Le Canada euthanasie 36 citoyens chaque jour, selon les données
20/11/2023 Ethan Huff
L'une des capitales mondiales de l'euthanasie, le Canada, revient dans l'actualité en raison du nombre élevé de citoyens qui meurent chaque jour dans tout le pays par suicide assisté.
Selon les derniers chiffres, 36 Canadiens meurent chaque jour avec l'aide d'un médecin agréé par le gouvernement. En fait, l'euthanasie est maintenant si populaire au Canada qu'elle représente 4,1 % des décès à l'échelle nationale.
Il s’agit d’une augmentation significative depuis 2021, alors que seulement 3,3 % des décès annuels au Canada étaient dus à l’euthanasie.
Le quatrième rapport annuel sur l'aide médicale à mourir (AMM) pour 2022, qui vient d'être publié le mois dernier, indique que depuis 2016, l'euthanasie a coûté la vie à près de 45 000 Canadiens.
Soit dit en passant, l’AMM a été légalisée en 2016. Cette année-là, 1 018 Canadiens ont choisi de mourir dans le cadre du programme. À peine six ans plus tard, en 2022, ce chiffre annuel de décès par euthanasie au Canada est monté en flèche pour atteindre 13 241 personnes, ce qui équivaut à environ 36 décès par euthanasie par jour dans tout le Canada.
"Cela équivaut à un taux de croissance annuel moyen de 31,1% depuis 2019", explique un rapport sur le sujet. "Les données montrent que 81 % des demandes écrites d'AMM ont été accordées."
« Cependant, sur les 19 % restants, seulement 3,5 % des demandeurs ont été jugés inadmissibles à l'AMM, un nombre en baisse depuis 2019. »
(Connexe : Saviez-vous que le Canada vient d'élargir ses lois sur le suicide assisté pour inclure désormais l'euthanasie des nourrissons ?)
Si plus de lits étaient disponibles, encore plus de Canadiens se verraient accorder l’euthanasie Une chose importante à noter dans tout cela est que la plupart des patients au Canada qui se voient refuser l’AMM ne le sont que parce que les établissements agréés n’ont tout simplement pas assez de capacité pour gérer leur aide à mourir.
"Cela signifie que les individus appartenant à cette catégorie ont été refusés uniquement en raison du manque de lits disponibles, et qu'ils auraient été euthanasiés si l'espace le permettait", expliquent les rapports.
Les provinces canadiennes connaissant le plus de suicide assisté sont le Québec et la Colombie-Britannique. Sur tous les décès dans ces deux provinces, respectivement 6,6 pour cent et 5,5 pour cent sont causés par le suicide assisté.
À l'inverse, les deux provinces canadiennes ayant les niveaux d'euthanasie les plus faibles sont Terre-Neuve-et-Labrador et le Manitoba, représentant respectivement 1,5 pour cent et 2,1 pour cent de tous les décès.
Selon Santé Canada, une personne doit ressentir « des souffrances physiques ou psychologiques intolérables causées par son état de santé ou son état de déclin et qui ne peuvent être soulagées dans des conditions qu'elle juge acceptables » pour être admissible à l'AMM.
Une enquête auprès des bénéficiaires de l'AMM a révélé que la principale source de « souffrance intolérable » est la « perte de la capacité de s'engager dans une activité significative dans la vie », avec 86 pour cent des répondants affirmant qu'ils en font l'expérience. Quatre-vingt-deux pour cent ont indiqué qu'ils avaient opté pour le suicide assisté parce qu'ils avaient perdu la capacité d'accomplir les activités de la vie quotidienne, ce qui signifie activités de la vie quotidienne.
"Cela confirme que l'euthanasie est avant tout une question existentielle, et non une question de gestion de la douleur ou médicale", affirme Amanda Achtman, défenseure de la vie et opposée au suicide assisté.
« Le gouvernement du Canada continue d'utiliser des euphémismes effrayants, notamment :
– Dispositions pour l'AMM
– 'destinataires' de l'AMM
– une « croissance d'une année sur l'autre » constante [en nombre de décès]
– 'effectué la procédure'
– « garanties assouplies »
– « Systèmes de coordination des soins MAID », a tweeté Achtman dans une série de messages sur le fait que tout n'est pas ce qu'il semble être au Canada concernant son programme d'euthanasie.
"Comme les années précédentes, le type de souffrance le plus cité qui conduit une personne à demander l'euthanasie est 'la perte de la capacité de s'engager dans des activités significatives'."
À compter du 17 mars 2024, les personnes ayant des problèmes mentaux comme seul problème de santé sous-jacent ne seront plus admissibles à l’AMM.
Les dernières nouvelles sur la pression croissante en faveur de davantage d’euthanasie peuvent être trouvées sur Depopulation.news.
Le BMJ publie un éditorial choquant citant des médecins qui placent le « changement climatique » au-dessus des intérêts des patients
20/11/2023 Ethan Huff
Saviez-vous que le British Medical Journal (BMJ) a publié un éditorial appelant les médecins du monde entier à détourner leur attention des soins aux patients et à se concentrer sur le changement climatique ?
Juste avant la COP26 à Glasgow en 2021, l'éditorial du BMJ a été publié pour semer dans la profession médicale le mythe selon lequel prendre soin des patients contribue de manière significative aux « émissions de gaz à effet de serre », la suggestion étant que les patients devraient simplement être autorisés à mourir pour sauver la planète.
Ce n'est que si les « professionnels de la santé » apprennent à réduire le « surdiagnostic » et le « surtraitement » que la profession médicale dans son ensemble pourra s'adapter au changement climatique, affirme l'éditorial, suggérant que laisser davantage de patients mourir contribuera à « refroidir » la planète et à prévenir cela du "réchauffement".
"Soyons clairs : l'establishment médical veut réduire le diagnostic précoce du cancer afin d'éviter que Big Ben ne disparaisse sous des vagues de 100 pieds par semaine mercredi", écrit Vernon Coleman à propos du ridicule de la position de l'éditorial. "C'est terriblement méchant."
(Connexe : La guerre contre le carbone est un principe majeur du culte du suicide collectif psychotique des sectateurs du climat.)
Le changement climatique "est la véritable crise sanitaire de notre époque", affirme l'establishment médical Les taux croissants de maladies chroniques dues aux organismes génétiquement modifiés (OGM), aux vaccins, à la 5G et à d'autres poisons sociétaux doivent passer au second plan face au concept mythique du changement climatique, affirme désormais l'establishment médical, arguant que « l'urgence climatique est la véritable crise sanitaire de notre époque."
Étonnamment, le même BMA qui a publié l’éditorial mentionné ci-dessus affirme également que la Grande-Bretagne a besoin de 60 000 médecins supplémentaires – pour quoi, dirions-nous, si le changement climatique est la véritable priorité ?
Peut-être que l’objectif de l’arrivée de plus de médecins au sein du National Health Service (NHS), le système de santé contrôlé par le gouvernement du Royaume-Uni, est de les utiliser comme des types du Dr Kevorkian pour se débarrasser des patients afin de « sauver la planète » ?
Coleman semblerait être d'accord, ayant écrit dans un article récent que la profession médicale d'aujourd'hui dans son ensemble « est complice des attaques du gouvernement contre les personnes qu'elle est payée pour servir » – d'autant plus que le gouvernement a clairement indiqué qu'il « ne Je ne veux pas de médecins plus âgés, expérimentés et indépendants d'esprit travaillant en Grande-Bretagne", dit-il.
Non, ce que veut le gouvernement britannique, c’est une nouvelle armée de faux professionnels de la santé qui obéiront à tous les ordres anti-humains que leur transmettent leurs suzerains, le tout au nom de la protection de la planète contre la destruction des gaz à effet de serre.
En fait, le Conseil médical général (GMC) s'est fait un devoir d'expulser les médecins les plus âgés et les plus expérimentés afin qu'ils puissent être remplacés par une nouvelle race de laquais médicaux, « facilitant ainsi la destruction du NHS, la destruction de vastes nombre de patients âgés et malades et pour faire passer le canular de la grippe rebaptisé et la fraude associée impliquant une injection expérimentale.
"Peut-être que le gouvernement a réalisé que des médecins plus âgés et plus expérimentés, non liés par un contrat avec le NHS, sans hypothèques à payer et sans soucis de carrière future, pourraient être plus susceptibles de remettre en question tout le canular de la grippe", écrit encore Coleman dans son dernier article. livre, "Truth Teller: The Price".
"Il est à noter que la plupart des rares médecins qui s'opposent à la fraude sont des médecins plus âgés et plus expérimentés."
L’idée même du « zéro net », qui est actuellement fortement défendue en Occident, implique l’éradication quasi totale des êtres humains de la planète. Cela s’aligne sur le plan de l’Agenda 2030 visant à dépeupler massivement le monde, laissant derrière lui une classe d’esclaves beaucoup plus petite pour servir tous les caprices des mondialistes.
Vous trouverez davantage d’informations sur l’opération psychologique sur le réchauffement climatique sur Climate.news.
Le médecin canadien Mark Trozzi reconnu coupable de faute professionnelle après s'être prononcé contre les vaccins et les mandats contre la COVID-19
19/11/2023 Laura Harris
Le Tribunal disciplinaire des médecins et chirurgiens de l'Ontario (OPSDT) a déclaré le traumatologue canadien Mark Trozzi coupable de faute professionnelle pour sa dissidence vocale à l'égard des vaccinations et des mandats contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
La décision de l'OPSDT du 6 octobre a déclaré que Trozzi n'avait pas respecté les normes de pratique de la profession médicale concernant les vaccinations et les mandats contre le COVID-19. Il faisait référence aux déclarations qu'il avait faites sur ses profils de réseaux sociaux et sur ses sites Web officiels, ainsi qu'à ses interviews – que le tribunal avait qualifiées de « désinformation ».
L'OPSDT a également qualifié le médecin d'« incompétent » pour délivrer des exemptions médicales pour les vaccins contre la COVID-19. En conséquence, l'Ordre des médecins et chirurgiens de l'Ontario – l'entité mère de l'OPSDT – cherche à révoquer définitivement son permis médical.
"Nous avons déjà une décision contre nous au [CPSO], mais nous nous y attendions, donc nous jouons le long jeu", a déclaré l'avocat de Trozzi, Michael Alexander. Il a ajouté que lui et son client avaient interjeté appel auprès du système judiciaire en réponse à la décision. Alexander a fait valoir que le procès contre Trozzi constitue une attaque contre la liberté d’expression.
"Les universités assument désormais le rôle de censeurs, et les médecins doivent suivre [à la fois] la ligne de l'université et celle du gouvernement en matière de santé publique et d'autres questions scientifiques. Il s'agit d'une attaque vraiment fondamentale contre la liberté d'expression, donc c'est un problème très troublant. développement."
Une audience sur la sanction a eu lieu le 10 novembre, mais le verdict n'est attendu qu'en décembre.
Trozzi a exhorté les responsables de la santé au Canada à reconsidérer leurs politiques en matière de pandémie Au plus fort de la pandémie, il a publiquement déconseillé les injections de COVID-19 en raison de leur sécurité et de leur efficacité douteuses à la suite de son étude indépendante de leurs ingrédients. Trozzi a également affirmé que les incitations financières compromettaient le jugement des médecins concernant le récit du COVID-19. En conséquence, lui et son collègue médecin ontarien Rochagne Kilian n’ont pas eu le droit de délivrer des exemptions médicales pour les injections de COVID-19, les exigences de masquage et les tests en 2021.
Dans une mise à jour vidéo publiée le 13 novembre, Trozzi a révélé qu'il faisait l'objet de poursuites judiciaires pour avoir défié les mandats COVID-19 fixés par le CPSO. Le médecin, assiégé, a exhorté les ministères de la Santé des provinces canadiennes à reconsidérer leurs politiques relatives au COVID-19. Il a souligné des preuves récentes d’une contamination de l’ADN dans les injections de Pfizer et Moderna.
"Mettez entre parenthèses vos politiques liées au COVID. Arrêtez toute persécution contre les médecins, les infirmières et tous ceux qui reconnaissent les dangers et, surtout, alertez immédiatement tous les médecins, les infirmières et les citoyens que Pfizer a menti", a déclaré Trozzi. "Les injections sont contaminées et toutes les injections doivent cesser immédiatement. Nous pouvons maintenant nous unir en tant que pays et peuple contre les auteurs de la fraude."
Trozzi et Kilian n'étaient pas les seuls médecins visés par le CPSO. Le collège a également jeté son dévolu sur des médecins dissidents tels que Mary O'Connor, Celeste Jean Thirlwell, Patrick Phillips et Crystal Luchkiw pour avoir refusé de se conformer aux protocoles standard COVID-19 dictés par l'établissement médical. Selon le CPSO, des arrêtés d'urgence ont été émis en vertu de la Loi sur les professions de santé réglementées pour empêcher les pratiques qui « exposent ou sont susceptibles d'exposer les patients à un préjudice ou à une blessure ».
Cette répression contre les médecins non conformes pendant la pandémie de COVID-19 a incité le Dr Robert Malone à dénoncer la « rééducation » des médecins canadiens dissidents. Malone est l’inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, qui a ensuite été réutilisée pour les injections du COVID-19.
Visitez MedicalFascism.news pour plus d’histoires sur les commissions médicales punissant les médecins qui s’écartent du récit du COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les mensonges liés au mandat des masques COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne Think About It sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
Montrez votre soutien au Dr Mark Trozzi alors qu'il risque de perdre sa licence médicale.
11 Des professeurs exigent que l’Université de Californie mette fin aux mandats de vaccination contre la COVID.
L’acteur Woody Harrelson redouble d’efforts et affirme que les mandats « absurdes » liés au COVID doivent cesser.
Un éminent cardiologue britannique appelle à la fin des mandats de vaccination contre la COVID en Australie.
La Floride interdit définitivement tous les mandats de masques et de vaccins contre le COVID-19 dans les écoles et les entreprises.
Une production de vaccins plus rapide, un contrôle permanent de la pandémie, le Secrétaire général comme médecin du monde, la censure et la surveillance : tels ne sont que quelques-uns des points clés de la réforme de l'OMS.
Les travaux se poursuivent avec diligence sur la réforme de l’OMS, et l’Allemagne et Karl Lauterbach en particulier en font également publiquement la promotion. La virologue et experte en guerre biologique, Meryl Nass, a récemment résumé huit points clés de la réforme envisagée . Il offre ainsi un aperçu très concis de l’état du développement et des changements cruciaux si la réforme réussit.
Faits saillants et ajouts par TKP.
La propagation d'agents de guerre biologique.
Le traité et les amendements proposés [La réforme de l'OMS se compose de deux parties, le « Traité sur la pandémie » et l'amendement au Règlement sanitaire international, ndlr] exigent que les États surveillent les agents pathogènes pandémiques potentiels, établissent ou maintiennent des laboratoires de séquençage et partagent des échantillons avec l'OMS (où un BioHub a été créé à cet effet) et pour la diffusion en ligne des séquences. Cela nécessite la prolifération d’agents de guerre biologique, ce qui, à mon avis, constitue un crime (sur la base de mon interprétation de la résolution 1540 du Conseil de sécurité et de la Convention sur les armes biologiques de 1972).
1 heure du matin. La version « texte de bureau » du contrat du 2 juin 2023 appelle également les États menant des recherches sur les gains de fonction à « supprimer les barrières administratives » à ce travail. En d’autres termes, les restrictions sur la recherche devraient être assouplies, ce qui augmenterait le risque de fuites dans les laboratoires. Ce paragraphe a été supprimé dans la version du contrat en date du 30 octobre 2023.
L’OMS peut faire un chèque en blanc
Le traité stipule qu'une Conférence des Parties et un nouveau Secrétariat de l'OMS seront créés à l'avenir pour établir des règles de fonctionnement de l'appareil de prévention et de riposte à la pandémie.
Les vaccins sans responsabilité sont produits à l’aide d’un procédé turbo
Le contrat prévoit un développement et une production rapides de vaccins et une réduction de tous les aspects du développement, des tests et de la production des vaccins . Cela suppose que les vaccins peuvent être utilisés sans licence, et le traité exige que les pays disposent de lois pour accorder des autorisations d’urgence et « réglementer » les questions de responsabilité à cette fin. Pour plus d’informations, voir « Le traité proposé par l’OMS augmentera le nombre de pandémies d’origine humaine ». Les États-Unis, l’UE et d’autres ont spécifiquement demandé une période de développement de vaccins de 100 jours et 30 jours supplémentaires pour la production de vaccins contre la pandémie. Cela ne permettrait pas de tests significatifs sur les humains.
L’Islande retire de facto la vaccination contre le Corona
21 novembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
L’Islande fait partie des pays qui ont déployé des efforts pour atteindre une couverture vaccinale totale. Mais vous faites également partie des pays qui ont tout bien documenté dès le départ et qui sont désormais prêts à en assumer les conséquences. Les vaccins contre le Corona sont désormais difficiles à obtenir, voire pas du tout. Mais le retrait s’effectue plutôt tranquillement et tranquillement. On ne prévient que contre la grippe !
Le TKP a fait hier le point sur l'Autriche . Selon la réponse à la question parlementaire du député Gerald Hauser (FPÖ), 641,3 millions d'euros ont été dépensés pour environ 65 millions de doses de vaccin pour les 8 millions d'habitants du pays, dont 18,7 millions de doses (soit environ 184,5 millions d'euros) sont périmées. inutilisées ou 11,7 millions de canettes (soit environ 111,5 millions d'euros) ont déjà été détruites. Ainsi, 8,12 canettes ont été achetées par habitant âgé de 0 à 100 ans. Qu'en pensaient exactement les membres responsables du gouvernement fédéral ?
Mais revenons en Islande. Il y a quelques jours , cette annonce énigmatique est apparue dans les journaux islandais (lien vers l'article en islandais ) comme le rapporte Sasha Latypova :
Voici la traduction allemande [commentaires ajoutés] :
Selon Ragnheiður Óskar Erlendsdóttur, chef des services infirmiers du service de santé de la région de la capitale, il y a eu récemment une forte augmentation des infections respiratoires. [Services nationaux de santé couvrant toute la capitale et les villes environnantes].
« Nous savons qu'il y a une grande participation aux consultations au niveau local », dit-elle. Force est de constater que le Covid-19, comme d’autres épidémies, est largement répandu dans la société.
"Maintenant, le Covid est comme n'importe quelle autre grippe, mais comme les autres grippes, nous aimerions demander aux gens de faire une pause et de pratiquer la prévention des infections si les symptômes sont graves." [Dans la phrase précédente, c'est un fléau, ici c'est juste une grippe.» et nous voulons que vous restiez simplement à la maison pour que nous n'ayons pas à faire face aux conséquences d'un empoisonnement massif que nous avons provoqué avec des préparations « sûres et efficaces »].
Depuis le 18 octobre, les personnes âgées de 60 ans et plus et celles souffrant de problèmes de santé sous-jacents peuvent se faire vacciner contre le Covid et la grippe, mais Ragnheiður affirme que la participation a été modérée.
À partir de la semaine prochaine, les citoyens pourront se faire vacciner contre la grippe au centre de santé, mais pas contre le Covid.
Attends quoi ?
Un journaliste local qui a passé quelques appels a déclaré que personne ne pouvait expliquer pourquoi la vaccination contre le corona n'était pas proposée. C'est comme si le gouvernement... aurait pensé. Ou quelque chose comme ça.
Mais... si vous insistez vraiment, vous pouvez vous faire vacciner dans 1 pharmacie à travers le pays...
Mais... vous devez amener 4 amis car ils ne veulent pas gaspiller 5 injections par flacon.
Cette révélation intervient après les dégâts massifs causés par l’empoisonnement de 80 % de la population :
Cette capture d’écran montre clairement qu’il n’y a jamais eu de pandémie en Islande et que la surmortalité n’a eu lieu qu’après l’administration et l’utilisation du poison injectable.
Latypova commente le résultat comme suit :
Le monstre n'admettra pas qu'il a perdu. Ils vont le balayer sous le tapis et faire de petites annonces obscures qu’ils espèrent que personne ne remarquera, comme ils le font en Islande et ailleurs (exemple de l’Australie). Ils agiront comme si de courageux responsables de la santé publique avaient combattu la peste et bâclé quelque chose, mais c'était le mieux que ces connards pouvaient faire. Ils agiront comme s’il y avait une « audience » sur la manière de prévenir de futures pandémies (qui ont toujours été fausses, ici et ici). En aucun cas, ils n’admettront que les lois actuelles aux États-Unis et dans l’Union européenne permettent que le génocide humain de masse perpétré par le gouvernement soit totalement légal, tant qu’ils continueront à imposer le poison biochimique à tout le monde en tant que « contre-mesure de l’EUA en vertu du droit public » de la santé. urgence". C'est pourquoi ils veulent vous faire croire aux pandémies, ou du moins aux épidémies, et surtout au mythe selon lequel les virus d'origine humaine qui représentent un réel danger pour des millions, voire des milliards de personnes, sont facilement créés par des étudiants dans des garages avec des composants achetés sur Amazon. être produit. Mais vous n’êtes pas autorisé à critiquer le CDC VRC pour avoir créé un poison biologique et l’avoir qualifié de « vaccin ». Parce que les scientifiques du CDC PRC sont à la fois bons et stupides – ils ne verraient jamais comment cela est possible… Je recommence, je dois arrêter cette haine et cette hyperbole… »
L'Autriche a acheté 8 seringues par personne, l'UE a acheté 5,4 milliards de seringues pour 450 millions de citoyens de l'UE, soit 12 seringues par citoyen de l'UE. Un parrainage vraiment très généreux de l'industrie pharmaceutique – environ 640 millions d'euros en Autriche, environ 100 milliards d'euros dans l'UE.
Y a-t-il un aveu de connerie ? Je n'ai rien entendu.
Nous poursuivons – Le processus juridique visant à gérer la période Corona en Allemagne commence
21 novembre 2023 par Andrea Drescher
« Quiconque porte atteinte à la dignité humaine doit être puni ! » - sous cette devise, des plaintes pénales contre les responsables de la période Corona seront déposées pour la première fois auprès du Parquet fédéral le 10 décembre 2023.
Ce jour-là, le « Centre pour le processus, la clarification, les poursuites judiciaires et la prévention des crimes contre l'humanité dus aux mesures nationales liées au coronavirus » (ZAAVV) déposera un total de 584 plaintes pénales contre des hommes politiques, des ministres, des juges et d'autres personnes impliquées. lors de l'introduction d'une obligation de vaccination liée aux installations ou .Les exigences en matière de vaccination pour les membres de la Bundeswehr ont été transférées. Les détails des annonces seront présentés au public lors d'une conférence de presse sur place.
J'ai parlé avec Ralf Ludwig, l'initiateur du ZAAVV, des objectifs et des raisons des accusations criminelles ainsi que du déroulement prévu de la journée. Ralf Ludwig a critiqué ces mesures dès le début. Entrecoupé d’interruptions dues à la naissance de sa fille, il exerce comme avocat depuis 2005 et, entre autres, comme « avocat de démonstration » depuis 2020. C'est grâce à lui que l'équipe organisatrice du « Kündt Ramstein » (dont j'étais également membre) a pu avoir lieu. Grâce à un procès, il a obtenu la première autorisation officielle pour un événement en Allemagne pendant la pandémie.
Avant la « vaccination », ils étaient en bonne santé par Andrea Drescher
Ralf Ludwig utilise les moyens dont il dispose pour (r)établir et reconnaître les droits individuels fondamentaux et humains. Avec Michael Ballweg, l'avocat, désormais basé en Thuringe, a intenté avec succès une action en justice devant la Cour constitutionnelle fédérale contre diverses interdictions de manifestations, notamment à Berlin (29 août 2020) et à Leipzig (7 novembre 2020). Il a participé à la tournée en bus d'information sur le Corona, prend la parole lors de réunions de protestation et s'implique partout où des questions juridiques liées au Corona sont impliquées. Il a été co-fondateur des « Lawyers for Enlightenment », des « Lawsuit Sponsors », des partis « Widerstand2020 » et « die Basis » et dirigeait jusqu'à récemment la chaîne d'information « Zwanzig.04media »
Comment pouvez-vous affirmer que l’État en était conscient ?
Cela nous a même été confirmé par la Cour constitutionnelle fédérale . Dans la décision d'avril 2022 sur l'obligation de vaccination dans les établissements, on trouve au paragraphe 224 la déclaration suivante : « Dans son rapport de sécurité du 26 octobre 2021, l'Institut Paul Ehrlich déclare... Il y a au total 1 802 cas suspects. rapports faisant état d'un décès à différents intervalles d'une vaccination (0,02 pour 1 000 vaccinations). »
Cela signifie qu'on soupçonnait déjà en octobre - deux bonnes semaines avant le vote au Bundestag - qu'une vaccination sur 50 000 pourrait être mortelle.
Cela a été immédiatement relativisé au paragraphe 225, en disant qu'il ne s'agissait que de rapports d'activités suspectes. Dans son rapport de sécurité ultérieur daté du 23 décembre 2021, l'Institut Paul Ehrlich n'a évalué un lien de causalité avec la vaccination comme possible ou probable que dans 78 des 1 919 rapports d'activités suspectes reçus jusqu'à présent et concernant un décès (voir Î.-P.-É. "
Même 78 décès, c’est 78 de trop. Parce que chaque vie a la même valeur. Et un fait confirmé par écrit par le BVG est le suivant : le 10 décembre. On savait que, sur la base des connaissances et des données actuelles, il existe un risque qu’une personne sur 50 000 décède à cause de la vaccination.
Ce faisant, les députés ont consciemment accepté la mort de personnes travaillant dans le domaine médical. Mieux vaut qu’une personne sur 50 000 meure à cause de la vaccination que « beaucoup » meurent à cause de la maladie. Et cela est interdit, comme cela a été clarifié au plus tard depuis que la Cour constitutionnelle fédérale a interdit l'autorisation d'abattre des avions en vertu de la loi allemande sur la sécurité aérienne.
Pouvez-vous s'il vous plaît expliquer cela plus en détail ?
Il était clairement indiqué dans le jugement : chaque vie a la même valeur. L’État ne peut pas dire : « Je tue une personne pour sauver x personnes ».
La loi sur la sécurité aérienne portait sur la question de savoir si un avion de passagers avec quelques centaines de personnes à bord pouvait être abattu afin d'empêcher une attaque contre une ville avec ce même avion et ainsi sauver un nombre beaucoup plus important de vies. Dans la version 2005, il y avait une autorisation de tir. Un commandant de bord et plusieurs avocats - dont les deux hommes politiques FDP Gerhart Baum et Burkhard Hirsch - avaient déposé un recours constitutionnel. La Cour constitutionnelle fédérale a déclaré la disposition de cette loi inconstitutionnelle et, par son arrêt, a interdit au législateur d'autoriser une fusillade et de la rendre impunible.
À quoi doit s’attendre une personne responsable si la plainte pénale aboutit ? L’article 7 du Code pénal international est clair : quiconque tue une personne en attaquant de manière étendue ou systématique la population civile est puni de la réclusion à perpétuité.
La vaccination obligatoire constituait une attaque de grande envergure et, en raison de la loi, clairement systématique contre la population civile concernée. Un communiqué de presse de DeStatis indiquait en décembre 2020 : « Comme le rapporte l'Office fédéral de la statistique, environ 3,63 millions de professionnels de santé en Allemagne ont eu un contact direct avec des patients en 2018. Au total, 5,65 millions de salariés travaillaient dans le secteur de la santé – des cabinets médicaux et hôpitaux aux laboratoires médicaux et pharmacies. »
Les gens devraient être obligés de se faire vacciner sous la menace d'un mal existentiellement menaçant - amende, perte d'emploi - et ce, en sachant que sur 5,65 millions d'employés et qu'un décès est suspecté sur 50 000 vaccinations, plus de 200 personnes peuvent mourir dans le même temps. secteur de la santé seul. Et puis il y a les militaires.
Comment réagissez-vous si le parquet fédéral n'enquête pas, ce qui n'est pas à exclure ? Ceci est lié aux instructions. Il faut d’abord donner à l’État allemand la possibilité d’agir lui-même.
Que veut dire le procureur général ?
« Les gens ne savaient pas qu’il pouvait y avoir des morts » – C’est ce que réfute l’arrêt LPP 2022.
« L’État a la légitimité pour prendre des décisions concernant la vie » – cela n’existe pas, cela a été clarifié au plus tard depuis l’arrêt du BVG sur la loi sur la sûreté aérienne.
