soulignons)

    Les implications de ces « prédictions » audacieuses qui représentent les intérêts de l’establishment financier sont considérables.

    Ce qu’ils décrivent est un scénario de chaos économique et social impliquant la perturbation des systèmes de communication, d’Internet, des transactions financières et monétaires (y compris SWIFT), du réseau électrique, des transports mondiaux, du commerce des matières premières, etc., ainsi que de probables « perturbations géopolitiques ». ».

    La séance d'ouverture (juillet 2021) du Cyber ​​Polygon 2021 a été dirigée (vidéo ci-dessous) par le Premier ministre de la Fédération de Russie Mikhaïl Mishustin en compagnie du directeur général du WEF Klaus Schwab.

    RépondreSupprimer
  53. Selon Mikhaïl Mishustin, Premier ministre de la Fédération de Russie

    « Lutter contre les cybermenaces et assurer notre avenir numérique commun font partie des priorités de chaque gouvernement et de chaque entreprise. … »

    Vidéo. La séance d'ouverture avec le Premier ministre de la Fédération de Russie et Klaus Schwab (juillet 2021).

    - voir sur site -

    Le WEF a suggéré sans équivoque qu’une autre crise économique et sociale mondiale dévastatrice est susceptible de survenir à la suite de la pandémie dite de Covid-19.

    Vidéo : La prochaine crise sera plus grande que le Covid

    Ce scénario est-il une « répétition générale » d’une cyber-crise à venir ?
    La géopolitique de cet exercice est complexe. Alors que la Russie est régulièrement menacée par les États-Unis et l’OTAN, la Fédération de Russie est partenaire de cette initiative du WEF, largement dominée par Wall Street et l’establishment financier occidental.

    Pourquoi la Chine – qui est une alliée de la Russie – a-t-elle été exclue de l’exercice Cyber ​​Polygon ?

    La cyberattaque est classée comme un acte terroriste. Posez-vous la question : qui a les capacités pour mener une telle attaque ?

    Les établissements financiers et bancaires russes ont été activement impliqués dans le scénario cybernétique. L’exercice visait-il à créer des divisions entre la Chine et la Russie ?

    Même s’il est impossible de spéculer, la question doit néanmoins être abordée.

    Et qui sera blâmé si le Cyber ​​Scénario est mis en œuvre ?

    Chaos économique et social provoqué. Cela ne fait-il pas partie d’un projet hégémonique américain ?

    A propos de l'auteur

    *

    RépondreSupprimer
  54. Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d'économie (émérite) à l'Université d'Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

    Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement, en mettant l'accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services ( 1979 , 1983 )

    Il est l'auteur de treize livres, dont The Globalization of Poverty and The New World Order (2003), America's « War on Terrorism » (2005), The Globalization of War, America's Long War against Humanity (2015).

    Il contribue à l'Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la Médaille d'or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d'agression de l'OTAN contre la Yougoslavie. Il peut être contacté à crgeditor@yahoo.com

    https://www.globalresearch.ca/towards-another-devastating-worldwide-crisis-the-wefs-cyber-attack-with-covid-like-characteristics-paralysis-of-the-power-supply-communications-transportation/5764374

    RépondreSupprimer
  55. Visualiser la part de marché des véhicules électriques aux États-Unis


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 23 NOVEMBRE 2023 - 02h30


    Les véhicules électriques constituent un segment en croissance rapide aux États-Unis, mais quelle part de marché ont-ils pris aux voitures à essence traditionnelles ?

    Selon des données récentes du Département américain de l’Énergie, pas grand-chose.

    Dans ce graphique, Marcus Lu et Sabrina Lam de Visual Capitalist visualisent les immatriculations de véhicules légers en 2022, réparties par type de carburant. Il montre que sur les 281 millions de voitures immatriculées au niveau national, les véhicules électriques (EV) et hybrides rechargeables (PHEV) ne représentaient que 1,2 %.

    - voir graph sur site -

    Décomposer les données
    Une distinction importante à faire est que les enregistrements ne sont pas la même chose que les ventes.

    Alors que les ventes représentent le nombre de voitures neuves vendues sur une période donnée, les immatriculations reflètent le nombre de voitures enregistrées auprès du Département des véhicules automobiles (DMV) d'un État.

    En conséquence, les immatriculations incluent à la fois les voitures neuves et les voitures d’occasion qui ont changé de propriétaire. Cela fournit une mesure plus complète des voitures qui circulent sur la route.

    Le tableau suivant montre les données que nous avons utilisées pour créer ce graphique.

    - voir liste sur site -

    Il convient de noter que la catégorie essence comprend également le diesel, le carburant flexible E85 et les véhicules hybrides traditionnels, tandis que les carburants alternatifs comprennent le biodiesel, le gaz naturel, le propane et l’hydrogène.

    Les véhicules classés par le ministère de l’Énergie comme « type de carburant inconnu » ont été exclus.

    RépondreSupprimer
  56. Part de marché des véhicules électriques en hausse

    L’adoption des véhicules électriques aux États-Unis a été relativement lente par rapport à l’UE et à la Chine, même si cela commence à changer à mesure que les constructeurs automobiles lancent davantage de SUV et de camions électriques.

    Selon Cox Automotive, les ventes de véhicules électriques (électriques à batterie complète) aux États-Unis au deuxième trimestre 2023 ont établi un nouveau record de 300 000 unités, soit une augmentation de 48 % par rapport au deuxième trimestre 2022.

    Pour plus de contexte, un total de 800 000 véhicules électriques ont été vendus aux États-Unis tout au long de l’année 2022, en plus des 190 000 PHEV.

    https://www.zerohedge.com/technology/visualizing-ev-market-share-us

    RépondreSupprimer
  57. Le boom du charbon à Pékin est là pour rester


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 23 NOVEMBRE 2023 - 00H05
    Rédigé par Vijay Jayaraj via RealClear Wire,


    Les nouvelles d'installations record de production d'électricité dite renouvelable en Chine ont peut-être éveillé les espoirs de ceux qui soutiennent l'agenda « vert » et sont hostiles aux combustibles fossiles. Cependant, la Chine n’est pas en mesure d’abandonner les hydrocarbures, notamment le charbon.

    Au cours du premier semestre 2023, la Chine a approuvé 52 gigawatts (GW) de nouvelle capacité au charbon, soit plus que toutes les approbations délivrées en 2021. Ces nouvelles approbations s'ajoutent aux 136 GW de capacité au charbon déjà en construction. Ensemble, ces nouvelles usines représentent plus de 67 % de toutes les nouvelles approbations dans le monde.

    Pourquoi la Chine fait-elle cela malgré ses engagements climatiques ? Et que nous réserve l’avenir ?

    Se détourner de Paris, une étape à la fois

    Presque tous les pays ont signé l’accord historique de Paris en 2015, qui fixe des objectifs ambitieux pour maintenir le réchauffement climatique en dessous de 2 degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels. L’hypothèse était que la réduction des émissions de gaz carbonique liées à la combustion de combustibles fossiles mettrait un terme au réchauffement futur considéré comme catastrophique.

    Dans le cadre de cet accord, la Chine, le plus grand émetteur de gaz à 'effet de serre' au monde, a accepté d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2060 et de plafonner ses émissions de gaz carbonique d'ici 2030. Beaucoup ont salué ces promesses, célébrant l'acceptation apparente de la Chine de sa prétendue responsabilité dans la résolution du problème. question climatique.

    Mais ces promesses sont en contradiction avec la réalité. L'économie chinoise repose principalement sur les combustibles fossiles, qui constituent la source d'énergie la plus abordable, la plus abondante et la plus fiable. Avec 159 exajoules, la consommation d’énergie primaire de la Chine en 2022 était la plus élevée au monde et 40 % de plus que celle consommée par les États-Unis, le deuxième utilisateur.

    L’année dernière, 82 % de l’énergie totale consommée par la Chine provenait du charbon, du pétrole et du gaz naturel. L’éolien et le solaire, malgré des investissements importants de Pékin, ne représentaient que 7 % de toute l’énergie consommée en 2022.

    Le charbon reste la pierre angulaire de l'infrastructure énergétique et de la vitalité économique de la Chine. Selon le Bureau national des statistiques de Chine, la consommation de charbon a augmenté de plus de 4 % en 2022. En août 2023, les importations de charbon étaient les plus élevées depuis 2015. La Chine augmente ses importations en provenance de Russie et d'Australie et continue d'augmenter ses importations en provenance d'Indonésie. qui est son principal fournisseur.

    Tsvetana Paraskova de OilPrice.com écrit : « La Chine exploite des quantités record de charbon et importe également des volumes records de charbon alors qu'elle cherche à renforcer sa sécurité énergétique. » Cet appétit croissant pour le charbon est inévitable étant donné l’énorme demande du secteur de l’électricité et de l’industrie en général.

    RépondreSupprimer
  58. Demande des industries pour augmenter la demande de charbon

    Plus d’un milliard de tonnes d’acier brut sont produites chaque année en Chine, ce qui représente plus de la moitié de la production mondiale d’acier. Les industries sidérurgiques chinoises – plus de 90 % d’entre elles – utilisent des procédés à base de charbon.

    Malgré l’introduction en 2021 d’une politique visant à réduire les émissions de gaz carbonique, Pékin n’a pas encore annoncé de plafond pour la production d’acier. S&P Global estime qu’il n’y aura « pas de réduction obligatoire de la production d’acier cette année ». La production d’acier brut en 2023 devrait dépasser les niveaux de 2022.

    Selon le Centre de recherche sur l’énergie et l’air pur, « les entreprises sidérurgiques chinoises investissent massivement dans de nouvelles capacités de production d’acier à base de charbon ». Pour mettre cela en contexte, la Chine approuve chaque année une nouvelle capacité sidérurgique est le double de la capacité totale de l’industrie sidérurgique allemande.

    Comme la fabrication de l’acier, la fabrication du ciment est gourmande en énergie, le charbon représentant jusqu’à 85 % de l’énergie utilisée dans le processus. La Chine est le premier producteur et consommateur mondial de ciment.

    Selon les analystes, « la Chine consomme autant de ciment tous les deux ans que les États-Unis pendant tout le 20e siècle ». La production de ciment devrait encore augmenter dans les années à venir, et la forte demande pourrait perdurer pendant des décennies.

    En bref, la sécurité et la croissance économique de la Chine dépendent de la satisfaction de l’appétit colossal du pays pour les combustibles fossiles. La politique occidentale autour d’une crise climatique inexistante n’y changera rien.

    Vijay Jayaraj est chercheur associé à la gaz carbonique Coalition, Arlington, Virginie. Il est titulaire d’une maîtrise en sciences de l’environnement de l’Université d’East Anglia, au Royaume-Uni.

    https://www.zerohedge.com/political/beijings-coal-boom-here-stay

    RépondreSupprimer
  59. Pour vivre, la plupart des animaux, en ce compris les humains, ont besoin d’oxygène. Celui-ci est produit notamment par les arbres et les végétaux, mais en quantités relativement faibles. La majorité de l’oxygène que nous respirons provient du phytoplancton. Ces minuscules organismes marins utilisent la lumière du soleil et le gaz carbonique atmosphérique pour se nourrir. Ils rejettent en même temps d’importantes quantités d’oxygène. Plus de 75 % de l’oxygène présent dans l’atmosphère provient de ce phytoplancton et donc, du gaz carbonique qu’ils utilisent ! Pas de gaz carbonique, pas de phytoplancton et donc pas assez d’oxygène pour vivre ! À l’inverse de ce que l’on tente d’imprimer dans nos esprits depuis des lustres, les forêts ne sont pas les « poumons » de la Terre, à peine quelques petites alvéoles pulmonaires. Les vrais poumons, ce sont les phytoplanctons !

    Malgré toutes ces qualités vitales à notre survie, le gaz carbonique est devenu la bête noire des climatologues alarmistes de l'IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) et des ONG environnementalistes qui accusent le gaz carbonique produit par l’Homme (uniquement celui-là, bien sûr) d’être responsable de l’augmentation de la « température moyenne » de notre globe depuis le début de l’ère industrielle. Le gaz carbonique est un gaz à « effet de serre » dont la puissance phénoménale de réchauffement est égale à… 1 ! La vapeur d’eau est 10 fois plus puissante et certains fréons plus de 10.000 fois !

    Le problème de cette théorie fumeuse est que depuis plus de 18 ans, la « température moyenne » de notre terre n’a pas augmenté d’un iota ! Durant cette période, plus d’un tiers du gazcarbonique total émis depuis le début de l’ère industrielle a été relâché dans l’atmosphère. Si ce gaz était vraiment responsable d’un quelconque réchauffement climatique anthropique, on s’attendrait à tout le moins à observer une hausse vigoureuse des températures. Rien de tout cela ne se produit. Nada. Comme le disait le grand physicien Richard Feynman : « Lorsque votre théorie, aussi belle et géniale soit-elle, est invalidée par l’expérience, c’est qu’elle est fausse. Il faut s’en débarrasser et en formuler une meilleure. » Exit la théorie de l'IPCC sur le gaz carbonique. Exit le IPCC aussi ? La vraie question reste cependant : pourquoi l'IPCC, l’ONU, de nombreuses ONG, certains politiciens, de grandes compagnies électriques et d’autres veulent-elles à tout prix la peau du gazcarbonique anthropique ? La raison est double : politique et financière (pour changer).

    RépondreSupprimer

  60. Politique parce que de nombreuses organisations, dont l’ONU, ont trouvé dans la lutte contre le changement climatique et donc contre le gaz carbonique un thème unifiant qui leur ouvre la possibilité d’une gouvernance mondiale à laquelle elles aspirent depuis plusieurs générations. Le gaz carbonique est un problème mondial qui ne peut être résolu que par une action mondiale et qui mieux qu’un gouvernement mondial pourrait y pourvoir ? Le document qui sera discuté au prochain sommet du climat à Paris en décembre 2015 n’est rien de moins qu’un pas gigantesque en ce sens. On y trouve même la volonté d’instaurer un tribunal climatique mondial. À quand le rationnement du nombre de respirations quotidiennes par humain ?

    Politique parce que certaines élites occidentales ne veulent pas que les pays émergents quittent leur état de pauvreté et de dépendance actuelles. Ils risqueraient de devenir de nouvelles puissances et leur feraient de l’ombre, voire relégueraient leurs rêves idéologiques à l’arrière-plan. Quel meilleur moyen de ralentir leur développement économique et technologique que de leur proposer d’investir dans la sauvegarde de notre terre commune en utilisant directement des énergies renouvelables et en appliquant les principes du développement durable ? Moyennant finances, bien entendu, via des transferts directs de richesse consentis par les pays « riches ». Ainsi, on maintient les pays émergents dans leur état actuel de précarité, voire on l’accentue, tout en condamnant les pays « riches » à s’appauvrir (le dernier rapport de l'IPCC ( Intergovernmental Panel on Climate Change) préconise expressément la « décroissance », ce concept « scientifique » bien connu, pour les pays riches). Malthus serait fier de ses enfants !

