Infertilité : un agenda diabolique – un film d'Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy
19.05.2023 www.kla.tv/26075
« Diriger la procréation avec sagesse - pour améliorer l’adaptabilité et la diversité », tel est le deuxième commandement des Georgia Guidestones depuis 1980, juste après le premier qui vise à réduire la population mondiale. Mais qui s'arroge le droit de décider de l'une des décisions les plus fondamentales des jeunes femmes, celle d'avoir un enfant ? Le documentaire suivant, « Infertilité : un agenda diabolique », une coproduction du cinéaste Andrew Wakefield, de Robert F. Kennedy et de Children's Health Defense, donne un aperçu effrayant du travail de l'Organisation mondiale de la santé. Pendant 20 ans, des recherches ont été menées sur un vaccin qui, en supprimant l'hormone de grossesse, devait entraîner des fausses couches. L'administration du vaccin a eu lieu au Kenya dans le cadre d'une vaccination contre le tétanos, à laquelle a été ajoutée la substance active nuisible à la grossesse. Ce n'est que grâce à l'engagement inlassable de médecins courageux que ce crime a été mis à la lumière.
Regardez et écoutez maintenant directement de la part des personnes concernées des faits et des preuves évidentes de l'approche criminelle de l'OMS. Étant donné que sa politique internationale de santé est jusqu'à présent dirigée par des donateurs privés comme Bill Gates - un partisan de l'eugénisme et du contrôle de la population - le temps est venu de changer cette mauvaise pratique. C'est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir contribuer à la diffusion de ce documentaire dans le monde entier.
de jmr/nm Sources / Liens : Infertilité : un agenda diabolique https://infertilitymovie.org/unfruchtbarkeit-eine-teuflische-agenda-deutsch/
Traduction française de Check Mate News https://live.childrenshealthdefense.org/fr/chd-tv/videos/infertilit--un-programme-diabolique--franais/
HCG dans le vaccin contre le tétanos de l'OMS https://www.scirp.org/journal/paperinformation.aspx?paperid=81838
Contrôle de la population par les vaccins https://www.epochtimes.de/gesundheit/bevoelkerungswachstum-kontrollieren-kenianische-aerzte-entdecken-sterilisationsmittel-in-impfstoffen-a1337657.html
Bill Gates et l'OMS https://www.zeit.de/wissen/gesundheit/2017-03/who-unabhaengigkeit-bill-gates-film?utm_referrer=https%3A%2F%2Fduckduckgo.com
Bill Gates et l'eugénisme https://perception-gates.home.blog/2020/05/25/eugenik-der-wahre-antrieb-der-gates-rockefeller-epstein-stiftungen/
Les propositions de l’OMS menacent la relation médecin-patient et l’autonomie personnelle
Le traité de l'Organisation mondiale de la santé sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international menacent la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l'autonomie personnelle, ont déclaré des experts au Defender.
Par Michael Nevradakis Mondialisation.ca, 18 mai 2023
Note de l’éditeur : Voici la deuxième partie d’une série de deux articles sur la manière dont le traité sur les pandémies proposé par l’Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international pourraient priver les nations et les peuples de leur souveraineté en matière de prise de décision dans le domaine de la santé. Lire la première partie ici.
Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’apprête à convoquer son Assemblée mondiale de la santé annuelle du 21 au 30 mai, la controverse se poursuit autour de deux instruments proposés à l’ordre du jour : le traité sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI).
La plupart des critiques formulées à l’encontre de ces deux instruments portent sur la menace qu’ils font peser sur la souveraineté nationale.
Mais des experts ont déclaré au Defender que ces propositions menaçaient également la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l’autonomie personnelle.
« Ces instruments s’injecteraient eux-mêmes et interrompraient la relation médecin-patient », a déclaré l’avocate Reggie Littlejohn. « L’OMS dira quels sont les traitements « corrects » et quels sont les traitements « incorrects », ce qui constitue une abrogation de la souveraineté. »
Mme Littlejohn, qui est cofondatrice de l’association Sovereignty Coalition, fondatrice et présidente de Women’s Rights Without Frontiers et coprésidente de la Task Force Stop Vaccine Passports, a dit au Defender : « Un groupe de bureaucrates étrangers non élus ne devrait pas dire aux États-Unis ou à tout autre pays comment gérer nos problèmes de santé. »
Selon le Dr David Bell, médecin de santé publique et consultant en biotechnologie, ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund :
« C’est exactement ce que nous avons vu dans l’affaire COVID, où, pour la première fois à ma connaissance, des gouvernements ont interdit des médicaments parfaitement sûrs.
« Ce n’est pas la première fois que l’on impose des vaccins, mais c’est la première fois que l’on impose des vaccins à l’ensemble de la population, et c’est la première fois que l’on interdit des médicaments sûrs, que l’on interdit aux médecins de faire ce qu’ils considèrent comme le meilleur pour le patient. »
Le Dr Meryl Nass, interniste et épidémiologiste spécialiste des guerres biologiques, membre du comité consultatif scientifique de la Children’s Health Defense, a déclaré que les amendements proposés au RSI comprenaient une disposition permettant au directeur général de l’OMS de « convoquer un comité d’urgence » qui pourrait ordonner aux pays de ne pas administrer certains traitements.
Selon Francis Boyle, J.D., Ph.D., professeur de droit international à l’université de l’Illinois et expert en armes biologiques qui a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act (loi antiterroriste sur les armes biologiques) de 1989, les autorités locales et étatiques des États-Unis seraient obligées de suivre les diktats de l’OMS.
En contournant le 10e amendement de la Constitution des États-Unis, « les autorités locales et étatiques seraient obligées d’obéir à toutes les décisions émanant de ce nouvel organe créé par le traité sur la pandémie. Et cela pourrait aller jusqu’à donner des ordres à votre médecin traitant, qu’il serait obligé d’obéir », a déclaré M. Boyle.
Selon M. Bell, les médecins se trouveraient ainsi dans la position de suivre les instructions du « gouvernement et des autorités supérieures » et d’en être « les instruments, plutôt que de traiter avec un patient en face d’eux, comme le veut la relation médecin-patient, où l’on examine le patient et où l’on prend des décisions sur la base d’une discussion avec le patient ».
« Elle fait des médecins des organes de l’État et de l’OMS plutôt que des entités indépendantes qui s’occupent des soins de santé d’un patient », a ajouté M. Bell.
Le Dr Katarina Lindley, présidente de l’Association texane des médecins et chirurgiens américains et directrice du Global COVID Summit, a déclaré au Defender : « L’une des raisons pour lesquelles je suis opposée à l’initiative de One Health [« Une seule santé »], un seul monde, c’est que je ne crois pas à la « taille unique »… même pendant la COVID ou le processus normal de la maladie… il faut adapter l’approche du traitement en fonction du patient ».
Le Dr Karladine Graves, médecin de famille, a déclaré que l’autorité de l’OMS pour dicter des conseils médicaux est compromise par ses liens avec Big Pharma [les grandes entreprises pharmaceutiques]. Elle a dit :
« L’OMS est largement financée par l’industrie pharmaceutique ainsi que par des groupes privés tels que la Fondation Bill & Melinda Gates. Si le traité de l’OMS et les amendements au RSI sont adoptés, l’OMS ne sera plus un organe consultatif pour les 194 pays membres des Nations unies, mais plutôt un organe directeur sans responsabilité qui imposera tous les protocoles de soins de santé ainsi que les médicaments disponibles uniquement sous sa direction.
« Cela signifie que les médecins privés n’auront pas la possibilité d’utiliser d’autres traitements que ceux « approuvés » directement par l’OMS… Les patients n’auront pas leur mot à dire sur leurs soins médicaux et éventuellement sur l’accès aux soins. »
M. Lindley a prévenu que les instruments proposés par l’OMS pourraient déboucher sur un large éventail de mandats, notamment « la fermeture des frontières, l’approbation de certains traitements seulement, d’éventuelles nouvelles vaccinations, des passeports numériques et tout le reste ».
De même, M. Bell a mis en garde contre le fait que les instruments pourraient donner lieu à des vaccinations forcées ou contraignantes, déclarant à The Defender que « l’observation purement forcée d’une procédure médicale » observée lors de la pandémie de COVID-19 « est ce à quoi nous nous attendons avec le traité sur les pandémies, qui continuera à se produire ».
Les propositions de l’OMS sont liées à la demande d’une carte d’identité numérique mondiale
Selon M. Boyle, l’OMS affirme que le traité sur les pandémies ne sera pas voté par l’Assemblée mondiale de la santé avant mai 2024, mais « nous ne savons pas si c’est vrai ou non. La dernière version du traité que j’ai examinée pourrait être prête à la fin du mois. Nous n’en savons rien. »
M. Boyle a déclaré que les amendements au RSI « seront certainement prêts d’ici la fin du mois ».
L’auteur et animateur de podcast Frank Gaffney, fondateur et président du Center for Security Policy et cofondateur de la Sovereignty Coalition, a déclaré : « Un certain nombre de choses ont été très préoccupantes, en particulier le fait que nous n’avons pas eu un niveau de transparence adéquat. »
« Dans l’ensemble, ils ont été très déterminés à le dissimuler, ce qui soulève des questions quant à leurs motivations », a ajouté M. Gaffney. « Ce à quoi nous avons affaire, c’est à un effort concerté de la part de toutes les parties que j’ai mentionnées pour remplacer les États-Unis en tant que nation souveraine par un nouvel ordre mondial qu’ils commercialisent sous l’euphémisme de gouvernance mondiale. »
Dans ce nouvel ordre mondial, a déclaré M. Gaffney, « nous ne serions qu’une autre sorte de composant […] et notre souveraineté, notre constitution et nos libertés seraient toutes soumises aux autorisations des autres. Et ces autorisations seraient certainement limitées, voire refusées, sur la base d’éléments tels qu’une carte d’identité mondiale ».
Selon M. Gaffney, un système d’identification numérique mondial « serait présenté comme un moyen de contrôler la santé publique dans le monde entier », mais il permettrait en fait de « réaliser une opération de surveillance de notre peuple, parmi d’autres, dans le monde entier ».
Journaliste et chercheur indépendant James Roguski a déclaré au Defender que « la partie sournoise » des amendements proposés au RSI est une disposition relative à un réseau mondial de certification de la sécurité sanitaire numérique qui créerait non seulement des passeports vaccinaux numériques, mais l’étendrait également à des certificats de test, de récupération ou de prophylaxie ».
Cela pourrait constituer un confinement de fait pour ceux qui n’ont pas ces documents. « S’ils parviennent à ce que chaque pays accepte de restreindre les déplacements des étrangers, alors tout le monde sera bloqué », a déclaré M. Roguski.
Si un pays comme les États-Unis ne souhaitait pas adhérer à ce réseau mondial de certification, M. Roguski a déclaré que ses citoyens pourraient être « piégés », car d’autres pays continueraient à imposer les certificats comme condition d’entrée sur leur territoire.
M. Gaffney a déclaré qu’un certificat numérique global « devient le véhicule parfait pour mettre toutes vos données sur cette pièce d’identité et l’utiliser comme le fait le Parti communiste chinois dans son système de crédit social ».
Cela permettrait aux autorités gouvernementales et mondiales « non seulement de surveiller ou de contrôler, mais aussi de contrôler les détenteurs de ces cartes d’identité et de les utiliser pour appliquer non seulement leurs mandats en matière de santé, mais aussi tout ce qu’ils veulent faire … y compris l’accès à votre argent, à vos voyages ou à vos possibilités d’emploi », selon M. Gaffney.
M. Gaffney a rappelé que l’OMS avait déjà montré les dents lors de la pandémie de COVID-19, même si ses recommandations aux pays n’étaient pas contraignantes.
« Je pense que la plupart d’entre nous ne pensent pas que les choses se soient bien passées », a déclaré M. Gaffney. « Les mensonges de l’OMS sur les origines du virus, sa nature, sa transmissibilité et la réponse à y apporter ont causé un tort incalculable à notre pays. »
« Ce qu’elle a imposé [was], c’est le modèle chinois, a déclaré M. Gaffney, c’est-à-dire les masques, les quarantaines, les enfermements et les vaccinations avec des thérapies géniques insuffisamment testées, et le moyen numérique d’imposer ces mandats [through] passeport vaccinal. »
Il a ajouté :
« Nous avons vu comment cela fonctionnait, même si l’OMS ne disposait que d’une autorité consultative. C’était un avertissement … de ce qui pourrait nous arriver si cette organisation avait l’autorité qu’elle cherche maintenant à obtenir, pour nous dicter ce qu’est une PHEIC, une urgence de santé publique de portée internationale [Public Health Emergency of International Concern], ou comment nous devons y répondre. »
Mme Littlejohn a fait remarquer que les amendements proposés au RSI prévoient un « comité de mise en œuvre » et un « comité de conformité », et que l’OMS et les gouvernements nationaux pourraient utiliser le mécanisme de surveillance qu’ils prévoient de mettre en place comme sanction potentielle en cas de non-conformité.
« Ils vont surveiller votre compte de médias sociaux et si vous dites des choses qui vont à l’encontre du décret de l’OMS… ils pourraient vous retirer des médias sociaux [or] et vous priver de vos cartes de crédit et de votre compte en banque », a-t-elle déclaré.
« Ces mondialistes, ainsi que le WEF [World Economic Forum] et la Banque mondiale, pourraient imposer des sanctions économiques sévères aux pays qui ne suivent pas le mouvement », a déclaré Mme Littlejohn. « Surtout si nous avons une monnaie numérique de banque centrale globale … si nous avons un président qui s’y oppose, ils pourraient essayer de nous couper les vivres. »
Experts : Les États-Unis et d’autres pays doivent quitter l’OMS
Selon les experts, le meilleur moyen d’empêcher la mise en œuvre d’un éventuel traité sur les pandémies et/ou des amendements proposés au RSI est que les États-nations, y compris les États-Unis, quittent l’OMS.
M. Gaffney, décrivant les négociations sur les deux instruments proposés comme un « jeu truqué » qu’il est « peu probable d’arrêter », a déclaré que cela avait incité la Sovereignty Coalition à « adopter la position selon laquelle ce que nous devons faire, c’est sortir de l’OMS ».
M. Roguski, qui a lancé le site ExitTheWHO.com, a déclaré que l’OMS pourrait ne pas attendre l’approbation formelle des deux instruments. Il s’est référé à un document de l’OMS intitulé « Rapport O », qui « utilise des termes tels que : ils rendent opérationnelles les choses qui sont négociées … ils construisent simplement les systèmes, ils le font ».
Par exemple, M. Roguski a déclaré :
« Ils sont en train de mettre en place un réseau mondial de certification en matière de santé numérique, sans traité ni amendement. Ils ne font que cela. Qui va les arrêter ?
« Ils sont occupés à mettre en place le système de prestations d’accès aux pathogènes. Ils veulent développer le réseau logistique. Tout ce que vous pouvez imaginer, ils sont en train de l’opérationnaliser de sorte qu’au moment de signer un traité, ils pourront dire : oh, regardez, nous avons déjà ce réseau en place dans le monde entier. »
M. Roguski a également déclaré au Defender que les négociations en cours concernant les amendements au RSI comprennent une proposition qui pourrait permettre à l’OMS de prétendre que ce sont les États-nations eux-mêmes qui mettent en œuvre les obligations de l’OMS, plutôt que l’OMS elle-même.
Selon les amendements proposés pour l’article 4 du RSI, soumis par la Russie :
« Les États parties adoptent ou adaptent la législation afin de doter les points focaux nationaux RSI de l’autorité et des ressources nécessaires à l’exercice de leurs fonctions, en définissant clairement les tâches et la fonction de l’entité jouant le rôle de point focal national RSI dans la mise en œuvre des obligations prévues par le présent règlement. »
Par conséquent, « l’Organisation mondiale de la santé n’aura pas besoin d’appliquer directement les règlements. Le « point focal national RSI » sera autorisé à mettre en œuvre les obligations découlant de la réglementation », a déclaré M. Roguski. Il a ajouté :
« Cela répond directement à la question de savoir comment les amendements seraient appliqués … par la législation, la réglementation ou les ordres exécutifs dans chaque nation.
« Nos propres bureaucraties seraient susceptibles d’essayer d’appliquer les futurs diktats de l’OMS de la même manière qu’elles ont essayé d’appliquer les « recommandations » de l’OMS au cours des trois dernières années – sauf qu’elles pourraient invoquer des obligations internationales et une autorité nouvellement légiférée. »
Aux États-Unis, par exemple, « le centre d’opérations du secrétaire à la santé et aux services sociaux est le « point focal national » chargé de signaler les événements à l’OMS » et devrait jouer ce rôle dans le cadre de la mise en œuvre du RSI modifié, a fait remarquer M. Roguski.
M. Boyle : la loi sur le retrait de l’OMS nous protégerait
M. Boyle a déclaré au Defender que le départ des États-Unis de l’OMS pourrait se faire par le biais d’une proposition de loi, la loi sur le retrait de l’OMS, actuellement examinée par le Congrès. Parrainée par le député Andy Biggs (R-Ariz.), elle retire les États-Unis de l’OMS, met fin à tout financement américain de l’OMS et « révoque cette résolution conjointe du Congrès ».
« Je pense que si nous obtenions cette législation, ce serait terminé et nous serions protégés », a déclaré M. Boyle, ajoutant que les États et les collectivités locales s’opposent de plus en plus aux instruments proposés par l’OMS. Il a cité, par exemple, le comté de Collier, en Floride, qui a « adopté une ordonnance et une résolution » à cet effet.
Mme Littlejohn a indiqué que le sénateur Ron Johnson (R-Wis.) avait parrainé la loi « No WHO Pandemic Preparedness Treaty Without Senate Approval Act », qui exige que tout traité adopté par l’OMS ne soit mis en œuvre qu’« avec l’avis et le consentement du Sénat ».
Toutefois, selon Mme Littlejohn, « le Sénat lui-même l’a rejeté », selon les lignes de parti.
Mais cette proposition de législation « ne ferait pas l’affaire » de toute façon, a déclaré M. Boyle, en raison de l’ensemble des documents et des dispositions légales en vigueur. Selon M. Boyle, « la législation récemment introduite par le député Biggs, qui vise à mettre fin immédiatement à l’adhésion des États-Unis à l’OMS, fera l’affaire ».
M. Boyle a déclaré que les républicains de la Chambre ont le pouvoir d’agir ainsi parce qu’ils « contrôlent la Chambre, ce qui signifie qu’ils contrôlent le budget et les crédits ». Par conséquent, « ils peuvent utiliser ce contrôle pour faire pression sur l’OMS dans ce domaine ».
M. Gaffney a déclaré que la Sovereignty Coalition a recommandé « que le gouvernement américain cesse de financer l’OMS [and] et notifie officiellement son retrait de l’organisation ».
Bien que ce processus nécessite un préavis d’un an, M. Gaffney a fait valoir que « s’ils modifient fondamentalement la nature de l’organisation et les modalités de son fonctionnement, je pense que nous devons nous en retirer immédiatement … et c’est ce que nous recommandons au Congrès ».
M. Gaffney a toutefois déclaré : « Il est tout simplement stupéfiant que le Sénat américain ait été si indifférent à la possibilité que ces changements radicaux se fassent sans son avis et son consentement ».
Mme Littlejohn, qui a également appelé à une sortie des États-Unis de l’OMS, a noté que l’ancien président Donald Trump avait lancé ce processus, mais que Joe Biden, qui est devenu président avant que la position de retrait d’un an ne soit achevée, a rétabli les États-Unis.
De même, M. Boyle a déclaré : « Je ne dis pas que je soutiens Trump … Trump nous a correctement retirés de l’OMS, mais il y avait un préavis de six mois. Biden a été élu, a annulé le retrait et nous a réintégrés dans l’OMS [and] veillera à ce que nous soyons toujours dans l’OMS. »
« Nous pourrions faire valoir que les soins de santé ne sont pas un pouvoir énuméré qui revient au gouvernement fédéral ; ils restent du ressort de l’État, et donc, si la branche exécutive du gouvernement fédéral n’a pas le pouvoir de régir les soins de santé, elle n’a pas la capacité de les confier à l’OMS. »
Toutefois, Mme Littlejohn a déclaré que de tels arguments juridiques étaient « en terrain inconnu », tandis que M. Gaffney a fait remarquer que l’Assemblée générale des Nations unies avait bientôt « l’intention de faire à peu près la même chose [as the WHO] en ce qui concerne ses pouvoirs … qui donneraient essentiellement au secrétaire général le droit de répondre à … des crises ne relevant pas de la santé publique ».
M. Boyle a fait valoir que « tous les responsables gouvernementaux, les scientifiques et les médias affirment qu’une nouvelle pandémie est imminente. C’est exact. Ils savent qu’une nouvelle pandémie se profile à l’horizon. Elle sort de leurs laboratoires BSL3 [biosecurity level 3] et BSL4. Ils préparent donc déjà le terrain pour la prochaine pandémie ».
Se référant à One Health, qui est largement mentionné dans le traité sur la pandémie et auquel les centres de contrôle et de prévention des maladies participent activement, M. Boyle a déclaré qu’il s’agissait d’une violation du droit international existant. Il s’est référé à l’article 12, paragraphe 1, du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, qui stipule que
« les États parties au présent Pacte reconnaissent le droit qu’a toute personne de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’elle soit capable d’atteindre. »
« Le pacte compte 171 États parties », a déclaré M. Boyle, ajoutant qu’il « constitue la norme pertinente en matière de droit international et de droits de l’homme lorsqu’il s’agit de répudier One Health ».
« Vous noterez que cette formulation est sans équivoque et péremptoire », a déclaré M. Boyle. « Il ne dit rien du tout sur la santé animale ou l’environnement », a déclaré M. Boyle, estimant que « l’adoption de One Health violerait l’article 12, paragraphe 1, du pacte … et irait à l’encontre de l’objet et de la finalité de ce pacte ».
À l’approche de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, la Sovereignty Coalition a déclaré le mois de mai « Mois de la sortie de l’OMS », lançant une campagne d’envoi de lettres aux membres du Congrès et aux agences fédérales, ainsi qu’une « Déclaration de souveraineté américaine » et une campagne de signatures qui a recueilli le soutien d’éminents politiciens et experts médicaux.
« Nous avons besoin d’une action du Congrès d’ici la fin du mois », a déclaré Mme Littlejohn, qui a ajouté :
« La Constitution n’est pas un document auto-exécutoire. Elle ne peut pas se défendre. Nous devons la défendre. Nous ne pouvons pas compter sur un bout de papier pour nous sauver.
« La Constitution est un instrument qui protège notre liberté, et nous devons déployer cet instrument pour protéger notre liberté, car elle ne le fera pas d’elle-même. Les gens ne peuvent pas être passifs dans cette situation. Nous devons être actifs. »
Souvenirs d'une "pandémie" corona - Interviewé par MEGA Radio
20 mai 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Les trois dernières années ont apporté des distorsions et des dénis jusqu'ici impossibles des connaissances et des méthodes scientifiques, des restrictions à la démocratie et aux droits fondamentaux, et la redistribution des richesses du bas vers le haut.
Il s'agissait à 95 % d'une opération psychologique visant à fomenter la peur, à détruire le discours rationnel et à créer un environnement dans les médias et la médecine dans lequel les citoyens subiraient un lavage de cerveau aveuglément et sans poser de questions. Des ordres suivent pour des vaccinations dangereuses et inutiles, une distanciation sociale et des confinements destinés à isoler les citoyens. et rendre plus difficile la formation d'une résistance politique.
Les médias d'entreprise et du système ont joué leur rôle dans ce PsyOp. De nouveaux médias ont émergé à plusieurs niveaux. Il y en a un nombre croissant sur Internet, il y a quelque temps je suis tombé sur la station MEGA Radio à la radio, que j'allume - si je suis dans la zone de réception - dans la voiture et souvent à la maison.
MEGA Radio est une station d'information, en DAB+ et sur Internet. La définition de soi : « Nous livrons des nouvelles, des interviews et des reportages pour un public germanophone en Allemagne, en Autriche et en Suisse – ainsi que dans le monde entier. "
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Mon contact avec les éditeurs a d'abord conduit à cette longue conversation sur le contexte et les abysses de la pandémie, l'OMS et les conséquences à long terme de la campagne de vaccination. Écoute ça:
Vous pouvez écouter de nombreuses émissions et interviews sur la chaîne Spotify de la station . Et voici MEGA Radio en direct - il existe différentes chaînes comme ici .
Mort subite : des policiers décédés subitement récemment, peut-être en raison de blessures causées par les mandats de vaccination contre la COVID-19
Partie 3 sur 3 - 13 décès en décembre 2022 - février 2023 Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 19 mai 2023
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Rainelle, WV - Le lieutenant Charles "Smitty" Smith, 43 ans, est décédé subitement le 1er février 2023, la cause du décès n'a pas été révélée
Plantation, Floride – Le sergent Kevin Forsberg, 53 ans, est décédé subitement le 27 janvier 2023
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New York, NY - Le détective Sammy Lee, 38 ans, a reçu un diagnostic de cancer du foie en juillet 2022 et est décédé 6 mois plus tard le 17 janvier 2023 (Turbo cancer?)
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West Carson, Californie - 52 entendent le vieux détective Steven Lim souffrir d'une urgence médicale alors qu'il rentrait chez lui et est décédé peu de temps après le 15 janvier 2023
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North Ridgeville, OH - L'agent Raymond Francel, 53 ans, est décédé subitement à son domicile le 11 janvier 2023
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Klawock, AK - 60 ans, le chef Terry Stonecipher est décédé subitement à son domicile le 9 janvier 2023, il a été retrouvé inconscient à 2 h 57 et n'a pas pu être sauvé
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Longview, TX - Larry Solomon, officier de 30 ans et marine américain, est décédé le 7 janvier 2023 après une brève bataille contre l'angiosarcome (Turbo cancer?)
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Lewisville, TX - Le chef adjoint Jay Powell, âgé de 52 ans, est décédé tôt le matin du 6 janvier 2023 après avoir subi un événement cardiaque
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Brockton, MA - L'officier de 42 ans Christopher Davis a été retrouvé inconscient chez lui à 21h45 et est décédé subitement le 31 décembre 2022
Brockton, MA - Sean "Bez" Besarick, officier de 48 ans et vétéran de la marine américaine, est décédé subitement le 29 décembre 2022
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Boston, MA - John Santos, agent des transports, âgé de 25 ans, est décédé d'un anévrisme cérébral le 28 décembre 2022
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Comté d'Arapahoe, CO - L'adjoint Kraig Conger, 51 ans, est décédé après avoir subi une crise cardiaque au travail le 28 décembre 2022
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Charlotte, Caroline du Nord - L'officier Dean Lauber, 52 ans, est décédé d'une urgence médicale à son domicile alors qu'il n'était pas en service le 20 décembre 2022
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Ma prise… Ces décès se produisent dans toutes les professions qui ont été soumises aux mandats de vaccination COVID-19 en 2021 et 2022.
Il y a encore des cas très intéressants ici, avec des situations médicales couramment observées chez les personnes qui ont été vaccinées contre le COVID-19 et ont subi des blessures causées par le vaccin :
Arrêt cardiaque tôt le matin (habituellement myocardite) trouvé insensible (mort) à la maison crise cardiaque au travail urgence médicale au volant anévrismes cérébraux (vaisseaux sanguins endommagés) deux turbo cancers (cancer du foie, angiosarcome – cancer des vaisseaux sanguins) Nous voyons des types similaires de causes de décès chez les jeunes médecins, infirmières, ambulanciers paramédicaux, pompiers, pilotes, etc., mandatés par le vaccin COVID-19.
COVID-19 : Camoufler des menaces encore plus grandes pour la démocratie et la santé publique : Dr Naomi Wolf
Par Michael Welch et le Dr Naomi Wolf Recherche mondiale, 19 mai 2023
"Je parle en tant que petite-fille d'une femme qui a perdu neuf frères et sœurs à cause de l'Holocauste. Nous avons l'obligation de dénoncer le meurtre dans nos propres communautés. – Naomi Loup [1]
"Nos vies commencent à se terminer le jour où nous devenons silencieux sur les choses qui comptent." – Martin Luther King (cité comme citation préférée par Magda Havas ) [2][3]
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Un pistolet fumant ?
Des tonnes de données sortent des documents internes de Pfizer, publiés sur ordonnance d'un juge du Texas. Le juge a statué que la demande de la loi sur la liberté d'information (FOIA) concernant les données guidant la décision de la Food and Drug Administration des États-Unis d'approuver l'approbation du vaccin Pfizer / BioNTech COVID-19 "est d'une importance publique primordiale". [4]
Les documents ont été publiés au rythme de 55 000 pages par mois. L'une des personnes retroussant ses manches et fouillant dans les chiffres aux côtés d'une équipe de centaines de médecins, de scientifiques, d'oncologues, d'enquêteurs sur la fraude médicale et d'autres experts était Naomi Wolf . Les faits qu'elle a révélés, basés sur les propres documents de Pfizer, ont montré des statistiques choquantes, dont 1223 décès sur une période de trois mois, la moitié des événements indésirables, dont des décès, se sont produits dans les 48 heures suivant l'injection, et le vaccin tuait des adultes, des bébés et des fœtus avec des événements indésirables allant de 3 à 1 à 8 à 1. [5]
Pfizer avait documenté ces risques et d'autres en février 2021 et plutôt que d'informer le public, ils ont exhorté les gens, y compris les femmes enceintes, à mener des campagnes intensives pour obtenir le coup. [6]
Wolf s'est prononcé sur ce sujet. Dans de nombreux articles en ligne et dans les interviews des médias. [7]
Mais plus tôt ce mois-ci, le 9 mai, le régulateur britannique des médias Ofcom a trouvé le diffuseur GB News d'une interview entre Naomi Wolf et l'animateur Mark Steyn le 4 octobre 2022 en violation des règles de diffusion. L'Ofcom a déclaré que l'invité de l'interview relayait des opinions qui pourraient être potentiellement préjudiciables au public. L'Ofcom a reçu 422 plaintes concernant les commentaires de l'émission comme étant « dangereux » et incluant une « désinformation » qui n'a été « sans opposition » de Steyn. [8]
Un journaliste citant des informations d'une demande de publication d'informations par la FOIA et les portant à l'attention du public est-il un exemple d'informations « dangereuses » préjudiciables au public diffusées ?
Une autre tournure intéressante de la «pandémie» COVID est le cas intéressant des installations 5G dans le monde qui se produisaient en même temps que le virus se propageait prétendument dans le monde entier.
Un certain nombre d'études, par exemple ici , ici et ici , documentent les maladies attribuables aux rayonnements radiofréquences. Cela ne veut pas nécessairement dire que le virus n'était pas dangereux. Cependant, les deux dynamiques peuvent agir de manière synergique pour compliquer la vie de ceux qui sont soumis aux deux de manière intense.
Dans l'épisode de cette semaine du Global Research News Hour, nous parlons à Naomi Wolf de ses recherches sur les fichiers internes de Pfizer et de l'acte immense de ce qu'elle appelle la censure récemment dirigée contre elle et Mark Steyn par l'Ofcom, et le gouvernement britannique y est en fait lié . Nous discutons également avec Magda Havas , professeure émérite de l'Université Trent et spécialiste en toxicologie environnementale qui parle depuis des années des méfaits associés aux rayonnements radiofréquences. Elle discute des liens entre le COVID-19 et l'essor de la 5G dans nos communautés et à travers la planète. Enfin, nous parlons brièvement au Dr Brent Roussin, l'administrateur en chef provincial de la santé publique du Manitoba sur la façon dont il défend ses propres décisions liées à la COVID-19 face aux nombreuses critiques présentes sur ce programme.
Le Dr Naomi Wolf est une ancienne consultante politique et cofondatrice de DailyClout, une plateforme qui renforce la démocratie. Elle est l'auteur du best-seller The Beauty Myth , qui a lancé sa réputation de voix de premier plan au sein du féminisme de la troisième vague, et elle est l'auteur du livre de 2007 The End Of America: Letter of Warning to a Young Patriot.
La professeure Magda Havas est professeure émérite à l'Université Trent et spécialiste de la toxicologie environnementale. Le Dr Havas a été conseiller auprès de plusieurs groupes d'intérêt public et groupes éducatifs concernés par la santé de l'environnement. Elle est actuellement conseillère scientifique sur les questions liées aux CEM auprès de plusieurs organisations à but non lucratif.
Le Dr Brent Roussin a été administrateur en chef de la santé publique provinciale tout au long de la pandémie au Manitoba.
La Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13h CT sur CKUW 95.9FM à partir de l'Université de Winnipeg. Le programme est également balado sur globalresearch.ca .
Autres stations diffusant l'émission :
CIXX 106.9 FM, diffusant du Fanshawe College à London, Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6h du matin.
WZBC 90.3 FM à Newton Massachusetts est Boston College Radio et diffuse dans la grande région de Boston. La Global Research News Hour est diffusée pendant Truth and Justice Radio qui commence dimanche à 6 heures du matin.
La radio universitaire et communautaire CFMH 107.3fm à Saint John, au Nouveau-Brunswick, diffuse l'Heure des nouvelles sur la recherche mondiale les vendredis à 19 h.
CJMP 90.1 FM, la radio communautaire de Powell River, diffuse la Global Research News Hour tous les samedis à 8 h.
Caper Radio CJBU 107.3FM à Sydney, Cap-Breton , Nouvelle-Écosse diffuse la Global Research News Hour à partir de mercredi après-midi de 15h à 16h.
La radio communautaire de Cowichan Valley CICV 98,7 FM desservant la région du lac Cowichan sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique, diffuse l'émission les jeudis à 9 h, heure du Pacifique.
Décès excessifs au Royaume-Uni : 10 000 Britanniques de plus meurent. Les experts ne savent pas pourquoi.
J'ai une idée. Cette tendance à la surmortalité s'accélère en 2023 et c'est une très mauvaise nouvelle.
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 19 mai 2023
UK News: Des dizaines de milliers de Britanniques supplémentaires meurent - les experts ne savent pas pourquoi
Examinons le nombre excessif de décès que les grands médias britanniques admettent dans cet article intéressant :
"De mai à décembre 2022", il y a eu 32 441 décès supplémentaires en Angleterre et au Pays de Galles.
Cela représente 4 055 décès par mois ou 48 661 par an .
"En décembre 2022, le nombre de décès excédentaires était de 5 900 "
C'est environ 70 800 annualisés à l'horizon 2023 , si le taux reste stable.
Population de l'Angleterre (57,06 millions) et du Pays de Galles (3,21 millions) : 60,27 millions combinés
Cela équivaut à environ 1 personne sur 1000 en Angleterre et au Pays de Galles qui décédera en tant que "décès excessifs" en 2022.
Tous les pays fortement vaccinés contre le COVID-19 connaissaient une surmortalité en 2022 de l'ordre d'environ 1 sur 1000 habitants :
États-Unis – 270 000 en 2022 (source : Ethical Skeptic , BMC Skidmore , USMortality.com) Allemagne – 103 000 en 2022 (source : gouvernement allemand, OCDE, EuroMOMO cliquez ici ) Royaume-Uni - 54 000 en 2022 (source : BBC cliquez ici ) Japon – 91 000 en 2022 (source : cliquez ici ) Australie – 42 000 en 2022 (source : cliquez ici ) Canada – 49 900 en 2022 (source : cliquez ici ) Les décès excessifs s'accélèrent jusqu'en 2023 : De 48 000 décès supplémentaires en 2022 à 71 000 décès supplémentaires à l'approche de 2023 , c'est le genre d'accélération excessive des décès que les médias grand public au Royaume-Uni admettent, même s'ils refusent de fournir une explication.
Pour l'anecdote, je constate cette accélération des incidents de « mort subite » chez les jeunes, qu'il s'agisse de morts subites chez les médecins, les infirmières, les policiers, les chauffeurs d'autobus scolaires ou les pilotes. Ce sont les décès en excès, les jeunes en bonne santé qui ont été vaccinés contre le COVID-19 et qui souffrent maintenant d'arrêts cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, d'embolies pulmonaires, d'hémorragies cérébrales, d'anévrismes, de convulsions, de septicémie, de turbo cancers et d'autres conditions qui les prédisposent à un soudain ou une mort inattendue.
Décès excessifs aux États-Unis entre 0 et 24 ans :
- voir cadre sur site -
Voici une autre analyse de données par l'utilisateur de Twitter Ethical Skeptic, montrant que les décès excessifs chez les jeunes âgés de 0 à 24 ans s'accélèrent au début de 2023 d'une manière sans précédent (événement 13 sigma, ce qui signifie 13 écarts-types par rapport à la moyenne).
Regardez les 6 derniers mois, nous sommes en territoire sans précédent.
Ma prise… Dans les premiers mois de 2023, il est prouvé que la surmortalité s'accélère par rapport à 2022.
En 2022, tous les pays fortement vaccinés contre le COVID-19 avaient un excès de décès d'environ 1 sur 1000 habitants, mais cela augmente en 2023 pour atteindre 1 sur 500.
Cette accélération des décès excessifs est évidente dans les incidents de mort subite et dans les nécrologies, mais la population dans son ensemble peut ne pas se rendre compte que cela se produit, surtout si ces événements tragiques n'ont pas eu d'impact direct sur leur famille.
Puisque seulement 13 % des Canadiens ont reçu une injection de rappel au cours des 6 derniers mois, je crois que nous commençons maintenant à voir les effets à long terme de la vaccination par l'ARNm de la COVID-19 chez les jeunes, et ces effets à long terme se traduisent par une taux de mortalité.
Ces effets à long terme n'ont jamais été étudiés ni par Pfizer ni par Moderna. Dans leurs essais cliniques, ils ont étudié des jeunes en bonne santé pendant quelques mois. C'est ça.
Il est crucial, maintenant plus que jamais, d'exiger des enquêtes et des autopsies appropriées . Quels sont les mécanismes de la mort subite 1 ou 1,5 ans après votre dernier vaccin ARNm COVID-19 ? Nous ne savons pas, mais nous ferions mieux de le savoir bientôt.
Augmentation de la vaccination des jeunes enfants comme cause d'augmentation de la mortalité
19 mai 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Le nombre de vaccinations pour les petits et très petits enfants a fortement augmenté au fil des ans. Les cas d'autisme ont augmenté rapidement en conséquence . Cependant, la préoccupation accrue suscitée par la question lors de la campagne de vaccination C19 a entraîné une baisse de 44 % de la confiance dans la vaccination des enfants . De nouvelles données d'étude sur un lien entre la vaccination et la mortalité pourraient encore ébranler la confiance.
De nouvelles applications ont continué d'être ajoutées aux calendriers de vaccination des enfants dans le monde entier. L'Autriche, par exemple, s'arrête à 52 injections pour les enfants jusqu'à l'âge de 15 ans. Au Kenya , des tentatives sont faites pour prendre les empreintes digitales des enfants qui sont vaccinés immédiatement après la naissance afin qu'ils puissent être identifiés plus tard dans la vie.
Une récente étude à comité de lecture publiée dans la revue médicale Cureus , intitulée Reaffirming a Positive Correlation Between Number of Vaccine Doses and Infant Mortality Rates: A Response to Critics : A response to the critiques) montre une association positive entre le nombre de doses de vaccin administrées aux bébés et aux taux de mortalité infantile.
L'étude a confirmé une étude réalisée en 2011 par les mêmes chercheurs, qui a trouvé une association positive entre le plus grand nombre de vaccins administrés aux nourrissons dans la plupart des pays développés et une mortalité infantile plus élevée.
L'étude originale, publiée dans la revue Human and Experimental Toxicology en 2011, a évalué les données de 2009 des pays développés et sous-développés du monde entier et a révélé que la plupart des décès de nourrissons sont survenus dans les pays développés, où les nourrissons ont reçu le plus grand nombre de doses de vaccin, entre 21 et 26 prises au total. Aux États-Unis, les nourrissons de moins d'un an reçoivent 26 doses de vaccin, soit le nombre le plus élevé de doses de vaccin de tous les pays.
L'étude, qui a examiné le lien suspecté entre la vaccination et la mortalité infantile, s'est appuyée sur des données sur les calendriers de vaccination des nourrissons recueillies par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et divers gouvernements nationaux. L'étude, publiée en février 2023, a analysé les données de 185 pays, tandis que l'étude originale de 2011 ne comprenait que des données de 30 pays. Mais même avec les données des 185 pays, les auteurs ont pu répéter leur découverte initiale selon laquelle plus il y a de doses de vaccin administrées aux nourrissons, plus le taux de mortalité infantile est élevé dans un pays.
- voir graph sur site -
Une étude de 2021 a examiné le lien possible entre les vaccinations et le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN). En examinant les décès de nourrissons signalés au système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) de 1990 à 2019, il a constaté «qu'une proportion importante de décès de nourrissons et de cas de SMSN se sont produits à proximité temporelle de l'administration du vaccin. Environ 58 % des 2 605 décès de nourrissons après la vaccination signalés au VAERS de 1990 à 2019 sont survenus dans les trois jours (72 heures) suivant la vaccination et 78,3 % dans les sept jours suivant la vaccination.
L'étude a conclu que même si elle ne prouve pas que les vaccins causent le SMSN, elle fournit des signaux de sécurité suggérant un lien de causalité entre la vaccination et le SMSN.
Pathologiste certifié par le conseil d'administration, le Dr Ryan Cole: la protéine de pointe dans les vaccins à ARNm provoque une agrégation inhabituelle dans la circulation sanguine
Jeudi 18 mai 2023 par : Belle Carter
(Natural News) Le pathologiste certifié par le conseil d'administration, le Dr Ryan Cole, a expliqué comment la protéine de pointe des vaccins à ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) déclenche une agglomération inhabituelle dans la circulation sanguine lors d'un récent sommet White Coat.
"Donc, c'est vraiment inhabituel dans les mécanismes de coagulation", a expliqué Cole. "Voir quelque chose comme ça et une protéine qui le fera en l'absence d'autres choses qui sont généralement nécessaires pour un caillot est très inhabituel. Et encore, concernant.
À ce sujet, le Dr Resia Pretorius d'Afrique du Sud a montré que la protéine de pointe peut provoquer l'agglutination des protéines si vous retirez les plaquettes du sang.
Cole a averti lors de sa présentation que la protéine de pointe du vaccin à ARNm est toxique, entraînant des effets néfastes sur la santé à court terme et également pour la génération future. La protéine de pointe crée des caillots sanguins qui entravent la circulation du sang vers le cœur et d'autres organes vitaux pour la santé humaine.
Selon Cole, les vaccins à ARNm ont provoqué une augmentation de 200 % du taux de myocardite. Il a également noté que le vaccin à ARNm de Pfizer avait provoqué une baisse de 16 % de la fertilité chez les rats. Le pathologiste a partagé que les placentas livrés à son bureau contiennent des protéines de pointe et ne sont pas correctement dimensionnés en fonction de l'âge de gestation. Le placenta est important dans le développement du fœtus pendant la grossesse.
Les vaccins à ARNm semblent avoir provoqué la calcification des placentas, probablement à cause de la protéine de pointe. Une analyse supplémentaire a révélé que les placentas présentaient également une inflammation et des anticorps considérables, devenant essentiellement un ragoût toxique post-jab qui n'est pas propice à la santé ou à la survie.
De plus, la dénonciatrice et écrivaine renommée Naomi Wolf a révélé que certaines sages-femmes lui avaient dit que les placentas des mères vaccinées étaient rétrécis et avaient une couleur gris argenté. Ces signes signifient que les placentas ne sont pas assez gros pour soutenir un bébé normal. (En relation: Naomi Wolf: Plus de placentas normaux depuis le déploiement du vaccin COVID-19.)
"C'est une expérimentation, une autorisation d'urgence, non homologuée. L'humanité est l'essai de phase 3. Quel est le risque de cancer après le vaccin ? Quel est le risque de maladie auto-immune après le vaccin ? Quel est le risque d'altérer la fertilité pendant toute une vie ? Nous ne savons pas », a déclaré Cole. « Alors pourquoi diable allons-nous vraiment de l'avant au rythme où nous allons sans savoir ces choses ? C'est une attaque complète contre la science et une attaque complète contre nous.
Les protéines de pointe peuvent également endommager le cerveau
Les protéines de pointe induites par les vaccins à ARNm peuvent également causer des dommages neurologiques. C'était selon le neurochirurgien à la retraite Russell Blaylock.
"Cette injection [COVID-19] est une injection d'exosomes artificiels. Le cerveau est l'une des choses les plus complexes de tout l'univers et les gens de la profession médicale ne comprennent vraiment pas cette injection. Ils ne comprennent pas ce que cela fait à l'appareil neurologique du cerveau et de la moelle épinière », a déclaré Blaylock.
Il a expliqué que lorsqu'il y a une inflammation systémique ou tout type de traumatisme dans le corps, cela produit une inflammation et une activation du système immunitaire. "Cela envoie un signal au cerveau en quelques minutes et commence à activer la microglie, qui est la cellule inflammatoire et cytotoxique du cerveau", a-t-il déclaré, ajoutant que c'est ce qui se passerait après la première dose de l'injection de COVID-19.
Lorsque la deuxième dose est injectée des mois plus tard, la microglie amorcée devient complètement activée. Il libérera alors tous les composants toxiques.
"Vous obtenez une microglie activée de manière chronique [in] état suractivé, et il y a une réaction inflammatoire trois fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l'activation microgliale", a-t-il déclaré.
Les quatre chevaux de l'apocalypse économique : agroalimentaire, pétrole, armement et big pharma
Par Colin Todhunter Recherche mondiale, 19 mai 2023
La Banque mondiale affirme que près de 80 % (560 millions) des 700 millions de personnes qui ont été poussées dans l'extrême pauvreté en 2020 en raison des politiques COVID venaient d'Inde. À l'échelle mondiale, les niveaux d'extrême pauvreté ont augmenté de 9,3 % en 2020.
En 2022, on estimait qu'un quart de milliard de personnes dans le monde seraient plongées dans la pauvreté absolue au cours de cette seule année.
Au Royaume-Uni, la pauvreté augmente dans les deux tiers des communautés, alors que des millions de personnes se privent de chauffage et sautent des repas. En raison de la « crise du coût de la vie », 10,5 millions de personnes connaissent des difficultés financières. 13,7 millions de personnes supplémentaires risqueraient de connaître des difficultés financières en cas de nouvelles augmentations des coûts.
Le niveau de vie au Royaume-Uni est en chute libre. Par exemple, 28 % (contre 9 % avant la COVID) des adultes britanniques ont déclaré qu'ils n'avaient pas les moyens de manger des repas équilibrés. La pauvreté absolue devrait passer de 17,2 % en 2021-22 à 18,3 % en 2023-24, plongeant 800 000 personnes supplémentaires dans la pauvreté.
En Angleterre, 100 000 enfants ont été exclus des repas scolaires gratuits .
Aux États-Unis, environ 30 millions de personnes à faible revenu sont au bord d'une « falaise de la faim » car une partie de leur aide alimentaire fédérale leur est retirée. En 2021, on estimait qu'un enfant sur huit avait faim aux États-Unis.
Les petites entreprises déposent le bilan aux États-Unis à un rythme record . Les dépôts de bilan privés en 2023 ont dépassé de manière considérable le point le plus élevé enregistré au cours des premiers stades de COVID. La moyenne mobile sur quatre semaines des dépôts privés fin février 2023 était supérieure de 73 % à celle de juin 2020.
Pendant ce temps, près de 100 des plus grandes sociétés américaines cotées en bourse ont enregistré des marges bénéficiaires en 2021 supérieures d'au moins 50% à leurs niveaux de 2019.
L'économiste en chef de la Banque d'Angleterre, Huw Pill, a déclaré que les gens devraient « accepter » d'être plus pauvres . Ceci est similaire à la réponse de Rob Kapito , co-fondateur de la plus grande société de gestion d'actifs au monde, BlackRock. En 2022, il a déclaré qu'une génération "très autorisée" de personnes qui n'ont jamais eu à se sacrifier devrait bientôt faire face à des pénuries pour la première fois de leur vie.
Bien sûr, Kapito fait sans aucun doute référence aux citoyens américains ordinaires et non à lui-même. Kapito, en tant que président de BlackRock, a gagné 26 750 780 $ en rémunération totale en 2021.
Il ne fait pas non plus référence aux personnes fortunées qui profitent de la faim en investissant dans BlackRock, une entreprise qui continue de profiter d'un système alimentaire mondialisé qui, à dessein , laisse environ un milliard de personnes en situation de malnutrition. BlackRock est l'un des riches « barbares à la grange » qui continuent de faire d'énormes tueries financières à partir d'un régime alimentaire d'exploitation.
Kapito et Pill disent aux gens ordinaires de s'habituer à leur « nouvelle normalité » alors que le statu quo prévaut ailleurs, notamment dans l'un des secteurs les plus lucratifs au monde : la fabrication d'armes. La guerre en Ukraine a été une « ruée vers l'or » pour les fabricants d'armes occidentaux alors que de riches néoconservateurs américains comme Victoria Nuland continuent d'essayer de provoquer un « changement de régime » en Russie en combattant Moscou jusqu'au dernier Ukrainien.
Lorsque Huw Pill dit aux gens ordinaires de s'habituer à être plus pauvres, il ne fait pas référence aux individus et aux entreprises qui ont gagné des centaines de millions de livres (avec l'aimable autorisation du contribuable) grâce à des contrats d'équipement COVID corrompus grâce au gouvernement britannique donnant la priorité aux fournisseurs politiquement connectés au début du COVID.
Et cela ne peut pas être écarté comme un « one-off ». Ces révélations ne sont que la pointe d'un énorme iceberg de corruption.
Par exemple, Byline Times rapporte qu'un organisme de surveillance parlementaire multipartite a fait part de ses inquiétudes quant au fait que les décisions sur la manière d'attribuer l'argent du fonds des villes de 3,6 milliards de livres sterling, conçu pour stimuler la croissance économique dans les villes en difficulté, étaient politiquement motivées. Elle note également que 40 infractions potentielles au code ministériel n'ont pas fait l'objet d'enquêtes au cours des cinq dernières années.
Il n'est pas étonnant qu'en janvier 2023, le Royaume-Uni ait plongé à sa position la plus basse jamais enregistrée dans l'indice de perception de la corruption de Transparency International .
Considérez que l'ONU estime que seulement 51,5 milliards de dollars suffiraient pour fournir de la nourriture, un abri et une aide vitale aux 230 millions de personnes les plus vulnérables du monde. Considérez ensuite que 20 sociétés des secteurs des céréales, des engrais, de la viande et des produits laitiers ont fourni 53,5 milliards de dollars aux actionnaires au cours des exercices 2020 et 2021.
Selon Global Witness , les « bénéfices excédentaires » sont des augmentations soudaines et significatives des rendements financiers d'une entreprise qui ne sont pas dues à ses propres actions mais à des événements extérieurs. L'UE affirme que les bénéfices sont considérés comme « excédentaires » lorsqu'ils sont supérieurs de plus de 20 % au rendement moyen des quatre années précédentes.
Global Witness constate que les bénéfices annuels de 2022 des cinq plus grandes sociétés pétrolières et gazières intégrées du secteur privé - Chevron, ExxonMobil, Shell, BP et TotalEnergies - étaient de 195 milliards de dollars. En hausse de près de 120 % par rapport à 2021 et au plus haut niveau de l'histoire de l'industrie.
Cela signifie que ces entreprises ont réalisé 134 milliards de dollars de bénéfices excédentaires, ce qui pourrait couvrir près de 20 % de l'argent que tous les gouvernements européens ont alloué ensemble pour protéger les ménages et les entreprises vulnérables de la crise énergétique actuelle.
Centrica, la société propriétaire de British Gas, enregistre des bénéfices records pour 2022. Des bénéfices d'exploitation de 3,3 milliards de livres sterling ont été enregistrés, contre 948 millions de livres sterling en 2021. Cela a dépassé son précédent bénéfice annuel le plus élevé de 2,7 milliards de livres sterling en 2012.
En mai 2021, il a été signalé que les vaccins COVID avaient créé au moins neuf nouveaux milliardaires. Selon les recherches de la People's Vaccine Alliance, les nouveaux milliardaires comprenaient le PDG de Moderna Stéphane Bancel et Ugur Sahin, le PDG de BioNTech, qui a produit un vaccin avec Pfizer. Les deux PDG valaient alors environ 4 milliards de dollars. Les cadres supérieurs de la société chinoise CanSino Biologics et les premiers investisseurs de Moderna sont également devenus milliardaires.
Bien que les neuf nouveaux milliardaires valaient à l'époque 19,3 milliards de dollars, les vaccins étaient en grande partie financés par l'argent public. Par exemple, selon un rapport de mai 2021 de CNN, BioNTech a reçu 325 millions d'euros du gouvernement allemand pour le développement du vaccin. La société a réalisé un bénéfice net de 1,1 milliard d'euros au cours des trois premiers mois de l'année, grâce à sa part des ventes du vaccin COVID, contre une perte de 53,4 millions d'euros pour la même période l'an dernier.
Moderna devait générer 13,2 milliards de dollars de revenus de vaccins COVID en 2021. La société a reçu des milliards de dollars de financement du gouvernement américain pour le développement de son vaccin.
Cet article a brièvement abordé quatre chevaux de l'apocalypse économique - l'agro-industrie, le pétrole, l'armement et la grande pharma. Mais terminons en mentionnant le cinquième et le plus puissant : la finance. Le secteur qui a déclenché la dévastation que nous voyons maintenant.
Fin 2019, une crise financière se profilait. C'était plusieurs fois pire que celui de 2008.
Le journaliste d'investigation Michael Byrant affirme qu'il a fallu 1 500 milliards d'euros pour faire face à la crise en Europe seulement. L'effondrement financier auquel sont confrontés les banquiers centraux européens a atteint son paroxysme en 2019 :
« Tous parlent de la grande finance qui met la nation en faillite en pillant les fonds publics, des politiciens détruisant les services publics à la demande des grands investisseurs et des déprédations de l'économie des casinos ont été emportés par le COVID. Les prédateurs qui ont vu leurs empires financiers s'effondrer ont décidé de fermer la société. Pour résoudre les problèmes qu'ils ont créés, ils avaient besoin d'une couverture. Il est apparu comme par magie sous la forme d'un "nouveau virus".
La Banque centrale européenne a accepté un plan de sauvetage des banques de 1,31 billion d'euros, suivi de l'accord de l'UE sur un fonds de relance de 750 milliards d'euros pour les États et les entreprises européennes. Ce paquet de crédits à long terme et ultra bon marché à des centaines de banques a été vendu au public comme un programme nécessaire pour amortir l'impact de la pandémie sur les entreprises et les travailleurs.
Ce qui s'est passé en Europe faisait partie d'une stratégie visant à éviter l' effondrement systémique plus large du système financier hégémonique . Et ce que nous voyons maintenant, c'est une dette mondiale interdépendante , l'inflation et la crise « d'austérité » et le plus grand transfert de richesse aux riches de l'histoire sous le couvert d'une « crise du coût de la vie ».
Alors que des millions de travailleurs se mettent en grève au Royaume-Uni, Huw Pill laisse entendre qu'ils devraient accepter leur sort comme inévitable. Mais ils n'ont aucune raison de le faire.
La richesse des milliardaires du monde a augmenté de 3,9 milliards de dollars entre le 18 mars et le 31 décembre 2020. Leur richesse totale s'élevait alors à 11,95 milliards de dollars, soit une augmentation de 50 % en seulement 9,5 mois. Entre avril et juillet 2020, lors des premiers confinements, la richesse détenue par ces milliardaires est passée de 8 000 milliards de dollars à plus de 10 000 milliards de dollars.
La seule chose inévitable dans la crise actuelle était l'effondrement d'un néolibéralisme insoutenable alimenté par la dette, mis en place pour faciliter le pillage pur et simple par les super-riches qui ont délocalisé plus de 50 000 milliards de dollars sur des comptes cachés.
C'est ce que peut faire l'identification numérique avec biométrie - testée en Afrique
19 mai 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Avec la pandémie de Corona, les élites des entreprises, dirigées par le complexe numérique-financier, nous ont attirés dans un piège. Si vous pouvez prouver que vous ne présentez pas de "risque épidémiologique", vous pouvez alors voyager à l'étranger, monter à bord d'un avion, rendre visite à votre enfant malade à l'hôpital ou à des proches dans une maison de retraite et aller au pub. Tout est enregistré dans un code QR, également sur papier mais plus facilement sur un smartphone. Mais ce n'était que la première étape.
Parce qu'il y a un risque d'abus. Nous avons déjà appris que le moyen le plus simple d'accéder à votre compte bancaire numérique est de faire vérifier votre pouce ou votre iris par votre téléphone portable. Ensuite, les actifs du compte sont à l'abri du vol. Et cette solution peut très bien être utilisée pour le carnet de vaccination afin d'être sûr que c'est bien la personne vaccinée qui affiche le QR code. Ce qui s'en vient est une identification numérique biométrique mondiale pour tous.
Les applications sont nombreuses, en dehors de votre propre compte bancaire et carte de vaccination. Nous aurons besoin de lui pour aller à l'isoloir. Il « simplifie » l'accès au poste de travail dans une entreprise. Le permis de conduire numérique, les billets pour les transports en commun et les voyages en avion, le passeport numérique, la carte électronique numérique, tous les bureaux numériques de l'État comme cela est déjà démontré dans l'application Diia en Ukraine et bien sûr autour pour s'inscrire en ligne .
Et bien sûr, nous en avons besoin pour la monnaie numérique de la banque centrale et pour pouvoir débiter en toute sécurité notre compte gaz carbonique annuel.
Les institutions supranationales telles que l'OMS et surtout l'ONU travaillent à l'introduction globale de cette technologie. L'Agenda 2030 des Nations Unies indique clairement que ses objectifs s'appliquent à tous. Le deuxième principe de l'ordre du jour est : « Ne laisser personne de côté », selon l'ONU sur son site Internet .
L'objectif 16.9 est suivi de l'objectif 16.10, qui à son tour stipule que «l'accès» doit être assuré à toutes les merveilleuses «informations» et «libertés» dont jouit un bon citoyen dans ce nouveau système numérique mondial.
Pendant des décennies, l'industrie numérique nous a entraînés de plus en plus profondément dans la dépendance et la divulgation de nos données, y compris nos caractéristiques biométriques, avec de petits avantages. Ils veulent nos scanners oculaires, nos scanners faciaux, nos empreintes digitales et d'autres identifiants uniques, même notre ADN. Vous voulez tout posséder.
Google est depuis longtemps un leader. BiometricUpdate.com nous apporte les derniers avantages de la biométrie :
" À partir du 3 mai 2023, les utilisateurs de Google pourront sécuriser leurs comptes avec des clés d'accès au lieu de mots de passe ", lit-on dans un article de blog sur le site Web de l'entreprise. Les clés d'accès permettent aux utilisateurs de se connecter à l'aide d'empreintes digitales ou de la biométrie faciale, ou via un verrouillage d'écran tel qu'un téléphone. B. un NIP local pour s'inscrire.
"Conformément à une tendance à l'échelle de l'industrie vers l'adoption de clés de sécurité, la société fait la promotion des clés de sécurité comme une alternative plus rapide, plus simple et plus sécurisée aux options de connexion existantes, y compris l'authentification multifacteur."
" Étant donné qu'une clé d'authentification n'existe que sur un appareil spécifique, la connexion avec une clé d'authentification vérifie que l'utilisateur est propriétaire de l'appareil et a la possibilité de le déverrouiller. Cela réduit le risque que des acteurs malveillants accèdent à un mot de passe par hameçonnage ou violation de données. Toutes les données biométriques partagées déverrouillent la clé principale localement et ne vont jamais au-delà de l'appareil. »
L'accès est donc facilité. Il est suggéré qu'ils contrôlent les données personnelles, mais une fois que Google y a accès, ils en sont propriétaires. Et la propriété signifie qu'ils peuvent en faire ce qu'ils veulent, y compris le vendre à d'autres. Tels qu'un profil de mouvement exact, des visites de sites Web, du contenu de recherche, des paiements, des réservations de voyage, des achats de littérature, etc.
Sans surprise, l'armée utilise également la biométrie pour une identification unique, par exemple dans le cas des prisonniers de guerre comme dans l'image ci-dessus.
Zone test Afrique pour le suivi biométrique des vaccins infantiles
Le programme vise à soutenir les objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies, à savoir créer une identité légale et un enregistrement des naissances pour tous, mettre fin aux décès évitables chez les nouveau-nés et les enfants de moins de cinq ans et réduire la mortalité néonatale.
" Une fois qu'un enfant est né et reçoit le premier vaccin, quatre doigts sont scannés biométriquement et, en plus des empreintes digitales des bébés, la biométrie vocale de leurs soignants est également capturée", comme indiqué ici .
NEC , la société d'authentification biométrique participante, travaille également sur un autre projet de commercialisation de la biométrie infantile, tout en ayant d'autres projets dans son portefeuille en Afrique subsaharienne.
Toujours en Afrique, là où vivent les plus pauvres, les dernières méthodes de surveillance et de contrôle sont expérimentées ! C'est un cauchemar dystopique. Commercialisation de la biométrie infantile. Cela signifie les vendre au plus offrant, qui les utilisera pour un contrôle ultime
Une Santé: Un plan pour «surveiller et contrôler tous les aspects de la vie sur terre»?
