- ENTREE de SECOURS -



samedi 4 novembre 2023

Climat : une autre relation de cause à effet fallacieuse !

  le 3 novembre 2023


Afin de mettre un terme à l’ambiguïté que souleva cet aparté relatif à la margarine ayant pour seul but de présenter une relation de cause à effet fallacieuse, c’est précisément cette relation que présenta le Docteur Werner Kirstein lors d’une conférence passionnante qu’il présenta il y a quelques jours intitulée « Le Changement Climatique Politico-généré » car toute cette histoire de climat est bien d’origine politique. Cette conférence est entièrement doublée vocalement en français, russe et ukrainien. Je doute que les Ukrainiens s’occupent en ce moment de changement du climat, les Russes certainement pas car dans l’éventualité improbable d’un réchauffement de ce dit climat ils seraient les premiers à en profiter. Quant aux Français ils sont entrainés dans une politique ruineuse d’implantation sur tout le territoire hexagonal et dans la mer bordant la Bretagne de moulins à vent totalement inutiles puisque la France est un cas particulier dans le monde avec son électricité d’origine nucléaire aidée durant les heures de pointe par les nombreuses installations hydrauliques dont elle dispose. Si on analyse le cas particulier de la France il s’agit donc bien d’une posture politique avec le règne des petits copains, des décideurs et politiciens centraux et régionaux pour l’installation de ces moulins à vent monstrueux, laids et bruyants. Et ces investissements inutiles correspondent déjà par leur montant à la construction d’une dizaine de réacteurs « EPR » en faisant appel aux Chinois puisque la France a perdu son savoir-faire dans ce domaine. Je rappelle au passage que les deux EPRs chinois ont été construits en 6 ans alors que celui de Flamanville pourrait nécessiter 18 ans de travaux et coûter une véritable fortune qui a déjà été investie dans des moulins à vent. Ridicule et affligeant !

Les Allemands ont fait pire encore dans la paranoïa salvatrice de Gaïa en supprimant toutes les centrales nucléaires de leur pays qui représentaient bon an mal an près de 24 % de la production électrique, une production stable sur laquelle on pouvait compter à toute heure et toutes conditions de pression atmosphérique. Il paraît, dans l’esprit dérangé des écologistes que l’énergie nucléaire est une technologie dangereuse … Il est inutile d’argumenter à nouveau à ce sujet.

Venons-en donc à cette conférence du Professeur Kirstein. Le plus évocateur de tout son exposé est la relation de cause à effet fallacieuse présentée pour expliquer l’effet du gaz carbonique atmosphérique sur la température moyenne globale de la surface de la Terre mesurée par détection dans la gamme des photons infra-rouges, une approche technique contestable scientifiquement dans la mesure où les relevés de température effectués par les stations météorologiques terrestres et les bouées océaniques dérivantes sont choisis afin d’obtenir des résultats finaux correspondant à l’hypothèse de départ : « la Terre se réchauffe ». Les climatologues (autant climatologues que je le suis moi-même) de l’ONU procèdent donc à une « purification » de ces données pour obtenir des modèles d’évolution du climat alarmantes et pour conclure dans chacun de leurs rapports à une urgence, une catastrophe à venir, un cataclysme, bref l’horreur.

L’affaire a débuté au cours des années 1970 à l’issue du grand raout de Stockholm en décembre 1972 organisé par Maurice Strong et mettant en place le programme de protection de l’environnement des Nations-Unies (UNEP) et la plus célèbre des preuves du réchauffement du climat d’origine humaine provient d’une relation de cause à effet fallacieuse comme le montre l’illustration suivante :

Pourquoi un tel intervalle de temps a-t-il été choisi pour répandre dans le monde entier le danger que représente le gaz carbonique pour le climat ? Parce que la courbe d’augmentation du taux de ce gaz telle que mesurée à l’observatoire d’Hawaï suit la même évolution que l’augmentation des températures mesurées dans le même intervalle qui fut choisi pour préparer les esprits à la COP3 qui se tint à Kyoto au début du mois de décembre 1997. Cette COP3 officialisa en quelque sorte le rôle « majeur » du gaz carbonique dans l’évolution néfaste du climat et également celui de l’activité humaine puisque celle-ci émet du gaz carbonique en raison de l’activité industrielle et des transports terrestre et maritime. Depuis lors la propagande organisée par le pouvoir supranational onusien et financier n’a eu de cesse de convaincre les peuples qu’ils étaient coupables du changement du climat qui pour ce pouvoir était une évidence : il n’y a qu’une cause de ce changement du climat, le gaz carbonique, puisque les courbes le montrent clairement. Mais si tout semblait être huilé il apparut le fameux « hiatus » d’une diminution de la pente de la courbe d’évolution des températures moyennes globales à la surface de la Terre. Quid de ce hiatus ? Rien, silence radio.

Comme le climat a toujours changé par le passé il est légitime de se poser la question suivante : qui croire ? Le Professeur Kirstein, pour appuyer son propos, a présenté cette illustration bien connue que l’IPCC a modifié pour faire disparaître l’optimum médiéval du climat, confiant cette escroquerie à Michael Mann avec sa fameuse courbe en crosse de hockey :

Pour terminer cet article complotiste, et je suis fier d’être complotiste, il est important de noter que les « climato-sceptiques » ou « réalistes » sont menacés de censure sur les réseaux sociaux. Cette simple remarque constitue une preuve que cette histoire de réchauffement du climat d’origine humaine est un coup monté que je qualifierai de totalitaire puisque le but final est d’asservir tous les peuples afin qu’ils modifient leur mode de vie comme par exemple plus de viande rouge, plus de voitures à essence ou diesel, plus de voyages en avion, moins de chauffage, moins d’air conditionné, manger des insectes comme s’ils ne dégageaient pas de gaz carbonique, avoir moins ou pas du tout d’enfants, la liste est sans fin et coercitive. Il faudra naturellement un gouvernement supranational pour que toutes ces mesures soient promulguées puis appliquées par la force … c’est donc bien vers un régime totalitaire que l’humanité s’achemine, tout est bouclé !!

Personnellement je considère que les peuples doivent se réveiller et prendre conscience que la servitude totale les attend s’il ne réagissent pas, quitte à couper des têtes, à faire la révolution. Pour ma part et comme nous l’avions avoué mutuellement Valentina Zharkova et moi-même nous sommes trop âgés pour assister à une révolte des peuples contre les diktats qui vont être mis en place à l’échelle planétaire dans peu d’années, après ce sera trop tard quant au refroidissement du climat nous ne le ressentirons pas non plus. Enfin je suggère vivement à mes fidèles lecteurs de visionner avec attention la présentation du Professeur Kirstein dont voici le lien si elle n’est pas déjà censurée : https://www.kla.tv/12016

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/11/03/climat-une-autre-relation-de-cause-a-effet-fallacieuse/

57 commentaires:

  1. Lorsque intervient une divergence d'esprits il y a opposition. Il y a ce que l'on appelle une divergence d'esprit propre à chaque être. Il s'en trouve 'deux camps'. Or, ces êtres humains ont un savoir indépendant à CHAQUE ÊTRE. Ce qu'il va s'ensuivre est donc une personnalité de chaque être sur Terre.
    - Il ne peut y avoir que 'deux camps': les opposants et les opposés.

    Dans chacun des camps demeure un 'chef'.
    Mais ce 'chef' a des 'opposants'.
    Prenons l'exemple de la dictature opposée à la Liberté.
    Mais, surgit un jour une opposition quant au côté de la dictature que dans le côté de la Liberté en vis-à-vis de leur(s) chef(s).
    C'est, ce qui est appelée 'la révolution du savoir'.

    Donc, chaque camps se fractionne de son chef et établit un 'chef troisième'. Ce qui donne un 'intermédiaire' entre le groupe des dictateurs et celui de la Liberté.
    Ce sont, ce que l'on appelle 'les révoltés du Bounty' en approfondissant l'histoire de ces aventures très périlleuses connues de toutes et de tous.
    Chacun a donc un sujet de prédilection qui s'établit ('contre fortune bon cœur') suivant son quotient intellectuel. D'où, l'opposition entre le Peuple POUR la dictature et le Peuple POUR la Liberté, mais qui n'est pas celle 'du chef' !
    Ce médian fait dès lors 'feu-de-tous-bois' quant à sa position personnelle visant à rassembler les opposants et les opposés.
    La plus tarte des situations est celle où un nano-groupuscule d'infirmes cervical (dictature) est opposée à la supériorité en nombre (le Peuple) qui a la faculté des connaissances suprêmes. Cette distorsion est de l'ordre militaire et armée. L'arme est la 'conquête' de tous Peuples.
    Or, ce qui suit, n'est pas l'infortune du savoir créer mais du savoir employer. (Le fabricant du couteau et de celui qui l'emploi).

    Nous savons toutes et tous que le savoir rallie les connaissances (mais la différence rallie celle de l'emploi).

    Or, il est certain que dans chaque groupe intervient celui du con et celui du surdoué. D'où l'arrivée du (nouveau) 'chef' qui s'interpose à tous ordres. Celui-ci s'estompera au quotient intellectuel de chaque groupe. Cette division est de l'ordre du milliardième des gens sur la Terre. Mais il y a une valeur dans chaque être vivant qui s'appelle le 'surdoué', le 'génie', l'inventeur, le concepteur, ou illusionniste qui est différent de tous autres. Cet inventeur est le créateur d'une autre disposition des choses. Une mise-en-place qui satisfera tout le monde !
    Le problème (le GROS) est que la majorité des êtres humains n'a pas le savoir attendu !
    L'idiot affrontera le froid (en ne se protégeant de rien) tandis que la personne intelligente se mettra à l'ombre de la chaleur et de ce qui y pousse grâce à.

    Donc, la question de la survie de l'espèce appartient à celle qui a connue l'exigence de la vie et elle qui a connu l'exigence de la mort.

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  2. Les banquiers d’investissement étrangers veulent *vraiment* que l’Australie atteigne les objectifs Net Zero

    Dark Money, pouvoir, fonds de retraite,


    Par Jo Nova
    November 4th, 2023


    Chut ! Les Monster Banker Funds sauvent secrètement le monde
    Par pure coïncidence, le même jour où le trésorier australien a déclaré que nous devions augmenter les subventions sur les objectifs climatiques, un groupe de banquiers en grande partie étrangers a appelé le gouvernement australien à « se dépêcher avec des plans de réduction des émissions ».

    Les banquiers d'investissement étrangers se présentent comme des «investisseurs australiens et néo-zélandais», mais se vantent de détenir 30 000 milliards de dollars d'actifs, ce qui est un peu un signal d'alarme lorsque le PIB des deux pays ensemble s'élève à 2 000 milliards de dollars. Il s’avère que le groupe d’investisseurs sur le changement climatique (IGCC), au nom fade, n’est qu’à 10 % australasien :

    IGCC représente des investisseurs avec un total de fonds sous gestion de plus de 3 000 milliards de dollars en Australie et en Nouvelle-Zélande et de 30 000 milliards de dollars dans le monde. Les investisseurs saluent le développement d’exigences de divulgation des risques climatiques alignées au niveau international en Australie. —Soumission de l'IGCC au Trésor australien, février 2023

    Mais être à 90 % étrangers ne les empêche pas de présenter des propositions au Parlement ou de se faire passer pour des locaux. Même The Australian se prend pour des Australiens :

    Un groupe d’investisseurs australien représentant des membres possédant plus de 30 000 milliards de dollars d’actifs affirme que les plans élaborés par le gouvernement albanais pour décarboner des secteurs comme l’énergie et l’agriculture doivent s’aligner sur l’objectif de l’Accord de Paris de limiter l’augmentation de la température mondiale à 1,5°C.

    Le fonds comprend les plus grands fonds de retraite d’Australie, mais inclut également nos vieux amis, Vanguard et BlackRock, qui représentent ensemble 17 000 milliards de dollars sur les 30 000 milliards de dollars collectifs consacrés au climat. Ce sont donc les deux supergéantes, plus 100 figurants. Qui contrôle ce groupe ? Ce ne sont pas les ménés.

    Les banquiers utilisent vos fonds de pension pour augmenter votre facture d’électricité
    L’IGCC dit qu’elle s’inquiète simplement des meilleurs rendements de ses clients, comme ils devraient l’être. Mais étant donné que l’indice S&P Global Clean Energy est en baisse de 36 % cette année, les meilleurs rendements de leurs clients auraient été dans le secteur réel de l’énergie, qui n’a pas baissé du tout. S’ils étaient au service de leurs clients, ils investiraient dans le pétrole et le gaz. Mais au lieu de cela, les banquiers souhaitent apparemment que le gouvernement sauve leurs mauvais investissements. Voici leur plaidoyer commun pour la « certitude », c’est-à-dire certaines subventions :

    Rose Lewis, l'Australienne

    Dans un nouveau rapport publié par l'Investor Group on Climate Change – qui représente les plus grands fonds de retraite et de détail d'Australie, des investisseurs spécialisés et des groupes consultatifs – les investisseurs exposent leurs priorités pour les plans de décarbonation du gouvernement afin de garantir que le pays reste un endroit compétitif pour diriger les capitaux pendant la période. transition vers zéro émission nette.

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  3. « À moins que l’économie australienne ne se décarbone de manière rapide, ordonnée et équitable, l’épargne-retraite à long terme de millions de ses citoyens sera affectée négativement. [Sans parler de tous les investisseurs étrangers aussi, dit Jo].

    «Plus la transition vers le zéro net sera ordonnée, plus les investisseurs seront en mesure de protéger et de préserver la valeur de leurs investissements dans le meilleur intérêt de leurs bénéficiaires.»

    Étant donné que les « bénéfices » issus de transitions énergétiques peu fiables dépendent entièrement des subventions et des lois gouvernementales, ces fonds géants s’entendent pour faire pression en faveur de meilleurs rendements. Mais s’ils n’ont pas demandé à leurs 7,5 millions de clients australiens et néo-zélandais s’ils voulaient des fonds de retraite plus petits afin de sauver le monde, alors les servent-ils vraiment, ou les foutent-ils ?

    30 000 milliards de dollars, c’est beaucoup d’argent à utiliser pour menacer et influencer une économie de 2 000 milliards de dollars. Les banquiers étrangers menacent-ils de retirer leurs investissements pour extorquer davantage de subventions aux contribuables australiens et aux malheureux consommateurs d’électricité australiens ? Ils pourraient réinjecter les « bénéfices » dans leurs propres fonds de retraite à l’étranger, tout en encourageant les fabricants d’énergie éolienne et solaire en Chine, par exemple, pour obtenir plus de faveurs auprès du président Xi – les possibilités sont infinies. Une branche d’un fonds supergéant peut récolter l’argent créé par un comportement prédateur dans une autre branche.

    Ou peut-être que je me trompe, et que les saints banquiers restent vraiment au lit la nuit en s’inquiétant d’un demi-degré de réchauffement climatique.

    Ce sont les groupes concernés par les koalas et les coraux
    Membres de l'IGCC :

    IGCC – Groupe d'investisseurs sur le changement climatiqueSuivez l'argent – les Verts le font.

    https://joannenova.com.au/2023/11/foreign-investment-bankers-really-want-australia-to-meet-net-zero-targets/

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  4. Extraordinaire ! Une tribune positive sur les NGT dans le Monde !


    4 Novembre 2023
    Glané sur la toile 987


    Commençons par un tableau d'honneur : il s'est trouvé 18 scientifiques pour oser braver ce mélange de d'activisme anti-OGM, de conformisme moutonnier et d'apathie qui jette une ombre maléfique sur les nouvelles techniques génétiques (NGT) :

    François Parcy*, Directeur de Recherche CNRS Grenoble

    Christophe Robaglia*, Professeur Aix Marseille Université

    David Bouchez, Directeur de Recherche INRAE Versailles

    Véronique Brault, Directrice de Recherche INRAE Colmar

    Michel Delseny, Directeur de Recherche CNRS, Acad. Sciences

    David Gilmer, Professeur Université de Strasbourg

    Christian Meyer, Directeur de Recherche INRAE Versailles

    Sébastien Mongrand, Directeur de Recherche CNRS Bordeaux

    Francis André Wollman, Directeur de Recherche CNRS, Acad. Sciences

    Véronique Ziegler Graff, Directrice de Recherche CNRS Strasbourg

    Laurent Nussaume Directeur de Recherches CEA

    Yonghua Li-beisson Directrice de Recherches CEA

    Nathalie Leonhardt Directrice de Recherches CEA

    Stefano Caffarri Professeur Aix Marseille Université

    Thierry Desnos Directeur de Recherches CEA

    Benjamin Field Directeur de Recherches CNRS

    Christophe Laloi Professeur Aix Marseille Université

    Christophe Ritzhenthaler Directeur de Recherche CNRS

    * contacts pour correspondance

    Ils ont produit une tribune qui, oh miracle, a été publiée par le Monde, rubrique Idées, sous un titre longuet mais néanmoins percutant : « Nouveaux OGM : "Effrayer le public en prétendant que ces plantes vont faire augmenter les intrants chimiques est un mensonge" ».

