Best-seller américain de 2023, le film « Sound of Freedom » à l’épreuve des faits
16.11.2023 www.kla.tv/27463
A partir du 8 novembre, le film best-seller américain très discuté « Sound of Freedom », en français « Le son de la liberté », devrait également être projeté dans les cinémas allemands. Aux États-Unis, le film, un des dix les plus populaires de l'année, a déjà rapporté environ 181 millions de dollars. Selon les indications des Angel Studios, le film devrait être projeté dans près de 20 pays d’Amérique centrale et du Sud, au Royaume-Uni et en Irlande, en Australie et en Afrique du Sud.
« Sound of Freedom », une « histoire vraie », reprend des prétendus faits réels de la vie de Tim Ballard. Ballard, un ancien agent, quitte son emploi à Homeland Security Investigations [branche d'enquête du ministère américain de la Sécurité intérieure] parce que, bien qu'il arrête régulièrement des délinquants impliqués dans la pornographie enfantine, il ne peut pas sauver des enfants des mains des cartels de la drogue et des trafiquants d'êtres humains. C'est ainsi que son personnage est présenté dans le film. Peu après, Ballard serait devenu un militant des droits de l'homme très engagé, fondant en 2013 le groupe anti-trafic d'êtres humains Operation Underground Railroad [O.U.R.] afin de travailler d'arrache-pied à la découverte et à la lutte contre ces crimes. Le film met l'accent sur la traite des enfants en Amérique latine, notamment au Mexique, et sur la manière dont ces enfants se retrouvent dans le commerce du sexe. À la demande expresse de Tim Ballard, Jim Caviezel, principalement connu pour son rôle de Jésus-Christ dans le film de Mel Gibson « La Passion du Christ », incarne le personnage de Ballard.
Dans ce contexte, de nombreux lanceurs d’alerte respirent et se réjouissent que cet acteur passionné utilise son pouvoir de star pour attirer l'attention du monde sur le cruel trafic d'enfants. Kla.TV a également été informé à plusieurs reprises de l'existence de ce film et a été prié d'en faire la promotion. Fidèles à notre devoir journalistique, nous avons regardé ce film, non pas pour en faire la promotion, mais pour le mettre à l'épreuve. Pour un film de cette ampleur et de cette importance de recettes, il y a toujours un flux d'argent. C'est ce que nous avons suivi afin de déterminer si le film tient réellement ses promesses ou s'il s'engage sur des voies d’évitement.
Dans une émission de Kla.TV [« Till Lindemann, chanteur principal de Rammstein, et Heidi Klum, top model, devant le TRIBUNAL POPULAIRE »], dans laquelle l'autrice Loïs Sasek passe au crible quelques célébrités, elle fait déjà un excellent constat : [Extrait de l'émission www.kla.tv/26833 - Minute : 0:52:29 - 0:53:55]
« Le film [Sound of Freedom] a toutefois été cofinancé par l'un des hommes les plus riches du monde, Carlos Slim Helú, qui est également accusé de trafic d'êtres humains. Il est également donateur de la Fondation Clinton. On le voit souvent photographié avec Bill Gates. […] L'Institut de la santé Carlos Slim Helú collabore également avec la Fondation Gates. Carlos Slim Helú est en relation d'affaires étroite avec les Rothschild et finance la Fondation Bill & Melinda Gates. Fabian Marta, un autre soutien du film contre le trafic d'enfants « Sound of Freedom », a été arrêté et inculpé de complicité d'enlèvement d'enfants, selon un dossier judiciaire du Missouri. Tim Ballard, le prétendu sauveur des enfants victimes du trafic d'enfants, porte une cravate maçonnique et ressemble étrangement au prédateur sexuel « Timothy Ray Ballard ». Tim Ballard travaille avec Henry Kissinger et semble être membre de la société secrète des Templiers, tout comme Jim Caviezel. L'acteur Jim Caviezel fait ouvertement les signes de la secte […] et rencontre le pape. » Des trafiquants d'êtres humains, des ravisseurs d'enfants ainsi que des délinquants sexuels présumés et parfois réellement accusés tournent un film sur l'enlèvement d'enfants et le trafic sexuel... Peut-on encore croire à des coïncidences ?
De même, le fait que l'Opération Underground Railroad (O.U.R.) mentionnée, créée par Ballard, soit soupçonnée d'avoir détourné des millions de dons, n'est pas un détail insignifiant. Anne Gallagher, une spécialiste en droit international dans le domaine de la traite des êtres humains, a également accusé O.U.R. de « [...] manque alarmant de compréhension de la manière dont les réseaux criminels sophistiqués de traite des êtres humains doivent être abordés et démantelés [...] » et a qualifié le travail de l'organisation d'« arrogant, contraire à l'éthique et illégal ». En fait, Ballard a dû quitter l'organisation à l'été 2023 après une enquête interne et des accusations d'inconduite sexuelle portées contre lui par plusieurs employés. Et ce, alors qu'en 2022 il percevait encore un salaire et des indemnités de plus d'un demi-million de dollars.
Revenons au film :
David Sorensen, journaliste connu et fondateur du site StopWorldControl.com, critique les possibilités de révélation du film sur le trafic international d'enfants comme suit : « Sound of Freedom montre comment ça – c’est-à-dire le trafic d'enfants, etc. - se passe au plus profond des bas-fonds d'Amérique du Sud, par exemple par le cartel mexicain. C'est vrai, mais ce n'est pas du tout l'histoire complète. Si le monde pense que cela n'est le fait que de criminels dans les bas-fonds, il ne comprendra jamais que cela se passe en réalité dans les hauts et sublimes gratte-ciel de New York, dans les bâtiments officiels du gouvernement de Washington DC, dans les chefs-d'œuvre architecturaux historiques de Londres, dans les beaux châteaux d'Europe, dans les brillants centres de conférence de Davos et ainsi de suite. »
Plus loin, Sorensen explique, et c'est d'une importance extraordinaire : « Mais ce qui m'attriste, c'est que le film ne révèle en aucune manière - ou même ne suggère - qui sont les vrais coupables du trafic international d'enfants. En fait, il détourne l'attention de ceux qui sont réellement responsables de l'enlèvement, de l'abus, de la torture et de l'assassinat d'enfants dans le monde entier. » David Sorensen voit clairement que le film ne révélera jamais les véritables atrocités ainsi que les auteurs qui se cachent derrière.
Et bien plus lourd de conséquences, « Sound of Freedom » ne semble pas seulement dissimuler les véritables coupables, il y a même de forts soupçons que le film fasse le jeu d'un « programme d'identification des enfants » mis en place par les francs-maçons en 1997. Loïs Sasek a expliqué, dans l'émission Kla.TV déjà citée, en se référant au rapport Reese [plate-forme d'investigation], qu'il est prévu de collecter toutes les données des enfants dans le monde entier. Il s'agirait d'une étape préliminaire à la puce sous la peau. [Extrait de l'émission www.kla.tv/26833 - Minute : 0:54:17 - 0:55:42]
« Selon le rapport Reese, des organisations douteuses participent à ce programme, comme par exemple la « Clinton Global Initiative » ou le « Podesta Group », les fameux collectionneurs d'art pédophiles du scandale des e-mails Wikileaks-Podesta... Le rapport Reese révèle également que les studios Angel, qui ont produit le film « Sound of Freedom », sont liés en tant qu’organisations d'aide aux mêmes groupes soupçonnés d'être impliqués dans le côté criminel du trafic d'enfants comme les Clinton et les Podesta.
Après la création de cette base de données sur les enfants, le trafic d'êtres humains a augmenté. En l'espace de neuf ans, le chiffre d'affaires de l'industrie de la traite des êtres humains est passé d'environ 30 milliards de dollars à 150 milliards de dollars par an. La lanceuse d'alerte du gouvernement, Tara Lee Rodas, a témoigné que le gouvernement américain était impliqué dans le trafic d'enfants sous le prétexte de programmes de protection de l'enfance. Est-ce que ce sont vraiment nos messies ? Après tout Jim Caviezel a joué le Messie qu'ils ont malmené... Jésus accroché à la croix avec un seul œil et la position de la main de Baphomet... Seulement des coïncidences ? » Tant que Caviezel collabore avec les producteurs et les financiers du film cités précédemment, les doutes sur sa sincérité ne peuvent pas être levés, même s'il donne en même temps des interviews à des chaînes de télévision de dévoilement comme rumble.tv sur, par exemple, l’adrénochrome [« cocktail de rajeunissement » de cercles élitistes à base de sang d'enfants torturés].
Ce qui est frappant, c'est que les producteurs de films, les célébrités et les acteurs qui ont effectivement eu le courage de dévoiler les secrets cruels d'auteurs d'atrocités l'ont payé de leur vie. Loïs Sasek raconte également dans son émission [www.kla.tv/26833] comment de grands producteurs de films sont morts subitement de manière étrange après avoir révélé les noms et les secrets de cercles « élitistes » qui commettent des actes odieux contre des enfants.
Conclusion : Il est bon et important que « Sound of Freedom » aborde le thème important de la traite et de l'abus des enfants. Mais il est tout de même recommandé de jeter un regard plus attentif sur cette œuvre cinématographique et d'examiner attentivement le contexte décrit ainsi que les informations présentées sur les réalisateurs du film. En effet, les spectateurs du film risquent d'être tentés de se reposer sur leurs lauriers en pensant que le film et les organisations mentionnées font déjà quelque chose pour les enfants pauvres. Le dernier documentaire de Kla.TV « Secte du sang II - 111 victimes 50 témoins 50 coupables », réalisé par Loïs Sasek, montre que c'est loin d'être le cas [www.kla.tv/27305]. Regardez aussi La secte du sang I (de Loïs Sasek) avec les paroles de nombreuses autres victimes et témoins. En effet, ces documentaires, qui ont fait l'objet de recherches approfondies et comportent des centaines de sources, révèlent les véritables dessous du trafic d'enfants. Les victimes et les témoins eux-mêmes mettent en évidence les réseaux et les structures largement interconnectés des criminels...
Ainsi, si ce film de cinéma montre des choses et des dysfonctionnements réels sans aller au fond des choses sur qui sont les responsables et les auteurs de ces crimes pédocriminels, où le spectateur est dans le même temps détourné de ce qui se passe littéralement sous son nez.
Ne vous laissez pas tromper, suivez la piste de l'argent et écoutez ce que dit votre cœur. Ou, pour conclure avec les mots de David Sorensen : « Que le monde se réveille vraiment. Que le mal soit vraiment révélé. Que ces monstres soient jugés, au nom du Très-Haut, le Créateur de toute vie. Que la vérité brille dans notre monde. Que les gens se réveillent de leur sommeil. Que les enfants du monde entier soient réellement libérés. Et que les porte-parole de la VRAIE vérité se lèvent dans notre monde [...]. »
Helú finance la fondation Clinton et est un gros investisseur de « Sound of Freedom » : rumble.com/v2zihvi-sound-of-freedom-and-operation-underground-railroad-why-it-is-a-scam.html www.wiwo.de/erfolg/trends/forbes-liste-2023-die-reichsten-menschen-der-welt-im-aktuellen-ranking/26281100.html
Don de Helú et Giustra à la Fondation Clinton : https://www.theglobeandmail.com/report-on-business/giustra-slim-donate-100-million-each-to-clinton-foundation/article20404756/
Les liens de Helú avec les Rothschild et ses affaires avec Hunter Biden : www.dailymail.co.uk/news/article-1293856/Rothschilds-big-fat-deal-Slim.html
t.me/anon_fa_mous/2920 t.me/anon_fa_mous/2956
Documentaire : « Le contrôle des Rothschild » www.kla.tv/13640
The sound of freedom et Carlos Slim°: www.youtube.com/watch?v=WNDkTccQOpY
Helú connu comme trafiquant d'êtres humains : t.me/RomanMironovHRD/10836 telegra.ph/Das-r%C3%A4tselhafte-Verschwinden-des-mexikanischen-Supermodels-Gabriela-Rico-Jim%C3%A9nez-05-25
Projets agricoles de Carlos : t.me/guerrieriperlaliberta/23766
Société de téléphonie mobile de Carlos : t.me/cicepr/29557
Carlos Slim Helú - société minière et immobilière : t.me/cicepr/29557 odysee.com/@ActualidadRT:9/2022.04.08_Campesino-contra-Slim---Manuel_Odysee:1 anonfamous.substack.com/p/the-tim-ballard-rabbit-hole-part-395
Carlos Slim Helú et le trafic de drogue : www.nogeoingegneria.com/effetti/politicaeconomia/transizione-green-fink-blackrock-mai-vista-una-cosa-del-genere-in-40-anni/
Bill & Hillary Clinton - Impliqués dans le trafic d'enfants ? www.coreysdigs.com/child-trafficking/are-bill-hillary-clinton-involved-with-child-trafficking/
Programme d'identification maçonnique pour enfants : www.grandlodgefl.com/glf-initiatives/child-id-program-2/
Tim Ballard et Henry Kissinger dans la même organisation :
afghanistanworldfoundation.org/awf-board/
Fondation Gates, Carlos Slim Helú : https://www-gatesfoundation-org.translate.goog/ideas/media-center/press-releases/2010/06/gates-foundation-carlos-slim-health-institute-spain-and-the-idb-to-improve-health-in-mesoamerica?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=de&_x_tr_hl=de&_x_tr_pto=sc
Dr. Amandha Vollmer sur « Sound of Freedom », la stratégie des trafiquants d'enfants : rumble.com/v2zgwyw-dr-amandha-vollmer-the-sound-of-freedom-movie-is-another-planned-psyop.html
Tara Lee Rodas sur l'implication du gouvernement américain dans le trafic d'enfants : uncutnews.ch/whistleblower-regierung-ist-mittelsmann-in-einer-riesigen-operation-von-kinderhandel/
Film sur les circonstances réelles de l'assassinat de Pasolini : https://www.bitchute.com/video/n2Xm8Kks8fGY/
Les enquêtes de Pasolini sur les loges maçonniques italiennes : https://www.nzz.ch/international/geheimloge-p2-italiens-groesster-skandal-ist-nicht-aufgearbeitet-ld.1627297?reduced=true
Conférence AZK de Daniele Ganser, entre autres, sur les attentats de la loge P2 : www.kla.tv/5905
Le film à scandale de Pasolini « Salo - Les 120 journées de Sodome » : www.moviepilot.de/news/einer-der-haertesten-filme-aller-zeiten-ist-in-deutschland-nicht-mehr-verboten-meisterwerk-loeste-weltweit-skandal-aus-1139947
Accident de voiture d'Anne Heche : telegra.ph/Autopsie-enth%C3%BCllt-dass-die-Medien-den-Mord-an-Anne-Heche-vertuscht-haben-nachdem-sie-geschworen-hatte-einen-P%C3%A4dophilenring-aufzu-12-09
Décès de l'acteur hollywoodien Isaac Kappy : telegra.ph/Autopsie-enth%C3%BCllt-dass-die-Medien-den-Mord-an-Anne-Heche-vertuscht-haben-nachdem-sie-geschworen-hatte-einen-P%C3%A4dophilenring-aufzu-12-09
Avicii a participé à un documentaire de dévoilement peu avant sa mort : t.me/fluegelfuerunserekinder/39
Les superbactéries tuent plus de 30 000 Européens chaque année
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 - 11H45
Selon la dernière étude sur la mortalité liée à la résistance aux antibiotiques réalisée par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, les bactéries résistantes aux antibiotiques ont causé la mort d'environ 31 000 à 39 000 personnes chaque année dans 29 pays européens entre 2016 et 2020.
Des chercheurs européens mettent en garde contre le danger d’une dépendance excessive aux antibiotiques en médecine humaine et vétérinaire, qui entraîne une augmentation de la résistance bactérienne aux antibiotiques.
Anna Fleck de Statista montre dans le tableau suivant une estimation du nombre de décès attribuables aux « superbactéries » par rapport à la population.
- voir graph sur site -
Infographie : Les superbactéries tuent plus de 30 000 Européens chaque année | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Il montre que la Grèce, l’Italie, la Roumanie et Chypre comptent parmi les pays européens les plus gravement touchés par ce problème, avec des taux de mortalité annuels compris entre 10 et 20 décès pour 100 000 habitants (2016 à 2020).
Les taux de mortalité les plus bas du continent ont été enregistrés aux Pays-Bas et en Norvège (2 pour 100 000 habitants).
Un nouveau rapport fait craindre que le système de notification des événements indésirables des vaccins du CDC soit défectueux
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 - 02:20 Rédigé par Megan Redshaw via The Epoch Times
Le principal système d'alerte précoce du pays utilisé pour détecter d'éventuels problèmes de sécurité liés aux vaccins est « débordé », ce qui fait craindre que le système ne soit défectueux et qu'il ne soit pas géré de manière adéquate par les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), selon une nouvelle enquête.
Le rapport publié le 10 novembre par le BMJ révèle que le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a reçu un nombre sans précédent de rapports attribués aux vaccins contre le COVID-19, et qu'il n'y a pas suffisamment de personnel pour répondre aux exigences d'examen et de suivi. avec des rapports graves, y compris des décès. En outre, l'enquête a révélé que le VAERS n'est ni transparent, convivial ni réactif, et suggère que le gouvernement gère essentiellement deux systèmes VAERS, dont un seul est accessible au public.
Co-géré par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et le CDC, le VAERS collecte des rapports sur les symptômes, les diagnostics, les hospitalisations et les décès après la vaccination afin de capturer les signaux de sécurité post-commercialisation et de déterminer s'il existe des modèles de déclaration inhabituels ou inattendus pour événements indésirables.
Selon le CDC, les prestataires de soins de santé sont « fortement encouragés » à signaler tout événement indésirable suivant la vaccination au VAERS, même s’ils ne savent pas si le vaccin a provoqué l’événement indésirable. En revanche, les fabricants de vaccins sont tenus par la loi de signaler tous les événements indésirables qui « sont portés à leur attention ».
Bien que le VAERS accepte les rapports de n'importe qui, le dépôt sciemment d'un faux rapport VAERS viole la loi fédérale et est passible d'une amende et d'une peine d'emprisonnement. Cela permet au VAERS de servir de « système d'alerte précoce pour détecter les événements indésirables rares » et dissuade les fausses déclarations. Malgré tout, il a été démontré que le VAERS ne reflète que 1 % des effets indésirables réels des vaccins, selon une étude de Harvard Pilgrim Health Care.
Le CDC n’enquête pas sur les événements indésirables graves liés aux vaccins contre le COVID-19 Selon le CDC, en 2019, avant la pandémie, le VAERS a reçu plus de 48 000 rapports d'effets indésirables liés aux vaccins, dont 85 à 90 % étaient légers. Après le déploiement du vaccin contre le COVID-19, le BMJ a constaté qu’un nombre « sans précédent » de 1,7 million d’événements indésirables ont été signalés au VAERS, dont 1 million en 2021 et 660 000 supplémentaires par la suite. Près d’un cas sur cinq répondait aux critères d’un événement indésirable « grave », et la plupart des rapports ont été attribués aux vaccins contre la COVID-19.
Selon les procédures opérationnelles standard du VAERS pour le COVID-19, les événements indésirables graves comprennent les rapports de décès, d'hospitalisation, de maladie potentiellement mortelle, d'invalidité permanente et/ou d'hospitalisation prolongée et d'anomalies congénitales. Les dossiers médicaux sont systématiquement demandés pour tous les rapports graves, y compris les décès, et les événements indésirables présentant un intérêt particulier peuvent faire l'objet d'un examen clinique plus approfondi par le CDC.
S'il y a une augmentation significative des rapports VAERS justifiant un examen clinique, les procédures opérationnelles standard nécessitent du personnel supplémentaire du Bureau de sécurité de la vaccination du CDC pour traiter les cas. Pour les événements classés comme « graves », les personnes qui signalent au VAERS sont censées recevoir une correspondance par courrier électronique les invitant à fournir des mises à jour, mais l'enquête du BMJ montre que ces normes ne sont pas respectées.
Le BMJ a interrogé plus d'une douzaine de personnes, dont des médecins et un médecin légiste d'État qui ont déposé des rapports VAERS pour des événements indésirables graves en leur nom ou en celui de leurs patients et qui n'ont jamais été contactés par le CDC ou ont été contactés des mois plus tard. Beaucoup n’ont jamais reçu de courriels de confirmation lorsque leurs rapports ont été déposés. De même, si une maladie était traitée avec succès ou s’avérait sans rapport avec un vaccin, cela n’était pas reflété dans la base de données.
Le Dr Patrick Whelan, rhumatologue et chercheur à l'Université de Californie à Los Angeles, a déposé un rapport en 2022 au nom de son patient de 7 ans après avoir subi un arrêt cardiaque et avoir été intubé après une vaccination contre le COVID-19. À la connaissance de Whelan, « personne n’a appelé ni demandé de dossier médical ». La FDA a déclaré qu’elle avait donné suite « peu de temps après » la réception du rapport et avait fait plusieurs demandes de dossiers médicaux. Il a également ajouté que le personnel "pourrait ne pas contacter les prestataires médicaux à moins qu'ils n'aient des questions spécifiques sur un cas ou un rapport du VAERS".