    Financier parce que la gigantesque arnaque du développement durable et de son corollaire, les énergies renouvelables, repose exclusivement sur la peur générée dans le grand public – et continuellement maintenue à grand renfort de publicité dans tous les médias – du réchauffement climatique dû au gaz carbonique produit par l’Homme. C’est cette crainte soigneusement entretenue qui permet aux gouvernements de créer de nouveaux impôts « verts », de financer avec l’argent du contribuable des éoliennes inutiles et d’investir dans des énergies renouvelables aussi ridicules que superflues, emplissant ainsi les poches de certains industriels peu scrupuleux, voire mafieux, avec l’argent des honnêtes citoyens. Quant aux ONG, elles reçoivent maintes subventions pour maintenir cette peur dans l’esprit du public.

    RépondreSupprimer
  61. Les 16 plus gros porte-conteneurs du monde polluent autant que l’ensemble du parc automobile mondial


    mardi 1 décembre 2015


    Savez vous combien de fuel (mazout peu raffiné, riche en rejets toxiques type soufre) un porte-container consomme pour faire le trajet Chine-Europe ramenant des importations de piétre qualité ? À 14 nœuds, le porte-conteneurs consomme 150 tonnes de fuel par jour et, à 24 noeuds, la consommation quotidienne passe à 300 tonnes. En clair, il faut plus de 10.000 tonnes de carburant pour faire un aller-retour entre l’Asie et l’Europe (Le plein est réalisé en une dizaine d’heures à Rotterdam), soit, suivant le prix du pétrole, une facture d’environ 2.5 millions de dollars par voyage !

    On notera que le navire embarque deux types de carburant, l’un dit « High sulfur », utilisé sur la majeure partie de la rotation, et l’autre appelé « Low sulfur », contenant moins de 1.5% de soufre. Ce carburant faiblement sulfuré est imposé par la réglementation dans les eaux d’Europe du nord, à partir d’Ouessant. Plus respectueux de l’environnement, il devrait prochainement être utilisé en Méditerranée.

    Exigeons l’interdiction mondiale du fuel hautement soufré par une réglementation à Copenhague !

    Du 7 au 19 décembre 2009, les États du monde entier se réuniront à Copenhague, au Danemark, pour discuter des politiques à mener afin d’enrayer le réchauffement climatique. À l’occasion de cet événement, une mobilisation internationale visant à faire pression sur les négociateurs est programmée. Des délégations du monde entier iront à Copenhague et organiseront sur place des actions.

    Le transport maritime est responsable de 18 à 30 % de la pollution mondiale par oxyde d’azote et de 9 % de la pollution par oxyde de soufre. Les gouvernements ont sous-estimé les risques sanitaires liés à la pollution du transport maritime. Les moyens de réduire cette pollution existent : une législation renforcée permettrait de sauver des dizaines de milliers de vies chaque année.

    Le journal britannique The Guardian vient de faire état de données confidentielles provenant de l’industrie du transport maritime et basées sur la taille des moteurs et le type de carburant utilisé.

    Selon ces données, les 16 plus gros porte-conteneurs du monde polluent à eux seuls autant que la totalité du parc automobile mondial (estimé à 760 millions de véhicules). Les bateaux de transport utilisent un carburant de basse qualité qui contient environ 2000 fois plus de soufre que le diesel utilisé dans les voitures européenne et américaines. La semaine dernière, le Canada et les États-Unis ont décidé d’instaurer une zone tampon d’émissions réduites le long de la côte américaine. La mise en place d’une telle zone fait suite à une recherche conjointe de l’agence NOAA et de l’Université Boulder du Colorado, selon laquelle la pollution des 90 000 bateaux de commerce à travers le monde (cargos, pétroliers et bateaux de croisière) est responsable de 60 000 morts chaque année, et entraîne des coûts de santé de 330 milliards de dollars.

    RépondreSupprimer
  62. En exigeant une diminution du soufre dans le carburant ainsi qu’une diminution des émissions de particules fines et d’oxyde d’azote, l’agence américaine de protection de l’environnement, estime que l’instauration de la zone d’émissions réduites sauvera plus de 8000 vies chaque année. Des conclusions semblables ont été atteintes au Danemark : chaque année, les émissions du transport maritime coûteraient près de 50 millions de couronnes (env. 11 millions de francs suisses) aux services de santé danois et causeraient la mort prématurée de 1 000 Danois.

    L’Europe a consenti à de nombreux efforts pour réduire les émissions de soufre et d’azote de ses transports terrestres. En revanche, la législation en matière de transport maritime est nettement insuffisante. « La pollution du transport maritime affecte la santé des communautés littorales comme celles de l’intérieur des terres, mais cette pollution reste l’une des parties les moins régulées de notre système de transport » dit James Corbett, professeur à l’Université du Delaware et co-auteur de l’étude qui a convaincu le gouvernement américain de passer à l’acte.

    La technologie existe pour diminuer ces émissions polluantes. Bien que certains pays ont décidé de régler le problème de façon indépendante, peu d’actions ont été entreprises au niveau international. À terme, les bénéfices, notamment au niveau de la santé, devraient pourtant largement surpasser les coûts.

    La pollution maritime en chiffres (cités par le Guardian) les porte-conteneurs géants ont des moteurs de 109 000 chevaux, gros comme un immeuble de 5 étages et qui pèsent 2 300 tonnes. Chaque bateau est censé fonctionner 24 heures par jour, 280 jours par an. Il y a 90 000 bateaux de commerce sur l’océan. Un seul gros bateau peut générer 50 000 tonnes d’oxyde de soufre par année.

    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article11796

    https://huemaurice5.blogspot.com/2015/12/les-16-plus-gros-porte-conteneurs-du.html

    RépondreSupprimer
  63. La vague de froid en Europe va s'intensifier la semaine prochaine alors que les marchés du gaz restent incertains


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 22 NOVEMBRE 2023 - 15H05


    La première vague hivernale en Europe devrait entraîner des températures glaciales de la fin de cette semaine jusqu'au début décembre, augmentant ainsi la demande de chauffage dans les propriétés commerciales et résidentielles alors que les réserves de gaz naturel du continent sont pleines.

    Selon les données de Bloomberg, les températures moyennes dans le nord-ouest de l'Europe commenceront à glisser de 48F (8,8°C) mercredi à 32F (0°C) d'ici le 2 décembre.

    - voir graph sur site -

    Le prévisionniste Maxar Technologies Inc. s'attend à ce que la majeure partie de l'Europe soit plus froide que la moyenne d'ici le 6 décembre.

    #Natgas
    Les températures de Strato se réchauffent alors que la bulle arctique passe d'un cercle compact le 18 novembre à une bulle très concentrée attirant l'air chaud des océans le 29 novembre et se désintégrant, envoyant de l'air polaire au-dessus des continents le 6 décembre. Il fera extrêmement froid en Europe ce week-end. pic.twitter.com/wSOrYmfMvk
    – Heinrich Léopold (@LeopoldHeinrich) 21 novembre 2023

    Un changement rafraîchissant de voir une grande partie de l'Europe sous des anomalies bleues T2m (températures inférieures à la moyenne) à 00z EPS - de ce week-end jusqu'au 7 décembre 🥶. Il fait de plus en plus froid, mais pour combien de temps et si il fera assez froid pour la #neige des plaines britanniques est la grande inconnue pour le moment. pic.twitter.com/G3D9u8vyfc
    – Weather Eye de Nick (@NickJF75) 22 novembre 2023

    Après que le chaos de l’approvisionnement ait propulsé les contrats à terme sur le gaz naturel TTF néerlandais à des niveaux records en 2022, une combinaison de conditions météorologiques douces et de baisse de la demande a fait baisser les prix et a permis à l’UE de remplir le stockage de NatGas. Sur une base saisonnière, les stocks de l'UE ont atteint leur niveau le plus élevé pour cette période de l'année au cours de la dernière décennie.

    - voir graph sur site -

    RépondreSupprimer
  64. Cependant, même si les stocks sont pleins, l'Agence internationale de l'énergie prévient : « De grandes incertitudes demeurent en ce qui concerne la prochaine saison de chauffage ». Une vague de froid sur le continent, un arrêt complet des approvisionnements en gaz naturel en provenance de Russie et des troubles au Moyen-Orient pourraient rapidement déclencher une volatilité sur les marchés de l’énergie.

    Depuis que les prix du TTF NatGas ont culminé à 331 euros le mégawattheure (MWh) en août 2022, les prix ont plongé jusqu'à 23 euros en juin. Depuis, les prix ont augmenté de 85% à 43 euros à l'approche de l'hiver dans l'hémisphère Nord.

    - voir graph sur site -

    Selon Ana Maria Jaller-Makarewicz, analyste énergétique à l'Institut d'économie énergétique et d'analyse financière, les marchés du gaz naturel « deviennent de plus en plus risqués : les prix du gaz et du GNL sont de plus en plus volatils et fortement affectés par des facteurs mondiaux ».

    "L'incertitude des événements futurs qui pourraient affecter l'approvisionnement en gaz rend extrêmement difficile la prévision de la manière dont l'offre et la demande pourraient être équilibrées et dans quelle mesure les prix pourraient augmenter", a-t-elle déclaré, ajoutant : "Comme l'ont montré les événements de l'année dernière en Europe, le seul La façon dont les pays importateurs peuvent atténuer ce risque est de réduire leur consommation intérieure. »

    Les marchés de l'énergie sont actuellement stables. Cependant, un hiver rigoureux dans l’hémisphère Nord pourrait être le catalyseur qui replongerait ces marchés dans la tourmente.

    https://www.zerohedge.com/commodities/cold-blast-across-europe-intensify-next-week-gas-markets-remain-uncertain

    RépondreSupprimer
  65. L’éco-camouflage et le lobby des énergies fossiles : la guerre contre les parcs éoliens


    Par le Dr Binoy Kampmark
    Recherche mondiale,
    23 novembre 2023


    Le lobby des énergies fossiles a connu une année chargée sur le front du camouflage écologique. Plus tôt cette année, l’intérêt a commencé à gronder et à faire rage contre l’échouage des baleines à bosse sur la côte est des États-Unis. Soudainement, les opposants à la technologie des éoliennes – et plus généralement aux technologies renouvelables – ont identifié un lien inestimable, bien que ténu : un lien entre la mortalité des baleines et les parcs éoliens offshore.

    L’un des véritables enthousiastes de cette proposition s’est avéré être Donald Trump . S'exprimant lors d'un rassemblement en Caroline du Sud en septembre, par exemple, le candidat républicain à la présidentielle a suggéré que ces « moulins à vent » rendaient les baleines « folles », leur causant la mort en si grand nombre qu'elles s'échouaient sur le rivage « sur une base hebdomadaire ».

    Une telle technologie fait l’objet d’études frénétiques, et il serait négligent de ne pas mentionner que diverses préoccupations environnementales ont été soulevées. Ceux-ci sont souvent spécifiques aux paramètres régionaux prévus. Il suffit de consulter les récents travaux commandés par le Bureau of Ocean Energy Management, un organisme rattaché au ministère américain de l'Intérieur, pour apprécier la complexité du domaine. Le rapport des Académies nationales des sciences, de l'ingénierie et de la médecine concernait la région de Nantucket Shoals, une zone d'hydrodynamique et d'écologie complexes. Les auteurs reconnaissent que de grandes turbines de la taille prévue pour la région n’ont pas encore été construites dans les eaux américaines et nécessiteraient donc une modélisation approfondie des effets océanographiques, notamment sur les populations de zooplancton dont se nourrissent les baleines.

    Rob Deaville, du programme d'enquête sur les échouages ​​de cétacés de la Zoological Society of London, admet également que des perturbations de la faune marine peuvent survenir lors de la phase de construction des parcs éoliens, en raison de la présence de bruits de percussion. Les animaux tels que les marsouins ou les dauphins « peuvent quitter cette zone pendant que vous installez les parcs éoliens, mais le tableau à plus long terme : dans certaines régions, ils pourraient ne jamais revenir, dans d'autres, ils pourraient revenir en plus grand nombre qu'auparavant. .»

    Une telle observation, quoique prudente, s’accorde différemment avec les allégations de mortalité massive des baleines, qui sont devenues un cheval de bataille pour les opposants aux sources d’énergie renouvelables. Mais regardez derrière ces nouveaux amoureux des baleines, et vous trouverez probablement un lobbyiste passionné des combustibles fossiles, le compte bien rempli du secteur des matières premières, ou ceux qui prônent les mérites de l’énergie nucléaire.

    RépondreSupprimer
  66. Le problème a également traversé le Pacifique jusqu’en Australie, ce grand bastion de la folie des querelles fossiles. Dans l'État de Nouvelle-Galles du Sud, les habitants des régions de Hunter et d'Illawarra se sont réveillés avec des affiches dénonçant les effets nocifs de la technologie des éoliennes. Un panneau d'affichage en bordure de route à Port Stephens, au nord de Newcastle, présentait une baleine échouée sur fond d'éoliennes, arborant les mots « Arrêtez les parcs éoliens offshore de Port Stephens ».

    Des articles de fiction ont également fait des affirmations similaires. L'un d'entre eux, en particulier, aurait été publié dans la revue universitaire Marine Policy , affirmant que les parcs éoliens offshore dans l'Illawarra et Hunter entraîneraient la mort de 400 baleines par an. Le rédacteur en chef déconcerté de la revue, Quentin Hanich, n'a pu trouver aucune preuve de l'étude fantôme avec ses origines présumées à l'Université de Tasmanie, qui avait été partagée sur un groupe Facebook Pas de parc éolien offshore pour l'Illawarra.

    « Nous n’avons jamais reçu ce document imaginaire… Je ne vois aucune preuve que l’étude ait jamais eu lieu. »

    Rien de tout cela ne semble troubler les membres de la Coalition nationale libérale. Le chef de l’opposition fédérale, Peter Dutton , a affirmé , de manière quelque peu erronée, qu’il n’y avait « aucune considération environnementale sur ce que signifieraient ces énormes éoliennes, à 260 à 280 mètres hors de l’eau ».

    Un autre exemple de parlementaire des combustibles fossiles devenu populiste vert est celui du sénateur national du Queensland, Matt Canavan , qui a récemment admis qu'il avait un faible pour ces victimes de cétacés. Mais là encore, il affirme également avoir un penchant pour toutes les gloires de Mère Nature, aujourd'hui confrontée au fléau de la technologie des parcs éoliens. Comme il l'a dit à Sky News, la chaîne préférée des populistes et des réactionnaires,

    "Des quantités massives de parcs éoliens et de panneaux solaires occupent d'énormes quantités de terres [...] détruisent l'habitat des koalas [et ont] un impact considérable sur notre environnement... nous détruisons l'environnement pour essayer de le sauver."

