- ENTREE de SECOURS -



jeudi 30 novembre 2023

Thérapie ou torture : La vérité sur les électrochocs

 

29.11.2023 
www.kla.tv/27556


Ça vous frappe à la tête avec la force d’un bloc de béton de 18 kilos tombé de deux mètres de haut. Ça a été décrit par des patients comme une grenade qui explose dans le corps. On appelle cela l’électroconvulsivothérapie. Et, en dépit de ce que vous pourriez penser, ce n’est pas une pratique médicale révolue. En fait, l’ECT est infligée à un million de personnes dans le monde entier. Chaque année.

Cet exposé frappant révèle en détail le marché de 5,4 milliards de dollars qu’est l’ECT, ainsi que son histoire, ses praticiens et ses résultats dévastateurs.

Nous n’avons pas créé Thérapie ou Torture pour vous perturber. Ni pour vous effrayer. Mais plutôt pour vous toucher. Pour mettre un frein à l’ECT.

de is.
Sources / Liens :
https://www.kvpm.de/pressemitteilungen/folteraehnliche-zwangsbehandlung-in-der-psychiatrie-verbieten

Film documentaire „Thérapie ou torture“
https://www.cchr.de/ban-ect/watch/therapy-or-torture-the-truth-about-electroshock.html

113 commentaires:

  1. Réflexions disparates. Sommes-nous dans une dérive totalitaire ?


    le 29 novembre 2023


    Comme je l’ai exposé dans un précédent article de ce blog il me paraît qu’un complot planétaire se prépare pour établir une gouvernance mondiale totalitaire. La confirmation de mes propos paraissant eux-mêmes complotistes voire contrariens (rayez la mention inutile) a été fournie avec clarté et, je dirai même brio, par la philosophe Ariane Bilheran à André Bercoff lui aussi empêcheur de tourner en rond et qui se moque des radios publiques françaises et encore plus des chaines de télévisions qui ont institué le mensonge comme règle pour informer les citoyens complètement faisandés par la propagande.

    Le terme « faisandé » correspond parfaitement à l’analyse présente. En effet quiconque a vidé et dépecé un lièvre faisandé en garde un souvenir imprimé dans sa mémoire malgré le fait que le dit lièvre est un plat de choix. Mais le totalitarisme que dénonce Ariane Bilheran ne sera la source d’aucune satisfaction culinaire puisque le ragoût sera détestable et d’aucune autre satisfaction ni gustative ni digestive car le brouet que nous préparent les puissances financières apatrides mais surtout occidentales sera mortel pour les libertés individuelles. Je caricature un peu les propos de cette philosophe pour laquelle je conseille vivement à mes lecteurs d’écouter avec la plus grande attention car tous ses arguments rejoignent ceux que j’avais indiqué et auxquels elle a ajouté le « wokisme », l’écriture inclusive (en France en particulier) et la propagande LGBT, le « tansgenrisme » et la notion de genre … des outils de déstabilisation pour faire disparaître les repères civilisationnels multiséculaires pour faire « faisander » madame et monsieur Toulemonde afin d’en faire de vulgaires marionnettes décérébrées ; Avez-vous coupé la tête d’un canard avec une cisaille ? Non, mais cela m’est arrivé et je garantis à mes fidèles lecteurs qu’il continue à marcher quelques secondes en éclaboussant le sol avec son sang. C’est exactement ce que projette de faire le pouvoir apatride : nous transformer tous en canards sans tête !

    Si Konrad Lorenz était encore de ce monde il commencerait à être fasciné par le comportement de nombreuses personnes convaincues que le changement du climat, une autre approche pour préparer la sauce qui sera servie avec l’horrible brouet, convaincues que le « changement de genre » et l’écriture inclusive sont justifiés car il faut chambouler les vieilles habitudes rétrogrades issues des siècles passés mais comme le précise dans son entrevue la philosophe citée plus haut tout se passera très mal : il y aura des pleurs, des grincements de dent et des morts. Réjouissant n’est-ce pas ? Pendant qu’il est encore temps buvez des coups, goinfrez-vous avec les meilleurs mets car vous serez encore cuisinés par la propagande insidieuse des grands médias qui sont la propriété de ces puissants financiers qui vous proposent un monde meilleur dans lequel vous ne posséderez plus rien mais serez heureux. Klaus Schwab ose mais Xi s’est départi de la folie totalitaire de Mao et a insufflé une dose de capitalisme en Chine, posséder un logement c’est comme posséder un arpent de terre, cela fait partie de la nature humaine, pour y élever éventuellement des canards.
    Lien https://www.youtube.com/watch?v=CIqjIZ9yloE&ab_channel=SudRadio

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/11/29/reflexions-disparates-sommes-nous-dans-une-derive-totalitaire/

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  2. La pandémie des tout-petits est-elle déjà là ?


    NOVEMBRE 29, 2023
    PAR LHK


    Je vous prie de lire ce billet avant de passer à la publication ci-dessous. https://lilianeheldkhawam.com/2023/11/27/et-si-la-prochaine-pandemie-touchait-en-priorite-les-tout-petits/

    Des cas de maladies respiratoires qui se multiplient avec en plus de nombreux signalements de pneumonie touchant les enfants. L’Organisation mondiale de la Santé a demandé à la Chine de prendre des mesures de protection et à communiquer ses résultats.

    Une propagation rapide d’infections respiratoires en Chine et voilà que le spectre d’une nouvelle épidémie de type Covid ressurgit dans les esprits.

    Actuellement une épidémie de maladies respiratoires touche le pays et face à cette situation, l’Organisation mondiale de la Santé a fait part de ses inquiétudes ce mercredi 22 novembre demandant à la population chinoise de prendre des mesures de protection.

    Il ne s’agirait pas de Covid, mais les hôpitaux, notamment les services pédiatriques, sont débordés.

    Demande officielle de l’OMS
    L’OMS a adressé une demande officielle ce mercredi 22 novembre à la Chine « pour obtenir des informations détaillées sur une augmentation des maladies respiratoires et des cas signalés de pneumonies chez les enfants ».

    L’Organisation mondiale de la Santé a fait part de son inquiétude face aux « foyers de pneumonie » mais aussi face à « une augmentation des maladies respiratoires » sur la population générale.

    Une « pneumonie non diagnostiquée », doit-on s’inquiéter ?
    Pour l’heure, officiellement aucun décès n’a été signalé. L’origine de cette pneumonie qui se répand rapidement est encore inconnue.

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  3. Promed, le système de surveillance mondial des maladies a tout de même expliqué que ce n’était pas « habituel qu’autant d’enfants soient contaminés aussi rapidement ».

    Les analyses n’ont pas encore donné des résultats probants pour savoir s’il s’agit d’un nouveau virus. C’est pour cela que l’OMS a demandé des informations à la Chine.

    Les virologues et les épidémiologistes restent prudents face à cette situation en attendant les premiers résultats.

    Mais certains penchent cependant vers une contamination due à une bactérie qui n’est pas inconnue…

    Causes possibles
    Même si pour l’heure, le diagnostic n’a pas été posé, il pourrait s’agir d’une contamination à la bactérie mycoplasma pneumoniae.

    Même en France depuis quelques semaines, plusieurs cas ont été signalés. Mycoplasma pneumoniae est une cause fréquente d’infections des voies respiratoires inférieures chez l’homme, en particulier chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes. Ces infections sont endémiques dans les villes, comme le précise Santé Publique France.

    Leur contagiosité est normalement modérée. Cependant leur incidence est mal connue à cause d’une habituelle bénignité et des difficultés du diagnostic biologique.

    Mode de transmission
    La transmission de cette bactérie se fait par l’intermédiaire de gouttelettes issues de sécrétions de l’appareil respiratoire. Elle est favorisée par un contact étroit avec le sujet infecté. C’est pour cela que la maladie touche particulièrement les enfants scolarisés.

    Période d’incubation
    Sa période d’incubation est estimée entre deux et trois semaines, selon Eurofins.

    Symptômes
    Les symptômes sont la toux et de fortes fièvres avec de la fatigue. Elle se traduit par des bronchites, des trachéites et des pneumonies.

    La majorité des infections à cette bactérie ne sont pas graves et elles guérissent sans traitement entre deux et quatre semaines sans traitement.

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  4. Traitement
    Un traitement aux antibiotiques permet de réduire la fièvre. Mais le souci c’est que naturellement cette bactérie est naturellement résistante aux antibiotiques courants.

    Comment expliquer cette propagation ?
    La Chine ayant abandonné les gestes barrières et sa prévention après le Covid, les personnes n’ayant plus été confrontées aux microbes sont donc plus sensibles aux maladies automnales et hivernales.

    De plus, la météo n’a pas été clémente ces derniers temps en Chine avec une arrivée du froid qui n’a rien arrangé.

    Du moins espérons qu’il s’agisse de cette bactérie connue et non d’une nouvelle maladie émergente…

    Diagnostic normalement dans quelques jours.

    https://www.midilibre.fr/2023/11/23/mysterieuse-epidemie-de-pneumonie-en-chine-loms-alerte-sur-une-hausse-rapide-et-inquietante-de-contaminations-11597723.php

    https://lilianeheldkhawam.com/2023/11/29/la-pandemie-des-tout-petits-est-elle-deja-la/

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  5. Et si la prochaine pandémie touchait en priorité les tout-petits ?


    NOVEMBRE 27, 2023
    PAR LHK


    Et si la prochaine pandémie attaquait en priorité les bébés? https://www.tv5monde.com/emissions/episode/l-invite-jean-francois-delfraissy

    A écouter à partir de 7:40

    Des virus respiratoires s’unissent en un hybride jamais vu.
    Pour la première fois, on a observé la fusion de deux virus respiratoires bien connus: un virus de la grippe A (H1N1) et un virus respiratoire syncytial (VRS).

    L’hybride résultant de cette union arrive d’ailleurs à confondre le système immunitaire quant à son identité complète.

    On savait déjà que des virus grippaux distincts, mais proches parents, pouvaient échanger du matériel génétique et se recombiner. Mais ce mécanisme n’avait jamais été observé chez des virus aussi différents l’un de l’autre.

    Ce sont des chercheurs de l’Université de Glasgow qui ont introduit les deux virus en même temps dans une même cellule, en laboratoire.

    Ils espéraient comprendre mieux ce qui se produit lors de co-infections – des infections multiples, simultanées ou proches dans le temps.

    C’est ainsi qu’ils ont pu observer la création d’un pathogène hybride. Cet hybride s’est aussi montré capable, lors de tests, de se servir de son “visage” VRS pour échapper aux anticorps normalement capables d’inhiber le virus de la grippe A.

    Ce nouveau mécanisme mis en lumière, s’il n’est pas acquis qu’il puisse se produire naturellement, est néanmoins très intéressant. Il pourrait permettre, à terme, de mieux comprendre les co-infections, de mieux les traiter, voire de développer des vaccins capables de nous prémunir contre plusieurs virus à la fois.

    https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/les-annees-lumiere/segments/reportage/421246/virus-hybride-grippe-influenza-vrs-syncytial-respiratoire-vaccin-co-infection

    Commentaire LHK:

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  6. Des virus respiratoires s’unissent ont été unis en un hybride jamais vu. Pourquoi faire? Nous en sommes à combien de virus bricolés qui se seraient échappés incidemment d’un laboratoire? Evidemment, ma réflexion est sûrement complotiste, puisque je réfléchis hors de la boîte des médias.

    Pourtant, on nous dit que le bioterrorisme consistent à:

    bricoler des bactéries inoffensives pour les rendre pathogènes par insertion de gènes de toxicité empruntés au génome de bactéries dangereuses;
    ou rendre encore plus virulentes des bactéries qui étaient déjà dangereuses ou de les modifier afin qu’elles ne soient pas reconnues par le système immunitaire ou qu’elles soient résistantes à tous les antibiotiques. Wikipédia
    Question: Est-ce que les activités du labo cité ci-dessus répondent à ces activités? Oui/Non. Il n’y a pas de 3ème possibilité.

    On introduit sur cette terre des virus hybrides qui peuvent s’échapper à tout instant des tiroirs de leurs propriétaires. Tout comme les milliers de fioles sorties, on ne sait comment, des murs du laboratoire Pasteur.

    Que devons-nous faire ? Augmenter la résilience et attendre sagement en comptant sereinement sur ceux qui ont mené le monde à son effondrement ?

    De mon point de vue, pareilles bricolages devraient être classées en tant qu’actes bioterroristes, puisqu’un bioterroriste déclaré n’agirait pas autrement. Et ceci semble plus urgent que le classement de l’hydroxychloroquine, comme molécule toxique, la veille de l’arrivée de Covi-19.

    https://lilianeheldkhawam.com/2023/11/27/et-si-la-prochaine-pandemie-touchait-en-priorite-les-tout-petits/

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  7. La puissance cérébrale des Britanniques a chuté à partir de 2020


    30 novembre 2023
    de Thomas Oysmüller


    Une étude britannique a révélé un déclin significatif des capacités cognitives chez les personnes âgées à partir de 2020. Un lien avec la politique de confinement est supposé.

    Des chercheurs britanniques ont évalué les données neuropsychologiques de plus de 3 100 personnes âgées de 50 ans et plus. Les données ont été analysées sur la période du 1er mars 2019 au 28 février 2022. Donc les deux années précédant les confinements et les deux premières années Covid. Les résultats sont étonnants : les capacités cognitives ont considérablement diminué.

    Conséquences du confinement ?

    Mais outre le déclin des fonctions exécutives, les compétences cognitives de plus haut niveau responsables du contrôle et de la coordination, il y a d’autres éléments importants à noter. L’étude a montré une détérioration significative de la mémoire de travail, essentielle au stockage à court terme et à divers processus cognitifs.

    "Une détérioration significative de la fonction exécutive et de la mémoire de travail a été observée au cours de la première année de la pandémie dans l'ensemble de la cohorte, chez les personnes présentant des troubles cognitifs légers et chez celles ayant des antécédents de COVID-19", écrivent les auteurs . L’évolution négative s’est poursuivie au cours de la deuxième année de Corona.

    Est-ce le résultat de la politique de confinement ? Les chercheurs se permettent au moins de spéculer en conséquence. La période a été caractérisée par « des confinements sociaux qui n’existent pas depuis des temps immémoriaux ». Mais « les effets de ces mesures ne sont pas encore pleinement compris ».

    La conclusion indique : « La pandémie de Covid-19 a entraîné un déclin significatif des capacités cognitives des personnes âgées, qui s’est accompagné de changements dans les facteurs de risque connus de démence. » Mais la question est maintenant de savoir ce que signifie « la pandémie de Covid-19 ». . est. La maladie? La réaction politique ?

    Cependant, l’étude soulève également des inquiétudes explicites quant au fait que la politique de confinement aurait pu avoir des « effets neuropsychologiques » négatifs.

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  8. Des analyses de régression ont été utilisées pour identifier les principaux facteurs responsables de ce déclin cognitif. Ces facteurs comprenaient le fait que les participants de la cohorte faisaient moins d’exercice et consommaient plus d’alcool pendant les confinements. Ces facteurs ont également contribué à ce qu’un plus grand nombre de personnes souffrent de solitude et de dépression.

    Une étude de 2020 suggère également que les facteurs liés au mode de vie et à la santé mentale contribuent de manière significative à la santé cognitive. Presque pas d'exercice, une mauvaise alimentation, beaucoup d'alcool, mais aussi la solitude peuvent conduire à la démence, dit-on.

    « Ces facteurs sont étroitement parallèles aux changements de santé et de mode de vie à l’échelle de la population observés pendant et après les confinements et soulèvent la question importante de l’impact de la pandémie sur la santé cognitive et le risque dans toutes les populations », écrivent les auteurs de l’étude .

    La cohorte étudiée comprenait près de 1 700 femmes et plus de 1 400 hommes. Leur âge moyen était de 67,5 ans. La recherche a été publiée dans la revue Lancet sous le titre : « Déclin cognitif chez les personnes âgées au Royaume-Uni pendant et après la pandémie de COVID-19 : une analyse longitudinale des données de l'étude PROTECT ».

    https://

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  9. Soudainement et de manière inattendue – les pilotes deviennent incapables de fonctionner


    30 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La campagne de vaccination est pratiquement terminée au niveau international, même si les politiciens tentent toujours de faire parvenir les injections achetées dans le haut des bras. Cependant, les conséquences de la campagne de vaccination conduisent toujours à une surmortalité par rapport aux années précédant 2020, comme le montre hier une analyse des données de mortalité allemandes . Et ils sont également visibles dans des groupes professionnels particulièrement fortement vaccinés, comme les pilotes.

    TKP a fait état à plusieurs reprises de problèmes cardiaques et des décès et perturbations de vol qui en ont résulté, ainsi que des avertissements des pilotes concernant un désastre en matière de sécurité dans l'industrie du transport aérien. Le rapport d'Airliners for Hunaity AT sur les décès et les incapacités de pilotes :

    Un capitaine d'Air India est décédé lors d'un entraînement à l'aéroport de Delhi. Les autorités ont déclaré qu'il était mort d'une crise cardiaque. En août 2023, la DGAC (Direction générale de l'aviation civile) lui avait délivré un certificat d'aptitude à voler jusqu'en août 2024, il était donc définitivement apte.

    Le 20 novembre Un pilote est tombé en incapacité de travail sur le vol TS 186 d'Air Transat reliant Toronto à Punta Cana. Un pilote qualifié de l'entreprise, volant à titre de passager, a remplacé le membre d'équipage frappé d'incapacité, et l'avion a continué vers sa destination prévue sans autre incident.

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  10. Le 26 novembre Un pilote est devenu frappé d'incapacité sur un vol Ryanair reliant Londres à Rzeszow (Pologne). Le vol a été dérouté vers Cracovie, où l'avion a atterri en toute sécurité et le pilote a reçu des soins médicaux.

    Les pilotes militaires américains signalent une augmentation de 937 % des crises cardiaques
    Un officier du Navy Medical Service Corps a lancé une bombe lundi sur les problèmes médicaux rencontrés par les pilotes militaires vaccinés. Le lieutenant Ted Macie a renoncé à son anonymat pour sensibiliser le public au nombre impressionnant de soldats souffrant de problèmes cardiaques potentiellement mortels. Il a publié des données du ministère de la Défense indiquant une augmentation significative des problèmes cardiaques chez les pilotes militaires après l'injection d'ARNm C-19.

    Selon les informations du lieutenant Macie, le taux de maladies cardiaques chez les pilotes d'avions et d'hélicoptères a considérablement augmenté. Selon les dernières informations de l'armée américaine au 13 octobre 2022, 97 % des soldats en service actif ont terminé leur vaccination contre le COVID-19.

    https://

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  11. Vidéo : Les Japonais protestent contre les morts subites causées par les vaccins à ARNm contre le COVID-19. Sujet : ARNm de l'ARNm.

    14 vidéos du Japon ! Des médecins japonais discutent de la contamination de l'ADN, des nanoparticules, des décès excessifs, des blessures causées par les vaccins et bien plus encore.


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    29 novembre 2023


    - voir clip sur site -

    VIDÉO #1 (CI-DESSUS) : 27 octobre 2023 – Chubu-Nippon Broadcasting – Démonstrations dans la ville de Kyoto par 230 familles de victimes du vaccin COVID-19 (8:33 min).

    VIDÉO #2 : (28 octobre 2023) Le professeur émérite Yasufumi Murakami de l'Université des sciences de Tokyo discute de la contamination par l'ADN des vaccins à ARNm COVID-19 et du TURBO CANCER (6 :34 min)

    - voir clip sur site -

    VIDÉO #3 : (8 novembre 2022) Nanoparticules – Professeur Masayasu Inoue, professeur émérite à la faculté de médecine de l'université de la ville d'Osaka :

    - voir clip sur site -

    « On sait que les nanoparticules vaccinales circulent dans le sang pendant plusieurs mois . Chez le rat, la demi-vie est de 1 semaine ; chez l'homme, c'est 10 semaines. Même s’ils pensent que cela touche le muscle, dans 99 % des cas, cela touche au-delà du muscle. Cela pénètre dans tout le corps en environ une heure.

    Cela arrive aux patients au site de vaccination et le patient entre en choc anaphylactique . Cela se produit donc généralement le jour de l'injection, et les nanoparticules qui continuent de circuler longtemps dans le sang sont la production de nanoparticules (spike).

    Le messager (ARN) et les protéines Spike ont été détectés dans le sang de personnes vaccinées quelques mois plus tard. Il existe même un article qui dit qu'ils ont pu le détecter, ce qui signifie qu'il circule et pénètre dans les cellules de tous les organes.

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  12. Le foie et la rate sont les plus courants, mais le troisième est la moelle osseuse . La division cellulaire qui crée les cellules sanguines est extrêmement intense. Le quatrième se rassemble dans les ovaires , et le cinquième et le sixième ont des affections testiculaires . Le vaccin est concentré dans les organes qui créent la prochaine génération, tant chez les femmes que chez les hommes.

    VIDÉO 04 – (16 novembre 2023) Le directeur de la clinique de Ginza, Tokyo partage son observation sur ses patients vaccinés (Turbo Cancer) :

    - voir clip sur site -

    Lorsque nous avons commencé à administrer le vaccin, certains patients, par exemple, étaient capables de contrôler leur cancer comme le cancer du pancréas depuis longtemps , et après le deuxième ou le troisième vaccin, cela est soudainement devenu grave , et en mai, lorsque le nombre le plus élevé des décès sont survenus vers le mois de juin, il y avait des moments où environ 5 personnes mouraient par mois. C'est vers les mois de mai et juin que nous avons enregistré le plus grand nombre de cas, avec environ cinq patients par mois succombant à leur maladie.

    Ensuite, nous voyons des patients atteints de maladies comme le diabète à cellules géantes ou la leucémie à cellules légères – des maladies très rares et rarement rencontrées en pratique clinique. Le spécialiste cardiovasculaire leur a dit qu’ils n’avaient jamais vu de telles maladies auparavant, même s’il en avait entendu parler dans des livres. Je me demande encore pourquoi il y a tant de gens comme ça.

    VIDÉO 05 – (12 novembre 2023) Annonce des obstétriciens et gynécologues japonais aux femmes enceintes et à celles qui souhaitent le devenir concernant le vaccin contre le coronavirus

    - voir clip sur site -

    « Des maladies et anomalies majeures jamais observées auparavant sont constatées chez les femmes enceintes qui ont reçu le nouveau vaccin contre le coronavirus pendant ou avant la grossesse. Les femmes enceintes ont un effet de coagulation sanguine plus fort que d'habitude pour se protéger des saignements pendant l'accouchement. Ensuite, l’administration du nouveau vaccin contre le coronavirus rendra la thrombose beaucoup plus probable , vous exposant ainsi à un risque de thrombose plus élevé que nécessaire. Des caillots sanguins peuvent apparaître non seulement chez la femme enceinte mais aussi chez le bébé , ce qui rend difficile la circulation du sang vers le bébé, provoque le blocage de caillots sanguins dans le placenta et crée d'autres situations dangereuses. Le vaccin contre le coronavirus fait actuellement l'objet de recherches et sa sécurité n'est pas garantie . S’il vous plaît, prenez vos décisions avec soin !

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  13. VIDÉO 06 – (6 novembre 2023) La plus grande chaîne d'information nationale du Japon, NHK, vient de mentionner les décès dus au vaccin COVID-19 !

    - voir clip sur site -

    Concernant une femme d’une cinquantaine d’années dans la préfecture, décédée le lendemain après avoir reçu le nouveau vaccin contre le coronavirus – elle a reçu 44 millions de yens (environ 300 000 USD). À l’échelle nationale, plus de 2 000 demandes de décès par vaccin sont toujours en cours.

    VIDÉO 07 – Les Japonais descendent dans la rue pour sensibiliser le grand public aux méfaits des vaccins covid (30 octobre 2023)

    Cliquez ici pour lire l'article complet.

    *
    Le Dr William Makis est un médecin canadien possédant une expertise en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursière de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.

    L'image présentée provient de l'émission de radio Hal Turner.

    La crise mondiale du coronavirus de 2020 à 2022 : destruction de la société civile, dépression économique artificielle, coup d'État mondial et « grande réinitialisation »

    仕組まれたコロナ危機 :
    仕組まれたコロナ危機:「世界の初期化」を目論む者たちTankobon Softcover
    deミ シ ェ ル ・ チ ョ ス ド フ ス キ ー (Michel Chossudovsky) (著),岩間 龍男 (翻訳)

    Mes remerciements à l'éditeur et au traducteur Tatsuo Iwana.

    序文
    「地獄 は 空っぽ で 、 悪魔 は 皆ここ に いる」 (『テンペスト』 ウィリアム ・ ・ シェイクスピア)))))

    私たちは、非常に複雑なプロセスを扱っています。この2年間、私はほぼ毎日、新型コロナウイルス感染症の危機の時系列と展開を分析してきました。

    1er janvier 2020 Description du produitナリオを維持するために役立ちました。

    Le 1er janvier 2020 Les mesures de prévention du Covid-19 (Covid-19) sont prises en charge. 、社会的距離政策(ソーシャルディスタンス)、基本的人権の抑圧を含む政策命令の正当性を維持するために、科学を装った嘘と虚偽が使用されてきました。

    民主主義を蝕む「全世界統治」の構図が展開されています。同様の指示は、多くの国の腐敗した政治家にも同時に伝わっています。四連システム全体が、この極悪非道な試みの実行に加担しているのです.

    Année 2020 du 3 au 11 novembre市封鎖)の指示が送信され、基本的に「ウイルス対策」の手段として国家経済の(一部)閉鎖を要求しました。

    Années 70指令によって、直接的または間接的に影響を受けています。

    世界中で、恐怖をあおる政策が蔓延しています。

    2020地球上の全人類が数回の接種を完全に受ければ、「正常」が回復すると信じ込まされました.

    Rapport sur le SRAS-CoV-2 du 11 novembre 2020ファイザーを筆頭に巨大製薬会社が発表したARNm et ARNm. ARNm et ARNm .

    マウスやフェレットを使った標準的な動物実験は行われたのでしょうか?それともファイザーは、「そのまま人間の « モルモット « を使ったのでしょうか?ヒトでの試験は、2020年7月下旬から8 2. 2. 3. 3.です。数年が普通です。」3

    新型コロナウイルス感染症ワクチン・プロジェクトは利益追求型です。巨大製薬会社の利益.接種プログラムであり、地球上の全人口(79億人)に(数回に分けて)注射することを目的としています。

    ARNm.文書としても十分整っています

    本書の概要説明
    第1章では、恐怖をあおる政策、市民社会の意図的な不安定化、メディアの宣伝活動の陰湿な役割に焦点を当てます。

    Chapitre 2で検証します。

    Chapitre 3 : SRAS-CoV-2 et SARS-CoV-2 Il s'agit d'un test PCR.な政策命令を正当化する目的で「偽データ」を作るために、行われた検査です。

    Section 4 et section 5, section 4 et section 5, section 4 et section 5.機の経済的・社会的影響を幅広く検証しています。経済的混乱は、世界史上最も深刻な世界的債務危機の引き金となりました。

    Chapitre 6について、検討します。

    Année 7 du mois Description du produitン」(ぴったりの表現)を再調査します。 Pour le compte ID2020,トと、いわゆるワクチン・パスポートの押し付けに焦点を当てます.

    Épisode 8, 2009 et H1N1, H1N1, H1N1, H1N1, H1N1す。これは、本番前の「舞台稽古」だったのでしょうか。

    Chapitre 9 )

    第10章は、「人道に対する罪」と「ニュルンベルク綱領」に焦点を当てます。

    第11章は、世界経済フォーラムが提案する「世界全体の初期化」を分析します。この提案は、もし採択されれば、全世界統治のシステムを確立し、福祉国家を廃止し、貧困に世界経済フォーラムの「世界全体の初期化」の公式の標章は、「何も持たず、幸せになろう」です。

    第12章は「これからの道」と題されています。「『コロナを利用した専制政治』に反対す巨大製薬会社などの正当性、および国家レベルの腐敗した政治権力に強力に挑戦する世界的な運動の輪郭を描いています。

    本書の方法論について一言述べます。私たちの目的は、以下のような慎重な分析を通じて「大きな嘘」を反証することです。

    正確なデータ、概念、定義を用いて新型コロナウイルス感染症の危機を歴史的に概観する。
    公式文書や査読付き報告書から引用します。多数の出典と参考文献を提示する。
    「公式」データ、「公式」推定値、「公式」定義を科学的に分析し、詳細な再調査を行う。
    L'OMS a déclaré:
    私の著者としての目的は、世界中の人々に情報を提供し、通説に反論することです。その通説は、国全体の経済・社会構造を不安定にする口実や正当化の手段として使われ、「命取りの」コロナ「ワクチン」の押し付けがそれに続きました。

    79 ans de serviceいます。真実は強力な道具です。

    ミシェル・チョスドフスキー

    Août 2022

    https://www.globalresearch.ca/video-japanese-protesting-sudden-deaths-covid-19-mrna-vaccines/5841617

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  14. Une nouvelle variante du COVID se propage aux États-Unis, les experts expliquent les risques (ou leur absence)


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 30 NOVEMBRE 2023 - 13H20
    Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times


    Comparé à Eris, BA.2.86 a une efficacité de croissance nettement inférieure, ce qui signifie qu'il est moins capable de se reproduire dans le corps humain.

    La nouvelle variante BA.2.86, officieusement connue sous le nom de Pirola, s'implante aux États-Unis.

    Entre le 28 octobre et le 25 novembre, sa prévalence est passée de 1 à environ 9 % aux États-Unis, selon les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

    L'Organisation mondiale de la santé a désigné Pirola comme variante intéressante le 21 novembre, mais elle a également estimé que le risque pour la santé publique posé par BA.2.86 était « faible au niveau mondial (pdf) ».

