L’actualité ces derniers mois en France a été monopolisée par la réforme des retraites et surtout par les manifestations qu’elle a déclenchées. En général lorsque les médias relatent des manifestations de rue, la formule « émaillé de quelques incidents » est employée pour parler d’accrochages sur le parcours avec les forces de l’ordre. Mais maintenant il ne s’agit plus de quelques incidents comme on le constate de plus en plus par certaines images, mais carrément d’actes d’une violence extrême, comme des incendies de poubelles, de mobilier urbain, de bâtiments, des magasins saccagés mais aussi des manifestants armés qui veulent en découdre avec la police et qui engendrent des blessés même graves parfois. Le point d’orgue a été les affrontements à Sainte Soline même s’il ne s’agissait pas de la réforme des retraites, mais du projet des bassines de stockage d’eau. Alors quelles que soient les revendications des manifestants, celles-ci ne pourront jamais justifier un tel degré de violence et d’ailleurs la violence tout court.
Mais le plus étonnant ou plutôt inquiétant c’est que les forces de l’ordre paraissent de plus en plus impuissante, des policiers ont rapporté, je cite : « Les casseurs sont mieux équipés que nous, on aurait dit une milice, ces gens-là ont cherché à nous tuer, ils étaient là pour s’en prendre à nos vies, ils savent où nous toucher pour mieux nous blesser. » Nos forces de l’ordre seraient-elles en retard en ce qui concerne les moyens de lutte ? Le sujet qui fait débat actuellement est l’utilisation de drones que les responsables du maintien de l’ordre réclament afin de mieux superviser et anticiper les déplacements des casseurs, cela leur est refusé par le conseil d’Etat et le Conseil constitutionnel… alors que Monsieur tout le monde et donc les casseurs en utilisent. Cela pourrait peut-être changer dans les prochains temps. Les casseurs ont une longueur d’avance sur les agents de maintien de l’ordre et par conséquent petit à petit la peur change de camp. Mais ce qui inquiète encore davantage, c’est que non seulement le représentant de l’ordre craint pour son intégrité physique mais il doit également craindre pour celle du casseur, car gare à lui s’il donne un coup de trop, il est certain de faire la une des journaux. Un policier a même expliqué que les casseurs sont prêts à tout pour avoir un blessé. Ils attendent ce blessé pour donner une résonnance médiatique à leur lutte. De plus lorsque les policiers parviennent à en arrêter certains, ils trouvent sur leurs avant-bras des inscriptions, des sortes de mémos indiquant des numéros de téléphone pour contacter un avocat et la procédure à suivre pour ne pas décliner son identité.
de jpl. Sources / Liens : Manifestations réformes des retraites LCI : https://www.youtube.com/watch?v=o8h0xptoS80
Violences à Sainte-Soline France 24 : https://www.youtube.com/watch?v=URFfzMF0qGo
Violences contre les forces de l’ordre Valeurs Actuelles. N° 4506, mai 2023. p 23-24 Andreas Malm Valeurs Actuelles. N° 4506, mai 2023. p 30-31 Young Global Leader https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/03/16/20002-20160316ARTFIG00109-emmanuel-macron-promu-young-global-leader-2016-par-le-forum-de-davos.php
Un vaccin contre le paludisme approuvé par le Ghana et le Nigeria va changer la donne pour l'Afrique, selon des experts
24 Mai 2023 Joseph Opoku Gakpo, Alliance pour la Science*
Les experts africains en santé publique ont salué la récente approbation du vaccin antipaludique R21 au Ghana et au Nigeria.
Ce vaccin a été mis au point par l'Institut Jenner de l'Université d'Oxford et ses partenaires mondiaux.
Certains estiment que cette mesure pourrait mettre le continent sur la voie de l'éradication du paludisme, même si cela prendra beaucoup de temps.
« C'est le début du voyage vers l'éradication du paludisme. Nous sommes encore loin du compte, car l'éradication devrait nous amener à une immunité collective... Mais c'est un pas en avant », a déclaré le Dr Kwame Sarpong Asiedu, pharmacien ghanéen et chargé de recherche en santé au Centre Ghanéen pour la Démocratie et le Développement.
Il a ajouté que l'accès aux vaccins contribuera à réduire le coût des soins de santé en Afrique, car leur utilisation pour prévenir le paludisme sera moins coûteuse que les traitements. « C'est l'un des principaux avantages de ce vaccin et c'est la raison pour laquelle nous sommes enthousiastes. »
La Food and Drugs Authority du Ghana a annoncé qu'elle avait approuvé le vaccin R21 contre le paludisme après une série d'examens des données cliniques et non cliniques.
Le Dr Hubert Amu, de l'École de Santé Publique de l'Université de la Santé et des Sciences Connexes du Ghana, reconnaît que l'approbation est une bonne chose pour l'Afrique.
« Le paludisme est un problème pour l'Afrique subsaharienne depuis des décennies. C'est donc une excellente nouvelle que l'utilisation d'un vaccin ait enfin été approuvée en Afrique pour prévenir la maladie », a-t-il déclaré à l'Alliance pour la Science.
Les avantages connus et potentiels du vaccin l'emportent sur ses risques connus et potentiels, ce qui justifie l'utilisation recommandée par le fabricant.
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, plus de 247 millions de personnes sont infectées par le paludisme chaque année, avec un nombre de décès avoisinant les 619.000.
Environ 95 % des cas de paludisme dans le monde sont enregistrés en Afrique, où l'on estime que se produisent 96 % des décès dus à cette maladie, 80 % d'entre eux concernant des enfants de moins de cinq ans.
Les travaux sur les vaccins antipaludiques ont commencé dans les années 1960, mais les vaccins ne sont pas encore largement disponibles.
La Food and Drugs Authority (FDA) du Ghana a annoncé qu'elle avait approuvé le vaccin R21 contre le paludisme à la suite d'une série d'examens des données cliniques et non cliniques.
Mme Delese Mimi Darko, directrice générale de l'autorité, a déclaré que le vaccin avait été approuvé pour l'immunisation des enfants âgés de cinq à 36 mois contre le paludisme causé par Plasmodium falciparum, le parasite le plus mortel.
La FDA précise que le processus d'évaluation et d'approbation a pris en compte les données de sécurité, d'immunogénicité et d'efficacité issues des cinq principaux essais cliniques menés au Royaume-Uni, au Mali, au Burkina Faso et en Tanzanie.
« Nous espérons que cette première étape cruciale permettra au vaccin d'aider les enfants ghanéens et africains à lutter efficacement contre le paludisme. »
La FDA indique que l'approbation du vaccin repose sur une évaluation satisfaisante des données relatives à la qualité, à l'innocuité et à l'efficacité qui lui ont été soumises.
L'évaluation de ces données a permis de conclure que les avantages du vaccin l'emportent largement sur les risques associés à son utilisation.
Quelques jours après l'approbation au Ghana, la National Agency for Food and Drug Administration And Control (NAFDAC du Nigeria a également annoncé qu'elle avait donné une approbation provisoire pour l'utilisation du vaccin R21 contre le paludisme.
Le professeur Mojisola Christianah Adeyeye, directeur général de la NAFDAC, a déclaré dans un communiqué que le dossier du vaccin R21 avait fait l'objet d'un examen indépendant à deux niveaux sur la base des normes de l'Organisation Mondiale de la Santé.
Le comité consultatif sur les vaccins de la NAFDAC (NEVAC), composé de quatre experts hautement reconnus, a jugé le dossier adéquat et entièrement conforme aux normes.
Le comité interne d'examen des vaccins de la NAFDAC a également jugé, de manière indépendante, le dossier satisfaisant.
Les avantages potentiels l'emportent sur les risques
Un examen conjoint par les membres des deux comités a permis de conclure que, dans l'ensemble, le dossier du vaccin antipaludique R21 était conforme aux meilleures normes internationales.
L'examen a également conclu que les données relatives au vaccin étaient solides et répondaient aux critères d'efficacité, d'innocuité et de qualité.
Il a également été jugé que les avantages connus et potentiels du vaccin l'emportaient sur ses risques connus et potentiels, ce qui justifie l'utilisation recommandée par le fabricant.
L'autorité indique que le vaccin constituera un outil d'intervention supplémentaire pour aider le pays à lutter contre le paludisme. L'autorité a toutefois recommandé la réalisation d'un essai clinique de phase 4 supplémentaire dans le pays, compte tenu de la spécificité et de la nature hétérogène du paludisme au Nigeria.
En raison de son coût moins élevé, le vaccin R21 devrait être plus populaire que le Mosquirix, le vaccin qui a été approuvé en premier.
Les derniers essais montrent que le vaccin a un taux d'efficacité de 77 %.
Le Ghana et le Nigeria ont approuvé les vaccins avant même que les données relatives à la dernière phase des essais ne fussent publiées.
Mais le Dr Sarpong Asiedu estime que ce n'est pas un problème majeur.
« Je ne pense pas que le processus soit étrange. Sachant que les travaux ont commencé en 2000, il n'y a rien d'étrange à cela... La FDA a vu toutes les données datant de 2004 et 2005 parce qu'elle a été impliquée dans le processus », a-t-il déclaré.
Une déclaration de l'Institut Jenner de l'Université d'Oxford a suivi l'approbation du vaccin : « On espère que cette première étape cruciale permettra au vaccin d'aider les enfants ghanéens et africains à lutter efficacement contre le paludisme. »
Le communiqué ajoute que cette percée est une étape cruciale dans la réduction d'un demi-million de décès liés au paludisme et dans l'amélioration de l'état de santé de millions de personnes en Afrique.
Le professeur Adrian Hill, chercheur principal du projet, a déclaré que le vaccin R21 est un vaccin à faible dose qui peut être fabriqué à grande échelle et à un coût modeste, ce qui permettrait de fournir des centaines de millions de doses aux pays africains qui souffrent d'un fardeau important en matière de paludisme.
Le Serum Institute of India, qui fabriquera les vaccins, indique qu'il a déjà établi des capacités de production potentielles de plus de 200 millions de doses par an.
En raison de son coût moins élevé, le vaccin R21 devrait être plus populaire que le Mosquirix, le vaccin développé par GlaxoSmithKline qui a été approuvé en premier.
Hésitation à l'égard du vaccin
Le Dr Sarpong Asiedu ne s'attend pas à ce que le vaccin contre le paludisme fasse l'objet de la même hésitation que le vaccin contre la Covid-19 au Ghana.
« Le Ghana a mis en place un programme très solide et étendu de vaccination contre les maladies infantiles [...] Le paludisme se greffera simplement sur ces programmes. En ce sens, je ne pense pas qu'il y aura beaucoup d'hésitations. Mais nous avons encore besoin de beaucoup de communication », a-t-il déclaré.
Selon le Dr Amu, l'hésitation face aux vaccins est généralement due à des rumeurs et des mythes, à un manque de confiance dans le système et le personnel de santé, et à la difficulté d'accéder aux vaccins.
« Pour réduire le niveau d'hésitation, nous devons travailler avec les chefs de communautés, les pasteurs, les imams... Nous devons impliquer les parties prenantes. Il ne doit pas s'agir d'une approche du haut vers le bas où tout est déversé sur les gens. Nous devons travailler avec les dirigeants pour qu'ils puissent communiquer avec la population », a-t-il déclaré.
« Nous devons assurer une éducation sociale. L'éducation sur les vaccins doit être dispensée au bon endroit. » _______________
* Source : It will be a game changer for Africa, experts say of malaria vaccine approved by Ghana and Nigeria - Alliance for Science
AUCUN des docteurs et professeurs ci-dessus ne parlent d'examen attentifs au microscope a balayage électronique des flacons injectables !! (comme l'ont fait les Dr Astrid Stuckelberger & Carrie Madej qui ont découvert les poisons intérieurs ! De 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! + des hydres ! + des spikes ! + diverses maladies animales dont une quarantaine de venins différents de serpents ! Si avec çà vous ne mourez pas !...
Le film "Making a Killing" expose les protocoles covid de l'hôpital comme une arnaque génocidaire contre de l'argent
Mardi 23 mai 2023 par : Ethan Huff
(Natural News) Un nouveau documentaire intitulé "Making a Killing: Unmasking the Truth behind the Deadly Hospital Protocols" fait sauter le couvercle sur les protocoles horribles et mortels du coronavirus de Wuhan (Covid-19) que les hôpitaux de toute l'Amérique utilisaient comme monnaie d'échange vache pendant la «pandémie» alors que des millions de personnes ont inutilement souffert et en sont mortes.
Une femme nommée Patty Myers, utilisant 9 000 $ en « argent silencieux » que le gouvernement lui a proposé de garder silencieux sur la véritable cause de la mort « covid » de son mari, a réalisé le film, que vous pouvez regarder ci-dessous :
Myers dit qu'elle ignorait à l'époque que les hôpitaux recevaient de l'argent du gouvernement fédéral pour utiliser les protocoles mortels, qui, selon elle, sont ce qui a tué son mari – et non le covid lui-même.
"Quand j'ai commencé à faire ce film, je ne savais pas que l'argent fédéral conduisait le protocole", a-t-elle déclaré. "Je le fais maintenant."
(Connexe: Découvrez ces enregistrements de 2021 montrant que les protocoles covid hospitaliers sont ce qui a tué les patients, pas «covid».)
Les hôpitaux sont censés sauver des vies, pas y mettre fin
Selon un récent rapport du groupe de surveillance Open the Books, les 20 plus grands hôpitaux à but non lucratif du pays ont récolté collectivement plus de 23 milliards de dollars du gouvernement entre 2018 et 2021.
"... leurs actifs nets cumulés ont grimpé à 324,3 milliards de dollars en 2021, contre 200,6 milliards de dollars en 2018", indique le rapport.
Dans le même temps, de nombreux dirigeants d'hôpitaux sont devenus très riches à cause de l'escroquerie, beaucoup d'entre eux étant payés 10 millions de dollars par an ou plus pour avoir utilisé les protocoles covid pour tuer des patients "covid".
La seule façon d'obtenir de l'argent était d'utiliser les protocoles officiels du gouvernement, qui comprenaient des choses comme les ventilateurs et le remdesivir, qui sont tous deux extrêmement mortels. Pendant ce temps, les patients étaient privés de véritables remèdes curatifs comme l'hydroxychloroquine (HCQ) et l'ivermectine, qui étaient interdits.
"Si l'hôpital vous a admis avec un diagnostic de COVID - super, ils ont été payés plus!" a écrit Stella Paul pour LifeSiteNews sur le fonctionnement de l'arnaque.
"S'ils vous ont "traité" avec du remdesivir, un médicament bien documenté comme mortel - fantastique, ils ont obtenu un bonus de 20% sur l'ensemble de la facture ! Si l'hôpital vous a torturé avec une ventilation mécanique qui a causé une pneumonie bactérienne secondaire - hourra, ils ont reçu un paiement encore plus important ! Et si l'hôpital a vraiment eu de la chance et que vous êtes mort du COVID (même si ce n'est pas directement du COVID) - la manne financière était absolument géniale.
Dans le cas de Myers, son mari, Tony, a généré plus d'un demi-million de dollars pour l'hôpital où il a été "traité", malgré le fait que personne sur place ne pouvait, ou ne voulait même pas, prendre la peine de lui apporter un verre d'eau pour le garder. hydraté.
Myers pense que l'hôpital a simplement obéi aux ordres en échange de l'argent du gouvernement, ce qui a entraîné la mort de son mari plutôt que sa guérison.
"C'était mon meilleur ami", dit maintenant Myers, souvent en larmes en se rappelant ce qu'est devenu son mari aux mains de l'hôpital. "C'était mon partenaire. Nous avons tout fait ensemble. »
Avant sa mort, Tony et sa femme, qui ont un fils autiste, se sont associés pour créer deux organisations à but non lucratif pour aider d'autres enfants ayant des besoins spéciaux dans la région d'Orlando où ils vivent.
"Tony m'a appelé de l'hôpital et m'a dit que nous nous portions volontaires pour défendre les personnes handicapées tout le temps", se souvient Patti.
«Et me voilà dans cet hôpital, essayant de me défendre et personne ne m'écoutera. J'ai appelé les médias, le gouverneur, tous ceux à qui je peux penser; personne ne répondra.
Assurez-vous de regarder le film ci-dessus pour entendre le reste de l'histoire.
Covid est peut-être terminé, mais les auteurs derrière lui n'ont pas encore reçu la justice qu'ils méritent. Pour en savoir plus, visitez Plague.info.
Sasha Latypova est également familière avec la présence de contamination par l'ADN dans les injections de covid, ayant déclaré à Peter Snowden lors d'une interview que cela continue d'être "un énorme problème à cause de ce plasmide compétent pour la réplication.
"Il peut alors envahir les cellules humaines, il peut envahir les cellules bactériennes qui vivent dans votre intestin", a-t-elle ajouté. "Donc, ils entrent dans les bactéries qu'ils répliquent là-bas, ils répliquent des gènes résistants aux antibiotiques … cela peut provoquer une septicémie, cela peut provoquer un cancer, toutes sortes de problèmes."
Décrivant cela comme une ligne rouge qui a été franchie, le Conseil mondial de la santé (WCH) a émis un avertissement selon lequel "la contamination par l'ADN des" vaccins "à ARNm présente un risque pour tout le monde sur la planète".
«L'ADN réplicable, les soi-disant plasmides, dans les vaccins monovalents et bivalents, qui ne devraient pas être là du tout… Nous ne pouvons que spéculer sur la façon dont cela se terminera, mais ce qui doit se passer aujourd'hui après la publication de l'article de McKernan et al (2023) est un arrêt immédiat du programme de "vaccin covid-19".
Il y a de fortes chances que cela se produise, mais au moins l'idée gagne du terrain. La soi-disant «urgence» du covid est maintenant officiellement terminée, et tout à coup le gouvernement a décidé que le public américain ne devrait plus recevoir l'injection de covid vecteur viral de Johnson & Johnson (Janssen) - mais Pfizer et Moderna distribuent toujours leurs injections respectives.
"C'est à la fois dans Moderna et Pfizer", a expliqué McKernan dans une interview avec David Horowitz de la revue conservatrice, notant qu'il ne semble pas y avoir de contrôle de la qualité dans les processus de fabrication de ces deux injections largement distribuées.
«Nous avons examiné les vaccins bivalents pour Moderna et Pfizer et uniquement les vaccins monovalents pour Pfizer car nous n'avions pas accès aux vaccins monovalents pour Moderna. Dans les trois cas, les vaccins contiennent une contamination par ADN double brin. Si vous séquencez cet ADN, vous constaterez qu'il correspond à ce qui semble être un vecteur d'expression utilisé pour fabriquer l'ARN.
Vous souhaitez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité de toutes les injections de vaccins ? Vous pouvez le faire sur Vaccines.news.
Est-ce la raison pour laquelle les pédiatres poussent les vaccins ?
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 24 mai 2023
En avril 2023, j'ai rapporté comment des prestataires de soins primaires à travers les États-Unis ont été soudoyés avec des programmes d'incitation pour contraindre les patients à se faire vacciner contre le COVID toxique. Puisqu'il n'y avait aucune responsabilité pour faute professionnelle médicale, les médecins en ont profité tandis que les patients risquaient leur vie en participant à une expérience médicale sans précédent, tout en se faisant mentir sur la sécurité et l'efficacité de ces injections.
Encore plus flagrant, une fois que la Food and Drug Administration des États-Unis a autorisé le vaccin COVID pour les enfants, des incitations à la vaccination similaires ont également été étendues aux pédiatres. Comme détaillé dans un bulletin du fournisseur Anthem Blue Cross et Blue Shield Medicaid1 daté de juillet 2022, les médecins ont reçu 50 $ pour chaque patient Medicaid âgé de 6 mois et plus, qui a reçu le vaccin expérimental.
Les pédiatres sont financièrement incités à vacciner
Il s'avère que les médecins ont été financièrement incités à vacciner les enfants pendant longtemps. Selon un article de JAMA Pediatrics de 19992, le nombre moyen de patients chez les pédiatres américains est de 1 546, bien que le nombre de patients soit « considérablement plus élevé dans les zones moins peuplées et les cabinets en solo ».
Parmi ceux-ci, 8,3 % avaient moins de 1 an, 9,5 % avaient 1 an et 8,6 % avaient 2 ans.3 Cela signifie qu'environ 26,4 % des patients du pédiatre moyen avaient 2 ans ou moins. Des données plus récentes4, publiées en 2021, montrent que 75 % des pédiatres ont entre 1 000 et 1 800 patients et 21 % environ 1 200 patients ; la plupart des cabinets, 65 %, se situent entre 1 000 et 1 500.
Comme indiqué dans le document du programme d'incitation des fournisseurs de 2016 de Blue Cross Blue Shield ci-dessous,5,6 les pédiatres recevaient 400 $ pour chaque patient pédiatrique qui effectuait les 10 vaccinations répertoriées - 25 doses en tout7 - avant leur deuxième anniversaire. (Gardez à l'esprit que les incitations peuvent varier d'un État à l'autre. L'exemple fourni fait partie du programme de reconnaissance de la performance Blue Cross Blue Shield du Michigan.)8
Combien d'argent est en jeu ?
Le calcul à partir de là est assez simple (bien que gardez à l'esprit que nous avons ici affaire à des moyennes présumées et à des statistiques d'âge). Multipliez simplement le nombre de patients de moins de 2 fois 400 $. En utilisant les statistiques moyennes de 1999, si un pédiatre a 1 000 patients, on peut s'attendre à ce que 264 aient 2 ans ou moins. Si tous sont entièrement vaccinés, le pédiatre serait admissible à une prime de fin d'année de 105 600 $.
- voir cadre sur site -
Bien que 400 $ par enfant entièrement vacciné puisse sembler suffisamment incitatif, il y a une pression supplémentaire ici, car Blue Cross Blue Shield a également (ou du moins avait, en 2016) un niveau « cible » de 63 %.
Cela signifie que si le pédiatre ne parvient pas à vacciner 63 % de ses patients éligibles, il ne reçoit rien. Ainsi, le pédiatre a une TRÈS forte incitation à faire vacciner autant de tout-petits que possible, afin de ne pas manquer cet objectif. Ce ne sont pas seulement 400 $ qui sont en jeu lorsque les parents refusent un ou plusieurs vaccins. Des dizaines de milliers de dollars pourraient être en jeu. Comme l'a noté le Dr Bob Sears :9
«De telles incitations… finissent par forcer un médecin à considérer les implications financières de l'acceptation de patients qui veulent même simplement se retirer d'un vaccin… Peut-être que quelques-unes de ces familles ne les feraient pas échouer aux examens des dossiers, mais s'ils en ont trop, voilà leur prime de fin d'année.
Chaque fois que des incitations financières font partie de l'équation, on peut raisonnablement supposer que l'attrait de l'enrichissement personnel l'emportera. Avec des dizaines de milliers de dollars en jeu, les pédiatres peuvent facilement se laisser aller à la complaisance lorsqu'il s'agit d'approfondir la science.
Après tout, qui veut voir la preuve que ce qu'ils font fait plus de mal que de bien ? Ces types d'incitations encouragent également les pédiatres à simplement jeter les parents interrogateurs hors de leur pratique, pour faire de la place à des patients plus dociles qui ne mettent pas leur revenu en danger. Tel que rapporté par Children’s Health Defence en 2018 : 10
"... les 11 visites recommandées par l'AAP au cours des 30 premiers mois d'un enfant (avec des visites annuelles par la suite jusqu'à l'âge de 21 ans) garantissent un flux constant de clients réguliers et de revenus pour les pédiatres.
Conformément au calendrier de vaccination des Centers for Disease Control and Prevention, les pratiques pédiatriques doivent administrer des vaccins (souvent jusqu'à six à la fois) à environ la moitié des visites d'enfants en bonne santé pendant l'adolescence, faisant de la vaccination un pain fondamental et -composante beurre de la description de poste des pédiatres…
Il est assez courant que les pédiatres (et les médecins de famille) rencontrent des parents qui refusent un ou plusieurs vaccins pour nourrissons, le plus souvent pour des raisons de sécurité. Ces préoccupations signifient également que les pédiatres reçoivent fréquemment des demandes de modification ou de report du calendrier de vaccination – près des trois cinquièmes (58 %) des pédiatres ont signalé de telles demandes dans une enquête AAP de 2014…
Plutôt que de reconnaître la validité des préoccupations des parents en matière de sécurité ou d'admettre leur propre ambivalence à propos de certains des nouveaux vaccins, de nombreux pédiatres - près de deux sur cinq selon certaines estimations - choisissent d'exclure les familles non coopératives de leur pratique...
En fin de compte… des incitations financières subtiles et pas si subtiles et des pressions sociales sont susceptibles de maintenir une adhésion généralisée des pédiatres au calendrier vaccinal – même dans les cas où des contre-indications sont présentes.
Bien que les pédiatres aient l'obligation légale d'informer pleinement les patients sur les risques et les effets secondaires des vaccins, l'attrait des avantages monétaires et le désir de s'intégrer peuvent diminuer leur motivation à le faire.
En plus des incitatifs financiers accordés aux médecins, il existe aussi des « incitatifs pour les clients et les familles ». Un groupe non gouvernemental d'experts en santé publique et en prévention appelé « Community Preventive Services Task Force »11 a publié en 2015 un guide12 sur la façon d'augmenter les taux de vaccination en utilisant des récompenses incitatives pour les patients.
Le groupe de travail a été créé par le Département américain de la santé et des services sociaux en 1996 « pour élaborer des directives sur les approches communautaires de promotion de la santé et de prévention des maladies qui fonctionnent et celles qui ne fonctionnent pas, sur la base des preuves scientifiques disponibles ».13 Comme expliqué par ce groupe de travail :14
«Le groupe de travail sur les services préventifs communautaires recommande des récompenses incitatives pour les clients ou les familles, utilisées seules ou en combinaison avec des interventions supplémentaires, pour augmenter les taux de vaccination chez les enfants et les adultes.
Les récompenses incitatives du client ou de la famille sont utilisées pour motiver les gens à obtenir les vaccins recommandés. Les récompenses peuvent être monétaires ou non monétaires, et elles peuvent être remises aux clients ou aux familles en échange du respect d'un rendez-vous, d'une vaccination, d'un retour pour une série de vaccinations ou de la production de documents sur le statut vaccinal. Les récompenses sont généralement modestes (par exemple, des bons alimentaires, des cartes-cadeaux, des prix de loterie, des produits pour bébés). »
Les preuves scientifiques à l'appui de la corruption de patients avec des bons alimentaires, des cartes-cadeaux et d'autres produits de valeur limitée seraient de 4 sur 4, ce qui signifie très solides. En d'autres termes, les incitations, même celles qui ne valent presque rien, fonctionnent.