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont suggéré que One Health a plus à voir avec un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain qu'avec la protection de la santé humaine.
Par Michael Nevradakis Mondialisation.ca, 19 mai 2023
Note de l’éditeur (The Defender): Ceci est la deuxième partie d’une série de deux articles sur l’initiative One Health. La première partie est disponible ici.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le terme« One Health » [Une seule santé] comme étant une « approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes », car ils sont « étroitement liés et interdépendants » – un concept qui, à première vue, semble promouvoir des objectifs nobles reliant la santé humaine et la santé environnementale.
Toutefois, certains scientifiques et experts médicaux s’inquiètent des objectifs vagues de One Health. Soutenant que le concept a été « détourné », ils remettent en question l’intention des personnes impliquées dans le développement et le déploiement mondial du concept, notamment l’OMS, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la Banque mondiale.
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont également soulevé des questions sur d’autres aspects du concept « One Health », notamment un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain.
Bien que ces objectifs soient étayés par une « théorie du changement » vaguement définie, des experts ont déclaré au Defender que des intérêts financiers majeurs sont au cœur du programme « One Health », qui semble être étroitement lié au changement climatique et aux initiatives de développement durable promues par les mêmes organisations mondiales.
Les objectifs de One Health incluent une « prise de contrôle globale de tout »
Dans un article paru le 1er mai, le Dr Joseph Mercola a établi un lien entre le concept de One Health, tel que promu par les organisations mondiales, et les politiques et restrictions mises en œuvre en réponse à la COVID-19, le décrivant comme une tentative de « prise de contrôle de tout dans le monde ».
M. Mercola a établi un lien entre le concept One Health et les principales entités qui ont soutenu la recherche sur le gain de fonction. Selon M. Mercola :
« Il est intéressant de noter que le terme « One Health », qui a été officiellement adopté par l’OMS et les ministres de la santé du G20 en 2017, a été inventé pour la première fois par le vice-président exécutif de l’EcoHealth Alliance, la même entreprise qui semble avoir joué un rôle dans la création du SRAS-CoV-2. »
Lors de la conférence de 2019 intitulée « Can One Health Help Prevent the Next Pandemic ? » [Une seule santé peut-elle aider à prévenir la prochaine pandémie ?], le président d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, commissaire de la commission One Health de The Lancet, a déclaré que les « maladies infectieuses émergentes » constituaient « une menace mondiale croissante ».
Il a également affirmé que nombre de ces maladies émergentes sont « zoonotiques », c’est-à-dire qu’elles se transmettent de l’animal à l’homme.
Francis Boyle, J.D., Ph.D., professeur de droit international à l’université de l’Illinois et expert en armes biologiques qui a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act de 1989, a remis en question ce récit, déclarant au Defender :
« Toutes ces maladies infectieuses émergentes sont issues de leurs programmes d’armes biologiques offensives menées dans leurs laboratoires BSL4 [biosecurity level 4] et BSL3.
« Si vous regardez les membres du comité consultatif de l’OMS qui s’occupent des « maladies infectieuses émergentes », c’est exactement ce qu’ils font : ils les font « émerger » de leurs laboratoires. »
Marion Koopmans, DVM, Ph.D., directrice du Centre collaborateur de l’OMS pour les maladies infectieuses émergentes au Centre médical Erasmus aux Pays-Bas et membre du groupe d’experts de haut niveau de l’OMS sur l’initiative One Health (OHHLEP), en est un exemple.
Selon M. Boyle, « c’est à Erasmus que le sale travail de la science de la mort nazie en matière de guerre biologique est devenu notoire pour la première fois sous la direction de Fouchier, [who], ce qui a déclenché toute la controverse sur son travail de gain de fonction dans cet établissement. »
M. Boyle faisait référence à Ron Fouchier, Ph.D.qui est également directeur adjoint du Département des virosciences de l’Institut Erasmus et qui, selon Science,a « alarmé le monde » en 2011, après que lui et d’autres chercheurs ont « modifié séparément le virus mortel de la grippe aviaire H5N1 pour qu’il se propage entre les furets » – un exemple précoce de recherche sur le gain de fonction.
Le Dr Meryl Nass, interniste et épidémiologiste spécialiste des guerres biologiques, membre du comité consultatif scientifique de la Children’s Health Defense, a déclaré que ces objectifs restaient délibérément vagues. Elle s’est référée à un document des CDC qui stipule que
« les interventions de santé publique réussies nécessitent la coopération des partenaires de la santé humaine, animale et environnementale… Les autres acteurs concernés par l’approche « One Health » pourraient être les forces de l’ordre, les décideurs politiques, l’agriculture, les communautés et même les propriétaires d’animaux de compagnie.
« En encourageant la collaboration entre tous les secteurs, l’approche « One Health » permet d’obtenir les meilleurs résultats en matière de santé pour les personnes, les animaux et les plantes dans un environnement commun. »
Mme Nass a écrit sur son blog: « Je prévois que One Health sera utilisé pour imposer des changements dans la façon dont les humains et les animaux interagissent … très probablement en fonction des besoins des élites du WEF [World Economic Forum] et non des besoins des personnes ou des animaux qui seront affectés. »
Reggie Littlejohn, fondatrice et présidente de Women’s Rights Without Frontiers et coprésidente du groupe de travail « Stop Vaccine Passports », a déclaré au Defender : « Il n’est pas évident que One Health donne la priorité à la santé humaine. »
Soulignant le langage « vague » employé par les organisations mondiales promouvant One Health, Mme Littlejohn a déclaré que l’un des objectifs pourrait être de « régir la santé des animaux d’élevage en plus de la santé humaine », ce qui permettrait « d’imposer des vaccins aux animaux d’élevage ».
One Health signifie « tout surveiller »
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont fait part de leurs inquiétudes quant au programme de biosécurité associé aux objectifs déclarés de One Health.
Selon Mme Nass, cela reflète la façon dont l’OMS « s’est transformée en agence de biosécurité », ajoutant que « la justification, apparemment, de la prise en charge par le directeur général de l’OMS de la juridiction des soins de santé pendant les pandémies, mais aussi potentiellement des écosystèmes, des animaux et des plantes, se fait par le biais de l’initiative One Health ».
Mme Nass a noté que One Health « est mentionné à plusieurs reprises dans le National Defense [Authorization] Act for Fiscal Year 2023 » (NDAA), qui comprend 18 pages sur la « préparation à la pandémie » et une définition formelle de l’« approche One Health » à la page 952 de la loi.
James Roguski, journaliste et chercheur indépendant, a également souligné l’importance accordée à One Health dans le NDAA et a fait remarquer qu’en définissant formellement le concept dans la loi, il fait désormais partie du code des réglementations fédérales.
Toutefois, selon M. Roguski, la NDAA va encore plus loin :
« Les États-Unis se sont engagés à verser un milliard de dollars par an au Fonds de lutte contre les pandémies de la Banque mondiale pour soutenir le programme mondial de sécurité sanitaire. L’OMS est l’un des 14 intermédiaires qui recevront et redistribueront une partie de ce milliard de dollars.
« Fondamentalement, c’est du capitalisme, de la corruption, une abomination du point de vue de la santé. Jetons l’argent aux sociétés pharmaceutiques, construisons l’infrastructure dans ces pays et, si vous fabriquez des tonnes de produits localement, vous pourrez convaincre le gouvernement local de les mettre dans les bras des gens ou de les leur faire avaler.
« Et rien de tout cela ne s’est avéré bénéfique pour la santé. Elles nuisent à la santé des gens. »
La promotion d’un programme mondial de biosécurité s’accompagne de la mise en place d’une infrastructure de surveillance mondiale censée protéger la santé humaine et animale ainsi que l’environnement. Un document de l’OMS datant du 3 octobre 2022 stipule :
« L’émergence du virus SARS-CoV-2 à l’origine de la COVID-19 a souligné la nécessité de renforcer l’approche One Health, en mettant davantage l’accent sur les liens avec la santé animale et l’environnement …
« Il utilise les liens étroits et interdépendants entre ces domaines pour créer de nouvelles méthodes de surveillance et de contrôle des maladies. …
« Nous avons aujourd’hui une occasion sans précédent de renforcer la collaboration et les politiques dans ces nombreux domaines et de réduire le risque de pandémies et d’épidémies futures, tout en nous attaquant au fardeau permanent des maladies endémiques et non transmissibles.
« Il est nécessaire de mettre en place une surveillance qui permette de contrôler les risques et d’identifier des modèles dans ces nombreux domaines. »
À ce propos, Mme Littlejohn a déclaré que les partisans de One Health parlent de « systèmes de surveillance interopérables et intégrés ». Elle a dit à The Defender :
« Je pense que ces systèmes de surveillance des personnes, des animaux, des plantes et de l’environnement seront coordonnés par une sorte de système de surveillance mondial interopérable et intégré.
« Quiconque dirige ce projet, l’OMS, le Parti communiste chinois, la Fondation Bill et Melinda Gates, qui sont les personnes qui semblent réellement diriger le projet à l’OMS, vont être en mesure d’accéder à toutes nos informations privées. Pas seulement nous, mais aussi les animaux et les plantes. »
David Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré au Defender que les organisations mondiales ont pour objectif de « tout surveiller ». Il a dit : « Cela signifie qu’il faut tout surveiller, surveiller le climat pour détecter d’éventuelles menaces, surveiller les populations animales, surveiller la faune, surveiller le sol pour voir s’il y a de nouvelles traces de virus ou de bactéries dans les systèmes fluviaux, etc. « Cela permet de « découvrir » ce que nous savons déjà être la nature, puis de transformer la nature en menace potentielle ou en menace. Plus la surveillance est importante et étendue, plus les « menaces » sont inévitables… car on peut affirmer que presque toutes les nouvelles variantes de virus constituent une « menace ».
« Cela leur permettra de maintenir une sorte de peur constante qui vous permettra ensuite d’introduire des contrôles autoritaires tels que les monnaies numériques des banques centrales et les passeports numériques… qui leur permettront de monétiser la population humaine de manière plus efficace. »
Mme Nass a noté que les acteurs mondiaux tels que l’OMS « parlent du partage des spécimens pendant une pandémie … afin qu’ils puissent également essayer de fabriquer des vaccins. En revanche, ils ne parlent pas de surveillance des êtres humains. Mais ce qu’ils ont dit, et qui a vendu la mèche, c’est qu’ils voudraient obtenir le consentement éclairé des pays pour le partage des données génomiques, plutôt que celui des individus ».
Cette infrastructure de surveillance comprendrait également les passeports vaccinaux, qui figurent en bonne place dans le traité sur les pandémies et les amendements au règlement sanitaire international (RSI) actuellement en cours de négociation à l’OMS.
Selon Mme Littlejohn :
« Je pense qu’ils ont mis en place l’infrastructure pendant la crise de COVID-19, et nous avons une petite pause entre les pandémies, mais cette structure, cette infrastructure va se refermer avec la prochaine pandémie si nous ne l’arrêtons pas. Cette structure est liée aux passeports vaccinaux.
« Il pourrait s’agir d’une « carte de santé intelligente » ou d’une « carte d’identité numérique », voire d’un permis de conduire numérique obligatoire, qui pourrait servir de plateforme à un système de crédit social à la chinoise. Et il y a présentement une nouvelle loi qui passe au Sénat … la Improving Digital Identity Act de 2023 … Il s’agit d’une carte d’identité nationale obligatoire qui sera interopérable, coordonnée et intégrée et qui pourra servir de plateforme identique au système de crédit social de la Chine pour nous surveiller. »
Les restrictions du comportement humain pourraient rabaisser l’homme au niveau de l’animal
Le document de l’OMS du 3 octobre 2022 affirme également que « quelque 60 % des maladies infectieuses émergentes signalées dans le monde proviennent d’animaux, sauvages ou domestiques », ajoutant que « les activités humaines et les écosystèmes stressés ont créé de nouvelles possibilités d’émergence et de propagation des maladies ».
Selon l’OMS, ces facteurs de stress « comprennent le commerce des animaux, l’agriculture, l’élevage, l’urbanisation, les industries extractives, le changement climatique, la fragmentation de l’habitat et l’empiètement sur les zones sauvages ».
« Dans la mesure où les émissions de carbone dues aux transports dans les villes contribuent au changement climatique, la « ville de 15 minutes » serait un moyen d’y remédier », a déclaré Mme Littlejohn. « Le danger est qu’ils l’appliquent en installant des caméras de surveillance partout pour s’assurer que vous ne sortez pas de votre district sans autorisation. »
Dans un article du 30 mars intitulé « Your Daughter for a Rat » [Votre fille pour un rat], M. Bell a cité un éditorial de One Health publié dans The Lancet, selon lequel « toutes les vies sont égales et relèvent de la même préoccupation ». En réponse, M. Bell a suggéré que One Health vise à rabaisser l’homme au niveau de l’animal.
Le même article du Lancet décrit One Health comme « un appel à l’équité écologique, et pas seulement sanitaire » et appelle à un « changement de perspective subtil mais tout à fait révolutionnaire » pour s’éloigner de l’« anthropocentrisme » : « Toutes les formes de vie sont égales et doivent être prises en compte de la même manière. »
« Il semble que ce soit la justification pour ramener les gens à la valeur des animaux », a répondu Mme Nass. Un sentiment partagé par M. Boyle, qui a déclaré : « One Health établit un lien entre les soins de santé des êtres humains et ceux des animaux et réduit donc les soins de santé des êtres humains au niveau des soins de santé des animaux. »
Selon M. Bell, « suggérer que nous avons le devoir, en tant qu’espèce sur cette planète, de nous occuper de toutes les espèces de manière égale et de les traiter de manière plus égale [is] devient une sorte de religion ou de dogme. Elle va à l’encontre de ce que toute société rationnelle dans l’histoire de l’humanité » a pratiqué et constitue « une approche très inhabituelle et potentiellement très effrayante ».
L’OMS a tenté de donner une crédibilité théorique au concept « One Health » en élaborant une « théorie du changement » (ToC).
Bien que l’OMS indique que les CDC sont conçus pour fournir « un cadre conceptuel » aux « organisations, agences et initiatives travaillant à la réalisation d’objectifs similaires dans le cadre de l’initiative One Health » et un « récit commun de la cohérence », la théorie elle-même ne semble pas avoir de définition claire.
« Ils veulent pouvoir faire ce qu’ils veulent », a déclaré Mme Littlejohn. « Si vous le définissez, vous pouvez les tenir à la définition … L’une des tactiques consiste à être vraiment obscur et incompréhensible. »
« C’est un terme qui est utilisé dans ces cercles », a ajouté M. Bell. « C’est une évidence : si vous faites un certain acte, vous obtiendrez un certain résultat. C’est une façon élégante de le dire. »
M. Bell a également évoqué « l’idée fausse selon laquelle les humains sont de plus en plus en contact avec les animaux sauvages », ce qui entraînerait « une menace de transmission de virus des animaux sauvages aux humains ».
Qualifiant cette affirmation de « ridicule », M. Bell a déclaré que « lorsque l’homme s’installe dans un habitat naturel, la faune ne commence pas à vivre avec l’homme. Elles disparaissent. »
Notant qu’« il était autrefois très courant » que les gens vivent avec des animaux de ferme, M. Bell a ajouté que l’affirmation selon laquelle les pandémies deviennent plus fréquentes en raison de l’augmentation des contacts avec les animaux est en soi « fausse », mais qu’elle est « utilisée pour instiller la peur et pour tenter de faire adhérer les gens à ce programme de santé unique (One Health) et d’urgence sanitaire permanente ».
Mme Nass a déclaré que les partisans de One Health n’avaient « aucune preuve » à l’appui de leurs affirmations, citant l’exemple de la résistance antimicrobienne des bactéries présentes dans la viande consommée par l’homme, qui résulte des antibiotiques administrés au bétail. « C’est l’hameçon auquel One Health a été accroché », a déclaré Mme Nass.
Toutefois, Mme Nass a déclaré que ce problème « pourrait être résolu en un clin d’œil si la Food and Drug Administration ou le ministère de l’Agriculture des États-Unis disaient simplement aux agriculteurs qu’ils ne peuvent plus mettre d’antibiotiques dans les aliments pour animaux et qu’ils ne peuvent les utiliser que lorsqu’un animal tombe malade ».
Dans son récent article, M. Mercola suggère de suivre l’argent. « Les intérêts privés exercent un pouvoir immense sur l’OMS et la majorité des fonds sont « spécifiés », ce qui signifie qu’ils sont réservés à des programmes particuliers. L’OMS ne peut pas allouer ces fonds là où ils sont le plus nécessaires. »
En conséquence, cela « influence massivement ce que l’OMS fait et comment elle le fait. L’OMS est donc une organisation qui fait tout ce que ses bailleurs de fonds lui disent de faire », en citant des organisations telles que la Fondation Gates comme principaux bailleurs de fonds de l’OMS.
M. Bell a déclaré que les partisans de One Health comprennent « ceux qui ont poussé l’agenda COVID … et se sont enrichis grâce à lui », y compris « les fondations privées qui sont dans le coup » et « les entreprises qui ont tout à gagner à contrôler la chaîne alimentaire et à contrôler l’agriculture et les produits pharmaceutiques, et cetera ».
« Ce sont des entreprises autoritaires qui ont tiré profit de la santé publique par le biais de la COVID et de la réponse certainement inappropriée de la COVID », a ajouté M. Bell. « Il s’agit de la même chose et elle n’est pas déconnectée de l’agenda de l’urgence climatique. »
La Banque mondiale est un acteur financier de premier plan, étroitement associé à l’élaboration du programme One Health, comme l’indiquent les documents de l’OMS.
Lors d’une réunion de l’OHHLEP en novembre 2022, Franck Berthe, spécialiste principal de l’élevage à la Banque mondiale, a présenté le Fonds d’intermédiation financière de la Banque mondiale, qui « permettrait aux pays d’emprunter des fonds pour renforcer leur système de santé et promouvoir l’approche OH [One Health] ».
Selon Mme Nass, « l’OMS et la Banque mondiale ont contribué à la mise en place de cette opération de financement du programme de biosécurité », tandis que M. Boyle a déclaré au Defender : « Il n’y a rien d’humanitaire dans le fait que ces bailleurs de fonds et l’OMS promeuvent le programme One Health. »
Mme Nass et M. Bell ont tous deux déclaré que le programme One Health était étroitement lié aux objectifs de développement durable et à l’Agenda 2030 des Nations unies. Selon M. Bell, le programme One Health tente de faire face à une prétendue « menace existentielle pour la santé humaine » qui « doit être traitée de manière centralisée, plutôt que de laisser le choix aux gens ».
One Health est étroitement lié au traité de l’OMS sur les pandémies et aux amendements du RSI
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont également souligné les liens entre le concept « One Health », le traité sur les pandémies et les amendements au RSI en cours de négociation.
M. Mercola a écrit que grâce au programme One Health, qui reconnaît « un très large éventail d’aspects de la vie et de l’environnement [that] peuvent avoir un impact sur la santé et relèvent donc du « potentiel » de nuisance », l’OMS « pourra déclarer le changement climatique comme une urgence sanitaire et exiger par la suite des mesures de confinement du climat ».
M. Roguski, qui a effectué des recherches approfondies sur le traité sur la pandémie et les amendements au RSI, a déclaré que dans les amendements que l’UE a récemment proposés pour le traité sur la pandémie, le terme « One Health » apparaît 29 fois, notamment pour demander aux pays d’élaborer et de mettre à jour régulièrement des plans de prévention des pandémies par le biais de l’approche One Health.
Faisant référence à la nécessité de prévenir les « situations de pandémie » potentielles, les propositions appellent également au renforcement de la surveillance de la santé publique mondiale « en utilisant une approche One Health », qui permettra également « d’aborder les facteurs d’émergence et de réémergence des maladies à l’interface homme-animal-environnement, y compris, mais sans s’y limiter, le changement climatique, le changement d’utilisation des terres, le commerce des espèces sauvages, la désertification et la résistance aux antimicrobiens ».
Les propositions suggèrent également que l’approche One Health pourrait être utilisée « pour produire des preuves scientifiques et soutenir, faciliter et/ou superviser la mise en œuvre correcte, fondée sur des preuves et tenant compte des risques, de la prévention et du contrôle des infections », et vont jusqu’à suggérer des objectifs en matière de « consommation/utilisation d’antimicrobiens ».
M. Roguski a déclaré au Defender que la dernière version du traité sur la pandémie fait référence à One Health à 13 reprises. Un tel langage « serait utilisé pour prendre le contrôle total de nos vies », a ajouté M. Roguski.
Par exemple, une proposition stipule que « chaque partie, conformément à sa législation nationale, adopte des politiques et des stratégies, étayées par des plans de mise en œuvre, dans les secteurs public et privé et dans les agences concernées, conformément aux outils pertinents, y compris, mais sans s’y limiter, le Règlement sanitaire international, et renforce les fonctions de santé publique en ce qui concerne : (c) la surveillance (y compris en utilisant l’approche One Health) ».
« Les parties s’engagent à renforcer les systèmes de surveillance multisectoriels, coordonnés, interopérables et intégrés de One Health … afin d’identifier et d’évaluer les risques et l’émergence d’agents pathogènes et de variantes ayant un potentiel pandémique, de manière à réduire au minimum les débordements, les mutations et les risques associés aux maladies zoonotiques, tropicales négligées et à transmission vectorielle, en vue d’empêcher que des épidémies à petite échelle chez les animaux sauvages ou domestiques ne se transforment en pandémie.
« Chaque partie élabore et met en œuvre un plan d’action national One Health sur la résistance aux antimicrobiens qui renforce la gestion des antimicrobiens dans les secteurs humain et animal, optimise la consommation d’antimicrobiens, augmente les investissements dans les nouveaux médicaments, outils de diagnostic, vaccins et autres interventions et en favorise l’accès équitable et abordable, renforce la prévention et le contrôle des infections dans les établissements de soins de santé ainsi que l’assainissement et la biosécurité dans les exploitations d’élevage, et apporte un soutien technique aux pays en développement. »
M. Roguski a indiqué que l’expression One Health n’apparaît pas directement dans les documents relatifs aux amendements proposés au RSI, mais il a ajouté que l’OMS « va essayer de faire prévaloir les deux », en faisant référence à la fois au traité et aux amendements au RSI.
Selon Mme Littlejohn, l’approche One Health et la formulation proposée dans le traité « leur donnent le droit de surveiller et de contrôler potentiellement tous les aspects de la vie sur terre ».
Notant que le traité proposé appelle également à un « engagement à lutter contre la désinformation et les fausses nouvelles », M. Littlejohn a ajouté : « Ils vont surveiller nos médias sociaux […] et si l’un d’entre nous sort du rang en contredisant ce que dit l’OMS, nous pourrions être censurés. »
« Je pense que c’est ce que l’on cherche à faire en s’engageant à mettre en place des systèmes de surveillance coordonnés, interopérables et intégrés dans le cadre du programme One Health », a ajouté Mme Littlejohn. « Je pense que c’est ainsi qu’elle pourrait finir par être déployée. En fin de compte, les entités mondialistes, telles que le Forum économique mondial et les Nations unies, utilisent l’OMS comme moyen d’établir un contrôle mondial. »
« La raison pour laquelle la santé est un si bon prétexte est que les gens peuvent être terrifiés », a ajouté Mme Littlejohn. « Dans la mesure où leur esprit est paralysé s’ils pensent qu’ils peuvent mourir ou tomber vraiment malades, ils sont prêts à renoncer à des libertés qu’ils ne seraient pas prêts à abandonner dans d’autres contextes. »
« Ils ont pris beaucoup de mauvaises décisions. Ils ont donné beaucoup de mauvais conseils [and] et ont causé beaucoup de tort à de nombreuses personnes. On ne peut pas donner à ces personnes plus de pouvoir, d’autorité et de contrôle sans examiner ce qu’elles ont fait et dire non, vous ne devriez pas être en charge de tout cela. »
M. Mercola écrit à son tour que « la prise de pouvoir des mondialistes repose sur la création réussie d’une boucle de rétroaction de surveillance des variantes de virus, de déclaration de risque potentiel suivie de blocages et de restrictions, suivie d’une vaccination massive des populations pour « mettre fin » aux restrictions de la pandémie, suivie d’une surveillance accrue et ainsi de suite ».
Et selon M. Bell, One Health « fait partie d’un ensemble beaucoup plus vaste qui consiste à trouver des moyens de démanteler les idées intrinsèques sur lesquelles la plupart des sociétés ont été construites ».
« Je pense que cela fait partie d’un mouvement visant à annuler ce type d’idées et à les remplacer par une sorte de religion de la peur de notre environnement et du dénigrement des autres humains, qui peut ensuite être utilisée par des personnes très cupides pour accroître leur richesse et leur pouvoir », a déclaré M. Bell. « Il s’est largement emparé de la santé publique. »
(...) David Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré au Defender que les organisations mondiales ont pour objectif de « tout surveiller ». Il a dit : « Cela signifie qu’il faut tout surveiller, surveiller le climat pour détecter d’éventuelles menaces, surveiller les populations animales, surveiller la faune, surveiller le sol pour voir s’il y a de nouvelles traces de virus ou de bactéries dans les systèmes fluviaux, etc. « Cela permet de « découvrir » ce que nous savons déjà être la nature, puis de transformer la nature en menace potentielle ou en menace. Plus la surveillance est importante et étendue, plus les « menaces » sont inévitables… car on peut affirmer que presque toutes les nouvelles variantes de virus constituent une « menace ». (...)
Attitude 'un peu con' ? non ?
« Cela signifie qu’il faut tout surveiller, surveiller le climat pour détecter d’éventuelles menaces, surveiller les populations animales, surveiller la faune, surveiller le sol pour voir s’il y a de nouvelles traces de virus ou de bactéries dans les systèmes fluviaux, etc.' !
Çà y est ! Nous en arrivons aux 'menaces climatiques' ! Menace animales et... du sol ! Menaces de poussières (appelées 'virus') dans le sol !
'car on peut affirmer que presque toutes les nouvelles variantes de virus constituent une « menace' !
ÔH PUTAING !!
Les poussières passent à l'attaque !... HAHAHAHAHA !
Les cultures génétiquement modifiées sont la clé d'une agriculture durable. Pourquoi certains scientifiques ont-ils peur d'en parler ?
19 Mai 2023 Henry I. Miller et Colin Carter, ACSH*
L'ignorance qui entoure les pratiques agricoles réellement « durables », même parmi les personnes et les institutions qui devraient être bien informées, est stupéfiante. Les contributions du génie génétique seront essentielles.
Le génie génétique moléculaire a donné naissance à une nouvelle allergie étrange. Non, pas le genre d'allergie qui provoque de l'urticaire ou une respiration sifflante, mais plutôt une aversion à mentionner le rôle du génie génétique dans l'agriculture. Dans les analyses, les rapports et les articles prétendument savants sur l'agriculture durable, les personnes et les institutions qui savent mieux que quiconque ignorent ou minimisent souvent l'importance des nouvelles technologies, telles que l'ADN recombinant (« épissage de gènes ») et l'édition de gènes.
Un exemple de cette situation a été publié dans la revue Science – un article du professeur Jules Pretty intitulé « Intensification for redesigned and sustainable agriculture systems » (intensification pour des systèmes agricoles repensés et durables). Il s'agit moins d'une analyse que d'un article d'opinion biaisé et étroitement ciblé, qui semble plus approprié à une publication New Age et anti-technologie qu'à la revue Science.
M. Pretty, professeur « d'environnement et de société » à l'Université d'Essex, a présenté son sujet de la manière suivante :
« L'intensification durable […] comprend les processus ou systèmes agricoles dans lesquels la production est maintenue ou augmentée tout en progressant vers une amélioration substantielle des résultats environnementaux. Elle incorpore ces principes sans mise en culture de davantage de terres et sans perte d'habitats non cultivés, et avec une augmentation des performances du système sans coût environnemental net. »
Il n'y a rien à redire au concept d'intensification durable (ID) ou à ses objectifs, mais à l'exception d'un clin d'œil aux « nouvelles variétés de plantes » de la Révolution Verte dans sa première phrase, l'article parvient à aborder le sujet sans mentionner une seule fois des termes tels que « nouvelles variétés génétiques », « génie génétique », « OGM » ou « amélioration génétique ». Dans une « revue » [« review »] sur « l'intensification durable » de l'agriculture telle que la définit Pretty, c'est incompréhensible.
Pretty propose un grand nombre de verbiages abscons, tels que « l'ID cherche à développer des synergies entre les composantes agricoles et les composantes du système à l'échelle du paysage ». Et : « Trois étapes non linéaires ont été proposées pour la transition vers la durabilité : l'efficacité, la substitution et la reconception. Bien que l'efficacité et la substitution soient toutes deux importantes, elles ne suffisent pas à maximiser la coproduction de résultats agricoles et environnementaux favorables en l'absence de reconception. »
Nous nous demandons comment il est possible de parler d'« efficacité, de substitution et de reconception » dans les pratiques agricoles sans mentionner les contributions essentielles des nouvelles variétés améliorées au cours des deux dernières décennies. C'est comme si l'on parlait de ces mêmes qualités dans la conception d'une maison sans mentionner des termes tels que « toit » ou « fondations ». Plus précisément, l'introduction de plantes cultivées modifiées par des techniques moléculaires de génie génétique – parfois appelées « OGM » – a apporté une contribution prodigieuse aux revenus agricoles et aux avantages environnementaux par le biais de changements dans les pratiques de travail du sol et dans l'utilisation de pesticides et d'herbicides.
L'observation de Pretty selon laquelle le génie génétique « est désormais une priorité pour les objectifs de développement durable des Nations Unies » mérite d'être soulignée, car les agences des Nations Unies telles que, de manière incompréhensible, l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), sont connues pour leur réticence à reconnaître dans leurs rapports et analyses les contributions scientifiques, économiques et humanitaires déjà prodigieuses et le potentiel futur du génie génétique.
Au lieu d'une science de pointe, la FAO colporte l'« agroécologie », qu'elle définit comme « une discipline scientifique, un ensemble de pratiques ainsi qu'un mouvement social », se concentrant sur « l'interaction entre les différentes composantes de l’agroécosystème [l'agroécologie] recherche des systèmes agricoles durables qui optimisent et stabilisent les rendements ». Toutefois, étant donné qu'elle rejette de nombreuses avancées technologiques et biologiques modernes en matière d'agriculture, il est peu probable que l'agroécologie produise des rendements qui suivent la croissance de la population et l'évolution des régimes alimentaires des consommateurs associée à l'augmentation des revenus et à l'urbanisation. La plupart des scientifiques la rejettent comme une combinaison de vœux pieux et d'ignorance et la considèrent comme une menace pour la sécurité alimentaire des pays en développement.
En revanche, un rapport du World Resources Institute publié le 5 décembre 2018 s'est montré à la fois plus scientifique et plus réaliste :
« Une utilisation plus efficace des ressources naturelles [...] est la mesure la plus importante pour atteindre les objectifs en matière de production alimentaire et d'environnement. Cela signifie qu'il faut augmenter les rendements des cultures à des taux supérieurs aux taux historiques et accroître considérablement la production de lait et de viande par hectare de pâturage. »
Comment y parvenir ? Ils concluent :
« La sélection classique, c'est-à-dire la sélection des plantes les plus performantes sur la base de leurs caractéristiques génétiques, est à l'origine d'environ la moitié des gains de rendement historiques. Les nouvelles avancées de la biologie moléculaire promettent des gains de rendement supplémentaires, car elles permettent de cartographier à moindre coût et plus rapidement les codes génétiques des plantes, de tester les caractéristiques souhaitées de l'ADN, de purifier les lignées de plantes et d'activer et de désactiver des gènes. »
En outre, depuis des décennies, les Académies Nationales des Sciences, de l'Ingénierie et de la Médecine ont documenté les avantages économiques et environnementaux du génie génétique, tout récemment dans un volumineux rapport publié en 2016. Ce rapport conclut que l'introduction de variétés génétiquement modifiées incorporant un pesticide naturel (une ou plusieurs protéines de la bactérie Bacillus thuringiensis) a réduit l'utilisation globale de pesticides et les populations de ravageurs (et a donc profité même aux cultures non génétiquement modifiées, ce que l'on appelle l'« effet de halo »), et a augmenté la diversité des insectes. L'étude a également montré que les cultures résistantes à des herbicides entraînaient une augmentation des rendements sans diminution de la diversité des plantes.
Lorsqu'il s'agit de l'importance du génie génétique dans l'agriculture durable, les Nations Unies, très politisées, ne sont manifestement d'aucun secours, soit qu'elles l'ignorent, soit qu'elles tentent d'imposer des réglementations excessives et non scientifiques. Mais l'examen sans prétention de Pretty est surprenant. Sa superficialité ne lui fait pas honneur et ne fait pas honneur à Science.
Notre organisme est composé de milliards de milliards de poussières respirées/consommées depuis notre naissance (Nous respirons toutes et tous avec ou sans masque 200 000 poussières et microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance !).
Suivant la qualité des poussières apportées aux vents qui soufflent, nos êtres se composent différemment. Elles solidifient notre ossature. La voiture est construite ? Passons au carburant pour la faire avancer: Notre nourriture se composent UNIQUEMENT de milliards de poussières sous formes végétales ou animales. Ce sont ce qui sont appelés depuis quelques décennies des 'organismes génétiquement modifiés' à cette différence que, ceux qui sortent de laboratoires (à l'opposé des arrivées naturelles) sont sélectionnés pour en faire des clones qui auront donc tous la particularité de pouvoir lutter contre des maladies bien définies qui attaquent les plantes et de lutter aussi contre les insectes ravageurs.
Les laboratoires n'opèrent donc pas comme les imbéciles d'abeilles qui butinent une fleur bleue et entrent dans une fleur rouge sans se nettoyer les pattes !! Puis entrent dans une fleur blanche et apportent encore des modifications à chacune de leur entrée !
Le Meta de Zuckerberg est à la pointe de la transformation des êtres humains en zéros virtuels, selon un expert en technologie
Un groupe de 37 défenseurs des droits de l'enfant a demandé à Mark Zuckerberg de cesser de cibler les enfants et les adolescents dans le cadre du programme de commercialisation d'"Horizon Worlds", la plateforme de réalité virtuelle de Meta. Michael Rectenwald, Ph.D. expert en technologie, a déclaré au Defender que "Horizon Worlds" est encore pire que ce que le groupe a décrit.
Par Suzanne Burdick Mondialisation.ca, 18 mai 2023
Le mois dernier, un groupe de près de 70 “grands défenseurs des droits de l’enfant et de la vie privée en ligne” a demandé à Mark Zuckerberg, PDG de Meta, la société mère de Facebook, de cesser de cibler les enfants et les adolescents dans son programme de marketing pour la plateforme de métavers de réalité virtuelle (VR) de l’entreprise, “Horizon Worlds“.
Dans une lettre adressée à M. Zuckerberg, les défenseurs des droits de l’homme, dont le Parents Television and Media Council et la Parent Coalition for Student Privacy (Coalition des parents pour la protection de la vie privée des étudiants ), ont déclaré
“Les soussignés – un total de 36 organisations et 37 experts individuels du développement des jeunes – vous écrivent pour vous demander d’annuler immédiatement les projets visant à attirer des utilisateurs âgés de 13 à 17 ans vers Horizon Worlds, et d’interdire aux mineurs d’utiliser la plateforme jusqu’à ce que Meta puisse démontrer que s’engager dans un environnement de réalité virtuelle (RV) en constante évolution est sans danger pour leur bien-être.”
Citant les ”impacts négatifs des médias sociaux 2D” bien documentés sur les jeunes, les défenseurs ont déclaré que Meta “doit attendre davantage de recherches évaluées par des pairs” sur les risques potentiels du métavers pour garantir la sécurité des enfants et des adolescents.
Commentant la lettre des défenseurs, Michael Rectenwald, docteur en droit et auteur de “Google Archipelago: The Digital Gulag and the Simulation of Freedom”, Michael Rectenwald, auteur de “Google Archipelago : The Digital Gulag and the Simulation of Freedom”, reconnaît que le métavers représente un danger pour les enfants et les adolescents.
“Le métavers est utilisé pour remplacer l’expérience du monde physique par une réalité simulée”, a déclaré M. Rectenwald, “et, grâce aux satisfactions réduites du monde réel, le métavers est devenu préférable à la réalité non virtuelle pour de nombreuses personnes. Les ‘Horizon Worlds’ de Meta circonscrivent les horizons de ses jeunes utilisateurs et les limitent à un simulacre”
M. Rectenwald a déclaré au Defender que les dommages potentiels causés par Horizon Worlds aux jeunes allaient au-delà de ce que les défenseurs des droits de l’homme décrivaient dans leur lettre. Il a dit :
“Les préjudices sont plus fondamentaux : ils condamnent les utilisateurs à une hallucination consensuelle qui remplace la réalité matérielle et conduit au gaspillage du potentiel humain et à la perte de sens réel.
“En lieu et place de la réalité, le métavers offre une confusion ontologique, une transmutation de l’identité et une défiguration de la réalité. Le Meta de Zuckerberg est à la pointe de la transformation des êtres humains en zéros virtuels dans le domaine numérique.”
Le 3 mai, la Federal Trade Commission (FTC) a accusé Meta d’avoir violé l’accord de 5 milliards de dollars sur la protection de la vie privée et a appelé à un renforcement des restrictions imposées à l’entreprise, estimant qu’elle a partagé de manière inappropriée des données d’utilisateurs avec des tiers et qu’elle n’a pas protégé les enfants comme elle l’avait promis.
En outre, la FTC a déclaré qu’il devrait être interdit à Meta de monétiser les données qu’ elle recueille auprès des jeunes utilisateurs et de lancer de nouveaux produits tant qu’un auditeur tiers n’aura pas déterminé que les politiques de confidentialité de l’entreprise sont suffisantes pour protéger les utilisateurs.
Le Metaverse met les enfants en danger
Selon les défenseurs, “Meta a investi massivement dans ‘Horizon Worlds’ et il semble que l’investissement de Meta dans la RV soit un échec, mettant en danger les enfants dans le processus”.
Une étude récente du Center for Countering Digital Hate (CCDH) a révélé que les mineurs sur la plateforme VR de Meta étaient “régulièrement exposés au harcèlement et aux abus – y compris des insultes sexuellement explicites et du harcèlement raciste, misogyne et homophobe – et à d’autres contenus offensants”.
Les parents seraient choqués d’apprendre ce qui se passe derrière les portes closes d’”Horizon Worlds”, où des enfants et des adolescents sont agressés par des comportements abusifs et des contenus préjudiciables, sans que personne n’intervienne”, ont déclaré les défenseurs des droits de l’homme, en ajoutant :
“Tous les préjudices associés à l’utilisation excessive des médias sociaux et des appareils numériques peuvent être exacerbés sur les plates-formes de RV.
Bien que le CCDH ait signalé 51 incidents de comportement abusif à Meta, la société n’a fourni aucune réponse et “aucun rapport sur les mesures prises ou même un accusé de réception des plaintes”, ont-ils déclaré.
Le CCDH est également l’auteur de “The Disinformation Dozen” (la douzaine de la désinformation), qui inclut Robert F. Kennedy Jr, président de Children’s Health Defense en congé.
Meta – qui a déclaré un chiffre d’affaires de 28,1 milliards de dollars au premier trimestre 2023 – cible les adolescents pour protéger ses résultats en créant des utilisateurs à vie qui, par leur présence et leur soutien, font de la plateforme un outil à la mode.
Les défenseurs des droits de l’homme ont souligné qu’une note de service divulguée au Wall Street Journal révélait que Meta prévoyait d’ouvrir les “Horizon Worlds” aux adolescents afin d’accroître ses bénéfices.
Dans une note interne citée par le WSJ, Gabriel Aul, vice-président d’Horizon Worlds, a déclaré à son personnel que l’amélioration de la fidélisation des jeunes utilisateurs était une priorité absolue.
“Mais ce qui peut être bon pour votre chiffre d’affaires peut être incroyablement néfaste pour les jeunes”, ont déclaré les défenseurs des droits de l’homme.
Les défenseurs des droits de l’homme ont souligné que deux sénateurs démocrates ont récemment demandé à Meta de renoncer à son projet d’ouvrir “Horizon Worlds” aux utilisateurs adolescents, en citant les antécédents de Meta, qui fait passer le profit avant la sécurité des enfants.
Par exemple, l’application “Messenger Kids”, destinée aux enfants âgés de 6 à 12 ans, présentait un grave défaut de conception qui permettait aux enfants de contourner les limites et d’interagir avec des inconnus.
Meta n’a pas non plus réussi à empêcher les publicités pour le tabac, l’alcool et les troubles de l’alimentation de cibler les adolescents sur Facebook.
De plus, les recherches internes de Meta indiquent que la plateforme de médias sociaux de l’entreprise, Instagram, rend les adolescentes plus mal à l’aise avec leur corps, et que des adolescents aux États-Unis et au Royaume-Uni ont fait remonter leurs pensées suicidaires à Instagram.
Jusqu’à ce que Meta se soit procuré des “recherches indépendantes qui détaillent de manière fiable [the] les impacts potentiels sur le bien-être des adolescents et a atténué les dangers d’abus, de harcèlement, d’exposition à des contenus préjudiciables et autres risques pour le bien-être des enfants et des adolescents. la compagnie ne devrait pas rendre ‘Horizon Worlds’ accessible aux utilisateurs de moins de 18 ans, les défenseurs ont-ils conclu.
Des nuages de poussière contenant de l'uranium dérivent au-dessus de l'Europe après l'explosion de munitions britanniques à l'uranium appauvri en Ukraine
20 mai 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Après l'attaque d'un énorme dépôt de munitions le 13 mai près de Khmelnytsky, il y a eu une violente explosion avec un nuage noir en forme de champignon. Des munitions à l'uranium appauvri, fournies par la Grande-Bretagne pour être utilisées dans ses chars Challenger, étaient apparemment stockées sur le site de l'explosion.
Le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Nikolai Patrushev, a averti vendredi qu'un nuage radioactif se dirigeait vers l'Europe occidentale.
docteur Chris Busby a partagé son expertise sur les conséquences de l'explosion avec les médias , il est physico-chimiste et secrétaire scientifique du Comité européen sur les risques de rayonnement (ECRR), a représenté des vétérans des essais de bombes atomiques à la Royal Courts of Justice de Londres , a été membre du DUOB (Depleted Uranium Oversight Board) du ministère britannique de la Défense (2000-2005) et du CERRIE (Committee Examining Radiation Risk from Internal Emitters) de 2000 à 2004.
L'explosion a brûlé l'uranium appauvri dans la boule de feu. Les particules d'UA sont si petites qu'elles agissent comme un gaz et parcourent de très longues distances une fois produites par la combustion de l'UA. Ils ont été retrouvés en Angleterre en 2003 après leur arrivée d'Irak. Le matériel est capable de couvrir de très grandes distances.
Si l'uranium appauvri était impliqué dans l'explosion de Khmelnytsky et contenait les particules dans le panache de l'explosion, le matériau se déplacerait sous le vent et devrait être détectable sur les sites de surveillance sous le vent.
L'UA a également une signature gamma, il émet des rayons gamma. L'U-238 qui reste après le retrait de l'U-235 fissile dans les centrifugeuses (et utilisé pour les armes nucléaires et les réacteurs) est un émetteur alpha faible. Au cours de sa désintégration alpha, l'uranium-238 se transforme en thorium-234 et en protoactinium-234m, qui se transforme ensuite en uranium-234. Le thorium-234 est un émetteur bêta et gamma, émettant 6 % de son énergie de désintégration sous forme de rayons gamma. Par conséquent, de gros nuages de particules d'aérosol d'uranium appauvri peuvent être détectés par des détecteurs gamma.
L'examen des cartes météorologiques montre qu'au moment de l'explosion et pendant des jours après, il y avait une zone anticyclonique au nord du site de l'explosion et les vents étaient faibles mais venaient du sud-est et soufflaient autour de la zone anticyclonique depuis le nord-ouest. Ainsi, le panache de fumée se déplacerait vers la Pologne. Avec une vitesse de vent d'environ 5 km/h le 15 mai, il atteindrait tous les détecteurs polonais distants de 250 km.
Après Tchernobyl, l'Union européenne a mis en place un système de détection de rayons gamma à l'échelle européenne qui affiche les valeurs gamma en temps réel. Comme TKP l'a signalé le 16 mai , le site Web n'a chargé aucune donnée les 15 et 16 mai. Busby note également que toutes les données ont été bloquées. Le système basé sur le Web (EURDEP) administré depuis l'Allemagne n'a pas fourni les cartes de détection qui sont par ailleurs toujours disponibles. Heureusement, il y avait des cartes sur Internet et certaines avaient déjà été téléchargées par d'autres avant que le système ne cesse de fonctionner. Voici l'un d'entre eux:
Au niveau de ce détecteur, au nord-ouest du site de l'explosion, il y a eu une augmentation significative du rayonnement gamma, presque exactement là où on aurait pu s'y attendre à une distance de 250 km et une vitesse moyenne du vent de 5 km/h. L'augmentation de 60 nSv/h à 90 nSv/h était statistiquement très significative et s'élevait à environ 50 %. D'autres détecteurs en Pologne ont également montré une augmentation lorsque le nuage passait au-dessus, l'augmentation diminuant avec la distance (en raison de la diffusion des nuages).
La carte web du système européen de détection des rayonnements est à nouveau en ligne depuis le 18 mai. Le type de carte avait changé et tout ce que nous avions vu dans les téléchargements avait disparu ou était flouté par l'analyse de la moyenne des données. Et pourquoi? Ceci et la suspension précoce de l'accès au site suggèrent la panique et la dissimulation.
L' augmentation de la radioactivité du bismuth-214, une "fille" du radon, également rapportée par TKP . Le radon (Rn-222), gaz de fond radioactif naturel, est toujours présent car il se forme à partir de l'uranium et du radium dans le sol. Lorsqu'il y a un changement soudain de pression atmosphérique ou lorsqu'il pleut, il y a un pic gamma de radon qui apparaît comme un pic de Bi-214. Ainsi, les Pôles semblent impliquer que l'augmentation des rayons gamma est normale et qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter.
Le problème avec l'argument du radon est, premièrement, que l'augmentation des rayons gamma à travers la Pologne se produit sur une échelle de temps indicative de l'explosion de Khmelnytski, et deuxièmement, qu'il y avait un système météorologique anticyclonique stable et qu'aucun changement de pression atmosphérique ne causait le radon du pourrait tirer au sol. L'expert a vérifié tout cela. Il n'y a eu que quelques pluies légères sur Lublin.
Cependant, il existe une autre possibilité. Les particules très fines attirent le radon : Le rayonnement gamma du radon augmente légèrement au voisinage des cheminées d'usine qui émettent des particules fines. Le signal de Lublin est donc probablement dû au nuage de fumée de l'explosion.
Donc, dans l'ensemble, nous assistons à une explosion massive que l'on pense être de l'uranium appauvri et des rapports faisant état d'une augmentation du rayonnement gamma à proximité de l'installation. L'oxyde d'uranium est noir et le nuage noir se déplace lentement vers le nord-ouest, le temps est stable et le vent souffle vers la Pologne. Les détecteurs polonais de l'UE montrent tous une augmentation du rayonnement gamma au moment prévu de l'arrivée du nuage. Le système de détection de l'UE sera arrêté rapidement, mais pas avant que nous ayons reçu des données de plusieurs sites.
Busby suppose qu'il y a une catastrophe environnementale et que les particules d'UA migrent via la Pologne, l'Allemagne et la Hongrie et se retrouvent dans les États baltes, plus tard probablement dans toute l'Europe. Chimiquement parlant, l'uranium est hautement toxique et s'il est inhalé, le rayonnement radioactif provoque des maladies.
C'est très rare mais çà arrive. Les poussières radioactives (appelées virus) à l'opposée des poussières empoisonnées du 'cocovide19' qui n'étaient pas dans l'air mais UNIQUEMENT offertes en seringues accompagnées du nazi masqué, celles-ci sont offertes par la Grande-Bretagne.
Demande croissante de pilules contre l'obésité pour résoudre le problème de la malbouffe
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 19 mai 2023
En 2021, le taux d'obésité chez les adultes de plus de 20 ans aux États-Unis était de 41,9 %.1 Malheureusement, les gens ont été endoctrinés en pensant que les « pilules magiques » sont la réponse, au lieu d'examiner attentivement votre mode de vie, votre régime alimentaire. et les habitudes alimentaires.
Wegovy (semaglutide), administré sous forme d'auto-injection hebdomadaire, est devenu si populaire que, début mai 2023, Novo Nordisk a annoncé qu'il réduirait l'approvisionnement en doses de départ pour le marché américain afin de "sauvegarder la continuité des soins" pour les patients existants. 2 Tel que rapporté par CNBC :3
"Novo Nordisk a annoncé jeudi des ventes du premier trimestre supérieures aux prévisions à la suite d'un pic de la demande pour son médicament de perte de poids à succès … [Le directeur financier Karsten Munk] Knudsen a déclaré que la société "augmentait l'offre tous les jours" et avait actuellement deux contrats. les fabricants s'efforcent d'augmenter la production, un tiers devant être mis en ligne au second semestre 2023.
Il a ajouté qu'il y avait d'autres plans pour augmenter la production dans les années à venir. "C'est aussi le reflet d'un très grand marché et d'un très grand besoin non satisfait de médicaments sûrs et efficaces, et c'est là que Wegovy entre en jeu, étant très efficace et sûr pour les patients [obèses]", a-t-il déclaré.
Ce que vous devez savoir sur Wegovy
Wegovy a été approuvé par la Food and Drug Administration des États-Unis en juin 2021 pour « la gestion chronique du poids chez les adultes obèses ou en surpoids avec au moins une condition liée au poids (telle que l'hypertension artérielle, le diabète de type 2 ou l'hypercholestérolémie) ».4
Le médicament est indiqué pour les patients ayant un indice de masse corporelle (IMC) de 27 ou plus qui ont au moins une affection liée au poids, ou chez les patients ayant un IMC de 30 ou plus.
Selon la FDA, l'ingrédient actif de Wegovy, le sémaglutide, agit en "imitant une hormone appelée glucagon-like peptide-1 (GLP-1) qui cible les zones du cerveau qui régulent l'appétit et l'apport alimentaire".5
Le GLP-1, que le sémaglutide imite, abaisse également la glycémie et ralentit le passage des aliments dans votre intestin.6 Les effets secondaires gastro-intestinaux sont si fréquents que la dose doit être progressivement augmentée, de 0,25 milligrammes à 2,4 mg au cours de 16 à 20 semaines.
Au total, l'innocuité et l'efficacité ont été étudiées dans quatre essais de 68 semaines impliquant un total de 2 600 patients ayant reçu le médicament et 1 500 ayant reçu un placebo. Dans le plus grand essai contrôlé par placebo, les patients non diabétiques qui ont reçu Wegovy ont perdu en moyenne 12,4 % de leur poids corporel par rapport au groupe placebo.
Dans un autre essai, auquel ont participé des adultes atteints de diabète de type 2, la perte de poids moyenne était de 6,2 % de leur poids corporel initial. Il est donc clair que le diabète peut avoir un impact marqué sur l'efficacité du médicament.
Effets secondaires et avertissements
En ce qui concerne les effets secondaires, les plus courants cités par la FDA sont :7
- voir cadre sur site -
Wegovy contient également des avertissements pour :8
- voir cadre sur site -
Peut-être plus important encore, pour maintenir votre perte de poids, vous devez continuer à prendre Wegovy indéfiniment. Si vous arrêtez de le prendre, les kilos que vous avez perdus reviendront. Cela explique pourquoi Novo Nordisk s'est senti obligé de limiter la disponibilité du médicament pour les nouveaux patients, car ils doivent s'assurer que ceux qui le prennent déjà peuvent le rester.
Une non-solution dangereuse
Selon Novo Nordisk, « des centaines de milliers » d'Américains prennent déjà le médicament,9 mais compte tenu de tous les effets secondaires, des avertissements et du fait que vous devez prendre le médicament pour le reste de votre vie, comment peut-on penser que c'est la réponse à notre problème d'obésité ? Tant de choses peuvent mal tourner ici.
Le nœud du problème est que ce médicament ne fait rien pour traiter la cause profonde de l'obésité. Vous ne faites que jouer avec la chimie du cerveau pour supprimer artificiellement l'appétit, devenant potentiellement suicidaire dans le processus.
Pendant ce temps, la recherche a montré que les aliments transformés affectent votre cerveau de manière préjudiciable, entraînant anxiété, dépression et déclin cognitif.10 Donc, fondamentalement, beaucoup mangent de la malbouffe transformée qui dérégule leur cerveau, puis prennent un médicament qui dérégule simplement leur cerveau même plus loin.
Maintenant, lorsque vous prenez Wegovy, vous êtes censé suivre un régime alimentaire qui met l'accent sur les aliments entiers frais et les graisses saines.11 Les aliments transformés sont censés être strictement limités. Mais combien de patients suivent réellement ce plan ? S'ils le faisaient, ils n'auraient probablement pas besoin du médicament !
La réponse évidente ici est de simplement abandonner les aliments transformés et de donner à votre cerveau et à votre corps la nutrition dont il a besoin pour un fonctionnement et une régulation optimaux. Si vous prenez Wegovy et que vous mangez toujours des aliments transformés, devinez quoi ? Vous doublez essentiellement votre risque de maladies chroniques comme le cancer et les problèmes mentaux. Pour moi, ce n'est pas une solution. Cela aggrave un problème qui, pour la plupart des gens, peut être résolu uniquement par des changements de régime alimentaire et de mode de vie.
Régime ultra-transformé associé à une mauvaise santé mentale
Examinant de plus près comment les aliments transformés affectent la santé mentale, voici un extrait du New York Times :12
« Environ 60 % des calories du régime alimentaire américain moyen13 proviennent d'aliments hautement transformés. Nous savons depuis des décennies que la consommation de tels produits emballés - comme certaines céréales pour le petit-déjeuner, les barres-collations, les repas surgelés et pratiquement tous les bonbons emballés, entre autres choses - est liée à des résultats indésirables pour la santé, comme un risque accru de diabète, d'obésité et même cancer.
Mais des études plus récentes indiquent un autre inconvénient majeur… Ils semblent également avoir un impact significatif sur notre esprit. Des recherches menées au cours des 10 dernières années environ ont montré que plus une personne mange d'aliments ultra-transformés [UPF], plus elle a de chances de se sentir déprimée et anxieuse…
Dans une étude de 202214 portant sur plus de 10 000 adultes aux États-Unis, plus les participants aux FPU mangeaient, plus ils étaient susceptibles de signaler une légère dépression ou des sentiments d'anxiété. "Il y a eu une augmentation significative des jours de mauvaise santé mentale pour ceux qui mangeaient 60% ou plus de leurs calories provenant des FPU", a déclaré le Dr Hecht, l'auteur de l'étude...
De nouvelles recherches ont également trouvé un lien entre une consommation élevée d'UPF et le déclin cognitif. Une étude de 202215 qui a suivi près de 11 000 adultes brésiliens pendant une décennie a trouvé une corrélation entre la consommation d'aliments ultra-transformés et une détérioration de la fonction cognitive (la capacité d'apprendre, de se souvenir, de raisonner et de résoudre des problèmes).
"Alors que nous avons un déclin naturel de ces capacités avec l'âge, nous avons vu que ce déclin s'accélérait de 28% chez les personnes qui consomment plus de 20% de leurs calories à partir des UPF", a déclaré Natalia Gomes Goncalves, professeur à l'Université de São Paulo. Medical School et l'auteur principal de l'étude.
Bien que les détails soient encore sommaires, il est raisonnable de supposer que la raison pour laquelle les aliments ultra-transformés ont un impact si néfaste sur la santé mentale et physique est qu'ils sont chargés de sirop de maïs à haute teneur en fructose, qui contient des charges d'amidon non filtré en plus des sucres et, bien sûr, les huiles de graines. Ces deux facteurs ont tendance à augmenter la sérotonine dans l'intestin, ce qui augmente l'inflammation et les niveaux de cortisol qui nuisent à la santé mentale.
De plus, les additifs chimiques contenus dans les aliments ultra-transformés ont également un impact négatif sur votre microbiome intestinal. Un microbiote intestinal pauvre, à son tour, favorise l'inflammation chronique, qui peut déclencher ou aggraver une foule de maux, y compris l'obésité et la dépression. Compte tenu de l'importance d'un intestin sain, ne semble-t-il pas irrationnel de prendre un médicament qui cause de graves problèmes gastro-intestinaux ?
Les aliments ultra-transformés causent l'obésité et le cancer
Si nous, en tant que société, voulons un jour stabiliser ou diminuer les taux d'obésité et de cancers liés à l'obésité, nous devons nous attaquer à l'éléphant dans la pièce, à savoir les aliments ultra-transformés. Nous ne pouvons pas nous soigner de ces problèmes, d'autant plus que des médicaments comme Wegovy sont accompagnés d'un avertissement de cancer de la thyroïde et doivent être pris à vie, sinon le poids revient.
De nombreuses études ont établi un lien entre les aliments ultra-transformés et l'obésité et les cancers liés à l'obésité. L'un des plus récents, publié en mai 2023, a analysé "l'association des déserts alimentaires et des marécages alimentaires avec la mortalité par cancer liée à l'obésité aux États-Unis". Comme indiqué dans cette étude :16
« Les cancers liés à l'obésité représentent 40 % de tous les cancers aux États-Unis. La consommation d'aliments sains est un facteur modifiable qui réduit la mortalité par cancer liée à l'obésité, mais résider dans des zones avec moins d'accès aux épiceries (déserts alimentaires) ou un accès plus élevé à la restauration rapide (marécages alimentaires) réduit l'accès à des aliments sains…
Cette étude écologique transversale a utilisé les données de l'Atlas de l'environnement alimentaire du Département américain de l'agriculture de 2012, 2014, 2015, 2017 et 2020 et les données de mortalité des Centers for Disease Control and Prevention de 2010 à 2020. Un total de 3038 comtés américains ou équivalents de comté avec des informations complètes sur les scores de l'environnement alimentaire et les données sur la mortalité par cancer liée à l'obésité ont été incluses…
Il y avait une augmentation de 77% des chances d'avoir des taux élevés de mortalité par cancer liés à l'obésité parmi les comtés américains ou leurs équivalents avec des scores élevés de marais alimentaires…
Les résultats de cette étude écologique transversale suggèrent que les décideurs politiques, les agences de financement et les acteurs communautaires devraient mettre en œuvre des approches durables pour lutter contre l'obésité et le cancer et établir un accès à une alimentation plus saine, comme la création de quartiers plus propices à la marche et de jardins communautaires.
L'industrie alimentaire évolue dans la mauvaise direction
Pendant ce temps, le gouvernement américain déplace intentionnellement l'industrie alimentaire dans la direction opposée, loin des aliments frais, entiers et naturels et vers les viandes cultivées en laboratoire et les aliments végétaux issus de la bio-ingénierie.17,18
C'est fait au nom de la "durabilité" et de la "sécurité alimentaire", mais les ramifications dans le monde réel ne sont pas difficiles à prévoir. Remplacer les vrais aliments par des aliments ultra-transformés et génétiquement modifiés dévastera la santé humaine et réduira l'espérance de vie.
L'Italie est l'un des rares pays qui semble avoir compris cela et cherche maintenant à interdire la production, la vente et la consommation de viande cultivée en laboratoire.19 Comme l'a noté le ministre italien de l'agriculture, de la souveraineté alimentaire et des forêts, Francesco Lollobrigida, "ne garantissent pas la qualité, le bien-être et la protection de notre culture, de notre tradition."
En effet, la viande synthétique, par exemple, est la quintessence des aliments ultra-transformés,20 et il est naïf de penser qu'elle n'aura pas d'effets sur la santé similaires à d'autres aliments ultra-transformés. L'obésité,21 le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, le cancer et la dépression ne sont que quelques-unes des conditions connues pour être favorisées et exacerbées par un régime alimentaire ultra-transformé.22,23,24,25,26
Parallèlement, la Maison Blanche fait la promotion du Cancer Moonshot27, un programme visant à réduire les taux de cancer de 50 % ou plus au cours des 25 prochaines années. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que ce programme échouera, car il est également axé sur la biotechnologie plutôt que sur la création d'une base solide pour la santé grâce à des aliments sains et non altérés et à l'élimination des additifs alimentaires chimiques.
L'édition de gènes CRISPR, par exemple, s'est avérée déclencher le cancer. Les cellules dont les génomes sont modifiés avec succès par CRISPR-Cas9 ont un potentiel cancérigène, les transformant en bombes à retardement proverbiales. Pourtant, l'édition de gènes est saluée comme la réponse à tout, de l'insécurité alimentaire aux maladies chroniques comme le cancer. C'est comme si la science s'était complètement déconnectée de la réalité.
