- ENTREE de SECOURS -



mercredi 31 mai 2023

VIDÉO – Témoignage du Dr Martin au Parlement européen

 

58 commentaires:

  1. Rappel qu'un poison (poussière appelée 'virus') ne mute pas mais empoisonne des bactéries en laboratoires (qui s'appelleront donc microbes). Ce sont donc des bactéries modifiées qui se modifient d'elles-mêmes et, par injection, vont modifier l'organisme humain récepteur. L'attaque peut être très rapide (quelques heures ou jours) ou peut être moins rapide (plusieurs semaines, mois, voire années). Ces inoculations létales vont ôter toutes immunité à la victime piquée et seront donc passibles d'attraper n'importe quelle maladie même bénine et d'en développer de plus grandes !

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  2. France : retour sur le coronavirus, il y aura des grincements de dents


    le 31 mai 2023


    J’avais décidé compte tenu de la disparition de l’épidémie de SARS-CoV-2 (on écrit aussi SRAS-CoV-2) de me désintéresser de ce virus. Il se trouve que j’ai envoyé un fax hier 29 mai 2023 au Professeur émérite ( puisqu’il est maintenant retraité) Didier Raoult pour lui soumettre une hypothèse personnelle au sujet des effets sur le long terme de l’infection par ce virus. Très exactement le même jour Didier Raoult acceptait de fournir des précisions au sujet du manuscrit paru dans la revue

    MedRxiv https://doi.org/10.1101/2023.04.03.23287649 (voir les liens ci-après) résumant et analysant toutes les données médicales relatives aux quelques 30000 patients soignés au sein de l’IHU de Marseille. Tous les dossiers médicaux ont été scrupuleusement analysés par une équipe d’huissiers assermentés, un travail de bénédictins, ainsi que toutes les études réalisées au cours de l’épidémie et ayant fait l’objet de publications au sujet de ce virus par le personnel de l’IHU, près de 300 publications. Cette conséquente équipe d’huissiers de justice n’a détecté aucune fraude et laissé un rapport plus que satisfaisant.

    Ce type de précaution est tout à fait inhabituel mais il rend cette publication inattaquable et elle est lourde de conséquences comme diverses interventions vidéo l’ont montré et citées en lien. L’enjeu de cette publication est de démontrer qu’il y a eu fraude de la part des autorités politiques françaises pour appuyer la commercialisation des pseudo-vaccins à ARN messager par Moderna et Pfizer (et j’en oublie) qui avaient reçu un agrément temporaire de mise sur le marché, dans l’urgence, car il n’existait aucun traitement pour combattre l’infection par ce virus. La publication de l’IHU prouve avec une remarquable clarté le contraire. Or s’il existe un traitement la commercialisation d’un tel “vaccin” encore au stade expérimental et même pas en phase 3 du processus de validation du produit constitue une faute grave sur les plans éthique et déontologique. Dès les premiers résultats concluants obtenus avec le traitement précoce associant hydroxychloroquine et azithromycine, la prescription de l’hydroxychloroquine a été interdite en France et d’autres pays occidentaux.

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  3. En France le gouvernement était “en guerre” contre le virus et un comité scientifique fut créé afin de mettre au point des directives pour combattre le virus. Couverte par “le secret défense” toute délibération de ce comité scientifique gouvernemental est restée secrète, une disposition inhabituelle de gouvernance. Les médias de grand chemin ont fait le reste pour faire passer la pilule si on ose cette expression ici du “prenez du paracétamol et si vous commencez à avoir de la peine à respirer appelez les pompiers qui vous convoieront à l’hôpital le plus proche pour y mourir”. C’était ce que ce conseil scientifique préconisait. Dans les maisons de retraite médicalisées ce fut plus expéditif : test PCR positif = traitement avec du Rivotril et mort assurée dès la première injection, résultat 5000 morts en France. Puis les “vieux” ont été soumis au “vaccin” sans discernement alors qu’on ignorait encore les effets secondaires de cette saloperie fait pour tuer plutôt que prévenir.

    Voilà en résumé le scenario qu’adopta le gouvernement français et la publication de l’IHU lève de coin du voile qui dissimulait tous les agissements criminels du gouvernement français sous l’entière responsabilité du président de la République lui-même. On se trouve donc devant un cas de meurtre en bande organisée pour tuer délibérément le maximum de personnes tout en favorisant la généralisation des “vaccins”.

    La section VIP de la prison de la Santé à Paris, dont le nom est adapté à la situation présente, ne suffira pas pour répondre aux conséquences d’un procès de tous les coupables de ce meurtre de masse car il faut que tous ces criminels soient jugés. Afin que procès il y ait la seule solution est d’organiser une “class-action” réunissant toutes les familles ayant perdu un proche, que des avocats courageux et prêts à affronter les décideurs politiques, les supposés conseillers scientifiques, les grands groupes médiatiques ainsi qu’un certain nombre de journalistes ayant organisé sciemment la propagande promouvant la “vaccination”, le ministère de l’intérieur, et bien d’autres institutions de l’Etat dont le premier ministre. Une telle action judiciaire sera utile pour enfin clarifier la position ambiguë du chef de l’Etat et par exemple quel le montant du pot-de-vin versé par Pfizer, pour ne citer que cette entreprise, pour rendre obligatoire cette pseudo-vaccination, avec les QR-codes, l’exclusion de personnels hospitaliers et d’autres personnels comme les pompiers, un scandale d’Etat en lui-même.

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  4. Une telle action en justice réveillera l’apathie de tous les Européens qui ont participé au gonflement extravagant du chiffre d’affaire de Pfizer dont le montant a atteint 93 milliards de dollars avec un retour sur investissements de 20/1. Combien l’Europe a dépensé d’euros pour ces “vaccins” et quels sont les termes du contrat liant Pfizer et l’Union européenne ? Le meilleur moyen de le savoir est d’organiser un méga-procès en France qui sera perçu comme une menace pour la Présidente de la Commission européenne car de nombreux autres pays européens iront également dans le même sens que la France. Pour conclure ce billet si de nombreuses personnes se sentent menacées aujourd’hui par l’excellent article de l’IHU de Marseille, ils ont donc quelque chose à se reprocher et ils jettent opprobre sur le Professeur Raoult et deviennent agressifs, une réaction qui dénonce leur culpabilité. Le reportage de la télévision d’Etat “Complément d’Enquête” commandé par l’Elysée puisqu’il s’agit d’un service public dénonce également les agissements pas très nets du chef de l’Etat.

    Tout cela va se terminer à la case prison sans remises de peine, sans aménagements de celle-ci car ce sera une excellente occasion pour la justice de retrouver son indépendance vis-à-vis du pouvoir, une collusion que a fait de la France une république bananière … Liens récents :

    Asselineau et Raoult

    - voir clip sur site -

    Didier Raoult sur France-Soir

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/hydroxychloroquine-traitement-efficace-covid-sabote-raoult

    Christian Perronne

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/reaction-pr-christian-perronne-cabale-raoult

    Docteur Véronique Rogez, soutien de Raoult

    https://www.francesoir.fr/videos-videos-ne-pas-manquer/soutiens-pour-le-professeur-raoult-et-ihu-Marseille

    J.-D. Michel, soutien de Raoult

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-on-a-laisse-mourir-par-privation

    Martine Wonner, la liberté de prescrire

    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/martine-wonner-cest-la-premiere-fois-a-ce-point-chasse-aux-sorcieres

    Et aussi Raoult et son « Autobiographie »

    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/cette-liberte-de-ne-pas-obeir-est-une-chance-considerable-didier

    Surtout l’objet de l’attaque en règle contre le Professeur émérite Didier Raoult : https://doi.org/10.1101/2023.04.03.23287649

    Petite note d’autosatisfaction. Mon blog contient une grande quantité d’articles relatifs au SARS-CoV-2 car ma formation universitaire me permet de comprendre dans leurs détails les publications relatives à ce sujet qu’il s’agisse des tests PCR, technique que je connais bien pour l’avoir pratiquée ou les tests immunologiques pour avoir utilisé des techniques comme les radio-immunoessais et les ELISA. Mais également les séquences d’ARN et la structure tridimensionnelle des protéines et les effets des mutations sur ces dernières. Avec l’éclosion du scandale relatif aux traitements précoces très efficaces (vous devez chers lecteurs qui comprenez l’anglais lire l’article cité dans cet article) bannis en France par le gouvernement, leur existence même rendant caduque et condamnable toute l’entreprise frauduleuse des laboratoires pharmaceutiques pour obtenir satisfaction.

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  5. Jamais ces pseudo-vaccins n’auraient dus être autorisés puisqu’il existait un traitement efficace. Les articles de mon blog sont tout d’un coup repris par une multitude de site francophones mais qu’importe, j’ai fait mon devoir d’information avec objectivité. Je citerai un seul exemple : la publication qui démontrait sans ambiguïté que le SARS-CoV-2 avait été manipulé en laboratoire pour insérer un site de clivage de la protéine de la spicule, l’intervention était à l’évidence artificielle puisque le triplet de bases codant pour l’arginine n’était jamais rencontrés chez les coronavirus de quelque origine que ce soit qui plus est parmi les 6 codons de l’arginine ! Il s’agit de l’empreinte digitale de l’intervention humaine pour obtenir un gain de fonction. Cet article a été signalé par le Docteur Alexandra Henrion-Caude que j’ai analysé sur ce blog. L’utilisation de la technique PCR comme diagnostic a également été dénoncée sur ce blog car elle utilise un nombre extravagant de cycles d’amplification. Combien d’euros a coûté ce test à la France très peu fiable ? Personne n’en parle et il faudra que ce scandale d’un montant d’au moins 4 ou 5 milliards d’euros devra un jour ou l’autre être éclairci, etc …

    Addendum de dernière minute : un des commentateurs de ce blog m’a signalé une présentation du Docteur David Martin devant le Parlement européen le 9 mai 2023 (https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4/International-Covid-Sumit-Iii-Dr-Martin-Wlt–1:3 ethttps://infodujour.fr/sciences/69325-covid-19-cetait-bien-du-bioterrorisme ainsi que la présentation du Dr Martin lors d’un séminaire organisé par le Dr Reiner Fuellmish en 2021 :https://infodujour.fr/wp-content/uploads/2023/05/129591787.pdf ). Je savais que l’ancêtre direct du SARS-CoV-2 avait été modifié par insertion d’un site de clivage entre les deux sous-unités de la protéine de spicule pour obtenir un gain de fonction mais j’ignorais que de telles recherches avaient débuté il y a plus de 50 ans par une approche paraissant archaïque aujourd’hui consistant à “passer” le virus d’un animal à un autre pour qu’il devienne infectieux pour l’homme, un peu comme le passage du SARS-CoV-2 chez les visons qui produisit un mutant très pathogène. L’hypothèse de la dissémination intentionnelle dans la ville de Wuhan lors des jeux olympiques militaires qui s’y déroulaient à ce moment précis servit de vecteur pour la dissémination dans le monde entier par les athlètes qui rentraient dans leur pays. J’ai aussi décrit cette chronologie la plus vraisemblable sur ce blog et le choix de cette ville fut décidé par les américains pour accuser la Chine !

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/31/france-retour-sur-le-coronavirus-il-y-aura-des-grincements-de-dents/

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  6. La technologie d'édition de gènes utilisée pour produire un veau résistant à des maladies


    31 Mai 2023
    AGDAILY Reporters*


    Des scientifiques ont collaboré pour produire le premier veau génétiquement édité résistant au virus de la diarrhée virale bovine, une maladie qui coûte chaque année des milliards de dollars au secteur bovin américain.

    Mais ne vous inquiétez pas : le bœuf génétiquement édité n'arrivera pas de sitôt sur les étals, car cette caractéristique prometteuse en est encore au stade de la recherche.

    Les scientifiques ont d'abord testé cette idée en culture cellulaire. Après avoir obtenu des résultats prometteurs en laboratoire, les scientifiques d'Acceligen ont modifié des cellules de peau de bovins pour produire des embryons porteurs du gène modifié. Ces embryons ont été transplantés dans des vaches porteuses afin de vérifier si cette approche pouvait réduire l'infection virale chez les animaux vivants.

    Au cours des 20 dernières années, la communauté scientifique a découvert le principal récepteur cellulaire (CD46) et la zone où le virus se lie à ce récepteur, provoquant l'infection chez les vaches. Dans cette étude récente, les scientifiques ont modifié le site de liaison du virus pour bloquer l'infection.

    Cela a fonctionné. Le premier veau au gène CD46 édité, Ginger, est né en bonne santé le 19 juillet 2021. Le veau a été observé pendant plusieurs mois, puis soumis à un test de dépistage du virus pour déterminer s'il pouvait être infecté. Elle a été hébergée pendant une semaine avec un veau laitier né infecté par le BVDV et excrétant le virus. Les cellules de Ginger ont montré une sensibilité significativement réduite au BVDV, ce qui n'a entraîné aucun effet néfaste observable sur la santé.

    Les scientifiques continueront à observer de près la santé de Ginger et sa capacité à produire et à élever ses veaux.

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  7. M. Aspen Workman, auteur principal de l'étude et chercheur au U.S. Meat Animal Research Center à Clay Center (Nebraska), a déclaré : « Notre objectif était d'utiliser la technologie de l'édition génétique pour modifier légèrement le gène CD46 afin qu'il ne se lie pas au virus tout en conservant toutes ses fonctions bovines normales. »

    La récente étude publiée dans PNAS Nexus est le fruit d'une collaboration entre le Service de Recherche Agricole de l'USDA, l'Université de Nebraska-Lincoln, l'Université du Kentucky et les partenaires industriels Acceligen et Recombinetics, Inc.

    Pourquoi est-il important de s'attaquer au virus BVDV ?

    Le BVDV est l'un des virus les plus importants pour la santé et le bien-être du bétail dans le monde entier, et les chercheurs l'étudient depuis les années 1940, lorsqu'il a été identifié pour la première fois.

