- ENTREE de SECOURS -



samedi 13 mai 2023

Astrid Stuckelberger : les injections ne sont pas biologiques

 

57 commentaires:

  1. [Débat] « L’euthanasie risque à terme de s’opposer à la confiance donnée aux médecins par les malades »

    Débat. Pour Aziliz Le Corre-Durget, les discussions autour de la fin de vie ne doivent pas nous faire perdre de vue la vocation première du médecin, qui est de soigner.


    le 13 mai 2023
    Aziliz Le Corre-Durget


    « Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. », promettent les jeunes diplômés en médecine avant de commencer à exercer.

    Pourtant, après la Convention citoyenne sur la fin de vie début avril, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) s’est à son tour prononcé, mardi 9 mai, en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté. Si la médecine porte a priori un but et une valeur : le soin à apporter au malade, qu’il faut guérir, quel doit être son rôle quand le patient est condamné ? Un soignant peut-il administrer la mort ?

    L’art médical

    Aujourd’hui, alors que les progrès médicaux permettent de maintenir artificiellement en vie des personnes en état végétatif, l’on souhaite en même temps contraindre le médecin à donner la mort. Dans son ouvrage L’art médical et la responsabilité humaine, le philosophe Hans Jonas s’intéresse à la relation que la médecine entretient avec celle-ci. Et de s’interroger : comment l’art médical, dont la vocation est précisément de lutter contre la mort, pourrait-il s’astreindre à se mettre à son service ?

    Le philosophe distingue deux démarches : la formulation de l’arrêt des soins et de toute forme d’acharnement thérapeutique, et la demande d’euthanasie.

    Selon Hans Jonas, le patient a le droit de s’opposer en toute conscience à un traitement qui le sauverait de la mort. Par exemple, il peut refuser une chimiothérapie qui le guérirait d’un cancer ou une dialyse nécessaire pour pallier une insuffisance rénale. Un patient, cette fois conscient mais maintenu en vie grâce aux machineries médicales, peut aussi demander l’arrêt des soins s’il est informé par l’équipe qui en a la charge que cette interruption conduira irrémédiablement à son décès. À l’inverse, s’il souhaite être maintenu en vie, son choix doit être respecté. Enfin, si le patient est dans un état végétatif, maintenu en vie artificiellement, mais incapable de s’exprimer sur sa volonté, Hans Jonas préconise aux médecins de le laisser mourir. Selon lui, les progrès technologiques ne doivent pas conduire à maintenir dans un état de vie végétative un corps inguérissable qui mourrait s’il était laissé à lui-même.

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  2. Face à l’intervention pressante de la technique moderne et des technologies médicales, le philosophe proclame un « droit de mourir. » Pour autant, ce droit à la mort est-il un droit à l’euthanasie ?

    Non, répond-t-il :

    « La décision de la mort ne doit pas échoir au médecin car cela mettrait en danger le rôle du médecin dans la société. Le médecin peut guérir, soulager, adoucir, mais la mort ne doit pas relever de ses prérogatives. » (Une éthique pour la nature, Arthaud poche, 2017)

    « Donner la mort n’est pas un soin »

    C’est également la position défendue par la présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP), Claire Fourcade, qui déclarait dans les colonnes du Figaro le 28 février dernier que « donner la mort n’est pas un soin ».

    Le rôle du soignant est d’accompagner et de soulager la fin de vie de ceux qui ne peuvent plus guérir. Particulièrement dans les unités de soins palliatifs.

    Actuellement, la Loi Claeys-Léonetti, du 2 février 2016, prévoit les directives anticipées et la désignation de la personne de confiance pour permettre à chacun d’exprimer ses volontés et de clarifier les conditions de l’arrêt des traitements, en réaffirmant le droit du malade à bénéficier de la sédation profonde et continue jusqu’au décès lorsque le pronostic vital est engagé à court terme. Contrairement à l’euthanasie, la sédation profonde n’entraîne pas la mort. Elle laisse le patient mourir naturellement de sa maladie tout en l’endormant pour qu’il ne souffre plus. Cette loi affirme par ailleurs le principe de l’égal accès aux soins palliatifs et l’accompagnement de la fin de vie. Elle pose le cadre de la procédure collégiale et de la décision médicale.

    Malheureusement, il existe une méconnaissance profonde du contexte légal qui entoure la fin de vie à l’hôpital. Qui plus est, dans un hôpital public en crise, la loi n’est pas toujours appliquée faute de bras et de moyens. En effet, selon la SFAP, 70 % des patients qui ont besoin d’un accès aux soins palliatifs ne peuvent pas en bénéficier. En cela réside le véritable scandale. Appliquer la loi en vigueur constitue donc déjà un chantier conséquent pour l’État et doit être sa priorité.

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  3. Le soin contre l’efficacité

    Hans Jonas soulève un autre point essentiel en affirmant qu’il ne faut pas se laisser guider par une éthique de la compassion mais par une éthique de la responsabilité.

    Notre action humaine ne doit pas être guidée uniquement par ce que nous éprouvons à l’égard d’autrui, mais par l’idée de prendre en charge cet autre qui souffre, en le respectant et en prenant en compte sa dignité. Le soin désigne le souci indéfectible dû au patient par tous les moyens disponibles dans le respect de son humanité. Ainsi, puisque nous sommes responsables des autres, nous nous devons de prodiguer à cet autre des soins, à la fois pour l’individu, mais aussi dans l’intérêt de l’ensemble des êtres humains qui constituent l’humanité.

    À terme, l’euthanasie pourrait aussi céder le pas à des considérations d’ordre économique. Est-on égoïste si l’on ne choisit pas l’injonction létale ? Est-ce bien raisonnable de continuer à coûter cher, à creuser les déficits, à être à la charge des autres ? Ne faut-il pas avoir le courage de s’effacer à temps, de libérer un lit, de ne plus être un poids pour la société et nos proches ? C’est avec de tels glissements que s’impose l’idée d’une médecine de la performance, réduite à une pratique technicienne et soumise aux critères de l’efficacité.

    Or, soignants et malades sont liés par une relation de responsabilité asymétrique et non réciproque. Le patient est l’objet de la responsabilité du médecin, qui doit protéger celui qui porte en lui cette fragilité. L’euthanasie risque à terme de s’opposer à la confiance donnée aux médecins par les malades. Ne perdons pas de vue la vocation première de la médecine qui est de venir en aide à toute souffrance, d’accompagner et de soigner tout être humain, du premier au dernier souffle de vie.

    https://www.contrepoints.org/2023/05/13/456482-leuthanasie-risque-a-terme-de-sopposer-a-la-confiance-donnee-aux-medecins-par-les-malades

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  4. [Débat] « Le droit pour chaque citoyen français de choisir le moment et la manière de finir sa vie »

    Débat. Pour Philippe Lohéac, la loi française devrait s’inspirer de la loi belge de légalisation de l’euthanasie.


    le 13 mai 2023


    Par Philippe Lohéac, délégué général de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité

    Le droit de mourir dans la dignité, c’est-à-dire dans ce que chacun estime être sa propre dignité, librement, c’est le droit pour tout citoyen de disposer de sa vie et de son corps, de sa naissance à la fin de sa vie. Il est entendu que le mot de « dignité » est à prendre dans le sens que lui donne le Code de la santé publique, dans son article L. 1110-5.

    Depuis 2005, la loi française maintient la question de la fin de la vie sous la seule autorité du médecin, faisant fi de la démocratie sanitaire mise en œuvre par la loi de 2002 qui devrait permettre aux patients, non seulement d’être parfaitement informés de leur état de santé, mais aussi de décider eux-mêmes des thérapeutiques et, parce que c’est une échéance obligatoire pour chacun d’entre nous, des conditions de leur propre fin de vie.

    Si la Loi de 2005, complétée par la loi du 2 mars 2010, puis renforcée par la Loi du 2 février 2016 – la troisième loi Leonetti, donc – reconnaît aux médecins, de manière individuelle ou collégiale, la capacité de définir le moment où un homme ou une femme sont arrivés à la fin de leur vie et leur impose le devoir de ne pas se livrer à quelque acharnement thérapeutique que ce soit, la suite donnée à ce constat, qui pose un jalon important dans une vie (celui du passage de la vie à la survie qui ne doit pas faire l’objet d’obstination), est confuse et surtout bien trop souvent inhumaine.

    Trois possibilités de fin de vie

    Concrètement, pour un citoyen, trois possibilités se présentent à partir du moment où le constat de la fin de vie est posé ; c’est-à-dire au moment où le médecin estime que le patient est au stade terminal d’une maladie incurable, lorsque son pronostic vital est engagé. Cette estimation est faite par un seul médecin.

    L’acharnement thérapeutique

    Bien que proscrit, on le retrouve bien souvent dans les établissements de santé ou de soins, notamment dans les Ehpad comme le reconnaît le Rapport parlementaire de MM. Leonetti et Claeys, mais sans en tirer aucune conclusion sur le plan législatif.

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  5. Cet acharnement se traduit fréquemment par le recours à des perfusions, voire par la mise en place d’une sonde gastrique sans l’avis du patient, pour obliger la personne en fin de vie, qui refuse la cuillère ou n’a plus la capacité de s’alimenter elle-même, à se nourrir ; de manière artificielle donc.

    Pourtant, lorsqu’il était ministre de la Santé, Bernard Kouchner a toujours clairement signifié que l’alimentation et l’hydratation figuraient au nombre des traitements ; le Conseil d’État l’avait aussi confirmé dans sa décision du 24 juin 2014 concernant Vincent Lambert. La loi du 2 février 2016 l’indique spécifiquement (article L. 1110-5-1 du Code de la santé publique).

    Cet acharnement thérapeutique se traduit parfois également, comme nous l’avons vu durant la pandémie de Covid-19, par une intubation presque obligée. Rappelons au passage que la personne de confiance qui pourrait poursuivre un établissement pour obstination déraisonnable n’a pas automatiquement accès au dossier médical de son mandant.

    Les soins palliatifs

    Ils n’existent pas en nombre suffisant. Aujourd’hui, il y a une inégalité criante entre certaines régions, notamment l’Île-de-France qui concentre 40 % des unités de soins palliatifs alors qu’elle ne compte que 18 % de la population ; 21 départements français (sur 96) ne disposent d’aucune unité de soins palliatifs.

    Mais quand bien même les soins palliatifs existeraient en nombre suffisant et seraient bien menés, il est des patients pour lesquels ils ne correspondent pas à leur besoin, leur désir ou leur propre sens de leur dignité : soit que leurs douleurs sont réfractaires aux traitements palliatifs de fin de vie, soit que leur prise en charge, parfois ressentie à tort ou à raison comme infantilisante, ne correspond pas à leur personnalité et à la vision qu’ils ont de leur propre fin de vie.

    Selon une récente étude conduite sur la base de 2000 dossiers médicaux de patients admis en service de soins palliatifs, 9 % d’entre eux exprimaient un souhait de mourir et 3 % exprimaient une demande d’euthanasie. Une autre étude (étude Maho d’Édouard Ferrand) révèle que 61 % des demandes d’aide active à mourir exprimées au sein des unités de soins palliatifs sont réitérées.

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  6. La sédation

    Déjà définie clairement par un décret du 29 janvier 2010, elle permet le recours à des traitements sédatifs dans le cas d’un arrêt des traitements curatifs. Elle est légalisée par la loi du 2 février 2016, dans les seuls cas où la mort doit intervenir à brève échéance (quelques heures, voire quelques jours, selon la Haute Autorité de Santé – HAS), alors que le patient est déjà en phase agonique (ce qui marque un net recul par rapport au décret du 29 janvier 2010 qui ne fixait pas d’échéance à la survenue de la mort).

    Il manque clairement un quatrième dispositif qui complèterait cette législation et répondrait à une demande expresse du patient.

    Il répondrait à une revendication très majoritaire des Français 1. Il répondrait également au souhait des médecins 2. Enfin, il répondrait au souhait des citoyens réunis dans la Convention citoyenne sur la fin de vie qui, en avril 2023, se prononçaient à 76 % en faveur de la légalisation de l’aide active à mourir.

    Par ailleurs, ce nouveau dispositif permettrait enfin de prendre en charge les patients atteints de maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson, Charcot…) – dont le pronostic est toujours fatal et dans lesquelles la mort survient lentement de manière anxiogène – auxquels la loi actuelle n’apporte aucune réponse satisfaisante et qui sont parfois contraints de s’exiler (Belgique, Suisse…) pour mourir dans des conditions qui les maintiennent dans leur dignité.

    Ce dispositif revendiqué est l’aide médicale active à mourir.

    L’aide médicale active à mourir

    Dès lors que le constat de fin de vie est posé, que les médecins reconnaissent que la femme ou l’homme qu’ils ont devant eux sont arrivés au bout de leur parcours de vie, pourquoi proposer seulement des soins palliatifs – qui conduisent souvent à une mort lente par anéantissement souvent incomplet de la douleur, quitte à accélérer la survenue de la mort avec le double effet de produits antalgiques de niveau 3 comme prévu par la loi du 22 mars 2005 – ou une sédation – qui conduit également à la mort, parce que la médecine se retire et que le corps est alors livré à lui-même, déshydraté et dénutri, jusqu’à la survenue d’une insuffisance rénale sévère ou d’une décompensation cardiaque – mais jamais une aide active à mourir qui, partant du même constat de l’arrivée de la fin de la vie, permettrait, avec l’administration d’un produit létal demandée de manière lucide, expresse et réitérée, de mener à la mort en quelques minutes, sans souffrances, dans un temps et un lieu choisis par le patient lui-même ?

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  7. Rappelons-nous que dans le cas de Vincent Lambert, une sédation terminale lui a été appliquée du 10 avril 2013 au 11 mai 2013 (arrêtée par décision du tribunal administratif à la demande de la mère), soit durant 31 jours, sans que la mort n’intervienne… Quelle abomination de proposer, pour terminer une vie, une agonie de plusieurs semaines lorsque quelques minutes seulement suffisent dans le cadre d’une euthanasie demandée par le patient, et librement consentie par le médecin.