Si vous êtes aux prises avec un excès de poids ou une maladie chronique, l'une des stratégies fondamentales de "traitement" que vous devez adopter est de manger de la vraie nourriture. En fin de compte, la réponse aux taux de maladies chroniques, à l'obésité et à l'insécurité alimentaire ne réside pas dans un système alimentaire centré sur la biotechnologie contrôlé de haut en bas, ou dans des médicaments altérant le cerveau qui suppriment l'appétit. La seule réponse viable à long terme est un système alimentaire décentralisé qui relie les communautés aux agriculteurs qui cultivent de la vraie nourriture de manière durable et distribuent cette nourriture localement. Nous avons besoin d'une meilleure nourriture, pas de plus de médicaments.
Le fait que des "centaines de milliers" d'Américains comptent déjà sur un médicament qui est sur le marché depuis moins de deux ans est un triste témoignage de la sous-information des gens en matière de santé.
Qu'est-ce qui rend les aliments ultra-transformés ?
Si vous êtes aux prises avec un excès de poids ou une maladie chronique, l'une des stratégies de « traitement » fondamentales que vous devez adopter est de manger de la vraie nourriture. Un article de Public Health Nutrition publié en 2019 vous explique comment identifier les aliments ultra-transformés afin de pouvoir les éviter :28
« Les aliments ultra-transformés sont définis dans le système de classification NOVA, qui regroupe les aliments en fonction de l'étendue et de l'objectif de la transformation industrielle.
Les procédés permettant la fabrication d'aliments ultra-transformés comprennent le fractionnement d'aliments entiers en substances, les modifications chimiques de ces substances, l'assemblage de substances alimentaires non modifiées et modifiées, l'utilisation fréquente d'additifs cosmétiques et d'emballages sophistiqués…
Les aliments peu transformés, qui, avec les aliments non transformés, constituent le groupe NOVA 1, sont des aliments non transformés modifiés par des processus industriels tels que l'élimination des parties non comestibles ou indésirables, le séchage, le broyage, le broyage, le fractionnement, le rôtissage, l'ébullition, la pasteurisation, la réfrigération, la congélation, le placement dans des conteneurs, emballage sous vide ou fermentation non alcoolique.
Aucun de ces processus n'ajoute de sel, de sucre, d'huiles ou de graisses ou d'autres substances alimentaires à l'aliment d'origine. Leur objectif principal est de prolonger la durée de vie de [la nourriture]… permettant leur stockage pour une utilisation plus longue…
NOVA groupe 2 est composé d'ingrédients culinaires transformés. Ce sont des substances obtenues directement à partir d'aliments du groupe 1 ou de la nature, comme les huiles et les graisses, le sucre et le sel. Ils sont créés par des procédés industriels tels que le pressage, la centrifugation, le raffinage, l'extraction ou l'exploitation minière, et leur utilisation est dans la préparation, l'assaisonnement et la cuisson des aliments du groupe 1.
Le groupe NOVA 3 est composé d'aliments transformés. Ce sont des produits industriels fabriqués en ajoutant du sel, du sucre ou une autre substance du groupe 2 aux aliments du groupe 1, en utilisant des méthodes de conservation telles que la mise en conserve et la mise en bouteille et, dans le cas des pains et des fromages, en utilisant une fermentation non alcoolique. La transformation alimentaire vise ici à augmenter la durabilité des aliments du groupe 1…
Les aliments ultra-transformés sont des formulations d'ingrédients, pour la plupart à usage industriel exclusif, qui résultent d'une série de procédés industriels (donc « ultra-transformés »)…
Un moyen pratique d'identifier un produit ultra-transformé est de vérifier si sa liste d'ingrédients contient au moins un élément caractéristique du groupe d'aliments ultra-transformés NOVA, c'est-à-dire soit des substances alimentaires jamais ou rarement utilisées en cuisine... ou des classes d'additifs conçus pour rendre le produit final agréable au goût ou plus attrayant …
Les aliments ultra-transformés comprennent les boissons gazeuses non alcoolisées ; grignotines emballées sucrées ou salées; chocolat, bonbons (confiserie); glace; pains et brioches emballés produits en série; margarines et autres pâtes à tartiner; biscuits (biscuits), pâtisseries, gâteaux et préparations pour gâteaux; céréales du petit-déjeuner'; tartes et plats de pâtes alimentaires et pizzas préparés à l'avance; «nuggets» et «sticks» de volaille et de poisson, saucisses, hamburgers, hot-dogs et autres produits à base de viande reconstitués; soupes, nouilles et desserts « instantanés » en poudre et emballés ; et de nombreux autres produits.
Comment identifier les aliments ultra-transformés
Voici une liste plus détaillée des ingrédients à surveiller :29
• Ingrédients jamais ou rarement utilisés en cuisine :
- voir cadre sur site -
• Additifs :
- voir cadre sur site -
À ces listes, j'ajouterais tout aliment contenant des huiles végétales ou des huiles de graines, telles que l'huile de maïs, l'huile de tournesol, l'huile de canola, l'huile de coton, l'huile de soja, l'huile de pépins de raisin et l'huile de carthame.
Les huiles de graines sont couramment utilisées en cuisine, même à la maison, mais si vous voulez perdre du poids et améliorer votre santé, elles doivent être strictement évitées, car elles sont très riches en acide linoléique oméga-6, qui est le principal moteur de maladie chronique. Pour en savoir plus, voir "Acide linoléique - L'ingrédient le plus destructeur de votre alimentation".
1 CDC Adult Obesity Facts 2 STAT News May 4, 2023 3 CNBC May 4, 2023 4, 5, 7, 8 FDA June 4, 2021 6, 9 CNN Health May 5, 2023 10, 12 NY Times May 4, 2023 11 Menopausebetter.com Diet Plan When Taking Wegovy 13 Front Nutr May 28, 2019; 6: 70 14 Public Health Nutrition November 2022; 25(11): 3225-3234 15 JAMA Neurology 2023; 80(2): 142-150 16 JAMA Oncology May 4, 2023 Epub ahead of print 17 White House Executive Order on Advancing Biotechnology September 12, 2022 18 Bold Goals for US Biotechnology and Biomanufacturing March 2023 19 Epoch Times April 18, 2023 (Archived) 20 Friends of the Earth, From Lab to Fork, June 2018 (PDF) 21 Cell Metabolism, 2019; doi: 10.1016/j.cmet.2019.05.008 22 JAMA Internal Medicine February 11, 2019;179(4):490-498 23 BMJ February 14, 2018; 360 24 JAMA 2017;317(9):912-924 25 BMJ, 2019;365:I1451 26 BMJ, 2019;365:l1949 27 White House Cancer Moonshot 28, 29 Public Health Nutrition April 2019; 22(5): 936-941
Si vous vivez dans une grande ville américaine, il est probablement temps de déménager
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 20 mai 2023
Bien que cela puisse sembler être un article se concentrant sur Chicago, sachez que Chicago n'est utilisé que comme un exemple de la décadence morale et de la corruption dans pratiquement toutes les grandes villes des États-Unis. Cela sert d'avertissement brutal pour déménager si vous êtes dans l'une de ces zones.
Comme l'a noté ReallyGraceful dans la vidéo ci-dessus, Chicago, Illinois, devrait être "un paradis des États-Unis". Troisième plus grande ville des États-Unis, elle regorge d'architecture de classe mondiale et d'avancées technologiques. C'est un centre pour les industries manufacturières et de transport et est devenu la Mecque du secteur technologique.1
Mais plutôt que d'être la prunelle des yeux de l'Amérique, Chicago est devenue connue comme "un centre de meurtre, de crime et de corruption". Une personne est abattue toutes les trois heures et 41 minutes dans "The Windy City". Ceci malgré certaines des lois sur le contrôle des armes à feu les plus strictes du pays.
Quelqu'un est assassiné toutes les 15 heures et 54 minutes à Chicago. Selon les statistiques citées dans la vidéo, vous êtes plus susceptible d'être assassiné à Chicago que de mourir en tant que civil dans la guerre Ukraine-Russie. La violence à Chicago est principalement Black on Black, et la plupart des victimes sont des hommes noirs de moins de 25 ans. Comment cela s'est-il produit ? Comment Chicago est-elle devenue un centre de crime plutôt que d'avancement ?
Les politiques ratées de Chicago
Lori Lightfoot, une démocrate gay noire, est devenue maire de Chicago en 2019. À l'été 2020, elle a accompagné le mouvement national de financement de la police. En août, elle s'est engagée à réduire le budget de la police de la ville de 80 millions de dollars, mais un mois plus tard, elle a changé d'avis et a finalement réduit « seulement » le budget de 59 millions de dollars.2
À son crédit, elle a rejeté l'appel de la communauté à éliminer complètement la police et à la remplacer par des travailleurs sociaux et des professionnels de la santé, affirmant qu'elle "ne soutient pas le financement de la police" et qu'elle ne peut pas "adopter de manière responsable des politiques qui rendent les communautés moins sûres".3
De toute évidence, Lightfoot a compris la valeur de la présence policière, voyant comment elle s'est assurée qu'elle disposait d'une équipe de 71 policiers protégeant son domicile personnel.
Cela dit, Lightfoot a également mis en œuvre certaines des politiques de verrouillage les plus draconiennes du pays et a fait pression sur les habitants de Chicago pour obtenir le vaccin expérimental COVID. Elle a également lancé un programme pilote de revenu de base universel, qui est encore un autre moyen de rendre les gens dépendants de l'aide gouvernementale.
Pendant tout ce temps, la criminalité a augmenté. En décembre 2021, Lightfoot a supplié le gouvernement fédéral de disposer de ressources supplémentaires en matière d'application de la loi pour lutter contre les taux de criminalité incontrôlables.4
En avril 2023, Lightfoot est devenue la première maire de Chicago à perdre sa réélection, apparemment en raison de son incapacité à maîtriser la criminalité. Remarquablement, le nouveau maire est tout sauf dur avec le crime et est encore plus permissif qu'elle ne l'était.
Contrairement à Lightfoot, qui a au moins repoussé le mouvement irrationnel sinon suicidaire de « financement de la police », le nouveau maire, le démocrate Brandon Johnson, ancien organisateur syndical et commissaire du comté de Cook, était un fervent partisan du financement de la police, et à ce propos day défend le pillage comme "une explosion de frustration et d'angoisse incroyables" causée par "un système raciste défaillant".
Pendant ce temps, Walmart, l'un des principaux donateurs du Parti démocrate, ferme actuellement quatre de ses huit magasins de Chicago en raison de vols et de pillages endémiques. Walmart ne peut tout simplement pas se permettre d'y rester. Les manifestants se sont rassemblés devant Walmart, critiquant sa décision, mais en fin de compte, l'économie règne - même dans les zones contrôlées par les démocrates.
La dépénalisation du crime mène à l'anarchie
Remarquablement, la tendance démocrate à dépénaliser le vol, le pillage et même les crimes violents et les meurtres – parce que « le racisme et l'inégalité » – entraîne davantage de crimes. Qui aurait pu deviner que le non-respect des lois conduirait à l'anarchie ?
Comme l'a noté le procureur du comté de Cook, Jason Poje, qui a démissionné début mai 2023 de son poste qu'il occupe depuis 20 ans, "Cet État et ce comté se sont engagés sur la voie du désastre". Il poursuit :5
"... le pire, c'est que l'agence pour laquelle je travaille a littéralement soutenu chaque changement de politique qui a eu pour résultat prévisible et prévu d'augmenter le nombre de crimes et de blesser davantage de personnes.
Une réforme des obligations conçue pour s'assurer que personne ne reste en prison pendant que son dossier est en instance sans filet de sécurité pour gérer davantage de criminels dans la rue, des périodes de libération conditionnelle plus courtes, des peines plus faibles pour les récidivistes, des poursuites malveillantes et inutiles contre les agents des forces de l'ordre, une utilisation excessive de programmes de déjudiciarisation, intentionnellement de ne pas engager de poursuites pour des crimes légalement inscrits après avoir été adoptés par notre législature et signés par un gouverneur, toutes ces soi-disant réformes ont eu un impact négatif direct, avec des conséquences qui dureront pendant une génération…
Les responsables actuels de cet État, y compris le [State’s Attorney’s Office] souffrent d’un malentendu fondamental… nous vivons dans une société avec des procédures judiciaires et pénales contradictoires.
Avocats de la défense, cliniques d'aide juridique, défenseurs publics, groupes de défense des accusés… ils se battent comme des fous pour protéger les droits des accusés. Et ils devraient. Leur travail est aussi noble que le nôtre. Mais nous avons l'obligation de nous battre comme un diable au nom du Peuple. Il va sans dire que cela doit être fait de manière éthique et impartiale.
Lorsque les deux parties défendent vigoureusement leurs positions, un équilibre est atteint entre la protection des droits tout en préservant une sorte d'ordre et de sécurité. Une fois que nous commençons à trop faire le travail de la défense, une fois que nous tirons nos coups, une fois que nous décidons qu'il vaut la peine de risquer la vie des citoyens pour avoir une petite expérience sociale, cet équilibre est perdu.
Les conséquences inéluctables sont ce à quoi nous assistons en temps réel, une augmentation de la criminalité de toutes sortes, des entreprises et des familles qui montent des enchères, et les corps qui s'entassent..."
Pourquoi les dirigeants politiques mettent-ils en œuvre des politiques qui, évidemment, se traduiront par plus de criminalité plutôt que par moins ? Ils sont intentionnellement mis en œuvre parce que le résultat final est souhaité. Chicago n'est pas seule dans cette folie. Seattle, Los Angeles et de nombreuses autres villes dirigées par les démocrates ont mis en place des politiques similaires, et le résultat final est le même partout. Pourquoi les dirigeants politiques mettent-ils en œuvre des politiques qui, évidemment, se traduiront par plus de criminalité plutôt que par moins ?
ReallyGraceful a une théorie. Elle pense que ces politiques insensées sont intentionnellement mises en œuvre parce que la fin justifie les moyens puisqu'il s'agit d'un résultat souhaité.
Elle soupçonne que les grands magasins de brique et de mortier et les petits magasins sont intentionnellement expulsés des grandes villes afin que "seuls ceux qui ont l'argent et l'infrastructure nécessaires pour soutenir les achats en ligne puissent survivre". En d'autres termes, c'est un programme de consolidation. L'objectif final est de passer à une monnaie numérique traçable de la banque centrale et aux achats en ligne.
Au-delà de cela, nous avons les plans bien conçus du Forum économique mondial (WEF) pour les villes du futur.6,7 Ils veulent de petites villes verticales autonomes où chacun de vos mouvements est surveillé et où les excursions à la campagne sont interdites. Pour y arriver, ils doivent détruire les anciennes infrastructures et reconstruire selon de nouvelles spécifications.
Selon le WEF, les villes du monde entier gagneront 5 milliards de nouveaux habitants d'ici 2050.8 Au total, ils prédisent que 80 % de la population mondiale sera pressée vers les villes. Peu importe le fait que la vie en ville a longtemps été liée au stress, à la dépression et à une agressivité accrue.9
Les plans dits «d'urbanisme isobefit» incluent la construction de villes où l'essentiel se trouve à moins d'un mile de marche.
Cela a du sens, étant donné que l'objectif vert d'avoir toutes les voitures électriques d'ici 2050 est un fantasme qui ne peut être atteint. Il n'y a pas assez de minéraux sur cette planète pour remplacer les voitures à essence existantes par des véhicules électriques. Le plan est simplement que les gens moyens n'aient pas de voiture.
Effort coordonné pour libérer l'anarchie à travers l'Amérique
La principale conclusion ici est que la promotion de l'anarchie ne se limite pas à Chicago. Chicago n'est qu'un exemple de la dégradation morale qui se produit dans pratiquement toutes les grandes villes américaines.
Les criminels violents sont libérés des prisons de nombreuses grandes villes et les procureurs de l'État distribuent des tapes sur les doigts ou refusent de poursuivre les délinquants violents. C'est intentionnel. Vous n'avez pas besoin d'avoir un doctorat spécial. pour réaliser que s'il n'y a pas de punition pour le pillage et le meurtre, plus de gens vont piller et tuer.
Selon les données du FBI, en moyenne, les meurtres et les homicides involontaires dans les villes américaines de plus de 10 000 habitants ont augmenté de 26 % entre 2010 et 2020 ; les viols ont augmenté de 38 %, les voies de fait graves de 29 % et les vols de voiture de 48 %.
Ce sont des moyennes. Certaines villes sont bien pires que d'autres10. Carte de la plupart des meurtres en 2023.13 Il convient de noter que 18 des 20 villes ayant les taux de meurtres les plus élevés ont des maires démocrates.
Sauvez-vous - Sortez des villes
Mon conseil? Si vous vivez dans une grande ville - n'importe quelle grande région métropolitaine - envisagez de déménager dans une plus petite, de préférence dans un état moins «réveillé» où l'anarchie n'est pas ouvertement acceptée et acceptée comme une forme d'arrangement «d'équité».
Votre sûreté, votre sécurité et votre bien-être à long terme, ainsi que ceux de votre famille, peuvent en dépendre, car la situation ne fera qu'empirer à partir d'ici. Nous pouvons facilement le prévoir car la dégradation que nous constatons actuellement est clairement intentionnelle.
10 villes et États que les propriétaires fuient
Depuis le début de la pandémie, nous avons assisté à un exode sans précédent des villes bleues (à gauche) à travers les États-Unis. Les 10 principales villes que les propriétaires ont fuies sont :14
San Francisco Los Angeles New York City Washington, D.C. Boston Chicago Detroit Denver Seattle Philadelphia
Les gens fuient également certains États plus que d'autres. Selon le U.S. Census Bureau, les 10 États ayant enregistré la plus forte perte de population en 2021 en raison des délocalisations étaient :15
New Jersey Illinois New York Connecticut California Michigan Massachusetts Louisiana Ohio Nebraska Safest Cities in America
Quant à savoir où déménager, jeter un coup d'œil aux statistiques sur la criminalité peut être utile. En 2022, les 10 villes et cantons suivants étaient classés comme les plus sûrs16. Des listes supplémentaires de zones à faible criminalité sont disponibles ici17 et ici18.
Lewisboro Town, New York Wayland, Massachusetts Rye, New York Broadview Heights, Ohio Franklin, Massachusetts Norfolk, Massachusetts Sparta Township, New Jersey Hasbrouck Heights, New Jersey Berkeley Heights Township, New Jersey Holden, Massachusetts
En ce qui concerne les États vers lesquels les gens affluent, les 10 principaux États qui ont connu le plus grand afflux sont :19,20
Florida Texas North Carolina South Carolina Tennessee Georgia Arizona Idaho Alabama Oklahoma
Pour reconstruire, il faut s'attaquer aux vrais problèmes
Cet article m'a frappé car je suis né et j'ai grandi à Chicago et à peu près aussi natif que possible alors que je suis allé à la maternelle, à l'école primaire, au lycée, à l'université, à l'école de médecine et à la résidence, tous dans les limites de la ville de Chicago. Heureusement, je suis parti il y a plus de 12 ans et je me suis enfui sous le soleil de la Floride.
Je suis d'accord avec ReallyGraceful qui déclare que ce que nous voyons est la réaction hégélienne en temps réel : problème, réaction, solution. Ils créent intentionnellement un problème dont ils savent qu'il entraînera une certaine réaction, afin qu'ils puissent ensuite introduire une "solution" pré-planifiée - une solution qui centralise et cimente le pouvoir au sommet du gouvernement.
Et, bien qu'il y ait une fracture politique, il y a des pommes pourries et des promoteurs de Great Reset des deux côtés. Par exemple, certains dirigeants républicains demandent maintenant à l'armée américaine d'intervenir et de rétablir l'ordre, mais cela ne fait que partie du même programme. Le résultat est plus de contrôle et de pouvoir du gouvernement. Une intervention militaire est la dernière chose que nous devrions espérer.
Ce que nous devons vraiment faire, en tant que société, c'est jeter un regard froid et dur sur les problèmes que le gouvernement ignore ou essaie de balayer sous le tapis, car c'est là que se trouvent les solutions. Les vrais problèmes qui doivent être résolus peuvent être résumés comme suit :
- voir cadre sur site -
Les seuls qui peuvent régler ces problèmes sont We the People. Nous devons changer notre façon de vivre et d'interagir dans nos communautés locales et cesser de nous tourner vers le gouvernement pour trouver des solutions. Le gouvernement est en train de créer des problèmes pour introduire de fausses solutions qui centralisent le pouvoir. Nous devons identifier et résoudre les vrais problèmes, et nous seuls pouvons le faire. Sources and References
1 Dom and Tom Expansion of Chicago’s Tech Sector 2, 3 Block Club Chicago October 21, 2023 4 Fox 17 December 22, 2021 5 ZeroHedge May 11, 2023 6 Weforum Cities and Urbanization 7 Weforum Global Future Council 8 Weforum March 14, 2023 9 Open Libraries Problems of Urban Life, Crowding 10 Safehome.org Crime Trends 11 CBS News Murder Map February 23, 2022 12 CDC.gov Homicide Mortality by State 13 World Population Review Cities With the Most Murders 2023 map 14 Yahoo! News January 22, 2023 15 World Population Review States People Are Leaving 16 Safewise Safest Cities in the US March 30, 2022 17 Bob Vila 19 Places with Almost Zero Crime 2021 18 Kiplinger Safest Cities in 2023 19 TheHill.com Feb. 1, 2023 20 National Association of Realtors January 30, 2023
Des exploitants de l’Ain ont découvert les dégâts immenses causés par un renard, peut-être aidé par sa progéniture.
par R.M. 19 mai 2023, 16:18
Un véritable carnage a été découvert dans une exploitation de Viriat, dans l’Ain, près de Bourg-en-Bresse. Les exploitants ont découvert 72 cadavres de poulets. Le coupable ? Un renard, peut-être aidé de sa progéniture, selon la presse française.
Le ou les renards ont réussi à pénétrer à l’intérieur de l’exploitation mardi vers 21 heures, «juste avant la fermeture automatique des trappes», précise «Le Progrès». Le préjudice s’élèverait à quelque 1800 euros.
Cette attaque ne va pas réconcilier les écologistes défenseurs des renards et les éleveurs de poulets, en conflit sur la manière de limiter les dégâts du prédateur, note le quotidien français.
Patriot vs. Kinjal : la Russie remporte le premier affrontement direct contre l'OTAN en Ukraine
vendredi 19 mai 2023 par Karine Bechet-Golovko
Le premier affrontement direct entre la Russie et l'OTAN a eu lieu à Kiev dans la nuit du 16 au 17 mai. Cette nuit-là, pour la première fois, la Russie a utilisé dans le conflit ukrainien son missile hypersonique de nouvelle génération "Kinjal". Alors que le système de défense américain Patriot est considéré comme invicible, il fut soit détruit, soit largement endommagé. Les Etats-Unis ne peuvent se permettre de le reconnaître, car l'impact politique - et économique est véritable : la Russie a changé le cours psychologique de la guerre.
Le système de défense aérienne américain Patriot est considéré comme le summum de la défense aérienne et son prix est à la hauteur des attentes. De son côté, la Russie avait annoncé la mise au point d'un nouveau missile hypersonique, le "Kinjal" quasiment infaillible en raison de sa vitesse. Le premier affrontement entre les deux armées, russe et américaine, sur le sol ukrainien a tourné à l'avantage de la Russie. Et c'est un moment très important dans ce conflit.
Des vidéos amateures sont diffusées et montrent que le tir a porté et que les missiles tirés par le système Patriot n'ont donc pas touché leur cible.
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Or, si les Etats-Unis ont bien été obligés de reconnaître que le système Patriot a été touché, ils minimisent au maximum l'impact. Comme le diffuse immédiatement CNN : "Les dommages causés à un système de défense aérienne Patriot à la suite de l'attaque au missile russe près de Kiev mardi matin sont minimes, ont déclaré trois responsables américains à CNN, l'un d'eux les décrivant comme des dommages "mineurs"." Ce scénario est immédiatement repris par les médias occidentaux, chiens fidèles de leur maître. Ils reprennent tout d'abord la version négationniste américano-ukrainienne :
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Il suffit de resserrer quelques boulons et il va marcher ... S'accrochant au fait qu'il est toujours opérationnel :
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Aucune vidéo à l'appui n'est diffusée et six blogueurs ukrainiens, qui ont diffusé immédiatement les images et les informations concernant la destruction du système Patriot à Kiev sont interpellés par le Service de sécurité ukrainien SBU. Comment maintenir cette fable avec de telles images ?
Car il s'agit bien, quel que soit le degré d'atteinte, d'un échec du système Patriot. Comme le note Military Watch Magazine, ce média militaire spécialisé en anglais : "Les Patriots ont été chargés de protéger la capitale à la suite des frappes russes majeures sur des infrastructures critiques, avec leur mobilité beaucoup plus faible et leurs arcs de tir plus limités que même les variantes de l'ère soviétique du système S-300 limitant leur aptitude à être utilisés près des lignes de front dans l'Est de l'Ukraine. Le système Patriot ciblé aurait tiré 32 intercepteurs sur les missiles balistiques Kinzhal qui le visaient, qui ont tous échoué, cette salve à elle seule ayant coûté environ 96 millions de dollars." Et cela met un terme au mythe de l'invincibilité des systèmes Patriot, mythe qui devait justifier leur prix, environ 700 millions de dollars. Les Américains étant des commerçants avant tout, ils comprennent parfaitement le premier impact sur le marché mondial des armes de cette victoire russe.
Mais beaucoup plus que cela, dans le cadre du conflit en Ukraine, la Russie a montré qu'elle pouvait toucher le territoire tenu par l'armée atlanticuo-ukrainienne où elle voulait et ainsi elle vient de rééquilibrer le rapport des forces à son avantage. Comme le rappelle ce média camerounais :
"Dans la dernière modification du PAC-3 Patriot, le système US ne peut voir que le Kinjal, mais pas le détruire. Tout dépend de la vitesse à laquelle le missile fonce.
Les experts expliquent que la vitesse du Kinjal est si élevée qu’aucun système aérien de défense ou de défense antimissile n’a le temps de réagir. Aussi, les experts contemplent avec humour l’affirmation de l’Ukraine selon laquelle elle aurait réussi à intercepter les Kinjal. Comme CNN le rapporte, cela a été déclaré non seulement par les autorités de Kiev, mais aussi par le Pentagone. Cependant, plus tard, une source du ministère russe de la Défense a nié cette information et, dans la nuit du 16 mai, le monde a reçu des preuves éloquentes de la victoire des armes russes dans un duel avec les systèmes aériens américains de défense grâce à des vidéos postées par des habitants de Kiev."
Et comme nous le voyons, les Etats-Unis et leurs satellites n'arrivent pas à sortir de cette impasse médiatico-militaire : ils ne peuvent se permettre un échec de cette ampleur.
Poutine avait prévenu il y a quelques mois : "nous n'avons pas encore commencé". Le renseignement russe doit avoir maintenant suffisamment de données sur la localisation des entrepôts de munitions en provenance des pays de l'OTAN, ce qui est l'occasion de les faire exploser au fur et à mesure qu'elles arrivent. Ce qui pose un grave problème pour l'Occident : la vitesse de destruction de ses armes et munitions par les Russes est supérieure à leur vitesse de fabrication. Sans compter que les technologies russes sont très en avance par rapport aux technologies américaines, notamment en ce qui concerne les missiles Patriot dont la conception par Raytheon est datée. Les déclaration de Prigogine qui sous-entendaient que les Russes étaient en ruptures de munitions ont apparemment endormi les Otano-Kiéviens qui n'ont pas compris ce qu'il leur arrive avec ces raids massifs. Et ce n'est que le début. Je me mets à la place des Israéliens et leur fameux "dôme de fer" dont les caractéristiques globales est similaire et fabriqué également par le complexe militaro-industriel US, et je serais eux, je serais très inquiets si un jour la Russie décidait de déployer ses missiles hypersoniques en Syrie. Le principal danger des armes hypersoniques russes est que son énergie est égale à la somme de l'énergie de sa charge explosive et de son énergie cinétique énorme (un demi de la masse multipliée par la vitesse au carré).
Vous n'êtes pas seul, la colère monte à travers le monde !
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 19 MAI 2023 - 23:00 Écrit par Bruce Wilds via le blog Advancing Time,
Vous n'êtes pas seul si vous en avez assez de voir votre gouvernement devenir de plus en plus oppressif et corrompu. De nombreuses personnes à travers le monde partagent votre douleur. Les gens continuent d'exprimer leur colère et leur mécontentement, cependant, c'est quelque chose que les médias choisissent souvent de ne pas rapporter car il appartient à ces mêmes forces qui tentent de nous asservir. Ceux de gauche qualifient la droite de fasciste ou de nazi tandis que ceux de droite qualifient la gauche de communiste.
Cela tend à négliger le fait que les deux groupes sont enracinés dans le désir d'étendre le contrôle. La vérité est que l'angoisse et la colère croissante que beaucoup de gens ressentent sont maîtrisées par des médias de masse avec un agenda très fort. Les médias de masse ont perfectionné l'art de nous diviser et en même temps de nous maintenir dans l'obscurité. Le plus grand risque auquel nous sommes confrontés est peut-être que l'intelligence artificielle (IA) nous attaque rapidement et furieusement. Une fois qu'il est ici, obtenir des informations deviendra presque impossible.
Dernièrement, plusieurs fois par jour, je trouve une chanson de la comédie musicale Les Misérables qui me traverse l'esprit. Il s'appelle "The Song Of Angry Men" et crie assez c'est assez. Bien sûr, dans la vidéo, les gens semblent très heureux jusqu'à ce que les soldats commencent à les tuer. Cette « chose à tuer » est bien sûr ce qui se passe dans les régimes totalitaires. Malheureusement, le monde compte beaucoup trop de régimes totalitaires et s'oriente vers la création d'autres régimes. Oui, ils peuvent vous priver de votre liberté.
Il se passe tout simplement trop de choses pour que la majeure partie de la société reste concentrée sur une seule question. Qu'il s'agisse de corruption en Ukraine ou de la manière dont l'argent américain est détourné ou gaspillé plutôt que dépensé pour ce que nous considérons comme des projets nécessaires. Parfois, le sujet est davantage une question de valeurs ou de direction, comme quoi faire avec quelque chose comme la famille criminelle Biden et un système judiciaire qui ferme les yeux sur leurs transgressions.
Ensuite, nous avons le rapport qui vient d'être publié par l'avocat spécial John Durham. L'enquête qui a duré trois ans conclut que le FBI n'aurait jamais dû lancer l'enquête Trump-Russie. Ce faisant, le public américain a été arnaqué par des forces à l'intérieur de notre gouvernement. C'était un acte qui a interféré dans les élections de 2016 dans le but d'empêcher Trump d'être élu. Bien sûr, une fois qu'il l'a fait, les mêmes personnes ont continué à empoisonner sa présidence.
Cela concorde avec la pièce que Tucker Carlson a revendiquée des images inédites du 6 janvier 2021, la manifestation du Capitole a révélé que tout le récit démocrate / RINO / MSM qui sous-tend l'événement était un mensonge complet. Les images de surveillance présentées par Carlson montraient la police du Capitole escortant calmement le soi-disant "QAnon Shaman", Jacob Chansley, dans tout le complexe du Capitole, et l'ont même aidé à trouver des portes ouvertes. Carlson a déclaré: "Ils l'ont aidé. Ils ont agi comme ses guides touristiques." Ceci est très différent du récit qui découle des médias de masse. Depuis lors, Chansley a été condamné à 41 mois de prison fédérale pour « obstruction à une procédure officielle ».
Spotlighting the injustice est une vidéo intitulée "Justice For All" par le J6 Prison Choir et l'ancien président Donald Trump. Cette chanson puissante et émouvante sensibilise et soutient les prisonniers politiques toujours enfermés en prison sans procès après la manifestation du 6 janvier 2021. J6 Prison Choir est composé de personnes qui ont été incarcérées à la suite de leur implication dans la manifestation du 6 janvier 2021 pour l'intégrité électorale.
Au fur et à mesure que notre colère grandit, nous devons nous rappeler que nous ne sommes pas seuls. Nous sommes souvent protégés par les médias des nombreuses manifestations qui se déroulent à travers le monde. C'est peut-être pour ne pas voir à quel point les choses vont mal ou peut-être pour ne pas avoir d'idées. Peu d'Américains sont actuellement au courant des récentes manifestations en France, au Pakistan, en Allemagne et dans de nombreux autres pays. Une grande partie de la colère croissante vient d'un manque de responsabilité, les péchés des responsables semblent se déverser sur leur dos comme l'eau sur le dos d'un canard
Les politiciens et les responsables ont tendance à éviter de rendre des comptes comme si c'était la peste. Un exemple de cela est la façon dont nous avons quitté l'Afghanistan. C'est un monument à l'arrogance et à l'incompétence de l'Amérique. Malheureusement, ce n'est qu'un des nombreux monuments que nous sommes en train de construire alors que nous jetons de l'argent dans des trous noirs corrompus. Il est difficile de penser qu'une grande partie de cela concerne les dépenses et le transfert de richesse là où ceux qui sont au pouvoir peuvent écrémer un peu ici et là.
Bien qu'il soit à la fois évident et logique qu'un système ou quelque chose va échouer, aujourd'hui, nous trouvons la question généralement ignorée jusqu'à ce que nous arrivions à un processus où les gens accepteront que la réalité soit construite. C'est un vrai défi et un art d'avancer sans le soutien des personnes impactées. Généralement, cela implique de les convaincre qu'il vaut mieux se faire jeter un os que rien du tout.
C'est une façon d'expliquer la protestation que nous avons vue en France. Les efforts largement impopulaires du président français Emmanuel Macron pour faire passer la réforme des retraites sans vote au Parlement ont provoqué une violente réaction. A cela Macron a dit « C'est dans l'intérêt supérieur du pays », Il a ajouté « Entre les sondages d'opinion et l'intérêt national, j'ai choisi l'intérêt national. L'action de Macron visant à relever l'âge de la retraite de 62 à 64 ans a entraîné une grève nationale en France qui a provoqué d'importantes perturbations, arrêtant des trains, fermant des ports, vidant des écoles, annulant des vols, etc.
Dans ce cas, la question de savoir si Macron a raison de dire que le système actuel n'est pas viable n'est pas la question. Le problème est de savoir comment cela se fait et la colère qu'il a créée. Plus d'un million de Français ont participé aux manifestations. Appelez-les des manifestations ou des émeutes spontanées, mais celles-ci ont éclaté dans tout le pays. Le plan de Macron n'a reçu le soutien ni de la gauche ni de l'extrême droite, mais uniquement de l'alliance centriste de Macron. C'est le reflet de l'idée que les gens sont des pions dont l'élite peut abuser. Il est compréhensible que cela crée une colère qui peut devenir violente.
On pourrait dire que nous, en tant que société et d'autres sociétés à travers le monde, avons perdu notre capacité à organiser une protestation significative pour apporter un réel changement. Que nous avons été introduits dans une société de doux. Castrés et divisés, sommes-nous devenus incapables d'un véritable outrage ? Parfois, il semble que nous soyons tous si faibles que rien ne peut nous amener au point de rupture et, comme les grenouilles proverbiales assises dans un pot d'eau alors que la température continue d'augmenter, notre avenir est tracé.
C'est l'état des choses alors que les choses continuent leur bon chemin. Alors que les Américains regardent nos frontières s'ouvrir et que les médias ignorent le labyrinthe des sociétés écrans LLC et des comptes utilisés pour acheminer jusqu'à 10 millions de dollars aux membres de la famille Biden, beaucoup d'entre nous restent abasourdis. La Nouvelle République a même publié un article avec le titre "Les républicains admettent enfin qu'ils n'ont aucune preuve incriminante sur Joe Biden".
Le but ici n'est pas de faire l'éloge de Trump mais plutôt de mépriser la mauvaise situation actuelle. Les pays et les gouvernants continuent de bafouer les droits et libertés de l'individu. La justice et la vérité deviennent des denrées rares. Alors que les mensonges continuent de couler de toutes les directions et ne s'arrêtent jamais, rappelez-vous simplement que vous n'êtes pas seul.
Le Club de Rome : comment l'hystérie climatique est utilisée pour créer une gouvernance mondiale
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 MAI 2023 - 15:20 Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
Au début des années 1970, les États-Unis et une grande partie du monde occidental entraient dans une crise économique stagflationniste. Nixon a complètement retiré le dollar de l'étalon-or en 1971 avec l'aide de la Réserve fédérale (ou peut-être sous la direction de la Fed), ce qui a finalement aggravé les pressions inflationnistes. Le boom de l'après-guerre en Europe a pris fin brutalement, tandis que les prix des biens (et du pétrole/de l'essence) aux États-Unis ont monté en flèche jusqu'en 1981-1982, lorsque la Réserve fédérale a fait grimper les taux d'intérêt jusqu'à environ 20 % et a provoqué un effondrement délibéré de la récession.
Fait intéressant, le FMI avait créé le système DTS en 1969 juste avant la suppression de l'étalon-or (le même DTS que le FMI est sur le point d'utiliser comme fondement d'un mécanisme mondial de monnaie numérique). Et le Forum économique mondial a été fondé en 1971.
La période est souvent décrite dans les films comme une ère insouciante de disco, de drogue, de hippes et de rock n 'roll, mais la réalité est que le début des années 1970 a été le début de la fin pour l'Occident - c'était le moment que nos fondements économiques ont été sabotés et que la richesse de la classe moyenne a été lentement mais sûrement volée par l'inflation.
Au milieu de ce « malaise » économique, que Jimmy Carter a qualifié plus tard de « crise de confiance », les Nations Unies et les tables rondes mondialistes associées ont travaillé dur pour développer un plan visant à convaincre la population d'adopter la centralisation mondiale du pouvoir. . Leurs objectifs étaient plutôt directs.
Ils voulaient:
Une justification du contrôle gouvernemental des chiffres de la population humaine.
Le pouvoir de limiter l'industrie.
Le pouvoir de contrôler la production d'énergie et de dicter les sources d'énergie.
Le pouvoir de contrôler ou de limiter la production alimentaire et l'agriculture.
La capacité de microgérer les individus vit au nom d'un « plus grand bien » défini plus tard.
Une société socialisée dans laquelle le droit individuel à la propriété est abandonné.
Un système économique mondial unique qu'ils géreraient.
Un système monétaire mondial unique.
Un gouvernement mondial unique gérant une poignée de régions distinctes.
L'une des citations les plus révélatrices à l'ordre du jour vient du sous-secrétaire d'État de l'administration Clinton, Strobe Talbot, qui a déclaré dans le magazine Time que :
« Au siècle prochain, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une seule autorité mondiale… La souveraineté nationale n'était pas une si bonne idée après tout.
Pour comprendre comment fonctionne l'agenda, je propose une citation du membre globaliste du Council on Foreign Relations, Richard Gardner, dans un article du magazine Foreign Affairs en 1974 intitulé "The Hard Road To World Order":
« En bref, la "maison de l'ordre mondial" devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande « confusion bourdonnante et en plein essor », pour reprendre la célèbre description de la réalité de William James, mais une fin de course autour de la souveraineté nationale, en l'érodant morceau par morceau, accomplira bien plus que l'assaut frontal à l'ancienne. »
En d'autres termes, les mondialistes savaient que l'incrémentalisme serait le seul moyen de parvenir à une structure de pouvoir mondiale unique qui gouverne OUVERTEMENT, plutôt que de cacher le règne des élitistes derrière des organisations clandestines et des politiciens fantoches. Ils veulent un empire mondial dans lequel ils deviendront les « rois philosophes » oints décrits dans la République de Platon. Leur ego narcissique ne peut s'empêcher d'aspirer à l'adoration des masses qu'ils détestent secrètement.
Mais même avec l'incrémentalisme, ils savent que le public finira par comprendre le plan et cherchera à résister alors que nos libertés sont érodées. Établir un empire est une chose; le garder en est une autre. Comment les mondialistes pourraient-ils sortir de leur placard autoritaire, éliminer les libertés individuelles et gouverner le monde sans une rébellion qui finit par les détruire ?
La seule façon dont un tel plan fonctionnerait est si le peuple, les paysans de cet empire, EMBRASSENT leur propre esclavage. Le public devrait être amené à considérer l'esclavage comme une question de devoir solennel et de survie, non seulement pour lui-même mais pour l'espèce entière. De cette façon, si quelqu'un se rebelle, il sera considéré comme un monstre par la ruche. Ils mettraient l'ensemble du collectif en danger en défiant la structure du pouvoir.
Ainsi, les mondialistes gagnent. Pas seulement pour aujourd'hui, ils gagnent pour toujours parce qu'il n'y aurait plus personne pour s'opposer à eux.
"En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pouvons nous unir, nous avons eu l'idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d'eau, la famine, etc., feraient l'affaire. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent bien une menace commune à laquelle tous doivent faire face ensemble. Mais en désignant ces dangers comme ennemis, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà averti les lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont causés par l'intervention humaine dans les processus naturels, et ce n'est qu'en modifiant les attitudes et les comportements qu'ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est alors l'humanité elle-même.
En faisant de l'existence même de l'humanité la grande menace, les mondialistes entendaient unifier le public autour de l'idée de se contrôler. C'est-à-dire que le public devrait sacrifier ses libertés et se soumettre au contrôle en croyant que l'espèce humaine est trop dangereuse pour être libre.
L'émission spéciale suivante de l'Australian Public Broadcasting Service a été diffusée en 1973, peu de temps après la création du Club de Rome. Il est étonnamment direct sur les objectifs de l'organisation :
- voir clip sur site -
Que peut-on tirer de cette émission et de son message ? Les mondialistes veulent avant tout deux résultats spécifiques : ils veulent la fin de la souveraineté nationale et la fin de la propriété privée grâce à des incitations sociales du minimalisme. Les mêmes objectifs que le Club de Rome définis dans les années 1970 sont les politiques motrices de l'ONU et du Forum économique mondial aujourd'hui. Le concept « d'économie du partage » que Klaus Schwab et le WEF défendent souvent fièrement n'a pas été imaginé par eux, il a été imaginé par le Club de Rome il y a 50 ans.
C'est une prophétie auto-réalisatrice : ils passent un demi-siècle à inventer une crise, attisent la terreur publique, puis proposent les solutions mêmes qu'ils voulaient appliquer il y a des décennies.
Au final, l'agenda climatique n'a rien à voir avec l'environnementalisme et tout à voir avec l'économie. Le plan a commencé au milieu d'une crise stagflationniste très réelle, un moment où la population de la classe moyenne avait le plus peur pour l'avenir et où les prix augmentaient rapidement. Cette crise n'a pas été causée par la rareté des ressources, elle a été causée par la mauvaise gestion du système financier. Ce n'est pas une coïncidence si le point culminant du programme de réchauffement climatique a lieu aujourd'hui alors qu'un autre désastre de stagflation est sur nous.
Le Club de Rome est maintenant une coquille de son ancienne gloire remplie de hippies idiots, probablement parce que l'ONU et d'autres groupes de réflexion mondialistes ont repris le rôle que le groupe jouait auparavant. Cependant, l'ombre du Club d'origine est toujours présente et sa stratégie d'alarmisme climatique est actuellement utilisée pour justifier la suppression croissante de l'énergie et de l'agriculture par le gouvernement.
S'ils ne sont pas arrêtés par le public, les mandats carbone totalitaires deviendront la norme. La prochaine génération, vivant dans la pauvreté artificielle, apprendra dès la petite enfance que les mondialistes ont «sauvé le monde» d'une calamité qui n'a jamais vraiment existé. On leur dira que l'asservissement de l'humanité est quelque chose dont on peut être fier, un cadeau qui maintient l'espèce en vie, et quiconque remet en question cet esclavage est un méchant égoïste qui veut la destruction de la planète.
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 MAI 2023 - 00:20 Écrit par Thomas Neuberger via la sous-pile "God's Spies",
À quels « adversaires » non étrangers les élites ont-elles à l'esprit lorsqu'elles promeuvent la censure intérieure et le blocage de l'information ?
Je veux mettre trois pensées devant vous, déposer trois pierres dans le sillage de votre esprit. Peut-être verrez-vous les ondulations lorsqu'elles se croisent, notez leur interaction, entendez ce que dit leur traversée.
L'avenir que cet article prévisualise n'est pas nouveau, il vient juste d'être oublié.
La « terreur » intérieure de la gauche militante
Tout d'abord, de l'enquêteur as Lee Fang (certaines parties de cette pièce sont réservées aux abonnés):
Le DHS et le FBI décrivent les militants végétaliens comme des terroristes nationaux potentiels
Imaginez une jeune femme nommée Jane qui a récemment adopté un mode de vie végétalien après avoir appris l'agriculture industrielle à l'université. Elle discute du bien-être animal et commence à assister aux manifestations.
Pour la plupart, les expériences de Jane semblent remarquablement bénignes.
Mais pour le Département de la sécurité intérieure, la jeune femme suit une "voie de radicalisation potentielle", selon de nouveaux documents publiés via une demande de documents publics.
Le scénario était l'un des nombreux décrits dans un atelier sur la prévention de la violence du DHS Office for Targeted Violence and Terrorism Prevention, une division de l'agence qui travaille à la lutte contre le terrorisme domestique.
Le chemin supposé de Jane vers la violence - tel que présenté dans l'atelier du DHS - est composé d'un peu plus que des expériences quotidiennes que de nombreux Américains vivent lorsqu'ils adoptent l'activisme.
Dans le scénario de l'atelier, Jane réagit avec colère lorsqu'elle parle de cruauté envers les animaux et mentionne qu'elle a rejoint un groupe qui a "la réputation d'organiser des manifestations controversées". Elle était non seulement devenue "une amoureuse des animaux", mais était devenue "militante pour la nourriture et les droits des animaux, et d'autres questions comme les tests".
Notez "l'atelier". Il s'agit d'un rapport d'un atelier du DHS sur le terrorisme intérieur, d'où peuvent provenir de nouvelles menaces et que faire. La doc source est ici; vous pouvez probablement deviner le reste de ce qu'il dit. Sinon, Fang l'énonce.
Voici la partie de couverture du document et les premières remarques récapitulatives :
Le rapport de Fang inclut la composante du FBI dans la définition de la « menace » des droits des animaux pour la sécurité intérieure :
Pouvez-vous voir où cela se dirige ? Si vous le faites, vous n'êtes pas seul.
- voir doc sur site -
Le « Switcheroo étranger-domestique » La deuxième pierre tombe ici. Ce que vous lisez ci-dessus touche-t-il ce qui est ci-dessous ?
Grâce à un ensemble compliqué de fuites (décrites ici), nous constatons "que l'Aspen Institute a organisé un exercice" Hack-and-Dump Working Group "à l'été 2020 intitulé" Burisma Leak ", qui a prédit avec une précision étonnante un prochain désobligeant article dans le New York Post sur l'ordinateur portable perdu de Hunter Biden.
Voici un lien vers le document de l'Aspen Institute en question. On y trouve ce qui suit. Tout d'abord, à partir du résumé (c'est moi qui souligne):
Autrefois une promesse de liberté d'expression et de démocratisation de l'information, le Web et ses nombreux canaux sont désormais pollués par la mésinformation et la désinformation, les bots, les abus, les mensonges et les complots - parfois planifiés par des acteurs adverses d'ici et d'ailleurs.
Ensuite, à partir de la section traitant de "Signalisation et promotion de Hack-and-Dumps":
Alors que nous décompterons jusqu'au jour du scrutin, le risque d'un piratage majeur et d'un vidage de documents visant à saper un candidat ou un parti devient plus aigu. Comment les agences de presse peuvent-elles mettre la provenance au premier plan ? Que se passe-t-il lorsque des documents fabriqués sont publiés avec du contenu authentique (volé) ? Comment les flux sociaux peuvent-ils éviter de servir de promoteurs d'entités étrangères ou d'autres entités adverses ? Aspen Digital convoque les responsables de la confiance et de la sécurité de la plate-forme, les journalistes de la cybersécurité, les éthiciens du journalisme et les avocats du premier amendement pour développer et adopter de nouvelles directives normatives pour la publication et la couverture des documents piratés.
Notez que l'Aspen Institute n'est pas qu'un groupe de réflexion. C'est là que se déroulait la discussion des élites de 2020 sur la modération du contenu piraté.
Considérez maintenant ce que signifie « les promoteurs d'entités étrangères ou d'autres entités adverses » ? La seule autre entité contradictoire qui n'est pas étrangère est… nationale. Pouvez-vous croire, compte tenu de ce qui précède, que cette désignation – «autres entités contradictoires» – est réservée uniquement aux types Proud Boy ?
À ce sujet, Matt Taibbi écrit (c'est moi qui souligne):
Tout d'abord, cette idée qu'il peut y avoir des fabrications mélangées à du contenu réel est une suggestion qui apparaît quelque part dans presque chacune de ces histoires de fuite, même si tout le matériel s'avère réel (le vieil ami Malcolm Nance a fait le travail dans 2016 en suggérant que les fuites de Podesta étaient « criblées de faux »). Plus important encore, cette dernière ligne est un excellent exemple de ce que l'ancien responsable de la cybersécurité et directeur de la Fondation pour la liberté en ligne, Mike Benz, appelle le "switcheroo étranger-domestique".
C'est l'astuce rhétorique de base de l'ère de la censure : faire des histoires à propos d'une menace étrangère, en l'utilisant comme un bélier pour amener tout le monde, du congrès aux entreprises technologiques, à se soumettre à une réglementation et une surveillance accrues. Puis, lentement, ajustez votre objectif aux objectifs nationaux. Vous pouvez voir la subtilité : l'article original de Stanford essaie de s'en tenir à la garde-corps contre la « désinformation » et les informations des « adversaires étrangers », mais le dernier article diffusé par Aspen glisse, très légèrement, une nouvelle catégorie de source douteuse : « étrangers ». ou d'autres entités contradictoires.
Ces dispositifs rhétoriques sont essentiels. Il serait absurde de former (comme l'a fait Stanford) un «groupe de travail sur la guerre de l'information» si les lecteurs savaient que la «guerre» envisagée était contre les voix nationales. … Mais si vous commencez par vous concentrer sur les Russes et que vous ne mentionnez qu'après coup «d'autres entités adverses», vous pouvez formuler les choses comme vous le souhaitez, de l'espionnage à la guerre. Comme le lecteur O'Neill l'a fait remarquer à juste titre, "ils sont maintenant sur le point d'être explicites sur le fait que leur motivation pour supprimer les nouvelles est de combattre des adversaires politiques nationaux".
Vous n'avez pas besoin d'être un amoureux de ces sources pour détester ce que vous venez de découvrir. Et je pense qu'il est raisonnable de craindre, même si vous craignez Trump plus que Dieu lui-même, ce que nos agences de sécurité font avec le pouvoir domestique.
La dernière pierre tombée dans l'étang est la plus ancienne. Avant que la plupart d'entre vous ne soient nés, les hauts lieux du pouvoir comprenaient parfaitement que nos agences de sécurité, nées de la menace soviétique, étaient tout à fait capables - même chargées de la tâche - de s'assurer que le monde global était un terrain de jeu américain sûr.
La liste des coups d'État menés par les Américains dans d'autres pays est aussi longue que votre jambe et vos deux bras. Commencez ici pour en voir la plupart. Ces agences agissent-elles au niveau national comme elles le font à l'étranger ? Le FBI le fait certainement. Mais qu'en est-il de la CIA et du reste de la communauté de l'alphabet ?
Voici ce que Robert Kennedy, l'homme qui a été assassiné alors qu'il se rendait à l'investiture en 1968, pensait du meurtre qui a abattu son frère Jack en 1963 (via The Hill, je souligne) :
[Robert] Kennedy Jr. a déclaré que le premier appel que son père, l'ancien procureur général Robert F. Kennedy, a passé après avoir appris que son oncle avait été abattu était à un officier de bureau de la CIA.
"Mon père lui a dit : 'Est-ce que ton peuple a fait ça ?'", a déclaré lundi Kennedy Jr. à "Hannity" de Fox News.
"Son prochain appel était à [Enrique Ruiz-Williams], qui était l'un des dirigeants cubains de la Baie des Cochons qui était resté très, très proche de notre famille et de mon père", a-t-il poursuivi. "Mon père lui a posé la même question."
Kennedy Jr. a déclaré que son père avait alors appelé John McCone, le chef de la CIA, et lui avait demandé de venir chez la famille.
"Quand je suis rentré [de] Sidwell Friends School, mon père se promenait dans la cour avec John McCone, et mon père lui posait la même question:" Est-ce que c'est notre peuple qui a fait ça à mon frère? ", A-t-il dit . "C'était le premier instinct de mon père que l'agence avait tué son frère."
The Hill qualifie plus tard cette histoire de «théorie du complot», sans doute pour se distancer à la fois de l'accusation et de la source. Mais le rapport sous-jacent est néanmoins vrai, ou RFK Jr. ment.
Ondulations dans l'étang
À quoi correspondent ces points de données ? Je vais vous le laisser. Si vous aimez le FBI comme certains le font aujourd'hui, les aimeriez-vous encore s'ils pensaient que leur mission consistait à vous étouffer, vous et les vôtres, pas seulement Trump et les siens, en utilisant le contrôle des médias comme outil ?
Comme je l'ai déjà dit, il est approprié de craindre ce qu'un Trump, ou pire, un DeSantis - qui, contrairement à Trump, qui aime l'adoration et l'argent, aime vraiment le pouvoir - ferait si le pouvoir lui était donné.
Ne convient-il donc pas également de craindre ces agences ?
Après tout, leurs objectifs ne correspondent pas toujours à ce que l'on appelle généralement « la gauche ». Leurs objectifs ne se sont jamais alignés sur les nôtres dans le passé. Et contrairement aux républicains, qui ne sont qu'à mi-chemin de leur objectif, ces agences ont maintenant le pouvoir et s'entraînent à l'utiliser.
Malgré tout, une chose a été remarquablement cohérente. Le gouvernement a ciblé pour une attention particulière les journalistes qui ont rendu compte avec précision de l'horrible vérité de la politique étrangère américaine, comme John W. Powell. Powell était un journaliste américain basé à Shanghai qui a écrit une série d'articles pour la China Monthly Review (plus tard, la Weekly Review), qui disait que le gouvernement chinois affirmait que les États-Unis utilisaient des armes biologiques pendant la guerre de Corée. Il a été jugé pour sédition en 1959. L'affaire a traîné devant le tribunal fédéral de San Francisco pendant cinq ans avant que les charges ne soient abandonnées. C'était suffisant pour lui faire quitter définitivement le journalisme.
L'impulsion à utiliser la censure et à appeler toutes les informations qui ne correspondent pas au récit officiel de « désinformation » est une impulsion bipartite, du moins historiquement. Les administrations républicaines et démocrates pendant la guerre mondiale contre le terrorisme ont cherché à étendre et à affiner le pouvoir de ce que nous appelons maintenant le complexe censure-industriel. Ce dernier a été construit, pièce par pièce, au cours d'un siècle de législation, d'action exécutive et de réglementation. Un peu moins d'un siècle après l'adoption de la loi sur l'espionnage, l'administration de Barack Obama l'a utilisée de manière agressive pour cibler les fuyards. À cette époque, les ordinateurs, Internet et les médias sociaux étaient tous de nouvelles plates-formes de communication et des cibles mûres pour la suppression de l'information.
À une époque où la mémoire culturelle est courte et où les ressources pour en savoir plus sur le passé gênant se font plus rares, il est utile d'examiner cette progression de plus d'un siècle dans l'ordre chronologique.
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Dans le sens des aiguilles d'une montre à partir du haut à gauche : Franklin Roosevelt, J. Edgar Hoover, Harry S Truman et Joseph McCarthy
UN SIÈCLE DE CENSURE
15 juin 1917 : Alors que les États-Unis entrent dans la Première Guerre mondiale, la loi sur l'espionnage de 1917 est promulguée par le Congrès et promulguée par le président Woodrow Wilson, le premier universitaire à devenir président, interdisant « d'obtenir des informations, d'enregistrer des images ou de copier des descriptions ». de toute information relative à la défense nationale avec l'intention ou des raisons de croire que l'information peut être utilisée pour le préjudice des États-Unis ou à l'avantage d'une nation étrangère ».
La loi fait également de l'entrave à l'enrôlement dans les forces armées ou de l'insubordination ou de la déloyauté dans les forces militaires ou navales un acte illégal. L'administration de Wilson a également décidé que toute publication violant la loi était une "matière non-publiable", et cette justification a été utilisée pour supprimer les opinions dissidentes en appliquant de manière agressive les codes postaux afin qu'aucune publication subversive ne puisse atteindre leurs abonnés. Au moins 74 journaux se sont vus refuser des permis de diffusion à ce moment-là.
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Le socialiste de Milwaukee Victor Berger, reconnu coupable de la loi sur l'espionnage en 1914 16 mai 1918 : La loi sur la sédition de 1918 étend la loi sur l'espionnage de 1917 pour couvrir davantage d'infractions, érigeant en crime :
inciter à la déloyauté au sein de l'armée ;
utiliser à l'oral ou à l'écrit un langage déloyal envers le gouvernement, la Constitution, l'armée ou le drapeau ;
prôner les grèves contre la production de main-d'œuvre ; promouvoir des principes qui contrevenaient à la loi; ou
soutenir les pays en guerre avec les États-Unis.
Comme le note le Free Speech Center de la Middle Tennessee State University, "les cibles des poursuites en vertu de la loi sur la sédition étaient généralement des personnes qui s'opposaient à l'effort de guerre, notamment des pacifistes, des anarchistes et des socialistes".
13 décembre 1920 : La loi sur la sédition est abrogée.
24 mai 1936 : Roosevelt charge J. Edgar Hoover d'enquêter sur les « activités subversives ».
Selon la propre chronologie historique du FBI, « le président Roosevelt a appelé le directeur Hoover à une réunion matinale pour discuter de ses préoccupations concernant les activités subversives aux États-Unis. Il a demandé à Hoover de rendre compte des activités des groupes nazis et communistes. Le FBI a mené ces enquêtes à la demande du secrétaire d'État du président.
En 1939, selon le même document, Roosevelt a officiellement confié la responsabilité d'enquêter sur "l'espionnage, le sabotage et d'autres activités subversives" à une série d'agences et de départements, dont le "FBI, la Division du renseignement militaire du Département de la guerre (MID), et l'Office of Naval Intelligence (ONI).
26 mai 1938 : Le comité des activités anti-américaines de la Chambre est formé.
Créé dans le cadre d'un comité d'enquête spécial et réorganisé à partir d'incarnations précédentes en tant que comité du poisson et comité McCormack-Dickstein, le HUAC était autorisé à "enquêter sur la déloyauté présumée et les activités subversives de la part des citoyens américains, des employés publics et de ces organisations". soupçonné d'avoir des liens communistes.
En raison de ses enquêtes sur d'éminents intellectuels, artistes et politiciens, HUAC est l'un des rares organismes de cette liste à être devenu un incontournable de la culture pop américaine, présenté dans des films comme The Front et Trumbo.
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Audience HUAC de l'économiste du New Deal Charles Kramer, 1948
9 juin 1938 : La Loi sur l'enregistrement des agents étrangers (FARA) est promulguée par le Congrès et promulguée par le président Franklin Roosevelt.
29 juin 1940 : La loi sur l'enregistrement des étrangers, alias la loi Smith, est promulguée, établissant des sanctions pénales pour avoir préconisé le renversement du gouvernement américain par la violence ou la force, obligeant tous les résidents adultes non citoyens à s'enregistrer auprès du gouvernement. Des centaines de communistes en Amérique seraient plus tard jugés en vertu de cette loi.
1940-43 ? : Le FBI commence à assurer la liaison avec une agence prédécesseur de la NSA, le US Signals Intelligence Service, qui en 1943 a été rebaptisé Signal Security Agency, est devenu plus tard l'Army Security Agency, et a finalement été absorbé par la NSA.
Toujours selon la propre chronologie interne du FBI, le Bureau quelque temps avant 1947, lorsque la NSA serait formée, a commencé une relation de travail avec le Signals Intelligence Service. Cette association portera ses fruits à la fin des années quarante :
A commencé une liaison étroite avec le service de renseignement des transmissions de l'armée américaine, le prédécesseur de l'Agence de sécurité nationale, sur l'exploitation des messages soviétiques qui étaient décryptés et décodés par le personnel du renseignement militaire. Le FBI et la NSA ont pu identifier plusieurs centaines de personnes liées au travail de renseignement soviétique contre les États-Unis et ses alliés. Le projet s'est poursuivi jusqu'en 1980, date à laquelle il a été arrêté. Parmi les principaux cas issus de ces messages figuraient l'affaire Judith Coplon, l'affaire Klaus Fuchs et l'affaire Rosenberg.
Juillet/Août 1940 : Le capitaine John V. Grombach publie "The Invisible Weapon" dans le United States Army's Infantry Journal sur les applications secrètes de la technologie radio dans la guerre et l'espionnage.
Prévoyant des idées qui deviendraient populaires à l'avenir, Grobach a décrit la communication de masse comme une arme :
La propagande et la protection des secrets militaires sont vitales à la fois pour les participants et pour les nations au bord du gouffre. Ainsi, une puissance puissante dans la lutte pour la domination mondiale par les nations, les formes de gouvernement et les idéaux est la radio.