En effet, nous l'avons également vu pendant le COVID-19. Les gens faisaient la queue pour des clichés COVID expérimentaux en échange d'un beignet, d'un hamburger et de frites ou même d'un tour de danse gratuit au club de strip-tease local. Le modèle est le même. Jetez un os au patient et il acceptera des choses qui rapportent aux autres de gros profits.
En tant que patients, nous devons nous familiariser avec ce genre de trucs et les interpréter pour ce qu'ils sont. Ces types de « cadeaux » ne sont pas offerts par gentillesse ou par souci de votre bien-être. C'est un pot-de-vin de conformité, et votre conformité rend quelqu'un riche. Pendant ce temps, tous les risques encourus sont sur vous.
La corruption fait également partie du cours en ce qui concerne les mandats de vaccination. Comme détaillé dans un article précédent, Pfizer a versé des sommes non divulguées à des groupes de façade qui ont plaidé pour des mandats de piqûres COVID, masquant ainsi leur conflit d'intérêts. En partie grâce au faux travail « populaire » de ces groupes, Pfizer a pu récolter un chiffre d'affaires record de 100 milliards de dollars en 2022.15
Bien sûr, le gouvernement américain a également versé aux médias un montant stupéfiant de 1 milliard de dollars pour promouvoir et renforcer la confiance du public dans le jab, et Pfizer lui-même a dépensé 2,8 milliards de dollars en publicités rien qu'en 2022.
Mais la pression des groupes de consommateurs, des groupes de défense des droits civiques, des groupes de patients et des groupes de médecins – qui avaient tous été payés – était probablement la raison pour laquelle les mandats de piqûre COVID pouvaient même être officiellement envisagés par le gouvernement. Ils ont créé un faux consensus selon lequel les gens voulaient désespérément que les mandats de vaccination assurent la « sécurité » de tout le monde.
Les groupes d'intérêts spéciaux payés par Pfizer16 pour faire pression pour des mandats de piqûre COVID et des politiques de vaccination coercitives comprenaient la ligue urbaine de Chicago (qui a fait valoir que le mandat de piqûre profiterait à la communauté noire), la Ligue nationale des consommateurs, le Partenariat de vaccination, le Conseil de la publicité et un long liste des universités et des organismes de lutte contre le cancer, les maladies du foie, la cardiologie, la rhumatologie et les sciences médicales.
Pfizer n'a pas eu à prendre une position proéminente pour plaider en faveur des mandats de vaccins, ce qui aurait été un conflit d'intérêts évident. Ils ont payé d'autres pour pousser les mandats pour eux. Chacune de ces organisations a reçu de plusieurs milliers à des centaines de milliers de dollars de Pfizer en 2021 seulement. Faut-il alors s'étonner que plus de 50 grandes organisations de soins de santé aient réclamé des mandats de vaccination cette année-là, y compris pour leurs propres travailleurs ?17
Les taux de vaccination des enfants ont chuté pendant la COVID
Alors que la pandémie de COVID-19 a fait avancer de nombreux objectifs mondialistes, elle a par inadvertance fait chuter les taux de vaccination des enfants, car de nombreux parents ont fini par manquer les visites de routine des enfants en bonne santé en raison des fermetures de cliniques, des fermetures et de la peur d'emmener leurs enfants à l'extérieur. Tel que rapporté par l'American Medical Association (AMA) en novembre 2021 : 18
« … des recherches récemment publiées jettent un nouvel éclairage sur la façon dont la pandémie de COVID-19 a perturbé certaines de ces vaccinations de routine, car les parents et leurs enfants ne se sont pas contentés de rester à la maison – ils se sont tenus à l'écart du médecin.
L'étude JAMA Pediatrics19… a révélé que les taux d'administration de vaccins étaient significativement plus faibles dans tous les groupes d'âge pédiatriques lorsque la pandémie a fait son apparition aux États-Unis… Par exemple, seuls 74 % des nourrissons ayant atteint l'âge de 7 mois en septembre 2020 étaient à jour de leurs vaccinations , une baisse par rapport à 81 % en septembre 2019.
Et seulement 57 % des nourrissons qui ont atteint la barre des 18 mois en septembre 2020 étaient à jour, contre 61 % l'année précédente. La proportion d'enfants à jour pour les vaccinations de routine était la plus faible chez les enfants noirs, avec des inégalités plus prononcées dans le groupe des 18 mois.
The Big Catch-Up Initiative
- voir clip sur site -
Pour remettre les taux de vaccination des enfants sur la bonne voie, Chelsea Clinton fait maintenant le tour de la promotion d'une nouvelle initiative de vaccination appelée "The Big Catch-Up". Dans une récente interview accordée au magazine Fortune20, Clinton a promis que ce serait « le plus grand effort de vaccination infantile jamais réalisé ». Au cours des 18 prochains mois, cette initiative tentera de "rattraper autant d'enfants que possible", a-t-elle déclaré.
Les partenaires de cet effort comprennent l'Organisation mondiale de la santé, l'UNICEF, Gavi, l'Alliance du vaccin, la Fondation Bill & Melinda Gates, l'Agenda de vaccination 2030 et plusieurs autres "partenaires de santé mondiaux et nationaux". Tel que rapporté par l'OMS, 24 avril 2023:21
« La pandémie a vu les niveaux de vaccination essentiels diminuer dans plus de 100 pays, entraînant une augmentation des épidémies de rougeole, de diphtérie, de poliomyélite et de fièvre jaune. «The Big Catch-up» est un effort prolongé pour élever les niveaux de vaccination chez les enfants au moins aux niveaux pré-pandémiques et s'efforce de dépasser ceux…
Tout en appelant les citoyens et les gouvernements de chaque pays à jouer leur rôle pour aider à rattraper leur retard en atteignant les enfants qui n'ont pas été vaccinés, The Big Catch-up mettra particulièrement l'accent sur les 20 pays où les trois quarts des enfants qui n'ont pas été vaccinés en 2021 en direct…
Les 20 pays où vivent les trois quarts des enfants qui n'ont pas été vaccinés en 2021 sont : l'Afghanistan, l'Angola, le Brésil, le Cameroun, le Tchad, la RPDC [République populaire démocratique de Corée], la RDC [République démocratique du Congo], l'Éthiopie, l'Inde, l'Indonésie , Nigéria, Pakistan, Philippines, Somalie, Madagascar, Mexique, Mozambique, Myanmar, Tanzanie, Viet Nam.
Le programme de vaccination est exécuté dans le style de la "soft mafia"
Lorsque vous examinez tous ces domaines de la corruption et des incitations financières, ne semble-t-il pas que l'ensemble du programme de vaccination repose sur la coercition financière ? Une sorte d'opération de type "mafia douce", où les menaces et les promesses tournent toutes autour de l'argent et de la honte publique/professionnelle par rapport aux distinctions.
Que se passerait-il si toutes les incitations financières étaient supprimées ? Toutes les primes de performance versées aux médecins, les cadeaux offerts aux patients, les "dons de bienfaisance" aux organisations favorables à l'industrie et les paiements aux groupes de façade ?
Que se passerait-il si les parents recevaient simplement des preuves impartiales et que personne n'était financièrement poussé à faire pression sur eux dans un sens ou dans l'autre ? Je n'ai pas la réponse. C'est une expérience de pensée. Mais je soupçonne que les taux de vaccination chuteraient de façon spectaculaire.
Sources and References
1 Anthem Blue Cross and Blue Shield Medicaid Provider Bulletin July 2022 2 JAMA Pediatrics & Adolescent Medicine 1999;153(1):9-14 3 JAMA Pediatrics & Adolescent Medicine 1999;153(1):9-14, Table 2 4 Chipsblog.PCC July 6, 2021 5, 8 BCBS 2016 Performance Recognition Program, Page 15 6 Twitter Jessica Rojas April 7, 2023 7, 9, 10 Children’s Health Defense March 18, 2018 11, 13 Community Preventive Services Task Force 12, 14 Community Preventive Services Task Force, Vaccination Programs: Client or Family Incentive Rewards 2015 15 Fierce Pharma April 21, 2023 16 Document Cloud Pfizer 2021 Funding Report 17 ABC News July 26, 2021 18 American Medical Association November 10, 2021 19 JAMA Pediatrics 2022;176(1):68-77 20 Twitter Chief Nerd May 7, 2023 21 WHO.int April 24, 2023
Pouvez-vous nommer > 5 Amish non vaccinés qui sont morts du COVID ? Pourquoi pas? Ils sont "censés" mourir en masse !
Les Amish n'ont pas enfermé, éloigné socialement, masqué ou pris de vaccin. C'était comme d'habitude. Peu sont morts. J'ai offert 2 500 $ à quiconque pourrait nommer > 5 Amish décédés. Pas de preneurs. Juste des excuses.
STEVE KIRSCH 23 MAI 2023
Les personnes qui vivent dans les communautés amish : pas de vaccins, pas de masques. Aucun décès. Personne n'a pu nommer 5 Amish décédés du COVID à Lancaster, PA, qui est la plus grande communauté amish des États-Unis. Oups ! J'ai offert 2 500 $ et tout ce que j'ai obtenu, ce sont des excuses expliquant pourquoi ils ne pouvaient pas me donner un seul nom de personne décédée.
Résumé
Les Amish traditionnels ne vaccinent pas. Et ils forment une communauté soudée. Ils constituent donc la cohorte placebo parfaite. Nous comparons simplement le taux de mortalité des Amish non vaccinés avec le taux de mortalité des personnes dans la même région.
J'ai récemment appris qu'il est probable que dans la communauté Amish non vaccinée de plus de 50 000 personnes à Lancaster, Pennsylvanie, il y ait moins d'une poignée de personnes décédées du COVID. Lancaster est la plus grande communauté amish des États-Unis.
Ouah.
Si personne au monde ne peut nommer plus de 5 personnes Amish non vaccinées décédées à Lancaster, en Pennsylvanie, cela signifie toute la réponse à la pandémie (verrouillages, fermetures d'entreprises, fermetures d'écoles, fermetures d'églises, tests, masquage, distanciation sociale, mandats, ne pas tester les gens pour l'immunité avant la vaccination et la vaccination) était complètement inutile et contre-productif. Oups !
Donc, mon "Pouvez-vous nommer> 5 ?" défi posté sur Twitter est un test objectif qui devrait être trivial à gagner si les journaux médicaux ont raison de dire qu'il y a une pandémie de non vaccinés.
Jusqu'à présent, personne n'a pu nommer> 5 personnes Amish non vaccinées à Lancaster, en Pennsylvanie, décédées des suites de COVID. En fait, ils ne peuvent nommer personne. Zéro.
Les gens ont juste trouvé des excuses, ont fait référence à des Amish vaccinés qui sont morts, ont pensé qu'un mennonite était la même chose qu'un Amish, etc. La liste des excuses était interminable. Le nombre de noms qualificatifs ? Zéro.
Si vous voulez une preuve objective que notre société a été détruite pour rien, mon pari Amish est votre preuve.
Les Amish n'ont rien fait et leur nombre de morts était 30 fois inférieur au nôtre. Ils ont fait comme si de rien n'était.
Apprendrons-nous d'eux ? Aucune chance.
Le CDC ne fera jamais d'étude sur les Amish ; ce serait trop gênant pour eux. Cela montrerait au monde que tout ce qu'ils nous demandaient était à la fois nuisible et inutile ; ça a aggravé les choses. Et les choses que le CDC a dit de ne pas faire ? Eh bien, c'est ce que les Amish ont fait. Tu sais; comme cette pâte de cheval.
Au lieu de confier le contrôle de la prochaine pandémie à l'OMS, nous ferions mieux de mettre les Amish aux commandes.
L'essentiel est le suivant. Ils peuvent vous lancer tous les documents techniques du monde expliquant comment les Amish meurent en masse, mais s'ils ne peuvent pas réellement trouver les noms de> 5 Amish non vaccinés qui sont morts du COVID à Lancaster, Pennsylvanie depuis le début de la pandémie, vous devriez leur dire où ils peuvent coller leurs «études scientifiques» et leurs stupides politiques d'atténuation du COVID.
La vidéo "à voir absolument" Cela donnera le contexte nécessaire. C'est une courte vidéo de 5 minutes mettant en vedette Sharyl Attkisson.
Personne dans les médias grand public ne touchera à cette histoire car elle explose complètement le récit. Cela montre que toutes les interventions COVID étaient complètement inutiles ! Les Amish sont revenus à la normale en mai 2020. Relisez cela.
Les Amish ont obtenu une immunité collective avant même que les vaccins ne soient disponibles.
Ils ont également zéro autisme (sauf si la personne est adoptée) pour les personnes qui évitent la vaccination.
Mais quand j'ai entendu dire qu'il y avait eu moins de 5 décès par COVID sur 50 000 personnes pendant toute la pandémie, j'ai su que j'avais un gagnant.
Un simple test objectif auquel personne ne peut répondre et qui prouve que tout ce qu'on nous a dit de faire a en fait aggravé les choses environ 30 fois.
Mon défi de 2 500 $ pour nous montrer > 5 noms Il y avait au moins deux Amish non vaccinés qui sont morts du COVID à Lancaster, en Pennsylvanie. Mais à ma connaissance, il n'y en a pas plus de 5. Ce concours est donc théoriquement gagnable (puisque personne n'a la connaissance parfaite). Il n'y a pas d'astuce. Toute preuve raisonnable est acceptable (par exemple, leurs voisins amish garantissent qu'ils n'ont pas été vaccinés). Si le seuil était de 2 morts, je le gagnerais moi-même. Mais je n'ai pas pu trouver plus de 5 Amish totalement non vaccinés qui répondaient aux critères du concours ci-dessous :
Ce document n’a trouvé aucun décès Amish COVID à Lancaster, PA. Résiliation de l'offre Le concours se termine le 30 mai 2023 et je dévoilerai les deux noms que je connais juste pour prouver qu'il était possible de gagner s'il y avait plus de morts.
Les excuses J'ai tout, sauf les noms. Personne n'a trouvé un seul nom. Vous pouvez lire l'intégralité du fil Twitter ici. Ils m'ont indiqué divers articles scientifiques indésirables affirmant que les non-vaxxés étaient plus susceptibles de mourir du COVID, que les Amish mouraient en masse, etc. Si l'un de ces articles était vrai, ils pourraient facilement gagner mon concours. Une personne m'a indiqué une femme mennonite célibataire qui est décédée et a affirmé que je devais payer. Vous pouvez lire les réponses et vous secouerez la tête.
Certains ont dit qu'ils ne pouvaient pas donner les noms des personnes décédées car ce serait une violation de la loi HIPAA. Intéressant ! Avez-vous déjà vu une nécrologie dans le journal où le nom a été expurgé pour des raisons de confidentialité médicale ? HIPAA ne s'applique que si la personne est un de ses patients et que le patient lui a donné des informations médicales dans le cadre de la pratique médicale. Autant que je sache, aucune de ces personnes n'a prétendu soigner les Amish.
C'est de la merde. Tout ce qu'ils ont à faire est de décrocher le téléphone et de parler à leurs amis amish et de dire: "Hé, connaissez-vous quelqu'un qui n'a pas été vacciné et qui est mort du COVID ?"
Je l'ai fait, mais je viens d'avoir 2 noms.
Le tout était de détourner l'attention du fait qu'ils ne peuvent pas trouver> 5 noms car pas plus de 5 Amish sont morts du COVID. C'est incontournable.
Mes réponses préférées C'est le gagnant. Il a obtenu 50 % de vues en plus que mon tweet principal !
Leur prochaine étape consiste à adopter une loi ordonnant au DHS de vacciner de force tous les Amish avec plus de 70 vaccins en une seule séance pour assurer la sécurité de l'Amérique : "c'est pour le plus grand bien".
Ce commentaire suivant est un peu ironique :
Revenez dans un jour pour voir ce que les amis d'Andrew lui ont dit :
Notes de la communauté Twitter
OK, donc s'il y a tant de décès en excès, alors comment se fait-il que personne ne connaisse plus que quelques personnes dans la communauté Amish non vaccinée qui sont mortes du COVID ?
C'est ce que je veux savoir !
Vous ne pouvez pas gagner sur les deux tableaux Les Amish ont obtenu l'immunité collective en mars 2021. Donc, s'il existe un article affirmant qu'il y a eu un excès de décès en mars 2021 et au-delà, nous pouvons maintenant le citer comme preuve que les vaccins ne fonctionnent pas. La raison est simple : les Amish sont le « meilleur cas » possible : ils ont été ENTIÈREMENT « vaccinés » en 2020. Donc, si les gens prétendent avoir eu un excès de décès en 2021, cela signifie que les vaccins (qui doivent être pires que l'immunité naturelle) seront ont des résultats encore pires.
Résumé
Il s'agit d'un test objectif très simple que tout le monde dans le monde peut comprendre instantanément : il suffit de nommer> 5 Amish totalement non vaccinés qui sont morts du COVID à Lancaster, en Pennsylvanie, pendant la pandémie.
Cela ne peut pas être difficile. Après tout, la littérature médicale a prouvé qu'ils devaient mourir en masse, avec des corps empilés sur le bord de la route et de grandes files d'attente à la morgue.
Si je gagne, cela montre que j'avais raison depuis le début et que la communauté médicale avait tort. Et cela montre également que des milliers d'articles publiés dans la littérature évaluée par des pairs soutenant les interventions COVID étaient également tous faux.
Je suis à peu près sûr que mon argent est en sécurité et que tout cela n'a servi à rien.
Essayez ceci avec vos amis aux pilules bleues… faites-en un pari…. un moyen pour eux de gagner de l'argent et de prouver que vous avez tort.
Même si je perds et qu'il y a 6 morts Amish, les Amish, qui n'ont pas vacciné, ont eu un nombre de décès 30 fois inférieur à celui que nous avons obtenu après avoir bouleversé le pays.
Ce concours prouve un point important : toutes ces mesures étaient complètement inutiles, nous avons détruit nos entreprises et notre économie pour rien, nous avons retardé l'éducation de nos enfants des années sans aucun avantage, la communauté médicale est inepte, le CDC, la FDA et le NIH sont ineptes, et nous ne devrions pas faire confiance à Biden ou aux membres du Congrès qui ont accepté le tout pendant que les gens criaient d'arrêter. À de rares exceptions près (comme le sénateur Ron Johnson et le membre du Congrès Bill Posey et quelques autres), aucun d'entre eux n'est intéressé à écouter la possibilité qu'il se trompe.
Tout cela est arrivé parce que les voix de la raison ont été réduites au silence. La liberté d'expression, de débat, etc. a été jetée par la fenêtre. Tout médecin qui s'opposait au « consensus » était écrasé dans l'oubli.
Les dirigeants américains doivent cesser d'écouter les personnes en qui ils ont confiance et commencer à écouter les personnes qu'ils ont qualifiées de "diffuseurs de désinformation". Ils l'ont pris complètement à l'envers.
Vous ne devriez plus jamais faire confiance au CDC, aux médias grand public ou aux membres du Congrès jusqu'à ce qu'ils admettent leurs erreurs, jurent de ne plus jamais soutenir la censure et écoutent toujours les personnes des deux côtés d'un problème avant de prendre une décision.
Les médias se taisent alors que les données britanniques révèlent une forte augmentation de la surmortalité
John Campbell, Ph.D., infirmier retraité spécialisé dans les accidents et les urgences, infirmier enseignant et auteur de deux manuels de soins infirmiers, a analysé les dernières données britanniques qui montrent une forte augmentation de la surmortalité. M. Campbell a déclaré que s'il s'agissait d'une attaque terroriste, « nous serions en état de guerre ».
Par Michael Nevradakis Mondialisation.ca, 23 mai 2023
De nouvelles statistiques publiées par le gouvernement britannique montrent une forte augmentation de la surmortalité dans tout le pays en 2022 – une tendance qui se poursuit depuis le début de l’année.
Les données, publiées la semaine dernière par l’Office for National Statistics et l’Office for Health Improvement and Disparities du Royaume-Uni, montrent qu’entre mai et décembre 2022, 32 441 décès de plus que d’habitude ont été enregistrés sans que la COVID-19 ne soit considéré comme une cause de décès.
Les statistiques officielles du Royaume-Uni ont également montré qu’au cours de la semaine se terminant le 21 avril 2023, le nombre de décès a dépassé la moyenne quinquennale de 22,1 % (2 540 décès excédentaires), tandis qu’au cours de la semaine se terminant le 28 avril, le chiffre excédentaire était de 12,9 % (1 569 décès excédentaires). Seuls 3,8 % des décès survenus au cours de cette période mentionnaient COVID-19 dans les certificats de décès.
John Campbell, docteur en sciences, infirmier retraité spécialisé dans les accidents et les urgences, enseignant en soins infirmiers et auteur de deux manuels de soins infirmiers, a analysé les données dans une vidéo YouTube enregistrée la semaine dernière.
Selon l’analyse de M. Campbell, il y a eu une augmentation de la surmortalité dans tous les groupes d’âge et une augmentation significative des décès liés aux maladies cardiovasculaires, alors que les décès liés aux maladies respiratoires ont été moins nombreux que prévu.
« Imaginez qu’il s’agisse d’un attentat terroriste… nous serions en état de guerre »
Selon M. Campbell, les données officielles montrent « une augmentation des décès dans tous les groupes d’âge en 2022 et en 2023 », et cette tendance est observée « dans de très nombreux pays ».
« Il ne s’agit pas de décès dus à la COVID », a précisé M. Campbell. « Ils sont dus à d’autres facteurs, ce qui soulève de sérieuses questions quant à la raison pour laquelle un si grand nombre de personnes sont décédées. »
Qualifiant d’« énorme » la surmortalité de 4 190 personnes enregistrée au cours des deux dernières semaines d’avril, M. Campbell a comparé ce chiffre au nombre de victimes d’un attentat terroriste. Il a également comparé l’attention qu’aurait reçue un acte terroriste au manque d’attention que semblent recevoir les morts en surnombre. Il a dit :
« Imaginez qu’il s’agisse d’un attentat terroriste [where] 4 190 personnes ont été tuées. Il s’agirait d’un état de guerre.
« Mais parce que les gens meurent dans des contextes différents… le gouvernement ne semble pas faire de commentaires à ce sujet, à l’exception notable de certains députés [members of Parliament]. Mais très peu sur ce sujet, tragiquement. »
Forte augmentation des décès dus à des maladies cardiovasculaires
Une surmortalité supérieure à la moyenne a été enregistrée même dans les groupes d’âge de 0 à 24 ans et de 25 à 49 ans, a indiqué M. Campbell.
« Je crains qu’il ne soit assez clair que la surmortalité touche toutes les tranches d’âge », a déclaré M. Campbell. « Les explications que nous devons donner sur les raisons de cette catastrophe doivent donc tenir compte de ce facteur. »
M. Campbell a déclaré que les données montrent une forte augmentation des décès dus à des problèmes cardiovasculaires et à des accidents vasculaires cérébraux.
« La question n’est pas tant celle des maladies cardiovasculaires que celle des causes de l’augmentation des maladies cardiovasculaires », a-t-il déclaré. « C’est la question essentielle qui ne semble pas être posée : pourquoi les maladies cardiovasculaires augmentent-elles ? »
Selon M. Campbell, l’augmentation est spécifiquement observée dans la catégorie des maladies cardiaques ischémiques – en d’autres termes, « un infarctus du myocarde, une crise cardiaque ».
Des augmentations significatives ont également été observées dans le nombre de décès dus à l’insuffisance cardiaque, a déclaré M. Campbell, ajoutant que « cela ne nous dit pas pourquoi davantage de personnes meurent d’insuffisance cardiaque. C’est sur ce point qu’il convient de s’interroger de toute urgence ».
Les décès dus aux maladies cérébrovasculaires – les accidents vasculaires cérébraux – ont également augmenté « sans équivoque », a noté M. Campbell.
À l’inverse, le nombre de décès dus à des maladies respiratoires était « bien inférieur … à ce que l’on aurait pu attendre », a-t-il déclaré. « On aurait pu penser qu’il s’agissait d’une séquelle de la pandémie, qui touchait principalement les poumons… En réalité, nous en voyons moins, ce qui indique que d’autres facteurs entrent en jeu. »
Les données officielles ont également montré que la surmortalité dans les maisons privées était supérieure de 23 % à la moyenne, tandis que les chiffres respectifs pour les hôpitaux, les maisons de soins et les « autres » établissements étaient de 10,7 %, 8,4 % et 14,3 %, respectivement.
Très peu dans les grands médias
M. Campbell a déclaré que « malheureusement », les médias grand public ne parlent que très peu de ces données sur la surmortalité. « La BBC, par exemple, semble ne rien dire à ce sujet. C’est une source d’inquiétude en soi », a-t-il déclaré.
M. Campbell a cité une exception : le Mirror, un tabloïd britannique qui a publié la semaine dernière un article intitulé « Les Britanniques meurent par dizaines de milliers – et nous n’avons aucune idée de la raison de ce phénomène ».
Selon le Mirror, « des dizaines de milliers de Britanniques de plus que d’habitude sont décédés entre mai et décembre 2022, sans que la COVID ne soit considéré comme une cause de décès, ce qui soulève de sérieuses questions sur les raisons de ces décès ».
Les experts cités par The Mirror n’ont pas établi de lien entre les chiffres de surmortalité supérieurs à la moyenne et la vaccination contre la COVID-19.
Dans des remarques partagées avec The Mirror, David Coleman, M.A., Ph.D.,professeur émérite de démographie à l’université d’Oxford et chercheur associé au département de politique sociale et d’intervention d’Oxford, a déclaré qu’après le décès de nombreuses personnes âgées, qu’il a attribué à la COVID-19, « il devrait y avoir une période où les décès sont moins nombreux que d’habitude, mais cela ne s’est pas produit ».
Il a attribué cette situation à deux raisons : l’augmentation de l’obésité dans la population et – ce qui semble contredire sa déclaration précédente – le vieillissement de la population. Il n’a pas expliqué pourquoi les décès liés à l’obésité entraîneraient une surmortalité supérieure à la moyenne à ce stade.