    RépondreSupprimer
  67. Le même sénateur a perturbé toute politique de zéro émission nette de gaz à effet de serre, à la grande consternation de nombreux membres de son propre parti, et pouvait à peine cacher sa joie face à la formulation du communiqué de Glasgow de 2021 sur le changement climatique selon lequel les pays « réduisent progressivement leurs émissions » . » plutôt que « d’éliminer progressivement » la combustion du charbon. Pour Canavan, cela signifiait que la COP26 avait donné le « feu vert » à l’Australie pour continuer à creuser et « fournir au monde plus de charbon parce que c’est ce qui fait sortir les gens de la pauvreté ».

    Cette vague de critiques contre les parcs éoliens a ignoré le fait gênant que presque tous les échouages ​​de baleines à bosse qui faisaient l'objet de préoccupations présentaient des signes de collision avec un navire. En février 2023, la Marine Mammal Commission a publié une déclaration confirmant l’opinion selon laquelle « il n’existe aucune preuve permettant de lier ces échouages ​​au développement de l’énergie éolienne offshore ».

    Ce mois-ci, Greenpeace a publié un article affirmant que « les parcs éoliens offshore ne tuent pas les baleines ». Tout en admettant que la réponse est nuancée, l’étude conclut que « la construction d’énergie éolienne offshore est bien meilleure pour la faune océanique que les combustibles fossiles, en particulier le gaz et le pétrole offshore ». Greenpeace a poursuivi en soulignant qu'aucune étude évaluée par des pairs n'a révélé que les parcs éoliens offshore sont responsables de la mortalité des baleines.

    La plus grande menace pour diverses populations de baleines réside dans la pêche, les collisions avec des navires et les perturbations océaniques résultant du changement climatique. Comme, semble-t-il, ces personnages en éco-camouflage comme Dutton et Canavan, qui continuent de dorloter les entreprises de combustibles fossiles résolues à se lancer dans les explosions sismiques et les forages offshore.

    https://www.globalresearch.ca/eco-camouflage-fossil-fuel-lobby-war-against-wind-farms/5841002

    RépondreSupprimer
  68. Pour la première fois depuis la crise du Covid, il y a plus de baisses de taux mondiaux que de hausses


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 22 NOVEMBRE 2023 - 21:25


    Il y a deux semaines, après que Powell a essentiellement admis que la Fed ne relèverait plus les taux et que la hausse des taux de juillet était la dernière, nous avons rappelé aux lecteurs qu'il s'écoulait en moyenne 8 mois entre la dernière hausse de la Fed et la première baisse des taux, suggérant que le La Fed commencerait à réduire ses taux en mars, ce que le marché a rapidement commencé à intégrer et auquel il attribue actuellement une probabilité d'environ 30 % (et, il y a quelques jours encore, une probabilité de 87 % d'une baisse des taux en mai).

    - voir graph sur site -

    Certes, ce ne serait pas la première fois que le marché anticipait les baisses de taux de la Fed, et comme l'a calculé Jim Reid de DB la semaine dernière, ce serait au moins la septième fois dans ce cycle que les marchés seraient témoins. une réaction claire à un éventuel pivot accommodant.

    Les 6 fois précédentes, ces espoirs ont été anéantis puisque l’inflation est restée trop élevée pour que la Fed se sente à l’aise de réduire ses taux (en supposant, bien sûr, que la Fed n’ait pas discrètement accepté de relever son objectif d’inflation à 3 % ou plus). En effet, l'IPC sous-jacent est supérieur à son objectif de 2 % depuis début 2021, et le graphique à points de la Fed indique toujours une politique plus belliciste par rapport aux prix du marché. De plus, jusqu’à présent, l’histoire constante de ce cycle a été que les marchés ont repoussé le calendrier des futures réductions de taux.

    - voir graph sur site -

    Il est clair que tout cela pourrait changer rapidement si le chômage augmentait ou si l’inflation baissait encore. Mais à la lumière de ce schéma répété, DB a parcouru les sept fois précédentes les spéculations sur un virage accommodant de la Fed. Voici le cliché (rapport complet disponible pour les abonnés pro à l'endroit habituel) :

    7 fois au cours de ce cycle, les marchés ont intégré une trajectoire plus conciliante pour la Fed

    1. Novembre 2023 : La faiblesse des publications de données et une surprise à la baisse de l’IPC amènent les marchés à avancer le prix des réductions de la Fed.
    Réaction : Le S&P 500 a connu un rallye soutenu, y compris sa meilleure performance sur 2 semaines de 2023.
    Jusqu’à présent, le mois de novembre a été marqué par une succession de nouvelles qui ont conduit les investisseurs à anticiper une probabilité croissante de baisses de taux. Au début du mois, l'ISM manufacturier s'est révélé inférieur aux attentes, à 46,7, et le président de la Fed, Powell, a déclaré après la réunion du FOMC que le comité « procédait avec prudence ». Puis, le 3 novembre, le rapport sur l'emploi a montré que le taux de chômage était passé à 3,9 %, le plus élevé depuis janvier 2022. Et hier encore, le 14 novembre, la publication de l'IPC a surpris à la baisse, l'IPC sous-jacent en glissement annuel tombant à un plus bas de deux ans à 4,0 %. À la lumière de cela, les investisseurs ont avancé leurs attentes concernant la première réduction. Par exemple, les chances d'une réduction de 25 points de base par rapport aux niveaux actuels d'ici la réunion de mai sont passées de 8 % au début du mois à 87 % aujourd'hui.

    RépondreSupprimer
  69. 2. Mars 2023 : Les troubles bancaires qui ont suivi l’effondrement de la SVB ont conduit à une anticipation croissante selon laquelle les banques centrales auraient fini de relever leurs taux.
    Réaction : les rendements des bons du Trésor à 2 ans ont chuté de manière significative, passant d'un sommet de 5,07 % le 8 mars à 3,77 % le 24 mars.
    Au plus fort de la crise bancaire en mars, le sentiment était fort, après le relèvement de la Fed en mars, que cela pourrait bien être la dernière décision. En fait, juste après la réunion de mars, les contrats à terme prévoyaient que la Fed aurait réduit ses taux de 49 points de base d'ici la réunion de novembre. Mais en réalité, ils ont augmenté de 50 points de base en novembre, avec de nouvelles hausses en mai et juillet.

    3. Fin septembre/début octobre 2022 : des turbulences majeures sur les marchés centrées sur le Royaume-Uni conduisent les marchés à intégrer de nouvelles baisses de taux pour 2023.
    Réaction : le S&P 500 en hausse de +5,7 % en 2 jours les 3 et 4 octobre, marquant le plus gros rallye sur 2 jours depuis avril 2020.
    L’importante vente croisée d’actifs en septembre 2022 a suscité de plus en plus de rumeurs selon lesquelles quelque chose pourrait être sur le point de se briser sur les marchés financiers, en particulier compte tenu des turbulences centrées sur le Royaume-Uni après le mini-budget. À leur tour, ces craintes ont conduit les marchés à intégrer davantage de baisses de taux pour 2023, favorisant ainsi une brève hausse des actions. Le 3 octobre 2022, les marchés anticipaient que la Fed ne poursuivrait que des hausses de taux supplémentaires de 137 points de base. Mais cette situation s’est rapidement inversée et, le 20 octobre, ils prévoyaient de nouvelles hausses de taux de 194 points de base. En réalité, ils ont depuis procédé à des hausses de taux de 225 points de base à ce jour.

    4. Juillet 2022 : Les craintes d’une récession mondiale et la faiblesse de l’inflation font resurgir les discussions sur un ralentissement des hausses de taux.
    Réaction : le S&P 500 progresse de +9,1 % par rapport à juillet 2022, sa plus forte progression mensuelle depuis l'annonce des vaccins en novembre 2020
    Au début de l’été 2022, les rumeurs d’une récession mondiale imminente se sont multipliées. Les prix du pétrole avaient sensiblement chuté, et le vent favorable de la baisse des prix de l’essence signifiait que le chiffre de l’IPC de juillet montrait une baisse pure et simple des prix pour la première fois depuis mai 2020. Tout cela a conduit à des spéculations sur un pivot accommodant, alimentées par les commentaires du président Powell. lui-même, qui a déclaré qu’à mesure que « la politique monétaire se resserre davantage, il deviendra probablement approprié de ralentir le rythme des augmentations ». En conséquence, le S&P 500 a rebondi de plus de +13 % entre mi-juillet et mi-août. Cependant, le président Powell a ensuite prononcé un discours très belliciste à Jackson Hole, qui a mis fin à tout espoir restant d’un changement de position politique.

    RépondreSupprimer
  70. 5.Mai 2022 : Les risques croissants pesant sur la croissance mondiale incitent les investisseurs à abandonner le resserrement attendu.
    Réaction : Le S&P 500 a connu sa plus forte performance hebdomadaire de 2022, gagnant +6,6 % au cours de la semaine se terminant le 27 mai. À ce jour, il s'agit toujours de la meilleure performance hebdomadaire depuis 2020.
    Au printemps 2022, un autre changement s’est produit dans le discours du marché. Les investisseurs commençaient à s’inquiéter de multiples risques pour la croissance, notamment les hausses de taux qui avaient commencé, la poursuite de la stratégie zéro Covid de la Chine et l’invasion de l’Ukraine par la Russie. En conséquence, les contrats à terme ont commencé à intégrer un moindre resserrement de la Fed, et mai a marqué la première fois en 10 mois que les contrats à terme ont réduit le niveau de resserrement attendu d’ici fin 2022. Mais finalement, la publication de l’IPC de mai début juin a dépassé toutes les estimations, ouvrant la voie à une hausse de 75 points de base de la Fed pour la première fois depuis les années 1990.

    6. Fin février/début mars 2022 : suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la Fed entame des hausses de taux de 25 points de base au lieu de 50 points de base.
    Réaction : les rendements du Bund à 10 ans repassent en territoire négatif, les rendements du Trésor à 10 ans retombent également à leur plus bas niveau depuis 2 mois, le S&P 500 progresse de +3,6 % par rapport au mois de mars.
    Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les préoccupations initiales du marché se sont davantage concentrées sur les risques de croissance que sur les risques d’inflation. À un moment donné, on s'est même demandé si la BCE serait capable de relever ses taux directeurs, renvoyant ainsi les rendements des obligations à 10 ans en territoire négatif. Pour avoir une idée de ce qui se disait à l’époque, Olli Rehn, de la banque centrale finlandaise, a déclaré que « compte tenu de la nouvelle situation, nous devons prendre un moment de réflexion quant à la rapidité et aux modalités d’une normalisation progressive de la politique monétaire ». Et à la Fed, l’invasion a signifié qu’elle a commencé son cycle de hausse avec seulement 25 points de base, au lieu de la hausse de 50 points de base qui avait été largement anticipée auparavant. Cependant, en fin de compte, comme les pires craintes d'une escalade plus large impliquant davantage de pays ne se sont pas concrétisées et que la flambée des matières premières a stimulé l'inflation, les banques centrales sont devenues plus préoccupées par la persistance de l'inflation et les effets de second tour, mettant tout ralentissement des hausses de taux à l'écart. hors de l'ordre du jour.

    RépondreSupprimer
  71. 7. Novembre 2021 : Les investisseurs doutent de la rapidité avec laquelle les banques centrales pourront augmenter leurs taux après l’apparition du variant Omicron.
    Réaction : Après une première vente massive après la découverte d’Omicron, le S&P 500 rebondit pour atteindre à nouveau des sommets historiques fin décembre 2021.
    Lorsque le variant Omicron est apparu pour la première fois, de sérieuses inquiétudes ont été exprimées quant au fait qu’il pourrait à nouveau submerger les services de santé ou même échapper aux vaccins, laissant entrevoir que la pandémie pourrait encore constituer un problème important pour les décideurs politiques en 2022. En fin de compte, il s’est avéré avoir un impact plus faible. taux de mortalité que les variantes précédentes, mais la réaction initiale des marchés a été rapide. Bien que les principales banques centrales n’aient pas encore commencé à resserrer leurs taux, les contrats à terme ont immédiatement réagi et les séances de négociation suivantes les ont vu repousser la date à laquelle la première hausse des taux de la Fed aurait été pleinement intégrée de juin 2022 à septembre 2022.

    * * *

    Et pourtant, comme Reid le développe dans son dernier graphique du jour, même si les six autres tentatives de prise en compte d'une banque centrale accommodante ont finalement échoué, cela ne signifie pas que celle-ci le fera, d'autant plus que maintenant quelque chose a clairement changé : selon Deutsche Bank, il y a plus de réductions mondiales que d’augmentations, ce qui est la première fois depuis janvier 2021.

    - voir graph sur site -

    Comme indiqué ci-dessus, à l’heure actuelle, le nombre de hausses ne représente qu’une fraction de ce qu’il était à son apogée à l’été 2022, alors que l’économie mondiale a ralenti (et même la fausse croissance massive de déficit et de relance financée par Biden s’estompe rapidement). ). Dans le même temps, les réductions se sont accentuées très lentement, mais le thème général a été un niveau d’activité beaucoup plus faible des banques centrales mondiales. Bien sûr, cela changera à mesure que le ralentissement mondial s’aggravera et que nous entamerons une année 2024 chargée d’élections.

    Le deuxième graphique l’examine sur une base glissante de 12 mois, mais remonte plus loin, bien qu’avec moins de données nationales disponibles au début.

    - voir graph sur site -

    RépondreSupprimer
  72. Ainsi, pour Jim Reid, la grande question est de savoir « si nous sommes « plus élevés pour plus longtemps » maintenant ou si nous assisterons bientôt à un grand cycle d’assouplissement mondial ». Selon Reid, à moins que les États-Unis ne soient confrontés à une récession, il sera difficile d'assister à un important cycle d'assouplissement mondial imminent. Après tout, l’inflation reste supérieure aux niveaux cibles dans les principales économies. Cependant, si nous obtenons effectivement la récession que la courbe des taux inversée intègre depuis près de deux ans, il faut s’attendre à un énorme renversement dans le premier graphique et à des réductions bien plus importantes que ce que le marché anticipe.

    Un dernier point intéressant de Reis est qu'à l'heure actuelle, les réductions sont intégrées dans le prix d'un scénario d'atterrissage en douceur, "donc je pense qu'elles pourraient avoir raison pour de mauvaises raisons, et finalement vous verrez plus de réductions que ce qui est prévu en raison de un atterrissage plus difficile que prévu. »

    https://www.zerohedge.com/markets/first-time-covid-crisis-there-are-more-global-rate-cuts-hikes

    RépondreSupprimer
  73. Capitalisme : vrai et faux


    Par Llewellyn H. Rockwell, Jr.
    20 novembre 2023


    Le monde milliardaire de Hanne Nabintu Herland : Comment le marxisme sert l’élite (2023) est un livre essentiel qui vous aidera à comprendre ce qui se passe dans le monde aujourd’hui. Cela vous aidera également à défendre le capitalisme contre les objections trop courantes aujourd’hui. Herland distingue deux types de capitalisme : le réel et le faux. La vraie société est une société volontaire, dans laquelle les gens échangent des biens et des services entre eux, et tout le monde en profite. Le faux type est celui dans lequel quelques milliardaires avides utilisent l’État pour obtenir du pouvoir et des privilèges pour eux-mêmes. Ces milliardaires sont prêts à asservir l’humanité pour parvenir à leurs fins infâmes.