La radio internationale commence à peine à être évaluée de manière adéquate comme l'arme puissante bien qu'invisible qu'elle est. Tout comme la domination dans les airs par avion peut être la clé de la victoire sur terre et sur mer, l'utilisation des ondes d'éther peut être le moyen le plus puissant pour maîtriser l'esprit et le cœur des hommes, sans lequel aucune nation ou aucun idéal ne peut survivre.
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Charles Grombach en tant que cadet de West Point (photo CIA)
19 décembre 1941 : Douze jours après l'attaque japonaise sur Pearl Harbor, le président Franklin D. Roosevelt publie le décret 8985, établissant le Bureau de la censure en vertu de la loi sur les pouvoirs de guerre.
16 février 1942 : les services de renseignement de l'armée américaine créent une équipe d'espionnage secrète appelée "The Pond", pour concurrencer et espionner le nouveau bureau des services stratégiques. Le Grombach susmentionné est choisi pour diriger la nouvelle organisation, qui opère principalement par le biais d'entreprises de couverture commerciales telles que des agences d'assurance.
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Membres de "L'étang". (Photo CIA)
14 avril 1942 : Le permis de courrier de deuxième classe pour Social Justice, un hebdomadaire fondé par le père Charles E. Coughlin, personnalité de la radio fasciste et antisémite, est suspendu par le ministre des Postes Frank Walker sur la recommandation du procureur général Francis Biddle.
«La justice sociale reproduit, dans ce pays», a déclaré Biddle, «les lignes de la guerre de propagande ennemie menée contre ce pays depuis l'étranger. La loi sur l'espionnage de 1917 est conçue pour vaincre cette attaque. »
1er février 1943 : Le projet VENONA, un programme secret de décryptage de haut niveau géré par l'armée et plus tard la National Security Agency en coopération avec le FBI, commence. Il est gardé secret du président par le chef d'état-major de l'armée, Omar Bradley.
1946 : Le directeur adjoint du Bureau de la censure, Theodore F. Koop, publie Weapon of Silence : Secrets, Censors, and Spies. Il y note que "l'assurance donnée par le directeur du bureau de l'époque, Byron Price, que la presse et la radio revenaient à la liberté en temps de paix" s'était avérée prématurée".
Concentré maintenant sur la répression des discussions sur le développement de la bombe atomique, le département a publié un manifeste :
Tous les individus, groupes et organisations liés au projet Manhattan continueront de se conformer aux règles de sécurité actuelles. Les bavardages et les vaines spéculations, en particulier de la part d'individus actuellement ou anciennement liés au projet, mettent en péril l'avenir de la Nation. Il est du devoir de chaque citoyen, dans l'intérêt de la sécurité nationale, de maintenir toute discussion à ce sujet dans les limites des informations divulguées dans les communiqués officiels.
Koop a écrit : « Les cisailles des censeurs étaient des baïonnettes qui non seulement formaient une défense nationale d'arrière-garde, mais frappaient aussi durement l'ennemi dans les trois phases de la guerre : militaire, économique et psychologique ». Puis, dans un aperçu légèrement effrayant de ce qui allait arriver, il a ajouté :
Pour un seul pays, la censure peut être une arme puissante. Mais lorsque les censures d'un groupe de nations sont liées dans un réseau mondial, le pouvoir est augmenté à la propagation géographique.
Août 1946 : Le Congrès adopte la loi sur l'énergie atomique. Désormais, le FBI est chargé d'enquêter sur les antécédents des personnes qui devaient accéder aux données nucléaires restreintes et d'enquêter sur les infractions pénales à cette loi.
1er janvier 1947 : la Commission civile de l'énergie atomique reprend les opérations du projet Manhattan. L'un des résultats est la décision de "garder secrètes les informations sur les injections de plutonium", pour des raisons non liées à la sécurité nationale, mais "des problèmes de relations publiques et de responsabilité légale".
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Lieutenant-général Leslie Richard Groves, qui a supervisé le projet Manhattan
21 mars 1947 : Le président Harry S Truman publie le décret 9835, alias « Prescription des procédures pour l'administration d'un programme de fidélisation des employés dans la branche exécutive du gouvernement ».
Une disposition clé du dernier programme de serment de loyauté est la création d'un Central Master Index :
Il sera également établi et maintenu au sein de la Commission de la fonction publique un fichier principal central couvrant toutes les personnes sur lesquelles des enquêtes de loyauté ont été faites par un ministère ou un organisme depuis le 1er septembre 1939.
Une autre disposition clé est la formation d'un «Comité de révision de la loyauté», en vertu duquel le ministère de la Justice «fournirait» les noms de «chaque organisation, association, mouvement, groupe ou combinaison de personnes étrangères ou nationales que le procureur général, après enquête et détermination, désigne comme totalitaire, fasciste, communiste ou subversif ». La propre administration de Truman serait finalement ciblée par sa création bureaucratique.
Le DOJ était également chargé de fournir les noms de personnes identifiées comme « ayant adopté une politique de préconisation ou d'approbation de la commission d'actes de force ou de violence pour priver d'autres de leurs droits en vertu de la Constitution des États-Unis », ou comme « cherchant à modifier le forme de gouvernement des États-Unis par des moyens anticonstitutionnels ».
26 juillet 1947 : La loi sur la sécurité nationale de 1947 est promulguée par le président Harry S Truman. Entre autres choses, la loi établit l'armée de l'air des États-Unis en tant que branche distincte de l'armée et la Central Intelligence Agency en tant qu'entité gouvernementale distincte, sous l'autorité de l'exécutif.
27 janvier 1948 : Le US Information and Educational Exchange Act de 1948, mieux connu sous le nom de Smith-Mundt Act, est adopté. La loi est conçue pour réglementer les diffusions de propagande à des publics étrangers sous la direction du Département d'État, tout en interdisant cette même propagande sur les émissions nationales. L'interdiction de la propagande intérieure serait abrogée en 2013.
18 juin 1948 : le président Harry Truman approuve le « NSC 10/2 », qui crée le Bureau des projets spéciaux, une idée originale de George Kennan, directeur du personnel de planification des politiques du Département d'État et auteur du célèbre « Long Telegram », considéré comme un projet fondamental. document établissant des décennies de politique de guerre froide. Le nom du bureau est ensuite changé en Bureau de la coordination des politiques et Frank Wisner est choisi comme directeur. Ce bureau, composé principalement de vétérans de l'OSS, sera la branche secrète centrale de l'action politique américaine, jusqu'à ce qu'il soit incorporé à la CIA.
Années 1950 : Le terme « désinformation » commence à être largement utilisé dans les cercles américains et britanniques, formés sur le modèle de la dezinformatsiya russe.
9 février 1950 : Le sénateur Joe McCarthy du Wisconsin prononce son tristement célèbre discours « Les communistes au service du gouvernement ».
Dans un discours du Lincoln Day au Republican Women’s Club de Wheeling, en Virginie-Occidentale, McCarthy a produit un morceau de papier et a annoncé :
Le département d'État est infesté de communistes. J'ai ici entre les mains une liste de 205 personnes - une liste de noms qui ont été signalés au Secrétaire d'État comme étant membres du Parti communiste et qui néanmoins travaillent encore et façonnent la politique au Département d'État.
Avril 1951 : Truman crée le Psychological Strategy Board. Ils joueront un rôle déterminant dans le financement de la production hollywoodienne de 1954 de la ferme des animaux de George Orwell.
10 janvier 1953 : Mary Dublin Keyserling, épouse de l'ancien conseiller économique de Truman, Leon Keyserling, est blanchie après qu'une affaire du Loyalty Review Board a été intentée contre elle par McCarthy.
22 janvier 1953 : Le Creuset d'Arthur Miller est publié, l'un de ce qui allait devenir une longue série de commentaires artistiques/métaphoriques sur des sujets dangereusement controversés. On dit que le personnage d'Elizabeth Proctor est basé en partie sur Mary Keyserling.
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À gauche, Mary Dublin Keyserling.
24 août 1954 : Le président Dwight D. Eisenhower signe « The Communist Control Act of 1954 ».
La nouvelle loi que je signe aujourd'hui comprend l'une des nombreuses recommandations faites par cette administration pour soutenir les statuts existants dans la défaite de la conspiration communiste dans ce pays… Sur le plan administratif, nous avons au cours des 19 derniers mois intensifié l'application des lois contre les subversifs. En conséquence, 41 hauts dirigeants communistes ont été condamnés, 35 autres sont inculpés et devant être jugés, et 105 étrangers subversifs ont été expulsés.
Eisenhower s'est plaint des témoins qui ont invoqué le "privilège constitutionnel contre l'auto-incrimination" et s'est vanté que sa loi fournirait un nouveau "moyen de percer le secret qui est caractéristique des traîtres, des espions et des saboteurs".
5 avril 1955: Koop, maintenant directeur de Washington News and Public Affairs pour le Columbia Broadcasting System, écrit au président Eisenhower pour dire qu'il est «honoré d'accepter la mission de censure mesurée dans votre lettre du 21 mars. J'apprécie grandement votre confiance en moi . Je peux vous assurer que je ferai tout mon possible pour me préparer à une éventualité qui, je l'espère, ne se présentera jamais. Je considérerais comme un privilège de vous parler à votre convenance, comme vous l'avez suggéré.
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APERÇU DES CHOSES À VENIR ? À gauche, Theodoore Koop de CBS. À droite, la lettre de Koop à "mon mort" Dwight Eisenhower, acceptant un rôle de censure sub rosa.
26 juin 1958 : La construction du DC-01, le premier bâtiment SAGE NETWORK (Semi-Automatic Ground Environment) aux États-Unis, est achevée à Maguire Air Force Base à New York. Le RÉSEAU SAGE serait une série de grands ordinateurs et de machines de mise en réseau qui coordonnaient les données des sites radar pour produire une image unique de l'espace aérien. Le financement et la construction du réseau SAGE ont coûté plus cher que le projet Manhattan et ont été l'épine dorsale des réseaux américains de défense aérienne jusqu'aux années 1980. Connecté par modems, téléphones et télécopieurs, le RÉSEAU SAGE a jeté les bases de l'ARPANET et d'Internet.
26 janvier 1959 : Le journaliste américain John Powell est accusé de sédition pour une série d'articles dans The China Monthly Review, où il écrit que l'armée américaine a utilisé la guerre biologique contre les soldats nord-coréens et chinois, incorporant les leçons tirées de l'unité impériale japonaise 731. L'affaire traînerait pendant cinq ans, le gouvernement abandonnerait toutes les charges et Powell serait à jamais exclu du journalisme américain.
28 mars 1960 : L'actuel envoyé spécial et coordinateur du Centre d'engagement mondial, James Rubin du Département d'État américain, est né à New York de Harvey Rubin, qui deviendra un cadre au Satra, le Soviet American Trade Corporation, et Judy Rubin, une art-thérapeute qui faisait des apparitions régulières dans le quartier de Mister Rogers.
12 mars 1963: BROADCASTING MAGAZINE présente un article dans la section "Closed Circuit" sur la façon dont le gouvernement américain envisage de rouvrir un bureau de censure de style Seconde Guerre mondiale, après la crise des missiles de Cuba. L'article se lit comme suit :
Censure en vue ? Il n'y a pas de «censure» dans l'urgence nationale actuelle, a expliqué le secrétaire à l'information de la Maison Blanche, Pierre Salinger, la semaine dernière, mais des plans vont de l'avant et pourraient être annoncés sous peu pour un bureau de censure similaire à bien des égards à celui opéré sous l'ex-chef de l'AP Byran Price pendant la Seconde Guerre mondiale. Les vestiges de l'ancien Bureau de la censure ont survécu au cours des années intermédiaires sous la direction du bras droit de Price, Theodore F. Koop, (vice-président de CBS) avec une partie du personnel de direction d'origine maintenue en attente. La crise actuelle trouve Koop hors du pays en vacances, mais d'autres réserves exécutives se sont rendues à Washington pour consultation.
1965 : alors directeur du renseignement central, vice-amiral W.F. Raborn, qui s'était fait un nom au gouvernement en livrant le système de missile nucléaire Polaris trois ans plus tôt et en deçà du budget en utilisant la "technique d'évaluation et d'examen des programmes", écrit une lettre à Clark Clifford, alors chef du service consultatif du renseignement étranger du président. Board, mettant en garde contre une importante opération étrangère de désinformation dont le but est « la destruction, le démantèlement et la neutralisation de la CIA :
Que sont les opérations de désinformation ? « Dezinformatsiya », dans la terminologie soviétique, est une information fausse, incomplète ou trompeuse qui est transmise, alimentée ou confirmée à un individu, un groupe ou un pays ciblé (sic). La « propagande », telle qu'elle est définie par les étudiants du monde libre, peut être utilisée comme élément de soutien de la dezinformatsiya, mais la propagande en soi n'a pas la précision et le mordant de la désinformation.
Raborn écrit que l'un des buts de l'unité est de «semer la méfiance» et de «créer des motifs de subversion et de révolte contre les États-Unis dans l'hémisphère occidental et parmi les nouvelles nations d'Afrique et d'Asie… Ces buts et objectifs, il faut le souligner, ont été établi par les éléments les plus élevés du Parti et du Gouvernement de l'Union soviétique ».
Avril 1967 : Le magazine Ramparts rapporte que la National Student Association a reçu un financement de la CIA.
Septembre 1968 : Suite à l'invasion de Prague par le Pacte de Varsovie pour réprimer le printemps tchèque, le major Ladislav Bittman, ancien chef adjoint du département "D" du renseignement tchèque pour les "mesures actives" (leur département des services secrets chargé de la "propagande noire et la désinformation "défauts aux États-Unis via l'Allemagne de l'Ouest. Bittman a ensuite changé son nom en Lawrence Martin et a enseigné le journalisme à l'Université de Boston. Il a fondé le "Programme pour l'étude de la désinformation" au milieu des années 1980, c'est le premier universitaire centre aux États-Unis pour se concentrer sur la désinformation.
Décembre 1968 : Le Stanford Research Institute (SRI) publie un rapport « A Study of Computer Network Design Parameters » pour les Advanced Research Projects dans le cadre du développement d'ARAPANET, le précurseur d'Internet.
30 juin 1971 : Dans une décision 6 contre 3, la Cour suprême statue en faveur du New York Times dans l'affaire New York Times Co. c. États-Unis, qui a permis au journal de publier des extraits d'une histoire classifiée volée du Pentagone sur le Vietnam. guerre. L'affaire est un verdict historique sur la liberté de la presse et le fardeau de la retenue préalable du gouvernement.
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La célèbre affaire Pentagon Papers.
15 janvier 1977 : SATRA, la Soviet American Trading Company dont Harvey Rubin est vice-président, obtient les droits de diffusion des Jeux olympiques de Moscou de 1980
4 janvier 1978 : Le rapport d'achèvement d'ARPANET est publié, signalant la naissance de l'Internet moderne.
1981 : L'administration Reagan fonde le « Groupe de travail sur les mesures actives », un détail interinstitutions dirigé par le fonctionnaire du Département d'État Mark Palmer. Se débarrassant d'une réticence de plusieurs années à discuter ouvertement de la «désinformation», le nouveau groupe commence à publier des articles «contre» la propagande soviétique et les rumeurs liées à l'URSS, en commençant par un article en 1981 prétendant démystifier les histoires sur la responsabilité des États-Unis dans la prise du Grande Mosquée de La Mecque, le meurtre d'un dirigeant panaméen et d'autres contes.
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Le premier document du « Groupe de travail sur les mesures actives », 1981
20 septembre 1983 : Le directeur du renseignement central, William Casey, informe le comité spécial permanent de la Chambre sur le renseignement :
Du côté secret, Moscou a développé un vigoureux programme de "mesures actives" qui est réalisé en grande partie par une présence croissante à l'étranger qui comprend des diplomates, des employés d'Aeroflot et des représentants d'organisations commerciales et de presse soviétiques...
Casey prévient que les « mesures actives soviétiques » incluent la « manipulation des médias » et la « désinformation », ainsi que les « agents d'influence » et « d'autres activités subversives ».
24 juillet 1985 : La CIA livre un rapport sur sa « Conférence sur la propagande et la désinformation soviétiques contemporaines », écrivant :
Le rapport sera largement diffusé par le Département d'Etat. Un certain nombre de participants ont suggéré qu'une liste de participants serait utile pour se tenir mutuellement informés et s'impliquer mutuellement dans des travaux connexes au fil du temps. Certains y ont vu une première étape pour aider à créer un réseau de spécialistes intéressés par les questions de désinformation.
Dans un autre exemple passé de coopération médiatique à des fins de renseignement, l'ancien rédacteur en chef de Commentary Magazine et conseiller de l'agence d'information américaine Norman Podhoretz est mentionné. Podhoretz "a prononcé le discours d'ouverture d'une conférence sur la désinformation de la CIA", un discours intitulé "Causes de la vulnérabilité occidentale due à la manipulation sémantique".
1985 : À la suite d'une série d'arrestations d'espionnage de haut niveau, 1985 est caractérisée dans les médias comme «l'année de l'espion».
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1985 a été «l'année de l'espion».
8 février 1996 : Le président Bill Clinton signe le Communications Decency Act de 1996, une tentative de réglementer la pornographie sur Internet.
21 octobre 1998 : Le Child Online Protection Act (COPA) est promulgué par le président Bill Clinton. Il s'agit de l'un des premiers efforts législatifs visant à réglementer la transmission de contenu Web :
Quiconque, sciemment et en connaissance du caractère du matériel, dans le commerce interétatique ou étranger au moyen du World Wide Web, fait une communication à des fins commerciales qui est accessible à tout mineur et qui comprend tout matériel préjudiciable aux mineurs sera passible d'une amende pas plus de 50 000 $, emprisonné pas plus de 6 mois, ou les deux.
26 octobre 2001 : Peu de temps après le 11 septembre, le président George Bush promulgue la loi « Renforcer l'Amérique en fournissant les outils appropriés nécessaires pour intercepter et entraver le terrorisme », alias USA PATRIOT Act de 2001. Cette loi radicale fournirait la base pour une génération d'interdiction antiterroriste essentiellement extralégale, et servirait éventuellement de modèle pour d'autres efforts plus larges visant à réglementer l'information et à mener une surveillance.
Janvier 2002 : Le programme d'analystes militaires du Pentagone développé par la sous-secrétaire à la Défense pour les affaires publiques Victoria Clarke est discrètement lancé "pour diffuser les points de discussion de l'administration sur l'Irak en informant les commandants à la retraite des apparitions sur le réseau et la télévision par câble", sans divulguer leurs relations actives avec le Pentagone. Les analystes étaient connus comme des "multiplicateurs de force de message".
Mars 2003 : Le ministère de la Défense lance une politique « d'intégration » des reporters au sein des unités militaires pour la guerre en Irak, à condition que les reporters intégrés acceptent les règles de base et la censure militaire de base.
9 mars 2006 : Le président Bush signe la loi de 2005 sur l'amélioration et la réautorisation des patriotes américains, dans la salle Est de la Maison Blanche. Le président de la Chambre, Dennis Hastert, est présent lors de la signature. La loi permet « aux fournisseurs de services Internet de divulguer volontairement les dossiers des clients au gouvernement en cas d'urgence impliquant un risque immédiat de décès ou de blessures physiques graves et permet aux victimes de piratage informatique de demander l'aide des forces de l'ordre pour surveiller les intrus sur leurs ordinateurs ».
21 mars 2006 : Jack Dorsey envoie le premier message sur Twitter à 21h50 PST. "Je configure juste mon twttr." Le jeton non fongible (NFT) pour ce tweet se vendra plus tard pour 2,9 millions de dollars.
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Jack Dorsey change le monde, mais fait aussi pour nous nos premiers pas dans un nouvel enfer 2 août 2007: S-1959, la loi de 2007 sur la radicalisation violente et la prévention du terrorisme local est présentée et rejetée au Sénat, après avoir été adoptée par la Chambre sous le nom de H.R. 1955 en avril 2007. Le projet de loi a été coparrainé par le représentant Bennie Thompson, qui jouera plus tard un rôle de premier plan au sein du comité du 6 janvier.
Un article d'opinion dans SF Gate en 2008, "Règle par la peur ou règle par la loi?" par Lewis Seiler et Dan Hamburg, note ce qui suit :
Certains commentaires des médias s'interrogent sur une loi qui qualifie de terroristes les personnes qui "se livrent à des sit-in, à la désobéissance civile, à l'intrusion ou à tout autre crime au nom des droits des animaux" comme terroristes. L'ACLU, à l'époque toujours vivement intéressée par ces questions, publie une déclaration disant :
L'application de la loi devrait se concentrer sur l'action, pas sur la pensée. Nous devons nous préoccuper des gens qui commettent des crimes plutôt que de ceux qui nourrissent des croyances que le gouvernement peut considérer comme extrêmes.
4 janvier 2011 : Le marchand ambulant tunisien Tarek al-Tayeb Mohamed Bouazizi s'immole à Ben Arous, en Tunisie, après avoir été harcelé par des fonctionnaires municipaux. Cela sera considéré comme l'événement déclencheur du printemps arabe, une série de soulèvements populaires alimentés par les médias sociaux à travers le Moyen-Orient.
27 septembre 2011 : Michael Furlong, un colonel psyops de l'armée à la retraite, démissionne de son poste SES dans l'armée de l'air après avoir découvert que son programme "INFORMATION OPERATIONS CAPSTONE" en Afghanistan couvre un réseau d'espionnage privé opérant dans "The Grey". Zone » de légalité, d'autant plus qu'elle était dirigée depuis 2009 par le conspirateur Iran Contra gracié et légende de la CIA Duane « Dewey » Clarridge
2 mars 2012 : USA Today, qui deviendra plus tard un partenaire enthousiaste des opérations « anti-désinformation », publie des « programmes ‘info ops’ américains douteux, coûteux » :
WASHINGTON – Alors que le Pentagone a cherché à vendre les guerres en Irak et en Afghanistan à des populations souvent hostiles là-bas, il a dépensé des centaines de millions de dollars dans des campagnes de marketing et de propagande mal suivies que les chefs militaires aiment appeler «opérations d'information», l'équivalent moderne de la guerre psychologique.
18 mai 2012 : Mon ancien collègue Michael Hastings publie un article dans Buzzfeed, aujourd'hui disparu, intitulé « Les membres du Congrès cherchent à lever l'interdiction de la propagande : la propagande censée cibler les étrangers pourrait désormais viser les Américains, renversant une politique de longue date ». Hastings se révélerait prémonitoire :
L'amendement "annulerait l'interdiction actuelle de diffusion nationale" du matériel de propagande produit par le Département d'État et le Conseil des gouverneurs de la radiodiffusion indépendant, selon le résumé de la loi sur le site Web officiel du House Rules Committee.
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Le regretté Michael Hastings.
2 janvier 2014 : Jake Tapper, de CNN, note avec précision : "l'administration Obama a utilisé la loi sur l'espionnage pour poursuivre les lanceurs d'alerte qui ont divulgué des informations aux journalistes... plus que toutes les administrations précédentes réunies."
16 novembre 2018 : Le président Donald Trump promulgue la « loi de 2018 sur l'Agence de sécurité de la cybersécurité et des infrastructures » établissant la CISA en tant que sous-agence au sein du Département de la sécurité intérieure avec un budget de plusieurs milliards de dollars.
17 novembre 2020 : Le directeur inaugural de la CISA, Christopher Krebs, est limogé par le président Trump via un tweet pour des remarques qu'il a faites sur la sécurité de l'élection présidentielle.
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Le limogeage par tweet du premier chef de la CISA par Trump.
18 mai 2022 : Le malheureux « Conseil de gouvernance de la désinformation » du Département de la sécurité intérieure est « suspendu » après seulement trois semaines. Des journaux comme le Washington Post accusent les "attaques de droite" de sa fermeture.
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08 septembre 2022 : La RAND Corporation publie "INFORMATION WARFARE : Methods to Counter Disinformation" qui préconise "le développement de contre-stratégies et nous identifions spécifiquement le concept de chaînes de mise à mort comme un cadre utile pour aider à relever le défi de la désinformation", incorporant essentiellement l'assassinat doctrine du JSOC en Irak et en Afghanistan aux publications nationales.
2 décembre 2022 : Twitter Files #1 est publié, commençant une série de rapports qui divulgueront de vastes efforts de « anti-désinformation » sous les départements d'État et de la Sécurité intérieure, en plus du FBI, le bureau du directeur de National Intelligence, et un nombre encore indéterminé d'organisations de la société civile.
Visualiser le déclin du logement abordable aux États-Unis
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 MAI 2023 - 04:40
Plus de 80 % des résidents américains ont choisi de vivre en milieu urbain, à partir de 2023.
Et, comme Chris Dickert et Pernia Jamshed de Visual Capitalist le détaillent ci-dessous, avec ce chiffre qui devrait atteindre près de 90 % d'ici 2050, les prix de l'immobilier augmentent, avec des conséquences importantes sur l'abordabilité du logement.
Cette visualisation, la deuxième de la série Reimagining Home de notre sponsor Boxabl, plonge profondément dans l'évolution du marché du logement aux États-Unis.
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L'abordabilité du logement à son plus bas niveau depuis des décennies
Le ratio prix de l'immobilier/revenu aux États-Unis, qui suit les prix de l'immobilier en multiples du revenu annuel, a régulièrement augmenté depuis le milieu des années 1980, lorsque le marché se remettait d'un krach immobilier au début de cette décennie.
Historiquement, le ratio a oscillé entre trois et quatre. Mais au début des années, le ratio a dépassé quatre et a continué, atteignant un sommet de 5,11 en 2005. Le ratio a quelque peu chuté à la suite de l'effondrement des prêts hypothécaires à risque, mais n'est jamais revenu aux moyennes historiques. De nouveaux records ont été établis en 2014 (5,33) et à nouveau en 2021 (5,61).
Veuillez noter que puisque les prix médians des logements et les revenus médians des ménages sont publiés à des fréquences différentes, respectivement trimestrielles et annuelles, afin de calculer le ratio, les prix des logements ont été moyennés sur une base annuelle.
Les données sur le logement sont disponibles jusqu'au premier trimestre de 2023, lorsque les prix médians sont passés d'un niveau record de 479 500 $ à la fin de 2022 à 436 800 $ au premier trimestre de cette année.
Étant donné que le revenu médian des ménages n'est actuellement disponible que jusqu'en 2021, il n'est pas possible de calculer le ratio au-delà. Cependant, à moins qu'il n'y ait eu une augmentation inhabituellement importante du revenu, le ratio est probablement resté près de niveaux records.
Et tout au long de la hausse apparemment imparable des prix de l'immobilier au cours des 38 années couvertes ci-dessus, les revenus n'ont pas suivi. Entre 1984 et 2021, les revenus médians ont augmenté de 3,16 x, passant de 22 415 $ à 70 784 $, tandis que les prix médians des logements ont augmenté de près de 5,26 x pour atteindre 423 600 $, contre 78 200 $.
Question prioritaire pour les communautés locales Au milieu de l'érosion constante de l'abordabilité du logement, les résidents américains ont réagi avec une inquiétude croissante. En 2018, lorsque le Pew Research Center a posé des questions sur les problèmes majeurs affectant les communautés locales, la première place est allée à la toxicomanie avec 42%, contre 39% sur la disponibilité de logements abordables.
En 2021, la situation s'est inversée et l'abordabilité du logement était le problème #1 selon 49% des répondants, soit une augmentation de 10%. La toxicomanie, en revanche, est tombée à 35 %.
En général, les jeunes Américains (55%), les résidents urbains (63%) et ceux à faible revenu (57%) ont exprimé plus d'inquiétude que leurs homologues.
Y a-t-il un médecin dans la maison ? Alors, qu'est-ce qui cause l'érosion de l'abordabilité du logement aux États-Unis ?
En fin de compte, les États-Unis ne construisent pas suffisamment de maisons pour suivre le rythme de la croissance démographique. Et vous pouvez le voir dans les données sur les mises en chantier. En janvier 1959, il y avait environ 1,7 million de mises en chantier, contre 1,3 million en janvier 2023. Et cette diminution s'est produite malgré le fait que la population américaine a presque doublé, passant de 176 à 335 millions.
De nombreuses forces différentes travaillent ensemble au niveau local pour empêcher la construction de nouvelles maisons. L'espace est une raison. Les lois de zonage locales qui limitent la construction de maisons multifamiliales sont un autre coupable. La pandémie de COVID-19 a également causé des problèmes de chaîne d'approvisionnement mondiale, entraînant une augmentation des coûts des matériaux pour le logement.
Et la cerise sur le gâteau ? La hausse des taux d'intérêt rend encore plus difficile l'accès au marché pour les acheteurs d'une première maison.
Sortir des sentiers battus sur le logement
Alors que l'abordabilité du logement est à son plus bas depuis plus d'une décennie et que les gens craignent de ne pas pouvoir trouver un logement, il est temps de sortir des sentiers battus.
Boxabl utilise des techniques de production de masse avancées pour construire et expédier des maisons qui réduisent considérablement le coût d'accession à la propriété pour tout le monde.
Il s'agit de la deuxième pièce de la série Reimagining Home. La première partie examine en profondeur l'urbanisation aux États-Unis, tandis que la troisième et dernière partie examine comment les maisons modulaires pourraient être une solution à la crise de l'accessibilité financière aux États-Unis.
L'évolutivité de l'hydrogène est essentielle pour répondre à la demande énergétique
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 MAI 2023 - 03:40 Rédigé par Robert Hebner via RealClear Wire,
Il y a des années, j'ai assisté à une conférence avec un responsable du programme énergétique chinois à l'Université de Hong Kong. L'investissement important en temps et en ressources dans chaque technologie énergétique et l'engagement à mettre à l'échelle des solutions à impact environnemental réduit m'ont ouvert les yeux, mais m'ont également semblé être une approche inefficace.
Il est maintenant évident que le monde doit investir dans une méthode complète pour répondre à nos besoins énergétiques avec un impact environnemental réduit.
La demande mondiale d'énergie devrait doubler en raison de la croissance démographique ; plus de la moitié n'ont pas suffisamment d'énergie aujourd'hui, ce qui conduit à la pauvreté et à des décès prématurés.
Actuellement, l'énergie dérivée des combustibles fossiles est la seule source disponible à l'échelle requise pour répondre à la demande croissante.
Même si les problèmes géopolitiques autour des combustibles fossiles étaient magiquement éliminés, la conversion naturelle de l'énergie solaire en combustibles fossiles inclut le carbone. Nous utilisons maintenant l'énergie à un rythme tel que les émissions de carbone modifient le climat, ce qui entraîne également la pauvreté et des décès prématurés.
Nous avons besoin de solutions plus nombreuses et meilleures à une échelle suffisamment grande pour avoir de l'importance.
L'hydrogène est attractif car il promet de rendre l'énergie renouvelable intermittente disponible 24h/24 et 7j/7 partout. De plus, le marché mondial de l'hydrogène représente aujourd'hui plus de 150 milliards de dollars, avec des opportunités de croissance majeures dans les futurs secteurs du réseau et des transports.
La demande croissante d'énergie signifie une croissance des emplois et des bénéfices. Mais il y aura des gagnants et des perdants même sur le marché en croissance.
Les gouvernements utilisent des incitations pour soutenir toute l'énergie aujourd'hui. Dès lors, l'intégration de l'hydrogène dans le système politique est compliquée. Par exemple, le ministère de l'Énergie a pour objectif de développer la technologie de production d'hydrogène pour 1 $/kilogramme d'ici la fin de la décennie. Un kilogramme d'hydrogène a une énergie similaire à un gallon d'essence.
Cependant, des recherches récentes ont montré que pour un parc éolien dans l'ouest du Texas, produire et vendre de l'hydrogène n'a aucun sens économique à moins que le coût de l'hydrogène ne soit d'environ 3,50 $/kilogramme, en raison d'un crédit d'impôt à la production qui récompense l'électricité éolienne fournie au réseau électrique.
L'empreinte carbone de l'hydrogène est élevée aujourd'hui, mais nous avons la technologie pour le produire avec une empreinte carbone plus faible. Les États-Unis mettent en place un crédit d'impôt progressif pour soutenir la mise à l'échelle de l'hydrogène plus propre, quelle que soit sa matière première.
Nous perdons tous si nous faisons du parfait l'ennemi du bien. Moins de personnes souffrent ou meurent si nous passons du bien au mieux, au mieux plutôt que de rester assis sur le bien jusqu'à ce que le meilleur soit facilement réalisable.
Notre gouvernance héritée empêche l'établissement d'un marché où de multiples solutions contribuent. Le système que nous avons construit suppose que les différents composants se font concurrence, et non travaillent en équipe pour répondre à la demande énergétique croissante d'une manière écologiquement durable.
Nous comptons sur notre gouvernement pour assurer la coordination nécessaire. Nous devons leur donner les outils et les connaissances dont ils ont besoin pour bien faire ce travail pour nous tous.
Pour l'hydrogène, des perspectives paroissiales tentent d'influencer les matières premières du réseau électrique qui sont suffisamment propres pour bénéficier de tous les avantages du crédit d'impôt 45V. Il s'agit d'une situation classique "parfait contre bon".
Certifier l'hydrogène comme propre lorsque sa matière première provient d'une source indépendante et dédiée est simple. Cependant, l'hydrogène produit à Houston, TX, en utilisant l'électricité du réseau est proche de la parité des prix avec les moyens conventionnels à forte intensité de carbone de produire de l'hydrogène.
Ainsi, nous pouvons avoir de l'hydrogène plus propre rapidement. Mais le réseau, tout en devenant continuellement plus propre, a une empreinte carbone qui varie quotidiennement. La plupart des gens prudents diraient qu'en l'absence de preuves de dommages plus importants, cette approche devrait bénéficier aujourd'hui d'un crédit d'impôt compétitif et de crédits d'impôt améliorés à mesure que l'hydrogène deviendra plus propre à l'avenir.
Des décennies de crédits d'impôt et de compensations ont fait de l'éolien et du solaire des fournisseurs de niche. Avec sa capacité de stockage massive commercialement mature, l'hydrogène pourrait fournir la technologie de point de basculement pour augmenter les combustibles fossiles pour répondre à la demande croissante.
Aucune solution ne peut à elle seule relever le défi. Nous avons besoin de flexibilité pour la production, la conservation et l'efficacité de l'énergie. Nous prospérerons avec un portefeuille de contributeurs exceptionnels, et non en attendant un super-héros de l'énergie.
Robert Hebner est le directeur du Centre d'électromécanique de l'Université du Texas à Austin.
Les voitures dominent toujours le trajet américain
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 MAI 2023 - 02:40
Dans le cadre du mois national du vélo, célébré aux États-Unis chaque mois de mai pour promouvoir le vélo en tant que mode de transport amusant et sain, aujourd'hui, le 19 mai était la journée du vélo au travail. Ce jour-là, les gens sont encouragés à laisser leur voiture derrière eux et à enfourcher leur vélo pour leur trajet quotidien vers le travail. Après tout, comme le note Felix Richter de Statista, le vélo pour se rendre au travail est encore relativement rare aux États-Unis, malgré les nombreux avantages qu'il offre en termes de santé personnelle, de réduction du trafic et d'économies d'émissions.
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Infographie : Les voitures dominent toujours le trajet américain | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon Statista Consumer Insights, 73 % des navetteurs américains utilisent leur propre voiture pour se déplacer entre leur domicile et leur travail, ce qui en fait de loin le mode de transport le plus populaire. Pendant ce temps, seulement 13 % des 7 649 répondants utilisent les transports en commun tandis que 11 % font du vélo. Comme le montre le graphique de Statista, les alternatives à la voiture sont devenues plus populaires depuis 2019, mais aucune ne remet en question le statut de la voiture en tant que roi des déplacements américains.
Plusieurs facteurs contribuent à la faible adoption du vélo comme moyen de transport quotidien : d'une part, les Américains sont habitués à parcourir de plus longues distances que les habitants de la plupart des pays européens, ce qui exclut automatiquement le vélo pour beaucoup. Et deuxièmement, de nombreuses grandes villes des États-Unis ne sont pas vraiment adaptées aux vélos.
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Infographie : Les villes américaines les plus adaptées aux vélos | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon une étude récente, seules deux villes américaines figurent parmi les 50 villes les plus favorables aux vélos au monde, en tenant compte de facteurs tels que l'infrastructure cyclable, la sécurité et l'utilisation ainsi que des choses aussi banales que la météo.
Regardez: Les scientifiques créent de vrais bras de docteur Octopus
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 MAI 2023 - 05:20
Des scientifiques de l'Université de Tokyo ont développé un ensemble de bras robotiques qui peuvent être attachés au dos d'un utilisateur. Ces armes imitent l'apparence d'Otto Octavius (également connu sous le nom de Docteur Octopus), un personnage fictif et l'un des ennemis les plus durables de Spider-Man, qui brandit des appendices mécaniques en forme de tentacule.
Appelé "Jizai Arms", le sac à dos portable peut alimenter jusqu'à six bras de robot détachables et se déplace avec le corps de l'utilisateur.
"Le système a été conçu pour permettre une interaction sociale entre plusieurs porteurs, comme un échange de bras, et explorer les interactions possibles entre les cyborgs numériques dans une société cyborg", ont écrit les scientifiques dans une note de recherche intitulée "Social Digital Cyborgs: The Processus de conception collaborative de JIZAI ARMS" qui a été publié dans la bibliothèque numérique ACM, une base de données d'articles en texte intégral et de littérature bibliographique couvrant l'informatique et les technologies de l'information.
"D'après nos séances de jeux de rôle, nous avons découvert que notre corps pouvait détecter avec précision l'attachement/le détachement des bras, et nous avons particulièrement ressenti un fort impact lors du détachement ou de la réduction du nombre de bras robotiques portés", ont déclaré les scientifiques dans l'article.
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"Nous avons également suggéré d'ajouter la personnalisation aux bras robotiques pour générer un sentiment d'appartenance sociale, le sentiment d'appartenance d'un individu envers une partie du corps artificiel spécifique partagée entre plusieurs personnes, en tant que futur sujet de recherche", ont-ils poursuivi.
Cette technologie nous rappelle les tentacules mécaniques d'Octavius.
En plus de l'intelligence artificielle, nous pourrions aussi vouloir nous préparer à un monde de cyborgs.
Le ministère du Gewessler finance l'ancien club Graichen "Agora Energiewende"
20 mai 2023 par Thomas Oysmuller
Les Verts en Allemagne sont sous forte pression en raison de la révélation autour du « clan Habeck-Graichen ». Mais les Verts autrichiens sont également impliqués. Le ministère du Climat fait un don à l'Agora Energiewende.
Robert Habeck, homme vert radieux et, aux côtés d'Annalena Baerbock, du parti Alpha, vit sa pire crise politique : le déclencheur est son ex-secrétaire d'Etat Patrick Graichen, qui a démissionné cette semaine. Avant son travail chez Habeck, Graichen était directeur du lobby club "Agora Energiewende".
Affaire Graichen Graichen est tombé sur des nominations douteuses : il a obtenu de son témoin le poste de chef de l'Agence allemande de l'énergie. Ses frères et sœurs Jakob et Verena travaillent à "l'Öko-Institut", qui est financé par des commissions des ministères. Depuis le feu tricolore, beaucoup plus de commandes du ministère des Affaires économiques de Robert Habeck et Patrick Graichen sont parvenues à l'institut - a rapporté vendredi la journaliste Janina Lionello.
Le magazine satirique allemand « Postillon » écrit : « Graichen justifie sa démission : veut passer moins de temps avec sa famille. » Très juste . Le public critique appelle l'affaire le «clan Habeck-Graichen».
Mais le gros problème et pourquoi les Verts sont durement touchés s'appelle : « Agora Energiewende ». L'accent est mis sur Hal Harvey, milliardaire américain et président de la "Climate Impact Foundation". Il a fondé le lobby club "Agora Energiewende" en 2012, et Graichen est devenu directeur général peu de temps après. En 2022, Die Zeit a qualifié Harvey de "vert le plus puissant du monde". Agora est également financé par la Fondation européenne pour le climat, créée en 2008. Également présent : Hal Harvey.
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Harvey et Graichen sont d'excellents exemples de la dépendance de la « politique économique verte » vis-à-vis des grandes entreprises américaines. Une étude de l'« Öko-Institut » est citée dans le projet de loi sur les pompes à chaleur en Allemagne. Cela a été à son tour commandé par Agora. On peut se demander si une telle étude est ouverte.
Beatrx von Storch (AfD) décrit les processus verts dans un article récent :
« Le succès du mouvement climatique et de son bras politique, les Verts, est étroitement lié au fait d'être soutenu par un réseau de plusieurs milliards de dollars de plateformes, de fondations, de groupes de réflexion et d'organisations de pression financés par des milliardaires et directement ou indirectement par l'industrie financière mondiale.
La création du « Climate Finance Partnership » en 2018 a marqué une étape importante dans ce développement. Il s'agit d'un partenariat entre le gestionnaire d'actifs BlackRock et les gouvernements allemand, français et japonais et de grandes fondations américaines comme la Fondation Hewlett. BlackRock détient des participations dans 17 000 entreprises et dispose d'un capital de 10 000 milliards d'euros, soit un dixième du PIB mondial. Avec les deux autres grands gestionnaires de fonds, Vanguard et State Street, les « trois grands » contrôlent 88 % des principales sociétés américaines. Président du Conseil de surveillance de BlackRock Allemagne à l'époque : Friedrich Merz.
La Fondation Hewlett est le sponsor principal de "l'homme vert le plus puissant du monde" ( Zeit ), Hal Harvey."
L'Autriche
Pas étonnant que le ministère autrichien du climat d'Eleonore Gewessler (Verts) soit également rattaché à Agora. Un rapide coup d'œil sur le financement d'Agora suffit. En plus des agences gouvernementales allemandes, il n'y a qu'un seul gouvernement qui finance encore Agora : l'Autriche.
Les sommes ne sont pas importantes, mais elles le sont : le ministère du Climat a financé Agora avec 75 000 euros en 2021, 90 000 euros y sont allés en 2022. Intéressant : En 2019, près de 120 000 euros sont venus du ministère du Tourisme par Elisabeth Köstinger (ÖVP). À l'époque, le noir et le bleu régnaient encore en maître.
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Par rapport aux agences gouvernementales allemandes, les dépenses de l'Autriche sont faibles, mais quand même. L'Agora est principalement financée par des capitaux privés. source ici.
Il semble mieux illustré comme ceci:
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Une brève recherche sur la page d'accueil du ministère du Climat montre également à quel point les études d'Agora (qu'il s'agisse de la transition énergétique ou de la transition routière) sont volontiers consultées par le ministère Gewessler. Plus récemment, par exemple, avec "Arguments pour le retournement de la mobilité".
Comme on le sait depuis cette semaine, Gewessler veut une interdiction encore plus rapide des moteurs à combustion en Autriche, à partir de 2027 - a rapporté tkp. Les études qui indiquent une nécessité absolue, sinon la "catastrophe climatique" nous frappera, sont très appropriées.
Les Verts en Allemagne sont sous forte pression en raison de la révélation autour du « clan Habeck-Graichen ». Les Verts autrichiens sont également de la partie. Ce n'est pas surprenant. Certains spéculent même que la demande des Verts pour des soldats de l'armée en Ukraine a été rejetée comme une manœuvre de diversion - afin que personne n'ait l'idée de suivre de plus près les pas de Gewessler/Kogler autour d'Agora.
La bataille a duré neuf mois, mais maintenant elle semble terminée. Le patron de Wagner, Prigozhin, a annoncé le contrôle total de la ville de Bakhmut samedi à midi. La bataille la plus sanglante du siècle est terminée.
Le patron de Wagner, Yevgeny Prigozhin, a annoncé la victoire le 20 mai à midi : la ville de Bakhmut, qui avait été disputée pendant 224 jours, a été complètement conquise. Pendant la guerre, la ville de 75 000 habitants (en 2019) est devenue le théâtre de la bataille la plus brutale du 21e siècle.
Milice privée contre l'OTAN
La milice privée "Wagner" s'est battue contre l'armée ukrainienne, qui est soutenue par l'OTAN à tous les niveaux. On ne sait pas combien de soldats ont perdu la vie. Ce seraient des chiffres choquants. L'opération militaire a reçu le titre cynique de "hachoir à viande" par "Wagner". L'opération visait à lier et à éliminer autant de forces que possible du côté ukrainien.
La bataille de Bakhmut a donc été la première grande bataille de l'histoire au cours de laquelle une compagnie militaire privée a vaincu une armée organisée. Une armée entraînée et ravitaillée par l'OTAN.
En tout cas, la défaite dans la ville est une lourde défaite pour l'Ukraine. Au moins d'un point de vue propagandiste : Selenski personnellement avait insisté à plusieurs reprises pour continuer la bataille défensive. La défaite survient en même temps que le voyage de Selenski au G7 au Japon. Là, on devrait lui promettre des avions de chasse - les analystes ont averti il y a des mois que cela signifierait une escalade dangereuse de la guerre.
Le ministère ukrainien de la Défense nie la défaite dans la ville : « » Il y a de violents combats à Bakhmut. La situation est critique. En même temps, nos troupes maintiennent la défense dans la zone des avions. » À l'heure actuelle, les forces armées ukrainiennes continuent de détenir divers bâtiments industriels et d'infrastructure.
La journaliste de guerre ukrainienne Illia Ponomarenko a rapporté le contraire sur Twitter :
L'"Asia Times" a également rapporté mercredi que l'Ukraine s'apprêtait à se retirer. La « fin de Bakhmut » est arrivée. Voici le texte à lire dans « Asia Times ». Pour rendre cette retraite moins dangereuse, il y eut aussi des offensives sur les flancs de la ville. Là-bas, l'Ukraine a enregistré des succès, mais aussi des pertes importantes.
L'importance stratégique de la prise de la ville est douteuse. Lorsque la bataille de Bakhmut a commencé, beaucoup ont soupçonné que si la Russie était victorieuse, elle pourrait rapidement pousser plus à l'ouest. Entre-temps, cependant, les forces armées ukrainiennes sont également susceptibles d'avoir creusé à l'ouest de Bakhmut. Le patron de Wagner, Prigozchin, a déclaré il y a quelques jours que la ville n'avait aucune importance stratégique particulière.
Il a annoncé samedi qu'il quitterait la ville avec sa milice privée le 25 mai. D'ici là, des lignes de défense seraient établies et la ville serait remise au ministère russe de la Défense.
De 1924 à 2016, le nom de la ville était Artemivsk. Il a été rebaptisé Bakhmut dans le cadre des lois de décommunisation de l'Ukraine.
Avertissement : Les deux tiers du réseau électrique nord-américain courent un RISQUE ÉLEVÉ de connaître des pannes estivales pendant les pics de demande
vendredi 19 mai 2023 par : Lance D. Johnson
(Natural News) La North American Electric Reliability Corporation (NERC) vient de publier son évaluation de la fiabilité du réseau électrique pour l'été 2023.
Le NERC est une entité publique-privée à but non lucratif qui fournit des évaluations de la fiabilité du réseau électrique à cinquante régulateurs d'État et au Département américain de l'énergie. À l'approche de l'été 2023, le NERC prévient que les deux tiers du réseau électrique nord-américain courent un risque élevé de subir des pannes estivales pendant les pics de consommation d'énergie.
Les services publics de la majeure partie de l'Amérique du Nord ne disposent pas d'une capacité de production de réserve suffisante pour répondre aux prochaines poussées de la demande de juin à septembre.
"Les profils de risque élevés que nous constatons sont dus à une combinaison de retraits de génération conventionnels observés au cours des deux dernières années, une augmentation substantielle de la demande de pointe prévue et de nouvelles charges à venir - nous électrifions plus que jamais dans le passé », a déclaré John Moura, directeur de la fiabilité du NERC.
La décarbonisation de l'Ouest met en danger le réseau électrique en Amérique du Nord Dans le rapport du NERC, les chercheurs avertissent que la décarbonisation rapide du réseau électrique américain exposera de nombreuses personnes à des risques de pannes et de pannes pendant les mois de forte demande de l'été 2023. La transition précipitée de l'administration Biden du pétrole et du gaz vers l'éolien et le solaire sapent les réserves d'énergie et font grimper les prix de l'électricité. La transition vers les énergies renouvelables a lieu avant que le réseau ne puisse ajuster et étendre ses capacités de transport. Les combustibles fossiles produisent de l'électricité à la demande, tandis que les énergies renouvelables dépendent de la disponibilité du soleil et du vent à tout moment de la journée.
"Les moteurs ici sont la croissance de la demande et les retraits de production qui enlèvent la production dispatchable qui est nécessaire pour maintenir la fiabilité dans une gamme de conditions", a déclaré Mark Olson, responsable des évaluations de la fiabilité du NERC.
Le rapport du NERC avertit que les contraintes sur la livraison de gaz naturel et de charbon, combinées aux nouvelles restrictions environnementales fédérales et aux problèmes de chaîne d'approvisionnement, contribuent à des capacités incertaines. Ces nouvelles règles environnementales limitent les émissions des centrales électriques, inhibant les générateurs au charbon dans vingt-trois États. Les nouvelles règles limiteront les heures de fonctionnement des centrales électriques au charbon tout en introduisant progressivement les équipements de contrôle des émissions. Pour aggraver les choses, il y a une baisse des niveaux d'eau à proximité de certaines centrales hydroélectriques et des «déclenchements inattendus» des ressources éoliennes et solaires qui rendent la capacité incertaine.
« Le rythme auquel nous fermons les centrales à combustibles fossiles dépasse le rythme auquel nous mettons en ligne de nouvelles centrales », a déclaré Greg R. White, directeur exécutif de la National Association of Regulatory Utility Commissioners (NARUC), à Epoch Times. "Si vous prêtez attention à ce qui se passe dans cette industrie, l'industrie a dit que la transition [des combustibles fossiles aux énergies renouvelables] serait difficile."
L'un des réseaux à risque est le Midcontinent Independent System Operator (MISO), qui contrôle l'électricité dans 15 États et dans la province canadienne du Manitoba. La fiabilité des réseaux MISO dépendra de la quantité de vent traitée par les éoliennes pendant les pics de demande. Le Northeast Power Coordinating Council de la Nouvelle-Angleterre, qui alimente les services publics de sept États et des provinces canadiennes du Québec, de la Nouvelle-Écosse, du Nouveau-Brunswick et de l'Ontario, est également menacé. Parmi les autres sources d'approvisionnement en électricité à haut risque figurent le SERC-Central, qui alimente 16 États du sud ; le pool énergétique du sud-ouest ; NPPC-Ontario; l'Electric Reliability Council of Texas, qui alimente 90 % du Texas ; et The Western Interconnection, qui alimente quatorze États et s'étend de la Basse-Californie au Mexique aux provinces canadiennes de la Colombie-Britannique et de l'Alberta. L'interconnexion de l'Ouest pourrait tomber en panne lors d'"événements de chaleur étendus" - en particulier si la production d'énergie provenant de vastes ressources solaires photovoltaïques est réduite de la fin de l'après-midi aux heures du soir.
La décarbonisation de l'Ouest ne fait pas seulement grimper les prix de l'électricité pour des millions de personnes, mais elle expose également le réseau électrique à des pannes temporaires pour des millions d'autres en Amérique du Nord.
Un auteur français populaire fait face à des accusations criminelles pour avoir «maltraité» un maire souffrant de dysphorie de genre en l'appelant «un homme» - ce qu'il EST
vendredi 19 mai 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) L'auteure française à succès, féministe et influente des médias sociaux Dora Moutot est poursuivie en justice pour le "crime" présumé d'avoir "trompé" deux transgenres sur la base de leur sexe biologique réel.
Le maire de Tilloy-lez-Marchiennes « Marie Cau », un homme qui se fait maintenant passer pour une femme, et Hanneli Escurier, une journaliste qui se fait passer pour un homme, sont tous les deux mécontents de Moutot pour les avoir appelés par ce qu'ils sont réellement, plutôt que par ce qu'ils prétendent être.
Les deux dérangés mentaux poursuivent Moutot avec le soutien de Mousse et SOS Homophobie, deux organisations LGBT qui croient apparemment que les gens devraient être punis pour avoir refusé de faire semblant à la demande avec les pronoms de genre inventés par d'autres personnes.
L'un des incidents s'est produit lorsque Moutot a été interrogé par la journaliste Léa Salamé dans le populaire talk-show français Quelle Époque! si elle considérait le maire Cau comme une femme. Moutot a répondu: "Pour moi, Marie Cau est un homme."
Mousse a répondu à cette déclaration en accusant Moutot d'avoir "violemment attaqué" Cau en le qualifiant à la fois d'homme, ce qu'il est, et d'"homme transféminin".
Cau, dont le nom naturel est Nicolas, a été élu à un poste politique en 2020 et célébré par les médias contrôlés par les mondialistes comme le premier maire transgenre de France. La petite ville dont il est maire compte environ 500 habitants et Cau espère éventuellement se présenter à la présidence en France.
(En relation: En Californie, certains militants et politiciens de gauche veulent punir les pasteurs qui refusent d'utiliser des «pronoms de genre» et promeuvent la perversion transgenre.)
Au Royaume-Uni, en Grèce, en Norvège et maintenant en France, il suffit de fausses accusations de transsexuelles dérangées pour déclencher des poursuites pénales L'autre "délit" de Moutot a eu lieu le 25 août 2022, lorsqu'elle a qualifié Escurier de "femme trans-identifiée". La plainte légale déposée contre elle pour cette référence allègue que « femme trans-identifiée » est un terme offensant visant à inciter à la haine ou à la violence.
Escurier, quant à lui, a dénigré à plusieurs reprises de vraies femmes en les qualifiant de «TERF», un terme péjoratif, et a également «menacé de blesser physiquement Moutot elle-même lors d'un événement drag en 2020 qui s'est tenu dans un club à Paris».
Moutot a répondu à cette menace en qualifiant Escurier de "femme trans-identifiée", et maintenant Moutot est accusé de comportement criminel tandis qu'Escurier ne fait face à aucune accusation et continue de présenter sa maladie mentale comme une "identité de genre".
Non seulement en France mais aussi au Royaume-Uni, en Grèce et en Norvège, il suffit que de fausses accusations comme celles lancées contre Moutot par Cau et Escurier déclenchent des poursuites pénales. Les LGBT, à l'inverse, peuvent dire ce qu'ils veulent, quand ils le veulent, et ne subir aucune forme de punition.
Les transsexuels fragiles comme Cau et Escurier sont tellement « blessés » par les mots qu'ils se sentent obligés d'essayer de ruiner la vie des autres simplement pour les avoir prononcés. La fragilité transsexuelle devient rapidement l'une des plus grandes menaces existentielles pour les personnes normales partout, en particulier lorsque leurs sentiments sont inscrits dans la loi, comme cela semble se produire au Royaume-Uni, en France et dans d'autres parties de l'Europe.
"Je suis harcelée depuis près de quatre ans maintenant par des militants trans pour avoir dit qu'une femme est une femme humaine et non un sentiment", dit Moutot à propos des abus auxquels elle continue de faire face de la part de transsexuelles dérangées et de leurs alliés.
"Ils m'envoient des insultes et des menaces, ils mettent mon adresse en ligne, et ils ont ruiné ma réputation en disant que je suis transphobe, et que je suis un complice d'extrême droite."
La vie et la carrière de Moutot sont menacées par ces mêmes transsexuelles, qui veulent qu'elle soit renvoyée et annulée.
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Infertilité : un agenda diabolique – un film d'Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy
RépondreSupprimer19.05.2023
www.kla.tv/26075
« Diriger la procréation avec sagesse - pour améliorer l’adaptabilité et la diversité », tel est le deuxième commandement des Georgia Guidestones depuis 1980, juste après le premier qui vise à réduire la population mondiale. Mais qui s'arroge le droit de décider de l'une des décisions les plus fondamentales des jeunes femmes, celle d'avoir un enfant ? Le documentaire suivant, « Infertilité : un agenda diabolique », une coproduction du cinéaste Andrew Wakefield, de Robert F. Kennedy et de Children's Health Defense, donne un aperçu effrayant du travail de l'Organisation mondiale de la santé. Pendant 20 ans, des recherches ont été menées sur un vaccin qui, en supprimant l'hormone de grossesse, devait entraîner des fausses couches. L'administration du vaccin a eu lieu au Kenya dans le cadre d'une vaccination contre le tétanos, à laquelle a été ajoutée la substance active nuisible à la grossesse. Ce n'est que grâce à l'engagement inlassable de médecins courageux que ce crime a été mis à la lumière.
Regardez et écoutez maintenant directement de la part des personnes concernées des faits et des preuves évidentes de l'approche criminelle de l'OMS. Étant donné que sa politique internationale de santé est jusqu'à présent dirigée par des donateurs privés comme Bill Gates - un partisan de l'eugénisme et du contrôle de la population - le temps est venu de changer cette mauvaise pratique.
C'est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir contribuer à la diffusion de ce documentaire dans le monde entier.
de jmr/nm
Sources / Liens :
Infertilité : un agenda diabolique
https://infertilitymovie.org/unfruchtbarkeit-eine-teuflische-agenda-deutsch/
Traduction française de Check Mate News
https://live.childrenshealthdefense.org/fr/chd-tv/videos/infertilit--un-programme-diabolique--franais/
HCG dans le vaccin contre le tétanos de l'OMS https://www.scirp.org/journal/paperinformation.aspx?paperid=81838
Contrôle de la population par les vaccins
https://www.epochtimes.de/gesundheit/bevoelkerungswachstum-kontrollieren-kenianische-aerzte-entdecken-sterilisationsmittel-in-impfstoffen-a1337657.html
Bill Gates et l'OMS
https://www.zeit.de/wissen/gesundheit/2017-03/who-unabhaengigkeit-bill-gates-film?utm_referrer=https%3A%2F%2Fduckduckgo.com
Bill Gates et l'eugénisme
https://perception-gates.home.blog/2020/05/25/eugenik-der-wahre-antrieb-der-gates-rockefeller-epstein-stiftungen/
https://de.technocracy.news/Bill-Gates-von-der-Bioethik-zur-Eugenik/
https://www.kla.tv/fr
Les propositions de l’OMS menacent la relation médecin-patient et l’autonomie personnelle
RépondreSupprimerLe traité de l'Organisation mondiale de la santé sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international menacent la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l'autonomie personnelle, ont déclaré des experts au Defender.
Par Michael Nevradakis
Mondialisation.ca,
18 mai 2023
Note de l’éditeur : Voici la deuxième partie d’une série de deux articles sur la manière dont le traité sur les pandémies proposé par l’Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international pourraient priver les nations et les peuples de leur souveraineté en matière de prise de décision dans le domaine de la santé. Lire la première partie ici.
Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’apprête à convoquer son Assemblée mondiale de la santé annuelle du 21 au 30 mai, la controverse se poursuit autour de deux instruments proposés à l’ordre du jour : le traité sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI).
La plupart des critiques formulées à l’encontre de ces deux instruments portent sur la menace qu’ils font peser sur la souveraineté nationale.
Mais des experts ont déclaré au Defender que ces propositions menaçaient également la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l’autonomie personnelle.
« Ces instruments s’injecteraient eux-mêmes et interrompraient la relation médecin-patient », a déclaré l’avocate Reggie Littlejohn. « L’OMS dira quels sont les traitements « corrects » et quels sont les traitements « incorrects », ce qui constitue une abrogation de la souveraineté. »
Mme Littlejohn, qui est cofondatrice de l’association Sovereignty Coalition, fondatrice et présidente de Women’s Rights Without Frontiers et coprésidente de la Task Force Stop Vaccine Passports, a dit au Defender : « Un groupe de bureaucrates étrangers non élus ne devrait pas dire aux États-Unis ou à tout autre pays comment gérer nos problèmes de santé. »
RépondreSupprimerSelon le Dr David Bell, médecin de santé publique et consultant en biotechnologie, ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund :
« C’est exactement ce que nous avons vu dans l’affaire COVID, où, pour la première fois à ma connaissance, des gouvernements ont interdit des médicaments parfaitement sûrs.
« Ce n’est pas la première fois que l’on impose des vaccins, mais c’est la première fois que l’on impose des vaccins à l’ensemble de la population, et c’est la première fois que l’on interdit des médicaments sûrs, que l’on interdit aux médecins de faire ce qu’ils considèrent comme le meilleur pour le patient. »
Le Dr Meryl Nass, interniste et épidémiologiste spécialiste des guerres biologiques, membre du comité consultatif scientifique de la Children’s Health Defense, a déclaré que les amendements proposés au RSI comprenaient une disposition permettant au directeur général de l’OMS de « convoquer un comité d’urgence » qui pourrait ordonner aux pays de ne pas administrer certains traitements.
Selon Francis Boyle, J.D., Ph.D., professeur de droit international à l’université de l’Illinois et expert en armes biologiques qui a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act (loi antiterroriste sur les armes biologiques) de 1989, les autorités locales et étatiques des États-Unis seraient obligées de suivre les diktats de l’OMS.