    Ce virus n'affecte pas l'homme, mais il est très contagieux chez les bovins et peut provoquer de graves maladies respiratoires et intestinales. En particulier, le BVDV peut être désastreux pour les vaches gestantes car il peut infecter les veaux en développement, provoquant des avortements spontanés et de faibles taux de natalité.

    Certains veaux infectés survivent jusqu'à la naissance et restent infectés toute leur vie, transmettant des quantités massives de virus à d'autres bovins. Malgré la disponibilité de vaccins depuis plus de 50 ans, la lutte contre le BVDV reste un problème car les vaccins ne sont pas toujours efficaces pour stopper la transmission.

    Cette étude de validation du principe démontre la possibilité de réduire, grâce à l'édition de gènes, le fardeau des maladies associées au BVDV chez les bovins. Le veau modifié représente également une autre possibilité de réduire le besoin d'antibiotiques dans l'agriculture, car l'infection par le BVDV expose les veaux à des risques de maladies bactériennes secondaires.
    _____________

    * Source : Gene-editing technology used to produce disease-resistant calf | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2023/05/la-technologie-d-edition-de-genes-utilisee-pour-produire-un-veau-resistant-a-des-maladies.html

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  8. Qu'est-ce que COVID-19, SARS-CoV-2 : comment est-il testé ? Comment est-il mesuré ?

    Chapitre III de l'eBook, The Worldwide Corona Crisis: Global Coup d'Etat Against Humanity


    Par le Pr Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale, 31 mai 2023


    Cette crise touche l'humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant.

    Le texte suivant est le chapitre III de :

    La crise mondiale du coronavirus, coup d'État mondial contre l'humanité
    de Michel Chossudovsky

    ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 Chapitres

    Prix ​​: 11,50 $Obtenez le vôtre GRATUITEMENT ! Cliquez ici pour télécharger .

    Faites défiler vers le bas pour plus de détails au bas de l'article

    * * *

    « Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. – Le Dr Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

    "... La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourraient être dus à ce qu'on appelle des tests de faux positifs ." – Dr. Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

    "Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, ... sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de RT positifs -Des tests PCR, et non sur un nombre réel de patients . – Dr Pascal Sacré , médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.

    «J'ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès de Covid en réétiquetant les patients atteints de cancer et les victimes d'accidents vasculaires cérébraux et toutes sortes de décès réguliers normaux comme Covid, en fait pratiquement quiconque monte dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour le faire étaient totalement défectueuses, les tests PCR par exemple étant exécutés sur 45 cycles que nous savons tous être sans valeur, mais les gens sont euthanasiés sur cette base et parfois uniquement sur la base d'une radiographie pulmonaire seule. – John O'Looney, directeur funéraire, Milton Keynes, Royaume-Uni

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  9. Introduction

    Les mensonges médiatiques associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue ont entretenu l'image d'un virus tueur qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.

    Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et retestées) pour le COVID-19.

    Au moment de la rédaction de cet article, plus de 500 millions de personnes dans le monde ont été classées dans la catégorie « cas confirmés de COVID-19 » (« cas cumulés »).

    La pandémie présumée aurait entraîné plus de 5,8 millions de décès liés au COVID-19.

    Les deux ensembles de chiffres - morbidité et mortalité - ne sont pas valides. Un appareil de test COVID très organisé (dont une partie est financée par les fondations milliardaires) a été mis en place dans le but de faire grimper le nombre de " cas confirmés COVID-19 " , qui servent ensuite de justification pour imposer le "vaccin". passeport assortie de l'abrogation des droits fondamentaux de l'homme.

    Depuis le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure soutenues et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies » étaient basées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et non valides.

    Ces "estimations" COVID-19 invalides ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque facial, l'interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l'activité économique, ainsi que l'application de l'ARNm " vaccin » lancé en novembre 2020.

    Il n'existe pas de « cas confirmé de COVID-19 » . Fermement reconnu tant par l'opinion scientifique que par l'Organisation mondiale de la santé, le test RT-PCR utilisé pour "détecter" la propagation du virus (ainsi que ses variantes) est non seulement défectueux mais TOTALEMENT INVALIDE.

    La campagne de peur est menée sans relâche par des déclarations politiques et la désinformation des médias. Un examen plus approfondi des rapports officiels des autorités sanitaires nationales ainsi que des articles évalués par des pairs donne une image totalement différente.

    Dans ce chapitre, nous nous concentrerons sur les questions suivantes :

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  10. 1. Les caractéristiques du virus SARS-CoV-2 telles que décrites par l'OMS, les CDC et les rapports évalués par des pairs. Est-ce un virus dangereux ?

    2. Le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse ( RT-PCR) utilisé pour « détecter/identifier » le SRAS-CoV-2.

    3. La fiabilité des estimations de la mortalité et de la morbidité relatives à l'infection présumée au COVID-19.

    Cliquez ici pour télécharger l'eBook complet .

    *

    Les caractéristiques du SRAS-CoV-2
    Mensonges par omission : les médias n'ont pas réussi à rassurer le grand public.

    Vous trouverez ci-dessous la définition officielle de l'OMS du COVID-19 suivie de celle du CDC :

    Les coronavirus sont une grande famille de virus qui peuvent provoquer des maladies chez les animaux ou les humains. Chez l'homme, plusieurs coronavirus sont connus pour provoquer des infections respiratoires allant du simple rhume à des maladies plus graves telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le coronavirus le plus récemment découvert provoque la maladie à coronavirus COVID-19.

    « Les symptômes les plus courants du COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte le COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. 1

    Similaire à la grippe selon le CDC
    COVID-19 versus Influenza (Flu) Virus A et Virus B (et sous-types)

    Rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que le COVID-19 est similaire à la grippe :

    « La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . Le COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe . Étant donné que certains des symptômes de la grippe et du COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et le COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. » 2

    Si le public avait été informé et rassuré que le COVID est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat.

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  11. Le confinement et la fermeture de l'économie nationale auraient été carrément rejetés.

    Selon le Dr Wolfgang Wodarg , la pneumonie est « régulièrement causée ou accompagnée de coronavirus ». 3

    Les immunologistes confirment largement la définition du CDC. Le COVID-19 présente des caractéristiques similaires à une grippe saisonnière couplée à une pneumonie.

    Selon Anthony Fauci (chef du NIAID), H. Clifford Lane et Robert R. Redfield (chef du CDC) dans le New England Journal of Medicine :

    "... les conséquences cliniques globales de Covid-19 pourraient finalement s'apparenter davantage à celles d'une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d'environ 0,1 % ) ou d'une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968) plutôt qu'à une maladie similaire au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10% et 36%, respectivement. 4

    Comme c'est pratique: L'article ci-dessus a été publié pour la première fois dans le NEJM le 26 mars 2020, exactement dix jours après la déclaration d'une urgence nationale par le président Trump le 16 mars 2020. Si ce texte faisant autorité avait été porté à l'attention de le public américain, le mandat de verrouillage serait tombé à plat.

    Le Dr Anthony Fauci se ment à lui-même. Dans ses déclarations publiques, il affirme que le COVID est « dix fois pire que la grippe saisonnière ». 5

    Il réfute son rapport révisé par des pairs cité ci-dessus. Dès le départ, Fauci a contribué à mener une campagne de peur et de panique à travers l'Amérique. 6

    Le test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)
    La méthodologie oblique appliquée sous la direction de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR ) , qui est appliqué de manière routinière dans le monde entier depuis février 2020.

    Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l'illusion que la prétendue pandémie est réelle.

    Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des deux dernières années et demie pour mener et soutenir la campagne de peur.

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  12. Et les gens sont désormais amenés à croire que le « vaccin » COVID-19 est la « solution ». Et cette « normalité » sera rétablie une fois que toute la population de la planète Terre aura été vaccinée.

    "Confirmé" est un abus de langage. Un "cas confirmé positif à la RT-PCR" n'implique pas un "cas confirmé COVID-19".

    Une RT-PCR positive n'est pas synonyme de la maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu'un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l'état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité]. ( Dr Pascal Sacré ) 7

    La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à catégoriser tous les cas positifs à la RT-PCR comme « cas confirmés COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus de routine d'identification des « cas confirmés » est en dérogation des propres directives du CDC :

    "La détection de l'ARN viral peut ne pas indiquer la présence d'un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l'agent causal des symptômes cliniques. La performance de ce test n'a pas été établie pour le suivi du traitement de l'infection par le 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d'autres agents pathogènes bactériens ou viraux. 8 (nous soulignons)

    La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est erronée et invalide.

    Faux positifs
    Le débat antérieur au début de la crise s'est concentré sur la question des « faux positifs ».

    Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs . Selon le Dr Pascal Sacré :

    "Aujourd'hui, alors que les autorités testent plus de personnes, il y aura forcément plus de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 revient, ou que l'épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de personnes testées, c'est tout. 9

    Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe vers de soi-disant erreurs sans nécessairement remettre en cause la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détection de la propagation présumée du virus SARS-CoV-2.

    - voir cadre sur site -

    Le test PCR ne détecte pas l'identité du virus

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  13. Le test RT-PCR n'identifie/détecte pas le virus. Ce que le test PCR identifie, ce sont des fragments génétiques de nombreux virus (dont les virus grippaux de types A et B et les coronavirus qui déclenchent les rhumes).

    Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas "confirmer" si une personne qui entreprend le test est infectée par le SARS-CoV-2.

    Le diagramme suivant résume le processus d'identification des cas positifs et négatifs. Il suffit de la présence de « matériel génétique viral » pour qu'il soit catégorisé comme « positif ». La procédure ne permet pas d'identifier ou d'isoler le COVID-19. Ce qui apparaît dans les tests, ce sont des fragments du virus. dix

    - voir doc sur site -

    Source : Fonds du Commonwealth

    Un test positif ne signifie pas que vous avez le virus et/ou que vous pourriez transmettre le virus.
    Selon le Dr Kary Mullis , inventeur de la technique PCR,

    "La PCR détecte un très petit segment de l'acide nucléique qui fait partie d'un virus lui-même."

    Selon le célèbre immunologiste suisse Dr. B. Stadler :

    Donc si on fait un test PCR corona sur une personne immunisée, ce n'est pas un virus qui est détecté , mais une petite partie éclatée du génome viral. Le test revient positif tant qu'il reste de minuscules parties brisées du virus. Même si les viri infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie même une infime fraction du matériel génétique viral suffisamment [pour être détectée]. 11

    Le Dr Pascal Sacré est d'accord : « Ces tests détectent les particules virales, les séquences génétiques, et non le virus entier. 12

    "Pour tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois à travers de nombreuses étapes complexes sujettes à des erreurs, des erreurs de stérilité et des contaminations."

    Le « test » RT-PCR COVID-19 « personnalisé » de l'OMS
    Deux questions importantes et liées.

    Le test PCR n'identifie pas le virus comme indiqué ci-dessus. De plus, l'OMS en janvier 2020 ne possédait pas d'isolat et d'échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCoV.

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  14. Ce qui était envisagé en janvier 2020 était une "personnalisation" du test PCR par l'OMS, sous la direction scientifique de l' Institut de virologie de Berlin à l'hôpital de la Charité.

    Le Dr Christian Drosten et ses collègues de l'Institut de virologie de Berlin ont entrepris une étude intitulée "Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel" . 13

    - voir cadre sur site -

    Capture d'écran d' Eurosurveillance

    Le titre de l'étude de l'Institut de virologie de Berlin est un abus de langage évident. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus 2019. (Voir Dr Kary Mullis, Dr B. Stadler, Dr Pascal Sacré cités ci-dessus).

    Par ailleurs, l'étude publiée par Eurosurveillance reconnaît que l'OMS ne possédait pas d'isolat et d'échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCoV :

    [Alors que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été diffusées,… des isolats ou des échantillons de virus [de 2019-nCoV] provenant de patients infectés n'étaient pas disponibles… » 14

    Le Drosten, et al. L'équipe a alors recommandé à l'OMS qu'en l'absence d'un isolat du virus 2019-nCoV , un SARS-CoV 2003 similaire soit utilisé comme « proxy » (point de référence) du nouveau virus :

    "Les séquences du génome suggèrent la présence d'un virus étroitement lié aux membres d' une espèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l'agent de l'épidémie de SRAS de 2002/03 chez l'homme [ 3 , 4 ].

    Nous rapportons la mise en place et la validation d'un flux de travail de diagnostic pour le dépistage du 2019-nCoV et la confirmation spécifique [à l'aide du test RT-PCR], conçu en l'absence d'isolats de virus disponibles ou d'échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par la parenté génétique étroite avec le SARS-CoV de 2003 , et aidées par l'utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. ( Eurosurveillance, 23 janvier 2020, nous soulignons). 15

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  15. Ce que cette déclaration ambiguë suggère, c'est que l'identité du 2019-nCoV n'était pas requise et que les "cas confirmés de COVID-19" (c'est-à-dire l'infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par "la parenté génétique étroite avec le SARS-CoV de 2003". .”

    Cela signifie qu'un coronavirus détecté il y a 19 ans (2003 SARS-CoV) est utilisé pour "valider" l'identité d'un soi-disant "nouveau coronavirus " détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei fin décembre 2019.

    Les recommandations de l'étude Drosten (généreusement soutenue et financée par la Fondation Gates ) ont ensuite été transmises à l'OMS. Ils ont ensuite été approuvés par le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.

    L'OMS n'avait pas en sa possession « l' isolat de virus » nécessaire à l'identification du virus. Il a été décidé qu'un isolat du nouveau coronavirus n'était pas nécessaire.

    Le Drosten, et al. article relatif à l'utilisation du test RT-PCR dans le monde (sous la direction de l'OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020 par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et al.

    Il va de soi que si le test PCR utilise le virus SARS-CoV 2003 comme "point de référence", il ne peut y avoir aucun cas "confirmé" de COVID-19 du nouveau virus 2019-nCoV (rebaptisé par la suite SARS-CoV-2 ) ou de ses variantes.