Le Dr James Gill, médecin légiste en chef de l’État du Connecticut et médecin légiste, a déposé un rapport VAERS après qu’un garçon de 15 ans est décédé subitement en 2021 d’une cardiomyopathie de stress après sa deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer. Bien qu'il ait rempli un rapport en ligne et reçu un numéro de rapport électronique temporaire, le CDC n'a jamais donné suite. Ce n’est que lorsque le Dr Gill a publié le rapport de cas du garçon en février 2022 dans les Archives of Pathology & Laboratory Medicine que le CDC a répondu – avec une lettre à l’éditeur contestant les conclusions de Gill.
React19, une organisation scientifique à but non lucratif composée de 30 000 personnes blessées par les vaccins COVID-19, a examiné 126 rapports VAERS et a découvert que 22 % d'entre eux n'avaient jamais reçu d'identifiant VAERS permanent, et qu'un rapport sur trois déposés avait complètement disparu du système, selon Le BMJ.
Un médecin de soins intensifs et urgentiste a déposé plusieurs rapports au nom de patients, dont six décès. Selon le BMJ, elle n'a reçu qu'une demande de dossier médical concernant un décès et seulement deux patients admis à l'hôpital.
En ce qui concerne les rapports de décès suite à la vaccination contre le COVID-19, d’autres pays ont reconnu que les décès étaient « probables » ou « probablement » liés à la vaccination par ARNm, mais le CDC a examiné plus de 20 000 rapports préliminaires de décès, ce qui est nettement plus que d’autres. pays, n’a encore attribué aucun décès aux vaccins à ARNm, a déclaré le BMJ.
"Une enquête du BMJ a soulevé des inquiétudes quant au fait que le système VAERS ne fonctionne pas comme prévu et que des signaux manquent. En tant que personne qui étudie et scrute les données du VAERS depuis trois ans, je peux confirmer cette observation", a déclaré la chercheuse Jessica Rose. Epoch Times dans un e-mail. Mme Rose, une experte du VAERS avec un doctorat en biologie computationnelle, affirme que ces histoires et expériences reflètent les lacunes du système VAERS.
Il existe 2 bases de données VAERS – une seule est publique
Contrairement à la manière dont le gouvernement américain traite les rapports d'effets indésirables liés aux médicaments et aux dispositifs, l'auteur du rapport du BMJ, Jennifer Block, a découvert que la FDA et le CDC gèrent essentiellement deux bases de données VAERS distinctes : l'une à laquelle le public a accès contient les rapports initiaux et l'autre. un système privé sur le backend avec des mises à jour, des résultats et des corrections.
Le Dr Narayan Nair est le directeur de division de la FDA qui supervise le VAERS. Selon le BMJ, lors d'une réunion en décembre 2022, le Dr Nair a déclaré que le VAERS comporte deux parties : « le système frontal et le système back-end ». Lors d'une réunion avec des défenseurs, le Dr Nair a admis que les rapports initiaux ne sont jamais mis à jour, de sorte que le public ne voit jamais un rapport mis à jour dès le début.
Pourtant, le système de déclaration des événements indésirables liés aux médicaments de la FDA maintient une base de données accessible au public qui est mise à jour, tout comme le système de déclaration des dispositifs médicaux. Seul le système VAERS n’affiche pas publiquement les mises à jour. Si quelqu'un souhaite une copie complète de son dossier ou de son rapport, il doit soumettre une demande formelle en vertu de la Freedom of Information Act, a déclaré un porte-parole de la FDA au BMJ.
Bien que les responsables de la réglementation aient déclaré au BMJ que cela visait à protéger la confidentialité des patients, cela signifie que les patients, les médecins et les autres utilisateurs publics de la base de données n'ont pas accès aux dossiers mis à jour ou complets.
Dans un e-mail adressé à Epoch Times, Albert Benavides, expert et analyste de données du VAERS, a déclaré qu'il savait qu'il existait deux bases de données VAERS, mais ce qui est encore plus préoccupant est que le CDC ne publie pas tous les rapports légitimes qu'il reçoit.
"Ce qui surpasse même deux bases de données VAERS (interne et externe), c'est le fait que le VAERS ne publie pas tous les rapports légitimes reçus", a déclaré M. Benavides. "Le BMJ et le public commencent tout juste à prendre conscience que seuls les rapports initiaux sont publiés, même si le VAERS continue de collecter des données de suivi, d'où les deux bases de données. [Le fait que] seuls les rapports initiaux soient rendus publics soulève la question de savoir comment "Beaucoup de gens sont morts depuis au VAERS ?" il ajouta.
M. Benevides a noté que le CDC avait cessé d'inclure des données de suivi en 2011 après la publication de l'étude Harvard Pilgrim Health Care.
Les régulateurs manquent de signaux de sécurité dans le VAERS
Étant donné que les essais cliniques impliquent l’étude de produits sur un petit nombre d’individus sélectionnés pendant une courte période, certains effets secondaires ne peuvent survenir que lorsqu’une population plus large et diversifiée a utilisé les produits sur une durée plus longue. La pharmacovigilance est la pratique consistant à surveiller les effets des médicaments et des vaccins après leur autorisation pour identifier, prévenir et évaluer les effets indésirables non signalés auparavant.
"Une bonne pharmacovigilance nécessite une collecte rapide des données, un examen par des personnes possédant une expertise clinique et un suivi adéquat", a déclaré au BMJ Marie Lindquist, ancienne directrice du centre de surveillance d'Uppsala en Suède. « Nous savons que même les meilleurs essais cliniques ne détecteront pas les [événements indésirables rares]. »
Par exemple, le risque d’un trouble rare de la coagulation sanguine associé au vaccin Johnson & Johnson contre la COVID-19, fabriqué par Janssen, ne s’est manifesté qu’après son autorisation. Avec seulement six cas signalés, les régulateurs ont suspendu son utilisation en 2021 pour enquêter sur les rapports et ont finalement lié le rare trouble de la coagulation sanguine à l’injection.
Ralph Edwards, ancien rédacteur en chef de l'International Journal of Risk & Safety in Medicine et auteur ou co-auteur de plus de 400 articles scientifiques, a déclaré au BMJ que le VAERS est idéal pour détecter les événements indésirables qui surviennent « très peu de temps après la vaccination ». » et ceux associés à d’autres vaccins. Cependant, il n’est pas efficace pour détecter des effets nouveaux ou latents, car les régulateurs peuvent trop s’appuyer sur des preuves épidémiologiques pour reconnaître un signal VAERS.
En d’autres termes, si un événement indésirable n’a pas été reconnu auparavant, il est ignoré par les régulateurs. Si les régulateurs ne reconnaissent pas un signal, celui-ci n’est pas reconnu par les médecins. Les médecins doivent également être formés à rechercher une maladie afin de savoir comment la dépister et la traiter. Si les médecins ne reconnaissent pas qu’un problème médical pourrait être potentiellement lié à un vaccin, ils ne le signaleront pas. Un système de surveillance passive comme le VAERS n’affichera donc pas le signal.
« Il est facile de comprendre pourquoi le VAERS est sous-déclaré et pourquoi il doit être utilisé comme outil de pharmacovigilance », a déclaré Mme Rose dans un courrier électronique à Epoch Times. « Comment les médecins peuvent-ils déposer un rapport VAERS s’ils ne savent même pas quoi rechercher en cas d’événement indésirable ? De plus, si une doctrine sûre et efficace continue d’être promue, les médecins et les infirmières praticiennes ne se sentiront pas obligés de signaler les événements indésirables suspectés », a-t-elle ajouté.
Selon Rose, le VAERS est un outil de pharmacovigilance fonctionnel. "Le problème est que les propriétaires des données ne les utilisent pas en tant que telles, et c'est pourquoi les signaux de sécurité ne sont pas tant 'manqués', mais plutôt cachés", a-t-elle déclaré.
L’enquête du BMJ suggère que le VAERS manque de personnel et qu’il n’y a donc pas assez de personnel pour garantir le respect des normes du CDC. Les documents obtenus grâce au Freedom of Information Act et examinés par le BMJ montrent que Pfizer comptait environ 1 000 employés à temps plein de plus consacrés à la surveillance des vaccins que le CDC. L’entreprise a embauché 600 personnes supplémentaires pour traiter les rapports d’événements indésirables attribués à son vaccin contre la COVID-19, avec l’intention d’employer un total de 1 800 personnes. Le CDC ne compte que 70 à 80 employés équivalents temps plein, malgré la « responsabilité de l’agence de traiter les rapports d’événements indésirables sur tous les produits ».
La contamination par l'ADN plasmidique dans les vaccins contre le COVID-19 constitue une « violation flagrante du consentement éclairé » par la FDA : Dr Malone
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 - 05h00 Rédigé par Naveen Athrappully via The Epoch Times
Le Dr Robert Malone, l’inventeur des vaccins à ARNm et à ADN, a critiqué les agences de réglementation de la santé pour ne pas avoir informé les gens de la contamination potentielle de l’ADN plasmidique dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19.
Une étude préliminaire du 19 octobre a révélé des milliards de fragments d’ADN résiduels dans les flacons du vaccin à ARNm COVID-19. Alors que des milliards de copies d’ADN d’ori et d’amplificateur SV40 ont été découvertes dans les flacons du vaccin Pfizer, les flacons de Moderna contenaient des copies d’ADN d’ori et de spicule. Le virus SV40 est un virus à ADN connu pour provoquer le cancer chez les animaux de laboratoire.
Parlant de l’étude dans un article de Substack du 11 novembre, le Dr Malone a déclaré que la contamination de l’ADN plasmidique dans les vaccins est un « fait prouvé » qui a été « reconnu par la FDA américaine, Santé Canada et l’Agence européenne des médicaments ».
« Dans le cadre d’une autre violation flagrante des exigences en matière de consentement éclairé et d’étiquetage, cela n’a pas été divulgué auparavant aux médecins, aux responsables de la santé publique ou aux patients », a-t-il écrit.
Par exemple, les directives d'étiquetage de la FDA exigent que les étiquettes des vaccins contiennent une description des « effets indésirables graves, des risques potentiels pour la sécurité, des mesures à prendre en cas d'apparition d'un effet indésirable grave et d'un risque potentiel pour la sécurité, ainsi que des limitations d'utilisation qu'elles imposent. .»
Les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna contre la COVID-19 « sont contaminés par des fragments d’ADN plasmidique qui n’ont pas été éliminés au cours des processus de fabrication actuels », a écrit le médecin. Un plasmide est un brin d’ADN circulaire commun à des bactéries et à des parasites spécifiques.
Le Dr Malone a déclaré que les directives antérieures de la FDA sur la technologie des vaccins à ADN indiquaient la présence de « séquences régulatrices hautement actives comme étant particulièrement préoccupantes en raison d’une mutagenèse insertionnelle potentielle (intégration) ».
Le document « Guidance on Prophylactic DNA Vaccines: Analysis and Recommendations » de 2009 de la FDA indique que des préoccupations concernant l'intégration potentielle de l'ADN plasmidique dans le génome du receveur du vaccin et l'augmentation de la probabilité de problèmes tels que « la transformation maligne, l'instabilité génomique ou la dérégulation de la croissance cellulaire » ont été soulevées. lorsque les vaccins à ADN ont été initialement introduits pour un usage clinique.
Il a déclaré qu’une « infime fraction » des plasmides devrait « s’intégrer dans le génome de l’hôte, quelle que soit la méthode d’administration ».
Le Dr Malone a noté que la FDA a émis un « refus catégorique de falsification et de risque » des vaccins à ADN.
Une porte-parole de la FDA a déclaré à Epoch Times qu’« aucun problème de sécurité lié à la séquence ou à la quantité d’ADN résiduel n’a été identifié » dans les injections du COVID-19.
« En ce qui concerne les vaccins à ARNm approuvés par la FDA, les preuves scientifiques disponibles soutiennent la conclusion selon laquelle ils sont sûrs et efficaces. »
Ce refus est contraire à la fois à la loi fédérale sur les médicaments et dispositifs frelatés et aux directives de la FDA sur la falsification des médicaments, a déclaré le Dr Malone.
Le Code américain sur les médicaments et dispositifs frelatés indique clairement qu'un médicament sera considéré comme frelaté si sa fabrication, sa transformation, son emballage ou sa conservation ne répondent pas aux exigences de « caractéristiques de qualité et de pureté ».
Pendant ce temps, la loi de la FDA sur la falsification des médicaments en vertu de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques stipule qu'un médicament serait considéré comme frelaté « s'il ne se conforme pas aux normes officinales de qualité, de concentration ou de pureté ».
Les « normes officinales » font référence aux normes pharmaceutiques décrites dans le U.S. Pharmacopeia-National Formulary (USP-NF), qui constitue les normes de qualité officielles applicables à tous les médicaments vendus aux États-Unis.
Les régulateurs et Moderna admettent les risques
Comme l'a affirmé le Dr Malone, plusieurs agences de santé ont admis la contamination de l'ADN dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Dans un courriel adressé à Epoch Times le mois dernier, Santé Canada a confirmé la présence de la séquence d'ADN SV40 dans le vaccin Pfizer, que le la société n’a pas divulgué auparavant.
Dans un autre courriel adressé à Epoch Times, l’Agence européenne des médicaments a également confirmé que le vaccin Pfizer contient la séquence SV40, que le partenaire de la société, BioNTech, n’a pas mise en évidence dans sa demande.
Il n’est pas clair si la présence de la séquence SV40 dans l’ADN plasmidique des vaccins à ARNm a été identifiée par Pfizer lorsque la société a demandé l’approbation de la FDA.
Le Dr Malone a souligné que Moderna « reconnaît clairement » les risques de génotoxicité associés à l’ADN délivré via ses vaccins.
Dans un brevet déposé le 8 août 2019 par Moderna concernant les vaccins à ARN, la société déclare que l’injection directe d’ADN plasmidique nu dans un hôte vivant entraîne « des problèmes potentiels, y compris la possibilité d’une mutagenèse par insertion, qui pourrait conduire à l’activation ». des oncogènes ou l’inhibition des gènes suppresseurs de tumeurs.
Le médecin a noté que Moderna considère « même l’ADN plasmidique « nu » » comme un risque potentiel. L'ADN plasmidique nu ne contient aucun agent de formulation de nanoparticules lipidiques hautement actives.
Moderna n’a pas révélé dans le brevet qu’elle n’avait pas été en mesure de fabriquer de tels vaccins à ARNm modifiés « sans contaminer l’ADN », a-t-il déclaré.
« En conclusion, il est également clair à ce stade, sauf preuve du contraire, qu’aucune de ces autorités de régulation n’a obtenu de données d’une ou plusieurs études rigoureuses et bien contrôlées conçues pour aborder les risques de génotoxicité et de mutagenèse insertionnelle » présentées par l’ARNm COVID. -19 vaccins de Pfizer et Moderna.
Jusqu’à ce que de telles données soient fournies, l’affirmation de la FDA selon laquelle il n’y a « aucun problème de sécurité » lié à l’ADN résiduel ne « reflète pas avec précision les connaissances actuelles », a déclaré le Dr Malone.
"La seule conclusion objective à tirer concernant de telles déclarations est qu'elles représentent fonctionnellement de la propagande plutôt que des faits scientifiques et réglementaires prouvés."
La « cécité volontaire » de la FDA Dans son article sur Substack, le Dr Malone a qualifié de « cécité volontaire » l’affirmation de la FDA selon laquelle « aucun problème de sécurité » concernant l’inclusion d’ADN résiduel dans les vaccins à ARNm. Il a ensuite souligné les risques posés par l’ADN résiduel dans les vaccins.
« Les risques les mieux documentés associés à une telle mutagenèse insertionnelle potentielle sont le cancer (dans le cas des cellules souches et somatiques, en particulier les cellules de la lignée hématopoïétique) et les malformations congénitales », a-t-il écrit.
"Comme on sait que ces nanoparticules lipidiques d'ARNm modifié (plus fragment d'ADN) hautement actives traversent le placenta et se localisent dans le tissu ovarien, le potentiel d'anomalies congénitales semble présenter un intérêt et une préoccupation réglementaires particuliers."
Malgré les rapports faisant état de « cancers agressifs » chez les personnes ayant reçu des vaccins à ARNm, la FDA reste « volontairement ignorante et dans le déni de ces risques ». De plus, l’agence ne définit pas le terme « sûr », même si elle insiste sur le fait que les vaccins sont « sûrs et efficaces », a écrit le Dr Malone.
Il a souligné que les affirmations de la FDA et du CDC selon lesquelles des versions antérieures de vaccins à ARNm contre la COVID-19 réduisaient les risques de maladie grave sont désormais « hors de propos », car ces produits ne sont plus disponibles et les souches ont désormais disparu.
« En outre, de nombreux chercheurs ont démontré que, même dans ces cas historiques, après un certain temps, les personnes ayant reçu ces produits deviennent PLUS susceptibles de développer une maladie grave, voire la mort, par rapport aux patients non vaccinés (dont la plupart ont contracté une infection naturelle avec de puissantes conséquences). et une immunité diversifiée », a déclaré le Dr Malone.
Une étude de septembre 2022 a révélé que les incidences d’infection au COVID-19 étaient « significativement plus élevées chez les personnes vaccinées (6,7 %) que chez les personnes précédemment infectées (2,9 %) » six mois après la date d’indexation.
Pour les vaccinés, la date d’index a été définie 30 jours après leur première injection de COVID-19. Pour les personnes infectées, la date d’indexation a été prise 30 jours après l’infection initiale.
Du côté positif, « la mortalité toutes causes confondues chez les personnes vaccinées était cependant inférieure de 37 % à celle des personnes précédemment infectées. Les taux de visites aux urgences et d’hospitalisations toutes causes confondues étaient de 24 pour cent et 37 pour cent inférieurs chez les personnes vaccinées par rapport aux personnes précédemment infectées.
Présence de séquences SV40
Le Dr Malone a déclaré que « la présence de séquences (et de fragments) d’ADN promoteur/amplificateur hautement actifs dérivés du virus SV40, présents dans le produit Pfizer/BioNTech, n’a pas été divulguée et discutée ni avec le public ni avec les agences de réglementation ».
Afin de produire des vaccins à ARNm, le gène activateur SV40 du virus SV40 est utilisé. L’utilisation de bactéries dans la production de gènes et de protéines pour la fabrication de produits pharmaceutiques est une pratique courante.
Dans le cas des vaccins à ARNm contre la COVID-19, le gène amplificateur SV40 et d’autres séquences génétiques ont été introduits dans l’ADN plasmidique. Une fois l’ARNm et l’ADN récoltés sur la bactérie, l’ADN est censé être éliminé.
Le Dr Malone a écrit dans son article sur Substack que « des fragments d’ADN aussi courts sont associés à un risque élevé d’intégration, également connu sous le nom de mutagenèse insertionnelle, qui est une forme bien caractérisée de génotoxicité ». Le terme génotoxicité fait référence à la capacité des substances nocives à endommager l'information génétique présente dans les cellules.
Si ces vaccins à ARNm contre le COVID-18 avaient été examinés par la FDA en tant que produits de thérapie génique, ils auraient nécessité des « études de génotoxicité rigoureuses » avant d’être autorisés à être utilisés chez les êtres humains, a-t-il déclaré. Il en serait de même si les vaccins à ARNm étaient considérés comme des « vaccins à ADN ».
"Mais apparemment, il y a quelque chose de magique dans l'inclusion d'ARNm modifiés avec des fragments d'ADN dans ces formulations hautement actives d'administration d'acide nucléique de nanoparticules lipidiques, ce qui amène la FDA à conclure qu'il n'y a aucun risque de génotoxicité."
Combien y a-t-il d’autres entrepôts secrets de virus dans tous nos pays ?
Par Jo Nova November 18th, 2023
Grâce à un étrange tuyau d'arrosage dépassant du mur d'un entrepôt, le laboratoire illégal et clandestin Reedly Biolab a été découvert. Des citoyens chinois se promenaient à l’intérieur avec des blouses de laboratoire. Et le « laboratoire » contenait des échantillons marqués de noms comme SARS-CoV-2, Chlamydia, VIH, E. coli, Streptococcus pneumoniae, Hépatite B et C, virus de la Dengue, virus de la rubéole et paludisme.
Les responsables de la ville de Reedly en Californie sont donc tombés sur cet entrepôt presque par hasard et voulaient des réponses, mais le FBI n'a pas voulu enquêter et le CDC a refusé de tester les agents pathogènes. La plupart des échantillons ont été détruits et quelque 104 tonnes de matériaux ont été « éradiqués ».
Ensuite, les autorités municipales ont trouvé un congélateur que le CDC avait manqué. Il a été qualifié d’Ebola – l’agent infectieux le plus amusant avec des taux de mortalité compris entre 25 et 90 %. (Heureusement, ce n’est pas aussi transmissible que Covid).