Pour M. Campbell, l’augmentation de la surmortalité « est un phénomène mondial dont on ne parle pas assez, ce que l’on pourrait appeler une pandémie… qui touche certainement de nombreux pays occidentaux, les États-Unis, le Canada, la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Europe, ce genre d’endroits ».
Diabète de type 1 en hausse de 50 % pendant la pandémie : confinement ou Covid ?
24 mai 2023 du Dr. Peter F. Mayer
La réponse pour Helmholtz Munich semble claire : « Apparition d'un diabète de type 1 après une infection par le SARS-CoV-2 : lien possible découvert » suggère déjà le titre. Et un peu plus loin dans le texte, le sous-titre devient encore plus clair : « Infection par le SRAS-CoV-2 associée à un risque accru de diabète de type 1 chez les enfants » .
Le dernier auteur de l' étude est cité dans l'article comme suit : « Nous sommes prudents dans l'interprétation de nos résultats, mais le virus pourrait soit favoriser le développement de l'auto-immunité sous-jacente au diabète de type 1, soit renforcer une auto-immunité déjà existante et ainsi détruire les cellules bêta productrices d'insuline accélèrent », explique Ezio Bonifacio, auteur principal de l'étude. D'autres études sont donc nécessaires pour élucider le mécanisme exact à l'origine de la survenue accrue de diabète de type 1 chez les enfants en relation avec une infection par le SRAS-CoV-2.
Brièvement encore comment le diabète de type 1 se développe. L'étude la plus détaillée et la plus solide à ce sujet est celle de la Finlande, qui a duré plus de 30 ans. Une maladie auto-immune se développe lorsque les récepteurs nécessaires aux voies de signalisation pour réguler le système immunitaire ne peuvent pas se développer correctement dans les tout premiers stades de la vie en raison d'une carence en vitamine D. Ensuite, le système immunitaire endommage la peau (psoriasis, vitiligo), les îlots de Langerhans (diabète de type I), les voies nerveuses (sclérose en plaques) et autres. Une explication peut être trouvée dans Lancet 2001, 358 (9292) : En 1966, presque tous les enfants nés en Finlande cette année-là ont été enregistrés. (10366 sur 12058). Et vérifié 31 ans plus tard. Si les enfants avaient également reçu de la vitamine D au cours de la première année de vie, ils auraient plus de 80 % de diabète de type I en moins.
Est -il possible de guérir le diabète de type 1 ou au moins d'éviter l'injection constante d'insuline ? Oui, vous pouvez. Appelé le protocole de Coimbra , il arrête diverses maladies auto-immunes allant du diabète de type 1 à la sclérose en plaques avec un taux de réussite de 70 à 90 % et une régression partielle des symptômes est également possible. Il agit en donnant de fortes doses de vitamine D accompagnée de cofacteurs importants tels que le magnésium et diverses vitamines B, notamment la vitamine B2, ainsi que d'autres pour optimiser le métabolisme cellulaire.
Retour à Helmholtz. Alors qu'est-ce qui a changé en 2020-2022 par rapport à avant ?
Infections cornéennes chez les enfants? Définitivement pas. L' étude de l' Université de Tübingen, qui a été publiée à la mi-2020, a trouvé 81% de cellules T à réaction croisée contre la classe des virus corona bêta, à laquelle appartient le SRAS-CoV-2. Avant même cela, une autre étude avait trouvé des anticorps neutralisants (!) contre le SARS-CoV-2 chez 62% des 6-16 ans .
Même avant 2020, les enfants étaient souvent infectés par des virus corona bêta, qui sont très similaires au SRAS-CoV-2, et qui n'ont apparemment pas provoqué l'augmentation du diabète de type 1.
Mais quoi d'autre a changé entre 2020 et 2022 ? Correct! Confinements, fermetures d'écoles et masques devant les petits enfants aussi. Il ne fait aucun doute que même les bébés ne sortent plus au soleil et à l'air frais aussi souvent qu'avant. Même les terrains de jeux avec des bacs à sable ont été fermés et les parents ont dû rester à la maison. Des conditions aléatoires ont donc été créées comme en Finlande uniquement sans supplémentation en vitamine D. C'était même découragé, c'était radical de droite et même dommage, comme l' a affirmé une primaire d'une soi-disant principale clinique d'infection .
L es dommages causés par les confinements durent apparemment toute la vie pour de nombreuses personnes. La plupart d'entre eux ne découvriront probablement rien sur le protocole de Coimbra, Pharma ne mérite rien de cela. Outre le diabète de type 1, il existe certainement d'autres dommages et maladies permanents qui ont été causés par les mesures Corona.
Et selon la volonté de Rauch, Lauterbach, Berset, Leyen, Biden, etc., cette OMS, dont sont issues ces recommandations néfastes pour la santé, devrait désormais être dotée de pouvoirs dictatoriaux.
« Le battement d’ailes d’un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? ».
Le fameux effet papillon, ainsi exprimé par K. Lorenz, [1] ne devrait pas manquer d’interpeller tout observateur du climat sur les conséquences de la turbulence de sillage des quelques 900 GW éoliens qui affecterait aujourd’hui « toute la structure de la couche limite planétaire »[2]. Et dont il reste à démontrer que les effets bénéfiques sur le climat seraient supérieurs au réchauffement qui leur est aujourd’hui imputé.
Par Jean-Pierre Riou le 24 mai 2023 à 8h26
Un sujet polémique qui détourne la controverse
De nombreuses études ont évoqué l’impact négatif des éoliennes sur le climat. Récemment, un article allemand [3] montrait la corrélation entre l’assèchement des sols et l’emplacement des 30 000 éoliennes d’Outre-Rhin.
Cet article s’appuyait notamment sur l’étude de Gang Wang & al publiée en janvier 2023 sur ELSEVIER ScienceDirect “Wind farms dry surface soil in temporal and spatial variation”.[4]
Mais sa communication sur les réseaux sociaux relayée par « NoTricksZone » [5] ne fut à l’origine, comme c’est souvent le cas, que de considérations sur le caractère sulfureux du site qui la relayait [6] et non sur le fond de son contenu. Climato négationniste, conspirationniste, pro-nucléaire, d’extrême droite.
La messe était dite.
Pourtant, en 2012, déjà, la NASA avait diffusé une étude de Zhou & al [7] qui avait attribué aux éoliennes un réchauffement de 0,72° en 9 ans, selon les observations de ses satellites, sur une région du Texas.
Malgré l’abondance de la littérature sur le sujet, il reste bien difficile à des non spécialistes de se forger, seuls, un avis éclairé dans ce domaine éminemment sensible du développement éolien.
C’est la raison pour laquelle il peut être opportun de revenir sur l’avis scientifique, politiquement correct et rassurant, publiée par le CNRS en 2014 [8], ainsi que sur les sources qui lui avaient alors paru dignes d’attention. En effet, les auteurs de cette étude, publiée sur Nature Communications [2] appartiennent majoritairement au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, à l’Institut Pierre-Simon Laplace des Sciences et du Climat, au Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) ainsi qu’au CNRS.
Cette étude portant sur l’impact climatique des éoliennes européennes s’appuie sur des essais en soufflerie et sur la modélisation de l’évolution du climat selon 3 scénarios :
Sans éoliennes (CTL),
Avec les 101 GW installés en 2012 (CUR) Et un 3ème scénario (SCEN) avec les 220 GW qui étaient prévus en 2020, afin d’en dégager les effets prévisibles au niveau de notre continent. L’étude illustre notamment la différence entre les résultats de la modélisation du scénario de contrôle (CTL sans éolienne), avec le scénario SCEN (220 GW). Avec la moyenne hivernale, dans la colonne de gauche, et estivale, à droite, pour les températures (ci-dessous).
- voir carte sur site -
Mais aussi pour les précipitations journalières en mm, (c et d) et la pression atmosphérique au niveau de la mer (e et f) ci-dessous.
- voir carte sur site -
L’étude se veut rassurante et conclut à des effets certains mais « limités » avec un réchauffement maximum de 0,3° dans certaines régions à échéance 2020. Soit des valeurs « très faibles par rapport à la variabilité naturelle du climat ». Elle compare les conclusions de ses simulations à celles d’autres études qui avaient relevé un réchauffement de 0,7° par décennie dans les zones fortement implantées d’éoliennes, (études 9 10 11) et une réduction des précipitations dépassant 10% (12) .
Pour rassurante qu’elle soit, cette étude du CNRS relève cependant que « l'effet atmosphérique le plus direct des éoliennes est une traînée supplémentaire et la génération de turbulence de sillage. » Et qu’en fait « toute la structure de la couche limite planétaire est affectée par la turbulence de sillage des turbines ». Et signale une extraction de la ressource potentielle du vent de l’ordre de 1W/m² (étude 13 14).
Elle mentionne également dans les résultats de ses simulations que « Les précipitations hivernales ont une structure plus inégale, mais une réduction significative a été constatée sur l'Europe occidentale atteignant 0,15 mm par jour, soit ~ 5 % des précipitations moyennes. La pression au niveau de la mer subit une variation maximale de 0,5 hPa, reflétant une augmentation du temps anticyclonique à travers l'Europe en hiver. (…) Elle induit de légers changements de circulation moyenne, avec des flux plus au sud sur la partie ouest du domaine et des flux au nord sur la partie est, modifiant ainsi l'advection de chaleur et d'humidité ». Mais relativise en continuant « Les réponses hivernales de la température et des précipitations restent cependant faibles par rapport à leur variabilité interannuelle respective, atteignant ~10 % pour la température et 20 % pour les précipitations dans certaines zones ».
Pour autant, il est troublant de constater la similitude globale entre les modélisations de ces « changements de circulation moyenne », « modifiant ainsi l'advection de chaleur et d'humidité » et les récents épisodes locaux de sécheresse, de canicule ou de douceur hivernale dans les régions précisément anticipées sur les illustrations reproduites ci-dessus.
Notamment un déficit de précipitations dans le sud est de la France, [15] (figure d), des canicules estivales dans la péninsule ibérique et le Maroc [16] (figure b), ainsi qu’une douceur hivernale peu commune dans le nord de l’Europe, [17] (figure a) tandis que l’est européen bat des records de froid.
Le propos n’étant pas d’en imputer quelque responsabilité que ce soit aux éoliennes, sans autre rigueur scientifique.
D’autres études concluent que les parcs éoliens réduisent la puissance du vent, notamment « ont le potentiel de modifier substantiellement la dynamique atmosphérique et de conduire à des réductions locales de la vitesse moyenne du vent s'étendant jusqu'à plus de 40 km sous le vent du parc» (étude 18) ou observent l’impact des éoliennes sur la croissance de la végétation. (étude 19)
Un remède pire que le mal
Mais, aussi faibles que soient les effets des éoliennes sur le réchauffement et la sécheresse, la raison impose de les comparer avec les bénéfices de leur réduction des émissions fossiles.
Une étude de 2018 de l’Université d’Harvard [20] s’est chargée de modéliser les variations journalières et saisonnières des températures liées aux éoliennes sur l’ensemble des États-Unis. Cette modélisation s’appuie notamment sur la quantité d’énergie extraite par les éoliennes, leurs effets sur le brassage entre les masses d’air de différentes altitudes ainsi que sur le gradient vertical du vent, c'est-à-dire ses différentes vitesses selon la hauteur.
La valeur obtenue par simulation, d’un réchauffement de 0.24°, correspond aux valeurs observées. L’étude considère que cet « effet de réchauffement est :
faible par rapport aux projections du réchauffement du 21e siècle, approximativement équivalent à la réduction obtenue en décarbonant toute la production mondiale d'électricité, et important par rapport à la réduction du réchauffement obtenue en décarbonant l'électricité américaine avec l’éolien ».
L’étude n’ignore rien, en fin de publication [21], des nombreux paramètres qui n’ont pas été traités par ses seuls effets des températures au niveau du sol, comme du fait qu’il s’agit d’un réchauffement instantané qui disparaîtrait avec la suppression des machines, contrairement à l’accumulation du gaz carbonique évité ou de l’éventuel refroidissement de l’Arctique que montrent la plupart des modélisations des effets des éoliennes.
Mais à l’inverse, il convient de mentionner qu’un fossé semble séparer les émissions théoriquement évitées par les productions des éoliennes de celles qui le sont réellement [22], en raison de la dégradation des facteurs d’émission des centrales thermiques chargées de compenser leur intermittence, liée à leurs régimes partiels et à-coups de fonctionnement.
La sénatrice Loisier s’est inquiétée de cette différence entre théorie et pratique, liée à la dégradation des facteurs d’émission des centrales thermiques chargées du suivi de charge de leur intermittence, qu’aucun organisme ne semble en charge d’évaluer. [23]
Pour conclure
Eu égard à l’évolution spatiale des sécheresses actuelles et aux événements climatiques soudains,
laissons les auteurs de notre étude du CNRS conclure eux-mêmes en reprenant la fin de leur communiqué de 2014 : « Dans ce contexte, il est nécessaire de produire de nouvelles études utilisant d’autres modèles et différents scénarios de développement de production d’énergie éolienne pour déterminer précisément quelles seront les conséquences d’un déploiement encore plus massif de l’éolien à l’horizon 2050. Une question essentielle sera d’évaluer les effets d’un doublement voire d’un triplement des puissances étudiées ici, s’agissant de l’ordre de grandeur envisageable dans les quarante prochaines années. »
Ces études devront être comparées avec celles des effets climatiques bénéfiques réels du développement éolien sur le climat, selon chaque contexte local. A long terme car les éoliennes peuvent éviter l’accumulation de gaz carbonique, mais aussi à court terme, car les effets de l’évolution des précipitations revêtent déjà un caractère d’urgence, à l’instar de ceux des températures.
Comment la cabale climatique financée par l'étranger a mis l'Allemagne à genoux
Par Jo Nova May 24th, 2023 |
Seuls deux hommes ont joué un rôle central dans la mainmise de la politique verte qui paralyse l'Allemagne aujourd'hui, et l'un d'eux vient d'être limogé. Mais regardez à quel point il était facile pour les intérêts étrangers et les militants d'influencer des politiques nationales bizarrement suicidaires, et comment ils ont utilisé l'art séculaire du népotisme.
Eugyppe
Une vaste cabale climatique financée par l'étranger avec une emprise mortelle sur la politique se bat actuellement pour écraser la République fédérale d'Allemagne sans survivants La presse internationale a gardé un silence quasi total sur la folie croissante de ce qui se passe en Allemagne. Les médias qui célèbrent régulièrement les progrès allemands vers la transition énergétique ne veulent pas que vous sachiez que la puissance industrielle dominante de l'Europe est entrée dans une spirale politique et administrative profondément destructrice dont elle ne se remettra peut-être jamais. La faute en incombe aux politiques énergétiques autodestructrices et irréalisables qui ont une emprise mortelle non seulement sur le gouvernement Scholz, mais sur l'ensemble de l'État administratif.
L'Allemagne ouvre la voie dans la grande expérience verte
À un moment donné l'hiver dernier, 12 % du PIB total de l'Allemagne étaient consommés dans la crise énergétique. Les usines quittent l'Allemagne parce que les prix de l'énergie sont insoutenables, mais défiant toute raison, l'Allemagne vient de fermer ses dernières centrales nucléaires et tente d'interdire le chauffage au gaz et au mazout chez nous également, ce qui ne fera qu'augmenter la demande d'électricité à l'heure où l'électricité est difficile à trouver. Les Allemands ont brûlé tellement de bois l'hiver dernier qu'ils en ont parfois manqué, et maintenant leur gouvernement veut aussi interdire les poêles à bois.
Eugyppius a expliqué il y a quelques semaines comment un article de Der Speigel a révélé (étonnamment) que deux acteurs politiques clés ont installé leurs amis verts à des postes de pouvoir. Et cette semaine vient la nouvelle que l'un de ces hommes vient d'être contraint de démissionner en raison du même népotisme qui était au cœur du plan de la cabale climatique.
Aujourd'hui, Der Spiegel (de tous les magazines) a publié un long article sur les origines, le financement et la montée en puissance de l'"Eco Network" qui contrôle actuellement la politique énergétique allemande, et je veux en discuter en détail, car il est si révélateur à ce sujet plusieurs choses.
Patrick Graichen était un haut secrétaire d'État chargé des questions énergétiques et climatiques jusqu'à ce que la nouvelle éclate selon laquelle il a choisi son meilleur homme pour diriger l'agence allemande de l'énergie et tout le monde a estimé que c'était très suspect. Surtout quand il s'est avéré que son frère et sa sœur travaillaient tous les deux pour un autre groupe de réflexion qui recevait de l'argent du ministère. Sa sœur est également mariée à un autre secrétaire d'État.
Mais les problèmes en Allemagne ont commencé il y a dix ans avec le politicien vert Rainer Baake - qui est devenu lui-même connu sous le nom de M. Energiewende (l'homme qui a créé la "transformation énergétique"). État. Au moment où les électeurs allemands ont choisi un parti de centre droit en 2018, l'élan des Verts s'est enroulé autour d'eux et n'a cessé de bouger.
Baake a également fondé le groupe de réflexion vert le plus puissant d'Allemagne – et a nommé son protégé Patrick Graichen à sa tête. Vous voyez comment cela fonctionne ? Le groupe de réflexion a été son tremplin vers les plus hauts niveaux du gouvernement allemand, et ce groupe de réflexion a été financé en partie par des philanthropes américains.
Alors que les fonctionnaires de la vieille garde favorables à l'industrie de la bureaucratie allemande ont commencé à prendre leur retraite, Baake a rempli leurs postes avec des technocrates verts dans la mesure du possible, de sorte que lorsque le contrôle du ministère est passé au centre-droit CDU en 2018, le mal était fait. L'élan institutionnel s'était déjà déplacé vers le changement climatique et avait commencé à se renforcer sous son propre pouvoir
Au cours de son mandat de cinq ans en tant que secrétaire d'État, Baake a nommé Graichen à la tête du groupe de réflexion Agora, qui a commencé à produire des documents politiques, à parrainer la recherche scientifique verte et à rassembler une foule toujours croissante de défenseurs fidèles et de technocrates. Cela a porté ses fruits : [Comme le dit Der Speigel, le nom de Graichen a été utilisé dans tout le parlement allemand].
Trois étapes faciles pour créer une fixation sur le climat au Parlement Rainer Baake, Allemagne
C'est un processus en trois étapes. 1) Les militants et les scientifiques approuvés par le régime identifient et font du bruit sur les problèmes imminents, puis 2) les groupes de réflexion écrivent des pages et des pages de solutions législatives et réglementaires pour eux. Tout cela se passe en grande partie hors de vue, jusqu'à ce que 3) les politiciens répondent à la demande suscitée par le bras militant, et n'ayant aucune véritable expertise ou compréhension de quoi que ce soit eux-mêmes, ils n'ont d'autre choix que de mettre en œuvre les propositions que des gens comme Graichen les nourrissent.
Voici donc l'explication de l'idiotie obstinée de Robert Habeck depuis l'automne dernier. Dès l'entrée des Verts au gouvernement, il a fait de Graichen son secrétaire d'Etat à l'énergie, et c'est Graichen et l'armée de technocrates qu'il commande qui sont à l'origine de tous les désastres politiques depuis.
La réponse grotesque à la crise de l'énergie, où ces gens ont été en fait forcés de travailler contrairement à leurs principes et d'acheter d'énormes quantités de charbon (de Russie rien de moins) ; la sortie du nucléaire bâclée mais néanmoins achevée ; et, enfin, les changements catastrophiques de la loi sur l'énergie des bâtiments, qui appauvriront des millions d'Allemands et ne feront absolument rien pour changer la température de la Terre.
L'influence des millionnaires américains :
Leur travail a été financé en coulisse par deux hommes : Bernhard Lorentz, qui à la tête de la Fondation Mercator a contribué à faire vivre le think-tank Agora. Et Hal Harvey, un lobbyiste américain qui a financé des organisations écologistes et climatiques à travers le monde pendant près de trois décennies, aidé entre autres par les milliards de familles philanthropes comme les Hewlett.
Ce n'est pas la première fois que nous trouvons des militants et des philanthropes américains improbables derrière l'activisme climatique européen - et plus particulièrement allemand. Spiegel explique, de manière inquiétante, que "Harvey voit l'Europe comme la clé pour préparer un avenir climatiquement neutre" et que c'est pourquoi "il dirige des millions... pour soutenir des gens comme Baake et Graichen". Cet homme, qui apparaît à peine dans les médias anglophones et n'a même pas de page Wikipédia en anglais, a été baptisé par Die Zeit comme "le politicien vert le plus puissant du monde".
Le népotisme est important dans la mafia climatique
Eugippius met à jour le limogeage de Graichen pour népotisme et explique pourquoi le népotisme fait partie du plan :
Le chef de la transition énergétique Patrick Graichen démissionne, premier sérieux revers de la cabale climatique qui étrangle l'Allemagne Tout d'abord, il faut comprendre que la transition vers les énergies renouvelables n'est pas une blague. S'il est un jour pleinement accompli, cela signifiera la paupérisation et la désindustrialisation de l'Allemagne.
La vérité est que les parents et amis personnels de Graichen sont éparpillés dans les groupes de réflexion et les ONG de la cabale climatique.
Le problème pour Graichen et ses associés est de créer l'illusion d'une seule science unifiée qui ne nécessite rien d'autre que leurs solutions spécifiques souhaitées. Ils utilisent toutes les organisations sous leur contrôle pour décrire et propager cette science, et inondent les bureaucrates et les politiciens de livres blancs leur dictant exactement ce qu'ils doivent faire. Tout le monde doit être sur la même page pour cela. Les liens personnels au sein de la cabale climatique sont donc très importants ; les mafias sont gérées de la même manière.
J'aurais pensé que ce serait déprimant de lire les détails, mais il est utile de connaître l'ennemi.
Bien sûr, dans ce cas, même si les deux joueurs allemands clés peuvent être hors de leurs rôles majeurs officiels, l'équipe qu'ils ont créée est toujours là.
Les derniers sondages montrent que 40 % des électeurs des Verts ont abandonné le parti, le laissant à seulement 14 % des voix au total. Ça doit faire mal.
Mish : Contrairement au mythe populaire, le Brexit n'a pas été une mauvaise décision et n'a pas échoué
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 24 MAI 2023 - 11:00 Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
The Atlantic affirme que "la Grande-Bretagne paie maintenant le prix de sa décision de quitter l'Union européenne". Je prends l'autre côté...
- voir graph sur site -
Un de mes amis a envoyé par e-mail un article sur le Brexit par The Atlantic, "We're All Worse Off" (paywall).
The Irish News rapporte que seulement 9% des Britanniques disent que le Brexit est plus un succès qu'un échec, selon un sondage
Perception contre réalité J'ai répondu à mon ami que l'échec est une perception parce que la Grande-Bretagne n'a rien fait pour que le Brexit fonctionne.
Considérez la politique britannique après le Brexit : pas de réductions d'impôts, pas d'accord commercial avec les États-Unis ou la Chine, pas de démantèlement des règles et réglementations européennes ineptes, pas de progrès dans des domaines comme l'intelligence artificielle ou l'énergie.
Ce n'est pas un échec du Brexit, c'est un échec à profiter des choses possibles sans être lié à l'UE.
Lever du soleil Quelques jours après avoir envoyé un e-mail à mon ami, Eurointelligence, il a admis dans un article intitulé "Sunrise" que mon point de vue était le bon.
Il était toujours absurde de remplacer le volume entier de quelque 4 000 règlements de l'UE en une seule journée. La majorité ne pose aucun problème. La difficulté intellectuelle et opérationnelle avec le Brexit est de sélectionner des domaines spécifiques où la divergence réglementaire a du sens. Nous savons tous que les coûts du Brexit sont transparents, mais les opportunités sont cachées et dépendent de la manière dont cette divergence est gérée.
Comme l'explique Joël Reland du Royaume-Uni dans un groupe de réflexion sur l'Europe en mutation, il reste encore 600 réglementations européennes qui seront modifiées. Ce qui changera également, c'est la fin de la suprématie du droit européen d'ici la fin de l'année. Les tribunaux britanniques pourront alors passer outre le droit de l'UE. Nous nous attendons à ce que cela seul conduise à une divergence significative sur la route. Le gouvernement s'est également donné le pouvoir d'accélérer les changements futurs.
Mais l'aspect le plus important est que cette réforme va désormais de pair avec une autre initiative qui se déroule en parallèle : la révision de la réglementation pro-innovation des technologies, dirigée par Patrick Vallance, l'ancien conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique. L'examen fait enfin ce que nous avions exhorté le gouvernement britannique à faire juste après le Brexit, à savoir repérer les opportunités de haute technologie qui manquent à l'UE. L'intelligence artificielle est une évidence, tout comme la recherche médicale et de nombreux autres développements technologiques freinés par le règlement antédiluvien de l'UE sur la protection des données. En ce qui concerne les industries de haute technologie, l'UE est entrée dans une spirale de la mort réglementaire, entièrement axée sur les consommateurs puisque les entreprises de l'UE n'ont plus leur peau dans le jeu.
Les problèmes de l'UE avec ces industries se sont accumulés au cours des 20 dernières années. L'innovation et l'esprit d'entreprise sont tombés dans l'échelle des priorités politiques. Nous avons également des doutes sur l'efficacité d'Horizon EU, le programme de recherche de l'UE. C'est un volume important et un cauchemar bureaucratique, selon cette enquête. Mais en dehors de la lourdeur du processus de candidature, il faut se demander pourquoi la course à plusieurs technologies de pointe du XXIe siècle se déroule aujourd'hui principalement entre les États-Unis et la Chine.
Nous ne voyons pas tant le Royaume-Uni comme une menace pour l'UE comme l'avaient imaginé Emmanuel Macron et Michel Barnier, à travers des ateliers clandestins à bas salaires. Le Royaume-Uni exploitera simplement les zones que l'UE a laissées à d'autres.
Nous nous attendons à ce que le changement d'orientation et de réglementation technologique du Royaume-Uni persiste sous un gouvernement travailliste. Les travaillistes récolteront les bénéfices de ce qui apparaît maintenant comme le début d'une stratégie post-Brexit. Une fois que vous avez repéré des opportunités d'investissement et attiré des investisseurs, vous n'allez pas revenir au statu quo.
Certains voient l'échec, d'autres voient le lever du soleil
L'Atlantique sans tête rate les opportunités inévitables qui se présenteront tôt ou tard simplement parce que l'UE est si inepte.
Fait intéressant, Eurointelligence était l'un des plus grands partisans de l'UE que l'on puisse trouver.