    En Europe, les Néerlandais, les Belges, les Luxembourgeois, les Espagnols, les Autrichiens, bientôt les Portugais et les Allemands, et, d’une manière différente, les Suisses, ont fait le choix de cette mort volontaire. Il peut s’agir alors d’une euthanasie, c’est-à-dire l’administration d’un produit létal dans le cadre d’un parcours médical et réalisé par un soignant volontaire – une clause de conscience est indispensable dans le cadre de l’accomplissement d’un acte aussi important et engageant – ou encore d’un suicide assisté (ou autodélivrance), c’est-à-dire l’auto-administration d’un produit létal par le patient lui-même, sous le contrôle d’un médecin, sur prescription médicale, et – pourquoi pas – au sein des locaux d’une association agréée comme il en existe plusieurs en Suisse.

    L’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, forte de ses 77 000 adhérents et de son expérience de plus de quarante années de militantisme, revendique le droit pour chaque citoyen français – ou chaque résident sur le sol français ou chaque personne suivie de manière régulière par un médecin français – de choisir le moment et la manière de finir sa vie. Ce pourrait être par le biais d’une euthanasie active ou d’un suicide assisté. L’ADMD demande également que l’accès universel à des soins palliatifs de qualité, c’est-à-dire dans une unité spécialisée, soit enfin une réalité.

    Il ne faut pas tenir compte des « lits identifiés en soins palliatifs » qui ne reçoivent, selon le Rapport 2011 de l’Observatoire national de la fin de vie aujourd’hui dissous, aucun moyen supplémentaire 3 ; ni tenir compte des équipes mobiles en soins palliatifs qui ne permettent pas, malgré la qualité du suivi, d’assurer l’accompagnement permanent et massif dont ont besoin les personnes concernées.

    Ce droit à l’aide active à mourir, ouvert à ceux qui en font la demande de manière consciente et réitérée, que ce soit directement, par l’intermédiaire de directives anticipées opposables et contraignantes (aujourd’hui, elles ne sont toujours pas opposables), ou encore par l’intermédiaire d’une personne de confiance dont la désignation pourra se faire en cascade, ou enfin par l’intermédiaire de la « famille », hiérarchisée comme ont su le faire les Belges (le partenaire de vie, puis les enfants majeurs, puis les parents…).

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  8. Mais le rapporteur de la Loi du 2 février 2016 – Jean Leonetti – a refusé d’instituer cette hiérarchie, malgré les amendements suggérés par l’ADMD, ce qui aurait permis de trouver une solution si une nouvelle affaire, semblable au drame de Vincent Lambert, devait survenir. Ce droit ne sera jamais une obligation, ce qui serait une aberration en matière sociétale et un fait inédit : pas plus que les femmes n’ont l’obligation d’avorter ou que les hommes – ou les femmes – n’ont l’obligation de se marier avec un autre homme – ou une autre femme – les personnes en fin de vie n’auront aucunement l’obligation de demander une aide active à mourir.

    Une loi garante de cette liberté

    Ce nouveau droit complèterait le champ des possibles en offrant toutes les options en fin de vie. Et c’est parce que la demande sera faite et confirmée par le patient lui-même, directement ou indirectement, que les dérives seront évitées.

    Ajoutons que dans un pays qui détient le record, au sein des pays de l’OCDE, du taux de suicide des personnes âgées, en favorisant le phénomène bien connu des Néerlandais de la « Porte de sortie », une telle loi apaiserait les personnes de grand âge au regard de leurs interrogations sur les conditions de leur propre finitude. En effet, devant les ravages de la maladie associés à la déchéance physique, intellectuelle et psychologique, et redoutant tout acharnement thérapeutique voire palliatif, beaucoup de seniors se suicident de manière violente et traumatisante pour la famille et les proches.

    Aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, en Espagne – pays européens ayant légalisé l’euthanasie (la Suisse n’a pas de loi mais une simple pratique par l’interprétation a contrario du Code pénal helvète) – les dérives n’existent pas puisque chaque acte d’euthanasie fait l’objet d’un rapport devant une commission nationale. Parfois, quelques actes sont néanmoins rapportés devant les tribunaux afin de faire l’objet d’une enquête, voire d’une procédure.

    En Suisse, après chaque assistance au suicide, la police criminelle est appelée pour constater et le procureur est saisi. Ce dernier dépêche sur place un médecin légiste pour vérifier que le corps ne comporte aucune trace de violence qui pourrait laisser penser que son geste a été contraint ; si le suicide assisté entre dans le cadre jurisprudentiel d’acceptation, le dossier est requalifié en mort naturelle et est aussitôt clos.

    Dans tous les pays qui pratiquent l’aide active à mourir, le contrôle est total afin d’empêcher les dérives.

    En France, en revanche, pays où la fin de vie est traitée parfois de manière obscure et clandestine, l’Institut national d’études démographiques (INED) rapporte de fréquents cas d’actes d’euthanasie illégaux donc (0,8 % des décès annuels selon une étude de 2012, dont un quart seulement aurait fait l’objet d’une demande préalable de la part du patient).

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  9. Parce que dans un pays comme le nôtre – une république démocratique – seule la loi est en mesure d’assurer une – relative – égalité entre chaque citoyen et de prévenir tout risque de dérive, une loi de légalisation de l’aide active à mourir éviterait toutes les dérives, toutes les pratiques clandestines qui existent malheureusement aujourd’hui. Une telle loi renforcerait aussi le lien de confiance qui existe entre les Français et le corps médical. En effet, selon un sondage Ifop (octobre 2022), 79 % des Français auraient confiance dans un médecin qui se déclarerait favorable à l’euthanasie et 77 % dans un médecin qui déclarerait pratiquer des euthanasies.

    Certes, il y a des contrevenants pour chaque loi ; de la plus anodine à la plus imposante, en matière pénale comme en matière civile. Des prisons existent pour y incarcérer les délinquants. Une loi de légalisation de l’aide active à mourir connaîtra des dépassements par quelques-uns. La loi prévoira ces cas et les sanctionnera, au regard de règles simples, sans que le législateur ne laisse aux tribunaux le soin d’apprécier, comme aujourd’hui, s’il s’agit d’un acte de compassion ou d’une infraction.

    L’ADMD demande qu’une loi française – dont elle a rédigé un préprojet – s’inspire de la loi belge de légalisation de l’euthanasie tout en prévoyant un accès universel aux soins palliatifs et un renforcement des droit des personnes malades et des personnes en fin de vie.

    À ce jour, plusieurs propositions de loi, déposées soit à l’Assemblée nationale, soit au Sénat, existent. Elles ont chacune leurs qualités et leurs défauts, mais toutes ont le mérite de faire évoluer la loi en faveur de la légalisation de l’aide active à mourir. Comme la loi sur l’IVG a été votée en 1975 comme une loi dérogatoire pour une durée de cinq années seulement, et que l’avortement n’est devenu un droit qu’en 1992 (soit 17 ans plus tard), la loi de légalisation de l’aide active à mourir devra ensuite évoluer pour devenir la loi que nous demandons.

    Le président de la République a demandé qu’un projet de loi soit rédigé avant la fin de l’été 2023, co-construit par l’Assemblée nationale et le Sénat. L’ADMD sera vigilante quant au contenu de ce texte qui ne pourra pas être un texte d’exclusion (par exemple en ne légalisant que le seul suicide assisté, laissant de côté ceux devenus inaptes physiquement à faire eux-mêmes le geste ultime).

    Cette loi de liberté ne s’imposera à personne, ne créera aucune obligation pour quiconque, mais ouvrira un droit supplémentaire pour ceux qui souhaitent s’en saisir.

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  10. 1 sondage Ifop pour le journal La Croix – décembre 2017 : 89 % des Français souhaitent la légalisation de l’euthanasie et/ou du suicide assisté ; 11 % des Français seulement souhaitent un maintien en l’état de la législation actuelle sur la fin de vie / sondage Ifop pour l’ADMD – février 2022 : 94 % des Français sont favorables à la légalisation de l’euthanasie et 89 % sont favorables au suicide assisté.

    2 enquête Medscape – juin 2020 : 71 % des médecins sont favorables à la légalisation de l’euthanasie ou au suicide médicalement assisté. ↩

    3 page 109 : « Les lits identifiés en soins palliatifs sont eux aussi reconnus par contrat entre l’établissement de santé et l’Agence Régionale de Santé. Ils sont situés dans des services accueillant de nombreux patients en fin de vie, qui les ont inclus dans leur projet de service. Ils n’ont pas vocation à remplacer les unités de soins palliatifs : les services qui en comportent ne disposent pas de moyens spécialisés… » ↩

    https://www.contrepoints.org/2023/05/13/455363-le-droit-pour-chaque-citoyen-francais-de-choisir-le-moment-et-la-maniere-de-finir-sa-vie

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  11. Une "boîte de mise à mort de l'État policier biomédical" est désormais pleinement établie et les composés ARNm-LNP sont des "bombes sales génétiques cellulaires", prévient le chercheur juridique du sénateur américain


    vendredi 12 mai 2023
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Les histoires sur Substack ces derniers jours de nombreux auteurs différents sont absolument alarmantes et racontent une histoire qui doit être racontée étant donné que les médias grand public ne les toucheront pas avec un poteau de 50 pieds et à la place, aident l'anti -Les terroristes/squatters américains assis à la Maison Blanche, au Congrès et au Pentagone mènent une guerre meurtrière contre le peuple américain, désormais dirigée contre vos enfants et les miens.

    (Article de Stefan Stanford republié de AllNewsPipeline.com)

    Avec une étude récente publiée sur le site Web Nature rapportant qu'une revue scientifique majeure venait de publier une recherche liant «le vax» à des caillots sanguins incurables dans le globe oculaire, constatant que ceux qui avaient été «vaxxés» couraient un risque significativement plus élevé de développer des caillots sanguins que ' les non-vaxxés », alors que selon cette histoire sur le blog COVID, de nouvelles recherches ont révélé que des milliers de patients « vaxxés » constatent que leur peau « fond » littéralement, des médecins « déconcertants », ces histoires prouvent pourquoi ce n’est pas étonnant » les vaccins » du passé ont été testés pendant des années et des années, et même des décennies parfois, avant d'être administrés au « peuple », contrairement à ce « vaccin mortel » qui a été déployé au hasard et injecté dans les masses à « vitesse fulgurante ».

    Comme le rapporte Steve Kirsch dans cette nouvelle histoire de Substack, les vaccins COVID ont un taux de mortalité estimé à PLUS DE 1 000 de plus que la limite de sécurité acceptable, mais personne à la FDA ou au CDC, ou au sein du gouvernement des États-Unis, ne s'en soucie. La vraie histoire est qu'environ 80% ou plus des vaccins examinés dans cette étude sont trop mortels pour être utilisés. Voici les données qui le montrent.

    Et avec deux histoires à lire absolument sur Bailiwick News at Substack, l'une intitulée "Construction of the Kill Box: Legal History", avec la 2e intitulée "mRNA-LNP compoundes are cellular genetic dirty bombs", mettant tout sur la ligne , nous sommes prévenus que ce dont nous avons été témoins ces dernières années, et qui continue à ce jour, n'est rien de moins qu'une opération militaire américaine contre le peuple américain, un système de boîte à mort d'État de la police biomédicale qui nous a été imposé, où des poisons cellulaires génétiques ont été faussement présentés et injectés à la population mondiale en tant que médicaments.

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  12. Appelé un "programme mondial brutal de meurtres de masse pleinement intentionnels", avertissant également dans cette histoire que "la peur généralisée, la confusion, le désespoir, l'écœurement et la mort ne sont pas, comme beaucoup préféreraient le croire, des 'conséquences involontaires'", nous sommes a averti que les recherches effectuées par l'auteur Katherine Watt ont révélé que ce "programme de meurtre" remonte à au moins 60 ans et comprend : des éléments religieux, psychologiques, comportementaux, biochimiques, sociaux, économiques, politiques, financiers, monétaires et militaires, se cachant derrière des mensonges sur la source et le but de la vie humaine et le potentiel de procréation; capacité de charge de population; utilisation des ressources ; climat; aptitude scientifique et technologique; maladie humaine; et la santé humaine.

    Signalant également que ces mensonges sans fin sont constamment promulgués par les gouvernements, les organisations transnationales, les médias et les écoles publiques, on nous explique comment fonctionne le programme, ce qui permet de comprendre plus facilement pourquoi tant de jeunes enfants et de jeunes adultes en bonne santé meurent maintenant des morts soudaines et inattendues, parce que les morts massives étaient en premier lieu la « fin du jeu » de ces programmes diaboliques. Extrait de cet article de Bailiwick News écrit par la chercheuse parajuridique Katherine Watt. :

    L'infirmière-aiguille est le kamikaze.

    La nanoparticule lipidique est la valise utilisée pour faire passer la bombe dans les cellules.

    L'ARNm est la bombe.

    Une fois à l'intérieur de la cellule, des fragments de code génétique se reproduisent et interfèrent avec le code génétique sain de multiples façons, provoquant d'innombrables blessures, maladies et défaillances d'organes, et entraînant la mort.

    Et faire mourir des enfants jeunes et auparavant en bonne santé est maintenant ce qui se passe dans le monde, permettant aux mondialistes de "doubler, tripler ou quadrupler" leur plan de dépopulation en tuant non seulement nos plus jeunes générations, mais en s'assurant que tous ces enfants assassinés n'auront jamais d'enfants eux-mêmes. Et maintenant, nous avons la folle Chelsea Clinton qui prétend qu'"il est temps de piquer de force tous les enfants non vaccinés en Amérique". Ce sont des mots de guerre civile, Chelsea, voyez ce qui se passe si vous l'essayez !

