- ENTREE de SECOURS -



lundi 13 novembre 2023

Christine Cotton - #Vaccin #COVID Charcot myocardite péricardite - toujours plus d'effets secondaires !

 

114 commentaires:

  1. Elles sont présentées à tort comme des « communautés décentralisées », mais elles sont exactement le contraire : elles sont totalement centralisées, comme une cage de hamster dont vous êtes l’animal de compagnie. La philosophie fondamentale qui les sous-tend est la dépendance. Si vous vivez dans un endroit spécialement construit pour éliminer votre capacité à subvenir à vos besoins, alors vous êtes un esclave. Mais il est certain que même l’esclavage peut paraître noble si les gens sont convaincus que leurs chaînes sont nécessaires au bien de la planète.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/globalist-vision-15-minute-prison-cities-and-end-private-property

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    1. La dure réalité est que les enfants sont piqués à la naissance ! Ils auront leur charges de nano-particules d'oxyde de graphène qui circule dans leur corps. Leur cerveau, leur pensée, leur individualisme n'aura plus cours. Ces filles et garçons comme ces femmes et ces hommes deviendront des 'robots' administrés/cartographiés par satellites. Ils ne seront plus des êtres humains comme le seront tous les animaux nourris de nano-particules chemtrailées qu'absorbent aussi les plantes dont ils se nourrissent.

      C'est là une version plus impitoyable de la dictature en place appelée mensongèrement 'démocraties', où le Peuple n'a - depuis des millénaires - plus son mot à dire.

      Il n'y aura donc plus de progrès, de perspectives, d'horizons nouveaux ou de rêves de 'science-fiction'
      Les machines, les robots tomberont en panne et ne seront donc plus réparés. C'est le retour inexorable vers le siècles passés où les seigneurs auront droit de vie et de mort, de cuissages, de gabelles et d'autres usages imaginés par les 'I.A.'.

      L'intelligence n'aura plus cours. C'est l'effondrement de la population mondiale.

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    2. VOIR CI-DESSOUS 3 ARTICLES CENSURÉS ! :

      La vision mondialiste : les villes-prison « de 15 minutes » et la fin de la propriété privée


      PAR TYLER DURDEN
      DIMANCHE 12 NOVEMBRE 2023 - 13h00
      Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,


      En règle générale, je trouve que chaque fois que le public examine un programme particulier promu par les gouvernements et les mondialistes, sa première réaction est de se montrer indigné, un peu comme le ferait un narcissique lorsqu’il prépare un mauvais coup et se fait prendre.

      « Comment osez-vous » remettre en question leurs intentions et suggérer qu’elles pourraient être néfastes.

      Comment osez-vous suggérer qu’ils sont autre chose qu’aimants et bienveillants.

      Nos « dirigeants » n’ont toujours voulu que le meilleur pour nous, n’est-ce pas ?

      Ils veulent seulement que nos vies deviennent plus sûres, plus confortables et plus pratiques. C'est ce qui motive vraiment votre élitiste moyen, n'est-ce pas ?

      Évidemment, l’histoire nous raconte une histoire très différente, et cela me laisse perplexe lorsque quelqu’un essaie d’affirmer que les choses sont différentes aujourd’hui par rapport à ce qu’elles étaient il y a 100 ans, 300 ans ou 1 000 ans. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Il y aura toujours des tyrans qui tenteront d’acquérir toujours plus de pouvoir et ces tyrans mentiront toujours au public, prétendant qu’ils sont de bonnes personnes ayant à cœur nos meilleurs intérêts.

      Lorsque cela ne fonctionne pas et que les citoyens restent sceptiques, les tyrans passent à l’attaque, accusant le public de « théorie du complot ». Ceci a pour but de se moquer et de faire honte aux libres penseurs et de les faire taire – Vous ne voulez pas vous démarquer, n’est-ce pas ? Pourquoi risquer d’être mis au ban de la société ? Pourquoi risquer de devenir un mème ?

      Cette tactique est ancrée dans l’idée selon laquelle les grands médias et les représentants du gouvernement représentent le courant dominant et représentent donc la majorité, et la majorité représente la réalité. Bien entendu, rien de tout cela n’est vrai ou pertinent. Seuls les faits comptent. Le sophisme n’a aucun sens. Les opinions n’ont aucun sens. La vérité devrait être l’objectif, et si ce n’est pas l’objectif de quelqu’un, alors il doit être un pourvoyeur de mensonges et ne doit pas être pris au sérieux. Il n’y a que deux chemins à emprunter, il n’y a pas d’intermédiaire.

      J’admets que l’accusation de « théorie du complot » a une certaine valeur, car chaque fois que l’establishment l’utilise, c’est un signe certain que vous êtes trop proche de la cible et qu’elle devient nerveuse. Ils pourraient simplement essayer de présenter toutes les preuves dont ils pourraient disposer pour prouver que votre position est fausse, mais ils ne le font pas vraiment. Au lieu de débattre de vos arguments et de vos preuves, ils tentent de vous affaiblir en tant que critique valable et de vacciner le public contre vos idées avant même que les gens aient la chance de les entendre. C’est le comportement de méchants, et non de dirigeants bienveillants et attentionnés.

      Je mentionne cette dynamique parce qu’il existe un programme au-dessus de tous les autres qui est défendu de manière agressive par les médias de l’establishment, et quiconque le remet en question, un tant soit peu, est automatiquement persécuté comme un « fou du complot » ou un « négateur ». Je parle bien sûr du programme sur le changement climatique.

      J’ai complètement démystifié l’idée d’un changement climatique d’origine humaine dans des articles précédents et je ne m’y attarderai pas ici.

      Au lieu de cela, je souhaite examiner l’objectif final des politiques de lutte contre le changement climatique : la solution ultime, qui n’est PAS de sauver la planète, mais de dominer la population.

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    3. Les noms utilisés pour la « réinitialisation » du changement climatique varient, mais les mondialistes et l’ONU y font souvent référence sous le nom d’Agenda 2030 ou d’objectifs de développement durable. Ces programmes arborent une façade écologiste mais ils sont TOUS ancrés dans l’économie. Autrement dit, tous les efforts en matière de lutte contre le changement climatique visent à détruire l’industrie et le commerce et à établir un partenariat entre le gouvernement et les entreprises pour dominer la production. Le changement climatique est un cheval de Troie pour introduire l’autoritarisme.

      Je crois que l’un des aspects les plus importants de l’Agenda 2030 pour les mondialistes est ce qu’on appelle la « Ville des 15 minutes » ; un projet qui implique des centaines de maires de villes des États-Unis, d'Europe et d'Asie travaillant en étroite collaboration avec des groupes comme le Forum économique mondial. Toute mention de cette idée sous un jour négatif provoque une explosion de colère et de moquerie dans les médias, comme s’il ne s’agissait pas d’une véritable question digne d’être débattue.

      L’établissement dresse un tableau intéressant de 15 Minute Cities – Un avenir utopique dans lequel tout ce dont vous avez besoin n’est qu’à quelques pas et où les transports privés sont superflus (ou interdits). Vous pourriez même vivre dans un méga-complexe, un peu comme un centre commercial géant où vous travaillez également. Vous pourriez passer des mois dans un espace d’un kilomètre carré sans jamais avoir à partir pour quoi que ce soit.

      - voir clip sur site -

      Ce n’est pas une erreur si cette idée a été fortement poussée pendant les confinements liés à la pandémie. Le public était inondé par une propagande de peur concernant un virus avec un taux de survie de 99,8 % et cette peur a rendu soudainement envisageable l’idée impensable de rester tout le temps à la maison. Les experts des médias continuent de qualifier le lien entre les confinements liés au Covid et les confinements climatiques de théorie du complot, mais l’idée est ouvertement admise dans les livres blancs de l’ONU et du WEF.

      Certains affirment que la plupart des villes sont déjà des « villes du quart d’heure » où les commodités sont toutes accessibles à pied depuis leur domicile. Ces gens ne comprennent pas vraiment ce qu’est une ville de 15 minutes. Comme le soulignent de nombreuses descriptions d’établissements du projet, il ne s’agit pas seulement de commodité ou d’accès proche, il s’agit de changer tous les aspects de notre philosophie de vie actuelle. Il ne s’agit pas d’acquérir des commodités, il s’agit de faire toute une série de sacrifices afin d’apaiser les dieux des émissions de carbone.

      La Ville de 15 minutes ressemble plus à une recette, contenant tous les ingrédients des programmes de changement climatique et de confinement lié au Covid dans une seule vision orwellienne globale. Cela comprend la suppression des véhicules à moteur, la suppression des transports privés et des routes, la ville intelligente et la surveillance par l'IA de la consommation électrique de chaque personne, la surveillance de la consommation de produits et de « l'empreinte carbone », la surveillance biométrique dans un paysage urbain compact et empilé, le concept de société sans numéraire, l'équité et culte de l’inclusion, contrôle de la population, etc.

      C’est le point culminant, la fin du jeu ; une immense prison sans barreaux. Un endroit où vous êtes conditionné à vous habituer à des limitations artificielles de la vie privée, à l’absence de libertés civiles, à l’absence de propriété privée et à l’absence d’options de travail ou de mobilité. Vous êtes lié à la terre et celle-ci appartient à l’État (ou à une société). Si vous voulez une comparaison historique, la plus proche que je puisse trouver est le système féodal de l’Europe médiévale.

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    4. Au sein de ces villes, vous êtes un mécanisme de travail, rien de plus. Vous ne serez jamais autorisé à posséder votre propre propriété et donc à posséder votre propre travail. Tout ce que vous avez vous est donné par l’État et peut vous être retiré si vous le défiez. Vous pourrez peut-être quitter le village ou la communauté à laquelle vous êtes lié pendant un certain temps, mais cela changera avec les restrictions croissantes imposées aux déplacements du public selon les préceptes de l’idéologie climatique.

      Tant que vous êtes productif et soumis, vous recevrez les choses dont vous avez besoin pour survivre, mais jamais pour prospérer. Dans le cas d’un système féodal technocratique, vous n’auriez aucune garantie que l’État aurait besoin de vos services. Au moins dans l’Europe féodale, le paysan était considéré comme une ressource précieuse en raison de sa population limitée. Dans un monde où de nombreuses personnes sont considérées comme un « excès de population », vous pourriez facilement être remplacé et expulsé de la ville pour mourir de faim et mourir.

      En 2016, le Forum économique mondial a publié un document intitulé "Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n'ai aucune vie privée et la vie n'a jamais été meilleure. " L'article visait à promouvoir un concept appelé « économie du partage » qui a été pour la première fois présenté publiquement. à la presse à Davos. L’article décrit un avenir « hypothétique » dans lequel un système communiste aurait mis fin à toute propriété privée au nom de la sauvegarde de la planète du changement climatique. Les avantages? Eh bien, comme dans tous les systèmes communistes, le grand mensonge est que vous travaillerez moins et que la plupart des choses seront gratuites. C’est ainsi que les idéaux collectivistes ont été vendus à la population pendant des générations et cela ne fonctionne JAMAIS comme le prétend l’establishment.

      Le WEF promeut l’économie du partage depuis des années, mais lorsqu’il s’est généralisé et a été largement critiqué comme étant dystopique, les médias ont une fois de plus basculé sur la « théorie du complot » et attaqué quiconque en exposait les implications.

      Plusieurs plateformes ont publié l’article en 2016, mais beaucoup l’ont depuis retiré (Forbes semble avoir effacé leur copie publiée, par exemple). Ils font comme si l’agenda n’avait jamais existé, probablement parce que l’article contient des aveux révélateurs, notamment une allusion au concept 15 Minute City. Extrait de l'article :

      « Ma plus grande préoccupation, ce sont tous les gens qui ne vivent pas dans notre ville. Ceux que nous avons perdus en chemin. Ceux qui ont décidé que c’était trop, toute cette technologie. Ceux qui se sentaient obsolètes et inutiles lorsque les robots et l’IA ont pris en charge une grande partie de nos tâches. Ceux qui se sont mis en colère contre le système politique et se sont retournés contre lui. Ils mènent des vies différentes en dehors de la ville. Certains ont formé de petites communautés auto-approvisionnement. D’autres sont simplement restés dans les maisons vides et abandonnées des petits villages du XIXe siècle.

      De temps en temps, je suis ennuyé par le fait que je n’ai pas vraiment d’intimité. Nulle part je ne peux aller sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J'espère juste que personne ne l'utilisera contre moi. »

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  2. Le fantôme de la liberté. Un Occident totalitaire ?


    di Roberto Pecchioli -
    29/10/2023


    La liberté n'est pas en bonne santé en Occident, patrie autoproclamée de la liberté. Elle risque de se transformer en fantôme, au point de se fondre dans une nouvelle forme, non moins insidieuse que les précédentes, de totalitarisme, où les méthodes "dures" (contrainte physique, terreur, élimination des dissidents, interdictions explicites de penser, de parler, de s'associer, d'agir) sont remplacées par la séduction, le contrôle à distance, l'abolition progressive des idées non conformes. C'est la méthode de la grenouille ébouillantée, le rétrécissement lent et régulier des libertés concrètes, retirées une à une, toujours justifiées par de nobles motifs: sécurité, protection, défense des minorités, inclusion, discours de haine, etc. Nous n'avons pas encore basculé dans le totalitarisme pur et dur, mais les prémisses sont là.

    Le titre de cette réflexion contient deux mots (liberté et totalitarisme) dont le sens n'est pas universellement partagé. La troisième catégorie - l'Occident - a depuis longtemps perdu toute connotation géographique pour devenir le nom de la civilisation articulée autour du libéralisme politique et du libéralisme économique, dirigée par les États-Unis, et composée de l'Europe occidentale, d'Israël et des satellites de l'ancien empire britannique, avec des ramifications de plus en plus indisciplinées en Amérique centrale et en Amérique du Sud. L'Occident est un système d'hégémonie sur l'humanité au nom d'une oligarchie internationale illégitime. Il est le contraire de l'Europe, dont il a détruit la culture, les racines et les traditions. Ayant atteint le pouvoir "impérial", il a inversé la prédiction de Lord Acton au 19e siècle : le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument.

    Margaret Thatcher était une interprète cohérente de cette tendance, pour qui il n'y a pas d'alternative au modèle mondial occidental. L'acronyme TINA, there is no alternative, est devenu l'un des mantras d'un système de plus en plus oppressif au nom de la liberté économique et financière de quelques géants. La négation de la possibilité d'alternatives est en soi un concept totalitaire.

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  3. La définition la plus prégnante du totalitarisme est celle de Hannah Arendt. Pour la penseuse juive allemande, le totalitarisme contemporain est un modèle politique distinct des formes historiquement connues de pouvoir autoritaire telles que le despotisme, la tyrannie et la dictature. Là où il a pris le pouvoir, il a détruit les traditions politiques, écrasé l'ordre social antérieur et poussé à l'extrême les caractéristiques de la société de masse, telles que l'isolement et l'interchangeabilité des individus.

    Le néo-totalitarisme n'exige pas seulement la subordination politique, il envahit et contrôle également la sphère privée et intime. Son objectif est de remplacer la société existante par une société radicalement différente, en construisant au fil du temps une autre humanité. En ce sens, il ne fait aucun doute que le libéralisme mondialiste qui a triomphé après la défaite du communisme et le discrédit de toute autre forme d'organisation politique, économique, sociale et de valeurs présente des traits totalitaires. Notamment en raison de son alliance avec l'appareil technologique et scientifique dont il est le moteur et le propriétaire. L'accusation portée contre le collectivisme d'État par Friedrich von Hayek, économiste ultra-libéral, se retourne contre le libéralisme - sorti de lui-même pour devenir le mondialisme - : celui qui possède tous les moyens, détermine toutes les fins. Les siennes, bien sûr. Encore un indice de totalitarisme.

    Avec la même force argumentative, on peut soutenir qu'une société fondée sur des "droits" ne peut être totalitaire, que la liberté économique n'a jamais été aussi grande, et que jamais l'individu, dans ce coin du monde qu'est l'Occident, n'a bénéficié d'autant d'opportunités qui sont devenues des "droits". Les deux thèses sont valables. L'auteur de ces lignes aime la liberté et se méfie des droits. D'abord parce que proclamer des droits sans établir de devoirs correspondants engendre le cynisme, l'indifférence sociale, l'individualisme rancunier, le repli sur un "moi" capricieux, tyrannique comme un enfant gâté. Ensuite, la nature des droits: les droits sociaux et communautaires sont effacés, les droits subjectifs sont mis en exergue, notamment ceux liés à la sphère pulsionnelle et sexuelle. Plié dans un individualisme radical, pulvérisant la communauté, l'Occident détruit aussi la société, l'ordre qui régule les principes, les valeurs, les intérêts distincts mais non incompatibles.

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  4. Les droits proposés concernent toujours la sphère subjective et considèrent la liberté comme l'absence de contraintes (freedom 'from'), c'est-à-dire la libération. De la famille, de l'autorité, des appartenances naturelles, voire de l'identité la plus intime. Le modèle est le "trans", sujet fluide, changeant, provisoire, détaché de tout ce qui dépasse sa volonté, son plaisir, sa préférence, devenus incontestables. Le droit de ne plus être quelque chose de défini tout en en faisant un drapeau. Renoncer à tout héritage (sauf matériel; l'argent et les moyens deviennent des fins "il n'y a pas d'alternative"), considérer le bonheur - dont la poursuite est un droit - comme la satisfaction immédiate des pulsions, des désirs, des caprices.

    Consommation, changement permanent de goûts, d'idées, de modes, de partenaires, de profession, de sexe, d'"orientation sexuelle" et d'existentialité. Fragiles girouettes sans souveraineté sur elles-mêmes, poussées dans le sens du vent. La temporalité comme projet de vie. Une absurdité logique qui produit de l'inconfort, de la tension, de l'insatisfaction jusqu'à la schizophrénie et l'insatisfaction permanente, dont le remède est tout aussi provisoire : le plaisir compulsif, la consommation de la vie - transformée en marchandise - à relancer sans cesse. Le bien et le mal, le juste et l'injuste ? Le concept de Calderòn de la Barca s'applique, dans la bouche du volage Sigismond : nada me parece justo, en siendo contra mi gusto. Rien ne me semble juste si c'est contre mon goût ou ma préférence.

    Sans nous en rendre compte, nous avons dessiné la définition de l'addiction. La liberté des modernes est la suite des addictions rendues justes, auxquelles il n'est pas permis d'opposer des limites éthiques, des freins législatifs, des réprobations sociales, des jugements négatifs. L'issue ne peut être que l'équivalence, l'indifférence à tout élément commun au profit d'un subjectivisme égoïste. Le relativisme qui en résulte devient un absolu, la pensée faible interdisant la pensée forte. Selon Benjamin Constant, la liberté des anciens était une étroite autonomie politique vécue dans le droit-devoir de participation à la polis. Celle des modernes est la liberté privée individuelle, y compris le droit à l'indifférence sociale. Résultat : dissolution des limites et des liens, remplacée en fait par l'imperium du plus fort, celui qui souffle sur la girouette en lui imprimant la direction souhaitée.

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  5. La civilisation occidentale se veut rationnelle, scientifique. "Civilisation, progrès, science, technologie : des mots auxquels nos contemporains semblent attacher une sorte de pouvoir mystérieux, indépendamment de leur sens. La science, avec une majuscule, comme le progrès et la civilisation, le droit, la justice et la liberté, fait partie de ces entités qu'il vaut mieux ne pas essayer de définir et qui risquent de perdre tout leur prestige dès qu'on commence à les examiner d'un peu trop près. Toutes les conquêtes dont le monde moderne est si fier se réduisent à de grands mots derrière lesquels il n'y a rien, ou si peu : suggestion collective ; illusion qui, pour être partagée par tant d'individus et se maintenir, ne peut être spontanée". (René Guénon) Exactement : un totalitarisme mou.

    https://www.ariannaeditrice.it/articoli/il-fantasma-della-liberta-occidente-totalitario

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  6. Vous serez bientôt PRISONNIER dans votre propre voiture : le « coupe-circuit » obligatoire du véhicule désactivera la conduite en cas de mauvaises performances


    12/11/2023
    Ethan Huff


    Un amendement proposé par le représentant Thomas Massie (R-Ky.) Pour empêcher le gouvernement fédéral de prendre en charge la propriété de véhicules privés en 2026 et au-delà a échoué, ce qui signifie que les Américains deviendront bientôt prisonniers dans leurs propres voitures.
    Massie, déçu par son amendement, connu sous le nom d'amendement de la partie B n° 60, au H.R. 4820, la « Loi de 2024 sur les crédits pour les transports, le logement et le développement urbain et les agences connexes », a tweeté ce qui suit après son rejet, notamment par 19 Les Républicains de la Chambre qui ont voté contre.

    "Le gouvernement fédéral a exigé que tous les véhicules vendus après 2026 soient équipés d'un coupe-circuit qui peut désactiver votre véhicule en fonction de vos performances de conduite", a "tweeté" Massie sur X (anciennement Twitter). "Mon amendement visant à annuler ce mandat inconstitutionnel a échoué ce soir."

    (Connexe : L’Amérique attend de voir comment le représentant Rand Paul [R-Ky.] et le représentant Massie tiendront Tony Fauci pour responsable de ses crimes contre l’humanité pendant le COVID.)

    USA Today a menti à l’Amérique sur le fait qu’il n’y avait « aucun « coupe-circuit » de véhicule dans le projet de loi d’infrastructure de Biden pour 2021 »
    Il convient de noter qu’avant l’amendement de Massie, les médias étaient occupés à nier qu’il y ait ne serait-ce qu’une disposition sur le coupe-circuit dans le projet de loi sur les infrastructures de Biden.

    USA Today, par exemple, a rapporté en janvier que : « Non, il n’y a pas de « coupe-circuit » pour les véhicules dans le projet de loi d’infrastructure de Biden pour 2021. » L’article continue de répéter ce mensonge encore et encore, pour finalement terminer l’article en admettant que :

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  7. "Il reste à voir si la technologie fera ou non partie de la règle finale du projet de loi sur les infrastructures..."

    Il s'avère que le projet de loi sur les infrastructures contient des dispositions pour un coupe-circuit, ce qui a incité Massie à envoyer à USA Today une copie de la loi sur l'investissement dans les infrastructures et l'emploi avec l'entrée suivante dans la section « Définitions » encerclée :

    « L'expression « technologie avancée de prévention de la conduite en état d'ébriété et avec facultés affaiblies » désigne un système qui... peut... surveiller passivement les performances du conducteur d'un véhicule automobile afin d'identifier avec précision si ce conducteur peut avoir les facultés affaiblies ; et... empêcher ou limiter conduite d’un véhicule à moteur si une déficience est détectée..."

    En d'autres termes, les nouvelles voitures en 2026 et au-delà contiendront non seulement un alcootest, mais également un coupe-circuit intégré qui permettra à un tiers, y compris le gouvernement, d'éteindre la voiture d'une personne, la laissant bloquée jusqu'à ce que quelqu'un réenclenche le moteur. véhicule.

    "Si vous vous faufilez dans la circulation en 2025 et approchez d'un feu de circulation, IBM espère pouvoir prendre le contrôle de votre voiture", lit-on dans un rapport de 2010 expliquant que ce type de technologie de désactivation à distance des voitures est en préparation depuis quelque temps maintenant.

    "Et selon le brevet, vous ne pourrez plus y aller tant qu'il ne vous le permet pas... Avec un ordinateur portable et un logiciel personnalisé appelé CarShark, les chercheurs ont désactivé les freins d'une voiture familiale ordinaire et ont coupé son moteur - pendant qu'elle bougeait."

    Plusieurs années auparavant, en 2008, il avait été exigé que toutes les nouvelles voitures américaines soient équipées du CAN (Controller Area Network), un protocole standard permettant à tous les composants électroniques de la voiture de « communiquer entre eux ».

    On parle même aujourd’hui de créer des « armes intelligentes » qui pourraient être utilisées de la même manière pour neutraliser l’arme à feu de quelqu’un – pour la « sécurité » des enfants, bien sûr.

    Une telle technologie est décrite par l'écrivain Vin Suprynowicz comme un « passe-partout électronique » qui a la capacité de « désactiver » toutes les « armes intelligentes » à l'intérieur de la maison d'une personne. On suppose que cela sera utilisé pour interdire toutes les armes à feu qui ne disposent pas de technologie de neutralisation, une attaque directe contre le deuxième amendement.

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  8. Les dernières nouvelles concernant l’empiétement du gouvernement sur nos vies personnelles, y compris la façon dont nous conduisons nos voitures, peuvent être trouvées sur Tyranny.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Ammoland.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-11-12-prisoner-car-mandatory-vehicle-kill-switch.html

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    1. Pareil pour les inoculés-de-la-dernière-heure qui auront un coupe-circuit. Couac !

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  9. L’insolence au travail n’est pas un motif de licenciement

    L’insolence est-elle un motif suffisant de licenciement ? Pour la Cour de cassation, la réponse est non : ni l’insolence au travail, ni l’insistance ne constituent des raisons valables pour remercier un employé.


    Par Aurélien Delacroix
    le 13 novembre 2023 à 15h00


    L'emploi dans le secteur privé représente 21,1 millions de salariés.

    La Cour de cassation a jugé que l'abus de la liberté d'expression en milieu professionnel impliquait l'emploi de termes injurieux, diffamatoires ou excessifs. Mais une attitude perçue comme insolente ou une insistance auprès d'un supérieur, même si elle est accompagnée d'un ton polémique ou irrespectueux, ne constitue pas en elle-même une violation de cette liberté.

