Le Dr McCullough, expert mondial du Covid-19, accuse l'OMS
07.11.2023 www.kla.tv/27389
Le 13 septembre 2023, une conférence ouverte de haut niveau s'est tenue dans le bâtiment du Parlement européen à Strasbourg sur la nouvelle proposition de réglementation de l'OMS. Le Dr Peter McCullough, médecin praticien, épidémiologiste et cardiologue, a été invité à s'exprimer parmi ce groupe d'experts.
En tant que médecin spécialisé, il partage ses connaissances sur les effets des vaccins Covid et démontre que l'OMS fait partie d'un complexe biopharmaceutique, d'un syndicat qui s'est construit au fil des années.
Chers spectateurs, vous pourrez découvrir, dans son discours que nous diffusons maintenant dans son intégralité, ses recherches et ses propositions pour remettre à sa place une OMS de plus en plus puissante.
C'est un honneur et un privilège que le Dr Peter McCullough, du Texas, aux États-Unis, soit parmi nous aujourd'hui. Je vous en remercie. Il est interniste, cardiologue et épidémiologiste ; il est diplômé de l'université Baylor, de l'université du Texas Southwestern Medical School, de l'université du Michigan et de la Southwestern Methodist University. Il s'occupe à Dallas, Texas, des maladies infectieuses générales ainsi que des complications cardiovasculaires résultant à la fois de l'infection virale et des dommages causés par l'injection de vaccin Covid-19. Le Dr Peter McCullough a publié un grand nombre d'articles sur différents sujets médicaux et figure dans la National Library of Medicine avec plus d'un millier de publications et 685 citations. Le Dr McCullough a fait de nombreuses déclarations au Sénat américain et dans de nombreux parlements d'État sur des aspects de la lutte contre la pandémie. Le Dr McCullough a consacré des années de travail académique et clinique à la lutte contre le virus du SRAS-CoV-2, en examinant des milliers de rapports, en participant à des congrès scientifiques, à des discussions de groupe et à des communiqués de presse, et il est considéré comme l'un des meilleurs experts mondiaux du Covid-19. Nous vous remercions.
Merci beaucoup pour cette introduction et merci pour les chaleureuses salutations. Merci à Mme Anderson, aux membres du Parlement et à vous tous. Comme cela vous a été présenté, je suis le Dr Peter McCullough. Je suis interniste, cardiologue et épidémiologiste en exercice et, depuis le début de la pandémie, je me suis entièrement consacré à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour aider chaque patient. Voici mes observations et voici mon analyse. Le monde a été frappé par deux vagues de dommages. La première a été l'infection par le SRAS-CoV-2, qui a surtout touché les personnes fragiles et âgées. Et la deuxième vague de préjudices, ce sont les vaccins Covid-19. Dans les deux cas, le rôle de l'OMS semble problématique. Le rôle de l'OMS semble se situer au sein d'un complexe biopharmaceutique, un syndicat, un syndicat compliqué qui s'est formé au fil du temps. Il s'agit notamment de l'OMS, des Nations unies, du Forum économique mondial, de la Fondation Gates, de la Fondation Rockefeller, du Wellcome Trust, de Gavi, du CEPI, de la Coalition pour la Préparation aux épidémies et l’innovation, en grande partie formée par la Fondation Gates et le FEM. Le Département d'État américain, les Instituts nationaux de la santé, le CDC, la FDA, la MHRA au Royaume-Uni, la TGA en Australie, la SAFRA en Afrique du Sud, l'EMA ici en Europe. Ces organisation non gouvernementales et d'autorités sanitaires publiques travaillent groupées toutes ensemble. Elles sont soigneusement coordonnées. Et les conséquences ont été négatives. Au début de la pandémie, l'OMS a enquêté sur l'origine du SRAS-CoV-2. C'est à ce moment-là que la dissimulation a commencé. Le contre-amiral Brett Giroir, des États-Unis, a chargé trois scientifiques indépendants de se rendre à Wuhan et de découvrir ce qui se passait. À ce moment-là, nous connaissions Anthony Fauci, Francis Collins, Jeremy Farrar, qui travaillait au Wellcome Trust et qui est maintenant scientifique en chef à l'OMS, Christian Anderson à Scripps, Edwin Holmes à Sydney et Peter Daszak de l'EcoHealth Alliance. Ils ont tous conspiré en janvier 2020 pour dissimuler ce qu'ils savaient, à savoir que le virus avait été développé dans le cadre d'une collaboration conjointe américano-chinoise dans le laboratoire de Wuhan, en Chine. Et ils ont trompé le monde en publiant ensuite 12 publications frauduleuses dans la littérature évaluée par des professionnels. Le chef de file était Jeremy Farrar, qui est le scientifique en chef de l'OMS. Tout cela figure dans une série de rapports de la Commission spéciale de la Chambre des représentants du Congrès américain, dirigée par le député Brad Wenstrup. Depuis le début, l'OMS a joué un rôle négatif et a trompé le monde sur l'origine du SRAS-CoV-2. Des médecins comme nous, qui travaillons dans la pratique clinique, ont pris du retard dans cette affaire parce que nos gouvernements et les autorités comme l'OMS n'ont pas été honnêtes avec nous. Au lieu de nous aider, ou du moins de ne pas nous mettre des bâtons dans les roues pour traiter les patients et sauver des vies, ils se sont mis en travers de notre chemin et ont entravé nos possibilités.
Deux ans. Je suis l'auteur principal de la plus grande étude autopsique jamais réalisée sur les décès survenus après la vaccination COVID-19 dans le monde. Nous avons cherché dans la littérature, 600 travaux, toutes les constatations cliniques. Nous les avons examinés avec des connaissances contemporaines, des experts en pathologie et en médecine clinique. Notre conclusion : 73,9 % des décès survenus après la vaccination sont dus au vaccin. Ils sont dus au vaccin. Lorsqu'une myocardite est suspectée, comme l'a établi une deuxième étude dont je suis le premier auteur, c'est 100 % des cas. C'est dû au vaccin. Pas au COVID, la maladie respiratoire, mais au vaccin. Nous voyons maintenant un troisième faux narratif. Le premier faux narratif était le suivant : le virus est inattaquable, nous devons nous isoler et être dans la crainte. Le deuxième faux narratif est le suivant : Faites-vous vacciner, c'est sûr et efficace. Actuellement le troisième faux narratif dit que ce n'est pas le vaccin qui cause ces problèmes, mais le COVID. C'est le COVID que nous avons vu en 2020 et qui cause tous ces problèmes en 2023. Ne tombez pas dans ce faux narratif. La littérature médicale est convaincante à l'heure actuelle.
Les critères de causalité de Bradford-Hill sont remplis.
Les vaccins sont la cause de cette énorme vague de maladies. Cela pourrait-il vous concerner, vous ou un membre de votre famille ?
Pour finir, voici quelques travaux importants. L'un d'eux est celui de Schmeling et de ses collègues du Danemark. Ils montrent qu'environ 30 % des personnes qui ont reçu un vaccin n'ont aucun effet secondaire. Rien, pas même un bras douloureux. Pas même l'impression qu'il s'est passé quelque chose avec l'injection. Ces personnes semblent toujours aller bien. Comme si elles n'avaient pas reçu d'injection. Et les données sont les mêmes aux États-Unis et dans notre système viral. Pour le deuxième groupe, il s'agit d'environ 70 % des personnes. Ils ont quelques effets secondaires modérés, quelques problèmes, mais ils ne semblent pas avoir de problèmes vraiment graves. Et puis il y a le petit groupe du troisième lot. 4,2 % dans les données de Schmeling. C'est un record absolu. Myocardites, arrêts cardiaques, caillots sanguins, AVC hémorragiques, handicaps. Mort subite à domicile dans un lit. Et les données sont les mêmes aux États-Unis. 4,2 % des personnes en Europe sont actuellement en difficulté.
Parce qu'ils ont eu la malchance de recevoir un lot à haut risque. Aux États-Unis, selon nos données CDC-V-Safe, qui sont des données auto-déclarées, 7,7 % des Américains sont tombés malades à la suite d'une vaccination au point de devoir être admis à l’hôpital et soignés ou gardés en hospitalisation. Une enquête Zogby menée il y a environ un an, avec un grand échantillon représentatif aux États-Unis, a révélé que 15 % des personnes vaccinées sont actuellement confrontées à un problème médical. Donc, encore une fois : 4,2 %, 7,7 %, 15 %. C'est la pénombre. C'est le diagramme logique que vous allez tous prendre en compte dans vos calculs. Quelle est la voie à suivre ? La voie à suivre est clairement que personne ne fasse d'autre tentative. Personne ne doit le faire. Le 11 juin 2022, le World Council for Health, une organisation multinationale de médecins et de prestataires de soins de santé, a publié un rapport de pharmacovigilance dans lequel ils ont examiné 39 bases de données de sécurité, dont la base V-Safe de l'OMS et les bases de données de l'EMA aux États-Unis. Elles ont conclu que tous les vaccins COVID-19 devraient être retirés du marché en raison d'un risque de mortalité trop élevé. Risque de mortalité excessif. C'est tout.
Le 7 décembre 2022, j'ai co-présidé une réunion au Sénat américain et notre groupe d'experts a conclu, par approbation du Sénat américain, que tous les vaccins COVID-19 devaient être retirés du marché. C’est bien tous. Pas de nouveaux vaccins de rappel.
Et puis, le 23 mars 2023, l'Association des médecins et chirurgiens américains, une organisation objective, basée sur des faits, des preuves et un consensus, a conclu, tout comme les deux autres, qu'il fallait retirer les vaccins du marché. Je vous explique donc que les vaccins COVID-19, ainsi que tous leurs descendants et les futurs vaccins de rappel à usage humain, ne sont pas sûrs. Je vous demande, à vous, l'Agence européenne des médicaments, d'exercer toutes les pressions possibles pour retirer du marché les vaccins COVID-19 avec toute l'urgence requise.
Aux États-Unis, ça va d'un État à l'autre. Il est probable que les différents États retireront les vaccins du marché si le gouvernement fédéral ne le fait pas. C'est ce qui va se passer. Ça se produira partout dans le monde.
L'OMS est derrière ces vaccins. Ils sont bien plus un problème qu'une aide pour l'Union européenne. Et je pense que l'Union européenne, les États-Unis et tous les principaux groupes d'intérêt devraient se retirer complètement de l'OMS et la laisser à ses propres efforts afin qu'elle n'ait pas de juridiction ni de suprématie sur nos activités de santé publique.
L'OMS n'aura jamais la domination sur ce que je fais, en tant que praticien, avec les patients dans mon cabinet. Je suis le Dr Peter McCullough. Je vous remercie de m'avoir invité.
de ug./avr. Sources / Liens : Discours du Dr McCullough au Parlement européen le 13 sept. 2023 https://www.youtube.com/watch?v=1Pa9yZ9kwc0
Les vaccins Covid doivent être retirés du marché, demande le cardiologue et épidémiologiste McCullough https://transition-news.org/covid-impfstoffe-mussen-vom-markt-genommen-werden
L'interview étrange de Joe Rogan de The Vaccine Apostle
PETER MCCULLOUGH, MD 31 DÉCEMBRE 2022 Par John Leake
Il y a longtemps, j’ai lu un essai dans le Nouveau Critère dont le titre – « L’apôtre de l’inversion » – m’est resté gravé dans la mémoire. Il s’agissait d’une critique de la biographie d’Edmund White sur l’écrivain français Jean Genet. Cet essai m'est revenu à l'esprit lorsque j'ai écouté la récente conversation de Joe Rogan avec le Dr Peter Hotez. La description des personnages de Genet m’a semblé particulièrement pertinente.
Ses garçons [de Genet] jouent à être des filles, deviennent des filles ; ses servantes deviennent maîtresses, ses noirs portent des masques blancs ; et ainsi de suite, le bien est le mal et le vice est la vertu et la trahison est la foi ; tout est – en fin de compte, de façon tout à fait prévisible – renversé et sens dessus dessous.
Tout est… retourné et sens dessus dessous. Ceci, me semble-t-il, décrit parfaitement les nombreuses affirmations du Dr Hotez sur l’expérience Joe Rogan. Pour en citer quelques-uns :
Soyons clairs : Internet est actuellement propriétaire d’un lobby anti-vaccin. Cela signifie que, selon certaines estimations, ils ont créé 500 sites Web anti-vaccins, de sorte que chaque fois que vous insérez le mot vaccin dans un moteur de recherche, que ce soit Yahoo ou Google, vous obtenez de fausses informations anti-vaccins. . C'est le numéro un.
Deuxièmement, nous savons maintenant que ce phénomène est amplifié sur les réseaux sociaux comme Facebook et d’autres formes de réseaux sociaux.
Troisièmement, regardez le site Amazon. C'est incroyable. Donc mon livre – la bonne nouvelle est que c’est le livre pro-vaccin le mieux noté sur Amazon. La mauvaise nouvelle est que, dans l’ensemble, il est classé dans une vingtaine, car il existe dix-neuf autres livres anti-vaccins bidon. Amazon est donc désormais le plus grand fournisseur de livres anti-vaccins.
Il est vrai que le livre le plus récent du Dr Hotez n’a pas obtenu de bons résultats en termes de classement des ventes et de critiques sur Amazon. D’un autre côté, qui serait intéressé à lire sur la lutte d’un défenseur des vaccins à une époque où la majeure partie de l’humanité était obligée de les recevoir ?
Attends, c'est pire. Ils [les militants anti-vaccins] ont des comités d’action politique, font pression sur les législatures des États et diffusent ensuite de fausses informations sur les effets des vaccins.
Le problème est que nous ne disposons d’aucun système solide de plaidoyer en faveur des vaccins pour le contrer.
Vraiment ? Qu’en est-il de la Fondation Rockefeller, de la Fondation Bill et Melinda Gates, du Wellcome Trust, du Forum économique mondial, de la Clinton Global Initiative, de GAVI, du CEPI, de l’administration Biden, du NIAID, du DOD, de la DARPA, du HHS, de la BARDA, de la FDA, du CDC, de la FEMA ? , l'armée américaine, le chirurgien général américain Vivek Murphy, le corps communautaire COVID-19, les districts scolaires publics, les principaux systèmes hospitaliers et universités, l'industrie cinématographique, l'industrie du disque, l'industrie aérienne, l'industrie financière, les grands médias américains, le les grandes églises, la plupart des équipes sportives professionnelles, Moderna, Pfizer-BioNTech, Johnson & Johnson et AstraZeneca ?
Malheureusement, la défense des vaccins dans ce pays incombe à une poignée d’universitaires comme moi. Vous savez, je suis universitaire, j’ai écrit un livre. Quelle chance ai-je face à cet empire médiatique majeur ?
Quiconque a été, même vaguement, attentif au discours public depuis 2020 reconnaîtra que ces déclarations constituent une parfaite inversion de la réalité. Lorsque M. Rogan interroge le Dr Hotez sur « l’empire » auquel il est confronté, il répond :
Eh bien, je suis un peu réticent à le dire parce qu’ils sont très procéduraux et que je n’ai pas les moyens de me défendre dans un procès.
Les parents n’ont pas la chance [de considérer la vérité sur les vaccins] parce qu’ils sont inondés de fausses informations sur les vaccins.
Une partie de cet empire anti-vaccin doit être démantelée.
À cette affirmation, M. Rogan répond : « Mais qui peut dire s’ils ont tort ou raison. Il semble qu’il devrait y avoir une sorte de débat… où nous pourrions vous opposer à quelqu’un d’autre et décomposer tout cela.
Oui, mais c’est une arme à double tranchant, car cela donne alors une fausse légitimité aux anti-vaccins. C’est comme débattre du fait que fumer provoque le cancer.
Le Dr Hotez ignore apparemment comment, pendant des décennies, l’industrie du tabac a employé les autorités médicales pour obscurcir les preuves – documentées pour la première fois par des chercheurs allemands au début des années trente, puis par Sir Austin Bradford Hill dans un essai historique de 1950 – selon lesquelles fumer provoque le cancer. Si le DÉBAT sur les méfaits du tabagisme avait été supprimé, la majorité des Américains seraient restés bien plus longtemps dans l’ignorance de ces méfaits.
En fin de compte, le Dr Hotez invoque quelque chose qui s’apparente à l’infaillibilité papale en déclarant qu’Amazon et les sociétés de médias sociaux devraient censurer quiconque remet en question son point de vue sur les vaccins. Il ignore ainsi l’évidence que la « science » a toujours progressé à travers une multiplicité d’observations et de débats. Chaque génération dans l’histoire a surestimé sa compréhension de la nature. Une enquête scientifique appropriée nous a toujours donné un aperçu de ce que nous ignorons. Comme l’a dit Oliver Wendell Holmes, Sr. : « La science est la topographie de l’ignorance. Depuis quelques points élevés, nous triangulons de vastes espaces, renfermant une infinité de détails inconnus.
Pour ceux qui s’intéressent à la réalité, il est instructif de comparer la fortune du Dr Hotez ces dernières années à celle du Dr Peter McCullough. Jusqu’au début de 2021, les deux médecins occupaient des postes de premier plan dans les principaux centres médicaux universitaires du Texas (McCullough à Dallas ; Hotez à Houston).
Cependant, début 2021, le Dr McCullough a été – pour le crime présumé de remise en question de la sécurité et de l’efficacité des vaccins contre le COVID-19 – licencié de son poste, poursuivi, censuré, censuré, déchu de tous ses postes de professeur et de rédacteur en chef de revue, et qualifié de « Pire médecin de 2021 » par Medscape. Récemment, l’American Board of Internal Medicine a recommandé que les certifications du Dr McCullough soient révoquées – encore une fois pour le crime présumé consistant à remettre en question la sécurité des vaccins contre la COVID-19.
Au cours de cette même période, le Dr Hotez a conservé ses positions universitaires et est régulièrement apparu dans les grands médias (et à deux reprises dans l'émission Joe Rogan Experience) chantant les louanges des vaccins. Il a reçu des subventions de la Fondation Gates, ainsi que de nombreuses largesses de la part de grandes sociétés pharmaceutiques telles que Pfizer.
En mars 2022, la représentante américaine Lizzie Fletcher de Houston a nommé le Dr Hotez pour le prix Nobel de la paix pour son travail « de construction et de production de CORBEVAX – également connu sous le nom de « vaccin mondial contre le COVID-19 ». CORBEVAX utilise une technologie traditionnelle basée sur des protéines recombinantes qui peut être produite à grande échelle et rendue largement accessible à l’ensemble de la population mondiale.
Loin d'être une voix isolée dans le désert, le Dr Hotez est l'un des universitaires les plus privilégiés et les plus sûrs du monde, soutenu par certains des hommes les plus riches et des institutions les plus puissantes de la planète.
80 % de la population prend des médicaments psychiatriques et la situation empire
ils se retrouvent avec des « difficultés socio-économiques à long terme » « ultérieures », « notamment une baisse des revenus, le chômage et une probabilité accrue de vivre seuls et de ne pas être mariés ».
DR. PETER ET GINGER BREGGIN 5 NOVEMBRE 2023 Auteur : Peter R. Breggin, MD
Un échantillon de 1,5 million de Danois révèle deux résultats dévastateurs : (1) au moins 80 % de la population recevra un diagnostic et/ou un traitement médicamenteux pour une « maladie mentale » au cours de sa vie à deux reprises ou plus, et (2) ils finiront par aux « difficultés socio-économiques à long terme » « ultérieures », « notamment une baisse des revenus, le chômage et une probabilité accrue de vivre seul et de ne pas être marié. »1
Cela prouve-t-il que la maladie mentale ruine des vies ? Non, lorsque 80 % ou plus de la population est traitée comme malade mentale, le concept n'a aucun sens ni pertinence, sauf qu'il entraîne deux conséquences puissamment invalidantes : (1) des médicaments psychiatriques qui désactivent universellement le cerveau de manière temporaire et trop souvent permanente et (2) la stigmatisation et la démoralisation qui minent la façon dont l'individu est perçu par lui-même et par les autres.
Peter et Ginger Breggin Exposing the Global Predators est une publication financée par les lecteurs. Pour recevoir de nouveaux posts et soutenir mon travail, pensez à devenir abonné gratuit ou payant.
Les médicaments psychiatriques provoquent un dysfonctionnement cérébral aigu, ce qui rend plus difficile pour quiconque de faire face aux réalités de ce qui, dans sa vie ou en lui-même, lui cause un handicap, une détresse et une souffrance. Le dysfonctionnement cérébral dure au moins aussi longtemps que la personne prend des médicaments et peut être léger à grave, selon l'intensité ou la durée de l'exposition. Un dysfonctionnement cérébral, parfois accompagné de dommages permanents, peut provoquer un déclin mental, émotionnel et spirituel persistant, comme le confirme l'étude danoise.
Des études menées aux États-Unis auprès d'enfants qui ont commencé avec de faibles doses de Ritalin (méthylphénidate) dans les années 1970 pour traiter des symptômes minimes du TDAH ont montré de très mauvais résultats à long terme. Leur qualité de vie a diminué au cours de leur vie par rapport aux témoins, notamment un retard de croissance, un QI plus faible, moins d'éducation, davantage d'hospitalisations et d'emprisonnements psychiatriques, l'obésité et une durée de vie plus courte. Le Ritalin est devenu une porte d’entrée pour devenir des patients mentaux à vie sous traitement psychiatrique de toutes sortes. D'autres études ont montré un rétrécissement du cerveau dû aux médicaments stimulants administrés aux enfants. J'ai examiné la littérature scientifique démontrant ces résultats dans Psychiatric Drug Withdrawal: A Guide for Prescribers, Therapists, Patients, and Their Families.2 Ces catastrophes à long terme sont principalement causées par la neurotoxicité induite par les médicaments3 mais aussi par la stigmatisation et la démoralisation des médecins. dire aux enfants et à leurs parents que les enfants sont génétiquement défectueux, ont un équilibre biochimique et ont besoin de médicaments – des mensonges pour les amener à prendre des neurotoxines.
Depuis de nombreuses années, il est de plus en plus évident que la prise de médicaments psychiatriques fait partie des risques les plus dangereux dans la société moderne. Depuis des décennies, j’explique et documente que les médicaments psychiatriques font globalement bien plus de mal que de bien. Le dysfonctionnement ou les dommages induits par le médicament provoquent un « envoûtement médicamenteux »4 – l’incapacité des patients à percevoir pleinement le mal que les médicaments leur font.5
L'arrêt des médicaments psychiatriques peut également être très dangereux car le cerveau s'est adapté à la drogue en tant que substance étrangère et nocive, et lorsque la drogue est retirée, le cerveau entre dans un nouveau déséquilibre dû au sevrage. En fonction du type et du nombre de médicaments et de la durée de l'exposition, le sevrage des médicaments psychiatriques doit être effectué avec précaution, avec le soutien des amis ou de la famille et, si possible, sous une supervision clinique expérimentée. Mon livre, Retrait des médicaments psychiatriques : un guide pour les prescripteurs, les thérapeutes, les patients et leurs familles, décrit les dangers des médicaments et comment s'en retirer en toute sécurité.
Les professionnels de santé qui diagnostiquent des personnes atteintes de maladie mentale les stigmatisent et les démoralisent. Les personnes étiquetées éprouvent de la honte, de la culpabilité et de l'anxiété à la suite du diagnostic et se sentent moins capables de contrôler leur propre vie. Ils se sentent plus impuissants et dépendants des autres et des drogues. Les personnes qui les entourent peuvent également changer leur point de vue sur le « patient » d’une manière qui mine leur estime de soi ou leur sentiment d’autonomie. Lorsqu’on dit à tort à des enfants ou à des adultes qu’ils souffrent de « déséquilibres biochimiques », cela devient une prescription pour qu’ils se sentent impuissants et incapables de contrôler leurs sentiments ou leur vie mentale en général. En tant que psychiatre, je dois souvent aider des personnes à se remettre de mensonges autodestructeurs qui leur ont été racontés par tout le monde, des psychiatres aux médecins de famille, en passant par les infirmières praticiennes et les psychologues.
Leçons pour toutes les nations occidentalisées et tous les peuples
L’étude danoise, qui montre que presque tout le monde se verra prescrire des médicaments psychiatriques au cours de sa vie, est également valable pour l’Amérique et d’autres grands pays occidentaux. Les effets des médicaments psychiatriques seront les mêmes partout, entraînant une diminution à des degrés divers de la qualité de vie de l’individu. De nombreuses personnes ne ressentent pas ou n’ont pas le sentiment de subir un déclin dramatique. Mais d'après mon expérience en tant que thérapeute et psychiatre qui aide les gens à se retirer des médicaments psychiatriques, toutes ou presque toutes les personnes qui se retirent soigneusement des médicaments psychiatriques se rendent compte pour la première fois qu'elles étaient beaucoup plus brutales, éloignées ou désengagées des gens et de la vie lorsqu'elles prenaient part à des traitements psychiatriques. les drogues. Ils « se retrouvent », « ont leurs vrais sentiments » et deviennent « plus forts » à mesure qu’ils se remettent progressivement de la neurotoxicité. Arrêter les médicaments psychiatriques leur permet de mieux gérer leurs problèmes et d’avoir une vie beaucoup plus épanouie.
1 Lars Vedel Kessing, Simon Christoffer Ziersen, Avshalom Caspi, et al. Incidence au cours de la vie des troubles de santé mentale traités et des prescriptions de médicaments psychotropes et fonctionnement socio-économique associé. JAMA Psychiatrie. 2023;80(10):1000-1008. est ce que je:10.1001/jamapsychiatry.2023.220. Citations tirées des « Points clés », du « Résumé » et des « Conclusions et pertinence ». https://breggin.com/admin/fm/source/6905_breggin/Psychiatry/Eighty-percent-80-of-population-mental-health.pdf
2 Breggin, Peter. Retrait des médicaments psychiatriques : un guide destiné aux prescripteurs, aux thérapeutes, aux patients et à leurs familles. New York : Société d'édition Springer. Disponible en librairie et sur Breggin.com | Livres. Le chapitre 6 donne de multiples citations de la littérature scientifique sur les stimulants et d'autres chapitres documentent les méfaits de l'ensemble des médicaments psychiatriques. Notre site Web, www.breggin.com, propose des PDF de mes multiples articles scientifiques traitant de ces questions. Une liste complète de mes livres et articles se trouve dans mon CV (dans le menu déroulant intitulé « À propos ») @ www.breggin.com.
3 Breggin, Peter. Déficience cérébrale chronique (CBI) induite par des médicaments psychiatriques : Implications pour un traitement à long terme avec des médicaments psychiatriques. Journal international sur les risques et la sécurité en médecine (2011) Breggin2011_ChronicBrainImpairment.pdf
4 Breggin, Peter. Anosognosie d'intoxication : l'effet envoûtant des médicaments psychiatriques, International Journal of Risk and Safety in Medicine (2007). Breggin2007.pdf
5 Breggin, Peter. Folie médicamenteuse : le rôle des médicaments psychiatriques dans les cas de violence, de suicide et de crime. Disponible en librairie et sur Breggin.com | Livres.
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Publié pour la première fois sur AmericaOutLoud.news le 4 novembre 2023
Les confinements liés au COVID-19 ont contribué au « traumatisme collectif » chez les Américains : psychologues
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 03H40 Rédigé par Tom Ozimek via Th Epoch Times
Les États-Unis sont encore sous le choc des effets des confinements liés au COVID-19 et d'autres aspects de la pandémie de COVID-19, car les Américains ont subi un « traumatisme collectif », a déclaré l'American Psychological Association (APA), citant une étude.
Bien que l'urgence sanitaire nationale provoquée par l'épidémie de COVID-19 ait officiellement pris fin le 11 mai, d'une certaine manière, le pays n'est pas revenu à la « normale ». selon l'organisation.
L'APA a conclu dans les résultats de son enquête, publiés le 1er novembre, qu'il existe « des signes de traumatisme collectif parmi toutes les cohortes d'âge » aux États-Unis.
« La pandémie de COVID-19 a créé une expérience collective parmi les Américains. Même si les confinements du début de la pandémie peuvent sembler appartenir à un passé lointain, les conséquences demeurent », a déclaré Arthur C. Evans Jr., PDG de l'organisation, dans un communiqué.
L’étude a révélé que les adultes âgés de 34 à 44 ans ont signalé la plus forte augmentation des problèmes de santé chroniques depuis la pandémie, passant à 58 % en 2023, contre 48 % en 2019.
Le même groupe d’âge a également connu la plus forte augmentation des maladies mentales, principalement l’anxiété et la dépression. Celles-ci sont passées à 45 % cette année, contre 31 % en 2019, selon l'étude.
Selon l'APA, des niveaux de stress chroniquement élevés créent des risques de divers problèmes de santé mentale et affaiblissent le système immunitaire. L'association a noté que les données suggèrent que le stress à long terme soutenu depuis le déclenchement de la pandémie de COVID-19 a eu un impact significatif sur le bien-être des Américains.
« Nous ne pouvons pas ignorer le fait que nous avons été considérablement modifiés par la perte de plus d'un million d'Américains, ainsi que par l'évolution de nos lieux de travail, de nos systèmes scolaires et de notre culture en général », a déclaré M. Evans. croissance, nous devons d’abord identifier et comprendre les blessures psychologiques qui subsistent.
Le stress chronique peut provoquer une inflammation, briser le système immunitaire et augmenter le risque de toutes sortes de maladies, notamment d'accidents vasculaires cérébraux et de maladies cardiaques, a averti l'APA.
L'étude est la dernière en date à suggérer que la réponse musclée à l'épidémie, qui comprenait la fermeture d'écoles, la fermeture d'entreprises et le port quasi universel de masques, a eu un effet négatif sur la santé physique et mentale des gens.
Les décès d’enfants par arme à feu augmentent fortement
Des recherches récentes sur les décès d’enfants par arme à feu ajoutent des preuves déchirantes à la pile croissante de données suggérant que les confinements et autres restrictions liés au COVID-19 ont eu un effet dévastateur sur la société.
L’étude, rédigée par des chercheurs du Boston Children’s Hospital et publiée le 5 octobre dans une revue de l’American Academy of Pediatrics, a révélé que les décès liés à des blessures chez les enfants ont fortement augmenté au cours des années pandémiques 2020-2021.
La hausse des blessures mortelles chez les enfants est due aux drogues et aux blessures par arme à feu.
En 2021, lorsque les confinements et autres restrictions liées au COVID-19 étaient omniprésents, plus d’homicides d’enfants (2 279) et de suicides (1 078) par arme à feu ont été enregistrés qu’au cours de n’importe quelle année depuis 1999, selon l’étude.
Certains voient un lien de causalité évident entre l’explosion du nombre de décès d’enfants par arme à feu et les politiques de confinement en cas de pandémie, que d’autres études ont associé à une variété de résultats négatifs, notamment des retards dans les traitements de santé, des pertes d’apprentissage et des crises de santé mentale.
« En raison des confinements et d’autres politiques pandémiques mal conçues, les décès d’enfants par arme à feu aux États-Unis ont explosé de façon exponentielle en 2020 », a écrit Kevin Bass, chercheur et doctorant en médecine, dans un article sur X, anciennement Twitter.
Alors que l’étude montre que les homicides liés aux armes à feu ont commencé à augmenter en 2018, M. Bass a déclaré qu’il est « très clair que l’énorme bond vers des niveaux records s’est produit entre 2019 et 2020, date à laquelle les confinements ont eu lieu ».
Les résultats de l’étude concordent avec un rapport d’avril du Pew Research Center, qui a révélé que le nombre d’enfants et d’adolescents tués par balle a augmenté de 50 % entre 2019 et 2021.
Certaines études ont identifié les confinements comme contribuant à l’augmentation des suicides, des crises de santé mentale, des pertes d’apprentissage et des retards dans les traitements de santé.
"Nos résultats montrent que les interventions non pharmaceutiques majeures - et les confinements en particulier - ont eu un effet important sur la réduction de la transmission", ont écrit les auteurs de l'étude soutenant les mesures restrictives, bien que la recherche n'ait pas évalué d'autres impacts involontaires des mesures. .
Cependant, une étude récente portant sur un large éventail de recherches sur le confinement a conclu que de telles mesures peuvent être un outil efficace pour contrôler la pandémie de COVID-19, mais seulement si « les dommages collatéraux à long terme sont négligés ».
« Le prix des confinements en termes de santé publique est élevé : en utilisant le lien connu entre santé et richesse, nous estimons que les confinements pourraient coûter 20 fois plus d’années de vie qu’ils n’en sauvent », écrivent les auteurs de l’étude.
Les auteurs ont également déclaré que ce qui mérite une « analyse spéciale et urgente » est la question de « dans quelle mesure, pourquoi et comment les avis scientifiques dissidents (désapprouvés par les responsables de la santé) ont été supprimés pendant le COVID-19 ».
« La suppression des opinions « trompeuses » n’entraîne pas seulement de graves conséquences pour le sens moral des scientifiques ; cela empêche la communauté scientifique de corriger ses erreurs et met en péril (avec raison) la confiance du public dans la science", ont-ils écrit.
Comme il en a été pour le fameux '11 Septembre' il en a été pour la poussière invisible que PERSONNE au monde n'a vu même sous microscopes, la nouvelle s'est répandue dans le monde entier comme une traînée de poudre ! Par contre, aux jours qui ont suivi, des mesures différentes ont été prises dans divers pays (port du masque, confinement, gel hydroalcoolique + FAUX vaccins et filetage des voies nasales par écouvillons infectés de nano-particules d'oxyde de graphène), voire, mesure 'spécifiques aux menaces terroristes' ! A ces directives appliquées dans chaque pays (çà alors !!) se sont additionnées de nouvelles lois afin de restreindre jusqu'à plus rien la liberté du Peuple d'aller et venir, de manger ou de respirer n'importe quand et surtout de dire n'importe quoi !!
On ne s'y trompe pas: TOUS POURRIS ! qu'ils soient dits de gauche, de droite ou des extrêmes comme du centre, ils sont TOUS dans le même sac et PERSONNE (dans les partis dits 'd'opposition' HAHAHA !) n'a un seul instant défendu le Peuple ! Çà alors !!
Mais alors... le monde n'est pas une... Démocratie !! (çà alors !!). Et bêh non ! Il n'en est pas une ! Enfin sauf en Suisse où elle existe encore. Donc, pour les autres pays, c'est: dictature. Dictature tous les jours depuis DES millénaires ! Donc, qu'elle soit impérialiste, républicaine ou monarchique c'est LA même merde proposée depuis toujours ("Tu manges quoi à midi ?"), de la télé au menu, lever à la radio et lecture des journaux ! ÂH BÊH PITING !! Et... et il y en a même qui se révoltent !! Çà alors !! Qui s'offusquent ! Qui s'ébranlent ou qui se gesticulent ! Qui osent sortir dehors ! (OUAIS ! T'as parfaitement lu ! Fais pas semblant de ne pas l'avoir vu !). Ils se promènent !! Se parlent ! Se touchent ! (et s'enculent ?) et s'attaquent même à travailler pour vivre !! (ÔÔôooh PITING ARRÊTE !). C'est la vie à ce qu'ils nous disent ! Et pire ("Parce que ce n'est pas fini ??!"), ils veulent te foutre un suppo dans le cul pour te diriger à distance par satellites !
L’Éveil réussit lorsque la conscience des gens peut être modifiée
Les gens agiront demain comme ils pensent aujourd'hui
Par le Dr Rudolf Hänsel Recherche mondiale, 8 novembre 2023
Introduction
À une époque où l’humanité est menacée d’anéantissement par l’utilisation des bombes nucléaires, nous dépendons plus que jamais d’intellectuels indépendants et courageux pour éclairer les gens, leur apprendre ce qu’est la vérité et ce qui est un mensonge.
Cependant, cette illumination ne peut être réussie ou efficace que si elle atteint la conscience des gens, c'est-à-dire leurs attitudes et leurs émotions. Sinon, en tant qu’information pure, elle ne reste qu’en surface. Quelques exemples illustreront cela.
L’un des problèmes est que les gens ne sont pas conscients des préjugés individuels et collectifs et ne peuvent donc pas être tenus pour responsables.
Afin de pouvoir abandonner ces préjugés, il faut les rendre conscients grâce à la psychothérapie. Ceci est possible à tout moment.
Nettoyer les préjugés individuels et collectifs
En tant que psychologue, je suis d'accord avec mon professeur Friedrich Liebling, qui commentait le problème de l'illumination il y a un demi-siècle :
« La politique est préparée dans l'esprit et le cœur des gens ; les gens agiront demain comme ils pensent aujourd’hui, c’est pourquoi l’illumination est une préoccupation dont l’importance ne peut être surestimée.
Le but des efforts des Lumières est de purifier la conscience humaine des préjugés individuels et collectifs.
L'avenir de notre culture dépendra essentiellement de la question de savoir s'il y aura suffisamment d'"éclaireurs" capables d'écarter des masses préparées les préjugés qui sont à l'origine idéologique des catastrophes de l'humanité.» (1)
Préjugés individuels
Un préjugé courant, par exemple, est que les gens ne sont « pas bons à côtoyer ». Cela signifie que les gens ne sont ni bons ni sociaux et que nous devrions donc en avoir peur. Cependant, cette attitude – comme beaucoup d’autres préjugés – trouve son origine dans l’enfance. Une éducation violente de la part des parents et des enseignants peut amener un enfant à développer lentement cette vision négative des autres. Il est généralement « entraîné » jusqu’à l’âge adulte et la personne agit alors en conséquence.
En réalité – comme le montrent les résultats de la recherche psychologique – les humains sont par nature des créatures sociales, pacifiques et rationnelles qui aiment socialiser avec les autres. Ce talent n’est pas inné, mais s’acquiert dès l’enfance et peut donc être encouragé à tout moment.
Les préjugés individuels sont souvent aussi des préjugés collectifs.
Préjugés collectifs
Les préjugés collectifs, qui se retrouvent dans la majorité d'une société et conduisent à des catastrophes humaines, sont bien connus depuis l'époque de la colonisation, des deux guerres mondiales ainsi que des guerres actuelles en Ukraine et au Moyen-Orient et n'ont donc pas besoin d'être évoqués. être répertoriés en détail. Ils sont toujours considérés et utilisés par « l’élite » politique comme un moyen « éprouvé » pour déclencher des guerres contre un autre peuple.
Sensibiliser grâce à la psychothérapie
Comme nous l'avons déjà mentionné, le problème réside dans le fait que les gens ne sont pas conscients de leurs préjugés et ne peuvent donc pas être tenus responsables de leurs conséquences dévastatrices.
Une exception concerne les actions de « dirigeants mondiaux » puissants et sans scrupules, qui sont bien conscients des préjugés et les utilisent « de manière rentable » contre les peuples.
Pour garantir que des informations éclairantes ne vivent pas dans l’ombre à la surface de la conscience humaine, il est nécessaire que les préjugés individuels et collectifs soient rendus conscients en psychothérapie.
Ce n'est que lorsque la vie émotionnelle d'une personne pourra être abordée qu'elle pourra remettre en question et abandonner les préjugés dont elle a été informée dans sa relation de confiance avec le psychothérapeute. En conséquence, il commencera à ressentir, penser – et agir – conformément à sa nature (2).
*
Rudolf Lothar Hänsel est recteur d'école, pédagogue et psychologue diplômé. Après ses études universitaires, il devient professeur universitaire en éducation des adultes. En tant que retraité, il a travaillé comme psychothérapeute dans son propre cabinet. Dans ses livres et articles spécialisés, il appelle à une éducation éthique et morale consciente des valeurs ainsi qu'à une éducation à l'esprit civique et à la paix. Il contribue régulièrement à Global Research.
Remarques
(1) Hansel, Rudolf (2023). S’approprier les résultats de la recherche psychologique ! Aperçus d'une rencontre avec le psychologue Friedrich Liebling et sa psychothérapie libérale. Gornji Milanovac
La Suisse maintiendra ses centrales nucléaires en activité plus longtemps que prévu
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 11H00 Par Charles Kennedy de OilPrice.com,
Les exploitants de centrales nucléaires suisses prévoient de maintenir les installations opérationnelles plus longtemps que prévu initialement, ont déclaré mardi à Bloomberg les porte-parole des grandes sociétés d'électricité suisses Axpo Holding et Alpiq Holding.
La Suisse possède quatre réacteurs nucléaires, qui produisent jusqu'à 40 % de son électricité, selon l'Association nucléaire mondiale.
La Suisse a voté lors d’un référendum en 2017 en faveur de l’abandon progressif de l’énergie nucléaire, mais la Suisse n’a pas fixé de date limite pour cela et c’est aux exploitants de décider combien de temps ils pourront exploiter les centrales en toute sécurité.
Aujourd'hui, la crise énergétique et les inquiétudes concernant la fiabilité de l'approvisionnement en électricité dans le pays ont incité les services publics à envisager de prolonger la durée de vie des réacteurs tant que la prolongation des opérations s'avère sûre.
Axpo Holding et Alpiq Holding ont augmenté la durée de vie prévue de leurs centrales nucléaires à 60 ans, contre un objectif précédent de 50 ans, ce qui signifie qu'elles pourraient être opérationnelles jusqu'en 2040 environ, selon les porte-parole qui se sont entretenus avec Bloomberg.
Alpiq envisage également une prolongation pouvant aller jusqu'à 80 ans et étudie les impacts possibles d'une telle prolongation sur la sécurité, les investissements et la rentabilité, a déclaré le porte-parole d'Alpiq à Bloomberg.
Plusieurs pays d’Europe envisagent également de maintenir l’utilisation de l’énergie nucléaire plus longtemps, notamment la France, un grand pays producteur d’énergie nucléaire.
Mais l’Allemagne, la plus grande économie d’Europe, a abandonné plus tôt cette année l’énergie nucléaire après avoir mis hors service ses trois dernières centrales nucléaires en avril, mettant ainsi fin à plus de six décennies d’utilisation commerciale de l’énergie nucléaire.
La Suisse, pour sa part, s’efforce de faire face à la crise énergétique de l’année dernière.
Le pays a récemment abrogé une ordonnance de 2022 autorisant le retrait de ses stocks stratégiques de carburant une fois l’approvisionnement en produits pétroliers normalisé. L'année dernière, la Suisse a commencé à retirer du pétrole de ses réserves d'urgence en abaissant les niveaux obligatoires de stocks de pétrole de 6,5% en raison du faible niveau des eaux du Rhin et du chaos dans le transport ferroviaire.
Tant que la Suisse pouvait - aux besoins - dépendre des pays frontaliers équipés de centrales nucléaires tout allait bien, mais dès lors où les pays voisins ferment les leurs... Aïe-aïe-aïe ! N'oublions pas que dans la SEULE Démocratie au monde ce n'est pas le chef de l’État (Alain Berset jusqu'au 31 Décembre 2023) qui dirige mais le Peuple !
Les « entretiens exploratoires » menés par le Conseil fédéral en vue de nouvelles négociations avec l’UE ne sont que de la poudre aux yeux : le Conseil fédéral négocie des points secondaires, mais il est toujours prêt à faire de la Suisse une colonie juridique de l’UE.
Fait particulièrement déconcertant : il semblerait que le Conseil fédéral ait déjà anticipé les futurs résultats des négociations avec l’UE dans le cadre de négociations secrètes et les ait résumés dans un rapport lui aussi secret, appelé « Common Understandig » (ndt : « compréhension mutuelle »). Le Conseil fédéral aurait ainsi dit oui sans condition à la reprise automatique du droit européen, à la soumission à la Cour de justice de l’UE, à l’application de sanctions à l’encontre de la Suisse en cas de non-respect des prescriptions de l’UE et au paiement de « taxes d’accès au marché » annuelles se chiffrant en milliards. Le fait que cela n’ait été rendu public qu’après les élections fédérales n’est pas surprenant.
L’UDC exige que le Conseil fédéral ne signe pas ce rapport secret et rende immédiatement ce document public. La population suisse a le droit de savoir quelles concessions insoutenables la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral est prête à faire à l’UE.
La position de l’UDC reste inchangée et claire :
l’indépendance de la Suisse n’est pas négociable ; pas d’accord impliquant une reprise automatique et obligatoire (dynamique) du droit de l’UE et un règlement des différends par la Cour de justice européenne ; pas de transformation du soi-disant milliard de cohésion, jusqu’ici facultatif, en un paiement régulier de tribut (« prime d’accès au marché ») ; l’immigration doit enfin être réglée de manière autonome, dans l’intérêt de notre pays et conformément au mandat constitutionnel. Ces points essentiels doivent enfin être expliqués clairement à l’UE.
Comment l’Agenda 2030 devient une réalité au Pays de Galles
8 novembre 2023 de Thomas Oysmüller
En Grande-Bretagne, le Pays de Galles est un pionnier exemplaire dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030. Cela changera massivement le pays en très peu de temps.
En 2019, le premier pays au monde a déclaré une « urgence climatique ». C'était le Pays de Galles. La même année, un « Représentant des générations futures » a été nommé. Dès 2017, le Pays de Galles est devenu le premier pays du Royaume-Uni à introduire une « loi sur la santé publique » et depuis lors, Public Health Wales est la première et la seule autorité sanitaire du Royaume-Uni à travailler avec l'OMS.
Pour l'environnement
Au Pays de Galles – écrit Off-Guardian – l’Agenda 2030 de l’ONU est déjà une réalité. Le pays est à l’avant-garde de la « nouvelle normalité ». Le « Projet de loi sur l’environnement » devrait être adopté en 2023. La loi prévoit un « engagement à mettre en place une stratégie nationale contre le bruit ». Une fois de plus, le Pays de Galles est le pionnier britannique. Le document comprend un engagement en faveur de mesures stratégiques pour « évaluer et réduire la pollution sonore ».
Julie James, ministre travailliste du Changement climatique, a déclaré à propos de la loi :
"Cela impose au gouvernement gallois la responsabilité de prendre des mesures qui non seulement s'attaquent aux bruits indésirables, mais protègent également les sons qui sont importants pour les gens, tels que les appels relaxants des oiseaux et de la nature ou le bourdonnement accueillant d'un centre-ville animé. "
Jusqu'au 2 octobre, la stratégie relative au bruit était examinée sur une page de consultation gouvernementale (similaire à la révision des lois autrichienne). Là, il est écrit :
« Le bruit, c'est-à-dire les sons indésirables ou nocifs, affecte la santé et le bien-être de diverses manières, par ex. B. par des troubles du sommeil, du harcèlement, des troubles d'apprentissage, une productivité réduite, une perte auditive et un risque accru de maladies cardiovasculaires. Cela peut résulter de diverses activités humaines, notamment de sources domestiques, commerciales et de transport.
« En 2018, nous avons publié le Plan d'action contre le bruit et le bruit 2018-2023 (NSAP), qui a recentré la politique relative au bruit au Pays de Galles conformément à la loi de 2015 sur le bien-être des générations futures (Pays de Galles) (« la loi WFG »). «Cela a permis au Pays de Galles d'être reconnu comme le premier pays à intégrer le bruit dans sa politique nationale et a été présenté dans le rapport Frontiers 2022 du Programme des Nations Unies pour l'environnement.»
Ainsi, soutenu par l’ONU, le gouvernement gallois se félicite. Les citoyens ordinaires sont effectivement exclus du processus de consultation. Le processus est « trop compliqué pour l’individu moyen, qui n’aura même pas considéré un ‘plan d’action contre le bruit’ comme une priorité étant donné le coût de la vie, la crise du NHS, la pénurie de logements et tout le reste », écrit Off-Guardian .
Le nouveau projet de loi sur l'environnement modifiera également la législation existante. Les autorités locales doivent procéder à un examen annuel de la qualité de l'air – une nouvelle donne. Des zones d’air pur seront également créées.
The Off-Guardian souligne ici un autre point :
« Les conséquences les plus importantes de la pollution atmosphérique par les particules sont les maladies cardiovasculaires et respiratoires. Cette dernière solution est logique, mais le site Web du NHS ne répertorie pas du tout la pollution atmosphérique particulaire parmi les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires (et sa dernière révision a eu lieu en avril 2022). Comme c'est étrange."
Nous récapitulons ensuite ce que le Pays de Galles souhaite changer :
Appartements neutres en gaz carbonique Restriction des transports privés, par exemple en augmentant les péages Changements dans l'élimination des déchets et fermeture des décharges Un nouveau « système d’information de santé » Moins de tolérance pour les « comportements non durables » Des zones pour un air plus pur L’auteur, qui s’est penché de plus près sur le Pays de Galles, conclut en demandant :
« Un tel changement a-t-il déjà été prévu à cette échelle et en si peu de temps ?
Les actions solaires se sont également effondrées au dernier trimestre, en baisse de 40 % jusqu'à présent cette année dans le monde.
Jo Nova November 8th, 2023
Il semble que les gens ne voulaient des énergies renouvelables que s’ils obtenaient des prêts bon marché. Tout comme la saison des rapports trimestriels a révélé des pertes écrasantes pour l’énergie éolienne et les véhicules électriques, il en va de même pour l’énergie solaire.
L'indice général des actions américaines S&P a gagné 15 % cette année, mais l'ETF (Fonds) Invesco Solar, qui investit dans les actions de l'énergie solaire à travers le monde, a chuté de 40 %. Même la « loi américaine sur la réduction de l’inflation » n’a pas pu sauver le secteur solaire. Alors que les finances se resserrent avec la hausse des taux d’intérêt, les commandes de panneaux solaires semblent être parmi les premières à être annulées.
Les actions solaires comptent parmi les moins performantes sur l’ensemble du marché boursier américain, SolarEdge et Enphase perdant chacune 70 % cette année. Il y a quelques semaines, le PDG de SolarEdge a déclaré que les revenus de ce trimestre représentaient environ la moitié de ce qui était attendu. Il a pointé du doigt des « annulations inattendues » de la part des distributeurs européens. Mais la demande américaine était également en baisse. En effet, les mauvaises nouvelles ont commencé en Californie, le plus grand marché des États-Unis, lorsque le gouvernement a réduit d’environ 75 % les paiements de « facturation nette » de l’énergie solaire domestique en avril. Du coup, il allait falloir 10 ans pour rembourser les panneaux. Les panneaux solaires étaient un article de luxe.
Si seulement les panneaux solaires étaient moins chers, dans une période économique difficile, tout le monde en voudrait.
Les stocks solaires secoués par les taux d’intérêt élevés et les problèmes de chaîne d’approvisionnement par ZeroHedge, Prix du pétrole
L’industrie des énergies renouvelables est en plein effondrement cette semaine. Premièrement, Orsted A/S, le plus grand développeur de parcs éoliens offshore au monde, a abandonné deux projets américains majeurs en raison des impacts sur la chaîne d'approvisionnement et sur les taux d'intérêt, et maintenant les actions solaires sont matraquées comme un bébé phoque dans les échanges avant commercialisation aux États-Unis jeudi après l'équipement solaire. les fabricants SolarEdge et Sunrun ont fait état de prévisions lamentables dans un contexte de baisse de la demande.
C'est une mauvaise surprise :
Commençons par le fabricant d’équipements solaires SolarEdge Technologies. La société a déclaré que les revenus du trimestre en cours devraient se situer entre 300 et 350 millions de dollars, bien en dessous des estimations des analystes de 718,9 millions de dollars, selon les données du consensus Bloomberg.
Il s’agit d’un revirement radical dans l’industrie solaire. La croissance fulgurante de 2020 s’est effondrée. Et tant que les taux d’intérêt resteront élevés, personne ne parlera d’une reprise rapide :
Qu’est-il arrivé aux stocks solaires ? Les investisseurs « ramassent les morceaux » après une saison de résultats brutale Claudia Assis rapporte chez Marketwatch,
Presque toutes les grandes entreprises solaires américaines ont connu de gros échecs trimestriels…
Les actions d'Enphase Energy Inc. ENPH, qui vend des micro-onduleurs largement utilisés dans les systèmes d'énergie solaire et peut servir de baromètre pour l'énergie solaire, entre autres produits, ont chuté de plus de 70 % au cours de l'année. Pas plus tard qu’en 2020, le titre a enregistré des gains annuels à trois chiffres ; il a augmenté de 45 % l’année dernière.
SolarEdge Technologies Inc. SEDG a averti à la fin du mois dernier qu'à partir de la seconde moitié du troisième trimestre, l'entreprise avait connu « des annulations inattendues et des suppressions substantielles du carnet de commandes existant » de la part de nos distributeurs européens, une baisse qui, selon elle, n'était pas liée à la guerre entre Israël et le Hamas. .
Certaines entreprises solaires résidentielles aux États-Unis sont également en baisse de 55 à 70 %. Ce sont des chiffres terribles.
Les actions solaires recherchent toujours un fond Beth Kindig, Forbes
L’énergie solaire est sans doute l’une des industries les plus vendues sur le marché à l’heure actuelle,…
SolarEdge et Enphase figurent parmi les pires performances du S&P 500 cette année, avec une baisse de plus de 70 % chacune ; un affaiblissement significatif de la demande américaine à partir du deuxième trimestre s'est aggravé avec un affaiblissement de la demande européenne au troisième trimestre, entraînant une chute des revenus. Les sociétés solaires résidentielles SunPower, Sunrun et Maxeon ont également toutes diminué de plus de 55 à 70 %.
La baisse a été soudaine au troisième trimestre. Ce qui était une croissance de 25 % au deuxième trimestre s'est transformé en une baisse de 34 % :
Enphase a fait écho au commentaire de SolarEdge sur l'affaiblissement de la demande européenne, les revenus européens ayant chuté (34 %) de manière séquentielle au troisième trimestre, après avoir enregistré une croissance de +25 % en glissement trimestriel au deuxième trimestre. Il s’agit d’une baisse assez rapide des revenus européens en glissement trimestriel, qu’Enphase a attribuée à « des stocks élevés chez nos partenaires de distribution ainsi qu’à un ralentissement de la demande sur nos marchés clés – les Pays-Bas, la France et l’Allemagne ».
Les perspectives à court terme pour l’énergie solaire ont définitivement été affectées par les taux élevés qui ont impacté la demande : une prévision de Wood Mackenzie/SEIA indique un déclin d’une année sur l’autre des installations solaires résidentielles aux États-Unis en 2024, alourdi par une forte contraction en Californie. Au global, le groupe s'attend à une baisse des installations (4 %) en 2024, entraînée par une contraction (38 %) en Californie, principalement due au passage au NEM 3.0.
Antarctique : refroidissement de 1 degré depuis 1999 et calotte glaciaire croissante
9 novembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Les affirmations sur le réchauffement climatique sont de plus en plus erronées. Les masses de neige en Chine, en Mongolie, en Russie et aux États-Unis ne correspondent pas au réchauffement climatique provoqué par l'homme. De plus, les masses de glace du Groenland et de l’Antarctique, qui se refroidissent régulièrement depuis deux décennies, augmentent.
La masse de la calotte glaciaire de l’Antarctique (photo ci-dessus) a augmenté de 661 Gt entre 2009 et 2019, selon des mesures qui contredisent les calculs du modèle ONU-IPCC. Dans le même temps, la superficie de la banquise a augmenté de 5 305 km², comme indiqué ici . Il y aura également un refroidissement important au 21e siècle dans le Pacifique central, le Pacifique oriental et presque tout l'Antarctique.
C'est le résultat d'une nouvelle étude de Zhang et al. intitulé « Refroidissement important de l'Antarctique occidental au cours des deux dernières décennies, provoqué par le forçage tropical du Pacifique ». Cela «implique des incertitudes importantes dans les projections de températures futures des modèles CMIP6» de l'ONU-GIEC dans son rapport d'évaluation actuel (CIMP6).
De nouvelles recherches suggèrent que les températures annuelles moyennes à la surface de l'Antarctique occidental se sont refroidies de plus de -1,8°C entre 1999 et 2018. Le refroidissement a été le plus important au printemps, la calotte glaciaire de l'Antarctique occidental (WAIS) se refroidissant à un rythme de -1,84 °C par décennie.
D'après les résultats de Zhang et al. La majeure partie du continent Antarctique s’est refroidie de plus de 1 °C au cours des deux dernières décennies.
Sur 28 modèles CMIP6, aucun n’a capturé une tendance au refroidissement pour cette région. Cet échec du modèle « implique des incertitudes importantes dans les projections de températures futures des modèles CMIP6 ».
Comme nous l’avons déjà mentionné, la tendance au refroidissement après 1999 ne s’est pas limitée à l’Antarctique ; Les températures de surface de la mer (SST) dans le Pacifique oriental et central (au sud de 25°N), qui comprend près de la moitié de la SST de l'hémisphère sud, se sont également refroidies.
L'énergie cinétique due au tournoiement de la Terre favorise naturellement l'ouverture et l'explosion de sources chaudes au niveau de l'équateur ainsi que des tropiques. Le plus grand volcan sous océanique se situant dans le Pacifique à proximité du Chili et donnant naissance a la 'Niña' et au 'Niño'. Lors de l'absence d'éruptions volcaniques sous-marines ce sont les 'sources chaudes' sous les poles qui en pâtissent le plus.