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  13. Nous commencerons par une histoire incontournable du Dr William Makis MD intitulée "Enfants de 5 à 12 ans décédés après avoir pris des vaccins à ARNm Pfizer ou Moderna COVID-19 : voici 25 enfants décédés des injections d'ARNm, tandis que 0 en bonne santé des enfants sont morts de l'infection au COVID-19 elle-même » (publié à l'origine ici) dans lequel le Dr Makis partage avec nous les histoires de 25 jeunes enfants auparavant en bonne santé qui sont décédés peu de temps après avoir été vaxxés.

    En utilisant les publications sur les réseaux sociaux de leurs parents et d'autres proches annonçant leur mort inattendue, ainsi que leurs «histoires de vax», pour nous prouver que ces jeunes enfants ont bien été tués par le vax, aucun de nous ne devrait être surpris que les médias grand public continuent appeler de telles histoires des "théories du complot." Une de ces histoires déchirantes est racontée sur la photo ci-dessous.

    Avec une autre histoire de ce type sur Substack écrite par le Dr Paul Elias Alexander intitulée "Turbo Cancer Leukemia: Children From Ages 11 to 21 Are Dieing in Hours or Days of Cancer Diagnosis", faisant écho à notre histoire ANP du 28 avril intitulée "Tidal Wave Of 'Turbo Les cancers frappent l'Amérique en même temps que les médecins mettent en garde contre un « processus accéléré de la maladie » et « le plus grand crime de l'histoire » se déroulant sous nos yeux », nous avertit le Dr Alexander, nous assistons maintenant à quelque chose de jamais vu auparavant, et pourtant les médias grand public continuent de nier que tous ces décès inexpliqués sont liés au "vax".

    Les injections de gènes basées sur la technologie de l'ARNm de Malone, Kariko et Weissman semblent endommager et subvertir la voie P53 et lorsqu'il y a un cancer, la voie P53 est entravée. L'injection de gène d'ARNm le fait. La majorité des cellules cancéreuses humaines présentent l'inactivation de la voie P53. La protéine suppresseur de tumeur P53 joue un rôle essentiel dans les réponses aux dommages à l'ADN, l'apoptose, l'autophagie et le métabolisme cellulaire.

    Avec le Dr Alexander dans cette histoire racontant également l'histoire déchirante d'une jeune fille de 13 ans du Harlem Middle School en Géorgie qui est décédée quelques heures après avoir reçu un diagnostic de leucémie, qui s'était rendue aux urgences avec un mal de tête et une infection de l'oreille et avait trouvé a "saignement dans son cerveau, ses poumons, son estomac et dans tout son corps", ses parents affirmant qu'ils n'ont jamais su qu'elle en avait et "elle n'a jamais eu plus qu'un reniflement et elle n'a jamais été hospitalisée pour quoi que ce soit depuis sa naissance", histoires comme cela sont nombreux ici et ici, des histoires confirmant la guerre mondiale du gouvernement contre les enfants.

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  14. Read more at: AllNewsPipeline.com

    https://www.naturalnews.com/2023-05-12-biomedical-police-state-kill-box-fully-established.html

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  15. Il a également déclaré qu'il était convaincu qu'il ne serait pas poursuivi par Vallance ou qui que ce soit d'autre pour les avoir publiquement accusés de mentir, car ils savaient qu'ils perdraient au tribunal. « Donc, vous n'allez pas me poursuivre en justice. Ce qu'ils font, c'est me calomnier et me censurer. "

    " Les dommages que les gens subissent à cause de ces soi-disant vaccins sont bien pires qu'un prétendu virus ", a déclaré Yeadon. Aussi: " J'aimerais pouvoir dire que c'était un accident, mais ce n'était pas un accident."

    Le 1er décembre 2020, Yeadon, avec le Dr. Wolfgang Wodarg d'Allemagne à l'Agence européenne des médicaments, la suspension immédiate de tous les essais de vaccins COVID-19 en Europe en raison de problèmes de sécurité importants, y compris la possibilité prévisible que de nombreuses personnes "pourraient développer des réactions allergiques potentiellement mortelles au vaccin" .

    Les avertissements de Yeadon sont restés lettre morte. Et bien qu'il ait été calomnié, il avait - malheureusement pour tout le monde - raison.

    Dans la suite de l'interview, le scientifique britannique déclare : « J'ai été impliqué dans le développement de médicaments sensés pendant 32 ans. Je sais, et je savais et écrivais avant que l'une des [injections] n'ait une autorisation d'utilisation d'urgence [EUA], qu'elles sont dangereuses."

    "Et j'ai peur d'être convaincu et je dirais devant un tribunal, un juge, la main sur la Bible, que ces injections ont été faites pour blesser, mutiler et tuer des gens exprès."

    Poursuivant l' interview, qui peut être vue dans son intégralité sur Childrens Health Defense , il explique pourquoi les injections biologiques d'ARNm provoquent une variété d'effets secondaires différents chez différentes personnes.

    "Lorsque vous l'injectez à une personne et qu'elle se propage dans tout son corps et est absorbée dans une cellule, ce message est converti en protéine. Et si votre corps fabrique une protéine étrangère - je vous le garantis en tant qu'immunologiste - votre corps dira "ce n'est pas le sien" et attaquera celui qui le fabrique jusqu'à ce que la cellule soit morte. Et je pense que c'est à l'origine de beaucoup - pas de toutes - des réactions indésirables à ces soi-disant vaccins."

    Par conséquent, ces substances "provoquent une destruction auto-immune partout où ce matériel va. S'il pénètre dans votre cœur, une myocardite ou une crise cardiaque se produit. S'il pénètre dans votre utérus de femme enceinte, fausse couche, s'il pénètre dans votre système nerveux, toute une série de problèmes neurologiques. C'est le problème commun qui sous-tend beaucoup de dégâts causés par les vaccins, certains si graves que je soupçonnais que des gens en étaient morts », a déclaré le scientifique, également diplômé en toxicologie.

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  16. Il a également rappelé que lorsqu'une partie du muscle cardiaque meurt à cause du traumatisme d'une crise cardiaque ou d'une myocardite, « ce morceau de muscle cardiaque meurt et ne récupère jamais. Donc, vous vous retrouvez avec un cœur endommagé. C'est pourquoi c'est si terrifiant d'entendre parler de myocardite chez les jeunes hommes. Votre cœur ne repoussera pas. Vous aurez un cœur endommagé pour le reste de votre vie."

    Yeadon résume : « Les prétendus vaccins ont été conçus pour blesser, mutiler et tuer. Plusieurs toxicités apparentes ont été intentionnellement intégrées à leur conception, avec pour résultat que des caillots sanguins, des attaques auto-immunes et des tempêtes de cytokines dans tout le corps pourraient être attendus, selon l'endroit où le vaccin a frappé un individu donné.

    « Finalement, les médicaments ARNm ont été formulés en nanoparticules lipidiques, connues depuis 2012 pour pouvoir s'accumuler dans certains intestins, notamment les ovaires. Les effets négatifs sur la fertilité étaient également pratiquement certains.

    "Rien de tout cela ne peut être défendu comme accidentel ", conclut-il.

    Tout cela devrait apparemment devenir la nouvelle norme une fois que les délégués du monde entier donneront à l'OMS des pouvoirs illimités par le biais du Traité sur la pandémie et du Règlement sanitaire international.

    https://tkp.at/2023/05/13/ex-pfizer-vice-president-mike-yeadon-pandemie-und-impfung-eine-supranationale-operation/

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  17. Quelles études d'innocuité ont été réalisées sur les vaccins porcins à ARNm ?


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    13 mai 2023


    Comme indiqué précédemment, à l'insu du public, les producteurs de porc aux États-Unis1 et au Canada2 utilisent des «vaccins» personnalisables à base d'ARNm sur leurs troupeaux depuis 2018. Il s'avère que la plateforme d'ARNm, Sequiivity,3,4 est la seule partie de cette technologie de « vaccin » basée sur les gènes qui a été approuvée.

    Toutes les injections d'ARNm personnalisées créées à l'aide de cette plate-forme n'ont pas été testées et les tests de sécurité initiaux - sur lesquels repose la sécurité supposée de tous les injections personnalisées - étaient totalement inadéquats. Comme l'a noté Zoetis, le plus grand producteur de médicaments et de vaccins vétérinaires :5

    "Sequiivity a des études d'innocuité et d'efficacité basées sur la plate-forme avec un isolat initial historique, probablement pas l'isolat que les clients demanderaient dans leur produit."

    Nous ne savons même pas ce qu'était cet isolat initial. La plateforme Sequiivity permet de créer des « vaccins » personnalisés comme suit, en aussi peu que huit semaines :6

    L'agent pathogène est collecté et envoyé à un laboratoire de diagnostic.
    Le gène d'intérêt est séquencé et envoyé par voie électronique aux analystes de Sequivity.
    Une version synthétique du gène d'intérêt est synthétisée et insérée dans la plateforme de production d'ARN.
    Les particules d'ARN libérées par les cellules de production incubées sont récoltées et formulées dans un "vaccin" personnalisé.
    L'USDA répertorie une seule étude d'innocuité pour Sequiivity

    Alors, quel genre de test de sécurité a été effectué sur ces piqûres d'ARNm pour porcs ? En fin de compte, pas grand-chose, et même dire cela serait une exagération. En examinant le résumé des études du Département de l'agriculture des États-Unis (USDA) soutenant l'homologation du produit Sequiivity7, nous ne trouvons qu'UNE seule étude d'innocuité répertoriée.

    Il existe deux études d'efficacité concernant la grippe porcine H1N1, deux études d'efficacité concernant la grippe porcine H1N2, une étude d'efficacité concernant la grippe porcine H3N2 et une étude d'innocuité concernant tous les vaccins dans des « conditions d'utilisation typiques ».

    Ces six études ont toutes été réalisées entre juin 2020 et décembre 2021. Une recherche dans le catalogue des produits biologiques vétérinaires sous licence de l'USDA ne donne que ce résumé des études à l'appui de l'homologation de Sequiivity.8 Cela implique que la plateforme a été approuvée par l'USDA sur la base de ces seules données. .

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  18. Bien que cela soit suffisamment préoccupant, cela devient encore plus discutable lorsque vous considérez le résumé des effets secondaires. L'étude a impliqué un total de 748 porcs sur trois sites de test différents, qui ont reçu deux doses d'une injection d'ARNm Sequiivity non spécifiée à trois semaines d'intervalle. Les porcelets ont été surveillés pour les effets secondaires pendant 21 jours après chaque injection, ou jusqu'à ce que l'effet secondaire soit résolu.

    Selon le résumé de l'USDA, 525 porcelets - 70,2% - n'ont subi aucun événement indésirable. Cependant, parmi les 29,8 % restants, 7,4 % sont devenus anorexiques, 3,2 % sont décédés, 2,7 % sont devenus boiteux, 0,4 % ont souffert d'anaphylaxie, 0,4 % avaient une sorte de trouble du système nerveux central, 0,3 % ont développé une méningite et 0,3 % une autre forme de troubles musculo-squelettiques. désordre. Pour la liste complète, voir le graphique ci-dessous, tiré de la page 18 du résumé des études de l'USDA.9

    Au total, 223 porcelets sur 748, soit près de 30 %, ont présenté une forme d'événement indésirable, dont 24 décès. Comment diable est-ce même considéré comme sûr à distance ? Si 3 personnes sur 10 souffraient d'un effet secondaire grave d'un médicament particulier, et que plus de 3 % mouraient immédiatement et 11,5 % à long terme, le considéreriez-vous comme sûr ? Risqueriez-vous de le prendre ? Je ne le ferais certainement pas.

    Près de 30 % des porcelets vaccinés ont subi un événement indésirable grave, dont 24 décès. En additionnant la mort, l'anorexie (émaciation) et l'insuffisance (retard de croissance), 11,5 % des animaux ont été perdus à cause des blessures causées par le vaccin.
    Considérez également ceci. L'anorexie est essentiellement considérée comme une maladie débilitante. "Unthrifty" est similaire en ce sens qu'il s'agit de l'incapacité à grandir ou à se développer normalement en raison d'une maladie. Quoi qu'il en soit, que le porcelet dépérisse ou ne grandisse pas, c'est une perte pour l'éleveur. Maintenant, quand on additionne la mort, l'anorexie et le manque d'argent, on se retrouve avec 86 animaux, soit 11,5 %.

    Perdre 11,5 % de votre troupeau à cause de la mort du vaccin, de l'émaciation et du retard de croissance n'a vraiment aucun sens. C'est une perte de plus de 1 animal sur 10, ce qui ne parle guère de sécurité ou d'efficacité. De plus, il n'existe aucune étude d'innocuité liée à la consommation humaine d'animaux traités par Sequiivity.

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  19. Aucune étude de sécurité à grande échelle n'a jamais été prévue

    Fait intéressant, les études de sécurité à grande échelle ne semblent jamais avoir fait partie du plan. Comme indiqué dans l'évaluation environnementale du gouvernement canadien des produits de prescription de particules d'ARN de Merck pour la grippe porcine (maintenant connue sous le nom de Sequiivity), publiée en juillet 2018 :10

    « Les produits sur ordonnance ne subiront pas de tests de sécurité sur le terrain à grande échelle… Le vaccin SIV commercial de Merck Animal Health basé sur la plate-forme de particules de réplicon d'ARN a été testé sur le terrain sur environ 900 porcs commerciaux dans trois endroits géographiquement séparés aux États-Unis…

    Une grande partie de ce que l'on sait sur la plateforme de particules de réplicons d'ARN de Merck Animal Health a été extrapolée à partir d'études réalisées pour caractériser le vaccin commercial de la société : Swine Influenza Vaccine, RNA (USDA Product Code 19A5.D0, CCVB File 880VV/S3.0/H16). ”

    Le code de produit USDA 19A5.D0 fait référence au tout premier "vaccin" à base d'ARN pour les porcs, développé par Harrisvaccines et homologué en 2012.11,12,13 Harrisvaccines a été acquis par Merck Animal Health en 2015 et 19A5.D0 est devenu le leur.14,15

    L'évaluation environnementale canadienne note également que l'ARNm est enfermé dans une enveloppe lipidique provenant de la lignée cellulaire rénale de singe vert d'Afrique VERO - une lignée cellulaire continue dont le potentiel tumorigène a été démontré16 (c'est-à-dire qui peut favoriser la croissance du cancer). Il examine également comment le virus est génétiquement modifié avant que les transcrits d'ARN ne soient purifiés. Ainsi, comme pour le jab COVID, l'ARNm n'est pas identique à ce que l'on trouve dans l'agent pathogène naturel. C'est modifié.