    Dans une mise à jour publiée le 27 novembre, le CDC a souscrit à l’évaluation de l’OMS « selon laquelle le risque pour la santé publique posé par cette variante est faible par rapport aux autres variantes en circulation, sur la base des preuves limitées disponibles ».

    Les recherches actuelles suggèrent un faible risque de maladie
    Pirola est dérivé de BA.2, une variante antérieure d'Omicron.

    D’autres variantes dérivées de BA.2 incluent XBB.1.5 qui est devenue la souche dominante début 2023.

    La variante dominante actuelle est H.V.1, et elle est dérivée de la variante EG.5, officieusement connue sous le nom d'Eris, une variante auparavant dominante aux États-Unis.

    "Pour le moment, BA.2.86 ne semble pas entraîner une augmentation des infections ou des hospitalisations aux États-Unis", a écrit le CDC.

    Des recherches menées en dehors des États-Unis suggèrent également que le Pirola ne devrait pas être plus grave que les variantes actuelles.

    Le chercheur Yunlong Cao, titulaire d'un doctorat en biochimie physique de Harvard, a découvert que Pirola « présente une infectivité cellulaire inférieure » par rapport à XBB.1.5 et Eris.

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  15. Une étude préliminaire réalisée au Japon a révélé que même si Pirola peut être plus transmissible qu'Eris, une variante dominante précédente, elle est moins susceptible de provoquer une maladie.

    Par rapport à Eris, Pirola a une efficacité de croissance nettement inférieure, ce qui signifie qu'elle est moins capable de se répliquer chez l'hôte, ont écrit les auteurs.

    « Ce n’est pas la seconde venue d’Omicron. Si c'était le cas, nous pouvons affirmer que nous le saurions déjà », a écrit Bill Hanage, directeur associé et professeur d'épidémiologie à Harvard, sur X le 1er septembre, alors que la prévalence de la variante était nettement plus faible.

    Les infections antérieures confèrent l’immunité contre la nouvelle variante
    Comparé à BA.2, sa sous-variante ancestrale, Pirola présente plus de 30 mutations dans sa protéine de pointe. Le virus utilise la protéine Spike pour infecter les cellules humaines.

    Le nombre important de mutations a initialement suscité des inquiétudes parmi les virologues, qui craignaient que cette variante puisse échapper partiellement à l’immunité antérieure résultant d’une exposition antérieure, qu’elle soit due à une infection naturelle ou à une vaccination antérieure.

    Cependant, les preuves manquent encore pour prédire s’il y aura davantage d’évasions immunitaires ainsi que la gravité des futurs cas de Pirola.

    Les propres recherches de M. Cao sur des souris vaccinées ou infectées par des vaccins XBB ont montré que les anticorps générés « ne peuvent pas bien reconnaître et neutraliser BA.2.86 », a-t-il écrit dans un fil de discussion publié sur la plateforme de médias sociaux X.

    Cependant, Pirola avait une faible infectivité cellulaire, ce qui peut affecter la transmission du variant, a-t-il ajouté.

    En discutant des conclusions de M. Cao, M. Hanage a convenu que l’évasion immunitaire n’est pas une indication définitive d’une infection et d’une transmission plus graves.

    « Tout virus prometteur doit avoir une certaine évasion immunitaire, car presque tout le monde est immunisé », a-t-il écrit.

    Les recherches les plus récentes sur les capacités d'évasion immunitaire de Pirola proviennent d'une série de rapports menés par des chercheurs de l'Université de Columbia.

    La première étude, publiée dans Nature, a testé les protéines de pointe Pirola, XBB1.5 et Eris contre des anticorps produits à partir d’une infection révolutionnaire par XBB.

    Ces anticorps confèrent une activité neutralisante robuste contre Pirola. Les auteurs ont également noté que la capacité de Pirola à échapper à l’immunité n’était pas meilleure que celle de XBB1.5 et EG.5.

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  16. Le même groupe de chercheurs a ensuite testé les anticorps produits à partir du nouveau vaccin XBB1.5 contre plusieurs variantes, dont XBB1.5, Eris et JN.1, un dérivé du Pirola. Les résultats ont été publiés dans une prépublication.

    Les auteurs ont constaté que, comparé à toutes les variantes étudiées, JN.1 était la plus évasive immunitaire contre les anticorps produits à partir du vaccin.

    HV.1 : la variante dominante actuelle
    La sous-variante dominante actuelle est HV.1, une nouvelle variante dérivée d'Eris.

    Eris est actuellement la variante la plus dominante au monde et HV.1 a succédé à Eris en tant que variante dominante aux États-Unis le 28 octobre.

    Comme Pirola, l’OMS a classé le HV.1 comme une variante à faible risque pour la santé publique. La variante représentait environ 31,5 pour cent de tous les cas aux États-Unis au 25 novembre.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/new-covid-variant-spreading-us-experts-explain-risks-or-lack-thereof

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  17. Le fascisme sanitaire en France avec un nouveau projet de loi


    30 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Depuis des décennies, l’industrie pharmaceutique lutte contre toutes sortes de traitements et de mesures prophylactiques basés sur les découvertes de la science naturelle exacte qu’est la biochimie. Par exemple, des mesures sont prises contre les vitamines, en partie grâce à des études manifestement mal réalisées et en partie grâce à un lobbying intense pour criminaliser des traitements efficaces mais qui ne rapportent pas de profit aux produits pharmaceutiques, comme le récent projet de loi en France.

    Mi-novembre, le Sénat français a examiné un projet de loi visant à réprimer la dissidence avec de lourdes amendes pouvant aller jusqu'à 15 000 euros et la menace de peines de prison. Quiconque ose critiquer les traitements médicaux pourrait enfreindre cette loi. Compte tenu de la fausse affirmation du gouvernement selon laquelle les vaccins sont sûrs et efficaces, cette loi est évidemment un succès du lobbying de l'industrie pharmaceutique et donc aussi un cas de corporatisme ou de fascisme, tel que défini par Benito Mussolini.

    La secrétaire à la Citoyenneté et au Développement urbain, Sabrina Agresti-Roubache, a soumis au Sénat un projet de loi visant à renforcer l'arsenal juridique existant pour lutter contre les sectes, rapporte The Expose . En haut de l'affiche se trouvent les mots :

    Loi
    (procédure accélérée)
    pour renforcer la lutte contre les dérives sectaires
    Lutte contre les dérives sectaires , projets de lois du 15 novembre, Sénat

    Le projet de loi vise à renforcer la lutte contre les « dérives sectaires », notamment dans le secteur de la santé. Annonçant le renouvellement du partenariat avec le Conseil National de l'Ordre des Médecins (CNOM), la Commission interministérielle de surveillance et de lutte contre les violences sectaires (MIVILUDES) a déclaré :

    Compte tenu de l’engouement du public pour les pratiques thérapeutiques non scientifiques, de la recherche de bien-être et d’épanouissement personnel et de la multiplication des formations avec des diplômes non reconnus par l’État, les patients peuvent être maltraités ou exposés à des dérives thérapeutiques, notamment sectaires.

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  18. Dérives sectaires en santé : la MIVILUDES et le CNOM renouvellent leur partenariat , MIVILUDES, 29 septembre 2023

    Le nouveau projet de loi pour lutter contre ces « sectaires » prévoit deux nouvelles infractions pénales. Un article publié par L'Express résume les cinq articles du projet de loi et précise :

    L'article 4 introduit un nouveau délit, puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende, le fait d'exiger d'une personne qu'elle abandonne, s'abstienne de suivre un traitement ou adopte des pratiques qui la font manifestement courir un risque grave ou imminent pour sa santé. Il s’agit d’une réponse aux nombreux cas dans lesquels des théoriciens du complot et des thérapeutes alternatifs, par ex. B. recommande d’éviter les traitements contre le cancer.

    L’article 5 est dirigé contre les praticiens alternatifs déviants. Les chambres des professionnels de santé (médecins, sages-femmes, pharmaciens, dentistes, masseurs, podologues et infirmiers) sont informées par les parquets des condamnations des professionnels de santé soumis à leur contrôle et de la saisine du contrôle judiciaire.

    Enfin, l'article 6 prévoit qu'en cas de poursuites pour certains délits, le parquet ou le tribunal peut demander à tout organisme public, notamment à la Miviludes, des informations utiles sur les mouvements sectaires ou le phénomène d'asservissement psychologique ou physique. Dans la question.

    L'objectif est d'accroître l'information de la justice sur les évolutions sectaires dangereuses et de lui venir en aide, mais aussi de mieux informer la Miviludes sur les procédures en cours. Le projet devrait être adopté par le Sénat puis par l'Assemblée nationale dans les prochains mois. Elle ne prévoit toutefois pas de nouvelles sanctions contre les grandes plateformes numériques comme Google ou Facebook.

    Le cabinet du secrétaire d'État a expliqué que cette question relève de la loi européenne sur les services numériques, entrée en vigueur le 25 août, et destinée à créer un cadre pour les activités des plateformes. La mise en œuvre progressive du règlement devrait, à terme, contribuer à renforcer la lutte contre les contenus illégaux sur Internet.

    Les mots clés sont « selon l'état actuel des connaissances médicales » . Cela peut signifier n’importe quoi – cela dépend simplement de ce que les « experts » disent.

    Bien que le projet de loi ait été soumis au Sénat le 15 novembre, aucun calendrier n'a été fixé pour l'examen de la loi à l'Assemblée nationale.

    https://

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  19. La contamination de l'ADN dans les vaccins contre le COVID-19 peut expliquer l'augmentation des cancers, des caillots et des maladies auto-immunes : pathologiste


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 30 NOVEMBRE 2023 - 01h00
    Rédigé par Tom Ozimek et Jan Jekielek via The Epoch Times


    Le pathologiste clinicien, le Dr Ryan Cole, a déclaré que la contamination de l'ADN dans certains vaccins contre la COVID-19 pourrait être liée à une augmentation des cancers, de la microcoagulation et des maladies auto-immunes.

    "Ma plus grande préoccupation est le fait que des milliards de personnes à travers le monde ont reçu un produit qui était ouvertement contaminé par quelque chose qui n'aurait pas dû se trouver dans le produit", a déclaré le Dr Cole, pathologiste clinique anatomique avec une formation doctorale de troisième cycle en immunologie, a récemment déclaré au programme "American Thought Leaders".

    "Si j'allais acheter de la viande à l'épicerie et qu'ils contenaient des métaux lourds ou des toxines de pesticides, ils les retireraient immédiatement des étagères", a-t-il ajouté.

    Une enfant de 6 ans est réconfortée par sa mère alors qu'elle reçoit sa première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 à Novi, Michigan, le 3 novembre 2021. (Jeff Kowalsky/AFP via Getty Images)
    Récemment, des chercheurs ont découvert que les flacons de vaccins contenant les vaccins contre la COVID-19 de Pfizer contenaient des milliards de fragments d'ADN résiduels, y compris des molécules dérivées du virus simien 40 (SV40) utilisées comme « promoteurs » ou « amplificateurs » qui aident à produire les molécules d'ARNm qui aident les cellules humaines à fabriquer des vaccins. protéines qui déclenchent une réponse immunitaire à l’intérieur du corps.

    Les « activateurs » du virus du singe dans les vaccins

    SV40 est un polyomavirus du singe qui a été associé au cancer chez les animaux de laboratoire. Bien que le virus lui-même ne soit pas présent dans le vaccin COVID-19 de Pfizer, la présence du gène activateur SV40 est controversée car il provient d'un virus associé à une transformation maligne. Cependant, certains experts ont exprimé des inquiétudes quant au fait que l’amplificateur SV40 lui-même puisse être associé à des événements indésirables.

    Le Dr Cole estime que l'amplificateur SV40 présente des risques pour la santé, affirmant qu'il contient une séquence de colocalisation nucléaire « préoccupante » qui « lui permet de pénétrer dans le noyau de la cellule et d'induire ces différentes voies d'action et mécanismes qui peuvent, encore une fois. , se détraquer, muter, provoquer une toxicité."

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  20. Le virologue moléculaire David Speicher, l'auteur principal de l'étude qui a découvert des activateurs du SV40 dans les vaccins contre la COVID-19, a déclaré à Epoch Times dans une récente interview que des recherches beaucoup plus approfondies sont nécessaires pour enquêter sur la contamination de l'ADN dans les vaccins contre la COVID-19. Les questions sans réponse incluent la question de savoir si la séquence SV40 dans les vaccins déclenche des « cancers turbo », c'est-à-dire des cancers particulièrement agressifs et à croissance rapide, a-t-il déclaré.

    Une étude récente des registres du cancer de 44 pays a révélé une augmentation rapide de l'incidence des cancers à apparition précoce pour 14 types, notamment les cancers colorectal, du sein, de l'œsophage, de l'estomac et du pancréas, en particulier chez les jeunes adultes.

    Les « cancers turbo » sont-ils en hausse ?

    Le Dr Cole a déclaré que les « cancers turbo » sont un terme familier désignant un phénomène que les médecins observent de plus en plus, à savoir que les symptômes du cancer apparaissent plus rapidement.

    "Maintenant, je constate des cancers des tissus solides à des taux que je n'ai jamais vus", a déclaré le Dr Cole. "Les patients qui étaient stables ou sans cancer pendant un, deux, cinq, dix ans et dont le cancer est de retour – il revient en force et ne répond pas aux thérapies traditionnelles."

    Il a ajouté qu'il n'y avait pas d'explication simple au phénomène du « turbo-cancer », mais il pensait que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la suppression du système immunitaire.

    "Ce n'est pas nécessairement que la séquence du gène provoque le cancer, mais la séquence du gène peut provoquer certaines des mutations qui conduisent au cancer, mais elle supprime également le système immunitaire", a-t-il déclaré.

    "Et c'est votre système immunitaire qui tue le cancer. Et si votre système immunitaire est endormi, vos cellules tueuses ne peuvent pas être activées", a-t-il ajouté.

    Dans une étude distincte, le microbiologiste Kevin McKernan, chercheur qui a travaillé sur le projet Génome humain du MIT, a déclaré avoir découvert que la quantité d'ADN dans les vaccins contre le COVID-19 pourrait être 18 à 70 fois supérieure aux limites requises par une grande agence de santé.

    Plus tôt cette année, M. McKernan a publié un article révélant que les quantités de contamination par l'ADN dans les vaccins dépassaient de 18 à 70 fois les exigences de l'Agence européenne des médicaments (EMA) de 330 ng/mg d'ADN par rapport à l'ARN. Il est également supérieur aux exigences de 0 ng/dose de la Food and Drug Administration (FDA), et la lecture était de 12 ng/dose.

    À l’époque, il avait averti que les plasmides d’ADN pourraient s’infiltrer dans le génome humain, contredisant les déclarations publiques faites par la FDA et d’autres régulateurs selon lesquelles les vaccins contre le COVID-19 ne modifient pas l’ADN humain.

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  21. Le Dr Cole a expliqué que plus un fragment d'ADN est petit, plus il a de chances de s'intercaler dans le propre ADN d'une personne, même s'il a ajouté que des recherches supplémentaires sont nécessaires.

    "Avons-nous encore des tests, des sondes, que nous devons développer pour prouver cela ? Oui, nous devons le faire", a-t-il déclaré. "Plusieurs d'entre nous font partie de petits groupes de communication, essayant de comprendre les implications à long terme de cela. Mais cela explique beaucoup d'événements vraiment étranges dans le corps humain que nous observons en termes, vous savez, de caillots, maladies auto-immunes, cancers, etc.

    Il a expliqué que la raison pour laquelle lui et d'autres pensent que cela pourrait être le cas est que les fragments d'ADN modifient les signaux dans les cellules.

    "Les cellules humaines sont censées fabriquer des protéines humaines", a-t-il déclaré. "Les cellules humaines n'étaient pas censées fabriquer des protéines étrangères. Lorsque nous programmons les cellules des gens pour qu'elles fabriquent des choses qu'elles ne sont pas censées fabriquer, elles peuvent se détraquer, elles peuvent muter, elles peuvent devenir une cible, subir notre propre attaque immunitaire... notre propre système immunitaire nous attaque.

    « Idée horrible »

    Le Dr Cole a déclaré qu'il existe « tellement de tangentes » d'événements indésirables possibles associés aux fragments d'ADN présents dans les vaccins COVID-19, tout en avertissant qu'on ne sait pas combien de temps ces fragments peuvent rester dans les cellules humaines.

    Il a ajouté que ses inquiétudes concernant l’impact des fragments d’ADN sur la santé humaine ne se limitent pas aux vaccins contre la COVID-19.

    "Ce qui me préoccupe, c'est que toute cette technologie, une nanoparticule lipidique en elle-même, est un produit non éprouvé", a-t-il déclaré, faisant référence aux minuscules boules de graisse qui contiennent et protègent l'ARN messager, ou ARNm, des enzymes destructrices lorsqu'il est mélangé. cellules humaines pour fabriquer des protéines.

    "Ils essaient de les créer pour le VRS, la grippe et de nombreux autres agents pathogènes", a-t-il poursuivi, affirmant que les nanoparticules lipidiques absorbent "ces petites séquences de gènes partout dans le corps" et qu'elles ont été conçues pour absorber des agents chimiothérapeutiques. à travers la barrière hémato-encéphalique, en particulier dans le cerveau.

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  22. "Donc, utiliser cela comme plate-forme porteuse, une nanoparticule lipidique plus un gène quelconque - [c'est] cool sur le plan conceptuel", a-t-il déclaré, mais "en pratique, c'est une idée horrible".

    Mais « donner cela au hasard et bon gré mal gré à tout le monde sans données de sécurité à long terme » est une mauvaise idée, a-t-il soutenu.

    Outre les liens possibles avec le cancer et les problèmes du système immunitaire, le Dr Cole a déclaré que la coagulation sanguine était une autre réaction indésirable possible aux vaccins, en particulier à la protéine Spike qu'ils contiennent.

    "Mais pas seulement la protéine de pointe", s'est-il empressé d'ajouter. "C'est un message que j'ai reçu hier, de la part d'un collègue : 'Hé, nous devons examiner cette séquence particulière dans la contamination de l'ADN car elle code également pour une protéine très collante'", l'appelant "un autre domaine" qui a besoin plus de recherche et d'exploration plus approfondie.

    "Mais les caillots sont un type de caillot inhabituel", a-t-il déclaré, affirmant qu'il s'agit d'une protéine de type amyloïde plutôt que d'une protéine amyloïde traditionnelle.

    Tout en prévenant qu'il ne faisait que « émettre une hypothèse », il a déclaré que les schémas cliniques suggèrent que certaines personnes ayant reçu le vaccin contre le COVID-19 continuent de produire des quantités « considérables » de protéine de pointe, qui, selon lui, peuvent « induire des voies de coagulation ».

    Il a suggéré que les enzymes humaines qui décomposent naturellement les caillots « sont bloquées et inhibées en raison de ces séquences inhabituelles qui ont été injectées à de nombreuses personnes » au moyen des vaccins contre le COVID-19.

    « Les avantages de leur utilisation l'emportent sur leurs risques » : FDA
    La FDA a répondu aux inquiétudes concernant les milliards de fragments d'ADN plasmidique dans le vaccin COVID-19 de Pfizer en affirmant que les avantages des injections l'emportent sur leurs risques.

    "Les vaccins à ARNm contre le COVID-19 dont l'utilisation est autorisée ou approuvée aux États-Unis ne sont pas définis comme une thérapie génique", a déclaré la FDA à Maryanne Demasi, une ancienne journaliste de l'Australia Broadcasting Corporation qui écrit maintenant une page Substack.

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  23. Le porte-parole de la FDA a poursuivi en affirmant que l'agence « est confiante dans la qualité, la sécurité et l'efficacité de ces vaccins » et a ajouté que « l'évaluation des avantages et des risques et la surveillance continue de la sécurité de l'agence démontrent que les avantages de leur utilisation l'emportent sur leurs risques ».

    Le contexte de la réponse de la FDA était l'entretien de Mme Demasi avec Phillip Buckhaults, expert en génomique du cancer et professeur à l'Université de Caroline du Sud, qui a déclaré qu'« il y a de l'ADN qui contamine le vaccin, mais j'ai également pu mettre un terme à certaines rumeurs sur les réseaux sociaux selon lesquelles le virus SV40 serait présent dans le vaccin et qu'il pourrait donner le cancer à tout le monde, car ce n'est pas vrai."

    Il faisait référence aux affirmations selon lesquelles le virus SV40 était présent dans les vaccins contre la COVID-19 et provoquait le cancer après la vaccination.

    "Il n'y a qu'un morceau du promoteur SV40 dans le vaccin", a ajouté M. Buckhaults. "Et c'est ce dont les gens s'emparaient, les gens disaient qu'il y avait un virus du singe, que nous allions tous nous transformer en singes ou avoir un cancer la semaine prochaine ou quelque chose du genre", a poursuivi le professeur, faisant référence aux affirmations antérieures sur les réseaux sociaux selon lesquelles il s'agissait d'un virus. la cause des cancers. "J'ai fait preuve de diligence raisonnable pour apaiser ce genre de peur, ce qui était mon objectif initial."

    Concernant les fragments d’ADN trouvés dans le vaccin Pfizer, c’est la taille des minuscules particules qui compte, a déclaré M. Buckhaults.

    "La FDA parle de 10 nanogrammes. Maintenant, 10 nanogrammes pourraient provenir d'une molécule absurdement géante. Ou cela pourrait être tout un tas de petites molécules. Et le risque de modification du génome n'est pas fonction de la masse", a-t-il poursuivi. "Cela dépend du nombre de molécules indépendantes dont vous disposez. Donc, c'est en fait bien pire, d'avoir tout un tas de ces petits morceaux en termes de risque de mutagenèse par insertion. C'est bien pire que d'avoir même un gros morceau. sur."

    Cependant, il a exprimé l'opinion qu'il n'y avait probablement « rien de néfaste » en jeu et que c'était plutôt « un peu accidentellement stupide sur le plan administratif ».

    Ce qui a pu se produire, selon le chercheur, c'est que Pfizer, les responsables fédéraux et d'autres "étaient morts de peur" à propos du COVID-19 en 2020, alors que les vaccins étaient en cours de développement et que des erreurs ont été commises.

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  24. « Risque de génotoxicité »

    Le Dr Robert Malone, qui a aidé à inventer la technologie de l'ARNm que les entreprises ont utilisée pour le tir, faisait partie des témoins qui ont témoigné lors d'une récente audience à Washington au cours de laquelle il a déclaré que la séquence amplificatrice du SV40 laisse derrière elle un ADN résiduel qui pourrait causer des problèmes.

    "C'est un risque de génotoxicité avéré", a-t-il déclaré.

    Il est possible que ces fragments soient à l'origine des types inhabituels de cancers apparus suite au déploiement des vaccins, a-t-il ajouté plus tard.

    "Je suppose que ce que nous pourrions découvrir, c'est que le risque de cancer ici pourrait être partiellement attribué à ces contaminations par l'ADN ; cela serait cohérent avec la littérature évaluée par des pairs", a déclaré le Dr Malone. "Et en passant, il peut également être démontré que ces fragments d'ADN contribuent à des anomalies génétiques chez le fœtus, qui sont l'une des causes les plus importantes d'avortement prématuré."

    Le Dr Malone a précédemment déclaré que l'inclusion de la séquence signifie que le vaccin est frelaté et devrait être rappelé par la FDA.

    Le régulateur a déclaré à Epoch Times qu'« aucun problème de sécurité lié à la séquence ou à la quantité d'ADN résiduel n'a été identifié » et que la FDA ne rappellerait pas le vaccin.

    L’EMA, qui réglemente les vaccins dans les États membres de l’Union européenne, a déclaré à l’Associated Press que des fragments « non fonctionnels » de la séquence d’ADN du SV40 ont été utilisés comme « matière première » dans la production du vaccin.

    L'EMA a ajouté que même si la plupart de ces matériaux sont décomposés et éliminés au cours du processus de fabrication, des traces peuvent encore rester à des « niveaux très faibles » dans le produit final. Cependant, l'EMA a insisté sur le fait qu'ils respectaient les directives de sécurité établies.

    « L’EMA n’a vu aucune preuve d’une association entre les vaccins à ARNm et les événements indésirables qui pourraient être liés à la présence de matériel ADN, et nous n’avons pas non plus connaissance de preuves scientifiques montrant que les très petites quantités d’ADN résiduel qui peuvent être présentes dans les lots de vaccins pourrait s’intégrer dans l’ADN des individus vaccinés », a déclaré l’agence basée à Amsterdam dans une déclaration envoyée par courrier électronique à l’Associated Press.

    Pfizer n'a pas répondu aux demandes de commentaires antérieures sur la présence de fragments d'ADN dans son vaccin COVID-19.

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  25. Cependant, Pfizer a déclaré à l’Associated Press qu’« il n’y a aucune preuve pour étayer les affirmations selon lesquelles le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 contient de l’ADN plasmidique qui pourrait potentiellement avoir un impact sur l’ADN d’une personne ou constituer un risque théorique de cancer ».

    Jack Phillips, Zachary Stieber, and Marina Zhang contributed to this report.

    https://www.zerohedge.com/medical/dna-contamination-covid-19-vaccines-may-explain-rise-cancers-clots-autoimmune-diseases

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  26. Devriez-vous subir une coloscopie ?


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    30 novembre 2023


    J'ai 69 ans et je n'ai jamais subi de coloscopie. Je n'ai pas non plus l'intention d'en obtenir un. Même si je pense qu’ils peuvent être utiles dans certaines circonstances, je suis convaincu qu’avec mon évitement strict de l’acide linoléique oméga-6 (AL) et mon mode de vie, il est très peu probable que je développe un cancer, encore moins un cancer du côlon.

    Pour les personnes à risque élevé, les coloscopies peuvent être utiles, mais il est important de peser les avantages potentiels par rapport aux inconvénients potentiels. Bien qu’elles soient présentées comme la recommandation de référence en matière de dépistage colorectal, les coloscopies ne sont pas sans risque et ne garantissent pas non plus qu’elles réduisent votre risque de décès par cancer colorectal.1

    Le groupe de travail américain sur les services préventifs recommande aux adultes âgés de 45 à 75 ans de subir un dépistage du cancer colorectal tous les 10 ans.2 En conséquence, environ 15 millions de coloscopies sont effectuées chaque année aux États-Unis.3 Avant de planifier votre rendez-vous pour une coloscopie, voici ce que vous devez faire. devez savoir pour prendre une décision éclairée quant à savoir si cet outil de dépistage vous convient ou non.

    Qu'est-ce qu'une coloscopie ?

    Lors d'une coloscopie, un médecin utilise un tube fin, flexible et éclairé avec une caméra à l'extrémité pour visualiser l'intérieur du rectum et l'ensemble du côlon. L'inspection visuelle est un moyen fiable de détecter le cancer du côlon, et si des polypes, dont certains peuvent se transformer en cancer avec le temps, sont détectés à un stade précoce, votre médecin peut les couper sur-le-champ.

    Ainsi, une coloscopie n’est pas seulement un outil de diagnostic ; cela peut également servir d’intervention chirurgicale. Au cours de l'intervention, le médecin prendra une photo du polype, le coupera, le capturera et l'enverra pour une biopsie. Donc, en fonction de vos facteurs de risque, c’est quelque chose à considérer.

    Cependant, la coloscopie n’est pas la seule option de dépistage du cancer colorectal. Il existe également des tests de selles moins invasifs, notamment le test de sang occulte fécal au gaïac (gFOBT) et le test immunochimique fécal (FIT), qui vérifient la présence de sang ou d'anticorps dans vos selles. Il existe également un test FIT-ADN, parfois appelé test ADN dans les selles, qui combine le FIT avec un test permettant de rechercher une ADN altérée dans vos selles.4

    La sigmoïdoscopie flexible et la colonographie par tomodensitométrie (TDM), également appelée coloscopie virtuelle, sont des options supplémentaires. La sigmoïdoscopie flexible est similaire à une coloscopie mais utilise un champ d'application plus court et plus petit, de sorte qu'elle ne peut pas voir aussi loin dans votre côlon.

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  27. Cependant, de nombreux médecins omettent d'examiner les avantages et les risques de chaque option de dépistage avec leurs patients et recommandent plutôt uniquement la coloscopie.5 Mais il existe des inconvénients importants qui méritent d'être notés.

    Les coloscopies réduisent les diagnostics de cancer, mais pas les décès par cancer

    Une étude de 2022 publiée dans le New England Journal of Medicine a révélé que les avantages des coloscopies ne sont pas aussi importants qu’on le prétend.6

    L'étude Northern-European Initiative on Colon Cancer (NordICC) – un essai randomisé portant sur 84 585 adultes âgés de 55 à 64 ans – a réparti les participants dans un rapport de 1 pour 2 pour recevoir une invitation à subir une coloscopie ou pour ne recevoir aucune invitation. ou un dépistage. Aucun des participants n’avait subi de coloscopie auparavant.

    Après 10 ans, les personnes invitées à subir des coloscopies présentaient un risque de cancer colorectal 18 % inférieur à celui du groupe non dépisté.7 Cependant, il n’y avait pas de réduction statistiquement significative du risque de décès par cancer colorectal dans le groupe invité au dépistage. Les chercheurs ont l’intention de suivre les participants pendant encore cinq ans pour voir si quelque chose change, mais selon l’étude :8

    « Le risque de décès par cancer colorectal était de 0,28 % dans le groupe invité et de 0,31 % dans le groupe recevant les soins habituels… Le nombre d'invités nécessaires pour subir un dépistage afin de prévenir un cas de cancer colorectal était de 455… Le risque de décès, quelle qu'en soit la cause. était de 11,03 % dans le groupe invité et de 11,04 % dans le groupe de soins habituels.