L’ONU admet que le monde dépassera d’un facteur deux les objectifs de l’Accord de Paris d’ici 2030
Par Jo Nova November 9th, 2023
Les 20 principaux pays miniers énergétiques prévoient d’augmenter leur production, pas de la diminuer. Bien que 151 pays aient signé l’Accord de Paris, le PNUE a pratiquement admis que la plupart des pays du monde ne prétendent même pas tenir leurs promesses en matière d’émissions. Comme le montre le graphique ci-dessous, les gouvernements des 20 principaux producteurs de charbon, de pétrole et de gaz prévoient d’en extraire encore plus d’ici 2030 qu’ils ne le font actuellement. Ces 20 pays produisent 80 % des combustibles fossiles de la planète et comptent de nombreux clients.
Le rapport semble être un tableau de bord destiné à culpabiliser les 20 nations coquines pour qu’elles renoncent au chauffage, à la nourriture ou à des milliards de dollars d’exportations, mais il donne l’impression que l’Accord de Paris n’est qu’une pure mascarade.
Les gouvernements prévoient de produire en 2030 deux fois plus de combustibles fossiles que ce que permet la limite de réchauffement de 1,5°C. Stockholm, le 8 novembre 2023 – Un nouveau rapport majeur publié aujourd'hui révèle que les gouvernements prévoient de produire environ 110 % de plus de combustibles fossiles en 2030 que ce qui serait compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5°C, et 69 % de plus que ce qui serait compatible avec une hausse de 2°C.
De qui on se moque ?
L’écart de production signifie en réalité « le dépassement ».
L'écart de production de combustibles fossiles — la différence entre les plans et projections des gouvernements et les niveaux compatibles avec une limitation du réchauffement à 1,5°C et 2°C, exprimés en unités d'émissions de gaz à effet de serre provenant de l'extraction et de la combustion de combustibles fossiles — reste important et se creuse avec le temps. . (Voir les détails au chapitre 2 et à la figure 2.1.) https://www.unep.org/resources/production-gap-report-2023
En parlant de cela, la Chine vient d'ouvrir le nouveau chemin de fer Haoji de 1 800 kilomètres en 2019*, spécifiquement pour transporter du charbon. Il compte 770 ponts s'étendant sur un total de 381 kilomètres et 468 kilomètres de tunnels. Ils l’ont commencé en 2015.
Ici, personne ne retient les combustibles fossiles : Wow, c'est un pont.
RÉFÉRENCE
Le rapport sur les écarts de production 2023 : « Réduction progressive ou augmentation progressive ? Les principaux producteurs de combustibles fossiles prévoient encore plus d’extraction malgré les promesses climatiques » est produit par le Stockholm Environment Institute (SEI), Climate Analytics, E3G, l’Institut international du développement durable (IISD) et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
*Corrigé : Le chemin de fer Haoji n'a pas été ouvert cette année mais juste avant l'éclatement de la pandémie de Covid, des années après la signature de « l'Accord de Paris ». Merci Ross.
Effets inattendus d’une réduction de l’activité humaine sur l’évolution du climat
le 8 novembre 2023
Les effets du confinement imposé par les gouvernements lors de l’épidémie de coronavirus ont été étudiés en détail dans un article paru dans l’édition « Climate and Atmospheric Science » de la revue britannique Nature. Contrairement à ce que l’on attendait la diminution des émissions de gaz carbonique supposé avoir un effet de réchauffement du climat n’a pas eu d’effet notoire, on traverse toujours le fameux « hiatus » mais la surprise réside dans la considérable réduction de la teneur en aérosols et en poussières résultant de l’activité humaine. Cet aspect de l’activité humaine sur l’évolution du climat n’a jamais été formellement abordé avec objectivité et pourtant les conséquences sur le climat sont inattendues. Les défenseurs de Gaïa s’insurgent au sujet du transport aérien et du transport maritime. Certes, le kérosène utilisé pour les moteurs des avions est appauvri autant que faire ce peut en soufre mais le transport maritime utilise un carburant particulièrement riche en soufre dont on ne sait que faire car il s’agit d’un résidu fatal du raffinage des pétroles riches en soufre. Il s’agit donc d’une source importante de dérivés soufrés qui se répand dans l’atmosphère. Un polluant majeur qu’il faudrait, comme pour les avions, remplacer par de l’hydrogène ou du méthane, encore un rêve supposé combattre le changement du climat d’origine humaine.
Ce que révèle cette étude ( https://doi.org/10.1038/s41612-023-00367-6v ) montre que la diminution des aérosols soufrés et des poussières émis dans l’atmosphère a contribué à refroidir le climat ! L’étude s’est focalisée sur les conséquences des aérosols et des poussières dans une zone de l’Océan Indien jouxtant l’une des régions les plus peuplées du Monde, l’Inde et le Bengladesh. L’échauffement de la surface de l’océan et des terres émergées, dont l’archipel des Maldives, a diminué d’environ 1,4 Watt par mètre-carré correspondant à une diminution de la température moyenne de 0,4 degrés par jour de mesure. Ces résultats annihilent totalement l’échauffement attendu comme provoqué par le gaz carbonique produit par l’activité humaine.
Comment interpréter ce résultat ou du moins quelles peuvent être les conséquences d’un tel état de fait ? Les transports aériens ainsi de maritimes avaient considérablement diminué lors de l’épidémie du coronavirus à tel point que l’économie de l’Inde comme du Bengladesh étaient presque totalement à l’arrêt. Donc que dire d’un effet « bénéfique » (ou délétère) de l’activité humaine sur l’hypothétique réchauffement du climat ? Cet article, en accès libre, est suffisant pour complètement remettre en question l’hypothèse du réchauffement d’origine humaine car outre un refroidissement induit par les aérosols et les poussières micrométriques, le rôle du gaz carbonique devient négligeable. D’ailleurs les climatologues sont formels : toutes les éruptions volcaniques importantes projettent des oxydes de soufre et des poussières dans l’atmosphère et une diminution des températures moyennes globales a toujours été observée à la suite de ces éruptions. Il apparaît alors un immense dilemme : le pouvoir supranational qui pourrait se mettre en place décidera-t-il que l’une ou l’autre des régions économiques de surcroit très peuplées devra mettre en pause son activité industrielle et commerciale pour combattre l’échauffement ou le refroidissement (?), en d’autres termes le dérèglement du climat, on est en droit de prendre conscience que si un tel pouvoir nécessairement totalitaire pourra décréter une sorte de délestage de l’économie de toute une région du monde alors ce sera la mort définitive des démocraties. À moins, et on peut l’espérer, que cette histoire de gaz carbonique n’est qu’une erreur d’appréciation regrettable et qu’elle sera reconnue par les instances onusiennes.
Confinement lors de la pseudo-pandémie de coronavirus, réchauffement du climat en raison de l’activité humaine, censures en tous genres, restriction des libertés, tout procède de la même idéologie : instaurer un gouvernement supra-national totalitaire. Mais pour atteindre ce but il serait souhaitable que les puissances de l’ombre s’entourent de scientifiques objectifs et pragmatiques afin de prendre des décisions incontestables. Ce que révèle cet article de la revue Nature démontre que ces politiciens adeptes du totalitarisme sont des ignorants mal conseillés par des politiciens, les fonctionnaires de l’IPCC en particulier, qui ne sont nullement des climatologues. On peut donc espérer un monde meilleur dans lequel les libertés seront respectées, dans lequel on pourra voyager à l’aise sans restrictions, dans lequel on pourra continuer à utiliser des voitures mues par des moteurs à combustion interne, dans lequel on pourra continuer à se chauffer ad libitum sans être contraints d’isoler son logement ou celui qu’on a l’intention de louer, manger de la viande rouge à l’envi plutôt que des insectes ou une infâme viande synthétique, avoir autant d’enfants qu’un couple le désire alors que le WEF veut exiger une permis d’avoir des enfants car ce serait néfaste pour le climat ( https://newsaddicts.com/wef-professor-parents-must-apply-license-children/ ), et enfin un monde dans lequel il sera tout simplement autorisé de ne pas se culpabiliser quand on bougera son petit doigt. Un jour ou l’autre cette supercherie du climat sera dénoncée par des millions de personnes devenues enfin conscientes qu’on a tenté de les leurrer avec des boniments sans fondement comme on les a trompées avec ce pseudo-vaccins à ARN messager qui les a tuées ou à défaut les a transformées en organismes génétiquement modifiés dont l’espérance de vie a été réduite à peau de chagrin …
La Chine et l’Inde contestent l’UE sur la nouvelle taxe carbone
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 13H20 Rédigé par Metal Miner via OilPrice.com,
La taxe carbone de l'UE est critiquée par la Chine et l'Inde, qui estiment qu'elle constitue une nouvelle barrière commerciale et ne tient pas compte des différentes phases de développement.
L'association chinoise de l'acier et le ministre indien du Commerce se sont tous deux prononcés contre cette taxe, l'Inde suggérant qu'elle pourrait mettre en œuvre un équivalent national pour financer les transitions énergétiques vertes.
Les deux pays prennent des mesures pour atténuer les impacts potentiels de la taxe européenne, notamment en améliorant la déclaration des émissions en Chine et en une éventuelle contestation auprès de l'OMC par l'Inde.
L’Inde et la Chine continuent de dénigrer le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACB), ou « taxe carbone », comme on l’appelle désormais, proposé par l’Union européenne. Pendant ce temps, l’UE affirme que le nouveau programme fait partie intégrante de son plan visant à atteindre zéro émission dans six industries ciblées.
Le nouveau régime fiscal est récemment entré dans ce que certains experts appellent la « phase de transition ». À compter du 1er octobre, les importateurs de matières premières, dont l’acier, dans l’UE doivent déclarer les émissions de carbone de ces produits. À partir de 2026, ces importateurs seront également soumis à des frais. L’UE vise à imposer la nouvelle taxe aux pays ayant d’importantes émissions de carbone. Et même si l’objectif déclaré de la taxe carbone est de mettre les producteurs européens sur un pied d’égalité avec leurs homologues des autres pays, elle augmentera également le coût de l’acier, de l’aluminium et d’autres biens.
Le point de vue de la Chine sur la nouvelle taxe reste inchangé
La Chine s’élève depuis un certain temps déjà contre la taxe carbone de l’UE. Cependant, il y a quelques jours, l’association sidérurgique du pays, soutenue par l’État, est allée jusqu’à qualifier cette taxe de « nouvelle barrière commerciale ». Par ailleurs, l'agence de presse Reuters a rapporté que l'Association chinoise du fer et de l'acier (CISA) souhaitait davantage de discussions avec l'UE sur cette question.
Selon l'organisme représentatif, la nouvelle taxe ne tient pas compte des différentes phases de développement des différents pays. Il ajoute que ce prélèvement allait à l'encontre du principe des responsabilités communes mais différenciées. En effet, certains analystes prédisent que la taxe carbone pourrait augmenter le coût des produits sidérurgiques de 4 à 6 %, voire plus. Cela suffirait à rendre les exportations chinoises non viables.
L'Inde désapprouve également la taxe carbone
Comme son voisin, l’Inde désapprouve également la nouvelle taxe européenne, affirmant qu’elle nuirait à ses exportations. Le ministre du Commerce et de l’Industrie, Piyush Goyal, a récemment déclaré que la taxe était « mal conçue », ajoutant que l’UE s’en rendrait compte dans les prochains jours et devrait abandonner complètement cette idée. Des réunions ont déjà eu lieu entre les différents organismes professionnels, les fabricants et le gouvernement concernant la taxe. Comme pour la Chine, l’Inde a également souligné que le CBAM ne parvient pas à attribuer des valeurs différentes aux différentes étapes de production se déroulant dans des pays distincts.
Le ministre indien a également déclaré que le gouvernement trouverait une solution, très probablement une taxe nationale équivalente à la taxe européenne. Ils pourraient alors utiliser ces nouveaux revenus pour la transition énergétique verte. Il a souligné que cette solution aiderait indirectement les entreprises indiennes exportatrices à réduire leur empreinte carbone en se tournant vers une production d’énergie plus propre. À terme, un CBAM ne serait plus nécessaire.
Alors que l’Inde réfléchit peut-être à une taxe intérieure pour contourner le problème, la Chine continue de laisser entendre qu’elle imposera des mesures de protection commerciale similaires pour sauvegarder les intérêts de ses propres producteurs nationaux. Quoi qu’il en soit, le nouveau régime ouvrira probablement la voie à une nouvelle période d’incertitude, de frictions et de risques dans le secteur.
L’Inde et la Chine alternent entre mesures proactives et réactives
Les deux pays espèrent que l’UE réexaminera cette taxe et éventuellement la supprimera complètement. À tout le moins, ils espèrent que l’organisation réexaminera soigneusement les coûts et les défis opérationnels pour les consommateurs en aval en raison du changement dans la structure des importations. À un moment donné, l’Inde a même menacé de faire pression sur l’Organisation mondiale du commerce au sujet de la taxe sur le carbone.
Cela dit, le ministère chinois de l’Environnement a récemment demandé à ses grands pollueurs industriels de renforcer leurs déclarations d’émissions. Selon Bloomberg, il s’agissait de préparer l’industrie à la taxe carbone. Pour rester conformes, les producteurs de sept secteurs, dont l'acier et l'aluminium, qui rejettent plus de 26 000 tonnes de gaz carbonique par an doivent vérifier leurs données 2022 d'ici décembre de cette année.
À l’inverse, l’Inde continue de remettre en question la logique d’une tarification du carbone au même niveau en Inde qu’en Europe. Cependant, le gouvernement garde espoir que s’il parvient à taxer localement et à consacrer ces revenus à la transition énergétique verte, il pourra annuler tout avantage non compétitif dans les exportations indiennes vers l’Europe.
Que la Chine fabrique des éoliennes et panneaux solaires qui ne serviront à rien: elle s'en fout, c'est le marché. Qu'elle installe ses gadgets chez elle pour 'donner l'exemple' (de l'idiotie): c'est normal, c'est le marché. Mais qu'elle accepte de payer une taxe sur le gaz carbonique qui se recycle immédiatement... là, il y a discussions ! La Chine est loin d'être la dernière de la classe avec ses millions de scientifiques surdoués qui présentent des rapports incontestables.
Le coût réel de possession d’un véhicule électrique équivaut à 17,33 $/gal d’essence, révèle une étude
11/07/2023 Belle Carter
Une étude récente intitulée « Les attentes surchargées : démasquer les véritables coûts des véhicules électriques » a récemment révélé que posséder un véhicule électrique (VE) coûte cher, soit 17,33 $ le gallon d'essence. L'étude a été publiée au milieu de la poussée massive du président Joe Biden en faveur d'un programme vert, passant des véhicules à essence à l'électrification, ainsi que de la Californie et d'autres États « de gauche » mettant en œuvre des lois interdisant la vente de voitures à essence d'ici 2035.
La Texas Public Policy Foundation (TPPF) a mené la recherche, qui a indiqué que les véhicules électriques ne sont pas seuls par rapport aux autres véhicules en raison du « large éventail de subventions directes, de crédits réglementaires et d'infrastructures subventionnées qui contribuent à la viabilité économique des véhicules électriques ». Selon le journal, « en ajoutant les coûts des subventions au coût réel du ravitaillement en carburant d'un véhicule électrique, cela équivaudrait à ce qu'un propriétaire de véhicule électrique paie 17,33 dollars par gallon d'essence. Et ces estimations n'incluent pas les centaines de milliards supplémentaires de subventions dans le cadre du plan de réduction de l'inflation. Acte." Il en coûterait 48 698 dollars de plus sur une période de 10 ans sans 22 milliards de dollars de faveurs gouvernementales accordées aux fabricants et aux propriétaires de véhicules électriques, révèle en outre l'article.
"L'administration Biden et les États de gauche comme la Californie ont poussé à une électrification généralisée en moins de 20 ans grâce à des subventions gouvernementales et à des réglementations coercitives, mais le prix que vous voyez dans le lot n'est pas le véritable coût d'un véhicule électrique", a déclaré l'auteur de l'étude, Jason. dit Isaac. « Les propriétaires de véhicules électriques ont bénéficié de crédits réglementaires, de subventions et de coûts d'infrastructure socialisés totalisant près de 50 000 dollars par véhicule électrique. Ces coûts sont supportés par les propriétaires de véhicules à essence, les contribuables et les contribuables des services publics, qui paient tous un prix élevé pour le véhicule électrique de quelqu'un d'autre. "
Inutile de dire que l'étude du groupe de réflexion basé à Austin, au Texas, laisse entendre que les voitures traditionnelles alimentées aux combustibles fossiles sont bien plus abordables à l'achat que les véhicules électriques sans subventions. "Il n'est pas exagéré de dire que le gouvernement fédéral subventionne les véhicules électriques dans une plus grande mesure que la production d'électricité éolienne et solaire et qu'il se lance dans un effort sans précédent pour reconstruire l'ensemble de l'industrie automobile américaine", ajoute le rapport.
Le Western Journal a également rapporté que, selon l'étude, environ 22 milliards de dollars sous diverses formes d'aide fédérale et étatique ont artificiellement abaissé le prix d'un véhicule électrique 2021 de près de 50 000 dollars. L’estimation du coût total pour d’autres personnes en raison de la pression exercée sur le réseau électrique par la recharge des véhicules électriques s’élève à 11 833 $ sur 10 ans. Pire encore, ces sommes viennent des poches des contribuables et des contribuables des services publics.
Pendant ce temps, les subventions étatiques et fédérales réduisent en moyenne de 8 984 dollars le coût réel d'un véhicule électrique sur 10 ans, alors que tout le monde paie plus, selon le rapport. "La dure réalité pour les partisans des véhicules électriques et pour les rêveurs du gouvernement fédéral, qui utilisent les réglementations en matière d'économie de carburant pour forcer les fabricants à produire toujours plus de véhicules électriques, est que le coût réel d'un véhicule électrique est loin d'être comparable." dit le rapport.
L’étude souligne en outre que les navetteurs préfèrent désormais utiliser/prendre des véhicules hybrides plutôt que des véhicules électriques. "Peut-être que si les politiciens et les bureaucrates de Washington cessent d'essayer de forcer les Américains à construire et à acheter leurs types de véhicules préférés, l'avenir plus propre et plus brillant qu'ils imaginent se matérialisera réellement", ajoute-t-il. "Il est temps que les gouvernements fédéral et étatiques arrêtent de pousser l'industrie automobile américaine dans une falaise économique et permettent aux marchés de stimuler davantage d'améliorations en termes de coûts et d'efficacité", indique le rapport.
Pour Brent Bennett de TPPF, suite à ladite étude, il serait faux d’affirmer que les véhicules électriques coûteront bientôt moins cher que les voitures à essence. « Cette étude montre que les véhicules électriques sont encore loin d'être compétitifs sans subventions massives. Les normes strictes d'économie de carburant et les manipulations réglementaires de l'administration Biden poussent les constructeurs automobiles américains vers la faillite et ajoutent des milliers de dollars au coût de chaque véhicule à essence. des subventions et des réglementations lourdes permettraient aux consommateurs d'économiser de l'argent et empêcheraient l'industrie automobile de sombrer dans une falaise financière", a-t-il déclaré.
Les « attentes surchargées » ont été soumises dans le cadre d'un commentaire public sur les normes d'économie de carburant proposées par la National Highway Transportation Safety Administration.
Économiste : les véhicules électriques sont le « prochain grand flop »
Selon Steve Moore, économiste de l'ancien président Donald Trump, les véhicules électriques pourraient être le « prochain grand échec » du marché automobile et investir dans ces véhicules a été un mauvais pari. "Le fils d'Henry Ford s'appelait Edsel, et cette voiture allait être géniale. Tous les dirigeants disaient : 'C'est la voiture que tout le monde va vouloir acheter.' Ford a fabriqué 500 000 de ces nouvelles berlines, mais devinez quoi ? » Moore a déclaré sur "Varney & Co." Lundi. "Personne n'a pris la peine de demander aux consommateurs s'ils voulaient cette voiture."
Il a souligné que "Edsel" était l'un des plus grands flops de tous les temps. Il a ensuite prévenu : « Si ces tendances se poursuivent, nous allons voir le marché des véhicules électriques devenir le prochain grand échec parce que les acheteurs de voitures n’en veulent pas. »
Récemment, la poussée des véhicules électriques chez Ford et General Motors a connu un ralentissement qui a réduit les bénéfices des constructeurs automobiles et les a amenés à réévaluer leurs projets électriques dans un contexte de guerre des prix et de défis de la chaîne d’approvisionnement.
Fox Business a rapporté que Ford avait noté dans son rapport sur les résultats publié la semaine dernière que son unité EV avait enregistré une perte trimestrielle avant intérêts et impôts (EBIT) de 1,33 milliard de dollars, une accélération après une perte de 1,08 milliard de dollars au trimestre précédent. Il a ajouté qu'il réduisait la production de sa Mustang Mach-E tout en réduisant d'environ 12 milliards de dollars les investissements prévus dans le segment des véhicules électriques, notamment en retardant la construction de sa deuxième usine de batteries dans le Kentucky. (Connexe : Embarrassant : un véhicule électrique primé fait un « bruit étonnamment fort » et perd de la puissance pendant les tests.)
RoboCars.news a d'autres histoires similaires à celle-ci.
Le bus Google « 100 % électrique » PERD DE L'ÉNERGIE en gravissant la colline de San Francisco et percute près d'une douzaine de voitures
11/08/2023 Arsenio Toledo
Un bus de banlieue « 100 % électrique » détenu et exploité par Google a perdu de l'électricité pendant son transport, percutant plusieurs voitures dans une rue de San Francisco. L'incident s'est produit le lundi 6 novembre sur Castro et le 20 dans le quartier d'Eureka Valley, vers 8 h 45. Le bus Google aurait perdu le courant alors qu'il naviguait sur la pente raide de la colline de Castro Street. Cela a fait reculer le bus et est entré en collision avec plusieurs voitures. (Connexe : Jackson, Wyoming, a acheté 8 bus électriques pour son système de transport en commun… AUCUN d'entre eux n'est actuellement opérationnel.)
Le résident Xian Ke a initialement signalé l'incident et l'a publié sur la plateforme de médias sociaux X. « Certains journalistes locaux doivent s'en occuper », a-t-il écrit. "Un bus Google a perdu son courant alors qu'il montait la colline, a fait marche arrière et a heurté neuf voitures ce matin devant chez moi [dans le district de Castro]."
Des vidéos partagées de l'incident montrent un bus gris à deux étages avec "100% Battery Electric" affiché sur le côté avec au moins quatre autres véhicules endommagés juste à côté. Un arbre a également été endommagé après qu'un SUV est entré en collision avec lui après avoir été heurté par le bus.
Les habitants de San Francisco se sont également tournés vers les réseaux sociaux pour rendre compte de l'incident, plusieurs se plaignant de la façon dont la police a fermé Castro Street à cause de l'accident et d'autres témoins oculaires confirmant qu'« un bus technologique a dévalé la colline à reculons dans un tas de trafic ».
Les rapports reçus de témoins oculaires par l'Agence municipale des transports de San Francisco (SFMTA) suggèrent également que les freins du bus électrique de Google sont tombés en panne, entraînant les accidents.
La SFMTA a confirmé que l'accident a bien eu lieu et qu'il a affecté la ligne de bus de San Francisco qui traversait le quartier. Cependant, malgré le chaos, la SFMTA a affirmé que les services dans le quartier avaient été pleinement opérationnels cet après-midi-là.
Le bus Google EV blesse gravement au moins une personne et cause des dégâts importants à au moins quatre voitures La police de San Francisco a déclaré qu'elle enquêtait toujours sur l'incident et n'était pas parvenue à une détermination définitive sur la cause de l'accident. L'enquête se poursuivra alors que le ministère demande à toute personne du public ayant des informations de se manifester.
Les agents qui sont intervenus sur l'incident ont constaté que l'arrière du bus de banlieue avait été gravement endommagé et avait causé des dommages importants à au moins quatre autres véhicules.
Un porte-parole de Google a confirmé à la station locale affiliée à CBS, KPIX, que le bus faisait partie de la flotte de navettes de l'entreprise et qu'elle enquêtait sur ce qui s'était passé.
"La sécurité et le bien-être de toutes les personnes impliquées sont notre priorité absolue pendant que nous travaillons avec les autorités locales pour comprendre ce qui s'est passé", a déclaré Google.
L'accident a non seulement causé des dommages physiques à plusieurs voitures et infrastructures publiques, mais a également causé au moins une personne avec des blessures suffisamment graves pour nécessiter une hospitalisation. Les détails des blessures n'ont pas été divulgués et la police a refusé de commenter.
Apprenez-en davantage sur les véhicules électriques sur RoboCars.news.
Regardez cet épisode du « Health Ranger Report » pendant que Mike Adams, le Health Ranger, explique l'une des nombreuses façons dont les véhicules électriques constituent un danger pour la société.
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
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QUESTION BRÛLANTE : Un propriétaire de Toronto interdit les véhicules électriques personnels présentant un « risque potentiel d'incendie » sur la propriété ; Les défenseurs des droits des locataires sont indignés.
Le plafonnement des prix imposé par l’Occident sur les exportations de pétrole russe ne fonctionne PAS
11/08/2023 Arsenio Toledo
Le plafonnement des prix sur les exportations de pétrole russe introduit par le Groupe des Sept dirigé par les États-Unis et l’Union européenne à la fin de l’année dernière n’a pas produit l’effet escompté. C’est ce que révèlent plusieurs rapports publiés par des journalistes des grands médias, notamment Politico et le Wall Street Journal. (Connexe : HYPOCRISIE : les États-Unis vont AUGMENTER LES IMPORTATIONS en provenance de Russie dans un contexte de sanctions économiques contre Moscou.)
Les prix plafonds ont été introduits à la fin de l’année dernière pour atteindre deux objectifs : garantir que tout pétrole brut russe entrant sur le marché mondial fasse baisser les prix de l’essence et réduire les revenus que Moscou reçoit pour chaque baril vendu.
Le plafonnement des prix a été introduit à la fin de l'année dernière comme moyen de réduire les revenus que Moscou tire de ses exportations d'énergie en guise de représailles pour l'opération militaire spéciale russe en Ukraine. À cette époque, le monde occidental espérait que Moscou serait à court de revenus pour les armes et les salaires de ses soldats. Ce n'est pas le cas.
La Russie contourne facilement les sanctions occidentales sur les exportations de pétrole Les dernières preuves de la résilience de la Russie proviennent de données récemment publiées montrant les recettes fiscales pétrolières et gazières dans le budget russe.
Après que le plafonnement des prix ait initialement contraint les acheteurs de pétrole russe à proposer un prix ne dépassant pas 60 dollars le baril de pétrole brut, les revenus de Moscou provenant des ventes de pétrole et de gaz ont chuté de 46 % sur un an en janvier, pour atteindre environ 426 milliards de roubles (4,6 dollars). milliard). Depuis, Moscou a inversé sa tendance sur ce déclin.
Selon les dernières données du ministère des Finances de la Fédération de Russie, les revenus pétroliers et gaziers en octobre s'élevaient à environ 1 635 milliards de roubles (17,6 milliards de dollars), soit plus du double des revenus de l'État en septembre et une hausse de plus d'un quart par rapport à ceux de septembre. Octobre 2022.
Les sanctions contre la Russie ont initialement fonctionné comme prévu. Mais Moscou s’est efforcé depuis de contourner ces sanctions, notamment en transportant du pétrole sur une flotte de pétroliers vieillissants sur lesquels les restrictions avaient limité l’impact.
Les rabais imposés par la Russie sur les ventes de pétrole brut ont diminué et les ventes de pétrole russe contribuent désormais massivement au budget russe. Le baril se négocie actuellement à environ 75 dollars le baril et, à un moment donné en septembre, la Russie a même pu vendre du pétrole brut à plus de 80 dollars le baril.
Pire encore pour l’Occident, une grande partie du commerce du pétrole russe se déroule désormais en dehors de sa juridiction. Les efforts actuels des autorités américaines pour imposer des sanctions aux pétroliers individuels qui enfreignent les règles relatives aux sanctions.
Mais ces sanctions imposées aux pétroliers individuels n’auront que très peu d’effet. Un rapport récent de l'École d'économie de Kiev note que la Russie dispose d'une « flotte fantôme » d'au moins 180 pétroliers qui transportent des exportations de pétrole et de gaz dans le monde entier. La taille même de cette flotte garantit que la plupart des exportations russes ne seront soumises à aucun plafond de prix.
En outre, les plus grands acheteurs de pétrole de la Russie – la Chine, l'Inde et la Turquie – n'ont pas adhéré au plafonnement des prix occidental. En conséquence, Moscou a redirigé vers ces pays une plus grande partie de ses exportations de pétrole auparavant destinées aux pays occidentaux.
Apprenez-en davantage sur la situation énergétique de la Russie sur NewEnergyReport.com.
Regardez ce clip de Fox News expliquant comment la production pétrolière russe a retrouvé ses niveaux d'avant le conflit, grâce à son solide commerce pétrolier avec la Chine et l'Inde.
Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
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Linky va (encore) bloquer l’allumage de certains appareils
Vous détenez un compteur Linky ? Il se pourrait bien que vous soyez concerné par ce nouvel arrêté ministériel. Depuis samedi 4 novembre 2023, les gestionnaires des réseaux publics de distribution d’électricité, tels qu’Enedis, peuvent (de nouveau) désactiver l’enclenchement automatique des chauffe-eau pendant les heures creuses.
Par Axelle Ker le 8 novembre 2023 à 16h00
92 % des Français sont équipés d'un compteur Linky. Les compteurs Linky seront désactivés pendant les heures creuses durant l'hiver
« Une économie forcée pour des millions de foyers », pourrait-on titrer. Un arrêté ministériel pris discrètement à la rentrée, et comme nous l'avons déjà vécu l'année dernière, est entré en vigueur samedi 4 novembre. Environ 4,2 millions de foyers bénéficiant de 6 heures creuses la nuit et de 2 heures en journée verront leur chauffe-eau ne plus s'activer automatiquement pendant les heures creuses, soit entre 11h et 15h30. L'objectif de cette mesure n'a pas changé depuis l'année dernière : réduire la consommation énergétique des ménages afin de limiter la pression sur le réseau électrique et donc d'éviter de potentielles coupures.
Le chauffage de l'eau sera donc limité durant ces heures. Néanmoins, la recharge nocturne devrait suffire à couvrir les besoins en eau chaude de la majorité des ménages. Enedis souligne que cette mesure avait permis une économie significative l'hiver passé, avec une réduction de 2,4 GW de consommation à 12h30, équivalant à la demande énergétique d'une métropole comme Paris. Une information préalable est censée être envoyée par les fournisseurs d'énergie aux clients affectés au moins quinze jours avant le début de l'application de la mesure. « Les gestionnaires des réseaux publics de distribution d'électricité rendent effective la désactivation au plus tôt le 4 novembre 2023 et au plus tard le 1er décembre 2023, (...) (et) prend fin au plus tôt au 9 mars 2024 et au plus tard au 1er avril 2024 », précise l'arrêté.
Restriction Linky : une mesure qui est loin de faire l'unanimité
Si cette mesure peut alléger le réseau, elle est aussi une contrainte pour les usagers qui doivent s'adapter. Seuls 11 millions de Français profitent de 8 heures creuses concentrées la nuit. Comme évoqué précédemment, ce sont bien les ménages qui disposent de deux heures creuses en journée qui sont directement visés par cette mesure. Néanmoins, les utilisateurs du compteur Linky, et eux seuls, auront la possibilité de réenclencher manuellement leur chauffe-eau entre 12h et 14h si nécessaire. Mais comme le souligne 60 millions de consommateurs : « ils devront veiller à le couper lors du retour en heures pleines pour qu'il ne tourne pas en marche forcée à plein tarif ».
Les heures creuses resteront disponibles pour les autres appareils. Les ménages pourront donc continuer à bénéficier de tarifs avantageux pour le lave-linge ou le lave-vaisselle, par exemple. Pour autant, les détenteurs d'un compteur Linky s'interrogent sur la pertinence de réitérer une telle restriction, alors même que le Réseau de Transport d'Électricité (RTE) mentionne une « situation significativement plus favorable que celle initialement envisagée pour l’hiver dernier ».
Les radars automatiques, ces sentinelles de métal, semblent s’être érigés en juges impitoyables de nos moindres écarts sur la route. En un clin d’œil, ils transforment une infraction minime en amende salée. Décryptage d’une machine à cash qui alimente les caisses de l’État.
Par Jean-Baptiste Giraud le 8 novembre 2023 à 17h00
Les radars automatiques ont rapporté 12 milliards d'euros au gouvernement depuis vingt ans.
Radars : un tout petit excès suffit pour se faire prendre
Il suffit parfois d'un léger dépassement de la vitesse limite - disons, de 110 à 114 km/h - pour que le radar sanctionne. Un excès minuscule, presque indétectable au compteur à aiguilles contrairement au compteur digital, et pourtant, la contravention tombe. Depuis vingt ans, ces dispositifs sont devenus des acteurs incontournables de nos routes, alimentant les finances étatiques sans relâche.
Les chiffres sont impressionnants : 12 milliards d'euros récoltés depuis leur avènement. Officiellement, cet argent colossal est destiné à la sécurisation et l'amélioration de nos routes. Une bonne chose sur le papier, certes, mais une part non-négligeable de cette somme finance l'acquisition de nouveaux radars. C'est un cycle sans fin : chaque amende payée sème les graines du radar suivant.
Le conducteur pourrait se voir infliger plusieurs amendes en une fraction de seconde Les radars évoluent et leur appétit s'élargit. Les infractions mineures, autrefois jugées par l'œil humain, sont désormais soumises au jugement implacable de caméras dotées d'intelligence artificielle. Se gratter le nez, consulter son téléphone, oublier sa ceinture, toutes ces petites négligences du quotidien deviennent des fautes passibles d'une amende. L'ère de la surveillance exhaustive est à nos portes.
Avec l'arrivée de radars capables de détecter simultanément plusieurs infractions, le conducteur pourrait se voir infliger, en une fraction de seconde, une pluie de contraventions. Un seul équipement pourra bientôt sanctionner à la chaîne. Ce tour de vis technologique nous rappelle une règle d'or, simple mais fondamentale : respecter scrupuleusement le code de la route.
Le podcast de Jean-Baptiste Giraud du 31 octobre 2023 est disponible ici
L’anxiété liée à l’IA augmente à mesure que les ordinateurs deviennent super intelligents
11/07/2023 Olivia Cook
Le développement rapide de l’intelligence artificielle (IA) l’a portée à l’attention et à la fascination du grand public. Mais l’anxiété liée à l’IA est désormais également en hausse. Bien que les avantages de l'IA soient nombreux, les changements spectaculaires de l'IA provoquent chez un nombre croissant de personnes une anxiété, un inconfort et une peur importants face à l'incertitude de ses implications et de ses risques potentiels.
L’IA se développe à un rythme vertigineux. Par exemple, ChatGPT-3.5 possède un très large éventail de capacités, notamment l'écriture de code pour des jeux vidéo, des formules Excel, des essais, des scénarios de films et des poèmes ; vous aider à rédiger une lettre de motivation ou un curriculum vitae ; rechercher des sujets et résumer le contenu ; et même planifier des vacances.
La dernière version, ChatGPT4, l'enfant en or d'OpenAI, serait capable de créer des recettes à partir de simples images d'ingrédients ; décrire des images à des aveugles; et être capable d'apprendre une langue, pour pouvoir parler avec l'IA en 26 langues.
Un article du Defender en août dernier faisait état de produits d'IA ciblant les enfants, tels que les « robots nounous IA », et de leurs effets négatifs sur le développement cognitif et social des enfants.
Ce n'est plus une question de « et si », c'est un fait bien connu que les automates, les robots ou les humanoïdes qui imitent le corps humain et la technologie de l'IA ont remplacé les emplois en automatisant le travail à mi-carrière et à mi-capacité, selon un rapport de Business Insider. . (Connexe : L'essor des robots, 8 métiers qui seront repris par la technologie de l'IA.)
Selon un rapport du Forum économique mondial, les principaux emplois qui connaîtront le déclin le plus rapide au cours des cinq prochaines années sont les suivants :
Caissiers de banque et commis assimilés Commis des services postaux Commis à la saisie de données Secrétaires administratives et de direction Commis à l'enregistrement du matériel et à la tenue des stocks Commis à la comptabilité, à la tenue de livres et à la paie Législateurs et fonctionnaires Commis aux statistiques, aux finances et aux assurances Vendeurs de porte à porte, vendeurs de journaux, vendeurs de rue et travailleurs assimilés Les mauvais acteurs utilisent l’IA comme une arme
Le PDG de l'hôpital et spécialiste en neuroimmunologie psychologique, le Dr Jeff Comer, a averti que les algorithmes d'IA pourraient devenir si avancés qu'ils « peuvent s'auto-étendre sans surveillance ni limites humaines, ce qui entraînerait la perte de la capacité de prise de décision des humains ».
Par exemple, les algorithmes capables de fournir des diagnostics médicaux et des plans de traitement pourraient exclure les professionnels de la santé du processus d’évaluation clinique. (Connexe : considérez-vous AVERTI : les robots humanoïdes prétendent qu'ils pourraient mieux diriger le monde que les humains.)
"Si l'IA devient super intelligente et même consciente d'elle-même, elle sera capable de faire tout ce qu'un humain peut faire mieux et plus rapidement. Cela pourrait soumettre les humains à une IA plus performante. De nombreux leaders scientifiques et technologiques, comme le physicien théoricien Stephen Hawking et l'homme d'affaires Elon Musk ont épousé la réalité de cette possibilité", a ajouté Comer.
Pendant ce temps, la technologie deepfake utilise l'intelligence artificielle pour créer une copie numérique de l'image et de la voix d'une personne et est devenue à la fois de plus en plus sophistiquée et facilement accessible au public depuis 2018.
Malgré ses nombreuses utilisations bénéfiques dans le domaine éducatif, l'industrie cinématographique, le secteur de la vente au détail et autres, la technologie deepfake a également été utilisée par de mauvais acteurs pour le vol d'identité et des activités frauduleuses, des usurpations d'identité, des atteintes à la carrière ou à la réputation d'une personne, du chantage, etc.
Dans sa forme actuelle, il y aura un point où il sera très difficile de différencier la vraie affaire de celle générée par l'IA.
Dans une interview, le psychologue américain et spécialiste des sciences cognitives, le Dr Gary Marcus, co-auteur du livre "Rebooting AI: Building artificial intelligence we can trust", a déclaré que sa plus grande crainte était que les gens puissent utiliser l'IA, comme la technologie deepfake, entre autres, pour « perturber la démocratie » en créant une atmosphère où personne ne peut plus faire confiance à rien.
Le plus grand système d’identification biométrique au monde subit une violation massive, affectant 10 % de la population mondiale
11/07/2023 Cassie B.
L’une des plus grandes craintes de nombreuses personnes concernant les systèmes d’identification biométrique s’est récemment concrétisée lorsque le plus grand système au monde a été piraté, exposant les informations personnelles d’environ 10 % de la population mondiale. Le système en question est Aadhaar, un programme d'identité numérique biométrique géré par le gouvernement indien. En Inde, 1,3 milliard de personnes participent actuellement au programme, et environ 60 % d’entre elles ont été touchées par cette violation.
Elle a été réalisée par un pirate informatique anonyme, qui affirme que la violation lui a laissé des données personnelles sensibles concernant 815 millions de citoyens indiens. Ils vendent désormais l'ensemble des données pour 80 000 $. On pense que la source de la fuite est liée aux données des tests de dépistage du COVID-19 effectués par le Conseil indien de la recherche médicale ; les données du test étaient liées aux numéros Aadhaar des personnes.
Lors de leur inscription à Aadhaar, les citoyens et résidents indiens doivent fournir des informations démographiques telles que leur nom, leur âge, leur date de naissance, leur sexe et leur adresse, ainsi que des informations biométriques comprenant des scans de leurs deux globes oculaires, une photo de leur visage et empreintes digitales de tous leurs doigts.
L'ensemble de données vendu par le pirate informatique contient une grande partie de ces données, ainsi que les numéros de téléphone, les codes PIN, les numéros de passeport et les noms des pères des victimes. Certains des échantillons du piratage divulgués ont été vérifiés, certaines des victimes contactées ayant déclaré que les données étaient correctes et qu'elles n'avaient pas été informées de la violation.
Plus d'un milliard de personnes en Inde sont inscrites à l'Aadhaar
Aadhaar, qui signifie « fondation » en hindi, a été créée en 2012 pour établir un numéro d'identification unique pour chaque résident de l'Inde et constitue aujourd'hui le plus grand système d'identité numérique au monde. Il comprend 92 pour cent de la population du pays et a délivré 1,3 milliard de numéros d'identité uniques.
Le gouvernement a déclaré que son objectif était de donner aux personnes sans pièce d'identité une méthode formelle d'identification gouvernementale tout en réduisant l'incidence des pièces d'identité volées ou fausses et en donnant aux gens l'accès aux programmes gouvernementaux tels que l'aide sociale. Bien qu'il ait été initialement introduit comme un programme volontaire, il est ensuite devenu obligatoire pour ceux qui souhaitent profiter des prestations et des programmes sociaux de l'État.
Il est également nécessaire pour accéder aux services du secteur privé tels que les comptes bancaires, le paiement des retraites et les dossiers médicaux dans le pays. Il assure également le suivi de la situation professionnelle des utilisateurs, des dossiers d'achat et de leurs déplacements entre les villes, donnant ainsi au gouvernement des pouvoirs de surveillance étendus.
Cette violation n’est pas la première fois que le système est piraté ; le gouvernement indien enquête déjà sur une précédente violation de données impliquant les données personnelles de citoyens indiens vaccinés. De plus, selon WikiLeaks, la CIA pourrait y avoir accès, et la publication spécialisée Biometric Update a déclaré que l'Inde « saigne des données biométriques » à cause de ce système.
Cela est très problématique si l’on considère le fait que les données biométriques telles que vos empreintes digitales et vos globes oculaires ne peuvent jamais être modifiées de la même manière qu’une personne pourrait changer son mot de passe après le piratage d’un compte. La vérité est que tout ce qui est en ligne ou connecté à un système numérique peut être piraté d’une manière ou d’une autre, même avec les protections de sécurité les plus robustes et les plus récentes en place.
Lorsque le système a été mis en place, il a été applaudi par Bill Gates pour avoir rendu visible « le peuple invisible de l’Inde ». Il a également déclaré à l'époque que le système ne présentait aucun risque pour la vie privée, ce que les 815 millions de personnes qui ont aujourd'hui autant de données personnelles exposées seraient sûrement en désaccord.
Un nouveau rapport explosif a été publié, intitulé : « ARMEMENT DES PSEUDO-EXPERTS ET BUREAUCRATS « DÉSINFORMATION » : COMMENT LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL S'EST PARTENÉ AVEC LES UNIVERSITÉS POUR CENSURER LE DISCOURS POLITIQUE DES AMÉRICAINS », rapport intérimaire du Comité de la magistrature et du Sous-comité spécial. sur la militarisation du gouvernement fédéral par la Chambre des représentants des États-Unis a été publiée le 6 novembre 2023. (Article republié depuis RWMaloneMD.Substack.com)
Dans ce rapport, le comité a exposé le rôle de l’Election Integrity Partnership (EIP) et d’autres organisations d’astroturf engagées (c’est-à-dire payées) par le ministère de la Sécurité intérieure pour censurer les Américains.
Le représentant Jim Jordan sur son compte Twitter a également fourni les reçus de la création du Partenariat pour l'intégrité électorale, en joignant une lettre du Conseil atlantique conseillant une « synchronisation » par laquelle ils ont créé le Partenariat pour l'intégrité électorale en 2020. Ergo, un partenariat de quatre organisations travaillant en collaboration avec le gouvernement américain et l’Atlantic Council.
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En fait, l'EIP est composé de quatre « partenaires ». Il s'agit du Stanford Internet Observatory (SIO), du Center for an Informed Public (CIP) de l'Université de Washington, de Graphika et de l'Atlantic Council. Chaque organisation a un rôle distinct à jouer, allant de l'identification des « propageurs de désinformation » à l'identification des réseaux de médias sociaux sur lesquels les personnes ainsi accusées ont interagi, en passant par les recommandations concrètes aux sociétés de médias sociaux pour la suppression des publications offensantes identifiées, et les communications en retour et en retour. davantage entre le gouvernement et le PEI. Cela a été fait avec l’argent et les ressources du gouvernement.
Vous trouverez ci-dessous un lien pour chaque partenaire, ainsi qu'une description de leurs technologies ou de leurs activités récentes.
L'Observatoire Internet de Stanford (SIO) : Stanford a supprimé la page SIO de son site Web, bien que la machine de retour ait une copie d'archives quelque peu fonctionnelle. Dans ces pages, se trouvent des informations sur leur opération "Platform Takedown", qui a été développée pour obtenir des informations. supprimé des principales plateformes de médias sociaux. Le retrait de la plateforme SIO ne répertorie que les rapports de cas jusqu'en juin 2020, mais la machine de retour propose des rapports détaillés jusqu'en 2022.
Centre pour un public informé (CIP) de l’Université de Washington
Leur mission « est de résister à la désinformation stratégique, de promouvoir une société informée et de renforcer le discours démocratique ». Depuis ce mois-ci (novembre 2023), le CIP a désormais orienté son identification des cibles de censure vers l'identification du flux de ce qu'il considère comme les « nouvelles élites » de X (ergo-influenceurs très suivis) concernant la manière dont ils partagent des informations concernant le Conflit Hamas/Israël. L’implication étant que « X » sera la cible à l’avenir de davantage de harcèlement de la part du Partenariat pour l’intégrité électorale.
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Graphika : Il s'agit d'une entreprise spécialisée dans « la technologie de pointe qui crée des cartes explorables à grande échelle des paysages des médias sociaux ». Leur analyse approfondie révèle des informations permettant d'aider « les clients et les partenaires à comprendre les réseaux en ligne complexes et à prendre des mesures décisives ». Graphika cite Harvard, Oxford et DARPA (DARPA = CIA) comme partenaires.
Le DFRL de l'Atlantic Council est composé d'anciens membres du personnel technologique du renseignement américain (par exemple, d'anciens membres de la CIA et de la DIA = personnel de l'« État profond »), et bien sûr, l'Atlantic Council lui-même est connu comme une plate-forme d'atterrissage pour les agents de l'État profond (autrement connus sous le nom de « Deep State »). une organisation découpée).
Le site Web du DFRL indique :
Les plates-formes centralisées et décentralisées partagent un ensemble commun de menaces émanant d'utilisateurs malveillants motivés et nécessitent un ensemble commun d'investissements pour garantir des résultats fiables et axés sur l'utilisateur… Des recherches plus approfondies et le renforcement des capacités sont nécessaires pour éviter une nouvelle prolifération de ces menaces.
Au sein de l'industrie, des décennies de pratique de « confiance et sécurité » (T&S) se sont développées pour devenir un domaine capable d'éclairer les complexités de la création et de l'exploitation d'espaces en ligne. En dehors de l’industrie, des groupes de la société civile, des chercheurs indépendants et des universitaires continuent de montrer la voie en matière de compréhension collective de la manière dont les risques se propagent via les plateformes en ligne et de la manière dont les produits pourraient être conçus pour mieux promouvoir le bien-être social et atténuer les dommages.
Enlevez tous les mots fleuris et cela me semble être une censure organisée par l’État profond parrainée par le gouvernement !
Au-delà des sites Web répertoriés ci-dessus, le House Report fait un excellent travail en montrant comment le Election Integrity Partnership a travaillé pour censurer le peuple américain.
Revenons au rapport du Congrès sur la censure, il se lit comme suit :
Entrez dans l'Election Integrity Partnership (EIP), un consortium d'universitaires sur la « désinformation » dirigé par le Stanford Internet Observatory (SIO) de l'Université de Stanford qui a travaillé directement avec le Département de la sécurité intérieure et le Global Engagement Center, une entité multi-agences hébergée au sein de l'État. Département, pour surveiller et censurer le discours en ligne des Américains avant l'élection présidentielle de 2020. Créé à l’été 2020 « à la demande » de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA), l’EIP a permis au gouvernement fédéral de blanchir ses activités de censure dans l’espoir de contourner à la fois le premier amendement et le contrôle public.
Ce rapport intérimaire détaille l’implication massive du gouvernement fédéral dans la création et le fonctionnement de l’EIP, qui a facilité la censure du discours politique des Américains dans les semaines et les mois précédant les élections de 2020. Ce rapport révèle également publiquement pour la première fois des rapports secrets de « désinformation » provenant du système de reporting centralisé de l’EIP, auparavant accessibles uniquement à certaines parties, notamment les agences fédérales, les universités et les grandes technologies. Le comité et le sous-comité restreint ont obtenu ces rapports non publics de l'université de Stanford uniquement sous la menace d'outrage au Congrès. Ces informations faisant état de fausses informations présumées ont été utilisées pour censurer les Américains engagés dans des discours politiques fondamentaux à l’approche des élections de 2020.
Comme le révèlent ces nouvelles informations et ce rapport, le gouvernement fédéral et les universités ont fait pression sur les sociétés de médias sociaux pour qu'elles censurent les informations véridiques, les blagues et les opinions politiques. Cette pression était en grande partie dirigée d’une manière qui profitait à un côté de l’allée politique : les vraies informations publiées par les républicains et les conservateurs étaient qualifiées de « désinformation », tandis que les fausses informations publiées par les démocrates et les libéraux n’étaient pratiquement pas rapportées et n’étaient pas touchées par les censeurs. La pseudoscience de la désinformation n’est aujourd’hui – et n’a toujours été – qu’une ruse politique visant le plus souvent les communautés et les individus ayant des opinions contraires aux discours dominants.
Le fonctionnement de l’EIP était simple : les « parties prenantes externes », notamment les agences fédérales et les organisations financées par le gouvernement fédéral, soumettaient des rapports de désinformation directement à l’EIP. Les « analystes » de la désinformation de l’EIP ont ensuite parcouru Internet à la recherche d’exemples supplémentaires de censure. Si le rapport soumis signalait une publication sur Facebook, par exemple, les analystes de l'EIP recherchaient un contenu similaire sur Twitter, YouTube, TikTok, Reddit et d'autres grandes plateformes de médias sociaux. Une fois que tous les liens incriminés ont été compilés, l'EIP a envoyé les plus importants directement aux Big Tech avec des recommandations spécifiques sur la manière dont les plateformes de médias sociaux devraient censurer les publications, comme réduire la « découverte » des publications, « suspendre [un compte] possibilité de continuer à tweeter pendant 12 heures », « surveiller si l'un des comptes d'influenceurs tagués retweete » un utilisateur particulier et, bien sûr, supprimer des milliers de publications américaines. Le comité de la Chambre (par l'intermédiaire du représentant Jim Jordan) a également publié un document Google (Jira Tickets) qui répertorie certaines des personnes censurées par ordre chronologique et quels étaient leurs « crimes » présumés.
Dans la liste Jira Tickets, il convient de noter que le 11 juin 2021, la liste a brusquement changé son orientation de « désinformation électorale » à « désinformation sur les vaccins » et a renommé ces efforts sous le nom de projet de viralité. Presque comme s’il y avait une sorte de directive venant d’en haut .
Sur la dernière page de la liste des tickets Jira, ils ont inclus la censure de mon entretien original avec Tucker Carlson pour Fox News. Presque immédiatement après, la liste se termine. Donc, on ne sait pas combien de fois j’ai été recommandé à la censure. Sauf que si l’on se base sur l’interdiction évidente de l’ombre au cours des deux dernières années, cela s’est probablement produit des centaines de fois.
Quelques captures d'écran du rapport Jira Tickets généré sur moi concernant l'interview de Tucker (page neuf) :
Mon péché, comme le montre la capture d'écran ci-dessous, est d'avoir affirmé dans l'interview de Fox que les risques l'emportent sur les avantages chez les adolescents et les jeunes adultes (au 30 juin 2021).
Dans l’image ci-dessous, l’Election Integrity Partnership (maintenant le Partenariat Virality) note que je suis à la fois « anti-vaccination générale » et également « de droite » dans mes affiliations.
Donc c'est vraiment effrayant. Le fait que mes tendances politiques soient mentionnées implique qu’être « de droite » était/est un critère suffisant pour la censure. Le fait que ce critère soit suffisant pour la censure montre une ingérence directe dans les élections.
Car cette liste me marque également comme étant généralement contre la vaccination. Comme si être contre la thérapie génique à ARNm pour des groupes vulnérables spécifiques équivalait à être contre la vaccination. C'était apparemment suffisant pour être censuré.
- voir doc sur site -
Je crois qu'il s'agit d'une liste des endroits où cela avait été partagé avant la censure :
- voir doc sur site -
Le Election Integrity Partnership note également que je suis un « récidiviste ».
- voir doc sur site -
Franchement, l’ensemble du document et le rapport du comité de la Chambre me donnent le sentiment d’être violés.
Le rapport de la Chambre documente ensuite comment même les membres du Congrès ont été censurés et que sous Biden, les efforts de censure se sont intensifiés au niveau national.
Cela ne s’est pas arrêté aux élections de 2020.
Après l’investiture du président Biden en janvier 2021, le régime de censure du gouvernement s’est intensifié. Au CISA, l’équipe du CFITF a abandonné toute prétention de se concentrer sur « l’étranger » et s’est rebaptisée « équipe MDM » qui se concentrerait sur les discours étrangers et nationaux que le gouvernement considérait comme de la désinformation ou de la malinformation. Tout au long de l’année 2021, la Maison Blanche Biden s’est engagée dans une campagne de pression contre Facebook et d’autres sociétés de médias sociaux pour censurer les contenus anti-vaccins, même si c’était vrai. D'ici 2022, la CISA a invité le Dr Starbird, puis Vijaya Gadde, alors directeur de Twitter, et d'autres à former un sous-comité consultatif MDM pour consulter la CISA sur la manière dont l'agence pourrait et devrait lutter contre le discours des Américains que le gouvernement considérait comme erroné, dis-, ou de la désinformation.
Mais en 2023, alors que les républicains reprenaient la majorité à la Chambre des représentants et commençaient à superviser le complexe censure-industriel, la CISA a supprimé sur son site Web toute référence à la censure nationale. Le comité et le sous-comité restreint ont obtenu et révélé comment Facebook a modifié ses politiques en raison de la pression de l'administration Biden. Des documents internes de Facebook ont montré que la Maison Blanche de Biden en particulier voulait que les informations vraies et les satires soient censurées à un rythme que même les grandes technologies trouvaient répréhensible.
Sur la base du travail de la commission et de la sous-commission spéciale, même les grands médias ne pouvaient plus ignorer ces violations constitutionnelles. Les plaignants dans l’affaire Missouri contre Biden ont obtenu des victoires significatives devant un tribunal fédéral de district et devant la Cour d’appel du cinquième circuit des États-Unis, et leur cause sera désormais entendue par la Cour suprême. Les rapports publics montrent que les universités reconsidèrent si elles doivent autoriser leurs professeurs à recevoir des financements et à s'engager dans un travail de censure. Mais le travail n’est pas encore terminé. L’enquête du comité et du sous-comité restreint est toujours en cours.
De toute évidence, les articles à succès sur moi publiés par l'Atlantic Monthly, le New York Times, le Washington Post (deux fois), Business Insider, The Scientist et Rolling Stone et d'autres médias grand public dans un laps de temps très court étaient un effort coordonné de l'État profond pour fais-moi tomber. Je crois que cet effort a été mené par les agences de renseignement et le DHS à travers le Deep State. Kash Patel explique joliment comment ces types de succès sont menés dans son livre, Government Gangsters. Par lequel le gouvernement transmet des informations aux agents travaillant dans les médias grand public (par exemple, comme dans l’opération Mockingbird de la CIA). On me dit maintenant que ces mêmes pièces ont été utilisées contre moi dans d’autres cercles gouvernementaux. L'affaire Sullivan contre le New York Times devant la Cour suprême a abouti à une situation dans laquelle les personnes connues du public ne peuvent presque jamais gagner un procès pour diffamation malveillante. L’État profond utilise ce fait pour attaquer, calomnier, diffamer, harceler et se livrer à des diffamations directes. C'est mal.
Pour ma part, je ne retrouverai jamais ma réputation telle qu’elle était. Cependant, je n’abandonnerai pas la lutte pour nos libertés, qu’il s’agisse de restaurer l’intégrité de la FDA, du CDC, du NIH, du DoD et du HHS ou de freiner l’agence de renseignement. Nous devons tous continuer à mettre notre gouvernement au pas.
Je ne céderai pas à la diffamation de l’État profond. Je ne les laisserai pas ruiner ma vie et ma réputation. Et je ne leur permettrai pas de me victimiser.
Le paysage infernal post-apocalyptique de San Francisco est pleinement exposé dans cette vidéo virale TikTok
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 08 NOVEMBRE 2023 - 21H45 Rédigé par Jon Del Arroz via PJMedia.com,
San Francisco était autrefois l'un des plus beaux endroits du monde.
