- ENTREE de SECOURS -



dimanche 7 mai 2023

LE BOULET - Gérard Lanvin, Benoît Poelvoorde, José Garcia

 

56 commentaires:

  1. « Non, le vaccin antigrippal ne nécessite pas de recherche sur le gain de fonction. Le développement de vaccins contre la grippe implique généralement d’étudier le comportement du virus et de ses souches, d’identifier les souches les plus courantes et de prédire laquelle sera la plus répandue dans la saison à venir. Le vaccin est ensuite mis au point à l’aide de versions inactivées ou atténuées du virus, qui ne nécessitent pas de recherche sur le gain de fonction. La recherche sur le gain de fonction, qui consiste à modifier génétiquement des virus pour les rendre plus infectieux ou mortels, est parfois utilisée pour étudier le virus de la grippe, mais elle n’est pas nécessaire pour la création de vaccins contre la grippe ».

    Si ce n’est pour le vaccin contre la grippe, quel est le but du gain de fonction? La création d’armes biologiques et de vaccins pour les combattre ? Le bilan de tout ça semble horrible.

    Fauci et ses amis continuent d’essayer de clore le récit sur l’épisode du coronavirus. Ils se sont entendus sur le message et font tout ce qui est en leur pouvoir pour le boucler en espérant que tout le monde ira de l’avant. Les grands médias veulent aussi passer à autre chose. Tous les coupables de ce chavirage veulent faire de même, en particulier les élites de tous les secteurs qui ont poussé et célébré la violation massive des Droits de l’Homme. Ils ont tort. Le dossier n’est pas clos et ne le sera pas tant que nous n’aurons pas obtenu des réponses honnêtes.

    Commentaire de votre serviteur. Fauci est un menteur. Il savait parfaitement que l’armée américaine travaille depuis de nombreuses années sur la recherche de gains de fonction et pas seulement sur le SRAS et le MERS depuis 20 ans mais également sur d’autres virus. En toute logique, et c’est la préoccupation d’une armée, si un virus manipulé génétiquement pour être plus infectieux et au mieux mortel, de disposer de vaccins de même que les armées disposaient d’antidotes pour les agents innervants dont l’utilisation n’est que théoriquement interdite. Fauci s’est esquivé en prétendant mensongèrement que cette recherche de gain de fonction faisait partie des travaux de mise au point des vaccins anti-grippaux. Il ne reconnaitra jamais qu’il a lui-même encouragé ce type de recherche. Ses remarques sur les masques sont triviales et non recevables. Enfin il a esquivé maladroitement soutenu l’interdiction de l’utilisation de traitements précoces connus du corps médical chinois depuis l’épisode du SRAS, interdiction émanant de l’OMS et dont la promotion a été faite en France par le Professeur Raoult.

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  2. Pour Fauci les « vaccins » à ARN messager ont été un meilleur choix ! On reconnaît là la mauvaise foi d’un haut fonctionnaire dévoué aux intérêts des grands groupes pharmaceutiques. Tout sent le faux, la fuite, l’esquive dans ce récit. L’origine de la dispersion du coronavirus génétiquement manipulé pour obtenir un gain de fonction dont la finalité était avant même le début de cette pandémie de commercialiser mondialement cette thérapie génique à ARNm dont l’efficacité n’avait jamais été prouvée en tant que « vaccin » mais réservée à des cas cliniques très particuliers avec des résultats très décevants. Fauci savait, il est donc un criminel, il devrait si la justice américaine faisait correctement son travail, terminer ses jours en prison …

    Pour réchauffer l’humeur regardez cette magnifique entrevue du Professeur Raoult, le plus célèbre infectiologue mondial :

    https://www.youtube.com/watch?v=B4hGh8Av6Es&ab_channel=BFMMARSEILLE et celle-ci par André Bercoff https://www.youtube.com/watch?v=J5mliSyi7C0

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/07/il-est-clair-que-quelque-chose-a-mal-tourne/

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  3. Le mathusianisme global va-t-il devenir une réalité quotidienne ?


    le 6 mai 2023


    « Peter Koenig, analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’OMS, a couvert les récents scandales de l’UE. Son verdict : « Il est grand temps d’abolir l’UE. » Selon Koenig, l’un des principaux objectifs de la « Grande Réinitialisation » et de l’Agenda 2030 est « une réduction massive de la population ». Après un peu plus de deux ans de soi-disant « vaccinations » – dont la plupart étaient obligatoires – il y a déjà « des centaines de milliers, voire des millions de décès et de blessures à vie, ainsi qu’une augmentation rapide des fausses couches et de l’infertilité chez les femmes et les hommes ». Et ce n’est que le début, prédit Koenig. La plupart des crimes auront lieu au cours des cinq à dix prochaines années, alors que personne ne pourra croire que les « vaccins contre le coronavirus » sont responsables de la mort de nombreuses personnes. Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer, a mis en garde contre cette éventualité. »

    Peter Koenig, analyste de la géopolitique, ancien économiste auprès de la Banque mondiale et de l’OMS, a analysé les récents scandale qui ont secoué l’Union européenne. Son verdict est sans appel : c’est un agenda de longue durée pour détruire l’Union européenne. Selon lui, l’un des buts principaux buts du « Grand Reset » et de l’ « Agenda 2030 » est une réduction massive de la population européenne. Après deux années se soi-disant « vaccinations », la plupart d’entre elles compulsives, trois à quatre rappels puisque l’épidémie n’était pas maîtrisée, il y a plusieurs centaines de milliers de morts sinon des millions et des séquelles qui vont perdurer durant toute la vie ainsi que des avortements spontanés dont le nombre augmente sans cesse ainsi que des problèmes d’infertilité tant chez les femmes que chez les hommes. Koenig prévient que c’est juste le commencement. La grande majorité de ces décès aura lieu dans les 5 à 10 prochaines années lorsque plus personne ne pourra établir une corrélation avec la « vaccination contre le SARS-CoV-2. Michael Yeadon, ancien vice président de Pfizer et ancien directeur de la recherche dans cette société.

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  4. Quelques semaines après le début de la « plandémie », acronyme signifiant que tout était déjà organisé pour tuer, et longtemps avant que l’on découvre la disponibilité en « vaccins » Bill Gates, l’un des principaux pourvoyeurs de fonds pour l’OMS déclara qu’il fallait que le monde entier subisse une « vaccination » avec un produit qui n’en était qu’au stade expérimental ( https://youtu.be/oQ664m_1wI8 ). La conjugaison de ces divers évènements conforte l’hypothèse d’un véritable complot à l’échelle internationale.

    Tous les pays européens ont suivi les directives de l’OMS et certains gouvernements ont fait preuve de zèle comme par exemple l’utilisation du Rivotril chez les vieillards devenus inutiles et représentant une charge financière pour la société. Hitler avait mentionné cette démarche reprise par Jacques Attali dans le cadre de son projet d’ « économie positive » incluant cette nécessité de réduire le nombre de seniors inutiles pour la société.

    Cette sorte de mafia internationale qui ne cache même plus son penchant pour l’eugénisme, depuis les familles royales britannique, belge et néerlandaise, le Club de Bilderberg et le World Economic Forum avec son école d’endoctrinement des Young Leaders dévoués à Klaus Schwab, le nouveau gourou politique mondialiste, cette mafia, donc, veut devenir le club très fermé des maîtres du monde. La diminution de la population entre dans le cadre du sauvetage du climat, un autre « hoax » repris par les médias du monde entier. Que mes lecteurs me permettent de douter de la réussite de ce projet à moins qu’un autre virus manipulé en laboratoire pour obtenir des gains de fonction, ce qui fait partie de l’agenda des malthusiens, les peuples se révolteront. Comme le disait Emmanuel Todd, je suis comme lui trop vieux pour courir dans la rues et faire la révolution dans le but de capturer tous les politiciens vicieux qui haïssent leurs peuples.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/06/le-mathusianisme-global-va-t-il-devenir-une-realite-quotidienne/

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  5. Des scientifiques désactivent un gène protecteur chez les moustiques


    3 Mai 2023
    Adam Russell, Texas A&M AgriLife Communications*


    M. Kevin Myles, professeur au département d'entomologie, avec des cages contenant des moustiques utilisés dans ses recherches. La dernière étude de M. Myles a révélé des voies immunitaires qui pourraient être désactivées, rendant les moustiques plus sensibles aux maladies qu'ils transportent et transmettent à l'homme.

    Un chercheur de Texas A&M explique l'étude sur la manipulation des gènes des moustiques et la façon dont elle pourrait contribuer à protéger les humains et les animaux.

    Les voies immunitaires qui protègent les moustiques contre les agents pathogènes humains, notamment les virus du Nil occidental, du Zika et de la dengue, ont été désactivées par des scientifiques de Texas A&M AgriLife Research.

    L'étude intitulée « RNA interference is essential to modulating the pathogenesis of mosquito-borne viruses in the yellow fever mosquito Aedes aegypti » (l'interférence ARN est essentielle pour moduler la pathogenèse des virus transmis par les moustiques chez le moustique de la fièvre jaune Aedes aegypti), publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, a montré que l'espèce de moustique vecteur Aedes aegypti devient très sensible à la maladie lorsque la voie immunitaire protectrice est désactivée.

    Cette découverte permet de mieux comprendre les interactions écologiques et évolutives entre les moustiques et les agents pathogènes qu'ils transmettent à l'homme et aux animaux.

    M. Kevin Myles, professeur au département d'entomologie du College of Agriculture and Life Sciences de l'Université A&M du Texas, a déclaré que ces résultats pourraient être utilisés pour contrôler la transmission de nombreuses maladies vectorielles à l'homme et à l'animal. M. Myles a participé à des recherches connexes avec M. Zach Adelman, professeur au département, afin de mettre au point des méthodes d'ingénierie génétique des populations de moustiques. M. Adelman a également participé à cette étude.

    M. Myles explique sa recherche, la motivation de son travail et les impacts positifs potentiels qu'elle pourrait avoir sur la santé humaine et animale ici et dans le monde entier.

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  6. Quel impact cette étude pourrait-elle avoir sur le citoyen lambda, la communauté ou le monde ?

    Le moustique est l'animal le plus mortel de la planète.

    Un historien, Timothy Winegard, a estimé que les moustiques ont été responsables de la mort de près de la moitié de l'humanité au cours de notre existence sur cette planète. La raison en est que les moustiques transmettent des agents pathogènes qui, collectivement, pèsent lourdement sur la santé mondiale en raison de leur prévalence généralisée et de la morbidité et de la mortalité graves qu'ils provoquent chez les humains et les animaux.

    S'attaquer à un problème d'une telle ampleur, qui n'a pas été résolu depuis si longtemps, exige une approche fondée sur la recherche à très long terme, qui est généralement du ressort des grandes universités. Nous espérons que les informations que nous avons acquises dans le cadre de cette étude pourront être utilisées pour élaborer de nouvelles stratégies de lutte contre les maladies transmises par les moustiques.

    Pourquoi cette recherche est-elle importante ?

    Maintenant que nous connaissons l'importance de la réponse immunitaire du moustique dans la transmission des pathogènes viraux, pouvons-nous exploiter ces informations pour lutter contre les maladies chez l'homme et l'animal ? Par exemple, dans le cadre d'autres travaux menés en laboratoire, nous collaborons avec le laboratoire de M. George Dimopoulos de l'Université Johns Hopkins pour voir si nous pouvons augmenter ou renforcer la réponse immunitaire du moustique afin de produire des insectes résistants à l'infection par ces agents pathogènes.

    Nous collaborons également avec le laboratoire de M. Omar Akbari de l'Université de Californie à San Diego pour voir si nous pouvons interférer avec la réponse immunitaire des moustiques de sorte qu'ils développent une maladie lorsqu'ils sont infectés par ces pathogènes.

    Enfin, nous collaborons avec le laboratoire de M. Adelman, au sein du département, afin de développer de nouvelles stratégies de forçage génétique pour modifier génétiquement les populations de moustiques.

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  7. M. Myles décrit le moustique comme « l'animal le plus mortel de la planète ».

    En quoi cela permettra-t-il de mieux comprendre les moustiques et les maladies à transmission vectorielle ?

    Bien que nous sachions que les moustiques transmettent des maladies humaines mortelles depuis plus d'un siècle, nous ne comprenions pas pourquoi les moustiques eux-mêmes ne développaient aucune maladie manifeste lorsqu'ils étaient infectés par ces mêmes agents pathogènes.

    Cette recherche démontre que c'est la réponse immunitaire des moustiques qui les protège de toute atteinte grave lorsqu'ils sont infectés par des virus associés à des maladies humaines.

    Cela soulève maintenant plusieurs autres questions intéressantes. Pourquoi la réponse immunitaire du moustique est-elle plus efficace que la nôtre pour prévenir les maladies ? Si la réponse immunitaire du moustique est capable de prévenir la maladie, pourquoi n'empêche-t-elle pas toujours la transmission de ces virus à l'homme et à l'animal ?

    Comment la technologie aide-t-elle à comprendre la biologie des moustiques ?

    Dans cette étude, nous avons utilisé la technologie CRISPR/Cas9, pour laquelle Mmes Jennifer Doudna et Emmanuelle Charpentier ont reçu le prix Nobel de chimie en 2020, pour supprimer un gène clé impliqué dans la réponse immunitaire antivirale d'Aedes aegypti.

    Avant le développement de méthodes d'édition de gènes telles que celles-ci, il n'aurait pas été possible de réaliser cette étude. La même technologie a permis des avancées rapides dans la conception et le développement de forçages de gènes.

    Bien qu'il reste encore un certain nombre d'obstacles technologiques à franchir, des forçages de gènes sont actuellement développés en tant qu'outils susceptibles de faciliter les projets de génie génétique à grande échelle visant à contrôler ou à modifier les populations de moustiques. Ces outils pourraient nous aider à traduire nos découvertes en nouvelles méthodes de lutte contre les maladies, par exemple en modifiant la réponse immunitaire des populations d'Aedes aegypti.