L'homme qui dirigeait le laboratoire était Jiabei « Jesse » Zhu, un citoyen chinois qui a créé des dizaines d'entreprises au Canada dans le but de voler la propriété intellectuelle. Après avoir été arrêté et condamné à une amende de 330 millions de dollars, il s'est enfui aux États-Unis, a créé le laboratoire Reedly et a acquis les agents pathogènes. Il a également importé des tests médicaux fabriqués en Chine et les a rebaptisés frauduleusement comme « Made in the USA ». Pendant cette période, il a reçu quelque 2 millions de dollars en paiements mystérieux de la République populaire de Chine.
Nous nous demandons pourquoi quelqu’un conserverait des agents pathogènes dangereux dans le congélateur de son atelier pendant des années, et à grands frais ? Il est difficile d’imaginer une excuse bienveillante pour conserver dans un réfrigérateur des sacs contenant des articles marqués VIH et Ebola. Zhu ne semble pas penser aux avantages pour sa clientèle américaine. Sur WeChat, il a apparemment affirmé que « son activité frauduleuse aiderait à « vaincre l’agresseur américain et le loup sauvage et ambitieux ! » — Le NY Post a un article complet.
Regardez le documentaire :
- voir sur site -
En bref: Le #CCP dirigeait un laboratoire secret d’armes biologiques à Reedley, en Californie. Il contenait des dizaines d’agents pathogènes, dont Ebola (taux de mortalité de 80 à 90 %). En cas de conflit entre les États-Unis et la Chine, ceux-ci auraient été libérés. L’administration Biden a dissimulé l’affaire et détruit les preuves. Pourquoi ? https://t.co/nfHjblBD2L – StevenWMosher (@StevenWMosher) 16 novembre 2023
Où a-t-il contracté le virus Ebola en premier lieu, et pourquoi le CDC n’a-t-il pas mis en place de mesures pour arrêter cela ?
Le Comité spécial du Congrès américain sur le PCC a publié un rapport sur ce laboratoire :
Le Comité a constaté :
Le biolab illégal était dirigé par un citoyen de la RPC qui est un fugitif recherché du Canada et qui fait l'objet d'un jugement de 330 millions de dollars canadiens pour vol de propriété intellectuelle américaine.
Ce citoyen de la RPC était un haut fonctionnaire d’une entreprise contrôlée par l’État de la RPC et entretenait des liens avec des entités de fusion militaro-civile.
Le biolab illégal a reçu des millions de dollars en paiements inexpliqués de la part des banques de la RPC alors qu'il gérait le biolab illégal.
Le biolab illégal contenait des milliers d’échantillons d’agents pathogènes potentiels étiquetés, non étiquetés et codés, notamment le VIH, le paludisme, la tuberculose et le Covid.
Le biolab illégal contenait également un congélateur étiqueté « Ebola », qui contenait des sacs en argent scellés et non étiquetés, ce qui correspond à la manière dont le laboratoire stockait les matériels biologiques à haut risque. Ebola est un agent sélectionné avec un taux de mortalité compris entre 25 et 90 %.
Le biolab contenait près d’un millier de souris transgéniques, génétiquement modifiées pour imiter le système immunitaire humain. Les travailleurs du laboratoire ont déclaré que les souris avaient été conçues « pour attraper et transporter le virus COVID-19 ».
Après que les autorités locales qui ont découvert le laboratoire ont demandé l'aide du CDC et d'autres, le CDC a refusé de tester les échantillons.
Même si la plupart de ces virus ne constituent pas en l’état des armes biologiques idéales, grâce à la modification génétique, qui sait ? Dans tous les cas, la libération simultanée d’épidémies invalidantes mineures continuerait de faire des ravages dans n’importe quelle nation. La guerre biologique peut prendre de nombreuses options, et comme nous l’avons vu avec Covid, les virus les moins mortels sont parfois plus efficaces.
Je note que des mois avant que les faits ne soient connus, un reportage de l’AP sur ce laboratoire disait qu’il « alimentait simplement les théories du complot », « les responsables disaient qu’il ne représentait aucun danger ».
Pourquoi tant de pays ont suivi l’exemple du confinement chinois
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 18 NOVEMBRE 2023 - 14H10 Rédigé par Ron Brown via le Brownstone Institute,
Un nouveau coronavirus 10 fois plus mortel que la grippe s’est emparé du monde en 2019. Sans boussole pour naviguer dans la pandémie de Covid-19, toutes les leçons tirées des pandémies virales précédentes ont été jetées par la fenêtre. L’Organisation mondiale de la santé a été catégorique : « Ce n’est pas la grippe ». Tony Fauci a terrifié la Chambre des représentants américaine en annonçant un désastre. Les populations mondiales étaient sans défense sans vaccin contre le nouveau coronavirus que personne n’avait jamais vu auparavant. La seule défense viable à l’époque était de fermer le monde.
La Chine a pris la tête des mesures de confinement. Les médias exportés de Chine montraient des gens tombant morts dans les rues. Les cercueils s'entassaient. Les portes des immeubles ont été scellées pour enfermer les locataires. Tout au long de la panique, toutes les évaluations alternatives raisonnables des risques liés à l’épidémie virale ont été ignorées, censurées ou rejetées.
Néanmoins, je me demandais si une vidéo d’une personne tombant dans la rue était vraiment représentative de l’ensemble de la population. Les cercueils s’entassent-ils en grande partie parce que les familles craignent de les récupérer en raison d’une contamination au virus ? J'ai remarqué que les portes d'entrée de mon centre commercial local en Ontario, au Canada, avaient également été scellées, tout comme dans les immeubles d'habitation en Chine, mais c'était uniquement pour contrôler l'accès par une seule entrée du bâtiment, et non pour sceller les clients.
Mon premier indice selon lequel la réponse d’urgence à l’épidémie de coronavirus ne semblait pas avoir de sens a été lorsque j’ai entendu Fauci dire aux téléspectateurs que si notre réponse semble réagir de manière excessive, alors nous faisons probablement la bonne chose. Quoi ? Depuis quand réagir de manière excessive est-il la bonne chose à faire ? Les généraux gagnent-ils les guerres en réagissant de manière excessive ?
J’ai regardé les chiffres que Fauci avait présentés à la Chambre des représentants des États-Unis concernant les cas mortels et les décès dus à l’infection par le coronavirus. Ils étaient à l'envers ! Sa prédiction 10 fois plus meurtrière était tout simplement un chiffre inventé ! C’était en mars 2020. En mai 2020, il était évident que les gens ne mouraient PAS au rythme exagéré que Fauci avait prédit.
J’ai publié un article sur les surestimations de la mortalité par coronavirus de Fauci : Leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité par coronavirus. Mais lorsque j’ai parlé de tout cela à mes amis, ils ont répondu que le nombre de décès inférieur aux prévisions prouvait simplement que les mesures de confinement fonctionnaient. Fauci était tiré d’affaire. Retour en Chine.
Ils ont repris leurs activités fin 2019. L’équipe de virologues qui a rapporté la séquence génétique du virus à Wuhan a noté qu’il serait nécessaire d’enquêter sur les preuves épidémiologiques pour orienter les réponses de contrôle des infections. Qui a le temps pour ça ? Ferme-le!
Si le nouveau coronavirus n’est pas vraiment si nouveau, cela expliquerait pourquoi les confinements n’ont pas fonctionné. Nous savions déjà que les confinements ne fonctionnent pas dans d’autres pandémies virales. Même la Chine a finalement abandonné sa politique zéro Covid après qu’il soit devenu évident que les confinements ne fonctionnaient pas. Mes amis me doivent quelques explications pour justifier leur vision du confinement. Peut-être que Fauci n’est pas tiré d’affaire après tout.
Pour plus d'informations sur les biais dans les définitions de cas et de décès de Covid-19, consultez mon article évalué par des pairs avec les références citées : Biais dans les définitions de cas et de décès de COVID-19 : causes et conséquences potentielles.
Que de chemin parcourus depuis les déclaration de l'analyste chinoise Li-Meng Yan ! Après, il y a la découverte faite par des scientifiques des flacons injectables ! HOULALA ! Les Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej publiaient:
Entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! + des hydres ! + des spikes ! + diverses maladies animales et une quarantaine de venins différents de serpents !
Alors, écoutez chinois ou Fauci ou autres dictatures expliquant doctement qu'une poussière (INOFFENSIVE !) peut vous attaquer !!! HAHAHAHA ! Tout est dans la seringue. TOUT !
Mercredi étant la Journée mondiale du diabète, il vaut la peine d'examiner quels sont les pays qui comptent le plus grand nombre de personnes atteintes de la maladie.
Selon Anna Fleck de Statista, citant les données du NHS, il existe deux principaux types de diabète : le diabète de type 1 est décrit comme une « maladie permanente dans laquelle le système immunitaire de l'organisme attaque et détruit les cellules qui produisent l'insuline », tandis que le type 2 survient. lorsque « le corps ne produit pas suffisamment d’insuline ou que les cellules du corps ne réagissent pas correctement à l’insuline ». Contrairement au diabète de type 2, vous ne pouvez apporter aucun changement à votre mode de vie pour réduire votre risque de développer un diabète de type 1.
Selon les données de l'International Diabetes Foundation, plus de 1,4 million de personnes vivent actuellement avec le diabète de type 1 aux États-Unis.
Compte tenu de la taille de la population comparativement plus petite, le Royaume-Uni, l’Allemagne et le Canada enregistrent un nombre de cas particulièrement élevé.
Le diabète de type 1 peut survenir à tout âge, mais il survient généralement pendant l'enfance ou l'adolescence. Selon l'International Diabetes Foundation, environ 61 pour cent des personnes vivant actuellement avec le diabète de type 1 aux États-Unis ont entre 20 et 59 ans, 28 pour cent ont plus de 60 ans et environ 12 pour cent ont 20 ans ou moins.
C'est le rêve de tout tyran d'avoir une population qui acquiert ses croyances de cette façon. Si l’on peut mentir à une faction politique en toute impunité, et si l’acceptation aveugle des mensonges est nécessaire pour conserver son appartenance au groupe, cela constitue un puissant moyen de contrôle. On pourrait s’attendre à ce qu’un tel groupe croie, par exemple, qu’un homme peut choisir d’être une femme et même d’avoir un bébé. On pourrait leur dire que « la frontière est sécurisée » à une époque où des millions et des millions de personnes affluent. On pourrait leur dire que Trump a déclaré que les suprémacistes blancs sont des gens bien. Etc.
Il n’y a pas de limites aux mensonges lorsque le public cible est essentiellement détaché de la réalité. Dans son livre de 1984, George Orwell a symbolisé cela en montrant que les citoyens modèles acceptaient volontiers le décret gouvernemental selon lequel 2+2=5. De nombreux mensonges de la gauche sont tout aussi absurdes. Ce sont des contradictions directes avec ce que nous savons être vrai.
Alexandre Soljenitsyne et Václav Havel, deux brillants adversaires de la tyrannie, ont déclaré que dire simplement et fermement la vérité était une arme fondamentale que les citoyens devraient utiliser contre les tyrans. Soljenitsyne a déclaré : « La simple démarche d’un individu courageux est de ne pas prendre part au mensonge. Une parole de vérité l’emporte sur le monde.
Le troisième trait humain malheureux qui favorise les tyrans a été expliqué par Aldous Huxley. Huxley et Orwell ont chacun écrit des romans prédisant un avenir dystopique. La prédiction d’Orwell impliquait une part importante de peur et de coercition, mais Huxley prédisait une transition relativement douce et facile vers la tyrannie. Huxley a déclaré que la population serait distraite par des plaisirs insignifiants et remarquerait à peine la prison construite autour d'elle. Il a brillamment prévu comment une société pourrait sombrer dans la tyrannie. Ces citations de Huxley démontrent sa prescience.
Huxley a déclaré : « Il y aura [une] dictature sans larmes, pour ainsi dire, produisant une sorte de camp de concentration indolore pour des sociétés entières, de sorte que les gens se verront en fait retirer leurs libertés, mais en profiteront plutôt, parce que ils seront distraits de tout désir de rébellion par la propagande ou le lavage de cerveau, ou encore le lavage de cerveau renforcé par des méthodes pharmacologiques. Et cela semble être la révolution finale.»
Il a déclaré : « Grâce à des méthodes de manipulation mentale toujours plus efficaces, les démocraties changeront de nature ; les anciennes formes pittoresques… resteront. La substance sous-jacente sera un nouveau type de totalitarisme non-violent. ... [L]'oligarchie au pouvoir et son élite hautement qualifiée composée de soldats, de policiers, de fabricants de pensées et de manipulateurs d'esprit dirigeront tranquillement le spectacle comme bon leur semble.»
Huxley imaginait « une prison sans murs dans laquelle les prisonniers ne songeraient même pas à s'évader. Ce serait essentiellement un système d’esclavage où, par la consommation et le divertissement, les esclaves aimeraient leur servitude. » Il pensait que « [l]a grande partie de la population n’est pas très intelligente, redoute la responsabilité et… est parfaitement heureuse de se laisser gouverner ».
Huxley a prédit à juste titre « une vaste industrie des communications de masse, qui ne se préoccupe essentiellement ni du vrai ni du faux, mais de l’irréel, du plus ou moins totalement hors de propos. [Les médias répondront à] l’appétit presque infini de distraction de l’homme.
Il savait qu’une mauvaise éducation et une crise perpétuelle rendraient possible la tyrannie, écrivant : « On n’enseigne nulle part aux enfants, de manière systématique, à distinguer le vrai du faux, ou les déclarations significatives de celles dénuées de sens. » Et « [l]a liberté, comme nous le savons tous, ne peut pas prospérer dans un pays qui est en permanence sur le pied de guerre, ou même sur le pied de guerre. Une crise permanente justifie un contrôle permanent de tout et de tous par les agences du gouvernement central.
Alors que la plupart des gens n’y prêtent pas attention, la plupart des éléments clés qui protègent la liberté et la prospérité sont désormais attaqués par des personnes qui souhaitent contrôler notre pays et le monde. Les dirigeants mondialistes souhaitent mettre fin à la souveraineté nationale, imposer un « nouvel ordre mondial », contrôler l’information, mettre fin à la liberté d’expression, donner à l’OMS un pouvoir dictatorial mondial sur les grands choix de santé, interdire nos seules sources d’énergie fiables et imposer une monnaie numérique qui permettra une surveillance et un contrôle complets de chaque citoyen grâce à un système de crédit social à la chinoise. Sur le plan intérieur, les États-Unis sont dans la « phase de pillage du trésor » de l’effondrement de leur empire. Notre armée est faible, réveillée et débordée. Les médias dominants fonctionnent comme une branche du parti démocrate. Les niveaux supérieurs du ministère de la Justice fonctionnent également comme une branche du parti démocrate. Le racisme anti-blancs est largement enseigné et soutenu par le gouvernement.
Ce ne sont pas des théories du complot. Les preuves sont pour la plupart au grand jour. Les personnes qui envisagent de devenir vos futurs maîtres ne se soucient pas d’exposer leurs projets car la grande majorité des gens sont distraits par leurs divertissements triviaux. Ils sont occupés à regarder des matchs de ballon, des films et des écrans de smartphones. Les faiblesses mentales évoquées ci-dessus ont créé une culture prête à être prise, inconsciente et indifférente aux choses qui comptent vraiment.
Les gens peuvent ignorer des choses importantes... mais ils ne peuvent pas échapper aux conséquences de l'ignorance de choses importantes.
Le prix de la liberté est une vigilance éternelle. Ce prix n'a pas été payé. Pas du tout. Nous voilà donc au bord du gouffre.
Comme il y a des PUTAINS DE FAUX docteurs qui tous les jours dans les merdias vantent les FAUX vaccins il y a de FAUX DOCTEURS chez les politiques et se disent dans l'opposition et avec une partie du Peuple alors qu'en réalité ils sont dans l'opposition au Peuple !
Selon l'ancien commandant de l'OTAN, le général Wesley Clark, la feuille de route militaire du Pentagone consiste en une séquence de théâtres de guerre :
« [Le] plan de campagne quinquennal [inclut]… un total de sept pays, en commençant par l'Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, l'Iran, la Somalie et le Soudan. » (La démocratie maintenant, 2007)
Fichier:US Unified Command Plan Map 2008-12-23.png
La guerre en cours contre la Syrie est un tremplin vers une guerre contre l’Iran, qui pourrait conduire à un processus d’escalade militaire.
La Russie et la Chine, alliées de la Syrie et de l’Iran, sont également ciblées par les États-Unis et l’OTAN. Au lendemain de la guerre froide, les armes nucléaires ne sont plus une arme de dernier recours (dissuasion) ; leur utilisation est désormais envisagée sur le théâtre de guerre conventionnel.
La route vers Téhéran passe par Damas. Une guerre contre l’Iran parrainée par les États-Unis et l’OTAN impliquerait, dans un premier temps, une campagne de déstabilisation (« changement de régime ») comprenant des opérations secrètes de renseignement en soutien aux forces rebelles affiliées à Al-Qaïda et dirigées contre la Syrie.
La géopolitique du pétrole et des oléoducs est cruciale dans la conduite de ces opérations militaires. La région plus large du Moyen-Orient et de l'Asie centrale englobe plus de 60 pour cent des réserves mondiales de pétrole.
Il existe actuellement cinq théâtres de guerre distincts dans la région du Moyen-Orient et de l’Asie centrale : l’Afghanistan-Pakistan, l’Irak, la Palestine, la Libye et la Syrie.
Une attaque militaire totale contre la Syrie conduirait à l’intégration de ces théâtres de guerre séparés, conduisant finalement à une guerre plus large au Moyen-Orient et en Asie centrale, engloutissant une région entière allant de l’Afrique du Nord et de la Méditerranée à l’Afghanistan, au Pakistan et à la frontière occidentale de la Chine.
« Mener une guerre sans frontières » : le projet 2000 pour le nouveau siècle américain (PNAC). Ce projet a été formulé pour la première fois par les néoconservateurs en septembre 2000.
Les objectifs déclarés du PNAC étaient de « combattre et gagner de manière décisive plusieurs guerres majeures simultanées » dans différentes régions du monde, ainsi que d'accomplir les tâches militaires dites de « gendarmerie » « associées à la formation de l'environnement de sécurité dans les régions critiques ».
Devenus pays vainqueur au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont déterminé les contours politiques et économiques de l’Europe occidentale d’après-guerre. Les troupes américaines sont stationnées dans plusieurs pays européens. Ses adversaires de la Seconde Guerre mondiale (Allemagne, Japon, Italie) ainsi que ses alliés (France, Royaume-Uni, Belgique, Pays-Bas) ont été affaiblis. À l’exception du Royaume-Uni qui fait partie de l’axe anglo-américain, ces pays sont des puissances coloniales sortantes, déplacées par l’hégémonie américaine. Leurs territoires coloniaux d’avant la Seconde Guerre mondiale, notamment l’Indonésie, le Congo, l’Indochine et le Rwanda (entre autres), ont été progressivement intégrés sur une période d’un demi-siècle dans une sphère d’influence dominante américaine.
En Afrique, le processus de déplacement de la sphère d'influence de la France se poursuit. Les États-Unis prennent actuellement le contrôle des anciennes colonies françaises et belges d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest. Washington exerce également un rôle déterminant au Maghreb.
Le « colonialisme interne » dans l’Union européenne
Une forme complexe de « colonialisme interne » émerge également au sein de l’Union européenne. Les institutions financières américaines et les conglomérats d’affaires, ainsi que leurs partenaires européens, jouent un rôle prédominant dans l’élaboration du programme monétaire, commercial et d’investissement.
La politique est subordonnée aux intérêts financiers dominants. Ce qui se déroule également en termes de négociations commerciales secrètes (dans le cadre du TTIP et du CETA), c’est un processus d’intégration économique et politique entre l’UE et l’Amérique du Nord. Ces accords, ainsi que le Partenariat transpacifique (TPP), constituent les éléments constitutifs d’un processus de domination économique mondiale.
Pendant ce temps, les élections présidentielles et parlementaires dans l’UE, y compris en Allemagne, en Italie et en France (par exemple Sarkozy et Hollande) font de plus en plus l’objet d’ingérence politique secrète (sur le modèle des révolutions de couleur), notamment un changement de régime parrainé par les États-Unis. La question fondamentale est de savoir dans quelle mesure les dirigeants européens sont des mandataires politiques.
Guerres parrainées par les États-Unis et opérations de renseignement militaire Toute cette période (de 1945 à aujourd’hui) a été marquée par une succession de guerres parrainées par les États-Unis et d’interventions des services de renseignement militaires dans toutes les grandes régions du monde.
Au Japon, les cibles militaires n’étaient pas l’objectif principal : la notion de « dommages collatéraux » a été utilisée pour justifier le massacre de civils, sous le prétexte officiel qu’Hiroshima était « une base militaire » et que les civils n’étaient pas la cible.
Selon les mots du président Harry Truman :
« Nous avons découvert la bombe la plus terrible de l’histoire du monde. … Cette arme doit être utilisée contre le Japon… [Nous] l’utiliserons de manière à ce que les objectifs militaires, les soldats et les marins soient la cible et non les femmes et les enfants. Même si les Japonais sont des sauvages, impitoyables, impitoyables et fanatiques, nous, en tant que leader mondial du bien commun, ne pouvons pas larguer cette terrible bombe sur l’ancienne capitale ou sur la nouvelle. … La cible sera purement militaire…
"Cela semble être la chose la plus terrible jamais découverte, mais elle peut devenir la plus utile." 20 ( Président Harry S. Truman, Journal, 25 juillet 1945 )
«Le monde remarquera que la première bombe atomique a été larguée sur une base militaire d'Hiroshima. C'est parce que nous souhaitions, lors de cette première attaque, éviter, autant que possible, la mort de civils.. » (Le président Harry S. Truman dans un discours radiophonique à la Nation, le 9 août 1945).