De plus en plus, il a des articles très négatifs sur l'Allemagne concernant les voitures, la politique énergétique, la Russie et la Chine.
Plus précisément, l'Allemagne regarde en arrière, essaie de protéger les industries mourantes et a même besoin de plus de charbon pour le faire.
En général, les nounoucrates de l'UE essaient toujours de punir Google, Microsoft et les entreprises technologiques américaines. Il faut le consentement unanime de 27 pays pour faire beaucoup de choses, donc son objectif sur l'IA est de jeter des barrages routiers.
Oui, les conservateurs ont totalement gâché les conséquences du Brexit. Mais ce sont des erreurs politiques qui ne rendent pas le Brexit imprudent.
Le Royaume-Uni serait fou de vouloir revenir dans l'UE.
Heureusement, "une fois que vous avez repéré des opportunités d'investissement et attiré des investisseurs, vous n'allez pas revenir au statu quo ante."
En effet. Dire au revoir à l'UE était une décision très sage, il faudra juste plus de temps que prévu pour que cela devienne évident.
Apportez le lever du soleil.
L'intelligence artificielle va progresser
Dans Time Magazine. Eliezer Yudkowsky, un théoricien américain de la décision, propose une interdiction totale de l'IA car "si nous continuons sur ce point, tout le monde mourra". Il frapperait de manière préventive tous les centres de données d'IA.
Yudkowsky appartient à l'UE.
Pour en savoir plus, veuillez consulter Pour arrêter l'IA, les fous sont prêts à risquer une guerre nucléaire mondiale
Le fait que toutes les données d'entrée d'origine sont soumises à un biais extrême complique encore plus le phénomène de l'IA. Un algorithme simple est seulement aussi bon que ceux qui alimentent les données. Les sondages sont basés sur des flux de données d'IA et sont régulièrement ridiculisés pour leur parti pris et leur manque de résultats factuels. SI l'IA est nourrie d'un biais sain d'agendas progressistes du WEF - sa sortie sera The Great Reset.
Les éditeurs de logiciels d'IA créeront-ils des IA concurrentes ? Une version conservatrice vs libérale ? L'IA déterminera-t-elle la culpabilité et l'innocence sur la base d'une entrée de données biaisée ? Les périls sont aussi vastes que chaque cerveau humain. AI aurait-elle déterminé que le FBI incitait les manifestants du 6 janvier ? Ou AI aurait-elle dit au FBI comment inciter les manifestants ?
Nous le saurons bien trop tôt.
Reprinted with permission from Helena-The Nationalist Voice.
« Les classes dirigeantes capitalistes mondiales mettent en œuvre une nouvelle idéologie officielle, en d'autres termes, une nouvelle "réalité". C'est ce qu'est une idéologie officielle. C'est plus qu'un ensemble de croyances. N'importe qui peut avoir les croyances qu'il veut. Vos croyances personnelles ne constituent pas la « réalité ». Pour faire de vos croyances une « réalité », vous devez avoir le pouvoir de les imposer à la société. Vous avez besoin du pouvoir de la police, de l'armée, des médias, des «experts» scientifiques, du milieu universitaire, de l'industrie culturelle, de toute la machine à fabriquer des idéologies. Il n'y a rien de subtil dans ce processus. Désaffecter une « réalité » et la remplacer par une autre est une entreprise brutale. Les sociétés s'habituent à leurs « réalités ». Nous ne les abandonnons pas volontairement ou facilement. Normalement, ce qu'il faut pour que nous le fassions, c'est une crise, une guerre, un état d'urgence ou… vous savez, une pandémie mondiale mortelle. Lors du passage de l'ancienne « réalité » à la nouvelle « réalité », la société se déchire. L'ancienne "réalité" est en train d'être démontée et la nouvelle n'a pas encore pris sa place. Cela ressemble à de la folie, et, d'une certaine manière, ça l'est. Pendant un certain temps, la société est divisée en deux, alors que les deux « réalités » se disputent la domination. La « réalité » étant ce qu'elle est (c'est-à-dire monolithique), c'est un combat à mort. En fin de compte, une seule «réalité» peut prévaloir.
J'ai écrit cela il y a près de deux ans, dans le calme relatif avant la tempête d'hystérie de masse fasciste, ivre de haine et de persécution officielle systématique qui s'est déchaînée contre "les non vaccinés" dans les mois qui ont suivi. Si votre souvenir de 2021 est flou, ma chronique de fin d'année, The Year of the New Normal Fascist, ou cette compilation vidéo de Matt Orfalea pourraient vous aider à l'aiguiser. Depuis lors, la folie du changement de réalité en cours s'est intensifiée, bien qu'un peu plus subtilement… ou du moins Keith Olbermann ne crie pas à la haine comme un Goebbels accro à la méthamphétamine.
GloboCap, Inc. et ses innombrables filiales, agents, ayants droit, marionnettes politiques, crétins des médias et autres serviteurs fidèles s'efforcent désespérément d'inscrire le récit officiel de Covid-19 dans les annales de «l'histoire». Selon de nouveaux chiffres de l'OMS, "près de 15 millions de décès en excès" (soit "un total de 336,8 millions d'années de vie perdues") avaient été causés par le virus à la fin de 2021, dont aucun n'avait rien à voir avec les ventilateurs , ou la classification de toute personne décédée de quoi que ce soit (c. Des jeunes auparavant en parfaite santé tombent morts à gauche et à droite à la suite de crises cardiaques et d'autres causes «naturelles» (ou «non divulguées») qui n'ont rien à voir avec les «vaccins» expérimentaux dont ils n'avaient pas besoin mais qu'ils ont été contraints de prendre, ce qui a sauvé millions ou 100 millions de vies. Les masques qui ne fonctionnaient pas fonctionnaient, sauf qu'ils ne fonctionnaient pas, mais c'était seulement si vous étudiiez comment ils fonctionnaient dans la réalité. Être enfermé, forcé de porter des masques d'apparence médicale, éclairé au gaz et terrorisé par la propagande officielle, intimidé, séparé, censuré, diabolisé et autrement systématiquement torturé, était en fait bon pour la santé mentale des gens, à l'exception des « personnes ayant des problèmes de santé mentale existants, et les enfants, et les personnes handicapées, et les adolescents, et les personnes sans filets de sécurité financière ou sociale ».
Pendant ce temps, les New Normals cognitivement dissonants se rendent sur Internet pour affirmer que personne ne savait mieux à l'époque, et que, d'accord, bien sûr, "des erreurs ont été commises", mais si nous "les théoriciens du complot qui nient la science", qu'ils ont censurés, diabolisé, et systématiquement persécuté depuis plus de deux ans, venait de parler…
Je pourrais continuer, mais vous obtenez l'image… ou plutôt, vous le faites ou vous ne le faites pas. Parce que ce ne sont pas seulement les gens de GloboCap, Inc. qui mènent fanatiquement cette guerre contre la réalité. Tout le monde et leur frère essaient d'enfoncer leur "réalité" dans la gorge de tout le monde. Vous avez les gens "Les virus n'existent pas". Vous avez les gens "Il n'y a pas de néo-nazis en Ukraine". Le peuple « Poutine est notre sauveur ». Le culte du vote bleu. Le peuple multipolaire. L'Armée populaire transgenre. Les Hucksters de l'horloge de la fin du monde. Les gens qui écoutent encore NPR. Les véridiques de l'insurrection. Les négationnistes de l'insurrection. Les vrais du 11 septembre. Les véridiques de l'alunissage. Le culte de Trump. L'église du Russiagate. Les obsessionnels de Rothschild. Les racistes antiracistes. Les antisémites antisémites. Le mouvement de formation de masse. Le Culte de Marx. Le culte du capital. Les fanatiques du changement climatique. Le culte du musc. La liste se rallonge de plus en plus.
Historiquement, nous, les humains, n'avons pas très bien réussi dans de tels environnements ontologiques psychotiques. Lorsque la «réalité» est brisée en mille petits éclats, que les choses s'effondrent et que le centre ne tient pas, nous avons tendance à être plutôt effrayés, confus et agités. Nous commençons à paniquer. Nous essayons de reconstituer la « réalité ». Cela ne fonctionne pas. Cela aggrave notre panique. Nous commençons à chercher une nouvelle « réalité ». Nous commençons à chercher un sauveur, un leader, un Führer, quelqu'un avec une vision, la volonté et le pouvoir d'imposer une nouvelle « réalité » au chaos ontologique qui nous rend si confus et agités, et effrayés, et en colère, et restaurer un certain sens de la cohésion idéologique afin que nous n'ayons plus à penser à la « réalité » à chaque instant.
C'est l'époque des messies des magasins à dix sous, des tyrans en fer blanc, des fanatiques, des gourous, des escrocs, des escrocs, des charlatans, des vendeurs d'huile de serpent de toutes sortes, des mouvements révolutionnaires fanatiques, des nouvelles religions et des nouveaux partis politiques, etc. Généralement, finalement, une fois que les masses malheureuses ont été à plusieurs reprises dupées, escroquées, trahies, et humiliées au point où elles ne peuvent même plus penser, ne peuvent littéralement plus penser parce que leur cerveau est brisé et qu'elles veulent juste que quelqu'un faites que tout s'arrête... eh bien, pour reformuler une vieille platitude bouddhiste, "lorsque les masses seront prêtes, le despote apparaîtra".
Je pense que vous savez comment cette histoire se termine.
Ce qui est fascinant, c'est GloboCap, Inc. (c'est-à-dire le capitalisme mondial, le corporatisme ou tout ce que vous devez appeler le réseau supranational de sociétés mondiales, de gouvernements, de banques, d'entrepreneurs militaires, de conglomérats de médias et de divertissement, de mastodontes pharmaceutiques, d'oligarques assortis, de non- entités gouvernementales gouvernantes, etc., qui dirigent actuellement le monde) ne peuvent pas se permettre que cela se produise et travaillent sans relâche pour empêcher que cela se produise.
Le totalitarisme traditionnel (c'est-à-dire du XXe siècle) ne fonctionne pas pour GloboCap, Inc. Le capitalisme, bien qu'il puisse s'adapter à tout, n'a jamais été intrinsèquement enclin au fascisme ou à toute autre forme de totalitarisme. Le totalitarisme est une machine à coder les valeurs. Son objectif est de coder complètement la société avec ses valeurs, son idéologie officielle (c'est-à-dire la « réalité »). Tous les aspects de la société, pas seulement la politique, la culture, etc., mais les aspects les plus intimes de la vie des gens.
Le capitalisme est une machine à décoder les valeurs. Son objectif est de décoder complètement la société de toutes les valeurs qui entravent la libre circulation des capitaux, faisant de tout et de chacun une marchandise de facto, transformant les sociétés en marchés. Il peut s'adapter au totalitarisme et à d'autres variétés de despotisme lorsque cela est nécessaire, mais laissé à lui-même, ou... vous savez, s'étant vu accorder la domination sur la Terre entière, et sur chaque chose rampante qui s'y glisse, il se met à décoder et à déstabiliser les valeurs, à déstabiliser la valeur et le sens lui-même, jusqu'à ce que, finalement, tout signifie quelque chose, ou rien, ou ce que le marché détermine qu'il signifie ou vaut à un moment donné.
Le fait est que la guerre en cours contre la réalité n'est pas un moyen pour une fin. C'est la fin. L'idéologie officielle (c'est-à-dire la « réalité ») que GloboCap, Inc. met en œuvre n'est pas un ensemble de valeurs ou de croyances officielles. C'est l'absence de valeurs ou de croyances, de valeurs et de croyances non marchandes. Les valeurs et les croyances sont bonnes, tant qu'elles ne sont que des signes vides, des logos, des déclarations d'identité sans signification, et non des principes et des croyances que vous essayez de vivre et que vous êtes assez fou pour vous battre pour les préserver. Ce genre de valeurs doit disparaître, pour que les gens du futur New Normal puissent être libres de croire que la guerre est la paix, l'ignorance est la force, deux plus deux égalent cinq, les hommes ont leurs règles, Donald Trump est un agent secret russe et littéralement Hitler, Vladimir Poutine (qui est aussi littéralement Hitler) ont envahi l'Ukraine sans aucune raison, ou certainement pas à cause de quoi que ce soit à voir avec GloboCap, Inc., ou l'OTAN, ou les néo-nazis ukrainiens inexistants, puis ont détruit les siens pipelines dans la mer Baltique, ou tout autre non-sens manifestement ridicule qu'ils (c'est-à-dire les gens du futur New Normal) se font dire de faire semblant ou de croire réellement par Rachel Maddow et les autres têtes parlantes que vous avez vues dans la vidéo d'Orfalea.
Et, si cela ne ressemble pas à votre genre d'avenir, ou de réalité, la réalité "tout est un signifiant flottant"... pas de soucis, vous pouvez toujours abandonner le "courant dominant" et rejoindre le carnaval des "théoriciens du complot, anti -vaxxers, négationnistes de Covid, négationnistes du Russiagate, négationnistes du changement climatique, désinformationnistes, malinformationnistes, transphobes, suprématistes blancs, extrémistes domestiques violents », et un assortiment d'autres monstres et curiosités de la nature qui sont activement mis en quarantaine, ou se mettent eux-mêmes en quarantaine, dans des ghettos idéologiques où les consommateurs normaux n'ont jamais à les voir et ils (c'est-à-dire nous, les déviants et les monstres) sont la proie de légions de charlatans, de démagogues, d'agents provocateurs et d'autres parasites spirituels et émotionnels, jusqu'au jour où nous nous retrouvons à tweeter spasmodiquement à propos d'un Chomsky de 86 ans pourchassant des esclaves sexuelles nues autour de l'île d'Epstein, déchiré jusqu'aux branchies avec du Viagra et de l'ecstasy, et probablement de l'adrénochrome fraîchement récolté !
Cela, ou vous pourriez vous retirer complètement de la société et aller vivre dans une cabane de Kaczynski dans le Montana, ou dans l'Idaho, ou partout où les gens font cela ces jours-ci, comme plusieurs de mes lecteurs me l'ont conseillé récemment, et chercher des baies et des écureuils au barbecue, et, eh bien, vous savez, déféquer dans un trou dans le sol.
Je suis désolé, je me rends compte que tout semble assez sombre. Je suppose que je suis de mauvaise humeur ces jours-ci, ou que je manque d'intensité passionnée… ou quelque chose comme ça. L'intensité passionnée ne manque pas, si c'est ce que vous recherchez. Ne me laisse pas t'arrêter. C'est juste que, chaque fois que je l'éteins pendant un moment, cette intensité passionnée, ce maelström hurlant de réalités guerrières, et que j'écoute attentivement, j'entends la bête rugueuse de Yeats, dont l'heure, apparemment, approche à nouveau.
Je ne sais pas de quel "côté" il s'éloigne, mais cela n'a probablement pas d'importance.
Ah bon… comme disent les Français, plus ça change, et ainsi de suite.
Ces États de l'UE veulent tuer le droit à la communication privée
24 mai 2023 du Dr. Peter F. Mayer
« Sire, donnez la liberté de pensée ! « Dans Don Carlos Schiller, le chevalier de Malte dit le marquis de Posa au roi d'Espagne Philippe II. Schiller est l'un des auteurs les plus joués sur les scènes germanophones, mais il a quitté la conscience générale allemande. Et cela malgré le fait que l'œuvre du proclamateur de la liberté n'a rien perdu de son actualité politique.
Indispensablement liée à la liberté de pensée est la possibilité d'une communication privée et non observée. La loi devait être gagnée contre la résistance des églises et des gouvernants, dont parle Schiller dans son Don Carlos. Maintenant, il doit être à nouveau aboli.
Depuis environ 45 ans, une part croissante de la communication est gérée par voie électronique et numérique. Afin de pouvoir communiquer sans être observé, un chiffrement de bout en bout est nécessaire. Et depuis que ceux-ci existent, des politiciens inexpérimentés réclament la possibilité de portes dérobées.
Les politiciens qui prétendent que la sécurité peut être garantie si une communication n'est décryptée que sur ordre d'un juge ne font que documenter leur ignorance. Avec la génération actuelle de politiciens, cependant, ce n'est pas surprenant. Un document divulgué montre que les pays de l'UE envisagent d'interdire la messagerie privée. C'est le plan d'abolition de la vie privée.
Une enquête du Conseil européen sur les points de vue des pays membres sur le cryptage montre que l'Espagne est fortement en faveur de l'interdiction du cryptage de bout en bout, rapporte le magazine technologique respecté Wired . Comme d'habitude avec les tentatives d'abolir les droits fondamentaux et d'imposer la surveillance et la censure, le prétexte est une prétendue lutte contre la diffusion de matériel d'exploitation sexuelle d'enfants (CSAM ) .
La loi proposée exigerait que les plateformes technologiques analysent les communications cryptées, ce qui, selon les experts en technologie, ne peut être fait sans déchiffrer le cryptage.
Apple, Google, Microsoft, Facebook/WhatsApp et d'autres ont reconnu depuis un certain temps que c'est un avantage marketing pour eux de pouvoir offrir à leurs clients une sécurité contre la surveillance et contre les criminels. Et probablement aussi de l'effort honnête de protéger les données des clients, de garantir leur vie privée et de les protéger contre les attaques de pirates informatiques criminels. Ils ont donc pris plusieurs mesures :
Cryptage des données sur l'appareil Cryptage des données en communication corrections en cours de bugs et vulnérabilités permettant l'intrusion de criminels (anciennement Jailbrak chez Apple)
Cependant, le cryptage n'est sécurisé que si la clé ne traîne pas en public ou si quelqu'un peut être forcé de la donner. Par conséquent, les "clés privées", qui sont nécessaires pour déchiffrer une communication ou le contenu d'un appareil (smartphone, PC), ne sont pas stockées sur des serveurs centraux, mais exclusivement sur l'appareil de l'utilisateur et cachées dans le matériel de telle sorte que on ne peut pas s'en approcher.
WhatsApp, Signal, Telegram, Threema et d'autres services de chat n'ont pas les clés nécessaires pour écouter les communications.
Selon le document obtenu par Wired, la position de l'Espagne sur le cryptage est la plus radicale.
"Idéalement, à notre avis, il serait souhaitable de légiférer contre les fournisseurs de services basés dans l'UE d'adopter le chiffrement de bout en bout", ont déclaré les responsables espagnols.
Sur les 20 pays membres représentés dans l'enquête, 15 soutiennent l'interdiction des communications cryptées de bout en bout, indique le rapport.
La Pologne a proposé d'introduire des mesures qui permettraient à un tribunal de casser le cryptage et aux parents de décrypter les communications de leurs enfants.
"Il est primordial d'indiquer clairement dans le règlement CSA que le chiffrement de bout en bout n'est pas une raison pour ne pas signaler le matériel CSA ", ont déclaré les représentants de la Croatie.
Roumanie : " Nous ne voulons pas que le chiffrement E2EE devienne un 'refuge' pour les acteurs malveillants..."
Slovénie : " Les ordonnances de divulgation doivent nécessairement s'appliquer également aux réseaux cryptés."
L'Irlande et le Danemark souhaitent que les messages soient analysés pour CSAM sans interdire le chiffrement de bout en bout, ce qui n'est pas possible. Les Pays-Bas ont expliqué qu'il est possible de scanner le contenu sur un appareil avant qu'il ne soit envoyé à un destinataire sous forme chiffrée.
"Il existe (...) des technologies qui permettent la détection automatique du CSAM tout en laissant intact le cryptage de bout en bout ", ont déclaré les responsables du pays. C'est tout simplement absurde.
D'autres pays comme la Hongrie et Chypre ont soutenu la proposition car elle faciliterait l'application de la loi.
Cependant, l'Italie, l'Allemagne, la Finlande et l'Estonie sont opposées à la suppression du chiffrement de bout en bout. L'Allemagne a déclaré qu'elle ne soutiendrait pas une loi qui autoriserait une technologie qui contournerait, modifierait ou perturberait le cryptage.
La Finlande a appelé la Commission européenne à trouver des solutions pour lutter contre le CSAM sans porter atteinte au cryptage.
L'Estonie a averti que les entreprises obligées de scanner les messages cryptés quitteraient le marché européen.
L'Italie a déclaré que la proposition "imposerait un contrôle global sur toute la correspondance cryptée envoyée sur Internet" .
Le document des questions clés du ministère déclare : « La transformation de l'ensemble du système alimentaire vers une alimentation à base de plantes est le facteur le plus important dans le domaine de la nutrition afin d'atteindre nos objectifs nationaux et internationaux en matière de climat, de biodiversité et de durabilité. "
Il ne reste alors qu'une currywurst par mois. C'est ce que disent les représentants de l'industrie alimentaire, même en parlant d'un seul gramme de viande par jour. Selon le ministère de l'Alimentation, cependant, l'objectif n'est pas de "dire aux gens ce qu'ils doivent manger." Le document sur les questions clés n'indique pas spécifiquement la quantité de viande que les Allemands doivent encore manger.
Mais dans le Lebensmittelzeitung, le responsable « Durabilité » de l'Association centrale de l'industrie avicole allemande parle de « 10 grammes de viande prévus par jour. » C'est tiré d'une vidéo explicative de la Société allemande de nutrition (DGE). La viande y est actuellement encore recommandée, mais la recommandation DGE est en cours de révision. Et le plan de nutrition devrait être basé sur cela.
ça devient concret
La question de savoir s'il devrait y avoir un rationnement prescrit est dans les étoiles. Mais la viande pourrait aussi devenir si chère qu'elle deviendrait un véritable produit de luxe. Le document sur les questions clés parle de « façonner le paysage de la consommation » et d'une « structure de prévention ». Et le ministère de l'Alimentation écrit :
« En Allemagne, la consommation de viande est bien au-dessus du niveau nutritionnel recommandé. De plus, la production d'aliments pour animaux nécessite parfois un multiple de l'énergie qu'ils contiennent sous forme de plantes fourragères et est associée à de fortes émissions de gaz à effet de serre et à une pollution de l'environnement. Cela va de pair avec une forte utilisation de ressources limitées telles que l'eau, les combustibles fossiles et le sol (terres agricoles), qui seront également de plus en plus nécessaires à l'avenir pour l'expansion des puits naturels de gaz carbonique. L'objectif est de rendre plus facilement accessible une alimentation végétale avec une proportion élevée de légumes et de fruits non transformés, ainsi que des produits céréaliers riches en fibres et des légumineuses et des noix. De même devrait leRéduire la consommation d'aliments d'origine animale à un niveau durable et favorable à la santé .
Le calendrier est déjà concret. D'ici la fin de l'année, le plan de la stratégie nutritionnelle devrait être adopté au Bundestag. Les nouvelles normes doivent ensuite être mises en œuvre dans la restauration collective d'ici 2030. Cela s'applique aux écoles ou aux cantines, par exemple. Ceux-ci devraient servir de "modèles" et "une alimentation saine" devrait être "au niveau de ce que dit la science".
Comme dans les autres domaines, la transformation devrait alors être achevée d'ici 2050. Ensuite, l'Allemagne devrait manger "plus végétal et durable" et aussi "plus sain" comme le veulent les Verts. La consommation d'insectes et de viande de laboratoire n'est pas mentionnée dans le document sur les questions clés. Mais les grandes entreprises investissent depuis longtemps dans ce domaine, et dans certains pays ces "alternatives à la viande" sont déjà au menu des écoles - par exemple en Australie et au Pays de Galles . Depuis janvier de cette année, un règlement de l'UE autorise l'ajout d'insectes aux aliments.
D'ici 2050, l'UE veut être complètement sortie du pétrole et du gaz. Aux côtés des énergies fossiles, la viande est enregistrée comme un problème central pour le climat – il est donc logique que les politiques tentent de limiter la consommation de viande.
Les casseurs au service… de l’ordre ?
RépondreSupprimer23.05.2023
www.kla.tv/26127
L’actualité ces derniers mois en France a été monopolisée par la réforme des retraites et surtout par les manifestations qu’elle a déclenchées. En général lorsque les médias relatent des manifestations de rue, la formule « émaillé de quelques incidents » est employée pour parler d’accrochages sur le parcours avec les forces de l’ordre. Mais maintenant il ne s’agit plus de quelques incidents comme on le constate de plus en plus par certaines images, mais carrément d’actes d’une violence extrême, comme des incendies de poubelles, de mobilier urbain, de bâtiments, des magasins saccagés mais aussi des manifestants armés qui veulent en découdre avec la police et qui engendrent des blessés même graves parfois. Le point d’orgue a été les affrontements à Sainte Soline même s’il ne s’agissait pas de la réforme des retraites, mais du projet des bassines de stockage d’eau. Alors quelles que soient les revendications des manifestants, celles-ci ne pourront jamais justifier un tel degré de violence et d’ailleurs la violence tout court.
Mais le plus étonnant ou plutôt inquiétant c’est que les forces de l’ordre paraissent de plus en plus impuissante, des policiers ont rapporté, je cite : « Les casseurs sont mieux équipés que nous, on aurait dit une milice, ces gens-là ont cherché à nous tuer, ils étaient là pour s’en prendre à nos vies, ils savent où nous toucher pour mieux nous blesser. » Nos forces de l’ordre seraient-elles en retard en ce qui concerne les moyens de lutte ? Le sujet qui fait débat actuellement est l’utilisation de drones que les responsables du maintien de l’ordre réclament afin de mieux superviser et anticiper les déplacements des casseurs, cela leur est refusé par le conseil d’Etat et le Conseil constitutionnel… alors que Monsieur tout le monde et donc les casseurs en utilisent. Cela pourrait peut-être changer dans les prochains temps. Les casseurs ont une longueur d’avance sur les agents de maintien de l’ordre et par conséquent petit à petit la peur change de camp. Mais ce qui inquiète encore davantage, c’est que non seulement le représentant de l’ordre craint pour son intégrité physique mais il doit également craindre pour celle du casseur, car gare à lui s’il donne un coup de trop, il est certain de faire la une des journaux. Un policier a même expliqué que les casseurs sont prêts à tout pour avoir un blessé. Ils attendent ce blessé pour donner une résonnance médiatique à leur lutte. De plus lorsque les policiers parviennent à en arrêter certains, ils trouvent sur leurs avant-bras des inscriptions, des sortes de mémos indiquant des numéros de téléphone pour contacter un avocat et la procédure à suivre pour ne pas décliner son identité.
de jpl.