    En chapô :

    « Des scientifiques du CNRS, de l’Inrae et du CEA, parmi lesquels François Parcy et Christophe Robaglia, expliquent, dans une tribune au "Monde", le contexte et les perspectives des nouvelles techniques génétiques, à la suite du projet de modification de la réglementation européenne sur les OGM. »

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  5. Il y a au moins un Stéphane qui devait avoir piscine... On espère qu'il se porte bien, malgré le coup de canif à la ligne éditoriale de la rubrique Planète....

    La tribune est derrière un péage, mais elle a été publiée par ailleurs, sous un autre titre, « Vivement les nouveaux OGM bio ! »

    Celui-ci fait référence à un point chaud des débats à venir. Les gardiens de l'orthodoxie obscurantiste du « bio » de la Commission Européenne ont en effet prévu que les variétés issues de NGT ne seraient pas admises à la culture en agriculture biologique, à la grande satisfaction des fondamentalistes et intégristes tout aussi obscurantistes de la filière et de leurs amis. Les réalistes, y compris dans la filière biologique, prônent la suppression de cette limitation.

    Les auteurs de la tribune concluent, après avoir rappelé ce qui devrit être des évidences :

    « Sans sombrer dans une vision cornucopienne où la technologie suffirait à résoudre toutes les difficultés, l’enjeu est toutefois trop important pour refuser des solutions pour des raisons dogmatiques, en ne s’appuyant sur aucune base scientifique. Paradoxalement, ces nouvelles variétés seront plus adaptées aux pratiques de l’agriculture raisonnée ou de l’agriculture biologique que celles utilisées jusque-là et dépendantes des produits phytosanitaires.

    Vivement qu’arrivent dans nos champs, nos jardins et nos assiettes, les nouveaux OGM bio ! »

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/extraordinaire-une-tribune-positive-sur-les-ngt-dans-le-monde.html

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  6. Augmenter les surfaces en bio dans les pays développés... et les prix dans les pays pauvres


    3 Novembre 2023


    Un lecteur canadien – que je remercie vivement – m'a mis sur la piste de « Culture bio : ceux qui paieront le coût de l’expansion » de l'Agence Science Presse.

    L'Agence écrit :

    « On a mesuré depuis longtemps le coût de production plus élevé d’un aliment "bio" par rapport au même aliment provenant de l’agriculture dite "conventionnelle". Mais quel impact sur le prix des aliments en général aurait une expansion des cultures biologiques?

    C’est l’exercice auquel se sont attelés trois chercheurs du département d’agriculture et de ressources économiques de l’Université de Californie. Dans un article paru au début d’août, ils écrivent que "d’augmenter la part de l’agriculture biologique dans les pays riches de 3 à 15% augmenterait le prix des aliments dans les pays pauvres jusqu’à 6,3%, avec des médianes de 1,2 à 2,5%". [...] »

    L'article, c'est « Policy-induced expansion of organic farmland: implications for food prices and welfare » (expansion des terres agricoles biologiques induite par les politiques : implications pour les prix des denrées alimentaires et le bien-être), de Pierre Mérel, Zhiran Qin et Richard J Sexton. C'est publié dans European Review of Agricultural Economics.

    En voici le résumé (découpé) :

    « Les politiques publiques soutiennent de plus en plus l'expansion de l'agriculture biologique dans le cadre d'un ensemble d'initiatives alimentaires et environnementales. Un élément peu étudié et pourtant crucial de cette expansion, en particulier à la lumière des preuves scientifiques sur les rendements plus faibles des cultures biologiques, est son impact sur la production alimentaire globale et les prix des aliments, en particulier pour les ménages les plus pauvres.

    Dans cet article, nous établissons tout d'abord une relation empirique positive entre la propension des pays à produire et à consommer des aliments biologiques et leur revenu par habitant. Cette corrélation suggère que, même si les consommateurs des pays riches peuvent bénéficier d'une augmentation de la part des terres agricoles biologiques, les consommateurs des pays pauvres seraient probablement confrontés à des prix plus élevés pour les aliments conventionnels.

    Nous développons et calibrons ensuite un modèle de demande et d'offre alimentaire mondiale afin d'évaluer les implications d'une expansion des terres agricoles biologiques à l'initiative des pouvoirs publics.

    Nos résultats pour quatre céréales et oléagineux majeurs montrent que l'augmentation de la part des terres cultivées en agriculture biologique dans les pays riches de 3 à 15 pour cent augmente les prix alimentaires dans les pays pauvres jusqu'à 6,3 pour cent, avec des valeurs centrales de 1,2 à 2,5 pour cent, et une réduction proportionnelle du bien-être des consommateurs.

    Les paramétrages du modèle indiquent que les agriculteurs des pays pauvres bénéficient de la hausse des prix des cultures, tandis que les consommateurs des pays riches ne sont guère affectés et en bénéficient même parfois.

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  7. Dans tous les cas, les consommateurs des pays pauvres supportent la majeure partie du fardeau de la distorsion.

    Dans notre paramétrage préféré, une augmentation de 3 % des terres cultivées dans les pays riches est nécessaire pour compenser l'augmentation des prix des denrées alimentaires dans les pays pauvres. »

    Rappelons que l'agriculture biologique occupe déjà quelque 9 - 10 % de la surface agricole utile dans l'Union Européenne, laquelle ambitionne d'atteindre 25 % d'ici 2030 dans le cadre de Farm to Fork.

    Les auteurs notent par ailleurs :

    « Les politiques publiques soutiennent souvent la production d'autres produits à attributs de crédibilité [credence-attribute products] associés à des baisses de rendement ou à des augmentations de coût, comme l'interdiction par certains pays européens et africains de la production de produits issus de la bio-ingénierie et les restrictions de production liées au bien-être des animaux dans plusieurs pays d'Europe du Nord. Les politiques privées adoptées par les intermédiaires de la chaîne d'approvisionnement ont également contribué à accroître la part des produits à attributs de crédibilité sur les marchés alimentaires. »

    Facteurs qui contribuent généralement à des baisses de rendement et des augmentations de coût...

    Nous ferions bien de réexaminer nos positions et objectifs à la lumière des rapports coûts-bénéfices réels – et non fantasmés – pour nos sociétés européennes, ainsi qu'à la lumière des implications géostratégiques.

    Si les prémices sont plus anciennes, la face du monde a changé le 24 février 2022.

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/augmenter-les-surfaces-en-bio-dans-les-pays-developpes.et-les-prix-dans-les-pays-pauvres.html

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  8. Tyson construit une usine de protéines d’insectes; les critiques affirment qu’il s’agit d’une question d’argent, et non de santé ou d’environnement

    Tyson Foods a déclaré qu'elle prenait une participation dans le producteur néerlandais d'ingrédients à base d'insectes Protix et qu'elle formait une coentreprise pour construire "la première installation à grande échelle de ce type pour recycler les sous-produits de la fabrication de produits alimentaires en protéines d'insectes de haute qualité".


    Par Michael Nevradakis
    Mondialisation.ca, 04 novembre 2023


    Le géant de la viande industrielle Tyson Foods s’associe au producteur néerlandais d’ingrédients d’insectes Protix pour construire une usine de fabrication d’ingrédients d’insectes aux États-Unis.

    Dans une annonce faite la semaine dernière, Tyson a déclaré qu’elle prenait une participation dans Protix et qu’elle formait une coentreprise pour construire “la première installation à grande échelle de ce type pour recycler les sous-produits de la fabrication de produits alimentaires en protéines d’insectes de haute qualité et de lipides qui seront principalement utilisés dans les secteurs de l’alimentation animale, de l’aquaculture et de l’élevage”, a déclaré Tyson Foods.

    Dans un communiqué, Protix a déclaré: “Cet investissement stratégique soutiendra la croissance de l’industrie émergente des ingrédients à base d’insectes et élargira l’utilisation des solutions d’ingrédients à base d’insectes pour créer des protéines et des lipides durables plus efficaces destinés au système alimentaire mondial.”

    Tyson Foods, Protix et les partisans des aliments à base d’insectes affirment que la production de ces produits alimentaires est plus durable que l’élevage de bétail conventionnel.

    Mais les experts en sécurité alimentaire qui se sont entretenus avec The Defender ont déclaré que les entreprises comme Tyson sont motivées par des incitations financières et autres, et non par le développement durable. Citant des études scientifiques à l’appui de leurs affirmations, ils ont également mis en doute la sécurité des ingrédients des insectes.

    “L’objectif n’est pas la santé publique ni même la santé environnementale”, a déclaré Nina Teicholz, journaliste scientifique et fondatrice de The Nutrition Coalition. “L’industrie alimentaire aime les insectes, car leur production implique de multiples étapes protégées par des brevets qui permettent aux entreprises de faire des bénéfices et de contrôler nos sources d’alimentation.

    La journaliste néerlandaise Elza van Hamelen, qui a enquêté sur Protix, a déclaré au Defender : “La prise de contrôle et la transformation de notre système alimentaire – vers la viande synthétique cultivée en laboratoire, l’agriculture verticale OGM [genetically modified organism] et les fermes d’insectes – est une attaque sur plusieurs fronts”.

    “Le capital-risque investit dans ce domaine, même s’il n’y a pas d’analyse de rentabilité claire”, a-t-elle déclaré. Les gouvernements mettent en place des “écosystèmes” dans lesquels les représentants des gouvernements, les ONG [nongovernmental organizations], le monde universitaire et les entreprises s’associent pour faire décoller les “protéines alternatives”.

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  9. Le communicateur scientifique Dr. Kevin Stillwagon,chiropracteur et pilote de ligne à la retraite, qui enquête sur les questions de santé sur sa page Substack, a déclaré : “Des efforts sont déjà en cours pour nous convaincre que la façon dont nous produisons des aliments pour la consommation humaine nuit à l’environnement en utilisant trop de terres et d’eau et en émettant des gaz à effet de serre en excès”. Il a ajouté : “Ils essaieront de nous convaincre que même en utilisant des insectes pour l’alimentation animale, le problème environnemental ne sera pas résolu”.

    Howard Vlieger, membre du conseil consultatif de GMO/Toxin Free USA, a déclaré au Defender que Tyson pourrait tirer parti de son pouvoir de marché et de son entrée sur le marché des ingrédients pour insectes afin d’exercer une pression financière supplémentaire sur les fournisseurs de bétail.

    “Tyson est l’une des quatre grandes entreprises sur lesquelles les éleveurs comptent pour commercialiser leur bétail”, a-t-il déclaré. “Tyson pourrait potentiellement utiliser ses intérêts dans les aliments alternatifs contre les achats de bétail, réduisant ainsi la demande et le prix du bétail qu’ils achètent.

    L’accord conclu par Tyson avec Protix move est le dernier exemple en date d’une tendance récente qui a vu plusieurs grands producteurs alimentaires, dont Cargill, investir dans des fabricants d’ingrédients à base d’insectes.

    Le “contenu de l’estomac des bovins” peut être utilisé comme “source d’alimentation viable pour les insectes”.
    John R. Tyson, directeur financier de Tyson Foods, a déclaré à Food Ingredients First que son entreprise utiliserait ses propres “sous-produits”, y compris “le contenu de l’estomac du bétail transformé”, pour produire “une source d’alimentation viable pour les insectes”.

    Dans le communiqué de presse de Tyson Foods, Kees Aarts, PDG de Protix, a déclaré : “Le partenariat stratégique entre Tyson Foods et Protix fait progresser notre travail commun visant à créer des protéines de haute qualité et plus durables en utilisant des technologies et des solutions innovatrices. En outre, nous pouvons immédiatement utiliser leurs sous-produits existants comme matière première pour nos insectes.”

    Selon CNN, “les sous-produits tels que les graisses animales, les peaux et les protéines non comestibles, s’ils ne sont pas utilisés ou réduits, peuvent finir dans les décharges. Dans ce cas, Tyson peut envoyer ce qui se trouve dans l’estomac des bovins qu’elle a transformés vers une installation de Protix, où les insectes en seront nourris.

    “Pour l’entreprise, la création d’un marché plus important pour ce type de déchets peut non seulement réduire les déchets, mais aussi offrir une source de revenus plus importante”, a rapporté CNN.

    Selon le communiqué de Tyson Foods, “Protix contribue à une chaîne alimentaire circulaire en utilisant les déchets de l’industrie alimentaire comme nourriture pour la mouche soldat noire (BSF). À leur tour, les insectes sont transformés en nutriments précieux tels que les protéines et les lipides.”

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  10. “Les clients de Protix utilisent ces protéines et ces lipides comme ingrédients de haute qualité pour les aliments pour animaux et les denrées alimentaires, tandis que les flux résiduels des insectes sont utilisés comme engrais organiques.

    M. Aarts a déclaré à CNN que la mouche soldat noire “peut se développer sur presque tous les types de déchets et de sous-produits alimentaires imaginables” et, selon Food Ingredients First, elle “peut manger jusqu’à deux fois leur poids corporel par jour, ce qui peut être utilisé pour permettre un système de recyclage en boucle fermée,créant ainsi une source de protéines réutilisable tout en utilisant moins d’eau et de terres.

    Une fois achevée, l’usine Tyson Foods-Protix sera “axée sur tous les aspects de la production, de l’élevage et de l’incubation à l’éclosion des larves d’insectes”, a rapporté Just Food, citant un porte-parole de Tyson Foods qui a déclaré que les deux entreprises cherchaient actuellement à “identifier” l’endroit où leur usine serait construite.

    L’installation de la coentreprise devrait “être prête à la production vers la fin de 2025”, selon Feed Navigator, qui indique également que “la capacité de l’installation sera trois à quatre fois supérieure à la production de l’usine existante de [Protix’s] ” aux Pays-Bas. Elle pourra produire “jusqu’à 70 000 tonnes d’équivalent aux larves vivantes par an”.

    Selon Just Food, le montant précis et le coût de la participation minoritaire que Tyson Foods a acquise dans Protix n’ont pas été divulgués, mais selon Feed Navigator, “lorsqu’on lui a demandé de divulguer le montant investi par l’entreprise américaine, un porte-parole du financement de Protix a répondu [said] que le financement des bailleurs de fonds existants de Protix combiné [aux fonds] de Tyson Foods” s’élève à 58 millions de dollars.

    Les insectes de Tyson ne sont pas destinés à l’alimentation humaine… pour l’instant
    Les entreprises affirment que les produits à base d’insectes qu’elles fabriqueront n’entreront pas dans l’alimentation humaine… pour l’instant. M. Tyson a déclaré à CNN : “Aujourd’hui, nous nous concentrons davantage sur le secteur de fabrication d’ingrédients utilisant [an] protéine d’insecte que sur une application grand public”.

    Mais un porte-parole de Tyson Foods a déclaré à Just Food que “les compositions alimentaires humaines existent, et Protix est à la tête du développement de protéines de haute qualité, depuis les aliments pour animaux et poissons jusqu’aux produits de consommation”.

    “Bien que l’adoption par les consommateurs soit très faible et que les applications en alimentation humaine ne soient pas l’objectif de cette coentreprise, il existe des possibilités à long terme de créer des produits protéiques plus durables”, a ajouté le porte-parole de Tyson Foods.

    M. Tyson a déclaré à Food Ingredients First qu’il considérait son entreprise comme un “catalyseur” capable de créer un système alimentaire plus durable et plus équitable, et que “les partenariats avec des acteurs de tous les secteurs sont un élément important de ce parcours, car nous travaillons ensemble pour faire progresser nos ambitions collectives en matière de durabilité et pour transformer le système alimentaire mondial”.

    Selon le Dr Stillwagon, l’insertion d’insectes dans l’alimentation humaine est l’objectif des grands producteurs de denrées alimentaires.

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  11. “Le bétail et les poissons nourris avec des protéines et des lipides à base d’insectes entreront très certainement dans l’alimentation humaine. Cela pourrait modifier le goût de ces aliments dans une certaine mesure”, a-t-il déclaré.

    “En outre, les poissons et le bétail devront peut-être être génétiquement modifiés pour atteindre la taille nécessaire à la récolte, car ils consommeraient quelque chose qui n’est pas naturel pour eux”, a ajouté M. Stillwagon.

    La sécurité n’a pas été “testée de manière adéquate”
    Selon CNN, “l’industrie de la viande fait peser un lourd fardeau sur la planète, en partie à cause des terres, de l’eau et de l’énergie nécessaires pour faire pousser les cultures qui nourrissent les animaux que nous mangeons”, ajoutant que “certains experts affirment que la réduction de l’empreinte environnementale de l’alimentation animale peut contribuer à rendre le système plus durable”.