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    L'identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ?
    Bien que l'OMS ne possédait pas d'isolat du virus, existe-t-il des preuves valables et fiables que le nouveau coronavirus de 2019 a été isolé à partir d'un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ? 16

    Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu'"un nouveau type de virus" avait été "identifié" " semblable à celui associé au SRAS et au MERS " (rapport connexe, source non originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente adoptée par l'équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous :

    Nous avons collecté et analysé de manière prospective des données sur des patients atteints d'une infection au 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de nouvelle génération.

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  16. Les données ont été obtenues à l'aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l'OMS et le Consortium international sur les infections respiratoires aiguës sévères et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. 17 (nous soulignons)

    L'étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d'autres documents consultés ) suggère que les autorités sanitaires chinoises n'ont pas procédé à l'isolement/la purification de l'échantillon d'un patient. L'utilisation de «l'infection 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel» (comme cité dans leur étude) est un abus de langage évident, c'est-à-dire que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus. L'isolement du virus par les autorités chinoises n'est pas confirmé. 18

    Liberté d'information relative à l'isolat de SARS-CoV-2

    Un projet d'enquête détaillé de Christine Massey intitulé Freedom of Information Requests: Health/Science Institutions Worldwide "Have No Record" of SARS-COV-2 Isolation/Purification fournit de la documentation concernant l'identité du virus. Les réponses à ces demandes de 127 entités dans 25 pays confirment qu'il n'y a aucune trace d'isolement/purification du SRAS-CoV-2 "ayant été effectuée par quiconque, n'importe où, jamais". 19

    Les cycles d'amplification de seuil. L'OMS admet que les résultats du "test" RT-PCR sont totalement invalides
    Le test RT-PCR a été adopté par l'OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détection du virus SARS-CoV-2, suivant les recommandations du groupe de recherche Berlin Virology (cité ci-dessus).

    Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l'OMS se rétracte. Ils ne disent pas « nous avons fait une erreur ». La rétractation est soigneusement formulée (voir le document original de l'OMS ici ). 20

    La question litigieuse porte sur le nombre de cycles de seuil d'amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al. :

    Le nombre de cycles d'amplification [devrait être] inférieur à 35 ; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten ) 21

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d'amplification de 35 cycles (Ct) ou plus sont INVALIDES . Mais c'est ce qu'ils recommandaient en janvier 2020, en concertation avec l'équipe de virologie de l'hôpital de la Charité à Berlin.

    Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui était recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant "cas confirmés COVID-19 " compilées dans le monde entier au cours des deux dernières années et demie ne sont pas valides.

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  17. Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, et al., le Ct > 35 a été la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ». 22

    Le mea culpa de l'OMS
    Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l'OMS.

    «Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic pour le SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

    L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu'une personne qui a un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. 23 (nous soulignons)

    "Positifs non valides" est le concept sous-jacent
    Il ne s'agit pas d'un problème de "faibles positifs" et de "risque d'augmentation des faux positifs". Ce qui est en jeu, c'est une "méthodologie défectueuse" qui conduit à des estimations invalides de "cas confirmés de COVID-19".

    Ce que cet aveu de l'OMS confirme, c'est que l'estimation de COVID positif issue d'un test PCR (avec un seuil d'amplification de 35 cycles ou plus) est invalide . Dans ce cas, l'OMS recommande de refaire le test, "un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté..."

    L'OMS appelle à "retester" , ce qui revient à dire "on a merdé".

    Cette recommandation est pro forma. Cela n'arrivera pas. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir de début février 2020.

    Depuis le début, le test PCR a été appliqué en routine à un seuil d'amplification Ct de 35 cycles ou plus. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu'appliquée dans le monde entier a, au cours des deux dernières années et demie, conduit à la compilation d'estimations COVID-19 erronées et trompeuses, qui, selon l'OMS (20 janvier 2021) sont basées sur une méthodologie invalide.

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  18. Et ce sont ces statistiques qui servent à mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-dessus d'un cycle d'amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas les fragments du virus. Par conséquent, les « chiffres COVID » officiels (cas confirmés de COVID-19) n'ont aucun sens .

    Il s'ensuit qu'il n'y a aucune base scientifique pour confirmer l'existence d'une pandémie, ce qui signifie à son tour que les mesures de confinement/économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté de masse et le chômage (prétendument pour freiner la propagation du virus) n'ont aucune justification. quoi que ce soit. Selon l'avis scientifique :

    « Si quelqu'un est testé par PCR comme positif lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que ladite personne soit effectivement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97 %



    3. Le nombre de cycles d'amplification (moins de 35 ; de préférence 25-30 cycles) ;

    En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas en corrélation avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire [examiné en 2] ; si quelqu'un est testé positif par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que ladite personne soit effectivement infectée est inférieure à 3 %, la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97% » (soulignement ajouté) (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al. Critique of Drosten Study ) 24

    Comme indiqué ci-dessus, "la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97 %" , il s'ensuit que l'utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à "augmenter" le nombre de "faux positifs".

    Le mea culpa de l'OMS confirme que la procédure de test PCR COVID-19 telle qu'appliquée n'a aucun sens.

    Le CDC ordonne le retrait du test PCR
    La rétractation historique de l'OMS est suivie six mois plus tard d'un mea culpa de la part du CDC. Le 21 juillet 2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) demandent le retrait du test PCR comme méthode valide de détection et d'identification du SRAS-CoV-2 :

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  19. «Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande à la Food and Drug Administration (FDA ) des États-Unis pour l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) du panneau de diagnostic RT-PCR en temps réel du CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV), le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement.

    En préparation de ce changement, le CDC recommande aux laboratoires cliniques et aux sites de test qui utilisent le test CDC 2019-nCoV RT-PCR de sélectionner et de commencer leur transition vers un autre test COVID-19 autorisé par la FDA.

    Le CDC encourage les laboratoires à envisager l'adoption d'une méthode multiplexée qui peut faciliter la détection et la différenciation des virus du SRAS-CoV-2 et de la grippe. (nous soulignons) 25

    A lire attentivement : ce que cette directive du CDC admet tacitement, c'est que le test PCR ne différencie pas efficacement le "SARS-CoV-2 des virus de la grippe" . Nous le savons depuis le début.

    Depuis le 1er janvier 2022, le CDC a retiré son approbation du test RT-PCR aux États-Unis.

    Si le test PCR est invalide comme l'indiquent à la fois le CDC et l'OMS, plus de 574 millions de soi-disant « cas confirmés de COVID-19 » (juillet 2022) ainsi que plus de 6,3 millions de décès présumés liés au COVID (juillet 2022 ) recueillies et compilées dans le monde entier depuis le début de la prétendue pandémie n'ont aucun sens.

    La falsification des certificats de décès
    Dans la mesure où le test PCR est invalide, il s'ensuit que les estimations de "cas confirmés COVID-19" incluant la détection de variants du SARS-CoV-2 sont totalement invalides. Cela signifie à son tour que la méthodologie relative à l'établissement des décès liés au COVID-19 dans le monde est également invalide.

    Il convient de noter que dans un rapport de décembre 2020, le CDC a signalé que 94 % des décès attribués au COVID ont des « comorbidités » (c'est-à-dire des décès dus à d'autres causes). 26

    Pour six pour cent des décès, le COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès avec des conditions ou des causes autres que la COVID-19, en moyenne, il y avait 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès pour chaque affection ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupes d'âge.

    "Ils écrivent COVID sur tous les certificats de décès", selon Michael Lanza, directeur de pompes funèbres à Staten Island, NY.

    "Les directeurs de pompes funèbres doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie, les chiffres de la peur sont" rembourrés "." ( Projet Veritas ) 27

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  20. De plus, le CDC avait-il utilisé les critères de son manuel des médecins légistes et des coroners sur l'enregistrement des décès et la révision de 2003 des rapports sur les décès fœtaux :

    « … le nombre de décès dus au COVID-19 aurait été inférieur d'environ 90,2 % » (voir H. Ealy, M. McEvoy et et al. , 9 août 2020) 28

    - voir cadre sur site -

    Décès aux États-Unis avec au moins 1 comorbidité. (Source : CDC via IPAK PHPI )

    COVID-19 : La « cause sous-jacente du décès » et la clause « Plus souvent qu'autrement » du CDC
    Si le CDC a reconnu le problème des comorbidités, il a néanmoins édicté des instructions totalement invalides en ce qui concerne les certificats de décès.

    À peine une semaine après le verrouillage historique du 11 mars 2020, des directives spécifiques ont été introduites par le CDC concernant les certificats de décès (et leur tabulation dans le National Vital Statistics System (NVSS)). 29

    Le COVID-19 sera- t-il la cause sous-jacente du décès ? Cette notion est fondamentale. 30
    La cause sous-jacente du décès est définie par l'OMS comme

    « la maladie ou la blessure qui a déclenché la série d'événements menant directement à la mort ».

    Ce que le CDC a recommandé en ce qui concerne le codage statistique et la catégorisation, c'est que le COVID-19 devrait être la cause sous-jacente du décès "le plus souvent".

    Le CDC combine ces deux critères : "cause sous-jacente de décès" et "le plus souvent".

    Le COVID-19 sera-t-il la cause sous-jacente du décès ?

    «La cause sous-jacente dépend de quoi et où les conditions sont signalées sur le certificat de décès. Cependant, les règles de codage et de sélection de la cause sous-jacente du décès devraient faire en sorte que le COVID-19 soit la cause sous-jacente le plus souvent. » 31

    La directive ci-dessus est catégorique.

    Les concepts et les justifications du CDC

    Le certificateur n'est pas autorisé à signaler le coronavirus sans identifier une souche spécifique. Et les lignes directrices recommandent que le COVID-19 soit toujours indiqué.

    - voir cadre sur site -

    Capture d'écran du système national de statistiques de l'état civil

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  21. Le certificateur ne peut pas s'écarter des critères du CDC. Le COVID-19 s'impose. Lisez attentivement les critères du CDC . 32

    Il n'y a pas d'échappatoires.

    Ces directives du CDC ont contribué à catégoriser le COVID-19 comme la « cause de décès » enregistrée. Deux concepts fondamentaux prévalent partout :

    La « cause sous-jacente du décès »
    La clause «Plus souvent qu'autrement» qui falsifie la cause du décès
    Et ces critères sont imposés malgré le fait que le test RT-PCR utilisé pour corroborer la "cause du décès" donne des résultats trompeurs comme le reconnaissent à la fois l'OMS et le CDC.

    En pratique, comme indiqué ci-dessus, le « COVID-19 probable » ou le « COVID-19 probable » sera considéré comme la « cause sous-jacente du décès » sans la réalisation d'un test PCR et sans la réalisation d'une autopsie.

    Les critères établissant la cause « sous-jacente » du décès aux États-Unis sont basés sur la clause « le plus souvent qu'autrement » (voir ci-dessus) établie au niveau national par le CDC.

    Cliquez ici pour télécharger l'eBook complet .

    Canada : « Estimations » erronées de la cause du décès
    Au Canada, les critères diffèrent d'une province à l'autre. La catégorisation des causes de décès dans la province de Québec au Canada a fait l'objet d'une manipulation grossière. 33

    Selon une directive du ministère de la Santé du Québec (avril 2020) :

    « Si la cause présumée du décès est le Covid-19 (avec ou sans test positif), une autopsie doit être évitée et le décès doit être attribué au Covid-19 comme cause probable du décès. De plus, les décès dont la cause probable est le Covid-19 sont considérés comme naturels, et ne font pas l'objet d'un avis du coroner. » (souligné du document original) 34

    La directive ne permet pas le comptage des comorbidités. Appliquée le 16 avril 2020, cette directive a été propice à une forte augmentation immédiate du nombre de décès attribués au COVID-19 :

    44,9 % du total des décès au Québec ont été attribués à la COVID-19 (semaine du 11 au 18 avril 2020) (voir tableau ci-dessous).

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  22. Selon La Presse de Montréal, « avril [2020] a été le mois le plus meurtrier » . Mais La Presse a-t- elle consulté les directives du ministère de la Santé ?

    Ci-dessous les causes (quotidiennes) de décès pour le Québec correspondant à la semaine du 12 au 18 avril 2020 (suivant immédiatement la directive gouvernementale) mesurées selon les critères émis par le ministère de la Santé. 35 Il n'y a eu pratiquement aucun cas de COVID ou décès enregistré en mars 2020.

    Tableau ci-dessous : Causes de décès, moyenne quotidienne

    - voir cadre sur site -

    Source : La Presse

    Ces chiffres sont-ils le résultat de la soi-disant pandémie mortelle ? Ou sont-elles le résultat de « directives » du ministère de la Santé basées sur des critères erronés ?

    cas "présumé" lié au COVID
    "avec ou sans test positif"
    cause "probable" du décès
    "l'autopsie doit être évitée" dans le cas du COVID-19
    « Les décès dont la cause probable est la COVID-19 sont considérés comme naturels, et ne font pas l'objet d'un avis au coroner »
    Selon M. Paul G. Brunet du Conseil de protection des malades (CPM) :

    « … On s'est rendu compte à travers les dénonciations de certains médecins que les gens ne mouraient pas du COVID, mais de déshydratation, de malnutrition, d'abandon , déplore M. Brunet. Alors de quoi sont vraiment morts les milliers de personnes en CHSLD et en résidences privées ? (cité dans La Presse, traduit de l'anglais)

    Tester, tester, tester : les données invalides et le « jeu des nombres »
    Les gens ont peur. Ils sont encouragés à faire le test PCR, ce qui augmente le nombre de faux positifs. Les gouvernements sont impliqués dans l'augmentation du nombre de tests PCR en vue de gonfler les estimations des soi-disant « cas confirmés de COVID-19 ».

    De plus, à partir de fin 2021, plusieurs milliards de kits de test d'antigènes et de tests à domicile ont été distribués dans le monde. Plus d'un milliard de kits de test ont été distribués aux États-Unis.