    La séquelle est une thérapie génique

    En 2012, Jodi French, une agente de liaison de l'USDA chez Harrisvaccines, a déclaré :17

    "Lorsque nous avons soumis notre demande de licence en 2009, l'USDA n'avait pas de catégorie établie dans laquelle le produit s'inscrivait. Il y avait des étapes réglementaires supplémentaires à franchir pour obtenir cette première licence.

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  20. En d'autres termes, la première injection d'ARNm pour les porcs n'était pas considérée comme un vaccin. Il en a été de même pour les premiers vaccins à base d'ARNm pour les humains, le jab COVID-19. La seule définition qu'il rencontrait - avant que la définition de "vaccin" ne soit modifiée pour l'adapter18 - était la thérapie génique.19,20,21

    Lorsque Sequivity a été introduit en 2018, Merck l'a également défini par inadvertance comme une thérapie génique, car ils ont spécifiquement défini la différence entre les vrais vaccins et la technologie de l'ARNm :22

    "La vaccination imite l'infection en introduisant des agents pathogènes entiers inactivés (antigènes) dans l'animal pour stimuler le système immunitaire. Pour un vaccin conventionnel, l'antigène est cultivé en laboratoire, désactivé ou tué, puis présenté au corps. Cependant, avec SEQUIVITY et sa technologie révolutionnaire de particules d'ARN, une séquence électronique de gènes est utilisée.

    Après réception de la séquence, celle-ci est synthétisée en ARN et insérée dans la plateforme SEQUIVITY, qui génère des particules d'ARN. Lorsqu'elles sont injectées à l'animal, ces particules fournissent des instructions aux cellules immunitaires pour traduire la séquence en protéines qui agissent comme des antigènes.

    La transition vers les injections d'ARNm est probablement prévue depuis des années

    Fait intéressant, dans son communiqué de presse de juin 2018 annonçant l'introduction de Sequiivity, Merck a décrit la vaccination comme l'introduction d'un antigène pour "stimuler le système immunitaire". Mais ce n'était pas la définition officielle de la vaccination à l'époque.

    Jusqu'à fin octobre 2021, un vaccin était défini comme "un produit qui stimule le système immunitaire d'une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant la personne de cette maladie". L'immunité, à son tour, signifiait que "si vous êtes immunisé contre une maladie, vous pouvez y être exposé sans être infecté."23

    Cette définition n'a pas changé jusqu'à la fin octobre 2021, lorsqu'elle est soudainement devenue "Une préparation qui est utilisée pour stimuler la réponse immunitaire de l'organisme."24 Ainsi, un "vaccin" est passé de quelque chose qui produit une immunité protectrice, à simplement stimulant une réponse immunitaire.

    Pourtant, Merck utilisait ce langage trompeur en 2018 lorsqu'il parlait de vaccins pour animaux. Pour moi, cela suggère que les fabricants de vaccins savaient peut-être depuis plusieurs années que les «vaccins» à base d'ARNm sont perméables et, pour une raison quelconque, ne peuvent pas prévenir la maladie.

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  21. Les injections d'ARNm COVID n'ont-elles pas été testées pour voir si elles empêchaient l'infection parce qu'elles avaient déjà la réponse, ayant déjà utilisé des « vaccins » d'ARNm chez les animaux pendant quelques années déjà ?

    Tous les « vaccins » à ARNm fuient-ils ?

    S'il est vrai que l'industrie des vaccins sait que les "vaccins" à ARNm ne peuvent jamais bloquer l'infection, qu'est-ce que cela nous apprend sur les nombreux "vaccins" à ARNm humains en préparation ? En fin de compte, ils veulent faire passer tous les vaccins à l'ARNm, mais il semble que la plate-forme d'ARNm ait un problème majeur - elle ne semble pas prévenir la maladie.

    Sur sa page Licensed Veterinary Biological Product Information (dernière mise à jour en février 2023)25, l'USDA admet même que les vaccins vétérinaires « peuvent être considérés comme efficaces sans produire une protection à 100 % contre la maladie. De nombreux produits réduisent plutôt la gravité de la maladie. C'est précisément ce que nous voyons avec les produits d'ARNm, mais ce n'est pas la vision historique des vaccins.

    Le côté vétérinaire a apparemment changé pour accepter les vaccins qui fuient dans le cadre de la norme, mais il y a un danger important à cela, car les vaccins qui ne bloquent pas efficacement les mutations du moteur de l'infection. Les vaccins qui fuient ont toujours été considérés comme problématiques pour cette raison.

    Bien sûr, cela n'a pas beaucoup d'importance si vous préparez des injections d'ARNm personnalisées en quelques semaines seulement, mais ce processus peut encore pousser les agents pathogènes à muter dans toutes sortes de directions imprévisibles. En fin de compte, ce n'est probablement pas une bonne idée de passer à un système où TOUS les vaccins fuient et accélèrent les mutations.

    Les preuves à l'appui de la régularité sont plus que faibles

    En résumé, l'approbation de licence de l'USDA pour Sequiivity est très faible et ne comprend que des données sur la grippe, même si Merck fait la publicité de vaccins pour quatre autres agents pathogènes sous la gamme Sequiivity.

    La lecture de l'évaluation environnementale du Canada montre également clairement que les allégations de sécurité ne sont que théoriques. Les préoccupations sont expliquées sans preuves sous la forme de tests sur les animaux, d'analyses de tissus ou de tout type de test de sécurité direct pour les humains qui mangent ce porc traité par gène.

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  22. Ce qui est certain, c'est que les gens n'ont pas été informés de ce changement dans leur alimentation, et l'industrie de la viande est maintenant prise dans une impasse difficile en essayant d'expliquer pourquoi elle a balayé la sécurité sous le tapis et a agi comme si elle n'aurait jamais à répondre aux questions des consommateurs. .

    Le bétail contenant de l'ARNm est-il sûr à manger ?

    Étant donné que les autorités sanitaires insistent sur le fait que les injections de COVID sont sûres, il n'est pas étonnant qu'elles insistent également sur le fait qu'il n'y a aucun problème associé à la consommation de viande traitée à l'ARNm. Mais peut-on leur faire confiance ?

    Le bétail, comme les porcs, est systématiquement vacciné contre plusieurs maladies,26 et bon nombre de ces vaccins doivent être administrés à des moments précis pour s'assurer qu'il ne reste aucun résidu dans la viande. Lors de l'utilisation de la plate-forme d'ARNm, cependant, il n'y a pas de limite de temps. Alors, quand les porcs reçoivent-ils ces injections personnalisées d'ARNm ? Et pourrait-il y avoir de l'ARNm dans le porc que vous achetez et éventuellement mangez ?

    Les vaccins sont presque toujours administrés dans l'arrière-train de l'animal et, selon les développeurs de l'ARNm, l'ARNm reste au site d'injection. Cette théorie s'est depuis longtemps avérée fausse, car il a été démontré que l'ARNm du jab COVID est distribué dans tout le corps humain.

    Mais il est logique que l'ARNm soit plus concentré au site d'injection. Dans le secteur de l'élevage, cela pourrait être une mauvaise nouvelle, car l'arrière-train est généralement l'endroit d'où proviennent les meilleurs morceaux de viande. Il est donc important de savoir s'il reste de l'ARNm dans l'animal au moment de l'abattage.

    Nous devons également comprendre combien de temps l'antigène produit par les cellules de l'animal en réponse à un tir d'ARNm personnalisé reste, et si l'ingestion de cet antigène pourrait avoir des répercussions sur la santé humaine. Si les injections d'ARNm vétérinaires ressemblent au jab COVID, nous pourrions potentiellement avoir des ennuis.

    Comme l’a rapporté Jessica Rose, chercheuse postdoctorale en biologie, les jabs COVID bivalents de Pfizer et Moderna sont grossièrement contaminés. Les deux se sont avérés contenir 20% à 35% de vecteurs d'expression - des ADN double brin utilisés dans la fabrication de l'ARNm - qui sont compétents pour la transformation dans E. coli. Elle écrit :27

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  23. "Message à retenir : les vecteurs d'expression restants utilisés pour fabriquer les ARNm sont à des niveaux de contamination 100 fois plus élevés que ceux initialement proposés et impliquent des billions de molécules d'ADN par dose. Cela a des implications pour l'intégration dans notre génome.

    Pour une plongée scientifique approfondie dans comment et pourquoi ce type de contamination a des implications pour l'intégration du génome, lisez l'article de Rose et/ou l'article Substack d'Anandamide28 couvrant le même sujet. Le point que je veux faire valoir est le suivant : pourrait-il y avoir également des vecteurs d'expression restants dans les vaccins pour animaux ? Et si oui, peuvent-ils s'intégrer dans le génome de l'animal — et/ou dans le nôtre lorsque nous mangeons leur viande ?

    Big Ag s'appuie sur Big Pharma Shills pour écarter les préoccupations

    Le fait que l'industrie de la viande ne dispose d'aucune science solide pour étayer ses affirmations en matière de sécurité est évident par le fait qu'elle s'appuie sur des complices de longue date de Big Pharma comme le Dr Kevin Folta pour diffuser et "pooh-pooh" les préoccupations des consommateurs.

    Folta, professeur à l'Université de Floride, est un défenseur de longue date des organismes génétiquement modifiés (OGM). Il a également plaidé pour la sécurité du glyphosate et, en 2015, il a été surpris en train de mentir au sujet de ses liens financiers avec Monsanto.

    Maintenant, il a repris le plaidoyer pour les injections d'ARNm dans le bétail. Le Cowboy State Daily l'a interviewé pour un article du 5 avril 202329 qui cherchait à dissiper les inquiétudes concernant le porc à thérapie génique. Deux semaines plus tard, Folta est apparu dans un article sur porkbusiness.com.30

    "Il n'y a pas d'intégration dans l'ADN", a déclaré Folta au Cowboy State Daily. "C'est un ensemble d'instructions transitoires, comme une clé USB. Pas un disque dur. L'ARN messager se produit naturellement dans le cadre de la fonction des cellules dans le corps. L'ARNm est partout et vous ne pouvez pas vivre sans ARNm. C'est très temporaire. Ainsi, lorsqu'un animal est abattu ou lorsqu'une plante meurt, l'ARNm est la première chose à faire.

    Folta s'est encore plus ridiculisé dans son interview avec porkbusiness.com, affirmant que "l'ARNm ne quitte jamais les cellules d'où il a été injecté". Beaucoup d'entre vous sauront exactement ce qui ne va pas avec les arguments de Folta selon lesquels l'ARNm est "partout" et donc inoffensif, que son activité est temporaire car dans sa forme native, il est si fragile et périssable, et que tout reste dans le site d'injection. Aucun des arguments de Folta n'est vrai.

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  24. L'ARNm dans les injections est synthétique et ne se décompose PAS comme le fait l'ARNm normal. C'est un fait scientifique indiscutable, il induit donc clairement les gens en erreur. Tous ceux qui connaissent le moindre détail sur cette technologie de jab d'ARNm savent que l'ARNm synthétique a été conçu pour empêcher une dégradation rapide et est en outre stabilisé par le nanolipide.

    Les propres recherches de Pfizer ont également prouvé de manière concluante que l'ARNm se propage dans tout le corps. Il ne reste certainement pas dans les cellules autour du site d'injection. Ainsi, les arguments de Folta sont au-delà de l'irrationnel et ne tiennent pas la route. Ils n'ont même pas de sens superficiellement.

    L'ARNm entre dans la législation de l'État

    Le Missouri s'attaque maintenant de front à ce problème de sécurité alimentaire avec le House Bill 1169.31,32 S'il est adopté, il exigerait l'étiquetage des produits qui peuvent altérer vos gènes. Il affirme également qu'un consentement pleinement éclairé doit être donné pour tous les vaccins, thérapies géniques et interventions médicales, et obligerait les entreprises à partager des informations sur la transmissibilité potentielle des interventions de modification génétique.

    La réaction de l'industrie contre ce projet de loi, qui ne demande que de la transparence, a été énorme. La transparence est, apparemment, une menace sérieuse pour l'industrie, ce qui signifie qu'elle serait très probablement responsabilisante pour les consommateurs. Le rejet par les consommateurs des viandes à thérapie génique pourrait non seulement détruire Big Ag. Cela pourrait également paralyser les tentatives de Big Pharma d'utiliser l'approvisionnement alimentaire comme un outil pour distribuer des vaccins à l'insu des consommateurs.

    Si ce projet de loi est adopté dans le Missouri, il pourrait aider à protéger l'approvisionnement alimentaire de l'ensemble des États-Unis. En attendant, je recommande d'éviter tous les produits à base de porc, y compris les produits biologiques, car non seulement ils contiennent des niveaux élevés d'acides gras oméga-6, l'acide linoléique, en raison des céréales dont ils sont nourris, mais pratiquement tous sont probablement contaminés par des vaccins à ARNm.”