    L'étude présentait certaines limites, notamment un faible taux de participation des personnes invitées à subir une coloscopie. Seules 42 % des personnes invitées à réaliser la procédure l’ont effectivement fait. Lorsque les chercheurs ont analysé les résultats uniquement sur la base des personnes ayant subi des coloscopies, la procédure a réduit le risque de cancer colorectal de 31 % et le risque de mourir d'un cancer colorectal de 50 %.9

    Pourtant, s'adressant à STAT News, le Dr Samir Gupta, un gastro-entérologue qui n'a pas participé à l'étude, a noté : « Il s'agit d'une étude historique. Il s’agit du premier essai randomisé montrant les résultats de l’exposition des personnes au dépistage par coloscopie par rapport à l’absence de coloscopie. Et je pense que nous nous attendions tous à de meilleurs résultats avec la coloscopie. Peut-être que la coloscopie n’est pas aussi efficace que nous l’avons toujours pensé. »10 Même l’auteur de l’étude, le Dr Michael Bretthauer, a déclaré :

    « Ce n’est pas la solution miracle que nous pensions. Je pense que nous avons peut-être survendu la coloscopie. Si vous regardez ce que disent les sociétés de gastroentérologie, et j'en suis moi-même membre, donc ce sont mes gens, nous parlions de 70, 80, voire 90 % de réduction du cancer du côlon si tout le monde passait une coloscopie. Ce n’est pas ce que montrent ces données.

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  28. Bretthauer a suggéré que la coloscopie pourrait, en pratique, réduire le risque de cancer colorectal de 20 à 30 %, ce qui est proche des réductions offertes par d'autres dépistages moins coûteux et moins invasifs, y compris les analyses fécales.

    Quels sont les risques des coloscopies ?

    La coloscopie est une procédure médicale comportant des risques importants, notamment un risque de décès. Le risque de décès suite à une coloscopie d'une seule source était de 1 sur 16 318 procédures évaluées.11 Dans la même analyse, les chercheurs ont également découvert que 82 personnes souffraient de complications graves. Une autre analyse a révélé un taux de mortalité de 3 pour 100 000 coloscopies, ainsi que des événements indésirables graves de 44 pour 10 000, « avec un nombre nécessaire pour nuire de 225. »12

    D'autres risques incluent le saignement après l'ablation d'un polype précancéreux et une perforation. Une revue systématique et une méta-analyse ont révélé que le risque de perforation après une coloscopie était d'environ 6 pour 10 000, tandis que le risque de saignement était d'environ 24 pour 10 000 procédures.13 Cependant, les risques peuvent varier considérablement selon l'endroit où la procédure est réalisée et dépendent du type d'intervention. niveau de compétence du médecin effectuant la procédure.

    Le risque de perforation au Baylor University Medical Center, selon une étude, était de 0,57 pour 1 000 procédures ou 1 coloscopie sur 1 750.14 D'autres complications liées à l'anesthésie peuvent également survenir, notamment une pneumonie par aspiration, ainsi qu'une hémorragie intrapéritonéale.15

    Aux États-Unis, 34,4 % des personnes subissant une coloscopie ont utilisé une anesthésie16, ce qui augmente le risque global de complications. Dans le Nord-Est, le recours à l’anesthésie était associé à un risque accru de complications de 12 %, mais ce risque s’élevait à 60 % parmi les coloscopies pratiquées dans l’Ouest.17

    De manière générale, vous devez opter pour le niveau de sédation le plus léger possible, voire pas du tout, pour réduire les risques liés à l'anesthésie. Les personnes souffrant d’apnée du sommeil, d’obésité, d’hypertension artérielle ou de diabète courent un risque accru de complications liées à l’anesthésie.18

    La dysbiose et d’autres déséquilibres intestinaux, provoqués par le processus de rinçage de votre tractus intestinal avec des laxatifs puissants avant l’intervention, sont une autre préoccupation.19 Entre-temps, les recherches suggèrent que jusqu’à 25,7 % de toutes les coloscopies sont inutiles20, vous devez donc examiner attentivement si le les risques l’emportent sur les avantages pour votre scénario individuel.

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  29. Un équipement contaminé pourrait également vous rendre malade

    - voir clip sur site -

    La qualité de la stérilisation du matériel de coloscopie entre les patients affecte également le risque de la procédure, comme David Lewis, Ph.D., et moi-même en discutons dans la courte vidéo ci-dessus. Un problème courant est que les endoscopes sont équipés d’équipements sensibles et coûteux qui ne peuvent pas être stérilisés par la chaleur. Et malheureusement, les fabricants n’ont pas été amenés à produire une lunette pouvant être stérilisée de cette manière.

    Comme le souligne Lewis : « Nous pouvons envoyer un Rover sur Mars, mais nous pouvons certainement construire un endoscope flexible que nous pouvons mettre dans un autoclave. » Ainsi, pendant l’examen, le médecin peut être incapable de voir à travers le télescope parce qu’il est obstrué par des tissus humains provenant d’un examen antérieur. Dans ce cas, la lunette doit être rétractée et une autre utilisée à la place.

    Lewis rapporte que jusqu'à 80 % des hôpitaux stérilisent les endoscopes flexibles avec du glutaraldéhyde (Cidex), qui ne dissout pas les tissus dans l'endoscope mais les préserve. Ensuite, lorsque des outils de biopsie pointus sont passés dans le tube, le matériel du patient provenant des tests antérieurs est gratté et potentiellement transporté dans votre corps.

    C’est pourquoi il est important de trouver une clinique ou un hôpital qui utilise de l’acide peracétique, similaire au vinaigre, pour stériliser soigneusement l’équipement en dissolvant les protéines présentes dans les endoscopes flexibles. Avant de planifier un examen endoscopique, appelez pour demander comment le matériel est stérilisé entre les patients. Concrètement, vous pouvez demander :

    Comment l’endoscope est-il nettoyé entre les patients ?
    Quel produit de nettoyage est utilisé ?
    Combien de vos patients en coloscopie ont dû être hospitalisés en raison d’infections ?
    L'alimentation est l'une des principales causes du cancer colorectal

    Bien que le dépistage précoce du cancer puisse être utile dans certains cas, il est sage de prendre des mesures pour réduire de manière proactive votre risque de développer un cancer. Pour le cancer colorectal, cela signifie cibler votre alimentation.

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  30. Après le cancer de la peau, le cancer colorectal est le troisième type de cancer le plus répandu aux États-Unis, ainsi que la troisième cause de décès liés au cancer.21 Les facteurs liés au mode de vie, y compris les choix alimentaires, jouent un rôle important dans l'apparition et la progression du cancer. cancer colorectal22, avec seulement 20 % environ des cas causés par des facteurs génétiques et le reste dû à des raisons environnementales.

    Selon des chercheurs de la faculté de médecine de l'Université de Caroline du Sud, jusqu'à 70 % des cas de cancer colorectal (CCR) seraient liés à l'alimentation.23 Une stratégie efficace consiste donc à concentrer votre alimentation sur des aliments entiers, en évitant les aliments ultra-transformés. autant que possible.

    Les aliments préparés transformés sont liés à un risque accru de développer et de mourir d'un cancer24, et ils sont riches en acide linoléique gras oméga-6, que l'on trouve dans de nombreuses huiles de graines comme le soja, le coton, le tournesol, le colza (canola), maïs et carthame.25 Une consommation plus élevée d’aliments ultratransformés (UPF) est également liée à un risque accru de précurseurs du cancer colorectal (CCR), ce qui amène les chercheurs à suggérer que « les UPF pourraient être une cible modifiable pour la prévention précoce du CCR. »26

    Les coloscopies ne sont pas universelles

    Bien que les coloscopies soient souvent décrites comme une solution universelle pour le dépistage du cancer du côlon, plusieurs facteurs, notamment votre âge et votre risque de cancer colorectal, déterminent si vous devez ou non en subir une. Assurez-vous de bien comprendre les risques et les avantages potentiels avant de prendre une décision.

    Et n'oubliez pas de contacter la clinique ou l'hôpital à l'avance pour vous renseigner sur les procédures de stérilisation. Vous recherchez un hôpital qui utilise de l’acide peracétique – et non du glutaraldéhyde (Cidex) – pour stériliser ses endoscopes flexibles.

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  31. Sources and References

    1, 6, 8 The New England Journal of Medicine October 9, 2022
    2 U.S. CDC, What Should I Know About Screening?
    3, 7, 9 CNN October 9, 2022
    4 U.S. CDC, Colorectal Cancer Screening Tests
    5 Arch Intern Med. 2012;172(7):575-582. doi: 10.1001/archinternmed.2012.332
    10 STAT News October 9, 2022
    11 Annals of Internal Medicine 2006 Dec 19;145(12):880
    12, 13 CMAJ Open. 2021 Oct-Dec; 9(4): E940–E947
    14, 15 Proc (Bayl Univ Med Cent). 2015 Jan; 28(1): 3–6
    16, 17 Gastroenterology, 2015; doi: 10.1053/j.gastro.2015.12.018
    18 Medical News Today, January 5, 2018
    19 Cell, 2018;173(7):p1742
    20 Journal of General Internal Medicine February 25, 2022
    21 U.S. CDC, Colorectal Cancer Statistics
    22 JAMA Network Open February 16, 2021, Intro
    23 American Journal of Physiology, Gastrointestinal and Liver Physiology February 28, 2022, Intro
    24 Imperial College London February 1, 2023
    25 Int J Mol Sci. 2020 Feb; 21(3): 741
    26 J Natl Cancer Inst. 2023 Feb 8;115(2):155-164. doi: 10.1093/jnci/djac221

    https://www.lewrockwell.com/2023/11/joseph-mercola/should-you-get-a-colonoscopy/

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  32. La lutte pour les droits de l'homme est menée au niveau international à Karlsruhe


    30 novembre 2023
    par Andrea Drescher


    L'avocat et expert en communication Claudio Zanetti a développé les arguments des 584 plaintes pénales déposées par la ZAAVV. Cela aura lieu le 10 décembre 2023 à Karlsruhe, afin que les gens ne se perdent pas juridiquement dans la multitude d'attaques contre les droits de l'homme, mais qu'ils se concentrent plutôt systématiquement sur la question centrale des accusations criminelles lors du rassemblement et de la conférence de presse prévus ce jour-là.

    Le membre fondateur suisse du « Centre pour le traitement, la clarification, les poursuites judiciaires et la prévention des crimes contre l'humanité dus aux mesures nationales liées au coronavirus » (ZAAVV) vit avec son épouse dans l'Oberland zurichois. L'avocat et ancien conseiller national a débuté sa carrière professionnelle en tant que conseiller en relations publiques dans une agence de communication zurichoise à rayonnement national et international. Avant de prendre la direction de l'UDC du canton de Zurich en 1999, il a travaillé pendant plusieurs années comme chef de division au niveau national dans une association d'entreprises et d'employeurs. De 2003 à 2015, il a été membre du Conseil cantonal de Zurich et de 2015 à 2019 du Conseil national. Aujourd'hui, il travaille de manière indépendante dans le domaine des médias et des relations publiques. Pour plus d'informations, voir zanetti.ch .

    Pourquoi êtes-vous impliqué dans la résistance Corona ?

    Tout d’abord : ma femme et moi sommes vaccinés. Elle, à cause de la pression qu'elle subissait dans le secteur de la santé, moi plutôt par commodité. Je sais maintenant que c’était une erreur, mais comme j’étais et ne suis pas une personne anti-vaccin, j’ai pensé que c’était une chose raisonnable à faire. Mais ensuite, il s’est passé des choses auxquelles je ne m’attendais pas. Il y a eu des passages de frontières qui ne peuvent être tolérés, notamment d’un point de vue juridique.

    On a initialement dit que les Israéliens voulaient développer un vaccin. J’ai immédiatement pensé à un vaccin normal, comme ceux que l’on connaissait pour d’autres maladies. C'est pourquoi j'ai d'abord pensé que le danger du vaccin était complètement exagéré. Pour moi, la vaccination signifiait qu’un agent pathogène était injecté afin que le corps développe ses propres anticorps.

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  33. Ils ont joué avec nous. C'est pourquoi nous devons nous défendre et le faire avec des structures appropriées.

    Comment s'est déroulée la pandémie du coronavirus en Suisse et y avait-il une obligation de vaccination spécifique à chaque établissement ?

    Même s’ils voulaient imposer la vaccination obligatoire, ils ne sont pas allés aussi loin. Ce n'était pas aussi grave qu'en Allemagne, en Italie ou en Autriche, cela restait avec des recommandations et des pressions moralisatrices. Ils savaient ou craignaient probablement que s’ils franchissaient la ligne, la colère populaire éclaterait. Il ne faut pas oublier que chaque Suisse possède chez lui les armes de son service militaire. Je ne sais pas s'il aurait pu y avoir une guerre civile, mais le scepticisme quant aux actions du gouvernement s'est accru au fil du temps. C'est pourquoi l'État était légalement tenu de verser des dommages-intérêts pour les dommages causés par ces mesures.

    Existe-t-il quelque chose de comparable aux avocats des Lumières en Suisse ?

    Oui, il existe plusieurs organisations. Personnellement, j’ai participé avec « Gesund und Frei » à une campagne de vote contre une loi Covid, mais malheureusement nous l’avons perdue. Ensuite, je me suis lancé dans la politique des partis et je suis aujourd’hui co-directeur général du « 9G Workshop AG » de la ZAAVV avec Ralf Ludwig. Au cours de cette collaboration, j'ai également constaté à quel point la situation en Allemagne est mauvaise en matière de droits de l'homme. Cela nous bat clairement en Suisse.

    Quel mauvais ?

    Prenons le cas de Michael Ballweg. Il a été emprisonné pendant neuf mois et ce n'était même pas suffisant pour qu'il soit inculpé. Le procureur devrait effectivement être inculpé maintenant. Le droit pénal est, par nature, un droit à la liberté. Il définit les conditions dans lesquelles l'État peut intervenir dans les droits des personnes. Si l’État va trop loin, comme c’est le cas avec Ballweg et d’autres, cela devient inquiétant. Ici aussi : une atteinte aux droits de l’homme.

    Retour aux droits de l'homme et aux publicités ou aux arguments en faveur de Karlsruhe ? Puis-je publier ceci ?

    Bien sûr. Tout le monde devrait pouvoir lire ceci. Cela nous sert avant tout à rester « en ligne » lors du rassemblement et à ne pas nous enliser dans la dispute. Mais je pense qu'il est important que le plus grand nombre possible de personnes comprennent l'essentiel des publicités.

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  34. Des moyens simples pour réduire le risque de cancer


    Par Mac Slavo
    Plan SHTF
    30 novembre 2023


    La division d’appel de la Cour suprême de New York a annulé une décision dans un procès concernant les réglementations déraisonnables de l’État en matière de quarantaine contre le COVID-19, une décision qui pourrait ouvrir la voie à des camps de quarantaine à New York. La classe dirigeante pense qu’elle a le pouvoir ultime sur la classe esclave, et jusqu’à ce que nous nous levions et désobéissions ensemble, nous resterons des esclaves.

    Le chemin vers la liberté et l’abolition de l’esclavage

    Au cœur de l’affaire se trouve la règle 2.13 de la loi sur la santé publique de New York, qui donne aux responsables de la santé de l’État le pouvoir d’ordonner à toute personne soupçonnée d’être atteinte d’une maladie transmissible comme le COVID-19 d’être placée dans un logement temporaire contre sa volonté. Cela leur permet d’émettre des ordres d’isolement ou de quarantaine sans aucune preuve qu’une personne est infectée. La règle leur permet également de forcer les individus à rester chez eux ou à se rendre dans d’autres endroits que les autorités de santé publique jugent appropriés. Cela donne aux autorités le pouvoir de détenir des personnes aussi longtemps qu’elles le souhaitent. –Actualités naturelles

    La décision signifie que le commissaire à la santé de l’État de New York peut désormais émettre des ordonnances de quarantaine pour contrôler les maladies, malgré l’argument des plaignants selon lequel les réglementations entravent la liberté individuelle et outrepassent largement la séparation des pouvoirs.

    La cour de la Division d'appel affirme qu'en infirmant la décision du tribunal inférieur et en rejetant ensuite cette affaire pour « manque de qualité pour agir », elle estime que le sénateur George Borrello, le député Chris Tague, le membre du Congrès Mike Lawler et le groupe de citoyens Uniting NYS n'avaient pas le droit d’intenter ce procès l’année dernière contre le gouverneur et son ministère de la Santé pour leur odieuse réglementation sur les « procédures d’isolement et de quarantaine ». Selon le tribunal, les plaignants n’ont pas été « lésés » par les politiques de quarantaine, mais seulement ceux qui ont été enfermés de force chez eux.

    Pour plus d’informations, veuillez lire l’article suivant du Brownstone Institute.

    Le problème n’est pas que New York s’est donné le pouvoir. Il n’a pas le pouvoir de se donner du pouvoir à moins que le public ne croie au trône.

    Beaucoup ont été capables de reconnaître et de s'opposer à des actes de tyrannie spécifiques perpétrés par des régimes spécifiques, mais très peu ont reconnu que le problème sous-jacent n'est pas de savoir qui siège sur le trône ; le problème est qu'il y a un trône sur lequel s'asseoir. -Larken Rose

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  35. Je m'en fiche s'il y a un cinglé avec une stupide moustache. Il n’est pas une menace si les gens ne croient pas en « l’autorité ». -Larken Rose

    Nous devons cesser de supplier ces dirigeants d’être libres. Nous savons déjà qu’il n’est dans l’intérêt d’aucun maître de permettre à un esclave d’être libéré.

    Reprinted with permission from SHTFplan.com.

    https://www.lewrockwell.com/2023/11/mac-slavo/simple-ways-to-reduce-cancer-risk/

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  36. La Slovénie rembourse les amendes liées au confinement et aux masques liées au Covid-19 et supprime les dossiers


    par Michael Tennant
    28 novembre 2023


    Article audio sponsorisé par la John Birch Society

    La Slovénie, pays d’Europe centrale, rembourse toutes les amendes infligées dans le cadre de ses anciennes politiques « d’atténuation » du Covid-19 et efface les dossiers des contrevenants.

    Selon le Slovenia Times :

    Entre mars 2020 et fin mai 2022, plus de 62 000 procédures d'infraction ont été engagées en vertu d'une législation qui a ensuite été jugée inconstitutionnelle et les amendes infligées se sont élevées à 5,7 millions d'euros, a déclaré la ministre de la Justice Dominika Švarc Pipan….

    Environ 30 %, soit un peu plus de 1,7 million d’euros d’amendes, avaient été payés avant que l’application ne soit suspendue peu après l’entrée en fonction du nouveau gouvernement en juin 2022.

    Désormais, en vertu d'une loi adoptée par l'Assemblée nationale en septembre, toutes ces amendes seront supprimées et celles qui auront été payées seront remboursées. En outre, toutes les poursuites en cours contre les contrevenants au Covid seront abandonnées et tous les casiers judiciaires concernant les infractions au Covid seront supprimés.

    Le gouvernement précédent, dirigé par l'ancien Premier ministre Janez Janša du Parti démocratique slovène (SDS), « avait imposé des restrictions strictes à la liberté de mouvement et de réunion », a rapporté la BBC. « À plusieurs reprises, les Slovènes n’étaient pas autorisés à voyager au-delà de leur zone locale – et un couvre-feu nocturne était en vigueur. » Les masques étaient obligatoires à l’intérieur comme à l’extérieur, « et faire quoi que ce soit sans certificat Covid devenait presque impossible ».

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  37. Lors d'un incident célèbre, un chauffeur-livreur de nourriture a été condamné à une amende de 400 euros (environ 439 dollars au taux de change actuel) après que des policiers l'ont repéré enlevant son masque pour prendre une collation devant une église. « La scène a été filmée », a écrit la BBC. "Et la photo de la police encerclant un travailleur qui apportait de la nourriture à d'autres – pour le crime d'avoir glissé son masque et d'avoir mangé rapidement sa propre bouchée – est rapidement devenue une cause célèbre."

    La Cour constitutionnelle de Slovénie a ensuite déclaré inconstitutionnelles la plupart des mesures liées au Covid ; mais le gouvernement Janša, considéré comme de droite et favorable aux États-Unis de l’époque, Le président Donald Trump n’était pas sur le point d’admettre son erreur. Même si son successeur, le gouvernement de centre-gauche du parti du Mouvement pour la liberté du Premier ministre Robert Golob, a tenu l'une des principales promesses de campagne de Golob en adoptant le projet de loi sur le remboursement, « le SDS a proposé de supprimer la disposition permettant d'arrêter l'application des amendes, arguant que le cas échéant était en effet erroné, il faudrait y remédier dans le cadre de la législation existante », a noté le Times.

    Le site d'information ajoute que Pipan « a rejeté cette solution, affirmant qu'elle entraînerait une surcharge des tribunaux et des frais de justice. Sur quelque 62 000 procédures d'infraction, 95 % ont été initiées par la police, ce qui signifie que les forces de l'ordre seraient également débordées, a-t-elle déclaré.»

    Malgré toutes les preuves du contraire apparues depuis, le SDS a persisté à présenter ses politiques liées au Covid comme des mesures sanitaires fondées sur la science. « Les partis d’opposition… ont fait valoir que les mesures liées à la pandémie adoptées sous leur gouvernement avaient été prises pour protéger la santé et la vie des citoyens et avaient été coordonnées au niveau de l’UE et de l’Organisation mondiale de la santé », a écrit le Times. Selon la BBC, « un député du parti SDS de M. Janša a déclaré que le remboursement des amendes « crache au visage de tous ces agents de santé qui se sont battus sans relâche pour la vie de nos concitoyens ».

    Cette volonté d’ignorer les faits s’est également reflétée dans d’autres réponses du SDS. Les membres du SDS « croient que la loi ne fera que créer de nouvelles injustices sous couvert de remédier à l’injustice », a rapporté le Times. « Leur député Branko Grims a déclaré que cela expierait ceux qui ont incité à la violence de manière anticonstitutionnelle et alimenté l’intolérance. »

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  38. Outre le fait que les diktats du Covid n’avaient rien à voir avec la prévention de la violence – et qu’ils ont en fait infligé violence et intolérance à des personnes parfaitement innocentes – la loi sur le remboursement, selon Pipan, ne prévoit « aucune amnistie pour les amendes pour les délits comportant des éléments de violence ». . Et le projet de loi n’inclut pas non plus des infractions telles que l’arrêt de la circulation ou le klaxonnage », écrit le Times.

    Pipan était plus gentille avec le SDS qu'avec elle. En mai, elle a déclaré que le gouvernement Janša « était confronté à une grande incertitude au début de la pandémie et avait dû agir rapidement pour adopter des mesures temporaires qui empiétaient sur la liberté de mouvement et le droit de réunion », a rapporté Euractiv.

    « Cependant – et c’est crucial – de telles mesures doivent être conformes aux principes fondamentaux de l’ordre constitutionnel et de l’État de droit… Une crise ne peut et ne doit pas être une excuse pour les saper », a-t-elle ajouté.

    En effet, elle a expliqué plus tard que l’une des principales raisons de l’adoption de la loi sur le remboursement était de restaurer la confiance des Slovènes dans l’État de droit.

    « Je suis convaincue qu'en adoptant cette loi, l'État assumera d'une manière ou d'une autre sa responsabilité morale et réparera les injustices commises contre les citoyens par l'abus du droit pénal et les atteintes inconstitutionnelles et excessives aux droits de l'homme », a-t-elle déclaré.

    Dans des commentaires à la BBC, Rok Rozman, un écologiste qui a été condamné à plusieurs amendes pour avoir participé à des manifestations sous le régime de confinement, a fait écho aux sentiments de Pipan.

    « Les décrets qu'ils ont utilisés pour imposer les amendes n'étaient pas fondés sur la loi », a déclaré Rozman. « Le gouvernement le savait – et si cela signifie qu’il doit maintenant rendre l’argent, c’est comme ça que ça se passe. Si vous vivez dans un pays où règne l’État de droit, cela devrait s’appliquer à tout le monde.

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  39. Maintenant que la Slovénie a ouvert la voie, d’autres gouvernements qui ont imposé des politiques Covid tout aussi tyranniques et non scientifiques emboîteront-ils le pas ? Ils ne seront jamais en mesure de restaurer toutes les vies et tous les moyens de subsistance perdus à cause de ces décrets, mais toute réparation – et les aveux d’erreur qui l’accompagnent – seraient les bienvenus.

    https://thenewamerican.com/world-news/europe/slovenia-refunds-covid-19-lockdown-and-mask-fines-expunges-records/

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  40. Les députés européens découvrent une fraude électorale lors de la prise du pouvoir par l'OMS


    29 novembre 2023
    de Thomas Oysmüller


    Les votes sur la réforme de l’OMS auront probablement eu lieu illégalement en 2022. Douze députés européens exigent désormais d’autres preuves de la part de l’OMS, faute de quoi certaines parties de la réforme de l’OMS seraient invalides.

    Un groupe de 12 députés européens protestent contre la réforme de l'OMS. Ils accusent l’agence spécialisée de l’ONU basée à Genève d’avoir triché lors du vote de mai 2022 sur les modifications du Règlement sanitaire international (RSI) de 2005. Dans une lettre adressée au patron de l’OMS, Tedros, ils exigent des éclaircissements rapides.

    Vote invalide

    Le vote lors de l’Assemblée mondiale de la santé de 2022 comprenait deux changements clés. Les modifications du RSI, qui sont contraignantes au regard du droit international, ne devraient donc plus entrer en vigueur 24, mais 12 mois après un vote positif. Le délai d'opposition a également été réduit de 18 à 10 mois. Selon les députés, ces votes n'ont pas été votés conformément à la réglementation. La date limite pour s’opposer aux changements de 2022 est le 1er décembre.

    Ce changement ne pourrait entrer en vigueur que si le vote s'est déroulé correctement et si une majorité des États membres était présente et votait. Mais il n’y a aucune information ou documentation sur ce vote sur le site Internet de l’OMS.

    Les députés demandent donc des informations d'ici jeudi sur le nombre d'États membres présents lors du vote et sur le nombre d'États membres qui ont voté pour les changements. Si l'OMS ne peut pas fournir la preuve appropriée que les votes ont été effectués correctement, les modifications seront alors nulles et non avenues pour les députés.

    Selon le journaliste citoyen et militant anti-OMS James Roguski, l’OMS n’a aucune chance de pouvoir fournir les preuves qu’elle exige. Il a analysé mercredi la lettre des députés européens sur son blog Substack.

    Les changements en question n’ont pas du tout été votés lors de la huitième séance plénière de l’Assemblée mondiale de la santé, le 28 mai 2022. La veille, aucune majorité n’était présente en séance plénière. En conséquence, les modifications apportées au RSI à partir de 2022 doivent être considérées comme « nulles et non avenues ».

    La décision des députés pourrait donc avoir une « conséquence significative » pour la réforme de l’OMS, analyse l’avocate Kirstin Murfitt.

    La lettre a été signée par : Rob Roos, Rob Rooken, Marcel de Graaff (tous Pays-Bas), Ladislav Ilcic (Croatie), Cristian Terhes (Roumanie), Virginie Joron (France), Francesca Donato (Italie), Hermann Tertsch, Margarita de la Pisa Carrion (Espagne), Joachim Kuhs (Allemagne), Emmanouil Fragkos (Grèce).

    https://

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  41. Le mal que font certains hommes
    Mais pourquoi" ?


    Par Brian Wilson
    30 novembre 2023


    Le mal et ceux qui le pratiquent existent depuis un certain temps. Qui ils sont, ce qu’ils font et où ils le font, c’est facile à calculer ; Quand apparaît finalement dans les gros titres. «Pourquoi» est la question la plus difficile.

    L’apparition soudaine du « transgenrisme », de la « fluidité des genres » et les histoires horribles qui ont suivi m’ont dérouté ainsi que, je suppose, presque tous ceux qui y prêtent attention. Rien d’aussi préjudiciable à une société entière ne s’enflamme spontanément. Qui pourrait être le principal facteur de motivation derrière quelque chose d’aussi horrible ?

    Une grande partie de la réponse peut être trouvée dans « Imprimis » du Hillsdale College, « Inside the Transgender Empire ». L'auteur Christopher F. Rufo écrit :

    « À la fin des années 1980, un groupe d’universitaires, dont Judith Butler, Gayle Rubin, Sandy Stone et Susan Stryker, ont créé les disciplines de la « théorie queer » et des « études transgenres ». Ces universitaires considéraient le genre comme une « construction sociale » utilisée pour opprimer les minorités raciales et sexuelles, et ils dénonçaient les catégories traditionnelles d’homme et de femme comme une fausse binaire conçue pour soutenir le système « d’hétéronormativité » – c’est-à-dire le blanc, structure de pouvoir masculine et hétérosexuelle. Ce système, affirmaient-ils, devait être impitoyablement déconstruit. Et la meilleure façon d’y parvenir, ont-ils ajouté, était de promouvoir le transgenre. Si les hommes pouvaient devenir des femmes, et les femmes des hommes, croyaient-ils, la structure naturelle de la Création pourrait être renversée. »

    Bien que les réactions normales – répulsives, scandaleuses, dégoûtantes, odieuses, mégalomanes, psychopathes, narcissiques, égocentriques – soient compréhensibles, l’article par ailleurs excellent de Rufo n’a pas répondu à ma question perpétuellement brûlante : pourquoi ?

    Oui, quatre « universitaires » ont proposé une « théorie queer » et des « études transgenres » parce qu’ils portaient sur eux cette grande part de ressentiment et d’hostilité qui faisait de l’hétéronormativité leur (non) Saint Graal. Bien qu'il s'agisse d'une entrée gagnante au Scrabble, où était ce mot avant la rencontre Butler, Rubin, Stone et Stryker ? Apparemment, elle n’existait pas avant 1991, lorsqu’un « critique littéraire et théoricien social » (Yale) l’a utilisée dans une discussion sur la « théorie queer ».

    Et alors ?