Du Fisherman's Wharf au Golden Gate Bridge, la ville avait un peu de tout, y compris une culture dynamique. Ces dernières années, cette ville élégante a sombré dans un paysage infernal post-apocalyptique avec une criminalité endémique, des sans-abri, une consommation de drogue et des excréments dans les rues.
Une récente vidéo virale TikTok horrifie les téléspectateurs du monde entier, montrant à quel point la ville est devenue terrible.
La criminalité est devenue si grave que les grands détaillants ont quitté la ville, les magasins fermant leurs portes en raison d'une politique absurde en vigueur dans la ville selon laquelle la police ne répond pas aux incidents de vol à l'étalage de moins de 950 $. Les criminels ont pris conscience de cette politique et les cambriolages se sont multipliés sans grand recours.
Le San Francisco Chronicle a publié une carte de la vague de fermetures de magasins, qui cette année ont inclus Target, CVS, Starbucks dans plusieurs endroits, et plus encore. Les espaces de bureau sont également touchés, l'environnement de travail à domicile post-COVID devenant la norme et la ville devenant davantage un handicap pour les entreprises qui souhaitent faire voyager leurs employés qu'un avantage de les avoir au bureau.
"Avant, nous recevions un loyer de 6 $ le pied carré (1 m² = 10,76 pi²), et maintenant nous ne recevons plus rien", a déclaré un propriétaire d'immeuble de San Francisco à PJ Media.
La vidéo virale TikTok publiée par freqmeek montre une scène dans le dangereux quartier de Tenderloin bien pire que ce que la plupart des gens imaginent.
"L'anxiété que nous ressentons en nous rendant quotidiennement au travail au Tenderloin à San Francisco, en Californie, est incroyable", écrit freqmeek dans la légende.
« C’est accablant et épuisant mentalement… sans parler des dangers d’un environnement imprévisible. »
Les lumières de la police qui clignotent, les détritus dans les rues et les campements de sans-abri devant les portes avec des individus peu précis qui flânent partout sont pleinement visibles dans la vidéo.
La scène est quelque chose que l’on s’attendrait à voir dans une zone de guerre et non dans un bastion de l’Amérique libérale au cœur de l’une des régions les plus riches de Californie.
La TikTokeuse passe devant un homme voûté qui a la moitié de sa chemise déchirée, ainsi que plusieurs personnes qui semblent se droguer, et dans la description ci-dessous, elle pose la question :
« Où est notre protection ? Il y a tellement de préoccupations et de protections en place pour les toxicomanes et les sans-abri, mais qu'en est-il de la classe ouvrière qui doit prier pour pouvoir se rendre au travail et en revenir dans cet environnement. Ce sont de réels dangers auxquels nous sommes confrontés chaque jour juste pour pouvoir subvenir aux besoins de notre famille. Ils ont de l’argent pour la guerre mais ne peuvent pas nourrir les pauvres.
Ces élus tant républicains que démocrates continuent de laisser tomber le peuple. Aucune humanité. Nous vivons une crise ici même, dans notre cour et nous finançons des guerres dans d’autres pays.
Cette vidéo a été publiée peu de temps après que Joe Biden a demandé un financement de 105 milliards de dollars pour l’Ukraine, Israël et d’autres pays étrangers. Le président ne mentionne jamais la crise qui frappe des villes américaines comme San Francisco et ne propose aucune consolation ou solution aux citoyens américains vivant dans la terreur. Les détaillants ne sont pas les seuls à fuir la ville, car les habitants déménagent à un rythme record.
On ne peut s’empêcher de se demander ce qu’il faudrait pour que des hommes politiques de carrière comme Gavin Newsom (Gouverneur de Californie) se réveillent et déclarent l’état d’urgence, ce qui ressort clairement des preuves présentées dans cette vidéo.
Immigration : plus de 6 Français sur 10 favorables à un arrêt du regroupement familial (MàJ) Partager sur Facebook
le 08.11.2023
Selon un sondage de l’institut CSA pour CNEWS, publié ce mercredi 8 novembre, 6 Français sur 10 (61%) sont favorables à un arrêt du regroupement familial.
En effet, à la question «faut-il stopper le regroupement familial ?», 61% des personnes interrogées ont répondu «oui», 38% «non», tandis que 1% «ne se prononcent pas».
Si l’on se penche sur l’opinion politique du panel interrogé, c’est à droite que le souhait d’un arrêt du regroupement familial est le plus affirmé. En effet, les sympathisants de Reconquête (92%), du Rassemblement national (88%) et des Républicains (85%) y sont largement favorables.
A gauche, les électeurs ont exprimé leur désaccord sur l’idée d’un arrêt du regroupement familial, que ce soit du côté d’Europe Ecologie-Les Verts (30% de «oui»), du Parti socialiste (23%) et de La France insoumise (33%).
Du côté de la majorité, 68 % des Français proches des idées de Renaissance veulent que l’on stoppe le regroupement familial.
(…) CNews 10/05/23
Alors que le gouvernement veut relancer les concertations afin de présenter un projet de loi sur l’immigration en juillet prochain en Conseil des ministres, 59 % des Français se prononcent pour une suppression du regroupement familial, mis en place dans le pays à partir de 1976 sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing. 40 % sont contre (1 % des sondés ne se sont pas prononcés).
Dans le détail, parmi les 1.009 répondants, les hommes (62%) se montrent un peu plus favorables à l’idée de la fin du groupement familial que les femmes (57%).
Concernant la répartition par âge, la catégorie répondant le plus «oui» à la question «faut-il mettre fin en France à la politique du regroupement familial ?» reste les 50-64 ans (65 %), suivie par les 65 ans et plus (62 %) et les 35-49 (57 %).
Considérant le profil sociologique des répondants, ce sont les CSP-, soit les catégories socio-professionnelles les moins favorisées, qui se montrent les plus fermes (61 %) pour arrêter le regroupement familial en France. Arrivent ensuite les CSP+ (60 %) et les inactifs (57 %).
Sans grande surprise, le clivage politique gauche-droite est très prononcé dans les résultats de ce sondage CSA pour CNEWS. En effet, au total, 33% des sondés de gauche se disent contre la suppression de ce motif d’immigration quand 85% des répondants de droite sont favorables à sa suppression.
Les personnes proches du Parti socialiste (38 %) ont majoritairement répondu «non» à la question posée. Elles sont suivies par la gauche radicale (33 %), la France insoumise (24 %) et les Écologistes (19 %).
A contrario, les sondés proches de Reconquête sont quasiment unanimes (97 % de «oui»), et veulent supprimer le regroupement familial. Un avis partagé par les électeurs du Rassemblement national (89 %) et Les Républicains (83 %).
Mis en place à partir de 1976, sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing, pour compenser la fermeture de l’immigration de travail en 1974, le regroupement familial permet à un étranger en possession d’un titre de séjour en France d’être rejoint par les membres de sa famille.
«Il résulte de la conciliation entre le droit fondamental de mener une vie familiale normale et les exigences de la maîtrise migratoire», précise le ministère de l’Intérieur sur son site. Néanmoins, récemment, des voix se sont élevées au sein même du gouvernement en réaction à l’arrivée massive de migrants depuis la frontière franco-italienne appelant à des restrictions de ce droit dans le cadre du projet de loi sur l’immigration. C’est le cas du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
«Je serais favorable (…) à des dispositions qui pourraient limiter le regroupement familial sans être contraires à la Constitution», avait ainsi déclaré le locataire de la place Beauvau à la fin du mois de février.
À droite, le président des Républicains, Eric Ciotti, avait appelé en avril dernier à un référendum pour modifier la Constitution et les engagements de la France en matière de regroupement familial.
À leur tour, les députés LR Aurélien Pradié et Pierre-Henri Dumont ont proposé un référendum d’initiative partagée (RIP) sur l’immigration estimant que «la politique des quotas n’est pas à la hauteur du défi migratoire» et qu’il faut désormais «passer d’une immigration familiale subie sous-qualifiée à une immigration de travail choisie surqualifiée».
Voleurs, agresseurs, escrocs… Ces inquiétants profils de délinquants étrangers que la France ne peut pas expulser
le 08.11.2023
EXCLUSIF – Les préfets de département ont fait remonter à Beauvau les cas emblématiques de leur impuissance à éloigner les individus les plus dangereux. Un tableau édifiant.
M. X, né en 1962, «de nationalité algérienne» a 35 condamnations à son actif. Il a écopé de sa première peine de 8 mois de prison en 1984 et détient l’un des plus beaux pedigrees de la voyoucratie de l’Isère. Une «carrière» quasiment ininterrompue qui, d’année en année, le mène de vols en falsifications de chèques, filouteries, refus d’obtempérer, agressions, outrages, conduite sans permis, rébellion, violences avec arme et pour finir – le pompon – une condamnation en 2017 pour «menace de crimes et délits contre les personnes ou les biens à l’encontre d’un magistrat». Seulement voilà : M. X est inexpulsable, car arrivé en France avant l’âge de 13 ans et y résidant depuis plus de 20 ans.
Né en 1974, un Marocain de Fez, cumule, lui, déjà 17 condamnations pour onze infractions, allant de la menace de mort à la détention de stupéfiants. Admis en psychiatrie en 2021, ce délinquant du Loir-et-Cher sort et dérobe en mai 2022 une fourgonnette. «Pris en chasse par la gendarmerie et suivi par un hélicoptère, il commet deux refus d’obtempérer puis emprunte l’autoroute, percute un véhicule, enfonce la barrière du péage de Saint-Arnoult et perd le contrôle du véhicule». La suite ? Interpellé et placé de nouveau en psychiatrie, «il s’évade courant juin». Ce célibataire est inexpulsable : «entré en France en 1976», à l’âge de deux ans, et «père d’un enfant français aujourd’hui majeur».
Voleurs, violeurs, agresseurs, receleurs, kidnappeurs, tortionnaires, trafiquants, fraudeurs, braqueurs, escrocs… mais étrangers inexpulsables parce que protégés par la loi. Ces indésirables sont les bêtes noires du ministère de l’Intérieur. Le Figaro a eu accès aux «remontées des préfets» à Gérald Darmanin. Un tableau sidérant de près de 450 cas concrets illustrant l’impuissance de l’État face à certains individus, dès lors qu’ils sont bien installés dans le pays d’accueil. L’essentiel des protections dont ils bénéficient aujourd’hui a été inventé sous Gaston Defferre en 1981. Nicolas Sarkozy en a rajouté en 2003, en restreignant encore le principe de la double peine pour certaines catégories.
Un autre Marocain, né en 1975 à Laon (Aisne), célibataire, sans enfant, lui, a demandé à être régularisé en sa qualité d’«étranger malade». Un palmarès de 28 jugements pour vols, violences, destructions, port d’arme, refus d’obtempérer, menace de mort, extorsion, trafic de stupéfiants et agressions sexuelles. Il «a fait l’objet de nombreuses condamnations dont la gravité et la récurrence démontrent le danger que représente l’intéressé», relève le préfet de la Marne, qui ajoute : «Ainsi, à l’âge de 46 ans», il «a passé 21 ans et 7 mois de sa vie en prison, soit un peu moins de la moitié de celle-ci». Qu’importe ! Malade et arrivé en France avant l’âge de 13 ans, nul ne peut le contraindre à partir.
(…)
En clair : des articles qui disposent, par exemple, que l’étranger délinquant est inexpulsable s’il «justifie par tout moyens résider habituellement en France depuis qu’il a atteint au plus l’âge de 13 ans», ou s’il y vit «régulièrement depuis plus de 20 ans», ou bien s’il y «réside régulièrement depuis plus de dix ans» et qu’il est «marié depuis au moins quatre ans» à un ou une Française ou un Français, ou même à un étranger ou une étrangère, arrivés comme lui avant l’âge de 13 ans.
Idem s’il réside régulièrement en France depuis plus de dix ans et qu’il est «père ou mère d’un enfant français mineur résidant en France» et dont il subvient aux besoins. Il est également protégé si son état de santé nécessite une prise en charge médicale dont le défaut pourrait avoir pour lui des conséquences d’une exceptionnelle gravité et si, dans le pays de renvoi qui le concerne, il ne peut bénéficier effectivement d’un traitement approprié. Même si ledit traitement existe dans son pays.
CNN- Après des années de discussions, les oiseaux ne porteront plus le nom de personnes – une décision destinée à dissocier les animaux des éponymes problématiques.
L'American Ornithological Society a annoncé mercredi que tous les noms courants en anglais d'espèces d'oiseaux portant des noms humains seraient modifiés, ainsi que d'autres surnoms jugés offensants. Au total, environ 70 à 80 oiseaux – principalement aux États-Unis et au Canada – seront renommés.
"Il y a du pouvoir dans un nom, et certains noms d'oiseaux anglais ont des associations avec le passé qui continuent d'être exclusives et nuisibles aujourd'hui", a déclaré Colleen Handel, présidente de l'AOS, dans un communiqué.
De nombreux oiseaux portent des noms qui viennent d’hommes blancs au « passé objectivement horrible », selon le groupe Bird Names for Birds, une initiative populaire qui milite en faveur de ce changement. Faire commémorer leurs noms de cette manière équivaut à construire une statue en leur honneur, affirme le groupe.
Le moucherolle de Hammond, par exemple, doit son nom à William Alexander Hammond, un ancien chirurgien général américain. Hammond avait des opinions racistes à l’égard des Noirs et des Autochtones, écrivant que les Noirs en particulier avaient « des facultés mentales ou physiques peu élevées au-dessus du singe d’un joueur d’orgue ».
Judith Scarl, directrice exécutive et PDG d'AOS, a déclaré dans un communiqué qu'il existe depuis longtemps des préjugés historiques dans la façon dont les oiseaux ont été nommés, et que les scientifiques devraient s'efforcer d'éliminer ces préjugés.
"Les conventions de dénomination d'exclusion développées dans les années 1800, assombries par le racisme et la misogynie, ne fonctionnent pas pour nous aujourd'hui, et le moment est venu pour nous de transformer ce processus et de rediriger l'attention vers les oiseaux, là où ils appartiennent", a-t-elle déclaré.
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« Plus de 3 000 saumons génétiquement modifiés se font la malle »... une infox d'Ouest-France... démontage
8 Novembre 2023
Oui, des saumons se sont fait la malle... mais après ça se complique...
La dernière histoire de saumons en Islande, « piquée » par Ouest-France sur The Guardian, est ici.
C'est, pour le titre complet d'un article du 31 octobre 2023, « Plus de 3 000 saumons génétiquement modifiés se font la malle, les autorités tentent de les récupérer ».
Qu'on se rassure d'emblée : cela ne s'est pas passé en France, mais en Islande ; et il ne s'agit pas de saumons génétiquement modifiés.
Ouest-France, c'est ce journal qui s'est doté d'une « charte pour un journalisme au niveau de l’enjeu écologique » (notre critique ici)... laquelle l'incite sans doute à reprendre des bobards pourvu qu'ils s'inscrivent dans son ambition de « faire du défi climatique et de la biodiversité, un pilier de son projet éditorial ».
Ou à prendre une information, correcte ou boiteuse et à la transformer – dans une sorte de jeu du téléphone […] maintenant appelé, par exemple, « passe-parole » –, pour qu'elle réponde à la mission autoproclamée de
« traiter tout événement et information, y compris ceux qui ont un impact négatif sur l’environnement, à la dimension qu’ils méritent [...], sans faire l’impasse sur leurs conséquences environnementales. »
Ce qui a été omis dans la citation précédente, c'est :
« et avec discernement »...
Ouest-France a pompé sur We demain – « un média pour changer d'époque ».
En l'occurrence, We demain a publié le 25 octobre 2023 un article intitulé : « Fuite massive de saumons d'élevage en Islande : un impact écologique inquiétant ».
Ainsi donc, le « saumons d'élevage » de We demain est miraculeusement devenu « saumons génétiquement modifiés » chez Ouest-France.
Des saumons d'élevage qui se font la belle ? Ce n'est pas vraiment nouveau. Ouest-France explique... enfin... copie-colle :
« "Si cette 'fuite de saumons' ne vient en rien violer la loi sur la pisciculture islandaise", souligne la revue We Demain, cet événement pourrait avoir des répercussions catastrophiques pour l’environnement local. Le journal explique : "Dans cette ferme piscicole située au large du village de Patreksfjörður, le système de contrôle de la lumière, qui permet de retarder, voire d’arrêter la maturité sexuelle des saumons, semble être en panne depuis des mois. Résultat : 35 % des saumons échappés de l’enclos marins cet été étaient matures sexuellement. Avec un système fonctionnel, seuls 5 % d’entre eux auraient dû l’être. Ils sont donc susceptibles de se reproduire en liberté." »
Oh misère ! Sur les 3.462 poissons manquants lors du vidage de l'enclos, ce seraient donc quelque 1.200, au lieu de 175, qui auraient atteint la maturité sexuelle – sachant que les autres peuvent très bien l'acquérir dans la nature.
C'est ici de l'ironie un peu grinçante.
La rencontre de saumons d'élevage, sélectionnés pour leur aptitude à grandir vite et à atteindre une bonne taille, avec des saumons sauvages pose en effet des problèmes de compétition et de dérive génétique. We demain s'aventure dans ce sujet.
Mais les explications sont longues, Ou peut-être pas à la dimension que mérite cet événement ayant « un impact négatif sur l’environnement ». Ouest-France trouve donc d'autres sources :
« Problème ? "S’ils se reproduisent, les saumons perdront leur capacité à survivre", déplore un pêcheur islandais rencontré par le quotidien britannique The Guardian. Des études, relayées par le magazine scientifique New Scientist, ont démontré que lorsque le saumon sauvage de l’Atlantique se reproduit avec des saumons d’élevage échappés, ses descendants grandissent plus rapidement et arrivent à maturité à un plus jeune âge, ce qui compromet la capacité de l’espèce à survivre et à se reproduire dans son environnement naturel. "Ils pourraient également entraîner une compétition accrue pour la nourriture et l’habitat", prévient le quotidien belge, La Libre. »
Ah ! The Guardian... une autre source qui a un penchant pour l'information militante... Cette histoire de saumons en cavale est liée à l'actualité politique – et militante – islandaise. L'événement s'est produit ou a été médiatisé en Islande au moment où se trouvait en consultation publique un nouveau projet de loi sur l'aquaculture.
Mais voilà un autre exemple de « passe-parole » :
The Guardian : « Des poissons soupçonnés de s'être échappés ont été retrouvés dans au moins 32 rivières du nord-ouest de l'Islande, selon des messages non confirmés publiés sur les réseaux sociaux. »
We demain : « Les saumons d’élevage, qui se sont enfuis à l’été 2023, auraient été retrouvés dans quelque 32 rivières du nord-ouest de l’Islande. » (Notez le conditionnel.)
Ouest-France : « Depuis, une vingtaine de ces spécimens ont été retrouvés dans 32 rivières du nord-ouest de l’Islande. » (Notez l'indicatif.)
Comment « une vingtaine... » ont-ils pu être retrouvés dans « 32 rivières » ? Mystère...
Mais passons au « problème » : « S’ils se reproduisent, les saumons perdront leur capacité à survivre » ?
C'est évidemment un raccourci. Les saumons qui remontent une rivière pour frayer meurent. Ce que cette phrase signifie, c'est que les descendants, hybrides de sauvages et d'élevages, sont moins aptes à survivre que les descendants de sauvages.
Plutôt que d'être un problème, ce serait une bonne nouvelle...
Encore une fois, il ne s'agit pas de nier ici l'existence – ou l'existence potentielle – de problèmes. La donne peut ainsi changer s'il y a un apport massif et répété de géniteurs d'élevage.
Du potentiel au progrès : derniers développements dans le déploiement du Riz Doré aux Philippines
8 Novembre 2023 Personnel de l'ISAAA Inc. et de DA-Philippine Rice Research Institute – Alliance pour la Science*
Aux Philippines, environ deux millions d'enfants de moins de cinq ans risquent d'avoir des problèmes de vue et un système immunitaire affaibli. Ces symptômes sont les conséquences d'une alimentation pauvre en vitamine A. Ce chiffre équivaut à un enfant philippin sur cinq issu des communautés les moins favorisées du pays et souffrant d'une carence en vitamine A (VAD – vitamin A deficiency). Ce problème nutritionnel évitable touche les Philippines et environ 190 millions d'enfants dans le monde.
Plusieurs initiatives ont été lancées pour résoudre ce problème, notamment la supplémentation, la diversification de l'alimentation et l'enrichissement des aliments. Pourtant, de nombreux enfants ne sont toujours pas pris en charge. L'une des solutions complémentaires à ces initiatives est désormais entre les mains des agriculteurs philippins : un type de riz plus sain connu sous le nom de « Riz Doré ». Cette initiative a été lancée en 1982 par le Dr Ingo Potrykus de l'Institut Fédéral Suisse de Technologie et le Dr Peter Beyer de l'Université de Fribourg, en Allemagne, et visait à lutter contre la carence en vitamine A en développant un type de riz capable d'apporter de la vitamine A dans le régime alimentaire.
Contribuer à la sécurité alimentaire et nutritionnelle
Les co-inventeurs ont depuis fait don de la technologie du Riz Doré pour des raisons humanitaires. Grâce au génie génétique, des gènes du maïs et d'une bactérie commune du sol ont été exploités pour produire du bêta-carotène dans le grain de riz. Ce bêta-carotène, converti en vitamine A par l'organisme, est le même type de bêta-carotène que celui que l'on trouve dans les légumes à feuilles vertes et de couleur jaune, dans les fruits de couleur orange, ainsi que dans les compléments vitaminés et les ingrédients alimentaires. Le Riz Doré a été approuvé pour l'alimentation humaine et animale et la transformation en 2019 et pour la plantation en 2021 aux Philippines, après que le Bureau de l'Industrie Végétale a prouvé qu'il était aussi sûr que les variétés de riz conventionnelles.
L'Institut Philippin de Recherche sur le Riz (DA-PhilRice), en étroite collaboration avec l'Institut International de Recherche sur le Riz (IRRI), a joué un rôle déterminant dans le développement du Riz Doré, désormais enregistré dans le pays en tant que variété de riz NSIC 2022 Rc 682GR2E (Malusog 1). L'agence fonctionne sur la base d'un plan de déploiement pluriannuel qui vise à ce que le Riz Doré contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle d'ici 2027. DA-PhilRice vise à produire du Riz Doré qui contribue à hauteur de 10 % à la production totale de riz du pays et répond aux besoins en riz de 100 % des ménages exposés au risque de VAS.
Mettre en œuvre des initiatives fondées sur le marché et sur des programmes
Le déploiement a commencé par la distribution de semences gratuites dans les provinces ciblées où l'incidence de la VAD est élevée. Les agriculteurs des zones prioritaires qui souhaitent participer à la production de semences ou de grains sont encouragés à prendre contact avec les antennes de la DA-PhilRice. Des partenariats avec les autorités locales et d'autres agences sont en cours d'élaboration afin de mettre en œuvre des initiatives axées sur le marché et les programmes pour garantir que le Riz Doré apportera des avantages significatifs en matière de santé, en particulier à ceux qui en ont le plus besoin. D'autres sites seront inclus dans le déploiement au fur et à mesure que des semences seront disponibles.
En 2022, la plantation pilote de riz Malusog a commencé. Le secrétaire du ministère de l'Agriculture, William Dar, a alors dirigé la cérémonie de remise des semences de riz Malusog aux cultivateurs et aux producteurs de la station expérimentale centrale de PhilRice à Nueva Ecija pour la plantation du riz de la saison humide. En juin, la DA-PhilRice a annoncé que les sept premières provinces qui planteront le riz Malusog sont Maguindanao, Quirino, Catanduanes, Samar, Antique, Lanao del Norte et Agusan del Sur. La province de Maguindanao est l'une des plus touchées par le retard de croissance chez les nourrissons et les enfants âgés de moins de cinq ans et sera la première à bénéficier des bienfaits du riz Malusog.
Fin décembre 2022, la première récolte de riz Malusog provenant de 17 sites de production pionniers a produit plus de 100 tonnes de riz paddy enrichi en bêta-carotène. Cette première récolte a été principalement utilisée pour la promotion, distribuée en particulier aux ménages cibles dans les provinces sélectionnées avec des enfants d'âge préscolaire à risque de VAD et de dénutrition, ainsi qu'aux femmes enceintes et allaitantes. Les municipalités de Viga et Virac à Catanduanes ont reçu des paquets promotionnels de riz Malusog, car la province a l'une des incidences les plus élevées de malnutrition dans le pays, selon l'enquête nationale élargie sur la nutrition menée par l'Institut de Recherche sur l'Alimentation et la Nutrition du ministère de la Science et de la tTchnologie.
Le gouverneur de la province d'Antique, Rhodora J. Cadiao, a déclaré que le riz Malusog pouvait contribuer à résoudre le problème de la VAD chez les enfants de la province. Les agriculteurs coopérateurs ont également manifesté leur soutien et leur enthousiasme en étant les premiers à planter et à récolter le riz Malusog dans leurs provinces respectives. « J'ai observé que le Riz Doré avait des graines de bonne qualité et je veux déjà le goûter. Il présente également de bonnes caractéristiques en termes de tige allongée. J'ai été encouragé à coopérer pour le Riz Doré pour aider le gouvernement à réduire les cas de malnutrition », a déclaré M. Leo Franco Ebardo, producteur de semences dans la province d'Agusan del Sur.
Emerson, un agriculteur de la province d'Antique, a récolté environ cinq tonnes de riz Malusog le 7 octobre 2022 et a fait part de sa satisfaction. « Les tiges sont plus robustes que celles des autres variétés. Elles ne versentt pas [...] J'encourage mes collègues agriculteurs à planter du Riz Doré lorsque l'offre augmentera. »
Une célébration d'action de grâce visant à reconnaître officiellement les agriculteurs partenaires et les fonctionnaires locaux qui ont contribué au déploiement initial du riz Malusog a été organisée dans la province d'Antique en mars 2023. À cette occasion, le conseil provincial d'Antique a annoncé sa résolution en faveur de la culture et de la consommation du riz Malusog. Selon DA-PhilRice, les premiers tests de marché effectués dans le Luzon central au début de cette année ont montré que le riz Malusog est effectivement commercialisable, son prix étant comparable à celui du riz usiné ordinaire dans la région.
Le riz Malusog a un avenir prometteur dans la lutte contre la carence en vitamine A aux Philippines et dans de nombreux pays en développement. Ses avantages potentiels pourraient contribuer à améliorer la productivité agricole et les coûts des soins de santé et à stimuler la croissance économique dans les pays en développement. La poursuite de la collaboration entre les scientifiques, les décideurs politiques et les communautés garantira sa mise en œuvre efficace, révolutionnera la prévention de la carence en vitamine A et contribuera à la santé et à la nutrition dans le monde. ______________
* Source : From potential to progress: Latest developments in Golden Rice deployment in the Philippines - Alliance for Science
Ma note : Dommage que cet article ne nous informe pas des suites données à un arrêt de la Cour Suprême (writ of kalikasan) du 18 avril 2023 qui avait bloqué temporairement la diffusion commerciale du Riz Doré. L'action avait été introduite par une série d'organisations menées par MASIPAG. En deuxième position des demandeurs, caché mais quand même en position proéminente... Greenpeace Southeast Asia – Philippines (Greenpeace).
Beyond Meat s'effondre sans répit – la vérité sur le veggie boom
7 Novembre 2023 Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
De nombreux clients se détournent à nouveau d'un phénomène de mode apparent comme la viande alternative, estiment les analystes. Beyond Meat n'est pas la seule entreprise dans cette situation. D'autres entreprises de produits de substitution à la viande sont confrontées à la même baisse de la demande.
Beyond Meat divise sa valeur boursière par deux entre juillet et août. Les dettes dépassent de loin les recettes. D'autres fabricants de substituts de viande sont dans la même situation. Les problèmes des autres fabricants de substituts de viande sont similaires, selon les analystes.
Beyond Meat divise sa valeur boursière par deux entre juillet et août. Les dettes dépassent de loin les recettes.
Lorsque Beyond Meat est entrée en bourse en 2019, elle avait de grands projets. L'entreprise a connu une croissance incroyablement élevée, dont plusieurs trimestres de croissance à trois chiffres de son chiffre d'affaires.
L'entreprise a lancé de nouveaux produits dans de nouvelles filiales afin de maintenir cette dynamique. Cependant, après avoir atteint un point critique, la demande s'est affaiblie.
Peut-être aussi en raison de la très forte inflation alimentaire, qui a particulièrement pesé sur les ventes d'aliments à prix élevés et de style de vie. Ce phénomène ne s'est pas seulement produit en Amérique, mais aussi en Allemagne et en Europe.
Des voix critiques s'étaient déjà élevées il y a trois ans lorsque Beyond Meat venait d'être introduite en bourse.
D'autres fabricants de substituts de viande ont fait faillite
En outre, Beyond Meat a vu arriver de nombreux nouveaux concurrents. Et l'entreprise n'a pas pénétré le marché des mangeurs de viande comme prévu ;c'est en tout cas ce que disent les analystes de Motley Fool.
Les clients se détournent de ce qui semble être une mode pour la viande alternative, estiment les analystes. Beyond Meat n'est pas la seule entreprise dans cette situation. D'autres entreprises de produits de substitution à la viande sont confrontées à la même baisse de la demande, car les clients montrent lors de leurs achats qu'ils préfèrent peut-être la vraie viande, explique Motley Fool.
Le fait est qu'en juin, le concurrent de Beyond Meat, « The Tattooed Chef », a demandé à être placé sous la protection de la loi sur les faillites et « Impossible Foods » n'a jamais réalisé son introduction en bourse, pourtant annoncée à plusieurs reprises.
Beyond Meat lutte manifestement pour sa survie, si l'on en croit les données boursières.
Le chiffre d'affaires a baissé de 31 % au deuxième trimestre 2023 par rapport à l'année précédente, ce qui reflète le marché des produits carnés alternatifs, selon les analystes de Motley Fool.
Et l'entreprise est passée à la réduction des coûts et à l'amélioration de la rentabilité, alors qu'elle se bat pour générer une croissance plus élevée. La perte nette s'est élevée à 53,5 millions de dollars. C'était mieux que les 97,1 millions de dollars américains de l'année dernière.
La direction a abaissé ses prévisions pour l'ensemble de l'année à une baisse du chiffre d'affaires d'environ 9 % à 14 % par rapport à 2022.
Une montagne de dettes difficile à résorber
Cela pourrait devenir un gros problème, selon les observateurs du marché de Motley Fool, car la situation financière de l'entreprise n'est guère encourageante.
Elle dispose certes de 226 millions de dollars de liquidités et de réserves – mais a en même temps 1,1 milliard de dollars de dettes, ce qui signifie qu'elle n'a pas une très longue durée de survie si elle ne peut pas lever de nouveaux fonds.
En outre, un rapport sectoriel publié en septembre 2022 par le cabinet de conseil Deloitte a montré que les ventes de « viande végétale » avaient globalement stagné. Les données indiquaient également qu'en 2022, par rapport à 2021, moins de consommateurs considéraient les alternatives de viande végétale comme plus saines, plus durables sur le plan écologique et plus abordables.
ABSURDE : une étude recommande de placer des ÉTIQUETTES D'AVERTISSEMENT sur la viande afin de réduire la consommation de viande au Royaume-Uni et d'atteindre les objectifs de zéro émission nette
11/07/2023 Olivia Cook
Une nouvelle étude propose d'inclure des étiquettes d'avertissement sur les produits carnés, semblables à celles que l'on trouve sur les paquets de cigarettes. Selon une étude de l'Université de Durham (DU) au Royaume-Uni, l'utilisation d'étiquettes d'avertissement graphiques sur les produits carnés, semblables à celles des cigarettes, pourrait aider les gens à réduire leur consommation de viande et à faire des choix plus judicieux non seulement pour leur santé, mais aussi pour celle de leur santé. planète aussi.
Publiés dans Appetite, les résultats de l'étude expérimentale randomisée suggèrent que les avertissements graphiques sur les problèmes de santé associés pourraient réduire les choix de repas de viande de 7 à 10 %. Selon le Guardian, 72 % de la population britannique se considère comme mangeuse de viande.
Il s'agit d'un changement qui pourrait avoir un impact matériel sur l'avenir de la planète, selon le Climate Change Committee (CCC), qui conseille le gouvernement britannique. L'organisme recommande au Royaume-Uni de réduire sa consommation de viande de 20 % d'ici 2050 et de moitié d'ici 2050 pour atteindre ses objectifs dits de « zéro net ». (Connexe : RAPPORT 2019 : Les humains ne seront plus autorisés à manger de la viande ou des produits laitiers d'ici 2030 afin de réduire les « émissions liées à la consommation ».)
"Il devient clair qu'il y a plusieurs raisons pour lesquelles la façon actuelle dont nous mangeons de la viande n'est peut-être pas la meilleure façon de le faire - si l'on combine cela [les conseils du CCC] avec le fait qu'une consommation élevée de viande est liée à de nombreux problèmes de santé et la manière dont nous cultivons actuellement ou certainement certaines des méthodes agricoles les plus courantes, qui sont également très fortement liées au potentiel d'épidémies pandémiques », a déclaré le doctorant Jack Hughes, qui a dirigé l'étude de Durham.
Comment l'étude a été réalisée
Dans l'étude, Hughes et ses collègues du département de psychologie de l'UA ont évalué l'impact des étiquettes d'avertissement illustrées conçues sur la base des résultats d'une étude pilote dans une cafétéria en ligne qui a testé une variété de messages textuels et d'images sur la santé, le changement climatique et les conséquences de la pandémie. associés à la consommation de viande.
Les chercheurs ont recruté un échantillon de 1 001 adultes mangeurs de viande à partir d’un panel existant via la plateforme d’enquête Prolific. Les participants ont été répartis dans l'un des quatre groupes expérimentaux en utilisant un rapport 1:1:1:1.
Chaque groupe a vu des images de repas de viande chauds, qui contenaient soit une étiquette d'avertissement climatique, une étiquette d'avertissement sanitaire ou une étiquette d'avertissement de pandémie, ou aucune étiquette du tout et a été invité à prendre 20 décisions individuelles concernant différents choix de repas de viande.
Les chercheurs ont également évalué les réponses des participants sur :
Leurs niveaux actuels de consommation de viande, leur volonté et leurs intentions de réduire leur consommation de viande À quel point ils ont trouvé les photos avec des étiquettes d'avertissement anxiogènes et crédibles Dans quelle mesure ils seraient favorables si les différents types d’étiquettes d’avertissement graphiques étaient mis en œuvre dans le cadre d’une politique (puisque le soutien public peut être crucial pour la mise en œuvre et le maintien de la politique) Leurs intentions futures d’acheter et de manger des options de repas à base de viande Ce que l’étude a révélé Les chercheurs ont déclaré que leurs résultats suggéraient que les étiquettes d'avertissement axées sur l'impact de la viande sur la planète pourraient être « les plus appropriées » pour une campagne de sensibilisation du public, a déclaré Hughes. "Atteindre le zéro net est une priorité pour la nation et la planète. Comme il a déjà été démontré que les étiquettes d'avertissement réduisent le tabagisme ainsi que la consommation de boissons sucrées et d'alcool, l'utilisation d'une étiquette d'avertissement sur les produits contenant de la viande pourrait nous aider à y parvenir si présentée comme une politique nationale.
Le Guardian a rapporté que les chercheurs pensent que leurs découvertes pourraient contribuer à encourager des changements dans les choix gastronomiques qui pourraient, à terme, bénéficier à l'environnement.
Rendez-vous sur GreenTyranny.news pour plus d'histoires sur la campagne visant à interdire la viande au nom de la « lutte contre le changement climatique ».
Regardez le candidat républicain à la présidentielle et gouverneur de Floride, Ron DeSantis, dénoncer les tyrans verts en disant : « Ils veulent s'en prendre à la viande. »
Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
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Une étude sur le changement climatique appelle à un rationnement des repas et du carburant à la manière de la Seconde Guerre mondiale.
Le prix Nobel John Clauser conteste les affirmations sur le changement climatique et affirme que la politique climatique américaine est totalement erronée.
Étude : Le véganisme est plus nocif pour l'environnement qu'une consommation limitée de viande.
La loi de Biden sur la réduction de l’inflation impose des frais sur les émissions de gaz à effet de serre.
Tabac : l’Angleterre opte pour une solution radicale
Le roi Charles, dans son allocution du mardi 7 novembre devant les membres du Palais de Westminster, le Parlement britannique, a confirmé l’interdiction progressive de la vente de cigarettes aux jeunes générations. Une mesure qui permettrait de réduire drastiquement le tabagisme en Angleterre en s’attaquant directement à son initiation chez les plus jeunes.
Par Axelle Ker le 8 novembre 2023 à 16h30
13% de la population britannique fume
Le roi Charles confirme l'interdiction progressive du tabac
L'Angleterre se positionne en fer de lance de la lutte contre le tabagisme au sein de l'Union européenne. Le roi Charles, dans son discours inaugural au Parlement, a confirmé l'interdiction prochaine de la vente de cigarettes aux jeunes. Cette mesure s'inscrit dans une vision plus large, celle d'une Angleterre sans tabac à l'horizon 2030, un engagement déjà prononcé par le gouvernement. Rishi Sunak, le Premier ministre, avait déjà planté le décor en octobre, dépeignant la consommation de tabac comme « la plus grande cause entièrement évitable de problèmes de santé, d'invalidité et de décès » dans le pays. Une répression historique se profile donc, avec une stratégie progressive : augmenter l'âge légal pour fumer d'un an chaque année, jusqu'à éradiquer complètement le fléau du tabagisme chez les nouvelles générations.
Des chiffres éloquents viennent appuyer cette politique : un cancer sur quatre est causé par le tabagisme. Le Royaume-Uni se tourne vers une législation d'avant-garde, s'inspirant de modèles comme celui de la Nouvelle-Zélande où l'achat de cigarettes est déjà interdit aux personnes nées après 2008. Le projet britannique envisage ainsi qu'un jeune de 14 ans aujourd'hui ne puisse jamais être autorisé à acheter une cigarette, même après avoir atteint sa majorité. Nos voisins anglais avait déjà abaissé l'âge légal de vente de tabac de 16 à 18 ans en 2007, réduisant la prévalence du tabagisme chez les jeunes de 16 et 17 ans de 30%. L'impact de cette nouvelle mesure pourrait donc être considérable.
Les prochaines générations n'auront bientôt plus le droit de fumer en Angleterre
Le gouvernement britannique, par ce biais, vise à briser un cycle séculaire de dépendance et de maladies en s'attaquant à la racine du problème : l'initiation au tabac pendant l'adolescence. « Les gens commencent à fumer quand ils sont jeunes. Quatre fumeurs sur cinq ont commencé avant l'âge de 20 ans », affirme le Premier ministre britannique Sunak. En brisant ce cycle, le Premier ministre espère réduire drastiquement le nombre de fumeurs, qui représente actuellement 13% de la population britannique, soit environ 6,4 millions de personnes. L'objectif est ambitieux : moins de 5% de fumeurs d'ici 2030. Le Premier ministre anglais envisage également de s'attaquer au vapotage chez les jeunes, une consommation qui a triplé ces trois dernières années.
Ces mesures, si elles sont approuvées par le Parlement, ne s'appliqueront qu'en Angleterre, laissant l'Irlande du Nord, l'Écosse et le pays de Galles libres de leurs propres décisions. Mais l'impact d'une telle loi serait considérable : créer une génération sans tabac et ainsi, espérer réduire les décès et maladies évitables liés au tabagisme. La politique du gouvernement anglais pourrait bien inciter d'autres pays européens à suivre son chemin, notamment le gouvernement français qui peine à réduire le tabagisme en France, alors que le pays compte près de 15 millions de fumeurs.
Production de vin : voici le nouveau pays leader mondial
Le vignoble français redevient le premier producteur de vin au monde en 2023, reprenant le flambeau de leader mondial italien dans un secteur viticole en grande difficulté.
Par Grégoire Hernandez le 8 novembre 2023 à 15h00
Vin : une baisse de production de 12 % en Italie
La France renaît de ses cendres, s'élevant au rang de premier producteur mondial de vin en 2023, d'après les données de l'OIV (Organisation internationale de la vigne et du vin). Ce retour en grâce survient après une période de domination italienne interrompue par une baisse de production de 12% chez notre voisin transalpin. Les terroirs français, malgré le chaos climatique, révèlent une résilience et une stabilité qui redessinent la carte mondiale du vin. Les vignerons, malgré des gels précoces et des sécheresses, ont su préserver leur récolte, offrant une bouffée d'oxygène à un marché international essoufflé.
La détresse des vignes italiennes résonne dans les récits de viticulteurs comme Antonella di Tonno, dont la passion pour la vigne est mise à l'épreuve par une nature capricieuse. Des tempêtes de grêle aux sécheresses sévères, la région des Abruzzes voit ses rendements s'effondrer, impactant les vignerons avec une brutalité sans précédent. Antonella, avec une production réduite de 25%, témoigne à l'AFP d'une adaptabilité face à la crise, se raccrochant aux avancées technologiques qui lui permettent de limiter les pertes. L'Italie, riche de ses nombreux cépages, subit de plein fouet la diversité de ses besoins de maturation, la rendant vulnérable à chaque coup de théâtre météorologique.
Une invasion du mildiou dans le Sud-Ouest
En France, l'unité apparente masque des réalités hétérogènes. Les vignobles de Bordeaux et du Sud-Ouest affrontent l'invasion du mildiou (une maladie capable de détruire des récoltes entières), pendant que le Languedoc-Roussillon se bat contre l'ardeur d'un soleil implacable. À l'opposé, des régions comme le Cognac, la Corse et la Champagne s'attendent à des récoltes abondantes, preuve de la diversité des réponses des terroirs français aux défis environnementaux.
L'horizon viticole mondial est loin d'être uniforme. Alors que l'Australie (-24%), l'Argentine (-23%), le Chili (-20%) et l'Afrique du Sud (-10%) rapportent des diminutions alarmantes de leur production, les États-Unis voient leurs vignobles prospérer, grâce à des conditions météorologiques favorables. Cette hétérogénéité des récoltes signale une éventuelle correction du marché, potentiellement bénéfique dans un contexte de consommation décroissante et de stocks pléthoriques. Joël Boueilh, porte-parole des vignerons coopérateurs français, maintient le cap sur l'excellence et la rentabilité, indifférent aux titres de production, car c'est la qualité et la viabilité économique qui primeront dans les verres de demain.
Le communiqué souligne également sans ambages qu’un contrôle de l’utilisation des plateformes en ligne est également prévu :
« Outre les services publics, les très grandes plateformes en ligne désignées au titre de la loi sur les services numériques (dont des services comme Amazon, Booking.com ou Facebook) et les services privés qui sont légalement tenus d'authentifier leurs utilisateurs doivent également fournir une preuve d'identité numérique pour les utilisateurs. en vous inscrivant à leurs services en ligne.
En outre, les caractéristiques et les spécifications communes inciteront tous les prestataires de services privés à l'accepter pour leurs services, créant ainsi de nouvelles opportunités commerciales. La preuve d’identité numérique permettra également aux prestataires de services de se conformer plus facilement à diverses exigences légales.
La protection de la vie privée est ainsi abolie. Ce pour quoi la Révolution française s’est battue est en train d’être détruit. Il ne s'agit que de la première étape ; dans la prochaine étape, l'identification sera requise au niveau du fournisseur de services afin que chaque activité de tous les citoyens de l'UE sur Internet puisse être entièrement suivie.
L’identification numérique est également une condition préalable à la monnaie de banque centrale prévue et à la suppression des espèces.
Cela est justifié par des prétextes tels que la prétendue protection des enfants, contre le blanchiment d'argent, contre les discours de haine (= discours que les politiciens détestent) ou similaires.
D'ailleurs, Thierry Breton est le représentant de l'industrie numérique, qui est l'un des lobbyistes les plus intensifs en faveur d'une transparence citoyenne et d'une surveillance totale. Il vient de l'industrie et répond à ses souhaits et ne travaille pas pour les intérêts des citoyens de l'UE. Plus récemment, il était PDG d'Atos, une société informatique mondiale de premier plan comptant environ 110 000 employés dans 73 pays. Il est connu pour promouvoir la censure dans les médias en ligne. La loi sur les services numériques (DSA), dont il travaille actuellement activement à la mise en œuvre, répond à cet objectif. En même temps, il est l'autorité finale de la censure et il détermine ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas.
La panne du géant australien des télécommunications affecte plus de 10 millions de clients et 400 000 entreprises.
11/09/2023 Belle Carter
Un géant des télécommunications du Land Down Under a connu une panne massive qui a laissé plus de 10 millions de clients, 400 000 entreprises et des infrastructures essentielles sans services téléphoniques ni Internet.
Optus, le deuxième fournisseur de télécommunications d'Australie, n'a pas été en mesure d'expliquer la cause de l'interruption du service le 7 novembre. Le service a été entièrement rétabli 90 minutes plus tard, mettant ainsi fin à « l'une des plus grandes pannes de l'histoire de l'Australie ».
"Nous savons que les clients comptent sur notre réseau, c'est pourquoi toute l'équipe d'Optus a travaillé dur pour résoudre ce problème", a écrit Optus sur son compte X officiel. "Optus s'excuse sincèrement auprès de ses clients pour la panne d'aujourd'hui. Nous remercions encore les clients pour leur patience."
Plus tôt, un porte-parole d'Optus avait déclaré que la société était consciente d'un problème qui pourrait affecter certains de ses clients mobiles et Internet. Pendant la panne, les utilisateurs n'ont pas pu passer ou recevoir d'appels, ni utiliser Internet sur le réseau mobile d'Optus. Les abonnés aux revendeurs de la société de télécommunications tels qu'Amaysim, Vaya, Aussie Broadband, Moose Mobile, Coles Mobile, Spintel, Southern Phone et Dodo Mobile étaient également en baisse.
Cela a également causé de nombreux problèmes à certains opérateurs de transports publics, aux hôpitaux et aux plus grandes entreprises du pays. À Melbourne, les navetteurs se sont retrouvés bloqués en raison de la fermeture du réseau ferroviaire. De nombreux chauffeurs Uber sont également incapables de fonctionner, ce qui a entraîné une flambée des prix.
Des hôpitaux ont également été touchés, notamment le Northern Health District de Melbourne et l'hôpital privé Westmead de Sydney. "Toutes les lignes téléphoniques des campus de Northern Health sont actuellement affectées", a indiqué l'hôpital de Melbourne. L'hôpital de Sydney a quant à lui déclaré : "En raison de la panne nationale d'Optus, toutes nos lignes téléphoniques sont malheureusement coupées. Pour contacter l'hôpital, veuillez nous envoyer un e-mail concernant les admissions."
Parmi les quatre grandes banques, trois d’entre elles – Westpac, ANZ et Commonwealth Bank – paient Optus pour les services de télécommunications. Compte tenu de la panne, ils n’ont pas pu prendre ou passer des appels depuis leurs centres d’appels. Les clients ne pouvaient pas non plus recevoir de messages texte de vérification des transactions, et certaines entreprises ne pouvaient pas utiliser leurs terminaux de paiement mobile si elles utilisaient la carte SIM Optus fournie. ING Australie a également déclaré à ses clients sur les réseaux sociaux que ses centres d'appels n'étaient pas en mesure de répondre aux appels.
L'aéroport de Sydney, le bureau des impôts australien et la National Roads and Motorists' Association, qui disposent de distributeurs automatiques de paiement au point de vente connectés à Optus dans les entreprises, ont également rencontré des problèmes.
Les responsables gouvernementaux demandent à Optus de la transparence sur les véritables raisons de la panne Le Premier ministre australien par intérim, Richard Marles, a déclaré que le gouvernement était préoccupé par l'impact d'une panne d'Optus sur les services critiques. "Nous nous concentrons avant tout sur ces services d'urgence immédiats et sur la sécurité des personnes. Nous avons été très concentrés sur ces services triple-0 et nous examinons l'impact sur l'ensemble des services gouvernementaux", a-t-il déclaré.
De plus, la ministre des Communications, Michelle Rowland, a qualifié la panne de "défaut profond", affirmant que le gouvernement cherchait à obtenir davantage d'informations auprès d'Optus, d'autant plus qu'elle "s'est produite au plus profond du réseau". "Cela a de larges ramifications sur les services mobiles, fixes et haut débit pour les clients Optus et cela signifie également que pour ces clients, ils sont touchés par l'incapacité de passer des appels ou d'utiliser leurs services", a déclaré Rowland, ajoutant qu'Optus devrait utiliser toutes les formes. des médias pour informer continuellement les clients, car ils doivent être « transparents et opportuns » en réponse à la panne.
On a demandé à Rowland sur ABC Radio Sydney si les clients devaient être automatiquement transférés vers un autre réseau lorsque leur opérateur tombe en panne, ce à quoi elle a répondu : "Le gouvernement fédéral travaillait déjà sur le basculement des clients entre les réseaux en cas d'urgence telles que les feux de brousse et les inondations." (Connexe : la panne totale du réseau de Tesla est la raison pour laquelle vous ne devriez pas posséder de voiture ou d'appareil qui dépend d'un serveur central pour fonctionner.)
Pendant ce temps, le Premier ministre d'Australie du Sud (SA), Peter Malinauskas, s'est dit « déçu par Optus » car ils ont laissé tomber leurs clients dans tout l'État, y compris le gouvernement. Il a ajouté que le gouvernement sud-africain communiquait activement avec une autre entreprise au sujet du transfert de services critiques. Le premier ministre de l'INSW de Nouvelle-Galles du Sud, Chris Minns, a déclaré que la panne avait également provoqué des perturbations importantes au service NSW et qu'ils demanderaient au fournisseur de télécommunications d'expliquer ce qu'il a décrit comme une panne « profondément regrettable ».
Visitez Glitch.news pour plus d’histoires similaires à celle-ci.
Regardez Maria Zeee parler de la cyberattaque présumée contre Optus l'année dernière.
This video is from the High Hopes channel on Brighteon.com.
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Les gros bonnets du constructeur automobile admettent que les ventes de véhicules électriques sont menacées
11/09/2023 Belle Carter
Plus tôt en octobre, plusieurs dirigeants de constructeurs automobiles ont reconnu que leurs ambitieux projets en matière de véhicules électriques (VE) étaient menacés, du moins à court terme, a rapporté Business Insider.
Les concessionnaires mettent en garde depuis des mois contre un ralentissement de la demande de véhicules électriques, une augmentation des stocks et une baisse des ventes. Plusieurs dirigeants de certains des plus grands constructeurs automobiles ont exprimé leur malaise face à la croissance du marché des « robocars », car les inquiétudes quant à la viabilité de ces véhicules mettent en péril leurs stratégies d'électrification de plusieurs milliards de dollars.
Historiquement, l'un des PDG de l'industrie automobile les plus optimistes quant à l'avenir des véhicules électriques est Mary Barra de General Motors (GM). Elle fait partie des dirigeants qui ont exprimé leur inquiétude face à l'instabilité récente du secteur. GM a été un pionnier sur le marché des voitures électriques, vendant la Chevrolet Bolt depuis sept ans et faisant des déclarations audacieuses sur un avenir entièrement électrique pour l'entreprise bien avant que ses concurrents ne se joignent à nous. Lors de l'appel aux résultats du troisième trimestre, Barra a annoncé avec ses résultats trimestriels que GM abandonnait ses objectifs de construire 100 000 véhicules électriques au cours du second semestre de cette année et 400 000 autres d'ici les six premiers mois de 2024. GM ne sait pas quand il le fera. atteindre ces cibles. "À mesure que nous progressons dans la transformation vers les véhicules électriques, c'est un peu cahoteux", a déclaré Barra.
Pendant ce temps, le constructeur automobile de Détroit n’est pas le seul à avoir cette nouvelle vision de l’avenir des voitures électriques. Même le magnat de la Big Tech, Elon Musk de Tesla, a averti lors d'une récente conférence téléphonique sur les résultats que les préoccupations économiques entraîneraient une baisse de la demande de véhicules, même pour le leader de longue date du marché des véhicules électriques. De plus, Mercedes-Benz doit réduire ses véhicules électriques de plusieurs milliers de dollars rien que pour les mettre entre les mains des clients. MB a également été extrêmement franc sur ce qui se passait. "C'est un espace assez brutal", a déclaré le directeur financier Harald Wilhelm lors d'un appel avec des analystes. "Je peux difficilement imaginer que le statu quo actuel soit pleinement viable pour tout le monde."
De plus, des rapports ont confirmé que presque tous les produits électriques actuels sont vendus à un prix inférieur à celui de la vignette, et en plus de cela, certains véhicules électriques bénéficient d'incitations de la part des fabricants de près de 10 %. "Cela se produit alors que les stocks s'accumulent chez les concessionnaires, au grand dam des concessionnaires. Alors que les acheteurs de voitures ont de la chance s'ils recherchent une bonne affaire sur un véhicule rechargeable, les dirigeants constatent que même les réductions importantes et les remises ne suffisent pas. Ces voitures mettent plus de temps à vendre aux concessionnaires que leurs homologues à essence, car la prochaine vague d'acheteurs se concentre sur les coûts, les défis d'infrastructure et les obstacles au style de vie à l'adoption", a rapporté Insider.
"Après avoir étudié cela pendant un an, nous avons décidé que cela serait difficile en tant qu'entreprise, c'est pourquoi nous mettons fin au développement d'un véhicule électrique abordable", a déclaré le PDG de Honda, Toshihiro Mibe, dans une interview avec Bloomberg. Pour Akio Toyoda, président de Toyota Motor, les gens voient enfin la réalité. Il a longtemps été sceptique quant aux projets purement électriques de ses pairs. (Connexe : un membre de « l'équipe verte » de Biden admet que les véhicules électriques ne sont PAS durables.)
Ford arrête de grands projets d'usine, y compris une usine au Kentucky, parce que les véhicules électriques sont trop chers Réalisant que leurs efforts risquaient d’être vains, Ford a été le premier à se retirer. Il reporte ses projets d’usines de véhicules électriques de 12 milliards de dollars, y compris une usine de batteries prévue dans le Kentucky.
Selon Ford, les clients n’étaient pas disposés à payer un supplément pour ses véhicules électriques parce qu’ils n’étaient plus abordables. Le constructeur automobile continue de perdre de l'argent selon les rapports. Environ 1,3 milliard de dollars de bénéfice ajusté au cours du dernier trimestre ont été perdus. Cette année, Ford a perdu 3,1 milliards de dollars en dépenses liées aux véhicules électriques et a annoncé qu’elle perdrait un total de 4 milliards de dollars pour l’année.
Parallèlement, l'entreprise a conclu un accord de principe avec le syndicat United Auto Workers la semaine dernière, devenant ainsi le premier des trois grands constructeurs automobiles américains à conclure un accord. La grève lui a coûté environ 1,3 milliard de dollars et l’entreprise a retiré ses prévisions pour 2023, ce qui signifie qu’elle n’est pas sûre de pouvoir atteindre les objectifs qu’elle s’était fixés plus tôt dans l’année.
En juillet dernier, Ford a prolongé d'un an le délai qu'il s'était imposé pour atteindre une production annuelle de 600 000 véhicules électriques et a abandonné son objectif de 2026 visant à construire deux millions de véhicules électriques.
Consultez les mises à jour sur la volonté catégorique de l’administration Biden de passer des véhicules à essence aux véhicules électriques pour « sauver la terre » sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent : ClimatDepot.com
Putschs en Afrique : L'Afrique victime d'une exploitation sans pitié au nom de la démocratie
09.11.2023 www.kla.tv/27399
Les coups d'État militaires au Niger le 26 juillet et au Gabon le 30 août de cette année sont les plus récents d'une série qui a traversé l'Afrique de l'Ouest et le Sahel ces dernières années. Les politiciens et les médias occidentaux ont condamné ces renversements violents de gouvernement et exigent le retour des présidents constitutionnellement élus. La CEDEAO, alliance d'Etats africains connue pour être un allié occidental, a immédiatement exclu ces deux pays membres après leurs coups d'Etat et a même menacé de guerre le nouveau gouvernement du Niger. On a ainsi l'impression que le président renversé a gouverné son peuple de manière adéquate et que la population doit être sauvée des putschistes. Or, ces populations ont réagi aux putschs de manière totalement différente. Au Niger, au Gabon et également au Burkina Faso, ils acclament les putschistes militaires et célèbrent la destitution des anciens dirigeants. Comment expliquer cet enthousiasme ?
Il est frappant de constater que les six derniers pays africains dont le président a été chassé par la force sont d'anciennes colonies françaises. Bien qu'autonomes depuis plus de 60 ans, ils restent aujourd'hui encore sous le diktat militaire, financier et économique de la France.
1. Militaire : La France a toujours des soldats stationnés dans ses anciennes colonies. Avec les Etats-Unis, ils exercent une influence sur l'armée nationale par le biais de programmes de formation pour les officiers africains.