    Ce principe a été rappelé dans une décision récente où un salarié, ayant adopté un comportement insistant et irrespectueux pour obtenir des congés non prévus par un accord d'entreprise, a été licencié. Il prenait des libertés avec son supérieur hiérarchique, le toisant de haut, voire en subordonné. Cependant, la Cour a jugé que ce comportement, bien que déplacé, n'était pas suffisamment abusif pour justifier un licenciement.

    La définition de l'abus de la liberté d'expression au travail

    Cette décision souligne une nuance importante dans la gestion des relations hiérarchiques en entreprise. Bien que le respect et la politesse soient des valeurs essentielles, leur absence ne constitue pas automatiquement un abus de la liberté d'expression. Il est important pour les employeurs de distinguer entre un comportement désagréable et un comportement réellement abusif. En janvier 2020, la Cour avait déjà établi que des remarques désagréables ne justifiaient pas nécessairement une sanction disciplinaire.

    Des limites pour l'insolence au travail

    Cette décision de la Cour de cassation rappelle l'importance d'un équilibre dans les relations professionnelles. Tout en reconnaissant le droit à la liberté d'expression, elle met en garde contre les comportements réellement abusifs, même si la Cour ne précise pas la ligne rouge à ne pas franchir. Pour les employeurs, cette décision souligne la nécessité de définir clairement les lignes directrices en matière de communication et de respect mutuel au sein de leurs équipes. Dans ce jugement, la Cour établit une distinction claire entre les comportements inappropriés et ceux réellement abusifs, redéfinissant ainsi les limites acceptables de l'expression des salariés vis-à-vis de leur hiérarchie.

    https://www.economiematin.fr/linsolence-au-travail-pas-motif-licenciement

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    1. Chacun a SES idées (elles ne manquent pas avec la foule d'informations accessibles sur le net). Chacun a SON point de vue discutable. (on est pas sur des 'réseaux sociaux' !).

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  10. Si l’économie est si prospère, pourquoi les recettes fiscales sont-elles si faibles ?


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 13 NOVEMBRE 2023 - 14:30
    Rédigé par Ryan McMaken via The Mises Institute,


    Les déficits fédéraux continuent de croître, mais ils ne sont pas uniquement fonction des dépenses fédérales. Les déficits ne sont pas nécessaires si les recettes fiscales augmentent pour correspondre aux dépenses. Mais ce n’est certainement pas là où nous nous trouvons en 2023. Au contraire, les dépenses fédérales augmentent alors même que les recettes fédérales ont diminué, année après année, pendant dix des douze derniers mois. De plus, sur une base trimestrielle, les recettes fédérales sont en baisse – d’un trimestre à l’autre – depuis le troisième trimestre 2022.

    On sait depuis longtemps qu’il existe une forte corrélation entre la baisse des recettes fiscales et la détérioration des conditions économiques. Pourtant, même si les recettes fiscales diminuent, on nous répète sans cesse que l’économie américaine se porte très bien et qu’il n’y a pas de récession en vue.

    Pourtant, si nous adoptons une vision historique, nous pouvons voir à quel point la baisse des revenus fédéraux a clairement coïncidé avec des récessions remontant à au moins 40 ans :

    - voir graph sur site -

    Il y a eu des périodes où les revenus sont devenus légèrement négatifs sans récession concomitante. Mais depuis de nombreuses décennies, nous n’avons pas assisté à une situation dans laquelle les revenus d’une année sur l’autre ont chuté autant qu’ils l’ont été au cours des derniers mois, sans qu’une récession ne s’ensuive peu de temps après. (Par exemple, les recettes fédérales ont chuté de 26 pour cent d’une année sur l’autre en avril de cette année, suivie d’une baisse de 21 pour cent en mai.)

    La plupart des déclarations des grands médias faisant état d'excellentes conditions économiques se limitent à l'indicateur de l'emploi ou des dépenses de consommation. Les dépenses de consommation, bien entendu, continuent d’être alimentées par l’augmentation des niveaux d’endettement tandis que les investissements diminuent.

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  11. Les recettes fiscales posent toutefois un problème pour le discours du « tout va bien ». Cela peut s’expliquer en partie si l’on considère que les recettes fédérales dépendent aujourd’hui fortement de l’impôt sur le revenu et des charges sociales. Ainsi, si la croissance des salaires et de l’emploi augmentait véritablement, comme le Bureau of Labor Statistics l’insiste dans son enquête sur les salaires, nous assisterions à une plus forte croissance des impôts sur les salaires et les revenus. Le fait que les recettes fédérales soient en baisse suggère que les revenus des ménages ne montent pas vraiment en flèche.

    - voir graph sur site -

    Le fait que les recettes fiscales soient faibles et en baisse ne devrait cependant pas nous choquer si nous y prêtons réellement attention. Les salaires réels sont désormais inférieurs à ce qu’ils étaient en janvier 2020, avant le début de la récession liée au Covid. Si l’on considère le salaire horaire moyen ajusté en fonction de l’IPC, les salaires ont augmenté de 2 cents entre septembre 2022 et septembre 2023. Les salaires ont baissé de 0,06 % depuis janvier 2020, avant les confinements. En d’autres termes, les salaires réels n’ont abouti à rien depuis des années.

    Il peut bien sûr y avoir une multitude d’autres facteurs, mais quels que soient les détails, il est difficile de nier que la baisse ou la faiblesse des recettes fiscales contredisent les récits qui nous disent à quel point l’économie est forte. De plus, les dépenses de consommation telles que nous les observons aujourd’hui coïncident également avec une augmentation des faillites d’entreprises, une baisse du taux d’épargne et une augmentation de l’endettement des consommateurs. L’indice des indicateurs avancés est en territoire de récession. La courbe des rendements inversée indique une récession et la croissance de la masse monétaire s’est effondrée à son plus bas niveau depuis la Grande Dépression. Qui serait surpris que les recettes fiscales ne parviennent pas à impressionner ? Uniquement les journalistes grand public et les économistes de l’establishment.

    https://www.zerohedge.com/economics/if-economy-so-great-why-are-tax-revenues-so-weak

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    1. Le tour de 'passe-passe' c'est quoi ? C'est, d'une part, des milliardaires qui sont plus riches que certains États + les banques prêtent de l''argent' qu'elles n'ont pas et se font rembourser les sommes imaginées... transmises par ordinateurs en billets de banques !
      D'où la pauvreté (au 21 ème siècle !!) du monde entier sous dictature.

      Que peut-il (va !) se passer ?! Les (ou des) pays vont être privatisés sous la direction d'un chef d'entreprise non-élu ("Votre terre m'appartient !", "Votre maison m'appartient !").
      Quel changement alors ?
      Changement de dictature.

      Donc: Non espoir de voir ces pays en Démocratie.

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  12. « Taxe carbone » européenne sur les importations chinoises et indiennes : environnementalisme ou géopolitique ?


    Par Drago Bosnic
    Recherche mondiale,
    11 novembre 2023


    L’un des tropes idéologiques les plus courants de l’Occident politique contemporain est son apparente obsession pour l’environnementalisme. Le pôle de puissance belligérant adore simplement l'utiliser comme un moyen de « prouver » sa prétendue « supériorité civilisationnelle » sur tout autre pays qui ne partage pas la même obsession. Le « jardin » tant vanté a déclenché des dizaines de guerres néocolonialistes contre les « jungles » à travers le monde , mais il n’y a aucune préoccupation pour l’environnement et la pollution lorsqu’il s’agit de propager « la liberté, la démocratie et les droits de l’homme ». Les bombes et les missiles de croisière du « jardin » ne constituent « évidemment aucune menace » pour l'habitat naturel de milliers d'espèces menacées ni un problème lorsqu'il s'agit de leur préservation.

    Et pourtant, l'Occident politique insiste toujours sur sa « supériorité morale », à tel point qu'il cherche à la codifier d'une manière qui affecte ses relations avec le monde entier. En effet, le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (MACB) de l'Union européenne, ou simplement « taxe carbone », est une tentative de forcer le reste du monde à suivre les lignes directrices du « jardin » sur les « questions environnementales ». La loi a été fortement critiquée par l’Inde et la Chine, qui sont toutes deux des économies de production massive. Les deux géants asiatiques estiment qu’il s’agit en fait d’un acte de guerre économique et d’une nouvelle barrière commerciale qui ne prend pas en compte les étapes très différentes du développement socio-économique. Aucun des deux pays n’est disposé à renoncer à la croissance et au développement.

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  13. Par exemple, la Chine apporte des améliorations sans précédent à la vie de ses citoyens. Afin de poursuivre sur cette voie, Pékin doit donner à son économie la liberté et les ressources nécessaires. Et on peut dire exactement la même chose de l’Inde. La China Iron And Steel Association (CISA) et le ministre indien du Commerce se sont ouvertement prononcés contre le CBAM. Les deux pays prennent des mesures pour atténuer l’impact négatif de la dernière taxe européenne, mais ne cachent pas leur mépris à son égard. Ils y voient une sinistre manière de ralentir au moins leur développement économique. D’un autre côté, Bruxelles continue d’insister sur le fait que le nouveau programme est d’une importance cruciale pour ses projets visant à atteindre zéro émission de carbone dans six secteurs concernés.

    Selon OilPrice , le régime fiscal CBAM est récemment entré dans ce que certains experts juridiques appellent la « phase de transition ». En effet, depuis le 1er octobre, les importateurs de divers produits (y compris l'acier) dans l'UE doivent déclarer les émissions de carbone de leurs produits. D’ici 2026, lesdits importateurs seront également soumis à des frais juridiques. L’UE vise à imposer le CBAM aux pays non occidentaux ayant d’importantes émissions de carbone, mais ces pays y voient un moyen de nuire à leur développement économique. Et même si l’objectif déclaré de la « taxe carbone » est de forcer les producteurs à réduire leurs émissions de carbone, elle entraînera en réalité une augmentation supplémentaire du coût de l’acier, de l’aluminium et d’autres produits d’importance stratégique.

    Pour sa part, la Chine s’est montrée très bruyante concernant le CBAM. Il y a quelques jours, son association sidérurgique l'a qualifié de « nouvelle barrière commerciale ». Selon Reuters , la CISA a déclaré qu'elle souhaitait davantage de discussions avec l'UE sur cette question. L'organisation chinoise insiste également sur le fait que « la nouvelle 'taxe carbone' ne prend pas en compte les différentes phases de développement des différents pays », ajoutant que « ce prélèvement va à l'encontre du principe de responsabilités communes mais différenciées ». En effet, de nombreux experts prédisent que le CBAM serait le principal responsable de la hausse des coûts des matières premières, les chiffres exacts allant de 4 à 6 %, voire plus. Et cela sans même tenir compte de l’effet sur d’autres secteurs.

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  14. Naturellement, la CISA craint que cela soit plus que suffisant pour rendre les exportations chinoises non viables. L’Inde partage également la même préoccupation et désapprouve la nouvelle « taxe carbone » controversée, affirmant qu’elle détruirait également la compétitivité de ses produits d’exportation vers l’UE. Le ministre indien du Commerce et de l’Industrie, Piyush Goyal, a également récemment critiqué le CBAM et prédit que l’UE se rendrait bientôt compte de son erreur, la forçant à arrêter sa mise en œuvre. L'effort pour s'attaquer au problème de la « taxe carbone » ne se limite pas aux organismes gouvernementaux, car il existe également des réunions entre les associations professionnelles et les fabricants qui travaillent ensemble pour trouver la meilleure solution au CBAM.

    Tout comme Pékin, New Delhi a également souligné que la « taxe carbone » ne prend pas en compte les différentes étapes de développement socio-économique des différents pays. Le ministre Goyal a également déclaré que le gouvernement indien trouverait une solution, très probablement une taxe intérieure spécialement conçue pour ne pas affecter négativement l'économie du pays, tout en réduisant les émissions de carbone. Cela rendrait également le CBAM obsolète et donc inutile. D’un autre côté, Pékin réagira probablement en imposant ses propres restrictions sur les exportations de l’UE vers la Chine, ce qui pourrait avoir de graves conséquences sur les entreprises européennes déjà en difficulté. Tout cela pourrait nous conduire à une « guerre froide » économique qui affecterait le monde entier.

    https://www.globalresearch.ca/eu-carbon-tax-chinese-indian-imports-environmentalism-geopolitics/5839578

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    1. Les choses réelles sont qu'un inventeur, une entreprise est guettée, surveillées de plus près par les opportunistes qui veulent a tout prix mettre la main sur l'invention et son pactole.
      Diverses voies sont suivies comme les impôts, les taxes et les importations qui seraient de déséquilibrer une économie de marchés.
      D'où, l'invention de nouvelles supercheries sur le Global Warming, sur les virus, sur les terroristes qui seraient d'attaquer l'humanité !

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  15. le crédit social à la chinoise ou à la Bill Gates ? Censure DSA, identité numérique, reconnaissance faciale, tout se met en place et les politiques parlent d’autre chose


    Publié le 11 novembre 2023
    par pgibertie


    @xazalbert chez@Tocsin : « Le #DSA, c’est comme une injection de news : on ne connaît pas les effets secondaires, mais on nous dit que c’est à 95 % fiable. Nouveau vaccin médiatique ou nouvelle menace ? »

    https://www.francesoir.fr/videos-videos-ne-pas-manquer/la-face-cachee-du-dsa-et-de-newsguard-revelee-un-cri-de-transparence

    Quiconque a lu attentivement #DSA et se soucie de la liberté d’expression sait que lorsque Thierry Breton parle de protection de la liberté et des mineurs, il détourne l’attention de l’éléphant dans la pièce : l’énorme pouvoir que cette loi donne à la Commission européenne pour superviser la modération du contenu. des plateformes Big Tech, en exigeant des choses comme : – application des règles de « désinformation » (une catégorie qui n’a pas de signification juridique claire) – application des règles relatives au « discours de haine » (une catégorie désespérément subjective qui sera utilisée pour supprimer les opinions détestées par les modérateurs) – le tout soutenu par des amendes massives pouvant aller jusqu’à 6% du chiffre d’affaires *mondial* annuel de la plateforme – en violation de l’article 11 de la Charte européenne des droits fondamentaux, qui garantit aux citoyens européens le droit à la liberté d’expression

    « Les médias mainstream sont devenus le virus, et la cure pourrait bien être pire que la maladie. Les citoyens se tournent vers des sources indépendantes, car la confiance est devenue le remède rare. »

    Xavier Azalbert révèle des inquiétudes majeures quant à l’opacité des contrats liant les États européens à NewsGuard, l’entreprise privée américaine évaluant les sites d’information. Cette dernière a introduit un algorithme dont l’efficacité reste à démontrer. Il met en garde contre l’utilisation de NewsGuard comme une nouvelle forme de contrôle de l’information, sapant potentiellement la démocratie et la liberté d’expression.

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  16. 2 identification numérique

    Les Nations Unies, la Fondation Bill et Melinda Gates et les partenaires de la Fondation Rockefeller lancent une campagne visant à accélérer le déploiement de l’identification numérique, des paiements numériques et du partage de données dans 50 pays sous l’égide de l’infrastructure publique numérique (DPI) d’ici 2028.

    Le WEF a publié une série d’articles en septembre qui plaident essentiellement en faveur de l’application du DPI et, bien sûr, le WEF « pense aux enfants » comme les meilleurs d’entre eux : « Les droits des enfants dans le monde peuvent être renforcés en investissant dans les infrastructures publiques numériques ». » dit une légende dans un article publié le 18 septembre 2023, intitulé @

    « Les deux tiers des ODD liés à l’enfance ne sont pas en mesure d’atteindre les cibles » : voici pourquoi nous devons investir dès maintenant dans l’infrastructure publique numérique.

    - voir clip sur site -

    3 reconnaissance faciale

    https://pgibertie.com/2023/11/11/le-credit-social-a-la-chinoise-ou-a-la-bill-gates-censure-dsa-identite-numerique-reconnaissance-faciale-tout-se-met-en-place-et-les-politiques-parlent-dautre-chose/

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  17. L’argent liquide fait plus que de la résistance

    C’est une chute historique pour une valeur boursière technologique. L’effondrement boursier, fin octobre 2023, du spécialiste français de la sécurisation des transactions bancaires, Worldline, après une panne géante, démontre que les perspectives d’une monnaie entièrement dématérialisée restent très incertaines. Dans le même temps, le cash fait encore — beaucoup — de résistance.


    Par Rédacteur
    le 12 novembre 2023 à 19h00


    91 % des Français plébiscitaient la petite monnaie de façon régulière

    Une panne géante, des perturbations monstres, mais « pas de cyberattaque »
    Le week-end du 22 octobre 2023, ce sont des centaines de consommateurs d’enseignes majeures qui ont dû laisser, dans l’Hexagone, leur caddie derrière eux sans pouvoir rentrer avec leurs courses. Carrefour, Monoprix ou encore Ikea : de très grands noms ont été touchés par une subite panne informatique, perturbant pendant près d’une heure l’acceptation des cartes bancaires de tous les réseaux clients de Worldline, une fintech française, fer-de-lance de la sécurisation des paiements et des transactions et un des leaders mondiaux du domaine.

    Du côté de Worldline, le groupe se veut rassurant et s’est borné à mentionner « certaines perturbations (…) résolues par les équipes du groupe ». Pour les enseignes touchées, en revanche, la gêne, certes ponctuelle, a malgré tout été prononcée : des milliers de lots ont été replacés dans les rayons, voire jetés du fait d’une rupture de la chaîne du froid. L’incident n’a pas non plus empêché le groupe de se faire rapidement sanctionner par les marchés. « Si l’impact financier est a priori minime, cette panne fait une mauvaise publicité à Worldline alors que le titre a subi un violent derating depuis 18 à 24 mois »a analysé, dans la foulée, le cabinet Invest Securities, alors que le groupe perdait 5 % de sa valeur le lundi 23 octobre dernier.

    Un coup rude pour la fintech, déjà fragilisée par un environnement macroéconomique international actuellement défavorable aux valeurs technologiques, qui subissent de plein fouet la hausse des taux directeurs. Pas de croissance infinie donc, pour les géants des solutions de sécurisation des paiements, qui font en plus face à un retour en force de l’argent liquide. En effet, le repli du recours à la monnaie fiduciaire après la crise sanitaire, n’a été finalement que conjoncturel.

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  18. En Suède, des lois en faveur de l’argent liquide

    La tendance à la disparation de l’argent liquide semble en effet se résorber. Depuis déjà plusieurs années. Même la Suède, qui s’était imposée comme le pays-pilote de la disparition du cash, revient en arrière. En 2020, le pays a obligé les commerces à accepter l’argent liquide, qui ne représentait, en 2016, plus que 15 % des paiements. Un an avant, en novembre 2019, une loi obligeant les banques à mettre du cash à disposition des populations a été votée. « Le paiement électronique présente beaucoup d’avantages, mais on doit aussi pouvoir utiliser le cash. Les personnes âgées, les handicapés, ceux qui viennent d’arriver en Suède doivent pouvoir payer en liquide », expliquait ainsi au journal suisse Le Temps l’ancien ministre des Marchés financierss Per Bolund.

    En France aussi, l’argent liquide revient par la grande porte. Si le nombre de distributeurs automatiques de billets semble en effet diminuer, leur nombre absolu stagne, voire augmente avec le phénomène de mutualisation des DAB entre grandes institutions bancaires pour rationaliser les coûts. Le phénomène est même, en valeur relative, en puissante augmentation, compte tenu de la transposition de la directive cash back en 2019, qui permet à tous les commerçants qui le souhaitent de rendre de la monnaie papier après un paiement par carte bancaire, permettant ainsi un meilleur accès au cash dans les zones enclavées. Signe de cette tendance, le marché des points de paiement en espèces prend même de l’ampleur, avec le lancement, au début de l’année 2021, de la solution « Point Cash Service » par la Brink’s. Elle permet le paiement en liquide de produits ou services achetés en ligne auprès d’un réseau de partenaires.

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  19. Vie privée, lien social : l’argent liquide conserve la côte

    Les espèces ont donc toujours la côte malgré la limitation des montants, qui interdisent les paiements en cash au-delà de 1 000 euros. Et notamment chez les plus jeunes, attirés par les perspectives de confidentialité liées à l’argent liquide et la certitude de ne pas être ciblés a posteriori par des campagnes en ligne de promotion et de marketing. En 2021, un sondage IFOP pour Monnaie de Paris affirmait que 91 % des Français plébiscitaient la petite monnaie de façon régulière, et 70 % quotidiennement. « Les Français sont attachés au respect de la vie privée, et sont conscients que seul le paiement en espèces reste totalement confidentiel et sans commission. Une liberté essentielle à leurs yeux », souligne ainsi Patrice Galiana, directeur de pôle chez IFOP, à l’origine de l’étude. Certains nouveaux moyens de paiement peinent même à convaincre, comme le smartphone, qui ne bénéficie de la confiance que de 8 % des Français.

    Surtout, l’argent liquide reste aussi une solution « inclusive ». Pour les mal-voyants par exemple, qui bénéficient de dispositifs de type « braille » sur les billets ou encore les personnes non bancarisées. 80 % des sondés affirment ainsi qu’un monde à la monnaie dématérialisée serait ainsi un monde avec une solidarité en baisse.

    En bref, si cette panne géante chez Wordline a pu démontrer que les systèmes de paiements dématérialisés étaient loin d’être totalement sûrs, elle prouve également que l’argent tout-numérique reste, pour le moment, une chimère. « Au-delà de son usage au quotidien, l’argent liquide continue à jouer un rôle dans notre société, pour la transmission entre générations, la pédagogie, et la solidarité », explique Marc Schwartz, PDG de Monnaie de Paris.

    https://www.economiematin.fr/argent-liquide-cash-carte-banque-paiement

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  20. FAIM AU CANADA : Trudeau contrôle les prix des aliments dans les épiceries, déclenchant une série d'événements qui mèneront à des étagères vides


    12/11/2023
    Belle Carter


    En septembre dernier, le Premier ministre canadien Justin Trudeau avait averti les chaînes d'épicerie qu'elles pourraient être frappées par de nouvelles taxes si elles ne prenaient pas de mesures pour contrôler la hausse des prix des denrées alimentaires. Il a demandé aux dirigeants des cinq plus grandes chaînes de supermarchés, dont Walmart et Costco, d’élaborer un plan.

    "Si leur plan n'apporte pas un réel soulagement à la classe moyenne et aux personnes qui travaillent dur pour en faire partie, alors nous prendrons d'autres mesures, et nous n'excluons rien, y compris des mesures fiscales", a déclaré Trudeau à la fin d'une retraite du caucus. à London, en Ontario.

    Cependant, pour l'ancien ministre de l'Agriculture Gerry Ritz, la demande de Trudeau que les épiceries créent les moyens de réduire le prix des aliments est ironiquement un plan pour « des étagères vides ». "Nous importons 50 % de ce que nous consommons. Et pensez-vous que [Trudeau] va imposer des contrôles de prix dans tous les pays d'où nous importons ? Il ne peut pas", a déclaré Ritz au Post Millennial. Selon lui, cela ressemble à la volonté de Trudeau d'éliminer progressivement les plastiques à usage unique pour la viande, les fruits et les légumes dans les épiceries. "Dès que cela entre en jeu, tout ce qui vient de Californie, de Floride, etc. et qui vient dans un sac en plastique ne peut plus entrer."

    Ritz a ajouté que cela signifierait que moins de produits seraient sur les étagères parce que les Américains ne changeront pas leur façon de faire les choses pour « un petit pays qui ne représente qu’une partie mineure de leur part de marché ». "Cela va diminuer, cela ne fait aucun doute", a-t-il déclaré. "Nos étagères vont être vides et les prix doivent augmenter parce que les frais généraux de ces magasins – tout ce qui concerne tout ce transport – sont toujours là." Il a également souligné que la taxe carbone du gouvernement fédéral sur l'essence et le mazout de chauffage domestique ajouterait également « au prix final des marchandises ».

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  21. L'ancien ministre a également dénoncé la décision du gouvernement libéral de réduire l'utilisation d'engrais de 30 % d'ici 2030, car ils prétendent que l'azote contenu dans le produit contribue aux émissions de gaz à effet de serre. Il ne pense pas que ces agriculteurs renonceront volontairement à utiliser les engrais. Pire encore, tout comme le registre volontaire des armes à feu, il deviendra obligatoire après un certain temps. "C'est ce qu'ils font de mieux", a-t-il déclaré.

    Enfin, il a critiqué le gouvernement Trudeau parce qu’il est dominé par des ministres urbains qui n’ont aucune connaissance ni appréciation de la vie rurale. Il a déclaré qu'ils étaient déconnectés de tout type de groupes ruraux, citant l'actuel ministre de l'Agriculture, Lawrence MacAuley, qui exploitait une petite ferme laitière, "mais c'était il y a environ 40 ans". "Lawrence va se refaire une beauté en revenant pour un deuxième passage. Et c'est lui qui a commencé à parler d'une réduction obligatoire de 30 % de l'utilisation d'engrais. Je pense qu'il a devancé l'équipe de communication dirigée par [Trudeau Chief of Staff] Katie Telford, bien sûr. Et il a littéralement renversé la fève, et les agriculteurs commencent à s'inquiéter.

    Ritz a déclaré que ce plan constituait une recette pour un désastre pour une « nation commerçante » comme le Canada. "Cela a des répercussions à travers le monde selon lesquelles l'agriculture canadienne va diminuer, au lieu de croître pour nourrir ce monde affamé", a-t-il ajouté.

    Ce sont les politiques de l’administration actuelle qui sont à blâmer, et non les épiciers
    Plus d'un mois après la mesure mise en œuvre par Trudeau, de nouvelles données gouvernementales ont montré que les prix des denrées alimentaires au Canada continuent de grimper.