    Dans quelle mesure sommes-nous sur le point de résoudre les problèmes liés aux maladies à transmission vectorielle ?

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  8. Aujourd'hui, la majeure partie du monde tropical continue d'être en proie à des problèmes chroniques causés par le paludisme, la dengue et toute une série d'autres maladies transmises par les moustiques. Parallèlement, des foyers et des épidémies d'autres maladies transmises par les moustiques, telles que le chikungunya, le Zika et la fièvre jaune, continuent d'apparaître dans le monde entier.

    Cela illustre la lutte constante que nous menons contre les maladies transmises par les moustiques. Malgré tous nos efforts, nous n'avons réussi à combattre le moustique et les agents pathogènes qui lui sont associés que sous la forme d'un statu quo.

    C'est pourquoi nous devons désespérément continuer à essayer de mettre au point de nouvelles stratégies et approches pour lutter contre les maladies transmises par les moustiques. Cela ne peut se faire qu'en comblant les lacunes de nos connaissances sur les moustiques et les agents pathogènes qu'ils transmettent.

    Qu'est-ce qui vous a incité à vous lancer dans ce domaine de recherche ?

    Lorsque j'étais étudiant en microbiologie et que je suivais des cours de virologie, je me suis rendu compte que, tout au long de l'histoire, un grand nombre des virus ayant l'impact le plus important sur la santé humaine étaient transmis par des insectes vecteurs. C'est toujours le cas aujourd'hui. Ainsi, en tant que personne intéressée par une carrière en microbiologie, j'ai été particulièrement inspiré par l'idée d'étudier ces types d'agents pathogènes.

    Comment se déroule ce processus de découverte ?

    Dans la démarche scientifique, personne n'accomplit quoi que ce soit d'important tout seul. Chaque nouvelle découverte ou avancée est le fruit d'un travail d'équipe et s'appuie sur les travaux de nombreuses autres personnes qui l'ont précédée.

    C'est pourquoi je pense qu'il est important de reconnaître les contributions significatives de mes coauteurs et collaborateurs à cet article, ainsi que celles d'autres scientifiques et membres de mon laboratoire qui y ont contribué indirectement.
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    * Source : Scientists Disable Protective Gene In Mosquitoes - Texas A&M Today (tamu.edu)

    Cet article d'Adam Russell a été initialement publié sur AgriLife Today.

    https://seppi.over-blog.com/2023/05/des-scientifiques-desactivent-un-gene-protecteur-chez-les-moustiques.html

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  9. Des progrès ont été accomplis dans la lutte contre le paludisme, mais l'Afrique continue d'enregistrer les taux d'infection et de mortalité les plus élevés


    3 Mai 2023
    Dr Victor Oria, Alliance pour la Science*


    Le paludisme est une maladie mortelle causée par des parasites et transmise à l'homme par des moustiques anophèles femelles infectés.

    Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), environ 247 millions de cas de paludisme ont été recensés dans le monde en 2021.

    Si le pourcentage global de personnes atteintes de paludisme est resté constant au fil du temps, c'est l'Afrique qui porte le fardeau le plus lourd de cette maladie.

    Toutefois, il est important de noter que le pourcentage de personnes vivant avec le paludisme est en baisse depuis 2000.

    - voir graph sur site -

    Les statistiques de 2021 montrent que 95 % des cas de paludisme et 96 % des décès dus à cette maladie sont survenus en Afrique, les enfants de moins de cinq ans représentant 80 % des décès dus au paludisme sur le continent.

    Au fil des ans, nous avons accompli des progrès impressionnants dans la réduction du fardeau du paludisme et des décès qui lui sont associés, grâce à la mise au point de plusieurs traitements et stratégies de prévention du paludisme.

    Il s'agit notamment de médicaments antipaludiques (chloroquine et artémisinine), d'insecticides contre les moustiques (DDT – dichloro-diphényl-trichloroéthane) et de moustiquaires imprégnées d'insecticide.

    Les moustiquaires imprégnées d'insecticide constituent la stratégie de prévention du paludisme la plus efficace en Afrique subsaharienne depuis leur introduction au début des années 90.

    Une étude à long terme (2004-2019) a montré que ces moustiquaires traitées ont permis de prévenir environ 68 % des cas de paludisme en Afrique subsaharienne.

    Les enfants de moins de cinq ans étant les plus touchés dans le monde, nous devons continuer à travailler sur les solutions les plus efficaces pour lutter contre le paludisme.

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  10. Plus de 1,9 milliard de moustiquaires traitées ont été distribuées en Afrique subsaharienne entre 2004 et 2019, ce qui représente environ 36 % des ménages couverts.

    Le nombre de décès dus au paludisme a été réduit de 27,9 % au cours de la même période, passant de 754.000 à 544.000, selon le rapport mondial sur le paludisme publié l'année dernière.

    Il s'agit d'un progrès considérable et toutes les parties prenantes doivent être félicitées pour ces résultats.

    Les enfants de moins de cinq ans étant les plus touchés dans le monde, nous devons continuer à travailler sur les solutions les plus efficaces pour lutter contre le paludisme.

    Si les moustiquaires imprégnées d'insecticide ont constitué une avancée significative dans la prévention du paludisme, elles sont également confrontées à de nombreux défis, notamment l'émergence de moustiques résistants.

    - voir graph sur site -

    En 2021, l'OMS a approuvé le premier vaccin antipaludique, Mosquirix, également connu sous le nom de RTS,S/AS01, développé par GlaxoSmithKline (GSK) pour les enfants âgés de 5 à 17 mois lors de la première vaccination.

    Ce vaccin stimule le système immunitaire de l'enfant pour qu'il agisse contre le Plasmodium falciparum, le plus mortel des cinq pathogènes responsables du paludisme et le plus répandu en Afrique.

    La mise au point de ce vaccin a nécessité plus de 30 ans de recherche, de collaboration et de soutien de la part de différentes organisations et parties prenantes, notamment GSK, la Fondation Bill et Melinda Gates, Wellcome, l'initiative PATH pour un vaccin contre le paludisme, l'Institut de Recherche de l'Armée Walter Reed, des gouvernements et des patients.

    Pourquoi ce vaccin est-il important ? La recherche sur le paludisme compte de nombreux candidats vaccins dont les essais cliniques n'ont pas abouti.

    Si les moustiquaires imprégnées d'insecticide ont constitué une avancée significative dans la prévention du paludisme, elles sont également confrontées à de nombreux défis, notamment l'émergence de moustiques résistants.

    Dans ce contexte, ce vaccin constitue la meilleure avancée depuis des décennies dans la lutte contre le paludisme et un grand pas en avant vers l'équité en matière de santé infantile.

    Le programme pilote de vaccination mené au Ghana, au Kenya et au Malawi a montré que ce vaccin est sûr et facile à administrer et qu'il permet de réduire de manière significative les cas de paludisme grave et mortel.

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  11. Si ce vaccin est déployé avec succès, l'OMS estime qu'il pourrait sauver jusqu'à 80.000 enfants africains par an.

    En attendant le rapport mondial sur le paludisme de 2023, nous espérons découvrir l'effet réel de ce vaccin depuis son déploiement mondial en 2021.

    Une fois vacciné, le système immunitaire de l'enfant reconnaît les protéines du parasite et du virus et produit des anticorps contre eux afin de le protéger contre de futures infections naturelles.

    L'avantage de ce vaccin par rapport aux stratégies de prévention est que la plupart des pays ont mis en place des programmes fiables de vaccination des enfants contre d'autres maladies infantiles mortelles.

    Ce vaccin sera une injection supplémentaire que les enfants recevront dans le cadre de la vaccination de routine.

    Le vaccin Mosquirix est administré par injection dans le muscle de la cuisse ou autour de l'épaule. L'enfant reçoit trois doses à un mois d'intervalle, la quatrième dose étant recommandée 18 mois après la troisième.

    Le principe actif de ce vaccin est constitué de protéines de surface des parasites Plasmodium falciparum et du virus de l'hépatite B.

    Une fois vacciné, le système immunitaire de l'enfant reconnaît les protéines du parasite et du virus et produit des anticorps contre eux afin de le protéger contre de futures infections naturelles.

    À l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, nous devrions apprécier collectivement les efforts déployés pour prévenir et gérer cette maladie.

    Après la piqûre d'un moustique infecté, les parasites du paludisme pénètrent dans le sang et se déplacent vers le foie, où ils peuvent mûrir et se multiplier.

    Ce vaccin limite donc la capacité de ces parasites à se développer dans le foie et à provoquer le paludisme.

    Le vaccin Mosquirix est le premier des nombreux vaccins antipaludiques en cours de développement.

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  12. Les données des essais cliniques de phase 3 montrent que le schéma vaccinal à trois doses offre une protection efficace de 68 % sur une période de six mois.

    La quatrième dose de rappel, administrée 18 mois plus tard, a démontré une efficacité de 44 % contre le parasite du paludisme.

    Ces chiffres sont nettement inférieurs à l'objectif de l'OMS de mettre au point un vaccin antipaludique ayant une efficacité d'au moins 75 %.

    Compte tenu de ces faibles taux d'efficacité, nous devons mettre au point de nouveaux vaccins pour lutter contre le paludisme.

    - voir graph sur site -

    Actuellement, environ 29 vaccins actifs contre le paludisme sont testés à l'échelle mondiale dans le cadre de 77 essais cliniques (17 en phase I, 10 en phase II et un en phases III et IV).

    Sur ces 29 vaccins actifs, 24 sont dirigés contre Plasmodium falciparum et cinq contre Plasmodium vivax. L'un des vaccins prometteurs est le R21/Matrix M1 développé par l'Université d'Oxford, qui est actuellement en phase III d'essais cliniques.

    Les résultats publiés d'un essai clinique au Burkina Faso ont montré que le schéma vaccinal à trois doses avait une efficacité de 77 % chez les enfants africains sur une période de suivi de 12 mois.

    Un monde sans paludisme crée un environnement sûr pour le développement de l'enfant et libère des ressources qui peuvent être réorientées pour répondre à d'autres besoins de santé publique.

    Une dose de rappel administrée un an après le schéma initial à trois doses a maintenu une efficacité élevée contre les parasites du paludisme et continue d'atteindre l'objectif de l'OMS de plus de 75 % d'efficacité du vaccin.

    À l'occasion de la Journée mondiale du paludisme, le 25 avril, nous devrions apprécier collectivement les efforts déployés pour prévenir et gérer le paludisme.

    Un monde sans paludisme crée un environnement sûr pour le développement des enfants et libère des ressources qui peuvent être réorientées vers d'autres besoins de santé publique.

    La lutte contre le paludisme sortira directement les communautés et les pays de la pauvreté chronique sur un continent où le paludisme absorbe jusqu'à 25 % des revenus des ménages et 40 % des dépenses de santé des gouvernements.

    Alors que d'autres vaccins contre le paludisme ne seront disponibles que dans 5 à 10 ans, nous devons tirer parti des stratégies actuelles de lutte contre le paludisme.
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    * Le Dr Victor Oria (PhD) est biologiste spécialiste du cancer au Centre de Recherche et d'Innovation Biotechnologique de Copenhague, au Danemark.

    Source : Progress made in fight against malaria but Africa still has highest infection rates and deaths - Alliance for Science

    https://seppi.over-blog.com/2023/05/des-progres-ont-ete-accomplis-dans-la-lutte-contre-le-paludisme-mais-l-afrique-continue-d-enregistrer-les-taux-d-infection-et-de-mortalite-les-plus-eleves.html

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  13. BigTech, entre effets de manche et imposture. Volonté de connecter le corps humain à Internet.


    MAI 1, 2023
    PAR LHK


    Vidéo source ici: https://www.youtube.com/watch?v=7ell8KEbhJo

    La technoscience fait de grands progrès. Nul doute là-dessus.

    Pourtant, en creusant un peu, on se rend compte qu’entre l’image donnée par les médias de masse et la réalité, il y a de grands écarts. De très grands écarts.

    Entre vérités et mensonges sur fond de percées technologiques, l’agenda vise la transhumanisation des populations; C’est-à-dire leur mutation en humain mécanisé ou robotisé. Pourquoi ? Parce qu’ils ont échoué à humaniser le robot.

    Tout cela devrait passer par le puçage par le cerveau (cf Neuralink de Musk et les assertions de Klaus Schwab à un Darius Rochebin fasciné) de l’humain pris dans les filets de la convergence des technologies NBIC.

    Pour l’instant, les cobayes de Musk décèdent…

    … ce qui ne l’empêche pas de postuler pour passer tout de même en phase humaine.

    Cela dit, je n’exclurais pas qu’il y ait d’autres supports pour connecter le corps humain à l’Internet IoB. On peut supposer que la nanotechnologie pourrait être plus efficace que Neuralink….? A suivre.

    Je vous mets la vidéo de Science étonnante où David décortique avec brio la technologie de ChatGPT. Vous verrez naturellement qu’il manque quelques lacunes de fond au système que TF1 et la RTS n’est pas jugées utiles de vous présenter.

    Au fait, ChatGPT est aux mains de privés. L’entité créatrice est Open AI, dont les fondateurs sont: Elon Musk et Sam Altman. Vous remarquerez la présence d’acteurs de Paypal (paiement numérique) et la société Infosys de la femme du premier ministre anglais.

    Microsoft n’est jamais très loin. Il miserait jusqu’à 10 milliards… (argent facilement obtenu grâce à nos banques centrales phagocytées).

    - voir doc sur site -

    Et tout ce petit monde veut robotiser l’humain et établir avec chaque terrien une connexion permanente via Internet.

    Vous trouverez ci-dessous un article sur le transhumanisme du CNRS de 2018 qui reste cependant très instructif.

    Dernière remarque: Les promesses d’un surhomme qui dépasse l’humain est une arnaque comme bien d’autres qui ne sont jamais réalisées. En revanche, l’asservissement d’un humain connecté en permanence par sa chaire à Internet est une promesse d’asservissement d’ores et déjà garantie.