« C’était volontaire » – eh bien, l’obligation de vaccination dans les établissements et la vaccination des soldats n’étaient certainement pas volontaires.
Les faits parlent d'eux mêmes. Si rien ne se passe, la voie vers La Haye est libre.
Comment voyez-vous les chances ?
Jusqu’à présent, seules les personnes originaires des pays du Sud ont été reconnues coupables de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale. Si la communauté mondiale prend les droits de l’homme au sérieux, les Européens doivent également faire l’objet d’une enquête. En Europe, elle touche l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Autriche. Ce serait un signe clair que la Cour pénale internationale n’est pas un instrument de pouvoir contre le Sud et d’autres États qui ne sont pas les bienvenus en Occident. Ils doivent montrer que les valeurs valent vraiment quelque chose.
8 octobre 2023 – Maude Jacques, 31 ans, championne du monde féminine de basketball en fauteuil roulant, est décédée subitement à Sherbrooke, au Québec, le 8 octobre 2023, des suites d'une « infection bactérienne ».
Image5 octobre 2023 – Rolandia, Brésil – Janaina Pereira dos Santos, 36 ans, est allée au marché pour faire ses courses mais est tombée malade, a subi un accident vasculaire cérébral et est décédée subitement.
- voir photo sur site -
5 octobre 2023 – Elizabeth Katherine Foley, assistante médicale, 34 ans, à Marysville, Michigan, est décédée subitement le 5 octobre 2023.
, commentant l’étude, écrit : « Gardez à l’esprit que généralement [moins de] 50 décès liés à un nouveau produit largement utilisé entraînent un rappel mondial. Avoir 284 décès bien décrits dus à des complications cardiovasculaires et/ou thrombotiques est une découverte frappante dans la littérature médicale pour des produits qui sont encore sur le marché et promus par les agences de santé publique du monde entier.
En 1976, avec 25 % de la population américaine vaccinée contre la prétendue grippe porcine de Fort Dix et 32 décès dus au vaccin – ce chiffre de 32 avait sans doute été contesté comme étant « trop élevé » par le CDC de l’époque – l’ensemble de la vaccination le programme a été interrompu et annulé.
La pensée médicale traditionnelle sur les décès liés aux vaccins était la suivante : si nous constatons quelques décès, cela signifie qu’il y en a beaucoup plus que nous n’en voyons pas.
Pas maintenant.
Maintenant, c’est le cas : administrer l’injection au plus grand nombre de bras possible, cacher les blessures et les décès dans toute la mesure du possible, continuer à prétendre que le vaccin est sûr et efficace et censurer les contre-informations. Si possible, imposez le vaccin.
Aujourd’hui, la plupart des médecins se rendent compte qu’ils travaillent en réalité pour l’industrie pharmaceutique, qui à son tour contrôle l’information et s’entend avec le gouvernement fédéral pour proposer au public autant de médicaments et de vaccins que possible. Ces médecins ne posent pas de questions. Ils abandonnent leur serment de ne pas faire de mal et collectent les chèques de paie.
Les blessures et les décès dus à leurs produits sont ignorés. Par eux, les médecins.
Vous pouvez appeler cela du capitalisme de copinage ou de la médecine par le socialisme. Peu importe comment vous l’appelez.
C'est un meurtre.
Ceci est apparu à l'origine sur JonRappoport.substack.
Les Américains sont plus polarisés que jamais sur l’ivermectine
PAR TYLER DURDEN MARDI 21 NOVEMBRE 2023 - 04:35 Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times
Un nombre croissant d’Américains pensent que l’ivermectine est un traitement efficace contre le COVID-19, selon une récente enquête menée par une université.
Environ 26 % des personnes interrogées pensent que le médicament, utilisé depuis longtemps pour traiter les parasites, peut traiter le virus, selon l'Annenberg Public Policy Center de l'Université de Pennsylvanie. Cela représente une augmentation par rapport aux 10 % qui pensaient la même chose en septembre 2021.
Le pourcentage de personnes qualifiant cette affirmation de « fausse » a également augmenté à 37 % en novembre 2023, contre 27 % en septembre 2021, selon l’enquête. Le nombre total de personnes incertaines a diminué, passant de 63 % à 38 % au cours de la même période.
Sans plus de détails, les auteurs de l'enquête ont déclaré que les 26 % ont déclaré "à tort" que l'ivermectine est efficace, tout en soulignant les déclarations de la Food and Drug Administration (FDA) selon lesquelles l'agence n'a pas autorisé ou approuvé le médicament pour prévenir ou traiter le COVID-19. 19, et il a affirmé que les données montrent qu’il n’est pas efficace contre le virus. Il a été approuvé pour traiter diverses autres maladies, notamment celles causées par des parasites, tandis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) le considère comme un médicament essentiel pour traiter un certain nombre de maladies différentes.
Cependant, l'OMS a émis un avertissement la semaine dernière disant qu'elle recommande fortement de ne pas administrer l'ivermectine aux patients atteints de COVID-19 « non grave » et déconseille de donner le médicament à ceux qui souffrent de COVID-19 sévère ou critique.
Notamment, environ la moitié des études auxquelles la FDA a fait référence en disant que l’utilisation de l’ivermectine n’est ni sûre ni efficace contre le COVID-19, selon une revue d’Epoch Times de 2022.
Dans les publications sur les réseaux sociaux et dans les déclarations, la FDA a souvent déclaré que l'ivermectine ne devrait pas être utilisée pour traiter le virus. Plusieurs de ces commentaires ont déclenché une action en justice de la part de médecins, qui ont fait valoir que la FDA ne devrait pas faire de recommandations et que son rôle est d'approuver les médicaments. Certaines personnes ont également intenté des poursuites contre des hôpitaux pour forcer les autorités médicales à autoriser son utilisation pour traiter le COVID-19.
Le Dr Pierre Kory, qui a déclaré prescrire fréquemment de l'ivermectine pour le COVID-19, a déclaré à Epoch Times que la position de la FDA sur l'ivermectine « est l'un des exemples les plus flagrants de la corruption de la médecine moderne fondée sur des preuves ».
"Il y a un message qu'ils veulent que tout le monde comprenne, et ce message est que l'ivermectine ne fonctionne pas", a déclaré le Dr Kory. « Ce n’est pas une conclusion scientifique, c’est la leur. C’est leur interprétation perverse et déformée des données.
L’enquête du Annenberg Public Policy Center, menée le mois dernier auprès de 1 500 Américains, a également révélé que moins d’Américains pensent que se faire vacciner contre le COVID-19 est plus sûr que de contracter le virus lui-même. Il a montré qu’en avril 2021, 75 % partageaient ce point de vue, mais que le mois dernier, seuls 63 % pensaient que c’était le cas.
L'enquête a également révélé que les personnes interrogées pensent de plus en plus que le vaccin contre le COVID-19 n'est pas sûr, passant à 24 % le mois dernier, contre 18 % en août 2022.
Le centre de politique publique a fait valoir que la méfiance croissante des Américains à l’égard des vaccins contre le COVID-19 et d’autres vaccins est due à une « croyance dans la désinformation sur la santé ».
Parallèlement, des données récentes fournies par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont montré qu'environ 14 % des adultes américains et 5 % des enfants ont reçu l'une des injections de rappel mises à jour contre le COVID-19, environ deux mois après leur autorisation. par la FDA. Cela signifie qu’environ 36 millions d’adultes et 3,5 millions d’enfants ont reçu le vaccin.
Les vaccins COVID-19 mis à jour précédemment, disponibles à partir de l’automne 2022, ont été administrés à environ 56,5 millions de personnes, soit environ 17 % de l’ensemble de la population américaine.
Dans un sondage publié en septembre, environ 23 % des adultes américains ont déclaré qu’ils recevraient certainement l’un des nouveaux vaccins, tandis que 23 % ont déclaré qu’ils en recevraient probablement un. Cependant, environ la moitié des personnes interrogées ont déclaré qu’elles ne se feraient pas vacciner, ou probablement pas.
Des fermetures d'écoles plus longues liées au COVID sont liées aux taux de suicide des jeunes
PAR TYLER DURDEN MARDI 21 NOVEMBRE 2023 - 02h55 Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Des fermetures d’écoles plus longues liées au COVID étaient associées à davantage de visites suicidaires chez les jeunes aux urgences, selon une lettre de recherche.
Le rapport, publié sur JAMA Network Open le 10 novembre, a été dirigé par des chercheurs de la Chan Medical School de l'Université du Massachusetts.
"Cette étude de cohorte a révélé une association entre des fermetures d'écoles plus longues dans la réponse de santé publique à la pandémie de COVID-19 et une augmentation des tendances suicidaires chez les jeunes", ont écrit les auteurs, ajoutant qu'une enquête plus approfondie est nécessaire pour que "les politiques concernant les fermetures d'écoles puissent mieux s'aligner sur celles-ci". les besoins en santé mentale des jeunes.
Comparer le Texas au Massachusetts
Les auteurs ont comparé les visites aux urgences pour des tentatives de suicide suspectées chez des jeunes de 12 à 17 ans au Texas et au Massachusetts.
Le Texas, qui a eu plus d'éducation en personne de 2020 à 2022, avait des taux de visites suicidaires chez les jeunes aux urgences plus faibles que le Massachusetts, un État qui a connu des fermetures d'écoles plus prolongées, ont découvert les auteurs.
En 2020, le Texas était classé 8e sur 50 États pour offrir le plus d'éducation en personne, tandis que le Massachusetts était classé 39e, selon les rapports de Burbio, une société de médias qui suit les ouvertures d'écoles, les inscriptions et le budget.
Entre mars et août 2020, les écoles ont été universellement fermées. Pendant cette période, les auteurs ont observé une augmentation des cas de tentatives de suicide présumées aux urgences dans les deux États. Le Massachusetts a signalé 115 visites aux urgences pour des raisons suicidaires par mois avant la fermeture des écoles ; ce chiffre est passé à 176 en 2020-2021. Le Texas a signalé 505 cas de visites suicidaires chez des jeunes avant les confinements, et ce nombre est passé à 756 en 2020-2021.
Cependant, à partir de septembre 2020, les deux États ont commencé à rouvrir les écoles, bien que le Texas ait été plus rapide dans la réouverture des écoles.
En septembre 2020, 40 à 60 pour cent des écoles publiques du Texas étaient revenues à l'enseignement en personne, tandis que seulement 20 à 40 pour cent des écoles du Massachusetts ont emboîté le pas.
En janvier 2021, 80 à 100 pour cent des écoles du Texas étaient en personne, tandis que 20 à 40 pour cent des écoles du Massachusetts étaient en personne, selon Burbio.
Les auteurs ont observé des différences significatives dans les taux de suicide chez les jeunes des services d’urgence dans les deux États au cours de l’année universitaire 2021-2022, avec des taux plus élevés signalés dans le Massachusetts.
Fermetures d'écoles et risques pour la santé mentale
Les études sur les fermetures d’écoles et la santé mentale ont abouti à des résultats contradictoires. Une étude qui a suivi les jeunes pendant la pandémie a révélé que les suicides chez les jeunes ont tendance à se produire pendant les périodes scolaires, avec une diminution pendant les vacances.
Une autre étude a révélé une diminution soudaine des suicides chez les adolescents au cours des premiers confinements.
Néanmoins, la plupart des études suggèrent une détérioration de la santé mentale des adolescents et une augmentation des tendances suicidaires, a écrit le Dr Yael Dvir, auteur principal et professeur agrégé de psychiatrie à la faculté de médecine UMass Chan à Epoch Times.
"Cependant, il est très possible que des sous-groupes d'adolescents aient réagi différemment à la pandémie et aux fermetures d'écoles, de sorte que certains aient montré une amélioration", a-t-elle ajouté.
Les pédiatres non impliqués dans l’étude ont rapporté des observations similaires selon lesquelles les fermetures d’écoles étaient liées à l’augmentation des maladies mentales.
« Nous avons certainement été confrontés à une augmentation significative des problèmes de santé mentale en raison de la pandémie et des fermetures d'écoles », a déclaré le Dr Derek Husmann, pédiatre texan, à Epoch Times.
La Dre Renata Moon, auparavant professeure clinique agrégée de pédiatrie à l’Université de Washington pendant la pandémie, a fait écho aux observations du Dr Husmann.
"Nous avons constaté une augmentation considérable du nombre d'adolescents et même de préadolescents cherchant de l'aide pour lutter contre l'anxiété, la dépression et les pensées d'automutilation pendant les fermetures d'écoles liées à la pandémie", a-t-elle écrit.
"Je voyais chaque jour 6 à 7 enfants dans mon bureau avec ces plaintes. Les services de conseil en santé mentale étaient complètement débordés et ne pouvaient pas suivre le volume de références."
Le régulateur européen confirme : Aucune divulgation de la séquence d’ADN dans le vaccin à ARNm par BioNTech
21 novembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Comme on le sait , divers chercheurs ont découvert et démontré que les procédés utilisés pour la production en masse des préparations d'ARNm de Pfizer/BioNTech et Moderna sont, d'une part, différents de ceux utilisés dans les essais cliniques et, d'autre part, contiennent d'importantes impuretés. L'ADN plasmidique résiduel issu du processus de fabrication 2 est présent dans toutes les vaccinations Pfizer et Moderna contre la COVID-19 jusqu'à 4,27 ng/dose. Pfizer contient plus d'ADN amplifiable que Moderna et tous les échantillons Pfizer contiennent les activateurs du promoteur SV40.
Les autorités réglementaires telles que l'EMA savaient dès le départ que la production de masse était réalisée selon un processus différent (Processus 2) de celui des tests cliniques. Des conditions avaient également été imposées aux fabricants pour qu'ils fournissent des informations complémentaires. Comme l' a montré le TKP dans un rapport du 9 décembre 2021 , celles-ci n'étaient toujours pas remplies après un an. Même s'il est désormais prouvé à plusieurs reprises que la contamination atteint des niveaux importants, les autorités européennes affirment que les fragments laissés par la séquence sont d'un niveau acceptable.
« BioNTech, partenaire de Pfizer, n'a pas déclaré de séquence d'ADN dans son vaccin contre le COVID-19 », a confirmé un régulateur européen.
« Bien que la séquence complète d'ADN du matériel de départ plasmidique ait été fournie dans la demande d'autorisation de mise sur le marché originale de Comirnaty, le demandeur n'a pas spécifiquement mis en évidence la séquence SV40 », a déclaré l'Agence européenne des médicaments (EMA) dans un courrier électronique à Epoch Times .
L’e-mail est arrivé après que Santé Canada a déclaré à Epoch Times qu’il s’attend à ce que les sponsors identifient des séquences telles que l’amplificateur d’ADN du virus simien 40 (SV40), mais Pfizer et BioNTech ne l’ont pas fait.
BioNTech et Pfizer n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
"BioNTech n'a pas indiqué l'inclusion de l'amplificateur dans son vaccin car il était considéré comme une partie non fonctionnelle du plasmide ", a indiqué l'EMA. « BioNTech a depuis clarifié cette information en réponse aux questions de l’EMA. »
L'EMA a expliqué que des parties de la séquence SV40 sont "généralement présentes dans les plasmides utilisés pour la production d'agents biologiques ", mais ni les autorités ni BioNTech n'ont été en mesure de dire pourquoi la séquence a été incluse dans la vaccination.
Dr. Robert Malone, un expert en vaccins dont les travaux ont été cités par Pfizer, a déclaré à Epoch Times qu’il n’y avait « aucune raison » pour que la séquence soit incluse. Il a demandé aux autorités américaines de rappeler le vaccin, mais celles-ci ont refusé. Malone en a également témoigné devant le Congrès américain. L'intégralité de sa déclaration peut être lue en traduction allemande ici .
Selon l'EMA, les séquences d'ADN, dont la séquence SV40, sont « dégradées et éliminées » au cours du processus de fabrication .
" Des fragments de la séquence SV40 ne peuvent être présents que sous forme de contaminants résiduels en très petites quantités, qui sont régulièrement surveillées ", a déclaré l'EMA. L'agence n'a fourni aucune preuve pour étayer cette affirmation.
DEPAKINE: le poison de Sanofi est à l’air libre, le scandale se poursuit et le principe de précaution oublié
le 20 novembre 2023 par pgibertie
Le scandale de la Dépakine est un concentré de tout ce qui disfonctionne: Big Pharma (Sanofi), l’Agence du Médicament (mise en examen), les Ordres des médecins et des pharmaciens qui n’ont sanctionné personne, la justice qui trouve le moyen de nommer un expert mis en examen dans l’affaire du Médiator
Le pompon revient à l’Académie de médecine:
Le 4 octobre 2016 l’Académie nationale de médecine a consacré sa séance aux évolutions récentes concernant l’épilepsie de l’adulte.
Au cours des échanges qui ont fait suite à la présentation de Sophie Dupont sur l’actualité thérapeutique, le professeur Claude Huriet a fait, au sujet de la Dépakine, la mise au point suivante :
Depuis quelques mois, une nouvelle « tempête médiatique » a surgi, concernant les malformations foetales qui peuvent survenir chez des enfants dont la mère a été traitée par Dépakine.
Les accidents survenus, après prescription de Dépakine à des femmes enceintes épileptiques, constituent des drames, mais non un scandale.
Un scandale, c’est la survenue d’un événement du fait de pratiques contraires à la morale, qui suscitent l’émotion et l’indignation.
Ce n’est pas le cas de la Dépakine, et les attaques, habituelles, contre les laboratoires pharmaceutiques, les médecins prescripteurs.., et les pouvoirs publics ne sont pas fondées
Quelle incrimination retenir, sauf à qualifier ce drame « d’accident médical non fautif » ou à évoquer un défaut d’information de la patiente !
RECIDIVE EN 2022 Médiator, statines, Dépakine, Lévothyrox, sans compter, bien sûr, les vaccins? Alors que certains médicaments font régulièrement la une de l’actualité, une partie des Français, minoritaire mais particulièrement « active et bruyante sur les réseaux sociaux et surévaluée par les médias », manifeste de « la défiance, ou même de l’hostilité » à l’égard des médicaments, alerte l’Académie de médecine dans un rapport diffusé le 7 juin. Un phénomène jugé préoccupant, et qui confirme « combien la perception du risque médicamenteux par le public est instable, parfois peu rationnelle, combien sont nombreux et complexes les déterminants de cette perception et quel rôle de caisse de résonance des peurs du public les médias peuvent jouer », estime l’Académie, qui redoute que « la polarisation des esprits sur les risques » ne détourne les patients de traitements essentiels à leur santé
Près de soixante ans après le début de la commercialisation du poison , rien n’est réglé
Famille du médicament : Antiépileptique.Le valproate de sodium, principe actif de la Dépakine et antiépileptique connu pour causer de graves troubles à des enfants dont la mère a été traitée alors qu’elle était enceinte, pourrait aussi présenter des risques s’il a été pris par le père, a prévenu jeudi 4 août 2023 l’agence du médicament
La molécule en cause, le valproate de sodium, est commercialisée depuis 1967 sous la marque Dépakine par le laboratoire Sanofi, mais aussi sous des marques génériques, et est prescrite aux personnes souffrant de troubles bipolaires.
Elle présente, néanmoins, un risque élevé de malformations congénitales sur le fœtus si elle est prise par une femme enceinte. Le nombre d’enfants handicapés à cause du valproate de sodium est estimé entre 15 000 et 30 000, selon les études.
Mis en examen le 17 juillet 2013 pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire du Mediator, Bernard Rouveix s’est vu nommé, deux ans plus tard, expert judiciaire par le tribunal de grande instance de Paris dans l’affaire de la Depakine alors même qu’il avait réalisé des études pour Sanofi, le fabriquant de l’anti-convulsant.C’est notamment à lui que reviendra la charge d’expertiser deux enfants handicapés après que leur mère a pris de la Dépakine pendant ses grossesses. Le principe actif, le valproate de sodium, est accusé d’avoir des effets secondaires sur le fœtus. Enfin, dans un rapport daté de 2013, il avait mis hors de cause l’anti-inflammatoire Vioxx, malgré les nombreuses plaintes contre ce médicament. Assurément, le Pr Rouveix était un seigneur de l’expertise.
Selon les informations du « Monde », une plainte a été déposée pour mise en danger d’autrui par la mère de deux enfants autistes. Elle n’a jamais pris de Dépakine, cet antiépileptique responsable de malformations et de troubles chez des enfants exposés in utero, mais a été exposée à des rejets dans l’atmosphère.
Plusieurs études ont montré que les enfants nés de mère traitée par l’acide valproïque (valproate de sodium ou valpromide) pendant la grossesse présentent un risque accru de malformations et de troubles du développement (intellectuel, comportemental…). L’utilisation de ce médicament chez l’adolescente et la femme en âge de procréer ne doit donc être envisagée qu’en cas d’absolue nécessité et une contraception efficace doit être suivie pendant tout le traitement.
Une hépatite peut survenir pendant le traitement, le plus souvent pendant les 6 premiers mois, et principalement chez les nourrissons et les enfants de moins de 3 ans présentant une épilepsie grave. Certains signes évocateurs doivent vous amener à consulter votre médecin : une perte de l’appétit, une fatigue anormale avec nausées et parfois vomissements et douleurs abdominales, voire la réapparition des crises d’épilepsie.
Des prises de sang sont prescrites régulièrement pour la surveillance du traitement, notamment pour contrôler le bon fonctionnement du foie et la coagulation du sang.
Une augmentation du risque de dépression et de comportement suicidaire a été observée chez les patients traités par antiépileptiques. Les causes de cette augmentation ne sont pas connues et le risque ne peut être exclu avec ce médicament. La survenue d’idées morbides ou de signes de dépression (changement d’humeur, détachement affectif, difficultés de concentration…) doit être rapidement signalée à votre médecin. La vigilance de l’entourage s’impose.
Le scandale de la Dépakine n’a peut-être pas livré tous ses secrets, ni dévoilé toutes ses victimes. L’antiépileptique commercialisé depuis 1967 par le laboratoire Sanofi est responsable de malformations et de troubles neurodéveloppementaux chez des milliers d’enfants de mères traitées pendant leur grossesse. Selon les témoignages recueillis par Le Monde, des pathologies similaires sont présentes chez des enfants de riverains de l’usine quiproduit la Dépakine, à Mourenx (Pyrénées-Atlantiques), et de travailleuses fréquentant la zone industrielle. Aucune mère n’a pris le médicament, toutes s’interrogent sur le lien avec les rejets dans l’air de valproate de sodium, son principe actif, autour du site.
C’est le cas de Mélanie S. (qui souhaite garder l’anonymat), dont les deux enfants présentent des troubles neurodéveloppementauxsemblables à ceux observés chez les enfants exposés in utero à la Dépakine. Mélanie S. n’a jamais consommé de Dépakine, mais travaille depuis 2011 dans un bureau situé à une cinquantaine de mètres de la cheminée de Sanofi. Après des années d’hésitation, le diagnostic d’autisme de sa fille en juillet, après celui de son fils trois ans plus tôt, l’a décidée à saisir la justice. Mercredi 15 novembre, une plainte a été déposée contre X pour mise en danger d’autrui auprès du pôle santé publique du tribunal judiciaire de Paris.
Ce pôle est chargé d’une enquête depuis que le parquet a ouvert en 2022 une information judiciaire, notamment pour mise en danger d’autrui, après la révélation, en juillet 2018, de rejets massifs dans l’atmosphère de valproate de sodium et de bromopropane (classé cancérogène, mutagène et reprotoxique possible) par l’usine Sanofi de Mourenx. Mélanie S. est ingénieure. « Je suis scientifique. Je ne peux rien affirmer. Je m’interroge sur le lien entre mon exposition et les troubles constatés chez mes enfants, explique-t-elle. Mon espoir est que la justice se saisisse de cette plainte pour répondre à mes questions et enquêter au-delà de mon cas sur ce qui pourrait potentiellement être un scandale sanitaire. »
Les cancres de la vaxxxccc covid ne connaissent pas de surmortalité à la différence des bons élèves
le 20 novembre 2023 par pgibertie
@felicittina continue à fouiller les statistique européennes et celles de One World Data
Le parallèle semble assez surprenant pour ce qui concerne le taux de boostés. Simple coïncidence
Ces taux de surmortalité mensuels sont facilement vérifiables sur : https://ec.europa.eu/eurostat/databrowser/view/DEMO_MEXRT__custom_3434113/bookmark/table?lang=fr&bookmarkId=05c46227-0aa8-4aaf-a632-e77a023cfa66… Les décès mensuels pour calculer les décès attendus et obtenir un cumul fiable sont disponibles là : https://ec.europa.eu/eurostat/databrowser/bookmark/d9d3eab5-6605-446c-b1ec-76d5631c4916?lang=fr&page=time:2022
Sur la moyenne depuis le début de l’année, on voit qu’un groupe de pays s’en tire plutôt bien, qui n’étaient généralement pas les meilleurs clients de #Pfizer et #Moderna.
- voir cadre sur site -
Officiellement, ce pays est l’un des moins touchés au monde avec 8 fois moins de décès Covid (330/M) que la France. Politique zero Covid + large vax° + des cas qui ne déferlent qu’avec omicron.
-9 % des naissances en Norvège 2022, plus forte baisse sur un an depuis 1972
21 novembre 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
Il faut remonter à 1985 pour constater des taux de natalité aussi bas que l’année précédente. Cependant, à cette époque, la population résidente de la Norvège était inférieure de 31 % et la baisse d'une année sur l'autre est la plus importante (-9 %) depuis le début des relevés en 1972. Pour les politiciens et les bureaucrates de la santé ainsi que pour les « médias de premier plan et de qualité », ", cependant, ce qui suit s'applique : allez plus loin, il n'y a rien à voir ici.
Ce week-end, j'ai lu le dernier rapport publié par l'Institut norvégien de santé publique ( Folkehelseinstituttet , FHI), qui porte le beau titre « Rapport annuel du registre médical des naissances 2022 » (orig. Årsrapport for Medisinsk fødselsregister 2022), que vous pouvez trouver ici .
Pourquoi ne pas s’appuyer sur les données plus « officielles » de l’Office norvégien des statistiques (Statens Statistisk Sentralbyrå) ? Tout simplement parce que la prochaine mise à jour aura lieu en mars 2024…
Il s'agit d'un rapport de suivi sur la situation du taux de natalité en Norvège, dont j'ai déjà discuté deux fois sur Substack cette année : une fois en janvier 2023, lorsque les premiers chiffres préliminaires de 2022 indiquaient une baisse d'une année sur l'autre d'environ 10 %. ( lien ) ; et la deuxième fois en août 2023, car les chiffres préliminaires pour cette année indiquent une nouvelle baisse, mais elle risque d'être inférieure à celle de l'année dernière (exprimée en pourcentage : c'est-à-dire moins de 9 à 10 % de moins ; lien ) .
Comme toujours, les extraits suivants sont reproduits dans ma traduction et avec mes soulignements.
Extrait du « Rapport annuel 2022 du registre médical des naissances » Les chiffres définitifs pour 2022 ont été publiés le 15 novembre 2023 dans le Registre Médical des Naissances [orig. Medisinsk fødselsregister, MFR, note] , qui remontent à 1967 . Ce rapport publie une sélection de statistiques pour 2022 et met en évidence les tendances de la dernière décennie de 2013 à 2022...
L'enregistrement de toutes les grossesses à partir de la 12e semaine de grossesse est obligatoire en Norvège. Ces chiffres sont importants pour comprendre les tendances en matière de santé de la population et les résultats des changements et des disparités dans les services de santé pour les femmes enceintes et en train d'accoucher et leurs nouveau-nés. Les données fournissent également une base pour la planification des services de santé et des mesures visant à améliorer la santé publique. Les informations du MFF sont d'un grand intérêt et utilisées par les chercheurs, les autorités sanitaires, les médias et le grand public aux niveaux national et international.
Alors que le taux de natalité en Norvège a continué de baisser en 2022 , l'âge moyen des mères a légèrement augmenté. Cette année, la proportion de femmes enceintes diagnostiquées avec une hypertension artérielle pendant la grossesse, une prééclampsie ou un diabète gestationnel a augmenté. De plus en plus de naissances ont été provoquées, soit près d’un quart de toutes les naissances en 2022, mais le taux de césarienne est resté relativement stable. Le nombre de mortinaissances a considérablement diminué entre 2021 et 2022 . Dans le même temps, il a été constaté que la tendance positive des années précédentes avec une proportion décroissante d’enfants nés dans les premiers jours, semaines et semaines et dans le premier mois après la naissance s’est poursuivie en 2022.