    Voici ce que Herland en dit :

    « En Occident, les ultra-riches possèdent presque tout. Les sociétés d'investissement privées telles que Blackrock, Vanguard, Capital World, Fidelity Management, Berkshire Hathaway et State Street représentent des propriétaires de capitaux qui possèdent des sociétés de médias, Big Tech, Big Pharma, le complexe militaire et l'industrie alimentaire. Ils financent également les hommes politiques et exercent une forte influence sur les décideurs politiques ainsi que sur les fonds et actifs gouvernementaux.

    Ces sociétés d’investissement sont devenues si puissantes qu’elles contrôlent la majeure partie du capital mondial. Quel que soit le secteur que vous examinez, vous trouverez facilement bon nombre des principaux actionnaires, décideurs et noms parmi les dix principaux investisseurs institutionnels. La plupart des entreprises que nous percevons comme des marques concurrentes appartiennent en réalité à la même entreprise ; par exemple The Coca-Cola Company et PepsiCo.

    Ces entreprises mastodontes dominent complètement notre mode de vie, ce que nous mangeons, buvons, regardons à la télévision, ce que nous portons et pour qui nous votons. Ce sont eux qui dirigent les médias sociaux, les médias grand public, Hollywood et la majeure partie du secteur du divertissement.

    Cette domination conduit à un contrôle totalitaire sur les gens :

    « Pour un employé, cet enchevêtrement économique a de vastes implications. Afin de conserver leur emploi et de pouvoir mettre de la nourriture sur la table, les journalistes et les rédacteurs en chef doivent montrer leur volonté d’être d’accord avec le discours présenté. S’ils s’opposent à la pensée de groupe politiquement correcte, ils sont exclus. Le récit souhaité est structuré de manière à produire le gain en capital le plus élevé possible pour les propriétaires très riches du secteur de l’information, avec la bénédiction des dirigeants des médias, des responsables gouvernementaux, des politiciens de premier plan et de l’élite universitaire.

    Les gens considèrent généralement le marxisme comme l’ennemi des super-riches, mais en réalité les milliardaires et les marxistes sont alliés pour renverser la civilisation occidentale :

    RépondreSupprimer
  74. « C’est un point sur lequel le livre réfléchit. Il aurait été presque impossible pour la classe milliardaire de réussir sans l’affaiblissement de la culture sociale occidentale. La référence ici est précisément à la remarquable révolte socialiste contre les valeurs occidentales classiques telles que l'exigence de responsabilité individuelle, le droit de posséder le fruit de son propre travail, l'établissement d'un gouvernement décentralisé et d'institutions indépendantes, les droits de propriété privée et l'égalité. indépendamment de la race, de la classe sociale ou du sexe ; précisément à l’objectif marxiste d’écraser la stabilité sociale pour imposer un gouvernement centralisé et un ordre mondial athée, en détruisant la structure familiale « bourgeoise » et l’État-nation, et en réprimant la liberté d’expression et la pensée critique de ceux qui s’opposent au récit de gauche. . La peur était la clé pour créer une population obéissante sous Joseph Staline et la peur est le mot clé aujourd’hui.»

    Après avoir lu ceci, vous vous demandez peut-être : « Qui est Hanne Herland ? Pourquoi devrions-nous croire ce qu’elle dit ? L'éminent et astucieux Paul Craig Roberts explique et résume son point de vue :

    « Hanna Herland est une intelligence majeure du monde occidental. Elle est une défenseure de la civilisation et de la moralité chrétienne et une farouche opposante aux forces sataniques qui attaquent notre civilisation. Dans son nouveau livre, The Billionaire World, elle explique les diverses attaques contre la civilisation occidentale qui sapent les systèmes de croyance et la cohésion des pays occidentaux. Parmi eux figurent la concentration des richesses entre quelques mains, la militarisation de l’érudition par les marxistes culturels, la transformation de l’éducation en endoctrinement, le déclin du sens du devoir et de la responsabilité de la part des gouvernements et l’érosion de la moralité chrétienne.

    La concentration des richesses entraîne le contrôle de l’information. Herland explique que les voix des gens ont été réduites au silence par l’énorme contrôle exercé par les monopoles et les directions imbriquées d’une poignée d’entités immensément riches. Quelques sociétés d’investissement privées – Black Rock, State Street et Vanguard – possèdent les actions et siègent aux conseils d’administration de la plupart des grandes entreprises. Cela confère un pouvoir et un contrôle considérables à quelques mains. Même les sociétés concurrentes, comme Coca Cola et Pepsi Cola, appartiennent à la même société mère.

    Six méga-entreprises contrôlent plus de 90 % des médias américains. Le contrôle extraordinaire exercé par une poignée de personnes sur la civilisation occidentale permet d’imposer des récits égoïstes qui, s’ils sont contestés, entraînent la suppression des moyens de subsistance et l’annulation. L'ancienne icône féministe Naomi Wolf raconte que cela lui est arrivé.

    RépondreSupprimer
  75. Nous avons été témoins depuis 2016 des efforts de l’élite dirigeante, à travers le Parti démocrate, la CIA, le FBI et les médias, pour annuler Donald Trump, le président des États-Unis, et en contrôlant le discours pour le soumettre à des poursuites pénales.

    L’acceptation par l’Occident des invasions d’immigrés a détruit la cohésion sociale, et les efforts américains pour intégrer les Noirs ont réintroduit les privilèges dans la loi.

    Aux États-Unis, le contrôle du discours a été utilisé pour déraciner la population blanche et pour créer un système juridique à deux vitesses avec des privilèges raciaux pour les Noirs. Les Blancs, en particulier les familles blanches, ont disparu des publicités des entreprises, donnant l’impression que les États-Unis sont un pays à majorité noire. Ceci est un exemple de la façon dont la « diversité » produit son contraire.

    Un grand nombre d’entreprises et le Pentagone ont annoncé qu’ils n’embauchent et ne promeuvent que des Noirs. Si une entreprise américaine annonçait qu’elle recrute et promeut uniquement des blancs, le ministère de la Justice s’en prendrait à eux comme à une tonne de briques. Depuis un demi-siècle, les universités américaines, les entreprises et les gouvernements des États, locaux et fédéraux ont accordé aux Noirs un traitement préférentiel en matière d’admission, d’emploi et de promotion universitaire, en violation totale du 14e amendement de la Constitution américaine. Rien n'a été fait par le Congrès ou le pouvoir judiciaire face à cette violation évidente de la Constitution, prétendument notre document de décision.

    Aujourd’hui, nous vivons dans un monde dans lequel les Noirs sont tellement privilégiés que seuls les Blancs peuvent être coupables de discours et de crimes haineux. Aux États-Unis et dans la plupart des pays d’Europe occidentale, les Blancs sont coupables simplement parce qu’ils sont blancs et donc « racistes aversifs ». La base ethnique des pays blancs est attaquée et entraîne une dissolution sociale.

    Le marxisme culturel a affaibli la culture sociale, la morale et les croyances de la civilisation occidentale, la rendant moins capable de résister à d’autres défis. Les marxistes culturels ont utilisé la théorie critique pour transformer l’érudition en arme pour une marche à travers les institutions. Ils ont pris le contrôle des universités, sapant ainsi l’objectivité et détruisant la confiance des peuples occidentaux dans leurs croyances et leurs valeurs. Cela est allé si loin que les conservateurs de musées blancs décrivent leurs collections comme un exemple du racisme blanc. La politique des gouvernements occidentaux consiste à transformer les États-nations en tours de Babel dans lesquelles il n’y a aucune unité culturelle.

    RépondreSupprimer
  76. Voilà où nous en sommes aujourd’hui. Que pouvons-nous y faire ? C'est la question de notre temps. Lorsque l’aristocratie a été détruite, essentiellement par l’envie, l’accent traditionnel mis par les gouvernements sur les devoirs et les responsabilités a également été détruit. L’égoïsme et l’intérêt personnel et maintenant la politique identitaire ont pris le relais. L’obligation sociale et la responsabilité de gouverner ont disparu. A sa place se trouve l’intérêt personnel d’une élite dirigeante dépourvue du sens des responsabilités et du devoir.

    Dans les universités occidentales, la vérité a été politisée. Ce qui est vrai dépend de la question de savoir si cela sert les récits. Dans le cas contraire, il s’agit de « désinformation » et elle est supprimée. Malgré l’accent mis sur la « diversité », la diversité des pensées et des idées est en train de disparaître. Les récits officiels sont imposés et appliqués.

    Le message principal de Hanna Herland est que nous avons oublié Dieu. Les libéraux ont effacé Dieu. Où cela nous mène-t-il ?

    Cela nous laisse sans boussole morale. Sans boussole morale, nous ne savons pas où nous en sommes. Autrement dit, nous sommes moralement perdus. Comment retrouver une assise morale ?

    Le déclin des vertus civiques, de la moralité et de la discipline – dont nous faisons l’expérience tout autour de nous – aboutit toujours au désordre et à l’injustice. En effet, alors que nous voyons les démocrates américains bafouer la justice dans leurs attaques narratives contre le président Trump, nous assistons à l’effondrement final et complet de la civilisation occidentale. La vérité n'a plus d'importance.

    A la place d’une civilisation confiante, une grande réussite dans l’histoire de l’humanité, nous avons maintenant Sodome et Gomorrhe et une Tour de Babel.

    Sodome, Gomorrhe et la Tour de Babel valent-elles la peine d’être défendues contre la Russie, la Chine et l’Iran ? Hanna Herland ne soulève pas cette question, mais c’est une autre question à laquelle nous sommes confrontés. Avec les ethnies blanches – la base des nations américaines et européennes – déracinées, qu’ont ces pays à défendre, à part les intérêts personnels de leur élite dirigeante ?

    RépondreSupprimer
  77. Pour illustrer la manière dont l'élite contrôle les médias, Herland cite Wikipédia :

    « Wikipédia est depuis sa création un portail libéral, progressiste et athée de premier plan dans la diabolisation de l’histoire européenne, des conservateurs, des militants antimilitaristes, des religions et des pays en dehors de l’hémisphère occidental.

    Cela a été l’un des principaux moteurs néo-marxistes en Occident pour colorer l’esprit des Occidentaux et changer son système de valeurs.

    En permanence, ses rédacteurs néo-marxistes veillent à ce que les philosophes, les auteurs et les intellectuels qui ne sont pas d’accord avec le point de vue progressiste soient sournoisement rabaissés et que leur message soit déformé et rabaissé.

    Un rapide coup d’œil aux pages de certains est assez éclairant : les principaux intellectuels occidentaux sont dépeints comme des « théoriciens du complot » à moitié fous (une étiquette donnée à ceux qui présentent des faits qui ne sont pas souhaités dans le camp libéral progressiste ou mondialiste), etc. étiquetés comme homophobes, islamophobes, racistes, shouvinistes masculins, à moitié fous, colonialistes, démodés, dépassés ou carrément fous.

    Lors de la lecture, vous percevez simplement la subtilité de la personne comme étant quelqu'un «qu'il ne faut pas écouter, car il est visiblement assez fou».

    Le même stigmate s’applique aux pays ou aux dirigeants politiques que les néo-marxistes n’aiment pas. La représentation de ces nations, ou des guerres civiles/conflits, est un modèle de ce que l’establishment américain actuel voit de ces nations.

    Wikipédia a suivi assidûment la recette du penseur néomarxiste de la Nouvelle Gauche, Herbert Marcuse, qui a ouvertement déclaré que pour que le message progressiste réussisse, il était vital de discriminer les opinions majoritaires/ceux que la gauche n’« aime » pas ou n’approuve pas.

    Wikipédia est actuellement l'un des principaux portails pour la fermeture de la liberté en Occident. Lisez l’analyse du Dr Paul C. Roberts ci-dessous :

    Au cours de ma vie, j’ai vu l’intégrité se ratatiner et mourir partout dans le monde occidental. Ce n’est pas comme si c’était vraiment abondant, mais il y en avait une bonne quantité et cela avait de l’autorité.

    RépondreSupprimer
  78. Les gens, en particulier ceux qui participent à la vie publique, n’étaient pas impudents comme ils le sont aujourd’hui, écrit le Dr Paul C. Roberts, un éminent économiste politique américain et invité régulier du Herland Report

    Herland affirme que la fausse « épidémie » de Covid a fait le jeu des milliardaires :

    « La réponse au Covid-19 de 2020 pourrait être un exemple de la façon dont les milliardaires dominent la politique, les ONG et le domaine de la médecine. , , La stratégie de fermeture a fait monter en flèche les profits des milliardaires. En quelques mois seulement en 2020, Bill Gates a gagné 75 milliards de dollars, Jeff Bezos 67,9 milliards de dollars, Mark Zuckerberg 37,8 milliards de dollars et Elon Musk 33,6 milliards de dollars.

    Faisons tout ce que nous pouvons pour dénoncer ces méchants milliardaires qui utilisent le marxisme pour renverser le véritable libre marché. Lisez The Billionaire World de Hanne Herland et découvrez la vérité à leur sujet !

    https://www.lewrockwell.com/2023/11/lew-rockwell/capitalism-true-and-false/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) « C’est un point sur lequel le livre réfléchit. Il aurait été presque impossible pour la classe milliardaire de réussir sans l’affaiblissement de la culture sociale occidentale. (...)

      'ils possèdent tout !' NON ! Ils ne possèdent pas l'intelligence (de 8 milliards d'habitants).

      (...) Voilà où nous en sommes aujourd’hui. Que pouvons-nous y faire ? (...)

      Réfléchir.Réfléchir parce que le 'cocovide19' (comme 'dieu') n'a JAMAIS été vu !! Il est seulement injecté.

      Supprimer
  79. Insolite : des enfants reçoivent des taxes d’habitation

    Des enfants à travers la France se voient réclamer des sommes conséquentes au titre de la taxe d’habitation. De 619 à 2 467 euros, les montants invoqués plongent les familles dans la perplexité et l’inquiétude.


    Par Grégoire Hernandez
    le 22 novembre 2023 à 17h00


    Philippe, un artisan des Yvelines, a découvert avec stupéfaction une taxe de 1 258 euros adressée à son fils de 13 ans.