2. Financier : En tant qu'anciennes colonies françaises, le Niger et le Gabon font partie des 14 pays d'Afrique de l'Ouest qui ont été obligés par la France de céder 85 % de leurs réserves de devises et 100 % de leurs réserves d'or. Ils doivent jusqu'à aujourd'hui conserver comme monnaie le franc CFA [= franc ouest-africain] de l'époque coloniale. Son taux de change est dicté par la banque centrale française, à l'avantage de la France : en 1994 par exemple, celle-ci a dévalué du jour au lendemain le franc CFA, ce qui a fait que les exportations des colonies ont perdu la moitié de leur valeur et que les prix des importations ont augmenté de 50 %. Il n'est donc pas étonnant que neuf des 14 pays de la zone CFA soient parmi les plus pauvres du monde, malgré leur richesse en matières premières.
3. L'économie : L'exploitation économique systématique et ses conséquences sont évoquées par le député européen Martin Sonneborn de la manière suivante :
« Il n'y a pas une seule mine d'or en activité en France. Pourtant, cet (ancien) État colonialiste criminel, avec 2 436 tonnes d'or, possède les quatrièmes plus grandes réserves d'or du monde. Le Mali, (ancienne) colonie française, possède exactement 0,0 tonne d'or, bien qu'il possède plusieurs dizaines de mines (dont 14 officielles) dans le pays, d'où sont extraites pas moins de 70 tonnes par an. Sur les revenus de près de 60 tonnes d'or extraites par 600 000 enfants (selon les estimations) dans l'(ancienne) colonie française du Burkina Faso, seuls 10 % reviennent au pays, mais 90 % aux multinati-onales de l'orpaillage. [...] Le Niger, (ancienne) colonie française, possède les minerais d'uranium de la plus haute qualité d'Afrique et est le septième producteur d'uranium au monde, mais selon la Banque mondiale, 81,4 % de ses citoyens ne sont même pas raccordés au réseau électrique. 40 % vivent en dessous du seuil de pauvreté, un tiers des enfants ont un poids insuffisant et le taux d'analphabétisme est de 63 %. Seule la moitié des habitants a accès à l'eau potable, et 16 % seulement sont raccordés à un système d'assainissement adéquat. [...] Comment l'Afrique, qui dispose de tant de richesses, peut-elle être devenue le continent le plus pauvre du monde ? »
Selon Sonneborn, le politologue Michael Parenti a une réponse très simple à cette question : « Les pays pauvres ne sont pas 'sous-développés', mais 'surexploités'. »
De ce point de vue, les récents coups d'État apparaissent comme une tentative attendue de l'Afrique de se libérer du système d'exploitation et d'oppression. Le nouveau chef d'État du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, parle des huit années qui ont précédé le coup d'État de 2022 comme la forme la plus barbare et la plus violente de néo-colonialisme impérial. Lors du sommet africain de juillet à Saint-Pétersbourg, Traoré a lancé un appel à tous les représentants des Etats africains pour qu'ils libèrent le continent de ce système. Il a déclaré : « Le problème, ce sont les chefs d'Etat africains qui ne contribuent en rien à la lutte des peuples et qui jouent la même partition que les impérialistes. Ils nous qualifient de « milices », d'hommes qui ne respectent pas les droits de l'homme. De quels droits de l'homme parlent-ils ? [...] Nous, chefs d'Etat africains, devons cesser de nous comporter comme des marionnettes qui sautent à chaque fois que les impérialistes tirent les ficelles. »
Mais pourquoi les États africains ne se sont-ils pas libérés de ce système depuis longtemps ? Leurs présidents ne sont-ils vraiment que des marionnettes des intérêts occidentaux ? En regardant le passé plus récent, Arikana Chihombori-Quao, ancienne représentante de l'Union africaine aux États-Unis, explique que les dirigeants qui ont essayé d'obtenir le meilleur pour leur peuple ont été assassinés. Avant même qu'un président n'arrive au pouvoir, il existe pour lui des tabous : l'armée, les finances, les ressources naturelles. Il ne doit pas y toucher, car s'il le fait, il risque de ne pas survivre à la journée. Tant qu'il évite ces domaines, il peut gouverner comme il l'entend.
Chers téléspectateurs, n'est-ce pas une moquerie lorsque les politiciens et les médias occidentaux parlent de préserver l'ordre constitutionnel, alors qu'en réalité, cela ne désigne que les présidents qui assistent impuissants au bradage de leur pays ? Dans ce contexte, la demande de réintégration du président nigérien n'apparaît-elle pas sous un tout autre jour ? De quel droit la CEDEAO, qui a menacé de faire la guerre au Niger juste après le putsch, exige-t-elle le maintien d'un ordre constitutionnel qui ne garantit pas une vie digne à ses habitants ? Il est évident qu'il ne s'agit pas ici de protéger la démocratie, ce que les pays occidentaux utilisent constamment pour justifier leurs actions sans scrupules, mais d'une politique économique et de pouvoir implacable pour laquelle la CEDEAO s'est corrompue, tout comme les politiciens et les médias occidentaux. C'est pourquoi nous devons tous cesser d'accepter ce système flagrant de „deux poids deux mesures“. Il est grand temps qu'un tribunal populaire international indépendant se mette en place afin de rendre justice et de demander des comptes aux coupables.
« Une autre vérité qui dérange » : la couverture neigeuse de l'hémisphère Nord atteint son plus haut niveau depuis 57 ans
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 21H45
Un nouveau rapport hebdomadaire du Global Snow Lab de l'Université Rutgers révèle que la couverture neigeuse dans l'hémisphère nord se situe à l'extrémité supérieure d'un maximum de 57 ans.
"Encore une vérité qui dérange. Quand il fait chaud, il neige davantage, ce qui déclenche le processus de refroidissement. C'est une vieille théorie du cycle climatique depuis 60 ans, car elle figurait dans un livre que mon père m'a donné quand j'avais 8 ans", a déclaré le météorologue. Joe Bastardi a écrit sur X.
Bastardi a cité le message d'un autre utilisateur de X : "La dernière étendue de couverture de neige du laboratoire de neige Rutgers NH, maintenant proche du maximum de 57 ans. Étonnant dans un monde" en feu ".
- voir graph sur site -
Rappel au cours de l'été. Les grands médias ont publié une avalanche de gros titres catastrophiques sur le climat, notamment « L'ère de l'ébullition mondiale est arrivée », « Le mois le plus chaud de l'histoire de la civilisation » et « Le jour le plus chaud jamais enregistré ».
- voir doc sur site -
CBS News a écrit : « La Terre connaît le troisième jour consécutif le plus chaud jamais enregistré, même si ce n'est pas officiel : « Brutalement chaud ». » Il est crucial de noter que CBS s'est couvert de « non officiel », ce qui signifie que les données n'ont jamais été vérifiées.
Cela a conduit la National Oceanic and Atmospheric Administration à remettre en question les calculs climatiques avancés par les grands médias :
"Bien que la NOAA ne puisse pas valider la méthodologie ou les conclusions de l'analyse de l'Université du Maine, nous reconnaissons que nous sommes dans une période chaude en raison du changement climatique."
Dans un monde censé brûler à cause des pets de vaches et des voitures fonctionnant aux combustibles fossiles, la seule chose qui ne devrait pas se produire est une augmentation de la couverture neigeuse.
Attendez simplement que les grands médias citent un groupe de réflexion inconnu avec des calculs climatiques douteux qui soutiennent le récit selon lequel « l’augmentation de la couverture de neige est due au changement climatique ».
Nous détestons en parler aux grands médias, mais le climat a constamment changé depuis des milliards d’années.
Selon Greta, l’enfant guerrière du climat, nous devrions tous être morts à l’heure actuelle.
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La peur climatique est un projet qui dure depuis plusieurs décennies...
- voir doc sur site -
N'oubliez pas que dans l'hémisphère Nord, c'est un hiver El Niño.
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 23H00 Rédigé par Raymond Ibrahim via AmericanThinker.com,
Qu’est-ce qui se cache finalement derrière tant de maux (fabriqués) qui affligent actuellement l’Occident, de la folie de gauche à la folie du genre en passant par les confinements et les guerres inutiles ?
En un mot, les ultra-riches – l’élite milliardaire. C’est ce que soutient l’auteure à succès Hanne Nabintu Herland dans son dernier livre, The Billionaire World: How Marxism Serves the Elite.
Dans une série de chapitres vifs, Herland – historien des religions et fondateur du Rapport Herland – fait remonter tous les problèmes majeurs du monde à l’élite milliardaire et à son recours à la répression et à l’ingénierie sociale marxistes.
Bien que cela puisse paraître contre-intuitif, Herland avance – et documente – plusieurs arguments puissants.
Le fait qu'une petite élite contrôle une grande partie se voit dans le fait que même des marques apparemment opposées et concurrentes, telles que Coca-Cola et Pepsi, appartiennent généralement à la même entreprise, explique Herland. Il en va de même pour les médias soi-disant opposés « de gauche » et « de droite ». Six sociétés contrôlent 90 % de tous les médias américains. Quant à l’arène politique, les « 0,01 % les plus riches ont représenté 40 % de toutes les contributions à la campagne via les dons des entreprises ».
En bref, « ces entreprises privées mastodontes dominent complètement notre mode de vie, ce que nous mangeons, buvons, regardons à la télévision, ce que nous portons et pour qui nous votons. »
Il n’est pas étonnant que, quoi qu’il arrive dans le monde et peu importe à quel point ces évolutions soient préjudiciables à l’individu moyen, les ultra-riches ont tendance à s’enrichir encore davantage. Selon Herland, « 82 % de toutes les richesses générées en 2017 sont allées aux 1 % les plus riches d’entre nous, tandis que la population mondiale la plus pauvre, soit 3,7 milliards, n’a vu aucune augmentation de sa richesse ».
Mais c’est pire que ça ; il semble y avoir une corrélation directe entre l’appauvrissement de l’homme moyen et l’enrichissement des milliardaires. Écrit Herland,
[L]es plus riches d’entre nous ont gagné des milliards de dollars grâce à la tragédie mondiale du COVID-19, tandis que les pauvres du monde ont plongé dans une pauvreté inimaginable… La stratégie de fermeture a fait monter en flèche les profits des milliardaires. En quelques mois seulement en 2020, Bill Gates a gagné 75 milliards de dollars, Jeff Bezos 67,9 milliards de dollars, Mark Zuckerberg 37,8 milliards de dollars et Elon Musk 33,6 milliards de dollars.
Pendant ce temps, 48 % des propriétaires de petites entreprises aux États-Unis ont connu de graves perturbations économiques – un tiers d’entre eux ont fait faillite et les entreprises appartenant à des Noirs ont souffert de manière disproportionnée – en raison de ce confinement qui a autrement profité aux milliardaires.
D’un point de vue macro-historique, l’Occident régresse lentement et les ultra-riches deviennent « la version mondialiste des seigneurs féodaux, à mesure que la nouvelle classe esclave occidentale émerge sous eux ».
Mais comment cet état de choses lamentable a-t-il pu se produire en premier lieu ? Le marxisme – sous ses innombrables formes et itérations – est la réponse de Herland. Depuis les années 1960, à commencer par le mouvement « sexe libre et drogues », le marxisme, notamment sous l’apparence d’un matérialisme impie, s’est infiltré dans la culture occidentale, empoisonnant, corrompant et détruisant tout ce qui à l’origine a fait la grandeur de l’Occident, le rendant ainsi plus grand. mûr pour que les plus puissants – c’est-à-dire les plus riches – puissent les manipuler et les contrôler. Écrit Herland,
L’attaque marxiste contre les valeurs historiques occidentales a affaibli le noyau même de notre culture, détruit la stabilité sociale et la famille, étouffé la liberté d’expression et réduit au silence le peuple – et a ainsi levé les obstacles qui empêchaient la classe milliardaire d’obtenir un contrôle centralisé… La combinaison de forces fortes Les entreprises privées associées aux idéologies politiques socialistes ont poussé en faveur d’un modèle de pensée de groupe radical dans lequel la population est censée être d’accord avec le consensus – un peu comme celui dont nous avons été témoins pendant le national-socialisme en Allemagne avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le marxisme est particulièrement apte à exploiter tout environnement dans lequel la liberté et la liberté s’érodent et sont remplacées par une pensée de groupe. Selon les mots de Vladimir Lénine :
Nous devons être prêts à recourir à la supercherie, à la tromperie, à enfreindre la loi, à dissimuler et à dissimuler la vérité... Nous pouvons et devons écrire dans un langage qui sème parmi les masses la haine, la répulsion et le mépris envers ceux qui ne sont pas d'accord avec nous.
Il n’est pas nécessaire de s’étendre longuement pour dire que ces tactiques dominent aujourd’hui tout le discours social et politique – plus d’un siècle après qu’elles aient été écrites pour la première fois.
Il y a bien plus à recommander dans Herland’s Billionaire World. Presque tous les sujets urgents – y compris la politisation de la science, la montée de groupes (ouvertement marxistes) tels que Black Lives Matter (BLM), la persécution mondiale des chrétiens, l’attisation des tensions raciales et la réécriture de l’histoire – sont liés. au rôle négligé des élites milliardaires et à leurs programmes égoïstes.
* * *
Raymond Ibrahim, author of Defenders of the West and Sword and Scimitar is the Distinguished Senior Shillman Fellow at the Gatestone Institute and the Judith Rosen Friedman Fellow at the Middle East Forum.
Il est temps d’acheter un générateur ? Un nouvel avertissement indique que la moitié des États-Unis risquent de voir le réseau tomber en panne cet hiver
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 23H20
Le rapport Winter Reliability Assessment (WRA) 2023-24 de la North American Electric Reliability Corp. met en garde contre un risque accru d’« approvisionnement énergétique insuffisant » pendant les vagues de froid extrême. Cette préoccupation s’étend à de vastes pans du réseau électrique américain et canadien, touchant environ 180 millions de personnes. Les personnes vivant dans les régions mises en évidence devraient envisager de sécuriser des sources de production d’électricité de secours.
Les opérateurs de réseaux électriques du Texas à la Nouvelle-Angleterre « risquent de connaître un approvisionnement en électricité insuffisant pendant les conditions hivernales de pointe », indique le rapport.
Le rapport poursuit en affirmant que le fonctionnement fiable du système d'alimentation en vrac (BPS) et la disponibilité du carburant pour les générateurs alimentés au gaz naturel sont menacés lors de vagues de froid sévères et généralisées. Selon elle, de récents incidents hivernaux ont montré que plus de 20 % de la capacité de production peut être interrompue par des températures glaciales dans des régions d'Amérique du Nord qui ne sont pas habituées à un tel froid. Lorsque l’alimentation électrique est limitée, les opérateurs de BPS peuvent connaître une forte augmentation de la demande en raison de l’utilisation accrue de systèmes de chauffage électrique par temps froid.
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Selon Bloomberg, le WRA de cette année est « encore plus désastreux que le rapport de l'année dernière, qui indiquait qu'un quart des Américains étaient menacés par des urgences électriques par temps froid ». Il inclut pour la première fois certaines des zones les plus densément peuplées de la côte Est. , une région qui dépend fortement du gaz naturel dans sa transition vers les énergies renouvelables. Les générateurs de gaz là-bas sont largement tombés en panne lors d'une brève mais violente tempête hivernale en décembre dernier parce qu'ils sont tombés en panne ou n'ont pas pu obtenir de carburant.
Plus tôt cette année, PJM Interconnection, l'opérateur de réseau électrique de 13 États s'étendant de l'Illinois au New Jersey avec plus de 65 millions de clients, a publié une étude qui a révélé une tendance alarmante des politiques de décarbonisation des États et du gouvernement fédéral sur l'ensemble du réseau qui « présentent des risques croissants en matière de fiabilité ». pendant la transition, en raison d'un décalage temporel potentiel entre les retraits de ressources, la croissance de la charge et le rythme d'entrée de la nouvelle génération.
Les vulnérabilités croissantes du réseau américain surviennent alors que la National Oceanic and Atmospheric Administration a récemment publié de nouvelles prévisions qui montrent que les conditions El Nino cet hiver pourraient produire des conditions plus humides que la moyenne dans les États du centre de l'Atlantique.
- voir carte sur site -
Le passage à « l'énergie verte », avec l'abandon progressif de la production d'énergie fossile au profit d'énergies solaires et éoliennes peu fiables, contribue aux risques de panne du réseau par temps glacial. Cela survient également alors que la demande d’électricité augmente alors que de plus en plus d’Américains rechargent leurs véhicules électriques.
Mais l’administration Biden était censée renforcer le réseau électrique du pays avec des milliards de dollars de dépenses vertes… Si tel était le cas, il n’y aurait pas ces avertissements.
Pour ceux qui vivent dans des États désormais exposés à des risques élevés de coupure du réseau en raison du froid, envisagez un générateur domestique. De plus, sécuriser un Starlink pour une connexion Internet de sauvegarde pourrait vous faciliter la vie.
La Chine veut s'approprier le futur marché des robots humanoïdes
France-Soir le 09 novembre 2023 - 15:45
Selon le ministère chinois de l’Industrie et des Technologies de l’information, les robots humanoïdes "changeront profondément les modes de production et les modes de vie de l’humanité". Aussi l'Empire du Milieu a-t-il prévu de dominer le marché dans les prochaines années.
À partir de 2025, la Chine prévoit de s’organiser pour produire massivement ce type de robots aux traits humains, de sorte qu'elle puisse être le leader du marché d'ici à 2027. Comme le rapporte Le Figaro, "la stratégie vise pour l’essentiel à bâtir un écosystème industriel de taille, comprenant deux à trois géants internationaux, un tissu résistant de petites et moyennes entreprises, ainsi que deux ou trois clusters sur le territoire chinois". Évidemment, il faudra pour cela passer par l'acquisition massive de composants électroniques.
Plus tôt dans l'année, la société chinoise Unitree dévoilait un robot-chien fonctionnant grâce à l'IA, capable de parler. Un peu plus tard, la firme créait un nouveau robot humanoïde "H1", le présentant comme le "robot polyvalent, le plus puissant du monde".
Sans surprise, tous ces projets s'inscrivent dans la guerre économique que la Chine mène contre les États-Unis. Elle ne s'en cache pas et vise la place de numéro un mondial d'ici à 2049, notamment grâce aux marchés technologiques.
Des ambitions qui ne sont pas sans rappeler les projets fous d'Elon Musk, patron de Tesla, xAI, X (Twitter), Neurolink... et créateur du robot humanoïde "Optimus". Bien qu'il assurait que "nous devrions être très préoccupés" par leur développement, il était fier de promettre une "ère d’abondance" assortie d’un "revenu universel élevé". Selon lui, ces robots pourraient "vous suivre partout", tantôt dangereusement, tantôt pour "transformer fondamentalement la civilisation" en faisant le sale boulot à notre place.
Le robot c'est bien mais l''humanoïde' c'est nul. Il a du mal à se déplacer, grimper des escalier ou entreprendre toutes tâches humaines. Pourquoi ne pas adopter le centaure ? Le centaure est l'image d'un chien ou cheval avec le cou transformé en torse humain surmonté de 2 bras et une tête. Il peut se tourner à 180° vers son dos et posé dessus (ou en sacoches de chaque côté) des colis. De plus, comme il a 4 pattes il ne tombe pas et grimpe vite les escaliers.
La Chine dévoile son projet de production en masse de robots ressemblant à des humains, le qualifiant de « nouveau moteur » de croissance
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 05h00 Rédigé par Eva Fu via The Epoch Times
La Chine envisage de produire en masse des robots ressemblant à des humains d'ici deux ans, un plan ambitieux qui, selon un plan publié par le ministère de l'Industrie et des Technologies de l'information (MIIT), espère qu'il fera du régime de Pékin le leader dans le domaine. de la robotique.
L’objectif est d’établir un cadre d’innovation pour les robots humanoïdes et de garantir que le pays puisse fabriquer lui-même les éléments essentiels des robots.
Les produits, dans le cadre du plan MIIT, répondront aux normes internationales avancées en matière de qualité, pour une utilisation dans des environnements difficiles, dans les secteurs de la fabrication et des services, selon la directive. Comme les smartphones, les ordinateurs et les véhicules à énergies nouvelles, les robots humanoïdes ont le potentiel « perturbateur » de « révolutionner » la vie des gens, indique le document.
Le ministère a demandé aux autorités locales de profiter de la taille du marché chinois et de son « système national » pour accélérer le développement des robots humanoïdes en tant qu’industrie pilier pour faire progresser la fabrication et la domination numérique de la Chine.
Pékin espère que d’ici 2025, elle comptera deux à trois entreprises ayant une influence mondiale et qu’elle encouragera davantage de petites entreprises dédiées à ce domaine. Dans deux ans, l’objectif est de créer une « chaîne d’approvisionnement sûre et fiable » pour cette technologie et de rendre le pays compétitif à l’échelle mondiale. À ce stade, dit-il, ces produits seront profondément intégrés dans l’économie et deviendront un « nouveau moteur » pour la croissance économique.
Le « cerveau », le « cervelet » et les « membres » des robots devraient être au centre de l’attention, et l’industrie devrait viser à créer des robots « hautement fiables » pour des conditions difficiles ou dangereuses, indique la directive. Lors de la surveillance et de la protection des « emplacements stratégiques », les robots doivent être capables de se déplacer sur des « terrains très complexes », d'évaluer la situation et de prendre des décisions intelligentes, ajoute-t-il, ajoutant que les robots auront besoin d'une plus grande capacité à se protéger et à travailler avec des niveaux plus élevés. précision dans des scénarios tels que les travaux de sauvetage ou lorsque des explosifs sont impliqués.
Les autorités compétentes doivent approfondir la coopération internationale, encourager les entreprises étrangères à créer des centres de recherche en Chine et à introduire les produits chinois sur le marché international, selon le document.
Désireux de participer à l’établissement de normes mondiales pour les technologies émergentes, Pékin a déclaré qu’il aimerait s’impliquer « profondément dans l’établissement de règles et de normes internationales » et « apporter la sagesse chinoise » au développement de l’industrie, indique le document.
Cette directive constitue la dernière tentative de la Chine de renforcer son autonomie technologique, alors que les États-Unis renforcent leur interdiction d’accès à la Chine aux puces américaines avancées. En élargissant le contrôle des puces en Chine à partir d'octobre de l'année dernière, le Bureau de l'industrie et de la sécurité du département du Commerce a demandé à la mi-octobre à davantage d'entreprises américaines d'obtenir une licence avant de pouvoir exporter des puces semi-conductrices avancées vers la Chine, une mesure qu'ils ont déclarée nécessaire pour empêcher Pékin d’utiliser ces puces à des fins militaires. Le 23 octobre, le gouvernement américain a demandé à Nvidia de cesser d’expédier la plupart de ses principales puces d’intelligence artificielle vers la Chine.
Sans citer ces actions des États-Unis, le document demande à l’industrie de concevoir des puces d’IA pour les robots humanoïdes qui permettraient l’auto-apprentissage et d’autres capacités.
Une demi-douzaine de sociétés de renseignement chinoises ont vu leurs actions bondir jusqu'à 20 % le lendemain de l'annonce, et la valeur des actions d'autres produits électroniques robotiques a également bondi.
La feuille de route du régime de Pékin signifie qu'il sera en concurrence avec des sociétés internationales telles que Samsung, Microsoft et Tesla qui investissent dans ce domaine.
Le PDG de Tesla, Elon Musk, a tenté de construire un robot humanoïde appelé Optimus ou Tesla Bot. Cependant, après beaucoup de battage médiatique l'année dernière, la présentation du robot marchant lentement sur scène et saluant la foule n'a pas répondu aux attentes.
Il semble y avoir un optimisme quant à la technologie parmi les médias chinois.
Lu Hanchen, directeur de l'Institut de recherche industrielle de Gaogong, a déclaré au Securities Times, une société d'État, que même si la Chine est encore loin de produire des robots humanoïdes à grande échelle, cet objectif n'est pas loin.
Cette année, plus de dix entreprises chinoises ont révélé des innovations liées aux robots humanoïdes, a-t-il noté, ajoutant que la Chine dispose déjà de certaines installations de soutien au développement de robots industriels.
Pékin a mis de côté environ 10 milliards de yuans (environ 1,4 milliard de dollars) pour financer le développement de la robotique. Le 6 novembre, la Chine a ouvert le premier centre d'innovation au niveau provincial sur les robots humanoïdes dans la capitale du pays pour travailler à la résolution de « problèmes communs clés » urgents, notamment un système de contrôle des opérations, des logiciels open source et des prototypes de robots.
Au moins une entreprise chinoise, Jiangsu Miracle Logistics System Engineering Co., a promis de présenter son premier robot humanoïde d'ici la fin de l'année. La société chinoise de courtage en valeurs mobilières Zheshang Securities estime que le marché des robots humanoïdes aura une demande de 1,77 million de machines d'ici 2030.
Résistance du vulpin au glyphosate : faut-il se réjouir d'une « première mondiale » ?
9 Novembre 2023
C'est apparu sur ma « timeline » d'X (ex-Twitter). En ces temps de grandes manœuvres pour faire échouer le renouvellement de l'approbation du glyphosate au niveau de l'Union Européenne, il y a des gens qui s'empressent de publier des arguments qui plaident, ou sont censés plaider, contre cette décision...
(Source)
La page mise en lien est « Collaborations scientifiques pour une agriculture sans pesticides ». C'est assez cocasse : pour illustrer les « bons conseils », on nous renvoie à une page qui suggère que l'on étudie ou va étudier les systèmes faisant l'objet de ces « bons conseils ». (Source)
Or donc, l'Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement (INRAE) a publié une page – non datée (bravo pour le professionnalisme des communicants) –, « Mise à jour des cartes de résistance aux herbicides 2023 » avec une carte un peu particulière :
- voir carte sur site -
Cette carte comporte un élément que je trouve choquant : la bulle « Première mondiale ! ». On se féliciterait de cette grande nouvelle qu'on ne s'y prendrait pas autrement !
Remarquez : il y a sans doute, au sein de l'INRAE (oups ! d'INRAE), des secteurs et des personnels qui sont ravis de l'événement, si facile à utiliser dans un plaidoyer en faveur de l'interdiction du glyphosate..
En faisant preuve de complotisme, la page n'étant pas datée, on peut supputer que cette grande nouvelle a été gardée au chaud pour la sortir au moment où elle serait susceptible d'avoir un impact sur un processus décisionnel. Mais on peut aussi s'en remettre à Michel Rocard : « Toujours préférer l'hypothèse de la connerie à celle du complot. La connerie est courante. Le complot exige un esprit rare. »
Dans le cas présent, on peut tout aussi bien penser que, malgré l'infâme bulle, c'est un non-événement pour lequel les malherbologues de l'INRAE ont pu se dire à l'instar de Jacques Chirac : « Ça m’en touche une sans faire bouger l’autre. »
Encore que... trouver une nouvelle résistance, c'est aussi trouver un nouveau sujet d'étude avec à la clé, qui sait, des découvertes physiologiques et génétiques passionnantes.
Mais on peut aussi être, en même temps, pragmatique : « on » a trouvé un cas de résistance et, sans doute, on l'a éradiqué en appliquant d'autres moyens de lutte contre les mauvaises herbes. Et donc, on n'a pas jugé bon d'en faire de la publicité intempestive – à tort, car alerter, c'est inciter à la vigilance. En tout cas, je n'ai rien vu jusqu'à tout récemment.
Le premier « on » est intéressant. J'ai essayé d'en savoir plus mais, à mon grand regret, mes démarches n'ont pas abouti. Le glyphosate est, surtout en ce moment, un sujet explosif...
Mais on peut affirmer qu'il y a eu au moins un agriculteur – très compétent, forcément – observateur. On peut aussi supposer qu'il aura alerté un technicien, tout aussi compétent, de la chambre d'agriculture, lequel aura transmis l'information au grand manitou des résistances aux herbicides de l'INRAE, M. Christophe Délye.
Il n'y a donc que cette infâme bulle...
En cherchant un peu, j'ai trouvé un document plus complet daté de juin et mis en ligne en juillet 2023. La carte ci-dessus en fait partie (mais avec la mention de sa date).
- voir carte sur site -
Il est dit en introduction de ce document, à juste titre :
« 3. Sur les cartes, un département est mis en couleur en fonction du nombre de cas de résistance qui y ont été signalés.
➔ Ceci ne signifie évidemment pas que toutes les parcelles d’un département mis en couleur soient concernées par la résistance, même pour les départements où une résistance est très fréquente!
➔ Réciproquement, le fait qu’un département ne soit pas mis en couleur signifie uniquement que la résistance n’y a pas été signalée (soit parce qu’elle y est absente, soit parce qu’elle n’y a pas été recherchée ou identifiée, soit parce que les données n’ont pas été communiquées). »
À voir le résumé et les cartes, le glyphosate est peu affecté par les phénomènes de résistance. Ce n'est du reste pas un scoop.
Mais il n'y a pas lieu de faire preuve de complaisance.
- voir carte sur site -
C'est à comparer, par exemple, aux inhibiteurs de l'ALS. Ci-dessous, le cas des coquelicots.
- voir carte sur site -
Concluons sur trois points :
Premièrement, il appartient aux agriculteurs de gérer leurs outils de désherbage avec compétence. C'est une responsabilité individuelle d'intérêt collectif.
Deuxièmement, il appartient aux décideurs politiques de préserver la boîte à outils des agriculteurs, pas seulement pour qu'ils aient (au moins) un outil à disposition pour répondre à un problème particulier, mais aussi pour assurer la pérennité des outils face aux risques de résistances des cibles.
Troisièmement, il ne viendrait à l'idée d'aucun activiste anti-pesticides de demander l'interdiction d'un antibiotique au motif qu'un microbe particulier aura « développé » – ponctuellement – une résistance. Est-ce trop demander que de dire que cela devrait aussi s'appliquer au glyphosate ?
Chez Willi l'agriculteur, le niveau moyen des précipitations annuelles est (presque) atteint
10 Novembre 2023 Willi l'agriculteur*
Avec les précipitations de la semaine dernière, nous avons dépassé, sur notre site près de Cologne, la moyenne annuelle des précipitations, qui est de 670 mm sur le territoire allemand, avec 701 mm. Pour les sites situés à près de chez nous, la moyenne annuelle se situe entre 720 et 760 mm.
Il ne manque donc plus grand-chose pour que la somme annuelle habituelle soit également atteinte chez nous. Les prochains jours devraient être marqués par de nouvelles précipitations, mais moins abondantes que par le passé. En rétrospective, 2023 sera donc une année plutôt humide.
- voir graph sur site -
Des répercussions sur le travail dans les champs ?
La partie supérieure du sol est humide et pose actuellement des problèmes pour la récolte des pommes de terre, des betteraves sucrières et du maïs. En dessous de 60 cm et jusqu'à 100 cm environ, le sol est encore sec chez nous, mais cela va maintenant changer, car l'humidité se déplace peu à peu vers les couches plus profondes. Il n'est pas question de semer des céréales dans notre région.
Et les années précédentes ?
2022 a été très sec. L'année 2021 est connue pour les inondations de l'Ahr et a également entraîné chez nous des précipitations record en juillet, sans toutefois causer de dommages. Mais il n'aurait pas manqué grand-chose pour que notre ferme soit également inondée.
Voici les cartes de sécheresse pour les années depuis 1952 pendant la période de végétation en Allemagne :
https://www.ufz.de/index.php?de=47252
Elles montrent que les sécheresses sont devenues plus fréquentes ces dernières années. Mais toutes les années de sécheresse n'entraînent pas nécessairement des pertes de rendement. Tout dépend du moment où la sécheresse survient. Elle est même bienvenue pour la récolte des céréales et du colza s'il se remet à pleuvoir ensuite pour les cultures d'automne. Les pommes de terre et les betteraves sucrières peuvent résister à de telles phases pendant un certain temps grâce à leurs organes de stockage souterrains.
Si on me demande si, en tant qu'agriculteur, je souffre du changement climatique, je dois répondre par la négative. Je me doute que certains me critiqueront probablement pour cette affirmation, mais je veux être honnête.
Nous n'avons eu récemment une baisse de rendement des céréales qu'en 2018. Nous en avions eu une aussi en 1976 et 2003. Pour les betteraves sucrières, nous avons une nette tendance à l'augmentation des rendements, que j'attribue personnellement aussi aux conditions météorologiques. Toutefois, les ravageurs et les maladies jouent bien sûr aussi un rôle. Ainsi, l'intensité des maladies foliaires a augmenté dans les betteraves sucrières ; dans les céréales, nous avons tendance à avoir moins de problèmes et avons pu réduire les traitements. Mais le changement climatique nous apporte du sud de nouveaux insectes nuisibles que nous ne connaissions pas encore dans nos régions (mouche du brou du noyer, drosophile suzukii, cicadelles, etc.). Ils ne nuisent pas tous actuellement à nos grandes cultures, mais ils le font déjà aujourd'hui dans le Sud (cicadelle du roseau, vecteur de virus).
En tant qu'agriculteurs, nous devons donc rester vigilants et nous adapter à l'évolution de la situation. Mais nous l'avons déjà fait au cours des 12.000 dernières années. C'est notre vocation. _______________
* Source : Jahresniederschlag (fast) erreicht - Bauer Willi
(...) La partie supérieure du sol est humide et pose actuellement des problèmes pour la récolte des pommes de terre, des betteraves sucrières et du maïs. En dessous de 60 cm et jusqu'à 100 cm environ, le sol est encore sec chez nous, mais cela va maintenant changer, car l'humidité se déplace peu à peu vers les couches plus profondes. Il n'est pas question de semer des céréales dans notre région. (...)
Effectivement si l'eau migre vers les profondeurs (d'1 m !) elle ne va pas plus loin. Après la pluie: le 'beau temps' (soleil, vent). Le sol en surface s'assèche et l'eau remonte et s'évapore (comme un sucre posé sur du café: le café remonte dans le sucre sec).
Intelligence artificielle : les voitures pilotées par l'IA « fauchent parfois les enfants », l'intelligence artificielle est également prévue pour « remettre les clés des codes nucléaires » ?
Examiner les dernières transgressions contre la décence, la moralité et l'humanité elle-même par l'intelligence artificielle et ses architectes biologiques.
Par Ben Bartee Recherche mondiale, 10 novembre 2023
Le dilemme nucléaire de l’IA Les grandes puissances nucléaires du monde confient désormais la prise de décision aux entrailles numériques de l'intelligence artificielle (immunisée contre les retombées radioactives, soit dit en passant), qui (au mieux) nourrit une indifférence morale à l'égard de l'existence continue de l'humanité et, plus probablement, la considère comme une nuisance.
Via Nikkei Asie :
« L’administration Biden prévoit d’encourager la Chine à travailler avec les États-Unis sur des normes internationales en matière d’intelligence artificielle dans les systèmes d’armes, un nouveau domaine potentiel de coopération dans un contexte de tensions entre les deux puissances.
L'administration du président américain Joe Biden a mis en garde contre le recours à l'IA pour prendre des décisions impliquant l'utilisation d'armes nucléaires et soutient que les humains devraient être impliqués dans toutes les décisions critiques.
"Nous avons vu à travers l'histoire de nombreux exemples de cas dans lesquels la prise de décision pourrait être remise en question par le fait qu'un être humain ne comprend pas le contexte de la technologie, ne comprend pas le contexte de son utilisation et n'est vraiment pas en mesure de prendre la décision la plus éclairée", a déclaré Stewart, qui a suggéré que maintenir la participation humaine aux opérations nucléaires serait dans le meilleur intérêt de la Chine.
La question de l’utilisation de l’IA avec des armes nucléaires nécessiterait également des discussions avec la Russie, qui poursuit sa guerre en Ukraine. La Russie a suspendu sa participation au dernier accord bilatéral de contrôle des armements nucléaires, connu sous le nom de New START, dans un contexte de tensions accrues avec l’Occident.
Soyons honnêtes : le gouvernement américain est l’épicentre de la prise de contrôle de l’IA. Tout ce qu’il accuse la Chine de faire dans ce domaine, notamment en dotant l’IA de la capacité de décision nécessaire pour larguer des armes nucléaires, il l’a probablement déjà fait ou est en train de le faire lui-même.
Tout l’intérêt de la doctrine de la destruction mutuelle assurée (MAD) – la seule raison pour laquelle la Terre est encore (quelque peu) habitable en 2023 – est que les membres humains des nations humaines ne tireraient pas d’armes nucléaires contre d’autres puissances nucléaires parce qu’ils comprendraient que cela entraînerait à une catastrophe mondiale à laquelle ils ne survivraient probablement pas, que ce soit en tant qu'État ou en tant qu'individus.
Et ce ne sont pas seulement les armes nucléaires que l’IA peut être utilisée pour développer et déployer.
Via les Affaires étrangères :
«Lorsque les chercheurs en drogue ont utilisé l'IA pour développer 40 000 armes biochimiques potentielles en moins de six heures l'année dernière , ils ont démontré comment des systèmes d'IA relativement simples peuvent être facilement ajustés pour produire des effets dévastateurs. Des cyberattaques sophistiquées basées sur l’IA pourraient également se détraquer, faisant dérailler sans discernement les systèmes critiques dont dépendent les sociétés , un peu comme la tristement célèbre attaque NotPetya, lancée par la Russie contre l’Ukraine en 2017, mais qui a finalement infecté des ordinateurs à travers le monde. Malgré ces signes avant-coureurs, la technologie de l’IA continue de progresser à une vitesse vertigineuse, ce qui fait que les risques pour la sécurité se multiplient plus rapidement que les solutions ne peuvent être créées. »
Les tentatives réglementaires des gouvernements pour limiter l’IA – telles qu’elles le sont – sont un jeu géant de Whac-a-Mole. Il n'est pas possible de remettre ce génie dans la bouteille, et cela n'arrivera certainement pas sous la direction de l'entité de Brandon, peu importe à quel point ils lui injectent d'amphétamine, ou le futur président Karamel-euh, dont la seule expertise réside dans la bite de qui. elle doit être nulle pour obtenir sa prochaine promotion.
Big Pharma concocte un « vaccin » pour traiter la dépendance à la cocaïne C’est l’idéologie pharmaceutique über-alles à l’œuvre.
Pour ces personnes, il n’existe aucun problème qui ne puisse être résolu par le bout d’une aiguille.
Via le Japon aujourd'hui :
« Des scientifiques brésiliens, deuxième consommateur mondial de cocaïne, ont annoncé le développement d'un nouveau traitement innovant contre la dépendance à la drogue et à son puissant dérivé du crack : un vaccin.
Baptisé « Calixcoca », le vaccin testé, qui a donné des résultats prometteurs lors d'essais sur des animaux, déclenche une réponse immunitaire qui empêche la cocaïne et le crack d'atteindre le cerveau , ce qui, espèrent les chercheurs, aidera les utilisateurs à briser le cycle de la dépendance.
En termes simples, les toxicomanes ne se défonceraient plus à cause de la drogue .
Si le traitement obtient l'approbation réglementaire, ce serait la première fois que la dépendance à la cocaïne serait traitée à l'aide d'un vaccin, a déclaré le psychiatre Frederico Garcia, coordinateur de l'équipe qui a développé le traitement à l'Université fédérale du Minas Gerais.
Le projet a remporté la semaine dernière le premier prix – 500 000 euros (530 000 $) – aux prix Euro Health Innovation pour la médecine latino-américaine, parrainés par la société pharmaceutique Eurofarma.
À l’avenir, littéralement chaque maladie sociale, psychologique, culturelle et évidemment physique sera accompagnée d’un « vaccin » approuvé par la FDA pour la traiter.
Des voitures contrôlées par l’IA écrasent des femmes et des jeunes enfants Écoutez, bigot, vous allez simplement devoir accepter la nouvelle réalité selon laquelle, à l'occasion, les voitures conduites par l'IA vont simplement faucher les grands-mères et les enfants à leur manière.
C'est le prix du Progress™.
Quoi qu'il en soit, c'est leur faute humaine s'ils sont petits et faibles. Si Dieu voulait qu'ils survivent au Meilleur des Mondes, il aurait façonné leurs os en titane au lieu de calcium – ou mieux encore, aurait rendu leur conscience éthérée et non corporelle à sa propre image, comme il l'a fait avec nos nouveaux seigneurs de l'IA.
« Les sociétés audiovisuelles espèrent que ces véhicules sans conducteur remplaceront non seulement Uber, mais aussi la conduite humaine telle que nous la connaissons . La technologie sous-jacente, cependant, est encore à moitié cuite et sujette aux erreurs, ce qui donne lieu à de nombreuses critiques selon lesquelles des entreprises comme Cruise effectuent essentiellement des tests bêta sur la voie publique.
Malgré le scepticisme populaire, Cruise insiste sur le fait que ses robots sont profondément plus sûrs que ce qu'ils visent à remplacer : les voitures conduites par des humains. Dans une interview le mois dernier, Kyle Vogt, PDG de Cruise, a minimisé les problèmes de sécurité : « Tout ce que nous faisons différemment des humains est du sensationnalisme. »
Les inquiétudes concernant les voitures de croisière ont atteint leur paroxysme ce mois-ci . Le 17 octobre, la National Highway Traffic Safety Administration a annoncé qu'elle enquêtait sur la flotte de près de 600 véhicules de Cruise en raison des risques posés aux autres voitures et aux piétons. Une semaine plus tard, à San Francisco, où les voitures de croisière sans conducteur transportent des passagers depuis 2021, le Département des véhicules automobiles de Californie a annoncé qu'il suspendait les opérations sans conducteur de l'entreprise. À la suite d'une série de dysfonctionnements et d'accidents hautement médiatisés, la cause immédiate de l'ordonnance, selon le DMV, était que Cruise avait dissimulé des images d'un incident récent au cours duquel l'un de ses véhicules avait heurté une piétonne, la traînant sur 20 pieds sur la route .
Cependant, même avant la crise des relations publiques de ces dernières semaines, des documents internes non signalés tels que les journaux de discussion montrent que Cruise était au courant en interne de deux problèmes de sécurité urgents : les voitures de croisière sans conducteur avaient du mal à détecter de grands trous sur la route et ont tellement de mal à reconnaître les enfants dans certains scénarios où ils risquaient de les heurter . Pourtant, jusqu'à ce qu'il soit critiqué ce mois-ci, Cruise a maintenu sa flotte de taxis sans conducteur active, continuant à assurer régulièrement une sécurité surhumaine.
« Les documents internes [de Cruise] attribuent l'incapacité des voitures robotisées à reconnaître de manière fiable les enfants dans certaines conditions à un logiciel et à des tests inadéquats. « Nous sommes peu exposés aux petits VRU » – les usagers vulnérables de la route, une référence aux enfants – « donc très peu d'événements pour lesquels estimer les risques », indiquent les documents. Une autre section concède que les véhicules Cruise « ne disposent pas d'un classificateur Small VRU de haute précision » ou d'un logiciel d'apprentissage automatique qui détecterait automatiquement les objets en forme d'enfant autour de la voiture et manœuvrerait en conséquence. Les documents indiquent que Cruise, dans le but de compenser les lacunes de l'apprentissage automatique, s'appuyait sur des travailleurs humains en coulisses pour identifier manuellement les enfants rencontrés par les AV alors que son logiciel ne pouvait pas le faire automatiquement.
L’effondrement des énergies renouvelables se propage : des pannes de courant après un avertissement de « continuité d’exploitation »
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 13:45
Les actions de Plug Power, une société spécialisée dans l'hydrogène et l'énergie des piles à combustible, ont chuté de 30 % lors des échanges avant commercialisation à New York. Cette forte baisse fait suite à la publication jeudi soir du rapport sur les résultats du troisième trimestre de l'entreprise, qui faisait état de « défis d'approvisionnement sans précédent dans le réseau d'hydrogène en Amérique du Nord ».
Plug Power a déclaré des pertes de 283,5 millions de dollars au troisième trimestre, soit 47 cents par action, en hausse par rapport à une perte de 170,8 millions de dollars, ou 30 cents par action, au même trimestre il y a un an. Le chiffre d'affaires de la société a augmenté à 199 millions de dollars contre 189 millions de dollars un an plus tôt et a légèrement dépassé l'estimation du consensus Bloomberg de 200,2 millions de dollars.
Voici un aperçu du trimestre :
Revenu net de 198,7 millions de dollars, +5,3 % sur un an, estimation de 200,2 millions de dollars (Consensus Bloomberg) Ventes de systèmes de piles à combustible, d'infrastructures et d'équipements associés 145,1 millions de dollars, -8,1 % sur un an, estimation de 172,6 millions de dollars Ventes de services effectués sur les systèmes de piles à combustible et les infrastructures associées 9,29 millions de dollars, + 11 % sur un an, estimation 10,2 millions de dollars Ventes issues des contrats d'achat d'électricité 20,1 millions de dollars contre 9,52 millions de dollars sur un an, estimation 14,7 millions de dollars Ventes de carburant livré aux clients et d'équipements associés 19,4 millions de dollars, + 56 % sur un an, estimation 19 millions de dollars Autres revenus 4,85 millions de dollars contre 0,32 million de dollars sur un an, estimation 0,56 million de dollars Perte par action 47c contre perte/shr 30c a/a, estimation perte/shr 30c Marge brute -69%, estimation -15,1% Trésorerie et équivalents de trésorerie 110,8 millions de dollars, -94 % sur un an, estimation 523,1 millions de dollars
Sous le choc, Plug Power a déclaré que les performances de cette année « ont été affectées négativement par des défis d'approvisionnement sans précédent dans le réseau d'hydrogène en Amérique du Nord ». Il a imputé une « grave pénurie d'hydrogène » qui a « affecté négativement le coût direct du service ainsi que le calendrier de mise en œuvre des mises à niveau de la flotte dans les équipements exploités par les clients ». Et a déclaré que les impacts négatifs étaient aggravés par « l’inflation ».
"Nous pensons que ce défi d'approvisionnement en hydrogène est un problème transitoire, d'autant plus que nous prévoyons que nos installations de Géorgie et du Tennessee produiront à pleine capacité d'ici la fin de l'année", a-t-il ajouté.
Bien que les problèmes de chaîne d'approvisionnement soient une chose pour Plug Power, la société a averti que les liquidités existantes, les titres disponibles pour les titres et les titres de participation ne seraient pas suffisants pour financer les opérations au cours des 12 prochains mois. "Ces conditions et événements soulèvent des doutes substantiels quant à la capacité de l'entreprise à poursuivre ses activités", ajoute-t-il.
Chris Dendrinos, analyste de RBC Marchés des Capitaux, estime que Plug Power aurait besoin de plus de 750 millions de dollars pour accroître ses liquidités au cours des 12 prochains mois.
"La direction de [Plug] a exprimé sa confiance dans l'exécution d'une transaction de liquidité à court terme et continue de voir une voie d'amélioration de la marge au cours de l'année prochaine. Cependant, à l'heure actuelle, nous pensons qu'il est prudent de rester sur la touche et d'attendre l'exécution de ces événements. " Dendrinos a écrit dans une note.
L'analyste de KeyBanc, Sangita Jain, a averti qu'un prêt potentiel de 1,5 milliard de dollars du ministère de l'Énergie destiné à atténuer les problèmes de liquidité à court terme pourrait devoir être approuvé plus rapidement.
Outre l’effondrement du secteur de l’hydrogène, nous avons fait comprendre aux lecteurs que le secteur des énergies renouvelables du président Biden est en pleine crise. L’inflation, les taux d’intérêt élevés et la baisse de la demande ont fait chuter les stocks d’énergie éolienne et solaire ces dernières semaines.
Il est peut-être temps pour l’administration Biden de lancer des plans de sauvetage « verts ».
Le gouvernement allemand accepte de renflouer un parc éolien géant déficitaire et le Royaume-Uni augmente ses subventions
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 08h45
Reuters rapporte que le gouvernement allemand, Siemens AG et d'autres parties fourniront des milliards d'euros de garanties liées au projet pour soutenir la division éolienne en difficulté de Siemens AG. Cette aide financière intervient quelques semaines seulement après que l’entreprise a mis en garde contre des pertes croissantes dans un contexte d’effondrement des industries éolienne et solaire.
Trois personnes proches des négociations ont déclaré que le principal actionnaire de Siemens Energy, Siemens AG, avec une participation de 25,1%, était prêt à fournir certaines garanties. Les détails sont encore rares et rien n’a été décidé, car un accord doit être formellement rédigé et soutenu par toutes les parties prenantes.
Le mois dernier, Reuters a déclaré que Siemens Energy discutait des garanties d'État avec le gouvernement allemand.
En savoir plus sur le rapport :
En conséquence, Siemens Energy craint d'avoir du mal à obtenir des garanties auprès des banques et a contacté le gouvernement et Siemens pour obtenir un cadre de garantie, a indiqué l'hebdomadaire économique WirtschaftsWoche.
L'hebdomadaire, qui a été le premier à rendre compte des négociations avec le magazine Spiegel, indique que Siemens Energy demande jusqu'à 15 milliards d'euros de garanties.
L'État allemand assumerait 80 % d'une tranche initiale de financement de 10 milliards d'euros, tandis que les banques seraient responsables des 20 % restants, a indiqué la WirtschaftsWoche.
Un porte-parole de Siemens AG a déclaré que l'entreprise restait en "discussions très constructives pour définir la meilleure solution possible dans l'intérêt de toutes les parties impliquées".
Les actions de Siemens Energy en Allemagne se sont effondrées de plus de 70 % depuis la mi-juin, le groupe ayant abandonné ses perspectives de bénéfices pour 2023 après qu'un examen de son unité éolienne a révélé un problème d'un milliard d'euros. Les actions ont augmenté de 5% selon le rapport de Reuters publié aujourd'hui.
Pendant ce temps, une crise financière continue de s'accélérer dans l'industrie éolienne, le plus grand développeur de parcs éoliens offshore au monde, Ørsted, se retirant de grands projets américains en raison de la flambée des coûts de l'inflation et d'un environnement de taux élevés. Et l’effondrement des énergies renouvelables dans le secteur éolien s’est étendu au solaire, alors que les actions de plusieurs sociétés d’énergie solaire se sont effondrées en raison de la baisse de la demande.
Ainsi, juste après le sauvetage de Siemens par l'Allemagne, Bloomberg rapporte que le gouvernement britannique se prépare à offrir des subventions nettement plus élevées pour les nouveaux parcs éoliens offshore afin de remettre sur les rails la stratégie d'énergie propre du pays après que les développeurs ont évité une précédente vente aux enchères, parce que le prix était trop bas pour que l’éolien offshore soit viable.
Le danois Orsted A/S, le plus grand constructeur éolien offshore au monde, décidera d’ici décembre s’il souhaite poursuivre un développement au Royaume-Uni, tandis que le suédois Vattenfall AB a abandonné un projet géant au large des côtes anglaises plus tôt cette année en réponse à la flambée des coûts.
Même si l’augmentation des subventions lors du prochain cycle d’enchères, connu sous le nom d’AR6, pourrait bien redynamiser le développement de l’énergie éolienne offshore, elle se traduira probablement par une augmentation des coûts de l’électricité pour les consommateurs encore accablés par des factures exorbitantes à la suite de la crise énergétique de l’année dernière.
La transition énergétique vers les énergies renouvelables dans le monde occidental est en train de se fissurer. Rappelez-vous que la loi sur la réduction de l’inflation de l’administration Biden visait avant tout l’énergie éolienne « durable »… Il est temps d’effectuer un autre plan de sauvetage ?
Le Dr McCullough, expert mondial du Covid-19, accuse l'OMS
RépondreSupprimer07.11.2023
www.kla.tv/27389
Le 13 septembre 2023, une conférence ouverte de haut niveau s'est tenue dans le bâtiment du Parlement européen à Strasbourg sur la nouvelle proposition de réglementation de l'OMS. Le Dr Peter McCullough, médecin praticien, épidémiologiste et cardiologue, a été invité à s'exprimer parmi ce groupe d'experts.
En tant que médecin spécialisé, il partage ses connaissances sur les effets des vaccins Covid et démontre que l'OMS fait partie d'un complexe biopharmaceutique, d'un syndicat qui s'est construit au fil des années.
Chers spectateurs, vous pourrez découvrir, dans son discours que nous diffusons maintenant dans son intégralité, ses recherches et ses propositions pour remettre à sa place une OMS de plus en plus puissante.
C'est un honneur et un privilège que le Dr Peter McCullough, du Texas, aux États-Unis, soit parmi nous aujourd'hui. Je vous en remercie. Il est interniste, cardiologue et épidémiologiste ; il est diplômé de l'université Baylor, de l'université du Texas Southwestern Medical School, de l'université du Michigan et de la Southwestern Methodist University. Il s'occupe à Dallas, Texas, des maladies infectieuses générales ainsi que des complications cardiovasculaires résultant à la fois de l'infection virale et des dommages causés par l'injection de vaccin Covid-19. Le Dr Peter McCullough a publié un grand nombre d'articles sur différents sujets médicaux et figure dans la National Library of Medicine avec plus d'un millier de publications et 685 citations. Le Dr McCullough a fait de nombreuses déclarations au Sénat américain et dans de nombreux parlements d'État sur des aspects de la lutte contre la pandémie. Le Dr McCullough a consacré des années de travail académique et clinique à la lutte contre le virus du SRAS-CoV-2, en examinant des milliers de rapports, en participant à des congrès scientifiques, à des discussions de groupe et à des communiqués de presse, et il est considéré comme l'un des meilleurs experts mondiaux du Covid-19. Nous vous remercions.
Dr Peter McCullough :
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour cette introduction et merci pour les chaleureuses salutations. Merci à Mme Anderson, aux membres du Parlement et à vous tous. Comme cela vous a été présenté, je suis le Dr Peter McCullough. Je suis interniste, cardiologue et épidémiologiste en exercice et, depuis le début de la pandémie, je me suis entièrement consacré à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour aider chaque patient. Voici mes observations et voici mon analyse. Le monde a été frappé par deux vagues de dommages. La première a été l'infection par le SRAS-CoV-2, qui a surtout touché les personnes fragiles et âgées. Et la deuxième vague de préjudices, ce sont les vaccins Covid-19. Dans les deux cas, le rôle de l'OMS semble problématique. Le rôle de l'OMS semble se situer au sein d'un complexe biopharmaceutique, un syndicat, un syndicat compliqué qui s'est formé au fil du temps. Il s'agit notamment de l'OMS, des Nations unies, du Forum économique mondial, de la Fondation Gates, de la Fondation Rockefeller, du Wellcome Trust, de Gavi, du CEPI, de la Coalition pour la Préparation aux épidémies et l’innovation, en grande partie formée par la Fondation Gates et le FEM. Le Département d'État américain, les Instituts nationaux de la santé, le CDC, la FDA, la MHRA au Royaume-Uni, la TGA en Australie, la SAFRA en Afrique du Sud, l'EMA ici en Europe. Ces organisation non gouvernementales et d'autorités sanitaires publiques travaillent groupées toutes ensemble. Elles sont soigneusement coordonnées. Et les conséquences ont été négatives. Au début de la pandémie, l'OMS a enquêté sur l'origine du SRAS-CoV-2. C'est à ce moment-là que la dissimulation a commencé. Le contre-amiral Brett Giroir, des États-Unis, a chargé trois scientifiques indépendants de se rendre à Wuhan et de découvrir ce qui se passait. À ce moment-là, nous connaissions Anthony Fauci, Francis Collins, Jeremy Farrar, qui travaillait au Wellcome Trust et qui est maintenant scientifique en chef à l'OMS, Christian Anderson à Scripps, Edwin Holmes à Sydney et Peter Daszak de l'EcoHealth Alliance. Ils ont tous conspiré en janvier 2020 pour dissimuler ce qu'ils savaient, à savoir que le virus avait été développé dans le cadre d'une collaboration conjointe américano-chinoise dans le laboratoire de Wuhan, en Chine. Et ils ont trompé le monde en publiant ensuite 12 publications frauduleuses dans la littérature évaluée par des professionnels. Le chef de file était Jeremy Farrar, qui est le scientifique en chef de l'OMS. Tout cela figure dans une série de rapports de la Commission spéciale de la Chambre des représentants du Congrès américain, dirigée par le député Brad Wenstrup. Depuis le début, l'OMS a joué un rôle négatif et a trompé le monde sur l'origine du SRAS-CoV-2. Des médecins comme nous, qui travaillons dans la pratique clinique, ont pris du retard dans cette affaire parce que nos gouvernements et les autorités comme l'OMS n'ont pas été honnêtes avec nous. Au lieu de nous aider, ou du moins de ne pas nous mettre des bâtons dans les roues pour traiter les patients et sauver des vies, ils se sont mis en travers de notre chemin et ont entravé nos possibilités.
Deux ans. Je suis l'auteur principal de la plus grande étude autopsique jamais réalisée sur les décès survenus après la vaccination COVID-19 dans le monde. Nous avons cherché dans la littérature, 600 travaux, toutes les constatations cliniques. Nous les avons examinés avec des connaissances contemporaines, des experts en pathologie et en médecine clinique. Notre conclusion : 73,9 % des décès survenus après la vaccination sont dus au vaccin. Ils sont dus au vaccin. Lorsqu'une myocardite est suspectée, comme l'a établi une deuxième étude dont je suis le premier auteur, c'est 100 % des cas. C'est dû au vaccin. Pas au COVID, la maladie respiratoire, mais au vaccin. Nous voyons maintenant un troisième faux narratif. Le premier faux narratif était le suivant : le virus est inattaquable, nous devons nous isoler et être dans la crainte. Le deuxième faux narratif est le suivant : Faites-vous vacciner, c'est sûr et efficace. Actuellement le troisième faux narratif dit que ce n'est pas le vaccin qui cause ces problèmes, mais le COVID. C'est le COVID que nous avons vu en 2020 et qui cause tous ces problèmes en 2023. Ne tombez pas dans ce faux narratif. La littérature médicale est convaincante à l'heure actuelle.