    Même si l'inflation des prix à la consommation en glissement annuel s'est globalement ralentie à 3,8 pour cent en septembre, les prix des produits alimentaires ont augmenté de 5,8 % par rapport à l'année dernière, tirés par la flambée des prix des produits de boulangerie (en hausse de 8 %), des légumes frais (7,6 %, des pâtes alimentaires. (10,8 %) et la volaille (6,5 %).

    Même avant 2023, les statistiques montraient que quelque sept millions de Canadiens, dont 1,8 million d’enfants, vivaient dans des ménages qui avaient du mal à subvenir à leurs besoins. Les consommateurs deviennent agités et enragés. Ils ont accusé les épiciers de hausser les prix. « Si je paie autant, j'espère qu'il y a de l'or dans ce poulet », a répondu un utilisateur à un tweet viral en janvier montrant un prix de 37 $ sur un paquet de poitrines de poulet.

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  22. Cependant, selon Mike von Massow, professeur d'économie alimentaire à l'Université de Guelph en Ontario, même s'il est facile de se mettre en colère contre l'épicier, il y a très peu de preuves que les épiciers profitent de la situation.

    "Les prix des denrées alimentaires n'ont fait qu'empirer depuis, et Trudeau a trouvé le même bouc émissaire que beaucoup d'autres qui ne connaissent pas les bases de l'économie : les épiciers", a souligné la Fondation pour l'éducation économique (FEE) sur son site Internet. "Les politiciens comme Trudeau ne peuvent pas admettre que ce sont leurs propres politiques et l'impression monétaire qui sont responsables de la hausse des prix alimentaires." L'organisation à but non lucratif a en outre déclaré que Trudeau répétait la rhétorique de certains politiciens américains en visant les épiciers et « des profits records ». L'une d'elles est la sénatrice Elizabeth Warren (Démocrate-MA), qui a soutenu que l'inflation était alimentée par « la cupidité des entreprises ».

    Le chef du Parti conservateur du Canada, Pierre Poilievre, partage le même sentiment. "[Trudeau] imprime 600 milliards de dollars, ce qui fait augmenter notre masse monétaire de 32 pour cent en trois ans", a déclaré Poilievre. "Cela fait croître l'argent huit fois plus vite que l'économie. Il n'est pas étonnant que nous soyons confrontés à la pire inflation depuis quatre décennies." (Connexe : Les géants canadiens de la vente au détail de produits alimentaires repoussent les accusations d'inflation des prix et demandent à Trudeau d'examiner d'abord ses politiques.)

    Consultez FoodInflation.news pour plus d’articles sur la hausse constante des prix des aliments dans les épiceries et les supermarchés.

    Sources for this article include:

    AlJazeera.com
    ThePostMillenial.com
    FEE.org

    https://www.naturalnews.com/2023-11-12-trudeau-controls-prices-of-food-in-groceries.html

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  23. Le gouvernement américain va acheter des fruits de mer japonais pour l'armée malgré les problèmes de radiation de Fukushima


    12/11/2023
    Zoey Sky


    Le gouvernement des États-Unis a récemment annoncé qu’il avait accepté d’acheter des fruits de mer japonais pour son armée afin d’aider à atténuer les retombées économiques de la décision du Japon de rejeter dans l’océan Pacifique les eaux usées radioactives de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima Daiichi.

    Dans une interview, l'ambassadeur des États-Unis au Japon, Rahm Emanuel, a déclaré que les forces armées américaines étaient prêtes à signer un contrat à long terme avec les fournisseurs japonais de produits de la mer pour aider à faire face aux conséquences des restrictions et des interdictions totales imposées aux exportations japonaises de produits de la mer.

    Emanuel a ajouté que les fruits de mer tels que le poisson japonais, les coquilles Saint-Jacques et d'autres produits seront servis à bord des navires de la marine américaine et stockés dans les commissaires et les réfectoires de 17 bases militaires américaines de la région.

    Cependant, Emanuel a reconnu que donner des fruits de mer japonais aux soldats américains n'est pas suffisant pour compenser le ralentissement économique à venir pour l'industrie japonaise des fruits de mer, notamment en raison de la perte de l'énorme marché chinois. Mais cette décision devrait suffire à faire une déclaration sur la « coercition économique » de Pékin.

    Emanuel a expliqué que la meilleure façon d'aider à « épuiser la coercition économique de la Chine est [de] venir en aide et en assistance au pays ou à l'industrie ciblés ».

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  24. La Chine interdit toutes les importations de produits de la mer en provenance du Japon

    La Chine, qui était autrefois le plus grand importateur de poisson japonais, a interdit toutes les importations de fruits de mer en provenance du Japon en août en raison d'inquiétudes concernant une éventuelle contamination radioactive.

    De plus, Pékin a vivement critiqué la décision du gouvernement japonais de commencer à déverser les eaux usées de Fukushima dans l'océan Pacifique, qualifiant cette décision d'« extrêmement égoïste et irresponsable ». (Connexe : Expert : L'EAU RADIOACTIVE de la centrale nucléaire de Fukushima pourrait provoquer des MUTATIONS ANIMALES.)

    Malgré les critiques des pays et organisations concernés, le gouvernement japonais a insisté à plusieurs reprises sur le fait que ses rejets d'eaux usées étaient sûrs, avec le soutien de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

    Malgré les assurances de l'agence, le ministère chinois des Affaires étrangères a répondu aux affirmations de l'AIEA en suggérant que quiconque prétend que les rejets sont sans danger devrait « boire ou nager » lui-même dans les eaux usées de Fukushima.

    Emanuel s'est moqué des dirigeants chinois sur les réseaux sociaux. Dans une interview accordée au journal japonais Sankei début octobre, il a déclaré que Pékin ne disposait d’aucune base scientifique pour exprimer ses inquiétudes concernant les rejets de Fukushima.

    Emanuel a également déclaré que bien que la Chine ait interdit les importations de fruits de mer pêchés par les pêcheurs japonais, elle a continué à autoriser la vente de poissons capturés par les équipages chinois dans les eaux japonaises.

    Lorsqu'on lui a demandé s'il était « belliciste » à l'égard de la Chine, Emanuel a répondu qu'il se montrait simplement honnête et réaliste. "Peut-être que l'honnêteté est douloureuse, mais c'est honnête", a réprimandé Emanuel.

    En réponse aux derniers commentaires d'Emmanuel, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a déclaré aux journalistes qu'il est du devoir des diplomates de promouvoir l'amitié entre les pays, et non de salir les autres pays et de « [semer] des troubles ».

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  25. Des rapports ont révélé que le premier achat dans le cadre du nouvel accord de fruits de mer entre l'armée américaine et le Japon totaliserait moins d'une tonne de pétoncles. À titre de comparaison, le Japon a exporté plus de 100 000 tonnes de coquilles Saint-Jacques vers la Chine en 2022.

    La Russie interdit également temporairement toutes les importations de produits de la mer en provenance du Japon
    Début octobre, le gouvernement russe a également annoncé qu'il imposerait une interdiction temporaire sur les importations de produits de la mer en provenance du Japon à la suite du rejet dans la mer par Tokyo des eaux radioactives traitées provenant de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima.

    Selon un communiqué publié par Rosselkhoznadzor, le régulateur russe responsable de la sécurité alimentaire, les restrictions seront en place jusqu'à ce que la sécurité des produits aquatiques soit confirmée comme étant conforme aux exigences de l'Union économique eurasienne.

    Le rejet dans l'océan Pacifique a commencé le 24 août, 12 ans après la fusion désastreuse de la centrale de Fukushima suite à un tremblement de terre de magnitude 9,0 et au tsunami qui a suivi.

    Outre la Chine et la Russie, la Corée du Sud a également étendu l'interdiction d'importer du poisson et des fruits de mer en provenance de huit préfectures du Japon.

    Visitez FukushimaWatch.com pour plus d’articles sur la défunte centrale électrique de Fukushima Daiichi au Japon.

    Regardez la vidéo pendant que des experts discutent d’une solution concrète pour Fukushima.

    Cette vidéo provient de la chaîne What Is Happening sur Brighteon.com.

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  26. Plus d'histoires connexes:

    Des poissons RADIOACTIFS découverts près de Fukushima ravivent les inquiétudes concernant les projets de déversement d'eaux usées nucléaires dans l'océan.

    L'eau radioactive de Fukushima sera rejetée dans l'océan.

    Des centaines de poissons TUÉS suite à une fuite radioactive dans une centrale nucléaire du Minnesota.

    Sources include:

    RT.com 1
    RT.com 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-11-12-government-japanese-seafood-military-fukushima-radiation.html

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    1. (...) La Chine interdit toutes les importations de produits de la mer en provenance du Japon

      La Chine, qui était autrefois le plus grand importateur de poisson japonais, a interdit toutes les importations de fruits de mer en provenance du Japon en août en raison d'inquiétudes concernant une éventuelle contamination radioactive. (...)

      Faux. C'est là une mesure POLITIQUE et non SCIENTIFIQUE.

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  27. L’UE va de l’avant avec l’identification numérique malgré les problèmes de sécurité et les risques d’abus


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 12 NOVEMBRE 2023 - 15H20
    Rédigé par Debra Heine via American Greatness,


    Le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne sont parvenus cette semaine à un accord final sur la création de « portefeuilles européens d’identité numérique », le premier système d’identification central et entièrement numérique pour tous les Européens.

    « En vertu de la nouvelle loi, l'UE proposera à ses citoyens, sur une base volontaire dans un premier temps, des « portefeuilles numériques » qui contiendront des versions numériques de leurs cartes d'identité, permis de conduire, diplômes, dossiers médicaux et informations bancaires. », a rapporté le conservateur européen.

    Ces documents seront reconnus comme un moyen d'accéder à des services en ligne dans toute l'Europe, et les citoyens pourront prouver leur identité ou partager des documents électroniques depuis leur portefeuille « d'un simple clic », espèrent les législateurs.

    "Cela marque une étape importante vers les objectifs de la décennie numérique 2030 en matière de numérisation des services publics", a déclaré mercredi la Commission européenne dans un communiqué.

    "Tous les citoyens de l'UE se verront offrir la possibilité de disposer d'un portefeuille d'identité numérique européen pour accéder aux services en ligne publics et privés en toute sécurité et protection des données personnelles dans toute l'Europe."

    L'accord conclu par les colégislateurs est désormais soumis à l'approbation formelle du Parlement européen et du Conseil.

    Une fois formellement adopté, le cadre européen sur l’identité numérique entrera en vigueur le 20e jour suivant sa publication au Journal officiel.

    L'accord est intervenu quelques semaines seulement après que Christine Lagarde, directrice de la Banque centrale européenne, a annoncé que l'Union européenne allait de l'avant dans le développement de sa nouvelle monnaie numérique de banque centrale (CBDC) : l'euro numérique.

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  28. Les législateurs conservateurs de l’UE et les experts en cybersécurité se sont opposés à ces évolutions, avertissant que des abus à grande échelle sont inévitables dans un système d’identité numérique global.

    L'eurodéputé néerlandais Rob Roos a tiré la sonnette d'alarme mercredi :

    « RUPTURE : Très mauvaise nouvelle. Le Parlement européen et les États membres viennent de parvenir à un accord sur l’introduction de l’identité numérique », a-t-il déclaré.

    Roos a noté qu'à la suite de l'accord, le commissaire européen Thierry Breton a déclaré : « Maintenant que nous avons un portefeuille d'identité numérique, nous devons y mettre quelque chose… », suggérant un lien entre CBDC et eID. »

    Avant la décision du Parlement européen, plus de 500 'experts' en matière de confidentialité et de cybersécurité de 39 pays ont signé une lettre commune avertissant que la législation « ne respecte pas correctement le droit à la vie privée des citoyens et la sécurité des communications en ligne ».

    Roos a déploré que la plupart des législateurs européens « aient ignoré tous les experts en matière de protection de la vie privée et les spécialistes de la sécurité. Ils poussent tout cela jusqu’au bout.

    Le conservateur néerlandais a déclaré qu’il n’était pas optimiste, mais « il n’est pas encore trop tard ».

    «Le Parlement doit encore voter à ce sujet. Faites savoir à votre député européen que vous êtes opposé à l’identité numérique et que vous souhaitez qu’il vote contre ! il a dit.

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  29. 🚨 RUPTURE : Très mauvaise nouvelle. Le Parlement européen et les États membres viennent de parvenir à un accord sur l'introduction de l'identité numérique, #eID.

    Juste après, le commissaire européen Breton a déclaré : "Maintenant que nous avons un portefeuille d'identité numérique, nous devons y mettre quelque chose...",… pic.twitter.com/SVC5exas9b
    – Rob Roos, député européen 🇳🇱 (@Rob_Roos) 8 novembre 2023

    La Maison Blanche Biden a publié un « Cadre global pour le développement responsable des actifs numériques » en septembre de l’année dernière.

    Catherine Austin Fitts, experte financière et secrétaire adjointe au logement et au développement urbain pendant le mandat H.W. L’administration Bush est depuis longtemps un opposant virulent aux systèmes CBDC.

    Dans une récente interview, elle a prévenu qu’un système 100 % numérique serait contrôlé de manière centralisée et que l’argent d’une personne pourrait potentiellement être limité à une zone géographique particulière. Un tel système totalitaire, a-t-elle soutenu, pourrait également permettre à l’État de limiter les gens sur ce qu’ils sont autorisés à acheter.

    «Disons que je veux imposer un vaccin. Votre capacité de transaction financière peut être désactivée », a déclaré Fitts.

    « Votre accès à vos actifs financiers peut être refusé ou interrompu si vous ne faites pas ce qu’on vous dit. »

    #4 - Catherine Austin Fitts, experte financière et secrétaire adjointe au logement et au développement urbain sous l'administration Bush (H.W.), met en garde depuis longtemps contre les dangers des CBDC (Central Bank Digital Currencies). pic.twitter.com/TTYPlyhxGY
    – Le renard vigilant 🦊 (@VigilantFox) 8 novembre 2023

    Edward Dowd, fondateur de Phinance Technologies et auteur de Cause Unknown, prévient également depuis longtemps que tout système CBDC sera un système de contrôle totalitaire lié à un « score de crédit social » à la chinoise.

    «Cela devient simplement un outil d'ingénierie sociale, le gadget ultime pour les maniaques du contrôle», a-t-il déclaré lors d'une interview l'année dernière.

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  30. Edward Dowd… Monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) liée à votre score de crédit social pic.twitter.com/jN7gjb4o5T
    – Pelham (@Resist_05) 14 juin 2022

    La Réserve fédérale n'a pris aucune décision concernant la création d'une CBDC et a déclaré qu'elle ne procéderait à l'émission d'une CBDC qu'avec une loi d'autorisation.

    https://www.zerohedge.com/political/eu-moves-forward-digital-id-despite-security-concerns-and-potential-abuse

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  31. L'Islande déclare l'état d'urgence alors que des « essaims de séismes » signalent une éruption volcanique potentielle


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 11 NOVEMBRE 2023 - 18H15


    Les autorités islandaises ont déclaré l'état d'urgence et émis un ordre d'évacuation pour des milliers de personnes dans une ville touristique populaire de la péninsule de Reykjanes, au sud-ouest du pays, après l'intensification des essaims de séismes au cours des dernières 48 heures, faisant craindre qu'une prochaine grande éruption volcanique ne soit imminente.

    OMG....Une autre vidéo sur le tremblement de terre #Islande. Cela s'est produit toute la journée d'hier. Ils subissent encore beaucoup de tremblements de terre mais pas aussi importants.....😱👇

    Je ne peux pas vérifier la vidéo car je ne trouve pas l'original, mais elle semble légitime. Tout le mérite leur revient ! pic.twitter.com/7T81XBzEbk
    – Volcaholic 🌋 (@volcaholic1) 11 novembre 2023

    Vendredi soir, le commissaire de la police nationale islandaise a déclaré l'état d'urgence pour la protection civile. Les habitants de Grindavík ont reçu l'ordre de partir après la formation d'un tunnel magmatique sous la zone.

    "Nous voulons réitérer que les habitants DOIVENT évacuer leurs maisons et quitter la ville. Mais nous voulons également réitérer qu'il ne s'agit pas d'une évacuation d'urgence, nous avons tout le temps de nous préparer, de sécuriser nos affaires et de quitter la ville sereinement", a déclaré l'agence. dit.

    La dernière mise à jour du Bureau météorologique islandais met en garde :

    "L'activité sismique s'est déplacée vers le sud en direction de Grindavík. D'après l'évolution de l'activité sismique depuis 18 heures aujourd'hui, ainsi que les résultats des mesures GPS, il est probable qu'une intrusion magmatique se soit étendue sous Grindavík."

    Ça disait:

    "À ce stade, il n'est pas possible de déterminer exactement si et où le magma pourrait atteindre la surface. Il y a des indications selon lesquelles une quantité considérable de magma se déplace dans une zone s'étendant de Sundhnjúkagígum au nord vers Grindavík. La quantité de magma impliquée est significativement plus que ce qui a été observé dans les plus grandes intrusions de magma associées aux éruptions de Fagradalsfjall.

    Le magma remontant à la surface a produit la première activité sismique le 25 octobre et depuis lors, 22 000 séismes ont été signalés.

    - voir carte sur site -

    Au cours des dernières 48 heures, l'activité sismique s'est intensifiée avec plus de 1 500 séismes.

    - voir carte sur site -

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  32. Les autorités ont élevé le système d'alerte volcanique à "orange", ce qui signifie des troubles accrus avec une probabilité accrue d'éruption.

    - voir graph sur site -

    La route entre Grindavik et Reykjanesbraut a été fermée par la police en raison de dégâts. Une grande fissure s'est formée. #Reykjanes #éruption pic.twitter.com/dyBl2AS5Ng
    – Gisli Olafsson (@gislio) 10 novembre 2023

    L'ambassade américaine en Islande a également émis une alerte volcanique, mettant en garde contre l'augmentation des signes d'activité volcanique.

    "Si une éruption se produit, suivez les instructions des autorités islandaises. Les risques volcaniques peuvent inclure de la lave, des gaz toxiques et une épaisse fumée provenant d'incendies allumés par la lave", a indiqué l'ambassade.

    En 2010, presque tous les vols en Europe et à travers l’océan Atlantique ont été interrompus pendant une semaine alors que les cendres du volcan Eyjafjallajokull ont déclenché l’une des perturbations du trafic aérien les plus importantes en temps de paix jusqu’à la pandémie du virus Covid en 2020.

    https://www.zerohedge.com/weather/iceland-declares-emergency-quake-swarms-signal-potential-volcanic-eruption

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    Réponses
    1. HOULALAAAA !! QUE DE POLLUTIOOOOOON !! ON VAAA TOUS MOURIIIIIIIR ! (comme cela devrait être fait depuis 10 000 ans !). HAHAHAHA !

      ÊH BÊH OUAIS ! La 'cocotte-minute' dégaze de temps à autres ! Et là... ce ne sont pas des 'pets de vaches' !! HOULALA !!

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  33. Ne vous faites plus flasher, voici la carte des radars

    Découvrez la carte détaillée des 3.300 radars routiers français. Vingt ans après l’installation du premier radar, plongez dans l’univers de ces gardiens des routes, entre enjeux de sécurité et débats houleux.


    Par Rédaction
    le 12 novembre 2023 à 12h00


    Une révolution sécuritaire sur les routes : les radars

    Le 27 octobre 2003 marque une étape cruciale dans la politique de sécurité routière en France avec l'installation du premier radar fixe. Vingt ans plus tard, le paysage routier français est ponctué de près de 3300 radars, témoins silencieux d'une lutte acharnée contre les infractions routières. Ces dispositifs, qui ont enregistré environ 22 millions d’infractions annuelles, sont devenus des acteurs incontournables de la sécurité sur nos routes.

    Ces radars, souvent perçus comme des "pompes à fric" par les associations d'automobilistes, ont pourtant joué un rôle indéniable dans la réduction de la mortalité routière. En effet, les chiffres parlent d'eux-mêmes : de 7.242 tués en 2002, la France est passée à 3.267 en 2022. Cette baisse significative témoigne de l'efficacité de ces dispositifs dans la prévention des accidents.

    Une cartographie détaillée pour les usagers

    La transparence est de mise puisque la Sécurité routière offre un accès libre à l'emplacement précis de chaque radar sur le site officiel data.gouv. Cette initiative permet aux usagers de connaître l'emplacement exact de ces dispositifs, favorisant ainsi une conduite plus responsable.

    https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?mid=1JiCZsK7T7NEHzZQ8pJ76bCHNBAKNnGg&ll=46.44208359562599%2C2.5712950000000037&z=5

    https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1JiCZsK7T7NEHzZQ8pJ76bCHNBAKNnGg&ll=45.075983831854295%2C-1.7810446233257622&z=5

    La diversité des radars est également à souligner. Du radar fixe, pionnier de la surveillance, au radar discriminant, en passant par les radars itinéraires et de vitesse moyenne, chaque type a une fonction spécifique, adaptée aux différents enjeux de sécurité sur les routes. Les radars feux rouges et ceux aux passages à niveau complètent ce dispositif, sanctionnant des comportements particulièrement dangereux.

    Une politique en constante évolution

    L'évolution constante de la politique de sécurité routière en France se traduit par l'adaptation et la modernisation des radars. Les radars itinéraires, par exemple, déployés depuis 2016, illustrent cette volonté d'innover pour une sécurité accrue. Leur mobilité et leur caractère imprévisible renforcent l'efficacité de la surveillance et encouragent le respect permanent des limitations de vitesse.

    En conclusion, bien que les radars routiers en France soient souvent l'objet de critiques, leur contribution à la baisse de la mortalité et des accidents sur les routes est indéniable. Ces vingt années de surveillance routière automatisée ont indéniablement marqué un tournant dans la manière dont la France aborde la sécurité de ses routes.

    https://www.economiematin.fr/radars-france-route-carte-amende

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  34. La voiture électrique n’est pas seulement un désastre écologique, elle se devient un bide économique pour les constructeurs


    le 10 novembre 2023
    par pgibertie


    Les constructeurs de voitures électriques se résolvent à brader leurs modèles

    - voir clip sur site -

    Alors que les acteurs de l’industrie automobile ont investi des milliards d’euros pour opérer une transition vers l’électrique, la demande n’est pas à la hauteur des attentes. Les taux d’intérêt élevés, le contexte économique incertain et les tensions géopolitiques sont pointés du doigt.

    Dans plusieurs zones périphériques de villes chinoises, des centaines de véhicules électriques pullulent. À certains endroits, des mauvaises herbes poussent au milieu des champs. Les ordures jonchent le sol, alors que les véhicules restent figés, sans présent ni avenir, semblables à des fantômes.

    Une allégorie du gâchis orchestré par l’État, qui a multiplié les incitations financières à destination de startup lors de la dernière décennie.

    En Chine, des milliers de voitures électriques neuves semblent être abandonnées à leur triste sort. C’est, du moins, ce que révèle une vidéo publiée par SerpentZA il y a sept jours qui cumule 2,8 millions de vues à l’heure actuelle. Elle révèle une quantité colossale de véhicules électriques délaissés dans une sorte de parking géant à Hangzhou, à l’est de la Chine. Un véritable cimetière de voitures en plein cœur de la deuxième puissance économique du monde.

    Volkswagen observe par exemple une baisse des commandes de 50 % en Europe sur l’électrique. Pour le directeur financier de la marque, ce phénomène est lié au « ralentissement général du marché ». Avec l’inflation, beaucoup de clients renoncent à changer de voiture, ou attendent que les prix repartent à la baisse. En conséquence, l’entreprise allemande a décidé de licencier 269 salariés au sein de l’usine de Zwickau. Le sort de 2 000 autres emplois temporaires est toujours incertain.

    De son côté, l’américain Ford ne vend pas suffisamment de modèles électrifiés. Au cours du troisième trimestre, seuls 20 962 modèles se sont écoulés. Le constructeur perd énormément d’argent sur chaque voiture électrique vendue, des pertes de l’ordre de 36 000 dollars. C’est énorme et cela pousse même l’entreprise à « réduire les investissements dans le secteur de l’électrique ». Comme Volkswagen, Ford pointe du doigt « une dynamique de marché difficile ».

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  35. Depuis quelques mois, les constructeurs automobiles sont inquiets sur l’avenir de la voiture électrique. La plupart des grandes entreprises de l’industrie ont pourtant investi des milliards d’euros pour développer leurs modèles électrifiés : nouvelles usines, nouvelles technologies… Le contexte économique instable n’arrange pas les choses.

    De quoi pousser Tesla à ralentir ses projets au Mexique. La construction de l’usine attendra. Autre projet abandonné : celui qui devait unir Honda et General Motors dans le développement d’un SUV électrique abordable.

    The Wall Street Journal

    Pour attirer des acheteurs de moins en moins nombreux, marques et concessionnaires optent pour la valse des étiquettes

    En fait, il a été constaté que, dernièrement, l’évolution des ventes de voitures électriques était à la baisse, au point que les constructeurs automobiles se voient obliger de réduire considérablement leur investissement dans ce type de véhicules. Les constructeurs automobiles ont également revu à la baisse leurs objectifs de vente de voitures électriques.

    Parmi les entreprises qui ont exprimé leurs inquiétudes quant aux troubles sur le marché des voitures électriques figurent General Motors, Mercedes-Benz et Honda

    Toyota Motor Corp. a réduit ses prévisions de ventes de véhicules électriques pour l’année fiscale en cours de 39%, passant d’un chiffre initial de 202 000 unités à un chiffre moins brillant de 123 000. C’est ce qu’a annoncé le constructeur japonais dans son rapport financier du deuxième trimestre.