[Remarque : la première bombe atomique a été larguée sur Hiroshima le 6 août 1945 ; le deuxième à Nagasaki, le 9 août, le même jour que le discours radiophonique de Truman à la Nation]
Personne aux échelons supérieurs du gouvernement et de l’armée américains ne croyait qu’Hiroshima était une base militaire, Truman se mentait à lui-même et au public américain.
À ce jour, l’utilisation d’armes nucléaires contre le Japon est justifiée comme un coût nécessaire pour mettre un terme à la guerre et, en fin de compte, « sauver des vies ».
Avant Hiroshima, les États-Unis avaient largement utilisé des bombes incendiaires au Japon, provoquant d'importantes pertes civiles. En Allemagne, les forces alliées ont largement bombardé et détruit des villes allemandes dans la dernière partie de la guerre, ciblant les civils plutôt que les installations militaires.
L’arsenal nucléaire américain s’est considérablement développé. Après l’ère froide, ArmsControl.org (avril 2013) confirme que les États-Unis
« possède 5 113 ogives nucléaires, dont des armes tactiques, stratégiques et non déployées ».
Selon la dernière déclaration officielle New START, sur plus de 5 113 armes nucléaires,
« Les États-Unis déploient 1 654 ogives nucléaires stratégiques sur 792 ICBM, SLBM et bombardiers stratégiques déployés…
De plus, selon la Fédération des scientifiques américains (FAS), les États-Unis possèdent 500 ogives nucléaires tactiques, dont beaucoup sont déployées dans des États non nucléaires, notamment l’Allemagne, l’Italie, la Turquie, la Belgique et les Pays-Bas.
L'histoire des crimes de guerre La notion d’événements générateurs de pertes massives prévaut jusqu’à présent dans les stratégies militaires américaines. Invariablement, comme dans le cas de la Syrie, les victimes civiles de la guerre commises par l’agresseur sont imputées aux victimes.
La période qui s’étend de la guerre de Corée jusqu’à aujourd’hui est marquée par une succession de guerres théâtrales sponsorisées par les États-Unis (Corée, Vietnam, Cambodge, Afghanistan, Irak et Yougoslavie), de diverses formes d’intervention militaire, notamment des conflits de faible intensité, des « guerres civiles » (The Civil War). Congo, Angola, Somalie, Éthiopie, Rwanda, Soudan), coups d'État militaires, escadrons de la mort et massacres parrainés par les États-Unis (Chili, Guatemala, Honduras, Argentine, Indonésie, Thaïlande, Philippines), guerres secrètes menées par les services de renseignement américains, militaires parrainés par les États-Unis et l'OTAN. intervention en Libye (en utilisant les rebelles d’Al-Qaïda comme fantassins parrainés par les renseignements occidentaux).
La guerre contre la Syrie est essentiellement une guerre d’agression secrète dans laquelle l’alliance militaire occidentale et ses partenaires du CCG soutiennent une insurrection terroriste. L’objectif est de déstabiliser la Syrie en tant qu’État-nation.
L’objectif n’a pas été de gagner ces guerres mais essentiellement de déstabiliser ces pays en tant qu’États-nations et d’imposer un gouvernement par procuration qui agit au nom des intérêts occidentaux. Compte tenu de ces diverses opérations, les États-Unis ont attaqué, directement ou indirectement, quelque 44 pays dans différentes régions du monde en développement, depuis août 1945, et plusieurs d’entre eux à plusieurs reprises (Eric Waddell, 2003) :
« L'objectif avoué de ces interventions militaires a été de provoquer un « changement de régime ». Les « droits de l’homme » et la « démocratie » étaient invariablement évoqués pour justifier des actes unilatéraux et illégaux. (Éric Waddell, 2003)
Détruire l’internationalisme : la doctrine Truman L’objectif plus large d’une domination militaire mondiale au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en soutien à un projet impérial, a été formulé sous l’administration Truman à la fin des années 1940, au début de la guerre froide. Elle a été réaffirmée par le président américain George Herbert Walker Bush dans un discours historique prononcé en 1990 lors d’une session conjointe du Congrès et du Sénat américains, au cours de laquelle il a proclamé un nouvel ordre mondial émergeant de la chute du mur de Berlin et de la désintégration du bloc soviétique.
Les fondements idéologiques de ce programme se trouvent dans ce que l’on appelle la « Doctrine Truman », formulée pour la première fois par le conseiller en politique étrangère George F. Kennan en 1948 dans un mémoire du Département d’État.
Georges Kennan
Ce que véhicule ce document de 1948, c’est la continuité de la politique étrangère américaine, du « confinement » pendant la guerre froide à la guerre « préventive » et à la « guerre contre le terrorisme ». Il déclare en termes polis que les États-Unis devraient rechercher la domination économique et stratégique par des moyens militaires :
En outre, nous possédons environ 50 % de la richesse mondiale, mais seulement 6,3 % de la population. Cette disparité est particulièrement grande entre nous et les peuples d’Asie. Dans cette situation, nous ne pouvons manquer d’être l’objet d’envie et de ressentiment. Notre véritable tâche dans la période à venir est de concevoir un modèle de relations qui nous permettra de maintenir cette position de disparité sans nuire positivement à notre sécurité nationale. Pour ce faire, il faudra renoncer à toute sentimentalité et à toute rêverie ; et notre attention devra se concentrer partout sur nos objectifs nationaux immédiats. Nous ne devons pas nous tromper en pensant que nous pouvons aujourd’hui nous permettre le luxe de l’altruisme et du bienfait du monde. (…)
Face à cette situation, nous ferions mieux de renoncer maintenant à un certain nombre de concepts qui ont guidé notre réflexion à l'égard de l'Extrême-Orient. Nous devrions renoncer à l’aspiration à « être apprécié » ou à être considéré comme le dépositaire d’un altruisme international noble. Nous devrions cesser de nous mettre dans la position de gardiens de nos frères et nous abstenir de donner des conseils moraux et idéologiques. Nous devrions cesser de parler d'objectifs vagues et – pour l'Extrême-Orient – irréels, tels que les droits de l'homme, l'amélioration du niveau de vie et la démocratisation. Le jour n’est pas loin où nous devrons aborder des concepts de pouvoir purs et simples. Moins nous sommes gênés par des slogans idéalistes, mieux c’est (George f. Kennan, State Department Brief de 1948)
La désintégration planifiée du système des Nations Unies en tant qu'organisme international indépendant et influent est sur la planche à dessin de la politique étrangère américaine depuis la création des Nations Unies en 1946. Sa disparition planifiée faisait partie intégrante de la doctrine Truman telle que définie en 1948. Dès la création de l’ONU, Washington a cherché d’une part à la contrôler à son avantage, tout en cherchant également à l’affaiblir et, à terme, à la détruire.
« Parfois, [les Nations Unies] ont joué un rôle utile. Mais dans l’ensemble, cela a créé plus de problèmes qu’il n’en a résolu, et a conduit à une dispersion considérable de nos efforts diplomatiques. Et dans nos efforts pour utiliser la majorité des Nations Unies à des fins politiques majeures, nous jouons avec une arme dangereuse qui pourrait un jour se retourner contre nous. Il s’agit d’une situation qui mérite une étude et une prévoyance très attentives de notre part. (George Kennan, 1948)
Bien qu’officiellement engagé envers la « communauté internationale », Washington n’a largement fait que des paroles en l’air aux Nations Unies. Aujourd’hui, l’ONU est à bien des égards un appendice de l’appareil d’État américain.
Plutôt que de saper l’ONU en tant qu’institution, les États-Unis et leurs alliés exercent un contrôle sur le Secrétariat et les principales agences de l’ONU. Depuis la Première Guerre du Golfe, l’ONU a essentiellement joué un rôle d’approbation automatique. Il a fermé les yeux sur les crimes de guerre américains et a mis en œuvre de soi-disant opérations de maintien de la paix au nom des envahisseurs anglo-américains, en violation de la Charte des Nations Unies. Suite au « limogeage » de facto du secrétaire général Boutros Boutros Ghali, les secrétaires généraux de l’ONU Kofi Annan et Ban Ki Moon sont devenus un outil de la politique étrangère américaine, prenant leurs ordres directement de Washington.
Construire une sphère d’influence américaine en Asie de l’Est et du Sud-Est La doctrine Truman évoquée ci-dessus était le point culminant d’une stratégie militaire américaine d’après-Seconde Guerre mondiale initiée avec le bombardement nucléaire d’Hiroshima et de Nagasaki en août 1945 et la capitulation du Japon.
En Asie de l'Est, cela a consisté en l'occupation du Japon d'après-guerre ainsi qu'en la prise de contrôle par les États-Unis de l'empire colonial japonais, y compris la Corée du Sud (la Corée a été annexée au Japon en vertu du traité d'annexion Japon-Corée de 1910).
Après la défaite du Japon impérial lors de la Seconde Guerre mondiale, une sphère d'influence américaine dans toute l'Asie de l'Est et du Sud-Est a été établie dans les territoires de l'ancienne « sphère de coprospérité de la Grande Asie de l'Est » du Japon.
L'hégémonie américaine en Asie reposait en grande partie sur l'établissement d'une sphère d'influence dans les pays sous la juridiction coloniale du Japon, de la France et des Pays-Bas.
La sphère d'influence américaine en Asie – qui s'est construite sur une période de plus de 20 ans – comprenait les Philippines (possession américaine occupée par le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale), la Corée du Sud (annexée au Japon en 1910), la Thaïlande. (un protectorat japonais pendant la Seconde Guerre mondiale), l'Indonésie (une colonie néerlandaise occupée par le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale, qui devient de facto un État mandataire des États-Unis après l'établissement de la dictature militaire de Suharto en 1965).
Cette sphère d'influence américaine en Asie a également étendu son emprise sur les anciennes possessions coloniales françaises en Indochine, notamment au Vietnam, au Laos et au Cambodge, qui étaient sous occupation militaire japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le « Pivot vers l'Asie » d'Obama, qui menace ouvertement la Chine, est la fin de ce processus historique.
La guerre de Corée (1950-1953) fut la première opération militaire majeure entreprise par les États-Unis au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lancée au tout début de ce que l’on appelait par euphémisme « la guerre froide ». À bien des égards, il s’agissait d’une continuation de la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle les terres coréennes sous occupation coloniale japonaise furent, du jour au lendemain, remises à une nouvelle puissance coloniale, les États-Unis d’Amérique.
En Corée du Sud le 8 septembre 1945, trois semaines après la capitulation du Japon le 15 août 1945. De plus, les responsables japonais en Corée du Sud ont aidé le gouvernement militaire de l'armée américaine (USAMG) (1945-48) dirigé par le général Hodge à assurer cette transition. . Les administrateurs coloniaux japonais à Séoul ainsi que leurs policiers coréens travaillèrent main dans la main avec les nouveaux maîtres coloniaux.
Alors que le Japon était traité comme un empire vaincu, la Corée du Sud était identifiée comme un territoire colonial devant être administré sous le régime militaire américain et les forces d’occupation américaines. Sygman Rhee, le candidat américain trié sur le volet, fut transporté à Séoul en octobre 1945, à bord de l'avion personnel du général Douglas MacArthur.
Toute cette « période d’après-guerre » est marquée par de nombreux crimes de guerre entraînant la mort de plus de vingt millions de personnes. Ce chiffre n’inclut pas ceux qui ont péri à cause de la pauvreté, de la famine et de la maladie.
Nous avons affaire à un programme criminel de politique étrangère américaine. La propagande médiatique a servi à obscurcir cet agenda. L’interventionnisme américain est invariablement considéré comme une entreprise humanitaire. Pendant ce temps, les soi-disant gauchistes progressistes et les « militants anti-guerre » soutenus par des fondations d’entreprises ont soutenu ce programme pour des raisons humanitaires.
La criminalisation ne concerne pas un ou plusieurs chefs d’État. Cela concerne l’ensemble du système étatique, les diverses institutions civiles et militaires ainsi que les puissants intérêts des entreprises derrière la formulation de la politique étrangère américaine, les groupes de réflexion de Washington, les institutions créancières qui financent la machine militaire.
Les crimes de guerre sont le résultat de la criminalisation de l’État américain et de l’appareil de politique étrangère. Nous avons affaire spécifiquement à des criminels de guerre individuels, mais à un processus impliquant des décideurs agissant à différents niveaux, avec pour mandat de commettre des crimes de guerre, conformément aux directives et procédures établies.
Ce qui distingue les administrations Bush et Obama par rapport à l’histoire des crimes et atrocités financés par les États-Unis, c’est que les camps de concentration, les assassinats ciblés et les chambres de torture sont désormais ouvertement considérés comme des formes légitimes d’intervention, qui soutiennent « la guerre mondiale contre le terrorisme ». et soutenir la propagation de la démocratie occidentale.
Les guerres du XXIe siècle : de la guerre froide à la « guerre mondiale contre le terrorisme » Le cerveau présumé des attentats terroristes du 11 septembre, Oussama ben Laden, d’origine saoudienne, a été recruté pendant la guerre soviéto-afghane, « ironiquement sous les auspices de la CIA, pour combattre les envahisseurs soviétiques ».
Dès le début de la guerre soviéto-afghane, au début des années 1980, l’appareil de renseignement américain a soutenu la formation de « brigades islamiques ».
En 2001, lorsque l'Afghanistan a été bombardé puis envahi, les « progressistes » ont largement soutenu la doctrine militaire de la « juste cause » de l'administration. Au lendemain du 11 septembre, le mouvement anti-guerre contre l’invasion illégale de l’Afghanistan s’est retrouvé isolé. Les syndicats et les organisations de la société civile ont avalé les mensonges médiatiques et la propagande gouvernementale. Ils avaient accepté une guerre de représailles contre Al-Qaïda et les talibans. Plusieurs intellectuels éminents « de gauche » ont soutenu le programme de « guerre contre le terrorisme ».
La désinformation médiatique a prévalu. Les gens ont été induits en erreur quant à la nature et aux objectifs sous-jacents à l’invasion de l’Afghanistan. Oussama ben Laden et les talibans ont été identifiés comme les principaux suspects des attentats du 11 septembre, sans la moindre preuve et sans aborder la relation historique entre Al-Qaïda et l’appareil de renseignement américain. À cet égard, comprendre le 11 septembre est crucial pour formuler une position anti-guerre cohérente. Le 11 septembre est le pilier de la propagande de guerre américaine ; elle entretient l’illusion d’un ennemi extérieur, elle justifie une intervention militaire préventive.
La logique concernant la Syrie était quelque peu différente. Les organisations « progressistes » et « anti-guerre » dominantes ont soutenu les soi-disant forces d’opposition sans reconnaître que le pilier de ces forces est composé de terroristes affiliés à Al-Qaïda, recrutés, entraînés et financés par les États-Unis et l’OTAN et leurs alliés, notamment Israël, la Turquie et le Qatar. et l'Arabie Saoudite. Ces groupes anti-guerre, qui soutenaient auparavant l'intervention de l'OTAN en Libye, accusent le gouvernement syrien des atrocités commises par les rebelles d'Al-Qaïda parrainés par les États-Unis.
Reconstruire le mouvement anti-guerre Ce qu’il faut, c’est reconstruire un mouvement de masse. Et cela ne peut pas être dirigé et manipulé par des « progressistes » autoproclamés, avec le soutien financier de fondations d’entreprises.
La base sociale ainsi que la structure organisationnelle du mouvement anti-guerre doivent être transformées. La « Longue Guerre » américaine est un projet impérialiste qui soutient les structures financières et les fondements institutionnels de l'ordre capitaliste mondial. Derrière ce programme militaire se cachent de puissants intérêts commerciaux, notamment un vaste appareil de propagande.
La guerre et la crise économique sont intimement liées. L’imposition mondiale de mesures de politique macro-économique néolibérale fait partie d’un programme impérial plus large. Par conséquent, le mouvement plus large contre le néolibéralisme doit être intégré au mouvement anti-guerre.
Faire pression avec force sur les gouvernements des pays membres et non membres de l’OTAN pour qu’ils se retirent du programme militaire mondial dirigé par les États-Unis. Développer un mouvement anti-guerre cohérent en Israël. Informer les citoyens israéliens des conséquences probables d’une attaque américano-OTAN-israélienne contre l’Iran. Ciblez les groupes de pression pro-guerre, y compris les groupes pro-israéliens aux États-Unis. Démanteler l'État de sécurité intérieure . Abroger la légitimité des assassinats extrajudiciaires d'Obama. Abroger les guerres de drones dirigées contre les civils. Saper la « militarisation des forces de l’ordre ». Inverser la gamme des législations antiterroristes des pays occidentaux qui visent à abroger les droits civils fondamentaux. Ce ne sont pas des tâches faciles. Ils nécessitent une compréhension de la structure du pouvoir, des relations hégémoniques entre l’armée, les services de renseignement, les structures étatiques et les grandes entreprises qui promeuvent ce programme destructeur. En fin de compte, ces relations de pouvoir doivent être sapées afin de changer le cours de l’histoire mondiale.
Best-seller américain de 2023, le film « Sound of Freedom » à l’épreuve des faits
RépondreSupprimer16.11.2023
www.kla.tv/27463
A partir du 8 novembre, le film best-seller américain très discuté « Sound of Freedom », en français « Le son de la liberté », devrait également être projeté dans les cinémas allemands. Aux États-Unis, le film, un des dix les plus populaires de l'année, a déjà rapporté environ 181 millions de dollars. Selon les indications des Angel Studios, le film devrait être projeté dans près de 20 pays d’Amérique centrale et du Sud, au Royaume-Uni et en Irlande, en Australie et en Afrique du Sud.
« Sound of Freedom », une « histoire vraie », reprend des prétendus faits réels de la vie de Tim Ballard. Ballard, un ancien agent, quitte son emploi à Homeland Security Investigations [branche d'enquête du ministère américain de la Sécurité intérieure] parce que, bien qu'il arrête régulièrement des délinquants impliqués dans la pornographie enfantine, il ne peut pas sauver des enfants des mains des cartels de la drogue et des trafiquants d'êtres humains. C'est ainsi que son personnage est présenté dans le film. Peu après, Ballard serait devenu un militant des droits de l'homme très engagé, fondant en 2013 le groupe anti-trafic d'êtres humains Operation Underground Railroad [O.U.R.] afin de travailler d'arrache-pied à la découverte et à la lutte contre ces crimes. Le film met l'accent sur la traite des enfants en Amérique latine, notamment au Mexique, et sur la manière dont ces enfants se retrouvent dans le commerce du sexe. À la demande expresse de Tim Ballard, Jim Caviezel, principalement connu pour son rôle de Jésus-Christ dans le film de Mel Gibson « La Passion du Christ », incarne le personnage de Ballard.
Dans ce contexte, de nombreux lanceurs d’alerte respirent et se réjouissent que cet acteur passionné utilise son pouvoir de star pour attirer l'attention du monde sur le cruel trafic d'enfants. Kla.TV a également été informé à plusieurs reprises de l'existence de ce film et a été prié d'en faire la promotion. Fidèles à notre devoir journalistique, nous avons regardé ce film, non pas pour en faire la promotion, mais pour le mettre à l'épreuve. Pour un film de cette ampleur et de cette importance de recettes, il y a toujours un flux d'argent. C'est ce que nous avons suivi afin de déterminer si le film tient réellement ses promesses ou s'il s'engage sur des voies d’évitement.
Dans une émission de Kla.TV [« Till Lindemann, chanteur principal de Rammstein, et Heidi Klum, top model, devant le TRIBUNAL POPULAIRE »], dans laquelle l'autrice Loïs Sasek passe au crible quelques célébrités, elle fait déjà un excellent constat :
[Extrait de l'émission www.kla.tv/26833 - Minute : 0:52:29 - 0:53:55]
« Le film [Sound of Freedom] a toutefois été cofinancé par l'un des hommes les plus riches du monde, Carlos Slim Helú, qui est également accusé de trafic d'êtres humains. Il est également donateur de la Fondation Clinton. On le voit souvent photographié avec Bill Gates. […] L'Institut de la santé Carlos Slim Helú collabore également avec la Fondation Gates. Carlos Slim Helú est en relation d'affaires étroite avec les Rothschild et finance la Fondation Bill & Melinda Gates. Fabian Marta, un autre soutien du film contre le trafic d'enfants « Sound of Freedom », a été arrêté et inculpé de complicité d'enlèvement d'enfants, selon un dossier judiciaire du Missouri. Tim Ballard, le prétendu sauveur des enfants victimes du trafic d'enfants, porte une cravate maçonnique et ressemble étrangement au prédateur sexuel « Timothy Ray Ballard ». Tim Ballard travaille avec Henry Kissinger et semble être membre de la société secrète des Templiers, tout comme Jim Caviezel. L'acteur Jim Caviezel fait ouvertement les signes de la secte […] et rencontre le pape. »
RépondreSupprimerDes trafiquants d'êtres humains, des ravisseurs d'enfants ainsi que des délinquants sexuels présumés et parfois réellement accusés tournent un film sur l'enlèvement d'enfants et le trafic sexuel... Peut-on encore croire à des coïncidences ?