RépondreSupprimerLes critères de causalité de Bradford-Hill sont remplis.
Les vaccins sont la cause de cette énorme vague de maladies.
Cela pourrait-il vous concerner, vous ou un membre de votre famille ?
Pour finir, voici quelques travaux importants. L'un d'eux est celui de Schmeling et de ses collègues du Danemark. Ils montrent qu'environ 30 % des personnes qui ont reçu un vaccin n'ont aucun effet secondaire. Rien, pas même un bras douloureux. Pas même l'impression qu'il s'est passé quelque chose avec l'injection. Ces personnes semblent toujours aller bien. Comme si elles n'avaient pas reçu d'injection. Et les données sont les mêmes aux États-Unis et dans notre système viral. Pour le deuxième groupe, il s'agit d'environ 70 % des personnes. Ils ont quelques effets secondaires modérés, quelques problèmes, mais ils ne semblent pas avoir de problèmes vraiment graves. Et puis il y a le petit groupe du troisième lot. 4,2 % dans les données de Schmeling. C'est un record absolu. Myocardites, arrêts cardiaques, caillots sanguins, AVC hémorragiques, handicaps. Mort subite à domicile dans un lit. Et les données sont les mêmes aux États-Unis. 4,2 % des personnes en Europe sont actuellement en difficulté.
Parce qu'ils ont eu la malchance de recevoir un lot à haut risque. Aux États-Unis, selon nos données CDC-V-Safe, qui sont des données auto-déclarées, 7,7 % des Américains sont tombés malades à la suite d'une vaccination au point de devoir être admis à l’hôpital et soignés ou gardés en hospitalisation. Une enquête Zogby menée il y a environ un an, avec un grand échantillon représentatif aux États-Unis, a révélé que 15 % des personnes vaccinées sont actuellement confrontées à un problème médical. Donc, encore une fois : 4,2 %, 7,7 %, 15 %. C'est la pénombre. C'est le diagramme logique que vous allez tous prendre en compte dans vos calculs. Quelle est la voie à suivre ? La voie à suivre est clairement que personne ne fasse d'autre tentative. Personne ne doit le faire. Le 11 juin 2022, le World Council for Health, une organisation multinationale de médecins et de prestataires de soins de santé, a publié un rapport de pharmacovigilance dans lequel ils ont examiné 39 bases de données de sécurité, dont la base V-Safe de l'OMS et les bases de données de l'EMA aux États-Unis. Elles ont conclu que tous les vaccins COVID-19 devraient être retirés du marché en raison d'un risque de mortalité trop élevé. Risque de mortalité excessif. C'est tout.
RépondreSupprimerLe 7 décembre 2022, j'ai co-présidé une réunion au Sénat américain et notre groupe d'experts a conclu, par approbation du Sénat américain, que tous les vaccins COVID-19 devaient être retirés du marché. C’est bien tous.
Pas de nouveaux vaccins de rappel.
Et puis, le 23 mars 2023, l'Association des médecins et chirurgiens américains, une organisation objective, basée sur des faits, des preuves et un consensus, a conclu, tout comme les deux autres, qu'il fallait retirer les vaccins du marché. Je vous explique donc que les vaccins COVID-19, ainsi que tous leurs descendants et les futurs vaccins de rappel à usage humain, ne sont pas sûrs. Je vous demande, à vous, l'Agence européenne des médicaments, d'exercer toutes les pressions possibles pour retirer du marché les vaccins COVID-19 avec toute l'urgence requise.
Aux États-Unis, ça va d'un État à l'autre. Il est probable que les différents États retireront les vaccins du marché si le gouvernement fédéral ne le fait pas. C'est ce qui va se passer. Ça se produira partout dans le monde.
RépondreSupprimerL'OMS est derrière ces vaccins. Ils sont bien plus un problème qu'une aide pour l'Union européenne. Et je pense que l'Union européenne, les États-Unis et tous les principaux groupes d'intérêt devraient se retirer complètement de l'OMS et la laisser à ses propres efforts afin qu'elle n'ait pas de juridiction ni de suprématie sur nos activités de santé publique.
L'OMS n'aura jamais la domination sur ce que je fais, en tant que praticien, avec les patients dans mon cabinet.
Je suis le Dr Peter McCullough. Je vous remercie de m'avoir invité.
de ug./avr.
Sources / Liens :
Discours du Dr McCullough au Parlement européen le 13 sept. 2023
https://www.youtube.com/watch?v=1Pa9yZ9kwc0
Les vaccins Covid doivent être retirés du marché, demande le cardiologue et épidémiologiste McCullough
https://transition-news.org/covid-impfstoffe-mussen-vom-markt-genommen-werden
https://www.kla.tv/fr
Le Dr Peter Hotez et l'inversion de la réalité
RépondreSupprimerL'interview étrange de Joe Rogan de The Vaccine Apostle
PETER MCCULLOUGH, MD
31 DÉCEMBRE 2022
Par John Leake
Il y a longtemps, j’ai lu un essai dans le Nouveau Critère dont le titre – « L’apôtre de l’inversion » – m’est resté gravé dans la mémoire. Il s’agissait d’une critique de la biographie d’Edmund White sur l’écrivain français Jean Genet. Cet essai m'est revenu à l'esprit lorsque j'ai écouté la récente conversation de Joe Rogan avec le Dr Peter Hotez. La description des personnages de Genet m’a semblé particulièrement pertinente.
Ses garçons [de Genet] jouent à être des filles, deviennent des filles ; ses servantes deviennent maîtresses, ses noirs portent des masques blancs ; et ainsi de suite, le bien est le mal et le vice est la vertu et la trahison est la foi ; tout est – en fin de compte, de façon tout à fait prévisible – renversé et sens dessus dessous.
Tout est… retourné et sens dessus dessous. Ceci, me semble-t-il, décrit parfaitement les nombreuses affirmations du Dr Hotez sur l’expérience Joe Rogan. Pour en citer quelques-uns :
Soyons clairs : Internet est actuellement propriétaire d’un lobby anti-vaccin. Cela signifie que, selon certaines estimations, ils ont créé 500 sites Web anti-vaccins, de sorte que chaque fois que vous insérez le mot vaccin dans un moteur de recherche, que ce soit Yahoo ou Google, vous obtenez de fausses informations anti-vaccins. . C'est le numéro un.
Deuxièmement, nous savons maintenant que ce phénomène est amplifié sur les réseaux sociaux comme Facebook et d’autres formes de réseaux sociaux.
Troisièmement, regardez le site Amazon. C'est incroyable. Donc mon livre – la bonne nouvelle est que c’est le livre pro-vaccin le mieux noté sur Amazon. La mauvaise nouvelle est que, dans l’ensemble, il est classé dans une vingtaine, car il existe dix-neuf autres livres anti-vaccins bidon. Amazon est donc désormais le plus grand fournisseur de livres anti-vaccins.
Il est vrai que le livre le plus récent du Dr Hotez n’a pas obtenu de bons résultats en termes de classement des ventes et de critiques sur Amazon. D’un autre côté, qui serait intéressé à lire sur la lutte d’un défenseur des vaccins à une époque où la majeure partie de l’humanité était obligée de les recevoir ?
Attends, c'est pire. Ils [les militants anti-vaccins] ont des comités d’action politique, font pression sur les législatures des États et diffusent ensuite de fausses informations sur les effets des vaccins.
RépondreSupprimerLe problème est que nous ne disposons d’aucun système solide de plaidoyer en faveur des vaccins pour le contrer.
Vraiment ? Qu’en est-il de la Fondation Rockefeller, de la Fondation Bill et Melinda Gates, du Wellcome Trust, du Forum économique mondial, de la Clinton Global Initiative, de GAVI, du CEPI, de l’administration Biden, du NIAID, du DOD, de la DARPA, du HHS, de la BARDA, de la FDA, du CDC, de la FEMA ? , l'armée américaine, le chirurgien général américain Vivek Murphy, le corps communautaire COVID-19, les districts scolaires publics, les principaux systèmes hospitaliers et universités, l'industrie cinématographique, l'industrie du disque, l'industrie aérienne, l'industrie financière, les grands médias américains, le les grandes églises, la plupart des équipes sportives professionnelles, Moderna, Pfizer-BioNTech, Johnson & Johnson et AstraZeneca ?
Malheureusement, la défense des vaccins dans ce pays incombe à une poignée d’universitaires comme moi. Vous savez, je suis universitaire, j’ai écrit un livre. Quelle chance ai-je face à cet empire médiatique majeur ?
Quiconque a été, même vaguement, attentif au discours public depuis 2020 reconnaîtra que ces déclarations constituent une parfaite inversion de la réalité. Lorsque M. Rogan interroge le Dr Hotez sur « l’empire » auquel il est confronté, il répond :
Eh bien, je suis un peu réticent à le dire parce qu’ils sont très procéduraux et que je n’ai pas les moyens de me défendre dans un procès.
Les parents n’ont pas la chance [de considérer la vérité sur les vaccins] parce qu’ils sont inondés de fausses informations sur les vaccins.
Une partie de cet empire anti-vaccin doit être démantelée.
À cette affirmation, M. Rogan répond : « Mais qui peut dire s’ils ont tort ou raison. Il semble qu’il devrait y avoir une sorte de débat… où nous pourrions vous opposer à quelqu’un d’autre et décomposer tout cela.
Oui, mais c’est une arme à double tranchant, car cela donne alors une fausse légitimité aux anti-vaccins. C’est comme débattre du fait que fumer provoque le cancer.
Le Dr Hotez ignore apparemment comment, pendant des décennies, l’industrie du tabac a employé les autorités médicales pour obscurcir les preuves – documentées pour la première fois par des chercheurs allemands au début des années trente, puis par Sir Austin Bradford Hill dans un essai historique de 1950 – selon lesquelles fumer provoque le cancer. Si le DÉBAT sur les méfaits du tabagisme avait été supprimé, la majorité des Américains seraient restés bien plus longtemps dans l’ignorance de ces méfaits.
RépondreSupprimerEn fin de compte, le Dr Hotez invoque quelque chose qui s’apparente à l’infaillibilité papale en déclarant qu’Amazon et les sociétés de médias sociaux devraient censurer quiconque remet en question son point de vue sur les vaccins. Il ignore ainsi l’évidence que la « science » a toujours progressé à travers une multiplicité d’observations et de débats. Chaque génération dans l’histoire a surestimé sa compréhension de la nature. Une enquête scientifique appropriée nous a toujours donné un aperçu de ce que nous ignorons. Comme l’a dit Oliver Wendell Holmes, Sr. : « La science est la topographie de l’ignorance. Depuis quelques points élevés, nous triangulons de vastes espaces, renfermant une infinité de détails inconnus.
Pour ceux qui s’intéressent à la réalité, il est instructif de comparer la fortune du Dr Hotez ces dernières années à celle du Dr Peter McCullough. Jusqu’au début de 2021, les deux médecins occupaient des postes de premier plan dans les principaux centres médicaux universitaires du Texas (McCullough à Dallas ; Hotez à Houston).
Cependant, début 2021, le Dr McCullough a été – pour le crime présumé de remise en question de la sécurité et de l’efficacité des vaccins contre le COVID-19 – licencié de son poste, poursuivi, censuré, censuré, déchu de tous ses postes de professeur et de rédacteur en chef de revue, et qualifié de « Pire médecin de 2021 » par Medscape. Récemment, l’American Board of Internal Medicine a recommandé que les certifications du Dr McCullough soient révoquées – encore une fois pour le crime présumé consistant à remettre en question la sécurité des vaccins contre la COVID-19.
Au cours de cette même période, le Dr Hotez a conservé ses positions universitaires et est régulièrement apparu dans les grands médias (et à deux reprises dans l'émission Joe Rogan Experience) chantant les louanges des vaccins. Il a reçu des subventions de la Fondation Gates, ainsi que de nombreuses largesses de la part de grandes sociétés pharmaceutiques telles que Pfizer.
En mars 2022, la représentante américaine Lizzie Fletcher de Houston a nommé le Dr Hotez pour le prix Nobel de la paix pour son travail « de construction et de production de CORBEVAX – également connu sous le nom de « vaccin mondial contre le COVID-19 ». CORBEVAX utilise une technologie traditionnelle basée sur des protéines recombinantes qui peut être produite à grande échelle et rendue largement accessible à l’ensemble de la population mondiale.
Loin d'être une voix isolée dans le désert, le Dr Hotez est l'un des universitaires les plus privilégiés et les plus sûrs du monde, soutenu par certains des hommes les plus riches et des institutions les plus puissantes de la planète.
https://petermcculloughmd.substack.com/p/dr-peter-hotez-and-the-inversion?publication_id=1119676&isFreemail=true
80 % de la population prend des médicaments psychiatriques et la situation empire
RépondreSupprimerils se retrouvent avec des « difficultés socio-économiques à long terme » « ultérieures », « notamment une baisse des revenus, le chômage et une probabilité accrue de vivre seuls et de ne pas être mariés ».
DR. PETER ET GINGER BREGGIN
5 NOVEMBRE 2023
Auteur : Peter R. Breggin, MD
Un échantillon de 1,5 million de Danois révèle deux résultats dévastateurs : (1) au moins 80 % de la population recevra un diagnostic et/ou un traitement médicamenteux pour une « maladie mentale » au cours de sa vie à deux reprises ou plus, et (2) ils finiront par aux « difficultés socio-économiques à long terme » « ultérieures », « notamment une baisse des revenus, le chômage et une probabilité accrue de vivre seul et de ne pas être marié. »1
Cela prouve-t-il que la maladie mentale ruine des vies ? Non, lorsque 80 % ou plus de la population est traitée comme malade mentale, le concept n'a aucun sens ni pertinence, sauf qu'il entraîne deux conséquences puissamment invalidantes : (1) des médicaments psychiatriques qui désactivent universellement le cerveau de manière temporaire et trop souvent permanente et (2) la stigmatisation et la démoralisation qui minent la façon dont l'individu est perçu par lui-même et par les autres.
Peter et Ginger Breggin Exposing the Global Predators est une publication financée par les lecteurs. Pour recevoir de nouveaux posts et soutenir mon travail, pensez à devenir abonné gratuit ou payant.
Les médicaments psychiatriques provoquent un dysfonctionnement cérébral aigu, ce qui rend plus difficile pour quiconque de faire face aux réalités de ce qui, dans sa vie ou en lui-même, lui cause un handicap, une détresse et une souffrance. Le dysfonctionnement cérébral dure au moins aussi longtemps que la personne prend des médicaments et peut être léger à grave, selon l'intensité ou la durée de l'exposition. Un dysfonctionnement cérébral, parfois accompagné de dommages permanents, peut provoquer un déclin mental, émotionnel et spirituel persistant, comme le confirme l'étude danoise.
Des études menées aux États-Unis auprès d'enfants qui ont commencé avec de faibles doses de Ritalin (méthylphénidate) dans les années 1970 pour traiter des symptômes minimes du TDAH ont montré de très mauvais résultats à long terme. Leur qualité de vie a diminué au cours de leur vie par rapport aux témoins, notamment un retard de croissance, un QI plus faible, moins d'éducation, davantage d'hospitalisations et d'emprisonnements psychiatriques, l'obésité et une durée de vie plus courte. Le Ritalin est devenu une porte d’entrée pour devenir des patients mentaux à vie sous traitement psychiatrique de toutes sortes. D'autres études ont montré un rétrécissement du cerveau dû aux médicaments stimulants administrés aux enfants. J'ai examiné la littérature scientifique démontrant ces résultats dans Psychiatric Drug Withdrawal: A Guide for Prescribers, Therapists, Patients, and Their Families.2 Ces catastrophes à long terme sont principalement causées par la neurotoxicité induite par les médicaments3 mais aussi par la stigmatisation et la démoralisation des médecins. dire aux enfants et à leurs parents que les enfants sont génétiquement défectueux, ont un équilibre biochimique et ont besoin de médicaments – des mensonges pour les amener à prendre des neurotoxines.
RépondreSupprimerDepuis de nombreuses années, il est de plus en plus évident que la prise de médicaments psychiatriques fait partie des risques les plus dangereux dans la société moderne. Depuis des décennies, j’explique et documente que les médicaments psychiatriques font globalement bien plus de mal que de bien. Le dysfonctionnement ou les dommages induits par le médicament provoquent un « envoûtement médicamenteux »4 – l’incapacité des patients à percevoir pleinement le mal que les médicaments leur font.5
L'arrêt des médicaments psychiatriques peut également être très dangereux car le cerveau s'est adapté à la drogue en tant que substance étrangère et nocive, et lorsque la drogue est retirée, le cerveau entre dans un nouveau déséquilibre dû au sevrage. En fonction du type et du nombre de médicaments et de la durée de l'exposition, le sevrage des médicaments psychiatriques doit être effectué avec précaution, avec le soutien des amis ou de la famille et, si possible, sous une supervision clinique expérimentée. Mon livre, Retrait des médicaments psychiatriques : un guide pour les prescripteurs, les thérapeutes, les patients et leurs familles, décrit les dangers des médicaments et comment s'en retirer en toute sécurité.
La stigmatisation et la démoralisation
RépondreSupprimerLes professionnels de santé qui diagnostiquent des personnes atteintes de maladie mentale les stigmatisent et les démoralisent. Les personnes étiquetées éprouvent de la honte, de la culpabilité et de l'anxiété à la suite du diagnostic et se sentent moins capables de contrôler leur propre vie. Ils se sentent plus impuissants et dépendants des autres et des drogues. Les personnes qui les entourent peuvent également changer leur point de vue sur le « patient » d’une manière qui mine leur estime de soi ou leur sentiment d’autonomie. Lorsqu’on dit à tort à des enfants ou à des adultes qu’ils souffrent de « déséquilibres biochimiques », cela devient une prescription pour qu’ils se sentent impuissants et incapables de contrôler leurs sentiments ou leur vie mentale en général. En tant que psychiatre, je dois souvent aider des personnes à se remettre de mensonges autodestructeurs qui leur ont été racontés par tout le monde, des psychiatres aux médecins de famille, en passant par les infirmières praticiennes et les psychologues.
Leçons pour toutes les nations occidentalisées et tous les peuples
L’étude danoise, qui montre que presque tout le monde se verra prescrire des médicaments psychiatriques au cours de sa vie, est également valable pour l’Amérique et d’autres grands pays occidentaux. Les effets des médicaments psychiatriques seront les mêmes partout, entraînant une diminution à des degrés divers de la qualité de vie de l’individu. De nombreuses personnes ne ressentent pas ou n’ont pas le sentiment de subir un déclin dramatique. Mais d'après mon expérience en tant que thérapeute et psychiatre qui aide les gens à se retirer des médicaments psychiatriques, toutes ou presque toutes les personnes qui se retirent soigneusement des médicaments psychiatriques se rendent compte pour la première fois qu'elles étaient beaucoup plus brutales, éloignées ou désengagées des gens et de la vie lorsqu'elles prenaient part à des traitements psychiatriques. les drogues. Ils « se retrouvent », « ont leurs vrais sentiments » et deviennent « plus forts » à mesure qu’ils se remettent progressivement de la neurotoxicité. Arrêter les médicaments psychiatriques leur permet de mieux gérer leurs problèmes et d’avoir une vie beaucoup plus épanouie.
1 Lars Vedel Kessing, Simon Christoffer Ziersen, Avshalom Caspi, et al. Incidence au cours de la vie des troubles de santé mentale traités et des prescriptions de médicaments psychotropes et fonctionnement socio-économique associé. JAMA Psychiatrie. 2023;80(10):1000-1008. est ce que je:10.1001/jamapsychiatry.2023.220. Citations tirées des « Points clés », du « Résumé » et des « Conclusions et pertinence ». https://breggin.com/admin/fm/source/6905_breggin/Psychiatry/Eighty-percent-80-of-population-mental-health.pdf
2 Breggin, Peter. Retrait des médicaments psychiatriques : un guide destiné aux prescripteurs, aux thérapeutes, aux patients et à leurs familles. New York : Société d'édition Springer. Disponible en librairie et sur Breggin.com | Livres. Le chapitre 6 donne de multiples citations de la littérature scientifique sur les stimulants et d'autres chapitres documentent les méfaits de l'ensemble des médicaments psychiatriques. Notre site Web, www.breggin.com, propose des PDF de mes multiples articles scientifiques traitant de ces questions. Une liste complète de mes livres et articles se trouve dans mon CV (dans le menu déroulant intitulé « À propos ») @ www.breggin.com.
RépondreSupprimer3 Breggin, Peter. Déficience cérébrale chronique (CBI) induite par des médicaments psychiatriques : Implications pour un traitement à long terme avec des médicaments psychiatriques. Journal international sur les risques et la sécurité en médecine (2011) Breggin2011_ChronicBrainImpairment.pdf
4 Breggin, Peter. Anosognosie d'intoxication : l'effet envoûtant des médicaments psychiatriques, International Journal of Risk and Safety in Medicine (2007). Breggin2007.pdf
5 Breggin, Peter. Folie médicamenteuse : le rôle des médicaments psychiatriques dans les cas de violence, de suicide et de crime. Disponible en librairie et sur Breggin.com | Livres.
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Publié pour la première fois sur AmericaOutLoud.news le 4 novembre 2023
https://gingerbreggin.substack.com/p/80-of-population-takes-psychiatric?utm_campaign=post_embed
Les confinements liés au COVID-19 ont contribué au « traumatisme collectif » chez les Américains : psychologues
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 03H40
Rédigé par Tom Ozimek via Th Epoch Times
Les États-Unis sont encore sous le choc des effets des confinements liés au COVID-19 et d'autres aspects de la pandémie de COVID-19, car les Américains ont subi un « traumatisme collectif », a déclaré l'American Psychological Association (APA), citant une étude.
Bien que l'urgence sanitaire nationale provoquée par l'épidémie de COVID-19 ait officiellement pris fin le 11 mai, d'une certaine manière, le pays n'est pas revenu à la « normale ». selon l'organisation.
L'APA a conclu dans les résultats de son enquête, publiés le 1er novembre, qu'il existe « des signes de traumatisme collectif parmi toutes les cohortes d'âge » aux États-Unis.
« La pandémie de COVID-19 a créé une expérience collective parmi les Américains. Même si les confinements du début de la pandémie peuvent sembler appartenir à un passé lointain, les conséquences demeurent », a déclaré Arthur C. Evans Jr., PDG de l'organisation, dans un communiqué.
L’étude a révélé que les adultes âgés de 34 à 44 ans ont signalé la plus forte augmentation des problèmes de santé chroniques depuis la pandémie, passant à 58 % en 2023, contre 48 % en 2019.
Le même groupe d’âge a également connu la plus forte augmentation des maladies mentales, principalement l’anxiété et la dépression. Celles-ci sont passées à 45 % cette année, contre 31 % en 2019, selon l'étude.
Selon l'APA, des niveaux de stress chroniquement élevés créent des risques de divers problèmes de santé mentale et affaiblissent le système immunitaire. L'association a noté que les données suggèrent que le stress à long terme soutenu depuis le déclenchement de la pandémie de COVID-19 a eu un impact significatif sur le bien-être des Américains.
« Nous ne pouvons pas ignorer le fait que nous avons été considérablement modifiés par la perte de plus d'un million d'Américains, ainsi que par l'évolution de nos lieux de travail, de nos systèmes scolaires et de notre culture en général », a déclaré M. Evans. croissance, nous devons d’abord identifier et comprendre les blessures psychologiques qui subsistent.
Le stress chronique peut provoquer une inflammation, briser le système immunitaire et augmenter le risque de toutes sortes de maladies, notamment d'accidents vasculaires cérébraux et de maladies cardiaques, a averti l'APA.
RépondreSupprimerL'étude est la dernière en date à suggérer que la réponse musclée à l'épidémie, qui comprenait la fermeture d'écoles, la fermeture d'entreprises et le port quasi universel de masques, a eu un effet négatif sur la santé physique et mentale des gens.
Les décès d’enfants par arme à feu augmentent fortement
Des recherches récentes sur les décès d’enfants par arme à feu ajoutent des preuves déchirantes à la pile croissante de données suggérant que les confinements et autres restrictions liés au COVID-19 ont eu un effet dévastateur sur la société.
L’étude, rédigée par des chercheurs du Boston Children’s Hospital et publiée le 5 octobre dans une revue de l’American Academy of Pediatrics, a révélé que les décès liés à des blessures chez les enfants ont fortement augmenté au cours des années pandémiques 2020-2021.
La hausse des blessures mortelles chez les enfants est due aux drogues et aux blessures par arme à feu.
En 2021, lorsque les confinements et autres restrictions liées au COVID-19 étaient omniprésents, plus d’homicides d’enfants (2 279) et de suicides (1 078) par arme à feu ont été enregistrés qu’au cours de n’importe quelle année depuis 1999, selon l’étude.
Certains voient un lien de causalité évident entre l’explosion du nombre de décès d’enfants par arme à feu et les politiques de confinement en cas de pandémie, que d’autres études ont associé à une variété de résultats négatifs, notamment des retards dans les traitements de santé, des pertes d’apprentissage et des crises de santé mentale.
« En raison des confinements et d’autres politiques pandémiques mal conçues, les décès d’enfants par arme à feu aux États-Unis ont explosé de façon exponentielle en 2020 », a écrit Kevin Bass, chercheur et doctorant en médecine, dans un article sur X, anciennement Twitter.
Alors que l’étude montre que les homicides liés aux armes à feu ont commencé à augmenter en 2018, M. Bass a déclaré qu’il est « très clair que l’énorme bond vers des niveaux records s’est produit entre 2019 et 2020, date à laquelle les confinements ont eu lieu ».
Les résultats de l’étude concordent avec un rapport d’avril du Pew Research Center, qui a révélé que le nombre d’enfants et d’adolescents tués par balle a augmenté de 50 % entre 2019 et 2021.
RépondreSupprimerCertaines études ont identifié les confinements comme contribuant à l’augmentation des suicides, des crises de santé mentale, des pertes d’apprentissage et des retards dans les traitements de santé.
"Nos résultats montrent que les interventions non pharmaceutiques majeures - et les confinements en particulier - ont eu un effet important sur la réduction de la transmission", ont écrit les auteurs de l'étude soutenant les mesures restrictives, bien que la recherche n'ait pas évalué d'autres impacts involontaires des mesures. .
Cependant, une étude récente portant sur un large éventail de recherches sur le confinement a conclu que de telles mesures peuvent être un outil efficace pour contrôler la pandémie de COVID-19, mais seulement si « les dommages collatéraux à long terme sont négligés ».
« Le prix des confinements en termes de santé publique est élevé : en utilisant le lien connu entre santé et richesse, nous estimons que les confinements pourraient coûter 20 fois plus d’années de vie qu’ils n’en sauvent », écrivent les auteurs de l’étude.
Les auteurs ont également déclaré que ce qui mérite une « analyse spéciale et urgente » est la question de « dans quelle mesure, pourquoi et comment les avis scientifiques dissidents (désapprouvés par les responsables de la santé) ont été supprimés pendant le COVID-19 ».
« La suppression des opinions « trompeuses » n’entraîne pas seulement de graves conséquences pour le sens moral des scientifiques ; cela empêche la communauté scientifique de corriger ses erreurs et met en péril (avec raison) la confiance du public dans la science", ont-ils écrit.
https://www.zerohedge.com/medical/covid-19-lockdowns-contributed-collective-trauma-among-americans-psychologists
Comme il en a été pour le fameux '11 Septembre' il en a été pour la poussière invisible que PERSONNE au monde n'a vu même sous microscopes, la nouvelle s'est répandue dans le monde entier comme une traînée de poudre ! Par contre, aux jours qui ont suivi, des mesures différentes ont été prises dans divers pays (port du masque, confinement, gel hydroalcoolique + FAUX vaccins et filetage des voies nasales par écouvillons infectés de nano-particules d'oxyde de graphène), voire, mesure 'spécifiques aux menaces terroristes' ! A ces directives appliquées dans chaque pays (çà alors !!) se sont additionnées de nouvelles lois afin de restreindre jusqu'à plus rien la liberté du Peuple d'aller et venir, de manger ou de respirer n'importe quand et surtout de dire n'importe quoi !!
SupprimerOn ne s'y trompe pas: TOUS POURRIS ! qu'ils soient dits de gauche, de droite ou des extrêmes comme du centre, ils sont TOUS dans le même sac et PERSONNE (dans les partis dits 'd'opposition' HAHAHA !) n'a un seul instant défendu le Peuple ! Çà alors !!
Mais alors... le monde n'est pas une... Démocratie !! (çà alors !!). Et bêh non ! Il n'en est pas une ! Enfin sauf en Suisse où elle existe encore. Donc, pour les autres pays, c'est: dictature. Dictature tous les jours depuis DES millénaires ! Donc, qu'elle soit impérialiste, républicaine ou monarchique c'est LA même merde proposée depuis toujours ("Tu manges quoi à midi ?"), de la télé au menu, lever à la radio et lecture des journaux ! ÂH BÊH PITING !!
Et... et il y en a même qui se révoltent !! Çà alors !! Qui s'offusquent ! Qui s'ébranlent ou qui se gesticulent ! Qui osent sortir dehors ! (OUAIS ! T'as parfaitement lu ! Fais pas semblant de ne pas l'avoir vu !). Ils se promènent !! Se parlent ! Se touchent ! (et s'enculent ?) et s'attaquent même à travailler pour vivre !! (ÔÔôooh PITING ARRÊTE !).
C'est la vie à ce qu'ils nous disent !
Et pire ("Parce que ce n'est pas fini ??!"), ils veulent te foutre un suppo dans le cul pour te diriger à distance par satellites !
L’Éveil réussit lorsque la conscience des gens peut être modifiée
RépondreSupprimerLes gens agiront demain comme ils pensent aujourd'hui
Par le Dr Rudolf Hänsel
Recherche mondiale,
8 novembre 2023
Introduction
À une époque où l’humanité est menacée d’anéantissement par l’utilisation des bombes nucléaires, nous dépendons plus que jamais d’intellectuels indépendants et courageux pour éclairer les gens, leur apprendre ce qu’est la vérité et ce qui est un mensonge.
Cependant, cette illumination ne peut être réussie ou efficace que si elle atteint la conscience des gens, c'est-à-dire leurs attitudes et leurs émotions. Sinon, en tant qu’information pure, elle ne reste qu’en surface. Quelques exemples illustreront cela.
L’un des problèmes est que les gens ne sont pas conscients des préjugés individuels et collectifs et ne peuvent donc pas être tenus pour responsables.
Afin de pouvoir abandonner ces préjugés, il faut les rendre conscients grâce à la psychothérapie. Ceci est possible à tout moment.
Nettoyer les préjugés individuels et collectifs
En tant que psychologue, je suis d'accord avec mon professeur Friedrich Liebling, qui commentait le problème de l'illumination il y a un demi-siècle :
« La politique est préparée dans l'esprit et le cœur des gens ; les gens agiront demain comme ils pensent aujourd’hui, c’est pourquoi l’illumination est une préoccupation dont l’importance ne peut être surestimée.
Le but des efforts des Lumières est de purifier la conscience humaine des préjugés individuels et collectifs.
RépondreSupprimerL'avenir de notre culture dépendra essentiellement de la question de savoir s'il y aura suffisamment d'"éclaireurs" capables d'écarter des masses préparées les préjugés qui sont à l'origine idéologique des catastrophes de l'humanité.» (1)
Préjugés individuels
Un préjugé courant, par exemple, est que les gens ne sont « pas bons à côtoyer ». Cela signifie que les gens ne sont ni bons ni sociaux et que nous devrions donc en avoir peur. Cependant, cette attitude – comme beaucoup d’autres préjugés – trouve son origine dans l’enfance. Une éducation violente de la part des parents et des enseignants peut amener un enfant à développer lentement cette vision négative des autres. Il est généralement « entraîné » jusqu’à l’âge adulte et la personne agit alors en conséquence.
En réalité – comme le montrent les résultats de la recherche psychologique – les humains sont par nature des créatures sociales, pacifiques et rationnelles qui aiment socialiser avec les autres. Ce talent n’est pas inné, mais s’acquiert dès l’enfance et peut donc être encouragé à tout moment.
Les préjugés individuels sont souvent aussi des préjugés collectifs.
Préjugés collectifs
Les préjugés collectifs, qui se retrouvent dans la majorité d'une société et conduisent à des catastrophes humaines, sont bien connus depuis l'époque de la colonisation, des deux guerres mondiales ainsi que des guerres actuelles en Ukraine et au Moyen-Orient et n'ont donc pas besoin d'être évoqués. être répertoriés en détail. Ils sont toujours considérés et utilisés par « l’élite » politique comme un moyen « éprouvé » pour déclencher des guerres contre un autre peuple.
Sensibiliser grâce à la psychothérapie
Comme nous l'avons déjà mentionné, le problème réside dans le fait que les gens ne sont pas conscients de leurs préjugés et ne peuvent donc pas être tenus responsables de leurs conséquences dévastatrices.
Une exception concerne les actions de « dirigeants mondiaux » puissants et sans scrupules, qui sont bien conscients des préjugés et les utilisent « de manière rentable » contre les peuples.
Pour garantir que des informations éclairantes ne vivent pas dans l’ombre à la surface de la conscience humaine, il est nécessaire que les préjugés individuels et collectifs soient rendus conscients en psychothérapie.
Ce n'est que lorsque la vie émotionnelle d'une personne pourra être abordée qu'elle pourra remettre en question et abandonner les préjugés dont elle a été informée dans sa relation de confiance avec le psychothérapeute. En conséquence, il commencera à ressentir, penser – et agir – conformément à sa nature (2).
RépondreSupprimer*
Rudolf Lothar Hänsel est recteur d'école, pédagogue et psychologue diplômé. Après ses études universitaires, il devient professeur universitaire en éducation des adultes. En tant que retraité, il a travaillé comme psychothérapeute dans son propre cabinet. Dans ses livres et articles spécialisés, il appelle à une éducation éthique et morale consciente des valeurs ainsi qu'à une éducation à l'esprit civique et à la paix. Il contribue régulièrement à Global Research.
Remarques
(1) Hansel, Rudolf (2023). S’approprier les résultats de la recherche psychologique ! Aperçus d'une rencontre avec le psychologue Friedrich Liebling et sa psychothérapie libérale. Gornji Milanovac
(2) A. a. O.
https://www.globalresearch.ca/enlightenment-successful-when-people-consciousness-can-changed/5839324
La Suisse maintiendra ses centrales nucléaires en activité plus longtemps que prévu
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 11H00
Par Charles Kennedy de OilPrice.com,
Les exploitants de centrales nucléaires suisses prévoient de maintenir les installations opérationnelles plus longtemps que prévu initialement, ont déclaré mardi à Bloomberg les porte-parole des grandes sociétés d'électricité suisses Axpo Holding et Alpiq Holding.
La Suisse possède quatre réacteurs nucléaires, qui produisent jusqu'à 40 % de son électricité, selon l'Association nucléaire mondiale.
La Suisse a voté lors d’un référendum en 2017 en faveur de l’abandon progressif de l’énergie nucléaire, mais la Suisse n’a pas fixé de date limite pour cela et c’est aux exploitants de décider combien de temps ils pourront exploiter les centrales en toute sécurité.
Aujourd'hui, la crise énergétique et les inquiétudes concernant la fiabilité de l'approvisionnement en électricité dans le pays ont incité les services publics à envisager de prolonger la durée de vie des réacteurs tant que la prolongation des opérations s'avère sûre.
Axpo Holding et Alpiq Holding ont augmenté la durée de vie prévue de leurs centrales nucléaires à 60 ans, contre un objectif précédent de 50 ans, ce qui signifie qu'elles pourraient être opérationnelles jusqu'en 2040 environ, selon les porte-parole qui se sont entretenus avec Bloomberg.
Alpiq envisage également une prolongation pouvant aller jusqu'à 80 ans et étudie les impacts possibles d'une telle prolongation sur la sécurité, les investissements et la rentabilité, a déclaré le porte-parole d'Alpiq à Bloomberg.
Plusieurs pays d’Europe envisagent également de maintenir l’utilisation de l’énergie nucléaire plus longtemps, notamment la France, un grand pays producteur d’énergie nucléaire.
Mais l’Allemagne, la plus grande économie d’Europe, a abandonné plus tôt cette année l’énergie nucléaire après avoir mis hors service ses trois dernières centrales nucléaires en avril, mettant ainsi fin à plus de six décennies d’utilisation commerciale de l’énergie nucléaire.
RépondreSupprimerLa Suisse, pour sa part, s’efforce de faire face à la crise énergétique de l’année dernière.
Le pays a récemment abrogé une ordonnance de 2022 autorisant le retrait de ses stocks stratégiques de carburant une fois l’approvisionnement en produits pétroliers normalisé. L'année dernière, la Suisse a commencé à retirer du pétrole de ses réserves d'urgence en abaissant les niveaux obligatoires de stocks de pétrole de 6,5% en raison du faible niveau des eaux du Rhin et du chaos dans le transport ferroviaire.
https://www.zerohedge.com/commodities/switzerland-keep-nuclear-plants-operating-longer-planned
Tant que la Suisse pouvait - aux besoins - dépendre des pays frontaliers équipés de centrales nucléaires tout allait bien, mais dès lors où les pays voisins ferment les leurs... Aïe-aïe-aïe !
SupprimerN'oublions pas que dans la SEULE Démocratie au monde ce n'est pas le chef de l’État (Alain Berset jusqu'au 31 Décembre 2023) qui dirige mais le Peuple !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_présidents_de_la_Confédération_suisse
La souveraineté de la Suisse n’est pas négociable
RépondreSupprimerle 09.11.2023
Les « entretiens exploratoires » menés par le Conseil fédéral en vue de nouvelles négociations avec l’UE ne sont que de la poudre aux yeux : le Conseil fédéral négocie des points secondaires, mais il est toujours prêt à faire de la Suisse une colonie juridique de l’UE.
Fait particulièrement déconcertant : il semblerait que le Conseil fédéral ait déjà anticipé les futurs résultats des négociations avec l’UE dans le cadre de négociations secrètes et les ait résumés dans un rapport lui aussi secret, appelé « Common Understandig » (ndt : « compréhension mutuelle »). Le Conseil fédéral aurait ainsi dit oui sans condition à la reprise automatique du droit européen, à la soumission à la Cour de justice de l’UE, à l’application de sanctions à l’encontre de la Suisse en cas de non-respect des prescriptions de l’UE et au paiement de « taxes d’accès au marché » annuelles se chiffrant en milliards. Le fait que cela n’ait été rendu public qu’après les élections fédérales n’est pas surprenant.
L’UDC exige que le Conseil fédéral ne signe pas ce rapport secret et rende immédiatement ce document public. La population suisse a le droit de savoir quelles concessions insoutenables la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral est prête à faire à l’UE.
La position de l’UDC reste inchangée et claire :
l’indépendance de la Suisse n’est pas négociable ;
pas d’accord impliquant une reprise automatique et obligatoire (dynamique) du droit de l’UE et un règlement des différends par la Cour de justice européenne ;
pas de transformation du soi-disant milliard de cohésion, jusqu’ici facultatif, en un paiement régulier de tribut (« prime d’accès au marché ») ;
l’immigration doit enfin être réglée de manière autonome, dans l’intérêt de notre pays et conformément au mandat constitutionnel.
Ces points essentiels doivent enfin être expliqués clairement à l’UE.
Extrait de: Source et auteur:
https://lesobservateurs.ch/2023/11/09/la-souverainete-de-la-suisse-nest-pas-negociable/
Comment l’Agenda 2030 devient une réalité au Pays de Galles
RépondreSupprimer8 novembre 2023
de Thomas Oysmüller
En Grande-Bretagne, le Pays de Galles est un pionnier exemplaire dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030. Cela changera massivement le pays en très peu de temps.
En 2019, le premier pays au monde a déclaré une « urgence climatique ». C'était le Pays de Galles. La même année, un « Représentant des générations futures » a été nommé. Dès 2017, le Pays de Galles est devenu le premier pays du Royaume-Uni à introduire une « loi sur la santé publique » et depuis lors, Public Health Wales est la première et la seule autorité sanitaire du Royaume-Uni à travailler avec l'OMS.
Pour l'environnement
Au Pays de Galles – écrit Off-Guardian – l’Agenda 2030 de l’ONU est déjà une réalité. Le pays est à l’avant-garde de la « nouvelle normalité ». Le « Projet de loi sur l’environnement » devrait être adopté en 2023. La loi prévoit un « engagement à mettre en place une stratégie nationale contre le bruit ». Une fois de plus, le Pays de Galles est le pionnier britannique. Le document comprend un engagement en faveur de mesures stratégiques pour « évaluer et réduire la pollution sonore ».
Julie James, ministre travailliste du Changement climatique, a déclaré à propos de la loi :
"Cela impose au gouvernement gallois la responsabilité de prendre des mesures qui non seulement s'attaquent aux bruits indésirables, mais protègent également les sons qui sont importants pour les gens, tels que les appels relaxants des oiseaux et de la nature ou le bourdonnement accueillant d'un centre-ville animé. "
Jusqu'au 2 octobre, la stratégie relative au bruit était examinée sur une page de consultation gouvernementale (similaire à la révision des lois autrichienne). Là, il est écrit :
« Le bruit, c'est-à-dire les sons indésirables ou nocifs, affecte la santé et le bien-être de diverses manières, par ex. B. par des troubles du sommeil, du harcèlement, des troubles d'apprentissage, une productivité réduite, une perte auditive et un risque accru de maladies cardiovasculaires. Cela peut résulter de diverses activités humaines, notamment de sources domestiques, commerciales et de transport.
Il continue en disant :
RépondreSupprimer« En 2018, nous avons publié le Plan d'action contre le bruit et le bruit 2018-2023 (NSAP), qui a recentré la politique relative au bruit au Pays de Galles conformément à la loi de 2015 sur le bien-être des générations futures (Pays de Galles) (« la loi WFG »). «Cela a permis au Pays de Galles d'être reconnu comme le premier pays à intégrer le bruit dans sa politique nationale et a été présenté dans le rapport Frontiers 2022 du Programme des Nations Unies pour l'environnement.»
Ainsi, soutenu par l’ONU, le gouvernement gallois se félicite. Les citoyens ordinaires sont effectivement exclus du processus de consultation. Le processus est « trop compliqué pour l’individu moyen, qui n’aura même pas considéré un ‘plan d’action contre le bruit’ comme une priorité étant donné le coût de la vie, la crise du NHS, la pénurie de logements et tout le reste », écrit Off-Guardian .
Le nouveau projet de loi sur l'environnement modifiera également la législation existante. Les autorités locales doivent procéder à un examen annuel de la qualité de l'air – une nouvelle donne. Des zones d’air pur seront également créées.
The Off-Guardian souligne ici un autre point :
« Les conséquences les plus importantes de la pollution atmosphérique par les particules sont les maladies cardiovasculaires et respiratoires. Cette dernière solution est logique, mais le site Web du NHS ne répertorie pas du tout la pollution atmosphérique particulaire parmi les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires (et sa dernière révision a eu lieu en avril 2022). Comme c'est étrange."
Nous récapitulons ensuite ce que le Pays de Galles souhaite changer :
Appartements neutres en gaz carbonique
Restriction des transports privés, par exemple en augmentant les péages
Changements dans l'élimination des déchets et fermeture des décharges
Un nouveau « système d’information de santé »
Moins de tolérance pour les « comportements non durables »
Des zones pour un air plus pur
L’auteur, qui s’est penché de plus près sur le Pays de Galles, conclut en demandant :
« Un tel changement a-t-il déjà été prévu à cette échelle et en si peu de temps ?
https://tkp.at/2023/11/08/wie-die-agenda-2030-in-wales-realitaet-wird/
Les actions solaires se sont également effondrées au dernier trimestre, en baisse de 40 % jusqu'à présent cette année dans le monde.
RépondreSupprimerJo Nova
November 8th, 2023
Il semble que les gens ne voulaient des énergies renouvelables que s’ils obtenaient des prêts bon marché.
Tout comme la saison des rapports trimestriels a révélé des pertes écrasantes pour l’énergie éolienne et les véhicules électriques, il en va de même pour l’énergie solaire.
L'indice général des actions américaines S&P a gagné 15 % cette année, mais l'ETF (Fonds) Invesco Solar, qui investit dans les actions de l'énergie solaire à travers le monde, a chuté de 40 %. Même la « loi américaine sur la réduction de l’inflation » n’a pas pu sauver le secteur solaire. Alors que les finances se resserrent avec la hausse des taux d’intérêt, les commandes de panneaux solaires semblent être parmi les premières à être annulées.
Les actions solaires comptent parmi les moins performantes sur l’ensemble du marché boursier américain, SolarEdge et Enphase perdant chacune 70 % cette année. Il y a quelques semaines, le PDG de SolarEdge a déclaré que les revenus de ce trimestre représentaient environ la moitié de ce qui était attendu. Il a pointé du doigt des « annulations inattendues » de la part des distributeurs européens. Mais la demande américaine était également en baisse. En effet, les mauvaises nouvelles ont commencé en Californie, le plus grand marché des États-Unis, lorsque le gouvernement a réduit d’environ 75 % les paiements de « facturation nette » de l’énergie solaire domestique en avril. Du coup, il allait falloir 10 ans pour rembourser les panneaux. Les panneaux solaires étaient un article de luxe.
Si seulement les panneaux solaires étaient moins chers, dans une période économique difficile, tout le monde en voudrait.
Les stocks solaires secoués par les taux d’intérêt élevés et les problèmes de chaîne d’approvisionnement
RépondreSupprimerpar ZeroHedge, Prix du pétrole
L’industrie des énergies renouvelables est en plein effondrement cette semaine. Premièrement, Orsted A/S, le plus grand développeur de parcs éoliens offshore au monde, a abandonné deux projets américains majeurs en raison des impacts sur la chaîne d'approvisionnement et sur les taux d'intérêt, et maintenant les actions solaires sont matraquées comme un bébé phoque dans les échanges avant commercialisation aux États-Unis jeudi après l'équipement solaire. les fabricants SolarEdge et Sunrun ont fait état de prévisions lamentables dans un contexte de baisse de la demande.
C'est une mauvaise surprise :
Commençons par le fabricant d’équipements solaires SolarEdge Technologies. La société a déclaré que les revenus du trimestre en cours devraient se situer entre 300 et 350 millions de dollars, bien en dessous des estimations des analystes de 718,9 millions de dollars, selon les données du consensus Bloomberg.
Il s’agit d’un revirement radical dans l’industrie solaire. La croissance fulgurante de 2020 s’est effondrée. Et tant que les taux d’intérêt resteront élevés, personne ne parlera d’une reprise rapide :
Qu’est-il arrivé aux stocks solaires ? Les investisseurs « ramassent les morceaux » après une saison de résultats brutale
Claudia Assis rapporte chez Marketwatch,
Presque toutes les grandes entreprises solaires américaines ont connu de gros échecs trimestriels…
Les actions d'Enphase Energy Inc. ENPH, qui vend des micro-onduleurs largement utilisés dans les systèmes d'énergie solaire et peut servir de baromètre pour l'énergie solaire, entre autres produits, ont chuté de plus de 70 % au cours de l'année. Pas plus tard qu’en 2020, le titre a enregistré des gains annuels à trois chiffres ; il a augmenté de 45 % l’année dernière.
SolarEdge Technologies Inc. SEDG a averti à la fin du mois dernier qu'à partir de la seconde moitié du troisième trimestre, l'entreprise avait connu « des annulations inattendues et des suppressions substantielles du carnet de commandes existant » de la part de nos distributeurs européens, une baisse qui, selon elle, n'était pas liée à la guerre entre Israël et le Hamas. .
Certaines entreprises solaires résidentielles aux États-Unis sont également en baisse de 55 à 70 %. Ce sont des chiffres terribles.
Les actions solaires recherchent toujours un fond
RépondreSupprimerBeth Kindig, Forbes
L’énergie solaire est sans doute l’une des industries les plus vendues sur le marché à l’heure actuelle,…
SolarEdge et Enphase figurent parmi les pires performances du S&P 500 cette année, avec une baisse de plus de 70 % chacune ; un affaiblissement significatif de la demande américaine à partir du deuxième trimestre s'est aggravé avec un affaiblissement de la demande européenne au troisième trimestre, entraînant une chute des revenus. Les sociétés solaires résidentielles SunPower, Sunrun et Maxeon ont également toutes diminué de plus de 55 à 70 %.
La baisse a été soudaine au troisième trimestre. Ce qui était une croissance de 25 % au deuxième trimestre s'est transformé en une baisse de 34 % :
Enphase a fait écho au commentaire de SolarEdge sur l'affaiblissement de la demande européenne, les revenus européens ayant chuté (34 %) de manière séquentielle au troisième trimestre, après avoir enregistré une croissance de +25 % en glissement trimestriel au deuxième trimestre. Il s’agit d’une baisse assez rapide des revenus européens en glissement trimestriel, qu’Enphase a attribuée à « des stocks élevés chez nos partenaires de distribution ainsi qu’à un ralentissement de la demande sur nos marchés clés – les Pays-Bas, la France et l’Allemagne ».
Les perspectives à court terme pour l’énergie solaire ont définitivement été affectées par les taux élevés qui ont impacté la demande : une prévision de Wood Mackenzie/SEIA indique un déclin d’une année sur l’autre des installations solaires résidentielles aux États-Unis en 2024, alourdi par une forte contraction en Californie. Au global, le groupe s'attend à une baisse des installations (4 %) en 2024, entraînée par une contraction (38 %) en Californie, principalement due au passage au NEM 3.0.
https://joannenova.com.au/2023/11/solar-stocks-crashed-in-the-last-quarter-too-down-40-around-the-world/
Antarctique : refroidissement de 1 degré depuis 1999 et calotte glaciaire croissante
RépondreSupprimer9 novembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les affirmations sur le réchauffement climatique sont de plus en plus erronées. Les masses de neige en Chine, en Mongolie, en Russie et aux États-Unis ne correspondent pas au réchauffement climatique provoqué par l'homme. De plus, les masses de glace du Groenland et de l’Antarctique, qui se refroidissent régulièrement depuis deux décennies, augmentent.
La masse de la calotte glaciaire de l’Antarctique (photo ci-dessus) a augmenté de 661 Gt entre 2009 et 2019, selon des mesures qui contredisent les calculs du modèle ONU-IPCC. Dans le même temps, la superficie de la banquise a augmenté de 5 305 km², comme indiqué ici . Il y aura également un refroidissement important au 21e siècle dans le Pacifique central, le Pacifique oriental et presque tout l'Antarctique.
C'est le résultat d'une nouvelle étude de Zhang et al. intitulé « Refroidissement important de l'Antarctique occidental au cours des deux dernières décennies, provoqué par le forçage tropical du Pacifique ». Cela «implique des incertitudes importantes dans les projections de températures futures des modèles CMIP6» de l'ONU-GIEC dans son rapport d'évaluation actuel (CIMP6).
De nouvelles recherches suggèrent que les températures annuelles moyennes à la surface de l'Antarctique occidental se sont refroidies de plus de -1,8°C entre 1999 et 2018. Le refroidissement a été le plus important au printemps, la calotte glaciaire de l'Antarctique occidental (WAIS) se refroidissant à un rythme de -1,84 °C par décennie.
D'après les résultats de Zhang et al. La majeure partie du continent Antarctique s’est refroidie de plus de 1 °C au cours des deux dernières décennies.
Sur 28 modèles CMIP6, aucun n’a capturé une tendance au refroidissement pour cette région. Cet échec du modèle « implique des incertitudes importantes dans les projections de températures futures des modèles CMIP6 ».
Comme nous l’avons déjà mentionné, la tendance au refroidissement après 1999 ne s’est pas limitée à l’Antarctique ; Les températures de surface de la mer (SST) dans le Pacifique oriental et central (au sud de 25°N), qui comprend près de la moitié de la SST de l'hémisphère sud, se sont également refroidies.
https://tkp.at/2023/11/09/antarktis-abkuehlung-um-1-grad-seit-1999-und-wachsendes-eisschild/
L'énergie cinétique due au tournoiement de la Terre favorise naturellement l'ouverture et l'explosion de sources chaudes au niveau de l'équateur ainsi que des tropiques. Le plus grand volcan sous océanique se situant dans le Pacifique à proximité du Chili et donnant naissance a la 'Niña' et au 'Niño'.
SupprimerLors de l'absence d'éruptions volcaniques sous-marines ce sont les 'sources chaudes' sous les poles qui en pâtissent le plus.
L’ONU admet que le monde dépassera d’un facteur deux les objectifs de l’Accord de Paris d’ici 2030
RépondreSupprimerPar Jo Nova
November 9th, 2023
Les 20 principaux pays miniers énergétiques prévoient d’augmenter leur production, pas de la diminuer.
Bien que 151 pays aient signé l’Accord de Paris, le PNUE a pratiquement admis que la plupart des pays du monde ne prétendent même pas tenir leurs promesses en matière d’émissions. Comme le montre le graphique ci-dessous, les gouvernements des 20 principaux producteurs de charbon, de pétrole et de gaz prévoient d’en extraire encore plus d’ici 2030 qu’ils ne le font actuellement. Ces 20 pays produisent 80 % des combustibles fossiles de la planète et comptent de nombreux clients.
Le rapport semble être un tableau de bord destiné à culpabiliser les 20 nations coquines pour qu’elles renoncent au chauffage, à la nourriture ou à des milliards de dollars d’exportations, mais il donne l’impression que l’Accord de Paris n’est qu’une pure mascarade.
Les gouvernements prévoient de produire en 2030 deux fois plus de combustibles fossiles que ce que permet la limite de réchauffement de 1,5°C.
Stockholm, le 8 novembre 2023 – Un nouveau rapport majeur publié aujourd'hui révèle que les gouvernements prévoient de produire environ 110 % de plus de combustibles fossiles en 2030 que ce qui serait compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5°C, et 69 % de plus que ce qui serait compatible avec une hausse de 2°C.
De qui on se moque ?
L’écart de production signifie en réalité « le dépassement ».
- voir graph sur site -
Graphique du PNUE
Figure ES.1
L'écart de production de combustibles fossiles — la différence entre les plans et projections des gouvernements et les niveaux compatibles avec une limitation du réchauffement à 1,5°C et 2°C, exprimés en unités d'émissions de gaz à effet de serre provenant de l'extraction et de la combustion de combustibles fossiles — reste important et se creuse avec le temps. . (Voir les détails au chapitre 2 et à la figure 2.1.) https://www.unep.org/resources/production-gap-report-2023
RépondreSupprimerEn parlant de cela, la Chine vient d'ouvrir le nouveau chemin de fer Haoji de 1 800 kilomètres en 2019*, spécifiquement pour transporter du charbon.
Il compte 770 ponts s'étendant sur un total de 381 kilomètres et 468 kilomètres de tunnels. Ils l’ont commencé en 2015.
Ici, personne ne retient les combustibles fossiles : Wow, c'est un pont.
RÉFÉRENCE
Le rapport sur les écarts de production 2023 : « Réduction progressive ou augmentation progressive ? Les principaux producteurs de combustibles fossiles prévoient encore plus d’extraction malgré les promesses climatiques » est produit par le Stockholm Environment Institute (SEI), Climate Analytics, E3G, l’Institut international du développement durable (IISD) et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
*Corrigé : Le chemin de fer Haoji n'a pas été ouvert cette année mais juste avant l'éclatement de la pandémie de Covid, des années après la signature de « l'Accord de Paris ». Merci Ross.
https://joannenova.com.au/2023/11/un-admits-world-will-crash-through-paris-agreement-goals-by-a-factor-of-two-for-2030/
Effets inattendus d’une réduction de l’activité humaine sur l’évolution du climat
RépondreSupprimerle 8 novembre 2023
Les effets du confinement imposé par les gouvernements lors de l’épidémie de coronavirus ont été étudiés en détail dans un article paru dans l’édition « Climate and Atmospheric Science » de la revue britannique Nature. Contrairement à ce que l’on attendait la diminution des émissions de gaz carbonique supposé avoir un effet de réchauffement du climat n’a pas eu d’effet notoire, on traverse toujours le fameux « hiatus » mais la surprise réside dans la considérable réduction de la teneur en aérosols et en poussières résultant de l’activité humaine. Cet aspect de l’activité humaine sur l’évolution du climat n’a jamais été formellement abordé avec objectivité et pourtant les conséquences sur le climat sont inattendues. Les défenseurs de Gaïa s’insurgent au sujet du transport aérien et du transport maritime. Certes, le kérosène utilisé pour les moteurs des avions est appauvri autant que faire ce peut en soufre mais le transport maritime utilise un carburant particulièrement riche en soufre dont on ne sait que faire car il s’agit d’un résidu fatal du raffinage des pétroles riches en soufre. Il s’agit donc d’une source importante de dérivés soufrés qui se répand dans l’atmosphère. Un polluant majeur qu’il faudrait, comme pour les avions, remplacer par de l’hydrogène ou du méthane, encore un rêve supposé combattre le changement du climat d’origine humaine.