    “La fabrication d’aliments à partir d’insectes est l’un des moyens d’y parvenir : Les insectes prennent moins de place et se nourrissent de déchets qui seraient autrement jetés”, a rapporté CNN.

    Selon Food Dive, “les protéines d’insectes ont pris de l’importance ces dernières années, les entreprises lançant des grignotines ou en-cas et des poudres à base de grillons”, citant les affirmations de la marque d’ingrédients à base de grillons Exo selon laquelle les grillons sont 20 fois plus efficaces à cultiver que le bétail.

    CNN a cité Reza Ovissipour, professeur de systèmes alimentaires durables à l’université A&M du Texas, qui a déclaré que les mouches fonctionnaient comme des “mini-bioréacteurs” capables de convertir les déchets animaux en “protéines ou en graisses provenant des insectes”, qui peuvent ensuite être utilisées comme aliments pour animaux.

    “Ces mini-bioréacteurs sont très peu coûteux”, a-t-il ajouté. “Il n’est pas nécessaire d’utiliser autant d’énergie. C’est très durable”, a-t-il déclaré.

    Les experts qui se sont entretenus avec The Defender ont exprimé un point de vue différent.

    En raison des exosquelettes d’insectes, que l’homme n’est pas adapté à manger, il n’est pas certain que cette nouvelle “denrée alimentaire” soit sans danger pour l’homme – ou les animaux de compagnie”, a déclaré M. Teicholz. “Les insectes et les bestioles n’ont pas fait l’objet de tests de sécurité adéquats.

    “Nous savons que la viande, les œufs et le poisson sont des sources de protéines complètes et entières que les humains (et les chiens) ont appris à manger au cours de millions d’années”, a-t-elle ajouté. “Nous devrions essayer de trouver comment rendre ces protéines naturelles plus durables plutôt que de passer à de nouvelles sources alimentaires potentiellement dangereuses.

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  12. Dans le même ordre d’idées, Alexis Baden-Mayer, directeur politique de l’Organic Consumers Association, a déclaré : “Nous n’avons pas besoin de remplacer la viande, le lait ou les œufs par quoi que ce soit, nous devons simplement élever les animaux en pâturage. C’est incroyablement bénéfique pour l’environnement, très productif et cela permet de produire les aliments les plus riches en nutriments possibles.

    Mme Baden-Mayer a également indiqué que les insectes, lorsqu’ils sont consommés comme aliments, présentent plusieurs risques pour la santé humaine, en notant qu’ils contiennent des allergènes appelés chitines et des toxines appelées mycotoxines, qui sont la raison pour laquelle les moisissures sont toxiques pour l’homme.

    Selon M. Stillwagon, les insectes présentent d’autres risques pour la santé humaine.

    “Depuis que des allergies aux protéines d’insectes, connues sous le nom d’allergies entomophagiques, ont été signalées, les producteurs de denrées alimentaires doivent étiqueter avec précision les produits à base d’insectes afin de fournir des informations sur les allergènes”, a-t-il déclaré.

    “Le deuxième risque est lié au microbiome et au virome de l’insecte lui-même”, a déclaré M. Stillwagon. “Il est possible que chez certaines personnes dont le système immunitaire est affaibli, la consommation de bactéries et de virus qui font naturellement partie de l’insecte devienne pathogène”, a-t-il ajouté.

    “Les produits chimiques utilisés pour tuer les bactéries et les virus lors de la transformation massive d’insectes destinés à l’alimentation peuvent être nocifs pour l’homme”, a déclaré M. Stillwagon. “De plus, les plantes dont se nourrissent les insectes peuvent avoir été traitées avec des produits chimiques tels que le glyphosate ou des pesticides qui seront absorbés par les insectes et consommés par les humains.

    Un article de février 2017 dans eBioMedicine, publié par The Lancet, indique que “les infections par des virus, des bactéries et des parasites sont reconnues depuis des années comme étant associées à la cancérogénicité humaine.”

    Un article publié en juillet dans la revue Nutrients indique que “la protéine d’insecte est une source de protéines adéquate qui présente des avantages prometteurs pour la santé”, mais note que “des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pleinement son potentiel et optimiser son intégration dans le régime alimentaire humain”.

    Le FEM (Forum économique mondial), l’OMS, les grandes banques et les sociétés d’investissement promeuvent les aliments à base d’insectes
    Pourtant, CNN rapporte que “l’intérêt pour les insectes en tant qu’ingrédients pour l’alimentation animale s’est accru”, même s’il “n’a pas été adopté par le grand public”.

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  13. CNN a cité un rapport publié en 2021 par la banque néerlandaise Rabobank, selon lequel “la demande de protéines d’insectes, principalement en tant qu’ingrédients pour l’alimentation animale, pourrait atteindre un demi-million de tonnes métriques d’ici à 2030, contre un marché actuel d’environ 10 000 tonnes métriques”. Rabobank et Rabo Investments sont des investisseurs dans Protix.

    Selon un rapport de Grand View Research, le marché mondial des protéines d’insectes devrait connaître un taux de croissance annuel composé de 27,4 % d’ici à 2028.

    Protix affirme vouloir augmenter son “revenu brut mondial à environ 1 milliard d’euros [1,06 milliard de dollars] d’ici 2035 grâce à des partenariats internationaux”.

    Tyson Foods a investi dans Upside Foods, une entreprise qui a récemment obtenu l’autorisation du ministère américain de l’agriculture (USDA) de produire du poulet cultivé en laboratoire. Upside a attiré plus de 600 millions de dollars d’investissements en recherche et développement, notamment de la part de Bill Gates, Richard Branson, Kimbal Musk, le frère d’Elon Musk, et Cargill.

    Tyson Foods a également investi dans Future Meat Technologies, une autre entreprise qui cherche à développer des produits à base de viande cultivée.

    Selon Food Ingredients First, “au début de l’année, Tyson Foods a ressenti l’impact d’une inflation élevée et d’une faible demande de viande, ce qui a fait chuter ses stocks de 45,36 % par rapport à l’année précédente”, ce qui a conduit l’entreprise à fermer deux de ses usines de production de poulet aux États-Unis en mars.

    Pourtant, l’année dernière, Tyson Foods a investi 355 millions de dollars dans une usine de production de bac on dans le Kentucky, “pour répondre à la demande croissante de produits à base de bacon de la part des détaillants et des services alimentaires”.

    D’autres acteurs de l’industrie alimentaireont également réalisé des investissements importants dans ce domaine, notamment Cargill qui, en 2022, a étendu de trois à dix ans son partenariat avec Innovafeed pour la production d’engrais et d’aliments pour animaux “durables” à base d’insectes.

    ADM (Archer-Daniels-Midland) a également conclu un partenariat avec Innovafeed en vue de commercialiser des protéines d’insectes pour les aliments pour animaux de compagnie vendus aux États-Unis et de construire et d’exploiter une installation de production d’insectes dans l’Illinois, à côté d’un complexe de transformation du maïs d’ADM.

    En 2017, PepsiCo a déclaré qu’elle étudiait les en-cas à base d’insectes et leur potentiel pour de futurs produits, tandis qu’en 2021, Mars a lancé une gamme d’aliments pour chats 100 % à base d’insectes.

    Selon M. van Hamelen, “il y a beaucoup de soutien financier et politique pour faire décoller ces “aliments”. Les entreprises sont incitées à faire évoluer leurs portefeuilles vers de “nouveaux aliments” dans le cadre des critères d’évaluation des investissements ESG“, ajoutant qu’”il peut être intéressant d’examiner la propriété de ces entreprises et l’agenda qu’elles poursuivent”.

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  14. Notamment, Vanguard et BlackRock, les deux plus grandes sociétés d’investissement institutionnel au monde, sont également les deux principaux détenteurs institutionnels d’actions de Tyson Foods. BlackRock et son PDG, Larry Fink, sont de fervents partisans des pratiques d’entreprise “durables“.

    Les gouvernements se sont également mis de la partie, a déclaré M. van Hamelen au Défenseur.

    Le cadre législatif est en cours de préparation pour approuver ces “aliments” en tant que “nouveaux aliments” – dans l’UE, aux États-Unis et également au niveau des Nations unies ( [United Nations] ) dans le cadre du Codex Alimentarius“, a-t-elle déclaré. “En outre, les approches de ‘gouvernement comportemental’, c’est-à-dire d’ingénierie sociale, utilisées pour orienter les gens vers d’autres choix en matière de protéines, font partie de la politique gouvernementale”.

    Par exemple, en juin, l’UE a autorisé la poudre de ver de farine jaune à être utilisée dans le pain, les gâteaux, la purée de pommes de terre, les pâtes et les légumes, à la suite d’une demande de nouvel aliment que l’entreprise française Nutriearth a soumise en 2019. Selon Food Ingredients First, “l’autorisation finale à ce sujet est attendue plus tard cette année ou début 2024.”

    En mai, l’association britannique des insectes comestibles a déclaré que le grillon domestiqueentrait dans le champ d’application du régime des nouveaux aliments et qu’il était valide.

    La Commission européenne a constaté que les consommateurs sont déjà conscients de la présence d’insectes dans les aliments et a demandé aux fabricants de produits alimentaires d’indiquer les noms latins des insectes contenus dans les aliments sur l’emballage du produit.

    Selon Mme Baden-Meyer, des entreprises comme Tyson Foods sont tournées vers l’avenir et vers des applications de produits à base d’insectes qui vont au-delà de l’alimentation.

    “Comme nous l’avons vu avec les vaccins Covid-19, les cellules sont les nouvelles usines. Il peut s’agir des cellules bactériennes utilisées dans la “fermentation de précision” ou des cellules vivant dans notre propre corps”, a-t-elle déclaré. “Les vaccins sont les premiers, mais je m’attends à ce que tous les médicaments soient délivrés par l’intermédiaire de la ‘thérapie génique’ de l’ARNm ou de l’ADN, qui indiquent à la cellule de produire une protéine.

    Peut-être que c’est ainsi que la “nourriture” sera finalement livrée”, a déclaré Mme Baden-Meyer, citant le programme “Living Foundries” de la Defense Advanced Research Project Agency, qui cherche à programmer “les processus métaboliques fondamentaux des systèmes biologiques afin de générer un grand nombre de molécules complexes qui ne sont pas accessibles autrement”.

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  15. Le Dr Stillwagon a identifié un danger lié à la consommation par les insectes de sous-produits d’animaux ayant reçu des vaccins ARNm. Il a dit :

    Un autre danger est l’utilisation potentielle de l’ARNm encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (LNP) comme “vaccins” chez les animaux ou les insectes pour tenter de prévenir les maladies. Les animaux recevront probablement des injections. Les insectes et l’aquaculture les ingèrent.

    “L’utilisation d’ARNm ingéré encapsulé dans des LNP a déjà été étudiée chez certains insectes, crevettes et poissons. La possibilité que ces particules d’ARNm encapsulées entrent dans l’alimentation humaine est très réelle”.

    Le mois dernier, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté un amendement mettant fin au financement public de la Food and Drug Administration et de l’USDA au cours de l’année fiscale 2024 pour le développement de vaccins comestibles transgéniques, qui délivreraient des “vaccins” ARNm par l’intermédiaire d’aliments tels que la laitue.

    À mon avis, c’est de cela que les “grands réinitialisateurs” ont l’intention de nous nourrir et de fabriquer tout le reste”, a déclaré Alexis Baden-Meter, en faisant référence à la “grande réinitialisation” promue par le Forum économique mondial (WEF). Les bactéries sont le nouveau pétrole, les “plastiques” de notre génération, mais il faudra un certain temps pour que ce changement s’opère”, a-t-elle ajouté.

    M. Aarts est notamment membre du WEF et de son Conseil pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture. En 2015, Protix a été l’un des lauréats du prix “Technology Pioneer” du WEF, pour son travail dans le domaine des technologies agroalimentaires.

    Un document de 2019 du FEM, intitulé “Alternative Proteins” et publié dans le cadre de la série “Meat : the Future”, indique que ces protéines peuvent répondre “aux besoins nutritionnels et à la demande alimentaire d’une population de 10 milliards d’habitants prévue pour le milieu du siècle, d’une manière saine et durable”.

    “Les avantages de ces produits ne sont pas suffisants pour que les consommateurs les adoptent”, indique le rapport. “Un ensemble beaucoup plus large d’interventions sera nécessaire pour accélérer l’adoption de ces mesures”, y compris le développement de “récits”.

    Le rapport note également qu’”il est peu probable que les protéines alternatives atteignent une certaine échelle si l’on n’utilise pas l’expertise du secteur traditionnel des protéines en matière de production et de commercialisation”.

    Le FEM a déclaré: “Nous devons transformer fondamentalement nos systèmes alimentaires pour fournir à toute l’humanité une alimentation abordable, nutritive et saine dans les limites de la nature d’ici 2030”, conformément aux objectifs de développement durable(ODD) de l’ONU.

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  16. Selon M. Stillwagon, des organisations telles que le FEM et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) chercheront à influencer l’opinion publique en faveur de la consommation d’insectes.

    “Il est possible que l’OMS déclare une urgence climatique à ce sujet et oblige les pays à modifier leur production alimentaire. Ils montreront que les insectes sont consommés par de nombreuses cultures dans diverses parties du monde depuis des siècles, ce qui ouvrira la porte à une acceptation culturelle aux États-Unis”, a-t-il déclaré.

    C’est pourquoi je pense qu’il sera nécessaire de déclarer l’urgence climatique et de promouvoir l’idée que “c’est pour le bien commun””, a ajouté M. Stillwagon.

    Selon M. van Hamelen, des entités publiques néerlandaises, dont le fonds d’investissement public néerlandais Invest-NL, ont investi dans Protix, malgré les démentis officiels du gouvernement néerlandais.

    Le Fonds européen pour la bioéconomie circulaire, financé par la Banque européenne d’investissement, et des entreprises liées à la Belgique (10,3 %), au Luxembourg (1,0 %) et à Monaco (via Monaco Asset Management), sont également des investisseurs dans Protix, a déclaré M. van Hamelen.

    Un protocole d’accord conclu en 2021 entre le gouvernement néerlandais et le WEF, représentatif des liens étroits entre les deux organisations, prévoit le développement d’un “pôle d’innovation alimentaire” aux Pays-Bas, l’agroalimentaire étant l’un de ses domaines de prédilection.

    L’année dernière, les agriculteurs néerlandais ont protesté contre les projets du gouvernement visant à réduire “radicalement” la pollution azotée due à l’élevage en rachetant ou en expropriant des terres agricoles.

    https://www.mondialisation.ca/tyson-construit-une-usine-de-proteines-dinsectes-les-critiques-affirment-quil-sagit-dune-question-dargent-et-non-de-sante-ou-denvironnement/5682853?doing_wp_cron=1699106189.9361751079559326171875

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  17. Des scientifiques ont utilisé l’édition génétique CRISPR pour rendre les poulets résistants à la grippe aviaire – voici ce qui s’est passé

    Des chercheurs britanniques ont utilisé la technologie d'édition de gènes CRISPR pour modifier l'ADN de poulets afin de créer des oiseaux résistants aux virus mortels de la grippe aviaire tels que le H5N1. Mais l'étude a été un échec, selon un critique, car la technologie a également aidé le virus à se répliquer plus efficacement dans les cellules humaines.


    Par Mike Capuzzo
    Mondialisation.ca,
    04 novembre 2023


    Les scientifiques qui ont utilisé la technologie d’édition génétique CRISPR pour créer des poulets résistants à la grippe aviaire ont également montré à quelle vitesse une grippe aviaire dangereuse pouvait muter des poulets de laboratoire à l’homme, ont déclaré au Defender les critiques d’une nouvelle étude parue dans la revue Nature Communications.

    Les auteurs de l’étude, dirigés par des chercheurs de l’Imperial College London et de l’Université d’Édimbourg (Roslin Institute and Royal (Dick) School of Veterinary Studies), ont modifié le code génétique de dix poulets pour les rendre résistants à un virus de la grippe aviaire, puis les ont exposés au virus.

    Ils ont également inclus dans l’étude 10 poulets qui n’avaient pas été génétiquement modifiés. Les 10 poulets non génétiquement modifiés sont tombés malades lorsqu’ils ont été exposés au virus. Un seul des poulets génétiquement modifiés a contracté la grippe aviaire.

    La modification de l’ADN d’une espèce « promet un nouveau moyen d’apporter des changements permanents à la résistance aux maladies d’un animal », a déclaré Mike McGrew, embryologiste à l’université d’Édimbourg et auteur de l’étude, lors d’une conférence de presse organisée le 5 octobre pour annoncer cette recherche évaluée par des pairs.