RépondreSupprimerSources / Liens :
Manifestations réformes des retraites
LCI : https://www.youtube.com/watch?v=o8h0xptoS80
Violences à Sainte-Soline
France 24 : https://www.youtube.com/watch?v=URFfzMF0qGo
Violences contre les forces de l’ordre
Valeurs Actuelles. N° 4506, mai 2023. p 23-24
Andreas Malm
Valeurs Actuelles. N° 4506, mai 2023. p 30-31
Young Global Leader
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/03/16/20002-20160316ARTFIG00109-emmanuel-macron-promu-young-global-leader-2016-par-le-forum-de-davos.php
https://business-cool.com/decryptage/insolite/young-global-leaders/
Great Reset
https://www.youtube.com/watch?v=cOWFSwyF_2A
https://www.kla.tv/fr
Un vaccin contre le paludisme approuvé par le Ghana et le Nigeria va changer la donne pour l'Afrique, selon des experts
RépondreSupprimer24 Mai 2023
Joseph Opoku Gakpo, Alliance pour la Science*
Les experts africains en santé publique ont salué la récente approbation du vaccin antipaludique R21 au Ghana et au Nigeria.
Ce vaccin a été mis au point par l'Institut Jenner de l'Université d'Oxford et ses partenaires mondiaux.
Certains estiment que cette mesure pourrait mettre le continent sur la voie de l'éradication du paludisme, même si cela prendra beaucoup de temps.
« C'est le début du voyage vers l'éradication du paludisme. Nous sommes encore loin du compte, car l'éradication devrait nous amener à une immunité collective... Mais c'est un pas en avant », a déclaré le Dr Kwame Sarpong Asiedu, pharmacien ghanéen et chargé de recherche en santé au Centre Ghanéen pour la Démocratie et le Développement.
Il a ajouté que l'accès aux vaccins contribuera à réduire le coût des soins de santé en Afrique, car leur utilisation pour prévenir le paludisme sera moins coûteuse que les traitements. « C'est l'un des principaux avantages de ce vaccin et c'est la raison pour laquelle nous sommes enthousiastes. »
La Food and Drugs Authority du Ghana a annoncé qu'elle avait approuvé le vaccin R21 contre le paludisme après une série d'examens des données cliniques et non cliniques.
Le Dr Hubert Amu, de l'École de Santé Publique de l'Université de la Santé et des Sciences Connexes du Ghana, reconnaît que l'approbation est une bonne chose pour l'Afrique.
« Le paludisme est un problème pour l'Afrique subsaharienne depuis des décennies. C'est donc une excellente nouvelle que l'utilisation d'un vaccin ait enfin été approuvée en Afrique pour prévenir la maladie », a-t-il déclaré à l'Alliance pour la Science.
RépondreSupprimerLes avantages connus et potentiels du vaccin l'emportent sur ses risques connus et potentiels, ce qui justifie l'utilisation recommandée par le fabricant.
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, plus de 247 millions de personnes sont infectées par le paludisme chaque année, avec un nombre de décès avoisinant les 619.000.
Environ 95 % des cas de paludisme dans le monde sont enregistrés en Afrique, où l'on estime que se produisent 96 % des décès dus à cette maladie, 80 % d'entre eux concernant des enfants de moins de cinq ans.
Les travaux sur les vaccins antipaludiques ont commencé dans les années 1960, mais les vaccins ne sont pas encore largement disponibles.
La Food and Drugs Authority (FDA) du Ghana a annoncé qu'elle avait approuvé le vaccin R21 contre le paludisme à la suite d'une série d'examens des données cliniques et non cliniques.
Mme Delese Mimi Darko, directrice générale de l'autorité, a déclaré que le vaccin avait été approuvé pour l'immunisation des enfants âgés de cinq à 36 mois contre le paludisme causé par Plasmodium falciparum, le parasite le plus mortel.
La FDA précise que le processus d'évaluation et d'approbation a pris en compte les données de sécurité, d'immunogénicité et d'efficacité issues des cinq principaux essais cliniques menés au Royaume-Uni, au Mali, au Burkina Faso et en Tanzanie.
« Nous espérons que cette première étape cruciale permettra au vaccin d'aider les enfants ghanéens et africains à lutter efficacement contre le paludisme. »
La FDA indique que l'approbation du vaccin repose sur une évaluation satisfaisante des données relatives à la qualité, à l'innocuité et à l'efficacité qui lui ont été soumises.
L'évaluation de ces données a permis de conclure que les avantages du vaccin l'emportent largement sur les risques associés à son utilisation.
Quelques jours après l'approbation au Ghana, la National Agency for Food and Drug Administration And Control (NAFDAC du Nigeria a également annoncé qu'elle avait donné une approbation provisoire pour l'utilisation du vaccin R21 contre le paludisme.
RépondreSupprimerLe professeur Mojisola Christianah Adeyeye, directeur général de la NAFDAC, a déclaré dans un communiqué que le dossier du vaccin R21 avait fait l'objet d'un examen indépendant à deux niveaux sur la base des normes de l'Organisation Mondiale de la Santé.
Le comité consultatif sur les vaccins de la NAFDAC (NEVAC), composé de quatre experts hautement reconnus, a jugé le dossier adéquat et entièrement conforme aux normes.
Le comité interne d'examen des vaccins de la NAFDAC a également jugé, de manière indépendante, le dossier satisfaisant.
Les avantages potentiels l'emportent sur les risques
Un examen conjoint par les membres des deux comités a permis de conclure que, dans l'ensemble, le dossier du vaccin antipaludique R21 était conforme aux meilleures normes internationales.
L'examen a également conclu que les données relatives au vaccin étaient solides et répondaient aux critères d'efficacité, d'innocuité et de qualité.
Il a également été jugé que les avantages connus et potentiels du vaccin l'emportaient sur ses risques connus et potentiels, ce qui justifie l'utilisation recommandée par le fabricant.
L'autorité indique que le vaccin constituera un outil d'intervention supplémentaire pour aider le pays à lutter contre le paludisme. L'autorité a toutefois recommandé la réalisation d'un essai clinique de phase 4 supplémentaire dans le pays, compte tenu de la spécificité et de la nature hétérogène du paludisme au Nigeria.
En raison de son coût moins élevé, le vaccin R21 devrait être plus populaire que le Mosquirix, le vaccin qui a été approuvé en premier.
Les derniers essais montrent que le vaccin a un taux d'efficacité de 77 %.
Le Ghana et le Nigeria ont approuvé les vaccins avant même que les données relatives à la dernière phase des essais ne fussent publiées.
Mais le Dr Sarpong Asiedu estime que ce n'est pas un problème majeur.
« Je ne pense pas que le processus soit étrange. Sachant que les travaux ont commencé en 2000, il n'y a rien d'étrange à cela... La FDA a vu toutes les données datant de 2004 et 2005 parce qu'elle a été impliquée dans le processus », a-t-il déclaré.
Impact attendu du vaccin
RépondreSupprimerUne déclaration de l'Institut Jenner de l'Université d'Oxford a suivi l'approbation du vaccin : « On espère que cette première étape cruciale permettra au vaccin d'aider les enfants ghanéens et africains à lutter efficacement contre le paludisme. »
Le communiqué ajoute que cette percée est une étape cruciale dans la réduction d'un demi-million de décès liés au paludisme et dans l'amélioration de l'état de santé de millions de personnes en Afrique.
Le professeur Adrian Hill, chercheur principal du projet, a déclaré que le vaccin R21 est un vaccin à faible dose qui peut être fabriqué à grande échelle et à un coût modeste, ce qui permettrait de fournir des centaines de millions de doses aux pays africains qui souffrent d'un fardeau important en matière de paludisme.
Le Serum Institute of India, qui fabriquera les vaccins, indique qu'il a déjà établi des capacités de production potentielles de plus de 200 millions de doses par an.
En raison de son coût moins élevé, le vaccin R21 devrait être plus populaire que le Mosquirix, le vaccin développé par GlaxoSmithKline qui a été approuvé en premier.
Hésitation à l'égard du vaccin
Le Dr Sarpong Asiedu ne s'attend pas à ce que le vaccin contre le paludisme fasse l'objet de la même hésitation que le vaccin contre la Covid-19 au Ghana.
« Le Ghana a mis en place un programme très solide et étendu de vaccination contre les maladies infantiles [...] Le paludisme se greffera simplement sur ces programmes. En ce sens, je ne pense pas qu'il y aura beaucoup d'hésitations. Mais nous avons encore besoin de beaucoup de communication », a-t-il déclaré.
Selon le Dr Amu, l'hésitation face aux vaccins est généralement due à des rumeurs et des mythes, à un manque de confiance dans le système et le personnel de santé, et à la difficulté d'accéder aux vaccins.
« Pour réduire le niveau d'hésitation, nous devons travailler avec les chefs de communautés, les pasteurs, les imams... Nous devons impliquer les parties prenantes. Il ne doit pas s'agir d'une approche du haut vers le bas où tout est déversé sur les gens. Nous devons travailler avec les dirigeants pour qu'ils puissent communiquer avec la population », a-t-il déclaré.
« Nous devons assurer une éducation sociale. L'éducation sur les vaccins doit être dispensée au bon endroit. »
_______________
* Source : It will be a game changer for Africa, experts say of malaria vaccine approved by Ghana and Nigeria - Alliance for Science
https://seppi.over-blog.com/2023/05/un-vaccin-contre-le-paludisme-approuve-par-le-ghana-et-le-nigeria-va-changer-la-donne-pour-l-afrique-selon-des-experts.html
AUCUN des docteurs et professeurs ci-dessus ne parlent d'examen attentifs au microscope a balayage électronique des flacons injectables !! (comme l'ont fait les Dr Astrid Stuckelberger & Carrie Madej qui ont découvert les poisons intérieurs ! De 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! + des hydres ! + des spikes ! + diverses maladies animales dont une quarantaine de venins différents de serpents !
SupprimerSi avec çà vous ne mourez pas !...
Le film "Making a Killing" expose les protocoles covid de l'hôpital comme une arnaque génocidaire contre de l'argent
RépondreSupprimerMardi 23 mai 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Un nouveau documentaire intitulé "Making a Killing: Unmasking the Truth behind the Deadly Hospital Protocols" fait sauter le couvercle sur les protocoles horribles et mortels du coronavirus de Wuhan (Covid-19) que les hôpitaux de toute l'Amérique utilisaient comme monnaie d'échange vache pendant la «pandémie» alors que des millions de personnes ont inutilement souffert et en sont mortes.
Une femme nommée Patty Myers, utilisant 9 000 $ en « argent silencieux » que le gouvernement lui a proposé de garder silencieux sur la véritable cause de la mort « covid » de son mari, a réalisé le film, que vous pouvez regarder ci-dessous :
Myers dit qu'elle ignorait à l'époque que les hôpitaux recevaient de l'argent du gouvernement fédéral pour utiliser les protocoles mortels, qui, selon elle, sont ce qui a tué son mari – et non le covid lui-même.
"Quand j'ai commencé à faire ce film, je ne savais pas que l'argent fédéral conduisait le protocole", a-t-elle déclaré. "Je le fais maintenant."
(Connexe: Découvrez ces enregistrements de 2021 montrant que les protocoles covid hospitaliers sont ce qui a tué les patients, pas «covid».)
Les hôpitaux sont censés sauver des vies, pas y mettre fin
Selon un récent rapport du groupe de surveillance Open the Books, les 20 plus grands hôpitaux à but non lucratif du pays ont récolté collectivement plus de 23 milliards de dollars du gouvernement entre 2018 et 2021.
"... leurs actifs nets cumulés ont grimpé à 324,3 milliards de dollars en 2021, contre 200,6 milliards de dollars en 2018", indique le rapport.
Dans le même temps, de nombreux dirigeants d'hôpitaux sont devenus très riches à cause de l'escroquerie, beaucoup d'entre eux étant payés 10 millions de dollars par an ou plus pour avoir utilisé les protocoles covid pour tuer des patients "covid".
La seule façon d'obtenir de l'argent était d'utiliser les protocoles officiels du gouvernement, qui comprenaient des choses comme les ventilateurs et le remdesivir, qui sont tous deux extrêmement mortels. Pendant ce temps, les patients étaient privés de véritables remèdes curatifs comme l'hydroxychloroquine (HCQ) et l'ivermectine, qui étaient interdits.
"Si l'hôpital vous a admis avec un diagnostic de COVID - super, ils ont été payés plus!" a écrit Stella Paul pour LifeSiteNews sur le fonctionnement de l'arnaque.
RépondreSupprimer"S'ils vous ont "traité" avec du remdesivir, un médicament bien documenté comme mortel - fantastique, ils ont obtenu un bonus de 20% sur l'ensemble de la facture ! Si l'hôpital vous a torturé avec une ventilation mécanique qui a causé une pneumonie bactérienne secondaire - hourra, ils ont reçu un paiement encore plus important ! Et si l'hôpital a vraiment eu de la chance et que vous êtes mort du COVID (même si ce n'est pas directement du COVID) - la manne financière était absolument géniale.
Dans le cas de Myers, son mari, Tony, a généré plus d'un demi-million de dollars pour l'hôpital où il a été "traité", malgré le fait que personne sur place ne pouvait, ou ne voulait même pas, prendre la peine de lui apporter un verre d'eau pour le garder. hydraté.
Myers pense que l'hôpital a simplement obéi aux ordres en échange de l'argent du gouvernement, ce qui a entraîné la mort de son mari plutôt que sa guérison.
"C'était mon meilleur ami", dit maintenant Myers, souvent en larmes en se rappelant ce qu'est devenu son mari aux mains de l'hôpital. "C'était mon partenaire. Nous avons tout fait ensemble. »
Avant sa mort, Tony et sa femme, qui ont un fils autiste, se sont associés pour créer deux organisations à but non lucratif pour aider d'autres enfants ayant des besoins spéciaux dans la région d'Orlando où ils vivent.
"Tony m'a appelé de l'hôpital et m'a dit que nous nous portions volontaires pour défendre les personnes handicapées tout le temps", se souvient Patti.
«Et me voilà dans cet hôpital, essayant de me défendre et personne ne m'écoutera. J'ai appelé les médias, le gouverneur, tous ceux à qui je peux penser; personne ne répondra.
Assurez-vous de regarder le film ci-dessus pour entendre le reste de l'histoire.
Covid est peut-être terminé, mais les auteurs derrière lui n'ont pas encore reçu la justice qu'ils méritent. Pour en savoir plus, visitez Plague.info.
Les sources de cet article incluent :
RépondreSupprimerMakingAKillingDoc.com
LifeSiteNews.com
NaturalNews.com
OpenTheBooks.com
https://www.naturalnews.com/2023-05-23-making-a-killing-film-hospital-covid-protocols.html
Sasha Latypova est également familière avec la présence de contamination par l'ADN dans les injections de covid, ayant déclaré à Peter Snowden lors d'une interview que cela continue d'être "un énorme problème à cause de ce plasmide compétent pour la réplication.
RépondreSupprimer"Il peut alors envahir les cellules humaines, il peut envahir les cellules bactériennes qui vivent dans votre intestin", a-t-elle ajouté. "Donc, ils entrent dans les bactéries qu'ils répliquent là-bas, ils répliquent des gènes résistants aux antibiotiques … cela peut provoquer une septicémie, cela peut provoquer un cancer, toutes sortes de problèmes."
Décrivant cela comme une ligne rouge qui a été franchie, le Conseil mondial de la santé (WCH) a émis un avertissement selon lequel "la contamination par l'ADN des" vaccins "à ARNm présente un risque pour tout le monde sur la planète".
«L'ADN réplicable, les soi-disant plasmides, dans les vaccins monovalents et bivalents, qui ne devraient pas être là du tout… Nous ne pouvons que spéculer sur la façon dont cela se terminera, mais ce qui doit se passer aujourd'hui après la publication de l'article de McKernan et al (2023) est un arrêt immédiat du programme de "vaccin covid-19".
Il y a de fortes chances que cela se produise, mais au moins l'idée gagne du terrain. La soi-disant «urgence» du covid est maintenant officiellement terminée, et tout à coup le gouvernement a décidé que le public américain ne devrait plus recevoir l'injection de covid vecteur viral de Johnson & Johnson (Janssen) - mais Pfizer et Moderna distribuent toujours leurs injections respectives.
"C'est à la fois dans Moderna et Pfizer", a expliqué McKernan dans une interview avec David Horowitz de la revue conservatrice, notant qu'il ne semble pas y avoir de contrôle de la qualité dans les processus de fabrication de ces deux injections largement distribuées.
«Nous avons examiné les vaccins bivalents pour Moderna et Pfizer et uniquement les vaccins monovalents pour Pfizer car nous n'avions pas accès aux vaccins monovalents pour Moderna. Dans les trois cas, les vaccins contiennent une contamination par ADN double brin. Si vous séquencez cet ADN, vous constaterez qu'il correspond à ce qui semble être un vecteur d'expression utilisé pour fabriquer l'ARN.
Vous souhaitez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité de toutes les injections de vaccins ? Vous pouvez le faire sur Vaccines.news.
Les sources de cet article incluent :
Expose-News.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-05-23-pfizer-covid-injections-dna-contamination-cancer-sv40.html
Est-ce la raison pour laquelle les pédiatres poussent les vaccins ?
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
24 mai 2023
En avril 2023, j'ai rapporté comment des prestataires de soins primaires à travers les États-Unis ont été soudoyés avec des programmes d'incitation pour contraindre les patients à se faire vacciner contre le COVID toxique. Puisqu'il n'y avait aucune responsabilité pour faute professionnelle médicale, les médecins en ont profité tandis que les patients risquaient leur vie en participant à une expérience médicale sans précédent, tout en se faisant mentir sur la sécurité et l'efficacité de ces injections.
Encore plus flagrant, une fois que la Food and Drug Administration des États-Unis a autorisé le vaccin COVID pour les enfants, des incitations à la vaccination similaires ont également été étendues aux pédiatres. Comme détaillé dans un bulletin du fournisseur Anthem Blue Cross et Blue Shield Medicaid1 daté de juillet 2022, les médecins ont reçu 50 $ pour chaque patient Medicaid âgé de 6 mois et plus, qui a reçu le vaccin expérimental.
Les pédiatres sont financièrement incités à vacciner
Il s'avère que les médecins ont été financièrement incités à vacciner les enfants pendant longtemps. Selon un article de JAMA Pediatrics de 19992, le nombre moyen de patients chez les pédiatres américains est de 1 546, bien que le nombre de patients soit « considérablement plus élevé dans les zones moins peuplées et les cabinets en solo ».
Parmi ceux-ci, 8,3 % avaient moins de 1 an, 9,5 % avaient 1 an et 8,6 % avaient 2 ans.3 Cela signifie qu'environ 26,4 % des patients du pédiatre moyen avaient 2 ans ou moins. Des données plus récentes4, publiées en 2021, montrent que 75 % des pédiatres ont entre 1 000 et 1 800 patients et 21 % environ 1 200 patients ; la plupart des cabinets, 65 %, se situent entre 1 000 et 1 500.
Comme indiqué dans le document du programme d'incitation des fournisseurs de 2016 de Blue Cross Blue Shield ci-dessous,5,6 les pédiatres recevaient 400 $ pour chaque patient pédiatrique qui effectuait les 10 vaccinations répertoriées - 25 doses en tout7 - avant leur deuxième anniversaire. (Gardez à l'esprit que les incitations peuvent varier d'un État à l'autre. L'exemple fourni fait partie du programme de reconnaissance de la performance Blue Cross Blue Shield du Michigan.)8
RépondreSupprimerCombien d'argent est en jeu ?
Le calcul à partir de là est assez simple (bien que gardez à l'esprit que nous avons ici affaire à des moyennes présumées et à des statistiques d'âge). Multipliez simplement le nombre de patients de moins de 2 fois 400 $. En utilisant les statistiques moyennes de 1999, si un pédiatre a 1 000 patients, on peut s'attendre à ce que 264 aient 2 ans ou moins. Si tous sont entièrement vaccinés, le pédiatre serait admissible à une prime de fin d'année de 105 600 $.
- voir cadre sur site -
Bien que 400 $ par enfant entièrement vacciné puisse sembler suffisamment incitatif, il y a une pression supplémentaire ici, car Blue Cross Blue Shield a également (ou du moins avait, en 2016) un niveau « cible » de 63 %.
Cela signifie que si le pédiatre ne parvient pas à vacciner 63 % de ses patients éligibles, il ne reçoit rien. Ainsi, le pédiatre a une TRÈS forte incitation à faire vacciner autant de tout-petits que possible, afin de ne pas manquer cet objectif. Ce ne sont pas seulement 400 $ qui sont en jeu lorsque les parents refusent un ou plusieurs vaccins. Des dizaines de milliers de dollars pourraient être en jeu. Comme l'a noté le Dr Bob Sears :9
«De telles incitations… finissent par forcer un médecin à considérer les implications financières de l'acceptation de patients qui veulent même simplement se retirer d'un vaccin… Peut-être que quelques-unes de ces familles ne les feraient pas échouer aux examens des dossiers, mais s'ils en ont trop, voilà leur prime de fin d'année.
Pourquoi les pédiatres deviennent des adversaires
RépondreSupprimerChaque fois que des incitations financières font partie de l'équation, on peut raisonnablement supposer que l'attrait de l'enrichissement personnel l'emportera. Avec des dizaines de milliers de dollars en jeu, les pédiatres peuvent facilement se laisser aller à la complaisance lorsqu'il s'agit d'approfondir la science.
Après tout, qui veut voir la preuve que ce qu'ils font fait plus de mal que de bien ? Ces types d'incitations encouragent également les pédiatres à simplement jeter les parents interrogateurs hors de leur pratique, pour faire de la place à des patients plus dociles qui ne mettent pas leur revenu en danger. Tel que rapporté par Children’s Health Defence en 2018 : 10
"... les 11 visites recommandées par l'AAP au cours des 30 premiers mois d'un enfant (avec des visites annuelles par la suite jusqu'à l'âge de 21 ans) garantissent un flux constant de clients réguliers et de revenus pour les pédiatres.
Conformément au calendrier de vaccination des Centers for Disease Control and Prevention, les pratiques pédiatriques doivent administrer des vaccins (souvent jusqu'à six à la fois) à environ la moitié des visites d'enfants en bonne santé pendant l'adolescence, faisant de la vaccination un pain fondamental et -composante beurre de la description de poste des pédiatres…
Il est assez courant que les pédiatres (et les médecins de famille) rencontrent des parents qui refusent un ou plusieurs vaccins pour nourrissons, le plus souvent pour des raisons de sécurité. Ces préoccupations signifient également que les pédiatres reçoivent fréquemment des demandes de modification ou de report du calendrier de vaccination – près des trois cinquièmes (58 %) des pédiatres ont signalé de telles demandes dans une enquête AAP de 2014…
Plutôt que de reconnaître la validité des préoccupations des parents en matière de sécurité ou d'admettre leur propre ambivalence à propos de certains des nouveaux vaccins, de nombreux pédiatres - près de deux sur cinq selon certaines estimations - choisissent d'exclure les familles non coopératives de leur pratique...
En fin de compte… des incitations financières subtiles et pas si subtiles et des pressions sociales sont susceptibles de maintenir une adhésion généralisée des pédiatres au calendrier vaccinal – même dans les cas où des contre-indications sont présentes.
Bien que les pédiatres aient l'obligation légale d'informer pleinement les patients sur les risques et les effets secondaires des vaccins, l'attrait des avantages monétaires et le désir de s'intégrer peuvent diminuer leur motivation à le faire.
Les patients sont aussi soudoyés
RépondreSupprimerEn plus des incitatifs financiers accordés aux médecins, il existe aussi des « incitatifs pour les clients et les familles ». Un groupe non gouvernemental d'experts en santé publique et en prévention appelé « Community Preventive Services Task Force »11 a publié en 2015 un guide12 sur la façon d'augmenter les taux de vaccination en utilisant des récompenses incitatives pour les patients.
Le groupe de travail a été créé par le Département américain de la santé et des services sociaux en 1996 « pour élaborer des directives sur les approches communautaires de promotion de la santé et de prévention des maladies qui fonctionnent et celles qui ne fonctionnent pas, sur la base des preuves scientifiques disponibles ».13 Comme expliqué par ce groupe de travail :14
«Le groupe de travail sur les services préventifs communautaires recommande des récompenses incitatives pour les clients ou les familles, utilisées seules ou en combinaison avec des interventions supplémentaires, pour augmenter les taux de vaccination chez les enfants et les adultes.
Les récompenses incitatives du client ou de la famille sont utilisées pour motiver les gens à obtenir les vaccins recommandés. Les récompenses peuvent être monétaires ou non monétaires, et elles peuvent être remises aux clients ou aux familles en échange du respect d'un rendez-vous, d'une vaccination, d'un retour pour une série de vaccinations ou de la production de documents sur le statut vaccinal. Les récompenses sont généralement modestes (par exemple, des bons alimentaires, des cartes-cadeaux, des prix de loterie, des produits pour bébés). »
Les preuves scientifiques à l'appui de la corruption de patients avec des bons alimentaires, des cartes-cadeaux et d'autres produits de valeur limitée seraient de 4 sur 4, ce qui signifie très solides. En d'autres termes, les incitations, même celles qui ne valent presque rien, fonctionnent.
En effet, nous l'avons également vu pendant le COVID-19. Les gens faisaient la queue pour des clichés COVID expérimentaux en échange d'un beignet, d'un hamburger et de frites ou même d'un tour de danse gratuit au club de strip-tease local. Le modèle est le même. Jetez un os au patient et il acceptera des choses qui rapportent aux autres de gros profits.
En tant que patients, nous devons nous familiariser avec ce genre de trucs et les interpréter pour ce qu'ils sont. Ces types de « cadeaux » ne sont pas offerts par gentillesse ou par souci de votre bien-être. C'est un pot-de-vin de conformité, et votre conformité rend quelqu'un riche. Pendant ce temps, tous les risques encourus sont sur vous.
Mandats contre la corruption et les vaccins
RépondreSupprimerLa corruption fait également partie du cours en ce qui concerne les mandats de vaccination. Comme détaillé dans un article précédent, Pfizer a versé des sommes non divulguées à des groupes de façade qui ont plaidé pour des mandats de piqûres COVID, masquant ainsi leur conflit d'intérêts. En partie grâce au faux travail « populaire » de ces groupes, Pfizer a pu récolter un chiffre d'affaires record de 100 milliards de dollars en 2022.15
Bien sûr, le gouvernement américain a également versé aux médias un montant stupéfiant de 1 milliard de dollars pour promouvoir et renforcer la confiance du public dans le jab, et Pfizer lui-même a dépensé 2,8 milliards de dollars en publicités rien qu'en 2022.