Ce que révèle cette étude ( https://doi.org/10.1038/s41612-023-00367-6v ) montre que la diminution des aérosols soufrés et des poussières émis dans l’atmosphère a contribué à refroidir le climat ! L’étude s’est focalisée sur les conséquences des aérosols et des poussières dans une zone de l’Océan Indien jouxtant l’une des régions les plus peuplées du Monde, l’Inde et le Bengladesh. L’échauffement de la surface de l’océan et des terres émergées, dont l’archipel des Maldives, a diminué d’environ 1,4 Watt par mètre-carré correspondant à une diminution de la température moyenne de 0,4 degrés par jour de mesure. Ces résultats annihilent totalement l’échauffement attendu comme provoqué par le gaz carbonique produit par l’activité humaine.
Comment interpréter ce résultat ou du moins quelles peuvent être les conséquences d’un tel état de fait ? Les transports aériens ainsi de maritimes avaient considérablement diminué lors de l’épidémie du coronavirus à tel point que l’économie de l’Inde comme du Bengladesh étaient presque totalement à l’arrêt. Donc que dire d’un effet « bénéfique » (ou délétère) de l’activité humaine sur l’hypothétique réchauffement du climat ? Cet article, en accès libre, est suffisant pour complètement remettre en question l’hypothèse du réchauffement d’origine humaine car outre un refroidissement induit par les aérosols et les poussières micrométriques, le rôle du gaz carbonique devient négligeable. D’ailleurs les climatologues sont formels : toutes les éruptions volcaniques importantes projettent des oxydes de soufre et des poussières dans l’atmosphère et une diminution des températures moyennes globales a toujours été observée à la suite de ces éruptions. Il apparaît alors un immense dilemme : le pouvoir supranational qui pourrait se mettre en place décidera-t-il que l’une ou l’autre des régions économiques de surcroit très peuplées devra mettre en pause son activité industrielle et commerciale pour combattre l’échauffement ou le refroidissement (?), en d’autres termes le dérèglement du climat, on est en droit de prendre conscience que si un tel pouvoir nécessairement totalitaire pourra décréter une sorte de délestage de l’économie de toute une région du monde alors ce sera la mort définitive des démocraties. À moins, et on peut l’espérer, que cette histoire de gaz carbonique n’est qu’une erreur d’appréciation regrettable et qu’elle sera reconnue par les instances onusiennes.
Confinement lors de la pseudo-pandémie de coronavirus, réchauffement du climat en raison de l’activité humaine, censures en tous genres, restriction des libertés, tout procède de la même idéologie : instaurer un gouvernement supra-national totalitaire. Mais pour atteindre ce but il serait souhaitable que les puissances de l’ombre s’entourent de scientifiques objectifs et pragmatiques afin de prendre des décisions incontestables. Ce que révèle cet article de la revue Nature démontre que ces politiciens adeptes du totalitarisme sont des ignorants mal conseillés par des politiciens, les fonctionnaires de l’IPCC en particulier, qui ne sont nullement des climatologues. On peut donc espérer un monde meilleur dans lequel les libertés seront respectées, dans lequel on pourra voyager à l’aise sans restrictions, dans lequel on pourra continuer à utiliser des voitures mues par des moteurs à combustion interne, dans lequel on pourra continuer à se chauffer ad libitum sans être contraints d’isoler son logement ou celui qu’on a l’intention de louer, manger de la viande rouge à l’envi plutôt que des insectes ou une infâme viande synthétique, avoir autant d’enfants qu’un couple le désire alors que le WEF veut exiger une permis d’avoir des enfants car ce serait néfaste pour le climat ( https://newsaddicts.com/wef-professor-parents-must-apply-license-children/ ), et enfin un monde dans lequel il sera tout simplement autorisé de ne pas se culpabiliser quand on bougera son petit doigt. Un jour ou l’autre cette supercherie du climat sera dénoncée par des millions de personnes devenues enfin conscientes qu’on a tenté de les leurrer avec des boniments sans fondement comme on les a trompées avec ce pseudo-vaccins à ARN messager qui les a tuées ou à défaut les a transformées en organismes génétiquement modifiés dont l’espérance de vie a été réduite à peau de chagrin …
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2023/11/08/effets-inattendus-dune-reduction-de-lactivite-humaine-sur-levolution-du-climat/
La Chine et l’Inde contestent l’UE sur la nouvelle taxe carbone
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 13H20
Rédigé par Metal Miner via OilPrice.com,
La taxe carbone de l'UE est critiquée par la Chine et l'Inde, qui estiment qu'elle constitue une nouvelle barrière commerciale et ne tient pas compte des différentes phases de développement.
L'association chinoise de l'acier et le ministre indien du Commerce se sont tous deux prononcés contre cette taxe, l'Inde suggérant qu'elle pourrait mettre en œuvre un équivalent national pour financer les transitions énergétiques vertes.
Les deux pays prennent des mesures pour atténuer les impacts potentiels de la taxe européenne, notamment en améliorant la déclaration des émissions en Chine et en une éventuelle contestation auprès de l'OMC par l'Inde.
L’Inde et la Chine continuent de dénigrer le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACB), ou « taxe carbone », comme on l’appelle désormais, proposé par l’Union européenne. Pendant ce temps, l’UE affirme que le nouveau programme fait partie intégrante de son plan visant à atteindre zéro émission dans six industries ciblées.
Le nouveau régime fiscal est récemment entré dans ce que certains experts appellent la « phase de transition ». À compter du 1er octobre, les importateurs de matières premières, dont l’acier, dans l’UE doivent déclarer les émissions de carbone de ces produits. À partir de 2026, ces importateurs seront également soumis à des frais. L’UE vise à imposer la nouvelle taxe aux pays ayant d’importantes émissions de carbone. Et même si l’objectif déclaré de la taxe carbone est de mettre les producteurs européens sur un pied d’égalité avec leurs homologues des autres pays, elle augmentera également le coût de l’acier, de l’aluminium et d’autres biens.
Le point de vue de la Chine sur la nouvelle taxe reste inchangé
RépondreSupprimerLa Chine s’élève depuis un certain temps déjà contre la taxe carbone de l’UE. Cependant, il y a quelques jours, l’association sidérurgique du pays, soutenue par l’État, est allée jusqu’à qualifier cette taxe de « nouvelle barrière commerciale ». Par ailleurs, l'agence de presse Reuters a rapporté que l'Association chinoise du fer et de l'acier (CISA) souhaitait davantage de discussions avec l'UE sur cette question.
Selon l'organisme représentatif, la nouvelle taxe ne tient pas compte des différentes phases de développement des différents pays. Il ajoute que ce prélèvement allait à l'encontre du principe des responsabilités communes mais différenciées. En effet, certains analystes prédisent que la taxe carbone pourrait augmenter le coût des produits sidérurgiques de 4 à 6 %, voire plus. Cela suffirait à rendre les exportations chinoises non viables.
L'Inde désapprouve également la taxe carbone
Comme son voisin, l’Inde désapprouve également la nouvelle taxe européenne, affirmant qu’elle nuirait à ses exportations. Le ministre du Commerce et de l’Industrie, Piyush Goyal, a récemment déclaré que la taxe était « mal conçue », ajoutant que l’UE s’en rendrait compte dans les prochains jours et devrait abandonner complètement cette idée. Des réunions ont déjà eu lieu entre les différents organismes professionnels, les fabricants et le gouvernement concernant la taxe. Comme pour la Chine, l’Inde a également souligné que le CBAM ne parvient pas à attribuer des valeurs différentes aux différentes étapes de production se déroulant dans des pays distincts.
Le ministre indien a également déclaré que le gouvernement trouverait une solution, très probablement une taxe nationale équivalente à la taxe européenne. Ils pourraient alors utiliser ces nouveaux revenus pour la transition énergétique verte. Il a souligné que cette solution aiderait indirectement les entreprises indiennes exportatrices à réduire leur empreinte carbone en se tournant vers une production d’énergie plus propre. À terme, un CBAM ne serait plus nécessaire.
Alors que l’Inde réfléchit peut-être à une taxe intérieure pour contourner le problème, la Chine continue de laisser entendre qu’elle imposera des mesures de protection commerciale similaires pour sauvegarder les intérêts de ses propres producteurs nationaux. Quoi qu’il en soit, le nouveau régime ouvrira probablement la voie à une nouvelle période d’incertitude, de frictions et de risques dans le secteur.
L’Inde et la Chine alternent entre mesures proactives et réactives
Les deux pays espèrent que l’UE réexaminera cette taxe et éventuellement la supprimera complètement. À tout le moins, ils espèrent que l’organisation réexaminera soigneusement les coûts et les défis opérationnels pour les consommateurs en aval en raison du changement dans la structure des importations. À un moment donné, l’Inde a même menacé de faire pression sur l’Organisation mondiale du commerce au sujet de la taxe sur le carbone.
Cela dit, le ministère chinois de l’Environnement a récemment demandé à ses grands pollueurs industriels de renforcer leurs déclarations d’émissions. Selon Bloomberg, il s’agissait de préparer l’industrie à la taxe carbone. Pour rester conformes, les producteurs de sept secteurs, dont l'acier et l'aluminium, qui rejettent plus de 26 000 tonnes de gaz carbonique par an doivent vérifier leurs données 2022 d'ici décembre de cette année.
RépondreSupprimerÀ l’inverse, l’Inde continue de remettre en question la logique d’une tarification du carbone au même niveau en Inde qu’en Europe. Cependant, le gouvernement garde espoir que s’il parvient à taxer localement et à consacrer ces revenus à la transition énergétique verte, il pourra annuler tout avantage non compétitif dans les exportations indiennes vers l’Europe.
https://www.zerohedge.com/energy/china-and-india-challenge-eu-over-new-carbon-tax
Que la Chine fabrique des éoliennes et panneaux solaires qui ne serviront à rien: elle s'en fout, c'est le marché. Qu'elle installe ses gadgets chez elle pour 'donner l'exemple' (de l'idiotie): c'est normal, c'est le marché. Mais qu'elle accepte de payer une taxe sur le gaz carbonique qui se recycle immédiatement... là, il y a discussions !
SupprimerLa Chine est loin d'être la dernière de la classe avec ses millions de scientifiques surdoués qui présentent des rapports incontestables.
Le coût réel de possession d’un véhicule électrique équivaut à 17,33 $/gal d’essence, révèle une étude
RépondreSupprimer11/07/2023
Belle Carter
Une étude récente intitulée « Les attentes surchargées : démasquer les véritables coûts des véhicules électriques » a récemment révélé que posséder un véhicule électrique (VE) coûte cher, soit 17,33 $ le gallon d'essence. L'étude a été publiée au milieu de la poussée massive du président Joe Biden en faveur d'un programme vert, passant des véhicules à essence à l'électrification, ainsi que de la Californie et d'autres États « de gauche » mettant en œuvre des lois interdisant la vente de voitures à essence d'ici 2035.
La Texas Public Policy Foundation (TPPF) a mené la recherche, qui a indiqué que les véhicules électriques ne sont pas seuls par rapport aux autres véhicules en raison du « large éventail de subventions directes, de crédits réglementaires et d'infrastructures subventionnées qui contribuent à la viabilité économique des véhicules électriques ». Selon le journal, « en ajoutant les coûts des subventions au coût réel du ravitaillement en carburant d'un véhicule électrique, cela équivaudrait à ce qu'un propriétaire de véhicule électrique paie 17,33 dollars par gallon d'essence. Et ces estimations n'incluent pas les centaines de milliards supplémentaires de subventions dans le cadre du plan de réduction de l'inflation. Acte." Il en coûterait 48 698 dollars de plus sur une période de 10 ans sans 22 milliards de dollars de faveurs gouvernementales accordées aux fabricants et aux propriétaires de véhicules électriques, révèle en outre l'article.
"L'administration Biden et les États de gauche comme la Californie ont poussé à une électrification généralisée en moins de 20 ans grâce à des subventions gouvernementales et à des réglementations coercitives, mais le prix que vous voyez dans le lot n'est pas le véritable coût d'un véhicule électrique", a déclaré l'auteur de l'étude, Jason. dit Isaac. « Les propriétaires de véhicules électriques ont bénéficié de crédits réglementaires, de subventions et de coûts d'infrastructure socialisés totalisant près de 50 000 dollars par véhicule électrique. Ces coûts sont supportés par les propriétaires de véhicules à essence, les contribuables et les contribuables des services publics, qui paient tous un prix élevé pour le véhicule électrique de quelqu'un d'autre. "
Inutile de dire que l'étude du groupe de réflexion basé à Austin, au Texas, laisse entendre que les voitures traditionnelles alimentées aux combustibles fossiles sont bien plus abordables à l'achat que les véhicules électriques sans subventions. "Il n'est pas exagéré de dire que le gouvernement fédéral subventionne les véhicules électriques dans une plus grande mesure que la production d'électricité éolienne et solaire et qu'il se lance dans un effort sans précédent pour reconstruire l'ensemble de l'industrie automobile américaine", ajoute le rapport.
RépondreSupprimerLe Western Journal a également rapporté que, selon l'étude, environ 22 milliards de dollars sous diverses formes d'aide fédérale et étatique ont artificiellement abaissé le prix d'un véhicule électrique 2021 de près de 50 000 dollars. L’estimation du coût total pour d’autres personnes en raison de la pression exercée sur le réseau électrique par la recharge des véhicules électriques s’élève à 11 833 $ sur 10 ans. Pire encore, ces sommes viennent des poches des contribuables et des contribuables des services publics.
Pendant ce temps, les subventions étatiques et fédérales réduisent en moyenne de 8 984 dollars le coût réel d'un véhicule électrique sur 10 ans, alors que tout le monde paie plus, selon le rapport. "La dure réalité pour les partisans des véhicules électriques et pour les rêveurs du gouvernement fédéral, qui utilisent les réglementations en matière d'économie de carburant pour forcer les fabricants à produire toujours plus de véhicules électriques, est que le coût réel d'un véhicule électrique est loin d'être comparable." dit le rapport.
L’étude souligne en outre que les navetteurs préfèrent désormais utiliser/prendre des véhicules hybrides plutôt que des véhicules électriques. "Peut-être que si les politiciens et les bureaucrates de Washington cessent d'essayer de forcer les Américains à construire et à acheter leurs types de véhicules préférés, l'avenir plus propre et plus brillant qu'ils imaginent se matérialisera réellement", ajoute-t-il. "Il est temps que les gouvernements fédéral et étatiques arrêtent de pousser l'industrie automobile américaine dans une falaise économique et permettent aux marchés de stimuler davantage d'améliorations en termes de coûts et d'efficacité", indique le rapport.
Pour Brent Bennett de TPPF, suite à ladite étude, il serait faux d’affirmer que les véhicules électriques coûteront bientôt moins cher que les voitures à essence. « Cette étude montre que les véhicules électriques sont encore loin d'être compétitifs sans subventions massives. Les normes strictes d'économie de carburant et les manipulations réglementaires de l'administration Biden poussent les constructeurs automobiles américains vers la faillite et ajoutent des milliers de dollars au coût de chaque véhicule à essence. des subventions et des réglementations lourdes permettraient aux consommateurs d'économiser de l'argent et empêcheraient l'industrie automobile de sombrer dans une falaise financière", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerLes « attentes surchargées » ont été soumises dans le cadre d'un commentaire public sur les normes d'économie de carburant proposées par la National Highway Transportation Safety Administration.
Économiste : les véhicules électriques sont le « prochain grand flop »
Selon Steve Moore, économiste de l'ancien président Donald Trump, les véhicules électriques pourraient être le « prochain grand échec » du marché automobile et investir dans ces véhicules a été un mauvais pari. "Le fils d'Henry Ford s'appelait Edsel, et cette voiture allait être géniale. Tous les dirigeants disaient : 'C'est la voiture que tout le monde va vouloir acheter.' Ford a fabriqué 500 000 de ces nouvelles berlines, mais devinez quoi ? » Moore a déclaré sur "Varney & Co." Lundi. "Personne n'a pris la peine de demander aux consommateurs s'ils voulaient cette voiture."
Il a souligné que "Edsel" était l'un des plus grands flops de tous les temps. Il a ensuite prévenu : « Si ces tendances se poursuivent, nous allons voir le marché des véhicules électriques devenir le prochain grand échec parce que les acheteurs de voitures n’en veulent pas. »
Récemment, la poussée des véhicules électriques chez Ford et General Motors a connu un ralentissement qui a réduit les bénéfices des constructeurs automobiles et les a amenés à réévaluer leurs projets électriques dans un contexte de guerre des prix et de défis de la chaîne d’approvisionnement.
Fox Business a rapporté que Ford avait noté dans son rapport sur les résultats publié la semaine dernière que son unité EV avait enregistré une perte trimestrielle avant intérêts et impôts (EBIT) de 1,33 milliard de dollars, une accélération après une perte de 1,08 milliard de dollars au trimestre précédent. Il a ajouté qu'il réduisait la production de sa Mustang Mach-E tout en réduisant d'environ 12 milliards de dollars les investissements prévus dans le segment des véhicules électriques, notamment en retardant la construction de sa deuxième usine de batteries dans le Kentucky. (Connexe : Embarrassant : un véhicule électrique primé fait un « bruit étonnamment fort » et perd de la puissance pendant les tests.)
RépondreSupprimerRoboCars.news a d'autres histoires similaires à celle-ci.
Sources for this article include:
TexasPolicy.com
DailyFetched.com
WesternJournal.com
FoxBusiness.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-07-ev-costs-17-dollar-per-gal-of-gas.html
Le bus Google « 100 % électrique » PERD DE L'ÉNERGIE en gravissant la colline de San Francisco et percute près d'une douzaine de voitures
RépondreSupprimer11/08/2023
Arsenio Toledo
Un bus de banlieue « 100 % électrique » détenu et exploité par Google a perdu de l'électricité pendant son transport, percutant plusieurs voitures dans une rue de San Francisco.
L'incident s'est produit le lundi 6 novembre sur Castro et le 20 dans le quartier d'Eureka Valley, vers 8 h 45. Le bus Google aurait perdu le courant alors qu'il naviguait sur la pente raide de la colline de Castro Street. Cela a fait reculer le bus et est entré en collision avec plusieurs voitures. (Connexe : Jackson, Wyoming, a acheté 8 bus électriques pour son système de transport en commun… AUCUN d'entre eux n'est actuellement opérationnel.)
Le résident Xian Ke a initialement signalé l'incident et l'a publié sur la plateforme de médias sociaux X. « Certains journalistes locaux doivent s'en occuper », a-t-il écrit. "Un bus Google a perdu son courant alors qu'il montait la colline, a fait marche arrière et a heurté neuf voitures ce matin devant chez moi [dans le district de Castro]."
Des vidéos partagées de l'incident montrent un bus gris à deux étages avec "100% Battery Electric" affiché sur le côté avec au moins quatre autres véhicules endommagés juste à côté. Un arbre a également été endommagé après qu'un SUV est entré en collision avec lui après avoir été heurté par le bus.
Les habitants de San Francisco se sont également tournés vers les réseaux sociaux pour rendre compte de l'incident, plusieurs se plaignant de la façon dont la police a fermé Castro Street à cause de l'accident et d'autres témoins oculaires confirmant qu'« un bus technologique a dévalé la colline à reculons dans un tas de trafic ».
Les rapports reçus de témoins oculaires par l'Agence municipale des transports de San Francisco (SFMTA) suggèrent également que les freins du bus électrique de Google sont tombés en panne, entraînant les accidents.
La SFMTA a confirmé que l'accident a bien eu lieu et qu'il a affecté la ligne de bus de San Francisco qui traversait le quartier. Cependant, malgré le chaos, la SFMTA a affirmé que les services dans le quartier avaient été pleinement opérationnels cet après-midi-là.
Le bus Google EV blesse gravement au moins une personne et cause des dégâts importants à au moins quatre voitures
RépondreSupprimerLa police de San Francisco a déclaré qu'elle enquêtait toujours sur l'incident et n'était pas parvenue à une détermination définitive sur la cause de l'accident. L'enquête se poursuivra alors que le ministère demande à toute personne du public ayant des informations de se manifester.
Les agents qui sont intervenus sur l'incident ont constaté que l'arrière du bus de banlieue avait été gravement endommagé et avait causé des dommages importants à au moins quatre autres véhicules.
Un porte-parole de Google a confirmé à la station locale affiliée à CBS, KPIX, que le bus faisait partie de la flotte de navettes de l'entreprise et qu'elle enquêtait sur ce qui s'était passé.
"La sécurité et le bien-être de toutes les personnes impliquées sont notre priorité absolue pendant que nous travaillons avec les autorités locales pour comprendre ce qui s'est passé", a déclaré Google.
L'accident a non seulement causé des dommages physiques à plusieurs voitures et infrastructures publiques, mais a également causé au moins une personne avec des blessures suffisamment graves pour nécessiter une hospitalisation. Les détails des blessures n'ont pas été divulgués et la police a refusé de commenter.
Apprenez-en davantage sur les véhicules électriques sur RoboCars.news.
Regardez cet épisode du « Health Ranger Report » pendant que Mike Adams, le Health Ranger, explique l'une des nombreuses façons dont les véhicules électriques constituent un danger pour la société.
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
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IRONIQUE? Tesla construit la plus grande station de suralimentation au monde, mais elle est alimentée par une centrale diesel.
La plupart des ventes de véhicules électriques neufs (VE) ont lieu dans les États les plus bleus du pays, la Californie étant en tête de liste.
RépondreSupprimerUne voiture électrique EXPLOSE dans une allée et met le feu à la maison familiale après un dysfonctionnement de la batterie.
QUESTION BRÛLANTE : Un propriétaire de Toronto interdit les véhicules électriques personnels présentant un « risque potentiel d'incendie » sur la propriété ; Les défenseurs des droits des locataires sont indignés.
Les sources incluent :
Breitbart.com
SFist.com
CBSNews.com
KTVU.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-08-100-percent-electric-google-bus-loses-power.html
Le plafonnement des prix imposé par l’Occident sur les exportations de pétrole russe ne fonctionne PAS
RépondreSupprimer11/08/2023
Arsenio Toledo
Le plafonnement des prix sur les exportations de pétrole russe introduit par le Groupe des Sept dirigé par les États-Unis et l’Union européenne à la fin de l’année dernière n’a pas produit l’effet escompté.
C’est ce que révèlent plusieurs rapports publiés par des journalistes des grands médias, notamment Politico et le Wall Street Journal. (Connexe : HYPOCRISIE : les États-Unis vont AUGMENTER LES IMPORTATIONS en provenance de Russie dans un contexte de sanctions économiques contre Moscou.)
Les prix plafonds ont été introduits à la fin de l’année dernière pour atteindre deux objectifs : garantir que tout pétrole brut russe entrant sur le marché mondial fasse baisser les prix de l’essence et réduire les revenus que Moscou reçoit pour chaque baril vendu.
Le plafonnement des prix a été introduit à la fin de l'année dernière comme moyen de réduire les revenus que Moscou tire de ses exportations d'énergie en guise de représailles pour l'opération militaire spéciale russe en Ukraine. À cette époque, le monde occidental espérait que Moscou serait à court de revenus pour les armes et les salaires de ses soldats. Ce n'est pas le cas.
La Russie contourne facilement les sanctions occidentales sur les exportations de pétrole
Les dernières preuves de la résilience de la Russie proviennent de données récemment publiées montrant les recettes fiscales pétrolières et gazières dans le budget russe.
Après que le plafonnement des prix ait initialement contraint les acheteurs de pétrole russe à proposer un prix ne dépassant pas 60 dollars le baril de pétrole brut, les revenus de Moscou provenant des ventes de pétrole et de gaz ont chuté de 46 % sur un an en janvier, pour atteindre environ 426 milliards de roubles (4,6 dollars). milliard). Depuis, Moscou a inversé sa tendance sur ce déclin.
Selon les dernières données du ministère des Finances de la Fédération de Russie, les revenus pétroliers et gaziers en octobre s'élevaient à environ 1 635 milliards de roubles (17,6 milliards de dollars), soit plus du double des revenus de l'État en septembre et une hausse de plus d'un quart par rapport à ceux de septembre. Octobre 2022.
RépondreSupprimerLes sanctions contre la Russie ont initialement fonctionné comme prévu. Mais Moscou s’est efforcé depuis de contourner ces sanctions, notamment en transportant du pétrole sur une flotte de pétroliers vieillissants sur lesquels les restrictions avaient limité l’impact.
Les rabais imposés par la Russie sur les ventes de pétrole brut ont diminué et les ventes de pétrole russe contribuent désormais massivement au budget russe. Le baril se négocie actuellement à environ 75 dollars le baril et, à un moment donné en septembre, la Russie a même pu vendre du pétrole brut à plus de 80 dollars le baril.
Pire encore pour l’Occident, une grande partie du commerce du pétrole russe se déroule désormais en dehors de sa juridiction. Les efforts actuels des autorités américaines pour imposer des sanctions aux pétroliers individuels qui enfreignent les règles relatives aux sanctions.
Mais ces sanctions imposées aux pétroliers individuels n’auront que très peu d’effet. Un rapport récent de l'École d'économie de Kiev note que la Russie dispose d'une « flotte fantôme » d'au moins 180 pétroliers qui transportent des exportations de pétrole et de gaz dans le monde entier. La taille même de cette flotte garantit que la plupart des exportations russes ne seront soumises à aucun plafond de prix.
En outre, les plus grands acheteurs de pétrole de la Russie – la Chine, l'Inde et la Turquie – n'ont pas adhéré au plafonnement des prix occidental. En conséquence, Moscou a redirigé vers ces pays une plus grande partie de ses exportations de pétrole auparavant destinées aux pays occidentaux.
Apprenez-en davantage sur la situation énergétique de la Russie sur NewEnergyReport.com.
Regardez ce clip de Fox News expliquant comment la production pétrolière russe a retrouvé ses niveaux d'avant le conflit, grâce à son solide commerce pétrolier avec la Chine et l'Inde.
Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.
RépondreSupprimerPlus d'histoires connexes:
La Russie évite les sanctions occidentales sur son commerce pétrolier en passant au YUAN CHINOIS et en abandonnant le dollar.
DÉCÈS DU DOLLAR : le troisième plus grand producteur de pétrole de Russie remplace presque entièrement les monnaies de règlement des exportations par le yuan et le rouble.
La Russie a presque totalement contourné les sanctions occidentales sur les exportations de pétrole.
FIN DE L'HÉGÉMONIE DU DOLLAR : le géant pétrolier russe utilise désormais le yuan et le rouble pour régler ses exportations.
Jeffrey Prather lâche d'importantes BOMBES dans une interview percutante avec Health Ranger sur la guerre entre la Russie et l'Ukraine et pourquoi la Russie BAT l'Occident avec facilité.
Les sources incluent :
RT.com
WSJ.com
Politico.eu
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-08-wests-price-caps-russian-oil-not-working.html
Linky va (encore) bloquer l’allumage de certains appareils
RépondreSupprimerVous détenez un compteur Linky ? Il se pourrait bien que vous soyez concerné par ce nouvel arrêté ministériel. Depuis samedi 4 novembre 2023, les gestionnaires des réseaux publics de distribution d’électricité, tels qu’Enedis, peuvent (de nouveau) désactiver l’enclenchement automatique des chauffe-eau pendant les heures creuses.
Par Axelle Ker
le 8 novembre 2023 à 16h00
92 % des Français sont équipés d'un compteur Linky.
Les compteurs Linky seront désactivés pendant les heures creuses durant l'hiver
« Une économie forcée pour des millions de foyers », pourrait-on titrer. Un arrêté ministériel pris discrètement à la rentrée, et comme nous l'avons déjà vécu l'année dernière, est entré en vigueur samedi 4 novembre. Environ 4,2 millions de foyers bénéficiant de 6 heures creuses la nuit et de 2 heures en journée verront leur chauffe-eau ne plus s'activer automatiquement pendant les heures creuses, soit entre 11h et 15h30. L'objectif de cette mesure n'a pas changé depuis l'année dernière : réduire la consommation énergétique des ménages afin de limiter la pression sur le réseau électrique et donc d'éviter de potentielles coupures.
Le chauffage de l'eau sera donc limité durant ces heures. Néanmoins, la recharge nocturne devrait suffire à couvrir les besoins en eau chaude de la majorité des ménages. Enedis souligne que cette mesure avait permis une économie significative l'hiver passé, avec une réduction de 2,4 GW de consommation à 12h30, équivalant à la demande énergétique d'une métropole comme Paris. Une information préalable est censée être envoyée par les fournisseurs d'énergie aux clients affectés au moins quinze jours avant le début de l'application de la mesure. « Les gestionnaires des réseaux publics de distribution d'électricité rendent effective la désactivation au plus tôt le 4 novembre 2023 et au plus tard le 1er décembre 2023, (...) (et) prend fin au plus tôt au 9 mars 2024 et au plus tard au 1er avril 2024 », précise l'arrêté.
Restriction Linky : une mesure qui est loin de faire l'unanimité
Si cette mesure peut alléger le réseau, elle est aussi une contrainte pour les usagers qui doivent s'adapter. Seuls 11 millions de Français profitent de 8 heures creuses concentrées la nuit. Comme évoqué précédemment, ce sont bien les ménages qui disposent de deux heures creuses en journée qui sont directement visés par cette mesure. Néanmoins, les utilisateurs du compteur Linky, et eux seuls, auront la possibilité de réenclencher manuellement leur chauffe-eau entre 12h et 14h si nécessaire. Mais comme le souligne 60 millions de consommateurs : « ils devront veiller à le couper lors du retour en heures pleines pour qu'il ne tourne pas en marche forcée à plein tarif ».
Les heures creuses resteront disponibles pour les autres appareils. Les ménages pourront donc continuer à bénéficier de tarifs avantageux pour le lave-linge ou le lave-vaisselle, par exemple. Pour autant, les détenteurs d'un compteur Linky s'interrogent sur la pertinence de réitérer une telle restriction, alors même que le Réseau de Transport d'Électricité (RTE) mentionne une « situation significativement plus favorable que celle initialement envisagée pour l’hiver dernier ».
https://www.economiematin.fr/linky-restriction-chauffage-eau-compteur-hiver
Les radars, vaches à lait des finances publiques
RépondreSupprimerLes radars automatiques, ces sentinelles de métal, semblent s’être érigés en juges impitoyables de nos moindres écarts sur la route. En un clin d’œil, ils transforment une infraction minime en amende salée. Décryptage d’une machine à cash qui alimente les caisses de l’État.
Par Jean-Baptiste Giraud
le 8 novembre 2023 à 17h00
Les radars automatiques ont rapporté 12 milliards d'euros au gouvernement depuis vingt ans.
Radars : un tout petit excès suffit pour se faire prendre
Il suffit parfois d'un léger dépassement de la vitesse limite - disons, de 110 à 114 km/h - pour que le radar sanctionne. Un excès minuscule, presque indétectable au compteur à aiguilles contrairement au compteur digital, et pourtant, la contravention tombe. Depuis vingt ans, ces dispositifs sont devenus des acteurs incontournables de nos routes, alimentant les finances étatiques sans relâche.
Les chiffres sont impressionnants : 12 milliards d'euros récoltés depuis leur avènement. Officiellement, cet argent colossal est destiné à la sécurisation et l'amélioration de nos routes. Une bonne chose sur le papier, certes, mais une part non-négligeable de cette somme finance l'acquisition de nouveaux radars. C'est un cycle sans fin : chaque amende payée sème les graines du radar suivant.
Le conducteur pourrait se voir infliger plusieurs amendes en une fraction de seconde
Les radars évoluent et leur appétit s'élargit. Les infractions mineures, autrefois jugées par l'œil humain, sont désormais soumises au jugement implacable de caméras dotées d'intelligence artificielle. Se gratter le nez, consulter son téléphone, oublier sa ceinture, toutes ces petites négligences du quotidien deviennent des fautes passibles d'une amende. L'ère de la surveillance exhaustive est à nos portes.
Avec l'arrivée de radars capables de détecter simultanément plusieurs infractions, le conducteur pourrait se voir infliger, en une fraction de seconde, une pluie de contraventions. Un seul équipement pourra bientôt sanctionner à la chaîne. Ce tour de vis technologique nous rappelle une règle d'or, simple mais fondamentale : respecter scrupuleusement le code de la route.
Le podcast de Jean-Baptiste Giraud du 31 octobre 2023 est disponible ici
https://www.economiematin.fr/radars-machine-argent-gouvernement
L’anxiété liée à l’IA augmente à mesure que les ordinateurs deviennent super intelligents
RépondreSupprimer11/07/2023
Olivia Cook
Le développement rapide de l’intelligence artificielle (IA) l’a portée à l’attention et à la fascination du grand public. Mais l’anxiété liée à l’IA est désormais également en hausse.
Bien que les avantages de l'IA soient nombreux, les changements spectaculaires de l'IA provoquent chez un nombre croissant de personnes une anxiété, un inconfort et une peur importants face à l'incertitude de ses implications et de ses risques potentiels.
L’IA se développe à un rythme vertigineux. Par exemple, ChatGPT-3.5 possède un très large éventail de capacités, notamment l'écriture de code pour des jeux vidéo, des formules Excel, des essais, des scénarios de films et des poèmes ; vous aider à rédiger une lettre de motivation ou un curriculum vitae ; rechercher des sujets et résumer le contenu ; et même planifier des vacances.
La dernière version, ChatGPT4, l'enfant en or d'OpenAI, serait capable de créer des recettes à partir de simples images d'ingrédients ; décrire des images à des aveugles; et être capable d'apprendre une langue, pour pouvoir parler avec l'IA en 26 langues.
Un article du Defender en août dernier faisait état de produits d'IA ciblant les enfants, tels que les « robots nounous IA », et de leurs effets négatifs sur le développement cognitif et social des enfants.
Ce n'est plus une question de « et si », c'est un fait bien connu que les automates, les robots ou les humanoïdes qui imitent le corps humain et la technologie de l'IA ont remplacé les emplois en automatisant le travail à mi-carrière et à mi-capacité, selon un rapport de Business Insider. . (Connexe : L'essor des robots, 8 métiers qui seront repris par la technologie de l'IA.)
Selon un rapport du Forum économique mondial, les principaux emplois qui connaîtront le déclin le plus rapide au cours des cinq prochaines années sont les suivants :
Caissiers de banque et commis assimilés
RépondreSupprimerCommis des services postaux
Commis à la saisie de données
Secrétaires administratives et de direction
Commis à l'enregistrement du matériel et à la tenue des stocks
Commis à la comptabilité, à la tenue de livres et à la paie
Législateurs et fonctionnaires
Commis aux statistiques, aux finances et aux assurances
Vendeurs de porte à porte, vendeurs de journaux, vendeurs de rue et travailleurs assimilés
Les mauvais acteurs utilisent l’IA comme une arme
Le PDG de l'hôpital et spécialiste en neuroimmunologie psychologique, le Dr Jeff Comer, a averti que les algorithmes d'IA pourraient devenir si avancés qu'ils « peuvent s'auto-étendre sans surveillance ni limites humaines, ce qui entraînerait la perte de la capacité de prise de décision des humains ».
Par exemple, les algorithmes capables de fournir des diagnostics médicaux et des plans de traitement pourraient exclure les professionnels de la santé du processus d’évaluation clinique. (Connexe : considérez-vous AVERTI : les robots humanoïdes prétendent qu'ils pourraient mieux diriger le monde que les humains.)
"Si l'IA devient super intelligente et même consciente d'elle-même, elle sera capable de faire tout ce qu'un humain peut faire mieux et plus rapidement. Cela pourrait soumettre les humains à une IA plus performante. De nombreux leaders scientifiques et technologiques, comme le physicien théoricien Stephen Hawking et l'homme d'affaires Elon Musk ont épousé la réalité de cette possibilité", a ajouté Comer.
Pendant ce temps, la technologie deepfake utilise l'intelligence artificielle pour créer une copie numérique de l'image et de la voix d'une personne et est devenue à la fois de plus en plus sophistiquée et facilement accessible au public depuis 2018.
Malgré ses nombreuses utilisations bénéfiques dans le domaine éducatif, l'industrie cinématographique, le secteur de la vente au détail et autres, la technologie deepfake a également été utilisée par de mauvais acteurs pour le vol d'identité et des activités frauduleuses, des usurpations d'identité, des atteintes à la carrière ou à la réputation d'une personne, du chantage, etc.
Dans sa forme actuelle, il y aura un point où il sera très difficile de différencier la vraie affaire de celle générée par l'IA.
Dans une interview, le psychologue américain et spécialiste des sciences cognitives, le Dr Gary Marcus, co-auteur du livre "Rebooting AI: Building artificial intelligence we can trust", a déclaré que sa plus grande crainte était que les gens puissent utiliser l'IA, comme la technologie deepfake, entre autres, pour « perturber la démocratie » en créant une atmosphère où personne ne peut plus faire confiance à rien.
Visitez InformationTechnology.news pour plus d’histoires sur l’IA.
RépondreSupprimerRegardez cette vidéo sur l'anxiété liée à l'IA.
Cette vidéo provient de la chaîne Daily Videos sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
IBM va remplacer 8 000 travailleurs par l'automatisation de l'IA ; plus de nouvelles recrues pour des postes pouvant être remplis par l’IA.
Chercheurs : les décisions en matière d’IA pourraient provoquer une CATASTROPHE « au niveau nucléaire ».
Google suspend un ingénieur pour avoir exposé un chatbot IA « sensible ».
Google licencie le fondateur et co-responsable de l'unité d'éthique de l'IA et annonce une réorganisation des équipes d'IA.
Les sources incluent :
ScienceFocus.com
ChildrensHealthDefense.org
BusinessInsider.com
WeForum.org
PsychologieAujourd'hui.com
DL.ACM.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-07-ai-anxiety-rise-computers-get-super-smart.html
Le plus grand système d’identification biométrique au monde subit une violation massive, affectant 10 % de la population mondiale
RépondreSupprimer11/07/2023
Cassie B.
L’une des plus grandes craintes de nombreuses personnes concernant les systèmes d’identification biométrique s’est récemment concrétisée lorsque le plus grand système au monde a été piraté, exposant les informations personnelles d’environ 10 % de la population mondiale.
Le système en question est Aadhaar, un programme d'identité numérique biométrique géré par le gouvernement indien. En Inde, 1,3 milliard de personnes participent actuellement au programme, et environ 60 % d’entre elles ont été touchées par cette violation.
Elle a été réalisée par un pirate informatique anonyme, qui affirme que la violation lui a laissé des données personnelles sensibles concernant 815 millions de citoyens indiens. Ils vendent désormais l'ensemble des données pour 80 000 $. On pense que la source de la fuite est liée aux données des tests de dépistage du COVID-19 effectués par le Conseil indien de la recherche médicale ; les données du test étaient liées aux numéros Aadhaar des personnes.
Lors de leur inscription à Aadhaar, les citoyens et résidents indiens doivent fournir des informations démographiques telles que leur nom, leur âge, leur date de naissance, leur sexe et leur adresse, ainsi que des informations biométriques comprenant des scans de leurs deux globes oculaires, une photo de leur visage et empreintes digitales de tous leurs doigts.
L'ensemble de données vendu par le pirate informatique contient une grande partie de ces données, ainsi que les numéros de téléphone, les codes PIN, les numéros de passeport et les noms des pères des victimes. Certains des échantillons du piratage divulgués ont été vérifiés, certaines des victimes contactées ayant déclaré que les données étaient correctes et qu'elles n'avaient pas été informées de la violation.
Plus d'un milliard de personnes en Inde sont inscrites à l'Aadhaar
Aadhaar, qui signifie « fondation » en hindi, a été créée en 2012 pour établir un numéro d'identification unique pour chaque résident de l'Inde et constitue aujourd'hui le plus grand système d'identité numérique au monde. Il comprend 92 pour cent de la population du pays et a délivré 1,3 milliard de numéros d'identité uniques.
Le gouvernement a déclaré que son objectif était de donner aux personnes sans pièce d'identité une méthode formelle d'identification gouvernementale tout en réduisant l'incidence des pièces d'identité volées ou fausses et en donnant aux gens l'accès aux programmes gouvernementaux tels que l'aide sociale. Bien qu'il ait été initialement introduit comme un programme volontaire, il est ensuite devenu obligatoire pour ceux qui souhaitent profiter des prestations et des programmes sociaux de l'État.
RépondreSupprimerIl est également nécessaire pour accéder aux services du secteur privé tels que les comptes bancaires, le paiement des retraites et les dossiers médicaux dans le pays. Il assure également le suivi de la situation professionnelle des utilisateurs, des dossiers d'achat et de leurs déplacements entre les villes, donnant ainsi au gouvernement des pouvoirs de surveillance étendus.
Cette violation n’est pas la première fois que le système est piraté ; le gouvernement indien enquête déjà sur une précédente violation de données impliquant les données personnelles de citoyens indiens vaccinés. De plus, selon WikiLeaks, la CIA pourrait y avoir accès, et la publication spécialisée Biometric Update a déclaré que l'Inde « saigne des données biométriques » à cause de ce système.
Cela est très problématique si l’on considère le fait que les données biométriques telles que vos empreintes digitales et vos globes oculaires ne peuvent jamais être modifiées de la même manière qu’une personne pourrait changer son mot de passe après le piratage d’un compte. La vérité est que tout ce qui est en ligne ou connecté à un système numérique peut être piraté d’une manière ou d’une autre, même avec les protections de sécurité les plus robustes et les plus récentes en place.
Lorsque le système a été mis en place, il a été applaudi par Bill Gates pour avoir rendu visible « le peuple invisible de l’Inde ». Il a également déclaré à l'époque que le système ne présentait aucun risque pour la vie privée, ce que les 815 millions de personnes qui ont aujourd'hui autant de données personnelles exposées seraient sûrement en désaccord.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
LiveMint.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-07-worlds-biggest-biometric-id-system-massive-breach.html
La censure profonde de l’État dévoilée
RépondreSupprimer11/08/2023
Rédacteurs de l'actualité
Un nouveau rapport explosif a été publié, intitulé : « ARMEMENT DES PSEUDO-EXPERTS ET BUREAUCRATS « DÉSINFORMATION » : COMMENT LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL S'EST PARTENÉ AVEC LES UNIVERSITÉS POUR CENSURER LE DISCOURS POLITIQUE DES AMÉRICAINS », rapport intérimaire du Comité de la magistrature et du Sous-comité spécial. sur la militarisation du gouvernement fédéral par la Chambre des représentants des États-Unis a été publiée le 6 novembre 2023.
(Article republié depuis RWMaloneMD.Substack.com)
Dans ce rapport, le comité a exposé le rôle de l’Election Integrity Partnership (EIP) et d’autres organisations d’astroturf engagées (c’est-à-dire payées) par le ministère de la Sécurité intérieure pour censurer les Américains.
Le représentant Jim Jordan sur son compte Twitter a également fourni les reçus de la création du Partenariat pour l'intégrité électorale, en joignant une lettre du Conseil atlantique conseillant une « synchronisation » par laquelle ils ont créé le Partenariat pour l'intégrité électorale en 2020. Ergo, un partenariat de quatre organisations travaillant en collaboration avec le gouvernement américain et l’Atlantic Council.
- voir doc sur site -
En fait, l'EIP est composé de quatre « partenaires ». Il s'agit du Stanford Internet Observatory (SIO), du Center for an Informed Public (CIP) de l'Université de Washington, de Graphika et de l'Atlantic Council. Chaque organisation a un rôle distinct à jouer, allant de l'identification des « propageurs de désinformation » à l'identification des réseaux de médias sociaux sur lesquels les personnes ainsi accusées ont interagi, en passant par les recommandations concrètes aux sociétés de médias sociaux pour la suppression des publications offensantes identifiées, et les communications en retour et en retour. davantage entre le gouvernement et le PEI. Cela a été fait avec l’argent et les ressources du gouvernement.
Vous trouverez ci-dessous un lien pour chaque partenaire, ainsi qu'une description de leurs technologies ou de leurs activités récentes.
L'Observatoire Internet de Stanford (SIO) : Stanford a supprimé la page SIO de son site Web, bien que la machine de retour ait une copie d'archives quelque peu fonctionnelle. Dans ces pages, se trouvent des informations sur leur opération "Platform Takedown", qui a été développée pour obtenir des informations. supprimé des principales plateformes de médias sociaux. Le retrait de la plateforme SIO ne répertorie que les rapports de cas jusqu'en juin 2020, mais la machine de retour propose des rapports détaillés jusqu'en 2022.
Centre pour un public informé (CIP) de l’Université de Washington
Leur mission « est de résister à la désinformation stratégique, de promouvoir une société informée et de renforcer le discours démocratique ». Depuis ce mois-ci (novembre 2023), le CIP a désormais orienté son identification des cibles de censure vers l'identification du flux de ce qu'il considère comme les « nouvelles élites » de X (ergo-influenceurs très suivis) concernant la manière dont ils partagent des informations concernant le Conflit Hamas/Israël. L’implication étant que « X » sera la cible à l’avenir de davantage de harcèlement de la part du Partenariat pour l’intégrité électorale.
- voir doc sur site -
Graphika : Il s'agit d'une entreprise spécialisée dans « la technologie de pointe qui crée des cartes explorables à grande échelle des paysages des médias sociaux ». Leur analyse approfondie révèle des informations permettant d'aider « les clients et les partenaires à comprendre les réseaux en ligne complexes et à prendre des mesures décisives ». Graphika cite Harvard, Oxford et DARPA (DARPA = CIA) comme partenaires.
Le DFRL de l'Atlantic Council est composé d'anciens membres du personnel technologique du renseignement américain (par exemple, d'anciens membres de la CIA et de la DIA = personnel de l'« État profond »), et bien sûr, l'Atlantic Council lui-même est connu comme une plate-forme d'atterrissage pour les agents de l'État profond (autrement connus sous le nom de « Deep State »). une organisation découpée).
RépondreSupprimerLe site Web du DFRL indique :
Les plates-formes centralisées et décentralisées partagent un ensemble commun de menaces émanant d'utilisateurs malveillants motivés et nécessitent un ensemble commun d'investissements pour garantir des résultats fiables et axés sur l'utilisateur…
Des recherches plus approfondies et le renforcement des capacités sont nécessaires pour éviter une nouvelle prolifération de ces menaces.
Au sein de l'industrie, des décennies de pratique de « confiance et sécurité » (T&S) se sont développées pour devenir un domaine capable d'éclairer les complexités de la création et de l'exploitation d'espaces en ligne. En dehors de l’industrie, des groupes de la société civile, des chercheurs indépendants et des universitaires continuent de montrer la voie en matière de compréhension collective de la manière dont les risques se propagent via les plateformes en ligne et de la manière dont les produits pourraient être conçus pour mieux promouvoir le bien-être social et atténuer les dommages.
Enlevez tous les mots fleuris et cela me semble être une censure organisée par l’État profond parrainée par le gouvernement !
Au-delà des sites Web répertoriés ci-dessus, le House Report fait un excellent travail en montrant comment le Election Integrity Partnership a travaillé pour censurer le peuple américain.
Revenons au rapport du Congrès sur la censure, il se lit comme suit :
Entrez dans l'Election Integrity Partnership (EIP), un consortium d'universitaires sur la « désinformation » dirigé par le Stanford Internet Observatory (SIO) de l'Université de Stanford qui a travaillé directement avec le Département de la sécurité intérieure et le Global Engagement Center, une entité multi-agences hébergée au sein de l'État. Département, pour surveiller et censurer le discours en ligne des Américains avant l'élection présidentielle de 2020. Créé à l’été 2020 « à la demande » de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA), l’EIP a permis au gouvernement fédéral de blanchir ses activités de censure dans l’espoir de contourner à la fois le premier amendement et le contrôle public.
Ce rapport intérimaire détaille l’implication massive du gouvernement fédéral dans la création et le fonctionnement de l’EIP, qui a facilité la censure du discours politique des Américains dans les semaines et les mois précédant les élections de 2020. Ce rapport révèle également publiquement pour la première fois des rapports secrets de « désinformation » provenant du système de reporting centralisé de l’EIP, auparavant accessibles uniquement à certaines parties, notamment les agences fédérales, les universités et les grandes technologies. Le comité et le sous-comité restreint ont obtenu ces rapports non publics de l'université de Stanford uniquement sous la menace d'outrage au Congrès. Ces informations faisant état de fausses informations présumées ont été utilisées pour censurer les Américains engagés dans des discours politiques fondamentaux à l’approche des élections de 2020.
Comme le révèlent ces nouvelles informations et ce rapport, le gouvernement fédéral et les universités ont fait pression sur les sociétés de médias sociaux pour qu'elles censurent les informations véridiques, les blagues et les opinions politiques. Cette pression était en grande partie dirigée d’une manière qui profitait à un côté de l’allée politique : les vraies informations publiées par les républicains et les conservateurs étaient qualifiées de « désinformation », tandis que les fausses informations publiées par les démocrates et les libéraux n’étaient pratiquement pas rapportées et n’étaient pas touchées par les censeurs. La pseudoscience de la désinformation n’est aujourd’hui – et n’a toujours été – qu’une ruse politique visant le plus souvent les communautés et les individus ayant des opinions contraires aux discours dominants.
RépondreSupprimerLe fonctionnement de l’EIP était simple : les « parties prenantes externes », notamment les agences fédérales et les organisations financées par le gouvernement fédéral, soumettaient des rapports de désinformation directement à l’EIP. Les « analystes » de la désinformation de l’EIP ont ensuite parcouru Internet à la recherche d’exemples supplémentaires de censure. Si le rapport soumis signalait une publication sur Facebook, par exemple, les analystes de l'EIP recherchaient un contenu similaire sur Twitter, YouTube, TikTok, Reddit et d'autres grandes plateformes de médias sociaux. Une fois que tous les liens incriminés ont été compilés, l'EIP a envoyé les plus importants directement aux Big Tech avec des recommandations spécifiques sur la manière dont les plateformes de médias sociaux devraient censurer les publications, comme réduire la « découverte » des publications, « suspendre [un compte] possibilité de continuer à tweeter pendant 12 heures », « surveiller si l'un des comptes d'influenceurs tagués retweete » un utilisateur particulier et, bien sûr, supprimer des milliers de publications américaines.
Le comité de la Chambre (par l'intermédiaire du représentant Jim Jordan) a également publié un document Google (Jira Tickets) qui répertorie certaines des personnes censurées par ordre chronologique et quels étaient leurs « crimes » présumés.
Dans la liste Jira Tickets, il convient de noter que le 11 juin 2021, la liste a brusquement changé son orientation de « désinformation électorale » à « désinformation sur les vaccins » et a renommé ces efforts sous le nom de projet de viralité. Presque comme s’il y avait une sorte de directive venant d’en haut .
Sur la dernière page de la liste des tickets Jira, ils ont inclus la censure de mon entretien original avec Tucker Carlson pour Fox News. Presque immédiatement après, la liste se termine. Donc, on ne sait pas combien de fois j’ai été recommandé à la censure. Sauf que si l’on se base sur l’interdiction évidente de l’ombre au cours des deux dernières années, cela s’est probablement produit des centaines de fois.
Quelques captures d'écran du rapport Jira Tickets généré sur moi concernant l'interview de Tucker (page neuf) :
Mon péché, comme le montre la capture d'écran ci-dessous, est d'avoir affirmé dans l'interview de Fox que les risques l'emportent sur les avantages chez les adolescents et les jeunes adultes (au 30 juin 2021).
- voir doc sur site -
Dans l’image ci-dessous, l’Election Integrity Partnership (maintenant le Partenariat Virality) note que je suis à la fois « anti-vaccination générale » et également « de droite » dans mes affiliations.
RépondreSupprimerDonc c'est vraiment effrayant. Le fait que mes tendances politiques soient mentionnées implique qu’être « de droite » était/est un critère suffisant pour la censure. Le fait que ce critère soit suffisant pour la censure montre une ingérence directe dans les élections.
Car cette liste me marque également comme étant généralement contre la vaccination. Comme si être contre la thérapie génique à ARNm pour des groupes vulnérables spécifiques équivalait à être contre la vaccination. C'était apparemment suffisant pour être censuré.
- voir doc sur site -
Je crois qu'il s'agit d'une liste des endroits où cela avait été partagé avant la censure :
- voir doc sur site -
Le Election Integrity Partnership note également que je suis un « récidiviste ».
- voir doc sur site -
Franchement, l’ensemble du document et le rapport du comité de la Chambre me donnent le sentiment d’être violés.
Le rapport de la Chambre documente ensuite comment même les membres du Congrès ont été censurés et que sous Biden, les efforts de censure se sont intensifiés au niveau national.
Cela ne s’est pas arrêté aux élections de 2020.
Après l’investiture du président Biden en janvier 2021, le régime de censure du gouvernement s’est intensifié. Au CISA, l’équipe du CFITF a abandonné toute prétention de se concentrer sur « l’étranger » et s’est rebaptisée « équipe MDM » qui se concentrerait sur les discours étrangers et nationaux que le gouvernement considérait comme de la désinformation ou de la malinformation. Tout au long de l’année 2021, la Maison Blanche Biden s’est engagée dans une campagne de pression contre Facebook et d’autres sociétés de médias sociaux pour censurer les contenus anti-vaccins, même si c’était vrai. D'ici 2022, la CISA a invité le Dr Starbird, puis Vijaya Gadde, alors directeur de Twitter, et d'autres à former un sous-comité consultatif MDM pour consulter la CISA sur la manière dont l'agence pourrait et devrait lutter contre le discours des Américains que le gouvernement considérait comme erroné, dis-, ou de la désinformation.
Mais en 2023, alors que les républicains reprenaient la majorité à la Chambre des représentants et commençaient à superviser le complexe censure-industriel, la CISA a supprimé sur son site Web toute référence à la censure nationale. Le comité et le sous-comité restreint ont obtenu et révélé comment Facebook a modifié ses politiques en raison de la pression de l'administration Biden. Des documents internes de Facebook ont montré que la Maison Blanche de Biden en particulier voulait que les informations vraies et les satires soient censurées à un rythme que même les grandes technologies trouvaient répréhensible.
RépondreSupprimerSur la base du travail de la commission et de la sous-commission spéciale, même les grands médias ne pouvaient plus ignorer ces violations constitutionnelles. Les plaignants dans l’affaire Missouri contre Biden ont obtenu des victoires significatives devant un tribunal fédéral de district et devant la Cour d’appel du cinquième circuit des États-Unis, et leur cause sera désormais entendue par la Cour suprême. Les rapports publics montrent que les universités reconsidèrent si elles doivent autoriser leurs professeurs à recevoir des financements et à s'engager dans un travail de censure. Mais le travail n’est pas encore terminé. L’enquête du comité et du sous-comité restreint est toujours en cours.
De toute évidence, les articles à succès sur moi publiés par l'Atlantic Monthly, le New York Times, le Washington Post (deux fois), Business Insider, The Scientist et Rolling Stone et d'autres médias grand public dans un laps de temps très court étaient un effort coordonné de l'État profond pour fais-moi tomber. Je crois que cet effort a été mené par les agences de renseignement et le DHS à travers le Deep State. Kash Patel explique joliment comment ces types de succès sont menés dans son livre, Government Gangsters. Par lequel le gouvernement transmet des informations aux agents travaillant dans les médias grand public (par exemple, comme dans l’opération Mockingbird de la CIA). On me dit maintenant que ces mêmes pièces ont été utilisées contre moi dans d’autres cercles gouvernementaux. L'affaire Sullivan contre le New York Times devant la Cour suprême a abouti à une situation dans laquelle les personnes connues du public ne peuvent presque jamais gagner un procès pour diffamation malveillante. L’État profond utilise ce fait pour attaquer, calomnier, diffamer, harceler et se livrer à des diffamations directes. C'est mal.
Pour ma part, je ne retrouverai jamais ma réputation telle qu’elle était. Cependant, je n’abandonnerai pas la lutte pour nos libertés, qu’il s’agisse de restaurer l’intégrité de la FDA, du CDC, du NIH, du DoD et du HHS ou de freiner l’agence de renseignement. Nous devons tous continuer à mettre notre gouvernement au pas.
Je ne céderai pas à la diffamation de l’État profond. Je ne les laisserai pas ruiner ma vie et ma réputation. Et je ne leur permettrai pas de me victimiser.
Read more at: RWMaloneMD.Substack.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-08-deep-state-censorship-exposed.html
Le paysage infernal post-apocalyptique de San Francisco est pleinement exposé dans cette vidéo virale TikTok
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 08 NOVEMBRE 2023 - 21H45
Rédigé par Jon Del Arroz via PJMedia.com,
San Francisco était autrefois l'un des plus beaux endroits du monde.