    « Cela peut être transmis à tous les animaux génétiquement modifiés, à tous les descendants. »

    Selon l’étude, « les poulets génétiquement résistants à la grippe aviaire pourraient prévenir de futures épidémies. … L’élevage pour la résistance et la résilience à la maladie présente un potentiel important pour les volailles d’élevage », ce qui éviterait aux éleveurs d’avoir à vaccinersystématiquement les oiseaux.

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  18. Mais Jonathan Latham, directeur exécutif du Bioscience Resource Project, titulaire d’une maîtrise en génétique des cultures et d’un doctorat en virologie, a déclaré au Defender :

    « Les expériences ont finalement été un échec du type l’opération a réussi mais le patient est mort. »

    Lorsque les dix poulets génétiquement modifiés ont été exposés à une dose beaucoup plus élevée de grippe aviaire – plus proche de ce à quoi les poulets pourraient être exposés dans la nature ou dans un élevage industriel – cinq des dix poulets ont développé la grippe.

    Les échantillons de virus prélevés sur les oiseaux infectés et génétiquement modifiés ont montré que le virus avait subi plusieurs mutations qui semblaient lui permettre de se lier à la protéine ANP32A pour se répliquer chez les poulets, selon l’étude.

    Le virus a également muté une solution de contournement pour se lier à deux autres protéines apparentées pour la réplication.

    Pire encore, selon M. Latham, les mutations ont également permis au virus de se répliquer plus efficacement dans les cellules humaines.

    Bien que les mutations virales dans les cellules humaines in vitro puissent ne pas se produire lorsque le virus atteint un être humain, le résultat n’est pas encourageant, a déclaré M. Latham, ajoutant qu’une infection plus efficace chez les êtres humains serait « probable ».

    « La principale préoccupation concernant la grippe aviaire n’est pas que les poulets meurent », a-t-il déclaré. « Le problème est que les grands troupeaux commerciaux permettent aux types de grippe provenant d’oiseaux sauvages d’évoluer en leur sein, et que ces types de grippe infectent et tuent leurs propriétaires humains, les travailleurs agricoles, et risquent de provoquer une pandémie. »

    Les auteurs de l’étude de Nature Communications « ont fait évoluer une grippe qui, selon leur test, était plus infectieuse dans les cellules humaines », a déclaré M. Latham. « Ils ont ainsi créé ce qu’ils voulaient empêcher. »

    CDC : Le risque pour l’homme est « faible »
    La grippe aviaire est causée par des virus adaptés aux oiseaux. Une version particulièrement mortelle de la grippe aviaire, connue sous le nom de H5N1, s’est répandue depuis 1996, avec une transmission mondiale rapide ces dernières années, tuant des millions d’oiseaux sauvages et d’élevage, infectant les mammifères sauvages comme le vison et l’ours, causant des décès humains isoléset causant des ravages économiques dans l’industrie avicole américaine et chez les consommateurs d’œufs américains.

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que les épidémies de H5N1 « ont causé des ravages dans les populations animales, notamment chez les volailles, les oiseaux sauvages et certains mammifères, et ont porté atteinte aux moyens de subsistance des agriculteurs et au commerce des denrées alimentaires » et qu’elles « présentent des risques permanents pour l’homme ».

    En 2022, des épidémies mortelles de H5N1 chez les volailles et les oiseaux sauvages s’étaient déclarés dans 67 pays sur les cinq continents, et plus de 131 millions de volailles domestiques avaient été perdues en raison de leur mort ou de leur abattage dans les fermes et les villages touchés. Quatorze autres épidémies ont été signalées cette année, principalement dans les Amériques.

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  19. En mars, la plus grande épidémie de grippe aviaire de l’histoire des États-Unis avait frappé l’industrie avicole américaine, entraînant la mort de millions de poulets, l’augmentation du prix des œufs, des pénuries d’approvisionnement et la décision de l’administration Biden d’envisager une vaccination de masse des volailles.

    Le virus a infecté des oiseaux sauvages et plus de 58 millions de poulets d’élevage dans 47 États, s’est transmis à des mammifères tels que les ratons laveurs et les ours, et pourrait muter et se propager à l’homme, soulevant le « spectre effrayant d’une pandémie humaine ».

    Bien que le virus H5N1 puisse provoquer chez l’homme une maladie grave avec un taux de mortalité élevé, selon l’OMS, seuls huit cas ont été signalés dans le monde entre décembre 2021 et juin 2023, l’infection étant principalement liée à un contact étroit avec des oiseaux infectés ou des environnements contaminés.

    Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déclaré que le risque pour l’homme était faible et que les chances d’une pandémie mondiale étaient faibles.

    Dans le passé, les grippes aviaires ont été à l’origine de certaines des pandémies les plus meurtrières au monde, selon les CDC. En 1957, une nouvelle grippe aviaire est apparue en Asie de l’Est, déclenchantla « Grippe asiatique »qui a tué environ 1,1 million de personnes dans le monde et 116 000 aux États-Unis. En 1968, une nouvelle grippe aviaire est apparue à Hong Kong et a provoquéla pandémie de la « Grippe de Hong Kong »,avec un million de personnes estimées mortes dans le monde et environ 100 000 aux États-Unis.

    La pandémie de grippe « espagnole » H1N1 de 1918-1919 a tué environ 50 à 100 millions de personnes dans le monde, un chiffre largement accepté et soutenu par les CDC, bien que des études récentes suggèrent que le nombre de morts, bien qu’important, a été inférieur à 25 millions. Le virus de la « grippe espagnole » n’a pas été isolé en 1918-1919, a déclaré les CDC, « mais lorsque la technologie a été disponible, la séquence génétique a été déterminée plus tard comme étant un virus H1N1 de type aviaire ».

    Il n’existe pas de solution miracle pour lutter contre la grippe
    À l’aide de l’outil d’édition de gènes CRISPR, les chercheurs ont pu modifier l’ADN des poulets et altérer le code génétique en ciblant un gène spécifique du poulet qui produit la protéine ANP32A, que la grippe aviaire détourne pour se répliquer.

    L’objectif était d’empêcher le virus de la grippe aviaire de s’emparer de la protéine ANP32A et de faire des copies de lui-même, empêchant ainsi le virus de se répliquer chez les poulets.

    Le groupe témoin de 10 poulets non génétiquement modifiés et le groupe de 10 poulets génétiquement modifiés ont tous deux été aspergés d’une dose de virus de la grippe aviaire dans leurs voies nasales. Les chercheurs ont utilisé une dose plus faible que celle du virus mortel H5N1 qui se propage dans le monde.

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  20. Tir de loisir : quelle arme choisir ?

    Connu également sous le nom de tir sportif, le tir de loisir est une pratique sportive apparue dans les années 1300 en France. Pour info, il avait été recommandé par Charles V pendant la guerre de Cent Ans au XIVème siècle. Aujourd’hui, cette discipline sécurisée et très encadrée compte de nombreux amateurs et s’avère même le 4ème sport individuel le plus pratiqué au monde. Elle est particulièrement conseillée aux individus désirant une meilleure gestion de leur stress.


    Par Partenaire
    le 3 novembre 2023 à 18h34


    Si vous aimez aussi le défi, ce sport vous est destiné. Découvrez dans ce guide toutes les informations pour dénicher le modèle ou la réplique parfaite pour pratiquer ce divertissement qui exige le dépassement de soi, la concentration, la persévérance, la précision et le calme.

    Quels sont les critères de choix d’une arme pour tir sportif ?
    Avant tout, il convient de savoir que le tir de loisir regroupe plusieurs disciplines. Et l’arme varie selon la discipline choisie. Ainsi, que vous souhaitiez pratiquer le tir au pistolet, le tir à la carabine ou encore le tir à l’arbalète, vous n’utiliserez pas la même arme, comme l’indique d'ailleurs clairement le nom de chaque discipline. Le choix de l’arme varie également selon le niveau d’expérience et la distance.

    Par exemple, un débutant qui veut pratiquer le tir au pistolet devra opter pour un pistolet à air comprimé à plomb adapté pour les cibles à moins de 10 mètres. Par contre, les personnes de niveau intermédiaire peuvent utiliser des pistolets de petit calibre comme le 22 LR (Long Rifle). Les balles de cette arme peuvent atteindre une cible positionnée à 50 mètres. Enfin, les tireurs expérimentés et de haut niveau devront privilégier les pistolets de grand calibre. Ce type d'arme a la particularité d’offrir des tirs à répétition pouvant atteindre des cibles sur une distance 300 mètres.

    Vous trouverez tous ces modèles dans l’armurerie loisir Wicked store à des prix défiants toute concurrence. Bénéficiant d’un service client impeccable, cette boutique en ligne propose les meilleures armes de tir sportif au calibre de votre choix. Vous devez également considérer le prix de l’arme pour tir sportif. On ne consacre pas tous le même budget pour une activité sportive.

    Par ailleurs, la maniabilité et le confort du tireur sont également des points à ne pas négliger pendant le choix. Certains individus sont plus performants avec des armes courtes et d’autres avec des armes longues. Identifiez donc le type d’arme avec lequel vous êtes le plus à l’aise.

    Quels équipements pour bien pratiquer le tir de loisir ?
    La pratique du tir sportif exige une grande dextérité. Par conséquent, il est crucial de bien s’équiper pour améliorer ses tirs. Outre donc le fait d’avoir une arme adaptée, il faudra se munir de certains accessoires. Cela va optimiser non seulement votre performance, mais aussi renforcer votre sécurité. Il s’agit entre autres :

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  21. des lunettes de protection ;
    un casque antibruit ou des bouchons d’oreilles ;
    des gants ;
    une tenue et des chaussures spécifiques qui assurent un confort maximal au tireur et une stabilité optimale ;
    des accessoires de visée notamment des viseurs, des lunettes de visée et des montages de visée, etc.

    Comment acquérir une arme de loisir ?
    Pour acheter une arme de loisir de qualité à un tarif attrayant, vous avez plusieurs solutions, mais la meilleure consiste à réaliser des recherches poussées sur la méta et de comparer les différentes propositions des armureries en ligne. Vous pourrez ainsi dénicher l’offre qui vous convient sans vous déranger. Il est aussi possible de se rendre directement dans les magasins spécialisés.

    https://www.economiematin.fr/tir-de-loisir-quelle-arme-choisir

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  22. Guerre mondiale contre la nourriture et la dissidence

    Agitation renouvelée des agriculteurs en Inde dans un contexte de répression de la liberté des médias


    Colin Todhunter
    31 octobre 2023 24


    Le gouvernement indien dirigé par le BJP cherche à se venger de la défaite humiliante qu’il a subie face aux agriculteurs dont l’agitation d’un an a conduit à l’abrogation de trois lois agricoles fin 2021.

    Cette affirmation a été faite lors d'une récente conférence de presse organisée à Delhi par le Samyukta Kisan Morcha (SKM) (Front uni des agriculteurs).

    Le SKM a été formé en novembre 2020 en tant que coalition de plus de 40 syndicats d’agriculteurs indiens pour coordonner la résistance non violente contre trois lois agricoles lancées deux mois auparavant.

    Affirmant que les lois violaient la constitution et étaient anti-agriculteurs et favorables aux grandes entreprises, le SKM a annoncé une nouvelle agitation et a exprimé sa profonde inquiétude quant à la répression du gouvernement contre la plateforme médiatique en ligne NewsClick, qui a soutenu les agriculteurs tout au long de leur lutte d'un an.

    Les personnes présentes ont entendu qu’il y avait eu « des allégations sans fondement, malhonnêtes et fausses dans le FIR Newsclick contre la lutte historique des agriculteurs » et que « le FIR accuse le mouvement paysan d’être antinational, financé par des forces étrangères et terroristes ».

    Un FIR est un « premier rapport d’information » : un document préparé par la police indienne lorsqu’elle reçoit des informations sur la commission d’une infraction « reconnaissable » (grave).

    La police de Delhi a émis un FIR contre le fondateur de NewsClick, Prabir Purkayastha, et le responsable des ressources humaines, Amit Chakravarty, qui en déduit que le mouvement paysan visait à arrêter la fourniture de biens essentiels aux citoyens et à créer des problèmes d'ordre public.

    Un article sur le portail Frontline du journal The Hindu décrit la nature du FIR, qui va bien au-delà de la question des agriculteurs, et conclut que les actions de la police et le FIR marquent un point bas majeur pour la liberté des médias en Inde.

    Selon Frontline, la police effectue des descentes dans les bureaux de NewsClick et dans les résidences de pratiquement toutes les personnes qui y sont associées ; la saisie aveugle des appareils électroniques des journalistes et autres employés ; la mise sous scellés du siège social du portail d’information ; l'arrestation de son fondateur-éditeur et de son responsable administratif pour des accusations liées au terrorisme ; et les perquisitions menées dans les locaux de NewsClick et au domicile de son fondateur-éditeur marquent le point le plus bas pour la liberté des médias en Inde depuis l'urgence de 1975-1977.

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  23. Le retrait du FIR contre Newsclick a été demandé lors de la conférence de presse. Des demandes ont également été formulées pour la libération immédiate des journalistes de NewsClick.

    Le SKM a déclaré que les agriculteurs de tout le pays brûleraient des copies du FIR le 6 novembre, après une campagne soutenue au niveau des villages contre les politiques pro-corporatives du gouvernement du 1er au 5 novembre.

    La coalition des agriculteurs s’est également engagée à faire campagne dans cinq États où se dérouleront les élections avec le slogan « Opposez-vous aux entreprises, punissez le BJP, sauvez le pays ».

    Un sit-in de 72 heures aura lieu devant les Raj Bhawans (résidences officielles des gouverneurs des États) dans les capitales des États entre le 26 et le 28 novembre.

    Le SKM affirme que le mouvement paysan était engagé et patriotique et qu'il a mené à bien le « plan néfaste » des trois lois agricoles visant à retirer le soutien gouvernemental à l'agriculture et à confier l'agriculture, les mandis (marchés agricoles de gros gérés par l'État) et la distribution publique de nourriture à des sociétés dirigées par Adani, Ambani, Tata, Cargill, Pepsi, Walmart, Bayer, Amazon et d'autres.

    Il ajoute que les agriculteurs ont dénoncé le plan soutenu par les entreprises visant à priver le peuple indien de la sécurité alimentaire, à paupériser les agriculteurs, à modifier les modèles de culture pour les adapter aux entreprises et à permettre la libre pénétration des sociétés étrangères sur le marché indien de la transformation alimentaire.

    Les personnes présentes ont également entendu parler des difficultés rencontrées par les agriculteurs au cours de l'agitation qui a duré un an :

    « Ce faisant, les agriculteurs ont bravé les canons à eau, les tirs de gaz lacrymogènes, les barrages routiers avec d'énormes conteneurs, les routes coupées profondément, les charges au lathi, le froid et la chaleur. En 13 mois, ils ont sacrifié 732 martyrs… C’était un mouvement patriotique de la plus haute qualité face à la répression d’un gouvernement fasciste au service des intérêts des exploiteurs impérialistes.

    L’investissement de l’État dans les infrastructures agricoles était nécessaire, ainsi que la promotion d’une agriculture rentable, la facilitation et la sécurisation de réseaux modernes de transformation alimentaire, de commercialisation et de consommation sous la propriété et le contrôle collectifs de coopératives de paysans et de travailleurs.

    Accusant le gouvernement d’agir au nom des intérêts des entreprises, un intervenant a déclaré qu’il avait ciblé Newsclick parce qu’il ne faisait que ce qu’un véritable média d’information aurait dû faire : rapporter la vérité, les problèmes des agriculteurs et la nature de la lutte.

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  24. Il a été affirmé que :

    Le gouvernement BJP utilise le ridicule FIR pour répandre le message selon lequel le mouvement paysan était anti-populaire, anti-national et soutenu par un financement du terrorisme acheminé via Newsclick. C’est factuellement faux et malicieusement inséré pour présenter le mouvement sous un mauvais jour et chercher à se venger de la défaite humiliante qu’il a subie aux mains des agriculteurs de notre pays.»

    La coalition des agriculteurs a fait valoir que le gouvernement était en train d’accuser faussement le mouvement paysan d’être financé et parrainé par des forces terroristes à l’étranger, alors qu’il « promeut l’IDE, les multinationales étrangères et les grandes entreprises dans l’agriculture ».

    La coalition affirme qu'elle reste déterminée à sauver l'économie rurale, à empêcher le pillage étranger et à rajeunir l'économie des villages afin de construire une Inde forte.

    Le livre électronique de l’auteur comprend un aperçu des lois agricoles et de la lutte des agriculteurs mentionnées ci-dessus et peut être consulté ci-dessous.

    https://off-guardian.org/2023/10/31/global-war-on-food-and-dissent/

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  25. "Faites attention à ce que vous souhaitez" - Musk prévient qu'"aucun emploi n'est nécessaire" dans l'avenir de l'IA "Magic Genie"


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 03 NOVEMBRE 2023 - 17H40
    Rédigé par Savannah Fortis via CoinTelegraph.com,


    Le sommet mondial du Royaume-Uni sur la sécurité de l'intelligence artificielle (IA), l'AI Safety Summit, s'est terminé le 2 novembre par une conversation en tête-à-tête entre le Premier ministre britannique Rishi Sunak et le milliardaire Elon Musk.