    LHK

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  14. Transhumanisme : de l’illusion à l’imposture. CNRS


    31.08.2018,
    par Jean Mariani et Danièle Tritsch


    Si les technologies sur lesquelles se fondent les transhumanistes – biotechnologies, intelligence artificielle, neurosciences… – progressent à un rythme très rapide, les prédictions annoncées par ce mouvement ne seraient qu’illusoires et fantasmatiques selon les chercheurs Jean Mariani et Danièle Tritsch qui nous invitent à faire la part entre une « économie des promesses » et de réelles avancées scientifiques.

    Ce billet a été publié une première fois par le Huffpost(link is external), dans le cadre de la journée spéciale(link is external) menée en partenariat avec le CNRS.
    Le transhumanisme est un mouvement qui, en s’appuyant sur les progrès de la biologie et de l’intelligence artificielle, défend l’idée de transformer ou dépasser l’homme pour créer un post-humain, ou un transhumain, aux capacités supérieures à celles des êtres actuels. Cette transformation s’envisage au niveau individuel, mais aussi collectif, conduisant alors à une humanité nouvelle. Différentes facultés physiques ou mentales et cognitives de l’être humain seraient concernées : il verra dans l’obscurité, ne connaîtra plus la fatigue et ne se cassera pas le col du fémur en glissant… Ses capacités intellectuelles seront décuplées et sa mémoire prodigieuse. Équipé d’un exosquelette intelligent, doté de puces dans le cerveau, ce super-homme deviendra plus performant, plus créatif, plus empathique. Son cerveau s’il devient malade sera guéri ou au moins réparé efficacement. Le but ultime ? Fusionner l’homme et l’ordinateur après l’avoir soustrait au vieillissement et à la mort. Illusions, fantasmes, escroquerie, imposture ?

    L’immortalité en bonne santé ne fait plus recette

    « Vivre 300 ans, ce sera un jour possible », titrait L’Express en 2016, commentant le livre de Luc Ferry, La révolution transhumaniste. « La mort de la mort » a été annoncée par Laurent Alexandre, apôtre zélé de ce courant d’idées. Tout cela n’est que fantasmes. Les avancées de la recherche en biologie et en médecine, en particulier dans le domaine du vieillissement, sont réelles mais actuellement insuffisantes pour nous faire vivre si longtemps. Le vieillissement est inéluctable même s’il y a des espoirs sérieux pour qu’il se déroule en meilleure santé, y compris pour la longévité cérébrale. Hélas, les maladies neurodégénératives conduisent souvent à une perte d’autonomie pour des millions de personnes dans le monde. Pour longtemps encore, on soigne mais on ne guérit pas. Les progrès des cinquante dernières années permettent de bien mieux connaître le cerveau mais ils n’ont entraîné que peu de retombées thérapeutiques. Toutes les prédictions annoncées par les transhumanistes sont, pour le moins, fausses.

    L’intelligence artificielle, au cœur de l’actualité

    L’intelligence artificielle (IA) est en plein essor. Elle est partout, dans notre quotidien, la politique, les médias et elle bouleverse notre société. L’IA permet d’énormes avancées technologiques dans de nombreux domaines du quotidien, de la santé, du transport… Elle rivalise – voir dépasse – l’être humain dans la réalisation de certaines tâches. N’a-t-elle pas battu le champion du monde au jeu de go ?!

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  15. Cet engouement pour l’IA conduit à des allégations extravagantes : Ray Kurzweil, le « pape » de la singularité, affirme que grâce à l’IA, l’être humain pourra réparer son enveloppe fragile vouée au déclin et mieux encore, fusionner son esprit avec la machine pour sauter dans les bras de l’éternité. Pourra-t-on un jour « télécharger » le cerveau d’une personne dans une machine ? Pour cela, il faudrait en connaître le fonctionnement, et élucider les différences interindividuelles entre les cerveaux de deux êtres. L’intelligence artificielle ne peut encore « émuler » un outil aussi compliqué, performant et changeant que le cerveau humain. Le plus grand obstacle n’est pas dans les progrès de l’IA mais dans les limites des connaissances biologiques.

    Le cerveau de chaque individu est unique, mais la biologie n’a actuellement rien à dire sur le processus d’individuation du cerveau définissant notre « soi » (le self).

    Transférer l’esprit, les émotions, le sens critique, l’humour ou l’analyse de la pensée d’autrui depuis le cerveau vers une puce afin d’aboutir à une vie éternelle débarrassée d’un cerveau vieillissant, est un fantasme de quelques mégalomanes. Oui, la machine peut être meilleure que l’être humain et mimer un comportement intelligent mais uniquement dans certaines tâches et pas pour tout.

    Qu’est-ce que l’intelligence ?

    Les dangers sont multiples (pour la protection des données, par exemple), mais l’un des arguments contre le transhumanisme consiste à dire que seuls les plus riches auront accès aux technologies augmentatives (implants neuronaux, prothèses bioniques voire modifications génétiques), leur conférant un avantage indéniable. Certes, les technologies – les NBIC : nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives –, sur lesquelles se fondent les transhumanistes, progressent à un rythme qui devrait conduire à une baisse significative de leur coût (le séquençage de l’ADN en est un exemple). Il reste difficile de ne pas voir apparaître deux catégories d’humains : êtres augmentés ou non ; malades ou en pleine forme, immortels ou simples mortels !

    Derrière le mythe transhumaniste s’avance masquée une gigantesque toile d’intérêts économiques..

    La tentation eugéniste est forte ! L’eugénisme de l’intelligence humaine considère le quotient intellectuel, le fameux QI, comme un indicateur fiable de l’intelligence et en infère des prédictions très incertaines sur l’héritabilité de celle-ci. Or, l’intelligence est difficile à définir en tant que telle.

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  16. « Le QI est un curseur, qui mesure UNE des performances de l’intelligence, l’abstraction logico-mathématique et les capacités verbales »

    Beaucoup suggèrent que l’intelligence humaine pourrait être bientôt dépassée par l’intelligence artificielle. Cette peur trahit une incompréhension de ce qu’est l’intelligence humaine. Elle est pluridimensionnelle et non linéaire, chaque type de cognition répondant à un besoin spécifique lié à l’adaptation d’un système biologique à son environnement et à une fonction physiologique. La question du support (corps biologique versus puces en silicium) conditionne et « donne un sens » à la nature profonde d’une intelligence. Les applications dérivées du machine learning seront utilisées par l’intelligence humaine mais ne resteront que des outils mis à notre disposition.

    Marketing de la peur et économie des promesses

    Derrière le mythe transhumaniste s’avance masquée une gigantesque toile d’intérêts économiques. Les transhumanistes sont le pur produit d’une société où les puissances de l’argent, banques, multinationales industrielles et politiques règnent en maîtres. Ils créent une véritable « économie des promesses » que décrit notamment Yves Frégnac1 dans un récent article de revue(link is external)2 (investissons beaucoup d’argent, et ce sera à la fois la disparition des maladies, un cerveau plus performant, l’éternelle jeunesse et l’immortalité). Néanmoins, depuis peu, certains intérêts privés (Google, Facebook, Microsoft, IBM, Amazon) essayent de définir « les bonnes pratiques », notamment sur les questions éthiques.

    Face à ces allégations, il faut prendre un certain recul épistémologique et être conscients de nos biais culturels si nous voulons faire le tri entre les effets d’annonces, les promesses démiurgiques et la réalité des avancées scientifiques. Il ne s’agit pas de refuser d’emblée les implants intracérébraux, la thérapie génique, les prothèses bioniques ou la sélection des cellules souches, mais de rester vigilants quant au rôle systémique des usages qui en sera fait.

    https://lejournal.cnrs.fr/billets/transhumanisme-de-lillusion-a-limposture

    https://lilianeheldkhawam.com/2023/05/01/bigtech-entre-effets-de-manche-et-imposture-volonte-de-connecter-le-corps-humain-a-internet/

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    1. Pourquoi 'vivre 300 ans' et non 'ne vivre que 300 ans ?' Et pourquoi 500 ou 50 000 ans ? Et l'éternité ?!
      Tout simplement que ces mots d'ordres ne correspondent à rien ! L'être humain a aujourd'hui accès à la technologie informatique et peut donc s'en servir (ou pas) pour s'augmenter. Mais le choix de la tutelle est plus 'ordonnance', 'obligation' que ne peut le faire la Démocratie où c'est le Peuple qui juge bon ou pas en son âme et conscience ! Cette 'nécessité' de se soumettre aux cadavres ambulants qui nous dirigent et d'avoir le pouvoir totalitaire.

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  17. Réflexions sur l'état de la « santé mondiale » et les alliances démocratiques par les professeurs
    Schubert et Stelzner


    7 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Les mesures et les campagnes de 'vaccination' au cours de la 'pandémie de Corona' ont apporté les changements les plus drastiques dans la santé des personnes, leur liberté et leurs droits fondamentaux depuis 1945. Les prochaines pandémies et de nouvelles restrictions de la démocratie et des droits fondamentaux sont déjà prévues ou déjà en cours. Il s'agit du transfert d'énormes pouvoirs au directeur général de l'OMS par le biais du traité sur la pandémie et du règlement sanitaire international ainsi que des programmes de l'ONU et de l'UE pour la surveillance et le contrôle des citoyens, la censure, la destruction du milieu l'agriculture de classe et rurale avec le Green Deal de l'UE.

    Au cours des trois dernières années, de plus en plus de personnes se sont informées et sont devenues actives politiquement. La résistance à l'abolition de la démocratie et des droits fondamentaux ainsi qu'à la fausse science et aux traitements médicaux obligatoires malsains s'est accrue.

    Récemment, nous avons remarqué une certaine fatigue et impuissance à continuer à traiter ces sujets, doublée de l'espoir que nous revenons à la "normale". Et cela malgré le fait que le risque de pauvreté augmente et que les dommages sanitaires causés par les campagnes de vaccination deviennent de plus en plus évidents.

    Les médias grand public et les partis et groupes politiques de l'ancienne « gauche » considérés comme résistants sont devenus les incitateurs de ZeroCovid, ZeroEmission, 100 % Vaccination et 100 % Guerre, se taillant une place à l'extrême droite de l'échiquier politique en tant que fantassins. de l'impérialisme et les partisans du corporatisme (voir Benito Mussolini) ont obtenu.

    Depuis le second semestre 2022, de plus en plus de médias se sont ajoutés aux médias, qui, comme TKP, ne sont pas engagés envers les entreprises, les oligarques et le capital financier, mais plutôt envers leurs lecteurs, comme cela est assez bien décrit dans ce fil Twitter :

    Ce sont ces facteurs qui ont conduit à la baisse du lectorat et du soutien financier aux médias, même chez TKP.

    Les choses ne vont pas mieux dans le paysage politique. La plupart des pays de l'UE sont gouvernés par un parti unique composé d'anciens conservateurs tels que la CDU/CSU/ÖVP plus les sociaux-démocrates, les verts et les libéraux, qui ont tous souscrit au néolibéralisme et subordonné leur politique aux intérêts de l'impérialisme américain et de la WEF, qu'il domine. La Hongrie est différente, un parti gouverne ici qui représente les intérêts du peuple hongrois.

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  18. L'excellent texte peut être lu en entier ici:

    Essai-intempestive-considération-1

    https://tkp.at/2023/05/07/betrachtungen-zum-zustand-von-weltgesundheit-und-demokratischen-allianzen-der-professoren-schubert-und-stelzner/

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  19. Des milliards d'argent des impôts : la Commission européenne continue d'acheter de la substance à Pfizer


    7 mai 2023
    par Thomas Oysmuller


    La Commission européenne a longtemps résisté, mais maintenant l'accord d'ARNm avec Pfizer a apparemment été renégocié. Résultat : Pfizer continue de fournir du matériel d'ARNm, l'UE paie des milliards en « frais d'annulation » et passe une nouvelle commande.

    La Commission européenne a commandé des milliards de doses de traitement par ARNm de Pfizer contre Covid. Le plus gros contrat de vaccins de l'histoire de l'UE - de loin. Il s'agit même du plus gros contrat d'achat que la Commission ait jamais conclu avec un groupe - rapporte samedi l'eurodéputé allemand non inscrit Martin Sonneborn. Et il a également donné un aperçu des "renégociations" en cours.

    Lisez une histoire sur les vestiges de la "pandémie", une montagne d'argent des contribuables (et de seringues), la Commission Leyen et le géant pharmaceutique.

    Beaucoup trop d'ARNm
    Sonneborn : « Après deux accords initiaux (novembre 2020 et février 2021) avec Pfizer/Biontech pour l'achat de (au total) 600 millions de doses, il a passé une commande renouvelée pour 900 millions de doses supplémentaires - avec une option pour 900 millions supplémentaires, qui (heureusement) ne s'est jamais déclenché.

    Au troisième tour, 400 millions de canettes ont déjà été livrées – 500 doivent encore être acceptées par les membres de l'UE cette année. La résistance vient d'Europe de l'Est depuis longtemps - tkp a rapporté ici et ici - mais le contrat ne semble pas sortir. Sonneborn fait un rapport divertissant (mais toujours tragique) sur la situation dans l'UE :

    «La Slovaquie et la Lettonie sont prêtes à avaler un tas d'autres délices de la gamme de médicaments (panachés) de Pfizer au lieu du vaccin, peu importe pour les maux de tête et la dysfonction érectile. Et alors que l'Espagne se résigne déjà à faire détruire les stocks excédentaires pour au moins ne plus voir la misère tous les jours, la Grèce a eu l'idée extrêmement anarchiste de simplement déclasser les colis de l'industrie pharmaceutique en retours Amazon et de les renvoyer : "Ça ne rentre pas du tout, la prochaine fois envoie la bonne taille, bye !"

    Un peu de contexte : lors du deuxième tour de l'accord, non seulement le volume a augmenté de 300 millions de doses, mais aussi le prix - tkp avait signalé les 1,8 milliard de doses de vaccin supplémentaires à l'époque. A noter : la quantité commandée a été augmentée, mais le prix aussi. Tout cela était également connu - mais il n'y avait pas d'excitation majeure du public à cause de cela. C'était juste une "pandémie".