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  23. Au Canada, qui compte 38,5 millions d'habitants, le gouvernement fédéral a ordonné (fin 2021, début 2022) la livraison de 291 millions de kits de test à domicile de l'antigène COVID-19. Cette décision n'a pas seulement contribué à lancer la campagne de peur, elle a créé une situation de chaos social. Elle a contribué à faire grimper le nombre de soi-disant « cas confirmés ». 36 Ces tests ne sont pas systématiquement accompagnés d'un diagnostic médical du patient.

    *

    Annexe au chapitre III
    Texte intégral de la directive OMS du 20 janvier 2021 37

    - voir cadre sur site -

    Capture d'écran de l'OMS

    Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2
    Type de produit : Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2

    Date : 13 janvier 2021

    Identifiant OMS : 2020/5, version 2

    Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.

    Objet de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l'OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS pour les utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (IVD) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.

    Description du problème : L'OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d'utilisation (IFU) lors de l'interprétation des résultats des échantillons testés à l'aide de la méthodologie PCR.

    Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement la notice d'utilisation pour déterminer si le réglage manuel du seuil de positivité PCR est recommandé par le fabricant.

    Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic pour le SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

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  24. L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu'une personne qui a un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.

    La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic, par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent considérer tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.

    Actions à entreprendre par les utilisateurs IVD :

    Veuillez lire attentivement la notice d'utilisation dans son intégralité.
    Contactez votre représentant local si un aspect de la notice d'utilisation n'est pas clair pour vous.
    Vérifiez l'IFU pour chaque envoi entrant afin de détecter toute modification de l'IFU.
    Fournir la valeur Ct dans le rapport au fournisseur de soins de santé demandeur.

    Remarques

    1. Tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la Santé ; 2020, numéro de référence OMS WHO/2019-nCoV/laboratoire/2020.6.

    2. Altman DG, Bland JM. Tests diagnostiques 2 : Valeurs prédictives. BMJ. 9 juillet 1994;309(6947):102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102.

    Remarques

    1 OMS, 8 mars 2020. Déclaration aux médias : Connaître les risques de COVID-19. https://www.who.int/indonesia/news/detail/08-03-2020-knowing-the-risk-for-covid-19

    2 CDC, sd Similitudes et différences entre la grippe et le COVID-19. https://www.cdc.gov/flu/symptoms/flu-vs-covid19.htm#table

    3 Prof Michel Chossudovsky, 5 avril 2020. Fake Coronavirus Data, Fear Campaign. Propagation de l'infection au COVID-19. https://www.globalresearch.ca/fake-coronavirus-data-fear-campaign-spread-of-the-covid-19-infection/5708643

    4 Anthony Fauci, Clifford Lane, et al., 26 mars 2020. Covid-19 — Navigating the Uncharted. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2002387#

    5 Ronald Bailey, 11 mars 2020. Le taux de mortalité lié au COVID-19 est "dix fois pire" que la grippe saisonnière, déclare le Dr Anthony Fauci. https://reason.com/2020/03/11/covid-19-mortality-rate-ten-times-worse-than-seasonal-flu-says-dr-anthony-fauci/

    6 Idem.

    7 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper toute l'humanité. Utiliser un "test" pour verrouiller la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483

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  25. 8 CDC, 21 juillet 2021. Panel de diagnostic RT-PCR en temps réel CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV). https://www.fda.gov/media/134922/download

    9 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper toute l'humanité. Utiliser un "test" pour verrouiller la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483

    10 Joseph Hadaya, Max Schumm, et al., 1er avril 2020. Testing Individuals for Coronavirus Disease 2019 (COVID-19). https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2764238

    11 Beda M Sadler, 2 juillet 2020. Coronavirus : pourquoi tout le monde s'est trompé. Ce n'est pas un "nouveau virus". "Le conte de fées sans immunité". https://www.globalresearch.ca/coronavirus-why-everyone-wrong/5718049

    12 Dr Pascal Sacre, 7 août 2020. COVID-19 : Plus près de la vérité : Tests et immunité. https://www.globalresearch.ca/covid-19-closer-to-the-truth-tests-and-immunity/5720160

    13 Victor M Corman, Olfert Landt, et al., 23 janvier 2020. Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel. https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045

    14 Idem.

    15 Idem.

    16 Christine Massey, 4 août 2021. L'identité du virus : les institutions sanitaires/scientifiques du monde entier "n'ont aucune trace" de l'isolement/la purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969

    17 Chaolin Huang, Yeming Wang, et al., 24 janvier 2020. Caractéristiques cliniques des patients infectés par le nouveau coronavirus 2019 à Wuhan, en Chine. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7159299/

    18 Fan Wu, Su Zhao, et al., 3 février 2020. Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine. https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3

    19 Christine Massey, 4 août 2021. L'identité du virus : les établissements de santé/sciences du monde entier "n'ont aucune trace" de l'isolement/la purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969

    20 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

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  26. 21 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport d'examen Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020. https://cormanandrostenreview.com/report/

    22 Idem.

    23 OMS, 11 septembre 2020. Test de diagnostic du SARS-CoV-2. https://www.who.int/publications/i/item/diagnostic-testing-for-sars-cov-2

    24 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport d'examen Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020. https://cormanandrostenreview.com/report/

    25 CDC, 21 juillet 2021. Alerte de laboratoire : Modifications apportées à la RT-PCR du CDC pour le test du SRAS-CoV-2. https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html

    26 CDC, 20 janvier 2022. Conditions contribuant aux décès dus au COVID-19, par État et âge, provisoire 2020-2021. https://data.cdc.gov/NCHS/Conditions-Contributing-to-COVID-19-Deaths-by-Stat/hk9y-quqm

    27 Project Veritas, 30 avril 2020. RUPTURE : Les directeurs de pompes funèbres dans l'épicentre de la COVID-19 doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie, les chiffres de la peur sont « rembourrés ». https://www.projectveritas.com/news/breaking-funeral-directors-in-covid-19-epicenter-doubt-legitimacy-of-deaths/

    28 H. Ealy, M. McEvoy, et al., 24 juillet 2020. Covid-19 : Politiques douteuses, règles manipulées de collecte et de communication des données. Est-il sécuritaire pour les élèves de retourner à l'école ? https://www.globalresearch.ca/covid-fatalities-wer-90-2-lower-how-would-you-feel-about-schools-reopening/5720264

    29 Système national de statistiques de l'état civil, 24 mars 2020. Nouveau code ICD introduit pour les décès liés au COVID-19. https://www.cdc.gov/nchs/data/nvss/coronavirus/Alert-2-New-ICD-code-introduced-for-COVID-19-deaths.pdf?fbclid=IwAR2XckyC93jfKqvOue5EdPlNA8LlKKgz4vPZTU1whI4vXLSOADSjsL9XY-M

    30 Idem.

    31 Idem.

    32 Idem.

    33 Pr Michel Chossudovsky, 14 février 2021. Québec : Falsification des données de mortalité relatives au Covid-19. https://www.globalresearch.ca/quebec-falsification-of-mortality-data-pertaining-to-covid-19/5737290

    34 Voir ceci : https://amol.ca/wp-content/uploads/2020/04/19_avril_20-AU-00603_LET_Opatrny-Codirecteurs_Orientations_ministerielle….pdf

    35 Idem.

    36 Prof. Michel Chossudovsky, 19 juillet 2022. Le plus gros mensonge de l'histoire mondiale : Il n'y a jamais eu de pandémie. La base de données est défectueuse. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates- including-the- vaccin-sont-invalides/5772008

    37 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

    https://www.globalresearch.ca/what-covid-19-sars-cov-2-how-tested-how-measured-2/5820778

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  27. Décédé subitement : des jeunes vaccinés par l'ARNm de la COVID-19 qui sont morts pendant leur sommeil. Le SADS ne se produit pas, il s'agit d'un phénomène de mort cardiaque subite induite par le vaccin contre la myocardite

    SADS - "Syndrome de mort subite de l'adulte": En parfaite santé, les jeunes vaccinés contre le COVID-19 s'endorment et ne se réveillent jamais.


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    31 mai 2023


    Le phénomène du SADS - "Sudden Adult Death Syndrome" est un tout nouveau phénomène depuis que les vaccins à ARNm COVID-19 ont été déployés dans la population générale à partir de décembre 2020.

    En parfaite santé, les jeunes vaccinés contre le COVID-19 s'endorment et ne se réveillent jamais. Il n'y a pas de lutte. Ils meurent « paisiblement ».

    Voici 13 cas de jeunes morts dans leur sommeil en 2022 :

    Royaume-Uni - Kelly Gleeson, une travailleuse de la santé de 40 ans, est décédée subitement d'une embolie pulmonaire le 29 décembre 2022. Elle est allée faire une sieste à 18 heures parce qu'elle se sentait malade et ne s'est jamais réveillée.

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    Londres, Royaume-Uni – Nadia Joseph-Gosine, une mère de 33 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 7 décembre 2022 le matin de son mariage.

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    Boulder, CO - Peter Bonn-Elchoness, 17 ans, est décédé dans son sommeil le 12 novembre 2022 d'une myocardite. Il s'est qualifié pour les Jeux olympiques juniors en tant qu'escrimeur et a été violoniste de concert.

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    Dallas, TX – Kayla Rose Lumpkins, 18 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 9 septembre 2022 , des mois après sa piqûre de rappel COVID-19.

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    Concord, Caroline du Nord : la joueuse de baseball de 20 ans Caitlyn Victoria Gable est décédée dans son sommeil le 9 août 2022. Sa mort a été qualifiée de "mort subite et inattendue chez les personnes épileptiques". SUDEP Elle était également "à jour de tous ses coups", y compris COVID -19 piqûres d'ARNm

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  28. Layton, UT – Jana Christopherson, 42 ans, est décédée dans son sommeil le 1er août 2022. Elle était une partisane des vaccinations obligatoires contre le COVID-19 par le recours à la force. ( cliquez ici )

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    Aurora, CO - L'infirmière de 36 ans Catherine (Katie) Fleagle est décédée dans son sommeil le 1er juillet 2022. Elle a laissé derrière elle un bébé de 3 ans et 4 mois.

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    Montréal, QC – Le comédien de 32 ans Nick Nemeroff est décédé subitement dans son sommeil le 27 juin 2022. ( cliquez ici )

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    Chicago, Illinois - Gwen Casten, 17 ans, fille du membre du Congrès Sean Casten, est décédée subitement dans son sommeil d'une arythmie cardiaque soudaine le 13 juin 2022.

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    Guelph, ON – Mattea Somerville, 12 ans, est décédée subitement dans son sommeil le 6 juin 2022. Elle avait demandé le premier « passage pour piétons arc-en-ciel » de la ville ( cliquez ici )

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    France – Oliver Vaux, étudiant écossais de 20 ans, est décédé dans son sommeil le 26 mai 2022 après avoir passé la journée à faire du canoë en vacances en France. ( cliquez ici )

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    Australie - Caillin Atchison, 26 ans, fille de la présidente de l'Association médicale australienne et médecin Michelle Atchison, est décédée subitement dans son sommeil le 11 mai 2022. ( cliquez ici )

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    Picardie, France - Le coureur cycliste international et journaliste cycliste de 48 ans, Richard Moore, est décédé dans son sommeil le 28 mars 2022.

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  29. Ma prise…
    Le SADS (Sudden Adult Death Syndrome) n'existait pas vraiment avant que les vaccins à ARNm COVID-19 ne soient imposés à l'ensemble de la population.

    Il y avait un phénomène connexe appelé syndrome de mort subite par arythmie qui était extrêmement rare et causé par des anomalies congénitales qui prédisposaient les jeunes à la mort cardiaque subite.

    Fait intéressant, ces morts subites sans précédent pendant le sommeil ont commencé à se produire presque immédiatement après le déploiement des vaccins COVID-19 en décembre 2020 et pourraient survenir après la 1ère dose, la 2e dose ou une injection de rappel.

    Ils ont continué à se produire régulièrement depuis , même si la plupart des gens ne prennent plus leurs injections de rappel.

    Cela suggère qu'il existe un effet indésirable à long terme de la vaccination contre le COVID-19 qui expose les personnes à un risque de mort subite pendant leur sommeil, même si elles ont reçu leur dernier vaccin contre le COVID-19 il y a un an ou même plus longtemps.

    Comment identifions-nous quelle personne vaccinée contre le COVID-19 est à risque de mort subite pendant son sommeil et que faisons-nous pour prévenir ces morts subites ?

    *

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    Le Dr William Makis est un médecin canadien spécialisé en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursier de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.

    https://www.globalresearch.ca/died-suddenly-covid-19-mrna-vaccinated-young-people-who-died-their-sleep-sads-not-happening-mrna-vaccine-induced-myocarditis-sudden-cardiac-death-phenomenon/5820792

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  30. Bleu de méthylène : Pour la performance, la mémoire, l'humeur, la maladie de Parkinson plus


    31 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Mis à part les produits pharmaceutiques, il y a des choses qui préviennent ou guérissent beaucoup plus efficacement les maladies. TKP a signalé à plusieurs reprises des vitamines telles que B, C, D ou E. Egalement sur l'homéopathie , la mycothérapie ou encore l'eau oxygénée . Une grande partie de cela se trouve dans les manuels de biochimie, mais la plupart sont contestés ou niés par les grandes sociétés pharmaceutiques et les médias grand public.

    Le bleu de méthylène est une substance tellement intéressante. Il a été synthétisé pour la première fois en 1876 par le chimiste Heinrich Caro de BASF. Un an plus tard, BASF a reçu le premier brevet du Reich allemand pour un colorant pour le bleu de méthylène . Il a la formule moléculaire C16H18ClN3S et en raison des atomes de chlore, d'azote et de soufre, il peut très bien se lier et donner des électrons ou former des complexes. Il peut ainsi remplir certaines fonctions importantes dans la chaîne respiratoire.