De même, le fait que l'Opération Underground Railroad (O.U.R.) mentionnée, créée par Ballard, soit soupçonnée d'avoir détourné des millions de dons, n'est pas un détail insignifiant. Anne Gallagher, une spécialiste en droit international dans le domaine de la traite des êtres humains, a également accusé O.U.R. de « [...] manque alarmant de compréhension de la manière dont les réseaux criminels sophistiqués de traite des êtres humains doivent être abordés et démantelés [...] » et a qualifié le travail de l'organisation d'« arrogant, contraire à l'éthique et illégal ». En fait, Ballard a dû quitter l'organisation à l'été 2023 après une enquête interne et des accusations d'inconduite sexuelle portées contre lui par plusieurs employés. Et ce, alors qu'en 2022 il percevait encore un salaire et des indemnités de plus d'un demi-million de dollars.
Revenons au film :
David Sorensen, journaliste connu et fondateur du site StopWorldControl.com, critique les possibilités de révélation du film sur le trafic international d'enfants comme suit :
« Sound of Freedom montre comment ça – c’est-à-dire le trafic d'enfants, etc. - se passe au plus profond des bas-fonds d'Amérique du Sud, par exemple par le cartel mexicain. C'est vrai, mais ce n'est pas du tout l'histoire complète. Si le monde pense que cela n'est le fait que de criminels dans les bas-fonds, il ne comprendra jamais que cela se passe en réalité dans les hauts et sublimes gratte-ciel de New York, dans les bâtiments officiels du gouvernement de Washington DC, dans les chefs-d'œuvre architecturaux historiques de Londres, dans les beaux châteaux d'Europe, dans les brillants centres de conférence de Davos et ainsi de suite. »
Plus loin, Sorensen explique, et c'est d'une importance extraordinaire : « Mais ce qui m'attriste, c'est que le film ne révèle en aucune manière - ou même ne suggère - qui sont les vrais coupables du trafic international d'enfants. En fait, il détourne l'attention de ceux qui sont réellement responsables de l'enlèvement, de l'abus, de la torture et de l'assassinat d'enfants dans le monde entier. »
RépondreSupprimerDavid Sorensen voit clairement que le film ne révélera jamais les véritables atrocités ainsi que les auteurs qui se cachent derrière.
Et bien plus lourd de conséquences, « Sound of Freedom » ne semble pas seulement dissimuler les véritables coupables, il y a même de forts soupçons que le film fasse le jeu d'un « programme d'identification des enfants » mis en place par les francs-maçons en 1997.
Loïs Sasek a expliqué, dans l'émission Kla.TV déjà citée, en se référant au rapport Reese [plate-forme d'investigation], qu'il est prévu de collecter toutes les données des enfants dans le monde entier. Il s'agirait d'une étape préliminaire à la puce sous la peau.
[Extrait de l'émission www.kla.tv/26833 - Minute : 0:54:17 - 0:55:42]
« Selon le rapport Reese, des organisations douteuses participent à ce programme, comme par exemple la « Clinton Global Initiative » ou le « Podesta Group », les fameux collectionneurs d'art pédophiles du scandale des e-mails Wikileaks-Podesta... Le rapport Reese révèle également que les studios Angel, qui ont produit le film « Sound of Freedom », sont liés en tant qu’organisations d'aide aux mêmes groupes soupçonnés d'être impliqués dans le côté criminel du trafic d'enfants comme les Clinton et les Podesta.
Après la création de cette base de données sur les enfants, le trafic d'êtres humains a augmenté. En l'espace de neuf ans, le chiffre d'affaires de l'industrie de la traite des êtres humains est passé d'environ 30 milliards de dollars à 150 milliards de dollars par an. La lanceuse d'alerte du gouvernement, Tara Lee Rodas, a témoigné que le gouvernement américain était impliqué dans le trafic d'enfants sous le prétexte de programmes de protection de l'enfance. Est-ce que ce sont vraiment nos messies ? Après tout Jim Caviezel a joué le Messie qu'ils ont malmené... Jésus accroché à la croix avec un seul œil et la position de la main de Baphomet... Seulement des coïncidences ? »
Tant que Caviezel collabore avec les producteurs et les financiers du film cités précédemment, les doutes sur sa sincérité ne peuvent pas être levés, même s'il donne en même temps des interviews à des chaînes de télévision de dévoilement comme rumble.tv sur, par exemple, l’adrénochrome [« cocktail de rajeunissement » de cercles élitistes à base de sang d'enfants torturés].
Ce qui est frappant, c'est que les producteurs de films, les célébrités et les acteurs qui ont effectivement eu le courage de dévoiler les secrets cruels d'auteurs d'atrocités l'ont payé de leur vie. Loïs Sasek raconte également dans son émission [www.kla.tv/26833] comment de grands producteurs de films sont morts subitement de manière étrange après avoir révélé les noms et les secrets de cercles « élitistes » qui commettent des actes odieux contre des enfants.
RépondreSupprimerConclusion : Il est bon et important que « Sound of Freedom » aborde le thème important de la traite et de l'abus des enfants. Mais il est tout de même recommandé de jeter un regard plus attentif sur cette œuvre cinématographique et d'examiner attentivement le contexte décrit ainsi que les informations présentées sur les réalisateurs du film. En effet, les spectateurs du film risquent d'être tentés de se reposer sur leurs lauriers en pensant que le film et les organisations mentionnées font déjà quelque chose pour les enfants pauvres. Le dernier documentaire de Kla.TV « Secte du sang II - 111 victimes 50 témoins 50 coupables », réalisé par Loïs Sasek, montre que c'est loin d'être le cas [www.kla.tv/27305]. Regardez aussi La secte du sang I (de Loïs Sasek) avec les paroles de nombreuses autres victimes et témoins. En effet, ces documentaires, qui ont fait l'objet de recherches approfondies et comportent des centaines de sources, révèlent les véritables dessous du trafic d'enfants. Les victimes et les témoins eux-mêmes mettent en évidence les réseaux et les structures largement interconnectés des criminels...
Ainsi, si ce film de cinéma montre des choses et des dysfonctionnements réels sans aller au fond des choses sur qui sont les responsables et les auteurs de ces crimes pédocriminels, où le spectateur est dans le même temps détourné de ce qui se passe littéralement sous son nez.
Ne vous laissez pas tromper, suivez la piste de l'argent et écoutez ce que dit votre cœur. Ou, pour conclure avec les mots de David Sorensen : « Que le monde se réveille vraiment. Que le mal soit vraiment révélé. Que ces monstres soient jugés, au nom du Très-Haut, le Créateur de toute vie. Que la vérité brille dans notre monde. Que les gens se réveillent de leur sommeil. Que les enfants du monde entier soient réellement libérés. Et que les porte-parole de la VRAIE vérité se lèvent dans notre monde [...]. »
de abu./avr.
RépondreSupprimerSources / Liens :
Informations sur le film :
https://de.wikipedia.org/wiki/Sound_of_Freedom
https://www.filmstarts.de/nachrichten/1000039480.html
https://www.epochtimes.de/etplus/nach-us-erfolg-film-sound-of-freedom-wird-international-gezeigt-a4356707.html
Informations sur les accusations dans l’affaire OUR et Ballard :
https://en.wikipedia.org/wiki/Operation_Underground_Railroad
https://www.vice.com/en/article/k7a3qw/a-famed-anti-sex-trafficking-group-has-a-problem-with-the-truth
https://rumble.com/v2zihvi-sound-of-freedom-and-operation-underground-railroad-why-it-is-a-scam.html
https://www.stopbaptistpredators.org/article10/tim_ballard.html
Les bailleurs de fonds de Ballard et Caviezel et leurs ramifications / Programme d'identification des enfants :
https://kla.tv/26810
Critique du film Sorensen et crimes contre les enfants :
https://stopworldcontrol.com/soundoffreedom/
https://stopworldcontrol.com/abuse/
L'interview de Caviezel sur rumbel.tv :
https://rumble.com/search/all?q=steve%20bannon%20jim%20caviezel
https://rumble.com/v2qk0o0-the-sound-of-freedom-jim-caviezel-july-4th-2023-stop-child-trafficking.html
Contexte de Sound of Freedom
Helú finance la fondation Clinton et est un gros investisseur de « Sound of Freedom » :
rumble.com/v2zihvi-sound-of-freedom-and-operation-underground-railroad-why-it-is-a-scam.html
www.wiwo.de/erfolg/trends/forbes-liste-2023-die-reichsten-menschen-der-welt-im-aktuellen-ranking/26281100.html
Don de Helú et Giustra à la Fondation Clinton :
RépondreSupprimerhttps://www.theglobeandmail.com/report-on-business/giustra-slim-donate-100-million-each-to-clinton-foundation/article20404756/
t.me/ReptosNagas/37376
t.me/anon_fa_mous/2916
t.me/anon_fa_mous/2917
Les liens de Helú avec les Rothschild et ses affaires avec Hunter Biden :
www.dailymail.co.uk/news/article-1293856/Rothschilds-big-fat-deal-Slim.html
t.me/anon_fa_mous/2920
t.me/anon_fa_mous/2956
Documentaire : « Le contrôle des Rothschild »
www.kla.tv/13640
The sound of freedom et Carlos Slim°:
www.youtube.com/watch?v=WNDkTccQOpY
Helú connu comme trafiquant d'êtres humains :
t.me/RomanMironovHRD/10836
telegra.ph/Das-r%C3%A4tselhafte-Verschwinden-des-mexikanischen-Supermodels-Gabriela-Rico-Jim%C3%A9nez-05-25
Projets agricoles de Carlos :
t.me/guerrieriperlaliberta/23766
Société de téléphonie mobile de Carlos :
t.me/cicepr/29557
Carlos Slim Helú - société minière et immobilière :
t.me/cicepr/29557
odysee.com/@ActualidadRT:9/2022.04.08_Campesino-contra-Slim---Manuel_Odysee:1
anonfamous.substack.com/p/the-tim-ballard-rabbit-hole-part-395
Carlos Slim Helú et le trafic de drogue :
www.nogeoingegneria.com/effetti/politicaeconomia/transizione-green-fink-blackrock-mai-vista-una-cosa-del-genere-in-40-anni/
Bill & Hillary Clinton - Impliqués dans le trafic d'enfants ?
www.coreysdigs.com/child-trafficking/are-bill-hillary-clinton-involved-with-child-trafficking/
Programme d'identification maçonnique pour enfants :
www.grandlodgefl.com/glf-initiatives/child-id-program-2/
ifunny.co/video/tim-ballard-founder-of-operation-underground-railroad-says-that-microchipping-Agxpn1reA
t.me/Kinder_schuetzen/4527?single
www.facebook.com/FloridaMasonicChildIdProgram
Jim Caviezel - Signes de la secte :
https://t.me/Faktenfick/21207
Jérusalem Cross - Knights Templar :
http://www.phoenixmasonry.org/enigma_of_freemasonry/text.htm
Images Jim Caviezel :
RépondreSupprimerhttps://ifunny.co/video/tim-ballard-founder-of-operation-underground-railroad-says-that-microchipping-Agxpn1reA
Des millions de recettes grâce au film
https://www.filmstarts.de/nachrichten/1000039480.html
Les réseaux de Tim Ballard :
https://anonfamous.substack.com/p/the-tim-ballard-rabbit-hole?utm_source=profile&utm_medium=reader2
anonfamous.substack.com/p/the-tim-ballard-rabbit-hole-part
healthimpactnews.com/2023/sound-of-freedom-a-movie-about-child-trafficking-produced-by-child-traffickers/
ifunny.co/video/tim-ballard-founder-of-operation-underground-railroad-says-that-microchipping-Agxpn1reA
Tim Ballard Templier/Franc-maçon, CIA :
t.me/aerzte/56952
t.me/anon_fa_mous/2892
http://templartimes.smotj.org/20150715_news.htm
t.me/anon_fa_mous/2852
t.me/anon_fa_mous/2872
anonfamous.substack.com/p/podcast-7-my-thoughts-on-tim-ballard#comments
Tim Ballard et Henry Kissinger dans la même organisation :
afghanistanworldfoundation.org/awf-board/
Fondation Gates, Carlos Slim Helú :
https://www-gatesfoundation-org.translate.goog/ideas/media-center/press-releases/2010/06/gates-foundation-carlos-slim-health-institute-spain-and-the-idb-to-improve-health-in-mesoamerica?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=de&_x_tr_hl=de&_x_tr_pto=sc
Dr. Amandha Vollmer sur « Sound of Freedom », la stratégie des trafiquants d'enfants :
rumble.com/v2zgwyw-dr-amandha-vollmer-the-sound-of-freedom-movie-is-another-planned-psyop.html
Tara Lee Rodas sur l'implication du gouvernement américain dans le trafic d'enfants :
uncutnews.ch/whistleblower-regierung-ist-mittelsmann-in-einer-riesigen-operation-von-kinderhandel/
Source des liens Sound of Freedom sur le trafic d'enfants :
RépondreSupprimerodysee.com/@AugenAufMedien
Rapport Greg Reese :
odysee.com/@WakeUpMirror:3/grascp:8
Le témoignage de Tim Ballard sur la solution technologique
www.youtube.com/watch?v=FT4tmI8YxCU
Le programme Child ID
https://www.grandlodgefl.com/glf-initiatives/child-id-program-2/
www.facebook.com/search/top?q=georgia%20child%20identification%20program
www.youtube.com/watch?v=CtZfRkBZIEQ
Tim Ballard ressemble à un délinquant sexuel :
www.youtube.com/watch?v=HgM5hPkyKnc
www.stopbaptistpredators.org/article10/tim_ballard.html
www.ark.org/offender-search/index.php?do:getById=1&id=6388494
Fabian Marta - Accusation d'enlèvement d'enfant
www.newsweek.com/sound-freedom-funder-fabian-marta-arrest-child-kidnapping-1817498
Morts mystérieuses à Hollywood liées à la révélation
Suicide Chris Cornell, Chester Bennington et Anthony Bourdain :
www.youtube.com/watch?v=_9mdErahwHM
Un témoin oculaire raconte la mort de Kubrick
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=362
Le film “Eyes Wide Shut”, mort deStanley Kubrick :
www.youtube.com/watch?v=wMt7GaZWJoU
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=233
Kubrick filme dans une véritable villa Rotschild :
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=277
Kubrick est mort 666 jours avant le 1er janvier 2001 :
RépondreSupprimeryoutu.be/wMt7GaZWJoU?t=694
Déclaration de Kubrick selon laquelle les pédophiles dirigent le monde :
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=894
Cérémonie grecque, romaine ; invocation de dieux païens,
Sacrifice de témoins :
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=810
Témoignages :
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=960
Le rituel satanique était un thème du film :
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=993
Programmations :
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=1131
Révélation de l'élite luciférienne :
youtu.be/wMt7GaZWJoU?t=1182
Assassinat de Pasolini pour cause de dévoilement ?
https://www.sueddeutsche.de/panorama/mord-bei-rom-1975-wer-toetete-pier-paolo-pasolini-1.3940294
https://www.theguardian.com/world/2014/aug/24/who-really-killed-pier-paolo-pasolini-venice-film-festival-biennale-abel-ferrara
Film sur les circonstances réelles de l'assassinat de Pasolini :
https://www.bitchute.com/video/n2Xm8Kks8fGY/
Les enquêtes de Pasolini sur les loges maçonniques italiennes :
https://www.nzz.ch/international/geheimloge-p2-italiens-groesster-skandal-ist-nicht-aufgearbeitet-ld.1627297?reduced=true
Conférence AZK de Daniele Ganser, entre autres, sur les attentats de la loge P2 :
www.kla.tv/5905
Le film à scandale de Pasolini « Salo - Les 120 journées de Sodome » :
www.moviepilot.de/news/einer-der-haertesten-filme-aller-zeiten-ist-in-deutschland-nicht-mehr-verboten-meisterwerk-loeste-weltweit-skandal-aus-1139947
de.wikipedia.org/wiki/Die_120_Tage_von_Sodom_(Film)
RépondreSupprimerAccident de voiture d'Anne Heche :
telegra.ph/Autopsie-enth%C3%BCllt-dass-die-Medien-den-Mord-an-Anne-Heche-vertuscht-haben-nachdem-sie-geschworen-hatte-einen-P%C3%A4dophilenring-aufzu-12-09
Décès de l'acteur hollywoodien Isaac Kappy :
telegra.ph/Autopsie-enth%C3%BCllt-dass-die-Medien-den-Mord-an-Anne-Heche-vertuscht-haben-nachdem-sie-geschworen-hatte-einen-P%C3%A4dophilenring-aufzu-12-09
Avicii a participé à un documentaire de dévoilement peu avant sa mort :
t.me/fluegelfuerunserekinder/39
https://www.kla.tv/fr
Les superbactéries tuent plus de 30 000 Européens chaque année
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 - 11H45
Selon la dernière étude sur la mortalité liée à la résistance aux antibiotiques réalisée par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, les bactéries résistantes aux antibiotiques ont causé la mort d'environ 31 000 à 39 000 personnes chaque année dans 29 pays européens entre 2016 et 2020.
Des chercheurs européens mettent en garde contre le danger d’une dépendance excessive aux antibiotiques en médecine humaine et vétérinaire, qui entraîne une augmentation de la résistance bactérienne aux antibiotiques.
Anna Fleck de Statista montre dans le tableau suivant une estimation du nombre de décès attribuables aux « superbactéries » par rapport à la population.
- voir graph sur site -
Infographie : Les superbactéries tuent plus de 30 000 Européens chaque année | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Il montre que la Grèce, l’Italie, la Roumanie et Chypre comptent parmi les pays européens les plus gravement touchés par ce problème, avec des taux de mortalité annuels compris entre 10 et 20 décès pour 100 000 habitants (2016 à 2020).
Les taux de mortalité les plus bas du continent ont été enregistrés aux Pays-Bas et en Norvège (2 pour 100 000 habitants).
https://www.zerohedge.com/medical/superbugs-kill-more-30000-europeans-every-year
Un nouveau rapport fait craindre que le système de notification des événements indésirables des vaccins du CDC soit défectueux
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 - 02:20
Rédigé par Megan Redshaw via The Epoch Times
Le principal système d'alerte précoce du pays utilisé pour détecter d'éventuels problèmes de sécurité liés aux vaccins est « débordé », ce qui fait craindre que le système ne soit défectueux et qu'il ne soit pas géré de manière adéquate par les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), selon une nouvelle enquête.
Le rapport publié le 10 novembre par le BMJ révèle que le système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a reçu un nombre sans précédent de rapports attribués aux vaccins contre le COVID-19, et qu'il n'y a pas suffisamment de personnel pour répondre aux exigences d'examen et de suivi. avec des rapports graves, y compris des décès. En outre, l'enquête a révélé que le VAERS n'est ni transparent, convivial ni réactif, et suggère que le gouvernement gère essentiellement deux systèmes VAERS, dont un seul est accessible au public.
Co-géré par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et le CDC, le VAERS collecte des rapports sur les symptômes, les diagnostics, les hospitalisations et les décès après la vaccination afin de capturer les signaux de sécurité post-commercialisation et de déterminer s'il existe des modèles de déclaration inhabituels ou inattendus pour événements indésirables.
Selon le CDC, les prestataires de soins de santé sont « fortement encouragés » à signaler tout événement indésirable suivant la vaccination au VAERS, même s’ils ne savent pas si le vaccin a provoqué l’événement indésirable. En revanche, les fabricants de vaccins sont tenus par la loi de signaler tous les événements indésirables qui « sont portés à leur attention ».
Bien que le VAERS accepte les rapports de n'importe qui, le dépôt sciemment d'un faux rapport VAERS viole la loi fédérale et est passible d'une amende et d'une peine d'emprisonnement. Cela permet au VAERS de servir de « système d'alerte précoce pour détecter les événements indésirables rares » et dissuade les fausses déclarations. Malgré tout, il a été démontré que le VAERS ne reflète que 1 % des effets indésirables réels des vaccins, selon une étude de Harvard Pilgrim Health Care.
Le CDC n’enquête pas sur les événements indésirables graves liés aux vaccins contre le COVID-19
Selon le CDC, en 2019, avant la pandémie, le VAERS a reçu plus de 48 000 rapports d'effets indésirables liés aux vaccins, dont 85 à 90 % étaient légers. Après le déploiement du vaccin contre le COVID-19, le BMJ a constaté qu’un nombre « sans précédent » de 1,7 million d’événements indésirables ont été signalés au VAERS, dont 1 million en 2021 et 660 000 supplémentaires par la suite. Près d’un cas sur cinq répondait aux critères d’un événement indésirable « grave », et la plupart des rapports ont été attribués aux vaccins contre la COVID-19.