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  20. Le contrat a donné à Pfizer un quasi-monopole pour le marché européen des vaccins, le groupe a été dégagé de toute responsabilité et les ajustements de contrat ultérieurs ou les clauses de sortie ont été largement exclus. Tkp a fait de nombreux reportages sur la question. On peut également supposer, mes recherches le confirment également, que les politiciens en particulier avaient promis à Pfizer toutes sortes de cadeaux, car ils voulaient la vaccination « sûre et efficace » le plus rapidement possible. Aucune responsabilité pour le "vaccin" développé à la hâte par Pfizer - dont il a été prouvé qu'il a causé beaucoup de dégâts (on n'en parle tout simplement pas) - même si l'entreprise est "réprimandée" par les autorités et les tribunaux "en moyenne quatre fois par an", en partie à cause de « violations graves de la loi » (Sonneborn).

    Le député a poursuivi :

    "Von der Leyen a apparemment réussi à contourner les négociations contractuelles officielles de l'UE avec l'industrie pharmaceutique, qui devaient être menées selon un protocole défini par des négociateurs et des experts mandatés par la Commission, et les négociations pour ce troisième, le plus grand, le plus cher, le plus Pfizer, qui fausse la concurrence et des plus maladroites, a usurpé les parties cruciales du contrat, en violation de son mandat de présidente de la Commission et en violation des règles de procédure contraignantes pour les fonctionnaires de l'UE.

    Il s'agit du fameux SMS Pfizer entre Leyen et le patron de Pfizer Bourla. En attendant, au moins la justice belge enquête (enfin) . La Commission ne commente pas cela, la presse est presque complètement silencieuse - bien que les membres du Parlement européen disent que cela pourrait être le "plus grand scandale de corruption de l'histoire de l'humanité" .

    Le grand jeu du coquillage
    Sonneborn souligne que les contrats n'ont toujours pas été publiés. A Bruxelles, on aime parler de "transparence" : "Même le parlement et la commission d'enquête ne voient que des copies rendues méconnaissables par le noircissement."

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  21. Sonneborn :

    "Donc, si c'était vraiment l'intention de quelqu'un, 'transparence', 'démocratie'. « Proximité avec le citoyen » et « renforcement » de la « confiance » dans la « politique » (vous avez lu : extraits du discours d'investiture de votre plus haut dirigeant), nous ne pouvons qu'appeler le président de la Commission : LET'S GO. Personne ne vous empêche" ( de publier les contrats et les SMS, ndlr ).

    Peut-être Leyen n'a-t-il pas le temps car la Commission négocie actuellement à nouveau avec Pfizer. À propos du troisième paquet – 900 millions de doses de vaccin supplémentaires : « Encore une fois, à huis clos, dans le cadre de négociations secrètes, sans le public et en contournant leur (propre) responsabilité, l'utilisation des fonds de l'UE pour acheter des produits à un seul fabricant américain dans toute l'UE sera décidé".

    Les 500 millions de doses actuellement en circulation doivent être prises. Selon Sonnenborn, Pfizer insiste pour respecter le contrat et menace de poursuites. Et ce n'est qu'après une pression massive de nombreux États (même l'Autriche !) que la commission a accepté de renégocier : « Le point de départ des renégociations, ce sont les 500 millions de canettes qu'il reste à acheter. Au prix catalogue de 20 euros/dose, cela se traduit par un passif (du contrat laïc conclu en 2021) de 10 milliards d'euros.

    Et puis Sonneborn rend compte d'un jeu de shell spécial (emphase tkp):

    Selon le Financial Times, le contrat renégocié prévoit désormais une réduction du volume de vaccins à acheter de 500 millions de doses à un total de 280 millions . À l'avenir, 70 millions de canettes doivent être achetées par an, la période de livraison étant prolongée jusqu'en 2026. Pfizer est prêt à annuler les unités qui ont été commandées à l'origine mais qui n'ont pas été achetées en échange de « frais d'annulation » de 10 EUR . /dose. Mais seulement si l'UE accepte en retour un prix plus élevé pour les canettes à livrer d'ici 2026. Dans les coins sombres de la cour d'école (et de l'industrie pharmaceutique), cela s'appelle des « frais de flexibilité ».Si nous ne nous sommes pas trompés de calcul, alors avec 220 millions de doses de vaccins à annuler en dérogation au contrat initial, cela fait un montant de 2,2 MILLIARDS d'euros.

    2,2 milliards : frais d'annulation. Pour Pfizer. L'argent des impôts de l'UE.

    Sonneborn plus loin :

    "Dans une déclaration écrite de la commissaire à la santé Stella Kyriakides, il est dit qu'en plus de cette 'réduction significative des doses' (frais d'annulation : 2,2 MILLIARDS), la 'prolongation de notre contrat bien au-delà de 2023' a également été réalisée.

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  22. extension, vous m'avez bien entendu. Selon le dernier projet, la Commission veut s'engager à prendre 70 millions de doses par an d'ici 2026 pour organiser leur "passage à de nouveaux vaccins". Cependant, ceux-ci ne sont plus à rémunérer selon l'ancien (20 euros/injection), mais selon une nouvelle grille tarifaire encore inconnue, qui prévoit un prix supérieur également "ajusté" pour chaque futur vaccin "ajusté". "

    Le résultat de la renégociation est donc :

    220 millions de doses de vaccin en moins (au lieu de 500 millions)
    2,2 milliards d'euros de frais d'annulation
    Une « nouvelle commande » réaffectée de 280 millions de doses pour au moins 5,6 milliards d'euros
    Sonneborn :

    "Ce faisant, il remplace une obligation de paiement existante envers Pfizer de (presque exactement) 10 MILLIARDS d'euros par une obligation de paiement existante envers Pfizer de (au moins) 10 MILLIARDS d'euros. Un jeu de coquille intéressant.

    Conclusion : La Commission reste un grand "partenaire" pour Pfizer. Qu'ils soient vaccinés ou non.

    Voici le message Twitter beaucoup plus détaillé de Martin Sonneborn. Il est toujours un satirique, mais est maintenant beaucoup plus sérieux au sujet de la politique que l'écrasante majorité des députés européens.

    https://tkp.at/2023/05/07/milliarden-steuergeld-eu-kommission-kauft-weiter-pfizer-stoff/

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    1. RAPPEL ! Le virus (nom donné à la poussière !) N'EST PAS nocive ! (sauf les poussières radioactives/ce qui n'est pas le cas présentement).
      Une poussière N'EST PAS A CONFONDRE avec un microbe ! (Lui il est vivant et transporte des maladies).
      Il n'existe donc PAS de 'vaccin anti-poussière' ! Cette poussière (appelé à tort 'corona' puis cocovide19', 'Delta, Charly, Bravo, etc' N'EST PAS dans l'air ! (voir des milliers de laboratoires dans le monde qui examinent tous les jours la qualité de l'air et... qu'ils ne l'ont pas trouvé ! Çà alors !!).

      *

      EXTRAITS D'ARTICLES PUBLIÉS dans 'commentaires':

      huemaurice5 27 avril 2023 à 08:44

      Les virus, inertes ou vivants ?


      Clementine Ducharme
      Transcription

      - voir dessins et photos sur site -

      Les virus, inertes ou vivants ? Plus qu elles ne répondent à cette interrogation, les découvertes récentes replacent les virus dans une position d'arbitre : ne sont vivants que les organismes qui sont infectés par un virus ! Ali Saïb 1. Le virus ATV (pour Acidianus Two-tailed Virus) remet en cause un des dogmes de la virologie selon lequel un virus ne peut se modifier en dehors d'une cellule. En effet, ce micro-organisme qui infecte une archébactérie (Aciadianus convivator) des sources hydrothermales acides peut croître en dehors d'une cellule. En forme de citron lorsqu'il bourgeonne de la cellule (en bas, à gauche), deux bras poussent à chaque extrémité quand la température est comprise entre 75 et 90° C. Ce processus est actif et n'est pas la conséquence d'une simple réorganisation des molécules du virus. Bruno Bourgeois

      La biologie, ou science de la vie, est l'étude des êtres vivants et des interactions qu'ils établissent avec d'autres ou avec l'environnement. Partant, le biologiste se doit de distinguer ce qui est vivant de ce qui ne l'est pas. Cette frontière entre la matière inerte et le vivant est également l'objet d'études d'autres disciplines scientifiques, telles la chimie ou la physique, et reste un sujet de réflexion pour philosophes et religieux. Intuitivement, nous savons distinguer ce qui est vivant de ce qui ne l'est pas: un arbre, un animal sont vivants, un caillou, un livre ne le sont pas. Cette dichotomie qui semble aisée au niveau macroscopique se complique à l'échelle microscopique. Pour nous aider, rappelons les caractéristiques généralement admises pour qualifier un organisme de vivant. Aujourd' hui, plusieurs définitions coexistent, toutes évoluant au gré des progrès des connaissances. Sans tendre à l'exhaustivité, dressons la liste des dénominateurs communs à la plupart des écoles. Ainsi, une entité serait vivante si elle peut utiliser ou créer de l'énergie, si elle se reproduit, si elle échange avec le milieu extérieur, si elle répond à des stimulus, si elle croît, s'il peut exister une variabilité génétique distinguant la génération parentale des descendants.

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    2. Sur ces critères, les bactéries sont des organismes vivants. Jusqu à la fin des années 1970, les organismes vivants étaient classés en deux règnes, les eucaryotes et les procaryotes.
      Schématiquement, les premiers sont caractérisés par une structure intracellulaire complexe, le noyau, séparant le cytoplasme du nucléoplasme où baigne le patrimoine génétique, l'acide désoxyribonucléique (ADN). Cette structure est absente chez les procaryotes, c'est-à-dire les bactéries. Cette répartition des organismes vivants a été bouleversée avec la découverte d'un nouveau groupe d'êtres vivants au sein même des procaryotes, les archébactéries, constituant le troisième règne du vivant. Ces archébactéries présentent en effet des particularités, notamment la nature et l'agencement des lipides membranaires, qui les distinguent des deux autres domaines.
      Ainsi, tout organisme nouvellement recensé dans le grand catalogue du vivant est placé dans l'un de ces trois domaines. Toutefois, les virus posent problème : certains scientifiques les voient comme des structures complexes constituées certes de molécules organiques, mais totalement dénuées de vie; d'autres ont une position opposée, affirmant que les virus sont des organismes vivants. De fait, les virus sont classés en ordres, familles, sous-familles, genres et espèces, à la façon des organismes vivants.



      huemaurice5 27 avril 2023 à 08:44

      Quelle est la raison de cet apparent paradoxe ?

      Nous verrons que des découvertes récentes remettent en question le caractère inerte des virus et rendent floue la frontière entre le vivant et l'inanimé: le parasitisme obligatoire que l'on croyait être l'apanage des virus existe aussi chez les bactéries, des organismes indéniablement vivants; des virus contiennent de l'ARN et de l'ADN, alors que l'on pensait caractériser ces micro-organismes par la présence d'un seul acide nucléique; enfin, certains virus changent de forme en dehors de tout contexte cellulaire (voir la figure 1), ce que l'on tenait pour impossible. Ces découvertes confèrent aux virus un rôle inédit, celui de précurseurs de la vie, et en font même un moyen de définir ce qu est la vie. La complexité du monde viral. Les virus ont été découverts à la fin du XIX e siècle chez les plantes, puis chez les animaux et l'homme au début du XX e siècle. Pour beaucoup, virus et bactéries sont synonymes, tous deux regroupés sous le terme générique de microbes. Pourtant, ces deux types de micro-organismes n'ont quasiment rien en commun. Au début du siècle dernier, admettre l'existence des virus n a pas été chose facile et la virologie a difficilement trouvé sa place dans les manuels de biologie ou de médecine. Alors que la bactériologie connaissait un développement spectaculaire, l'arrivée des virus comme «nouveaux» microbes laissait sceptique et il a fallu attendre la mise au point du microscope électronique dans les années 1930 pour ne plus douter de l'existence de ces agents.

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    3. Dès lors, des virus ont été retrouvés dans les organismes des trois domaines du vivant, chez la plupart des espèces animales et végétales et chez les bactéries. On sait aujourd'hui que les virus existent sous toutes les latitudes, dans tous les milieux. Environ 1000 fois plus petits que les bactéries (nous verrons que ce n'est pas toujours le cas), les virus sont constitués d un acide nucléique (ADN ou ARN), support de l'information génétique virale, protégé par une structure protéique, nommée capside, et parfois une enveloppe lipidique. Malgré ces constituants de base communs, le monde des virus est extraordinairement hétérogène. Les virus présentent une multitude de tailles, de génomes, de cycles réplicatifs différents.



      huemaurice5 27 avril 2023 à 08:44

      À l'inverse de la plupart des bactéries, les virus sont des parasites obligatoires: ils ne se multiplient qu'au sein d une cellule hôte. Pour ce faire, un virus pénètre dans une cellule grâce à une porte d' entrée, un récepteur situé à la surface de l'hôte. Une fois à l'intérieur, le génome viral impose à la cellule une série de tâches qui la condamne à fabriquer des virus, en des milliers d'exemplaires (voir la figure 2). De plus, certains ADN viraux s insèrent dans le patrimoine génétique de l'hôte et sont transmis à chaque génération comme tout gène cellulaire: ce sont des virus endogènes.
      Vus depuis leur découverte comme de simples assemblages de molécules organiques, les virus sont certes capables de parasiter un organisme vivant, mais semblent dénués de vie lorsqu ils sont à l' extérieur d'une cellule. Les virus furent mêmes assimilés à de simples «états virulents des corps organisés». En effet, on avait montré que les virus sont incapables de synthèse protéique, leur petite taille les empêchant de contenir la machinerie nécessaire, et leur patrimoine génétique ne codant pas les enzymes requises par ce processus. De plus, ils ne peuvent croître hors contexte cellulaire. Ils ne contiennent qu'un seul type d'acide nucléique (ADN ou ARN), alors que les deux types coexistent dans tout organisme vivant. Enfin, ils n'ont aucun métabolisme propre, l'énergie nécessaire à leur multiplication étant fournie par l'hôte. Cependant, les virus sont susceptibles de variabilité génétique (c'est pourquoi certains médicaments deviennent inefficaces) et par conséquent peuvent évoluer.