En contournant le 10e amendement de la Constitution des États-Unis, « les autorités locales et étatiques seraient obligées d’obéir à toutes les décisions émanant de ce nouvel organe créé par le traité sur la pandémie. Et cela pourrait aller jusqu’à donner des ordres à votre médecin traitant, qu’il serait obligé d’obéir », a déclaré M. Boyle.
Selon M. Bell, les médecins se trouveraient ainsi dans la position de suivre les instructions du « gouvernement et des autorités supérieures » et d’en être « les instruments, plutôt que de traiter avec un patient en face d’eux, comme le veut la relation médecin-patient, où l’on examine le patient et où l’on prend des décisions sur la base d’une discussion avec le patient ».
« Elle fait des médecins des organes de l’État et de l’OMS plutôt que des entités indépendantes qui s’occupent des soins de santé d’un patient », a ajouté M. Bell.
RépondreSupprimerLe Dr Katarina Lindley, présidente de l’Association texane des médecins et chirurgiens américains et directrice du Global COVID Summit, a déclaré au Defender : « L’une des raisons pour lesquelles je suis opposée à l’initiative de One Health [« Une seule santé »], un seul monde, c’est que je ne crois pas à la « taille unique »… même pendant la COVID ou le processus normal de la maladie… il faut adapter l’approche du traitement en fonction du patient ».
Le Dr Karladine Graves, médecin de famille, a déclaré que l’autorité de l’OMS pour dicter des conseils médicaux est compromise par ses liens avec Big Pharma [les grandes entreprises pharmaceutiques]. Elle a dit :
« L’OMS est largement financée par l’industrie pharmaceutique ainsi que par des groupes privés tels que la Fondation Bill & Melinda Gates. Si le traité de l’OMS et les amendements au RSI sont adoptés, l’OMS ne sera plus un organe consultatif pour les 194 pays membres des Nations unies, mais plutôt un organe directeur sans responsabilité qui imposera tous les protocoles de soins de santé ainsi que les médicaments disponibles uniquement sous sa direction.
« Cela signifie que les médecins privés n’auront pas la possibilité d’utiliser d’autres traitements que ceux « approuvés » directement par l’OMS… Les patients n’auront pas leur mot à dire sur leurs soins médicaux et éventuellement sur l’accès aux soins. »
M. Lindley a prévenu que les instruments proposés par l’OMS pourraient déboucher sur un large éventail de mandats, notamment « la fermeture des frontières, l’approbation de certains traitements seulement, d’éventuelles nouvelles vaccinations, des passeports numériques et tout le reste ».
De même, M. Bell a mis en garde contre le fait que les instruments pourraient donner lieu à des vaccinations forcées ou contraignantes, déclarant à The Defender que « l’observation purement forcée d’une procédure médicale » observée lors de la pandémie de COVID-19 « est ce à quoi nous nous attendons avec le traité sur les pandémies, qui continuera à se produire ».
Les propositions de l’OMS sont liées à la demande d’une carte d’identité numérique mondiale
RépondreSupprimerSelon M. Boyle, l’OMS affirme que le traité sur les pandémies ne sera pas voté par l’Assemblée mondiale de la santé avant mai 2024, mais « nous ne savons pas si c’est vrai ou non. La dernière version du traité que j’ai examinée pourrait être prête à la fin du mois. Nous n’en savons rien. »
M. Boyle a déclaré que les amendements au RSI « seront certainement prêts d’ici la fin du mois ».
L’auteur et animateur de podcast Frank Gaffney, fondateur et président du Center for Security Policy et cofondateur de la Sovereignty Coalition, a déclaré : « Un certain nombre de choses ont été très préoccupantes, en particulier le fait que nous n’avons pas eu un niveau de transparence adéquat. »
« Dans l’ensemble, ils ont été très déterminés à le dissimuler, ce qui soulève des questions quant à leurs motivations », a ajouté M. Gaffney. « Ce à quoi nous avons affaire, c’est à un effort concerté de la part de toutes les parties que j’ai mentionnées pour remplacer les États-Unis en tant que nation souveraine par un nouvel ordre mondial qu’ils commercialisent sous l’euphémisme de gouvernance mondiale. »
Dans ce nouvel ordre mondial, a déclaré M. Gaffney, « nous ne serions qu’une autre sorte de composant […] et notre souveraineté, notre constitution et nos libertés seraient toutes soumises aux autorisations des autres. Et ces autorisations seraient certainement limitées, voire refusées, sur la base d’éléments tels qu’une carte d’identité mondiale ».
Selon M. Gaffney, un système d’identification numérique mondial « serait présenté comme un moyen de contrôler la santé publique dans le monde entier », mais il permettrait en fait de « réaliser une opération de surveillance de notre peuple, parmi d’autres, dans le monde entier ».
Journaliste et chercheur indépendant James Roguski a déclaré au Defender que « la partie sournoise » des amendements proposés au RSI est une disposition relative à un réseau mondial de certification de la sécurité sanitaire numérique qui créerait non seulement des passeports vaccinaux numériques, mais l’étendrait également à des certificats de test, de récupération ou de prophylaxie ».
Cela pourrait constituer un confinement de fait pour ceux qui n’ont pas ces documents. « S’ils parviennent à ce que chaque pays accepte de restreindre les déplacements des étrangers, alors tout le monde sera bloqué », a déclaré M. Roguski.
Si un pays comme les États-Unis ne souhaitait pas adhérer à ce réseau mondial de certification, M. Roguski a déclaré que ses citoyens pourraient être « piégés », car d’autres pays continueraient à imposer les certificats comme condition d’entrée sur leur territoire.
RépondreSupprimerM. Gaffney a déclaré qu’un certificat numérique global « devient le véhicule parfait pour mettre toutes vos données sur cette pièce d’identité et l’utiliser comme le fait le Parti communiste chinois dans son système de crédit social ».
Cela permettrait aux autorités gouvernementales et mondiales « non seulement de surveiller ou de contrôler, mais aussi de contrôler les détenteurs de ces cartes d’identité et de les utiliser pour appliquer non seulement leurs mandats en matière de santé, mais aussi tout ce qu’ils veulent faire … y compris l’accès à votre argent, à vos voyages ou à vos possibilités d’emploi », selon M. Gaffney.
M. Gaffney a rappelé que l’OMS avait déjà montré les dents lors de la pandémie de COVID-19, même si ses recommandations aux pays n’étaient pas contraignantes.
« Je pense que la plupart d’entre nous ne pensent pas que les choses se soient bien passées », a déclaré M. Gaffney. « Les mensonges de l’OMS sur les origines du virus, sa nature, sa transmissibilité et la réponse à y apporter ont causé un tort incalculable à notre pays. »
« Ce qu’elle a imposé [was], c’est le modèle chinois, a déclaré M. Gaffney, c’est-à-dire les masques, les quarantaines, les enfermements et les vaccinations avec des thérapies géniques insuffisamment testées, et le moyen numérique d’imposer ces mandats [through] passeport vaccinal. »
Il a ajouté :
« Nous avons vu comment cela fonctionnait, même si l’OMS ne disposait que d’une autorité consultative. C’était un avertissement … de ce qui pourrait nous arriver si cette organisation avait l’autorité qu’elle cherche maintenant à obtenir, pour nous dicter ce qu’est une PHEIC, une urgence de santé publique de portée internationale [Public Health Emergency of International Concern], ou comment nous devons y répondre. »
Mme Littlejohn a fait remarquer que les amendements proposés au RSI prévoient un « comité de mise en œuvre » et un « comité de conformité », et que l’OMS et les gouvernements nationaux pourraient utiliser le mécanisme de surveillance qu’ils prévoient de mettre en place comme sanction potentielle en cas de non-conformité.
« Ils vont surveiller votre compte de médias sociaux et si vous dites des choses qui vont à l’encontre du décret de l’OMS… ils pourraient vous retirer des médias sociaux [or] et vous priver de vos cartes de crédit et de votre compte en banque », a-t-elle déclaré.
RépondreSupprimer« Ces mondialistes, ainsi que le WEF [World Economic Forum] et la Banque mondiale, pourraient imposer des sanctions économiques sévères aux pays qui ne suivent pas le mouvement », a déclaré Mme Littlejohn. « Surtout si nous avons une monnaie numérique de banque centrale globale … si nous avons un président qui s’y oppose, ils pourraient essayer de nous couper les vivres. »
Experts : Les États-Unis et d’autres pays doivent quitter l’OMS
Selon les experts, le meilleur moyen d’empêcher la mise en œuvre d’un éventuel traité sur les pandémies et/ou des amendements proposés au RSI est que les États-nations, y compris les États-Unis, quittent l’OMS.
M. Gaffney, décrivant les négociations sur les deux instruments proposés comme un « jeu truqué » qu’il est « peu probable d’arrêter », a déclaré que cela avait incité la Sovereignty Coalition à « adopter la position selon laquelle ce que nous devons faire, c’est sortir de l’OMS ».
M. Roguski, qui a lancé le site ExitTheWHO.com, a déclaré que l’OMS pourrait ne pas attendre l’approbation formelle des deux instruments. Il s’est référé à un document de l’OMS intitulé « Rapport O », qui « utilise des termes tels que : ils rendent opérationnelles les choses qui sont négociées … ils construisent simplement les systèmes, ils le font ».
Par exemple, M. Roguski a déclaré :
« Ils sont en train de mettre en place un réseau mondial de certification en matière de santé numérique, sans traité ni amendement. Ils ne font que cela. Qui va les arrêter ?
« Ils sont occupés à mettre en place le système de prestations d’accès aux pathogènes. Ils veulent développer le réseau logistique. Tout ce que vous pouvez imaginer, ils sont en train de l’opérationnaliser de sorte qu’au moment de signer un traité, ils pourront dire : oh, regardez, nous avons déjà ce réseau en place dans le monde entier. »
M. Roguski a également déclaré au Defender que les négociations en cours concernant les amendements au RSI comprennent une proposition qui pourrait permettre à l’OMS de prétendre que ce sont les États-nations eux-mêmes qui mettent en œuvre les obligations de l’OMS, plutôt que l’OMS elle-même.
Selon les amendements proposés pour l’article 4 du RSI, soumis par la Russie :
RépondreSupprimer« Les États parties adoptent ou adaptent la législation afin de doter les points focaux nationaux RSI de l’autorité et des ressources nécessaires à l’exercice de leurs fonctions, en définissant clairement les tâches et la fonction de l’entité jouant le rôle de point focal national RSI dans la mise en œuvre des obligations prévues par le présent règlement. »
Par conséquent, « l’Organisation mondiale de la santé n’aura pas besoin d’appliquer directement les règlements. Le « point focal national RSI » sera autorisé à mettre en œuvre les obligations découlant de la réglementation », a déclaré M. Roguski. Il a ajouté :
« Cela répond directement à la question de savoir comment les amendements seraient appliqués … par la législation, la réglementation ou les ordres exécutifs dans chaque nation.
« Nos propres bureaucraties seraient susceptibles d’essayer d’appliquer les futurs diktats de l’OMS de la même manière qu’elles ont essayé d’appliquer les « recommandations » de l’OMS au cours des trois dernières années – sauf qu’elles pourraient invoquer des obligations internationales et une autorité nouvellement légiférée. »
Aux États-Unis, par exemple, « le centre d’opérations du secrétaire à la santé et aux services sociaux est le « point focal national » chargé de signaler les événements à l’OMS » et devrait jouer ce rôle dans le cadre de la mise en œuvre du RSI modifié, a fait remarquer M. Roguski.
M. Boyle : la loi sur le retrait de l’OMS nous protégerait
M. Boyle a déclaré au Defender que le départ des États-Unis de l’OMS pourrait se faire par le biais d’une proposition de loi, la loi sur le retrait de l’OMS, actuellement examinée par le Congrès. Parrainée par le député Andy Biggs (R-Ariz.), elle retire les États-Unis de l’OMS, met fin à tout financement américain de l’OMS et « révoque cette résolution conjointe du Congrès ».
« Je pense que si nous obtenions cette législation, ce serait terminé et nous serions protégés », a déclaré M. Boyle, ajoutant que les États et les collectivités locales s’opposent de plus en plus aux instruments proposés par l’OMS. Il a cité, par exemple, le comté de Collier, en Floride, qui a « adopté une ordonnance et une résolution » à cet effet.
Mme Littlejohn a indiqué que le sénateur Ron Johnson (R-Wis.) avait parrainé la loi « No WHO Pandemic Preparedness Treaty Without Senate Approval Act », qui exige que tout traité adopté par l’OMS ne soit mis en œuvre qu’« avec l’avis et le consentement du Sénat ».
RépondreSupprimerToutefois, selon Mme Littlejohn, « le Sénat lui-même l’a rejeté », selon les lignes de parti.
Mais cette proposition de législation « ne ferait pas l’affaire » de toute façon, a déclaré M. Boyle, en raison de l’ensemble des documents et des dispositions légales en vigueur. Selon M. Boyle, « la législation récemment introduite par le député Biggs, qui vise à mettre fin immédiatement à l’adhésion des États-Unis à l’OMS, fera l’affaire ».
M. Boyle a déclaré que les républicains de la Chambre ont le pouvoir d’agir ainsi parce qu’ils « contrôlent la Chambre, ce qui signifie qu’ils contrôlent le budget et les crédits ». Par conséquent, « ils peuvent utiliser ce contrôle pour faire pression sur l’OMS dans ce domaine ».
M. Gaffney a déclaré que la Sovereignty Coalition a recommandé « que le gouvernement américain cesse de financer l’OMS [and] et notifie officiellement son retrait de l’organisation ».
Bien que ce processus nécessite un préavis d’un an, M. Gaffney a fait valoir que « s’ils modifient fondamentalement la nature de l’organisation et les modalités de son fonctionnement, je pense que nous devons nous en retirer immédiatement … et c’est ce que nous recommandons au Congrès ».
M. Gaffney a toutefois déclaré : « Il est tout simplement stupéfiant que le Sénat américain ait été si indifférent à la possibilité que ces changements radicaux se fassent sans son avis et son consentement ».
Mme Littlejohn, qui a également appelé à une sortie des États-Unis de l’OMS, a noté que l’ancien président Donald Trump avait lancé ce processus, mais que Joe Biden, qui est devenu président avant que la position de retrait d’un an ne soit achevée, a rétabli les États-Unis.
De même, M. Boyle a déclaré : « Je ne dis pas que je soutiens Trump … Trump nous a correctement retirés de l’OMS, mais il y avait un préavis de six mois. Biden a été élu, a annulé le retrait et nous a réintégrés dans l’OMS [and] veillera à ce que nous soyons toujours dans l’OMS. »
Mme Littlejohn a ajouté :
RépondreSupprimer« Nous pourrions faire valoir que les soins de santé ne sont pas un pouvoir énuméré qui revient au gouvernement fédéral ; ils restent du ressort de l’État, et donc, si la branche exécutive du gouvernement fédéral n’a pas le pouvoir de régir les soins de santé, elle n’a pas la capacité de les confier à l’OMS. »
Toutefois, Mme Littlejohn a déclaré que de tels arguments juridiques étaient « en terrain inconnu », tandis que M. Gaffney a fait remarquer que l’Assemblée générale des Nations unies avait bientôt « l’intention de faire à peu près la même chose [as the WHO] en ce qui concerne ses pouvoirs … qui donneraient essentiellement au secrétaire général le droit de répondre à … des crises ne relevant pas de la santé publique ».
M. Boyle a fait valoir que « tous les responsables gouvernementaux, les scientifiques et les médias affirment qu’une nouvelle pandémie est imminente. C’est exact. Ils savent qu’une nouvelle pandémie se profile à l’horizon. Elle sort de leurs laboratoires BSL3 [biosecurity level 3] et BSL4. Ils préparent donc déjà le terrain pour la prochaine pandémie ».
Se référant à One Health, qui est largement mentionné dans le traité sur la pandémie et auquel les centres de contrôle et de prévention des maladies participent activement, M. Boyle a déclaré qu’il s’agissait d’une violation du droit international existant. Il s’est référé à l’article 12, paragraphe 1, du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, qui stipule que
« les États parties au présent Pacte reconnaissent le droit qu’a toute personne de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’elle soit capable d’atteindre. »
« Le pacte compte 171 États parties », a déclaré M. Boyle, ajoutant qu’il « constitue la norme pertinente en matière de droit international et de droits de l’homme lorsqu’il s’agit de répudier One Health ».
« Vous noterez que cette formulation est sans équivoque et péremptoire », a déclaré M. Boyle. « Il ne dit rien du tout sur la santé animale ou l’environnement », a déclaré M. Boyle, estimant que « l’adoption de One Health violerait l’article 12, paragraphe 1, du pacte … et irait à l’encontre de l’objet et de la finalité de ce pacte ».
À l’approche de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, la Sovereignty Coalition a déclaré le mois de mai « Mois de la sortie de l’OMS », lançant une campagne d’envoi de lettres aux membres du Congrès et aux agences fédérales, ainsi qu’une « Déclaration de souveraineté américaine » et une campagne de signatures qui a recueilli le soutien d’éminents politiciens et experts médicaux.
RépondreSupprimer« Nous avons besoin d’une action du Congrès d’ici la fin du mois », a déclaré Mme Littlejohn, qui a ajouté :
« La Constitution n’est pas un document auto-exécutoire. Elle ne peut pas se défendre. Nous devons la défendre. Nous ne pouvons pas compter sur un bout de papier pour nous sauver.
« La Constitution est un instrument qui protège notre liberté, et nous devons déployer cet instrument pour protéger notre liberté, car elle ne le fera pas d’elle-même. Les gens ne peuvent pas être passifs dans cette situation. Nous devons être actifs. »
https://www.mondialisation.ca/les-propositions-de-loms-menacent-la-relation-medecin-patient-et-lautonomie-personnelle/5677871
Souvenirs d'une "pandémie" corona - Interviewé par MEGA Radio
RépondreSupprimer20 mai 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Les trois dernières années ont apporté des distorsions et des dénis jusqu'ici impossibles des connaissances et des méthodes scientifiques, des restrictions à la démocratie et aux droits fondamentaux, et la redistribution des richesses du bas vers le haut.
Il s'agissait à 95 % d'une opération psychologique visant à fomenter la peur, à détruire le discours rationnel et à créer un environnement dans les médias et la médecine dans lequel les citoyens subiraient un lavage de cerveau aveuglément et sans poser de questions. Des ordres suivent pour des vaccinations dangereuses et inutiles, une distanciation sociale et des confinements destinés à isoler les citoyens. et rendre plus difficile la formation d'une résistance politique.
Les médias d'entreprise et du système ont joué leur rôle dans ce PsyOp. De nouveaux médias ont émergé à plusieurs niveaux. Il y en a un nombre croissant sur Internet, il y a quelque temps je suis tombé sur la station MEGA Radio à la radio, que j'allume - si je suis dans la zone de réception - dans la voiture et souvent à la maison.
MEGA Radio est une station d'information, en DAB+ et sur Internet. La définition de soi : « Nous livrons des nouvelles, des interviews et des reportages pour un public germanophone en Allemagne, en Autriche et en Suisse – ainsi que dans le monde entier. "
Il est le successeur légal de Fantasy Bayern. La station a démarré le 23 octobre 2011 en radio numérique DAB+ et y a remplacé son prédécesseur. Les sièges sociaux sont à Berlin, en Bavière (Augsbourg) et à Vienne. La station peut être reçue via DAB+ dans certaines régions d'Allemagne (Augsbourg, Nuremberg, Hambourg, etc.).
La devise de l'émetteur est : Nouvelles, informations et opinions en dehors du grand public. L'équipe se considère comme un diffuseur politique et culturel critique.
Mon contact avec les éditeurs a d'abord conduit à cette longue conversation sur le contexte et les abysses de la pandémie, l'OMS et les conséquences à long terme de la campagne de vaccination. Écoute ça:
RépondreSupprimerVous pouvez écouter de nombreuses émissions et interviews sur la chaîne Spotify de la station . Et voici MEGA Radio en direct - il existe différentes chaînes comme ici .
https://tkp.at/2023/05/20/erinnerungen-an-eine-corona-pandemie-im-interview-mit-mega-radio/
Mort subite : des policiers décédés subitement récemment, peut-être en raison de blessures causées par les mandats de vaccination contre la COVID-19
RépondreSupprimerPartie 3 sur 3 - 13 décès en décembre 2022 - février 2023
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
19 mai 2023
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Rainelle, WV - Le lieutenant Charles "Smitty" Smith, 43 ans, est décédé subitement le 1er février 2023, la cause du décès n'a pas été révélée
Plantation, Floride – Le sergent Kevin Forsberg, 53 ans, est décédé subitement le 27 janvier 2023
- voir photo sur site -
New York, NY - Le détective Sammy Lee, 38 ans, a reçu un diagnostic de cancer du foie en juillet 2022 et est décédé 6 mois plus tard le 17 janvier 2023 (Turbo cancer?)
- voir photo sur site -
West Carson, Californie - 52 entendent le vieux détective Steven Lim souffrir d'une urgence médicale alors qu'il rentrait chez lui et est décédé peu de temps après le 15 janvier 2023
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North Ridgeville, OH - L'agent Raymond Francel, 53 ans, est décédé subitement à son domicile le 11 janvier 2023
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Klawock, AK - 60 ans, le chef Terry Stonecipher est décédé subitement à son domicile le 9 janvier 2023, il a été retrouvé inconscient à 2 h 57 et n'a pas pu être sauvé
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Longview, TX - Larry Solomon, officier de 30 ans et marine américain, est décédé le 7 janvier 2023 après une brève bataille contre l'angiosarcome (Turbo cancer?)
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Lewisville, TX - Le chef adjoint Jay Powell, âgé de 52 ans, est décédé tôt le matin du 6 janvier 2023 après avoir subi un événement cardiaque
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Brockton, MA - L'officier de 42 ans Christopher Davis a été retrouvé inconscient chez lui à 21h45 et est décédé subitement le 31 décembre 2022
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Brockton, MA - Sean "Bez" Besarick, officier de 48 ans et vétéran de la marine américaine, est décédé subitement le 29 décembre 2022
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
Boston, MA - John Santos, agent des transports, âgé de 25 ans, est décédé d'un anévrisme cérébral le 28 décembre 2022
- voir photo sur site -
Comté d'Arapahoe, CO - L'adjoint Kraig Conger, 51 ans, est décédé après avoir subi une crise cardiaque au travail le 28 décembre 2022
- voir photo sur site -
Charlotte, Caroline du Nord - L'officier Dean Lauber, 52 ans, est décédé d'une urgence médicale à son domicile alors qu'il n'était pas en service le 20 décembre 2022
- voir photo sur site -
Ma prise…
Ces décès se produisent dans toutes les professions qui ont été soumises aux mandats de vaccination COVID-19 en 2021 et 2022.
Il y a encore des cas très intéressants ici, avec des situations médicales couramment observées chez les personnes qui ont été vaccinées contre le COVID-19 et ont subi des blessures causées par le vaccin :
Arrêt cardiaque tôt le matin (habituellement myocardite)
trouvé insensible (mort) à la maison
crise cardiaque au travail
urgence médicale au volant
anévrismes cérébraux (vaisseaux sanguins endommagés)
deux turbo cancers (cancer du foie, angiosarcome – cancer des vaisseaux sanguins)
Nous voyons des types similaires de causes de décès chez les jeunes médecins, infirmières, ambulanciers paramédicaux, pompiers, pilotes, etc., mandatés par le vaccin COVID-19.
https://www.globalresearch.ca/died-suddenly-police-officers-who-died-suddenly-recently-possibly-due-injuries-caused-covid-19-vaccine-mandates-2/5819761
COVID-19 : Camoufler des menaces encore plus grandes pour la démocratie et la santé publique
RépondreSupprimer: Dr Naomi Wolf
Par Michael Welch et le Dr Naomi Wolf
Recherche mondiale,
19 mai 2023
"Je parle en tant que petite-fille d'une femme qui a perdu neuf frères et sœurs à cause de l'Holocauste. Nous avons l'obligation de dénoncer le meurtre dans nos propres communautés. – Naomi Loup [1]
"Nos vies commencent à se terminer le jour où nous devenons silencieux sur les choses qui comptent." – Martin Luther King (cité comme citation préférée par Magda Havas ) [2][3]
ÉCOUTEZ LE SPECTACLE
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Cliquez pour télécharger l'audio (format MP3)
Un pistolet fumant ?
Des tonnes de données sortent des documents internes de Pfizer, publiés sur ordonnance d'un juge du Texas. Le juge a statué que la demande de la loi sur la liberté d'information (FOIA) concernant les données guidant la décision de la Food and Drug Administration des États-Unis d'approuver l'approbation du vaccin Pfizer / BioNTech COVID-19 "est d'une importance publique primordiale". [4]
Les documents ont été publiés au rythme de 55 000 pages par mois. L'une des personnes retroussant ses manches et fouillant dans les chiffres aux côtés d'une équipe de centaines de médecins, de scientifiques, d'oncologues, d'enquêteurs sur la fraude médicale et d'autres experts était Naomi Wolf . Les faits qu'elle a révélés, basés sur les propres documents de Pfizer, ont montré des statistiques choquantes, dont 1223 décès sur une période de trois mois, la moitié des événements indésirables, dont des décès, se sont produits dans les 48 heures suivant l'injection, et le vaccin tuait des adultes, des bébés et des fœtus avec des événements indésirables allant de 3 à 1 à 8 à 1. [5]
Pfizer avait documenté ces risques et d'autres en février 2021 et plutôt que d'informer le public, ils ont exhorté les gens, y compris les femmes enceintes, à mener des campagnes intensives pour obtenir le coup. [6]
Wolf s'est prononcé sur ce sujet. Dans de nombreux articles en ligne et dans les interviews des médias. [7]
Mais plus tôt ce mois-ci, le 9 mai, le régulateur britannique des médias Ofcom a trouvé le diffuseur GB News d'une interview entre Naomi Wolf et l'animateur Mark Steyn le 4 octobre 2022 en violation des règles de diffusion. L'Ofcom a déclaré que l'invité de l'interview relayait des opinions qui pourraient être potentiellement préjudiciables au public. L'Ofcom a reçu 422 plaintes concernant les commentaires de l'émission comme étant « dangereux » et incluant une « désinformation » qui n'a été « sans opposition » de Steyn. [8]
Un journaliste citant des informations d'une demande de publication d'informations par la FOIA et les portant à l'attention du public est-il un exemple d'informations « dangereuses » préjudiciables au public diffusées ?
Une autre tournure intéressante de la «pandémie» COVID est le cas intéressant des installations 5G dans le monde qui se produisaient en même temps que le virus se propageait prétendument dans le monde entier.
RépondreSupprimerUn certain nombre d'études, par exemple ici , ici et ici , documentent les maladies attribuables aux rayonnements radiofréquences. Cela ne veut pas nécessairement dire que le virus n'était pas dangereux. Cependant, les deux dynamiques peuvent agir de manière synergique pour compliquer la vie de ceux qui sont soumis aux deux de manière intense.
Dans l'épisode de cette semaine du Global Research News Hour, nous parlons à Naomi Wolf de ses recherches sur les fichiers internes de Pfizer et de l'acte immense de ce qu'elle appelle la censure récemment dirigée contre elle et Mark Steyn par l'Ofcom, et le gouvernement britannique y est en fait lié . Nous discutons également avec Magda Havas , professeure émérite de l'Université Trent et spécialiste en toxicologie environnementale qui parle depuis des années des méfaits associés aux rayonnements radiofréquences. Elle discute des liens entre le COVID-19 et l'essor de la 5G dans nos communautés et à travers la planète. Enfin, nous parlons brièvement au Dr Brent Roussin, l'administrateur en chef provincial de la santé publique du Manitoba sur la façon dont il défend ses propres décisions liées à la COVID-19 face aux nombreuses critiques présentes sur ce programme.
Le Dr Naomi Wolf est une ancienne consultante politique et cofondatrice de DailyClout, une plateforme qui renforce la démocratie. Elle est l'auteur du best-seller The Beauty Myth , qui a lancé sa réputation de voix de premier plan au sein du féminisme de la troisième vague, et elle est l'auteur du livre de 2007 The End Of America: Letter of Warning to a Young Patriot.
La professeure Magda Havas est professeure émérite à l'Université Trent et spécialiste de la toxicologie environnementale. Le Dr Havas a été conseiller auprès de plusieurs groupes d'intérêt public et groupes éducatifs concernés par la santé de l'environnement. Elle est actuellement conseillère scientifique sur les questions liées aux CEM auprès de plusieurs organisations à but non lucratif.
Le Dr Brent Roussin a été administrateur en chef de la santé publique provinciale tout au long de la pandémie au Manitoba.
(Global Research News Hour Épisode 392)
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La Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13h CT sur CKUW 95.9FM à partir de l'Université de Winnipeg. Le programme est également balado sur globalresearch.ca .
RépondreSupprimerAutres stations diffusant l'émission :
CIXX 106.9 FM, diffusant du Fanshawe College à London, Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6h du matin.
WZBC 90.3 FM à Newton Massachusetts est Boston College Radio et diffuse dans la grande région de Boston. La Global Research News Hour est diffusée pendant Truth and Justice Radio qui commence dimanche à 6 heures du matin.
La radio universitaire et communautaire CFMH 107.3fm à Saint John, au Nouveau-Brunswick, diffuse l'Heure des nouvelles sur la recherche mondiale les vendredis à 19 h.
CJMP 90.1 FM, la radio communautaire de Powell River, diffuse la Global Research News Hour tous les samedis à 8 h.
Caper Radio CJBU 107.3FM à Sydney, Cap-Breton , Nouvelle-Écosse diffuse la Global Research News Hour à partir de mercredi après-midi de 15h à 16h.
La radio communautaire de Cowichan Valley CICV 98,7 FM desservant la région du lac Cowichan sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique, diffuse l'émission les jeudis à 9 h, heure du Pacifique.
Remarques:
1
https://www.globalresearch.ca/uk-media-regulator-ofcom-goes-after-me-mark-steyn-telling-truth/5818861
2
https://www.politifact.com/factchecks/2017/jan/06/dan-patrick/half-true-dan-patrick-martin-luther-king-saying-li/
3
https://rumble.com/v2kcqe6-5g-and-covid-symptoms-dr.-magda-havas-saskatoon-day-3-national-citizens-inq.html
4
https://www.fdanews.com/articles/206113-federal-judge-tells-fda-it-must-make-public-55000-pages-a-month-of-pfizer-vaccine-data
5
https://www.globalresearch.ca/uk-media-regulator-ofcom-goes-after-me-mark-steyn-telling-truth/5818861
6
idem ;
7
https://www.globalresearch.ca/author/naomi-wolf
8
https://www.globalresearch.ca/uk-media-regulator-ofcom-goes-after-me-mark-steyn-telling-truth/5818861
https://www.globalresearch.ca/covid-19-camouflaging-even-greater-threats-to-democracy-and-public-health/5819795
Décès excessifs au Royaume-Uni : 10 000 Britanniques de plus meurent. Les experts ne savent pas pourquoi.
RépondreSupprimerJ'ai une idée. Cette tendance à la surmortalité s'accélère en 2023 et c'est une très mauvaise nouvelle.
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
19 mai 2023
UK News: Des dizaines de milliers de Britanniques supplémentaires meurent - les experts ne savent pas pourquoi
Examinons le nombre excessif de décès que les grands médias britanniques admettent dans cet article intéressant :
"De mai à décembre 2022", il y a eu 32 441 décès supplémentaires en Angleterre et au Pays de Galles.
Cela représente 4 055 décès par mois ou 48 661 par an .
"En décembre 2022, le nombre de décès excédentaires était de 5 900 "
C'est environ 70 800 annualisés à l'horizon 2023 , si le taux reste stable.
Population de l'Angleterre (57,06 millions) et du Pays de Galles (3,21 millions) : 60,27 millions combinés
Cela équivaut à environ 1 personne sur 1000 en Angleterre et au Pays de Galles qui décédera en tant que "décès excessifs" en 2022.
Tous les pays fortement vaccinés contre le COVID-19 connaissaient une surmortalité en 2022 de l'ordre d'environ 1 sur 1000 habitants :
États-Unis – 270 000 en 2022 (source : Ethical Skeptic , BMC Skidmore , USMortality.com)
Allemagne – 103 000 en 2022 (source : gouvernement allemand, OCDE, EuroMOMO cliquez ici )
Royaume-Uni - 54 000 en 2022 (source : BBC cliquez ici )
Japon – 91 000 en 2022 (source : cliquez ici )
Australie – 42 000 en 2022 (source : cliquez ici )
Canada – 49 900 en 2022 (source : cliquez ici )
Les décès excessifs s'accélèrent jusqu'en 2023 :
De 48 000 décès supplémentaires en 2022 à 71 000 décès supplémentaires à l'approche de 2023 , c'est le genre d'accélération excessive des décès que les médias grand public au Royaume-Uni admettent, même s'ils refusent de fournir une explication.
Pour l'anecdote, je constate cette accélération des incidents de « mort subite » chez les jeunes, qu'il s'agisse de morts subites chez les médecins, les infirmières, les policiers, les chauffeurs d'autobus scolaires ou les pilotes. Ce sont les décès en excès, les jeunes en bonne santé qui ont été vaccinés contre le COVID-19 et qui souffrent maintenant d'arrêts cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, d'embolies pulmonaires, d'hémorragies cérébrales, d'anévrismes, de convulsions, de septicémie, de turbo cancers et d'autres conditions qui les prédisposent à un soudain ou une mort inattendue.
RépondreSupprimerDécès excessifs aux États-Unis entre 0 et 24 ans :
- voir cadre sur site -
Voici une autre analyse de données par l'utilisateur de Twitter Ethical Skeptic, montrant que les décès excessifs chez les jeunes âgés de 0 à 24 ans s'accélèrent au début de 2023 d'une manière sans précédent (événement 13 sigma, ce qui signifie 13 écarts-types par rapport à la moyenne).
Regardez les 6 derniers mois, nous sommes en territoire sans précédent.
Ma prise…
Dans les premiers mois de 2023, il est prouvé que la surmortalité s'accélère par rapport à 2022.
En 2022, tous les pays fortement vaccinés contre le COVID-19 avaient un excès de décès d'environ 1 sur 1000 habitants, mais cela augmente en 2023 pour atteindre 1 sur 500.
Cette accélération des décès excessifs est évidente dans les incidents de mort subite et dans les nécrologies, mais la population dans son ensemble peut ne pas se rendre compte que cela se produit, surtout si ces événements tragiques n'ont pas eu d'impact direct sur leur famille.
Puisque seulement 13 % des Canadiens ont reçu une injection de rappel au cours des 6 derniers mois, je crois que nous commençons maintenant à voir les effets à long terme de la vaccination par l'ARNm de la COVID-19 chez les jeunes, et ces effets à long terme se traduisent par une taux de mortalité.
Ces effets à long terme n'ont jamais été étudiés ni par Pfizer ni par Moderna. Dans leurs essais cliniques, ils ont étudié des jeunes en bonne santé pendant quelques mois. C'est ça.
Il est crucial, maintenant plus que jamais, d'exiger des enquêtes et des autopsies appropriées . Quels sont les mécanismes de la mort subite 1 ou 1,5 ans après votre dernier vaccin ARNm COVID-19 ? Nous ne savons pas, mais nous ferions mieux de le savoir bientôt.
https://www.globalresearch.ca/excess-deaths-uk-10000-more-brits-dying-experts-not-sure-why/5819719
Augmentation de la vaccination des jeunes enfants comme cause d'augmentation de la mortalité
RépondreSupprimer19 mai 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Le nombre de vaccinations pour les petits et très petits enfants a fortement augmenté au fil des ans. Les cas d'autisme ont augmenté rapidement en conséquence . Cependant, la préoccupation accrue suscitée par la question lors de la campagne de vaccination C19 a entraîné une baisse de 44 % de la confiance dans la vaccination des enfants . De nouvelles données d'étude sur un lien entre la vaccination et la mortalité pourraient encore ébranler la confiance.
De nouvelles applications ont continué d'être ajoutées aux calendriers de vaccination des enfants dans le monde entier. L'Autriche, par exemple, s'arrête à 52 injections pour les enfants jusqu'à l'âge de 15 ans. Au Kenya , des tentatives sont faites pour prendre les empreintes digitales des enfants qui sont vaccinés immédiatement après la naissance afin qu'ils puissent être identifiés plus tard dans la vie.
Une récente étude à comité de lecture publiée dans la revue médicale Cureus , intitulée Reaffirming a Positive Correlation Between Number of Vaccine Doses and Infant Mortality Rates: A Response to Critics : A response to the critiques) montre une association positive entre le nombre de doses de vaccin administrées aux bébés et aux taux de mortalité infantile.
L'étude a confirmé une étude réalisée en 2011 par les mêmes chercheurs, qui a trouvé une association positive entre le plus grand nombre de vaccins administrés aux nourrissons dans la plupart des pays développés et une mortalité infantile plus élevée.
L'étude originale, publiée dans la revue Human and Experimental Toxicology en 2011, a évalué les données de 2009 des pays développés et sous-développés du monde entier et a révélé que la plupart des décès de nourrissons sont survenus dans les pays développés, où les nourrissons ont reçu le plus grand nombre de doses de vaccin, entre 21 et 26 prises au total. Aux États-Unis, les nourrissons de moins d'un an reçoivent 26 doses de vaccin, soit le nombre le plus élevé de doses de vaccin de tous les pays.
L'étude, qui a examiné le lien suspecté entre la vaccination et la mortalité infantile, s'est appuyée sur des données sur les calendriers de vaccination des nourrissons recueillies par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et divers gouvernements nationaux. L'étude, publiée en février 2023, a analysé les données de 185 pays, tandis que l'étude originale de 2011 ne comprenait que des données de 30 pays. Mais même avec les données des 185 pays, les auteurs ont pu répéter leur découverte initiale selon laquelle plus il y a de doses de vaccin administrées aux nourrissons, plus le taux de mortalité infantile est élevé dans un pays.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Une étude de 2021 a examiné le lien possible entre les vaccinations et le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN). En examinant les décès de nourrissons signalés au système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) de 1990 à 2019, il a constaté «qu'une proportion importante de décès de nourrissons et de cas de SMSN se sont produits à proximité temporelle de l'administration du vaccin. Environ 58 % des 2 605 décès de nourrissons après la vaccination signalés au VAERS de 1990 à 2019 sont survenus dans les trois jours (72 heures) suivant la vaccination et 78,3 % dans les sept jours suivant la vaccination.
L'étude a conclu que même si elle ne prouve pas que les vaccins causent le SMSN, elle fournit des signaux de sécurité suggérant un lien de causalité entre la vaccination et le SMSN.
https://tkp.at/2023/05/19/vermehrte-impfung-von-kleinkindern-als-ursache-fuer-erhoehte-mortalitaet/
Pathologiste certifié par le conseil d'administration, le Dr Ryan Cole: la protéine de pointe dans les vaccins à ARNm provoque une agrégation inhabituelle dans la circulation sanguine
RépondreSupprimerJeudi 18 mai 2023
par : Belle Carter
(Natural News) Le pathologiste certifié par le conseil d'administration, le Dr Ryan Cole, a expliqué comment la protéine de pointe des vaccins à ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) déclenche une agglomération inhabituelle dans la circulation sanguine lors d'un récent sommet White Coat.
"Donc, c'est vraiment inhabituel dans les mécanismes de coagulation", a expliqué Cole. "Voir quelque chose comme ça et une protéine qui le fera en l'absence d'autres choses qui sont généralement nécessaires pour un caillot est très inhabituel. Et encore, concernant.
À ce sujet, le Dr Resia Pretorius d'Afrique du Sud a montré que la protéine de pointe peut provoquer l'agglutination des protéines si vous retirez les plaquettes du sang.
Cole a averti lors de sa présentation que la protéine de pointe du vaccin à ARNm est toxique, entraînant des effets néfastes sur la santé à court terme et également pour la génération future. La protéine de pointe crée des caillots sanguins qui entravent la circulation du sang vers le cœur et d'autres organes vitaux pour la santé humaine.
Selon Cole, les vaccins à ARNm ont provoqué une augmentation de 200 % du taux de myocardite. Il a également noté que le vaccin à ARNm de Pfizer avait provoqué une baisse de 16 % de la fertilité chez les rats. Le pathologiste a partagé que les placentas livrés à son bureau contiennent des protéines de pointe et ne sont pas correctement dimensionnés en fonction de l'âge de gestation. Le placenta est important dans le développement du fœtus pendant la grossesse.
Les vaccins à ARNm semblent avoir provoqué la calcification des placentas, probablement à cause de la protéine de pointe. Une analyse supplémentaire a révélé que les placentas présentaient également une inflammation et des anticorps considérables, devenant essentiellement un ragoût toxique post-jab qui n'est pas propice à la santé ou à la survie.
De plus, la dénonciatrice et écrivaine renommée Naomi Wolf a révélé que certaines sages-femmes lui avaient dit que les placentas des mères vaccinées étaient rétrécis et avaient une couleur gris argenté. Ces signes signifient que les placentas ne sont pas assez gros pour soutenir un bébé normal. (En relation: Naomi Wolf: Plus de placentas normaux depuis le déploiement du vaccin COVID-19.)
"C'est une expérimentation, une autorisation d'urgence, non homologuée. L'humanité est l'essai de phase 3. Quel est le risque de cancer après le vaccin ? Quel est le risque de maladie auto-immune après le vaccin ? Quel est le risque d'altérer la fertilité pendant toute une vie ? Nous ne savons pas », a déclaré Cole. « Alors pourquoi diable allons-nous vraiment de l'avant au rythme où nous allons sans savoir ces choses ? C'est une attaque complète contre la science et une attaque complète contre nous.
RépondreSupprimerLes protéines de pointe peuvent également endommager le cerveau
Les protéines de pointe induites par les vaccins à ARNm peuvent également causer des dommages neurologiques. C'était selon le neurochirurgien à la retraite Russell Blaylock.
"Cette injection [COVID-19] est une injection d'exosomes artificiels. Le cerveau est l'une des choses les plus complexes de tout l'univers et les gens de la profession médicale ne comprennent vraiment pas cette injection. Ils ne comprennent pas ce que cela fait à l'appareil neurologique du cerveau et de la moelle épinière », a déclaré Blaylock.
Il a expliqué que lorsqu'il y a une inflammation systémique ou tout type de traumatisme dans le corps, cela produit une inflammation et une activation du système immunitaire. "Cela envoie un signal au cerveau en quelques minutes et commence à activer la microglie, qui est la cellule inflammatoire et cytotoxique du cerveau", a-t-il déclaré, ajoutant que c'est ce qui se passerait après la première dose de l'injection de COVID-19.
Lorsque la deuxième dose est injectée des mois plus tard, la microglie amorcée devient complètement activée. Il libérera alors tous les composants toxiques.
"Vous obtenez une microglie activée de manière chronique [in] état suractivé, et il y a une réaction inflammatoire trois fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l'activation microgliale", a-t-il déclaré.
Consultez PharmaceuticalFraud.com pour plus d'informations sur les vaccins dangereux de Big Pharma.
RépondreSupprimerRegardez la vidéo ci-dessous où le cardiologue Dr Peter McCollough a abordé les choses que vous devez savoir sur les protéines de pointe.
Cette vidéo provient de la chaîne High Hopes sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Les dommages causés par les vaccins causés par les injections de protéines de pointe provoquent une vague de carnage sanitaire à travers le monde.
Étude : Ces deux suppléments nutritionnels simples déclenchent le DÉPLOIEMENT de la protéine de pointe et peuvent neutraliser ses propriétés nocives.
Comment VAINCRE les micro-caillots sanguins et bloquer la protéine de pointe en protégeant la QUALITÉ de votre sang.
Sources include:
NaturalHealth365.com
Rumble.com
ChildrensHealthDefense.eu
Expose-News.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-05-18-spike-protein-mrna-vaccines-causes-clumping-bloodstream.html
Pauvreté et crise : sucer l'humanité à sec
RépondreSupprimerLes quatre chevaux de l'apocalypse économique : agroalimentaire, pétrole, armement et big pharma
Par Colin Todhunter
Recherche mondiale,
19 mai 2023
La Banque mondiale affirme que près de 80 % (560 millions) des 700 millions de personnes qui ont été poussées dans l'extrême pauvreté en 2020 en raison des politiques COVID venaient d'Inde. À l'échelle mondiale, les niveaux d'extrême pauvreté ont augmenté de 9,3 % en 2020.
En 2022, on estimait qu'un quart de milliard de personnes dans le monde seraient plongées dans la pauvreté absolue au cours de cette seule année.
Au Royaume-Uni, la pauvreté augmente dans les deux tiers des communautés, alors que des millions de personnes se privent de chauffage et sautent des repas. En raison de la « crise du coût de la vie », 10,5 millions de personnes connaissent des difficultés financières. 13,7 millions de personnes supplémentaires risqueraient de connaître des difficultés financières en cas de nouvelles augmentations des coûts.
Le niveau de vie au Royaume-Uni est en chute libre. Par exemple, 28 % (contre 9 % avant la COVID) des adultes britanniques ont déclaré qu'ils n'avaient pas les moyens de manger des repas équilibrés. La pauvreté absolue devrait passer de 17,2 % en 2021-22 à 18,3 % en 2023-24, plongeant 800 000 personnes supplémentaires dans la pauvreté.
En Angleterre, 100 000 enfants ont été exclus des repas scolaires gratuits .
Aux États-Unis, environ 30 millions de personnes à faible revenu sont au bord d'une « falaise de la faim » car une partie de leur aide alimentaire fédérale leur est retirée. En 2021, on estimait qu'un enfant sur huit avait faim aux États-Unis.
Les petites entreprises déposent le bilan aux États-Unis à un rythme record . Les dépôts de bilan privés en 2023 ont dépassé de manière considérable le point le plus élevé enregistré au cours des premiers stades de COVID. La moyenne mobile sur quatre semaines des dépôts privés fin février 2023 était supérieure de 73 % à celle de juin 2020.
Pendant ce temps, près de 100 des plus grandes sociétés américaines cotées en bourse ont enregistré des marges bénéficiaires en 2021 supérieures d'au moins 50% à leurs niveaux de 2019.
L'économiste en chef de la Banque d'Angleterre, Huw Pill, a déclaré que les gens devraient « accepter » d'être plus pauvres . Ceci est similaire à la réponse de Rob Kapito , co-fondateur de la plus grande société de gestion d'actifs au monde, BlackRock. En 2022, il a déclaré qu'une génération "très autorisée" de personnes qui n'ont jamais eu à se sacrifier devrait bientôt faire face à des pénuries pour la première fois de leur vie.
Crise – quelle crise ?
RépondreSupprimerBien sûr, Kapito fait sans aucun doute référence aux citoyens américains ordinaires et non à lui-même. Kapito, en tant que président de BlackRock, a gagné 26 750 780 $ en rémunération totale en 2021.
Il ne fait pas non plus référence aux personnes fortunées qui profitent de la faim en investissant dans BlackRock, une entreprise qui continue de profiter d'un système alimentaire mondialisé qui, à dessein , laisse environ un milliard de personnes en situation de malnutrition. BlackRock est l'un des riches « barbares à la grange » qui continuent de faire d'énormes tueries financières à partir d'un régime alimentaire d'exploitation.
Kapito et Pill disent aux gens ordinaires de s'habituer à leur « nouvelle normalité » alors que le statu quo prévaut ailleurs, notamment dans l'un des secteurs les plus lucratifs au monde : la fabrication d'armes. La guerre en Ukraine a été une « ruée vers l'or » pour les fabricants d'armes occidentaux alors que de riches néoconservateurs américains comme Victoria Nuland continuent d'essayer de provoquer un « changement de régime » en Russie en combattant Moscou jusqu'au dernier Ukrainien.
Lorsque Huw Pill dit aux gens ordinaires de s'habituer à être plus pauvres, il ne fait pas référence aux individus et aux entreprises qui ont gagné des centaines de millions de livres (avec l'aimable autorisation du contribuable) grâce à des contrats d'équipement COVID corrompus grâce au gouvernement britannique donnant la priorité aux fournisseurs politiquement connectés au début du COVID.
Et cela ne peut pas être écarté comme un « one-off ». Ces révélations ne sont que la pointe d'un énorme iceberg de corruption.
Par exemple, Byline Times rapporte qu'un organisme de surveillance parlementaire multipartite a fait part de ses inquiétudes quant au fait que les décisions sur la manière d'attribuer l'argent du fonds des villes de 3,6 milliards de livres sterling, conçu pour stimuler la croissance économique dans les villes en difficulté, étaient politiquement motivées. Elle note également que 40 infractions potentielles au code ministériel n'ont pas fait l'objet d'enquêtes au cours des cinq dernières années.
Il n'est pas étonnant qu'en janvier 2023, le Royaume-Uni ait plongé à sa position la plus basse jamais enregistrée dans l'indice de perception de la corruption de Transparency International .
Considérez que l'ONU estime que seulement 51,5 milliards de dollars suffiraient pour fournir de la nourriture, un abri et une aide vitale aux 230 millions de personnes les plus vulnérables du monde. Considérez ensuite que 20 sociétés des secteurs des céréales, des engrais, de la viande et des produits laitiers ont fourni 53,5 milliards de dollars aux actionnaires au cours des exercices 2020 et 2021.
Selon Global Witness , les « bénéfices excédentaires » sont des augmentations soudaines et significatives des rendements financiers d'une entreprise qui ne sont pas dues à ses propres actions mais à des événements extérieurs. L'UE affirme que les bénéfices sont considérés comme « excédentaires » lorsqu'ils sont supérieurs de plus de 20 % au rendement moyen des quatre années précédentes.
Global Witness constate que les bénéfices annuels de 2022 des cinq plus grandes sociétés pétrolières et gazières intégrées du secteur privé - Chevron, ExxonMobil, Shell, BP et TotalEnergies - étaient de 195 milliards de dollars. En hausse de près de 120 % par rapport à 2021 et au plus haut niveau de l'histoire de l'industrie.
RépondreSupprimerCela signifie que ces entreprises ont réalisé 134 milliards de dollars de bénéfices excédentaires, ce qui pourrait couvrir près de 20 % de l'argent que tous les gouvernements européens ont alloué ensemble pour protéger les ménages et les entreprises vulnérables de la crise énergétique actuelle.
Centrica, la société propriétaire de British Gas, enregistre des bénéfices records pour 2022. Des bénéfices d'exploitation de 3,3 milliards de livres sterling ont été enregistrés, contre 948 millions de livres sterling en 2021. Cela a dépassé son précédent bénéfice annuel le plus élevé de 2,7 milliards de livres sterling en 2012.
En mai 2021, il a été signalé que les vaccins COVID avaient créé au moins neuf nouveaux milliardaires. Selon les recherches de la People's Vaccine Alliance, les nouveaux milliardaires comprenaient le PDG de Moderna Stéphane Bancel et Ugur Sahin, le PDG de BioNTech, qui a produit un vaccin avec Pfizer. Les deux PDG valaient alors environ 4 milliards de dollars. Les cadres supérieurs de la société chinoise CanSino Biologics et les premiers investisseurs de Moderna sont également devenus milliardaires.
Bien que les neuf nouveaux milliardaires valaient à l'époque 19,3 milliards de dollars, les vaccins étaient en grande partie financés par l'argent public. Par exemple, selon un rapport de mai 2021 de CNN, BioNTech a reçu 325 millions d'euros du gouvernement allemand pour le développement du vaccin. La société a réalisé un bénéfice net de 1,1 milliard d'euros au cours des trois premiers mois de l'année, grâce à sa part des ventes du vaccin COVID, contre une perte de 53,4 millions d'euros pour la même période l'an dernier.
Moderna devait générer 13,2 milliards de dollars de revenus de vaccins COVID en 2021. La société a reçu des milliards de dollars de financement du gouvernement américain pour le développement de son vaccin.
Cet article a brièvement abordé quatre chevaux de l'apocalypse économique - l'agro-industrie, le pétrole, l'armement et la grande pharma. Mais terminons en mentionnant le cinquième et le plus puissant : la finance. Le secteur qui a déclenché la dévastation que nous voyons maintenant.
Fin 2019, une crise financière se profilait. C'était plusieurs fois pire que celui de 2008.
Le journaliste d'investigation Michael Byrant affirme qu'il a fallu 1 500 milliards d'euros pour faire face à la crise en Europe seulement. L'effondrement financier auquel sont confrontés les banquiers centraux européens a atteint son paroxysme en 2019 :
« Tous parlent de la grande finance qui met la nation en faillite en pillant les fonds publics, des politiciens détruisant les services publics à la demande des grands investisseurs et des déprédations de l'économie des casinos ont été emportés par le COVID. Les prédateurs qui ont vu leurs empires financiers s'effondrer ont décidé de fermer la société. Pour résoudre les problèmes qu'ils ont créés, ils avaient besoin d'une couverture. Il est apparu comme par magie sous la forme d'un "nouveau virus".
RépondreSupprimerLa Banque centrale européenne a accepté un plan de sauvetage des banques de 1,31 billion d'euros, suivi de l'accord de l'UE sur un fonds de relance de 750 milliards d'euros pour les États et les entreprises européennes. Ce paquet de crédits à long terme et ultra bon marché à des centaines de banques a été vendu au public comme un programme nécessaire pour amortir l'impact de la pandémie sur les entreprises et les travailleurs.
Ce qui s'est passé en Europe faisait partie d'une stratégie visant à éviter l' effondrement systémique plus large du système financier hégémonique . Et ce que nous voyons maintenant, c'est une dette mondiale interdépendante , l'inflation et la crise « d'austérité » et le plus grand transfert de richesse aux riches de l'histoire sous le couvert d'une « crise du coût de la vie ».
Alors que des millions de travailleurs se mettent en grève au Royaume-Uni, Huw Pill laisse entendre qu'ils devraient accepter leur sort comme inévitable. Mais ils n'ont aucune raison de le faire.
La richesse des milliardaires du monde a augmenté de 3,9 milliards de dollars entre le 18 mars et le 31 décembre 2020. Leur richesse totale s'élevait alors à 11,95 milliards de dollars, soit une augmentation de 50 % en seulement 9,5 mois. Entre avril et juillet 2020, lors des premiers confinements, la richesse détenue par ces milliardaires est passée de 8 000 milliards de dollars à plus de 10 000 milliards de dollars.
La seule chose inévitable dans la crise actuelle était l'effondrement d'un néolibéralisme insoutenable alimenté par la dette, mis en place pour faciliter le pillage pur et simple par les super-riches qui ont délocalisé plus de 50 000 milliards de dollars sur des comptes cachés.
https://www.globalresearch.ca/poverty-crisis-sucking-humanity-dry/5817341
C'est ce que peut faire l'identification numérique avec biométrie - testée en Afrique
RépondreSupprimer19 mai 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Avec la pandémie de Corona, les élites des entreprises, dirigées par le complexe numérique-financier, nous ont attirés dans un piège. Si vous pouvez prouver que vous ne présentez pas de "risque épidémiologique", vous pouvez alors voyager à l'étranger, monter à bord d'un avion, rendre visite à votre enfant malade à l'hôpital ou à des proches dans une maison de retraite et aller au pub. Tout est enregistré dans un code QR, également sur papier mais plus facilement sur un smartphone. Mais ce n'était que la première étape.
Parce qu'il y a un risque d'abus. Nous avons déjà appris que le moyen le plus simple d'accéder à votre compte bancaire numérique est de faire vérifier votre pouce ou votre iris par votre téléphone portable. Ensuite, les actifs du compte sont à l'abri du vol. Et cette solution peut très bien être utilisée pour le carnet de vaccination afin d'être sûr que c'est bien la personne vaccinée qui affiche le QR code. Ce qui s'en vient est une identification numérique biométrique mondiale pour tous.
Les applications sont nombreuses, en dehors de votre propre compte bancaire et carte de vaccination. Nous aurons besoin de lui pour aller à l'isoloir. Il « simplifie » l'accès au poste de travail dans une entreprise. Le permis de conduire numérique, les billets pour les transports en commun et les voyages en avion, le passeport numérique, la carte électronique numérique, tous les bureaux numériques de l'État comme cela est déjà démontré dans l'application Diia en Ukraine et bien sûr autour pour s'inscrire en ligne .
Et bien sûr, nous en avons besoin pour la monnaie numérique de la banque centrale et pour pouvoir débiter en toute sécurité notre compte gaz carbonique annuel.
Les institutions supranationales telles que l'OMS et surtout l'ONU travaillent à l'introduction globale de cette technologie. L'Agenda 2030 des Nations Unies indique clairement que ses objectifs s'appliquent à tous. Le deuxième principe de l'ordre du jour est : « Ne laisser personne de côté », selon l'ONU sur son site Internet .
L'objectif 16.9 est suivi de l'objectif 16.10, qui à son tour stipule que «l'accès» doit être assuré à toutes les merveilleuses «informations» et «libertés» dont jouit un bon citoyen dans ce nouveau système numérique mondial.
Pendant des décennies, l'industrie numérique nous a entraînés de plus en plus profondément dans la dépendance et la divulgation de nos données, y compris nos caractéristiques biométriques, avec de petits avantages. Ils veulent nos scanners oculaires, nos scanners faciaux, nos empreintes digitales et d'autres identifiants uniques, même notre ADN. Vous voulez tout posséder.
Google est depuis longtemps un leader. BiometricUpdate.com nous apporte les derniers avantages de la biométrie :
" À partir du 3 mai 2023, les utilisateurs de Google pourront sécuriser leurs comptes avec des clés d'accès au lieu de mots de passe ", lit-on dans un article de blog sur le site Web de l'entreprise. Les clés d'accès permettent aux utilisateurs de se connecter à l'aide d'empreintes digitales ou de la biométrie faciale, ou via un verrouillage d'écran tel qu'un téléphone. B. un NIP local pour s'inscrire.
"Conformément à une tendance à l'échelle de l'industrie vers l'adoption de clés de sécurité, la société fait la promotion des clés de sécurité comme une alternative plus rapide, plus simple et plus sécurisée aux options de connexion existantes, y compris l'authentification multifacteur."
RépondreSupprimer" Étant donné qu'une clé d'authentification n'existe que sur un appareil spécifique, la connexion avec une clé d'authentification vérifie que l'utilisateur est propriétaire de l'appareil et a la possibilité de le déverrouiller. Cela réduit le risque que des acteurs malveillants accèdent à un mot de passe par hameçonnage ou violation de données. Toutes les données biométriques partagées déverrouillent la clé principale localement et ne vont jamais au-delà de l'appareil. »
L'accès est donc facilité. Il est suggéré qu'ils contrôlent les données personnelles, mais une fois que Google y a accès, ils en sont propriétaires. Et la propriété signifie qu'ils peuvent en faire ce qu'ils veulent, y compris le vendre à d'autres. Tels qu'un profil de mouvement exact, des visites de sites Web, du contenu de recherche, des paiements, des réservations de voyage, des achats de littérature, etc.
Sans surprise, l'armée utilise également la biométrie pour une identification unique, par exemple dans le cas des prisonniers de guerre comme dans l'image ci-dessus.
Zone test Afrique pour le suivi biométrique des vaccins infantiles
Le programme vise à soutenir les objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies, à savoir créer une identité légale et un enregistrement des naissances pour tous, mettre fin aux décès évitables chez les nouveau-nés et les enfants de moins de cinq ans et réduire la mortalité néonatale.
" Une fois qu'un enfant est né et reçoit le premier vaccin, quatre doigts sont scannés biométriquement et, en plus des empreintes digitales des bébés, la biométrie vocale de leurs soignants est également capturée", comme indiqué ici .
NEC , la société d'authentification biométrique participante, travaille également sur un autre projet de commercialisation de la biométrie infantile, tout en ayant d'autres projets dans son portefeuille en Afrique subsaharienne.
Toujours en Afrique, là où vivent les plus pauvres, les dernières méthodes de surveillance et de contrôle sont expérimentées ! C'est un cauchemar dystopique. Commercialisation de la biométrie infantile. Cela signifie les vendre au plus offrant, qui les utilisera pour un contrôle ultime
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/05/19/das-kann-die-digitale-id-mit-biometrie-getestet-in-afrika/
Une Santé: Un plan pour «surveiller et contrôler tous les aspects de la vie sur terre»?
RépondreSupprimerLes experts qui se sont entretenus avec le Defender ont suggéré que One Health a plus à voir avec un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain qu'avec la protection de la santé humaine.
Par Michael Nevradakis
Mondialisation.ca, 19 mai 2023
Note de l’éditeur (The Defender): Ceci est la deuxième partie d’une série de deux articles sur l’initiative One Health. La première partie est disponible ici.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le terme« One Health » [Une seule santé] comme étant une « approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes », car ils sont « étroitement liés et interdépendants » – un concept qui, à première vue, semble promouvoir des objectifs nobles reliant la santé humaine et la santé environnementale.
Toutefois, certains scientifiques et experts médicaux s’inquiètent des objectifs vagues de One Health. Soutenant que le concept a été « détourné », ils remettent en question l’intention des personnes impliquées dans le développement et le déploiement mondial du concept, notamment l’OMS, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la Banque mondiale.
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont également soulevé des questions sur d’autres aspects du concept « One Health », notamment un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain.