    Nous le voyons dans la formule structurelle (De Solarchemist - Propre travail, domaine public):

    - voir schéma sur site -

    Outre les options de coloration, les applications suivantes sont également répertoriées sur DocCheck :

    Antidote:
    Méthémoglobinémie : Le bleu de méthylène accélère la dégradation de la méthémoglobine en réduisant le groupe hème et est donc utilisé comme antidote en cas d'empoisonnement par des agents formant de la méthémoglobine.
    Intoxication au cyanure : en grande quantité, le bleu de méthylène agit comme antidote
    médicament antirhumatismal
    traitement du paludisme

    Associé à la lumière : lutte contre le psoriasis et diverses infections virales
    Le bleu de méthylène est la molécule mère de l'hydroxychloroquine, le médicament hors brevet utilisé non seulement pour traiter le paludisme mais aussi la grippe, et qui a notamment été utilisé dans le traitement du Covid, tant qu'il n'a pas été coopté par l'OMS. et l'industrie pharmaceutique De fausses études ont été calomniées et désactivées.

    Le bleu de méthylène inactive non seulement la grippe et le SRAS-CoV-2, mais aussi le VIH-1, les hépatites A et C, et les virus Ebola et Zika, mais il est également scientifiquement prouvé qu'il est neuroprotecteur et aide à restaurer la fonction cérébrale chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, de la maladie de Parkinson , trouble bipolaire, dépression et plus encore.

    Les médicaments "approuvés" existants pour la démence ne fonctionnent évidemment pas, sinon ils guériraient les gens et la maladie disparaîtrait.

    À ce jour, le bleu de méthylène (MB) est utilisé dans les hôpitaux pour traiter les toxines métaboliques qui altèrent le transport de l'oxygène. Si vous êtes hospitalisé pour une intoxication au monoxyde de carbone ou à la cyanine, vous recevrez du bleu de méthylène par voie intraveineuse. C'est le seul antidote connu.

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  31. Des études ont montré que le bleu de méthylène est un antidépresseur extrêmement efficace. Il était déjà utilisé pour cela vers 1900, mais les informations à son sujet sont difficiles à trouver aujourd'hui. Et il n'a pas les effets secondaires désagréables des antidépresseurs pharmaceutiques.

    Puisqu'elle intervient dans le métabolisme énergétique, elle peut également être utilisée pour augmenter les performances sportives.

    Dans la vidéo ci-dessous, Dr. Mercola et Dr. Francisco Gonzalez-Lima explique pourquoi Big Pharma ne veut pas que nous connaissions le bleu de méthylène ou comment l'utiliser.

    Gonzalez-Lima est le principal expert du bleu de méthylène, qui soutient la respiration mitochondriale et améliore le métabolisme énergétique du cerveau, ce qui peut en fait prévenir la neurodégénérescence et améliorer les performances cognitives. "Notre groupe a été le premier à cartographier les effets du bleu de méthylène dans le cerveau humain et à démontrer ses effets sur l'amélioration du métabolisme cérébral, du flux sanguin et de la fonction de mémoire."

    Il y a beaucoup de traitement dans les 10 premières minutes, et à 1:02:30 un dosage très faible est évoqué.

    - voir clip sur site -

    De faibles doses de bleu de méthylène fonctionnent bien comme nootropiques (agents qui ont un effet bénéfique sur le système nerveux central), mais des doses élevées NE LE FONT PAS. Cet article fournit un tableau des faibles doses et une brève liste des maladies neurologiques importantes contre lesquelles le bleu de méthylène est efficace :

    Troubles bipolaires, dépression, Alzheimer, démence, maladies de Parkinson et de Huntington, il améliore la mémoire, est neuroprotecteur et augmente l'énergie mitochondriale.

    Imagerie RM fonctionnelle des effets du MB dans le cerveau humain. Conclusion : "Une dose orale unique de MB a amélioré la récupération de la mémoire de 7 % et a augmenté les réponses basées sur l'IRM dans les zones du cerveau contrôlant la mémoire à court terme et l'attention.

    D'autres études à l'appui peuvent être trouvées ici , ici , ici et ici .

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  32. MB augmente l'acétylcholine, qui est importante pour la neuroplasticité. Le bleu de méthylène est un puissant antioxydant. Lorsque des espèces réactives nocives de l'oxygène sont créées dans les mitochondries, le premier radical libre formé dans une cellule est le superoxyde. MB se lie au superoxyde et le réduit en eau. Il arrête la cascade d'oxydation dès le début, avant qu'il n'ait une chance de faire des dégâts.

    En tant que médicament, il a connu le sort de beaucoup d'autres dont les brevets ont expiré, ou du moins il existe des produits qui peuvent être vendus avec un plus grand bénéfice.

    https://tkp.at/2023/05/31/methylenblau-fuer-leistung-gedaechtnis-stimmung-parkinson-mehr/

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  33. Étude : Les boosters avec ARNm inhibent la défense immunitaire grâce aux anticorps IgG4, favorisent les infections corona, les maladies auto-immunes, le cancer et la myocardite


    30 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Nous savons par des études antérieures que les vaccins à ARNm de Moderna et de BioNTech-Pfizer suscitent des anticorps IgG de sous-type 4. Cela dépend du temps écoulé depuis la dernière vaccination et du nombre de doses. Le plus le plus. Et ce sous-type 4 est connu pour ralentir le système immunitaire et provoquer des maladies. De longues listes de maladies sont faciles à trouver sur Internet, notamment la MPOC, les maladies auto-immunes, le cancer et les maladies cardiovasculaires.

    Dans les études pivots, seuls les anticorps ont été comptés à plusieurs reprises, mais aucune détermination n'a été faite quant à savoir s'il s'agissait des sous-types neutralisants 1 et 3, ou du sous-type nocif 4. Un test que tout laboratoire normal peut faire.

    Une nouvelle revue de 166 études dans la revue Vaccines, intitulée IgG4 Antibodies Induced by Repeated Vaccination May Generate Immune Tolerance to the SARS-CoV- ProteinSpike2 ) corrobore désormais ces découvertes sur les effets catastrophiques des préparations d'ARNm. Il se lit comme une déclaration de faillite pour l'industrie pharmaceutique et surtout pour les autorités réglementaires. Il s'agirait de simples tests obligatoires pour l'approbation de toute immunoglobuline.

    L'étude réfute un certain nombre d'affirmations faites par l'industrie pharmaceutique, les régulateurs, les politiciens et leurs experts. À propos de l'efficacité :

    "Alors que l'immunité de ces vaccins décline rapidement, leur capacité à prévenir l'hospitalisation et les maladies graves chez les personnes atteintes de comorbidités a récemment été remise en question, et les preuves s'accumulent que, comme de nombreux autres vaccins, ils ne génèrent pas d'immunité stérilisante de sorte que de nouvelles infections se produisent. fréquemment."

    Mais cela va encore plus loin dans l'abstrait de l'étude (c'est moi qui souligne):

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  34. "De plus, des études récentes ont trouvé des niveaux anormalement élevés d'IgG4 chez les personnes qui ont reçu deux injections ou plus de vaccins à ARNm. Il a également été signalé que les vaccins contre le VIH, le paludisme et la coqueluche induisaient une synthèse d'IgG4 supérieure à la moyenne. Dans l'ensemble, il existe trois facteurs critiques qui déterminent le changement de classe vers les anticorps IgG4 : une concentration excessive d'antigène, une vaccination répétée et le type de vaccin utilisé. Il a été suggéré que l'augmentation de la concentration d'IgG4 pourrait avoir une fonction protectrice en empêchant la suractivation du système immunitaire, similaire à une immunothérapie spécifique allergène réussie en inhibant les effets induits par les IgE.

    Cependant, de nouvelles preuves suggèrent que l'augmentation signalée des niveaux d'IgG4 observée après une vaccination répétée avec les vaccins à ARNm peut ne pas être un mécanisme de protection, mais plutôt un mécanisme de tolérance immunitaire à la protéine de pointe, médiée par la suppression des réponses antivirales naturelles, pourrait favoriser sans entrave Infection et réplication du SRAS-CoV2 . Une synthèse accrue d'IgG4 due à des vaccinations répétées d'ARNm avec des concentrations élevées d'antigènes peut également provoquer des maladies auto-immunes et favoriser la croissance du cancer et la myocardite auto-immune chez les individus sensibles."

    L' étude de Kuhbandner et Reitzner a été récemment publiée , qui montre 100 000 décès en excès en Allemagne en 2021 et 2022 par rapport aux années précédentes et une augmentation des mortinaissances chez les femmes vaccinées. En 2020, l'année de la pandémie soi-disant dangereuse, il n'y a pas eu de décès en excès. Plus d'informations sur les maladies auto-immunes peuvent être trouvées ici.

    Grâce aux études japonaises de Tanaka et al, nous en savons également beaucoup sur le fonctionnement des pointes. Ils peuvent se loger dans les structures d'ARN ribosomal des cellules du corps et non seulement y faire des copies du pic attendu, mais aussi favoriser la production spontanée de virions. En interaction avec les anticorps IgG4, cela a des conséquences fatales.

    Des considérations similaires peuvent être trouvées dans l'étude IgG4 :

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  35. « Il convient de noter qu'il existe des informations contradictoires sur le niveau de protection de ces vaccins. Bien que le Center for Disease Control (CDC) aux États-Unis ait déclaré que le taux de mortalité était plus élevé chez les non vaccinés que chez les vaccinés tout au long de la pandémie, les données britanniques contredisent les conclusions du CDC. Par exemple, au Royaume-Uni, l'Office for National Statistics (ONS) a signalé que d'avril à mi-novembre 2021, le taux de mortalité était plus élevé chez les personnes non vaccinées que chez les personnes vaccinées ayant reçu une deuxième dose de vaccin. Cependant, de fin novembre 2021 à décembre 2022, cette situation s'est inversée : les décès étaient plus élevés chez les personnes vaccinées ayant reçu une troisième dose de vaccin que chez les personnes non vaccinées. De plus, un travail plus récent a examiné une association probable entre le taux de vaccination COVID-19 en Europe en 2021 et la surmortalité mensuelle en 2022, c'est-à-dire que la mortalité était plus élevée qu'avant la pandémie. La mortalité toutes causes confondues au cours des 9 premiers mois de 2022 a davantage augmenté dans les pays ayant une couverture vaccinale plus élevée en 2021. Cela a abouti à une analyse de 31 pays estimés par la taille de la population ; une augmentation d'un point de pourcentage de la couverture vaccinale en 2021 était associée à une augmentation de 0,105 % de la mortalité mensuelle en 2022 (IC à 95 %, 0,075-0,134). Cette association a persisté même après ajustement pour d'autres facteurs. La mortalité toutes causes confondues au cours des 9 premiers mois de 2022 a davantage augmenté dans les pays ayant une couverture vaccinale plus élevée en 2021. Cela a abouti à une analyse de 31 pays estimés par la taille de la population ; une augmentation d'un point de pourcentage de la couverture vaccinale en 2021 était associée à une augmentation de 0,105 % de la mortalité mensuelle en 2022 (IC à 95 %, 0,075-0,134). Cette association a persisté même après ajustement pour d'autres facteurs. La mortalité toutes causes confondues au cours des 9 premiers mois de 2022 a davantage augmenté dans les pays ayant une couverture vaccinale plus élevée en 2021. Cela a abouti à une analyse de 31 pays estimés par la taille de la population ; une augmentation d'un point de pourcentage de la couverture vaccinale en 2021 était associée à une augmentation de 0,105 % de la mortalité mensuelle en 2022 (IC à 95 %, 0,075-0,134). Cette association a persisté même après ajustement pour d'autres facteurs.

    En plus, bien sûr, il y a les décès qui sont directement causés par la vaccination. Dans le cas des décès de Covid, cette étude et des études précédentes établissent le lien avec les anticorps IgG4.

    L'étude se penche également sur les maladies causées par les anticorps IgG4 produits par les vaccinations répétées. Voici un court extrait :

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  36. « Le terme « maladie systémique liée aux IgG4 » fait référence à plusieurs manifestations cliniques qui étaient auparavant considérées comme des maladies entièrement différentes. La liste des organes associés à cette maladie ne cesse de s'allonger. Quel que soit l'organe impliqué, les biopsies tissulaires montrent des similitudes histologiques importantes. Cependant, il existe également de légères différences entre les organes. Les découvertes pathologiques caractéristiques comprennent une fibrose étendue, de nombreux plasmocytes positifs pour les IgG4 et des infiltrats lympho-plasmocytoïdes dispersés.

    Un certain nombre d'autres maladies causées ou favorisées par les anticorps IgG4 sont discutées. Le cancer est abordé un peu plus en détail. Voici un très court extrait :

    « Le rôle des IgG4 dans le cancer… Plus important encore, de nouveaux rapports montrent que certains patients cancéreux traités avec des anticorps monoclonaux anti-PD-1 connaissent une progression rapide de la maladie (ou maladie hyperprogressive (HPD)) plutôt qu'une rémission du cancer. Notamment, l'anticorps PD-1 appartient à la famille des IgG4. De plus, des cancers tels que le mélanome malin, le cholangiocarcinome extrahépatique [96] et le cancer du pancréas ont été associés à des infiltrats de lymphocytes B plasmatiques positifs en IgG4.

    Et plus loin:

    « Des concentrations localement élevées d'IgG4 dans les tissus cancéreux ont entravé la réponse anticancéreuse médiée par les anticorps, aidé le cancer à bloquer la réponse immunitaire locale et indirectement favorisé la progression du cancer. Trois modèles différents de souris immunopotentes ont soutenu cette théorie. L'administration locale d'IgG4 s'est avérée accélérer considérablement la croissance des tumeurs implantées du côlon et du sein ainsi que des papillomes cutanés causés par des agents cancérigènes.

    Résumé : Des doses multiples de vaccins à ARNm augmentent considérablement le risque de cancer. L'auteur invité du TKP, le Dr. Hans-Joachim Kremer dans une série d'articles de la base de données VAERS sur les effets secondaires des vaccins prouvés pour le cancer de la prostate , le cancer du sein , le cancer gastro-intestinal , le cancer du poumon et la néoplasie ainsi que le cancer du sang .