    Panasonic, qui fournit les batteries à Tesla, a ralenti sa production en raison d’une baisse de l’appétit mondial pour les véhicules électriques. Le chef financier de LG Energy a prévenu que la demande pour les électriques « pourrait être plus basse que prévue l’an prochain ». Le fabricant de puces Onsemi vient de licencier 900 personnes parce qu’il s’inquiète de la demande des véhicules électriques, qui faiblit.

    Des minéraux qui vont dans les batteries de voitures électriques ont vu leur prix dégringoler ces derniers mois. Or, d’après le magazine InsideEVs, le fait de voir le lithium chuter de 67% et le cobalt, de 20%, est bien mauvais signe. « Si la demande baisse, ils [les fabricants] achètent moins de matières premières. Et les producteurs, pour allouer plus de matières premières au marché, baissent leurs prix. En fin de compte, les prix baissent parce que les fabricants produisent moins », analysait le média.

    https://dailygeekshow.com/constructeurs-automobiles-voitures-electriques/

    https://www.lopinion.fr/economie/les-constructeurs-de-voitures-electriques-se-resolvent-a-brader-leurs-modeles

    - voir clip sur site -

    https://pgibertie.com/2023/11/10/la-voiture-electrique-nest-pas-seulement-un-desastre-ecologique-elle-se-devient-un-bide-economique-pour-les-constructeurs/

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  36. Énergie : le prix du gaz augmente en décembre 2023

    Vous commencez à avoir froid parce que l’hiver approche et que, désormais, les températures ont chuté ? Vous avez rallumé votre chauffage ? Mauvaise nouvelle : si vous utilisez le gaz pour vous chauffer, cuisiner ou prendre des douches chaudes, vous allez payer plus cher. La Commission de Régulation de l’Energie (CRE) annonce en effet une augmentation du prix du gaz en France, après une mise à jour de son prix repère.


    Par Paolo Garoscio
    le 13 novembre 2023 à 6h32


    Les stocks de gaz français sont remplis à 100%

    Une hausse du prix du gaz en décembre 2023

    Le prix repère du gaz, un indicateur crucial pour les 12 millions de foyers français utilisant cette énergie, va fortement augmenter dès le 1er décembre 2023. Cette augmentation n’étonnera pas : le prix repère du gaz n’a jamais baissé depuis son instauration par la Commission de Régulation de l'Énergie (CRE) en remplacement des tarifs réglementés. Et les ménages ne peuvent que s’inquiéter : la période hivernale approche, et avec elle les températures glaciales et la nécessité de chauffer son logement.

    Pourquoi le prix repère du gaz augmente ?

    Le prix repère du gaz reflète les coûts supportés par les fournisseurs sur le marché de gros. Cette donnée permet aux consommateurs de comparer les offres des différents fournisseurs et de choisir la plus avantageuse.

    « Les fournisseurs construisent librement leurs offres en fonction de leurs conditions d’approvisionnement, de leurs choix commerciaux, mais aussi des conditions contractuelles qu’ils proposent. Ainsi, à titre d’exemple, le prix d’une offre à prix fixe sur un an est susceptible de différer sensiblement du prix de référence de la CRE qui reflète les variations mensuelles et trimestrielles du prix du gaz », précise la Commission de Régulation de l’Énergie sur son communiqué de presse publié le 10 novembre 2023.

    Combien va coûter le gaz en décembre 2023 en France ?

    En décembre, un ménage utilisant le gaz pour la cuisine, le chauffage et l'eau chaude devrait payer en moyenne 127 euros le mégawattheure, une augmentation notable par rapport aux mois précédents. Cette hausse, qui a déjà franchi les 21 % entre juillet et décembre pour les petits consommateurs, met en évidence la pression croissante sur le budget des ménages français.

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  37. « Entre novembre et décembre 2023, la part variable hors taxes (HT) d’un consommateur type cuisson/eau chaude et chauffage augmente de 5,18 €/MWh », souligne la CRE.

    Il est essentiel pour les consommateurs de comparer attentivement les offres des fournisseurs. La CRE, en publiant le prix repère, fournit un outil utile pour cette comparaison. De plus, des mesures telles que l'amélioration de l'isolation des logements ou l'adoption de comportements économes en énergie peuvent contribuer à réduire la consommation de gaz et, par conséquent, alléger la facture.

    Les prix repère du gaz de la CRE pour le mois de décembre 2023
    Grille du Prix Repère de Vente du Gaz pour décembre 2023 sur la zone de GRDF

    https://www.economiematin.fr/hausse-prix-gaz-decembre-2023-cre-energie

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  38. ALERTE DE PANNE DE RÉSEAU : L'Amérique du Nord risque de subir des pannes d'électricité lors d'épisodes de temps froid, prévient le régulateur


    12/11/2023
    Belle Carter


    Le réseau électrique américain court un risque accru de défaillance en raison des tempêtes majeures imminentes ou des vagues de froid prolongées de l'hiver prochain, a averti la North American Electric Reliability Corp. (NERC), le régulateur qui surveille le système électrique.

    Selon l'évaluation de la fiabilité hivernale 2023-2024 du NERC publiée le 8 novembre, une vaste partie du pays qui s'étend du Texas à la frontière canadienne n'est pas suffisamment équipée pour faire face aux conditions hivernales difficiles. Le rapport indique que le réseau électrique continue de s'effilocher et de souffrir d'un sous-investissement, malgré les promesses des politiciens et des régulateurs de le renforcer à la suite des coupures de courant meurtrières de ces dernières années. "Comme observé lors des récents événements de fiabilité hivernaux, plus de 20 pour cent de la capacité de production a été mise hors service lorsque les températures glaciales s'étendent sur des régions de l'Amérique du Nord qui ne sont généralement pas exposées à de telles conditions", alerte le rapport. "Lorsque l'approvisionnement en électricité devient limité, les opérateurs [de systèmes d'alimentation en vrac] peuvent faire face simultanément à une forte augmentation de la demande."

    Lors d'un appel, la NERC a déclaré aux journalistes que le réseau était traditionnellement confronté à ses plus grands défis lors de la chaleur estivale, mais qu'une confluence de facteurs ces dernières années a rendu le réseau tout aussi instable lors des conditions hivernales rigoureuses. "Nous avons constaté que le système est devenu plus vulnérable aux conditions hivernales", a déclaré John Moura, directeur de l'évaluation de la fiabilité et de l'analyse des performances du NERC. "Pendant des décennies, le système a été construit et planifié autour des pointes estivales." Cependant, au cours de l’été de cette année, l’organisation à but non lucratif a également averti que les deux tiers du réseau risquaient de connaître des pannes estivales lors des pics de consommation d’énergie. (Connexe : Avertissement : les deux tiers du réseau électrique nord-américain courent un RISQUE ÉLEVÉ de subir des pannes estivales pendant la demande de pointe.)

    En février dernier, la Federal Energy Regulatory Commission a approuvé de nouvelles normes de fiabilité par temps froid pour les générateurs américains. Le NERC a proposé ces normes en réponse à la tempête hivernale Uri en 2021, qui a fait près de 250 morts et contraint les Texans à des pannes d’électricité généralisées. "Des normes supplémentaires pour temps froid récemment adoptées par le conseil d'administration de la NERC ont été déposées pour approbation par la FERC", a déclaré Moura dans un communiqué. "Il s'agit d'une évolution positive pour garantir que l'industrie est préparée à un temps extrêmement froid."

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  39. Parmi les autres problèmes identifiés par la NERC figurent la complexité croissante de la prévision de la charge hivernale et la réduction des transferts d'électricité entre les coordinateurs de fiabilité et les autorités d'équilibrage. "Bien que les réductions atténuent un problème dans une partie du système, les réductions peuvent contribuer à des pénuries d'approvisionnement ou affecter les opérations du réseau de transport local dans une autre zone", a déclaré la NERC.

    Pendant ce temps, alors que le réseau continue d’être instable à l’approche de la saison hivernale, la NERC a averti le Texas – où les électeurs ont approuvé plus tôt cette semaine un plan visant à financer davantage de production d’électricité – qu’il courait un risque plus élevé de pénurie d’énergie cette année que l’année dernière. Cela est dû au fait qu'il ne met pas suffisamment d'électricité en ligne pour répondre à la demande croissante de l'État, et que son infrastructure existante n'a pas été suffisamment résistante aux intempéries.

    Des défis similaires frappent les zones situées au nord de l’État de Lone Star, selon le rapport. Le réseau régional qui dessert 15 États, de l'Arkansas au Wyoming, fonctionnera avec des réserves d'énergie de secours nettement inférieures à celles de l'année dernière. Le NERC a averti que même si la région dispose des ressources dont elle a besoin pour traverser un hiver normal, un temps extrêmement froid pourrait « entraîner des déficits susceptibles de déclencher des urgences énergétiques ».

    Les auteurs ont averti qu'une tempête hivernale d'une ampleur similaire dans la région pourrait entraîner une répétition des pannes qui ont perturbé la période des fêtes de l'année dernière pour des millions de personnes. Le rapport conclut également que les opérateurs de réseaux électriques ont du mal à mettre en place une nouvelle génération et à adapter leurs équipements aux intempéries au rythme requis pour relever les défis d'une demande accrue et des conditions météorologiques plus extrêmes et imprévisibles créées par le changement climatique. « Ces prévisions montrent une fois de plus que notre pays est confronté à des défis imminents en matière de fiabilité du réseau alors que la demande d'électricité continue de monter en flèche », a déclaré Jim Matheson, PDG de la National Rural Electric Cooperative Association, qui représente 900 fournisseurs d'électricité locaux. "C'est inacceptable et devrait inquiéter tous les Américains."

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  40. La perturbation imminente du réseau est due à la négligence et non aux émissions de gaz à effet de serre

    Selon Mark Spurr, directeur législatif de l'International District Energy Association et président de la société d'ingénierie et de conseil FVB Energy, une perturbation massive du réseau est inévitable en raison de trois tendances qui « s'aggravent, pas s'améliorent ». Il a évoqué l’augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes due au changement climatique, à l’augmentation de la demande de pointe en électricité et à une dépendance croissante à l’égard du gaz naturel.

    "Nous sommes ravis de voir la NERC reconnaître ce que tout le monde sait déjà : la panne des centrales électriques à combustible fossile, en particulier celles au gaz, pendant l'hiver, constitue aujourd'hui la plus grande menace pour la fiabilité du réseau", a déclaré Tom Rutigliano, principal défenseur de la NERC. Projet FERC durable au Conseil de défense des ressources naturelles. Mais il a ajouté que l'accent mis par la NERC sur les risques liés à l'approvisionnement en carburant « cache que la cause profonde est simplement un mauvais entretien de la part des propriétaires de centrales électriques et de l'industrie gazière ». Il a en outre souligné que les opérateurs de réseau doivent prévoir le manque de fiabilité dont les centrales à gaz ont fait preuve à maintes reprises et demander des comptes aux centrales non performantes. "Le Congrès devrait suivre la recommandation de la FERC visant à établir des normes de fiabilité pour l'industrie gazière", a-t-il ajouté.

    La National Rural Electric Cooperative Association aurait averti que les limites proposées par l'Environmental Protection Agency (EPA) sur les émissions de gaz à effet de serre des centrales électriques alimentées au charbon, au gaz et au mazout pourraient aggraver la situation précaire du réseau. L'évaluation de la fiabilité du NERC a montré que notre « nation est confrontée à des défis imminents en matière de fiabilité du réseau alors que la demande d'électricité continue de monter en flèche », a déclaré Matheson. La "proposition illégale, irréaliste et irréalisable de l'EPA entraînera moins d'électricité, davantage de pannes de courant et des coûts plus élevés pour les familles et les entreprises américaines".

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  41. Visitez PowerGrid.news pour obtenir des informations relatives à la diminution de la source d’électricité aux États-Unis.

    Sources for this article include:

    MSN.com
    NERC.com
    Finance.Yahoo.com

    https://www.naturalnews.com/2023-11-12-grid-down-america-blackouts-risk-cold-weather.html

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  42. L’illusion des e-carburants : le miroir aux alouettes énergétique

    Les e-carburants, présentés comme une alternative durable aux énergies fossiles pour décarboner des secteurs difficiles à électrifier, présentent des problèmes majeurs qui rendent impossible leur production à grande échelle.


    le 13 novembre 2023
    Michel Gay


    Les e-fuels, aussi appelés e-carburants ou carburants de synthèse, sont reconstitués à partir d’eau, d’électricité décarbonée (nucléaire, hydraulique, éolien et solaire…) et de gaz carbonique (CO2).

    Ils pourraient représenter une remarquable solution durable de substitution au pétrole (et à ses dérivés), ainsi qu’au gaz, dans les secteurs les plus difficiles à décarboner en « électrifiant » indirectement les transports aériens, maritimes, les camions et les voitures, tout en créant de l’activité en France et des emplois industriels.

    Euréka ! Extraordinaire ! Révolutionnaire ! Miraculeux !

    Hélas, il y a des obstacles rédhibitoires et des désillusions sur la route qui mène au Graal d’un monde sans combustibles fossiles…

    La mariée est belle !

    L’idée lumineuse est de faire croire qu’il sera possible de remplacer les énergies fossiles (notamment gaz et pétrole) par ces e-fuels constitués d’hydrogène issu d’électrolyse, et de carbone issu de monoxyde de carbone (CO), ou de gaz carbonique (CO2) récupéré de l’industrie (à la sortie d’une usine de ciment par exemple), ou dans l’air ambiant.

    Ces e-fuels liquides ou gazeux ont un atout de taille : ils ont l’avantage de pouvoir être utilisés directement dans les moteurs à combustion interne existants sans modifications majeures, puisqu’ils sont quasiment identiques aux carburants fossiles.

    Et le gaz carbonique émis dans l’atmosphère lors de leur combustion est équivalent au gaz carbonique capturé qui, sans cette capture, serait directement diffusé dans l’air.

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  43. Ces e-fuels, « vecteurs d’énergie électrique », pourraient aussi fournir les réactifs pour l’industrie chimique (plastiques, etc.) et recycler le gaz carbonique non évitable émis par certaines industries comme les cimenteries.

    Certains e-fuels sont déjà certifiés et incorporés en faibles quantités dans l’industrie et les transports aériens, maritimes et terrestres.

    La localisation en France de la chaîne de valeur de production de carburants et combustibles réduirait les risques d’approvisionnement (en se substituant aux énergies fossiles importées), et améliorerait aussi la balance commerciale, ainsi que la souveraineté énergétique.

    Ces avantages pourraient compenser leur coût de revient industriel qui serait environ deux fois plus élevé que leurs équivalents fossiles.

    Le modèle financier est encore incertain. Les e-fuels devront faire face à la concurrence commerciale mondiale fondée sur des énergies fossiles relativement bon marché. Ces dernières doivent être extraites et raffinées mais existent déjà « gratuitement » dans le sous-sol de la Terre (il suffit de les récupérer) alors que les e-fuels sont coûteux à fabriquer.

    Hélas, la fabrication industrielle de ce « fabuleux » e-fuel nécessite beaucoup trop d’électricité et de gaz carbonique pour répondre aux besoins de la France (et encore plus à ceux de l’Europe et du monde).

    Un énorme besoin d’électricité et de gaz carbonique

    Aujourd’hui, les 24 projets identifiés par SIA Partners de production d’e-fuels en France (dont le coût prévisionnel s’élève déjà à 3,6 milliards d’euros) représentent seulement environ 0,5 million de tonnes d’équivalent pétrole (Mtep) par an à l’horizon 2030 (environ 0,25 Mtep d’e-méthanol et 0,25 Mtep d’e-kérosène).

    Pourtant, cette quantité minime (0,5 Mtep, soit un centième des 50 Mtep consommées uniquement par les transports) nécessiteront 14 térawattheures (TWh) d’électricité bas carbone par an du mix électrique français, soit presque deux EPR (le procédé d’électrolyse de l’eau représente 85 % de la consommation, et la synthèse des e-fuels 15 %), et 1,7 million de tonnes (Mt) de gaz carbonique par an.

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  44. Or, en France, la production annuelle d’électricité est d’environ 500 TWh, et le gisement de gaz carbonique industriel non évitable produit principalement par des industries lourdes comme le ciment (dont les réductions d’émissions induisent des coûts prohibitifs) est estimé par SIA Partners à 12 Mt.

    Mais d’où proviendraient alors les énormes quantités d’électricité et de gaz carbonique nécessaires si les e-fuels avaient vocation à remplacer les énergies fossiles (carburants pour les véhicules et combustibles pour le chauffage) ?

    Des problèmes insolubles à l’horizon 2030…

    À longue échéance, une production significative d’e-fuels multipliée par environ… 50 (!) pour commencer à répondre aux besoins de la France fera émerger des problèmes insolubles d’approvisionnement en électricité et en gaz carbonique.

    Par exemple, remplacer par des e-fuels les 50 Mtep de carburants fossiles consommés actuellement dans nos seuls véhicules en France supposerait de construire… une centaine de réacteurs nucléaires EPR pour produire l’électricité nécessaire à leur synthèse.

    Il serait également nécessaire d’extraire 165 Mt de gaz carbonique par an d’une production nationale de 240 Mt de ciment en France pour capter une telle quantité de gaz carbonique (voir explications en annexe).

    Or, la production totale française de gaz carbonique est actuellement de moins de… 17 Mt (en 2017), soit 7 % du besoin en gaz carbonique.

    Une autre source est parfois évoquée : le captage directe de gaz carbonique dans l’air (DAC). Mais elle nécessite des moyens gigantesques techniquement et financièrement impossibles au niveau requis pour la France. Elle ne présente donc aucun intérêt, même lorsque le gaz carbonique industriel ou biogénique est peu disponible localement (explications en annexe).

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  45. Pour faire bonne mesure, il faudrait aussi remplacer les combustibles (gaz et fuel) nécessaires pour le chauffage des logements dont encore plus de la moitié (54 %) sont chauffés au gaz et au fuel (27 Mtep, soit 330 TWh) et représente environ la moitié de la consommation d’énergies fossiles des transports. Ce chauffage pourrait être avantageusement directement électrifié pour éviter les pertes (50 %) de transformations en e-fuels.

    Le développement de la filière est donc impossible à cause des ressources insuffisantes en électricité et en gaz carbonique qui représentent un insurmontable goulot d’étranglement au moins pour un siècle.

    Un rêve ruineux assis sur des subventions

    Les e-fuels, aujourd’hui poudre de perlimpinpin, deviendront peut-être un jour un petit complément coûteux à la consommation d’énergies fossiles au-delà de ce siècle.

    Mais produire des e-fuels pour remplacer majoritairement les énergies fossiles restera ruineux et industriellement utopique au cours de ce siècle. Personne ne sait encore comment trouver les énormes quantités d’électricité et de gaz carbonique nécessaires à la fabrication de ces e-fuels pour remplacer seulement un quart de la consommation de carburant du transport en France.

    Cependant, cet idéal merveilleux du recyclage perpétuel du gaz carbonique en e-fuel grâce à de l’eau, du nucléaire, du vent et du soleil, permettra à quelques-uns de rêver longtemps (mais attention aux désillusions…).

    Quelques autres (commerciaux, ingénieurs, producteurs de e-fuels) qui cherchent aujourd’hui des « soutiens » (subventions) par des mécanismes liés au développement de l’industrie verte, pourront peut-être vivre de recherches subventionnées pendant des décennies…

    L’e-fuel, ça sonne bien, c’est beau, et c’est politiquement correct pour faire croire que l’humanité pourra s’extraire de la consommation des énergies fossiles. Mais c’est, hélas, inefficace et idiot pour encore au moins un siècle !

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  46. Annexe

    Quelques chiffres à placer en face des mots…

    La physique et la chimie (CO2 + 3H2 à CH3OH + H2O) indiquent que la production d’une tonne de méthanol (CH3OH) nécessite environ 1,4 tonne de gaz carbonique et 0,2 tonne d’hydrogène (H2), lui-même fabriqué industriellement avec au moins 11 MWh d’électricité et de l’eau (H2O).

    En résumé, 1 tonne de e-méthanol nécessite 1,4 t gaz carbonique + 11 MWhe

    Pour information :

    1 t de e-méthane nécessite 2,9 t gaz carbonique + 33 MWhe
    1 t de e-kérosène nécessite 3,7 t gaz carbonique, 28 MWhe

    Production d’électricité

    La production d’un kilogramme (kg) d’hydrogène par électrolyse (qui contient 33 kWh d’énergie et occupe un volume de 11 m3 à la pression atmosphérique) nécessite, en pratique industrielle, entre 55 à 66 kWh d’électricité.

    Le coût de production de l’hydrogène ainsi obtenu serait de 4 €/kg à 7 €/kg selon le coût initial de l’électrolyseur et le temps de fonctionnement sur une année.

    Le coût moyen serait d’environ 5 €/kg pour un coût d’électrolyseur de 1,2 million d’euros par mégawatt installé, 7000 heures de fonctionnement par an (80 % du temps), et un coût d’électricité à 70 €/MWh.

    Un kg de méthanol (qui ne contient que 5,5 kWh d’énergie) mais qui a nécessité plus de 11 kWh d’électricité, comprend donc au minimum 0,77 € d’électricité.

    La cimenterie Vicat de Montalieu-Vercieu vise la production optimiste de 125 000 tonnes par an d’e-méthanol dès 2025 grâce à un électrolyseur d’une puissance de 180 MW, soit une consommation de 1,6 TWh/an, dans l’hypothèse d’un fonctionnement continu (facteur de charge égal à 100 %).

    Utiliser uniquement les surplus des pics de production des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) quand il y a du vent et du soleil pour profiter de prix faibles influence grandement le temps de fonctionnement annuel des électrolyseurs et leur rentabilité.

    De plus, si l’alimentation en électricité est fournie par des EnRI, l’effet d’un fonctionnement variable et intermittent sur la durée de vie des électrolyseurs n’est pas connu. Les quelques unités actuelles fonctionnent industriellement en régime permanent.

    Produire de l’hydrogène seulement lorsque les prix de l’électricité sont bas pendant les périodes de surproduction des énergies renouvelables serait techniquement coûteux, voire impossible, même avec un stockage tampon d’hydrogène comprimé à chaque électrolyseur (qui a aussi un coût) pour fonctionner un ou plusieurs jours en autonomie.

    Par MW installé, les électrolyseurs alcalins industriels produisent environ 180 tonnes d’hydrogène par an (soit 0,5 tonne par jour (t/j) et par MW) qui permettent théoriquement de produire 960 tonnes de méthanol.

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  47. En tenant compte du rendement global (environ 80 %) et des arrêts pour entretien, la production annuelle des électrolyseurs serait de 760 tonnes de méthanol par MW installé, soit une moyenne d’environ 2 t/j d’éthanol par MW d’électrolyseur.

    Extraction du gaz carbonique

    Il faudra aussi ajouter le coût d’achat ou d’extraction du gaz carbonique encore inconnu (qui ne sera certainement pas gratuit), l’amortissement des unités de synthèse, et le coût de fonctionnement de l’ensemble (personnel, entretien…).

    Le gaz carbonique biogénique issu de procédés mettant en jeu de la biomasse (biogaz, biocarburants, pâte à papier, déchets organiques, bois-énergie, cogénération, etc) ne représente que 2 % (1 Mt), et les 76 % restants (40 Mt) proviendraient de gaz carbonique industriel évitable.

    Afin de minimiser les coûts et les émissions liés au processus de captage de gaz carbonique, les principaux projets d’e-fuels sont aujourd’hui situés à proximité de complexes industriels fortement émetteurs de gaz carbonique.

    La région des Hauts-de-France concentre le plus gros gisement captable de gaz carbonique (15 Mt par an), notamment du fait de sa production industrielle d’acier, devant la région de Provence-Alpes-Côte-d’Azur et son hub industriel avec 11 Mt.

    Le projet Reuze, situé à proximité de la zone industrielle de Dunkerque, vise à valoriser 300 000 tonnes de gaz carbonique par an (800 tonnes par jour) à partir des émissions des installations de sidérurgie d’ArcelorMittal, avec un objectif de production de plus de 100 000 tonnes de carburants et de naphta par an.

    L’utilisation du gaz carbonique industriel non évitable, ou biogénique (produit par la décomposition de matières organiques) est considéré comme neutre pour le climat, car il est issu d’un cycle court du carbone.

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  48. Les quantités en jeu

    La consommation annuelle d’énergie du transport en France atteint 50 Mtep (représentant aussi 600 TWh d’énergie), soit 140 000 tep/jour, (1,65 TWh/j).

    Or, il faudrait 110 Mt de méthanol (contenant seulement 5,5 TWh d’énergie) par an pour remplacer uniquement le pétrole importé pour le transport, soit 300 000 t/j nécessitant environ 50 000 t/j d’hydrogène combinées à 450 000 t/j de gaz carbonique… par jour.

    Un réacteur nucléaire EPR de 1600 MW couplé à des électrolyseurs permettrait de produire 3200 t/j de méthanol (consommant 40 000 MWh d’électricité par jour).

    Remplacer la totalité des carburants fossiles consommés actuellement dans nos seuls véhicules en France par des e-fuels supposerait de construire… une centaine (!) de réacteurs nucléaires EPR pour produire l’électricité nécessaire à la synthèse de ces 300 000 t/j de méthanol… sans compter les combustibles (gaz et fuel) nécessaires pour le chauffage des habitations.