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  25. Sources and References

    1 YouTube Global Ag Media 2018
    2, 10 Government of Canada July 24, 2018
    3, 6 Merck Animal Health, Sequivity
    4 Merck Sequivity White Paper
    5 ZoetisUS.com Product Comparison Chart
    7, 9 USDA Summary of Studies Supporting USDA Product Licensure, P. 17-18
    8 USDA APHIS Search for Sequivity
    11, 17 PR Newswire September 20, 2012
    12 Watt Poultry October 2, 2012
    13 Drugs.com RNA Swine Influenza Vaccine
    14 Merck November 12, 2015
    15 Merck March 15, 2016
    16 J Biol Stand October 1984; 12(4): 391-398
    18, 23 Pulse Stubstack November 9, 2021
    19 Moderna’s SEC Form S-1 Registration Statement
    20 US SEC BioNTech 2019
    21 FDA Guidance for Industry January 2020
    22 Merck June 6, 2018
    24 CDC Immunizations: The Basics, Definition of Terms
    25 APHIS USDA Licensed Veterinary Biological Product Information as of February 2, 2023, third bullet point
    26 Swine Vaccine Protocol
    27 Jessica Rose Substack March 9, 2023
    28 Anandamide Substack March 8, 2023
    29 Cowboy State Daily April 5, 2023
    30 Pork Business April 19, 2023
    31 Missouri House bill 1169
    32 Tom Renz Substack April 2, 2023

    https://www.lewrockwell.com/2023/05/joseph-mercola/what-safety-studies-have-been-done-on-mrna-swine-vaccines/

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  26. Le « vaccin » anti-coronavirus est une loterie : 5 % de chances de mourir ou d’être gravement malade !


    le 13 mai 2023


    Le vieux Paul C. Roberts ( https://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Craig_Roberts ) m’étonnera toujours à l’âge de 84 ans. Il doit statistiquement, comme votre serviteur, souffrir de problèmes de glande typiquement masculine qui ne sert que pour avoir des enfants, ce qui fut mon cas seulement trois fois. Bref, comme Seymour Hersh qui a le même âge ces deux phénomènes remuent la fange et je les en félicite profondément. Voici donc la première partie de deux papiers de Paul C. Roberts datée du 11 mais 2023 relatif à la « vaccination » anti-covid traduite par mes soins aussi fidèlement que possible par respect pour le vieux Paul. Bonne lecture ! Quelques commentaires en fin de papier et dans le cours du papier lui-même notes en caractères italiques et en parenthèses.

    « Il s’agit d’un meurtre de masse intentionnel, prémédité. Cela ne fait absolument aucun doute, car rien d’autre n’a de sens. Nous allons les coincer » (avocat Reiner Fuellmich).

    Un chercheur a découvert que 5 % des lots de « vaccins » contre le SARS-CoV-2 sont responsables du grand nombre de décès et de blessures liées à la « vaccination » aux États-Unis. De plus, les analystes ont conclu que l’étiquetage séquentiel des lots selon les niveaux de toxicité constitue une preuve de violation intentionnelle de la réglementation fédérale exigeant l’uniformité des doses. Pour Pfizer, 4 % des lots de vaccins représentaient tous les décès attribuables au vaccin de Pfizer et 5 % des doses de Moderna représentaient tous les décès attribuables au vaccin de Moderna. La toxicité de certains lots explique pourquoi certaines personnes ont été tuées ou ont été blessées par le vaccin contre le SARS-CoV-2, tandis que d’autres, du moins jusqu’à maintenant, n’ont subi aucune réaction indésirable.

    Le chercheur a constaté que les lots hautement toxiques avaient une répartition entre les États, et on se demande si la distribution était principalement dans les États rouges (note : il s’agit d’Etats à majorité démocrate). Mais la conclusion la plus troublante du chercheur est que la différence très inhabituelle de toxicité et le schéma inhabituel de distribution indiquent un « crime important » qui « doit faire l’objet d’une enquête ».

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  27. Reiner Fuellmich, qui a enquêté avec des milliers d’avocats et de scientifiques réunis dans le Comité d’enquête allemand Corona sur la toxicité du vaccin, a recueilli d’énormes preuves que le vaccin est toxique. Le casse-tête est la raison pour laquelle certains ont été tués ou blessés et d’autres non. La réponse est l’incohérence des lots de vaccins. Des experts, comme l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et l’ancien chef du Comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodran, ont conclu que « des actes criminels sont commis » et que « un crime grave est aussi évident ». Vous pouvez lire le rapport ici : https://www.globalresearch.ca/small-percent-vaccine-batches-responsible-large-number-adverse-reactions-analysts-claim/5767604 . Je vous encourage à le faire. Je vais maintenant parler de ses répercussions.

    Nous savons pertinemment que la « pandémie de coronavirus » a été orchestrée par la peur et qu’aucun aspect du protocole de traitement n’était efficace ou logique. Les masques ne protègent pas. Le confinement a fait plus de mal que de bien. Les droits de la personne ont été violés par des vaccinations forcées non volontaires avec une substance non testée et utilisées en vertu d’une autorisation d’urgence qui exigeait qu’il n’y ait aucun traitement ou remède connu. L’exigence d’utilisation d’urgence signifiait que les remèdes connus utilisés avec succès dans d’autres pays, comme le Brésil et l’Inde, devaient être refusés et interdits d’utilisation aux États-Unis et dans d’autres parties du monde occidental. Les autorités de santé publique des États-Unis et les « presstitutes » ont menti à travers leurs dents que l’ivermectine et la HCQ étaient des médicaments dangereux et non approuvés. L’ivermectine était considérée comme une médecine du cheval dangereuse pour les humains. En fait, les deux médicaments avaient été approuvés depuis longtemps pour usage humain et avaient de nombreuses décennies d’utilisation et des dossiers d’innocuité parfaits. L’ivermectine est couramment utilisée pour prévenir la cécité des rivières dans les régions d’Afrique où le parasite est répandu, et la HCQ est depuis longtemps utilisée pour prévenir le paludisme.

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  28. Les organismes gouvernementaux qui opèrent secrètement en dehors de la loi peuvent mentir éternellement au Congrès et peuvent invoquer « la sécurité nationale », une vache sacrée pour le Congrès, et échapper à la responsabilité. Nous observons actuellement le FBI et le ministère de la Justice continuer leur protection de Joe et Hunter Biden tout en poursuivant le président Trump avec de fausses accusations. La guerre nucléaire est une réelle possibilité. L’hostilité des néoconservateurs envers tous les pays capables de faire obstacle à l’unilatéralisme américain, ainsi que la tolérance sans fin du Kremlin aux provocations, conduisent à une guerre nucléaire.

    Nous faisons face au même risque d’extermination que la militarisation des virus mortels par le gouvernement américain. Ce travail se poursuit sans obstruction et justifié avec toutes sortes de faux arguments. « Nos ennemis le font, alors nous devons aussi nous protéger ». Ou comme le prétendent Fauci, Gates et d’autres, nous devons fabriquer des virus mortels pour les étudier afin de pouvoir nous pré-vacciner. Ces arguments sont faux. De plus, les conséquences pour l’humanité et toute la vie de la guerre nucléaire et des armes biologiques sont si horribles qu’elles font de la poursuite de la paix le but ultime de tous les objectifs. Mais Washington poursuit l’hégémonie, ce qui est une garantie de guerre.

    Le danger de notre situation ne peut être exagéré. Seule la responsabilité pour la pandémie orchestrée par le coronavirus peut rétablir la vie humaine comme étant plus importante que les profits des grandes sociétés pharmaceutiques et sauver la vie de la tyrannie.

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  29. Commentaires de votre serviteur. Comme cela a été signalé à plusieurs reprises sur ce blog l’Organisation Mondiale de la Santé aidé financièrement par la Fondation Bill Gates (je ne mentionne plus Melinda qui a divorcé de son époux après les révélations de pédophilie de Bill qui abusait de jeunes filles que Jeffrey Epstein mettait à la disposition des grands de ce monde pour ensuite les faire chanter avec des vidéo du genre porno pédophile confiées au Mossad. La collusion entre ce triste individu et l’OMS donne le ton de l’état de pourrissement des institutions internationales caviardées de l’intérieur par des personnages peu recommandables. La prochaine épidémie sera organisée à dessein par les États-Unis voire un autre pays, mais on ne situe pas clairement lequel pourrait tenter d’asseoir son hégémonie par ce biais totalement immoral foulant les lois fondamentales de l’éthique en en violation totale du Code de Nuremberg. J’ai exposé sur ce blog le fait qu’accuser la Chine d’avoir répandu le virus après son étude dans le laboratoire P4 de la ville Wuhan est selon mon point de vue un mensonge grossier organisé par les Américains. M’accuser d’anti-américanisme primaire me laisse indifférent. Les Américains sont un peuple sans foi ni loi et ils seraient bien avisés de s’occuper de leurs affaires intérieures car avec 4 Etats (Nevada, Nouveau-Mexique, Texas et Floride) qui envisagent une sécession le pouvoir fédéral risque de s’effondrer car une vraie guerre civile fera oublier les visées impérialistes de ce pays que je méprise de plus en plus et je n’ai aucune honte à l’écrire …

    Source : https://www.paulcraigroberts.org/2023/05/11/the-covid-deception-the-dire-consequences-of-the-lack-of-accountability/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/05/13/le-vaccin-anti-coronavirus-est-une-loterie-5-de-chances-de-mourir-ou-detre-gravement-malade/

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    1. (...) Le chercheur a constaté que les lots hautement toxiques avaient une répartition entre les États, et on se demande si la distribution était principalement dans les États rouges (note : il s’agit d’Etats à majorité démocrate). (...)

      Contrairement à l'Europe les 'rouge' sont (de droite) les républicains et, les États bleus ceux (de gauche) des démocrates.

      (...) Le « vaccin » anti-coronavirus est une loterie : 5 % de chances de mourir ou d’être gravement malade ! (...)

      Sur 'les 3 milliards de personnes inoculées' il n'y aurait que... 5 % % ? soit 150 millions de morts ?
      Chaque injecté n'a pas eu la chance d'avoir un placebo ! Certains inoculés meurent dans la semaine, dans le mois ou dans l'année.

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  30. Le vaccin contre la grippe n'empêche pas l'hospitalisation ou la mort


    13 mai 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    La vaccination contre la grippe est utilisée de manière plus intensive après le "succès" de la campagne de vaccination C19. Jusqu'à présent, il a été principalement recommandé pour les personnes âgées. La grippe peut en effet être une maladie grave, également connue pour avoir des séquelles plus longues, qui ont été redécouvertes en 2020 sous le nom de « Long Covid » comme un phénomène complètement « nouveau »
    .
    Au cours des dernières décennies, cependant, les vaccins antigrippaux ont été imposés aux agents de santé et au grand public adulte, et à partir de 2017, le panel compétent du CDC a déclaré : « Un vaccin antigrippal annuel de routine est recommandé pour toutes les personnes âgées de 6 mois et plus qui ont aucune contre-indication." docteur Peter McCullough s'est demandé si le vaccin contre la grippe faisait même ce qu'il était censé faire à l'origine chez les personnes âgées - protéger contre l'hospitalisation et la mort. Les données du monde réel sont décevantes.

    Une étude menée par Uemura et al du Département de biostatistique et de bioinformatique de l'Université de Tokyo, au Japon, fait état de 83 146 personnes âgées de 65 ans ou plus au départ et suivies entre le 1er avril 2014 et le 31 mars 2020. (Titre : Durée de l'efficacité du vaccin antigrippal chez les personnes âgées au Japon : une étude de cohorte rétrospective utilisant des données de registre basées sur la population à grande échelle )

    L'analyse multivariée a montré une incidence plus faible de la grippe chez les personnes vaccinées, cependant, l'incidence des hospitalisations pour grippe ne différait pas significativement selon le statut vaccinal. L'effet protecteur diminue rapidement après 4 ou 5 mois.

    Ces données suggèrent que l'effort massif de vaccination dans la population générale est une perte de temps et d'efforts. Si les personnes fragiles et âgées ne connaissent pas de réduction directe des hospitalisations et des décès, la vaccination antigrippale doit être individualisée en fonction des risques pulmonaires et systémiques.

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  31. Comme TKP l'a signalé à plusieurs reprises, comme pour les vaccinations C19, les vaccinations contre la grippe ont également montré des effets négatifs à des doses multiples. Étant donné que la vaccination annuelle est recommandée depuis longtemps pour les personnes âgées en particulier sans tenir compte des connaissances scientifiques, des conséquences négatives sont à prévoir. En septembre 2022, TKP rapportait :

    Les vaccinations multiples entraînent une résistance à l'immunisation contre de nouvelles souches virales. C'est ce qu'on appelle le "péché originel antigénique". La deuxième vaccination et toutes les suivantes ne produisent que des anticorps dirigés contre la souche virale contre laquelle le vaccin a été administré en premier. Si la tribu est très similaire, alors il y a protection. Cependant, plus la mutation a progressé, plus la protection diminue. Cela se voit maintenant chez les vaccinés qui ont été vaccinés avec la souche Wuhan - donc tout le monde. Lorsqu'ils sont infectés ou vaccinés avec un virus muté, les anticorps sont fidèlement produits à nouveau comme lors de la première dose. Et puis ils ne neutralisent plus les virus, ils peuvent même les cacher et avoir un effet favorisant l'infection (ADE).

    La vaccination répétée contre de nouvelles souches de grippe réduit l'efficacité des vaccins antigrippaux. Ceci est connu de suffisamment d'études et les données sont répertoriées dans le tableau présenté dans l'article TKP . La littérature évaluée par des pairs sur la vaccination antigrippale, l'empreinte immunitaire et le péché héréditaire antigénique est vaste et profonde.

    Mais ce n'est pas tout. Comme cela a été montré dans des études sur des vaccinations utilisant des préparations d'ARNm ( ici , ici et ici ), la vaccination contre la grippe produit également le sous-type d'anticorps IgG4 favorisant l'infection.