Mais la pression des groupes de consommateurs, des groupes de défense des droits civiques, des groupes de patients et des groupes de médecins – qui avaient tous été payés – était probablement la raison pour laquelle les mandats de piqûre COVID pouvaient même être officiellement envisagés par le gouvernement. Ils ont créé un faux consensus selon lequel les gens voulaient désespérément que les mandats de vaccination assurent la « sécurité » de tout le monde.
Les groupes d'intérêts spéciaux payés par Pfizer16 pour faire pression pour des mandats de piqûre COVID et des politiques de vaccination coercitives comprenaient la ligue urbaine de Chicago (qui a fait valoir que le mandat de piqûre profiterait à la communauté noire), la Ligue nationale des consommateurs, le Partenariat de vaccination, le Conseil de la publicité et un long liste des universités et des organismes de lutte contre le cancer, les maladies du foie, la cardiologie, la rhumatologie et les sciences médicales.
Pfizer n'a pas eu à prendre une position proéminente pour plaider en faveur des mandats de vaccins, ce qui aurait été un conflit d'intérêts évident. Ils ont payé d'autres pour pousser les mandats pour eux.
Chacune de ces organisations a reçu de plusieurs milliers à des centaines de milliers de dollars de Pfizer en 2021 seulement. Faut-il alors s'étonner que plus de 50 grandes organisations de soins de santé aient réclamé des mandats de vaccination cette année-là, y compris pour leurs propres travailleurs ?17
Les taux de vaccination des enfants ont chuté pendant la COVID
Alors que la pandémie de COVID-19 a fait avancer de nombreux objectifs mondialistes, elle a par inadvertance fait chuter les taux de vaccination des enfants, car de nombreux parents ont fini par manquer les visites de routine des enfants en bonne santé en raison des fermetures de cliniques, des fermetures et de la peur d'emmener leurs enfants à l'extérieur. Tel que rapporté par l'American Medical Association (AMA) en novembre 2021 : 18
« … des recherches récemment publiées jettent un nouvel éclairage sur la façon dont la pandémie de COVID-19 a perturbé certaines de ces vaccinations de routine, car les parents et leurs enfants ne se sont pas contentés de rester à la maison – ils se sont tenus à l'écart du médecin.
RépondreSupprimerL'étude JAMA Pediatrics19… a révélé que les taux d'administration de vaccins étaient significativement plus faibles dans tous les groupes d'âge pédiatriques lorsque la pandémie a fait son apparition aux États-Unis… Par exemple, seuls 74 % des nourrissons ayant atteint l'âge de 7 mois en septembre 2020 étaient à jour de leurs vaccinations , une baisse par rapport à 81 % en septembre 2019.
Et seulement 57 % des nourrissons qui ont atteint la barre des 18 mois en septembre 2020 étaient à jour, contre 61 % l'année précédente. La proportion d'enfants à jour pour les vaccinations de routine était la plus faible chez les enfants noirs, avec des inégalités plus prononcées dans le groupe des 18 mois.
The Big Catch-Up Initiative
- voir clip sur site -
Pour remettre les taux de vaccination des enfants sur la bonne voie, Chelsea Clinton fait maintenant le tour de la promotion d'une nouvelle initiative de vaccination appelée "The Big Catch-Up". Dans une récente interview accordée au magazine Fortune20, Clinton a promis que ce serait « le plus grand effort de vaccination infantile jamais réalisé ». Au cours des 18 prochains mois, cette initiative tentera de "rattraper autant d'enfants que possible", a-t-elle déclaré.
Les partenaires de cet effort comprennent l'Organisation mondiale de la santé, l'UNICEF, Gavi, l'Alliance du vaccin, la Fondation Bill & Melinda Gates, l'Agenda de vaccination 2030 et plusieurs autres "partenaires de santé mondiaux et nationaux". Tel que rapporté par l'OMS, 24 avril 2023:21
« La pandémie a vu les niveaux de vaccination essentiels diminuer dans plus de 100 pays, entraînant une augmentation des épidémies de rougeole, de diphtérie, de poliomyélite et de fièvre jaune. «The Big Catch-up» est un effort prolongé pour élever les niveaux de vaccination chez les enfants au moins aux niveaux pré-pandémiques et s'efforce de dépasser ceux…
Tout en appelant les citoyens et les gouvernements de chaque pays à jouer leur rôle pour aider à rattraper leur retard en atteignant les enfants qui n'ont pas été vaccinés, The Big Catch-up mettra particulièrement l'accent sur les 20 pays où les trois quarts des enfants qui n'ont pas été vaccinés en 2021 en direct…
Les 20 pays où vivent les trois quarts des enfants qui n'ont pas été vaccinés en 2021 sont : l'Afghanistan, l'Angola, le Brésil, le Cameroun, le Tchad, la RPDC [République populaire démocratique de Corée], la RDC [République démocratique du Congo], l'Éthiopie, l'Inde, l'Indonésie , Nigéria, Pakistan, Philippines, Somalie, Madagascar, Mexique, Mozambique, Myanmar, Tanzanie, Viet Nam.
RépondreSupprimerLe programme de vaccination est exécuté dans le style de la "soft mafia"
Lorsque vous examinez tous ces domaines de la corruption et des incitations financières, ne semble-t-il pas que l'ensemble du programme de vaccination repose sur la coercition financière ? Une sorte d'opération de type "mafia douce", où les menaces et les promesses tournent toutes autour de l'argent et de la honte publique/professionnelle par rapport aux distinctions.
Que se passerait-il si toutes les incitations financières étaient supprimées ? Toutes les primes de performance versées aux médecins, les cadeaux offerts aux patients, les "dons de bienfaisance" aux organisations favorables à l'industrie et les paiements aux groupes de façade ?
Que se passerait-il si les parents recevaient simplement des preuves impartiales et que personne n'était financièrement poussé à faire pression sur eux dans un sens ou dans l'autre ? Je n'ai pas la réponse. C'est une expérience de pensée. Mais je soupçonne que les taux de vaccination chuteraient de façon spectaculaire.
Sources and References
1 Anthem Blue Cross and Blue Shield Medicaid Provider Bulletin July 2022
2 JAMA Pediatrics & Adolescent Medicine 1999;153(1):9-14
3 JAMA Pediatrics & Adolescent Medicine 1999;153(1):9-14, Table 2
4 Chipsblog.PCC July 6, 2021
5, 8 BCBS 2016 Performance Recognition Program, Page 15
6 Twitter Jessica Rojas April 7, 2023
7, 9, 10 Children’s Health Defense March 18, 2018
11, 13 Community Preventive Services Task Force
12, 14 Community Preventive Services Task Force, Vaccination Programs: Client or Family Incentive Rewards 2015
15 Fierce Pharma April 21, 2023
16 Document Cloud Pfizer 2021 Funding Report
17 ABC News July 26, 2021
18 American Medical Association November 10, 2021
19 JAMA Pediatrics 2022;176(1):68-77
20 Twitter Chief Nerd May 7, 2023
21 WHO.int April 24, 2023
https://www.lewrockwell.com/2023/05/joseph-mercola/is-this-why-pediatricians-push-vaccines/
Pouvez-vous nommer > 5 Amish non vaccinés qui sont morts du COVID ? Pourquoi pas? Ils sont "censés" mourir en masse !
RépondreSupprimerLes Amish n'ont pas enfermé, éloigné socialement, masqué ou pris de vaccin. C'était comme d'habitude. Peu sont morts. J'ai offert 2 500 $ à quiconque pourrait nommer > 5 Amish décédés. Pas de preneurs. Juste des excuses.
STEVE KIRSCH
23 MAI 2023
Les personnes qui vivent dans les communautés amish : pas de vaccins, pas de masques. Aucun décès. Personne n'a pu nommer 5 Amish décédés du COVID à Lancaster, PA, qui est la plus grande communauté amish des États-Unis. Oups ! J'ai offert 2 500 $ et tout ce que j'ai obtenu, ce sont des excuses expliquant pourquoi ils ne pouvaient pas me donner un seul nom de personne décédée.
Résumé
Les Amish traditionnels ne vaccinent pas. Et ils forment une communauté soudée. Ils constituent donc la cohorte placebo parfaite. Nous comparons simplement le taux de mortalité des Amish non vaccinés avec le taux de mortalité des personnes dans la même région.
J'ai récemment appris qu'il est probable que dans la communauté Amish non vaccinée de plus de 50 000 personnes à Lancaster, Pennsylvanie, il y ait moins d'une poignée de personnes décédées du COVID. Lancaster est la plus grande communauté amish des États-Unis.
Ouah.
Si personne au monde ne peut nommer plus de 5 personnes Amish non vaccinées décédées à Lancaster, en Pennsylvanie, cela signifie toute la réponse à la pandémie (verrouillages, fermetures d'entreprises, fermetures d'écoles, fermetures d'églises, tests, masquage, distanciation sociale, mandats, ne pas tester les gens pour l'immunité avant la vaccination et la vaccination) était complètement inutile et contre-productif. Oups !
Donc, mon "Pouvez-vous nommer> 5 ?" défi posté sur Twitter est un test objectif qui devrait être trivial à gagner si les journaux médicaux ont raison de dire qu'il y a une pandémie de non vaccinés.
Jusqu'à présent, personne n'a pu nommer> 5 personnes Amish non vaccinées à Lancaster, en Pennsylvanie, décédées des suites de COVID. En fait, ils ne peuvent nommer personne. Zéro.
Les gens ont juste trouvé des excuses, ont fait référence à des Amish vaccinés qui sont morts, ont pensé qu'un mennonite était la même chose qu'un Amish, etc. La liste des excuses était interminable. Le nombre de noms qualificatifs ? Zéro.
Si vous voulez une preuve objective que notre société a été détruite pour rien, mon pari Amish est votre preuve.
RépondreSupprimerLes Amish n'ont rien fait et leur nombre de morts était 30 fois inférieur au nôtre. Ils ont fait comme si de rien n'était.
Apprendrons-nous d'eux ? Aucune chance.
Le CDC ne fera jamais d'étude sur les Amish ; ce serait trop gênant pour eux. Cela montrerait au monde que tout ce qu'ils nous demandaient était à la fois nuisible et inutile ; ça a aggravé les choses. Et les choses que le CDC a dit de ne pas faire ? Eh bien, c'est ce que les Amish ont fait. Tu sais; comme cette pâte de cheval.
Au lieu de confier le contrôle de la prochaine pandémie à l'OMS, nous ferions mieux de mettre les Amish aux commandes.
L'essentiel est le suivant. Ils peuvent vous lancer tous les documents techniques du monde expliquant comment les Amish meurent en masse, mais s'ils ne peuvent pas réellement trouver les noms de> 5 Amish non vaccinés qui sont morts du COVID à Lancaster, Pennsylvanie depuis le début de la pandémie, vous devriez leur dire où ils peuvent coller leurs «études scientifiques» et leurs stupides politiques d'atténuation du COVID.
La vidéo "à voir absolument"
Cela donnera le contexte nécessaire. C'est une courte vidéo de 5 minutes mettant en vedette Sharyl Attkisson.
Personne dans les médias grand public ne touchera à cette histoire car elle explose complètement le récit. Cela montre que toutes les interventions COVID étaient complètement inutiles ! Les Amish sont revenus à la normale en mai 2020. Relisez cela.
Les Amish ont obtenu une immunité collective avant même que les vaccins ne soient disponibles.
Ils ont également zéro autisme (sauf si la personne est adoptée) pour les personnes qui évitent la vaccination.
Mais quand j'ai entendu dire qu'il y avait eu moins de 5 décès par COVID sur 50 000 personnes pendant toute la pandémie, j'ai su que j'avais un gagnant.
RépondreSupprimerUn simple test objectif auquel personne ne peut répondre et qui prouve que tout ce qu'on nous a dit de faire a en fait aggravé les choses environ 30 fois.
Mon défi de 2 500 $ pour nous montrer > 5 noms
Il y avait au moins deux Amish non vaccinés qui sont morts du COVID à Lancaster, en Pennsylvanie. Mais à ma connaissance, il n'y en a pas plus de 5. Ce concours est donc théoriquement gagnable (puisque personne n'a la connaissance parfaite). Il n'y a pas d'astuce. Toute preuve raisonnable est acceptable (par exemple, leurs voisins amish garantissent qu'ils n'ont pas été vaccinés). Si le seuil était de 2 morts, je le gagnerais moi-même. Mais je n'ai pas pu trouver plus de 5 Amish totalement non vaccinés qui répondaient aux critères du concours ci-dessous :
Ce document n’a trouvé aucun décès Amish COVID à Lancaster, PA.
Résiliation de l'offre
Le concours se termine le 30 mai 2023 et je dévoilerai les deux noms que je connais juste pour prouver qu'il était possible de gagner s'il y avait plus de morts.
Les excuses
J'ai tout, sauf les noms. Personne n'a trouvé un seul nom. Vous pouvez lire l'intégralité du fil Twitter ici. Ils m'ont indiqué divers articles scientifiques indésirables affirmant que les non-vaxxés étaient plus susceptibles de mourir du COVID, que les Amish mouraient en masse, etc. Si l'un de ces articles était vrai, ils pourraient facilement gagner mon concours. Une personne m'a indiqué une femme mennonite célibataire qui est décédée et a affirmé que je devais payer. Vous pouvez lire les réponses et vous secouerez la tête.
Certains ont dit qu'ils ne pouvaient pas donner les noms des personnes décédées car ce serait une violation de la loi HIPAA. Intéressant ! Avez-vous déjà vu une nécrologie dans le journal où le nom a été expurgé pour des raisons de confidentialité médicale ? HIPAA ne s'applique que si la personne est un de ses patients et que le patient lui a donné des informations médicales dans le cadre de la pratique médicale. Autant que je sache, aucune de ces personnes n'a prétendu soigner les Amish.
C'est de la merde. Tout ce qu'ils ont à faire est de décrocher le téléphone et de parler à leurs amis amish et de dire: "Hé, connaissez-vous quelqu'un qui n'a pas été vacciné et qui est mort du COVID ?"
Je l'ai fait, mais je viens d'avoir 2 noms.
Le tout était de détourner l'attention du fait qu'ils ne peuvent pas trouver> 5 noms car pas plus de 5 Amish sont morts du COVID. C'est incontournable.
Mes réponses préférées
C'est le gagnant. Il a obtenu 50 % de vues en plus que mon tweet principal !
En voici d'autres :
RépondreSupprimerLeur prochaine étape consiste à adopter une loi ordonnant au DHS de vacciner de force tous les Amish avec plus de 70 vaccins en une seule séance pour assurer la sécurité de l'Amérique : "c'est pour le plus grand bien".
Ce commentaire suivant est un peu ironique :
Revenez dans un jour pour voir ce que les amis d'Andrew lui ont dit :
Notes de la communauté Twitter
OK, donc s'il y a tant de décès en excès, alors comment se fait-il que personne ne connaisse plus que quelques personnes dans la communauté Amish non vaccinée qui sont mortes du COVID ?
C'est ce que je veux savoir !
Vous ne pouvez pas gagner sur les deux tableaux
Les Amish ont obtenu l'immunité collective en mars 2021. Donc, s'il existe un article affirmant qu'il y a eu un excès de décès en mars 2021 et au-delà, nous pouvons maintenant le citer comme preuve que les vaccins ne fonctionnent pas. La raison est simple : les Amish sont le « meilleur cas » possible : ils ont été ENTIÈREMENT « vaccinés » en 2020. Donc, si les gens prétendent avoir eu un excès de décès en 2021, cela signifie que les vaccins (qui doivent être pires que l'immunité naturelle) seront ont des résultats encore pires.
Résumé
Il s'agit d'un test objectif très simple que tout le monde dans le monde peut comprendre instantanément : il suffit de nommer> 5 Amish totalement non vaccinés qui sont morts du COVID à Lancaster, en Pennsylvanie, pendant la pandémie.
Cela ne peut pas être difficile. Après tout, la littérature médicale a prouvé qu'ils devaient mourir en masse, avec des corps empilés sur le bord de la route et de grandes files d'attente à la morgue.
Si je gagne, cela montre que j'avais raison depuis le début et que la communauté médicale avait tort. Et cela montre également que des milliers d'articles publiés dans la littérature évaluée par des pairs soutenant les interventions COVID étaient également tous faux.
Je suis à peu près sûr que mon argent est en sécurité et que tout cela n'a servi à rien.
Essayez ceci avec vos amis aux pilules bleues… faites-en un pari…. un moyen pour eux de gagner de l'argent et de prouver que vous avez tort.
Même si je perds et qu'il y a 6 morts Amish, les Amish, qui n'ont pas vacciné, ont eu un nombre de décès 30 fois inférieur à celui que nous avons obtenu après avoir bouleversé le pays.
RépondreSupprimerCe concours prouve un point important : toutes ces mesures étaient complètement inutiles, nous avons détruit nos entreprises et notre économie pour rien, nous avons retardé l'éducation de nos enfants des années sans aucun avantage, la communauté médicale est inepte, le CDC, la FDA et le NIH sont ineptes, et nous ne devrions pas faire confiance à Biden ou aux membres du Congrès qui ont accepté le tout pendant que les gens criaient d'arrêter. À de rares exceptions près (comme le sénateur Ron Johnson et le membre du Congrès Bill Posey et quelques autres), aucun d'entre eux n'est intéressé à écouter la possibilité qu'il se trompe.
Tout cela est arrivé parce que les voix de la raison ont été réduites au silence. La liberté d'expression, de débat, etc. a été jetée par la fenêtre. Tout médecin qui s'opposait au « consensus » était écrasé dans l'oubli.
Les dirigeants américains doivent cesser d'écouter les personnes en qui ils ont confiance et commencer à écouter les personnes qu'ils ont qualifiées de "diffuseurs de désinformation". Ils l'ont pris complètement à l'envers.
Vous ne devriez plus jamais faire confiance au CDC, aux médias grand public ou aux membres du Congrès jusqu'à ce qu'ils admettent leurs erreurs, jurent de ne plus jamais soutenir la censure et écoutent toujours les personnes des deux côtés d'un problème avant de prendre une décision.
https://stevekirsch.substack.com/p/can-you-name-5-unvaxxed-amish-who
Les médias se taisent alors que les données britanniques révèlent une forte augmentation de la surmortalité
RépondreSupprimerJohn Campbell, Ph.D., infirmier retraité spécialisé dans les accidents et les urgences, infirmier enseignant et auteur de deux manuels de soins infirmiers, a analysé les dernières données britanniques qui montrent une forte augmentation de la surmortalité. M. Campbell a déclaré que s'il s'agissait d'une attaque terroriste, « nous serions en état de guerre ».
Par Michael Nevradakis
Mondialisation.ca,
23 mai 2023
De nouvelles statistiques publiées par le gouvernement britannique montrent une forte augmentation de la surmortalité dans tout le pays en 2022 – une tendance qui se poursuit depuis le début de l’année.
Les données, publiées la semaine dernière par l’Office for National Statistics et l’Office for Health Improvement and Disparities du Royaume-Uni, montrent qu’entre mai et décembre 2022, 32 441 décès de plus que d’habitude ont été enregistrés sans que la COVID-19 ne soit considéré comme une cause de décès.
Les statistiques officielles du Royaume-Uni ont également montré qu’au cours de la semaine se terminant le 21 avril 2023, le nombre de décès a dépassé la moyenne quinquennale de 22,1 % (2 540 décès excédentaires), tandis qu’au cours de la semaine se terminant le 28 avril, le chiffre excédentaire était de 12,9 % (1 569 décès excédentaires). Seuls 3,8 % des décès survenus au cours de cette période mentionnaient COVID-19 dans les certificats de décès.
John Campbell, docteur en sciences, infirmier retraité spécialisé dans les accidents et les urgences, enseignant en soins infirmiers et auteur de deux manuels de soins infirmiers, a analysé les données dans une vidéo YouTube enregistrée la semaine dernière.
Selon l’analyse de M. Campbell, il y a eu une augmentation de la surmortalité dans tous les groupes d’âge et une augmentation significative des décès liés aux maladies cardiovasculaires, alors que les décès liés aux maladies respiratoires ont été moins nombreux que prévu.
« Imaginez qu’il s’agisse d’un attentat terroriste… nous serions en état de guerre »
Selon M. Campbell, les données officielles montrent « une augmentation des décès dans tous les groupes d’âge en 2022 et en 2023 », et cette tendance est observée « dans de très nombreux pays ».
RépondreSupprimer« Il ne s’agit pas de décès dus à la COVID », a précisé M. Campbell. « Ils sont dus à d’autres facteurs, ce qui soulève de sérieuses questions quant à la raison pour laquelle un si grand nombre de personnes sont décédées. »
Qualifiant d’« énorme » la surmortalité de 4 190 personnes enregistrée au cours des deux dernières semaines d’avril, M. Campbell a comparé ce chiffre au nombre de victimes d’un attentat terroriste. Il a également comparé l’attention qu’aurait reçue un acte terroriste au manque d’attention que semblent recevoir les morts en surnombre. Il a dit :
« Imaginez qu’il s’agisse d’un attentat terroriste [where] 4 190 personnes ont été tuées. Il s’agirait d’un état de guerre.
« Mais parce que les gens meurent dans des contextes différents… le gouvernement ne semble pas faire de commentaires à ce sujet, à l’exception notable de certains députés [members of Parliament]. Mais très peu sur ce sujet, tragiquement. »
Forte augmentation des décès dus à des maladies cardiovasculaires
Une surmortalité supérieure à la moyenne a été enregistrée même dans les groupes d’âge de 0 à 24 ans et de 25 à 49 ans, a indiqué M. Campbell.
« Je crains qu’il ne soit assez clair que la surmortalité touche toutes les tranches d’âge », a déclaré M. Campbell. « Les explications que nous devons donner sur les raisons de cette catastrophe doivent donc tenir compte de ce facteur. »
M. Campbell a déclaré que les données montrent une forte augmentation des décès dus à des problèmes cardiovasculaires et à des accidents vasculaires cérébraux.
« La question n’est pas tant celle des maladies cardiovasculaires que celle des causes de l’augmentation des maladies cardiovasculaires », a-t-il déclaré. « C’est la question essentielle qui ne semble pas être posée : pourquoi les maladies cardiovasculaires augmentent-elles ? »
Selon M. Campbell, l’augmentation est spécifiquement observée dans la catégorie des maladies cardiaques ischémiques – en d’autres termes, « un infarctus du myocarde, une crise cardiaque ».
Des augmentations significatives ont également été observées dans le nombre de décès dus à l’insuffisance cardiaque, a déclaré M. Campbell, ajoutant que « cela ne nous dit pas pourquoi davantage de personnes meurent d’insuffisance cardiaque. C’est sur ce point qu’il convient de s’interroger de toute urgence ».
Les décès dus aux maladies cérébrovasculaires – les accidents vasculaires cérébraux – ont également augmenté « sans équivoque », a noté M. Campbell.
À l’inverse, le nombre de décès dus à des maladies respiratoires était « bien inférieur … à ce que l’on aurait pu attendre », a-t-il déclaré. « On aurait pu penser qu’il s’agissait d’une séquelle de la pandémie, qui touchait principalement les poumons… En réalité, nous en voyons moins, ce qui indique que d’autres facteurs entrent en jeu. »
RépondreSupprimerLes données officielles ont également montré que la surmortalité dans les maisons privées était supérieure de 23 % à la moyenne, tandis que les chiffres respectifs pour les hôpitaux, les maisons de soins et les « autres » établissements étaient de 10,7 %, 8,4 % et 14,3 %, respectivement.
Très peu dans les grands médias
M. Campbell a déclaré que « malheureusement », les médias grand public ne parlent que très peu de ces données sur la surmortalité. « La BBC, par exemple, semble ne rien dire à ce sujet. C’est une source d’inquiétude en soi », a-t-il déclaré.
M. Campbell a cité une exception : le Mirror, un tabloïd britannique qui a publié la semaine dernière un article intitulé « Les Britanniques meurent par dizaines de milliers – et nous n’avons aucune idée de la raison de ce phénomène ».
Selon le Mirror, « des dizaines de milliers de Britanniques de plus que d’habitude sont décédés entre mai et décembre 2022, sans que la COVID ne soit considéré comme une cause de décès, ce qui soulève de sérieuses questions sur les raisons de ces décès ».
Les experts cités par The Mirror n’ont pas établi de lien entre les chiffres de surmortalité supérieurs à la moyenne et la vaccination contre la COVID-19.
Dans des remarques partagées avec The Mirror, David Coleman, M.A., Ph.D.,professeur émérite de démographie à l’université d’Oxford et chercheur associé au département de politique sociale et d’intervention d’Oxford, a déclaré qu’après le décès de nombreuses personnes âgées, qu’il a attribué à la COVID-19, « il devrait y avoir une période où les décès sont moins nombreux que d’habitude, mais cela ne s’est pas produit ».
Il a attribué cette situation à deux raisons : l’augmentation de l’obésité dans la population et – ce qui semble contredire sa déclaration précédente – le vieillissement de la population. Il n’a pas expliqué pourquoi les décès liés à l’obésité entraîneraient une surmortalité supérieure à la moyenne à ce stade.
Pour M. Campbell, l’augmentation de la surmortalité « est un phénomène mondial dont on ne parle pas assez, ce que l’on pourrait appeler une pandémie… qui touche certainement de nombreux pays occidentaux, les États-Unis, le Canada, la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Europe, ce genre d’endroits ».
- voir clip sur site :
https://www.mondialisation.ca/les-medias-se-taisent-alors-que-les-donnees-britanniques-revelent-une-forte-augmentation-de-la-surmortalite/5678003
Diabète de type 1 en hausse de 50 % pendant la pandémie : confinement ou Covid ?
RépondreSupprimer24 mai 2023
du Dr. Peter F. Mayer
La réponse pour Helmholtz Munich semble claire : « Apparition d'un diabète de type 1 après une infection par le SARS-CoV-2 : lien possible découvert » suggère déjà le titre. Et un peu plus loin dans le texte, le sous-titre devient encore plus clair : « Infection par le SRAS-CoV-2 associée à un risque accru de diabète de type 1 chez les enfants » .