    Le captage direct de gaz carbonique dans l’air (DAC)

    L’air ambiant au niveau de la mer pèse 1,3 kg par m3 et contient 0,04 % de gaz carbonique (0,5 gramme par m3). Des aspirateurs électriques et des filtres gigantesques devraient traiter chaque jour 9000 milliards de m3 (près de 12 milliards de tonnes d’air en supposant que tout le gaz carbonique soit capté) pour extraire quotidiennement ces 450 000 tonnes de gaz carbonique…

    La consommation électrique d’une telle « usine à gaz » devra être gigantesque, sachant qu’un réacteur d’un Airbus A380 à pleine puissance (40 MW) n’aspire « que » 100 000 t/j d’air, il en faudrait donc… 120 000 ! (4800 gigawatts (GW) de puissance, alors que la totalité du parc nucléaire en France ne représente que 63 GW).

    Les effluents gazeux de l’industrie du ciment contiennent de 14 à 33 % de gaz carbonique en masse et produisent entre 630 et 760 kg de gaz carbonique par tonne de ciment (selon les différentes régions du monde).

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  49. En prenant une moyenne de 0,7 tonne de gaz carbonique émis par tonne de ciment, il faudrait produire 650 000 tonnes de ciment chaque jour en France pour capter.

    Or, la production française de ciment est de moins de 50 000 tonnes par jour (17 millions de tonnes en 2017), soit actuellement 7 % du besoin en gaz carbonique.

    Les coûts

    Une estimation grossière aboutit à environ 1,2 €/kg de méthanol, soit 0,22 €/kWh au minimum à la sortie de l’unité, alors que ce coût est de 0,05 €/kWh pour l’essence ou le diesel.

    En effet, ce kg de méthanol contient deux fois moins d’énergie (5,5 kWh) qu’un kg d’essence ou de diesel (12 kWh) dont le coût de production est d’environ 0,6 € à la sortie de la raffinerie.

    Le coût de production énergétique du méthanol est donc au moins 4 fois plus élevé que celui de l’essence.

    En maintenant les taxes sur les carburants au niveau actuel (presque 1,5 € par litre d’essence contenant 10 kWh, soit 0,1 €/kWh), il faudra payer 3,7 € pour l’équivalent énergétique en méthanol (10 kWh x 0,22 €/kWh + 1,5 € de taxes), contre 2 € aujourd’hui pour un litre d’essence ou de diesel.

    https://www.contrepoints.org/2023/11/13/466582-lillusion-des-e-carburants-le-miroir-aux-alouettes-energetique

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  50. Datacenters : l’Impact de l’IA sur la consommation énergétique

    Les datacenters sont au cœur de l’infrastructure technologique mondiale. Ils sont les centres nerveux de l’économie numérique, stockant, traitant et distribuant d’énormes quantités de données qui alimentent nos applications, nos services en ligne et nos vies connectées. Cependant, avec la croissance exponentielle des besoins en données et des technologies associées, les datacenters sont en train de connaitre une nouvelle évolution spectaculaire : la densification des infrastructures impactant l’ensemble des ingénieries techniques de ces bâtiments spectaculaires.


    Par Kevin Polizzi
    le 12 novembre 2023 à 9h00


    Le prix de l'énergie en 2022 a augmenté de 23,1 %

    Alors qu’un serveur traditionnel pouvait consommer de 60 à 120 watts par U (unité en baie), les serveurs dopés à l’intelligence artificielle et aux nombreux GPU peuvent évoluer entre 1800 et 3000 watts par U … l’expert des datacenters américains Cyrus One allant jusqu’à proposer des baies à 300 KW !!! … adieu RSE/ESG ?

    L'émergence de l'intelligence artificielle dans les datacenters

    L'intelligence artificielle (IA) a joué un rôle essentiel dans la transformation des datacenters. Depuis 2012 les bâtiments fabriqués par USB (Unitel Smart Building), ainsi que nos centres de données intègrent nativement des systèmes d'IA pour optimiser les performances, automatiser la gestion des ressources, améliorer la sécurité et la maintenance prédictive. Ces systèmes d'IA permettent une utilisation plus efficace des ressources informatiques en adaptant la puissance de calcul en temps réel en fonction de la demande, réduisant ainsi la consommation électrique.

    Impact sur la consommation électrique

    La montée en puissance de l'IA a, dans une certaine mesure, réduit la consommation électrique des salles informatiques. Les algorithmes d'IA sont capables d'anticiper les besoins de traitement, de mieux répartir les charges de travail, et d'optimiser la consommation d'énergie. De plus, les processeurs spécialement conçus pour l'IA, tels que les unités de traitement tensoriel (TPU) de Google et les processeurs GPU, offrent une meilleure efficacité énergétique pour les charges de travail liées à l'IA. Le temps de traitement de données par un GPU étant très largement inférieur à une même charge proposée à un CPU.

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  51. Néanmoins, il est important de noter que la croissance rapide de l'IA et des charges de travail associées peut conduire à une augmentation nette de la consommation électrique globale des datacenters. Il est essentiel de surveiller de près cette tendance et de continuer à investir dans des solutions d'efficacité énergétique pour minimiser l'impact environnemental.

    Climatisation et refroidissement

    La gestion de la chaleur générée par les serveurs reste un défi majeur dans l'exploitation des datacenters. Les serveurs et les équipements informatiques génèrent de la chaleur, nécessitant une climatisation pour maintenir des températures optimales. L'IA intervient ici encore en aidant à optimiser la climatisation en fonction des variations de charge de travail.

    Des techniques de refroidissement avancées, telles que la réfrigération liquide, sont de plus en plus utilisées pour augmenter l'efficacité énergétique. Ces solutions permettent de cibler spécifiquement les zones chaudes des datacenters, réduisant ainsi la consommation d'énergie totale nécessaire au refroidissement.

    ESG et responsabilité environnementale

    L'impact environnemental des datacenters est de plus en plus préoccupant dans le contexte de la responsabilité environnementale, sociale et de gouvernance (ESG). Les entreprises cherchent à réduire leur empreinte carbone en utilisant des énergies renouvelables, en améliorant l'efficacité énergétique de leurs datacenters, et en adoptant des pratiques durables.

    L'IA joue un rôle essentiel dans la surveillance de l'efficacité énergétique des datacenters et dans la détection des anomalies susceptibles de provoquer des pannes. De plus, elle contribue à l'optimisation des opérations pour minimiser l'utilisation des ressources et réduire les coûts associés.

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  52. What's next ?

    L'intégration croissante de l'IA dans les datacenters a apporté des avantages considérables en matière d'efficacité opérationnelle, de gestion de la consommation électrique et de climatisation. Cependant, il est impératif de maintenir une vigilance constante sur l'impact environnemental et social de ces centres de données, conformément aux normes ESG. Les innovations technologiques, les réglementations et les investissements continus dans des pratiques durables sont essentiels pour garantir que les datacenters restent à la pointe de la technologie tout en préservant notre planète.

    C'est toute une profession qui doit aujourd'hui se réinventer, nouvelles technologies, nouvelles pratiques, nouveaux fondamentaux .... ceci nécessitant de nombreux capitaux pour un nouveau cycle de Capex, en plein cycle de "mega-crise(s)" ... que les meilleurs gagnent !

    https://www.economiematin.fr/datacenters-ecologie-consommation-entreprise-polizzi

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    1. Comme pour tous les humains, les animaux et végétaux lorsque la mort arrive c'est faute d'électricité.
      Et, comme les inintelligences artificelles fonctionnent à l'électricité sans reconnaître d'elles-mêmes qu'elles ne peuvent être fournies en électricité... HAHAHAHA !

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  53. Une renaissance nucléaire est la meilleure voie à suivre


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 13 NOVEMBRE 2023 - 11h00
    Rédigé par RJ Roux & Yaël Ossowski via RealClear Wire,


    Pendant des décennies, les fruits de la révolution de la fracturation hydraulique, ainsi que notre nouveau statut de premier exportateur net de gaz naturel au monde, ont démontré que les consommateurs américains baignaient dans une énergie abondante.

    Mais alors que les effets pandémiques des pénuries dans les chaînes d’approvisionnement, la guerre en Ukraine et l’augmentation des dépenses publiques ont cédé la place à une hausse de l’inflation, tous les regards se sont soudainement tournés vers les factures de services publics. En 2021, les Américains ont dépensé jusqu’à 25 % de plus en énergie que l’année précédente.

    À ce problème s’ajoutent les engagements politiques visant à « l’électrification de tout », notamment des subventions massives aux véhicules électriques, aux pompes à chaleur domestiques et aux panneaux solaires, dans la poursuite d’un avenir neutre en carbone.

    Aujourd’hui, les politiques des États accélèrent cette tendance, puisqu’au moins 22 États – plus Porto Rico et Washington, D.C. – se sont engagés soit à produire de l’électricité à 100 % sans carbone, soit à « zéro émission nette de carbone » d’ici 2050.

    Mais plutôt que de subventionner notre chemin vers des objectifs politiques en matière de climat avec des panneaux solaires, des batteries et des éoliennes fabriqués à l’étranger, et si nous nous tournions vers la nouvelle génération d’une technologie sûre qui constitue déjà la source d’électricité la plus dense et sans carbone au monde ? ? Et s’il était temps de défendre à nouveau l’énergie nucléaire ?

    Les investisseurs, les clients et même les politiciens verts devraient avoir toutes les raisons d’aimer l’atome. L’énergie nucléaire est sûre, propre et fiable pendant des décennies. Elle ne produit aucune émission et crée des dizaines de milliers de bons emplois pendant des générations. Il y a une raison pour laquelle les centrales nucléaires disposent de parkings plus grands que les éoliennes ou les parcs solaires.

    Au moins trois États – l’Illinois, le New Hampshire et la Caroline du Sud – génèrent actuellement plus de 50 % de leurs besoins en électricité à partir de l’énergie nucléaire, ce qui les rend effectivement neutres en carbone et constituent une plaque tournante idéale pour les industries à forte intensité énergétique.

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  54. Même le gouverneur vert de Californie, Gavin Newson, a été contraint de repenser la fermeture de Diablo Canyon face à des objectifs climatiques agressifs, donnant ainsi une bouée de sauvetage à la seule centrale nucléaire de l’État. D’autres États reconsidèrent l’énergie nucléaire alors que leurs licences approchent de leur date d’expiration.

    Cela dit, l’énergie nucléaire traditionnelle se heurte à plusieurs obstacles. Des préoccupations environnementales et radiologiques sont évoquées, même si de nouvelles innovations telles que les carburants tolérants aux accidents ont réduit le risque. Les restrictions réglementaires et les autorisations peuvent retarder les approbations et les renouvellements jusqu'à une décennie. Plus important encore, les projets nucléaires nécessitent une main d’œuvre et des capitaux considérables, testant les limites financières des investisseurs privés et des services publics qui puisent dans les subventions pour rester à flot.

    Mais l’époque des tours de refroidissement brutalistes en béton et du contrôle étatique hautement centralisé comme seules caractéristiques de l’énergie nucléaire est peut-être déjà révolue.

    La technologie de l’énergie nucléaire de nouvelle génération – comme les petits réacteurs modulaires – partage peut-être la division de l’atome avec son prédécesseur, mais sa forme moderne est tout sauf le cas.

    Les SMR peuvent être aussi petits qu’un SUV mais produire néanmoins beaucoup de mégawatts d’énergie. Ils peuvent fournir de l’électricité plus rapidement et de manière plus fiable au réseau électrique ou à l’industrie et, dans certains cas, le combustible usé peut être réutilisé. Les SMR pourraient devenir la principale source d’énergie sans carbone pour une grande usine de fabrication qui emploierait des milliers de personnes et maintiendrait la charge hors des réseaux résidentiels.

    Par exemple, le développeur de SMR, X-energy, collabore avec le géant chimique Dow pour installer une centrale nucléaire SMR avancée sur le site de fabrication de Dow à Seadrift, au Texas. Le projet Dow vise à fournir à son site Seadrift une électricité et de la vapeur industrielle sûres, fiables et sans émissions de carbone, alors que les actifs énergétiques et de vapeur existants approchent de leur fin de vie.

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  55. Le projet dépend de divers examens et approbations, car des entreprises comme Dow doivent respecter des délais stricts pour garantir la continuité de l'exploitation de leur site. X-energy a lancé pour la première fois les activités de pré-candidature du CNRC pour son réacteur Xe-100 en 2018.

    Une seule conception de petit réacteur modulaire, réalisée par NuScale, basée dans l'Oregon, a été certifiée par la Commission nationale de réglementation, qui a publié sa réglementation finale après un processus de candidature de dix ans.

    Si nous voulons fournir de l’énergie à grande échelle et à faible coût à des millions de consommateurs d’énergie, ce rythme devra évoluer vers un calendrier ultra-rapide.

    Il existe des solutions simples qui pourraient nous faire gagner du temps. Chaque État dont la licence nucléaire arrive à expiration devrait envisager de soutenir la prolongation de la durée de vie des centrales. Les États dotés de statuts antinucléaires devraient repenser leurs implications. Dans la mesure du possible, les États devraient inclure les technologies nucléaires et de fusion dans les définitions d’« énergie propre », comme la Caroline du Nord semble prête à le faire. La NRC devrait poursuivre ses efforts constants pour réduire le fardeau réglementaire afin d'accélérer les examens et les permis pour les nouvelles centrales nucléaires, tout en restant concentré sur la sécurité.

    Plutôt que de fermer les centrales au charbon sans alternative, les États devraient rapidement permettre aux promoteurs de projets expérimentés de convertir ces installations en centrales nucléaires. Le ministère américain de l’Énergie estime que plus de 80 % des centrales au charbon existantes du pays pourraient être converties à moindre coût en SMR ou en réacteurs nucléaires avancés, ce qui permettrait d’économiser jusqu’à 35 % sur les coûts d’infrastructure tout en réduisant les émissions pendant des décennies. Des feuilles de route existent déjà pour convertir les emplois dans les centrales à charbon en emplois nucléaires de nouvelle génération.

    Cela représenterait des milliards d’économies pour les consommateurs d’énergie, des centaines de milliers d’emplois supplémentaires bien rémunérés et des opportunités illimitées pour les innovateurs de lancer la prochaine génération de technologie nucléaire, tant au niveau national qu’à l’exportation.

    Les politiciens et les régulateurs ont créé le paradigme d’un monde net zéro. L’énergie nucléaire permettra cela et apportera la prospérité, la résilience et la durabilité qui nous maintiendront indépendants sur le plan énergétique.

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  56. Il est temps que nous reconnaissions le rôle vital de l’énergie nucléaire et que nous la défendions en tant que force bénéfique pour notre monde.

    RJ Roux est stratège de l'industrie nucléaire et président de Lions Global, une société de conseil en énergie propre, et Yaël Ossowski est directrice adjointe du Consumer Choice Center, un groupe mondial de défense des consommateurs.

    https://www.zerohedge.com/energy/nuclear-renaissance-best-path-forward

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  57. Nucléaire : le prix de l’électricité va flamber, 'pas vos factures'

    Dans le cadre d’un accord en cours de finalisation, EDF entend demander à l’État de vendre aux alentours de 70 euros le MWh. Un moyen pour l’entreprise de renflouer un peu ses caisses et de tirer profit du nucléaire.


    Par Cédric Bonnefoy
    le 13 novembre 2023 à 16h00


    L'État et EDF devraient se mettre d'accord pour un prix situé aux alentours de 70 euros le MWh.

    Un prix en hausse pour une stabilité accrue du nucléaire

    L'initiative récente de fixer le prix de l'électricité nucléaire française à environ 70 euros le MWh marque une augmentation significative par rapport aux tarifs précédents. Ce prix, supérieur aux 42 euros actuels imposés par l'Arenh (accès régulé au nucléaire historique), reflète une adaptation nécessaire face aux défis du moment, et notamment la crise énergétique exacerbée par le conflit en Ukraine et les problèmes techniques affectant le parc d'EDF.

    Cette augmentation de prix n'est pas seulement une réponse aux pressions du marché, elle représente également un effort conscient pour garantir la durabilité économique d'EDF. Malgré une dette record, l'entreprise se voit confier la tâche cruciale de soutenir le programme français de renouvellement du nucléaire. En augmentant le prix du MWh, EDF doit pouvoir se doter de ressources supplémentaires pour gérer et développer de manière plus responsable le parc nucléaire du pays.

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  58. Du changement pour les consommateurs

    Pour atteindre cet objectif de 70 euros par MWh, EDF envisage d'introduire des offres à long terme pour ses clients, y compris ses concurrents. Cette approche vise à stabiliser le marché et à fournir une certaine prévisibilité tant pour les fournisseurs d'énergie que pour les consommateurs. Les particuliers continueront de bénéficier de tarifs réglementés, garantissant ainsi une certaine protection contre les fluctuations du marché.

    Un aspect clé de cette stratégie est le mécanisme permettant à l'État de capter la majorité des revenus d'EDF au-delà de 110 euros le MWh. Cette mesure de sauvegarde s'assure que les bénéfices exceptionnels soient redistribués aux consommateurs. De fait, il existe un équilibre entre la rentabilité d'EDF et la protection des consommateurs. Les paramètres de ce système seront réévalués périodiquement pour coller le plus possible à la réalité économique et énergétique du moment.

    https://www.economiematin.fr/nucleaire-edf-facture-etat-prix-vente

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  59. Meurtres inconstitutionnels


    Par le juge Andrew P. Napolitano
    Recherche mondiale,
    13 novembre 2023


    L’administration Biden tue des gens, ouvertement en Ukraine et à Gaza et secrètement dans le monde entier. Il a continué à utiliser la machinerie meurtrière conçue par le président George W. Bush , développée par le président Barack Obama et employée par le président Donald Trump . Ces présidents ont utilisé des drones et d’autres projectiles sans pilote pour cibler des personnes dans des pays étrangers avec lesquels les États-Unis ne sont pas en guerre.

    Ils l’ont fait malgré l’interdiction de prendre la vie, la liberté ou les biens de quiconque – pas n’importe quel Américain, mais n’importe quelle personne – dans la Constitution que chacun a juré de respecter, et ils l’ont fait conformément à des règles secrètes qu’ils ont eux-mêmes établies. pour ces meurtres.

    L’année dernière, 11 sénateurs et 39 membres de la Chambre des représentants ont envoyé une lettre dure au président Joe Biden lui demandant de mettre fin aux meurtres secrets, mais pas publics. Au moment d’écrire ces lignes, il n’a pas répondu publiquement.

    Voici la trame de fond.

    Le but de la Déclaration des droits – les 10 premiers amendements à la Constitution – est de protéger la liberté personnelle en restreignant le gouvernement.

    Le Cinquième Amendement interdit de tuer des personnes, de restreindre la liberté et de s'emparer de biens sans procédure régulière ; cela signifie un procès devant jury au cours duquel le gouvernement doit prouver un comportement criminel ou une faute, en fonction de son objectif.

    Si le pays est en guerre – légalement et constitutionnellement déclarée par le Congrès – le président peut évidemment utiliser l’armée américaine pour tuer les militaires du pays adverse. Et si une attaque contre les États-Unis est imminente, le président peut porter le premier coup contre l’armée de l’entité dont l’attaque est sur le point de se produire.

    Il n’existe aucune autre circonstance constitutionnelle dans laquelle un président peut tuer.

    Lorsque le président Harry Truman a pris pour cible des civils japonais alors que le gouvernement japonais était sur le point de se rendre pendant la Seconde Guerre mondiale, il les a assassinés. Malgré ses crimes de guerre qui n’ont pas fait l’objet de poursuites, et avec la version gouvernementale de Pearl Harbor encore fraîche dans l’esprit de nombreux Américains, Truman était considéré comme un héros pour avoir utilisé des bombes nucléaires pour provoquer des massacres profondément immoraux, militairement inutiles et clairement criminels contre les Japonais détestés.

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  60. Avance rapide jusqu’à l’ère du 11 septembre, et Bush avait un précédent pour commencer ses propres assassinats présidentiels de personnes que le gouvernement voulait que les Américains détestent. Même si le Congrès l’a autorisé à recourir à la force contre ceux qui ont provoqué ou aidé les attentats du 11 septembre, nous savons tous que sa soif de sang du Moyen-Orient ne tenait aucun compte de la Constitution, des preuves, de la proportionnalité, des vies civiles, de la moralité ou de la décence humaine. Ainsi, 3 000 milliards de dollars dépensés et 1 million de morts en Afghanistan et en Irak.

    Julian Assange est assis dans un cachot britannique en attendant les décisions concernant son extradition vers les États-Unis parce qu'il a publié avec courage, légalement et constitutionnellement des documents et des vidéos démontrant de manière concluante que l'utilisation de drones par Bush a ciblé et assassiné des civils afghans et irakiens, et que son administration l'a dissimulée.

    Obama a poussé les choses à un autre niveau lorsqu'il a ciblé et tué Anwar al-Awlaki , né aux États-Unis. Le procureur général d'Obama, Eric Holder, a informé Obama que le meurtre était légal, car al-Awlaki avait encouragé les gens du Moyen-Orient à se battre. contre les soldats américains là-bas. Holder a comparé le meurtre d'al-Awlaki au tir de la police sur un voleur de banque qu'ils poursuivent pendant qu'il leur tire dessus.

    Holder a oublié qu’al-Awlaki n’était pas armé, qu’il n’avait été accusé d’aucun crime, qu’il n’avait jamais été accusé de violence et qu’il n’avait même pas fait l’objet d’un mandat d’arrêt lorsqu’un drone l’a évaporé alors qu’il était assis à la terrasse d’un café au Yémen.

    L’exercice du pouvoir par le gouvernement fédéral repose en grande partie sur des précédents et des politiques. Chaque fois qu’un président veut tuer, il lui suffit de trouver un exemple d’un prédécesseur ayant tué en toute impunité – sans procédure régulière, sans déclaration de guerre et sans attaque imminente. Et puis il lui suffit de calculer ce qu’il pense pouvoir faire politiquement.

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  61. Joe Biden – dont les drones ont détruit en 2021 un barrage en Syrie, tuant des milliers de personnes, et qui a ciblé des civils en Afghanistan, en tuant des dizaines, et dont les livraisons d'armes à l'Ukraine et à Israël tuent des dizaines de milliers de personnes qu'il veut que nous détestions – utilise des pouvoirs illégaux que ses prédécesseurs modernes ont utilisés et avec lesquels ils ont réussi à cibler et à tuer des personnes antipathiques. Mais les États-Unis n’ont pas déclaré la guerre à la Russie ou à Gaza.

    La nature du pouvoir politique est de s’étendre de manière à répondre à un besoin perçu, à moins que des mécanismes ne soient en place pour freiner son expansion.

    La génération fondatrice croyait que les monarques britanniques n’avaient aucune limite à leurs pouvoirs et que c’était une raison suffisante pour que les 13 colonies fassent sécession violemment. Ils pensaient également avoir rédigé la Constitution et la Déclaration des droits pour imposer suffisamment de restrictions au gouvernement fédéral. Et ils pensaient que les États pouvaient quitter pacifiquement un gouvernement fédéral auquel ils avaient volontairement adhéré lorsque celui-ci outrepassait ses pouvoirs constitutionnels.

    La Constitution est la loi suprême du pays. Son langage est clair : seul le Congrès rédige les lois et déclare la guerre, et les présidents ne peuvent tuer que des soldats en temps de guerre ou des civils conformément à une procédure régulière.

    Malheureusement, les Fondateurs avaient tort.

    Chaque président prête serment de préserver, protéger et défendre la Constitution telle qu’elle a été écrite, et non telle qu’il souhaiterait qu’elle soit.

    Pourtant, aujourd’hui, le président rédige des lois et des règles qui lui permettent de restreindre la liberté personnelle et de tuer en toute impunité, et le Congrès et le peuple américain le laissent faire. Formellement, nous avons toujours une Constitution. Sur le plan fonctionnel, il n’a absolument pas réussi à freiner le gouvernement.

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  62. En fin de compte, nous sommes nous-mêmes responsables de ces meurtres et de ces guerres non déclarées. Pourquoi remettons-nous la Constitution entre les mains de ceux qui la renversent ? Si un futur président utilise la convoitise de Bush, la logique d’Obama et la haine de Biden pour tuer des Américains en Amérique, alors la vie, la liberté ou la propriété de personne ne seront pas en sécurité.

    *

    Le juge Andrew P. Napolitano est diplômé de l'Université de Princeton et de la faculté de droit de l'Université de Notre Dame. Il est le plus jeune juge à vie de la Cour supérieure de l'histoire de l'État du New Jersey. Il a siégé sur le banc de 1987 à 1995, lorsqu'il a présidé plus de 150 procès devant jury et des milliers de requêtes, de déterminations de peine et d'audiences. Le juge Napolitano a enseigné le droit constitutionnel et la jurisprudence à la Delaware Law School pendant un an et demi, à la Seton Hall Law School pendant 11 ans et à la Brooklyn Law School pendant quatre ans. Il était souvent choisi par les étudiants comme leur professeur le plus remarquable. En tant qu'analyste judiciaire principal de Fox News de 1997 à 2021, le juge Napolitano a réalisé 14 500 émissions dans tout le pays sur Fox News Channel et Fox Business Network. Il est connu à l'échelle nationale pour observer et rendre compte du gouvernement alors qu'il s'empare des libertés et des biens. Sa chronique hebdomadaire est vue par des millions de personnes chaque semaine. Le juge est un expert reconnu à l'échelle nationale en matière de Constitution américaine et un défenseur de la liberté personnelle.

    https://www.globalresearch.ca/unconstitutional-killings/5839877

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    Réponses
    1. (...) En fin de compte, nous sommes nous-mêmes responsables de ces meurtres et de ces guerres non déclarées. (...)

      NON ! NOUS ne sommes PAS responsables de la dictature en place ! Face aux armes, que faire ?