Jusqu’ici banale, on constate cependant cette étrange « augmentation de la proportion de femmes enceintes diagnostiquées cette année avec une hypertension artérielle pendant la grossesse, une pré-éclampsie ou un diabète gestationnel ».
À côté du tableau 1, nous trouvons ce joyau de la prose des bureaucrates de la santé :
Après une hausse significative de la natalité en 2021, le nombre de naissances est passé de 56.672 en 2021 à 52.026 en 2022 [-9%, ndlr]. Il faut remonter à 1985 pour trouver un nombre de naissances aussi faible [mais la population norvégienne était alors inférieure de près de 31 % ; 2022 : 5 425 270 contre 1985 : 4 145 845]. Le nombre de naissances a suivi le même rythme avec 55.899 naissances en 2021 et 51.264 naissances en 2022. Toutefois, le nombre total de naissances en 2021 et 2022 a été conforme aux attentes des années précédentes. Il se pourrait donc que l’augmentation en 2021 et la diminution ultérieure en 2022 soient dues à la situation particulière de la pandémie .
Voici le tableau 1 mentionné :
- voir cadre sur site -
Légende : 1ère colonne = année de naissance ; 2ème colonne = nombre de naissances ; 3 = nombre de naissances
Comme déjà mentionné, la population de la Norvège était inférieure de près de 31 % en 1985, ce qui permet de comprendre l'écart entre la baisse du taux de natalité nominal en 2022 (-9 %) et la baisse relative due à la diminution de la population en 1985. Bien sûr, beaucoup plus haut (inférieur) consiste à calculer (estimer) d'une manière ou d'une autre.
Étant donné que la population était inférieure d'environ un tiers en 1985, mais que le nombre d'enfants était à peu près le même, je pense que le déclin relatif est bien, bien, bien (c'est-à-dire environ trois fois) plus drastique que les -9 pour cent rapportés ici.
Les lecteurs intéressés sont invités à faire d'autres calculs avec ces informations, car nous avons un autre problème à résoudre : oui, comme dans d'autres sociétés occidentales (et non occidentales) - peut-être à l'exception de la Corée du Nord et de certains groupes de population d'autres pays. pays – les taux de natalité sont en baisse depuis des décennies. Néanmoins, la baisse du taux de natalité en Norvège de -9 pour cent par rapport à l'année précédente est quelque chose de très particulier, d'autant plus qu'elle se situe bien au-dessus de la ligne de tendance.
Comme on le sait, les taux de natalité et de mortalité sont assez inélastiques, c’est-à-dire qu’ils sont sujets à des fluctuations relativement faibles, en supposant que des facteurs dits « externes » tels que les épidémies, les guerres, etc. jouent un rôle plus important dans des cas exceptionnels. Avant d’examiner cet aspect plus en détail, nous devons cependant considérer autre chose.
« Complications » pendant la grossesse
La proportion de femmes enceintes diagnostiquées avec une prééclampsie et une hypertension gestationnelle a augmenté en 2022 . Alors que 2,5 % des femmes enceintes souffraient de prééclampsie en 2019, la tendance s'est accentuée les années suivantes jusqu'à ce que 2,9 % des femmes enceintes soient diagnostiquées en 2022. De même, la proportion de femmes diagnostiquées avec une pression artérielle élevée (hypertension) pendant la grossesse est passée de 1,7 % en 2019 à 2,1 % en 2022 .
Maintenant, je ne sais pas si ces augmentations sont dues aux "vaccinations" Corona modRNA ou non, mais ne mâchons pas nos mots : même si les "vaccinations" Corona modRNA ne sont pas liées, elles le sont. Le ton du rapport ne rend pas justice à l'augmentation de 16 pour cent de la prééclampsie et de 23,5 pour cent de l'hypertension artérielle d'une année sur l'autre. Comme le suggère un examen de la page d'accueil de FHI, cela n'a pas été étudié plus en détail à ce jour.
Il convient également de noter que la « prééclampsie » est un « trouble hypertensif ». Cela ne se produit que « dans de rares cas » jusqu’à 14 jours après la livraison. La prééclampsie est traditionnellement caractérisée par les symptômes pronostiques clés de l'hypertension (augmentation de la pression artérielle) et de la protéinurie (protéine dans l'urine) » ( source ).
Si vous, en tant que non-médecin, vous demandez maintenant d’où pourrait provenir l’excès de « protéines dans l’urine » dans l’année qui a suivi l’introduction des « vaccinations » Corona modRNA et leur promotion massive auprès des femmes enceintes ou en âge de procréer, eh bien, bienvenue au club. Et oui, la corrélation n’est pas par nature une causalité
D’ailleurs, je ne veux pas vous tromper, mais notez que le paragraphe ci-dessus est immédiatement suivi du paragraphe suivant :
Les directives cliniques pour le diagnostic de la prééclampsie ont changé en Norvège en 2020 , ce qui peut avoir affecté la prévalence enregistrée de la maladie. Les affections rares mais graves que sont l'éclampsie et le HELLP restent rares en Norvège, l'éclampsie étant signalée dans 0,04 % et le HELLP dans 0,12 % de toutes les grossesses en 2022.
D'ailleurs, le syndrome HELLP est aussi une « complication » qui peut survenir pendant la grossesse ; ceci est décrit comme suit ( source ), à savoir comme
une variante grave de la prééclampsie, décrite pour la première fois en 1982 par Louis Weinstein, gynécologue et obstétricien américain, qui est un trouble hypertensif. Le nom HELLP est un acronyme des noms anglais des résultats de laboratoire les plus importants et les plus typiques : hémolyse (anémie hémolytique), élévation des enzymes hépatiques (augmentation des enzymes hépatiques) et faible numération plaquettaire (diminution du nombre de thrombocytes (plaquettes sanguines). ) = thrombocytopénie).
Les lecteurs attentifs des notices et des documents de sécurité des « vaccinations » Covid modRNA sauront immédiatement que la thrombocytopénie est l’un des « effets secondaires » possibles de ces principes actifs.
D’ailleurs, la version anglaise de l’entrée ci-dessus est plus claire concernant les symptômes qui sont reproduits ici dans l’original et dans ma traduction :
Les complications peuvent inclure une coagulation intravasculaire disséminée, un décollement placentaire et une insuffisance rénale.
Les complications peuvent inclure des caillots sanguins intravasculaires disséminés, un décollement placentaire et une insuffisance rénale.
À première vue, cela ressemble à une série de « coïncidences » dont il est largement mal vu de parler.
Qu’en disent FHI et les « médias de premier plan et de qualité » ? Jusqu'à présent - comme prévu - rien, même si pour "sauver l'honneur" du paysage norvégien des "médias de premier plan et de qualité" (presque entièrement dominé par le groupe Schibsted), je voudrais souligner que le rapport a été publié "seulement " il y a quelques jours et sans grande annonce a été publiée.
Les choses ne s’annoncent pas beaucoup mieux pour les médias traditionnels, qui n’ont pas encore commenté le rapport. Certes il s’agit d’un rapport plutôt technique, mais il est intéressant de noter un autre aspect :
Une fois par an, début mars, l'Office norvégien des statistiques met à jour sa base de données annuelle à usage public. Cette année, le FHI a publié un très court rapport , daté du 28 mars 2023, qui se lit ainsi :
En 2021, le nombre de naissances en Norvège a augmenté, mais en 2022 la situation était la même qu'avant la pandémie : moins d'enfants sont également nés en 2022 que l'année précédente. Voici les taux de natalité réels de l’année dernière et d’il y a vingt ans :
2003 : 57 393 2022 : 52 011
Les chiffres ont été publiés dans la base de données statistiques du registre médical des naissances (MFR), qui enregistre les naissances en Norvège depuis 1967, date à laquelle 67 217 enfants sont nés.
"Les femmes vieillissent lorsqu'elles ont leur premier enfant et les cohortes de naissance diminuent", déclare Liv Cecilie Vestrheim Thomsen, conseillère principale de l'Institut norvégien de santé publique...
De nombreuses explications au déclin
Il existe de nombreuses explications possibles à cette baisse des taux de natalité. L'évolution de la Norvège correspond à la tendance internationale selon laquelle les taux de natalité diminuent, l'âge des femmes qui accouchent augmente et les cohortes d'enfants diminuent.
« Il peut également y avoir des fluctuations naturelles dans les chiffres en fonction de la taille de la cohorte de naissance dans laquelle les femmes elles-mêmes sont nées. « Il est également possible que les chiffres actuels soient en partie une conséquence tardive de la pandémie de Covid-19 – en d’autres termes, que les taux de natalité plus élevés en 2021 soient en partie dus au fait que les couples qui souhaitent avoir des enfants avancent leurs projets », explique Liv. Cécile Vestrheim Thomsen.
Liv Cecilie Vestrheim Thomsen est l'auteur principal du rapport annuel susmentionné.
Il n'y a donc rien à voir ici (et pas non plus dans le registre médical des naissances , qui ne montre aucune donnée sur le statut vaccinal des mères et ne montre aucune interface avec la base de données officielle de vaccination, du moins pas officiellement).
Il est cependant remarquable d’observer les contorsions intellectuelles : l’augmentation en 2021 est peut-être un effet secondaire (sans jeu de mots) de ce qu’on appelle la « Pandémie™ » déclarée par l’OMS, mais la baisse en 2022 est bien sûr « en ligne avec la pandémie ». avec les tendances internationales ».
En parlant de ces « tendances internationales » Ces commentaires de l’auteur principal du rapport mentionné ci-dessus m’ont rendu curieux. J'ai donc visité la base de données du registre des naissances de l'Office norvégien des statistiques ( source ) et récupéré les informations accessibles au public (toutes les naissances, 1972-2022).
Certes, il existe une certaine incertitude (les chiffres de l’Office norvégien des statistiques pour 2022 ne sont pas aussi détaillés/à jour que le rapport ci-dessus), mais cela n’a aucun rapport avec l’analyse qui suit. Si vous souhaitez une copie du fichier Excel que j'ai utilisé, veuillez m'envoyer un e-mail.
Principaux résultats de mes enquêtes sur les données de naissance 1972-2022 :
Jamais depuis 1972 le nombre de naissances n’a autant fluctué d’une année sur l’autre qu’entre 2021 et 2022 (-9 %). En moyenne, les taux de natalité ont chuté de -0,575 % par an entre 1972 et 2022, les plus grandes valeurs aberrantes étant celles de 1988 (+6,5 %) et, enfin, de 2022. Alors, dans quelle mesure le changement de 2021/22 est-il une « valeur aberrante » ?
Si l’on ignore l’année 2022, la baisse moyenne est plus faible et n’est « que » d’environ -0,375 % par an de 1972 à 2021. En ce qui concerne l'ampleur du déclin, seules deux autres années sont (un peu) comparables : 1975 (-6,5% par rapport à 1974) et 2001 (-4,5% par rapport à 2000). Alors quand Mme Vestrheim Thomsen dit ce qui suit :
L'évolution de la Norvège correspond à la tendance internationale selon laquelle les taux de natalité diminuent, l'âge des femmes qui accouchent augmente et les cohortes d'enfants diminuent.
Ensuite, elle – et à travers elle également l’Institut de santé publique – dit en partie la vérité : oui, le taux de natalité diminue presque partout depuis des décennies et cette évolution s’inscrit dans la « tendance internationale ».
Je n’ai pas vérifié en détail les « tendances internationales » et je sais que les autres aspects évoqués s’appliquent.
Néanmoins, nous notons à la fin que la baisse du taux de natalité de -9 pour cent est loin de tout ce que nous avons vu depuis 1972 ou de ce sur quoi l'Office norvégien des statistiques a publié des données officielles.
Maintenant, si vous le souhaitez, nous pouvons parier sur quand et comment les bureaucrates de la santé et les politiciens expliqueront cela. (Je suppose que dans un avenir pas si proche, et avec des déclarations si banales et générales - comme la référence à "depuis 2003" - qu'aucun indice ou conclusion n'apparaît au premier coup d'œil.)
Par Mark Keenan Recherche mondiale, 18 novembre 2023
Cet article est largement basé sur mon livre intitulé Moon Landing 2023 – Science ou Science-fiction ?
Étant donné qu'un sondage de 2019, mené par YouGov , a révélé que 29 % des personnes interrogées âgées de 50 ans ou moins ont exprimé une certaine conviction que le gouvernement américain « avait simulé l'alunissage d'Apollo en 1969 », [1] cet article examinera les preuves de cette affirmation. Alunissage de l’ISRO en 2023 ; et la controverse en cours autour des alunissages Apollo de la NASA. Ensuite, nous plongerons un peu plus profondément dans la matrice de la tromperie et de l’illusion ; et ce qui peut se cacher derrière.
L’Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) affirme avoir atterri sur la Lune
L'Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) a informé le monde que son vaisseau spatial Chandrayaan Mission-3 a atterri sur la lune le 23 août 2023, comme détaillé sur le site Web de l'organisation . Nous pouvons visionner les séquences vidéo publiées par l’ISRO comme prétendues preuves de cet « alunissage » historique. Ce qui suit est une vidéo publiée par le journal britannique Guardian :
Selon Jim Bridenstine, qui a dirigé la NASA en tant qu’administrateur de 2018 à 2021, « ils devraient être très fiers de cet accomplissement »[2]. Il est également remarquable que cette incroyable réussite semble avoir été réalisée avec un budget restreint. Selon CNBC :
« En 2020, l’Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) a estimé que la mission Chandrayaan-3 coûterait environ 75 millions de dollars… Mais cela rivalise avec les missions d’atterrissage lunaire les moins coûteuses en développement aux États-Unis ces dernières années. -prix des contrats pour la construction d'atterrisseurs lunaires, dans le cadre d'un programme appelé Commercial Lunar Payload Services. Le programme CLPS dispose d'un budget maximum de 2,6 milliards de dollars sur 10 ans, avec 14 entreprises en lice pour des contrats de mission d'une valeur généralement supérieure à 70 millions de dollars chacune. Dans l’ensemble, le budget annuel de la NASA éclipse celui de son homologue indien. En 2023, l'agence américaine a reçu 25,4 milliards de dollars de financement, contre un budget d'environ 1,6 milliard de dollars pour l'ISRO. »[3]
Considérant qu’un film hollywoodien pourrait coûter deux fois plus cher à produire, cela semble certainement être une réalisation impressionnante pour seulement 75 millions de dollars. Ici, en Irlande, 75 millions de dollars permettraient de construire environ 10 km d'autoroute[4] ; et je note que le film Star Trek Beyond de 2016 avait un budget de 185 millions de dollars – donc aller sur la lune et en revenir pour seulement 75 millions de dollars impairs est « au-delà » impressionnant. Il semble que cela coûte moins cher d'aller sur la lune que de construire 10 km d'autoroute !
Considérons ce que l'ISRO devait réaliser avec seulement 75 millions de dollars. Les agences spatiales et la science moderne prétendent que la Lune se trouve à environ 240 000 milles de la Terre. Ainsi, le vaisseau spatial ISRO a dû parcourir 240 000 milles jusqu’à la lune, puis atteindre l’orbite lunaire. Le vaisseau spatial a ensuite dû « descendre » de son orbite jusqu’à la surface de la Lune (apparemment sur une distance d’environ 60 miles ou plus). Lors de l'atterrissage, nous dit-on, le vaisseau spatial s'est ouvert et un véhicule rover appelé « Pragyan » (image CGI publiée par l'ISRO ci-dessous) s'est déroulé sur la lune, dans un prétendu vide à 1/6 de la gravité terrestre. On nous dit que le véhicule et le rover sont restés sur la Lune pendant deux semaines pour mener diverses expériences scientifiques. Tout cela semble vraiment incroyable ou, peut-être… c'est trop incroyable pour être vrai.
Des sources de l'ISRO ont déclaré :
« Chandrayaan-3 réalisera une série d'expériences, notamment une analyse au spectromètre de la composition minérale et chimique de la surface de la Lune, renvoyant des données précieuses sur les propriétés du sol et des roches lunaires. Il espère confirmer la présence de glace d’eau dans la région, qui pourrait fournir de l’oxygène, du carburant et de l’eau potable pour la future exploration spatiale. »[5]
Pendant ce temps, nous a-t-on dit, le contrôle au sol de l'ISRO sur Terre a tenté de communiquer avec le véhicule. On nous dit que le rover est alimenté par l’énergie solaire – ce qui semble une décision étrange étant donné les spéculations des agences spatiales selon lesquelles la Lune aurait un pôle sud avec des régions en permanence dans l’ombre. En outre, selon l'ISRO, les véhicules sont soumis à des températures comprises entre moins 156 degrés Celsius la nuit et plus 121 degrés Celsius le jour, mais ils ont été équipés de systèmes pour faire face à ce stress thermique massif. Ceci est également intéressant, étant donné que les appareils électroniques ont généralement une limite de température de l’ordre de -10 °C à +75 °C lorsqu’ils sont utilisés.
Séquence vidéo prise par le vaisseau spatial en orbite autour de la Lune – mais cela ressemble à du CGI Le site Web de l'ISRO propose même des séquences vidéo du vaisseau spatial voyageant au-dessus de la surface de la Lune[6]. Cela devrait être incroyable à regarder ! Jetons un coup d'oeil ici .
Attendez! Qu'est-ce que je regarde ? Cette séquence ressemble à une animation de jeu vidéo informatique des années 1980 ! Que se passe-t-il « sur Terre » ici ? L’image ci-dessous est une capture d’écran de la séquence vidéo ISRO prise depuis le vaisseau spatial censé être en orbite autour de la lune – cette image vous semble-t-elle réelle ou ressemble-t-elle à du CGI (imagerie générée par ordinateur) ?
Vidéo de simulation bizarre de l'alunissage, tandis que les employés de l'ISRO regardent et applaudissent sauvagement
Les deux images ci-dessous représentent le véhicule jaune de l'ISRO tel qu'affiché sur les séquences vidéo publiées par l'ISRO. Ces images ont été présentées aux employés de l'ISRO au contrôle au sol alors que le vaisseau spatial « descendait » vers la surface de la lune. La vidéo fournie par ISRO est clairement une animation CGI. De toute évidence, ces vidéos du vaisseau spatial de couleur jaune de l'ISRO n'étaient pas conçues comme de véritables images de l'atterrissage du vaisseau spatial, mais comme une simulation de ce qui était censé se produire.
- voir photos sur site -
Ensuite, alors que le vaisseau spatial de couleur jaune atterrissait dans la simulation en temps réel, les employés de l'ISRO qui regardaient cette simulation dans le centre de commandement de l'ISRO sur Terre applaudissaient et applaudissaient sauvagement, croyant que le véritable véhicule spatial de l'ISRO était en train d'atterrir à la surface de la lune.
On nous dit que l'atterrisseur pèse 1 749,86 kg, y compris un véhicule Rover de 26 kg, 14 charges utiles et le rover composé d'instruments scientifiques conçus pour mesurer divers aspects de la surface et du sous-sol de la lune. Par exemple, des instruments pour mesurer les propriétés thermiques et l'activité sismique de la surface ; et un spectromoteur à rayons X de particules alpha pour mesurer la composition chimique de la surface.
Séquence vidéo ISRO du rover quittant prétendument le vaisseau spatial et roulant sur la surface de la Lune – Commentaires sceptiques sur YouTube
L'ISRO a fourni la vidéo suivante publiée ici [7], par le journal britannique Guardian. On nous dit qu’il s’agit d’images réelles du rover quittant l’atterrisseur et voyageant sur la surface de la lune. C’est un peu plus professionnel, mais, à mon avis, c’est flou et cela n’a pas l’air réel – cela ressemble à une animation CGI ou à une production cinématographique. De plus, il n’y a rien dans les images qui permettent à quiconque de vérifier qu’elles ont été filmées sur la Lune – il n’y a aucun point de référence, aucune vue de l’espace et aucune vue de la Terre depuis la Lune qui indiquerait qu’elles sont réelles.
Vous trouverez ci-dessous une photo de l'ISRO Moon Rover qui prétend rouler sur la surface de la lune. La photo est une capture d’écran de la séquence vidéo ci-dessus publiée par le journal Guardian. Une question a également été soulevée quant à savoir pourquoi, après un examen attentif, il ne semble y avoir aucune empreinte de roue laissée par la roue avant gauche sur le sol lunaire (par exemple à 0,13 seconde dans la vidéo ci-dessus).
Après l'atterrissage, l'ISRO affirme que le « rover » a pris la « vraie » image suivante de la péniche de débarquement.
- voir photos sur site -
Il me semble que la vidéo floue ci-dessus et l’image en noir et blanc ci-dessus ne prouvent rien. Une vraie vidéo de la planète lunaire, ou de n’importe quelle planète étrangère, serait sûrement magnifique avec des vues détaillées s’étendant jusqu’à un horizon lointain. Tout comme il existe des vues détaillées des paysages ici sur Terre. Au lieu de cela, on nous présente des images CGI et une image en noir et blanc qui ressemble davantage à quelques mètres de désert aride qui pourrait tout aussi bien être le Nevada ou un plateau de tournage hollywoodien.
De plus, il n’y a aucune étoile en arrière-plan. Sur des plateformes telles que YouTube, les gens laissent des commentaires sceptiques tels que les suivants :
« Jusqu'à présent, seules des images générées par ordinateur CGI. Où sont les images réelles de la Lune ? Si vous comparez la couverture lunaire indienne à un match de football, 99 % des images diffusées étaient des spectateurs, les médias Godi et l'ISRO applaudissant au lieu des images lunaires réelles. J’aimerais croire que l’Inde est allée sur la Lune, mais ils rendent la tâche très difficile. On dirait une autre production hollywoodienne du sous-sol de la NASA.
[À part : Godi media est un terme péjoratif inventé et popularisé par l'ancien journaliste de NDTV Ravish Kumar pour désigner les médias imprimés et télévisés indiens sensationnalistes et partiaux, qui soutiennent le gouvernement NDA actuellement au pouvoir.]
La photo et la vidéo ISRO de leur prétendu atterrissage sur la Lune ne prouvent rien L’ISRO ne fournit rien – aucune preuve visuelle – aucun point de référence dans l’image ou dans une brève vidéo qui justifierait sous quelque forme que ce soit son affirmation selon laquelle il a fait atterrir un vaisseau spatial sur la lune. Il semble que rien de ce que nous pouvons voir ci-dessus ne nous permette de vérifier que cet alunissage « s'est réellement produit ». Ce que nous voyons principalement, c'est un groupe d'employés bien payés qui célèbrent et applaudissent, tout en regardant des chiffres et des animations sur un écran qui justifient dans leur tête ce qu'ils croient se passer à 240 000 milles de distance sur la Lune. A noter que dans l'image ou dans la vidéo il n'y a aucun point de référence, pas de vidéo de fond détaillée de la Terre par exemple.
Malgré le fait qu’il n’y ait aucun point de référence dans l’image ou la vidéo, la plupart des gens acceptent simplement le récit de l’ISRO et des médias grand public. Il est regrettable que de nombreuses personnes acceptent ces images et vidéos sans poser de questions. Cependant, grâce à des décennies d’analyse des soi-disant missions lunaires de la NASA, un pourcentage notable de la population mondiale sait que les alunissages de la NASA ont été truqués ; et que toute affirmation d’un alunissage devrait être examinée.
La quantité de données indiquant que les alunissages de la NASA ont été falsifiés est importante, mais il est peu probable que vous trouviez ces données via des plateformes appartenant à des méga-entreprises, telles que Google, Facebook, Twitter, etc., car toutes les principales plateformes utilisent des algorithmes pour décidez quelles informations vous seront présentées et lesquelles ne vous seront pas présentées. Je note également un article du professeur Michel Chossusdovsky sur ce sujet, qui cite un rapport de transparence de Google de 2010 répertoriant plus de 151 000 éléments nommés pour suppression depuis 2009. Il déclare dans l'article :
« Google a introduit des algorithmes destinés à dévaloriser les médias indépendants et alternatifs… La liberté d’expression sur les médias d’information sur Internet est régulièrement bousculée par Google… Google aide déjà le gouvernement à écrire et à réécrire l’histoire. Voici, tirées de son rapport de transparence, quelques statistiques sur la quantité d’informations… effacées du Web sur la base des demandes des agences américaines :… 1 421 demandes de « suppression de contenu », Google a accédé aux demandes de suppression de contenu dans 87 % des cas. – Professeur Michel Chossudovsky
Au moment où j’écris ces mots en 2023, je constate que cette filtration des connaissances en ligne est devenue très sophistiquée et que les technologies utilisées sont connues sous le nom d’IA (intelligence artificielle). Ainsi, ce qui se produit depuis des décennies est une forme d’hypnose de masse, de manipulation et d’endoctrinement de la conscience publique. Il s’agit en fait d’une intention centrale des soi-disant élites qui contrôlent la matrice corporative-médiatique, comme je l’explique par exemple dans mon livre Transcending the Climate Deception Toward Real Sustainability.
Quoi ? Aucune photo de la Terre n'est autorisée ? Les touristes de l’espace ne seraient pas contents ! Il semble que même avec le financement de plus de 75 millions de dollars pour ce véhicule, l'ISRO ne pouvait pas se permettre d'installer à bord une seule caméra pointée vers la Terre pour nous fournir des images et des séquences vidéo de haute qualité de la Terre depuis la Lune ou depuis l'espace. Les droits sur des images aussi étonnantes financeraient sûrement l’ISRO pour les années à venir. Ainsi, nous sommes censés croire qu’ils peuvent installer un spectromètre sur la Lune pour tester la surface, ainsi que l’appareil nécessaire à plusieurs expériences scientifiques supplémentaires, mais ils ne peuvent pas installer une seule caméra de haute qualité sur le véhicule ou le rover et la pointer vers La terre? Non, il semble que notre « carte postale de la lune » soit une image floue de l’ISRO Moon Rover roulant sur une surface lunaire qui n’est pas sans rappeler un plateau de tournage hollywoodien.
Selon l'ISRO, le vaisseau spatial a utilisé une caméra et un radar pour scanner la surface à la recherche de cratères afin d'assurer un atterrissage réussi. Pourtant, il semble que personne n’ait pensé que ce serait une bonne idée que l’appareil photo prenne une seule photo de la Terre pendant le séjour des atterrisseurs sur la Lune pendant 14 jours. Quel dommage. Les touristes enthousiastes qui planifient des vacances futuristes sur la Lune ne seraient pas satisfaits de cette politique interdisant les photos !
L'ISRO nous a ensuite informé que le rover avait terminé ses missions, qu'il était « garé » et mis en mode veille ; et que la batterie était complètement chargée et que le panneau solaire avait été orienté pour recevoir la lumière au prochain lever du soleil ; et qu'ils espéraient un réveil réussi pour la prochaine série de missions. L'ISRO nous a alors informé qu'ils avaient perdu la connexion avec le rover et la péniche de débarquement et que « des efforts pour établir la communication avec l'atterrisseur et le rover sont en cours » (c'était le cas le 28 septembre[8]).
La réalité se distingue de l'illusion
L'« alunissage » de l'ISRO a donné lieu à une série de vidéos publiées en ligne ridiculisant le projet en le qualifiant de « charade idiote » et d'« un autre faux alunissage », par exemple[9].
La réalité est qu’il existe bien plus de preuves pour étayer l’affirmation selon laquelle l’homme n’est jamais allé sur la Lune que l’inverse, notamment l’absence d’étoiles sur les photos de la NASA et l’absence de cratère d’explosion sous le module d’atterrisseur. Une simple caméra pointée vers la Terre depuis la Lune réglerait le problème. J’affirme que cela n’arrivera jamais – si cela se produit, ce sera davantage une fabrication CGI. En fait, il me semble qu’il n’existe aucune preuve vérifiable que l’humanité ait jamais parcouru une distance « cosmique » significative au-dessus de la Terre.
Selon mon humble analyse, l’atterrissage de l’ISRO n’est pas un évènement historique dans l’espace, c’est juste un autre exemple de la chicane et de la supercherie de la matrice des méga-entreprises ; et le soi-disant réseau financier d’élite qui le contrôle. Comme je l’ai détaillé dans mes livres précédents, un groupe de financiers contrôle le monde des méga-entreprises, des institutions et des médias depuis qu’il a détourné le processus de création monétaire lors du coup d’État de la Réserve fédérale de 1913. En contrôlant la création et la diffusion de la monnaie, les banques privées Le cartel et leurs réseaux institutionnels qui dirigent le monde économique financent ou annulent le financement de tout récit médiatique, programme, supercherie, fausse science ou chicane impie de leur choix. La NASA fait partie de cette cabale de filous.