    L’article de Rufo présente la magouille historique tordue qui a orienté le « mouvement » directement dans le système circulatoire de l’éducation publique où il s’est propagé comme le COVID et tout aussi destructeur pour la société américaine, les soins de santé, les entreprises, le gouvernement et même l’armée.

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  42. Mais pourquoi ?

    Dans un discours prononcé en 2008, Susan Stryker a décrit son travail comme « un sermon laïc qui préconise sans vergogne l’adoption d’un pouvoir disruptif et refigurateur queer ou transgenre comme ressource spirituelle pour la transformation sociale et environnementale ».

    En langage courant abrégé : WTF, est-ce que ça veut dire ? En plus d'avoir assez bien réussi ses premiers tests de vocabulaire, et d'avoir par la suite réussi à maîtriser les techniques olympiques de masturbation intellectuelle, quelle valeur pour la société y a-t-il dans n'importe quelle syllabe de sa chape ?

    Rufo poursuit : « Dans l’essai le plus connu de Stryker, « Mes paroles à Victor Frankenstein au-dessus du village de Chamounix : Performing Transgender Rage », il affirme que le « corps transsexuel » est une « construction technologique » qui représente une guerre contre la société occidentale. "Je suis un transsexuel et donc un monstre", écrit Stryker. Et ce monstre, poursuit-il, est destiné à canaliser sa « rage et sa vengeance » contre « l’ordre hétérosexuel naturalisé » ; contre les « valeurs familiales traditionnelles » ; et contre « l’oppression hégémonique » de la nature elle-même.

    Il ne s’agit pas là d’une déclaration révolutionnaire profonde d’un génie « universitaire » naissant ; ce sont « les délires absurdes d’un esprit fou ».

    Mais, dans un sens, c’est révélateur. Ce « mouvement » est entièrement politique. Les préoccupations en matière de « soins de santé » exprimées par les partisans de ces monstruosités sont le même brouillard de conneries qui s’installe chaque fois que la vérité et les mobiles doivent être obscurcis, de peur d’être ridiculisés jusqu’à la décharge de la ville.

    Mais nous ne savons toujours pas pourquoi. Pourquoi des êtres humains par ailleurs fonctionnels et sensibles consacrent-ils leurs talents – quels qu’ils soient – à quelque chose d’aussi dépravé et destructeur ? De quelles profondeurs vient une telle haine à indice d’octane élevé ? Deuxièmement, pourquoi personne en position d’autorité n’a-t-il dit aux pom-pom girls de cette maladie mentale de piler du sable ? Pourquoi les systèmes scolaires et les entreprises de tous types ont-ils chaleureusement accueilli la Drag Queen ? La Journée Queer ? Les dégâts causés aux adolescents par les « bloqueurs de puberté » ? Le pire de tout, c’est la mutilation d’enfants par opération de « changement de sexe ». Le serment d'Hippocrate a-t-il une exception à cela ? Qu’en est-il des parents qui soutiennent avec enthousiasme ces atrocités même lorsqu’elles sont intentionnellement infligées à leur propre enfant !?

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  43. Personne n'est parfait, même parmi l'élite. Il doit donc y avoir des gens assez tordus quelque part dans le groupe. Compte tenu des personnalités ci-dessus, voyez-vous Normal ? Bienveillant? Gentiment? Charitable? Pensez-vous qu’un individu malveillant doté d’une richesse inimaginable pourrait être en mesure de mettre en œuvre les desseins maléfiques qu’il souhaite imposer à tout le monde ? Regardez ce que George Soros a fait au numéro 92 avec un maigre 8,6 milliards de dollars. Les histoires abondent sur Bill Gates #4, 134 milliards de dollars. A-t-il vraiment conspiré avec Fauci sur la « pandémie » de COVID ? Est-il vraiment en train d’engloutir des milliers d’acres de terres agricoles, en projetant d’éliminer la viande bovine destinée à la consommation humaine ? Zuckerburg a obéi docilement aux ordres du FBI de censurer les Américains conservateurs et aurait payé pour manipuler les résultats d’une élection présidentielle.

    Peut-être pouvons-nous conclure avec précision que le « pourquoi » du mal vient de personnes riches et puissantes mentalement et émotionnellement perturbées qui, pour une raison quelconque ayant effectivement perturbé leur développement intellectuel, sont déterminées à utiliser leurs ressources phénoménales pour infliger leurs « visions » (« cauchemars » à vous et moi) sur le reste d'entre nous. Naturellement, leur pays des merveilles dystopique, avec tous ses nouveaux « privilèges », ne sera pas le monde dans lequel ils vivront ; ce serait tout simplement trop plébien.

    Qu'il s'agisse d'un programme sexuel déformé qui nuit gravement aux enfants et à la société, d'une intervention commerciale contraire au libre marché, de manipulations politiques visant à restreindre la liberté et l'exercice de nos droits humains ou de l'une des myriades d'attaques contre notre humanité, quelque chose de mal de cette façon. vient. Elle est inexorable sans notre conscience constante, notre préparation et nos efforts inépuisables pour nous y opposer – et sans ceux qui la perpétuent chaque jour.

    https://www.lewrockwell.com/2023/11/brian-wilson/the-evil-some-men-do/

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  44. Message pour Mme Géraldine Woessner : « Don't give up the fight » (republié)


    30 Novembre 2023


    Et soutien à Géraldine Woessner (et les autres qui font encore honneur à la profession)

    J'ai une excellente raison de republier ce billet du 4 février 2019 (publié peu de temps après l'infameux Complément d'enquête, « Comment sortir du glyphosate »). Elle fera l'objet d'un prochain billet.

    Mme Géraldine Woessner a eu récemment un fort compréhensible haut-le-cœur qui a produit un texte superbe qu'elle a mis sur sa page Facebook le 24 janvier 2019.

    Et que je me permets de recopier (en supprimant un mot... le constat des six académies scientifiques et technologiques françaises est suffisamment accablant).

    C'est un appel au secours d'une profession devenue suicidaire qui doit être largement diffusé.

    « Il faut lire les commentaires délirants à la suite des articles traitant du dernier Envoyé spécial. J'espère que le Conseil supérieur de l'audiovisuel - CSA les prendra en compte. La rage se déchaîne, la peur... "Ce poison TUE !"

    Ils prouvent que ce reportage a désinformé à plein...

    Et ce soir, je suis écrasée de déprime.

    La population, plus que jamais, est aveuglée, paniquée, incapable de penser rationnellement, et prête à tomber dans les bras de tous les populismes.

    Il y a 6 ans, quelques jours après la publication de l'étude de Séralini, 6 agences scientifiques françaises, fait rarissime, publiaient ce communiqué commun indigné.

    Chaque journaliste prétendant donner son opinion sur ce sujet a le DEVOIR de le lire. Ça prend 5 minutes. LISEZ-LE !!!!

    Tout y est : exposé des faits, relation des manquements, conséquences sociétales, problèmes d'éthique :

    http://www.academie-sciences.fr/pdf/rapport/avis1012.pdf

    Comment croire une seconde que tous ces scientifiques étaient manipulés par la firme ? Ceux qui relaient cette fakenews (et la SDJ de France 2, mon Dieu !) ont sombré dans le pire du complotisme. Par paresse intellectuelle, par aveuglement idéologique, ils crachent sur la science, la déontologie, salissent la raison, et enterrent notre profession.

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  45. Mais il ne tournera PLUS, les amis. C'est fini. On est à l'ère de la désinformation de masse. Vos complaisances corporatistes dépassent largement le cadre d'une seule diffusion. Elles nourrissent un torrent lentement creusé par nos manquements successifs, qui grossit, se déverse sur Facebook où aucun barrage ne le retient, il explose, se démultiplie.

    Et c'est ce même torrent qui vous emportera. Qui NOUS emporte déjà. Moi avec.

    ET VOUS NE LE VOYEZ PAS ?

    Face à la science, maintenir, et encourager les positions "relativistes" est une hypocrisie : la vérité, c'est que cela assure de fortes audiences en exploitant les peurs (légitimes) des populations. A court terme, c'est payant.

    A long terme, c'est simplement la MORT de notre profession.

    academie-sciences.fr

    www.academie-sciences.fr

    Post scriptum

    Ne pas rater : « Les dangers du "journalisme d’insinuation" » de l'Association Française pour l'Information Scientifique (AFIS).

    Et un rappel historique :

    - voir clip sur site -

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/message-pour-mme-geraldine-woessner-don-t-give-up-the-fight-republie.html

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  46. Le Sommet mondial sur le climat déclarera-t-il la prochaine « pandémie » ?


    30 novembre 2023
    de Thomas Oysmüller


    L’OMS appelle à « l’action » avant le sommet mondial sur le climat. La protection du climat est une question de santé, les « mesures » sont des mesures sanitaires.

    Depuis jeudi, la grande conférence sur le climat se réunit à Dubaï depuis près de 14 jours. À l'occasion de la « Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques » (COP28), d'innombrables diplomates, experts et hommes politiques monteront à nouveau dans des jets privés pour se rendre à Dubaï – pour parler, comme chaque année (depuis 1992), de la politique qui affecte (prétendument) le le climat et peut influencer le réchauffement climatique. Les gens se considèrent comme très puissants au sommet sur le climat. Les gens croient même qu'ils peuvent influencer la météo – seule la foule les en empêche, car ils ne veulent rien faire pour le climat.

    L'OMS exige

    C’est peut-être la raison pour laquelle l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « élève également la voix » à l’approche de la COP 28. "Les effets du changement climatique sur la santé doivent être placés au centre des négociations", affirme l'agence spécialisée de l'ONU, qui travaille actuellement sur une réforme qui permettra d'appréhender le "climat" comme une forme de pandémie. Il ne devrait plus y avoir de « place aux excuses », car il s’agit de « la santé des populations du monde entier ».

    Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, accueille le sommet sur le climat. « Les dirigeants de Dubaï doivent obtenir les résultats attendus par leur population et dont leurs économies ont un besoin urgent. Nous devons changer le discours et démontrer les énormes avantages d’une action climatique plus audacieuse pour notre santé et notre bien-être.

    Est-ce que tu comprends? Non? Mais l’OMS fournit des « faits » : les « décès dus à la chaleur » se multiplient et ont « augmenté de 70 % dans le monde en deux décennies chez les plus de 65 ans ». Il est tout simplement étrange que les personnes qui meurent actuellement de froid (beaucoup plus de personnes meurent de froid chaque année que de personnes qui meurent de chaleur) ne soient pas signalées. Eh bien, il ne fait pas froid à Dubaï non plus en ce moment.

    Mais l’OMS frappe fort : « Seul un effort drastique et déterminé pour limiter le réchauffement à 1,5°C peut empêcher un avenir bien pire que le présent. Nous appelons les négociateurs à reconnaître que l’action climatique est aussi une action sanitaire, et qu’ignorer cette réalité aura de profondes conséquences sur le bien-être des générations actuelles et futures.

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  47. Panique partout. Agissez et agissez maintenant. Selon l’OMS, nous vivons déjà une apocalypse climatique, mais l’apocalypse peut être bien pire. Mais avec la réforme de l’OMS, cette apocalypse pourrait enfin être traitée comme une « pandémie ».

    L’emprisonnement pour les négationnistes du climat ?

    Les interdictions de penser sont apparemment interdites lors du sommet sur le climat. Helga Kromp-Kolb, "expert climatique de premier plan" autrichien et professeur au Boku Vienne selon le "Krone", écrit dans le journal à sensation que nous devrions également discuter de la question de savoir si nous devons soutenir les hommes politiques et/ou les décideurs économiques qui sont contre le "climat". La protection « ne devrait plus pouvoir arrêter qui que ce soit à l’avenir. Il vaut mieux aller directement à La Haye avec ces négationnistes du climat.

    De la couronne actuelle :

    Le spectacle à Dubaï durera jusqu'au 12 décembre. 70 000 participants sont attendus. Le trajet produira beaucoup de gaz carbonique. Comparé aux volcans qui crachent actuellement partout dans le monde, rien. Peut-être y a-t-il également des discussions sur l'exposition des volcans à La Haye.

    Joe Biden ne vient pas. Le Pape non plus, il voulait y participer pour la première fois. Mais maintenant il est malade. Mais le Pape avait déjà écrit au préalable une lettre apostolique. Il y critiquait le « déni du changement climatique ».

    N'oubliez pas une veste épaisse, une écharpe, un chapeau et des gants lorsque vous quittez la maison aujourd'hui. Parce qu'il fait froid en hiver. Mais cela n’a rien à voir avec le climat. C'est juste la météo.

    https://

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  48. Les véhicules électriques signalent 80 % de problèmes en plus que les voitures à essence et diesel


    Par Jo Nova
    November 30th, 2023


    Ajoutez-le à la liste. Une enquête menée auprès des propriétaires de 330 000 véhicules a révélé que les véhicules électriques rencontrent 80 % plus de problèmes que les voitures à essence ou à essence.

    Les véhicules électriques coûtent donc plus cher à carburant et mettent plus de temps à arriver sur les trajets longue distance. Ils brûlent parfois des navires, détruisent les parkings des aéroports et kidnappent les chauffeurs. Ils constituent un risque pour la sécurité nationale et un fardeau pour les réseaux électriques. Parce qu'ils sont plus lourds, ils créent plus de nids-de-poule, usent les pneus plus rapidement, augmentent le bruit de la route et la pollution de l'air (provenant des particules des pneus). Ils augmentent également l’usure des ponts et des parkings à plusieurs étages.

    Les véhicules électriques sont sur le point de devenir non assurables, en partie parce que la plupart des véhicules électriques neufs pourraient devoir être radiés après une égratignure, et que tous les véhicules électriques ont besoin de grands espaces vides pour être stockés afin de ne pas détruire les voitures qui les entourent.

    Et au final, ils réduisent à peine la consommation nationale de carburant, et personne ne sait même si les véhicules électriques réduiront les émissions de gaz carbonique.

    En moyenne, les véhicules électriques sont moins fiables que les autres voitures et camions, selon Consumer Reports.
    Par Tom Kriser, CBC News

    Les véhicules électriques se sont révélés beaucoup moins fiables, en moyenne, que les voitures, camions et SUV à essence, selon la dernière enquête de Consumer Reports, qui a révélé que les véhicules électriques des années modèles 2021 à 2023 rencontraient près de 80 % de problèmes de plus que ceux des années modèles 2021 à 2023. véhicules propulsés par des moteurs à combustion interne.

    Consumer Reports a déclaré que les propriétaires de véhicules électriques signalaient le plus souvent des problèmes avec la batterie et les systèmes de charge, ainsi que des défauts dans la façon dont les panneaux de carrosserie et les pièces intérieures du véhicule s'assemblaient. Le magazine et le site Web notent que les constructeurs de véhicules électriques sont encore en train d’apprendre à construire des systèmes d’alimentation complètement nouveaux, et suggèrent que ce faisant, la fiabilité globale des véhicules électriques devrait s’améliorer.

    Certains problèmes sont pires que d’autres :

    https://joannenova.com.au/2023/11/evs-report-80-more-problems-than-petrol-diesel-cars/#more-94483

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  49. Allemagne : vous posséderez une voiture et un chauffage mais vous ne pourrez pas les utiliser


    Par Jo Nova
    November 30th, 2023


    Oh, ironie : les pompes à chaleur et les véhicules électriques verts devront être réduits sur un réseau vert
    Nous observons en temps réel l’effondrement de certaines parties de « l’industrie climatique » sur elle-même. La gauche mange les siens. Les véhicules électriques et les pompes à chaleur que le gouvernement allemand obligeait les gens à utiliser sont tellement incompatibles avec une énergie coûteuse et peu fiable qu’ils seront parmi les premiers appareils à être restreints dans la nouvelle économie verte et propre.

    La vérité est que les énergies solaire et éolienne ne peuvent pas alimenter les véhicules électriques. En Allemagne, le régulateur du réseau travaille sur les moyens de limiter l’électricité aux véhicules électriques et aux pompes à chaleur affamés afin qu’ils ne fassent pas planter le réseau.

    L’agence fédérale du réseau limitera la puissance de recharge afin que les véhicules électriques reçoivent juste assez de charge pour un trajet de 50 kilomètres après deux heures de charge. Les propriétaires se verront offrir une réduction s’ils confient le contrôle de leurs chargeurs au gouvernement. En effet, les riches rechargeront leur voiture ou allumeront leur chauffage quand ils le souhaitent. Les pauvres « économiseront » 110 à 190 € qu’ils n’ont jamais eu besoin de dépenser avec leur vieille voiture ou leur vieux chauffage, et se passeront d’électricité aux heures de pointe.

    Les chargeurs de véhicules électriques et les pompes à chaleur pourraient être réduits en Allemagne à partir de 2024
    Par Nikolaus J. Kurmayer | Euractiv.com

    Les gestionnaires de réseaux résidentiels allemands seront habilités à limiter le flux d’électricité vers les pompes à chaleur et les chargeurs de véhicules électriques (VE) à partir de 2024 afin de préserver la stabilité du réseau, qui souffre d’un sous-investissement chronique.

    Avez-vous vu ce qu'ils ont fait là-bas ? Les énergies renouvelables nécessitent la construction massive d’une nouvelle infrastructure et d’un réseau pour connecter des collecteurs d’énergie à faible densité. Dire que le réseau souffre d’un « sous-investissement chronique » implique que ce coût nouveau et inutile était censé avoir déjà été construit et payé. Ils reprochent au réseau de ne pas avoir déjà résolu les pannes de l’énergie éolienne et solaire.

    Cela s’applique également aux véhicules électriques et aux pompes à chaleur. Il était évident qu’ils auraient besoin de plus d’électricité, c’est donc un stratagème tardif pour blâmer les « investisseurs » de ne pas avoir construit les centrales au charbon et nucléaires, qu’ils n’étaient pas autorisés à construire, afin de faire fonctionner les véhicules électriques et les pompes à chaleur…

    Dans toute l’Europe, les investissements dans les réseaux sont en retard par rapport aux besoins alors que le continent adopte les pompes à chaleur et les véhicules électriques.

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  50. « Les délais d'attente pour les permis de renforcement des réseaux sont compris entre 4 et 10 ans et entre 8 et 10 ans pour les hautes tensions », a déclaré la Commission européenne mardi 28 novembre en dévoilant un nouveau plan d'action visant à accélérer le déploiement des réseaux électriques.

    « Les réseaux doivent être un catalyseur, et non un goulot d'étranglement, dans la transition vers les énergies propres », a déclaré Kadri Simson, la commissaire européenne à l'énergie.

    Blâmer le réseau est un code pour « blâmer le contribuable » de ne pas avoir déjà fourni à l’industrie verte tout ce dont elle a besoin pour réaliser des bénéfices.

    Vous ne posséderez rien et vous serez reconnaissant d’avoir de l’électricité…

    avec NetZeroWatch

    https://joannenova.com.au/2023/11/germany-you-will-own-a-car-and-a-heater-but-you-cant-use-them/

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  51. Rares signes de démocratie en Nouvelle-Zélande – Le gouvernement se demande si le « Traité » de l’ONU est dans l’intérêt national ?


    Par Jo Nova
    November 29th, 2023


    Quelque chose de prometteur de l’autre côté de la mer de Tasmanie

    OMS Organisation mondiale de la santéLe gouvernement nouvellement élu en Nouvelle-Zélande est une coalition de trois partis, promettant des réductions d'impôts et moins de formalités administratives. A peine prêté serment, il a déjà la brillante idée de vérifier si les accords avec des gouvernements de conglomérats étrangers (comme l’ONU) « passent le test de l’intérêt national ». C’est le même genre de test que les conglomérats étrangers sont également censés passer.

    Cela semble brillant, mais cela ressemble aussi à un saignement évident. C’est ce que les gouvernements démocratiques sont censés faire, à chaque accord et chaque jour, n’est-ce pas ? Pourtant, en 2023, cela semble être une suggestion radicale de droite. Très souvent, nos gouvernements sont au service de quelqu’un d’autre…

    Les conservateurs ont les yeux rivés (à juste titre) sur le Traité de préparation à une pandémie de l’ONU. Cela devrait être adopté en théorie en mai prochain. Cependant, le Règlement sanitaire international de l'ONU devrait être sournoisement accepté par défaut jeudi. Espérons que le nouveau gouvernement néo-zélandais puisse envoyer une lettre rapide pour sortir la Nouvelle-Zélande de cette situation demain, ce qui donnerait l’impression que les dirigeants australiens et autres dirigeants mondiaux sont vraiment idiots (traîtrement stupides) s’ils ne le font pas. Voir James Roguski pour en savoir plus à ce sujet.

    Le nouveau gouvernement kiwi va contester le traité de l’OMS sur la pandémie
    Un nouveau test de « l’intérêt national » examinera si le Traité limite la prise de décision du gouvernement.

    Par Henry Jorn, Epoch Times

    Le « test de l'intérêt national » proposé par la nouvelle coalition néo-zélandaise – comprenant le National Party, ACT et NZ First – sera appliqué avant d'accepter tout « accord de l'ONU et de ses agences qui limite la prise de décision nationale et reconfirme que la Nouvelle-Zélande » le droit national a la primauté sur tout accord international.

    Le Traité sur la pandémie est un exemple d’accord de l’ONU.

    En novembre 2021, la Nouvelle-Zélande et d'autres États membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont convenu de créer un organisme de négociation intergouvernemental chargé de rédiger un traité sur la pandémie.

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  52. Cependant, après la conclusion des soumissions publiques sur le traité sur la pandémie le 11 août 2022, un thème commun (pdf) était la crainte qu'un nouvel instrument de lutte contre la pandémie obligerait « la Nouvelle-Zélande à renoncer au contrôle de nos processus décisionnels nationaux pendant une période de crise ». urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) à l’OMS, ou réduire d’une autre manière l’autonomie au niveau individuel ou national.
    Epoch Times a plus de détails.
    Ici en Australie, le ministre des Affaires étrangères affirme que l’OMS n’aura aucune autorité légale pour nous imposer certaines choses. (Il n’aura que le droit de faire de la sournoiserie, de la tromperie, de la corruption et de l’intimidation, avec l’aide débridée de tous nos universitaires, de nos médias et de nos fonds de retraite).

    Le Guardian fait déjà campagne contre le nouveau gouvernement Luxon, nous savons donc que c’est un bon début.

    Il y a de l'espoir.

    coup de chapeau à Mayday.

    https://joannenova.com.au/2023/11/rare-signs-of-democracy-in-new-zealand-govt-asking-if-un-treaty-is-in-the-national-interest/

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  53. Arnaque : quishing, ne prenez pas vos PV en photo !

    Dans l’univers des escroqueries numériques, une nouvelle menace plane : les faux PV munis de QR codes malveillants. Ces pièges, conçus pour dérober vos données personnelles, imitent les amendes de stationnement officielles avec une habileté déconcertante. Cet article dévoile les mécanismes de cette arnaque et propose des astuces pour les déjouer.


    Par Axelle Ker
    le 30 novembre 2023 à 14h08


    Des Français se font occasionnellement piéger par une attaque de phishing.

    Quishing : des faux PV aux QR codes malveillants

    Les faux PV, à première vue, sont difficiles à distinguer des vrais en raison de leur apparence qui a été conçue pour vous induire en erreur. Cependant, il est possible de démasquer cette tromperie. Sachez tout d'abord qu'une amende officielle émise par l'ANTS ne vous demandera un paiement via un QR code. Ces PV illégaux se retrouvent sur les pare-brises, laissant croire aux automobilistes qu'ils ont écopé d'une contravention pour stationnement.

    Ces contraventions fictives intègrent des QR codes qui, une fois scannés, redirigent vers des sites frauduleux tel que Antai-gouv-contrav.com ou Gouvantai-suivi.com. Ces derniers imitent de manière convaincante les sites officiels de l'ANTAI ou de l'ANTS, dans le but de s'approprier illicitement vos données personnelles et de vous inciter à régler immédiatement une amende fictive de 35 euros. Le site officiel de l'ANTAI est antai.gouv.fr , et ants.gouv.fr. De nombreux automobilistes à Toulouse ont été victimes de cette escroquerie, comme rapporté par Ouest France.

    Phising : 65 % des Français se font régulièrement piéger

    Selon un rapport de Global Security Mag, les attaques de phishing, y compris le quishing, ont augmenté de 61% entre 2021 et 2022. Rien que pour l'année 2022, plus de 500 millions d'attaques de ce type ont été recensées. Et d'après une étude, 70 % des Français disent connaître le principe des attaques de phishing, mais plus de la moitié (65 %) ont admis s'être fait piéger occasionnellement. Des chiffres bien alarmants qui soulignent l'urgence de sensibiliser le public à ces menaces. Pour éviter de tomber dans le piège, vérifiez toujours l'authenticité d'une adresse internet, d'un QR code, d'une amende, d'un flyer ou autre, en vous rendant directement sur les sites officiels des organismes concernés, sans passer par des liens externes ou des QR codes.

    Heureusement, il existe de nombreux logiciels pour se protéger des attaques de phishing traditionnelles (email, SMS). Cependant, jusqu'à présent, les QR codes malveillants, utilisés dans le quishing, passent au travers de ces protections. Soyez donc très vigilants : évitez de scanner des QR codes inconnus et méfiez-vous des liens automatiques. Rappelez-vous aussi que si un SMS, un email ou un QR code vous incite à agir immédiatement, il y a de fortes chances que ce soit une tentative de phishing. Privilégiez la saisie manuelle des adresses de sites officiels pour vous prémunir contre ces pièges.

    https://www.economiematin.fr/arnaque-quishing-qrcode-pv-faux-amende-voiture

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  54. Le QR Code pour se déplacer. Nous y arrivons et c’est un immense danger !

    Vous connaissez la blague… « vous savez quelle est la différence entre une théorie du complot et la réalité ? » La réponse ? 6 mois !


    Par Charles Sannat
    le 30 novembre 2023 à 10h30


    Au total, le budget des Jeux 2024 devrait s'élever à 8,8 milliards d'euros.

    L’humour populaire en dit beaucoup sur le fonctionnement des sociétés humaines.

    Les plus anciens comme moi se souviennent du légendaire humour russe sous le régime soviétique.

    Cela fait longtemps que beaucoup craignent que progressivement et insidieusement on nous réduise toutes nos libertés, y compris celle de se déplacer.

    Ce sera évidemment au nom de la sécurité.

    Une sécurité que nos dirigeants font tout pour ne pas assurer et pour rendre défaillante.

    Ils créent donc de toutes pièces le problème.

    Une fois que le problème prend une ampleur invivable, alors on arrive avec une solution magique, et cette solution est toujours liberticide. Toujours.

    Finalement vous avez aimé le QR code pour le passe sanitaire.

    Vous allez l’adorer pour les JO.

    Puis après, vous l’adopterez pour votre crédit social, parce que vous serez un bon citoyen docile qui attend sa pitance sous forme d’un RSA mensuel. Pardon excusez-moi, sous la forme d’un revenu universel. C’est tellement beau, tellement généreux la dépendance forcée. La soumission pour la gamelle.

    « Automobilistes et piétons ne pourront pas circuler librement dans certaines zones de la capitale et en Île-de-France cet été. Sauf s’ils s’inscrivent sur une plateforme numérique dédiée, annonce Laurent Nunez.
    Une attestation comme lors des confinements ? À quelques mois du début des Jeux olympiques de Paris, le préfet de Police dévoile auprès de nos confrères du Parisien les contours du dispositif de sécurité qui sera en vigueur à l’été 2024. Laurent Nunez annonce notamment qu’une dérogation sera nécessaire pour circuler librement dans Paris lors de la compétition.

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  55. « Il faudra s’enregistrer en amont sur une plateforme numérique en fournissant un certain nombre de justificatifs, de domicile mais pas que », prévient-il dans les colonnes du quotidien régional.
    Toutes les personnes qui souhaitent ou qui doivent s’approcher des nombreux olympiques à Paris et en Île-de-France seront concernées: « Vous aurez un QR code à présenter lors des contrôles », dit Laurent Nunez.

    Qu’ils se gardent leurs JO et que les JO soient un bide pour bobo QRcodés !

    Déjà que je n’aime plus mettre les pieds à Paris, ne comptez évidemment pas sur moi pour m’inscrire sur une plateforme en téléchargeant mes données biométriques et mes justificatifs pour aller faire le pimpim. Qu’ils se gardent leurs JO, les baignades dans la Seine, les contraintes, les prix effroyables.

    Ils mettent le ticket de métro à 4€.

    Ils ferment des stations de métro…

    C’est fou.

    C’est incroyable.

    Ils vont tellement loin dans le délire, que l’on en arriverait presque à souhaiter qu’ils se plantent dans l’organisation.

    Et comme tout va bien se passer puisque les JO seront dans les faits interdits presque à tous, alors, ils pourront bénir le QRcode, et vous connaissez la suite.

    Le ticket de métro restera à 4 euros pour renflouer d’Hidalgo, et nous terminerons tous QRCodés.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    https://www.economiematin.fr/qr-code-jo-2024-paris-securite-liberte-sannat

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  56. Médias grand public sur le chaos neigeux et le froid polaire dans l'hémisphère nord : causés par le réchauffement climatique dû au gaz carbonique


    30 novembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Chaque fois que vous pensez qu’il n’est pas possible de faire plus, alors l’absurdité suivante survient. Le magma éclate à cause de la fonte des glaciers, sinon du Vésuve, du moins quelque chose en Islande. Et maintenant, on dit très sérieusement que le réchauffement climatique, prétendument provoqué par l'homme via le gaz carbonique, est à l'origine des fortes chutes de neige.

    Depuis la mi-novembre, l'hémisphère nord connaît des chutes de neige assez abondantes sur de vastes zones, une saison de ski précoce et, dans certains cas, un froid extrême comme on n'en avait pas vu depuis des années.