    L'étude a apparemment été réalisée avec beaucoup de soin, car non seulement les sous-types d'anticorps ont été mesurés, mais également les substances messagères IL-4, IL-10 et IL-13. L'IL-4 et l'IL-10 ont également été enregistrées dans l'étude de l'Université d'Erlangen dans la préparation BioNTech/Pfizer et identifiées comme la cause de la production d'IgG4. Et voici l'effet :

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  32. L'IL-4 stimule l'IL-10, qui a un effet anti-inflammatoire, c'est-à-dire qu'il inhibe la lutte contre les virus. Plus précisément, il modifie les cellules B pour produire plus d'IgG4 au lieu des IgG1 et IgG3 protecteurs.
    L'IL-10 inhibe également les macrophages, les cellules NK et les lymphocytes T tueurs CD8+, qui sont tous responsables de l'élimination des virus et des cellules infectées par des virus. L'IL-10 est principalement produite par les lymphocytes T auxiliaires CD4+ et les lymphocytes T régulateurs.
    L'IL-13, qui est également mentionnée dans l'étude, a un rôle fonctionnellement similaire à l'IL-4. Il est généré par les cellules auxiliaires Th2, affecte à nouveau les cellules B et ralentit les macrophages.
    Plus d'informations à ce sujet dans cet article TKP de janvier 2023 .

    L'industrie pharmaceutique et la médecine conventionnelle agissent comme l'artisan qui n'a qu'un marteau. Il verra chaque problème comme un clou et le frappera avec un marteau, même si l'huile moteur doit faire l'appoint. La biochimie et le système immunitaire sont très complexes. C'est surtout une question d'équilibre. On peut mourir si trop d'inflammation est causée (tempête de cytokines) ou s'il n'y a pas de réponse défensive et inflammatoire à l'infection ou à la blessure. Si ces processus biochimiques sont déviés par des interventions unilatérales, des dommages seront causés.

    https://tkp.at/2023/05/13/influenza-impfstoff-verhindert-weder-hospitalisierung-noch-tod/

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  33. Covid Australie : des habitants de Melbourne soumis à un confinement strict toucheront 5 millions dollars de dédommagement


    By Cheikh Dieng
    13 mai 2023


    Un confinement strict synonyme d’une perte totale de ses libertés, y compris les plus élémentaires. Cela s’est passé en Australie où durant le Covid, 3 000 résidents de tours HLM, soumis pendant 14 jours à un confinement strict, ont été interdits de quitter leur appartement. Trois ans après, ils obtiennent gains de cause après la décision de la justice de les dédommager à hauteur de 5 millions de dollars.

    C’est du moins l’information que notre média a obtenue, ce 09 mai, du site d’information australien Sbs.com.au. En effet, à en croire cette source, les résidents se sont plaints d’avoir été illégalement maintenus en confinement pendant 14 jours et d’être menacés de violence physique par la police s’ils tentaient de sortir de leur appartement

    https://lecourrier-du-soir.com/covid-australie-des-habitants-de-melbourne-soumis-a-un-confinement-strict-toucheront-5-millions-dollars-de-dedommagement/

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  34. Arrêtez l'accaparement du pouvoir de l'OMS !


    Défense de la santé des enfants
    13 mai 2023


    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) prépare des amendements au Règlement sanitaire international de 2005, qui "fournissent un cadre juridique global qui définit les droits et obligations des pays dans la gestion des événements et des urgences de santé publique susceptibles de traverser les frontières". Cet accord international juridiquement contraignant donnerait à l'OMS un pouvoir sans précédent sur les gouvernements nationaux - et outrepasserait la souveraineté nationale.

    Les modifications proposées transféreront également la gestion de la réponse de santé publique de chaque État pendant tout ce que l'OMS considère comme une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI). S'ils sont adoptés, les amendements rendraient la future autorité américaine et mondiale d'urgence de santé publique au directeur général (D-G) de l'OMS.

    Nous devons tous encourager nos dirigeants locaux, étatiques et fédéraux à prendre la parole maintenant pour mettre fin à cette prise de pouvoir massive et rejeter les amendements du RSI, qui transformeraient l'OMS en un gouvernement mondial non élu - L'Assemblée mondiale de la santé (WHA), qui est " l'organe décisionnel de l'OMS », se réunit du 21 au 30 mai pour discuter et éventuellement voter sur ces amendements.

    Passer à l'action

    Malgré les échecs catastrophiques de la santé publique pendant la pandémie de COVID-19, le gouvernement fédéral sous l'administration actuelle a indiqué une forte volonté de céder ce qui ne peut être perçu que comme un pouvoir dictatorial à l'OMS via le nouveau Règlement sanitaire international (RSI), actuellement être rédigé à huis clos - montrant un manque total de transparence.

    Les amendements proposés au RSI (accord) consistent à :

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  35. Supprimer le libellé actuel du RSI accordant « le plein respect de la dignité, des droits de l'homme et des libertés fondamentales des personnes ». Ils tentent activement d'éliminer « la dignité, les droits de l'homme et les libertés fondamentales » des amendements du RSI.
    Changer les recommandations du RSI de « non contraignantes » à juridiquement contraignantes de sorte que tous les pays membres doivent les respecter et les mettre en œuvre.
    Créer des exigences pour les passeports vaccinaux numériques qui seront utilisés pour restreindre l'accès et les voyages comme l'OMS le juge bon.
    Exiger la surveillance des informations en ligne et la suppression des informations considérées comme erronées et désinformées.
    Exercer des mesures de confinement extrêmes, y compris la création d'une "quarantaine de voyageurs suspects, de préférence dans des installations éloignées du point d'entrée", alias "camps de quarantaine" observés lors de la pandémie de COVID-19 en Chine et ailleurs.
    Autoriser le D-G de l'OMS à déclarer une urgence à volonté.
    Exiger que les pays utilisent certains médicaments tout en interdisant l'utilisation d'autres en cas d'urgence.
    Autoriser l'OMS à réquisitionner des fournitures médicales dans n'importe quel pays, à les transférer dans d'autres pays et à contourner les lois sur la propriété intellectuelle.
    Les dirigeants aux niveaux local, étatique et fédéral doivent prendre la parole et exprimer leur opposition à cette prise de pouvoir massive afin d'éviter de perdre leurs propres pouvoirs pour gérer les urgences de santé publique. La médecine universelle universelle ne permet pas de soins médicaux personnalisés. Nous appelons nos représentants fédéraux à soutenir H.R. 79 - The WHO Withdrawal Act, pour se protéger contre cette prise de pouvoir massive imminente aux mains de l'OMS. Nous appelons nos représentants étatiques et locaux à protéger leurs électeurs de la manière suivante :

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  36. Préservez l'autorité de votre État pour gérer la santé publique.
    Empêcher les bureaucrates non élus et nommés de contrôler les mesures de santé publique et les soins médicaux pendant les urgences de santé publique perçues.
    Veiller à ce qu'aucun mandat médical ne puisse prévaloir sur les droits prévus dans les constitutions des États et fédérales.
    Empêcher la discrimination fondée sur des décisions médicales ou de soins de santé.
    Protéger les droits des patients au consentement éclairé pour les procédures médicales et pour les soins individualisés.
    Interdire la bio-surveillance et la collecte de données médicales et d'ADN sans le plein consentement de l'individu.
    Permettre aux prestataires de soins de santé de pratiquer une médecine individualisée qui ne nuit pas aux patients sans coercition de la part des organismes de réglementation et d'autres influences extérieures.
    Nos élus doivent conserver les pouvoirs qui leur sont conférés par la Constitution américaine et ils doivent soutenir leurs électeurs qui les ont élus. Nos représentants fédéraux doivent se renseigner sur HR 79 - La loi sur le retrait de l'OMS - afin qu'ils puissent mieux comprendre le risque pour la souveraineté nationale qui découle du fait de rester un État membre de l'OMS avec les modifications en attente des réglementations du RSI.

    Exhortez le président à ARRÊTER les négociations sur les amendements proposés au RSI afin de protéger la souveraineté nationale et de ne pas céder l'autorité de santé publique de notre pays à l'OMS. Dites-lui de REJETER l'amendement à l'article 59, « Entrée en vigueur ; délai de rejet ou de réserves », adopté par l'Assemblée mondiale de la santé le 27 mai 2022.

    Le peuple américain mérite d'avoir son mot à dire dans ces importantes décisions de santé publique qui affecteront grandement notre avenir - en particulier à la lumière des échecs de santé publique abyssaux pendant le COVID-19.

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  37. Ce que tu peux faire:

    Remplissez le formulaire ci-dessous pour :
    Dites aux législateurs de votre État d'exprimer leur opposition et de protéger votre État contre d'éventuels nouveaux règlements sanitaires internationaux proposés qui mettraient tout le pouvoir de santé publique entre les mains du D-G de l'OMS.
    Dites au Congrès de soutenir HR 79, The WHO Withdrawal Act, afin de préserver la souveraineté nationale.
    Dites au président Biden d'ARRÊTER les négociations sur les amendements proposés au RSI et d'annuler les amendements du RSI qui ont été modifiés à la hâte en 2022.
    Signez la Health Freedom Bill of Rights pour un avenir sans tyrannie. Une fois que vous avez signé, partagez la Déclaration des droits sur les réseaux sociaux, partagez toutes les actions que vous entreprenez pour choisir la liberté et préserver vos droits et étiquetez votre message avec #TheGreatFreeset.
    Partagez cette page avec votre famille, vos amis et sur les réseaux sociaux pour sensibiliser et encourager les gens à passer à l'action !
    Aidez-nous en faisant passer le mot au plus grand nombre de personnes possible.

    Originally published on Children’s Health Defense.

    https://www.lewrockwell.com/2023/05/no_author/stop-the-who-power-grab/

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  38. Gouvernement et règle : le fléau de l'humanité


    De Gary D. Barnett
    13 mai 2023


    "ÊTRE GOUVERNÉ, c'est être surveillé, inspecté, espionné, dirigé, guidé par la loi, numéroté, réglementé, enrôlé, endoctriné, prêché, contrôlé, vérifié, estimé, valorisé, censuré, commandé, par des créatures qui n'ont ni le droit ni la sagesse ni la vertu de le faire. Être GOUVERNÉ, c'est être à chaque opération, à chaque transaction notée, enregistrée, comptée, taxée, timbrée, mesurée, numérotée, taxée, licenciée, autorisée, admonestée, empêchée, interdite, réformée, corrigée, punie. C'est, sous prétexte d'utilité publique, et au nom de l'intérêt général, être mis à contribution, foré, escroqué, exploité, monopolisé, extorqué, pressé, mystifié, volé ; puis, à la moindre résistance, le premier mot de plainte, être réprimé, verbalisé, vilipendé, harcelé, traqué, abusé, matraqué, désarmé, ligoté, étouffé, emprisonné, jugé, condamné, fusillé, déporté, sacrifié, vendu, trahi; et pour couronner le tout, moqué, ridiculisé, ridiculisé, outragé, déshonoré. C'est le gouvernement; c'est sa justice; c'est sa moralité.
    ~ Pierre-Joseph Proudhon, Idée générale de la Révolution au XIXe siècle

    Résumer correctement le gouvernement et la règle de toute sorte, c'est accepter que tout gouvernement, toute force d'État et toute autorité de l'un sur l'autre est une abomination atroce contre l'humanité. Le gouvernement est le fléau de l'humanité, il ne peut exister que grâce à la force, et si un gouvernement ou une règle est administré par un politicien ou un dirigeant, ou l'un de leurs semblables, la liberté a déjà disparu. Comme Orson Scott Card l'a si clairement expliqué ce qu'il avait appris : « Mon père a toujours dit que le gouvernement, c'est comme regarder un autre homme pisser dans votre botte. Quelqu'un se sent mieux, mais ce n'est certainement pas toi. Cette image est exacte, mais si l'homme libre met sa botte dans le cul du gouvernement, non seulement il se sentira mieux, mais il sera libre.

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  39. L'essentiel tel que je le vois, c'est qu'il n'y a pas de bon gouvernement, de gouvernement bienveillant, de gouvernement nécessaire ou de gouvernement protecteur ; il n'y a que le mauvais gouvernement. Cela est facile à comprendre quand on découvre simplement ce que les gouvernements causent, ce qu'ils font, ce qu'ils volent, qui ils assassinent et comment ils détiennent le pouvoir sur tout. Considérant l'Amérique, sans gouvernement et règle, il y aurait eu peu ou pas de guerres, pas de taxation gouvernementale, (vol) pas de confiscation d'une grande partie de la terre dans ce pays par la règle de « loi » et la force, peu ou pas de monopoles, pas de masse réglementation d'aucune sorte, pas de prisons gouvernementales remplies de personnes incarcérées pour des crimes sans victime, pas de lois sur les drogues, pas de lois sur les armes à feu, et pas de police et d'armée meurtrières fédérales ou d'État. Il n'y aurait pas de politiciens, pas d'élections, pas de vote pour les maîtres, pas de congrès, pas de président, (roi) pas de bureaucraties massives, pas de systèmes d'endoctrinement gouvernementaux, pas d'écoles ('publiques'), pas de républicains, pas de démocrates, et donc une grande réduction de mensonges.

    Sans gouvernement, le faux drapeau à l'intérieur du travail du 11 septembre 2001 n'aurait jamais eu lieu. Il n'y aurait jamais eu de Patriot Act, pas de guerre de terreur par les États-Unis, pas de programme de torture, et probablement pas de récessions ou de dépressions, à moins qu'elles n'aient été isolées, naturelles, localisées et de très courte durée. La crise immobilière et économique qui a débuté en 2008 ne se serait pas produite. La manipulation des actions et des obligations serait presque impossible, et les dépenses de masse, l'expansion monétaire et l'inflation monétaire seraient sans précédent dans un environnement dépourvu de gouvernement.

    Il n'y aurait pas d'urgence nationale déclarée par le gouvernement, de sorte que la fausse pandémie de "covid" n'aurait jamais eu lieu. Il n'y aurait jamais eu de fermetures d'entreprises ordonnées, pas d'obligations de masque, pas d'emprisonnement forcé à domicile, pas de couvre-feux, pas de confinement, pas de " distanciation sociale ", pas de tests et absolument aucune injection mortelle d'armes biologiques toxiques appelée délibérément et injustement " vaccins ". '.