Les « atterrissages sur la Lune » de la NASA – La NASA a reçu 2 400 milliards de dollars de l’argent des contribuables américains, mais affirme avoir « perdu » toutes les données technologiques et télémétriques L'alunissage de l'ISRO n'est pas sans rappeler les alunissages de la NASA, qui font encore aujourd'hui l'objet de controverses. Ce qui suit est un extrait pertinent d’un article intitulé The Apollo Moon Landings are Science Fiction, publié le 8 mars 2022[10] :
« Depuis les prétendus alunissages, aucun pays ne prétend s’être éloigné de plus de 400 milles de la Terre et c’était dans la navette spatiale… Il y a une grande différence entre 240 000 milles et 400 milles. Pourquoi personne ne peut-il se rendre à plus de 400 milles de la Terre aujourd'hui si nous pouvions faire un aller-retour de 480 000 milles en 1969 ?
La NASA affirme en outre que trois hommes ont été chargés dans une fusée, ont parcouru 240 000 miles jusqu'à la lune… et ont ensuite passé du temps sur la lune pendant jusqu'à trois jours dans une chaleur de 250 degrés, ont frappé des balles de golf, sont montés sur un buggy lunaire – mais qu'est-ce qui les a propulsés ? leur système de survie et leur équipement ? Ils disent BATTERIES.
Ils auraient ensuite décollé de la surface de la Lune, se seraient amarrés au troisième homme faisant le tour de la Lune à plus de 4 000 miles par heure et auraient parcouru 240 000 miles pour revenir sur Terre. Ils sont rentrés dans l'atmosphère terrestre à une vitesse de 25 000 mph, mais des parachutes ont assuré un atterrissage en toute sécurité dans l'océan. Nous espérons que vous conviendrez que… prouve l’absurdité des affirmations de la NASA de manière claire et convaincante.
Les missions de la NASA sur la Lune auraient coûté au gouvernement américain, et donc au contribuable américain, environ 2 400 milliards de dollars. Pourtant, tout ce que la NASA a à montrer, c'est apparemment de la poussière lunaire et quelques petites roches qui, selon elle, provenaient de la Lune. lune. C'est beaucoup d'argent pour obtenir quelques pierres ! Cela semble être une offre assez lucrative si vous pouvez l'obtenir. La NASA doit être très reconnaissante que les contribuables américains financent l’organisation depuis des décennies. Si vous vivez aux États-Unis, vos impôts financent ces escrocs.
Comment a-t-il été si facile pour la NASA d'envoyer avec succès plusieurs missions Apollo sur la Lune et de ramener les astronautes chez eux en toute sécurité, alors que depuis lors, aucune personne n'a jamais quitté l'orbite terrestre basse ? Que dire d'aller sur la lune ? La NASA a même déclaré « nous avons perdu la technologie que nous utilisions pour nous amener sur la Lune » et nous a également déclaré que « toutes les roches lunaires ont été volées, y compris le coffre-fort dans lequel elles se trouvaient » au siège de la NASA. La NASA affirme également que toutes les données télémétriques importantes des missions lunaires ont été perdues ou détruites. Vraiment? Faut-il s'étonner qu'au cours des dernières décennies, il y ait eu un consensus croissant selon lequel la NASA avait simulé les missions Apollo sur la Lune dans les années 1960 – et qu'il ne s'agissait que d'une émission télévisée à la mode.
Selon plusieurs commentateurs sur le sujet, la NASA a perdu toutes les données, plans et enregistrements des missions Apollo. À la suite de demandes d'accès à l'information en Amérique, la NASA a admis avoir perdu des séquences vidéo originales, des données vocales, des données de surveillance biomédicale et des données de télémétrie permettant de surveiller l'emplacement et le fonctionnement du vaisseau spatial, ainsi que des plans/plans originaux pour les modules lunaires et les combinaisons spatiales. et les rovers lunaires, ainsi que pour l'ensemble des fusées Saturn V à plusieurs sections. Ils ont perdu « tout » le prétendu record des alunissages, y compris 13 000 bobines qui seraient « manquantes » ! Une fois, j'ai perdu un jeu de clés, mais on ne perd pas des centaines de boîtes à moins de les perdre volontairement. Quelque chose ne va clairement pas. Même Wikipédia déclare :
« plus de 700 boîtes de bandes de données magnétiques enregistrées tout au long du programme Apollo qui n'ont pas été retrouvées… Le 16 août 2006, la NASA a annoncé sa recherche officielle, en disant : « … les ingénieurs de la NASA espèrent que lorsque les bandes seront retrouvées, ils pourront utiliser les technologies numériques d'aujourd'hui. technologie pour fournir une version du moonwalk qui est de bien meilleure qualité que ce que nous avons aujourd’hui. »[11]
Je suggère humblement que le seul « moonwalk » que nous verrons jamais est la version dance man des années 1980 popularisée par le chanteur Michael Jackson ! De plus, la NASA est censée avoir pris plus de 5 000 photos alors qu'elle était sur la Lune lors des missions Apollo, mais aucune de ces photos ne représente la Terre ! C'est une blague. Les alunissages d'Apollo étaient une émission télévisée glorifiée – il n'est pas étonnant que la NASA ait « perdu » toutes les données.
Regardez également la conférence de presse avec les astronautes après leur retour de l'alunissage d'Apollo 11 de la NASA, environ 32 minutes après le début de la vidéo[12]. Ressemblent-ils à trois gars qui venaient de participer à la plus grande mission de l’histoire moderne, atterrissant sur une planète étrangère ? Non, ils ressemblent à trois enfants embarrassés qui savent qu’ils ont été méchants et qui attendent juste que leurs parents découvrent ce qu’ils ont fait. Ils ont l’air honteux d’avoir dû mentir au monde entier. Regardez leurs visages : ressemblez-vous à trois hommes ayant accompli la plus grande mission de l'histoire de l'humanité et revenant d'une planète étrangère ?
Il semble également que Neil A. Armstrong, le premier homme censé avoir marché sur la Lune, plus de 40 ans après l'événement, en dehors de la conférence de presse initiale de la NASA, n'a jamais accordé une seule interview digne de ce nom devant la caméra à qui que ce soit. Pourquoi ?
- voir photos sur site -
Dans le livre ci-dessus Moon Landing 2023 – Science ou science-fiction ? Je détaille également de nombreuses anomalies bien documentées dans les séquences vidéo des missions Apollo, ainsi que d'autres sujets pertinents, notamment :
ombres sur la lune pointant dans des directions différentes
La NASA a amené 3 véhicules lunaires sur la Lune qui ont coûté 60 millions de dollars chacun, mais n'a jamais apporté de télescope pour observer et photographier la Terre. les astronautes de la NASA marchaient dans la gravité terrestre, la vitesse de la vidéo a été lente et ajustée La NASA admet même que toutes les photographies de la Terre prises par la NASA depuis l'espace sont des composites CGI. les anciennes et nouvelles méthodes de supercherie technique utilisées par Hollywood et la NASA pour « simuler l'espace » Grâce à la technologie de réalité virtuelle augmentée, il devient difficile de distinguer ce qui est « réel » de ce qui est en réalité une imagerie générée par ordinateur (CGI). le contrat de l'agence spatiale avec une entreprise qui produit des vidéos avancées de simulation de réalité virtuelle.
Faux atterrissages sur la Lune – une partie d’un paradigme de fausse science De plus, les anciens textes védiques décrivent l'époque actuelle de l'histoire humaine comme le « Kali-yuga » – une époque dominée par les illusions à grande échelle, la tricherie, le mensonge et les poursuites démoniaques. Dans la société Kali-yuga actuelle, il y a beaucoup de falsifications et de tromperies, y compris les faux alunissages. Il y a les « tricheurs » et les « trompés », et l’un ne peut exister sans l’autre. Pourquoi les gens se laissent-ils prendre à de telles tromperies ? C’est parce qu’à un certain niveau intérieur, ils veulent y croire. Il est impensable de remettre en question le discours dominant pour les masses « connectées », hypnotisées par les médias grand public et l'orthodoxie scientifique qui colportent de fausses sciences.
Lorsque vous utilisez les gadgets et les plateformes du système d'entreprise actuel, vous entrez inévitablement en contact avec une hypnose collective mondiale de masse, une mentalité conditionnée qui a été façonnée par la télévision d'entreprise, les médias d'entreprise, les médias sociaux qui sont filtrés et « vérifiés » par algorithmes informatiques, applications pour smartphone, etc. Je demande qui peut vérifier les faits auprès des vérificateurs de faits ? La pression pour se conformer à la réalité acceptée et à la propagande intelligemment conçue de ces collectifs est énorme.
Une chose est sûre, beaucoup d’entre nous ont bien ri de ce « space opera », mais la triste réalité est que des milliards d’enfants apprennent cette doctrine de l’alunissage dans les écoles, sans la moindre preuve réelle. Je me souviens des paroles d’une chanson pop : « si vous tolérez cela, vos enfants seront les prochains… »
*
Mark Gerard Keenan est un ancien scientifique du Département de l'énergie et du changement climatique du gouvernement britannique et de la Division de l'environnement des Nations Unies. Il est l'auteur des livres suivants :
Moon Landing 2023 – Science ou science-fiction ? Fausse science impie Dépasser la tromperie du changement climatique vers une véritable durabilité Canular climatique sur le gaz carbonique – Comment les banquiers ont détourné le véritable mouvement environnemental Pas de soucis, pas de virus L’économie démoniaque et les astuces des banquiers
La République En Manque; nouvelle histoire de drogue en Macronie: un pote libidineux de Claude Malhuret et de Fantomas aurait drogué une députée
le 18 novembre 2023 par pgibertie
Malhuret est le sénateur le plus malfaisant du Palais du Luxembourg , il préside un groupe macroniste appelé https://www.independants-senat.fr/nos-senateurs, il a déversé sa haine sur ceux qui refusaient l’injection .
Donneur de leçons, il aurait pu surveiller ses disciples
Idem pour Fantomas…
La police a retrouvé dans le sang du sénateur Joël #Guerriau : cocaïne, amphétamines, opiacés, cannabis, méthadone et MDMA !!! Il a 66 ans ! Y a pas autant de produits illicites aux Beaumettes…
Le sénateur Joël Guerriau, soupçonné d’avoir drogué une députée à son insu, était surnommé « Teuffeur du 44 » dans un groupe WhatsApp de sénateurs républicains consultés par Europe 1. Existe-t-il un sérieux problème de stupéfiants au sein de nos institutions ?
Donc, le 17 mai 2023, Joël Guerriau, directeur général de banque, sénateur Horizons (le parti d’Edouard Philippe), demandait des sanctions « plus coercitives » contre les auteurs de violence visant les élus. Pourtant, les agresseurs d’un Trogneux non-élu, à Amiens, avaient été condamnés à de la prison pour quelques coups de poing. Mais cela ne suffisait pas à Guerriau, il en voulait plus. Le bagne peut-être ? le pilori ? la roue ? Et quelques mois plus tard, ce Torquemada est interpelé par la police pour avoir drogué une députée aux fins de la violer… Telle est le principe social dans la caste mondialisée. Il y a les règles qu’on applique aux petites gens qui se révoltent contre le système, qui disent non à l’oppression, qui demandent un autre monde. Et il y a l’impunité pour les puissants, pour ceux qui sont aux manettes et profitent de l’opulence. Rappelons quand même que le sénateur Guerriau fut directeur général de la Fédération des Caisses d’Epargne, ce qui n’est pas rien. Qu’il soutient Edouard Philippe. Un gros poisson comme on dit. Selon que vous serez puissant ou misérable… L’avantage de la macronie, c’est qu’elle ne cache même plus ses comportements obscènes. Les criminels y donnent allègrement des leçons de vertu aux petites gens.
@Verhaeghe
Ce n’est pas la première affaire comme le rappelle @Carene1984
Mediapart a révélé qu’Emmanuel Pellerin député du groupe Renaissance a consommé de la cocaïne avant et après son élection à l’Assemblée. Confronté aux enquêteurs , il a reconnu cet usage illégal. Dans un communiqué, le député a annoncé son «retrait» du groupe Renaissance à l’Assemblée, ainsi que du parti présidentiel qui envisageait de l’exclure
Nicolas Jeanneté, conseiller municipal à Paris, est soupçonné d’avoir détenu et revendu des drogues de synthèse lors de soirées « chemsex ». L’élu d’opposition à la mairie de Paris a été mis en examen notamment pour trafic de stupéfiants et consultation d’images pédopornographiques. L’élu centriste, qui était jusqu’à cette affaire vice-président du groupe LR et apparentés au Conseil de Paris n’entend pas démissionner.
En 2019, un scandale secoue le parti d’Emmanuel Macron. Moussa Ouarouss, député suppléant LREM des Yvelines et cadre local de la majorité présidentielle à Reims, est mis en examen pour importation, transport et détention de produits stupéfiants. https://yabiladi.com/articles/details/96100/france-l-etrange-parcours-moussa-ouarouss.html
Laurent Bigorgne, ex-patron de l’Institut Montaigne homme de réseaux proche d’Emmanuel Macron, a écopé d’ une peine de 18 mois de prison avec suris lors de son procès au tribunal de Paris pour avoir drogué une proche. Au tribunal, il était revenu sur son addiction aux stupéfiants : « Ma première addiction, c’est le travail et la drogue me servait à tenir. J’ai commencé par quelques doses de cocaïne puis au fur et à mesure, je me suis retrouvé à prendre quatre grammes de cocaïne par jour ».
Le témoin de l'assassinat de JFK brise son silence. Preuve d'un deuxième tireur. La théorie de la « balle magique » est un mensonge pur et simple
"Cette construction absurde a servi de fondement à la théorie selon laquelle un seul tireur a assassiné le président Kennedy" Robert F. Kennedy Jr.
Par Peter Baker , Robert F. Kennedy Jr et le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 19 novembre 2023
Le 22 novembre 2023, nous commémorons l'assassinat de JFK il y a 60 ans le 22 novembre 1963.
* * *
Commentaires de Robert F. Kennedy Jr.
Commentaires de Michel Chossudovsky Vous trouverez ci-dessous des extraits (faites défiler vers le bas) de l'article du New York Times concernant la révélation de l'agent des services secrets Paul Landis 60 ans plus tard sur l'assassinat de JFK. C'est une bombe politique.
Après 60 ans de silence, la révélation de l'agent des services secrets Paul Landis confirme que le 22 novembre 1963, il y a eu un deuxième tireur en plus de feu Lee Harvey Oswald, assassiné deux jours plus tard, le 24 novembre 1963.
Paul Landis confirme désormais que la balle qui a touché JFK n'a pas touché le gouverneur du Texas, John B. Connally , qui a été grièvement blessé lors de la fusillade :
« Landis a déclaré au Times qu'après que Kennedy ait été abattu, c'est lui qui a récupéré la soi-disant « balle magique » et a expliqué la scène chaotique qui lui en a donné l'opportunité.
Il n’y avait personne pour sécuriser les lieux, et cela m’a vraiment très gêné. Tous les agents présents étaient concentrés sur le président.
Une foule se rassemblait. Tout s'est passé si vite. Et j’avais juste peur que — c’était un élément de preuve, dont j’ai réalisé tout de suite. Très important. Et je ne voulais pas qu'il disparaisse ou se perde. C'était donc : « Paul, tu dois prendre une décision » et je l'ai saisie. (NYT, italiques ajoutés)
Cela signifie que la thèse centrale de la dissimulation de la Commission Warren – à savoir qu’une « solution miracle » a frappé à la fois JFK et Connally – est un mensonge pur et simple.
Le mensonge a maintenant été dévoilé. La vérité sur la mort de John F. Kennedy prévaudra-t-elle ? Ou bien la révélation de Peter Landis sera-t-elle contestée et « réfutée ».
Cette révélation a ouvert une boîte de Pandore , qui menace potentiellement la légitimité du « programme néoconservateur ».
Quelle sera la réponse des grands médias ? Les implications juridiques et politiques de cette révélation sont considérables. Cela affecte notre compréhension de l'histoire américaine.
Quelle sera la réaction des politiciens américains et du grand public ? Ou bien la révélation de Paul Landis sera-t-elle « balayée sous le tapis ». Aucune question posée.
Il est important de noter que le mensonge concernant la « balle magique » a été révélé dans le New York Times par Paul Landis deux jours avant le 11 septembre 2023 – c’est-à-dire le jour où les gens en Amérique et dans le monde commémorent les attentats du 11 septembre, qui AUSSI constituent un grand mensonge et un crime contre l'humanité. Existe-t-il un continuum historique ? Ne devrions-nous pas « relier les points » ?
Michel Chossudovsky , Global Research, 11 septembre 2023
Pour plus de détails et une analyse incisive ainsi que la réponse de RFK Jr., voir :
Le témoin de l'assassinat de JFK brise un silence de 60 ans et dénonce une affirmation clé du gouvernement concernant la mort du président – Robert F. Kennedy Jr. répond
Nos remerciements au NYT pour avoir porté cet article à notre attention.
Le témoin de l'assassinat de JFK brise son silence et soulève de nouvelles questions par Peter Baker
"Le récit de Paul Landis, l'un des agents des services secrets à quelques pas de John F. Kennedy lorsqu'il a été abattu, pourrait changer la compréhension de ce qui s'est passé à Dallas en 1963."
New York Times, 9 septembre 2023 Extraits. Cliquez ici pour lire l'article complet du New York Times .
Il se souvient encore du premier coup de feu. Un instant, debout sur le marchepied du cortège, il nourrit le vain espoir qu'il ne s'agissait peut-être que d'un pétard ou d'un pneu crevé. Mais il connaissait les armes et il en savait mieux. Puis vint un autre coup. Et un autre. Et le président s'est effondré.
Pendant de nombreuses nuits par la suite, il a revécu ce moment macabre dans ses rêves. Aujourd'hui, 60 ans plus tard, Paul Landis , l'un des agents des services secrets à quelques pas du président John F. Kennedy en ce jour fatidique à Dallas, raconte pour la première fois son histoire dans son intégralité. Et sur au moins un point clé, son récit diffère de la version officielle d'une manière qui pourrait changer la compréhension de ce qui s'est passé à Dealey Plaza .
… Il s’avère que si ses souvenirs sont exacts, la « solution magique » dont on parle tant n’a peut-être pas été si magique après tout.
Sa mémoire remet en question la théorie avancée par la Commission Warren qui a fait l'objet de tant de spéculations et de débats au fil des ans – selon laquelle l'une des balles tirées sur la limousine du président a touché non seulement Kennedy mais aussi le gouverneur John B. Connally Jr. du Texas. , qui roulait avec lui, à plusieurs endroits.
Le récit de M. Landis, inclus dans un prochain mémoire, réécrirait de manière importante le récit de l’un des jours les plus bouleversants de l’histoire américaine moderne. Cela ne veut peut-être pas dire plus que cela. Mais cela pourrait également encourager ceux qui soupçonnaient depuis longtemps qu'il y avait plus d'un tireur à Dallas le 22 novembre 1963, ajoutant ainsi de l'eau à l' un des mystères persistants de la nation .
…. Mais il était là, un témoin direct, et il est rare qu’un nouveau témoignage émerge six décennies après les faits. Il n’a jamais adhéré aux théories du complot et souligne qu’il n’en promeut pas actuellement. À 88 ans, dit-il, tout ce qu'il veut, c'est raconter ce qu'il a vu et ce qu'il a fait. Il laissera à chacun le soin de tirer des conclusions.
"Il n'y a pas d'objectif à ce stade", a-t-il déclaré dans une interview le mois dernier à Cleveland, la première fois qu'il en parlait avec un journaliste avant la publication de son livre "The Final Witness", qui sera publié par Chicago Review Press. le 10 octobre. «Je pense juste que cela faisait assez longtemps pour que je devais raconter mon histoire.» (NYT, italiques ajoutés)
Cliquez ici pour lire l'article complet du New York Times .
Peter Baker , qui a couvert les cinq derniers présidents, a fait un reportage depuis Cleveland, où il a interviewé Paul Landis.
JFK 60 ans après sa mort : la CIA, le dossier contre LBJ et au-delà
Par Michael Welch et Jeremy Kuzmarov Recherche mondiale, 18 novembre 2023
ÉCOUTEZ LE SPECTACLE
- voir clip sur site -
Cliquez pour télécharger l'audio (format MP3)
On a appelé cela la fin de l'innocence. Le premier des grands assassinats des années soixante. La première apparition d’une tragédie nationale en temps réel sur les ondes médiatiques. La fin de Camelot.
La mort du 35e président des États-Unis dans un cortège traversant Dallas a marqué la fin de la confiance dans le gouvernement américain et l’aube de ce que l’on a appelé les « théories du complot » autour d’événements apparemment impossibles. Quelqu'un a-t-il vraiment tué notre président bien-aimé ? Comment est-ce possible ?
Mais comme le savent très bien les auditeurs de cette émission et les mécènes de Global Research, nous ne pouvons pas exclure les pratiques criminelles au sein des gouvernements et des fonctionnaires agissant nominalement dans nos propres intérêts.
Pour citer la simple déclaration du dessin animé de Walt Kelly :
"Nous avons rencontré l'ennemi et c'est nous." [1]
- voir clip sur site -
Le 60e anniversaire de la mort de Kennedy approche dans quelques jours. Une conférence majeure a lieu à Dallas, organisée par le JFK Historical Group en collaboration avec JFK Conferences, LLC et Project JFK. Ils cherchent à réexaminer les preuves et des décennies de recherche « avec un regard neuf et avec les nouvelles technologies ». [2]
De nombreuses personnes marqueront sans aucun doute de la même manière ce profond moment de tristesse et leur détermination à découvrir la vérité une fois pour toutes sur ce qui est arrivé à cet homme et à l’Amérique dans l’intérêt de la justice et de la clarté. Les animateurs d’émissions de radio comme John Young et le Canadien Brent Holland sont deux exemples de chercheurs actifs à la radio posant la question « Qui a tué Kennedy ? » sur les ondes.
Et la Global Research News Hour ne fait pas exception !
Nous avons certainement eu des chercheurs individuels remarquables qui ont partagé les résultats de leurs recherches. Mais à l’approche de « JFK DAY » en cette année critique, la série envisage d’enquêter sur la mort du point de vue du présent. Et depuis des points de vue non encore explorés dans les épisodes précédents.
Notre premier invité, Jeremy Kuzmarov de Covert Action Magazine, qui prévoit de publier un article spécial sur JFK dans les prochains jours, revient sur le récent refus des présidents Trump et Biden de divulguer intégralement tous les documents relatifs à l'assassinat de JFK depuis 2017 selon la loi de 1992 sur la collection de documents du président John F. Kennedy. Il explore également d'autres révélations plus récentes sur les circonstances entourant la mort de Kennedy. Et il rejoint une discussion sur les soi-disant « fausses pistes » poursuivies par certains chercheurs et qui les ont éloignés de bases factuelles plus solides.
Dans notre deuxième demi-heure, nous parlons avec Phillip F. Nelson. Il est également un écrivain sur l'assassinat de JFK qui a écrit le livre extraordinaire de 2010 : LBJ : Le cerveau de l'assassinat de JFK . Nelson passe la majeure partie de l'interview à détailler l'homme caché dans un site ordinaire comme ayant la motivation d'accéder au pouvoir en travaillant en collaboration avec les forces de « Deep State » pour que l'acte soit accompli, sans que pratiquement personne, y compris le directeur de JFK, Oliver Stone, ne soupçonne son implication . ! Il parle également de la direction qu’une nouvelle génération de chercheurs et d’activistes devrait prendre, selon lui, pour révéler les aspects de l’affaire qui devraient être au premier plan à l’avenir.
Jeremy Kuzmarov est rédacteur en chef de CovertAction .Magazine . Il est l'auteur de quatre livres sur la politique étrangère américaine, dont Obama's Unending Wars (Clarity Press, 2019) et The Russians Are Coming, Again, avec John Marciano (Monthly Review Press, 2018). Il est également l'auteur de l'article de décembre 2022 : Biden protège la CIA en retenant 5 000 documents critiques sur l'assassinat de JFK.
Phillip F. Nelson est l'auteur de LBJ : Le cerveau de l'assassinat de JFK ; Souvenez-vous de la Liberté ! Presque coulé par trahison en haute mer ; et Qui a vraiment tué Martin Luther King Jr. ? : L'affaire contre Lyndon B. Johnson et J. Edgar Hoover , entre autres livres. Après l'université, un passage dans le Peace Corps et une carrière en entreprise, il a commencé une étude approfondie de l'assassinat de JFK, de la présidence de Johnson et de sa conduite criminelle continue. Phillip réside à Greenville, en Caroline du Sud et peut être contacté à philfnelson@protonmail.com .
(Global Research News Hour Épisode 409)
ÉCOUTEZ LE SPECTACLE
Cliquez pour télécharger l'audio (format MP3)
L'émission Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13 h CT sur CKUW 95.9FM à l'Université de Winnipeg. Le programme est également disponible en podcast sur globalresearch.ca .
Autres stations diffusant l'émission :
CIXX 106,9 FM, diffusant depuis le Fanshawe College de London, en Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6 heures du matin.
WZBC 90,3 FM à Newton Massachusetts est Boston College Radio et diffuse dans la grande région de Boston. L'Heure d'information sur la recherche mondiale est diffusée sur la radio Vérité et Justice qui commence dimanche à 6 heures du matin.
La radio universitaire et communautaire CFMH 107.3fm à Saint John, au Nouveau-Brunswick, diffuse l'émission Global Research News Hour le vendredi à 19 h.
CJMP 90.1 FM, Powell River Community Radio, diffuse l'émission Global Research News Hour tous les samedis à 8 heures du matin.
Caper Radio CJBU 107.3FM à Sydney, Cap-Breton , Nouvelle-Écosse diffuse l'émission Global Research News Hour à partir de mercredi après-midi de 15h à 16h.
Cowichan Valley Community Radio CICV 98,7 FM desservant la région de Cowichan Lake sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique, diffuse le programme le jeudi à 9 h, heure du Pacifique.
Le Canada euthanasie 36 citoyens chaque jour, selon les données
RépondreSupprimer20/11/2023
Ethan Huff
L'une des capitales mondiales de l'euthanasie, le Canada, revient dans l'actualité en raison du nombre élevé de citoyens qui meurent chaque jour dans tout le pays par suicide assisté.
Selon les derniers chiffres, 36 Canadiens meurent chaque jour avec l'aide d'un médecin agréé par le gouvernement. En fait, l'euthanasie est maintenant si populaire au Canada qu'elle représente 4,1 % des décès à l'échelle nationale.
Il s’agit d’une augmentation significative depuis 2021, alors que seulement 3,3 % des décès annuels au Canada étaient dus à l’euthanasie.
Le quatrième rapport annuel sur l'aide médicale à mourir (AMM) pour 2022, qui vient d'être publié le mois dernier, indique que depuis 2016, l'euthanasie a coûté la vie à près de 45 000 Canadiens.
Soit dit en passant, l’AMM a été légalisée en 2016. Cette année-là, 1 018 Canadiens ont choisi de mourir dans le cadre du programme. À peine six ans plus tard, en 2022, ce chiffre annuel de décès par euthanasie au Canada est monté en flèche pour atteindre 13 241 personnes, ce qui équivaut à environ 36 décès par euthanasie par jour dans tout le Canada.
"Cela équivaut à un taux de croissance annuel moyen de 31,1% depuis 2019", explique un rapport sur le sujet. "Les données montrent que 81 % des demandes écrites d'AMM ont été accordées."
« Cependant, sur les 19 % restants, seulement 3,5 % des demandeurs ont été jugés inadmissibles à l'AMM, un nombre en baisse depuis 2019. »
(Connexe : Saviez-vous que le Canada vient d'élargir ses lois sur le suicide assisté pour inclure désormais l'euthanasie des nourrissons ?)
Si plus de lits étaient disponibles, encore plus de Canadiens se verraient accorder l’euthanasie
Une chose importante à noter dans tout cela est que la plupart des patients au Canada qui se voient refuser l’AMM ne le sont que parce que les établissements agréés n’ont tout simplement pas assez de capacité pour gérer leur aide à mourir.
"Cela signifie que les individus appartenant à cette catégorie ont été refusés uniquement en raison du manque de lits disponibles, et qu'ils auraient été euthanasiés si l'espace le permettait", expliquent les rapports.
Les provinces canadiennes connaissant le plus de suicide assisté sont le Québec et la Colombie-Britannique. Sur tous les décès dans ces deux provinces, respectivement 6,6 pour cent et 5,5 pour cent sont causés par le suicide assisté.