Selon les procédures opérationnelles standard du VAERS pour le COVID-19, les événements indésirables graves comprennent les rapports de décès, d'hospitalisation, de maladie potentiellement mortelle, d'invalidité permanente et/ou d'hospitalisation prolongée et d'anomalies congénitales. Les dossiers médicaux sont systématiquement demandés pour tous les rapports graves, y compris les décès, et les événements indésirables présentant un intérêt particulier peuvent faire l'objet d'un examen clinique plus approfondi par le CDC.
RépondreSupprimerS'il y a une augmentation significative des rapports VAERS justifiant un examen clinique, les procédures opérationnelles standard nécessitent du personnel supplémentaire du Bureau de sécurité de la vaccination du CDC pour traiter les cas. Pour les événements classés comme « graves », les personnes qui signalent au VAERS sont censées recevoir une correspondance par courrier électronique les invitant à fournir des mises à jour, mais l'enquête du BMJ montre que ces normes ne sont pas respectées.
Le BMJ a interrogé plus d'une douzaine de personnes, dont des médecins et un médecin légiste d'État qui ont déposé des rapports VAERS pour des événements indésirables graves en leur nom ou en celui de leurs patients et qui n'ont jamais été contactés par le CDC ou ont été contactés des mois plus tard. Beaucoup n’ont jamais reçu de courriels de confirmation lorsque leurs rapports ont été déposés. De même, si une maladie était traitée avec succès ou s’avérait sans rapport avec un vaccin, cela n’était pas reflété dans la base de données.
Le Dr Patrick Whelan, rhumatologue et chercheur à l'Université de Californie à Los Angeles, a déposé un rapport en 2022 au nom de son patient de 7 ans après avoir subi un arrêt cardiaque et avoir été intubé après une vaccination contre le COVID-19. À la connaissance de Whelan, « personne n’a appelé ni demandé de dossier médical ». La FDA a déclaré qu’elle avait donné suite « peu de temps après » la réception du rapport et avait fait plusieurs demandes de dossiers médicaux. Il a également ajouté que le personnel "pourrait ne pas contacter les prestataires médicaux à moins qu'ils n'aient des questions spécifiques sur un cas ou un rapport du VAERS".
Le Dr James Gill, médecin légiste en chef de l’État du Connecticut et médecin légiste, a déposé un rapport VAERS après qu’un garçon de 15 ans est décédé subitement en 2021 d’une cardiomyopathie de stress après sa deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer. Bien qu'il ait rempli un rapport en ligne et reçu un numéro de rapport électronique temporaire, le CDC n'a jamais donné suite. Ce n’est que lorsque le Dr Gill a publié le rapport de cas du garçon en février 2022 dans les Archives of Pathology & Laboratory Medicine que le CDC a répondu – avec une lettre à l’éditeur contestant les conclusions de Gill.
React19, une organisation scientifique à but non lucratif composée de 30 000 personnes blessées par les vaccins COVID-19, a examiné 126 rapports VAERS et a découvert que 22 % d'entre eux n'avaient jamais reçu d'identifiant VAERS permanent, et qu'un rapport sur trois déposés avait complètement disparu du système, selon Le BMJ.
RépondreSupprimerUn médecin de soins intensifs et urgentiste a déposé plusieurs rapports au nom de patients, dont six décès. Selon le BMJ, elle n'a reçu qu'une demande de dossier médical concernant un décès et seulement deux patients admis à l'hôpital.
En ce qui concerne les rapports de décès suite à la vaccination contre le COVID-19, d’autres pays ont reconnu que les décès étaient « probables » ou « probablement » liés à la vaccination par ARNm, mais le CDC a examiné plus de 20 000 rapports préliminaires de décès, ce qui est nettement plus que d’autres. pays, n’a encore attribué aucun décès aux vaccins à ARNm, a déclaré le BMJ.
"Une enquête du BMJ a soulevé des inquiétudes quant au fait que le système VAERS ne fonctionne pas comme prévu et que des signaux manquent. En tant que personne qui étudie et scrute les données du VAERS depuis trois ans, je peux confirmer cette observation", a déclaré la chercheuse Jessica Rose. Epoch Times dans un e-mail. Mme Rose, une experte du VAERS avec un doctorat en biologie computationnelle, affirme que ces histoires et expériences reflètent les lacunes du système VAERS.
Il existe 2 bases de données VAERS – une seule est publique
Contrairement à la manière dont le gouvernement américain traite les rapports d'effets indésirables liés aux médicaments et aux dispositifs, l'auteur du rapport du BMJ, Jennifer Block, a découvert que la FDA et le CDC gèrent essentiellement deux bases de données VAERS distinctes : l'une à laquelle le public a accès contient les rapports initiaux et l'autre. un système privé sur le backend avec des mises à jour, des résultats et des corrections.
Le Dr Narayan Nair est le directeur de division de la FDA qui supervise le VAERS. Selon le BMJ, lors d'une réunion en décembre 2022, le Dr Nair a déclaré que le VAERS comporte deux parties : « le système frontal et le système back-end ». Lors d'une réunion avec des défenseurs, le Dr Nair a admis que les rapports initiaux ne sont jamais mis à jour, de sorte que le public ne voit jamais un rapport mis à jour dès le début.
Pourtant, le système de déclaration des événements indésirables liés aux médicaments de la FDA maintient une base de données accessible au public qui est mise à jour, tout comme le système de déclaration des dispositifs médicaux. Seul le système VAERS n’affiche pas publiquement les mises à jour. Si quelqu'un souhaite une copie complète de son dossier ou de son rapport, il doit soumettre une demande formelle en vertu de la Freedom of Information Act, a déclaré un porte-parole de la FDA au BMJ.
RépondreSupprimerBien que les responsables de la réglementation aient déclaré au BMJ que cela visait à protéger la confidentialité des patients, cela signifie que les patients, les médecins et les autres utilisateurs publics de la base de données n'ont pas accès aux dossiers mis à jour ou complets.
Dans un e-mail adressé à Epoch Times, Albert Benavides, expert et analyste de données du VAERS, a déclaré qu'il savait qu'il existait deux bases de données VAERS, mais ce qui est encore plus préoccupant est que le CDC ne publie pas tous les rapports légitimes qu'il reçoit.
"Ce qui surpasse même deux bases de données VAERS (interne et externe), c'est le fait que le VAERS ne publie pas tous les rapports légitimes reçus", a déclaré M. Benavides. "Le BMJ et le public commencent tout juste à prendre conscience que seuls les rapports initiaux sont publiés, même si le VAERS continue de collecter des données de suivi, d'où les deux bases de données. [Le fait que] seuls les rapports initiaux soient rendus publics soulève la question de savoir comment "Beaucoup de gens sont morts depuis au VAERS ?" il ajouta.
M. Benevides a noté que le CDC avait cessé d'inclure des données de suivi en 2011 après la publication de l'étude Harvard Pilgrim Health Care.
Les régulateurs manquent de signaux de sécurité dans le VAERS
Étant donné que les essais cliniques impliquent l’étude de produits sur un petit nombre d’individus sélectionnés pendant une courte période, certains effets secondaires ne peuvent survenir que lorsqu’une population plus large et diversifiée a utilisé les produits sur une durée plus longue. La pharmacovigilance est la pratique consistant à surveiller les effets des médicaments et des vaccins après leur autorisation pour identifier, prévenir et évaluer les effets indésirables non signalés auparavant.
"Une bonne pharmacovigilance nécessite une collecte rapide des données, un examen par des personnes possédant une expertise clinique et un suivi adéquat", a déclaré au BMJ Marie Lindquist, ancienne directrice du centre de surveillance d'Uppsala en Suède. « Nous savons que même les meilleurs essais cliniques ne détecteront pas les [événements indésirables rares]. »
Par exemple, le risque d’un trouble rare de la coagulation sanguine associé au vaccin Johnson & Johnson contre la COVID-19, fabriqué par Janssen, ne s’est manifesté qu’après son autorisation. Avec seulement six cas signalés, les régulateurs ont suspendu son utilisation en 2021 pour enquêter sur les rapports et ont finalement lié le rare trouble de la coagulation sanguine à l’injection.
Ralph Edwards, ancien rédacteur en chef de l'International Journal of Risk & Safety in Medicine et auteur ou co-auteur de plus de 400 articles scientifiques, a déclaré au BMJ que le VAERS est idéal pour détecter les événements indésirables qui surviennent « très peu de temps après la vaccination ». » et ceux associés à d’autres vaccins. Cependant, il n’est pas efficace pour détecter des effets nouveaux ou latents, car les régulateurs peuvent trop s’appuyer sur des preuves épidémiologiques pour reconnaître un signal VAERS.
RépondreSupprimerEn d’autres termes, si un événement indésirable n’a pas été reconnu auparavant, il est ignoré par les régulateurs. Si les régulateurs ne reconnaissent pas un signal, celui-ci n’est pas reconnu par les médecins. Les médecins doivent également être formés à rechercher une maladie afin de savoir comment la dépister et la traiter. Si les médecins ne reconnaissent pas qu’un problème médical pourrait être potentiellement lié à un vaccin, ils ne le signaleront pas. Un système de surveillance passive comme le VAERS n’affichera donc pas le signal.
« Il est facile de comprendre pourquoi le VAERS est sous-déclaré et pourquoi il doit être utilisé comme outil de pharmacovigilance », a déclaré Mme Rose dans un courrier électronique à Epoch Times. « Comment les médecins peuvent-ils déposer un rapport VAERS s’ils ne savent même pas quoi rechercher en cas d’événement indésirable ? De plus, si une doctrine sûre et efficace continue d’être promue, les médecins et les infirmières praticiennes ne se sentiront pas obligés de signaler les événements indésirables suspectés », a-t-elle ajouté.
Selon Rose, le VAERS est un outil de pharmacovigilance fonctionnel. "Le problème est que les propriétaires des données ne les utilisent pas en tant que telles, et c'est pourquoi les signaux de sécurité ne sont pas tant 'manqués', mais plutôt cachés", a-t-elle déclaré.
L’enquête du BMJ suggère que le VAERS manque de personnel et qu’il n’y a donc pas assez de personnel pour garantir le respect des normes du CDC. Les documents obtenus grâce au Freedom of Information Act et examinés par le BMJ montrent que Pfizer comptait environ 1 000 employés à temps plein de plus consacrés à la surveillance des vaccins que le CDC. L’entreprise a embauché 600 personnes supplémentaires pour traiter les rapports d’événements indésirables attribués à son vaccin contre la COVID-19, avec l’intention d’employer un total de 1 800 personnes. Le CDC ne compte que 70 à 80 employés équivalents temps plein, malgré la « responsabilité de l’agence de traiter les rapports d’événements indésirables sur tous les produits ».
Epoch Times a contacté le CDC pour commentaires mais n'a pas reçu de réponse.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/new-report-raises-concerns-cdc-vaccine-adverse-event-reporting-system-broken
La contamination par l'ADN plasmidique dans les vaccins contre le COVID-19 constitue une « violation flagrante du consentement éclairé » par la FDA : Dr Malone
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 17 NOVEMBRE 2023 - 05h00
Rédigé par Naveen Athrappully via The Epoch Times
Le Dr Robert Malone, l’inventeur des vaccins à ARNm et à ADN, a critiqué les agences de réglementation de la santé pour ne pas avoir informé les gens de la contamination potentielle de l’ADN plasmidique dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19.
Une étude préliminaire du 19 octobre a révélé des milliards de fragments d’ADN résiduels dans les flacons du vaccin à ARNm COVID-19. Alors que des milliards de copies d’ADN d’ori et d’amplificateur SV40 ont été découvertes dans les flacons du vaccin Pfizer, les flacons de Moderna contenaient des copies d’ADN d’ori et de spicule. Le virus SV40 est un virus à ADN connu pour provoquer le cancer chez les animaux de laboratoire.
Parlant de l’étude dans un article de Substack du 11 novembre, le Dr Malone a déclaré que la contamination de l’ADN plasmidique dans les vaccins est un « fait prouvé » qui a été « reconnu par la FDA américaine, Santé Canada et l’Agence européenne des médicaments ».
« Dans le cadre d’une autre violation flagrante des exigences en matière de consentement éclairé et d’étiquetage, cela n’a pas été divulgué auparavant aux médecins, aux responsables de la santé publique ou aux patients », a-t-il écrit.
Par exemple, les directives d'étiquetage de la FDA exigent que les étiquettes des vaccins contiennent une description des « effets indésirables graves, des risques potentiels pour la sécurité, des mesures à prendre en cas d'apparition d'un effet indésirable grave et d'un risque potentiel pour la sécurité, ainsi que des limitations d'utilisation qu'elles imposent. .»
Les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna contre la COVID-19 « sont contaminés par des fragments d’ADN plasmidique qui n’ont pas été éliminés au cours des processus de fabrication actuels », a écrit le médecin. Un plasmide est un brin d’ADN circulaire commun à des bactéries et à des parasites spécifiques.
Le Dr Malone a déclaré que les directives antérieures de la FDA sur la technologie des vaccins à ADN indiquaient la présence de « séquences régulatrices hautement actives comme étant particulièrement préoccupantes en raison d’une mutagenèse insertionnelle potentielle (intégration) ».
Le document « Guidance on Prophylactic DNA Vaccines: Analysis and Recommendations » de 2009 de la FDA indique que des préoccupations concernant l'intégration potentielle de l'ADN plasmidique dans le génome du receveur du vaccin et l'augmentation de la probabilité de problèmes tels que « la transformation maligne, l'instabilité génomique ou la dérégulation de la croissance cellulaire » ont été soulevées. lorsque les vaccins à ADN ont été initialement introduits pour un usage clinique.
RépondreSupprimerIl a déclaré qu’une « infime fraction » des plasmides devrait « s’intégrer dans le génome de l’hôte, quelle que soit la méthode d’administration ».
Le Dr Malone a noté que la FDA a émis un « refus catégorique de falsification et de risque » des vaccins à ADN.
Une porte-parole de la FDA a déclaré à Epoch Times qu’« aucun problème de sécurité lié à la séquence ou à la quantité d’ADN résiduel n’a été identifié » dans les injections du COVID-19.
« En ce qui concerne les vaccins à ARNm approuvés par la FDA, les preuves scientifiques disponibles soutiennent la conclusion selon laquelle ils sont sûrs et efficaces. »
Ce refus est contraire à la fois à la loi fédérale sur les médicaments et dispositifs frelatés et aux directives de la FDA sur la falsification des médicaments, a déclaré le Dr Malone.
Le Code américain sur les médicaments et dispositifs frelatés indique clairement qu'un médicament sera considéré comme frelaté si sa fabrication, sa transformation, son emballage ou sa conservation ne répondent pas aux exigences de « caractéristiques de qualité et de pureté ».
Pendant ce temps, la loi de la FDA sur la falsification des médicaments en vertu de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques stipule qu'un médicament serait considéré comme frelaté « s'il ne se conforme pas aux normes officinales de qualité, de concentration ou de pureté ».
Les « normes officinales » font référence aux normes pharmaceutiques décrites dans le U.S. Pharmacopeia-National Formulary (USP-NF), qui constitue les normes de qualité officielles applicables à tous les médicaments vendus aux États-Unis.
Les régulateurs et Moderna admettent les risques
Comme l'a affirmé le Dr Malone, plusieurs agences de santé ont admis la contamination de l'ADN dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Dans un courriel adressé à Epoch Times le mois dernier, Santé Canada a confirmé la présence de la séquence d'ADN SV40 dans le vaccin Pfizer, que le la société n’a pas divulgué auparavant.
Dans un autre courriel adressé à Epoch Times, l’Agence européenne des médicaments a également confirmé que le vaccin Pfizer contient la séquence SV40, que le partenaire de la société, BioNTech, n’a pas mise en évidence dans sa demande.
Il n’est pas clair si la présence de la séquence SV40 dans l’ADN plasmidique des vaccins à ARNm a été identifiée par Pfizer lorsque la société a demandé l’approbation de la FDA.
RépondreSupprimerLe Dr Malone a souligné que Moderna « reconnaît clairement » les risques de génotoxicité associés à l’ADN délivré via ses vaccins.
Dans un brevet déposé le 8 août 2019 par Moderna concernant les vaccins à ARN, la société déclare que l’injection directe d’ADN plasmidique nu dans un hôte vivant entraîne « des problèmes potentiels, y compris la possibilité d’une mutagenèse par insertion, qui pourrait conduire à l’activation ». des oncogènes ou l’inhibition des gènes suppresseurs de tumeurs.
Le médecin a noté que Moderna considère « même l’ADN plasmidique « nu » » comme un risque potentiel. L'ADN plasmidique nu ne contient aucun agent de formulation de nanoparticules lipidiques hautement actives.
Moderna n’a pas révélé dans le brevet qu’elle n’avait pas été en mesure de fabriquer de tels vaccins à ARNm modifiés « sans contaminer l’ADN », a-t-il déclaré.
« En conclusion, il est également clair à ce stade, sauf preuve du contraire, qu’aucune de ces autorités de régulation n’a obtenu de données d’une ou plusieurs études rigoureuses et bien contrôlées conçues pour aborder les risques de génotoxicité et de mutagenèse insertionnelle » présentées par l’ARNm COVID. -19 vaccins de Pfizer et Moderna.
Jusqu’à ce que de telles données soient fournies, l’affirmation de la FDA selon laquelle il n’y a « aucun problème de sécurité » lié à l’ADN résiduel ne « reflète pas avec précision les connaissances actuelles », a déclaré le Dr Malone.
"La seule conclusion objective à tirer concernant de telles déclarations est qu'elles représentent fonctionnellement de la propagande plutôt que des faits scientifiques et réglementaires prouvés."
La « cécité volontaire » de la FDA
Dans son article sur Substack, le Dr Malone a qualifié de « cécité volontaire » l’affirmation de la FDA selon laquelle « aucun problème de sécurité » concernant l’inclusion d’ADN résiduel dans les vaccins à ARNm. Il a ensuite souligné les risques posés par l’ADN résiduel dans les vaccins.
« Les risques les mieux documentés associés à une telle mutagenèse insertionnelle potentielle sont le cancer (dans le cas des cellules souches et somatiques, en particulier les cellules de la lignée hématopoïétique) et les malformations congénitales », a-t-il écrit.
RépondreSupprimer"Comme on sait que ces nanoparticules lipidiques d'ARNm modifié (plus fragment d'ADN) hautement actives traversent le placenta et se localisent dans le tissu ovarien, le potentiel d'anomalies congénitales semble présenter un intérêt et une préoccupation réglementaires particuliers."
Malgré les rapports faisant état de « cancers agressifs » chez les personnes ayant reçu des vaccins à ARNm, la FDA reste « volontairement ignorante et dans le déni de ces risques ». De plus, l’agence ne définit pas le terme « sûr », même si elle insiste sur le fait que les vaccins sont « sûrs et efficaces », a écrit le Dr Malone.
Il a souligné que les affirmations de la FDA et du CDC selon lesquelles des versions antérieures de vaccins à ARNm contre la COVID-19 réduisaient les risques de maladie grave sont désormais « hors de propos », car ces produits ne sont plus disponibles et les souches ont désormais disparu.
« En outre, de nombreux chercheurs ont démontré que, même dans ces cas historiques, après un certain temps, les personnes ayant reçu ces produits deviennent PLUS susceptibles de développer une maladie grave, voire la mort, par rapport aux patients non vaccinés (dont la plupart ont contracté une infection naturelle avec de puissantes conséquences). et une immunité diversifiée », a déclaré le Dr Malone.
Une étude de septembre 2022 a révélé que les incidences d’infection au COVID-19 étaient « significativement plus élevées chez les personnes vaccinées (6,7 %) que chez les personnes précédemment infectées (2,9 %) » six mois après la date d’indexation.
Pour les vaccinés, la date d’index a été définie 30 jours après leur première injection de COVID-19. Pour les personnes infectées, la date d’indexation a été prise 30 jours après l’infection initiale.
Du côté positif, « la mortalité toutes causes confondues chez les personnes vaccinées était cependant inférieure de 37 % à celle des personnes précédemment infectées. Les taux de visites aux urgences et d’hospitalisations toutes causes confondues étaient de 24 pour cent et 37 pour cent inférieurs chez les personnes vaccinées par rapport aux personnes précédemment infectées.
RépondreSupprimerPrésence de séquences SV40
Le Dr Malone a déclaré que « la présence de séquences (et de fragments) d’ADN promoteur/amplificateur hautement actifs dérivés du virus SV40, présents dans le produit Pfizer/BioNTech, n’a pas été divulguée et discutée ni avec le public ni avec les agences de réglementation ».
Afin de produire des vaccins à ARNm, le gène activateur SV40 du virus SV40 est utilisé. L’utilisation de bactéries dans la production de gènes et de protéines pour la fabrication de produits pharmaceutiques est une pratique courante.
Dans le cas des vaccins à ARNm contre la COVID-19, le gène amplificateur SV40 et d’autres séquences génétiques ont été introduits dans l’ADN plasmidique. Une fois l’ARNm et l’ADN récoltés sur la bactérie, l’ADN est censé être éliminé.