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  37. Les auteurs soulignent que les anticorps IgG4 peuvent également être présents dans d'autres vaccins et peuvent être nocifs pour la santé. Une revue complète de la littérature a révélé que les vaccins à ARNm ne sont pas les seuls à induire la production d'anticorps IgG4. Les vaccins contre le VIH, le paludisme et la coqueluche déclenchent également une telle réaction. Dans l'ensemble, il existe trois facteurs critiques qui déterminent le changement de classe vers les anticorps IgG4 : une concentration excessive d'antigène, une vaccination répétée et le type de vaccin utilisé. TKP a rendu compte ici d'une étude sur la façon dont les vaccins contre la grippe produisent des anticorps IgG4 chez les femmes enceintes .

    Ce graphique montre la différence de réaction entre un anticorps IgG3 et un anticorps IgG4 :

    - voir graph sur site -

    Voici l'explication de l'image : « Une réponse humorale efficace provoquée par la vaccination est la synthèse de fortes concentrations d'IgG3. (A) . Les anticorps IgG3 se lient aux antigènes viraux exposés sur les membranes des cellules infectées via leur région variable. Cet anticorps a une région constante (Fc) qui est reconnue par le récepteur correspondant sur les lymphocytes T cytotoxiques et d'autres cellules immunitaires. La cellule T cytotoxique est activée et libère des produits chimiques qui détruisent la cellule infectée. (B). La vaccination répétée conduit à des niveaux élevés d'IgG4 (indiqués en rouge). Cet anticorps inhibe la liaison de la région Fc de l'anticorps IgG3 à son récepteur situé sur les lymphocytes T cytotoxiques, bloquant ainsi son activation afin que la cellule infectée ne soit pas détruite. En ce sens, des rappels répétés entraînent un passage à la production de niveaux élevés d'IgG4, ce qui altère la réponse immunitaire . »

    Ici aussi: Le mode d'action est clarifié et ainsi la causalité est montrée, c'est ce qu'on appelle la science naturelle. Donc causalité et non corrélations.

    Dans l' article sur l'étude japonaise, il y a des indices sur la façon d'éliminer les pointes de vaccin, qui continuent de produire des pointes et des virions cachés dans l'ARN ribosomal des cellules.

    Lors de cet événement de la Société autrichienne des maladies infectieuses et de médecine tropicale (ÖGIT), les médecins reçoivent jusqu'à 4 points DFP sur leur compte auprès de l'Ordre des médecins s'ils saisissent correctement le numéro ÖAK lors de leur inscription et en fonction de leur présence effective.

    - voir doc sur site -

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  38. Compte tenu de la situation de l'étude, il est totalement incompréhensible que les vaccinations par ARNm n'aient pas encore été interdites en général et dans le monde entier. Au contraire, l'OMS continue de les recommander et les comités nationaux de vaccination prévoient des campagnes de rappel.

    https://tkp.at/2023/05/30/studie-in-vaccines-booster-mit-mrna-hemmen-immunabwehr-foerdern-corona-infektion-autoimmunerkrankung-krebs-und-myokarditis/

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  39. Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé : “On a laissé mourir par privation de soins des dizaines de milliers de personnes que l'on pouvait traiter et sauver”


    Xavier Azalbert, Chloé Lommisan,
    France-Soir
    le 30 mai 2023 - 17:45


    SCIENCE/SANTÉ - Après le professeur Christian Perronne, c’est au tour de l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel d’apporter son soutien inconditionnel au professeur Raoult. Ce dernier est visé par une cabale médiatique, à la suite de la publication des résultats d’une étude menée au sein de l’IHU-Méditerranée de Marseille qui montre l’efficacité de l’hydroxychloroquine en traitement précoce contre la Covid-19. La possibilité de recourir à ce game changer, dont les effets ont été observés dans le cadre de soins pratiqués en médecine d’urgence, avait été balayée d’un revers de main par les autorités politiques et sanitaires.

    L'anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel revient à chaud sur les nouvelles attaques faites contre le Pr Didier Raoult et son équipe de l'IHU-Méditerranée.

    Au rang des justifications utilisées à l’époque et rabâchés aujourd’hui pour se priver d’une telle aubaine : des références à des canulars (dont le LancetGate), des procès fallacieux en méthodologie (les études randomisées en double aveugles présentées comme l’alpha et l’omega de la recherche scientifique, au détriment des études dites observationnelles pourtant incontournables en médecine) et diverses attaques, souvent diffamatoires, notamment à propos de prétendus “essais sauvages”.

    "Le système est malsain"

    Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, s’est engagé contre la mauvaise gestion politique et administrative du Sars-CoV-2, dès le début de la crise. Il réagit aujourd’hui de façon musclée à la désinformation et à la confusion entretenue par une grande partie de la presse française.

    Selon lui, celle-ci a essentiellement repris le discours du gouvernement en matière de santé, invitant des “experts” proches de l’exécutif ou des “médecins de plateau” opposés à la prise en charge précoce des malades de la Covid-19, par idéologie.

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  40. “Les journalistes sont totalement incapables de faire la différence entre un Christian Perronne, un Didier Raoult, qui sont des sommités mondiales qui connaissent leur sujet sur le bout des doigts et des gens comme Mathieu Molimard (1) ou même Alain Fischer (2), qui sont dans une incompréhension de ces réalités, qui les disqualifient en tant qu'experts”, affirme-t-il.

    Jean-Dominique Michel n’y va pas par quatre chemins : “De la cave au grenier, le système est malsain mis à part quelques-uns qui restent solides sur l’éthique médicale”, affirme l’anthropologue qui va jusqu’à évoquer “un crime organisé”.

    Il rappelle que la compagnie pharmaceutique Pfizer a été condamnée à “des amendes de plusieurs milliards de dollars pour corruption”. Et devant l’efficacité du traitement précoce démontrée de “façon indiscutable” par la “publication de l’IHU avec les 30 000 cas répertoriés” pris en charge par l’IHU-Méditerranée, alors que les seules solutions apportées ont été des privations de libertés et le “tout-vaccin”, une conclusion s’impose à ses yeux : “On a laissé mourir par privation de soins des dizaines de milliers de personnes que l'on pouvait traiter et sauver.”

    Dans un tweet diffusé sur son compte personnel, Jean-Dominique Michel lance : “La panique gagne le marigot” du fait de “la publication de la série finale par l’IHU”. Publication qui d’après lui “démontre que ces malfrats ont activement participé au meurtre par privation de soins de dizaines de milliers de personnes en France. On comprend qu'ils soient quelque peu stressés à la perspective de se retrouver - tôt ou tard - devant la justice pour répondre de leurs actes. Tic-tac, tic-tac !”

    Des propos excessifs ? “Si cela amène à un procès en diffamation, je m'en réjouis. J'apporterai les éléments. On va pouvoir tout déballer. Au moins les choses seront présentées de façon ouverte à la population, prise en otage, maltraitée, parfois mise en situation de mort.”

    L’anthropologue de la santé fait le procès de “la truanderie de la modélisation” mathématique, “qui a conditionné toute la lecture de la crise sanitaire”, faisant passer de la prospective - des hypothèses - pour des faits avérés.

    "L'opinion a été trompée"

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  41. Selon lui, Mathieu Molimard et Alain Fischer, en se servant de ces rapports hasardeux, se sont "comportés comme des escrocs". "Les modélisations n’ont jamais marché en 23 ans, c’est de la spéculation, pas de la science. L’opinion a été trompée", renchérit-il à propos de ces modèles, qui ont par exemple entraîné l’adoption des confinements, pourtant scientifiquement démontrés comme étant inutiles.

    L’attachement dogmatique à ces modèles aurait fait nier à Alain Fischer, en 2021, la présence de troubles menstruels chez les femmes vaccinées contre la Covid, "malgré des données qui existaient déjà dans la pharmacovigilance."

    Revenant sur les soins dont ont été privés les malades (oxygénation...), il dénonce le recours au Rivotril, d’après lui responsable de nombreux morts en EHPAD dès mars/avril 2020. Des propos violents, sans détours, qui ne demandent pas mieux que d’être vérifiés, preuves à l’appui. Une enquête inévitable pour répondre à cette question désormais clef : “Comment rendre la confiance en cette science ?”

    - voir clip sur site -

    Notes :
    (1) Professeur au CHU-Bordeaux, membre de la SFPT (Société française de pharmacologie et de thérapeutique).

    (2) Médecin, professeur d’immunologie pédiatrique et chercheur français, nommé coordinateur de la stratégie vaccinale de l’Etat contre la pandémie de Covid-19 en France par le Premier ministre Jean Castex. Ce dernier s’était exprimé pour une vaccination obligatoire de toute la population au prétexte que certaines personnes pourraient refuser l’injection. Dans les faits, la transmission du virus n’ayant jamais été empêchée par les vaccins anti-Covid-19, une telle position interroge.

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-on-a-laisse-mourir-par-privation

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  42. B-Alert News avec Leon Benjamin : Le Dr Lee Merritt dénonce les « adorateurs du mal » pour avoir conçu un programme multidimensionnel d'extinction de l'humanité – Brighteon.TV


    lundi 29 mai 2023
    par : Belle Carter


    (Natural News) Pour le Dr Lee Merritt, le monde est dans une guerre spirituelle – mais elle se déroule sur le plan physique. Ceci, a-t-elle dit, a été conçu par les « adorateurs de Satan » mondialistes, qui n'adorent pas le Dieu de la création.

    L'une des choses auxquelles cette religion effrayante croit est que les gens devraient accepter leurs mesures de dépopulation afin de pouvoir facilement s'en tirer, a-t-elle déclaré au pasteur Leon Benjamin dans le récent épisode "B-Alert News" sur Brighteon.TV. Merritt a cité comme exemple le projet de génocide le plus massif - le mandat du vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    «Ils ne vont jamais forcer les gens à vacciner en les ligotant et en les injectant. Vous devez d'une manière ou d'une autre dire d'accord. Cela les soulage en quelque sorte de leur dette karmique », a déclaré Merritt, qui a été « annulé » après avoir critiqué le mandat du masque facial.

    "Quand ils nous ont dit qu'un virus s'était répandu dans toute la Chine, tuant des gens, ils n'ont pas menti. Ce qu'ils ne nous ont pas dit, c'est qu'en latin, virus signifie toxine ou poison. Cela ne signifie pas un petit germe qui sort de votre bouche et flotte et infecte d'autres personnes.

    Elle a ajouté que c'était parce qu'ils avaient un plan pour mettre en œuvre des «mesures» pour atténuer le virus en se tenant à six pieds l'un de l'autre et en portant des masques. "Vous voyez, c'est un grand programme anti-humain. Ce sont des gens qui veulent vraiment détruire la Terre et nous avec elle. (En relation: Les docteurs Lee Merritt et Ben Tapper critiquent le CDC pour avoir admis tardivement que les masques et les tests PCR sont INUTILES – Brighteon.TV.)

    Le chirurgien orthopédique et rachidien a également souligné que le "programme d'extinction" était en cours depuis un certain temps, citant le poison qui nous est déversé via les chemtrails dès le début, empoisonnant les gens du ciel à l'approvisionnement alimentaire.

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  43. Plus d'histoires liées :

    Dr Lee Merritt : Le port du masque n'a jamais été pour contrôler le virus.

    Merritt Medical Hour avec le Dr Lee Merritt : Trump crée des programmes de continuité pour assurer la préservation des structures gouvernementales – Brighteon.TV.

    Dr Kee Merritt : COVID-19 est une guerre de l'ADN contre l'humanité - Brighteon.TV.

    Sources include:

    Brighteon.com 1
    Brighteon.com 2

    https://www.naturalnews.com/2023-05-29-evil-worshippers-engineered-the-mankind-extinction-program.html

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  44. Pourquoi exactement le gouvernement déverse-t-il du fluorure toxique dans les ¾ de l'approvisionnement en eau des États-Unis ?


    Par Ben Bartee
    Recherche mondiale, 30 mai 2023


    73 % de la population américaine, selon les estimations officielles , a son eau potable fluorée.

    La « fluoration de l'eau » signifie que le gouvernement ajoute une forme synthétique du fluorure chimique potentiellement toxique dans l'eau sous le couvert de Public Health™.

    La forme synthétique de fluorure la plus courante utilisée par les autorités de santé publique™ est une formule particulièrement dangereuse appelée acide fluorosilicique.

    Il a été démontré que l'acide fluorosilicique endommage l'ADN et induit un stress oxydatif, par Mutation Research , "aux concentrations utilisées dans la génotoxicité induite par l'eau potable, le stress oxydatif et l'accélération de la minéralisation osseuse".

    Le fluor sous toutes ses formes est une neurotoxine documentée, ce qui signifie qu'il est toxique pour le cerveau.

    MCLG est un acronyme qui signifie « objectif de niveau maximal de contaminant ». Comme expliqué via l' EPA , "MCLG est le niveau maximal d'un contaminant dans l'eau potable auquel aucun effet indésirable connu ou prévu sur la santé des personnes ne se produirait."

    Via une revue de littérature intégrée sur les effets néfastes potentiels sur la santé de la fluoration de l'eau publiée dans Environmental Health :

    "Dans le cerveau, le fluorure semble s'accumuler dans les régions responsables de la mémoire et de l'apprentissage... Le MCLG pour le fluorure (4 mg/L)... ne protège manifestement pas des effets néfastes sur le cerveau, en particulier en ce qui concerne les expositions précoces...

    - voir clip sur site -

    Sur les 18 études qui ont fourni les concentrations de fluorure dans l'eau, 13 ont trouvé des déficits à des niveaux inférieurs au MCLG, avec un niveau moyen élevé à 2,3 mg/L, le plus bas étant de 0,8 mg/L [4]…. et étendre la documentation des déficits cognitifs associés à des expositions seulement légèrement élevées.

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  45. Donc, ce que cela signifie, c'est que l'étude trouve des effets négatifs sur la santé du fluorure dans l'eau à des niveaux inférieurs à ce que l'EPA juge acceptable.