À l'inverse, les deux provinces canadiennes ayant les niveaux d'euthanasie les plus faibles sont Terre-Neuve-et-Labrador et le Manitoba, représentant respectivement 1,5 pour cent et 2,1 pour cent de tous les décès.
Selon Santé Canada, une personne doit ressentir « des souffrances physiques ou psychologiques intolérables causées par son état de santé ou son état de déclin et qui ne peuvent être soulagées dans des conditions qu'elle juge acceptables » pour être admissible à l'AMM.
RépondreSupprimerUne enquête auprès des bénéficiaires de l'AMM a révélé que la principale source de « souffrance intolérable » est la « perte de la capacité de s'engager dans une activité significative dans la vie », avec 86 pour cent des répondants affirmant qu'ils en font l'expérience. Quatre-vingt-deux pour cent ont indiqué qu'ils avaient opté pour le suicide assisté parce qu'ils avaient perdu la capacité d'accomplir les activités de la vie quotidienne, ce qui signifie activités de la vie quotidienne.
"Cela confirme que l'euthanasie est avant tout une question existentielle, et non une question de gestion de la douleur ou médicale", affirme Amanda Achtman, défenseure de la vie et opposée au suicide assisté.
« Le gouvernement du Canada continue d'utiliser des euphémismes effrayants, notamment :
– Dispositions pour l'AMM
– 'destinataires' de l'AMM
– une « croissance d'une année sur l'autre » constante [en nombre de décès]
– 'effectué la procédure'
– « garanties assouplies »
– « Systèmes de coordination des soins MAID », a tweeté Achtman dans une série de messages sur le fait que tout n'est pas ce qu'il semble être au Canada concernant son programme d'euthanasie.
"Comme les années précédentes, le type de souffrance le plus cité qui conduit une personne à demander l'euthanasie est 'la perte de la capacité de s'engager dans des activités significatives'."
À compter du 17 mars 2024, les personnes ayant des problèmes mentaux comme seul problème de santé sous-jacent ne seront plus admissibles à l’AMM.
Les dernières nouvelles sur la pression croissante en faveur de davantage d’euthanasie peuvent être trouvées sur Depopulation.news.
Les sources de cet article incluent :
NewsAddicts.com
Canada.ca
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-20-data-canada-euthanizes-36-residents-every-day.html
Le BMJ publie un éditorial choquant citant des médecins qui placent le « changement climatique » au-dessus des intérêts des patients
RépondreSupprimer20/11/2023
Ethan Huff
Saviez-vous que le British Medical Journal (BMJ) a publié un éditorial appelant les médecins du monde entier à détourner leur attention des soins aux patients et à se concentrer sur le changement climatique ?
Juste avant la COP26 à Glasgow en 2021, l'éditorial du BMJ a été publié pour semer dans la profession médicale le mythe selon lequel prendre soin des patients contribue de manière significative aux « émissions de gaz à effet de serre », la suggestion étant que les patients devraient simplement être autorisés à mourir pour sauver la planète.
Ce n'est que si les « professionnels de la santé » apprennent à réduire le « surdiagnostic » et le « surtraitement » que la profession médicale dans son ensemble pourra s'adapter au changement climatique, affirme l'éditorial, suggérant que laisser davantage de patients mourir contribuera à « refroidir » la planète et à prévenir cela du "réchauffement".
"Soyons clairs : l'establishment médical veut réduire le diagnostic précoce du cancer afin d'éviter que Big Ben ne disparaisse sous des vagues de 100 pieds par semaine mercredi", écrit Vernon Coleman à propos du ridicule de la position de l'éditorial. "C'est terriblement méchant."
(Connexe : La guerre contre le carbone est un principe majeur du culte du suicide collectif psychotique des sectateurs du climat.)
Le changement climatique "est la véritable crise sanitaire de notre époque", affirme l'establishment médical
Les taux croissants de maladies chroniques dues aux organismes génétiquement modifiés (OGM), aux vaccins, à la 5G et à d'autres poisons sociétaux doivent passer au second plan face au concept mythique du changement climatique, affirme désormais l'establishment médical, arguant que « l'urgence climatique est la véritable crise sanitaire de notre époque."
Étonnamment, le même BMA qui a publié l’éditorial mentionné ci-dessus affirme également que la Grande-Bretagne a besoin de 60 000 médecins supplémentaires – pour quoi, dirions-nous, si le changement climatique est la véritable priorité ?
Peut-être que l’objectif de l’arrivée de plus de médecins au sein du National Health Service (NHS), le système de santé contrôlé par le gouvernement du Royaume-Uni, est de les utiliser comme des types du Dr Kevorkian pour se débarrasser des patients afin de « sauver la planète » ?
Coleman semblerait être d'accord, ayant écrit dans un article récent que la profession médicale d'aujourd'hui dans son ensemble « est complice des attaques du gouvernement contre les personnes qu'elle est payée pour servir » – d'autant plus que le gouvernement a clairement indiqué qu'il « ne Je ne veux pas de médecins plus âgés, expérimentés et indépendants d'esprit travaillant en Grande-Bretagne", dit-il.
RépondreSupprimerNon, ce que veut le gouvernement britannique, c’est une nouvelle armée de faux professionnels de la santé qui obéiront à tous les ordres anti-humains que leur transmettent leurs suzerains, le tout au nom de la protection de la planète contre la destruction des gaz à effet de serre.
En fait, le Conseil médical général (GMC) s'est fait un devoir d'expulser les médecins les plus âgés et les plus expérimentés afin qu'ils puissent être remplacés par une nouvelle race de laquais médicaux, « facilitant ainsi la destruction du NHS, la destruction de vastes nombre de patients âgés et malades et pour faire passer le canular de la grippe rebaptisé et la fraude associée impliquant une injection expérimentale.
"Peut-être que le gouvernement a réalisé que des médecins plus âgés et plus expérimentés, non liés par un contrat avec le NHS, sans hypothèques à payer et sans soucis de carrière future, pourraient être plus susceptibles de remettre en question tout le canular de la grippe", écrit encore Coleman dans son dernier article. livre, "Truth Teller: The Price".
"Il est à noter que la plupart des rares médecins qui s'opposent à la fraude sont des médecins plus âgés et plus expérimentés."
L’idée même du « zéro net », qui est actuellement fortement défendue en Occident, implique l’éradication quasi totale des êtres humains de la planète. Cela s’aligne sur le plan de l’Agenda 2030 visant à dépeupler massivement le monde, laissant derrière lui une classe d’esclaves beaucoup plus petite pour servir tous les caprices des mondialistes.
Vous trouverez davantage d’informations sur l’opération psychologique sur le réchauffement climatique sur Climate.news.
Les sources de cet article incluent :
BMJ.com
Expose-News.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-20-bmj-doctors-climate-change-above-patient-interests.html
Le médecin canadien Mark Trozzi reconnu coupable de faute professionnelle après s'être prononcé contre les vaccins et les mandats contre la COVID-19
RépondreSupprimer19/11/2023
Laura Harris
Le Tribunal disciplinaire des médecins et chirurgiens de l'Ontario (OPSDT) a déclaré le traumatologue canadien Mark Trozzi coupable de faute professionnelle pour sa dissidence vocale à l'égard des vaccinations et des mandats contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
La décision de l'OPSDT du 6 octobre a déclaré que Trozzi n'avait pas respecté les normes de pratique de la profession médicale concernant les vaccinations et les mandats contre le COVID-19. Il faisait référence aux déclarations qu'il avait faites sur ses profils de réseaux sociaux et sur ses sites Web officiels, ainsi qu'à ses interviews – que le tribunal avait qualifiées de « désinformation ».
L'OPSDT a également qualifié le médecin d'« incompétent » pour délivrer des exemptions médicales pour les vaccins contre la COVID-19. En conséquence, l'Ordre des médecins et chirurgiens de l'Ontario – l'entité mère de l'OPSDT – cherche à révoquer définitivement son permis médical.
"Nous avons déjà une décision contre nous au [CPSO], mais nous nous y attendions, donc nous jouons le long jeu", a déclaré l'avocat de Trozzi, Michael Alexander. Il a ajouté que lui et son client avaient interjeté appel auprès du système judiciaire en réponse à la décision. Alexander a fait valoir que le procès contre Trozzi constitue une attaque contre la liberté d’expression.
"Les universités assument désormais le rôle de censeurs, et les médecins doivent suivre [à la fois] la ligne de l'université et celle du gouvernement en matière de santé publique et d'autres questions scientifiques. Il s'agit d'une attaque vraiment fondamentale contre la liberté d'expression, donc c'est un problème très troublant. développement."
Une audience sur la sanction a eu lieu le 10 novembre, mais le verdict n'est attendu qu'en décembre.
Trozzi a exhorté les responsables de la santé au Canada à reconsidérer leurs politiques en matière de pandémie
Au plus fort de la pandémie, il a publiquement déconseillé les injections de COVID-19 en raison de leur sécurité et de leur efficacité douteuses à la suite de son étude indépendante de leurs ingrédients. Trozzi a également affirmé que les incitations financières compromettaient le jugement des médecins concernant le récit du COVID-19. En conséquence, lui et son collègue médecin ontarien Rochagne Kilian n’ont pas eu le droit de délivrer des exemptions médicales pour les injections de COVID-19, les exigences de masquage et les tests en 2021.
Dans une mise à jour vidéo publiée le 13 novembre, Trozzi a révélé qu'il faisait l'objet de poursuites judiciaires pour avoir défié les mandats COVID-19 fixés par le CPSO. Le médecin, assiégé, a exhorté les ministères de la Santé des provinces canadiennes à reconsidérer leurs politiques relatives au COVID-19. Il a souligné des preuves récentes d’une contamination de l’ADN dans les injections de Pfizer et Moderna.
"Mettez entre parenthèses vos politiques liées au COVID. Arrêtez toute persécution contre les médecins, les infirmières et tous ceux qui reconnaissent les dangers et, surtout, alertez immédiatement tous les médecins, les infirmières et les citoyens que Pfizer a menti", a déclaré Trozzi. "Les injections sont contaminées et toutes les injections doivent cesser immédiatement. Nous pouvons maintenant nous unir en tant que pays et peuple contre les auteurs de la fraude."
RépondreSupprimerTrozzi et Kilian n'étaient pas les seuls médecins visés par le CPSO. Le collège a également jeté son dévolu sur des médecins dissidents tels que Mary O'Connor, Celeste Jean Thirlwell, Patrick Phillips et Crystal Luchkiw pour avoir refusé de se conformer aux protocoles standard COVID-19 dictés par l'établissement médical. Selon le CPSO, des arrêtés d'urgence ont été émis en vertu de la Loi sur les professions de santé réglementées pour empêcher les pratiques qui « exposent ou sont susceptibles d'exposer les patients à un préjudice ou à une blessure ».
Cette répression contre les médecins non conformes pendant la pandémie de COVID-19 a incité le Dr Robert Malone à dénoncer la « rééducation » des médecins canadiens dissidents. Malone est l’inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, qui a ensuite été réutilisée pour les injections du COVID-19.
Visitez MedicalFascism.news pour plus d’histoires sur les commissions médicales punissant les médecins qui s’écartent du récit du COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les mensonges liés au mandat des masques COVID-19.
Cette vidéo provient de la chaîne Think About It sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
Montrez votre soutien au Dr Mark Trozzi alors qu'il risque de perdre sa licence médicale.
11 Des professeurs exigent que l’Université de Californie mette fin aux mandats de vaccination contre la COVID.
L’acteur Woody Harrelson redouble d’efforts et affirme que les mandats « absurdes » liés au COVID doivent cesser.
Un éminent cardiologue britannique appelle à la fin des mandats de vaccination contre la COVID en Australie.
La Floride interdit définitivement tous les mandats de masques et de vaccins contre le COVID-19 dans les écoles et les entreprises.
Les sources incluent :
ReclaimetheNet.org
TheEpochTimes.com
LifeSiteNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-19-doctor-guilty-speaking-up-against-covid-vaccines-mandates.html
Les points critiques de la réforme de l’OMS
RépondreSupprimer21 novembre 2023
de Thomas Oysmüller
Une production de vaccins plus rapide, un contrôle permanent de la pandémie, le Secrétaire général comme médecin du monde, la censure et la surveillance : tels ne sont que quelques-uns des points clés de la réforme de l'OMS.
Les travaux se poursuivent avec diligence sur la réforme de l’OMS, et l’Allemagne et Karl Lauterbach en particulier en font également publiquement la promotion. La virologue et experte en guerre biologique, Meryl Nass, a récemment résumé huit points clés de la réforme envisagée . Il offre ainsi un aperçu très concis de l’état du développement et des changements cruciaux si la réforme réussit.
Faits saillants et ajouts par TKP.
La propagation d'agents de guerre biologique.
Le traité et les amendements proposés [La réforme de l'OMS se compose de deux parties, le « Traité sur la pandémie » et l'amendement au Règlement sanitaire international, ndlr] exigent que les États surveillent les agents pathogènes pandémiques potentiels, établissent ou maintiennent des laboratoires de séquençage et partagent des échantillons avec l'OMS (où un BioHub a été créé à cet effet) et pour la diffusion en ligne des séquences. Cela nécessite la prolifération d’agents de guerre biologique, ce qui, à mon avis, constitue un crime (sur la base de mon interprétation de la résolution 1540 du Conseil de sécurité et de la Convention sur les armes biologiques de 1972).
1 heure du matin. La version « texte de bureau » du contrat du 2 juin 2023 appelle également les États menant des recherches sur les gains de fonction à « supprimer les barrières administratives » à ce travail. En d’autres termes, les restrictions sur la recherche devraient être assouplies, ce qui augmenterait le risque de fuites dans les laboratoires. Ce paragraphe a été supprimé dans la version du contrat en date du 30 octobre 2023.
L’OMS peut faire un chèque en blanc
Le traité stipule qu'une Conférence des Parties et un nouveau Secrétariat de l'OMS seront créés à l'avenir pour établir des règles de fonctionnement de l'appareil de prévention et de riposte à la pandémie.
Les vaccins sans responsabilité sont produits à l’aide d’un procédé turbo
Le contrat prévoit un développement et une production rapides de vaccins et une réduction de tous les aspects du développement, des tests et de la production des vaccins . Cela suppose que les vaccins peuvent être utilisés sans licence, et le traité exige que les pays disposent de lois pour accorder des autorisations d’urgence et « réglementer » les questions de responsabilité à cette fin. Pour plus d’informations, voir « Le traité proposé par l’OMS augmentera le nombre de pandémies d’origine humaine ». Les États-Unis, l’UE et d’autres ont spécifiquement demandé une période de développement de vaccins de 100 jours et 30 jours supplémentaires pour la production de vaccins contre la pandémie. Cela ne permettrait pas de tests significatifs sur les humains.
L’Islande retire de facto la vaccination contre le Corona
RépondreSupprimer21 novembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
L’Islande fait partie des pays qui ont déployé des efforts pour atteindre une couverture vaccinale totale. Mais vous faites également partie des pays qui ont tout bien documenté dès le départ et qui sont désormais prêts à en assumer les conséquences. Les vaccins contre le Corona sont désormais difficiles à obtenir, voire pas du tout. Mais le retrait s’effectue plutôt tranquillement et tranquillement. On ne prévient que contre la grippe !
Le TKP a fait hier le point sur l'Autriche . Selon la réponse à la question parlementaire du député Gerald Hauser (FPÖ), 641,3 millions d'euros ont été dépensés pour environ 65 millions de doses de vaccin pour les 8 millions d'habitants du pays, dont 18,7 millions de doses (soit environ 184,5 millions d'euros) sont périmées. inutilisées ou 11,7 millions de canettes (soit environ 111,5 millions d'euros) ont déjà été détruites. Ainsi, 8,12 canettes ont été achetées par habitant âgé de 0 à 100 ans. Qu'en pensaient exactement les membres responsables du gouvernement fédéral ?
Mais revenons en Islande. Il y a quelques jours , cette annonce énigmatique est apparue dans les journaux islandais (lien vers l'article en islandais ) comme le rapporte Sasha Latypova :
Voici la traduction allemande [commentaires ajoutés] :
Selon Ragnheiður Óskar Erlendsdóttur, chef des services infirmiers du service de santé de la région de la capitale, il y a eu récemment une forte augmentation des infections respiratoires. [Services nationaux de santé couvrant toute la capitale et les villes environnantes].
« Nous savons qu'il y a une grande participation aux consultations au niveau local », dit-elle. Force est de constater que le Covid-19, comme d’autres épidémies, est largement répandu dans la société.
"Maintenant, le Covid est comme n'importe quelle autre grippe, mais comme les autres grippes, nous aimerions demander aux gens de faire une pause et de pratiquer la prévention des infections si les symptômes sont graves." [Dans la phrase précédente, c'est un fléau, ici c'est juste une grippe.» et nous voulons que vous restiez simplement à la maison pour que nous n'ayons pas à faire face aux conséquences d'un empoisonnement massif que nous avons provoqué avec des préparations « sûres et efficaces »].
Depuis le 18 octobre, les personnes âgées de 60 ans et plus et celles souffrant de problèmes de santé sous-jacents peuvent se faire vacciner contre le Covid et la grippe, mais Ragnheiður affirme que la participation a été modérée.
RépondreSupprimerÀ partir de la semaine prochaine, les citoyens pourront se faire vacciner contre la grippe au centre de santé, mais pas contre le Covid.
Attends quoi ?
Un journaliste local qui a passé quelques appels a déclaré que personne ne pouvait expliquer pourquoi la vaccination contre le corona n'était pas proposée. C'est comme si le gouvernement... aurait pensé. Ou quelque chose comme ça.
Mais... si vous insistez vraiment, vous pouvez vous faire vacciner dans 1 pharmacie à travers le pays...
Mais... vous devez amener 4 amis car ils ne veulent pas gaspiller 5 injections par flacon.
Cette révélation intervient après les dégâts massifs causés par l’empoisonnement de 80 % de la population :
Cette capture d’écran montre clairement qu’il n’y a jamais eu de pandémie en Islande et que la surmortalité n’a eu lieu qu’après l’administration et l’utilisation du poison injectable.
Latypova commente le résultat comme suit :
Le monstre n'admettra pas qu'il a perdu. Ils vont le balayer sous le tapis et faire de petites annonces obscures qu’ils espèrent que personne ne remarquera, comme ils le font en Islande et ailleurs (exemple de l’Australie). Ils agiront comme si de courageux responsables de la santé publique avaient combattu la peste et bâclé quelque chose, mais c'était le mieux que ces connards pouvaient faire. Ils agiront comme s’il y avait une « audience » sur la manière de prévenir de futures pandémies (qui ont toujours été fausses, ici et ici). En aucun cas, ils n’admettront que les lois actuelles aux États-Unis et dans l’Union européenne permettent que le génocide humain de masse perpétré par le gouvernement soit totalement légal, tant qu’ils continueront à imposer le poison biochimique à tout le monde en tant que « contre-mesure de l’EUA en vertu du droit public » de la santé. urgence". C'est pourquoi ils veulent vous faire croire aux pandémies, ou du moins aux épidémies, et surtout au mythe selon lequel les virus d'origine humaine qui représentent un réel danger pour des millions, voire des milliards de personnes, sont facilement créés par des étudiants dans des garages avec des composants achetés sur Amazon. être produit. Mais vous n’êtes pas autorisé à critiquer le CDC VRC pour avoir créé un poison biologique et l’avoir qualifié de « vaccin ». Parce que les scientifiques du CDC PRC sont à la fois bons et stupides – ils ne verraient jamais comment cela est possible… Je recommence, je dois arrêter cette haine et cette hyperbole… »
L'Autriche a acheté 8 seringues par personne, l'UE a acheté 5,4 milliards de seringues pour 450 millions de citoyens de l'UE, soit 12 seringues par citoyen de l'UE. Un parrainage vraiment très généreux de l'industrie pharmaceutique – environ 640 millions d'euros en Autriche, environ 100 milliards d'euros dans l'UE.
Y a-t-il un aveu de connerie ? Je n'ai rien entendu.
https://tkp.at/2023/11/21/island-zieht-corona-impfung-defacto-zurueck/
Nous poursuivons – Le processus juridique visant à gérer la période Corona en Allemagne commence
RépondreSupprimer21 novembre 2023
par Andrea Drescher
« Quiconque porte atteinte à la dignité humaine doit être puni ! » - sous cette devise, des plaintes pénales contre les responsables de la période Corona seront déposées pour la première fois auprès du Parquet fédéral le 10 décembre 2023.
Ce jour-là, le « Centre pour le processus, la clarification, les poursuites judiciaires et la prévention des crimes contre l'humanité dus aux mesures nationales liées au coronavirus » (ZAAVV) déposera un total de 584 plaintes pénales contre des hommes politiques, des ministres, des juges et d'autres personnes impliquées. lors de l'introduction d'une obligation de vaccination liée aux installations ou .Les exigences en matière de vaccination pour les membres de la Bundeswehr ont été transférées. Les détails des annonces seront présentés au public lors d'une conférence de presse sur place.
J'ai parlé avec Ralf Ludwig, l'initiateur du ZAAVV, des objectifs et des raisons des accusations criminelles ainsi que du déroulement prévu de la journée. Ralf Ludwig a critiqué ces mesures dès le début. Entrecoupé d’interruptions dues à la naissance de sa fille, il exerce comme avocat depuis 2005 et, entre autres, comme « avocat de démonstration » depuis 2020. C'est grâce à lui que l'équipe organisatrice du « Kündt Ramstein » (dont j'étais également membre) a pu avoir lieu. Grâce à un procès, il a obtenu la première autorisation officielle pour un événement en Allemagne pendant la pandémie.
Avant la « vaccination », ils étaient en bonne santé par Andrea Drescher
Ralf Ludwig utilise les moyens dont il dispose pour (r)établir et reconnaître les droits individuels fondamentaux et humains. Avec Michael Ballweg, l'avocat, désormais basé en Thuringe, a intenté avec succès une action en justice devant la Cour constitutionnelle fédérale contre diverses interdictions de manifestations, notamment à Berlin (29 août 2020) et à Leipzig (7 novembre 2020). Il a participé à la tournée en bus d'information sur le Corona, prend la parole lors de réunions de protestation et s'implique partout où des questions juridiques liées au Corona sont impliquées. Il a été co-fondateur des « Lawyers for Enlightenment », des « Lawsuit Sponsors », des partis « Widerstand2020 » et « die Basis » et dirigeait jusqu'à récemment la chaîne d'information « Zwanzig.04media »
Comment pouvez-vous affirmer que l’État en était conscient ?
RépondreSupprimerCela nous a même été confirmé par la Cour constitutionnelle fédérale . Dans la décision d'avril 2022 sur l'obligation de vaccination dans les établissements, on trouve au paragraphe 224 la déclaration suivante : « Dans son rapport de sécurité du 26 octobre 2021, l'Institut Paul Ehrlich déclare... Il y a au total 1 802 cas suspects. rapports faisant état d'un décès à différents intervalles d'une vaccination (0,02 pour 1 000 vaccinations). »
Cela signifie qu'on soupçonnait déjà en octobre - deux bonnes semaines avant le vote au Bundestag - qu'une vaccination sur 50 000 pourrait être mortelle.
Cela a été immédiatement relativisé au paragraphe 225, en disant qu'il ne s'agissait que de rapports d'activités suspectes. Dans son rapport de sécurité ultérieur daté du 23 décembre 2021, l'Institut Paul Ehrlich n'a évalué un lien de causalité avec la vaccination comme possible ou probable que dans 78 des 1 919 rapports d'activités suspectes reçus jusqu'à présent et concernant un décès (voir Î.-P.-É. "
Même 78 décès, c’est 78 de trop. Parce que chaque vie a la même valeur. Et un fait confirmé par écrit par le BVG est le suivant : le 10 décembre. On savait que, sur la base des connaissances et des données actuelles, il existe un risque qu’une personne sur 50 000 décède à cause de la vaccination.
Ce faisant, les députés ont consciemment accepté la mort de personnes travaillant dans le domaine médical. Mieux vaut qu’une personne sur 50 000 meure à cause de la vaccination que « beaucoup » meurent à cause de la maladie. Et cela est interdit, comme cela a été clarifié au plus tard depuis que la Cour constitutionnelle fédérale a interdit l'autorisation d'abattre des avions en vertu de la loi allemande sur la sécurité aérienne.
Pouvez-vous s'il vous plaît expliquer cela plus en détail ?
Il était clairement indiqué dans le jugement : chaque vie a la même valeur. L’État ne peut pas dire : « Je tue une personne pour sauver x personnes ».
La loi sur la sécurité aérienne portait sur la question de savoir si un avion de passagers avec quelques centaines de personnes à bord pouvait être abattu afin d'empêcher une attaque contre une ville avec ce même avion et ainsi sauver un nombre beaucoup plus important de vies. Dans la version 2005, il y avait une autorisation de tir. Un commandant de bord et plusieurs avocats - dont les deux hommes politiques FDP Gerhart Baum et Burkhard Hirsch - avaient déposé un recours constitutionnel. La Cour constitutionnelle fédérale a déclaré la disposition de cette loi inconstitutionnelle et, par son arrêt, a interdit au législateur d'autoriser une fusillade et de la rendre impunible.
À quoi doit s’attendre une personne responsable si la plainte pénale aboutit ?
RépondreSupprimerL’article 7 du Code pénal international est clair : quiconque tue une personne en attaquant de manière étendue ou systématique la population civile est puni de la réclusion à perpétuité.
La vaccination obligatoire constituait une attaque de grande envergure et, en raison de la loi, clairement systématique contre la population civile concernée. Un communiqué de presse de DeStatis indiquait en décembre 2020 : « Comme le rapporte l'Office fédéral de la statistique, environ 3,63 millions de professionnels de santé en Allemagne ont eu un contact direct avec des patients en 2018. Au total, 5,65 millions de salariés travaillaient dans le secteur de la santé – des cabinets médicaux et hôpitaux aux laboratoires médicaux et pharmacies. »
Les gens devraient être obligés de se faire vacciner sous la menace d'un mal existentiellement menaçant - amende, perte d'emploi - et ce, en sachant que sur 5,65 millions d'employés et qu'un décès est suspecté sur 50 000 vaccinations, plus de 200 personnes peuvent mourir dans le même temps. secteur de la santé seul. Et puis il y a les militaires.
Comment réagissez-vous si le parquet fédéral n'enquête pas, ce qui n'est pas à exclure ? Ceci est lié aux instructions.
Il faut d’abord donner à l’État allemand la possibilité d’agir lui-même.
Que veut dire le procureur général ?
« Les gens ne savaient pas qu’il pouvait y avoir des morts » – C’est ce que réfute l’arrêt LPP 2022.
« L’État a la légitimité pour prendre des décisions concernant la vie » – cela n’existe pas, cela a été clarifié au plus tard depuis l’arrêt du BVG sur la loi sur la sûreté aérienne.
« C’était volontaire » – eh bien, l’obligation de vaccination dans les établissements et la vaccination des soldats n’étaient certainement pas volontaires.
Les faits parlent d'eux mêmes. Si rien ne se passe, la voie vers La Haye est libre.
Comment voyez-vous les chances ?
Jusqu’à présent, seules les personnes originaires des pays du Sud ont été reconnues coupables de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale. Si la communauté mondiale prend les droits de l’homme au sérieux, les Européens doivent également faire l’objet d’une enquête. En Europe, elle touche l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Autriche. Ce serait un signe clair que la Cour pénale internationale n’est pas un instrument de pouvoir contre le Sud et d’autres États qui ne sont pas les bienvenus en Occident. Ils doivent montrer que les valeurs valent vraiment quelque chose.
8 octobre 2023 – Maude Jacques, 31 ans, championne du monde féminine de basketball en fauteuil roulant, est décédée subitement à Sherbrooke, au Québec, le 8 octobre 2023, des suites d'une « infection bactérienne ».
RépondreSupprimerImage5 octobre 2023 – Rolandia, Brésil – Janaina Pereira dos Santos, 36 ans, est allée au marché pour faire ses courses mais est tombée malade, a subi un accident vasculaire cérébral et est décédée subitement.
- voir photo sur site -
5 octobre 2023 – Elizabeth Katherine Foley, assistante médicale, 34 ans, à Marysville, Michigan, est décédée subitement le 5 octobre 2023.
Cliquez ici pour lire l'article complet .
https://www.globalresearch.ca/summer-died-suddenly-ages-30-39-cardiovascular-disabilities-167-hematological-690-cancer-record/5840660
Sur son Substack, le Dr.