    Taxes d'habitations : des montants parfois très lourds

    Dans plusieurs régions françaises, un phénomène inédit perturbe des milliers de familles : des enfants, de 8 à 13 ans, reçoivent des avis de taxe d’habitation avec des montants allant de 619 à 2 467 euros. Ces erreurs, dues à la nouvelle déclaration des biens immobiliers, ont été signalées dans l’Aude, le Rhône, et la Seine-Maritime, entre autres. La plateforme gouvernementale, "Gérer mes biens immobiliers", a involontairement attribué ces taxes aux enfants suite à une mauvaise interprétation des déclarations des occupants des logements au 1er janvier 2023. Le site des impôts précise pourtant qu'il n'est pas nécessaire de déclarer les enfants, mais cette instruction semble avoir été omise ou mal comprise par de nombreux contribuables.

    Ces erreurs ont pris une ampleur importante pour les différentes familles concernées, allant de l'amusement à la frustration. Par exemple, Philippe, un artisan des Yvelines, a découvert avec stupéfaction une taxe de 1 258 euros adressée à son fils de 13 ans. Des témoignages similaires affluent dans Le Parisien, comme celui de Sophie, 13 ans, dans la région lyonnaise, ou de Luna, 8 ans, dans l’Aude. Ces situations cocasses cachent néanmoins une réalité plus grave : la confusion et l'anxiété des familles face à des demandes fiscales inattendues et inappropriées.

    Des démarches à entreprendre

    Ces erreurs ont des conséquences non négligeables pour les familles. Outre l'inquiétude initiale, elles doivent désormais entreprendre des démarches pour rectifier ces avis. Cela implique souvent de longues attentes au téléphone et la nécessité de fournir des justificatifs supplémentaires, comme le livret de famille ou une attestation sur l'honneur. Pour certaines familles, ces situations engendrent du stress et du désarroi, en particulier pour les enfants directement concernés, qui ne comprennent pas la complexité du système fiscal à cet âge là.

    Heureusement, il existe des solutions pour résoudre ces erreurs. Les familles touchées peuvent contester ces taxes d'habitation auprès de l'administration fiscale via leur messagerie sécurisée ou par courrier, en joignant les justificatifs nécessaires. La Direction générale des Finances publiques a reconnu ces erreurs et assure que les taxes contestées seront annulées. De plus, des efforts sont en cours pour améliorer le système et éviter de telles erreurs à l'avenir, notamment en renforçant les dispositifs d'accompagnement pour les contribuables.

    https://www.economiematin.fr/taxes-habitation-enfants-fiscalite

    RépondreSupprimer

  80. Truquage des bulletins de vote sur les oiseaux : concours de l’oiseau du siècle en Nouvelle-Zélande


    Par le Dr Binoy Kampmark
    Recherche Asie-Pacifique,
    20 novembre 2023


    Il peut y en avoir beaucoup en Nouvelle-Zélande. Ils ont été contrariés – pardonnez à cet auteur une telle référence – par l'utilisation d'une règle dans le cricket en février 1981, ce qui a conduit à des expressions de colère brumeuse de la part du premier ministre de l'époque, Robert Muldoon. Bien que les lois du cricket soient autorisées, les équipes ne sont généralement pas censées jouer sous les bras. C’est ce que les Australiens de Greg Chappell ont fait. "J'ai pensé qu'il était plus approprié que l'équipe australienne soit habillée en jaune", a fulminé Muldoon.

    Récemment, des esprits modérés ont été attisés par ce qui pourrait être considéré comme une forme d’ingérence dans le scrutin, cette fois concernant le vote pour le concours de l’Oiseau de l’année le plus célèbre du pays. A cette occasion, le concours, organisé par le groupe de conservation Forest and Bird depuis 2005, avait une importance élevée, étant désigné comme un vote pour identifier l'oiseau néo-zélandais du siècle.

    Alors que l’ingérence électorale et électorale est devenue une manie depuis les élections américaines de 2016, provoquant des accès d’inquiétude à l’égard de ces ingérences malveillantes à Moscou et à Pékin, certains Néo-Zélandais pourraient avoir raison de montrer leur irritation face au vigoureux plaidoyer extérieur des pays anglo-saxons. Comédien américain, John Oliver, pour le pūteketeke. Également connu sous le nom de grèbe huppé australasien, Oliver avait détecté une faille dans les règles de vote, qui permettait à toute personne disposant d'une adresse e-mail valide de voter.

    Oliver a fait un discours promotionnel émouvant dans The Tonight Show de Jimmy Fallon et a exprimé son admiration dans sa propre émission HBO Last Week Tonight.

    « Ce sont d’étranges oiseaux vomissant avec des mulets colorés. Qu’est-ce qu’il n’y a pas à aimer là-bas ? Il a également admiré leur « danse d’accouplement où tous deux attrapent une touffe d’herbe mouillée et se cognent la poitrine avant de se tenir debout, ne sachant pas quoi faire ensuite ».

    Si les panneaux d’affichage et une campagne publicitaire sont des mesures de l’amour, alors Oliver l’avait en abondance en tant que directeur de campagne autoproclamé de l’oiseau. Des panneaux publicitaires célébrant son choix aviaire particulier ont fait leur apparition à Wellington, Paris, Tokyo et Mumbai célébrant ce « Seigneur des Ailes ».

    L’expérience du comédien dans cette entreprise était, à bien des égards, appropriée. Le Royaume-Uni et les États-Unis en ont fait une sorte de spécialité corrosive en influençant les élections étrangères et en falsifiant les scrutins au fil des décennies. « C’est ça la démocratie », a déclaré Oliver : « l’Amérique s’ingère dans les élections étrangères ».

    RépondreSupprimer
  81. Oliver ne s’aventurait pas non plus dans une compétition d’innocence virginale. La fraude et les particularités sont des thèmes répandus. En 2018, 300 votes frauduleux ont été déposés par des Australiens tentant de truquer les résultats en faveur du shag. En 2019, des accusations ont été portées selon lesquelles les votes russes (bien sûr) avaient joué un rôle perturbateur, même si une porte-parole de Forest and Bird, Megan Hubscher, les considérait comme légitimement exprimés par des ornithologues russes. "La Nouvelle-Zélande partage en fait des oiseaux avec la Russie", a-t-elle expliqué de manière plausible. En 2020, 1 500 votes frauduleux ont été déposés en faveur du kiwi. L'année suivante, le concours a été remporté par la chauve-souris à longue queue, ce qui a suscité des rumeurs selon lesquelles l'élection avait été volée.

    Le scrutin qui a suivi en 2023 a été véritablement mondial : 350 000 bulletins de vote provenant de près de 200 pays au cours d’une campagne effrénée. À un moment donné, le système de vérification du vote est tombé en panne, retardant le résultat de deux jours.

    Il y a eu également des cas de fraude électorale flagrante. Un partisan du manchot sauteur de l’Est (« pingouin hipster » pour Oliver) a voté pour l’oiseau avec 40 000 voix. Un autre, basé en Pennsylvanie aux États-Unis, a recueilli 3 403 votes, dont un toutes les trois secondes. Heureusement, tous deux n’ont pas réussi à faire en sorte que leurs efforts comptent.

    Le résultat du pūteketeke était un total déséquilibré de 290 000 voix, laissant le kiwi à la deuxième place avec un dérisoire 12 904. Les trois placements suivants étaient le kea, le kākāpo et le fantail. Nicola Toki, le directeur général de Forest and Bird, s'est montré prudent sur le résultat. Elle a décrit le pūteketeke comme étant « un prétendant extérieur au titre d’oiseau du siècle, mais il a été catapulté à la première place grâce à son apparence unique, son style parental adorable et sa propension à vomir ». Toki et ses collègues n’étaient « pas surpris que ces charmantes caractéristiques aient attiré l’attention d’un passionné d’oiseaux influent et très suivi ».

    Le nouveau Premier ministre néo-zélandais, Christopher Luxon, ne semble pas non plus trop troublé.

    « Félicitations au directeur de campagne @iamjohnoliver [John Oliver] et à tous ceux qui ont apporté leur soutien au pūteketeke », a-t-il posté sur la plateforme officiellement connue sous le nom de Twitter.

    Beaucoup ne partageaient pas ce point de vue. La remarque dérisoire d’Oliver sur l’un des oiseaux les plus reconnus du pays, le kiwi, comme « un rat portant un cure-dent », a suscité l’inquiétude. Les partisans du kākāriki karaka, ou perruche à front orange, ont répliqué avec leur propre campagne d'affichage arborant des lignes telles que « Cher John, ne perturbez pas l'ordre hiérarchique ».

    RépondreSupprimer
  82. Même si tout cela semblait être une indulgence, compte tenu notamment des résumés quotidiens de guerre, de famine et d’échec sociétal, Toki pouvait se réjouir d’une campagne sur les oiseaux qui avait été mondialisée. Chez nous, les espèces indigènes du pays (les politiciens, prenez note) sont en difficulté ; 80 % ont réussi à figurer sur la redoutable liste des espèces menacées, et le ministère de la Conservation voit son budget réduit. « Nous avions promis une polémique mais nous ne nous y attendions pas vraiment ! Nous sommes ravis de voir l’effusion de passion, de créativité et de débat que cette campagne a déclenchée. Malheureusement, la passion et la conscience ne sont pas toujours des monnaies politiquement convertibles.

    https://www.asia-pacificresearch.com/rigging-avian-ballots-new-zealand-bird-century-competition/5631824

    RépondreSupprimer
  83. Brève. Les américains sont-ils des menteurs compulsifs ? La réponse est « OUI ! »


    le 22 novembre 2023


    Tous les citoyens américains qui acceptent de subir un lavage de cerveau par les politiciens et les média devraient soigneusement regarder cette vidéo qui ne dure que sept minutes pour s’éviter de sombrer dans la propagande mensongère.

    Dans cette vidéo, https://www.youtube.com/watch?v=NSZyKYitC3M&t=31s les membres de l’administration Biden, les « experts », le Directeur de la CIA, les médias, la Rand Corporation et les politiciens de chaque parti, démocrates et républicains, ne parlent que d’une seule voix : « C’est Poutine qui a lui-même saboté son propre gazoduc Nord-Stream ».

    Les médias reprennent le discours de la classe politique et les politiciens eux-mêmes renchérissent avec leurs propos en étalant encore plus de mensonges. Ils ne reconnaissent pas qu’ils mentent effrontément alors que l’évidence crève les yeux et les oreilles. Cette classe dirigeante américaine est totalement dénuée d’intégrité, elle est totalement stupide et elle nie et la réalité tout en étant persuadée que le peuple a perdu toute lucidité pour reconnaître que tout repose sur des mensonges. Goebbels déclarait que plus un mensonge est énorme plus il est admis comme une réalité à laquelle il faut croire …

    Source : Paul Craig Roberts

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/11/22/breve-les-americains-sont-ils-des-menteurs-compulsifs-la-reponse-est-oui/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ât bêh non ! ce ne sont pas 'les américains' (le Peuple) mais le nano-groupuscule de dictateurs qui parleraient en son nom !

      Supprimer
  84. Des entraves qui détruisent la prospérité


    22 Novembre 2023
    Arnold Krämer chez Willi l'agriculteur*


    Le texte suivant a été publié sous une forme légèrement modifiée dans l'édition 10/23 des DLG- Mitteilungen, un magazine agricole mensuel paraissant dans toute l'Allemagne. Nous remercions Arnold Krämer pour sa contribution.

    Des entraves qui détruisent la prospérité

    Dans les exploitations agricoles aussi, on fait de plus en plus de « fake work », un travail qui ne résout aucun problème et n'a aucun sens, par nécessité juridique. Le professeur d'économie américain David Graeber en a décrit le principe de manière impressionnante dans son livre « Bullshit Jobs » paru en 2018.

    Il s'agit de la bureaucratie, et surtout de « la méchante sœur d'une bonne administration », qui devient parfois une fin en soi, ne résout souvent pas les problèmes, mais se contente de les gérer de manière toujours plus complexe.

    Traduite littéralement, la bureaucratie signifie « gouvernement par l'administration » ; elle n'est pas seulement une menace de l'État (externe), mais aussi un mal fait maison dans les grandes entreprises de l'économie.

    Dans les exploitations agricoles familiales, la part de la charge bureaucratique qui leur est propre est encore très faible en comparaison. L'essentiel se passe dans la tête des membres de la famille et dans la communication directe entre eux, avec l'un ou l'autre collaborateur et avec les partenaires commerciaux. Les programmes de gestion tels que le planificateur de truies, le planificateur d'engraissement, le planificateur de vaches et le fichier d'exploitation agricole aident au contrôle interne en dessous du niveau comptable. Ils permettent d'augmenter l'efficacité, d'optimiser les performances et de réduire les coûts.

    Aujourd'hui, on ne peut plus se passer de ces instruments. Ils sont synonymes de bonne administration, de bonne gestion, ils permettent de mieux travailler et de faire en sorte que les choses fonctionnent.

    Depuis des décennies, la « mauvaise sœur » de la bonne administration prend toutefois de plus en plus de place, à tel point qu'elle est désormais considérée comme une menace externe, même au sein de l'appareil administratif de l'État lui-même. Wikipedia [en allemand] dit par exemple ce qui suit : « La charge bureaucratique est causée par environ 90.000 réglementations que les entrepreneurs allemands doivent respecter et observer. Actuellement, rien qu'au niveau fédéral, il existe plus de 1.800 lois avec plus de 55.000 normes ; en outre, 2.728 ordonnances juridiques comprennent environ 40.000 prescriptions. »

    RépondreSupprimer
  85. Il est probable que ces chiffres ne portent même pas sur la totalité de la production agricole primaire.

    Mais l'État n'est pas le seul moteur et déclencheur de la bureaucratie. Souvent, c'est aussi l'économie elle-même, ce sont les clients qui, pour des raisons de marketing (mot-clé : marchés saturés), exigent des certificats et de la documentation sur la fabrication des produits et l'origine des produits intermédiaires. Puis vient souvent l'État, qui transforme les activités volontaires en dispositions contraignantes pour tous, parce que l'autocontrôle et l'autorégulation de l'économie ne lui suffisent pas.

    La Loi sur les Obligations de Vigilance de la Chaîne d'Approvisionnement (LkSG) en est un exemple très récent. L'engagement volontaire des grandes entreprises à respecter les principes directeurs de l'ONU en matière de droits économiques et humains s'est transformé en obligations de documentation contraignantes pour toutes les entreprises allemandes de plus de 1.000 salariés (valables à partir de 2024, dès 2023 à partir de 3.000 salariés) ; il s'agit de prouver que les droits humains et les normes environnementales sont respectés dans la chaîne de création de valeur. Des limites encore plus strictes seront possibles lorsque la directive européenne prévue sur les chaînes d'approvisionnement devra être transposée dans le droit national. Dans ce cas, les entreprises de l'industrie alimentaire de plus de 250 employés seraient également concernées et, bien entendu, les producteurs de matières premières agricoles, quelle que soit leur taille.