Bien que ces objectifs soient étayés par une « théorie du changement » vaguement définie, des experts ont déclaré au Defender que des intérêts financiers majeurs sont au cœur du programme « One Health », qui semble être étroitement lié au changement climatique et aux initiatives de développement durable promues par les mêmes organisations mondiales.
Les objectifs de One Health incluent une « prise de contrôle globale de tout »
Dans un article paru le 1er mai, le Dr Joseph Mercola a établi un lien entre le concept de One Health, tel que promu par les organisations mondiales, et les politiques et restrictions mises en œuvre en réponse à la COVID-19, le décrivant comme une tentative de « prise de contrôle de tout dans le monde ».
M. Mercola a établi un lien entre le concept One Health et les principales entités qui ont soutenu la recherche sur le gain de fonction. Selon M. Mercola :
« Il est intéressant de noter que le terme « One Health », qui a été officiellement adopté par l’OMS et les ministres de la santé du G20 en 2017, a été inventé pour la première fois par le vice-président exécutif de l’EcoHealth Alliance, la même entreprise qui semble avoir joué un rôle dans la création du SRAS-CoV-2. »
RépondreSupprimerLors de la conférence de 2019 intitulée « Can One Health Help Prevent the Next Pandemic ? » [Une seule santé peut-elle aider à prévenir la prochaine pandémie ?], le président d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, commissaire de la commission One Health de The Lancet, a déclaré que les « maladies infectieuses émergentes » constituaient « une menace mondiale croissante ».
Il a également affirmé que nombre de ces maladies émergentes sont « zoonotiques », c’est-à-dire qu’elles se transmettent de l’animal à l’homme.
Francis Boyle, J.D., Ph.D., professeur de droit international à l’université de l’Illinois et expert en armes biologiques qui a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act de 1989, a remis en question ce récit, déclarant au Defender :
« Toutes ces maladies infectieuses émergentes sont issues de leurs programmes d’armes biologiques offensives menées dans leurs laboratoires BSL4 [biosecurity level 4] et BSL3.
« Si vous regardez les membres du comité consultatif de l’OMS qui s’occupent des « maladies infectieuses émergentes », c’est exactement ce qu’ils font : ils les font « émerger » de leurs laboratoires. »
Marion Koopmans, DVM, Ph.D., directrice du Centre collaborateur de l’OMS pour les maladies infectieuses émergentes au Centre médical Erasmus aux Pays-Bas et membre du groupe d’experts de haut niveau de l’OMS sur l’initiative One Health (OHHLEP), en est un exemple.
Selon M. Boyle, « c’est à Erasmus que le sale travail de la science de la mort nazie en matière de guerre biologique est devenu notoire pour la première fois sous la direction de Fouchier, [who], ce qui a déclenché toute la controverse sur son travail de gain de fonction dans cet établissement. »
M. Boyle faisait référence à Ron Fouchier, Ph.D.qui est également directeur adjoint du Département des virosciences de l’Institut Erasmus et qui, selon Science,a « alarmé le monde » en 2011, après que lui et d’autres chercheurs ont « modifié séparément le virus mortel de la grippe aviaire H5N1 pour qu’il se propage entre les furets » – un exemple précoce de recherche sur le gain de fonction.
Le Dr Meryl Nass, interniste et épidémiologiste spécialiste des guerres biologiques, membre du comité consultatif scientifique de la Children’s Health Defense, a déclaré que ces objectifs restaient délibérément vagues. Elle s’est référée à un document des CDC qui stipule que
RépondreSupprimer« les interventions de santé publique réussies nécessitent la coopération des partenaires de la santé humaine, animale et environnementale… Les autres acteurs concernés par l’approche « One Health » pourraient être les forces de l’ordre, les décideurs politiques, l’agriculture, les communautés et même les propriétaires d’animaux de compagnie.
« En encourageant la collaboration entre tous les secteurs, l’approche « One Health » permet d’obtenir les meilleurs résultats en matière de santé pour les personnes, les animaux et les plantes dans un environnement commun. »
Mme Nass a écrit sur son blog: « Je prévois que One Health sera utilisé pour imposer des changements dans la façon dont les humains et les animaux interagissent … très probablement en fonction des besoins des élites du WEF [World Economic Forum] et non des besoins des personnes ou des animaux qui seront affectés. »
Reggie Littlejohn, fondatrice et présidente de Women’s Rights Without Frontiers et coprésidente du groupe de travail « Stop Vaccine Passports », a déclaré au Defender : « Il n’est pas évident que One Health donne la priorité à la santé humaine. »
Soulignant le langage « vague » employé par les organisations mondiales promouvant One Health, Mme Littlejohn a déclaré que l’un des objectifs pourrait être de « régir la santé des animaux d’élevage en plus de la santé humaine », ce qui permettrait « d’imposer des vaccins aux animaux d’élevage ».
One Health signifie « tout surveiller »
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont fait part de leurs inquiétudes quant au programme de biosécurité associé aux objectifs déclarés de One Health.
Selon Mme Nass, cela reflète la façon dont l’OMS « s’est transformée en agence de biosécurité », ajoutant que « la justification, apparemment, de la prise en charge par le directeur général de l’OMS de la juridiction des soins de santé pendant les pandémies, mais aussi potentiellement des écosystèmes, des animaux et des plantes, se fait par le biais de l’initiative One Health ».
Mme Nass a noté que One Health « est mentionné à plusieurs reprises dans le National Defense [Authorization] Act for Fiscal Year 2023 » (NDAA), qui comprend 18 pages sur la « préparation à la pandémie » et une définition formelle de l’« approche One Health » à la page 952 de la loi.
James Roguski, journaliste et chercheur indépendant, a également souligné l’importance accordée à One Health dans le NDAA et a fait remarquer qu’en définissant formellement le concept dans la loi, il fait désormais partie du code des réglementations fédérales.
RépondreSupprimerToutefois, selon M. Roguski, la NDAA va encore plus loin :
« Les États-Unis se sont engagés à verser un milliard de dollars par an au Fonds de lutte contre les pandémies de la Banque mondiale pour soutenir le programme mondial de sécurité sanitaire. L’OMS est l’un des 14 intermédiaires qui recevront et redistribueront une partie de ce milliard de dollars.
« Fondamentalement, c’est du capitalisme, de la corruption, une abomination du point de vue de la santé. Jetons l’argent aux sociétés pharmaceutiques, construisons l’infrastructure dans ces pays et, si vous fabriquez des tonnes de produits localement, vous pourrez convaincre le gouvernement local de les mettre dans les bras des gens ou de les leur faire avaler.
« Et rien de tout cela ne s’est avéré bénéfique pour la santé. Elles nuisent à la santé des gens. »
La promotion d’un programme mondial de biosécurité s’accompagne de la mise en place d’une infrastructure de surveillance mondiale censée protéger la santé humaine et animale ainsi que l’environnement. Un document de l’OMS datant du 3 octobre 2022 stipule :
« L’émergence du virus SARS-CoV-2 à l’origine de la COVID-19 a souligné la nécessité de renforcer l’approche One Health, en mettant davantage l’accent sur les liens avec la santé animale et l’environnement …
« Il utilise les liens étroits et interdépendants entre ces domaines pour créer de nouvelles méthodes de surveillance et de contrôle des maladies. …
« Nous avons aujourd’hui une occasion sans précédent de renforcer la collaboration et les politiques dans ces nombreux domaines et de réduire le risque de pandémies et d’épidémies futures, tout en nous attaquant au fardeau permanent des maladies endémiques et non transmissibles.
« Il est nécessaire de mettre en place une surveillance qui permette de contrôler les risques et d’identifier des modèles dans ces nombreux domaines. »
À ce propos, Mme Littlejohn a déclaré que les partisans de One Health parlent de « systèmes de surveillance interopérables et intégrés ». Elle a dit à The Defender :
« Je pense que ces systèmes de surveillance des personnes, des animaux, des plantes et de l’environnement seront coordonnés par une sorte de système de surveillance mondial interopérable et intégré.
« Quiconque dirige ce projet, l’OMS, le Parti communiste chinois, la Fondation Bill et Melinda Gates, qui sont les personnes qui semblent réellement diriger le projet à l’OMS, vont être en mesure d’accéder à toutes nos informations privées. Pas seulement nous, mais aussi les animaux et les plantes. »
RépondreSupprimerDavid Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré au Defender que les organisations mondiales ont pour objectif de « tout surveiller ». Il a dit :
« Cela signifie qu’il faut tout surveiller, surveiller le climat pour détecter d’éventuelles menaces, surveiller les populations animales, surveiller la faune, surveiller le sol pour voir s’il y a de nouvelles traces de virus ou de bactéries dans les systèmes fluviaux, etc.
« Cela permet de « découvrir » ce que nous savons déjà être la nature, puis de transformer la nature en menace potentielle ou en menace. Plus la surveillance est importante et étendue, plus les « menaces » sont inévitables… car on peut affirmer que presque toutes les nouvelles variantes de virus constituent une « menace ».
« Cela leur permettra de maintenir une sorte de peur constante qui vous permettra ensuite d’introduire des contrôles autoritaires tels que les monnaies numériques des banques centrales et les passeports numériques… qui leur permettront de monétiser la population humaine de manière plus efficace. »
Mme Nass a noté que les acteurs mondiaux tels que l’OMS « parlent du partage des spécimens pendant une pandémie … afin qu’ils puissent également essayer de fabriquer des vaccins. En revanche, ils ne parlent pas de surveillance des êtres humains. Mais ce qu’ils ont dit, et qui a vendu la mèche, c’est qu’ils voudraient obtenir le consentement éclairé des pays pour le partage des données génomiques, plutôt que celui des individus ».
Cette infrastructure de surveillance comprendrait également les passeports vaccinaux, qui figurent en bonne place dans le traité sur les pandémies et les amendements au règlement sanitaire international (RSI) actuellement en cours de négociation à l’OMS.
Selon Mme Littlejohn :
« Je pense qu’ils ont mis en place l’infrastructure pendant la crise de COVID-19, et nous avons une petite pause entre les pandémies, mais cette structure, cette infrastructure va se refermer avec la prochaine pandémie si nous ne l’arrêtons pas. Cette structure est liée aux passeports vaccinaux.
« Il pourrait s’agir d’une « carte de santé intelligente » ou d’une « carte d’identité numérique », voire d’un permis de conduire numérique obligatoire, qui pourrait servir de plateforme à un système de crédit social à la chinoise. Et il y a présentement une nouvelle loi qui passe au Sénat … la Improving Digital Identity Act de 2023 … Il s’agit d’une carte d’identité nationale obligatoire qui sera interopérable, coordonnée et intégrée et qui pourra servir de plateforme identique au système de crédit social de la Chine pour nous surveiller. »
RépondreSupprimerLes restrictions du comportement humain pourraient rabaisser l’homme au niveau de l’animal
Le document de l’OMS du 3 octobre 2022 affirme également que « quelque 60 % des maladies infectieuses émergentes signalées dans le monde proviennent d’animaux, sauvages ou domestiques », ajoutant que « les activités humaines et les écosystèmes stressés ont créé de nouvelles possibilités d’émergence et de propagation des maladies ».
Selon l’OMS, ces facteurs de stress « comprennent le commerce des animaux, l’agriculture, l’élevage, l’urbanisation, les industries extractives, le changement climatique, la fragmentation de l’habitat et l’empiètement sur les zones sauvages ».
« Dans la mesure où les émissions de carbone dues aux transports dans les villes contribuent au changement climatique, la « ville de 15 minutes » serait un moyen d’y remédier », a déclaré Mme Littlejohn. « Le danger est qu’ils l’appliquent en installant des caméras de surveillance partout pour s’assurer que vous ne sortez pas de votre district sans autorisation. »
Dans un article du 30 mars intitulé « Your Daughter for a Rat » [Votre fille pour un rat], M. Bell a cité un éditorial de One Health publié dans The Lancet, selon lequel « toutes les vies sont égales et relèvent de la même préoccupation ». En réponse, M. Bell a suggéré que One Health vise à rabaisser l’homme au niveau de l’animal.
Le même article du Lancet décrit One Health comme « un appel à l’équité écologique, et pas seulement sanitaire » et appelle à un « changement de perspective subtil mais tout à fait révolutionnaire » pour s’éloigner de l’« anthropocentrisme » : « Toutes les formes de vie sont égales et doivent être prises en compte de la même manière. »
« Il semble que ce soit la justification pour ramener les gens à la valeur des animaux », a répondu Mme Nass. Un sentiment partagé par M. Boyle, qui a déclaré : « One Health établit un lien entre les soins de santé des êtres humains et ceux des animaux et réduit donc les soins de santé des êtres humains au niveau des soins de santé des animaux. »
Selon M. Bell, « suggérer que nous avons le devoir, en tant qu’espèce sur cette planète, de nous occuper de toutes les espèces de manière égale et de les traiter de manière plus égale [is] devient une sorte de religion ou de dogme. Elle va à l’encontre de ce que toute société rationnelle dans l’histoire de l’humanité » a pratiqué et constitue « une approche très inhabituelle et potentiellement très effrayante ».
One Health : Suivre l’argent
RépondreSupprimerL’OMS a tenté de donner une crédibilité théorique au concept « One Health » en élaborant une « théorie du changement » (ToC).
Bien que l’OMS indique que les CDC sont conçus pour fournir « un cadre conceptuel » aux « organisations, agences et initiatives travaillant à la réalisation d’objectifs similaires dans le cadre de l’initiative One Health » et un « récit commun de la cohérence », la théorie elle-même ne semble pas avoir de définition claire.
« Ils veulent pouvoir faire ce qu’ils veulent », a déclaré Mme Littlejohn. « Si vous le définissez, vous pouvez les tenir à la définition … L’une des tactiques consiste à être vraiment obscur et incompréhensible. »
« C’est un terme qui est utilisé dans ces cercles », a ajouté M. Bell. « C’est une évidence : si vous faites un certain acte, vous obtiendrez un certain résultat. C’est une façon élégante de le dire. »
M. Bell a également évoqué « l’idée fausse selon laquelle les humains sont de plus en plus en contact avec les animaux sauvages », ce qui entraînerait « une menace de transmission de virus des animaux sauvages aux humains ».
Qualifiant cette affirmation de « ridicule », M. Bell a déclaré que « lorsque l’homme s’installe dans un habitat naturel, la faune ne commence pas à vivre avec l’homme. Elles disparaissent. »
Notant qu’« il était autrefois très courant » que les gens vivent avec des animaux de ferme, M. Bell a ajouté que l’affirmation selon laquelle les pandémies deviennent plus fréquentes en raison de l’augmentation des contacts avec les animaux est en soi « fausse », mais qu’elle est « utilisée pour instiller la peur et pour tenter de faire adhérer les gens à ce programme de santé unique (One Health) et d’urgence sanitaire permanente ».
Mme Nass a déclaré que les partisans de One Health n’avaient « aucune preuve » à l’appui de leurs affirmations, citant l’exemple de la résistance antimicrobienne des bactéries présentes dans la viande consommée par l’homme, qui résulte des antibiotiques administrés au bétail. « C’est l’hameçon auquel One Health a été accroché », a déclaré Mme Nass.
Toutefois, Mme Nass a déclaré que ce problème « pourrait être résolu en un clin d’œil si la Food and Drug Administration ou le ministère de l’Agriculture des États-Unis disaient simplement aux agriculteurs qu’ils ne peuvent plus mettre d’antibiotiques dans les aliments pour animaux et qu’ils ne peuvent les utiliser que lorsqu’un animal tombe malade ».
Dans son récent article, M. Mercola suggère de suivre l’argent. « Les intérêts privés exercent un pouvoir immense sur l’OMS et la majorité des fonds sont « spécifiés », ce qui signifie qu’ils sont réservés à des programmes particuliers. L’OMS ne peut pas allouer ces fonds là où ils sont le plus nécessaires. »
RépondreSupprimerEn conséquence, cela « influence massivement ce que l’OMS fait et comment elle le fait. L’OMS est donc une organisation qui fait tout ce que ses bailleurs de fonds lui disent de faire », en citant des organisations telles que la Fondation Gates comme principaux bailleurs de fonds de l’OMS.
M. Bell a déclaré que les partisans de One Health comprennent « ceux qui ont poussé l’agenda COVID … et se sont enrichis grâce à lui », y compris « les fondations privées qui sont dans le coup » et « les entreprises qui ont tout à gagner à contrôler la chaîne alimentaire et à contrôler l’agriculture et les produits pharmaceutiques, et cetera ».
« Ce sont des entreprises autoritaires qui ont tiré profit de la santé publique par le biais de la COVID et de la réponse certainement inappropriée de la COVID », a ajouté M. Bell. « Il s’agit de la même chose et elle n’est pas déconnectée de l’agenda de l’urgence climatique. »
La Banque mondiale est un acteur financier de premier plan, étroitement associé à l’élaboration du programme One Health, comme l’indiquent les documents de l’OMS.
Lors d’une réunion de l’OHHLEP en novembre 2022, Franck Berthe, spécialiste principal de l’élevage à la Banque mondiale, a présenté le Fonds d’intermédiation financière de la Banque mondiale, qui « permettrait aux pays d’emprunter des fonds pour renforcer leur système de santé et promouvoir l’approche OH [One Health] ».
Selon Mme Nass, « l’OMS et la Banque mondiale ont contribué à la mise en place de cette opération de financement du programme de biosécurité », tandis que M. Boyle a déclaré au Defender : « Il n’y a rien d’humanitaire dans le fait que ces bailleurs de fonds et l’OMS promeuvent le programme One Health. »
Mme Nass et M. Bell ont tous deux déclaré que le programme One Health était étroitement lié aux objectifs de développement durable et à l’Agenda 2030 des Nations unies. Selon M. Bell, le programme One Health tente de faire face à une prétendue « menace existentielle pour la santé humaine » qui « doit être traitée de manière centralisée, plutôt que de laisser le choix aux gens ».
One Health est étroitement lié au traité de l’OMS sur les pandémies et aux amendements du RSI
RépondreSupprimerLes experts qui se sont entretenus avec le Defender ont également souligné les liens entre le concept « One Health », le traité sur les pandémies et les amendements au RSI en cours de négociation.
M. Mercola a écrit que grâce au programme One Health, qui reconnaît « un très large éventail d’aspects de la vie et de l’environnement [that] peuvent avoir un impact sur la santé et relèvent donc du « potentiel » de nuisance », l’OMS « pourra déclarer le changement climatique comme une urgence sanitaire et exiger par la suite des mesures de confinement du climat ».
M. Roguski, qui a effectué des recherches approfondies sur le traité sur la pandémie et les amendements au RSI, a déclaré que dans les amendements que l’UE a récemment proposés pour le traité sur la pandémie, le terme « One Health » apparaît 29 fois, notamment pour demander aux pays d’élaborer et de mettre à jour régulièrement des plans de prévention des pandémies par le biais de l’approche One Health.
Faisant référence à la nécessité de prévenir les « situations de pandémie » potentielles, les propositions appellent également au renforcement de la surveillance de la santé publique mondiale « en utilisant une approche One Health », qui permettra également « d’aborder les facteurs d’émergence et de réémergence des maladies à l’interface homme-animal-environnement, y compris, mais sans s’y limiter, le changement climatique, le changement d’utilisation des terres, le commerce des espèces sauvages, la désertification et la résistance aux antimicrobiens ».
Les propositions suggèrent également que l’approche One Health pourrait être utilisée « pour produire des preuves scientifiques et soutenir, faciliter et/ou superviser la mise en œuvre correcte, fondée sur des preuves et tenant compte des risques, de la prévention et du contrôle des infections », et vont jusqu’à suggérer des objectifs en matière de « consommation/utilisation d’antimicrobiens ».
M. Roguski a déclaré au Defender que la dernière version du traité sur la pandémie fait référence à One Health à 13 reprises. Un tel langage « serait utilisé pour prendre le contrôle total de nos vies », a ajouté M. Roguski.
Par exemple, une proposition stipule que « chaque partie, conformément à sa législation nationale, adopte des politiques et des stratégies, étayées par des plans de mise en œuvre, dans les secteurs public et privé et dans les agences concernées, conformément aux outils pertinents, y compris, mais sans s’y limiter, le Règlement sanitaire international, et renforce les fonctions de santé publique en ce qui concerne : (c) la surveillance (y compris en utilisant l’approche One Health) ».
Les autres propositions sont les suivantes :
RépondreSupprimer« Les parties s’engagent à renforcer les systèmes de surveillance multisectoriels, coordonnés, interopérables et intégrés de One Health … afin d’identifier et d’évaluer les risques et l’émergence d’agents pathogènes et de variantes ayant un potentiel pandémique, de manière à réduire au minimum les débordements, les mutations et les risques associés aux maladies zoonotiques, tropicales négligées et à transmission vectorielle, en vue d’empêcher que des épidémies à petite échelle chez les animaux sauvages ou domestiques ne se transforment en pandémie.
« Chaque partie élabore et met en œuvre un plan d’action national One Health sur la résistance aux antimicrobiens qui renforce la gestion des antimicrobiens dans les secteurs humain et animal, optimise la consommation d’antimicrobiens, augmente les investissements dans les nouveaux médicaments, outils de diagnostic, vaccins et autres interventions et en favorise l’accès équitable et abordable, renforce la prévention et le contrôle des infections dans les établissements de soins de santé ainsi que l’assainissement et la biosécurité dans les exploitations d’élevage, et apporte un soutien technique aux pays en développement. »
M. Roguski a indiqué que l’expression One Health n’apparaît pas directement dans les documents relatifs aux amendements proposés au RSI, mais il a ajouté que l’OMS « va essayer de faire prévaloir les deux », en faisant référence à la fois au traité et aux amendements au RSI.
Selon Mme Littlejohn, l’approche One Health et la formulation proposée dans le traité « leur donnent le droit de surveiller et de contrôler potentiellement tous les aspects de la vie sur terre ».
Notant que le traité proposé appelle également à un « engagement à lutter contre la désinformation et les fausses nouvelles », M. Littlejohn a ajouté : « Ils vont surveiller nos médias sociaux […] et si l’un d’entre nous sort du rang en contredisant ce que dit l’OMS, nous pourrions être censurés. »
« Je pense que c’est ce que l’on cherche à faire en s’engageant à mettre en place des systèmes de surveillance coordonnés, interopérables et intégrés dans le cadre du programme One Health », a ajouté Mme Littlejohn. « Je pense que c’est ainsi qu’elle pourrait finir par être déployée. En fin de compte, les entités mondialistes, telles que le Forum économique mondial et les Nations unies, utilisent l’OMS comme moyen d’établir un contrôle mondial. »
« La raison pour laquelle la santé est un si bon prétexte est que les gens peuvent être terrifiés », a ajouté Mme Littlejohn. « Dans la mesure où leur esprit est paralysé s’ils pensent qu’ils peuvent mourir ou tomber vraiment malades, ils sont prêts à renoncer à des libertés qu’ils ne seraient pas prêts à abandonner dans d’autres contextes. »
M. Roguski a déclaré au Defender :
RépondreSupprimer« Ils ont pris beaucoup de mauvaises décisions. Ils ont donné beaucoup de mauvais conseils [and] et ont causé beaucoup de tort à de nombreuses personnes. On ne peut pas donner à ces personnes plus de pouvoir, d’autorité et de contrôle sans examiner ce qu’elles ont fait et dire non, vous ne devriez pas être en charge de tout cela. »
M. Mercola écrit à son tour que « la prise de pouvoir des mondialistes repose sur la création réussie d’une boucle de rétroaction de surveillance des variantes de virus, de déclaration de risque potentiel suivie de blocages et de restrictions, suivie d’une vaccination massive des populations pour « mettre fin » aux restrictions de la pandémie, suivie d’une surveillance accrue et ainsi de suite ».
Et selon M. Bell, One Health « fait partie d’un ensemble beaucoup plus vaste qui consiste à trouver des moyens de démanteler les idées intrinsèques sur lesquelles la plupart des sociétés ont été construites ».
« Je pense que cela fait partie d’un mouvement visant à annuler ce type d’idées et à les remplacer par une sorte de religion de la peur de notre environnement et du dénigrement des autres humains, qui peut ensuite être utilisée par des personnes très cupides pour accroître leur richesse et leur pouvoir », a déclaré M. Bell. « Il s’est largement emparé de la santé publique. »
https://www.mondialisation.ca/une-sante-un-plan-pour-surveiller-et-controler-tous-les-aspects-de-la-vie-sur-terre/5677875
(...) David Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré au Defender que les organisations mondiales ont pour objectif de « tout surveiller ». Il a dit :
Supprimer« Cela signifie qu’il faut tout surveiller, surveiller le climat pour détecter d’éventuelles menaces, surveiller les populations animales, surveiller la faune, surveiller le sol pour voir s’il y a de nouvelles traces de virus ou de bactéries dans les systèmes fluviaux, etc.
« Cela permet de « découvrir » ce que nous savons déjà être la nature, puis de transformer la nature en menace potentielle ou en menace. Plus la surveillance est importante et étendue, plus les « menaces » sont inévitables… car on peut affirmer que presque toutes les nouvelles variantes de virus constituent une « menace ». (...)
Attitude 'un peu con' ? non ?
« Cela signifie qu’il faut tout surveiller, surveiller le climat pour détecter d’éventuelles menaces, surveiller les populations animales, surveiller la faune, surveiller le sol pour voir s’il y a de nouvelles traces de virus ou de bactéries dans les systèmes fluviaux, etc.' !
Çà y est ! Nous en arrivons aux 'menaces climatiques' ! Menace animales et... du sol ! Menaces de poussières (appelées 'virus') dans le sol !
'car on peut affirmer que presque toutes les nouvelles variantes de virus constituent une « menace' !
ÔH PUTAING !!
Les poussières passent à l'attaque !... HAHAHAHAHA !
Les cultures génétiquement modifiées sont la clé d'une agriculture durable. Pourquoi certains scientifiques ont-ils peur d'en parler ?
RépondreSupprimer19 Mai 2023
Henry I. Miller et Colin Carter, ACSH*
L'ignorance qui entoure les pratiques agricoles réellement « durables », même parmi les personnes et les institutions qui devraient être bien informées, est stupéfiante. Les contributions du génie génétique seront essentielles.
Le génie génétique moléculaire a donné naissance à une nouvelle allergie étrange. Non, pas le genre d'allergie qui provoque de l'urticaire ou une respiration sifflante, mais plutôt une aversion à mentionner le rôle du génie génétique dans l'agriculture. Dans les analyses, les rapports et les articles prétendument savants sur l'agriculture durable, les personnes et les institutions qui savent mieux que quiconque ignorent ou minimisent souvent l'importance des nouvelles technologies, telles que l'ADN recombinant (« épissage de gènes ») et l'édition de gènes.
Un exemple de cette situation a été publié dans la revue Science – un article du professeur Jules Pretty intitulé « Intensification for redesigned and sustainable agriculture systems » (intensification pour des systèmes agricoles repensés et durables). Il s'agit moins d'une analyse que d'un article d'opinion biaisé et étroitement ciblé, qui semble plus approprié à une publication New Age et anti-technologie qu'à la revue Science.
M. Pretty, professeur « d'environnement et de société » à l'Université d'Essex, a présenté son sujet de la manière suivante :
« L'intensification durable […] comprend les processus ou systèmes agricoles dans lesquels la production est maintenue ou augmentée tout en progressant vers une amélioration substantielle des résultats environnementaux. Elle incorpore ces principes sans mise en culture de davantage de terres et sans perte d'habitats non cultivés, et avec une augmentation des performances du système sans coût environnemental net. »
Il n'y a rien à redire au concept d'intensification durable (ID) ou à ses objectifs, mais à l'exception d'un clin d'œil aux « nouvelles variétés de plantes » de la Révolution Verte dans sa première phrase, l'article parvient à aborder le sujet sans mentionner une seule fois des termes tels que « nouvelles variétés génétiques », « génie génétique », « OGM » ou « amélioration génétique ». Dans une « revue » [« review »] sur « l'intensification durable » de l'agriculture telle que la définit Pretty, c'est incompréhensible.
RépondreSupprimerPretty propose un grand nombre de verbiages abscons, tels que « l'ID cherche à développer des synergies entre les composantes agricoles et les composantes du système à l'échelle du paysage ». Et : « Trois étapes non linéaires ont été proposées pour la transition vers la durabilité : l'efficacité, la substitution et la reconception. Bien que l'efficacité et la substitution soient toutes deux importantes, elles ne suffisent pas à maximiser la coproduction de résultats agricoles et environnementaux favorables en l'absence de reconception. »
Nous nous demandons comment il est possible de parler d'« efficacité, de substitution et de reconception » dans les pratiques agricoles sans mentionner les contributions essentielles des nouvelles variétés améliorées au cours des deux dernières décennies. C'est comme si l'on parlait de ces mêmes qualités dans la conception d'une maison sans mentionner des termes tels que « toit » ou « fondations ». Plus précisément, l'introduction de plantes cultivées modifiées par des techniques moléculaires de génie génétique – parfois appelées « OGM » – a apporté une contribution prodigieuse aux revenus agricoles et aux avantages environnementaux par le biais de changements dans les pratiques de travail du sol et dans l'utilisation de pesticides et d'herbicides.
L'observation de Pretty selon laquelle le génie génétique « est désormais une priorité pour les objectifs de développement durable des Nations Unies » mérite d'être soulignée, car les agences des Nations Unies telles que, de manière incompréhensible, l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO), sont connues pour leur réticence à reconnaître dans leurs rapports et analyses les contributions scientifiques, économiques et humanitaires déjà prodigieuses et le potentiel futur du génie génétique.
RépondreSupprimerAu lieu d'une science de pointe, la FAO colporte l'« agroécologie », qu'elle définit comme « une discipline scientifique, un ensemble de pratiques ainsi qu'un mouvement social », se concentrant sur « l'interaction entre les différentes composantes de l’agroécosystème [l'agroécologie] recherche des systèmes agricoles durables qui optimisent et stabilisent les rendements ». Toutefois, étant donné qu'elle rejette de nombreuses avancées technologiques et biologiques modernes en matière d'agriculture, il est peu probable que l'agroécologie produise des rendements qui suivent la croissance de la population et l'évolution des régimes alimentaires des consommateurs associée à l'augmentation des revenus et à l'urbanisation. La plupart des scientifiques la rejettent comme une combinaison de vœux pieux et d'ignorance et la considèrent comme une menace pour la sécurité alimentaire des pays en développement.
En revanche, un rapport du World Resources Institute publié le 5 décembre 2018 s'est montré à la fois plus scientifique et plus réaliste :
« Une utilisation plus efficace des ressources naturelles [...] est la mesure la plus importante pour atteindre les objectifs en matière de production alimentaire et d'environnement. Cela signifie qu'il faut augmenter les rendements des cultures à des taux supérieurs aux taux historiques et accroître considérablement la production de lait et de viande par hectare de pâturage. »
Comment y parvenir ? Ils concluent :
« La sélection classique, c'est-à-dire la sélection des plantes les plus performantes sur la base de leurs caractéristiques génétiques, est à l'origine d'environ la moitié des gains de rendement historiques. Les nouvelles avancées de la biologie moléculaire promettent des gains de rendement supplémentaires, car elles permettent de cartographier à moindre coût et plus rapidement les codes génétiques des plantes, de tester les caractéristiques souhaitées de l'ADN, de purifier les lignées de plantes et d'activer et de désactiver des gènes. »
En outre, depuis des décennies, les Académies Nationales des Sciences, de l'Ingénierie et de la Médecine ont documenté les avantages économiques et environnementaux du génie génétique, tout récemment dans un volumineux rapport publié en 2016. Ce rapport conclut que l'introduction de variétés génétiquement modifiées incorporant un pesticide naturel (une ou plusieurs protéines de la bactérie Bacillus thuringiensis) a réduit l'utilisation globale de pesticides et les populations de ravageurs (et a donc profité même aux cultures non génétiquement modifiées, ce que l'on appelle l'« effet de halo »), et a augmenté la diversité des insectes. L'étude a également montré que les cultures résistantes à des herbicides entraînaient une augmentation des rendements sans diminution de la diversité des plantes.
RépondreSupprimerLorsqu'il s'agit de l'importance du génie génétique dans l'agriculture durable, les Nations Unies, très politisées, ne sont manifestement d'aucun secours, soit qu'elles l'ignorent, soit qu'elles tentent d'imposer des réglementations excessives et non scientifiques. Mais l'examen sans prétention de Pretty est surprenant. Sa superficialité ne lui fait pas honneur et ne fait pas honneur à Science.
https://seppi.over-blog.com/2023/05/les-cultures-genetiquement-modifiees-sont-la-cle-d-une-agriculture-durable.pourquoi-certains-scientifiques-ont-ils-peur-d-en-parler.html
DEPUIS TOUJOURS NOUS SOMMES TOUS DES '100 % OGM'
SupprimerNotre organisme est composé de milliards de milliards de poussières respirées/consommées depuis notre naissance (Nous respirons toutes et tous avec ou sans masque 200 000 poussières et microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance !).
Suivant la qualité des poussières apportées aux vents qui soufflent, nos êtres se composent différemment. Elles solidifient notre ossature. La voiture est construite ? Passons au carburant pour la faire avancer: Notre nourriture se composent UNIQUEMENT de milliards de poussières sous formes végétales ou animales. Ce sont ce qui sont appelés depuis quelques décennies des 'organismes génétiquement modifiés' à cette différence que, ceux qui sortent de laboratoires (à l'opposé des arrivées naturelles) sont sélectionnés pour en faire des clones qui auront donc tous la particularité de pouvoir lutter contre des maladies bien définies qui attaquent les plantes et de lutter aussi contre les insectes ravageurs.
Les laboratoires n'opèrent donc pas comme les imbéciles d'abeilles qui butinent une fleur bleue et entrent dans une fleur rouge sans se nettoyer les pattes !! Puis entrent dans une fleur blanche et apportent encore des modifications à chacune de leur entrée !
Le Meta de Zuckerberg est à la pointe de la transformation des êtres humains en zéros virtuels, selon un expert en technologie
RépondreSupprimerUn groupe de 37 défenseurs des droits de l'enfant a demandé à Mark Zuckerberg de cesser de cibler les enfants et les adolescents dans le cadre du programme de commercialisation d'"Horizon Worlds", la plateforme de réalité virtuelle de Meta. Michael Rectenwald, Ph.D. expert en technologie, a déclaré au Defender que "Horizon Worlds" est encore pire que ce que le groupe a décrit.
Par Suzanne Burdick
Mondialisation.ca,
18 mai 2023
Le mois dernier, un groupe de près de 70 “grands défenseurs des droits de l’enfant et de la vie privée en ligne” a demandé à Mark Zuckerberg, PDG de Meta, la société mère de Facebook, de cesser de cibler les enfants et les adolescents dans son programme de marketing pour la plateforme de métavers de réalité virtuelle (VR) de l’entreprise, “Horizon Worlds“.
Dans une lettre adressée à M. Zuckerberg, les défenseurs des droits de l’homme, dont le Parents Television and Media Council et la Parent Coalition for Student Privacy (Coalition des parents pour la protection de la vie privée des étudiants ), ont déclaré
“Les soussignés – un total de 36 organisations et 37 experts individuels du développement des jeunes – vous écrivent pour vous demander d’annuler immédiatement les projets visant à attirer des utilisateurs âgés de 13 à 17 ans vers Horizon Worlds, et d’interdire aux mineurs d’utiliser la plateforme jusqu’à ce que Meta puisse démontrer que s’engager dans un environnement de réalité virtuelle (RV) en constante évolution est sans danger pour leur bien-être.”
Citant les ”impacts négatifs des médias sociaux 2D” bien documentés sur les jeunes, les défenseurs ont déclaré que Meta “doit attendre davantage de recherches évaluées par des pairs” sur les risques potentiels du métavers pour garantir la sécurité des enfants et des adolescents.
Commentant la lettre des défenseurs, Michael Rectenwald, docteur en droit et auteur de “Google Archipelago: The Digital Gulag and the Simulation of Freedom”, Michael Rectenwald, auteur de “Google Archipelago : The Digital Gulag and the Simulation of Freedom”, reconnaît que le métavers représente un danger pour les enfants et les adolescents.
“Le métavers est utilisé pour remplacer l’expérience du monde physique par une réalité simulée”, a déclaré M. Rectenwald, “et, grâce aux satisfactions réduites du monde réel, le métavers est devenu préférable à la réalité non virtuelle pour de nombreuses personnes. Les ‘Horizon Worlds’ de Meta circonscrivent les horizons de ses jeunes utilisateurs et les limitent à un simulacre”
M. Rectenwald a déclaré au Defender que les dommages potentiels causés par Horizon Worlds aux jeunes allaient au-delà de ce que les défenseurs des droits de l’homme décrivaient dans leur lettre. Il a dit :
RépondreSupprimer“Les préjudices sont plus fondamentaux : ils condamnent les utilisateurs à une hallucination consensuelle qui remplace la réalité matérielle et conduit au gaspillage du potentiel humain et à la perte de sens réel.
“En lieu et place de la réalité, le métavers offre une confusion ontologique, une transmutation de l’identité et une défiguration de la réalité. Le Meta de Zuckerberg est à la pointe de la transformation des êtres humains en zéros virtuels dans le domaine numérique.”
Le 3 mai, la Federal Trade Commission (FTC) a accusé Meta d’avoir violé l’accord de 5 milliards de dollars sur la protection de la vie privée et a appelé à un renforcement des restrictions imposées à l’entreprise, estimant qu’elle a partagé de manière inappropriée des données d’utilisateurs avec des tiers et qu’elle n’a pas protégé les enfants comme elle l’avait promis.
En outre, la FTC a déclaré qu’il devrait être interdit à Meta de monétiser les données qu’ elle recueille auprès des jeunes utilisateurs et de lancer de nouveaux produits tant qu’un auditeur tiers n’aura pas déterminé que les politiques de confidentialité de l’entreprise sont suffisantes pour protéger les utilisateurs.
Le Metaverse met les enfants en danger
Selon les défenseurs, “Meta a investi massivement dans ‘Horizon Worlds’ et il semble que l’investissement de Meta dans la RV soit un échec, mettant en danger les enfants dans le processus”.
Une étude récente du Center for Countering Digital Hate (CCDH) a révélé que les mineurs sur la plateforme VR de Meta étaient “régulièrement exposés au harcèlement et aux abus – y compris des insultes sexuellement explicites et du harcèlement raciste, misogyne et homophobe – et à d’autres contenus offensants”.
Les parents seraient choqués d’apprendre ce qui se passe derrière les portes closes d’”Horizon Worlds”, où des enfants et des adolescents sont agressés par des comportements abusifs et des contenus préjudiciables, sans que personne n’intervienne”, ont déclaré les défenseurs des droits de l’homme, en ajoutant :
“Tous les préjudices associés à l’utilisation excessive des médias sociaux et des appareils numériques peuvent être exacerbés sur les plates-formes de RV.
Bien que le CCDH ait signalé 51 incidents de comportement abusif à Meta, la société n’a fourni aucune réponse et “aucun rapport sur les mesures prises ou même un accusé de réception des plaintes”, ont-ils déclaré.
Le CCDH est également l’auteur de “The Disinformation Dozen” (la douzaine de la désinformation), qui inclut Robert F. Kennedy Jr, président de Children’s Health Defense en congé.
Meta – qui a déclaré un chiffre d’affaires de 28,1 milliards de dollars au premier trimestre 2023 – cible les adolescents pour protéger ses résultats en créant des utilisateurs à vie qui, par leur présence et leur soutien, font de la plateforme un outil à la mode.
Les défenseurs des droits de l’homme ont souligné qu’une note de service divulguée au Wall Street Journal révélait que Meta prévoyait d’ouvrir les “Horizon Worlds” aux adolescents afin d’accroître ses bénéfices.
Dans une note interne citée par le WSJ, Gabriel Aul, vice-président d’Horizon Worlds, a déclaré à son personnel que l’amélioration de la fidélisation des jeunes utilisateurs était une priorité absolue.
“Mais ce qui peut être bon pour votre chiffre d’affaires peut être incroyablement néfaste pour les jeunes”, ont déclaré les défenseurs des droits de l’homme.
Les défenseurs des droits de l’homme ont souligné que deux sénateurs démocrates ont récemment demandé à Meta de renoncer à son projet d’ouvrir “Horizon Worlds” aux utilisateurs adolescents, en citant les antécédents de Meta, qui fait passer le profit avant la sécurité des enfants.
RépondreSupprimerPar exemple, l’application “Messenger Kids”, destinée aux enfants âgés de 6 à 12 ans, présentait un grave défaut de conception qui permettait aux enfants de contourner les limites et d’interagir avec des inconnus.
Meta n’a pas non plus réussi à empêcher les publicités pour le tabac, l’alcool et les troubles de l’alimentation de cibler les adolescents sur Facebook.
De plus, les recherches internes de Meta indiquent que la plateforme de médias sociaux de l’entreprise, Instagram, rend les adolescentes plus mal à l’aise avec leur corps, et que des adolescents aux États-Unis et au Royaume-Uni ont fait remonter leurs pensées suicidaires à Instagram.
Jusqu’à ce que Meta se soit procuré des “recherches indépendantes qui détaillent de manière fiable [the] les impacts potentiels sur le bien-être des adolescents et a atténué les dangers d’abus, de harcèlement, d’exposition à des contenus préjudiciables et autres risques pour le bien-être des enfants et des adolescents. la compagnie ne devrait pas rendre ‘Horizon Worlds’ accessible aux utilisateurs de moins de 18 ans, les défenseurs ont-ils conclu.
https://www.mondialisation.ca/le-meta-de-zuckerberg-est-a-la-pointe-de-la-transformation-des-etres-humains-en-zeros-virtuels-selon-un-expert-en-technologie/5677882
Un film est un film. Un film regardé de l'extérieur. Les 'metavers' font participer les spectateurs en acteurs opérant en 'des mondes fantastiques'.
SupprimerDes nuages de poussière contenant de l'uranium dérivent au-dessus de l'Europe après l'explosion de munitions britanniques à l'uranium appauvri en Ukraine
RépondreSupprimer20 mai 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Après l'attaque d'un énorme dépôt de munitions le 13 mai près de Khmelnytsky, il y a eu une violente explosion avec un nuage noir en forme de champignon. Des munitions à l'uranium appauvri, fournies par la Grande-Bretagne pour être utilisées dans ses chars Challenger, étaient apparemment stockées sur le site de l'explosion.
Le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Nikolai Patrushev, a averti vendredi qu'un nuage radioactif se dirigeait vers l'Europe occidentale.
docteur Chris Busby a partagé son expertise sur les conséquences de l'explosion avec les médias , il est physico-chimiste et secrétaire scientifique du Comité européen sur les risques de rayonnement (ECRR), a représenté des vétérans des essais de bombes atomiques à la Royal Courts of Justice de Londres , a été membre du DUOB (Depleted Uranium Oversight Board) du ministère britannique de la Défense (2000-2005) et du CERRIE (Committee Examining Radiation Risk from Internal Emitters) de 2000 à 2004.
L'explosion a brûlé l'uranium appauvri dans la boule de feu. Les particules d'UA sont si petites qu'elles agissent comme un gaz et parcourent de très longues distances une fois produites par la combustion de l'UA. Ils ont été retrouvés en Angleterre en 2003 après leur arrivée d'Irak. Le matériel est capable de couvrir de très grandes distances.
Si l'uranium appauvri était impliqué dans l'explosion de Khmelnytsky et contenait les particules dans le panache de l'explosion, le matériau se déplacerait sous le vent et devrait être détectable sur les sites de surveillance sous le vent.
L'UA a également une signature gamma, il émet des rayons gamma. L'U-238 qui reste après le retrait de l'U-235 fissile dans les centrifugeuses (et utilisé pour les armes nucléaires et les réacteurs) est un émetteur alpha faible. Au cours de sa désintégration alpha, l'uranium-238 se transforme en thorium-234 et en protoactinium-234m, qui se transforme ensuite en uranium-234. Le thorium-234 est un émetteur bêta et gamma, émettant 6 % de son énergie de désintégration sous forme de rayons gamma. Par conséquent, de gros nuages de particules d'aérosol d'uranium appauvri peuvent être détectés par des détecteurs gamma.
L'examen des cartes météorologiques montre qu'au moment de l'explosion et pendant des jours après, il y avait une zone anticyclonique au nord du site de l'explosion et les vents étaient faibles mais venaient du sud-est et soufflaient autour de la zone anticyclonique depuis le nord-ouest. Ainsi, le panache de fumée se déplacerait vers la Pologne. Avec une vitesse de vent d'environ 5 km/h le 15 mai, il atteindrait tous les détecteurs polonais distants de 250 km.
Après Tchernobyl, l'Union européenne a mis en place un système de détection de rayons gamma à l'échelle européenne qui affiche les valeurs gamma en temps réel. Comme TKP l'a signalé le 16 mai , le site Web n'a chargé aucune donnée les 15 et 16 mai. Busby note également que toutes les données ont été bloquées. Le système basé sur le Web (EURDEP) administré depuis l'Allemagne n'a pas fourni les cartes de détection qui sont par ailleurs toujours disponibles. Heureusement, il y avait des cartes sur Internet et certaines avaient déjà été téléchargées par d'autres avant que le système ne cesse de fonctionner. Voici l'un d'entre eux:
Au niveau de ce détecteur, au nord-ouest du site de l'explosion, il y a eu une augmentation significative du rayonnement gamma, presque exactement là où on aurait pu s'y attendre à une distance de 250 km et une vitesse moyenne du vent de 5 km/h. L'augmentation de 60 nSv/h à 90 nSv/h était statistiquement très significative et s'élevait à environ 50 %. D'autres détecteurs en Pologne ont également montré une augmentation lorsque le nuage passait au-dessus, l'augmentation diminuant avec la distance (en raison de la diffusion des nuages).
RépondreSupprimerLa carte web du système européen de détection des rayonnements est à nouveau en ligne depuis le 18 mai. Le type de carte avait changé et tout ce que nous avions vu dans les téléchargements avait disparu ou était flouté par l'analyse de la moyenne des données. Et pourquoi? Ceci et la suspension précoce de l'accès au site suggèrent la panique et la dissimulation.
L' augmentation de la radioactivité du bismuth-214, une "fille" du radon, également rapportée par TKP . Le radon (Rn-222), gaz de fond radioactif naturel, est toujours présent car il se forme à partir de l'uranium et du radium dans le sol. Lorsqu'il y a un changement soudain de pression atmosphérique ou lorsqu'il pleut, il y a un pic gamma de radon qui apparaît comme un pic de Bi-214. Ainsi, les Pôles semblent impliquer que l'augmentation des rayons gamma est normale et qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter.
Le problème avec l'argument du radon est, premièrement, que l'augmentation des rayons gamma à travers la Pologne se produit sur une échelle de temps indicative de l'explosion de Khmelnytski, et deuxièmement, qu'il y avait un système météorologique anticyclonique stable et qu'aucun changement de pression atmosphérique ne causait le radon du pourrait tirer au sol. L'expert a vérifié tout cela. Il n'y a eu que quelques pluies légères sur Lublin.
Cependant, il existe une autre possibilité. Les particules très fines attirent le radon : Le rayonnement gamma du radon augmente légèrement au voisinage des cheminées d'usine qui émettent des particules fines. Le signal de Lublin est donc probablement dû au nuage de fumée de l'explosion.
Donc, dans l'ensemble, nous assistons à une explosion massive que l'on pense être de l'uranium appauvri et des rapports faisant état d'une augmentation du rayonnement gamma à proximité de l'installation. L'oxyde d'uranium est noir et le nuage noir se déplace lentement vers le nord-ouest, le temps est stable et le vent souffle vers la Pologne. Les détecteurs polonais de l'UE montrent tous une augmentation du rayonnement gamma au moment prévu de l'arrivée du nuage. Le système de détection de l'UE sera arrêté rapidement, mais pas avant que nous ayons reçu des données de plusieurs sites.
Busby suppose qu'il y a une catastrophe environnementale et que les particules d'UA migrent via la Pologne, l'Allemagne et la Hongrie et se retrouvent dans les États baltes, plus tard probablement dans toute l'Europe. Chimiquement parlant, l'uranium est hautement toxique et s'il est inhalé, le rayonnement radioactif provoque des maladies.
https://tkp.at/2023/05/20/staubwolken-mit-uran-treiben-ueber-europa-nach-explosion-von-britischer-du-muniton-in-ukraine/
C'est très rare mais çà arrive. Les poussières radioactives (appelées virus) à l'opposée des poussières empoisonnées du 'cocovide19' qui n'étaient pas dans l'air mais UNIQUEMENT offertes en seringues accompagnées du nazi masqué, celles-ci sont offertes par la Grande-Bretagne.
SupprimerDemande croissante de pilules contre l'obésité pour résoudre le problème de la malbouffe
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
19 mai 2023
En 2021, le taux d'obésité chez les adultes de plus de 20 ans aux États-Unis était de 41,9 %.1 Malheureusement, les gens ont été endoctrinés en pensant que les « pilules magiques » sont la réponse, au lieu d'examiner attentivement votre mode de vie, votre régime alimentaire. et les habitudes alimentaires.
Wegovy (semaglutide), administré sous forme d'auto-injection hebdomadaire, est devenu si populaire que, début mai 2023, Novo Nordisk a annoncé qu'il réduirait l'approvisionnement en doses de départ pour le marché américain afin de "sauvegarder la continuité des soins" pour les patients existants. 2 Tel que rapporté par CNBC :3
"Novo Nordisk a annoncé jeudi des ventes du premier trimestre supérieures aux prévisions à la suite d'un pic de la demande pour son médicament de perte de poids à succès … [Le directeur financier Karsten Munk] Knudsen a déclaré que la société "augmentait l'offre tous les jours" et avait actuellement deux contrats. les fabricants s'efforcent d'augmenter la production, un tiers devant être mis en ligne au second semestre 2023.
Il a ajouté qu'il y avait d'autres plans pour augmenter la production dans les années à venir. "C'est aussi le reflet d'un très grand marché et d'un très grand besoin non satisfait de médicaments sûrs et efficaces, et c'est là que Wegovy entre en jeu, étant très efficace et sûr pour les patients [obèses]", a-t-il déclaré.
Ce que vous devez savoir sur Wegovy
Wegovy a été approuvé par la Food and Drug Administration des États-Unis en juin 2021 pour « la gestion chronique du poids chez les adultes obèses ou en surpoids avec au moins une condition liée au poids (telle que l'hypertension artérielle, le diabète de type 2 ou l'hypercholestérolémie) ».4
Le médicament est indiqué pour les patients ayant un indice de masse corporelle (IMC) de 27 ou plus qui ont au moins une affection liée au poids, ou chez les patients ayant un IMC de 30 ou plus.
Selon la FDA, l'ingrédient actif de Wegovy, le sémaglutide, agit en "imitant une hormone appelée glucagon-like peptide-1 (GLP-1) qui cible les zones du cerveau qui régulent l'appétit et l'apport alimentaire".5
Le GLP-1, que le sémaglutide imite, abaisse également la glycémie et ralentit le passage des aliments dans votre intestin.6 Les effets secondaires gastro-intestinaux sont si fréquents que la dose doit être progressivement augmentée, de 0,25 milligrammes à 2,4 mg au cours de 16 à 20 semaines.
RépondreSupprimerAu total, l'innocuité et l'efficacité ont été étudiées dans quatre essais de 68 semaines impliquant un total de 2 600 patients ayant reçu le médicament et 1 500 ayant reçu un placebo. Dans le plus grand essai contrôlé par placebo, les patients non diabétiques qui ont reçu Wegovy ont perdu en moyenne 12,4 % de leur poids corporel par rapport au groupe placebo.
Dans un autre essai, auquel ont participé des adultes atteints de diabète de type 2, la perte de poids moyenne était de 6,2 % de leur poids corporel initial. Il est donc clair que le diabète peut avoir un impact marqué sur l'efficacité du médicament.
Effets secondaires et avertissements
En ce qui concerne les effets secondaires, les plus courants cités par la FDA sont :7
- voir cadre sur site -
Wegovy contient également des avertissements pour :8
- voir cadre sur site -
Peut-être plus important encore, pour maintenir votre perte de poids, vous devez continuer à prendre Wegovy indéfiniment. Si vous arrêtez de le prendre, les kilos que vous avez perdus reviendront. Cela explique pourquoi Novo Nordisk s'est senti obligé de limiter la disponibilité du médicament pour les nouveaux patients, car ils doivent s'assurer que ceux qui le prennent déjà peuvent le rester.
Une non-solution dangereuse
Selon Novo Nordisk, « des centaines de milliers » d'Américains prennent déjà le médicament,9 mais compte tenu de tous les effets secondaires, des avertissements et du fait que vous devez prendre le médicament pour le reste de votre vie, comment peut-on penser que c'est la réponse à notre problème d'obésité ? Tant de choses peuvent mal tourner ici.
Le nœud du problème est que ce médicament ne fait rien pour traiter la cause profonde de l'obésité. Vous ne faites que jouer avec la chimie du cerveau pour supprimer artificiellement l'appétit, devenant potentiellement suicidaire dans le processus.
Pendant ce temps, la recherche a montré que les aliments transformés affectent votre cerveau de manière préjudiciable, entraînant anxiété, dépression et déclin cognitif.10 Donc, fondamentalement, beaucoup mangent de la malbouffe transformée qui dérégule leur cerveau, puis prennent un médicament qui dérégule simplement leur cerveau même plus loin.
Maintenant, lorsque vous prenez Wegovy, vous êtes censé suivre un régime alimentaire qui met l'accent sur les aliments entiers frais et les graisses saines.11 Les aliments transformés sont censés être strictement limités. Mais combien de patients suivent réellement ce plan ? S'ils le faisaient, ils n'auraient probablement pas besoin du médicament !
RépondreSupprimerLa réponse évidente ici est de simplement abandonner les aliments transformés et de donner à votre cerveau et à votre corps la nutrition dont il a besoin pour un fonctionnement et une régulation optimaux. Si vous prenez Wegovy et que vous mangez toujours des aliments transformés, devinez quoi ? Vous doublez essentiellement votre risque de maladies chroniques comme le cancer et les problèmes mentaux. Pour moi, ce n'est pas une solution. Cela aggrave un problème qui, pour la plupart des gens, peut être résolu uniquement par des changements de régime alimentaire et de mode de vie.
Régime ultra-transformé associé à une mauvaise santé mentale
Examinant de plus près comment les aliments transformés affectent la santé mentale, voici un extrait du New York Times :12
« Environ 60 % des calories du régime alimentaire américain moyen13 proviennent d'aliments hautement transformés. Nous savons depuis des décennies que la consommation de tels produits emballés - comme certaines céréales pour le petit-déjeuner, les barres-collations, les repas surgelés et pratiquement tous les bonbons emballés, entre autres choses - est liée à des résultats indésirables pour la santé, comme un risque accru de diabète, d'obésité et même cancer.
Mais des études plus récentes indiquent un autre inconvénient majeur… Ils semblent également avoir un impact significatif sur notre esprit. Des recherches menées au cours des 10 dernières années environ ont montré que plus une personne mange d'aliments ultra-transformés [UPF], plus elle a de chances de se sentir déprimée et anxieuse…
Dans une étude de 202214 portant sur plus de 10 000 adultes aux États-Unis, plus les participants aux FPU mangeaient, plus ils étaient susceptibles de signaler une légère dépression ou des sentiments d'anxiété. "Il y a eu une augmentation significative des jours de mauvaise santé mentale pour ceux qui mangeaient 60% ou plus de leurs calories provenant des FPU", a déclaré le Dr Hecht, l'auteur de l'étude...
De nouvelles recherches ont également trouvé un lien entre une consommation élevée d'UPF et le déclin cognitif. Une étude de 202215 qui a suivi près de 11 000 adultes brésiliens pendant une décennie a trouvé une corrélation entre la consommation d'aliments ultra-transformés et une détérioration de la fonction cognitive (la capacité d'apprendre, de se souvenir, de raisonner et de résoudre des problèmes).
RépondreSupprimer"Alors que nous avons un déclin naturel de ces capacités avec l'âge, nous avons vu que ce déclin s'accélérait de 28% chez les personnes qui consomment plus de 20% de leurs calories à partir des UPF", a déclaré Natalia Gomes Goncalves, professeur à l'Université de São Paulo. Medical School et l'auteur principal de l'étude.
Bien que les détails soient encore sommaires, il est raisonnable de supposer que la raison pour laquelle les aliments ultra-transformés ont un impact si néfaste sur la santé mentale et physique est qu'ils sont chargés de sirop de maïs à haute teneur en fructose, qui contient des charges d'amidon non filtré en plus des sucres et, bien sûr, les huiles de graines. Ces deux facteurs ont tendance à augmenter la sérotonine dans l'intestin, ce qui augmente l'inflammation et les niveaux de cortisol qui nuisent à la santé mentale.
De plus, les additifs chimiques contenus dans les aliments ultra-transformés ont également un impact négatif sur votre microbiome intestinal. Un microbiote intestinal pauvre, à son tour, favorise l'inflammation chronique, qui peut déclencher ou aggraver une foule de maux, y compris l'obésité et la dépression. Compte tenu de l'importance d'un intestin sain, ne semble-t-il pas irrationnel de prendre un médicament qui cause de graves problèmes gastro-intestinaux ?
Les aliments ultra-transformés causent l'obésité et le cancer
Si nous, en tant que société, voulons un jour stabiliser ou diminuer les taux d'obésité et de cancers liés à l'obésité, nous devons nous attaquer à l'éléphant dans la pièce, à savoir les aliments ultra-transformés. Nous ne pouvons pas nous soigner de ces problèmes, d'autant plus que des médicaments comme Wegovy sont accompagnés d'un avertissement de cancer de la thyroïde et doivent être pris à vie, sinon le poids revient.
De nombreuses études ont établi un lien entre les aliments ultra-transformés et l'obésité et les cancers liés à l'obésité. L'un des plus récents, publié en mai 2023, a analysé "l'association des déserts alimentaires et des marécages alimentaires avec la mortalité par cancer liée à l'obésité aux États-Unis". Comme indiqué dans cette étude :16
« Les cancers liés à l'obésité représentent 40 % de tous les cancers aux États-Unis. La consommation d'aliments sains est un facteur modifiable qui réduit la mortalité par cancer liée à l'obésité, mais résider dans des zones avec moins d'accès aux épiceries (déserts alimentaires) ou un accès plus élevé à la restauration rapide (marécages alimentaires) réduit l'accès à des aliments sains…
RépondreSupprimerCette étude écologique transversale a utilisé les données de l'Atlas de l'environnement alimentaire du Département américain de l'agriculture de 2012, 2014, 2015, 2017 et 2020 et les données de mortalité des Centers for Disease Control and Prevention de 2010 à 2020. Un total de 3038 comtés américains ou équivalents de comté avec des informations complètes sur les scores de l'environnement alimentaire et les données sur la mortalité par cancer liée à l'obésité ont été incluses…
Il y avait une augmentation de 77% des chances d'avoir des taux élevés de mortalité par cancer liés à l'obésité parmi les comtés américains ou leurs équivalents avec des scores élevés de marais alimentaires…
Les résultats de cette étude écologique transversale suggèrent que les décideurs politiques, les agences de financement et les acteurs communautaires devraient mettre en œuvre des approches durables pour lutter contre l'obésité et le cancer et établir un accès à une alimentation plus saine, comme la création de quartiers plus propices à la marche et de jardins communautaires.
L'industrie alimentaire évolue dans la mauvaise direction
Pendant ce temps, le gouvernement américain déplace intentionnellement l'industrie alimentaire dans la direction opposée, loin des aliments frais, entiers et naturels et vers les viandes cultivées en laboratoire et les aliments végétaux issus de la bio-ingénierie.17,18
C'est fait au nom de la "durabilité" et de la "sécurité alimentaire", mais les ramifications dans le monde réel ne sont pas difficiles à prévoir. Remplacer les vrais aliments par des aliments ultra-transformés et génétiquement modifiés dévastera la santé humaine et réduira l'espérance de vie.
L'Italie est l'un des rares pays qui semble avoir compris cela et cherche maintenant à interdire la production, la vente et la consommation de viande cultivée en laboratoire.19 Comme l'a noté le ministre italien de l'agriculture, de la souveraineté alimentaire et des forêts, Francesco Lollobrigida, "ne garantissent pas la qualité, le bien-être et la protection de notre culture, de notre tradition."
RépondreSupprimerEn effet, la viande synthétique, par exemple, est la quintessence des aliments ultra-transformés,20 et il est naïf de penser qu'elle n'aura pas d'effets sur la santé similaires à d'autres aliments ultra-transformés. L'obésité,21 le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, le cancer et la dépression ne sont que quelques-unes des conditions connues pour être favorisées et exacerbées par un régime alimentaire ultra-transformé.22,23,24,25,26
Parallèlement, la Maison Blanche fait la promotion du Cancer Moonshot27, un programme visant à réduire les taux de cancer de 50 % ou plus au cours des 25 prochaines années. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que ce programme échouera, car il est également axé sur la biotechnologie plutôt que sur la création d'une base solide pour la santé grâce à des aliments sains et non altérés et à l'élimination des additifs alimentaires chimiques.