    Dans la municipalité finlandaise de Tulppio, le thermomètre est tombé à -34,5°C cette semaine, rapporte Electroverse. De notre collègue Sander-Fas, nous entendons parler de Majavatne i Grane -28,4 degrés et 40 cm lors des premières chutes de neige de la saison.

    À Salla, une municipalité de Laponie finlandaise, la température maximale quotidienne n'a pas dépassé -30°C mardi, mais n'a atteint que -30,1°C, un record pour le mois de novembre.

    Le mercure est également tombé bien en dessous de zéro dans presque toute la Suède, le Danemark et la Norvège, et des températures record ont également été enregistrées ce mois-ci dans de nombreuses régions de Norvège, selon la chaîne publique NRK.

    Ces conditions exceptionnellement froides ne se limitent pas à la Scandinavie, bien au contraire.

    Un courant-jet affaibli les a amenés au cœur de l’Europe, à travers les Pays-Bas, l’Allemagne et à l’est jusqu’en Ukraine et en Russie, et même jusqu’à la mer Noire.

    Les températures sont tombées à -8°C en Écosse et à -6°C dans le nord de l'Angleterre mardi soir, avec de la neige tombant sur l'Écosse et l'est de l'Angleterre, jusqu'au nord jusqu'à Norfolk. De rares tempêtes de novembre sont même prévues pour le sud-est, y compris Londres.

    La température de -8°C était la température de novembre la plus froide au Royaume-Uni depuis 13 ans.

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  57. C'est ce que rapporte la BBC : L'autorité sanitaire du Royaume-Uni a émis une alerte jaune au rhume pour les régions du nord de l'Angleterre, ce qui signifie que « des impacts importants sont probables ». L'avertissement indique que les basses températures sont susceptibles d'avoir un impact sur l'ensemble du système de santé et que l'ensemble de la population pourrait être en danger. Nous le savons également grâce à des études : en Europe, il y a dix fois plus de décès dus au froid que de décès dus à la chaleur .

    Chaos de neige à l'est aussi

    Des millions de personnes, notamment en Ukraine, en Moldavie, en Roumanie et en Bulgarie, sont toujours privées d'électricité alors que la région est frappée par des tempêtes de neige historiques depuis le week-end. C’est une réalité que même les médias doivent reconnaître, probablement en raison du nombre croissant de morts dans la région – au moins dix jusqu’à présent rien qu’en Ukraine.

    Les autorités ont donné de sombres informations sur l'endroit où les corps ont été retrouvés, rapporte CNN : " Au moins 10 morts après une forte tempête de neige qui a balayé l'Ukraine. "

    La porte-parole du ministère de l'Intérieur, Maryana Reva, a déclaré mardi que les congères atteignaient par endroits jusqu'à deux mètres de hauteur et que "tous les défunts avaient été retrouvés dans la rue". Selon les informations préliminaires, ils sont morts d'hypothermie ».

    La cause des conditions polaires et de l'hypothermie des morts est expliquée par le reportage de CNN comme étant un « réchauffement climatique ».

    CNN conclut son article sur l'Ukraine - qui évoque également des millions de personnes sans électricité et des milliers d'évacuations liées à la neige - par des affirmations carrément absurdes :

    Le changement climatique, provoqué principalement par la consommation humaine de combustibles fossiles, entraîne une multiplication des tempêtes violentes dans de nombreuses régions du monde. En Ukraine, la couverture neigeuse annuelle devrait diminuer à mesure que la planète continue de se réchauffer. Cependant, en raison du changement climatique, les fortes chutes de neige y sont plus fréquentes en hiver.

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  58. Le pays est également confronté à des sécheresses qui affectent l’agriculture, que la crise climatique rend également plus probables, ainsi qu’à une augmentation des inondations.

    Presque rien de tout cela n’est vrai. Des études scientifiques ont montré que les tornades , les fortes pluies , les sécheresses et autres situations météorologiques extrêmes sont en réalité devenues moins nombreuses. Cependant, en ce qui concerne la « couverture neigeuse annuelle », elle ne devrait pas « diminuer » comme on le prétend, mais plutôt augmenter, comme c'est le cas en moyenne dans l'hémisphère Nord depuis plusieurs décennies :

    La tendance se poursuivra en 2023.

    Le gouvernement et les grands médias seraient désespérés si, après un mois d’octobre soi-disant « le plus chaud » par rapport aux 125 000 années précédentes, les chutes de neige massives et la vague de froid de novembre devaient être justifiées par un réchauffement climatique prétendument causé par le gaz carbonique d’'origine humaine'.

    Quoi qu'il en soit, la prévision de l'étude de marché Precision Report selon laquelle le secteur du déneigement connaîtra une forte croissance au cours des prochaines années s'est confirmée plus rapidement que prévu.

    https://

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    1. (...) Le changement climatique, provoqué principalement par la consommation humaine de combustibles fossiles '...)

      Ce qui est entièrement faux puisque TOUS les gaz se recyclent immédiatement (sans quoi la vie sur Terre ne serait JAMAIS apparue).

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  59. La 5G comme infrastructure centrale de la Grande Réinitialisation


    28 novembre 2023
    de Thomas Oysmüller


    La société de contrôle numérisée – la société de la Grande Réinitialisation – a besoin de la 5G comme infrastructure. Nous y travaillons dur et les travaux au Royaume-Uni seront achevés d’ici fin 2025. Emily Garcia explique ce qui sera construit avec la connexion 5G – et comment vous pouvez vous défendre.

    Avant-dimanche, Emily Garcia a parlé de « l'économie sans numéraire » et de la transformation sociale prévue par le capital lors de la conférence « Keep Cash Local » à Cardiff, au Pays de Galles. Le groupe politique « Real Left » a publié une transcription de la conférence .

    Garcia part du cash, mais intègre la question des moyens de paiement dans les processus fondamentaux. Sa conférence devient ainsi un texte introductif sur le thème du capitalisme de surveillance. Elle se concentre également sur la restructuration actuelle des infrastructures de communication en Grande-Bretagne, ce qui donne une base empirique à ses thèses sur le développement de la société de contrôle numérique.

    La conférence donne également une perspective et tente de formuler des réponses claires sur ce que vous pouvez faire vous-même.

    Voici le texte (légèrement abrégé, souligné par TKP) en allemand :

    La particularité des espèces par rapport aux autres moyens de paiement numériques est que payer en espèces est toujours un événement physique. Pour acquérir de l'argent, je me rends à un guichet automatique et retire de l'argent, ou je reçois mon paiement en espèces pour un service que j'ai rendu à une personne. Ensuite, je pourrais échanger l’argent avec quelqu’un contre quelque chose que je souhaite acheter dans un magasin, par exemple.

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  60. La raison pour laquelle c'est si important, et je soutiens que c'est la raison de l'abolition de l'argent liquide dans le monde, c'est parce que nous avons été poussés hors de la « vie réelle » physique et dans la matrice de réalité virtuelle de l'empire du Metaverse et que nous y sommes poussés.

    L’économie du Big Data comme redémarrage d’un système financier en faillite basé sur la dette
    Le système capitaliste mondial, qui s’effondre rapidement sous le poids de la bulle de la dette depuis 2008, a désormais un besoin urgent de créer de nouveaux marchés d’investissement et de spéculation. C'est la seule façon pour lui de survivre. Le jeu final est la colonisation de l’ensemble du monde physique et de toutes les ressources naturelles pour les 1% privilégiés, la masse de l’humanité étant poussée dans une existence virtuelle-numérique, simplement semblable à celle d’un esclave, sous une surveillance constante en temps réel au point de surveillance mentale.

    Le Forum économique mondial a surnommé cette forme émergente de capitalisme de surveillance hyper-exploiteur « l’économie du big data », et Clive Humby, l’inventeur de la carte club Tesco, a déclaré : « Les données sont le nouveau pétrole. »[1] Les données comme outil. spinner Le pivot de l'économie après la quatrième révolution industrielle répond à deux objectifs importants. Premièrement, ils fournissent la matière première nécessaire à l’investissement à impact et à la spéculation, que j’expliquerai bientôt ; et deuxièmement, ils sont utilisés pour former l’intelligence artificielle et la robotique, qui remplacent progressivement les humains dans la plupart des domaines de travail, y compris les emplois de cols blancs. Les algorithmes de l’intelligence artificielle sont également les gardiens désignés du panoptique numérique.

    L’introduction de l’infrastructure 5G SMART

    Une immense infrastructure numérique mondiale est actuellement en construction pour collecter, traiter et stocker les volumes de données nécessaires pour les raisons évoquées.Au Royaume-Uni, le gouvernement subventionne le projet Gigabit [2], qui consiste à poser des câbles à fibre optique « prêts pour la 5G » à des vitesses plus de 40 fois supérieures à celles du très haut débit. Dans la stratégie nationale des infrastructures [3], le projet Gigabit est décrit comme un « grand projet de génie civil dans lequel il faut poser tellement de câbles qu'on peut faire plus de dix fois le tour de la terre ».

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  61. Le point de basculement de cette transformation vers un monde de rayonnements haute fréquence et de connectivité Internet 24h/24 et 7j/7 devrait être atteint d’ici la fin 2025, lorsque le réseau téléphonique public britannique sera éteint. [4] À partir de ce moment, les lignes fixes ne fonctionneront plus car toutes les télécommunications seront traitées via le protocole Internet plutôt que par l'ancien système analogique. Les lignes téléphoniques posées dans les rues et les câbles de cuivre enfouis sous nos pieds, dont certains sont là depuis le XIXème siècle, deviendront alors inutiles. Comme expliqué, cela aura également un impact sur tous les autres domaines qui utilisent actuellement l'ancien réseau téléphonique, tels que : Par exemple, les systèmes d'alarme, les systèmes de caisse enregistreuse électronique, les systèmes d'interphone, les vidéosurveillance et les télécopieurs. La 5G sera la bande passante initiale de la nouvelle infrastructure numérique, mais des « mises à niveau » vers la 6, la 7G et même la 10G [5] sont déjà prévues, selon des documents officiels.

    Le document d’information de la Chambre des communes sur la 5G de 2019[6] indique : « La 5G devrait prendre en charge de nombreux appareils et applications connectés à Internet – ce qu’on appelle l’Internet des objets. Les applications potentielles incluent les véhicules et les voitures sans conducteur, la livraison par drone, la fabrication intelligente, les soins de santé à distance et les capteurs de santé portables, les compteurs SMART, les réfrigérateurs SMAR, les poubelles SMART qui envoient des alertes lorsqu'elles sont pleines, ainsi que les interventions et la gestion des urgences. Certaines de ces applications, ainsi que d'autres applications similaires, ont été activement testées depuis 2018 dans le cadre du programme gouvernemental de tests et d'essais 5G [7].

    L’investissement d’impact et le tournant vers l’économie d’impact

    Mais revenons au sujet de l’investissement d’impact, autour duquel tournera la nouvelle économie. Une définition des investissements à impact du Forum économique mondial [8] est la suivante : « Investissements dans des entreprises qui cherchent à résoudre un problème social ou environnemental avec un impact mesurable tout en restituant le capital d'investissement. » En 2018, le Programme des Nations Unies pour le développement s'est associé à l'International Finance. Corporation (une division de la Banque mondiale) pour définir les conditions des mesures d'investissement à impact afin de s'aligner sur les 17 objectifs de développement durable des Nations Unies.[9] Selon le WEF, une plus large diffusion de l’investissement à impact « donnerait un nouvel élan à la réalisation des objectifs de développement durable. [10] La Fondation Rockefeller – qui a également travaillé avec les Nations Unies dans ce domaine [11] – est responsable de la création de marchés mondiaux pour les investissements socialement responsables dans la décennie qui a suivi le krach immobilier, comme prochaine grande opportunité financière pour les grands investisseurs. [12] En 2008, la Fondation Rockefeller a inventé le terme « investissement d’impact » et a fourni un financement de démarrage au Global Impact Investing Network (GIIN). […]

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  62. Un coup d'œil sur le site Web du Government Outcomes Lab montre que les résultats souhaités concernent principalement la réduction du recours aux services de santé, d'éducation ou de soins .

    Cela importerait-il au directeur du projet de partenariat pour la santé mentale et l'emploi de Tower Hamlet [21] si l'une des personnes atteintes d'une « maladie mentale grave et persistante » obligée d'accepter un emploi rémunéré se suicidait par désespoir, comme cela s'est produit dans des dizaines de cas ? concernant les « réformes » du ministère du Travail et des Retraites en matière d'indemnités de maladie ? Probablement pas, tant que les cases sont cochées et que l’investisseur continue de recevoir sa récompense financière.

    Ce qui se passe réellement ici, ce sont des conditions restrictives pour une austérité excessive et des services non fonctionnels et fortement rationnés, rebaptisés capitalisme de parties prenantes socialement conscientes pour voler les bénéfices des fonds publics au profit de fondations d’investissement privées.

    La partie « mesurable » des résultats de l'impact est une partie non négociable de l'écosystème d'impact futur, car nous sommes traités électroniquement comme du bétail de données dans les villes SMART , ce que la chercheuse américaine Alison Mcdowell a décrit comme « la version IA de Farmville »[22 ]. Sinon, comment sauront-ils si nous mangeons de manière durable, si nous démontrons nos compétences numériques ou si nous faisons du bénévolat dans notre installation locale de lutte contre le changement climatique si cela n'est pas enregistré et entré dans notre dossier numérique personnel permanent pour que les détraqueurs de données puissent les consulter ?

    De plus, les organisateurs de ce système ne sont pas incités à réduire la pauvreté, puisque la gestion de la pauvreté et de tous ses effets est la véritable source de leurs profits.

    Le métavers

    À mesure que les gens ordinaires deviennent moins capables de mener une vie simple dans le monde réel, s’échapper dans le monde virtuel désincarné et non réalisé du métaverse devient une option de plus en plus attrayante.

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  63. Un rapport [24] du « Focus Group on the Metaverse » de l'Union internationale des télécommunications explique que le terme « métaverse » a été utilisé pour la première fois par Neal Stevenson dans son roman de science-fiction « Snow Crash », dans lequel le métaverse est décrit comme un espace virtuel parallèle. monde est décrit, dans lequel les gens peuvent entrer via un avatar numérique. Il poursuit : « Avec le développement des technologies numériques telles que l'Internet des objets (IoT), les jumeaux numériques, la réalité augmentée (AR), la réalité virtuelle (VR), l'intelligence artificielle (IA) et la blockchain, le métaverse a évolué de la science-fiction. développé pour la recherche et est maintenant utilisé.

    L’identité numérique et les technologies telles que les casques de réalité virtuelle, les lunettes de réalité augmentée, d’autres appareils portables, l’haptique, l’holographie et les interfaces cerveau-machine faciliteront l’entrée dans le métaverse. L'UIT explique : « Des réunions de travail, des courses et des visites chez le médecin aux rassemblements sociaux et au tourisme, le métaverse est destiné à offrir une expérience similaire au monde physique sans avoir besoin de se déplacer d'un endroit à un autre ».

    Covid-19 a été cité comme un point de basculement pour l’adoption mondiale du métaverse.[25] Il existe déjà des versions métaverses fonctionnelles d'entreprises, de banques et de cours universitaires, ainsi que d'ambassades, de villes et de pays entiers - dans le cas de Tuvalu - qui sont actuellement en cours de codage.[26][27]

    On prévoit qu’il y aura un flou entre les mondes physique et virtuel. « Les individus peuvent passer plus de temps dans la réalité augmentée (XR) que dans le monde physique », ce qui « pourrait rendre plus difficile pour les gens de se désengager et de revenir à leur vie analogique », explique le WEF. [28]

    Jetons numériques et changement de comportement

    L'UIT considère la création et la vente de biens et services virtuels comme l'un des principaux moteurs de la métaéconomie. Il s’agit notamment de l’immobilier virtuel et des actifs numériques ainsi que des expériences numériques.[31]

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  64. Peut-être que photographier et filmer compulsivement des moments pour les capturer numériquement pour des tweets ou des publications sur Facebook et Instagram ne vaut pas le prix que nous payons. Cultiver le silence au quotidien peut également constituer un puissant contrepoids au manque de présence réelle que favorise notre culture numérique. Je crois que la méditation, ou la pratique du silence, est l'un de nos super pouvoirs humains car elle nous rapproche de notre moi spirituel et des êtres spirituels supérieurs qui nous entourent et nous guide si nous y sommes ouverts.

    Au-delà de la sombre conspiration capitaliste, je crois qu’en fin de compte, ce sont des êtres hostiles à nous qui travaillent sur ce monde. Ils cherchent à nous entraîner dans le royaume de l’inhumain – en dessous du niveau des animaux – pour devenir des automates cyborgs inférieurs, dépourvus de pensée, de sentiments et de volonté indépendants. Notre capacité à surmonter ces pressions et à créer un avenir centré sur l’humain vient de notre lien inné avec la divinité. Je suggérerais donc que nous nous concentrions sur le développement de cette connexion de manière à nous aider à nous sentir plus proches de Dieu ou du divin. Cela peut alors être la source à partir de laquelle nous puisons pour tout notre travail pratique de résistance.

    Sources:

    [1] Clive Humby — Wikipédia

    [2] Projet Gigabit – GOV.UK (www.gov.uk)

    [3] archive.is/vjYfc

    [4] Le réseau PSTN du Royaume-Uni sera désactivé en 2025 | BT Business (archive.is)

    [5] 10G : avenir 10G (10gplatform.com)

    [6] archive.is/wip/aCDKc

    [7] 28 millions de livres sterling pour tester de nouvelles utilisations innovantes de la 5G pour améliorer la vie des gens – GOV.UK (archive.is)

    [8] Page 7 du rapport du WEF : « Investissement d'impact pour la prochaine génération » WEF_Impact_Investing_for_the_Next_Generation.pdf (weforum.org)

    [9] Sur l'investissement d'impact, l'identité numérique et les objectifs de développement durable des Nations Unies - YouTube

    [10] Voici comment l'investissement d'impact peut changer le monde | Forum économique mondial (weforum.org)

    [11] Le Pacte mondial des Nations Unies et la Fondation Rockefeller annoncent un cadre d'action sur l'entreprise sociale et l'investissement d'impact

    [12] Sur l'investissement d'impact, l'identité numérique et les objectifs de développement durable des Nations Unies - YouTube

    [21] Partenariat pour la santé mentale et l'emploi Tower Hamlets (archive.is)

    [22] Sur l'investissement d'impact, l'identité numérique et les objectifs de développement durable des Nations Unies - YouTube

    [23] https://winteroakpress.files.wordpress.com/2023/05/impact.pdf

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  65. [24] P2 du rapport du groupe de réflexion sur le métaverse de l'UIT "Explorer le métaverse : opportunités et défis " https://www.itu.int/dms_pub/itu-t/opb/fg/T-FG-MV-2023-PDF-E .pdf

    [25] P3 du rapport du groupe de réflexion Metaverse de l'UIT : « Opportunités et défis en matière de politique et de réglementation dans le Metaverse » https://www.itu.int/en/ITU-T/focusgroups/mv/Documents/List%20of%20FG- MV%20livrables/FGMV-07.pdf

    [26] P13-18 du rapport du groupe de réflexion Metaverse de l'UIT « Opportunités et défis en matière de politique et de réglementation dans le Metaverse » https://www.itu.int/en/ITU-T/focusgroups/mv/Documents/List%20of%20FG -MV%20livrables/FGMV-07.pdf

    & P10 du rapport du groupe de réflexion Metaverse de l'UIT "Explorer le métaverse : opportunités et défis" https://www.itu.int/dms_pub/itu-t/opb/fg/T-FG-MV-2023-PDF-E.pdf

    [27] P27 du rapport du WEF « Social Implications of the Metaverse » https://www3.weforum.org/docs/WEF_Social_Implications_of_the_Metaverse%20_2023.pdf

    [28] P32 de https://www3.weforum.org/docs/WEF_Metaverse_Privacy_and_Safety_2023.pdf

    [29] P5 des « Lignes directrices pour la prise en compte des questions éthiques dans les normes qui renforcent la confiance et la sécurité dans le groupe de travail 6 du métaverse : Sécurité, protection des données et des informations personnellement identifiables (PII) » https://www.itu.int/en/ ITU-T/focusgroups/mv/Documents/List%20of%20FG-MV%20deliverables/FGMV-06.pdf

    [30] P51 du rapport du WEF « Metaverse Privacy and Safety » : https://www3.weforum.org/docs/WEF_Metaverse_Privacy_and_Safety_2023.pdf

    [31] P18 du rapport du groupe de réflexion de l'UIT-T. Explorer le métaverse : opportunités et défis : https://www.itu.int/dms_pub/itu-t/opb/fg/T-FG-MV-2023-PDF-E.pdf

    [32] P50 du rapport du WEF « Social Implications of the Metaverse » : https://www3.weforum.org/docs/WEF_Social_Implications_of_the_Metaverse%20_2023.pdf

    [33] https://en.wikipedia.org/wiki/Non-fungible_token

    [34] P5 . Vitalek-Buterin-Soulbound-Token-Paper-Mai-2022.pdf (wrenchinthegears.com)

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  66. [35] https://archive.is/QHOFI

    [36] P9 du rapport du WEF « Social Implications of the Metaverse » : https://www3.weforum.org/docs/WEF_Social_Implications_of_the_Metaverse%20_2023.pdf

    Marqué avec 5G , banc d'essai et essais 5G , cashless , Quatrième révolution industrielle , Grande réinitialisation , économie d'impact , Investissement d'impact , Metaverse , Fondation Rockefeller , Ronald Cohen , investissement à impact social

    https://

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  67. Plus de 20 % des importations russes de GNL de l’UE sont revendues à l’étranger


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 30 NOVEMBRE 2023 - 11h00
    Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com,


    Environ 21 % des volumes russes de GNL à destination de l’Union européenne sont des transbordements, qui ne sont pas inclus dans les chiffres officiels des importations et sont donc ignorés par les décideurs politiques de l’UE, a déclaré mercredi l’Institut d’économie et d’analyse financière de l’énergie (IEEFA) dans une analyse.

    Au cours de la dernière année et demie, l’UE a augmenté ses importations de GNL russe, le bloc achetant désormais beaucoup plus de GNL russe qu’avant l’invasion de l’Ukraine.

    Contrairement au pétrole russe, le gaz russe n’est ni interdit ni sanctionné en Europe. Mais alors que l’approvisionnement en gaz par gazoduc en provenance de Russie a ralenti, l’Europe a augmenté ses importations de GNL, y compris de GNL en provenance de Russie.

    L’UE a cependant pour objectif d’être indépendante des importations russes de combustibles fossiles d’ici 2027, comme l’envisage le plan REPowerEU.

    La commissaire européenne à l'énergie, Kadri Simson, a déclaré en septembre que l'Union européenne devrait éliminer progressivement les importations de GNL en provenance de Russie.

    Les données analysées par l'IEEFA montrent que sur tout le GNL russe reçu par la Belgique et la France entre janvier et septembre 2023, pas moins de 37 % ont été transbordés, dont la majorité est allée vers des marchés hors UE.

    « Les cargaisons transbordées arrivant aux terminaux GNL en Europe ne sont souvent pas incluses dans les chiffres officiels des importations et sont donc ignorées par les décideurs politiques », a écrit Ana Maria Jaller-Makarewicz, analyste principale de l'énergie pour l'équipe Europe de l'IEEFA, dans l'analyse.

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  68. L'Espagne, la Belgique et la France sont les plus grands importateurs de GNL russe, mais une partie des cargaisons est transbordée des brise-glaces vers des navires GNL, puis expédiée vers d'autres marchés, notamment en Asie.

    Par exemple, l’analyse de l’IEEFA a montré qu’au cours des neuf premiers mois de 2023, le volume de GNL provenant de l’installation d’exportation russe de Yamal LNG arrivé au terminal belge de Zeebrugge était presque le double du volume des importations de Yamal LNG vers le terminal. En effet, Zeebrugge autorise toujours le transbordement du GNL Yamal, contrairement aux Pays-Bas, qui ont cessé d’offrir des services de transbordement pour le GNL russe, et au Royaume-Uni, qui a complètement interdit les importations russes de carburant, note l’IEEFA.

    La Belgique étudie les moyens de résoudre le problème du transbordement sans mettre en danger la sécurité d'approvisionnement européenne, a déclaré un porte-parole du ministère belge de l'Energie au Financial Times.

    https://www.zerohedge.com/markets/over-20-eus-russian-lng-imports-are-resold-abroad

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  69. La Russie prend le contrôle de la plus grande découverte de pétrole en Irak depuis 20 ans


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 30 NOVEMBRE 2023 - 03h00
    Par Simon Watkins de OilPrice.com


    Des estimations préliminaires suggèrent que le champ pétrolier irakien d’Eridu détient entre 7 et 10 milliards de barils de réserves.

    Des sources de haut rang de l'industrie pétrolière russe interrogées exclusivement par OilPrice.com la semaine dernière ont déclaré que le chiffre réel pourrait bien être 50 pour cent supérieur au chiffre plus élevé de cette fourchette. Dans les deux cas, le champ d’Eridu – qui fait partie de la région irakienne d’exploration et de développement du bloc 10 – est la plus grande découverte de pétrole en Irak au cours des 20 dernières années, et la Russie veut tout contrôler, aux côtés de son principal allié géopolitique, la Chine.

    Cela est conforme à l'objectif de Moscou et de Pékin de maintenir l'Occident à l'écart des accords énergétiques en Irak, de maintenir Bagdad plus proche du nouvel axe irano-saoudien et de « mettre fin à [l'] hégémonie occidentale au Moyen-Orient [qui] deviendra le facteur décisif ». chapitre de la disparition définitive de l'Occident », tel qu'il est exclusivement lié à OilPrice.com. L'approbation la semaine dernière par le ministère irakien du Pétrole d'Inpex – la principale compagnie pétrolière du Japon, un allié clé des États-Unis – pour vendre sa participation de 40 pour cent dans la région du bloc 10 qui contient l'énorme découverte d'Eridu laisse la voie libre à Lukoil pour prendre le contrôle total du pétrole. toute une zone riche en pétrole.

    Lukoil détenait une participation de 60 % dans la totalité du bloc 10, le reste étant détenu par la société japonaise. Cependant, depuis le mois de mars, il cherche des moyens de faire sortir Inpex du bloc et, avec lui, les derniers vestiges de l'influence occidentale dans la région. En mars, la société publique irakienne Dhi Qar Oil Company (DQOC) a officiellement approuvé le développement des réserves du bloc 10, y compris pour l’ensemble du champ d’Eridu. Le bloc 10 se trouve au sud-est de l’Irak, à environ 120 km à l’ouest de la principale route d’exportation du pétrole depuis Bassorah, et juste au sud des immenses champs de pétrole de Nassirya et de ses environs. Le contrat pour le bloc 10 attribué à Lukoil et Inpex en 2012 lors du quatrième cycle de licences irakien prévoit une rémunération par baril relativement élevée de 5,99 dollars, même si à ce moment-là le vaste champ d’Eridu n’avait pas été découvert. En 2021, après quelques tests préliminaires, le ministère irakien du Pétrole a déclaré qu'il s'attendait à un pic de production d'au moins 250 000 barils par jour (b/j) à partir d'Eridu d'ici 2027. Les principales sources de l'industrie pétrolière russe interrogées en exclusivité par OilPrice.com ont été interrogées en dernier lieu. semaine, pensent que le pic de production pourrait être supérieur d'au moins 100 000 b/j au chiffre précédent, sous réserve que les nouvelles estimations des réserves soient correctes, bien qu'étant donné les retards de développement depuis 2021, la date à laquelle cet objectif sera atteint est désormais vers la fin de 2029.

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  70. En 2021 – au moins avant que les États-Unis ne se retirent officiellement d’Irak en y mettant fin à leur « mission de combat » fin décembre – il était clair que Washington savait ce que la Russie et la Chine préparaient à long terme dans le pays, et comment les États-Unis y parvenaient. était manipulée par l'Irak. Dans un moment de perspicacité, les États-Unis d’alors. La secrétaire adjointe à la Défense, Dana Stroul, a déclaré :

    « Il est évident que certains pays et partenaires voudraient se protéger et tester ce qu'ils pourraient obtenir de plus des États-Unis en tâtant le terrain d'une coopération plus approfondie avec les Chinois ou les Russes, notamment dans les domaines de la sécurité et de la sécurité. espace militaire.

    Ce point de vue aurait également pu viser non seulement l’Irak, mais aussi la plupart des autres pays du Moyen-Orient à l’époque, notamment l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Ceci étant dit, cette vision profonde n’a eu aucun effet sur Washington à ce moment-là, et n’a posé aucun obstacle à la poursuite des efforts de la Russie ou de la Chine pour évincer complètement les États-Unis du Moyen-Orient, comme je l’analyse en profondeur dans mon nouveau livre sur le nouvel ordre mondial du marché pétrolier.

    Pour l’Irak, la fin du jeu a été évidente avec la prise de contrôle effective par la Russie de l’industrie pétrolière et gazière de la région semi-autonome du Kurdistan, au nord du pays. Cela s'est produit dans le chaos qui a suivi la répression brutale de la région après que 93 pour cent de ses habitants ont voté pour l'indépendance totale de l'Irak en septembre 2017. Le contrôle russe sur le Kurdistan irakien a été assuré par l'intermédiaire de l'entreprise mandataire de l'État, Rosneft, par trois moyens : comme également analysé en détail dans mon nouveau livre. Par la suite, la Russie a manipulé la région dans une impasse si toxique avec le gouvernement central irakien à Bagdad que la dernière étape du plan visant à intégrer effectivement la région du Kurdistan irakien au reste de l’Irak avance désormais à plein régime. Dans ce contexte, la Russie et la Chine s’efforcent désormais d’assurer leur domination sur le reste de l’Irak, le retrait d’Inpex du vaste champ d’Eridu n’étant que le dernier exemple en date de leur stratégie plus large à l’œuvre.