    Il n'y aurait jamais eu de restrictions de voyage, pas de renflouements, pas d'escroqueries de masse appelées "contrôles de relance", pas d'hyperinflation, pas d'empoisonnement des sources de nourriture, pas de destruction de fermes et de ranchs, pas d'abattage d'animaux, pas de pulvérisation de poison chimique toxique de l'atmosphère, pas de géo-ingénierie du temps et des catastrophes non naturelles, et pas de Trump ou de Biden.

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  40. Il n'y aurait pas de plafond de dette, car il n'y aurait probablement pas de dette fédérale ou étatique. Il n'y aurait pas de déficit national et pas de passif non capitalisé. Il y aurait peu ou pas de division parmi le peuple parce que la plupart des divisions sont causées et alimentées par le gouvernement. Il n'y aurait pas de problème d'immigration, pas de clôtures aux frontières, pas de "guerre contre la drogue", pas de cartels de la drogue entièrement soutenus par le gouvernement américain, la CIA et d'autres services de "renseignement". Il n'y aurait pas de politique étrangère antagoniste, et donc pas de risque réel de guerre nucléaire avec la Chine ou la Russie, et pas de pénuries alimentaires et énergétiques causées par des voyous d'État.

    Personne n'a le droit légitime de donner de l'autorité ou d'attribuer un pouvoir à l'un sur l'autre en l'appelant gouvernement. L'idée même que l'on peut voter pour permettre par procuration, la règle du plus grand nombre par quelques-uns ; ces menteurs et tricheurs choisis appelés politiciens, est en soi absurde. Comment une classe politique illégitimement sélectionnée, le groupe de criminels le plus immoral de la planète, peut-elle légiférer la moralité aux autres ? Tout ce qui constitue le gouvernement, ce sont ces rebuts de la société qui cherchent à gouverner, à qui on donne le pouvoir de faire des choses qu'aucun citoyen normal n'a le droit de faire. Quiconque est autorisé à faire des "lois" contrôlant les autres, assume automatiquement une position au-dessus de ses propres "lois" odieuses. Ils ne peuvent le faire qu'en utilisant les ressources qu'ils volent à tous, pour acheter des forces de l'ordre violentes appelées policiers et militaires, punir, blesser ou assassiner quiconque remet en question ou refuse sa fausse « autorité ».

    Comme je l'ai dit dans le passé : "Tous ceux qui continuent à soutenir l'idée que le gouvernement est nécessaire, tous ceux qui continuent à défendre le gouvernement comme la seule réponse à la cohésion sociétale, tous ceux qui exigent que les autres acceptent le gouvernement au profit de tous , et tous ceux qui dépendent de la règle et qui s'attendent à ce que le gouvernement soit leur maître et protecteur, sont par essence les destructeurs de la liberté, et donc ils sont les avocats de l'esclavage de masse. Il n'y a aucun raisonnement légitime pour un tel comportement idiot.

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  41. Le gouvernement ne peut exister que lorsque les gens acceptent qu'ils sont des esclaves et permettent à un maître de régner sur eux. Sans cette acceptation volontaire du pouvoir, aucun gouvernement ne pourrait jamais tenir debout. Aucun individu ou groupe d'individus n'a le moindre droit de gouverner un autre, et cela n'a été possible qu'en raison de l'état d'esprit insensé qu'est le collectivisme des masses. Cette soi-disant « philosophie » qu'est le « collectivisme » ouvre la voie à l'endroit où nous en sommes aujourd'hui ; vivant comme esclaves dans une société de fous, dépendant de la permission d'un maître de vivre et de respirer. Aucune liberté ne sera jamais présente, tant qu'un gouvernement (État) existera. C'est une réalité qui ne peut être remise en question.

    "L'élection libre des maîtres n'abolit ni les maîtres ni les esclaves."

    https://www.lewrockwell.com/2023/05/gary-d-barnett/government-and-rule-the-bane-of-humanity/

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  42. Contrôle par l'État des enfants mineurs - Une idéologie montante de l'inconscience libérale


    Par Helena Glass
    Helena-La voix nationaliste
    13 mai 2023


    Notre estimé CoVid FDA vient d'approuver une nouvelle pilule contraceptive en vente libre qui se lit comme suit : "les risques l'emportent sur les avantages"... je plaisante - mais ça devrait ! La liste des effets secondaires « courants » comprend : maux de tête, étourdissements, nausées, augmentation de l'appétit – adiposité, douleurs abdominales, ballonnements, fatigue, pertes vaginales, nervosité, maux de dos, gêne mammaire, acné et « dysménorrhée » ! Et puis ils se qualifient… ce ne sont PAS les seuls effets secondaires courants, juste ceux dont nous parlons.

    Les autres effets secondaires qui l'emportent sur les avantages du risque sont les saignements vaginaux abondants, les kystes ovariens, les problèmes de thyroïde, la diminution des hormones sexuelles, la grossesse extra-utérine, les migraines et la jaunisse indiquant une insuffisance hépatique ou pancréatique.

    Ce « médicament » OPill est en vente libre et sera disponible pour les jeunes adolescents qui n'ont aucune idée des problèmes tels que les « effets secondaires ». Malgré le statut en vente libre, la brochure sur OPill indique que le patient doit être informé des problèmes de sécurité potentiels… Cela signifie que la FDA a une fois de plus révélé qu'ils sont soit grossièrement négligents et / ou corrompus étant donné qu'il n'y a AUCUN patient dans un Réglage OTC..

    PARENTS ATTENTION !

    Une fois de plus, Pharma lance un médicament hautement réactif associé à un risque qui ciblera les jeunes adolescents qui ne veulent pas que maman et papa sachent qu'ils sont actifs sexuellement. Ils ne liront pas la brochure, ils ne voudront pas révéler les effets secondaires parce que cela révélerait qu'ils sont sexuellement actifs, et il y aura des conséquences horribles.

    N'est-il pas étrange qu'au milieu du dépeuplement du globe et de la réduction des naissances vivantes, les WH Handlers exigent plus d'immigrants sans aucune formation ou éducation professionnelle pour «prendre la place» de tous les receveurs excédentaires de médicaments de la mort? La réponse à la pénurie de main-d’œuvre…

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  43. Et juste comme ça – le régime de Brandon faisant face à des accusations criminelles sans précédent a édulcoré les restrictions de gain de fonction pour le NIH. Peter Dazsak d'EcoHealth, qui n'a fait face à "aucune accusation", est ravi : "Maintenant, nous pouvons retourner au travail !" s'exclama-t-il avec enthousiasme. EcoHealth s'est avéré avoir d'importants problèmes de comptabilité et de tenue de livres qui ont reçu une gifle digne de Will Smith. C'était ça.

    Fauci est intervenu et a défendu la recherche sur le gain de fonction d'EcoHealth au laboratoire de Wuhan en Chine, affirmant que les chauves-souris n'infectaient pas les humains. Cette fois, Dazsak affirme que ce sera différent. Cette fois, ils utiliseront des ordinateurs pour analyser les génomes. Ensuite, selon Dazsak, EcoHealth s'associera au laboratoire de Linfa Wang à la Duke-NUS Medical School de Singapour. Le but de la recherche sera de tester si les protéines de pointe des virus CoVid peuvent se lier à l'angiotensine humaine. Mais CoVid n'est plus une menace - c'est simplement un autre virus de la grippe… ou peut-être qu'il l'a toujours été.

    Le laboratoire de Wang étudiera également les «pseudovirus» qui combinent un coronavirus sauvage avec un virus complètement différent qui ne peut pas causer de maladie humaine. Qu'est ce qui pourrait aller mal? Selon Bill Gates, ce qui pourrait mal tourner, c'est une nouvelle version de Pandemic en 2024.

    Linfa Wang ? Par pur hasard, Linfa Wang s'est rendue au laboratoire de Wuhan en janvier 2020 peu de temps après la fuite de CoVid. C'est Wang dont l'expertise a déterminé que CoVid provenait de chauves-souris. De retour à Singapour, sa maison, Wang a déclaré qu'une femme sur son vol avait CoVid mais heureusement, il a été épargné. Bizarre – c'est aéroporté. Wang affirme qu'il traque les virus des chauves-souris chez les humains depuis des décennies…

    Mais attendez! Fauci déclare publiquement que les virus de chauve-souris n'ont jamais voyagé de chauve-souris à humain - effaçant ainsi complètement sa propre légitime défense !

    La biographie de Wang est assez intéressante sinon snickerdoodling: «En écoutant secrètement Voice of America alors qu'il était à Singapour pour obtenir son baccalauréat, Wang est finalement devenu si compétent en anglais qu'il a été choisi pour une bourse pour étudier à l'étranger. Il a fait un doctorat. en biologie moléculaire à l'Université de Californie, Davis. Il a été choisi pour une bourse en raison de sa maîtrise de l'anglais ? Je n'ai pas entendu celui-là avant…

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  44. La raison invoquée pour un contraceptif en vente libre est que les filles et les femmes peuvent alors renoncer à une évaluation de santé, un examen physique et des conseils non désirés. Par conséquent, si elles ont des problèmes de santé sous-jacents, elles n'auront pas à renoncer à un contraceptif, même s'il a des effets secondaires débilitants.

    Quels sont exactement les avantages de OTC Birth Control où les avantages l'emportent sur le risque ? La grossesse chez les adolescentes est le risque. Les avantages sont le risque d'effets secondaires mortels et la capacité d'éliminer l'interférence parentale dans le désir d'un enfant de gouverner son propre corps comme un adulte. Le même mantra déguisé en contrôle de l'État sur les enfants.

    Le gouverneur Inslee vient d'adopter une loi donnant aux enfants le droit de demander un avortement et une chirurgie d'affirmation de genre sans la connaissance ou le consentement des parents. Inslee déclare que le but du projet de loi est de "rassembler la famille".

    Ne vous inquiétez pas, vos enfants sont en sécurité entre les mains de l'État. Après avoir forcé les confinements et l'échec de l'enseignement en ligne, les États proposent que des matières bénignes telles que les mathématiques, la lecture, les sciences, l'histoire soient simulées pour faire de la place au CRT, aux études de genre et à l'éducation sexuelle. Parce qu'à l'avenir - la prochaine génération, vos enfants et petits-enfants - seront des travailleuses du sexe.

    Reprinted with permission from Helena-The Nationalist Voice.

    https://www.lewrockwell.com/2023/05/no_author/state-control-of-minor-children-a-rising-ideology-of-liberal-mindlessness/

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  45. Vous n'avez pas à choisir entre le bonheur et l'information


    Par Caitlin Johnstone
    CaitlinJohnstone.com
    13 mai 2023


    J'écris sur des choses sombres et sombres dans cet espace, et il est courant de recevoir des expressions de désespoir en réponse aux sujets sur lesquels je me concentre.

    Ceci est parfaitement compréhensible. Non seulement notre monde se précipite vers l'armageddon nucléaire et l'effondrement de l'environnement tandis que l'autoritarisme croissant menace notre capacité à parler de ces choses les uns avec les autres, mais la plupart des gens sont complètement inconscients de tout cela. Même les personnes relativement engagées politiquement ont tendance à croire que les plus gros problèmes de la société sont des choses comme le sexisme ou les drag shows, et ils soutiennent généralement l'une des deux factions politiques dominantes qui nous poussent toutes les deux vers la destruction.

    Et c'est bien sûr parce que nous vivons dans une dystopie contrôlée par l'esprit où tout est faux et stupide. La civilisation occidentale est dominée par une structure de pouvoir qui a investi plus massivement dans le "soft power" (manipulation psychologique à grande échelle) que toute autre structure de pouvoir dans l'histoire. Il imprègne nos médias, nos services Internet, notre art - littéralement toute la culture dominante.

    Les politiciens mentent, les médias mentent, les films mentent, Internet ment, les publicités mentent, les émissions entre les publicités mentent. Ils mentent sur notre monde, ils mentent sur notre gouvernement, ils mentent sur ce qui est important, comment nous devrions penser, ce que nous devrions valoriser et comment nous devrions mesurer notre niveau de réussite et notre valeur en tant qu'êtres humains. C'est ce que vous obtenez lorsque vous vivez dans une civilisation faite de mensonges, sous un empire maintenu par des mensonges.

    Alors bien sûr les gens qui voient ça expriment leur désespoir. Lorsque vous percez les mensonges pour la première fois et que vous commencez à comprendre ce qui se passe réellement, cela peut être très désagréable au début. Cela ressemble à ce que cela ressemblait probablement d'être un penseur lucide à une époque beaucoup moins éclairée lorsque la civilisation était dominée par la religion et la superstition. Seul. Déprimant. Comme l'a dit Terence McKenna, "Le coût de la santé mentale dans cette société est un certain niveau d'aliénation."

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  46. Et vous apprenez à vivre à partir de là. Vous vous installez dans la compréhension que si les souffrances et les abus de notre monde sont très réels et d'immenses conséquences, le fait qu'il y ait quoi que ce soit est immensément plus important que n'importe lequel de nos petits problèmes humains. Le fait que nous arrivions à vivre dans ces corps et à habiter ces cerveaux et à nous déplacer sur cette planète incroyable et à la percevoir et à y penser est beaucoup, beaucoup plus important que n'importe laquelle de nos difficultés.

    Pour vous aider à voir ce que je pointe, imaginez si vous ne ressentiez rien. Imaginez si vous n'étiez qu'une étendue de conscience désincarnée, sans rien à voir, entendre, sentir, toucher, goûter ou sentir. Aucune pensée à penser, aucun sentiment à ressentir.

    Alors imaginez qu'après une éternité passée dans cet état, vous ayez soudainement fait l'expérience de ce monde. Toutes les images, les sons, les sentiments, la beauté. Toutes les pensées, les mots, la créativité, les connexions, les relations. Imaginez à quel point ce serait époustouflant. Comme c'est délicieux. Comment apprécié.