RépondreSupprimerPeter McCullough, MD
, commentant l’étude, écrit : « Gardez à l’esprit que généralement [moins de] 50 décès liés à un nouveau produit largement utilisé entraînent un rappel mondial. Avoir 284 décès bien décrits dus à des complications cardiovasculaires et/ou thrombotiques est une découverte frappante dans la littérature médicale pour des produits qui sont encore sur le marché et promus par les agences de santé publique du monde entier.
En 1976, avec 25 % de la population américaine vaccinée contre la prétendue grippe porcine de Fort Dix et 32 décès dus au vaccin – ce chiffre de 32 avait sans doute été contesté comme étant « trop élevé » par le CDC de l’époque – l’ensemble de la vaccination le programme a été interrompu et annulé.
La pensée médicale traditionnelle sur les décès liés aux vaccins était la suivante : si nous constatons quelques décès, cela signifie qu’il y en a beaucoup plus que nous n’en voyons pas.
Pas maintenant.
Maintenant, c’est le cas : administrer l’injection au plus grand nombre de bras possible, cacher les blessures et les décès dans toute la mesure du possible, continuer à prétendre que le vaccin est sûr et efficace et censurer les contre-informations. Si possible, imposez le vaccin.
Aujourd’hui, la plupart des médecins se rendent compte qu’ils travaillent en réalité pour l’industrie pharmaceutique, qui à son tour contrôle l’information et s’entend avec le gouvernement fédéral pour proposer au public autant de médicaments et de vaccins que possible. Ces médecins ne posent pas de questions. Ils abandonnent leur serment de ne pas faire de mal et collectent les chèques de paie.
Les blessures et les décès dus à leurs produits sont ignorés. Par eux, les médecins.
Vous pouvez appeler cela du capitalisme de copinage ou de la médecine par le socialisme. Peu importe comment vous l’appelez.
C'est un meurtre.
Ceci est apparu à l'origine sur JonRappoport.substack.
https://www.lewrockwell.com/2023/11/jon-rappoport/new-study-death-following-covid-vaccination/
Les Américains sont plus polarisés que jamais sur l’ivermectine
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 21 NOVEMBRE 2023 - 04:35
Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times
Un nombre croissant d’Américains pensent que l’ivermectine est un traitement efficace contre le COVID-19, selon une récente enquête menée par une université.
Environ 26 % des personnes interrogées pensent que le médicament, utilisé depuis longtemps pour traiter les parasites, peut traiter le virus, selon l'Annenberg Public Policy Center de l'Université de Pennsylvanie. Cela représente une augmentation par rapport aux 10 % qui pensaient la même chose en septembre 2021.
Le pourcentage de personnes qualifiant cette affirmation de « fausse » a également augmenté à 37 % en novembre 2023, contre 27 % en septembre 2021, selon l’enquête. Le nombre total de personnes incertaines a diminué, passant de 63 % à 38 % au cours de la même période.
Sans plus de détails, les auteurs de l'enquête ont déclaré que les 26 % ont déclaré "à tort" que l'ivermectine est efficace, tout en soulignant les déclarations de la Food and Drug Administration (FDA) selon lesquelles l'agence n'a pas autorisé ou approuvé le médicament pour prévenir ou traiter le COVID-19. 19, et il a affirmé que les données montrent qu’il n’est pas efficace contre le virus. Il a été approuvé pour traiter diverses autres maladies, notamment celles causées par des parasites, tandis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) le considère comme un médicament essentiel pour traiter un certain nombre de maladies différentes.
Cependant, l'OMS a émis un avertissement la semaine dernière disant qu'elle recommande fortement de ne pas administrer l'ivermectine aux patients atteints de COVID-19 « non grave » et déconseille de donner le médicament à ceux qui souffrent de COVID-19 sévère ou critique.
Notamment, environ la moitié des études auxquelles la FDA a fait référence en disant que l’utilisation de l’ivermectine n’est ni sûre ni efficace contre le COVID-19, selon une revue d’Epoch Times de 2022.
Dans les publications sur les réseaux sociaux et dans les déclarations, la FDA a souvent déclaré que l'ivermectine ne devrait pas être utilisée pour traiter le virus. Plusieurs de ces commentaires ont déclenché une action en justice de la part de médecins, qui ont fait valoir que la FDA ne devrait pas faire de recommandations et que son rôle est d'approuver les médicaments. Certaines personnes ont également intenté des poursuites contre des hôpitaux pour forcer les autorités médicales à autoriser son utilisation pour traiter le COVID-19.
RépondreSupprimerLe Dr Pierre Kory, qui a déclaré prescrire fréquemment de l'ivermectine pour le COVID-19, a déclaré à Epoch Times que la position de la FDA sur l'ivermectine « est l'un des exemples les plus flagrants de la corruption de la médecine moderne fondée sur des preuves ».
"Il y a un message qu'ils veulent que tout le monde comprenne, et ce message est que l'ivermectine ne fonctionne pas", a déclaré le Dr Kory. « Ce n’est pas une conclusion scientifique, c’est la leur. C’est leur interprétation perverse et déformée des données.
L’enquête du Annenberg Public Policy Center, menée le mois dernier auprès de 1 500 Américains, a également révélé que moins d’Américains pensent que se faire vacciner contre le COVID-19 est plus sûr que de contracter le virus lui-même. Il a montré qu’en avril 2021, 75 % partageaient ce point de vue, mais que le mois dernier, seuls 63 % pensaient que c’était le cas.
L'enquête a également révélé que les personnes interrogées pensent de plus en plus que le vaccin contre le COVID-19 n'est pas sûr, passant à 24 % le mois dernier, contre 18 % en août 2022.
Le centre de politique publique a fait valoir que la méfiance croissante des Américains à l’égard des vaccins contre le COVID-19 et d’autres vaccins est due à une « croyance dans la désinformation sur la santé ».
Parallèlement, des données récentes fournies par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont montré qu'environ 14 % des adultes américains et 5 % des enfants ont reçu l'une des injections de rappel mises à jour contre le COVID-19, environ deux mois après leur autorisation. par la FDA. Cela signifie qu’environ 36 millions d’adultes et 3,5 millions d’enfants ont reçu le vaccin.
Les vaccins COVID-19 mis à jour précédemment, disponibles à partir de l’automne 2022, ont été administrés à environ 56,5 millions de personnes, soit environ 17 % de l’ensemble de la population américaine.
RépondreSupprimerDans un sondage publié en septembre, environ 23 % des adultes américains ont déclaré qu’ils recevraient certainement l’un des nouveaux vaccins, tandis que 23 % ont déclaré qu’ils en recevraient probablement un. Cependant, environ la moitié des personnes interrogées ont déclaré qu’elles ne se feraient pas vacciner, ou probablement pas.
https://www.zerohedge.com/markets/americans-more-polarized-ever-over-ivermectin
Des fermetures d'écoles plus longues liées au COVID sont liées aux taux de suicide des jeunes
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 21 NOVEMBRE 2023 - 02h55
Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times
Des fermetures d’écoles plus longues liées au COVID étaient associées à davantage de visites suicidaires chez les jeunes aux urgences, selon une lettre de recherche.
Le rapport, publié sur JAMA Network Open le 10 novembre, a été dirigé par des chercheurs de la Chan Medical School de l'Université du Massachusetts.
"Cette étude de cohorte a révélé une association entre des fermetures d'écoles plus longues dans la réponse de santé publique à la pandémie de COVID-19 et une augmentation des tendances suicidaires chez les jeunes", ont écrit les auteurs, ajoutant qu'une enquête plus approfondie est nécessaire pour que "les politiques concernant les fermetures d'écoles puissent mieux s'aligner sur celles-ci". les besoins en santé mentale des jeunes.
Comparer le Texas au Massachusetts
Les auteurs ont comparé les visites aux urgences pour des tentatives de suicide suspectées chez des jeunes de 12 à 17 ans au Texas et au Massachusetts.
Le Texas, qui a eu plus d'éducation en personne de 2020 à 2022, avait des taux de visites suicidaires chez les jeunes aux urgences plus faibles que le Massachusetts, un État qui a connu des fermetures d'écoles plus prolongées, ont découvert les auteurs.
En 2020, le Texas était classé 8e sur 50 États pour offrir le plus d'éducation en personne, tandis que le Massachusetts était classé 39e, selon les rapports de Burbio, une société de médias qui suit les ouvertures d'écoles, les inscriptions et le budget.
Entre mars et août 2020, les écoles ont été universellement fermées. Pendant cette période, les auteurs ont observé une augmentation des cas de tentatives de suicide présumées aux urgences dans les deux États. Le Massachusetts a signalé 115 visites aux urgences pour des raisons suicidaires par mois avant la fermeture des écoles ; ce chiffre est passé à 176 en 2020-2021. Le Texas a signalé 505 cas de visites suicidaires chez des jeunes avant les confinements, et ce nombre est passé à 756 en 2020-2021.
Cependant, à partir de septembre 2020, les deux États ont commencé à rouvrir les écoles, bien que le Texas ait été plus rapide dans la réouverture des écoles.
En septembre 2020, 40 à 60 pour cent des écoles publiques du Texas étaient revenues à l'enseignement en personne, tandis que seulement 20 à 40 pour cent des écoles du Massachusetts ont emboîté le pas.
En janvier 2021, 80 à 100 pour cent des écoles du Texas étaient en personne, tandis que 20 à 40 pour cent des écoles du Massachusetts étaient en personne, selon Burbio.
Les auteurs ont observé des différences significatives dans les taux de suicide chez les jeunes des services d’urgence dans les deux États au cours de l’année universitaire 2021-2022, avec des taux plus élevés signalés dans le Massachusetts.
RépondreSupprimerFermetures d'écoles et risques pour la santé mentale
Les études sur les fermetures d’écoles et la santé mentale ont abouti à des résultats contradictoires. Une étude qui a suivi les jeunes pendant la pandémie a révélé que les suicides chez les jeunes ont tendance à se produire pendant les périodes scolaires, avec une diminution pendant les vacances.
Une autre étude a révélé une diminution soudaine des suicides chez les adolescents au cours des premiers confinements.
Néanmoins, la plupart des études suggèrent une détérioration de la santé mentale des adolescents et une augmentation des tendances suicidaires, a écrit le Dr Yael Dvir, auteur principal et professeur agrégé de psychiatrie à la faculté de médecine UMass Chan à Epoch Times.
"Cependant, il est très possible que des sous-groupes d'adolescents aient réagi différemment à la pandémie et aux fermetures d'écoles, de sorte que certains aient montré une amélioration", a-t-elle ajouté.
Les pédiatres non impliqués dans l’étude ont rapporté des observations similaires selon lesquelles les fermetures d’écoles étaient liées à l’augmentation des maladies mentales.
« Nous avons certainement été confrontés à une augmentation significative des problèmes de santé mentale en raison de la pandémie et des fermetures d'écoles », a déclaré le Dr Derek Husmann, pédiatre texan, à Epoch Times.
La Dre Renata Moon, auparavant professeure clinique agrégée de pédiatrie à l’Université de Washington pendant la pandémie, a fait écho aux observations du Dr Husmann.
"Nous avons constaté une augmentation considérable du nombre d'adolescents et même de préadolescents cherchant de l'aide pour lutter contre l'anxiété, la dépression et les pensées d'automutilation pendant les fermetures d'écoles liées à la pandémie", a-t-elle écrit.
"Je voyais chaque jour 6 à 7 enfants dans mon bureau avec ces plaintes. Les services de conseil en santé mentale étaient complètement débordés et ne pouvaient pas suivre le volume de références."
Le régulateur européen confirme : Aucune divulgation de la séquence d’ADN dans le vaccin à ARNm par BioNTech
RépondreSupprimer21 novembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Comme on le sait , divers chercheurs ont découvert et démontré que les procédés utilisés pour la production en masse des préparations d'ARNm de Pfizer/BioNTech et Moderna sont, d'une part, différents de ceux utilisés dans les essais cliniques et, d'autre part, contiennent d'importantes impuretés. L'ADN plasmidique résiduel issu du processus de fabrication 2 est présent dans toutes les vaccinations Pfizer et Moderna contre la COVID-19 jusqu'à 4,27 ng/dose. Pfizer contient plus d'ADN amplifiable que Moderna et tous les échantillons Pfizer contiennent les activateurs du promoteur SV40.
Les autorités réglementaires telles que l'EMA savaient dès le départ que la production de masse était réalisée selon un processus différent (Processus 2) de celui des tests cliniques. Des conditions avaient également été imposées aux fabricants pour qu'ils fournissent des informations complémentaires. Comme l' a montré le TKP dans un rapport du 9 décembre 2021 , celles-ci n'étaient toujours pas remplies après un an. Même s'il est désormais prouvé à plusieurs reprises que la contamination atteint des niveaux importants, les autorités européennes affirment que les fragments laissés par la séquence sont d'un niveau acceptable.
« BioNTech, partenaire de Pfizer, n'a pas déclaré de séquence d'ADN dans son vaccin contre le COVID-19 », a confirmé un régulateur européen.
« Bien que la séquence complète d'ADN du matériel de départ plasmidique ait été fournie dans la demande d'autorisation de mise sur le marché originale de Comirnaty, le demandeur n'a pas spécifiquement mis en évidence la séquence SV40 », a déclaré l'Agence européenne des médicaments (EMA) dans un courrier électronique à Epoch Times .
L’e-mail est arrivé après que Santé Canada a déclaré à Epoch Times qu’il s’attend à ce que les sponsors identifient des séquences telles que l’amplificateur d’ADN du virus simien 40 (SV40), mais Pfizer et BioNTech ne l’ont pas fait.
BioNTech et Pfizer n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
"BioNTech n'a pas indiqué l'inclusion de l'amplificateur dans son vaccin car il était considéré comme une partie non fonctionnelle du plasmide ", a indiqué l'EMA. « BioNTech a depuis clarifié cette information en réponse aux questions de l’EMA. »
RépondreSupprimerL'EMA a expliqué que des parties de la séquence SV40 sont "généralement présentes dans les plasmides utilisés pour la production d'agents biologiques ", mais ni les autorités ni BioNTech n'ont été en mesure de dire pourquoi la séquence a été incluse dans la vaccination.
Dr. Robert Malone, un expert en vaccins dont les travaux ont été cités par Pfizer, a déclaré à Epoch Times qu’il n’y avait « aucune raison » pour que la séquence soit incluse. Il a demandé aux autorités américaines de rappeler le vaccin, mais celles-ci ont refusé. Malone en a également témoigné devant le Congrès américain. L'intégralité de sa déclaration peut être lue en traduction allemande ici .
Selon l'EMA, les séquences d'ADN, dont la séquence SV40, sont « dégradées et éliminées » au cours du processus de fabrication .
" Des fragments de la séquence SV40 ne peuvent être présents que sous forme de contaminants résiduels en très petites quantités, qui sont régulièrement surveillées ", a déclaré l'EMA. L'agence n'a fourni aucune preuve pour étayer cette affirmation.
https://tkp.at/2023/11/21/europaeische-aufsichtsbehoerde-bestaetigt-keine-offenlegung-von-dna-sequenz-in-mrna-impfstoff-durch-biontech/
DEPAKINE: le poison de Sanofi est à l’air libre, le scandale se poursuit et le principe de précaution oublié
RépondreSupprimerle 20 novembre 2023
par pgibertie
Le scandale de la Dépakine est un concentré de tout ce qui disfonctionne: Big Pharma (Sanofi), l’Agence du Médicament (mise en examen), les Ordres des médecins et des pharmaciens qui n’ont sanctionné personne, la justice qui trouve le moyen de nommer un expert mis en examen dans l’affaire du Médiator
Le pompon revient à l’Académie de médecine:
Le 4 octobre 2016 l’Académie nationale de médecine a consacré sa séance aux évolutions récentes concernant l’épilepsie de l’adulte.
Au cours des échanges qui ont fait suite à la présentation de Sophie Dupont sur l’actualité thérapeutique, le professeur Claude Huriet a fait, au sujet de la Dépakine, la mise au point suivante :
Depuis quelques mois, une nouvelle « tempête médiatique » a surgi, concernant les malformations foetales qui peuvent survenir chez des enfants dont la mère a été traitée par Dépakine.
Les accidents survenus, après prescription de Dépakine à des femmes enceintes épileptiques, constituent des drames, mais non un scandale.
Un scandale, c’est la survenue d’un événement du fait de pratiques contraires à la morale, qui suscitent l’émotion et l’indignation.
Ce n’est pas le cas de la Dépakine, et les attaques, habituelles, contre les laboratoires pharmaceutiques, les médecins prescripteurs.., et les pouvoirs publics ne sont pas fondées
Quelle incrimination retenir, sauf à qualifier ce drame « d’accident médical non fautif » ou à évoquer un défaut d’information de la patiente !
RECIDIVE EN 2022
Médiator, statines, Dépakine, Lévothyrox, sans compter, bien sûr, les vaccins? Alors que certains médicaments font régulièrement la une de l’actualité, une partie des Français, minoritaire mais particulièrement « active et bruyante sur les réseaux sociaux et surévaluée par les médias », manifeste de « la défiance, ou même de l’hostilité » à l’égard des médicaments, alerte l’Académie de médecine dans un rapport diffusé le 7 juin. Un phénomène jugé préoccupant, et qui confirme « combien la perception du risque médicamenteux par le public est instable, parfois peu rationnelle, combien sont nombreux et complexes les déterminants de cette perception et quel rôle de caisse de résonance des peurs du public les médias peuvent jouer », estime l’Académie, qui redoute que « la polarisation des esprits sur les risques » ne détourne les patients de traitements essentiels à leur santé
https://www.lepoint.fr/video/medicaments-le-cri-d-alarme-de-l-academie-de-medecine-10-06-2022-2479026_738.php
Près de soixante ans après le début de la commercialisation du poison , rien n’est réglé
Famille du médicament : Antiépileptique.Le valproate de sodium, principe actif de la Dépakine et antiépileptique connu pour causer de graves troubles à des enfants dont la mère a été traitée alors qu’elle était enceinte, pourrait aussi présenter des risques s’il a été pris par le père, a prévenu jeudi 4 août 2023 l’agence du médicament
La molécule en cause, le valproate de sodium, est commercialisée depuis 1967 sous la marque Dépakine par le laboratoire Sanofi, mais aussi sous des marques génériques, et est prescrite aux personnes souffrant de troubles bipolaires.
RépondreSupprimerElle présente, néanmoins, un risque élevé de malformations congénitales sur le fœtus si elle est prise par une femme enceinte. Le nombre d’enfants handicapés à cause du valproate de sodium est estimé entre 15 000 et 30 000, selon les études.
Mis en examen le 17 juillet 2013 pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire du Mediator, Bernard Rouveix s’est vu nommé, deux ans plus tard, expert judiciaire par le tribunal de grande instance de Paris dans l’affaire de la Depakine alors même qu’il avait réalisé des études pour Sanofi, le fabriquant de l’anti-convulsant.C’est notamment à lui que reviendra la charge d’expertiser deux enfants handicapés après que leur mère a pris de la Dépakine pendant ses grossesses. Le principe actif, le valproate de sodium, est accusé d’avoir des effets secondaires sur le fœtus. Enfin, dans un rapport daté de 2013, il avait mis hors de cause l’anti-inflammatoire Vioxx, malgré les nombreuses plaintes contre ce médicament. Assurément, le Pr Rouveix était un seigneur de l’expertise.
Selon les informations du « Monde », une plainte a été déposée pour mise en danger d’autrui par la mère de deux enfants autistes. Elle n’a jamais pris de Dépakine, cet antiépileptique responsable de malformations et de troubles chez des enfants exposés in utero, mais a été exposée à des rejets dans l’atmosphère.
Plusieurs études ont montré que les enfants nés de mère traitée par l’acide valproïque (valproate de sodium ou valpromide) pendant la grossesse présentent un risque accru de malformations et de troubles du développement (intellectuel, comportemental…). L’utilisation de ce médicament chez l’adolescente et la femme en âge de procréer ne doit donc être envisagée qu’en cas d’absolue nécessité et une contraception efficace doit être suivie pendant tout le traitement.
Une hépatite peut survenir pendant le traitement, le plus souvent pendant les 6 premiers mois, et principalement chez les nourrissons et les enfants de moins de 3 ans présentant une épilepsie grave. Certains signes évocateurs doivent vous amener à consulter votre médecin : une perte de l’appétit, une fatigue anormale avec nausées et parfois vomissements et douleurs abdominales, voire la réapparition des crises d’épilepsie.
Des prises de sang sont prescrites régulièrement pour la surveillance du traitement, notamment pour contrôler le bon fonctionnement du foie et la coagulation du sang.
RépondreSupprimerUne augmentation du risque de dépression et de comportement suicidaire a été observée chez les patients traités par antiépileptiques. Les causes de cette augmentation ne sont pas connues et le risque ne peut être exclu avec ce médicament. La survenue d’idées morbides ou de signes de dépression (changement d’humeur, détachement affectif, difficultés de concentration…) doit être rapidement signalée à votre médecin. La vigilance de l’entourage s’impose.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/11/19/depakine-autour-de-l-usine-sanofi-de-mourenx-des-familles-brisent-le-silence-sur-les-maladies-de-leurs-enfants_6201121_3244.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=ios&lmd_source=twitter
Le scandale de la Dépakine n’a peut-être pas livré tous ses secrets, ni dévoilé toutes ses victimes. L’antiépileptique commercialisé depuis 1967 par le laboratoire Sanofi est responsable de malformations et de troubles neurodéveloppementaux chez des milliers d’enfants de mères traitées pendant leur grossesse. Selon les témoignages recueillis par Le Monde, des pathologies similaires sont présentes chez des enfants de riverains de l’usine quiproduit la Dépakine, à Mourenx (Pyrénées-Atlantiques), et de travailleuses fréquentant la zone industrielle. Aucune mère n’a pris le médicament, toutes s’interrogent sur le lien avec les rejets dans l’air de valproate de sodium, son principe actif, autour du site.
C’est le cas de Mélanie S. (qui souhaite garder l’anonymat), dont les deux enfants présentent des troubles neurodéveloppementauxsemblables à ceux observés chez les enfants exposés in utero à la Dépakine. Mélanie S. n’a jamais consommé de Dépakine, mais travaille depuis 2011 dans un bureau situé à une cinquantaine de mètres de la cheminée de Sanofi. Après des années d’hésitation, le diagnostic d’autisme de sa fille en juillet, après celui de son fils trois ans plus tôt, l’a décidée à saisir la justice. Mercredi 15 novembre, une plainte a été déposée contre X pour mise en danger d’autrui auprès du pôle santé publique du tribunal judiciaire de Paris.
Ce pôle est chargé d’une enquête depuis que le parquet a ouvert en 2022 une information judiciaire, notamment pour mise en danger d’autrui, après la révélation, en juillet 2018, de rejets massifs dans l’atmosphère de valproate de sodium et de bromopropane (classé cancérogène, mutagène et reprotoxique possible) par l’usine Sanofi de Mourenx. Mélanie S. est ingénieure. « Je suis scientifique. Je ne peux rien affirmer. Je m’interroge sur le lien entre mon exposition et les troubles constatés chez mes enfants, explique-t-elle. Mon espoir est que la justice se saisisse de cette plainte pour répondre à mes questions et enquêter au-delà de mon cas sur ce qui pourrait potentiellement être un scandale sanitaire. »
https://pgibertie.com/2023/11/20/depakine-le-poison-de-sanofi-est-a-lair-libre-le-scandale-se-poursuit-et-le-principe-de-precaution-oublie/
Les cancres de la vaxxxccc covid ne connaissent pas de surmortalité à la différence des bons élèves
RépondreSupprimerle 20 novembre 2023
par pgibertie
@felicittina continue à fouiller les statistique européennes et celles de One World Data
Le parallèle semble assez surprenant pour ce qui concerne le taux de boostés. Simple coïncidence
Ces taux de surmortalité mensuels sont facilement vérifiables sur : https://ec.europa.eu/eurostat/databrowser/view/DEMO_MEXRT__custom_3434113/bookmark/table?lang=fr&bookmarkId=05c46227-0aa8-4aaf-a632-e77a023cfa66… Les décès mensuels pour calculer les décès attendus et obtenir un cumul fiable sont disponibles là : https://ec.europa.eu/eurostat/databrowser/bookmark/d9d3eab5-6605-446c-b1ec-76d5631c4916?lang=fr&page=time:2022
Sur la moyenne depuis le début de l’année, on voit qu’un groupe de pays s’en tire plutôt bien, qui n’étaient généralement pas les meilleurs clients de #Pfizer et #Moderna.
- voir cadre sur site -
Officiellement, ce pays est l’un des moins touchés au monde avec 8 fois moins de décès Covid (330/M) que la France. Politique zero Covid + large vax° + des cas qui ne déferlent qu’avec omicron.
- voir graph sur site -
https://pgibertie.com/2023/11/20/les-cancres-de-la-vaxxxccc-covid-ne-connaissent-pas-de-surmortalite-a-la-difference-des-bons-eleves/
-9 % des naissances en Norvège 2022, plus forte baisse sur un an depuis 1972
RépondreSupprimer21 novembre 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
Il faut remonter à 1985 pour constater des taux de natalité aussi bas que l’année précédente. Cependant, à cette époque, la population résidente de la Norvège était inférieure de 31 % et la baisse d'une année sur l'autre est la plus importante (-9 %) depuis le début des relevés en 1972. Pour les politiciens et les bureaucrates de la santé ainsi que pour les « médias de premier plan et de qualité », ", cependant, ce qui suit s'applique : allez plus loin, il n'y a rien à voir ici.
Ce week-end, j'ai lu le dernier rapport publié par l'Institut norvégien de santé publique ( Folkehelseinstituttet , FHI), qui porte le beau titre « Rapport annuel du registre médical des naissances 2022 » (orig. Årsrapport for Medisinsk fødselsregister 2022), que vous pouvez trouver ici .
Pourquoi ne pas s’appuyer sur les données plus « officielles » de l’Office norvégien des statistiques (Statens Statistisk Sentralbyrå) ? Tout simplement parce que la prochaine mise à jour aura lieu en mars 2024…
Il s'agit d'un rapport de suivi sur la situation du taux de natalité en Norvège, dont j'ai déjà discuté deux fois sur Substack cette année : une fois en janvier 2023, lorsque les premiers chiffres préliminaires de 2022 indiquaient une baisse d'une année sur l'autre d'environ 10 %. ( lien ) ; et la deuxième fois en août 2023, car les chiffres préliminaires pour cette année indiquent une nouvelle baisse, mais elle risque d'être inférieure à celle de l'année dernière (exprimée en pourcentage : c'est-à-dire moins de 9 à 10 % de moins ; lien ) .
Comme toujours, les extraits suivants sont reproduits dans ma traduction et avec mes soulignements.
Extrait du « Rapport annuel 2022 du registre médical des naissances »
Les chiffres définitifs pour 2022 ont été publiés le 15 novembre 2023 dans le Registre Médical des Naissances [orig. Medisinsk fødselsregister, MFR, note] , qui remontent à 1967 . Ce rapport publie une sélection de statistiques pour 2022 et met en évidence les tendances de la dernière décennie de 2013 à 2022...
L'enregistrement de toutes les grossesses à partir de la 12e semaine de grossesse est obligatoire en Norvège. Ces chiffres sont importants pour comprendre les tendances en matière de santé de la population et les résultats des changements et des disparités dans les services de santé pour les femmes enceintes et en train d'accoucher et leurs nouveau-nés. Les données fournissent également une base pour la planification des services de santé et des mesures visant à améliorer la santé publique. Les informations du MFF sont d'un grand intérêt et utilisées par les chercheurs, les autorités sanitaires, les médias et le grand public aux niveaux national et international.
Alors que le taux de natalité en Norvège a continué de baisser en 2022 , l'âge moyen des mères a légèrement augmenté. Cette année, la proportion de femmes enceintes diagnostiquées avec une hypertension artérielle pendant la grossesse, une prééclampsie ou un diabète gestationnel a augmenté. De plus en plus de naissances ont été provoquées, soit près d’un quart de toutes les naissances en 2022, mais le taux de césarienne est resté relativement stable. Le nombre de mortinaissances a considérablement diminué entre 2021 et 2022 . Dans le même temps, il a été constaté que la tendance positive des années précédentes avec une proportion décroissante d’enfants nés dans les premiers jours, semaines et semaines et dans le premier mois après la naissance s’est poursuivie en 2022.
RépondreSupprimerJusqu’ici banale, on constate cependant cette étrange « augmentation de la proportion de femmes enceintes diagnostiquées cette année avec une hypertension artérielle pendant la grossesse, une pré-éclampsie ou un diabète gestationnel ».