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  71. De multiples accords d'exploration et de développement de champs, ainsi que d'innombrables accords « contractuels » de moindre envergure, avec des sociétés russes et chinoises, donnent aux deux pays une grande marge de manœuvre pour les exploiter et renforcer leur présence géopolitique à travers le pays, y compris dans le tissu même du pays. ses infrastructures clés. Lors d'une récente réunion du Cabinet irakien, il a été convenu que le pays devrait désormais apporter son plein soutien à la mise en œuvre de tous les aspects du vaste « accord-cadre Irak-Chine » signé en décembre 2021, mais convenu en principe plus d'un an auparavant. que. Cet accord est très similaire en termes de portée et d’ampleur à l’« Accord de coopération globale de 25 ans entre l’Iran et la Chine », tel que révélé pour la première fois partout dans le monde dans mon article du 3 septembre 2019 sur le sujet et examiné en détail dans mon nouveau livre.

    Un élément clé des deux accords est que la Chine a le premier refus sur tous les projets pétroliers, gaziers et pétrochimiques qui se présentent en Irak pendant la durée de l'accord, et qu'elle bénéficie d'une remise d'au moins 30 % sur tous les projets pétroliers, gaziers et pétrochimiques. et les produits pétrochimiques qu'il achète. Un autre élément clé de l’accord-cadre Irak-Chine est que Pékin est autorisé à construire des usines dans tout le pays, avec en corollaire la construction d’infrastructures de soutien. Cela comprend – ce qui est important pour son initiative « la Ceinture et la Route » – des liaisons ferroviaires, toutes supervisées par son propre personnel de direction issu d’entreprises chinoises présentes sur le terrain en Irak. L’infrastructure ferroviaire en Irak sera achevée après l’achèvement du réseau iranien, et cela a véritablement commencé fin 2020 avec le contrat d’électrification de la principale voie ferrée de 900 kilomètres reliant Téhéran à la ville de Mashhad, au nord-est du pays. En complément, des plans ont été mis en place pour établir une ligne de train à grande vitesse Téhéran-Qom-Ispahan et étendre ce réseau modernisé jusqu'au nord-ouest via Tabriz. Tabriz - qui abrite plusieurs sites clés liés au pétrole, au gaz et à la pétrochimie et est le point de départ du gazoduc Tabriz-Ankara - doit être un point pivot de la Nouvelle Route de la Soie de 2 300 kilomètres qui relie Urumqi (la capitale de la Chine (ouest de la province du Xinjiang) à Téhéran, et reliera en cours de route le Kazakhstan, le Kirghizistan, l'Ouzbékistan et le Turkménistan, avant de rejoindre l'Europe, via la Turquie.

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  72. Ces plans, à leur tour, s'associent aux plans corollaires de la Russie et de la Chine visant à transformer toute la région du sud-est de l'Irak - qui culmine avec le principal centre d'exportation de pétrole de Bassorah - en une région sillonnée par le pétrole et le gaz sous contrôle russe et chinois. les champs et les centres de transport, comme également analysés en détail dans mon nouveau livre. L’un de ces accords clés a été l’approbation par Bagdad d’un montant de près de 1 000 milliards de dollars (700 millions de dollars) pour des projets d’infrastructure dans la ville d’Al-Zubair, juste au sud de Bassorah. Le gouverneur de la ville au moment où l'accord a été conclu, Abbas Al-Saadi, a déclaré que la forte implication de la Chine dans les projets faisait partie de l'accord général « pétrole contre reconstruction et investissement » – qui fait partie de l'accord général « pétrole contre-investissement ». idée de projets signée par Bagdad et Pékin en septembre 2019.

    L'annonce d'Al-Zubair intervient peu de temps après l'attribution par Bagdad d'un autre contrat majeur à une autre entreprise chinoise pour la construction d'un aéroport civil destiné à remplacer la base militaire dans la capitale du gouvernorat de Dhi Qar, riche en pétrole, dans le sud du pays. La région de Dhi Qar comprend deux des plus grands champs pétroliers potentiels d'Irak – Gharraf et Nassiriya – et la Chine a annoncé son intention d'achever l'aéroport d'ici 2024. Cette région se trouve également au nord immédiat de l'immense champ pétrolier d'Eridu et au nord-ouest de Bassorah. . Le projet d’aéroport comprendra la construction de plusieurs bâtiments de fret et de routes reliant l’aéroport au centre-ville de la ville et séparément à d’autres zones pétrolières clés du sud de l’Irak. Ceci, à son tour, fait suite à un autre accord qui impliquera des entreprises chinoises pour construire la ville d'Al-Sadr, située près de Bagdad, pour un coût compris entre 7 et 8 milliards de dollars, également dans le cadre du programme « pétrole pour la reconstruction et la reconstruction » de 2019. accord d'investissement.

    https://www.zerohedge.com/economics/russia-takes-control-iraqs-biggest-oil-discovery-20-years

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  73. Insecticides et spermatozoïdes : autopsie d'un désastre médiatique sur fond d'article scientifique sujet à critiques


    30 Novembre 2023


    Selon une méta-analyse ayant exploité 20 articles scientifiques (seulement...) la différence moyenne [...] de la concentration de sperme entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides était de moins 30 %... Ah oui, mais il s'agit des seuls insecticides organophosphorés et carbamates. Ah oui, mais l'intervalle de confiance se rapproche de la non-signification (-49 % – -10 %)... Ah oui, mais il y a quelques soucis... Ah oui, mais trois auteurs sont liés au sulfureux Institut Ramazzini...

    La George Mason University, dont relève l'auteure principale publie un communiqué de presse critiquable, avec des déclarations anxiogènes... des médias s'engouffrent...

    Slate : petite immersion dans un certain « journalisme »

    La page d'accueil de mon ordinateur – MSN – m'a branché sur un article de Slate, « Les insecticides tuent aussi les spermatozoïdes ». Il a été « [r]epéré par Léa Polverini », ce qui signale une maladie endémique de la faune médiatique : le copier-paraphraser.

    En chapô :

    « Dans les champs ou via l'alimentation, l'exposition aux pesticides peut réduire la fertilité masculine. »

    On appréciera la logique de la prose : les « insecticides » (en général, notons-le déjà à ce stade) du titre putaclic deviennent des « pesticides » dans le chapô... L'affirmation péremptoire du titre devient conjecturale dans le chapo... De l'excellent journalisme, donc.

    On appréciera aussi la photo d'illustration, un montage propagandiste au mieux risible. On imagine le personnage traiter un champ plutôt immense (la photo a été recadrée) avec un pulvérisateur à dos...

    Reproduisons encore le premier paragraphe qui a l'avantage de résumer le propos... et de fournir un lien :

    « Au cours des cinquante dernières années, la concentration de spermatozoïdes a chuté de près de la moitié. D'après une récente étude publiée par des chercheuses dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives, la diffusion massive des insecticides à travers le monde pourrait avoir sa part de responsabilités dans cette menace pour la fertilité masculine.

    Oh là là ! Une « diffusion massive », toujours « des insecticides »... Une « menace pour la fertilité »... Mais avec un semi-auxiliaire au conditionnel... On n'est jamais trop prudent !

    Avez-vous dit « sciences », Futura-Sciences ?

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  74. Mais où Mme Léa Polverini a-t-elle pu trouver son inspiration ? Un autre article, plus ancien, en français a été publié par Futura-Sciences. Le titre – « Les chercheurs associent le déclin mondial du nombre de spermatozoïdes avec les insecticides » – est presque tout aussi putaclic : deux articles définis...

    Et voici le chapô :

    « Comment expliquer la baisse du nombre de spermatozoïdes de ces cinquante dernières années ? Les facteurs environnementaux (perturbateurs endocriniens, pesticides, radiations) constituent une piste intéressante. Une méta-analyse montre une association forte entre cette baisse et les insecticides comme le controversé glyphosate. »

    Et bing ! Le glyphosate est un insecticide...

    TF1 (dés-)Info insiste sur le glyphosate

    TF1 Info a aussi publié un article le 20 novembre 2023 en l'assortissant d'une séquence vidéo certes relative aux problèmes de fertilité, mais sans lien avec le sujet traité. Le titre – « Infertilité : un lien "fort" entre les pesticides et la baisse des spermatozoïdes, selon une étude » – serait presque raisonnable... mais il y a « les pesticides »...

    Les points forts :

    Une analyse menée sur cinquante ans met en évidence l’effet néfaste d'insecticides répandus sur la fertilité masculine, dont le glyphosate.

    Ces derniers contribueraient à faire diminuer nettement la concentration en spermatozoïdes.

    Et dans le gloubi-boulga :

    « Alors que la Commission européenne vient pour rappel de renouveler l’autorisation du glyphosate pour dix ans, Melissa Perry, premier auteur de l’étude s'alarme de ce lien de cause à effet désormais avéré : "Les preuves disponibles ont atteint un point où nous devons prendre des mesures réglementaires pour réduire l’exposition aux insecticides". »

    Top Santé, top insanité...

    Pour Mme Catherine Cordonnier, « [p]roductrice de contenu pour les rubriques médecine, médecines douces, nutrition, minceur », l'affaire est pliée. En titre : « Voici pourquoi vous avez moins de spermatozoïdes que votre grand-père » !

    Qu'a-t-elle dans le ventre, cette étude ?

    La source de l'excitation française semble être un articulet de Reporterre, « Plus de pesticides, moins de spermatozoïdes, prouvent 50 ans d’études », publié le 15 novembre 2023. Trois paragraphes, dont :

    « Il existe un lien "fort, robuste et constant" entre l’exposition aux insecticides et une faible concentration en spermatozoïdes dans le sperme. C’est ce que montre une méta-analyse publiée le 15 novembre dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives. »

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  75. La méta-analyse, c'est « Adult Organophosphate and Carbamate Insecticide Exposure and Sperm Concentration: A Systematic Review and Meta-Analysis of the Epidemiological Evidence » (exposition des adultes aux insecticides organophosphorés et carbamates et concentration dans le sperme : une revue systématique et une méta-analyse des preuves épidémiologiques) de Lauren B. Ellis.

    En voici le résumé :

    « Contexte :

    Les preuves de l'impact négatif de l'utilisation contemporaine des insecticides sur la concentration en spermatozoïdes se sont multipliées au cours des dernières décennies ; toutefois, les méta-analyses sur ce sujet sont rares.

    Objectifs :

    Cette étude a évalué la force qualitative et quantitative des preuves épidémiologiques concernant l'exposition des adultes à deux classes d'insecticides d'usage contemporain – les organophosphorés (OP) et les carbamates N-méthyliques (NMC) – ainsi que leur impact sur la concentration en spermatozoïdes en utilisant des méthodes d'examen systématique et de méta-analyse robustes et reproductibles.

    Méthodes :

    Trois bases de données scientifiques (PubMed, Scopus et Web of Science), deux bases de données du gouvernement américain (NIOSHTIC-2 et Science.gov) et cinq sites Web d'organisations non gouvernementales ont été consultés pour trouver des études épidémiologiques primaires pertinentes publiées dans n'importe quelle langue jusqu'au 11 août 2022. Le risque de biais et la force des preuves ont été évalués conformément à la méthodologie d'examen systématique du Guide de navigation. Les tailles d'effet de la différence moyenne standardisée corrigée des biais ont été calculées et regroupées à l'aide d'un modèle de méta-analyse à effets aléatoires multivariés à trois niveaux avec estimation de la variance en grappes.

    Résultats :

    Sur 20 études, 21 populations étudiées, 42 tailles d'effet et 1.774 hommes adultes, la différence moyenne standardisée ajustée aux biais et regroupée de la concentration de sperme entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC était de –0,30 (IC À 95 % : –0,49, –0,10) ; PSatt < 0,01). Des analyses de sensibilité et de sous-groupes ont exploré l'hétérogénéité statistique et validé la robustesse du modèle. Bien que l'estimation de l'effet regroupé ait été modifiée par le risque de biais, la classe d'insecticides, le contexte d'exposition et le contexte de recrutement, elle est restée négative dans toutes les méta-analyses. L'ensemble des preuves a été jugé de qualité moyenne, avec des preuves suffisantes d'une association entre une exposition plus élevée aux insecticides OP et NMC chez l'adulte et une concentration plus faible en spermatozoïdes.

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  76. Discussion :

    Cette enquête exhaustive a permis de trouver des preuves suffisantes d'une association entre une exposition plus élevée aux insecticides OP et NMC et une concentration plus faible de spermatozoïdes chez les adultes. Bien que des études de cohortes supplémentaires puissent être utiles pour combler les lacunes des données, la force des preuves justifie la réduction de l'exposition aux insecticides OP et NMC dès à présent afin de prévenir les dommages persistants sur la reproduction masculine. https://doi.org/10.1289/EHP12678

    Et donc...

    Se fondant sur un article scientifique au titre explicite, les auteurs des articles décrits ci-dessus, et de quelques autres, se réfèrent sans vergogne qui aux insecticides, en général, qui même aux pesticides en général !

    On arrive même à incriminer le glyphosate !

    Qu'a-t-elle dans le ventre, cette étude ? (Bis)

    L'article scientifique a été commenté dans « Invited Perspective: Risk of Bias Assessments, Target Trials, and the Strengths of Environmental Epidemiology » (point de vue invité : évaluations du risque de biais, essais ciblés et forces de l'épidémiologie environnementale) de Jonathan Huang.

    Cet auteur en dit beaucoup de bien, mais sur le plan de la méthodologie des méta-analyses. Dont acte.

    Comme d'autres méta-analyses, cette étude a le mérite de nous montrer l'ampleur d'un problème de la littérature scientifique : partant de 2.436 publications, les auteurs ont fini par n'en retenir que... 20.

    Mais selon le tableau 1, qui décrit leurs caractéristiques générales, il y en aurait eu... 25. Et 27 selon la liste des origines géographiques.

    Il y a sans doute eu de bonnes raisons pour l'extraordinaire élagage, mais il y en a qui interrogent, telles 116 études éliminées car affligées d'un mauvais protocole.

    On rappellera ici que l'activisme est prompt à instrumentaliser toute étude qui va dans le sens de ses préjugés et, surtout, de son intérêt. Et n'a-t-on pas vu récemment des procès en partialité de la science réglementaire qui aurait écarté 95 % des études académiques sur le glyphosate ? Ici, on est à 99,18 % !

    L'étude finale, comme indiqué dans le résumé, s'est donc limitée à 1.774 hommes adultes pour 21 populations étudiées et 42 tailles d'effet. Soit 84 personnes par population en moyenne, à répartir entre les cas et les témoins ou, selon les termes du résumé, les « plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC » – comprenne qui pourra.

    Que faut-il penser des résultats ? Une différence moyenne standardisée […] « entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC » de –0,30 (IC À 95 % : –0,49, –0,10) ? L'intervalle de confiance est proche de la non-signification.

    Cela peut être visualisé dans le tableau ci-dessous.

    Les auteurs écrivent dans leur discussion :

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  77. « Comme prévu, les expositions professionnelles ont montré une association plus forte avec une concentration de spermatozoïdes plus faible que les expositions environnementales. Ce résultat représente une relation dose-réponse étant donné que les travailleurs exposés en milieu professionnel subissent généralement des expositions plus élevées que la population générale.118 Il convient de noter que l'estimation de l'effet groupé dans les études sur l'exposition environnementale était faible et statistiquement non significative, ce qui peut être lié au nombre limité d'études disponibles sur l'exposition environnementale. Néanmoins, étant donné l'exposition généralisée à ces produits chimiques dans l'environnement,27 même une faible ampleur de l'effet pourrait avoir des conséquences sur la concentration de spermatozoïdes au niveau de la population. »

    Et donc... (bis)

    Et donc nos journaleux ont produit, ou plutôt reproduit, des articles anxiogènes sur la base d'une étude qui ne traite que des expositions à des insecticides organophosphorés et/ou carbamates occupationnelles ou « environnementales »... et qui fournit dans son résumé une différence moyenne globale, sans autres précisions.

    Il faut donc entrer dans l'article pour s'apercevoir que les expositions « environnementales » n'ont pas produit un effet groupé statistiquement significatif.

    Cela vient du reste avec une suggestion d'explication qui laisse sceptique, sinon pantois : les sept études concernées totalisaient en effet 1.774 personnes, soit 75 % de l'effectif total. Une explication bien plus vraisemblable est que l'absence de différence statistique est due à... une absence de différence statistique, liée à une absence d'effets sur le sperme.

    Dans les études « environnementales », on a comparé les qualités du sperme en fonction, par exemple, de la teneur des urines en métabolites des insecticides. Il y en a une, danoise, sur 251 agriculteurs, ventilés en trois groupes selon leur consommation de produits biologiques. Les auteurs ont conclu que « l'apport alimentaire estimé de 40 pesticides n'entraîne pas de risque d'altération de la qualité du sperme ».

    Ah, l'Institut Ramazzini...

    L'étude ne précise pas les modalités de l'exposition professionnelle. Un monde sépare les applicateurs de pesticides utilisant un pulvérisateur à dos et ceux qui manipulent des bidons au moment de la préparation de la bouillie et traitent ensuite avec un tracteur à cabine fermée et climatisée.

    Autrement dit, il y a le problème du danger, et celui du risque.

    Est-il bien raisonnable de produire une recommandation de politique de santé publique – restrictive – dans le résumé quand la grande majorité des études ont été réalisées dans des pays en développement ?

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  78. Les auteurs de l'étude écrivent dans la partie « Résultats » de leur résumé : « L'ensemble des preuves a été jugé de qualité moyenne... ». C'est sans doute honnête. Ils ajoutent : « ...avec des preuves suffisantes d'une association... ». C'est plus discutable.

    Mais la partie « Discussion » se fait péremptoire : « la force des preuves justifie la réduction de l'exposition aux insecticides OP et NMC dès à présent afin de prévenir les dommages persistants sur la reproduction masculine. » Mais cela vient tout de même avec une précaution oratoire : c'est « réduction » et pas « interdiction »... Cela reste néanmoins du domaine de l'entourloupe activiste. D'autant plus que, sauf erreur, il n'a pas été démontré de dommages « persistants ».

    Si on peut se permettre un ad hominem, ce n'est pas surprenant. Deux des auteurs, émargent à l'Institut Ramazzini, à la sulfureuse réputation de producteur d'études anxiogènes : Daria Sgargi et Daniele Mandrioli, directeur de son centre de recherche sur le cancer Cesare Maltoni.

    Quant à l'auteur principal, Melissa J. Perry, à l'impressionnant pédigrée, elle siège au comité scientifique de l'Institut Ramazzini.

    Cela ne préjuge en rien de la qualité intrinsèque de l'étude, mais met la conclusion du résumé en perspective.

    Ah, la communication institutionnelle...

    La source du problème – au-delà de l'incompétence et du panurgisme des auteurs d'articles de médias – est à chercher prioritairement dans une communication institutionnelle qui amplifie les problèmes d'imprécision et surtout de dérive militante que nous avons identifiés dans l'article scientifique lui-même.

    La George Mason University, dont relève l'auteure principale Melissa J. Perry, a produit un communiqué de presse intitulé : « New study finds association between insecticide exposure and lower sperm concentration in adult men » (une nouvelle étude établit un lien entre l'exposition aux insecticides et la baisse de la concentration de spermatozoïdes chez les hommes adultes).

    Voilà la source de la référence aux insecticides en général. On peut aussi ergoter sur ce titre : si un lien a été établi, c'est par les études de base.

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  79. En chapô :

    « Un examen systématique complet de 25 études réalisées sur une période de 25 ans révèle des preuves cohérentes d'un lien entre l'exposition aux insecticides et la baisse de la concentration de spermatozoïdes. »

    Outre l'ambiguïté sur l'exposition aux insecticides («insecticide exposure », sans article), on a une nouvelle exagération sur les « preuves cohérentes ». Un simple regard sur le Forest plot du tableau/figure ci-dessus montre que c'est loin d'être le cas.

    Notons incidemment que les « 25 ans » de ce communiqué deviennent... « 50 ans » dans une partie de la littérature médiatique française (exemple)...

    Une des auteurs est citée pour une déclaration générale, angoissante à souhait :

    « "Il est essentiel de comprendre comment les insecticides affectent la concentration de spermatozoïdes chez l'homme, compte tenu de leur omniprésence dans l'environnement et des risques avérés pour la reproduction. Les insecticides sont une préoccupation pour la santé publique et pour tous les hommes, qui y sont exposés principalement par la consommation d'eau et d'aliments contaminés", déclare M. Ellis. »

    C'est bateau et ballot ! Leur étude n'a apporté aucune contribution sur le « comment ». Et pour l'« omniprésence » et les « risques avérés », elle nous aura plutôt montré une absence de liens entre exposition environnementale aux insecticides organophosphorés et carbamates et réduction du nombre de spermatozoïdes (ne pas tirer de conclusions trop hâtives de ce constat).

    Mais le but principal de cette communication n'est-il pas de faire parler de l'étude et de ses auteurs ? L'exactitude scientifique et l'impact sur une « clientèle » peu ou pas informée – et réfractaire à l'effort de compréhension – sont secondaires...

    Une partie de la médiasphère française vient de nous le démontrer. Le plus préoccupant, à cet égard, est l'irresponsabilité de nombre de sites qui se consacrent à la santé.

    https://seppi.over-blog.com/2023/11/insecticides-et-spermatozoides-autopsie-d-un-desastre-mediatique-sur-fond-d-article-scientifique-sujet-a-critiques.html

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  80. Quand la bureaucratie fait vivre un calvaire administratif aux agriculteurs bourguignons

    En Bourgogne-Franche-Comté, les agriculteurs se noient dans un océan de bureaucratie, victimes d’un système de subventions défaillant. Une crise qui met en lumière les failles d’une politique agricole européenne suradministrée.


    le 30 novembre 2023
    Jonathan Frickert


    Six cents, soit presque deux par jour : c’est le nombre d’agriculteurs qui se suicident chaque année en France. Ce nombre en augmentation illustre tristement une condition agricole faite d’isolement, un isolement qui n’a d’égal que la dépendance des exploitants aux subventions publiques en tous genres. À titre d’exemple, en 2019, ces aides représentaient en moyenne 74 % des revenus des agriculteurs, et jusqu’à 250 % pour les producteurs de viande bovine.

    Isolés socialement mais fonctionnaires de fait, les agriculteurs ont tout récemment été une nouvelle fois frappés de plein fouet par des retards et des dysfonctionnements dans l’instruction des dossiers de subventions, mettant en péril un nombre important d’exploitations déjà soutenues à bout de bras par la machine publique.

    Le FEADER, deuxième pilier de la PAC

    Mis en place en 2007, le Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) est le principal instrument de financement de la politique agricole commune (PAC) créée par le traité de Rome un demi-siècle plus tôt.

    La PAC se fonde sur deux piliers : la structuration du marché agricole et, depuis 2007 donc, le développement rural.

    Inscrit dans la logique de programmation propre aux politiques européennes, l’objectif du FEADER est explicitement de garantir l’avenir des zones rurales en s’appuyant sur les services publics et l’économie locale.

    Sans surprise, le FEADER est impliqué dans la vaste politique de planification écologique européenne qu’est Europe 2020, avec en ligne de mire une agriculture « soutenable » et « durable ».

    Initialement destiné à disparaître à la fin de ce plan, le FEADER a suivi la myriade de mesures publiques qui perdurent, avec notamment la relance européenne NextGenerationEU adoptée par le Conseil européen en 2020.

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  81. Une responsabilité transférée

    Sauf qu’au 1er janvier 2023, la responsabilité de ce fonds a été confiée aux États. En France, ce dernier l’a transféré aux conseils régionaux volontaires qui ont rapidement accusé d’importants retards de paiement mettant gravement en péril de nombreuses exploitations agricoles.

    La région Bourgogne-Franche-Comté n’y fait malheureusement pas exception, au point que la situation s’est particulièrement envenimée le 6 novembre dernier.

    Ce jour-là, trois élus de la majorité socialiste au conseil régional ont été pris à partie par des exploitants de Saône-et-Loire :

    « C’est une honte, un scandale, une catastrophe, vous êtes des nuls, des incompétents, votre administration est lamentablement défaillante, à la ramasse ».

    Ces propos ont contraint le sénateur et président du groupe socialiste à l’assemblée régionale Jérôme Durain, présent ce jour-là, à reconnaître la responsabilité des élus dans une situation qui met les agriculteurs « dans la merde ».

    Concrètement, les agriculteurs, soutenus dans leurs revendications par la Confédération paysanne, reprochaient à la collectivité la piètre qualité du traitement des dossiers de demande de dotation d’aide à l’investissement aux installations de jeunes agriculteurs.

    Un temps de traitement rallongé

    Au cœur de ces doléances, donc, le transfert aux régions du traitement de ces demandes. Ces transferts se sont pourtant accompagnés de compensations financières de la part de Paris sous la forme de 35 agents à temps plein issus de la Direction départementale des territoires (DDT). Mais la plupart ont toutefois refusé leur mutation à Besançon et Dijon, lieux concentrant le dispositif.

    Pour y faire face, des recrutements ont été lancés, mais la moitié des effectifs n’a toujours pas été pourvue, s’ajoutant au changement d’outil informatique.

    Le résultat ne s’est pas fait attendre : moins de 10 % des 3500 dossiers en retard de paiement ont pour l’heure pu être instruits.

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  82. De quoi nourrir un profond ressentiment dans le milieu agricole, au point que de nombreux agents sont victimes de harcèlement voire de menaces ayant entraîné des mains courantes.

    Un fonds en hausse

    Pourtant, le dispositif semblait lancé sur de bonnes bases, le FEADER ayant été augmenté de 28 % pour la programmation 2023-2027 selon Christian Decerle, président de la chambre régionale d’agriculture.

    La situation a contraint le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau, à réagir afin d’appeler les élus à résoudre rapidement les problèmes administratifs pour éviter des conséquences graves pour les agriculteurs.

    Agriculture et bureaucratie

    FEADER, PAC, DDT… autant d’acronymes à la fois très bureaucratiques et très français qui frappent de plein fouet l’activité qui devrait pourtant être la plus épargnée de ces questions : l’agriculture. Activité naturaliste par excellence, là où la bureaucratie est celle de la complexité humaine, l’agriculture symbolise à la fois la maîtrise de la nature et l’aboutissement de notre besoin le plus primaire en tant qu’espèce inscrite dans le vivant : la nourriture.

    Pourtant, ce milieu est depuis longtemps l’objet de politiques planificatrices ayant pour objectif de protéger le marché intérieur au détriment d’un partenariat sain entre les nations à travers de véritables politiques de libre-échange.

    De l’urgence de débureaucratiser

    Dans les faits, la PAC, comme d’autres politiques planificatrices, transforme les agriculteurs en fonctionnaires chargés de mener leur exploitation comme des gestionnaires administratifs, tandis que le principal acteur touché par la réglementation n’est autre que le consommateur final qui en paie le coût.

    Or, cette réglementation est la contrepartie des subventions accordées. Celles-ci peinent donc à arriver dans le portefeuille des exploitants en raison de cette même norme. Autant dire que pour les agriculteurs français, c’est le serpent qui se mord la queue, toujours avec pour principale cause la bureaucratie.

    https://www.contrepoints.org/2023/11/30/467901-quand-la-bureaucratie-fait-vivre-un-calvaire-administratif-aux-agriculteurs-bourguignons

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  83. Combien ça coûte un ancien Premier ministre ?

    Les anciens Premiers ministres de France, après avoir quitté leur poste, continuent de coûter cher aux contribuables. Une dépense méconnue que la loi de Finances 2024 a quantifiée en détail. En 2022, ces dépenses ont atteint 0,98 million d’euros. Mais qui est l’ancien Premier ministre qui coûte le plus cher aux Français ?


    Par Paolo Garoscio
    le 30 novembre 2023 à 14h00


    Les dépenses de certains anciens Premiers ministres dépassent les 100.000 euros par an.

    Les Premiers ministres bénéficient d’avantages après leur mandat
    Après leur mandat, les anciens Premiers ministres bénéficient d'une indemnité de départ, d'un assistant personnel, d'une voiture avec chauffeur, et d'un garde du corps. Ces avantages, y compris les frais annexes comme l'essence, sont entièrement pris en charge par l'État.

    Chaque ancien Premier ministre a des dépenses qui varient considérablement. Lionel Jospin se distingue comme le plus dépensier en 2022, avec des frais s'élevant à 153 620 euros. À l'autre extrémité du spectre, Jean Castex, Manuel Valls et Edith Cresson figurent parmi les plus économes, avec des dépenses n'excédant pas 62 000 euros chacun.

    Pour Laurent Fabius et Edouard Philippe, la situation est un peu différente. Le premier est Président du Conseil constitutionnel, le second élu local (maire du HAvre). Leurs frais sont donc payés par le contribuable, mais d'une autre manière

    Un ancien Premier ministre coûte moins cher qu’un ancien Président de la République

    Les dépenses actuelles d’un Premier ministre sont plus élevées qu'il y a dix ans. En réponse, des réformes ont été mises en place en 2019 pour limiter ces coûts et donc moins peser sur les finances publiques. Ces changements incluent la limitation de la durée pendant laquelle les anciens Premiers ministres peuvent bénéficier d'un secrétaire particulier. Auparavant à vie, ce secrétaire n’est plus payé par les impôts des Français après 10 ans désormais.

    En comparaison, les dépenses des anciens Premiers ministres sont modestes par rapport à celles des anciens présidents de la République. En 2022, les deux anciens présidents Nicolas Sarkozy et François Hollande ont coûté plus de 1,8 million d'euros à l'État chacun.

    Le coût des 13 anciens Premiers ministres encore en vie en France

    - voir cadre sur site des frais de ministres -

    https://www.economiematin.fr/cout-ancien-premier-ministre-france-2022

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  84. La décision britannique contre l’expulsion vers le Rwanda offre un espoir à Assange

    Si le Parlement adoptait une loi déclarant que la Terre est plate, cela signifierait-il qu'en droit britannique, la Terre est plate, ou les juges pourraient-ils faire leur propre évaluation ?