    C'est pourquoi il est aujourd'hui absolument nécessaire que la profession agricole se penche sur le thème de la bureaucratie, tant sur le plan des principes que sur celui de la spécificité, qu'elle développe une résistance là où cela s'avère nécessaire et qu'elle ne saute pas par dessus tous les obstacles que l'on place devant les agriculteurs en évoquant, ce faisant et de manière apaisante, les possibilités offertes par la numérisation.

    En raison de l'augmentation massive des plaintes, notamment de la part des petites et moyennes entreprises, le gouvernement fédéral a décidé de mettre en place une loi sur l'allègement de la bureaucratie (BEG IV) et a demandé en janvier 2023 à 71 associations de soumettre chacune un maximum de 10 propositions concrètes. La procédure et les résultats peuvent être consultés sur le site Internet du ministère fédéral de la Justice. Il comprend 707 pages.

    Les propositions de l'Association Allemande des Agriculteurs (DBV) y sont présentées aux pages 325 à 334. Elles traitent exclusivement de problèmes spécifiques liés aux méthaniseurs. Pas une seule fois, le ministère fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture (BMEL) n'est visé. En revanche, les souhaits ou propositions adressés au BMEL proviennent entre autres de l'Ordre Fédéral des Vétérinaires, concernant les obligations de notification selon la Loi sur les Médicaments Vétérinaires. Même si la brièveté des deux mois disponibles n'a pas permis à de nombreuses associations de prendre position de manière exhaustive, il apparaît ici clairement que la DBV ne s'est manifestement pas penchée jusqu'à présent de manière systématique sur le thème des problèmes de bureaucratie dans le secteur agricole.

    RépondreSupprimer
  86. La profession agricole pourrait malgré tout profiter d'une BEG IV si un accord politique se fait sur la proposition de l'Association Allemande des Conseillers Fiscaux de relever les limites de l'obligation de tenir une comptabilité selon l'article 41 du Code Fiscal de 600.000 € à 1.000.000 €, le seuil de bénéfice de 60.000 € à 100.000 € et, en même temps, le seuil d'assujettissement à la TVA selon l'article 20 de la Loi sur l'Impôt sur le Chiffre d'Affaires également à 1.000.000 €. Cette proposition a tout de même été placée en troisième position sur la liste des priorités de l'Office Fédéral de la Statistique, responsable de l'évaluation. Nous sommes impatients d'en savoir plus.

    Malheureusement, l'économie ne fournit pas seulement des idées pour réduire la bureaucratie, mais aussi des idées pour créer de la bureaucratie supplémentaire. Deux exemples importants du secteur agricole peuvent le démontrer de manière impressionnante. Pour répondre aux critiques croissantes à l'encontre de l'élevage conventionnel, on a mis en place à partir de 2001, dans le cadre de la crise de l'ESB [de la vache folle], un système d'autocontrôle de l'industrie agroalimentaire, y compris de l'agriculture, avec le label QS (« qualité et sécurité »), qui n'a toutefois pas empêché l'État de formuler des exigences supplémentaires et plus élevées en matière de techniques de production et de documentation. Il en va de même pour l'« Initiative pour le Bien-être Animal » (ITW) qui, avec un objectif similaire, ne suffit plus à l'État. Avec la Loi sur l'Étiquetage de l'Élevage en vigueur depuis août 2023, 43 articles et 11 annexes prescrivent à quoi doit ressembler un justificatif sur le mode d'élevage du « produit agricole brut » qu'est le porc d'engraissement, qui est transformé en produits à base de viande de porc après l'abattage.

    Si maintenant, d'abord à l'initiative du secteur privé, des certificats de durabilité sont proposés, puis exigés par le commerce et finalement imposés par l'État de manière obligatoire (probablement) pour tous, ce n'est qu'un pas de plus vers une sur-réglementation et une sur-bureaucratisation du secteur agricole national.

    RépondreSupprimer
  87. L'approche de l'allègement de la bureaucratie doit aller plus loin et plus profondément.

    Si l'on fait abstraction des efforts concrets déployés actuellement par l'État pour « aérer » son cadre réglementaire, notamment pour contrer les risques de récession et, pire encore, les signes d'une possible désindustrialisation de l'Allemagne, il reste à s'interroger sur les causes fondamentales des évolutions manifestement problématiques de l'activité législative et administrative au cours des dernières décennies. Une « activité réparatrice » superficielle ne suffirait pas à relever les défis posés par l'évolution démographique, l'échec de l'éducation et la politique énergétique particulière de l'Allemagne.

    Il convient de faire les constatations suivantes :

    La pression bureaucratique croissante, y compris pour l'agriculture, se concrétise toujours aux niveaux les plus bas des communes, des districts et des Länder, en fonction des compétences. Mais elle est généralement déclenchée « tout en haut » a) par des traités internationaux tels que l'Accord de Paris sur le climat ou la Convention sur la Diversité Biologique conclue à Rio de Janeiro en 1992, ainsi que b) par la législation et les normes européennes de plus en plus étendues. Il n'est pas rare que ces dernières aient déjà un effet juridique direct ou qu'elles soient transposées dans le droit national en les renforçant ou en les élargissant. Certaines choses qui sont ou ont été retardées par le législateur, comme le respect de la Directive-cadre sur l'Eau (DCE), touchent alors les agriculteurs avec retard et avec une force bureaucratique multiple (voir la législation nationale sur les engrais à partir de 2017).

    Celui qui veut s'attaquer aux racines de la bureaucratie doit donc viser avant tout et en premier lieu le niveau européen.

    Le flot de réglementations auquel sont confrontés l'économie, les citoyens et, en interne, les administrations subordonnées, a beaucoup à voir avec l'image que les hommes politiques actuels ont d'eux-mêmes et de la politique tout court. Les motifs fondamentaux de leur action politique, outre le désir compréhensible d'être réélu, se trouvent dans la recherche d'une sécurité accrue :

    La recherche d'une sécurité toujours plus grande, par exemple avec HI-Tier lorsque les relations commerciales (entrées et sorties) doivent être déclarées en moins de 7 jours pour la prévention ou la lutte contre les épizooties ;

    Une aspiration à toujours plus de justice (au cas par cas) lorsque, par exemple, les petites exploitations familiales sont soumises à la taxation normale en matière de TVA ;

    Une exigence de prendre en compte de plus en plus de critères moraux, comme c'est le cas par exemple avec la Loi sur le Devoir de Vigilance de la Chaîne d'Approvisionnement ou, dans le secteur agricole, avec la législation sur le bien-être des animaux.

    RépondreSupprimer
  88. Depuis longtemps déjà, on constate une profonde méfiance à l'égard des acteurs économiques de la part de la majorité des politiciens en action. Une boussole claire de l'économie de marché fait désormais défaut dans tous les partis. Ce qui domine, c'est un type de politicien qui s'efforce d'organiser l'État de manière à prendre soin de ses citoyens. Il « produit » ainsi une société dans laquelle la responsabilité individuelle est de plus en plus réduite et où l'entrepreneuriat (y compris agricole) est de plus en plus difficile, voire impossible. Ce qui est encore plus grave à long terme : on répond à la méfiance par la méfiance, et le désenchantement vis-à-vis de la politique et de l'État augmente. Les gens deviennent de plus en plus passifs en ce qui concerne l'action entrepreneuriale. Le pays s'appauvrit. Pour que notre pays soit secoué, comme nous l'avons déjà demandé à plusieurs reprises, il faut donc non seulement une législation qui s'auto-limite ou qui se révise en partie, mais aussi et surtout des hommes politiques ayant une autre perception d'eux-mêmes.

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/des-entraves-qui-detruisent-la-prosperite.html

    RépondreSupprimer
  89. Une leçon de réalisme et de pragmatisme en matière d'agriculture


    22 Novembre 2023
    Gérard Rass*


    Ma note : Une version de cet article a été publiée par Atlantico sous un titre dicté par le contexte dans lequel il a été écrit, « Ces nouvelles technologies venues des Pays-Bas pourront-elles permettre à l’agriculture d’améliorer puissamment son bilan environnemental ? » C'est un morceau d'anthologie qui a une portée bien plus générale et qui mérite une très large diffusion.

    Les nouvelles technologies sont réputées réaliser la difficile synthèse entre souhaits alimentaires des consommateurs, nécessités environnementales, et réalités économiques et techniques des agriculteurs. Mais elles ne sont pas une solution miracle, et d’autres approches venues des agriculteurs sont à privilégier en priorité.

    Un article de BBC News sur la Ferme du Futur de l’Université de Wageningen (Pays-Bas) s’intitule « La nouvelle technologie stimule la volonté des Pays-Bas en faveur d’une agriculture durable ».

    Les nouvelles technologies nous intéressent tous, citoyens comme agriculteurs, pour réaliser la difficile synthèse entre souhaits alimentaires des consommateurs, nécessités environnementales, et réalités économiques et techniques des agriculteurs.

    Le cas des Pays-Bas est particulièrement intéressant. La volonté gouvernementale d’appliquer strictement les politiques européennes de transition écologique – Green Deal et Farm To Fork – y a créé une véritable révolte des agriculteurs, amenant à la création d’un nouveau parti paysan libéral capable de jouer un rôle politique majeur. Beaucoup d’éleveurs sont acculés à la ruine par l’abattage forcé de leur cheptel bovin, accusé de menacer le climat par ses flatulences, et la qualité de l’eau par ses déjections, et les cultivateurs sont priés de réduire drastiquement leur production en se convertissant à l’agriculture biologique. Ils contestent cette politique comme idéologiquement écologiste, liberticide, et surtout économiquement suicidaire dans le 2e pays exportateur mondial de produits agroalimentaires, sans toutefois amener les bénéfices environnementaux attendus, faute de prendre en compte les réalités techniques de terrain.

    C’est dans ce contexte que l’Université de Wageningen a créé il y a (seulement) quatre ans « La Ferme du Futur », un programme expérimental et de démonstration lourdement subventionné, où des chercheurs testent différentes technologies pour tenter de créer un système agricole « durable ».

    Première constat : l’absence de compréhension de l’écosystème « ferme »

    Malgré des tentatives récurrentes depuis des décennies dans tous les pays agricoles du monde, la simple juxtaposition de techniques et technologies par des scientifiques n’a jamais permis à une ferme de fonctionner de manière viable. Le chef d’orchestre en est l’agriculteur ou le chef de cultures. Lui seul peut avoir la compétence pour combiner dans la ferme de façon cohérente l’ensemble des actions techniques aboutissant à ce que des cultures donnent des récoltes utilisables en quantité et qualité acceptables pour nourrir des consommateurs et le faire vivre de ses ventes. S’il est performant dans sa stratégie et ses actions techniques et économiques, la ferme réussira, sinon elle fera faillite.

    RépondreSupprimer
  90. On parle beaucoup trop souvent seulement d’agriculture, alors qu’on devrait s’intéresser aux agriculteurs. Une ferme agricole n’est pas un écosystème naturel. C’est un écosystème créé par l’homme, et géré par lui. Mais à partir d’un milieu naturel, qui dicte ses contraintes locales de sol, de climat, d’hydrologie, de lois biologiques, physiques, chimiques…, et de biodiversité d’espèces animales ou végétales, dont certaines sont voulues et élevées par l’homme, et d’autres beaucoup moins bienvenues.

    Une ferme est d’abord un écosystème vivant complexe, dont les composantes majeures sont le sol, l’eau, les végétaux et les animaux qui y vivent, ceux que l’agriculteur souhaite favoriser parce qu’ils sont utiles à la production finale, raison d’être de la ferme. Les décisions techniques doivent sans cesse être adaptées aux variations des conditions météorologiques et des marchés des achats et des ventes.

    Le système est conçu et géré par l’agriculteur, au moyen d’outils. Ces outils techniques sont des machines, de plus en plus informatisées, des semences, des engrais destinés à nourrir les sols ou les cultures, des produits de protection des cultures appelés pesticides, destinés au contrôle soit des herbes concurrentes des cultures (herbicides), soit des maladies cryptogamiques (fongicides), soit des insectes (insecticides).

    Cette articulation logique entre l’essentiel, qui est l’écosystème de la ferme et ses composantes vivantes, et les outils techniques (« technologies ») qui servent à les gérer, est complètement absente de l’article, alors que c’est le point essentiel pour progresser vers plus de durabilité, par la synthèse entre les mécanismes naturels et les actions de l’agriculteur qui les connait, les comprend, et agit en conséquence.

    Cela s’explique par le fait que cette Ferme du Futur comme toutes les fermes expérimentales, est conçue par des chercheurs, chacun spécialiste d’un sujet particulier, et que le seul à pouvoir penser système est l’agriculteur, qui dans ce projet n’a qu’un rôle marginal d’exécutant.

    Revue des technologies « high tech » : intéressantes, mais rien de révolutionnaire, et rentabilité discutable

    Un agriculteur ne peut utiliser tous les outils, à la fois pour une raison de coût, et parce que certains sont antagonistes.

    RépondreSupprimer
  91. La limite de coût est bien exprimée dans l’article par les témoignages des agriculteurs.

    Les technologies de pointe embarquées telles les senseurs électroniques qui détectent chaque mauvaise herbe et pulvérisent seulement sur celle-ci, coûtent très cher, et ne sont pas encore aussi performantes qu’un herbicide.

    De même, l’agriculture de précision, qui consiste à ajuster quantité et qualité des engrais à la cartographie des sols, est intéressante mais limitée par la connaissance que l’on peut avoir des réactions du sol et des plantes aux apports, également dépendantes de la météo.

    L’utilisation de stations météo locales et de modèles pour prédire les risques de maladies et adapter les traitements est aussi à ranger dans ces technologies utiles qui ont la faveur des agriculteurs.

    On peut donc dire que ces technologies sont intéressantes, mais pas vraiment prioritaires pour améliorer fondamentalement la conception de la ferme et son fonctionnement biologique et écologique (non pas au sens politique, mais au sens de la science des écosystèmes et des interactions entre leurs organismes vivants). Parce qu’elles se concentrent sur des aspects périphériques, une amélioration incrémentale d’une action déjà réalisée en routine, mais sans changement de nature. On remplace un traitement par un autre plus ou moins performant, en dépensant beaucoup plus parce que c’est un nouvel équipement, comme changer de tracteur avec plus d’informatique ou d’IA. La fonction ne change pas. Et l’amélioration économique est marginale, souvent valable si amortie sur une très grande échelle, pas sur une ferme de surface moyenne.

    Les faux concepts

    L’examen des détails rapportés par la journaliste de la BBC révèle quelques erreurs et biais d’interprétation, inévitables dans un article grand public écrit par un non-spécialiste.