Le dernier auteur de l' étude est cité dans l'article comme suit : « Nous sommes prudents dans l'interprétation de nos résultats, mais le virus pourrait soit favoriser le développement de l'auto-immunité sous-jacente au diabète de type 1, soit renforcer une auto-immunité déjà existante et ainsi détruire les cellules bêta productrices d'insuline accélèrent », explique Ezio Bonifacio, auteur principal de l'étude. D'autres études sont donc nécessaires pour élucider le mécanisme exact à l'origine de la survenue accrue de diabète de type 1 chez les enfants en relation avec une infection par le SRAS-CoV-2.
Brièvement encore comment le diabète de type 1 se développe. L'étude la plus détaillée et la plus solide à ce sujet est celle de la Finlande, qui a duré plus de 30 ans. Une maladie auto-immune se développe lorsque les récepteurs nécessaires aux voies de signalisation pour réguler le système immunitaire ne peuvent pas se développer correctement dans les tout premiers stades de la vie en raison d'une carence en vitamine D. Ensuite, le système immunitaire endommage la peau (psoriasis, vitiligo), les îlots de Langerhans (diabète de type I), les voies nerveuses (sclérose en plaques) et autres. Une explication peut être trouvée dans Lancet 2001, 358 (9292) : En 1966, presque tous les enfants nés en Finlande cette année-là ont été enregistrés. (10366 sur 12058). Et vérifié 31 ans plus tard. Si les enfants avaient également reçu de la vitamine D au cours de la première année de vie, ils auraient plus de 80 % de diabète de type I en moins.
Est -il possible de guérir le diabète de type 1 ou au moins d'éviter l'injection constante d'insuline ? Oui, vous pouvez. Appelé le protocole de Coimbra , il arrête diverses maladies auto-immunes allant du diabète de type 1 à la sclérose en plaques avec un taux de réussite de 70 à 90 % et une régression partielle des symptômes est également possible. Il agit en donnant de fortes doses de vitamine D accompagnée de cofacteurs importants tels que le magnésium et diverses vitamines B, notamment la vitamine B2, ainsi que d'autres pour optimiser le métabolisme cellulaire.
Retour à Helmholtz. Alors qu'est-ce qui a changé en 2020-2022 par rapport à avant ?
RépondreSupprimerInfections cornéennes chez les enfants? Définitivement pas. L' étude de l' Université de Tübingen, qui a été publiée à la mi-2020, a trouvé 81% de cellules T à réaction croisée contre la classe des virus corona bêta, à laquelle appartient le SRAS-CoV-2. Avant même cela, une autre étude avait trouvé des anticorps neutralisants (!) contre le SARS-CoV-2 chez 62% des 6-16 ans .
Même avant 2020, les enfants étaient souvent infectés par des virus corona bêta, qui sont très similaires au SRAS-CoV-2, et qui n'ont apparemment pas provoqué l'augmentation du diabète de type 1.
Mais quoi d'autre a changé entre 2020 et 2022 ? Correct! Confinements, fermetures d'écoles et masques devant les petits enfants aussi. Il ne fait aucun doute que même les bébés ne sortent plus au soleil et à l'air frais aussi souvent qu'avant. Même les terrains de jeux avec des bacs à sable ont été fermés et les parents ont dû rester à la maison. Des conditions aléatoires ont donc été créées comme en Finlande uniquement sans supplémentation en vitamine D. C'était même découragé, c'était radical de droite et même dommage, comme l' a affirmé une primaire d'une soi-disant principale clinique d'infection .
L es dommages causés par les confinements durent apparemment toute la vie pour de nombreuses personnes. La plupart d'entre eux ne découvriront probablement rien sur le protocole de Coimbra, Pharma ne mérite rien de cela. Outre le diabète de type 1, il existe certainement d'autres dommages et maladies permanents qui ont été causés par les mesures Corona.
Et selon la volonté de Rauch, Lauterbach, Berset, Leyen, Biden, etc., cette OMS, dont sont issues ces recommandations néfastes pour la santé, devrait désormais être dotée de pouvoirs dictatoriaux.
https://tkp.at/2023/05/24/zunahme-von-diabetes-typ-1-um-50-waehrend-pandemie-lockdowns-oder-covid/
Éoliennes et climat : un remède pire que le mal
RépondreSupprimer« Le battement d’ailes d’un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? ».
Le fameux effet papillon, ainsi exprimé par K. Lorenz, [1] ne devrait pas manquer d’interpeller tout observateur du climat sur les conséquences de la turbulence de sillage des quelques 900 GW éoliens qui affecterait aujourd’hui « toute la structure de la couche limite planétaire »[2]. Et dont il reste à démontrer que les effets bénéfiques sur le climat seraient supérieurs au réchauffement qui leur est aujourd’hui imputé.
Par Jean-Pierre Riou
le 24 mai 2023 à 8h26
Un sujet polémique qui détourne la controverse
De nombreuses études ont évoqué l’impact négatif des éoliennes sur le climat. Récemment, un article allemand [3] montrait la corrélation entre l’assèchement des sols et l’emplacement des 30 000 éoliennes d’Outre-Rhin.
Cet article s’appuyait notamment sur l’étude de Gang Wang & al publiée en janvier 2023 sur ELSEVIER ScienceDirect “Wind farms dry surface soil in temporal and spatial variation”.[4]
Mais sa communication sur les réseaux sociaux relayée par « NoTricksZone » [5] ne fut à l’origine, comme c’est souvent le cas, que de considérations sur le caractère sulfureux du site qui la relayait [6] et non sur le fond de son contenu. Climato négationniste, conspirationniste, pro-nucléaire, d’extrême droite.
La messe était dite.
Pourtant, en 2012, déjà, la NASA avait diffusé une étude de Zhou & al [7] qui avait attribué aux éoliennes un réchauffement de 0,72° en 9 ans, selon les observations de ses satellites, sur une région du Texas.
Malgré l’abondance de la littérature sur le sujet, il reste bien difficile à des non spécialistes de se forger, seuls, un avis éclairé dans ce domaine éminemment sensible du développement éolien.
L’avis du CNRS
RépondreSupprimerC’est la raison pour laquelle il peut être opportun de revenir sur l’avis scientifique, politiquement correct et rassurant, publiée par le CNRS en 2014 [8], ainsi que sur les sources qui lui avaient alors paru dignes d’attention. En effet, les auteurs de cette étude, publiée sur Nature Communications [2] appartiennent majoritairement au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement, à l’Institut Pierre-Simon Laplace des Sciences et du Climat, au Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) ainsi qu’au CNRS.
Cette étude portant sur l’impact climatique des éoliennes européennes s’appuie sur des essais en soufflerie et sur la modélisation de l’évolution du climat selon 3 scénarios :
Sans éoliennes (CTL),
Avec les 101 GW installés en 2012 (CUR)
Et un 3ème scénario (SCEN) avec les 220 GW qui étaient prévus en 2020, afin d’en dégager les effets prévisibles au niveau de notre continent.
L’étude illustre notamment la différence entre les résultats de la modélisation du scénario de contrôle (CTL sans éolienne), avec le scénario SCEN (220 GW). Avec la moyenne hivernale, dans la colonne de gauche, et estivale, à droite, pour les températures (ci-dessous).
- voir carte sur site -
Mais aussi pour les précipitations journalières en mm, (c et d) et la pression atmosphérique au niveau de la mer (e et f) ci-dessous.
- voir carte sur site -
L’étude se veut rassurante et conclut à des effets certains mais « limités » avec un réchauffement maximum de 0,3° dans certaines régions à échéance 2020. Soit des valeurs « très faibles par rapport à la variabilité naturelle du climat ». Elle compare les conclusions de ses simulations à celles d’autres études qui avaient relevé un réchauffement de 0,7° par décennie dans les zones fortement implantées d’éoliennes, (études 9 10 11) et une réduction des précipitations dépassant 10% (12) .
Pour rassurante qu’elle soit, cette étude du CNRS relève cependant que « l'effet atmosphérique le plus direct des éoliennes est une traînée supplémentaire et la génération de turbulence de sillage. » Et qu’en fait « toute la structure de la couche limite planétaire est affectée par la turbulence de sillage des turbines ». Et signale une extraction de la ressource potentielle du vent de l’ordre de 1W/m² (étude 13 14).
Elle mentionne également dans les résultats de ses simulations que « Les précipitations hivernales ont une structure plus inégale, mais une réduction significative a été constatée sur l'Europe occidentale atteignant 0,15 mm par jour, soit ~ 5 % des précipitations moyennes. La pression au niveau de la mer subit une variation maximale de 0,5 hPa, reflétant une augmentation du temps anticyclonique à travers l'Europe en hiver. (…) Elle induit de légers changements de circulation moyenne, avec des flux plus au sud sur la partie ouest du domaine et des flux au nord sur la partie est, modifiant ainsi l'advection de chaleur et d'humidité ». Mais relativise en continuant « Les réponses hivernales de la température et des précipitations restent cependant faibles par rapport à leur variabilité interannuelle respective, atteignant ~10 % pour la température et 20 % pour les précipitations dans certaines zones ».
Pour autant, il est troublant de constater la similitude globale entre les modélisations de ces « changements de circulation moyenne », « modifiant ainsi l'advection de chaleur et d'humidité » et les récents épisodes locaux de sécheresse, de canicule ou de douceur hivernale dans les régions précisément anticipées sur les illustrations reproduites ci-dessus.
RépondreSupprimerNotamment un déficit de précipitations dans le sud est de la France, [15] (figure d), des canicules estivales dans la péninsule ibérique et le Maroc [16] (figure b), ainsi qu’une douceur hivernale peu commune dans le nord de l’Europe, [17] (figure a) tandis que l’est européen bat des records de froid.
Le propos n’étant pas d’en imputer quelque responsabilité que ce soit aux éoliennes, sans autre rigueur scientifique.
D’autres études concluent que les parcs éoliens réduisent la puissance du vent, notamment « ont le potentiel de modifier substantiellement la dynamique atmosphérique et de conduire à des réductions locales de la vitesse moyenne du vent s'étendant jusqu'à plus de 40 km sous le vent du parc» (étude 18) ou observent l’impact des éoliennes sur la croissance de la végétation. (étude 19)
Un remède pire que le mal
Mais, aussi faibles que soient les effets des éoliennes sur le réchauffement et la sécheresse, la raison impose de les comparer avec les bénéfices de leur réduction des émissions fossiles.
Une étude de 2018 de l’Université d’Harvard [20] s’est chargée de modéliser les variations journalières et saisonnières des températures liées aux éoliennes sur l’ensemble des États-Unis. Cette modélisation s’appuie notamment sur la quantité d’énergie extraite par les éoliennes, leurs effets sur le brassage entre les masses d’air de différentes altitudes ainsi que sur le gradient vertical du vent, c'est-à-dire ses différentes vitesses selon la hauteur.
La valeur obtenue par simulation, d’un réchauffement de 0.24°, correspond aux valeurs observées. L’étude considère que cet « effet de réchauffement est :
faible par rapport aux projections du réchauffement du 21e siècle,
approximativement équivalent à la réduction obtenue en décarbonant toute la production mondiale d'électricité,
et important par rapport à la réduction du réchauffement obtenue en décarbonant l'électricité américaine avec l’éolien ».
L’étude n’ignore rien, en fin de publication [21], des nombreux paramètres qui n’ont pas été traités par ses seuls effets des températures au niveau du sol, comme du fait qu’il s’agit d’un réchauffement instantané qui disparaîtrait avec la suppression des machines, contrairement à l’accumulation du gaz carbonique évité ou de l’éventuel refroidissement de l’Arctique que montrent la plupart des modélisations des effets des éoliennes.
RépondreSupprimerMais à l’inverse, il convient de mentionner qu’un fossé semble séparer les émissions théoriquement évitées par les productions des éoliennes de celles qui le sont réellement [22], en raison de la dégradation des facteurs d’émission des centrales thermiques chargées de compenser leur intermittence, liée à leurs régimes partiels et à-coups de fonctionnement.
La sénatrice Loisier s’est inquiétée de cette différence entre théorie et pratique, liée à la dégradation des facteurs d’émission des centrales thermiques chargées du suivi de charge de leur intermittence, qu’aucun organisme ne semble en charge d’évaluer. [23]
Pour conclure
Eu égard à l’évolution spatiale des sécheresses actuelles et aux événements climatiques soudains,
laissons les auteurs de notre étude du CNRS conclure eux-mêmes en reprenant la fin de leur communiqué de 2014 : « Dans ce contexte, il est nécessaire de produire de nouvelles études utilisant d’autres modèles et différents scénarios de développement de production d’énergie éolienne pour déterminer précisément quelles seront les conséquences d’un déploiement encore plus massif de l’éolien à l’horizon 2050. Une question essentielle sera d’évaluer les effets d’un doublement voire d’un triplement des puissances étudiées ici, s’agissant de l’ordre de grandeur envisageable dans les quarante prochaines années. »
Ces études devront être comparées avec celles des effets climatiques bénéfiques réels du développement éolien sur le climat, selon chaque contexte local. A long terme car les éoliennes peuvent éviter l’accumulation de gaz carbonique, mais aussi à court terme, car les effets de l’évolution des précipitations revêtent déjà un caractère d’urgence, à l’instar de ceux des températures.
1 https://en.wikipedia.org/wiki/Wind_power_by_country
RépondreSupprimer2 https://www.nature.com/articles/ncomms4196
3 https://sciencefiles.org/2023/05/01/klimawandel-windparks-verursachen-trockenheit-und-duerre-die-belege-werden-immer-zahlreicher-neue-studie/
4 https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2215016123000055
5 https://notrickszone.com/2023/05/07/manmade-studies-suggest-that-wind-parks-cause-climate-change-even-regional-drought/
6 https://twitter.com/rioujeanpierre/status/1657324631123013634
7 https://climate.nasa.gov/news/728/texas-wind-farm-affects-land-temperature/
8 https://www.insu.cnrs.fr/fr/les-eolienes-modifient-elles-le-climat-europeen
9 https://www.nature.com/articles/nclimate1505
10 https://link.springer.com/article/10.1007/s00382-012-1485-y
11 https://journals.ametsoc.org/view/journals/bams/94/5/bams-d-11-00240.1.xml
12 https://acp.copernicus.org/articles/10/2053/2010/
13 https://acp.copernicus.org/articles/10/769/2010/
14 https://iopscience.iop.org/article/10.1088/1748-9326/8/1/015021
15 https://emi.imageau.eu/
16 https://actualite.lachainemeteo.com/actualite-meteo/2023-04-27/temperatures-caniculaires-l-espagne-et-le-maroc-en-surchauffe-des-records-de-chaleur-pulverises-66691
17 https://www.bfmtv.com/meteo/montagnes-vertes-arbres-en-fleur-les-consequences-en-images-de-la-grande-douceur-hivernale-en-europe_AN-202301050377.html
18 https://www.nature.com/articles/s41598-021-91283-3
19 https://www.mdpi.com/2072-4292/9/4/332
20 https://keith.seas.harvard.edu/publications/climatic-impacts-wind-power
21 https://keith.seas.harvard.edu/sites/hwpi.harvard.edu/files/tkg/files/climatic_impacts_of_wind_power.pdf?m=1538752648
22 https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/enr-et-co2-evite-entre-theorie-et-pratique-premiere-partie/
23 https://www.senat.fr/questions/base/2023/qSEQ230506667.html
https://www.economiematin.fr/eoliennes-et-climat-un-remede-pire-que-le-mal
Comment la cabale climatique financée par l'étranger a mis l'Allemagne à genoux
RépondreSupprimerPar Jo Nova
May 24th, 2023 |
Seuls deux hommes ont joué un rôle central dans la mainmise de la politique verte qui paralyse l'Allemagne aujourd'hui, et l'un d'eux vient d'être limogé. Mais regardez à quel point il était facile pour les intérêts étrangers et les militants d'influencer des politiques nationales bizarrement suicidaires, et comment ils ont utilisé l'art séculaire du népotisme.
Eugyppe
Une vaste cabale climatique financée par l'étranger avec une emprise mortelle sur la politique se bat actuellement pour écraser la République fédérale d'Allemagne sans survivants
La presse internationale a gardé un silence quasi total sur la folie croissante de ce qui se passe en Allemagne. Les médias qui célèbrent régulièrement les progrès allemands vers la transition énergétique ne veulent pas que vous sachiez que la puissance industrielle dominante de l'Europe est entrée dans une spirale politique et administrative profondément destructrice dont elle ne se remettra peut-être jamais. La faute en incombe aux politiques énergétiques autodestructrices et irréalisables qui ont une emprise mortelle non seulement sur le gouvernement Scholz, mais sur l'ensemble de l'État administratif.
L'Allemagne ouvre la voie dans la grande expérience verte
À un moment donné l'hiver dernier, 12 % du PIB total de l'Allemagne étaient consommés dans la crise énergétique. Les usines quittent l'Allemagne parce que les prix de l'énergie sont insoutenables, mais défiant toute raison, l'Allemagne vient de fermer ses dernières centrales nucléaires et tente d'interdire le chauffage au gaz et au mazout chez nous également, ce qui ne fera qu'augmenter la demande d'électricité à l'heure où l'électricité est difficile à trouver. Les Allemands ont brûlé tellement de bois l'hiver dernier qu'ils en ont parfois manqué, et maintenant leur gouvernement veut aussi interdire les poêles à bois.
Eugyppius a expliqué il y a quelques semaines comment un article de Der Speigel a révélé (étonnamment) que deux acteurs politiques clés ont installé leurs amis verts à des postes de pouvoir. Et cette semaine vient la nouvelle que l'un de ces hommes vient d'être contraint de démissionner en raison du même népotisme qui était au cœur du plan de la cabale climatique.
Aujourd'hui, Der Spiegel (de tous les magazines) a publié un long article sur les origines, le financement et la montée en puissance de l'"Eco Network" qui contrôle actuellement la politique énergétique allemande, et je veux en discuter en détail, car il est si révélateur à ce sujet plusieurs choses.
RépondreSupprimerPatrick Graichen était un haut secrétaire d'État chargé des questions énergétiques et climatiques jusqu'à ce que la nouvelle éclate selon laquelle il a choisi son meilleur homme pour diriger l'agence allemande de l'énergie et tout le monde a estimé que c'était très suspect. Surtout quand il s'est avéré que son frère et sa sœur travaillaient tous les deux pour un autre groupe de réflexion qui recevait de l'argent du ministère. Sa sœur est également mariée à un autre secrétaire d'État.
Mais les problèmes en Allemagne ont commencé il y a dix ans avec le politicien vert Rainer Baake - qui est devenu lui-même connu sous le nom de M. Energiewende (l'homme qui a créé la "transformation énergétique"). État. Au moment où les électeurs allemands ont choisi un parti de centre droit en 2018, l'élan des Verts s'est enroulé autour d'eux et n'a cessé de bouger.
Baake a également fondé le groupe de réflexion vert le plus puissant d'Allemagne – et a nommé son protégé Patrick Graichen à sa tête. Vous voyez comment cela fonctionne ? Le groupe de réflexion a été son tremplin vers les plus hauts niveaux du gouvernement allemand, et ce groupe de réflexion a été financé en partie par des philanthropes américains.
Alors que les fonctionnaires de la vieille garde favorables à l'industrie de la bureaucratie allemande ont commencé à prendre leur retraite, Baake a rempli leurs postes avec des technocrates verts dans la mesure du possible, de sorte que lorsque le contrôle du ministère est passé au centre-droit CDU en 2018, le mal était fait. L'élan institutionnel s'était déjà déplacé vers le changement climatique et avait commencé à se renforcer sous son propre pouvoir
Au cours de son mandat de cinq ans en tant que secrétaire d'État, Baake a nommé Graichen à la tête du groupe de réflexion Agora, qui a commencé à produire des documents politiques, à parrainer la recherche scientifique verte et à rassembler une foule toujours croissante de défenseurs fidèles et de technocrates. Cela a porté ses fruits : [Comme le dit Der Speigel, le nom de Graichen a été utilisé dans tout le parlement allemand].
Trois étapes faciles pour créer une fixation sur le climat au Parlement
RépondreSupprimerRainer Baake, Allemagne
C'est un processus en trois étapes. 1) Les militants et les scientifiques approuvés par le régime identifient et font du bruit sur les problèmes imminents, puis 2) les groupes de réflexion écrivent des pages et des pages de solutions législatives et réglementaires pour eux. Tout cela se passe en grande partie hors de vue, jusqu'à ce que 3) les politiciens répondent à la demande suscitée par le bras militant, et n'ayant aucune véritable expertise ou compréhension de quoi que ce soit eux-mêmes, ils n'ont d'autre choix que de mettre en œuvre les propositions que des gens comme Graichen les nourrissent.
Voici donc l'explication de l'idiotie obstinée de Robert Habeck depuis l'automne dernier. Dès l'entrée des Verts au gouvernement, il a fait de Graichen son secrétaire d'Etat à l'énergie, et c'est Graichen et l'armée de technocrates qu'il commande qui sont à l'origine de tous les désastres politiques depuis.
La réponse grotesque à la crise de l'énergie, où ces gens ont été en fait forcés de travailler contrairement à leurs principes et d'acheter d'énormes quantités de charbon (de Russie rien de moins) ; la sortie du nucléaire bâclée mais néanmoins achevée ; et, enfin, les changements catastrophiques de la loi sur l'énergie des bâtiments, qui appauvriront des millions d'Allemands et ne feront absolument rien pour changer la température de la Terre.
L'influence des millionnaires américains :
Leur travail a été financé en coulisse par deux hommes : Bernhard Lorentz, qui à la tête de la Fondation Mercator a contribué à faire vivre le think-tank Agora. Et Hal Harvey, un lobbyiste américain qui a financé des organisations écologistes et climatiques à travers le monde pendant près de trois décennies, aidé entre autres par les milliards de familles philanthropes comme les Hewlett.
Ce n'est pas la première fois que nous trouvons des militants et des philanthropes américains improbables derrière l'activisme climatique européen - et plus particulièrement allemand. Spiegel explique, de manière inquiétante, que "Harvey voit l'Europe comme la clé pour préparer un avenir climatiquement neutre" et que c'est pourquoi "il dirige des millions... pour soutenir des gens comme Baake et Graichen". Cet homme, qui apparaît à peine dans les médias anglophones et n'a même pas de page Wikipédia en anglais, a été baptisé par Die Zeit comme "le politicien vert le plus puissant du monde".
RépondreSupprimerLe népotisme est important dans la mafia climatique
Eugippius met à jour le limogeage de Graichen pour népotisme et explique pourquoi le népotisme fait partie du plan :
Le chef de la transition énergétique Patrick Graichen démissionne, premier sérieux revers de la cabale climatique qui étrangle l'Allemagne
Tout d'abord, il faut comprendre que la transition vers les énergies renouvelables n'est pas une blague. S'il est un jour pleinement accompli, cela signifiera la paupérisation et la désindustrialisation de l'Allemagne.
La vérité est que les parents et amis personnels de Graichen sont éparpillés dans les groupes de réflexion et les ONG de la cabale climatique.
Le problème pour Graichen et ses associés est de créer l'illusion d'une seule science unifiée qui ne nécessite rien d'autre que leurs solutions spécifiques souhaitées. Ils utilisent toutes les organisations sous leur contrôle pour décrire et propager cette science, et inondent les bureaucrates et les politiciens de livres blancs leur dictant exactement ce qu'ils doivent faire. Tout le monde doit être sur la même page pour cela. Les liens personnels au sein de la cabale climatique sont donc très importants ; les mafias sont gérées de la même manière.
J'aurais pensé que ce serait déprimant de lire les détails, mais il est utile de connaître l'ennemi.
Bien sûr, dans ce cas, même si les deux joueurs allemands clés peuvent être hors de leurs rôles majeurs officiels, l'équipe qu'ils ont créée est toujours là.
Les derniers sondages montrent que 40 % des électeurs des Verts ont abandonné le parti, le laissant à seulement 14 % des voix au total. Ça doit faire mal.
RépondreSupprimerhttps://joannenova.com.au/2023/05/how-the-foreign-funded-climate-cabal-bought-germany-to-its-knees/
Mish : Contrairement au mythe populaire, le Brexit n'a pas été une mauvaise décision et n'a pas échoué
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 24 MAI 2023 - 11:00
Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
The Atlantic affirme que "la Grande-Bretagne paie maintenant le prix de sa décision de quitter l'Union européenne". Je prends l'autre côté...
- voir graph sur site -
Un de mes amis a envoyé par e-mail un article sur le Brexit par The Atlantic, "We're All Worse Off" (paywall).
The Irish News rapporte que seulement 9% des Britanniques disent que le Brexit est plus un succès qu'un échec, selon un sondage
Perception contre réalité
J'ai répondu à mon ami que l'échec est une perception parce que la Grande-Bretagne n'a rien fait pour que le Brexit fonctionne.
Considérez la politique britannique après le Brexit : pas de réductions d'impôts, pas d'accord commercial avec les États-Unis ou la Chine, pas de démantèlement des règles et réglementations européennes ineptes, pas de progrès dans des domaines comme l'intelligence artificielle ou l'énergie.
Ce n'est pas un échec du Brexit, c'est un échec à profiter des choses possibles sans être lié à l'UE.
Lever du soleil
Quelques jours après avoir envoyé un e-mail à mon ami, Eurointelligence, il a admis dans un article intitulé "Sunrise" que mon point de vue était le bon.
Il était toujours absurde de remplacer le volume entier de quelque 4 000 règlements de l'UE en une seule journée. La majorité ne pose aucun problème. La difficulté intellectuelle et opérationnelle avec le Brexit est de sélectionner des domaines spécifiques où la divergence réglementaire a du sens. Nous savons tous que les coûts du Brexit sont transparents, mais les opportunités sont cachées et dépendent de la manière dont cette divergence est gérée.
RépondreSupprimerComme l'explique Joël Reland du Royaume-Uni dans un groupe de réflexion sur l'Europe en mutation, il reste encore 600 réglementations européennes qui seront modifiées. Ce qui changera également, c'est la fin de la suprématie du droit européen d'ici la fin de l'année. Les tribunaux britanniques pourront alors passer outre le droit de l'UE. Nous nous attendons à ce que cela seul conduise à une divergence significative sur la route. Le gouvernement s'est également donné le pouvoir d'accélérer les changements futurs.