    Les auteurs de l'étude plaident donc pour une augmentation des seuils MCGL que le gouvernement utilise pour évaluer la sécurité de l'eau :

    "L'apparition d'études prospectives offrant des preuves solides de neurotoxicité prénatale devrait inspirer une révision de la réglementation sur le fluorure d'eau. Les résultats de référence calculés à partir de ces nouvelles études, bien que provisoires seulement à ce stade, soutiennent l'idée que le MCLG est beaucoup trop élevé.

    Selon l'utilisation de facteurs d'incertitude, une limite de protection pour le fluorure dans l'eau potable exigerait probablement que le MCGL soit réduit de plus d'un facteur 10, c'est-à-dire en dessous des niveaux actuellement atteints par la fluoration.

    Les autorités de Santé Publique™ sont bien informées des dangers du fluorure.

    Selon les directives du CDC sur la fluoration de l'eau communautaire, par exemple, les parents doivent s'assurer que leurs enfants recrachent du dentifrice fluoré.

    Pourtant, il n'offre aucune mise en garde similaire concernant l'eau potable statistiquement susceptible de contenir des niveaux toxiques de fluorure, que les enfants sont vraisemblablement encouragés à avaler à volonté :

    "Pour les enfants âgés de 2 à 6 ans, n'appliquez pas plus d'une quantité de dentifrice au fluor sur la brosse et surveillez leur brossage des dents, en encourageant l'enfant à cracher le dentifrice plutôt qu'à l'avaler. Jusqu'à environ 6 ans, les enfants contrôlent mal leur réflexe de déglutition et avalent fréquemment la majeure partie du dentifrice déposé sur leur brosse.

    Les dangers de la fluoration de l'eau sont au grand jour. Nous avons montré jusqu'à présent que le CDC reconnaît la menace que représente l'eau fluorée à des niveaux couramment trouvés dans l'approvisionnement en eau, et il existe de bonnes preuves que même le seuil "sûr" établi arbitrairement est dangereux.

    Aucun fluorure, même les formes naturelles, n'est transmis au bébé par le lait maternel . Ce n'est pas un produit chimique naturel que les humains en développement sont censés ingérer, et il n'est certainement pas destiné à être déversé par le gouvernement dans l'approvisionnement en eau.

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  46. À propos de fraises normales et pas normales – comment les nouvelles technologies sont évaluées par les consommateurs


    30 Mai 2023
    Angela Bearth*


    Depuis des années, l'argument « les consommateurs ne veulent pas » étouffe tout débat sur le génie génétique dans l'agriculture. Pourtant, la réponse à la question de l'acceptation des consommateurs n'est pas si claire.

    En Europe, on discute actuellement de la question de savoir si les nouvelles méthodes de génie génétique utilisées pour l'amélioration des plantes devraient être soumises aux mêmes réglementations que les organismes génétiquement modifiés [transgéniques], avec une évaluation stricte de la sécurité et avec des exigences d'étiquetage. La nécessité d'une réglementation stricte du génie génétique est souvent justifiée par le rejet des consommateurs. Il convient toutefois d'examiner de manière critique les déclarations à l'emporte-pièce concernant le rejet par les consommateurs. Elles reposent souvent sur des enquêtes dans lesquelles on a posé des questions inappropriées du point de vue des sciences sociales, comme par exemple :

    « Préférez-vous une fraise normale ou une fraise génétiquement modifiée ? »

    « À quel point trouvez-vous le génie génétique dangereux ? »

    « L'homme n'a pas le droit de modifier de manière ciblée les plantes et les animaux par génie génétique. Êtes-vous d'accord ou non ? »

    Dans les enquêtes, les pesées des coûts ou des risques éventuels et des avantages personnels ou sociaux sont souvent laissées de côté. Il est faux d'en déduire que « les consommateurs » rejettent par principe les nouvelles méthodes de génie génétique, indépendamment de leur application et de leur contexte. Pire, cela prive les consommateurs de la maturité nécessaire pour prendre des décisions complexes et peser le pour et le contre sur des sujets importants pour la société.

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  47. Comment parvenons-nous à prendre des décisions spontanées ?

    Lorsque les ressources cognitives sont limitées, de nombreuses personnes ont recours à des heuristiques, par exemple lorsque leurs connaissances préalables sur un sujet sont limitées ou lorsqu'elles accordent relativement peu d'attention à une décision (Finucane, Alhakami, Slovic & Johnson, 2000 ; Siegrist, 2008 ; Siegrist & Hartmann, 2020). Les heuristiques sont des règles empiriques qui permettent d'économiser des ressources et qui simplifient la prise de décision dans l'incertitude, mais qui peuvent aussi conduire à des évaluations faussées. Les réponses à des questions simples sur l'acceptation de la technologie sont souvent données à l'aide de l'heuristique affective. L'heuristique affective fait appel à des associations spontanées et à des émotions positives ou négatives pour prendre une décision dans l'incertitude. Ces associations spontanées sont par exemple marquées par des images-symboles souvent utilisées dans les articles de presse sur le génie génétique (par exemple une fraise piquée par une seringue, des scientifiques portant des blouses de laboratoire et des lunettes de protection devant des légumes semablant toxiques). Ces images-symboles et d'autres similaires ne montrent pas une image réaliste d'un laboratoire ou d'un champ d'expérimentation. Lorsqu'on demande aux consommateurs s'ils mangeraient une fraise génétiquement modifiée, ces images stockées dans leur mémoire et chargées de sentiments négatifs sont rappelées. Cela conduit souvent, et c'est compréhensible, à une attitude de rejet. Un autre exemple est l'heuristique « le naturel est meilleur ». Ainsi, le naturel est pris à tort comme un signe de meilleure qualité, de sécurité ou de santé. Les méthodes existantes d'amélioration des plantes sont perçues comme plus naturelles et donc plus sûres que les méthodes plus récentes. L'influence humaine est considérée comme fondamentalement négative.

    Les enquêtes doivent tenir compte de la complexité du sujet

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  48. Les sondages doivent nécessairement être simplifiés, mais dans une société démocratique, il est juste de donner aux consommateurs la possibilité de prendre en compte les avantages potentiels. Les sondages sur les nouvelles technologies devraient tenir compte de la complexité des questions initialement posées sur la réglementation du génie génétique. Les technologies innovantes ne sont pas utilisées parce que nous pouvons le faire, mais pour atteindre un but précis ou pour relever un défi. Il est bien connu que les gens sont prêts à accepter une petite dose d'incertitude ou de risque s'ils y voient un avantage pertinent (Alhakami & Slovic, 1994 ; Bearth & Siegrist, 2016 ; Slovic, Finucane, Peters, & MacGregor, 2004). Voici un exemple concret : si le génie génétique peut contribuer à réduire l'utilisation de pesticides dans l'agriculture, cette technologie pourrait tout à fait être acceptée par la population.

    C'est ce qu'a montré une étude publiée dans Food Quality and Preference (Saleh, Bearth & Siegrist, 2021). Un dilemme agricole a été présenté aux participants de la partie germanophone de la Suisse :

    Les pommes de terre font partie des plantes cultivées les plus récoltées en Suisse. L'un des plus grands défis dans la culture de la pomme de terre est le mildiou. Il s'agit d'une maladie fongique qui s'attaque aux feuilles de la pomme de terre et qui peut se propager très rapidement au tubercule et le détruire. Le mildiou de la pomme de terre entraîne d'importantes pertes dans les récoltes de pommes de terre et met en péril la sécurité alimentaire.

    Les personnes interrogées ont ensuite été réparties au hasard en quatre groupes. Chaque groupe a ensuite reçu la description d'une solution qui protège ou rend la pomme de terre résistante. Les quatre solutions suivantes ont été présentées (ici dans une version abrégée) :

    traiter avec des fongicides de synthèse ;

    traiter avec du cuivre ;

    transférer des gènes d'une pomme de terre sauvage dans une pomme de terre cultivée (génie génétique) ;

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  49. modifier le patrimoine génétique de la pomme de terre cultivée (édition du génome).

    Deux de ces solutions sont actuellement utilisées (fongicides de synthèse et cuivre), tandis que les deux autres sont soumises au moratoire sur le génie génétique et ne sont donc pas autorisées en Suisse.

    Ensuite, on a demandé aux consommateurs à quel point ils acceptaient les différentes solutions et à quel point ils seraient prêts à manger une pomme de terre produite de la manière indiquée. Le résultat surprenant a été que l'acceptation des consommateurs était la plus élevée pour le génie génétique.

    Il serait certainement faux de déduire de cette seule étude que le génie génétique est largement accepté par la population. Les résultats indiquent cependant que la question de l'acceptation sociale est plus complexe qu'on ne le dit. L'acceptation des consommateurs peut se manifester passivement par l'absence de rejet actif ou de protestations, ou activement par le désir d'innovation dans l'agriculture. L'acceptation est en outre déterminée par une multitude de facteurs, tels que la perception des risques et des avantages, les associations et les sentiments. Enfin, l'ouverture à l'utilisation du génie génétique en médecine (par exemple production d'insuline, thérapies contre le cancer, vaccins) montre également que nous sommes ouverts aux nouvelles technologies lorsqu'elles nous promettent un bénéfice direct.

    Des réponses simples à des questions simples ne valent pas comme argument massue

    Il est dommage de partir d'emblée du principe que l'acceptation du public est uniformément négative et d'exclure le fait que certains consommateurs acceptent et même approuvent de nouvelles technologies bien étudiées dans l'agriculture. Les inquiétudes et les incertitudes de la population et des différents acteurs doivent être prises au sérieux. Mais en même temps, il faut aussi parler des défis agricoles et des solutions possibles grâce aux nouveaux procédés de génie génétique dans l'amélioration des plantes. Ce n'est qu'ainsi qu'un dialogue honnête pourra être mené entre la recherche, les différents acteurs et le public. Enfin, la classification controversée, faite à l'échelle européenne, de l'édition du génome en tant que technologie génétique soulève d'importantes questions sociales. Est-il judicieux de faire une distinction entre mutation naturelle, sélection classique et génie génétique, et d'évaluer différemment des plantes ayant un patrimoine génétique identique et les mêmes caractéristiques ? Comment assurer la transparence et la traçabilité lorsqu'il n'est pas clair si une plante donnée est issue d'une mutation naturelle, d'une sélection classique ou de l'édition du génome ? Compte tenu des multiples défis que l'agriculture doit relever actuellement et à l'avenir, il serait erroné d'exclure, sans données fiables, que les consommateurs soient ouverts aux nouvelles technologies bien étudiées. Si nous posons des questions simples aux gens, nous n'obtiendrons que des réponses simples.

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  50. Ce texte a été adapté de deux articles de blog déjà publiés par Angela Bearth à l'ETH Zurich et à l'Académie Suisse des Sciences Naturelles (SCNAT).

    Références :

    Alhakami, A. S. & Slovic, P. (1994). A Psychological Study of the Inverse Relationship Between Perceived Risk and Perceived Benefit (une étude psychologique de la relation inverse entre le risque perçu et le bénéfice perçu). Risk Analysis, 14(6), 1085-1096. doi:10.1111/j.1539-6924.1994.tb00080.x

    Bearth, A. & Siegrist, M. (2016). Are risk or benefit perceptions more important for public acceptance of innovative food technologies: A meta-analysis (la perception des risques ou des avantages est-elle plus importante pour l'acceptation par le public des technologies alimentaires innovantes ? Une méta-analyse). Trends in Food Science & Technology, 49, 14-23. doi:10.1016/j.tifs.2016.01.003

    Finucane, M. L., Alhakami, A., Slovic, P., & Johnson, S. M. (2000). The affect heuristic in judgments of risks and benefits (l'heuristique d'affect dans les jugements de risques et de bénéfices). Journal of Behavioral Decision Making, 13(1), 1-17. doi:10.1002/(SICI)1099-0771(200001/03)13:1<1::AID-BDM333>3.0.CO;2-S

    Saleh, R., Bearth, A. et Siegrist, M. (2021). How chemophobia affects public acceptance of pesticide use and biotechnology in agriculture (comment la chimiophobie affecte-t-elle l'acceptation par le public de l'utilisation des pesticides et de la biotechnologie dans l'agriculture ?). Food Quality and Preference, 91. doi:10.1016/j.foodqual.2021.104197

    Siegrist, M. (2008). Factors influencing public acceptance of innovative food technologies and products (facteurs influençant l'acceptation par le public des technologies et produits alimentaires innovants). Trends in Food Science & Technology, 19(11), 603-608. doi:doi.org/10.1016/j.tifs.2008.01.017

    Siegrist, M. & Hartmann, C. (2020). Consumer acceptance of novel food technologies (acceptation par les consommateurs des nouvelles technologies alimentaires). Nature Food, 1(6), 343-350. doi:10.1038/s43016-020-0094-x

    Slovic, P., Finucane, M. L., Peters, E. & MacGregor, D. G. (2004). Risk as Analysis and Risk as Feelings: Some Thoughts about Affect, Reason, Risk, and Rationality (le risque en tant qu'analyse et le risque en tant que sentiment : Quelques réflexions sur l'affect, la raison, le risque et la rationalité). Risk Analysis. Risk Analysis, 24(2), 311-322. doi:10.1111/j.0272-4332.2004.00433.x
    _____________

    * Angela Bearth

    Angela Bearth est sociologue à l'École Polytechnique Fédérale de Zurich et vice-présidente du Forum Genforschung der Akademien der Naturwissenschaften (SCNAT).

    https://seppi.over-blog.com/2023/05/a-propos-de-fraises-normales-et-pas-normales-comment-les-nouvelles-technologies-sont-evaluees-par-les-consommateurs.html

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  51. BRASSAGE DE LA CRISE ALIMENTAIRE : Les prix des grains de café Robusta ont atteint un niveau record en 12 ans au milieu de la menace d'El Niño


    lundi 29 mai 2023
    par : Belle Carter


    (Natural News) Une pénurie provoquée par l'émergence d'El Nino avant un été dans l'hémisphère nord au Vietnam et en Indonésie a poussé les prix des grains de café Robusta à un niveau record de 12 ans. Le Vietnam est le plus grand producteur mondial de grains de café Robusta tandis que l'Indonésie est le troisième producteur mondial de cette variété de café moins chère.