    Est nommé « monoculture » le fait d’avoir une seule culture à la fois dans un champ. Cette terminologie abondamment usitée par les pourfendeurs de l’agriculture classique, est en réalité abusive, car elle désigne la succession de la même culture pendant plusieurs années sur la même parcelle. Le maïs est quasiment la seule monoculture pratiquée, car il la supporte bien. Les autres cultures, blé et autres céréales, colza, tournesol, soja, etc. ne supportent pas la monoculture et elle n'est donc pas pratiquée : maladies ou insectes y prolifèrent trop vite et rendent la culture improductive. Les agriculteurs pratiquent donc très généralement des rotations (succession de cultures différentes au fil des années), et le procès en « monoculture » qui leur est fait est injustifié.

    RépondreSupprimer
  92. C’est à ce genre de détail, que ne peut méconnaitre un scientifique, que l’on reconnait la malhonnêteté d’un auteur.

    Dire que la diversité des cultures (en référence à la fameuse « biodiversité ») dans la parcelle améliore les sols, la gestion de l’eau, diminue les risques de maladies, et donne de meilleurs rendements, c’est un lieu commun, bien connu des très nombreux agriculteurs utilisateurs de « couverts végétaux » (également appelées « plantes de service »), cultures qui sont semées après une culture de vente et avant la suivante, mais ne sont pas récoltées. Elles sont destinées à protéger le sol de la pluie, du vent et du soleil, nourrir les organismes qui y vivent, dont les fameux vers de terre, augmenter son taux d’humus (la matière organique qui rend la terre noire et fertile), fournir abri et nourriture en permanence à l’ensemble des organismes vivants de l’écosystème ferme.

    Les agriculteurs et agronomes spécialistes et pratiquants des couverts végétaux ont bien trouvé depuis longtemps, surtout dans les pays les plus avancés, que les mélanges d’espèces apportent des résultats très positifs, au point que des mélanges commerciaux ont été mis au point. Mais c’est un véritable savoir-faire : on ne mélange pas n’importe quelles espèces, certaines ne sont pas compatibles entre elles, d’autres sont inutiles (mais coûtent), d’autres handicapent la culture qui va suivre, d’autres deviennent des mauvaises herbes… Comment on fait un couvert est aussi important que d’en mettre un. A mal le faire, il vaut mieux parfois d’abstenir. Et ça c’est pour les couverts...

    De là à mélanger plusieurs espèces cultivées dans le même champ, il y a un abîme d’ignorance que les chercheurs ne sont pas prêts de combler, à de très rares exceptions près, dont la plus célèbre est le Milpa des Amérindiens, les trois sœurs : maïs, haricot, courge. En culture mécanisée, ça reste un challenge, surtout pour la récolte. Il avait été testé le Maïa (maïs-soja) dans le Sud-Ouest de la France dans les années quatre-vingt, mais abandonné, car il était plus facile et plus rentable de juxtaposer les deux cultures que de les mélanger dans le même champ.

    Il est étonnant de voir comment les mêmes expériences sont reproduites des décennies après, parce que leurs échecs ont été oubliés. Eternel recommencement des générations humaines, alors que les fondamentaux de la biologie sont immuables.

    La mode actuelle pour ces mélanges de plantes s’explique par le mot miracle : la « biodiversité », Graal absolu et solution à tous les problèmes, de la « santé » des sols à la nutrition humaine, en passant par le 'réchauffement climatique' et la régénération des âmes malades du progrès technique.

    RépondreSupprimer
  93. En oubliant que la biodiversité naturelle n’a aucun égard pour l’homme, et peut nous détruire (maladies, prédateurs, parasites) tout autant que nous nourrir, à condition de savoir trier le bon grain de l’ivraie (mauvaise herbe) ou du mauvais grain (contaminé par des bactéries ou moisissures tout à fait mortelles, comme nos ancêtres en faisaient régulièrement les frais [seigle et mal des ardents] et de nos jours certaines populations du Tiers Monde [le stockage inapproprié de grains contaminés est la principale source de pertes alimentaires dans le monde]).

    Les technologies éprouvées dont on ne veut pas

    Le végétal

    Complètement oubliées par l’Université de Wageningen et par la BBC sont les techniques utilisées par les humains modernes pour améliorer leurs plantes cultivées : transgénèse diabolisée et bannie de l’Europe depuis longtemps, bien que nous en consommions tous les jours sans effet notable, et nouvelles techniques de sélection NGT (New Genomic Techniques) ou NBT (New Breeding Techniques), refusées par les toutes puissantes ONG multinationales qui dictent le Bien Commun à nos timides politiciens.

    Que certaines améliorations génétiques soient des progrès majeurs pour améliorer la durabilité de l’agriculture européenne semble n’intéresser personne dans le contexte européen dominé par le catastrophisme et la résignation au sous-développement.

    Le blé HB4 tolérant à la sécheresse mis au point par Bioceres (Argentine) et Florimond-Desprez (France), semé en Argentine et au Brésil, permet en moyenne de façon fiable un rendement augmenté de 16 % en conditions hydriques limitantes. C’est quand même mieux qu’un blé semé dans une luzerne ou un trèfle, comme essayé par des chercheurs français, qui au mieux fait le même rendement, les fois où on arrive à empêcher le couvert d’engloutir le blé.

    Une technologie fiable versus l’agroécologie aléatoire (comme le nucléaire et les éoliennes)...

    Les sols

    La gestion des sols est particulièrement mal traitée par la Ferme du Futur de l’Université de Wageningen et par la BBC.

    RépondreSupprimer
  94. Elles semblent totalement ignorer que les couverts végétaux cités ne donnent leur plein effet de protection et d’amélioration des sols et de la biodiversité des parcelles que si cette couverture est continue toute l’année. Pendant les périodes de sol nu créée inévitablement par un travail mécanique (charrue ou autre outil remuant et mettant le sol à nu), la pluie, le vent, le soleil, l’absence de nourriture font leur effet destructeur sur les organismes vivants du sol (vers de terre, insectes, bactéries, champignons, tous les microorganismes, macro et mésofaune…), en plus de la perturbation mécanique directe et l’oxydation forcée par l’éventration de la terre.

    Tous cela génère inévitablement érosion hydrique (constatée par la couleur brune des cours d’eau à chaque pluie) ou éolienne (constatée par la poussière s’élevant au gré du vent), et perte d’humus, dégradé par l’oxydation en gaz carbonique (celui de l’'effet de serre') et en NO3- (les nitrates qui percolent dans les nappes pendant les pluies).

    La solution est évidente, connue maintenant depuis une cinquantaine d’année, pratiquée avec succès à très grande échelle par les producteurs agricoles les plus performants dans les Amériques (Argentine, Brésil, Canada, USA, Mexique), en Australie, même en Afrique où le développement commence à décoller, en Inde…

    Il s’agit du Semis Direct : semis des cultures sans aucun travail mécanique du sol depuis la récolte de la culture de vente précédente, soit dans les pailles laissées en surface, soit dans un couvert végétal.

    La combinaison du Semis Direct, des Couverts Végétaux, et des Rotations (succession de cultures variées), a été bien décrite par la FAO et nommée « Agriculture de Conservation » en 2001.

    Les agriculteurs français qui la pratiquent l’appellent « Agriculture de Conservation des Sols » (ACS).

    En ACS il n’y a jamais de sol nu.

    Un intérêt évident pour la résilience aux effets de la météo est l’abaissement spectaculaire de la température en plein été d’un sol couvert (25 degrés), par rapport au même sol mis à nu, qui peut atteindre 40 degrés ou plus. L’effet est évident sur la conservation de l’eau dans le sol, et sur l’évapotranspiration qui en résulte, avec création d’un microclimat plus frais.

    Les effets positifs sont visibles sur l’augmentation de la teneur en humus (matière organique, approximativement), qui pilote en grande partie la fertilité du sol, l’absence d’érosion, l’augmentation de la vie du sol et à sa surface, la régulation des eaux, que ce soit en période sèche ou en période humide.

    RépondreSupprimer
  95. De nombreuses références sur l’ACS existent et ne peuvent être ignorées des chercheurs de l’Université de Wageningen.

    D’autant plus que c’est un système d’agriculture parfaitement identifié aussi par la Commission Européenne, qui l’a fait étudier par son Joint Research Center pendant deux ans (2008 et 2009) dans plusieurs pays européens, dans le cadre du projet de recherches SoCo (Soil Conservation) auquel était associée l’Université de Wageningen. Les conclusions étaient que les bénéfices de l’ACS sont tels qu’elle a le potentiel et mérite de devenir le moteur du développement d’une agriculture durable au titre de la triple performance économique, environnementale et sociale permettant de répondre à l’ensemble des enjeux de la souveraineté et de la compétitivité agricole et alimentaire de l’Europe, de la gestion des sols, de l’eau, de la biodiversité, du climat, le tout avec un budget public limité et une simplification administrative attendue de tous.

    Les seuls mécontents des conclusions ont été les ONG écologistes et le lobby bio, qui ne supportent pas la concurrence ni la liberté des agriculteurs et des consommateurs.

    Ils semblent avoir été entendus, puisque la Commission a si bien enterré le rapport qu’il est presque introuvable sur le site du JRC.

    Depuis cet épisode, l’ACS survit en France et en Europe, à hauteur d’environ 1 à 5 % des agriculteurs la pratiquant en grandes cultures, qui ne changeraient de système pour rien au monde.

    Mais ils sont menacés par la suppression du glyphosate, l’herbicide du Diable, qui leur est indispensable pour dévitaliser les mauvaises herbes et les couverts végétaux sans toucher au sol. Ils en utilisent pourtant bien moins que les agriculteurs qui travaillent le sol, car le travail mécanique du sol entretient les mauvaises herbes, comme tout jardinier le constate quand il bine : elles repoussent à nouveau à chaque nouvelle pluie si le sol reste à nu, ce qui est impossible si le sol est bien couvert par des végétaux choisis.

    Mais pour les radicaux de l’écologisme, diminuer l’usage des pesticides n’est pas suffisant, il faut les supprimer totalement.

    Quitte à travailler encore plus le sol, et donc accélérer sa dégradation par l’érosion. Ce qui est largement constaté dans les grandes cultures menées en agriculture biologique. C’est d’ailleurs pour cela que des agriculteurs bio cherchent à faire de l’ACS en bio. Le problème est que toutes les tentatives se sont soldées par des échecs : le peu de mauvaises herbes qui échappent à la concurrence des cultures ou des couverts végétaux se multiplient si on les laisse arriver à maturité, et après trois à cinq ans envahissent toute la parcelle.

    RépondreSupprimer

  96. On ne peut rien contre les lois de la biologie.

    L’eau et l’irrigation

    Une autre loi de la biologie est qu’aucune plante ne pousse complètement sans eau, même si en ACS on constate que l’humidité résiduelle du sol est plus élevée lors des périodes sèches que dans les terres travaillées mécaniquement.

    Après les récoltes d’été, dans les conditions sèches, il est souvent difficile de réussir l’implantation des semis des couverts végétaux.

    Les cultures qui suivent souffrent alors d’un sol mal couvert. L’apport d’une petite quantité d’eau à ce moment permet de sécuriser ces couverts indispensables au bon état du sol, tout autant que les cultures de vente.

    La maîtrise de l’eau par l’irrigation permet des écosystèmes agricoles beaucoup plus performants en production de biomasse et donc en production de matière organique pour nourrir la vie du sol, que de compter sur les caprices de la météo et attendre d’aléatoires pluies d’orages.

    L’eau ainsi prélevée dans le milieu et recyclée sur place par le complexe sol-plantes est largement compensée par l’alimentation de l’évapotranspiration permettant le fonctionnement optimal de la photosynthèse et le rafraîchissement de l’écosystème local. Même les espèces non cultivées en bénéficient, ainsi que toute la faune qui en dépend.

    En France l’irrigation ne couvre que 7 % des terres cultivées. Les écosystèmes agricoles mais aussi naturels sont menacés par les pénuries d’eau de plus en plus fréquentes. Retenir les pluies d’hiver et les recycler en été est ce que font les écosystèmes naturels en bon état. Sous nos latitudes ils sont pour la plupart forestiers ou prairiaux, et ne laissent jamais de sols nus se dessécher au soleil et se transformer en désert.

    Copier le cycle naturel de l’eau pour qu’il se déroule plutôt sur place au lieu de laisser l’eau se perdre en mer et manquer en été, c’est améliorer le fonctionnement des écosystèmes anthropiques pour le bénéfice de toutes les espèces qui en dépendent en plus que de sécuriser la production alimentaire locale.

    RépondreSupprimer
  97. Une gestion intelligente et écologique de l’eau nécessite à la fois une bonne compréhension des principes de l’écologie scientifique et du fonctionnement des écosystèmes, et une gouvernance territoriale intégrant tous les acteurs autour de leurs gestionnaires principaux que sont les agriculteurs.

    Il est des cas (Vendée, Espagne, Israël) qui prouvent que c’est possible quand la raison et la technique dominent, plutôt que les idéologies sectaires.

    Conclusion

    Un projet performant de Ferme du Futur commencerait par remettre les choses dans l’ordre logique :

    D’abord s’occuper du sol et du système végétal, avec la mise en place réussie de l’ACS : se faire conseiller par un agriculteur expérimenté en ACS, ou par l’association spécialisée, l’APAD.

    Sécuriser le bon fonctionnement hydrique de l’écosystème en se dotant de capacités de régulation des eaux de pluie : rétention, stockage, irrigation.

    Conserver tous les outils existant à ce jour, dont le glyphosate, sans lequel rien de cela n’est possible de façon raisonnable, pratique, économique et performante. C’est prouvé par plus de cinquante ans d’expérience sur des centaines de millions d’hectares dans le monde.

    Ouvrir l’Europe aux technologies modernes de sélection, des NBT à la transgénèse. Déjà rattraper le retard européen en matière de génétique : il faudra des partenariats avec les entreprises des pays avancés.

    Mettre en place la mécanisation avancée incluant Agriculture de Précision, Aides à la Décision, Robotique, IA, etc…

    Mais dans cet ordre : investir dans toutes ces technologies très coûteuses et des semences très performantes sur une ferme dont les sols dégradés font perdre entre 20 et 50 % des récoltes, tout en consommant deux fois plus de fuel en labourant, c’est comme chasser le lapin au canon : une débauche de dépenses pour un résultat minable.

    RépondreSupprimer
  98. Les faillites et abandons de terres sont QUOTIDIENNES ! C'est-à-dire: MOINS ou PAS DU TOUT à manger !

    N'oublions pas qu'il faut 3 générations d'agriculteurs pour faire un paysan !

    RépondreSupprimer
  99. Ce sont les plus grandes sociétés de fonderie de semi-conducteurs au monde en termes de chiffre d'affaires


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 23 NOVEMBRE 2023 - 03:35


    Ils se trouvent dans nos téléphones, nos voitures, nos avions et même nos réfrigérateurs.