Du Fisherman's Wharf au Golden Gate Bridge, la ville avait un peu de tout, y compris une culture dynamique. Ces dernières années, cette ville élégante a sombré dans un paysage infernal post-apocalyptique avec une criminalité endémique, des sans-abri, une consommation de drogue et des excréments dans les rues.
Une récente vidéo virale TikTok horrifie les téléspectateurs du monde entier, montrant à quel point la ville est devenue terrible.
La criminalité est devenue si grave que les grands détaillants ont quitté la ville, les magasins fermant leurs portes en raison d'une politique absurde en vigueur dans la ville selon laquelle la police ne répond pas aux incidents de vol à l'étalage de moins de 950 $. Les criminels ont pris conscience de cette politique et les cambriolages se sont multipliés sans grand recours.
Le San Francisco Chronicle a publié une carte de la vague de fermetures de magasins, qui cette année ont inclus Target, CVS, Starbucks dans plusieurs endroits, et plus encore. Les espaces de bureau sont également touchés, l'environnement de travail à domicile post-COVID devenant la norme et la ville devenant davantage un handicap pour les entreprises qui souhaitent faire voyager leurs employés qu'un avantage de les avoir au bureau.
"Avant, nous recevions un loyer de 6 $ le pied carré (1 m² = 10,76 pi²), et maintenant nous ne recevons plus rien", a déclaré un propriétaire d'immeuble de San Francisco à PJ Media.
La vidéo virale TikTok publiée par freqmeek montre une scène dans le dangereux quartier de Tenderloin bien pire que ce que la plupart des gens imaginent.
RépondreSupprimer"L'anxiété que nous ressentons en nous rendant quotidiennement au travail au Tenderloin à San Francisco, en Californie, est incroyable", écrit freqmeek dans la légende.
« C’est accablant et épuisant mentalement… sans parler des dangers d’un environnement imprévisible. »
Les lumières de la police qui clignotent, les détritus dans les rues et les campements de sans-abri devant les portes avec des individus peu précis qui flânent partout sont pleinement visibles dans la vidéo.
La scène est quelque chose que l’on s’attendrait à voir dans une zone de guerre et non dans un bastion de l’Amérique libérale au cœur de l’une des régions les plus riches de Californie.
La TikTokeuse passe devant un homme voûté qui a la moitié de sa chemise déchirée, ainsi que plusieurs personnes qui semblent se droguer, et dans la description ci-dessous, elle pose la question :
« Où est notre protection ? Il y a tellement de préoccupations et de protections en place pour les toxicomanes et les sans-abri, mais qu'en est-il de la classe ouvrière qui doit prier pour pouvoir se rendre au travail et en revenir dans cet environnement. Ce sont de réels dangers auxquels nous sommes confrontés chaque jour juste pour pouvoir subvenir aux besoins de notre famille. Ils ont de l’argent pour la guerre mais ne peuvent pas nourrir les pauvres.
Ces élus tant républicains que démocrates continuent de laisser tomber le peuple. Aucune humanité. Nous vivons une crise ici même, dans notre cour et nous finançons des guerres dans d’autres pays.
Cette vidéo a été publiée peu de temps après que Joe Biden a demandé un financement de 105 milliards de dollars pour l’Ukraine, Israël et d’autres pays étrangers. Le président ne mentionne jamais la crise qui frappe des villes américaines comme San Francisco et ne propose aucune consolation ou solution aux citoyens américains vivant dans la terreur. Les détaillants ne sont pas les seuls à fuir la ville, car les habitants déménagent à un rythme record.
On ne peut s’empêcher de se demander ce qu’il faudrait pour que des hommes politiques de carrière comme Gavin Newsom (Gouverneur de Californie) se réveillent et déclarent l’état d’urgence, ce qui ressort clairement des preuves présentées dans cette vidéo.
https://www.zerohedge.com/medical/san-franciscos-post-apocalyptic-hellscape-full-display-viral-tiktok-video
Immigration : plus de 6 Français sur 10 favorables à un arrêt du regroupement familial (MàJ)
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le 08.11.2023
Selon un sondage de l’institut CSA pour CNEWS, publié ce mercredi 8 novembre, 6 Français sur 10 (61%) sont favorables à un arrêt du regroupement familial.
En effet, à la question «faut-il stopper le regroupement familial ?», 61% des personnes interrogées ont répondu «oui», 38% «non», tandis que 1% «ne se prononcent pas».
Si l’on se penche sur l’opinion politique du panel interrogé, c’est à droite que le souhait d’un arrêt du regroupement familial est le plus affirmé. En effet, les sympathisants de Reconquête (92%), du Rassemblement national (88%) et des Républicains (85%) y sont largement favorables.
A gauche, les électeurs ont exprimé leur désaccord sur l’idée d’un arrêt du regroupement familial, que ce soit du côté d’Europe Ecologie-Les Verts (30% de «oui»), du Parti socialiste (23%) et de La France insoumise (33%).
Du côté de la majorité, 68 % des Français proches des idées de Renaissance veulent que l’on stoppe le regroupement familial.
(…) CNews
10/05/23
Alors que le gouvernement veut relancer les concertations afin de présenter un projet de loi sur l’immigration en juillet prochain en Conseil des ministres, 59 % des Français se prononcent pour une suppression du regroupement familial, mis en place dans le pays à partir de 1976 sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing. 40 % sont contre (1 % des sondés ne se sont pas prononcés).
Dans le détail, parmi les 1.009 répondants, les hommes (62%) se montrent un peu plus favorables à l’idée de la fin du groupement familial que les femmes (57%).
Concernant la répartition par âge, la catégorie répondant le plus «oui» à la question «faut-il mettre fin en France à la politique du regroupement familial ?» reste les 50-64 ans (65 %), suivie par les 65 ans et plus (62 %) et les 35-49 (57 %).
Considérant le profil sociologique des répondants, ce sont les CSP-, soit les catégories socio-professionnelles les moins favorisées, qui se montrent les plus fermes (61 %) pour arrêter le regroupement familial en France. Arrivent ensuite les CSP+ (60 %) et les inactifs (57 %).
Sans grande surprise, le clivage politique gauche-droite est très prononcé dans les résultats de ce sondage CSA pour CNEWS. En effet, au total, 33% des sondés de gauche se disent contre la suppression de ce motif d’immigration quand 85% des répondants de droite sont favorables à sa suppression.
RépondreSupprimerLes personnes proches du Parti socialiste (38 %) ont majoritairement répondu «non» à la question posée. Elles sont suivies par la gauche radicale (33 %), la France insoumise (24 %) et les Écologistes (19 %).
A contrario, les sondés proches de Reconquête sont quasiment unanimes (97 % de «oui»), et veulent supprimer le regroupement familial. Un avis partagé par les électeurs du Rassemblement national (89 %) et Les Républicains (83 %).
Mis en place à partir de 1976, sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing, pour compenser la fermeture de l’immigration de travail en 1974, le regroupement familial permet à un étranger en possession d’un titre de séjour en France d’être rejoint par les membres de sa famille.
«Il résulte de la conciliation entre le droit fondamental de mener une vie familiale normale et les exigences de la maîtrise migratoire», précise le ministère de l’Intérieur sur son site. Néanmoins, récemment, des voix se sont élevées au sein même du gouvernement en réaction à l’arrivée massive de migrants depuis la frontière franco-italienne appelant à des restrictions de ce droit dans le cadre du projet de loi sur l’immigration. C’est le cas du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
«Je serais favorable (…) à des dispositions qui pourraient limiter le regroupement familial sans être contraires à la Constitution», avait ainsi déclaré le locataire de la place Beauvau à la fin du mois de février.
À droite, le président des Républicains, Eric Ciotti, avait appelé en avril dernier à un référendum pour modifier la Constitution et les engagements de la France en matière de regroupement familial.
À leur tour, les députés LR Aurélien Pradié et Pierre-Henri Dumont ont proposé un référendum d’initiative partagée (RIP) sur l’immigration estimant que «la politique des quotas n’est pas à la hauteur du défi migratoire» et qu’il faut désormais «passer d’une immigration familiale subie sous-qualifiée à une immigration de travail choisie surqualifiée».
RépondreSupprimercnews
Extrait de: Source et auteur:
https://lesobservateurs.ch/2023/11/08/immigration-plus-de-6-francais-sur-10-favorables-a-un-arret-du-regroupement-familial-maj/
Voleurs, agresseurs, escrocs… Ces inquiétants profils de délinquants étrangers que la France ne peut pas expulser
RépondreSupprimerle 08.11.2023
EXCLUSIF – Les préfets de département ont fait remonter à Beauvau les cas emblématiques de leur impuissance à éloigner les individus les plus dangereux. Un tableau édifiant.
M. X, né en 1962, «de nationalité algérienne» a 35 condamnations à son actif. Il a écopé de sa première peine de 8 mois de prison en 1984 et détient l’un des plus beaux pedigrees de la voyoucratie de l’Isère. Une «carrière» quasiment ininterrompue qui, d’année en année, le mène de vols en falsifications de chèques, filouteries, refus d’obtempérer, agressions, outrages, conduite sans permis, rébellion, violences avec arme et pour finir – le pompon – une condamnation en 2017 pour «menace de crimes et délits contre les personnes ou les biens à l’encontre d’un magistrat». Seulement voilà : M. X est inexpulsable, car arrivé en France avant l’âge de 13 ans et y résidant depuis plus de 20 ans.
Né en 1974, un Marocain de Fez, cumule, lui, déjà 17 condamnations pour onze infractions, allant de la menace de mort à la détention de stupéfiants. Admis en psychiatrie en 2021, ce délinquant du Loir-et-Cher sort et dérobe en mai 2022 une fourgonnette. «Pris en chasse par la gendarmerie et suivi par un hélicoptère, il commet deux refus d’obtempérer puis emprunte l’autoroute, percute un véhicule, enfonce la barrière du péage de Saint-Arnoult et perd le contrôle du véhicule». La suite ? Interpellé et placé de nouveau en psychiatrie, «il s’évade courant juin». Ce célibataire est inexpulsable : «entré en France en 1976», à l’âge de deux ans, et «père d’un enfant français aujourd’hui majeur».
Voleurs, violeurs, agresseurs, receleurs, kidnappeurs, tortionnaires, trafiquants, fraudeurs, braqueurs, escrocs… mais étrangers inexpulsables parce que protégés par la loi. Ces indésirables sont les bêtes noires du ministère de l’Intérieur. Le Figaro a eu accès aux «remontées des préfets» à Gérald Darmanin. Un tableau sidérant de près de 450 cas concrets illustrant l’impuissance de l’État face à certains individus, dès lors qu’ils sont bien installés dans le pays d’accueil. L’essentiel des protections dont ils bénéficient aujourd’hui a été inventé sous Gaston Defferre en 1981. Nicolas Sarkozy en a rajouté en 2003, en restreignant encore le principe de la double peine pour certaines catégories.
Un autre Marocain, né en 1975 à Laon (Aisne), célibataire, sans enfant, lui, a demandé à être régularisé en sa qualité d’«étranger malade». Un palmarès de 28 jugements pour vols, violences, destructions, port d’arme, refus d’obtempérer, menace de mort, extorsion, trafic de stupéfiants et agressions sexuelles. Il «a fait l’objet de nombreuses condamnations dont la gravité et la récurrence démontrent le danger que représente l’intéressé», relève le préfet de la Marne, qui ajoute : «Ainsi, à l’âge de 46 ans», il «a passé 21 ans et 7 mois de sa vie en prison, soit un peu moins de la moitié de celle-ci». Qu’importe ! Malade et arrivé en France avant l’âge de 13 ans, nul ne peut le contraindre à partir.
RépondreSupprimer(…)
En clair : des articles qui disposent, par exemple, que l’étranger délinquant est inexpulsable s’il «justifie par tout moyens résider habituellement en France depuis qu’il a atteint au plus l’âge de 13 ans», ou s’il y vit «régulièrement depuis plus de 20 ans», ou bien s’il y «réside régulièrement depuis plus de dix ans» et qu’il est «marié depuis au moins quatre ans» à un ou une Française ou un Français, ou même à un étranger ou une étrangère, arrivés comme lui avant l’âge de 13 ans.
Idem s’il réside régulièrement en France depuis plus de dix ans et qu’il est «père ou mère d’un enfant français mineur résidant en France» et dont il subvient aux besoins. Il est également protégé si son état de santé nécessite une prise en charge médicale dont le défaut pourrait avoir pour lui des conséquences d’une exceptionnelle gravité et si, dans le pays de renvoi qui le concerne, il ne peut bénéficier effectivement d’un traitement approprié. Même si ledit traitement existe dans son pays.
(…) Le Figaro
Extrait de: Source et auteur:
https://lesobservateurs.ch/2023/11/08/voleurs-agresseurs-escrocs-ces-inquietants-profils-de-delinquants-etrangers-que-la-france-ne-peut-pas-expulser/
Des oiseaux racistes !? CNN : Près de 80 noms d’espèces d’oiseaux aux racines racistes sont sur le point d’être modifiés
RépondreSupprimerPar Marc Morano
8 novembre 2023
17h11
https://www.cnn.com/2023/11/02/us/bird-species-names-changing-scn-cec/index.html
CNN-
Après des années de discussions, les oiseaux ne porteront plus le nom de personnes – une décision destinée à dissocier les animaux des éponymes problématiques.
L'American Ornithological Society a annoncé mercredi que tous les noms courants en anglais d'espèces d'oiseaux portant des noms humains seraient modifiés, ainsi que d'autres surnoms jugés offensants. Au total, environ 70 à 80 oiseaux – principalement aux États-Unis et au Canada – seront renommés.
"Il y a du pouvoir dans un nom, et certains noms d'oiseaux anglais ont des associations avec le passé qui continuent d'être exclusives et nuisibles aujourd'hui", a déclaré Colleen Handel, présidente de l'AOS, dans un communiqué.
De nombreux oiseaux portent des noms qui viennent d’hommes blancs au « passé objectivement horrible », selon le groupe Bird Names for Birds, une initiative populaire qui milite en faveur de ce changement. Faire commémorer leurs noms de cette manière équivaut à construire une statue en leur honneur, affirme le groupe.
Le moucherolle de Hammond, par exemple, doit son nom à William Alexander Hammond, un ancien chirurgien général américain. Hammond avait des opinions racistes à l’égard des Noirs et des Autochtones, écrivant que les Noirs en particulier avaient « des facultés mentales ou physiques peu élevées au-dessus du singe d’un joueur d’orgue ».
Judith Scarl, directrice exécutive et PDG d'AOS, a déclaré dans un communiqué qu'il existe depuis longtemps des préjugés historiques dans la façon dont les oiseaux ont été nommés, et que les scientifiques devraient s'efforcer d'éliminer ces préjugés.
"Les conventions de dénomination d'exclusion développées dans les années 1800, assombries par le racisme et la misogynie, ne fonctionnent pas pour nous aujourd'hui, et le moment est venu pour nous de transformer ce processus et de rediriger l'attention vers les oiseaux, là où ils appartiennent", a-t-elle déclaré.
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En rapport:
La NASA se réveille : Bye Bye « Nébuleuse esquimaude » et « Galaxie jumelle siamoise » – La NASA « s’attaquera à la discrimination et aux inégalités systémiques » dans la « terminologie des objets cosmiques »
https://www.climatedepot.com/2023/11/08/racist-bird-names-cnn-nearly-80-bird-species-names-with-racist-roots-are-about-to-be-changed/
« Plus de 3 000 saumons génétiquement modifiés se font la malle »... une infox d'Ouest-France... démontage
RépondreSupprimer8 Novembre 2023
Oui, des saumons se sont fait la malle... mais après ça se complique...
La dernière histoire de saumons en Islande, « piquée » par Ouest-France sur The Guardian, est ici.
C'est, pour le titre complet d'un article du 31 octobre 2023, « Plus de 3 000 saumons génétiquement modifiés se font la malle, les autorités tentent de les récupérer ».
Qu'on se rassure d'emblée : cela ne s'est pas passé en France, mais en Islande ; et il ne s'agit pas de saumons génétiquement modifiés.
Ouest-France, c'est ce journal qui s'est doté d'une « charte pour un journalisme au niveau de l’enjeu écologique » (notre critique ici)... laquelle l'incite sans doute à reprendre des bobards pourvu qu'ils s'inscrivent dans son ambition de « faire du défi climatique et de la biodiversité, un pilier de son projet éditorial ».
Ou à prendre une information, correcte ou boiteuse et à la transformer – dans une sorte de jeu du téléphone […] maintenant appelé, par exemple, « passe-parole » –, pour qu'elle réponde à la mission autoproclamée de
« traiter tout événement et information, y compris ceux qui ont un impact négatif sur l’environnement, à la dimension qu’ils méritent [...], sans faire l’impasse sur leurs conséquences environnementales. »
Ce qui a été omis dans la citation précédente, c'est :
« et avec discernement »...
Ouest-France a pompé sur We demain – « un média pour changer d'époque ».
En l'occurrence, We demain a publié le 25 octobre 2023 un article intitulé : « Fuite massive de saumons d'élevage en Islande : un impact écologique inquiétant ».
Ainsi donc, le « saumons d'élevage » de We demain est miraculeusement devenu « saumons génétiquement modifiés » chez Ouest-France.
Autant pour le discernement...
RépondreSupprimerDes saumons d'élevage qui se font la belle ? Ce n'est pas vraiment nouveau. Ouest-France explique... enfin... copie-colle :
« "Si cette 'fuite de saumons' ne vient en rien violer la loi sur la pisciculture islandaise", souligne la revue We Demain, cet événement pourrait avoir des répercussions catastrophiques pour l’environnement local. Le journal explique : "Dans cette ferme piscicole située au large du village de Patreksfjörður, le système de contrôle de la lumière, qui permet de retarder, voire d’arrêter la maturité sexuelle des saumons, semble être en panne depuis des mois. Résultat : 35 % des saumons échappés de l’enclos marins cet été étaient matures sexuellement. Avec un système fonctionnel, seuls 5 % d’entre eux auraient dû l’être. Ils sont donc susceptibles de se reproduire en liberté." »
Oh misère ! Sur les 3.462 poissons manquants lors du vidage de l'enclos, ce seraient donc quelque 1.200, au lieu de 175, qui auraient atteint la maturité sexuelle – sachant que les autres peuvent très bien l'acquérir dans la nature.
C'est ici de l'ironie un peu grinçante.
La rencontre de saumons d'élevage, sélectionnés pour leur aptitude à grandir vite et à atteindre une bonne taille, avec des saumons sauvages pose en effet des problèmes de compétition et de dérive génétique. We demain s'aventure dans ce sujet.
Mais les explications sont longues, Ou peut-être pas à la dimension que mérite cet événement ayant « un impact négatif sur l’environnement ». Ouest-France trouve donc d'autres sources :
« Problème ? "S’ils se reproduisent, les saumons perdront leur capacité à survivre", déplore un pêcheur islandais rencontré par le quotidien britannique The Guardian. Des études, relayées par le magazine scientifique New Scientist, ont démontré que lorsque le saumon sauvage de l’Atlantique se reproduit avec des saumons d’élevage échappés, ses descendants grandissent plus rapidement et arrivent à maturité à un plus jeune âge, ce qui compromet la capacité de l’espèce à survivre et à se reproduire dans son environnement naturel. "Ils pourraient également entraîner une compétition accrue pour la nourriture et l’habitat", prévient le quotidien belge, La Libre. »
Ah ! The Guardian... une autre source qui a un penchant pour l'information militante... Cette histoire de saumons en cavale est liée à l'actualité politique – et militante – islandaise. L'événement s'est produit ou a été médiatisé en Islande au moment où se trouvait en consultation publique un nouveau projet de loi sur l'aquaculture.
Mais voilà un autre exemple de « passe-parole » :
The Guardian : « Des poissons soupçonnés de s'être échappés ont été retrouvés dans au moins 32 rivières du nord-ouest de l'Islande, selon des messages non confirmés publiés sur les réseaux sociaux. »
We demain : « Les saumons d’élevage, qui se sont enfuis à l’été 2023, auraient été retrouvés dans quelque 32 rivières du nord-ouest de l’Islande. » (Notez le conditionnel.)
RépondreSupprimerOuest-France : « Depuis, une vingtaine de ces spécimens ont été retrouvés dans 32 rivières du nord-ouest de l’Islande. » (Notez l'indicatif.)
Comment « une vingtaine... » ont-ils pu être retrouvés dans « 32 rivières » ? Mystère...
Mais passons au « problème » : « S’ils se reproduisent, les saumons perdront leur capacité à survivre » ?
C'est évidemment un raccourci. Les saumons qui remontent une rivière pour frayer meurent. Ce que cette phrase signifie, c'est que les descendants, hybrides de sauvages et d'élevages, sont moins aptes à survivre que les descendants de sauvages.
Plutôt que d'être un problème, ce serait une bonne nouvelle...
Encore une fois, il ne s'agit pas de nier ici l'existence – ou l'existence potentielle – de problèmes. La donne peut ainsi changer s'il y a un apport massif et répété de géniteurs d'élevage.
Il s'agit de mé- voire de désinformation.
https://seppi.over-blog.com/2023/11/plus-de-3-000-saumons-genetiquement-modifies-se-font-la-malle.une-infox-d-ouest-france.demontage.html
Du potentiel au progrès : derniers développements dans le déploiement du Riz Doré aux Philippines
RépondreSupprimer8 Novembre 2023
Personnel de l'ISAAA Inc. et de DA-Philippine Rice Research Institute – Alliance pour la Science*
Aux Philippines, environ deux millions d'enfants de moins de cinq ans risquent d'avoir des problèmes de vue et un système immunitaire affaibli. Ces symptômes sont les conséquences d'une alimentation pauvre en vitamine A. Ce chiffre équivaut à un enfant philippin sur cinq issu des communautés les moins favorisées du pays et souffrant d'une carence en vitamine A (VAD – vitamin A deficiency). Ce problème nutritionnel évitable touche les Philippines et environ 190 millions d'enfants dans le monde.
Plusieurs initiatives ont été lancées pour résoudre ce problème, notamment la supplémentation, la diversification de l'alimentation et l'enrichissement des aliments. Pourtant, de nombreux enfants ne sont toujours pas pris en charge. L'une des solutions complémentaires à ces initiatives est désormais entre les mains des agriculteurs philippins : un type de riz plus sain connu sous le nom de « Riz Doré ». Cette initiative a été lancée en 1982 par le Dr Ingo Potrykus de l'Institut Fédéral Suisse de Technologie et le Dr Peter Beyer de l'Université de Fribourg, en Allemagne, et visait à lutter contre la carence en vitamine A en développant un type de riz capable d'apporter de la vitamine A dans le régime alimentaire.
Contribuer à la sécurité alimentaire et nutritionnelle
Les co-inventeurs ont depuis fait don de la technologie du Riz Doré pour des raisons humanitaires. Grâce au génie génétique, des gènes du maïs et d'une bactérie commune du sol ont été exploités pour produire du bêta-carotène dans le grain de riz. Ce bêta-carotène, converti en vitamine A par l'organisme, est le même type de bêta-carotène que celui que l'on trouve dans les légumes à feuilles vertes et de couleur jaune, dans les fruits de couleur orange, ainsi que dans les compléments vitaminés et les ingrédients alimentaires. Le Riz Doré a été approuvé pour l'alimentation humaine et animale et la transformation en 2019 et pour la plantation en 2021 aux Philippines, après que le Bureau de l'Industrie Végétale a prouvé qu'il était aussi sûr que les variétés de riz conventionnelles.
L'Institut Philippin de Recherche sur le Riz (DA-PhilRice), en étroite collaboration avec l'Institut International de Recherche sur le Riz (IRRI), a joué un rôle déterminant dans le développement du Riz Doré, désormais enregistré dans le pays en tant que variété de riz NSIC 2022 Rc 682GR2E (Malusog 1). L'agence fonctionne sur la base d'un plan de déploiement pluriannuel qui vise à ce que le Riz Doré contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle d'ici 2027. DA-PhilRice vise à produire du Riz Doré qui contribue à hauteur de 10 % à la production totale de riz du pays et répond aux besoins en riz de 100 % des ménages exposés au risque de VAS.
Mettre en œuvre des initiatives fondées sur le marché et sur des programmes
RépondreSupprimerLe déploiement a commencé par la distribution de semences gratuites dans les provinces ciblées où l'incidence de la VAD est élevée. Les agriculteurs des zones prioritaires qui souhaitent participer à la production de semences ou de grains sont encouragés à prendre contact avec les antennes de la DA-PhilRice. Des partenariats avec les autorités locales et d'autres agences sont en cours d'élaboration afin de mettre en œuvre des initiatives axées sur le marché et les programmes pour garantir que le Riz Doré apportera des avantages significatifs en matière de santé, en particulier à ceux qui en ont le plus besoin. D'autres sites seront inclus dans le déploiement au fur et à mesure que des semences seront disponibles.
En 2022, la plantation pilote de riz Malusog a commencé. Le secrétaire du ministère de l'Agriculture, William Dar, a alors dirigé la cérémonie de remise des semences de riz Malusog aux cultivateurs et aux producteurs de la station expérimentale centrale de PhilRice à Nueva Ecija pour la plantation du riz de la saison humide. En juin, la DA-PhilRice a annoncé que les sept premières provinces qui planteront le riz Malusog sont Maguindanao, Quirino, Catanduanes, Samar, Antique, Lanao del Norte et Agusan del Sur. La province de Maguindanao est l'une des plus touchées par le retard de croissance chez les nourrissons et les enfants âgés de moins de cinq ans et sera la première à bénéficier des bienfaits du riz Malusog.
Fin décembre 2022, la première récolte de riz Malusog provenant de 17 sites de production pionniers a produit plus de 100 tonnes de riz paddy enrichi en bêta-carotène. Cette première récolte a été principalement utilisée pour la promotion, distribuée en particulier aux ménages cibles dans les provinces sélectionnées avec des enfants d'âge préscolaire à risque de VAD et de dénutrition, ainsi qu'aux femmes enceintes et allaitantes. Les municipalités de Viga et Virac à Catanduanes ont reçu des paquets promotionnels de riz Malusog, car la province a l'une des incidences les plus élevées de malnutrition dans le pays, selon l'enquête nationale élargie sur la nutrition menée par l'Institut de Recherche sur l'Alimentation et la Nutrition du ministère de la Science et de la tTchnologie.
Le riz Malusog est bel et bien commercialisable
RépondreSupprimerLe gouverneur de la province d'Antique, Rhodora J. Cadiao, a déclaré que le riz Malusog pouvait contribuer à résoudre le problème de la VAD chez les enfants de la province. Les agriculteurs coopérateurs ont également manifesté leur soutien et leur enthousiasme en étant les premiers à planter et à récolter le riz Malusog dans leurs provinces respectives. « J'ai observé que le Riz Doré avait des graines de bonne qualité et je veux déjà le goûter. Il présente également de bonnes caractéristiques en termes de tige allongée. J'ai été encouragé à coopérer pour le Riz Doré pour aider le gouvernement à réduire les cas de malnutrition », a déclaré M. Leo Franco Ebardo, producteur de semences dans la province d'Agusan del Sur.
Emerson, un agriculteur de la province d'Antique, a récolté environ cinq tonnes de riz Malusog le 7 octobre 2022 et a fait part de sa satisfaction. « Les tiges sont plus robustes que celles des autres variétés. Elles ne versentt pas [...] J'encourage mes collègues agriculteurs à planter du Riz Doré lorsque l'offre augmentera. »
Une célébration d'action de grâce visant à reconnaître officiellement les agriculteurs partenaires et les fonctionnaires locaux qui ont contribué au déploiement initial du riz Malusog a été organisée dans la province d'Antique en mars 2023. À cette occasion, le conseil provincial d'Antique a annoncé sa résolution en faveur de la culture et de la consommation du riz Malusog. Selon DA-PhilRice, les premiers tests de marché effectués dans le Luzon central au début de cette année ont montré que le riz Malusog est effectivement commercialisable, son prix étant comparable à celui du riz usiné ordinaire dans la région.
Le riz Malusog a un avenir prometteur dans la lutte contre la carence en vitamine A aux Philippines et dans de nombreux pays en développement. Ses avantages potentiels pourraient contribuer à améliorer la productivité agricole et les coûts des soins de santé et à stimuler la croissance économique dans les pays en développement. La poursuite de la collaboration entre les scientifiques, les décideurs politiques et les communautés garantira sa mise en œuvre efficace, révolutionnera la prévention de la carence en vitamine A et contribuera à la santé et à la nutrition dans le monde.
______________
* Source : From potential to progress: Latest developments in Golden Rice deployment in the Philippines - Alliance for Science
Ma note : Dommage que cet article ne nous informe pas des suites données à un arrêt de la Cour Suprême (writ of kalikasan) du 18 avril 2023 qui avait bloqué temporairement la diffusion commerciale du Riz Doré. L'action avait été introduite par une série d'organisations menées par MASIPAG. En deuxième position des demandeurs, caché mais quand même en position proéminente... Greenpeace Southeast Asia – Philippines (Greenpeace).
https://seppi.over-blog.com/2023/11/du-potentiel-au-progres-derniers-developpements-dans-le-deploiement-du-riz-dore-aux-philippines.html
Beyond Meat s'effondre sans répit – la vérité sur le veggie boom
RépondreSupprimer7 Novembre 2023
Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
De nombreux clients se détournent à nouveau d'un phénomène de mode apparent comme la viande alternative, estiment les analystes. Beyond Meat n'est pas la seule entreprise dans cette situation. D'autres entreprises de produits de substitution à la viande sont confrontées à la même baisse de la demande.
Beyond Meat divise sa valeur boursière par deux entre juillet et août. Les dettes dépassent de loin les recettes. D'autres fabricants de substituts de viande sont dans la même situation. Les problèmes des autres fabricants de substituts de viande sont similaires, selon les analystes.
Beyond Meat divise sa valeur boursière par deux entre juillet et août. Les dettes dépassent de loin les recettes.
Lorsque Beyond Meat est entrée en bourse en 2019, elle avait de grands projets. L'entreprise a connu une croissance incroyablement élevée, dont plusieurs trimestres de croissance à trois chiffres de son chiffre d'affaires.
L'entreprise a lancé de nouveaux produits dans de nouvelles filiales afin de maintenir cette dynamique. Cependant, après avoir atteint un point critique, la demande s'est affaiblie.
Peut-être aussi en raison de la très forte inflation alimentaire, qui a particulièrement pesé sur les ventes d'aliments à prix élevés et de style de vie. Ce phénomène ne s'est pas seulement produit en Amérique, mais aussi en Allemagne et en Europe.
Des voix critiques s'étaient déjà élevées il y a trois ans lorsque Beyond Meat venait d'être introduite en bourse.
D'autres fabricants de substituts de viande ont fait faillite
En outre, Beyond Meat a vu arriver de nombreux nouveaux concurrents. Et l'entreprise n'a pas pénétré le marché des mangeurs de viande comme prévu ;c'est en tout cas ce que disent les analystes de Motley Fool.
Les clients se détournent de ce qui semble être une mode pour la viande alternative, estiment les analystes. Beyond Meat n'est pas la seule entreprise dans cette situation. D'autres entreprises de produits de substitution à la viande sont confrontées à la même baisse de la demande, car les clients montrent lors de leurs achats qu'ils préfèrent peut-être la vraie viande, explique Motley Fool.
Le fait est qu'en juin, le concurrent de Beyond Meat, « The Tattooed Chef », a demandé à être placé sous la protection de la loi sur les faillites et « Impossible Foods » n'a jamais réalisé son introduction en bourse, pourtant annoncée à plusieurs reprises.
Beyond Meat lutte pour sa survie
RépondreSupprimerBeyond Meat lutte manifestement pour sa survie, si l'on en croit les données boursières.
Le chiffre d'affaires a baissé de 31 % au deuxième trimestre 2023 par rapport à l'année précédente, ce qui reflète le marché des produits carnés alternatifs, selon les analystes de Motley Fool.
Et l'entreprise est passée à la réduction des coûts et à l'amélioration de la rentabilité, alors qu'elle se bat pour générer une croissance plus élevée. La perte nette s'est élevée à 53,5 millions de dollars. C'était mieux que les 97,1 millions de dollars américains de l'année dernière.
La direction a abaissé ses prévisions pour l'ensemble de l'année à une baisse du chiffre d'affaires d'environ 9 % à 14 % par rapport à 2022.
Une montagne de dettes difficile à résorber
Cela pourrait devenir un gros problème, selon les observateurs du marché de Motley Fool, car la situation financière de l'entreprise n'est guère encourageante.
Elle dispose certes de 226 millions de dollars de liquidités et de réserves – mais a en même temps 1,1 milliard de dollars de dettes, ce qui signifie qu'elle n'a pas une très longue durée de survie si elle ne peut pas lever de nouveaux fonds.
En outre, un rapport sectoriel publié en septembre 2022 par le cabinet de conseil Deloitte a montré que les ventes de « viande végétale » avaient globalement stagné. Les données indiquaient également qu'en 2022, par rapport à 2021, moins de consommateurs considéraient les alternatives de viande végétale comme plus saines, plus durables sur le plan écologique et plus abordables.
https://seppi.over-blog.com/2023/11/beyond-meat-s-effondre-sans-repit-la-verite-sur-le-veggie-boom.html
ABSURDE : une étude recommande de placer des ÉTIQUETTES D'AVERTISSEMENT sur la viande afin de réduire la consommation de viande au Royaume-Uni et d'atteindre les objectifs de zéro émission nette
RépondreSupprimer11/07/2023
Olivia Cook
Une nouvelle étude propose d'inclure des étiquettes d'avertissement sur les produits carnés, semblables à celles que l'on trouve sur les paquets de cigarettes.
Selon une étude de l'Université de Durham (DU) au Royaume-Uni, l'utilisation d'étiquettes d'avertissement graphiques sur les produits carnés, semblables à celles des cigarettes, pourrait aider les gens à réduire leur consommation de viande et à faire des choix plus judicieux non seulement pour leur santé, mais aussi pour celle de leur santé. planète aussi.
Publiés dans Appetite, les résultats de l'étude expérimentale randomisée suggèrent que les avertissements graphiques sur les problèmes de santé associés pourraient réduire les choix de repas de viande de 7 à 10 %. Selon le Guardian, 72 % de la population britannique se considère comme mangeuse de viande.
Il s'agit d'un changement qui pourrait avoir un impact matériel sur l'avenir de la planète, selon le Climate Change Committee (CCC), qui conseille le gouvernement britannique. L'organisme recommande au Royaume-Uni de réduire sa consommation de viande de 20 % d'ici 2050 et de moitié d'ici 2050 pour atteindre ses objectifs dits de « zéro net ». (Connexe : RAPPORT 2019 : Les humains ne seront plus autorisés à manger de la viande ou des produits laitiers d'ici 2030 afin de réduire les « émissions liées à la consommation ».)
"Il devient clair qu'il y a plusieurs raisons pour lesquelles la façon actuelle dont nous mangeons de la viande n'est peut-être pas la meilleure façon de le faire - si l'on combine cela [les conseils du CCC] avec le fait qu'une consommation élevée de viande est liée à de nombreux problèmes de santé et la manière dont nous cultivons actuellement ou certainement certaines des méthodes agricoles les plus courantes, qui sont également très fortement liées au potentiel d'épidémies pandémiques », a déclaré le doctorant Jack Hughes, qui a dirigé l'étude de Durham.
Comment l'étude a été réalisée
Dans l'étude, Hughes et ses collègues du département de psychologie de l'UA ont évalué l'impact des étiquettes d'avertissement illustrées conçues sur la base des résultats d'une étude pilote dans une cafétéria en ligne qui a testé une variété de messages textuels et d'images sur la santé, le changement climatique et les conséquences de la pandémie. associés à la consommation de viande.
Les chercheurs ont recruté un échantillon de 1 001 adultes mangeurs de viande à partir d’un panel existant via la plateforme d’enquête Prolific. Les participants ont été répartis dans l'un des quatre groupes expérimentaux en utilisant un rapport 1:1:1:1.
RépondreSupprimerChaque groupe a vu des images de repas de viande chauds, qui contenaient soit une étiquette d'avertissement climatique, une étiquette d'avertissement sanitaire ou une étiquette d'avertissement de pandémie, ou aucune étiquette du tout et a été invité à prendre 20 décisions individuelles concernant différents choix de repas de viande.
Les chercheurs ont également évalué les réponses des participants sur :
Leurs niveaux actuels de consommation de viande, leur volonté et leurs intentions de réduire leur consommation de viande
À quel point ils ont trouvé les photos avec des étiquettes d'avertissement anxiogènes et crédibles
Dans quelle mesure ils seraient favorables si les différents types d’étiquettes d’avertissement graphiques étaient mis en œuvre dans le cadre d’une politique (puisque le soutien public peut être crucial pour la mise en œuvre et le maintien de la politique)
Leurs intentions futures d’acheter et de manger des options de repas à base de viande
Ce que l’étude a révélé
Les chercheurs ont déclaré que leurs résultats suggéraient que les étiquettes d'avertissement axées sur l'impact de la viande sur la planète pourraient être « les plus appropriées » pour une campagne de sensibilisation du public, a déclaré Hughes. "Atteindre le zéro net est une priorité pour la nation et la planète. Comme il a déjà été démontré que les étiquettes d'avertissement réduisent le tabagisme ainsi que la consommation de boissons sucrées et d'alcool, l'utilisation d'une étiquette d'avertissement sur les produits contenant de la viande pourrait nous aider à y parvenir si présentée comme une politique nationale.
Le Guardian a rapporté que les chercheurs pensent que leurs découvertes pourraient contribuer à encourager des changements dans les choix gastronomiques qui pourraient, à terme, bénéficier à l'environnement.
Rendez-vous sur GreenTyranny.news pour plus d'histoires sur la campagne visant à interdire la viande au nom de la « lutte contre le changement climatique ».
Regardez le candidat républicain à la présidentielle et gouverneur de Floride, Ron DeSantis, dénoncer les tyrans verts en disant : « Ils veulent s'en prendre à la viande. »
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Le prix Nobel John Clauser conteste les affirmations sur le changement climatique et affirme que la politique climatique américaine est totalement erronée.
Étude : Le véganisme est plus nocif pour l'environnement qu'une consommation limitée de viande.
La loi de Biden sur la réduction de l’inflation impose des frais sur les émissions de gaz à effet de serre.
Les sources incluent :
ClimatDepot.com
ScienceDirect.com
TheGuardian.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-07-study-suggests-warning-labels-meat-similar-cigarettes.html
Tabac : l’Angleterre opte pour une solution radicale
RépondreSupprimerLe roi Charles, dans son allocution du mardi 7 novembre devant les membres du Palais de Westminster, le Parlement britannique, a confirmé l’interdiction progressive de la vente de cigarettes aux jeunes générations. Une mesure qui permettrait de réduire drastiquement le tabagisme en Angleterre en s’attaquant directement à son initiation chez les plus jeunes.
Par Axelle Ker
le 8 novembre 2023 à 16h30
13% de la population britannique fume
Le roi Charles confirme l'interdiction progressive du tabac
L'Angleterre se positionne en fer de lance de la lutte contre le tabagisme au sein de l'Union européenne. Le roi Charles, dans son discours inaugural au Parlement, a confirmé l'interdiction prochaine de la vente de cigarettes aux jeunes. Cette mesure s'inscrit dans une vision plus large, celle d'une Angleterre sans tabac à l'horizon 2030, un engagement déjà prononcé par le gouvernement. Rishi Sunak, le Premier ministre, avait déjà planté le décor en octobre, dépeignant la consommation de tabac comme « la plus grande cause entièrement évitable de problèmes de santé, d'invalidité et de décès » dans le pays. Une répression historique se profile donc, avec une stratégie progressive : augmenter l'âge légal pour fumer d'un an chaque année, jusqu'à éradiquer complètement le fléau du tabagisme chez les nouvelles générations.
Des chiffres éloquents viennent appuyer cette politique : un cancer sur quatre est causé par le tabagisme. Le Royaume-Uni se tourne vers une législation d'avant-garde, s'inspirant de modèles comme celui de la Nouvelle-Zélande où l'achat de cigarettes est déjà interdit aux personnes nées après 2008. Le projet britannique envisage ainsi qu'un jeune de 14 ans aujourd'hui ne puisse jamais être autorisé à acheter une cigarette, même après avoir atteint sa majorité. Nos voisins anglais avait déjà abaissé l'âge légal de vente de tabac de 16 à 18 ans en 2007, réduisant la prévalence du tabagisme chez les jeunes de 16 et 17 ans de 30%. L'impact de cette nouvelle mesure pourrait donc être considérable.
Les prochaines générations n'auront bientôt plus le droit de fumer en Angleterre
Le gouvernement britannique, par ce biais, vise à briser un cycle séculaire de dépendance et de maladies en s'attaquant à la racine du problème : l'initiation au tabac pendant l'adolescence. « Les gens commencent à fumer quand ils sont jeunes. Quatre fumeurs sur cinq ont commencé avant l'âge de 20 ans », affirme le Premier ministre britannique Sunak. En brisant ce cycle, le Premier ministre espère réduire drastiquement le nombre de fumeurs, qui représente actuellement 13% de la population britannique, soit environ 6,4 millions de personnes. L'objectif est ambitieux : moins de 5% de fumeurs d'ici 2030. Le Premier ministre anglais envisage également de s'attaquer au vapotage chez les jeunes, une consommation qui a triplé ces trois dernières années.
Ces mesures, si elles sont approuvées par le Parlement, ne s'appliqueront qu'en Angleterre, laissant l'Irlande du Nord, l'Écosse et le pays de Galles libres de leurs propres décisions. Mais l'impact d'une telle loi serait considérable : créer une génération sans tabac et ainsi, espérer réduire les décès et maladies évitables liés au tabagisme. La politique du gouvernement anglais pourrait bien inciter d'autres pays européens à suivre son chemin, notamment le gouvernement français qui peine à réduire le tabagisme en France, alors que le pays compte près de 15 millions de fumeurs.
https://www.economiematin.fr/angleterre-interdiction-tabac-jeunes-roi
Production de vin : voici le nouveau pays leader mondial
RépondreSupprimerLe vignoble français redevient le premier producteur de vin au monde en 2023, reprenant le flambeau de leader mondial italien dans un secteur viticole en grande difficulté.
Par Grégoire Hernandez
le 8 novembre 2023 à 15h00
Vin : une baisse de production de 12 % en Italie
La France renaît de ses cendres, s'élevant au rang de premier producteur mondial de vin en 2023, d'après les données de l'OIV (Organisation internationale de la vigne et du vin). Ce retour en grâce survient après une période de domination italienne interrompue par une baisse de production de 12% chez notre voisin transalpin. Les terroirs français, malgré le chaos climatique, révèlent une résilience et une stabilité qui redessinent la carte mondiale du vin. Les vignerons, malgré des gels précoces et des sécheresses, ont su préserver leur récolte, offrant une bouffée d'oxygène à un marché international essoufflé.
La détresse des vignes italiennes résonne dans les récits de viticulteurs comme Antonella di Tonno, dont la passion pour la vigne est mise à l'épreuve par une nature capricieuse. Des tempêtes de grêle aux sécheresses sévères, la région des Abruzzes voit ses rendements s'effondrer, impactant les vignerons avec une brutalité sans précédent. Antonella, avec une production réduite de 25%, témoigne à l'AFP d'une adaptabilité face à la crise, se raccrochant aux avancées technologiques qui lui permettent de limiter les pertes. L'Italie, riche de ses nombreux cépages, subit de plein fouet la diversité de ses besoins de maturation, la rendant vulnérable à chaque coup de théâtre météorologique.
Une invasion du mildiou dans le Sud-Ouest
En France, l'unité apparente masque des réalités hétérogènes. Les vignobles de Bordeaux et du Sud-Ouest affrontent l'invasion du mildiou (une maladie capable de détruire des récoltes entières), pendant que le Languedoc-Roussillon se bat contre l'ardeur d'un soleil implacable. À l'opposé, des régions comme le Cognac, la Corse et la Champagne s'attendent à des récoltes abondantes, preuve de la diversité des réponses des terroirs français aux défis environnementaux.
L'horizon viticole mondial est loin d'être uniforme. Alors que l'Australie (-24%), l'Argentine (-23%), le Chili (-20%) et l'Afrique du Sud (-10%) rapportent des diminutions alarmantes de leur production, les États-Unis voient leurs vignobles prospérer, grâce à des conditions météorologiques favorables. Cette hétérogénéité des récoltes signale une éventuelle correction du marché, potentiellement bénéfique dans un contexte de consommation décroissante et de stocks pléthoriques. Joël Boueilh, porte-parole des vignerons coopérateurs français, maintient le cap sur l'excellence et la rentabilité, indifférent aux titres de production, car c'est la qualité et la viabilité économique qui primeront dans les verres de demain.
https://www.economiematin.fr/production-vin-france-italie-mondial
Le communiqué souligne également sans ambages qu’un contrôle de l’utilisation des plateformes en ligne est également prévu :
RépondreSupprimer« Outre les services publics, les très grandes plateformes en ligne désignées au titre de la loi sur les services numériques (dont des services comme Amazon, Booking.com ou Facebook) et les services privés qui sont légalement tenus d'authentifier leurs utilisateurs doivent également fournir une preuve d'identité numérique pour les utilisateurs. en vous inscrivant à leurs services en ligne.
En outre, les caractéristiques et les spécifications communes inciteront tous les prestataires de services privés à l'accepter pour leurs services, créant ainsi de nouvelles opportunités commerciales. La preuve d’identité numérique permettra également aux prestataires de services de se conformer plus facilement à diverses exigences légales.
La protection de la vie privée est ainsi abolie. Ce pour quoi la Révolution française s’est battue est en train d’être détruit. Il ne s'agit que de la première étape ; dans la prochaine étape, l'identification sera requise au niveau du fournisseur de services afin que chaque activité de tous les citoyens de l'UE sur Internet puisse être entièrement suivie.
L’identification numérique est également une condition préalable à la monnaie de banque centrale prévue et à la suppression des espèces.
Cela est justifié par des prétextes tels que la prétendue protection des enfants, contre le blanchiment d'argent, contre les discours de haine (= discours que les politiciens détestent) ou similaires.
D'ailleurs, Thierry Breton est le représentant de l'industrie numérique, qui est l'un des lobbyistes les plus intensifs en faveur d'une transparence citoyenne et d'une surveillance totale. Il vient de l'industrie et répond à ses souhaits et ne travaille pas pour les intérêts des citoyens de l'UE. Plus récemment, il était PDG d'Atos, une société informatique mondiale de premier plan comptant environ 110 000 employés dans 73 pays. Il est connu pour promouvoir la censure dans les médias en ligne. La loi sur les services numériques (DSA), dont il travaille actuellement activement à la mise en œuvre, répond à cet objectif. En même temps, il est l'autorité finale de la censure et il détermine ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas.
https://tkp.at/2023/11/10/noch-mehr-ueberwachung-und-kontrolle-der-buerger-durch-eu-digitale-brieftasche-als-digitale-id/
La panne du géant australien des télécommunications affecte plus de 10 millions de clients et 400 000 entreprises.
RépondreSupprimer11/09/2023
Belle Carter
Un géant des télécommunications du Land Down Under a connu une panne massive qui a laissé plus de 10 millions de clients, 400 000 entreprises et des infrastructures essentielles sans services téléphoniques ni Internet.
Optus, le deuxième fournisseur de télécommunications d'Australie, n'a pas été en mesure d'expliquer la cause de l'interruption du service le 7 novembre. Le service a été entièrement rétabli 90 minutes plus tard, mettant ainsi fin à « l'une des plus grandes pannes de l'histoire de l'Australie ».
"Nous savons que les clients comptent sur notre réseau, c'est pourquoi toute l'équipe d'Optus a travaillé dur pour résoudre ce problème", a écrit Optus sur son compte X officiel. "Optus s'excuse sincèrement auprès de ses clients pour la panne d'aujourd'hui. Nous remercions encore les clients pour leur patience."
Plus tôt, un porte-parole d'Optus avait déclaré que la société était consciente d'un problème qui pourrait affecter certains de ses clients mobiles et Internet. Pendant la panne, les utilisateurs n'ont pas pu passer ou recevoir d'appels, ni utiliser Internet sur le réseau mobile d'Optus. Les abonnés aux revendeurs de la société de télécommunications tels qu'Amaysim, Vaya, Aussie Broadband, Moose Mobile, Coles Mobile, Spintel, Southern Phone et Dodo Mobile étaient également en baisse.
Cela a également causé de nombreux problèmes à certains opérateurs de transports publics, aux hôpitaux et aux plus grandes entreprises du pays. À Melbourne, les navetteurs se sont retrouvés bloqués en raison de la fermeture du réseau ferroviaire. De nombreux chauffeurs Uber sont également incapables de fonctionner, ce qui a entraîné une flambée des prix.
Des hôpitaux ont également été touchés, notamment le Northern Health District de Melbourne et l'hôpital privé Westmead de Sydney. "Toutes les lignes téléphoniques des campus de Northern Health sont actuellement affectées", a indiqué l'hôpital de Melbourne. L'hôpital de Sydney a quant à lui déclaré : "En raison de la panne nationale d'Optus, toutes nos lignes téléphoniques sont malheureusement coupées. Pour contacter l'hôpital, veuillez nous envoyer un e-mail concernant les admissions."
Parmi les quatre grandes banques, trois d’entre elles – Westpac, ANZ et Commonwealth Bank – paient Optus pour les services de télécommunications. Compte tenu de la panne, ils n’ont pas pu prendre ou passer des appels depuis leurs centres d’appels. Les clients ne pouvaient pas non plus recevoir de messages texte de vérification des transactions, et certaines entreprises ne pouvaient pas utiliser leurs terminaux de paiement mobile si elles utilisaient la carte SIM Optus fournie. ING Australie a également déclaré à ses clients sur les réseaux sociaux que ses centres d'appels n'étaient pas en mesure de répondre aux appels.
RépondreSupprimerL'aéroport de Sydney, le bureau des impôts australien et la National Roads and Motorists' Association, qui disposent de distributeurs automatiques de paiement au point de vente connectés à Optus dans les entreprises, ont également rencontré des problèmes.
Les responsables gouvernementaux demandent à Optus de la transparence sur les véritables raisons de la panne
Le Premier ministre australien par intérim, Richard Marles, a déclaré que le gouvernement était préoccupé par l'impact d'une panne d'Optus sur les services critiques. "Nous nous concentrons avant tout sur ces services d'urgence immédiats et sur la sécurité des personnes. Nous avons été très concentrés sur ces services triple-0 et nous examinons l'impact sur l'ensemble des services gouvernementaux", a-t-il déclaré.
De plus, la ministre des Communications, Michelle Rowland, a qualifié la panne de "défaut profond", affirmant que le gouvernement cherchait à obtenir davantage d'informations auprès d'Optus, d'autant plus qu'elle "s'est produite au plus profond du réseau". "Cela a de larges ramifications sur les services mobiles, fixes et haut débit pour les clients Optus et cela signifie également que pour ces clients, ils sont touchés par l'incapacité de passer des appels ou d'utiliser leurs services", a déclaré Rowland, ajoutant qu'Optus devrait utiliser toutes les formes. des médias pour informer continuellement les clients, car ils doivent être « transparents et opportuns » en réponse à la panne.
On a demandé à Rowland sur ABC Radio Sydney si les clients devaient être automatiquement transférés vers un autre réseau lorsque leur opérateur tombe en panne, ce à quoi elle a répondu : "Le gouvernement fédéral travaillait déjà sur le basculement des clients entre les réseaux en cas d'urgence telles que les feux de brousse et les inondations." (Connexe : la panne totale du réseau de Tesla est la raison pour laquelle vous ne devriez pas posséder de voiture ou d'appareil qui dépend d'un serveur central pour fonctionner.)
Pendant ce temps, le Premier ministre d'Australie du Sud (SA), Peter Malinauskas, s'est dit « déçu par Optus » car ils ont laissé tomber leurs clients dans tout l'État, y compris le gouvernement. Il a ajouté que le gouvernement sud-africain communiquait activement avec une autre entreprise au sujet du transfert de services critiques. Le premier ministre de l'INSW de Nouvelle-Galles du Sud, Chris Minns, a déclaré que la panne avait également provoqué des perturbations importantes au service NSW et qu'ils demanderaient au fournisseur de télécommunications d'expliquer ce qu'il a décrit comme une panne « profondément regrettable ».
RépondreSupprimerVisitez Glitch.news pour plus d’histoires similaires à celle-ci.
Regardez Maria Zeee parler de la cyberattaque présumée contre Optus l'année dernière.
This video is from the High Hopes channel on Brighteon.com.
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Optus hacker releases over 10,000 customer details and demands $1 million in cryptocurrency, apologizes later.
European telecommunications networks may go offline this winter due to energy crisis.
Business STOPS whenever electronic payment systems go down – because nearly everything is digital and internet-based these days.
Sources include:
HumanEvents.com
Twitter.com
AFR.com
ABC.net.au
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-09-optus-outage-affects-10m-customers-400k-businesses.html
Les gros bonnets du constructeur automobile admettent que les ventes de véhicules électriques sont menacées
RépondreSupprimer11/09/2023
Belle Carter
Plus tôt en octobre, plusieurs dirigeants de constructeurs automobiles ont reconnu que leurs ambitieux projets en matière de véhicules électriques (VE) étaient menacés, du moins à court terme, a rapporté Business Insider.
Les concessionnaires mettent en garde depuis des mois contre un ralentissement de la demande de véhicules électriques, une augmentation des stocks et une baisse des ventes. Plusieurs dirigeants de certains des plus grands constructeurs automobiles ont exprimé leur malaise face à la croissance du marché des « robocars », car les inquiétudes quant à la viabilité de ces véhicules mettent en péril leurs stratégies d'électrification de plusieurs milliards de dollars.
Historiquement, l'un des PDG de l'industrie automobile les plus optimistes quant à l'avenir des véhicules électriques est Mary Barra de General Motors (GM). Elle fait partie des dirigeants qui ont exprimé leur inquiétude face à l'instabilité récente du secteur. GM a été un pionnier sur le marché des voitures électriques, vendant la Chevrolet Bolt depuis sept ans et faisant des déclarations audacieuses sur un avenir entièrement électrique pour l'entreprise bien avant que ses concurrents ne se joignent à nous. Lors de l'appel aux résultats du troisième trimestre, Barra a annoncé avec ses résultats trimestriels que GM abandonnait ses objectifs de construire 100 000 véhicules électriques au cours du second semestre de cette année et 400 000 autres d'ici les six premiers mois de 2024. GM ne sait pas quand il le fera. atteindre ces cibles. "À mesure que nous progressons dans la transformation vers les véhicules électriques, c'est un peu cahoteux", a déclaré Barra.
Pendant ce temps, le constructeur automobile de Détroit n’est pas le seul à avoir cette nouvelle vision de l’avenir des voitures électriques. Même le magnat de la Big Tech, Elon Musk de Tesla, a averti lors d'une récente conférence téléphonique sur les résultats que les préoccupations économiques entraîneraient une baisse de la demande de véhicules, même pour le leader de longue date du marché des véhicules électriques. De plus, Mercedes-Benz doit réduire ses véhicules électriques de plusieurs milliers de dollars rien que pour les mettre entre les mains des clients. MB a également été extrêmement franc sur ce qui se passait. "C'est un espace assez brutal", a déclaré le directeur financier Harald Wilhelm lors d'un appel avec des analystes. "Je peux difficilement imaginer que le statu quo actuel soit pleinement viable pour tout le monde."
RépondreSupprimerDe plus, des rapports ont confirmé que presque tous les produits électriques actuels sont vendus à un prix inférieur à celui de la vignette, et en plus de cela, certains véhicules électriques bénéficient d'incitations de la part des fabricants de près de 10 %. "Cela se produit alors que les stocks s'accumulent chez les concessionnaires, au grand dam des concessionnaires. Alors que les acheteurs de voitures ont de la chance s'ils recherchent une bonne affaire sur un véhicule rechargeable, les dirigeants constatent que même les réductions importantes et les remises ne suffisent pas. Ces voitures mettent plus de temps à vendre aux concessionnaires que leurs homologues à essence, car la prochaine vague d'acheteurs se concentre sur les coûts, les défis d'infrastructure et les obstacles au style de vie à l'adoption", a rapporté Insider.
"Après avoir étudié cela pendant un an, nous avons décidé que cela serait difficile en tant qu'entreprise, c'est pourquoi nous mettons fin au développement d'un véhicule électrique abordable", a déclaré le PDG de Honda, Toshihiro Mibe, dans une interview avec Bloomberg. Pour Akio Toyoda, président de Toyota Motor, les gens voient enfin la réalité. Il a longtemps été sceptique quant aux projets purement électriques de ses pairs. (Connexe : un membre de « l'équipe verte » de Biden admet que les véhicules électriques ne sont PAS durables.)