À côté du tableau 1, nous trouvons ce joyau de la prose des bureaucrates de la santé :
Après une hausse significative de la natalité en 2021, le nombre de naissances est passé de 56.672 en 2021 à 52.026 en 2022 [-9%, ndlr]. Il faut remonter à 1985 pour trouver un nombre de naissances aussi faible [mais la population norvégienne était alors inférieure de près de 31 % ; 2022 : 5 425 270 contre 1985 : 4 145 845]. Le nombre de naissances a suivi le même rythme avec 55.899 naissances en 2021 et 51.264 naissances en 2022. Toutefois, le nombre total de naissances en 2021 et 2022 a été conforme aux attentes des années précédentes. Il se pourrait donc que l’augmentation en 2021 et la diminution ultérieure en 2022 soient dues à la situation particulière de la pandémie .
Voici le tableau 1 mentionné :
- voir cadre sur site -
Légende : 1ère colonne = année de naissance ; 2ème colonne = nombre de naissances ; 3 = nombre de naissances
Comme déjà mentionné, la population de la Norvège était inférieure de près de 31 % en 1985, ce qui permet de comprendre l'écart entre la baisse du taux de natalité nominal en 2022 (-9 %) et la baisse relative due à la diminution de la population en 1985. Bien sûr, beaucoup plus haut (inférieur) consiste à calculer (estimer) d'une manière ou d'une autre.
Étant donné que la population était inférieure d'environ un tiers en 1985, mais que le nombre d'enfants était à peu près le même, je pense que le déclin relatif est bien, bien, bien (c'est-à-dire environ trois fois) plus drastique que les -9 pour cent rapportés ici.
Les lecteurs intéressés sont invités à faire d'autres calculs avec ces informations, car nous avons un autre problème à résoudre : oui, comme dans d'autres sociétés occidentales (et non occidentales) - peut-être à l'exception de la Corée du Nord et de certains groupes de population d'autres pays. pays – les taux de natalité sont en baisse depuis des décennies. Néanmoins, la baisse du taux de natalité en Norvège de -9 pour cent par rapport à l'année précédente est quelque chose de très particulier, d'autant plus qu'elle se situe bien au-dessus de la ligne de tendance.
RépondreSupprimerComme on le sait, les taux de natalité et de mortalité sont assez inélastiques, c’est-à-dire qu’ils sont sujets à des fluctuations relativement faibles, en supposant que des facteurs dits « externes » tels que les épidémies, les guerres, etc. jouent un rôle plus important dans des cas exceptionnels. Avant d’examiner cet aspect plus en détail, nous devons cependant considérer autre chose.
« Complications » pendant la grossesse
La proportion de femmes enceintes diagnostiquées avec une prééclampsie et une hypertension gestationnelle a augmenté en 2022 . Alors que 2,5 % des femmes enceintes souffraient de prééclampsie en 2019, la tendance s'est accentuée les années suivantes jusqu'à ce que 2,9 % des femmes enceintes soient diagnostiquées en 2022. De même, la proportion de femmes diagnostiquées avec une pression artérielle élevée (hypertension) pendant la grossesse est passée de 1,7 % en 2019 à 2,1 % en 2022 .
Maintenant, je ne sais pas si ces augmentations sont dues aux "vaccinations" Corona modRNA ou non, mais ne mâchons pas nos mots : même si les "vaccinations" Corona modRNA ne sont pas liées, elles le sont. Le ton du rapport ne rend pas justice à l'augmentation de 16 pour cent de la prééclampsie et de 23,5 pour cent de l'hypertension artérielle d'une année sur l'autre. Comme le suggère un examen de la page d'accueil de FHI, cela n'a pas été étudié plus en détail à ce jour.
Il convient également de noter que la « prééclampsie » est un « trouble hypertensif ». Cela ne se produit que « dans de rares cas » jusqu’à 14 jours après la livraison. La prééclampsie est traditionnellement caractérisée par les symptômes pronostiques clés de l'hypertension (augmentation de la pression artérielle) et de la protéinurie (protéine dans l'urine) » ( source ).
Si vous, en tant que non-médecin, vous demandez maintenant d’où pourrait provenir l’excès de « protéines dans l’urine » dans l’année qui a suivi l’introduction des « vaccinations » Corona modRNA et leur promotion massive auprès des femmes enceintes ou en âge de procréer, eh bien, bienvenue au club. Et oui, la corrélation n’est pas par nature une causalité
D’ailleurs, je ne veux pas vous tromper, mais notez que le paragraphe ci-dessus est immédiatement suivi du paragraphe suivant :
RépondreSupprimerLes directives cliniques pour le diagnostic de la prééclampsie ont changé en Norvège en 2020 , ce qui peut avoir affecté la prévalence enregistrée de la maladie. Les affections rares mais graves que sont l'éclampsie et le HELLP restent rares en Norvège, l'éclampsie étant signalée dans 0,04 % et le HELLP dans 0,12 % de toutes les grossesses en 2022.
D'ailleurs, le syndrome HELLP est aussi une « complication » qui peut survenir pendant la grossesse ; ceci est décrit comme suit ( source ), à savoir comme
une variante grave de la prééclampsie, décrite pour la première fois en 1982 par Louis Weinstein, gynécologue et obstétricien américain, qui est un trouble hypertensif. Le nom HELLP est un acronyme des noms anglais des résultats de laboratoire les plus importants et les plus typiques : hémolyse (anémie hémolytique), élévation des enzymes hépatiques (augmentation des enzymes hépatiques) et faible numération plaquettaire (diminution du nombre de thrombocytes (plaquettes sanguines). ) = thrombocytopénie).
Les lecteurs attentifs des notices et des documents de sécurité des « vaccinations » Covid modRNA sauront immédiatement que la thrombocytopénie est l’un des « effets secondaires » possibles de ces principes actifs.
D’ailleurs, la version anglaise de l’entrée ci-dessus est plus claire concernant les symptômes qui sont reproduits ici dans l’original et dans ma traduction :
Les complications peuvent inclure une coagulation intravasculaire disséminée, un décollement placentaire et une insuffisance rénale.
Les complications peuvent inclure des caillots sanguins intravasculaires disséminés, un décollement placentaire et une insuffisance rénale.
À première vue, cela ressemble à une série de « coïncidences » dont il est largement mal vu de parler.
Qu’en disent FHI et les « médias de premier plan et de qualité » ?
RépondreSupprimerJusqu'à présent - comme prévu - rien, même si pour "sauver l'honneur" du paysage norvégien des "médias de premier plan et de qualité" (presque entièrement dominé par le groupe Schibsted), je voudrais souligner que le rapport a été publié "seulement " il y a quelques jours et sans grande annonce a été publiée.
Les choses ne s’annoncent pas beaucoup mieux pour les médias traditionnels, qui n’ont pas encore commenté le rapport. Certes il s’agit d’un rapport plutôt technique, mais il est intéressant de noter un autre aspect :
Une fois par an, début mars, l'Office norvégien des statistiques met à jour sa base de données annuelle à usage public. Cette année, le FHI a publié un très court rapport , daté du 28 mars 2023, qui se lit ainsi :
En 2021, le nombre de naissances en Norvège a augmenté, mais en 2022 la situation était la même qu'avant la pandémie : moins d'enfants sont également nés en 2022 que l'année précédente. Voici les taux de natalité réels de l’année dernière et d’il y a vingt ans :
2003 : 57 393
2022 : 52 011
Les chiffres ont été publiés dans la base de données statistiques du registre médical des naissances (MFR), qui enregistre les naissances en Norvège depuis 1967, date à laquelle 67 217 enfants sont nés.
"Les femmes vieillissent lorsqu'elles ont leur premier enfant et les cohortes de naissance diminuent", déclare Liv Cecilie Vestrheim Thomsen, conseillère principale de l'Institut norvégien de santé publique...
De nombreuses explications au déclin
Il existe de nombreuses explications possibles à cette baisse des taux de natalité. L'évolution de la Norvège correspond à la tendance internationale selon laquelle les taux de natalité diminuent, l'âge des femmes qui accouchent augmente et les cohortes d'enfants diminuent.
« Il peut également y avoir des fluctuations naturelles dans les chiffres en fonction de la taille de la cohorte de naissance dans laquelle les femmes elles-mêmes sont nées. « Il est également possible que les chiffres actuels soient en partie une conséquence tardive de la pandémie de Covid-19 – en d’autres termes, que les taux de natalité plus élevés en 2021 soient en partie dus au fait que les couples qui souhaitent avoir des enfants avancent leurs projets », explique Liv. Cécile Vestrheim Thomsen.
RépondreSupprimerLiv Cecilie Vestrheim Thomsen est l'auteur principal du rapport annuel susmentionné.
Il n'y a donc rien à voir ici (et pas non plus dans le registre médical des naissances , qui ne montre aucune donnée sur le statut vaccinal des mères et ne montre aucune interface avec la base de données officielle de vaccination, du moins pas officiellement).
Il est cependant remarquable d’observer les contorsions intellectuelles : l’augmentation en 2021 est peut-être un effet secondaire (sans jeu de mots) de ce qu’on appelle la « Pandémie™ » déclarée par l’OMS, mais la baisse en 2022 est bien sûr « en ligne avec la pandémie ». avec les tendances internationales ».
En parlant de ces « tendances internationales »
Ces commentaires de l’auteur principal du rapport mentionné ci-dessus m’ont rendu curieux. J'ai donc visité la base de données du registre des naissances de l'Office norvégien des statistiques ( source ) et récupéré les informations accessibles au public (toutes les naissances, 1972-2022).
Certes, il existe une certaine incertitude (les chiffres de l’Office norvégien des statistiques pour 2022 ne sont pas aussi détaillés/à jour que le rapport ci-dessus), mais cela n’a aucun rapport avec l’analyse qui suit. Si vous souhaitez une copie du fichier Excel que j'ai utilisé, veuillez m'envoyer un e-mail.
Principaux résultats de mes enquêtes sur les données de naissance 1972-2022 :
Jamais depuis 1972 le nombre de naissances n’a autant fluctué d’une année sur l’autre qu’entre 2021 et 2022 (-9 %).
En moyenne, les taux de natalité ont chuté de -0,575 % par an entre 1972 et 2022, les plus grandes valeurs aberrantes étant celles de 1988 (+6,5 %) et, enfin, de 2022.
Alors, dans quelle mesure le changement de 2021/22 est-il une « valeur aberrante » ?
Si l’on ignore l’année 2022, la baisse moyenne est plus faible et n’est « que » d’environ -0,375 % par an de 1972 à 2021.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne l'ampleur du déclin, seules deux autres années sont (un peu) comparables : 1975 (-6,5% par rapport à 1974) et 2001 (-4,5% par rapport à 2000).
Alors quand Mme Vestrheim Thomsen dit ce qui suit :
L'évolution de la Norvège correspond à la tendance internationale selon laquelle les taux de natalité diminuent, l'âge des femmes qui accouchent augmente et les cohortes d'enfants diminuent.
Ensuite, elle – et à travers elle également l’Institut de santé publique – dit en partie la vérité : oui, le taux de natalité diminue presque partout depuis des décennies et cette évolution s’inscrit dans la « tendance internationale ».
Je n’ai pas vérifié en détail les « tendances internationales » et je sais que les autres aspects évoqués s’appliquent.
Néanmoins, nous notons à la fin que la baisse du taux de natalité de -9 pour cent est loin de tout ce que nous avons vu depuis 1972 ou de ce sur quoi l'Office norvégien des statistiques a publié des données officielles.
Maintenant, si vous le souhaitez, nous pouvons parier sur quand et comment les bureaucrates de la santé et les politiciens expliqueront cela. (Je suppose que dans un avenir pas si proche, et avec des déclarations si banales et générales - comme la référence à "depuis 2003" - qu'aucun indice ou conclusion n'apparaît au premier coup d'œil.)
https://tkp.at/2023/11/21/9-geburten-in-norwegen-2022-groesster-rueckgang-im-jahresvergleich-seit-1972/
Moon Landing 2023 – Science ou science-fiction ?
RépondreSupprimerPar Mark Keenan
Recherche mondiale,
18 novembre 2023
Cet article est largement basé sur mon livre intitulé Moon Landing 2023 – Science ou Science-fiction ?
Étant donné qu'un sondage de 2019, mené par YouGov , a révélé que 29 % des personnes interrogées âgées de 50 ans ou moins ont exprimé une certaine conviction que le gouvernement américain « avait simulé l'alunissage d'Apollo en 1969 », [1] cet article examinera les preuves de cette affirmation. Alunissage de l’ISRO en 2023 ; et la controverse en cours autour des alunissages Apollo de la NASA. Ensuite, nous plongerons un peu plus profondément dans la matrice de la tromperie et de l’illusion ; et ce qui peut se cacher derrière.
L’Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) affirme avoir atterri sur la Lune
L'Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) a informé le monde que son vaisseau spatial Chandrayaan Mission-3 a atterri sur la lune le 23 août 2023, comme détaillé sur le site Web de l'organisation . Nous pouvons visionner les séquences vidéo publiées par l’ISRO comme prétendues preuves de cet « alunissage » historique. Ce qui suit est une vidéo publiée par le journal britannique Guardian :
Selon Jim Bridenstine, qui a dirigé la NASA en tant qu’administrateur de 2018 à 2021, « ils devraient être très fiers de cet accomplissement »[2]. Il est également remarquable que cette incroyable réussite semble avoir été réalisée avec un budget restreint. Selon CNBC :
« En 2020, l’Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) a estimé que la mission Chandrayaan-3 coûterait environ 75 millions de dollars… Mais cela rivalise avec les missions d’atterrissage lunaire les moins coûteuses en développement aux États-Unis ces dernières années. -prix des contrats pour la construction d'atterrisseurs lunaires, dans le cadre d'un programme appelé Commercial Lunar Payload Services. Le programme CLPS dispose d'un budget maximum de 2,6 milliards de dollars sur 10 ans, avec 14 entreprises en lice pour des contrats de mission d'une valeur généralement supérieure à 70 millions de dollars chacune. Dans l’ensemble, le budget annuel de la NASA éclipse celui de son homologue indien. En 2023, l'agence américaine a reçu 25,4 milliards de dollars de financement, contre un budget d'environ 1,6 milliard de dollars pour l'ISRO. »[3]
Considérant qu’un film hollywoodien pourrait coûter deux fois plus cher à produire, cela semble certainement être une réalisation impressionnante pour seulement 75 millions de dollars. Ici, en Irlande, 75 millions de dollars permettraient de construire environ 10 km d'autoroute[4] ; et je note que le film Star Trek Beyond de 2016 avait un budget de 185 millions de dollars – donc aller sur la lune et en revenir pour seulement 75 millions de dollars impairs est « au-delà » impressionnant. Il semble que cela coûte moins cher d'aller sur la lune que de construire 10 km d'autoroute !
RépondreSupprimerConsidérons ce que l'ISRO devait réaliser avec seulement 75 millions de dollars. Les agences spatiales et la science moderne prétendent que la Lune se trouve à environ 240 000 milles de la Terre. Ainsi, le vaisseau spatial ISRO a dû parcourir 240 000 milles jusqu’à la lune, puis atteindre l’orbite lunaire. Le vaisseau spatial a ensuite dû « descendre » de son orbite jusqu’à la surface de la Lune (apparemment sur une distance d’environ 60 miles ou plus). Lors de l'atterrissage, nous dit-on, le vaisseau spatial s'est ouvert et un véhicule rover appelé « Pragyan » (image CGI publiée par l'ISRO ci-dessous) s'est déroulé sur la lune, dans un prétendu vide à 1/6 de la gravité terrestre. On nous dit que le véhicule et le rover sont restés sur la Lune pendant deux semaines pour mener diverses expériences scientifiques. Tout cela semble vraiment incroyable ou, peut-être… c'est trop incroyable pour être vrai.
Des sources de l'ISRO ont déclaré :
« Chandrayaan-3 réalisera une série d'expériences, notamment une analyse au spectromètre de la composition minérale et chimique de la surface de la Lune, renvoyant des données précieuses sur les propriétés du sol et des roches lunaires. Il espère confirmer la présence de glace d’eau dans la région, qui pourrait fournir de l’oxygène, du carburant et de l’eau potable pour la future exploration spatiale. »[5]
Pendant ce temps, nous a-t-on dit, le contrôle au sol de l'ISRO sur Terre a tenté de communiquer avec le véhicule. On nous dit que le rover est alimenté par l’énergie solaire – ce qui semble une décision étrange étant donné les spéculations des agences spatiales selon lesquelles la Lune aurait un pôle sud avec des régions en permanence dans l’ombre. En outre, selon l'ISRO, les véhicules sont soumis à des températures comprises entre moins 156 degrés Celsius la nuit et plus 121 degrés Celsius le jour, mais ils ont été équipés de systèmes pour faire face à ce stress thermique massif. Ceci est également intéressant, étant donné que les appareils électroniques ont généralement une limite de température de l’ordre de -10 °C à +75 °C lorsqu’ils sont utilisés.
Séquence vidéo prise par le vaisseau spatial en orbite autour de la Lune – mais cela ressemble à du CGI
RépondreSupprimerLe site Web de l'ISRO propose même des séquences vidéo du vaisseau spatial voyageant au-dessus de la surface de la Lune[6]. Cela devrait être incroyable à regarder ! Jetons un coup d'oeil ici .
Attendez! Qu'est-ce que je regarde ? Cette séquence ressemble à une animation de jeu vidéo informatique des années 1980 ! Que se passe-t-il « sur Terre » ici ? L’image ci-dessous est une capture d’écran de la séquence vidéo ISRO prise depuis le vaisseau spatial censé être en orbite autour de la lune – cette image vous semble-t-elle réelle ou ressemble-t-elle à du CGI (imagerie générée par ordinateur) ?
Vidéo de simulation bizarre de l'alunissage, tandis que les employés de l'ISRO regardent et applaudissent sauvagement
Les deux images ci-dessous représentent le véhicule jaune de l'ISRO tel qu'affiché sur les séquences vidéo publiées par l'ISRO. Ces images ont été présentées aux employés de l'ISRO au contrôle au sol alors que le vaisseau spatial « descendait » vers la surface de la lune. La vidéo fournie par ISRO est clairement une animation CGI. De toute évidence, ces vidéos du vaisseau spatial de couleur jaune de l'ISRO n'étaient pas conçues comme de véritables images de l'atterrissage du vaisseau spatial, mais comme une simulation de ce qui était censé se produire.
- voir photos sur site -
Ensuite, alors que le vaisseau spatial de couleur jaune atterrissait dans la simulation en temps réel, les employés de l'ISRO qui regardaient cette simulation dans le centre de commandement de l'ISRO sur Terre applaudissaient et applaudissaient sauvagement, croyant que le véritable véhicule spatial de l'ISRO était en train d'atterrir à la surface de la lune.
On nous dit que l'atterrisseur pèse 1 749,86 kg, y compris un véhicule Rover de 26 kg, 14 charges utiles et le rover composé d'instruments scientifiques conçus pour mesurer divers aspects de la surface et du sous-sol de la lune. Par exemple, des instruments pour mesurer les propriétés thermiques et l'activité sismique de la surface ; et un spectromoteur à rayons X de particules alpha pour mesurer la composition chimique de la surface.
Séquence vidéo ISRO du rover quittant prétendument le vaisseau spatial et roulant sur la surface de la Lune – Commentaires sceptiques sur YouTube
L'ISRO a fourni la vidéo suivante publiée ici [7], par le journal britannique Guardian. On nous dit qu’il s’agit d’images réelles du rover quittant l’atterrisseur et voyageant sur la surface de la lune. C’est un peu plus professionnel, mais, à mon avis, c’est flou et cela n’a pas l’air réel – cela ressemble à une animation CGI ou à une production cinématographique. De plus, il n’y a rien dans les images qui permettent à quiconque de vérifier qu’elles ont été filmées sur la Lune – il n’y a aucun point de référence, aucune vue de l’espace et aucune vue de la Terre depuis la Lune qui indiquerait qu’elles sont réelles.
Vous trouverez ci-dessous une photo de l'ISRO Moon Rover qui prétend rouler sur la surface de la lune. La photo est une capture d’écran de la séquence vidéo ci-dessus publiée par le journal Guardian. Une question a également été soulevée quant à savoir pourquoi, après un examen attentif, il ne semble y avoir aucune empreinte de roue laissée par la roue avant gauche sur le sol lunaire (par exemple à 0,13 seconde dans la vidéo ci-dessus).
- voir photos sur site -
Après l'atterrissage, l'ISRO affirme que le « rover » a pris la « vraie » image suivante de la péniche de débarquement.
RépondreSupprimer- voir photos sur site -
Il me semble que la vidéo floue ci-dessus et l’image en noir et blanc ci-dessus ne prouvent rien. Une vraie vidéo de la planète lunaire, ou de n’importe quelle planète étrangère, serait sûrement magnifique avec des vues détaillées s’étendant jusqu’à un horizon lointain. Tout comme il existe des vues détaillées des paysages ici sur Terre. Au lieu de cela, on nous présente des images CGI et une image en noir et blanc qui ressemble davantage à quelques mètres de désert aride qui pourrait tout aussi bien être le Nevada ou un plateau de tournage hollywoodien.
De plus, il n’y a aucune étoile en arrière-plan. Sur des plateformes telles que YouTube, les gens laissent des commentaires sceptiques tels que les suivants :
« Jusqu'à présent, seules des images générées par ordinateur CGI. Où sont les images réelles de la Lune ? Si vous comparez la couverture lunaire indienne à un match de football, 99 % des images diffusées étaient des spectateurs, les médias Godi et l'ISRO applaudissant au lieu des images lunaires réelles. J’aimerais croire que l’Inde est allée sur la Lune, mais ils rendent la tâche très difficile. On dirait une autre production hollywoodienne du sous-sol de la NASA.
[À part : Godi media est un terme péjoratif inventé et popularisé par l'ancien journaliste de NDTV Ravish Kumar pour désigner les médias imprimés et télévisés indiens sensationnalistes et partiaux, qui soutiennent le gouvernement NDA actuellement au pouvoir.]
La photo et la vidéo ISRO de leur prétendu atterrissage sur la Lune ne prouvent rien
L’ISRO ne fournit rien – aucune preuve visuelle – aucun point de référence dans l’image ou dans une brève vidéo qui justifierait sous quelque forme que ce soit son affirmation selon laquelle il a fait atterrir un vaisseau spatial sur la lune. Il semble que rien de ce que nous pouvons voir ci-dessus ne nous permette de vérifier que cet alunissage « s'est réellement produit ». Ce que nous voyons principalement, c'est un groupe d'employés bien payés qui célèbrent et applaudissent, tout en regardant des chiffres et des animations sur un écran qui justifient dans leur tête ce qu'ils croient se passer à 240 000 milles de distance sur la Lune. A noter que dans l'image ou dans la vidéo il n'y a aucun point de référence, pas de vidéo de fond détaillée de la Terre par exemple.
Malgré le fait qu’il n’y ait aucun point de référence dans l’image ou la vidéo, la plupart des gens acceptent simplement le récit de l’ISRO et des médias grand public. Il est regrettable que de nombreuses personnes acceptent ces images et vidéos sans poser de questions. Cependant, grâce à des décennies d’analyse des soi-disant missions lunaires de la NASA, un pourcentage notable de la population mondiale sait que les alunissages de la NASA ont été truqués ; et que toute affirmation d’un alunissage devrait être examinée.
RépondreSupprimerLa quantité de données indiquant que les alunissages de la NASA ont été falsifiés est importante, mais il est peu probable que vous trouviez ces données via des plateformes appartenant à des méga-entreprises, telles que Google, Facebook, Twitter, etc., car toutes les principales plateformes utilisent des algorithmes pour décidez quelles informations vous seront présentées et lesquelles ne vous seront pas présentées. Je note également un article du professeur Michel Chossusdovsky sur ce sujet, qui cite un rapport de transparence de Google de 2010 répertoriant plus de 151 000 éléments nommés pour suppression depuis 2009. Il déclare dans l'article :
« Google a introduit des algorithmes destinés à dévaloriser les médias indépendants et alternatifs… La liberté d’expression sur les médias d’information sur Internet est régulièrement bousculée par Google… Google aide déjà le gouvernement à écrire et à réécrire l’histoire. Voici, tirées de son rapport de transparence, quelques statistiques sur la quantité d’informations… effacées du Web sur la base des demandes des agences américaines :… 1 421 demandes de « suppression de contenu », Google a accédé aux demandes de suppression de contenu dans 87 % des cas. – Professeur Michel Chossudovsky
Au moment où j’écris ces mots en 2023, je constate que cette filtration des connaissances en ligne est devenue très sophistiquée et que les technologies utilisées sont connues sous le nom d’IA (intelligence artificielle). Ainsi, ce qui se produit depuis des décennies est une forme d’hypnose de masse, de manipulation et d’endoctrinement de la conscience publique. Il s’agit en fait d’une intention centrale des soi-disant élites qui contrôlent la matrice corporative-médiatique, comme je l’explique par exemple dans mon livre Transcending the Climate Deception Toward Real Sustainability.
Quoi ? Aucune photo de la Terre n'est autorisée ? Les touristes de l’espace ne seraient pas contents !
Il semble que même avec le financement de plus de 75 millions de dollars pour ce véhicule, l'ISRO ne pouvait pas se permettre d'installer à bord une seule caméra pointée vers la Terre pour nous fournir des images et des séquences vidéo de haute qualité de la Terre depuis la Lune ou depuis l'espace. Les droits sur des images aussi étonnantes financeraient sûrement l’ISRO pour les années à venir. Ainsi, nous sommes censés croire qu’ils peuvent installer un spectromètre sur la Lune pour tester la surface, ainsi que l’appareil nécessaire à plusieurs expériences scientifiques supplémentaires, mais ils ne peuvent pas installer une seule caméra de haute qualité sur le véhicule ou le rover et la pointer vers La terre? Non, il semble que notre « carte postale de la lune » soit une image floue de l’ISRO Moon Rover roulant sur une surface lunaire qui n’est pas sans rappeler un plateau de tournage hollywoodien.
Selon l'ISRO, le vaisseau spatial a utilisé une caméra et un radar pour scanner la surface à la recherche de cratères afin d'assurer un atterrissage réussi. Pourtant, il semble que personne n’ait pensé que ce serait une bonne idée que l’appareil photo prenne une seule photo de la Terre pendant le séjour des atterrisseurs sur la Lune pendant 14 jours. Quel dommage. Les touristes enthousiastes qui planifient des vacances futuristes sur la Lune ne seraient pas satisfaits de cette politique interdisant les photos !
RépondreSupprimerL'ISRO nous a ensuite informé que le rover avait terminé ses missions, qu'il était « garé » et mis en mode veille ; et que la batterie était complètement chargée et que le panneau solaire avait été orienté pour recevoir la lumière au prochain lever du soleil ; et qu'ils espéraient un réveil réussi pour la prochaine série de missions. L'ISRO nous a alors informé qu'ils avaient perdu la connexion avec le rover et la péniche de débarquement et que « des efforts pour établir la communication avec l'atterrisseur et le rover sont en cours » (c'était le cas le 28 septembre[8]).
La réalité se distingue de l'illusion
L'« alunissage » de l'ISRO a donné lieu à une série de vidéos publiées en ligne ridiculisant le projet en le qualifiant de « charade idiote » et d'« un autre faux alunissage », par exemple[9].
La réalité est qu’il existe bien plus de preuves pour étayer l’affirmation selon laquelle l’homme n’est jamais allé sur la Lune que l’inverse, notamment l’absence d’étoiles sur les photos de la NASA et l’absence de cratère d’explosion sous le module d’atterrisseur. Une simple caméra pointée vers la Terre depuis la Lune réglerait le problème. J’affirme que cela n’arrivera jamais – si cela se produit, ce sera davantage une fabrication CGI. En fait, il me semble qu’il n’existe aucune preuve vérifiable que l’humanité ait jamais parcouru une distance « cosmique » significative au-dessus de la Terre.
Selon mon humble analyse, l’atterrissage de l’ISRO n’est pas un évènement historique dans l’espace, c’est juste un autre exemple de la chicane et de la supercherie de la matrice des méga-entreprises ; et le soi-disant réseau financier d’élite qui le contrôle. Comme je l’ai détaillé dans mes livres précédents, un groupe de financiers contrôle le monde des méga-entreprises, des institutions et des médias depuis qu’il a détourné le processus de création monétaire lors du coup d’État de la Réserve fédérale de 1913. En contrôlant la création et la diffusion de la monnaie, les banques privées Le cartel et leurs réseaux institutionnels qui dirigent le monde économique financent ou annulent le financement de tout récit médiatique, programme, supercherie, fausse science ou chicane impie de leur choix. La NASA fait partie de cette cabale de filous.