      Ainsi, les virus seraient porteurs de potentialités qui s'expriment seulement lorsque les conditions sont favorables, à la façon d une graine qui peut suspendre son métabolisme pendant des milliers d' années, pour reprendre vie quand les conditions s'y prêtent. Du nouveau chez les virus Le parasitisme obligatoire serait-il un argument recevable pour placer le monde viral hors du vivant ? Non, puisque nous savons aujourd'hui que de nombreuses bactéries, telles les rickettsies, sont totalement dépendantes de leur cellule hôte.

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    4. huemaurice5 27 avril 2023 à 08:45

      Pour ces raisons, les biologistes sont partagés entre placer les virus dans le vivant ou n y voir qu un assemblage chimique complexe, mais sans vie. La récente synthèse chimique du génome d un bactériophage (un virus de bactérie), capable de se multiplier après son introduction dans une bactérie, a ravivé le débat; les uns, menés par Craig Venter, l'auteur de ce virus «artificiel», affirment qu il a été possible de créer la vie en laboratoire, les autres arguent que les virus ne sont pas vivants et que ce n'est donc pas un scoop ! Dotés à la fois des caractéristiques du vivant et du nonvivant, les virus ont été placés à la frontière entre ces deux mondes, dans une sorte de no man's land qui contente Protéine d'enveloppe1 Le virus se fixe à la cellule et y pénètre. Nouvelle particule virale Génome Enveloppe Capside2 Le virus libère son matériel génétique. Enzymes cellulaires Gènes viraux Noyau ADN viral Protéine virale ARN viral Ribosome Protéine native6 . Les nouvelles particules virales s'échappent pour aller infecter d'autres cellules5 . Les protéines virales et l'ADN viral se recombinent pour former de nouvelles particules virales. Cellule hôte3 . Des enzymes de la cellule transcrivent l'ADN viral en ARN et copient également l'ADN viral4 . Les ribosomes, dans le cytoplasme, traduisent l ARN en protéines virales. Bryan Christies Design2. Un virus est un parasite obligatoire. Il pénètre dans une cellule grâce à un ou plusieurs récepteurs à la surface (1). Dès son entrée, il détourne de nombreux acteurs cellulaires pour se multiplier en des milliers d'exemplaires. Certains virus pénètrent dans le noyau (2) et insèrent leur matériel génétique dans celui de la cellule (on parle alors de rétrovirus), obligeant celle-ci à fabriquer des constituants viraux (de 3 à 5). Ces derniers s assemblent en nouveaux virus (des milliers d exemplaires) et quittent la cellule par bourgeonnement (6) ou par destruction de la cellule. 62 POUR LA SCIENCE - N 350 DÉCEMBRE 2006 4 tous les belligérants.

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    5. huemaurice5 27 avril 2023 à 08:46

      Ces deux exemples non seulement montrent à quel point le monde viral est plus complexe qu'on ne le pensait, mais ils remettent également en cause certains dogmes en biologie. On estime qu environ virus différents existent sur notre planète, une diversité infiniment supérieure à celle cumulée des organismes des trois (autres) règnes du vivant. Aujourd'hui, nous en connaissons quelque différents, c'est dire notre ignorance. La caractérisation de nouveaux virus, mais aussi la mise au point de nouvelles techniques toujours plus sensibles, élargiront les limites que nous avons initialement assignées au monde viral et nous conduiront probablement à admettre que les virus sont autre chose que de simples boîtes à génome inertes.

      POUR LA SCIENCE - Virologie 63 5 Eucaryotes Levures Chêne Humains Bactéries Bacillus subtilis Mycobacterium tuberculosis Escherichia coli Archeoglobus fulgidus Mimivirus (Girus ?) Aeropyrum pernix Pyrococcus abyssi Archébactéries 3. Le vivant (en vert) était, jusqu à aujourd'hui, divisé en trois domaines : les eucaryotes, les archébactéries et les bactéries. Depuis la découverte de Mimivirus, certains biologistes ont proposé d'ajouter une quatrième branche (en rose), celle des Girus. Le concept du vivant a toujours été exclusif. Une entité est vivante ou ne l'est pas. Cependant, la biologie nous apprend tous les jours que les conceptions purement dualistes ne sont plus tenables, des «zones grises» étant de plus en plus mises en évidence. Cette vision simpliste nous a déjà conduits à commettre des erreurs.

      L'exemple du feu est révélateur. Il n'y a pas si longtemps, le feu était considéré comme une entité vivante puisque celui-ci répondait aux principaux critères du vivant. Il naît, croît et meurt comme tout organisme vivant. Il se propage et se reproduit grâce à des étincelles, il répond à des stimulus externes comme le vent. Il est doué d un métabolisme, consumant de l'oxygène et produisant des déchets. Le mot «phlogistique» avait même été créé par les physiciens au XVII e siècle pour décrire le principe vital qui l'animait. C'est en comprenant les mécanismes de la combustion que cette conception fut abandonnée, à l'image des travaux de Pasteur, initiés par ceux de Francesco Redi dans les années 1660, qui discréditèrent la génération spontanée. De même, un cristal croît, mais n est pas vivant, alors qu une mule incapable de se reproduire est un organisme vivant. Aussi, définir la vie par une liste de propriétés est une entreprise vaine, puisque ces critères, en constante évolution, sont sujets de discorde. Une frontière en pointillés. Parce qu'objets inertes, on pensait que les virus ne jouaient aucun rôle dans l'évolution. Cette vision est révolue, et certains, comme le virologiste Patrick Forterre, de l'Institut de génétique et microbiologie, à Orsay, affirment que les virus seraient les «inventeurs» de l'ADN. En effet, les capacités remarquables qu ont les virus à modifier leur patrimoine génétique en réponse à l' environnement, en particulier pour échapper aux défenses cellulaires, semblent les avoir conduits à «créer» cette nouvelle forme de matériel génétique dans un monde dominé à l'époque par l'ARN.

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    6. huemaurice5 27 avril 2023 à 08:46

      Les virus inventent à tout moment de nouveaux gènes et de nouvelles fonctions dont nous n avons pas la moindre 200 nanomètres 4. Mimivirus est le plus gros des virus connus : il est plus gros que certaines bactéries ! Outre sa taille, il se distingue par le fait qu il contient deux types d'acides nucléiques (ADN et ARN) alors que les autres virus n'en ont qu'un. idée, mais qui constituent une source d'innovation génétique extraordinaire. À l'image de ces rétrovirus endogènes qui représentent dix pour cent de notre patrimoine génétique, ces gènes viraux constitueraient une réserve de gènes susceptibles d'enrichir, par échanges horizontaux, les génomes des organismes des trois règnes du vivant, alimentant leur propre évolution. Alors, pourquoi ne pas voir dans les virus les «révélateurs» du vivant et qualifier un organisme de vivant si et seulement s'il peut être infecté par un virus ?

      Dans ce cas, se demander si les virus sont vivants équivaudrait à se demander si les constituants d' une cellule sont vivants. La notion du vivant est une notion dynamique, évoluant en fonction de nos connaissances. En conséquence, la frontière entre la matière inerte et le vivant est tout aussi instable. Fondamentalement, la vie est une manifestation de la matière, une propriété émergente issue d interactions complexes de molécules. On peut imaginer un continuum entre matière et vivant plutôt que d'affirmer que ces deux mondes coexistent avec une frontière bien délimitée. Sur cette échelle de vie, les virus exprimeraient des propriétés tantôt proches de l'inerte, tantôt proches du vivant. Dans ce cadre, le concept de vie serait envisagé à l'image de celui de l'énergie, avec des échanges constants entre différents «états du vivant». Chaque entité localisée sur ce continuum aurait la possibilité de s'y déplacer au cours de son existence.

      Ali SAÏB est professeur des Universités et travaille à l'institut universitaire d'hématologie à l'hôpital Saint-Louis, à Paris. P. FORTERRE, Three RNA cells for ribosomal lineages and three DNA viruses to replicate their genomes : a hypothesis for the origin of cellular domain, in PNAS, vol. 103 (10), pp , G. HAMILTON, Virology : the gene weavers, in Nature, vol. 441, pp , M. HARING et al., Independent virus development outside a host, in Nature, vol. 436, pp , D. Raoult, J.-M. Claverie et B. La Scola Auteur & Bibliographie 64 POUR LA SCIENCE - N 350 DÉCEMBRE 2006

      https://docplayer.fr/13387417-Les-virus-inertes-ou-vivants.html

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    7. huemaurice5 27 avril 2023 à 08:46

      Les poussières (virus) n'entrent pas dans la classification de vivants. A l'inverse, les microbes (appelés aussi 'bactéries') sont des vivants.
      Lorsque cet organisme vivant est porteur de maladie il est appelée: microbe.
      Lorsqu'il sert à notre organisme (donc dépourvu de maladie) il est appelé: bactérie.

      Ces poussières (appelées aussi 'virus') sont respirées continuellement. Elles forment (entr'autres) notre squelette.
      Lorsqu'une personne décède ses chairs pourrissent et disparaissent, tandis que demeurent les os (poussières collées) durant des millénaires.

      Mais il y a 'poussière' et 'poussière'. Les poussières que nous respirons toutes et tous sont (généralement) inoffensives. Seules les poussières radioactives sont néfastes à notre organisme.

      Nous respirons toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 virus et des microbes par minutes ! Soit DES milliards depuis ce matin et, DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! (Et... NOUS NE SOMMES PAS MORT(E) !).

      * Virus et micro-organismes (ou microbes) ne sont donc pas des notions de même nature. Elles s'opposent en ce que les microbes sont des organismes vivants, ce qui est contesté pour les virus. Mais leur portée est différente, les micro-organismes (bactéries, archées, levures, protistes, etc.) n'étant regroupés que pour leur taille microscopique, sans que ce regroupement ait un sens en termes de classification des espèces, alors que les virus ont bien des caractéristiques phylogéniques communes, même si le concept d'espèce reste flou pour les acaryotes.: https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus *

      Ces poussières sont absorbées par tous les vivants (humains, animaux ou végétaux), donc comme notre respiration, notre nourriture se compose de milliards de poussières absorbées par les plantes, broutées par les animaux et qui se retrouvent donc dans la viande. Les poissons n'y échappent pas car notre magma émet lui-même des milliards de montagnes de milliards de poussières par seconde et sont donc consommées par les poissons.

      - (A ne pas confondre non-plus avec les virus de l'ordinateur qui sont des programmes et donc non des poussières, et le virus du cinéma, du sport ou de la bonne bouffe !).

      Effectivement on ne peut classer une poussière radioactive dans la catégorie des vivants, comme l'on ne peut classer l'électricité en catégorie des vivants !
      Or, si une poussière radioactive (qu'on appellera 'virus' ou 'becquerel'*) touche une cellule: elle l’irradie et, cette dernière meurt (ou la stimule) et retient la nouvelle définition de 'virus vivant' ! alors qu'elle est morte !
      Donc évitons l'amalgame de dire "les virus, les microbes et les bactéries c'est pareil !"

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    8. * Le becquerel (sans autre unité) caractérise l'activité d'une source globale : être humain : un individu de 70 kg a une activité de l'ordre de 8 000 Bq dont 4 500 dus au potassium 40. Source injectée lors d'une scintigraphie thyroïdienne : 40 × 106 Bq (de l'ordre de 0,5 MBq par kg de poids du patient).
      Le Becquerel (Bq) mesure l'activité de la source radioactive, c'est-à-dire le nombre de noyaux qui, par unité de temps, se transforment et émettent un rayonnement.

      C'est ce magnétisme (radionucléinique) qui le confond avec le vivant comme de dire qu'une pile ou batterie est vivante ! (Une pile irradie, elle se décharge continuellement de son électricité).

      https://huemaurice5.blogspot.com/2023/04/naomi-wolf-plus-de-placentas-normaux.html#comment-form

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  23. Comment les statines réduisent le cholestérol tout en tuant lentement


    6 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Dans un article sur le livre du principal neurologue américain, le Dr. David Perlmutter J'ai cité les découvertes scientifiques qui y sont contenues selon lesquelles un taux de cholestérol élevé protège contre les crises cardiaques et que les LDL sont une protéine de transport pour les acides gras, qui les fournissent entre autres au cerveau. ( Stupide comme du pain - comment les glucides endommagent le cerveau et favorisent la maladie d'Alzheimer )

    À l'inverse, les statines, qui sont utilisées pour réduire le cholestérol depuis leur invention, sont extrêmement nocives non seulement à cause de cela, mais pour d'autres raisons, bien expliquées dans ce fil :

    « Les statines réduisent le cholestérol en bloquant la voie du mévalonate. Il en résulte que les cellules sont privées de substances biochimiques vitales nécessaires à la survie cellulaire (mévalonate). Les statines régulent à la hausse les récepteurs LDL et forcent le cholestérol sérique dans les cellules des organes et des muscles. Cela conduit finalement à l'apoptose (mort cellulaire). Vos chiffres semblent bons, mais vous devez comprendre ce qui se passe réellement.

    Le fait que les statines tuent littéralement les cellules une à la fois semble avoir été négligé.

    «Ce qui s'est passé est assez bien expliqué dans le livre How Statin Drugs Really Lower Cholesterol: And Kill You One Cell at a Time des docteurs James B.Yoseph et Hannah Yoseph.

    Comme le titre de ce livre le suggère, Yoseph et Yoseph ne sont pas des partisans des statines, comme expliqué dans une critique de livre .

    Les premières recherches sur les statines ont été menées par Sankyo au Japon et Merck aux États-Unis et ont stagné lorsque tous les animaux testés ont développé un cancer. La recherche a également clairement montré que les statines agissent en perturbant le métabolisme du mévalonate (voir ci-dessous). Lorsque vous désactivez la voie du mévalonate, l'ADN cellulaire ne peut plus se répliquer. En prime, la cellule meurt.