      Il n'y qu'UN SEUL PAYS AU MONDE !! en Démocratie !!
      La Suisse.
      Les citoyens suisses proposent leurs projets de lois soumis à la signature du Peuple puis envoyés à référendum(s).
      En Suisse ce sont les suisses qui font la loi.

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  63. Après les vaches limousines, les castors accusés de provoquer le réchauffement climatique


    le 13 novembre 2023
    par pgibertie


    L’équipe a eu l’idée que si les castors inondaient la végétation, du méthane pourrait être créé. Ils savaient également que le pergélisol stockait une grande quantité de carbone gelé dans le sol. Les castors pourraient potentiellement faire fondre le pergélisol et libérer du méthane dans l’eau ou dans l’air, pensaient-ils.

    Pour savoir si cela était vrai, l’équipe a fait appel au programme d’expérimentation sur la vulnérabilité arctique-boréale de la NASA pour mener la recherche. Le programme utilise un instrument hyperspectral aéroporté, qui voit des bandes de lumière au-delà des longueurs d’onde visibles que nous voyons dans notre vie quotidienne. Ces longueurs d’onde supplémentaires peuvent montrer où se trouvent les points chauds d’émission de méthane.

    « Lorsque vous combinez ces différents signaux provenant de ces différentes bandes, c’est ainsi que vous pouvez détecter le méthane », a déclaré Tape.

    L’équipe a examiné l’emplacement des barrages de castors sur 166 miles carrés ( 42,993 ha) du bassin inférieur de la rivière Noatak, dans le nord-ouest de l’Alaska. Ils ont ensuite examiné les niveaux de méthane autour des étangs de castors.

    Ils ont constaté qu’en effet, les étangs de castors étaient associés à une production plus élevée de méthane. Mais la gestion des castors s’avère assez difficile. « C’est comme arrêter tout effet du changement climatique, ce qui est assez difficile sans l’arrêter à sa source », a déclaré Tape.

    Se débarrasser des castors ne servira à rien, a-t-il ajouté. « Vous pourriez abattre 5 000 castors et je pense que dans cinq ans, vous seriez de retour au point de départ », a-t-il déclaré. « Ils vont exploiter l’habitat. C’est ce qu’ils sont censés faire. Ils ont évolué pour faire ça.

    Tape et ses collègues veulent maintenant prédire l’ampleur que prendra le problème du castor dans les décennies à venir. Il fait partie de l’Arctic Beaver Observation Network , un groupe de scientifiques, de gestionnaires des terres et de personnes issues des communautés autochtones, formé pour mieux comprendre le problème. « Nous apprenons toujours beaucoup en discutant avec ces gens, car ce sont eux qui observent réellement les choses », a-t-il déclaré.

    https://pgibertie.com/2023/11/13/apres-les-vaches-limousines-les-castors-accuses-de-provoquer-le-rechauffement-climatique/

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  64. VICTOIRE 2A : un juge fédéral du Texas empêche l'ATF d'appliquer l'interdiction des armes à feu


    12/11/2023
    Richard Brown


    Des millions de propriétaires d'armes respectueux de la loi qui se sont retrouvés du jour au lendemain classés comme criminels en vertu de la récente interdiction des armes à feu de l'administration Biden ont reçu une aide temporaire.

    Un juge fédéral du Texas a émis une injonction à l'échelle nationale, empêchant le Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives (ATF) d'appliquer l'interdiction.

    Le juge de district américain Matthew Kacsmaryk a statué que la tentative de l'ATF de légiférer par le biais de réglementations, plutôt que d'appliquer les lois existantes sur les armes à feu, était illégale, en particulier dans le cas des supports de pistolet. (Connexe : le principal groupe de défense des droits des armes à feu dirige un effort exhortant le House GOP à agir suite à l'interdiction par le régime de Biden des bretelles pour pistolets.)

    La règle de l'ATF, mise en œuvre plus tôt cette année, visait à pénaliser les quelque 40 millions de propriétaires américains de pistolets qui refusaient de reclasser leurs armes en carabines à canon court. Cette reclassification nécessite un enregistrement gouvernemental et un timbre fiscal de 200 $ ou la destruction de l'attelle du pistolet.

    Dans les États interdisant les fusils à canon court, les propriétaires d’armes à feu étaient confrontés au dilemme de rendre leurs armes à feu ou de détruire le support du pistolet pour éviter des conséquences juridiques.

    Les plaignants dans Britto c. ATF, décrits comme « trois vétérans décorés des Marines » et représentés par le Wisconsin Institute for Law and Liberty (WILL), ont fait valoir que la règle enfreignait le deuxième amendement et était « nulle pour cause de flou ».

    Kacsmaryk était d'accord avec cet argument, soulignant le fardeau financier excessif qui pèse à la fois sur les propriétaires d'armes et sur les fabricants de supports de pistolet. Il a noté que l'ATF a admis que le coût de la règle sur 10 ans dépassait le milliard de dollars et pourrait forcer certains fabricants dépendants de supports de stabilisation à cesser leurs activités.

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  65. Tout en exprimant sa sympathie pour les préoccupations de l'ATF concernant la sécurité publique à la suite des tragiques fusillades de masse, Kacsmaryk a souligné que répondre aux préoccupations en matière de sécurité publique doit être fait dans les limites de la loi, ce que la règle de l'ATF n'a pas fait.

    Une victoire pour tous les propriétaires de pistolets en Amérique

    Cette décision a marqué une évolution significative dans la bataille juridique, car elle a étendu l'injonction à tous les propriétaires de pistolets à l'échelle nationale, et pas seulement aux plaignants impliqués dans l'affaire.

    L'avocat adjoint de WILL, Dan Lennington, a déclaré : « Cette nouvelle décision fédérale protège les droits du 2e amendement de millions d'Américains. WILL est fier de travailler aux côtés de nos clients et d'ouvrir la voie à cette action fédérale inconstitutionnelle. »

    La règle « Critères d'affacturage pour les armes à feu avec des « supports de stabilisation » attachés » a été introduite par l'ATF en réponse à un décret du président Joe Biden ordonnant à l'agence de s'attaquer aux supports de pistolet.

    L'ATF a classé tous les pistolets à renfort sur le marché comme des fusils à canon court (SBR) et soumis à la National Firearms Act de 1934 (NFA).

    Les propriétaires d'armes à feu se sont vu présenter des options limitées, notamment enregistrer leurs armes à feu auprès de l'ATF, remplacer le canon pour dépasser 16 pouces, retirer le renfort (le rendant non réutilisable) ou remettre l'arme à feu à l'ATF.

    Le non-respect de cette règle pourrait entraîner des accusations criminelles passibles d'une peine de 10 ans de prison, l'équivalent de la possession d'une mitrailleuse non enregistrée.

    La décision du juge d'accorder une suspension à l'échelle nationale dépendait de plusieurs facteurs.

    Premièrement, la probabilité que les plaignants obtiennent gain de cause dans leur contestation a été examinée, en s'appuyant notamment sur une décision antérieure dans l'affaire Mock c. Garland, dans laquelle la Firearms Policy Coalition (FPC) affirmait que l'ATF avait dépassé les limites de l'APA.

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  66. Le juge a conclu que la règle ATF n'était « pas une conséquence logique de la règle proposée » et devait être annulée comme étant illégale.

    Deuxièmement, le juge a examiné si les plaignants subiraient un préjudice irréparable sans injonction.

    L'un des plaignants, Gabriel A. Tauscher, un Marine dont le bras est partiellement paralysé en raison d'une blessure au combat, a souligné la nécessité de dispositifs stabilisants pour les personnes souffrant d'un handicap physique.

    Le juge a également reconnu les coûts de conformité auxquels les propriétaires d'armes à feu seraient confrontés, citant le juge dans l'affaire Gun Owners of America (GOA) contestant la règle.

    Enfin, le juge a évalué si une injonction serait dans l’intérêt public. Étant donné que la règle a été jugée probablement illégale et que l’intérêt public ne peut être invoqué pour défendre une règle illégale, le juge a conclu que l’intérêt public favorisait les plaignants.

    Regardez cette vidéo sur la controverse qui a suivi le maintien par une cour d'appel de l'interdiction des armes d'assaut dans l'Illinois.

    Cette vidéo provient de la chaîne EARTH SHAKING NEWS sur Brighteon.com.

    More related stories:

    Illinois sheriffs rebel, vow to not enforce restrictive new gun control law that includes 'assault weapons' ban, registration.

    Washington state to ban "assault weapons."

    NY Supreme Court rules Empire State's gun control law UNCONSTITUTIONAL.

    Sources include:

    TheFederalist.com
    AmmoLand.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-11-12-texas-judge-stops-atf-pistol-brace-ban.html

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  67. Les villes qui frôlent le ciel


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 13 NOVEMBRE 2023 - 08h45


    La métropole de Hong Kong est la ville qui compte le plus de gratte-ciel mesurant plus de 150 mètres de haut au monde, selon les données du Council on Tall Buildings and Urban Habitat.

    Comme le souligne Anna Fleck de Statista, les deux premiers gratte-ciel importants de la ville (Hopewell Center et Sun Hung Kai Centre) - chacun mesurant plus de 200 mètres de haut - ont été construits au début des années 1980, suivis par une mer de 550 gratte-ciel supplémentaires, chacun au-dessus la barre des 150 mètres, dans les années qui ont suivi.

    - voir graph sur site -

    Infographie : Les villes qui frôlent le ciel | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    En deuxième et troisième place, avec respectivement 390 et 316 bâtiments de plus de 150 mètres de haut, se trouvent la métropole chinoise de Shenzhen et la capitale économique des États-Unis, New York.

    Dubaï arrive en quatrième position de ce classement, avec un total de 258 bâtiments de cette envergure. La ville abrite le plus haut gratte-ciel du monde, le Burj Khalifa, qui mesure quelque 828 mètres.

    Sommes-nous en train d’entrer dans un nouveau chapitre de la malédiction des gratte-ciel ?

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/cities-graze-skies

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  68. Votre facture de 2 $ pourrait valoir des milliers de fois plus : voici comment vérifier


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 11 NOVEMBRE 2023 - 22H20
    Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times


    Un billet de 2 $ que vous avez en votre possession pourrait valoir des centaines, voire des milliers de fois plus que sa valeur nominale.

    Un billet de 2 $ est visible sur une photo d’archive. (Bureau américain de gravure et d'impression)
    Le guide de tarification des enchères de devises américaines montre qu'un billet de 2 dollars, sur lequel figure le troisième président américain, Thomas Jefferson, pourrait valoir jusqu'à 4 500 dollars, en fonction de certains facteurs. Comparée aux autres billets, la monnaie de 2 dollars est considérée comme plus rare, même si elle est toujours produite.

    "Les Américains ne dépensent pas de billets de 2 dollars parce qu'ils pensent qu'ils sont nettement rares. Cependant, les chiffres nous racontent une histoire différente", a déclaré mercredi à MarketWatch Dustin Johnston, vice-président de Heritage Auctions, notant que certaines factures pourraient valoir jusqu'à 2 dollars. à 20 000 $ aux enchères.

    Le responsable des ventes aux enchères a émis une mise en garde : « Rien qu'au cours des cinq dernières années, ils ont imprimé 100 millions de billets de 2 dollars. Le fait qu'ils ne circulent pas et soient conservés comme souvenirs est un peu étrange. Très peu d'entre eux ont des billets numismatiques ou valeur de collection."

    Et Art Pinto, directeur de Legacy Coins and Curiosities en Floride, a déclaré à Fox 13 qu'il existe plusieurs facteurs contributifs qui aident à déterminer la valeur potentielle d'un billet de 2 $. Il a noté que les billets les plus récents portent un sceau vert et valent probablement juste leur valeur nominale, mais que si le billet comprend un sceau rouge, il vaut probablement plus.

    "Si vous recherchez un billet de 2 dollars de grande valeur, il daterait d'avant 1900 et il faudrait qu'il soit dans un état de très haute qualité", a déclaré M. Pinto.

    M. Johnston a déclaré à MarketWatch qu'outre la date, les gens recherchent les numéros de série et l'état de la facture.

    "Ce que nous examinons, ce sont des numéros de série fantaisistes", a-t-il déclaré. "Un numéro de série '1' pour un billet de 2 dollars de 1976 vaudrait 20 000 dollars ou plus. Mais la majorité des personnes détenant des billets de 2 dollars de 1976 ne valent que leur valeur nominale. Très peu d'entre eux dépassent réellement leur valeur nominale."

    Il a ajouté qu'« au-delà des numéros de série fantaisistes, la majeure partie de la valeur se trouvera dans les billets de grande taille [de] 1918 et avant », ajoutant que les billets de 1918 « sont très courants ».

    "Ils commencent généralement entre 80 et 100 dollars et augmentent à partir de là", a ajouté M. Johnston. "Les plus récentes, celles des années 1920 et au-delà, auront une valeur bien supérieure à 99 pour cent par rapport à leur valeur nominale."

    Selon Heritage Auctions, un billet de 2 $ frappé en 2003 s'est vendu en ligne pour 2 400 $ en juillet 2022. Le même billet s'est vendu 4 000 $ lors d'une vente aux enchères distincte plus tard dans l'année.

    Un billet de 2 dollars connu sous le nom de « Rainbow Note », datant de 1869, devrait se vendre au moins 12 000 dollars, selon une annonce publiée sur le site Internet de la société de vente aux enchères. L'un de ces mêmes billets est également actuellement répertorié sur eBay pour 7 990 $.

    Le billet de 2 dollars est en circulation aux États-Unis depuis 1862, et six types différents ont été créés depuis lors, selon le site Internet du Département du Trésor. Mais la monnaie a été pour l’essentiel impopulaire au cours de son histoire.

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  69. "Pendant la majeure partie de leur histoire, les billets de 2 dollars ont été impopulaires, considérés comme malchanceux ou simplement difficiles à utiliser dans les échanges d'argent", indique le Bureau of Gravure and Printing, qui ajoute que le président Jefferson n'a commencé à apparaître sur le billet qu'en 1869. Avant cela, le premier secrétaire au Trésor américain, Alexander Hamilton, était apparu sur la monnaie.

    En 2017, il y avait environ 1,2 milliard de billets de 2 dollars en circulation, selon le programme américain d'éducation sur la monnaie.

    Cependant, M. Johnston a déclaré que conserver les billets de 2 $ les plus récemment émis ne fonctionnerait probablement pas. "En conservant les valeurs communes pendant encore 30 ans, elles sont courantes maintenant, elles vont probablement le rester", a-t-il déclaré à MarketWatch. "Il vaut presque mieux les dépenser maintenant, ou les déposer à la banque plutôt que de les conserver."

    Il y a plusieurs années, un billet de 1 000 dollars extrêmement rare s'est vendu pour 1,2 million de dollars lors d'une vente aux enchères. Le projet de loi de 1891 présente le visage de William L. Marcy, qui a été gouverneur de New York et secrétaire du président James K. Polk au milieu du XIXe siècle.

    La pièce de monnaie américaine la plus chère jamais vendue aux enchères est la pièce d'or Double Eagle de 1933, qui a été vendue pour 18 millions de dollars en 2021.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/your-2-bill-could-be-worth-thousands-times-more-heres-how-check

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  70. Facebook : le message anti-pistage est-il efficace ?

    Prisé par la génération X, Facebook, réseau social de Meta, est régulièrement frappé par un phénomène : la propagation d’un message prétendant protéger les données personnelles des utilisateurs. Ce message, souvent copié-collé, affirme empêcher l’utilisation des données personnelles par Meta. Mais est-ce réellement efficace ?


    Par Paolo Garoscio
    le 13 novembre 2023 à 7h30


    Meta a enregistré 23,2 milliards de dollars de bénéfice net en 2022.

    Le message anti vol de données personnelles est de retour sur Facebook
    Ce n’est pas la première fois que ce type de publication se propage comme une traînée de poudre sur Facebook. Et depuis le lancement de l’offre payante pour le réseau social, un nouveau message spécifique a gagné une notoriété virale. Il est partagé sur de nombreux comptes.

    Le message prétend interdire à Facebook et à ses entités associées d'utiliser les photos, informations, messages ou publications des utilisateurs. Ce message est partagé en masse, souvent par des utilisateurs soucieux de leur vie privée. Sauf que ces derniers ne connaîssent que très mal le droit qui régit les réseaux sociaux, les données personnelles et l’usage de tout cela.

    Le message est… totalement inutile pour protéger les données personnelles

    La propagation de ce message est alimentée par une méconnaissance générale des conditions d'utilisation de Facebook. Les utilisateurs, dans une tentative de contrôler l'utilisation de leurs données par le géant américain, se tournent vers ce message comme une solution facile, mais inefficace.

    Ce dernier, qui prend plusieurs formes, présente des phrases telles que « Je n'ai rien signé avec Meta. La nouvelle règle Facebook/Meta commence demain où ils peuvent utiliser vos photos. N'oubliez pas que la date limite est aujourd'hui ! » ou encore « Qui ne fait rien conscent » (faute d’orthographe incluse).

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  71. Vous avez accepté les conditions de Facebook !

    En réalité, les conditions d'utilisation de Facebook, acceptées par tous les utilisateurs lors de leur inscription, dictent les règles d'utilisation des données. Ces conditions stipulent clairement que Facebook a le droit d'utiliser, de distribuer et de modifier le contenu partagé par les utilisateurs, conformément à leurs paramètres de confidentialité.

    La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a souligné que de tels messages n'ont aucune valeur juridique. Ils ne garantissent en aucun cas la protection des données personnelles, des créations ou des photos publiées sur Facebook. Bref, vous pouvez les publier une fois par jour que ça ne changerait rien, à part polluer votre fil Facebook et vous afficher comme quelqu’un qui ne comprend pas totalement les outils qu’il utilise.

    Pour protéger réellement leurs données, les utilisateurs doivent se familiariser avec les paramètres de confidentialité de Facebook et les ajuster en conséquence, plutôt que de compter sur des messages sans fondement juridique.

    Facebook : nouvelle politique sur les données personnelles et abonnements payants
    Récemment, Meta a introduit des changements dans sa politique de confidentialité, notamment en proposant des abonnements payants pour Facebook et Instagram. Ces abonnements permettent aux utilisateurs d'accéder à une version sans publicité des plateformes, en accord avec le Règlement général sur la protection des données (RGPD) et le Digital Market Act (DMA). Des abonnements chers, plus de 10 euros par mois, que certains ne voudront probablement pas payer. Or, comme le dit l’adage : sur Internet, si c’est gratuit… c’est vous le produit. Et aucun message ne pourra changer la situation.

    https://www.economiematin.fr/facebook-post-protection-donnees-personnelles

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  72. Le sapin de Noël en temps de crise en Allemagne : pourquoi les prix augmenteront-ils en 2023 ?


    12 Novembre 2023
    Rainer Soppa, AGRARHEUTE*


    Une valeur sûre en période de crise économique – le véritable sapin de Noël. Grâce aux efforts accrus des producteurs, il y aura encore suffisamment de sapins de Noël bien formés et de feuillages décoratifs en 2023.

    Actuellement, il reste encore du temps avant Noël, mais les préparatifs pour la vente des sapins de Noël sont déjà en cours. L'augmentation des coûts de culture et de logistique modifie les conditions générales pour les producteurs de sapins de Noël et de feuillages coupés. Les prix des sapins de Noël n'augmentent cependant que modérément.

    Les présidents des deux grandes associations – la Bundesverband der Weihnachtsbaum- und Schnittgrünerzeuger e. V. (BVWE) et la Verband natürlicher Weihnachtsbaum e. V. (VNWB) - affirment que la demande annuelle d'environ 25 millions d'arbres de toutes tailles et de toutes catégories de prix peut être bien satisfaite.

    Les associations de producteurs indiquent un prix au mètre linéaire de 21 à 29 € pour les sapins de Nordmann, de 13 à 18 € pour les épicéas bleus et de 10 à 15 € pour les épicéas rouges.

    Coûts des sapins et des épicéas

    Les producteurs assurent que chaque foyer pourra disposer d'un sapin de Noël naturel ayant bien poussé, symbole et point central de Noël. Malgré une culture des sapins de Noël de plus en plus coûteuse d'année en année en raison de la crise actuelle de l'énergie et de la main-d'œuvre qualifiée, de l'inflation et du changement climatique.

    Pour cette année, on parle d'un prix au mètre linéaire de 21 à 29 euros pour les sapins de Nordmann, de 13 à 18 euros pour les épicéas bleus et de 10 à 15 euros pour les épicéas rouges.

    Les sapins de Noël seront plus chers

    Pour les deux associations, il est très clair qu'au vu des dernières crises vécues ainsi que des adversités présentes aujourd'hui, on observe une augmentation du prix du sapin de Noël. Selon les deux présidents, Eberhard Hennecke et Benedikt Schneebecke, ceux qui optent pour un vrai sapin soutiennent les exploitations agricoles régionales proches de la nature et les importantes entreprises familiales en Allemagne, qui assurent à leur tour d'importants emplois ruraux.

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  73. « Les agriculteurs et les sylviculteurs n'ont jamais mis autant d'efforts et de cœur dans chaque arbre. De plus, face à toutes les crises et les pénuries, la société apprécie à nouveau davantage le sapin de Noël, symbole de calme, de famille et de sécurité. Et ce d'autant plus que les temps sont de plus en plus agités », explique M. Benedikt Schneebecke, président de la VNWB.

    Le travail des producteurs d'arbres de Noël

    L'Association Fédérale des Producteurs Allemands de Sapins de Noël et de Feuillages Coupés (BVWE) est la plus importante association représentant les producteurs de sapins de Noël de toute l'Allemagne. La BVWE encourage l'échange de connaissances et d'expériences entre les membres et s'engage en faveur de méthodes de production durables et tournées vers l'avenir. Elle soutient ses membres dans toutes les questions relatives à la production des sapins de Noël et des feuillages coupés.

    L'association « Verband natürlicher Weihnachtsbaum e. V. » regroupe des producteurs de sapins de Noël de taille moyenne et de premier plan dans le but de promouvoir le sapin de Noël traditionnel, qui a poussé naturellement. L'association est indépendante et n'est pas liée à des espèces d'arbres ou à des régions d'origine. Elle travaille en étroite collaboration avec des associations supranationales, nationales et régionales.

    Avec du matériel de la VNWB
    _____________

    * Source : Weihnachtsbaum in Krisenzeiten: Warum die Preise 2023 steigen | agrarheute.com

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/le-sapin-de-noel-en-temps-de-crise-en-allemagne-pourquoi-les-prix-augmenteront-ils-en-2023.html

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  74. Le roi Charles annonce l'INTERDICTION TOTALE de la cigarette au Royaume-Uni – est-ce parce que la nicotine contenue dans le tabac aide à protéger contre le COVID ?


    12/11/2023
    Ethan Huff


    Lors de l'ouverture officielle du Parlement britannique cette semaine, le roi Charles a choqué la nation avec un plan visant à interdire complètement de fumer dans tout le Royaume-Uni.
    Dans son discours du roi, qui marque cérémonieusement le début de la nouvelle année législative, le roi Charles a révélé que le Premier ministre Rishi Sunak allait imposer une répression historique contre la cigarette et l'usage du tabac.

    La première phase consiste à adopter une législation visant à relever l’âge légal pour acheter des cigarettes. Chaque année qui suit, l'âge légal sera relevé encore et encore jusqu'à ce qu'il n'y ait plus aucun fumeur en Grande-Bretagne.

    "Nous devons nous attaquer à la plus grande cause entièrement évitable de mauvaise santé, d'invalidité et de décès", a déclaré Sunak dans un message antitabac adressé à la nation.

    "Et c'est la fumée, et notre pays. Le tabagisme est responsable d'un décès par cancer sur quatre", a-t-il encore proclamé.

    Si le projet se déroule comme prévu, un jeune de 14 ans vivant aujourd’hui au Royaume-Uni ne se verra jamais légalement vendre une cigarette.

    (Connexe : Des recherches de la Texas A&M University ont révélé que la nicotine peut aider à protéger le cerveau vieillissant contre la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer.)

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  75. La nicotine est-elle mauvaise ?
    La nicotine peut en fait être bénéfique pour protéger contre les tempêtes de cytokines. La première des lois interdisant de fumer sera soumise à un « vote libre », ce qui signifie que les membres du Parlement (MP) ne seront pas informés de la manière dont ils doivent voter par les responsables du parti.

    Le Parti travailliste a toutefois confirmé qu'il avait l'intention de voter aux côtés du gouvernement conservateur pour adopter le projet de loi, ce qui signifie qu'il « devrait être adopté », pour citer The Sun.

    "Les gens commencent à fumer quand ils sont jeunes", affirme Sunak. "Quatre fumeurs sur cinq ont commencé à fumer avant l'âge de 20 ans. Plus tard, la grande majorité essaie d'arrêter."

    "Mais beaucoup échouent parce qu'ils sont dépendants et qu'ils souhaiteraient ne jamais avoir pris cette habitude en premier lieu. Si nous pouvions briser ce cycle, si nous pouvions arrêter le début, alors nous serions sur la bonne voie pour mettre fin à la plus grande cause de toxicomanie. décès et maladies évitables dans notre pays.

    Comme bien d’autres choses sur la scène mondiale en ce moment qui devraient atteindre leur fin à cette date précise, l’Angleterre a l’intention de devenir complètement sans fumée d’ici 2030, ce qui signifie que moins de cinq pour cent de la population utilise des cigarettes.