L'édition de gènes CRISPR, par exemple, s'est avérée déclencher le cancer. Les cellules dont les génomes sont modifiés avec succès par CRISPR-Cas9 ont un potentiel cancérigène, les transformant en bombes à retardement proverbiales. Pourtant, l'édition de gènes est saluée comme la réponse à tout, de l'insécurité alimentaire aux maladies chroniques comme le cancer. C'est comme si la science s'était complètement déconnectée de la réalité.
Si vous êtes aux prises avec un excès de poids ou une maladie chronique, l'une des stratégies fondamentales de "traitement" que vous devez adopter est de manger de la vraie nourriture.
En fin de compte, la réponse aux taux de maladies chroniques, à l'obésité et à l'insécurité alimentaire ne réside pas dans un système alimentaire centré sur la biotechnologie contrôlé de haut en bas, ou dans des médicaments altérant le cerveau qui suppriment l'appétit. La seule réponse viable à long terme est un système alimentaire décentralisé qui relie les communautés aux agriculteurs qui cultivent de la vraie nourriture de manière durable et distribuent cette nourriture localement. Nous avons besoin d'une meilleure nourriture, pas de plus de médicaments.
Le fait que des "centaines de milliers" d'Américains comptent déjà sur un médicament qui est sur le marché depuis moins de deux ans est un triste témoignage de la sous-information des gens en matière de santé.
RépondreSupprimerQu'est-ce qui rend les aliments ultra-transformés ?
Si vous êtes aux prises avec un excès de poids ou une maladie chronique, l'une des stratégies de « traitement » fondamentales que vous devez adopter est de manger de la vraie nourriture. Un article de Public Health Nutrition publié en 2019 vous explique comment identifier les aliments ultra-transformés afin de pouvoir les éviter :28
« Les aliments ultra-transformés sont définis dans le système de classification NOVA, qui regroupe les aliments en fonction de l'étendue et de l'objectif de la transformation industrielle.
Les procédés permettant la fabrication d'aliments ultra-transformés comprennent le fractionnement d'aliments entiers en substances, les modifications chimiques de ces substances, l'assemblage de substances alimentaires non modifiées et modifiées, l'utilisation fréquente d'additifs cosmétiques et d'emballages sophistiqués…
Les aliments peu transformés, qui, avec les aliments non transformés, constituent le groupe NOVA 1, sont des aliments non transformés modifiés par des processus industriels tels que l'élimination des parties non comestibles ou indésirables, le séchage, le broyage, le broyage, le fractionnement, le rôtissage, l'ébullition, la pasteurisation, la réfrigération, la congélation, le placement dans des conteneurs, emballage sous vide ou fermentation non alcoolique.
Aucun de ces processus n'ajoute de sel, de sucre, d'huiles ou de graisses ou d'autres substances alimentaires à l'aliment d'origine. Leur objectif principal est de prolonger la durée de vie de [la nourriture]… permettant leur stockage pour une utilisation plus longue…
NOVA groupe 2 est composé d'ingrédients culinaires transformés. Ce sont des substances obtenues directement à partir d'aliments du groupe 1 ou de la nature, comme les huiles et les graisses, le sucre et le sel. Ils sont créés par des procédés industriels tels que le pressage, la centrifugation, le raffinage, l'extraction ou l'exploitation minière, et leur utilisation est dans la préparation, l'assaisonnement et la cuisson des aliments du groupe 1.
Le groupe NOVA 3 est composé d'aliments transformés. Ce sont des produits industriels fabriqués en ajoutant du sel, du sucre ou une autre substance du groupe 2 aux aliments du groupe 1, en utilisant des méthodes de conservation telles que la mise en conserve et la mise en bouteille et, dans le cas des pains et des fromages, en utilisant une fermentation non alcoolique. La transformation alimentaire vise ici à augmenter la durabilité des aliments du groupe 1…
Les aliments ultra-transformés sont des formulations d'ingrédients, pour la plupart à usage industriel exclusif, qui résultent d'une série de procédés industriels (donc « ultra-transformés »)…
RépondreSupprimerUn moyen pratique d'identifier un produit ultra-transformé est de vérifier si sa liste d'ingrédients contient au moins un élément caractéristique du groupe d'aliments ultra-transformés NOVA, c'est-à-dire soit des substances alimentaires jamais ou rarement utilisées en cuisine... ou des classes d'additifs conçus pour rendre le produit final agréable au goût ou plus attrayant …
Les aliments ultra-transformés comprennent les boissons gazeuses non alcoolisées ; grignotines emballées sucrées ou salées; chocolat, bonbons (confiserie); glace; pains et brioches emballés produits en série; margarines et autres pâtes à tartiner; biscuits (biscuits), pâtisseries, gâteaux et préparations pour gâteaux; céréales du petit-déjeuner'; tartes et plats de pâtes alimentaires et pizzas préparés à l'avance; «nuggets» et «sticks» de volaille et de poisson, saucisses, hamburgers, hot-dogs et autres produits à base de viande reconstitués; soupes, nouilles et desserts « instantanés » en poudre et emballés ; et de nombreux autres produits.
Comment identifier les aliments ultra-transformés
Voici une liste plus détaillée des ingrédients à surveiller :29
• Ingrédients jamais ou rarement utilisés en cuisine :
- voir cadre sur site -
• Additifs :
- voir cadre sur site -
À ces listes, j'ajouterais tout aliment contenant des huiles végétales ou des huiles de graines, telles que l'huile de maïs, l'huile de tournesol, l'huile de canola, l'huile de coton, l'huile de soja, l'huile de pépins de raisin et l'huile de carthame.
Les huiles de graines sont couramment utilisées en cuisine, même à la maison, mais si vous voulez perdre du poids et améliorer votre santé, elles doivent être strictement évitées, car elles sont très riches en acide linoléique oméga-6, qui est le principal moteur de maladie chronique. Pour en savoir plus, voir "Acide linoléique - L'ingrédient le plus destructeur de votre alimentation".
Sources and References
RépondreSupprimer1 CDC Adult Obesity Facts
2 STAT News May 4, 2023
3 CNBC May 4, 2023
4, 5, 7, 8 FDA June 4, 2021
6, 9 CNN Health May 5, 2023
10, 12 NY Times May 4, 2023
11 Menopausebetter.com Diet Plan When Taking Wegovy
13 Front Nutr May 28, 2019; 6: 70
14 Public Health Nutrition November 2022; 25(11): 3225-3234
15 JAMA Neurology 2023; 80(2): 142-150
16 JAMA Oncology May 4, 2023 Epub ahead of print
17 White House Executive Order on Advancing Biotechnology September 12, 2022
18 Bold Goals for US Biotechnology and Biomanufacturing March 2023
19 Epoch Times April 18, 2023 (Archived)
20 Friends of the Earth, From Lab to Fork, June 2018 (PDF)
21 Cell Metabolism, 2019; doi: 10.1016/j.cmet.2019.05.008
22 JAMA Internal Medicine February 11, 2019;179(4):490-498
23 BMJ February 14, 2018; 360
24 JAMA 2017;317(9):912-924
25 BMJ, 2019;365:I1451
26 BMJ, 2019;365:l1949
27 White House Cancer Moonshot
28, 29 Public Health Nutrition April 2019; 22(5): 936-941
https://www.lewrockwell.com/2023/05/joseph-mercola/booming-demand-for-obesity-pill-to-solve-junk-food-problem/
Si vous vivez dans une grande ville américaine, il est probablement temps de déménager
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
20 mai 2023
Bien que cela puisse sembler être un article se concentrant sur Chicago, sachez que Chicago n'est utilisé que comme un exemple de la décadence morale et de la corruption dans pratiquement toutes les grandes villes des États-Unis. Cela sert d'avertissement brutal pour déménager si vous êtes dans l'une de ces zones.
Comme l'a noté ReallyGraceful dans la vidéo ci-dessus, Chicago, Illinois, devrait être "un paradis des États-Unis". Troisième plus grande ville des États-Unis, elle regorge d'architecture de classe mondiale et d'avancées technologiques. C'est un centre pour les industries manufacturières et de transport et est devenu la Mecque du secteur technologique.1
Mais plutôt que d'être la prunelle des yeux de l'Amérique, Chicago est devenue connue comme "un centre de meurtre, de crime et de corruption". Une personne est abattue toutes les trois heures et 41 minutes dans "The Windy City". Ceci malgré certaines des lois sur le contrôle des armes à feu les plus strictes du pays.
Quelqu'un est assassiné toutes les 15 heures et 54 minutes à Chicago. Selon les statistiques citées dans la vidéo, vous êtes plus susceptible d'être assassiné à Chicago que de mourir en tant que civil dans la guerre Ukraine-Russie. La violence à Chicago est principalement Black on Black, et la plupart des victimes sont des hommes noirs de moins de 25 ans. Comment cela s'est-il produit ? Comment Chicago est-elle devenue un centre de crime plutôt que d'avancement ?
Les politiques ratées de Chicago
Lori Lightfoot, une démocrate gay noire, est devenue maire de Chicago en 2019. À l'été 2020, elle a accompagné le mouvement national de financement de la police. En août, elle s'est engagée à réduire le budget de la police de la ville de 80 millions de dollars, mais un mois plus tard, elle a changé d'avis et a finalement réduit « seulement » le budget de 59 millions de dollars.2
À son crédit, elle a rejeté l'appel de la communauté à éliminer complètement la police et à la remplacer par des travailleurs sociaux et des professionnels de la santé, affirmant qu'elle "ne soutient pas le financement de la police" et qu'elle ne peut pas "adopter de manière responsable des politiques qui rendent les communautés moins sûres".3
De toute évidence, Lightfoot a compris la valeur de la présence policière, voyant comment elle s'est assurée qu'elle disposait d'une équipe de 71 policiers protégeant son domicile personnel.
Cela dit, Lightfoot a également mis en œuvre certaines des politiques de verrouillage les plus draconiennes du pays et a fait pression sur les habitants de Chicago pour obtenir le vaccin expérimental COVID. Elle a également lancé un programme pilote de revenu de base universel, qui est encore un autre moyen de rendre les gens dépendants de l'aide gouvernementale.
Pendant tout ce temps, la criminalité a augmenté. En décembre 2021, Lightfoot a supplié le gouvernement fédéral de disposer de ressources supplémentaires en matière d'application de la loi pour lutter contre les taux de criminalité incontrôlables.4
RépondreSupprimerEn avril 2023, Lightfoot est devenue la première maire de Chicago à perdre sa réélection, apparemment en raison de son incapacité à maîtriser la criminalité. Remarquablement, le nouveau maire est tout sauf dur avec le crime et est encore plus permissif qu'elle ne l'était.
Contrairement à Lightfoot, qui a au moins repoussé le mouvement irrationnel sinon suicidaire de « financement de la police », le nouveau maire, le démocrate Brandon Johnson, ancien organisateur syndical et commissaire du comté de Cook, était un fervent partisan du financement de la police, et à ce propos day défend le pillage comme "une explosion de frustration et d'angoisse incroyables" causée par "un système raciste défaillant".
Pendant ce temps, Walmart, l'un des principaux donateurs du Parti démocrate, ferme actuellement quatre de ses huit magasins de Chicago en raison de vols et de pillages endémiques. Walmart ne peut tout simplement pas se permettre d'y rester. Les manifestants se sont rassemblés devant Walmart, critiquant sa décision, mais en fin de compte, l'économie règne - même dans les zones contrôlées par les démocrates.
La dépénalisation du crime mène à l'anarchie
Remarquablement, la tendance démocrate à dépénaliser le vol, le pillage et même les crimes violents et les meurtres – parce que « le racisme et l'inégalité » – entraîne davantage de crimes. Qui aurait pu deviner que le non-respect des lois conduirait à l'anarchie ?
Comme l'a noté le procureur du comté de Cook, Jason Poje, qui a démissionné début mai 2023 de son poste qu'il occupe depuis 20 ans, "Cet État et ce comté se sont engagés sur la voie du désastre". Il poursuit :5
"... le pire, c'est que l'agence pour laquelle je travaille a littéralement soutenu chaque changement de politique qui a eu pour résultat prévisible et prévu d'augmenter le nombre de crimes et de blesser davantage de personnes.
Une réforme des obligations conçue pour s'assurer que personne ne reste en prison pendant que son dossier est en instance sans filet de sécurité pour gérer davantage de criminels dans la rue, des périodes de libération conditionnelle plus courtes, des peines plus faibles pour les récidivistes, des poursuites malveillantes et inutiles contre les agents des forces de l'ordre, une utilisation excessive de programmes de déjudiciarisation, intentionnellement de ne pas engager de poursuites pour des crimes légalement inscrits après avoir été adoptés par notre législature et signés par un gouverneur, toutes ces soi-disant réformes ont eu un impact négatif direct, avec des conséquences qui dureront pendant une génération…
RépondreSupprimerLes responsables actuels de cet État, y compris le [State’s Attorney’s Office] souffrent d’un malentendu fondamental… nous vivons dans une société avec des procédures judiciaires et pénales contradictoires.
Avocats de la défense, cliniques d'aide juridique, défenseurs publics, groupes de défense des accusés… ils se battent comme des fous pour protéger les droits des accusés. Et ils devraient. Leur travail est aussi noble que le nôtre. Mais nous avons l'obligation de nous battre comme un diable au nom du Peuple. Il va sans dire que cela doit être fait de manière éthique et impartiale.
Lorsque les deux parties défendent vigoureusement leurs positions, un équilibre est atteint entre la protection des droits tout en préservant une sorte d'ordre et de sécurité. Une fois que nous commençons à trop faire le travail de la défense, une fois que nous tirons nos coups, une fois que nous décidons qu'il vaut la peine de risquer la vie des citoyens pour avoir une petite expérience sociale, cet équilibre est perdu.
Les conséquences inéluctables sont ce à quoi nous assistons en temps réel, une augmentation de la criminalité de toutes sortes, des entreprises et des familles qui montent des enchères, et les corps qui s'entassent..."
Pourquoi les dirigeants politiques mettent-ils en œuvre des politiques qui, évidemment, se traduiront par plus de criminalité plutôt que par moins ? Ils sont intentionnellement mis en œuvre parce que le résultat final est souhaité.
Chicago n'est pas seule dans cette folie. Seattle, Los Angeles et de nombreuses autres villes dirigées par les démocrates ont mis en place des politiques similaires, et le résultat final est le même partout. Pourquoi les dirigeants politiques mettent-ils en œuvre des politiques qui, évidemment, se traduiront par plus de criminalité plutôt que par moins ?
ReallyGraceful a une théorie. Elle pense que ces politiques insensées sont intentionnellement mises en œuvre parce que la fin justifie les moyens puisqu'il s'agit d'un résultat souhaité.
RépondreSupprimerElle soupçonne que les grands magasins de brique et de mortier et les petits magasins sont intentionnellement expulsés des grandes villes afin que "seuls ceux qui ont l'argent et l'infrastructure nécessaires pour soutenir les achats en ligne puissent survivre". En d'autres termes, c'est un programme de consolidation. L'objectif final est de passer à une monnaie numérique traçable de la banque centrale et aux achats en ligne.
Au-delà de cela, nous avons les plans bien conçus du Forum économique mondial (WEF) pour les villes du futur.6,7 Ils veulent de petites villes verticales autonomes où chacun de vos mouvements est surveillé et où les excursions à la campagne sont interdites. Pour y arriver, ils doivent détruire les anciennes infrastructures et reconstruire selon de nouvelles spécifications.
Selon le WEF, les villes du monde entier gagneront 5 milliards de nouveaux habitants d'ici 2050.8 Au total, ils prédisent que 80 % de la population mondiale sera pressée vers les villes. Peu importe le fait que la vie en ville a longtemps été liée au stress, à la dépression et à une agressivité accrue.9
Les plans dits «d'urbanisme isobefit» incluent la construction de villes où l'essentiel se trouve à moins d'un mile de marche.
Cela a du sens, étant donné que l'objectif vert d'avoir toutes les voitures électriques d'ici 2050 est un fantasme qui ne peut être atteint. Il n'y a pas assez de minéraux sur cette planète pour remplacer les voitures à essence existantes par des véhicules électriques. Le plan est simplement que les gens moyens n'aient pas de voiture.
Effort coordonné pour libérer l'anarchie à travers l'Amérique
La principale conclusion ici est que la promotion de l'anarchie ne se limite pas à Chicago. Chicago n'est qu'un exemple de la dégradation morale qui se produit dans pratiquement toutes les grandes villes américaines.
Les criminels violents sont libérés des prisons de nombreuses grandes villes et les procureurs de l'État distribuent des tapes sur les doigts ou refusent de poursuivre les délinquants violents. C'est intentionnel. Vous n'avez pas besoin d'avoir un doctorat spécial. pour réaliser que s'il n'y a pas de punition pour le pillage et le meurtre, plus de gens vont piller et tuer.
RépondreSupprimerSelon les données du FBI, en moyenne, les meurtres et les homicides involontaires dans les villes américaines de plus de 10 000 habitants ont augmenté de 26 % entre 2010 et 2020 ; les viols ont augmenté de 38 %, les voies de fait graves de 29 % et les vols de voiture de 48 %.
Ce sont des moyennes. Certaines villes sont bien pires que d'autres10. Carte de la plupart des meurtres en 2023.13 Il convient de noter que 18 des 20 villes ayant les taux de meurtres les plus élevés ont des maires démocrates.
Sauvez-vous - Sortez des villes
Mon conseil? Si vous vivez dans une grande ville - n'importe quelle grande région métropolitaine - envisagez de déménager dans une plus petite, de préférence dans un état moins «réveillé» où l'anarchie n'est pas ouvertement acceptée et acceptée comme une forme d'arrangement «d'équité».
Votre sûreté, votre sécurité et votre bien-être à long terme, ainsi que ceux de votre famille, peuvent en dépendre, car la situation ne fera qu'empirer à partir d'ici. Nous pouvons facilement le prévoir car la dégradation que nous constatons actuellement est clairement intentionnelle.
10 villes et États que les propriétaires fuient
Depuis le début de la pandémie, nous avons assisté à un exode sans précédent des villes bleues (à gauche) à travers les États-Unis. Les 10 principales villes que les propriétaires ont fuies sont :14
San Francisco
Los Angeles
New York City
Washington, D.C.
Boston
Chicago
Detroit
Denver
Seattle
Philadelphia
Les gens fuient également certains États plus que d'autres. Selon le U.S. Census Bureau, les 10 États ayant enregistré la plus forte perte de population en 2021 en raison des délocalisations étaient :15
RépondreSupprimerNew Jersey
Illinois
New York
Connecticut
California
Michigan
Massachusetts
Louisiana
Ohio
Nebraska
Safest Cities in America
Quant à savoir où déménager, jeter un coup d'œil aux statistiques sur la criminalité peut être utile. En 2022, les 10 villes et cantons suivants étaient classés comme les plus sûrs16. Des listes supplémentaires de zones à faible criminalité sont disponibles ici17 et ici18.
Lewisboro Town, New York
Wayland, Massachusetts
Rye, New York
Broadview Heights, Ohio
Franklin, Massachusetts
Norfolk, Massachusetts
Sparta Township, New Jersey
Hasbrouck Heights, New Jersey
Berkeley Heights Township, New Jersey
Holden, Massachusetts
En ce qui concerne les États vers lesquels les gens affluent, les 10 principaux États qui ont connu le plus grand afflux sont :19,20
Florida
Texas
North Carolina
South Carolina
Tennessee
Georgia
Arizona
Idaho
Alabama
Oklahoma
Pour reconstruire, il faut s'attaquer aux vrais problèmes
Cet article m'a frappé car je suis né et j'ai grandi à Chicago et à peu près aussi natif que possible alors que je suis allé à la maternelle, à l'école primaire, au lycée, à l'université, à l'école de médecine et à la résidence, tous dans les limites de la ville de Chicago. Heureusement, je suis parti il y a plus de 12 ans et je me suis enfui sous le soleil de la Floride.
Je suis d'accord avec ReallyGraceful qui déclare que ce que nous voyons est la réaction hégélienne en temps réel : problème, réaction, solution. Ils créent intentionnellement un problème dont ils savent qu'il entraînera une certaine réaction, afin qu'ils puissent ensuite introduire une "solution" pré-planifiée - une solution qui centralise et cimente le pouvoir au sommet du gouvernement.
Et, bien qu'il y ait une fracture politique, il y a des pommes pourries et des promoteurs de Great Reset des deux côtés. Par exemple, certains dirigeants républicains demandent maintenant à l'armée américaine d'intervenir et de rétablir l'ordre, mais cela ne fait que partie du même programme. Le résultat est plus de contrôle et de pouvoir du gouvernement. Une intervention militaire est la dernière chose que nous devrions espérer.
RépondreSupprimerCe que nous devons vraiment faire, en tant que société, c'est jeter un regard froid et dur sur les problèmes que le gouvernement ignore ou essaie de balayer sous le tapis, car c'est là que se trouvent les solutions. Les vrais problèmes qui doivent être résolus peuvent être résumés comme suit :
- voir cadre sur site -
Les seuls qui peuvent régler ces problèmes sont We the People. Nous devons changer notre façon de vivre et d'interagir dans nos communautés locales et cesser de nous tourner vers le gouvernement pour trouver des solutions. Le gouvernement est en train de créer des problèmes pour introduire de fausses solutions qui centralisent le pouvoir. Nous devons identifier et résoudre les vrais problèmes, et nous seuls pouvons le faire.
Sources and References
1 Dom and Tom Expansion of Chicago’s Tech Sector
2, 3 Block Club Chicago October 21, 2023
4 Fox 17 December 22, 2021
5 ZeroHedge May 11, 2023
6 Weforum Cities and Urbanization
7 Weforum Global Future Council
8 Weforum March 14, 2023
9 Open Libraries Problems of Urban Life, Crowding
10 Safehome.org Crime Trends
11 CBS News Murder Map February 23, 2022
12 CDC.gov Homicide Mortality by State
13 World Population Review Cities With the Most Murders 2023 map
14 Yahoo! News January 22, 2023
15 World Population Review States People Are Leaving
16 Safewise Safest Cities in the US March 30, 2022
17 Bob Vila 19 Places with Almost Zero Crime 2021
18 Kiplinger Safest Cities in 2023
19 TheHill.com Feb. 1, 2023
20 National Association of Realtors January 30, 2023
https://www.lewrockwell.com/2023/05/joseph-mercola/if-you-live-in-a-major-us-city-its-probably-time-to-move/
Carnage: un renard tue 72 poulets
RépondreSupprimerDes exploitants de l’Ain ont découvert les dégâts immenses causés par un renard, peut-être aidé par sa progéniture.
par R.M.
19 mai 2023, 16:18
Un véritable carnage a été découvert dans une exploitation de Viriat, dans l’Ain, près de Bourg-en-Bresse. Les exploitants ont découvert 72 cadavres de poulets. Le coupable ? Un renard, peut-être aidé de sa progéniture, selon la presse française.
Le ou les renards ont réussi à pénétrer à l’intérieur de l’exploitation mardi vers 21 heures, «juste avant la fermeture automatique des trappes», précise «Le Progrès». Le préjudice s’élèverait à quelque 1800 euros.
Cette attaque ne va pas réconcilier les écologistes défenseurs des renards et les éleveurs de poulets, en conflit sur la manière de limiter les dégâts du prédateur, note le quotidien français.
https://www.lematin.ch/story/carnage-un-renard-tue-72-poulets-304089233553
Après les voleurs de poules 'réfugiés climatique' arrivent les loups, les ours et les renards ! Demain les lions ?
SupprimerPatriot vs. Kinjal : la Russie remporte le premier affrontement direct contre l'OTAN en Ukraine
RépondreSupprimervendredi 19 mai 2023
par Karine Bechet-Golovko
Le premier affrontement direct entre la Russie et l'OTAN a eu lieu à Kiev dans la nuit du 16 au 17 mai. Cette nuit-là, pour la première fois, la Russie a utilisé dans le conflit ukrainien son missile hypersonique de nouvelle génération "Kinjal". Alors que le système de défense américain Patriot est considéré comme invicible, il fut soit détruit, soit largement endommagé. Les Etats-Unis ne peuvent se permettre de le reconnaître, car l'impact politique - et économique est véritable : la Russie a changé le cours psychologique de la guerre.
Le système de défense aérienne américain Patriot est considéré comme le summum de la défense aérienne et son prix est à la hauteur des attentes. De son côté, la Russie avait annoncé la mise au point d'un nouveau missile hypersonique, le "Kinjal" quasiment infaillible en raison de sa vitesse. Le premier affrontement entre les deux armées, russe et américaine, sur le sol ukrainien a tourné à l'avantage de la Russie. Et c'est un moment très important dans ce conflit.
Des vidéos amateures sont diffusées et montrent que le tir a porté et que les missiles tirés par le système Patriot n'ont donc pas touché leur cible.
- voir doc sur site -
Or, si les Etats-Unis ont bien été obligés de reconnaître que le système Patriot a été touché, ils minimisent au maximum l'impact. Comme le diffuse immédiatement CNN :
"Les dommages causés à un système de défense aérienne Patriot à la suite de l'attaque au missile russe près de Kiev mardi matin sont minimes, ont déclaré trois responsables américains à CNN, l'un d'eux les décrivant comme des dommages "mineurs"."
Ce scénario est immédiatement repris par les médias occidentaux, chiens fidèles de leur maître. Ils reprennent tout d'abord la version négationniste américano-ukrainienne :
- voir doc sur site -
Il suffit de resserrer quelques boulons et il va marcher ... S'accrochant au fait qu'il est toujours opérationnel :
- voir doc sur site -
Aucune vidéo à l'appui n'est diffusée et six blogueurs ukrainiens, qui ont diffusé immédiatement les images et les informations concernant la destruction du système Patriot à Kiev sont interpellés par le Service de sécurité ukrainien SBU. Comment maintenir cette fable avec de telles images ?
Car il s'agit bien, quel que soit le degré d'atteinte, d'un échec du système Patriot. Comme le note Military Watch Magazine, ce média militaire spécialisé en anglais :
"Les Patriots ont été chargés de protéger la capitale à la suite des frappes russes majeures sur des infrastructures critiques, avec leur mobilité beaucoup plus faible et leurs arcs de tir plus limités que même les variantes de l'ère soviétique du système S-300 limitant leur aptitude à être utilisés près des lignes de front dans l'Est de l'Ukraine. Le système Patriot ciblé aurait tiré 32 intercepteurs sur les missiles balistiques Kinzhal qui le visaient, qui ont tous échoué, cette salve à elle seule ayant coûté environ 96 millions de dollars."
Et cela met un terme au mythe de l'invincibilité des systèmes Patriot, mythe qui devait justifier leur prix, environ 700 millions de dollars. Les Américains étant des commerçants avant tout, ils comprennent parfaitement le premier impact sur le marché mondial des armes de cette victoire russe.
Mais beaucoup plus que cela, dans le cadre du conflit en Ukraine, la Russie a montré qu'elle pouvait toucher le territoire tenu par l'armée atlanticuo-ukrainienne où elle voulait et ainsi elle vient de rééquilibrer le rapport des forces à son avantage. Comme le rappelle ce média camerounais :
RépondreSupprimer"Dans la dernière modification du PAC-3 Patriot, le système US ne peut voir que le Kinjal, mais pas le détruire. Tout dépend de la vitesse à laquelle le missile fonce.
Les experts expliquent que la vitesse du Kinjal est si élevée qu’aucun système aérien de défense ou de défense antimissile n’a le temps de réagir. Aussi, les experts contemplent avec humour l’affirmation de l’Ukraine selon laquelle elle aurait réussi à intercepter les Kinjal. Comme CNN le rapporte, cela a été déclaré non seulement par les autorités de Kiev, mais aussi par le Pentagone. Cependant, plus tard, une source du ministère russe de la Défense a nié cette information et, dans la nuit du 16 mai, le monde a reçu des preuves éloquentes de la victoire des armes russes dans un duel avec les systèmes aériens américains de défense grâce à des vidéos postées par des habitants de Kiev."
Et comme nous le voyons, les Etats-Unis et leurs satellites n'arrivent pas à sortir de cette impasse médiatico-militaire : ils ne peuvent se permettre un échec de cette ampleur.
http://russiepolitics.blogspot.com/2023/05/patriot-vs-kinjal-la-russie-remporte-le.html
Camembert Electrique
Supprimer19 mai 2023 à 13:08
Poutine avait prévenu il y a quelques mois : "nous n'avons pas encore commencé". Le renseignement russe doit avoir maintenant suffisamment de données sur la localisation des entrepôts de munitions en provenance des pays de l'OTAN, ce qui est l'occasion de les faire exploser au fur et à mesure qu'elles arrivent. Ce qui pose un grave problème pour l'Occident : la vitesse de destruction de ses armes et munitions par les Russes est supérieure à leur vitesse de fabrication. Sans compter que les technologies russes sont très en avance par rapport aux technologies américaines, notamment en ce qui concerne les missiles Patriot dont la conception par Raytheon est datée. Les déclaration de Prigogine qui sous-entendaient que les Russes étaient en ruptures de munitions ont apparemment endormi les Otano-Kiéviens qui n'ont pas compris ce qu'il leur arrive avec ces raids massifs. Et ce n'est que le début. Je me mets à la place des Israéliens et leur fameux "dôme de fer" dont les caractéristiques globales est similaire et fabriqué également par le complexe militaro-industriel US, et je serais eux, je serais très inquiets si un jour la Russie décidait de déployer ses missiles hypersoniques en Syrie. Le principal danger des armes hypersoniques russes est que son énergie est égale à la somme de l'énergie de sa charge explosive et de son énergie cinétique énorme (un demi de la masse multipliée par la vitesse au carré).
http://russiepolitics.blogspot.com/2023/05/patriot-vs-kinjal-la-russie-remporte-le.html
Vous n'êtes pas seul, la colère monte à travers le monde !
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 19 MAI 2023 - 23:00
Écrit par Bruce Wilds via le blog Advancing Time,
Vous n'êtes pas seul si vous en avez assez de voir votre gouvernement devenir de plus en plus oppressif et corrompu. De nombreuses personnes à travers le monde partagent votre douleur. Les gens continuent d'exprimer leur colère et leur mécontentement, cependant, c'est quelque chose que les médias choisissent souvent de ne pas rapporter car il appartient à ces mêmes forces qui tentent de nous asservir. Ceux de gauche qualifient la droite de fasciste ou de nazi tandis que ceux de droite qualifient la gauche de communiste.
Cela tend à négliger le fait que les deux groupes sont enracinés dans le désir d'étendre le contrôle. La vérité est que l'angoisse et la colère croissante que beaucoup de gens ressentent sont maîtrisées par des médias de masse avec un agenda très fort. Les médias de masse ont perfectionné l'art de nous diviser et en même temps de nous maintenir dans l'obscurité. Le plus grand risque auquel nous sommes confrontés est peut-être que l'intelligence artificielle (IA) nous attaque rapidement et furieusement. Une fois qu'il est ici, obtenir des informations deviendra presque impossible.
Dernièrement, plusieurs fois par jour, je trouve une chanson de la comédie musicale Les Misérables qui me traverse l'esprit. Il s'appelle "The Song Of Angry Men" et crie assez c'est assez. Bien sûr, dans la vidéo, les gens semblent très heureux jusqu'à ce que les soldats commencent à les tuer. Cette « chose à tuer » est bien sûr ce qui se passe dans les régimes totalitaires. Malheureusement, le monde compte beaucoup trop de régimes totalitaires et s'oriente vers la création d'autres régimes. Oui, ils peuvent vous priver de votre liberté.
Il se passe tout simplement trop de choses pour que la majeure partie de la société reste concentrée sur une seule question. Qu'il s'agisse de corruption en Ukraine ou de la manière dont l'argent américain est détourné ou gaspillé plutôt que dépensé pour ce que nous considérons comme des projets nécessaires. Parfois, le sujet est davantage une question de valeurs ou de direction, comme quoi faire avec quelque chose comme la famille criminelle Biden et un système judiciaire qui ferme les yeux sur leurs transgressions.
Ensuite, nous avons le rapport qui vient d'être publié par l'avocat spécial John Durham. L'enquête qui a duré trois ans conclut que le FBI n'aurait jamais dû lancer l'enquête Trump-Russie. Ce faisant, le public américain a été arnaqué par des forces à l'intérieur de notre gouvernement. C'était un acte qui a interféré dans les élections de 2016 dans le but d'empêcher Trump d'être élu. Bien sûr, une fois qu'il l'a fait, les mêmes personnes ont continué à empoisonner sa présidence.
Cela concorde avec la pièce que Tucker Carlson a revendiquée des images inédites du 6 janvier 2021, la manifestation du Capitole a révélé que tout le récit démocrate / RINO / MSM qui sous-tend l'événement était un mensonge complet. Les images de surveillance présentées par Carlson montraient la police du Capitole escortant calmement le soi-disant "QAnon Shaman", Jacob Chansley, dans tout le complexe du Capitole, et l'ont même aidé à trouver des portes ouvertes. Carlson a déclaré: "Ils l'ont aidé. Ils ont agi comme ses guides touristiques." Ceci est très différent du récit qui découle des médias de masse. Depuis lors, Chansley a été condamné à 41 mois de prison fédérale pour « obstruction à une procédure officielle ».
RépondreSupprimerSpotlighting the injustice est une vidéo intitulée "Justice For All" par le J6 Prison Choir et l'ancien président Donald Trump. Cette chanson puissante et émouvante sensibilise et soutient les prisonniers politiques toujours enfermés en prison sans procès après la manifestation du 6 janvier 2021. J6 Prison Choir est composé de personnes qui ont été incarcérées à la suite de leur implication dans la manifestation du 6 janvier 2021 pour l'intégrité électorale.
Au fur et à mesure que notre colère grandit, nous devons nous rappeler que nous ne sommes pas seuls. Nous sommes souvent protégés par les médias des nombreuses manifestations qui se déroulent à travers le monde. C'est peut-être pour ne pas voir à quel point les choses vont mal ou peut-être pour ne pas avoir d'idées. Peu d'Américains sont actuellement au courant des récentes manifestations en France, au Pakistan, en Allemagne et dans de nombreux autres pays. Une grande partie de la colère croissante vient d'un manque de responsabilité, les péchés des responsables semblent se déverser sur leur dos comme l'eau sur le dos d'un canard
Les politiciens et les responsables ont tendance à éviter de rendre des comptes comme si c'était la peste. Un exemple de cela est la façon dont nous avons quitté l'Afghanistan. C'est un monument à l'arrogance et à l'incompétence de l'Amérique. Malheureusement, ce n'est qu'un des nombreux monuments que nous sommes en train de construire alors que nous jetons de l'argent dans des trous noirs corrompus. Il est difficile de penser qu'une grande partie de cela concerne les dépenses et le transfert de richesse là où ceux qui sont au pouvoir peuvent écrémer un peu ici et là.
Bien qu'il soit à la fois évident et logique qu'un système ou quelque chose va échouer, aujourd'hui, nous trouvons la question généralement ignorée jusqu'à ce que nous arrivions à un processus où les gens accepteront que la réalité soit construite. C'est un vrai défi et un art d'avancer sans le soutien des personnes impactées. Généralement, cela implique de les convaincre qu'il vaut mieux se faire jeter un os que rien du tout.
RépondreSupprimerC'est une façon d'expliquer la protestation que nous avons vue en France. Les efforts largement impopulaires du président français Emmanuel Macron pour faire passer la réforme des retraites sans vote au Parlement ont provoqué une violente réaction. A cela Macron a dit « C'est dans l'intérêt supérieur du pays », Il a ajouté « Entre les sondages d'opinion et l'intérêt national, j'ai choisi l'intérêt national. L'action de Macron visant à relever l'âge de la retraite de 62 à 64 ans a entraîné une grève nationale en France qui a provoqué d'importantes perturbations, arrêtant des trains, fermant des ports, vidant des écoles, annulant des vols, etc.
Dans ce cas, la question de savoir si Macron a raison de dire que le système actuel n'est pas viable n'est pas la question. Le problème est de savoir comment cela se fait et la colère qu'il a créée. Plus d'un million de Français ont participé aux manifestations. Appelez-les des manifestations ou des émeutes spontanées, mais celles-ci ont éclaté dans tout le pays. Le plan de Macron n'a reçu le soutien ni de la gauche ni de l'extrême droite, mais uniquement de l'alliance centriste de Macron. C'est le reflet de l'idée que les gens sont des pions dont l'élite peut abuser. Il est compréhensible que cela crée une colère qui peut devenir violente.
On pourrait dire que nous, en tant que société et d'autres sociétés à travers le monde, avons perdu notre capacité à organiser une protestation significative pour apporter un réel changement. Que nous avons été introduits dans une société de doux. Castrés et divisés, sommes-nous devenus incapables d'un véritable outrage ? Parfois, il semble que nous soyons tous si faibles que rien ne peut nous amener au point de rupture et, comme les grenouilles proverbiales assises dans un pot d'eau alors que la température continue d'augmenter, notre avenir est tracé.
C'est l'état des choses alors que les choses continuent leur bon chemin. Alors que les Américains regardent nos frontières s'ouvrir et que les médias ignorent le labyrinthe des sociétés écrans LLC et des comptes utilisés pour acheminer jusqu'à 10 millions de dollars aux membres de la famille Biden, beaucoup d'entre nous restent abasourdis. La Nouvelle République a même publié un article avec le titre "Les républicains admettent enfin qu'ils n'ont aucune preuve incriminante sur Joe Biden".
RépondreSupprimerLe but ici n'est pas de faire l'éloge de Trump mais plutôt de mépriser la mauvaise situation actuelle. Les pays et les gouvernants continuent de bafouer les droits et libertés de l'individu. La justice et la vérité deviennent des denrées rares. Alors que les mensonges continuent de couler de toutes les directions et ne s'arrêtent jamais, rappelez-vous simplement que vous n'êtes pas seul.
https://www.zerohedge.com/political/you-are-not-alone-anger-building-across-world
Le Club de Rome : comment l'hystérie climatique est utilisée pour créer une gouvernance mondiale
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 MAI 2023 - 15:20
Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,
Au début des années 1970, les États-Unis et une grande partie du monde occidental entraient dans une crise économique stagflationniste. Nixon a complètement retiré le dollar de l'étalon-or en 1971 avec l'aide de la Réserve fédérale (ou peut-être sous la direction de la Fed), ce qui a finalement aggravé les pressions inflationnistes. Le boom de l'après-guerre en Europe a pris fin brutalement, tandis que les prix des biens (et du pétrole/de l'essence) aux États-Unis ont monté en flèche jusqu'en 1981-1982, lorsque la Réserve fédérale a fait grimper les taux d'intérêt jusqu'à environ 20 % et a provoqué un effondrement délibéré de la récession.
Fait intéressant, le FMI avait créé le système DTS en 1969 juste avant la suppression de l'étalon-or (le même DTS que le FMI est sur le point d'utiliser comme fondement d'un mécanisme mondial de monnaie numérique). Et le Forum économique mondial a été fondé en 1971.
La période est souvent décrite dans les films comme une ère insouciante de disco, de drogue, de hippes et de rock n 'roll, mais la réalité est que le début des années 1970 a été le début de la fin pour l'Occident - c'était le moment que nos fondements économiques ont été sabotés et que la richesse de la classe moyenne a été lentement mais sûrement volée par l'inflation.
Au milieu de ce « malaise » économique, que Jimmy Carter a qualifié plus tard de « crise de confiance », les Nations Unies et les tables rondes mondialistes associées ont travaillé dur pour développer un plan visant à convaincre la population d'adopter la centralisation mondiale du pouvoir. . Leurs objectifs étaient plutôt directs.
Ils voulaient:
Une justification du contrôle gouvernemental des chiffres de la population humaine.
Le pouvoir de limiter l'industrie.
Le pouvoir de contrôler la production d'énergie et de dicter les sources d'énergie.
Le pouvoir de contrôler ou de limiter la production alimentaire et l'agriculture.
La capacité de microgérer les individus vit au nom d'un « plus grand bien » défini plus tard.
Une société socialisée dans laquelle le droit individuel à la propriété est abandonné.
Un système économique mondial unique qu'ils géreraient.
Un système monétaire mondial unique.
Un gouvernement mondial unique gérant une poignée de régions distinctes.
L'une des citations les plus révélatrices à l'ordre du jour vient du sous-secrétaire d'État de l'administration Clinton, Strobe Talbot, qui a déclaré dans le magazine Time que :
« Au siècle prochain, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une seule autorité mondiale… La souveraineté nationale n'était pas une si bonne idée après tout.
RépondreSupprimerPour comprendre comment fonctionne l'agenda, je propose une citation du membre globaliste du Council on Foreign Relations, Richard Gardner, dans un article du magazine Foreign Affairs en 1974 intitulé "The Hard Road To World Order":
« En bref, la "maison de l'ordre mondial" devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande « confusion bourdonnante et en plein essor », pour reprendre la célèbre description de la réalité de William James, mais une fin de course autour de la souveraineté nationale, en l'érodant morceau par morceau, accomplira bien plus que l'assaut frontal à l'ancienne. »
En d'autres termes, les mondialistes savaient que l'incrémentalisme serait le seul moyen de parvenir à une structure de pouvoir mondiale unique qui gouverne OUVERTEMENT, plutôt que de cacher le règne des élitistes derrière des organisations clandestines et des politiciens fantoches. Ils veulent un empire mondial dans lequel ils deviendront les « rois philosophes » oints décrits dans la République de Platon. Leur ego narcissique ne peut s'empêcher d'aspirer à l'adoration des masses qu'ils détestent secrètement.
Mais même avec l'incrémentalisme, ils savent que le public finira par comprendre le plan et cherchera à résister alors que nos libertés sont érodées. Établir un empire est une chose; le garder en est une autre. Comment les mondialistes pourraient-ils sortir de leur placard autoritaire, éliminer les libertés individuelles et gouverner le monde sans une rébellion qui finit par les détruire ?
La seule façon dont un tel plan fonctionnerait est si le peuple, les paysans de cet empire, EMBRASSENT leur propre esclavage. Le public devrait être amené à considérer l'esclavage comme une question de devoir solennel et de survie, non seulement pour lui-même mais pour l'espèce entière. De cette façon, si quelqu'un se rebelle, il sera considéré comme un monstre par la ruche. Ils mettraient l'ensemble du collectif en danger en défiant la structure du pouvoir.
Ainsi, les mondialistes gagnent. Pas seulement pour aujourd'hui, ils gagnent pour toujours parce qu'il n'y aurait plus personne pour s'opposer à eux.
"En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pouvons nous unir, nous avons eu l'idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d'eau, la famine, etc., feraient l'affaire. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent bien une menace commune à laquelle tous doivent faire face ensemble. Mais en désignant ces dangers comme ennemis, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà averti les lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont causés par l'intervention humaine dans les processus naturels, et ce n'est qu'en modifiant les attitudes et les comportements qu'ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est alors l'humanité elle-même.
RépondreSupprimerEn faisant de l'existence même de l'humanité la grande menace, les mondialistes entendaient unifier le public autour de l'idée de se contrôler. C'est-à-dire que le public devrait sacrifier ses libertés et se soumettre au contrôle en croyant que l'espèce humaine est trop dangereuse pour être libre.
L'émission spéciale suivante de l'Australian Public Broadcasting Service a été diffusée en 1973, peu de temps après la création du Club de Rome. Il est étonnamment direct sur les objectifs de l'organisation :
- voir clip sur site -
Que peut-on tirer de cette émission et de son message ? Les mondialistes veulent avant tout deux résultats spécifiques : ils veulent la fin de la souveraineté nationale et la fin de la propriété privée grâce à des incitations sociales du minimalisme. Les mêmes objectifs que le Club de Rome définis dans les années 1970 sont les politiques motrices de l'ONU et du Forum économique mondial aujourd'hui. Le concept « d'économie du partage » que Klaus Schwab et le WEF défendent souvent fièrement n'a pas été imaginé par eux, il a été imaginé par le Club de Rome il y a 50 ans.
C'est une prophétie auto-réalisatrice : ils passent un demi-siècle à inventer une crise, attisent la terreur publique, puis proposent les solutions mêmes qu'ils voulaient appliquer il y a des décennies.
Au final, l'agenda climatique n'a rien à voir avec l'environnementalisme et tout à voir avec l'économie. Le plan a commencé au milieu d'une crise stagflationniste très réelle, un moment où la population de la classe moyenne avait le plus peur pour l'avenir et où les prix augmentaient rapidement. Cette crise n'a pas été causée par la rareté des ressources, elle a été causée par la mauvaise gestion du système financier. Ce n'est pas une coïncidence si le point culminant du programme de réchauffement climatique a lieu aujourd'hui alors qu'un autre désastre de stagflation est sur nous.
Le Club de Rome est maintenant une coquille de son ancienne gloire remplie de hippies idiots, probablement parce que l'ONU et d'autres groupes de réflexion mondialistes ont repris le rôle que le groupe jouait auparavant. Cependant, l'ombre du Club d'origine est toujours présente et sa stratégie d'alarmisme climatique est actuellement utilisée pour justifier la suppression croissante de l'énergie et de l'agriculture par le gouvernement.
RépondreSupprimerS'ils ne sont pas arrêtés par le public, les mandats carbone totalitaires deviendront la norme. La prochaine génération, vivant dans la pauvreté artificielle, apprendra dès la petite enfance que les mondialistes ont «sauvé le monde» d'une calamité qui n'a jamais vraiment existé. On leur dira que l'asservissement de l'humanité est quelque chose dont on peut être fier, un cadeau qui maintient l'espèce en vie, et quiconque remet en question cet esclavage est un méchant égoïste qui veut la destruction de la planète.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/club-rome-how-climate-hysteria-being-used-create-global-governance
"Acteurs antagonistes, nationaux et étrangers"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 MAI 2023 - 00:20
Écrit par Thomas Neuberger via la sous-pile "God's Spies",
À quels « adversaires » non étrangers les élites ont-elles à l'esprit lorsqu'elles promeuvent la censure intérieure et le blocage de l'information ?
Je veux mettre trois pensées devant vous, déposer trois pierres dans le sillage de votre esprit. Peut-être verrez-vous les ondulations lorsqu'elles se croisent, notez leur interaction, entendez ce que dit leur traversée.
L'avenir que cet article prévisualise n'est pas nouveau, il vient juste d'être oublié.
La « terreur » intérieure de la gauche militante
Tout d'abord, de l'enquêteur as Lee Fang (certaines parties de cette pièce sont réservées aux abonnés):
Le DHS et le FBI décrivent les militants végétaliens comme des terroristes nationaux potentiels
Imaginez une jeune femme nommée Jane qui a récemment adopté un mode de vie végétalien après avoir appris l'agriculture industrielle à l'université. Elle discute du bien-être animal et commence à assister aux manifestations.
Pour la plupart, les expériences de Jane semblent remarquablement bénignes.
Mais pour le Département de la sécurité intérieure, la jeune femme suit une "voie de radicalisation potentielle", selon de nouveaux documents publiés via une demande de documents publics.
Le scénario était l'un des nombreux décrits dans un atelier sur la prévention de la violence du DHS Office for Targeted Violence and Terrorism Prevention, une division de l'agence qui travaille à la lutte contre le terrorisme domestique.
Le chemin supposé de Jane vers la violence - tel que présenté dans l'atelier du DHS - est composé d'un peu plus que des expériences quotidiennes que de nombreux Américains vivent lorsqu'ils adoptent l'activisme.
Dans le scénario de l'atelier, Jane réagit avec colère lorsqu'elle parle de cruauté envers les animaux et mentionne qu'elle a rejoint un groupe qui a "la réputation d'organiser des manifestations controversées". Elle était non seulement devenue "une amoureuse des animaux", mais était devenue "militante pour la nourriture et les droits des animaux, et d'autres questions comme les tests".
Notez "l'atelier". Il s'agit d'un rapport d'un atelier du DHS sur le terrorisme intérieur, d'où peuvent provenir de nouvelles menaces et que faire. La doc source est ici; vous pouvez probablement deviner le reste de ce qu'il dit. Sinon, Fang l'énonce.
Voici la partie de couverture du document et les premières remarques récapitulatives :
- voir doc sur site -
Le rapport de Fang inclut la composante du FBI dans la définition de la « menace » des droits des animaux pour la sécurité intérieure :
RépondreSupprimerPouvez-vous voir où cela se dirige ? Si vous le faites, vous n'êtes pas seul.
- voir doc sur site -
Le « Switcheroo étranger-domestique »
La deuxième pierre tombe ici. Ce que vous lisez ci-dessus touche-t-il ce qui est ci-dessous ?
Grâce à un ensemble compliqué de fuites (décrites ici), nous constatons "que l'Aspen Institute a organisé un exercice" Hack-and-Dump Working Group "à l'été 2020 intitulé" Burisma Leak ", qui a prédit avec une précision étonnante un prochain désobligeant article dans le New York Post sur l'ordinateur portable perdu de Hunter Biden.
Voici un lien vers le document de l'Aspen Institute en question. On y trouve ce qui suit. Tout d'abord, à partir du résumé (c'est moi qui souligne):
Autrefois une promesse de liberté d'expression et de démocratisation de l'information, le Web et ses nombreux canaux sont désormais pollués par la mésinformation et la désinformation, les bots, les abus, les mensonges et les complots - parfois planifiés par des acteurs adverses d'ici et d'ailleurs.
Ensuite, à partir de la section traitant de "Signalisation et promotion de Hack-and-Dumps":
Alors que nous décompterons jusqu'au jour du scrutin, le risque d'un piratage majeur et d'un vidage de documents visant à saper un candidat ou un parti devient plus aigu. Comment les agences de presse peuvent-elles mettre la provenance au premier plan ? Que se passe-t-il lorsque des documents fabriqués sont publiés avec du contenu authentique (volé) ? Comment les flux sociaux peuvent-ils éviter de servir de promoteurs d'entités étrangères ou d'autres entités adverses ? Aspen Digital convoque les responsables de la confiance et de la sécurité de la plate-forme, les journalistes de la cybersécurité, les éthiciens du journalisme et les avocats du premier amendement pour développer et adopter de nouvelles directives normatives pour la publication et la couverture des documents piratés.
Notez que l'Aspen Institute n'est pas qu'un groupe de réflexion. C'est là que se déroulait la discussion des élites de 2020 sur la modération du contenu piraté.
Considérez maintenant ce que signifie « les promoteurs d'entités étrangères ou d'autres entités adverses » ? La seule autre entité contradictoire qui n'est pas étrangère est… nationale. Pouvez-vous croire, compte tenu de ce qui précède, que cette désignation – «autres entités contradictoires» – est réservée uniquement aux types Proud Boy ?
RépondreSupprimerÀ ce sujet, Matt Taibbi écrit (c'est moi qui souligne):
Tout d'abord, cette idée qu'il peut y avoir des fabrications mélangées à du contenu réel est une suggestion qui apparaît quelque part dans presque chacune de ces histoires de fuite, même si tout le matériel s'avère réel (le vieil ami Malcolm Nance a fait le travail dans 2016 en suggérant que les fuites de Podesta étaient « criblées de faux »). Plus important encore, cette dernière ligne est un excellent exemple de ce que l'ancien responsable de la cybersécurité et directeur de la Fondation pour la liberté en ligne, Mike Benz, appelle le "switcheroo étranger-domestique".
C'est l'astuce rhétorique de base de l'ère de la censure : faire des histoires à propos d'une menace étrangère, en l'utilisant comme un bélier pour amener tout le monde, du congrès aux entreprises technologiques, à se soumettre à une réglementation et une surveillance accrues. Puis, lentement, ajustez votre objectif aux objectifs nationaux. Vous pouvez voir la subtilité : l'article original de Stanford essaie de s'en tenir à la garde-corps contre la « désinformation » et les informations des « adversaires étrangers », mais le dernier article diffusé par Aspen glisse, très légèrement, une nouvelle catégorie de source douteuse : « étrangers ». ou d'autres entités contradictoires.
Ces dispositifs rhétoriques sont essentiels. Il serait absurde de former (comme l'a fait Stanford) un «groupe de travail sur la guerre de l'information» si les lecteurs savaient que la «guerre» envisagée était contre les voix nationales. … Mais si vous commencez par vous concentrer sur les Russes et que vous ne mentionnez qu'après coup «d'autres entités adverses», vous pouvez formuler les choses comme vous le souhaitez, de l'espionnage à la guerre. Comme le lecteur O'Neill l'a fait remarquer à juste titre, "ils sont maintenant sur le point d'être explicites sur le fait que leur motivation pour supprimer les nouvelles est de combattre des adversaires politiques nationaux".
Vous n'avez pas besoin d'être un amoureux de ces sources pour détester ce que vous venez de découvrir. Et je pense qu'il est raisonnable de craindre, même si vous craignez Trump plus que Dieu lui-même, ce que nos agences de sécurité font avec le pouvoir domestique.
Changement de régime
RépondreSupprimerLa dernière pierre tombée dans l'étang est la plus ancienne. Avant que la plupart d'entre vous ne soient nés, les hauts lieux du pouvoir comprenaient parfaitement que nos agences de sécurité, nées de la menace soviétique, étaient tout à fait capables - même chargées de la tâche - de s'assurer que le monde global était un terrain de jeu américain sûr.
La liste des coups d'État menés par les Américains dans d'autres pays est aussi longue que votre jambe et vos deux bras. Commencez ici pour en voir la plupart. Ces agences agissent-elles au niveau national comme elles le font à l'étranger ? Le FBI le fait certainement. Mais qu'en est-il de la CIA et du reste de la communauté de l'alphabet ?
Voici ce que Robert Kennedy, l'homme qui a été assassiné alors qu'il se rendait à l'investiture en 1968, pensait du meurtre qui a abattu son frère Jack en 1963 (via The Hill, je souligne) :
[Robert] Kennedy Jr. a déclaré que le premier appel que son père, l'ancien procureur général Robert F. Kennedy, a passé après avoir appris que son oncle avait été abattu était à un officier de bureau de la CIA.
"Mon père lui a dit : 'Est-ce que ton peuple a fait ça ?'", a déclaré lundi Kennedy Jr. à "Hannity" de Fox News.
"Son prochain appel était à [Enrique Ruiz-Williams], qui était l'un des dirigeants cubains de la Baie des Cochons qui était resté très, très proche de notre famille et de mon père", a-t-il poursuivi. "Mon père lui a posé la même question."
Kennedy Jr. a déclaré que son père avait alors appelé John McCone, le chef de la CIA, et lui avait demandé de venir chez la famille.
"Quand je suis rentré [de] Sidwell Friends School, mon père se promenait dans la cour avec John McCone, et mon père lui posait la même question:" Est-ce que c'est notre peuple qui a fait ça à mon frère? ", A-t-il dit . "C'était le premier instinct de mon père que l'agence avait tué son frère."
The Hill qualifie plus tard cette histoire de «théorie du complot», sans doute pour se distancer à la fois de l'accusation et de la source. Mais le rapport sous-jacent est néanmoins vrai, ou RFK Jr. ment.
Ondulations dans l'étang
À quoi correspondent ces points de données ? Je vais vous le laisser. Si vous aimez le FBI comme certains le font aujourd'hui, les aimeriez-vous encore s'ils pensaient que leur mission consistait à vous étouffer, vous et les vôtres, pas seulement Trump et les siens, en utilisant le contrôle des médias comme outil ?
Comme je l'ai déjà dit, il est approprié de craindre ce qu'un Trump, ou pire, un DeSantis - qui, contrairement à Trump, qui aime l'adoration et l'argent, aime vraiment le pouvoir - ferait si le pouvoir lui était donné.
Ne convient-il donc pas également de craindre ces agences ?
RépondreSupprimerAprès tout, leurs objectifs ne correspondent pas toujours à ce que l'on appelle généralement « la gauche ». Leurs objectifs ne se sont jamais alignés sur les nôtres dans le passé. Et contrairement aux républicains, qui ne sont qu'à mi-chemin de leur objectif, ces agences ont maintenant le pouvoir et s'entraînent à l'utiliser.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/adversarial-actors-home-and-abroad
Malgré tout, une chose a été remarquablement cohérente. Le gouvernement a ciblé pour une attention particulière les journalistes qui ont rendu compte avec précision de l'horrible vérité de la politique étrangère américaine, comme John W. Powell. Powell était un journaliste américain basé à Shanghai qui a écrit une série d'articles pour la China Monthly Review (plus tard, la Weekly Review), qui disait que le gouvernement chinois affirmait que les États-Unis utilisaient des armes biologiques pendant la guerre de Corée. Il a été jugé pour sédition en 1959. L'affaire a traîné devant le tribunal fédéral de San Francisco pendant cinq ans avant que les charges ne soient abandonnées. C'était suffisant pour lui faire quitter définitivement le journalisme.
RépondreSupprimerL'impulsion à utiliser la censure et à appeler toutes les informations qui ne correspondent pas au récit officiel de « désinformation » est une impulsion bipartite, du moins historiquement. Les administrations républicaines et démocrates pendant la guerre mondiale contre le terrorisme ont cherché à étendre et à affiner le pouvoir de ce que nous appelons maintenant le complexe censure-industriel. Ce dernier a été construit, pièce par pièce, au cours d'un siècle de législation, d'action exécutive et de réglementation. Un peu moins d'un siècle après l'adoption de la loi sur l'espionnage, l'administration de Barack Obama l'a utilisée de manière agressive pour cibler les fuyards. À cette époque, les ordinateurs, Internet et les médias sociaux étaient tous de nouvelles plates-formes de communication et des cibles mûres pour la suppression de l'information.
À une époque où la mémoire culturelle est courte et où les ressources pour en savoir plus sur le passé gênant se font plus rares, il est utile d'examiner cette progression de plus d'un siècle dans l'ordre chronologique.
- voir photo sur site -
Dans le sens des aiguilles d'une montre à partir du haut à gauche : Franklin Roosevelt, J. Edgar Hoover, Harry S Truman et Joseph McCarthy
UN SIÈCLE DE CENSURE
15 juin 1917 : Alors que les États-Unis entrent dans la Première Guerre mondiale, la loi sur l'espionnage de 1917 est promulguée par le Congrès et promulguée par le président Woodrow Wilson, le premier universitaire à devenir président, interdisant « d'obtenir des informations, d'enregistrer des images ou de copier des descriptions ». de toute information relative à la défense nationale avec l'intention ou des raisons de croire que l'information peut être utilisée pour le préjudice des États-Unis ou à l'avantage d'une nation étrangère ».
La loi fait également de l'entrave à l'enrôlement dans les forces armées ou de l'insubordination ou de la déloyauté dans les forces militaires ou navales un acte illégal. L'administration de Wilson a également décidé que toute publication violant la loi était une "matière non-publiable", et cette justification a été utilisée pour supprimer les opinions dissidentes en appliquant de manière agressive les codes postaux afin qu'aucune publication subversive ne puisse atteindre leurs abonnés. Au moins 74 journaux se sont vus refuser des permis de diffusion à ce moment-là.
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
Le socialiste de Milwaukee Victor Berger, reconnu coupable de la loi sur l'espionnage en 1914
16 mai 1918 : La loi sur la sédition de 1918 étend la loi sur l'espionnage de 1917 pour couvrir davantage d'infractions, érigeant en crime :
inciter à la déloyauté au sein de l'armée ;
utiliser à l'oral ou à l'écrit un langage déloyal envers le gouvernement, la Constitution, l'armée ou le drapeau ;
prôner les grèves contre la production de main-d'œuvre ; promouvoir des principes qui contrevenaient à la loi; ou
soutenir les pays en guerre avec les États-Unis.
Comme le note le Free Speech Center de la Middle Tennessee State University, "les cibles des poursuites en vertu de la loi sur la sédition étaient généralement des personnes qui s'opposaient à l'effort de guerre, notamment des pacifistes, des anarchistes et des socialistes".
13 décembre 1920 : La loi sur la sédition est abrogée.
24 mai 1936 : Roosevelt charge J. Edgar Hoover d'enquêter sur les « activités subversives ».
Selon la propre chronologie historique du FBI, « le président Roosevelt a appelé le directeur Hoover à une réunion matinale pour discuter de ses préoccupations concernant les activités subversives aux États-Unis. Il a demandé à Hoover de rendre compte des activités des groupes nazis et communistes. Le FBI a mené ces enquêtes à la demande du secrétaire d'État du président.
En 1939, selon le même document, Roosevelt a officiellement confié la responsabilité d'enquêter sur "l'espionnage, le sabotage et d'autres activités subversives" à une série d'agences et de départements, dont le "FBI, la Division du renseignement militaire du Département de la guerre (MID), et l'Office of Naval Intelligence (ONI).
26 mai 1938 : Le comité des activités anti-américaines de la Chambre est formé.
Créé dans le cadre d'un comité d'enquête spécial et réorganisé à partir d'incarnations précédentes en tant que comité du poisson et comité McCormack-Dickstein, le HUAC était autorisé à "enquêter sur la déloyauté présumée et les activités subversives de la part des citoyens américains, des employés publics et de ces organisations". soupçonné d'avoir des liens communistes.