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  24. Surtout, les chercheurs américains ont surmonté ce sérieux obstacle en jetant par-dessus bord tous les concepts moraux inconfortables et en poursuivant le développement du médicament. Il ne fait aucun doute que les statines réduisent le cholestérol dans le sang. Étant donné que la médecine moderne a si bien réussi à convaincre tout le monde que le cholestérol est la chose à craindre par-dessus tout, il y avait beaucoup d'argent à gagner avec un tel médicament. C'est bien quand vous le vendez, mais pas si bien quand vous l'ingérez. Brown et Goldstein, deux des principaux chercheurs de Merck, ont écrit un article expliquant comment les statines réduisent le cholestérol et ont reçu un prix Nobel pour cela.

    Lorsque Yoseph et Yoseph finissent d'expliquer l'histoire et le mécanisme des statines, il nous reste peu d'options. Soit les médecins qui les prescrivent ne comprennent pas vraiment comment ils fonctionnent, soit ils ne comprennent pas les bases de la biologie cellulaire, soit ils s'en fichent autant que de leurs salaires. Les auteurs soulignent le conflit d'intérêts fondamental dans notre système médical.

    Merck a été contraint de rappeler l'analgésique Vioxx lorsque le nombre de personnes souffrant de crises cardiaques est devenu trop important pour être caché. Vous vous souviendrez peut-être également du fait embarrassant que Merck était au courant de ce problème avant même de lancer le médicament. Les auteurs de ce livre nous rappellent cette débâcle et documentent le même schéma de comportement dans le cas de la lovastatine (la statine la plus vendue de Merck). Les conflits d'intérêts ont entraîné des fautes de la part de Merck et d'autres sociétés pharmaceutiques dans un certain nombre de cas très médiatisés. Cela pourrait également être le cas avec Corona, avec toutes les mesures et avec tous les médicaments qui ont été vendus pour le traitement et la vaccination.

    Le National Cholesterol Education Program (NCEP) soutenu par les NIH a établi des lignes directrices nationales pour réduire le cholestérol avec des statines. Tous les médecins qui ont créé les lignes directrices du NCEP avaient des liens financiers avec les sociétés pharmaceutiques, qui gagnent plus d'argent lorsque les taux de cholestérol recommandés sont plus bas.

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  25. Le chercheur japonais Dr. Akira Endo est crédité d'avoir découvert la première statine. Lorsqu'on lui a demandé pourquoi il ne le prendrait pas pour son propre taux de cholestérol élevé, il a répondu par un proverbe japonais impénétrable : « Le teinturier indigo porte un pantalon blanc ». Pour comprendre cela, il faut savoir que la teinture indigo est toxique. (Pfizer chaf Albert Bourla n'a pas non plus été autorisé à entrer en Israël en 2021 car il était sous-vacciné.)

    Annexe : Le sentier Mevalonate
    Si vous êtes comme moi et que vous n'avez jamais parcouru ou vu le Mevalonatweg, voici une brève explication :

    La voie du mévalonate est une voie métabolique chez les eucaryotes par laquelle, à partir de l'acétyl-CoA, s'effectue la biosynthèse des isoprénoïdes permettant ainsi la formation de stéroïdes et de métabolites secondaires . Après six étapes, le produit final de la voie du mévalonate est le pyrophosphate d'isopentényle (IPP) et le pyrophosphate de diméthylallyle (DMAPP), les matières premières chez l'homme pour la biosynthèse du cholestérol et la biosynthèse des stéroïdes . Certaines parties de la voie du mévalonate se déroulent dans le cytosol et dans les peroxysomes .

    Voici la première étape :

    La voie du mévalonate commence dans les mitochondries avec le transfert d'un résidu acétyle de l'acétyl-CoA à une seconde molécule d'acétyl-CoA. Cet équilibre réactionnel, qui est catalysé par l'enzyme cytosolique acétyl-CoA acétyltransférase (ACAT2), fait également partie de la bêta-oxydation , de la formation et de la dégradation des corps cétoniques et de certains acides aminés .

    Deux molécules d'acétyl-CoA sont converties en coenzyme A et acétoacétyl-CoA et vice versa.

    Je pense que ça suffit, on sauve les 5 prochaines étapes.

    https://tkp.at/2023/05/06/wie-statine-das-cholesterin-senken-und-dabei-langsam-toeten/

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  26. L'OMS met fin à l'urgence corona


    5 mai 2023
    par Thomas Oysmuller


    Fin ! Après presque trois ans et demi, l'urgence mondiale du Covid est levée par l'OMS. Mais il ne saurait être question d'une véritable « fin ».

    Quelques jours après que le masque a également été supprimé dans les hôpitaux autrichiens après près de trois ans, «l'urgence corona» est désormais officiellement terminée. L'OMS a déclaré vendredi que le Covid ne constituerait plus une "urgence sanitaire mondiale".

    Le comité de l'OMS est finalement parvenu à ce verdict jeudi, et le directeur général de l'OMS, Tedros Ghebreyesus, a également accepté. "La pandémie est en recul depuis plus d'un an", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse vendredi. Fin janvier 2020, l'état du salon a été proclamé. Frappant: quelques jours seulement avant que l'OMS n'annonce enfin l'étape, les États-Unis ont également mis fin aux exigences de vaccination pour l'entrée.

    Apprendre pour de nouvelles choses
    Tedros a donné un aperçu approfondi en annonçant la fin de la pandémie :

    "L'une des plus grandes tragédies de Covid-19 est qu'il n'était pas nécessaire d'en arriver là. Nous avons les outils et la technologie pour mieux nous préparer aux pandémies, les détecter plus tôt, y répondre plus rapidement et communiquer leur impact. Mais partout dans le monde, un manque de coordination, d'équité et de solidarité signifie que ces outils n'ont pas été utilisés aussi efficacement qu'ils auraient pu l'être. Nous devons nous promettre, ainsi qu'à nos enfants et petits-enfants, que nous ne ferons plus jamais ces erreurs."

    Une publicité pas si subtile pour le traité pandémie et la réforme de l'OMS.

    Ce tweet provient d'un « partisan de l'action ». Mais les chiffres montrent très bien la crise mise en scène artificiellement.

    Peut-être les projets législatifs en cours en Autriche pourraient-ils également être considérés sous cet angle. Encore un mot :

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  27. Voici une "loi permanente Covid" en bonne voie - comme je l'ai formulé en dernier. Incidemment, un blogueur politique de Telegram m'a critiqué pour cette formulation. Ce serait presque aussi manipulateur que l'on pourrait s'y attendre de la part du courant dominant. Je voudrais savoir ce que cela devrait être autre qu'une "loi Covid permanente", d'autres tests de symptômes et de vaccination sont financés au prix des impôts.

    Bien sûr, la loi n'aura pas d'impact direct sur la vie des Autrichiens. Cependant, le "Covid-19 Transfer Act" ne rend pas permanents le suivi Covid (pourquoi au fait ?) et les tests gratuits par le médecin en cas de symptômes. Dans sa déclaration, Madeleine Petrovic souligne clairement qu'une extension de la loi épidémique est déjà insérée dans le projet de loi, avec des normes qui étaient impensables avant Covid étant désormais inscrites dans la loi comme une possibilité fondamentale. Cela correspond - coïncidence ou non - avec justesse à la formulation de Tedros selon laquelle certains "instruments" devraient être utilisés plus efficacement à l'avenir.

    D'après la déclaration de Madeleine Petrovic.

    Covid est maintenant officiellement terminé. Les conséquences de la manœuvre, qui a commencé en mars 2020, se feront sentir longtemps dans le monde entier. En Autriche, où le virus (et ses agents, les Schwurbler) ont été particulièrement poursuivis avec enthousiasme, a fortiori. Ces projets législatifs en cours sont également inclus ici. Cela n'a rien à voir avec "l'anxiété" - comme l'écrit le blogueur de Telegram - mais avec une formulation pointue à regarder derrière le voile d'une conférence de presse.

    "L'anxiété" vient d'en haut - par exemple de l'OMS. Tedros a déclaré lors de la conférence de presse :

    « Covid-19 a laissé de profondes cicatrices sur notre monde et continue de le faire. Ces cicatrices doivent servir de rappel constant que de nouveaux virus peuvent émerger avec des conséquences dévastatrices. »

    Brrr peur, la prochaine pandémie est inévitable.

    Pas de peur non.

    https://tkp.at/2023/05/05/who-beendet-corona-notstand/

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  28. Allemagne : forte demande d'orientation vers un traitement pour le syndrome post-vaccinal

    5 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Début avril, plus de deux ans après le début de la campagne de vaccination, la Bavière a enfin mis en place une hotline pour les personnes concernées par la vaccination. Sans surprise, il a été immédiatement fortement surchargé. TKP signalé .

    La ruée a été si massive que seulement un tiers des appels ont pu être traités. Un autre point de contact est le Corona Vaccination Damage Assistance . Dans une émission, il a été annoncé que les capacités du serveur avaient été plus que doublées afin de pouvoir trouver rapidement et automatiquement un thérapeute adapté pour ceux qui avaient été vaccinés via un portail.

    Les quelques cliniques spécialisées dans le traitement des personnes vaccinées, comme l'hôpital universitaire de Cologne, Marburg ou la Charité à Berlin, sont complètement débordées et ont des milliers d'inscriptions sur leurs listes d'attente. L'hôpital universitaire de Cologne n'avait déclaré qu'en mars : « En raison de capacités épuisées, malheureusement, aucun autre patient suspecté de syndrome post-Covid ne peut être admis pour le moment . » Et ce n'est pas tout, qui souffre des conséquences d'une vaccination contre le Covid, le le soi-disant syndrome post-Vac, selon la clinique, est généralement rejeté.

    Pour Markus Bönig, entrepreneur social et directeur général de l'association de soins médicaux MBV basée à Jesteburg en Basse-Saxe, c'est un signe de pauvreté. " Nous vivons actuellement comment notre système de santé atteint à nouveau ses limites face à toute la problématique du COVID. Il y avait une capacité de vaccination de masse de la population, mais quiconque a des problèmes après la vaccination ne recevra aucune aide. »

    Entre autres choses, la Medical Treatment Association gère le portail Corona Vaccination Damage Assistance (www.corona-impfschaden-hilfe.de), qui est spécialisé dans l'aide aux patients qui souffrent de problèmes de santé après une vaccination contre le COVID-19. Cela se fait, entre autres, grâce à la médiation de médecins et de thérapeutes compétents spécialisés dans le traitement des conséquences de la vaccination. Les histoires de souffrance de ces patients sont toujours similaires : une ou plusieurs vaccinations corona, des conseils médicaux et des informations insuffisants sur sa propre capacité de vaccination ou d'éventuels effets secondaires et au final des problèmes de santé parfois graves dont personne ne veut alors rien savoir. "Nous constatons que ces personnes atteintes du syndrome post-vac ont vécu de véritables odyssées et ne sont entendues nulle part",

    https://tkp.at/2023/05/05/deutschland-vermittlung-von-behandlung-fuer-post-vakzin-syndrom-stark-nachgefragt/

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  29. Remdesivir, un médicament tueur


    5 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Le remdesivir fait partie des médicaments apparus très tôt, très chers, et qui ont été utilisés pour interdire tous les autres traitements réellement efficaces. Aux États-Unis seulement, le remdesivir aurait tué 100 000 personnes.

    Difficile de croire que malgré son inutilité et les risques graves qu'il fait peser, le remdesivir reste un traitement standard du Covid dans les hôpitaux. Et cela malgré les poursuites judiciaires croissantes de membres de la famille affirmant que le remdesivir a tué leurs proches et John Beaudoin appelant à une enquête criminelle , citant des données montrant que le remdesivir pourrait avoir tué 100 000 personnes en Amérique.

    Les résultats des essais sur le remdesivir et l'utilisation réelle de ce médicament au cours des trois dernières années prouvent que cet "antiviral" n'est rien de plus qu'une arnaque mortelle.

    Sur Substack, Brucha Weisberger a compilé toute une série d'études qui montrent l'inutilité et la dangerosité de la préparation de Gilead Sciences.

    Remdesivir dans les études

    L' étude, intitulée A Randomized, Controlled Trial of Ebola Virus Disease Therapeutics, publiée dans le NEJM en décembre 2019 , montre plus de décès (53,1%) dans le groupe de traitement par remdesivir que dans tout autre groupe. Remdesivir n'a pas été développé à l'origine pour Covid, mais est un médicament antiviral général qui n'est apparemment pas inoffensif.

    Une étude du Lancet de mai 2020 intitulée " Remdesivir chez les adultes atteints de COVID-19 sévère : une étude multicentrique randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo" chez des patients adultes hospitalisés pour COVID-19 sévère n'utilisant pas de remdesivir associé à un bénéfice clinique statistiquement significatif.

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  30. Dix-huit (12 %) patients ont arrêté prématurément le remdesivir en raison d'événements indésirables contre quatre (5 %) patients qui ont arrêté le placebo.

    docteur Paul Alexander donne plus d'informations sur l'étude du Lancet mentionnée ci-dessus :

    Cette étude a été arrêtée prématurément en raison d'un manque de bénéfice clinique et d'événements indésirables.

    La publication LANCET de Wang et al. (mai 2020) paru le matin où le Fauci-NIH a publié l'étude frauduleuse (BW : voir ci-dessous).

    L'étude (Lancet) a été cachée et dissimulée par les médias, le CDC, le NIH et la FDA.

    Une étude frauduleuse du NIH/Faucis NIAID conçue pour obtenir l'approbation du remdesivir est également apparue dans le NEJM intitulée "Remdesivir for the Treatment of Covid-19 - Final Report" .

    Il a été financé par le fabricant du Remdesivir Gilead. Dans le chapitre « Financement et divulgation », nous lisons :

    L'étude a été parrainée et principalement financée par le NIAID, National Institutes of Health (NIH), Bethesda, MD.