    Musk était l'un des nombreux grands noms présents au sommet, notamment les dirigeants d'OpenAI, Meta, Google et de sa division IA DeepMind, ainsi que des dirigeants de 27 pays. La conversation de près d’une heure entre Musk et Sunak a été l’un des principaux événements de la deuxième journée.

    Discussion sur l'IA avec @RishiSunak
    pic.twitter.com/f5FHGQzE4r
    – Elon Musk (@elonmusk) 2 novembre 2023

    Leur conversation a abordé tout, des risques liés à l’IA à la Chine, et s’est ouverte sur Elon Musk comparant la technologie émergente à un « génie magique ».

    « C’est un peu le problème du génie magique, où si vous avez un génie magique qui peut exaucer tous les vœux, généralement ces histoires ne se terminent pas bien. Fais attention à ce que tu souhaites."
    Tous deux ont mentionné que ces robots intelligents avaient besoin d’un « interrupteur » physique et ont établi des parallèles avec des films de science-fiction comme The Terminator.

    "Tous ces films avec la même intrigue se terminent tous par la personne qui l'éteint", a déclaré Sunak.

    Musk a commenté :

    « C’est à la fois du bon et du mauvais. L’un des défis du futur sera : comment trouver un sens à la vie si vous avez un génie magique qui peut faire tout ce que vous voulez ?
    Cette question a été évoquée après que les gouvernements et les sociétés d’IA soient parvenus à un accord pour soumettre les nouveaux modèles à des tests officiels avant leur publication publique, ce que Sunak a qualifié d’« accord historique ».

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  26. Interrogé sur l’impact de l’IA sur le marché du travail, Musk l’a qualifiée de « force la plus perturbatrice de l’histoire » et a déclaré que la technologie serait plus intelligente que l’humain le plus intelligent.

    « Il viendra un moment où aucun travail ne sera nécessaire. Vous pouvez avoir un travail si vous voulez avoir un travail pour votre satisfaction personnelle, mais l’IA sera capable de tout faire.
    "Je ne sais pas si cela met les gens à l'aise ou mal à l'aise", a conclu Musk.
    En outre, Musk a commenté l’inclusion de la Chine au sommet, affirmant que sa présence était « essentielle ». « S’ils ne participent pas, cela ne sert à rien », a-t-il déclaré.

    « Si les États-Unis, le Royaume-Uni et la Chine s’alignent sur la sécurité, ce sera une bonne chose car c’est généralement là que se situe le leadership. »
    Au cours de l’année écoulée, les États-Unis et la Chine se sont affrontés dans la course au développement et au déploiement des systèmes d’IA les plus avancés.

    Lorsque Sunak a demandé à Musk ce qu’il pensait que les gouvernements devraient faire pour atténuer les risques, Musk a répondu :

    « Je pense généralement qu'il est bon que le gouvernement joue un rôle lorsque la sécurité publique est en danger ; pour la grande majorité des logiciels, la sécurité publique n’est pas menacée. Mais lorsque nous parlons de super intelligence numérique, qui présente un risque pour le public, le gouvernement a alors un rôle à jouer pour protéger le public.

    Il a déclaré que même si certains dans la Silicon Valley pensent que cela écraserait l’innovation et la ralentirait, Musk a assuré que la réglementation serait « ennuyeuse », mais avoir ce qu’il a appelé un « arbitre » serait une bonne chose.

    "Le gouvernement doit jouer un rôle d'arbitre pour garantir une conduite sportive et la sécurité publique, car je pense parfois qu'il y a trop d'optimisme à l'égard de la technologie."
    Depuis l’émergence rapide de l’IA dans le courant dominant, les gouvernements du monde entier se sont empressés de trouver des solutions appropriées pour réglementer cette technologie.

    Musk a publié sur X, anciennement Twitter, le 3 novembre, que son « xAI » diffuserait sa première IA à un « groupe sélectionné ». Il a affirmé que, à certains égards « importants », il pourrait être le « meilleur » actuellement sur le marché.

    https://www.zerohedge.com/technology/be-careful-what-you-wish-musk-warns-no-jobs-needed-future-ai-magic-genie

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  27. Près de 2 milliards de personnes dans le monde ne considèrent pas le changement climatique comme une menace


    Photo de Tyler Durden
    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 16H05


    Le changement climatique représente un défi mondial important. Cela provoque (prétendument) des conditions météorologiques extrêmes, des dégâts aux cultures et une élévation du niveau de la mer. Cependant, tout le monde n’y voit pas une menace.

    Pour ce graphique, Alan Kennedy et Sabrina Fortin de Visual Capitalist se sont associés à la Lloyd's Register Foundation pour explorer l'un de leurs rapports les plus récents, World Risk Poll 2021 : A Changed World ? Et explorez les données pour comprendre pourquoi de nombreuses personnes dans le monde ne sont pas sûres que le changement climatique constitue une menace.

    - voir cadre sur site -

    Sommes-nous unis ou divisés ?

    Dans le cadre du World Risk Poll 2021, la Lloyd’s Register Foundation s’est associée à Gallup et a interrogé 125 911 personnes dans 121 pays.

    Ils ont demandé si le changement climatique menacerait, menacerait quelque peu ou ne menacerait pas leur pays au cours des 20 prochaines années. Ces pays ont été classés en fonction du nombre total de personnes interrogées qui considèrent le changement climatique comme une menace, d'une manière ou d'une autre.

    90 % des personnes interrogées en Europe du Nord et de l’Ouest considèrent le changement climatique comme une menace. Il n’est donc pas surprenant que de nombreux pays comptant le pourcentage le plus élevé de personnes considérant le changement climatique comme une menace soient européens.

    Classer le pays Considérer comme une menace Ne pas considérer comme une menace

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  28. 1 🇮🇹 Italie 95,4% 4,6%
    2 🇨🇭 Suisse 95,3% 4,7%
    3 🇪🇸 Espagne 93,7% 6,3%
    4 🇨🇱 Chili 93,5% 6,5%
    5 🇬🇷 Grèce 92,6% 7,4%
    6 🇯🇵 Japon 92,5% 7,5%
    7 🇫🇷France 92,3% 7,7%
    8 🇵🇹Portugal 92,3% 7,7%
    9 🇰🇷 Corée du Sud 91,6% 8,4%
    10 🇩🇪 Allemagne 91,3% 8,7%

    Parallèlement, le pourcentage le plus élevé de personnes considérant le changement climatique comme une non-menace vit dans des économies en développement ou non occidentales. Voici les 10 derniers pays couverts par le rapport.

    Classer le pays Considérer comme une menace Ne pas considérer comme une menace

    112 🇲🇲 Birmanie 54,0% 46,0%
    113 🇨🇳 Chine 53,7% 46,3%
    114 🇮🇩 Indonésie 53,4% 46,6%
    115 🇲🇿Mozambique 48,9% 51,1%
    116 🇲🇦 Maroc 48,7% 51,3%
    117 🇦🇪 Émirats arabes unis 48,6% 51,4%
    119 🇪🇬 Egypte 47,8% 52,2%
    119 🇯🇴 Jordanie 46,6% 53,4%
    120 🇱🇦Laos 37,5% 62,5%
    121 🇸🇦 Arabie Saoudite 30,9% 69,1%

    Enseigner au monde le changement climatique
    L’éducation est essentielle pour façonner le sentiment d’un individu à l’égard du changement climatique, et pas seulement en termes de nationalité. Les données indiquent qu’à mesure que le niveau d’éducation augmente, la compréhension du changement climatique en tant que menace augmente également.

    Considérer comme une menace Ne pas considérer comme une menace
    Enseignement primaire (0-8 ans) 55% 45%
    Enseignement secondaire (9-15 ans) 75% 25%
    Éducation postsecondaire (16 ans et plus) 81 % 19 %
    Un monde de risques
    Même si 75 % de la population mondiale considère le changement climatique comme une menace pour leur pays au cours des 20 prochaines années, près de 2 milliards de personnes dans le monde ne le pensent toujours pas.

    La Fondation Lloyd’s Register a créé le World Risk Poll 2021 pour permettre une meilleure compréhension des risques auxquels sont confrontés les citoyens ordinaires et ne couvre pas seulement le changement climatique.

    Le World Risk Poll 2021 offre également un aperçu de notre sentiment à l’égard de l’IA, de la sécurité sur le lieu de travail et de la résilience financière.

    https://www.zerohedge.com/weather/nearly-2-billion-people-world-dont-see-climate-change-threat

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    Réponses
    1. (...) 90 % des personnes interrogées en Europe du Nord et de l’Ouest considèrent le changement climatique comme une menace. (...)

      Sondage d'opinion réalisé dans les couloir des bureaux de la dictature.

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  29. La langue la plus parlée dans tous les États américains (outre l'anglais et l'espagnol)


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 04 NOVEMBRE 2023 - 04:20


    Alors que 78 % des Américains parlent uniquement l’anglais à la maison, on trouve entre 350 et 430 langues aux États-Unis.

    L'espagnol est la deuxième langue la plus parlée, parlée dans 62 % des foyers non anglophones.

    Dans ce graphique, Bruno Venditti et WordFinderX de Visual Capitalist ont utilisé les données du recensement pour découvrir les langues les plus parlées (outre l'anglais et l'espagnol) dans les quartiers américains.

    - voir cadre sur site -

    L'allemand est la langue la plus parlée dans 13 États

    Au milieu du XVIIIe siècle, les immigrants allemands ont joué un rôle important dans la société américaine. Ils constituaient un tiers de la population des colonies américaines, se classant au deuxième rang en nombre seulement derrière les Anglais.

    En conséquence, l’allemand est désormais la troisième langue la plus répandue dans 13 États, avec plus de 40 millions d’Américains revendiquant une ascendance allemande.

    Langue la plus parlée de l'État (outre l'anglais et l'espagnol)

    Langues aléoutes de l'Alaska
    Allemand d'Alabama
    Allemand de l'Arkansas
    Navajo de l'Arizona
    Chinois de Californie
    Allemand du Colorado
    Portugais du Connecticut
    District de Columbia français
    Chinois du Delaware
    Haïtien de Floride
    Géorgie coréen
    Japonais d'Hawaï
    Arabe de l'Iowa
    Allemand de l'Idaho
    Polonais de l'Illinois
    Allemand de l'Indiana
    Chinois du Kansas
    Allemand du Kentucky
    Français de Louisiane
    Portugais du Massachusetts
    Français du Maryland
    Français du Maine
    Arabe du Michigan
    Hmong du Minnesota
    Allemand du Missouri
    Vietnamien du Mississippi
    Montana allemand
    Français de Caroline du Nord
    Allemand du Dakota du Nord
    Allemand du Nebraska
    Français du New Hampshire
    Portugais du New Jersey
    Navajo du Nouveau-Mexique
    Tagalog du Nevada
    Chinois de New York
    Arabe de l'Ohio
    Vietnamien d'Oklahoma
    Russe de l'Oregon
    Chinois de Pennsylvanie
    Portugais du Rhode Island
    Français de Caroline du Sud
    Langues du Dakota du Sud
    Arabe du Tennessee
    Vietnamien du Texas
    Portugais de l'Utah
    Virginie coréen
    Français du Vermont
    Chinois de Washington
    Allemand du Wisconsin
    Allemand de Virginie-Occidentale
    Allemand du Wyoming

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  30. De l’aide militaire au soutien idéologique, la France a joué un rôle central dans le succès de la Révolution américaine. Plus de deux siècles plus tard, environ 9,4 millions de personnes aux États-Unis revendiquent une ascendance française ou canadienne-française.

    Dans le Midwest, le français est la langue la plus parlée (après l'anglais et l'espagnol) dans quatre grandes villes.

    - voir cadre sur site -

    Dans la plus grande ville du Midwest, Chicago, le polonais est la troisième langue parlée.

    Les langues asiatiques dans l’Ouest américain
    L'Ouest américain abrite 45 % de tous les Asiatiques des États-Unis, ce qui fait des langues asiatiques les plus parlées dans de nombreuses villes, après l'anglais et l'espagnol.

    Le tagalog est la langue la plus parlée dans neuf villes, allant d'Anchorage, en Alaska, où la moitié de la communauté asiatique locale est philippine, à Las Vegas, dans le Nevada, qui abrite l'une des plus grandes communautés philippino-américaines du pays.

    - voir cadre sur site -

    Le chinois domine en Californie et à Washington, tandis que le japonais est la troisième langue la plus répandue à Hawaï.

    Les langues les plus parlées à New York

    À la fin des années 1800, des gens du monde entier ont choisi d’émigrer aux États-Unis, abandonnant leur foyer en raison de mauvaises récoltes, de pénuries de terres et d’emplois, de hausses d’impôts et de famine. Beaucoup considéraient également les États-Unis comme une terre d’opportunités économiques.

    Plus de 70 % de tous les immigrants sont entrés par la ville de New York, connue sous le nom de « Porte dorée ».

    - voir cadre sur site -

    En conséquence, la ville présente aujourd’hui un mélange éclectique de langues.

    Alors que de nombreuses langues prospèrent à travers l’Amérique, certaines sont menacées d’extinction imminente. Ceux-ci incluent des dialectes régionaux rares, comme le français Pawpaw au Minnesota, et des langues autochtones.

    Selon le Congrès national des Indiens d'Amérique, toutes les langues amérindiennes survivantes sont gravement menacées, avec plus de 90 % d'entre elles menacées d'extinction d'ici 2050.

    Diverses initiatives, notamment l'exploitation de la technologie, ont été proposées pour assurer la préservation des diverses cultures et langues aux États-Unis.

    https://www.zerohedge.com/political/most-spoken-language-every-us-state-besides-english-spanish

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  31. La diminution des stocks de café Arabica ICE atteint son plus bas niveau depuis 24 ans


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 03 NOVEMBRE 2023 - 23H00


    Les contrats à terme sur le café Arabica connaissent un essor alors que les chiffres les plus récents des stocks de café Arabica surveillés par l'ICE sont tombés à leur plus bas niveau depuis 24 ans. Cela survient après que l'Organisation internationale du café (OIC) ait averti il y a quelques mois que les réserves mondiales de café diminuaient.

    Les stocks de haricots de qualité supérieure détenus dans des entrepôts surveillés par les changes sont tombés à 380 033 sacs mercredi, le plus bas depuis mai 1999.

    - voir graph sur site -

    Les prix à terme du café arabica en décembre ont augmenté jusqu'à 4 % et pourraient être préparés pour une hausse beaucoup plus élevée à mesure que les stocks mondiaux se resserrent.

    - voir graph sur site -

    John Goodwin, analyste principal des matières premières chez ArrowStream, a déclaré à Bloomberg que le resserrement de l'offre contribue aux perspectives globalement haussières du haricot. Malgré les récentes précipitations au Brésil qui pourraient être favorables à la récolte de café, il a déclaré qu'il semble « bien trop tôt » pour effectuer des échanges basés sur les précipitations, citant « encore trop de points d'interrogation en provenance du Brésil et de la Colombie pour que je puisse croire à ce récent rallye ». est déjà fini.

    Selon un rapport de l'OIC du 14 septembre, les exportations mondiales de café d'octobre à juillet ont diminué de 5,7% à 103,736 millions de sacs.

    Les amateurs de petit-déjeuner surveillent l’évolution de la situation de l’offre dans l’espace café. De nombreuses personnes sont déjà pressées après que les prix du jus d’orange ont atteint des niveaux records.

    https://www.zerohedge.com/commodities/dwindling-ice-arabica-coffee-inventories-hit-24-year-low

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  32. Où avez-vous le plus de chance de rencontrer un milliardaire ?

    Les milliardaires : ces figures emblématiques de la richesse et du succès ont leurs préférences en termes de résidence. Leur choix impacte non seulement l’économie locale mais aussi l’image internationale des villes qu’ils élisent.


    Par Rédaction
    le 4 novembre 2023 à 12h00


    New-York, le nid doré des milliardaires

    Au sommet du classement, New-York se démarque avec 101 milliardaires, regroupant une fortune totale de 616,8 milliards de dollars. « La Grosse Pomme » n'est pas seulement une métropole culturelle, c'est aussi l'un des centres financiers les plus importants du monde. Malgré la perte de six milliardaires l'année dernière, la ville maintient son statut de leader, fortifiée par sa capacité à attirer les plus grandes fortunes du monde.