Mais l'aspect le plus important est que cette réforme va désormais de pair avec une autre initiative qui se déroule en parallèle : la révision de la réglementation pro-innovation des technologies, dirigée par Patrick Vallance, l'ancien conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique. L'examen fait enfin ce que nous avions exhorté le gouvernement britannique à faire juste après le Brexit, à savoir repérer les opportunités de haute technologie qui manquent à l'UE. L'intelligence artificielle est une évidence, tout comme la recherche médicale et de nombreux autres développements technologiques freinés par le règlement antédiluvien de l'UE sur la protection des données. En ce qui concerne les industries de haute technologie, l'UE est entrée dans une spirale de la mort réglementaire, entièrement axée sur les consommateurs puisque les entreprises de l'UE n'ont plus leur peau dans le jeu.
Les problèmes de l'UE avec ces industries se sont accumulés au cours des 20 dernières années. L'innovation et l'esprit d'entreprise sont tombés dans l'échelle des priorités politiques. Nous avons également des doutes sur l'efficacité d'Horizon EU, le programme de recherche de l'UE. C'est un volume important et un cauchemar bureaucratique, selon cette enquête. Mais en dehors de la lourdeur du processus de candidature, il faut se demander pourquoi la course à plusieurs technologies de pointe du XXIe siècle se déroule aujourd'hui principalement entre les États-Unis et la Chine.
Nous ne voyons pas tant le Royaume-Uni comme une menace pour l'UE comme l'avaient imaginé Emmanuel Macron et Michel Barnier, à travers des ateliers clandestins à bas salaires. Le Royaume-Uni exploitera simplement les zones que l'UE a laissées à d'autres.
Nous nous attendons à ce que le changement d'orientation et de réglementation technologique du Royaume-Uni persiste sous un gouvernement travailliste. Les travaillistes récolteront les bénéfices de ce qui apparaît maintenant comme le début d'une stratégie post-Brexit. Une fois que vous avez repéré des opportunités d'investissement et attiré des investisseurs, vous n'allez pas revenir au statu quo.
Certains voient l'échec, d'autres voient le lever du soleil
RépondreSupprimerL'Atlantique sans tête rate les opportunités inévitables qui se présenteront tôt ou tard simplement parce que l'UE est si inepte.
Fait intéressant, Eurointelligence était l'un des plus grands partisans de l'UE que l'on puisse trouver.
De plus en plus, il a des articles très négatifs sur l'Allemagne concernant les voitures, la politique énergétique, la Russie et la Chine.
Plus précisément, l'Allemagne regarde en arrière, essaie de protéger les industries mourantes et a même besoin de plus de charbon pour le faire.
En général, les nounoucrates de l'UE essaient toujours de punir Google, Microsoft et les entreprises technologiques américaines. Il faut le consentement unanime de 27 pays pour faire beaucoup de choses, donc son objectif sur l'IA est de jeter des barrages routiers.
Oui, les conservateurs ont totalement gâché les conséquences du Brexit. Mais ce sont des erreurs politiques qui ne rendent pas le Brexit imprudent.
Le Royaume-Uni serait fou de vouloir revenir dans l'UE.
Heureusement, "une fois que vous avez repéré des opportunités d'investissement et attiré des investisseurs, vous n'allez pas revenir au statu quo ante."
En effet. Dire au revoir à l'UE était une décision très sage, il faudra juste plus de temps que prévu pour que cela devienne évident.
Apportez le lever du soleil.
L'intelligence artificielle va progresser
Dans Time Magazine. Eliezer Yudkowsky, un théoricien américain de la décision, propose une interdiction totale de l'IA car "si nous continuons sur ce point, tout le monde mourra". Il frapperait de manière préventive tous les centres de données d'IA.
Yudkowsky appartient à l'UE.
Pour en savoir plus, veuillez consulter Pour arrêter l'IA, les fous sont prêts à risquer une guerre nucléaire mondiale
https://www.zerohedge.com/political/mish-contrary-popular-myth-brexit-was-not-bad-decision-and-did-not-fail
Le fait que toutes les données d'entrée d'origine sont soumises à un biais extrême complique encore plus le phénomène de l'IA. Un algorithme simple est seulement aussi bon que ceux qui alimentent les données. Les sondages sont basés sur des flux de données d'IA et sont régulièrement ridiculisés pour leur parti pris et leur manque de résultats factuels. SI l'IA est nourrie d'un biais sain d'agendas progressistes du WEF - sa sortie sera The Great Reset.
RépondreSupprimerLes éditeurs de logiciels d'IA créeront-ils des IA concurrentes ? Une version conservatrice vs libérale ? L'IA déterminera-t-elle la culpabilité et l'innocence sur la base d'une entrée de données biaisée ? Les périls sont aussi vastes que chaque cerveau humain. AI aurait-elle déterminé que le FBI incitait les manifestants du 6 janvier ? Ou AI aurait-elle dit au FBI comment inciter les manifestants ?
Nous le saurons bien trop tôt.
Reprinted with permission from Helena-The Nationalist Voice.
https://www.lewrockwell.com/2023/05/no_author/ai-regulation-humans-are-too-ignorant/
« Les classes dirigeantes capitalistes mondiales mettent en œuvre une nouvelle idéologie officielle, en d'autres termes, une nouvelle "réalité". C'est ce qu'est une idéologie officielle. C'est plus qu'un ensemble de croyances. N'importe qui peut avoir les croyances qu'il veut. Vos croyances personnelles ne constituent pas la « réalité ». Pour faire de vos croyances une « réalité », vous devez avoir le pouvoir de les imposer à la société. Vous avez besoin du pouvoir de la police, de l'armée, des médias, des «experts» scientifiques, du milieu universitaire, de l'industrie culturelle, de toute la machine à fabriquer des idéologies. Il n'y a rien de subtil dans ce processus. Désaffecter une « réalité » et la remplacer par une autre est une entreprise brutale. Les sociétés s'habituent à leurs « réalités ». Nous ne les abandonnons pas volontairement ou facilement. Normalement, ce qu'il faut pour que nous le fassions, c'est une crise, une guerre, un état d'urgence ou… vous savez, une pandémie mondiale mortelle. Lors du passage de l'ancienne « réalité » à la nouvelle « réalité », la société se déchire. L'ancienne "réalité" est en train d'être démontée et la nouvelle n'a pas encore pris sa place. Cela ressemble à de la folie, et, d'une certaine manière, ça l'est. Pendant un certain temps, la société est divisée en deux, alors que les deux « réalités » se disputent la domination. La « réalité » étant ce qu'elle est (c'est-à-dire monolithique), c'est un combat à mort. En fin de compte, une seule «réalité» peut prévaloir.
RépondreSupprimerJ'ai écrit cela il y a près de deux ans, dans le calme relatif avant la tempête d'hystérie de masse fasciste, ivre de haine et de persécution officielle systématique qui s'est déchaînée contre "les non vaccinés" dans les mois qui ont suivi. Si votre souvenir de 2021 est flou, ma chronique de fin d'année, The Year of the New Normal Fascist, ou cette compilation vidéo de Matt Orfalea pourraient vous aider à l'aiguiser. Depuis lors, la folie du changement de réalité en cours s'est intensifiée, bien qu'un peu plus subtilement… ou du moins Keith Olbermann ne crie pas à la haine comme un Goebbels accro à la méthamphétamine.
GloboCap, Inc. et ses innombrables filiales, agents, ayants droit, marionnettes politiques, crétins des médias et autres serviteurs fidèles s'efforcent désespérément d'inscrire le récit officiel de Covid-19 dans les annales de «l'histoire». Selon de nouveaux chiffres de l'OMS, "près de 15 millions de décès en excès" (soit "un total de 336,8 millions d'années de vie perdues") avaient été causés par le virus à la fin de 2021, dont aucun n'avait rien à voir avec les ventilateurs , ou la classification de toute personne décédée de quoi que ce soit (c. Des jeunes auparavant en parfaite santé tombent morts à gauche et à droite à la suite de crises cardiaques et d'autres causes «naturelles» (ou «non divulguées») qui n'ont rien à voir avec les «vaccins» expérimentaux dont ils n'avaient pas besoin mais qu'ils ont été contraints de prendre, ce qui a sauvé millions ou 100 millions de vies. Les masques qui ne fonctionnaient pas fonctionnaient, sauf qu'ils ne fonctionnaient pas, mais c'était seulement si vous étudiiez comment ils fonctionnaient dans la réalité. Être enfermé, forcé de porter des masques d'apparence médicale, éclairé au gaz et terrorisé par la propagande officielle, intimidé, séparé, censuré, diabolisé et autrement systématiquement torturé, était en fait bon pour la santé mentale des gens, à l'exception des « personnes ayant des problèmes de santé mentale existants, et les enfants, et les personnes handicapées, et les adolescents, et les personnes sans filets de sécurité financière ou sociale ».
RépondreSupprimerPendant ce temps, les New Normals cognitivement dissonants se rendent sur Internet pour affirmer que personne ne savait mieux à l'époque, et que, d'accord, bien sûr, "des erreurs ont été commises", mais si nous "les théoriciens du complot qui nient la science", qu'ils ont censurés, diabolisé, et systématiquement persécuté depuis plus de deux ans, venait de parler…
Je pourrais continuer, mais vous obtenez l'image… ou plutôt, vous le faites ou vous ne le faites pas. Parce que ce ne sont pas seulement les gens de GloboCap, Inc. qui mènent fanatiquement cette guerre contre la réalité. Tout le monde et leur frère essaient d'enfoncer leur "réalité" dans la gorge de tout le monde. Vous avez les gens "Les virus n'existent pas". Vous avez les gens "Il n'y a pas de néo-nazis en Ukraine". Le peuple « Poutine est notre sauveur ». Le culte du vote bleu. Le peuple multipolaire. L'Armée populaire transgenre. Les Hucksters de l'horloge de la fin du monde. Les gens qui écoutent encore NPR. Les véridiques de l'insurrection. Les négationnistes de l'insurrection. Les vrais du 11 septembre. Les véridiques de l'alunissage. Le culte de Trump. L'église du Russiagate. Les obsessionnels de Rothschild. Les racistes antiracistes. Les antisémites antisémites. Le mouvement de formation de masse. Le Culte de Marx. Le culte du capital. Les fanatiques du changement climatique. Le culte du musc. La liste se rallonge de plus en plus.
Historiquement, nous, les humains, n'avons pas très bien réussi dans de tels environnements ontologiques psychotiques. Lorsque la «réalité» est brisée en mille petits éclats, que les choses s'effondrent et que le centre ne tient pas, nous avons tendance à être plutôt effrayés, confus et agités. Nous commençons à paniquer. Nous essayons de reconstituer la « réalité ». Cela ne fonctionne pas. Cela aggrave notre panique. Nous commençons à chercher une nouvelle « réalité ». Nous commençons à chercher un sauveur, un leader, un Führer, quelqu'un avec une vision, la volonté et le pouvoir d'imposer une nouvelle « réalité » au chaos ontologique qui nous rend si confus et agités, et effrayés, et en colère, et restaurer un certain sens de la cohésion idéologique afin que nous n'ayons plus à penser à la « réalité » à chaque instant.
RépondreSupprimerC'est l'époque des messies des magasins à dix sous, des tyrans en fer blanc, des fanatiques, des gourous, des escrocs, des escrocs, des charlatans, des vendeurs d'huile de serpent de toutes sortes, des mouvements révolutionnaires fanatiques, des nouvelles religions et des nouveaux partis politiques, etc. Généralement, finalement, une fois que les masses malheureuses ont été à plusieurs reprises dupées, escroquées, trahies, et humiliées au point où elles ne peuvent même plus penser, ne peuvent littéralement plus penser parce que leur cerveau est brisé et qu'elles veulent juste que quelqu'un faites que tout s'arrête... eh bien, pour reformuler une vieille platitude bouddhiste, "lorsque les masses seront prêtes, le despote apparaîtra".
Je pense que vous savez comment cette histoire se termine.
Ce qui est fascinant, c'est GloboCap, Inc. (c'est-à-dire le capitalisme mondial, le corporatisme ou tout ce que vous devez appeler le réseau supranational de sociétés mondiales, de gouvernements, de banques, d'entrepreneurs militaires, de conglomérats de médias et de divertissement, de mastodontes pharmaceutiques, d'oligarques assortis, de non- entités gouvernementales gouvernantes, etc., qui dirigent actuellement le monde) ne peuvent pas se permettre que cela se produise et travaillent sans relâche pour empêcher que cela se produise.
Le totalitarisme traditionnel (c'est-à-dire du XXe siècle) ne fonctionne pas pour GloboCap, Inc. Le capitalisme, bien qu'il puisse s'adapter à tout, n'a jamais été intrinsèquement enclin au fascisme ou à toute autre forme de totalitarisme. Le totalitarisme est une machine à coder les valeurs. Son objectif est de coder complètement la société avec ses valeurs, son idéologie officielle (c'est-à-dire la « réalité »). Tous les aspects de la société, pas seulement la politique, la culture, etc., mais les aspects les plus intimes de la vie des gens.
RépondreSupprimerLe capitalisme est une machine à décoder les valeurs. Son objectif est de décoder complètement la société de toutes les valeurs qui entravent la libre circulation des capitaux, faisant de tout et de chacun une marchandise de facto, transformant les sociétés en marchés. Il peut s'adapter au totalitarisme et à d'autres variétés de despotisme lorsque cela est nécessaire, mais laissé à lui-même, ou... vous savez, s'étant vu accorder la domination sur la Terre entière, et sur chaque chose rampante qui s'y glisse, il se met à décoder et à déstabiliser les valeurs, à déstabiliser la valeur et le sens lui-même, jusqu'à ce que, finalement, tout signifie quelque chose, ou rien, ou ce que le marché détermine qu'il signifie ou vaut à un moment donné.
Le fait est que la guerre en cours contre la réalité n'est pas un moyen pour une fin. C'est la fin. L'idéologie officielle (c'est-à-dire la « réalité ») que GloboCap, Inc. met en œuvre n'est pas un ensemble de valeurs ou de croyances officielles. C'est l'absence de valeurs ou de croyances, de valeurs et de croyances non marchandes. Les valeurs et les croyances sont bonnes, tant qu'elles ne sont que des signes vides, des logos, des déclarations d'identité sans signification, et non des principes et des croyances que vous essayez de vivre et que vous êtes assez fou pour vous battre pour les préserver. Ce genre de valeurs doit disparaître, pour que les gens du futur New Normal puissent être libres de croire que la guerre est la paix, l'ignorance est la force, deux plus deux égalent cinq, les hommes ont leurs règles, Donald Trump est un agent secret russe et littéralement Hitler, Vladimir Poutine (qui est aussi littéralement Hitler) ont envahi l'Ukraine sans aucune raison, ou certainement pas à cause de quoi que ce soit à voir avec GloboCap, Inc., ou l'OTAN, ou les néo-nazis ukrainiens inexistants, puis ont détruit les siens pipelines dans la mer Baltique, ou tout autre non-sens manifestement ridicule qu'ils (c'est-à-dire les gens du futur New Normal) se font dire de faire semblant ou de croire réellement par Rachel Maddow et les autres têtes parlantes que vous avez vues dans la vidéo d'Orfalea.
Et, si cela ne ressemble pas à votre genre d'avenir, ou de réalité, la réalité "tout est un signifiant flottant"... pas de soucis, vous pouvez toujours abandonner le "courant dominant" et rejoindre le carnaval des "théoriciens du complot, anti -vaxxers, négationnistes de Covid, négationnistes du Russiagate, négationnistes du changement climatique, désinformationnistes, malinformationnistes, transphobes, suprématistes blancs, extrémistes domestiques violents », et un assortiment d'autres monstres et curiosités de la nature qui sont activement mis en quarantaine, ou se mettent eux-mêmes en quarantaine, dans des ghettos idéologiques où les consommateurs normaux n'ont jamais à les voir et ils (c'est-à-dire nous, les déviants et les monstres) sont la proie de légions de charlatans, de démagogues, d'agents provocateurs et d'autres parasites spirituels et émotionnels, jusqu'au jour où nous nous retrouvons à tweeter spasmodiquement à propos d'un Chomsky de 86 ans pourchassant des esclaves sexuelles nues autour de l'île d'Epstein, déchiré jusqu'aux branchies avec du Viagra et de l'ecstasy, et probablement de l'adrénochrome fraîchement récolté !
RépondreSupprimerCela, ou vous pourriez vous retirer complètement de la société et aller vivre dans une cabane de Kaczynski dans le Montana, ou dans l'Idaho, ou partout où les gens font cela ces jours-ci, comme plusieurs de mes lecteurs me l'ont conseillé récemment, et chercher des baies et des écureuils au barbecue, et, eh bien, vous savez, déféquer dans un trou dans le sol.
Je suis désolé, je me rends compte que tout semble assez sombre. Je suppose que je suis de mauvaise humeur ces jours-ci, ou que je manque d'intensité passionnée… ou quelque chose comme ça. L'intensité passionnée ne manque pas, si c'est ce que vous recherchez. Ne me laisse pas t'arrêter. C'est juste que, chaque fois que je l'éteins pendant un moment, cette intensité passionnée, ce maelström hurlant de réalités guerrières, et que j'écoute attentivement, j'entends la bête rugueuse de Yeats, dont l'heure, apparemment, approche à nouveau.
Je ne sais pas de quel "côté" il s'éloigne, mais cela n'a probablement pas d'importance.
Ah bon… comme disent les Français, plus ça change, et ainsi de suite.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/hopkins-war-reality-revisited
Ces États de l'UE veulent tuer le droit à la communication privée
RépondreSupprimer24 mai 2023
du Dr. Peter F. Mayer
« Sire, donnez la liberté de pensée ! « Dans Don Carlos Schiller, le chevalier de Malte dit le marquis de Posa au roi d'Espagne Philippe II. Schiller est l'un des auteurs les plus joués sur les scènes germanophones, mais il a quitté la conscience générale allemande. Et cela malgré le fait que l'œuvre du proclamateur de la liberté n'a rien perdu de son actualité politique.
Indispensablement liée à la liberté de pensée est la possibilité d'une communication privée et non observée. La loi devait être gagnée contre la résistance des églises et des gouvernants, dont parle Schiller dans son Don Carlos. Maintenant, il doit être à nouveau aboli.
Depuis environ 45 ans, une part croissante de la communication est gérée par voie électronique et numérique. Afin de pouvoir communiquer sans être observé, un chiffrement de bout en bout est nécessaire. Et depuis que ceux-ci existent, des politiciens inexpérimentés réclament la possibilité de portes dérobées.
Les politiciens qui prétendent que la sécurité peut être garantie si une communication n'est décryptée que sur ordre d'un juge ne font que documenter leur ignorance. Avec la génération actuelle de politiciens, cependant, ce n'est pas surprenant. Un document divulgué montre que les pays de l'UE envisagent d'interdire la messagerie privée. C'est le plan d'abolition de la vie privée.
Une enquête du Conseil européen sur les points de vue des pays membres sur le cryptage montre que l'Espagne est fortement en faveur de l'interdiction du cryptage de bout en bout, rapporte le magazine technologique respecté Wired . Comme d'habitude avec les tentatives d'abolir les droits fondamentaux et d'imposer la surveillance et la censure, le prétexte est une prétendue lutte contre la diffusion de matériel d'exploitation sexuelle d'enfants (CSAM ) .
La loi proposée exigerait que les plateformes technologiques analysent les communications cryptées, ce qui, selon les experts en technologie, ne peut être fait sans déchiffrer le cryptage.
Apple, Google, Microsoft, Facebook/WhatsApp et d'autres ont reconnu depuis un certain temps que c'est un avantage marketing pour eux de pouvoir offrir à leurs clients une sécurité contre la surveillance et contre les criminels. Et probablement aussi de l'effort honnête de protéger les données des clients, de garantir leur vie privée et de les protéger contre les attaques de pirates informatiques criminels. Ils ont donc pris plusieurs mesures :
Cryptage des données sur l'appareil
Cryptage des données en communication
corrections en cours de bugs et vulnérabilités permettant l'intrusion de criminels (anciennement Jailbrak chez Apple)
Cependant, le cryptage n'est sécurisé que si la clé ne traîne pas en public ou si quelqu'un peut être forcé de la donner. Par conséquent, les "clés privées", qui sont nécessaires pour déchiffrer une communication ou le contenu d'un appareil (smartphone, PC), ne sont pas stockées sur des serveurs centraux, mais exclusivement sur l'appareil de l'utilisateur et cachées dans le matériel de telle sorte que on ne peut pas s'en approcher.
RépondreSupprimerWhatsApp, Signal, Telegram, Threema et d'autres services de chat n'ont pas les clés nécessaires pour écouter les communications.
Selon le document obtenu par Wired, la position de l'Espagne sur le cryptage est la plus radicale.
"Idéalement, à notre avis, il serait souhaitable de légiférer contre les fournisseurs de services basés dans l'UE d'adopter le chiffrement de bout en bout", ont déclaré les responsables espagnols.
Sur les 20 pays membres représentés dans l'enquête, 15 soutiennent l'interdiction des communications cryptées de bout en bout, indique le rapport.
La Pologne a proposé d'introduire des mesures qui permettraient à un tribunal de casser le cryptage et aux parents de décrypter les communications de leurs enfants.
"Il est primordial d'indiquer clairement dans le règlement CSA que le chiffrement de bout en bout n'est pas une raison pour ne pas signaler le matériel CSA ", ont déclaré les représentants de la Croatie.
Roumanie : " Nous ne voulons pas que le chiffrement E2EE devienne un 'refuge' pour les acteurs malveillants..."
Slovénie : " Les ordonnances de divulgation doivent nécessairement s'appliquer également aux réseaux cryptés."
L'Irlande et le Danemark souhaitent que les messages soient analysés pour CSAM sans interdire le chiffrement de bout en bout, ce qui n'est pas possible. Les Pays-Bas ont expliqué qu'il est possible de scanner le contenu sur un appareil avant qu'il ne soit envoyé à un destinataire sous forme chiffrée.
"Il existe (...) des technologies qui permettent la détection automatique du CSAM tout en laissant intact le cryptage de bout en bout ", ont déclaré les responsables du pays. C'est tout simplement absurde.
D'autres pays comme la Hongrie et Chypre ont soutenu la proposition car elle faciliterait l'application de la loi.
Cependant, l'Italie, l'Allemagne, la Finlande et l'Estonie sont opposées à la suppression du chiffrement de bout en bout. L'Allemagne a déclaré qu'elle ne soutiendrait pas une loi qui autoriserait une technologie qui contournerait, modifierait ou perturberait le cryptage.
RépondreSupprimerLa Finlande a appelé la Commission européenne à trouver des solutions pour lutter contre le CSAM sans porter atteinte au cryptage.
L'Estonie a averti que les entreprises obligées de scanner les messages cryptés quitteraient le marché européen.
L'Italie a déclaré que la proposition "imposerait un contrôle global sur toute la correspondance cryptée envoyée sur Internet" .
https://tkp.at/2023/05/24/diese-eu-staaten-wollen-das-recht-auf-private-kommunikation-killen/
Le document des questions clés du ministère déclare : « La transformation de l'ensemble du système alimentaire vers une alimentation à base de plantes est le facteur le plus important dans le domaine de la nutrition afin d'atteindre nos objectifs nationaux et internationaux en matière de climat, de biodiversité et de durabilité. "
RépondreSupprimerIl ne reste alors qu'une currywurst par mois. C'est ce que disent les représentants de l'industrie alimentaire, même en parlant d'un seul gramme de viande par jour. Selon le ministère de l'Alimentation, cependant, l'objectif n'est pas de "dire aux gens ce qu'ils doivent manger." Le document sur les questions clés n'indique pas spécifiquement la quantité de viande que les Allemands doivent encore manger.
Mais dans le Lebensmittelzeitung, le responsable « Durabilité » de l'Association centrale de l'industrie avicole allemande parle de « 10 grammes de viande prévus par jour. » C'est tiré d'une vidéo explicative de la Société allemande de nutrition (DGE). La viande y est actuellement encore recommandée, mais la recommandation DGE est en cours de révision. Et le plan de nutrition devrait être basé sur cela.
ça devient concret
La question de savoir s'il devrait y avoir un rationnement prescrit est dans les étoiles. Mais la viande pourrait aussi devenir si chère qu'elle deviendrait un véritable produit de luxe. Le document sur les questions clés parle de « façonner le paysage de la consommation » et d'une « structure de prévention ». Et le ministère de l'Alimentation écrit :
« En Allemagne, la consommation de viande est bien au-dessus du niveau nutritionnel recommandé. De plus, la production d'aliments pour animaux nécessite parfois un multiple de l'énergie qu'ils contiennent sous forme de plantes fourragères et est associée à de fortes émissions de gaz à effet de serre et à une pollution de l'environnement. Cela va de pair avec une forte utilisation de ressources limitées telles que l'eau, les combustibles fossiles et le sol (terres agricoles), qui seront également de plus en plus nécessaires à l'avenir pour l'expansion des puits naturels de gaz carbonique. L'objectif est de rendre plus facilement accessible une alimentation végétale avec une proportion élevée de légumes et de fruits non transformés, ainsi que des produits céréaliers riches en fibres et des légumineuses et des noix. De même devrait leRéduire la consommation d'aliments d'origine animale à un niveau durable et favorable à la santé .
Le calendrier est déjà concret. D'ici la fin de l'année, le plan de la stratégie nutritionnelle devrait être adopté au Bundestag. Les nouvelles normes doivent ensuite être mises en œuvre dans la restauration collective d'ici 2030. Cela s'applique aux écoles ou aux cantines, par exemple. Ceux-ci devraient servir de "modèles" et "une alimentation saine" devrait être "au niveau de ce que dit la science".
Comme dans les autres domaines, la transformation devrait alors être achevée d'ici 2050. Ensuite, l'Allemagne devrait manger "plus végétal et durable" et aussi "plus sain" comme le veulent les Verts. La consommation d'insectes et de viande de laboratoire n'est pas mentionnée dans le document sur les questions clés. Mais les grandes entreprises investissent depuis longtemps dans ce domaine, et dans certains pays ces "alternatives à la viande" sont déjà au menu des écoles - par exemple en Australie et au Pays de Galles . Depuis janvier de cette année, un règlement de l'UE autorise l'ajout d'insectes aux aliments.
RépondreSupprimerD'ici 2050, l'UE veut être complètement sortie du pétrole et du gaz. Aux côtés des énergies fossiles, la viande est enregistrée comme un problème central pour le climat – il est donc logique que les politiques tentent de limiter la consommation de viande.
https://tkp.at/2023/05/24/ende-der-currywurst-ampel-arbeitet-an-transformation-des-gesamten-ernaehrungssystem/
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