    De nombreuses spéculations ont eu lieu au fil des années sur les raisons pour lesquelles les gouvernements du monde entier souhaitent réellement que les gens arrêtent de fumer. Il ne peut pas s’agir de santé publique, sinon ils interdiraient d’autres choses comme les organismes génétiquement modifiés (OGM), les vaccins, l’eau fluorée, la 5G et bien d’autres choses bien plus dangereuses que la plante du tabac.

    Cela peut surprendre certains, mais le tabac et ses composants nicotiniques présentent en réalité certains avantages médicinaux. D’une part, la nicotine inhibe les tempêtes de cytokines, également connues sous le nom d’hypercytokinémie, une réponse immunitaire innée trop réactive qui libère trop de molécules de signalisation pro-inflammatoires, entraînant parfois la mort.

    La question du tabac et des tempêtes de cytokines s'est posée plus d'une fois lors de la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19) lorsqu'il a été découvert que la nicotine offrait effectivement des avantages protecteurs aux poumons face à des infections respiratoires graves.

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  76. "Les enquêtes statistiques auprès des patients atteints du COVID-19 indiquent, contre toute logique commune, que les personnes qui fument sont moins sujettes à l'infection et/ou présentent des symptômes respiratoires moins graves que les non-fumeurs", lit-on dans le résumé d'une étude sur tout cela. publié dans la revue Immunology Letters (Elsevier).

    "Cela suggère que la nicotine peut avoir un certain effet préventif ou modulateur sur la réponse inflammatoire dans les poumons. Parce qu'on sait que la réponse et la résolution de l'infection par le SRAS-CoV-2 dépendent principalement des macrophages pulmonaires, nous discutons de la récente découvertes scientifiques, qui peuvent expliquer pourquoi et comment la nicotine peut moduler la réponse des macrophages pulmonaires pendant l'infection au COVID-19.

    Lorsque Big Brother – ou dans ce cas, Big Royalty – vous dit que quelque chose doit être interdit afin de protéger la santé publique, on vous ment probablement. Apprenez-en davantage sur Tyranny.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Le-Sun.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-11-12-king-charles-ban-cigarettes-uk-tobacco-nicotine.html

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  77. Et si l’industrie privée permettait un déploiement de la fusion nucléaire d’ici 2030 ?

    La fusion nucléaire, un horizon lointain ? Pas si sûr. Les avancées fulgurantes des startups spécialisées remettent en question les échéances conservatrices, et ouvrent la porte à une révolution énergétique avant 2030.


    le 14 novembre 2023
    Thomas Jestin


    Dans son cours à l’École des Mines numéro 6 Jean-Marc Jancovici n’envisage pas un début d’exploitation commerciale de la fusion nucléaire avant 2095 : « vous oubliez, cela ne fait pas partie des moyens du bord ». Il l’assimile au projet ITER qui, effectivement, progresse lentement.

    Mais dans le privé, l’écosystème est en plein boom, avec plus de 40 entreprises sur le créneau, comme le rapportait en mars 2023 The Economist, et il y a maintenant de sérieuses raisons d’avancer cette date drastiquement.

    Parce que le nucléaire a longtemps voulu dire chantiers pharaoniques nécessitant l’intervention des États, Jean-Marc Jancovici considère que cela ne peut pas changer.

    Mais on disait de même du spatial, souvenez-vous : seuls quelques États peuvent concevoir et fabriquer des fusées, et aucun d’entre eux ne pourra jamais les faire se reposer. Jusqu’à ce qu’Elon Musk vienne dynamiter ces idées reçues. Il en a maintenant inspiré plus d’un dans d’autres domaines, longtemps considérés comme étant la prérogative des nations.

    L’exemple de Commonwealth Fusion Systems

    Commonwealth Fusion Systems a levé deux milliards de dollars, elle vise la première réaction à énergie positive pour 2025, avec un déploiement commercial rapide à partir de 2030.

    2030 ! Là où Jean-Marc Jancovici nous parle de 2095. Mais que s’est-il passé ?

    Voici le résumé d’un entretien avec le fondateur de Commonwealth Fusion Systems, intitulé « Peut-on remplacer toutes les centrales au charbon d’ici à 2040 ? » :

    Des innovations récentes en science des matériaux ont permis de mettre au point des superconducteurs pouvant ensuite être utilisés pour faire des aimants bien plus puissants que ce qu’on savait faire jusque-là : « un changement radical dans les 300 ans d’histoire des aimants ».

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  78. La communauté des chercheurs sur la fusion leur a dit : « Si vous aviez cet aimant, cette machine fonctionnerait et serait très petite. Nous ne voyons pas de véritables obstacles, à part cet aimant ».

    Ils ont réussi créer cet aimant, deux fois plus puissant que l’état de l’art jusque-là.

    Commonwealth Fusion Systems s’en sert pour construire un appareil pour la fusion bien plus petit que ce que fait ITER, qui n’utilise pas ces innovations : ça tient dans un garage, contre un bâtiment de la taille d’un stade pour ITER, qui est le plus grand projet de construction en Europe.

    En fait, Commonwealth Fusion Systems a fait en trois ans sur leur technologie des aimants, ce qui a pris 25 ans à ITER.

    ITER vise la première réaction à énergie positive pour 2035, Commonwealth Fusion Systems vise 2025.

    Ensuite, le déploiement commence en 2030, et pourra aller très vite. Comme Commonwealth Fusion Systems a un système compact et utilise la fusion pour faire chauffer de l’eau, pas forcément besoin de reconstruire des centrales à partir de zéro, ils vont pouvoir reconvertir les centrales au charbon et gaz dans le monde.

    En avril, les autorités aux États-Unis ont décidé que la fusion serait beaucoup moins réglementée que la fission nucléaire, car présentant bien moins de risques. Les déploiements seront bien plus faciles politiquement, et donc plus rapides et moins chers.

    Intéressons-nous également à un deuxième acteur, Helion

    Helion a levé 500 millions de dollars en 2021, dont 375 millions investis par Sam Altman, qui n’est autre que le CEO d’OpenAI. Avant cela, il était le CEO de Y Combinator, l’incubateur à succès très réputé derrière des succès comme Airbnb, Dropbox ou Stripe.

    Il s’agit de son plus gros investissement jamais réalisé dans une start-up.

    Il écrivait en juillet 2022 :

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  79. « Helion a progressé encore plus vite que prévu et est en bonne voie en 2024 pour 1) démontrer la fusion avec un gain d’énergie net et 2) résoudre toutes les questions nécessaires à la conception d’un générateur de fusion à fabriquer en masse. […] Les objectifs sont assez ambitieux : une énergie propre et à 0,01 $/kWh et la capacité de fabriquer suffisamment de centrales électriques pour satisfaire la demande électrique actuelle de la Terre d’ici à dix ans. »

    Sam Altman avait initialement investi 10 millions de dollars dans Helion, mais avait ensuite considérablement augmenté son investissement, il était convaincu que cela allait fonctionner.

    Helion prévoit à terme de construire des centrales de la taille d’un grand container (15 m²) capables de produire de l’électricité d’une puissance de 100 MW. Par comparaison, avec des panneaux solaires, il faudrait environ 60 000 fois plus de place.

    En mai 2023, Helion annonçait un accord d’achat d’électricité avec le géant du logiciel Microsoft. Helion mettra sa première centrale en service en 2028, et atteindra sa pleine capacité de production d’au moins 50 MW moins d’un an plus tard.

    David Kirtley, fondateur et CEO d’Helion a déclaré :

    « Il s’agit d’un accord contraignant qui entraîne des sanctions financières si nous ne parvenons pas à construire un système de fusion. Nous nous sommes engagés à pouvoir construire un système et le vendre commercialement à Microsoft. »

    Les progrès technologiques dans les domaines des ordinateurs, de l’électronique et des réseaux à fibres optiques rendent maintenant l’approche d’Helion possible. Helion compte utiliser de l’hélium-3, mais pas besoin d’aller le chercher sur la Lune, il sera produit en fusionnant du deutérium dans ses générateurs à fusion. Les océans contiennent assez de deutérium pour répondre à tous les besoins énergétiques actuels de l’humanité pendant des milliards d’années.

    Les entreprises les plus en pointe parlent donc d’un début de déploiement dès 2028 et 2030 ! Il y aura certainement du retard, mais de là à dire qu’il ne faut rien en attendre avant 2095, tout de même ! J’ai demandé à Jean-Marc Jancovici, qui m’a déjà répondu en personne sur d’autres points, s’il souhaitait revoir cette date à l’aune de ces dernières informations, j’attends encore sa réponse.

    https://www.contrepoints.org/2023/11/14/466595-et-si-lindustrie-privee-permettait-un-deploiement-de-la-fusion-nucleaire-dici-2030

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  80. La culture en péril (12) – Redécouvrir la lecture à l’ère du numérique

    Dans un monde dominé par le numérique, Michel Desmurget rappelle l’importance vitale de la lecture dans le développement de l’intelligence et de l’empathie chez les jeunes.


    le 14 novembre 2023
    Johan Rivalland


    Michel Desmurget est l’auteur notamment de La Fabrique du crétin digital, ouvrage sorti en 2019. Docteur en neurosciences et directeur de recherche à l’Inserm, il s’appuie sur ses travaux, ainsi que sur de très nombreuses études approfondies qui ont été menées à travers le monde, pour mesurer l’impact de la lecture sur l’intelligence dès le plus jeune âge, et d’autres qualités humaines essentielles qu’elle permet de développer.

    Le constat est sans appel : le poids écrasant du digital, dans ce qu’il a de moins reluisant, au détriment du plaisir de la lecture, qui tend beaucoup à disparaître, a des conséquences multiples sur nos enfants, et au-delà, sur l’ensemble des générations actuelles, en particulier les plus jeunes.

    Ce qu’apporte la lecture

    C’est un thème qui nous est cher et que nous avons eu l’occasion d’aborder à de nombreuses reprises, et pas seulement à travers cette série. La lecture apporte de multiples bénéfices, parfois majeurs (je pense en particulier à cette qualité fondamentale dont on parle beaucoup depuis quelques temps, mais qui est pour moi un sujet de préoccupation crucial depuis longtemps : l’empathie). Or, nous dit Michel Desmurget, le milieu familial – plus encore que l’école – joue un rôle essentiel dans la transmission du goût de la lecture plaisir (car c’est bien d’elle qu’il s’agit avant tout) chez l’enfant, et dont l’enjeu est très loin d’être négligeable.

    Des centaines d’études montrent le bénéfice massif de cette pratique sur le langage, la culture générale, la créativité, l’attention, les capacités de rédaction, les facultés d’expression orale, la compréhension d’autrui et de soi-même, ou encore l’empathie, avec, in fine, un impact considérable sur la réussite scolaire et professionnelle. Aucun autre loisir n’offre un éventail de bienfaits aussi large. À travers la lecture, l’enfant nourrit les trois piliers fondamentaux de son humanité : aptitudes intellectuelles, compétences émotionnelles et habiletés sociales. La lecture est tout bonnement irremplaçable.

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  81. D’humanité il est en effet bien question. Car en ces temps particulièrement agités, où la violence aveugle règne parfois, il me semble que cette empathie sur laquelle j’insiste est le maillon altéré qui mène aux défaillances humaines et aux sauvageries que nous ne constatons que trop souvent. Qui rejoint cette ignorance qui semblait à juste titre préoccuper un certain Dominique Bernard qui en a été la victime indirecte. Sujet qui me préoccupe également depuis longtemps et que l’on aurait en effet tort de sous-estimer. Qui rejoint en ce sens cette autre préoccupation aux conséquences non moins négligeables et préoccupantes qu’est la bêtise, un sujet d’étude là encore primordial, et hélas presque inépuisable.

    Un bien sombre constat

    La première partie de l’ouvrage s’appuie sur de nombreuses études approfondies, dont l’auteur dresse un panorama assez détaillé, illustrant l’impact particulièrement préoccupant du recul de la lecture sur les performances scolaires.

    Il montre que les mécanismes d’imprégnation liés aux habitudes familiales de lecture partagée, devant laisser place ensuite à une autonomie croissante, ont un impact majeur sur la maîtrise du langage et de l’orthographe, ainsi que sur la compréhension de l’écrit. Ce qui exerce en prime un effet primordial sur les performances scolaires, et donc sur la détermination du devenir de la plupart des individus.

    De nombreuses statistiques émaillent l’ensemble, montrant notamment la prépondérance du recours aux écrans digitaux, omniprésents dans notre quotidien et nos vies. Rejoignant au passage un autre constat voisin établi par Olivier Babeau – d’ailleurs cité par l’auteur – au sujet de la tyrannie du divertissement. Or, remarque Michel Desmurget, il est à déplorer que ce soit parmi les étudiants d’aujourd’hui qui lisent très peu que l’on va recruter les professeurs de demain, censés donner le goût de la lecture à leurs élèves. Une sorte de cercle vicieux qui a, hélas, déjà commencé…

    Cela fait maintenant presque 15 ans que les systèmes éducatifs occidentaux ont vécu leur moment Spoutnik. Depuis, rien n’a changé. Entre déni et opérations de communication, l’action politique a ici expiré avant même d’être née. Les performances de nos gamins sont alarmantes, mais rien ne bouge. À défaut de veiller sur la construction de leur intelligence, on leur offre, pour maintenir l’illusion, des diplômes dépréciés. Pire, on cristallise le désastre dans une sorte de nasse inéluctable qui voit tout une génération de lecteurs défaillants devenir enseignants.

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  82. Parmi les statistiques les plus alarmantes, on trouve un chapitre assez complet relatif aux performances de plus en plus inquiétantes en matière de lecture et de compréhension simple d’un texte, tant en France qu’à l’étranger, notamment aux États-Unis. Situation préoccupante dont seuls semblent véritablement émerger la Chine et d’autres pays asiatiques (en particulier Singapour), très conscients quant à eux de la priorité à accorder à l’éducation, qui est à la base de tout. Et dont les défaillances, dont nous nous en tenons chez nous depuis trop longtemps au constat, nous mènent droit au désastre. Tandis que les pays asiatiques en question privilégient justement la lecture, l’exigence, la rigueur et l’autodiscipline, n’hésitant pas à l’inverse à restreindre l’usage des écrans numériques, à l’instar de ce que font d’ailleurs, nous le savons, les grands génies de cette industrie.

    Ce n’est pas tout. Non seulement nos décideurs tardent à agir, mais à l’inverse de ce qu’il conviendrait d’entreprendre, nous nous sommes dirigés depuis de nombreuses années – sous l’effet d’une sorte de pessimisme ambiant – dans le sens de la simplification des programmes et des manuels scolaires, tout comme du langage et de l’expression. Michel Desmurget nous remémore au passage quelques exemples de livres pour la jeunesse (et pas uniquement) non seulement présentés dans des versions abrégées (qui se substituent parfois complètement à l’originale), mais – pire encore – parfois en partie réécrits, le passé simple étant par exemple remplacé par le présent de l’indicatif, les phrases raccourcies (quelquefois substantiellement), la richesse lexicale nettement amoindrie. Il remarque qu’il en va d’ailleurs de plus en plus de même dans les paroles des chansons ou dans les discours politiques, signe d’un appauvrissement généralisé du langage, avec toutes les conséquences que cela induit. Notamment, à l’issue de ce processus, en termes de compréhension « basique » des choses. Voilà où nous mènent, considère l’auteur, « les chantres de l’égalitarisme doctrinaire ».

    La maîtrise de la lecture, une simple question de pratique

    La deuxième partie du livre s’intéresse en particulier aux aspects physiologiques liés au fonctionnement du cerveau.

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  83. De fait, quoi qu’on veuille, des milliers d’heures d’instruction et de pratique sont nécessaires pour savoir vraiment lire (et comprendre), de sorte que cela devienne simple et quasi-naturel, selon les spécialistes. Autrement dit, l’apprentissage à l’école ne saurait suffire. C’est la lecture régulière, chez soi, qui permet de développer véritablement ses capacités, au premier rang desquelles la compréhension de ce qu’on lit, n’en déplaise là encore à ceux qui voudraient révolutionner la langue et l’orthographe dans l’espoir un peu vain de lutter contre les inégalités. Une lecture attentive de cette partie du livre leur serait utile, tant elle est susceptible de leur démontrer en quoi leur militantisme est irréaliste et inopérant, pour ne pas dire totalement contre-productif.

    Au-delà de sa complexité, la langue française est bien faite, mieux que l’on peut éventuellement le penser spontanément. Les multiples exemples présentés par l’auteur mettent par exemple parfaitement en évidence le rôle joué par des lettres ou accents pouvant paraître inutiles à première vue (même si l’on pourra toujours évidemment sans doute trouver des exceptions), facilitant grandement, en définitive, la compréhension. Même si cela ne se fait en effet pas sans effort et sans une pratique régulière de la lecture. À l’instar de ce qui s’applique tout autant aux domaines du sport ou de la musique (enlèverait-on une corde au violon pour en simplifier la maîtrise, interroge l’auteur ?). Rien de « réactionnaire » dans ces observations, insiste-t-il, tout juste des éléments purement factuels et établis par la science.

    Savoir lire ne se limite en revanche aucunement au simple déchiffrage. Or, il apparaît (et tout professeur peut le constater en pratique auprès de ses classes) qu’il y a souvent difficulté à comprendre qu’on ne comprend pas. Là encore, Michel Desmurget nous en donne des exemples très concrets. Le manque de repères, de lectures, de culture, ne permettent pas de comprendre bien des choses, même simples. Les malentendus sont fréquents en la matière.

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  84. À tout ceci vient se greffer l’illusion que le large accès à la connaissance via les moteurs de recherche permettrait de remplacer la connaissance. Il s’agit bien d’un leurre, que le docteur en neurosciences parvient à nous démontrer facilement à l’aide là encore de quelques exemples très parlants. Sans oublier la crédulité qui l’accompagne, et que seule une pratique régulière de la lecture et les mécanismes intellectuels qu’elle met en jeu permettent de débusquer. Il faut lire l’ouvrage pour s’en convaincre, ces quelques lignes ne pouvant entrer dans le détail de l’explication et des exemples illustratifs qui la nourrissent.

    Un phénomène cumulatif

    L’apprentissage est en effet un phénomène cumulatif, reposant sur une série de socles. Autrement dit, une série de repères issus de l’expérience de la lecture, et sans lesquels on ne parviendra pas à déchiffrer un problème nouveau.

    C’est ce que Michel Desmurget montre dans la troisième partie du livre, en valorisant notamment le rôle de la lecture partagée. Tout en insistant bien sur le fait que cet apprentissage, puis cette pratique au quotidien de la lecture, ne valent que si elle se conçoit de manière ludique, comme un bon moment d’échange et de complicité, une forme de loisir en famille. Plus l’enfant éprouvera de plaisir, plus il progressera.

    L’essentiel se trouve dans une phrase du professeur de psychologie Andrew Biemiller :

    « On ne peut apprendre des mots qu’on ne rencontre pas ».

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  85. D’où l’importance capitale de parler beaucoup à ses enfants dès le plus jeune âge. Ce qui participe grandement à la construction de son cerveau, et donc de ses facultés. Ce que ne permettent pas de remplacer les écrans. D’autant plus que le moment-phare où la plasticité du cerveau est optimale est l’âge de 18-24 mois. C’est là que la variété des conversations intra-familiales va jouer le plus grand rôle. Sachant que les stimulations reçues la première année sont d’ores et déjà cruciales pour le déploiement des capacités langagières, même si le bébé ne parle pas encore.

    La lecture partagée va alors jouer un grand rôle dans la richesse du vocabulaire, la qualité de l’attention, et les aptitudes socio-émotionnelles. Mais aussi sur la capacité à respecter les règles sociales communes, la politesse, le contrôle de l’impulsivité, l’apaisement et l’harmonie familiale. Sans oublier cette qualité fondamentale qu’est l’empathie.

    C’est pourquoi, montre Michel Desmurget, l’école ne pourra pas grand-chose face au décalage considérable et qui va ne faire que s’accroître entre enfants venant de milieux où ils ont été stimulés et les autres. Le nombre de mots de vocabulaire acquis par les uns et les autres varie déjà du simple au double au moment de l’entrée à l’école à 3 ans. Et ne va faire que s’amplifier (« Le gouffre de 4200 mots qui, à 9 ans, sépare les enfants les plus favorisés de leurs homologues les moins privilégiés représente douze ans d’enseignement intensif »).

    D’autant plus que « plus on sait, plus on apprend » (y compris en faisant appel à des analogies). Le système éducatif français n’est d’ailleurs pas, rappelle l’auteur, celui qui est connu pour contrebalancer le mieux les inégalités sociales, malgré toutes les prétentions de ceux qui entendent y contribuer via les orientations qu’ils promeuvent.

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  86. Un monde sans livres

    C’est le titre de la quatrième partie, dans laquelle Michel Desmurget commence par consacrer tout un chapitre à ce que l’humanité doit aux livres, permettant de bien réaliser à quel point leurs apports ont été et continuent d’être majeurs, avant de montrer le potentiel unique du livre. C’est bien justement en raison de ce potentiel qu’ont lieu les autodafés. Provoquer l’amnésie historique et l’appauvrissement du langage, afin de mieux contrôler les individus et les sociétés est l’un des moyens courants utilisés par les régimes totalitaires, qui cherchent à rendre le peuple plus malléable, par le recours à des mots, des concepts et des raisonnements simples.

    La cinquième et dernière partie, enfin, revient en détail sur les multiples bénéfices de la lecture en ce qui concerne la construction de la pensée, la maîtrise du langage et les aspects fondamentaux de notre fonctionnement socio-émotionnel. L’auteur montre, entre autres, que les adeptes de la réécriture des livres et de l’expiation sans limites de tout ce qui est susceptible de froisser les uns ou les autres est non seulement une absurdité qui risque d’aboutir à brûler une grande partie des livres, mais il s’agit en outre de quelque chose de contre-productif, dans la mesure où c’est à travers tous les ouvrages, y compris ceux qui peuvent déranger, que l’enfant peut fourbir les armes qui lui permettront plus tard d’identifier et affronter l’odieux.

    Une étude menée auprès d’une large population d’étudiants a d’ailleurs montré, ajoute-t-il, « que la lecture d’un plus grand nombre d’ouvrages de fiction était associée à une diminution des stéréotypes de genre et à une représentation plus égalitaire des rôles sexués ». En convergence avec une autre recherche relative aux attitudes discriminatoires envers les minorités. Car ce sont bien les valeurs de tolérance, écrit-il, qui se développent, ainsi que l’ont montré de nombreux auteurs, par la diversité des contrastes et des écrits.

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  87. Deux méta-analyses ont aussi montré, sur la période 1980-2010, une nette augmentation du narcissisme et de l’auto-suffisance des populations étudiantes, accompagnée d’un déclin conjoint de l’empathie. Même si le recul de la lecture n’est pas seul en cause dans ces évolutions.

    Donc, rien de plus utile, pour contrecarrer toutes ces tendances que d’encourager la lecture dès le plus jeune âge comme mode émancipateur et formateur, à même d’aider les individus à se construire et nous aider à vivre dans une société davantage propice à l’harmonie et aux libertés. Les parents ont ici un rôle accompagnateur à jouer. Un jeu qui en vaut la chandelle quand on connaît les bénéfices incomparables que l’on retire de la lecture plaisir à raison d’une toute petite demi-heure par jour simplement ! À comparer au nombre d’heures journalier consacré à leur concurrent directement responsable du très vif recul de la lecture : les écrans récréatifs…

    Michel Desmurget, Faites-les lire ! Pour en finir avec le crétin digital, Seuil, septembre 2023, 416 pages.
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    À lire aussi :

    La culture en péril (1) – Georges Steiner, Le silence des livres
    La culture en péril (2) – Georges Steiner, Ceux qui brûlent les livres
    La culture en péril (3) – Charles Dantzig, Pourquoi lire ?
    La culture en péril (4) – Jacqueline Kelen, L’esprit de solitude
    La culture en péril (5) – Collectif La Main Invisible, Libres !!
    La culture en péril (6) – Alain Finkielkraut, L’après littérature
    La culture en péril (7) – Tzvetan Todorov, La littérature en péril
    La culture en péril (8) – Christine Sourgins, Les mirages de l’art contemporain
    La culture en péril (9) – Patrice Jean, La poursuite de l’idéal
    La culture en péril (10) – Antoine Compagnon, La littérature pour quoi faire ?
    La culture en péril (11) – Justine Augier, Croire : Sur les pouvoirs de la littérature

    https://www.contrepoints.org/2023/11/14/466733-la-culture-en-peril-12-redecouvrir-la-lecture-a-lere-du-numerique

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    1. 'Un monde de crétins' le mot est juste. Juste parce que la faute s'appelle - entr'autres - le texto. Ce raccourci immonde. Ils ne savent pas faire une page de dictée sans ses 50 fautes d'orthographe !!
      Le métier de garagiste ? Y a plus ! Des gros cons politique leurs ont dit qu'aux jours qui viennent on aura plus besoin d'eux ! et que toutes les voitures seront électrique ! Fini les moteurs a combustion ! c'est l'i.a. qui va les faire en électrique.

      Les gosses, les ados, les adultes, ne savent plus compter ! Ils utilisent leur calculette ! ou plutôt leur téléphone ! Ils ne savent pas faire une multiplication au stylo sur papier ! ni une division, ni une addition ou soustraction !!
      Des gros cons qui se prennent pour des chefs d’États !

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  88. Aller nulle part et ne rien faire sous la loi martiale. Emmanuel García


    Par le Dr Emanuel Garcia
    Recherche mondiale,
    13 novembre 2023


    Hier, j'ai décidé de rompre avec la routine et de faire un voyage le long de la côte vers le nord, hors des griffes de la matrice bureaucratique qu'est Wellington, autrefois centrale de la comédie pour l'unique source de vérité, pour écouter un peu de poésie et de musique.