    Hong Kong, grâce à deux nouveaux milliardaires, s'érige en deuxième position de ce classement. La ville est riche de 286,8 milliards de dollars en fortunes cumulées, avec en tête des Hommes les plus riches de cette ville : Li Ka-shing, d'une richesse de 38 milliards de dollars. Cette ascension reflète une adaptabilité et une résilience face aux dynamiques géopolitiques et économiques.

    Les capitales asiatiques en mouvement

    Pékin, avec ses 68 milliardaires et une fortune globale de 247,2 milliards de dollars, est passé de la deuxième à la troisième place. Zhang Yiming, fondateur de ByteDance, reste l'homme le plus riche malgré une diminution de sa fortune.

    Shanghai, cependant, démontre une tendance inverse, en accueillant quatre nouveaux milliardaires, poussant sa fortune totale à 181,9 milliards de dollars. Cette progression souligne l'attrait croissant de Shanghai comme centre d'innovation et de finance, tirant parti de son environnement dynamique et de ses opportunités entrepreneuriales.

    La Russie et l'Inde : des fortunes contrastées

    Moscou a également vu son nombre de fortunes augmenter, atteignant 61 milliardaires, avec une richesse cumulée de 307,1 milliards de dollars. Cette augmentation, malgré les sanctions internationales, démontre une résilience et une adaptation de l'économie russe.

    Quant à l'Inde, elle profite de son centre économique : Mumbai se hisse à la septième position grâce à l'arrivée de cinq milliardaires. La ville abrite désormais une fortune totale de 276,4 milliards de dollars, dominée par Mukesh Ambani et sa fortune colossale de 83,4 milliards de dollars.

    Un monde de milliardaires, un reflet de dynamiques globales

    Ces tendances dans les résidences des fortunes mondiales ne sont pas de simples données chiffrées ; elles reflètent des changements géopolitiques, des évolutions économiques, et des mutations culturelles. New-York continue de régner, mais l'ascension de Hong Kong et de Shanghai, ainsi que la résilience de Moscou et l'émergence de Mumbai, témoignent d'un monde en constante évolution, où les centres de pouvoir et de richesse se redistribuent. Les choix résidentiels de ces magnats financiers sont un baromètre des dynamiques mondiales, indiquant non seulement où l'argent dort, mais aussi où il se déplace et se multiplie.

    https://www.economiematin.fr/milliardaires-ville-fortune-amerique-asie

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  33. La dictature financière change la conscience humaine


    Par Jaras Valiukėnas
    Recherche mondiale,
    4 novembre 2023


    Le sujet de cet article est clé dans le développement de notre civilisation, ou plutôt dans son anti-développement. À mon avis, l'humanité est en déclin, je considère inappropriés tous les discours sur les réalisations de la science moderne, la science n'a pas réussi à pénétrer dans la nature de ses propres découvertes fondamentales, qui sont en effet nombreuses, et de nombreux scientifiques célèbres parlent directement à ce sujet.

    La plupart des progrès scientifiques modernes visent à détruire les humains, au service du secteur militaro-industriel de l’économie. Quant à l’évolution de la conscience humaine, à cet égard, les choses ne vont pas mieux ; sa dégradation croissante est une évidence. Il est très difficile de dire exactement quand notre développement a pris la mauvaise direction ; l’histoire est constamment réécrite ou complètement détruite. Mais un fait reste évident et il sera abordé dans cette publication.

    Le problème que personne ne veut remarquer

    Un peu plus de 30 ans se sont écoulés depuis l'effondrement de l'URSS, pendant ce court laps de temps le monde a changé au point de devenir méconnaissable, il ressemble de plus en plus à un immense marché géré par des commerçants, dans ce monde il n'y a qu'une seule règle : tout doit rapporter du profit. ! Même la mort de personnes est envisagée dans la perspective d’un profit matériel.

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  34. En observant les changements qui s'opèrent chez les gens dans la société dite civilisée, je n'ai guère de doute aujourd'hui qu'une personne dotée de raison, initialement créée à l'image et à la ressemblance de son Créateur, étant sous l'influence de ses propres passions et émotions matérielles, se transforme peu à peu en son contraire. Je ne parle pas d'exceptions individuelles, dont le nombre augmente sensiblement, je parle de la tendance générale du développement de l'ensemble du monde dit civilisé. Combien de temps un monde comme celui-ci peut-il durer ?

    Vue sur le problème
    Je ne suis pas moi-même historien, et encore moins économiste, je vais donc présenter ma vision de ce qui se passe en me basant sur ma propre expérience.

    Le modèle de marché, comme le système capitaliste lui-même dans son ensemble, ne contredit pas la nature biologique de l’homme, il en est le reflet. Cela explique sa résilience et sa capacité à s'adapter à diverses circonstances. Le danger du développement instinctif de la civilisation réside dans la méconnaissance des conséquences, tant pour l'homme lui-même que pour la nature environnante. Nous voyons déjà ce qu'une personne devient sous l'influence de ses propres passions et émotions, la même chose se produit avec l'économie, la sphère sociale et la politique.

    Avec l’influence croissante des mécanismes de marché, l’humanité a naturellement été confrontée à un déclin de l’influence des décisions raisonnables dans toutes les sphères de son existence ; c'est la loi de la nature.

    Seul un aveugle peut ne pas remarquer comment diverses personnalités politiques, sous l'influence des lois du marché, deviennent des gestionnaires commerciaux primitifs dont la tâche est de servir les intérêts du grand capital .

    Les quelques politiciens qui se rendent compte de la dépravation du système ne prendront pas le risque d’y changer quoi que ce soit ; ils en sont depuis longtemps les otages. Il convient de noter la déclaration du Président du Kazakhstan à cet égard. Le chef de l'Etat, Kassym-Jomart Tokayev , a fait un aveu franc :

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  35. « Si tel ou tel fonctionnaire a commis un délit de corruption par erreur, sans intention malveillante, alors la responsabilité pénale ne devrait pas être appliquée à ce fonctionnaire. Sinon, nous paralyserons l’appareil d’État. »

    Tokaïev a involontairement admis que la corruption faisait partie intégrante du système.

    Je vais le dire avec mes propres mots :

    « La lutte contre la corruption et d'autres vices au sein du système existant ne signifie pas du tout que le système deviendra plus efficace et plus équitable, le système cessera simplement d'exister. Tout comme tout organisme biologique privé de ses instincts fondamentaux cessera d’exister.

    Le système établi est un organisme vivant qui, ayant atteint la limite de sa croissance, commence à se dévorer.

    Je compare toujours le modèle de marché moderne, ou plutôt sa dépendance à l'égard de la croissance des profits matériels, à la dépendance d'une personne à l'égard d'une drogue dure, dont elle doit involontairement augmenter la dose. Ce processus ne dure pas longtemps, sept à dix ans maximum, suivis de la mort par overdose (crise économique, guerre). Si vous laissez la dose du médicament la même, le toxicomane ne recevra plus un regain d'énergie, il se débarrassera seulement du syndrome douloureux (récession, dégradation, mort lente).

    Le système capitaliste est comme un toxicomane de longue date qui sent que la prochaine augmentation de dose de drogue sera peut-être la dernière, mais il n'est plus capable de s'arrêter.

    La guerre et le sang humain sont pour lui une drogue, et le complexe militaro-industriel est son âme.

    L'instinct animal pousse un toxicomane aux actes les plus imprudents ; il n'y a qu'une seule pensée dans sa tête : tu meurs aujourd'hui et je mourrai demain.

    Seule la militarisation de l’économie peut soutenir sa croissance économique, et donc prolonger la durée de vie du système, ne serait-ce que pour une courte période. En pratique, cela signifie une nouvelle augmentation des conflits militaires et des incitations à la haine entre les peuples.

    Il n’est plus possible de cacher les conséquences d’une politique insensée ; diverses sanctions économiques, génocides et terreur, explosions de gazoducs, guerres sanglantes, pandémies artificielles, intensification délibérée de la haine entre les peuples et bien plus encore, donnent toutes les raisons de croire que la période de développement inconscient de la civilisation est terminée.

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  36. La conscience est le champ de bataille de l'avenir de l'humanité

    Dans le monde moderne, d’énormes sommes d’argent sont allouées à la propagande ; Les positions dirigeantes dans cette direction appartiennent jusqu’à présent aux pays capitalistes occidentaux. La lutte pour la conscience est un processus biologique naturel pour la bourgeoisie. L'efficacité de leur propagande, comme celle du système dans son ensemble, repose sur les faiblesses de la nature physique de l'homme, de ses passions et de ses instincts innés, qui à leur tour, sans ressentir aucune résistance interne sérieuse, pénètrent facilement dans la conscience et finissent par la subjuguer. Le conflit en Ukraine a montré dans la pratique la possibilité de manipuler la conscience publique, en contrôlant laquelle on peut se faire des ennemis même des personnes liées par le sang.

    Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui tentent de retrouver les responsables de la renaissance de la haine envers tout ce qui est russe en Ukraine, dans les pays baltes, en Asie centrale et en Occident en général. Personne ne pense même au fait que cela n’aurait tout simplement pas pu se produire autrement. Tout était prévisible, la nature ne tolère pas le vide, après avoir débarrassé la conscience des gens de l'idéologie des valeurs humaines universelles, le vide s'est immédiatement rempli de « valeurs » opposées, avec lesquelles l'idéologie de la haine et de l'inimitié entre les peuples est directement liée.

    La nature de la conscience

    La conscience humaine, malgré le secret de sa nature caché aux hommes, est de la plus haute importance ; selon de nombreux scientifiques célèbres, la conscience est capable de changer la réalité environnante. C’est peut-être pour cela qu’il y a une lutte acharnée pour influencer son influence. Des expériences scientifiques dans ce sens ont été menées dans les années 60 du siècle dernier ; l'un des premiers leaders dans l'étude de l'influence de la conscience sur l'environnement fut le professeur William A. Tiller. Les scientifiques soviétiques ont également parlé de l'impact de l'énergie subtile sur le monde environnant, reliant directement l'énergie libérée par l'homme aux catastrophes naturelles. Après avoir effectué de nombreuses années d'observations scientifiques minutieuses, d'éminents scientifiques russes – les géophysiciens Alexeï Dmitriev et Igor Yanitsky et leurs collègues sont arrivés à la conclusion que l'énergie mentale humaine, influençant activement le champ géomagnétique, affecte également le champ électrique de la Terre et, par conséquent, tout processus terrestres.

    Notre planète est vivante selon des personnages célèbres comme Goethe, Chardin, Vernadsky et d'autres, ce qui signifie que les tensions sociales dans la conscience mondiale pourraient bien provoquer des catastrophes naturelles.

    La terre ne peut plus résister à la tension générée par le chaos croissant dans la conscience humaine. Le physicien scientifique David Bohm soutient que si dix personnes, une centaine ou plus pouvaient former un tout, alors le pouvoir de leur influence serait plusieurs fois supérieur à celui d'une seule personne, et ainsi l'éveil de la conscience de toute l'humanité deviendrait possible.

    Faites attention à un fait important : dans tous les États dits démocratiques, toute idéologie capable d’unir les peuples est interdite.

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  37. Toutes les tentatives des mondialistes pour changer la nature humaine ne feront qu’accélérer tous les processus destructeurs.

    Ceux qui n’ont pas encore perdu le contact avec le mental ressentent cette accélération depuis de nombreuses années. Il est impossible de soumettre complètement la conscience de masse des gens et de la contrôler ; il faut d’abord soumettre toute la nature environnante, l’homme et la nature ne font qu’un. L'augmentation des incendies de forêt, des sécheresses, des inondations et des tremblements de terre, la croissance de diverses maladies, virus et bien plus encore, sont en grande partie le résultat de la croissance des émotions négatives dans l'esprit humain, qui, de par sa nature, est conçu pour façonner le monde qui nous entoure. .

    L'homme, contrairement aux autres créatures biologiques, est doté, en plus d'être un animal, d'un principe créateur, ce qui signifie qu'il est capable non seulement de détruire, mais aussi de créer comme son Créateur. Il est difficile de combiner dans une seule enveloppe corporelle à la fois les principes créatifs et animaux, dont chacun mène une lutte continue pour le « je » conscient, pour la conscience de chacun de nous. Ce n'est pas un hasard si la philosophie ancienne prétend que la victoire sur soi est la principale victoire et le sens de la vie humaine sur terre. Cette victoire est impossible sans une conscience de soi et un sentiment d’unité avec la nature environnante. Quant au système dans son ensemble, il faut comprendre qu’il ne fait que refléter l’état moral de la société. « Dans une société morale, il ne peut y avoir d'économie immorale. » J'ai entendu cette affirmation à l'époque soviétique et maintenant je suis entièrement d'accord avec elle.

    Conclusion

    L'homme et la nature qui l'entoure forment un tout, nos ancêtres le savaient très bien, vivant avec elle en parfaite harmonie. Le fait que tout dans notre monde soit interconnecté est confirmé par la science quantique. Il n'est pas du tout nécessaire d'être un scientifique pour voir l'évidence, il suffit de regarder une carte de la planète, qui, plus ou moins, est recouverte à 70 % d'eau, les 30 % restants sont de la terre, le corps humain est constitué de 78 % d'eau et 22 % d'éléments terrestres. C'est peut-être une coïncidence, penseront beaucoup, mais pour une raison quelconque, je ne le pense pas. Toute matière biologique vivante, de par sa nature, est une continuation de la terre, et la terre est une continuation du ciel. Le corps physique de chacun de nous deviendra avec le temps une partie de la terre, l'eau, ayant changé ses propriétés, montera dans le ciel, se purifiera et se déversera à nouveau sur la terre avec de la pluie, remplissant la nature environnante de vie. Il s’agit du même processus éternel de « semer et récolter » dont parlait le christ à son époque. Comment pouvons-nous sortir de ce cycle fermé de notre nature physique et prendre conscience du sens de notre vie dans ce monde ?

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  38. La période soviétique, malgré ses nombreuses erreurs, nous a donné une leçon importante que nous devons comprendre en profondeur et en tirer nous-mêmes des conclusions. Pour moi personnellement, cette période m'a ouvert les yeux sur toutes les forces et faiblesses de la nature humaine, cela ressemblait au début du réveil d'un rêve, juste avant le début de l'aube.

    Quant au pouvoir de l'argent et à la dépendance de l'humanité à son égard, le chef du clan Rothschild a répondu très directement à cette question : « Il suffit aux gens d'arrêter d'adorer le « Veau d'Or » et cette dépendance disparaîtra.

    *

    Jaras Valiukėnas analyse les processus géopolitiques en cours depuis le début des années 2000. Né au Kazakhstan en 1959 dans une famille de personnes réprimées, son père était originaire de Lituanie et sa mère de Russie. Vit actuellement en Lituanie, est un opposant à la mondialisation, publie dans divers médias et travaille à la création de vidéos documentaires.

    https://www.globalresearch.ca/financial-dictatorship-changes-human-consciousness/5838512

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    1. La dépravation de la dictature qui dirige le monde porte un coup certain au nombre de surdoués en augmentation gigantesque (aujourd'hui freinée par l'IA). Mais, s'il n'en subsiste qu'un...

      Au lieu de se servir de cette manne exponentielle de cerveaux bien évolués, les dirigeants (au premier plan et les autres cachés) ont choisi de faire 'table rase' de l'évolution et de ses progrès qui les dépassent.

      L''existence' est à reconstruire !!

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  39. Un camp sans monde extérieur – The Great Reset


    5 novembre 2023
    de Thomas Oysmüller


    Le monde devrait devenir un camp. Ce serait l’objectif après la Grande Réinitialisation, explique le chercheur Simon Elmer. Il résume également la position du Royaume-Uni en matière d’identité numérique.

    Giorgio Agamben, qui s'intéresse à la biopolitique comme mécanisme élémentaire de pouvoir depuis de nombreuses décennies, a déclaré dans son livre Home Sacer de 1995 : « Aujourd'hui, ce n'est pas la ville, mais le camp qui est le paradigme biopolitique fondamental de l'Occident. » Un camp sans monde extérieur », estime le Britannique Simon Elmer, chercheur en biosécurité et nouveau fascisme, résumant le monde qui se met actuellement en place.

    L'entrepôt sans barrières

    Le Off-Guardian a publié samedi un article d'Elmer destiné à vulgariser ses travaux récents. Le livre s'intitule The Great Reset: Biopolitics in Stakeholder Capitalism . Le livre, qui vient de paraître, n'est pas encore traduit.

    La porte d’entrée vers le nouveau « camp sans monde extérieur » est « l’identité numérique », qui est introduite particulièrement rapidement en Autriche via ID Autriche. TKP en parle de manière intensive et l'identité numérique est également annoncée publiquement avec audace - sans grand chose à cacher. Elmer le voit ainsi : « On parle depuis un certain temps d'une certaine forme d'identité numérique et bien que tout le monde semble savoir de quoi il s'agit, il ne semble pas y avoir beaucoup de résistance à son introduction au Royaume-Uni, ce qui, à mon avis, suggère qu'en réalité nous ne les comprenons pas du tout.