    Alors que de nombreux amateurs de café préfèrent les grains d'arabica de haute qualité vendus dans les cafés, le Robusta est normalement plus économique car l'arbre est plus résistant et nécessite moins de soins, ce qui facilite la production en grande quantité. Cette variété est souvent utilisée dans le café instantané, les expressos et les mélanges moulus vendus dans les supermarchés, qui ont connu un retour en force alors que les consommateurs à court d'argent recherchent des alternatives.

    "Un nouveau modèle climatique El Nino freinera la production du principal fournisseur vietnamien, apportant des conditions plus chaudes et plus sèches plus tard cette année. L'Indonésie a vu ses cultures endommagées par des précipitations excessives, le département américain de l'Agriculture [USDA] prévoyant une baisse de 18 % de la production pour la nouvelle saison qui a commencé en avril », a rapporté Bloomberg.

    Au cours de la dernière année et demie, la pression du coût de la vie a poussé davantage de consommateurs vers des grains de Robusta moins chers que des grains d'arabica de haute qualité. « La demande s'est tellement éloignée du café à prix plus élevé que même le marché n'est même pas satisfait de l'augmentation des exportations de Robusta », a déclaré Judith Ganes, qui dirige une entreprise de matières premières à New York.

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  52. Selon Bar Chart, le 25 mai, le café Robusta était sous pression après que le Service de l'agriculture étrangère (FAS) de l'USDA ait prévu que la production de café du Vietnam en 2023/24 augmenterait de plus de 5 % pour atteindre 31,3 millions de sacs. Le site Web a ajouté qu'un facteur négatif est les conditions plus sèches dans les champs de café du Brésil, qui est un autre producteur clé. Meteorologia a rapporté plus tôt dans la semaine que la région brésilienne de Minas Gerais n'avait reçu aucune pluie au cours de la semaine qui s'est terminée le 21 mai. Minas Gerais représente environ 30 % de la récolte d'arabica dans la nation latino-américaine.

    Les plats cuisinés également touchés par l'inflation continue au Royaume-Uni

    Outre les prix du café, les prix des plats cuisinés ont également augmenté au Royaume-Uni au cours des derniers mois, a rapporté Yahoo Finance. Selon l'association commerciale British Retail Consortium (BRC), les prix des denrées alimentaires dans les supermarchés britanniques ont augmenté de 15,7 % au cours de l'année jusqu'en avril, la plus forte augmentation annuelle enregistrée depuis 2005. niveau en 42 ans.)

    La directrice générale de BRC, Helen Dickinson, a déclaré que l'inflation globale des prix des magasins s'était légèrement atténuée en avril en raison des fortes remises printanières sur les vêtements, les chaussures et les meubles. "Cependant, les prix des denrées alimentaires sont restés élevés compte tenu des pressions continues sur les coûts tout au long de la chaîne d'approvisionnement", a-t-elle expliqué.

    "L'effet d'entraînement de l'augmentation des coûts de production et d'emballage a fait que les plats cuisinés sont devenus plus chers et que les prix du café ont également augmenté en raison du coût élevé des grains de café, ainsi que des principaux pays producteurs exportant moins", a ajouté le chef du BRC.

    Selon Victoria Scholar, responsable des investissements au service d'investissement en ligne britannique Interactive Investor, il y a des signes naissants que les pressions sur les prix commencent à se calmer tandis que l'inflation reste élevée. L'espoir est que les prix des denrées alimentaires baisseront dans les mois à venir, bien qu'il soit plus probable que la croissance des prix ralentisse à court terme, car les consommateurs continuent de ressentir la pression de la hausse des factures alimentaires hebdomadaires, a-t-elle ajouté.

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  53. Une méga étude portant sur 2 millions de personnes montre que les noix réduisent les crises cardiaques de 25 %


    Par Jo Nova
    May 31st, 2023


    Il y a trente ans, une étude a rapporté un risque moindre de crises cardiaques mortelles chez les personnes qui mangeaient des noix quatre fois par semaine.

    Depuis lors, des dizaines d'études ont montré la même conclusion générale, apparue dans les nouvelles, puis oubliée jusqu'à la suivante. La semaine dernière, une méga revue les a réduites à seulement 42 études de «cohorte» sur 1,9 million de personnes et a conclu que oui, les noix réduisent vraiment les décès par maladie cardiaque d'environ 25%, c'est «probablement causal», disent les chercheurs. Et cela fonctionne très probablement en réduisant les lipides sanguins, bien que cela puisse déplacer quelque chose de mauvais.

    Ils ont également examiné 18 études contrôlées randomisées portant sur seulement 2 266 personnes pour vérifier la causalité.

    Ma pensée du jour est que si, dans le cas extrême, 1 crise cardiaque sur 4 est causée par une carence en noix et résoluble avec une dose quotidienne de 50 cents de noix, nous pourrions sauver pas mal de personnes, sans parler des budgets des hôpitaux . La maladie coronarienne reste la plus grande cause de décès en Occident. Aux États-Unis, 700 000 personnes en meurent presque chaque année, ce qui signifie qu'environ 150 000 personnes pourraient théoriquement être encore en vie si elles avaient mangé plus de noix. Et ce n'est qu'aux États-Unis.

    Cela pourrait être rentable (sans parler d'humanité) si notre ministère de la Santé essayait de faire passer le message. Cela semblerait plus raisonnable étant donné que les décès excessifs ont augmenté de 12 à 15 % dans l'Ouest pour d'autres raisons inavouables. Mais alors, les choses sensées ne semblent pas se produire dans les services de santé gouvernementaux.

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  54. Diagramme du cœur humain, je ne dis pas que les noix en soi sont une intervention médicale magique, car il y a beaucoup d'autres choses utiles que nous pouvons faire. Je dis simplement qu'il y a des fruits à portée de main qui intéressent peu nos machines de santé gouvernementales. Le ministre de la Santé ne distribue pas de noix de cajou dans les parkings, ni n'accorde aux plus pauvres des subventions aux noix. Le ministre veut-il vraiment garder les gens hors de l'urgence?

    Personne ne semble former les médecins à demander aux patients s'ils mangent des noix. Mais des médicaments brevetés avec des chiffres de parc de balle similaires (et de nombreux effets secondaires) déroulent le tapis rouge. Nos plus brillants parmi les brillants sont formés pendant six ans pour rédiger des licences spéciales permettant aux personnes d'obtenir ces réponses brevetées et rentables.

    Il y a un modèle ici et toutes les routes mènent à un tas d'argent.

    En ce qui concerne les décès dus aux maladies cardiaques, les grands avantages se situent dans les dix premiers grammes par jour - le simple fait d'amener les personnes qui ne mangent pas normalement de noix à en manger quelques-unes sauvera probablement le plus de vies.

    - voir cadre sur site -

    Figure 6b : Association dose-réponse linéaire (ligne rouge en pointillés) et non linéaire (lignes noires avec intervalles de confiance) entre la consommation totale de noix et de graines et la mortalité par maladie coronarienne (panneau B ; 9 études) dans les études de cohorte, avec 0 g /jour comme référence. Les cercles montrent les estimations de l'effet pour chaque niveau d'apport dans les études individuelles, pondérées par l'inverse des erreurs types. Les axes verticaux sont à l'échelle logarithmique.

    En termes de risque total de maladie cardiaque - qui a toujours un effet important sur la qualité de vie - les avantages semblent s'accumuler jusqu'à 20 g par jour ou même plus.

    CHD, CVD, maladie cardiaque, noix.
    Figure 6a : Association dose-réponse linéaire (ligne rouge en pointillés) et non linéaire (lignes noires avec intervalles de confiance) entre la consommation totale de fruits à coque et de graines et le risque de maladie coronarienne totale (panneau A ; 14 études), avec 0 g/ jour comme référence. Les cercles montrent les estimations de l'effet pour chaque niveau d'apport dans les études individuelles, pondérées par l'inverse des erreurs types. Les axes verticaux sont à l'échelle logarithmique.

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  55. - voir graph sur site -

    Les études sur les associations avec l'alimentation et la mort sont notoirement confondues, mais avec 1,9 million de participants et des durées de suivi allant jusqu'à 23 ans, il existe énormément de données suggérant que les personnes qui mangent plus de noix ont un cœur en meilleure santé. Le papier lui-même a 167 références. C'est un tome.

    Manger des noix et des graines peut réduire le risque de maladie cardiaque
    Par Cara Murez, HealthDay News

    Une façon de réduire le risque de maladie cardiaque : Mangez plus de noix et de graines, selon une nouvelle revue de 60 études.

    Des chercheurs scandinaves ont découvert que la consommation de noix pouvait réduire le risque de crise cardiaque.

    « Si vous mangez une poignée de noix chaque jour, soit environ 30 grammes, vous aurez 20 à 25 % moins de risque de souffrir de maladies cardiovasculaires. En comparaison, les adultes des pays nordiques ne mangent en moyenne qu'environ 4 grammes de noix par jour. Beaucoup ne mangent pas du tout de noix ou de graines », a déclaré le co-auteur de l'étude, Erik Arnesen, chercheur à l'Université d'Oslo.

    Bien que les scientifiques disent que "plus il y en a, mieux c'est", manger quelques noix vaut mieux que rien du tout, a déclaré Arnesen dans un communiqué de presse de l'université.

    Les amandes, les pistaches et les noix semblaient être les meilleures pour réduire le cholestérol. Cependant, les chercheurs ont déclaré qu'il n'y avait aucune preuve concluante pour recommander des types spécifiques de noix plutôt que d'autres.

    "Les noix ont un effet bénéfique sur le taux de cholestérol dans le sang, qu'il est important de maintenir bas afin d'éviter l'accumulation de graisse dans les artères. Cette athérosclérose, comme on l'appelle, est l'un des plus grands facteurs de risque de crise cardiaque », a expliqué Arnesen.

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  56. L'examen a impliqué près de 2 millions de participants. Bien que les chercheurs aient également cherché à savoir si la consommation de noix réduisait le risque d'accident vasculaire cérébral et de diabète de type 2, les résultats n'étaient pas aussi clairs.

    Les noix ne semblent pas affecter la tension artérielle, a déclaré Arnesen. Les chercheurs n'ont pas pu déterminer s'ils affectent la glycémie.

    Mais manger des noix est lié à une amélioration du taux de cholestérol, même si l'examen ne peut pas réellement prouver la cause et l'effet.

    « Grâce à cette revue systématique et à cette méta-analyse, nous pouvons présenter une estimation plus précise des effets réels. Prouver que les noix réduisent le taux de cholestérol fournit une explication crédible du lien entre la consommation de noix et le risque de maladie cardiovasculaire », a déclaré Arnesen.

    REFERENCE

    Arnesen et al (2023) Nuts and seeds consumption and risk of cardiovascular disease, type 2 diabetes and their risk factors: a systematic review and meta-analysis, Food Nutr Res. 2023; 67: 10.29219/fnr.v67.8961.

    Published online 2023 Feb 14. doi: 10.29219/fnr.v67.8961
    Nuts Image by PublicDomainPictures from Pixabay
    Diagram of the Human Heart — Wapcaplet

    https://joannenova.com.au/2023/05/eating-nuts-and-seeds-may-reduce-risk-of-heart-disease/#more-90238

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  57. Inflation en mai 2023 : manger coûte toujours plus cher, +14,1 %

    La publication par l’Insee des données l’inflation pour le mois de mai 2023 confirme qu’elle ne s’assagit pas. La hausse des prix reste supérieure à 5% sur un an, tous produits confondus. L’alimentation continue de voir ses prix grimper, et le tabac devient un des moteurs de la hausse du coût de la vie.


    Par Paolo Garoscio
    le 31 mai 2023 à 11h20


    En janvier 2023, les ventes de produits alimentaires ont baissé de -1,2 % par rapport au mois précédent.

    Inflation à deux chiffres pour les produits alimentaires en mai 2023

    Alors qu’en 2022 la hausse des prix était tirée vers le haut par les prix de l’énergie, depuis 2023 ce sont les produits alimentaires qui voient leurs prix exploser. Mai 2023 n’inverse pas la tendance. Tous produits confondus, les prix de l’alimentation augmentent de 14,1 % sur un an, après 15% sur un an le mois précédent.

    Comme en avril 2023, ce sont les prix de l’autre alimentation qui augmentent le plus vite. Selon les données provisoires de l’inflation en France de mai 2023 publiées par l’Insee le mercredi 31 mai 2023, l’autre alimentation voit ses prix grimper de 14,8 % sur un an. Pour les produits frais, la hausse reste à deux chiffres : 10,4 %. Dépense contrainte des ménages, l’alimentation pèse de fait de plus en plus sur le budget mensuel.

    Une augmentation généralisée des prix en France

    Le tabac devient, en mai 2023, le deuxième moteur de l’inflation, comme en avril 2023. Les fumeurs payent en effet 9,8 % de plus leur addiction qu’en mai 2022. Inversement, l’énergie ne voit ses prix évoluer que de 2 % sur un an, preuve que la crise est passée. Mais la fin des tarifs réglementés du gaz, annoncée pour le 30 juin 2023, pourrait changer la donne. Plusieurs millions de ménages devront en effet changer de fournisseur, et risquent de voir leur facture fortement augmenter.

    Du côté des services, l’Insee annonce une hausse des prix de 3 % sur un an en mai 2023, et de 4,1 % pour les produits manufacturés.

    L’institut de statistiques souligne néanmoins la stabilité des prix entre avril et mai 2023. Ils évoluent même en légère baisse, -0,1 % sur un mois. Insuffisant, néanmoins, pour compenser ne serait-ce que la hausse mensuelle précédente.

    https://www.economiematin.fr/inflation-mai-2023-france-hausse-prix-alimentation-tabac

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  58. ENCORE UN ARTICLE DE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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