Le Dr Malone a écrit dans son article sur Substack que « des fragments d’ADN aussi courts sont associés à un risque élevé d’intégration, également connu sous le nom de mutagenèse insertionnelle, qui est une forme bien caractérisée de génotoxicité ». Le terme génotoxicité fait référence à la capacité des substances nocives à endommager l'information génétique présente dans les cellules.
Si ces vaccins à ARNm contre le COVID-18 avaient été examinés par la FDA en tant que produits de thérapie génique, ils auraient nécessité des « études de génotoxicité rigoureuses » avant d’être autorisés à être utilisés chez les êtres humains, a-t-il déclaré. Il en serait de même si les vaccins à ARNm étaient considérés comme des « vaccins à ADN ».
"Mais apparemment, il y a quelque chose de magique dans l'inclusion d'ARNm modifiés avec des fragments d'ADN dans ces formulations hautement actives d'administration d'acide nucléique de nanoparticules lipidiques, ce qui amène la FDA à conclure qu'il n'y a aucun risque de génotoxicité."
https://www.zerohedge.com/political/plasmid-dna-contamination-covid-19-vaccines-clear-breach-informed-consent-fda-dr-malone
Combien y a-t-il d’autres entrepôts secrets de virus dans tous nos pays ?
RépondreSupprimerPar Jo Nova
November 18th, 2023
Grâce à un étrange tuyau d'arrosage dépassant du mur d'un entrepôt, le laboratoire illégal et clandestin Reedly Biolab a été découvert. Des citoyens chinois se promenaient à l’intérieur avec des blouses de laboratoire. Et le « laboratoire » contenait des échantillons marqués de noms comme SARS-CoV-2, Chlamydia, VIH, E. coli, Streptococcus pneumoniae, Hépatite B et C, virus de la Dengue, virus de la rubéole et paludisme.
Les responsables de la ville de Reedly en Californie sont donc tombés sur cet entrepôt presque par hasard et voulaient des réponses, mais le FBI n'a pas voulu enquêter et le CDC a refusé de tester les agents pathogènes. La plupart des échantillons ont été détruits et quelque 104 tonnes de matériaux ont été « éradiqués ».
Ensuite, les autorités municipales ont trouvé un congélateur que le CDC avait manqué. Il a été qualifié d’Ebola – l’agent infectieux le plus amusant avec des taux de mortalité compris entre 25 et 90 %. (Heureusement, ce n’est pas aussi transmissible que Covid).
L'homme qui dirigeait le laboratoire était Jiabei « Jesse » Zhu, un citoyen chinois qui a créé des dizaines d'entreprises au Canada dans le but de voler la propriété intellectuelle. Après avoir été arrêté et condamné à une amende de 330 millions de dollars, il s'est enfui aux États-Unis, a créé le laboratoire Reedly et a acquis les agents pathogènes. Il a également importé des tests médicaux fabriqués en Chine et les a rebaptisés frauduleusement comme « Made in the USA ». Pendant cette période, il a reçu quelque 2 millions de dollars en paiements mystérieux de la République populaire de Chine.
Nous nous demandons pourquoi quelqu’un conserverait des agents pathogènes dangereux dans le congélateur de son atelier pendant des années, et à grands frais ? Il est difficile d’imaginer une excuse bienveillante pour conserver dans un réfrigérateur des sacs contenant des articles marqués VIH et Ebola. Zhu ne semble pas penser aux avantages pour sa clientèle américaine. Sur WeChat, il a apparemment affirmé que « son activité frauduleuse aiderait à « vaincre l’agresseur américain et le loup sauvage et ambitieux ! » — Le NY Post a un article complet.
Regardez le documentaire :
- voir sur site -
En bref:
Le #CCP dirigeait un laboratoire secret d’armes biologiques à Reedley, en Californie.
Il contenait des dizaines d’agents pathogènes, dont Ebola (taux de mortalité de 80 à 90 %).
En cas de conflit entre les États-Unis et la Chine, ceux-ci auraient été libérés.
L’administration Biden a dissimulé l’affaire et détruit les preuves.
Pourquoi ? https://t.co/nfHjblBD2L
– StevenWMosher (@StevenWMosher) 16 novembre 2023
Où a-t-il contracté le virus Ebola en premier lieu, et pourquoi le CDC n’a-t-il pas mis en place de mesures pour arrêter cela ?
RépondreSupprimerLe Comité spécial du Congrès américain sur le PCC a publié un rapport sur ce laboratoire :
Le Comité a constaté :
Le biolab illégal était dirigé par un citoyen de la RPC qui est un fugitif recherché du Canada et qui fait l'objet d'un jugement de 330 millions de dollars canadiens pour vol de propriété intellectuelle américaine.
Ce citoyen de la RPC était un haut fonctionnaire d’une entreprise contrôlée par l’État de la RPC et entretenait des liens avec des entités de fusion militaro-civile.
Le biolab illégal a reçu des millions de dollars en paiements inexpliqués de la part des banques de la RPC alors qu'il gérait le biolab illégal.
Le biolab illégal contenait des milliers d’échantillons d’agents pathogènes potentiels étiquetés, non étiquetés et codés, notamment le VIH, le paludisme, la tuberculose et le Covid.
Le biolab illégal contenait également un congélateur étiqueté « Ebola », qui contenait des sacs en argent scellés et non étiquetés, ce qui correspond à la manière dont le laboratoire stockait les matériels biologiques à haut risque. Ebola est un agent sélectionné avec un taux de mortalité compris entre 25 et 90 %.
Le biolab contenait près d’un millier de souris transgéniques, génétiquement modifiées pour imiter le système immunitaire humain. Les travailleurs du laboratoire ont déclaré que les souris avaient été conçues « pour attraper et transporter le virus COVID-19 ».
Après que les autorités locales qui ont découvert le laboratoire ont demandé l'aide du CDC et d'autres, le CDC a refusé de tester les échantillons.
Même si la plupart de ces virus ne constituent pas en l’état des armes biologiques idéales, grâce à la modification génétique, qui sait ? Dans tous les cas, la libération simultanée d’épidémies invalidantes mineures continuerait de faire des ravages dans n’importe quelle nation. La guerre biologique peut prendre de nombreuses options, et comme nous l’avons vu avec Covid, les virus les moins mortels sont parfois plus efficaces.
Je note que des mois avant que les faits ne soient connus, un reportage de l’AP sur ce laboratoire disait qu’il « alimentait simplement les théories du complot », « les responsables disaient qu’il ne représentait aucun danger ».
https://joannenova.com.au/2023/11/how-many-more-secret-labs-are-there-in-all-our-countries/
Pourquoi tant de pays ont suivi l’exemple du confinement chinois
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 18 NOVEMBRE 2023 - 14H10
Rédigé par Ron Brown via le Brownstone Institute,
Un nouveau coronavirus 10 fois plus mortel que la grippe s’est emparé du monde en 2019. Sans boussole pour naviguer dans la pandémie de Covid-19, toutes les leçons tirées des pandémies virales précédentes ont été jetées par la fenêtre. L’Organisation mondiale de la santé a été catégorique : « Ce n’est pas la grippe ». Tony Fauci a terrifié la Chambre des représentants américaine en annonçant un désastre. Les populations mondiales étaient sans défense sans vaccin contre le nouveau coronavirus que personne n’avait jamais vu auparavant. La seule défense viable à l’époque était de fermer le monde.
La Chine a pris la tête des mesures de confinement. Les médias exportés de Chine montraient des gens tombant morts dans les rues. Les cercueils s'entassaient. Les portes des immeubles ont été scellées pour enfermer les locataires. Tout au long de la panique, toutes les évaluations alternatives raisonnables des risques liés à l’épidémie virale ont été ignorées, censurées ou rejetées.
Néanmoins, je me demandais si une vidéo d’une personne tombant dans la rue était vraiment représentative de l’ensemble de la population. Les cercueils s’entassent-ils en grande partie parce que les familles craignent de les récupérer en raison d’une contamination au virus ? J'ai remarqué que les portes d'entrée de mon centre commercial local en Ontario, au Canada, avaient également été scellées, tout comme dans les immeubles d'habitation en Chine, mais c'était uniquement pour contrôler l'accès par une seule entrée du bâtiment, et non pour sceller les clients.
Mon premier indice selon lequel la réponse d’urgence à l’épidémie de coronavirus ne semblait pas avoir de sens a été lorsque j’ai entendu Fauci dire aux téléspectateurs que si notre réponse semble réagir de manière excessive, alors nous faisons probablement la bonne chose. Quoi ? Depuis quand réagir de manière excessive est-il la bonne chose à faire ? Les généraux gagnent-ils les guerres en réagissant de manière excessive ?
J’ai regardé les chiffres que Fauci avait présentés à la Chambre des représentants des États-Unis concernant les cas mortels et les décès dus à l’infection par le coronavirus. Ils étaient à l'envers ! Sa prédiction 10 fois plus meurtrière était tout simplement un chiffre inventé ! C’était en mars 2020. En mai 2020, il était évident que les gens ne mouraient PAS au rythme exagéré que Fauci avait prédit.
J’ai publié un article sur les surestimations de la mortalité par coronavirus de Fauci : Leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité par coronavirus. Mais lorsque j’ai parlé de tout cela à mes amis, ils ont répondu que le nombre de décès inférieur aux prévisions prouvait simplement que les mesures de confinement fonctionnaient. Fauci était tiré d’affaire. Retour en Chine.
Ils ont repris leurs activités fin 2019. L’équipe de virologues qui a rapporté la séquence génétique du virus à Wuhan a noté qu’il serait nécessaire d’enquêter sur les preuves épidémiologiques pour orienter les réponses de contrôle des infections. Qui a le temps pour ça ? Ferme-le!
RépondreSupprimerSi le nouveau coronavirus n’est pas vraiment si nouveau, cela expliquerait pourquoi les confinements n’ont pas fonctionné. Nous savions déjà que les confinements ne fonctionnent pas dans d’autres pandémies virales. Même la Chine a finalement abandonné sa politique zéro Covid après qu’il soit devenu évident que les confinements ne fonctionnaient pas. Mes amis me doivent quelques explications pour justifier leur vision du confinement. Peut-être que Fauci n’est pas tiré d’affaire après tout.
Pour plus d'informations sur les biais dans les définitions de cas et de décès de Covid-19, consultez mon article évalué par des pairs avec les références citées : Biais dans les définitions de cas et de décès de COVID-19 : causes et conséquences potentielles.
https://www.zerohedge.com/political/why-so-many-countries-followed-chinas-lockdown-example
Que de chemin parcourus depuis les déclaration de l'analyste chinoise Li-Meng Yan ! Après, il y a la découverte faite par des scientifiques des flacons injectables ! HOULALA ! Les Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej publiaient:
SupprimerEntre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !
+ des hydres !
+ des spikes !
+ diverses maladies animales et une quarantaine de venins différents de serpents !
Alors, écoutez chinois ou Fauci ou autres dictatures expliquant doctement qu'une poussière (INOFFENSIVE !) peut vous attaquer !!! HAHAHAHA !
Tout est dans la seringue. TOUT !
Qui souffre de diabète de type 1 ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 18 NOVEMBRE 2023 - 05H20
Mercredi étant la Journée mondiale du diabète, il vaut la peine d'examiner quels sont les pays qui comptent le plus grand nombre de personnes atteintes de la maladie.
Selon Anna Fleck de Statista, citant les données du NHS, il existe deux principaux types de diabète : le diabète de type 1 est décrit comme une « maladie permanente dans laquelle le système immunitaire de l'organisme attaque et détruit les cellules qui produisent l'insuline », tandis que le type 2 survient. lorsque « le corps ne produit pas suffisamment d’insuline ou que les cellules du corps ne réagissent pas correctement à l’insuline ». Contrairement au diabète de type 2, vous ne pouvez apporter aucun changement à votre mode de vie pour réduire votre risque de développer un diabète de type 1.
Selon les données de l'International Diabetes Foundation, plus de 1,4 million de personnes vivent actuellement avec le diabète de type 1 aux États-Unis.
Compte tenu de la taille de la population comparativement plus petite, le Royaume-Uni, l’Allemagne et le Canada enregistrent un nombre de cas particulièrement élevé.
Le diabète de type 1 peut survenir à tout âge, mais il survient généralement pendant l'enfance ou l'adolescence. Selon l'International Diabetes Foundation, environ 61 pour cent des personnes vivant actuellement avec le diabète de type 1 aux États-Unis ont entre 20 et 59 ans, 28 pour cent ont plus de 60 ans et environ 12 pour cent ont 20 ans ou moins.
- voir graph sur site :
https://www.zerohedge.com/medical/who-has-type-1-diabetes
C'est le rêve de tout tyran d'avoir une population qui acquiert ses croyances de cette façon. Si l’on peut mentir à une faction politique en toute impunité, et si l’acceptation aveugle des mensonges est nécessaire pour conserver son appartenance au groupe, cela constitue un puissant moyen de contrôle. On pourrait s’attendre à ce qu’un tel groupe croie, par exemple, qu’un homme peut choisir d’être une femme et même d’avoir un bébé. On pourrait leur dire que « la frontière est sécurisée » à une époque où des millions et des millions de personnes affluent. On pourrait leur dire que Trump a déclaré que les suprémacistes blancs sont des gens bien. Etc.
RépondreSupprimerIl n’y a pas de limites aux mensonges lorsque le public cible est essentiellement détaché de la réalité. Dans son livre de 1984, George Orwell a symbolisé cela en montrant que les citoyens modèles acceptaient volontiers le décret gouvernemental selon lequel 2+2=5. De nombreux mensonges de la gauche sont tout aussi absurdes. Ce sont des contradictions directes avec ce que nous savons être vrai.
Alexandre Soljenitsyne et Václav Havel, deux brillants adversaires de la tyrannie, ont déclaré que dire simplement et fermement la vérité était une arme fondamentale que les citoyens devraient utiliser contre les tyrans. Soljenitsyne a déclaré : « La simple démarche d’un individu courageux est de ne pas prendre part au mensonge. Une parole de vérité l’emporte sur le monde.
Le troisième trait humain malheureux qui favorise les tyrans a été expliqué par Aldous Huxley. Huxley et Orwell ont chacun écrit des romans prédisant un avenir dystopique. La prédiction d’Orwell impliquait une part importante de peur et de coercition, mais Huxley prédisait une transition relativement douce et facile vers la tyrannie. Huxley a déclaré que la population serait distraite par des plaisirs insignifiants et remarquerait à peine la prison construite autour d'elle. Il a brillamment prévu comment une société pourrait sombrer dans la tyrannie. Ces citations de Huxley démontrent sa prescience.
Huxley a déclaré : « Il y aura [une] dictature sans larmes, pour ainsi dire, produisant une sorte de camp de concentration indolore pour des sociétés entières, de sorte que les gens se verront en fait retirer leurs libertés, mais en profiteront plutôt, parce que ils seront distraits de tout désir de rébellion par la propagande ou le lavage de cerveau, ou encore le lavage de cerveau renforcé par des méthodes pharmacologiques. Et cela semble être la révolution finale.»
Il a déclaré : « Grâce à des méthodes de manipulation mentale toujours plus efficaces, les démocraties changeront de nature ; les anciennes formes pittoresques… resteront. La substance sous-jacente sera un nouveau type de totalitarisme non-violent. ... [L]'oligarchie au pouvoir et son élite hautement qualifiée composée de soldats, de policiers, de fabricants de pensées et de manipulateurs d'esprit dirigeront tranquillement le spectacle comme bon leur semble.»
RépondreSupprimerHuxley imaginait « une prison sans murs dans laquelle les prisonniers ne songeraient même pas à s'évader. Ce serait essentiellement un système d’esclavage où, par la consommation et le divertissement, les esclaves aimeraient leur servitude. » Il pensait que « [l]a grande partie de la population n’est pas très intelligente, redoute la responsabilité et… est parfaitement heureuse de se laisser gouverner ».
Huxley a prédit à juste titre « une vaste industrie des communications de masse, qui ne se préoccupe essentiellement ni du vrai ni du faux, mais de l’irréel, du plus ou moins totalement hors de propos. [Les médias répondront à] l’appétit presque infini de distraction de l’homme.
Il savait qu’une mauvaise éducation et une crise perpétuelle rendraient possible la tyrannie, écrivant : « On n’enseigne nulle part aux enfants, de manière systématique, à distinguer le vrai du faux, ou les déclarations significatives de celles dénuées de sens. » Et « [l]a liberté, comme nous le savons tous, ne peut pas prospérer dans un pays qui est en permanence sur le pied de guerre, ou même sur le pied de guerre. Une crise permanente justifie un contrôle permanent de tout et de tous par les agences du gouvernement central.
Alors que la plupart des gens n’y prêtent pas attention, la plupart des éléments clés qui protègent la liberté et la prospérité sont désormais attaqués par des personnes qui souhaitent contrôler notre pays et le monde. Les dirigeants mondialistes souhaitent mettre fin à la souveraineté nationale, imposer un « nouvel ordre mondial », contrôler l’information, mettre fin à la liberté d’expression, donner à l’OMS un pouvoir dictatorial mondial sur les grands choix de santé, interdire nos seules sources d’énergie fiables et imposer une monnaie numérique qui permettra une surveillance et un contrôle complets de chaque citoyen grâce à un système de crédit social à la chinoise. Sur le plan intérieur, les États-Unis sont dans la « phase de pillage du trésor » de l’effondrement de leur empire. Notre armée est faible, réveillée et débordée. Les médias dominants fonctionnent comme une branche du parti démocrate. Les niveaux supérieurs du ministère de la Justice fonctionnent également comme une branche du parti démocrate. Le racisme anti-blancs est largement enseigné et soutenu par le gouvernement.
Ce ne sont pas des théories du complot. Les preuves sont pour la plupart au grand jour. Les personnes qui envisagent de devenir vos futurs maîtres ne se soucient pas d’exposer leurs projets car la grande majorité des gens sont distraits par leurs divertissements triviaux. Ils sont occupés à regarder des matchs de ballon, des films et des écrans de smartphones. Les faiblesses mentales évoquées ci-dessus ont créé une culture prête à être prise, inconsciente et indifférente aux choses qui comptent vraiment.
RépondreSupprimerLes gens peuvent ignorer des choses importantes... mais ils ne peuvent pas échapper aux conséquences de l'ignorance de choses importantes.
Le prix de la liberté est une vigilance éternelle. Ce prix n'a pas été payé. Pas du tout. Nous voilà donc au bord du gouffre.
https://www.zerohedge.com/political/why-we-are-sleepwalking-tyranny
Comme il y a des PUTAINS DE FAUX docteurs qui tous les jours dans les merdias vantent les FAUX vaccins il y a de FAUX DOCTEURS chez les politiques et se disent dans l'opposition et avec une partie du Peuple alors qu'en réalité ils sont dans l'opposition au Peuple !
SupprimerSelon l'ancien commandant de l'OTAN, le général Wesley Clark, la feuille de route militaire du Pentagone consiste en une séquence de théâtres de guerre :
RépondreSupprimer« [Le] plan de campagne quinquennal [inclut]… un total de sept pays, en commençant par l'Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, l'Iran, la Somalie et le Soudan. » (La démocratie maintenant, 2007)
Fichier:US Unified Command Plan Map 2008-12-23.png
La guerre en cours contre la Syrie est un tremplin vers une guerre contre l’Iran, qui pourrait conduire à un processus d’escalade militaire.
La Russie et la Chine, alliées de la Syrie et de l’Iran, sont également ciblées par les États-Unis et l’OTAN. Au lendemain de la guerre froide, les armes nucléaires ne sont plus une arme de dernier recours (dissuasion) ; leur utilisation est désormais envisagée sur le théâtre de guerre conventionnel.
La route vers Téhéran passe par Damas. Une guerre contre l’Iran parrainée par les États-Unis et l’OTAN impliquerait, dans un premier temps, une campagne de déstabilisation (« changement de régime ») comprenant des opérations secrètes de renseignement en soutien aux forces rebelles affiliées à Al-Qaïda et dirigées contre la Syrie.
La géopolitique du pétrole et des oléoducs est cruciale dans la conduite de ces opérations militaires. La région plus large du Moyen-Orient et de l'Asie centrale englobe plus de 60 pour cent des réserves mondiales de pétrole.
Il existe actuellement cinq théâtres de guerre distincts dans la région du Moyen-Orient et de l’Asie centrale : l’Afghanistan-Pakistan, l’Irak, la Palestine, la Libye et la Syrie.
Une attaque militaire totale contre la Syrie conduirait à l’intégration de ces théâtres de guerre séparés, conduisant finalement à une guerre plus large au Moyen-Orient et en Asie centrale, engloutissant une région entière allant de l’Afrique du Nord et de la Méditerranée à l’Afghanistan, au Pakistan et à la frontière occidentale de la Chine.
« Mener une guerre sans frontières » : le projet 2000 pour le nouveau siècle américain (PNAC).
Ce projet a été formulé pour la première fois par les néoconservateurs en septembre 2000.