    Mais nous savons déjà à quel point l’identité numérique impose à la société une toute nouvelle qualité de contrôle biopolitique. La technologie est là et fonctionnelle. Le Green Pass a brièvement ordonné le monde – du moins c’est ainsi que les politiciens l’auraient souhaité : vert pour un accès gratuit ; jaune en cas d'accès restreint ou uniquement sous réserve de preuves supplémentaires (par exemple un test PCR) ; Et rouge.

    Pendant le Covid, l’accès aux installations était encore restreint par le rouge. Mais selon les futurs camps planétaires d'Elmer, cela peut aller bien plus loin : celui qui apparaîtra en rouge se verra interdire "d'obtenir un prêt bancaire, d'accéder à son propre compte bancaire, d'utiliser les transports en commun, de se déplacer entre les différentes zones d'une ville, ou encore de quitter son domicile". sa propre maison".

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  40. Et tout comme en Chine, le système de crédit social, qui s’appuie sur l’identité numérique pour son application, ne se limitera pas aux individus mais s’appliquera à la fois aux entreprises privées et aux entités financées par des fonds publics. Les gestionnaires d'actifs américains comme BlackRock, par exemple, ont clairement indiqué que le respect des comportements inscrits dans les objectifs de développement durable des Nations Unies et les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance d'entreprise par lesquels ils sont appliqués sont désormais une condition d'emploi, selon les banques. les prêts, investissements et autres aspects de l'activité commerciale préalablement déterminés par les lois du travail et commerciales d'un État souverain ; et le contrôle et le respect de ces nouvelles normes augmenteront de façon exponentielle à mesure que les systèmes d’identité numérique se développeront et se développeront dans le monde entier.

    Cette application des exigences biopolitiques de citoyenneté en dehors du cadre juridique des États-nations ou du droit international est cohérente avec la manière dont le NHS COVID Pass a été déployé au Royaume-Uni pendant le confinement de deux ans. La décision d’exiger ce passeport a été prise par le gouvernement britannique, mais elle n’était pas exigée par la législation, y compris dans les réglementations quotidiennes justifiées par le coronavirus qui ont été adoptées. La responsabilité de faire respecter le passeport COVID a plutôt été transférée au secteur privé. Bien qu'on nous ait promis un instrument réglementaire transformant cette exigence en loi, je crois que le système d'identité numérique du Royaume-Uni sera finalement confié aux entreprises britanniques, tant publiques que privées, où il deviendra une condition pour l'emploi et les habitudes des deux. les employeurs et ceux qui font du commerce avec leurs entreprises et leur prêtent.

    Selon Elmar, de nouvelles « normes » sont en train d’être établies qui, une fois appliquées, sont encore plus difficiles à remettre en question. C’est – avec Foucault – le « but du biopouvoir ».

    Le camp sans monde extérieur devient alors tout à fait normal, n’est pas du tout une dystopie, mais simplement « l’ordre des choses ».

    https://tkp.at/2023/11/05/ein-lager-ohne-aussenwelt-der-great-reset/

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    1. (...) celui qui apparaîtra en rouge se verra interdire "d'obtenir un prêt bancaire, d'accéder à son propre compte bancaire, d'utiliser les transports en commun, de se déplacer entre les différentes zones d'une ville, ou encore de quitter son domicile". sa propre maison". (...)

      A conditions que l'individu soit préalablement inoculé du poison 'cocovide19'.

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  41. Pourquoi l’innovation ne peut être planifiée : l’histoire du transistor

    La découverte du transistor a changé le visage de la technologie moderne. Mais comment un simple composant peut-il être à la base d’une révolution aussi profonde que celle de l’informatique ?


    le 5 novembre 2023
    François Jolain


    L’innovation ne peut guère être planifiée, encore moins par un État. Par exemple, une simple amélioration sur les radios a permis l’essor de toute l’électronique et de l’informatique.

    Le long parcours du transistor

    L’étude de l’électricité a rangé les matériaux selon leur résistance au courant. Ceux qui ont une résistance basse sont des conducteurs comme le cuivre, ils laissent passer l’électricité. Ceux qui ont une résistance élevée seront des isolants, comme le caoutchouc.

    Cependant, on remarque que dans certains cas cette résistance est pilotable.

    En 1833, Faraday s’est rendu compte que la résistance d’un métal décroît avec la température. Edwin Hall découvrit l’effet Hall en 1879 : la résistance d’un métal change en fonction du champ magnétique.

    En 1904, John Ambrose Fleming invente le premier tube à vide. Cet appareil permet d’amplifier un courant. Autrement dit, un courant de puissance faible peut faire varier la résistance d’un composant dans lequel circule un courant fort.

    La possibilité qu’un faible courant pilote un plus gros courant est la clé de voûte de la radio-télécommunication. Une radio capte un signal électromagnétique dans l’air et doit l’amplifier pour l’utiliser dans un haut-parleur. Le tube à vide est l’élément clé entre l’antenne et le haut-parleur de la radio.

    En 1947, des chercheurs américains découvrent les propriétés semi-conductrices du silicium pour fabriquer le premier transistor. Un transistor est un amplificateur de courant comme le tube à vide, mais plus simple, plus fiable, plus petit, et moins coûteux. Il remplaça le tube à vide dans les radios et radars.

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  42. La force vient du nombre

    Le transistor de 1947 ne mesure que quelques millimètres, et ses transitions d’états sont presque instantanées. Aussi une propriété mathématique devient intéressante.

    Un transistor reçoit la puissance à piloter sur une entrée (A), le signal pilote sur l’entrée (B) et le signal amplifié sur la sortie (C). Dans une logique binaire, avec des entrées soient ouvertes soient fermées, il faut que A et B soient ouverts pour ouvrir C. Le transistor peut donc aussi être vu comme un opérateur mathématique élémentaire que l’on nomme AND. Une variante du transistor existe aussi en opposé qu’on nomme NAND (not-AND).

    Il a été prouvé qu’avec suffisamment d’opérateurs NAND intégrés les uns aux autres, il est possible de concevoir un circuit réalisant n’importe quelle fonction logique.

    On peut donc concevoir des mémoires, des additions, des multiplications et autres à partir de NAND. Or justement en 1958, le premier circuit intégré est produit. Il s’agit d’un processus industriel permettant de concevoir de minuscules transistors directement sur une plaque de silicium.

    On peut facilement chaîner des milliers de NAND sur quelques centimètres, et ainsi réaliser n’importe quelle fonction logique.

    Toujours plus de transistors

    On peut concevoir n’importe quelle fonction logique à condition de chaîner suffisamment de transistors NAND. Un premier phénomène d’émergence est présent avec quelques centaines pour faire des calculatrices. Ou plus généralement un calcul précis.

    En passant vers le millier de transistors, on arrive à concevoir des fonctions logiques programmables. Un même circuit intégré peut maintenant avoir plusieurs usages, en fonction de comment on le programme.

    En 1971, Intel sort le Intel 4004, le premier microcontrôler programmable avec 2300 transistors. Aujourd’hui, il y a 65 milliards de transistors dans le processeur Apple M2.

    Cette évolution spectaculaire du nombre de transistors a corroboré la prédiction du président d’Intel Gordon Moore qui envisageait un doublement du nombre de transistors dans les ordinateurs tous les six mois. Cette explosion a ouvert la voie à l’informatique. Cette fonction logique présente dans nos processeurs permet maintenant de programmer n’importe quel cas d’usage.

    L’informatique a été possible, car un élément fort simple comme un opérateur NAND a pu être fabriqué et assemblé par milliers, puis millions et maintenant milliards sur une plaque de silicium de quelques centimètres.

    Par sa multitude, l’opérateur NAND peut devenir n’importe quelle fonction logique, y compris des fonctions logiques programmables pour faire fonctionner nos ordinateurs et nos smartphones.

    Le rôle du transistor aujourd’hui se retrouve très éloigné du simple remplacement du tube à vide dans les radios.

    https://www.contrepoints.org/2023/11/05/466332-pourquoi-linnovation-ne-peut-etre-planifiee-lhistoire-du-transistor

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  43. Après les leucémies et la viticulture, voici les tumeurs embryonnaires et la viticulture


    5 Novembre 2023


    Dans la foulée d'une étude que nous avons commentée dans « Viticulture et leucémies infantiles : une étude un peu "survendue" et instrumentalisée », une équipe dont l'ossature relève du Centre d'Épidémiologie et de Statistiques (CRESS) a publié une étude sur les tumeurs embryonnaires dans Environmental Research.

    C'est : « Residential proximity to vines and risk of childhood embryonal tumours in France - GEOCAP case-control study, 2006–2013 » (proximité résidentielle des vignes et risque de tumeurs embryonnaires chez l'enfant en France – Étude cas-témoins GEOCAP, 2006-2013) de Danielle Awounou, Matthieu Mancini, Brigitte Lacour, Perrine de Crouy-Chanel, Isabelle Aerts, Véronique Minard-Colin, Gudrun Schleiermacher, Arnauld Verschuur, Sandra Guissou, Emmanuel Desandes, Laurence Guldner, Jacqueline Clavel, Stéphanie Goujon.

    En voici le résumé :

    Contexte

    On a suggéré que l'exposition aux pesticides est un facteur de risque potentiel de tumeur embryonnaire chez l'enfant. La littérature existante s'est principalement concentrée sur l'exposition professionnelle des parents et l'utilisation domestique des pesticides, et est très limitée en ce qui concerne l'exposition résidentielle aux pesticides agricoles. L'étude visait à tester l'hypothèse d'un risque accru de tumeur embryonnaire chez les enfants vivant à proximité de parcelles viticoles, susceptibles de faire l'objet d'applications fréquentes de pesticides.

    Méthodes

    L'étude fait partie du programme national français GEOCAP basé sur un registre. Nous avons inclus 2.761 cas de neuroblastome, rétinoblastome, tumeur de Wilms et rhabdomyosarcome diagnostiqués avant l'âge de 15 ans sur la période 2006-2013, et 40.196 témoins représentatifs de la population du même âge sur cette période. Les indicateurs de proximité des vignes, la présence de vignes et la densité de la viticulture dans un rayon de 1.000 m autour des adresses de résidence géocodées, ont été évalués en combinant trois sources de données sur l'utilisation des terres agricoles dans un système d'information géographique. Nous avons estimé les odds ratios (OR) et les intervalles de confiance (IC) à 95 % en utilisant des régressions logistiques non conditionnelles et avons effectué plusieurs analyses de sensibilité pour tester la stabilité des résultats.

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  44. Résultats

    Environ 10 % des témoins vivaient à moins de 1.000 m de vignes, avec des variations régionales allant de <1 % à 38 %. Nous avons observé une augmentation de 5 % du risque de neuroblastome pour une augmentation de 10 % de la densité de la viticulture (OR = 1,05, IC 95 % : 0,98-1,13), avec une hétérogénéité régionale. Les indicateurs de proximité des vignes n'ont pas été associés aux autres tumeurs embryonnaires non-CNS.

    Conclusion

    L'étude a montré une légère augmentation du risque de neuroblastome chez les enfants vivant à proximité de vignes, suggérant que l'exposition résidentielle aux pesticides agricoles pourrait être impliquée dans la survenue de ces tumeurs. »

    L'article est derrière un péage.

    Il est du reste aussi en anglais, pour une recherche financée sur fonds publics français et issue d'une institution chargée

    « d’étudier et de comprendre les facteurs déterminant la santé des populations aux différents âges de la vie (de la conception au vieillissement), de développer des méthodes innovantes, de concevoir et d’évaluer des interventions pour améliorer les pratiques cliniques et les politiques de santé publique. »

    Nous retrouvons ici les « 40.196 témoins représentatifs de la population du même âge sur cette période ».

    Et, sans doute les mêmes problèmes d'interprétation des données.

    Nous regretterons, à nouveau, l'approche qui a été prise pour la présentation des résultats.

    L'information principale – diluée dans le résumé – est qu'on n'a pas trouvé d'augmentation significative des cas de rétinoblastome, tumeur de Wilms et rhabdomyosarcome en lien avec la culture de la vigne.

    Notons cependant que l'étude sur les leucémies (deux types dont un bien plus fréquent que l'autre) a porté sur 3.711 cas. Ici, il s'agit de 2.761 cas pour quatre affections. Il est donc possible que la puissance statistique ait été insuffisante pour les trois affections précitées. C'est plus que vraisemblable pour le rétinoblastome dont l'incidence varie, suivant les études, entre 3 et 50 par million d'enfants de moins de 14 ans selon Wikipedia.

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  45. Selon le résumé, on aurait « une augmentation de 5 % du risque de neuroblastome pour une augmentation de 10 % de la densité de la viticulture ». Mais l'intervalle de confiance chevauche la valeur 1 (0,98-1,13)...

    La conclusion selon le résumé est, quant à elle, choquante.

    Non, l'étude ne suggère pas que « l'exposition résidentielle aux pesticides agricoles pourrait être impliquée dans la survenue de ces tumeurs » – même avec le verbe « suggérer » et un conditionnel. Et l'évocation des « pesticides », sans nuance et sans distinction, relève de la généralisation abusive.

    C'est de la « science » post-moderne que de tirer des conclusions qui vont largement au-delà des constatations que l'on a faites – qui, du reste, devraient être confirmées.

    Et c'est rendre un très mauvais service aux décideurs que le CRESS a pour mission de servir en évaluant « des interventions pour améliorer [...] les politiques de santé publique ».

    Les propos de Mme Jacqueline Clavel, directrice de recherche INSERM au CRESS, dans son entretien avec l'Express – « Vignes et risque accru de leucémie : les chercheurs répondent aux critiques » – sont du reste sans ambiguïtés

    « L’Express : L’une des limites de votre étude est de montrer une corrélation, mais pas un lien de causalité, entre la densité de vignes autour du lieu d’habitation et l’augmentation du risque de leucémie lymphoblastique aiguë. Vous ne démontrez donc pas que les vignes ou que les pesticides sont responsables de ces cancers ?

    Jacqueline Clavel : Nous observons un lien, mais, en effet, nous ne démontrons pas qu’il est causal. Mais nous morons une association, pas seulement une corrélation. Notre étude compare les zones de 1 kilomètre autour du lieu d’habitation de plus de 3 711 enfants malades et de 40 196 enfants non malades, zones dans lesquelles nous avons déterminé la densité des vignes. Nous avons trouvé que, plus cette densité était élevée, plus le risque de leucémie lymphoblastique aiguë était élevé. Nous ne nous prononçons pas sur la responsabilité des produits phytosanitaires épandus sur ces cultures parce que, à ce stade, nous ne savons pas quels produits ont été utilisés ni à quelle dose. » (Souligné par nous.)

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  46. À propos...

    L'incidence du neuroblastome est d'environ 1/70 000 enfants de la tranche d'âge de 0 à 15 ans.

    Post scriptum

    À propos des leucémies, on lira aussi avec intérêt les analyses de M. Philippe Stoop et Mme Géraldine Woessner sur LinkedIn.

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/apres-les-leucemies-et-la-viticulture-voici-les-tumeurs-embryonnaires-et-la-viticulture.html

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  47. Mieux vaut tard que jamais : le Bangladesh introduit enfin le cotonnier Bt après des années de tergiversations


    5 Novembre 2023
    Reaz Ahmad, Alliance pour la Science*


    Le Bangladesh n'est devancé que par la Chine en matière d'exportation de vêtements prêts à porter, dont les recettes annuelles s'élèvent à plus de 46 milliards de dollars.

    Le coton importé alimente le secteur florissant du prêt-à-porter de cette économie d'Asie du Sud en pleine croissance. Mais pendant longtemps, le Bangladesh s'est contenté de ses variétés de cotonnier à faible rendement et sensibles aux parasites, payant un lourd tribut de cinq milliards de dollars par an pour le coton importé.

    Quel est l'objectif du Bangladesh ?

    Aujourd'hui, plus de 20 ans après que leurs homologues de l'Inde voisine ont adopté la variété de cotonnier dérivée de la biotechnologie qui lutte efficacement contre le ver de la capsule, les agriculteurs du Bangladesh plantent du cotonnier Bt pour la première fois au cours de cette période de végétation.

    Le Bangladesh est le dernier pays de l'Asie du Sud à avoir introduit le cotonnier Bt dans la zone de culture du cotonnier, bien après l'Inde, le Pakistan et le Myanmar. Mais comme le dit l'adage, mieux vaut tard que jamais.

    Le cotonnier Bt n'est pas une solution magique pour le Bangladesh, qui dépend des importations de coton, mais le pays pense qu'il l'aidera à réduire l'énorme facture des importations.