En raison de ses enquêtes sur d'éminents intellectuels, artistes et politiciens, HUAC est l'un des rares organismes de cette liste à être devenu un incontournable de la culture pop américaine, présenté dans des films comme The Front et Trumbo.
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Audience HUAC de l'économiste du New Deal Charles Kramer, 1948
9 juin 1938 : La Loi sur l'enregistrement des agents étrangers (FARA) est promulguée par le Congrès et promulguée par le président Franklin Roosevelt.
29 juin 1940 : La loi sur l'enregistrement des étrangers, alias la loi Smith, est promulguée, établissant des sanctions pénales pour avoir préconisé le renversement du gouvernement américain par la violence ou la force, obligeant tous les résidents adultes non citoyens à s'enregistrer auprès du gouvernement. Des centaines de communistes en Amérique seraient plus tard jugés en vertu de cette loi.
RépondreSupprimer1940-43 ? : Le FBI commence à assurer la liaison avec une agence prédécesseur de la NSA, le US Signals Intelligence Service, qui en 1943 a été rebaptisé Signal Security Agency, est devenu plus tard l'Army Security Agency, et a finalement été absorbé par la NSA.
Toujours selon la propre chronologie interne du FBI, le Bureau quelque temps avant 1947, lorsque la NSA serait formée, a commencé une relation de travail avec le Signals Intelligence Service. Cette association portera ses fruits à la fin des années quarante :
A commencé une liaison étroite avec le service de renseignement des transmissions de l'armée américaine, le prédécesseur de l'Agence de sécurité nationale, sur l'exploitation des messages soviétiques qui étaient décryptés et décodés par le personnel du renseignement militaire. Le FBI et la NSA ont pu identifier plusieurs centaines de personnes liées au travail de renseignement soviétique contre les États-Unis et ses alliés. Le projet s'est poursuivi jusqu'en 1980, date à laquelle il a été arrêté. Parmi les principaux cas issus de ces messages figuraient l'affaire Judith Coplon, l'affaire Klaus Fuchs et l'affaire Rosenberg.
Juillet/Août 1940 : Le capitaine John V. Grombach publie "The Invisible Weapon" dans le United States Army's Infantry Journal sur les applications secrètes de la technologie radio dans la guerre et l'espionnage.
Prévoyant des idées qui deviendraient populaires à l'avenir, Grobach a décrit la communication de masse comme une arme :
La propagande et la protection des secrets militaires sont vitales à la fois pour les participants et pour les nations au bord du gouffre. Ainsi, une puissance puissante dans la lutte pour la domination mondiale par les nations, les formes de gouvernement et les idéaux est la radio.
La radio internationale commence à peine à être évaluée de manière adéquate comme l'arme puissante bien qu'invisible qu'elle est. Tout comme la domination dans les airs par avion peut être la clé de la victoire sur terre et sur mer, l'utilisation des ondes d'éther peut être le moyen le plus puissant pour maîtriser l'esprit et le cœur des hommes, sans lequel aucune nation ou aucun idéal ne peut survivre.
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Charles Grombach en tant que cadet de West Point (photo CIA)
19 décembre 1941 : Douze jours après l'attaque japonaise sur Pearl Harbor, le président Franklin D. Roosevelt publie le décret 8985, établissant le Bureau de la censure en vertu de la loi sur les pouvoirs de guerre.
RépondreSupprimer16 février 1942 : les services de renseignement de l'armée américaine créent une équipe d'espionnage secrète appelée "The Pond", pour concurrencer et espionner le nouveau bureau des services stratégiques. Le Grombach susmentionné est choisi pour diriger la nouvelle organisation, qui opère principalement par le biais d'entreprises de couverture commerciales telles que des agences d'assurance.
- voir photo sur site -
Membres de "L'étang". (Photo CIA)
14 avril 1942 : Le permis de courrier de deuxième classe pour Social Justice, un hebdomadaire fondé par le père Charles E. Coughlin, personnalité de la radio fasciste et antisémite, est suspendu par le ministre des Postes Frank Walker sur la recommandation du procureur général Francis Biddle.
«La justice sociale reproduit, dans ce pays», a déclaré Biddle, «les lignes de la guerre de propagande ennemie menée contre ce pays depuis l'étranger. La loi sur l'espionnage de 1917 est conçue pour vaincre cette attaque. »
1er février 1943 : Le projet VENONA, un programme secret de décryptage de haut niveau géré par l'armée et plus tard la National Security Agency en coopération avec le FBI, commence. Il est gardé secret du président par le chef d'état-major de l'armée, Omar Bradley.
1946 : Le directeur adjoint du Bureau de la censure, Theodore F. Koop, publie Weapon of Silence : Secrets, Censors, and Spies. Il y note que "l'assurance donnée par le directeur du bureau de l'époque, Byron Price, que la presse et la radio revenaient à la liberté en temps de paix" s'était avérée prématurée".
Concentré maintenant sur la répression des discussions sur le développement de la bombe atomique, le département a publié un manifeste :
Tous les individus, groupes et organisations liés au projet Manhattan continueront de se conformer aux règles de sécurité actuelles. Les bavardages et les vaines spéculations, en particulier de la part d'individus actuellement ou anciennement liés au projet, mettent en péril l'avenir de la Nation. Il est du devoir de chaque citoyen, dans l'intérêt de la sécurité nationale, de maintenir toute discussion à ce sujet dans les limites des informations divulguées dans les communiqués officiels.
Koop a écrit : « Les cisailles des censeurs étaient des baïonnettes qui non seulement formaient une défense nationale d'arrière-garde, mais frappaient aussi durement l'ennemi dans les trois phases de la guerre : militaire, économique et psychologique ». Puis, dans un aperçu légèrement effrayant de ce qui allait arriver, il a ajouté :
RépondreSupprimerPour un seul pays, la censure peut être une arme puissante. Mais lorsque les censures d'un groupe de nations sont liées dans un réseau mondial, le pouvoir est augmenté à la propagation géographique.
Août 1946 : Le Congrès adopte la loi sur l'énergie atomique. Désormais, le FBI est chargé d'enquêter sur les antécédents des personnes qui devaient accéder aux données nucléaires restreintes et d'enquêter sur les infractions pénales à cette loi.
1er janvier 1947 : la Commission civile de l'énergie atomique reprend les opérations du projet Manhattan. L'un des résultats est la décision de "garder secrètes les informations sur les injections de plutonium", pour des raisons non liées à la sécurité nationale, mais "des problèmes de relations publiques et de responsabilité légale".
- voir photo sur site -
Lieutenant-général Leslie Richard Groves, qui a supervisé le projet Manhattan
21 mars 1947 : Le président Harry S Truman publie le décret 9835, alias « Prescription des procédures pour l'administration d'un programme de fidélisation des employés dans la branche exécutive du gouvernement ».
Une disposition clé du dernier programme de serment de loyauté est la création d'un Central Master Index :
Il sera également établi et maintenu au sein de la Commission de la fonction publique un fichier principal central couvrant toutes les personnes sur lesquelles des enquêtes de loyauté ont été faites par un ministère ou un organisme depuis le 1er septembre 1939.
Une autre disposition clé est la formation d'un «Comité de révision de la loyauté», en vertu duquel le ministère de la Justice «fournirait» les noms de «chaque organisation, association, mouvement, groupe ou combinaison de personnes étrangères ou nationales que le procureur général, après enquête et détermination, désigne comme totalitaire, fasciste, communiste ou subversif ». La propre administration de Truman serait finalement ciblée par sa création bureaucratique.
Le DOJ était également chargé de fournir les noms de personnes identifiées comme « ayant adopté une politique de préconisation ou d'approbation de la commission d'actes de force ou de violence pour priver d'autres de leurs droits en vertu de la Constitution des États-Unis », ou comme « cherchant à modifier le forme de gouvernement des États-Unis par des moyens anticonstitutionnels ».
26 juillet 1947 : La loi sur la sécurité nationale de 1947 est promulguée par le président Harry S Truman. Entre autres choses, la loi établit l'armée de l'air des États-Unis en tant que branche distincte de l'armée et la Central Intelligence Agency en tant qu'entité gouvernementale distincte, sous l'autorité de l'exécutif.
RépondreSupprimer27 janvier 1948 : Le US Information and Educational Exchange Act de 1948, mieux connu sous le nom de Smith-Mundt Act, est adopté. La loi est conçue pour réglementer les diffusions de propagande à des publics étrangers sous la direction du Département d'État, tout en interdisant cette même propagande sur les émissions nationales. L'interdiction de la propagande intérieure serait abrogée en 2013.
18 juin 1948 : le président Harry Truman approuve le « NSC 10/2 », qui crée le Bureau des projets spéciaux, une idée originale de George Kennan, directeur du personnel de planification des politiques du Département d'État et auteur du célèbre « Long Telegram », considéré comme un projet fondamental. document établissant des décennies de politique de guerre froide. Le nom du bureau est ensuite changé en Bureau de la coordination des politiques et Frank Wisner est choisi comme directeur. Ce bureau, composé principalement de vétérans de l'OSS, sera la branche secrète centrale de l'action politique américaine, jusqu'à ce qu'il soit incorporé à la CIA.
Années 1950 : Le terme « désinformation » commence à être largement utilisé dans les cercles américains et britanniques, formés sur le modèle de la dezinformatsiya russe.
9 février 1950 : Le sénateur Joe McCarthy du Wisconsin prononce son tristement célèbre discours « Les communistes au service du gouvernement ».
Dans un discours du Lincoln Day au Republican Women’s Club de Wheeling, en Virginie-Occidentale, McCarthy a produit un morceau de papier et a annoncé :
Le département d'État est infesté de communistes. J'ai ici entre les mains une liste de 205 personnes - une liste de noms qui ont été signalés au Secrétaire d'État comme étant membres du Parti communiste et qui néanmoins travaillent encore et façonnent la politique au Département d'État.
Avril 1951 : Truman crée le Psychological Strategy Board. Ils joueront un rôle déterminant dans le financement de la production hollywoodienne de 1954 de la ferme des animaux de George Orwell.
10 janvier 1953 : Mary Dublin Keyserling, épouse de l'ancien conseiller économique de Truman, Leon Keyserling, est blanchie après qu'une affaire du Loyalty Review Board a été intentée contre elle par McCarthy.
22 janvier 1953 : Le Creuset d'Arthur Miller est publié, l'un de ce qui allait devenir une longue série de commentaires artistiques/métaphoriques sur des sujets dangereusement controversés. On dit que le personnage d'Elizabeth Proctor est basé en partie sur Mary Keyserling.
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À gauche, Mary Dublin Keyserling.
24 août 1954 : Le président Dwight D. Eisenhower signe « The Communist Control Act of 1954 ».
Eisenhower explique :
RépondreSupprimerLa nouvelle loi que je signe aujourd'hui comprend l'une des nombreuses recommandations faites par cette administration pour soutenir les statuts existants dans la défaite de la conspiration communiste dans ce pays… Sur le plan administratif, nous avons au cours des 19 derniers mois intensifié l'application des lois contre les subversifs. En conséquence, 41 hauts dirigeants communistes ont été condamnés, 35 autres sont inculpés et devant être jugés, et 105 étrangers subversifs ont été expulsés.
Eisenhower s'est plaint des témoins qui ont invoqué le "privilège constitutionnel contre l'auto-incrimination" et s'est vanté que sa loi fournirait un nouveau "moyen de percer le secret qui est caractéristique des traîtres, des espions et des saboteurs".
5 avril 1955: Koop, maintenant directeur de Washington News and Public Affairs pour le Columbia Broadcasting System, écrit au président Eisenhower pour dire qu'il est «honoré d'accepter la mission de censure mesurée dans votre lettre du 21 mars. J'apprécie grandement votre confiance en moi . Je peux vous assurer que je ferai tout mon possible pour me préparer à une éventualité qui, je l'espère, ne se présentera jamais. Je considérerais comme un privilège de vous parler à votre convenance, comme vous l'avez suggéré.
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APERÇU DES CHOSES À VENIR ? À gauche, Theodoore Koop de CBS. À droite, la lettre de Koop à "mon mort" Dwight Eisenhower, acceptant un rôle de censure sub rosa.
26 juin 1958 : La construction du DC-01, le premier bâtiment SAGE NETWORK (Semi-Automatic Ground Environment) aux États-Unis, est achevée à Maguire Air Force Base à New York. Le RÉSEAU SAGE serait une série de grands ordinateurs et de machines de mise en réseau qui coordonnaient les données des sites radar pour produire une image unique de l'espace aérien. Le financement et la construction du réseau SAGE ont coûté plus cher que le projet Manhattan et ont été l'épine dorsale des réseaux américains de défense aérienne jusqu'aux années 1980. Connecté par modems, téléphones et télécopieurs, le RÉSEAU SAGE a jeté les bases de l'ARPANET et d'Internet.
26 janvier 1959 : Le journaliste américain John Powell est accusé de sédition pour une série d'articles dans The China Monthly Review, où il écrit que l'armée américaine a utilisé la guerre biologique contre les soldats nord-coréens et chinois, incorporant les leçons tirées de l'unité impériale japonaise 731. L'affaire traînerait pendant cinq ans, le gouvernement abandonnerait toutes les charges et Powell serait à jamais exclu du journalisme américain.
28 mars 1960 : L'actuel envoyé spécial et coordinateur du Centre d'engagement mondial, James Rubin du Département d'État américain, est né à New York de Harvey Rubin, qui deviendra un cadre au Satra, le Soviet American Trade Corporation, et Judy Rubin, une art-thérapeute qui faisait des apparitions régulières dans le quartier de Mister Rogers.
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RépondreSupprimer12 mars 1963: BROADCASTING MAGAZINE présente un article dans la section "Closed Circuit" sur la façon dont le gouvernement américain envisage de rouvrir un bureau de censure de style Seconde Guerre mondiale, après la crise des missiles de Cuba. L'article se lit comme suit :
Censure en vue ? Il n'y a pas de «censure» dans l'urgence nationale actuelle, a expliqué le secrétaire à l'information de la Maison Blanche, Pierre Salinger, la semaine dernière, mais des plans vont de l'avant et pourraient être annoncés sous peu pour un bureau de censure similaire à bien des égards à celui opéré sous l'ex-chef de l'AP Byran Price pendant la Seconde Guerre mondiale. Les vestiges de l'ancien Bureau de la censure ont survécu au cours des années intermédiaires sous la direction du bras droit de Price, Theodore F. Koop, (vice-président de CBS) avec une partie du personnel de direction d'origine maintenue en attente. La crise actuelle trouve Koop hors du pays en vacances, mais d'autres réserves exécutives se sont rendues à Washington pour consultation.
1965 : alors directeur du renseignement central, vice-amiral W.F. Raborn, qui s'était fait un nom au gouvernement en livrant le système de missile nucléaire Polaris trois ans plus tôt et en deçà du budget en utilisant la "technique d'évaluation et d'examen des programmes", écrit une lettre à Clark Clifford, alors chef du service consultatif du renseignement étranger du président. Board, mettant en garde contre une importante opération étrangère de désinformation dont le but est « la destruction, le démantèlement et la neutralisation de la CIA :
Que sont les opérations de désinformation ? « Dezinformatsiya », dans la terminologie soviétique, est une information fausse, incomplète ou trompeuse qui est transmise, alimentée ou confirmée à un individu, un groupe ou un pays ciblé (sic). La « propagande », telle qu'elle est définie par les étudiants du monde libre, peut être utilisée comme élément de soutien de la dezinformatsiya, mais la propagande en soi n'a pas la précision et le mordant de la désinformation.
Raborn écrit que l'un des buts de l'unité est de «semer la méfiance» et de «créer des motifs de subversion et de révolte contre les États-Unis dans l'hémisphère occidental et parmi les nouvelles nations d'Afrique et d'Asie… Ces buts et objectifs, il faut le souligner, ont été établi par les éléments les plus élevés du Parti et du Gouvernement de l'Union soviétique ».
Avril 1967 : Le magazine Ramparts rapporte que la National Student Association a reçu un financement de la CIA.
Septembre 1968 : Suite à l'invasion de Prague par le Pacte de Varsovie pour réprimer le printemps tchèque, le major Ladislav Bittman, ancien chef adjoint du département "D" du renseignement tchèque pour les "mesures actives" (leur département des services secrets chargé de la "propagande noire et la désinformation "défauts aux États-Unis via l'Allemagne de l'Ouest. Bittman a ensuite changé son nom en Lawrence Martin et a enseigné le journalisme à l'Université de Boston. Il a fondé le "Programme pour l'étude de la désinformation" au milieu des années 1980, c'est le premier universitaire centre aux États-Unis pour se concentrer sur la désinformation.
Décembre 1968 : Le Stanford Research Institute (SRI) publie un rapport « A Study of Computer Network Design Parameters » pour les Advanced Research Projects dans le cadre du développement d'ARAPANET, le précurseur d'Internet.
RépondreSupprimer30 juin 1971 : Dans une décision 6 contre 3, la Cour suprême statue en faveur du New York Times dans l'affaire New York Times Co. c. États-Unis, qui a permis au journal de publier des extraits d'une histoire classifiée volée du Pentagone sur le Vietnam. guerre. L'affaire est un verdict historique sur la liberté de la presse et le fardeau de la retenue préalable du gouvernement.
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La célèbre affaire Pentagon Papers.
15 janvier 1977 : SATRA, la Soviet American Trading Company dont Harvey Rubin est vice-président, obtient les droits de diffusion des Jeux olympiques de Moscou de 1980
4 janvier 1978 : Le rapport d'achèvement d'ARPANET est publié, signalant la naissance de l'Internet moderne.
1981 : L'administration Reagan fonde le « Groupe de travail sur les mesures actives », un détail interinstitutions dirigé par le fonctionnaire du Département d'État Mark Palmer. Se débarrassant d'une réticence de plusieurs années à discuter ouvertement de la «désinformation», le nouveau groupe commence à publier des articles «contre» la propagande soviétique et les rumeurs liées à l'URSS, en commençant par un article en 1981 prétendant démystifier les histoires sur la responsabilité des États-Unis dans la prise du Grande Mosquée de La Mecque, le meurtre d'un dirigeant panaméen et d'autres contes.
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Le premier document du « Groupe de travail sur les mesures actives », 1981
20 septembre 1983 : Le directeur du renseignement central, William Casey, informe le comité spécial permanent de la Chambre sur le renseignement :
Du côté secret, Moscou a développé un vigoureux programme de "mesures actives" qui est réalisé en grande partie par une présence croissante à l'étranger qui comprend des diplomates, des employés d'Aeroflot et des représentants d'organisations commerciales et de presse soviétiques...
Casey prévient que les « mesures actives soviétiques » incluent la « manipulation des médias » et la « désinformation », ainsi que les « agents d'influence » et « d'autres activités subversives ».
24 juillet 1985 : La CIA livre un rapport sur sa « Conférence sur la propagande et la désinformation soviétiques contemporaines », écrivant :
Le rapport sera largement diffusé par le Département d'Etat. Un certain nombre de participants ont suggéré qu'une liste de participants serait utile pour se tenir mutuellement informés et s'impliquer mutuellement dans des travaux connexes au fil du temps. Certains y ont vu une première étape pour aider à créer un réseau de spécialistes intéressés par les questions de désinformation.
RépondreSupprimerDans un autre exemple passé de coopération médiatique à des fins de renseignement, l'ancien rédacteur en chef de Commentary Magazine et conseiller de l'agence d'information américaine Norman Podhoretz est mentionné. Podhoretz "a prononcé le discours d'ouverture d'une conférence sur la désinformation de la CIA", un discours intitulé "Causes de la vulnérabilité occidentale due à la manipulation sémantique".
1985 : À la suite d'une série d'arrestations d'espionnage de haut niveau, 1985 est caractérisée dans les médias comme «l'année de l'espion».
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1985 a été «l'année de l'espion».
8 février 1996 : Le président Bill Clinton signe le Communications Decency Act de 1996, une tentative de réglementer la pornographie sur Internet.
21 octobre 1998 : Le Child Online Protection Act (COPA) est promulgué par le président Bill Clinton. Il s'agit de l'un des premiers efforts législatifs visant à réglementer la transmission de contenu Web :
Quiconque, sciemment et en connaissance du caractère du matériel, dans le commerce interétatique ou étranger au moyen du World Wide Web, fait une communication à des fins commerciales qui est accessible à tout mineur et qui comprend tout matériel préjudiciable aux mineurs sera passible d'une amende pas plus de 50 000 $, emprisonné pas plus de 6 mois, ou les deux.
26 octobre 2001 : Peu de temps après le 11 septembre, le président George Bush promulgue la loi « Renforcer l'Amérique en fournissant les outils appropriés nécessaires pour intercepter et entraver le terrorisme », alias USA PATRIOT Act de 2001. Cette loi radicale fournirait la base pour une génération d'interdiction antiterroriste essentiellement extralégale, et servirait éventuellement de modèle pour d'autres efforts plus larges visant à réglementer l'information et à mener une surveillance.
Janvier 2002 : Le programme d'analystes militaires du Pentagone développé par la sous-secrétaire à la Défense pour les affaires publiques Victoria Clarke est discrètement lancé "pour diffuser les points de discussion de l'administration sur l'Irak en informant les commandants à la retraite des apparitions sur le réseau et la télévision par câble", sans divulguer leurs relations actives avec le Pentagone. Les analystes étaient connus comme des "multiplicateurs de force de message".
Mars 2003 : Le ministère de la Défense lance une politique « d'intégration » des reporters au sein des unités militaires pour la guerre en Irak, à condition que les reporters intégrés acceptent les règles de base et la censure militaire de base.
9 mars 2006 : Le président Bush signe la loi de 2005 sur l'amélioration et la réautorisation des patriotes américains, dans la salle Est de la Maison Blanche. Le président de la Chambre, Dennis Hastert, est présent lors de la signature. La loi permet « aux fournisseurs de services Internet de divulguer volontairement les dossiers des clients au gouvernement en cas d'urgence impliquant un risque immédiat de décès ou de blessures physiques graves et permet aux victimes de piratage informatique de demander l'aide des forces de l'ordre pour surveiller les intrus sur leurs ordinateurs ».
21 mars 2006 : Jack Dorsey envoie le premier message sur Twitter à 21h50 PST. "Je configure juste mon twttr." Le jeton non fongible (NFT) pour ce tweet se vendra plus tard pour 2,9 millions de dollars.
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Jack Dorsey change le monde, mais fait aussi pour nous nos premiers pas dans un nouvel enfer
2 août 2007: S-1959, la loi de 2007 sur la radicalisation violente et la prévention du terrorisme local est présentée et rejetée au Sénat, après avoir été adoptée par la Chambre sous le nom de H.R. 1955 en avril 2007. Le projet de loi a été coparrainé par le représentant Bennie Thompson, qui jouera plus tard un rôle de premier plan au sein du comité du 6 janvier.
Un article d'opinion dans SF Gate en 2008, "Règle par la peur ou règle par la loi?" par Lewis Seiler et Dan Hamburg, note ce qui suit :
Certains commentaires des médias s'interrogent sur une loi qui qualifie de terroristes les personnes qui "se livrent à des sit-in, à la désobéissance civile, à l'intrusion ou à tout autre crime au nom des droits des animaux" comme terroristes. L'ACLU, à l'époque toujours vivement intéressée par ces questions, publie une déclaration disant :
L'application de la loi devrait se concentrer sur l'action, pas sur la pensée. Nous devons nous préoccuper des gens qui commettent des crimes plutôt que de ceux qui nourrissent des croyances que le gouvernement peut considérer comme extrêmes.
4 janvier 2011 : Le marchand ambulant tunisien Tarek al-Tayeb Mohamed Bouazizi s'immole à Ben Arous, en Tunisie, après avoir été harcelé par des fonctionnaires municipaux. Cela sera considéré comme l'événement déclencheur du printemps arabe, une série de soulèvements populaires alimentés par les médias sociaux à travers le Moyen-Orient.
27 septembre 2011 : Michael Furlong, un colonel psyops de l'armée à la retraite, démissionne de son poste SES dans l'armée de l'air après avoir découvert que son programme "INFORMATION OPERATIONS CAPSTONE" en Afghanistan couvre un réseau d'espionnage privé opérant dans "The Grey". Zone » de légalité, d'autant plus qu'elle était dirigée depuis 2009 par le conspirateur Iran Contra gracié et légende de la CIA Duane « Dewey » Clarridge
2 mars 2012 : USA Today, qui deviendra plus tard un partenaire enthousiaste des opérations « anti-désinformation », publie des « programmes ‘info ops’ américains douteux, coûteux » :
WASHINGTON – Alors que le Pentagone a cherché à vendre les guerres en Irak et en Afghanistan à des populations souvent hostiles là-bas, il a dépensé des centaines de millions de dollars dans des campagnes de marketing et de propagande mal suivies que les chefs militaires aiment appeler «opérations d'information», l'équivalent moderne de la guerre psychologique.
18 mai 2012 : Mon ancien collègue Michael Hastings publie un article dans Buzzfeed, aujourd'hui disparu, intitulé « Les membres du Congrès cherchent à lever l'interdiction de la propagande : la propagande censée cibler les étrangers pourrait désormais viser les Américains, renversant une politique de longue date ». Hastings se révélerait prémonitoire :
L'amendement "annulerait l'interdiction actuelle de diffusion nationale" du matériel de propagande produit par le Département d'État et le Conseil des gouverneurs de la radiodiffusion indépendant, selon le résumé de la loi sur le site Web officiel du House Rules Committee.
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Le regretté Michael Hastings.
2 janvier 2014 : Jake Tapper, de CNN, note avec précision : "l'administration Obama a utilisé la loi sur l'espionnage pour poursuivre les lanceurs d'alerte qui ont divulgué des informations aux journalistes... plus que toutes les administrations précédentes réunies."
16 novembre 2018 : Le président Donald Trump promulgue la « loi de 2018 sur l'Agence de sécurité de la cybersécurité et des infrastructures » établissant la CISA en tant que sous-agence au sein du Département de la sécurité intérieure avec un budget de plusieurs milliards de dollars.
17 novembre 2020 : Le directeur inaugural de la CISA, Christopher Krebs, est limogé par le président Trump via un tweet pour des remarques qu'il a faites sur la sécurité de l'élection présidentielle.
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Le limogeage par tweet du premier chef de la CISA par Trump.
18 mai 2022 : Le malheureux « Conseil de gouvernance de la désinformation » du Département de la sécurité intérieure est « suspendu » après seulement trois semaines. Des journaux comme le Washington Post accusent les "attaques de droite" de sa fermeture.
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08 septembre 2022 : La RAND Corporation publie "INFORMATION WARFARE : Methods to Counter Disinformation" qui préconise "le développement de contre-stratégies et nous identifions spécifiquement le concept de chaînes de mise à mort comme un cadre utile pour aider à relever le défi de la désinformation", incorporant essentiellement l'assassinat doctrine du JSOC en Irak et en Afghanistan aux publications nationales.
2 décembre 2022 : Twitter Files #1 est publié, commençant une série de rapports qui divulgueront de vastes efforts de « anti-désinformation » sous les départements d'État et de la Sécurité intérieure, en plus du FBI, le bureau du directeur de National Intelligence, et un nombre encore indéterminé d'organisations de la société civile.
https://www.zerohedge.com/political/century-censorship
Visualiser le déclin du logement abordable aux États-Unis
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 MAI 2023 - 04:40
Plus de 80 % des résidents américains ont choisi de vivre en milieu urbain, à partir de 2023.
Et, comme Chris Dickert et Pernia Jamshed de Visual Capitalist le détaillent ci-dessous, avec ce chiffre qui devrait atteindre près de 90 % d'ici 2050, les prix de l'immobilier augmentent, avec des conséquences importantes sur l'abordabilité du logement.
Cette visualisation, la deuxième de la série Reimagining Home de notre sponsor Boxabl, plonge profondément dans l'évolution du marché du logement aux États-Unis.
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L'abordabilité du logement à son plus bas niveau depuis des décennies
Le ratio prix de l'immobilier/revenu aux États-Unis, qui suit les prix de l'immobilier en multiples du revenu annuel, a régulièrement augmenté depuis le milieu des années 1980, lorsque le marché se remettait d'un krach immobilier au début de cette décennie.
Historiquement, le ratio a oscillé entre trois et quatre. Mais au début des années, le ratio a dépassé quatre et a continué, atteignant un sommet de 5,11 en 2005. Le ratio a quelque peu chuté à la suite de l'effondrement des prêts hypothécaires à risque, mais n'est jamais revenu aux moyennes historiques. De nouveaux records ont été établis en 2014 (5,33) et à nouveau en 2021 (5,61).
Veuillez noter que puisque les prix médians des logements et les revenus médians des ménages sont publiés à des fréquences différentes, respectivement trimestrielles et annuelles, afin de calculer le ratio, les prix des logements ont été moyennés sur une base annuelle.
Année Prix médian des maisons Ratio médian des revenus des ménages
RépondreSupprimer1984 79 950 $ 22 415 $ 3,57
1985 84 275 $ 23 618 $ 3,57
1986 92 025 $ 24 897 $ 3,70
1987 104 700 $ 26 061 $ 4,02
1988 112 225 $ 27 225 $ 4,12
1989 120 425 $ 28 906 $ 4,17
1990 122 300 $ 29 943 $ 4,08
1991 119 975 $ 30 126 $ 3,98
1992 121 375 $ 30 636 $ 3,96
1993 126 500 $ 31 241 $ 4,05
1994 130 425 $ 32 264 $ 4,04
1995 133 475 $ 34 076 $ 3,92
1996 140 250 $ 35 492 $ 3,95
1997 145 000 $ 37 005 $ 3,92
1998 151 925 $ 38 885 $ 3,91
1999 160 125 $ 40 696 $ 3,93
2000 167 550 $ 41 990 $ 3,99
2001 173 100 $ 42 228 $ 4,10
2002 186 025 $ 42 409 $ 4,39
2003 192 125 $ 43 318 $ 4,44
2004 218 150 $ 44 334 $ 4,92
2005 236 550 $ 46 326 $ 5,11
2006 243 750 $ 48 201 $ 5,06
2007 244 950 $ 50 233 $ 4,88
2008 229 550 $ 50 303 $ 4,56
2009 215 650 $ 49 777 $ 4,33
2010 222 700 $ 49 276 $ 4,52
2011 224 900 $ 50 054 $ 4,49
2012 244 400 $ 51 017 $ 4,79
2013 266 225 $ 53 585 $ 4,97
2014 285 775 $ 53 657 $ 5,33
2015 294 150 $ 56 516 $ 5,20
2016 305 125 $ 59 039 $ 5,17
2017 322 425 $ 61 136 $ 5,27
2018 325 275 $ 63 179 $ 5,15
2019 320 250 $ 68 703 $ 4,66
2020 336 950 $ 68 010 $ 4,95
2021 396 800 $ 70 784 $ 5,61
Les données sur le logement sont disponibles jusqu'au premier trimestre de 2023, lorsque les prix médians sont passés d'un niveau record de 479 500 $ à la fin de 2022 à 436 800 $ au premier trimestre de cette année.
Étant donné que le revenu médian des ménages n'est actuellement disponible que jusqu'en 2021, il n'est pas possible de calculer le ratio au-delà. Cependant, à moins qu'il n'y ait eu une augmentation inhabituellement importante du revenu, le ratio est probablement resté près de niveaux records.
Et tout au long de la hausse apparemment imparable des prix de l'immobilier au cours des 38 années couvertes ci-dessus, les revenus n'ont pas suivi. Entre 1984 et 2021, les revenus médians ont augmenté de 3,16 x, passant de 22 415 $ à 70 784 $, tandis que les prix médians des logements ont augmenté de près de 5,26 x pour atteindre 423 600 $, contre 78 200 $.
Question prioritaire pour les communautés locales
Au milieu de l'érosion constante de l'abordabilité du logement, les résidents américains ont réagi avec une inquiétude croissante. En 2018, lorsque le Pew Research Center a posé des questions sur les problèmes majeurs affectant les communautés locales, la première place est allée à la toxicomanie avec 42%, contre 39% sur la disponibilité de logements abordables.
En 2021, la situation s'est inversée et l'abordabilité du logement était le problème #1 selon 49% des répondants, soit une augmentation de 10%. La toxicomanie, en revanche, est tombée à 35 %.
En général, les jeunes Américains (55%), les résidents urbains (63%) et ceux à faible revenu (57%) ont exprimé plus d'inquiétude que leurs homologues.
Y a-t-il un médecin dans la maison ?
RépondreSupprimerAlors, qu'est-ce qui cause l'érosion de l'abordabilité du logement aux États-Unis ?
En fin de compte, les États-Unis ne construisent pas suffisamment de maisons pour suivre le rythme de la croissance démographique. Et vous pouvez le voir dans les données sur les mises en chantier. En janvier 1959, il y avait environ 1,7 million de mises en chantier, contre 1,3 million en janvier 2023. Et cette diminution s'est produite malgré le fait que la population américaine a presque doublé, passant de 176 à 335 millions.
De nombreuses forces différentes travaillent ensemble au niveau local pour empêcher la construction de nouvelles maisons. L'espace est une raison. Les lois de zonage locales qui limitent la construction de maisons multifamiliales sont un autre coupable. La pandémie de COVID-19 a également causé des problèmes de chaîne d'approvisionnement mondiale, entraînant une augmentation des coûts des matériaux pour le logement.
Et la cerise sur le gâteau ? La hausse des taux d'intérêt rend encore plus difficile l'accès au marché pour les acheteurs d'une première maison.
Sortir des sentiers battus sur le logement
Alors que l'abordabilité du logement est à son plus bas depuis plus d'une décennie et que les gens craignent de ne pas pouvoir trouver un logement, il est temps de sortir des sentiers battus.
Boxabl utilise des techniques de production de masse avancées pour construire et expédier des maisons qui réduisent considérablement le coût d'accession à la propriété pour tout le monde.
Il s'agit de la deuxième pièce de la série Reimagining Home. La première partie examine en profondeur l'urbanisation aux États-Unis, tandis que la troisième et dernière partie examine comment les maisons modulaires pourraient être une solution à la crise de l'accessibilité financière aux États-Unis.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/visualizing-decline-affordable-housing-us
L'évolutivité de l'hydrogène est essentielle pour répondre à la demande énergétique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 MAI 2023 - 03:40
Rédigé par Robert Hebner via RealClear Wire,
Il y a des années, j'ai assisté à une conférence avec un responsable du programme énergétique chinois à l'Université de Hong Kong. L'investissement important en temps et en ressources dans chaque technologie énergétique et l'engagement à mettre à l'échelle des solutions à impact environnemental réduit m'ont ouvert les yeux, mais m'ont également semblé être une approche inefficace.
Il est maintenant évident que le monde doit investir dans une méthode complète pour répondre à nos besoins énergétiques avec un impact environnemental réduit.
La demande mondiale d'énergie devrait doubler en raison de la croissance démographique ; plus de la moitié n'ont pas suffisamment d'énergie aujourd'hui, ce qui conduit à la pauvreté et à des décès prématurés.
Actuellement, l'énergie dérivée des combustibles fossiles est la seule source disponible à l'échelle requise pour répondre à la demande croissante.
Même si les problèmes géopolitiques autour des combustibles fossiles étaient magiquement éliminés, la conversion naturelle de l'énergie solaire en combustibles fossiles inclut le carbone. Nous utilisons maintenant l'énergie à un rythme tel que les émissions de carbone modifient le climat, ce qui entraîne également la pauvreté et des décès prématurés.
Nous avons besoin de solutions plus nombreuses et meilleures à une échelle suffisamment grande pour avoir de l'importance.
L'hydrogène est attractif car il promet de rendre l'énergie renouvelable intermittente disponible 24h/24 et 7j/7 partout. De plus, le marché mondial de l'hydrogène représente aujourd'hui plus de 150 milliards de dollars, avec des opportunités de croissance majeures dans les futurs secteurs du réseau et des transports.
La demande croissante d'énergie signifie une croissance des emplois et des bénéfices. Mais il y aura des gagnants et des perdants même sur le marché en croissance.
Les gouvernements utilisent des incitations pour soutenir toute l'énergie aujourd'hui. Dès lors, l'intégration de l'hydrogène dans le système politique est compliquée. Par exemple, le ministère de l'Énergie a pour objectif de développer la technologie de production d'hydrogène pour 1 $/kilogramme d'ici la fin de la décennie. Un kilogramme d'hydrogène a une énergie similaire à un gallon d'essence.
Cependant, des recherches récentes ont montré que pour un parc éolien dans l'ouest du Texas, produire et vendre de l'hydrogène n'a aucun sens économique à moins que le coût de l'hydrogène ne soit d'environ 3,50 $/kilogramme, en raison d'un crédit d'impôt à la production qui récompense l'électricité éolienne fournie au réseau électrique.
RépondreSupprimerL'empreinte carbone de l'hydrogène est élevée aujourd'hui, mais nous avons la technologie pour le produire avec une empreinte carbone plus faible. Les États-Unis mettent en place un crédit d'impôt progressif pour soutenir la mise à l'échelle de l'hydrogène plus propre, quelle que soit sa matière première.
Nous perdons tous si nous faisons du parfait l'ennemi du bien. Moins de personnes souffrent ou meurent si nous passons du bien au mieux, au mieux plutôt que de rester assis sur le bien jusqu'à ce que le meilleur soit facilement réalisable.
Notre gouvernance héritée empêche l'établissement d'un marché où de multiples solutions contribuent. Le système que nous avons construit suppose que les différents composants se font concurrence, et non travaillent en équipe pour répondre à la demande énergétique croissante d'une manière écologiquement durable.
Nous comptons sur notre gouvernement pour assurer la coordination nécessaire. Nous devons leur donner les outils et les connaissances dont ils ont besoin pour bien faire ce travail pour nous tous.
Pour l'hydrogène, des perspectives paroissiales tentent d'influencer les matières premières du réseau électrique qui sont suffisamment propres pour bénéficier de tous les avantages du crédit d'impôt 45V. Il s'agit d'une situation classique "parfait contre bon".
Certifier l'hydrogène comme propre lorsque sa matière première provient d'une source indépendante et dédiée est simple. Cependant, l'hydrogène produit à Houston, TX, en utilisant l'électricité du réseau est proche de la parité des prix avec les moyens conventionnels à forte intensité de carbone de produire de l'hydrogène.
Ainsi, nous pouvons avoir de l'hydrogène plus propre rapidement. Mais le réseau, tout en devenant continuellement plus propre, a une empreinte carbone qui varie quotidiennement. La plupart des gens prudents diraient qu'en l'absence de preuves de dommages plus importants, cette approche devrait bénéficier aujourd'hui d'un crédit d'impôt compétitif et de crédits d'impôt améliorés à mesure que l'hydrogène deviendra plus propre à l'avenir.
Des décennies de crédits d'impôt et de compensations ont fait de l'éolien et du solaire des fournisseurs de niche. Avec sa capacité de stockage massive commercialement mature, l'hydrogène pourrait fournir la technologie de point de basculement pour augmenter les combustibles fossiles pour répondre à la demande croissante.
Aucune solution ne peut à elle seule relever le défi. Nous avons besoin de flexibilité pour la production, la conservation et l'efficacité de l'énergie. Nous prospérerons avec un portefeuille de contributeurs exceptionnels, et non en attendant un super-héros de l'énergie.
Robert Hebner est le directeur du Centre d'électromécanique de l'Université du Texas à Austin.
https://www.zerohedge.com/energy/hydrogens-scalability-essential-meet-energy-demand
Les voitures dominent toujours le trajet américain
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 MAI 2023 - 02:40
Dans le cadre du mois national du vélo, célébré aux États-Unis chaque mois de mai pour promouvoir le vélo en tant que mode de transport amusant et sain, aujourd'hui, le 19 mai était la journée du vélo au travail. Ce jour-là, les gens sont encouragés à laisser leur voiture derrière eux et à enfourcher leur vélo pour leur trajet quotidien vers le travail. Après tout, comme le note Felix Richter de Statista, le vélo pour se rendre au travail est encore relativement rare aux États-Unis, malgré les nombreux avantages qu'il offre en termes de santé personnelle, de réduction du trafic et d'économies d'émissions.
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Infographie : Les voitures dominent toujours le trajet américain | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon Statista Consumer Insights, 73 % des navetteurs américains utilisent leur propre voiture pour se déplacer entre leur domicile et leur travail, ce qui en fait de loin le mode de transport le plus populaire. Pendant ce temps, seulement 13 % des 7 649 répondants utilisent les transports en commun tandis que 11 % font du vélo. Comme le montre le graphique de Statista, les alternatives à la voiture sont devenues plus populaires depuis 2019, mais aucune ne remet en question le statut de la voiture en tant que roi des déplacements américains.
Plusieurs facteurs contribuent à la faible adoption du vélo comme moyen de transport quotidien : d'une part, les Américains sont habitués à parcourir de plus longues distances que les habitants de la plupart des pays européens, ce qui exclut automatiquement le vélo pour beaucoup. Et deuxièmement, de nombreuses grandes villes des États-Unis ne sont pas vraiment adaptées aux vélos.
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Infographie : Les villes américaines les plus adaptées aux vélos | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon une étude récente, seules deux villes américaines figurent parmi les 50 villes les plus favorables aux vélos au monde, en tenant compte de facteurs tels que l'infrastructure cyclable, la sécurité et l'utilisation ainsi que des choses aussi banales que la météo.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/cars-still-dominate-american-commute
Regardez: Les scientifiques créent de vrais bras de docteur Octopus
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 MAI 2023 - 05:20
Des scientifiques de l'Université de Tokyo ont développé un ensemble de bras robotiques qui peuvent être attachés au dos d'un utilisateur. Ces armes imitent l'apparence d'Otto Octavius (également connu sous le nom de Docteur Octopus), un personnage fictif et l'un des ennemis les plus durables de Spider-Man, qui brandit des appendices mécaniques en forme de tentacule.
Appelé "Jizai Arms", le sac à dos portable peut alimenter jusqu'à six bras de robot détachables et se déplace avec le corps de l'utilisateur.
"Le système a été conçu pour permettre une interaction sociale entre plusieurs porteurs, comme un échange de bras, et explorer les interactions possibles entre les cyborgs numériques dans une société cyborg", ont écrit les scientifiques dans une note de recherche intitulée "Social Digital Cyborgs: The Processus de conception collaborative de JIZAI ARMS" qui a été publié dans la bibliothèque numérique ACM, une base de données d'articles en texte intégral et de littérature bibliographique couvrant l'informatique et les technologies de l'information.
"D'après nos séances de jeux de rôle, nous avons découvert que notre corps pouvait détecter avec précision l'attachement/le détachement des bras, et nous avons particulièrement ressenti un fort impact lors du détachement ou de la réduction du nombre de bras robotiques portés", ont déclaré les scientifiques dans l'article.
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"Nous avons également suggéré d'ajouter la personnalisation aux bras robotiques pour générer un sentiment d'appartenance sociale, le sentiment d'appartenance d'un individu envers une partie du corps artificiel spécifique partagée entre plusieurs personnes, en tant que futur sujet de recherche", ont-ils poursuivi.
Cette technologie nous rappelle les tentacules mécaniques d'Octavius.
En plus de l'intelligence artificielle, nous pourrions aussi vouloir nous préparer à un monde de cyborgs.
https://www.zerohedge.com/technology/watch-scientists-create-real-doctor-octopus-arms
Le ministère du Gewessler finance l'ancien club Graichen "Agora Energiewende"
RépondreSupprimer20 mai 2023
par Thomas Oysmuller
Les Verts en Allemagne sont sous forte pression en raison de la révélation autour du « clan Habeck-Graichen ». Mais les Verts autrichiens sont également impliqués. Le ministère du Climat fait un don à l'Agora Energiewende.
Robert Habeck, homme vert radieux et, aux côtés d'Annalena Baerbock, du parti Alpha, vit sa pire crise politique : le déclencheur est son ex-secrétaire d'Etat Patrick Graichen, qui a démissionné cette semaine. Avant son travail chez Habeck, Graichen était directeur du lobby club "Agora Energiewende".
Affaire Graichen
Graichen est tombé sur des nominations douteuses : il a obtenu de son témoin le poste de chef de l'Agence allemande de l'énergie. Ses frères et sœurs Jakob et Verena travaillent à "l'Öko-Institut", qui est financé par des commissions des ministères. Depuis le feu tricolore, beaucoup plus de commandes du ministère des Affaires économiques de Robert Habeck et Patrick Graichen sont parvenues à l'institut - a rapporté vendredi la journaliste Janina Lionello.
Le magazine satirique allemand « Postillon » écrit : « Graichen justifie sa démission : veut passer moins de temps avec sa famille. » Très juste . Le public critique appelle l'affaire le «clan Habeck-Graichen».
Mais le gros problème et pourquoi les Verts sont durement touchés s'appelle : « Agora Energiewende ». L'accent est mis sur Hal Harvey, milliardaire américain et président de la "Climate Impact Foundation". Il a fondé le lobby club "Agora Energiewende" en 2012, et Graichen est devenu directeur général peu de temps après. En 2022, Die Zeit a qualifié Harvey de "vert le plus puissant du monde". Agora est également financé par la Fondation européenne pour le climat, créée en 2008. Également présent : Hal Harvey.
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Harvey et Graichen sont d'excellents exemples de la dépendance de la « politique économique verte » vis-à-vis des grandes entreprises américaines. Une étude de l'« Öko-Institut » est citée dans le projet de loi sur les pompes à chaleur en Allemagne. Cela a été à son tour commandé par Agora. On peut se demander si une telle étude est ouverte.
Beatrx von Storch (AfD) décrit les processus verts dans un article récent :
RépondreSupprimer« Le succès du mouvement climatique et de son bras politique, les Verts, est étroitement lié au fait d'être soutenu par un réseau de plusieurs milliards de dollars de plateformes, de fondations, de groupes de réflexion et d'organisations de pression financés par des milliardaires et directement ou indirectement par l'industrie financière mondiale.
La création du « Climate Finance Partnership » en 2018 a marqué une étape importante dans ce développement. Il s'agit d'un partenariat entre le gestionnaire d'actifs BlackRock et les gouvernements allemand, français et japonais et de grandes fondations américaines comme la Fondation Hewlett. BlackRock détient des participations dans 17 000 entreprises et dispose d'un capital de 10 000 milliards d'euros, soit un dixième du PIB mondial. Avec les deux autres grands gestionnaires de fonds, Vanguard et State Street, les « trois grands » contrôlent 88 % des principales sociétés américaines. Président du Conseil de surveillance de BlackRock Allemagne à l'époque : Friedrich Merz.
La Fondation Hewlett est le sponsor principal de "l'homme vert le plus puissant du monde" ( Zeit ), Hal Harvey."
L'Autriche
Pas étonnant que le ministère autrichien du climat d'Eleonore Gewessler (Verts) soit également rattaché à Agora. Un rapide coup d'œil sur le financement d'Agora suffit. En plus des agences gouvernementales allemandes, il n'y a qu'un seul gouvernement qui finance encore Agora : l'Autriche.
Les sommes ne sont pas importantes, mais elles le sont : le ministère du Climat a financé Agora avec 75 000 euros en 2021, 90 000 euros y sont allés en 2022. Intéressant : En 2019, près de 120 000 euros sont venus du ministère du Tourisme par Elisabeth Köstinger (ÖVP). À l'époque, le noir et le bleu régnaient encore en maître.
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Par rapport aux agences gouvernementales allemandes, les dépenses de l'Autriche sont faibles, mais quand même. L'Agora est principalement financée par des capitaux privés. source ici.
Il semble mieux illustré comme ceci:
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Une brève recherche sur la page d'accueil du ministère du Climat montre également à quel point les études d'Agora (qu'il s'agisse de la transition énergétique ou de la transition routière) sont volontiers consultées par le ministère Gewessler. Plus récemment, par exemple, avec "Arguments pour le retournement de la mobilité".
Comme on le sait depuis cette semaine, Gewessler veut une interdiction encore plus rapide des moteurs à combustion en Autriche, à partir de 2027 - a rapporté tkp. Les études qui indiquent une nécessité absolue, sinon la "catastrophe climatique" nous frappera, sont très appropriées.
Les Verts en Allemagne sont sous forte pression en raison de la révélation autour du « clan Habeck-Graichen ». Les Verts autrichiens sont également de la partie. Ce n'est pas surprenant. Certains spéculent même que la demande des Verts pour des soldats de l'armée en Ukraine a été rejetée comme une manœuvre de diversion - afin que personne n'ait l'idée de suivre de plus près les pas de Gewessler/Kogler autour d'Agora.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/05/20/gewessler-ministerium-finanziert-ex-graichen-club-agora-energiewende/
Wagner annonce la victoire à Bakhmut
RépondreSupprimer20 mai 2023
par Thomas Oysmuller
La bataille a duré neuf mois, mais maintenant elle semble terminée. Le patron de Wagner, Prigozhin, a annoncé le contrôle total de la ville de Bakhmut samedi à midi. La bataille la plus sanglante du siècle est terminée.
Le patron de Wagner, Yevgeny Prigozhin, a annoncé la victoire le 20 mai à midi : la ville de Bakhmut, qui avait été disputée pendant 224 jours, a été complètement conquise. Pendant la guerre, la ville de 75 000 habitants (en 2019) est devenue le théâtre de la bataille la plus brutale du 21e siècle.
Milice privée contre l'OTAN
La milice privée "Wagner" s'est battue contre l'armée ukrainienne, qui est soutenue par l'OTAN à tous les niveaux. On ne sait pas combien de soldats ont perdu la vie. Ce seraient des chiffres choquants. L'opération militaire a reçu le titre cynique de "hachoir à viande" par "Wagner". L'opération visait à lier et à éliminer autant de forces que possible du côté ukrainien.
La bataille de Bakhmut a donc été la première grande bataille de l'histoire au cours de laquelle une compagnie militaire privée a vaincu une armée organisée. Une armée entraînée et ravitaillée par l'OTAN.
En tout cas, la défaite dans la ville est une lourde défaite pour l'Ukraine. Au moins d'un point de vue propagandiste : Selenski personnellement avait insisté à plusieurs reprises pour continuer la bataille défensive. La défaite survient en même temps que le voyage de Selenski au G7 au Japon. Là, on devrait lui promettre des avions de chasse - les analystes ont averti il y a des mois que cela signifierait une escalade dangereuse de la guerre.
Le ministère ukrainien de la Défense nie la défaite dans la ville : « » Il y a de violents combats à Bakhmut. La situation est critique. En même temps, nos troupes maintiennent la défense dans la zone des avions. » À l'heure actuelle, les forces armées ukrainiennes continuent de détenir divers bâtiments industriels et d'infrastructure.
La journaliste de guerre ukrainienne Illia Ponomarenko a rapporté le contraire sur Twitter :
L'"Asia Times" a également rapporté mercredi que l'Ukraine s'apprêtait à se retirer. La « fin de Bakhmut » est arrivée. Voici le texte à lire dans « Asia Times ». Pour rendre cette retraite moins dangereuse, il y eut aussi des offensives sur les flancs de la ville. Là-bas, l'Ukraine a enregistré des succès, mais aussi des pertes importantes.
L'importance stratégique de la prise de la ville est douteuse. Lorsque la bataille de Bakhmut a commencé, beaucoup ont soupçonné que si la Russie était victorieuse, elle pourrait rapidement pousser plus à l'ouest. Entre-temps, cependant, les forces armées ukrainiennes sont également susceptibles d'avoir creusé à l'ouest de Bakhmut. Le patron de Wagner, Prigozchin, a déclaré il y a quelques jours que la ville n'avait aucune importance stratégique particulière.
Il a annoncé samedi qu'il quitterait la ville avec sa milice privée le 25 mai. D'ici là, des lignes de défense seraient établies et la ville serait remise au ministère russe de la Défense.
De 1924 à 2016, le nom de la ville était Artemivsk. Il a été rebaptisé Bakhmut dans le cadre des lois de décommunisation de l'Ukraine.
https://tkp.at/2023/05/20/wagner-sieg-in-bakhmut/
Avertissement : Les deux tiers du réseau électrique nord-américain courent un RISQUE ÉLEVÉ de connaître des pannes estivales pendant les pics de demande
RépondreSupprimervendredi 19 mai 2023
par : Lance D. Johnson
(Natural News) La North American Electric Reliability Corporation (NERC) vient de publier son évaluation de la fiabilité du réseau électrique pour l'été 2023.
Le NERC est une entité publique-privée à but non lucratif qui fournit des évaluations de la fiabilité du réseau électrique à cinquante régulateurs d'État et au Département américain de l'énergie. À l'approche de l'été 2023, le NERC prévient que les deux tiers du réseau électrique nord-américain courent un risque élevé de subir des pannes estivales pendant les pics de consommation d'énergie.
Les services publics de la majeure partie de l'Amérique du Nord ne disposent pas d'une capacité de production de réserve suffisante pour répondre aux prochaines poussées de la demande de juin à septembre.
"Les profils de risque élevés que nous constatons sont dus à une combinaison de retraits de génération conventionnels observés au cours des deux dernières années, une augmentation substantielle de la demande de pointe prévue et de nouvelles charges à venir - nous électrifions plus que jamais dans le passé », a déclaré John Moura, directeur de la fiabilité du NERC.
La décarbonisation de l'Ouest met en danger le réseau électrique en Amérique du Nord
RépondreSupprimerDans le rapport du NERC, les chercheurs avertissent que la décarbonisation rapide du réseau électrique américain exposera de nombreuses personnes à des risques de pannes et de pannes pendant les mois de forte demande de l'été 2023. La transition précipitée de l'administration Biden du pétrole et du gaz vers l'éolien et le solaire sapent les réserves d'énergie et font grimper les prix de l'électricité. La transition vers les énergies renouvelables a lieu avant que le réseau ne puisse ajuster et étendre ses capacités de transport. Les combustibles fossiles produisent de l'électricité à la demande, tandis que les énergies renouvelables dépendent de la disponibilité du soleil et du vent à tout moment de la journée.
"Les moteurs ici sont la croissance de la demande et les retraits de production qui enlèvent la production dispatchable qui est nécessaire pour maintenir la fiabilité dans une gamme de conditions", a déclaré Mark Olson, responsable des évaluations de la fiabilité du NERC.
Le rapport du NERC avertit que les contraintes sur la livraison de gaz naturel et de charbon, combinées aux nouvelles restrictions environnementales fédérales et aux problèmes de chaîne d'approvisionnement, contribuent à des capacités incertaines. Ces nouvelles règles environnementales limitent les émissions des centrales électriques, inhibant les générateurs au charbon dans vingt-trois États. Les nouvelles règles limiteront les heures de fonctionnement des centrales électriques au charbon tout en introduisant progressivement les équipements de contrôle des émissions. Pour aggraver les choses, il y a une baisse des niveaux d'eau à proximité de certaines centrales hydroélectriques et des «déclenchements inattendus» des ressources éoliennes et solaires qui rendent la capacité incertaine.
« Le rythme auquel nous fermons les centrales à combustibles fossiles dépasse le rythme auquel nous mettons en ligne de nouvelles centrales », a déclaré Greg R. White, directeur exécutif de la National Association of Regulatory Utility Commissioners (NARUC), à Epoch Times. "Si vous prêtez attention à ce qui se passe dans cette industrie, l'industrie a dit que la transition [des combustibles fossiles aux énergies renouvelables] serait difficile."
L'un des réseaux à risque est le Midcontinent Independent System Operator (MISO), qui contrôle l'électricité dans 15 États et dans la province canadienne du Manitoba. La fiabilité des réseaux MISO dépendra de la quantité de vent traitée par les éoliennes pendant les pics de demande. Le Northeast Power Coordinating Council de la Nouvelle-Angleterre, qui alimente les services publics de sept États et des provinces canadiennes du Québec, de la Nouvelle-Écosse, du Nouveau-Brunswick et de l'Ontario, est également menacé. Parmi les autres sources d'approvisionnement en électricité à haut risque figurent le SERC-Central, qui alimente 16 États du sud ; le pool énergétique du sud-ouest ; NPPC-Ontario; l'Electric Reliability Council of Texas, qui alimente 90 % du Texas ; et The Western Interconnection, qui alimente quatorze États et s'étend de la Basse-Californie au Mexique aux provinces canadiennes de la Colombie-Britannique et de l'Alberta. L'interconnexion de l'Ouest pourrait tomber en panne lors d'"événements de chaleur étendus" - en particulier si la production d'énergie provenant de vastes ressources solaires photovoltaïques est réduite de la fin de l'après-midi aux heures du soir.
RépondreSupprimerLa décarbonisation de l'Ouest ne fait pas seulement grimper les prix de l'électricité pour des millions de personnes, mais elle expose également le réseau électrique à des pannes temporaires pour des millions d'autres en Amérique du Nord.
Sources include:
TheEpochTimes.com
Nerc.com [PDF]
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-05-19-two-thirds-power-grid-elevated-risk-summer-outages.html
Un auteur français populaire fait face à des accusations criminelles pour avoir «maltraité» un maire souffrant de dysphorie de genre en l'appelant «un homme» - ce qu'il EST
RépondreSupprimervendredi 19 mai 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) L'auteure française à succès, féministe et influente des médias sociaux Dora Moutot est poursuivie en justice pour le "crime" présumé d'avoir "trompé" deux transgenres sur la base de leur sexe biologique réel.
Le maire de Tilloy-lez-Marchiennes « Marie Cau », un homme qui se fait maintenant passer pour une femme, et Hanneli Escurier, une journaliste qui se fait passer pour un homme, sont tous les deux mécontents de Moutot pour les avoir appelés par ce qu'ils sont réellement, plutôt que par ce qu'ils prétendent être.
Les deux dérangés mentaux poursuivent Moutot avec le soutien de Mousse et SOS Homophobie, deux organisations LGBT qui croient apparemment que les gens devraient être punis pour avoir refusé de faire semblant à la demande avec les pronoms de genre inventés par d'autres personnes.
L'un des incidents s'est produit lorsque Moutot a été interrogé par la journaliste Léa Salamé dans le populaire talk-show français Quelle Époque! si elle considérait le maire Cau comme une femme. Moutot a répondu: "Pour moi, Marie Cau est un homme."
Mousse a répondu à cette déclaration en accusant Moutot d'avoir "violemment attaqué" Cau en le qualifiant à la fois d'homme, ce qu'il est, et d'"homme transféminin".
Cau, dont le nom naturel est Nicolas, a été élu à un poste politique en 2020 et célébré par les médias contrôlés par les mondialistes comme le premier maire transgenre de France. La petite ville dont il est maire compte environ 500 habitants et Cau espère éventuellement se présenter à la présidence en France.
(En relation: En Californie, certains militants et politiciens de gauche veulent punir les pasteurs qui refusent d'utiliser des «pronoms de genre» et promeuvent la perversion transgenre.)
Au Royaume-Uni, en Grèce, en Norvège et maintenant en France, il suffit de fausses accusations de transsexuelles dérangées pour déclencher des poursuites pénales
L'autre "délit" de Moutot a eu lieu le 25 août 2022, lorsqu'elle a qualifié Escurier de "femme trans-identifiée". La plainte légale déposée contre elle pour cette référence allègue que « femme trans-identifiée » est un terme offensant visant à inciter à la haine ou à la violence.
Escurier, quant à lui, a dénigré à plusieurs reprises de vraies femmes en les qualifiant de «TERF», un terme péjoratif, et a également «menacé de blesser physiquement Moutot elle-même lors d'un événement drag en 2020 qui s'est tenu dans un club à Paris».
RépondreSupprimerMoutot a répondu à cette menace en qualifiant Escurier de "femme trans-identifiée", et maintenant Moutot est accusé de comportement criminel tandis qu'Escurier ne fait face à aucune accusation et continue de présenter sa maladie mentale comme une "identité de genre".
Non seulement en France mais aussi au Royaume-Uni, en Grèce et en Norvège, il suffit que de fausses accusations comme celles lancées contre Moutot par Cau et Escurier déclenchent des poursuites pénales. Les LGBT, à l'inverse, peuvent dire ce qu'ils veulent, quand ils le veulent, et ne subir aucune forme de punition.
Les transsexuels fragiles comme Cau et Escurier sont tellement « blessés » par les mots qu'ils se sentent obligés d'essayer de ruiner la vie des autres simplement pour les avoir prononcés. La fragilité transsexuelle devient rapidement l'une des plus grandes menaces existentielles pour les personnes normales partout, en particulier lorsque leurs sentiments sont inscrits dans la loi, comme cela semble se produire au Royaume-Uni, en France et dans d'autres parties de l'Europe.
"Je suis harcelée depuis près de quatre ans maintenant par des militants trans pour avoir dit qu'une femme est une femme humaine et non un sentiment", dit Moutot à propos des abus auxquels elle continue de faire face de la part de transsexuelles dérangées et de leurs alliés.
"Ils m'envoient des insultes et des menaces, ils mettent mon adresse en ligne, et ils ont ruiné ma réputation en disant que je suis transphobe, et que je suis un complice d'extrême droite."
La vie et la carrière de Moutot sont menacées par ces mêmes transsexuelles, qui veulent qu'elle soit renvoyée et annulée.
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Les sources de cet article incluent :
LifeSiteNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-05-19-french-author-criminal-charges-misgendering-male-mayor.html
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