    Les puces à semi-conducteurs sont devenues essentielles au mode de vie moderne, et les plus grandes fonderies de semi-conducteurs engrangent des milliards de dollars grâce à la demande généralisée.

    Marcus Lu et Pallavi Rao de Visual Capitalist présentent dans le graphique suivant les plus grandes sociétés de fonderie de semi-conducteurs en fonction de leur pourcentage des revenus mondiaux au premier trimestre 2023, en utilisant des données provenant de Trendforce.

    - voir graph sur site -

    ℹ️ Nous mettons en évidence les données des entreprises qui exploitent uniquement des fonderies (usines de fabrication) qui fabriquent des puces pour les clients, également connues sous le nom de fonderies « pure-play », ainsi que des entreprises qui conçoivent et fabriquent leurs propres puces, appelées fabricants de dispositifs intégrés. Les fabricants « sans usine » qui conçoivent et ne fabriquent pas leurs propres puces ne sont pas inclus.

    Entreprises de fonderie de semi-conducteurs par chiffre d’affaires
    En tête de liste et éclipsant toutes les autres entreprises en termes de part de revenus se trouve TSMC, qui a réalisé 60 % (soit près de 17 milliards de dollars) des revenus de l’ensemble du secteur au premier trimestre 2023.

    Fondée en 1987, TSMC est une fonderie purement spécialisée qui est devenue la plus grande entreprise de Taiwan et fabrique des produits pour de nombreux clients, notamment Apple, NVIDIA et AMD.

    - voir liste sur site -

    Remarque : Revenus basés sur les taux de conversion suivants : 1 USD = 1 276 WON ; 1 USD = 30,4 NTD.

    Bien derrière TSMC en termes de revenus de fonderie se trouve le fabricant d'appareils intégrés Samsung, la plus grande entreprise de Corée du Sud, qui a gagné 3,4 milliards de dollars (12,4 % des revenus de l'industrie) grâce à son activité de fabrication de semi-conducteurs.

    GlobalFoundries des États-Unis, UMC de Taiwan et SMIC de Chine complètent le top cinq, chacun remportant environ 6 % de la part des revenus de l'industrie au premier trimestre 2023. Le premier est issu de la branche de fabrication d'AMD lorsque la société a perdu son usine en 2009.

    RépondreSupprimer

  100. La concentration industrielle est évidente dans le secteur des semi-conducteurs. Par exemple, les 10 plus grandes fonderies de semi-conducteurs représentent 98 % des revenus de l’ensemble du secteur. De plus, 90 % du marché est dominé par des entreprises de trois pays asiatiques seulement : Taiwan, la Corée du Sud et la Chine.

    https://www.zerohedge.com/technology/these-are-worlds-largest-semiconductor-foundry-companies-revenue

    RépondreSupprimer
  101. 9 choses que le gouvernement australien peut faire pour réduire le coût de la vie


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 23 NOVEMBRE 2023 - 02H00
    Rédigé par Graham Young via The Epoch Times


    Le gouvernement fédéral reconnaît tardivement que certaines de ses politiques économiques contribuent à l’inflation que la Reserve Bank of Australia (RBA) tente d’éradiquer en augmentant les taux d’intérêt.

    Depuis avril 2022, date à laquelle les tarifs ont commencé à augmenter, c’est comme si nous étions dans une voiture avec deux conducteurs, l’un avec le pied sur le frein, l’autre avec le pied sur l’accélérateur.

    Aujourd’hui, le conducteur, le pied sur l’accélérateur, montre enfin des signes de compréhension : il va endommager le moteur de la croissance s’il continue à le tirer dans deux directions.

    Ils ont donc décidé de réduire les dépenses dans les projets routiers et ferroviaires après une explosion des coûts sur le portefeuille de 120 milliards de dollars (78 milliards de dollars) de projets actuels et proposés de 38 milliards de dollars, soit plus de 25 %.

    Réduire les projets routiers et ferroviaires n’est pas forcément par là que je commencerais. De bons projets routiers et ferroviaires contribuent en réalité à la productivité du pays.

    Pensez à tous les camions qui font la navette entre Brisbane et Sydney. Les améliorations apportées à la Pacific Highway ont jusqu'à présent réduit le temps de trajet entre les deux principales villes de la côte est de 2,5 heures, soit environ 20 %.

    Cela représente une énorme augmentation de la productivité et, comme la logistique représente une part importante des prix de détail, une énorme baisse des prix. Cette mesure est donc anti-inflationniste et aide les camionneurs à maintenir leurs revenus réels.

    Non pas que tous les projets de transport soient aussi productifs.

    Le Melbourne Suburban Rail Loop de l’ancien premier ministre de Victoria Daniel Andrew et le Cross River Rail de la première ministre du Queensland, Annastacia Palaszczuk, sont tous deux des produits qui offrent des avantages négatifs. Ils augmentent donc les coûts et sont pro-inflationnistes.

    Le gouvernement fédéral devrait cesser de financer des projets comme celui-ci.

    Que devrait-il faire d'autre ?

    Voici une courte liste.

    RépondreSupprimer
  102. 1. Réduisez immédiatement l’immigration

    L’Australie aurait accueilli 630 000 nouveaux immigrants cette année, soit huit Toowoombas régionaux.

    Sur une population de 26 millions d’habitants, cela exerce une pression trop lourde sur les infrastructures et est en grande partie responsable de la crise actuelle du logement.

    Même si l’immigration pourrait contribuer à remédier à diverses pénuries de compétences, rien ne prouve que ce soit réellement l’effet de la vague migratoire actuelle.

    Quoi qu’il en soit, une pénurie de compétences est le signe que soit le système d’éducation et de formation doit s’adapter, soit que l’économie épuise sa capacité à répondre à tous les souhaits avec les ressources actuelles.

    2. Produire des excédents budgétaires à l’avenir, pas seulement cette année

    Le gouvernement est moins efficace dans ses dépenses que le secteur privé, en partie parce que les grandes bureaucraties, qu’elles soient publiques ou privées, sont inefficaces, et en partie parce que lorsqu’il ne s’agit pas de votre argent, vous avez tendance à être moins prudent.

    Produire des excédents sans augmenter la fiscalité signifie une diminution de la taille de l’État et une augmentation de la productivité.

    Des excédents signifieraient qu’ils devraient contrôler l’augmentation rapide des coûts de santé, de soins aux personnes âgées et du régime national d’assurance invalidité (NDIS). Cela devrait être relativement simple.

    Le NDIS aurait toujours dû être soumis à des conditions de ressources et limité dans ses possibilités.

    Les soins aux personnes âgées sont un gâchis micro-géré de manière centralisée où la plupart des problèmes pourraient être résolus par le retrait du gouvernement et en obligeant également les retraités les plus aisés à assumer une plus grande partie de leurs propres coûts.

    En matière de santé, nous dépensons proportionnellement environ 50 % de plus que les pays ayant des résultats sanitaires similaires comme Israël et Singapour. Nous avons un système de santé globalement bon, mais il pourrait être meilleur et moins cher.

    Prendre ces mesures permettrait également d’augmenter la productivité, et donc de réduire la pression à la hausse sur les prix.

    RépondreSupprimer
  103. 3. Réformer la fiscalité

    La mise en œuvre des réductions d’impôts de l’étape 3 devrait absolument avoir lieu. Cela fait partie de la réduction des effectifs du gouvernement et de la mise des ressources entre les mains de ceux qui les utiliseront le plus efficacement.

    Il existe également une liste de réformes plus radicales qui devraient être mises en œuvre pour accroître la productivité des entreprises.

    La productivité de l’Australie a chuté en partie parce que les entreprises n’ont pas investi dans la capacité de production, et la plupart des investissements dans l’économie proviennent en réalité des entreprises.

    Un moyen simple de stimuler l’investissement consiste à permettre aux entreprises d’accélérer le rythme de dépréciation de leurs actifs.

    Les entreprises à croissance rapide manquent toujours de capitaux de manière chronique, et nous exacerbons ce phénomène en les taxant même lorsqu’elles ne présentent pas de flux de trésorerie positifs.

    L’amortissement accéléré y contribue et, même s’il diminue temporairement les recettes fiscales de l’État, à long terme, il devrait les augmenter à mesure qu’une plus grande richesse est générée.

    Les acheteurs traversent le Royal A

    Ils pourraient également envisager de supprimer complètement l’impôt sur les sociétés et de taxer entièrement les bénéfices entre les mains des actionnaires.

    Ils devraient également envisager d’abolir l’impôt sur les plus-values (un impôt qui n’a vu le jour qu’en 1985).

    C'est en partie la raison pour laquelle il y a actuellement une pénurie de propriétés locatives, ce qui augmente le coût de la vie pour les 31 % d'Australiens qui louent. Une fois qu’un propriétaire ne paie pas d’impôt sur les plus-values, il bénéficie d’un gros avantage sur les investisseurs lorsqu’il s’agit d’acheter une maison.

    4. Retirer le projet de loi « Combler les lacunes »

    Il s’agit d’un projet de loi totalement mal nommé qui rendra marginal le travail occasionnel et indépendant.

    Cela frappe au cœur des Australiens ambitieux qui veulent faire les choses par eux-mêmes et rendra notre main-d'œuvre beaucoup moins flexible, augmentant ainsi les coûts partout.

    En fait, ce projet de loi devrait être connu sous le nom de « Permettre un plus grand pouvoir syndical et mettre à mal le secteur des petites entreprises ».

    Les « failles » qu’il prétend combler ne sont en réalité pas des bugs, mais des caractéristiques d’une main-d’œuvre remarquablement flexible et productive.

    5. Réformer les lois sur la protection de l'environnement

    La loi sur la protection de l’environnement et la conservation de la biodiversité étouffe la croissance des projets en Australie et doit être révisée de toute urgence.

    Cela donne trop de pouvoir aux opposants, qui sont dans de nombreux cas des groupes environnementaux (et non des groupes de conservation) déterminés à saboter la création de richesse plutôt qu’à protéger l’environnement.

    Il existe aujourd’hui suffisamment de risque souverain en Australie sans l’amplifier.

    RépondreSupprimer
  104. 6. Arrêtez de plafonner les prix

    Lorsque les prix augmentent, la première impulsion du gouvernement semble être de contrôler les prix.

    Ils l’ont certainement fait avec le gaz, ce qui, à long terme, fait monter les prix.

    Les prix élevés indiquent aux entreprises où investir, et les prix plafonds indiquent où ne pas investir.

    7. Modérer la transition énergétique

    L’inflation des projets d’infrastructures ferroviaires et routières n’est rien comparée à ce qui est sur le point de se produire dans le domaine de la production d’électricité.

    Cela détourne déjà la main-d’œuvre et les ressources des nécessités quotidiennes comme le logement, mais une pénurie imminente des composants qui composent les énergies renouvelables et les réseaux électriques.

    De plus, continuer sans stockage adéquat va accroître le besoin de production d’électricité au gaz, qui ne fera que devenir plus coûteuse en raison des politiques gouvernementales qui rendent difficile le démarrage de nouveaux projets gaziers.

    8. Réformer les relations fédérales-États

    La responsabilité de l’inflation n’est pas entièrement imputable au gouvernement fédéral, mais elle incombe en grande partie aux États qui ont emprunté de manière excessive.

    Le Commonwealth doit soit réintroduire des limites d’emprunt, comme c’était le cas sous le Conseil des prêts, soit faire comprendre clairement aux prêteurs (et aux électeurs et aux gouvernements) qu’il ne renflouera pas les gouvernements des États qui ne peuvent pas rembourser leurs emprunts.

    9. Désignez une fourchette minimale pour les taux d’intérêt

    Une grande partie de notre problème réside dans le fait que la RBA a poussé les taux d’intérêt trop bas, jusqu’à un taux historiquement sans précédent.

    Il devrait être clair pour la RBA et pour les électeurs que les taux d’intérêt officiels ne devraient jamais descendre en dessous, disons, de 3,5 %.

    Le taux record de 0,1 % était absurde pour plusieurs raisons.

    Les investisseurs peu enclins au risque, comme les retraités, doivent disposer d’une classe d’actifs qui leur procure un rendement raisonnable et qui soit liquide. Il s'agit d'espèces ou d'obligations.

    Même si un actif pourrait rapporter un rendement de 0,1 % s’il existait une chance raisonnable de gains en capital, à ce taux, il existe une chance plus que raisonnable de perdre en capital.

    En fait, la RBA est apparemment assise sur environ 45 milliards de dollars de pertes non réalisées parce qu’elle a investi dans son propre papier à ce taux absurdement bas.

    Le taux est également important car le taux des obligations d'État a tendance à être évalué en fonction de celui-ci, et le rendement des obligations d'État est utilisé comme taux minimal par les investisseurs pour évaluer le rendement dont ils ont besoin d'un investissement pour le rendre viable.

    Lorsque le taux d’intérêt officiel est trop bas, les gens, les entreprises et les gouvernements investissent dans trop de projets marginaux qui n’ajoutent rien à la productivité et au revenu nationaux, et gèlent souvent ceux qui sont plus risqués, mais finalement plus rentables.

    RépondreSupprimer
  105. J’aurais aimé pouvoir dire qu’il est probable que le gouvernement reprendra ne serait-ce qu’une de ces idées, mais ce n’est pas le cas.

    Il y a quelques jours à peine, le trésorier Jim Chalmers se vantait : « Nous avons connu la plus forte croissance trimestrielle des salaires depuis 26 ans sous un gouvernement travailliste australien. Les salaires réels ont commencé à baisser sous la coalition en raison d’une décennie de stagnation délibérée des salaires et d’une inflation élevée. Nous sommes en train de renverser la situation.

    Sauf qu’ils ne changent rien du tout.

    Il compare les salaires nominaux aux salaires réels et ignore le fait que la productivité du travail vient de subir une chute record.

    Ces hausses de salaires ne sont pas bonnes pour l’économie, elles représentent l’inflation en action.

    Si vous ne pouvez pas le voir lorsque vous vous cognez l’orteil dessus, en fin de compte, il est peu probable que vous puissiez y faire quoi que ce soit.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/9-things-australian-government-can-do-reduce-living-costs

    RépondreSupprimer
  106. Immigration. Sondage en France : 66 % (même 85 %, 90 %, 95 % suivant l’orientation politique) des Français estiment qu’il y a « Trop d’immigrés extra-européens en France ». La démocratie directe, un puissant régulateur politique


    Uli Windisch
    Rédacteur en chef
    le 19.11.2023

    Lecteur audio

    https://lesobservateurs.ch/2023/11/19/immigration-sondage-en-france-66-meme-85-9095-suivant-lorientation-politique-des-francais-estiment-quil-y-a-trop-dimmigres-extra-europeens-en-france-la-democratie-directe-un-puiss/

    RépondreSupprimer
  107. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (120 - 1 = 119)

    RépondreSupprimer