    Le Bangladesh a une demande annuelle de 8,5 millions de balles de coton, alors qu'il ne peut en produire que 0,2 million. Il vise désormais à satisfaire jusqu'à 20 % de sa demande annuelle grâce à la production nationale.

    Au cours de la campagne de commercialisation 2021-22, le Bangladesh s'est approvisionné en coton importé à hauteur de 35 % auprès de l'Inde, l'exportateur préféré en raison de sa proximité, de ses coûts de transport moins élevés et de la durée plus courte de l'expédition. Les pays d'Afrique de l'Ouest ont fourni environ 31 % du coton brut au Bangladesh, suivis par le Brésil (13 %) et les États-Unis (7 %).

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  48. Baisse des coûts de production et augmentation des rendements

    Le ministre de l'Agriculture du Bangladesh, Dr Mohammad Abdur Razzaque, espère que le pays pourra produire 1,5 million de balles de coton grâce à l'introduction du Bt et d'autres variétés hybrides. Il était présent lorsque le pays a organisé une cérémonie le 20 août 2023, dans la capitale du pays, Dhaka, pour lancer officiellement deux hybrides Bt, JKCH 1947 Bt et JKCH 1050 Bt, que les agriculteurs bangladais pourront cultiver au cours de la campagne 2023-24.

    En mai de cette année, les deux variétés indiennes Bt ont reçu l'approbation réglementaire du Comité National de Biosécurité (NCB).

    Le directeur exécutif du Cotton Development Board (CDB) du Bangladesh, Fakhre Alam Ibne Habib, affirme qu'avec l'introduction du cotonnier Bt, les coûts de production des agriculteurs diminueraient de 15 % et le rendement pourrait augmenter de 20 %. Il s'agit sans aucun doute d'un gain important. En outre, les expériences menées sur le terrain par le CDB ont montré que les agriculteurs gagneraient 900 dollars de plus par hectare de cotonnier Bt que s'ils cultivaient des variétés traditionnelles.

    Pourquoi cela a-t-il pris autant de temps ?

    Le cotonnier Bt est une variété de cotonnier génétiquement modifiée résistante à des parasites, qui produit un insecticide pour lutter contre le ver de la capsule. Il a été mis au point en insérant un gène de bactérie (Bacillus thuringiensis ou Bt) dans le cotonnier.

    Le cotonnier Bt a été approuvé pour la première fois pour des essais sur le terrain aux États-Unis en 1993 et pour une utilisation commerciale en 1995. Le gouvernement chinois l'a approuvé en 1997. L'Inde l'a introduit en 2002 et, en 2011, elle est devenue le plus grand producteur de coton génétiquement modifié (GM), avec plus de 10 millions d'hectares.

    Sélection erronée de certaines variétés Bt antérieures

    Les voisins du Bangladesh en Asie du Sud – l'Inde, le Pakistan et le Myanmar – cultivent tous du cotonnier Bt, l'Inde et le Pakistan consolidant leur position parmi les cinq premiers exportateurs de cette fibre.

    La procédure réglementaire du Bangladesh en matière de biotechnologie a été tardive et la sélection erronée de certaines variétés antérieures de Bt a entraîné de longs retards dans l'introduction du cotonnier Bt. On a perdu cinq à six années cruciales à expérimenter des variétés provenant de la Hubei Provincial Seed Group Company de Wuhan. Il a été conclu par la suite que les variétés chinoises n'étaient pas adaptées aux conditions du Bangladesh.

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  49. Les organismes de réglementation des biotechnologies du pays ont également pris beaucoup plus de temps que la normale pour donner leur feu vert aux lignées Bt indiennes. Le Bangladesh a fait preuve d'audace en étant le premier pays d'Asie du Sud à introduire une culture vivrière génétiquement modifiée – l'aubergine ou brinjal Bt – en 2013.

    Toutefois, l'approbation d'un autre produit génétiquement modifié – le Riz Doré enrichi en vitamine A – est en attente depuis cinq ans. Dans l'intervalle, les Philippines ont mis sur le marché du Riz Doré et les agriculteurs philippins le cultivent déjà.

    Les consommateurs ont accepté l'huile de soja génétiquement modifié

    Les scientifiques impliqués dans le développement de produits agro-biotechnologiques au Bangladesh trouvent pénible que les régulateurs s'assoient sur leurs décisions pendant des années sans donner beaucoup de raisons. Les régulateurs biotechnologiques à différents niveaux ne tiennent pas les réunions prévues. En conséquence, les scientifiques ratent des saisons et doivent attendre la saison suivante, l'année suivante, pour effectuer des tests sur le terrain et d'autres essais nécessaires.

    Ces éléments ont un effet dissuasif, ce qui explique sans doute pourquoi des centaines d'agronomes bangladais quittent le pays pour des écosystèmes plus favorables à la science. Il ne semble pas y avoir d'hésitation de la part des agriculteurs ou des consommateurs à apprécier les produits agricoles issus de la biotechnologie au Bangladesh. L'expansion rapide du brinjal Bt au cours des dix dernières années et l'acceptation de la culture par les consommateurs en témoignent. Avant même l'approbation d'une culture biotechnologique au Bangladesh, les consommateurs avaient déjà accepté l'huile de soja génétiquement modifié, l'une des huiles de cuisson les plus populaires du pays.

    Une série d'autres produits biotechnologiques sont en attente d'approbation ou à différents stades de développement dans diverses stations de recherche agricole de premier plan, mais l'inertie réglementaire semble aller à l'encontre du but recherché. Les scientifiques bangladais travaillent toujours sur le riz riche en fer et en zinc, les pommes de terre biotechnologiques, les tomates et le blé résistant à la pyriculariose.

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  50. ______________

    * Reaz Ahmad est un journaliste bangladais spécialisé dans le journalisme agricole. Il est rédacteur en chef du Dhaka Tribune, boursier Cochran de l'USDA et co-éditeur de A Farm View of Bangladesh. Il enseigne le journalisme à l'Independent University, au Bangladesh.

    Source : Better late than never: Bangladesh finally introduces Bt cotton after years of dilly-dallying - Alliance for Science

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/mieux-vaut-tard-que-jamais-le-bangladesh-introduit-enfin-le-cotonnier-bt-apres-des-annees-de-tergiversations.html

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  51. Un robotaxi de croisière sans conducteur a traîné une femme coincée en dessous sur 20 pieds


    11/03/2023
    Zoey Sky


    Début octobre, une femme s'est retrouvée coincée sous un robot-taxi Cruise après avoir été heurtée par un conducteur avec délit de fuite dans le centre-ville de San Francisco. Elle a ensuite été traînée sur environ 20 pieds par la voiture sans conducteur avant d'être secourue et transportée d'urgence à l'hôpital avec des blessures graves.

    Le 24 octobre, les autorités de l'État ont suspendu le permis d'exploitation de Cruise, lui interdisant de déployer des voitures sans conducteur sur la voie publique jusqu'à ce que les problèmes de sécurité soient résolus. La National Highway Traffic Safety Administration a également enquêté pour voir si elle devait également prendre des mesures.

    Désormais, la réponse de Cruise à cet horrible incident pourrait faire ou défaire la nouvelle industrie des taxis robots en Californie.

    Ces incidents font partie d’un nouveau chapitre dans l’évolution des voitures et camions sans conducteur. Le public surveille désormais de près l’éthique de la gestion des croisières, en particulier son fondateur et PDG Kyle Vogt.

    Selon le Département californien des véhicules automobiles (DMV), le permis de Cruise a été suspendu pour des raisons de sécurité. Cependant, l'agence a également déclaré que Cruise, qui appartient à General Motors (GM), avait intentionnellement induit l'agence en erreur sur des faits fondamentaux.

    Bryant Walker Smith, expert en droit des véhicules automatisés à l'Université de Caroline du Sud, a expliqué que les problèmes de sécurité et de confiance ne manqueront pas d'approfondir le scepticisme du public à l'égard de la technologie et d'amener les régulateurs à réévaluer leur niveau de confiance dans Cruise, voire dans l'ensemble du secteur.

    Les données ont révélé qu'une voiture avec un conducteur humain a heurté une femme qui traversait la rue à un feu rouge à l'intersection des rues 5th et Market. Après l'accident, la femme a glissé par-dessus le capot et s'est retrouvée sur la trajectoire d'un robotaxi Cruise, qui n'avait pas de conducteur humain.

    Ce sont ces faits qui ont été rendus publics immédiatement après l'incident du piéton. Cruise a déclaré que l'accident était tragique, mais la société a également affirmé que le robotaxi s'était arrêté comme il était censé le faire.

    Cependant, le DMV a révélé quelque chose que Cruise n'a pas dit. Après être resté « immobile pendant une période de temps indéterminée », le robotaxi a commencé à avancer à environ sept miles par heure (mph) tout en traînant la femme avec lui sur 20 pieds.

    Cruise a montré une vidéo de l'incident aux journalistes, mais la société leur a également interdit de la publier publiquement.

    La vidéo montrée aux journalistes se terminait avec le robot-taxi immobile. Il a été édité et ne montrait pas la voiture démarrant et entraînant la femme. Cruise a montré la même vidéo abrégée à DMV.

    Smith a déclaré que le fait que Cruise ait refusé de divulguer la vidéo complète était "déconcertant" puisqu'elle finirait par sortir. (Connexe : Une voiture sans conducteur reste coincée dans du béton humide à San Francisco quelques jours après que la CPUC a approuvé les services d'expansion des robotaxis.)

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  52. Les actions de Cruise pourraient stopper l'industrie des taxis robots en Californie
    Lorsqu'on lui a demandé pourquoi l'entreprise n'avait pas montré aux journalistes la partie de la vidéo où l'on traînait des piétons, Hannah Lindow, porte-parole de Cruise, a déclaré que l'entreprise "avait agi rapidement pour transmettre les informations aux parties nécessaires".

    Lindow a ajouté que Cruise voulait d'abord s'assurer que tous les responsables avaient immédiatement accès aux informations dont ils avaient besoin pour appréhender le conducteur du délit de fuite. Elle a ajouté que les premiers rapports des médias indiquaient que le véhicule Cruise avait d'abord heurté le piéton et ne mentionnaient pas le conducteur avec délit de fuite qui avait causé l'incident. "Il était important de corriger le dossier pour montrer que l'incident avait été déclenché par un véhicule conduit par un humain qui a fui les lieux", a déclaré Lindow.

    Cruise et Waymo, le concurrent du premier, sont sous le feu des critiques depuis des mois pour la tendance de leurs robots-taxis à gêner les pompiers, les secouristes médicaux et la police sur la route. Même le chef des pompiers de San Francisco a prévenu que les robots-taxis n'étaient "pas prêts pour les heures de grande écoute".

    À l’époque, les entreprises avaient demandé à la California Public Utilities Commission (CPUC) l’autorisation d’étendre considérablement leurs services de robotaxi à San Francisco. Les opposants ont demandé à la commission une pause, recommandant que le problème des intervenants d'urgence soit résolu en premier.

    En août, la commission a voté à trois voix contre un pour autoriser l’agrandissement. L'un des votes favorables est venu du commissaire John Reynolds, ancien conseiller juridique de Cruise, nommé par le gouverneur Gavin Newsom.

    Après le vote, un véhicule Cruise a percuté un camion de pompiers. Les véhicules de l'entreprise ont également commencé à agir de manière bizarre, certains se regroupant pour bloquer la circulation des piétons et des véhicules aux intersections très fréquentées, sans raison claire.

    Tous ces incidents ont précédé l'incident impliquant un piéton impliquant un robotaxi et la réponse suspecte de Cruise. À l’heure actuelle, l’État de Californie réfléchit à la manière de gérer l’afflux attendu de robotaxis dans un avenir proche.

    Regardez la vidéo ci-dessous alors qu'une Tesla en pilote automatique heurte la voiture d'un shérif en Caroline du Nord.

    Cette vidéo provient de la chaîne TKWK T.V sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Un "dysfonctionnement informatique" met les usines Volkswagen en Allemagne à l'arrêt.

    Les responsables d'Austin se plaignent du fait que les voitures autonomes bloquent les véhicules d'urgence.

    FAUX DÉPART : Les véhicules autonomes de croisière provoquent des embouteillages dans les rues de San Francisco, un jour seulement après l'extension des services de robotaxi par la ville.

    Sources include:

    LATimes.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-11-03-cruise-robotaxi-dragged-woman-pinned-under-it.html

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  53. L'Aspen Institute, soutenu par Bill Gates et George Soros, fait l'objet d'un procès pour collusion de censure


    11/03/2023
    Ethan Huff


    America First Legal (AFL) étend le procès qu'il a initialement intenté contre l'Election Integrity Partnership (EIP) et le Virality Project (VP) pour inclure également l'Aspen Institute (AI), soutenu par Bill Gates et George Soros.

    L’IA – pour le reste de cet article, fera référence à l’Aspen Institute et non à l’intelligence artificielle – semble être un acteur majeur dans ce que l’on appelle le complexe industriel de la censure, ayant travaillé en tandem avec divers géants de la technologie et organismes gouvernementaux pour attaquer. la liberté d’expression en ligne, en particulier pendant les périodes électorales de 2020 et 2022.

    Après que Donald Trump ait remporté la Maison Blanche en 2016, apparemment par « erreur » dans la mesure où il n'a pas été choisi par la cabale habituelle (du moins c'est ce qu'on nous dit), AI, EIP, VP et de nombreux autres groupes ont lancé une nouvelle approche pour falsifier et voler des élections, ce qui implique de censurer la vérité en ligne – en particulier sur les réseaux sociaux.

    AI est célèbre pour ses efforts « philanthropiques », largement financés par des poids lourds milliardaires comme Soros et Gates. Entre 2003 et 2020, la Fondation Bill & Melinda Gates a envoyé à elle seule plus de 101 millions de dollars à l’IA, tandis que l’Open Society Network de Soros a donné à l’IA plus de 3 millions de dollars au cours de la même période.

    (Connexe : Saviez-vous que Bill Gates et ses semblables veulent « vacciner » l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, obligeant tout le monde à s’empoisonner d’une manière ou d’une autre ?)

    Si le complexe industriel de la censure peut être détruit, l’Amérique aura-t-elle à nouveau des élections libres et équitables ?
    En 2020, Vivian Schiller d'AI a organisé un événement qui, selon l'AFL, était spécifiquement conçu pour manipuler l'engagement des médias sociaux concernant le scandale alors révélé concernant Hunter Biden et son tristement célèbre ordinateur portable incriminant.

    Puis sont venus les fichiers Twitter, qui n’ont fait que confirmer tout cela après analyse. Celles-ci montrent que l’événement AI a en fait été planifié dans le but de repenser et de lancer intentionnellement un nouveau récit sur Hunter afin de protéger le patrimoine et la réputation de la famille criminelle Biden dans son ensemble.

    Vous voyez, dévoiler les crimes de Hunter, c’est dévoiler tous ses crimes, y compris ceux du « grand type », un usurpateur qui occupe actuellement la Maison du Peuple, également connue sous le nom de Maison Blanche, mais n’y appartient pas.

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  54. Il est évident que le syndicat Biden Crime Family a volé la Maison Blanche à Trump, l’empêchant d’effectuer un second mandat. Que vous aimiez ce type ou non, Trump était clairement le vainqueur, sans compter toutes les collusions et manipulations qui l’ont empêché de remplir un second mandat, y compris les entités susmentionnées poursuivies par l’AFL pour obtenir justice.

    Ce que nous avons vu depuis l’installation de Biden à la Maison Blanche n’est que scandale après scandale, pour ensuite être ignoré par les grands médias et ses agents de l’État profond dans les médias, le gouvernement et ailleurs.

    En poursuivant AI, VP et EIP, l’AFL espère désactiver les mécanismes clés du complexe industriel de la censure qui continuent de tenir les Américains en otage dans un empire de mensonges et de tromperies.

    L'affaire comprend de nombreuses preuves à l'appui de ses affirmations, y compris des courriels présumés qui auraient été envoyés entre des acteurs clés d'AI à d'autres acteurs clés d'EIP et de VP, indiquant clairement leur partenariat caché et leur programme de censure mutuelle contre les Américains et leur droit constitutionnel à la liberté. discours en vertu du premier amendement.

    Si le procès aboutit, l'AFL affirme que le comportement criminel découvert au cours du processus constituera "une violation manifeste, intentionnelle et explosive de la Constitution de la part du gouvernement".

    Le président Stephen Miller a qualifié le procès de moment « historique » dans la lutte contre « le complexe industriel de la censure ».

    Les dernières nouvelles sur la chute du complexe industriel de la censure peuvent être trouvées sur Censorship.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ReclaimTheNet.org
    NaturalNews.com
    ReclaimTheNet.org

    https://www.naturalnews.com/2023-11-03-gates-soros-aspen-institute-censorship-collusion-lawsuit.html

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