Les « atterrissages sur la Lune » de la NASA – La NASA a reçu 2 400 milliards de dollars de l’argent des contribuables américains, mais affirme avoir « perdu » toutes les données technologiques et télémétriques
RépondreSupprimerL'alunissage de l'ISRO n'est pas sans rappeler les alunissages de la NASA, qui font encore aujourd'hui l'objet de controverses. Ce qui suit est un extrait pertinent d’un article intitulé The Apollo Moon Landings are Science Fiction, publié le 8 mars 2022[10] :
« Depuis les prétendus alunissages, aucun pays ne prétend s’être éloigné de plus de 400 milles de la Terre et c’était dans la navette spatiale… Il y a une grande différence entre 240 000 milles et 400 milles. Pourquoi personne ne peut-il se rendre à plus de 400 milles de la Terre aujourd'hui si nous pouvions faire un aller-retour de 480 000 milles en 1969 ?
La NASA affirme en outre que trois hommes ont été chargés dans une fusée, ont parcouru 240 000 miles jusqu'à la lune… et ont ensuite passé du temps sur la lune pendant jusqu'à trois jours dans une chaleur de 250 degrés, ont frappé des balles de golf, sont montés sur un buggy lunaire – mais qu'est-ce qui les a propulsés ? leur système de survie et leur équipement ? Ils disent BATTERIES.
Ils auraient ensuite décollé de la surface de la Lune, se seraient amarrés au troisième homme faisant le tour de la Lune à plus de 4 000 miles par heure et auraient parcouru 240 000 miles pour revenir sur Terre. Ils sont rentrés dans l'atmosphère terrestre à une vitesse de 25 000 mph, mais des parachutes ont assuré un atterrissage en toute sécurité dans l'océan. Nous espérons que vous conviendrez que… prouve l’absurdité des affirmations de la NASA de manière claire et convaincante.
Les missions de la NASA sur la Lune auraient coûté au gouvernement américain, et donc au contribuable américain, environ 2 400 milliards de dollars. Pourtant, tout ce que la NASA a à montrer, c'est apparemment de la poussière lunaire et quelques petites roches qui, selon elle, provenaient de la Lune. lune. C'est beaucoup d'argent pour obtenir quelques pierres ! Cela semble être une offre assez lucrative si vous pouvez l'obtenir. La NASA doit être très reconnaissante que les contribuables américains financent l’organisation depuis des décennies. Si vous vivez aux États-Unis, vos impôts financent ces escrocs.
Comment a-t-il été si facile pour la NASA d'envoyer avec succès plusieurs missions Apollo sur la Lune et de ramener les astronautes chez eux en toute sécurité, alors que depuis lors, aucune personne n'a jamais quitté l'orbite terrestre basse ? Que dire d'aller sur la lune ? La NASA a même déclaré « nous avons perdu la technologie que nous utilisions pour nous amener sur la Lune » et nous a également déclaré que « toutes les roches lunaires ont été volées, y compris le coffre-fort dans lequel elles se trouvaient » au siège de la NASA. La NASA affirme également que toutes les données télémétriques importantes des missions lunaires ont été perdues ou détruites. Vraiment? Faut-il s'étonner qu'au cours des dernières décennies, il y ait eu un consensus croissant selon lequel la NASA avait simulé les missions Apollo sur la Lune dans les années 1960 – et qu'il ne s'agissait que d'une émission télévisée à la mode.
RépondreSupprimerSelon plusieurs commentateurs sur le sujet, la NASA a perdu toutes les données, plans et enregistrements des missions Apollo. À la suite de demandes d'accès à l'information en Amérique, la NASA a admis avoir perdu des séquences vidéo originales, des données vocales, des données de surveillance biomédicale et des données de télémétrie permettant de surveiller l'emplacement et le fonctionnement du vaisseau spatial, ainsi que des plans/plans originaux pour les modules lunaires et les combinaisons spatiales. et les rovers lunaires, ainsi que pour l'ensemble des fusées Saturn V à plusieurs sections. Ils ont perdu « tout » le prétendu record des alunissages, y compris 13 000 bobines qui seraient « manquantes » ! Une fois, j'ai perdu un jeu de clés, mais on ne perd pas des centaines de boîtes à moins de les perdre volontairement. Quelque chose ne va clairement pas. Même Wikipédia déclare :
« plus de 700 boîtes de bandes de données magnétiques enregistrées tout au long du programme Apollo qui n'ont pas été retrouvées… Le 16 août 2006, la NASA a annoncé sa recherche officielle, en disant : « … les ingénieurs de la NASA espèrent que lorsque les bandes seront retrouvées, ils pourront utiliser les technologies numériques d'aujourd'hui. technologie pour fournir une version du moonwalk qui est de bien meilleure qualité que ce que nous avons aujourd’hui. »[11]
Je suggère humblement que le seul « moonwalk » que nous verrons jamais est la version dance man des années 1980 popularisée par le chanteur Michael Jackson ! De plus, la NASA est censée avoir pris plus de 5 000 photos alors qu'elle était sur la Lune lors des missions Apollo, mais aucune de ces photos ne représente la Terre ! C'est une blague. Les alunissages d'Apollo étaient une émission télévisée glorifiée – il n'est pas étonnant que la NASA ait « perdu » toutes les données.
Regardez également la conférence de presse avec les astronautes après leur retour de l'alunissage d'Apollo 11 de la NASA, environ 32 minutes après le début de la vidéo[12]. Ressemblent-ils à trois gars qui venaient de participer à la plus grande mission de l’histoire moderne, atterrissant sur une planète étrangère ? Non, ils ressemblent à trois enfants embarrassés qui savent qu’ils ont été méchants et qui attendent juste que leurs parents découvrent ce qu’ils ont fait. Ils ont l’air honteux d’avoir dû mentir au monde entier. Regardez leurs visages : ressemblez-vous à trois hommes ayant accompli la plus grande mission de l'histoire de l'humanité et revenant d'une planète étrangère ?
Il semble également que Neil A. Armstrong, le premier homme censé avoir marché sur la Lune, plus de 40 ans après l'événement, en dehors de la conférence de presse initiale de la NASA, n'a jamais accordé une seule interview digne de ce nom devant la caméra à qui que ce soit. Pourquoi ?
RépondreSupprimer- voir photos sur site -
Dans le livre ci-dessus Moon Landing 2023 – Science ou science-fiction ? Je détaille également de nombreuses anomalies bien documentées dans les séquences vidéo des missions Apollo, ainsi que d'autres sujets pertinents, notamment :
ombres sur la lune pointant dans des directions différentes
La NASA a amené 3 véhicules lunaires sur la Lune qui ont coûté 60 millions de dollars chacun, mais n'a jamais apporté de télescope pour observer et photographier la Terre.
les astronautes de la NASA marchaient dans la gravité terrestre, la vitesse de la vidéo a été lente et ajustée
La NASA admet même que toutes les photographies de la Terre prises par la NASA depuis l'espace sont des composites CGI.
les anciennes et nouvelles méthodes de supercherie technique utilisées par Hollywood et la NASA pour « simuler l'espace »
Grâce à la technologie de réalité virtuelle augmentée, il devient difficile de distinguer ce qui est « réel » de ce qui est en réalité une imagerie générée par ordinateur (CGI).
le contrat de l'agence spatiale avec une entreprise qui produit des vidéos avancées de simulation de réalité virtuelle.
Faux atterrissages sur la Lune – une partie d’un paradigme de fausse science
De plus, les anciens textes védiques décrivent l'époque actuelle de l'histoire humaine comme le « Kali-yuga » – une époque dominée par les illusions à grande échelle, la tricherie, le mensonge et les poursuites démoniaques. Dans la société Kali-yuga actuelle, il y a beaucoup de falsifications et de tromperies, y compris les faux alunissages. Il y a les « tricheurs » et les « trompés », et l’un ne peut exister sans l’autre. Pourquoi les gens se laissent-ils prendre à de telles tromperies ? C’est parce qu’à un certain niveau intérieur, ils veulent y croire. Il est impensable de remettre en question le discours dominant pour les masses « connectées », hypnotisées par les médias grand public et l'orthodoxie scientifique qui colportent de fausses sciences.
Lorsque vous utilisez les gadgets et les plateformes du système d'entreprise actuel, vous entrez inévitablement en contact avec une hypnose collective mondiale de masse, une mentalité conditionnée qui a été façonnée par la télévision d'entreprise, les médias d'entreprise, les médias sociaux qui sont filtrés et « vérifiés » par algorithmes informatiques, applications pour smartphone, etc. Je demande qui peut vérifier les faits auprès des vérificateurs de faits ? La pression pour se conformer à la réalité acceptée et à la propagande intelligemment conçue de ces collectifs est énorme.
Une chose est sûre, beaucoup d’entre nous ont bien ri de ce « space opera », mais la triste réalité est que des milliards d’enfants apprennent cette doctrine de l’alunissage dans les écoles, sans la moindre preuve réelle. Je me souviens des paroles d’une chanson pop : « si vous tolérez cela, vos enfants seront les prochains… »
RépondreSupprimer*
Mark Gerard Keenan est un ancien scientifique du Département de l'énergie et du changement climatique du gouvernement britannique et de la Division de l'environnement des Nations Unies. Il est l'auteur des livres suivants :
Moon Landing 2023 – Science ou science-fiction ?
Fausse science impie
Dépasser la tromperie du changement climatique vers une véritable durabilité
Canular climatique sur le gaz carbonique – Comment les banquiers ont détourné le véritable mouvement environnemental
Pas de soucis, pas de virus
L’économie démoniaque et les astuces des banquiers
Remarques
[1] Source : https://checkyourfact.com/2020/02/21/fact-check-89-americans-45-moon-landing-fake-staged/
[2] Source : https://www.cnbc.com/2023/08/23/india-chandrayaan-3-moon-landing-came-at-small-cost.html
[3] Source : https://www.cnbc.com/2023/08/23/india-chandrayaan-3-moon-landing-came-at-small-cost.html
[4] Source : https://fora.ie/ireland-motorway-ibec-2677182-Apr2016/
[5] Source : https://www.nature.com/articles/d44151-023-00116-x
[6] Source : https://www.isro.gov.in/index.html
[7] Source : https://www.youtube.com/watch?v=rrTtLze5Ydk
[8] Source : https://www.isro.gov.in/Chandrayaan3.html
[9] Un exemple est la vidéo suivante intitulée « India's Moon Landing Madness » https://www.youtube.com/watch?v=inANVeIU_4w&t=6s .
[10] Source : https://krishna.org/the-apollo-moon-landings-are-science-fiction/
[11] Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Apollo_11_missing_tapes
[12] La conférence Apollo 11 peut être visionnée sur https://www.youtube.com/watch?v=ZzhyZQGAmzU
https://www.globalresearch.ca/moon-landing-2023-science-science-fiction/5840400?doing_wp_cron=1700321574.6794788837432861328125
La République En Manque; nouvelle histoire de drogue en Macronie: un pote libidineux de Claude Malhuret et de Fantomas aurait drogué une députée
RépondreSupprimerle 18 novembre 2023
par pgibertie
Malhuret est le sénateur le plus malfaisant du Palais du Luxembourg , il préside un groupe macroniste appelé https://www.independants-senat.fr/nos-senateurs, il a déversé sa haine sur ceux qui refusaient l’injection .
Donneur de leçons, il aurait pu surveiller ses disciples
Idem pour Fantomas…
La police a retrouvé dans le sang du sénateur Joël #Guerriau : cocaïne, amphétamines, opiacés, cannabis, méthadone et MDMA !!! Il a 66 ans ! Y a pas autant de produits illicites aux Beaumettes…
Le sénateur Joël Guerriau, soupçonné d’avoir drogué une députée à son insu, était surnommé « Teuffeur du 44 » dans un groupe WhatsApp de sénateurs républicains consultés par Europe 1. Existe-t-il un sérieux problème de stupéfiants au sein de nos institutions ?
Donc, le 17 mai 2023, Joël Guerriau, directeur général de banque, sénateur Horizons (le parti d’Edouard Philippe), demandait des sanctions « plus coercitives » contre les auteurs de violence visant les élus. Pourtant, les agresseurs d’un Trogneux non-élu, à Amiens, avaient été condamnés à de la prison pour quelques coups de poing. Mais cela ne suffisait pas à Guerriau, il en voulait plus. Le bagne peut-être ? le pilori ? la roue ? Et quelques mois plus tard, ce Torquemada est interpelé par la police pour avoir drogué une députée aux fins de la violer… Telle est le principe social dans la caste mondialisée. Il y a les règles qu’on applique aux petites gens qui se révoltent contre le système, qui disent non à l’oppression, qui demandent un autre monde. Et il y a l’impunité pour les puissants, pour ceux qui sont aux manettes et profitent de l’opulence. Rappelons quand même que le sénateur Guerriau fut directeur général de la Fédération des Caisses d’Epargne, ce qui n’est pas rien. Qu’il soutient Edouard Philippe. Un gros poisson comme on dit. Selon que vous serez puissant ou misérable… L’avantage de la macronie, c’est qu’elle ne cache même plus ses comportements obscènes. Les criminels y donnent allègrement des leçons de vertu aux petites gens.
@Verhaeghe
Ce n’est pas la première affaire comme le rappelle @Carene1984
Mediapart a révélé qu’Emmanuel Pellerin député du groupe Renaissance a consommé de la cocaïne avant et après son élection à l’Assemblée. Confronté aux enquêteurs , il a reconnu cet usage illégal. Dans un communiqué, le député a annoncé son «retrait» du groupe Renaissance à l’Assemblée, ainsi que du parti présidentiel qui envisageait de l’exclure
RépondreSupprimerNicolas Jeanneté, conseiller municipal à Paris, est soupçonné d’avoir détenu et revendu des drogues de synthèse lors de soirées « chemsex ». L’élu d’opposition à la mairie de Paris a été mis en examen notamment pour trafic de stupéfiants et consultation d’images pédopornographiques. L’élu centriste, qui était jusqu’à cette affaire vice-président du groupe LR et apparentés au Conseil de Paris n’entend pas démissionner.
En 2019, un scandale secoue le parti d’Emmanuel Macron. Moussa Ouarouss, député suppléant LREM des Yvelines et cadre local de la majorité présidentielle à Reims, est mis en examen pour importation, transport et détention de produits stupéfiants. https://yabiladi.com/articles/details/96100/france-l-etrange-parcours-moussa-ouarouss.html
Laurent Bigorgne, ex-patron de l’Institut Montaigne homme de réseaux proche d’Emmanuel Macron, a écopé d’ une peine de 18 mois de prison avec suris lors de son procès au tribunal de Paris pour avoir drogué une proche. Au tribunal, il était revenu sur son addiction aux stupéfiants : « Ma première addiction, c’est le travail et la drogue me servait à tenir. J’ai commencé par quelques doses de cocaïne puis au fur et à mesure, je me suis retrouvé à prendre quatre grammes de cocaïne par jour ».
- voir clips sur site -
https://pgibertie.com/2023/11/18/la-republique-en-manque-nouvelle-histoire-de-drogue-en-macronie-un-pote-libidineux-de-claude-malhuret-et-de-fantomas-aurait-drogue-une-deputee/
Le témoin de l'assassinat de JFK brise son silence. Preuve d'un deuxième tireur. La théorie de la « balle magique » est un mensonge pur et simple
RépondreSupprimer"Cette construction absurde a servi de fondement à la théorie selon laquelle un seul tireur a assassiné le président Kennedy" Robert F. Kennedy Jr.
Par Peter Baker , Robert F. Kennedy Jr et le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
19 novembre 2023
Le 22 novembre 2023, nous commémorons l'assassinat de JFK il y a 60 ans le 22 novembre 1963.
* * *
Commentaires de Robert F. Kennedy Jr.
Commentaires de Michel Chossudovsky
Vous trouverez ci-dessous des extraits (faites défiler vers le bas) de l'article du New York Times concernant la révélation de l'agent des services secrets Paul Landis 60 ans plus tard sur l'assassinat de JFK. C'est une bombe politique.
Après 60 ans de silence, la révélation de l'agent des services secrets Paul Landis confirme que le 22 novembre 1963, il y a eu un deuxième tireur en plus de feu Lee Harvey Oswald, assassiné deux jours plus tard, le 24 novembre 1963.
Paul Landis confirme désormais que la balle qui a touché JFK n'a pas touché le gouverneur du Texas, John B. Connally , qui a été grièvement blessé lors de la fusillade :
« Landis a déclaré au Times qu'après que Kennedy ait été abattu, c'est lui qui a récupéré la soi-disant « balle magique » et a expliqué la scène chaotique qui lui en a donné l'opportunité.
Il n’y avait personne pour sécuriser les lieux, et cela m’a vraiment très gêné. Tous les agents présents étaient concentrés sur le président.
Une foule se rassemblait. Tout s'est passé si vite. Et j’avais juste peur que — c’était un élément de preuve, dont j’ai réalisé tout de suite. Très important. Et je ne voulais pas qu'il disparaisse ou se perde. C'était donc : « Paul, tu dois prendre une décision » et je l'ai saisie. (NYT, italiques ajoutés)
Cela signifie que la thèse centrale de la dissimulation de la Commission Warren – à savoir qu’une « solution miracle » a frappé à la fois JFK et Connally – est un mensonge pur et simple.
Le mensonge a maintenant été dévoilé. La vérité sur la mort de John F. Kennedy prévaudra-t-elle ? Ou bien la révélation de Peter Landis sera-t-elle contestée et « réfutée ».
Cette révélation a ouvert une boîte de Pandore , qui menace potentiellement la légitimité du « programme néoconservateur ».
Quelle sera la réponse des grands médias ? Les implications juridiques et politiques de cette révélation sont considérables. Cela affecte notre compréhension de l'histoire américaine.
Quelle sera la réaction des politiciens américains et du grand public ? Ou bien la révélation de Paul Landis sera-t-elle « balayée sous le tapis ». Aucune question posée.
Il est important de noter que le mensonge concernant la « balle magique » a été révélé dans le New York Times par Paul Landis deux jours avant le 11 septembre 2023 – c’est-à-dire le jour où les gens en Amérique et dans le monde commémorent les attentats du 11 septembre, qui AUSSI constituent un grand mensonge et un crime contre l'humanité. Existe-t-il un continuum historique ? Ne devrions-nous pas « relier les points » ?
Michel Chossudovsky , Global Research, 11 septembre 2023
Pour plus de détails et une analyse incisive ainsi que la réponse de RFK Jr., voir :
Le témoin de l'assassinat de JFK brise un silence de 60 ans et dénonce une affirmation clé du gouvernement concernant la mort du président – Robert F. Kennedy Jr. répond
Par Cullen Linebarger , 11 septembre 2023
* * *
Nos remerciements au NYT pour avoir porté cet article à notre attention.
RépondreSupprimerLe témoin de l'assassinat de JFK brise son silence et soulève de nouvelles questions
par Peter Baker
"Le récit de Paul Landis, l'un des agents des services secrets à quelques pas de John F. Kennedy lorsqu'il a été abattu, pourrait changer la compréhension de ce qui s'est passé à Dallas en 1963."
New York Times, 9 septembre 2023
Extraits. Cliquez ici pour lire l'article complet du New York Times .
Il se souvient encore du premier coup de feu. Un instant, debout sur le marchepied du cortège, il nourrit le vain espoir qu'il ne s'agissait peut-être que d'un pétard ou d'un pneu crevé. Mais il connaissait les armes et il en savait mieux. Puis vint un autre coup. Et un autre. Et le président s'est effondré.
Pendant de nombreuses nuits par la suite, il a revécu ce moment macabre dans ses rêves. Aujourd'hui, 60 ans plus tard, Paul Landis , l'un des agents des services secrets à quelques pas du président John F. Kennedy en ce jour fatidique à Dallas, raconte pour la première fois son histoire dans son intégralité. Et sur au moins un point clé, son récit diffère de la version officielle d'une manière qui pourrait changer la compréhension de ce qui s'est passé à Dealey Plaza .
… Il s’avère que si ses souvenirs sont exacts, la « solution magique » dont on parle tant n’a peut-être pas été si magique après tout.
Sa mémoire remet en question la théorie avancée par la Commission Warren qui a fait l'objet de tant de spéculations et de débats au fil des ans – selon laquelle l'une des balles tirées sur la limousine du président a touché non seulement Kennedy mais aussi le gouverneur John B. Connally Jr. du Texas. , qui roulait avec lui, à plusieurs endroits.
Le récit de M. Landis, inclus dans un prochain mémoire, réécrirait de manière importante le récit de l’un des jours les plus bouleversants de l’histoire américaine moderne. Cela ne veut peut-être pas dire plus que cela. Mais cela pourrait également encourager ceux qui soupçonnaient depuis longtemps qu'il y avait plus d'un tireur à Dallas le 22 novembre 1963, ajoutant ainsi de l'eau à l' un des mystères persistants de la nation .
…. Mais il était là, un témoin direct, et il est rare qu’un nouveau témoignage émerge six décennies après les faits. Il n’a jamais adhéré aux théories du complot et souligne qu’il n’en promeut pas actuellement. À 88 ans, dit-il, tout ce qu'il veut, c'est raconter ce qu'il a vu et ce qu'il a fait. Il laissera à chacun le soin de tirer des conclusions.
"Il n'y a pas d'objectif à ce stade", a-t-il déclaré dans une interview le mois dernier à Cleveland, la première fois qu'il en parlait avec un journaliste avant la publication de son livre "The Final Witness", qui sera publié par Chicago Review Press. le 10 octobre. «Je pense juste que cela faisait assez longtemps pour que je devais raconter mon histoire.» (NYT, italiques ajoutés)
Cliquez ici pour lire l'article complet du New York Times .
Peter Baker , qui a couvert les cinq derniers présidents, a fait un reportage depuis Cleveland, où il a interviewé Paul Landis.
https://www.globalresearch.ca/j-f-k-assassination-witness-breaks-silence-raises-new-questions/5832072
JFK 60 ans après sa mort : la CIA, le dossier contre LBJ et au-delà
RépondreSupprimerPar Michael Welch et Jeremy Kuzmarov
Recherche mondiale,
18 novembre 2023
ÉCOUTEZ LE SPECTACLE
- voir clip sur site -
Cliquez pour télécharger l'audio (format MP3)
On a appelé cela la fin de l'innocence. Le premier des grands assassinats des années soixante. La première apparition d’une tragédie nationale en temps réel sur les ondes médiatiques. La fin de Camelot.
La mort du 35e président des États-Unis dans un cortège traversant Dallas a marqué la fin de la confiance dans le gouvernement américain et l’aube de ce que l’on a appelé les « théories du complot » autour d’événements apparemment impossibles. Quelqu'un a-t-il vraiment tué notre président bien-aimé ? Comment est-ce possible ?
Mais comme le savent très bien les auditeurs de cette émission et les mécènes de Global Research, nous ne pouvons pas exclure les pratiques criminelles au sein des gouvernements et des fonctionnaires agissant nominalement dans nos propres intérêts.
Pour citer la simple déclaration du dessin animé de Walt Kelly :
"Nous avons rencontré l'ennemi et c'est nous." [1]
- voir clip sur site -
Le 60e anniversaire de la mort de Kennedy approche dans quelques jours. Une conférence majeure a lieu à Dallas, organisée par le JFK Historical Group en collaboration avec JFK Conferences, LLC et Project JFK. Ils cherchent à réexaminer les preuves et des décennies de recherche « avec un regard neuf et avec les nouvelles technologies ». [2]
De nombreuses personnes marqueront sans aucun doute de la même manière ce profond moment de tristesse et leur détermination à découvrir la vérité une fois pour toutes sur ce qui est arrivé à cet homme et à l’Amérique dans l’intérêt de la justice et de la clarté. Les animateurs d’émissions de radio comme John Young et le Canadien Brent Holland sont deux exemples de chercheurs actifs à la radio posant la question « Qui a tué Kennedy ? » sur les ondes.
Et la Global Research News Hour ne fait pas exception !
Nous avons certainement eu des chercheurs individuels remarquables qui ont partagé les résultats de leurs recherches. Mais à l’approche de « JFK DAY » en cette année critique, la série envisage d’enquêter sur la mort du point de vue du présent. Et depuis des points de vue non encore explorés dans les épisodes précédents.
Notre premier invité, Jeremy Kuzmarov de Covert Action Magazine, qui prévoit de publier un article spécial sur JFK dans les prochains jours, revient sur le récent refus des présidents Trump et Biden de divulguer intégralement tous les documents relatifs à l'assassinat de JFK depuis 2017 selon la loi de 1992 sur la collection de documents du président John F. Kennedy. Il explore également d'autres révélations plus récentes sur les circonstances entourant la mort de Kennedy. Et il rejoint une discussion sur les soi-disant « fausses pistes » poursuivies par certains chercheurs et qui les ont éloignés de bases factuelles plus solides.
Dans notre deuxième demi-heure, nous parlons avec Phillip F. Nelson. Il est également un écrivain sur l'assassinat de JFK qui a écrit le livre extraordinaire de 2010 : LBJ : Le cerveau de l'assassinat de JFK . Nelson passe la majeure partie de l'interview à détailler l'homme caché dans un site ordinaire comme ayant la motivation d'accéder au pouvoir en travaillant en collaboration avec les forces de « Deep State » pour que l'acte soit accompli, sans que pratiquement personne, y compris le directeur de JFK, Oliver Stone, ne soupçonne son implication . ! Il parle également de la direction qu’une nouvelle génération de chercheurs et d’activistes devrait prendre, selon lui, pour révéler les aspects de l’affaire qui devraient être au premier plan à l’avenir.
RépondreSupprimerJeremy Kuzmarov est rédacteur en chef de CovertAction .Magazine . Il est l'auteur de quatre livres sur la politique étrangère américaine, dont Obama's Unending Wars (Clarity Press, 2019) et The Russians Are Coming, Again, avec John Marciano (Monthly Review Press, 2018). Il est également l'auteur de l'article de décembre 2022 : Biden protège la CIA en retenant 5 000 documents critiques sur l'assassinat de JFK.
Phillip F. Nelson est l'auteur de LBJ : Le cerveau de l'assassinat de JFK ; Souvenez-vous de la Liberté ! Presque coulé par trahison en haute mer ; et Qui a vraiment tué Martin Luther King Jr. ? : L'affaire contre Lyndon B. Johnson et J. Edgar Hoover , entre autres livres. Après l'université, un passage dans le Peace Corps et une carrière en entreprise, il a commencé une étude approfondie de l'assassinat de JFK, de la présidence de Johnson et de sa conduite criminelle continue. Phillip réside à Greenville, en Caroline du Sud et peut être contacté à philfnelson@protonmail.com .
(Global Research News Hour Épisode 409)
ÉCOUTEZ LE SPECTACLE
Cliquez pour télécharger l'audio (format MP3)
L'émission Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13 h CT sur CKUW 95.9FM à l'Université de Winnipeg. Le programme est également disponible en podcast sur globalresearch.ca .
Autres stations diffusant l'émission :
CIXX 106,9 FM, diffusant depuis le Fanshawe College de London, en Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6 heures du matin.
WZBC 90,3 FM à Newton Massachusetts est Boston College Radio et diffuse dans la grande région de Boston. L'Heure d'information sur la recherche mondiale est diffusée sur la radio Vérité et Justice qui commence dimanche à 6 heures du matin.
La radio universitaire et communautaire CFMH 107.3fm à Saint John, au Nouveau-Brunswick, diffuse l'émission Global Research News Hour le vendredi à 19 h.
CJMP 90.1 FM, Powell River Community Radio, diffuse l'émission Global Research News Hour tous les samedis à 8 heures du matin.
Caper Radio CJBU 107.3FM à Sydney, Cap-Breton , Nouvelle-Écosse diffuse l'émission Global Research News Hour à partir de mercredi après-midi de 15h à 16h.
Cowichan Valley Community Radio CICV 98,7 FM desservant la région de Cowichan Lake sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique, diffuse le programme le jeudi à 9 h, heure du Pacifique.
Remarques:
RépondreSupprimer1 -
Walt Kelly (22 avril 1971), Pogo, encre et crayon sur papier, Collection Pogo, Publisher's Hall Syndicate inc.
2 -
https://projectjfk.com/events
https://www.globalresearch.ca/jfk-60-years-after-his-death-the-cia-the-case-against-lbj-and-beyond/5840489