    Si cela se produisait, qu'est-ce qui, selon vous, vous semblerait le plus important : l'apparence du monde et votre capacité à en faire l'expérience, ou le fait que le monde a des problèmes ?

    Cette appréciation de la façon dont il est étonnant vient supplanter la fixation sur les détails qui étaient au premier plan de votre attention. Cela ne vous empêche pas d'apprécier la souffrance dans le monde - en fait, cela vous en rend plus conscient. Mais ça change le contexte dans lequel ça se passe, parce que ça se passe dans quelque chose de beaucoup plus vaste qui ne se limite pas à cette souffrance.

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  47. Ainsi, vous pouvez absolument vivre une vie heureuse et satisfaite avec une pleine conscience de ce qui se passe réellement dans notre monde. En fait, la dévotion à découvrir la vérité qui vous a amené à comprendre ce qui se passe dans le monde vous conduira également à la paix et au bonheur si vous approfondissez cette exploration. Tu dois juste arrêter d'essayer d'obtenir ton bonheur et ta satisfaction des endroits où notre civilisation de conneries t'a entraîné à le chercher.

    Et puis c'est partout. Partout.

    https://www.lewrockwell.com/2023/05/no_author/you-dont-have-to-choose-between-happiness-and-being-informed/

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  48. Les éducateurs devraient-ils fixer des limites aux adolescents ?


    Par le Dr Rudolf Hänsel
    Recherche mondiale, 12 mai 2023
    Traduction du serbe.


    Introduction

    À l'occasion d'attaques contre d'autres personnes (meurtres de masse) aux États-Unis d'Amérique, en Allemagne et en Serbie, j'apporterai des réponses du point de vue de la psychologie personnelle à des questions importantes qui n'ont pas été envisagées par la société dans son ensemble dans le passé.

    Ce faisant, j'inclurai une contribution au traité que j'ai écrit il y a vingt et un ans en tant que chef du "Service de conseil scolaire public pour la capitale bavaroise de Munich" sur la violence en Allemagne, qui me semble toujours d'actualité.

    L'article était intitulé "Pour des valeurs éthiques et morales conscientes de l'éducation". (1)

    Pour l'instant, je vais juste répondre à la question : les éducateurs devraient-ils fixer des limites aux adolescents ?

    Des questions importantes auxquelles vous devriez réfléchir !

    1. Faut-il enseigner des valeurs aux adolescents, et si oui, lesquelles et par qui ? Ou les enfants et les adolescents devraient-ils découvrir par eux-mêmes ce qui est bon pour eux ?

    2. L'honnêteté, la considération, la fiabilité, la motivation, la diligence, le sens des responsabilités et la communauté sont-elles encore des vertus précieuses qui devraient être enseignées aux jeunes ? Ou sont-ils contraires à la "conscience de soi" et ne conduisent qu'à une subordination aveugle à des structures autoritaires ?

    3. Doit-on fixer des limites pour les enfants et les jeunes ? Ou devraient-ils repousser leurs limites en essayant des choses ? Les éducateurs devraient-ils intervenir lorsque les enfants et les jeunes veulent « résoudre » leurs problèmes de violence ? Ou faut-il croire à « l'autorégulation » ?

    4. Est-il bon que les jeunes regardent toutes sortes de violences sur toutes les chaînes à longueur de journée ? Et une telle influence a-t-elle des conséquences néfastes sur leur développement et doit-elle donc être stoppée ?

    Les éducateurs devraient-ils fixer des limites aux adolescents ?

    Bien sûr, une partie de la tâche de l'enseignant consiste à fixer des limites aux adolescents. Grâce à la découverte de la recherche sur les conditions de développement des comportements sociaux positifs - en particulier les résultats de la recherche sur les styles parentaux - nous savons maintenant quels styles parentaux peuvent permettre un degré élevé de préparation à la coopération, au service, à l'amitié et à la sécurité de l'enfant.

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  49. La psychologue américaine du développement et chercheuse de premier plan dans le domaine de l'éducation des enfants Diana Baumrind (1927-2018) qualifie ce style parental de « faisant autorité ». (2) Il s'agit de pratiques parentales caractérisées par la chaleur, l'amour et l'affection, mais aussi de méthodes de régulation réussies qui s'abstiennent de la dureté et des châtiments corporels, mais utilisent systématiquement des stratégies argumentées, surveillent le respect des règles convenues, interviennent en cas de mauvais comportement, enseigner à l'enfant par son exemple personnel et participer à des activités sociales positives.

    À la surprise de certains partisans de la parentalité dite anti-autoritaire, il a été constaté que le style parental permissif entraînait le même comportement antisocial, non coopératif et agressif chez les enfants que le style parental négligent.

    L'adulte témoin du comportement violent d'un enfant ou d'un jeune doit donc s'y opposer en toutes circonstances et exiger sa correction, car l'absence d'opposition et l'abstention de poser de tels gestes seraient interprétées par le jeune comme une approbation de son geste.

    Un éducateur qui autorise la violence ignore un droit humain fondamental. Aussi, la victime d'un acte violent doit sentir, par l'intervention décisive de l'éducateur, que l'acte a été condamné, qu'elle est elle-même protégée et qu'elle en tirera réconfort et satisfaction.

    Un auteur de violence qui reste impuni apprend aussi par cet encouragement que la violence paie et qu'elle l'utilisera à nouveau. Si, au contraire, il doit faire face à son crime, développer une manière correcte de se racheter, il sympathisera avec sa victime et établira un seuil d'inhibition contre l'usage répété de la violence.

    *

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  50. Note aux lecteurs : Cliquez sur le bouton de partage ci-dessus. Suivez-nous sur Instagram et Twitter et abonnez-vous à notre chaîne Telegram. N'hésitez pas à republier et partager les articles de Global Research.

    Le Dr Rudolf Hänsel est recteur d'école, pédagogue et psychologue qualifié. Après des études universitaires, il devient enseignant universitaire en éducation des adultes. En tant que retraité, il a travaillé comme psychothérapeute dans son propre cabinet. Dans ses livres et articles professionnels, il appelle à un apprentissage conscient éthique et moral des valeurs ainsi qu'à une éducation pour le bien public et la paix. Pour ses services à la Serbie, il a reçu le prix d'État "Captain Misa Anastasijević" de l'Université de Belgrade et de Novi Sad en 2021. années.

    Notes de bas de page

    (1) Dr. Hänsel Rudolf (2002) Pour un apprentissage éthique et moral conscient des valeurs. Une contribution au débat d'Erfurt. Centre central de conseil pédagogique et psychologique pour les écoles de la capitale du Land et du district de Munich

    (2) https://de.m.wikipedia.org/wiki/Diana_Baumrind

    https://www.globalresearch.ca/da-li-bi-vaspitaci-trebalo-da-postavljaju-granice-adolescentima/5818730

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    Réponses
    1. Hum ! Dès le départ les enfants reçoivent des livres de contes où figurent des loups, des ogres et de méchants guerriers qui promettent la mort à l'enfant ! Des livres à faire peur à l'enfant !

      Cela n'a pas changé depuis des siècles !

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  51. La fausse « guerre hybride » du complexe industriel de la censure


    Par Jo Nova
    May 12th, 2023 |


    Matt Taibbi et une équipe d'écrivains ont créé un rapport de 70 pages sur le "cartel de l'information" - la nouvelle cabale conglomérale de Big Money, Big Government et Big Tech qui veut vous censurer et vous pousser à la servitude et à l'obéissance. Facebook a rapidement censuré son rapport sur la censure. Taibbi a tweeté cela, et Facebook s'est rendu compte qu'ils prouvaient son point de vue et l'ont inversé. C'était "juste un bug", a déclaré un cadre de Facebook, sans conviction.

    - voir schéma sur site -

    Matt Taibbi : CIC -- Rapport sur le complexe industriel et censure : les 50 organisations les plus importantes à connaître, la liberté d'expression
    Cliquez pour agrandir (deux fois même) Illustration par mrmooremedia.com

    Matt Taibbi, Actualités des raquettes

    Rapport sur le complexe censure-industriel
    Le kit de démarrage du citoyen pour comprendre le nouveau cartel mondial de l'information

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  52. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, l'Amérique n'avait pas d'industrie permanente de fabrication d'armes. Maintenant, c'était le cas, et ce nouveau secteur, a déclaré Eisenhower, était en train de construire autour de lui un système de soutien culturel, financier et politique qui lui procurait un pouvoir énorme. Cette « conjonction d'un immense établissement militaire et d'une grande industrie de l'armement est nouvelle dans l'expérience américaine », a-t-il dit, ajoutant :

    Dans les conseils de gouvernement, nous devons nous prémunir contre l'acquisition d'une influence injustifiée, recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel. Le potentiel de montée désastreuse d'un pouvoir mal placé existe et persistera.

    Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés ou nos processus démocratiques… Seule une population alerte et avertie peut contraindre le bon maillage de l'énorme machinerie industrielle et militaire de défense avec nos méthodes et objectifs pacifiques, afin que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble.

    Après plus de soixante ans, la majeure partie de l'Amérique - y compris la majeure partie de la gauche américaine, qui s'est traditionnellement concentrée le plus sur cette question - a perdu sa peur que notre industrie de l'armement puisse conquérir la démocratie de l'intérieur.

    Les dirigeants en herbe cherchent à mener une bataille contre un ennemi étranger cherchant à contrôler les États-Unis par le biais de "mésinformation, désinformation" et à présenter la liberté d'expression elle-même comme "obsolète".

    Le « complexe censure-industriel » [CIC] n'est que le complexe militaro-industriel qui renaît à l'ère de la « guerre hybride ».

    À l'instar de l'industrie de la guerre, qui se plaît à s'appeler le secteur de la "défense", le complexe "anti-désinformation" se présente comme simplement défensif, conçu pour repousser les attaques hostiles de cyber-adversaires étrangers qui, contrairement à nous, ont des "limitations militaires". Le CIC, cependant, n'est ni entièrement axé sur la défense, ni même principalement axé sur la «désinformation» étrangère. C'est plutôt devenu un système de messagerie unifié et implacable destiné principalement aux populations nationales, à qui on dit que la discorde politique à la maison aide l'assaut hybride non déclaré de l'ennemi contre la démocratie.

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  53. Le rapport devrait devenir le prochain document de référence pour quiconque se demande qui est lié à quoi lorsqu'un autre institut de désinformation apparaît pour nous dire que le noir est blanc, que la liberté est l'esclavage et que votre voiture provoque des tempêtes. À titre d'exemple, le rapport couvre des groupes tels que Center for Countering Digital Hate, Trusted News Initiative, et pour n'en nommer que quelques-uns… ClaimBuster, DisinfoCloud, MythDetector, DisinfoWatch, FactCheck.me et le Global Disinformation Index.

    Trusted News Initiative, TNI, BBC, Media Cartel.

    Le mur de l'argent alimente la désinformation

    Il faut beaucoup d'argent pour maintenir les mensonges en lévitation, c'est pourquoi le rapport décrit de grands bailleurs de fonds et des acteurs centraux comme "Craig Newmark Philanthropies" qui a donné jusqu'à 419 millions de dollars entre 2018 et 2022 aux initiatives de désinformation et aux écoles de journalisme.

    Dans l'entrée numéro 26, Newmark est décrit comme l'élite « anti-désinformation » de l'élite.

    Ce qu'ils font/Ce qu'ils vendent : L'idée que son argent peut être un « multiplicateur de force » pour lutter contre la désinformation. Les petites annonces gratuites de Craigslist ont aidé à détruire les journaux locaux, mais Newmark a trouvé des amis dans le journalisme avec des dons de 10 millions de dollars à la Columbia Journalism School et de 20 millions de dollars à la Craig Newmark Graduate School of Journalism de CUNY.

    Citation caractéristique / vision du monde : "Vous pouvez manipuler une personne en manipulant son flux. Vous pouvez dire à une personne ce qu'elle doit croire et peut-être dire à une personne ce qu'elle doit faire.

    Connecté à : Presque tout le monde, y compris, probablement, toute personne actuellement dans la pièce avec vous.

    En résumé : un noyau de méga-fonds pour alimenter la croissance explosive du complexe censure-industriel.

    Mais il n'y a pas que les "philanthropes" au travail, le gouvernement américain le finance aussi :

    L'Aspen Institute est une centrale de collecte de fonds, recevant plus de 140 millions de dollars de contributions et de subventions en 2021. Selon USAspending.gov, l'Aspen Institute a reçu des dizaines de millions de dollars de subventions et de contrats du gouvernement américain, principalement du département d'État, mais aussi de l'USAID.

    Les entités et fondations suivantes sont répertoriées par Aspen comme donateurs de plus de 500 000 $ ou plus, dont beaucoup ont donné plus d'un million de dollars : la Fondation Bill et Melinda Gates ; Johnson & Johnson; Fondation JP Morgan Chase; Wal-Mart ; Roche noire; et la Fondation Open Society.

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  54. Des millions de dollars paient des salaires de personnes pour écrire des mensonges sur la façon dont les climato-sceptiques sont financés par les combustibles fossiles, les anti-vaxx sont des théoriciens du complot et pour tapoter les journalistes dans le dos avec une bouillie réconfortante du type : « Ne faites pas face seul à l'apocalypse de l'information. ”

    Cela semble intimidant, mais c'est là que ça commence - mettre en lumière le Big Money derrière les mensonges. Passez le mot, partagez le message. Connaître l'ennemi.

    Et dites aux journalistes que les gentils ne sont pas du même côté que les censeurs. Ceux qui se disent courageux tout en défendant les pouvoirs en place. Appelez-les simplement des sbires…

    REFERENCE

    Report on the Censorship-Industrial Complex: The Top 50 Organizations to Know

    https://joannenova.com.au/2023/05/the-fake-hybrid-warfare-of-the-censorship-industrial-complex/

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  55. ENCORE 3 ARTICLES CENSURÉS ! (60 - 3 = 57)

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