    Par Craig Murray
    Mondialisation.ca,
    28 novembre 2023


    L’arrêt de la Cour suprême sur l’illégalité de l’expulsion de demandeurs d’asile vers le Rwanda du 15 novembre a fait l’objet d’un battage massif dans le cadre du limogeage de la ministre de l’intérieur Suella Braverman, mais il s’agit en fait d’une décision d’une importance bien plus grande.

    Elle est également très pertinente pour l’audience à venir de la High Court pour Julian Assange, tant en termes d’arguments, dont certains sont communs aux deux affaires, des position des juges, dont certains sont également communs aux deux affaires.

    Permettez-moi de commencer ce qui a motivé la décision de la Cour suprême – à savoir si la Cour doit ou non déterminer de manière indépendante si le Rwanda est un pays sûr, ou si le ministre de l’intérieur a le droit de prendre cette décision sans possibilité d’interférence judiciaire, à condition que les procédures correctes soient suivies.

    La décision initiale de la Divisional Court, prise par les juges Swift et Lewis, établissait une décision du ministre de l’intérieur “irréfutable” – et que l’exécutif était le mieux placé pour prendre la décision, et qu’il n’y avait pas de place pour une interférence des tribunaux.

    Ce point de vue a été renversé par une majorité de la Cour d’appel, bien que, dans un jugement minoritaire, le Lord Chief Justice of England Burnett ait soutenu la décision initiale pour des raisons plutôt incohérentes, à savoir que ce n’était pas la question en jeu.

    La Cour suprême a déclaré, à l’unanimité, que les juges avaient l’obligation de déterminer si un pays était sûr pour l’expulsion, plutôt que de simplement croire les ministres sur parole. Il s’agit là d’un acte d’activisme judiciaire très fort.

    “La décision correcte exige que la Cour décide elle-même s’il y a des motifs substantiels de croire que le renvoi des demandeurs d’asile au Rwanda les exposerait à un risque réel de mauvais traitement, en conséquence d’un refoulement vers un autre pays. Cette appréciation doit être faite par le tribunal.

    La majorité de la Cour d’appel a considéré que la Divisional Court avait traité la question de manière erronée en partant du principe que le rôle de la Cour se limitait à décider si le secrétaire d’État avait eu le droit de se faire une opinion sur l’absence d’un tel risque…”

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  85. Après avoir examiné les éléments de preuve, la Cour a estimé que le bilan général du Rwanda en matière de droits de l’homme, son traitement passé des réfugiés et l’état de son système d’asile en font un pays peu sûr pour l’expulsion. Le Rwanda ne devient pas subitement un pays sûr parce que l’ancienne ministre de l’intérieur, Pritti Patel, et Suella Braverman le disent, ou – et c’est crucial pour l’affaire Assange – parce que son gouvernement fait des promesses sur son comportement futur.

    Le passage 46 est crucial, avec une pertinence évidente pour l’affaire Assange, que je vais continuer à expliquer :

    “Le secrétaire d’État s’appuie sur les garanties fournies par le gouvernement rwandais dans le MEDP [Migration and Economic Development Partnership : Partenariat pour la migration et le développement économique] pour répondre à toutes les préoccupations soulevées par les preuves concernant le fonctionnement passé et présent du système d’asile rwandais. En substance, le secrétaire d’État soutient que, nonobstant les problèmes qui ont pu se poser dans le passé ou qui peuvent subsister à l’heure actuelle, le MEDP définit des dispositions pour l’avenir qui offrent des garanties adéquates contre le refoulement, et que l’on peut compter sur le gouvernement rwandais pour respecter son engagement de traiter les demandes conformément à ces dispositions…”

    Pour étayer leur opinion selon laquelle il appartient au tribunal de décider de la sécurité de la personne expulsée, ils citent avec la décision de la Cour européenne des droits de l’homme dans l’affaire Othman :

    “Il existe une obligation d’examiner si les garanties fournissent, dans leur application pratique, une garantie suffisante que le requérant sera protégé contre le risque de mauvais traitement. Le poids à accorder aux assurances de l’État d’accueil dépend, dans chaque cas, des circonstances prévalant au moment des faits”.

    Ceci est intéressant car la décision dans l’affaire Othman fait partie des arguments juridiques de l’appel de Julian.

    Assurances diplomatiques de bon traitement

    Il existe une abondante littérature universitaire, dans le monde, sur le poids à accorder (ou non) aux garanties diplomatiques de bon traitement par le gouvernement d’accueil, dans les cas d’extradition ou d’expulsion. Cette question a donné lieu à d’innombrables doctorats et a mobilisé le temps de nombreux fonctionnaires de gouvernements, d’institutions internationales et d’ONG.

    Les gouvernements qui, comme le Royaume-Uni, souhaitent expulser des personnes sont enclins à soutenir que l’expulsion vers des trous d’enfer de dictatures est acceptable si la dictature tortionnaire envoie une note diplomatique promettant de ne pas torturer ou persécuter (ou d’envoyer à la torture et à la persécution). Les institutions et les juges internationaux ont tendance à affirmer que les faits sur le terrain valent plus que les bouts de papier. Dans la pratique, le système d’expulsion du Royaume-Uni repose largement sur les “garanties diplomatiques”.

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  86. Le gouvernement britannique se dédouane en s’abstenant soigneusement de contrôler ce qu’il advient de la personne expulsée à l’autre bout de la chaîne. Dans le seul cas ouzbek où mon intervention n’a pas permis d’empêcher une expulsion, le couple concerné a tout simplement disparu à son retour à Tachkent. La position de du Foreign, Commonwealth and Development Office [Bureau des affaires étrangères, du Commonwealth et du développement]est que, comme il s’agissait de ressortissants ouzbeks, le gouvernement britannique n’avait pas la responsabilité de contrôler ce qui leur arrivait dans leur pays d’origine, après leur expulsion du Royaume-Uni.

    Dans la présente affaire concernant le Rwanda, la Cour suprême note que le gouvernement britannique prévoit d’appliquer la politique rwandaise par le biais du Partenariat pour la migration et le développement économique (MEDP), qui consiste en pratique en un protocole d’accord et deux notes diplomatiques du gouvernement rwandais intitulées “la procédure d’asile des personnes transférées” et “l’accueil et l’hébergement des personnes transférées”.

    Il s’agit simplement de “garanties diplomatiques” dans leur forme classique, et la Cour suprême les traite comme telles.

    L’appel du ministre de l’intérieur contre l’arrêt de la cour d’appel soutenait explicitement que la cour devait s’en remettre au jugement de l’exécutif sur la valeur de ces assurances, ce que la Cour suprême résume en disant que le ministre de l’intérieur reprochait à la cour d’appel d’avoir accordé un poids insuffisant à l’évaluation du gouvernement de Sa Majesté quant à la probabilité que le gouvernement rwandais respecte ses assurances.

    La Cour suprême rejette l’idée que les assurances diplomatiques fournies à l’exécutif l’emportent sur l’évaluation par le tribunal lui-même de la situation réelle. La Cour Suprême déclare :

    “L’évaluation par le gouvernement de l’existence d’un tel risque est un élément important, mais le tribunal est tenu d’examiner la question à la lumière de l’ensemble de la preuve et de parvenir à sa propre conclusion.”

    Il s’agit d’une position définitive, et très forte, dans le débat sur le rôle des assurances diplomatiques dans les procédures d’expulsion.

    Détermination des assurances diplomatiques dans le cas de Julian Assange

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  87. Julian Assange devant la Cour suprême du Royaume-Uni en 2011. (acidpolly, Flickr)
    La raison pour laquelle ce point est si important dans l’affaire Assange est que le tribunal de première instance s’est prononcé contre l’extradition de Julian Assange, en raison de son état de santé et des conditions de sécurité maximales effroyables auxquelles il serait soumis aux États-Unis. Sur appel du gouvernement des États-Unis, le Lord Chief Justice Burnett a rejeté cet argument, principalement sur la base des garanties diplomatiques concernant le traitement d’Assange, reçues dans des notes diplomatiques soumises au stade de l’appel.

    Ces notes n’ayant pas été soumises à l’audience initiale, mais seulement en appel, l’équipe d’Assange n’a pas eu l’occasion de remettre en question ces garanties diplomatiques, ou de procéder à un contre-interrogatoire sur leur valeur. Le juge en chef Burnett a estimé que cela n’avait aucun poids, au motif qu’il appartenait à l’exécutif de décider de la valeur des garanties diplomatiques.

    Il convient de noter que le juge en chef Burnett est également le juge dissident qui a donné raison au gouvernement en appel dans l’affaire du Rwanda, où il a de nouveau soutenu que les garanties diplomatiques du gouvernement rwandais devaient simplement être acceptées sur la base de l’évaluation de l’exécutif. C’est la position classique de l’exécutif dans tout le débat sur les assurances diplomatiques – et la Cour suprême vient de rejeter à l’unanimité et avec fracas l’argument de Burnett.

    S’il appartient à la Cour et non à l’exécutif d’examiner et de déterminer la valeur des garanties diplomatiques dans l’affaire du Rwanda, il doit également appartenir à la Cour d’examiner et de déterminer la valeur des garanties diplomatiques dans l’affaire Assange. À aucun moment dans le processus Assange, un tribunal n’a entrepris cette tâche, ou la défense n’a eu l’occasion de contester la véracité des assurances diplomatiques.

    Cela doit maintenant jouer un rôle crucial dans l’examen de l’affaire Assange à l’avenir.

    C’est M. Burnett qui a reçu l’appel des États-Unis contre le refus d’extrader M. Assange. Burnett est le meilleur ami et l’ancien colocataire de collège du ministre conservateur Alan Duncan, qui a qualifié Julian de “misérable vers”au Parlement, et est directement responsable de l’opération visant à expulser Julian de l’ambassade d’Équateur.

    L’autre juge dont les arguments ont été rejetés de manière retentissante par la Cour suprême est Jonathan Swift, qui a donné raison au ministre de l’intérieur en première instance dans l’affaire du Rwanda. Swift est également le juge qui a rejeté le recours de 150 pages d’Assange en trois pages à double interligne, et a tenté de limiter toute audience future à une demi-heure. Comme nous l’avons déjà expliqué ici, M. Swift est un ancien avocat des services de sécurité, dont il disait qu’ils étaient ses clients préférés.

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  88. La Cour suprême déboute Swift

    Les jugements de M. Swift dans les affaires Assange et Rwanda ressemblent à ceux de la vieille droite par leur rejet méprisant des arguments et des preuves contraires. En revanche, la Cour suprême s’acharne sur la simple affirmation de Swift devant la Divisional Court selon laquelle la Commission des droits de l’homme des Nations unies n’est pas un organisme dont les opinions doivent être spécialement prises en compte. La Cour suprême piétine l’approche banale de Swift, chaussée de bottes à talon. Son arrêté vaut la citation :

    “La Cour divisionnaire a rejeté cette preuve et n’a pas tenté de l’examiner. Elle a déclaré au paragraphe 71 que la preuve du HCR « n’a pas de poids particulier”.

    64. L’opinion de la Divisional Court selon laquelle les preuves du HCR [Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés] n’ont pas de poids particulier est une autre erreur. Bien entendu, le poids à accorder aux preuves relève toujours de la compétence du tribunal et dépend des circonstances. Toutefois, en l’espèce, un certain nombre de facteurs se sont conjugués pour conférer une importance particulière aux éléments de preuve fournis par le HCR.

    65. Le premier facteur pertinent est le statut et le rôle du HCR. Il est chargé par l’Assemblée générale des Nations Unies de superviser l’interprétation et l’application de la convention sur les réfugiés : voir le statut du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, annexé à la résolution 428(V) de l’Assemblée générale des Nations Unies, en date du 14 décembre 1950. En vertu de l’article 35 de la Convention sur les réfugiés, les États parties s’engagent à coopérer avec le HCR dans l’exercice de ses fonctions et à faciliter sa tâche de surveillance de l’application des dispositions de la Convention.

    Compte tenu de ces circonstances, il est bien établi que les orientations du HCR concernant l’interprétation et l’application de la Convention sur les réfugiés “doivent se voir accorder un poids considérable” : Al-Sirri v Secretary of State for the Home Department [2012] UKSC 54 ; [2013] 1 AC 745, point 36. Dans l’affaire IA (Iran) c. Secretary of State for the Home Department [2014] UKSC 6 ; [2014] 1 WLR 384, point 44, cette juridiction a déclaré que

    “l’expertise accumulée et inégalée de cette organisation, son expérience de la collaboration avec les gouvernements du monde entier, l’élaboration, la promotion et l’application de procédures d’un niveau élevé et la prise de décisions cohérentes dans le domaine de la détermination du statut de réfugié doivent conférer à ses décisions une autorité considérable”.

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  89. 66. Le deuxième facteur, mentionné dans ce dictum, est l’expertise et l’expérience du HCR. Ce facteur a également été souligné par cette juridiction dans l’affaire R (EM (Eritrea)) v Secretary of State for the Home Department [2014] UKSC 12 ; [2014] AC 1321, lorsqu’elle a examiné l’approche qui devait être adoptée à l’égard des preuves fournies par le HCR en ce qui concerne les risques liés au renvoi des demandeurs d’asile vers un autre pays. Lord Kerr of Tonaghmore, dont les autres membres de la Cour ont approuvé le jugement, a fait référence (point 72) à

    “l’expertise unique et inégalée du HCR dans le domaine du droit d’asile et des réfugiés”, et a exprimé son accord avec les observations de Sir Stephen Sedley dans la juridiction inférieure [2013] 1 WLR 576, point 41, qu’il a citées au point 71 : “Il nous semble qu’il y avait une raison pour [la Cour européenne dans l’affaire MSS c. Belgique et Grèce] d’accorder au HCR un statut spécial dans ce contexte.”

    L’établissement des faits par une juridiction à l’échelle de la présente affaire est nécessairement un exercice problématique, susceptible d’être influencé par des facteurs accidentels tels que la date d’un rapport, ou ses sources, ou la qualité de son auteur, et mené en une seule session intensive. Le Haut Commissaire pour les réfugiés, en revanche, est aujourd’hui titulaire d’un poste respecté au niveau international, doté d’un personnel spécialisé (7 190 personnes dans 120 États différents, selon son site web), capable de rassembler et de suivre les informations d’une année sur l’autre et d’y appliquer des normes de connaissance et de jugement qui sont généralement hors de portée d’une cour de justice. Ce faisant, et pour parvenir à ses conclusions, il bénéficie de l’autorité de l’Assemblée générale des Nations unies, qui l’a nommé et à qui il fait rapport. Dans cette situation, il est compréhensible qu’une juridiction supranationale accorde une attention particulière à la fois aux faits rapportés par le Haut Commissaire et aux jugements de valeur auxquels il parvient dans le cadre de ses attributions.

    67. Comme cela a été mentionné dans ce passage, la Cour européenne accorde un poids considérable aux éléments de preuve du HCR. Dans l’affaire MSS c. Belgique et Grèce, par exemple, la Cour a accordé une “importance critique” (paragraphe 349) aux préoccupations du HCR concernant le traitement des demandeurs d’asile en Grèce. Dans l’affaire Ilias c. Hongrie, les rapports du HCR ont été décrits comme faisant “autorité” (paragraphe 141, cité au paragraphe 45 ci-dessus). Pour les raisons que nous avons expliquées, il n’est pas surprenant qu’il en soit ainsi ; et c’est un facteur qui est pertinent pour l’approche des juridictions nationales lorsqu’elles examinent les questions d’asile au regard de la CEDH.

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  90. 68. Les éléments de preuve du HCR auront naturellement le plus grand poids lorsqu’ils se rapportent à des questions relevant de sa compétence particulière ou lorsqu’il dispose d’une expertise spéciale en la matière. En l’espèce, ses éléments de preuve portent sur des questions qui relèvent de sa compétence et sur lesquelles il possède une expertise incontestable. Comme le Lord Chief Justice l’a observé dans la présente affaire, le HCR

    “détient une expérience pratique inégalée du fonctionnement du système d’asile au Rwanda grâce à de longues années d’engagement” (paragraphe 467). “Il opère de manière permanente au Rwanda depuis 1993, et comptait 332 employés au moment où il a témoigné dans cette procédure.”

    Son rôle au Rwanda comprend l’assistance aux demandeurs d’asile et aux réfugiés, le financement et la formation d’organisations non gouvernementales travaillant avec le système d’asile rwandais, les relations avec les fonctionnaires responsables de la prise de décision en matière d’asile, et les relations avec les services compétents du gouvernement rwandais concernant la gestion des camps de réfugiés. Bien que le HCR ne joue aucun rôle officiel dans le système d’asile rwandais, les autorités rwandaises lui ont envoyé, bien que de manière intermittente, des copies des décisions en matière d’asile, et le HCR reçoit des informations de la part des demandeurs d’asile et des ONG, ainsi que par le biais de communications avec les fonctionnaires compétents. Le HCR est donc en mesure de rassembler des données et de se faire une idée des réalités pratiques du système d’asile rwandais.

    Son expérience a été reconnue par les fonctionnaires du ministère de l’Intérieur. Ils ont indiqué que le gouvernement rwandais dépendait fortement du HCR et d’autres organisations non gouvernementales pour la mise en œuvre de ses processus d’asile et de réfugiés, et que le HCR avait une expertise et une expérience incontestables de la gestion d’une partie du processus de réfugiés, ainsi qu’une connaissance du système rwandais de manière plus générale.

    69. Comme le Lord Chief Justice l’a noté au paragraphe 467, on peut dire que le HCR a un intérêt institutionnel dans l’issue de cette procédure, puisqu’il a adopté la position (exposée dans sa note d’orientation sur les arrangements bilatéraux et/ou multilatéraux concernant les demandeurs d’asile) selon laquelle les demandeurs d’asile et les réfugiés devraient normalement être traités sur le territoire de l’Etat où ils arrivent ou qui a compétence sur eux à un autre titre.

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  91. Le fait que le HCR ait adopté cette position est un facteur à prendre en compte lors de l’évaluation de ses preuves. Toutefois, ses éléments de preuve et ses observations ont été présentés avec modération et n’ont pas semblé refléter une évaluation partisane. Il faut également garder à l’esprit qu’en tant qu’agence des Nations Unies responsable devant l’Assemblée générale, le HCR ne fera pas à la légère des déclarations critiques à l’égard d’un Etat dans lequel il opère.

    70. En reliant ces pistes, il ressort des facteurs mentionnés et des autorités citées qu’une importance particulière aurait dû être accordée à la preuve du HCR dans la présente affaire. Cela ne veut pas dire que ces preuves devraient nécessairement être décisives ou prééminentes. Dans les circonstances de la présente affaire, cependant, son témoignage sur des questions de fait importantes n’est essentiellement pas contredit par des preuves convaincantes du contraire, comme l’a expliqué la Cour d’appel (par exemple, au paragraphe 136). Il n’aurait pas dû être traité avec autant de dédain que l’a fait la Divisional Court”.

    Je pense qu’il est juste de dire que les commentaires détaillés de la Cour suprême sur le rejet en une phrase par Swift des preuves fournies par les Nations unies ne sont pas incompatibles avec l’idée que la Cour suprême a pris Swift pour un petit branleur désinvolte. Je me demande s’ils seraient du même avis concernant l’approche tout aussi désinvolte et dédaigneuse de Swift à l’égard de l’ensemble du recours d’Assange ?

    Obligations en matière de droit international

    Salle du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève. (U.N/ Photo/Jean Marc Ferré)
    Un autre point juridique important dans l’affaire Assange concerne la mesure dans laquelle le Royaume-Uni est lié par le droit international.

    Ces quinze derniers jours, j’ai assisté à un certain nombre de réunions à l’ONU à Genève, notamment à l’examen du bilan d’un certain nombre de pays en matière de droits de l’homme. Ces réunions d’ONG et d’experts se déroulent selon les règles de Chatham House, je ne suis donc pas en mesure de répéter des détails précis.

    Mais j’ai vu des pays en voie de développement spécifiquement critiqués pour des décisions judiciaires qui ne tenaient pas compte de l’obligation, en droit international, de l’État de respecter les traités qu’il a ratifiés.

    Fait extraordinaire, le Royaume-Uni considère ouvertement qu’aucune loi internationale, y compris les traités qu’il a signés, n’est juridiquement contraignante pour lui, à moins qu’elle n’ait été explicitement incorporée dans sa législation nationale. Le Royaume-Uni ne se considère pas lié par les traités qu’il a ratifiés.

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  92. Ce point est absolument crucial dans l’affaire Assange, où le traité d’extradition États-Unis/Royaume-Uni de 2003, en vertu duquel l’extradition a lieu, interdit spécifiquement l’extradition politique. Les tribunaux britanniques ont accepté l’argument d’Assange selon lequel cela n’est pas pertinent puisque le traité n’a pas de valeur juridique, ce texte n’ayant pas été incorporé dans la législation nationale du Royaume-Uni.

    L’arrêt de la Cour suprême sur le Rwanda semble toutefois prendre très au sérieux les obligations du Royaume-Uni en matière de droit international. La Cour suprême ne semble pas considérer les obligations conventionnelles internationales du Royaume-Uni comme régissant la conduite du gouvernement britannique, mais seulement dans la mesure où elles sont incorporées dans la législation nationale. Après avoir parlé de l’interdiction du refoulement en vertu de la Convention sur les réfugiés, la Cour suprême déclare :

    “Comme nous allons l’expliquer, le refoulement est également interdit par un certain nombre d’autres conventions internationales que le Royaume-Uni a ratifiées. Il existe également plusieurs lois du Parlement qui protègent les réfugiés contre le refoulement”.

    Il est très difficile de traduire cela de façon à ce que l’applicabilité des traités internationaux ne soit valable que dans la mesure où ils ont été incorporés dans les lois du Parlement. La seconde utilisation du mot “également” indique spécifiquement que les conventions internationales sont suffisantes ; les lois du Parlement sont un renforcement, et non une condition nécessaire.

    Cela n’est peut-être pas évident à première vue. Formulons-le sans le deuxième “également”.

    “Comme nous allons l’expliquer, le refoulement est également interdit par un certain nombre d’autres conventions internationales, que le Royaume-Uni a ratifiées. Plusieurs lois du Parlement protègent les réfugiés contre le refoulement”.

    Dans cette formulation, il est possible de soutenir que les lois du Parlement sont nécessaires pour donner effet en droit aux conventions internationales, même si cela n’est pas précisé. Mais il faut ajouter le deuxième “également” :

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  93. “Comme nous l’expliquerons, le refoulement est également interdit par un certain nombre d’autres conventions internationales que le Royaume-Uni a ratifiées. Il existe également plusieurs lois du Parlement qui protègent les réfugiés contre le refoulement”.

    Le “également” réfute l’argument selon lequel les conventions internationales n’ont aucun poids sans les lois du Parlement. Le voyez-vous maintenant ?

    La Cour suprême examine ensuite les différents domaines du droit national britannique qui établissent le principe de non-refoulement, mais j’ai trouvé l’approche initiale très intéressante. Il existe une tension non résolue sur le statut du droit international au Royaume-Uni, et la Cour suprême laisse plutôt flotter la question.

    Si l’affaire Assange est portée devant la Cour suprême, il ne me semble pas impossible qu’elle adopte un point de vue différent sur l’applicabilité de la clause “pas d’extradition politique” du traité en vertu duquel l’extradition a lieu.

    Je me réjouis bien sûr de ce coup de théâtre dans l’effroyable projet d’expulsion du Rwanda. Toute personne attentive sur les réseaux sociaux a certainement remarqué la corrélation entre le soutien à la proposition concernant le Rwanda et le soutien aux actions génocidaires d’Israël. Je suppose que tout cela fait partie d’un racisme et d’une islamophobie généralisés.

    Une autre question laissée en suspens par la Cour suprême est celle de la “Terre plate”. Elle risque de se poser assez rapidement si les conservateurs tiennent leur promesse de légiférer spécifiquement sur la légalité de l’expulsion des demandeurs d’asile vers le Rwanda.

    La question est la suivante. La Cour suprême a statué qu’elle n’était pas tenue d’accepter l’évaluation Patel/Braverman de la sécurité du Rwanda, mais qu’elle avait le devoir de procéder à sa propre détermination.

    Mais si le Parlement adoptait une loi stipulant que le Rwanda est sûr, et non que le secrétaire d’État peut le désigner comme tel, la Cour aurait-elle encore le droit d’exercer son propre jugement face à ce qui serait une loi étrange mais en vigueur ?

    Si le Parlement adoptait une loi déclarant que la Terre est plate, cela signifierait-il qu’en droit britannique, la Terre est plate, ou les juges pourraient-ils faire leur propre évaluation ? Comment concilier la réponse à cette question avec la doctrine dominante de la souveraineté du roi au Parlement ?

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  94. Nous allons peut-être le découvrir si les conservateurs se montrent déterminés à faire avancer la législation sur la sécurité du Rwanda, comme ils le suggèrent. Et nous nous retrouvons à nous poser des questions ridicules en tentant de garder la tête froide, voilà où la folie des conservateurs nous mène.

    https://www.mondialisation.ca/la-decision-britannique-contre-lexpulsion-vers-le-rwanda-offre-un-espoir-a-assange/5683717?doing_wp_cron=1701242610.4206700325012207031250

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  95. Tropes hollywoodiens et sagesse de la vraie vie
    La vie imitant l'art ou l'art imitant la vie ?


    DONALD JEFFRIES
    29 NOVEMBRE 2023


    Je regarde beaucoup de films. Je regardais beaucoup la télévision. Et il me semble remarquer des choses que la plupart des autres ne remarquent pas. Ma tendance à tout remettre en question de manière critique fait que de nombreuses personnes proches de moi, en particulier mes proches, quittent la pièce lorsque je regarde quelque chose. Les mâles apprécient cependant mes commentaires de course.

    À un moment donné, j’ai voulu écrire un scénario pour une future sitcom ou une comédie cinématographique, qui incorporait tous les tropes courants vus à l’écran. Mais où puis-je l'envoyer ? Hollywood n’accepte pas de scénarios ou de manuscrits non sollicités. La moitié des serveurs des restaurants de Tinseltown les colportent. Et ils ne peuvent pas convaincre quelqu’un de lire leur travail, sauf peut-être s’ils attendent le bon gros bonnet qui les trouve suffisamment attirants physiquement pour les inviter sur le canapé du casting. Je n’ai jamais été en mesure d’attendre quelqu’un qui serait prêt à considérer mon travail en échange de faveurs sexuelles. De toute façon, je ne serais probablement pas leur genre. Et maintenant, je suis bien trop vieux pour aucun d’entre eux.

    Peut-être que ces scénarios inédits de serveurs et de serveuses aspirant à se lancer dans le show business contiennent des éléments précieux et divertissants. Certains d’entre eux pourraient être des penseurs originaux, qui secouent la tête face aux mêmes tropes et à la même propagande que moi. S’ils proposent quelque chose de nouveau et d’original, alors ils n’ont pas de chance, même s’ils disent oui à tous les magnats du cinéma chauves de la ville. Chaque script doit transmettre un message de gauche moderne « Woke ». Les personnages noirs doivent être largement surreprésentés et doivent tous être forts et positifs. Les femmes doivent toutes être physiquement résistantes et prêtes à abuser verbalement ou à maîtriser physiquement tout personnage masculin blanc. Leur grande force et leur confiance se fanent souvent en présence d’hommes non blancs pour une raison quelconque.

    Les grandes dames peuvent toujours être assez jolies, mais elles doivent toutes porter ce visage de garce au repos. Ils doivent avoir l’air énervés tout le temps, surtout en présence d’hommes blancs. Lorsque des mâles non blancs entrent en scène, leurs expressions de chienne au repos s'adoucissent visiblement. Les personnages masculins blancs ne peuvent jamais être alpha. Ils sont faibles, soumis et sont généralement la cible de plaisanteries de la part des femmes blanches et des non-Blancs de tous genres. Les couples métis sont toujours encouragés. Les personnages résideront généralement soit dans un appartement new-yorkais, soit dans une maison haut de gamme en banlieue. Vous ne verrez aucun personnage principal vivre dans une maison de ville de la classe moyenne inférieure, par exemple. Si le film parle de « le quartier », alors bien sûr, les personnages noirs seront embourbés dans la pauvreté. Mais une pauvreté glamour.

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  96. Les intrigues doivent soit être redondantes par rapport à quelque chose qui a déjà été fait un nombre incalculable de fois auparavant (les braquages de bijoux, les tyrans éculés du lycée, toutes les comédies romantiques ou « comédies romantiques », comme on les appelle maintenant), soit un concept convaincant, qui est alors jamais développé. Ces types de films ne sont invariablement jamais résolus. Ils se terminent juste et vous finissez par dire : « c'est ça ? Eh bien, au moins je le fais. Lorsqu’ils font allusion à quelque chose de conspirateur, cela finit toujours par être l’œuvre d’une entreprise privée secrète, dirigée par un groupe étonnamment peu diversifié d’hommes blancs maléfiques. Jamais le gouvernement. Et les malfaiteurs ne sont jamais « divers », comme le sont toujours les héros multiculturels.

    Je remarque des tropes qui n’ont même aucun sens d’un point de vue propagandiste. Regardez à quelle fréquence les personnages, il y a des décennies, laissent les portières de leur voiture ouvertes lorsqu'ils sautent. Je suppose que les véhicules hollywoodiens ont des batteries spéciales ou quelque chose du genre. Chaque fois que quelque chose de bizarre se produit, ou si un personnage est sur le point de contracter une maladie mortelle, un peu de sang coule d'une narine. Le vieux truc de tomber en fuyant un danger n’est plus aussi populaire qu’avant. Mais les personnages attendent encore bien trop longtemps pour réagir au danger. Ils ont tendance à regarder de manière irrationnelle, puis commencent à reculer lentement, au lieu de se déplacer instantanément aussi vite qu'ils le peuvent. Je suppose que c'est pour un effet dramatique.