Les objectifs déclarés du PNAC étaient de « combattre et gagner de manière décisive plusieurs guerres majeures simultanées » dans différentes régions du monde, ainsi que d'accomplir les tâches militaires dites de « gendarmerie » « associées à la formation de l'environnement de sécurité dans les régions critiques ».
Devenus pays vainqueur au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont déterminé les contours politiques et économiques de l’Europe occidentale d’après-guerre. Les troupes américaines sont stationnées dans plusieurs pays européens. Ses adversaires de la Seconde Guerre mondiale (Allemagne, Japon, Italie) ainsi que ses alliés (France, Royaume-Uni, Belgique, Pays-Bas) ont été affaiblis. À l’exception du Royaume-Uni qui fait partie de l’axe anglo-américain, ces pays sont des puissances coloniales sortantes, déplacées par l’hégémonie américaine. Leurs territoires coloniaux d’avant la Seconde Guerre mondiale, notamment l’Indonésie, le Congo, l’Indochine et le Rwanda (entre autres), ont été progressivement intégrés sur une période d’un demi-siècle dans une sphère d’influence dominante américaine.
RépondreSupprimerEn Afrique, le processus de déplacement de la sphère d'influence de la France se poursuit. Les États-Unis prennent actuellement le contrôle des anciennes colonies françaises et belges d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest. Washington exerce également un rôle déterminant au Maghreb.
Le « colonialisme interne » dans l’Union européenne
Une forme complexe de « colonialisme interne » émerge également au sein de l’Union européenne. Les institutions financières américaines et les conglomérats d’affaires, ainsi que leurs partenaires européens, jouent un rôle prédominant dans l’élaboration du programme monétaire, commercial et d’investissement.
La politique est subordonnée aux intérêts financiers dominants. Ce qui se déroule également en termes de négociations commerciales secrètes (dans le cadre du TTIP et du CETA), c’est un processus d’intégration économique et politique entre l’UE et l’Amérique du Nord. Ces accords, ainsi que le Partenariat transpacifique (TPP), constituent les éléments constitutifs d’un processus de domination économique mondiale.
Pendant ce temps, les élections présidentielles et parlementaires dans l’UE, y compris en Allemagne, en Italie et en France (par exemple Sarkozy et Hollande) font de plus en plus l’objet d’ingérence politique secrète (sur le modèle des révolutions de couleur), notamment un changement de régime parrainé par les États-Unis. La question fondamentale est de savoir dans quelle mesure les dirigeants européens sont des mandataires politiques.
Guerres parrainées par les États-Unis et opérations de renseignement militaire
Toute cette période (de 1945 à aujourd’hui) a été marquée par une succession de guerres parrainées par les États-Unis et d’interventions des services de renseignement militaires dans toutes les grandes régions du monde.
Au Japon, les cibles militaires n’étaient pas l’objectif principal : la notion de « dommages collatéraux » a été utilisée pour justifier le massacre de civils, sous le prétexte officiel qu’Hiroshima était « une base militaire » et que les civils n’étaient pas la cible.
RépondreSupprimerSelon les mots du président Harry Truman :
« Nous avons découvert la bombe la plus terrible de l’histoire du monde. … Cette arme doit être utilisée contre le Japon… [Nous] l’utiliserons de manière à ce que les objectifs militaires, les soldats et les marins soient la cible et non les femmes et les enfants. Même si les Japonais sont des sauvages, impitoyables, impitoyables et fanatiques, nous, en tant que leader mondial du bien commun, ne pouvons pas larguer cette terrible bombe sur l’ancienne capitale ou sur la nouvelle. … La cible sera purement militaire…
"Cela semble être la chose la plus terrible jamais découverte, mais elle peut devenir la plus utile." 20 ( Président Harry S. Truman, Journal, 25 juillet 1945 )
«Le monde remarquera que la première bombe atomique a été larguée sur une base militaire d'Hiroshima. C'est parce que nous souhaitions, lors de cette première attaque, éviter, autant que possible, la mort de civils.. » (Le président Harry S. Truman dans un discours radiophonique à la Nation, le 9 août 1945).
[Remarque : la première bombe atomique a été larguée sur Hiroshima le 6 août 1945 ; le deuxième à Nagasaki, le 9 août, le même jour que le discours radiophonique de Truman à la Nation]
Personne aux échelons supérieurs du gouvernement et de l’armée américains ne croyait qu’Hiroshima était une base militaire, Truman se mentait à lui-même et au public américain.
À ce jour, l’utilisation d’armes nucléaires contre le Japon est justifiée comme un coût nécessaire pour mettre un terme à la guerre et, en fin de compte, « sauver des vies ».
Avant Hiroshima, les États-Unis avaient largement utilisé des bombes incendiaires au Japon, provoquant d'importantes pertes civiles. En Allemagne, les forces alliées ont largement bombardé et détruit des villes allemandes dans la dernière partie de la guerre, ciblant les civils plutôt que les installations militaires.
L’arsenal nucléaire américain s’est considérablement développé. Après l’ère froide, ArmsControl.org (avril 2013) confirme que les États-Unis
« possède 5 113 ogives nucléaires, dont des armes tactiques, stratégiques et non déployées ».
Selon la dernière déclaration officielle New START, sur plus de 5 113 armes nucléaires,
« Les États-Unis déploient 1 654 ogives nucléaires stratégiques sur 792 ICBM, SLBM et bombardiers stratégiques déployés…
De plus, selon la Fédération des scientifiques américains (FAS), les États-Unis possèdent 500 ogives nucléaires tactiques, dont beaucoup sont déployées dans des États non nucléaires, notamment l’Allemagne, l’Italie, la Turquie, la Belgique et les Pays-Bas.
RépondreSupprimerL'histoire des crimes de guerre
La notion d’événements générateurs de pertes massives prévaut jusqu’à présent dans les stratégies militaires américaines. Invariablement, comme dans le cas de la Syrie, les victimes civiles de la guerre commises par l’agresseur sont imputées aux victimes.
La période qui s’étend de la guerre de Corée jusqu’à aujourd’hui est marquée par une succession de guerres théâtrales sponsorisées par les États-Unis (Corée, Vietnam, Cambodge, Afghanistan, Irak et Yougoslavie), de diverses formes d’intervention militaire, notamment des conflits de faible intensité, des « guerres civiles » (The Civil War). Congo, Angola, Somalie, Éthiopie, Rwanda, Soudan), coups d'État militaires, escadrons de la mort et massacres parrainés par les États-Unis (Chili, Guatemala, Honduras, Argentine, Indonésie, Thaïlande, Philippines), guerres secrètes menées par les services de renseignement américains, militaires parrainés par les États-Unis et l'OTAN. intervention en Libye (en utilisant les rebelles d’Al-Qaïda comme fantassins parrainés par les renseignements occidentaux).
La guerre contre la Syrie est essentiellement une guerre d’agression secrète dans laquelle l’alliance militaire occidentale et ses partenaires du CCG soutiennent une insurrection terroriste. L’objectif est de déstabiliser la Syrie en tant qu’État-nation.
L’objectif n’a pas été de gagner ces guerres mais essentiellement de déstabiliser ces pays en tant qu’États-nations et d’imposer un gouvernement par procuration qui agit au nom des intérêts occidentaux. Compte tenu de ces diverses opérations, les États-Unis ont attaqué, directement ou indirectement, quelque 44 pays dans différentes régions du monde en développement, depuis août 1945, et plusieurs d’entre eux à plusieurs reprises (Eric Waddell, 2003) :
« L'objectif avoué de ces interventions militaires a été de provoquer un « changement de régime ». Les « droits de l’homme » et la « démocratie » étaient invariablement évoqués pour justifier des actes unilatéraux et illégaux. (Éric Waddell, 2003)
Détruire l’internationalisme : la doctrine Truman
L’objectif plus large d’une domination militaire mondiale au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en soutien à un projet impérial, a été formulé sous l’administration Truman à la fin des années 1940, au début de la guerre froide. Elle a été réaffirmée par le président américain George Herbert Walker Bush dans un discours historique prononcé en 1990 lors d’une session conjointe du Congrès et du Sénat américains, au cours de laquelle il a proclamé un nouvel ordre mondial émergeant de la chute du mur de Berlin et de la désintégration du bloc soviétique.
Les fondements idéologiques de ce programme se trouvent dans ce que l’on appelle la « Doctrine Truman », formulée pour la première fois par le conseiller en politique étrangère George F. Kennan en 1948 dans un mémoire du Département d’État.
RépondreSupprimerGeorges Kennan
Ce que véhicule ce document de 1948, c’est la continuité de la politique étrangère américaine, du « confinement » pendant la guerre froide à la guerre « préventive » et à la « guerre contre le terrorisme ». Il déclare en termes polis que les États-Unis devraient rechercher la domination économique et stratégique par des moyens militaires :
En outre, nous possédons environ 50 % de la richesse mondiale, mais seulement 6,3 % de la population. Cette disparité est particulièrement grande entre nous et les peuples d’Asie. Dans cette situation, nous ne pouvons manquer d’être l’objet d’envie et de ressentiment. Notre véritable tâche dans la période à venir est de concevoir un modèle de relations qui nous permettra de maintenir cette position de disparité sans nuire positivement à notre sécurité nationale. Pour ce faire, il faudra renoncer à toute sentimentalité et à toute rêverie ; et notre attention devra se concentrer partout sur nos objectifs nationaux immédiats. Nous ne devons pas nous tromper en pensant que nous pouvons aujourd’hui nous permettre le luxe de l’altruisme et du bienfait du monde. (…)
Face à cette situation, nous ferions mieux de renoncer maintenant à un certain nombre de concepts qui ont guidé notre réflexion à l'égard de l'Extrême-Orient. Nous devrions renoncer à l’aspiration à « être apprécié » ou à être considéré comme le dépositaire d’un altruisme international noble. Nous devrions cesser de nous mettre dans la position de gardiens de nos frères et nous abstenir de donner des conseils moraux et idéologiques. Nous devrions cesser de parler d'objectifs vagues et – pour l'Extrême-Orient – irréels, tels que les droits de l'homme, l'amélioration du niveau de vie et la démocratisation. Le jour n’est pas loin où nous devrons aborder des concepts de pouvoir purs et simples. Moins nous sommes gênés par des slogans idéalistes, mieux c’est (George f. Kennan, State Department Brief de 1948)
La désintégration planifiée du système des Nations Unies en tant qu'organisme international indépendant et influent est sur la planche à dessin de la politique étrangère américaine depuis la création des Nations Unies en 1946. Sa disparition planifiée faisait partie intégrante de la doctrine Truman telle que définie en 1948. Dès la création de l’ONU, Washington a cherché d’une part à la contrôler à son avantage, tout en cherchant également à l’affaiblir et, à terme, à la détruire.
Selon les mots de George Kennan :
RépondreSupprimer« Parfois, [les Nations Unies] ont joué un rôle utile. Mais dans l’ensemble, cela a créé plus de problèmes qu’il n’en a résolu, et a conduit à une dispersion considérable de nos efforts diplomatiques. Et dans nos efforts pour utiliser la majorité des Nations Unies à des fins politiques majeures, nous jouons avec une arme dangereuse qui pourrait un jour se retourner contre nous. Il s’agit d’une situation qui mérite une étude et une prévoyance très attentives de notre part. (George Kennan, 1948)
Bien qu’officiellement engagé envers la « communauté internationale », Washington n’a largement fait que des paroles en l’air aux Nations Unies. Aujourd’hui, l’ONU est à bien des égards un appendice de l’appareil d’État américain.
Plutôt que de saper l’ONU en tant qu’institution, les États-Unis et leurs alliés exercent un contrôle sur le Secrétariat et les principales agences de l’ONU. Depuis la Première Guerre du Golfe, l’ONU a essentiellement joué un rôle d’approbation automatique. Il a fermé les yeux sur les crimes de guerre américains et a mis en œuvre de soi-disant opérations de maintien de la paix au nom des envahisseurs anglo-américains, en violation de la Charte des Nations Unies. Suite au « limogeage » de facto du secrétaire général Boutros Boutros Ghali, les secrétaires généraux de l’ONU Kofi Annan et Ban Ki Moon sont devenus un outil de la politique étrangère américaine, prenant leurs ordres directement de Washington.
Construire une sphère d’influence américaine en Asie de l’Est et du Sud-Est
La doctrine Truman évoquée ci-dessus était le point culminant d’une stratégie militaire américaine d’après-Seconde Guerre mondiale initiée avec le bombardement nucléaire d’Hiroshima et de Nagasaki en août 1945 et la capitulation du Japon.
En Asie de l'Est, cela a consisté en l'occupation du Japon d'après-guerre ainsi qu'en la prise de contrôle par les États-Unis de l'empire colonial japonais, y compris la Corée du Sud (la Corée a été annexée au Japon en vertu du traité d'annexion Japon-Corée de 1910).
Après la défaite du Japon impérial lors de la Seconde Guerre mondiale, une sphère d'influence américaine dans toute l'Asie de l'Est et du Sud-Est a été établie dans les territoires de l'ancienne « sphère de coprospérité de la Grande Asie de l'Est » du Japon.
L'hégémonie américaine en Asie reposait en grande partie sur l'établissement d'une sphère d'influence dans les pays sous la juridiction coloniale du Japon, de la France et des Pays-Bas.
La sphère d'influence américaine en Asie – qui s'est construite sur une période de plus de 20 ans – comprenait les Philippines (possession américaine occupée par le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale), la Corée du Sud (annexée au Japon en 1910), la Thaïlande. (un protectorat japonais pendant la Seconde Guerre mondiale), l'Indonésie (une colonie néerlandaise occupée par le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale, qui devient de facto un État mandataire des États-Unis après l'établissement de la dictature militaire de Suharto en 1965).
RépondreSupprimerCette sphère d'influence américaine en Asie a également étendu son emprise sur les anciennes possessions coloniales françaises en Indochine, notamment au Vietnam, au Laos et au Cambodge, qui étaient sous occupation militaire japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le « Pivot vers l'Asie » d'Obama, qui menace ouvertement la Chine, est la fin de ce processus historique.
La guerre de Corée (1950-1953) fut la première opération militaire majeure entreprise par les États-Unis au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lancée au tout début de ce que l’on appelait par euphémisme « la guerre froide ». À bien des égards, il s’agissait d’une continuation de la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle les terres coréennes sous occupation coloniale japonaise furent, du jour au lendemain, remises à une nouvelle puissance coloniale, les États-Unis d’Amérique.
En Corée du Sud le 8 septembre 1945, trois semaines après la capitulation du Japon le 15 août 1945. De plus, les responsables japonais en Corée du Sud ont aidé le gouvernement militaire de l'armée américaine (USAMG) (1945-48) dirigé par le général Hodge à assurer cette transition. . Les administrateurs coloniaux japonais à Séoul ainsi que leurs policiers coréens travaillèrent main dans la main avec les nouveaux maîtres coloniaux.
Alors que le Japon était traité comme un empire vaincu, la Corée du Sud était identifiée comme un territoire colonial devant être administré sous le régime militaire américain et les forces d’occupation américaines. Sygman Rhee, le candidat américain trié sur le volet, fut transporté à Séoul en octobre 1945, à bord de l'avion personnel du général Douglas MacArthur.
Toute cette « période d’après-guerre » est marquée par de nombreux crimes de guerre entraînant la mort de plus de vingt millions de personnes. Ce chiffre n’inclut pas ceux qui ont péri à cause de la pauvreté, de la famine et de la maladie.
RépondreSupprimerNous avons affaire à un programme criminel de politique étrangère américaine. La propagande médiatique a servi à obscurcir cet agenda. L’interventionnisme américain est invariablement considéré comme une entreprise humanitaire. Pendant ce temps, les soi-disant gauchistes progressistes et les « militants anti-guerre » soutenus par des fondations d’entreprises ont soutenu ce programme pour des raisons humanitaires.
La criminalisation ne concerne pas un ou plusieurs chefs d’État. Cela concerne l’ensemble du système étatique, les diverses institutions civiles et militaires ainsi que les puissants intérêts des entreprises derrière la formulation de la politique étrangère américaine, les groupes de réflexion de Washington, les institutions créancières qui financent la machine militaire.
Les crimes de guerre sont le résultat de la criminalisation de l’État américain et de l’appareil de politique étrangère. Nous avons affaire spécifiquement à des criminels de guerre individuels, mais à un processus impliquant des décideurs agissant à différents niveaux, avec pour mandat de commettre des crimes de guerre, conformément aux directives et procédures établies.
Ce qui distingue les administrations Bush et Obama par rapport à l’histoire des crimes et atrocités financés par les États-Unis, c’est que les camps de concentration, les assassinats ciblés et les chambres de torture sont désormais ouvertement considérés comme des formes légitimes d’intervention, qui soutiennent « la guerre mondiale contre le terrorisme ». et soutenir la propagation de la démocratie occidentale.
Les guerres du XXIe siècle : de la guerre froide à la « guerre mondiale contre le terrorisme »
Le cerveau présumé des attentats terroristes du 11 septembre, Oussama ben Laden, d’origine saoudienne, a été recruté pendant la guerre soviéto-afghane, « ironiquement sous les auspices de la CIA, pour combattre les envahisseurs soviétiques ».
Dès le début de la guerre soviéto-afghane, au début des années 1980, l’appareil de renseignement américain a soutenu la formation de « brigades islamiques ».
En 2001, lorsque l'Afghanistan a été bombardé puis envahi, les « progressistes » ont largement soutenu la doctrine militaire de la « juste cause » de l'administration. Au lendemain du 11 septembre, le mouvement anti-guerre contre l’invasion illégale de l’Afghanistan s’est retrouvé isolé. Les syndicats et les organisations de la société civile ont avalé les mensonges médiatiques et la propagande gouvernementale. Ils avaient accepté une guerre de représailles contre Al-Qaïda et les talibans. Plusieurs intellectuels éminents « de gauche » ont soutenu le programme de « guerre contre le terrorisme ».
RépondreSupprimerLa désinformation médiatique a prévalu. Les gens ont été induits en erreur quant à la nature et aux objectifs sous-jacents à l’invasion de l’Afghanistan. Oussama ben Laden et les talibans ont été identifiés comme les principaux suspects des attentats du 11 septembre, sans la moindre preuve et sans aborder la relation historique entre Al-Qaïda et l’appareil de renseignement américain. À cet égard, comprendre le 11 septembre est crucial pour formuler une position anti-guerre cohérente. Le 11 septembre est le pilier de la propagande de guerre américaine ; elle entretient l’illusion d’un ennemi extérieur, elle justifie une intervention militaire préventive.
La logique concernant la Syrie était quelque peu différente. Les organisations « progressistes » et « anti-guerre » dominantes ont soutenu les soi-disant forces d’opposition sans reconnaître que le pilier de ces forces est composé de terroristes affiliés à Al-Qaïda, recrutés, entraînés et financés par les États-Unis et l’OTAN et leurs alliés, notamment Israël, la Turquie et le Qatar. et l'Arabie Saoudite. Ces groupes anti-guerre, qui soutenaient auparavant l'intervention de l'OTAN en Libye, accusent le gouvernement syrien des atrocités commises par les rebelles d'Al-Qaïda parrainés par les États-Unis.
Reconstruire le mouvement anti-guerre
Ce qu’il faut, c’est reconstruire un mouvement de masse. Et cela ne peut pas être dirigé et manipulé par des « progressistes » autoproclamés, avec le soutien financier de fondations d’entreprises.
La base sociale ainsi que la structure organisationnelle du mouvement anti-guerre doivent être transformées. La « Longue Guerre » américaine est un projet impérialiste qui soutient les structures financières et les fondements institutionnels de l'ordre capitaliste mondial. Derrière ce programme militaire se cachent de puissants intérêts commerciaux, notamment un vaste appareil de propagande.
La guerre et la crise économique sont intimement liées. L’imposition mondiale de mesures de politique macro-économique néolibérale fait partie d’un programme impérial plus large. Par conséquent, le mouvement plus large contre le néolibéralisme doit être intégré au mouvement anti-guerre.
Faire pression avec force sur les gouvernements des pays membres et non membres de l’OTAN pour qu’ils se retirent du programme militaire mondial dirigé par les États-Unis.
RépondreSupprimerDévelopper un mouvement anti-guerre cohérent en Israël. Informer les citoyens israéliens des conséquences probables d’une attaque américano-OTAN-israélienne contre l’Iran.
Ciblez les groupes de pression pro-guerre, y compris les groupes pro-israéliens aux États-Unis.
Démanteler l'État de sécurité intérieure . Abroger la légitimité des assassinats extrajudiciaires d'Obama. Abroger les guerres de drones dirigées contre les civils.
Saper la « militarisation des forces de l’ordre ». Inverser la gamme des législations antiterroristes des pays occidentaux qui visent à abroger les droits civils fondamentaux.
Ce ne sont pas des tâches faciles. Ils nécessitent une compréhension de la structure du pouvoir, des relations hégémoniques entre l’armée, les services de renseignement, les structures étatiques et les grandes entreprises qui promeuvent ce programme destructeur. En fin de compte, ces relations de pouvoir doivent être sapées afin de changer le cours de l’histoire mondiale.
https://www.globalresearch.ca/imperial-conquest-americas-long-war-against-humanity/5364215