    Le village dans lequel j'ai atterri n'est nulle part, à l'exception d'une plage qui révèle l'immensité du Pacifique, et les gens qui se sont rassemblés dans la salle paroissiale reconvertie se contentaient de ne rien faire d'autre que d'écouter les mots et les sons. L’un des poèmes et l’une des compositions pour piano étaient issus du confinement néo-zélandais de 2020, cet emprisonnement incroyablement injustifiable des personnes en bonne santé ; mais pendant deux heures d'après-midi, alors que la lumière changeait lentement et que l'art touchait à sa fin, notre petit groupe d'auditeurs respectueux s'est senti un peu libéré des entraves qui, depuis 2020, semblent simplement guetter.

    Malgré la joie tranquille de se rassembler et de partager, nous ne pouvions nous empêcher de nous rappeler, en cette journée inhabituellement ensoleillée, que ce genre d'événements avait été interdit par décret gouvernemental. Le marteau retomberait-il, et quand, et accepterions-nous tous docilement un autre coup mortel porté à nos droits intrinsèques ?

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  89. Personne n'a exprimé ces inquiétudes mais tout le monde était, j'en suis sûr, conscient – ​​la foule avait ce regard que je connais bien parmi les habitants du « mouvement pour la liberté » ici : couleurs, éclat, gentillesse, ne disant pas grand-chose dans le conséquences de la représentation, car que dire, après tout, une fois que nous en avons absorbé les répercussions nourrissantes ?

    Lorsque je me promenais le long de la plage et regardais le Pacifique, je me suis rappelé des choses maritimes et d'une visite que j'avais faite à un sous-marin amarré dans le chantier naval de Philadelphie. En descendant dans les entrailles de la machine, j'ai été frappé non seulement par les espaces confinés, mais aussi par la réalisation de la réduction des habitants du sous-marin, quels qu'ils soient, à de simples machines elles-mêmes au service du plus grand dieu d'une étrange bête mécanique. . Le but de chaque marin, dormant dans les couchettes les plus étroites, était d'assurer la propulsion efficace et la mission d'un monstre de métal. Une fois sous les vagues, il n'y avait bien sûr aucune issue, et l'idée de me confier à un tel engin me faisait frissonner. Lorsque je suis descendu à terre ce jour-là, il y a bien longtemps, c’était avec une reconnaissance beaucoup plus profonde de l’insignifiance de la vie humaine par rapport aux États impérieux qui l’exploitaient.

    Nous sommes chacun de nous nés dans un monde dont les routes, les services, les télécommunications, les transports et le confort donnent l'impression d'un vaste être gouvernant bienveillant, d'une organisation d'accomplissement humain qui pourrait tout aussi bien être Dieu, pour autant que nous le sachions ou le sentions, tenant notre petites âmes dans ses bras. Nous l’acceptons, nous lui faisons confiance implicitement et sans un mot – jusqu’à ce que quelque chose arrive pour nous sortir de notre acquiescement endormi.

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  90. Je ne suis pas optimiste quant à la nature humaine, considérant la dépendance à la destruction comme un aspect fondamental de notre espèce. Les propriétés émergentes qui caractérisent nos institutions vont principalement dans le sens du contrôle. La quête de la connaissance est avant tout une quête déguisée du pouvoir.

    Mais il y a du bien humain, comme le petit rassemblement dans un village balnéaire peut le confirmer de temps en temps lorsque la poésie et la musique sont dans l'air.

    Alors que nous nous préparons pour la prochaine attaque, je pense que notre plus grand défi sera de faire des camarades ceux qui, dans leur naïveté, leur ignorance, leur insouciance ou, peut-être, leur opportunisme, ont accepté les impositions du véritable ennemi, cette coterie de personnes qui, embaumées par leurs richesses et leur désir de gouverner, ont réussi à fermer un monde tout en convainquant ceux qui ont été fermés de les féliciter – et de poursuivre leur travail avec une vertu suffisante.

    Comme c’est brillant, comme c’est astucieux ! Mais comme il est dépourvu de tout ce à quoi aspirer.

    En revenant hier sur la route de l'océan, j'ai pensé qu'aller nulle part et ne rien faire ne pouvait pas être mieux, et je savais que nous devions nous battre bec et ongles pour préserver ce droit. Qu'il en soit ainsi, c'est à nous de décider, cela a toujours dépendu de nous, et le combat ne cesse jamais.

    https://www.globalresearch.ca/going-nowhere-doing-nothing-under-martial-law/5839861

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  91. J’admets que l’accusation de « théorie du complot » a une certaine valeur, car chaque fois que l’establishment l’utilise, c’est un signe certain que vous êtes trop proche de la cible et qu’elle devient nerveuse. Ils pourraient simplement essayer de présenter toutes les preuves dont ils pourraient disposer pour prouver que votre position est fausse, mais ils ne le font pas vraiment. Au lieu de débattre de vos arguments et de vos preuves, ils tentent de vous affaiblir en tant que critique valable et de vacciner le public contre vos idées avant même que les gens aient la chance de les entendre. C’est le comportement de méchants, et non de dirigeants bienveillants et attentionnés.

    Je mentionne cette dynamique parce qu’il existe un programme au-dessus de tous les autres qui est défendu de manière agressive par les médias de l’establishment, et quiconque le remet en question, un tant soit peu, est automatiquement persécuté comme un « fou du complot » ou un « négateur ». Je parle bien sûr du programme sur le changement climatique.

    J’ai complètement démystifié l’idée d’un changement climatique d’origine humaine dans des articles précédents et je ne m’y attarderai pas ici. Au lieu de cela, je souhaite examiner l’objectif final des politiques de lutte contre le changement climatique : la solution ultime, qui n’est PAS de sauver la planète, mais de dominer la population.

    Les noms utilisés pour la « réinitialisation » du changement climatique varient, mais les mondialistes et l’ONU y font souvent référence sous le nom d’Agenda 2030 ou d’objectifs de développement durable. Ces programmes arborent une façade écologiste mais ils sont TOUS ancrés dans l’économie. Autrement dit, tous les efforts en matière de lutte contre le changement climatique visent à détruire l’industrie et le commerce et à établir un partenariat entre le gouvernement et les entreprises pour dominer la production. Le changement climatique est un cheval de Troie pour introduire l’autoritarisme.

    Je crois que l’un des aspects les plus importants de l’Agenda 2030 pour les mondialistes est ce qu’on appelle la « Ville des 15 minutes » ; un projet qui implique des centaines de maires de villes des États-Unis, d'Europe et d'Asie travaillant en étroite collaboration avec des groupes comme le Forum économique mondial. Toute mention de cette idée sous un jour négatif provoque une explosion de colère et de moquerie dans les médias, comme s’il ne s’agissait pas d’une véritable question digne d’être débattue.

    L’établissement dresse un tableau intéressant de 15 Minute Cities – Un avenir utopique dans lequel tout ce dont vous avez besoin n’est qu’à quelques pas et où les transports privés sont superflus (ou interdits). Vous pourriez même vivre dans un méga-complexe, un peu comme un centre commercial géant où vous travaillez également. Vous pourriez passer des mois dans un espace d’un kilomètre carré sans jamais avoir à partir pour quoi que ce soit.

    - voir clip sur site -

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  92. Ce n’est pas une erreur si cette idée a été fortement poussée pendant les confinements liés à la pandémie. Le public était inondé par une propagande de peur concernant un virus avec un taux de survie de 99,8 % et cette peur a rendu soudainement envisageable l’idée impensable de rester tout le temps à la maison. Les experts des médias continuent de qualifier le lien entre les confinements liés au Covid et les confinements climatiques de théorie du complot, mais l’idée est ouvertement admise dans les livres blancs de l’ONU et du WEF.

    Certains affirment que la plupart des villes sont déjà des « villes du quart d’heure » où les commodités sont toutes accessibles à pied depuis leur domicile. Ces gens ne comprennent pas vraiment ce qu’est une ville de 15 minutes. Comme le soulignent de nombreuses descriptions d’établissements du projet, il ne s’agit pas seulement de commodité ou d’accès proche, il s’agit de changer tous les aspects de notre philosophie de vie actuelle. Il ne s’agit pas d’acquérir des commodités, il s’agit de faire toute une série de sacrifices afin d’apaiser les dieux des émissions de carbone.

    La Ville de 15 minutes ressemble plus à une recette, contenant tous les ingrédients des programmes de changement climatique et de confinement lié au Covid dans une seule vision orwellienne globale. Cela comprend la suppression des véhicules à moteur, la suppression des transports privés et des routes, la ville intelligente et la surveillance par l'IA de la consommation électrique de chaque personne, la surveillance de la consommation de produits et de « l'empreinte carbone », la surveillance biométrique dans un paysage urbain compact et empilé, le concept de société sans numéraire, l'équité et culte de l’inclusion, contrôle de la population, etc.

    C’est le point culminant, la fin du jeu ; une immense prison sans barreaux. Un endroit où vous êtes conditionné à vous habituer à des limitations artificielles de la vie privée, à l’absence de libertés civiles, à l’absence de propriété privée et à l’absence d’options de travail ou de mobilité. Vous êtes lié à la terre et celle-ci appartient à l’État (ou à une société). Si vous voulez une comparaison historique, la plus proche que je puisse trouver est le système féodal de l’Europe médiévale.

    Au sein de ces villes, vous êtes un mécanisme de travail, rien de plus. Vous ne serez jamais autorisé à posséder votre propre propriété et donc à posséder votre propre travail. Tout ce que vous avez vous est donné par l’État et peut vous être retiré si vous le défiez. Vous pourrez peut-être quitter le village ou la communauté à laquelle vous êtes lié pendant un certain temps, mais cela changera avec les restrictions croissantes imposées aux déplacements du public selon les préceptes de l’idéologie climatique.

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  93. La guerre des riches, le sang des pauvres


    Par Jim Quinn
    La plateforme brûlante
    14 novembre 2023


    "La guerre est un racket. Cela l’a toujours été. C’est probablement le plus ancien, de loin le plus rentable, et sûrement le plus vicieux. C'est le seul à avoir une portée internationale. C’est le seul dans lequel les bénéfices se comptent en dollars et les pertes en vies humaines. »
    – Général Smedley Butler

    Je n'ai pas besoin de ta guerre civile
    Il nourrit les riches pendant qu'il enterre les pauvres
    Vos soldats vendeurs avides de pouvoir
    Dans une épicerie humaine
    Guns N' Roses – Guerre civile

    Qu'il s'agisse d'un général distingué qui a repris ses esprits en 1935, après avoir servi les intérêts de l'argent en déclenchant des conflits à travers le monde pour remplir leurs coffres avec l'argent du sang, ou d'une star du rock & roll écrivant cinquante ans plus tard une chanson à succès sur exactement le même thème, la chanson reste la même. Les riches profitent toujours de la guerre, les pauvres meurent toujours dans leurs guerres, et les politiciens sont soudoyés pour fomenter continuellement des conflits, de la haine et des injures contre celui que leurs marionnettistes choisissent comme ennemi du moment. Ce n’est pas une évolution récente, elle s’étend sur des siècles, et rien que les sommes d’argent qui alimentent le complexe militaro-industriel sont désormais astronomiques.

    Le 20e siècle a commencé avec Butler répondant aux ordres des classes aisées d’Amérique du Sud, du Mexique et d’Europe, déguisé en assurant la sécurité de l’Amérique pour la démocratie – la propagande habituelle nourrie aux masses lorsqu’elles font du racket. Tout comme Edward Bernays l’a clairement exposé dans son livre de 1928 – Propaganda – selon lequel le monde est dirigé par un gouvernement invisible qui manipule l’esprit des masses pour qu’elles fassent ce qu’on leur dit, Butler a décrit sans équivoque pourquoi nous sommes perpétuellement en guerre et à qui profite cette guerre. guerre perpétuelle. Le gouvernement invisible/les initiés dirigent ce monde et ont toujours dirigé ce monde. Une fois que vous vous serez réconcilié avec ce fait, vous serez sur la bonne voie pour comprendre tous les événements majeurs qui se produisent dans le monde aujourd’hui.

    « Un racket est mieux décrit, je crois, comme quelque chose qui n’est pas ce que pense la majorité des gens. Seul un petit groupe « de l’intérieur » sait de quoi il s’agit. Elle est menée au profit d’un très petit nombre, aux dépens du très grand nombre. Hors la guerre, quelques personnes font d’énormes fortunes. Pendant la Première Guerre mondiale, seule une poignée d’entre eux ont récolté les bénéfices du conflit. Au moins 21 000 nouveaux millionnaires et milliardaires sont apparus aux États-Unis pendant la guerre mondiale. » – Général Smedley Butler

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  94. Il semble que beaucoup plus de millionnaires et de milliardaires aient été créés depuis la Première Guerre mondiale, guerre dans laquelle Wilson avait promis de ne pas entrer. Quelle coïncidence si la Réserve fédérale a été créée dans les coulisses obscures d’une île secrète en 1913 par des hommes constituant le gouvernement invisible (banquiers, dirigeants d’entreprises, politiciens corrompus), juste avant le déclenchement de la Grande Guerre. Bien sûr, ce n’était que formidable pour les banquiers, les marchands d’armes et les entreprises qui s’enrichissaient du sang de 20 millions de soldats et de civils innocents morts pour remplir leurs trésors de guerre d’or. Une fois que les politiciens, les banquiers et les entreprises connectées ont eu la possibilité d’utiliser une banque centrale pour imprimer des monnaies fiduciaires et financer leurs guerres pour l’éternité, nous avons eu plus d’un siècle de guerre totale.

    « Ce n’est pas une coïncidence si le siècle de la guerre totale a coïncidé avec le siècle des banques centrales. » – Ron Paul

    « La guerre contre un pays étranger ne se produit que lorsque les classes aisées pensent qu’elles vont en tirer profit. » - George Orwell

    Les classes aisées profitent de la guerre, quel que soit le vainqueur. Mais mieux encore, ils profitent davantage lorsque personne ne gagne et que la guerre est perpétuelle. Une guerre perpétuelle équivaut à des profits perpétuels. Les États-Unis n'ont pas été envahis par un ennemi étranger depuis la guerre de 1812. Les 1,8 billions de dollars alloués au ministère de la Défense en 2023 dépassent le PIB de la plupart des pays du monde et constituent un mécanisme autonome où les politiciens : approuvent les milliards en l’argent du sang tout en promouvant le chaos et la guerre dans le monde entier ; devenir multimillionnaires grâce aux pots-de-vin acceptés des sociétés enrichies par le complexe militaro-industriel ; accélérer la chute de l’Amérique en asservissant les générations futures dans des chaînes de dettes impayables ; puis convaincre les pauvres de devenir de la chair à canon dans leur sanglant jeu de trônes.

    « Chaque guerre, lorsqu’elle survient ou avant qu’elle survienne, n’est pas représentée comme une guerre mais comme un acte d’auto-défense contre un maniaque meurtrier. » - George Orwell

    Les propagandistes du régime militaire ont toujours besoin d’un « méchant » pour justifier leurs guerres génératrices de richesses. Ce fut d’abord Hitler, même si des dirigeants d’entreprises comme Ford admiraient et profitaient de sa reconstruction de l’Allemagne. Ensuite, ce fut le terme générique de « communiste » qui fut utilisé par les profiteurs de guerre pour justifier la Corée et le Vietnam. Garantir la sécurité du monde pour la démocratie et les profits des entreprises, au prix de seulement 100 000 vies américaines et de plusieurs millions d’autochtones. Il s’agit évidemment d’un compromis bénéfique pour l’Empire américain et le complexe militaro-industriel, prévenu par Eisenhower.

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  95. Parmi les « maniaques homicides » des temps modernes, qui menaçaient la paix que l'Empire américain avait répandue à la pointe d'une arme et exigeaient l'utilisation de leur monnaie fiduciaire, citons : l'Ayatollah Khomeini lorsqu'il combattait notre allié Sadaam Hussein, jusqu'à ce que Sadaam Hussein devienne le « maniaque meurtrier » ; Le leadership soviétique en Afghanistan a été combattu par notre allié Oussama ben Laden jusqu'à ce que Ben Laden devienne le « maniaque meurtrier » accusé du 11 septembre ; Mouammar Kadhafi quand il n’osait pas s’aligner sur le dollar ; Bachar al-Assad, lorsque les gazoducs étaient nécessaires pour maintenir les profits ; Vladimir Poutine pour avoir révélé la corruption des États-Unis et de la famille Biden en Ukraine ; et maintenant le Hamas parce qu'ils en ont assez de vivre dans la prison israélienne à ciel ouvert de Gaza.

    Aucun de ces « maniaques du meurtre » n’a jamais menacé la patrie américaine d’une invasion ou d’une attaque significative. Mais ils ont fourni une justification au Patriot Act, à une guerre sans fin contre le terrorisme, au doublement des dépenses militaires, au sacrifice de vies américaines pour rien d’autre que du pétrole et du capital, et à la création de nouveaux ennemis éternels à travers le monde (c’est-à-dire le retour de flamme). Vous voyez, les médias de propagande du régime déclarent que nous sommes à court de bombes, de missiles et de matériel militaire parce que nous avons envoyé plus de 100 milliards de dollars à Zelensky, leur fantoche anti-Poutine (avec 10 % pour le grand), et maintenant nous avons besoin de dizaines de dollars. des milliards supplémentaires à donner à Netanyahu pour l’aider dans son génocide des Palestiniens. Et si les milliers de milliards dépensés pour détruire des choses et tuer des gens au cours des soixante-quinze dernières années avaient été utilisés à des fins productives ?

    « Chaque arme fabriquée, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée signifie, en fin de compte, un vol envers ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, ceux qui ont froid et ne sont pas habillés. » – Dwight D. Eisenhower

    Les marchands d’armes qui maintiennent la machine de guerre meurtrière sont plus qu’heureux d’augmenter leur production pour soutenir la débâcle en cours en Ukraine et maintenant la poudrière du Moyen-Orient qui menace d’exploser et de déboucher sur une Troisième Guerre mondiale. Imaginez les primes des entreprises si nous déclenchions une nouvelle guerre mondiale. Les coffres des politiciens seront remplis de l’argent du sang. Et si les néoconservateurs parviennent à convaincre la Chine d’attaquer Taiwan, les bouchons de champagne éclateront partout à Washington DC. Depuis le début de la guerre en Ukraine provoquée par Biden/CIA début 2022, les stocks des sous-traitants de la défense ont grimpé en flèche (BAE Systems : +100 % ; Lockheed Martin : +36 % ; Northrup Grumman : +32 % ; General Dynamics : +26 %), tandis que le marché boursier global était en baisse de 8%. C'est bien d'être les rois de la guerre.

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  96. Notre président fantoche atteint de démence a laissé échapper la vérité la semaine dernière en affirmant que ces guerres sont bonnes pour l’économie. Et par bon pour l’économie, il entend bon pour les banquiers, les méga-entreprises, le complexe militaro-industriel et les comptes bancaires des politiciens rachetés par des donateurs épris de guerre. Ce qui n’est pas bon pour les comptes bancaires des Américains moyens, car l’inflation incessante créée pour mener ces guerres détruit leur pouvoir d’achat alors qu’ils s’envolent vers l’appauvrissement. Ce n’est pas bon pour les pauvres qui s’enrôlent et versent leur sang sans aucune raison valable. Ce n’est pas bon pour les civils innocents du monde entier tués par les promoteurs d’une guerre sans fin et déclarés comme dommages collatéraux par Dick Cheney, Lindsay Graham, Victoria Nuland, Hillary Clinton et Nikke Haley. Ce n’est pas un meurtre si vous brandissez le drapeau de la justice néo-conservatrice.

    « Il est interdit de tuer ; c'est pourquoi tous les meurtriers sont punis à moins qu'ils ne tuent en grand nombre et au son des trompettes. –Voltaire

    L’absurdité de permettre à des hommes riches de décider que des millions de personnes devraient mourir pour une fausse cause afin de maintenir leur richesse, leur pouvoir et leur contrôle me rend furieux et c’est pourquoi j’ai peu d’espoir d’une issue positive à ce Quatrième Tournant. Comment tant de personnes peuvent-elles être si stupides au point de ne pas voir ce qui se passe sous leurs yeux ? Je n’ai aucune animosité envers les Russes, les Ukrainiens, les Chinois, les Iraniens, les Syriens, les Turcs, les Palestiniens, les Israéliens moyens ou envers quiconque sur cette terre essayant de vivre une vie normale. Ce sont les dirigeants riches et puissants des pays, des royaumes et des empires que je méprise. Bien qu’ils n’aient aucune querelle personnelle contre qui que ce soit, les psychopathes de l’ombre en costume derrière le rideau utilisent la religion et la manipulation psychologique pour convaincre les masses qu’ils devraient haïr et tuer un ennemi qu’ils sont censés détester et craindre.

    « Ce qu’il y a d’absurde et de monstrueux dans la guerre, c’est que des hommes qui n’ont pas de querelles personnelles soient entraînés à s’entre-tuer de sang-froid. » – Aldous Huxley

    Qu’il s’agisse de la Seconde Guerre mondiale ou de ce qui se joue sous nos yeux aujourd’hui, la chanson reste la même. Guerre des riches, lutte des pauvres.

    La plupart n’ont pas réalisé que nous sommes déjà en pleine Troisième Guerre mondiale. Cela a commencé au printemps 2022 lorsque Boris Johnson a été chargé par la cabale mondialiste d’empêcher Zelensky de signer un traité convenu entre la Russie et l’Ukraine pour mettre fin au conflit. Il y avait des milliards de profits de guerre à réaliser et la possibilité de vider la Russie de ses ressources financières. Lorsque cette entreprise désastreuse, qui a tué 600 000 victimes innocentes, a commencé à s’essouffler et que l’enthousiasme des imbéciles désemparés avec leurs pancartes « Soutenez l’Ukraine » a commencé à faiblir, le Hamas a miraculeusement attaqué Israël. Comme c’est pratique pour la machine de guerre.

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  97. La Seconde Guerre mondiale a commencé en septembre 1939, mais les Américains ont fixé la date au 7 décembre 1941. En réalité, les États-Unis étaient déjà en guerre en 1939, car nous avons fourni au Royaume-Uni des armes et un soutien financier, tout en incitant le Japon à attaquer par le biais de sanctions économiques. . C'est exactement la même situation aujourd'hui. Nous sommes en guerre contre la Russie depuis plus d’un an par l’intermédiaire de notre mandataire fantoche, l’acteur Zelensky. Nous sommes désormais en guerre au Moyen-Orient à travers notre pointe de lance mandatée par Israël. Rien de tout cela n’est déclaré, mais toute personne possédant un esprit critique sait que nous prenons les devants. Ce que le complexe militaro-industriel recherche activement, c’est un nouveau Pearl Harbor, un nouveau golfe du Tonkin ou un 11 septembre. Ils ont besoin d’un événement horrible pour déclencher la Troisième Guerre mondiale. Ils sont rassemblés en messes noires, complotant la mort et la destruction, tout en nourrissant leur insatiable désir de mammon.

    Les généraux rassemblés en masse
    Tout comme les sorcières lors des messes noires
    Des esprits maléfiques qui complotent la destruction
    Sorcier de la construction de la mort

    Dans les champs, les corps brûlent
    Alors que la machine de guerre continue de tourner
    Mort et haine envers l'humanité
    Empoisonner leurs esprits soumis à un lavage de cerveau
    Oh Seigneur, ouais !

    Les politiques se cachent
    Ils ont seulement commencé la guerre
    Pourquoi devraient-ils aller se battre ?
    Ils laissent ce rôle aux pauvres, ouais

    Black Sabbath – Cochons de guerre

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  98. Nous voilà donc, aux portes d’Armageddon, attendant que la prochaine chaussure tombe. Je ne crois pas un mot de ce que me dit mon gouvernement. Je considère ceux qui dirigent ce pays, qu’il s’agisse d’hommes politiques « élus », de milliardaires de l’ombre constituant le gouvernement invisible ou de la cabale mondialiste cherchant un nouvel ordre mondial, comme mes ennemis jurés. Lorsqu’ils lancent le faux drapeau, conçu pour générer faussement l’esprit patriotique des masses et les mobiliser pour la guerre contre l’ennemi de leur choix (probablement la Russie, la Chine ou l’Iran), je n’obéirai pas, ne me conformerai pas et ne sacrifierai pas mes trois fils comme de la chair à canon pour leurs programmes diaboliques et leurs guerres pour le profit. Les seules munitions tirées par ma famille dans le conflit à venir seront dirigées contre tout voyou du gouvernement qui tenterait d’investir mes fils dans leurs guerres. C'est ma ligne rouge et je mourrai en la défendant. Il est temps de se préparer à la vraie guerre contre le véritable ennemi.

    Mes mains sont attachées
    Les milliards se déplacent d'un côté à l'autre
    Et les guerres continuent avec une fierté endoctrinée

    Mes mains sont attachées
    Car tout ce que j'ai vu m'a fait changer d'avis
    Mais les guerres continuent au fil des années

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  99. Guns N' Roses – Guerre civile

    Reprinted with permission from The Burning Platform.

    https://www.lewrockwell.com/2023/11/jim-quinn/rich-mans-war-poor-mans-blood/

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  100. ENCORE 6 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 6 = 114)

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  101. ICI, LA CENSURE EST QUOTIDIENNE !!

    C'est TOUS LES JOURS que les lectrices & lecteurs sont empêchés d'accéder à l'information scientifique ou économique.

    C'est TOUS LES JOURS que sont supprimés des dizaines, des CENTAINES d'articles depuis 2010 !

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