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  31. Le docteur Chu rapporte avoir reçu des honoraires de conseil de Merck et GlaxoSmithKline, des subventions de Sanofi Pasteur et du matériel de recherche de Cepheid, Ellume et Genentech ; docteur Luetkemeyer a reçu des subventions de Gilead à l'Université de Californie à San Francisco ; docteur Paredes a reçu des subventions et des honoraires de conseil de Gilead Sciences, Merck Sharp and Dohme et ViiV Healthcare ; docteur Touloumi a reçu des bourses de Gilead Sciences Europe ; docteur Benfield reçoit des subventions de Pfizer, de la Fondation Novo Nordisk, de la Fondation Simonsen et de la Fondation Lundbeck, des subventions et des honoraires de consultation de GlaxoSmithKline, des subventions et des honoraires de conférencier de Pfizer, des honoraires d'enseignement de Boehringer Ingelheim, des subventions et des honoraires d'enseignement de Gilead, ainsi que l'enseignement et honoraires de consultation de Merck Sharp et nain docteur Fätkenheuer, qui reçoit des subventions, des honoraires de conseil et des frais de déplacement de Gilead Sciences et Janssen, et des subventions et des honoraires de conseil de Merck Sharp et Dohme et ViiV Healthcare ; docteur Kortepeter, qui reçoit des honoraires de consultation et de conseil pour Integrum Scientific ; docteur Pett, qui reçoit des subventions de Gilead Sciences et ViiV Healthcare ; et docteur Osinusi, qui travaille chez Gilead Sciences. Aucun autre conflit d'intérêts potentiel lié à cet article n'a été signalé. qui est employé par Gilead Sciences. Aucun autre conflit d'intérêts potentiel lié à cet article n'a été signalé. qui est employé par Gilead Sciences. Aucun autre conflit d'intérêts potentiel lié à cet article n'a été signalé.

    docteur Alexander explique l'étude frauduleuse qui était censée faire approuver le remdesivir :

    Ils ont commis une erreur méthodologique en modifiant le critère d'évaluation principal du protocole car ils n'ont constaté aucun avantage en termes de mortalité, etc., les résultats qui sont importants pour les patients. Ce matin également, l'étude LANCET de Wang et al. publié montrant que le remdesivir échoue et est très, très nocif. Il y a aussi eu l'échec de l'étude Ebola avec des dégâts massifs et des décès dus au remdesivir. Ils ont donc remplacé le critère de jugement secondaire par le critère de jugement principal, le délai de récupération clinique… et non plus les résultats pertinents pour le patient comme le décès ou l'hospitalisation, etc.

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  32. docteur Le 24 février 2022, Pierre Kory a écrit sur les raisons pour lesquelles les hôpitaux sont si dépendants du remdesivir :

    Le remdesivir a pris la première place des dépenses hospitalières en médicaments en 2021 : Gilead a réalisé 4,2 milliards de dollars de ventes au cours des neuf premiers mois seulement. Le problème est, au mieux, que le médicament ne fonctionne pas.

    Malgré les preuves initiales que le remdesivir pourrait raccourcir légèrement le temps de récupération, l'Organisation mondiale de la santé a mené une analyse à grande échelle qui a révélé que le remdesivir avait peu ou pas d'effet sur les patients hospitalisés atteints de Covid-19, comme en témoignent la mortalité toutes causes confondues, l'initiation de la ventilation et durée du séjour à l'hôpital.

    Dans le pire des cas, cependant, le remdesivir est nocif. Une analyse ultérieure de la base de données de sécurité de l'agence a révélé que le médicament est susceptible de provoquer une insuffisance rénale, et lorsque des études indépendantes (non sponsorisées par une société pharmaceutique) sont analysées seules, il existe une nette tendance statistique à la nocivité. L'OMS avertit également que le médicament peut être lié à une augmentation des problèmes de foie.

    Comment est-il possible qu'un médicament inefficace et potentiellement dangereux qui est rarement utilisé dans le monde ait reçu plus d'argent des hôpitaux américains que tout autre médicament ?

    La réponse réside dans le fait que notre système d'approbation des médicaments est défectueux. Elle favorise les traitements coûteux, brevetés, souvent peu utiles ou dangereux sans le savoir, fabriqués par notre industrie pharmaceutique, au détriment des médicaments génériques connus, plus sûrs et moins chers - et, en fin de compte, des patients.

    Une constatation qui n'a jamais été aussi valable qu'elle l'a été depuis que l'OMS a déclaré la pandémie de corona. Cependant , dire que le système d'approbation est « défaillant » est une paraphrase très polie, « travailler dans l'intérêt des produits pharmaceutiques » serait probablement plus exact.

    https://tkp.at/2023/05/05/killer-medikament-remdesivir/

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  33. La vaccination C19 provoque des lésions oculaires pouvant aller jusqu'à la cécité


    5 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Une grande étude multicentrique très bien faite confirme désormais la crainte que les vaccins C19 n'endommagent également les yeux. L'étude, publiée dans Nature, montre un doublement des occlusions vasculaires rétiniennes jusqu'à plus de deux ans après la vaccination.

    Des scientifiques sérieux comme Sucharit Bhakdi, Mike Yeadon et bien d'autres ont mis en garde contre de graves dommages vasculaires dès 2020, lorsqu'on a appris comment fonctionnaient les vaccins prévus. Les préparations génétiquement modifiées sont conçues de manière à ce que les protéines de pointe soient distribuées rapidement dans la circulation sanguine dans tout le corps, y compris le cerveau et la moelle osseuse.

    Lorsque la pointe et ses porteurs sont transportés dans le sang, nombre d'entre eux peuvent se loger dans les cellules des parois des vaisseaux et commencer à se multiplier. Cela se produira principalement là où le sang coule lentement, c'est-à-dire dans les plus petits vaisseaux sanguins, les capillaires. Le système immunitaire réagit en détruisant les cellules affectées, causant ainsi des blessures.

    Des microthrombus et d'autres dommages thrombotiques en sont le résultat. Bien sûr, ceux-ci sont particulièrement dangereux pour le cerveau et le cœur, voire pour les yeux.

    L' étude, intitulée "Évaluation du risque d'occlusion vasculaire rétinienne après la vaccination contre le COVID-19 ", a été publiée le 2 mai 2023.

    Le résumé résume les résultats comme suit :

    Les personnes vaccinées contre la COVID-19 présentaient un risque plus élevé de toutes les formes d'occlusion vasculaire rétinienne dans les deux ans suivant la vaccination, avec un risque relatif global de 2,19 (intervalle de confiance à 95 % 2,00-2,39). L'incidence cumulée de l'occlusion vasculaire rétinienne était significativement plus élevée dans la cohorte vaccinée par rapport à la cohorte non vaccinée à 2 ans et 12 semaines après la vaccination.

    Le risque d'occlusion vasculaire rétinienne a augmenté significativement au cours des 2 premières semaines après la vaccination et a persisté pendant 12 semaines. De plus, les personnes ayant reçu les première et deuxième doses de BNT162b2 et d'ARNm-1273 présentaient un risque significativement accru d'occlusion vasculaire rétinienne deux ans après la vaccination , alors qu'aucune différence n'a été constatée entre la marque de vaccin et la dose. Cette vaste étude multicentrique renforce les résultats des cas précédents. Les occlusions des vaisseaux rétiniens peuvent ne pas être une découverte fortuite après la vaccination contre la COVID-19.

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  34. Le graphique montre la comparaison entre vaccinés et non vaccinés :

    - voir graph sur site -

    (A) Une occlusion vasculaire rétinienne, (B) une occlusion d'une artère rétinienne, (C) une occlusion d'une veine rétinienne, (D) une occlusion d'une artère centrale de la rétine et (E) une occlusion d'une veine centrale de la rétine .

    Kevin McKernan souligne dans un tweet qu'il existe également un lien avec les impuretés d'ADN contenues dans les préparations . Cela avait déjà été montré dans une étude publiée en 2017 intitulée "L'ADN double brin induit un phénotype prothrombotique dans l'endothélium vasculaire". Nous avons rendu compte ici de l'ADN contenu dans les seringues : ADN et composants bactériens détectés comme impuretés dans les vaccins à ARNm .

    https://tkp.at/2023/05/05/c19-impfung-verursacht-augenschaeden-bis-hin-zur-blindheit/

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  35. L'interdiction de l'ivermectine levée en Australie


    5 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    L'ivermectine a été prescrite environ 3,7 milliards de fois depuis 1987 pour le traitement et la prévention de diverses maladies. En 2015, son inventeur a reçu le prix Nobel de médecine humaine. Néanmoins, il est interdit, comme en Australie, et les médecins prescripteurs sont persécutés, menacés et interdits d'exercice de leur profession. Et une campagne médiatique centralisée a été lancée au moins dans tous les pays des "valeurs occidentales" pour le diffamer comme un "vermifuge pour chevaux".

    En Australie, l'interdiction d'un traitement efficace à l'ivermectine est désormais levée. L'interdiction de la prescription hors AMM du médicament antiviral est en place depuis plus de 18 mois. La Therapeutic Goods Administration (TGA) a récemment annoncé qu'à partir du 1er juin 2023, les médecins pourraient prescrire de l'ivermectine hors AMM.

    Comme le rapporte Rebekah Barnett , la TGA a déclaré à l'époque que la restriction était nécessaire car :

    Les gens seraient à risque s'ils prenaient de l'ivermectine au lieu de se faire vacciner

    Les personnes qui ont pris de l'ivermectine peuvent ne pas se faire tester ou consulter un médecin si elles présentent des symptômes

    Des doses d'ivermectine plus élevées que celles généralement recommandées pour les utilisations approuvées ont été promues sur les réseaux sociaux.

    La demande d'ivermectine avait été multipliée par 3 ou 4 et la TGA craignait qu'une pénurie ne frappe les personnes qui en avaient vraiment besoin.

    Ainsi, au lieu de lancer une campagne de sensibilisation à l'échelle nationale et de recommander au gouvernement australien de dépenser quelques millions de dollars pour augmenter le stock national d'ivermectine, la TGA a effectivement interdit le médicament pour toutes les maladies sauf un petit groupe.

    Le point de vue d'un médecin

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  36. Un médecin australien qui préfère rester anonyme a été suspendu par le régulateur AHPRA pour avoir prescrit de l'ivermectine hors AMM pendant la pandémie. Il en parle

    "Je pense que la restriction de la prescription de l'ivermectine en dehors des indications approuvées était malhonnête dès le départ. Il a toujours été question d'amener les gens à se faire vacciner en éliminant une option de traitement légitime hors AMM. Cette décision a pénalisé les Australiens pour s'être renseigné et s'être renseigné sur les preuves scientifiques à l'appui de l'ivermectine.

    La levée de l'interdiction est une bonne décision et il semble que les médecins puissent retrouver pleinement leur droit aux prescriptions hors AMM.

    Cependant, la question demeure de savoir si des vies ont réellement été perdues à la suite de la restriction de l'ivermectine par la politique. »

    Cette interdiction de l'ivemectine est toujours en attente de révision, tout comme les autres mesures contraires aux preuves et néfastes pour la santé, telles que les confinements, les masques obligatoires, les vaccinations obligatoires, etc.

    https://tkp.at/2023/05/05/ivermectin-verbot-in-australien-aufgehoben/

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  37. L'Autriche entame un processus de moquerie de Covid-19


    4 mai 2023
    par Thomas Oysmuller


    Alors que des faits juridiques sont créés, le gouvernement autrichien entame une prétendue réévaluation comme un spectacle pour le public. Mais le processus de réconciliation semble être davantage un processus de moquerie.

    En fait, on a le désir d'ignorer ce spectacle politique. Mais même cela ne changerait rien. Trois ministres (le ministre de la Santé Johannes Rauch, la ministre constitutionnelle Karoline Edtstadler, le ministre de l'Éducation Martin Polaschek) ont annoncé le début lors d'une conférence de presse jeudi : Le "processus de réconciliation Covid-19" commence. C'est comme ça qu'on l'explique à la population avec toutes sortes de phrases politiques.

    spectacle du gouvernement

    Le "traitement" est dirigé par l'Académie autrichienne des sciences. Tkp a déjà rendu compte de ce qui se passait au sein de la vénérable société savante : là, ils étudient des sujets tels que "l'opposition à la vaccination et les théories du complot". Comme si cela ne suffisait pas pour être sûr de la partialité des acteurs, le gouvernement autrichien a également fait appel à Alena Buyx, présidente du Conseil d'éthique allemand. Désormais, la "politique corona" doit être traitée de manière empirique et des études de cas scientifiques doivent être élaborées.

    L'idée de Buyx sur l'éthique est bien connue : elle a par exemple plaidé pour la 3G "d'un point de vue éthique" car elle offrirait "plus de participation". Et "personnes non vaccinées" signifierait "beaucoup plus de danger pour les autres".

    Buyx n'est pas intéressé par un bilan cohérent. Commentant sa position plus tôt cette année, Julian Reichelt a déclaré :

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  38. "Quiconque prône une révision fondamentale de la politique corona, qui exige des conséquences personnelles et, si nécessaire, juridiques, est donc un ennemi de la démocratie, selon Buyx."

    Alors que la politique commence un nouveau spectacle pour les médias et le public, les faits se créent en arrière-plan. La "Covid-19 Vaccination Financing Act and Covid-19 Transfer Act" crée la base juridique d'une loi permanente sur le Covid. Johannes Rauch a de nouveau annoncé une nouvelle loi épidémique. Car la loi existante n'était "pas suffisante pour la pandémie".

    Tous les partis, à l'exception du FPÖ, ont rejeté un comité clandestin. Une telle procédure de contrôle parlementaire aurait été le strict minimum pour un véritable « traitement ». Mais tel qu'il est, le « processus de réconciliation » est en fait un « processus de moquerie ». Ses acteurs seraient eux-mêmes un cas de réévaluation.