    Certains des vieux tropes ne sont plus utiles. Par exemple, l'ancienne manière d'écrire à un correspondant et d'exagérer vos propres réalisations, puis de découvrir que le correspondant faisait la même chose. Cela a été fait dans d’innombrables anciennes émissions de télévision. Le personnage principal classique siégeant dans un jury et étant le seul à résister à une condamnation n'est plus recherché. Notre État corrompu ne souhaite pas promouvoir l’idée selon laquelle il devrait y avoir des récalcitrants contre une condamnation. C’est le travail du jury moderne de condamner, et ils font un très bon travail. De plus, ils ont laissé tomber la vieille machine à laver, chargée de trop de savon et débordante de routine. C'est trop l'Amérique 1.0.

    Parce qu'il n'y a plus de mâles alpha à l'écran, du moins pas de mâles blancs, les principaux tropes des films d'action qui ont fait des stars comme Sylvester Stallone et Arnold Schwarzenegger sont lentement éliminés. Je n’ai vu aucun travail de Vin Diesel, ni celui de l’ancienne star de la WWE « The Rock », donc ils peuvent encore avoir ces tropes dans leurs films dérivés. Après tout, on ne peut pas faire de films d’action sans action. Mais ni Diesel ni « The Rock » ne sont blancs. Donc ça explique ça. Donc je suppose qu’ils ont encore des poursuites en voiture insensées et incroyablement longues. Les véhicules explosent en énormes boules de feu lors de l'impact. Les personnages principaux étant tout de même beaucoup plus difficiles à filmer que les personnages secondaires. C'est un truc de Batman, tu ne comprendrais pas.

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  97. Le genre des super-héros rapporte toujours le plus d’argent pour ce qui reste d’Hollywood. Pendant plusieurs années, les films de super-héros et l’appétit insatiable de leurs fans pour eux ont été tout ce qui a permis à Hollywood de rester à flot. Aujourd’hui, les films de super-héros échouent également, car ils ont été convertis en une propagande davantage « réveillée ». Des héros principalement féminins et non blancs. Toujours principalement des méchants blancs, mais des « super » méchants noirs occasionnels apparaîtront maintenant. Le récent échec de The Marvels illustre à quel point même le public fidèle des bandes dessinées en a peut-être finalement assez du révisionnisme « Woke ». Tous ces tropes touchent donc peut-être à leur fin. Vous ne pouvez pas faire de trope si personne n’achète votre produit.

    Dans la vraie vie, hors écran, il existe aussi de nombreux tropes. Certaines sont aussi déroutantes que celles imaginées par les scénaristes. La plupart des gens hochent la tête sans réfléchir lorsque quelqu'un dit : « L'exception confirme la règle ». Comme l’a souligné Ambrose Bierce, c’est le contraire de la vérité. L'exception conteste ou réfute la règle. Pourquoi appelons-nous une personne dans la cinquantaine « d’âge moyen » ? Même avant que l’espérance de vie dans notre République bananière ne commence à chuter, cette affirmation était inexacte. Pourquoi certaines professions sont-elles qualifiées de « professionnelles » ? Pourquoi les vendeurs de détail, les ouvriers du bâtiment ou les autres femmes au foyer de ce pays ne peuvent-ils pas également être considérés comme des « professionnels » ? Une telle désignation ne signifie-t-elle pas que le reste d’entre nous ne sommes pas professionnels ?

    Le mythe de la vraie vie veut que, si vous confisquiez tout l’argent du monde, puis le divisiez également entre tout le monde, très bientôt, toute la richesse serait de retour entre les mêmes mains d’un pour cent. Ceux qui sont nés riches. A commencé au troisième but et pensait avoir réussi un coup de circuit. Je ne sais pas, j’aimerais voir ce trope prouvé. Essayez-le, juste pour rire. Cela va de pair avec le trope « Personne ne m’a jamais rien donné ». Eh bien, en fait, la plupart de ceux qui colportent ce trope le disent : « Personne ne m’a jamais rien donné ». Ce sont eux qui n’ont pratiquement rien, mais qui sont terrifiés à l’idée qu’un redistributeur leur enlève tout cela. Cela est généralement associé à : « J’ai travaillé dur pour ce que j’ai ». Ce qui, encore une fois, n’est essentiellement rien. Vous avez travaillé.

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  98. En tant qu'agent immobilier agréé de longue date, je déteste le trope qui dit : « on ne mélange pas les affaires avec la famille ». Droite. Ainsi, vous payez de grosses commissions à un étranger si vous vendez une propriété et vous obligez un autre vendeur à payer un étranger si vous achetez une propriété, au lieu de quelqu'un que vous connaissez et que vous êtes censé aimer. Pour avoir fait exactement la même chose. J'ai été poignardé dans le dos par ce trope par trop de membres de ma famille et prétendument d'amis proches pour même en garder une trace. Le trope n’a aucun sens. Pourquoi un membre de votre famille vous tromperait-il - et dans le cas des agents immobiliers, ce n'est pas facile de faire cela - alors qu'il devra vous voir pour le reste de sa vie, afin que vous puissiez le lui rappeler encore et encore ? Au contraire, un membre de votre famille travaillerait plus dur pour vous, juste pour ne pas avoir à s'en plaindre.

    Il existe un trope tacite qui prévaut dans le monde des affaires. Ce trope oblige la direction à punir tous les employés pour l'action ou les actions d'un seul. Au lieu de confronter et de traiter le comportement du travailleur problématique, un mémo est publié qui enlève à tous certains avantages antérieurs. Fini les appels téléphoniques personnels. Pas de navigation sur des sites Internet non professionnels. Si le travailleur en question a gravement abusé des congés de maladie, tous les salariés doivent désormais présenter un certificat médical lors de leur appel. S’ils arrivent régulièrement au travail avec 30 minutes de retard, même les travailleurs les plus ponctuels doivent être surveillés de plus près. À vrai dire, ce trope est lié au fait qu’un pourcentage indu de travailleurs qui abusent des politiques de l’entreprise sont noirs. Alors la direction des White Cucked a imaginé ça.

    Sur le plan personnel, j’aimerais avoir un dollar pour chaque vieil ami ou membre de la famille perdu depuis longtemps qui m’a dit : « Nous devons recommencer très bientôt. » C’est similaire au trope que nous employons tous parfois en disant à ceux qui ont traversé des tribulations : « Faites-moi savoir si je peux faire quelque chose. » Peut-être que quelqu'un, quelque part, a fait savoir à quelqu'un qui a dit cela quelque chose qu'il pouvait faire, mais j'en doute. C’est cependant un trope poli. C’est comme saluer quelqu’un en lui disant : « Comment ça va ? ou "Comment ça va?" Nous n’attendons pas de réponse détaillant comment les choses se passent dans leur vie. Comme l’a défini Ambrose Bierce, la politesse est la forme d’hypocrisie la plus acceptable.

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  99. Un cliché que j’ai entendu de la part des membres de ma propre famille, et qui est évidemment partagé par la plupart des Américains, est que « les parents qui vivent ensemble causent des problèmes ». Ce trope est souvent cité par l’enfant américain adulte typique qui veut à tout prix éviter de s’occuper de ses parents âgés. Et cela n'a aucun sens. Évidemment, les mêmes parents ont vécu avec leurs jeunes enfants pendant au moins dix-huit ans. Tout en prenant soin d'eux. Changer leurs couches. Les rentrer la nuit. Leur lire des histoires au coucher. Les réconforter ou les encourager quand ils en avaient besoin. Mais quand vient le temps pour eux de changer de rôle, de celui de soignant à celui de soignant, les enfants adultes citent souvent ce trope égoïste.

    Les tropes peuvent changer avec le temps. Actuellement, les « mariages à destination » font fureur. Du moins pour ceux issus de familles qui peuvent se le permettre. Cela va de pair avec le trope selon lequel une mariée peut se marier à peu près n'importe où, sauf dans une église. Pendant un certain temps, les mariages dans les vignobles étaient populaires. Puis les mariages dans les granges. Ces tropes de mariage ont tous une chose en commun : pour rendre la cérémonie plus coûteuse pour la famille de la mariée. Et bien sûr, nous finirons par payer, car nous voulons le meilleur pour nos enfants. Étant donné que les mariages sont désormais rarement célébrés dans les églises, nul besoin d’un ministre ou d’un prêtre. La tendance est que des amis président la cérémonie, avec leurs lettres de créance de révérend vendues par correspondance. Ceci est particulièrement souhaité pour les mariages homosexuels.

    De nombreux tropes hollywoodiens sont devenus des tropes de la vie réelle. Grâce au cinéma et à la télévision, d’innombrables jeunes filles ont choisi le « mauvais garçon » plutôt que le gentil et ennuyeux voisin. Cela seul a contribué au dysfonctionnement familial qui est désormais la norme dans l’Amérique 2.0. Les gars sympas ne vont pas très loin, à l’écran ou dans la vraie vie. À moins qu’ils ne puissent devenir durs, ce que certains d’entre eux peuvent faire. Les gentils finissent derniers et tout ça. Les gentils, bien sûr, ne peuvent finir que derniers dans un système dirigé par des non-gentils. Une société qui ne valorise pas la gentillesse. Il est évident que cela décrit parfaitement notre civilisation en ruine. Les femmes américaines ont été endoctrinées dans la conviction que rien n’est pire que « l’ennui ». Les reines du drame à l’écran mènent aux reines du drame dans la vraie vie. La culture du selfie.

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  100. Dans chaque « comédie » hollywoodienne de basse classe, il doit désormais y avoir au moins une scène de vomissement obligatoire. Ils doivent montrer le vomi. Et la nudité masculine. Les fesses masculines dominent les comédies de pot. Et de plus en plus de pénis aussi. Les rôles ont été complètement inversés à partir des années 1970. C’est presque uniquement de la nudité masculine maintenant. Des paroles dures, des coups de pied aux femmes. Mâles mous et faibles en testostérone. Souvent nu. Il n'y a aucune variation. Vous ne trouverez pas de film ou d’émission de télévision avec un personnage féminin doux et giroflée. Toutes les femmes à l’écran sont totalement intrépides. Preneurs de risques. Et vous ne trouverez pas de personnage masculin blanc qui résiste avec confiance à une femme. Le mâle alpha blanc est introuvable à l’écran et est en train de disparaître dans la vraie vie.

    Je ne me soucie pas de la plupart des tropes. Pas d’Hollywood, ni de ceux qui se sont inconsidérément ancrés dans notre culture. Créez vos propres tropes. On peut avoir de l’estime de soi sans devenir insupportable. Vous pouvez être fort et doux à la fois. Vous n’êtes pas obligé d’être un intimidateur ou une victime. La politesse peut parfois être hypocrite, mais c’est la forme la plus acceptable. Soyez fidèle aux membres de votre famille qui essaient de gagner leur vie. Prenez soin de vos parents vieillissants, comme ils prenaient soin de vous. Si vous êtes une femme de 100 livres, n’essayez pas de combattre un homme de 200 livres. Vous ne gagnerez que sur film. Soyez à la pointe : mariez-vous dans une église. Dans votre communauté, pour que les gens n’aient pas à payer pour une « destination ». Lorsque vous sortez de votre voiture, fermez la portière derrière vous.

    https://donaldjeffries.substack.com/p/hollywood-tropes-and-real-life-wisdom

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  101. L'Inde a produit des quantités records d'électricité à partir du charbon en octobre


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 01 DÉCEMBRE 2023 - 04:20
    Par John Kemp, analyste de marché principal


    L'Inde a produit une quantité record d'électricité à partir du charbon en octobre pour compenser un déficit de production d'hydroélectricité suite à des pluies de mousson inférieures à la normale.

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    Le charbon reste fondamental pour la sécurité énergétique du pays, malgré le déploiement rapide de la production éolienne et solaire, soulignant le défi de la réduction des émissions.

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    Malgré les ambitions exprimées lors de la conférence des Nations Unies sur le climat à Dubaï, dans un avenir proche, l’Inde dépendra de ses mines et de son réseau ferroviaire pour satisfaire une demande en électricité en croissance rapide et assurer sa fiabilité.

    La demande totale d'électricité satisfaite a augmenté de 24 milliards de kilowattheures (kWh) (+21 %) en octobre par rapport au même mois de l'année précédente.

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    Mais la production hydroélectrique a chuté de 5 milliards de kWh (-30 %), les précipitations de mousson inhabituellement faibles ayant épuisé les ressources en eau.

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    Les précipitations totales dans la majeure partie de l'Inde, de l'Himalaya et du Tibet ont été inférieures à 80 % de la moyenne à long terme depuis le début de la saison des pluies en juin.

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    Le volume d’eau stocké dans les 150 réservoirs surveillés par la Commission centrale de l’eau de l’Inde était inférieur de 20 % au niveau de 2022 et de 7 % inférieur à la moyenne 2013-2022 le 23 novembre.

    Les réservoirs sont gérés pour fournir un mélange d'hydroélectricité et d'irrigation ; l’épuisement aurait été encore plus grave si la production hydroélectrique n’avait pas été réduite pour économiser l’eau pour l’agriculture.

    Malgré de fortes augmentations de la capacité installée, les productions solaire et éolienne n’ont pas réussi à combler le déficit. L'éolien a augmenté de 0,3 milliard de kWh (+10%)...

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    .... tandis que le solaire est en hausse de 1,3 milliard de kWh (+16%).

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  102. Le système électrique s’est plutôt tourné vers du gaz supplémentaire (1,6 milliards de kWh, +103 %) et surtout du charbon (28 milliards de kWh, +33 %) pour répondre à la demande.

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    Les générateurs au charbon ont produit un record saisonnier de 111 milliards de kWh en octobre 2023, contre 84 milliards de kWh en octobre 2022.

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    Le charbon a satisfait 80 % de la demande d'électricité, contre 73 % un an plus tôt, tandis que la part de l'hydroélectricité est tombée à 9 % contre plus de 15 %.

    LE CHARBON RESTE ROI

    La capacité solaire installée de l’Inde a augmenté de près de 47 millions de kilowatts (+24 % par an) tandis que la capacité éolienne a augmenté de 9 millions de kilowatts (5 % par an) depuis début 2018.

    Au cours de la même période, la capacité de production au charbon n’a augmenté que de 9 millions de kilowatts (1 % par an) et la capacité au gaz est restée pratiquement inchangée.

    Mais les unités au charbon ont une utilisation beaucoup plus élevée et sont particulièrement essentielles pour répondre à la charge pendant les saisons intermédiaires de mars-avril et septembre-octobre, lorsque la production renouvelable est moindre mais la charge de la climatisation est relativement élevée.

    En dernière analyse, le système électrique indien reste extrêmement dépendant du charbon pour sa charge de base et sa fiabilité.

    Pour faire face à la demande croissante d'électricité et aux mauvaises conditions hydrologiques, l'Inde a augmenté sa production minière et le volume transporté par les chemins de fer vers les générateurs pour atteindre des taux records en octobre.

    La production de charbon a augmenté de 13 millions de tonnes en octobre et d'un total de 87 millions de tonnes depuis janvier par rapport à l'année précédente.

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  103. Le volume expédié aux producteurs d'électricité a augmenté de 8 millions de tonnes en octobre et de 35 millions de tonnes au cours des dix premiers mois.

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    Malgré cela, les stocks de charbon des générateurs ont été gravement épuisés en septembre et octobre et, fin octobre, ils avaient été réduits à seulement 7,5 jours au niveau requis.

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    Les stocks ont été réduits à leur plus bas niveau depuis trois ans et proches des niveaux qui ont déclenché la crise du carburant et les pannes d’électricité en septembre 2021.

    La production et l’expédition de charbon devront rester élevées tout au long de l’hiver, lorsque la consommation est plus faible, afin de reconstituer les stocks avant la prochaine saison intermédiaire.

    https://www.zerohedge.com/markets/india-produced-record-amounts-electricity-coal-october

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  104. La Maison Blanche devient voyou : un programme de surveillance secrète enfreint toutes les lois


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 30 NOVEMBRE 2023 - 05h40
    Rédigé par John et Nisha Whitehead via le Rutherford Institute,


    « Nous entrons rapidement dans l’ère de l’absence de vie privée, où chacun est ouvert à la surveillance à tout moment ; où il n’y a aucun secret pour le gouvernement.
    - William O. Douglas, dissident dans Osborn c.États-Unis (1966)

    Le gouvernement veut nous faire croire que nous n’avons rien à craindre de ses programmes d’espionnage de masse tant que nous n’avons rien fait de mal.

    N'y croyez pas.

    Peu importe que vous obéissiez à toutes les lois. La définition donnée par le gouvernement d’un « méchant » est extraordinairement large et aboutit à une surveillance sans mandat d’Américains innocents et respectueux des lois à une échelle stupéfiante.

    Par exemple, il a été récemment révélé que la Maison Blanche, s’appuyant sur un ensemble de failles dans la vie privée, avait contourné le Quatrième Amendement en payant AT&T pour permettre aux forces de l’ordre fédérales, étatiques et locales d’accéder – sans mandat – aux relevés téléphoniques des personnes. Des Américains qui ne sont pas soupçonnés d'un crime.

    Cela va bien au-delà du programme de collecte de métadonnées de la NSA.

    Exploité sous les présidences d’Obama, de Trump et maintenant de Biden, ce programme secret de surveillance (anciennement connu sous le nom d’Hemisphere et maintenant baptisé Data Analytical Services) utilise son association avec la Maison Blanche pour contourner un large éventail de lois sur la confidentialité et la transparence.

    Selon le sénateur Ron Wyden, Hemisphere opère sans aucune surveillance depuis plus d'une décennie sous couvert de répression contre les trafiquants de drogue.

    C’est ainsi que le gouvernement enfreint systématiquement la loi et s’en tire impunément : au soi-disant nom de la sécurité nationale.

    Plus d’un billion d’enregistrements téléphoniques nationaux sont extraits chaque année grâce à ce programme de surveillance de masse, ciblant sans mandat non seulement les personnes soupçonnées d’activités criminelles, mais également toute personne avec laquelle ils pourraient avoir des contacts, y compris les conjoints, les enfants, les parents et les amis.

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  105. Ce ne sont pas seulement les organismes d’application de la loi qui enquêtent sur les crimes liés à la drogue qui utilisent Hemisphere pour contourner le Quatrième Amendement. Parmi ceux qui ont reçu une formation dans le cadre du programme figurent des postiers, des agents pénitentiaires, des agents de patrouille routière, des policiers frontaliers et des membres de la Garde nationale.

    C’est un programme prêt à être abusé, et vous pouvez être sûr qu’il en est de même.

    La surveillance, le harcèlement numérique et l’exploration de données sur le peuple américain – armes de conformité et de contrôle entre les mains du gouvernement – n’ont pas rendu l’Amérique plus sûre, et ils ne contribuent certainement pas à préserver nos libertés.

    En effet, l’Amérique ne sera jamais en sécurité tant que le gouvernement américain sera autorisé à détruire la Constitution.

    Le Quatrième Amendement était destiné à servir de champ de force protecteur autour de nos personnes, de nos biens, de nos activités, de nos communications et de nos mouvements. Cela maintient le gouvernement à l’écart de nos affaires privées, sauf dans certaines circonstances atténuantes.

    Ces circonstances atténuantes sont clairement énoncées : les représentants du gouvernement doivent avoir des raisons probables qu’une activité criminelle soit en cours (une norme juridique plus élevée que celle des « soupçons raisonnables »), ce qui est exigé par la Constitution avant qu’un représentant du gouvernement puisse fouiller un individu ou ses biens.

    Malheureusement, les trois branches du gouvernement – les corps législatifs, les tribunaux et les bureaux exécutifs – ont donné à l’État policier toutes sortes de latitudes pour contourner le Quatrième Amendement.

    En conséquence, quotidiennement, les Américains sont déjà amenés à renoncer aux détails les plus intimes de qui nous sommes : notre constitution biologique, nos plans génétiques et nos données biométriques (caractéristiques et structure du visage, empreintes digitales, scanners de l'iris, etc.) – afin de franchir l’obstacle presque insurmontable qui définit de plus en plus la vie aux États-Unis : nous sommes désormais coupables jusqu’à preuve du contraire.

    La surveillance systématique et sans mandat est la manifestation d’un gouvernement anarchique qui s’est montré voyou dans sa détermination à faire ce qu’il veut, quand il le veut, au diable la Constitution.

    Surveillance à la traîne. Géolocalisation. Centres de fusion. Appareils intelligents. Évaluations comportementales des menaces. Listes de surveillance du terrorisme. La reconnaissance faciale. Lignes de pointe du vif d'or. Scanners biométriques. Pré-crime. Bases de données ADN. Exploration de données. Technologie précognitive. Applications de recherche de contacts.

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  106. Tout cela aboutit à un monde dans lequel, chaque jour, la personne moyenne est désormais surveillée, surveillée, espionnée et traquée de plus de 20 manières différentes par les yeux et les oreilles du gouvernement et des entreprises.

    Cette nouvelle ère effrayante d’espionnage gouvernemental et corporatif – dans laquelle nous sommes écoutés, surveillés, traqués, suivis, cartographiés, achetés, vendus et ciblés à chaque seconde de chaque jour – a été rendue possible par une armée mondiale de techno-tyrans. , des écoutes électroniques, des fouineurs robotiques et des voyeurs numériques.

    Le gouvernement dispose d'un véritable arsenal d'outils de surveillance pour suivre nos mouvements, surveiller nos dépenses et détecter toutes les façons dont nos pensées, nos actions et nos cercles sociaux pourraient nous placer sur la liste des méchants du gouvernement, que vous ayez fait quelque chose ou non. faux.

    Pour compléter la liste des façons dont l’État techno-entreprise et le gouvernement américain s’entendent pour annuler le droit à la vie privée de l’individu, on trouve la dernière initiative de l’administration Biden visant à exploiter la puissance des technologies de l’intelligence artificielle tout en prétendant protéger les citoyens contre tout préjudice.

    Dans son décret sur l’intelligence artificielle, le président Biden appelle à des lignes directrices sur la manière dont le gouvernement utilisera l’IA tout en insistant sur le fait que les entreprises protègent la vie privée des consommateurs.

    Il est ironique que le gouvernement même qui a secrètement envahi nos droits à la vie privée veuille se nommer gardien de ces droits.

    Dites-moi ceci : comment faites-vous confiance à un gouvernement qui contourne continuellement la Constitution et porte atteinte à nos droits ? Vous ne pouvez pas.

    On ne peut pas faire confiance à un gouvernement qui ment, triche, vole, espionne, tue, mutile, asservit, enfreint les lois, outrepasse son autorité et abuse de son pouvoir à chaque instant.

    Au minimum, vous ne devriez pas confier au gouvernement votre vie privée, votre propriété ou vos libertés.

    Quoi qu’il en soit – un danger, une menace, une menace – le gouvernement américain ne veille certainement pas à nos meilleurs intérêts.

    N'oubliez pas que le but d'un bon gouvernement est de protéger la vie et les libertés de sa population.

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  107. Malheureusement, ce à quoi nous sommes confrontés est, à presque tous égards, exactement le contraire d’une institution vouée à protéger la vie et les libertés de sa population.

    En effet, le gouvernement a l’habitude d’exploiter sans vergogne les urgences nationales à ses propres fins néfastes.

    Attaques terroristes, fusillades de masse, troubles civils, instabilité économique, pandémies, catastrophes naturelles : le gouvernement profite de ces crises depuis des années pour accroître son pouvoir sur une population sans méfiance et largement crédule.

    C’est exactement là où nous nous trouvons aujourd’hui : pris dans la ligne de mire d’une confrontation entre les droits de l’individu et l’État dit « d’urgence ».

    Toutes ces libertés que nous chérissons – celles inscrites dans la Constitution, celles qui affirment notre droit à la liberté d'expression et de réunion, à une procédure régulière, à la vie privée, à l'intégrité physique, le droit de ne pas laisser la police saisir nos biens sans mandat, ou perquisitionner et nous détenir sans motif probable – ne signifie rien lorsque le gouvernement et ses agents sont autorisés à ignorer à volonté ces interdictions d’abus gouvernemental.

    C’est la sombre réalité de la vie dans l’État policier américain : nos soi-disant droits ont été réduits à des détails techniques face aux prises de pouvoir continues du gouvernement.

    Même si la surveillance peut couvrir un large éventail de méthodes et de scénarios, le dénominateur commun reste le même : un mépris total des droits des citoyens.

    Avec chaque décision de justice qui permet au gouvernement d'agir au-dessus de l'état de droit, chaque texte de loi qui limite nos libertés et chaque acte répréhensible du gouvernement qui reste impuni, nous sommes lentement conditionnés à une société dans laquelle la Constitution ne veut rien dire.

    Toute tentative du gouvernement d’empiéter sur le droit à la vie privée des citoyens ou d’établir un système par lequel la population peut être ciblée, traquée, surveillée et pointée du doigt doit être accueillie avec une extrême prudence.

    À l’ère de la surveillance policière et de la surcriminalisation avant le crime, la surveillance au filet est fondamentalement une expédition de pêche menée sans mandat, une tentative flagrante de contourner l’exigence de mandat du Quatrième amendement et l’interdiction des perquisitions et saisies abusives.

    Ce dont nous avons besoin, c'est d'un panneau numérique « Interdit d'entrer » qui protège nos droits à la vie privée et affirme notre droit d'être laissé tranquille.

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  108. Là encore, comme je l’explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son équivalent fictif The Erik Blair Diaries, ce dont nous avons réellement besoin, c’est d’un gouvernement qui respecte les droits des citoyens et obéit à la loi.

    https://www.zerohedge.com/political/white-house-goes-rogue-secret-surveillance-program-breaks-all-laws

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  109. Comment fonctionne l'élevage de porcs au Mexique, pays du top 10 ?


    1 Décembre 2023
    Martina Hungerkamp, AGRARHEUTE*


    Au Mexique, jusqu'à 70 % des porcs sont élevés dans de grandes fermes intégrées.

    Le Mexique et l'élevage de porcs vont de pair. Le pays est devenu l'un des plus grands producteurs de viande de porc au monde.

    Carnitas, Chicharrón ou Cochinita Pibil – ce sont tous des délices mexicains qui ont un point commun : l'ingrédient principal est la viande de porc. Depuis l'époque coloniale, les Mexicains mangent et aiment la viande de porc, et ce bien que les premiers porcs ne soient arrivés dans le Nouveau Monde qu'avec la colonisation et la conquête au 16e siècle.

    L'élevage de porcs est devenu la principale source de viande jusqu'en 1960 et l'industrie porcine mexicaine a connu depuis lors des changements fondamentaux dans ses systèmes de production. Ainsi, selon Pig Progress, 70 % de la viande de porc provient actuellement de grands élevages spécialisés.

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  110. En 2021, le cheptel porcin national s'élevait à près de 19 millions de têtes et se situait au huitième rang mondial. Selon le Département Américain de l'Agriculture (USDA), le Mexique a produit en 2022 un peu plus de 1,5 million de tonnes de viande de porc et occupe ainsi également la huitième place dans la production mondiale après des pays comme la Chine, les États-Unis, le Brésil et le Canada.

    Élevage porcin : d'abord dans l'arrière-cour, maintenant intégré verticalement

    Au Mexique aussi, jusqu'au début des années 90, l'élevage porcin était surtout pratiqué par les paysans. Aujourd'hui, l'exploitation porcine typique est intégrée verticalement, tout comme l'entreprise Porcícola Garleón. Celle-ci compte actuellement entre 18.000 et 22.000 truies. L'entreprise est ainsi l'un des plus grands et des plus importants producteurs de viande de porc de la région du Bajio mexicain, qui comprend entre autres les États de Guanajuato, Jalisco et Michoacann.

    Porcícola Garleó fait partie, avec d'autres fermes à San Luis Potosi et Veracruz, du groupe international Nu3. Ce groupe a été fondé en 1951 et l'une de ses principales activités est l'élevage de porcs en milieu fermé. Le groupe emploie 5.000 personnes, notamment dans les secteurs suivants : les usines commerciales d'aliments pour animaux, l'élevage de volailles de chair et de poules pondeuses et l'élevage de porcs.

    Augmentation des coûts dans la production porcine mexicaine

    Selon Porcícola Garleón, ils luttent eux aussi contre des coûts de production élevés alors que les prix et les marchés de la viande de porc sont volatils. L'entreprise craint la hausse des coûts des matières premières, les défis en matière de santé animale et l'augmentation des mesures de protection de l'environnement.

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  111. De manière générale, les responsables de Porcícola Garleón voient actuellement la situation des éleveurs de porcs mexicains d'un œil très critique. Nombre d'entre eux devraient poser des jalons importants pour l'avenir dans les années à venir en raison de la hausse des coûts de production et améliorer leur efficacité dans tous les domaines. L'objectif premier est donc d'augmenter l'efficacité.

    Pour l'ensemble de la filière porcine mexicaine, l'entreprise voit les opportunités suivantes : si elle veut rester l'une des branches les plus fortes à l'avenir, la population doit croître et le marché doit devenir plus fort et plus rentable. Le succès n'est possible que dans le cadre d'une intégration complète, dans laquelle moins de personnes produisent plus. Le défi actuel est d'obtenir la meilleure rentabilité.
    _____________

    * Martina Hungerkamp travaille chez AGRARHEUTE en tant que rédactrice cross-média dans la rubrique élevage. Elle écrit principalement sur l'élevage d'animaux de rente, de préférence sur les porcs et la volaille.

    Source : Top-Ten-Land Mexiko: So funktioniert dort die Schweinehaltung | agrarheute.com

    https://seppi.over-blog.com/2023/12/comment-fonctionne-l-elevage-de-porcs-au-mexique-pays-du-top-10.html

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