Ford arrête de grands projets d'usine, y compris une usine au Kentucky, parce que les véhicules électriques sont trop chers
Réalisant que leurs efforts risquaient d’être vains, Ford a été le premier à se retirer. Il reporte ses projets d’usines de véhicules électriques de 12 milliards de dollars, y compris une usine de batteries prévue dans le Kentucky.
Selon Ford, les clients n’étaient pas disposés à payer un supplément pour ses véhicules électriques parce qu’ils n’étaient plus abordables. Le constructeur automobile continue de perdre de l'argent selon les rapports. Environ 1,3 milliard de dollars de bénéfice ajusté au cours du dernier trimestre ont été perdus. Cette année, Ford a perdu 3,1 milliards de dollars en dépenses liées aux véhicules électriques et a annoncé qu’elle perdrait un total de 4 milliards de dollars pour l’année.
Parallèlement, l'entreprise a conclu un accord de principe avec le syndicat United Auto Workers la semaine dernière, devenant ainsi le premier des trois grands constructeurs automobiles américains à conclure un accord. La grève lui a coûté environ 1,3 milliard de dollars et l’entreprise a retiré ses prévisions pour 2023, ce qui signifie qu’elle n’est pas sûre de pouvoir atteindre les objectifs qu’elle s’était fixés plus tôt dans l’année.
RépondreSupprimerEn juillet dernier, Ford a prolongé d'un an le délai qu'il s'était imposé pour atteindre une production annuelle de 600 000 véhicules électriques et a abandonné son objectif de 2026 visant à construire deux millions de véhicules électriques.
Consultez les mises à jour sur la volonté catégorique de l’administration Biden de passer des véhicules à essence aux véhicules électriques pour « sauver la terre » sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
ClimatDepot.com
BusinessInsider.com
TheVerge.com
https://www.naturalnews.com/2023-11-09-automaker-bigwigs-admit-ev-sales-in-jeopardy.html
Putschs en Afrique : L'Afrique victime d'une exploitation sans pitié au nom de la démocratie
RépondreSupprimer09.11.2023
www.kla.tv/27399
Les coups d'État militaires au Niger le 26 juillet et au Gabon le 30 août de cette année sont les plus récents d'une série qui a traversé l'Afrique de l'Ouest et le Sahel ces dernières années. Les politiciens et les médias occidentaux ont condamné ces renversements violents de gouvernement et exigent le retour des présidents constitutionnellement élus. La CEDEAO, alliance d'Etats africains connue pour être un allié occidental, a immédiatement exclu ces deux pays membres après leurs coups d'Etat et a même menacé de guerre le nouveau gouvernement du Niger. On a ainsi l'impression que le président renversé a gouverné son peuple de manière adéquate et que la population doit être sauvée des putschistes. Or, ces populations ont réagi aux putschs de manière totalement différente. Au Niger, au Gabon et également au Burkina Faso, ils acclament les putschistes militaires et célèbrent la destitution des anciens dirigeants. Comment expliquer cet enthousiasme ?
Il est frappant de constater que les six derniers pays africains dont le président a été chassé par la force sont d'anciennes colonies françaises. Bien qu'autonomes depuis plus de 60 ans, ils restent aujourd'hui encore sous le diktat militaire, financier et économique de la France.
1. Militaire :
La France a toujours des soldats stationnés dans ses anciennes colonies. Avec les Etats-Unis, ils exercent une influence sur l'armée nationale par le biais de programmes de formation pour les officiers africains.
2. Financier :
En tant qu'anciennes colonies françaises, le Niger et le Gabon font partie des 14 pays d'Afrique de l'Ouest qui ont été obligés par la France de céder 85 % de leurs réserves de devises et 100 % de leurs réserves d'or. Ils doivent jusqu'à aujourd'hui conserver comme monnaie le franc CFA [= franc ouest-africain] de l'époque coloniale. Son taux de change est dicté par la banque centrale française, à l'avantage de la France : en 1994 par exemple, celle-ci a dévalué du jour au lendemain le franc CFA, ce qui a fait que les exportations des colonies ont perdu la moitié de leur valeur et que les prix des importations ont augmenté de 50 %. Il n'est donc pas étonnant que neuf des 14 pays de la zone CFA soient parmi les plus pauvres du monde, malgré leur richesse en matières premières.
3. L'économie :
L'exploitation économique systématique et ses conséquences sont évoquées par le député européen Martin Sonneborn de la manière suivante :
« Il n'y a pas une seule mine d'or en activité en France. Pourtant, cet (ancien) État colonialiste criminel, avec 2 436 tonnes d'or, possède les quatrièmes plus grandes réserves d'or du monde.
Le Mali, (ancienne) colonie française, possède exactement 0,0 tonne d'or, bien qu'il possède plusieurs dizaines de mines (dont 14 officielles) dans le pays, d'où sont extraites pas moins de 70 tonnes par an. Sur les revenus de près de 60 tonnes d'or extraites par 600 000 enfants (selon les estimations) dans l'(ancienne) colonie française du Burkina Faso, seuls 10 % reviennent au pays, mais 90 % aux multinati-onales de l'orpaillage. [...]
Le Niger, (ancienne) colonie française, possède les minerais d'uranium de la plus haute qualité d'Afrique et est le septième producteur d'uranium au monde, mais selon la Banque mondiale, 81,4 % de ses citoyens ne sont même pas raccordés au réseau électrique. 40 % vivent en dessous du seuil de pauvreté, un tiers des enfants ont un poids insuffisant et le taux d'analphabétisme est de 63 %. Seule la moitié des habitants a accès à l'eau potable, et 16 % seulement sont raccordés à un système d'assainissement adéquat. [...] Comment l'Afrique, qui dispose de tant de richesses, peut-elle être devenue le continent le plus pauvre du monde ? »
Selon Sonneborn, le politologue Michael Parenti a une réponse très simple à cette question :
RépondreSupprimer« Les pays pauvres ne sont pas 'sous-développés', mais 'surexploités'. »
De ce point de vue, les récents coups d'État apparaissent comme une tentative attendue de l'Afrique de se libérer du système d'exploitation et d'oppression. Le nouveau chef d'État du Burkina Faso, Ibrahim Traoré, parle des huit années qui ont précédé le coup d'État de 2022 comme la forme la plus barbare et la plus violente de néo-colonialisme impérial. Lors du sommet africain de juillet à Saint-Pétersbourg, Traoré a lancé un appel à tous les représentants des Etats africains pour qu'ils libèrent le continent de ce système. Il a déclaré :
« Le problème, ce sont les chefs d'Etat africains qui ne contribuent en rien à la lutte des peuples et qui jouent la même partition que les impérialistes. Ils nous qualifient de « milices », d'hommes qui ne respectent pas les droits de l'homme. De quels droits de l'homme parlent-ils ? [...] Nous, chefs d'Etat africains, devons cesser de nous comporter comme des marionnettes qui sautent à chaque fois que les impérialistes tirent les ficelles. »
Mais pourquoi les États africains ne se sont-ils pas libérés de ce système depuis longtemps ? Leurs présidents ne sont-ils vraiment que des marionnettes des intérêts occidentaux ? En regardant le passé plus récent, Arikana Chihombori-Quao, ancienne représentante de l'Union africaine aux États-Unis, explique que les dirigeants qui ont essayé d'obtenir le meilleur pour leur peuple ont été assassinés. Avant même qu'un président n'arrive au pouvoir, il existe pour lui des tabous : l'armée, les finances, les ressources naturelles. Il ne doit pas y toucher, car s'il le fait, il risque de ne pas survivre à la journée. Tant qu'il évite ces domaines, il peut gouverner comme il l'entend.
Chers téléspectateurs, n'est-ce pas une moquerie lorsque les politiciens et les médias occidentaux parlent de préserver l'ordre constitutionnel, alors qu'en réalité, cela ne désigne que les présidents qui assistent impuissants au bradage de leur pays ?
Dans ce contexte, la demande de réintégration du président nigérien n'apparaît-elle pas sous un tout autre jour ?
De quel droit la CEDEAO, qui a menacé de faire la guerre au Niger juste après le putsch, exige-t-elle le maintien d'un ordre constitutionnel qui ne garantit pas une vie digne à ses habitants ?
Il est évident qu'il ne s'agit pas ici de protéger la démocratie, ce que les pays occidentaux utilisent constamment pour justifier leurs actions sans scrupules, mais d'une politique économique et de pouvoir implacable pour laquelle la CEDEAO s'est corrompue, tout comme les politiciens et les médias occidentaux.
C'est pourquoi nous devons tous cesser d'accepter ce système flagrant de „deux poids deux mesures“. Il est grand temps qu'un tribunal populaire international indépendant se mette en place afin de rendre justice et de demander des comptes aux coupables.
de jmr
RépondreSupprimerSources / Liens :
Carte coloniale de l'Afrique, bases militaires de la France
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9colonisation_de_l%27Afrique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Forces_arm%C3%A9es_fran%C3%A7aises
Le système colonial français
https://parstoday.ir/fr/news/africa-i123592-la_junte_accuse_la_france_de_pr%C3%A9parer_une_invasion_du_niger
Discours de Traoré :
https://www.youtube.com/watch?v=_ztLT-_gzww
https://www.kla.tv/fr
« Une autre vérité qui dérange » : la couverture neigeuse de l'hémisphère Nord atteint son plus haut niveau depuis 57 ans
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 21H45
Un nouveau rapport hebdomadaire du Global Snow Lab de l'Université Rutgers révèle que la couverture neigeuse dans l'hémisphère nord se situe à l'extrémité supérieure d'un maximum de 57 ans.
"Encore une vérité qui dérange. Quand il fait chaud, il neige davantage, ce qui déclenche le processus de refroidissement. C'est une vieille théorie du cycle climatique depuis 60 ans, car elle figurait dans un livre que mon père m'a donné quand j'avais 8 ans", a déclaré le météorologue. Joe Bastardi a écrit sur X.
Bastardi a cité le message d'un autre utilisateur de X : "La dernière étendue de couverture de neige du laboratoire de neige Rutgers NH, maintenant proche du maximum de 57 ans. Étonnant dans un monde" en feu ".
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Rappel au cours de l'été. Les grands médias ont publié une avalanche de gros titres catastrophiques sur le climat, notamment « L'ère de l'ébullition mondiale est arrivée », « Le mois le plus chaud de l'histoire de la civilisation » et « Le jour le plus chaud jamais enregistré ».
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CBS News a écrit : « La Terre connaît le troisième jour consécutif le plus chaud jamais enregistré, même si ce n'est pas officiel : « Brutalement chaud ». » Il est crucial de noter que CBS s'est couvert de « non officiel », ce qui signifie que les données n'ont jamais été vérifiées.
Cela a conduit la National Oceanic and Atmospheric Administration à remettre en question les calculs climatiques avancés par les grands médias :
"Bien que la NOAA ne puisse pas valider la méthodologie ou les conclusions de l'analyse de l'Université du Maine, nous reconnaissons que nous sommes dans une période chaude en raison du changement climatique."
Dans un monde censé brûler à cause des pets de vaches et des voitures fonctionnant aux combustibles fossiles, la seule chose qui ne devrait pas se produire est une augmentation de la couverture neigeuse.
Attendez simplement que les grands médias citent un groupe de réflexion inconnu avec des calculs climatiques douteux qui soutiennent le récit selon lequel « l’augmentation de la couverture de neige est due au changement climatique ».
Nous détestons en parler aux grands médias, mais le climat a constamment changé depuis des milliards d’années.
Selon Greta, l’enfant guerrière du climat, nous devrions tous être morts à l’heure actuelle.
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La peur climatique est un projet qui dure depuis plusieurs décennies...
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N'oubliez pas que dans l'hémisphère Nord, c'est un hiver El Niño.
https://www.zerohedge.com/weather/another-inconvenient-truth-northern-hemisphere-snow-cover-nears-57-year-high
Comment l’élite milliardaire manipule le monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 23H00
Rédigé par Raymond Ibrahim via AmericanThinker.com,
Qu’est-ce qui se cache finalement derrière tant de maux (fabriqués) qui affligent actuellement l’Occident, de la folie de gauche à la folie du genre en passant par les confinements et les guerres inutiles ?
En un mot, les ultra-riches – l’élite milliardaire. C’est ce que soutient l’auteure à succès Hanne Nabintu Herland dans son dernier livre, The Billionaire World: How Marxism Serves the Elite.
Dans une série de chapitres vifs, Herland – historien des religions et fondateur du Rapport Herland – fait remonter tous les problèmes majeurs du monde à l’élite milliardaire et à son recours à la répression et à l’ingénierie sociale marxistes.
Bien que cela puisse paraître contre-intuitif, Herland avance – et documente – plusieurs arguments puissants.
Le fait qu'une petite élite contrôle une grande partie se voit dans le fait que même des marques apparemment opposées et concurrentes, telles que Coca-Cola et Pepsi, appartiennent généralement à la même entreprise, explique Herland. Il en va de même pour les médias soi-disant opposés « de gauche » et « de droite ». Six sociétés contrôlent 90 % de tous les médias américains. Quant à l’arène politique, les « 0,01 % les plus riches ont représenté 40 % de toutes les contributions à la campagne via les dons des entreprises ».
En bref, « ces entreprises privées mastodontes dominent complètement notre mode de vie, ce que nous mangeons, buvons, regardons à la télévision, ce que nous portons et pour qui nous votons. »
Il n’est pas étonnant que, quoi qu’il arrive dans le monde et peu importe à quel point ces évolutions soient préjudiciables à l’individu moyen, les ultra-riches ont tendance à s’enrichir encore davantage. Selon Herland, « 82 % de toutes les richesses générées en 2017 sont allées aux 1 % les plus riches d’entre nous, tandis que la population mondiale la plus pauvre, soit 3,7 milliards, n’a vu aucune augmentation de sa richesse ».
Mais c’est pire que ça ; il semble y avoir une corrélation directe entre l’appauvrissement de l’homme moyen et l’enrichissement des milliardaires. Écrit Herland,
[L]es plus riches d’entre nous ont gagné des milliards de dollars grâce à la tragédie mondiale du COVID-19, tandis que les pauvres du monde ont plongé dans une pauvreté inimaginable… La stratégie de fermeture a fait monter en flèche les profits des milliardaires. En quelques mois seulement en 2020, Bill Gates a gagné 75 milliards de dollars, Jeff Bezos 67,9 milliards de dollars, Mark Zuckerberg 37,8 milliards de dollars et Elon Musk 33,6 milliards de dollars.
RépondreSupprimerPendant ce temps, 48 % des propriétaires de petites entreprises aux États-Unis ont connu de graves perturbations économiques – un tiers d’entre eux ont fait faillite et les entreprises appartenant à des Noirs ont souffert de manière disproportionnée – en raison de ce confinement qui a autrement profité aux milliardaires.
D’un point de vue macro-historique, l’Occident régresse lentement et les ultra-riches deviennent « la version mondialiste des seigneurs féodaux, à mesure que la nouvelle classe esclave occidentale émerge sous eux ».
Mais comment cet état de choses lamentable a-t-il pu se produire en premier lieu ? Le marxisme – sous ses innombrables formes et itérations – est la réponse de Herland. Depuis les années 1960, à commencer par le mouvement « sexe libre et drogues », le marxisme, notamment sous l’apparence d’un matérialisme impie, s’est infiltré dans la culture occidentale, empoisonnant, corrompant et détruisant tout ce qui à l’origine a fait la grandeur de l’Occident, le rendant ainsi plus grand. mûr pour que les plus puissants – c’est-à-dire les plus riches – puissent les manipuler et les contrôler. Écrit Herland,
L’attaque marxiste contre les valeurs historiques occidentales a affaibli le noyau même de notre culture, détruit la stabilité sociale et la famille, étouffé la liberté d’expression et réduit au silence le peuple – et a ainsi levé les obstacles qui empêchaient la classe milliardaire d’obtenir un contrôle centralisé… La combinaison de forces fortes Les entreprises privées associées aux idéologies politiques socialistes ont poussé en faveur d’un modèle de pensée de groupe radical dans lequel la population est censée être d’accord avec le consensus – un peu comme celui dont nous avons été témoins pendant le national-socialisme en Allemagne avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le marxisme est particulièrement apte à exploiter tout environnement dans lequel la liberté et la liberté s’érodent et sont remplacées par une pensée de groupe. Selon les mots de Vladimir Lénine :
Nous devons être prêts à recourir à la supercherie, à la tromperie, à enfreindre la loi, à dissimuler et à dissimuler la vérité... Nous pouvons et devons écrire dans un langage qui sème parmi les masses la haine, la répulsion et le mépris envers ceux qui ne sont pas d'accord avec nous.
Il n’est pas nécessaire de s’étendre longuement pour dire que ces tactiques dominent aujourd’hui tout le discours social et politique – plus d’un siècle après qu’elles aient été écrites pour la première fois.
Il y a bien plus à recommander dans Herland’s Billionaire World. Presque tous les sujets urgents – y compris la politisation de la science, la montée de groupes (ouvertement marxistes) tels que Black Lives Matter (BLM), la persécution mondiale des chrétiens, l’attisation des tensions raciales et la réécriture de l’histoire – sont liés. au rôle négligé des élites milliardaires et à leurs programmes égoïstes.
RépondreSupprimer* * *
Raymond Ibrahim, author of Defenders of the West and Sword and Scimitar is the Distinguished Senior Shillman Fellow at the Gatestone Institute and the Judith Rosen Friedman Fellow at the Middle East Forum.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/how-billionaire-elite-manipulate-world
Il est temps d’acheter un générateur ? Un nouvel avertissement indique que la moitié des États-Unis risquent de voir le réseau tomber en panne cet hiver
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 NOVEMBRE 2023 - 23H20
Le rapport Winter Reliability Assessment (WRA) 2023-24 de la North American Electric Reliability Corp. met en garde contre un risque accru d’« approvisionnement énergétique insuffisant » pendant les vagues de froid extrême. Cette préoccupation s’étend à de vastes pans du réseau électrique américain et canadien, touchant environ 180 millions de personnes. Les personnes vivant dans les régions mises en évidence devraient envisager de sécuriser des sources de production d’électricité de secours.
Les opérateurs de réseaux électriques du Texas à la Nouvelle-Angleterre « risquent de connaître un approvisionnement en électricité insuffisant pendant les conditions hivernales de pointe », indique le rapport.
Le rapport poursuit en affirmant que le fonctionnement fiable du système d'alimentation en vrac (BPS) et la disponibilité du carburant pour les générateurs alimentés au gaz naturel sont menacés lors de vagues de froid sévères et généralisées. Selon elle, de récents incidents hivernaux ont montré que plus de 20 % de la capacité de production peut être interrompue par des températures glaciales dans des régions d'Amérique du Nord qui ne sont pas habituées à un tel froid. Lorsque l’alimentation électrique est limitée, les opérateurs de BPS peuvent connaître une forte augmentation de la demande en raison de l’utilisation accrue de systèmes de chauffage électrique par temps froid.
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Selon Bloomberg, le WRA de cette année est « encore plus désastreux que le rapport de l'année dernière, qui indiquait qu'un quart des Américains étaient menacés par des urgences électriques par temps froid ». Il inclut pour la première fois certaines des zones les plus densément peuplées de la côte Est. , une région qui dépend fortement du gaz naturel dans sa transition vers les énergies renouvelables. Les générateurs de gaz là-bas sont largement tombés en panne lors d'une brève mais violente tempête hivernale en décembre dernier parce qu'ils sont tombés en panne ou n'ont pas pu obtenir de carburant.
Plus tôt cette année, PJM Interconnection, l'opérateur de réseau électrique de 13 États s'étendant de l'Illinois au New Jersey avec plus de 65 millions de clients, a publié une étude qui a révélé une tendance alarmante des politiques de décarbonisation des États et du gouvernement fédéral sur l'ensemble du réseau qui « présentent des risques croissants en matière de fiabilité ». pendant la transition, en raison d'un décalage temporel potentiel entre les retraits de ressources, la croissance de la charge et le rythme d'entrée de la nouvelle génération.
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Les vulnérabilités croissantes du réseau américain surviennent alors que la National Oceanic and Atmospheric Administration a récemment publié de nouvelles prévisions qui montrent que les conditions El Nino cet hiver pourraient produire des conditions plus humides que la moyenne dans les États du centre de l'Atlantique.
RépondreSupprimer- voir carte sur site -
Le passage à « l'énergie verte », avec l'abandon progressif de la production d'énergie fossile au profit d'énergies solaires et éoliennes peu fiables, contribue aux risques de panne du réseau par temps glacial. Cela survient également alors que la demande d’électricité augmente alors que de plus en plus d’Américains rechargent leurs véhicules électriques.
Mais l’administration Biden était censée renforcer le réseau électrique du pays avec des milliards de dollars de dépenses vertes… Si tel était le cas, il n’y aurait pas ces avertissements.
Pour ceux qui vivent dans des États désormais exposés à des risques élevés de coupure du réseau en raison du froid, envisagez un générateur domestique. De plus, sécuriser un Starlink pour une connexion Internet de sauvegarde pourrait vous faciliter la vie.
https://www.zerohedge.com/commodities/time-generator-new-warning-says-half-us-risk-grid-down-winter
La Chine veut s'approprier le futur marché des robots humanoïdes
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 09 novembre 2023 - 15:45
Selon le ministère chinois de l’Industrie et des Technologies de l’information, les robots humanoïdes "changeront profondément les modes de production et les modes de vie de l’humanité". Aussi l'Empire du Milieu a-t-il prévu de dominer le marché dans les prochaines années.
À partir de 2025, la Chine prévoit de s’organiser pour produire massivement ce type de robots aux traits humains, de sorte qu'elle puisse être le leader du marché d'ici à 2027. Comme le rapporte Le Figaro, "la stratégie vise pour l’essentiel à bâtir un écosystème industriel de taille, comprenant deux à trois géants internationaux, un tissu résistant de petites et moyennes entreprises, ainsi que deux ou trois clusters sur le territoire chinois". Évidemment, il faudra pour cela passer par l'acquisition massive de composants électroniques.
Plus tôt dans l'année, la société chinoise Unitree dévoilait un robot-chien fonctionnant grâce à l'IA, capable de parler. Un peu plus tard, la firme créait un nouveau robot humanoïde "H1", le présentant comme le "robot polyvalent, le plus puissant du monde".
Sans surprise, tous ces projets s'inscrivent dans la guerre économique que la Chine mène contre les États-Unis. Elle ne s'en cache pas et vise la place de numéro un mondial d'ici à 2049, notamment grâce aux marchés technologiques.
Des ambitions qui ne sont pas sans rappeler les projets fous d'Elon Musk, patron de Tesla, xAI, X (Twitter), Neurolink... et créateur du robot humanoïde "Optimus". Bien qu'il assurait que "nous devrions être très préoccupés" par leur développement, il était fier de promettre une "ère d’abondance" assortie d’un "revenu universel élevé". Selon lui, ces robots pourraient "vous suivre partout", tantôt dangereusement, tantôt pour "transformer fondamentalement la civilisation" en faisant le sale boulot à notre place.
https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/la-chine-veut-s-approprier-le-futur-marche-des-robots-humanoides
Le robot c'est bien mais l''humanoïde' c'est nul. Il a du mal à se déplacer, grimper des escalier ou entreprendre toutes tâches humaines.
SupprimerPourquoi ne pas adopter le centaure ? Le centaure est l'image d'un chien ou cheval avec le cou transformé en torse humain surmonté de 2 bras et une tête. Il peut se tourner à 180° vers son dos et posé dessus (ou en sacoches de chaque côté) des colis. De plus, comme il a 4 pattes il ne tombe pas et grimpe vite les escaliers.
La Chine dévoile son projet de production en masse de robots ressemblant à des humains, le qualifiant de « nouveau moteur » de croissance
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 05h00
Rédigé par Eva Fu via The Epoch Times
La Chine envisage de produire en masse des robots ressemblant à des humains d'ici deux ans, un plan ambitieux qui, selon un plan publié par le ministère de l'Industrie et des Technologies de l'information (MIIT), espère qu'il fera du régime de Pékin le leader dans le domaine. de la robotique.
L’objectif est d’établir un cadre d’innovation pour les robots humanoïdes et de garantir que le pays puisse fabriquer lui-même les éléments essentiels des robots.
Les produits, dans le cadre du plan MIIT, répondront aux normes internationales avancées en matière de qualité, pour une utilisation dans des environnements difficiles, dans les secteurs de la fabrication et des services, selon la directive. Comme les smartphones, les ordinateurs et les véhicules à énergies nouvelles, les robots humanoïdes ont le potentiel « perturbateur » de « révolutionner » la vie des gens, indique le document.
Le ministère a demandé aux autorités locales de profiter de la taille du marché chinois et de son « système national » pour accélérer le développement des robots humanoïdes en tant qu’industrie pilier pour faire progresser la fabrication et la domination numérique de la Chine.
Pékin espère que d’ici 2025, elle comptera deux à trois entreprises ayant une influence mondiale et qu’elle encouragera davantage de petites entreprises dédiées à ce domaine. Dans deux ans, l’objectif est de créer une « chaîne d’approvisionnement sûre et fiable » pour cette technologie et de rendre le pays compétitif à l’échelle mondiale. À ce stade, dit-il, ces produits seront profondément intégrés dans l’économie et deviendront un « nouveau moteur » pour la croissance économique.
Le « cerveau », le « cervelet » et les « membres » des robots devraient être au centre de l’attention, et l’industrie devrait viser à créer des robots « hautement fiables » pour des conditions difficiles ou dangereuses, indique la directive. Lors de la surveillance et de la protection des « emplacements stratégiques », les robots doivent être capables de se déplacer sur des « terrains très complexes », d'évaluer la situation et de prendre des décisions intelligentes, ajoute-t-il, ajoutant que les robots auront besoin d'une plus grande capacité à se protéger et à travailler avec des niveaux plus élevés. précision dans des scénarios tels que les travaux de sauvetage ou lorsque des explosifs sont impliqués.
Les autorités compétentes doivent approfondir la coopération internationale, encourager les entreprises étrangères à créer des centres de recherche en Chine et à introduire les produits chinois sur le marché international, selon le document.
RépondreSupprimerDésireux de participer à l’établissement de normes mondiales pour les technologies émergentes, Pékin a déclaré qu’il aimerait s’impliquer « profondément dans l’établissement de règles et de normes internationales » et « apporter la sagesse chinoise » au développement de l’industrie, indique le document.
Cette directive constitue la dernière tentative de la Chine de renforcer son autonomie technologique, alors que les États-Unis renforcent leur interdiction d’accès à la Chine aux puces américaines avancées. En élargissant le contrôle des puces en Chine à partir d'octobre de l'année dernière, le Bureau de l'industrie et de la sécurité du département du Commerce a demandé à la mi-octobre à davantage d'entreprises américaines d'obtenir une licence avant de pouvoir exporter des puces semi-conductrices avancées vers la Chine, une mesure qu'ils ont déclarée nécessaire pour empêcher Pékin d’utiliser ces puces à des fins militaires. Le 23 octobre, le gouvernement américain a demandé à Nvidia de cesser d’expédier la plupart de ses principales puces d’intelligence artificielle vers la Chine.
Sans citer ces actions des États-Unis, le document demande à l’industrie de concevoir des puces d’IA pour les robots humanoïdes qui permettraient l’auto-apprentissage et d’autres capacités.
Une demi-douzaine de sociétés de renseignement chinoises ont vu leurs actions bondir jusqu'à 20 % le lendemain de l'annonce, et la valeur des actions d'autres produits électroniques robotiques a également bondi.
La feuille de route du régime de Pékin signifie qu'il sera en concurrence avec des sociétés internationales telles que Samsung, Microsoft et Tesla qui investissent dans ce domaine.
Le PDG de Tesla, Elon Musk, a tenté de construire un robot humanoïde appelé Optimus ou Tesla Bot. Cependant, après beaucoup de battage médiatique l'année dernière, la présentation du robot marchant lentement sur scène et saluant la foule n'a pas répondu aux attentes.
Il semble y avoir un optimisme quant à la technologie parmi les médias chinois.
Lu Hanchen, directeur de l'Institut de recherche industrielle de Gaogong, a déclaré au Securities Times, une société d'État, que même si la Chine est encore loin de produire des robots humanoïdes à grande échelle, cet objectif n'est pas loin.
Cette année, plus de dix entreprises chinoises ont révélé des innovations liées aux robots humanoïdes, a-t-il noté, ajoutant que la Chine dispose déjà de certaines installations de soutien au développement de robots industriels.
RépondreSupprimerPékin a mis de côté environ 10 milliards de yuans (environ 1,4 milliard de dollars) pour financer le développement de la robotique. Le 6 novembre, la Chine a ouvert le premier centre d'innovation au niveau provincial sur les robots humanoïdes dans la capitale du pays pour travailler à la résolution de « problèmes communs clés » urgents, notamment un système de contrôle des opérations, des logiciels open source et des prototypes de robots.
Au moins une entreprise chinoise, Jiangsu Miracle Logistics System Engineering Co., a promis de présenter son premier robot humanoïde d'ici la fin de l'année. La société chinoise de courtage en valeurs mobilières Zheshang Securities estime que le marché des robots humanoïdes aura une demande de 1,77 million de machines d'ici 2030.
https://www.zerohedge.com/technology/china-unveils-plan-mass-produce-human-robots-calling-it-new-engine-growth
Résistance du vulpin au glyphosate : faut-il se réjouir d'une « première mondiale » ?
RépondreSupprimer9 Novembre 2023
C'est apparu sur ma « timeline » d'X (ex-Twitter). En ces temps de grandes manœuvres pour faire échouer le renouvellement de l'approbation du glyphosate au niveau de l'Union Européenne, il y a des gens qui s'empressent de publier des arguments qui plaident, ou sont censés plaider, contre cette décision...
(Source)
La page mise en lien est « Collaborations scientifiques pour une agriculture sans pesticides ». C'est assez cocasse : pour illustrer les « bons conseils », on nous renvoie à une page qui suggère que l'on étudie ou va étudier les systèmes faisant l'objet de ces « bons conseils ». (Source)
Or donc, l'Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement (INRAE) a publié une page – non datée (bravo pour le professionnalisme des communicants) –, « Mise à jour des cartes de résistance aux herbicides 2023 » avec une carte un peu particulière :
- voir carte sur site -
Cette carte comporte un élément que je trouve choquant : la bulle « Première mondiale ! ». On se féliciterait de cette grande nouvelle qu'on ne s'y prendrait pas autrement !
Remarquez : il y a sans doute, au sein de l'INRAE (oups ! d'INRAE), des secteurs et des personnels qui sont ravis de l'événement, si facile à utiliser dans un plaidoyer en faveur de l'interdiction du glyphosate..
En faisant preuve de complotisme, la page n'étant pas datée, on peut supputer que cette grande nouvelle a été gardée au chaud pour la sortir au moment où elle serait susceptible d'avoir un impact sur un processus décisionnel. Mais on peut aussi s'en remettre à Michel Rocard : « Toujours préférer l'hypothèse de la connerie à celle du complot. La connerie est courante. Le complot exige un esprit rare. »
Dans le cas présent, on peut tout aussi bien penser que, malgré l'infâme bulle, c'est un non-événement pour lequel les malherbologues de l'INRAE ont pu se dire à l'instar de Jacques Chirac : « Ça m’en touche une sans faire bouger l’autre. »
Encore que... trouver une nouvelle résistance, c'est aussi trouver un nouveau sujet d'étude avec à la clé, qui sait, des découvertes physiologiques et génétiques passionnantes.
RépondreSupprimerMais on peut aussi être, en même temps, pragmatique : « on » a trouvé un cas de résistance et, sans doute, on l'a éradiqué en appliquant d'autres moyens de lutte contre les mauvaises herbes. Et donc, on n'a pas jugé bon d'en faire de la publicité intempestive – à tort, car alerter, c'est inciter à la vigilance. En tout cas, je n'ai rien vu jusqu'à tout récemment.
Le premier « on » est intéressant. J'ai essayé d'en savoir plus mais, à mon grand regret, mes démarches n'ont pas abouti. Le glyphosate est, surtout en ce moment, un sujet explosif...
Mais on peut affirmer qu'il y a eu au moins un agriculteur – très compétent, forcément – observateur. On peut aussi supposer qu'il aura alerté un technicien, tout aussi compétent, de la chambre d'agriculture, lequel aura transmis l'information au grand manitou des résistances aux herbicides de l'INRAE, M. Christophe Délye.
Il n'y a donc que cette infâme bulle...
En cherchant un peu, j'ai trouvé un document plus complet daté de juin et mis en ligne en juillet 2023. La carte ci-dessus en fait partie (mais avec la mention de sa date).
- voir carte sur site -
Il est dit en introduction de ce document, à juste titre :
« 3. Sur les cartes, un département est mis en couleur en fonction du nombre de cas de résistance qui y ont été signalés.
➔ Ceci ne signifie évidemment pas que toutes les parcelles d’un département mis en couleur soient concernées par la résistance, même pour les départements où une résistance est très fréquente!
➔ Réciproquement, le fait qu’un département ne soit pas mis en couleur signifie uniquement que la résistance n’y a pas été signalée (soit parce qu’elle y est absente, soit parce qu’elle n’y a pas été recherchée ou identifiée, soit parce que les données n’ont pas été communiquées). »
À voir le résumé et les cartes, le glyphosate est peu affecté par les phénomènes de résistance. Ce n'est du reste pas un scoop.
Mais il n'y a pas lieu de faire preuve de complaisance.
RépondreSupprimer- voir carte sur site -
C'est à comparer, par exemple, aux inhibiteurs de l'ALS. Ci-dessous, le cas des coquelicots.
- voir carte sur site -
Concluons sur trois points :
Premièrement, il appartient aux agriculteurs de gérer leurs outils de désherbage avec compétence. C'est une responsabilité individuelle d'intérêt collectif.
Deuxièmement, il appartient aux décideurs politiques de préserver la boîte à outils des agriculteurs, pas seulement pour qu'ils aient (au moins) un outil à disposition pour répondre à un problème particulier, mais aussi pour assurer la pérennité des outils face aux risques de résistances des cibles.
Troisièmement, il ne viendrait à l'idée d'aucun activiste anti-pesticides de demander l'interdiction d'un antibiotique au motif qu'un microbe particulier aura « développé » – ponctuellement – une résistance. Est-ce trop demander que de dire que cela devrait aussi s'appliquer au glyphosate ?
https://seppi.over-blog.com/2023/11/resistance-du-vulpin-au-glyphosate-faut-il-se-rejouir-d-une-premiere-mondiale.html
Chez Willi l'agriculteur, le niveau moyen des précipitations annuelles est (presque) atteint
RépondreSupprimer10 Novembre 2023
Willi l'agriculteur*
Avec les précipitations de la semaine dernière, nous avons dépassé, sur notre site près de Cologne, la moyenne annuelle des précipitations, qui est de 670 mm sur le territoire allemand, avec 701 mm. Pour les sites situés à près de chez nous, la moyenne annuelle se situe entre 720 et 760 mm.
- voir graph sur site -
https://www.dwd.de/DE/leistungen/klimadatendeutschland/mittelwerte/nieder_8110_fest_html.html?view=nasPublication&nn=16102
Il ne manque donc plus grand-chose pour que la somme annuelle habituelle soit également atteinte chez nous. Les prochains jours devraient être marqués par de nouvelles précipitations, mais moins abondantes que par le passé. En rétrospective, 2023 sera donc une année plutôt humide.
- voir graph sur site -
Des répercussions sur le travail dans les champs ?
La partie supérieure du sol est humide et pose actuellement des problèmes pour la récolte des pommes de terre, des betteraves sucrières et du maïs. En dessous de 60 cm et jusqu'à 100 cm environ, le sol est encore sec chez nous, mais cela va maintenant changer, car l'humidité se déplace peu à peu vers les couches plus profondes. Il n'est pas question de semer des céréales dans notre région.
Et les années précédentes ?
2022 a été très sec. L'année 2021 est connue pour les inondations de l'Ahr et a également entraîné chez nous des précipitations record en juillet, sans toutefois causer de dommages. Mais il n'aurait pas manqué grand-chose pour que notre ferme soit également inondée.
Voici les cartes de sécheresse pour les années depuis 1952 pendant la période de végétation en Allemagne :
https://www.ufz.de/index.php?de=47252
Elles montrent que les sécheresses sont devenues plus fréquentes ces dernières années. Mais toutes les années de sécheresse n'entraînent pas nécessairement des pertes de rendement. Tout dépend du moment où la sécheresse survient. Elle est même bienvenue pour la récolte des céréales et du colza s'il se remet à pleuvoir ensuite pour les cultures d'automne. Les pommes de terre et les betteraves sucrières peuvent résister à de telles phases pendant un certain temps grâce à leurs organes de stockage souterrains.
Changement climatique ou météo ?
RépondreSupprimerSi on me demande si, en tant qu'agriculteur, je souffre du changement climatique, je dois répondre par la négative. Je me doute que certains me critiqueront probablement pour cette affirmation, mais je veux être honnête.
Nous n'avons eu récemment une baisse de rendement des céréales qu'en 2018. Nous en avions eu une aussi en 1976 et 2003. Pour les betteraves sucrières, nous avons une nette tendance à l'augmentation des rendements, que j'attribue personnellement aussi aux conditions météorologiques. Toutefois, les ravageurs et les maladies jouent bien sûr aussi un rôle. Ainsi, l'intensité des maladies foliaires a augmenté dans les betteraves sucrières ; dans les céréales, nous avons tendance à avoir moins de problèmes et avons pu réduire les traitements. Mais le changement climatique nous apporte du sud de nouveaux insectes nuisibles que nous ne connaissions pas encore dans nos régions (mouche du brou du noyer, drosophile suzukii, cicadelles, etc.). Ils ne nuisent pas tous actuellement à nos grandes cultures, mais ils le font déjà aujourd'hui dans le Sud (cicadelle du roseau, vecteur de virus).
En tant qu'agriculteurs, nous devons donc rester vigilants et nous adapter à l'évolution de la situation. Mais nous l'avons déjà fait au cours des 12.000 dernières années. C'est notre vocation.
_______________
* Source : Jahresniederschlag (fast) erreicht - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2023/11/chez-willi-l-agriculteur-le-niveau-moyen-des-precipitations-annuelles-est-presque-atteint.html
(...) La partie supérieure du sol est humide et pose actuellement des problèmes pour la récolte des pommes de terre, des betteraves sucrières et du maïs. En dessous de 60 cm et jusqu'à 100 cm environ, le sol est encore sec chez nous, mais cela va maintenant changer, car l'humidité se déplace peu à peu vers les couches plus profondes. Il n'est pas question de semer des céréales dans notre région. (...)
SupprimerEffectivement si l'eau migre vers les profondeurs (d'1 m !) elle ne va pas plus loin. Après la pluie: le 'beau temps' (soleil, vent). Le sol en surface s'assèche et l'eau remonte et s'évapore (comme un sucre posé sur du café: le café remonte dans le sucre sec).
Intelligence artificielle : les voitures pilotées par l'IA « fauchent parfois les enfants », l'intelligence artificielle est également prévue pour « remettre les clés des codes nucléaires » ?
RépondreSupprimerExaminer les dernières transgressions contre la décence, la moralité et l'humanité elle-même par l'intelligence artificielle et ses architectes biologiques.
Par Ben Bartee
Recherche mondiale,
10 novembre 2023
Le dilemme nucléaire de l’IA
Les grandes puissances nucléaires du monde confient désormais la prise de décision aux entrailles numériques de l'intelligence artificielle (immunisée contre les retombées radioactives, soit dit en passant), qui (au mieux) nourrit une indifférence morale à l'égard de l'existence continue de l'humanité et, plus probablement, la considère comme une nuisance.
Via Nikkei Asie :
« L’administration Biden prévoit d’encourager la Chine à travailler avec les États-Unis sur des normes internationales en matière d’intelligence artificielle dans les systèmes d’armes, un nouveau domaine potentiel de coopération dans un contexte de tensions entre les deux puissances.
L'administration du président américain Joe Biden a mis en garde contre le recours à l'IA pour prendre des décisions impliquant l'utilisation d'armes nucléaires et soutient que les humains devraient être impliqués dans toutes les décisions critiques.
"Nous avons vu à travers l'histoire de nombreux exemples de cas dans lesquels la prise de décision pourrait être remise en question par le fait qu'un être humain ne comprend pas le contexte de la technologie, ne comprend pas le contexte de son utilisation et n'est vraiment pas en mesure de prendre la décision la plus éclairée", a déclaré Stewart, qui a suggéré que maintenir la participation humaine aux opérations nucléaires serait dans le meilleur intérêt de la Chine.
La question de l’utilisation de l’IA avec des armes nucléaires nécessiterait également des discussions avec la Russie, qui poursuit sa guerre en Ukraine. La Russie a suspendu sa participation au dernier accord bilatéral de contrôle des armements nucléaires, connu sous le nom de New START, dans un contexte de tensions accrues avec l’Occident.
Soyons honnêtes : le gouvernement américain est l’épicentre de la prise de contrôle de l’IA. Tout ce qu’il accuse la Chine de faire dans ce domaine, notamment en dotant l’IA de la capacité de décision nécessaire pour larguer des armes nucléaires, il l’a probablement déjà fait ou est en train de le faire lui-même.
RépondreSupprimerTout l’intérêt de la doctrine de la destruction mutuelle assurée (MAD) – la seule raison pour laquelle la Terre est encore (quelque peu) habitable en 2023 – est que les membres humains des nations humaines ne tireraient pas d’armes nucléaires contre d’autres puissances nucléaires parce qu’ils comprendraient que cela entraînerait à une catastrophe mondiale à laquelle ils ne survivraient probablement pas, que ce soit en tant qu'État ou en tant qu'individus.
Et ce ne sont pas seulement les armes nucléaires que l’IA peut être utilisée pour développer et déployer.
Via les Affaires étrangères :
«Lorsque les chercheurs en drogue ont utilisé l'IA pour développer 40 000 armes biochimiques potentielles en moins de six heures l'année dernière , ils ont démontré comment des systèmes d'IA relativement simples peuvent être facilement ajustés pour produire des effets dévastateurs. Des cyberattaques sophistiquées basées sur l’IA pourraient également se détraquer, faisant dérailler sans discernement les systèmes critiques dont dépendent les sociétés , un peu comme la tristement célèbre attaque NotPetya, lancée par la Russie contre l’Ukraine en 2017, mais qui a finalement infecté des ordinateurs à travers le monde. Malgré ces signes avant-coureurs, la technologie de l’IA continue de progresser à une vitesse vertigineuse, ce qui fait que les risques pour la sécurité se multiplient plus rapidement que les solutions ne peuvent être créées. »
Les tentatives réglementaires des gouvernements pour limiter l’IA – telles qu’elles le sont – sont un jeu géant de Whac-a-Mole. Il n'est pas possible de remettre ce génie dans la bouteille, et cela n'arrivera certainement pas sous la direction de l'entité de Brandon, peu importe à quel point ils lui injectent d'amphétamine, ou le futur président Karamel-euh, dont la seule expertise réside dans la bite de qui. elle doit être nulle pour obtenir sa prochaine promotion.
Big Pharma concocte un « vaccin » pour traiter la dépendance à la cocaïne
C’est l’idéologie pharmaceutique über-alles à l’œuvre.
Pour ces personnes, il n’existe aucun problème qui ne puisse être résolu par le bout d’une aiguille.
RépondreSupprimerVia le Japon aujourd'hui :
« Des scientifiques brésiliens, deuxième consommateur mondial de cocaïne, ont annoncé le développement d'un nouveau traitement innovant contre la dépendance à la drogue et à son puissant dérivé du crack : un vaccin.
Baptisé « Calixcoca », le vaccin testé, qui a donné des résultats prometteurs lors d'essais sur des animaux, déclenche une réponse immunitaire qui empêche la cocaïne et le crack d'atteindre le cerveau , ce qui, espèrent les chercheurs, aidera les utilisateurs à briser le cycle de la dépendance.
En termes simples, les toxicomanes ne se défonceraient plus à cause de la drogue .
Si le traitement obtient l'approbation réglementaire, ce serait la première fois que la dépendance à la cocaïne serait traitée à l'aide d'un vaccin, a déclaré le psychiatre Frederico Garcia, coordinateur de l'équipe qui a développé le traitement à l'Université fédérale du Minas Gerais.
Le projet a remporté la semaine dernière le premier prix – 500 000 euros (530 000 $) – aux prix Euro Health Innovation pour la médecine latino-américaine, parrainés par la société pharmaceutique Eurofarma.
À l’avenir, littéralement chaque maladie sociale, psychologique, culturelle et évidemment physique sera accompagnée d’un « vaccin » approuvé par la FDA pour la traiter.
Des voitures contrôlées par l’IA écrasent des femmes et des jeunes enfants
Écoutez, bigot, vous allez simplement devoir accepter la nouvelle réalité selon laquelle, à l'occasion, les voitures conduites par l'IA vont simplement faucher les grands-mères et les enfants à leur manière.
C'est le prix du Progress™.
Quoi qu'il en soit, c'est leur faute humaine s'ils sont petits et faibles. Si Dieu voulait qu'ils survivent au Meilleur des Mondes, il aurait façonné leurs os en titane au lieu de calcium – ou mieux encore, aurait rendu leur conscience éthérée et non corporelle à sa propre image, comme il l'a fait avec nos nouveaux seigneurs de l'IA.
Via L'Interception :
RépondreSupprimer« Les sociétés audiovisuelles espèrent que ces véhicules sans conducteur remplaceront non seulement Uber, mais aussi la conduite humaine telle que nous la connaissons . La technologie sous-jacente, cependant, est encore à moitié cuite et sujette aux erreurs, ce qui donne lieu à de nombreuses critiques selon lesquelles des entreprises comme Cruise effectuent essentiellement des tests bêta sur la voie publique.
Malgré le scepticisme populaire, Cruise insiste sur le fait que ses robots sont profondément plus sûrs que ce qu'ils visent à remplacer : les voitures conduites par des humains. Dans une interview le mois dernier, Kyle Vogt, PDG de Cruise, a minimisé les problèmes de sécurité : « Tout ce que nous faisons différemment des humains est du sensationnalisme. »
Les inquiétudes concernant les voitures de croisière ont atteint leur paroxysme ce mois-ci . Le 17 octobre, la National Highway Traffic Safety Administration a annoncé qu'elle enquêtait sur la flotte de près de 600 véhicules de Cruise en raison des risques posés aux autres voitures et aux piétons. Une semaine plus tard, à San Francisco, où les voitures de croisière sans conducteur transportent des passagers depuis 2021, le Département des véhicules automobiles de Californie a annoncé qu'il suspendait les opérations sans conducteur de l'entreprise. À la suite d'une série de dysfonctionnements et d'accidents hautement médiatisés, la cause immédiate de l'ordonnance, selon le DMV, était que Cruise avait dissimulé des images d'un incident récent au cours duquel l'un de ses véhicules avait heurté une piétonne, la traînant sur 20 pieds sur la route .
Cependant, même avant la crise des relations publiques de ces dernières semaines, des documents internes non signalés tels que les journaux de discussion montrent que Cruise était au courant en interne de deux problèmes de sécurité urgents : les voitures de croisière sans conducteur avaient du mal à détecter de grands trous sur la route et ont tellement de mal à reconnaître les enfants dans certains scénarios où ils risquaient de les heurter . Pourtant, jusqu'à ce qu'il soit critiqué ce mois-ci, Cruise a maintenu sa flotte de taxis sans conducteur active, continuant à assurer régulièrement une sécurité surhumaine.
« Les documents internes [de Cruise] attribuent l'incapacité des voitures robotisées à reconnaître de manière fiable les enfants dans certaines conditions à un logiciel et à des tests inadéquats. « Nous sommes peu exposés aux petits VRU » – les usagers vulnérables de la route, une référence aux enfants – « donc très peu d'événements pour lesquels estimer les risques », indiquent les documents. Une autre section concède que les véhicules Cruise « ne disposent pas d'un classificateur Small VRU de haute précision » ou d'un logiciel d'apprentissage automatique qui détecterait automatiquement les objets en forme d'enfant autour de la voiture et manœuvrerait en conséquence. Les documents indiquent que Cruise, dans le but de compenser les lacunes de l'apprentissage automatique, s'appuyait sur des travailleurs humains en coulisses pour identifier manuellement les enfants rencontrés par les AV alors que son logiciel ne pouvait pas le faire automatiquement.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/techno-hell-roundup-ai-driven-cars-sometimes-mow-down-children-artificial-intelligence-handed-keys-nuclear-codes/5839524
L’effondrement des énergies renouvelables se propage : des pannes de courant après un avertissement de « continuité d’exploitation »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 13:45
Les actions de Plug Power, une société spécialisée dans l'hydrogène et l'énergie des piles à combustible, ont chuté de 30 % lors des échanges avant commercialisation à New York. Cette forte baisse fait suite à la publication jeudi soir du rapport sur les résultats du troisième trimestre de l'entreprise, qui faisait état de « défis d'approvisionnement sans précédent dans le réseau d'hydrogène en Amérique du Nord ».
Plug Power a déclaré des pertes de 283,5 millions de dollars au troisième trimestre, soit 47 cents par action, en hausse par rapport à une perte de 170,8 millions de dollars, ou 30 cents par action, au même trimestre il y a un an. Le chiffre d'affaires de la société a augmenté à 199 millions de dollars contre 189 millions de dollars un an plus tôt et a légèrement dépassé l'estimation du consensus Bloomberg de 200,2 millions de dollars.
Voici un aperçu du trimestre :
Revenu net de 198,7 millions de dollars, +5,3 % sur un an, estimation de 200,2 millions de dollars (Consensus Bloomberg)
Ventes de systèmes de piles à combustible, d'infrastructures et d'équipements associés 145,1 millions de dollars, -8,1 % sur un an, estimation de 172,6 millions de dollars
Ventes de services effectués sur les systèmes de piles à combustible et les infrastructures associées 9,29 millions de dollars, + 11 % sur un an, estimation 10,2 millions de dollars
Ventes issues des contrats d'achat d'électricité 20,1 millions de dollars contre 9,52 millions de dollars sur un an, estimation 14,7 millions de dollars
Ventes de carburant livré aux clients et d'équipements associés 19,4 millions de dollars, + 56 % sur un an, estimation 19 millions de dollars
Autres revenus 4,85 millions de dollars contre 0,32 million de dollars sur un an, estimation 0,56 million de dollars
Perte par action 47c contre perte/shr 30c a/a, estimation perte/shr 30c
Marge brute -69%, estimation -15,1%
Trésorerie et équivalents de trésorerie 110,8 millions de dollars, -94 % sur un an, estimation 523,1 millions de dollars
Sous le choc, Plug Power a déclaré que les performances de cette année « ont été affectées négativement par des défis d'approvisionnement sans précédent dans le réseau d'hydrogène en Amérique du Nord ». Il a imputé une « grave pénurie d'hydrogène » qui a « affecté négativement le coût direct du service ainsi que le calendrier de mise en œuvre des mises à niveau de la flotte dans les équipements exploités par les clients ». Et a déclaré que les impacts négatifs étaient aggravés par « l’inflation ».
RépondreSupprimer"Nous pensons que ce défi d'approvisionnement en hydrogène est un problème transitoire, d'autant plus que nous prévoyons que nos installations de Géorgie et du Tennessee produiront à pleine capacité d'ici la fin de l'année", a-t-il ajouté.
Bien que les problèmes de chaîne d'approvisionnement soient une chose pour Plug Power, la société a averti que les liquidités existantes, les titres disponibles pour les titres et les titres de participation ne seraient pas suffisants pour financer les opérations au cours des 12 prochains mois. "Ces conditions et événements soulèvent des doutes substantiels quant à la capacité de l'entreprise à poursuivre ses activités", ajoute-t-il.
Chris Dendrinos, analyste de RBC Marchés des Capitaux, estime que Plug Power aurait besoin de plus de 750 millions de dollars pour accroître ses liquidités au cours des 12 prochains mois.
"La direction de [Plug] a exprimé sa confiance dans l'exécution d'une transaction de liquidité à court terme et continue de voir une voie d'amélioration de la marge au cours de l'année prochaine. Cependant, à l'heure actuelle, nous pensons qu'il est prudent de rester sur la touche et d'attendre l'exécution de ces événements. " Dendrinos a écrit dans une note.
L'analyste de KeyBanc, Sangita Jain, a averti qu'un prêt potentiel de 1,5 milliard de dollars du ministère de l'Énergie destiné à atténuer les problèmes de liquidité à court terme pourrait devoir être approuvé plus rapidement.
Outre l’effondrement du secteur de l’hydrogène, nous avons fait comprendre aux lecteurs que le secteur des énergies renouvelables du président Biden est en pleine crise. L’inflation, les taux d’intérêt élevés et la baisse de la demande ont fait chuter les stocks d’énergie éolienne et solaire ces dernières semaines.
Il est peut-être temps pour l’administration Biden de lancer des plans de sauvetage « verts ».
https://www.zerohedge.com/commodities/renewable-energy-meltdown-spreads-plug-power-crashes-after-going-concern-warning
Le gouvernement allemand accepte de renflouer un parc éolien géant déficitaire et le Royaume-Uni augmente ses subventions
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 NOVEMBRE 2023 - 08h45
Reuters rapporte que le gouvernement allemand, Siemens AG et d'autres parties fourniront des milliards d'euros de garanties liées au projet pour soutenir la division éolienne en difficulté de Siemens AG. Cette aide financière intervient quelques semaines seulement après que l’entreprise a mis en garde contre des pertes croissantes dans un contexte d’effondrement des industries éolienne et solaire.
Trois personnes proches des négociations ont déclaré que le principal actionnaire de Siemens Energy, Siemens AG, avec une participation de 25,1%, était prêt à fournir certaines garanties. Les détails sont encore rares et rien n’a été décidé, car un accord doit être formellement rédigé et soutenu par toutes les parties prenantes.
Le mois dernier, Reuters a déclaré que Siemens Energy discutait des garanties d'État avec le gouvernement allemand.
En savoir plus sur le rapport :
En conséquence, Siemens Energy craint d'avoir du mal à obtenir des garanties auprès des banques et a contacté le gouvernement et Siemens pour obtenir un cadre de garantie, a indiqué l'hebdomadaire économique WirtschaftsWoche.
L'hebdomadaire, qui a été le premier à rendre compte des négociations avec le magazine Spiegel, indique que Siemens Energy demande jusqu'à 15 milliards d'euros de garanties.
L'État allemand assumerait 80 % d'une tranche initiale de financement de 10 milliards d'euros, tandis que les banques seraient responsables des 20 % restants, a indiqué la WirtschaftsWoche.
Un porte-parole de Siemens AG a déclaré que l'entreprise restait en "discussions très constructives pour définir la meilleure solution possible dans l'intérêt de toutes les parties impliquées".
Les actions de Siemens Energy en Allemagne se sont effondrées de plus de 70 % depuis la mi-juin, le groupe ayant abandonné ses perspectives de bénéfices pour 2023 après qu'un examen de son unité éolienne a révélé un problème d'un milliard d'euros. Les actions ont augmenté de 5% selon le rapport de Reuters publié aujourd'hui.
- voir sur site -
Pendant ce temps, une crise financière continue de s'accélérer dans l'industrie éolienne, le plus grand développeur de parcs éoliens offshore au monde, Ørsted, se retirant de grands projets américains en raison de la flambée des coûts de l'inflation et d'un environnement de taux élevés. Et l’effondrement des énergies renouvelables dans le secteur éolien s’est étendu au solaire, alors que les actions de plusieurs sociétés d’énergie solaire se sont effondrées en raison de la baisse de la demande.
RépondreSupprimerAinsi, juste après le sauvetage de Siemens par l'Allemagne, Bloomberg rapporte que le gouvernement britannique se prépare à offrir des subventions nettement plus élevées pour les nouveaux parcs éoliens offshore afin de remettre sur les rails la stratégie d'énergie propre du pays après que les développeurs ont évité une précédente vente aux enchères, parce que le prix était trop bas pour que l’éolien offshore soit viable.
Le danois Orsted A/S, le plus grand constructeur éolien offshore au monde, décidera d’ici décembre s’il souhaite poursuivre un développement au Royaume-Uni, tandis que le suédois Vattenfall AB a abandonné un projet géant au large des côtes anglaises plus tôt cette année en réponse à la flambée des coûts.
Même si l’augmentation des subventions lors du prochain cycle d’enchères, connu sous le nom d’AR6, pourrait bien redynamiser le développement de l’énergie éolienne offshore, elle se traduira probablement par une augmentation des coûts de l’électricité pour les consommateurs encore accablés par des factures exorbitantes à la suite de la crise énergétique de l’année dernière.
La transition énergétique vers les énergies renouvelables dans le monde occidental est en train de se fissurer. Rappelez-vous que la loi sur la réduction de l’inflation de l’administration Biden visait avant tout l’énergie éolienne « durable »… Il est temps d’effectuer un autre plan de sauvetage ?
https://www.zerohedge.com/commodities/german-govt-agrees-provisional-siemens-energy-guarantees-amid-wind-crisis