    Le spectacle coûte environ un demi-million d'euros. Les « résultats » doivent être présentés à l'automne.

    https://tkp.at/2023/05/04/oesterreich-startet-covid-19-verhoehnungsprozess/

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  39. Souvenirs déformés des recommandations pour les mesures corona


    4 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Depuis quelques mois, on constate un phénomène intéressant chez les politiciens et les « experts » : leur mémoire de ce qu'ils ont dit et fait pour inciter les gens à se faire vacciner, se masquer et s'isoler apparaît fortement faussée. Dites le moins.

    Alors que la société ordinaire reconnaît de plus en plus les dommages considérables causés par les mesures sans précédent contre les coronavirus, les responsables des politiques désastreuses semblent avoir du mal à se souvenir précisément de leur contribution à cette folie. Un exemple de ce phénomène est un article d'opinion récent dans le British Medical Journal rédigé par quatre éminents psychologues du gouvernement/scientifiques du comportement, dans lequel ils affirment que la campagne de peur flagrante observée au cours des trois dernières années n'a rien à voir avec eux.

    Malgré le fait qu'il était déjà clair en mars 2020 que le SRAS-CoV-2 ne présentait pas de risque plus grand que la grippe pour la grande majorité de la population, la peur du public a été alimentée de manière disproportionnée. Je me souviens des études et publications de Ioannidis, Levitt, Roussel, Wu, Streeck, dont TKP avait déjà rendu compte le 10 avril 2020 .

    Les dommages collatéraux de cette inflation de la peur, tant sur la santé physique que mentale, ont été importants. Même les données de l'OMS montrent en un coup d'œil les conséquences négatives des masques, du confinement, des fermetures d'écoles et d'entreprises, des exigences de distance et de la peur :

    - voir graph sur site -

    Tous les paramètres - "cas", hospitalisations, admissions en USI et décès - se sont détériorés au cours de l'année 2020, selon les données de l'OMS.

    Les quatre auteurs de l'article - les professeurs Reicher, Michie, Drury et West - étaient tous membres du Scientific Pandemic Insights Group on Behaviors (SPI-B), un sous-groupe du SAGE qui aide le gouvernement à maximiser l'impact de ses La communication Covid-19 a conseillé de promouvoir le respect des restrictions et l'acceptation du lancement du vaccin associé. Ce qui s'est passé au Royaume-Uni et rapporté par les quatre professeurs du BMJ est typique de ce qui s'est passé dans presque tous les pays du monde, à quelques exceptions près comme la Suède, la Biélorussie, la Tanzanie ou le Burundi. (Les présidents des deux pays africains n'ont cependant pas survécu à leur dissidence.)

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  40. Dans un article intitulé " La tentative du gouvernement britannique d'encourager les gens à adopter un comportement favorable à la santé a été en contradiction avec leurs conseils ", Reicher et al. soutiennent que la littérature de recherche montre que la peur est un outil inefficace pour " comportement de protection de la santé" et que, en tant que scientifiques empiriques, ils ne recommanderaient donc jamais une telle approche. Au lieu de cela, disent les auteurs, ils ont exhorté le gouvernement à utiliser la méthode la plus efficace pour renforcer l'"auto-efficacité" des Britanniques en leur donnant les moyens de suivre les conseils de santé publique.

    À l'appui de cette stratégie, ils citent des recherches concluant que « les appels à la peur doivent être utilisés avec prudence car ils peuvent se retourner contre eux si le public ne croit pas qu'ils peuvent efficacement éviter une menace ». Quant au procès-verbal incriminant de la réunion du SPI-B du 22 mars 2020, qui stipule : « Le sentiment de menace personnelle doit être accru chez ceux qui sont complaisants grâce à l'utilisation de messages émotionnels puissants », ils le font dans le cadre d'un examen des options de persuasion possibles.

    En Autriche, on se souvient encore de l'affirmation absconse de l'apologiste du WEF et chancelier à court terme Sebastian Kurz selon laquelle " bientôt tout le monde connaîtra quelqu'un qui est mort du Covid ". En Allemagne, c'est le tristement célèbre document stratégique du ministère de l'Intérieur qui a élaboré les scénarios de peur. Dès le 22 mars 2020, un document de stratégie interne du ministère fédéral de l'Intérieur intitulé : « Comment maîtriser le COVID-19 » circulait dans les bureaux parlementaires et les médias.. Le document était à la disposition de la chancelière Merkel, du ministre de la Santé Jens Spahn, de la ministre de la Défense Annegret Kramp-Karrenbauer, de divers membres du Bundestag et de toutes les grandes entreprises de médias telles que Tagesschau, NWR, WDR, Spiegel, Süddeutsche et Taz, qui en ont rendu compte très sélectivement. Et puis les Allemands ont eu Lauterbach.

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  41. Les auteurs de l'article du BMJ, quant à eux, soulignent désormais l'importance pour les gens d'avoir une image réaliste de ce à quoi s'attendre et que "là où ils sous-estiment le risque, il faut agir ". Et ils rejettent la critique généralisée de leur approche dans leur conclusion sévère : « Affirmer qu'il s'agit en quelque sorte de contrôler les gens est un non-sens. Elle repose non seulement sur des connaissances scientifiques solides, mais aussi sur le bon sens ».

    Cependant, les mesures Corona en particulier ont montré que le bon sens en politique et chez les experts est une petite plante sensible. Si vous ne le croyez pas, regardez les dirigeants de l'UE et leurs plans "Fit-for-55" pour sauver le climat et la nouvelle loi belliciste .

    https://tkp.at/2023/05/04/verzerrte-erinnerungen-an-empfehlungen-fuer-corona-massnahmen/

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  42. Naissances en Allemagne avec une baisse étonnamment forte en janvier 2023


    4 mai 2023
    par Ulf Lorre


    Après une pause de deux mois et demi, Destatis a finalement livré le décompte des naissances pour décembre 2022 et janvier 2023. L'année 2022 s'est terminée globalement avec -6,7% (-44 000) par rapport à la période 2016-2021. Avec -19,1%, janvier sort complètement de ce cadre. Au moins depuis la réunification allemande en 1990, si peu d'enfants sont nés en janvier.
    De 2016 à 2021, les naissances en Allemagne ont suivi un schéma saisonnier avec une tendance presque constante. Le cours moyen a été déterminé sur cette période (Fit) et à partir de là, une prédiction (Forecast) a été calculée pour 2022 et 2023 (Fig. 1).

    - voir graph sur site -

    Fig. 1 : Naissances mensuelles en Allemagne avec ajustement (modèle de série chronologique linéaire, bleu clair), prévision (bleu) et IC à 95 % (bleu clair).

    Les valeurs réelles ne s'écartaient que légèrement de l'ajustement de la période de comparaison. Cependant, en janvier 2022, ils sont pour la plupart inférieurs à l'intervalle de confiance de 95 % des prévisions, ce qui indique une signification statistique.

    - voir doc sur site -

    Écarts en pourcentage des naissances par mois

    Tab.1 : Pourcentage des écarts mensuels par rapport à la valeur prédite. Les champs sont colorés selon une échelle de couleur (rouge-orange-jaune-vert) selon la force de la déviation.

    Les écarts (Tab. 1) montrent un lien temporel avec la campagne de vaccination C19 (Fig. 2). En tenant compte d'un décalage horaire de 9 mois, on peut voir que les deux événements ont commencé en même temps. Une corrélation de rang négative statistiquement significative est calculée pour la période de septembre 2021 à décembre 2022 (Spearman's 𝜌 = -0,59, p = 0,008).

    - voir graph sur site -

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  43. Fig. 2 : Relation temporelle entre la baisse relative des naissances et le taux de vaccination C19 dans la cohorte des moins de 60 ans. Les taux de vaccination sont donnés en doses/(population * mois).

    Outre ces considérations statistiques, il existe des raisons biomédicales importantes pour une association entre la vaccination C19 et une fertilité réduite. On ne sait pas combien de temps durera cette réduction et comment elle se répartira entre les hommes et les femmes. Cela ne s'applique pas seulement à l'Allemagne ; Des évolutions similaires peuvent être observées dans de nombreux autres pays. Les graphiques actuels des taux de natalité dans les pays européens peuvent être trouvés ici .

    La chute drastique de janvier 2023 est probablement plus liée à des influences socio-économiques qu'à des complications médicales. Le mois de conception correspondant tombe dans la période qui suit le début de la guerre en Ukraine. Les prix de l'énergie en Allemagne ont monté en flèche à la suite des sanctions imposées à la Russie, et compte tenu de la masse monétaire qui s'était développée depuis longtemps, il y avait des taux d'inflation élevés ainsi qu'une hausse des taux d'intérêt préférentiels et hypothécaires. Le marché immobilier a également bougé. Les projets de construction prévus ont été annulés ou reportés et les demandes de construction ont diminué. La peur de la guerre, l'inflation et un avenir économique incertain ne sont pas le genre de milieu qui favorise les enfants.

    https://tkp.at/2023/05/04/geburten-in-deutschland-mit-ueberraschend-starkem-rueckgang-im-januar-2023/

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  44. Les médicaments sur ordonnance troisième cause de décès après les maladies cardiaques et le cancer


    3 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Depuis trois ans, les "experts" de la santé se concentrent sur un virus plutôt inoffensif que l'organisme peut facilement contrôler avec un apport adéquat en vitamine D et C et sans avoir plusieurs maladies antérieures. Il devrait bientôt y avoir des préparations d'ARNm pour des causes de décès qui sont des ordres de grandeur plus fréquents, comme les maladies cardiovasculaires et le cancer. La troisième forme de décès la plus courante, cela la rendra probablement encore plus courante.
    Voici les statistiques de l'Autriche pour l'année 2022 :

    - voir doc sur site -

    Peter C. Gøtzsche est un médecin danois, scientifique médical et directeur du Nordic Cochrane Center au Rigshospitalet de Copenhague, au Danemark. Il conclut un article du British Medical Journal sur les méfaits de la drogue par la phrase :

    "Une vie sans médicament est possible pour la plupart d'entre nous la plupart du temps."

    J'ai pris connaissance de l'article lors d'une conférence lors des 1ères journées de la santé de Basse-Autriche le week-end dernier de l'initiative scientifique Health Austria ( programme de la conférence ).

    Gøtzsche écrit dans l'article publié le 16 juin 2016 :

    Nos médicaments sur ordonnance sont la troisième cause de décès après les maladies cardiaques et le cancer (1). Sur la base des meilleures recherches que j'ai pu trouver, j'ai estimé que les médicaments psychiatriques à eux seuls sont également la troisième cause de décès (2), en grande partie parce que les antidépresseurs tuent de nombreuses personnes âgées par des chutes (3). Cela nous montre que le système que nous avons pour rechercher, approuver, commercialiser et utiliser des médicaments est complètement brisé (1,2).

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  45. Ce qui est particulièrement absurde, c'est que la grande majorité des décès pourraient facilement être évités. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) font un lourd tribut au nombre de décès, principalement en provoquant des saignements d'ulcères d'estomac et des crises cardiaques, et la plupart des décès auraient pu survivre sans médicaments ou en prenant de l'acétaminophène. L'idée que les AINS ont des effets anti-inflammatoires a été réfutée par des études contrôlées par placebo (4,5).

    Les antidépresseurs sont un autre grand tueur dont les gens pourraient se passer. Leur effet sur la dépression est discutable (2). Les résultats standard sont très subjectifs, par ex. B. Évaluation sur une échelle de dépression et il est donc important que les études soient suffisamment aveugles, ce qui n'est pas le cas. La plupart des patients et des médecins peuvent deviner s'il s'agit d'un médicament efficace ou d'un placebo en fonction des effets secondaires notables et courants des médicaments, et lorsque l'atropine est ajoutée au placebo pour mieux aveugler les études, cet effet disparaît (6). De nombreux autres médicaments qui sont peu susceptibles d'avoir un effet réel, par ex. B. les médicaments anticholinergiques pour l'incontinence urinaire et les médicaments contre la démence ont également des effets secondaires cérébraux et peuvent tuer des patients (1,2).

    La plupart de ces morts sont invisibles. Les gens souffrent de crises cardiaques et de fractures de la hanche sans médicaments, et les médecins généralistes n'ont aucune idée qu'ils tuent, en moyenne, un de leurs patients chaque année.

    Il existe des solutions simples à notre épidémie mortelle de drogue . Moins de diagnostics devraient être posés, moins de médicaments prescrits et les patients invités à lire les notices d'emballage en ligne. Ensuite, ils peuvent ne jamais prendre le médicament. J'ai fait des recherches sur le naproxène il y a de nombreuses années et quand j'ai lu la notice et réalisé combien de façons différentes ce médicament peut me tuer, j'ai décidé de ne plus jamais prendre d'AINS."

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  46. crédits

    1
    Gotzsche PC. Médicaments mortels et crime organisé : comment les grandes sociétés pharmaceutiques ont corrompu les soins de santé. Londres : Radcliffe Publishing ; 2013
    Gotzsche PC. Psychiatrie meurtrière et déni organisé. Copenhague : Presse populaire ; 2015
    2
    Coupland C, Dhiman P, Morriss R, et al. Utilisation d'antidépresseurs et risque d'effets indésirables chez les personnes âgées : étude de cohorte basée sur la population. BMJ 2011;343:d4551.
    3
    Jørgensen FR, Gøtzsche PC, Hein P, et al. Naproxène (Naprosyn) et mobilisation dans le traitement des entorses aiguës de la cheville. Ugeskr Laeger. 1986; 148:1266-8.
    4
    Gotzsche PC. Sensibilité des variables d'effet dans la polyarthrite rhumatoïde : une méta-analyse de 130
    essais sur les AINS contrôlés par placebo. J Clin Epidémiol. 1990 ; 43:1313-18.
    5
    Moncrieff J, Wessely S, Hardy R. Placebos actifs contre antidépresseurs pour la dépression. Cochrane Database Syst Rev 2004;1:CD003012.
    6
    https://tkp.at/2023/05/03/rezeptpflichtige-medikamente-dritthaeufigste-todesursache-nach-herzkrankheiten-und-krebs/

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